« Il
ne faut jamais rentrer dans la croyance d’autrui »
« Il ne faut pas croire que le cinéma
Omnimax ait de l’avenir et encore
moins l’Omnimax
'X' ! »
Parmi les souvenirs que j’ai de mon ami Jean Rouch, je me souviens qu’il m’a dit
une chose qui m’a longtemps fait méditer d’autant que sur le moment j’ai trouvé
intelligente son idée : « il ne faut jamais rentrer dans la croyance
d’autrui ». C’était à propos des religions et de celle[s- ?] qu’il avait étudié
chez les dogons.
Voilà une idée à laquelle je n’avais jamais pensé ainsi formulée, cependant que
je découvrais que quand j’avais été croyant dans la religion chrétienne (car
depuis longtemps j’étais [re]devenu profane), c’était bien ainsi que je m’étais
comporté vis-à-vis des autres religions auxquelles je n’avais pas voulu
spécialement croire, me contentant (et en cela bourgeoisement) de celle dont me
faisait hériter mes parents (la religion Catholique), ce qui m’avait rendu [un
peu] intolérant (du moins sur certains points), vis-à-vis de l’existence des
autres religions : j’étais tombé dans le piège de ceux qui, enfants, croient
avoir trouvé/hérité, grâce à leurs parents en lesquels ils ont foi, de la
meilleure des solutions élégantes en matière de religion pour survivre en ce
monde.
En fait, Jean Rouch venait de me dire ce qu’il fallait pour me confirmer dans
mon athéisme, bien que j’avais trouvé d’autres de ses
réflexions « d’ethnographe » qui nous avait fait conclure, quand j’en parlais
avec Michèle Finck, qu’il était un ethnographe qui s’était limité à sa
discipline qui était déjà suffisemment vaste pour l’avoir contraint à
effectivement limiter son champ de recherches dans sa discipline
professionnelle, ce qu’avec elle, je lui reprochais au point de recommencer à
douter [un peu] de la profession qu’il estimait servir.
D’autre part, me suis-je dit, de nombreuses années après, voilà une phrase qui
aurait dû, sur le moment, me rendre méfiant envers les propos de mon ami, même
si nous parlions de religion !
En effet, « ne jamais rentrer dans la croyance d’autrui », cela signifiait que
je devais me méfier des propos eux-mêmes de mon ami (comme j’aurais dû me méfier
enfant de la religion de mes parents) puisque la phrase en question affirmait au
moins la croyance en cette phrase elle-même (en fait Jean Rouch me signifiait
par là qu’il fallait que je me méfie de la croyance au sujet même de ce qu’il
croyait bon comme attitude, celle « de ne pas croire à la croyance d’autrui »
(des limites ici des propos oraux échangés [à ce petit déjeuner rituel du/au
Bullier, pas toujours très bien réveillés]) : en fait cela aurait dû contraindre
Jean Rouch en toute cohérence à ne pas la formuler puisque cela prouvait, au
moment-même où il la disait qu’il ne croyait pas d’un électron à ce qu’il venait
de dire. En fait Jean Rouch ne s’apercevait pas qu’il venait de mentir (vrai) ou
alors en était-il conscient et avait-il voulu me faire comprendre qu’il n’avait,
au cours de sa longue carrière, que fait du tourisme « ethnographique », bref
que sa profession officielle n’avait été qu’un prétexte, ce que je ne pouvais
même pas d’un électron imaginer au sujet des êtres humains, puisque de mon côté
je ne faisais pas semblant d’explorer cette profession d’apprenti cinéaste, qui
n’étais pas encore vue sous l’angle du prétexte, mais réellement sous l’angle
d’une science de l’Art dont il me fallait découvrir les mystères. D’autre part
il y avait tant de sujets différents abordés par Jean Rouch que cela signifiait
qu’il s’était intéressé à de nombreuses catégories de choses différentes, donc à
des croyances (vérités ou mensonges ?).
« Ne jamais entrer dans la croyance d’autrui » cela signifiait aussi ne jamais
entrer dans ce que les mots signifient, donc refuser les vérités relatives des
catégories (ce qui n’était pas le cas de mon ami), celles-là où il y a cependant
bien souvent à première vue en tout/s cas concorde (parfois internationale
(interRégionale), (voire impériale) à leur sujet : celle-là qui permettent de
tout gérer, voire administrer, bref ranger, classer, ar[t]chiver, l’ethnographie
en étant une des preuves : comment diable se faisait-il que Jean Rouch ne puisse
pas même croire dans l’Ethnographie, une sorte de religion, du moins une
catégorie scientifique importante, effectivement donnant un accès à l’étude du
sacré (c’était l’époque de son deuxième mariage), selon les croyances hérités
localement par les différentes civilisations et/ou plus localement ethnies
(bref, familles d’individus, par conséquent races, au bon sens de ce mot qui
signifie catégories) ! Aussi quand Jean Rouch se présentait en tant
qu’ethnographe et cinéaste, ce dont il était à première vue convaincu, d’autant
que de nombreuses personnes l’affirmaient (y compris dans les journaux à propos
de ses films), il ne se rendait pas compte qu’il avait cru (mais peut-être
savait-il qu’il avait fait semblant) à la croyance d’autrui au sujet de ses
diverses disciplines professionnelles et que s’était bien parce qu’il avait cru
à la croyance d’autrui -[(ou qu’il avait fait semblant d’y croire, ce qui
m’expliquait aussi le fait qu’il avait employé à une autre occasion la notion de
« comme si » [c’était vrai])]- au sujet des mots, dans sa langue maternelle,
qu’il parlait, voire qu’il avait appris à manier une caméra, du moins
techniquement et même mieux que cela en dirigeant ses amis noirs ! D’où venait
donc le fait qu’il s’était à ce point méfié de la croyance d’autrui ? Qui sait
un peu comme moi, quand, enfant, je m’étais méfié des croyances d’autrui autres
que les miennes fondées sur la relation à la langue maternelle, mais aussi, dans
ce cas [particulier], à la foi maternelle. Je me suis alors dit que Jean Rouch
était un peu du même genre que moi, en tant qu’ancien chrétien. Sans doute
l’origine même de ce qu’il ne voulait pas croire que la vidéo avait de l’intérêt
en matière cinématographique. Là non plus, il n’avait pas voulu croire à la
croyance d’autrui ! (Il faut donc toujours faire comme si on croyait à la
croyance d’autrui, bien qu’on a le droit d’essayer de comprendre les pourquoi
(tenants et aboutissants) liés à cette nouvelle catégorie de croyances ou de
vérités relatives à ceux-ci, comme d’émettre des réserves tant qu’on n’y
parvient pas).
Voilà donc une phrase particulièrement dangereuse, me
suis-je dit : « Il ne faut jamais rentrer dans la croyance d’autrui », à
plusieurs reprises récemment en y repensant, dont son auteur à son insu était
pourtant convaincu (une croyance), ce qui signifiait qu’il s’était intéressé
pendant des années aux croyances africaines sans jamais y croire, (bien
difficile à croire !), ce qui pouvait l’avoir protégé des risques ou des dangers
qu’elles
avaient et en cela, j’ai pensé que c’était effectivement à
première vue l’état d’esprit qu’il convenait d’avoir vis-à-vis des religions, le
remède laïc ou/et celui de l’athée ou/et du profane ou/et de l’ignorant, voire
du sacrilège dans ce domaine des croyances [religieuses] au bon comme au mauvais
sens de ces derniers mots, d’autant plus qu’elles sont si nombreuses qu’il
convient, dans cet état d’esprit, effectivement, de s’en méfier (moi-même dès
que je rencontre une personne dans la rue [ou qui sonne chez moi] qui me propose
de lire la Bible ou alors qui danse en chantant « Hara Krishna », je me méfie,
bien que je trouve cela charmant par certains aspects, un peu comme des artistes
de rue (il faut avoir le/du temps [à perdre ou à gagner] de/pour rentrer dans un
spectacle [collectif], une croyance, par exemple celle d’un » mangiafuoco
« ou d’un Zampano : d’un cracheur de flammes, de feu ?
Comme SAI SSS les Lord. Federico Fellini l’a
démontré dans la Strada – ici il en
va d’une étude de ce maître du Cinéma sous Son approche du cinéma sous l’angle
ethnographique : Cinéma du Réel). En effet, je crois ne pas avoir besoin d’aide
pour me faire une idée moi-même de la lecture de la Bible (bien que je ne
dédaigne jamais les commentaires officiellement proposés par l’Eglise, par
exemple à la messe, à l’occasion des homélies) car peut-être même
l’interprétation qui en sera donnée n’est pas totalement juste (je ne crois pas
que personne puisse avoir le monopole de l’interprétation la plus exacte des
textes sacrés, sauf éventuellement un des pairs de ceux les ayant inscrits) –
d’autre part est-ce que cela ne serait pas un prétexte pour autre chose ? D’où
le devoir de méfiance au sujet de ceux qui sont aussi sûr de leur croyance qu’à
rechercher à vous l’imposer). Voilà donc à première vue une clé qu’il venait de
me donner cependant qu’en y réfléchissant, je comprenais qu’elle ne fonctionnait
pas totalement et que je devais me méfier de mon ami ne voulant entrer dans
aucune croyance et qui se disait croire en celle des anarchistes (il y avait de
l’incohérence dans tout cela) dont il me vantait les mérites d’autant plus du
nombre de religions dans toutes les époques affirmant qu’il y avait quelque
chose à découvrir de vrai au moins à ce sujet, sinon elles n’existeraient pas.
Lui-même ne devait-il pas la plupart de ses succès cinématographiques à
l’existence des religions, voire à Dieu ?
Mais peut-être aussi n’avait-il jamais réussi à les
comprendre car sans entrer dans la croyance de l’autre, ne serait-ce qu’au sujet
du sens d’un mot, ce qui est une forme de religion, car le mot (sa ‘révélation’,
un synonyme possible encore à cette catégorie du mot) nous relie au sens qui est
partagé ou/et cru (l’objet d’une concorde, donc de gens qui vont l’affirmer sans
mentir – ce qui a permis de transmettre chacune des langues maternelles
véhiculées par des sons ou des écrits crédibles, donc vrais), voilà qu’on
devient un spectateur comme les touristes qui visitent les monuments sacrés ou
ceux qui dans
Steps
de SAI SSS les Lord. Zbigniew Rybsinski
visitent
la séquences de la dégringolade du fameux landau sur l’escalier d’Odessa du film
de SAI SSS les Lord. S. M. Eisenstein, mais qui demeurent extérieurs à tout ce
qui concerne les détails de la croyance -[(cependant que les guides, en réalité
des sortes d’assistants lointains des travaux des ethnologues, un peu comme
autrement vu les critiques, participent à la valorisation ou alors à la
dévalorisation de ces religions ou ces coutumes ancestrales locales (voire ces
films), leur font part (plus ou moins eux-mêmes extérieurs ou alors le contraire
comme un habitant fier de sa localité) de l’existence d’un temple ou d’une
Eglise (d’un film) dont il a hérité aussi des anecdotes, de celles-ci : bref des
croyances corollaires)]- par conséquent qui ont des probabilité d’appartenir à
des profanes, soit la raison même qu’ont les autres de croire à cette croyance
dans laquelle ceux-ci, les mécréants ou les peucréants, (donc les profanes, les
ignorants dans la croyance d’autrui, les laïcs, les athées, voire les sacrilèges
à leur insu) ne veulent qu’extérieurement étudier, peut-être même en se sentant,
parce qu’athées ou/et incrédules ou profanes, supérieurs (ou exclus) – ce qui
cache souvent le contraire (un sentiment d’infériorité, voire même celui de se
sentir inclus, malgré le/un refus qu’on a le droit de croire légitime – en
réalité symétrique de celui qui existe quand des gens vous imposent contre vôtre
volonté des rêves et des cauchemars mensongers plus que ridicules, souvent de
véritables sacrilèges infâmes et indignes de l’être humain) à ce à quoi ils
voient que d’autres croient ou /et savent être à première vue une forme
d’idolâtrie dans la foi, cette croyance, qu’ils ont en commun, mais que ces
mécréants sont honnêtement contraints de constater exister entre des êtres
autour/avec des mots, des expressions, des valeurs en commun ayant engendré
iconographie[s], art[s] sacré[s] et rituels divers (dont chants et musiques en
commun) et … : bref, civilisation localement en tout/s cas souvent à première
vue différente d’une autre sur ces points qui devraient faire l’objet de
comparaison[s], d’autant plus qu’à l’origine des Revenus Non Usurpés (RNU[1])
que
procurent la profession d’ethnographe ou d’anthropologue, voire même tous ceux
(des CFPM) pour réaliser le fameux » Bilan du Film Ethnographique «
ou » le festival du Film du Réel «. Cela expliquait aussi la raison pour
laquelle j’avais entendu Jean Rouch, à une autre occasion dire, qu’il avait
réussi à « escroquer ces subventions » pour ce Bilan, ce qui m’avait beaucoup
choqué (d’autant que je ne me savais pas encore le pharaon suivant mon père dont
je ne savais pas non plus qu’il était pharaon et que c’était donc mon Trésor
dont Jean Rouch se vantait devant moi d’avoir escroqué, bien que me sachant fils
d’un haut fonctionnaire de l’Etat, je ne trouvais pas aimable de se vanter
d’escroquer une notion comme l’Etat qui de toute évidence nous permettait l’un
comme l’autre de survivre – donc qui comportait un/cet aspect sacré dont j’avais
l’intuition ou le souvenir d’en avoir eu les preuves en moi-même qu’il pouvait
exister), car moi j’allais au Bilan du
film Ethnographique pour apprendre des choses (et réellement on en apprenait
des surprenantes qui donnaient à penser, à méditer y compris avec les films
interdits ou censurés qui y sont heureusement montrés, comme son « Maître fou »
en déplaise (ce qui m’étonnerait autant d’années après, car Elle est bien placée
comme SAI SSS les Lord Valery Giscard d’Estaing pour savoir ce qu’une mise à
jour permet une génération plus loin) à Sa Majesté ou même le film de Depardon
sur VGE) grâce aux films qui y étaient présentés, mais on m’avait rassuré à ce
sujet, en me disant que c’était une façon de dire et j’en avais conclu moi-même
qu’il s’agissait donc d’une anti-phrase, car je ne supportais pas l’idée que
Jean Rouch, mon ami, puisse être un escroc.
Cela
signifiait donc que je ne me croyais nullement en être un moi-même et en cela
-[(peut-être avais-je tort de le croire et avais-je de mon côté usurpé à mon
insu les subventions pour la réalisation de
La Momie à
mi-mots ? Mais pour qui je vous prie ? Car je
n’avais pourtant pas fait semblant de rechercher à les obtenir non en escroc,
mais pour découvrir à travers elles et ce que je découvrirai dans l’activité de
réalisation de film[s] peut-être une de mes futures professions ! Depuis quand
une activité, une compétence à acquérir serait-elle une forme d’escroquerie ? Il
y avait visiblement une chose qui ne tournait pas rond dans mon camarade de
petits déjeuners au café le Bullier !)]- en raison de ce qu’on venait de me
dire, je pouvais admettre l’idée que j’en serais un malgré moi, donc en ne
sachant pas encore pourquoi je le serais (bien que parfois, vu autrement, cela
pouvait se défendre l’idée que je le sois aussi, donc [escroc] malgré moi – d’où
est-ce que cela pouvait diable venir ? Je ne songeais pas encore à le
découvrir !). Cela signifie que depuis quelques temps, j’étais redevenu
véritable en tout cas ([]) sur de nombreux points importants auxquels je tenais,
sans doute par principes, dont je ne savais pas/plus qu’ils étaient ceux de
l’ancien bouddha que j’avais été en 1965 et de 1975 à 1977 qui songeait à sa
descendance et aux générations futures dans chacune des peines que je me donnais
(m’infligeais – en fait, à cause de leur problème financier, étant donné que
j’avais constaté que je n’avais eu moi-même que seulement et uniquement
ce
genre de problèmes tragiques puisque chacune des choses que je désirais avoir,
j’avais été contraint (à postériori, que cela ait été en tant que fils de
pharaons ou alors n’en sachant plus rien) [souvent, voire toujours] d’y
renoncer, de la sacrifier, à cause – me disait-on – ce que j’avais compris être
vrai - de la situation économique internationale, mondiale de ces années qui
parait-il pour certains étaient [encoe] « la guerre froide » – ce que je ne
comprenais pas et qui concernait seulement [de mon point de vue] le monde
« adultes » (de l’histoire ancienne – voire comme préhistorique, car bien avant
ma naissance – j’étais loin d’imaginer que ce « bien avant » était prématuré et
qu’il signifierait, à plusieurs reprises (en 1965, en 1975 et enfin de nouveau à
partir de 2005) bien après ma naissance !), mais déjà
plus du tout nôtre génération -[(ce que j’ai pensé à
chaque fois dès, après les dates Angles, charnières, (fatidiques
– et fatigantes) en question : affaire ancienne, « il faut tourner la page »
selon les termes de mon père qui avait réussi à m’en convaincre plusieurs fois
(en tout cas dans les années 60 et 80 mais plus jamais – d’ailleurs il n’a pas
osé - à partir de 2005) – mais en raison de l’existence de l’Eternel Retour,
c’est la page elle-même qui revînt s’imposer pour obtenir une autre fois la même
défaite (la même batosta :), le même
Débarquement [salvateur/libérateur] des Alliés !) ayant les yeux tournés vers
l’avenir)]-
avant d’avoir eu, pour sauver une autre fois la planète,
comme à partir de ces époques du passé, à perdre plus ou moins totalement cette
bouddhéité, parce qu’on m’avait contraint une autre fois à faire l’anti-thèse de
la Vérité, ce que visiblement j’avais, pendant que je la fis de 1977 à 2005, de
réelle difficultés à [la] faire, au point qu’à partir de 2005, je retrouvais la
Vérité de toujours : celle du/e bouddha y compris en matière d’éEtat.
C’est cet échange que nous avons eu, un matin à un petit
déjeuner, qui m’a fait comprendre pourquoi Jean Rouch ne s’intéressait pas au
bouddhisme et même avait une aversion profonde, qui m’avait parue si injuste
qu’elle m’avait un peu scandalisée et soudain parue même suspecte (car méchante,
non étayée rationnellement en scientifique ethnographe véritable, ce que je
croyais être la profession de cet ami, mais sur ce point précis en parodie,
c’est-à-dire en un avis subjectif non objectif) envers la religion bouddhiste,
au point, par esprit de contradiction, sans doute, de me la rendre aussitôt
totalement des plus sympathique[s] –{[(voire même à étudier plus que je ne
l’avais fait, au point même d’essayer de comprendre [de nouveau] les pourquoi,
voire les comment, de ce que ses diverses iconographies (et documentaires
folkloriques pourtant appréciés au Bilan du Film Ethnographique, lui ayant
permis obtenir ces subventions) en tout cas admirables [(et de grande valeur –
ce que je pouvais juger à l’aune de mes diverses connaissances et pratiques à ce
sujet – était réellement véritable – non pas de valeurs usurpées y compris
toutes celles commerciales – je ne parle pas seulement de la valeur des traits,
des couleurs, des savoir-faire artisanaux ou des idées dans ces
représentations)] représentaient)]}- et en raison de sa réaction qui me parut
injuste [(car bêtement méchante – qui plus est de la part d’un
« ethnographe »)], par principe, de prendre -[(même si je n’y croyais pas encore
d’autant que je m’ignorais à ce moment-là être un des [futurs]bouddhas])- la
défense face à cette sorte de haine, que je lui vis avoir (ne la justifiant pas
d’une façon objectivement admissible) et cela sans s’être donné la peine, au
préalable, de devenir un des spécialistes de la question bouddhiste avant de
s’autoriser à éprouver une aussi grande aversion pour une des religions
proposées -[(moi je ne me permettais pas de me moquer de la religion des dogons
qui avait été son fonds de commerce, voire même pour réussir à « escroquer » les
subventions pour ces réunions admirables autour de l’écran qui derrière lui,
m’avait-il appris, avait servi de cachette durant la Résistance (comment
l’avait-il su ?), là où j’ai pu faire le mixage de
La
Momie à mi-mots en sa compagnie, car il
m’aida en mettant son mixeur à ma disposition, pour faire fonctionner les
appareils synchro qui depuis y avaient pris place)]- sur une des planètes du
Grand Architecte de l’Univers, à l’étude des ethnographes locaux ou/et de plus
grande envergure : internationaux.
Sa réaction aussi négative au sujet de cette religion
millénaire dont le Musée de l’Homme avait recueilli maintes traces des plus
admirables, mais surtout, pas loin, le Musée voisin et complémentaire des Arts
Asiatiques Guimet et cela malgré autant de Bilans Ethnographiques, ne faisait
que confirmer ce que j’avais compris être les limites de cet ami, puisqu’il
avait été longtemps aussi hostile à la vidéo, malgré les différentes preuves
qu’il avait eu qu’elle permettait au moins, pour des budgets moins importants,
d’archiver des moments [inoubliables] à partager et/voire à étudier. Evidemment
si tous les réalisateurs avaient pu avoir accès à la pellicule onze mille fois
moins chère/coûteuse/onéreuse qu’en 2014, quand le baril de pétrole était onze
mille fois plus cher/coûteux/onéreux que son maximum de un centime de dollar le
baril, puisqu’il était à plus de cent dix dollars, comme il avait été autour de
sept dollars, c’est-à-dire sept cent fois trop cher/onéreux/coûteux en 1975-77,
tous auraient pu tourner ces films documentaires en 35 mm, voire 70 mm, scope,
voire en omnimax et il y aurait
beaucoup plus de salle omnimax qu’il
n’y en a [(peut-être même une au sommet ou à l’intérieur de chaque grande
tour
–/ou gratteciels comme il y a parfois des piscines à l’intérieur des
hôtels/immeubles)] avec toutes celles que j’ai réussi (à titre de promotion
commerciale de cette idée d‘avenir grâce
aux dômes géodésiques de
Richard Buckminster Fuller
sous forme de
Géode, à Paris, par exemple)
à faire construire, malgré la crise (le choc)
du pétrole -[(le traumatisme général à ce sujet, sauf pour les escrocs en
question de l’Opep désobéissant[s] en 1975-77 et années suivantes à mes ordres,
mes conseils, mes suppliques, mes avis éclairés, mes recommandations comme leur
pharaon et chef (héritier et propriétaire à plus d’une titre de ses réserves à
transmettre, violant mes droits de propriétaire légitime en tant qu’empereur,
que bouddha, que celui qui était pris et considéré comme Dieu lui-même
intervenant du ciel en 1975 qui correspondait d’avance à l’année 2005) et comme
celui qui venait de géo-localiser plus de 50% (et je minimise) des réserves
mondiales qu’il avait apporté lui-même sur les marchés dès 1975-76)]- et cette
augmentation du prix du baril contre mon gré et mes différents droits de
propriétaire légitime à partir de 1975-77 comme cela avait déjà été le cas en
1965, bien que j’étais alors trop petit pour me rendre compte qu’on me volait de
tous mon/n[V]ôtre] Trésor, tous les jours et toutes les nuits depuis au moins
1860, ce dont je me suis heureusement aperçu entre 1965 et 1975 (à temps, car je
n’avais que douze ans – donc cela n’avait pas été trop long du point de vue de
nôtre génération – encore supportable !), donc vers mes douze-treize ans et ce
dont je me suis de nouveau aperçu, malgré l’amnésie que canoniquement j’ai été
contraint de m’infliger, en raison d’un chapitre prioritaire concernant mon
anneau de mariage (donc en ayant été contraint, malgré moi et contre mon gré, à
faire une très longue parenthèse (de vingt-sept ans) avant de mathématiquement
m’en rendre de nouveau compte (Eternel Retour m’ayant aidé à cela, bien que à
chaque fois la situation se présenta à la fois semblable, mais sur d’autres
plans différentes), en retrouvant vers 2005 la mémoire de ma promise dont on
m’avait contraint (malgré le premier Sacrifice de dix années de 1965 à 1975) à
réitérer, contre mon gré et mes suppliques comme mes conseils et recommandations
(voire mes nombreuses interdictions de redevenu bouddha omniscient – donc de bon
conseil) ce sacrifice (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux membres
des autres religions ni aux gens d’Islam ni aux sacrilèges, aux profanes, aux
laïcs, aux athées et aux ignorants, au bon comme au mauvais sens de ces mots),
ayant suffisemment amplement apporté une pleine satisfaction sur les dix
première[s] années, puisque cela avait permis sur place de me faire trouver la
cause de tous les dysfonctionnement(s] économiques, mais aussi (en apparaissant,
qui plus est, d’avance dans le ciel trente ans plus loin, en virtuel) avec, un
moment après, le remède absolu, radical, efficace : ce prix du pétrole à
baisser, au moins à ce maximum le plus cher/coûteux/onéreux de ce centime de
dollar le baril (ce qui redonnerait de la valeur au dollar qui pourrait de
nouveau s’indexer sur l’or ou les [vrais] diamants) ou alors à encore mieux que
cela pour rembourser plus rapidement encore les dettes mondiales de 0, 1
centime, voire 0, 01 centimes de dollars, ce qui aurait permis d’avoir la
pellicule de cinéma argentique encore moins onéreuses, coûteuse, chère
d’autant ! ).
Et cela aurait de l’intérêt à nôtre époque où les
vidéo-projecteurs que j’ai eu à commander de réaliser au cours de la
Nouvelle Nouvelle Donne InteRrégionale
Mondiale (NNDIM) en transmettant au cours de cette
Méga Dictée Pharaonique de cette
NNDIM les détails technologiques y compris pour réaliser les écrans plats)
permettent déjà de grandes images [y compris les écrans
plats] à l’intérieur des appartements (donc par projections ou sur ces écrans
plats) – aussi le Cinéma aurait eu un avenir (en créant de l’Emploi) en
Omnimax (pour offrir cette solution
élégante de l’Omnimax aujourd’hui encore réservée à un trop rare public,
appartenant aux rares privilégiés y ayant accès – un peu comme au tout début de
l’Opéra où il fallut construire ces édifices bien spéciaux : particuliers,
permettant plus aisément/facilement de les réaliser, en offrant ainsi parce que
différents des théâtres, les meilleures conditions acoustiques à prix, somme[s]
toute[s], bon marché) car
il n’y aurait eu que de cette façon que les gens auraient continué à avoir envie
de se retrouver, voire se réunir dans des salles de cinéma, pour partager ces
images rares, très grand-format, à 180° qui auraient alors coûtées au moins onze
mille fois moins chères/coûteux/onéreux à réaliser, donc donnant un avenir à
cette nouvelle façon d’approcher la notion de Cinéma en public et permettant
plus aisément de démocratiser à un moindre coût, cette approche très
inhabituelle de l’immersion totale dans l’image, qu’on ne peut retrouver qu’à
l’aide des casques de réalité virtuelle qui vous plongent autrement qu’en
famille, assis confortablement sur des fauteuils, comme l’offrent ces images
Omnimax. Cela permet d’être comme devant un paysage entier : donc cela offre
aussi la possibilité de filmer en vidéo avec un petit caméscope (comme dans
Steps
avec une caméra peut-être Super 8 [amateur] de
touriste) discrètement (comme au Théâtre ou au Cinéma ou au Concert) des détails
-[(qui nous importent plus spécialement, comme avec les jumelles à l’Opéra qui
sont spécialement conçue pour ça, les jumelles de théâtre (par exemple
Zeiss), et qui peuvent devenir des
caméscopes-stéréo, voire 3D, en plus de leur fonctionnalité de lunettes
d’approche ponctuelles – un peu comme les autres jumelles dans la marine qui
elles aussi pourraient avoir la fonction caméscope d’appoint ou appareil de
photographie d’appoint – en fait une entrée de carte mémoire où y archiver des
découvertes)]-
à l’intérieur de ces images projetée à 180° (dans la
salle elle-même de Cinéma), donc d’être transporté dans un lieu en bénéficiant
du champ entier de ce que, par exemple, les objectifs grand angulaires couvrent
comme surface, voire de découvrir le cinéma
Omnimax 3D avec l’avantage de ne pas
avoir son champ de vision limité par un casque, par conséquent de pouvoir
toujours regarder sa main ou même son pantalon, voire le sol ou même tourner la
tête vers la cabine, quand on refuse[ra], ce qui est le droit de chacun, de
regarder une image proposée (bref de détourner son regard, voire de fermer les
yeux) – c’est ici l’aspect respectueux de la liberté de chacun des spectateurs
qu’offre l’Omnimax par rapport au
casque de réalité virtuelle qui une fois chaussée rend difficile l’accès à ce
droit, de la même façon que lorsqu’on vous impose, contre vôtre gré, un rêve ou
un cauchemar, ce que personne au monde n’a le droit de faire, sauf peut-être, à
première vue, s’il s’agissait un pair, donc une sorte de clone de vous-mêmes qui
vous connaîtrez autant que lui-même -[(et surtout pas dans l’idée d’exercer un
quelconque pouvoir illégitime sur vous comme s’évitant naturellement (en
cohérence avec la notion de pair, donc de fraternité – ce qui induit » de ne
jamais se permettre de faire à autrui ce dont on ne voudrait pas être soi-même
la victime « ) d’utiliser cela pour intimider d’une quelconque façon, car il n’y
a ici que le moins encore que minable ou le plus grossier et misérable des
« êtres » à pouvoir songer l’utiliser ainsi, bref comme tous ceux qui ne se
conduisent qu’en les plus abjectes et horribles (et c’est peu dire, minimiser au
paroxysme) enfants-gâtés, égoïstes et adolescents (qui ont) à exercer du
chantage ou à croire possible faire peur, intimider avec les instruments/armes
obtenus (on ne sait ici jamais comment, donc s’ils les ont obtenu de droit, les
mains blanches ou alors en les ayant usurpés, en imposteurs, tricheurs, voleurs,
etc. escrocs), donc profiter d’une arme pour l’utiliser en offenseur et non en
légitime défense, ce qui est l’inverse)]-, ce qui est difficilement crédible,
puisque ce clone ne dispose que de son point de vue et de la chronologie de ses
connaissances qui différent totalement ou moins ou plus que cela de toutes
celles de sa copie (à première vue seulement à l’identique), vous-mêmes. En
effet, tant que le consentement à ce sujet n’est pas obtenu librement de la part
de celui qui va recevoir l’émission du rêve ou du cauchemar, il y a infraction
aux libertés fondamentales et ontologiques de chacun à avoir le droit (c’est
élémentairement compréhensible) de refuser de voir une émission, un programme,
de lire un texte, un livre (ne serait-ce qu’en raison du droit à l’esprit de
contradiction, ou même de celui de déplaire, puisque Jean Rouch l’avait comme
éthique provocatrice pour m’agacer bien que cela m’intéressa comme vue de
l’esprit – en fait la contradiction, l’antithèse) : bref aux droits des êtres
humains d’avoir ou de ne pas avoir la télévision, d’aller ou de ne pas aller
voir un film, etc.
(la liberté de choix) : personne ne peut vous y
contraindre de force, car sinon aussitôt il s’agit d’un acte tyrannique, de
celui d’un despote, donc de ce qui n’a jamais été tolérable, acceptable, de
cette manière/façon : en forçant là où il n’y a pas de consentement [au]
préalable (libre-adhésion), voire de suffisante préparation à/pour l’accepter,
là où tous les arguments que la raison intelligente génèrera prouveront qu’il y
a infraction/viol du domicile intérieur de son [propre] cerveau, c’est-à-dire de
son âme (soit ce qui n’appartient qu’à soi-même (en propre) ou à celui à qui on
a donné son âme, si on ne veut pas la conserver uniquement à soi-même, ce qui
est un des droits inhérents/ontologique possibles, par exemple, si on ne veut
pas croire en dieu ou en un Grand Architecte de l’Univers ce qu’on comprend
d’avance est difficile à croire comme métaphore de toutes les additions des
catégories qui servent à penser juste, mais aussi de toutes les dimensions
visibles et/ou invisibles). C’est librement, après un certain nombre de
réflexions que vous choisissez cette peine ou ce plaisir, selon comment vous
prendrez ce qu’on vous propose (donc selon les paramètres, les critères auxquels
vous vous référez, auxquels vous songez pour faire pencher la balance d’un côté
ou de l’autre, donc selon des croyances ou des vérités relatives auxquelles vous
avez été sensibles, comme par exemple qu’il a fallu créer l’invention des
caméras et des salles Omnimax, donc toute l’Histoire du Cinéma du XXème
siècle pour arriver à vous offrir à ce petit prix du billet la séance qui, entre
parenthèse, puisque c’est aussi le sujet, aurait été lui aussi onze mille fois
moins cher/coûteux/onéreux, au point certainement de vous permettre de vous
abonner même pour n’y aller qu’une fois par an, seulement en ayant la
possibilité d’y aller à chacune des séances ! D’où qu’à l’aune de cet
argument/paramètre, on se laisse tenter plus facilement pour cette peine qu’on
comprend en valoir la/e … plaisir y compris pour, (une fois n’est pas coutume),
assister à un film érotique en Omnimax,
à 180°, ce qui implique alors de créer des géodes ‘X’, « ce qui n’a pas
d’avenir » comme l’a démontré d’avance le film
The Rocky
Horror Picture Show (exemple
d’une anti-phrase) duquel dès qu’on en parle,
il vaut mieux penser
aussitôt, qu’heureusement, il existe tous les autres admirables films (bien
qu’il soit de qualité sur certains points, voire prophétique ou à ranger dans
les films d’anticipation) à proposer d’autres idéaux casanier que celui-ci,
parodique, par ceux qui abusent de cette drogue néfaste des films
pornographiques dans une situation non plus de fauteuils, mais de lits situés à
l’intérieur de chambres-géodes X – ici on peut comprendre qu’un couple de
personnes légitimement s’étant reconnu comme amis/fiancé/mari et femme, voire
qui s’aiment infiniment ait envie (s’il devait avoir acquis financièrement les
moyens légitimes, donc en CFPM, sans escroquer personne et non des crédits
financiers u[usurpés], cff[aux], cfm[alhonnêtes], cfs[ales], cfc[orrompus], etc.
) de se projeter leurs ébats physiques enregistrés sans que cela ne soit
spécialement pornographique ni The Rocky
Horror Picture Show pour autant (genre
Maja desnuda ou la fameuse
Olympia de Manet : so what ?) cela
peut déjà se réaliser facilement avec des web cam, chez soi, y compris
avec un vidéoprojecteur qui envoie l’image au plafond), mais relevant de
l’intimité – il s’agit du plaisir un peu narcissique (une étape par laquelle
tous sommes passés) de découvrir ainsi (parfois) des jolis souvenirs – pas
forcément des fautes ou des infidélités : des sentiments d’esthètes – cependant
qu’on s’expose alors en représentation, ce qui pose le problème de la trace,
mais aussi de cette représentation qu’on veut laisser de soi – voire de
l’indiscrétion ou alors au contraire de la discrétion, de la question de la
pudeur ou de l’impudeur, de l’animalité ou de la spiritualité trouvée dans une
union, etc. mais tout cela étant bien sûr relatif comme à associer à toutes les
conséquences sur les différents plans de hygiène (y compris des conséquences
psychiques et des danger de fausser des interprétations possibles à ce sujet) –
ce qui n’est pas une mince affaire et cela d’autant plus de l’existence de
chacune des catégories, y compris des films « dits » pour enfants ce qui fait
courir le danger d’en faire des adolescents pour longtemps, voire [des]
indécrottables avec les dangers des involutions et des régressions psychiques
causées par ces interprétations faussées évidemment que les prisonniers à jamais
de ces catégories uniques, occultant l’existence de toutes les autres, autant
que le nombre de mots dans chacune des langues, vont croire, à tort, être justes
– d’où le problème de toujours entre profane et sacré, impure et pur).
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Révision :
07 février 2016