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Vous êtes ici sur la page consacrée au texte du 5 au 7 novembre 2013:

 

Les dogues dérogent aux drogues ?

 

A l’impératrice Florence Loewy en souvenir de certains rires à Fès,

je dédie avec reconnaissance ce texte à mon père,

les pharaons Jean-Luc Granier.

 

A Pesho, José Martinez Ruiz,

pour l’encourager dans le film qu’il réalise

pour dissuader de vendre des drogues illégalement[1] au Mexique.

 

Ce marin … pardon … puisqu’il faut commencer par une note d’humour : ce matin, on me réveille et j’entends que dans une salle inconnue de moi, dans laquelle je ne suis pas, puisque je suis dans mon lit, la voix d’un jeune homme vulgaire qui se vente de prendre place (peut-être au premier rang ?) en persiflant ou en faisant semblant d’être poli. Cela me rappelle aussitôt tous les mauvais élèves qui entraient avec moi dans les salles d’universités des premières années d’après le baccalauréat et qui appartenaient à des syndicats : il s’agissait de ceux qui ont dû renoncer à aller jusqu’au bout et qui croyaient même pouvoir fumer, comme moi, du tabac en cours ! Mais à l’époque, dans les années 1980, il n’était pas encore interdit, puisqu’il s’agit d’une loi juste qui veille à la santé de tous dans les lieux publics, pour éviter de rejeter ces substances nocives et polluantes et pour que ceux qui ne fument pas, qui sont en bonne santé, ou sains de corps, le demeurent d’esprit et ne soient gênés par ceux qui ont pris cette mauvaise habitude qui avait été reconnue officiellement comme telle dès la fin du XIXème siècle – mais certainement avant aussi par les gens plus avisés - dans de nombreux articles de journaux médicaux : très vite, on s’est aperçu qu’avec cette drogue, il y avait un risque d’accoutumance – ce qui est l’une des caractéristiques ou des dangers du mot de drogue ou de médicament - comme avec l’autre qu’est l’alcool (car à cette époque là, grâce à l’invention du microscope on commençait à savoir pourquoi très précisément et c’est pourquoi on a fait inscrire sur les paquets de tabac les composants des ingrédients que celui qui fume ou inhale va mettre à l’intérieur de son corps (des substances toxiques et donc nuisibles à haute dose) ou à l’intérieur du corps des autres par le truchement de la respiration des autres ou par leur nez (ce qui n’est pas très aimable ni souhaitable, bien que parfois, il est vrai, l’odeur du tabac soit agréable, à premier reniflement ou « à premier nez »[2]). Aussi les véritables pères de famille et les véritables médecins ont alerté à l’époque les gens en donnant ces conclusions scientifiques issues de leurs recherches: mais comme d’habitude, les ignorants, au mauvais sens de ce mot[3], ou ceux qui voulaient se prendre pour des médecins et qui n’étaient que de vils petits charlatans de pacotille n’ont rien voulu entendre et ont même prétendu le contraire longtemps : qu’ il ne s’agissait pas d’une « drogue » (évidemment ils n’avaient pas la connaissance des mots et mentaient car ceux qui la détenaient, les véritables médecins, et non les imposteurs, savaient que le tabac était une « drogue » puisqu’ils savaient l’histoire de cette plante et qu’il fallait qu’elle soit prescrite ou autorisée par un connaisseur ou qu’on obtienne une …« rogation[4] »), et même ont voulu dire que ce n’en était pas du tout une, car pour eux une drogue, c’était le hachich ou le kif ou l’opium, mais pas le tabac. Or le tabac comme quelques alcools ou des vins précis sont des drogues puisqu’il s’agit de produits qui ont pour base une plante qui ne se donnait que sous prescription médicale, d’où le nom ancien de « drogue », c'est-à-dire le mot actuel de « médicament » à l’époque de la Renaissance en Italie ou en France et seulement dans un ou deux cas (dans quelques situations particulières estimées par des personnes renommées – évidemment s’il y en a qui espionnent, ces espions vont croire que ça marche à tous les coups et vont donc vouloir généraliser l’idée obtenue en la volant, d’autant plus que le médecin aura recours parfois à cette généralisation, puisqu’il a remarqué que cela marche comme l’aspirine, à tous les coup, ou seulement comme dans un autre cas dont il se souvient, sur la base d’années d’expériences médicales : donc de cas étudiés par ses soins, bien qu’il touchera quelques personnes dans le temps – aussi elles diront que c’est bon à ingérer ou à inhaler pour ce dont est victime notre malade, mais ces personnes, nous l’avons vu, ne s’appuient que sur de véritables savoirs et ne vont recourir au conseil du tabac ou d’autres substances nommées « drogues » que dans des cas précis et encore moins invoquer bêtement le nom d’un médicament qui leur passe par la tête s’il n’en voit pas l’utilité, d’autant que le malade qui a entendu des bruits circuler croit peut-être des choses vraies au sujet de cette drogue (puisqu’il faut une autorisation) dont n’a pas encore entendu parlé le médecin. Mais peut-être ces bruits sont infondés ou fondés, cela sera à déterminer, d’où le principe de précaution, la nécessité du doute et des tests et contre-tests[5]): on l’a donné par exemple à une reine de France au Palais du Luxembourg à fumer quelques jours seulement et elle a pu guérir, à l’époque, d’une maladie très grave – mais dès qu’elle fut guérie, elle ne fuma plus. Si elle sentait que cela recommençait, elle pouvait y recourir de nouveau. Mais cette plante valait à l’époque très chère et pour se soigner de ce mal ses parents avaient eu à dépenser une véritable fortune en or et en diamant pour la faire venir des Amériques spécialement. C’est une plante qui était utilisée par les indiens à l’occasion de rituels précis qui concernent donc la sphère sacrée de l’existence – aussi tous ceux qui n’y ont jamais eu accès, c'est-à-dire les profanes, n’ont évidemment pas le droit de fumer du tabac ou de se droguer.

Artaud, en allant chez les Tarahoumaras, a été initié à une sorte de drogue qui porte un nom ou peut être un champignon ou une substance – mais cela s’est passé à la suite d’une immense recherche personnelle et de peines considérables sur le plan intellectuel et il dit que cela a contribué à lui donner quelques connaissances supplémentaires (mais j’ai pu vérifier que celles-ci peuvent tout aussi bien être découvertes autrement, par exemple à force de peindre, comme certains moines tibétains qui ainsi arrivent à finalement représenter). Donc cela ne s’est produit qu’à la suite d’infinies études et d’innombrables textes ou participations à des œuvres d’art, donc après avoir baigné dans l’Art et fréquenté de véritables artistes à la recherche de la Vérité – aussi cela signifie qu’il avait été jugé digne par un chef local ou un très grand connaisseur ou un très grand magicien, d’avoir accès à l’usage de cette substance inconnue. Et cela a donné lieu aux textes à la suite de ce voyage dont j’ai su l’existence. Il y a donc eu un Artaud avant cette expérience et un Artaud après cette drogue : il avait donc obtenu une « dérogation » par un très grand initié pour avoir accès lui seul et personne d’autre aux secrets qui résidaient dans cette plante – et sans l’accord de l’initié en question qui sait qu’il a le droit de représenter Hermès Trismégiste et … , donc le magicien d’Oz, à l’époque dans la région en question - il s’agissait donc d’une personne qui a la véritable connaissance grâce aux plantes – donc la connaissance profane et sacrée – cela est absolument défendu et s’avèrera néfaste à tous les autres. C’est donc interdit, sauf à des cas particuliers qui ont fait l’objet d’une étude de la part des personnes qui ont acquis le droit de proposer du kif ou du hachich ou d’autres substances considérées comme représentatives du mot de drogues par les toxicomanes et le législateur (l’administration – sous-entendu le Ministère de la Santé les ayant déterminées comme d’une manière générale, par précaution ou prudence, comme dangereuses pour les êtres humains, sans prescriptions médicales – sous-entendu de personnes ayant été reconnues – par un cercle d’initiés[6] - comme dignes de prescrire ou des médecins – cela ne peut d’aucune façon être un charlatan (au sens négatif de ce mot qui signifie aussi un faussaire) ou un dealer à moins que celui-ci ne puisse être considéré comme ayant acquis ce droit – aussi il devient positif et un partenaire de l’industrie pharmaceutique ou un commerçant). Aussi cela signifie que ce village s’est donné le droit de rechercher cette substance voire de la cultiver. Elle va servir, dans ce cas, à soigner Artaud[7]. Mais celui-ci a été jugé au préalable « digne », à ce moment là, d’avoir accès à ces connaissances les plus secrètes et qui ne pourront être que bénéfiques, avec cette sorte de drogue qui n’est utilisée qu’une ou deux fois, qu’uniquement parce qu’il s’agit d’une personne qui recherche la vérité dans l’Intérêt Général et d’aucune façon en égoïste ou en enfant-gâté, ce qui risquerait de faire un « accroc » ou un « addict » ou un « drogué », c'est-à-dire un prisonnier de cette substance et donc qui ne parviendra jamais à la connaissance véritable, puisque nous voyons bien que c’est parce qu’il s’en est privé ensuite qu’Antonin Artaud l’a obtenue. Aussi tous ceux qui se rendront esclave d’une quelconque d’rogue ou poison n’auront seulement, c’est logique, que la connaissance des usurpateurs, des imposteurs, des minables ou des misérables, puisqu’il faut obtenir le consentement de cette personne qui ne donnera cette autorisation que dans ce cas seulement et à nulle autre occasion[8]. C’est qu’il a fallu des millénaires à un village pour déterminer les effets des plantes et les saveurs ou les arômes. Aussi ces plantes ont à voir avec la connaissance et celle-ci n’appartient qu’aux seuls initiés et non aux profanes qui sauront ceux qui ne feront que répéter un mot sans plus même en comprendre le sens : j’ai besoin de cette « cigarette » ou de ce « tabac » et au lieu de cesser, ils continuent : ils sont devenus les esclaves de la substance en question. Aussi ils aimeraient s’en libérer, mais ils n’y arrivent plus et cette substance qui servait à soigner dans une ou deux situations et qui était très dangereuse et qui ne pouvait être ingérée qu’avec le suivi, comme Artaud de cette sorte de « sorcier » du village, une sorte de médecin local, comme il en existe heureusement encore dans les villages en Amérique latine et notemment au Pérou, qui connaissant les effets de cette substance et ayant fait le chemin que recherchait Antonin Artaud bien avant lui, pouvait intervenir, comme un grand frère bienveillant, si cela avait mal tourné – nulle ici recherche d’argent comme les dealers – évidemment - car cela n’est jamais et ne peut être pour de l’argent ou le pouvoir - mais comme tout s’est mal passé au cours de siècles passés et que nous vivons à une époque qui en a hérité, cela a généré partout le besoin, comme d’une drogue à prescrire, de disposer d’argent, et il est donc normal que ces personnes qui se donnent du mal pour faire pousser ces plantes (pour les exporter vers les laboratoires médicinaux) recherchent une juste compensation financière et comme ils ont eu de véritables besoins financiers, il y a eu ceux qui dans ces villages ont cru pouvoir en vendre ou en exporter autrement que par les voies officielles ou ayant fait l’objet d’accords anciens, puisque les personnes qui en avaient besoin ne pouvaient pas se déplacer pour atteindre ces villages, quand ces plantes ne servaient que seulement à l’occasion de moments exceptionnels ou pour des raisons précises qui s’étaient transmises comme des savoirs très précieux basés sur des constatations, c'est-à-dire sur des nombreuses occurrences ou expériences, donc sur des formes archaïques de statistiques qu’avaient acquis par la transmission des savoirs oraux ces hommes et ces femmes descendants de ces villages infiniment respectables (car il s’agissait d’une forme de sciences, puisque ces personnes s’étaient rendues capables de reconnaître les effets de ces plantes pour ne les utiliser qu’en des moments précis, car les utiliser régulièrement cela risquera d’être un fléau : on ne pourra pas s’en passer et c’est ce qui est arrivé pour la feuille de coca au Pérou, pour le thé et même pour le café, qui sont des « drogues » très légères ou très douces qu’on n’a plus même besoin de prescrire ou d’interdire car tous savent les utiliser correctement, avec modération, d’autant qu’elles sont beaucoup moins nocives comme d’autres tisanes, un peu comme d’une autre manière le chocolat dopant du matin ou dans la journée, bien qu’on puisse s’en passer plus facilement – le problème vient donc, pour les drogues à la différence des autres substances (alimentaires qui ne sont pas des drogues, mais des besoins vitaux) qui sont interchangeables par d’autres, de ce que cela génère des accoutumances – par conséquent comme une nécessité (on ne peut pas se passer de sa tisane ou du thé comme les britanniques à cinq heures) d’où la conséquence dramatique et tragique: le besoin d’argent – et qui dit besoin d’argent dit risque de se prostituer pour en obtenir ou pire de devenir violent ou maître-chanteur ou même de voler des objets sacrés pour les revendre ou de tricher dans les comptes pour obtenir ces moyens financiers, voire pire : de devenir criminel – d’où le côté néfaste de l’argent, son aspect « drogue », au mauvais sens de ce mot, alors qu’il a, of course, son aspect positif qui a permis de tout construire autour de nous comme de payer les gens au marché commun (ou celui de la communauté) ou dans les magasins avec ce qu’on appelle alors de « l’argent propre », car sinon il s’agira de l’argent des faussaires ou des faux-monnayeurs qui n’hésitent pas à se rendre malhonnêtes ou contraires aux intérêts de l’Etat, puisqu’ils ont pour cela, eux-mêmes, pris de mauvaises habitudes nocives pour la santé (à moins qu’ils n’aient jamais eu de vrais bons chefs/parents ou n’aient pu fréquenter des gens de qualité, mais seulement des Thénardier – aussi ils n’ont fait que prendre de mauvaises habitudes et à cause de cela ruiner comme l’Etat – donc tous y compris eux-mêmes et les enfants qui ont cru en eux), donc contraires à leurs intérêts ontologiques, quintessentiels, c'est-à-dire en fait ceux de tous et cela en mentant ou en croyant pouvoir se rendre complices de ceux qui vendent ces drogues, par exemple au marché noir. Les consommer à hautes doses est nocif – car cela va créer ces « accoutumances », du même genre que celles au café ou au thé (bien qu’ici, comme pour le chocolat, ou d’autres produits alimentaires, cela soit bon pour la santé, d’autant qu’on peut s’en passer facilement – donc il ne s’agit pas du même genre (catégorie) d’accoutumance), aussi cela signifie que l’organisme risque d’être en manqueon retrouve ce « man » du mot « manque » dans « accoutumance », aussi même sans savoir le latin ou le grec ou sans connaître les étymologies anciennes, rien qu’en restant très bêtement autochtone ou de chez nous, de la francophonie, j’ai pu vérifier que la vérité saute aux yeux, mais évidemment ceux qui sont perdus ou devenus « fous » ou qui n’ont jamais bénéficié de contextes instruits autour d’eux ne la voient pas. Pire, ils s’emmêlent les pédales avec les mots et aboutissent à des catastrophes ou même en deviennent encore plus fous – aussi il faut aller à l’école et commencer à étudier les mots avec un véritable maître d’école, ce dont j’ai pu bénéficier, avant même d’aller au jardin d’enfant, avec mon père pharaon et immense poète et ma mère l’ayant inspiré qui en connaissent tous les secrets – aussi cela signifie que leurs parents aussi – c’est pour cela que les viandes au sens traditionnel du mot, les charcuteries et les poissons y compris les fruits de mer sont des drogues : il fallait une ordonnance médicale, ou celle d’un sorcier pour qu’une personne ou un enfant ait le droit d’accéder à ces aliments qui sinon sont, bien sûr, totalement interdits. C’est pour cela que les pédiatres sont chargés de donner les bons conseils y compris sur le plan alimentaire) jusqu’à l’époque en question. Aussi cela a créé des accoutumances et des personnes qui vivent en « drogués » (car le mot a fini par signifier un synonyme d’ « accoutumer » ou si on préfère : « a pris la mauvaise habitude de » – ou « vient de s’accrocher à un préjugé » : celui-ci pouvant donc devenir une drogue, au sens négatif), c'est-à-dire en prisonniers ou en esclaves de ces substances qui sont forcément nocives, puisqu’il ne fallait que les prendre qu’une seule fois ou selon une ordonnance et selon un programme logique (en suivant un calendrier) qui dès la première ingestion détermine aussitôt le moment où il est vital que la personne s’arrête. D’où les études de Médecine qui apprennent à sevrer des drogues ou à se sortir de mauvaises habitudes. Quand sobrement et à d’autres occasions précises ou pour des raisons précises ces substances traditionnelles anciennes ne sont évidemment pas nuisibles et bien sûr peuvent, dans ces cas là uniquement, être « bénéfiques » – mais seulement parce que la personne va mal, qu’il faut la soulager et qu’il faut donc la lui prescrire sous forme de médicament – le mot étant relié au mot de « médecin »).


En effet, je constate dans mes draps que je n’ai convié personne dans cette salle du début de ce texte (
à mon réveil) dans laquelle il semble qu’on attende mon intervention (serait-ce celle-ci que je relis, corrige, en chirurgien ?). Or, comme je ne suis pas réveillé, et qu’on n’a pas attendu que je me réveille une fois véritablement reposé, ces personnes impolies n’auront qu’à attendre, comme dans une salle d’attente. Bien que j’ai à opérer, nous ne sommes pas aux urgences ! Pourtant j’entends de loin le mot d’« hôpital » ! Pourquoi pas, puisque depuis que Baudelaire et la chambre double, elle est pour moi multiple, ma chambre, à géométrie variable et donc, par ailleurs celle d’un hôpital (ne l’a-t-elle pas été à l’occasion de chacune de mes maladies enfant ? Quand ma mère apparaissait comme une muse ou une reine avec le papier d’Arménie qu’elle faisait brûler : je crois que rien que pour cela j’aurais aimé être « drogué » de l’odeur de ce papier qu’elle avait fait venir spécialement de Paris à la pharmacie et qui, délicieux, me redonnait envie de vivre pour l’aider – en général, je faisais les courses lourdes (les bouteilles d’eau) – je crois que cela aurait été la même chose si nous avions été en Inde avec un peu d’encens, mais nous n’étions qu’à Rome dans ma chambre de Mamamouchi (car je m’intéressais au Bourgeois Gentilhomme) et les marchands d’encens indiens étaient encore peu connus à l’époque : c’est chez eux, plus tard, qu’en Suisse que je trouvais des cigarettes d’eucalyptus appelées Bidises, d’après deux mots anglais beedies, si je ne m’abuse, et non « bêtises », une sorte de mini cigarette alternative à celles occidentales, dont j’ai cru avoir besoin un moment et que mes parents appelé « drogue » mais qui s’achetaient alors dans les tabacs de la Confédération puisqu’ils avaient réussi à s’accorder à cette fin), pour ceux qui savent qu’une chambre à la maison peut le devenir et cela d’autant plus qu’on est médecin soi-même.

 

Ah ! Il va falloir néanmoins que j’aille boire mon café et me lève ; mais il faut pour cela aller jusqu’à là-bas ! A propos quand on signale le « H » d’un hôpital pour indiquer qu’on s’en approche, cela rappelle qu’il est comme partout : durant l’élaboration de la partie texte de mon doctorat, j’ai même cru que nous étions dans un mouroir, mais il s’agissait d’u moment de spleen, car évidemment la chambre est d’une autre nature puisqu’elle cache la vision d’Atlantide qui pourrait soigner beaucoup de gens devenus malades.

 

Comme si je pouvais interdire que dans une salle qui est faite pour accueillir des gens on s’asseye ! Me disais-je, indigné par tant d’outrecuidance et de libertés prises de nouveau à mon sujet par un anonyme – c'est-à-dire une personne qui ne s’est pas présentée (puisqu’on venait de me réveiller. Personne au monde, si ce n’est le Grand Architecte de l’Univers lui-même ou deux ou trois personnes qui savent en avoir le droit et qui n’ont jamais eu la maléducation d’en abuser – donc un sacrilège de plus dont je viens d’être victime – et je me suis dit, en éternel misanthrope qui a acquis de bonnes raisons de l’être – il y a de quoi - puisqu’il n’y eu jamais de reconnaissance, mais seulement tout au long des millénaires que des preuves continuelles d’ingratitude, de jalousie et de saletés ou ce genre de sacrilèges en échange, comme depuis tout petit, tous les matins – « v’là que ça recommence », « v’là qu’il faut que je prenne toutes ces peines pour ces malades les terriens, des pourris, des gâtés, des salauds, des satyres, des centaures, des personnes bien plus que méprisables partout et en tout point en ceux qu’ils sont, des abrutis de préjugés, mais des fois qu’à la longue cela puisse servir, malgré tout ou pour une seule, levons-nous – aussi cette notion du « devoir » sans avoir autre chose que la disparition de la vision d’Atlantide en raison du fait que ceux qui sont coincés dans la vieille salle des machines ne se sont qu’abrutis que d’inepties en espionnant et ont puni tout le monde en se punissant eux-mêmes les premiers, puisque cela les a rendu minuscules en tout – intellectuellement parlant – puisqu’il n’ont plus pu faire autre chose que faire semblant et se rendre hostiles au genre humain en l’espionnant, comme s’il devait être coupable de quelque choses - ou comme s’il n’avait pas acquis légitimement le droit de faire ces reproches – d’autant plus qu’il reconnaît honnêtement qu’il est pêcheur et s’en repend par des actes et des peines qu’il sait devoir prendre - dans le monde de la vérité ou de ceux qui n’y ont jamais espionné personne mais appris à observer, ce qui est très différent), en m’obligeant, par esprit de contradiction, en raison de l’outrage, à paresser quelques instants de plus.

 

Encore un qui ne comprend rien et qui croit pouvoir me provoquer. Il se prend pour un réveil matin, le mal élevé ? J’ai entendu alors comme sonnerie :

« On a le droit de s’asseoir ? »

Avait-il demandé de sa voix fausse pour provoquer, comme s’il recevait l’image de ma personne retransmise et projetée dans une salle décalée de celle où j’étais sensé être (alors qu’encore dans mon lit) où il n’y avait bien sûr personne, mais sur l’écran placé devant lui, comme quand au Collège de France, il y a trop de spectateurs ou d’élèves à instruire et qu’il faut, en ouvrant une autre salle, retransmettre en vidéo au surplus, dans une autre salle. C’est vrai, j’ai découvert depuis 2005 que j’ai des proportions immenses dans ma chambre ou dans le ciel de 1975 et donc que peut-être il s’agit des spectateurs liés à cette époque là, distante de celle où je me tiens en 2013 (aucun d’eux n’est encore ici bien qu’ils ne croient), mais qui ont pris ainsi place dans un espace sans que je n’en sache rien dans l’époque en question qui n’est pas encore la mienne. Ils se croient, me suis-je dit, comme dans le poème en prose de M.F. , peut-être comme elle « dans une salle sous-marine » dans laquelle elle se demandait pourquoi elle y était.

- Comment, tu ne sais pas pourquoi ? » N’ai-je pas alors eu l’à-propos de lui signifier, y compris en recopiant à la machine à taper les caractères, son texte, que je trouvai beau.

-  Tu es donc à ce point inconsciente que tu ne sais ou n’a plus la mémoire de qui t’y a emmené et que tu as oublié l’objectif d’Intérêt Général qui était le tient, petite fille sur la photo que tu sais où tu te tiens au ski, devant l’ours blanc grandeur nature, pour m’aider à soigner les gens de cette planète moribonde ? ».

 

C’est normal à cette époque-là, j’avais moi-même eu à oublier que j’avais un objectif et je ne savais même pas que j’étais le Grand Inspecteur en voyage d’étude sur une des planètes de cette galaxie, car c’est toujours ce qu’il y a de mieux à faire pour inspecter une des planètes du Grand Architecte de l’Univers, avant qu’on ne se détermine d’ailleurs à faire exploser le soleil après ces inspections: oublier qu’on est l’Inspecteur permet de beaucoup mieux inspecter et déterminer, le jour où on s’en souviendra de nouveau, tout ce qui n’y allait pas vraiment et tout ce qu’il faudra mettre au point ou réussir à changer pour que les choses aillent enfin mieux en bénéficiant de ces inspections dont le résultat est transféré aussitôt vers le Grand Architecte de l’Univers qui prend alors les décisions qui s’imposeront au sujet du soleil local à faire exploser ou pas ou au sujet de la planète (l’envahir pour la remettre en état; en un mot réagir) et ce que je comprends qui s’est passé hier, car un morceau de soleil a explosé : une véritable déchirure s’est opérée : on a très bien fait de la nommer une sorte de « canyon » qui s’est ouvert d’un seul coup dans le soleil lui-même, ce qui n’avait jamais été observé comme phénomène éruptif aussi important : nous avons ainsi une idée d’une autre fissure, plus importante, qui pourrait aboutir d’un instant à l’autre à l’explosion du soleil : les images sont très impressionnantes[9], d’autant que les légendes ou les informations à ce sujet sont édifiantes et pour ceux qui savent se représenter mentalement ce que cela signifie en nombre de kilomètres de matières éjectées que l’explosion en question, il y a de quoi être, si on ne fait pas parti des inconscients, effrayés à jamais : va-t-on donc recevoir les effets de ce projectile d’autant que quand on sait qu’un battement d’ailes de papillon dans une rue de Tokio signifie quelque chose ailleurs, il y a de quoi s’inquiéter de celui qui a causé cela : une chose aussi importante que diable cela signifie-t-il ? Un signe appartenant à la catégorie des catastrophes naturelles que le cosmos nous a donné : attention ! Moi le soleil, je vais exploser car voyez, j’éternue : un de ceux que le plus qu’admirabilissime André Franquin avait su prophétiser : le soleil dégouté par nos mœurs).

 

Je me réveillai en me disant : « encore une fois des gens qui ne comprennent rien, des mal élevés et qui ne laissent même pas le temps de se reposer des peines incommensurablement difficiles que j’ai prises la veille pour eux, comme tous les jours précédents depuis 1965 : ils n’ont jamais rien compris aux démonstrations qu’ils m’ont pourtant contraint à faire : ils ont même besoin de se révéler moins encore que nuls puisqu’ils ont besoin de l’auguste qui commente en détail ce qu’ils auraient dû d’eux-mêmes comprendre. Encore une fois des enfants-gâtés, des adolescents, des égoïstes qui n’ont peut-être jamais su qu’un professeur d’université (le serais-je un jour seulement officiellement ou du moins des différentes honoris causa que j’ai montré mériter? Depuis 1965 j’attends. Qui pensera seulement à le proposer pour que les plus prestigieuses universités me les décernent comme j’ai le droit depuis. Verrais-je cela avant ou faudra-t-il attendre de voir cela autour de ce qui devra me servir de tombe par tous ceux qui chercheront à se prévaloir de moi et qui ne songeront à le faire, une fois de plus, qu’en leur unique intérêt personnel ou pour se faire valoir comme tous ceux qui citent ou se réfèrent et jouent aux doctes ? Visiblement il faut que je l’écrive ou que j’en émette le souhait car j’espère qu’on m’en épargnera l’outrage d’ne faire la demande plus officiellement (puisque ceux qui devaient le faire dès mes deux ans et un mois n’ont pensé qu’à eux-seuls en oubliant leur devoir à ce sujet), d’autant plus que je n’ai été que cela dans toutes les disciplines et vais-je continuer à accepter comme alors cet outrage continuel puisque personne, de lui-même n’a naturellement pensé que c’était son devoir d’avoir à en honorer l’Académie française ou ces ailleurs – Honte ! – aussi ces propositions pour ces doctorats qu’ils ont eux-mêmes obtenus n’ont donc finalement servi que les imposteurs qu’ils sont ayant tardé autant à reconnaître nos mérites et ceux de l’impératrice, puisqu’avec ceux-ci j’ai sauvé la planète à trois reprises dès 1965, 1975 et 2005. Il s’agit de tous ceux que j’ai bien prouvé mon père, ma mère et moi-même détenions dans toutes les sciences et catégories, avant même de naître y compris toutes celles inconnues des terriens pour le moment encore et cela, à l’occasion de ces interventions alors virtuelles et d’avance dans le ciel 40 et trente années avant que je n’y sois dans la réalité. Cela donc comme seul Horus est capable dès ces deux ans et un mois, en raison de l’existence de son véritable anneau de mariage avec Isis, l’impératrice C. L. ![10]) et que cela ne peut donner à ce niveau-là de compétence des cours qu’uniquement trois heures par semaine, ce qui est déjà immense comme cadeau car une seule heure devrait déjà être suffisante et pas plus et seulement à des personnes ayant une à une franchie toutes les étapes d’une autre nature que ces incapacités là (mais bien sûr il peut y avoir des petits enfants passionnés dans l’assistance : il sont bien venus – eux au moins ne sont pas des malpolis, bien qu’ils aient peut-être accompagné leurs frères ainés ou leurs parents qui n’ayant pas les degrés requis (puisqu’ils ont voulu être de ceux qui involuent au lieu de devenir sapiens et d’évoluer) ont cru pouvoir en moins polis que des néanderthaliens s’installer ou s’asseoir, alors que les chaises ne sont réservées qu’aux personnes d’une autre aire[11] les méritant, âgées ou aux femmes et aux enfants ou aux personnalités ayant grandement mérité ou provenant de familles ayant acquis, auprès des rois ou d’autres souverains infiniment de mérites), étant donné qu’il leur a fallu toutes les générations de leurs ancêtres, toutes les années d’études véritablement effectuées, mais aussi toutes les grandes vacances et toute la semaine pour la/les préparer ou pour faire toutes les recherches et vérifications au sujet de ce qu’ils vont dire. Et cela fait depuis 2005, à raison de 15 heures par jours en moyenne qu’on assiste à mes recherches et qu’on entend ses cours de forçat[12], sans même être payé de mes peines et en plus en ayant à le faire à travers le temps et en ayant trois époques à gérer en même temps dont celle-ci et les suivantes où je me donne ce mal ! On voit bien que ces personnes n’ont rien à faire dans cette salle puisqu’elles n’ont pas compris qu’elles n’ont pas à réveiller ce que signifie le respect qu’on doit aux anciens ou aux gens. Aussi il s’agit de toutes ces personnes égoïstes donc mal élevées ou fumistes qui n’ont jamais fait l’effort de comprendre la réalité des autres qui diffère de la leur, leurs difficultés différentes des leurs, d’autant qu’ils ont à assurer leur propre vie matérielle, puisque nous avons visiblement bien veillé avec notre famille impériale à permettre, en revanche, que cette personne qui cloche[13] à ce point, puisse se manifester l’assidue qu’elle semble vouloir se révéler si insolemment en montrant à quel point elle n’a encore acquis aucune des bonnes manières et ne se comportant qu’en mal élevée et cela en étant de surcroit habillée à nos frais (la gestion de la planète est effectuée en argent propre par mes représentants ayant les mains irréprochables et non des mains sales de gens qui en provocateurs insolents se vantent d’être hors les lois, ou de ne pas avoir obtenu les dérogations nécessaires, en disant qu’ils se droguent[14])  ou même en ayant eu à manger depuis qu’elle est née grâce à nos sciences et au sacrifice comme aux souffrances que cela nous a coûté, y compris à ma famille, comme avec mon impératrice promise et légitime depuis 1965 que je n’ai pas même eu le temps d’aller voir depuis que j’en ai retrouvé la mémoire en 2005, tant cette planète me donne du fil à retorde au point que j’en ai créé dernièrement le personnage fétiche hispanique de media papata qui co-signera avec moi ce texte. Cet énergumène n’a-t-il pas le moindre respect pour lui-même en croyant de cette façon pouvoir prendre place dans une salle qui vient d’être ainsi visiblement violée ce matin par ces manières répugnantes et vulgaires avec celle de mon crâne (où peut-elle seulement être parmi l’ensemble des arcades de Colisées en pièces montées qui aboutissent à lui) et qui ne devait, bien sûr, pas être ouverte – Qui donc s’est permis une telle profanation, un tel outrage, un tel crime de lèse-majesté ? Qui est le responsable ou le gardien qui n’avait pas à ouvrir cette salle ? Pourquoi s’est-il fait séduire ou corrompre pour entrer par un tel misérable enfant-gâté[15] ou cette insulte de ce mort-vivant (puisqu’il a cru pouvoir dépenser de l’argent pour obtenir des substances qui ne sont réservées qu’en de très rares et uniques occasions. Très certainement il ne l’a pas gagné lui-même à la sueur de son front autrement que de cette façon d’avance méprisable ou de gâté ou de prostitué pour ne créer que la menace de cette parodie d’individu à devoir croiser à bord ou le personnage de l’inconscient de l’irresponsable à ce point qu’il ne se rend même pas compte qu’il ne fut le jouet en cela que « de semblables, des frères » décrits comme les plus sinistres individus qui soient dans Orange mécanique puisqu’ils vont dans le même sens que lui, soit « l’involution » au lieu du contraire, l’évolution. Que ce gardien qui devait veiller sur mon sommeil soit mis au chômage ou qu’il trouve à aussi mal faire ailleurs !).

 

On voit que ce « jeune » est un pauvre type qui croit pouvoir venir au spectacle en se moquant des difficultés des autres ou du temps qu’il faut au maître des cérémonies pour se préparer – je n’ai même pas de quoi m’habiller décemment à cette fin de pianoter ici. Me croit-il à son service, peut-être ? Il ne va pas bien ! Je gère des chiffres et une canaille n’en est un seul parmi des milliards de milliards de milliards et à l’infini d’autres dont elle ignore, en abrutie par ses substances ne flattant que l’égoïsme[16], de quoi sont faites chacune des unités. Non, je rêvais : je suis dans mon lit et pas du tout dans cette salle qui n’était qu’une hallucination ou dans mon imagination. Aussi c’est encore une fois un cauchemar. Mais il est vrai que je suis pharaon et qu’il s’agit peut-être encore d’un de ces va-nu-pieds pour qui tous les gens de bonne volonté ont tout sacrifié et qui continue comme un « drogué » à vouloir égoïstement s’asseoir aux premières loges. Et le voilà qui provoque en disant que tous ces amis et lui sont installés avec du cannabis et fument ! Peut-être même d’autres « drogues » [17]! Il cherche donc des crosses cet adolescent, cet enfant-gâté, cet égoïste  ou cet ignorant, au mauvais sens de ce mot. Il se vante de cela au lieu d’en avoir honte ou même comme s’il pensait possible en avoir acquis le droit avec ses copains (alors que tous savent depuis toujours qu’en dehors de cas exceptionnels cela ne fait que des vauriens). Il est bien ce petit parasite ou moustique qui provoque et qui est décrit dans Orange mécanique, soit le représentant de l’ignorance ou de la luxure, c'est-à-dire de la fatigue de tous qui ont renoncé à raisonner justement, puisque « pompé » continuellement, testicullairement parlé, par de fausse bouches voraces de toutes les images de fantasmes latrinaires[18] les plus profanes (c'est-à-dire si communs qu’ils n’ont donné que de semblables faunes, satyres et centaures plutoniens, tout au long de l’Histoire) qui de son point de vue, de celui qui se trompe ou qui a perdu le goût des grandes et belles choses vraies, les considère épouvantails inversés, donc de belles choses et ne se sont agités ainsi dans ce qui n’est plus qu’un trognon de tête ayant été pourri et dévoré par les vers que comme ces plus vils tentations, tout justes bonnes que pour rendre toujours plus désertiques ces spectateurs les ayant en commun, des pépins qui se croient plus malins que ceux qui n’en sont plus là depuis longtemps à rechercher à se mesurer, puisque tous les ont reconnu pour démesurés, immenses ou mandarins merveilleux ou bien plus que cela : des dieux ! Il vous dira « du stade » croyant avoir de l’esprit. Vous lui répondrez : « Non ! Puisqu’encore une fois il se trompe, « du Panthéon ! »

 

Puisqu’il s’agit d’un lieu public et qu’ils savent que c’est totalement interdit de fumer dedans – ce qui signifie, par extension, que la planète étant elle aussi un lieu public, il vaudrait mieux ne pas y fumer. Mais visiblement comme on y a pris des mauvaises habitudes, il est de ceux qui en a hérité ou à qui il faut mettre les points sur les « i » et qui ont un esprit si étroit ou si borné qu’ils vont croire que cela ne signifie que dans les lieux où il n’y a que du public (c'est-à-dire ici et se réjouissent comme d’autres adolescents ou ignorants ayant ces sourires si stupides d’être hors des lois justes et d’avoir choisie les mauvaises).

Mais il pourrait y avoir des lieux spéciaux ou des fumoirs (qui sont bien évidemment des « lieux publics », par conséquent des lieux où normalement on sait qu’on ne devrait pas fumer comme dans les autres lieux – mais on y irait dans l’intention de se sevrer ou d’espérer trouver un jour la force d’arrêter la cigarette ou pire) donc des lieux où des « dérogations » seraient données pour se « droguer » ou fumer à ceux qui n’ignoreraient pas qu’ils en sont devenus les malades, la société entière les soignant avec la complicité des cigarettiers ou des marques de tabac, donc des lieux où tous ceux qui ne sont pas malades tolèrent qu’on y aille ou qu’on le soit : on s’y réunit à cette fin pour le demeurer et perdre ce temps à fumer et à s’encrasser ses poumons pour faire, pour les plus adroits d’entre eux, l’un de ces ronds de fumée ou se perdre dans les méandres que dessinent la fumée ou dans des conversations qui seront forcément faussées ou tributaires de cette substances nocives la faussant, puisqu’elles sont sous l’effet de la fumée – c'est-à-dire un adjuvant ou une matière dangereuse qui est dans certains cas seulement bénéfique à des doses infimes, mais dans d’autres situation, évidemment mauvaise pour la santé. 

 

D’ailleurs ma chambre ou dans cette salle qu’y font-ils en y fumant ? C’est toléré sur les trottoirs de l’Empire comme pour les personnes qui ont une mauvaise vie, à l’extérieur, dans la rue, ou dans la nature ou à l’insu de tous ou en cachette et donc dans la honte, puisque cela est, en général, nocif pour la santé que fumer, sauf dans de très rares situations  – je l’ai vérifié sur moi-même ou sur des personnes dont on a pu regarder l’état des poumons (après qu’elles aient fumé) au microscopes ou avec d’autres moyens. Aussi pourquoi veulent-ils contraindre les gens à devoir payer les soins pour les en sevrer ou les délivrer de cette mauvaise habitude qui les a mené à déraisonner, quand ils auront attrapé le mal ? Mais c’est vrai, il s’agit de masos, une maladie comme celles des sadiques ou toutes les autres qui touchent les faunes, les satyres et les centaures : ils cherchent à attraper le mal pour pouvoir vérifier qu’une fois qu’on réussi à les en, délivrer ils ne seront qu’ingrats (donc toujours indignes des diverses peines prises pour édifier chacune des civilisations) !

 

Pourquoi provoquent-t-ils ainsi ? Et ce garçon sait bien que la drogue est une substance interdite, d’autant plus dans les lieux publics qu’elle est déconseillée y compris par les vendeurs de drogue qui savent ce qu’ils risquent à braver ainsi les circuits officiels ou pharmaceutiques.

Mais peut-être ne sait-il pas (puisque les crétins, les imbéciles ou les idiots ou les menteurs ou les usurpateurs ou les tricheurs ou les inconscients ou les irresponsables ou les personnes contraires à l’Intérêt Général (I.G.) et par conséquent contraires à l’Etat et à eux-mêmes qui sont devenus des athées ou uniquement laïques, dans le mauvais sens de ces mots, c'est-à-dire pour résumer, des ignorantes, encore au mauvais sens de ce mot qui a, sinon, à d’autres moment du bon, ils ne le sont que parce qu’ils ont pris goût à se repaître des paramètres qui mènent à cette ignorance dont ils sont les parfaits exemples d’abrutis[19] ou les drogués, au mauvais sens de ces mots. Peut-être ne croit-il pas que les drogues sont réellement des substances « interdites[20] », puisqu’il semble me faire croire en l’assidu amoureux qui provoque – car en général ce genre de façon de faire n’appartient qu’à ceux qui sont amoureux mais au sens maladroit, adolescent, c'est-à-dire qui a été capable d’en devenir injuste aigre et ironique, donc forcément menteur[21] – puisqu’il est venu se placer dans cette salle ce matin parmi les premiers en croyant peut-être me faire plaisir ou que j’aurais plaisir à constater que cela économiserait le raré[22] (radio-réveil) à qui je n’ai pas même demandé qu’il ronronne ou me réveille ou nous fasse dépenser le courant électrique s’il s’était mis à s(r)onner[23]. Aussi je n’ai fait encore une fois aucune économie et j’ai à devoir me dépenser en pures pertes pour, civilement, et en employant en vérité les mots, me débarrasser de cet importun ou motif supplémentaire à ne devoir à jamais être qu’indigné ou à n’avoir qu’à devoir mépriser le genre humain se rendant coupable de tant de perfidies, donc d’injustices nouvelles à mo  sujet (ce qui signifie au sujet de mes semblables) puisque cet agité a voulu se faire remarquer de la sorte en persiflant et/ou en ironique a cru pouvoir prendre place sur ce fauteuil – comme si un fauteuil avait été fait ou inventé dans cette forme de « h » qu’il a parfois en tant que chaise[24] pour un ignorant au mauvais sens de ce mot, alors qu’il ne l’est fait, comme pour cette chaise que pour l’ignorant, au bon sens de ce mot, puisque le fauteuil comme la chaise, nous renvoient aussi à celle peinte en paille par van Gogh dans sa chambre, mais aussi à l’idée de « trône » qui ne peut que supporter des fesses véritables – ces assises n’ayant pas été faites[25] pour les ignorants ou alors qu’au bon sens de ce mot ou pour ceux qui ont l’intention d’apprendre à être polis, respectueux des gens de savoir ou des maîtres. Ou pour ceux qui se sont rendus suffisemment artisans pour en avoir acquis le droit. Sinon, il est tout à fait normal que ces personnes ne demeurent à avoir le droit qu’à se tenir debout comme des serviteurs ou ayant à porter ou en se levant dès l’approche d’un supérieur (qui en tant que grand inspecteur peut parfois même prendre la forme d’un serpent ou du plus vils des animaux hideux). Ce n’est pas parce que j’ai fait mettre des roulettes sous toutes les chaises de bureaux et bientôt aussi sous quelques unes dans les restaurants les plus chics ou les plus huppés ou pour d’autres occasions – étant donné qu’ils n’ont plus les moyens pour payer un valet qui n’aura comme tâche (qu’on donne à des « travailleurs manuels »[26] par charité) à déplacer la chaise pour qu’une dame véritable puisse s’assoir ou un homme en ayant acquis légitimement ce droit et que de cette façon ces personnes seront soulagées de cet effort (comme ces jeunes cherchant enfin à bien se comporter et travaillant dans les taxis jaunes) à faire, puisque cela leur rappellera qu’au bureau, s’ils en bénéficient, c’est que j’ai veillé aussi à cela, pour qu’ils soient fiers de me servir – et qu’ils ont fréquenté ou approché des personnes qui ont pu en bénéficier qu’ils ont acquis le droit de s’asseoir dans un fauteuil y compris au cinéma[27] sous-prétexte qu’ils croient s’en tirer à bon compte en payant (« un peu de tenue », voyons ! – on vous observe peut-être d’ailleurs (non pas d’une web cam mais peut-être d’unen’autre planète)! Voulez-vous continuer à donner une mauvaise image des terriens ou enfin chercher à participer à en donner une de qualité ou une de celle qui autorise de loin à dire : cette personne a bel et bien mérité sa chaise ou ce fauteuil ou d’avoir un moment de repos sur ce canapé ou ce lit ? Voyez, cette dame comment elle se tient droite et qu’elle sait à tout instant qu’elle ne doit pas mettre son dos (s’affaler) sur le dossier comme une vieille dame – en voilà une qu’on pourra inviter à la conférence ! Mais au fait, a-t-elle acquis le droit de s’asseoir ? De quelle famille vient-elle ? Qui sont ses parents ? De quel pays je vous prie ? etc.).

 

Mais visiblement ce garçon ou cette fille (car à ce point de ce texte, j’ai acquis la certitude qu’il est de ceux qui ne savent même pas reconnaître les uns des autres, les croyant tous à être comme lui serviteur de Dracula qui sait être le mien, mais qui prétendra être le contraire, comme moi-même, pour l’entretenir dans cette idée, et ne pas le détromper, comme on doit le faire toujours à certains fous ou à ceux qui pour des raisons obscures n’arrivent pas/plus à comprendre à cause de dysfonctionnement (ils déraisonnent trop et cela ne sert plus à rien de les contredire) ou d’une trop grande différence, le point de vue des gens plus clairs qu’eux, cohérents ou logiques comme de bons mécanismes bien huilés, car on ne cesse de leur dire la vérité au sujet des préjugés auxquels ils se sont accrochés ou auxquels ils se sont agrippés, attrapés comme on attrape des puces, en ne sachant plus où, mais une fois de plus, parce qu’ils n’ont pas su espionner correctement – j’en ai croisé l’autre jour (aussitôt la scène revient à ma mémoire et tous les détails[28]) un de cette espèce dans les allées de l’Observatoire à Paris qui promenait son lapin blanc – j’aime Alice Lewis Caroll, au Pays des Merveilles – son maître avait au moins une bonne vingtaine d’années – je lui ai demandé s’il s’agissait d’un « shi » ou d’un « hi » mais en français, car j’ai bien vu qu’il fallait m’attendre au pire - il ne s’avait pas de quel sexe était son lapin ! Aussi j’ai compris qui était le maître des deux  et je n’ai pas pu poursuivre mes questions : encore un ignorant de plus à bord, me suis-je dit en me lamentant in petto, encore une honte à cause de laquelle il a fallu que je me donne tant de mal, y compris en d’autres temps, grâce à Louis XVI qui avait cette passion d’inventer les serrures, pour avoir la paix et pouvoir travailler chez soi dans l’espoir que finalement cette moins encore que médiocrité cesse de l’importuner, puisqu’il ne fallait, depuis son enfance, que travailler pour elle, tous les souverains ayant été traités bien pires que les esclaves n’ont jamais été traité quand ils eurent pour roi et recours) se croit au spectacle alors qu’il est entrain de jouer sa vie et que pèse, à cause de cette façon de faire, sur lui la mort qu’il a de cette façon outrancière convoqué prématurément en se montrant à ce point minable et désagréable.

 

A moins qu’il soit un de ceux qui ne sachent pas encore et qu’il ait besoin comme tous les autres d’un père, d’un chef ou de réveiller son berger comme chacune de ces brebis perdues et qui dans leur errance à retrouver l’étable (ou cette salle ?) en sont reconnaissables à cause de leur face de loup, mais qui rejoignent en ayant de sombres desseins les conférences où les enseignements des professeurs qui ont été contraints de le devenir, en ayant à faire des efforts divins ou infinis, à la place de celui qui devait pourtant le faire, puisqu’il s’est prétendu son père ou peut-être leur empereur – un imposteur - en tout cas et qui n’ayant jamais, en paresseux, voulu se hausser au degré de sa  charge, pourtant bien précisée par Albrecht Dürer, plus que vertueuse (ou à son image) quand il prend la voiture, n’a réussi à faire autour de lui que des parasites dans tous les domaines (catégories) ou des chattes sournoises et fausses en maintes sciences comme personnifier l’ignorance au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire à l’état brut de l’abruti ou de tous ceux qui, à l’inverse, se sont donnés cette peine avant de s’autoriser à faire des enfants, puisqu’ils font partis des gens de bon sens : ils ne vont pas être de ceux inconscients de leur époque vont vouloir imposer leur aussi infâme progéniture qu’eux-mêmes aux autres et vont vouloir se charger eux-mêmes de l’éducation de leurs enfants – car c’est bien évident que pour eux, parasites, celle-ci n’incombe qu’aux parents les plus instruits ou à des enseignants[29] (je parle ici de véritables ou recherchant à l’être véritablement et non de ceux qui ne sont que des faux ou des tricheurs ou qui ne le sont devenus que pour en tirer quelques avantages déshonorants – mais il n’est pas interdit d’aimer d’Amour) et non à l’un de ces milliards de travailleurs manuels incapables de raisonner ou de penser et qui représentent chacun d’eux des soucis supplémentaires pour tous ceux qui sont véritablement instruits ou bien élevés, puisqu’il ne s’agit que de personnes capables que de faire semblant ou pire d’obéir à des ordres où la conscience recommanderait d’avoir toujours à désobéir.

Bref toujours la même engeance.

 

Ah ! je vois qu’ils aiment quand je les insulte et sont même entrain de sourire de contentement. C’est bien des « masos » qui n’aiment que les gens qui se soient rendus capables de les maltraiter ou de les traiter en ce qu’ils sont : des salauds ou moins encore intéressants que de la pourriture regardée au microscope. Mais moi, j’aurais honte, si j’étais à leur place d’avoir cru possible réveiller une personne qui leur a sauvé la vie et à leur ancêtres autant de fois et qui a déjà tant peiné pour eux et qui ne l’a fait que par altruisme ou soucis de leur donner le goût de l’apprentissage du savoir ou des bonnes manières, de façon à pouvoir le transmettre au meilleur de leurs enfants.

 

Mais certainement il s’agit déjà de l’un de ceux-ci, les pires, puisque son assiduité et de celles-là : il a cru pouvoir jouer les rémas[30] (réveils matins) alors qu’il sait que pour que j’écrive un mot ou dise un mot c’est pour moi plus difficile encore que d’avoir à tracer chacun des traits sur chacune des toiles-partitions qu’il a espionné à mon insu que je peignais, étant donné qu’il est l’enfant-gâté et qu’il est le spectateur, c'est-à-dire pour toujours le désert, puisque de toutes les choses qu’il a pu voir ou espionner, il n’est jamais parvenu à penser quoi que ce soit d’intelligent car sinon il se serait empressé de ne pas perdre ainsi son temps et aurait cherché à se rendre capable d’au moins aider ceux qui se donnent tant du mal à essayer de divertir ou à réaliser ces programmes ou ces films. Par conséquent en s’empressant de rendre le variateur de la vision d’Atlantide en 1975 ou même dès 2005 ou à d’autres occasion avant, puisqu’il est dans cet état, avec ses amis. Pire, à être en infraction pharaonique et à braver la loi juste : à croire possible fumer dans un lieu public une drogue et à s’en glorifier !

 

Mais pour cela il faut avoir une autorisation médicale pour fumer de la drogue ou pour prendre des médicaments (deux mots qu’il ne faut pas confondre et qui sont un peu les mêmes donc synonymes) ou même du tabac.

 

Il n’y a qu’une autorité reconnue et donc qui est véritablement maître qui a le droit d’en prescrire pour soulager quelqu’un (en sachant qu’elle aura à la sevrer) et non pour en faire une personne dépendante ou qui s’en accoutumera ou un enfant-gâté « (je suis un) fumeur de cigares »[31] ou un éternel adolescent ou cet égoïste qui croit que, sans payer ce qu’il devrait payer, il peut assister à des cours donnés par des gens n’ayant pas à rougir de l’éducation qu’ils ont reçu, ou bien est-il celui qui faisait semblant d’être un crétin (mais qui n’a pas besoin de faire semblant puisqu’il l’est) et qui veut encore une fois savoir pourquoi un enfant ou un jeune n’a pas le droit de se droguer et qu’il se soit assis pour se l’entendre dire par celui qui remplace au tableau ou sur l’écran son père qu’il n’a peut-être jamais eu de véritable et qui sinon aurait dû l’élever correctement ?

 

C’est à moi le pharaon qui a des millions, voire des milliards de milliards et à l’infini de dossiers en retard sur tous les sujets à traiter, d’avoir, encore une fois, à mettre en priorité ce qui vient de se passer à mon réveil pour y réfléchir deux journées entières en repoussant les urgences comme à avoir à devoir m’exprimer ici d’indignation, pour m’empêcher (car je ne crois pas que cela serve de frapper ou alors seulement en dernier recours et après avoir épuisé toutes les voies les plus civiles) d’aller tirer les oreilles de cet âne publiquement, puisqu’il est venu m’outrager pour me conduire, une fois de plus, à devoir remettre les pendules à « l’heurte » !

 

Pourquoi pour les drogues et/ou les médicaments (ayant été considérés comme tels au sens étroit ou plus resserré) il faut un conseil ou une ordonnance de personnes qui se sont instruites comme moi au plus haut niveau de responsabilités ? Et donc pourquoi ces fumeurs de hachich qui ne sont pas Baudelaire, sont dans l’illégalité ?

 

Tout simplement parce que Dieu ou le Grand Architecte de l’Univers a fait découvrir ces substances une par une tout au long des siècles, comme en avait très bien eu l’intuition sir Fénelon et qu’elles étaient disséminées dans la nature pour « soigner » (et non rendre malade) par des spécialistes qui ont pu, au cours de leurs études, les comprendre (notemment ces derniers temps par des doctorats à leur sujet) et découvrir à quoi elles peuvent servir.

 

En général, il s’agit de chimistes ou de pharmacien ou de médecins (c'est-à-dire de personnes qui ont de nombreuses années d’études derrière elles, bien que cela n’ait jamais exclu de ces recherches des enfants de deux ou trois ans ou qui le redevienne comme dans le film drôle américain où des parents se retrouve bébé). Ils ont donc passé leur existence, parfois avec l’aide de quelques cobayes ou sur eux-mêmes, à étudier les effets de ces plantes ou ils ont recueilli les témoignages de ceux qui les avaient ingérées.

 

Aussi, il n’y a que ces personnes qui sont devenues un peu spécialistes de la question (mais dont le champ des recherches ne doit pas se limiter à ces spécialités car elles savent que ce n’est qu’en dernier recours qu’elles doivent soigner avec des médicaments ou des drogues) qui, parce qu’ils se sont délivrés de l’égoïste, du mal élevé, de l’enfant-gâté ou des autres tares qui vont toucher l’enfant-gâté ils avaient/ont/auront le droit d’en prescrire pour calmer des souffrances, mais en veillant à ce que jamais les patients n’en deviennent accrochés[32]. Ce n’est que quand elles ont épuisé toutes les autres possibilités ou alternatives qu’elles prescrivent des substances qu’on peut trouver dans les médicaments ou dans certaines drogues, car si la personne devient véritablement malade et qu’elle s’est habituée à divers médicaments ou drogues ou somnifères tous les autres ou tous ceux qui auraient pu convenir seront sans effet ou alors pas comme il faudrait.

 

Ce qui signifie que pour avoir accès à ces substances qu’on appelle « drogue » ou « médicament », il faut avoir une « autorisation » comme donc une sorte de « dérogation »[33] (le synonyme d’« autorisation ». Aussi on aurait pu appeler ces drogues des « ttrst » ou « tristes » « (au)t(o)tr(i)st(e)s », puisque avoir à demander une « autorisation », c’est parfois une chose effectivement « triste », car cela signifie qu’il y a des personnes qui ont acquis cette autorité de droit à les accorder ou cette tristesse là – il s’agit de tous ceux qui sont devenus de véritables pères ou de véritables mères de famille[34] – en général cela a été les patrons ou des chefs ou les supérieurs ou des souverains – mais parfois avoir à en demander une, comme celle de s’asseoir, peut être une chose gaie, mais seulement à la condition qu’on ne s’assoit pas en croyant avoir acquis ce droit et en pensant faire semblant de le demander comme cela a été le cas, puisque c’est avec ironie – en croyant être chez soi[35]  et sans attendre la réponse ou en profitant de mon sommeil que cela avait été demandé – comme si une personne qui dort pouvait s’intéresser à ce qui peut se passer dans une quelconque de ses[36] salles situées à des années lumières de là où il est dans le sommeil – aussi c’est vraiment « manque de respect » si la question lui a été adressé à lui personnellement (les personnes ne s’étant pas adressées à un autre que moi ou à un de mes représentants), puisque ce n’est pas respecter le mot de « sommeil », ce qui a été donné pour le « repos »  et en oubliant en égoïste que soi-même n’apprécie pas que quelqu’un vous réveille de ce qui permet de recharger ses batteries, comme pour ces accumulateurs à l’intérieur des téléphones sans fil ou mobiles qu’on place sur une base à cette fin – la personne qui dort est un être humain et pas seulement un téléphone sans fil – cela signifie que l’être humain c’est infiniment plus complexe que cela - d’autant plus que dans un ou deux cas, peut-être trois, il sont devenus comme ces très rares personnes : une œuvre d’art véritable[37] - ou un objet qu’on peut, sans prévenir, sortir de sa base comme maltraiter – cela signifie qu’il y a des égards à avoir, d’autant plus qu’elle aura à faire les efforts pour savoir où elle se réveille, se situer dans le temps, rassembler toute sa mémoire – on ne sait pas où elle était durant le sommeil – aussi c’est en raison du fait qu’on ne sait pas, comme parce qu’il existe ici le principe de précaution, qu’il vaut mieux ne jamais réveiller, même un serpent qui dort, d’autant qu’il peut s’agir de Dieu, à ce moment-là, déguisé en serpent ou du Grand Inspecteur ou d’un envoyé bien qu’en général se soient d’autres animaux dans lesquels ils se cachent. Essayez de réveiller un chien sans être son gentil maître attentionné qui a l’habitude de le nourrir depuis longtemps ou comme devenu son frère et vous verrez s’il n’avait pas le droit ou le devoir de vous mordre ou de vous rappeler que vous aviez à le respecter ! La personne qui se réveille doit bénéficier de toutes les conditions les plus agréables pour qu’elle ait envie de reprendre la place qu’elle a dans la société ou qu’elle cherche à avoir (une promotion qu’elle recherche pour une augmentation de crédits en raison de charges qui pèsent sur elles ) au sein de la civilisation : il y a des personnes qui n’ont pas seulement l’ambition d’être des déserts ou des spectateurs à instruire, mais qui ne retiennent rien, car infertiles, stériles[38], mais qui ont à l’inverse à se former pour être de celles qui auront à réagir ou à participer[39] ou qui se sentent plus responsables que d’autres ou qui ont des émissions ou des choses à réaliser ou à construire ou à élaborer qui sont bien plus difficiles à faire que ça – aussi le respect est de rigueur à leur sujet – elles n’ont pas choisi de se profaner  ou de se rendre sacrilège d’elles-mêmes qu’uniquement à divers moments, que parce qu’elles n’avaient pas d’autres possibilités – c’était donc canonique de le faire - et si on retire ce « e » accent aigu qui est après le « d »[40] et qui est venu à cause des époques historiques du passé, cela se disait donc « drogation »[41] et non « dérogation », comme si ce « é » avait été avalé. Aussi ce n’est que grâce à une « dérogation » médicale qu’on peut avoir une « dérogue » ou « drogue », et si celui qui est là arrive à enfin comprendre avec ses camarades dans son nuage de hachich qui l’a rendu aussi vulgaire et impoli ou même une insulte vivante à l’humanité entière, puisqu’il se prend pour un « réma »[42] que la part encore intelligente de lui-même le savait et le lui rappelle (son pharaon), il découvrira alors qu’il ne se conduit qu’en l’un des parasites puisque les drogues n’ont acquis le droit légitime d’exister qu’uniquement pour des gens sensés et conseillées par des gens de bon sens (non des fous, non des inconscients, non des irresponsables – d’où, à ce sujet, la nécessité de recourir à des personnes qui auront à en répondre au magicien d’Oz).


D’où parce qu’on ne peut avoir accès aux médicaments ou aux drogues que seulement avec une « dérogation »
[43] car l’Etat doit veiller à la santé de ses membres, le fait que ce commerce est nécessairement contrôlé ou sous l’autorité de patrons des entreprises de pharmacie qui sont reconnues elles aussi par le caducée d’Hermès Trismégiste (le véritable pharaon des palais d’Oz) et par les gendarmes ou les policiers qui ont compris qu’ils ont à veiller à ce que ces plantes atteignent les laboratoires patentés et n’aillent pas vers un marché noir qui risque de procurer ces substances à des personnes qui en deviendront accrocs et qui ne seront alors que les ennemies d’elles-mêmes, puisqu’en croyant pouvoir enfreindre les lois justes et bonnes et qui ont permis de les élever au moins pour en faire des personnes aidantes de leurs parents ou grands-parents ou de leurs amis et donc à d’autres moments sympatriques et non des provocateurs et des personnes aussi minables (car évidemment pour le devenir, elles n’ont recherché qu’à devenir de ces ignorantes et n’ont pas même commencé à réfléchir sur les mots et par conséquent se sont fait avoir par des « semblables, des frères »ici pour le moins des imbéciles ces fréquentations auxquelles elles s’assemblent et s’accoutument, parfois – c’est le pire - en se prenant pour un « parti politique » - comme si ceux qui ne disent ou ne pensent que des inepties pouvaient être d’une quelconque utilité à l’Ensemble[44] - qui les ont tenté ou qui leur ont fait croire qu’ils pouvaient enfreindre ces justes lois pour s’empoisonner avec ces substances qui à d’autres moments sont bonnes pour la santé, mais seulement quand on a eu très mal, du genre après un choc ou un accident dont on est victime et pour calmer la douleur et aller mieux – mais aussitôt après être remis, comme grâce à un peu de whisky qui peut faire du bien au cœur ou une eau de vie ou un autre alcool qui permettent eux aussi de se sentir mieux, il faut arrêter car sinon on devient addict ou drogué (au sens d’« habitué ») et cela signifierait qu’on a obtenu l’autorisation médicale ou des médecins qui représentent pharaon.

 

Or pharaon sait qu’on n’a pas le droit de prescrire ces substances que seulement pour des raisons d’urgence médicales et c’est pourquoi l’ensemble des gendarmes ou des policiers ont ordre de mettre la main sur les dealers ou sur ceux qui d’une façon illégale propose ces drogues dont les plantes ou les composés chimiques sont assemblés dans des laboratoires pharmaceutiques à des dosages contrôlés par des personnes qui savent qu’elles ont à organiser le travail pour conditionner ces produits ayant fait l’objet de nombreux tests et qui servent normalement à chacun de ces véritables médecins qui ont fait infiniment d’études comme pour cela des centaines d’heures de mathématiques et de chimies et d’autres sciences et qui sauront, par exemple, les administrer correctement à une personne souffrante. Il n’y a donc qu’elles qui savent au cas par cas, ou alors tous ceux qui se sont intéressés à toutes ces sciences et par conséquent à rechercher le meilleur mode d’emploi pour éduquer, puisque cela va avoir à faire avec l’école, avec les heures des programmes scolaires et donc avec des accumulations de savoirs divers et des investissements faits par des familles à titre privé, mais aussi avec des participations de l’Etat, dans une certaine mesure.

 

Prenons l’exemple d’un médicament ou d’une drogue : les substances qui permettent de créer l’anesthésie. Tous ceux qui sont allés chez un dentiste se faire soigner une carie savent que l’anesthésie rend supportable la douleur. Il n’y a que le dentiste qui a été reconnu par ses pairs, c'est-à-dire par l’ordre des médecins-dentistes, car il est sensé avoir au moins acquis (c’est une sécurité pour le patient) toutes les connaissances médicales d’un baccalauréat + cinq ou sept à neuf années d’études (suivant les pays ou les régimes scolaires ou les spécialisations) pour avoir le droit de penser que dans le cas de cette carie là (un cas totalement différent de la carie d’à côté et qui le sera totalement différent de celle d’une autre mâchoire - chacune signifiant des choses précises pour un véritable savant - même si c’est sur la dent qui est placée à cette place), il peut recourir à l’anesthésie (ce qui sous-entend que dans un autre cas, il n’a pas le droit ou qu’il vaudrait mieux pas – mais bien sûr, (y compris par compassion pour les faux dentistes qui comme d’autres faux médecins n’ont pas acquis la main des véritables médecins-dentistes – aussi il vaut mieux éviter des souffrances inutiles et se montrer encore une fois charitable envers cette engeance de vermine qui se fait passer pour dentiste et qui ne sont que des charlatans déguisés ou des voleurs, ayant appris ou espionné les techniques pour réussir à avoir un cabinet et rechercher à l’utiliser aussi à d’autres fins : comme par exemple pour récupérer l’or dans votre mâchoire – aussi il a fallu mettre au points des alternatives moins précieuses – ou en profiter pour faire la traite de vos filles ou des patientes ou les mener à se prostituer, car ils ont obtenu l’argent pour s’établir en dentiste par les circuits d’argent sale, et à cette fin ! – ce seront ceux qui ne sont que capables de vous anesthésier car sinon, ils savent qu’ils ne vous feront que mal puisqu’ils sont incapables d’avoir la main qu’il faut pour opérer sans l’anesthésie sans faire trop mal, aussi depuis, ils sont sûr d’avoir du succès) comme le savoir médical véritable s’est perdu, de nombreux dentistes ne sachant pas dans quel cas ils sont, préfèrent eux aussi anesthésier (car ils n’ont pas appris comme les premiers ou très anciens dentistes) et donc cela va faire croire à celui qui vient d’être soigné que de toute façon on va recourir à cette drogue de l’anesthésie (mais nous dirons de nos jours pour être plus exactes : « médicament » ou « médecine », des synonymes, car dans ce cas les principes chimiques développés dans cette drogue – car il faut avoir obtenu l’autorisation pour avoir le droit d’en avoir dans le cabinet dentaire ou ailleurs – sont curatifs et donc médicaux), dont il vient de commencer à prendre l’habitude pour le tirer d’affaire, la fois d’après. Ce qui est mauvais comme façon de voir les choses, car il devrait être fier d’avoir pu être soigné, sans avoir contraint toute la société à faire cet effort pour lui permettre de moins souffrir, étant donné que s’il a un problème à une dent cela vient très certainement d’une autre raison ou du fait qu’il y a des choses qu’il n’a pas réglé dans sa vie ou qu’il a des répercussions de l’existence de tous les malhonnêtes ou qu’il l’était ou pour d’autres milles raisons qu’il pourra rechercher avec son psychanalyste d’autant plus s’il est devenu un égoïste, un enfant gâté ou un adolescent !

 

Aussi toutes les substances qui servent à fabriquer les drogues ne peuvent être confiées qu’à des esprits mathématiciens ou des chimistes (en un mot des gens de sciences, ce qui signifie évidemment des gens pourvus d’une conscience, car tous savent que « sciences sans conscience n’est que ruine de l’âme »[45] mais ne comprennent pas cette vérité car d’une part ils ont perdu leur conscience en en devenant des menteurs et d’autre part  ne savent pas très bien ce qu’est un esprit scientifique) de personnes devenues réellement des adultes et des responsables comme c’était le cas de tous les véritables pharmaciens.

 

Et donc s’il y a un marché noir qui permet de se procurer ces plantes ou ces drogues cela est très dangereux pour ceux qui vont y devenir client car même si les produits sont moins chers, il faut réellement avoir été diagnostiqué comme « malade » par des personnes infiniment instruites en vérité et en sciences exactes et qui se sont établies en tant que véritables médecins ou praticiens – parfois ils ont aussi fondé une famille – pour avoir le droit d’administrer ou de conseiller ou de prescrire une des drogues ou des médicaments à ingérer.

 
Cela signifie que les médecins, chacun des médecins (
ou leurs équivalents – en général des personnes qui ont fait dans d’autres domaines autant ou plus d’études qu’eux, mais qui vont demander en général un avis à un camarade qui s’est spécialisé dans la partie – catégorie – sous entendu médicale) pour avoir le droit de donner/prescrire (voir les synonymes) un médicament car ces personnes sont alors contraintes de déroger à un principe sacré qui est de réussir à soigner sans l’aide des médicaments (au sens de formules chimiques qui sont conditionnées comme telles – capsules, etc.) ou de drogues. Ils doivent donc « droguer » ou déroger à la règle, d’où le nom de « drogue ». La règle étant par exemple de soigner quelqu’un en lui donnant un travail à faire ou une chose utile pour l’Ensemble : en général d’essayer de faire en sorte que la personne aille vers des occupations qui lui permettront d’accéder à l’argent propre : il en sera fier ou il sera fier de pouvoir passer à un endroit et de se dire que les fauteuils dans lesquels les futurs véritables étudiants en médecine s’assoient, c’est lui-même qui a aidé à les fabriquer en ayant dérogé à la règle des paresseux qui est celui du far niente ou de s’abandonner à la dolce vita, en drogués : enfin au contraire, en s’étant mis au travail pour tous !

 

C’est le début alors de l’apprentissage dans les métiers dits « manuels » de tous ceux qui n’avaient voulu que faire parti des ignorants, au mauvais sens du mot, ou des loubards.

 

Vos ciaï …

 

 

[1] Sauf, évidemment, si les prix des médicaments, devaient être sur les marchés officiels, hors de la portée des bourses des indios, ce qui est peu probable, à moins d’ententes monopolistiques difficilement crédibles pour cette industrie de salut publique.

[2] De « à première vue » ou de « à premier entendu », « à première langue » « à premier goût », « au toucher », etc.

[3] Car il existe ce mot dans son sens positif.

[4] Mot formé à partir de Rogations qui signifie aussi des autorisations ponctuelles.

[5] Ce qui induit des investissements financiers considérables et l’exigence scientifique proportionnelle qui ne peut être efficace qu’une fois acquise la conscience, sinon cela ne sera que « ruine de l’âme ».

[6] S’étant délivrés de l’enfant-gâté, de l’adolescent ou de l’égoïste à jamais.

[7] Ou peut-être même à …

[8] ou dans un cas semblable : une occurrence du même ordre ou appartenant à la même catégorie : or le cas d’Antonin Artanud est unique et ne ressemble pas au cas d’un de nous : il a donc eu très certainement à passer de nombreux examens ou tests à l’occasion de son séjour auprès de ce peuple appartenant encore, à cette époque là, à une très haute et très ancienne culture infiniment respectable.

[9] Il s’agit d’un élément qui en étant éjecté ainsi signifie qu’il a fait plus chaud que la normal à l’endroit en question.

[10] Le crime avait donc été plus immense qu’immense sur Isis et l’histoire d’Osiris était vraie.

[11] Epoque, temps.

[12] Mais j’ai présenté cela comme des exercices préparatoires au droit d’enseigner ou de transmettre. « How many works must a man … before you ca call him a teacher”, comme dirait la chanson vaguement référentielle.

[13] Au sens négatif (qui ne va pas bien).

[14] Il y a de quoi avoir honte dans des cas semblables (ou d’autres) d’être sous médicament ou d’avoir besoin d’une « drogue » pour survivre, quand il y a tellement de solutions élégantes de proposées pour s’en passer.

[15] Au sens négatif de ce mot car il peut être bon, dans certains cas, de s’accorder des bonnes choses.

[16] A moins de s’en être délivré à jamais. Alors les effets sont salutaires pour ce qu’on appelle les drogues très légères qui permettent même de rire de bon cœur. Mais bien sûr celui-ci peut s’atteindre autrement, à force de tristesses, salutairement par esprit de contradiction.

[17] Quel peut donc être ce faux médecin ou cet usurpateur (imposteur serait plus juste ou cet « ignorantus-ta-tum » au mauvais sens de ce mot) qui a cherché à les rendre à ce point mal élevés et malades, à leur ruiner la santé, à les rendre à ce point inconscients, à leur manquer de respect pour faire d’eux des salauds et leur masquer la réalité ou la vérité en me contraignant à devoir prendre (ainsi qu’à tant d’autres) tant de peines pour  tenter d’y remédier, par l’usage de la raison, de démonstrations, de sacrifices véritables, de la pédagogie, de la vérité ou des véritables sciences ?

[18] Des lieux infestés de microbes.

[19] C’est le cas de tous les barbares ou de tous les envahisseurs ou de tous ceux qui imposent leur présence, ne sachant pas être discrets ou qui ont contraint des gens discrets d’habitudes à devoir se fâcher ou à être des personnes reconnues universellement, étant donné que la situation devenait, avec ce genre de folie ou d’insouciances, si grave et que les mœurs de ces sombres individus généraient les pires maladies décrites avec forces détails à travers les siècles (vérifiées en ce dernier siècle comme génétiquement et sexuellement transmissibles), ce qui a inspirait des auteurs comme Murnau avec son admirable Nosfératus.

[20] Ce qui signifie déconseillées, à proscrire, à éviter pour éviter ces dépendances ou ces accoutumances nocives puisqu’handicapant les raisonnements donc à l’origine du « perdu » ou du « fou ».

[21] Et à cause de cela méchant.

[22] Ou êrèr ou rr (pour mieux rejoindre le RER à Paris !)

[23] Ou, à la longue, une fois dans les mœurs, « sroner »

[24] De profil. C’est pourquoi seuls ceux qui savent écrire en vérité ou qui avaient l’intention de finir par y parvenir avaient le droit à un siège.

[25] Mais les rois, les tzars ont été bien trop socialistes ou communistes avant l’heure puisque de tels grossiers personnages croient en avoir acquis le droit, et peut-être même sur des fauteuils qui n’existent que pour faciliter les labeurs ?

[26] Ayant eu des difficultés pour s’insérer ou trouver une activité qui exige de faire parti des personnes qui pensent en vérité. Ils ont donc acquis le droit de travailler à ce genre d’activités en menteurs ou grâce à elles, à force de s’occuper d’une chaise à porter de çi de là, sur la voie d’enfin bien faire, comme ceux qui sont chargés d’étendre le linge.

[27] Puisqu’il s’agit dans certains cas d’une large fenêtre sur un art véritable.

[28] Encore une fois ici pour rappeler combien chacune des personnes déportées ou martyrisées l’ont été infiniment injustement puisque chacune contenait des trésors de connaissances les plus diverses (des quantités innombrables de bibliothèques de savoirs) et n’étaient bien évidemment pas seulement affiliées à la religion à laquelle on a cru improprement qu’elles ne l’étaient en raison des heures où elles avaient recherché à s’en rendre digne ou même seulement aux connaissances liées à leurs métiers, mais également chacune, ce que recelaient tous les temps intermédiaires vécus entre religion et occupations diverses dont le travail ou la fonction. Aussi ceux qui passaient la frontière avec la carte d’identité donnant des informations n’étaient évidemment pas que les mots  inscrits qui les désignaient mais pour l’Ensemble de ces souverains éclairés qui avaient institué l’état civil ou ces registres cadastraux, ils comportaient les mêmes virtualités que les êtres humains les plus accomplis (ou eux-mêmes) ou des « personnes » au sens Ulyssien (Homérien) ou Bergmanien du mot, avant même d’être résumées ainsi par des mots concernant la facette administrative de l’individu (une des nombreuses et multiples autres facettes, puisqu’il y a toutes celles liées aux histoires d’amour qu’on retrouve dans la taille des diamants des bagues de fiançailles, une des composantes de chacun) pour faciliter certaines statistiques utiles, par exemple, pour prévoir combien de personne étant de passage à l’intérieur du pays pratiquant la coutume de ceux qui ne mangeront pas de porc (des soucis de gens instruits ou de souverains), donc par soucis d’hospitalité ou pour permettre de gérer plus facilement la situation générale infernale issues de cette division qui remonte à si loin, à l’origine, et qui avait donné la solution élégante des cartes d’identité ou des fiches, mais qui visiblement étant si incomplètes que cela m’a donné l’idée dans les années 1965 et les années suivantes de créer, par esprit de contradiction et pour améliorer les choses les blogs ou sites Internet personnels ou l’accès des douaniers ou des personnels les plus minables ou médiocres chargés de vérifier les papiers des gens pour qu’ils puissent vérifier qu’il y a au sujet de ces personnes des montagnes de documents et de travaux des plus exigeants et des plus difficiles se rapportant à des mondes concerts ou véritables dont ils se  sont rendus les auteurs, ce qui leur permettrait, m’étais-je dit, de finir par comprendre qu’une personne qui est affiliée à une religion est donc reliée à une masse de savoirs ancestraux et de monuments qu’il ne vaut mieux pas prendre à la légère d’autant plus des peines qu’ils représentent, ce qui signifie qu’il est inconcevable de persécuter ou même de martyriser les représentant d’un mot dont on est totalement dans l’ignorance à ce point (« handicapé », « franc-maçon », « tzigane », « chrétiens », « juifs », ou les autres artistes ostracisés, en raison de folie collectives croyant possible accuser un groupe ou généraliser alors que chacune des personne est totalement différente et que nous sommes sur une planète où chacun est un cas médicalement suivi au point qu’on tente de soulager cette personne ou cet animal d’une douleur ou d’un mal qui est compris comme ayant eu lieu à un moment donné dans une chronologie personnelle qu’on retrouve aujourd’hui illustrée sur les pages de Facebook – la personne étant chacune des actions en question qui sont exposées mais aussi toutes celles dont on ne sait rien encore, par conséquent en devenir ou en progression à la recherche de différentes choses qu’elle partage, certaines d’entre elles comme des dons les plus rares – mais voyez-vous ça, ce que n’importe lequel des chefs d’état ou des rois savaient au sujet de chacun de ses sujets considéré comme virtuellement l’un des plus grands artistes potentiellement, ces moins encore que minables de grognards en d’ignorants ou grossiers personnages croient pouvoir se moquer du nom de famille de personnes qui n’ont fait que considérer chacun d’entre eux et rechercher pour chacun la prospérité ou l’accès au savoir ou mieux encore à l’amour avec un grand A, c'est-à-dire l’accès à la connaissance absolue – et voyez-vous ça celles-ci continuent à ne pas y croire ou à se profaner ou même à se délecter des plus vils ou ignobles sacrifices, comme celui du poulet de la poule-au-pot parce que les œufs ne leur suffisent plus et qu’ils n’ont pas su pourquoi seul le roi, en ces temps là, avait le droit de manger cet animal ou de chasser le cerf ou le renard avec la meute quand cela était prescrit par les conseillers ou véritables médecin en ces époques-là où l’ignorance était si grande qu’il fallait charitablement, pour permettre de donner une occupation que croirait utile l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, se dévouer et accepter de prendre la peine de manger la dinde de Noël, seulement, en réalité pour d’autres raisons secrètes) d’autant qu’il se rattache à tant de matière grise et de virtuelles pensées ou d’élaborations bienfaisantes qui sont d’une autre nature que celles qui consistent à faire des cafés ou des thés, ce qui est encore une fois, comme balayer, à la portée de la quantité innombrable de personnes qui se sont refusées à se rendre capables de mieux pour élaborer, par exemple les plans de lieux qui sont faits pour durer et qu’on ne peut pas proposer standardiser ou sur le même moule uniquement pour ne créer alors que l’ennui dans ces quartiers ou chez ces personnes qui y vivront comme dans des cages à lapin, bien que cela soit déjà beaucoup mieux, dans les régions froides, que coucher sous la tente ou à la belle étoile, bien qu’avec un bon sac de couchage imperméabilisé cela ait un peu changé (mais il y a à partir d’une certaine durée de cette vie là ce qui rendra cette solution élégante de fortune ou pour des vacances dangereuse pour la santé de l’individu en raison des saletés : pourquoi voulez-vous condamner des gens qui pourraient être vos frères à ces risques en augmentant le prix du pétrole, ce qui a créé la paupérisation ou la misère alors que sinon ces personnes auraient un chez eux et pourraient se sentir utiles ?) .

[29] Des saints ! Sauf tous les professeurs infiltrés et faussaires (hélas si nombreux puisqu’ils n’ont qu’à réciter ce qui a été si difficilement cogité ou écrits par les personnes les plus sensées en ces manuels comme celui de Lagarde et Michard ou ces dictionnaires ou encyclopédies qui sont des trésors de patiences qu’on ne pourra visiter qu’avec des gants ou en ayant pris le soin de plastifier les pages pour plus facilement les nettoyer – il a fallu toute l’histoire de l’imprimerie pour n’inscrire ou ne chercher qu’à publier les choses les plus belles et les plus vraies et voilà que des menteurs ou des personnes qui ne croient qu’à un mot qui ne représente que tout ce qu’il y a de plus répugnant ou plus abjecte, de plus vil ou de plus sale, veulent qu’on publie leur texte se moquant de la femme ou d’Isis, sur du papier, autre invention ou solution élégante).

[30] ou èrême en verlan : mar(r)és – j’ai ajouté un « r » car il y en a …

[31] Voir Serge Gainsbourg.

[32] De « accrocs », addict en anglais.

[33] De « dé » +« rogation » ou « d(é)rogation » - notre époque est habituée au diminutifs ou au mots raccourcis. C’est ainsi par exemple que la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale devient le mot Nndim ou NNDIM. Par exemple, une dérogation est obtenue pour celui qui « reste dans son lit douillet, le jour du quatorze juillet ».

[34] Souvent des rois ou des reines ou des princes ou d’autres mots admirables qui n’ont pas besoin de porter une couronne comme Liliam Gisch dans La Nuit du Chasseur.

[35] Alors qu’on est visiblement entré dans une de mes chambres puisqu’on s’adressait à moi pour obtenir ce droit de s’asseoir.

[36] (puisqu’il est le pharaon(s) et qu’il est la Grande Maison, c’est bien chez lui partout : il est normal qu’il ne puisse pas tolérer ce qui est inconcevable : que des gens s’empoisonnent avec des drogues ou autres substances nocives et/ou se rendent dépendantes de l’ineptie dans un des lieux de son palais)

[37] Et non de grossières et vulgaires et abjectes et/ou voraces parodies au point que j’ai eu à cause de cela à demander à un des architectes de mon père et ma mère, sir Peï, de choisir de couvrir de  losanges ou de dents de canines, la pyramide du Louvre, pour être sûr qu’elle ne déplaira jamais aux tyrannosaures, aux requins, aux ours, aux tigres, aux lions et aux crocodiles puisqu’ainsi revêtue de ces écailles elle incite à jouer à scopa pour avoir le sept de carreau et les « ori » et qu’elle fait peur à toutes les autres espèces.

[38] Pour l’instant, espérons qu’elles veuillent changer.

[39] Elles ont finalement changé, depuis le début de la phrase.

[40] Il s’agit du mot « dérogation », j’en parle just’après.

[41] Enfin, j’y viens : mon propos.

[42] Le néologisme de plus haut. Il est donc utile.

[43] Provenant de personnes qui risquent gros car elles peuvent être responsables de catastrophes ou de rendre une personne addict, ce que leur bon sens devrait leur interdire, de même qu’il y a des personnes qui devraient regarder moins la télévision, cette dose ne les rendant que spectateurs et donc consommateurs ou comme drogués. 

[44] Voyons !

[45] J’ai vérifié que c’est une phrase vraie en absolu. Point de salut sinon pour ceux qui oublient que c’est aussi ce mot, (la conscience), qui est en relation avec le « cœur », ce qui doit donc interdire naturellement certaines pratiques ou façon de faire – comme l’usage de cobayes qui pourraient avoir à en souffrir plus que ce qui est tolérable. Aussi cela interdit d’espionner à l’insu et sans autorisation, mais permet seulement l’esprit scientifique d’observation qui n’est que connu pour sa discrétion.

(à suivre)

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