Annexe à mon texte intitulé « A propos de la réincarnation
(Dialogue) » ;
là où une solution alternative élégante pour guérir de la plupart des
anorexies est proposée.
- Ça prend beaucoup de temps de
devenir l’un des bouddhas ?
- Ça dépend parfois cela peut
être rapide.
- C’est-à-dire ?
- Je l’ai dit, dès l’enfance,
voire avant, dès tout bébé, voire dès avant la naissance, mais on court le
danger d’oublier qu’on l’est devenu à un moment donné bien précis et cela peut
être à l’origine de nombreux problèmes y compris familiaux, si on oublie ou
qu’on ne sait pas qu’on est bouddha: il va y avoir de nombreuses
incompréhensions, si on ne porte pas le masque. Or à ces âges-là, on ne peut que
très difficilement imaginer qu’on peut s’en sortir en portant le masque pour la
raison qu’en innocent(s), on ne sait pas grand-chose de cette notion -(de
masque)- et de ce dont il est constitué -(par
exemple en Occident de s’être, dans certaines familles, habitués [malgré
la quantité importante de solutions alternatives élégantes à manger de
viandes de légumes, de viandes de fruits, de viandes de pâtes, de viandes de
champignons, de viande d’omelettes ou/et crêpes, de viandes de fromages, etc. et
de viandes de pâtisseries, bref des chairs d’aliments végétariens]
en omnivore[s] -[alors qu’en réalité nos
ancêtres les plus éloignés, avant la disparition de la vision du très saint
paradis (au moment de la très grande
catastrophe) qui était partout dans tous les
Univers étaient tous végétariens étant donné que les armes pour se défendre
n’avaient pas encore été mises au point, ce qui a servi, à partir d’un certain
moment, dans certaines régions où il existait les saisons, aussi pour chasser]-
à manger de la viande d’animaux quadrupèdes pacifiques et inoffensifs, voire de
la volaille et du poisson ce qui sont là cette nourriture d’omnivore à tendance
carnivore des paramètres / traits essentiels du masque), aussi on peut
être pris comme un souffre-douleur de la part de ses parents ou/et de ses frères
et sœurs -(pas encore bouddhas)- sans
trouver grand monde pour vous protéger, car le plus souvent on n’ose pas se
plaindre -(cela est, par exemple, la cause
principale de l’anorexie, alors que celle-ci disparait progressivement si le
contexte familiale propose la solution alternative élégante de la nourriture
végétarienne avec intelligence et doigté -(c’est-à-dire très progressivement et
l’air de rien, au point, par amour pour celui ou celle qui est anorexique de
modifier l’alimentation de la famille entière pour se nourrir tous en [futurs]
végétariens – ce n’est qu’ainsi que l’anorexique cessera de l’être, cependant
des preuves pareilles d’amour sont bien rares de la part de gens habitués à
manger de la viande provenant d’animaux quadrupèdes pacifiques et inoffensifs
ou/et de volailles ou/et de poissons. En général les habitudes/traditions
alimentaires d’une famille dans laquelle il y a un/e anorexique sont de nature à
convaincre l’anorexique qu’il n’est pas normal comme le sont/serait la majeure
partie de l’entourage de cette famille, au point de convaincre l’anorexique que
la solution végétarienne n’est donc pas la bonne -(puisque la famille et la
majeure partie des relations [de celle-ci] sont omnivores à tendance
carnivores). Cependant la solution alternative élégante du végétarisme est l’une
des seules solutions. En effet, il faut dans le contexte en question parvenir à
trouver absolument normal que l’anorexique -(pour se sortir de l’anorexie)-
finisse par manger végétarien -(au point – pour rassurer cet anorexique - de
reconnaître que manger en omnivore à tendance carnivore n’est pas normal par
rapport aux êtres humains des origines, soit nos ancêtres les plus éloignés
d’avant la très grande catastrophe qui a débouché sur la solution alternative [alors
considérée comme] élégante de la chasse,
soit avec cette dernière, la disparition de la vue du très saint paradis).
Mon hypothèse est qu’en réalité ces enfants anorexiques, en général, ne se
savent pas même des bouddhas et encore moins des végétariens, étant donné
qu’autour d’eux l’ensemble de leurs fréquentations trouve depuis bien avant leur
naissance normal de manger de la viande d’animaux quadrupèdes pacifiques et
inoffensifs comme la volaille et la chair des poissons. Aussi ces devenus
bouddhas à leur insu -(soudain anorexiques)- ont du mal à imaginer qu’ils sont
végétariens, ne serait-ce que pour ne pas peiner leurs parents/entourages qui a
pris l’habitude -(au point d’être devenu un préjugé)- de valoriser la nourriture
carnée provenant d’animaux quadrupèdes pacifiques et inoffensifs, de la
volaille, voire de poissons, puisque cette nourriture était autrefois réservée à
l’aristocratie -(à cause de son origine dans la chasse, avant ce qu’on a
considéré comme une autre solution alternative élégante : celle de l’élevage,
hélas, si intensif, à l’origine de la désertification -(la plupart des zones
désertiques actuelles ont pour origine l’élevage intensif)! Par conséquent les
êtres humains se sont trompés à croire que l’élevage intensif était la bonne
solution). Ces enfants anorexiques -(qui
sont dans mon hypothèse sans le savoir devenus
- parfois
depuis la prime enfance -
des bouddhas)-
se contraignent alors, malgré l’absence d’appétit, à manger un peu de viande et
du poisson comme de tous les autres aliments proposés, sans pouvoir imaginer que
s’ils cessaient simplement de manger de la viande et du poisson et ne mangeaient
que des viandes/chairs végétariennes, ils guériraient de leur anorexie, comme de
croire qu’ils sont à cause de cela anormaux -(ce
que croient parfois ceux qui s’autorisent à manger de la viande d’animaux
quadrupèdes pacifiques et inoffensifs, de la volaille et du poisson de ceux qui
s’y refusent). Le danger que leur anorexie
continue -(malgré l’existence du remède
grâce aux végétariens)- vient de ce que ces
anorexiques remarquent qu’ils sont les seuls dans leur contexte social à
finalement manger végétariens -(aussi
certains d’entre eux ayant des difficultés pour réfléchir et trouver des
paramètres les incitant à manger en végétariens continuent à se trouver anormaux
– ce qui n’est en rien la Vérité car nous
avons prouvé durant les démonstrations de 1977 à 2005 que c’est la nourriture
végétarienne qui permet de retrouver la cohérence de son esprit, la logique et
la conscience, bref la Vérité). Aussi ces
anorexiques -(ne se sachant pas mal entourés)-
finissent par se croire -[réellement]-
anormaux -(parce qu’ils n’arrivent pas à
penser dans les régions où ils ont grandi dont la tradition alimentaire est
celle d’omnivores à tendance carnivore qu’ils ont pour cesser d’être anorexiques
à adopter la même alimentation que les nombreux peuples végétariens et cela
alors qu’être végétarien est –
c’est certain -
à l’origine de la meilleur des santés
psychiques et physiques pour les êtres humains qui finissent en général
-(sauf
exception)-
par en devenir chacun des bouddhas. Aussi ces
anorexiques occidentaux continuent à s’en vouloir, d’autant qu’ils n’arrivent
pas à trouver les arguments pour comprendre qu’ils ont/auraient raison d’être
[devenus]
végétariens à cause de leurs contextes
familiaux et médical qui a finalement eu l’intelligence de les y encourager en
reconnaissant que c’est eux qui ont tort de manger des animaux quadrupèdes
pacifiques et inoffensifs, de la
volaille, voire du poisson :
une sale habitude [qui
passera] héritée localement de l’Histoire de
l’Alimentation -(H. A.)- dans laquelle on n’a pas eu accès, sous certaines
latitudes, aux multiples solutions alternatives élégantes de l’alimentation
végétarienne). C’est une situation réellement handicapante pour celui qui
est probablement anorexique devenu bouddha, c’est-à-dire conscient, hélas dans
le SPÔK -(situation
précise,
occasion,
cas
particulier [car
ici c + p = k])- dans lequel il ne se souvient pas quand cette
métamorphose pour le devenir a eu lieu, donc sans se rappeler du moment où il
est devenu l’un des bouddhas. Mais il aura parfois l’impression qu’une partie du
monde fonctionne à l’inverse de comment cela devrait plus justement fonctionner
car hélas, pour certains [parfois même des proches],
ce sont les injustices qui sont devenues justes -(c’est
le cas pour tous les peuples omnivores à tendance carnivore, se nourrissant de
viandes d’animaux quadrupèdes pacifiques et inoffensifs, de volaille comme aussi
de poissons): et le sujet en question devient pour une personne dotée de
conscience une sorte de cauchemar, comme dans d’autres SPÔK, et ce sujet peut
être à l’origine de sentiments d’insécurité qui est à l’origine de ce que ces
anorexiques refusent au moins dans un premier temps de devenir végétariens
-(d’autant plus qu’ils aiment leurs proches et les relations de ces proches qui
ne sont pas végétariens).
Or ce qu’il faut souligner
c’est qu’indubitablement manger végétarien c’est appartenir à ceux qui
fonctionnent déjà -(ils ont de l’avance sur
d’autres régions)- sous certaines latitudes plus justement, donc sans -[porter
le]- masque -(débarrassés des préjugés qui
les ont contraint à se nourrir en omnivores à tendance carnivores en acceptant
que l’on élève et tue pour eux des animaux quadrupèdes pacifiques et
inoffensifs, de la volaille et des poissons), c’est-à-dire sans
complicité avec ceux qui s’autorisent à faire souffrir les animaux quadrupèdes
pacifiques et inoffensifs, la volaille et les poissons et à cause des élevages
intensifs -(à des fins de boucherie et de
poissonnerie)- être à l’origine de l’effet de serre du réchauffement
planétaire, c’est-à-dire du processus lui-même de désertification ! D’où pour
les futures générations l’urgence de les préparer à la grande mutation -(j’ai
pu vérifier sur un élevage d’insectes coupé du reste [du monde] que s’il n’y a
pas de nourriture animale dans la poubelle d’un végétarien, ceux-ci s’adapte
très bien aux restes d’une alimentation végétarienne, au point, en quelques
générations de devenir végétariens)- car pour les générations actuelles
qui se sont habituées à manger des animaux quadrupèdes pacifiques et
inoffensifs, de la volaille comme aussi du poisson, c’est -[à
quelques exceptions près]- trop tard et on le sait, on ne peut que
rarement contraindre par la force pour obtenir quelque chose de bon pour
l’Ensemble, cela ne peut/doit venir que de choix libres, donc de libres
adhésions, d’une nécessité intérieure vitale car on a été réellement convaincus
par des arguments véritables de la nécessité de faire périodiquement des
mises-à-jour, en comprenant un peu mieux la loi des conséquences à l’origine de
situations tragiques, voire à l’origine de l’inverse quand tout se passe bien,
c’est-à-dire quand on bénéficie et on suit les bons conseils ou/et les bons
raisonnements. La Grande Mutation doit devenir un intrinsèque et élémentaire
désir de changement d’alimentation à cause de la quantité de solutions
alternatives élégantes alimentaires végétariennes, en fait sans même s’en rendre
compte -(à moins que cela ne soit à dessein)- un choix altruiste, généreux dans
l’Intérêt et pour le Bien Général, ce qui aura déjà comme conséquences
individuelles de s’offrir -(avec cette façon de se nourrir en végétariens)-
enfin une meilleure santé, mais aussi d’appartenir à ceux qui prennent soin de
notre planète en évitant d’aggraver -(d’autant plus
de l’augmentation de la démographie à laquelle on doit éviter de transmettre des
traditions alimentaires néfastes à l’origine de la désertification)- le
processus de désertification, à cause de la trop grande consommation alimentaire
des animaux quadrupèdes pacifiques et inoffensifs, de la volaille et du poisson.
- Car il ne faut pas oublier
non plus qu’il y a une majorité des gens qui ne sont pas encore bouddhas. Aussi
la vie devient difficile à vivre pour un bouddha -(c’est-à-dire
un éveillé, une personne ayant enfin eu accès à sa conscience, un homo sapiens
sapiens, un adulte parachevé, voire un
illuminato, etc.)- au point qu’on peut effectivement parler
d’handicape, voire d’un handicapé pour chacun de ceux qui sont nés bouddha ou/et
devenus bouddhas -(mais qui ne savent pas à partir de quand).
- En effet, à partir du moment
où on a accès / retrouvé [à] sa conscience -(ce qui
offre de comprendre la Vérité et les meilleurs conseils y compris en Sciences
Économiques), la solitude est quasiment totale. On le sait, on ne peut
être compris que par des alter ego ou
par ceux qui cherchent de tout leur cœur la vérité comme pour cela à devenir à
leur tour l’un des bouddhas, cependant que ceux-ci sont le plus souvent en enfer
-(ou dans le fameux
samsara)-, voire pour les plus
avancés d’entre eux au purgatoire. Aussi ils idéalisent cet objectif de [la]
libération -(délivrance)- où ils devront
passer dans cette autre dimension de la bouddhéité qui est celle des véritables
esprits libres -(ce qui ne signifie pas qu’ils sont
libres de se tromper, mais le contraire : libres de proposer ce qui est
véritablement meilleur aux autres comme, par exemple, en ces temps de pollution
atmosphérique à l’origine du réchauffement climatique et de l’agrandissement des
déserts, les véhicules qui roulent à hydrogène ou/et à l’électricité, ce qui
fera gagner des points à ceux qui les achètent pour rouler, car ils cesseront
d’appartenir aux pollueurs), ayant la possibilité de devenir -[vraiment]-
créateurs, car on accède à une plus large/ample compréhension de la réalité.
Ceux-ci – c’est certain –
sachant qu’il y a l’état de bouddha à obtenir en soi-même vont donc essayer de
bien faire dans chacune de leurs actions. Or pour bien faire, il faut avoir une
véritable idée du Bien Général et de l’Intérêt Général sur chacun des points et
si possible à très long terme! Et ces notions, on ne les acquière au sens de
comprendre qu’une fois devenu l’un des bouddhas, soit l’un des éveillés ayant [de
nouveau] accès à la pleine lumière de la conscience, par conséquent à la
Vérité qui est, hélas, très souvent extrêmement complexe -(on
l’a vu dans l’exemple concernant la majeure partie des anorexiques),
composée de vérités relatives catégorie par catégorie, afin de donner naissance
à des solutions alternatives élégantes. Cette métamorphose advient donc dans la
tête : c’est de la transformation de l’esprit qu’il s’agit en -[plus
véritable]- intellectuel.
- Parfois c’est long de devenir
l’un des bouddhas, par exemple si on a beaucoup péché, c’est-à-dire si on a fait
de nombreuses choses impures, ce qui est à l’origine des mauvaises pensées qui
sont parfois à l’origine de[s] mauvaises actions -(celles-ci
sont donc des conséquences donc et/ou des répercussions). D’où
l’absolue nécessité [de s’ouvrir à la
connaissance des Evangiles] du Christ qui parvient à pardonner s’il
entend que le repentir de ces péchés commis ou/et des pensées négatives est très
réellement sincère de la part de ceux qui les confessent se sachant réellement
devenus coupables car injustes et égoïstes, voire dans d’autres SPÔK -(situations
précises,
occasions,
cas
particuliers [car
ici c + p = k])- pires, ce
qui implique d’être au moins un tantinet conscient qu’une grande partie de ce
qu’on a cru être le bien est pour son individuel plus authentique/précieux
soi-même en réalité le/du mal.
- Pour le bouddha que je suis
devenu, c’est le bouddha Osiris qui, avec le Christ, a été crucifié, par
conséquent Dieu lui-même un en Horus par Isis ! Il n’y a probablement jamais eu
pire injustice, crime, et/ou sacrilège de la part d’une foule jalouse,
ignorante, sacrilège -(au sens négatif de ces mots
– ASNM qui appartiennent à la catégorie des laipis)- se conduisant en
inconsciente étant dans l’amnésie de tous les précédents moments positifs et
admirables de Jésus, en ne voulant retenir -(pour
les lui reprocher malhonnêtement)- que ceux les plus incompréhensibles,
pourtant dignes d’admiration par les plus intelligents.
- Mais on peut comprendre que
devenir l’un des bouddhas soit l’objectif de chacun des êtres humains aspirant à
se connaître eux-mêmes pas seulement dans la malhonnêteté mais au contraire dans
l’honnêteté avec enfin toutes les virtualités positives. C’est alors, pour
certains, comme être dans le secret des plans de Dieu, par conséquent du Christ.
- J’ai démontré, enfant,
comment un petit bouddha de quatre ans peut perdre sa bouddhéité en devenant
l’auteur de quelques mauvaises actions et pour cela en commençant à cacher ces
mauvaises actions et enfin [à] mentir -(d’où
l’importance des religions intellectuellement admissibles dont celle de la
religion chrétienne qui donne la possibilité du repentir). Mentir à
autrui c’est, en dehors de certains SPÔK -(situations
précises,
occasions,
cas
particuliers [car
ici c + p = k])- ou cela est possible par exemple en légitime défense, se
mentir à soi-même.
- Cela s’est déroulé entre 1967
et 1977. Puis une fois redevenu bouddha en 1977, j’ai démontré une autre fois –
mais sur beaucoup plus de temps, comment on perd sa bouddhéité à l’adolescence
et à l’âge adulte, en ayant pour commencer dans cette voie une amnésie de faits
essentiels et petit à petit en recommençant à me mentir à moi-même parce que
j’oubliai l’un ou l’autre paramètre fondamental, voire parce qu’on trouve normal
d’avoir des mauvaises pensées, voire à ne pas se conduire en gentilhomme,
notemment avec les jeunes filles, par exemple en couchant avec elles sans les
aimer d’amour véritable [comme] pour les compter à son tableau de chasse. Donc
en se conduisant en don Juan, soit en laipis -(uniquement
laïc, strictement
athée, par moments
inconscient,
profane, parfois
ignorant et par omission ou non
sacrilège. Ces sept mots -[avec
le mot » laipis « -(qui résulte des premiers
caractères des six mots suivants et de sa première occurrence en
lapis)]-
au sens positif et négatif de ceux-ci :
[ASPN]). Mais j’ai aussi démontré
comment quelqu’un qu’on a fait devenir artificiellement satan -(qui
cherchait à se conduire en don Juan)- soit l’empereur lui-même, parce
qu’il recherche sans tricher à retrouver la cohérence de sa raison grâce à la
logique, peut redevenir l’un des très véritables bouddhas, en découvrant que
satan -(le mal)- est en réalité le résultat/produit de l’absence de mémoire de
nombreux paramètres essentiels, au point de n’agir qu’en inconscient subjectif,
par conséquent pas encore en adulte parachevé, et encore moins en bouddha,
c’est-à-dire en une personne ayant accès à la conscience, soit à la raison et à
la logique pour déterminer ce qui est le meilleur.
Cette démonstration a pris à
partir de 1977 vingt-sept années supplémentaires aux dix années précédentes
consacrées à la démonstration pour/aux enfants de l’absolue nécessité et/ou
utilité des religions intellectuellement admissibles pour redevenir un enfant
véritable. A partir de 1977 cela n’a été possible qu’en m’infligeant une amnésie
très handicapante, ce qui m’a petit à petit fait obtenir artificiellement une
adolescence de laipis -(uniquement
laïc, strictement
athée, par moments
inconscient,
profane, parfois
ignorant et par omission ou non
sacrilège, ces sept mots -(avec
le mot laipis y compris)-
au sens positif et négatif de ceux-ci : ASPN)- durant laquelle j’ai pu
remarquer qu’on n’arrive pas à croire à la réincarnation, car on ne sait plus ce
qu’est un bouddha. Je me suis donc conduit comme chacun de ceux qui ne sont pas
encore des adultes parachevés bouddhas -(des
éveillés ayant accès à leur conscience), qui cependant cherchent à
devenir adulte, parfois maladroitement, au point que tous les véritables
bouddhas doivent songer à se protéger, tant ces maladresses peuvent être
dangereuses pour tous. Il faut comprendre que devenir un des « éveillés », voire
un des illuminati a, dans chacun des
contextes familiaux où cela est advenu grâce à la métamorphose, dû souvent
représenter de très grandes difficultés dans tous les ordres, ce qui signifie
sur chacun des plans dont celui financier.
A la question du début, je
réponds que le temps pour devenir un des bouddhas est variable selon la quantité
d’erreurs -(de péchés)- qu’on a à son actif
-(c’est-à-dire sur la conscience, par conséquent
qu’il est souhaitable d’une façon ou d’une autre expier, par exemple pour
atteindre le purgatoire), voire dans lesquel[le]s on a baigné, au point
de reproduire chaque jour [comme] le jour
précédent -(sans plus sentir intellectuellement de
progrès vers la connaissance de la Vérité)- et d’être dans un monde qui
paraît sans issue comme de croire à un ensemble de choses qui ne sont tout au
plus que des vérités relatives, voire pire, des choses fausses ou/et -[tout
bien pensé]- de peu d’intérêt.
- En fait ce qui peut aider
quelqu’un à devenir un des bouddhas, c’est apprendre à écrire des rédactions
et/ou des dissertations, en s’imposant de faire l’anti-thèse de ce qu’on
cherchera à affirmer en Vérité dans l’Intérêt et pour le Bien Général -[y
compris et surtout celui à très long terme], car il existe des exemples, avec à
première vue de bons arguments où ce qu’on avance comme idée sur le sujet n’est
pas totalement vrai, totalement juste, totalement exacte -(par
exemple à cause de l’omission de paramètres, [ce qui parfois s’avère possible /
souhaitable tant ceux-ci ne sont que secondaires], prioritaires ou/et
principaux, ce qui alors débouchera sur l’erreur).
- Car on le sait, ce qui est
vrai -[en absolu]- (du moins sur le très long terme
comme par exemple la nécessité d’accomplir la grande mutation [alimentaire] pour
sauver la planète et entre autres les anorexiques -(qui
n’auront plus peur de manger végétarien en assistant au fait que les jeunes
générations se sont mises à se nourrir en végétariens de manière à permettre au
maximum de gens de manger à leur faim. C’est ainsi que les anorexiques
comprendront enfin pourquoi ils peuvent cesser d’être anorexiques puisque cette
grande mutation, grâce au végétarisme, est absolument nécessaire pour sauver la
planète -(avant que la démographie de gens
omnivores à tendance carnivores ne soit trop importante [ce
qu’hélas elle est déjà]–
ce qui aurait pour effet une plus grande
dégradation des terres cultivables, si on devait poursuivre l’élevage intensif
pour répondre à la demande, elle aussi en augmentation si la grande mutation
n’advient pas, ce qui serait rapidement catastrophique et probablement à
l’origine de la fin de cette planète, à cause du réchauffement planétaire et du
processus de désertification engendré par l’élevage intensif
– par conséquent une augmentation de
l’élevage à des fins de boucherie, au lieu d’une préférable diminution,
conduirait vite la Terre à devenir un vaste désert ce dont on a une idée très
réelle/précise avec la lune ou/et la planète Mars) comme l’invention de
l’écriture et des chiffres qui sont aussi vus autrement des vérités relatives, a
la propriété d’être exacte, scientifiquement vérifiable, car ces écritures, ces
chiffres, cela peut permettre – j’espère on le remarquera ici – à travers des
raisonnements de penser plus justement.
- Sur vingt-sept ans, j’ai
donné à ceux qui n’étaient pas au courant de l’existence de cette sécurité dans
l’être humain -(celle qui permet de [re]devenir
un des bouddhas même si on a péché)- une démonstration en me conduisant
comme le cobaye d’une expérience par bien des aspects médicale -(on
le sait, le dieu de la Médecine ne peut-être qu’un [devenu]
Bouddha qui a entre autre appris aux êtres humains laipis en chemin vers la
délivrance –(ce qui s’était produit pour lui)-
à devenir végétariens, une des étapes indispensables, fondamentales, soit
primordiales pour [cheminer vers]
/ obtenir le jour venu -(qui peut être dans
certains SPÔK -situations
précises,
occasions,
cas
particuliers
[car ici c + p
= k])
hélas, très lointain)- cet acquis de
conscience, soit vers la bouddhéité retrouvée), d’autant que cela était
pour permettre à l’un ou l’autre des laipis qui suivrai[en]t cette expérience de
comprendre que pour de nombreuses autres personnes, les dimensions sacrées de
l’existence existent très réellement, qu’elles correspondent véritablement à un
ensemble de devoirs et/ou de réalités à mettre en œuvre pour soi-même et les
autres, dont on va se croire parfois responsables, surtout s’ils n’ont pas
encore trouvé la voie de la possible métamorphose en un/e éveillé(e).
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