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Annexe à l'article "la fin de la misère et de la pauvreté est possible du jour au lendemain".

Depuis ma naissance, je ne vis que pour la vérité et la recherche de la vérité, et celle-ci dépend de chacun des paramètres dont peu à peu, dès tout petit, j’ai pris connaissance. Pour chacun d’eux il a fallu vérifier s’il était juste ou seulement approximativement vrai, voire dans quelle catégorie de vérité[s] il se situait. Parmi ces vérités il y a aussi celles qui sont fausses.

Aussi ceux qui prétendent qu’il n’y a pas de vérité[s] mentent, sont dans l’amnésie de la plupart, voire la totalité des paramètres qui composent la réalité (la vérité objective, la vérité).

Que peuvent donc être les vérités relatives ?

C’est, (sans m’étendre), ce qui est logique, rationnel au sens où le raisonnement peut se comprendre, parce qu’il n’y manque rien (aucun des paramètres qui permettent de comprendre que cela pourrait être vrai – [bref, c’est clair dans un ou plusieurs domaines précis]). La vérité dépend donc des vérités relatives, au point qu’on comprenne facilement que si l’une d’entre elle n’est pas tout à fait juste ou s’il y manque des paramètres, elle fausse cette vérité.

Or nous devons admettre que nous sommes souvent dans l’ignorance de ces paramètres qui sont des vérités relatives appartenant  à d’autres catégories distinctes que celles que nous maîtrisons déjà.

C’est ici toute la difficulté qui va concerner chacun d’entre nous au cours de son/notre existence, parce que nous ne sommes pas toujours au courant de toutes les vérités relatives : ces paramètres qui de nos jours sont enfin plus à la portée de chacun, grâce à Internet. De plus nous nous sommes construits au fur et à mesure à partir de paramètres plus ou moins exactes, voire parfois que nous avons cru vrais, mais qui sont en réalité des coutumes (des traditions) voire des préjugés qui ne sont pas toujours des plus justes par rapport à l’époque dont la plupart des individus qui la composent n’ont pas tous eu la même exigence que tous ceux qui ont la connaissance de la vérité, voire au moins de vérités relatives dans l’une ou l’autre des catégories distinctes. C’est ainsi que parce que ces personnes n’ont pas su s’imposer des mises-à-jour, elles continuent à être relativement dans l’erreur, en croyant sincèrement ne pas l’être, parce qu’elles ont pris dès tout petit ces habitudes à penser, voire à vivre d’une façon qui est en réalité de nos jours anachronique avec l’ensemble des solutions alternatives élégantes, c’est-à-dire la plupart de ces paramètres qu’il aurait été souhaitable qu’ils soient pris en compte avant de poursuivre dans ces habitudes plus ou moins néfastes par rapport à d’autres ayant tenu compte des diverses avancées dont les êtres humains, parce qu’ils ont quelque chose à faire de leur existence, ont été les auteurs, au point d’être à l’origine de ces paramètres que sont les vérités relatives dont on aura compris ici qu’il convient de distinguer les plus vraies des moins justes.

D’où la nécessité dès tout petit de la vigilance parce que même si on éprouve des sentiments d’amour (donc souvent subjectifs) ou/et de reconnaissance pour ceux qui s’occupent de nous, nous ne pouvons qu’admettre qu’il est rare qu’ils soient chacun d’entre eux totalement dans le vrai, bien qu’ils donnent chacun l’impression de l’être dans la mesure de leur capacité à résoudre les problèmes qui sont les leurs et les nôtres. Mais très tôt, nous comprenons que pour résoudre ces problèmes ces personnes se sont conformées à la même manière de faire que d’autres personnes qui étaient reliées à des solutions ayant alors paru élégantes, trouvées autrefois dans une époque précise avec de nombreux paramètres en moins qu’à notre époque (néanmoins cela ne signifie pas que dans certains cas ces solutions alternatives élégantes ne soient plus valables). Ce sont ces paramètres souvent inconnus, non pris en compte qui (parce qu’ils sont vrais) auraient fait la différence si notre entourage les avait connus, pris en considération pour résoudre les problèmes qui se sont posés. Chacun d’entre nous aurait alors pu évoluer comme chacun des meilleurs éléments qui pour le devenir ont souvent bénéficié d’informations sûres, donc de vérités relatives fiables (qui seront toujours vraies), de raisonnements les meilleurs. 

D’où l’importance des spécialistes qui ont connaissance de vérités incontestables à l’intérieur d’une ou plusieurs catégories distinctes. Prendre leur avis, leurs conseils, permet souvent de résoudre des problèmes qui nous affectent.

Parmi ces problèmes nous avons évoqué au cours de mes textes celui de l’alimentation végétarienne qui est de nos jours possible plus facilement grâce à une époque qui bénéficie des nombreuses importations de fruits et légumes et laitages (fromages), les solutions alternatives élégantes, ce qui évitera à chacun l’une ou l’autre des réincarnations malheureuses, tristes, cauchemardesques, tragiques et/ou honteuses qu’obtiennent tous ceux qui mangent trop de viande et de poisson, en se conduisant en plus ou moins exclusivement carnivores alors que pour avoir eu le droit de se réincarner en l’un des êtres humains, ils ont dû au préalable passer par l’une ou l’autre des réincarnations en l’un des animaux végétariens (herbivores), étapes obligées avant celle en être humain. Alors pourquoi choisir de régresser, d’involuer alors que le contraire, évoluer en être humain (végétarien), est plus logiquement conforme avec le processus réincarnationel et son bon sens?

Parmi ces problèmes, il y a aussi celui de la misère matérielle, au sens de financière, qui est un réel fléau depuis longtemps. J’ai donné (à partir de 1975) la solution alternative élégante pour faire disparaître du jour au lendemain toute la misère et toute la pauvreté matérielle dans le monde entier, simplement en baissant le prix du baril de pétrole en le portant à 0,01 centime de dollar le baril, ce qui permet (en bonus) en refaisant tous les comptes, de rembourser (en quelques années) toutes les dettes, mais aussi en payant cinquante fois plus chacun, de rendre la plupart des biens de consommations de première nécessité gratuits, de redonner du pouvoir d’achat et de faire disparaître le chômage parce que la consommation est de nouveau au rendez-vous, grâce à ce pouvoir d’achat à tel point que les monnaies en or pourraient de nouveau être mises en circulation et que nous pourrions financer un minimum végétarien mondial de solidarité et d’insertion et un logement minimal (MVMSILM) dès la naissance de chacun.

Ici comme ailleurs nous étions victimes de préjugés en Economie, c’est à dire de vérités relatives qui une fois analysées sur un plan plus global des interactions économiques se sont avérées fausses par rapport à cette solution très simple que je propose de nouveau, en accord avec la loi de la quantité et de la rareté : de baisser le prix du baril de pétrole, d’autant plus que j’avais apporté sur le marché au moins 50% des réserves actuelles de pétrole, dès les années 1975 et suivantes.

Mais comment faire comprendre à ceux qui sont prisonniers de la réalité dont nous avons collectivement hérité et qui se sont habitués à payer chacun des produits dont ils ont besoin, quitte à s’endetter pour cela et parce qu’ils manquent d’imagination (ils ne pouvaient imaginer que ces produits seraient gratuits, du moins beaucoup moins onéreux si le prix du baril de pétrole baissait), voire parce qu’ils sont dans des incapacités cérébrales de comprendre (handicapes) ce que d’autres plus éveillés sur ce chapitre qu’eux comprennent, à partir des mécanismes des interactions économiques ?

Dans les années 1973 et suivantes, au moment du choc pétrolier, tout avait été dit pour que ceux qui décident à l’OPEP du prix du baril de pétrole acceptent de baisser son prix. Mais le résultat durant la fin de la guerre froide fut bien pire que tout, car le prix du baril de pétrole, malgré mes apports, augmenta et cela d’une façon plus ou moins constante jusqu’aux années 2014 où cela faisait déjà plus de deux ans que j’écrivais ma lettre aux papes et celle aux présidents de la république française dans lesquelles (elles sont sur mon site Internet http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm et http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm) je démontre, entre autres, l’intérêt pour tous de baisser le prix du baril de pétrole, à la suite de la confirmation par réitération en chair et en os de l’Hyper Méga Dictée Pharaonique Providentielle Miraculeuse Maçonnique Multicatégorielle à travers Espace et Temps dont je venais de découvrir, à partir des années 2005, avoir été l’auteur et au cours de laquelle j’ai, entre autres, eu à transmettre aux années 1975 et suivantes la géolocalisation d’au moins 50% des réserves actuelles de pétrole, ce qui a donné depuis du temps d’en trouver encore d’autres.

Mais malgré cette grande quantité d’apport de pétrole en plus (ce qui aurait dû faire baisser le prix du baril de pétrole) en 2014, le prix du baril de pétrole est à plus de 110$, ce qui signifie plus de onze mille centimes de dollar ! Le soleil est alors sur le point d’exploser.

Rappelons que pour la majorité des monnaies le système est basé sur cent centimes qui sont à l’origine d’une unité valant ces cent centimes en n’oubliant pas la relativité des changes : que parfois un centime dans une monnaie qui a peu de valeur, ne vaut que beaucoup moins dans une autre (0,0..x centimes), au point de ne pouvoir trouver de monnaies d’échange dans cette différente devise que si les prix sont exprimés en milliers d’unités. Il n’y a donc que les monnaies qui ont de la valeur dont les centimes trouvent dans les autres monnaies des centimes, voire des unités comme équivalent[s].

C’est ici même que s’est glissé dans les années passées comme l’idée qu’il y aurait de l’injustice entre les monnaies (liées à des niveaux de vie différents liés à des régions plus ou moins développées économiquement), ce qui se répercute dans des approches différentes des comptes. Il y a ceux qui comptent en centimes et ceux qui comptent avec les unités qui sont chacune l’équivalent de cent, ce qui est aussi la situation de tous ceux qui débutent dans les comptes, comme les gens les plus simples et les plus désargentés que sont les enfants ou/et tous ceux qui commencent l’école mais chacun sait ou va savoir que 7 dollars en 1977 (pour un baril de pétrole) cela signifie sept cent centimes de dollar! C’est alors la crise économique avec le renchérissement de la vie d’autant plus de tous ceux qui résonnent encore en anciens francs.

Et sept cent centimes de dollar c’est une vérité relative qui va valoir plus ou moins cher / onéreux / coûteux selon celui qui doit débourser l’équivalent de cette somme dans sa monnaie locale où règne un coût de la vie différent de celui d’autres régions. Rappelons qu’il donne alors à celui auquel il achète ce pétrole un crédit qui peut être dépensé dans son pays d’origine pour acheter des produits pour la valeur de ce qu’il a acheté avec ces dollars. Pour les pays les plus développés, les plus riches (qui comptent en dollar et non en centime de dollar) le prix qui est proposé au baril de pétrole (après négociation) est bien celui de sept dollars après avoir été de cinq dollars en 1975, voire de trois dollars (après la Seconde Guerre mondiale), ce qui est pour tous ceux qui sont près de leurs sous, néanmoins trois cent centimes de dollar à débourser, donc qu’il a fallu gagner grâce à des économies effectuées sur la production de biens vendus, ceux-ci en général bénéficiant de la loi de la quantité et de la rareté, répercutant les dépenses effectuées pour produire ces biens, notemment pour se rembourser à terme des dépenses sur le nombre d’exemplaires du même modèle et faire un juste bénéfice en raison de ce qu’il s’agit du fruit de travaux honnêtes. C’est avec ce bénéfice que l’entrepreneur (et ceux qui ont avancé les capitaux) vont survivre, par conséquent vont continuer à pouvoir investir.

Chacun des produits ayant sur le marché un coût, un prix, parce qu’il y a la facture énergétique à payer, celle-ci étant (pour être remboursée) divisée sur/par le nombre des acteurs économiques qui ont recours à la nécessité de consommer du pétrole, ne serait-ce que pour acheminer les biens de première nécessité, vitaux, pour se nourrir tous les jours pour travailler et donc ajouter la valeur du temps de leur travail (selon la plus ou moins grande et/ou rare compétence) au produit (on comprend que cette valeur dépende des dépenses / coûts alimentaires en amont, mais aussi de toutes les autres dépenses [dont celle du travail qui dépend des coûts pour s’alimenter, ceux-ci dépendant des transports] et si celles-ci augmentent, elles se répercutent sur le prix des produits les rendant plus ou moins prohibitifs pour les plus bas revenus, d’où que la production est limitée et qu’on s’est installé dans une période de chômage, parce que ces produits ne trouvent pas/plus d’acquéreurs : on ne peut les produire car c’est avoir à payer pour les stocker indéfiniment pour rien [aucune vente destinée à rembourser les coûts, les dépenses et la recherche d’un juste bénéfice qui est devenu impossible puisque plus personne (en dehors d’une quantité limitée) ne peut acheter l’article qui va donc coûter plus cher qu’il ne rapportera. C’est la crise par la situation de faillite]). Le coût des transports est répercuté dans le prix de chacun de ces produits de base et on comprend donc très simplement que si ce coût du pétrole est moindre, les prix de ces produits de première nécessité seraient en proportion moindres. Aussi on comprend donc par là que c’est artificiellement que la misère et la pauvreté existent (ce qui signifie qu’ils n’existeraient pas si le prix du pétrole est au plus bas possible : depuis mon diagnostique de 1975 nôtre situation est donc curable avec la bonne volonté de tous, en baissant le prix du baril de pétrole, mais en le baissant suffisemment bas en le mettant à ce maximum d’un centime de dollar, voire de 0,01 centime de dollar pour nous permettre de rétablir toutes les finances mondiales, en apurant les comptes).

C’est le système dont nous avons hérité collectivement depuis la charrette attelée qui nécessite en plus de son coût d’achat, pour l’entretenir (la faire marcher) du prix du foin pour nourrir l’âne, le mulet ou les chevaux (à entretenir eux aussi), ce qui est à l’origine par répercussion de ces dépenses du coût que chacun aura à payer pour acheminer un produit, ne serait-ce qu’une lettre par la Poste. On le sait son coût, le prix du timbre de cette lettre, est calculé grâce à la loi de la quantité et de la rareté pour qu’il soit le plus bas possible. Pour l’établir il convient de faire l’addition de toutes les dépenses que l’organisation de la Poste génère (doit dépenser) et (pour simplifier ici) on les divise sur le nombre de lettres, paquets, colis qui tous les jours sont transportés vers chacune des destinations possibles. On a donc eu recours comme dans d’autres grandes organisations/entreprises (SNCF, EDF/GDF, etc.) à la réalisation d’une moyenne pour proposer le prix du timbre, car dans certains cas pour qu’une lettre parvienne à son destinataire loin d’un centre postal, on comprendra aisément que s’il avait fallu tenir compte en particulier du nombre d’étapes au cours desquelles la Poste a des frais fixes à honorer, il aurait fallu payer le timbre, en réalité, beaucoup plus cher / onéreux / coûteux qu’il n’a été payé (ce sont donc les lettres qui reviennent le moins cher à distribuer qui payent les lettres les plus onéreuses à acheminer). Sans le recours à cette géniale solution alternative élégante, la vérité relative de la moyenne (dans les calculs nécessaires pour faire les prix entre le prix de revient les plus bas des coûts les plus élevés), on ne s’en serait pas sorti à la Poste (comme pour le prix d’autres produits, par exemple les lignes des trains les plus fréquentées qui paient [compensent] les lignes les moins fréquentées / rentables) qui elle aussi, comme chacun de nous tous, est consommatrice de foin, pardon (de nos jours) de pétrole ! d’autant le parc des véhicules de transport du courrier qu’elle a dû acheter, celui-ci ayant répercuté dans son prix de vente chacune des hausses du prix du baril de pétrole, d’où la hausse du prix du timbre puisque les coûts, les dépenses pour acheminer ce courrier ont globalement augmenté au lieu de diminuer.

Or ce dont ont intérêt les pays producteurs de pétrole comme les pays n’en produisant pas, voire trop peu (pas assez, donc importateurs de pétrole), c’est que le prix du timbre-poste (du gaz, de l’électricité, du téléphone, du train, etc.) n’augmente pas (à cause des répercussions sur le pouvoir d’achat qui alors diminue), voire baisse et cela dépend donc de chacun d’entre les membres  des pays de l’OPEP qui ont donc le pouvoir de faire baisser les prix comme ils ont été à l’origine de chacune des augmentations des prix depuis les années 1860 (donc des difficultés financières de chacun), quand on a commencé à exploiter le pétrole.

Les inflations ont donc pour origine l’augmentation du prix du baril de pétrole.

La perte de la valeur financière des monnaies des pays (non producteur de pétrole), la perte du pouvoir d’achat ont pour origine l’augmentation du prix du baril de pétrole.

Le chômage a pour origine l’augmentation du prix du baril de pétrole.

Les difficultés financières de chacun ont pour origine l’augmentation du prix du baril de pétrole.

La crise économique qui a touché tous les pays sans exception a pour origine l’augmentation du prix du baril de pétrole qui a agi comme un véritable frein sur l’Economie mondiale.

Tandis que si au contraire ce prix du baril de pétrole diminue, voire rejoint son prix minimum maximal de 0,01 centime de dollar le baril, c’est avec la fin de la crise économique la prospérité qui est de retour dans tous les pays sans exception, puisque c’est ainsi que la fin de la pauvreté et de la misère est, comme je le pense, créée.

Evidemment il ne faut pas avoir de préjugés en matière économique et être de ceux qui comprennent la loi des conséquences qui est celle des interactions.

Mais une chose est simple à comprendre : si le prix des transports devient gratuit ou quasiment gratuit à ce prix de 0,01 centime de dollar le baril qui garantit la pérennité du Commerce parce que le pétrole n’est pas donné à ce prix même à première vue minimum (c’est encore des milliards de fois plus cher que gratuit), tous les prix sans exception baissent en proportion en nous offrant enfin de connaître le véritable prix de chacun des produits et comme je le disais ailleurs, on pourra acheter au moins un million et cent mille centrales solaires pour le prix d’une seule en 2014 ou alors plus de onze mille, si le prix du baril de pétrole est proposé (pour commencer) à un centime de dollar le baril.

Evidemment il faut s’attendre à un changement radical de société avec des prix beaucoup moins chers / onéreux / coûteux et s’habituer à la quasi gratuité pour tous les prix des produits valant onze mille dollars (valant alors un dollar) ou alors à 0,01 centime de dollar le baril de pétrole, tous les prix valant un million et cent mille dollars valant un dollar. C’est dire alors combien la valeur du dollar sera haute et combien le pouvoir d’achat sera de nouveau important (d’où les monnaies en or). Il nous est donc laissé la liberté de choisir entre un prix du baril à un centime de dollar ou à 0,01 centime de dollar. De mon côté comme je suis pour le maximum de profit pour tous, j’ai opté pour 0,01 centime de dollar.

Il faut comprendre que nous avons tous besoin que le prix de l’électricité baisse d’autant plus que chacun d’entre nous en a constemment besoin, ne serait-ce que pour recharger le téléphone mobile ou l’ordinateur portable, voire les vélos ou/et automobiles électriques. Disposer d’autant de centrale à énergie propre et solaire ou d’éoliennes ou d’usines marée-motrice ou/et fluvial-motrice pour le prix d’une seule en 2014 est la solution à la plupart de nos maux (y compris pour les pays producteurs de pétrole qui sont à l’origine de la pollution qui le seraient moins car les automobiles électriques vaudraient onze mille fois moins, voire un million et cent mille fois moins, donc dont la production pourrait être développée plus rapidement, ce qui serait bénéfique pour l’environnement) mais encore il faut que l’ignorant au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) le comprenne.

Or je connais des ignorants qui ont au moins un peu d’intelligence parce qu’ils font confiance aux spécialistes, aux savants, aux gens les plus véritablement instruits, voire les plus honnêtes et vrais. A ces ignorants, il n’y a qu’à dire « baisse le prix du baril de pétrole et tu verras que tu feras le bonheur du genre humain, toi-même en tout premier ». Il aura écouté la vérité qu’il aura su distinguer de tous les vérités relatives les moins justes, de toutes celles qui en prônant l’augmentation du prix du baril de pétrole rendent celui qui l’a fait (et le propose) criminel contre l’humanité et candidat au plus malheureuses et honteuses des réincarnations en raison de ses responsabilités sur les dommages causés à tous les honnêtes gens. 

J’ose encore espérer qu’il existe encore un ou deux ignorants intelligents à l’OPEP, c’est-à-dire comme nous étions tous enfants quand nous avions à comprendre la réalité grâce à des raisonnements logiques, donc justes qui feront changer d’avis tous ceux qui croient devoir augmenter le prix du baril de pétrole parce qu’ils ont remarqué que les prix augmentent, en ayant oublié que s’ils augmentent ce n’est qu’en raison des répercussions de l’augmentation du prix du baril de pétrole au-delà de ce maximum minimal de ce centime ou de ce 0,01 centime de dollar le baril qui redonne le plus véritable prix de chaque produit dans le monde entier, parce qu’enfin le centime de dollar, de l’euro ou de l’Ôz, (la monnaie mondiale), vaut de l’or, ce dont nous avons tous besoin!

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Révision : 24 octobre 2017