Sixième version (C. A. R. E. – corrigé, abrégé, relu, élaboré - cinq fois) :
A propos de la réincarnation
Personnages : les bouddhas Laurie Granier d’ex-Atlantide Lang Loewy Finck d’Ôz,
pharaon Hermès Trismégiste et … (trois petits points), bref aussi présent les
bouddhas De Media Patata.
Autre intervenant : un profane
Ces éveillés, (ces illuminés) peuvent parfois dire ensemble les réponses qu’ils
font aux phrases émises par les L.A.P.I.S (laïcs, athées, profanes, ignorants,
sacrilèges) qui peuvent n’être qu’un seul.
-
Hélas pour la moindre malhonnêteté intellectuelle[1],
ils attrapent pire que la mort : des réincarnations tragiques, malheureuses,
honteuses, cauchemardesques à vivre, du point de vue d’un (re)devenu bouddha.
C’est la vérité.
-
Donne un exemple ?
-
Prenons la vie d’un chien, il ne va pas pouvoir écrire, peindre, chanter,
sculpter, disserter, inventer des solutions élégantes dans l’Intérêt Général. Ce
qui va le concerner est très limité, même s’il s’agit d’un animal gentil,
affectueux, parfois même (comme dans Bill
et Boule[2])
le meilleur ami des êtres humains qui l’ont recueilli chez eux.
-
Tu vois, ce n’est pas seulement cauchemardesque, honteux, malheureux, tragique
comme réincarnation.
-
Oui, car du point de vue de celui qui est devenu un chien, il pourrait y avoir à
première vue quelques avantages à vivre la vie d’un chien[3],
mais il y a pire, moins heureux. Par exemple toutes les réincarnations de ceux
qui sont complices de personnes qui n’ont pas encore accédé à l’état de bouddha,
voire qui en devenant adultes ont obtenu un cerveau de reptile. C’est bien
connu, il n’y a que la bouddhéité qui sauve, c’est une sécurité dans l’être
humain, inhérente et constitutive de la croissance en être humain
homo sapiens sapiens.
-
Tu veux dire liée à la métamorphose ?
-
C’est cela, oui c’est bien ce terme, ce mot de métamorphose qui commence dès la
conception par des changements continuels : on est dès l’état de fœtus dans un
perpétuel mouvement de changement, une constante évolution qui se traduit aussi
physiquement parlant, d’autant plus que dès la naissance, on continue à grandir,
tout cela étant soumis au temps qui passe (c’est l’œuvre du Temps et des soins
attentifs d’une mère, voire d’un père). En fait, cette métamorphose qui concerne
chacun des êtres humains débute dès que l’ovule d’une future mère commence à se
développer, à prendre corps à partir de ce qui n’était auparavant qu’une
virtualité dans le fait de créer un nouvel être, en général, à cause du mariage[4],
du fruit de l’amour et des échanges de deux êtres qui se sont sentis
complémentaires, une femme et un homme[5]
s’étant donnés l’un à l’autre dans l’intention de construire au moins un
troisième terme, ce qui va former une sorte de triangle. C’est pour cela que
parfois l’amour entre un homme et une femme s’est sacré comme des connaissances
en géométrie élémentaires.
-
C’est donc, au départ, une question de don réciproque ?
-
Oui, de générosité, quand, entre les membres de ce couple ce qui se passe s’est
accompli en vérité.
-
Pourquoi ? Il y a la possibilité d’attendre un enfant en menteur ?
-
Oui, il paraît[6],
il y a des gens qui sont devenus des menteurs (à de certaines occasions), qui n’ont plus accès à la vérité,
qui sont perdus et qui croient possible en[7]
inconscients élever des enfants. Ce qui va alors se produire comme conséquences
est souvent difficile à vivre. L’enfant qui naît de telles unions court le
danger d’être, dès le départ, handicapé et/ou c’est souvent lui qui aura à
diriger le couple de parents, car ceux-ci n’ont plus toute la vérité, voire ne sont
attachés qu’à trop peu de vérités relatives indéniables, voire, hélas à un trop
grand nombre de vérités subjectives.
-
Tu veux dire qu’il (le couple) ne bénéficie plus de la possibilité d’accéder à la
bouddhéité ?
-
Ce sera difficile pour eux, très difficile dans ce monde encore privé de la
vision sacrée du Paradis[8].
Ils proviennent de contextes familiaux où ce qui s’est déroulé n’était pas
totalement clair et évidemment cela s’est inscrit dans les gènes.
-
C’est pour cette raison qu’il vaut mieux être le produit d’histoire d’amour
véritables ?
-
Oui, comme dans les plus beaux contes.
-
Sinon c’est la catastrophe, l’enfant aura de constantes difficultés, car il
baigne dans un contexte de gens qui n’ont pas été jusqu’au bout de leur
métamorphose avant de décider d’attendre des enfants, ce qui ne devrait être
possible que seulement lorsqu’on aime l’autre parce qu’on souhaite construire
quelque chose de solide, de complémentaire car on dispose aussi à deux de CFPMD
(crédits financiers propres et mérités de droit) suffisants.
-
Et l’enfant qu’on attend, c’est cette chose solide ?
-
Normalement oui, sauf dans des situations où les parents se conduisent en
menteurs, voire en tricheurs.
-
Mais peut-être ne savent-ils pas qu’ils sont devenus des menteurs sur certains
points importants ?
-
C’est là la difficulté qui est à l’origine de tous les problèmes qui vont
toucher toute la société, la civilisation en entier : un contexte (sur certains
points) mensonger qui opère au sein d’une société dans laquelle existent
heureusement quelques personnes ayant la Vérité, parce qu’elles ont pu la
trouver petit à petit durant leur longue métamorphose au cours de leur
développement jusqu’à l’âge d’adultes parachevés[9].
-
Aussi cela signifie qu’il n’y a que peu de personnes qui sont au service de la
vérité ?
-
Oui et c’est ce qui est triste, très triste, d’autant que ceux qui sont devenus
des menteurs[10]
sur certains points,
ne savent pas que la Vérité existe pour chaque chose, sur chacun des points,
dans tous les cas de figure. Cette vérité existe avec des niveaux de vérités
plus ou moins complets (ces vérités relatives), d’autant, parfois, l’existence
des solutions alternatives élégantes. Il y a celui ou celle qui creusera,
cherchera, en devenant progressivement spécialiste dans l’une ou l’autre des
matières[11],
ces points complémentaires de vérité.
-
Cela signifie qu’il ne faut jamais arrêter d’étudier, de chercher à comprendre.
-
Oui, l’autre jour un prêtre durant son homélie rappelait que l’être humain
dispose d’yeux pour l’aider à chercher à comprendre. A la sortie de la messe, je
lui ai dit que c’était vrai car par exemple tourner en vidéos, faire des photos,
cela apprend à voir, et voir (véritablement) c’est effectivement essayer de
comprendre. Voir pour comprendre, pour que notre intelligence soit en contact
avec des sujets, des données, grâce à la mémoire, de manière à prendre des
décisions en conscience, donc en vérité. Les caméscopes, mais aussi les
appareils de photo cela comporte un zoom qui permet quelques fois d’isoler un
détail dans le champ de vision plus large, dans ce qui nous entoure et que
d’habitude nous voyons à 180°, bien qu’avec nos oreilles nous entendons aussi
des choses qui se passent derrière notre dos (ce qui donne une idée de
l’atmosphère dans laquelle on baigne). Ces éléments autour de nous sont
multiples, si on n’apprend pas à les isoler en tant que choses distinctes, voire
portant chacune un nom précis, on ne peut pas analyser, donc comprendre grand-chose à
l’existence. Aussi il s’agit de sujets, voire de catégories.
-
Mais/Donc il y a les gens dépourvus de conscience ?
-
Ils en possédaient une (comme chacun de nous tous), mais au cours de leur
respective croissance, ils l’ont plus ou moins perdue en faisant des mauvais
choix, souvent en étant nés dans un contexte moins bon qu’un autre ou alors, par
esprit de contradiction, dans un contexte qui était des meilleurs pour voir
éclore la Vérité chez/en eux[12].
C’est pour cela qu’ils se comportent en fous plus ou moins dangereux, parce
qu’ils sont devenus en une plus ou moins grande majorité de leur respectif
cerveau inconscients, par
conséquent quasiment plus ou moins irresponsables. Au lieu d’évoluer, ils ont involué,
c’est-à-dire le contraire d’évoluer (ils ont perdu des choses / facultés essentielles, au
lieu d’en gagner)[13].
Aussi, si ces personnes au cours de leurs vie ne changent pas à temps pour
retrouver leur conscience (parfois seulement en partie perdue), après leur mort, ils obtiennent des
réincarnations malheureuses, tragiques, honteuses, cauchemardesques, en fait
détestables à vivre[14]
parce que la plupart du temps de celles d’animaux devenus voraces, prisonniers
de la chaîne alimentaire animale[15]:
ils obtiennent la réincarnation en
proportion de
ce qu’ils sont devenus à force de tricher, de mentir et/ou de se mentir à
eux-mêmes, de s’être éloignés de cette conscience qui est, avec la mémoire et
d’autres fonctions admirables dans l’être humain, la sécurité même de
l’homo sapiens sapiens qu’il est
probable qu’ils étaient tous au départ.
-
Quelles sont ces autres fonctions ?
-
Elles sont nombreuses : il s’agit des cinq sens reliés, eux aussi, à la
conscience objective[16].
- Mais alors pourquoi cette perte de la conscience ? Cela ne devrait pas être puisque quand elle existe, elle permet – si je comprends bien, entre autres, de déterminer le vrai du faux, de parler en vérité, ce qui ne peut être possible que par écrit, parce qu'on peur caréir (néologisme pour corriger, augmenter, abrégé, relire, résumer, (ré)élaborer, illustrer - au début s'est écrit CARE, pour corriger, augmenter, abrégé, relire, résumer, élaborer) plusieurs fois, la pensée ayant beaucoup de mal à - du premier coup - dire toute la vérité sur un sujet car la plupart des vérités sont complexes, d'autant plus qu'en non violent, on ne voudra pas choquer, se faire des ennemis à cause de paroles incomplètes (n'ayant pas tenu compte de quelques paramètres qui n'ont pas sauté aux yeux tout de suite) - ce qui implique ces nombreux CARE (correction, ...).
-
Hélas ou/et heureusement la plus ou moins grande inconscience existe aussi et
nous concerne chacun. C’est ce qui explique qu’il y a des niveaux de vérité, à
cause des degrés (de l’influence) de la conscience positive, mais aussi de
l’inconscience. Il y a une inconscience positive mais malheureusement aussi une
inconscience négative.
-
Est-ce qu’il y a aussi des aspects négatifs à la conscience ?
-
Probablement dans certaines SPOK[17]
mais souvent cela concerne des S. P. O. K. indirectement, comme par exemple
d’être à l’origine de conflits à cause du zèle dont est responsable la
conscience qui se heurte à la paresse dont est responsable l’inconscience.
-
N’est-ce pas Dieu qui est l’auteur de la conscience et de l’inconscience ?
-
Probablement, mais s’Il en est l’auteur c’est de chacun de ces mots ASPENN[18].
Chacun d’entre nous sommes concernés par ces deux pôles à première vue
antagonistes[19].
Cela est inhérent à chacun des êtres humains, ce qui veut dire que c’est la
Création qui est l’auteure, dans chacun d’entre nous, des divers degrés de
conscience ou/et d’inconscience et cela a bien sûr comme origine les contextes
sociaux auxquels chacun d’entre nous appartenons. Ces contextes sociaux
différents (ces « classes sociales ») appartiennent à ce que nous nommons la
Création, sont devenus inhérents de celle-ci. Cela est à l’origine de chacune de
nos particulières différences, bref de nos personnalités. Il s'agit donc aussi
d'anthropologie et de sociologie..
-
Oui, il faut être de ceux qui distinguent les problèmes et qui les résolvent
avec l’aide de leur conscience[20],
en comprenant les dangers que représentent la résolution de ces problèmes pour
tous ceux qui se sont laissés entrainer par leur inconscience.
-
Tu veux dire que face à chacun des problèmes, il y a la possibilité d’une
solution élégante qui ne peut être trouvée que grâce à l’accès de certains
individus à cette conscience?
-
Oui, à cette (divine) conscience qui a continué à exister chez certains, malgré la
disparition de la vision du Paradis.
-
Aussi l’inconscience a-t-elle pour auteur l’opposé de Dieu, le diable ?
-
Pas au départ[21],
mais ensuite c’est probable pour l’inconscience négative.
-
Pourquoi ?
-
Pour fuir ses responsabilités, pour éviter d’avoir à résoudre ces problèmes
honnêtement, par paresse, par égoïsme, parce que ces personnes croient qu’il y a
mieux à faire en se divertissant[22],
voire en se droguant ou/et en buvant des boissons alcooliques dont certaines,
paradoxalement, peuvent être même considérées autrement vues, dans certains
SPOK, comme des médecines[23]
d’autant que la vision mythique d’Atlantide a disparu et qu’on a parfois besoin
d’un bon remontant pour continuer à avoir bon moral[24].
-
Et comment satan avait-il fait pour créer l’inconscience négative telle que
parfois elle existe ?
- Il a profité de son accès à la salle des machines et de ce que l’être humain a besoin de dormir, ce qui est alors le sommeil, une forme d’inconscience, voire de mort[25] mais aussi une preuve de grande confiance (et c'est cette confiance qu'il a abusé par des rêves et/ou des cauchemars).
-
Aussi il y a une inconscience qui est liée à la Création puisque le sommeil est
vital pour chacun des êtres humains. C’est donc Dieu l’auteur de l’inconscience
et non le diable ?
-
Au départ, à l’origine, il y a un des aspects de l’inconscience qui est de
nature divine, l’inconscience positive, c’est certain, puisque nous sommes tous
confiants contraints à dormir quotidiennement pour nous reposer et reprendre des
forces de manière à pouvoir poursuivre nos activités parfois d'Intérêt Général. Nous avons tous des besoins de
sommeil comme nous avons tous des besoins de manger, de nous vêtir pour ne pas
attraper froid, tomber malade. Il ne faut pas oublier qu’il y a une sorte de
salle des machines qui autrefois, quand on voyait le Paradis partout tout autour
de nous tous, appartenait à tous sans distinction de race et/ou de nationalité[26],
voire d’appartenance religieuse[27].
Alors l’inconscience, comme la Création était manifestement l’œuvre de Dieu[28],
au sens positif de ce terme (Grand Architecte de l’Univers). Mais il y a eu la
scission avec ceux qui ont eu accès à la salle des machines et qui en devenant
une autre espèce ont refusé les autres qui ne voulaient plus jouer avec ceux qui
avaient accès à la salle des machines. C’est alors que la salle des machines a
été progressivement utilisée pour créer les formes d’inconscience qui sont
aujourd’hui celles de certains d’entre nous et qui ont permis de recruter tous
ceux qui ont rejoint le groupe ayant hérité de la salle des machines qui à
l'origine a été prise par les plus forts, au sens de physiquement. Et comme
ceux qui ont eu accès à la salle des machines sont devenus les ennemis de ceux
qui en ont été exclus, il est normal qu’on ait diabolisé l’inconscience
puisqu’elle résulte de ceux qui ont rejoint les héritiers de cette salle des
machines en ayant été à l’origine de nombreux dégâts (dont tous ceux qui mènent
à obtenir de soi-même l’une ou l’autre de ces réincarnations malheureuses,
tragiques, honteuses, cauchemardesques, etc.).
-
C’est donc plus complexe qu’il ne paraît ?
-
Mais je veux continuer à croire qu’il y a une inconscience divine – du moins un
reste de celle-ci, positive - à opposer à une inconscience satanique, au sens de
maléfique. En effet, quand on voit un enfant dormir, par conséquent dans une
certaine dose d’inconscience, nous n’y voyons rien de dangereux mais plutôt le
contraire : un bon signe : l’enfant se repose, était fatigué et s’est réfugié,
confiant,
dans le sommeil, c’est-à-dire dans la part positive de l’inconscience qui permet
ce miracle : dormir (cela nous a été donné comme preuve que l’Amour mène le
monde – si c’était l’inverse, ne pas réussir à se reposer, dormir, cela
signifierait qu’on cherche à nous exploiter, donc à profiter de nous, ce qui
n’est pas le SPOK puisque tous nous avons besoin de sommeil, de dormir et que
cela ne nous a pas été refusé. Mais il
y a alors les dangers des mauvais rêves et c’est ici la part de l’inconscience
qui est négative, depuis que certaines personnes, de loin, ont cru avoir le
droit de réaliser ces cauchemars, en contrevenant à la fraternité véritable qui
en conscience[29]
le leur aurait interdit[30]
s'ils avaient su conserver cette conscience.
Pour réaliser ces cauchemars, ils ont (en grande partie inconscients) utilisé la salle des machines en devenant
un groupe de personnes devenues inconscientes, voire ne se rendant plus compte
que cela constituait des méchancetés à l’égard de leurs innocentes victimes et
cela parce que ces inconscients estiment qu’elles
peuvent ainsi chercher à tenter les personnes qu’elles attaquent lâchement
(en profitant de la confiance de la personne devenue inconsciente durant son sommeil), pour qu’à la longue celles-ci deviennent semblables à elles,
de manière à les rejoindre, une fois qu’elles auront oublié leur devoir (parce
que devenues en partie inconscientes dès le réveil), voire
leur(s) responsabilité(s) (aussi ce qui advient alors est une sorte de
profanation, d’outrage, et un non respect de la personne (des droits des êtres
humains) qui s’est momentanément
abandonnée en toute confiance à la relative inconscience de son sommeil – ce qui se passe
alors est la profanation des droits de tous ceux qui se réservent (fidèlement)
pour leur conjoint[31],
voire pour former un couple avec la personne de leur choix et élever les enfants,
fruits de leurs amours dans la vie de tous les jours soumis aux impératifs de la
conscience qui se traduisent aussi par tous les impératifs financiers - les
obligations, etc.).
-
Oui, je sais, cela a aussi à voir avec les mauvaises pensées[32],
les choses indignes pour l’être humain parachevé, devenu bouddha, une fois
achevée la métamorphose, fruit de l’évolution de cet être humain dont la réalité
est aussi sujet d’étude(s).
-
A l’origine, avant que le problème n’ait lieu, les premiers êtres humains
vivaient au paradis, dans le jardin d’Eden, et voyaient sur tous les rochers ou
les reliefs géographiques, comme sur tous les sols et sur toutes les plantes,
bref sur chaque chose (dont leurs propres corps) la vision d’Ôz
ou celle d’Atlantide (du Paradis) qui nous a été révélée sur les murs d’un immeuble[33]
environ cinq secondes quand en 1995 on m’a fait devenir le dernier empereur.
Mais un empereur qui ne se savait pas encore ayant dû s'imposer à lui-même une
amnésie[34]
de vingt-sept années
et qui durant cet instant où Ôz (l’ex-Atlantide) est apparu (a été révélée tout
autour sur le décor) s’était abandonné à l’inconscience, à l’origine d’une
pensée mensongère, ce qui signifie que ce sont ceux qui se comportent de façon
inconsciente et donc parfois mensongèrement qui détiennent[35]
l’accès au variateur de la vision d’Ôz[36].
Ils ont hérité de la salle des machines[37]
où se trouve, entre autres, ce très grand variateur (le TGV) en état de marche,
ce qui permet de faire apparaître la vision de l’Eden, d'Ôz. Mais pour que cela puisse
apparaître, il a fallu que pendant un instant, en 1995, je me mente à moi-même,
que je me comporte à mon insu en inconscient[38]
, heureusement cela n'a pas duré longtemps.
-
Donc le problème est bien là. Le rétablissement de la vision d’Ôz sur toutes les
choses dont les parois, sols y compris, est lié à la question de la conscience
et à celle de l’inconscience qui, nous l’avons remarqué, comporte dans certains
SPOK un aspect
positif.
-
Oui, probablement et entre autres, mais j’ai démontré comment on devient un
inconscient, et cela à partir de 1977, dès que je me suis contraint à avoir une
amnésie de ce qui venait de se passer d’extraordinaire avec mon apparition
anticipée dans le ciel, (moi, immense), environ trente années (en fait
vingt-sept) avant que cela advienne dans la réalité en chair et en os, à partir
de 2005 quand je suis redevenu l’un des bouddhas et après avoir eu la présence
d’un anneau immaculé à mon doigt annulaire des hommes mariés, ce qui a signifié
que j’avais obtenu de ma descendance (avant qu’elle n’ait à naître) une sorte de
feu vert pour mon mariage avec Michèle Finck.
-
Nous parlions d’inconscience et de conscience.
-
Oui et j’ai démontré comment parce que j’avais oublié que j’étais fiancé avec
Christine, j’avais pu avoir des relations sexuelles avec un bon nombre de jeunes
filles avant de rencontrer Michèle dans l’état de devenu plus ou moins
inconscient, celui dans lequel j’avais sombré dès que j’ai renoncé à aimer les
jeunes filles d’amour véritable[39].
-
Il y a donc un état d’amour véritable qui permet d’accéder à la conscience ?
-
Oui (je l’ai démontré), et avec cela on apprend à avoir confiance dans l’autre
qui lui aussi est écartelé quotidiennement, à chacun des instants, entre des
moments de conscience et des temps d’inconscience.
-
Mais qu’est-ce qui est le mieux pour l’être humain entre conscience et
inconscience?
-
Cela dépend des situations et des avancées de chacun des contextes familiaux
auxquels chacun de nous appartenons. Dans certains cas particuliers, il vaut
mieux se comporter d’une façon inconsciente, dans d’autres situations précises
(SPOK), il vaut mieux des réponses en conscience, c’est-à-dire en vérité, en
tenant compte de tous les paramètres connus (voire aussi d’inconnus, d’oubliés),
sans en oublier un seul, pour donner et découvrir la solution élégante exacte à
ce problème.
-
Ce sont toutes les solutions médicales justes, par exemple, en évitant toutes
celles qui sont fausses, injustes, mensongères.
-
Pourquoi ?
-
Parce qu’en donnant ces solutions mensongères qui vont être de celles qui vont
être à l’origine d’une cascade de problèmes ou/et de mauvaises choses (les
conséquences), celui qui est à l’origine de cela va régresser, involuer et il
deviendra coupable d’avoir été à l’origine de ces problèmes, donc d’avoir
entravé la progression de la Très Grande Pyramide (T. G. P.) qui concerne chacun
des êtres humains (mais aussi la condition animale) en tant que responsable de
sa vie et de celle de ceux qui sont placés sous sa responsabilité. Il ne faut
pas oublier qu’il y a d’autres étoiles que nôtre soleil et d’autres galaxies que
notre Voie Lactée, et probablement aussi de très nombreuses exo-planètes. La
Très Grande Pyramide (c’est une image[40])
pour parler de (ce) tout qui vit en même temps ensemble[41]
même si plus ou moins grandement éloignés les uns des autres[42].
-
Tout cela a une cause et des responsables : ceux qui sont devenus inconscients
et qui à cause de cela vont obtenir, après leur mort, une réincarnation animale
proportionnée à leur degré de dégradation cérébrale[43]
puisqu’ils ne sont plus parvenus à, au contraire, comprendre la réalité, grâce à
l’aide de leur conscience[44].
Et cela, malheureusement, a concerné mathématiquement tous ceux qui ont eu accès
à la salle des machines d’Atlantide qui permet un certain nombre de choses, ce
qui a fait de ces personnes des sortes d'enfants-gâtés, puisqu’ils disposent de machines
ou/et d’instruments dont ceux qui n’ont pas accès à ces machines ne disposent
pas, en n’ayant comme seule défense possible leur raison liée à leur conscience[45]
disposant des données accumulées (mémorisées) au cours de leur existence.
-
Aussi nous avons d’un côté un monde de gens plus ou moins conscients, en raison
de leurs contextes d’origine, voire plus conscients que ceux qui se sont
abandonnés à l’inconscience, avec son cortège d’erreurs, de vulgarités,
d’injustices, de malheurs, de je-m’enfoutismes, etc., bref de maux et de
mensonges à l’origine de très nombreuses maladies.
-
Par conséquent qui régressent et qui obtiennent ces réincarnations malheureuses,
honteuses, cauchemardesques, tragiques qui sont, hélas, mathématiques car en
proportion de ces erreurs (en réalité des péchés) puisqu’elles sont en liaison avec le devenir de
chacune des âmes y compris dans le monde animal[46].
-
D’où l’intérêt de lire des textes vrais, véritables, comme celui-ci. D’où la
raison même de l’invention de l’écriture : pour donner des bons conseils comme
aussi des avertissements, comme sur une route bien balisée[47].
-
En effet, il vaut mieux prendre une route bien entretenue qu’une route mal
entretenue : dangereuse.
-
Oui, car celle-ci peut d’un seul coup s’arrêter, par exemple si un pont a lâché
durant la nuit précédent votre passage[48],
voire si une crevasse n’a pas été à l’avance signalée, s’est soudainement créée
par exemple en raison de fortes précipitations en hiver ou durant la saison des
pluies. Bref si les responsables de la localité de laquelle dépend cette route
n’ont pas assez bien fait leur travail pour assurer la sécurité des usagers.
Autrefois, on le sait, il y avait l’obligation des villageois d’/à entretenir
périodiquement tous les chemins (même les moins empruntés).
-
Aussi tous recherchent le meilleur chemin, comme ces alpinistes qui parviennent
à le trouver sur des parois à pic. C’est parce qu’ils analysent en vérité[49]
leurs futurs parcours qu’ils parviennent à le trouver.
- Ceci est une autre preuve que la Vérité existe et que le profane ferait mieux de la rechercher plutôt qu’au contraire suivre les conseils mensongers. Mais voilà le problème : le profane ne distingue pas toujours où se trouve la Vérité, d’autant qu’à un moment donné de son existence, il a perdu le chemin[50]. J’ai aussi prouvé cela : en m’imposant d’obtenir une amnésie[51]. Avec cette amnésie, je suis progressivement devenu profane et infidèle à la mémoire de ces enfants[52]. J’ai montré comment on est capable d’avoir des relations sexuelles avec des jeunes filles, voire même avec un homme sans éprouver d’amour véritable, donc en imposteur, voire en menteur, c’est-à-dire en devenu satyre, voire centaure [53]. Ce problème vient de ce qu’on a dissocié la sexualité de l’Amour avec un grand A, par conséquent qu’on ne recherche que son plaisir en étant devenu un égoïste[54]. C’est ainsi qu’on devient profane et qu’on recherche des semblables (comme fréquentation(s)[55]). C’est bien ce qu’on appelle l’adolescence au SNM (au sens négatif de ce mot - qui dans d'autres SPOK en a du positif), la perte de la conscience, c’est-à-dire la perte du savoir que l’état de véritable amour engendre, soit de connaître à l’avance les devoirs qui seront les nôtres si un enfant vient au monde[56] de telles unions.
-
Il y a donc des degrés dans les histoires d’amour ?
-
Oui, il y en a de toutes les sortes car chacune d’entre elles est une étape de
plus pour rechercher celle qui parviendra à vous rendre réellement aimant ou/et
véritable en vous rendant enfin adulte, voire adulte parachevé[57].
La fonction des histoires d’amour est de vous rendre véritables, donc d’aider à
la métamorphose en l’un des bouddhas vivants, et c’est souvent ainsi qu’on
retrouve la vérité qu’on connaissait dans les premiers temps de l’enfance[58],
celle qui a permis de continuer à grandir[59],
à se métamorphoser en l’un ou l’autre des adultes parachevés conscients,
responsables (car bien élevés).
-
Ce qui signifie que chacun d’entre nous est en chemin pour retrouver sa raison
perdue, soit au contraire pour continuer à se dégrader, soit au contraire pour
obtenir toujours plus de lumière en soi pour résoudre en conscience les
problèmes qui continuellement (quotidiennement) se posent.
-
C’est avec à l’avance conscience des conséquences de ses actions qu’on agit.
Lorsque j’affirme que certains psychiatres sont complices de chimistes qui ont
créé des soi-disant médicaments-poisons qu’ils utilisent pour rendre malade des
effets secondaires martyrisants de ceux-ci, de manière à pouvoir prescrire
d’autres soi-disant médicaments (pour atténuer ces effets secondaires),
j’affirme une vérité vérifiée par mes soins, avec moi-même grand inspecteur, car
bouddha[60],
et je puis d’avance avertir ces psychiatres qui ont fait souffrir horriblement
leurs patients[61]
qu’ils obtiendront avec chacun de leurs complices, dont les infirmiers, les plus
tragiques réincarnations puisqu’ils se sont comportés en faux médecins, en
s’interdisant de sevrer dès que possible[62]
le médicament responsable de toutes les souffrances les plus atroces à vivre,
torturantes, et/ou martyrisantes.
-
Ce qu’ils font c’est abuser de la confiance de leurs patients et créer ainsi
artificiellement des malades[63]
qui sont donc victimes de l’excès de pouvoir du psychiatre. Qu’on se rassure :
les excès de pouvoir (les abus de confiance) sont aussi punis après la mort.
Tous ceux qui ont profité de la crédulité de gens (trop) confiants obtiennent
des réincarnations malheureuses, tragiques, honteuses, cauchemardesques, comme
chacun de leurs complices.
-
D’où l’intérêt de ne devenir médecin qu’une fois devenu (totalement[64])
l’un des bouddhas qui, si on vivait au Paradis (donc avec retrouvée la vision
d’Ôz, de l’Eden), devraient être les
seuls habilités à prescrire des ordonnances médicales, car ils ne les rédigent
qu’en conscience[65]
et en prévoyant aussitôt le calendrier du sevrage de ce médicament, dès leur
première prescription[66].
Car en réalité nous avons découvert (par l’expérience sur nous-mêmes) d’où est
venu le mal pour chacune des personnes malades, voire en difficulté, voire
handicapée. C’était élémentaire : le mal, à notre époque, dans nos régions
occidentales a une fois de plus (comme dans d’autres régions et cela à chacune
des époques) pour origine l’inadéquate alimentation qui est à l’origine de tous
ceux qui sont allés rejoindre ceux qui ont accès à la salle des machines, des
devenus artificiellement (à cause de leur alimentation) des inconscients, au
point que par/dans le passé, il s’agissait en grande majorité de chasseurs
d’animaux pacifiques et inoffensifs[67].
En effet, à l’origine les hommes et les femmes[68]
vivaient avec la vision du Paradis continuellement autour d’eux et ces hommes et
ces femmes (comme leurs enfants) se nourrissaient exclusivement de fruits, (de ce que produisaient les
arbres). Chacun de ces ancêtres (aujourd’hui fort éloignés) vivait éternellement
car ni le vieillissement, ni la mort n’existaient encore (en effet, on était nés
au Paradis et le décor qui nous entourait suffisait[69]
à soigner de tout car l’extrême beauté (le sublimissimis...simissime) de ce décor
(r)assurait chacun d’entre nous de ce qui avait été à l’origine (de la réussite)
de la Création : plus encore qu’immensément généreuse et en minimisant ici au
maximum : le bien, le bon et la beauté)[70].
C’est le problème[71],
cette alimentation de type occidentale qui a été à l’origine de la véritable
mort, c’est la cause du problème qui a créé les maladies et la souffrance (mais
aussi les déserts) : soit
cette situation une répercussion de la maladie d’adolph hitler[72]
dans le passé le plus lointain[73].
Cette répercussion est allée plus vite que la vitesse de la lumière jusqu’à ce
passé situé à environ deux à trois millions d’années d’ici et c’est ainsi que
les réincarnations en animaux prédateurs sont advenues (se sont produites), avec
cette punition, comme une sorte de sécurité à la Création[74],
chacun ayant alors comme choix de vie le bien ou le mal : entre rechercher à
devenir conscients ou au contraire devenir encore plus inconscients, pour
obtenir encore pire comme réincarnation (toujours plus malheureuse, toujours
plus tragiques, toujours plus laide (au sens de monstrueux), toujours plus
honteuse (réincarnation)).
C’est donc à satan qu’on doit tous les malheurs qui ont accablé l’humanité et
satan c’était cette figure noire, haineuse, de la reine de la nuit que j’ai pu
(au cours de l’hiver de 2005) vérifier morte prisonnière de l’épaisseur de la
glace du bassin central du jardin du Luxembourg. C’était elle la première
coupable (responsable) et non Adolph Hitler qui jeune s’était fait avoir par
cette menteuse qui était, par ignorance (et amnésie) – mais probablement pour
d’autres raisons aussi -, dans la haine de la Création, par conséquent de Dieu[75]
et des êtres humains[76].
Or, pendant longtemps la Création dans laquelle vivaient ces très lointains
ancêtres était pure, sans satan[77]
et comme la personne de satan est morte[78]
la Création peut redevenir belle, bonne et bienfaisante, (être sauvée),
puisqu’on a pu découvrir qu’il y a toujours une solution alternative élégante qu’on peut
mettre en œuvre, grâce à l’usage de la raison, de la logique (de l’intelligence
qui résulte des sens bien employés), pour s’ingénier à la trouver, grâce à tous
ceux qui ont encore accès à leur conscience, par conséquent probablement aussi,
en bonus, à l’Ethique, voire à l’hyperissimissime Ethique[79].
-
C’est-à-dire tous ceux qui sont devenus des bouddhas homme ou/et femme ?
-
Oui, tous ceux qui n’ont pas encore perdu une partie de leur conscience en
s’étant trop abandonnés au(x) péché(s), c’est-à-dire en croyant possible nuire[80]
comme ces psychiatres qui vous feront obtenir des martyrs[81]
en prétendant vous soigner pour vous conserver comme clients, en vous faisant
obtenir ces effets secondaires martyrisant(s) et en vous rendant alors
prisonnier du système hospitalier[82],
voire même en se réjouissant de vos atroces, invivables, insupportables
souffrances (des martyrs) causées par le médicament principal qu’ils vous ont
prescrit[83]
et cela pour continuer à vous prescrire des pseudos médicaments en cherchant à
vous atténuer les maux diagnostiqués, sans la connaissance de chacun des
paramètres et de tous les espaces-temps vécus par le patient[84]
puisqu’ils ont voulu que vous souffriez pour qu’on puisse justement leur être
reconnaissant d’avoir un peu atténué ces souffrances causées par le médicament
principal qu’ils vous contraignent à prendre au lieu de ne plus le prescrire et
de compter sur les conseils hygiéniques habituels à prodiguer (la réalisation
d’une psycanalyse ou/et auto-psycanalyse selon le cas) puisque vous ne pouvez
avoir obtenu l’état qui est le vôtre que parce que vous êtes devenus incohérents
avec le mot d’amour[85].
Soit des gens qui n’ont pas recherché la cause de ce que vous souffrez[86]
ou qui en toute mauvaise foi refusent de croire que le médicament principal
qu’ils administrent est responsable de ces injustes souffrances dont vous
souffrez en grand inspecteur, parce que bouddha au service du plus véritable
Intérêt/Bien Général pouvant enfin se faire (à partir de l’expérience) une
réelle opinion sur le métier de certains psychiatres (soit ceux qui profitent de
leur pouvoir sur des gens pour la plupart dans l’ignorance de ce dont ce corps
de métier est responsable : ainsi, parfois, la réalisation artificielle de futurs malades qui,
en réalité ne le sont devenus que parce qu’ils n’ont pas eu accès au cours de
leur enfance à une élémentaire alimentation des plus saines, en accord avec la
nature même du problème enfin résolu : en accord avec l’être humain privé de la
vision Granier Lang d’Ôz, cette vision d’Atlantide, du Paradis, de l’Eden qui
existait pour tous avant qu’elle n’ait à disparaître quand il y a eu scission
entre ceux qui ont continué à avoir accès à la salle des machines et ceux qui
ont été rejetés, n’ont plus été considérés comme ceux qui ont le droit
d’utiliser ces machines ou/et mécanismes qui, entre autres, permettent de
réaliser des rêves[87],
qui profitent de l’état d’inconscience et de confiance qui adviennent durant le repos de ces
personnes qui durant la journée se comportent en vérité avec l’aide de la
conscience et de leur cœur aussi bien que possible grâce à leur intellect en
étant de ceux qui n’ont pas accès à cette salle des machines (ni au TGV[88]),
donc en étant autre chose que des enfants-gâtés, puisqu’ils sont soumis à une
autre sorte de dictature, celle de la conscience qui est à l’origine de la
plupart de leurs décisions (sacrées), et des solutions élégantes trouvées dans le monde de
la cohérence, de la logique, des mathématiques qui pour eux est sacré, car c’est
un fait certain : en étant privé de l’accès à cette salle des machines, ils ont
eu en échange de cette injustice l’accès à l’univers entendu comme un ensemble
de choses en vérité sacrées, tandis que les autres ayant accès à la salle des
machines sont malgré eux[89]
devenus (je l’ai démontré) des faunes[90],
des satyres ou/et des centaures, voire des espèces de bourreaux, en se comportant
en prédateurs, puisqu’ils profitent de ces machines, par exemple pour espionner
à distance, donc d’une manière infraternelle (non fraternelle), donc de la
manière qui leur fera obtenir à chacun d’entre eux une réincarnation inférieure
à celle d’être humain, grâce à ses activités positives, en chemin vers un parachèvement (l’éveil, la bouddhéité,
l’illumination[91]),
donc au contraire une réincarnation malheureuse, tragique, honteuse,
cauchemardesque, détestable à vivre, qui plus est en proportion de leurs fautes,
erreurs, péchés, car indignes de cette vision admirabilissimis...simissime du Paradis
et, en attendant, de ce qui a été inventé et mis au point par la quantité très
nombreuse de bouddhas qui n’ont pas eu accès à la salle des machines, parce que
certains d’entre eux ayant découvert cette sécurité dans l’être humain (que la
métamorphose qui aboutit à la bouddhéité[92])
ont voulu demeurer fidèles à la Création ainsi (re)découverte, c’est-à-dire au bien,
au bon et au beau (à la Charité, à la compassion) qu’ils ont continué à discerner à notre sujet
dans la Nature comme à réaliser avec leurs œuvres, parce que certains d’entre
eux ont eu conscience que tout ce qui les entourait d’admirable était bel et
bien fabriqué comme par les mains de Dieu, ce bien, ce bon, ce beau, cette Charité
(entre autres vertus) et cette compassion qui d’autre part existe
ipso facto encore mieux quand on
utilise le Très Grand Variateur (T. G. V.) depuis la salle des machines pour
faire apparaître (voir se révéler) sur les murs ou les sols, (et les corps) même dans des
teintes (couleurs) à première vue uniformes[93],
la révélation de la vision d’Atlantide[94]
qu’il m’a été donné de voir quelques secondes en 1995, quand, sans me demander
mon avis, on m’a fait devenir l’empereur suivant (par ordre chronologique)
napoléon premier, adolph hitler et mon père Jean-Luc Granier de
Saint-Gervais-sur-Mare (à partir de 1967 et 1977) qui avait été nommé empereur
en 1967 et 1977 par ma virtualité qui se trouvait d’avance[95]
dans l’époque de 2005 d’où j’ai pu intervenir[96]
d'avance
en Saint-Esprit pour proposer avec Jean-Luc Granier comme empereur, une
alternative à la guerre, avec, entre autres à réaliser la Construction de
l’Union Européenne[97]
et l’Hyper Méga Dictée Pharaonique Maçonnique ... de produits à réaliser[98],
parce que cela en vaudrait la peine pour tous, de manière à créer de nouvelles
alternatives à la disparition de la vision sacrée Granier d’ex-Atlantide Lang
d’Ôz qui sera un jour, nous l’espérons, appelée aussi Finck.
-
Celui qui n’a pas accès à la conscience, comme toi, ne peut pas comprendre Dieu,
accéder à la compréhension de tout?
-
Oui, mais il demeure quantités de choses possibles, un potentiel[99]
pour réacquérir plus ou moins totalement cette conscience.
Effectivement sinon, il a des probabilités de devenir uniquement laïc,
strictement athée, profane, ignorant, et même parfois[100]
sacrilège[101]
, ces cinq derniers mots au SPNM (au sens positif et négatif de ces mots)
puisqu’il a perdu l’accès cérébrale à de nombreuses dimensions (facultés) qui
cependant existent une fois qu’on a de nouveau accès à cette conscience, dont la/les
dimension(s) sacrée(s)[102]
qui ne contraignent plus les sujets (qui en sont pourvus) à » voir pour croire «,
parce qu’ils comprennent tout ce qu’ils voient ou/et entendent, en discernant les
degrés d’importance de ce qui est faux ou/et au contraire de ce qui est vrai
ou/et relativement vrai. Ce sont des êtres capables de véritables enthousiasmes,
voire de réaliser des œuvres destinées à soigner, à représenter des solutions alternatives
élégantes
à la disparition de la mythique vision
Granier d’ex-Atlantide, (complétée par)
Finck Loewy Lang d’Ôz.
Ceux-ci ont besoin de l’aide de ceux qui sont passés de l’autre côté du miroir
et qui comprennent le monde comme il était compris avant que la scission
historique
n’advienne dans le passé le plus lointain, au point qu’il y a eu ceux qui se
sont emparés de la salle des machines dont ils se sont servis pour espionner
ceux qui ont progressivement oublié qu’elle existait et qui se sont habitués à
vivre dans un monde qui avait changé (avec cette disparition de la vision …d’Ôz,
du Paradis, etc.), mais en conservant la possibilité de communiquer avec
certaines espèces d’animaux, sauf qu’aucune langue (et aucune arme(s))
n’existaient encore, l’innocence[103]
(ABSDCMENASN)[104]
régnait.
C’est la situation faussée qui a petit-à-petit été, à cause des migrations
(ayant quitté la zone équatoriale), à l’origine de la création
des langues[105],
comme progressivement de chacune des solutions élégantes alternatives[106],
comme si ce qui venait de se produire (cette scission) avait été prévue pour
donner naissance sur terre et dans le ciel (le futur)[107]
à une autre forme de Création[108]
qui serait le fruit de ces, à première vues du moins, injustices[109].
C’est ainsi que sont nées d’innombrables choses utiles comme d’innombrables
choses à première-vue devenues inutiles[110].
Pour le déterminer en vérité, il faut être de ceux qui ont accès à la Vérité,
c’est-à-dire tous ceux qui parce qu’ils ont accès à la Vérité ne peuvent pas
(pour l’instant – tant que le monde est divisé) devenir réellement les amis de
ceux qui ont accès à la salle des machines, à l’origine des réincarnations
malheureuses, tragiques, honteuses, cauchemardesques et tristes de tous ceux qui ont cru
pouvoir utiliser à l’insu des autres ces machines pour persécuter tous ceux qui,
par prudence, et plus véritable sécurité, ont préféré demeurer dans l’innocence
des premiers temps, hors des péchés, des erreurs, des fautes (des mensonges)
dont sont hélas devenus coupables ceux qui ont accès à cette salle des machines
qui permet, entre autre, d’espionner à distance, par conséquent de se comporter
ignoblement (de manière non-fraternelle), en sacrilèges vis-à-vis des droits de
chacun à ne pas faire l’objet d’espionnages[111].
-
Cependant on t’objectera que ce que permettent ces machines existait à
l’origine, par conséquent que c’est possible.
-
Oui, mais alors tous sans exception avaient le droit d’utiliser ces machines[112]
qui n’étaient pas réservées à un petit club. Aussi on ne s’en servait pas à
l’insu. C’était une sorte de sécurité pour retrouver un des semblables, par
exemple, qui se serait éloigné géographiquement dans un monde qui alors vivait
sans armes et uniquement de fruits cueillis aux arbres, par conséquent sans
pécher, chacun continuellement dans l’innocence et la pureté des origines. C’est
la scission (la division) qui s’est opérée alors qui fut la cause (en raison des
migrations qui s’ensuivirent) de la progressive naissance des civilisations
offrant chacune[113])
des solutions alternatives élégantes, fondées sur des religions ayant parfois leur part d’inexact (à
cause de vérités relatives, à l’origine de ces inexactitudes, voire erreurs), comme leur part de
vérités relatives incontestables.
-
Tuer ce qui est nuisible n’était pas possible car cette notion (conscience) de »
nuisible « n’est venue que beaucoup de temps après la cause du problème
(l'occupation de la salle des machines par tous ceux qui étaient les plus forts
physiquement parlant) :
entre temps, il a fallu inventer les armes, il a fallu comprendre qu’une branche
d’arbre coupée pouvait servir de bâton pour frapper. Il a donc fallu savoir ce
qu’est devenir méchant (en partie perdre son innocence), donc pour avoir à s’en
défendre légitimement.
-
Oui ce qui signifie que l’innocence régnait et que cette vision du monde[114]
n’existait pas sans cette innocence.
-
Quelle vision du monde ?
-
Celle qui, absente,
-
Mais la légitime défense n’existait pas non plus.
-
Oui et non (car quand l’un de ces ancêtres les plus éloignés croisait quelqu’un dans un champ ou
sur un arbre, ils s’évitaient, ou ils évitaient de se marcher sur les pieds,
voire évitaient de prendre toute la place, ce qui induit quintessentiellement[115]
une forme de légitime défense inhérente à la condition animale des animaux
pacifiques et inoffensifs, voire humaine) puisque c’était le Paradis partout,
l’Eden, Atlantide, Schtroumpf, Ôz,
Cythère, etc. A propos, je te rappelle que le mot d’Atlantide a été remplacé
par, entre autres, le mot d’Ôz, en
réalité par l’expression « Christine, Floreance, Michèle et Laurie Granier
d’ex-Atlantide Finck Loewy Lang d’Ôz ».
-
Pourquoi ?
-
Parce que ce sont des mots qui ont tous une histoire ayant permis qu’en 1995
nous ayons pu tous revoir un court instant sur l’ensemble des murs, à première
vue uniformément d’une même couleur, se révéler cette mythique Atlantide, quand
on m’a fait empereur, (le dernier empereur) et cela après mon père que j’avais
fait[116]
empereur en apparaissant immense, constitué de nuages dans le ciel de Rome, dès
1977 en synchrone avec 2005 et 1967. Le mot d’Atlantide sera conservé mais devra
comporter un « ex » devant, suivi d’un trait d’union (ce sera la vision
d’ex-Atlantide, mais celle du Paradis retrouvé). En effet, les principaux
responsables d’Atlantide étaient devenus coupables, s’étaient couverts de sang,
et de sang innocent durant la Seconde Guerre mondiale, mais déjà avant, dès la
guerre de 1870 qui en réalité toutes proportions gardées a été une sorte de guerre mondiale, la première,
qui a engendré, par voie de conséquence(s), celle de 1914-18 à l’origine, à son
tour, par voie de conséquences, de la seconde guerre mondiale qui est, en
réalité, la troisième guerre mondiale.
-
Oui, « jamais deux sans trois ». En 2005, c’est en magicien d’Ôz
(en pharaon Hermès Trismégiste et …[117])
que je suis apparu acoustiquement en 1967 sur la ville de Paris. C’est toujours
en magicien d’Ôz et d’ex-Atlantide
qu’on m’a vu et entendu à Rome à partir de 1977, immense dans le ciel de Rome,
constitué de nuages, imposant (à l’occasion de mes mariages) en Saint-Esprit mon
père Jean-Luc Granier de ... comme empereur suivant a. h. , le confirmant dans ses
fonctions, dictant la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale parce que je venais
de redevenir en 2005 à Paris l’un des bouddhas (en ayant à cette occasion
retrouvé avec ma conscience, le (véritable) sens de l’Intérêt Général (du Bien
Général), après avoir peint la série des tableaux-partitions pour le piano droit
de Michèle Finck, piano que j’avais aussi peint en le décorant du mieux que j’ai
pu, après avoir réalisé une série de miniatures comme les moines enlumineurs et
miniaturistes des époques antérieures à l’invention de l’imprimerie. J’ai peint
cela pendant la période où j’ai aussi produit, mis en scène, monté, réalisé,
distribué et etc. le film
La Momie à mi-mots
et ces miniatures m’ont permis d’annoncer à peu-près tous les chapitres de ce
film avec des panonceaux rédigés dans différentes langues et alphabets,
puisqu’il s’agissait d’un film musical et dansé par Carolyn Carlson, sans
dialogues, donc compréhensible comme le Cinéma Muet.
-
Le film est sorti en salle en 1998, trois années après qu’on t’ait fait
empereur, Ce qui avait effectivement permis (un court instant) de voir
apparaître dans la réalité Atlantide (le Paradis), le jour où tu devins satan (le chef des L.
A. P. I. S.[118]).
C’est donc, à ce moment-là, que Dieu n’existait plus[119].
-
Oui, hélas, pendant un court instant à l'échelle universelle Dieu n’exista plus[120],
mais pour arriver à cela, on avait méchemment et lâchement profité de mon
amnésie contractée depuis 1977 en
légitime défense[121]
et de ce qui s’était passé en 1967 (et 1977), c’est-à-dire quand on m’avait
entendu dans le ciel de Paris pour, entre autres, donner l’heure exacte en
confirmant le tempo de la seconde[122].
J’ai alors rappelé depuis 2005 d’où j’intervenais, parmi tant d’autres choses[123]
les années dans lesquelles nous étions pendant ces trois époques synchrones[124]
entre elles[125].
1977 marque le début de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale Maçonnique[126]
, etc.
avec l’Hyper Méga Dictée à travers Espace et Temps, advenue une fois en 1967 et
une autre fois à partir de 1977 (en synchrone avec l’année 2005).
-
En 1967, comme en 1977[127],
quand tout a recommencé pour la troisième fois, tu étais de nouveau totalement
innocent, puisqu’à chacune de ces dates tu étais redevenu (un) bouddha, grâce à
la métamorphose dont tu as dit qu’elle constitue une sécurité de la Création
dans/pour chacun des êtres humains qui peuvent ainsi renaître à leur véritable
eux-mêmes et à une nouvelle vie[128],
s’ils abandonnent les pratiques qui les ont fait chuter, par exemple en croyant,
par paresse intellectuelle, aux thèses de satan qui affirmeront[129]
qu’il n’y a pas de vérité en ce monde et avant sa mort vérifiée (comme nous
l’avons dit[130])
a cherché à le faire croire, au point qu’il existe encore un bon nombre
d’athées. Ce à quoi il paraît que normalement le Bouddha était (athée) : on le
prétend, mais il y a eu de très nombreux bouddhas au cours des derniers
millénaires passés et le bouddha que je suis (re)devenu a le droit de changer
d’opinion, de croire en Dieu, voire même dans Jésus-Christ (son Fils) en tant
que Dieu, par conséquent à l’idée qu’Il était en relation avec Dieu-le-père avec
lequel Il est Un[131].
C’est une façon de croire aussi que le Paradis, le purgatoire et l’enfer
existent dans la réalité de tous les jours et que ces diverses dimensions
concernent chacun. J’ai démontré à partir de mon amnésie de 1977 à 2005 que ces
mots sont des réalités et des vérités incontestables. J’ai vérifié qu’ils
signifient réellement des choses difficiles à vivre. L’enfer n’a existé sur
terre que jusqu’à la mort de satan qui était la reine de la nuit dont j’ai pu
par hasard vérifier qu’elle est morte dans sa haine de l’Univers entier, ce
grand masque prisonnier de l’épaisseur de la glace du bassin central du jardin
du Luxembourg à Paris durant l’hiver 2005. Pour que satan (la tête de cette
femme noire de haine) ait pu exister un temps sur cette planète, il a fallu deux
principales causes : l’ignorance et l’amnésie (c’était donc une maladie que la
satanite – elle provient de la situation générale qui a été faussée à l’origine,
depuis qu’une partie des êtres humains ont eu accès à cette salle des machines
donc en « privilégiés »[132]
au détriment de tous les autres qui se l’interdisent). Je l’ai démontré avec
moi-même en tant que cobaye volontaire de l’expérience menée. Dans un premier
temps je suis devenu amnésique de ce qui s’était déroulé en 1977 à Rome[133]
et puis il a fallu que je devienne plus ou moins incapable de comprendre ce que
je lisais, donc un ignorant ABCMSM (: au bon comme au mauvais sens de ce mot).
C’est ainsi que j’ai pu devenir un adolescent athée (un LAPIS), ne croyant même
pas à la réincarnation, parce que je n’arrivais plus à comprendre comment et
pourquoi[134]
(en péchant, j’avais progressivement perdu des facultés mentales essentielles
pour comprendre en vérité comment fonctionne le Système), tout simplement parce que je ne voyais
plus[135],
non plus, le mal que je (me) faisais, mes comportements de plus ou moins
(devenu) égoïste, car adolescent, au SNM (: au sens négatif de ce mot), qui
heureusement comporte beaucoup de positif aussi dans d'autres SPOK, car il y a effectivement tous
les aspects positifs de l’adolescence en chemin vers l’âge adulte, c’est-à-dire
vers le Paradis ou alors l’enfer, si on choisit le mauvais camp (celui des
tricheurs - voire ceux qui croient parler vrai - qui profitent de ces machines pour intimider
(ici, en raison de la Fraternité, cela est impossible de se l'autoriser: ce
n'est pas cohérent avec ce principe de fraternité), voire n’intéresser qu’à
l’éros, ce qui sera à l’origine, sans amour véritable, de graves dégâts dans la
conscience, voire de traumatismes, d’autant qu’on appartient aux êtres humains
munis de conscience, voire devenus l’un ou l’autre des bouddhas (éveillés)
vivants). On peut dire qu’il y a comme synonyme du mot de purgatoire, le mot
d’adolescence quand ce mot est compris au sens négatif et positif[136]
de celui-ci. En effet, je ne croyais plus en Dieu. C’était devenu le cadet de
mes soucis. J’étais véritablement devenu athée (alors que dans mon enfance
j’avais réussi à croire en Dieu, donc à comprendre cette notion fort difficile à
comprendre, notemment quand on refuse de travailler de la tête, quand on n’est
plus un véritable intellectuel, ce que la plupart des enfants bien-nés (désirés
et non rejetés) sont naturellement[137].
Pour eux pas d’adolescence, mais dès les premières heures, dès le départ, l’âge
d’adultes parachevés (donc des bouddhas). Certes ils auront chacun une adolescence
(sous une autre forme qu’une de celles faisant régresser et/ou favorisant
l’involution), mais elle sera au sens positif de ce mot et non au sens négatif
de ce mot d'adolescence, dans les aspects mauvais (négatifs) qu’hélas elle revêt, à cause des
répercussions de tous les mensonges de la reine de la nuit au cours des temps,
soit satan (aujourd’hui, depuis 2005, vérifié mort avec l/sa[138]
haine).
-
Nous en sommes finalement débarrassés puisqu’elle a été constatée, donc vérifiée
par le Grand Inspecteur, morte, ne pouvant plus nuire.
-
Sauf que pendant longtemps les croyances de cette entité[139]
ont laissé des traces qui sont à l’origine de nombreux dégâts (par exemple, la
guerre en Syrie ou les actes de terrorisme). C’est pourquoi on peut aussi
comprendre que le bouddha que je suis devenu puisse croire en Dieu, même si je
sais que ceux qui sont devenus athées ou/et LAPIS le sont réellement devenus, à
moins qu’il ne s’agisse de jésuites croyant pouvoir prêcher le faux pour avoir
le vrai, ce que j’ai vérifié n’ai pas une bonne idée, car ils peuvent tomber sur
un bouddha à qui ils font le coup. Il est alors obligé, comme eux, de porter le
masque, ce qui va créer des malentendus (y compris chez tous ceux qui
espionnent), voire à premier-entendu[140]
l’assurance que ces jésuites sont athées, par conséquent des gens au purgatoire,
voire encore en enfer, puisqu’ils affirmeront hors d’une église, à l’occasion de
rencontres avec des inconnus[141],
par exemple que Jésus n’est pas Dieu, voire d’autres bêtises du même ordre[142].
-
Ne pas dire la vérité et préférer dire des mensonges est à l’origine de nombreux
problèmes qui adviennent (c'est ici la cause de la plupart des malheurs et/ou
des souffrances). C’est ainsi que de nombreux enfants qui naturellement
croyaient en Dieu ni ont plus cru, voire par exemple qui ont cru qu’ils
pouvaient avoir le droit de fumer des cigarettes, ce qui va créer une
dépendance, un état de drogué et par conséquent parfois des difficultés supplémentaires
pour croire de nouveau en Dieu.
- Mais pourquoi Dieu a-t-il créé les cigarettes ? Il n’avait pas à le faire!
-
Non, Dieu a trouvé les méthodes pour arrêter de fumer, comme aussi « alcoolique
anonymes » ou/et des lieux pour se sevrer d'autres drogues.
-
C’est que la reine de la nuit, satan, était alors encore vivante et c’est elle
qui aimait fumer, boire et se droguer avec ses semblables (amis). D’autre part,
il ne faut pas oublier qu’au départ fumer était un acte sacré et non profane :
on fumait ensemble le calumet de la Paix. C’était un rituel, un peu comme celui
de la Cérémonie
du Thé au Japon.
-
Aussi si tu es devenu un profane, un laïc, c’est qu’à partir d’un certain moment
tu as cru à des mensonges qui circulaient, voire à des vérités relatives ayant
une petite ou grande partie de fausseté.
-
Oui, il y a de nombreuses approximations de la Vérité qui circulent avec encore
de trop nombreux mensonges[143].
Une certaine forme de parole, d’oralité, même entre meilleurs amis, voire entre
époux est à l’origine de malentendus, voire de certitudes fallacieuses. Par
exemple, il suffit qu’on n’ait pas tous les éléments (c’est-à-dire les
informations) sur un dossier – je veux dire un sujet - pour qu’on soit convaincu
d’une chose qui est, après étude approfondie, fausse, voire vraie dans un SPOK
ou deux, mais pas vrai dans tous les SPOK (situations précises, occasions, cas
particuliers).
-
Oui, je sais, Jean Rouch répétait souvent que c’était la parole (les mots) qui
était à l’origine de la mort : qui avait inveanté[144]
la mort.
-
Il a raison et tort en même temps, mais c’est sans doute qu’il le disait
fatigué, après une journée de travail, voire même en répétant ce qu’il avait
entendu dire à ce sujet par quelqu’un qui l’en avait convaincu. En réalité, cela
ne concerne qu’une certaine forme de parole, que les mots quand ils ne sont pas
employés totalement justement, c’est-à-dire comme ce que la plus véritable
écriture permet en raison de nombreux CARE (corrections, augmentations,
relectures, élaborations). Il ne faut pas oublier qu’elle est à l’origine une invention
qui concerne les dimensions sacrées de l’existence (donc pour aider à vivre la
Vie), qui doit servir la société (et non la desservir).
-
En effet, si on confie une responsabilité à une personne devenue profane, voire
laïque (au sens négatif de ces mots - au SNM), bref à un LAPIS, il y a des probabilités
qu’il n’utilise pas les mots convenablement, c’est-à-dire d’une façon exempte
d’erreur(s). Je ne parle pas de fautes (car ici même une personne ayant accès au
sacré peut faire des erreurs, par exemple en oubliant une règle élémentaire de grammaire),
je parle d’erreurs parce que le profane est souvent celui dont le cerveau est
encore (en partie) dans la nuit[145],
et à cause de cela dans l’oubli ou/et la non-connaissance de certains paramètres
qui ne peuvent être connus qu’une fois qu’on a accès à toute la lumière en soi,
c’est-à-dire quand on devient l’un ou l’autre des adultes parachevés[146],
voire quand on devient homo sapiens
sapiens, c’est-à-dire un synonyme de bouddha[147]
(un éveillé à, parfois, voire souvent, la complexité de la Vérité).
-
Aussi cela veut dire que je ne suis qu’homo
sapiens et non homo sapiens sapiens ?
-
Oui, mais comme chacun des homo sapiens
en chemin pour devenir homo sapiens
sapiens, c’est-à-dire, grâce à l’évolution quotidienne, la progression
personnelle, notemment grâce à certaines recherches personnelles et aux
activités que l’on mène, ce qui va vous faire passer au Paradis, quitter le
purgatoire, puisqu’il n’y a plus d’enfer depuis que la reine de la nuit, allias
satan, (la haine), a été vérifiée par mes soins (et ce fut par hasard, au cours
d’une de mes récréations, à l’occasion d’une promenade digestive[148])
totalement et irrémédiablement morte (cette entité qui n'avait même pas de corps
mais était composé d'un grand masque noir qui représentait le visage de la
haine).
-
L’enfer n’a donc, à l’échelle de la planète, voire de l’Univers, concerné qu’une
sorte de saison, comme le dit Rimbaud ?
-
Ici c’est une autre histoire, mais il est indéniable que l’enfer a concerné une
bonne partie de nous autres : des temps bien précis durant lesquels nous avons
accordé du crédit à - parfois - des menteurs.
-
Ce qui signifie que malhonnêteté, mensonges et méchancetés concernent toujours
l’enfer, tandis que la Vérité, l’honnêteté, la bonté concernent l’accès au
Paradis (dans cette vie elle-même). J’ai vu une affiche dans la rue portant
comme titre « Où est le mal si je fais le bien ? ». J’ai pourtant pensé (en la
lisant et en réfléchissant sur cette phrase) qu’il peut y avoir l’assurance en
toute bonne foi qu’on fait le bien, alors qu’en réalité, si plus justement
analysé, ce bien que l’on a cru faire, dans une autre manière de voir le SPOK,
c'est-à-dire sur un autre plan,
c’est en réalité du mal. Mais heureusement, bien sûr, il y a le Bien en Vérité
(en absolu)
et pour celui-ci évidemment on ne peut pas dire qu’il s’agit du mal. Par exemple
quand on aide des personnes en difficulté, comme le font parfois des prêtres,
voire des bonnes sœurs, mais également de nombreux enseignants (bien qu'il
existera tous ceux qui font semblant dont il convient de se méfier). Ici, on ne peut pas dire qu’on fait le mal en faisant le
bien, de même quand on donne de bons conseils, quand on raisonne justement ou
qu’on fait de merveilleux dessins, voire de belles images par exemple
accompagnées de merveilleux sons.
-
Comme tu vois on revient à la parole, voire aux écrits, à l’art.
-
Ce sont les écrits incomplets qui sont ceux des écrivains au purgatoire car avec
la fin de satan[149],
il n’y a plus d’écrits qui proviennent des enfers. Il s’agit avec ces écrits (si
il y en a) de gens encore fidèles[150]
à cette satan morte, mais en réalité d’écrits ou/et de dires provenant du
purgatoire, des recherches qui hélas sont bien souvent mensongères sur certains
points qui font sourire, voire rire tous ceux qui sont au Paradis : une fois de
plus l’écrivain[151]
a dit quelque chose d’inexacte.
-
Pourquoi ?
-
Souvent parce qu’il a manqué de temps pour se relire par exemple en C. A. R. E.
6[152]
(comme ce texte), qu’il n’a pas assez réfléchi à ce qu’il disait[153],
pas assez corrigé son texte, qu’il a parlé (oralement) de choses impossibles à
dire autrement que par écrit (et encore en ayant de nombreuses fois à se relire
au cours de ce nouveau C. A. R. E.[154]
, à réfléchir et à se corriger en fonction de ces nouveaux paramètres auxquels
il a heureusement pensé parfois en ayant à laisser reposer son texte comme de la
pâte à pizza, avant de la reprendre pour lui ajouter les condiments, lui donner
des saveurs si possible exquises. Oui, il faut avoir appris à écrire en sacré
pour créer à son tour des prototypes de texte) et encore, j’ai pu constater
qu’il faut que cela soit avec l’aide d’un ordinateur, car sinon celui qui essaie
d’écrire n’y arrivera que très difficilement : la vérité c’est trop difficile,
c’est trop complexe, cela a[155]
à voir avec la conscience[156],
par conséquent avec la Statue de la Liberté, mais aussi avec Dieu et celui-ci, (peut-être en exagérant un peu), est
peut-être vaste comme tous les univers, ce qui n’est pas une mince affaire.
-
Tu veux dire vaste comme l’Univers ?
-
Oui si tu veux, on peut faire un singulier de ce pluriel, pour rendre la chose
moins complexe et vertigineuse à ceux qui ont en tête ce que peut représenter
comme vérités cette expression, ce qui est déjà un peu possible avec ce que
donne comme idées/résumés l’ensemble des contenus des encyclopédies et les illustrations.
-
Tous les univers, cela signifie qu’il y a aussi le monde du profane, du laïc, de
l’athée, du sacrilège, du menteur (au sens positif et au sens négatifs de ces
mots)[157]
etc.
-
Oui, en effet, des LAPIS, si avec eux on peut parler de mondes …
-
On le dit, donc ça peut se dire, se comprendre en tant que tels (cela peut
concerner par exemple un LAPIS évoluant, au lieu au contraire d’involuer
(régresser)).
-
Oui et pour eux, logiquement les intolérants sont ceux qui croient en Dieu.
-
Oui, ils croient être logiques avec eux-mêmes[158],
aussi parfois certains d’entre eux ont l’impression de dire la vérité quand ils
affirment que Dieu n’existe pas ou que la Vérité n’existe pas (hélas pour eux,
ils mentent vrai). C’est qu’ils ne
parviennent sincèrement pas à comprendre cette notion, à moins qu’ils fassent
semblant (d'autant plus de l'existence de la vision du très saint Paradis) pour réussir à se faire donner des explications convaincantes.
-
Or du point de vue de ceux qui ont eu accès aux diverses dimensions du sacré[159],
ils mentent car sinon ces personnes ne croiraient pas dans tout ce qui les a
rendu religieux, du moins croyants (ayant la foi).
-
On pourrait dire de ceux-ci qu’ils sont convaincus de mensonges.
-
Du moins du point de vue,
des laïcs, des
athées, des profanes,
des
ignorants, des
sacrilèges (les LAPIS). Oui, tu as
raison car c’est logique et on le sait les fous sont parfois logiques avec
eux-mêmes, c’est-à-dire avec le système dans lequel ils croient qui
malheureusement pour eux les rend dans l’oubli des autres paramètres
antagonistes et/ou complémentaires, constitutifs de la meilleure des recherches
de la Vérité (complexe).
-
Tant qu’il y a respect de la possibilité de croire l’inverse de ce à quoi ces
personnes croient, tout va bien et c’est pourquoi un Etat laïc peut être accepté
par un croyant, parce que celui-ci sait que pour devenir croyant, il y a parfois
un très long chemin de/en L.A.P.I.S. à parcourir, que cela ne se produira
qu’extrêmement rarement du jour au lendemain, sans de nombreux efforts. J’ai
démontré combien ces efforts (même physiques) doivent être nombreux avant de
réussir à se délivrer de son ignorance,
de l’uniquement athée, du
strictement laïc, du (souvent à son
insu) sacrilège et du
profane (bref du LAPIS en soi). Je
l’ai démontré d’abord sur dix ans, de 1967 à 1977, durant mon enfance (c’était
une démonstration pour les enfants) et puis sur vingt-sept années
supplémentaires, de 1977 à 2005, pour les adultes, évidemment sans tricher en
m’imposant de devenir (1 :) laïc, à mon insu parfois même (2 :) sacrilège, en
tout cas (3 :) profane, strictement (4 :) athée et (5 :) ignorant (donc un
LAPIS) au sens négatif de ces cinq appellations et non au bon sens (le sens
positif) de ces mots dans d’autres SPOK[160]
qui comme le mot d’adolescent en ont heureusement du bon dans certaines
occasions, au point que les croyants (toutes religions confondues) doivent
parfois avoir recours à ces états de laïcs, profanes, sacrilèges, ignorants
et/ou athées (LAPIS) et nous l’avons vu avec les jésuites[161]
de menteurs, pour éviter des conflits.
-
En effet, j’ai pu vérifier qu’un laïc, un profane, un sacrilège, un athée, un
ignorant (au sens négatif de ces mots), bref un L. A. P. I. S. est dans
l’univers comme perdu, s’il ne peut pas compter sur des personnes qui ont au
moins un peu de religion et c’est ici que ces dernières sont en difficultés
constantes car ceux qui sont croyants, voire qui appartiennent corps et âmes à
ceux qui ont la foi[162],
sont bien obligées de se défendre, puisqu’ils appartiennent sur ces points au
Paradis, au sens où ils savent que la sphère du divin existe belle et bien en
raison de leurs croyances ayant été vérifiées par leurs soins avant de croire
possible les défendre[163].
Aussi ils ne peuvent pas se comporter en seulement laïcs, athées, profanes,
ignorants, sacrilèges, (en LAPIS) et bien d’autres mots qui complètent ces états[164].
Le fait qu’ils sont devenus croyants au terme d’un parcours individuel des plus
complexes[165]
va devenir un handicap pour ces personnes qui parfois, si elles sont devenues
croyantes dès leur première enfance, dès tout petit – en fait dès qu’elles ont
eu l’âge de raison, voire dès la naissance (pour certaines d’entre elles) se
comportent ensuite en intolérantes[166]
et ne peuvent pas même imaginer comment on est quand on appartient aux
(strictement) laïques, aux (uniquement) athées, aux profanes, aux ignorants et
parfois aux sacrilèges (ces LAPIS) donc au SNPM (au sens négatif et positif de
ces (cinq) derniers mots). C’est alors qu’il y a incompréhension[167]
parce que pour ceux qui ont la foi[168]
il est normal qu’on agisse comme ceux qui sont croyants, donc parfois du point
de vue des LAPIS en intolérants. Or il est normal de ne pas tolérer le mensonge[169],
cependant ceux qui sont à croire cela oublient que la Vérité est extrêmement
complexe[170],
difficile, voire parfois impossible à dire ou/et parfois à écrire. Pourtant nous sommes
rassurés, si l’écriture existe, c’est bien pour faire en sorte qu’on finisse par
comprendre y compris comment elle s’est mise à exister, (comme la parole
véritable), c’est-à-dire le pourquoi du comment, par conséquent avec l’aide de
Dieu, voire mieux que cela, localement à chaque fois du Grand Architecte de l’Univers.
-
Le Grand Architecte de l’Univers ?
-
Oui, cela est dit ici en franc-maçon, car le mot de Dieu est trop souvent
employé par l’une ou l’autre des religions dont, hélas, certains membres sont
devenus intoléreants[171].
Grand Architecte de l’Univers ou/et Grand Horloger (ici en hommage à SEAIESSSL[172]
Fénelon, cela nous confirme que ce Dieu est aussi celui des scientifiques, des
gens de sciences exactes (pour lequel les raisonnements exactes car logiques[173]
sont primordiaux (comptent en premier), comme de belles équations du second degré, ayant délivré[174]
le bon résultat), car on ne peut pas devenir un architecte ou par exemple un
créateur de nouveaux mécanismes de montre sans être devenu un homme (ou une
femme) au service des sciences exactes, soit ce qui est à l’origine de toutes
les améliorations, voire de tous les bien-faits, bref de tous les progrès, ce
qui peut permettre de retrouver la cohérence de son cerveau notemment grâce à
l’acquis de conscience.
-
Et Dieu sait s’il y en a eu (des progrès) !
-
Je ne savais pas que tu savais que Dieu existe pour l’invoquer ainsi. Lorsqu’on
emploie cette expression (et Dieu sait si …), cela signifie qu’on sait que Dieu
existe. Je pensai que tu étais strictement profane, voire seulement laïc (bref
un LAPIS) mais je vois que je me trompais. En effet, depuis longtemps – au moins
depuis Fénelon – on croit (dans tous les milieux pensants) qu’il y a, dans
l’Univers, un Grand Horloger.
-
Mais cela[175]
s’est un peu perdu au profit du mot » Dieu
«, voire de l’expression « Grand Architecte de l’Univers[176] »
ou Immense Architecte de l’Univers (I. A. U.[177]),
ce qui peut en réalité signifier Grande Architecte de l’Univers, donc la même
chose[178]
et ici certains croyants pensent que c’est Marie, la mère de Jésus, qui est l’I.
A. U. .
-
Il faut bien qu’il y ait un créateur, voire une créatrice. Voire les deux ne
faisant qu’Un. Mais pour cela, il faut entrer dans la connaissance des aspects
positifs de la religion chrétienne et oublier l’intolérance dont quelques-uns de
ses membres, au cours des siècles, ont fait preuve sur certains sujets[179],
donc ne pas confondre Jésus (les Evangiles[180]),
Marie sa mère avec l’Eglise qui sont chacune des choses[181]
différentes[182]
d’autant plus qu’elles sont à voir et à comprendre dans des contextes
historiques différents (ayant évolué) tout le long des siècles passés, par
conséquent dans l'histoire de leur évolution[183].
En tant que bouddha[184],
j’ai pu vérifier que les L. A. P. I. S. ne parviennent pas à comprendre de
nombreuses choses qui sont dîtes par certains prêtres[185].
J’ai pu vérifier, quand j’étais un des LAPIS[186]
AMSMENAB[187],
donc que je n’étais pas encore redevenu un des bouddhas, qu’il est, par exemple,
impossible de croire à la (perpétuelle) virginité de la Sainte Vierge. Pourtant,
une fois qu’on a basculé dans le plus véritable sacré[188],
bref qu’on est monté au Ciel[189],
cela ne fait plus de doute : Marie, elle est vierge et est demeurée vierge toute
sa vie[190].
C’est pour cela qu’on ne peut pas en vouloir à ceux qui n’ont pas voulu (pu) croire
que la Vierge Marie est demeurée vierge[191],
même si elle devait avoir couché avec d’autres hommes que Saint-Joseph[192].
Mais j’ai le souvenir que c’est très difficile à comprendre et qu’il m’a fallu
devenir un des bouddhas pour parvenir à le comprendre, par conséquent aussi à
comprendre tous ceux qui ne peuvent parvenir à y/le croire, car de leur point de
vue ce n’est pas possible[193].
Pour ne pas le croire, ils oublient de nombreux paramètres qui sont trop longs à
expliquer, qui ont à voir avec l’enfance de la Vierge (son éducation, à quoi
elle a consacré son temps – bref son monde qui est celui d’une jeune fille de
l’époque en question, élevée[194]
par des personnes probablement très pieuses ou/et religieuses, donc ayant eu
accès aux dimensions sacrées de l’existence, à la foi en Dieu.
[1]
comprise objectivement comme telle.
[2]
Le titre d’une série d’albums de
bandes-dessinées admirables.
[3]
(mais sur ce point il a été trompé durant sa vie
d’être humain par son cerveau qui
progressivement, en régressant (au lieu de
progresser) est devenu celui d’un chien)
[4]
Dans la situation actuelle de tous privés de la
vision du Paradis (encore le cas le 21 novembre
2018, au moment où j’écris ces lignes), c’est le mariage entre un homme
et/avec une femme qui est l’origine de la
construction d’une famille. Le mariage
homosexuel peut être vu comme une étape vers le
plus véritable mariage qui concerne la
complémentarité de deux êtres sexuellement
différents, une femme et un homme (ce qui peut
advenir dès l’enfance entre une petite fille et
un garçon. Il y a certains peuples, comme les
peuples des gens du voyage, les tziganes qui
autorisent le mariage des enfants. Cela trouve
son origine dans des traditions lointaines qu’il
convient de respecter tout en sachant qu’elles
diffèrent des nôtres qui pour être celles-ci ont
tenu compte de nombreux paramètres (liés aux
situations économiques du futur couple ayant à
assumer des coûts, des dépenses qui sont celles
des sédentaires), voire de très nombreuses
réflexions sur l’institution du mariage, en
rejetant cette possibilité de se marier dès
l’enfance, d’autant que dans la plupart des pays
le travail des enfants (pour gagner des RFPMD –
revenus financiers propres et mérités de droit)
est interdit et que il y a l’obligation
d’étudier à l’école (ce qui ne munit pas encore
(c’est peut-être à déplorer) de CFPMD – crédits
financiers propres et mérités de droit). Le
mariage est donc une vérité relative (aux
nombreux arguments qui prêchent en sa faveur)
qui a même donné lieu à l’existence de
sacrements dans la sphère sacrée et publique de
l’existence, mais aussi sur le plan laïc à
toutes sortes de démarches administratives, en
général suivies dans l’intérêt même de la femme
ayant à élever les enfants qu’elle attend, dès
leurs conceptions (voire dès son enfance), comme des
virtualités consubstantielles à son être
féminin. Cette attente d’enfants à naître existe
aussi chez certains garçons dès l’âge de raison
(ce qui peut être chez certains d’entre nous,
dès les deux ans – parfois avant, parfois plutard – cela dépend ici des familles,
c’est-à-dire de l’entourage de l’enfant en
question, voire de la région du monde d’où il
provient – certains enfants entrent à l’école
vers les trois ou quatre ans, d’autres vers les
huit ans, selon les pays). L’homosexualité est
donc un état qui concerne en grande partie
l’adolescence quand dans nos sociétés nous
n’avons pas reçu l’autorisation pour nous marier
dès l’âge de raison (donc parfois dès l’âge de
deux ans), voire plutard, dès l’âge des enfants
(de trois ans à l’âge de la puberté,
c’est-à-dire selon les enfants vers onze à
quinze ans (pour les plus retardés), quand
commence l’âge de l’adolescence. L’homosexualité
n’existerait pas s’il n’y avait pas
l’adolescence qui, en général, est vécue avec
des personnes de même sexe, donc sans rechercher
la complémentarité dans/chez le sexe opposé.
[5]
(parfois une jeune fille et un jeune homme)
[6]
(par exemple, dans le film
Rosemary
baby)
[7]
(devenus en partie)
[8]
Plus facile pour eux si cette vision était
rétablie car ils seraient les premiers à faire
du bien à tous, ce qui arrange les choses
individuellement sur le plan karmique : on
participe alors au bien de tous en bénéficiant
de ce qu’on met en œuvre pour tous. La situation
est alors préférable pour ceux qui ont accès à
la salle des machines et au très grand variateur
(TGV) de la vision d’Ôz
(Atlantide, le Paradis, l’Eden, etc. – des
synonymes). De devenir les responsables du
rétablissement de la vision du Paradis peut
rendre les uns et les autres plus frères qu’ils
ne sont actuellement à l’heure où j’écris ces
lignes.
[9]
Je tiens à souligner qu’il y a dès l’enfance des
esprits d’adultes parachevés pourtant ayant le
corps d’enfant, voire d’adolescents. Cela
n’empêche pas qu’ils soient innocents, voire
dans d’autres SPOK (situations particulières,
occasions, cas précis) qu’ils ne soient plus
innocents.
[10]
(voire croient à des vérités relatives
contestables)
[11]
(parfois dans plusieurs matières, ce qu’il vaut
mieux)
[12]
C’est par exemple un contexte familial comme
celui qui est raconté dans
la
parabole de l’Enfant Prodigue, qui
finalement retourne chez son père pour renouer
avec la vérité, après les temps où il s’était
perdu.
[13]
Ils n’ont pas été mis au courant de la situation
de tous privés de la vision du Paradis, ce qui
contraint chacun à se comporter canoniquement
par rapport à ce très grave problème qui remonte
à la nuit des temps, à une époque où il n’y
avait pas d’armes ni d’écritures pour aider à
résoudre les problèmes, tous ayant eu accès à la
Vérité puisque tous vivaient avec
continuellement autour d’eux le décor du Paradis
(la sublimissimis...simissime beauté) et chacun ayant accès à la
salle des machines où se trouve le T. G. V. (le
très grand variateur) qui permet de voir se
révéler ce décor du Paradis, perdu depuis lors,
mais qu’il m’a été donné de voir de mon vivant cinq secondes
en 1995, quand on m’a fait l'empereur suivant
mon père Jean-Luc Granier de Saint-Gervais sur
Mare et de Paris (ayant été l'empereur après
napoléon premier et a. h.).
[14]
(d’autant qu’ils ont été rejoindre tous ceux qui
ont accès à la salle des machines)
[15]
(qui ne concerne pas les êtres humains qui ont
sous certaines latitudes et longitudes réussi
pour toujours à s’en libérer/affranchir grâce
aux solutions alternatives élégantes)
[16]
(à distinguer de la conscience subjective liée
aux sentiments subjectifs)
[17]
(Situations particulières, occasions, cas précis
(K.))
[18]
Au sens positif et non négatif (de ces mots). Il
ne faut pas oublier l’origine du problème : la
disparition de la vision d’Ôz, du Paradis, de
l’Eden, etc. Aussi à l’époque de la disparition
de la vision du Paradis, voire avant, chacun de
nos ancêtres (les plus éloignés) d’alors étaient
pourvus de cette conscience, mais aussi de cette
inconscience au sens positif de ces mots (ASPM).
[19]
En réalité à l’origine complémentaires.
[20]
Dans ces cas-là (SPOK), la conscience est positive.
[21]
A l’origine.
[22]
(en perdant leur temps dans des orgies ou/et
partouzes qui sont à l’origine des futures
réincarnations malheureuses, tragiques,
honteuses, cauchemardesques quand on a oublié
préservatifs et/ou contraceptifs puisqu’elles
concernent tous ceux qui ont voulu rejoindre
ceux qui ont accès à la salle des machines, par
conséquent qui se sont conduits en excluant tous
ceux qui, par exemple, ne veulent pas participer
à ces bacchanales car ils estiment préférables
de demeurer fidèles d’avance – donc dès leur
respective enfance - à la femme de leur vie,
voire à l’homme de leur vie, (s’il s’agit de
jeunes filles), par conséquent à leurs futures
responsabilités de parents, voire de
grands-parents ayant à élever (et pour cela à se
préparer dès l’enfance grâce à l’Ecole) leur
progéniture dans ce monde privé de la vision du
Paradis qui obéit au canonique – c’est-à-dire
depuis lors à des choses précises, légitimes - qui a été
déclenché dès la disparition de la vision du
Paradis)
[23]
(à petites doses, sobrement)
[24]
(malgré cette situation générale à certains
moments détestable)
[25]
(le mot » dormir « est proche
de » mourir « notemment quand on conjugue le
verbe au présent : je dors, tu dors, il dort,
etc. » Dort « c’est proche du mot de » mort «,
qui est aussi proche du mot de » mot «
lui-même. Pour donner le mot de » mort « , il y
a juste un » r « qui a été introduit après le »
o « , avant le » t «, ce qui donne à penser que
les mots, mal employés peuvent être à l’origine
de la mort, comme aussi du contraire, de la vie,
si mieux employés. Il est à remarquer que
le » d « de » dort « est devenu un » m « dans le
mot de » mort « , ce qui marque la différence :
en effet quand on » dort « on n’est pas » mort
« et c’est pourquoi l’Eglise rappelle que tous
ceux qui sont morts chrétiennement, se sont
endormis dans l’attente de la résurrection. Les
pères de l’Église ayant remarqué que celui qui
dort est à première vue comme un mort)
[26]
(elles n’existaient pas encore)
[27]
Les religions, elles aussi n’existaient pas car
tous se sentaient bien avec la vision
d’Atlantide tout autour d’eux, comme à
l’occasion d’un merveilleux concert ou d’une
bonne nouvelle qui révèle que la beauté, la
bonté, la bienfaisance, bref la Charité, (voire
la compassion) mais
aussi d’autres vertus mènent le monde.
[28]
On ne dissociait pas les choses (ce qui a permis
de mieux les analyser dans un monde privé de la
vision du Paradis).
[29]
Mais pour cela, il faut être pourvu de cette
conscience, voire l’avoir au préalable
retrouvée.
[30]
Car on ne fait pas aux autres ce qu’on ne
voudrait pas avoir à subir soi-même à la place
de celui qui en est victime. Aussi cela signifie
que ces cauchemars ou rêves sont illégitimes car
quand ils font souffrir, ceux qui les fabriquent
n’auraient pas eu envie de les avoir à supporter
eux-mêmes. Quand ils se manifestent ces rêves
ou/et cauchemars sont la preuve qu’ils sont
réalisés par des gens devenus inconscients, qui
cherchent à partager leur absence de logique,
leur irrationalité, leur inconscience au mépris
des droits des êtres humains qui ne souhaitent
pas – c’est normal – être l’objet de ces viols,
voire de ces contraintes puisqu’ils sont
victimes de ces cauchemars ou de ces rêves
qu’ils n’ont pas souhaité ni voulu, par
conséquent qui sont des atteintes à leurs droits
fondamentaux d’êtres humains ayant souhaité –
c’est normal - se reposer, non pour avoir des
rêves ou des cauchemars, mais pour reprendre des
forces pour la journée suivante où ils ont à
faire de nombreuses choses (parfois difficiles,
parfois qui ont exigé de très longues formations
donc des investissements financiers relativement
importants) avec l’aide de leur respective
conscience et cela dans/avec l’optique de bien
faire, ce qui n’est possible que quand on n’est
plus fatigué. Certains rêves ou/et cauchemars
sont à l’origine de fatigues puisqu’il y a la
nécessité de les analyser pour déterminer la
part mensongère de ceux-ci, voire la part à
première vue agréable qui parce qu’elle est
agréable (sans la vision du Paradis) est d’avance suspecte de même que quand
les cauchemars sont à l’origine de souffrances.
[31]
(une histoire d’amour véritable avec une
personne en particulier avec laquelle ils
espèrent construire de grandes choses, voire
participer de leurs mieux à l’aventure de cette
Création même privée de la vision du Paradis, en
raison du nombre d’alternatives de solutions
élégantes de réflexions qu’offrent de nos jours
la plupart des catégories)
[32]
(une des caractéristiques de ces rêves, c'est
qu'ils apprennent parfois à avoir de mauvaises
pensées, voire sont des pensées négatives du
point-de-vue des plus positives qui auraient
préférablement pu exister)
[33]
(vers lequel donnait la fenêtre de la chambre où
j’étais à l’hôpital San Giacomo à Rome)
[34]
(la condition nécessaire pour pouvoir devenir
cet empereur, car avec la fonction impériale, il
s’est toujours agi de personnes devenues
amnésiques et en grande partie inconscientes)
[35]
Cela signifie qu’ils ont dû devenir semblables à
ceux qui depuis des millénaires ont hérité de
cette salle des machines, c’est-à-dire qui ont
muté, changé de nature puisqu’ils s’en servent
pour persécuter ceux qui ne sont pas devenus
comme eux, par conséquent intolérants et
inconscients de la grande variété (différence)
qu’il y a entre chacun des êtres humains n’ayant
pas eu accès à la salle des machines. Aussi on
peut dire, sans se tromper, que ces personnes
qui ont accès à la salle des machines se sont
uniformisées, n’ont pas d’originalité (l’ont
perdu) et obéissent à des principes, voire à des
certitudes qu’ils auraient mieux fait de
remettre en cause en faisant l’anti-thèse de ce
que leurs donateurs (ayant eux-mêmes à leur tour
hérité de cette salle des machines) ont cru. Il
s’agit donc de personnes toutes convaincues des
mêmes choses du moment que l’un d’entre eux les
croit à première vue/entendu sans avoir
travaillé de la tête pour en analyser le
bien-fondé. En ne mettant pas en doute
ce qui est avancé, elles ne peuvent pas
bénéficier des réponses fécondes dont le doute
ou/et l’anti-thèse sont les auteurs.
[36]
(d’ex-Atlantide, le Paradis, l’Eden, Cythère,
Schtroumpf, des synonymes)
[37]
(comme celle, par exemple, qui est décrite dans
Métropolis de SEAIESSS L. Fritz Lang)
[38]
(sans plus me soucier de la Vérité et des droits
des êtres humains)
[39]
(ce qui m’avait trop fait souffrir)
[40]
Elle existe dans la sculpture égyptienne reliée
au hara (centre situé dans le ventre d’où
provient l’énergie vitale), donc au sens
oriental du terme : les vêtements
partent de ce centre d’où les plis se forment et
cela représente une sorte de pyramide (que
chacun d’entre nous avons à transporter durant
tous nos déplacements, en fait continuellement).
[41]
(par conséquent avec de fortes probabilités
qu’il y ait comme dans
Star
Treck d’autres formes de vie dans l’Univers)
[42]
On parle en années-lumière de ces distances qui
existent aussi métaphoriquement entre les
êtres-humains provenant de milieux différents,
voire ayant été élevés différemment ou/et étant
devenus adultes selon des développements
originaux divers (rares sont ceux devenus
adultes parachevés (bouddhas), voire descendants
d’êtres humains ayant eu de grandes
responsabilités, ce qui les rend dès la prime
enfance beaucoup plus conscients qu’un grand
nombre de leurs congénères).
[43]
(aux nombres de fautes (erreurs), mensonges
ou/et péchés qu’ils ont commis)
[44]
(on parle d’inconscience, car c’est la conscience
qui a été perdue. Cela a toujours eu une cause,
c’est-à-dire un point de départ, un moment
donné. Donc il y a un avant et un après (ce que
j’ai eu à démontrer étant le cobaye de
moi-même). C’est ici qu’une bonne psychanalyse,
voire pour les plus scolarisés une bonne
auto-psychanalyse se révèlera, si impitoyable
avec soi-même, comme le moyen de retrouver ce
moment, parfois situé dans la prime enfance,
où/au cours duquel on a perdu cette conscience -
on s'est laissé avoir par l'inconscience.
Alors on retrouve aussi les raisons, voire avec
la mémoire, la possibilité de retrouver cette
conscience. C’est donc aussi une partie de sa
propre mémoire qu’on a perdu en perdant sa
conscience et avec (cette perte),
malheureusement, parfois et même souvent la
perte de la vérité, par conséquent le
meilleur jugement objectif sur chaque point)
[45]
(qui, en général, n’est pas au courant de
l’existence de la salle des machines et de ce
dont ces différentes machines sont capables –
c’est en raison de cela qu’il convient d’être
non-violent quand on appartient à ceux qui ont
toujours accès à leur conscience, mais qui n’ont
pas accès à la salle des machines, dont ils font
partie à leur insu là où ils se trouvent, mais
sans savoir à quoi elle ressemble (comment elle
marche), car il s’agit
probablement d’une autre dimension qui
concernent tous ceux qui ont en commun la
faculté de (se) mentir, voire avec cela,
l’inconscience en commun – mais une inconscience
ASNDCM – au sens négatif de ce mot)
[46]
(je sais : l’être humain est aussi un animal,
sauf qu’il est – quand il est pleinement réussi
– un animal capable d’innover, de trouver des
solutions (alternatives) élégantes à mettre en œuvre. Il est
donc » un animal pensant «, ce qui est différent
des autres animaux qui ont chacun d’entre eux,
une fois observés, des points positifs et des
points négatifs puisqu’ils sont soumis comme
l’être humain à la possibilité de faire du bien
ou à celle de faire du mal, ce qui comptera pour
la réincarnation suivante qui doit être – il
vaut mieux - une nouvelle étape vers une
réincarnation dans l’espèce des êtres humains,
ou alors, si on a continué à pécher, à
rechercher les erreurs et/ou d’autres fautes, si
on a continué à se mentir en une réincarnation
de moins en moins humaine, donc, hélas, de plus
en plus inhumaine, par conséquent animale
AMSMENAB (au mauvais sens de ce mot et non au
bon). Personnellement, je crois d’une manière
objective (ce n’est pas subjectif, je l’ai
déduit grâce à l’observation, une fois ma
conscience revenue (cela permet de le constater
de visu,
objectivement – par des raisonnements logiques
qui fonctionnent de nouveau dans le cerveau de
l’adulte parachevé qu’on est (re)devenu) que
chacun des animaux obtient après sa mort une
autre réincarnation, soit pire, soit meilleure,
ce qui signifie que chacun des animaux est,
comme l’être humain, une âme en chemin vers le
bien ou alors le mal, s’il se trompe ou/et s’il
cherche à devenir encore plus inconscient. Je
rappelle ici qu’il n’est que peu resté de
l’époque des dinosaures et que l’ensemble des
tyrannosaures sont à cette heure-ci morts. Ils
étaient probablement ce qui était le pire comme
réincarnations monstrueuses, c’est-à-dire
obtenues après d’innombrables péchés dans les
réincarnations précédentes, dont celle de
requin. Pourtant ils sont tous morts, ce qui
signifie qu’il n’y a pas de possibilité de faire
pire qu’eux puisqu’ils s’attaquaient aux
dinosaures pacifiques et inoffensifs qui se sont
réincarnés en l’un ou l’autre des animaux
herbivores ou/et végétariens de nos époques,
puisqu’ils ne faisaient que le bien en étant ces
dinosaures végétariens ou/et herbivores. Hélas
les tyrannosaures, à moins de se comporter
gentiment (donc de faire le bien), bref de
renoncer à se montrer voraces, n’ont
vraisemblablement pas pu obtenir une
réincarnation pire que la leur, à moins que
celle-ci soit sur une autre planète d’un autre
système solaire, voire d’une autre galaxie ou/et
d’un autre univers. Qui sait ?, à moins que la
réincarnation plus terrible encore (voire plus
tragique, malheureuse, honteuse, et à l’origine
de tous les cauchemars des autres animaux)
advenait dans la mer et non plus digne d’avoir
lieu sur terre.
[47]
En effet, chemin faisant, on aime bien être
informé, prévenu à l’avance des dangers, bref
prendre/rouler sur des routes bien entretenues,
c’est moins dangereux.
[48]
Durant mon voyage au Mexique pour tourner mon
premier essai de film en Super 8,
Le
Mexique des Campesinos, nous avons dû louer
une voiture (une coccinelle) et je conduisais de
nuit sur une route qui soudain (sans même un
panneau pour me prévenir de cela) s’est arrêtée.
Comme je n’ai plus vu la route, j’ai eu l’idée
de freiner et de m’arrêter aussi, ce qui
heureusement (de l’importance de disposer de
phares puissants) se produisit à une bonne
distance du lieu où la route s’était écroulée.
Heureusement je ne conduisais pas trop vite et
faisais attention. Mais si je ne m’étais pas
arrêté pour descendre
du véhicule et aller rechercher la route que je
ne voyais plus malgré les phares de la
coccinelle, nous serions allés droit dans le
ravin qui s’était formé à la place de la route.
Mes passagers dormaient et se sont réveillés une
fois que j’étais arrêté et que j’étais descendu
pour vérifier où pouvait être la route. J’ai
ensuite fait demi-tour et j’ai consulté la carte
pour arriver au lieu prévu par un détour
possible indiqué. Aussi j’ai supposé que cette
route qui s’était tout juste effondrée, voire
l’avait été depuis peu de temps (quelques
minutes ou/et heures tout au plus) puisque cela
n’était pas signalé. Il convient donc de rouler
en faisant toujours attention et si on ne voit
plus le chemin, s’arrêter aussitôt pour tenter
de le retrouver (voire revenir en arrière:).
Arrivés au premier des villages, j’ai cherché la
police pour les prévenir de ce qu’il n’y avait
plus de route de là où je venais de manière à ce qu’ils fassent le
nécessaire pour fermer/barrer la route qui
menait à ce danger, en
attendant que les travaux soient faits pour de
nouveau pouvoir la pratiquer sans risque(s).
[49]
(c’est-à-dire avec l’aide de leur respective
conscience)
[50]
(voire avec idem pour sa conscience)
[51]
(ce qui m’avait été conseillé lors de mon
apparition dans le ciel advenue vingt-sept
années avant qu’elle n’ait de nouveau lieu dans
la réalité, car de mon point de vue d’alors en
1977, il m’était évidemment impossible d’aimer
une jeune fille qui voulait prendre la place de
la fiancée du moment de laquelle, j’étais sûr,
en raison de l’anneau immaculé qui s’était déjà
alors manifesté autour de mon doigt annulaire
des hommes mariés, que j’attendais des enfants).
[52]
(évidemment quand on m’a redonné la mémoire de
ce fait, ma première réaction a été d’en vouloir
à ma fiancée du moment, Michèle Finck)
[53]
(faune à l’âge des enfants, parce qu’on a oublié
que son sexe appartient à la mère des enfants
qu’on attend, qui sont de l’ordre du virtuel
pour chacun d’entre nous)
[54]
(on est alors capable de faire des simulacres :
on fait l’amour sans penser aux conséquences de
cet acte autrefois sacré (cela existe toujours
pour certains d’entre nous, voire chez certains
insectes comme les cafards). On exige des moyens
contraceptifs parce qu’on ne veut pas fonder une
famille avec la personne avec laquelle on fait
l’amour. En cela on dévoile qu’on n’est pas
prêts à prendre la responsabilité d’élever une
famille, fruit de sa propre semeance (ici,
panaché avec mean en anglais). Aussi cela
signifie qu’on n’est pas encore mûr, pas encore
devenu un des adultes parachevés, donc qu’on
appartient aux gens encore inconscients ou/et
pas suffisemment conscients)
[55]
C’est une des causes du nombres d’inconscients
qui se fréquentent entre eux, entretenant(s) cette
inconscience à l’origine d’un grand nombre de
dégâts et/, de malheurs.
[56]
(y compris de ce genre de rapports sexuels sans
amour véritable, c’est-à-dire avec la perte de
la responsabilité, puisque ce qui a été
recherché n’était que la satisfaction égoïste et
non le réel bonheur du conjoint grâce à la
construction à deux d’une famille)
[57]
Synonyme de bouddha, d’éveillé, d’illuminé (en
général par l’Amour).
[58]
(par exemple quand on ne savait pas encore
parler)
[59]
Au sens d’être élevé, de s’élever.
[60]
Dès qu’on devient un éveillé, un illuminé grâce
à la métamorphose qui s’est opérée en raison
d’Amour enfin véritablement éprouvé mutuellement
pour sa complémentarité retrouvée, (on redevient
si cohérence de nouveau retrouvée - ce qui
s'obtient après de nombreuses années durant
lesquelles on s'est nourri en
[61] (pour essayer de les soulager avec d’autres médicaments, sans retirer la cause médicamenteuse de leur ordonnance : le médicament qui est à l’origine de la souffrance de ces patients)
[62]
(c’est-à-dire dès la première prise, grâce à un
calendrier à géométrie variable qui va de
quelques jours (pour les sevrages les plus
rapides) à une année au grand maximum (pour les
sevrages les plus longs, quand six mois
représente déjà un très très long sevrage)
[63]
(qui eux ne font pas semblant de souffrir des
effets secondaires de ces pseudos médicaments)
[64]
Au sens d’entièrement.
[65]
(donc en sachant les risques qu’ils prennent
comme en n’oubliant jamais qu’ils courent le
danger d’obtenir l’une ou l’autre des
réincarnations animales en proportion des dégâts
ou/et des souffrances causées par ces
médicaments qu’ils ont à tort prescrits)
[66]
(et si possible ce sevrage le plus rapidement
possible car l’introduction de substances
chimiques n’est que très rarement totalement bon,
à cause des effets secondaires qu’il convient
d’éviter comme les dégâts au cerveau – c’est
pour cela qu’il vaut toujours mieux à ces
médicaments psychiatriques (par exemple les
neuroleptiques) se soigner par la psychanalyse,
voire l’auto-psychanalyse qui peut être aussi une
auto-psychanalyse vidéo ou/et enregistrée en
audio, voire écrite à laquelle on se réfèrera,
voire qui deviendra un outil de travail pour
rétablir petit à petit sa mémoire et les
fonctions de son cerveau – si par exemple on est
de ceux qui ont perdu (momentanément) leur conscience)
[67]
(or, aux temps durant lequel/où on voyait le
Paradis autour de nous tous, aux premiers temps
(nos ancêtres éloignés d’au moins deux millions
d’années), en l’absence d’armes (qui n’avaient
pas encore été inventées), personne ne songeait
à chasser : les animaux voraces (dont il a fallu
se défendre) n’existaient pas encore là où
vivaient ces ancêtres (probablement là où
aujourd’hui c’est le désert du Sahara qui était
alors rempli d’arbres fruitiers, car cette
région de la Terre comportait un climat
continuellement chaud (ne contraignant pas à se
vêtir), voire à l'époque de ce grand jardin
naturel, à la bonne température)– les armes ont été
inventées pour se défendre de ces animaux
voraces qui ont fait leur apparition à partir
d'un SPOK précis dans des localités précises.
Les armes n'ont pas été conçues pour offenser)
[68]
(qui avaient un autre aspect que le nôtre
actuellement – il y a eu l’Evolution entre
temps)
[69]
(en raison de son immensissime beauté – et c’est
encore trop peu dire tant cette beauté est
réellement très
belle)
[70]
Pourtant ceux qui étaient fatigués de vivre
pouvaient momentanément mourir car ces machines
permettent de rendre quelqu’un à première vue
mort. Ce « mort » disparaissait momentanément,
voire se reposait ainsi jusqu’à ce qu’on le
ressuscite. Cependant tous étaient au courant de
cette possibilité (et n’étaient pas dupe) et non
pas seulement quelques-uns, ce qui en advenant
dès que la scission (la division) s’est opérée
(celle de ceux qui sont devenus les héritiers de
la salle des machines scindés de ceux qui,
progressivement n’ont plus jamais entendu parler
de ces machines) les a rendu faux et menteurs,
par conséquent à l’origine de leurs futures
réincarnations malheureusissimis...simissimes, tragiquissimis...simissimes, cauchemardesquissimis...simissimes,
tristissimis...simissimes, etc. en l’un ou
l’autre des animaux prédateurs. En effet, ces
machines permettent aussi de voir sans être vu,
par conséquent de considérer quelqu’un une
proie, si cette personne n’est pas au courant de
l’existence de ces machines. Aussi tous ceux qui
les utilisent à l’insu de cette personne n’en
sachant rien (ou trop peu) violent/profanent les
droits de cette personne à sa vie privée (un
droit sacré), aussi ceux qui l’ont observé à
l’insu sont dans le péché, tandis que celui qui
a fait l’objet de ces observations à l’insu est
la victime de la situation, par conséquent gagne
des points dans/pour son innocence (sa
sainteté : il a en effet supporté une chose
intolérable) et son état de victime, ce qui est
de loin un état préférable à celui de bourreau,
voire de voyeurs car après la mort on obtiendra
une meilleure situation que celle des voyeurs à
l’insu qui obtiennent des réincarnations
malheureusissimis...simissimes, tragiquissimis...simissimes, cauchemardesquissimis...simissimes,
tristissimis...simissimes, désastreusissimis...simissimes
et etc. car il s’agira d’animaux dépourvus de grande
intelligence, ce que par contre les non-violents
ont à revendre, puisqu’ils refusent même (bien
qu’ils en auraient le droit pour certains) de se
venger physiquement d’avoir été ainsi observés
(allant jusqu'à prétendre que cela était à
leur insu), voire ont été l’objet d’injustices.
[71]
(celui de l’accès à la salle des machines en
excluant tous ceux qui avaient acquis leur
conscience, soit ceux qui en l’absence de vision
du Paradis sont aussi devenus capables
d’interdire des choses, parce qu’ils en savent en
vérité les raisons dans l’Intérêt Général et
pour le Bien Général et cela peut se produire
entre un père et son fils ou entre une mère et
sa fille. Le père ou la mère, en raison qu’ils
sont plus âgés, voire qu’ils ont plus
d’expériences, disposent de nombreux paramètres
en plus auxquels ne pensent leur fils ou/et leur
fille. C’est ainsi que des interdictions sont
recommandées avec l’espoir d’obtenir si possible
l’obéissance des enfants qui doivent cependant
réussir à comprendre pourquoi ils sont l’objet
de cette interdiction, donc doivent rechercher
les arguments qui sont ceux qui fondent cette
interdiction à suivre)
[72]
C’était celle de la reine de la nuit qui l’a
trompé en lui faisant croire à quantité de
mensonges.
[73]
(Soudain la disparition du plus
qu’admirabilissimis...simissime (infiniment
admirable) décor, soudain cette
disparition par quelques-uns sur les autres qui
interdisaient (violemment) l’accès aux
instruments de la salle des machines qui avait
été jusque-là un bien commun, par conséquent
utilisée d’une façon possible, puisque cela
n’avait jamais été à l’insu des autres)
[74]
(qui ne permettait plus de voir la vision sacrée
et admirabilissimis...simissime du Paradis)
[75]
(Elle avait par exemple probablement oublié qu’à
partir du moment où elle a eu accès à la salle
des machines, les migrations ont dans le passé
commencé puisqu’en raison des péchés commis
depuis la salle des machines, petit à petit le
désert du Sahara s’est formé au-dessus de la
zone équatoriale (où le climat – au sens de
météo – était le meilleur pour vivre toute
l’année). C’était la région dans laquelle les
êtres humains vivaient, l’unique qui était alors
peuplée des ancêtres communs de toute
l’humanité, le berceau de l’humanité, avant la
nécessité (en raison de la sécheresse) qu’ils
eurent d’émigrer (soit vers le Sud, soit vers le
nord), puisqu’en raison des péchés (des erreurs
et des fautes et des mensonges) le processus de
désertification avait commencé)
[76]
Pourtant elle était dans la connaissance de ce
qu’existe la vision d’Ôz ou/et d’Atlantide (du
Paradis). Cette haine est donc une
incompréhensible maladie puisqu’elle savait que
la beauté, la bonté et la bienfaisance (la
Charité) sont à l’origine même de la Création
(en raison du décor qui se révèle partout quand
on fait marcher le très grand variateur (TGV) de
la vision d’Atlantide (d’Ôz, du Paradis) qui est
relié à la vue de chacun d’entre nous.
[77]
(qui est un phénomène, voire un processus qui
est apparu à partir d’une date précise, d’un
moment dans la Création)
[78]
(dont cette haine noire (envers chacun, la
Création, Dieu) qui est
morte elle aussi)
[79]
Elle existe de la part des peuples végétariens
vis-à-vis des peuples omnivores. Ils ne les
obligent pas à se nourrir de façon végétarienne
(c’est ici laissé à l’appréciation de chacun,
donc lié à l’évolution personnelle de chacun qui
doit réussir à comprendre pourquoi être/devenir
végétarien, voire uniquement fructivore (et où
mangeur de pâtes et pâtisseries faites
avec la farine de l’arbre à pain (le châtaigner),
rend plus cohérent, permet de renouer avec
l’origine même des temps où nous étions tous au
Paradis, à Ôz)
[80]
(mais j’ai vérifié qu’ils n’en ont plus
conscience, parce qu’ils manquent de cette
conscience, sont devenus en partie, voire
totalement des inconscients, par conséquent des
éloignés de la Vérité ou/et de la conscience qui
est, entre autre, en rapport constant avec les
paramètres constitutifs de la mémoire :
conscience sans mémoire peut être à l’origine de
nombreuses erreurs)
[81]
(en utilisant des médicaments dont ils ne
connaissent pas les effets secondaires, parce
qu’ils ne les ont pas testé sur eux-mêmes, ce
qu’ils auraient dû, avant de s’autoriser à les
prescrire – en sachant que ces médicaments
peuvent aussi avoir d’autres effets sur d’autres
patients qu’eux-mêmes. Ils peuvent, par exemple,
ne pas les faire souffrir, tandis qu’administrés
à une autre personne, être à l’origine de
nombreuses souffrances. Par conséquent que les
effets secondaires qu’ils ont ressentis sont des
effets relatifs qui peuvent être d’une autre
nature dans d’autres SPOK – situation
particulière, occasions, cas précis)
[82]
(puisqu’ils s’ingénient à obtenir la demande
d’un tiers pour vous infliger cette
hospitalisation sous la contrainte pour que vous
ne disposiez plus de vos droits à refuser une
médication, ce qui peut être le cas quand vous
avez consentis de vous-mêmes à subir une
hospitalisation, donc que vous appartenez encore
aux patients libres de refuser, à partir d’un
certain moment, la médication en question, si
vous la trouvez inadéquate, martyrisante, voir
libre de commencer et/ou poursuivre un sevrage
de ces « médicaments » - en réalité qui rendent
artificiellement malade)
[83]
(en décidant de cela d’une manière arbitraire,
sans avoir jamais songé à essayer sur eux-mêmes
le médicament en question (en se fiant à des
lectures à ce sujet qui proviennent des écrits
de soi-disant chercheurs en médicaments qui eux
aussi n’ont pas testé sur eux-mêmes ces
médicaments, par conséquent ne savent pas
combien après leur ingestion la souffrance est
grande pour celui à qui on recommandera la prise
de ce médicament – mais ici nous savons d’avance
que ces personnes les ayant prescrit (comme ceux
qui les ont créé) obtiendront des réincarnations
malheureuses, honteuses, cauchemardesques,
tragiques (ainsi que leurs complices) car il est
certain qu’ils n’avaient pas le droit non plus
de réaliser de tels médicaments, à moins qu’il
s’agit des médicaments qui permettent d’obtenir
en peu de temps (dans les trois à six mois) la guérison du patient (ce qui
est un autre sujet car nous parlons ici de
certains médicaments neuroleptiques qui
provoquent des effets secondaires à l’origine de
si grandes souffrances / martyrs / tortures - Or
torturer a été interdit car on devient alors
bourreau, ce qui est promis à des réincarnations
tragiques, etc.). La guérison ne doit pas
signifier l’abrutissement du patient,
l’incapacité de celui-ci à se défendre par la
parole et l’écriture, à cause de cette
souffrance martyrisante, traumatisante,
torturante liée à la prise de ce médicament
« principal ». La guérison, cela doit signifier
le retour du patient à son âme d’origine, à la
conscience, aux moments dans sa vie durant
lesquels il ne souffrait d’aucun trouble (comme
durant son enfance (si bien né), c’est-à-dire
quand son innocence était véritablement utile à
l’Ensemble, souvent même en tant qu’une œuvre
d’art parmi les autres œuvres d’art (d’autres
êtres humains sains de corps et d’esprit) que
sont chacun de ceux qui n’ont jamais eu accès à
la salle des machines, c’est-à-dire à des façons
de faire qui sont à l’origine de tous les actes
d’inconscients, par conséquent de personnes
privées ou/et éloignées de la Vérité, devenues
capables de mentir, de cachoteries, ou de
profiter – au sens négatif de ce mot (au SNM) - de
leur pouvoir (médical)) et découvert les
différentes souffrances liées aux effets
secondaires de ces pseudos médicaments, en
s’étant contentés trop rapidement de lectures à
propos de ces médecines, textes ou/et notices
que nous avons vérifié certains psychiatres ne
consultent même pas ou rarement, ces papiers
pourtant avertissant(s) des effets secondaires
en question y compris les plus dangereux
(handicapants) dont ils n’ont cure (par manque
de cœur et/ou par incapacité à se mettre dans la
peau de celui qu’ils ont déclaré malade sans
avoir cherché à connaître les causes,
c’est-à-dire l’origine de ce qu’ils appellent
maladie (comme je l’ai démontré ces causes
peuvent être trouvées grâce à la psychanalyse,
voire si on est de ceux qui ont fait des études
au moins jusqu'au baccalauréat - voire dans
certains SPOK avant,
par l’auto-psychanalyse) alors que parfois c’est
le contraire qui se produit : à force de
travailler la personne s’est métamorphosée en
l’un ou l’autre des bouddhas – éveillés,
illuminés – par conséquent est en bonne voie de
guérison puisqu’il est normal d’avoir de nouveau
accès à une intelligence lumineuse de bonne foi
et qu’il est anormal d’utiliser la mauvaise foi,
voire de considérer chacun de ceux qui n’ont pas
accès à la salle des machines comme malade,
handicapé. En
effet, chacun de nous est né dans une sorte de
salle des machines, à l’hôpital, mais pour avoir
à le quitter bien vite en rejoignant le domicile
de ses parents, celui-ci n’étant pas une salle
des machines (bien que parfois il y en ait
autour de lui avec les appareils électro-ménagers et le téléphone). Aussi nous
naissons innocents dans des contextes
sociaux-professionnels différents, celui de nos
parents. Nous ne sommes pas nés pour devenir des
espions (on le sait il y a un sens négatif à la
curiosité mal placée, bien que par ailleurs la
curiosité soit une chose positive quand on a
recours à elle pour comprendre et trouver/chercher la
vérité), voire pour être animés par une/la
mauvaise curiosité de voyeurs, par conséquent
nous ne sommes pas nés pour faire le mal, mais
chacun de nous pour continuer à faire le bien,
puisque la réincarnation précédente, si elle
n’est pas de celle des bouddhas – être éveillés
– était celle de l’un ou l’autre des animaux
végétariens herbivores (des animaux utiles pour
tondre les pelouses, voire les clairières),
l’étape obligatoire avant de naître dans la
condition de l’espèce humaine au terme d’un très
long parcours qui parfois a commencé en tant que
fourmis, voire comme l’un des animaux prédateurs
qui a renoncé à le demeurer et qui a choisi de
bien faire – c’est ainsi que de nombreux chiens
ou/et chats qui se comportent bien obtiennent
des réincarnations meilleures en devenant brebis
ou veaux, etc. – les dents canines dont nous
disposons tous dans l’espèce humaine sont un
rappel/souvenir de notre réincarnation en chien,
voire plus néfaste encore : loup, lion,
crocodile, requin), ou dont ils se servent pour
créer artificiellement un handicapé de plus
qu’ils prétendront soulager des infernales
douleurs en question en leur proposant d’autres
médicaments, appelés « correcteurs » dont ici
aussi, comme ailleurs, ils n’auront pas eu le
courage de vérifier sur eux-mêmes les effets
secondaires et les douleurs, ces effets
secondaires dont ces autres/nouvelles médecines
sont à l’origine)
[84]
(ils auraient été en cela médecins ou chercheurs
en solutions élégantes médicales)
[85]
(vous dites aimer les animaux pacifiques et
inoffensifs et au lieu de les protéger vous
acceptez qu’on les tue, donc qu’on les fasse
souffrir pour que vous les mangiez – c’est ici
même l’origine du mal et une autre des causes de
la disparition de la vision du Paradis)
[86]
(ils ne vous diront jamais la cause : que c’est
parce que vous êtes privé, comme les autres et
eux-mêmes aussi, de la vision du Paradis (Ôz,
etc.), donc d’amour avec un grand A, tant c’est
cette beauté absolue qui indique qu’à l’origine
de la Création la beauté, la bonté, et la
bienfaisance (la Charité) et d’autres vertus du
Créateur et/ou de la Créatrice – ce qui peut
être de l’Ensemble (à travers eux) - étaient à
l’origine de ces plus que merveilles)
[87]
(à distance de ceux qui sont les victimes de ces
rêves)
[88]
Très Grand Variateur. Son usage qui a fait
disparaître la vision d’Ôz (du Paradis) est de
la même nature que tirer l’alarme dans un train
pour arrêter le train d’urgence. En faisant
disparaître la vision du Paradis, ceux qui ont
accès à la salle des machines ont tiré un signal
d’alarme qui a dû s’entendre dans l’Univers
ou/et dans l’une ou l’autre des galaxies, ce qui
a certainement eu des conséquences au point
probablement d’avoir contraint à des
interventions extra-terrestres provenant de
planètes plus évoluées que celle de la Terre.
[89]
(parce qu’ils ont de cette manière involué en
malhonnêtes)
[90]
(si cela s’est produit durant leur enfance)
[91]
Nous rappelons que le Christ a connu
l’illumination (devant l’un ou l’autre de ses
disciples) en allant avec eux se promener sur
une petite montagne (au point de parler avec des
prophètes qui se sont alors manifestés dans
l’invisible - et de vouloir dresser des tentes
pour les accueillir plus longtemps).
[92]
(l’éveil, l’accès à la lumière de la conscience)
[93]
(en raison de l’ombre et la lumière ces teintes
uniformes sont en réalité sujettes au dégradés,
au
sfumato comme dirait Léonard de Vinci à la
Renaissance, époque où on en fait la
(re)découverte)
[94]
(Christine, Floreance, Michèle Granier
d’ex-Atlantide Lang Loewy Finck d’Ôz,
le Paradis, l’Eden, Schtroumpf, Cythère, etc. :
des synonymes)
[95]
(en raison, entre autres, de la loi des
conséquences : je n’avais eu qu’à remonter le
Temps qui nous soumet tous à la loi des
conséquences, par conséquent me trouvant au même
moment dans plusieurs époques différentes, ce
qui a permis ces communications si extraordinaires
et miraculeuses)
[96]
(à l’occasion de mon mariage : la présence de
cet anneau immaculé, non de matière mais de
lumière, à mon doigt annulaire des hommes
véritablement mariés)
[97]
(comme remède pour la fin de la guerre froide –
ce n’est pas déraisonnable parce qu’avec les
moyens contemporains de transport toutes les
durées de transport sont raccourcies par rapport
aux époques où elles étaient parcourues avec les
moyens traditionnels de transport de ces époques
(chevaux, charrettes à ânes, bâteaux à voile(s),
etc.) passées qui rendaient la durée de ces distances
fort longues (mais moins longues qu'à pied - aussi on pouvait alors parler
plus facilement de
pays différents les uns des autres) – quand je
suis intervenu à travers Espace et Temps en 1967
(depuis les années 2005), j’ai fait entre autres
réaliser l’avion Concorde qui mettait New York à
moins de trois heures de Paris ! J’ai fait aussi
réaliser le réseau des Trains à Grande Vitesse
(les TGV et autres ICE), ce qui a rendu des
villes importantes (voire des mégalopoles)
proches les unes des autres, presque comme en avion. La
Construction Européenne, l’Union Européenne, est
donc une nécessité parce que toutes les
métropoles des nations ne sont plus que des
régions devenues proches les unes des autres, au
point de rendre la planète entière une sorte de
gigantesque ville (on parle même à son sujet
d’un village), certes heureusement encore
constituée d’espace verts importants (pour
l’Agriculture et l’industrie du bois ne trouvant
pas encore de solutions alternatives élégantes
avec d’autres matériaux). Ces régions peuvent
continuer à être considérées des Etats pour
former à l’ONU, renommé ORU (Organisation des rRégions Unies), une confédération d’Etats ou/et
de rRégions dont la plupart sont aisément
accessibles par ces moyens de transports
contemporains, voire dans l’avenir avec les AGV,
les avions à grande vitesse (comme le Concorde
et ses variantes)).
[98]
(entre autre le réseau Internet et pour
l’utiliser les ordinateurs)
[99]
(d’autant qu’il y a à force de bien faire –
parfois en utilisant la méthode Coué pour se
forcer à faire l’ange pour le devenir (et éviter
ainsi de devenir (la) bête – il vaut mieux) -
cette métamorphose possible pour devenir en fin
de compte(s) un des bouddhas)
[100]
(sans s’en rendre compte, car il/on est alors
inconscient)
[101]
(L. A. P. I. S.)
[102]
(Quand on a accès à la conscience, on comprend
alors jusqu’aux raisons des rituels et des
cérémonies religieuses)
[103]
L’innocence mêlée à de l’inconscience (ASNM – au
sens négatif de ce mot) devient problématique.
[104]
(ABSDCMENASN : au bon sens de ce mot et non au
sens négatif)
[105]
(par conséquent avec les arts et des cultures
différentes parce que il y a eu les distances
que les migrations ont créées)
[106]
(par exemple les mots eux-mêmes, bien employés,
sont souvent des solutions élégantes comme dans
les meilleurs raisonnements mathématiques,
obéissants localement à une logique très précise
due quelques fois aux influences et interactions
de plusieurs autres langues, voire plus, à
l’origine des néologismes qui sont souvent des
mots résumant quantité d’autres mots comme
l’exemple dans ce texte de « lapis » qui pour
l’instant est inscrit L. A. P. I. S. mais qui
avec le temps deviendra » lapis «, tous sachant
que cela signifie strictement laïc, uniquement
athée, profane,
ignorant et parfois sacrilège).
[107]
Nous l’avons vérifié et démontré sur trois
époques synchrones en 1967, 1977 et 2005: le
ciel est le futur.
[108]
Qui allait impliquer d’explorer les autres
régions du monde à cause des migrations des
êtres humains parce que la situation de péchés
(due à cette appropriation de la salle des
machines par un groupe au détriment de l’autre
groupe allait être à l’origine de l’apparition
des déserts (le Sahara, par exemple) ce qui a
contraint à migrer vers des terres plus fécondes
(fertiles), voire habitées par des animaux
pacifiques et inoffensifs que malheureusement
les êtres humains de ces époques (aujourd’hui
très éloignées de nous) chassèrent (ce qui a
constitué un grand péché, parce que quand nos
ancêtres voyaient la vision d’Atlantide
(c’est-à-dire du Paradis) autour d’eux, les
armes n’avaient pas été encore inventées pour
chasser, parce que le groupe de ces ancêtres les
plus éloignés de nous tous se nourrissait
exclusivement de fruits que les arbres leur
offraient (l’espèce de l’être humain est donc à
l’origine fructivore. Elle est devenue ensuite
végétarienne et omnivore à mesure de la
progression des migrations, une fois que la
vision du Paradis a disparu). C’est donc la
soudaine absence de la vision (mythique) du
Paradis qui a été à l’origine de la création des
armes pour se défendre des animaux prédateurs
(comme du groupe de ceux qui avaient accès à la
salle des machines). Avec le temps, ces armes
ont fait devenir ces ancêtres des prédateurs,
c’est-à-dire des chasseurs, puisque les animaux
herbivores firent aussi leurs apparitions dans
cette région du globe où il faisait constemment
une température adéquate pour y vivre sans
vêtements tout le long de l’année en se
nourrissant exclusivement des fruits de ces
arbres qui vinrent à manquer (en raison des
sécheresses, du processus de réchauffement
climatique), au point qu’en raison de ces péchés
de la chasse contre ces animaux pacifiques et
inoffensifs (et en légitime défense contre les
animaux prédateurs), ces lieux devinrent des
déserts, ce qui a contraint nos ancêtres les
êtres humains de ces époques (si) lointaines à/de
migrer vers des régions où, hélas, à cause de la
température moins clémente (il n’y avait plus
une seule saison toute l’année comme c’est le
cas dans la zone équatoriale (voire deux saisons
dans la zone tropicale) où s’étaient établis les
premiers êtres humains, mais plusieurs saisons
(au moins deux (ce qui a rendu la vie plus
difficile à vivre), ils continuèrent à chasser
(donc à pécher vis-à-vis de ces réincarnations
d’animaux pacifiques et inoffensifs qui
constituent l’étape de réincarnation avant celle
en l’un des êtres humains, car en étant devenus
herbivores, on apprend ce qui essentiel dans la
réincarnation suivante en tant qu’êtres
humains : entre autres la patience et à ne
jamais s’abaisser à tuer), sauf quand ces
chasses étaient de celles faites à l’encontre
des animaux prédateurs, par conséquent en
légitime défense des animaux herbivores et/ou
végétariens dont faisaient partie les êtres
humains) sauf dans les régions où on trouva la
solution alternative élégante de l’Agriculture,
ce qui a engendré la sédentarisation et
progressivement la construction d’habitats à
l’origine des futurs centres habités dans des
régions où on trouva un autre climat (une autre
météo) car ces migrations eurent lieu vers le
Nord, nos régions tempérées actuelles, comme vers le Sud
du Sahara en Afrique, qui est donc le berceau de
l’humanité, quand ce continent (dans ce qui est
actuellement désertique) était recouvert
d’arbres fruitiers.
[109]
Qui vont jusqu’à nous faire croire que parfois
cette Création est ratée (mais alors on tient
compte des choses négatives et non plus des
paramètres positifs : on fausse les
raisonnements les mieux faits en mettant
l’accent sur les anti-thèses, voire en étant de
mauvaise foi, voire oublieux de tout ce
positif).
[110]
(il ne faut pas oublier qu’elles ont été utiles,
c’est pourquoi elles doivent être conservées
soigneusement pour nous évoquer et mieux nous
faire comprendre les époques passées (où elles
servaient) par des reconstitutions historiques,
où en servant de modèles ou/et de référents,
elles interviennent). Elles témoignent et
affirment que des grands progrès ont été
accomplis par la plupart des hommes et des
femmes des sciences de l’I. A. U. (l’immense
architecte de l’univers : l’I. Ô. )
[111]
(à avoir le temps pour penser, voire corriger
leurs pensées en tenant compte de la situation
faussée qui contraint à de grandes difficultés.
Je dois néanmoins ajouter qu'il peut y avoir des
SPOK où l'espionnage se justifie en conscience,
ne serait-ce que pour assurer la sécurité
générale, mais avant de prendre la décision
d'espionner quelqu'un ou/et un organisme, voire
une personnalité, il faut se demander si l'acte
en question pourrait être érigé de façon
universelle dans l'Intérêt Général et pour le
Bien Général - donc si cet acte d'espionnage
pourrait être universellement réalisé par tous
sans pour autant pécher (être en faute) contre
les droits de l'être humain à ne pas faire
l'objet de cet espionage, en raison - en général
- de la confiance qu'il inspîre)
[112]
(il n’y avait pas de guerre puisque les armes
n’existaient pas. La parole, les mots
n’existaient pas non plus tels qu’ils firent
ensuite partie de langues et de cultures (il est
probable qu’il y avait malgré tout une sorte de
langue très primitive, qu’on se comprenait dans
le silence de la magnificence (et c'est peu
dire) de ce sublime
décor, mais il s’agissait de sonorités qui
désignaient des référents utiles, point d’une
langue qui permettait de traduire la pensée, de
réfléchir aux droits, de négocier puisque chacun
se servait naturellement dans les arbres sans
jamais penser qu’il volait ses alter égo). On se
comprenait naturellement. Il n’y avait
probablement pas non plus de chefs. Les besoins
et/ou les nécessités, donc les obligations
n’existaient pas non plus (le ciel et les nuages
qui circulaient - leurs formes toujours
nouvelles et merveilleuses - étaient le grand
spectacle que chacun avait, une fois allongés
dans les herbes, à contempler). Les êtres
humains n’habitaient pas dans toutes les régions
où aujourd’hui ils vivent en raison de la
nécessité qu’il y a eu de migrer, à cause du
réchauffement climatique qui a été, avec les
péchés (y compris envers les animaux), la cause
(l’origine) de l’apparition des déserts. C’est
bien la chasse envers les animaux pacifiques et
inoffensifs qui fut la cause de la propagation
du désert (y compris en Égypte pharaonique) car
en l’absence de la vision admirabilissime (et
c'est peu dire) du
Paradis, il s’agissait d’une chose qu’on ne
s’était jamais autorisée du temps où on voyait
le Paradis – ce fut l’origine de l’apparition
des déserts, car l’être humain qui était
fructivore – mangeur de fruits – avec la chasse,
devint (en partie) omnivore (il renouait avec
une réincarnation très ancienne par laquelle il
était passé, celle de chien) – au point d’aller
se perdre à force de chasser jusqu’au pôle Nord.
C’est pourquoi les premiers bouddhas qui
comprirent cela ont interdit la chasse des
animaux pacifiques et inoffensifs (ils ont
d’ailleurs sculpté le dieu Amon avec une tête de
bélier et non de lion) – la sachant être à
l’origine de l’apparition des déserts – en
conseillant les êtres humains à développer
l’Agriculture (qui fut donc à l’origine de la
civilisation (des différentes civilisations) et
de tous les progrès) comme solution alternative
élégante de manière à retrouver, en devenant
végétarien, la façon de se nourrir de nos
ancêtres quand ils vivaient au Paradis (il y a
d’ailleurs eu un autre empereur que moi qui fut
végétarien, a. h. qui devait quelque part savoir
que l’être humain est à l’origine végétarien –
en fait fructivore - mais on ne peut pas dire de
lui que d'être végétarien lui ai permis de
connaître la Vérité - parce qu'il avait accès à
la salle des machines, il fut dans l'erreur et
trompa les végétariens qui en général le sont
devenus pour bien faire - éviter de faire le
mal, voire d'être les complices de ceux qui
continuent à mal agir/(se nourrir) malgré
l'existence des nombreuses solutions
alternatives élégantes de nourritures
végétariennes qui permettent de ne jamais faire
le mal). C’est la raison pour
laquelle ceux qui ne sont que végétariens
finissent par accéder à la conscience (comme je
l'ai démontré cela prend du temps, parfois de
très nombreuses années - cela dépend du nombre
d'années durant lesquelles on a vécu en
omnivore, voire à dominante carnivore/piscivore
- mais cela fini tôt ou tard par se produire à
moins d'un dérèglement psychique - le mieux est
d'accompagner cette mutation / transformation
d'une auto-psychanalyse, voire d'une
psychanalyse - cela aidera à poursuivre dans
cette voie élémentaire de guérison de la psyché
pour retrouver - je l'ai démontré - la cohérence
de sa pensée) et vivent
comme s’ils étaient au Paradis, puisqu’ils ne
commettent point le mal et ont renoué avec la
façon de se nourrir de leurs ancêtres les plus
éloignés (quand ceux-ci voyaient le Paradis
autour d’eux) qui ne disposaient pas d’armes
pour chasser ou alors (ensuite) qui en
disposaient en légitime défense des animaux
prédateurs qui constituent une menace pour les
troupeaux de brebis ou/et de vaches dont on tire
les précieux produits laitiers et en prime des
revenus légitimes quand l'élevage à des fins de
boucherie est exclu)
[113]
(malgré le fait qu’elles advinrent sur des
latitudes et longitudes différentes
[114]
(celle d’Ôz,
du Paradis, de …)
[115]
Ou » quintessenciellement «.
[116]
(nommé en Saint-Esprit, du Ciel, c’est-à-dire du
futur, à l’occasion de mes apparitions sonores
(en 1967 et sonores et visibles (en 1977) en
synchrone à partir de 2005 où se trouvait
d’avance mon double (la virtualité de ma
personne) en raison de la loi des conséquences
qui m’avait permis de remonter, dès 1967 et
1977, quand je devins l’un des bouddhas, les
temps futurs pour intervenir depuis le début de
l'année 2005 à temps pour sauver
la Terre après la Seconde Guerre Mondiale,
d’autant que j’étais l’empereur suivant mon
père, par conséquent qu’il fallait qu’entre
autres mon intervention à travers Espace et
Temps le porte à devenir l’empereur me précédeant)
[117]
trois petits points.
[118]
Strictement
laïcs,
uniquement
athées,
profanes,
ignorants,
et parfois
sacrilèges
au SNSPM (au sens négatif et au sens positif de
ces mots).
[119]
Cela n’a pas duré longtemps : environ une
dizaine de seconde (il se peut que j’exagère un
peu car c’était plus du côté des cinq secondes)
en tout à l’échelle universelle avant que très
honnêtement j’ai à m’imposer le doute salvateur.
Le doute contient un aspect négatif (quand on
doute des choses vérifiées ou vraies), il peut
alors induire en erreur, mais aussi, dans
d’autres SPOK (situations particulières,
occasions, cas précis), un aspect positif. C’est
ce qui s’est passé, j’ai intellectuellement
remis en cause ce que j’avais pensé, en
comprenant que ma formulation était alors
mensongère, donc qu’il y avait quelque chose que
logiquement je ne comprenais pas encore (en
effet, je ne savais pas que j’avais dû devenir
amnésique de ma condition de bouddha, à partir
de 1977 pour démontrer comment chacun d’entre
nous tous à l’âge de l’adolescence, voire à
l’âge adulte a perdu sa condition de bouddha, à
cause à l’origine d’une (ou plusieurs)
amnésie(s) et de l’ignorance ASNM – au sens
négatif de ses mots) quand la vision d’Atlantide
est apparue en se révélant (à l’aide d’un
variateur relié aux pensées de mon cerveau – ce
qui signifie qu’à mon insu on écoutait mes
pensées) sur tous les murs et les sols autour de
moi où cette vision s'est probablement manifesté
aussi.
[120]
((mais) on le sait, dans l’Histoire, Jésus
Christ a accepté de se sacrifier pour tous –
cela s’est passé à ce moment-là à l’échelle
universelle des temps avec leurs
correspondances ; en 1995 j’avais trente-deux
ans, à peu près l’âge du Christ sur la Croix),
[121]
(de mes enfants – alors virtuels - attendus avec
Christine ... Lang)
[122]
(comme rassurer à l’avance du succès des
premiers pas des êtres humains sur la lune)
[123]
(la nécessaire mise en chantier de l’avion
Concorde, en prévenant aussi le général de
Gaulle de l’arrivée de mai 1968, entre autres
choses transmises à travers Espace et Temps)
[124]
Qui m’entendaient chacune et dont l’une d’entre
elle me voyait dans le ciel.
[125]
En effet, les gens des années 1967 à Paris
savaient que je m’adressais aussi aux années
1977 à Rome et que c’était depuis les années
2005 et suivantes que ces communications à
travers Espace et Temps avaient lieu.
[126]
(dans l’Intérêt Général – et pour le Bien
Général)
[127]
(mais aussi ces dates synchrones avec 2005)
[128]Une
nouvelle existence ; j’ai prouvé que la
résurrection est possible dans cette vie
elle-même si, hélas, on a fait partie des morts
(voire des menteurs. Le film
La Momie à mi-mots
est une métaphore de cette possibilité qui nous
est à tous donnée (malgré un passage diabolique
au sens de satanique) de retrouver son âme,
(d’acquérir) la conscience et alors avec la
compréhension des arts (leur raison d’être).
Bien sûr, pour ressusciter à son véritable
soi-même (« hors
de l’agonie vaincue » - Claude Vigée
-), pour retrouver son âme de départ, pure,
d’infinis efforts doivent être exigés de
soi-même pour se délivrer, entre autres, de la
paresse intellectuelle qui empêche par exemple
d’écrire et de comprendre pourquoi l’existence
(et la nécessité) des religions. Cette paresse
intellectuelle a été à l’origine de ce qu’on est
devenu un L.A.P.I.S. (uniquement
laïc,
strictement
athée,
profane,
souvent un
ignorant
et parfois (même sans l’avoir voulu) un
sacrilège).
[129]
(par tous ceux qu’il aura continué à influencer
par ses thèses par-delà sa mort)
[130]
Vérifiée en grand inspecteur (bouddha).
[131]
(du moins croire qu’Il avait formidablement
compris ce que peut bien être cette notion de
Dieu)
[132]
Ce n’est pas être privilégié que d’avoir accès
en cachoterie de tous les plus honnêtes gens à
une salle des machines qui entre de mauvaises
mains (des mains – de nos jours - non préparées
suffisemment à de telles responsabilités)
réalise par l’entremise de ces mains à distance
des cauchemars et cherche à rendre ainsi
artificiellement inconscient, donc plus capable
d’analyser en vérité tous les moments de sa
propre existence confrontée à la vie des autres,
voire aux nombreux problèmes qui se posent
quotidiennement, y compris pour être concerné
par ce que peut bien être Dieu (dans un monde,
le nôtre, où la vision du Paradis des origines a
disparu depuis probablement au moins deux
millions d’années).
[133]
(de cette apparition d’avance de moi-même dans
le ciel dictant à moi-même vingt-sept ans plus
jeune la Dictée pharaonique de la Nouvelle Donne
InterRégionale Mondiale)
[134]
J’avais des yeux pour voir ou/et comprendre,
pourtant je ne voyais plus au sens où je ne
comprenais plus ce qu’heureusement on comprend
quand on devient l’un des éveillés, des
illuminés, (des bouddhas), états qui sont une
sécurité à rechercher en soi pour les êtres humains.
[135]
(au sens où ma mémoire ne retenait plus les
éléments les plus essentiels qui permettent de
comprendre en Vérité la réalité comme aussi
analyser d’une façon juste les rêves et/ou
cauchemars)
[136]
Au SNPM : au sens négatif et positif du mot (des
mots).
[137]
(puisqu’ils sont logiques avec les paramètres
qui concernent leur réalité)
[138]
sa
[139]
(elle n’avait même pas de corps – il s’agissait
d’un très grand masque noir de haine, prisonnier
de l’épaisseur de la glace du grand bassin du
jardin du Luxembourg)
[140]
(= à première vue)
[141]
(qu’ils considèrent des profanes car ils
n’appartiennent à aucun ordre de l’Eglise)
[142]
(ce qui risque d’influencer les esprits faibles
et qui prouve que ces jésuites affirmant cela ou
d’autres choses du même genre, ne se conduisent
pas fraternellement. Affirmer des mensonges,
déformer des propos, pour obtenir le vrai de
quelqu’un, cela n’a rien de l’idéal fraternel
qui on le sait n’existe qu’en servant la Vérité)
[143]
Il y en a de toutes les sortes, voire se
réfèrent à des éléments de vérité qui n’étaient
valables que dans un S. P. O. K. (situation(s)
particulière(s), occasion(s), cas précis – cas
particulier/précis=K) ou deux à partir desquels
on a (abusivement) généralisé (je l’ai démontré
dans un des textes dont je suis l’auteur,
intitulé « cet arbre est un porc »).
[144]
Un néologisme dans lequel on trouve le « ean »
de « mean »
en anglais pour « signifier ». Mais en français
cela se prononce « en » ou « an » et ce « en »
s’écrit « ean » (comme pour le prénom Jean) en
raison de l’existence du « e » muet qui est
confirmé par le « a » qui avec le « n » se dit
aussi « an ».
Au point qu’on le sait j’ai proposé dans
un autre de mes textes que la France s’écrive
Freance, ce qui permettra de mieux comprendre
que ce mot a aussi à voir avec « free » en
anglais qui signifie « libre » - mais aussi avec
le « rence » de la ville de Florence en Italie
(qui pourrait s’écrire aussi Floreance), grâce à
l’introduction de ce » a « ou de ce » e «
dans Freance (France) qui induirait le » a «
de plus dans cette nouvelle manière d’écrire
Floreance (Florence).
[145]
(pas encore totalement éveillé à toutes les
vraies lumières spirituelles)
[146]
(ce qui je le rappelle peut advenir dès la toute
première enfance)
[147]
Il ne faut pas oublier qu’un fœtus (re)parcourt
(parcourt de nouveau) à chaque fois dans le
ventre de sa mère toute l’histoire de l’humanité
avant de devenir l’un des bébés qui ne parlent
pas encore (mais qui vont être bientôt capables
d’émettre des sons qu’une mère et un père
attentifs – voire l’entourage - doivent réussir
à comprendre).
[148]
Vraiment je n’étais pas sorti de chez moi pour
ça. Je ne m’y attendais nullement. Ce fut
soudain une apparition non loin du centre du
grand bassin du Luxembourg (autour duquel je me
promenai), effectivement prisonnière de
l’épaisseur de la glace, la figure de la reine de
la nuit dans sa haine, hideuse. Cette grande
figure (au sens de face, masque) était
constituée d’une sorte de fumée d'un noir que la
blancheur de la glace ne parvenait pas à
éclaircir. Elle
n’était pas de chair ni possédait un squelette.
C’était sur un ou deux mètres carrés, pas plus
grand et probablement une épaisseur de cinq
centimètres, peut-être un peu plus. Quelque
chose d’incroyable mais vrai et de véritablement
hideux. C’était ça qui avait réussi au cours des
millénaires à rendre méchantes certaines
personnes, voire bêtes. Une surface vraiment
minuscule à l’aune des dimensions de tous les
univers.
[149]
(constatée morte, puisqu’il s’agissait d’»
une « satan et non » d’un « satan)
[150]
(malgré la dissolution du masque de satan dans
l’eau du bassin du jardin du Luxembourg, une
fois ces journées de rude hiver passées)
[151]
(parfois même célèbre – car il se peut qu’il ait
plu à de nombreuses personnes qui comptent)
[152]
Corrigé, abrégé ou/et augmenté, relu et résumé,
voire élaboré cinq fois)
[153]
(ou/et faisait dire à l’un ou l’autre de ses
personnages)
[154]
Corrections, abrégés, relectures (résumés),
(nouvelles) élaborations = CARE
[155]
Ou » ça « pour » cela a «.
[156]
(cela parfois prend du temps, parce que cela
exige de multiples réflexions nourries
d’expériences, de SPOK auxquels se référer)
[157]
(au sens positif et au sens négatifs de ces mots
= ASPEASNDCM ou/et SPSNM)
[158]
(mais ils oublient qu’ils sont en tant que LAPIS
une partie de Dieu, comme l’était cette satan
avant de mourir)
[159]
Grâce à l’illumination, l’éveil, l’acquis de
conscience.
[160]
(situations précises, occasions, cas
particuliers)
[161]
Mais à leur sujet, il est probable que j’ai été
abusé et que ces Jésuites en réalité n’emploient
jamais le mensonge. C’est un bruit qui à leur
sujet a couru (que je n’ai pas eu encore le
temps de vérifier). Peut-être en ai-je choqué
plus d’un (de ces jésuites) avant d’ajouter
cette note de bas de page (pour m'en excuser) qui affirme que ces
jésuites ne disent que la vérité en disant que
Jésus est le fils de Dieu (voire en parlant à
leur manière justement de Dieu). C’est aussi un
bruit qui a couru contre les francs-maçons : on
a prétendu qu’ils employaient des mensonges pour
réussir à obtenir la Vérité. C’est possible
comme le contraire est aussi possible : que
ceux-ci ne disent que la vérité ou alors des
vérités relatives qui sont parfois éloignées de
la Vérité. Ces bruits qui courent au sujet de
jésuites ou/et des francs-maçons sont dangereux,
et ce n’est pas parce qu’on va avoir à faire à
une personne qui utilise ainsi le mensonge et
qu’on sait appartenir aux francs-maçons ou aux
jésuites que tous les jésuites et tous les
francs-maçons sont des menteurs (loin de là car
on ne peut survivre sans vérités relatives ou/et
en n’étant plus au service de la complexité de
la Vérité dans ses diverses recherches et
aspects qui concernent chacun différents
S.P.O.K.). Voire que la personne prise en défaut
de mensonge sur un point (ce qui peut arriver à
tout le monde à cause d’un moment d’inattention,
voire d’une ancienne vie où on était alors
LAPIS) soit un.e jésuite, voire un.e
franc-maçon.ne. Elle aura été abusée ou/et
n’aura pas eu assez de temps pour réfléchir à ce
point qui va être un problème pour tous ceux qui
savent la vérité à ce sujet car rien n’est plus
difficile à faire que réussir à penser justement
dans l’Intérêt Général ou/et pour le Bien
général.
[162]
(dans les croyances de l’une ou l’autre des
religions, voire des catégories – ce qui peut
être vu comme un synonyme du mot de religions,
du moins parce que ces catégories interviennent
dans les réflexions des religions qui ont
constemment en tête des référents, voire qui
existent en tant que catégories religieuses
ayant à penser sur toutes les autres catégories
et sur tous ceux qui sont au service de
catégories parfois à l’origine de préjugés mais
aussi, autrement vues, des vérités relatives,
voire des composants de la Vérité. Aussi l’étude
des catégories (comme celle des mots ou/et des
matières) peut aider à approcher les points
importants (des missions) des religions).
[163]
C’est parfois (voire plus) à comparer à un
enseignant en mathématiques qui n’a pu le devenir
que parce qu’il a souvent tout eu juste (sans
erreur(s)) à ses différents examens, donc qu’il
a pu être vérifié sur ce qu’il a lui-même
vérifié. Avec les calculs exacts, on a des
preuves qu’il y a des choses vraies (véritables)
sinon on ne pourrait jamais rejoindre la S. O.
I. (Station Orbitale InterRégionale) ou/et on ne
pourrait pas rejoindre par avion la destination
choisie pour laquelle on a dû prendre un billet
où les données du vol figurent. C’est pareil
pour la porte d’embarquement, la G. ne peut pas
être la A. ou Orly 1 ne peut pas être Orly 2.
Cela signifie qu’on s’est mis d’accord sur des
vérités relativement exactes/justes qui sont des
preuves que la Vérité existe puisque ces vérités
relatives sont vraies pour tous ceux qui ont
accepté d’avoir en commun ces mêmes codes (dont,
pour commencer, celui des lettres de l’alphabet,
ce qui contraint chacun à/d’aller à l’école pour
apprendre à lire et à écrire – cela servira le
jour venu y compris le cas échéant pour se
défendre par écrit (ce qui évite d’en venir aux
mains, voire permet d’être estimé quand cela est
honnêtement fait) – cela signifie avec
l’écriture qu’il s’agit objectivement d’un
instrument qui peut être – dans/entre certaines
mains – positif, donc important pour
l’Ensemble). Orly 1 peut aussi bien s’appeler
Orly A et Orly 2, Orly B, voire le contraire
Orly 1 : Orly B et Orly 2 : Orly A (mais on le
sait si cela advient, c’est à partir d’une date
précise et ces choix nouveaux (si besoin est)
auront de nombreuses conséquences (ne serait-ce
que celles concernant chacun des pilotes ayant à
atterrir en ayant été mis au courant, ce qui va
les obliger à changer leur approche de
l’aéroport puisqu’ils n’auront pas à atterrir au
même endroit qu’avant (le changement de
dénomination)), c’est pourquoi il vaut
peut-être mieux en rester sur ce sujet à
l’appellation qui est en cours, devenue une
habitude y compris pour tous les chauffeurs de
taxi, mais aussi les pilotes, comme les habitués
de ces aéroports – cet aéroport – parisien(s)
qui prennent aussi le VAL pour s’y rendre).
[164]
Variante : complémentaires de ces états = (qui
vont avec …).
[165]
(au point que dans la religion chrétienne
certains parfois demandent le baptême, même une
fois déjà âgés)
[166]
(du point de vue des L. A. P. I. S.)
[167]
(ce qui est à l’origine des nécessités de manier
les crayons - c’est drôle : » lapis « en
espagnol signifie » crayon « - pour écrire ce
qu’il faut, pour obtenir finalement gain de
cause)
[168]
(parfois dès avant le baptême, voire même (dans
certains cas) déjà dans le ventre de leur mère
qui est pourvue de cette foi, voire au contraire
qui est une LAPIS)
[169]
Le problème réside ici (c’est ici le problème)
car j’ai pu vérifier que de chaque côté on va
croire, selon la situation précise, l’occasion,
le cas particulier (K),
(donc le S. P. O. K.) que c’est celui qui
est croyant qui ment ou alors celui qui est
non-croyant (LAPIS) qui ment sur les points
inacceptables, selon le SPOK, dans chacun des
camps. D’où la difficulté des conciliateurs.
C’est que chacun des camps obéit à une logique,
comme à des croyances pour des raisons précises
qui souvent ne sont pas totalement objectives,
voire qui sont, hélas, subjectives (ce qui
complique nos affaires à l’extrême, voire rend
impossible tout dialogue sur les sujets en
question, d’autant plus qu’on a souvent de
grandes difficultés pour dire pourquoi on a la
foi, voire pourquoi on croit à l’une ou/et
l’autre des vérités relatives (des catégories) –
pour certains cela ne s’explique pas ou alors
très difficilement, par écrit à des semblables,
voire à des antagonistes qui parce qu’ils sont
LAPIS n’arrivent pas à comprendre les arguments,
d’autant qu’ils sont assurés d’appartenir à tous
ceux qui ont accès à la salle des machines qui
est à l’origine de convictions subjectives,
voire de devenus inconscients, par conséquent
égoïstes – cependant ces personnes sont au
courant de l’existence du TGV – très grand
variateur- de la vision du Paradis, par
conséquent sont au courant de l’existence de
Dieu à l’origine de l’existence de ce TGV –
aussi on comprend ici qu’ils font semblant
d’être des LAPIS, puisqu’ils savent que si on
remonte ce TGV, voire si on le descend (car dans
certains cas il convient de descendre un
variateur pour augmenter le volume), la
révélation du décor Christine Floreance Michèle
et Laurie Granier d’ex-Atlantide Lang Loewy
Finck d’Ôz apparaît (se révèle) sur toutes les
surfaces, partout (comme ce fut le SPOK – la
situation précise, l’occasion, le cas
particulier - en 1995) – aussi il est probable
que certains LAPIS soient croyants à leur façon,
mais qu’ils aient l’ordre de faire semblant de
ne croire en rien, d’être athées, bref de se
montrer ignorants, sacrilèges, profanes, laïcs,
donc d’être parfois de mauvaise foi, voire à
cause de cela de paraître méchants)
[170]
(dans cette situation où on est encore – à
l’heure où j’écris ce texte le dimanche 18
novembre 2018 - privés de la vision d’Atlantide)
[171]
Ou comme d’habitude : intolérants.
[172]
SEAIESSSL = Ses Éminences Altesses Impériales
Eanmeailleurs Ses
Saintetés Satana(na!)nas
les lordissimis…simissimes
[173]
(tenant compte de tous les paramètres ou/et du
moins une bonne partie d’entre eux de manière
cohérente)
[174]
(une fois le raisonnement tenu pour les
résoudre)
[175]
(dans de nombreux contextes familiaux)
[176]
( G. A. U.
ou/et G. Ô.)
[177]
I. A. U. = I. Ô.
[178]
Sauf qu’ici le mot d’immense se réfère à mon
apparition dans cette taille d’immensité dans le
ciel des années 1977 et années suivantes, durant
la Très Grande Dictée Nouvelle Donne
InterRégionale Mondiale Multicatégorielle,
Multidimentionelle, Maçonnique, etc.
[179]
(en profitant alors des abus de positions
dominantes, voire d’abus de pouvoir)
[180]
Ecrits par les quatre évangélistes)
[181]
Des constructions.
[182]
(bien que sur certains points complémentaires)
[183]
(ce qui a apporté des changements, en tout cas
la nécessité de savoir s’adapter, de faire des
mises-à-jour)
[184]
(donc en tant qu’éveillé par acquis de
conscience)
[185]
(quand ceux-ci, par exemple manquent à première
vue de logique ou/et d’objectivité dans leurs
explications, bref quand ils s’expriment
subjectivement et non pas à partir de preuves,
d’expériences, de paraboles, de métaphores car
il y a celles qui sont incomplètes, dans
lesquelles il convient, en les entendant, de
rétablir tout ce dont elles manquent – cela se
fait naturellement une fois devenu bouddha : on
corrige ce qu’on entend en ajoutant ces éléments
et/ou arguments qui manquent, voire on comprend
que ces textes ont été particulièrement
difficiles à écrire, parce que les évangélistes
ne disposaient pas encore d’ordinateur(s), ce qui
permet aujourd’hui de mieux se corriger en se
relisant (des C. A. R. E. de qualité), voire de
ne rien omettre dans son discours, souvent même
en pratiquant l’anti-thèse, pour aboutir à des
conclusions plus justes)
[186]
(uniquement laïcs, strictement athées, profanes,
en partie ignorants, parfois sacrilèges)
[187]
(au mauvais sens de ces mots et non au bon –
cela s’écrit en général sans point(s) entre les
lettres: AMSMENAB ou/et ASNNSPM : au sens
négatif et non au sens positif de ces mots = au
SNNSP)
[188]
(donc qu’on a avancé dans les recherches dans
ces domaines parfois ayant été à l’origine de la
création de nouvelles religions)
[189]
(tout en étant à première vue sur terre)
[190]
(même en ayant couché avec saint Joseph ou, qui
sait ? avec d’autres personnes)
[191]
(il y a que cela signifie aussi » vierge
intellectuellement «, innocente)
[192]
(si cela a été le cas, ce que personnellement je
doute car je crois qu’il n’y a jamais eu plus
fidèle épouse de Dieu (à travers Saint-Joseph et
son fils Jésus Christ) que la Vierge Marie)
[193]
Je me suis laissé dire que certains chrétiens
comme les protestants ne croient pas en la
virginité de la Vierge. Aussi il se peut qu’ils
n’aient pas encore compris ce que les
catholiques ont compris à ce sujet. La religion
Protestante, dans ce cas est à respecter car il
ne faut pas oublier que sur bien d’autres
aspects elle est féconde (y compris dans ses
rituels). Elle peut constituer (comme le PACS
des homosexuels qui peut être considéré une
étape vers le mariage entre un homme et une
femme) une étape (une alternative) vers la
religion catholique comme aussi la religion
juive qui est une bonne base pour commencer à
s’intéresser aux religions, voire à l’évolution
au cours des siècles de cette notion de Dieu et
de mère de Dieu, cette religion juive étant la
mère ou/et la grand-mère de nombreuses religions
dont celle du christianisme (mais aussi celle
des musulmans) sans oublier qu’alors les
croyances en Dieu n’étaient pas celles d’époques
qui disposaient d’Internet, de télévisions à
écrans plats, avec les autoroutes de
l’information dans un monde globalisé, devenu
une sorte de village planétaire, constitué de
nombreuses langues différentes comme les
drapeaux de chacun de ces pays, c’est-à-dire
avec ces langues et ces drapeaux des traditions
de solutions élégantes différentes trouvées pour
réussir à dire des choses plus ou moins
importantes, dont en général les vérités
relatives qui concernent les membres de ces
états-régions (ex-nations) de ce monde constitué
d’une infinité de choses différentes qui sont
chacune décrites par ces mots qui trouvent des
équivalents dans les autres langues.
[194]
(comme par exemple les frères van Gogh, dont le
peintre Vincent)