‘Preda’ (en ital. ‘proie’) donc [parfois] rouge sang = ‘red’ anglais
D'où qu'on comprendra qu'une idée inscrite, n'est à première vue pas toujours plausible/vraie. Il ne s'agissait que d'une idée dite sous la forme d'un raccourci dont seul l'aAuteur détenait le secret. Ce qu'il fit en commençant à développer l'idée, la rendant plus compréhensible que dans cet informe (non assez travaillé pour qu'il puisse être crédible). Ensuite, il creusa un peu plus et on comprit un peu mieux l'idée qui avait paru à première vue fausse, d'une personne non assez instruite pour s'exprimer en conférence ou même à table, avec d'autres personnes se croyant elles instruites. Enfin en creusant plus encore, on comprit qu'il y avait de l'idée, celle qui était venue autrement à la lecture de ce mot de 'preda' dans le rapport avec le mot de 'proie', sous la forme d'une bibliothèque voire encore plus de livres qui découlaient de cette intuition à cause de ce 'red', pourtant à première vue ici, dans ce titre, maladroitement exprimée, en tout cas mal formulée. Enfin après une autre relecture et une autre correction, tous virent que l'idée en question, qu'on n'aurait jamais autorisé à dire, lors d'un repas, sans tous esclaffer de rire, même écrite ainsi, était réellement une idée sur laquelle réfléchir: ces fausses étymologies (naïves, enfantines) sont peut-être moins fausses que cela!
J’ai décidé de publier un exemple de fichier brouillon et on constatera qu’à chacune des relectures nous sommes passés de l’idée toute simple écrite sur une ligne à une relecture au cours de laquelle, en corrigeant j’ai pu développer un peu l’idée en question. A mesure que le lecteur découvrira ce texte, il retrouvera les versions précédentes, jusqu’à enfin trouver l’idée de départ qui se trouve cette fois-ci à la fin de cet encadré. Je prend[s] le risque d’une quatrième relecture de ce texte corrigé et on assistera alors à un autre devenir du texte (peut-être moins augmenté qu’au cours des deux fois précédentes, mais tout de même – que donnera une cinquième relecture, voire une sixième et ainsi de suite ? Aurais-je le temps et les moyens financiers pour ces informations capitales d’intérêt général, même si dans ce cas contestataires des étymologies admises et surtout ce temps à l’aune de toutes les autres priorités et devoirs que j’ai ?(relu deux fois, soit ce qui vient que le lecteur pourra sauter et ainsi commencer la quatrième version du sujet qu’il trouvera à la fin).
J’ai décidé de publier un exemple de fichier brouillon et on constatera qu’à chacune des relecture nous sommes passés de l’idée toute simple écrite sur une ligne à une relecture qui a développé un peu l’idée en question. A mesure que le lecteur découvrira ce texte il retrouvera les versions précédentes jusqu’à enfin trouver l’idée de départ qui se trouve cette fois-ci à la fin de cet encadré. Je prend[s] le risque d’une quatrième relecture et correction et on assistera alors à un autre devenir du texte (peut-être moins augmenté qu’au cours des deux fois précédentes, mais tout de même – que donnera une cinquième relecture, voire une sixième et ainsi de suite ? Aurais-je le temps et les moyens financiers pour ces informations capitales d’intérêt général même si dans ce cas contestataires des étymologies admises ? :
4) : Localement, dans ce contexte de poursuite de la
[Construction de la] Confédération des rRégions-Unies [de
l'Union] Européenne ([C]CRrU[U]E), nous tenons à rappeler des sorte[s d'écho
dans des mots qui appartiennent à ceux des langues maternelles des régions les
plus proches de Pareandre (nouveau nom de Paris, une variante, une alternative
depuis début 2015 avec les autres de ‘Mareandre’ et ‘Mapareandre’ ou/et ‘Pamareandre’
comme d’autres encore que j’ai forgées sur le même modèle (même méthode) :
Mèreandre, Pèreandre, Mèpèreandre Pèmèreande) et proposer ce que j'ai appris est
considéré par les puriste[s] – il paraît - une ‘fausse étymologie’ serait
cataloguée ainsi (donc étiquetée) pour le mot de ‘preda’ (en Italien ‘proie’ vue
à ma manière : donc [parfois], une fois blessée ou tuée à vif : 'rouge' sang
(par exemple, à l'issue de l'assaut d'un fauve qui bondit sur cette ‘proie’, ce
qui donne ce ‘red’ [en Anglais] qu'on retrouve à mi-mots (https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk),
c’est-à-dire en parenté de plaisanterie dans le mot 'preda'
(‘red’ : c'est dommage qu'on ne dispose pas pour composer (écrire) des
italiques, sur face book).
Maintenant, il y a à noter [dans ce rapport entre ces deux mots] que le
'a' Italien devient un 'e' en français et disparaît en Anglais. (Est-ce le cas à
chaque fois, pour chacun des mots. Ici une comparaison plus approfondie pourrait
confirmer que ce n’est pas seulement dans ce cas particulier, mais que cela
arrive dans d’autres cas/situations semblables, même de mots différents ou alors
on pourra déterminer ainsi dans quels cas c’est le cas. Ce qui sera déjà un peu
avancer.
Seul le 'p' demeure commun entre 'proie' et 'preda'
et on dirait que c'est le 'roi' (rouge : red) qui a, à la suite d'une chasse,
réussi à tuer cette 'proie'. Il a rendu raide la corde de son arc pour que la
flèche atteigne cette proie. Il faut être raide pour maîtriser sa monture bien
que souple mais il vrais ici qu’on s’éloigne car raide en Italien se dit ‘rigido’
en anglais ‘stiff’ (nous y trouvons le mot de tiff, qui désigne « cheveux » qui
il est vrai ont souvent la caractéristique d’être ‘raides’ quand ils ne sont pas
bouclés, donc rigidi [ces] tiffs raides (le rigide est donc proche de la notion
de raide – [la] ‘raidité’, dirons-nous – soit ce qui serait synonyme de
‘raideur’.
Ce 'p' de ‘preda’ demeure en Anglais pour le mot de
‘proie’ et de ‘preda’: 'prey' (selon Reverso – j’espère que cela n’est pas un
piège) où l'on découvre que ce 'roi' est devenu 'rey' (ce qui en espagnol
signifie effectivement 'roi'. Or moi j’ai autrefois su acoustiquement que ‘prey’
en Anglais signifie prier : to pray non loin de to pay (le ‘r’ en moins pour
donner en français) ‘payer’ : ‘pagare’ en Italien. Aussi ce ‘pa’ de ‘pagare’
pourrait se lire ‘paygare’ (et ‘pegare’ en espagnol cela signifie frapper, faire
payer à quelqu’un ce qu’il doit). Si on ajoute ce ‘r’ de nouveau cela donne ‘praygare’
qui en Italien s’écrira ‘pregare’ qui veut dire ‘prier’. Prier quelqu’un de
quelque chose c’est en tout cas à mettre en relation avec la notion de paiement,
de paie et cela pour avoir la Paix. En tous cas un roi qui ne prie pas ou
n’accède pas à la prière ou à la compréhension de cette notion aura des
difficultés pour qu’on puisse d’un tantinet le croire roi car la royauté même
prédatrice, rouge (red), voire raide et pas accommodante, peu souple, encore
jeune, cette rigidité d’un Eric Von Stroheim quand il s’est cassé le cou et
qu’il est un peu collet monté ne s’obtient visiblement pas sans ce désir de
construire la Paix en étant dans la prière : prayghiera, dira-t-on ici en
parlant un Italien-Anglicisé.
Je ne vais pas, pour l'instant, (car je ne viens que d’ouvrir au passage
- alors que j’étais en train de traduire les notes de fin de page[s] de ma mère
dans son ouvrage sur « Les femmes dans le théâtre de [Ses Altesses Impériales
Ses Saintetés Satana[na!]nas] Luigi Pirandello » que
j’avais laissé pour la fin, en fait la note 219 qui sera peut-être, en fin de
compte, la 218 ou en tout cas autour de ce chiffre dont je donne en prim’heure
(dans un premier temps) en le dévoilant avant la terminaison, ici, en italien,
car l’original du texte de ce doctorat de ma mère est en français (comme suit):
« Ti ho parso crudele ? – No, donna (« Sogno » (ma forse no) », p. 105 e Non ho
mai provato piacere ad essere una donna, se non che per fare soffrire un’uomo («
Il giuoco delle parti », p. 29). Per cio’ Pirandello ha potuto rapprensentare
tante delle sue eroine (protagoniste principali) (Silia – Mop) nell’attitudine
raccolta della belva pronta a balzare/precipitarsi sulla preda (je rappelle le
texte originale dans « Les femmes dans le théâtre de [Ses Altesses Impériales
Ses Saintetés Satana[na!]nas] Luigi Pirandello » p. 80, aux « Les éditions de la
Bouteille à la mer » par SAI SSS les dames impératrices sérénissîmes France
Granier-Joussin : « T’ai-je paru cruelle ? – Non, femme (in « Sogno (ma forse
no) »p.105 ET 3Je n’ai jamais éprouvé de plaisir à être une femme, si ce n’est
pour faire souffrir un homme » (« Il gioco delle parti » p. 29). C’est pourquoi
Pirandello a pu représenter maintes de ses héroïnes (Silia- Mop) dans une
attitude rammassée du fauve prêt à bondir sur sa proie ». Et on retrouve ici le
mot point de départ sur lequel a commencé tout en bas de ce fichier ma réflexion
qui m’a mené à ouvrir une parenthèse dans la poursuite de la traduction de ces
notes de fin de page[s]) Donc il ne s’agit que d’à peine que le début d’un
dossier à ce sujet que j’ai intitulé « preda » à titre provisoire (car je ne
croyais pas pouvoir intituler dans Word en tant que titre de fichier [p]roi[e]
(ce que j’aurais aimé pouvoir donner comme nom de fichier – or je viens de
vérifier et c’est possible – aussi je confondais avec la possibilité de publier
des fichiers sur les sites perso où l’usage des lettres accentuées et des
crochet n’est pas encore possible chez mon fournisseur d’accès – ce qui changera
certainement dans l’avenir quand on y aura remédié – ne soyons pas si pressé),
voire [P]roi[e] et ce soir faire d'autres recherches avec d'autres langues
appartenant au Portugal, à la Grèce et à l’Allemagne (mais je note car je fus
rendu curieux à l’occasion de cette quatrième correction/relecture que
j’apprends que ‘proie’ en allemand se passe de ce ‘p’ qui est devenu le ‘b’ de ‘beute’(
nous y lisons ‘à mi-mots’ inscrit ‘meute’ mais aussi le mot de ‘bête’ et nous ne
nous sentons nullement dépaysé entre ce mot de proie et de ‘beute’ dont
j’attends qu’on m’apprenne comment il se prononce – j’ai cru entendre ‘boté’ ou
‘botè’ – donc un aspect chat botté) comme à la Russie ou à la Pologne (car cela
pourrait nous décevoir ou alors le contraire comme je viens d’en avoir un aperçu
avec ce[t[te]] « beute » car pour l’instant j’ignore le genre : je ne sais si
masculin ou féminin en langue aAllemande) mais je puis vérifier qu’en tout cas,
de ce côté-ci occidental de l’Europe Italie-France-Angleterre et Espagne, on est
déjà depuis bien longtemps dans la [future] Confédération des rRégions-Unies de
l'Union Européenne (CrRUUE) dont je ne crois pas démériter en me félicitant d’en
avoir d'ordonné la Construction en apparaissant acoustiquement du ciel au-dessus
des années 1945 et 1965 mais aussi en y apparaissant à partir de 1975, au cours
de la méga Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale
Mondiale (NNDIM) qui a été vue à l'époque en 1975 comme la Nouvelle Nouvelle
Donne Internationale Mondiale (NNDIM) tandis que de mon point de vue de pharaons
Universaux et ... (j’en passe et des meilleurs), il s'agissait aussi de la
Nouvelle Nouvelle Donne Impériale Mondiale (NNDIM), notée par ma main d’enfant
redevenu bouddha (donc omniscient) en 1975 car/donc crue/sue par moi-même
(d’avance) trente ans plus jeune comme absolument vitale pour éviter la reprise
de la seconde guerre mondiale (ce qui a effectivement été, marché – on saura
pourquoi ailleurs dans d’autres de mes textes).
Je n'ai pas encore traduit ces trois approche du la même schtroumpf[erie]
(NNDIM ou/et NNDIIIM) dans d'autres langues mais je suis sûr d'avance que cela
me fera faire des progrès en langues, dès que je saurais comment le mot de
'nouvelle', (‘nuova’ en Italien) mais aussi le mot de 'donne' (‘deal’ en Anglais
‘dare’ en Italien) comme les deux autres mots (interRégionale, internationale,
impériale, mondiale) sont traduits dans les langues que je connais le moins et
j’appliquerai alors bêtement la méthode que je viens d’esquisser tantôt
(ci-dessus) pour essayer d’établir des équivalences entre les lettres et les
sonorités pour réaliser (voir apparaître) d’autres fausses étymologies
(peut-être autant plausibles que celle-ci nous ayant une autrefois confirmé
qu’une voie est à creuser dans ce registre), du moins dans certains cas – ceux
que nous retiendrons, en écartant ceux pour l’instant qui seront soit des
exceptions, soit des preuves que cela ne marche pas à chaque fois, donc qu’il
n’y a que des cas où ça marche – ce qui est déjà un bon point).
Quand j'en serais là dans mes progrès (ce qui signifie continuer ce texte
sur plusieurs relectures supplémentaires et corrections voire infiniment comme
Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les
Lord. Georges Dumézil, si je constate encore que l'une de mes fausses
étymologie[s] donne quelques chose de plausible, de cohérent et même serait
intéressante (comme j’en ai déjà mise de côté sans avoir trouvé le temps de les
publier) comme je crois l'avoir à l'instant démontré avec le mot de 'proie'
(avec cette perspectives de recherche[s] à première vue toute bête (‘beute’,
[pardon, je viens de vérifier sur réverso : ‘Tier’] mais pas méchante, [bien que
nous y trouvions une mise en garde qui pourrait nous faire songer que le mot de
‘tyrannosaure’ s’y trouve à mi-mots, en filigrane inscrit]), je ne manquerai
pas, en délateur (ici au bon sens de ce mot, j’espère (car sinon c’est toujours
le contraire que cela signifie quand la délation n’est pas faite par un [devenu]
bouddha véritable) s’il y a de nouvelle découverte de cette importance), de
partager cette 'new[s]', pardon ‘nouvelle’ avec vous (‘novità’, en Italien). En
tout cas 'ouvel' et ‘ovita’ (deux syllabes sonores en français et trois en
Italien) sont devenues 'ew' en Anglais, donc le 'ou' français un 'e' qui on le
sait, dans ce cas [aussi], placé devant un 'w' (qui serait dont l'équivalent de
'vel') se prononce 'i' – ce ‘ov’ +’i’+’ta’ a donné, nous l’avons dit ce e+w
qu’on retrouve dans le mot de ‘jew’ (qui signifie une personne qui aime manger
(le ‘j’ est aussi celui de ‘jam’ - jambon) les œufs (en omelette), ce qui
signifie que le peuple juif serait un peuple de végétarien en fait cela signifie
simplement qu’il s’agissait d’ethnie dans le passé qui avaient fait la mise à
jour en conscience et tenu compte de ce que la révolution du néolithique avait
permis enfin d’accès toutes les économies sur l’agriculture et les produits de
la ferme : donc les œufs – rien de ce qu’il faille ici voir d’un mauvais œil
pareille intelligence ! Très probablement des réalistes.
En effet un ‘[u]ovo’ – en Italien est un ‘œuf’ en français – des
provinces de l’Italie appelée localement régions, oublient localement
dialectalement (j’ai le souvenir de l’avoir vérifié dans quelques-unes d’entre
elles du moins) de prononcer ce ‘u’ devant ‘ovo’. Aussi cela signifierait que ce
‘Ita’ est devenu ce ‘w’ (je rappelle que de façon étrange
et même bizarre ce double ‘v’ (‘w’)a été utilisé par un parti fasciste en Ita[lie],
mais visiblement ceux qui ont eu cette idée ont oublié cette autre syllabe –
ici, en apprenti enseignant du/es « Bourgeois Gentilhommes » : ‘lie’ – c’est
tellement joli qu’il apparaît – toujours dans le registre des fausses
étymologies que ce ‘w’ était en miroir de ce ‘lie’, qu’on sait être aussi à
signifier la ‘lie’, comme dans le mot de ‘France’ nous y trouvons le mot de
‘rance’). A' suivre ...
3 : Localement, dans ce contexte de poursuite de la
[Construction de la] Confédération des rRégions-Unies [de
l'Union] Européenne ([C]CRrU[U]E) nous tenons à rappeler des sorte[s d'écho dans
des mots qui appartiennent à ceux des langues maternelles des régions les plus
proches de Pareandre (nouveau nom de Paris, une variante, une alternative depuis
début 2015 avec les autres de Mareandre et Mapareandre ou Pamareandre comme
d’autres encore que j’ai forgées) et proposer ce que j'ai appris est considéré
par les puriste[s] – il paraît - une ‘fausse étymologie’ pour le mot de ‘preda’
(en Italien ‘proie’ donc [parfois], une fois blessée ou tuée à vif : 'rouge'
sang (par exemple à l'issue de l'assaut d'un fauve qui bondit sur cette ‘proie’,
ce qui donne ce ‘red’ [en Anglais] qu'on retrouve à mi-mots (https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk),
c’est-à-dire en parenté de plaisanterie dans le mot 'preda'
(c'est dommage qu'on ne dispose pas pour composer (écrire) des italiques, sur
face book).
Maintenant il y a à noter [dans ce rapport entre ces deux mots] que le
'a' Italien devient un 'e' en français et disparaît en Anglais (est-ce le cas à
chaque fois, pour chacun des mots. Ici une comparaison plus approfondie pourrait
confirmer que ce n’est pas seulement dans ce cas particulier mais que cela
arrive dans d’autres cas/situation semblables même de mot différents ou alors on
pourra déterminer ainsi dans quels cas c’est le cas. Ce qui sera déjà avancer.
Seul le 'p' demeure commun entre 'proie' et 'preda'
et on dirait que c'est le 'roi' (rouge) qui a, à la suite d'une chasse, réussi à
tuer cette 'proie'.
Ce 'p' demeure en anglais pour le mot de ‘proie’ et de ‘preda’:
'prey' où l'on découvre que ce 'roi' est devenu 'rey' (ce qui en espagnol
signifie effectivement 'roi'.
Je ne vais pas, pour l'instant, (car je n’ouvre à peine que le début d’un
dossier à ce sujet, ce soir) faire d'autres recherches avec d'autres langues
appartenant au Portugal, à la Grèce et à l’Allemagne comme à la Russie ou à la
Pologne (car cela pourrait nous décevoir) mais je puis vérifier qu’en tout cas,
de ce côté-ci occidental de l’Europe Italie-France-Angleterre et Espagne on est
déjà depuis bien longtemps dans la [future] Confédération des
rRégions-Unies de l'Union Européenne (CrRUUE) dont j'ai
bien fait d'ordonner la Construction en apparaissant du ciel au-dessus des
années 1945, 1965 et 1975 au cours de la méga Dictée Pharaonique de la Nouvelle
Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale (NNDIM) qui a été vue à l'époque en 1975
comme la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale (NNDIM) tandis que de
mon point de vue de pharaons Universaux et ... Il s'agissait aussi de la
Nouvelle Nouvelle Donne Impériale Mondiale (NNDIM) notée car crue par moi-même
trente ans plus jeune comme vitale pour éviter la reprise de la seconde guerre
mondiale (ce qui a effectivement marché – on saura pourquoi ailleurs dans
d’autres de mes textes).
Je n'ai pas encore traduit ces trois approche du la même schtroumpf[erie]
dans d'autres langues mais je suis sûr d'avance que cela me fera faire des
progrès en langues, dès que je saurais comment le mot de 'nouvelle' mais aussi
le mot de 'donne' comme les deux autres mots sont traduits dans les langues que
je connais le moins et j’appliquerai alors bêtement la méthode que je viens
d’esquisser tantôt (ci-dessus) pour essayer d’établir des équivalences entre les
lettres et les sonorités pour réaliser (voir apparaître) d’autres fausses
étymologies (peut-être autant plausibles que celle-ci, du moins dans certains
cas – ceux que nous retiendrons en écartant ceux pour l’instant qui seront soit
des exceptions soit des preuves que cela ne marche pas à chaque fois, donc qu’il
n’y a que des cas où ça marche – ce qui est déjà un bon point).
Quand j'en serais là dans mes progrès, si je constate encore que l'une de
mes fausses étymologie[s] donne quelques chose de plausible, de cohérent et même
intéressante comme je crois l'avoir à l'instant démontré avec le mot de 'proie'
(avec cette perspectives de recherche[s] à première vue toute bête (mais pas
méchante), je ne manquerai pas, en délateur (ici au bon sens de ce mot, s’il y a
de nouvelle découverte de cette importance), de partager cette 'new[s]', pardon
‘nouvelle’ avec vous (‘novità’, en Italien). En tout cas 'ouvel'
et ‘ovita’ (deux syllabes sonore en français et trois en Italien) sont devenu 'ew'
en Anglais, donc le 'ou' français un 'e' qui on le sait dans ce cas [aussi]
placé devant un 'w' (qui serait dont l'équivalent de 'vel') se prononce 'i' – ce
ov +i+ta a donné, nous l’avons dit ce e+w. En effet un ‘[u]ovo’ – en Italien est
un ‘œuf’ en français – des provinces de l’Italie appelée localement régions,
oublient localement de prononcer ce ‘u’ devant ‘ovo’ – aussi cela signifierait
que ce ‘Ita’ est devenu ce ‘w’ (je rappelle que de façon étrange et même bizarre
ce double ‘v’ a été utilisé par un parti fasciste en Ita[lie] mais visiblement
ceux qui ont eu cette idée ont oublié cette autre syllabe – ici en apprenti
enseignant du/es ‘Bourgeois Gentilhommes : ‘lie’ – c’est tellement joli qu’il
apparaît – toujours dans le registre des fausses étymologies que ce ‘w’ était en
miroir de ce ‘lie’ qu’on sait être la ‘lie’ comme dans le mot de France nous y
trouvons le mot de ‘rance’). A' suivre ...
2 : Dans ce contexte de poursuite de la Construction localement de la
Confédération des rRégions-Unies de l'Union Européenne nous tenons à rappeler
des sorte d'écho dans des mots et proposer ce que j'ai appris est considéré par
les puriste une fausse éthymologie pour le mot de ‘preda’ (en Italien ‘proie’
donc [parfois] 'rouge' sang (à l'issue de l'assaut d'un fauve qui bondit sur
cette proie ce qui donne ce ‘red’ en Anglais qu'on retrouve à mi-mots dans le
mot 'preda' (c'est dommage qu'on ne dispose pas des italiques sur face book).
Maintenant il y a à noter [dans ce rapport entre ces deux mots] que le 'a'
Italien devient un 'e' en français et disparaît en Anglais. Seul le 'p' demeure
commun entre 'proie' et 'preda' et on dirait que c'est le 'roi' (rouge) qui a à
la suite d'une chasse réussie tué cette 'proie'. Ce 'p' demeure en anglais: 'prey'
où l'on découvre que ce 'roi' est devenu 'rey' (ce qui en espagnol signifie
effectivement 'roi'. Je ne vais pas, pour l'instant (car j'ouvre un dossier à ce
sujet, ce soir) faire d'autres recherches avec d'autres langues mais je puis
vérifier qu'on est bien dans la future Confédérations des rRégions-Unies de
l'Union Européenne dont j'ai bien fait d'ordonner la Construction en
apparaissant du ciel au-dessus des années 1945, 1965 et 1975 au cours de la méga
Dictée Pharaonique de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale (NNDIM)
qui a été vue à l'époque en 1975 comme la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale
Mondiale (NNDIM) tandis que de mon point de vue d'emperereur universel et ... Il
s'agissait aussi de la Nouvelle Nouvelle Donne Impériale Mondiale (NNDIM). Je
n'ai pas encore traduit ces trois approche du la même schtroumpf[erie] dans
d'autres langues mais je suis sûr d'avance que cela me fera faire des progrès en
langues dès que je saurais comment le mot de 'nouvelle' mais aussi le mot de
'donne' comme les deux autres mots sont traduits dans les langues que je connais
le moins. Quand j'en serais là dans mes progrès, si je constate encore que l'une
de mes fausses étymologie donne quelques chose de plausible, de cohérent et même
qui donne une chose intéressante comme je crois l'avoir à l'instant démontré
avec le mot de 'proie' (des perspectives de recherche[s], je ne manquerai pas en
délateur de partager cette 'new[s]', pardon nouvelle avec vous. En tout cas 'ouvel'
est devenu 'ew' en Anglais, donc le 'ou' français, un 'e' qui on le sait dans ce
cas [aussi] placé devant un 'w' qui serait dont l'équivalent de 'vel' se
prononce 'i'. A' suivre ...
1 : ‘Preda’ (en ital. ‘proie’) donc [parfois] rouge sang = ‘red’ anglais