En conclusion il faudrait chercher à savoir dans quels cas ils seraient légitimes?
Les films pornographiques sont autorisés à la télévision, voire sur internet malgré/bien que la plupart d'entre eux peuvent vous transformer / faire régresser vers la réincarnation que vous obtiendrez après votre mort, par exemple en futurs porcs, ou moins que cela en raison des autres péchés commis. Cependant nul n'est obligé à les regarder -(ces films pornographiques). Vous avez donc le choix car ils ne s'imposent pas dans votre tête et/ou intimité comme ces cauchemars. Le monde diurne, celui de la réalité est plus juste car il tient compte de votre conscience et de vos difficultés tandis que le monde du sommeil est lié à votre inconscience dont il apparaît que quelques-uns profitent -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d'autres cas)- de loin en vous contraignant à "rêver" ce qui s'avèrera des inepties -(par conséquent un cauchemar)- impossibles à vivre dans la réalité mais aussi une forme de viol parfois assouvissant votre concupiscence -(vous êtes alors détournés du bon chemin)- ce qu'il convient de vous éviter - la raison d'être des Etats -(ce qui les légitime - ayant à prendre soin de chacun de ses membres)- pour éviter les réincarnations les plus malheureuses.
CARE 10
---
-(en
réponse à ce dont ce matin j’ai
été victime[1]).
Abus
de confiance au matin alors qu’abandonné au sommeil et donc à une forme
d’inconscience. Sacrilège envers Amour -(et mon couple avec Michèle)- commis
sur notre personne !
En
effet, alors que je dormais en toute confiance après une journée qui m’avait
mené à devoir travailler jusqu’à tard dans la nuit[2],
donc que j’avais encore besoin de sommeil, des gens[3]
ont agi à distance sur/dans mon cerveau de dormeur[4]
en me mettant dans une situation[5]
érotique invraisemblable dans la réalité des paramètres qui me
concernent en tant que, (comme chacun :), une grande partie de ma personne
différente de tous[6].
Et,
qui plus est, cela a donné -(alors qu’inconscient dans mon sommeil)- une
éjaculation de ma personne qui se réveille avec une impression de souillure en
étant alors traumatisé par ce dont on vient d’être la victime à cause de ceux à
distance ayant attenté aussi lâchement à notre intégrité et nos sentiments les
plus sacrés, en profitant lâchement de ce que je me reposai -(après une longue journée de labeur)- en toute confiance, en m’étant abandonné -(pendant ce
sommeil)- à une partie de mon inconscience !
Aussi
je m’aperçois que ceux qui sont les auteurs de ces cauchemars sont au courant
de ce qu’un cerveau humain est génial puisqu’il peut créer des situations -(y
compris en couleurs)- perceptibles par les sens,
durant lesquelles
ce qu’on a pris pour le désir s’abandonne à cette inconscience apparemment
consubstantielle au sommeil[7].
Ces images qui sont formées dans le cerveau comme si celui-ci était aussi un
casque de réalité virtuelle, ce qui comporte effectivement un aspect génial,
sont nombreuses et de divers types et peuvent être considérées à l’inverse
comme une richesse -(même les plus pénibles faisant de
nous des incompris dans nos aspirations les plus belles). Au point ici que si
les nazis étaient au courant de cela -(l’homo
sapiens rêvant)- concernant l’être humain, ils en deviennent encore une
fois plus impardonnable[s] d’avoir cru possible persécuter l’être humain aux
différents titres que cela a été, puisqu’ils savaient l’être humain autant
capable d’imagination(s) inconsciente(s), soit avec le crâne, d’une machine
créative des plus élaborées, par conséquent sacrée puisque dans la nuit, alors
que dormant, pouvant être connecté à des réalités virtuelles contradictoires
avec les choix les meilleurs de la conscience[8]
soit ce qu’on a appelé » inconscience «. Aussi ils savaient l’être
humain capable d’utiliser le cerveau pour penser et générer des images et des
sons en êtres créatifs[9]. D’où
que ces nazis seraient encore plus infiniment coupables d’avoir à ce point
maltraité l’être humain continuellement handicapé par la situation, par monts
et par vaux comme les gens-du-voyage, les tziganes aux musiques les plus
merveilleuses, les chrétiens et/ou juifs et/ou les homosexuels et/ou franmaçons
-(francs-maçons)- à ses heures, soit des états d’âme revêtant d’innombrables
aspects positifs[10]
pouvant être ceux de chacun d’entre nous en plus de ce que nous sommes à
chacune des secondes comme très nombreuses autres choses
-(sur tous les plans qui nous concernent / occupent, en étant alors au service
de la chose que nous fabriquons, et bien sûr en oubliant appartenir à un mot ou
un autre et ses définitions, hélas étanches pour les plus bêtes d’entre nous
n’étant pas encore de ceux capables de réfléchir sur les mots et ne comprenant
pas qu’il s’agit, avec ces mots, d’indications souvent sommaires –[quasi
symboliques]- à des fins de faciliter les choses sur le plan des statistiques
administratives destinées à faciliter les prévisions économiques, car entrer
dans une catégorie ou une autre, selon les croyances auxquelles on a adhéré,
signifie parfois d’autres façons de manger par conséquent pour lesquelles il
faudra penser sur le plan commercial, par exemple si on a affaire à un[11]
végétarien, un boucher commandera moins de viande dans le quartier où se trouve
sa boucherie et où vit ce végétarien et si à un
musulman moins de viande de porc et si nous avons à faire à un chrétien, il y a
que la concurrence d’un poissonnier est localement possible –[en raison du
vendredi, jour du poisson]- à la boucherie dans le quartier untel -(évidemment
il faut que le chiffre des chrétiens soient plus qu’un seul et c’est pareil
pour la viande de porc : c’est parce qu’ils seront de nombreux musulmans
pratiquant[s] que le boucher du coin commandera aux abattoirs moins de porcs et
ce sera pareil pour le végétarien : ce n’est qu’en raison du nombre en
augmentation dans un quartier que cela pourra avoir une réelle conséquence sur
les affaires du boucher et du poissonnier. Aussi ces manières de vivre sur le
plan alimentaire en raison des croyances dont nous avons hérités mises en
pratique, cela concerne des façons de vivre, soit des coutumes un peu
différentes de celle des laipis ne s’interdisant rien[12]
y compris pour une librairie qui voudrait s’installer localement, ce qui
imposait –[avant Internet]- de connaître les goûts des
habitants d’un quartier. Du coup, une conséquence : on peut mieux composer
la vitrine de son magasin[13]).
Il n’y a pour ça -(comprendre
qu’une personne est beaucoup de choses différentes)- qu’à prendre connaissance
des portraits peints, voire photographiques et les nombreuses touches de
peinture qui ont été nécessaires de/à peindre[14],
chacune comme une note de musique d’un compositeur. Au moment où ce musicien l’inscrit,
il appartient à l’univers de la Musique qui est en liaison avec de nombreuses
choses différentes et complémentaires modifiant les résultats sonores obtenus. On
les appelle des influences, ce qui peut être comparé aux dialectes par rapport
aux langues. Cependant que c’est là une vision d’ensemble de sa partition une
fois terminée qui pourra même être considérée une forme de folklore tandis que
pour inscrire ces notes, l’auteur-compositeur est à chaque fois la note qu’il
inscrit, soit la modification sonore à obtenir par rapport à l’ensemble de sa
recherche musicale, voire exploration musicale à partir d’un thème ou/et accord
ou note de départ. Que cherche-t-il au juste? A
plaire aux musiciens mais aussi au public, lui développer le sens de l’ouïe,
l’informer d’états d’esprit différents abordés dans l’œuvre interprétée par
l’entrée en jeu d’instruments différents. C’est avec l’Opéra, soit des
histoires mises en musique et en airs qu’on chante qu’on découvre que la
musique peut raconter des histoires comme la tragédie et la comédie au théâtre
et au cinéma, voire en vidéo et on peut aborder à de certains moments des
musiques plus religieuses qu’à d’autres moments. Cependant pour les voir se
concrétiser ces musiques plus religieuses, il faut avoir au moins un peu compris
les croyances et/ou les raisons d’être à l’origine de celles-ci, les avoir
explorées ce qui ne signifie pas toujours y avoir adhéré. Elles appartiennent
comme les musiques folkloriques ou des gens du voyage, les tsiganes, à
l’héritage de tous car en naissant être humain nous avons tous la possibilité
de devenir compétents dans chacune des disciplines existantes -(voire de celles qui vont être créées durant notre vie)-
par conséquent aussi celle[s] des musiciens-compositeurs pour peu qu’on
travaillera dans cette direction. La Musique est un des arts -(au
sens de catégorie)- à notre disposition pour nous exprimer comme l’écriture au
sens de littérature, poésie, scénario, etc. . La Peinture, la Danse, la Sculpture,
etc. la Bande-Dessinée et toutes ces directions artistiques sont nées de la
disparition de la
Vision d’Ôz que nous cherchons à
rétablir dans le meilleur intérêt et bien général. L’être humain n’est pas
seulement la note qu’il a produite en Musique mais aussi les quantités de
pixels des images qu’il laisse de lui, et nous comprenons combien nous sommes
chacun de données -(très nombreuses)- occupant[s]
autant d’espace[s] informatique[s] : une traduction de la réalité qui nous
concerne, y compris en images tridimensionnelles, voire en hologrammes ;
on le sait depuis la fin du 19ème siècle une seconde de la vie d’une personne
étant au moins vingt-quatre images en Cinéma. Vingt-cinq en Vidéo. Mais aussi
de plus nombreuses images constituées de ces points, si on tourne au ralenti,
ce qui peut aller jusqu’à mille, voire plus encore par seconde, sans oublier le
nombre de touches de peinture qui nous décrivent et/ou déclinent en portraits
ou/et autres situations, ce qui rend sensible à la notion de détails, ceux-ci
constitutifs[15]
de la personne humaine mais aussi celle des animaux pacifiques et
inoffensifs, les API, voire les animaux pacifiques et inoffensifs herbivores
quadrupèdes, les APIK[16].
Ces nombreuses choses qu’est[17]
l’être humain lui donne le droit à la légitime défense car ce n’est pas peu de
choses que d’appartenir aux êtres humains auteurs de tout ce qui nous entoure.
On comprend donc que les prédateurs[18]
n’ont pas le droit de cité. Ils sont sacrilèges de l’histoire d’une
famille bien précise ayant mené à l’obtention de biens légitimes contribuant à
les différencier de chacun ayant accès à d’autres biens, savoirs, compétences, etc. . J’ajoute que la Scyu-ulptire, pardon – hips ![19] :
la Sculpture comme l’Architecture a/ont rendu sensible à la tridimensionnalité
des formes de vie sur cette planète, ce qui n’est pas rien comme millions de données[20]
permettant, par exemple et entre autre[s], des reconstitutions dans
l’espace -(par exemple de monuments anciens), mais aussi grâce aux images de synthèse la réalisation
de personnages plus vrais que nature on peut animer comme d’autres ingénieurs
mécaniciens et informatiques sont parvenus à animer dans la réalité[21]
des robots ! Tout cela, évidemment, célèbre la Création de la
Vierge Marie qui, avec son fils Jésus, a réussi à, (entre
autre[s]), créer la possibilité de se repentir vraiment des péchés
commis[22]
y compris ceux par omission ! Grâce à Elle et à Son fils ces personnes
veulent retrouver leur conscience en état de marche, soit au plus véritable
service de l’Intérêt et du Bien Général. Nous ne sommes donc pas ici pour être
seulement des laipis[23]
mais aussi parce que nous sommes de très nombreuses choses différentes
grâce aux autres et à leurs différentes activités dans toutes les disciplines
existantes.
Nous
sommes donc ici pour apprendre à penser juste[ment] -(ce
qui est possible), comme je l’ai démontré quand on s’impose -(par soucis de plus de cohérence avec le mot
d’amour[24])-
à s’interdire de manger les APIK parce
qu’herbivores ils ne font pas de mal aux autres animaux[25].
Patients, ils attendent alors avec leur mort prochaine de se réincarner en
êtres humains, parce qu’ils n’ont pas chômé durant leur vie d’animaux-des-fermes -(ils ont été utiles)- et/ou domestiques pour nous aider, notemment grâce à la production de lait et de
laine à l’origine de nombreux bienfaits comme la peau qu’ils laisseront qui
pourra être transformée -(chaussures, blousons, ceintures de cuir, etc.).
Arnaquer
celui qui dort -(n’est
pas tolérable / acceptable[26]
en créant ces situations cauchemardesques[27])-
est impossible -(au sens d’illégal dans la
réalité en étant de ceux qui vivent en toute conscience, soit en toute liberté,
au sens de celle-ci, la liberté, une fois acquise la conscience, ce qui peut se
voir aussi comme une forme de prison dans laquelle pourtant existe la liberté
de créer, penser, voyager[28],
etc.).
Il
s’agit de temps durant
lesquels la personne qui dort est amenée à tromper amour -(avec un grand » a « s’il vous plait[29],
soit Amour)- en le conduisant à pécher envers celle qu’on sait
il aime, en l’amenant à avoir une relation sexuelle inconsciente avec une autre
femme -(qui plus est)- totalement inconnue[30]
! (Pourtant celui qui a décidé de faire vivre ce cauchemar au[31]
confiant dormeur sait que durant la journée celui-ci n’est que fidèle à sa
fiancée. Pourquoi alors ceux qui s’introduisent à distance dans le cerveau du
dormeur ne respectent-ils pas amour[32] ?
Voire Amour, en se comportant autant en sacrilège ? Comme durant la
journée le dormeur ne s’intéresse pas à d’autres femmes et se consacre à son
travail -(parce qu’il
veut épouser devant Dieu sa fiancée[33]),
ceux
qui le harcèlent devaient[34]
normalement s’interdire de le tenter avec d’autres femmes car ils peuvent
constater que ce n’est que parce qu’il est endormi, qu’ils ont obtenu cette
sorte de trahison du dormeur, le fiancé de sa fiancée. Mais est-ce une
trahison pour celui qui s’éveille naturellement indigné
car violé ? Non, parce qu’elle ne s’est produite que parce que le dormeur est
momentanément dans l’inconscience -(liée au sommeil)-
ce qui lui a fait momentanément oublier sa parèdre. Aussi profiter de l’oubli
de la parèdre pour proposer une alternative est infiniment sacrilège envers
l’état de fiancé de ce couple, ce qui explique que celui qui s’est chargé de
provoquer ce rêve à distance obtiendra en conséquence pour lui-même -(et pour ses complices)- une des plus tragiques
réincarnations, car il se sera comporté en sacrilège envers Amour, ce qui a été
très vraisemblablement à l’origine de la Création[35].
Ce
matin un peu avant neuf heures, il y a véritablement eu sacrilège envers le
couple que nous formons de nouveau depuis 2017, Michèle et moi !
Ces
personnes qui [36]« fabriquent »
à distance ces « rêves »[37]
et [38]
pour nous martyriser avec, sont
totalement inconscient[e]s des conséquences traumatiques / délétères de ce
qu’ils s’autorisent comme[39]
inacceptables ineptie(s) et en réalité traumatismes qui de leur point-de-vue[s]
-(celui des bourreaux)- n’est que pour rire en inconscients et en pensant
qu’ils ont droit de recourir ainsi à la réalisation de ces -(en définitive pour
les victimes)- cauchemars -(et non rêves), recherchant aussi / autant malignement[40],
ce qui n’arrange rien, que la victime ainsi induite en erreur fasse
après de tels cauchemars, durant les journées qui vont suivre, fausse route,
tombe dans des pièges de tous ceux haïssant Amour et à cause du non respect d’[a]Amour
recherchent à séparer le couple. Or il y a des choses sur lesquelles on ne peut
pas rire du moins si on est de ceux devenus conscients -(soit
dans ce qui est juste). Pour s’autoriser de pareils crimes contre l’humanité,
il est probable qu’ils en ont été eux-mêmes victimes et au lieu de passer
courageusement dans le camp de la résistance[41]
car il est évident qu’on n’avait pas le droit de leur faire ce tort, ils
sont passés -(probablement
en raison de peur[s], voire parce qu’à premières-vues séduits –[sans avoir eu le temps de
vérifier que l’anti-thèse était logiquement plus vraie / juste], du côté des bourreaux[42]).
Soit les » auteurs « de ces « rêves » en reproduisant[43] ces
manières de faire -(évidemment pour tous ceux un peu
plus conscient[s] absolument inacceptables / intolérables / impossibles. Soit les manière[s] de faire de mauvais sujets indignes des
bienfaits de la civilisation des gens les plus respectueux de la personne
humaine et de ses droits : comme celui naturellement de se reposer sans
être aucunement persécuté par ces manières de lâches profiteurs et etc.[44]
.
Pourtant
ils savaient que celui qui dort est fidèle à sa parèdre -(soit
sa femme)- et que dans la situation dans laquelle on l’a plongé, il n’éprouve
aucun véritable amour pour celle qu’on lui propose dans la réalité du
rêve-cauchemar[45]. Cela
m’a amené – comme ils l’ont voulu, hélas au
mépris de la conservation de ma semence réservée à ma femme – un paramètre que,
malheureusement pour eux, ils ont été de nouveau incapables de prendre en
considération[46]
dans ce
« rêve » - à trahir amour avec grand A[47]
- au point, parce qu’alors[48]
inconscient, de me mener à avoir un début de rapport sexuel avec la
femme proposée -(dans ce
« rêve » : cauchemar)- lâchement[49]
comme autre femme -(que ma femme[50])-
avec laquelle aucun sentiment(s) d’Amour
[n’]existe[nt] ! Même pas su son nom ni son prénom, ni quel métier elle
exerce, etc. Aussi il s’agit bien d’une situation qui n’a majoritairement[51]
rien en commun avec la réalité. Elle est donc impossible à vivre dans la
réalité de tous ceux qui n’ont pas fait semblant d’aller à l’école, soit
d’apprendre des vérités relatives concernant toutes les disciplines
indispensables[52], soit
aux adultes ayant accès à la conscience. Soit ce qui permet de déterminer ce
qu’il est possible de faire ou non, selon la situation précise, l’occasion, le cas particulier, soit le
SPOK[53].
Sacrilège
est commis par ceux-là profitant[s] du sommeil de celui qu’en fait ils -(ne se
rendent pas compte)- torturent -(alors que la
torture, depuis longtemps, est chose interdite)- ainsi
lâchement en lui faisant croire que le rapport sexuel qu’il a dans le rêve
serait légitime avec cette femme inconnue[54]
qui s’est abandonnée à un
moi concupiscent[55]
constatant qu’il / je
n’éprouve rien comme sentiments amoureux pour cette femme : aucun
sentiment[s] qui pourrai[en]t l’amener à faire plus véritablement l’amour avec
elle. Aussi dès que j’ai repris conscience à mon réveil, je me suis dit que nos
droits -(ceux de
Michèle et les miens)- venaient d’être violés
une fois de plus par des gens -[les auteurs de
ces cauchemars]- qui visiblement n’arrivent pas
à comprendre qu’ils se comportent de façon totalement inadmissible et incongru,
et en réalité -[en]- sacrilèges. Ce qui n’est nullement drôle pour tous ceux
qui ont un infini respect de l’être humain dans sa possibilité d’évoluer, voire
de progresser, par conséquent d’avancer vers la découverte de la Vérité qui est
une avec la beauté, la bonté et la bienfaisance, mais aussi -[avec]- d’autres
vertus, car sinon il n’y aurait aucune des solutions alternatives élégantes
autour de nous, le vice – nous le savons tous - ne conduisant qu’au
rétrécissement du cerveau et donc, hélas, à la bêtise[56],
par conséquent à croire possible ce qui est impossible : qu’une personne
véritablement aimante de sa femme, voire de ses femmes légitimes, puisse se
donner ainsi à la première venue : non
sens -(ici dire/lire en anglais)- et tout cela pour plaire à qui, je vous
prie ? Où peut-il y avoir de l’intérêt à s’intéresser sexuellement à une
autre femme qu’à sa femme légitime -(avec laquelle on essaie de construire malgré tout quelque
chose de pérenne voire de fondamental pour tous), victime
elle aussi de la situation ? Cela a comporté bien des difficultés pour
s’assurer de ce qu’elle était très réellement la » légitime
« promise. Il s’agit très réellement d’une vraie histoire d’amour car
sinon l’anneau immaculé immatériel lumineux ne serait jamais apparu à mon doigt
annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés. Pourquoi
vouloir compliquer les choses qui le sont déjà infiniment pour moi ayant en
tant qu’eanmeailleurs, soit ce qui signifie pharaons-bouddhahs[57],
à maîtriser de là où je suis rétroactivement l’Histoire, mais aussi d’avance le
futur le meilleur de/pour tous ? Je ne suis pas n’importe qui, bien qu’il
m’arrive d’étudier n’importe qui y compris l’ineptie de ceux qui se sont
dégradés l’esprit pour appartenir aux laipis, soit aux -[très/si/trop]- peu conscients).
Il
y a donc sacrilège[s][58]
envers Amour car celui qui dort à cause de ce qu’il vient d’endurer se
réveille souillé[59]
et incompris dans ses droits et/ou devoirs de réserver sa semence à
celle[s] qu’il a réussi à aimer d’Amour -(car
celle[s]-ci, ses femmes -[sa femme]- veu[len]t aussi de lui par Amour car
la réciproque de mes sentiments pour elle[s] est vraie)!
Sans
oublier qu’il y a sacrilège envers la femme qui participe à cette mise-en-scène
absurde, inepte, minable, grotesque dans laquelle elle s’est abandonnée à celui
qui, en réalité, dans cette autre dimension, dort -(cependant que dans le « rêve »[60],
il croit, ainsi abusé qu’il est, [être]- dans la réalité)- jouant alors, en vérité, un jeu impossible
rationnellement parlant, par conséquent incroyable. Car celui qui dort -(moi / nous)- sait / savons que nous n’éprouvons pas
grand-chose de vrai pour cette femme qui a réussi, dans le rêve, à s’approcher[61]
autant. Aussi de croire possible une putain une dame[62],
est évidemment ontologiquement pensée sacrilège -(voir
sacrilégissimis…simissime[63]),
soit celle de devenus malades, probablement de la situation –(de tous privés du
décor d’Ôz – synonyme de Paradis,
Eden, etc.).
Vous
n’arriverez jamais à nous faire croire que cette dame a participé à la
mise-en-scène pour escroquer[64]
le dormeur, donc pour
abuser de sa confiance et de ses droits à ce qu’on ait à respecter ses
sentiments pour les plus véritables femmes de sa vie[65].
Il
y a eu sacrilège et c’est biensûr -(bien sûr)-
évidemment totalement inadmissible comme tous les sacrilèges -(soit de
manquer de respect à des choses infiniment respectables / justes / belles,
voire à l’origine de nombreux bienfaits ou/et d’intérêt général[66],
etc. !).
Ces
personnes -(heureusement
lointaines et dans la réalité plus proche de nous, improbables)- n’avaient pas le droit de profiter de mon sommeil pour
me plonger dans une pareille situation qui dès le réveil est aussitôt
confirmée, (vue)- comme un attentat à mon intégrité, par conséquent une chose
scandaleuse -(au sens négatif de ce mot qui en a
du positif dans d’autres SPOK) : totalement
inadmissible[67].
Surtout
ne pas mal prendre ce qui s’est passé et minimiser au maximum[68]
car sinon il y a de quoi vouloir se suicider à cause de
l’incompréhension dont on vient de faire l’objet une fois encore de trop en
ayant été ainsi violé en ayant été amené contre son gré
-(dans la réalité de ce cauchemar)- à avoir une
relation sexuelle avec cette inconnue, elle-même ayant été ainsi probablement
conduite à avoir cette relation sexuelle dans l’inconscience de ses plus
véritables devoirs et droits à connaître plus véritable amour –(Amour)- ce
qu’il ne faut pas confondre avec amourette, voire pour l’homme : »
tirer un coup «, ce qui peut rendre mauvais coucheur et/ou enfant-gâté et à la
longue, comme j’eus à le démontrer, inconscient, donc un des laipis. Il est
normal qu’on veuille s’affranchir de cela qui est une façon adolescente de se
comporter, ce qui passe -(n’est plus)- quand on a la chance de découvrir le
grand amour, soit ce qui permet de comprendre l’amour du Christ pour la
Création qu’Il est – nous le savons tous[69]
- parvenu à sauver, comme le bouddha avant Lui
et enfin Mahomet après Lui, mais aussi un nombre très important de saints[70]
auxquels Christine et moi avons eu à ressembler en 1967 et 1977, au moment du
sacrifice de séparation – et de la perte des enfants
que nous attendions - jusqu’à 2005, date à laquelle tout a recommencé, mais
cette fois-ci en chair et en os, alors qu’en 1967 et 1977 cela avait été pour
tous du virtuel : des avertissements lancés d’un futur ayant quelques
probabilités d’advenir à cause de la situation à, si possible, surtout ne pas
reproduire dans la réalité. Mais ça a raté : cette situation s’est
reproduite plusieurs fois en virtuel avant d’effectivement advenir dans la
réalité, soit en chair et en os.
Sur
l’horloge, je n’avais dormi qu’environ cinq heures et non huit comme
d’habitude, le minimum que je m’impose pour vivre les journées qui sont les
miennes.
Aujourd’hui
je serai fatigué de tout le travail qui a été le mien hier, mais aussi de la
perte de ma semence que depuis des mois je réserve à Michèle[71]
quand il me sera donné de l’aimer encore plus que cela est pour l’instant le
cas[72].
On
devait respecter mon sommeil et ma confiance dans la nuit régénératrice,
normalement bienfaisante[73].
Au
lieu de cela, en profitant de mon inconscience de dormeur on m’a plongé dans
une situation invraisemblable car on le sait d’habitude je respecte chaque
femme comme ma sœur, ma mère et mes nièces, les sachant chacune promise à des
hommes précis pour connaître –(si possible – je le souhaite pour elles)- le
grand-amour[74]
voire mieux : Amour, soit ce qui est une étape pour donner accès à
la sécurité dans / de l’être humain qui permet d’accéder à la conscience, soit
ce qui permet aux êtres humains homo
sapiens de devenir deux fois sapiens,
soit sapiens sapiens par conséquent
adultes parachevés comprenant[75]
enfin la Création et son/ses projet[s]/défis bienfaisants à relever / résoudre.
De
plus, il y a incohérence dans ces inadmissibles situations créées à
distance au cours de ces cauchemars en profitant[76]
de ma confiance de dormeur -(ayant bien évidemment comme tout le monde
le droit au repos – et évidemment – à ne pas être persécuté –[évidemment contre
mon plus véritable gré d’être ayant accès à la conscience, par conséquent
sachant discerner le bien du mal, le vrai du faux, etc. , au point
qu’évidemment dans le cauchemar lui-même, je me souviens de m’être dit que je
n’aimai pas d’Amour la personne / femme proposée / contrainte elle aussi –(évidemment non pas la plus véritable de toutes les
femmes qu’elle est -[et a[77]]-
comme virtualité d’elle-même)– qui nous le
savons aspire bien évidemment à connaître Amour avec un grand A et biensûr non
cette parodie d’amour qui va croire possible – ici vulgairement – me
contraindre à » tirer un coup « en mauvais coucheur aux prises -(qu’on m’a imposé -[évidemment contre mon gré une
fois conscient])- à une situation minable, un
autre moi-même et non moi[78]
croyant soudain pouvoir profiter de ce qui était présenté comme une
sorte d’aubaine[79]
que serait cette femme et oubliant amour avec un grand A qu’il éprouve
pour Michèle ou/et Christine, mais aussi les femmes les plus importantes de ma
vie comme ma sœur, mes nièces et ma mère, aimées depuis toujours spirituellement[80]
par mes soins étant donné que depuis ma naissance
-(mais aussi à l’époque où je devais être allaité)- je
la sais elle et son sein gorgé de lait -(ou substantifiques sèves)- réservés à
l’Amour de mon père que je n’ai aucunement l’intention de remplacer, moi-même
me sachant dès ma conception réservé à ma/mes femmes légitimes -(Christine et
Michèle)– parce que Christine et moi avons dû momentanément sacrificiellement
pour tous, nous séparer une fois encore en 1977 -(pas seulement de 1967 à 1977 -[pour le Bien et l’Intérêt Général de
la situation alors bloquée en raison de la crise économique due à
l’augmentation du prix du baril de pétrole qui ne permettait à personne d’un
tantinet conscient des interactions &vonomiquzes, pardon &conomiques,
de se marier pour avoir les enfants attendus depuis toujours et cela dans ce
contexte de dettes infernales, donc dans lesquelles -(dettes)- chaque Etat sans
pétrole s’engouffrait au mépris des droits des générations à venir de naître
dans une réalité économique plus saine
-(assainie en raison de la mise en œuvre du remède que nous avions trouvé
Christine et moi en raison d’Amour nous éprouvions l’un pour l’autre -[:
du coup, nous nous étions ingéniés en trouvant la cause de tous les
disfonctionnement[s][81]
par conséquent un petit temps plus loin, le remède pour faire disparaître pauvreté
et misère par tout sur cette planète[82]),
chacun des Etats en question redevenu des
bonnes-affaires pour se développer dans une relative prospérité et un
niveau-de-vie comme un pouvoir-d’achat bien meilleurs[83] que
seulement retrouvé et non plus à l’origine de cadences infernales plus ou moins
esclavagistes[84]
comme dans Les Temps Moderne de S. A. I. S. S. S.
L. P. [85]Charlie
Chaplin[86]]).
La
femme de ce cauchemar -(rêve, pour ceux[87]
qui l’ont imposé sous la contrainte et au mépris des droits -[du dormeur])- à laquelle
on a probablement imposé de participer pour me séduire a été trompée elle aussi
car elle n’a pas cherché à savoir que je devais fidélité
-(au sens spirituel de ce terme[88])-
aux femmes -(de
ma vie)- les plus sacrées, soit pour moi
intouchables / inabordables physiquement -(car évidemment je me dois de les
protéger -[comme leur esprit / âme]– de tous ceux qui pourraient leur faire du
mal : elles sont en quelque sorte, pour simplifier : la Vierge-Marie,
promises à de légitimes époux[89]
du genre de saint-Joseph -(: avec ce dernier c’est l’exemple d’un cas de
figure d’une histoire – l’Histoire Sainte – à laquelle nous avons le droit de
faire ressembler notre réalité[90],
parce qu’il est un exemple fécond[91]).
C’est, avec saint-Joseph proposé le patron des menuisiers, voire des
ébénistes/ébénistiers[92].
Permettez-moi ici de vous renvoyer à la chaire dans Saint-Etienne-du-Mont
à Paris : on voit bien que les/la Vérité[s] et les vertus existe[nt] avec,
portées par Samson, autour de cette chaire, ces admirables sculptures de bois
de statues de moyennes dimensions des vertus ornant la tribune de cette chaire avec
d’autres objets -(œuvres) : des bas-reliefs[93]
le tout infiniment précieux[94].
Aussi
je me sais n’avoir aucun droit sur elles physiquement puisque dès l’état le
plus jeune, voire dès leur respective conception, elles sont virtuellement
promises à leur moitié desquelles elles attendent des enfants, eux-mêmes promis
à leur tour à leur respective parèdre adamantine desquelles ils attendent des
enfants et cela d’avance ainsi de suite jusqu’à l’infini des temps -(pour
les » siècles des siècles «)- car cela fut mon expérience et ma sagesse
dans la découverte[95]
de mes épouses-promises légitimes, au point de le reconnaître comme un droit
pour toutes et tous[96],
donc comme le même droit que j’ai : ce que j’ai vérifié de la pratique de
l’Amour en conscience, celui-ci évidemment sacré est un droit -(de l’homme et
de la femme)- qui doit sa réalité à la situation de tous privés de la Vision du
Paradis depuis des millions d’années : soit de nos jours la mise en place
progressive de ce droit au mariage à la mairie, puis du mariage religieux, (voire
au-contraire[97]
du mariage religieux d’abord, et de la confirmation publique du mariage
à la mairie ensuite[98])-
dans les Etats où il y a -[eu]- séparation de l’Etat et du religieux[99],
puisque j’ai pu vérifier sur moi-même qu’il y a effectivement à tenir compte de
la condition du/des laipis et de la condition de ceux qui ont finalement -[eu]-
accès à la conscience, soit la première étape qui mène à la connaissance des
religions lesquelles adopter préférablement[100]
à cause de ce qu’on a pu vérifier une fois devenu[s] conscients que le sacré
-(et pourquoi-pas ses sacrements ?)- sont une/des réalité[s] qui ne
peuvent pas être ignorées et cela d’autant plus qu’on s’apprête à avoir/recevoir
un enfant. On comprend alors que sans les diverses religions, le monde serait
bien pauvre et qu’il nous appartient de transmettre les civilisations vivantes
enfin -(ces derniers temps interconnectées)- aux
générations suivantes avec tout ce qu’il peut y avoir de mieux – de plus humain
- grâce à ces religions, les sciences, les arts et etc.).
Si
cette femme l’avait su[101]
elle devait, dans ce cauchemar s’abstenir de me tenter par respect pour elles.
Mais nous avons compris qu’en réalité elle ne me tentait pas / aucunement
puisque je n’éprouvai aucun véritable amour pour elle et que dans ce
« rêve » je me le suis dit, ce qui a fait que je me suis réveillé
indigné d’avoir eu l’impression de jouir en elle[102].
Aussi pour en arriver à l’éjaculation qui a eu lieu, il y a eu viol
-(contrainte)- de ma personne -(soit
abandon à l’inconscience)- en ayant ainsi
manigancé pour obtenir de moi un rapport sexuel avec elle.
C’est
comme une personne qui ne respecte[rait] pas la fiancée ou/et la femme légitime
d’un autre et qui se permettrait de la désirer malgré le fait qu’elle est
mariée –(dès qu’on sait qu’un garçon, un adolescent,
un homme éprouve de l’amour pour une amoureuse -(qui l’aime réciproquement), c’est sacrilège -(donc ce
n’est pas aimable)- de la désirer et de vouloir la lui prendre[103].
Pour
être ainsi l’un avec l’autre fiancés, il y a eu quantité de paramètres qui ont
joué[104],
ce qui normalement doit
les mener à plus de conscience, voire à la connaissance du sacré proposé par
chacune des religions, voire ailleurs : par chacun d’entre nous une fois
acquise la/cette conscience et cela parce que normalement chaque être de
manière virtuelle -(mais aussi réel)- est scensé -(sensé + censé = scensé)-
attendre ses enfants dès la conception : soit une potentialité /
virtualité / probabilité[105].
Cela
s’est produit en 1977 avec Michèle à qui j’avais dit au téléphone, entre Rome
où je vivais et Strasbourg où elle vivait alors, que j’étais fiancé avec Christine[106]
et je sous-entendais que
le fait de me vouloir pour elle seule était sacrilège[107]
de Christine et des enfants que j’attendais d’elle[108] :
quand on présente une femme comme une fiancée cela peut sous-entendre qu’on
attend des enfants d’elle, voire qu’on est en chemin vers la condition de
marié[s].
On
le voit ici : croire qu’on est marié dépend de formes qu’on pourrait aller
jusqu’à dire/penser être des préjugés[109]
sur la notion de mariage : celui-ci n’existant en fait dans la tête des
mariés et de leurs témoins, comme de l’assistance que s’il y a eu cérémonie
officielle avec les témoins et le public de l’assistance conviée comme
celui qui est d’habitude ce jour-là massé à la messe : c’est l’habit -(au sens
de vêtement[s]) dans le décor approprié qui fait le moine et non comme c’est
dit la coutume[110],
soit avec la robe de mariée, etc. on croit alors qu’il s’agit d’un véritable
mariage et non de déguisements[111].
C’est[112]
ce qui nous a conduit à
croire possible nous séparer Christine et moi et de plus sacrificiellement, et
pour cela, à devoir m’ingénier pour obtenir de moi une amnésie de ce qui
s’était passé d’extraordinaire en 1977 pour pouvoir le jour venu rencontrer
Michèle canoniquement avec/malgré ce qui s’était déroulé, et ainsi, parce
qu’elle finirait par avoir elle aussi[113]
à travers ce qui adviendrait pour moi à partir de 2005, un anneau immatériel
immaculé lumineux faisant d’elle aussi ma femme cosmique, universelle, cet
anneau coïncidant avec celui que j’avais vu apparaître en 1977 -(et en 1967)- un
moment pour Christine ! (Ce qui m’avait permis de vérifier que dans ce cas
de figure de la Création l’homme – comme la femme – ces derniers ont à
premières-vues le droit à -(au cours de leur existence)- plusieurs mariages
sacrés, puisque cet anneau immaculé immatériel lumineux était réapparu à partir
de 2005 pour Michèle[114]
synchrone avec 1977 où il était apparu[115]
pour Christine comme cela
s’était passé en 1967 pour toutes deux, étant donné que l’immensité intervenant
à travers Espace et Temps, (moi alors), proposait le sacrifice, de séparation
d’avec Christine comme des enfants que j’avais compris j’attendais d’elle en
raison de cet anneau immaculé immatériel qui était apparu un instant à mon
doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés. Aussi
on comprendra que normalement[116]
on n’a le droit qu’à une seule femme reconnue par l’Univers entier, car épousée
de manière sacrée au point d’obtenir un instant la présence de l’annneau
en question. Ce n’est que parce que je me suis ingénié à oublier Christine que
j’ai pu finalement obtenir[117]
l’apparition de cet anneau à mon doigt annulaire[118]
en 2005 pour Michèle et c’est pourquoi avec l’apparition de cet anneau, j’ai
peu à peu[119]
retrouvé ma mémoire, car les hommes véritablement mariés – comme par exemple
l’est mon père – m’ont, en 2005 -(seulement)- redonné la mémoire de Christine,
ce qui m’a permis alors, par fidélité à notre amour d’autrefois, l’un de
l’autre et de l’autre pour le précédent -(soit l’un), de sauver cette planète,
en faisant intervenir en 1967 et 1977 d’avance mon double dans le futur
communiquant avec effets rétroactifs à travers Espace et Temps, par ce qu’entre
1995 et 2005, j’étais progressivement redevenu bouddhahs en arrêtant, parce qu’empereur
une fois encore -(de là où j’étais)-, la Seconde Guerre Mondiale, en raison de
ce qu’à partir de 1995 on m’avait contraint et forcé[120]
à devenir le nouvel empereur, ce qui m’avait amené avec mon corps réel[121]
à arrêter[122]
cette Seconde Guerre Mondiale comme cela avait été le SPOK, une première
fois en 1967 en synchrone avec une seconde fois en 1977 et enfin en synchrone à
partir de 2005, année coïncidant d’avance avec ces deux premières époques de ma
vie -(1967 et 1997)- en tant qu’Horus ayant à devenir Osiris pour Isis –[de laquelle j’attends mes enfants])- à partir 2005, Michèle[123].
Aussi
ce qui ont monté le rêve de ce matin agissent en inconscients infréquentables
avec ces plaisanteries / sacrilèges de bas-étages totalement impossibles
et inadmissibles dans la réalité à un cœur fidèle des droits de ses femmes légitimes[124]
à ne pas être trompées de l’amour véritable que j’éprouve encore pour
elles !
Nous
sommes donc dans un cas de figure de la Création exceptionnel, car j’ai
découvert à partir de 2005 avoir en réalité deux femmes totalement légitimes et
totalement mariées avec moi[125]
et cela n’a été possible qu’en m’imposant une amnésie entre ma naissance
et mes quatre ans, puis de mes quatre ans à mes quatorze ans et enfin de mes
quatorze ans à mes quarante-deux ans : la seule solution pour sauver
rétroactivement la Création[126] en
cette planète appelée localement La
Terre avec ses entassements / empilements de civilisations diverses que
ces Terre[s] abritent[127]!
Mais
ce matin – il y a de quoi être triste et déprimé – j’ai fait l’objet durant mon
sommeil d’un viol -(alors que violer[128]
est donc assimilable
juridiquement à une forme de torture –[et cela,
on le sait, a des conséquences toujours traumatisantes pour la victime,
évidemment de celles non-consentante – il va de soi - d’autant plus que ce
n’est pas le moment pour elle d’attendre des enfants[129]
ce qui, hélas, à la suite d’un viol, peut se produire et fonde aussi sur
ce plan l’interdiction de violer d’autant plus qu’une relation sexuelle exige
au préalable le consentement des deux intéressés / partenaires au préalable par
égard à l’existence d’Amour[130].
Aussi on comprend aisément que violer est un péché, car la femme qui en est
victime court un grave danger, voire se réservait à son amoureux -(et/ou futur
père de ses enfants)- et d’aucune façon à un satyre ou encore moins à un
centaure lubrique, avec lesquels elle n’entretient pas un rapport constructif
qui pourrait mener à leur métamorphose -(en personnes plus fréquentables)-
grâce à l’ouverture de leur esprit[131],
ce qui advient aussi à partir des fiançailles officielles devant aboutir à un
mariage, mais aussi comme ce fut le SPOK dès la première rencontre]. Le viol c’est la manière de faire de l’égoïste au sens
négatif de ce mot qui peut en avoir du positif dans d’autres SPOK, soit le
contraire du plus respectueux altruisme)- et bien
sûr, comme nous la savons interdite -(la torture)- cela rend en toute cohérence
chacun des viols interdit comme celui qui a eu lieu alors que je dormais
paisiblement pour me reposer en toute confiance. En étant victime de ce « rêve »
dans lequel on est violé sexuellement parlant, nous comprenons que le viol -(et
ce genre de « rêves »)- sont bien sûr totalement illégaux /
impossibles à faire subir / contraindre[132]
à un être humain comme à lui donner à croire, de même qu’il était
impossible dans un autre « rêve » que j’ai une relation sexuelle avec
Oriane, ma nièce[133]
étant donné que je n’y avais jamais pensé / songé, respectant
naturellement d’avance l’amour qu’elle pourrait éprouver pour ses amours[134]
évidemment à encourager, soit de l’ordre du permis -(de l’admissible si
Elle sent éprouver pour eux de l’Amour. Nous lui faisant totalement confiance
dans ses choix et dans la justesse de ses sentiments, car cela doit la mener à
connaître celui qui aura vu apparaître - (pour elle)-
à son doigt annulaire des hommes les plus véritablement mariés, un anneau
immatériel immaculé lumineux parce qu’il aura eu accès à la conscience quelques
jours avant, probablement grâce à Elle l’inspirant dans la meilleure voie qui
soit. Soit le signal de la parèdre adamantine qui se retrouve et peu à peu qui
se reforme pour se reconstituer l’un par l’autre malgré à première-vue[s]
l’embarras du choix. Le plus véritable Amour - celui du Christ, des saints et
des martyrs[135], étant
à l’origine de la Création et de tous ses bienfaits comme des diverses
métamorphoses positives possibles condition[s] sine qua non pour accéder à la conscience et donc à la plus
véritable connaissance -[du bien et du mal]).
Ces
« rêves »[136]
-(du genre de celui de ce matin)- sont en
réalité invraisemblables car en réalité tout-à-fait-impossibles dans la réalité
en raison de ce que naturellement nous respectons toujours la vie privée -(un
droit)- de chacune des femmes nous sommes amenés à rencontrer -(comme étant les
possibles créatrices d’enfants[137],
soit des êtres complexes
étant évidemment promis par Amour sexuellement à d’autres -[que moi], soit à
connaître ainsi la complémentarité par Amour avec, à la clé, au préalable la
notion de parèdre adamantine retrouvée / reformée -[de nouveau] / reconstituée,
d’autant que probablement dans les années qui viennent, à créer à leur tour une
famille différente -(de celle qui m’occupe avec la mienne). Aussi on comprendra
je n’ai pas à intervenir dans les processus de mariage en cours : ce ne
sont pas nos oignons : cela regarde en conscience les intéressés cependant
que je puis affirmer que l’apparition de l’anneau immaculé immatériel lumineux
au doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés[138]
confirme bel et bien pour l’homme que la femme qu’il fréquente à ce
moment-là[139]
est belle et bien sa parèdre retrouvée : la mère des enfants dont
il aura à être le père. Soit des responsabilités très importantes à l’égard de
tous quand l’enfant sera là, ce que l’apparition de l’anneau immaculé
immatériel confirme, car dans les jours précédents, il y a enfin eu accès à la
conscience, le fiancé devenant mari en toute connaissance de cause[s]. On voit
bien ici qu’en présence de l’apparition de cet anneau, il n’y a plus les mêmes
intérêts que les laipis : une preuve de plus nous est donnée que la
Création a un sens et un/des objectifs qui ne peuvent pas être celui du viol,
soit un produit de la méchanceté[140],
ce qui n’est pas pensable entre futur[s] époux mais, au contraire, la bonté, ce
qui se manifestera dans la réalité par l’engendrement de l’enfant à naître,
s’étant ici une nouvelle fois annoncé par l’apparition de l’anneau immaculé
immatériel au doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement
mariés).
Oui,
il est possible que l’apparition de cet anneau dans les conditions actuelles
-(en 2021)- de tous privés de la Vision d’Ôz, (soit celle du Paradis), soit lié à
la naissance de l’aîné des enfants attendus par celui qui a vu apparaître cet
anneau, son père. Donc une sorte de confirmation -(d’accord)- bien avant la
naissance de cet enfant -(comme si l’aîné des enfants
attendus avait effectué toutes les vérifications avant d’utiliser son père pour
s’incarner dans l’enfant à naître qu’il sera, en raison du Saint-Esprit. Donc
une étape des fiançailles officielles pour rassurer le couple enfin certain
d’être fécond. Ce moment où l’anneau apparaît est aussi la confirmation des
fiançailles -(comme des temps consacrés à se
rapprocher spirituellement grâce à l’union libre, voire le concubinage ayant
mené à l’étape des fiançailles, confirmées ainsi[141]
avec l’apparition de l’anneau, ce qui atteste en fait que le couple est
universellement, voire en multidimenssion marié[142]).
Les
auteurs de ces cauchemars s’ils continuent dans cette voie du sacrilège envers
leur pharaon qui plus est est leur bouddhahs, soit leur(s) eanmeailleurs,
obtiendront des réincarnations -(au mieux)- en porc[s] puisqu’ils ne sont pas
capables de respecter le sommeil et la vie privée de quelqu’un[143]
en lui imposant de vivre ce genre d’inepties totalement irréalistes
–{(au sens de ce que – je me répète - dans la réalité, impossibles -[à
vivre : non crédibles]- en raison de l’existence de l’amour avec un
grand » a « -[ce qui – cette majuscule - ne se comprendra pleinement
qu’une fois ayant eu accès à la conscience], ce qui ouvre sur tous les exemples
de ce qu’il existe notemment à cause de sacrifices aussi importants que d’avoir
eu à renoncer aux enfants qu’on attend de sa femme légitime[144].
Une fois qu’on accède à la conscience[145]
on comprend qu’amour n’a
que peu à voir avec éros[146]
quand amour est éprouvé
pour une femme, voire plusieurs femmes précises -(en réalité ne faisant
qu’une), ce qui amène l’homme en question à évidemment d’autres comportements dans
la réalité, enfin respectueux de ce que chacun a[urait] le droit de former un
couple pouvant parvenir à comprendre Amour au sens d’Agapè, soit amour sacré –
voire religieux : capable d’aussi grandes choses -[positives]- j’ai eu
l’honneur de communiquer aux années 1977 et suivantes en les annonçant de
manière anticipatives / anticipatrices / anticipées du ciel au-dessus de la
ville de Rome, moi alors immense : environ 6500 mètres de haut, constitué
de nuages en raison de ce que je n’avais pas triché dans / avec l’amour
que j’ai petit à petit éprouvé pour Michèle[147])}.
[1] – voir ici date du fichier -(pour
savoir à partir de quel jour j’ai écrit ce texte)- pour parvenir à le situer
dans le cours de mes œuvres / mon existence.
[2] -(au-delà de quatre
heures)
[3] -(mais sont-ce des
gens ? Peut-on seulement les nommer de ce mot sacré ?)-
[4] -(une fois encore –[car ce n’est pas la première fois, hélas. J’ai
déjà écrit à ce sujet ; c’est comme s’ils avaient eu une amnésie y compris
des conseils que j’avais donnés à ne pas recommencer]-
dans le même registre impossible)-
[5] – [durant ce « rêve » -(qui est cauchemardesque et sacrilège envers plus véritable
amour : Amour !)]–
[6] –(par conséquent au diable ce qui concerne
l’égalité : une personne est différente de toutes les autres sauf sur les
points en commun où effectivement l’égalité peut se concevoir dans l’espèce
humaine dont les membres –[pour être]- dépendent des éducations reçues, soit des conditionnements et des spécificités –[les particularismes culturels]-
[CPSC], au sens positif et négatif de ces mots, hélas souventes fois à
l’origine des préjugés –[au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans
d’autres SPOK -(exception dans les acronymes, car SPOK signifie situation précise,
occasion, cas particulier, -[soit
ici c de cas et p de particulier = K de SPOK])]).
[7] -(à moins que l’on
m’est tenu loin de la connaissance de certains détails, ce qui pourrait, en
définitive, la séparer -(cette inconscience)- du sommeil. En effet, quand je
prends un somnifère pour dormir, je n’ai que très rarement le souvenir de mes
rêves, voire je ne crois pas rêver, sauf exception[s]. Aussi celui qui ne veut
pas être l’objet de stupidités peut avoir recours à un Zoplicone Teva Santé 7,5
mg entier à partir de une-heure-et-demi après minuit,
voire pour certains un peu avant, s’il doit se lever vers 7 heures du
matin : avec, il passera une meilleure nuit).
[8] -(qui est normalement
celle dans la journée qui nous aide à nos occupations)
[9] -(pendant ces moments, même si on est convaincu
durant la journée d’appartenir à une catégorie ou une autre, on n’en fait plus
partie d’aucune façon, puisqu’on appartient alors, en dormant, aux
inconscients, cependant que nous avons remarqué dans certains SPOK qu’il est
possible, dans certains rêves et/ou cauchemars, que notre conscience veille malgré
tout, ce qui explique les rêves dont on se souvient : sans la conscience
sur l’inconscience, ils ne s’expliqueraient pas, ils ne seraient pas souvenirs
au réveil, au point pour certains d’entre nous de prendre la peine / le temps
et parfois le plaisir de les étudier et/ou les analyser, ce qui ne se peut -(de
façon bonne pour le psychisme)- qu’en conscience, car sinon, en inconscients,
cela va donner n’importe quoi, voire continuer à faire perdre le bon / meilleur
/ préférable chemin -(pour son âme)- à la victime : l’ex-dormeur ayant eu le rêve en question).
[10] -(et pas uniquement
négatifs comme ils le parurent à ceux qui ne voulaient rien avoir en commun
avec ces catégories, cependant que sans même le savoir ils profitaient de tout
ce que ces catégories avaient su créer ou/et avaient été à l’origine, au cours
des siècles passés)-
[11] Au sens pluriel de ce » un «,
comme ici.
[12] -(parce qu’ils ne
voient pas le mal, parce qu’ils n’ont pas encore accès à la conscience qui, au
contraire, permet de le voir sur tous les sujets à cause des conséquences de
chacune de nos décisions sur l’environnement, le commerce et etc.)-
[13] (C’est pareil avec les cookies on peut connaître les centres d’intérêts d’une personne
liées à ses recherches pour mieux cibler la publicité de produits qu’on sait
ils attirent. Rien de méchant mais au contraire de gentil car peut-être la
personne n’était pas au courant d’une nouveauté qui pourrait apporter de l’eau
à son moulin voire à sa passion, voire des sujets qui le préoccupent. Cela lui
évitera peut-être des recherches, tout en le rassurant parce que l’article est
proposé à la vente. C’est ce qu’on appelle cibler les consommateurs les sachant
tous différents selon les catégories professionnelles et/ou civiles, voire
religieuses dans lesquelles ils sont, soit leur originalité. Aussi cela donne
plus de probabilité à des produits spécifiques d’être achetés que de connaître
à l’avance les centres d’intérêt des différents consommateurs, voire leur CV.
Des peines / efforts supplémentaires que les plus véritables patrons des
entreprises prennent en plus de toutes celles prises pour générer du chiffre
d’affaire dans l’espoir de bénéfices amplement mérités en raison de l’approche
la plus honnête qu’ils ont de leurs métiers sollicitant tant de compétences et
savoir-faire variés)
[14] -(une personne est
aussi l’ensemble des couleurs qu’elle réfléchit à la lumière sur chacun des
points qui émane d’elle -[et ce n’est pas peu de choses], elle est tout ce
qu’elle peut avoir besoin de porter –[soit des investissements qu’elle a fait
pour se vêtir comme elle est habillée y compris pour les accessoires et/ou
bijoux portés. Tout cela donne la preuve du choix qu’elle a dû faire donc de
son goût qui n’est peut-être pas lié à la religion qu’elle supporte au sens de supporter anglais : fan d’une façon d’être, privilégier des
vérités à d’autres lui apparaissant moins justes car, par exemple, non
mises-à-jour ou/et n’ayant pas pris en compte des paramètres précis qui
pourtant méritaient – (du point de vue de responsables religieux)–
de l’être en adéquation avec ce qu’il vaut mieux, voire à d’autres prudences])–
[15] -(de nombreuses choses
donc est l’être humain à chacune des secondes car toutes les catégories, voire
les dimensions peuvent servir -[de filtres différents]- pour mieux le
comprendre, l’analyser, l’approcher : sur tel plan il sera … sur tel autre
… et sur chacun des autres … ou … ou …, etc.)-
[16] -(car h de herbivores et q de quadrupède = K d’APIK)
[17] -(virtuellement au sens
de potentiellement)-
[18] -(ceux qui s’approprient
illégalement le bien qu’autrui a[vait] mérité)-
[19] Permettez-moi de laisser ce lapsus typographique
qui est survenu de lui-même quand j’ai tapé ce mot sur le clavier. On peut
penser que cette erreur soit celle d’une personne ayant bu – d’où
ce » hips « comme dans une BD. Or je n’ai pas bu, mais j’ai la
liberté de faire croire que j’ai bu de l’alcool au moment où ce lapsus
typographique a eu lieu. C’est ici le droit de porter le masque de qui on veut
paraître. Menteur ? Non, prudent, comme tous ceux qui lors du Carnaval
portent la bauta -(mot
italien)- à Venise ou/et le masque de Pulcinella.
[20] -(on le sait à notre époque, notemment grâce aux
imprimantes 3D)-
[21] -(donc pas seulement
dans celle virtuelle sous forme de personnages)-
[22] -(ce qui mène, une fois
repenti -[sans avoir triché, c’est-à-dire sans avoir fait semblant]- à une
autre existence : à la possibilité pour tous de tourner la page)
[23] -(au sens négatif de
cet acronyme et non positif dans d’autres SPOK)-
[24] Et oui, il est nécessaire de comprendre qu’il
convient de placer ce mot d’amour plus haut que les autres et c’est ainsi,
parce que nous l’aurons placé aussi haut que tout peut fonctionner plus
justement – évidemment c’est ici injuste pour les autres mots qui ne vont avoir
le sens qu’ils ont que parce qu’ils le doivent à l’Amour qui rend cohérent au
point de nous faire devenir végétarien[s] parce que nous ne voulons pas/plus
abuser de la gentillesse -(amour)- des API nous étant si utiles qu’ils le sont
vivants -(lait, laine, etc.).
[25] -(par conséquent en
comprenant que c’est injuste de les manger puisqu’ils sont bons, pacifiques et
inoffensifs. Ils ne méritent pas la [peine de] mort, mais au contraire, comme
en Inde, d’avoir le droit d’être soignés et abrités une fois devenus vieux)
[26] -[c’est injuste]-
[27] -[ou/et à
premières-vues séduisantes]
[28] -[si on a les moyens financiers propres et mérités de droit soit les MFPMD]
[29] –[ici à lire
impérativement ce » s’il vous plait « au sens où on le percevra
comme une obligation d’y souscrire]
[30] -(et sans coup de foudre
au préalable. Ce qu’il parait existe parfois entre
deux êtres se sentant mutuellement intimement subitement complémentaires y
compris sur le plan sentimental et etc.)
[31] –[qui plus est]-
[32] Cela signifie qu’ils ne connaissent pas amour
véritable, mais probablement uniquement la pornographie -(dont
est responsable l’éros mal employé / dirigé : concupiscent, d’où les
sacrilèges que constituent ces « rêves ». N. B. : quand un mot
est entre-guillemets, cela signifie, selon les cas –[car c’est parfois pour d’autres raisons valables qu’il est
pourvu de ces guillemets approchant(s) de la forme 4 et 7], qu’on doit le lire sur un ton ironique pour signifier
le contraire : dans ce cas » cauchemar «).
[33] -[qu’il aime parce
qu’il a fini par comprendre il attend des enfants de cette fiancée]
[34] – s’ils étaient de véritables gentilshommes
ou/et des honnêtes-gens –
[35] -(d’autant plus qu’on sait depuis 1995 de quoi
est faite La
Vision d’Ôz puisqu’on me
l’a montrée au moins cinq secondes à l’échelle universelle quand on me fit, à
Rome, l’empereur suivant mon père Jean-Luc Granier … d’Ôz)
[36] -(loin de nous)-
[37] -(qui plus est
probablement en croyant bien faire – c’est le bouquet – ce qui, pour les
victimes, est parfaitement inconcevable / impossible car au contraire, ils ont
pu constater qu’ils ne sont pas respectés dans leurs aspirations les plus
belles / nobles à vivre Amour -(et non le contraire)- avec leur parèdre longtemps
recherchée et enfin trouvée)-
[38] (qui, en réalité pour les victimes, sont des cauchemars,
cependant qu’ils seront considérés comme des rêves par ceux qui s’y complairont
à les réaliser de cette manière inconsciente
–[en raison de (momentanées)- concupiscences]- et
au mépris de leurs droits les plus fondamentaux à connaître Amour et ses effets
les plus beaux –[voire/lire ici Les
Misérables]. Soit ce qui a rendu possible / faisable la Création)-
[39] -(évidemment du
point-de-vue des victimes)-
[40] –(et/mais en réalité
méchemment en sacrilèges envers innocence, car loin de la connaissance du cœur
qui l’aurait naturellement interdit)
[41] -(en aspirant que leur
existence puisse être de celles qui connaîtront plus véritable amour)-
[42] -[on le comprend :
pour ne plus appartenir aux victimes]
[43] -(en conservateurs -[au
sens négatif de ce mot de réactionnaires qui en a du positif dans d’autres
SPOK])-
[44] -(au sens négatif de
ces mots qui pourraient en avoir du positif dans d’autres cas
particuliers / [SPOK])
[45] -(ce n’était donc que
de l’éros, voire de la pornographie –[au sens
négatif de ces mots qui en ont peut-être du positif dans d’autres SPOK]- et non de l’Amour)
[46] -(et cela malgré toutes
les preuves qu’ils avaient que c’était le cas)-
[47] -(soit celui que
j’éprouve pour les femmes de ma vie qui ne sont pas spécialement de celles avec
lesquelles j’ai dormi / couché)
[48] -(dans ce
cauchemar-« rêve »)-
[49] -(libertinage imposé au
mépris des droits des êtres humains les plus fondamentaux à elle aussi pouvoir
se réserver au couple qu’elle a probablement formé avec l’homme de sa vie)-
[50] Disposant au moins des mêmes droits que cette
femme ayant voulu pris -(dans ce « rêve »)-
la place de ma femme
[51] -(au sens de plus de 50%)-
[52] -(pour ceux voulant
devenir plus véritablement concernés et/ou responsables)
[53] -(acronyme d’exception
-[car c de cas et p de particulier dans ce cas = K de SPOK et non CP ce qui aurait donné SPOCP
(et non SPOK), ce qui n’est pas souhaitable à lire ou/et dire d’autant qu’on
l’a vu, on peut créer K = C+P, la lettre k se trouvant dans l’abécédaire sur le
chemin du p et non après le p. Aussi cela aurait pu être une autre des
consonnes avant p, mais nous avons choisi ce k parce qu’il permettait de
rappeler le personnage de Spok -(dans le vaisseau interstellaire Enterprise de la série Star Treck)- qui est le prototype d’une
personne fonctionnant logiquement, soit dans ce degré de vérité -(que
malheureusement à notre époque encore, il y a des personnes qui l’ignorent,
voire le contestent comme le commandant de l’Enterprise en commettant alors
quasiment à chaque fois l’erreur, alors qu’aimablement avertis -[par cet infini
patient génial de Spok]). Donc cet acronyme est logique avec lui-même :
ces situations précises, ces occasions,
ces cas particuliers sont des points de départ issus de conséquences
logiques – d’où le mot de SPOK qui finira à la longue par s’écrire en
minuscule[s] : spok en tant que synonyme de situations précises, occasions, cas particuliers])
[54] -(il n’y a pas même eu
tous les préliminaires : le temps de faire connaissance, la situation est
absurde : irréaliste avec la quantité des données qui me constituent)-
[55] -(car dans l’oubli des
paramètres principaux qui me caractérisent. Il aurait fallu que je sois
ivre-mort pour que cela soit possible dans la réalité)-
[56] (soit celle de la
plupart des réincarnations animales)-
[57] -(soit éveillé par
acquis de conscience. S’écrit ainsi quand c’est le pharaon qui est devenu
bouddha : bouddhahs, soit éveillé-par-acquis-de-conscience)
[58] -(mais visiblement ces
gens qui nous plongent dans cette situation, croient avoir le droit d’agir
ainsi à distance en sacrilèges avec ce que signifie « fiançailles »
ou/et « mariage » en profitant -(au sens négatif de ce mot)- du dormeur
fiancé ou/et marié, voire même – qui plus est –
ce qui est le bouquet ! Ce qui est un toupet monstrueux : – croient pouvoir s’en amuser, au sens de s’en divertir,
en enfants-gâtés pervers et sacrilèges, donc du point-de-vue de la religion
chrétienne pécheurs, car ils opèrent avec leurs instruments en croyant à cause
de ceux-ci être en position dominante -(au sens d’avoir un avantage), voire
légitime qui parce que plus réellement dominante
-(au sens positif de ce mot)- aurait-du
naturellement -(au sens de ce mot naturel -[état
d’esprit produit de la civilisation qui en domestiquant la nature l’a rendue
artificiellement au service des êtres humains])- en
conscience s’interdire, ne serait-ce que par respect pour des personnes qui ne
disposent pas du matériel de la salle des machines pour réaliser ce genre de
plaisanteries -(vues par les victimes de ces
persécutions, des cauchemars et des effets de méchancetés d’inconscients,
par conséquent nullement drôles mais bien évidemment inacceptables)- indignes d’êtres humains plus conscient[s], par
conséquent si cela était respectueux des droits de chacun d’entre nous à dormir
/ se reposer quotidiennement -(sans de pareils
cauchemars contraignant parfois les victimes à prendre des somnifères), ce qui signifie ne pas profiter d’une situation
à-premièrevue[s] de « supérieurs » leur faisant accroire à tort être
privilégiés, soit ayant droit d’agir ainsi à travers ces « rêves »,
égoïstement, au sens négatif de ce mot, en croyant pouvoir oublier tous les
temps / paramètres qui ont concerné la personnalité du dormeur). Il y a donc
dans la situation de tous privés de la Vision d’Ôz – nous sommes ici forcés de le
constater - des divertissements
illicites -(pour ceux qui en sont les victimes, les bourreaux pour l’être
devenus convaincus d’inepties –[du point de vue
des victimes, tandis que probablement le contraire du point de vue des –(devenus
– ce qui signifie qu’ils ne l’étaient pas à l’origine)- bourreaux – ce qui
signifie qu’ils pourraient changer notemment grâce à la psychanalyse permettant
de retrouver la mémoire du moment où au lieu de continuer à bien faire ils ont
bifurqué pour devenir ces peu conscients bourreaux
–(qu’ils n’étaient donc pas à l’origine)- de
tristes renommées]- croyant pouvoir les imposer
à ces victimes !)- C’est évident. C’est donc la situation qui est responsable
de ce qui est juste ou/et ne l’est pas. Si nous parvenons à changer la
situation en
rétablissant petit à petit sur vingt-quatre années la Vision d’Ôz pour finalement celle-ci une heure
toutes les cinq heures, il est probable que quelques points aujourd’hui
illicites deviendront plus licites, voire pour d’autres le contraire, aussi
pour les bourreaux qui comprendront alors que ce qu’ils croyaient licite ne
peut d’aucune façon l’être : aussi ils pourront enfin accéder à la
compréhension du sacré -(comme tous ceux qui n’ont jamais mis les pieds dans la
salle des machines et qui sont, parfois, affiliés à des religions)- d’autant
plus que toutes les cinq heures on verra Ôz
autour de nous tous et sur chacun de nous).
[59] -(par cette éjaculation
sans Amour, obtenue en raison de l’oubli de sa parèdre, parce qu’il était
inconscient et à cause de cela rendu artificiellement – contre son plus
véritable gré - concupiscent)-
[60] -(soit en réalité un
cauchemar qui cherchait à faire croire qu’il était un merveilleux rêve)
[61] -(celle-ci étant
complice des bourreaux qui l’utilisent probablement comme une putain,
c’est-à-dire contre ses droits les plus justes à connaître plus véritable
Amour. Rappelons qu’une femme a la possibilité de faire aussi bien que la
Vierge Marie et rappelons aussi qu’avant la très grande catastrophe -(tgc
– acronyme – exception qui confirme la règle, ne s’écrivant qu’en minuscule). Il
y a des millions d’années, la notion de putain n’existaient évidemment pas du
tout et c’est pour ça que nos ancêtres les plus lointain[s] vivaient avec,
autour d’eux, le décor du Paradis des origines : « Là où tout n’était
/ n’est / ne sera qu’ordre et beauté, luxe, calme et volupté » – au sens
positif de ces mots qui peuvent -[en]- avoir du négatif dans d’autres SPOK)
[62] (voire pire : une
petite fille et/ou une jeune fille)-
[63] Soit ce qui se lit » infiniment
sacrilègissimissimissime «.
[64] -(celui qu’elle sait
être ailleurs toutes les compétences qu’il a, mais aussi toutes celles qui
pourraient devenir réalité)-
[65] -(qui n’ont,
évidemment, aucunement des velléités de devenir des putains pour se donner au
premier venu)
[66] Ici s’imposerait une réflexion sur l’art de la Caricature.
Est-elle entièrement un des arts à part entière ? Personnellement je le
pense objectivement, mais aussi probablement subjectivement -(étant un enfant de mon
siècle, celui des dessins-animés en couleurs -[mais pas seulement : bien
sûr, de bien d’autres choses encore]), voire
pour d’autres raisons. C’est un art qui est né de la situation bloquée depuis
des millénaires -(par certains points les Arts Premiers, comme les arts
pariétaux et certains pétroglyphes, peuvent être vus comme une sorte d’art de
la caricature si, en réalité, ces représentations n’étaient pas éminemment
spirituelles -(comme j’eus à le démontrer, des
preuves de l’existence de la sécurité dans l’être humain pour accéder à la
conscience –[soit, entre autre[s], ce qui permettra de déterminer le tracé d’un
trait juste ou/et de quel côté va le sens des phrases inscrites]). Ce sont des transpositions
comme la Peinture, la Sculpture, l’Écriture, etc. ,
des traductions –[d’émotions au sens de
compréhension intime de la réalité]- par des communications
de divers types). Aussi il s’agirait d’une
exception qu’on peut relier à la nécessité de pratiquer l’autodérision -(une pratique récente
-[au sens d’une invention récente pour les non-juifs qui ont eu enfin
l’intelligence de s’y mettre à leur tour aussi], ne plus se prendre au
sérieux ! C’est difficile tant la situation est grave sur bien de nombreux
points), cependant qu’on le sait, il y a
travestissement de la réalité, voire mensonge sur des faits et/ou personnes,
etc. pouvant être, au contraire, à l’origine d’images sacrées. Sans l’art de la
Caricature, il n’y aurait pas l’art de la Bande-Dessinée ni celui du
Dessins-Animé. Or ces sciences / disciplines de l’Art sont fondamentales
pour supporter l’existence sans, autour de nous, la Vision du Paradis -(soit celle synonyme d’Ôz).
Ces façons de dessiner, soit de représenter la réalité ou/et notre imaginaire,
ne l’oublions pas, (je l’ai déjà dit), sont nées de la situation bloquée sans
la Vision d’Ôz. J’insiste, car à la
longue, il est donc normal de rire de ce qui est sacré
-(puisque cela n’a pas permis de débloquer la situation et a donné lieu à des
caricatures, comme la vision trop simplificatrice d’un affrontement guerrier
des opposés : du noir contre le blanc alors que les couleurs, c’est-à-dire
avec elles, des nuances de tons, existent pour être employées et / ou se
compléter : sans l’existence du noir, de ce qui est sombre, point de jour
/ de blanc, d’immaculé)- quand on ne parvient
plus à comprendre les raisons du sérieux qu’imposait ce sacré -(en rendant
parfois pesante l’existence). A’ plus d’un titre l’art de la Caricature – cette
légèreté – peut être perçue comme une preuve supplémentaire que les dimensions
sacrées de l’existence existent, ne serait-ce qu’en comparant la réalité avec
ces caricatures -(on voit bien que ce sont des représentations de la réalité
–[comme avec l’art des marionnettes, l’art de la Commedia dell’Arte et celui du Théâtre, l’art de la Comédie,
voire celui de la Tragédie, mais aussi la Peinture, la Sculpture le Cinéma
et/ou la Vidéo, car en caricature ce qui est pris pour des défauts –(et non des
qualités)- sont parfois augmentés -(pour nous donner à penser sur des points
précis qui ont du sens : augmentation de certains traits de caractère,
cependant qu’au contraire il peut y avoir enjolivations -(enjolivassions)- des
vérités relatives de cette réalité dans la transparence des traits et ce qu’ils
formulent, comme dans une très belle interprétation musicale. Est-ce alors
toujours de la Caricature ? C’est ce qu’on pourrait reprocher à la
peinture sacrée, voire à la sculpture sacrée : une forme de caricature
inversée : au point de sublimation. Sublimer est-ce caricaturiser /
caricaturer ? En quoi cela est différent ? Soit une forme de
caricature inversée ?).
En tout cas l’art de la Caricature est une sorte de filtre qui est
placé sur la réalité pour la voir décrite / déformée à la façon d’auteurs
de différents styles -(un peu comme à travers les
miroirs convexes ou/et concaves)- autrement
-(parfois dans son aspect antithétique. Faire l’antithèse est souvent un
devoir, une nécessité pour mieux s’approcher de la Vérité. Sans le doute pas
d’honnêteté car une personne ne pourra jamais être qu’une seule chose, comme un
fait, un objet, etc. : c’est un ensemble de détails et de faits -(mais aussi de … et d’etc,)-, d’actes dans l’Espace et le
Temps, donc des choses et comme le rappelle mon frère Luc-François à propos de
ce que nous mangeons, des histoires -(: un conglomérat de matières premières
interagissant[s]). L’art de la caricature permet une plus grande approche des
niveaux de vérités relatives et/ou de Vérité absolue. A cause de ces
déformations, augmentations, etc. de détails qu’on choisira de privilégier en
les plaçant au premier plan en en faisant ainsi oublier d’autres moins
importants dans les desseins du caricaturiste s’exprimant), ce qui peut permettre de mieux comprendre / voire de
mieux approcher la Vérité.
Le mensonge et/ou le travestissement seraient-ils
nécessaires pour révéler / enseigner / dire la Vérité? Pour être / devenir un bon caricaturiste, il
faut être de ceux qui savent la complexité de la Vérité, mais aussi savent
comment utiliser le mensonge. Point de bonnes caricatures sans connaissance de
la Vérité, soit -[de]- ce qu’il vaut mieux servir pour le meilleur de son âme
d’artiste voyante. C’est pourquoi certains se méfient des caricaturistes :
ils savent faire comprendre autrement qu’en photographies et/ou
cinématographie : ils ont accès au symbolisme dans son aspect schématique.
Ils connaissent l’art du story-board
à partir d’un scénario -(ils se figurent – [ici une traduction de
l’italien : si figurano :
pour » ils se représentent «], se mettent en scène à travers les
personnalités qu’ils représentent dans une case, voire sans case, sur un
cas particulier –[un SPOK]: ils traduisent la réalité grâce à des techniques
rendues possibles par l’invention du matériel pour dessinateurs, les crayons,
soit grâce aux sciences des ingénieurs étant parvenus à les créer –[avec le papier à imprimer, mais aussi sur celui à
lettre[s], avec l’aide d’autres accessoires devenus indispensables]- et -[de nos jours]- grâce à un logiciel genre/comme Painter. Sans la technique –[et de nos jours la technologie] – celles-ci liées à la
création d’outils grâce aux ingénieurs –[autrefois
les génies et/ou les artistes à l’origine créateurs des masques cérémoniels], point de dessins, point de textes, point de
représentations, point de compréhension des formes et des raisons de ces
masques. La Science qui a permis de voir apparaître ces moyens au préalable
fruits de pensées cohérentes / justes / exactes, est donc au service de la
Vérité, mais, [en malus], de l’usage
que peut en faire le mensonge –[soit l’inverse de la Vérité ou/et des vérités
relatives [qu’il vaut mieux servir / transmettre
en raison des générations à venir], ce qui est
hélas parfois à l’origine des préjugés, voire des conservateurs –[qui se sont longtemps opposés aux forces des
progressistes]- au sens négatif de ce mot qui en
a du positif dans d’autres SPOK). A Lascaux ou/et dans d’autres cavernes, voire
à Nazca au Pérou, sur le sol du désert, il y a eu au préalable la compréhension
de la notion de trace et de ce que signifie » représenter « -(il y a eu – c’est indéniable - prise de conscience qu’on
va pouvoir communiquer à travers Espace et Temps ! Comme à Lascaux ou
ailleurs il est dit/rappelé : « n’oublie pas les animaux »
et à mi-mots : que
sont-ils ? Peut-être des réincarnations ? [Ajouteront les plus
bouddhistes d’entre nous]). Un outil, la main, pour représenter une idée, pour
doser une caresse, pour soigner, pour transmettre, etc. .
(La main un outil véritable au service des vérités relatives et de la Vérité et
– [il vaut mieux pour tous]- non du mensonge. Cependant
la Vérité dépend des paramètres dont on tiendra compte ou pas. Elle peut donc
paraître pour certains d’entre nous à-première-vue -(àpremièrevue[s])-
mensongère à l’aune de plus ou moins de paramètres
-[dont celui qui l’utilise aura eu l’honnêteté de tenir compte], ce qui la rend de plus en plus compliquée -(complexe)-
à atteindre -(un mot, au sens de » sujet «, devient
un livre d’explications et/ou de cas, voire moins que cela des articles ou/et
des résumés liés à finalement une bibliographies en liaison avec ce mot / titre
/ expression, etc. d’autant plus des antithèses crédibles. Pas si simple la
Vérité. On le sait par l’existence des bibliothèques spécialisées qui l’attestent -(en plus de toutes celles
généralistes –[cependant qu’à l’intérieur on trouvera le plus souvent les
ouvrages catégorie par catégorie])- soit les
ouvrages classés autour du sujet d’une bibliothèque -(spécialisée)-
se confirmant les uns les autres à propos de ces
mots de départ dans les observations et expériences faites). En un mot, ces caricaturistes savent représenter grosso modo la réalité et/ou
l’imaginaire, ce qui signifie qu’ils ont accès à la conscience et aux facettes
de la réalité comme, souvent, à sa complexité. On comprend ici que par bien des
aspects le Cubisme a pu être considéré / perçu à ses débuts, comme de la
Caricature -(voire ici, par exemple les dames à
droite dans Les Demoiselles d’Avignon
de S. E. A. I. S. S. S. L. P. Pablo Picasso)- de
la réalité -(avant que celle-ci, la caricature, grâce aux mouvement cubiste et
à d’autres raisons, n’obtienne le statut d’art à part entière : une autre
façon de voir / représenter que le réalisme illustré par/dans la Peinture, la
Littérature et la Photographie avant de l’être par la Cinématographie -(par
exemple : Nouveau Réalisme -[italien], festival annuel du Cinéma du Réel et Comité du Film
Ethnographique à Paris). La représentation, soit tous les sujets qui nous
entourent ou/et peuvent venir à l’esprit est représentation, au sens de
traduction d’idées -[devenues]- possibles, ce qui signifie à l’origine une
forme de comparaison linguistique grâce aux médium / média / aux techniques
permettant la transposition intellectuelle des choses en d’autres choses / sons
/ etc. -(ceci a donc à voir avec la virtualité :
des idées qu’on se fait : des images et/ou des sons, etc. . La virtualité cela signifie ce qui pourrait
être de l’ordre du possible, représenté, ce qui ne peut se concrétiser qu’en
raison de l’assemblement -(au sens d’assemblage)- de
paramètres précis qu’il faut donc prévoir et mettre en œuvre à cette fin de
concrétisation, au sens de réalisation). Comparaison de genres et/ou de
catégories par la médiation de l’écriture -(un moyen,
une approche : écrire)- comme le dire par des mots : toujours une
transposition de la réalité / vérité par la médiation des mots et/ou des lignes
dessinées, des points représentés. On le sait depuis longtemps nous pensons
donc nous existons / sommes car nous concevons grâce à ces associations que
nous fabriquons et nos crânes sont donc des machines à virtualités et
visualisation 3D, voir plus encore de dimensions -(en
bonne santé c’est génial d’être un être humain. Soit l’apogée et la finalité de
la Création des espèces animales -[pour leur donner à chacune une chance de parvenir à ce
degré de conscience]- sur cette planète parce
qu’on a enfin accès à la conscience car enfin avec elle nous parvenons à tout
nous expliquer en vérité -(ce qui sera nécessaire dans nos fonctions de
parents et/ou grands parents, voire d’arrières grands parents, etc.)- comme à créer. Mais on le sait on peut tomber dans le
piège de croire que la Vérité ne serait que mensonge[s], voire n’existerait pas
tant, par exemple, qu’on ne sait pas comme Le
Bourgeois Gentilhomme faire la différence entre vers et prose -(voire de nombreuses
autres choses, l’ignorance n’étant pas seulement comme ici -[dans ce cas]-
négative), voire qu’on s’exprime en prose, voire
autrement en vers pour dire d’autres choses. La prose et/ou le vers sont des
techniques aussi pour fasciner -(et manifester l’existence
de la conscience en s’exprimant et donner à comprendre … nos sentiments, notre
manière de voir la beauté, mais aussi les horreurs / difficultés, injustices de
l’existence, etc. Bref nos préoccupations et/ou inquiétudes d’autant plus que
nous avons pu mesurer l’étendue des ténèbres de l’être humain ignorant -(comme
par exemple le furent certainement la plupart des nazis n’étant pas allés
jusqu‘au bout de leurs raisonnements car sinon, s’ils en avaient eu un tantinet
l’honnêteté, ils se seraient présentés les premiers pour être déportés en camp
de concentration et exterminés -(on voit bien ici qu’il s’agissait de
menteurs)- car ils auraient enfin compris que l’être humain, la condition
humaine est celle de continuellement handicapés
-(l’association ou/et organisme Handicap
International on le sait existe de nos jours. Pourquoi n’y sommes-nous pas
tous inscrits ? C’est par ce qu’il y a des degrés d’handicapes différents
comme il y a des degrés de vérités ou/et mensonges différents)-
par les différents manques de solutions
alternatives élégantes qui nous affectent tous, même les mieux portants et tous
ceux qui croient ne pas appartenir à la condition d’handicapés
(Suite deux grands paragraphes plus bas)
– (quand nous nous spécialisons dans un domaine précis nous pouvons
mesurer à quel point nous ne savons pas grand-chose des autres disciplines de
la pensée, des autres compétences pour exercer les autres métiers et c’est
ainsi qu’on mesure l’handicape qui est le nôtre à ne pas être spécialiste dans
ces autres disciplines qui, pourtant peuvent, à partir d’un certain stade,
permettre des sortes de ponts vers celles où nous exerçons, cependant
qu’handicapés pour expliquer les liens qui peuvent exister entre ces
catégories, parce que nous sommes tous des ignorants -[en]- de nombreux détails
– (même si nous avons eu accès à la conscience)- nous croyons que les
catégories n’ont rien à voir entre elles -(ce qui en définitive ne s’avèrera
pas, en révélant notre handicape -[à cause de notre ignorance]- des faits ou/et
du positif qui rapprochent ces catégories). Ce sont d’ailleurs ces manques, la
situation d’handicapés qui ont conduit l’humanité des ingénieurs à réaliser
toutes les machines et mécanismes dont l’être humain moderne a besoin pour ses
différents travaux, notemment grâce aussi aux logiciels : sans l’existence
du logiciel Word ce texte par
approximation successives de CARÉ -(corrections,
augmentations, relecture et réélaborations)-aurait
été très/trop difficile à écrire, voire impossible : nous y aurions renoncé
- trop difficile - parce qu’handicapés par le manque de ce logiciel -(quand on
ajoute un mot à une phrase dans la version suivante CARE, c’est parce qu’on se
met à la place du lecteur en question qui sera sinon en manque de ce mot pour
mieux comprendre. On le sait handicapé au point qu’on comprend alors que tout
ce qui nous entoure a été créé parce que sans ces objets ou/et ces choses nous
étions/serions handicapés (un nouveau-né sans berceau sera handicapé, sans
vêtements appropriés aussi, sans abris aussi, de même qu’une personne âgée. La
vieillesse est un handicap comme la situation d’enfant, voire toutes les
situations dans lesquelles on est démuni financièrement : la hausse du
prix du baril de pétrole à partir de 1973 nous a tous handicapés y compris ce
qui ont augmenté le prix du baril car cette hausse s’est répercutée sur tous
les prix, ceux-ci répercutant les dépenses en augmentation parce que
répercutant ces hausses du prix du baril de pétrole. Toutes les matières
premières destinées à fabriquer ont vu leur prix augmenter ce qu’il a fallu
avec d’autres frais -(cependant que ceux-ci, si on les
analyse, sont en réalité des frais de transport, donc de pétrole)- reporter sur
le prix final de ces biens, de même que chacune des denrées alimentaires consommées
par tous les types des travailleurs, ce qui a aussi eu une incidence pour les
loyers et/ou habitations à acquérir comme sur les dépenses pour les vacances. Les
entreprises ont reporté, comme toujours, l’ensemble de leurs dépenses sur la
quantité des produits à la vente, et plus le prix du baril augmentait plus le
niveau de vie de tous a baissé -(y compris pour ceux
qui augmentaient le prix du baril), plus les chances de vendre ces produits,
donc de trouver acquéreur ont baissées, les quantité de marchés pour les
écouler se sont réduits, ce qui a été à l’origine du chômage et de l’handicape
de tous les pauvres et les misérables. Aussi au lieu que le produit puisse
intéresser tout le monde, il n’a plus été vendu qu’à ceux qui avaient de quoi
s’offrir le superflu qu’il représente quand il ne fait pas parti des biens de
première nécessité et par conséquent il y a eu ceux qui pouvaient se l’offrir, de
plus en plus rares à mesure de ce que la pauvreté et la misère augmentaient
alors que si le prix du baril de pétrole avait baissé comme nous le proposions avec
insistance en vérité dès 1977, soit le remède à cette crise, tous aurait pu
s’offrir tous ces biens -(pour le moment réservés à une clientèle de moins en
moins nombreuse à mesure que le prix du pétrole augmentait), ce qui aurait
assuré le plein emploi et un prix de moins en moins cher, la demande de ces
produits en hausse parce que le produit de moins en moins cher à fabriquer à
mesure que le prix du pétrole sera/aurait été à la baisse assurant ainsi le retour
au plein emploi et l’accès de tous aux biens les plus précieux de ce monde, la
prospérité touchant enfin tous, la pauvreté et la misère ayant totalement disparu -(toutes les dettes de tous les Etats, même les
plus endettés petit à petit payées sur vingt-cinq ans au
point de pouvoir rétablir la Vision d’Ôz
dans de bonnes / meilleures conditions)- à mesure
que le prix du baril de pétrole aurait été mis à un centime le baril car dès
qu’il aurait été proposé à un dollar, la valeur de ce dollar, c’est-à-dire son
pouvoir d’achat aurait considérablement augmenté au point qu’à un centime de
dollar le baril, le dollar aurait eu au moins le pouvoir d’achat de dix dollars
– en minimisant ici sa valeur au maximum car nous devons toujours tenir compte
des malhonnêtes, soit de tous ceux qui ne veulent pas jouer le jeu et
produisent des biens industriels en tricheurs et autres « qualités »
-(exemple d’un mot entre guillemets qu’il faut savoir lire sur un ton ironique
car il signifie ici, bien évidemment le contraire) – aussi à partir de 1973
toutes les civilisations dépendantes du pétrole ont été handicapées petit à
petit au paroxysme du paroxysme quand le prix du baril de pétrole vers 2014
était de 111 dollars, soit 11 100 fois trop cher par rapport à notre
solution de un centime de dollar le baril -(ce qui signifie que chacun des prix
que nous avons trouvé sur tous les marchés du monde était onze mille cent trop
cher, soit que ceux-ci – tous sans exception quand le prix du baril de pétrole
sera à un centime, seront onze mille cent fois moins chers ce qui est un bon
début pour faire disparaître la misère et la pauvreté et avec, cerise sur le
gâteau, petit à petit l’ignorance en plus -(de disparue), en attendant qu’on
fasse encore mieux à 0, 01 centime de dollar et une fois encore cent fois mieux
à 0, 0001 centime de dollar le baril). On comprend donc que normalement, s’il
n’y avait pas de malhonnêtes un centime de dollar le baril donnait à la valeur
du dollar 11 100 fois plus de valeur / pouvoir d’achat, ce qui aurait fait
disparaître la misère et la pauvreté dans le monde entier, soit un grand nombre
d’handicapés d’autant plus que pauvreté et misère est à l’origine de
l’ignorance au sens négatif de ce mot qui peut avoir du positif dans d’autres
SPOK). Même les produits futiles et/ou considérés comme du superflu auraient
été enfin accessibles financièrement à tous -(car le
frein – avec le prix du baril de pétrole en hausse - qui pèse sur l’Économie aurait été levé, en
baissant le prix du baril de pétrole. On voit bien, par cet exemple, qu’il y a
toujours un bon remède aux handicapes, même les plus importants, car ils ont
touché -(avec le pétrole)- même les archimilliardaires
et les états les plus riches : les prix qui augmentent ne sont pas une
bonne affaire pour ceux qui augmentent le prix du baril de pétrole -(pour être
en définitive à l’origine de ces augmentations). C’est ici qu’on voit que
chacune des augmentations du prix du baril de pétrole est totalement absurde et
qui plus est criminelle contre -[les meilleurs droits
de]- l’Humanité : la Fraternité. On voit là, avec les pays de l’Opep qu’on
a affaire à des ignorants -[au sens négatif de
ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK]- des
incompétents en Économie et Finances et en réalité des criminels contre
l’humanité au moins depuis 1973 -(tous les
mendiants et les morts de misère et de froid et/ou de pauvreté, soit
d’indigence étant leur œuvre)- comme des ignorants de toutes les meilleures
pratiques les plus honnêtes à l’origine, parce qu’honnêtes, de toutes les
formes de prospérité comme celle de notre remède qui consiste à baisser le prix
du baril de pétrole pour financer dans l’urgence le moins cher possible les
énergies alternatives propres : solaire, hydrogène, éolienne, marée[s]
motrice, fluvial motrice, estuaire motrice, canal motrice, pour générer de
l’électricité pour les transports électriques obligatoires / nécessaires pour
cesser de polluer et ainsi cesser de créer l’effet de serre, soit la
désertification à cause du réchauffement planétaire causé par les activités
industrielles polluantes à cause des énergies fossiles et du bétail -(à des
fins comestibles)- générant trop de CO2, etc.).
Autre forme d’handicape qui nous a tous touché avant Word de Microsoft : nous étions tous handicapés pour approfondir les
sujets à traiter -(comme celui du pétrole ci-dessus)-
en plus de vérité, d’honnêteté, soit objectivement à cause des possibilités
qu’offre ce logiciel y compris de mettre les choses en relation les unes aux
autres –(plus facilement qu’autrefois)- notemment avec l’aide des lôrYens -(soit en créant des » liens hypertextes
« : laurYens – [s’écrit aussi lôrYens])- à
créer. Aussi nous pouvons dire sans avoir des probabilités de nous tromper que
la pensée d’autrefois était souvent celle d’handicapés
-(des données scientifiques ou/et intellectuelles encore manquantes, d’autant
plus de la fatigue générée par les versions successives -[des textes]- relus et
corrigées à/en ces époques à la main -(ce qui nécessitait autrefois de
tout réécrire pour chacune des corrections) : il est rare qu’un texte dans ces
époques passées puisse être comme ici CARE 10 fois)- car
subjective et parcellaire au point alors de l’existence des catégories
étanches : c’était carré au sens négatif de ce mot qui en a, on le sait,
du positif dans d’autres cas. Word et
Internet ont permis parfois le
contraire : quelques-unes des catégories s’ouvrant les unes aux autres)–
hélas dans ce cas-là
dans la cécité intellectuelle car sans cœur
-(sans amour du prochain, capables de d’haïr l’autre, différent, [par conséquent avec les richesses
que cela signifie]), voire pour certains un peu
mieux : dans la quasi cécité
cérébrale.
Celui qui pensera que ce qu’il vient de lire ici est du mensonge est
cérébralement malade, ne va pas bien -(à moins
qu’il s’agisse ici, vu autrement, à contrario,
d’un mensonge bien plus préférable à d’autres
-(car il bénéficie des leçons de l’Histoire)- qui
seraient des vérités fausses car ayant eu – on ne le sait que trop - des
conséquences malheureuses -(à la lumière de cette note de bas de page), soit en
fin de compte le mensonge qu’il vaut mieux croire, (auquel il vaut beaucoup
mieux adhérer de toute son âme car c’est en fin de compte une meilleure
affaire. Le fait que cela le soit est une preuve de plus que la vérité existe
dans toutes les catégories -(chaque chose dépend
des ingrédients qui la compose, donc de matières premières)- mais aussi en les comparant ces catégories et/ou en
les associant pour gloser au sens positif de ce mot qui pourrait en avoir du
négatif dans d’autres SPOK)- car il a perdu
quelques-unes de ses facultés liées à l’existence de la/sa conscience -(c’est
la conscience et le cœur qui peuvent rendre certain qu’un texte est plus juste
/ vrai qu’un autre moins complet. Ce sont ces organes au sens spirituel qu’ils
revêtent qui jugent de la vérité -(ou, la plupart du temps de son approximation) - et qui comprennent ce qui est préférable -(en se fondant
sur une sorte d’audit de la situation
qu’on sait être à géométrie variable selon les paramètres dont on se doit, par
honnêteté intellectuelle, -[de]- tenir compte). Sans conscience on est dans le
monde du mensonge, soit de l’inconscience, du subjectif et des décisions
arbitraires, donc pour ceux qui ont accès à la conscience à l’origine de
probables injustices -(ce qu’on sait devoir, de manière préférable,
[préférablement]- s’interdire) : on ne sait pas ce qui est vrai de ce qui
ne l’est pas –(: on a oublié de recourir –[au sens de se référer]- aux
paramètres qui étayent la construction d’une pensée grâce à sces -(ses + ces =
sces)- arguments qu’ils sont : la prise en compte de points à ne pas
oublier, voire à prévoir avant de se lancer dans une opération / une
direction). Le lecteur de ce texte aurait renoncé à comprendre que ce qui est
devant lui est la meilleure partie de lui-même, celle qui est encore saine de
corps et d’esprit, soit celle qui lui rappelle la Vérité -(celle
que les enfants, dès l’âge-de-raison, peuvent lire et comprendre). Toujours une
transposition de la forme de cette Vérité sur un sujet / objet. Frédéric Worms
dit » matière à penser «, donc à imaginer, créer, etc. -(ici sous la forme de phrases sur un des aspects du
problème qui est parfois d’une grande complexité. Aussi l’écriture comme le
dessin permet de réduire à l’essentiel : résumer -(faire tenir dans une case une pensée sur un point
précis : des observations, simplifier)- au
point autre part d’être un titre qui se déploie ensuite de mille et une
manières comme après une recherche avec l’aide d’un moteur de recherche sur le web -(on l’a vu comme le nom / titre
d’une bibliothèque spécialisée, mais aussi le nom et prénom d’une personne
reliée à tous les instants qu’elle a vécu. Ce n’est pas peu de choses qu’un
être humain, voire un mot le nommant : c’est un monde constitué d’une
histoire et de nombreuses choses : faites une recherche sur ce mot / nom
ne serait-ce que sur Internet et vous pourrez vérifier déjà sur le web la quantité d’occurrence dans des
SPOK différents. Le mot est -[une création d’]- un outil plus ou moins
spécialisé : il sert : nous utilisons ces outils, ces mots, pour
approcher -(parfois avec d’autres moyens en
plus)- des vérités relatives et/ou de la »
Vérité absolue « sur un sujet ou un autre qui est dans ses détails
beaucoup plus complexe que ces deux mots -(qui pourraient être
synonymes de bibliothèques spécialisées ajoutées les unes aux autres en raison
de complémentarités à cette fin d’être résumées par ces deux mots, nom et
prénom – comme pour les noms d’un musée : par exemple celui concernant
Charlie Chaplin ou alors sans nom[s] propre[s], par exemple dans l’ex-gare
d’Orsay notemment consacré[e] à l’Impressionnisme -(qui était autrefois au Jeu
de Paume) : on sait maintenant à combien d’œuvres -(y compris virtuelles –
donc qui peuvent advenir)- ce mot d’impressionnisme est lié, comme on le sait
du mot surréalisme, ou de celui d’abstraction figurative ou/et de pointillisme
et/ou cubisme, comme des autres mouvements artistiques comme celui du
Romantisme. Les mots désignant ces mouvements artistiques sont donc en relation
avec une infinité d’œuvres. C’est comme les noms et prénoms d’artistes ayant eu
accès à la conscience -(Giotto, Mozart, Léonard de
Vinci, Michel-Ange, van Gogh, Vivaldi, Le Corbusier, Luc-François Granier,
etc.)- qui sont reliés à d’innombrables faits / œuvres concernant la vie et les
compétences de ces artistes : avec l’être humain conscient, il s’agit
d’univers différents dans chacune des situations, (d’où qu’on comprenne mieux
l’interdiction de tuer que Moïse a inscrit dans les Tables de la Loi).
Celui-ci, être humain, avec sa vie a la possibilité d’accéder à la conscience,
comme ce fut le cas de Moïse et d’Abraham et d’autres figures, par conséquent
de devenir alors pluriel[s] : de nombreuses choses différentes qu’on peut
traduire en mots, voire en images, en sons, en écrits, en scénarii, en pièce de
Théâtre, en films, etc. : Depuis longtemps le métier d’acteur ne fait que
le dire : une personne peut incarner sur scène plusieurs rôles très
différents, voire son contraire. L’être humain n’est pas seulement singulier
mais a la possibilité de devenir pluriel, voire différent dès qu’il ira au bout
de sa métamorphose d’adolescent homo
sapiens à adulte homo sapiens sapiens
ce qu’on devient une fois conscient)- mais
qui peut être signifié existante dans cette proposition du rapprochement des
deux mots : » vérité « et » absolue « ce qui signifie que
cela -(cette vérité absolue, voire universelle –
soit ce qu’il vaut mieux croire)- peut
effectivement être approchée -(sinon il n’y
aurait pas autant de religions, de mots / catégories / sciences), voire ne pas être pour tous ceux devenus des menteurs.
Aussi pour eux il n’y a ni vérité relative ni vérité absolue : aussi il
s’agit -[en partie comme]- de morts -[quand ils
affirment cela qui plus est certains d’entre eux doctement, ce qui donne à rire
au monde entier]). Derrière un mot, un nom, un chiffre, il y a -(au sens figuré, ici cette
spécificité -[de sens figuré]- en raison de tous ceux ayant perdu leur
conscience. Les autres comprenant évidemment en cinq sur cinq avec moi, par
conséquent n’ayant pas à s’ennuyer avec cette parenthèse)- un ou plusieurs êtres humains et leurs respectives
familles ayant investi financièrement dans la Création
-(soit en nombre de peines parfois plus difficiles à réaliser que d’autres,
ayant parfois requis de nombreuses études)- des
façons de voir, représenter, vivre, une équipe, un village, une ville, une
capitale de région[s], une nation, un système planétaire et enfin après une
galaxie, un, voire des univers que les mots, les images et les sons permettront
un peu d’approcher parfois par l’aide d’instruments : ils essaieront avec justesse d’illustrer par
soucis de pédagogie et ne pas mourir -[seulement]- bête[s] : âne ou pis
que cela : devenu un requin, soit un prédateur, ce qui est avoir régressé,
involué, au lieu de profiter de l’état d’être humain pour le contraire -(qui a
pourtant caractérisé l’histoire de
l’aventure humaine -(H. A. H.) : continuer à évoluer : progresser : des paramètres de la vérité
-[absolue]- concernant ce qui est le meilleur pour notre espèce humaine. Le
contraire, involuer, régresser, étant parfaitement absurde et désastreux :
à l’origine de ces cauchemars. Ceux ayant cru possible les réaliser, en
profitant de la confiance d’un dormeur – (ayant
le droit de voir le monde à sa façon –[d’autant plus
qu’artiste-très-véritable ayant eu accès à la conscience])- étant mal partis car à ce point sacrilèges, voire
laipis, soit ce qui peut hélas mener à la régression et à l’involution, soit ce
qui est inhumain, voire -[comme]- mort).
[67] C’est comme si, alors que nous vivons depuis
plusieurs millénaires dans des civilisations
distinctes -(et
leurs obligations, comme incitation[s] à la prudence dans les relations que
nous tissons), on n’avait pas le droit de
choisir sa femme pour des raisons valables. Soit des paramètres divers qui,
s’ils existent, résultent de la situation les ayant fait advenir : on doit
pouvoir choisir sa femme, par exemple en raison de sa beauté et d’autres
qualités / savoirs faire, compétences, etc. mais aussi parce que s’est instauré
au cours des fiançailles réciprocité sentimentale, complicité dans les choses
les plus belles, par exemple en raison de projets communs et réelle
complémentarité, etc. . Non, soudain on nous impose
une femme lambda et dans le cauchemar
vous vous retrouvez à faire l’amour avec elle alors que vous ne la connaissez
ni d’Adam ni d’Ève et que dans la réalité vous ne l’auriez jamais approchée.
Soit vous ne savez rien des paramètres la concernant -(absurde
et évidemment incroyable, par conséquent inadmissible parce que cela n’a que
très peu de vrai : c’est une façon d’aimer qui est fausse, qui fait de
vous quelqu’un d’autre, voire un aliéné : en réalité -(pour ceux n’ayant jamais eu accès à la salle des machines)- elle ne va vers nulle part de merveilleux. C’est celle
d’égoïstes : d’esclaves de la libido -[plus ou moins totalement déréglée]- devenus sacrilèges de tout ce qu’il y a de plus
spirituel dans une relation amoureuse, car cela fait de vous et de la femme de
ce cauchemar des inconscients : des perdus).
[68] -(car « ils ne
savent pas ce qu’ils font » au sens de » parce qu’ils n’ont pas
conscience de ce dont ils deviennent alors coupables «)-
[69] -(il n’y aurait, sinon,
toutes ces preuves que les édifices religieux nous offrent)-
[70] -(et/ou de spécialistes
très compétents dans les divers sciences / disciplines et sciences de l’Art)-
[71] -(même si à cause du sacrifice avec Christine …
Lang en 1977, nous avons eu logiquement à perdre nos enfants autrefois. A’
partir de 2005 -[comme cela avait été annoncé en 1967
et 1977 -(dès lors virtuels, au sens de sinon possibles, comme ceux de
Christine avec moi, perdus eux aussi à partir de fin 1977 : la raison même
de l’existence de la Tragédie)])-
[72] –(ce que nous attendons tous les deux depuis des
années en raison que j’ai dû, à cause de ma
séparation sacrificielle d’avec Christine en 1977 et -[de]- la perte de mes
enfants avec cette dernière, pendant des années, me
profaner avant de rencontrer Michèle qui en 1977 avait demandé ma séparation
d’avec Christine, pour être la seule impératrice -(cependant j’ai découvert il
y a peu, quelques semaines, que l’anneau immaculé immatériel et lumineux j’ai vu
apparaître à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus
véritablement mariés en 1977, signifiait que j’étais totalement marié avec
Christine … Lang -(donc pour toujours), comme à l’occasion de celui que j’ai eu
en 2005 pour Michèle -(ne sachant rien encore
–[en raison d’amnésie –(canonique dans ce SPOK/cas)])- du
sacrifice que Christine et moi avions faits à partir de 1977 pour Michèle). Il
fallait/faudrait donc avoir avec elle -(Michèle)- une histoire d’amour
plausible / véritable pour faire apparaître pour elle, un moment, à mon doigt
annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés, le même signe
de l’anneau immatériel immaculé et lumineux -(comme cela avait été le SPOK
-[cas]- pour Christine en 1977, ce qui en avait fait -(en l’absence de la
compréhension que nous étions mariés du moins :)- ma promise et ma femme
légitime –[en réalité connue de tous], comme Michèle et Christine –[elles-mêmes]- avaient été
annoncées, dès avant la conception de ma personne intervenant du ciel dans le
futur, avant même sa/ma naissance -[d’y être en chair et en os, ce qui ne
viendrait / serait qu’à partir de 2005])
[73] -(car -[comme]- servant
à recharger les accus grâce aux plus véritables sommeils)
[74] -(je ne veux d’aucune
façon être un obstacle à la découverte de chacun –[et chacune]- avec/d’Amour,
en me mêlant de ce qui ne me regarde pas : les sentiments des uns et des
autres pour leur moitié),
[75] -(grâce à la/les
métamorphose[s] opérée[s])-
[76] -(au sens négatif de ce
mot qui en a du positif dans d’autres cas particuliers)-
[77] Ici lire » a « d’»
avoir «, conjugué.
[78] -(donc un moi devenu
inconscient reportant dans la réalité de ce cauchemar celui qui de mes moi
serait attiré par une façon de se comporter inconsciente au mépris de la grande
majorité de mes moi aspirant à être fidèle à ma moitié, soit ma femme)-
[79] -(voire d’interdit à
transgresser grâce à l’apparent consentement de cette femme m’ayant attiré dans
son piège)-
[80] -(et d’aucune façon
charnellement si ce n’est naturellement le plaisir de se voir car belles sur
tous les plans)-
[81] -(misères, pauvretés,
maladies, ignorances, etc., au sens négatif de ces mots qui peuvent en avoir du
positif dans d’autres SPOK)-
[82] –[il s’agissait bien
d’amour avec un grand A que le nôtre puisqu’il permettait -(avec mon apparition d’avance dans le futur à cause de l’anneau
immaculé immatériel lumineux et de ma métamorphose en
éveillé-par-acquis-de-conscience)- de trouver la
vérité et le remède à chacun des problèmes sans exception, comme c’est le cas
de nouveau depuis 2005, soit depuis que j’ai retrouvé –(la mémoire de)-
Christine]
[83] -(rétabli et cela
bien plus que supérieurement retrouvé)-
[84] -(au sens négatif de ce
mot qui pourrait en avoir du positif spirituellement
–[donc avec le Saint-Esprit ici comme auteur]- dans
certains SPOK comme par exemple étant à l’origine du jazz, ce qui n’est pas rien)-
[85] S. A. I. S. S. S. L. P. = acronyme de ses altesses impériales ses saintetés satana[na!]nas les lordissimis…simissimes
princes)
[86] – tous œuvrant pour Le
Rétablissement de la Vision d’Ôz
[87] Il est malheureusement possible que ceux qui
l’ont imposé croient que ce à quoi ils ont participé, et qu’ils sont parvenus à
faire croire à celui qui dort, soit
un rêve, tant ceux-ci se sont détériorés l’esprit avant de le réaliser,
parce que celui qui dort les intéresse pour diverses raisons qui, en raison
qu’ils se sont crus capable[s] de faire, les ont conduit à cette intervention
évidemment à contrario des droits des êtres humains ou ceux de ce
dormeur -(moi / nous)- à ne pas, durant nos sommeils, être l’objet de
persécution[s] et/ou harcèlement[s] de la sorte, parce que j’ai déterminé le
contenu de ce « rêves » être -(à une large majorité des pourcentages
qui les concernent)- des inepties contraires aux droit de base -(fondamentaux)-
des êtres humains à pouvoir périodiquement dormir / se reposer en demeurant
fidèles aux personnes pour lesquelles on éprouve des sentiments -(aussi on
comprend la nécessité de recourir aux guillemets pour le mot de
« rêve », ce qui signifie entre autre[s], que c’est à lire avec
l’ironie que ces guillemets imposent parfois -(dans certains SPOK)- au
lecteur : cauchemar -(et non rêve ; donc rien de drôle mais un
véritable attentat / traumatisme du psychisme de la personne qui dormait, soit
ce que personne d’un tantinet scensé -(sensé + censé = scensé)- ne peut en
conscience accepter).
[88] -[qui en a parfois
aussi, dans d’autres cas, du charnel]
[89] -(puisque j’ai pu
vérifier plusieurs fois que l’anneau immatériel immaculé lumineux n’est pas du
mensonge mais la vérité d’un enfant ou/et d’un[e] jeune –[voire d’un plus âgé],
aspirant, à être fertile y compris en enfants -[en tant que descendance
légitime à naître de ses œuvres de la femme qu’il aime et dont il est aimé])-
[90] -(soit nous identifier
en raison de l’exemple qu’elle est, [cette histoire])
[91] -[à l’origine d’une
civilisation : la civilisation chrétienne, ce qui n’est pas rien, fondée
qu’Elle est sur la -[civilisation]- juive la précédeant d’un bon
millénaire : il en reste des traces notemment au cours de
l’Eucharistie : des textes / lectures de la Bible à méditer sont lus /
proposés avant celui des Évangiles]
[92] -(donc des
artisans-travailleurs)
[93] -(derrières les statues
de bois mais aussi au plafond de la chaire)-
[94] -(une possible
interprétation de la notion de Saint-Esprit avec la colombe déployant ses ailes
avec autour d’elle des rayons dorés, autrefois sur le dais de la chaire au-dessus
du prêtre faisant son sermon : donc une représentation / traduction de
l’Esprit-Saint, ce bas-relief de colombe les ailes déployées, comme il y a
aussi d’autre[s] part[s] l’objet de l’ostensoir pour accompagner le
Saint-Sacrement)
[95] -(en 1967 et une nouvelle fois confirmé en 1977)-
[96] -(la pluralité des
épouses – si on voit apparaître pour chacune d’entre elles à son doigt
annulaire des êtres les plus véritablement mariés un anneau immatériel immaculé
lumineux pour chacune, une fois après avoir accédé à la conscience car pour les
garçons il est probable qu’on doit la condition
d’éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit l’accès à la conscience)- grâce à la
jeune fille qu’on fréquente -[dont on est amoureux et qui vous aime en retour])
[97] -(c’est ici comme on
voudra / pourra en raison des calendriers et des obligations des mariés)-
[98] En Italie, autrefois, quand j’étais enfant, le
mariage à la Mairie se faisait à la fin de la messe dans l’Église. Il fallait
qu’à droite -[ou à gauche] de l’autel -[en général
situé au centre]- les époux et les témoins signent un registre qui concernait
aussi les aspects du mariage civil -(le mariage donnait lieu à des obligations,
mais aussi à des droits qui étaient rappelés par le prêtre vers la fin de la
cérémonie du mariage -[donc celui-ci sur le plan sacré et civil en raison de
l’énoncé de ces droits et devoirs]) .
[99] Comme c’est le cas en France où il y a
séparation de l’Eglise et de l’Etat depuis le début du XXème siècle.
[100] -(donc que nous avons
le droit de choisir, voire de ne pas choisir : c’est un droit)-
[101] -(que je me devais aux
femmes de ma vie placées hiérarchiquement avant elle)-
[102] -(malgré le plaisir que
cela m’aurait à premières-vues procuré – mais je m’étais fait avoir –[au sens
négatif de cette expression qui en a dans d’autres SPOK du plus positif])
[103] -(nous savons que nous
n’avons pas le droit de nous identifier à don Juan disant à Leporello « meglio ancora » à la question
« se fosse stata mia
moglie ? » avec don Juan qui se
met alors à rire méchemment. Dans l’opéra, ce qui suit sont les avertissements
du Commandeur avec le rendez-vous pris entre les deux protagonistes
représentant[s] deux mondes différents, celui de la non-loi -(avec don Juan)-
et celui de ce qui est légitime en conscience -(avec le commandeur) : il y
a donc conflit entre l’inconscience de don Juan -(l’éternel adolescent)- et la
conscience du commandeur, (père de famille aux responsabilités sociales
nombreuses, ayant eu accès au plus véritable anneau de mariage qui fait que le
porteur de celui-ci se doit -[c’est un devoir]- de protéger sa fille des
mauvaises fréquentations et don Juan est une mauvaise fréquentation :
il se comporte de façon inhumaine -(pas encore être humain sapiens sapiens, soit n’ayant pas encore eu accès à la conscience
et à la compréhension des très graves conséquences dont il sera l’origine /
l’auteur : par exemple des enfants qu’il ne va vouloir reconnaître et
qu’il aura eu de ses « conquêtes » - ici aussi ironique le ton à
mettre pour lire ce mot entre-guillemets de conquête : car sce – [se + ce
= sce]- sont peut-être des conquêtes ? -(au sens
positif de cette expression ou on comprend enfin que ce sont de celles au sens
négatif du mot, contraires au bien et à l’intérêt général ! :)- en papillonnant d’amourette
en amourette, visiblement don Juan ne croit pas à l’Amour, ce qu’un plus véritable père a le droit d’espérer pour sa fille
chérie : non pas un coureur de jupon[s]- qui
rend plus responsable, comme alors de pères reconnaissants leurs enfants en
sachant qu’ils doivent aider financièrement les mères qui auront leurs / ces
enfants à élever).
[104] -(et je minimise en
m’évitant des milliers de pages pour les énumérer)
[105] La jouissance de deux époux qui cherchent à
faire naître leur enfant peut aussi être comprise en terme
d’infini. Le moment où le spermatozoïde féconde l’ovule est donc normalement
sacré dans la mesure où il va y avoir création d’un être humain lui-même
portant la possibilité -(au sens de probabilité)- de
sa descendance, soit la virtualité de l’infini : enfant, petits enfants,
arrières petits-enfants, etc. dès la fécondation.
[106] -(ne sachant pas encore qu’en réalité nous
étions mariés cosmiquement et universellement -[et cela, (ce » ne
sachant pas «)- parce que nous n’avions pas eu droit à une cérémonie
publique de mariage pour en être sûrs et certains tous les deux, en raison des
souvenirs photographiques l’attestant comme des probabilités que cette journée
marquerait nos respectives mémoires pour toujours, les photos de ces instants
pouvant servir le jour venu comme preuves, par exemple si l’un des deux époux
devenait amnésique, comme aussi à rassurer les enfants de leur
légitimité : « il y a bien eu mariage de mes parents », se dira
l’enfant en regardant les photos-souvenirs : « ce sont bien mes
parents biologiques» (il y a donc eu toute une histoire de famille[s],
voire concernant d’autres catégories, pour que je sois là au milieu d’eux. J’ai
donc à devoir m’occuper d’eux en particulier et cela veut dire qu’il faut que
je trouve à mon tour ma parèdre quand le moment viendra. En attendant
travaillons à notre scolarité pour nous former pour elle au moins
élémentairement : elle mérite le mieux que je puisse faire dans tous les
domaines étant donné que c’est le cas de mes parents, l’un pour l’autre – tant
qu’il y a amour et non divorce, ce qui compliquera alors les choses pour
tous : pas seulement pour les parents mais aussi pour les enfants.
Cependant que je ne crois pas qu’il puisse être possible de se séparer de celle
pour laquelle on a obtenu un instant la vision d’un anneau immatériel immaculé
lumineux au doigt annulaire … : c’est l’Épouse, soit Isis et/ou la
Vierge-Marie : du moins la première épouse légitime. Cependant si cette
épouse meurt / disparaît, il est probable -(comme cela a été le cas pour Michèle
parce que j’avais totalement oublié Christine -[on a pu le vérifier en étant totalement
de bonne foi avec elle ayant ainsi été oubliée à mon insu])- qu’on puisse avoir
de nouveau un autre anneau pour une autre femme -(ce qui fut le cas à partir de
2005 pour Michèle)- avec laquelle il faudra se marier de nouveau pour rassurer
les enfants qu’on obtiendra d’elle -(voire qu’on adoptera une fois fortune
faite). A notre époque, on peut aussi se marier pour d’autres raisons que
celles de fonder une famille mais je crois que si l’anneau blanc-immaculé
immatériel lumineux apparait ne serait-ce qu’un petit instant, cela signifie
qu’on attend des enfants de la femme qu’on fréquente le plus, voire celle pour
laquelle on éprouve de très véritables sentiments -(celle
qui vous fait rêver). Mais rien n’empêche qu’il y ait eu des mariages sans
l’apparition de l’anneau immaculé sauf qu’ils ne sont pas avec l’Épouse parèdre
qu’on a recherché dans toutes les époques passées à chacune des réincarnassions
précédentes et pour laquelle on a œuvré de manière à attendre dignement sa
descendance cosmiquement et universellement légitime – ce qui n’est pas rien
comme assurance / certitude. Génial ? Non ?
Réponse : difficile -[comme
situation], voire difficile à croire. Cependant que vous le vouliez ou non
c’est vrai : il peut y avoir des milliards et plus encore de personnes -(donc infiniment)- qui diront que ce n’est pas vrai. Elles
obtiendront toutes des réincarnassions malheureuses -(horribles à vivre)- pour
n’avoir pas cru à cette histoire, tandis que cela ne sera jamais le cas pour
moi qui dit ici la Vérité y compris au nom de mes femmes légitimes, soit celles
desquelles j’attendais mes enfants -(perdus parce qu’elles n’y ont pas
suffisemment cru -(voire pour d’autres raisons
développées dans mes textes et/ou enregistrements)– d’où
qu’elles soient chacune dans une situation difficile en terme de karma et
qu’elles risquent d’obtenir des réincarnations malheureuses, ce à quoi je vais
m’employer pour, si possible, les leur éviter).
[107] –(envers mes sentiments
de l’époque –[coïncidant avec 2005]- j’ai nourri pour Christine)-
[108] -(qu’en fait[s] nous
attendions ensemble depuis avant même nos conceptions réciproques)
[109] -(mais est-ce seulement
un préjugé cette cérémonie du mariage ?)-
[110] -(que cet habit ne fait
pas le moine -[ce que nous savons vrai dans certains SPOK, ce qui contraint à
se méfier, voire douter de ceux qui se prétendent un mot ou un autre en tant
que représentants de ces métiers / activités / compétences, etc.])
[111] – (et si c’était un déguisement -[se dirait don Juan -(qui pour se conduire comme il le
fait appartient évidemment à la catégorie des laipis)] ?)
[112] -(le fait de ne pas
comprendre qu’en raison de l’apparition de l’anneau immaculé immatériel
lumineux nous étions au moins fiancés Christine et moi, voire plus probablement
célestement mariés)-
[113] -(mais uniquement de
cette manière, donc canonique avec le SPOK)-
[114] –(parce qu’entre-temps
je m’étais ingénié pour oublier Christine –[car sinon je n’aurai pas pu
approcher Michèle -(ni les autres femmes que
j’ai eu à séduire pour devenir laipis en attendant de rencontrer Michèle dont
je ne savais plus rien de 1967 et 1977)- ayant
cru possible en 1977 évincer Christine et les enfants qu’elle et moi
attendions])-
[115] -(aux mêmes moments
synchrones entre eux – ces anneaux - malgré les vingt-sept années d’écart)-
[116] – si on n’a pas oublié sa parèdre adamantine
originelle – (ce qui fut l’expédient auquel j’eus à recourir)-
[117] (parceque je n’ai pas
triché avec les sentiments d’Amour que j’ai fini par obtenir de moi pour
Michèle)-
[118] -(des hommes et des
femmes les plus véritablement mariés)-
[119] -(en pratiquant de
temps en temps l’auto-psychanalyse)
[120] – sans même avoir la politesse de me prévenir de
ce qui allait m’arriver -
[121] -(et ce qu’il
représente en tant que quantité de personnes ne faisant qu’une avec moi – ce dont
je compris peu à peu que c’était la/ma situation)-
[122] -(de là où j’étais avec
ma conscience retrouvée)-
[123] -(tant que je n’ai rien
su – en raison de l’amnésie - de ce qui avait été avec Christine. Par
conséquent Isis-Christine à partir de 2005 -(moi Osiris ressuscitant – me recréant
en phénix – grâce à mes souvenirs et à ma retrouvée fidélité à l’égard de
Christine-Isis en 1977 et ce qu’elle avait représenté pour moi comme
compréhension de l’Univers ayant été évidemment créé pour Horus par Isis et
Osiris). Aussi les deux, Michèle et Christine, Isis : une[s] avec ma sœur
et ma mère, comme avec les mères et sœur[s] de Christine et Michèle)
[124] -(car désignées par
l’Univers en créant l’apparition de l’anneau
immatériel immaculé lumineux
-(AIIL)- au doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement
marié[e]s, et cela malgré les époques antécédentes laipis traversées dans la
vie d’un homme, moi. Soit les époques de ma vie à avoir été contraint à m’être
comporté en strictement laïc,
uniquement athée, inconscient, profane, ignorant et sacrilège, -[soit
ce que représente l’acronyme laipis]),
[125] -(cosmiquement et universellement comme etc. –
n’ayant pas encore eu les cérémonies de mariage qui le confirme officiellement
à la société des êtres humains – soit publiquement -[au nez et à la barbe de la
civilisation, soit celle qui a inventé entre autre[s] le Père Noël, quiconque
n’y croyant plus allant à sa perte, car il s’agit aussi d’un symbole :
d’une vérité relative figurée -(donc qui signifie au sens figuré)- qui se comprend
une fois qu’on a accès à la conscience, voire dès l’âge de raison quand on
commence à faire des comparaisons. Ceux qui n’y croient plus en ne parvenant
plus à comprendre ce que -[bon] diable ce Père-Noël représente comme métaphore -(comme peut l’être aussi le vocable » Dieu «)- ont
très probablement perdu leur conscience au moment où ils n’ont plus cru au Père
Noël, soit à ce qu’il pouvait bien représenter comme métaphore -(sur divers
plans). Ces personnes prenant ainsi le mauvais chemin – celui des incrédules –
en ne croyant plus au Père Noël -(ce qu’il symbolise),
commencent ainsi à être mal parties])-
[126] -(sans conflit[s] avec les empereurs me
précédent, ceux-ci comprenant en 1967 et à partir de 1977 qu’en perspective
-(au loin, dans le ciel, dans trente-sept années, voire vingt-sept en 1977)- une autre époque était apparue en raison de mes
interventions / transmissions salutaires, le Saint-Esprit étant sur moi à cette
fin)-
[127] -(au moins vingt-cinq
par seconde, soit « matières à penser » –(pas d’ironie ici
– cela allait de soi)- ici en hommage à Frédéric Worms et son émission sur
France Culture)
[128] [soit ce qui est un
rapport sexuel sans le consentement conscient de celle ou celui qui est
l’intéressé, soit en l’occurrence la victime]
[129] -(c’est pourquoi la
femme a le droit de se refuser car avoir un rapport sexuel sans prendre la
pilule ou un autre des contraceptifs c’est courir un/de grave[s] danger[s])
[130] -(mais aussi, bien
évidemment, des conséquences dont celles virtuelles / possibles en matière
d’enfants)
[131] -(pour permettre à
l’amoureux de retrouver sa conscience – [dans le cas où il l’aurait perdue])
[132] -(ne serait-ce que par
le très simple devoir d’infini respect on doit à autrui)-
[133] -(même si nous nous aimons comme un oncle doit
aimer une nièce et une nièce un oncle qui en vaudrait la peine, la sachant
évidemment à d’autres que lui/moi-même étant donné que les rapports de
consanguinité peuvent donner naissance à des enfants beaucoup plus handicapés
que nous le sommes tous, (appartenant aux gens dits « normaux »)-
nous avons dit ailleurs combien la normalité d’un être vivant est, dès la
naissance, celle de plus ou moins handicapé selon les parents qu’on a,
l’époque, le lieu de naissance et où on grandira, etc. : tous les autres
paramètres)-
[134] -(voire comme cela
s’est produit pour l’un d’eux au point de devenir le père de ses enfants)-
[135] -(y compris tous ceux
du même genre dans les autres religions)-
[136] A lire ironiquement ces mots entre-guillemets
pour bien faire comprendre qu’ils ne le sont pas des rêves mais qu’ils sont au
contraire des cauchemars car j’emploie le mot de rêve au sens positif et non au
sens négatif, d’où que pour le lire au sens négatif … .
[137] -[pour elle – cela va
de soi – sacrés – ce qui devrait être aussi pour tous]
[138] -(est la confirmation
de l’univers au mariage en cours ayant fait apparaître un instant cet anneau,
soit la condition sine qua non pour
être certain[s] de ne pas s’être trompé de parèdre et d’être devenu bouddha,
soit un éveillé-par-acquis-de-conscience)-
[139] -(peut-être même vit-il
avec elle depuis longtemps non officiellement marié, donc au stade de l’union
libre ou/et du concubinage en s’étant interdit d’avoir des enfants tant que le
futur mari n’aura pas eu accès à la conscience et à la présence un instant de l’anneau
lui confirmant son état d’homme marié)-
[140] -(liée à l’égoïsme au
sens négatif de ce mot qui peut en avoir du positif dans d’autres SPOK)
[141] -(parfois de nombreuses
années après comme ce fut le cas pour Michèle et moi)-
[142] -[ce qui peut/doit être
vue comme une démarche d’Intérêt et pour le Bien Général, mais ne doit jamais
être une obligation car c’est librement – et non contraint et forcé – qu’on
doit choisir le mariage : il doit être une étape de l’évolution d’un
couple dans la société, ce dont don Ottavio, dans Don Juan, nous démontre la
nécessité]
[143] -(qui est fidèle à sa
femme et qui, durant la journée, est leur dévoué serviteur à travers toutes les
choses qui l’occupent, soit en mon cas des recherches pour soigner par la
création de choses intelligentes pour l’esprit –[qui est, si possible, à
nourrir de beauté[s] avec mes images et des autres arts et/ou catégories /
disciplines que nous maîtrisons])-
[144] -(comme ce fut pour
Christine et moi le cas avant d’avoir à l’être de nouveau pour Michèle, par
soucis de plus de justice)
[145] –[ce qui peut advenir
comme je l’ai démontré plusieurs fois au cours d’une existence d’autant qu’on
l’aura perdue –(ayant eu pour démontrer cela à partager la condition de laipis
moi-même, [soit –(devenu)- bête au point au moins d’être devenu à moitié une
saleté – il existe un portrait de moi peint par S. A. I. S. S. S. L. P. Dimitri
Ratsikas qui l’atteste / le montre, il est parait-il intitulé » portrait d’un
cinéaste «]-
[146] -(au sens négatif de ce
mot qui en a[urait] du positif dans d’autres SPOK ?)-
[147] -[mais cela n’a été possible qu’uniquement parce
que je m’étais ingénié à être amnésique de Christine -(et du sacrifice de nos
enfants)- et de ce qui s’était produit en 1977 d’infiniment exceptionnel quand
je suis apparu dans le ciel de Rome tous les jours pendant huit années de suite
à transmettre tout ce que j’ai transmis d’avance depuis les années 2005 et
suivantes -(synchrones avec celles de 1967 et 1977 et suivantes)- pour éviter
que la Seconde Guerre Mondiale -[ne]- reprenne en confirmant par l’opération du
Saint-Esprit mon père Jean-Luc Granier comme empereur avant moi qui ne le
serait qu’à partir de 1995 et 2005 une fois redevenu bouddhahs – soit éveillé-par-acquis-de-conscience]