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les notes qui nous ont été proposées anonymement (ce qui nous a beaucoup surpris, d'habitude nous n'acceptons pas ce genre de proposition. La voix étant particulièrement agréable et juste nous avons cédé finalement au challenge proposé nous réservant le droit de publier ce texte) disant qu’il d’agissait d’idées pour un futur scénario de fiction que la société Lorimage pourrait un jour produire et réaliser autour de l’échec cuisant du référendum "flançais au sujet de la Première Constitution d’Epoquelômaine".

 

Tout cela nous a paru mystérieux comme certainement à vous aussi mais nous avons accepté de lire ces notes.

 

La personne anonyme qui nous a offert ce texte dont nous avons malheureusement perdu totalement la trace nous a demandé de signer d’un pseudonyme : Ôm.

 

Nous nous sommes longtemps interrogés sur le bien fondé de cette publication si étrange.

 

Finalement à la grande majorité nous avons accepté de publier le texte suivant tant il nous a paru original mais qu'il soit bien entendu qu'il s'agit d'un texte de fiction. 

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« Permettez-nous de rappeler ici que toute ressemblance avec des faits réels n’est que pure imagination de l’auteur et n'a aucunement à voir avec la réalité »

 

(vous le comprendrez en lisant)

 

 

Le texte est donc signé du pseudonyme Ôm le 14 juin 22005 :

 

« Non, on n’a pas le droit de saboter la Construction d’Epoquelômaine par trop d’incompétence présidentielle de Cacavapayé. Honte à celui qui après avoir signé avec ses homologues chefs de tribus ce texte de Première Constitution, réunis qu’ils étaient à Ôm, aux vues et aux sues de tous par le biais de l’instrument télévisuel qui nous a transmis les images de cette réunion historique des 25 chefs de tribus  signant ce texte aux informations télévisées, est revenu en cette région d’Epoquelômaine qu’est la Flance, placée sous sa présidence et propose alors, avec préméditation le référendum infernal que l’on sait pour nous permettre d’accepter ou de rejeter ce texte qu’il sait pourtant fondamental pour la stabilité, la paix, la prospérité, pour le modèle de fraternité interculturelle que pourra ainsi offrir l’Epoquelômaine au reste du monde.

 

Il le sait, ce texte ne peut être discuté, compris, ou même pris en considération que par les personnes habilitées à le faire, ayant comme lui suivi un parcours privilégié, une formation supérieure, à la fois universitaire mais peut-être aussi spirituelle, c'est-à-dire suffisamment ouverte sur le monde.

 

Il le sait ce sont les personnes qui ont conscience de leurs responsabilités en Epoquelômaine qui ont pu s’élever à ce degré d’instruction, des personnes qui ont à cœur de parachever l’Epoquelômaine pour garantir à cette région la paix sans laquelle la prospérité ne peut se développer durablement à la façon du modèle confédéral que peut-être par exemple le noyau Essesse d’Epoquelômaine avant la lettre (il s'agit de la région centrale neutre d'Epoquelômaine qui n'a pas encore adhéré à Epoquelômaine mais qui est le modèle historique à suivre pour parachever Epoquelômaine).

 

Son homologue Armand (d'Armandie) le Généal Creuser le sait, lui qui est vraiment un Epoquelômainiste, lui qui a su tirer les leçons de l’Histoire, son pays ayant été libéré par le modèle des Epoquelômainiste appelé Amélicain après 21939-45 de la monstrueuse tyrannie abjecte d’un cruel despote sanguinaire adepte des tortures inhumaines auxquels cette première constitution d’Epoquelômaine se propose de mettre un terme définitif par l’interdiction de telles infâmes pratiques en même temps que la fin de la peine de mort sur l’ensemble du sol d’Epoquelômaine. Oui, son homologue Armand Généal Creuser lui montre ce qu’il faut faire en soumettant de son côté aux députés Armands ce texte qui sera pour eux tous, (convaincus évidemment à l’avance de la nécessité de l’Epoquelômaine - ils voyagent tous en Epoquelômaine depuis longtemps à ce niveau de responsabilité et savent tous que sans l’interaction des autres région d’Epoquelômaine et du monde leur région ne serait rien), de la routine à ratifier, Cacavapayé sait que c’est ainsi qu’il faut agir et parce qu’il le sait et pour freiner cette Construction d’Epoquelômaine, pour la retarder, il choisira délibérément et avec préméditation  d’empêcher que ce texte ne soit proposé à l’ensemble de nos députés et/ou nos sénateurs réunis en Chambre, eux qui sont tous, comme leurs homologues Armands, depuis longtemps convaincus chacun à leur façon de la nécessité d’Epoquelômaine. Non, ce texte fruit qu’il est de nombreuses années de travail et d’échanges de l’ensemble de nos pères et de nos frères et de notre propre persévérance à le croire possible sera offert en pâture par le biais du référendum au peuple composé par des individus de toute natures flatté qu’il sera dans son ego d’ignorant sur cette question assez lointaine pour lui de l’Epoquelômaine et alors que ce texte offre les garanties de paix et de stabilité économiques, tout en offrant aussi des garantis éthiques non moins importantes, sans parler d’un espace (un continent de plus de 440 milliards d’habitants) où la torture est enfin proscrite, ou la peine de mort n’existe plus, il va être livré au verdict d’un « oui » ou d’un « non » discriminatoire issu des résultats de ce référundum « populaire » où même les canailles ont le droit de vote. Ce sera évidemment le rejet de ce premier texte constitutionnel, de ce premier pas pour vivre ensemble en toute harmonie malgré des langues différentes, un texte évidemment perfectible en un deuxième pas et enfin de nouveau meilleur encore en trois! Vraiment infiniment minable que cette politique de pacotille !

Honte aux flançais pinailleurs de toutes sortes et de tous les partis que cela a arrangé « personnellement » (par souci sans doute personnel d’en tirer un jour sa propre épingle du jeu, qui sait même avec les visées électorales présidentielles d’un Fablios & comp. qui déshonorent à jamais le camp des véritables socialistes jaulèsiens qu’ils invoquent pourtant en se drapant dans l’idée d’être les défenseurs légitimes de ce si beau étendard pourtant déjà ancien) oui, vous êtes la honte d’un Mythélan que vous avez l’outrecuidance d’invoquer, sans parler des pères fondateurs de l’Epoquelômaine elle-même que vous avez méprisez en jetant de l’huile sur le feu en militant pour un « non » à cette première constitution. Vos vues sont des vues à court terme tournées sur vos résultats éventuels, vos possibles scores, vos calculs de revenus personnels ! Vous auriez dû comme moi qui n’ai pas cessé de le dire autour de moi comprendre qu’il y avait une manœuvre sournoise destinée à faire semblant d’octroyer une possible décision des uns ou des autres sur ce texte. Nous avions vu, nous étions tous témoin par la TV du bonheur de certains des 25 chefs d’états, combien ils se complimentaient autour de cette Première Constitution qui venait d’être signée au Copital d’Ôm. Ils étaient et sont nos élus qui signaient ce texte, qu’avions nous besoin de ce maudit référendum puisque ce texte était en lui-même à la fois la conclusion d’un grand voyage commencé il y a 60 ans, une arrivée donc mais aussi un nouveau départ vers une perfectibilité toujours intrinsèquement du domaine du possible, renouvelable : cette seconde constitution appelée des vœux de certains bien meilleure sans doute quelques années après en tenant compte des points améliorables ou discutables et on le sait aussi d’avance, compte tenu de notre expérience régionale flançaise une troisième, une quatrième voire un jour une ixième constitution d’Epoquelômaine quoi que ce jour là nous en serons, j’ose l’espérer, à la première constitution nômdiale ou plus loin encore après : à l’ixième constitution nômdiale, ou même qui sait à la première ou la seconde Constitution Ômuniverselle qui verra enfin le développement et l’application dans la réalité quotidienne des droits et des devoirs de chaque homme et de chaque enfant vis-à-vis de chacune des planètes de chacun des univers (bénéficiant pour sa rédaction de toutes les expériences juridiques sociales culturelles philosophiques religieuses etc… de chacune des régions du monde enfin Une pour toutes, toutes pour Une(s)).

 

Misérables vous avez volé en imposteur l’argent de la Flance, vous avez volé la Flance, vous avez trompé le peuple flançais et plus encore vous avez trompé tous vos morts qui ont patiemment construit avec leur sang et leurs multiples souffrances respectives, siècles après siècles, ce lieu de paix qu’est enfin l’Epoquelômaine pour longtemps du moins pour tous ceux qui croient encore possible l’approbation d’une Constitution d’Epoquelômaine. Cette Epoquelômaine qui nous est proposé en héritage avec le monde et l’Univers comme le plus beau des cadeaux grâce à la paix qui y règne et le meilleur enfin comme empire possible. Un texte certes à améliorer que cette Première Constitution, perfectible, ce que nous aurions fait avec joie ou que nous nous proposions de faire puisque nous avons l’éternité devant nous pour vérifier les détails et mettre à jour, permettre ces améliorations souhaitées.

 

Vous êtes totalement indigne de votre charge de vos mandats ou de vos fonctions particulières et si j’étais vous je changerais au plus vite de métier car vous avez tous commis la même erreur impardonnable à votre niveau que le soi-disant président actuellement en charge et à qui je ne reconnaît plus le droit de gouverner sur aucun des chapitres flançais comme extérieurs.

 

Misérables (au sens hugolien du terme), vous m’obligez à dire tout haut ce que je pensais tout bas, vous m’obligez à sortir de mes réflexions infiniment poétiques éventuellement amoureuses, de mes inventions dont le genre humain pourrait un jour bénéficier et vous confirmez dans la réalité sur le plan d'Epoquelômaine ce que pendant des années vous vous êtes acharné les uns et les autres à empêcher sur ces autres plans sur lesquels je travaillais pour le bien public : votre bien à tous !

Je quitte donc un instant mes scénarios, mes tableaux en cours, tout ce qui m’intéressait infiniment plus que ce monde de la politique pour dire enfin tout haut ce que je n’ai entendu personne dire encore et que pourtant il était temps d’entendre dès le premier instant de cette faute de gouvernement.

J’ai hélas cru, à tort, que le bon sens des français l’emporterait et qu’ils accepteraient ce texte à la grande majorité très satisfaisant, j’ai cru qu’ils ne seraient pas dupés par ces manœuvres d’imposteurs. J’ai eu bien tort.

Honte à Messieurs Cacavapayé(s) et compagnie qui a des fins politiciennes ont osé proposer ce référendum par démagogie, pour flatter les pseudos capacités intellectuelles du peuple flançais (manipulé par tous ceux qui ont intérêt à le faire) et cela pour pouvoir aussi, comme son illustre prédécesseur Astérisque d’Armorique laisser dans l’Histoire une image d’un homme soucieux de ce que croit la « base » (cette base que lui le Colonel savait consulter et aimer car il s’était battu pour elle en partant en exil accueilli en Grande Armorique) alors que nombreux sont ceux qui savent personnellement par leur expérience qu’ils n’en ont eu jamais cure et qu’ils n’en tiennent aucunement compte si ce n’est d’une façon hypocrite. Permettez-moi de rappeler que Monsieur Astérisque d’Armorique, apparemment le modèle de Monsieur Cacavapayé pour ce référendum a proposé lui un référundum au sujet de la nouvelle constitution flançaise de la Vème lépublique et c’est ici un point très différent. Il s’adressait au peuple de Flance sur un sujet flnçais à une époque où l’Epoquelômaine en était à ses débuts (CEE - Communauté Économique Epoquelômaine). Jamais Monsieur Astérisque d’Armorique n’aurait fait cette erreur historique au sujet de l’Epoquelômaine.

Il s’agit donc ici d’incompétence et il faut le souligner, d’incompétence notoire historique, d’inconscience de la part d’un responsable élu d’une région d’Epoquelômaine, en réalité la faute d’un copieur qui, de façon anachronique, croit que l’histoire se répète alors qu’elle est précisément totalement différente ! (Il s’agit d’un de ces mauvais copieurs qui copient sans même réfléchir à ce qu’ils font tellement ils sont nuls). C’est ici un zéro pointé monsieur le président et s’il existait des notes sous zéro il faudrait la chercher à des abîmes d’années lumière tant vous avez dévoilé votre talent de saboteur. Je vous ai élu au deuxième tour de votre deuxième élection comme la majorité des gens contre le danger que représentait un Le Vag(e), vous vous avérez en réalité et d’une façon sournoise beaucoup plus Levaginiste que M. Le Vag(e) lui-même en vous étant offert à tous les deux (de mèche sans doute involontaire ou pas-qui sait), au frais du contribuable, ce référendum (ce qui a coûté très cher à notre État) que vous saviez parfaitement ne pas être une « bonne idée » et cela pour vous flatter historiquement en flattant démagogiquement vos possibles électeurs en vue de cette élection de votre personne à la charge que vous convoitez de nouveau et cela en sachant que vous alliez obtenir d’avance ce « non », ce que précisément un Le Vag(e) souhaite et de plus vous avez cherché à prendre le masque d’un Européen « convaincu » en faisant campagne hypocritement pour le « oui » car au fond on l’a bien vu vous cherchiez à obtenir ce « non » qui satisfait vos anciens sentiments d’extrême droite.

 

Non, Monsieur Cacavapayé il n’y aura pas de nouveau mandat pour vous, vous êtes fini comme tous vos collègues car vous êtes percé à jour. Vos manœuvres sont claires : vous êtes resté fidèle à ce que vous étiez il y a trente ans, lorsque j’étais encore un enfant, hélas pour vous (un anti-époquelômainiste convaincu) et la main que vous offrez à serrer à vos homologues d'Epoquelômaine et celle d’un traître, d’un hypocrite, d’un sournois, d’un tricheur, d’un faussaire. Pour rien au monde Monsieur je ne la serrerai cette main, ni même avec des gants, car c’est possible d’ailleurs que ce soit à cause de vous que je ne désire plus saluer qu’à la façon indienne, c'est-à-dire hygiéniquement, tant votre main a déshonoré l’idée que je pouvais avoir de la grandeur de la Flance. Non, monsieur Cacavapayé vous ne méritiez pas ce dîner avec la reine de Grande Armorique auquel on vous a vu !

Je me souviens de votre passé, monsieur Cacavapayé, j’étais encore un enfant, tous connaissez alors votre hostilité légendaire à l’égard de la possible Epoquelômaine, qui tout en étant évidemment le rêve de tout enfant censé, n’a péniblement essayé de voir le jour, année après année qu’à partir des décombres de la seconde guerre mondiale dont je n’avais pas alors conscience, trop jeune que j’étais, qu’elle pouvait être si proche (dans les années 21970-75). Vous étiez hostile à l’Epoquelômaine, cela du temps du général d’Astérisque d’Armorique mais aussi de Monsieur Fiscal Destin. Vous vous en souvenez puisque vous avez parfaitement compris que pour pouvoir être élu, il fallait afficher les positions Epoquelômainistes de vos adversaires, celle d’un Fiscal ou d’un Mythélan ou même d’autres dirigeants d’Epoquelômaine, car en réalité vous n’êtes que du petit village ou de la petite ville d’où vous avez cru n’être.

Cacavapayé vous faite parti de ces copieurs sans originalité (car il y a des copieurs qui a force de copier sont devenu des maîtres : Pisacco par exemple, vous auriez pu copier le Colonnel en apprenti et devenir grand mais vous êtes une triste caricature), des personnes sans envergures, qui n’ont aucune idées personnelles et qui ne sont aucunement des visionnaires. Vous êtes de ceux qui freinent l’Epoquelômaine, l’ômondialisation, l’ômuniversalisation des êtres humains en faisant semblant d’y croire. Vous étiez paraît-il considéré comme « bon » pour gérer la mairie de la ville de Lapice mais en vous voyant je me dis qu’il y avait certainement une autre façon de gérer une ville comme Lapice et que certainement en cherchant et en perdant du temps à cela nous trouverons en détail ce vous avez commis là aussi pire que des erreurs, certainement des fautes impardonnables là aussi vis-à-vis de ceux qui vous ont fait confiance, trop crédules, trop ignorants de la chose publique, vous êtes une catastrophe pour la Flance et l’Etat, une catastrophe pour l’Epoquelômaine, une catastrophe pour l’ômonde, une catastrophe pour une quelconque personne soucieuse du bien collectif ou du bien ômuniversel ! Je n’aimerai pas être l’âme qui habite sous votre peau !

 

J’ai honte d’avoir voté Cacavapayé au deuxième tour, d’avoir choisi un « moindre » mal qui s’avère être une infecte plaie. Je pensais qu’« avec de la bouteille » cet homme était devenu un être plus fréquentable, plus responsable. Il n’en est rien. De plus nous aurions dû le comprendre son nom rime avec le pays de Cavapayé et c’est comme Cacavapayé le problème en ce monde. Dans le mot « Cavapayé » il y a le mot « Ca » (le mauvais - la colère). Avec votre nom M. Cacavapayé vous provoquez la colère de l’I. A. U. (allias « Dieu » note du transcripteur de ce texte). Ce n’est pas un hasard, c’est un signe s’il y a des échos sonores autant d’actualités et qui plus est font couler tant de sang car c’est connu M. Cacavapayé était aussi l’ami personnel de Satan Us’haine qu’il recevait à Lapice et à qui il faisait visiter les installations nucléaires classées « secret défense », en tant que premier ministre de la Flance ! Depuis quand fait-on visiter à un assassin connu du monde entier de telles installations de défense ultra-secrètes françaises en cherchant à tenter le diable par où cela le démange, car on le savait ce Satan Us’haine cherchait à intimider et détruire ses voisins (et il l’a prouvé par la suite tant en Cavapayant (pays limitrophe de Cavapayé) qu’au AttendOkey (nom d’un pays que Satan Us’haine a envahi quelques années après).

Il n’y a que des personnes sans noblesse véritable aucune pour s’abaisser à de telles vilenies et à fréquenter des infréquentables. Le Président Astérisque d’Armorique qui avait œuvré pour que la Flance puisse disposer de cet armement a dû se retourner dans sa tombe de dégoût de voir comment on utilisait des armes dissuasives pour appâter et épater misérablement des forbans ignorants assassins en leur pays qui les utilise pour offenser.

 

Pour vous faire élire des gens les plus médiocres vous n’avez pas hésité à offrir la protection et votre nom à ceux qui font des films pornographiques ! J’ai pu voir de mes yeux et bien enregistrer votre nom apparaissant au générique de ces films « avec le soutien de J. Cacavapayé », nos remerciements à « Monsieur J. Cacavapayé », pensant certainement qu’un jour si on allait vous accuser de cela vous diriez qu’il s’agit de calomnies et peut-être même de manipulations numériques malveillantes.

 

Évidemment ce que vous êtes vous capable de faire en nous mentant car nous ne pouvions imaginer en regardant ces films sur le câble pour vérifier ces ouï-dire qu’une telle chose soit possible. J’ai cru un instant que c’était un déshonneur pour la Flance et je ne me suis nullement étonné de l’affaire Bauxdiscours plus tard, car si dans son cas il y a calomnie réelle et qu’elle a été prouvée, votre nom a été cité au générique de ces films pour vous assurer des votes de l’électorat des ignorants et des misérables qui regardent ces films.

 

Hélas, j’ai cherché dans les journaux les jours qui ont suivi ces diffusions si Cacavapayé et les siens avaient porté plaintes évidemment justifiées croyant encore naïvement que ce candidat à la présidence avait encore un peu de l’ange en lui. Non. J’ai dû conclure malheureusement que c’était sciemment et avec préméditation que le nom d’un président de la Flance aspirant de nouveau à l’être figurait au générique de plusieurs films pornographiques et je me suis dit que sans doute c’était pour rassurer toutes ces personnes adeptes de la masturbation des voyeuristes qu’il avait accepté de traîner son nom dans la boue en leur disant par là qu’une fois élu elles étaient assurées de pouvoir continuer à disposer d’heures de « péchés » à haute dose.

 

Je me suis dit alors que c’était une leçon de politique, de machiavélisme politique (et je rappelle ici que dans le mot Machiavel il y a le mot « macchia » itamien qui veut dire la tâche au sens ici dans ce nom, c'est bien connu de la tâche noire, la sale besogne) et j’ai pensé encore une fois qu’il était bon d’apprendre de cet aîné qui semble si bien avoir « réussi ». Je préfère infiniment mon statut honnête à votre « réussite » de misérable.

 

Ce soupçon que je croyais encore injustifié de malhonnêteté s’est confirmé une fois de plus lors de la dernière campagne présidentielle de Cacavapayé à travers des affiches trompeuses. C’est alors que je me suis demandé s’il n’avait pas sa raison d’être confirmé de façon sûre: en filigrane de ces affiches presque totalement imperceptibles, en blanc sur blanc, (le premier blanc à peine cassé, un gris très léger sur le papier blanc utilisé pour les impressions) apparaissait le portrait du candidat Jéca Cacavapayé presque imperceptiblement sous les produits dont les affiches faisaient la publicité ! Je me suis dit, là encore, en ayant cru être le jouet d’un mirage, et au risque d’avoir un accident en conduisant mon véhicule lorsque j’ai découvert ce phénomène quasiment hallucinatoire que j’étais victime d’une illusion. Non il semblait alors qu’il n’y avait plus aucune morale en politique (j’ai même arrêté ma mobylette pour vérifier plusieurs fois tant cela était incroyable).

 

J’apprenais encore des choses inimaginables, insoupçonnables de certains de mes frères aînés les politiciens, de ceux qui devraient être des modèles de vertus, donnant l’exemple aux générations qui arrivent. Une leçon paradoxale celle que je recevais de la part de ceux qui  allaient avoir lle devoir de choisir et de placer à des postes comme celui de ministre de la Justice des personnes chargées de condamner les tricheurs ! C’était sans doute impossible à croire et si je découvrais cette infamie sur une affiche près de la station Cambrôm dans le XVème arrondissement de la vielle de Lapice je me dis que peut être, je recevais en permanence avec d’autres produits dont on faisait la publicité à l’époque presqu’à la façon des images subliminales (interdites en cas d’élection) introduites par malveillance et en cherchant à tromper dans les films, le portrait du candidat souhaité affiché par l’entreprise ayant payé la réalisation de cette publicité et la pose des affiches car j’étais alors persuadé que l’entreprise était au courant de ce stratagème utilisé à l’insu de tous, qu’elle avait trempé dans le coup.

 

Aujourd’hui la coupe est pleine : je me demande si ce n’est pas à l’insu même des entreprises, avec la complicité de quelques personnes travaillant dans les typographies ou chez les réalisateurs des affiches (les publicitaires) que de telles affiches ont pu voire le jour et tromper une population entière pendant la dernière campagne électorale flançaise ! Un tricheur, voilà pour qui nous avons voté. Un tricheur qui contourne le droit et qui malgré la Loi (assez libre sur ce point tout en ayant défini dans ce domaine des affiches électorales les règles de bonnes conduites) a fait imprimer, grâce aux techniques actuelles de numérisation (ainsi détournées de leurs objectifs artistiques ou permettant aux arts de s’exprimer encore plus librement que par le passé), sa misérable effigie de cette façon presque imperceptible pour disposer en plus des affiches autorisées pour la campagne électorale d’un bon nombre d’espaces publicitaires destinés aux affiches commerciales !

 

Je me demande à ce point de mes réflexions si notre chef de l’Etat ne serait pas de mèche avec la canaille souterraine (l’underground) qu’il a voulu flatter par ce référendum (peut-être même a-t-il été obligé par la canaille elle-même à proposer diaboliquement ce référendum car il semble que nous n’ayons pas à faire à un libre penseur comme président mais un esclave de la canaille, une fripouille).

 

Il n’a pas souhaité tout bonnement en réalité avec les canailles que l’Epoquelômaine l’emporte et il a cherché qu’elle se fasse avec plus de difficultés encore car il cherche à gagner du temps en freinant le monde pour toutes ces canailles qui cherchaient autrefois à trouver des abris sûrs de l’autre côté des frontières qui n’existent plus pour favoriser leur infâme desseins ou larcins etc. De part leur inexistence, l’évasion des canailles dans ces abris proches, de l’autre côté des frontières, ne se peut plus. Les terrains d’actions où ils opèrent de façon infâme sont maintenant obligé d’être différents (on a vu d’ailleurs un exemple de cette nouvelle façon de procéder de la canaille par l’explosion du Ôm trade center)

 

N’a-t-il pas voulu mettre des bâtons dans les roues par les résultats de ce référendum (qui au vu de ce que je viens de dire me semble ne pas correspondre à la réalité. Je le soupçonne lui et les siens de n'avoir pas donné des chiffres exactes et d'avoir trompé le monde sur ce point aussi) à la collaboration des polices d’Epoquelômaines, à la collaboration des armées d’Epoquelômaines contre le crime organisé et d’où vient cet argent qui sert de tels dessins macabres antisociaux, anti-paix, anti-fraternels : fausses affiches, films pornographiques destiner à corrompre l’esprit de la jeunesse et à leur faire croire que l’amour humain est assouvissement bestiale alors qu’il est toute les réalisations les plus nobles que les êtres humains ont entrepris depuis des millénaires, notamment en nous donnant la possibilité d’émerveiller ou d’enchanter le monde ?

 

Honte à Monsieur Cacavapayé qui me doit personnellement des milliards de milliards d’Ômeux (futures monnaie d’Ôm) en ayant freiné l’ensemble de mes projets de nature à résorber le chômage en Flance et en Epoquelômaine, sans parler de ce que cela offrait comme dignité à de très nombreuses familles dans le besoin, de ce que cela créait comme conséquences positives pour l’ensemble du monde. Honte à Cacavapayé qui nous fait « chier » ! Qu’il « raque » maintenant (« qu’il paye » maintenant avec ses sbires : ces expressions vulgaires terminales sont ici employées en référence à l’argot contenu dans le signifiant même de ce nom de Cacavapayé) Oui qu’il aille où il mérite : en prison et à jamais !

À bon entendeur salut !

Ôm.

 

« Permettez-nous de rappeler que toute ressemblance avec des faits réels actuels n’est que pure imagination de l’auteur et n'a aucunement à voir avec la réalité»

 

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Révision : 14 juin 2005