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Voici mon texte publié sur la page de Dominique Constantin et sur ma page www.facebook.com/laurie.granier.3:
J'ai publié un petit texte sur la page de Dominique Constantin qui avait publié cette photo. Voilà l'encadré d'introduction et le texte qui suit: Hélas, dames Domique [Costantin], je n'ai relu qu'une fois ce texte que m'inspire le fait que vous avez publié cette photo - donc il est ici sous forme de notes, de brouillon, entre nous, "non un gran che" (en italien), mais je vous le poste, car j'aurais à cœur un jour de le corriger trois autres fois, ce que je me contrains toujours avant de publier sur du papier: mais j'ai peut-être trop de respect pour les manufactures ou usines qui produisent du papier blanc à l'aune de tous les propos les plus faux qui y furent inscrits par d'autres mains:
C'est fort bien juste. Il faut toujours désobéir aux ordres iniques ou qui n'ont
pas été mis à jour, en raison de modernité ou/et d'une époque plus avancée
(les nôtres contemporaines, interaction
de chacune de nos façon de voir à nôtre époque en essayant de tirer le meilleur
véritable, ce qui convient de plus sage à partir de toutes ces données) ou/et de
coutumes bien meilleures ailleurs puisqu'en se dévoilant, la beauté des femmes
devient courante, banale et par conséquent moins rare à découvrir, ce qui la
rend moins coûteuse sur le marché du travail (mode, mannequin) puisqu'il n'y
avait rien d'extraordinaire (on sait qu’il y en a de très nombreuses qui sont
belles au moins quelques temps)
à moins
qu'il ne s'agisse comme ici d'une beauté doublée d'une intériorité plus
remarquable que d’autres femmes (on se demandera à quoi c’est dû – de nombreux
paramètres ont dû jouer, pas seulement génétiques : éducatifs). De toute façon:
qu'on se le dise, ce qui avait été édicté par le Prophète Mahomet en cette
époque aujourd'hui formidablement lointaine et ancienne, est une règle générale
révolue car elle doit être mise à jour aujourd'hui en raison de l’interconnexion
des différentes civilisations anciennes ayant enfin abouti à donner la certitude
d’en avoir créé une seule multiple et cela doit permettre à chacune des femmes
de ne recourir au voile que si elles ont devant elles un faune lubrique, un
satyre ou un centaure (ce qui était monnaie courante en ces époques où les êtres
humains n'étaient que [trop] peu instruits, donc n'étaient que des ignorants, au
mauvais sens de ce mot, en dehors des quelques rarissimissîmes [esprits] lettrés
qui avaient accès à des embryons de scolarité[s] (car celle-ci, la scolarité
n’existait pas autant que de nos jours) desquelles, grâce aux influences de
toutes les autres (dans le monde entier étant en relation avec la notion
d’Université et d’Etudes supérieures mais aussi la notion d’aAuteur comme
d’autres paramètres) avec leur découvertes locales, ont découlé toutes les
notables avancées. En fait de voiler les femmes avait été trouvée comme la
solution élégante provisoire dans ces localités (issues des avancées de la
religion musulmane) pour, au départ, dissuader certains manques de respect dont
se rendirent capables cette engeance de dégradés, profanes et sacrilèges
(d’anciens voyeurs lubrique) qui de tous temps se comportent d’une façon
agaçante pour les femmes en devenant ainsi la honte de l'humanité (mais cela
existe aussi pour les garçons qui ont dû se couvrir pour éviter de représenter
une trop grande tentation pour des femmes immatures). Aussi les femmes se sont
alors punies (en se couvrant, donc en disparaissant) à cause de cette masse de
très vulgaires et grossiers personnages qu’on a nommé en Occident les faunes,
les satyres et les centaures (depuis les temps de la Grèce antique, cependant
qu’on aura compris que le problème ne date pas d’hier). Mais se couvrir ainsi,
faire disparaître ce qu’on est comme identité particulière, originale,
différenciée est injuste y compris envers son originalité, sa particularité mais
ce
fut localement considéré comme
une bonne solution, de même que les jeunes filles peuvent toujours recourir au
foulard dans nos sociétés occidentales pour se rendre moins attrayantes, plus
laides ou/et même passer plus inaperçues (c'est donc une technique de costumier,
une invention de Théâtre et qui provient des aArts dramatiques qui est passé
dans nôtre quotidien et qui fut conseillée, comme toutes les solutions élégantes
au départ par un bouddha ou un autre comme toutes les autres depuis toujours et
cela pour contrer un esprit voyeur, au mauvais sens de ce mot (y en aurait-il un
bon ? il faudra le chercher). C’est qu’il fallait le décourager pour éviter
qu'il ne fasse plus encore de dégâts, voire de péchés : on eut alors en ces
temps immémoriaux recours à ce voile parce qu’on était en pleine période de la
découverte des métiers à tisser : donc des drapés qui avaient aussi une fonction
de protections contre le froid – aussi on a associé le vêtement à la protection
contre le danger, ce qui n’est pas faux bien qu’il ne soit heureusement pas que
cela : qu’il ne se cantonne pas à cette fonction néanmoins principale dans un
grand nombre de rRégion sauf dans les pays chauds, voire très chauds où ils
paraissent même comme absurdes à l’aune de nos estivants, ou des habitudes que
nous avons prises, l’été de nous découvrir sur les plages et partout où nous
pouvons rafraichir nos corps grâce à la bienfaisante eau). Mais voilà, tout cela
a conduit en Occident à l'inverse du tchador, au point que dans les films
pornographiques, par provocation, on ne fait pas semblant de se dévoiler donc de
rendre banale, monnaie courante, la nudité qui est soumises sur les marchés
comme tous les produits ou les résultats, donc comme n'importe lequel des autres
catégories à la loi de la Quantité et de la Rareté. Mais on comprendra qu’il y a
le danger de faire une erreur au sujet de la nudité en l’assimilant à la
pornographie ou même à l’érotisme (ce serait trop facile car en réalité tout
cela est beaucoup plus complexe : cela dépend de l’histoire personnelle de
chacun, mais aussi des réincarnations précédentes et tant qu’on n’est pas devenu
un bouddha, on court le danger de tomber dans les clichés : bref d’adopter des
coutumes à propos de ce sur quoi on n’a pas appris à penser : comment
s’habiller ?
Ici c’est pour certain un
art (ceux qui ont les moyens financiers), donc qui vont consacrer une part de
leur budget à ce soin (ce qui a des répercussions sur le commerce, donc sur les
activités citoyennes) tandis que ceux qui n’ont pas (peu) les moyens financiers
n’ont qu’un choix assez limité pour se vêtir et vont donc adopter les coutumes
les moins onéreuses/chères/coûteuses et s’habiller passe-partout, sans
recherche, sans goût, sans comprendre même ce qui concerne ces catégories si ce
n’est en fonction de la notion de plaisir ou alors d’efficacité, c’est-à dire de
confort !
En Occident, on est peu habitué à se voiler, à se couvrir d'autant le visage
-[(cela concerne en général les cheveux longs des femmes qui furent l’objet,
dans les couvent de la nécessité de les cacher pour signifier que l’essentiel
était ailleurs quand on se consacrait à ce que ces personnes ont prétendu être
l’œuvre de Dieu et évidemment on comprend amplement que cette façon de faire ait
déplu au point même qu’on en aurait voulu au Créateur puisque ce qui permet de
parer la beauté des femmes, les cheveux disparaissaient dans une sorte de
mini-tchador pour voiler la présence de cheveux longs – évidemment cela a donné
naissance à des clichés mais aussi à la mode ecclésiastique qui recherche la
sobriété et surtout à rendre les êtres sans plus aucune différence entre eux,
donc à faire disparaître ce qui les rendait différents – autre raison de
contester – autre raison de provoquer avec des coiffures les plus fantastiques
ou même les plus provocatrices, rien que parce que cela n’est, à première vue
avec raison, pas/peu apprécié – n’est-on pas sur terre pour essayer, avoir des
expériences, s’amuser avec nos cheveux : devenir beaux grâce aux cheveux – on le
sait l’époque des perruques, c’est-à-dire des cheveux longs a permis de rendre
des êtres humains comme Albrecht Dürer l’un des plus êtres humains de tous les
temps : il avait des cheveux longs et non des courts – donc n’a pas voulu faire
subir une mortification à ses cheveux – c’est le parti que j’ai pris pour les
miens pour lui rendre hommage : je les laisse pousser comme quand j’étais
enfants avant ce jour de cauchemar par lequel les uns et les autres nous eûmes à
passer quand nous dûmes accepter qu’on nous coupe les cheveux, par charité, par
sacrifice pour l’un ou l’autre des coiffeurs de quartier : c’est-à-dire pour
leur permettre de survivre en n’ayant que simplement à couper des cheveux,
c’est-à-dire à utiliser un instrument, le ciseau ou la tondeuse, ce qui est à la
portée de n’importe qui en quelques séances d’apprentissages rien qui ne
requiert des investissements colossales
pour arriver à créer ce ciseau ou cette tondeuse ou ce métier à tisser
les tchadors, soit ce qui fut trouvé comme solution élégante par l’un ou l’autre
des incommensurables bouddhas de charité et cela pour permettre à cette quantité
de main d’œuvre sachant reproduire par mimétismes, donc non intellectuelle, non
pas encore capable de concevoir en vérité des solutions élégantes, de n’avoir
qu’à les reproduire en très grand nombre pour faire baisser le prix en raison de
la quantité d’exemplaires et en cela appliquer la règle, la loi de la Quantité
et de la Rareté : les ciseaux comme les tchadors ne sont pas rares et à la
portée de toutes les bourses et cela permet donc de s’improviser coiffeur ou
alors vendeur de ces tissus de façon à proposer ces activités qui pourraient
avoir à voir avec des mortifications tartuffiennes si les ciseaux ou les tissus
n’étaient pas employés dans l’industrie des spectacles, de la fantaisie, de
l’artifice, donc de la mode, c’est-à-dire de l’éphémère, de ce qui ne dure pas
cependant que perdre ces cheveux long d’enfant et cela parce qu’on est parait-il
un ‘garçon’, c’est devoir subir la dictature d’un cliché, d’un stéréotype, d’une
tradition incompréhensible pour un enfant qui raisonne encore un tantinet
justement mais qui n’a pas d’avocat
dans les années 1960 pour prendre son parti contre l’intérêt de cette masse de
coiffeurs qui a intérêt à ce qu’on vienne couper les cheveux des garçons – d’où
vient la tradition : cela remonte à loin et sans doute à une idée qui s’est
ancrée comme celle des tchadors : le garçon doit avoir les cheveux court –
résultat aussitôt naissance du mouvement des cheveux longs qu’on va nommer
hippies pour les dénigrer ce qui me fera inventer le balais hippie, c’est-à-dire
le balais serpillère par solidarité avec les Beatles et tous ceux qui
comprennent qu’à l’époque des solutions élégantes des shampoings contraindre les
garçons à se couper les cheveux n’est pas le signe qu’on appartient à des gens
qui ont fait la mise à jour avec leur époque contemporaine mais qui restent
fidèles à cette époque où on craint les poux, ce qui avait disparu grâce à ces
shampoings – il en va de même des tchadors, il s’agit de gens qui conservent des
habitudes sans même savoir pourquoi et qui découvriront ici la raison de la
genèse de ce port des tchadors en découvrant qu’ils sont devenus à cause de ces
tchadors trop portés des faunes, des satyres et des centaures, c’est-à-dire des
voyeurs, donc des gens qui reluquent à l’insu d’autant plus que protégés
derrière l’anonymat que l’espèce de moucharabieh de grille de tissage
devant les yeux va créer : une véritable
prison ou cachette de laquelle voir sans avoir à décliner son identité, donc en
réalité comme le masque d’Arlequin ou d’un autre personnage de la Commedia
dell’Arte qui se perd dans la nuit noire : dans l’obscurité de ceux qui n’ont
plus voix au chapitre : à qui on ne donne plus le droit d’exister – évidemment
ici naturellement ce qui n’est pas admissible, ce qui n’est pas même concevable,
ce qui est intolérable et qui plus est a été fait au nom de Dieu ! Ne serait-ce
pas ici une erreur (du moins sur ce point) ou alors une façon de se vêtir qui
n’est pas/plus acceptable, à l’aune de chacune des autres façons d’approcher
cette notion de Dieu qui prouvent un peu partout que le recours aux tissus pour
se protéger ne va pas jusqu’à devoir faire disparaître les signes de
reconnaissance qui permettent de différencier l’identité de chacun (le voile
masque le visage ou les cheveux) – y aurait-il eu des erreurs dans » penser
Dieu « ? Et si oui : quoi précisément ces erreurs ? Ici des développements que
nous pourrons faire ultérieurement
d’autant plus que nous pouvons tout de suite comprendre que s’attacher ainsi à
faire disparaître les différences de chacun est peut-être même criminel contre
l’humanité, vu sur un plan ou deux, cependant qu’on comprendra aussi l’antithèse
qui est celle de tous ceux qui ont recours à l’uniforme et cela pour des
raison[s] économiques, financières : de faciliter les travaux de ceux qui vont
avoir à coudre (à fabriquer) ces vêtements : leur faire gagner du temps, leurs
faciliter la tâche et ainsi obtenir des prix de gros surtout en période
d’augmentation du prix du baril de pétrole, en raison de ce que la loi de la
Quantité gouverne normalement tous les produits et que le vêtement rare va, au
contraire des uniformes,
exiger un temps
en plus, donc un temps à considérer, à évaluer et avec ce temps un coût
supplémentaire : différence entre la haute couture et le prêt-à-porter et dans
un contexte économique peu favorable comme celui qui résultera du choc
pétrolier, donc du prix du baril de pétrole à cours-le-haut, la moindre économie
de bout de chandelle a été fondamentale pour la survie de tous les rackettés –
c’est-à-dire l’humanité entière à l’exception de la petite bande d’ignorants, au
mauvais sens de ce mot, (donc de mauvais domestiques tout au plus, c’est-à-dire
de malfrats (ou de criminels contre l’humanité, c’est-à-dire tous ceux qui
recherchent à s’infiltrer dans une maison légitime pour dérober les maîtres : ce
qui tiennent la comptabilité qui ont accès au Trésor, donc à la possibilité de
payer), un personnel qui normalement doit apprendre à servir car encore très
incompétents mais qui a voulu un peu partout se comporter en maître (évidemment
de la parodie de maître) donc imposer leurs conditions infâmes et sacrilèges,
criminelles contre les intérêts les plus vitaux des générations à venir, donc
criminelles contre leurs descendants : ces racketteurs des égoïstes, des
enfants-gâtés, des adolescents soutirant à leurs maîtres les Revenus Financiers
Propres et Mérités (RFPM) qu’ils dépensent alors en irresponsables, en
inconscients – c’est-à-dire come le dépensent les faunes, les satyres et les
centaures : comme des revenus usurpés (des cfu : des crédits financiers usurpés,
sale [cfs], cfc[orrompus], malhonnête [cfm] )– ceux-là mêmes qui ne vont que
rechercher à s’habiller sans goût (ou alors avec excès), à provoquer ou alors à
considérer des façons de s’habiller comme sacrilèges, parce qu’ils sont
eux-mêmes sacrilèges enlisés dans les clichés de bas-étages, par conséquent
n’utiliseront pas le paramètre de l’historicité (pour remplacer des clichés ou
des traditions anciennes dans les contextes génésiques où ces traditions sont
apparues à l’origine) de ce qu’ils prônent à tort comme solution[s] élégante[s]
et la reproduisent en conservateurs, au mauvais sens de ce mot, au lieu d’être
des conservateurs progressistes -[(ayant compris l’intérêt de chacun des
paramètres nouveaux pour repenser tout ce qui est à conserver, mais à modifier
en proportion, donc pour s’inscrire à l’intérieur d’une perspective liée à la
Création au sens plus général, ouverte sur les différences, voire à première vue
les incohérences à résoudre car si elles existent elles sont liées à des
développements qui furent éloignés les uns des autres et dans la non
connaissance de l’existence de solutions différentes pour régler le problème des
faunes, des satyres et des centaures à l’intérieur de géographies différentes)]-
car ils se refusent à faire une mise à jour et reproduisent
sans savoir pourquoi le tchador,
pourquoi les service militaire et pourquoi pas, pourquoi couper les cheveux des
garçons, pourquoi les frères et les sœurs ne peuvent pas dormir ensemble à l’ère
de la pilule (qui pour être proposée au prix où elle l’est obéit au loi/règle de
la Quantité et de la Rareté, comme le reste y compris les préservatifs) ou même
les fils avec leur mère et les filles avec leur père – car le problème venait de
ce qu’il y a des dangers, ces probabilités de consanguinité donc de mettre au
monde des enfants malformés, très handicapés si les filles avaient des enfants,
ce qui a donné l’habitude à chacune des familles de tisser des relations
amicales de bon voisinage avec toutes les autres voisines ou éloignées, en
raison des espoirs concernant les futures alliances et/ou mariages qui ne
pouvaient avoir lieu que dans d’autres familles (à l’exception de la sienne)
pour renouveler le patrimoine génétique (pour avoir des chances d’ éviter ces
malformations génétiques qui avaient grandement des probabilités
de découler de telles alliances consanguines), ce qui reste, à nôtre
avis, une bonne chose qu’il faudrait conserver d’autant qu’il est une sorte de
socle sur lequel se sont élaborées les différentes constructions des familles,
de villages, des sociétés, mais aussi des rRégions, c’est à dire ce qui a fondé
nos civilisations différentes (l’interdit de l’inceste y compris entre frère et
sœur et cousin germains sauf si on obtenait des dérogations spéciales de la part
des responsables)
- tout cela ayant été
à première vue remis en cause par la contraception qui fut donc considérée comme
diabolique, parce que remettant en cause un ordre très ancien qui avait mis des
millénaires à devenir compréhensible et même à être considéré le remède le plus
sûr : celui de devoir quitter sa famille d’origine pour une autre, ce qui
éviterait la naissance de
personnes malformées)]- de plus
de la très saine habitude des scolarité mixtes. Être sans voile n'est pas du
tout une chose rare, ni même apparaître avec un voile ou un foulard n’est plus
considéré comme précieux (si le foulard n’est pas une œuvre d’art unique à
tirage limité (comme le sont quelques-uns chez Hermès) et c'est tant mieux car
cela a permis de créer une véritable forme d'égalité entre l'homme et la femme
et cela d'autant plus que l'un et l'autre ont à cause de leurs enfance distincte
un budget séparé bien que parfois en une aventure jointe, en association
(un » join venture « d'épousé et d'épouse) qui permet au sein d'une famille
constituée, un compte courant bancaire commun, cependant que chacun détient pour
sa part (en raison des revenus obtenus (en général honnêtement) un compte
séparé. On fait bourse commune car chacun est financièrement concerné par les
dépenses concernant le ménage, la croissance des enfants, les dépenses de
logements et pour se nourrir en commun, ce qui n'a été possible qu'en raison de
l'accès au travail et à l'indépendance financière des femmes. Voilà donc ce qui
autorise les femmes à se dévoiler: leur indépendance et leur autonomie
financière parfois même, pour les plus douées et compétentes d’entre elles, de
chef de famille quand c'est elles qui rapportent le plus de Crédits Financiers
Propres et Mérités (CFPM) dans le pot commun (ce compte bancaire ou postal en
commun), ce qu'hélas chacune de ces sociétés archaïques qui ne disposent pas
encore de guichets automatiques et de cartes bleues visa internationales ne
comprennent pas (évidemment pour le villageois d’une tribu amazonienne ou même
de la forêt au Nord de la Thaïlande ou vivant dans la forêt de Bandiagara c’est
pas tout de suite évident cette solution élégante trouvée après-guerre grâce aux
automatismes qu’on retrouve pour les machines à café. Ces sociétés archaïques
sont donc encore ancrées dans une sorte de pré-histoire de peuples qui nous
permettent à tous de comprendre la notion de » sous-développés « sur maints
plans devenus essentiels, fondamentaux dans les sociétés les plus développées,
et même principaux comme objectifs à espérer pouvoir transmettre : ces besoins
de première nécessité: celui de l'autonomie et l'indépendance financière de
chacune des femmes mais aussi de chacun des mari, de chacun des célibataires de
chacun des enfants, de chacune des personnes et c'est ici qu'on comprendra la
tragédie que vivent toutes les femmes voilées qui visiblement n'ont pas
d’activités modernes utiles dans la société de leur temps et sont encore
confinées, reléguées aux tâches ménagères. Cette tragédie est la plus détestable
qui soit et elle concerne encore toutes les rRégions (les anciennes nations) du
monde où les filles n'ont pas pu accéder aux enseignements supérieurs, donc sont
maintenues dans des traditions anciennes. Elles n'ont pas encore cru possible
(ne disposant d'aucun esprit de progrès sur place ou trop peu par conséquent ne
fréquentant que des esprits encore obscurs) faire les mises à jour qui
s'impos[ai]ent toujours (constemment) en raison de tous les paramètres étrangers
(aujourd’hui délivrés par les informations télévisées ou même accessibles sur les
autoroutes de l’informations d’Internet) qui prouvent que la tradition en
question n'était qu'un pis-aller (donc n'existait de cette façon qui l'a de plus
généralisée donc imposée comme on impose un uniforme - ce qui est [à traduire, à
révéler souvent/parfois] l'aspect dictatorial et tyrannique (hiérarchique) qui
va alors empêcher toute (au moins une grande part de) fantaisie, au point de
faire craindre le pire aux aArts et aux représentations de formes signifiante ou
non, colorées - par conséquent va créer une sorte de frein et un artificiel à
devoir vivre: ce qui a à voir avec un règlement, avec une loi humaine (issue de
l’humanité pensante à l’occasion d’un cas particulier – il n’y a pas de lois
humaines qui ne découle d’absence de cas particuliers : le cas [particulier] est
essentiel pour obtenir la vérité relative et les lois qui le régissent), donc ce
qui est à transgresser, ce qui n'est jamais/peu acceptable (d’autant plus qu’on
aura une idée à première vue de la réalité où tout ce qui est différent fini par
se toucher en un point ou un autre, parfois même seulement avec des photons
d’étoiles ou de soleils – aussi la découverte majeure dont l’homo sapiens est
responsable c’est la notion de dissociation, de séparation qui a permis d’être à
l’origine de la notion de catégorie, de mots au point qu’on comprend aisément
cela avec les mots eux-mêmes qui sont des additions de caractères uniques formés
eux aussi d’association de points et de lignes ce qui est un ensemble de points,
donc d’atomes, par conséquent d’électrons, et plus petit encore s’il y a – nous
sommes donc tous dans le relativement vrai et dans le à première vue, ce qui nous
contraints les uns et les autres à zoomer, à ne disposer que d’une partie de la
vérité, d’un schéma, d’un résumé, même en plusieurs bibliothèques ou
vidéothèques enregistrées en 3D –cela ne concerne toujours qu’une partie, le
sujet sur lequel nous travaillons et bien sûr souvent sans connaître ce qui a
été fait avant nous sur le même thème, donc en ignorants au bon comme au mauvais
sens de ce mot – d’où des orgueils de découvreurs qui en réalité ne redécouvre
que des choses archi-connues, découvertes par d’autres génies à d’autres époques
– d’où en fin de compte une humilité qui n’est pas fausse, une fois qu’on
comprend que ce qu’on a inscrit de nouveau même d’une façon originale et qui n’a
jamais été proposé avant de cette façon, comme celle des plus grands, nous
apparaît comme une évidence cependant que nous oublions continuellement que la
page avait été vide et serait vide encore s’il n’y avait pas eu l’invention du
langage, c’est-à-dire cette prise de conscience de la différence de chacune des
choses composant la réalité ce que l’entrainement à l’analyse a permis au point
d’offrir la possibilité de rapprocher des choses semblables sur différents
autres plans, même si différentes et de comprendre qu’un ordre cosmique existe –
que les mots sont des résultats mathématiques comme chacune des choses qui nous
entoure[nt] -https://www.youtube.com/watch?v=AAoI70jBy60-),
car ce n'est pas naturel et cela rend semblable des identités qui sont chacune
un patrimoine génétique totalement différent et original: donc voilà une société
religieuse qui devient sacrilège, si la raison n'était pas de rechercher à
protéger les jeunes femmes les plus vertueuses (mais ici, on sait depuis
longtemps en Occident que les femmes les plus vertueuses n’ont pas besoin de se
couvrir d’un tchadors pour conserver leur vertu ou être fidèles à celui qu’elles
aiment – aussi il s’agissait quand l’idée fut trouvée dans le passé d’une fausse
bonne idée et celui qui l’a eu n’a pas pu la comparer à des système antithétiques
a oublié l’un ou l’autre paramètres, n’a pas songé à toutes les conséquences
néfastes comme quand il y eu l’interdit total contre l’alcool : il ne
bénéficiait pas sur place de contre-exemple
qui
lui aurait permis de comprendre qu’il valait mieux ne pas être totalement
prohibitifs, par conséquent faire courir le danger à tous de présenter Dieu
comme intolérant – ce qui n’est pas intelligent et qui va donner une part de
légitimité aux profanes et aux sacrilèges, vus du point de vue de ces fanatiques
[intolérants] religieux au point de discréditer la notion de Dieu pour les moins
instruits, les cerveaux les plus obscurs, les moins capables de raisonner d’une
façon nuancée). En fait le problème est très complexe car à la longue cette
tradition de couvrir les femmes est devenue localement un préjugé et surtout
cette règle a rendu toutes les dames standardisées, un peu comme l’époque des
jeans ou des vêtement mao (cela a généré l’ennui total (d’autant plus important
que c’est l’époque où on filme, ou la télévision aurait pu filmer des
vêtements-ornements admirables)
et par
conséquent le désir de s’intéresser à tout ce qui va transgresser salutairement
ces interdits locaux qui heureusement ailleurs n’existaient pas (n’existeront
jamais) et mieux que cela parurent, effectivement, totalement inconcevables et
même le fruit d’une pensée de fou, au mauvais sens de ce mot
(comme d’interdire le pantalon aux
femmes) – donc contraignant à faire semblant sur le plan religieux, dans ce
qu’il a de plus bête : les règles et les règlements, l’absence de nouveauté –
tout cela ayant fondé et donné réellement de la légitimité au Dieu Carnaval qui
fut considéré le diable alors qu’infiniment divin, quoiqu’à première vue
diabolique et bachique.
Il n’y a rien de pire pour la Création donc pour les aArts que d’imposer une
règle vestimentaire quelconque et si on s’écoutait soi-même, on comprendrait
qu’il s’agit de folie au sens négatif de ce mot que chaque fois que cela a été
imposé quelque part (tant qu’on n’en connaît pas la raison) comme de couper les
cheveux des garçons, si on ne recherchait pas les causes, c’est-à-dire l’origine
de ce qu’une tradition s’est imposée, de ce qu’un uniforme ou une façon de se
vêtir est devenu localement à première vue du moins une solution jugée élégante
de résoudre un problème (des problèmes) qui s’est/se sont posé[s] à un moment
donné dans l’Histoire locale et dans l’absence de la connaissance de toutes les
autres solutions élégantes : on a choisi cette façon de procéder, peut-être même
en courant le danger de se tromper : un/le pis-aller.
Aujourd’hui plus de treize siècles après et à cause de la modernité dont toutes
les femmes encore voilées de cette planète sont au courant, cela devient
effectivement de plus en plus anachronique c’est-à-dire que cela confirme une
fois de plus (à l’aune de toutes les autres) qu’il s’agit d’une offense à la
Femme et aux femmes de les contraindre à se voiler, au point que je suis
persuadé que toutes les provocations y compris les plus pornographiques (si
elles n'avaient pas comme finalité d'être à l'origine d'involutions pour obtenir
des réincarnations tristes, tragiques, malheureuses, cauchemardesques et
honteuses) sont
méritées et attestent qu’on n’avait pas le droit de contraindre les femmes à se
voiler. Il s’agit donc d’une forme de réaction saine (qu’on jugea à tort et à
raison de la provocation) qui advînt en Occident d’autant plus favorisée par la
séparation de l’Eglise et de l’éEtat,, par conséquent de la laïcisation des
mœurs, c’est-à-dire de l’ouverture d’un éEtat (comme celui de la France) à
toutes les traditions religieuses sans plus en privilégier une seule uniquement,
par conséquent à tous les uniformes ou tous les modes/traditions vestimentaires,
aux folklores dans un esprit de tolérance au point qu’on parlera finalement de
bariolage ou même d’arlequinade générale ou même d’une sorte de Carnaval
permanent. Paris devenant, dans ses rues, comme New York avec son melting pot
cette Venise d’autrefois.
Il n’en reste pas moins que chacun des êtres humains naît libre de sa personne,
donc de se vêtir ou de porter les cheveux comme il le souhaite, du moment que
cela ne va pas l’entraver d’une façon trop grande dans son travail, vis-à-vis de
son employeur, qu’il gardera son efficacité et surtout qu’ll paye ses vêtements
avec des Crédits Financiers Propres et Mérités (des CFPM) de droit. Ici cela confirme que
chacun d’entre nous est libre de dépenser ses revenus comme il l’entend pour s’habiller et c’est ce que l’autonomie ou l’indépendance financière
permet (pas avant).
Dans ce débat au sujet du voile, on confond les plans et les niveaux et c’est là
le danger. La photo de cette jeune actrice iranienne a été faite devant un
objectif qu’elle a peut-être elle-même déclenché dans son intimité et donc elle
est un souvenir pour elle-même et bien sûr comme chacun d’entre nous face au
miroir, tous nous nous savons ne pas être seulement nôtre nom et prénom mais
tout ce que nous avons eu à vivre jusqu’à ce moment où nous pouvons nous
regarder, voire nous admirer quand nous en vallons le coup. Cette jeune fille
n’est que face à elle-même et donc face à la complexité de ce qu’elle représente
comme patrimoine génétique mais surtout comme héritage local confronté à la
modernité de nôtre temps mais aussi face à tous ceux qui pourront la regarder et
bien sûr cela signifie ce vide autour, ce qui n’existe pas : le point de vue de
l’autre cependant que la photographie signifie le contraire, qu’il existe. Si
nous ne disposions pas des paramètres que Dominique Constantin nous a très
sommairement et en résumant au plus pressé (car il s’agit d’une dame extrêmement
occupée qui n’a pas le temps de se lancer dans des discours et surtout qui
s’adresse à des pairs) signifié le mot d’Iran nous ne pourrions que songer qu’il
s’agit d’une jeune fille comme de très nombreuses autres, bien sûr chacune
différente mais ne représentant pas l’intérêt que l’information donnée va
représenter et nous révéler, nous signaler : il s’agit d’une grande première,
d’un acte de courage à saluer : cette jeune fille a vécu dans ce qui est
totalement inconcevable pour nous tous : la vie de couvent imposée de force au
point de ne rendre chacune des dames que des absences de dames dans les rues :
elles se promènent vêtues de noir comme des épouvantails dans les rues de ces pays dit
musulmans et c’est de nôtre point de vue d’habitué à ce que nos sœurs, nos
mères, nos tantes, nos camarades de classe et d’université soit rapidement
identifiables en raison de visage à découvert , plus encore que scandaleux au
point même d’être totalement incompréhensible et d’éprouver beaucoup de
compassion pour chacune de ces dames ou jeunes filles à qui on a comme interdit
d’exister car tous savent qu’on existe en raison de son portrait, de ce qu’on
représente dans un miroir ou de l’autre côté d’un miroir pour un lecteur : la
vérité ou le mensonge, ce qui est pensé justement ou alors ce qui est pensé
faussement aux lignes où ce fut pensé ainsi – c’est-à-dire aux lignes où la
vérité n’était que relativement vraie – elle dépendait des paramètres de
l’époque et hélas les exigences scientifiques qui sont les nôtres et que nous
sommes dans le devoir de nous imposer pour réussir à obtenir des conclusions
consensuelles n’existaient pas autant qu’à nôtre époque devenue toujours plus
précise, toujours plus exactes, toujours plus vraie au point même de ne plus
permettre la vie en commun une fois mariés. En effet, la femme qui est devenue
maître en l’une ou l’autre des disciplines sait qu’elle doit être libre et
surtout est la seule à savoir depuis sa toute petite enfance qu’elle aura à
élever ses enfants – c’est la seule chose certaine et cela constitue à
l’intérieur de nos société[s] moderne[s] non seulement une sorte de solidarité entre
elles toutes qui est naturel mais effectivement cette vision Pasolinienne ou
Fellinienne de » la Città delle Donne « où nous comprenons qu’elles vivent
très handicapées y compris par la notion
de mariage et cette contrainte qui s’est mise en place du mari chez elle y
compris pour élever leurs enfants. La femme se sait multiple en raison de ce
qu’elle peut avoir des enfants tandis que le garçon ne va considérer les enfants
qu’il a que ceux de sa femme : c’est elle qui est multiple : la statue de la
Diane d’Ephèse le prouve. Cette femme est certes celle d’une ancienne jeune fille et n’aurait
rien d’intéressant si nous ne la faisions pas parler à la lumière des paramètres
dont nous disposons au sujet du scandale que représente pour nous cette atteinte
à la liberté des femmes : les emprisonner dans une sorte de sac comme des
fantômes en leur hottant la possibilité de nous charmer (ce qui sera le cas dans
cette image pour ceux qui trouvent les brunes à leur goût ou même ceux qui sont
sensible à la gentillesse qui se dégage de cette personnalité » actrice «, ce
qui sous-entend se donnant en spectacle, en représentation, donc ayant une idée
de ce qui signifie être de l’autre-côté du miroir – ce que beaucoup de faune, de
satyres et de centaures mais aussi de centauresses et lolita ont oublié de
prendre en compte, de considérer : le point de vue des autres celui qui en
réalité ne compte pas dès qu’on fait les choses en cachettes ou à l’insu,
c’est-à-dire couvert par le tchador, en catimini comme dans ce prélude
à » Salo’ « de Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na !]nas les
Lordissîmes Pier Paolo Pasolini avec ses » Mille et une nuit « - mais
sommes-nous justes quand nous parlons synthétiques de » scandale « dès
qu’une femme n’est plus que sous un uniforme qui fait disparaître sa
personnalité ? Pas tout à fait car le problème des faunes, des satyres et des
centaures ou de Dracula lutinant derrière les vitres de chacune d’entre nos
sœurs, comme derrière le miroir existe toujours – comment
résoudre le fait que des regards impurs n’ont pas le droit de se poser
sur ce qui est pur ? En effet il s’agit là du problème lui-même du sacrilège qui
est posé – d’où un très vaste champ de recherche qui on le comprend a pu aboutir
à une mesure radicale, extrémiste, totalitaire, d’autant plus de l’époque en
question dans ces siècles où on disposait de peu d’aide pour s’occuper des
enfants et de leurs repas, des courses – il n’y avait pas encore de frigidaires,
ce qui permet de ne faire qu’une fois par semaine les courses, donc de gagner du
temps et il y avait urgence pour chacune de ces femmes de trouver au marché les
produits frais – de cette façon aussi point de favoritisme : cela permettait de
se consacrer aux différents travaux sans être à risquer les distractions, sans
avoir d’autres visages à devoir séduire – on a cru ainsi avoir résolu la
question de l’éros, donc du désir – mais il est probable que ce radicalisme n’ai
fait qu’apporter de l’eau au moulin de tous ceux qui se sentent devoir contester
ce tchador qu’on retrouve en écho en Occident avec la robe noire ou la jupe
noire de soirée – les regards impurs contraignent ensuite à devoir se maquiller
de nouveau dans les pays occidentaux qui ont appris aux femmes l’art de la
scène, l’art des planches – avec l’appareil de photo ou avec la caméra ou avec
la web cam, le problème est résolu : on est finalement protégé par le bocal, on
s’exprime et on se montre de l’intérieur de l’aquarium – aussi les temps on
changé et le tchador est devenu transparent au point que nous ne sommes plus les
uns et les autres que continuellement l’objet de la protections des caméras de
vidéo-surveillance derrières lesquelles tous les points-de vue existent des plus
minables, des plus faux à vôtre sujet, au plus soucieux d’honnêteté : donc le
point de vue du Dieu à qui on ne peut pas cacher une quelconque chose sans être
aussitôt impur et évidemment sacrilège – aussi le tchador comme le vêtement
ecclésiastique constitue une forme de sacrilège dans ce qu’il cherche à
révéler : l’appartenance à un parti, qui plus est celui de Dieu et c’est comme
d’habitude ici : on le sait l’habit ne fait pas le moine, au point même d’être
d’avance certain qu’il n’y a pas plus vertueux ou religieux que cette jeune
fille qui en ayant choisi le métier d’ »actrice « a choisi la recherche de
la Vérité au cas par cas, situation particulière par situations de mise en scène
particulière : elle pose pour cette photo et se sait irréprochable chez elle –
personne pas même le plus fanatique des mollah ne pourra jamais le lui
reprocher : elle est chez elle partout, dans la maison de l’impératrice et
certainement pas à devoir porter le tchador qu’uniquement aux moments où elle en
sentira la nécessité pour se protéger de la part de
ceux qui n’ont que des propos sacrilèges au sujet des demoiselles ou des
femmes qui ne portent pas de voiles parce qu’ils ont la certitude – pour l’avoir
entendu de la bouche des plus ignorantes dames, c’est-à-dire les moins
instruites qu’il s’agit de la règle à suivre, donc celle à conserver et à
transmettre pour que leurs enfants ne deviennent à cause de cela qu’impurs en
regardant toutes celles qui n’ont rien à cacher comme dans l’allégorie de la
Vérité peinte par SAI SSS les Lord. Sandro
Botticelli durant
la
Renaissance italienne : l’autre extrême : la jeune femme nue (la vérité) face
aux juges – elle seule n’ayant pas menti et ayant été accusée à tort comme le
Printemps ou comme la Vénus par tous ceux qui n’ont plus qu’un regard faux au
sujet de la nudité, par conséquent lié aux différents clichés et aux différents
préjugés de gens peu instruits ou moins instruits au point d’être devenu des
faunes, des satyres et des centaures au sujet de la nudité et d’être alors
fasciné par l’aspect interdit transgressé – or on le sait quand tous
transgressent l’interdit, par exemple sur les plages de nudistes, il n’y a rien
d’intéressant à voir si ce n’est l’aspect exceptionnel : c’est de nouveau
l’ennui comme quand des gens prennent l’avion nus (la petite histoire, le côté
perte de temps à satisfaire un côté exhibitionniste, enfant-gâté ou adolescent,
voire égoïstes au mauvais sens de ce mot, car à première vue sacrilège et
provocateur – mais dans le détail on ne sait pas quelles histoires se sont
nouées) – aussi cette nudité est celle des pays froids qui disposent à d’autres
moments de température plus clémente, plus chaude – c’est la nudité qui n’a rien
de scandaleux, de provocateur car il s’agit de ce qui est le mieux pour chacun,
comme autour d’une piscine, pour se reposer et bronzer : la nudité sans idées
préconçues à son sujet, donc comme naturelle et ici il faut comprendre que
pour nous les occidentaux aller jusqu’à évoquer la notion de’nudité’ devant le
portrait d’une jeune fille, c’est le signe que nous comprenant le mal-être de
toutes les femmes moyen-orientales ou de toutes celles qui se sentent mise à nue
en ne portant pas de tissu sur leur visage – nous les comprenons en leur
démontrant qu’elles exagéraient et que cela n’a que peu à voir avec la nudité,
un visage découvert, mais seulement d’offrir la possibilité de maintes analyses
formelles, celles des peintres de la Renaissance à la recherche de modèle, de
muses, d’actrice pour incarner des rôles au cinéma, ce qui permet au visage de
se modifier, de dire autre chose, de se sculpter de l’intérieur par la substance
des rôles à interpréter, leur plus ou moins grande difficulté).
Il faut comprendre que la notion d’efficacité vestimentaire est fondamentale à
tel point qu’on peut très bien imaginer qu’il y ait des vêtements à préférer
porter selon chacune des activités diurnes ou nocturnes rémunérées en Crédits
Financiers Propres et Mérités (CFPM). Cette notion d’efficacité a débouché en
Occident à la plage sur le string ou le port d’une protection vaginale pour
éviter d’attraper des maladies utérines en étant en contact avec des chaises
longues, souvent salies ou non totalement propres ou sur du sables lui aussi pas
toujours propre, voire sale (bref dans des lieux où la qualité des eaux est
polluée – la plage n’est pas toujours celle autour d’une source d’eau potable,
hygiène garanti).
Efficacité est donc un mot relié à hygiène comme aux autres paramètres et
évidemment tant que le faune, le satyre et le centaure n’ose pas se comporter en
sacrilège, il n’y a aucun danger pour les femmes de se sentir chez elles partout
et de bouger entre elles comme dans un vestiaire, cependant que dès que celui
qui est en train de régresser et d’involuer (au point de devenir faune, satyre et
centaure) à cause de pensées impures au sujet des femmes dès qu’il les verra
tête nue -[(comme hélas cette tradition du tchador a fini par obtenir ce
résultat – celles-ci hélas diabolisées – en effet dans toutes les rRégion
amazonienne où les femmes vont et viennent nues comme les garçons, en raison de
l’excessive chaleur ou ailleurs, aucune d’entre elles n’est vue comme » cet
obscur objet du désir «, mais certainement d’une façon bien plus fraternelle que
ce qui advient entre ces femmes dans les couvents – il n’y a ici encore une fois
que la confirmation de ce que ce seront les paramètres de départ, c’est-à-dire
la situation trouvée localement au sujet du vêtir, donc des vêtements, qui va
déterminer ensuite tous les rapports, mais aussi tous les malentendus jusqu’à
être à l’origine plus ou moins partout de ces transformations en faunes, satyres
et centaures qui probablement ne seront pas en plus grande proportion dans ces
villages où les indigènes vivent nus, peut-être même le contraire)]-
ou même entièrement nue et se met à
imaginer qu’il s’agit de prostituées. Ici cela cause un véritable problème de
société et pire, le voilà, ce futur centaure, à croire, à première vue, qu’une
jeune fille qui porte tel ou tel vêtement est le mot en questions de » prostitué
« alors que celle-ci ne gagne que des CFPM dans une des activités qui n’ont que
très peu, voire rien du tout en commun avec la prostitution. Voilà donc des
extrêmes à concilier et il est probable qu’aucune de ces personnes musulmanes ne
se soient posée la question, n’ait réfléchi depuis que la télévision ou Internet
proposent d’autres façons de fonctionner, puisque grâce au documentaire, mais
aussi aux informations, des fenêtres sont ouvertes en permanence sur des
anti-thèses à plus ou moins chacune de nos certitudes » béton « d’où qu’on
comprendra pourquoi mes propos cherchent à être nuancés et à être moins certains
que cela de l’aspect uniquement scandaleux et provocateur d’un tchador sans
motifs imprimés (ceux uniquement noirs), moins insultant envers toutes les
femmes occidentales laïques (car le tchadors est sous une autre forme (un peu
plus cousue) le vêtement du prêtre catholique) qu’on ne pourrait le penser bien
que cela soit totalement la mort du Théâtre, la mort du Cinéma, la mort de la
Création, puisque cela signifie que chacune des femmes est la même
(interchangeable, par conséquent une façon communiste, au mauvais sens de ce
mot, de voir la féminité : la brider ou alors d’attirer les regards sur elles
comme un smoking ou alors un habit – on aurait donc diabolisé le tchador :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tchador ?) .
Mais encore une fois ce n’est pas parce qu’il y a des gens qui deviennent des
malades que tous doivent se couvrir et devenir prisonnier du voile noir : en
effet, il ne faut pas confondre
avec le
niqab
ou
pire la burqa qui présente l’avantage de ne pas être piqué sur le visage par les
moustiques et si on regarde la réalité en face, on
comprendra que tant qu’il y a des enfants, le monde est encore majoritairement
en bonne santé et en raison même des chiffres démographiques, nous savons qu’il
y a toujours plus d’enfants que de personnes âgées, même si tous nous avons
enfin compris qu’il n’y a jamais plus âgé que chacun des nouvonés, donc que
chacun des enfants.
Qu’est-ce que cela signifie sur le plan vestimentaire ?
Que c’est la sagesse qui va déterminer le uns ou les autres à se vêtir ou se
dévêtir : donc en fonction de ce qu’on pense possible et c’est alors que le
paramètre de l’efficacité va entrer en jeu.
D’autre part, il faut comprendre que l’art de se vêtir d’une façon juste n’est
connu que des très seuls grands aArtistes (décorateurs et costumiers) pour
trouver les meilleurs costumes, les meilleures façons de s'habiller, pour réaliser
les plus belles fêtes, c’est-à-dire des lieux où chacun doit devenir une
surprise pour les autres car chacun aura fait preuve d’originalité et
franchement si vous arrivez habillé d’une burqa vous ne serait pas dépaysé avec
les homme bleu du désert, les mauritaniens : il s’agit là-bas d’une autre
réalité quotidienne : il y a des vents et le sable (c’est peut-être aussi plus
facile de s’habiller ainsi car cela exige moins de savoir-faire, moins de
compétences que dans nos pays occidentaux à cheval sur la couture à un points
qui est paroxystique, bien que cela ait été aussi le cas dans ces pays en
relation d’affaire avec nos régions (mais un sac, sans poches, permet d’être
facilement aéré : offre des avantages dans les pays chauds (y compris de sécher
facilement
de la transpiration).
Mais c’est ici, la notion de fête, une notion (vue ainsi)
souvent plus occidentale et elle est en
liaison avec la tradition des carnavals, des faits historiques à célébrer, donc
aussi en liaison avec la statuaire ou même avec la notion de santon qui concerne
les crèches.
Le vêtement n’a comme fonction principale, première, essentielle de nous éviter
de prendre froid, donc de tomber malade et ce vêtement va toujours dépendre de
la latitude et de la longitude des rRégions de n[V]ôtre empire. Ici il n’y a que
les gens sur place qui sachent et très certainement grâce aux sciences, donc de
ce qui est vrai et exacte, on est arrivé à des vêtements portés de préférence
dans les pays musulmans qui sont blancs ou clairs pour éviter d’avoir trop chaud
en portant du noir et cela a été possible grâce aux machines à laver, cependant
que cela va grandement polluer les eaux, car il faut continuellement laver des
vêtements clairs pour ne pas rencontrer les gens avec des vêtements sales, voire
non repassés (d’où un autre problème).
Les voiles-foulards ou/et tchadors noirs ou les femmes habillées de noirs
courent donc le danger d’attirer la chaleur du soleil en se faisant remarquer
(« Cet obscur objet du désir » ici cette expression prise en tant qu’expression
vérité relative en dehors du film qui l’illustra ) et rendre inconfortable la
vie de ces femmes jusqu’au moment où ce qu’elles porteront
sera bleu ciel (la burqa), voire blanc quand c’est possible, cependant
que dès qu’on fait la cuisine, dès qu’on fait le ménage on se salira : d’où le
noir, d’autant plus qu’à l’abris du soleil, à l’intérieur des maisons qui
elles-mêmes créent de l’ombre, là où enfin on se découvre car on ne court plus
le danger de croiser un faune, un satyre ou un centaure (c’est-à-dire un des
grognards capables de manquer de respect, voire même d’incommoder, de se
comporter d’une façon inconvenante qui gênera la jeune fille ou la femme ou la
mère de famille ayant des responsabilités nombreuses).
Il faut comprendre aussi que l’accès à la machine à laver n’a été que réservée
pendant longtemps au plus fortunés avant que grâce à la loi de la Quantité et de
la Rareté, comme grâce à l’honnêteté en matière commerciale (celle des
fabriquant, en amont, des industriels), plus ou moins tous aient pu avoir accès
à cette machine-à-laver si facile, si aisée à utiliser et à la portée des
salaires ou des revenus les plus faibles dans tous les pays capitalistes qui
sont ancrés dans le respect pur et dur des lois/règles de la Quantité et de la
Rareté comme à cause de la Concurrence (en résultant) qui proposent de nombreux
modèles de machines à laver depuis longtemps excellentes, ce qui a permis à ces
dames des pays musulmans d’acquérir (d’autant plus des pétrodollars) ces
machines-à-laver dont les prix de vente ont continué à légèrement baisser malgré
la hausse du prix du baril de pétrole (à cause du nombre d’exemplaires
produits), ce qui avait pourtant fait augmenter tous les prix des matières
premières pour les élaborer , les fabriquer ! (D’où qu’il n’y a pas plus honnête
système, pas plus socialiste que le système capitaliste). En réalité si les prix
ont baissé c’est que les consommateurs ont ici bénéficié des effets de la
loi/règles de la Quantité et de la Rareté : ces machines à laver progressivement
ne furent plus rares –[(je le disais : le nombre des exemplaires fabriqués a
augmenté et les modèles se sont toujours améliorés au point de rendre les
anciens modèles financièrement accessibles au bout de quelques années aux
revenus les plus faibles : ils disposaient alors de machine-à-laver qui
n’avaient été utilisées que pas les plus riches, qui n’avaient pu être acquises
(achetées) que par les haut-revenus avant que les prix ne soient remis en
question grâce aux améliorations successives, grâce au progrès, grâce et à cause
de nouveaux investissements pour réaliser les nouveaux modèles)]- au point de les
trouver régulièrement jetées dans les rues des grandes villes alors qu’elles
peuvent être réparées pour avoir une seconde vie, voire une troisième chance
d’être proposée en seconde ou troisième main pour les plus démunis. Tout cela a
donc permis plus facilement que les femmes puissent être habillées en clair ou
en teintes claires et colorées dans tous les pays du monde y compris les enfants
et les personnes âgées, bien qu’il existe encore des villages qui n’ont pas
l’eau chaude et pas de machines-à-laver et dans lesquels les femmes lavent
encore à la main, y compris en Italie dans la région de San Remo, en montagne,
dans les années 2000 – mais tout cela a engendré un gigantesque problème : la
quantité de savon, donc de produits chimique qui rejoint les cours d’eau et les
mers au point que la faune des poissons est réellement menacée : l’eau de mer
devient de plus en plus sale et de plus en plus constituée par ces solvant[s] – il
faut donc trouver une autre façon de nous habiller, de nous vêtir : c’est urgent
ou alors une autre façon de laver ces vêtements plus respectueuses de
l’environnement (en raison des additions quotidiennes des accumulations de
savons – je propose ici qu’en amont, dès la sortie des machines à laver un
filtre très puissant recueille tous ces savons et saletés de façon à éviter de
polluer, donc de ne pas même permettre aux eaux sales de rejoindre la station de
dépuration : d’éviter que les égouts ne deviennent trop savonneux – je propose
donc de créer des filtres extrêmement puissants –motorisés (un peu comme ceux
qui ont été mis au point dans la station orbitale pour récupérer l’eau potable)-
dès la sortie des éviers, des lavabos, des W-C). Cela signifie qu’il y a des
gens qui ne peuvent toujours pas s’acheter une machine à laver et cela peut-être
aussi parce que leur village est éloigné de l’électricité. Voilà donc que la
notion de » sous-développement « ou de pays » en voie de développement « devient
plus compréhensible, grâce à cet exemple : il s’agit de tous ceux qui n’ont pas
encore accès aux techniques et aux technologies : donc aux instruments modernes,
aux gadgets dont on comprendra qu’ils ne sont pas seulement des gadgets mais de
prodigieuses avancées chacun. Le tchador et la burqa furent en leur temps des
gadgets et concernent encore des rRégions qui sont éloignées de gadgets encore
plus prodigieux : la panoplie de nos vêtements activité par activité : donc de
tchadors spécialisés. En fait la question qui s’étaient posées aux couturiers en
ces temps-là était de comment faire tenir le tissu autour du corps ? La réponse
fut simple : grâce à la tête : et voilà que la tête fut couverte, ce qui allait
donc (sur le plan moins positif) handicaper pour séduire et qui finalement,
parce qu’on ne savait pas encore coudre des cols de chemise, on a adopté ainsi
comme façon de s’habiller rapidement (ce qui signifie pauvrement).
Evidemment, si on m’avait obéit en mettant le prix du baril de pétrole à un
centime de dollar le baril, dès 1978-80 à l’heure actuelle il n’y aurait pas un
seul des villages en Amazonie ou même en haute montagne qui n’aurait pas
l’électricité et au moins deux machines à laver-séchante par famille (une de
réserve en cas de panne, ce qui vaut toujours mieux qu’une seule) car elles
auraient finalement coûté onze mille fois moins chères/coûteuses/onéreuses
(quand le pétrole fut comme fin 2014 à onze mille centimes de baril le pétrole :
en 1977 il était à sept cent centimes de dollar le baril, donc tous les produits
commerciaux étaient sept cent fois trop chers/onéreux/coûteux) à être fabriquées
comme les automobiles mais aussi tous les produits sans exception, ce qui aurait
permis de créer le bonheur matériel de chacun des êtres humains sur toutes la
planète dès l’âge où celui-ci accepte de participer à la bonne marche de
l’Ensemble par une activité économique quelconque, utile. Evidemment aussi il
n’y aurait pas eu la révolution islamique en Iran et donc les femmes auraient pu
continuer à s’émanciper, comme du temps du Chah qui savait qu’il ne pouvait pas
augmenter le prix du baril de pétrole et même a certainement su qu’il devait
baisser ce prix du baril de pétrole pour permettre que son pays connaisse un
développement sept cent fois plus rapide si on avait alors fait ma volonté, ce
qui aurait permis le même redémarrage de toutes les économies et finalement tous
les peuples ne disposant que de CFPM (Crédits Financiers Propres et Mérités) et
aucun d’usurpés sept cent fois et encore pire fin 2014 : onze mille fois chacun,
ce qui signifie que chacun des habitants qui a obtenu des revenus des
pétrodollars a dérobé, pillé, volé chacune des choses acquises fin 2014 onze
mille fois à chacune des fractions de seconde dès l’achat de celles-ci. Il n’est
pas alors étonnant que chacun des terriens ayant eu accès à ces pétro-dollars ne
va obtenir que la pire des pires des pires réincarnations pour son âme puisqu’il
a voulu désobéir aux lois sacrées qui concernent les commerces ce qu’avait
souligné et confirmé la loi anti-trust américaines, qui interdit les cartels
pour fausser tous les commerces et qui plus est sur le point fondateur donc
fondamental, celui des transport ce qui est primordial pour réussir à fabriquer
n’importe lequel des produits, y compris les tchadors qui sont alors plus
chers/coûteux/onéreux d’autant plus que colorés
- ce qui résulte alors est une société qui s’est appauvrie d’autant plus
qu’elle a volé, dérobé, pillé l’Ensemble onze mille fois pour chacun des
articles acheté et cela à chacune des fractions de secondes par conséquent
n’étant plus qu’uniquement parasite de toutes les entreprises industrielles
occidentales capitalistes uniquement extrêmement honnêtes étant contraintes à
répercuter les dépenses exigées par ces racketteurs sur chacun des produits mis
en vente – c’est alors qu’on comprend ma notion de frein à main tiré au
paroxysme du paroxysme du paroxysme sur l'Economie au point de faire exploser le soleil dès que
le pri du pétrole aurait dépassé ce onze mille fois trop cher que le prix
plancher de un centime qui permet de garantir tous les commerces mais onze mille
fois moins chers/onéreux/coûteux.
Rien d’extraordinaire donc que cette iranienne qui se présente dévoilée, mais
Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les dames Dominique
Constantin a bien fait de relever ce détail fondamental qui annonce le
changement et le retour des différentes libertés et des progrès que SAI SSS le
Lord. Chah d’Iran avait permis en Iran en ayant compris de Son temps que les
temps avaient changé et qu’on ne pouvait plus corseter (en sainte-ni-touche) la
civilisation persane (ni aucune) en continuant à
la museler
en rendant
prisonnières les femmes d’une tradition depuis longtemps impossible à concilier
avec la notion de modernité, c’est-à-dire avec le rôle moderne, le poids des
femmes dans l’Economie, non seulement locale ou rRégionale mais mondiale : leur
apport, leur participation en raison d’activité où elles sont rémunérées comme
je suppose cette actrice à l’occasion de ses prestations (des investissements)
en CFPM. Et ce constat avait été possible par ce grand monarque, parce qu’il
avait été amené à voyager (donc à prendre connaissance des mœurs et des aspects
positifs ailleurs que la rRégion de n[V]ôtre empire où il nous/me représentait)
à une époque où Internet ne permettait
pas de passer du coq à l’âne grâce à des web cam disséminées dans le monde
entier et en raison de cela remarquer, ce que la télévision propose autrement
–[(et qui plus est en couleur alors qu’à son époque plutôt en noir et blanc bien
qu’il soit probable qu’il devait appartenir aux premiers à en disposer en
couleurs cependant que son emploi du temps ne devait pas lui permettre de la
regarder souvent – aussi il ne disposait des renseignements sur les progrès de
Son temps que par la lecture et par ces voyages autrefois accomplis)]- que
partout dans le monde, en dehors que dans les pays les plus attardés, les moins
développés, les femmes ne sont quotidiennement que sans voile, donc sans cette
solution [autrefois bien que par certains aspect liés à la qualité des tissus et
des finitions toujours] élégante de la burqa qui est la plus élémentaire
solution technique de couture (primitif, et en cela presque pré-historique –
visiblement peu mis-à-jour, peu au courant des solutions élégantes techniques
autres pour vêtir une femme ), ce qui signifie la moins élaborées (la plus
fruste - l’un des premiers modèles de vêtement à considérer comme une sorte
d’antiquité au point qu’elle donne en extrapolant et en l’adaptant à d’autres
mœurs une idée des vêtements des anciennes romaines : des tissus sans ces
coutures qui permettent aux chemisiers ou aux robes de faire apparaître la tête
une fois qu’on l’a tranchée (si l’ose dire), guillotinée de cette burqa, c’est à
dire qu’on l’a ôté en révélant enfin celle, parfois royale ou princière de
chacune des dames, n’étant pas contraintes de porter ce poids sur la tête : de
signifier qu’elles n’ont pas à première vue de tête, donc de droit à la parole)
car elles ne doivent pas être
handicapées dans leurs activités domestiques mais aussi scolaires ou
universitaires, comme dans chacune de leurs activités professionnelles, ce que
cette burqa semble (seulement attention semble – il s’agit d’un modèle de
vêtement primitif) avoir permis.
Aussi la femme voilée n’est qu’un reliquat de passés les plus lointains
appartenant à des localités qui appartenant à des familles peu instruites n’ont
pas recherchées à devenir cohérentes avec les différents progrès techniques et
technologiques qui par leurs apports précis modifiaient la donne, d’autant plus
de ce que ces progrès engendraient comme conforts vestimentaires : la
possibilité de se changer
continuellement
(en période de chaleur c’est important pour éviter aussi le manque d’hygiène)
pour porter les vêtements les plus appropriés selon la situation, c’est-à-dire
le cas par cas, ce qui a à voir avec l’emploi du temps de chacun : à chacune des
activité dans chacun des horaires inscrits sur le calendrier ou sur le planning,
il est évident que cela va contraindre selon ces activités précises à des
changements de vêtements comme ceux que les acteurs et actrices connaissent dans
les loges ou vestiaires appropriés à leurs activité et cela d’autant plus qu’on
montera dans les hiérarchies les plus incommensurablement savantes dans chacune
des sociétés pour atteindre enfin celles des costumiers de théâtres et de cinéma
ou d’Opéra qui sont liés aux sciences des décors et celle des réalisateurs de
films, c’est-à-dire aussi avec les nécessités historiques de recréation de
vêtements à partir d’iconographies et d’archives comme des peintures, au point
que des reconstitutions de vêtements traditionnels sont possibles : il y a donc
le vêtement officiel, celui qui permet à des personnes de représenter leurs
peuples et il y a d’autres catégories de vêtements ou de costumes, jusqu’au plus
commun au moins élaborés, au moins chers/onéreux/coûteux ce qui va être le cas
d’une burqa dès un nombre très important d’exemplaires comme les jeans ou
n’importe lequel des autres vêtements en faisant alors bénéficier les clientes
de la loi de la quantité et de la rareté : le modèle n’étant pas rare, étant
celui qui est reproduit en série – toujours le même, sans innovations majeure,
le voilà comme le vêtement mao à la portée des bourses des plus pauvres, mais il
aura fallu des années où il n’avait été qu’à la portée des CFPM (Crédits
Financiers Propres et Mérités) des princesses et des reines pour qu’une tel
effet du capitalisme (c’est-à-dire de l’artisanat, de l’industrie familiale)
puisse se produire dans le monde ancien déjà socialiste en vertu de ces
uniformes, grâce aux bienfaits des entrepreneurs couseurs et tailleurs des
sociétés anciennes).
Cela a permis d’assurer dans chacune des rRégions de n[v]ôtre empire des
activités pérennes dans ce qui est devenu la mode, une véritable industrie
soumise elle aussi comme n’importe lequel des commerces aux lois et règles de la
Quantité et de la Rareté (donc de la concurrence) à cause de La règles/loi de
l’Offre et de la Demande.
Ici aussi si le prix du baril de pétrole avait été mis en 1978 à un centime de
dollar le baril comme je n’avais eu hélas à cesser de le dire et le demander
quotidiennement depuis 1975, alors qu’il était à sept dollars environ, soit sept
cent centimes, alors tous les prix de tous les vêtements auraient été proposés
sept cent fois moins onéreux/coûteux/chers, ce qui aurait permis un
développement de la mode et de la création vestimentaire sans pareil/précédent
dans l’Histoire de l’aventure humaine au point que chacune des jeunes filles du
monde entier n’aurait été que magnifiquement parée pour les jours de fêtes quand
durant la semaine de travail habillée avec les vêtements les plus confortable et
les plus précieux, bref un tout autre monde aurait surgi pour que les prises de
vue télévisuelles soient continuellement une fête pour les regards au lieu que
dans un monde en couleur « la sombre nuit » ait à être continuellement à essayer
d’épouvanter -[(mais on le sait le noir est aussi le signe de l’inverse : de
l’élégance, d’autant que si on regarde très bien avec des yeux qui voient clair
on découvrira qu’il y a des couleurs dans ce noir, parfois du vert, parfois même
du bleu, mais aussi du rouge – cependant que cela ne saute pas aux yeux et qu’il
faut avoir atteint la maturité du regard d’un divisionniste en Peinture ou alors
celle des impressionnistes pour effectivement le vérifier : le centaure, le
faune, le satyre ne voit le noir que noir et ne voit jamais que les nuages
ressemblent à des figures admirables : il est dans la cécité cérébrale et dans
la surdité qui va de pair – aussi par compassion pour eux, innombrables, tous
avaient pris l’habitude de ne considérer le noir que noir et les nuages gris et
intéressants puisqu’on a à faire vraiment à des handicapés : ils ne voient
presque rien et surtout n’entendent que très peu, au point d’avoir contraint
tous les ingénieurs à avoir créer des amplificateurs de sons et finalement avec
les écrans de couleurs qui rétroéclairées sont enfin perçues comme des
merveilles mais pas par les centaures, les satyres et les faunes qui ne voient
comme tous ceux qui fument et qui affectent leur odorat et leur saveurs que
beaucoup moins)].
En effet, ce monde que j’espérais alors créer à cause de ce que j’avais enfin
retrouvé ma promise, Ses Altesses Impériales ses Saintetés Satana[na!]nas les
dames Impératrices Christine …
Lang
était possible d’autant qu’elle appartenait depuis longtemps comme ma mère et ma
famille à la tradition des femmes qui se sont dévoilées, car elles ne sont
qu’uniquement à travailler, peiner aux travaux les plus incommensurablement
difficiles au point d’avoir exigé d’elles des compétences les plus difficiles
à acquérir en mathématiques supérieures : ma mère est petite fille d’un
architecte ayant construit en Italie.
Il s’agit donc de dames qui normalement conçoivent des résultats exactes dans
les appréciations qu’elles ont des diverses réalités à analyser, donc dans la
gestion dont elles seront capable chacune de l’économie de leur respectif foyer
– donc des mathématiciennes, des
scientifiques qui savent reconnaître normalement les propos du bouddhas
(c’est-à-dire les miens) de tous les faux, de tous les fourbes, de tous les
propos sacrilèges. Il s’agit donc de la femme moderne, contemporaine,
c’est-à-dire ma sœur ou ma mère ou mes nièces, c’est-à-dire des dames qui ont
pris en compte les paramètres nouveaux comme celui de la contraception et ici il
y avait un débat à ce sujet dans lequel les religieux voulurent entrer, quand il
concerne les femmes d’abord habituées chacune depuis des millénaires à ne faire
que perdre leurs enfants à chacune de leurs règles, d’où que la pilule ou les
préservatifs n’étaient pas un problème pour elles, tandis qu’ils posaient un
problème à l’Eglise et aux hommes, au point que nombreux furent à penser que les
jeunes filles qui prenaient la pilules étaient des » prostituées « , donc d’une
certaine façon comme tous ceux qui dans les pays musulmans croient qu’une femme
qui se découvre le visage est une prostituée ! Retour donc de l’aspect médiéval
(ici c’est pour minimiser car en réalité il s’agit du bas-moyen-âge), au mauvais
sens de ce mot et non au bon, en matière / rapport homme-femme, cependant que la
pilule ne comporte pas seulement du négatif mais aussi beaucoup de positif :
c’est-à-dire permet aux femmes de s’assurer que leur enfant sera réellement
souhaité / voulu. Donc qu’un « join aventure » avec celui avec qui elle décideront
-[(ce qui n’est possible qu’à visage découvert car comment trouver le père de
ses enfants sinon : comme dans cette caricature de Pier Paolo Pasolini des »
Mille et une nuits «, c’est-à-dire comme des femmes de ménages ayant revêtu leur
habit de prière – vous n’y pensez pas, j’espère : s’il n’y a pas de piscine
mixte, grâce à la laïcité française, elles ne trouveront jamais chaussure à leur
pied en burqa : il faut vivre avec son temps : faire des mises à jour : prendre
les habitudes de ceux qui ont fait le plus de progrès dans le rapprochements des
sexes, au point que les femmes s’habillent sans être aucunement scandaleuses en
vêtements d’hommes et qu’il n’y a pas non plus motif à scandale si les hommes
portent comme en Ecosse le kilt ou la jupe, cependant qu’il ne faut pas non plus
que les femmes s’interdisent les robes et les vêtements qu’elles avaient
l’habitude de porter, tout comme les hommes – il y a ici la liberté, c’est bon
pour tous ceux qui n’ont que des préjugés en-tête, car il s’agit d’une vérité
relative que celle de se vêtir qui dépend des paramètres économiques de chacun
d’entre nous, de ce que l’on souhaitera privilégier à l’intérieur de sa famille
comme dépenses prioritaires ou moins prioritaires que cela, secondaires, voire
tertiaires, ce qui permet alors de se contenter de vêtements économiques (si on
ne dispose pas de tous les Moyens Financiers Propres et Mérités de Droit (CFPMD) qu’on aurait
souhaité), plutôt que les plus élaborés, les plus chers/onéreux/coûteux)]- de
l’attendre, ce que l’Eglise n’avait pas prévu, car elle diabolisa la
contraception comme les plus sombres abrutis sont capables de diaboliser les
femmes qui se découvrent dans les pays musulmans, donc qui retirent leur
voile / foulards / tchadors et c’est bien sûr ici souvent le fils de douaniers,
l’ignorant, celui qui est le moins instruits, celui qui n’a pas appris à penser,
celui qui est donc bourré de préjugés et s’il l’est, c’est parce qu’il est
devenu un égoïste au mauvais sens de ce mot, c’est-à-dire un enfants-gâté, donc
un adolescent qui ne sait pas ce qu’est manquer de Revenus [Crédits] Financiers
Propres [et Mérités] (R[C]FP[M]), c’est-à-dire d’argent propre, donc qui ne sait
pas ce que sont les femmes confrontées à l’univers du travail dans nos sociétés
– il s’agira donc de tous les ignorants les plus sombres cérébralement parlant
-[(et non de couleur de peau – c’est dans la tête : il y a des points noirs
entre les synapses et les neurones : ils ne connectent plus, ils ne permettent
plus à ce genre de tête ayant contracté ce genre de maladie – celle du faune, du
satyre, du centaure et des centauresses - de penser)]- ils ont une maladie dans
le cerveau qui ne leur permet plus de penser justement en tenant compte de
référents et surtout de tous leurs souvenirs sans exception (on dirait qu’ils
n’en ont plus un seul ; pire : ils sont des bibliothèques vides)
et cela d’autant plus qu’ils n’ont
peut-être même pas ces référents en tête, donc qu’ils n’ont pas la même
expérience que ceux qui, comme moi, s’expriment au nom des femmes, parce que
celles-ci savent aussi très bien se défendre grâce à la science même de
l’habillement, ce qu’elles étudient en détail avec leurs mères et leurs
grand-mères en Occident depuis que le Théâtre et plus tardivement
le Cinématographe le leur a permis, mais
aussi bien avant les livres !
En effet s’habiller est donc une chose qui s’apprend depuis l’enfance dans
toutes les familles occidentales et orientales où les femmes ne sont pas
voilées ; il n’y a pas de mal à s’habiller ou à se déshabiller d’autant plus que
depuis Goya les choses sont claires à ce sujet avec la Maja Desnuda ou depuis
Ingres : rien d’exceptionnel à contempler- [(si ce n’est à comparer avec deux
états : le nu ; l’habillé : des couleurs qu’il faut être capable de réaliser en
peinture : pas si simple à étaler non plus selon le jeu des lumières sur la
chair ou l’absence de chair)]- si ce n’est ce qui est le plus naturel. Un faux
problème alors ?
Non pas à en juger la quantité énorme de photographies érotiques et
pornographiques diverses : un problème (des problèmes) y compris pour les pères
de familles qui ne se sont pas vraiment mariés, mais qui n’ont fait que semblant
de se marier, c’est-à-dire tous les anciens faunes, satyres et centaures
(les » pervers pépères « si admirablement croqués et présentés par SAI SSS les
Lord. Gottlieb) qui ne se sont pas mariés en adultes parachevés, donc qui vivent
dans une situation de péché avec leurs compagnes et parfois même avec
leurs enfants. Bref des situations plus
ou moins tragiques pour chacun ou qui déboucheront sur des tragédies, des burqa,
voire des camisoles, en
raison
d’actes de fous, au mauvais sens de ce mot (celui par exemple d’interdire aux
femmes de se promener comme elles le sentent – il est certain qu’en étant
habillées d’un tchadors ou de burqa (bien qu’il faille différencier en détail
cela car l’effet n’est heureusement pas le même) en Occident, elles ne passent
pas inaperçues : il n’y a plus qu’elles dans l’écran d’une caméra – j’ai eu à le
vérifier à l’occasion de prises de vue au jardin du Luxembourg avec des
touristes provenant d’un des pays arabes : aussitôt le paysage entier est effacé
au profit de cette masse noire : sacrée ?).
Pourquoi ?
Mais à cause de cette notion de ‘voyeur’ au mauvais sens de ce mot, c’est-à-dire
de celui qui regarde à l’insu (donc qui a besoin de se cacher ou de trouver des
lieux où il aura la paix en s’y enfermant
à double tour pour assouvir tous ses penchants de minotaures avec des
femmes consentantes).
Et ici vous trouverez alors Tartuffe qui ne peut supporter la vue d’un sein sans
être tenté et donc sans avoir besoin qu’on cache ce sein (les tchadors résout le
problème sauf que ces satyres réussissent à voir tout nu les gens habillé de
noir – c’est leur faciliter la tâche de
s’habiller en noir). C’est bien le satyre ou le centaure qui est celui
qui va exiger que les femmes se voilent, se couvrent. C’est bien un pape de
cette nature qui va exiger que le peintre appelé le Braghettone couvre au moins
pudiquement de l’équivalent d’un string ou d’une feuille de vigne
les chefs d’œuvres peint par Michel-Ange – sacrilège ou finalement une
réussite ? –un consensus ?– la conciliation ? Au point que cela justifie la
notion de vêtement, diront les partisans de ce Pape – un scandale sur le plan
artistique, un sacrilège (il s’agit avec le jugement dernier comme avec la
chapelle Sixtine de peintures élaborées chacune depuis le Paradis – depuis un
autre monde)– bref c’est celui qui ne comprend pas grand-chose aux aArts qui
devient sacrilège,
en exigeant, par
exemple,
le port du tchador ou que la
femme musulmane à notre époque soit voilée – en fait c’est celui qui succombe
aux tentations Tartuffe, l’hypocrite - et qui voit encore la femme comme
(seulement, hélas - seulement) un objet possible de désir sexuels, c’est à dire
celui qui n’a de la connaissance de l’aAmour que la connaissance de l’amour qui
est même l’imour et pas même encore amour donc encore moins aAmour et surtout
aucunement Amour.
Aussi à cause de ce satyre (en fait un ancien faune) c’est-à-dire ce centaure
(c’est-à-dire un des êtres humains n’ayant que régressé et involué au lieu de
progresser, donc d’évoluer) toutes les dames les plus admirables en beautés
diverses (et Dieu sait si les musulmanes sont belles) comme cette jeune actrice
iraniennes sont pénalisées, ne peuvent même pas faire jouer ce qu’elle ont comme
arme[s] naturelle[s] pour se défendre : la beauté de leurs lignes pour se
défendre, leur charme : les voilà comme murées dans ces tchadors, c’est-à-dire
[comme] cloîtrées, c’est à dire [comme] vivant dans un gigantesque couvent
-[(mais une caricature de couvent, celle qui résulte d’une époque où les toiles
monochromes sont moins coûteuses que les polychromes, donc qui n’a pas encore
bénéficié des progrès que ces époques, par leur privations diverses, ont
engendrées)]-
où elles ne peuvent que se
comporter comme la très bien fait remarquer SAI SSS les Lord. Pier Paolo
Pasolini dans son adaptation admirable des » Mille et une nuits « en ayant à
devoir s’ingénier à trouver des moments d’intimité avec des prétendants en
utilisant l’aspect anonyme, de caverne que va leur procurer ces vêtements : donc
pour transgresser les interdits ce qui va alors fausser la société qui est à
utiliser ce genre de tradition : elle en devient une société mensongère de la
même façon que tous les hypocrites chrétiens qui vont interdire les préservatifs
et les contraceptifs, en réalité pour obtenir l’inverse : qu’on en autorise
l’usage, ce que l’Eglise en étant farouchement opposée, durant longtemps, a
effectivement, malgré elle (elle s’en défendra), obtenu/favorisé.
Transgresser un interdit est donc un acte courageux. Un acte qu’il conviendra
toujours de saluer, mais de saluer comme le fait SAI SSS les dames Dominique
Constantin sans se donner la peine de disserter, parce qu’elle pourrait ici
écrire (à cause de ce sujet très vaste, de son point de vue de plus qu’actrice
en raison des ces quantité de pôles divers y compris dans la réalité) des
millions de bibliothèques de reproches qu’elle est en droit de formuler d’autant
plus de la solidarité qui la lie avec une future collègue (qui sait peut-être
déjà bien avancée dans l’étude du Théâtre), voire déjà collègue (et/car nous
avons appris par SAI SSS les dames Dominique Constantin qu’il s’agissait d’une
actrice, en découvrant soudain ce que je ne pouvais même pas imaginer qui
existait : que les iraniennes actrices ne pouvaient pas se dévoiler (elles
récitent donc sur scènes en tchadors ? de quoi décourager SAI SSS les Lord.
Woody Allen ou moi de les embaucher). Et comment peuvent-elles alors
jouer n’importe laquelle des pièces de théâtres des autres rRégions du monde si
elles n’ont pas ce droit ? Être femme s’est s’autoriser à appartenir à
l’universelle des femmes, donc à devoir connaître le Théâtre étranger, la scène
à l’extérieur de la localité (Hamlet). Je fus naturellement scandalisé à l’idée
de ce que cette république (un ancien empire, celui de Chah) se référant à Dieu
puisse s’être comportée en Braghettone ou pire en Tartuffe et donc cela a
confirmé ce que je pensais de l’ayatollah Khomeiny depuis que j’avais signalé du
ciel aux années 1975-82 le très grave danger que courait la Perse : celui de
perdre des milliers d’années de progrès avec l’un des plus sombres abrutis de
l’Histoire, porté au pouvoir, une autre fois, comme au moment de la révolution
française napoléon premier, par tous ceux qui ne sont devenus que des sombres
abrutis incapables de penser, incapables de calculer, incapables d’être autre
chose que des usurpateurs, des faussaires et des menteurs : ceux qui ont cru
possible ne pas respecter la règles de la Quantité et de la Rareté et qui ont
alors augmenté le prix du baril de pétrole au lieu de baisser ce prix pour
permettre que la mode papillonnent, que chacun des plus pauvres puissent
disposer des vêtements adéquats et cela parce que ce responsable de la
révolution iranienne n’a recherché à obtenir son pouvoir qu’en faussaire et en
tricheur au mépris des êtres humains ayant le droit d’accéder à tout ce qui
évite d’être prisonnier, tout ce qui ouvre l’esprit vers chacune des sciences
exactes du Grand Architecte de l’Univers, en étant au contraire haineux envers
les sciences exactissimissîmes de Dieu ou de ce Grand Architecte de l’Univers,
par conséquent en obtenant le pouvoir dans le dessein d’augmenter le prix du
baril de pétrole, c’est-à-dire de faire baisser le pouvoir d’achat de tous les
habitants de cette planète et cela pour comme je l’ai démontré
escroquer / voler / piller les occidentaux et les orientaux qu’il a présenté
localement comme des suppôts de Satan, alors que c’était lui seul et les siens
Satan, puisqu’au lieu de croire à mes propos hyper-exactissimissîmes de bouddha
et d’empereur (qui était apparu du ciel et qui était alors pris pour dieu-le père
lui-même y compris
par le Vatican)
au sujet du baril de pétrole (qui plus est le mien à divers titre – celui
d’empereur, celui qui intervenait dans le ciel et qui était considéré Dieu
lui-même par la Vatican et enfin celui qui venait de dicter géolocalisés par ses
soins dans le futur au moins 50% des réserves de puits de pétroles
supplémentaires à celles déjà considérablement importantes existantes. Il était
majoritaire à l’Opep à qui j’avais demandé et expliqué (y compris à ma fiancée)
qu’il convenait de faire baisser le prix du baril de pétrole pour le porter à ce
centime de dollar le baril garantissant à jamais les Commerces dans le monde
entier et à tous les peuples rapidement obtenaient dans un premier temps au moins cinquante fois moins
cher/coûteux/onéreux sur tous les produits (donc cinquante fois plus de pouvoir
d’achat), mais aussi de permettre en vingt années à trente années de rembourser
toutes les dettes mondiales existantes avec la différences qui aurait été
économisée collectivement de six cent cinquante (puisque le pétrole était sept
cent fois trop cher/onéreux/coûteux en 1977) et que cinquante était consacré à ce
« léger » mieux de cinquante fois mieux pour chacun et pas encore onze mille
fois trop cher/coûteux/onéreux comme cela fut la situation générale
fin 2014 (2004 ; 1974 ; 1964 ; 1944 ;
1814 ) quand le soleil a failli exploser de la même façon que quand le prix du
pétrole est arrivé à cent-un (101) centimes de dollars le baril et puis le monde
a été sauvé grâce à une génération de sacrifiés, à cause de la première guerre
mondiale qui a résulté de ce prix du pétrole au moins cent fois trop
cher/onéreux coûteux comme la révolution russe et la seconde guerre mondiale qui
en ont découlé de ce prix du pétrole trop cher / onéreux / coûteux,
à cause de ce qu’il était deux cent fois
trop cher / coûteux / onéreux et enfin la guerre froide parce que ce prix du baril
de pétrole continuait à augmenter contre toutes les lois économiques les plus
exactes et les plus justes comme les meilleures et desquelles chacun d’entre
nous comme des vendeurs de ce pétrole profitent quotidiennement
(au bon sens de ce mot de »
profiter « ). En augmentant ce prix du baril de pétrole (comme les plus sombres
abrutis et les plus sinistres, soit tous les ignorants au plus haut degré de
l’ignorance, c’est-à-dire les plus paroxysmiques criminels contre l’humanité,
genre kadhafi – c’est-à-dire l’ignorance même, au plus mauvais sens de ce mot
d’ignorance, incarnée : l’absolu incompétents comme les lénine, les mao, les
staline, les hitler tous ceux qui n’ont jamais étudié le commerce en vérité et
ne l’ont jamais compris dans ses multiples interactions et dépendances, donc
n’ont pas voulu étudier les raisons, les paramètres qui contraignent à ce qu’un
chiffre sur / pour un prix existe – sourds comme seuls le sont les profanes, les
sacrilèges c’est-à-dire les faunes, les satyres et les centaures, à la loi des
conséquences et des interactions, même en
disposant d’une souris sur un petit tapis sur leur écran qu’ils n’ont
fait que voler et obtenir en le volant en escroquant à l’Ensemble jusqu’à onze
mille fois par fraction de seconde depuis qu’à cours-le-haut le prix du baril de
pétrole avait été porté fin 2014 à plus de cent dix dollars et déjà sept cent
fois en 1975-77) au lieu de le baisser, de le mettre à cours-le-bas y compris
quand j’ai apporté moi-même, en raison de mes interventions alors virtuelles du
ciel géolocalisé par mes soins plus de 50% des réserves mondiales de brut ce
prix du baril de pétrole, ces réserves ayant augmenté au point que le pétrole
n’était plus du tout rare mais seulement une matière qui ne vaut que très peu,
en réalité rien, mais par charité et parce que le commerce devait continuer à
permettre à ceux qui recherchent à s’enrichir de s’enrichir, il fallait bien
donner une valeur maximale à ce baril de pétrole (soit ce centime de dollar le
baril car cela rendait le comptes plus simples qu’avoir à les diviser par dix à
0,1 ou 0,01 centime de dollars le baril, ce qui aurait pu permettre de
rembourser les dettes cent fois plus vite encore au point de les rembourser dix
fois plus vite et d’augmenter le pouvoir d’achat par cinq cent - 500) donc au
point qu’à l’occasion de chacune de ces dates 1814-5 ; 1914-5 ; 1944 ; 1954-5 ;
1964-5 ; 1974-5 ; … . 2004-5 et 2014-2015 que le soleil allait exploser de
nouveau dès qu’il serait à onze dollars
vers 1978-79, s’il n’y avait pas eu comme avec F. D. Roosevelt la
Nouvelle Nouvelle Donne InterRegionale Mondiale (NNDIM) que j’ai eu, en
l’improvisant, à dicter en même temps que je la prenais en dictée à partir de
1975 moi-même alors que de nouveau des générations venaient d’être sacrifiées et
n’avaient pas pu connaître le rétablissement de la vision [Christine et] Laurie
Granier …. d’aAtlantide … Lang de [R]Ôz[eau/…./w/y/s],
celle de n[V]ôtre nouvel empire que j’ai pu, à partir de 1965 et 1975, en raison
de mon sacrifice de séparation bouddhico-judéo-christique ne déplaisant pas aux
gens d’Islam et aux autres religions y compris aux profanes, sauver du cas de
figure de la Création qui se terminait par l’explosion des bombes nucléaires et
à neutrons partout, si je n’intervenais pas comme Docteur Fol amour du ciel,
comme je le fis, quarante années avant d’y être, mais aussi trente années avant
d’y être, vu depuis l’année 1975 où j’eus moi-même à devoir prendre par écrit en
synchro avec cette [alors de là-bas] cette virtualité du futur (depuis 2005)
cette Méga Dictée Pharaonique de la NNDIM.
Mais
j’avais averti mon père (le nouveau pharaon de la Reconstruction et de l’Angles
-[que j’avais nommé en Saint-Esprit empereur avant moi chronologiquement dans le
sarcophage des empereurs, [averti] du changement qui se préparait en Iran et je
lui avais demandé
de mettre en sécurité
le Chah d’Iran, car il s’agissait d’une révolution populaire de gens profanes,
par conséquent [des]
ignorants -[(des
gens qui ne peuvent accéder qu’à des propos de femmes de ménages tout au plus)]-
de toutes les règles économiques les plus strictement les meilleures ou les plus
bonnes, c’est-à-dire toutes celles qui sont suivies à la lettre par les bouddhas
depuis toujours et qui régissent les économies locales dans le monde entier en
raison de l’application de cette règle et loi de la Quantité et de la Rareté à
la lettre (voilà donc une bonne chose enfin : une loi, une règle qui si elle est
transgressée d’un tantinet aboutit à [l’origine de] la Catastrophe : la misère
noire des peuples – il y a donc des règles ou des lois qui ne sont pas trangressa/ibles – qu’on ne peut pas transgresser – car toutes les économies du
monde entier en dépendent
- cela signifie alors que ceux qui la transgressent sont les ennemis de toutes
l’humanité bienfaisante. Ils en deviennent les plus minables escrocs et criminels contre les
intérêts les plus précieux de toutes l’humanité, donc contre l’intérêt de tous
leurs descendants sans exception – donc qu’il ne s’agit pas de pères de
familles, mais seulement de vulgaire et grossière parodie de gens « mariés »,
donc qui se sont tous faussement mariés (donc sans rien comprendre de ce qui est
essentiel : les finances, l’économie pour assurer de quoi survivre à ses enfants
mais uniquement avec des CFPM (des Crédits Financiers Propres et Mérités de
Droit (CFPMD)] et non
des usurpés [cfu], des cfm[malhonnnêtes], des cff{aussaires], des cfc[orrompus],
des cft[richeurs], des cfv[olés]– c’est à cause d’eux que tous sont morts, ont
eu les maladies, et que tous les déserts advinrent y compris les malheurs)]-
pour assurer la prospérité de nos
rRégions sauf que cela ne fut pas possible autant que nous l’escomptions étant
donné qu’on refusa de faire ma volonté sur l’unique chose qui me tenait à cœur
(baisser le prix de ce baril de pétrole pour que chacun des plus démunis
obtiennent dès la naissance au moins cinquante fois plus en CFPMD et que nous
puissions rembourser toutes les dettes pour avant l’an 2000 d’autant que ce
pétrole était de droit à plus de 350% le mien – aussi les responsables
qui augmentèrent ce prix contre notre volonté auront à répondre de crimes contre
l’humanité) comme sur cet autre point où j’avais le droit canonique pour moi
aussi et où les responsables voulurent transgresser en m’interdisant d’avoir en
1977 et les années qui suivraient plusieurs épouses, alors qu’en tant
qu’empereur, j’y avais droit, mais aussi en tant que bouddha, comme en tant que
pris pour Dieu dans le ciel (intervenant en raison de ce que j’allais soudain
découvrir que l’Ensemble du genre humain m’avait assassiné mes enfants attendus
en Immaculé Conception d’avec ma promise Ses altesses impériales Ses Saintetés
Satana[na!]nas
les dames impératrices
Christine …
Lang de laquelle j’étais
sacrificiellement séparé depuis 1965.
Aussi l’humanité ne connut que malheurs sur malheurs sur malheurs sur malheurs
sur malheurs sur malheurs sur malheurs sur malheurs sur malheurs et je minimise
car quiconque me désobéit d’un seul électron ne connaitra que les pires
involutions, les pires régressions, et les pires malheurs : je n’ordonne une
chose que dans l’intérêt Général et en sachant d’avance que je suis dans le vrai
ou alors le relativement vrai même si des milliards de milliards de :milliards
de milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de milliards
d’êtres humains pouvaient être convaincus du contraire – j’ai alors uniquement
raison moi seul pour tout le monde, c’est-à-dire pour chacun des descendants de
chacun de ces milliards et plus d’êtres humains et contre évidemment tous ceux
qui avaient menti sur le point où j’ai raison moi seul pour tous, car je ne suis
que véritablement un père de famille à déjà être en train de défendre les
intérêts les plus sacrés/vitaux de chacun de mes descendants et de leurs amis à,
dans le futur, des milliards de milliards de milliards et à l’infini de
générations de là où je me trouve ! D’où que je trouve très bien à cette jeune
iranienne d’avoir tiré / levé / ôté son chapeau car il est probable qu’elle
n’ignore pas, pour son métier d’actrice la dure concurrence que cette loi de la
Quantité et de la Rareté présente comme problèmes même si elle nous fait
quotidiennement bénéficier de ses aspects les meilleurs : des petits prix pour
chacun des produits de premières nécessité qui, on l’aura compris, auraient été
onze mille fois moins élevés si le prix du baril de pétrole avait été à
cours-le-bas : à un centime de dollars le baril. Faites donc vos comptes et vous
verrez que vous avez le droit de rêver et de remercier la très Sainte Vierge
Marie qui n’avait pas spécialement un tchador noir et certainement pas une burqa
bien qu’il soit possible qu’elle conservait pour se déguiser à l’extérieur de
chez elle, Blanche-neige, ce genre de vêtement !
(Je rappelle que vous trouverez ce texte sur la page de SAI SSS les dames Dominique Constantin et sur ma page Face Book. C'est elle qui avait publié la photo en me donnant l'occasion de développer ce tout début de réflexion, mais pas encore publiable sur du papier car je n'ai que relu ce texte que deux seules fois, ce qui doit signifier qu'il est d'avance indigne de Vous, lecteurs, ce qui signifie que j'espère bénéficier de vôtre indulgence).
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