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Les dogues dérogent aux drogues ?
A l’impératrice Florence Loewy
en souvenir de certains rires à Fès,
je dédie avec reconnaissance ce
texte à mon père,
les pharaons Jean-Luc Granier.
A
Pesho, José Martinez Ruiz,
pour l’encourager dans le film qu’il réalise
pour dissuader de vendre des drogues illégalement[1]
au Mexique.
Ce marin …
pardon … puisqu’il faut commencer par une note d’humour : ce matin, on me
réveille et j’entends que dans une salle inconnue de moi, dans laquelle je ne
suis pas, puisque je suis dans mon lit, la voix d’un jeune homme vulgaire qui se
vente de prendre place (peut-être
au premier rang ?) en persiflant ou en faisant
semblant d’être poli. Cela me rappelle aussitôt tous les mauvais élèves qui
entraient avec moi dans les salles d’universités des premières années d’après le
baccalauréat et qui appartenaient à des syndicats : il s’agissait de ceux qui
ont dû renoncer à aller jusqu’au bout et qui croyaient même pouvoir fumer, comme
moi, du tabac en cours ! Mais à l’époque, dans les années 1980, il n’était pas
encore interdit, puisqu’il s’agit d’une loi juste qui veille à la santé de tous
dans les lieux publics, pour éviter de rejeter ces substances nocives et
polluantes et pour que ceux qui ne fument pas, qui sont en bonne santé, ou sains
de corps, le demeurent d’esprit et ne soient gênés par ceux qui ont pris cette
mauvaise habitude qui avait été reconnue officiellement comme telle dès la fin
du XIXème siècle – mais certainement avant aussi par les gens plus
avisés - dans de nombreux articles de journaux médicaux : très vite, on s’est
aperçu qu’avec cette drogue, il y avait un risque d’accoutumance –
ce qui est l’une des
caractéristiques ou des dangers du mot de drogue ou de médicament
- comme avec l’autre qu’est l’alcool (car
à cette époque là, grâce à l’invention du microscope on commençait à savoir
pourquoi très précisément et c’est pourquoi on a fait inscrire sur les paquets
de tabac les composants des ingrédients que celui qui fume ou inhale va mettre à
l’intérieur de son corps (des
substances toxiques et donc nuisibles à haute dose)
ou à l’intérieur du corps des autres par le truchement de la respiration des
autres ou par leur nez (ce
qui n’est pas très aimable ni souhaitable, bien que parfois, il est vrai,
l’odeur du tabac soit agréable, à premier reniflement ou « à premier nez »[2]).
Aussi les véritables pères de famille et les véritables médecins ont alerté à
l’époque les gens en donnant ces conclusions scientifiques issues de leurs
recherches: mais comme d’habitude, les ignorants, au mauvais sens de ce mot[3],
ou ceux qui voulaient se prendre pour des médecins et qui n’étaient que de vils
petits charlatans de pacotille n’ont rien voulu entendre et ont même prétendu le
contraire longtemps : qu’ il ne s’agissait pas d’une « drogue » (évidemment
ils n’avaient pas la connaissance des mots et mentaient car ceux qui la
détenaient, les véritables médecins, et non les imposteurs, savaient que le
tabac était une « drogue » puisqu’ils savaient l’histoire de cette plante et
qu’il fallait qu’elle soit prescrite ou autorisée par un connaisseur ou qu’on
obtienne une …« rogation[4] »),
et même ont voulu dire que ce n’en était pas du tout une, car pour eux une
drogue, c’était le hachich ou le
kif ou l’opium,
mais pas le tabac. Or le tabac comme quelques alcools ou des vins précis sont
des drogues puisqu’il s’agit de produits qui ont pour base une plante qui ne se
donnait que sous prescription médicale, d’où le nom ancien de « drogue »,
c'est-à-dire le mot actuel de « médicament » à l’époque de
la Renaissance en Italie ou en France et
seulement dans un ou deux cas (dans
quelques situations particulières estimées par des personnes renommées –
évidemment s’il y en a qui
espionnent, ces espions vont croire que ça marche à tous les coups et vont donc
vouloir généraliser l’idée obtenue en la volant, d’autant plus que le médecin
aura recours parfois à cette généralisation, puisqu’il a remarqué que cela
marche comme l’aspirine, à tous les coup, ou seulement comme dans un autre cas
dont il se souvient, sur la base d’années d’expériences médicales : donc de cas
étudiés par ses soins, bien qu’il touchera quelques personnes dans le temps
– aussi elles diront que
c’est bon à ingérer ou à inhaler pour ce dont est victime notre malade, mais ces
personnes, nous l’avons vu, ne s’appuient que sur de véritables savoirs et ne
vont recourir au conseil du tabac ou d’autres substances nommées « drogues » que
dans des cas précis et encore moins invoquer bêtement le nom d’un médicament qui
leur passe par la tête s’il n’en voit pas l’utilité, d’autant que le malade qui
a entendu des bruits circuler croit peut-être des choses vraies au sujet de
cette drogue (puisqu’il
faut une autorisation)
dont n’a pas encore entendu parlé le médecin. Mais peut-être ces bruits sont
infondés ou fondés, cela sera à déterminer, d’où le principe de précaution, la
nécessité du doute et des tests et contre-tests[5]):
on l’a donné par exemple à une reine de France au Palais du Luxembourg à fumer
quelques jours seulement et elle a pu guérir, à l’époque, d’une maladie très
grave – mais dès qu’elle fut guérie, elle ne fuma plus. Si elle sentait que cela
recommençait, elle pouvait y recourir de nouveau. Mais cette plante valait à
l’époque très chère et pour se soigner de ce mal ses parents avaient eu à
dépenser une véritable fortune en or et en diamant pour la faire venir des
Amériques spécialement. C’est une plante qui était utilisée par les indiens à
l’occasion de rituels précis qui concernent donc la sphère sacrée de l’existence
– aussi tous ceux qui n’y ont jamais eu accès, c'est-à-dire les profanes, n’ont
évidemment pas le droit de fumer du tabac ou de se droguer.
Artaud, en
allant chez les
Tarahoumaras,
a été initié à une sorte de drogue qui porte un nom ou peut être un champignon
ou une substance – mais cela s’est passé à la suite d’une immense recherche
personnelle et de peines considérables sur le plan intellectuel et il dit que
cela a contribué à lui donner quelques connaissances supplémentaires (mais
j’ai pu vérifier que celles-ci peuvent tout aussi bien être découvertes
autrement, par exemple à force de peindre, comme certains moines tibétains qui
ainsi arrivent à finalement représenter). Donc cela
ne s’est produit qu’à la suite d’infinies études et d’innombrables textes ou
participations à des œuvres d’art, donc après avoir baigné dans l’Art et
fréquenté de véritables artistes à la recherche de
En effet, je constate dans mes draps que je n’ai convié personne dans cette
salle du début de ce texte (à
mon réveil) dans laquelle il semble qu’on attende
mon intervention (serait-ce
celle-ci que je relis, corrige, en chirurgien ?).
Or, comme je ne suis pas réveillé, et qu’on n’a pas attendu que je me réveille
une fois véritablement reposé, ces personnes impolies n’auront qu’à attendre,
comme dans une salle d’attente. Bien que j’ai à opérer, nous ne sommes pas aux
urgences ! Pourtant j’entends de loin le mot d’« hôpital » ! Pourquoi pas,
puisque depuis que Baudelaire et la
chambre double, elle est pour moi multiple, ma chambre, à géométrie variable
et donc, par ailleurs celle d’un hôpital (ne
l’a-t-elle pas été à l’occasion de chacune de mes maladies enfant ? Quand ma
mère apparaissait comme une muse ou une reine avec le papier d’Arménie qu’elle
faisait brûler : je crois que rien que pour cela j’aurais aimé être
« drogué » de l’odeur de ce papier qu’elle avait fait venir spécialement de
Paris à la pharmacie et qui, délicieux, me redonnait envie de vivre pour l’aider
– en général, je faisais les courses lourdes (les
bouteilles d’eau) – je
crois que cela aurait été la même chose si nous avions été en Inde avec un peu
d’encens, mais nous n’étions qu’à Rome dans ma chambre de Mamamouchi (car
je m’intéressais au Bourgeois Gentilhomme)
et les marchands d’encens indiens étaient encore peu connus à l’époque : c’est
chez eux, plus tard, qu’en Suisse que je trouvais des cigarettes d’eucalyptus
appelées Bidises, d’après deux mots anglais
beedies,
si je ne m’abuse, et non « bêtises », une sorte de mini cigarette alternative à
celles occidentales, dont j’ai cru avoir besoin un moment et que mes parents
appelé « drogue » mais qui s’achetaient alors dans les tabacs de
Ah ! Il va
falloir néanmoins que j’aille boire mon café et me lève ; mais il faut pour cela
aller jusqu’à là-bas ! A propos quand on signale le « H » d’un hôpital pour
indiquer qu’on s’en approche, cela rappelle qu’il est comme partout : durant
l’élaboration de la partie texte de mon doctorat, j’ai même cru que nous étions
dans un mouroir, mais il s’agissait d’u moment de spleen, car évidemment la
chambre est d’une autre nature puisqu’elle cache la vision d’Atlantide qui
pourrait soigner beaucoup de gens devenus malades.
Comme si
je pouvais interdire que dans une salle qui est faite pour accueillir des gens
on s’asseye ! Me disais-je, indigné par tant d’outrecuidance et de libertés
prises de nouveau à mon sujet par un anonyme –
c'est-à-dire une personne qui ne
s’est pas présentée (puisqu’on
venait de me réveiller. Personne au monde, si ce n’est le Grand Architecte de
l’Univers lui-même ou deux ou trois personnes qui savent en avoir le droit et
qui n’ont jamais eu la maléducation d’en abuser –
donc un sacrilège de plus dont je
viens d’être victime – et
je me suis dit, en éternel misanthrope qui a acquis de bonnes raisons de l’être
– il y a de quoi
- puisqu’il n’y eu jamais de reconnaissance, mais seulement tout au long des
millénaires que des preuves continuelles d’ingratitude, de jalousie et de
saletés ou ce genre de sacrilèges en échange, comme depuis tout petit, tous les
matins – « v’là que ça recommence », « v’là qu’il faut que je prenne toutes ces
peines pour ces malades les terriens, des pourris, des gâtés, des salauds, des
satyres, des centaures, des personnes bien plus que méprisables partout et en
tout point en ceux qu’ils sont, des abrutis de préjugés, mais des fois qu’à la
longue cela puisse servir, malgré tout ou pour une seule, levons-nous – aussi
cette notion du « devoir » sans avoir autre chose que la disparition de la
vision d’Atlantide en raison du fait que ceux qui sont coincés dans la vieille
salle des machines ne se sont qu’abrutis que d’inepties en espionnant et ont
puni tout le monde en se punissant eux-mêmes les premiers, puisque cela les a
rendu minuscules en tout – intellectuellement parlant – puisqu’il n’ont plus pu
faire autre chose que faire semblant et se rendre hostiles au genre humain en
l’espionnant, comme s’il devait être coupable de quelque choses -
ou comme s’il n’avait pas acquis
légitimement le droit de faire ces reproches
– d’autant plus qu’il reconnaît honnêtement qu’il est pêcheur et s’en repend par
des actes et des peines qu’il sait devoir prendre - dans le monde de la vérité
ou de ceux qui n’y ont jamais espionné personne mais appris à observer, ce qui
est très différent), en m’obligeant, par esprit de
contradiction, en raison de l’outrage, à paresser quelques instants de plus.
Encore un qui
ne comprend rien et qui croit pouvoir me provoquer. Il se prend pour un réveil
matin, le mal élevé ? J’ai entendu alors comme sonnerie :
« On a le
droit de s’asseoir ? »
Avait-il
demandé de sa voix fausse pour provoquer, comme s’il recevait l’image de ma
personne retransmise et projetée dans une salle décalée de celle où j’étais
sensé être (alors
qu’encore dans mon lit) où il n’y avait bien sûr
personne, mais sur l’écran placé devant lui, comme quand au Collège de France,
il y a trop de spectateurs ou d’élèves à instruire et qu’il faut, en ouvrant une
autre salle, retransmettre en vidéo au
surplus,
dans une autre salle. C’est vrai, j’ai découvert depuis 2005 que j’ai des
proportions immenses dans ma chambre ou dans le ciel de 1975 et donc que
peut-être il s’agit des spectateurs liés à cette époque là, distante de celle où
je me tiens en 2013 (aucun
d’eux n’est encore ici bien qu’ils ne croient), mais
qui ont pris ainsi place dans un espace sans que je n’en sache rien dans
l’époque en question qui n’est pas encore la mienne. Ils se croient, me suis-je
dit, comme dans le poème en prose de M.F. , peut-être comme elle « dans une
salle sous-marine » dans laquelle elle se demandait pourquoi elle y était.
- Comment, tu
ne sais pas pourquoi ? » N’ai-je pas alors eu l’à-propos de lui signifier, y
compris en recopiant à la machine à taper les caractères, son texte, que je
trouvai beau.
- Tu es donc
à ce point inconsciente que tu ne sais ou n’a plus la mémoire de qui t’y a
emmené et que tu as oublié l’objectif d’Intérêt Général qui était le tient,
petite fille sur la photo que tu sais où tu te tiens au ski, devant l’ours blanc
grandeur nature, pour m’aider à soigner les gens de cette planète moribonde ? ».
C’est
normal à cette époque-là, j’avais moi-même eu à oublier que j’avais un objectif
et je ne savais même pas que j’étais le Grand Inspecteur en voyage d’étude sur
une des planètes de cette galaxie, car c’est toujours ce qu’il y a de mieux à
faire pour inspecter une des planètes du Grand Architecte de l’Univers, avant
qu’on ne se détermine d’ailleurs à faire exploser le soleil après ces
inspections: oublier qu’on est l’Inspecteur permet de beaucoup mieux inspecter
et déterminer, le jour où on s’en souviendra de nouveau, tout ce qui n’y allait
pas vraiment et tout ce qu’il faudra mettre au point ou réussir à changer pour
que les choses aillent enfin mieux en bénéficiant de ces inspections dont le
résultat est transféré aussitôt vers le Grand Architecte de l’Univers qui prend
alors les décisions qui s’imposeront au sujet du soleil local à faire exploser
ou pas ou au sujet de la planète (l’envahir pour
la remettre en état; en un mot réagir) et ce que je
comprends qui s’est passé hier, car un morceau de soleil a explosé : une
véritable déchirure s’est opérée : on a très bien fait de la nommer une sorte de
« canyon » qui s’est ouvert d’un seul coup dans le soleil
lui-même, ce qui n’avait jamais été observé comme phénomène éruptif aussi
important : nous avons ainsi une idée d’une autre fissure, plus importante, qui
pourrait aboutir d’un instant à l’autre à l’explosion du soleil : les images
sont très impressionnantes[9],
d’autant que les légendes ou les informations à ce sujet sont édifiantes et pour
ceux qui savent se représenter mentalement ce que cela signifie en nombre de
kilomètres de matières éjectées que l’explosion en question, il y a de quoi
être, si on ne fait pas parti des inconscients, effrayés à jamais :
va-t-on donc recevoir les effets de ce projectile d’autant que quand on sait
qu’un battement d’ailes de papillon dans une rue de Tokio signifie quelque
chose ailleurs, il y a de quoi s’inquiéter de celui qui a causé cela : une chose
aussi importante que diable cela signifie-t-il ? Un signe appartenant à la
catégorie des catastrophes naturelles que le cosmos nous a donné : attention !
Moi le soleil, je vais exploser car voyez, j’éternue : un de ceux que le plus
qu’admirabilissime André Franquin avait su prophétiser : le soleil dégouté par
nos mœurs).
Je me
réveillai en me disant : « encore une fois des gens qui ne comprennent rien, des
mal élevés et qui ne laissent même pas le temps de se reposer des peines
incommensurablement difficiles que j’ai prises la veille pour eux, comme tous
les jours précédents depuis 1965 : ils n’ont jamais rien compris aux
démonstrations qu’ils m’ont pourtant contraint à faire : ils ont même besoin de
se révéler moins encore que nuls puisqu’ils ont besoin de l’auguste qui commente
en détail ce qu’ils auraient dû d’eux-mêmes comprendre. Encore une fois des
enfants-gâtés, des adolescents, des égoïstes qui n’ont peut-être jamais su qu’un
professeur d’université (le
serais-je un jour seulement officiellement ou du moins des différentes
honoris causa que j’ai montré
mériter? Depuis 1965 j’attends. Qui pensera seulement à le proposer pour que les
plus prestigieuses universités me les décernent comme j’ai le droit depuis.
Verrais-je cela avant ou faudra-t-il attendre de voir cela autour de ce qui
devra me servir de tombe par tous ceux qui chercheront à se prévaloir de moi et
qui ne songeront à le faire, une fois de plus, qu’en leur unique intérêt
personnel ou pour se faire valoir comme tous ceux qui citent ou se réfèrent et
jouent aux doctes ? Visiblement il faut que je l’écrive ou que j’en émette le
souhait car j’espère qu’on m’en épargnera l’outrage d’ne faire la demande plus
officiellement (puisque
ceux qui devaient le faire dès mes deux ans et un mois n’ont pensé qu’à
eux-seuls en oubliant leur devoir à ce sujet),
d’autant plus que je n’ai été que cela dans toutes les disciplines et vais-je
continuer à accepter comme alors cet outrage continuel puisque personne, de
lui-même n’a naturellement pensé que c’était son devoir d’avoir à en honorer
l’Académie française ou ces ailleurs – Honte ! – aussi ces propositions pour ces
doctorats qu’ils ont eux-mêmes obtenus n’ont donc finalement servi que les
imposteurs qu’ils sont ayant tardé autant à reconnaître nos mérites et ceux de
l’impératrice, puisqu’avec ceux-ci j’ai sauvé la planète à trois reprises dès
1965, 1975 et 2005. Il s’agit de tous ceux que j’ai bien prouvé mon père, ma
mère et moi-même détenions dans toutes les sciences et catégories, avant même de
naître y compris toutes celles inconnues des terriens pour le moment encore et
cela, à l’occasion de ces interventions alors virtuelles et d’avance dans le
ciel 40 et trente années avant que je n’y sois dans la réalité. Cela donc comme
seul Horus est capable dès ces deux ans et un mois, en raison de l’existence de
son véritable anneau de mariage avec Isis, l’impératrice C. L. ![10])
et que cela ne peut donner à ce niveau-là de compétence des cours qu’uniquement
trois heures par semaine, ce qui est déjà immense comme cadeau car une seule
heure devrait déjà être suffisante et pas plus et seulement à des personnes
ayant une à une franchie toutes les étapes d’une autre nature que ces
incapacités là (mais bien
sûr il peut y avoir des petits enfants passionnés dans l’assistance : il sont
bien venus – eux au moins ne sont pas des malpolis, bien qu’ils aient peut-être
accompagné leurs frères ainés ou leurs parents qui n’ayant pas les degrés requis
(puisqu’ils ont voulu être
de ceux qui involuent au lieu de devenir
sapiens et d’évoluer)
ont cru pouvoir en moins polis que des néanderthaliens s’installer ou s’asseoir,
alors que les chaises ne sont réservées qu’aux personnes d’une autre aire[11]
les méritant, âgées ou aux femmes et aux enfants ou aux personnalités ayant
grandement mérité ou provenant de familles ayant acquis, auprès des rois ou
d’autres souverains infiniment de mérites), étant
donné qu’il leur a fallu toutes les générations de leurs ancêtres, toutes les
années d’études véritablement effectuées, mais aussi toutes les grandes vacances
et toute la semaine pour la/les préparer ou pour faire toutes les recherches et
vérifications au sujet de ce qu’ils vont dire. Et cela fait depuis 2005, à
raison de 15 heures par jours en moyenne qu’on assiste à mes recherches et qu’on
entend ses cours de forçat[12],
sans même être payé de mes peines et en plus en ayant à le faire à travers le
temps et en ayant trois époques à gérer en même temps dont celle-ci et les
suivantes où je me donne ce mal ! On voit bien que ces personnes n’ont rien à
faire dans cette salle puisqu’elles n’ont pas compris qu’elles n’ont pas à
réveiller ce que signifie le respect qu’on doit aux anciens ou aux gens. Aussi
il s’agit de toutes ces personnes égoïstes donc mal élevées ou fumistes qui
n’ont jamais fait l’effort de comprendre la réalité des autres qui diffère de la
leur, leurs difficultés différentes des leurs, d’autant qu’ils ont à assurer
leur propre vie matérielle, puisque nous avons visiblement bien veillé avec
notre famille impériale à permettre, en revanche, que cette personne qui cloche[13]
à ce point, puisse se manifester l’assidue qu’elle semble vouloir se révéler si
insolemment en montrant à quel point elle n’a encore acquis aucune des bonnes
manières et ne se comportant qu’en mal élevée et cela en étant de surcroit
habillée à nos frais (la
gestion de la planète est effectuée en argent propre par mes représentants ayant
les mains irréprochables et non des mains sales de gens qui en provocateurs
insolents se vantent d’être hors les lois, ou de ne pas avoir obtenu les
dérogations nécessaires, en disant qu’ils se droguent[14])
ou même en ayant eu à manger depuis
qu’elle est née grâce à nos sciences et au sacrifice comme aux souffrances que
cela nous a coûté, y compris à ma famille, comme avec mon impératrice promise et
légitime depuis 1965 que je n’ai pas même eu le temps d’aller voir depuis que
j’en ai retrouvé la mémoire en 2005, tant cette planète me donne du fil à
retorde au point que j’en ai créé dernièrement le personnage fétiche hispanique
de media papata qui co-signera avec
moi ce texte. Cet énergumène n’a-t-il pas le moindre respect pour lui-même en
croyant de cette façon pouvoir prendre place dans une salle qui vient d’être
ainsi visiblement violée ce matin par ces manières répugnantes et vulgaires avec
celle de mon crâne (où
peut-elle seulement être parmi
l’ensemble des arcades de Colisées
en pièces montées qui aboutissent à lui) et qui ne
devait, bien sûr, pas être ouverte – Qui donc s’est permis une telle
profanation, un tel outrage, un tel crime de lèse-majesté ? Qui est le
responsable ou le gardien qui n’avait pas à ouvrir cette salle ? Pourquoi
s’est-il fait séduire ou corrompre pour entrer par un tel misérable enfant-gâté[15]
ou cette insulte de ce mort-vivant (puisqu’il a cru pouvoir dépenser de l’argent
pour obtenir des substances qui ne sont réservées qu’en de très rares et uniques
occasions. Très certainement il ne l’a pas gagné lui-même à la sueur de son
front autrement que de cette façon d’avance méprisable ou de gâté ou de
prostitué pour ne créer que la menace de cette parodie d’individu à devoir
croiser à bord ou le personnage de l’inconscient de l’irresponsable à ce point
qu’il ne se rend même pas compte qu’il ne fut le jouet en cela que « de
semblables, des frères » décrits comme les plus sinistres individus qui soient
dans Orange mécanique puisqu’ils vont
dans le même sens que lui, soit « l’involution » au lieu du contraire,
l’évolution. Que ce gardien qui devait veiller sur mon sommeil soit mis au
chômage ou qu’il trouve à aussi mal faire ailleurs !).
On voit
que ce « jeune » est un pauvre type qui croit pouvoir venir au spectacle en se
moquant des difficultés des autres ou du temps qu’il faut au maître des
cérémonies pour se préparer – je n’ai même pas de quoi m’habiller décemment à
cette fin de pianoter ici. Me croit-il à son service, peut-être ? Il ne va pas
bien ! Je gère des chiffres et une canaille n’en est un seul parmi des milliards
de milliards de milliards et à l’infini d’autres dont elle ignore, en abrutie
par ses substances ne flattant que l’égoïsme[16],
de quoi sont faites chacune des unités. Non, je rêvais : je suis dans mon lit et
pas du tout dans cette salle qui n’était qu’une hallucination ou dans mon
imagination. Aussi c’est encore une fois un cauchemar. Mais il est vrai que je
suis pharaon et qu’il s’agit peut-être encore d’un de ces va-nu-pieds pour qui
tous les gens de bonne volonté ont tout sacrifié et qui continue comme un
« drogué » à vouloir égoïstement s’asseoir aux premières loges. Et le voilà qui
provoque en disant que tous ces amis et lui sont installés avec du cannabis et
fument ! Peut-être même d’autres « drogues » [17]!
Il cherche donc des crosses cet adolescent, cet enfant-gâté, cet égoïste
ou cet ignorant, au mauvais sens de ce
mot. Il se vante de cela au lieu d’en avoir honte ou même comme s’il pensait
possible en avoir acquis le droit avec ses copains (alors
que tous savent depuis toujours qu’en dehors de cas exceptionnels cela ne fait
que des vauriens). Il est bien ce petit parasite ou
moustique qui provoque et qui est décrit dans
Orange mécanique, soit le
représentant de l’ignorance ou de la luxure, c'est-à-dire de la fatigue de tous
qui ont renoncé à raisonner justement, puisque « pompé » continuellement,
testicullairement parlé, par de fausse bouches voraces de toutes les images de
fantasmes latrinaires[18]
les plus profanes (c'est-à-dire
si communs qu’ils n’ont donné que de semblables faunes, satyres et centaures
plutoniens, tout au long de l’Histoire) qui de son
point de vue, de celui qui se trompe ou qui a perdu le goût des grandes et
belles choses vraies, les considère épouvantails inversés, donc de belles choses
et ne se sont agités ainsi dans ce qui n’est plus qu’un trognon de tête ayant
été pourri et dévoré par les vers que comme ces plus vils tentations, tout
justes bonnes que pour rendre toujours plus désertiques ces spectateurs les
ayant en commun, des pépins qui se croient plus malins que ceux qui n’en sont
plus là depuis longtemps à rechercher à se mesurer, puisque tous les ont reconnu
pour démesurés, immenses ou mandarins
merveilleux ou bien plus que cela : des dieux ! Il vous dira « du stade »
croyant avoir de l’esprit. Vous lui répondrez : « Non ! Puisqu’encore une fois
il se trompe, « du Panthéon ! »
Puisqu’il
s’agit d’un lieu public et qu’ils savent que c’est totalement interdit de fumer
dedans – ce qui signifie, par extension, que la planète étant elle aussi un lieu
public, il vaudrait mieux ne pas y fumer. Mais visiblement comme on y a pris des
mauvaises habitudes, il est de ceux qui en a hérité ou à qui il faut mettre les
points sur les « i » et qui ont un esprit si étroit ou si borné qu’ils vont
croire que cela ne signifie que dans les lieux où il n’y a que du public (c'est-à-dire
ici et se réjouissent comme d’autres adolescents ou ignorants ayant ces sourires
si stupides d’être hors des lois justes et d’avoir choisie les mauvaises).
Mais il
pourrait y avoir des lieux spéciaux ou des fumoirs (qui
sont bien évidemment des « lieux publics », par conséquent des lieux où
normalement on sait qu’on ne devrait pas fumer comme dans les autres lieux –
mais on y irait dans l’intention de se sevrer ou d’espérer trouver un jour la
force d’arrêter la cigarette ou pire) donc des lieux
où des « dérogations » seraient données pour se « droguer » ou fumer à ceux qui
n’ignoreraient pas qu’ils en sont devenus les malades, la société entière les
soignant avec la complicité des cigarettiers ou des marques de tabac, donc des
lieux où tous ceux qui ne sont pas malades tolèrent qu’on y aille ou qu’on le
soit : on s’y réunit à cette fin pour le demeurer et perdre ce temps à fumer et
à s’encrasser ses poumons pour faire, pour les plus adroits d’entre eux, l’un de
ces ronds de fumée ou se perdre dans les méandres que dessinent la fumée ou dans
des conversations qui seront forcément faussées ou tributaires de cette
substances nocives la faussant, puisqu’elles sont sous l’effet de la fumée –
c'est-à-dire un
adjuvant
ou une matière dangereuse qui est dans certains cas seulement bénéfique à des
doses infimes, mais dans d’autres situation, évidemment mauvaise pour la santé.
D’ailleurs
ma chambre ou dans cette salle qu’y font-ils en y fumant ? C’est toléré sur les
trottoirs de l’Empire comme pour les personnes qui ont une mauvaise vie, à
l’extérieur, dans la rue, ou dans la nature ou à l’insu de tous ou en cachette
et donc dans la honte, puisque cela est, en général, nocif pour la santé que
fumer, sauf dans de très rares situations – je l’ai vérifié sur moi-même ou sur
des personnes dont on a pu regarder l’état des poumons (après
qu’elles aient fumé) au microscopes ou avec d’autres
moyens. Aussi pourquoi veulent-ils contraindre les gens à devoir payer les soins
pour les en sevrer ou les délivrer de cette mauvaise habitude qui les a mené à
déraisonner, quand ils auront attrapé le mal ? Mais c’est vrai, il s’agit de
masos, une maladie comme celles des sadiques ou toutes les autres qui touchent
les faunes, les satyres et les centaures : ils cherchent à attraper le mal pour
pouvoir vérifier qu’une fois qu’on réussi à les en, délivrer ils ne seront
qu’ingrats (donc toujours
indignes des diverses peines prises pour édifier chacune des civilisations) !
Pourquoi
provoquent-t-ils ainsi ? Et ce garçon sait bien que la drogue est une substance
interdite, d’autant plus dans les lieux publics qu’elle est déconseillée y
compris par les vendeurs de drogue qui savent ce qu’ils risquent à braver ainsi
les circuits officiels ou pharmaceutiques.
Mais
peut-être ne sait-il pas (puisque les crétins, les imbéciles ou les idiots ou
les menteurs ou les usurpateurs ou les tricheurs ou les inconscients ou les
irresponsables ou les personnes contraires à l’Intérêt Général (I.G.)
et par conséquent contraires à l’Etat et à eux-mêmes qui sont devenus des athées
ou uniquement laïques, dans le mauvais sens de ces mots, c'est-à-dire pour
résumer, des ignorantes, encore au mauvais sens de ce mot qui a, sinon, à
d’autres moment du bon, ils ne le sont que parce qu’ils ont pris goût à se
repaître des paramètres qui mènent à cette ignorance dont ils sont les parfaits
exemples d’abrutis[19]
ou les drogués, au mauvais sens de ces mots. Peut-être ne croit-il pas que les
drogues sont réellement des substances « interdites[20] »,
puisqu’il semble me faire croire en l’assidu amoureux qui provoque –
car en général ce genre
de façon de faire n’appartient qu’à ceux qui sont amoureux mais au sens
maladroit, adolescent, c'est-à-dire qui a été capable d’en devenir injuste
–
aigre et ironique, donc
forcément menteur[21]
– puisqu’il est venu se placer dans cette salle ce matin parmi les premiers en
croyant peut-être me faire plaisir ou que j’aurais plaisir à constater que cela
économiserait le raré[22]
(radio-réveil)
à qui je n’ai pas même demandé qu’il ronronne ou me réveille ou nous fasse
dépenser le courant électrique s’il s’était mis à s(r)onner[23].
Aussi je n’ai fait encore une fois aucune économie et j’ai à devoir me dépenser
en pures pertes pour, civilement, et en employant en vérité les mots, me
débarrasser de cet importun ou motif supplémentaire à ne devoir à jamais être
qu’indigné ou à n’avoir qu’à devoir mépriser le genre humain se rendant coupable
de tant de perfidies, donc d’injustices nouvelles à mo
sujet (ce
qui signifie au sujet de mes semblables) puisque cet
agité a voulu se faire remarquer de la sorte en persiflant et/ou en ironique a
cru pouvoir prendre place sur ce fauteuil – comme si un fauteuil avait été fait
ou inventé dans cette forme de « h » qu’il a parfois en tant que chaise[24]
pour un ignorant au mauvais sens de ce mot, alors qu’il ne l’est fait, comme
pour cette chaise que pour l’ignorant, au bon sens de ce mot, puisque le
fauteuil comme la chaise, nous renvoient aussi à celle peinte en paille par van
Gogh dans sa chambre, mais aussi à l’idée de « trône » qui ne peut que supporter
des fesses véritables – ces assises n’ayant pas été faites[25]
pour les ignorants ou alors qu’au bon sens de ce mot ou pour ceux qui ont
l’intention d’apprendre à être polis, respectueux des gens de savoir ou des
maîtres. Ou pour ceux qui se sont rendus suffisemment artisans pour en avoir
acquis le droit. Sinon, il est tout à fait normal que ces personnes ne demeurent
à avoir le droit qu’à se tenir debout comme des serviteurs ou ayant à porter ou
en se levant dès l’approche d’un supérieur (qui
en tant que grand inspecteur peut parfois même prendre la forme d’un serpent ou
du plus vils des animaux hideux). Ce n’est pas parce
que j’ai fait mettre des roulettes sous toutes les chaises de bureaux et bientôt
aussi sous quelques unes dans les restaurants les plus chics ou les plus huppés
ou pour d’autres occasions – étant donné qu’ils n’ont plus les moyens pour payer
un valet qui n’aura comme tâche (qu’on
donne à des « travailleurs manuels »[26]
par charité) à déplacer la chaise pour qu’une dame
véritable puisse s’assoir ou un homme en ayant acquis légitimement ce droit et
que de cette façon ces personnes seront soulagées de cet effort (comme
ces jeunes cherchant enfin à bien se comporter et travaillant dans les taxis
jaunes) à faire, puisque cela leur rappellera qu’au
bureau, s’ils en bénéficient, c’est que j’ai veillé aussi à cela, pour qu’ils
soient fiers de me servir – et qu’ils ont fréquenté ou approché des personnes
qui ont pu en bénéficier qu’ils ont acquis le droit de s’asseoir dans un
fauteuil y compris au cinéma[27]
sous-prétexte qu’ils croient s’en tirer à bon compte en payant (« un peu de
tenue »,
voyons ! – on vous observe peut-être d’ailleurs (non
pas d’une web cam mais peut-être
d’unen’autre planète)! Voulez-vous continuer à
donner une mauvaise image des terriens ou enfin chercher à participer à en
donner une de qualité ou une de celle qui autorise de loin à dire : cette
personne a bel et bien mérité sa chaise ou ce fauteuil ou d’avoir un moment de
repos sur ce canapé ou ce lit ? Voyez, cette dame comment elle se tient droite
et qu’elle sait à tout instant qu’elle ne doit pas mettre son dos (s’affaler)
sur le dossier comme une vieille dame – en voilà une qu’on pourra inviter à la
conférence ! Mais au fait, a-t-elle acquis le droit de s’asseoir ? De quelle
famille vient-elle ? Qui sont ses parents ? De quel pays je vous prie ? etc.).
Mais
visiblement ce garçon ou cette fille (car
à ce point de ce texte, j’ai acquis la certitude qu’il est de ceux qui ne savent
même pas reconnaître les uns des autres, les croyant tous à être comme lui
serviteur de Dracula qui sait être le mien, mais qui prétendra être le
contraire, comme moi-même, pour l’entretenir dans cette idée, et ne pas le
détromper, comme on doit le faire toujours à certains fous ou à ceux qui pour
des raisons obscures n’arrivent pas/plus à comprendre à cause de
dysfonctionnement (ils
déraisonnent trop et cela ne sert plus à rien de les contredire)
ou d’une trop grande différence, le point de vue des gens plus clairs qu’eux,
cohérents ou logiques comme de bons mécanismes bien huilés, car on ne cesse de
leur dire la vérité au sujet des préjugés auxquels ils se sont accrochés ou
auxquels ils se sont agrippés, attrapés comme on attrape des puces, en ne
sachant plus où, mais une fois de plus, parce qu’ils n’ont pas su espionner
correctement – j’en ai croisé l’autre jour (aussitôt
la scène revient à ma mémoire et tous les détails[28])
un de cette espèce dans les allées de l’Observatoire à Paris qui promenait son
lapin blanc – j’aime
Alice Lewis Caroll,
au Pays des Merveilles
– son maître avait au moins une
bonne vingtaine d’années – je lui ai demandé s’il s’agissait d’un « shi » ou
d’un « hi » mais en français, car j’ai bien vu qu’il fallait m’attendre au pire
- il ne s’avait pas de quel sexe était son lapin ! Aussi j’ai compris qui était
le maître des deux et je n’ai pas pu
poursuivre mes questions : encore un ignorant de plus à bord, me suis-je dit en
me lamentant in petto, encore une
honte à cause de laquelle il a fallu que je me donne tant de mal, y compris en
d’autres temps, grâce à Louis XVI qui avait cette passion d’inventer les
serrures, pour avoir la paix et pouvoir travailler chez soi dans l’espoir que
finalement cette moins encore que médiocrité cesse de l’importuner, puisqu’il ne
fallait, depuis son enfance, que travailler pour elle, tous les souverains ayant
été traités bien pires que les esclaves n’ont jamais été traité quand ils eurent
pour roi et recours) se croit au spectacle alors
qu’il est entrain de jouer sa vie et que pèse, à cause de cette façon de faire,
sur lui la mort qu’il a de cette façon outrancière convoqué prématurément en se
montrant à ce point minable et désagréable.
A moins
qu’il soit un de ceux qui ne sachent pas encore et qu’il ait besoin comme tous
les autres d’un père, d’un chef ou de réveiller son berger comme chacune de ces
brebis perdues et qui dans leur errance à retrouver l’étable (ou
cette salle ?) en sont reconnaissables à cause de
leur face de loup, mais qui rejoignent en ayant de sombres desseins les
conférences où les enseignements des professeurs qui ont été contraints de le
devenir, en ayant à faire des efforts divins ou infinis, à la place de celui qui
devait pourtant le faire, puisqu’il s’est prétendu son père ou peut-être leur
empereur – un imposteur - en tout cas et qui n’ayant jamais, en paresseux, voulu
se hausser au degré de sa charge,
pourtant bien précisée par Albrecht Dürer, plus que vertueuse (ou
à son image)
quand il prend la voiture, n’a réussi à faire
autour de lui que des parasites dans tous les domaines (catégories)
ou des chattes sournoises et fausses en maintes sciences comme personnifier
l’ignorance au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire à l’état brut de l’abruti ou
de tous ceux qui, à l’inverse, se sont donnés cette peine avant de s’autoriser à
faire des enfants, puisqu’ils font partis des gens de bon sens : ils ne vont pas
être de ceux inconscients de leur époque vont vouloir imposer leur aussi infâme
progéniture qu’eux-mêmes aux autres et vont vouloir se charger eux-mêmes de
l’éducation de leurs enfants – car c’est bien évident que pour eux, parasites,
celle-ci n’incombe qu’aux parents les plus instruits ou à des enseignants[29]
(je parle ici de
véritables ou recherchant à l’être véritablement
et non de ceux qui ne
sont que des faux ou des tricheurs ou qui ne le sont devenus que pour en tirer
quelques avantages déshonorants – mais il n’est pas interdit d’aimer d’Amour)
et non à l’un de ces milliards de travailleurs manuels incapables de raisonner
ou de penser et qui représentent chacun d’eux des soucis supplémentaires pour
tous ceux qui sont véritablement instruits ou bien élevés, puisqu’il ne s’agit
que de personnes capables que de faire semblant ou pire d’obéir à des ordres où
la conscience recommanderait d’avoir toujours à désobéir.
Bref toujours
la même engeance.
Ah ! je vois
qu’ils aiment quand je les insulte et sont même entrain de sourire de
contentement. C’est bien des « masos » qui n’aiment que les gens qui se soient
rendus capables de les maltraiter ou de les traiter en ce qu’ils sont : des
salauds ou moins encore intéressants que de la pourriture regardée au
microscope. Mais moi, j’aurais honte, si j’étais à leur place d’avoir cru
possible réveiller une personne qui leur a sauvé la vie et à leur ancêtres
autant de fois et qui a déjà tant peiné pour eux et qui ne l’a fait que par
altruisme ou soucis de leur donner le goût de l’apprentissage du savoir ou des
bonnes manières, de façon à pouvoir le transmettre au meilleur de leurs enfants.
Mais
certainement il s’agit déjà de l’un de ceux-ci, les pires, puisque son assiduité
et de celles-là : il a cru pouvoir jouer les rémas[30]
(réveils matins)
alors qu’il sait que pour que j’écrive un mot ou dise un mot c’est pour moi plus
difficile encore que d’avoir à tracer chacun des traits sur chacune des
toiles-partitions qu’il a espionné à mon insu que je peignais, étant donné qu’il
est l’enfant-gâté et qu’il est le spectateur, c'est-à-dire pour toujours le
désert, puisque de toutes les choses qu’il a pu voir ou espionner, il n’est
jamais parvenu à penser quoi que ce soit d’intelligent car sinon il se serait
empressé de ne pas perdre ainsi son temps et aurait cherché à se rendre capable
d’au moins aider ceux qui se donnent tant du mal à essayer de divertir ou à
réaliser ces programmes ou ces films. Par conséquent en s’empressant de rendre
le variateur de la vision d’Atlantide en 1975 ou même dès 2005 ou à d’autres
occasion avant, puisqu’il est dans cet état, avec ses amis. Pire, à être en
infraction pharaonique et à braver la loi juste : à croire possible fumer dans
un lieu public une drogue et à s’en glorifier !
Mais pour
cela il faut avoir une autorisation médicale pour fumer de la drogue ou pour
prendre des médicaments (deux
mots qu’il ne faut pas confondre et qui sont un peu les mêmes donc synonymes)
ou même du tabac.
Il n’y a
qu’une autorité reconnue et donc qui est véritablement maître qui a le droit
d’en prescrire pour soulager quelqu’un (en
sachant qu’elle aura à la sevrer) et non pour en
faire une personne dépendante ou qui s’en accoutumera ou un enfant-gâté « (je
suis un) fumeur de cigares »[31]
ou un éternel adolescent ou cet égoïste qui croit que, sans payer ce qu’il
devrait payer, il peut assister à des cours donnés par des gens n’ayant pas à
rougir de l’éducation qu’ils ont reçu, ou bien est-il celui qui faisait semblant
d’être un crétin (mais
qui n’a pas besoin de faire semblant puisqu’il l’est)
et qui veut encore une fois savoir pourquoi un enfant ou un jeune n’a pas le
droit de se droguer et qu’il se soit assis pour se l’entendre dire par celui qui
remplace au tableau ou sur l’écran son père qu’il n’a peut-être jamais eu de
véritable et qui sinon aurait dû l’élever correctement ?
C’est à
moi le pharaon qui a des millions, voire des milliards de milliards et à
l’infini de dossiers en retard sur tous les sujets à traiter, d’avoir, encore
une fois, à mettre en priorité ce qui vient de se passer à mon réveil pour y
réfléchir deux journées entières en repoussant les urgences comme à avoir à
devoir m’exprimer ici d’indignation, pour m’empêcher (car
je ne crois pas que cela serve de frapper ou alors seulement en dernier recours
et après avoir épuisé toutes les voies les plus civiles)
d’aller tirer les oreilles de cet âne publiquement, puisqu’il est venu
m’outrager pour me conduire, une fois de plus, à devoir remettre les pendules à
« l’heurte » !
Pourquoi
pour les drogues et/ou les médicaments (ayant
été considérés comme tels au sens étroit ou plus resserré)
il faut un conseil ou une ordonnance de personnes qui se sont instruites comme
moi au plus haut niveau de responsabilités ? Et donc pourquoi ces fumeurs de
hachich qui ne sont pas Baudelaire, sont dans l’illégalité ?
Tout
simplement parce que Dieu ou le Grand Architecte de l’Univers a fait découvrir
ces substances une par une tout au long des siècles, comme en avait très bien eu
l’intuition sir Fénelon et qu’elles étaient disséminées dans la nature pour
« soigner » (et non
rendre malade) par des spécialistes qui ont pu, au
cours de leurs études, les comprendre (notemment
ces derniers temps par des doctorats à leur sujet)
et découvrir à quoi elles peuvent servir.
En
général, il s’agit de chimistes ou de pharmacien ou de médecins (c'est-à-dire
de personnes qui ont de nombreuses années d’études derrière elles, bien que cela
n’ait jamais exclu de ces recherches des enfants de deux ou trois ans ou qui le
redevienne comme dans le film drôle américain où des parents se retrouve bébé).
Ils ont donc passé leur existence, parfois avec l’aide de quelques cobayes ou
sur eux-mêmes, à étudier les effets de ces plantes ou ils ont recueilli les
témoignages de ceux qui les avaient ingérées.
Aussi, il
n’y a que ces personnes qui sont devenues un peu spécialistes de la question (mais
dont le champ des recherches ne doit pas se limiter à ces spécialités car elles
savent que ce n’est qu’en dernier recours qu’elles doivent soigner avec des
médicaments ou des drogues) qui, parce qu’ils se
sont délivrés de l’égoïste, du mal élevé, de l’enfant-gâté ou des autres tares
qui vont toucher l’enfant-gâté ils avaient/ont/auront le droit d’en prescrire
pour calmer des souffrances, mais en veillant à ce que jamais les patients n’en
deviennent accrochés[32].
Ce n’est que quand elles ont épuisé toutes les autres possibilités ou
alternatives qu’elles prescrivent des substances qu’on peut trouver dans les
médicaments ou dans certaines drogues, car si la personne devient véritablement
malade et qu’elle s’est habituée à divers médicaments ou drogues ou somnifères
tous les autres ou tous ceux qui auraient pu convenir seront sans effet ou alors
pas comme il faudrait.
Ce qui
signifie que pour avoir accès à ces substances qu’on appelle « drogue » ou
« médicament », il faut avoir une « autorisation » comme donc une sorte de
« dérogation »[33]
(le synonyme
d’« autorisation ». Aussi on aurait pu appeler ces drogues des « ttrst » ou
« tristes » « (au)t(o)tr(i)st(e)s »,
puisque avoir à demander une « autorisation », c’est parfois une chose
effectivement « triste », car cela signifie qu’il y a des personnes qui ont
acquis cette autorité de droit à les accorder ou cette tristesse là –
il s’agit de tous ceux qui sont
devenus de véritables pères ou de véritables mères de famille[34]
– en général cela a été les patrons ou des chefs ou les supérieurs ou des
souverains – mais parfois avoir à en demander une,
comme celle de s’asseoir, peut être une chose gaie, mais seulement à la
condition qu’on ne s’assoit pas en croyant avoir acquis ce droit et en pensant
faire semblant de le demander comme cela a été le cas, puisque c’est avec ironie
– en croyant être chez soi[35]
et
sans attendre la réponse ou en profitant de mon sommeil que cela avait été
demandé – comme si
une personne qui dort pouvait s’intéresser à ce qui peut se passer dans une
quelconque de ses[36]
salles situées à des années lumières de là où il est dans le sommeil – aussi
c’est vraiment « manque de respect » si la question lui a été adressé à lui
personnellement (les
personnes ne s’étant pas adressées à un autre que moi ou à un de mes
représentants), puisque
ce n’est pas respecter le mot de « sommeil », ce qui a été donné pour le
« repos » et en oubliant en égoïste que
soi-même n’apprécie pas que quelqu’un vous réveille de ce qui permet de
recharger ses batteries, comme pour ces accumulateurs à l’intérieur des
téléphones sans fil ou mobiles qu’on place sur une base à cette fin – la
personne qui dort est un être humain et pas seulement un téléphone sans fil –
cela signifie que l’être
humain c’est infiniment plus complexe que cela
- d’autant plus que dans
un ou deux cas, peut-être trois, il sont devenus comme ces très rares
personnes : une œuvre d’art véritable[37]
- ou un objet qu’on peut, sans prévenir, sortir de sa base comme maltraiter –
cela signifie qu’il y a des égards à avoir, d’autant plus qu’elle aura à faire
les efforts pour savoir où elle se réveille, se situer dans le temps, rassembler
toute sa mémoire – on ne sait pas où elle était durant le sommeil – aussi c’est
en raison du fait qu’on ne sait pas, comme parce qu’il existe ici le principe de
précaution, qu’il vaut mieux ne jamais réveiller, même un serpent qui dort,
d’autant qu’il peut s’agir de Dieu, à ce moment-là, déguisé en serpent ou du
Grand Inspecteur ou d’un envoyé –
bien qu’en général se soient
d’autres animaux dans lesquels ils se cachent.
Essayez de réveiller un
chien sans être son gentil maître attentionné qui a l’habitude de le nourrir
depuis longtemps ou comme devenu son frère et vous verrez s’il n’avait pas le
droit ou le devoir de vous mordre ou de vous rappeler que vous aviez à le
respecter ! La personne qui se réveille doit
bénéficier de toutes les conditions les plus agréables pour qu’elle ait envie de
reprendre la place qu’elle a dans la société ou qu’elle cherche à avoir (une
promotion qu’elle recherche pour une augmentation de crédits en raison de
charges qui pèsent sur elles ) au sein de la
civilisation : il y a des personnes qui n’ont pas seulement l’ambition d’être
des déserts ou des spectateurs à instruire, mais qui ne retiennent rien, car
infertiles, stériles[38],
mais qui ont à l’inverse à se former pour être de celles qui auront à réagir ou
à participer[39]
ou qui se sentent plus responsables que d’autres ou qui ont des émissions ou des
choses à réaliser ou à construire ou à élaborer qui sont bien plus difficiles à
faire que ça –
aussi le respect est de rigueur à leur sujet – elles
n’ont pas choisi de se profaner ou
de se rendre sacrilège d’elles-mêmes qu’uniquement à divers moments, que parce
qu’elles n’avaient pas d’autres possibilités –
c’était donc canonique de le
faire - et si on retire ce « e » accent aigu qui est
après le « d »[40]
et qui est venu à cause des époques historiques du passé, cela se disait donc
« drogation »[41]
et non « dérogation », comme si ce « é » avait été avalé. Aussi ce n’est que
grâce à une « dérogation » médicale qu’on peut avoir une « dérogue » ou
« drogue », et si celui qui est là arrive à enfin comprendre avec ses camarades
dans son nuage de hachich qui l’a rendu aussi vulgaire et impoli ou même une
insulte vivante à l’humanité entière, puisqu’il se prend pour un « réma »[42]
que la part encore intelligente de lui-même le savait et le lui rappelle (son
pharaon), il découvrira alors qu’il ne se conduit
qu’en l’un des parasites puisque les drogues n’ont acquis le droit légitime
d’exister qu’uniquement pour des gens sensés et conseillées par des gens de bon
sens (non des fous, non des inconscients, non des irresponsables – d’où, à ce
sujet, la nécessité de recourir à des personnes qui auront à en répondre au
magicien d’Oz).
D’où parce qu’on ne peut avoir accès aux médicaments ou aux drogues que
seulement avec une « dérogation »[43]
car l’Etat doit veiller à la santé de ses membres, le fait que ce commerce est
nécessairement contrôlé ou sous l’autorité de patrons des entreprises de
pharmacie qui sont reconnues elles aussi par le caducée d’Hermès Trismégiste (le
véritable pharaon des palais d’Oz) et par les
gendarmes ou les policiers qui ont compris qu’ils ont à veiller à ce que ces
plantes atteignent les laboratoires patentés et n’aillent pas vers un marché
noir qui risque de procurer ces substances à des personnes qui en deviendront
accrocs et qui ne seront alors que les ennemies d’elles-mêmes, puisqu’en croyant
pouvoir enfreindre les lois justes et bonnes et qui ont permis de les élever au
moins pour en faire des personnes aidantes de leurs parents ou grands-parents ou
de leurs amis et donc à d’autres moments sympatriques et non des provocateurs et
des personnes aussi minables (car
évidemment pour le devenir, elles n’ont recherché qu’à devenir de ces ignorantes
et n’ont pas même commencé à réfléchir sur les mots et par conséquent se sont
fait avoir par des « semblables, des frères » –
ici pour le moins des
imbéciles ces fréquentations auxquelles elles s’assemblent et s’accoutument,
parfois – c’est le pire - en se prenant pour un « parti politique »
- comme si ceux qui ne
disent ou ne pensent que des inepties pouvaient être d’une quelconque utilité à
l’Ensemble[44]
- qui les ont tenté ou qui leur ont fait croire qu’ils pouvaient enfreindre ces
justes lois pour s’empoisonner avec ces substances qui à d’autres moments sont
bonnes pour la santé, mais seulement quand on a eu très mal, du genre après un
choc ou un accident dont on est victime et pour calmer la douleur et aller mieux
– mais aussitôt après être remis, comme grâce à un peu de
whisky qui peut faire du bien au cœur
ou une eau de vie ou un autre alcool qui permettent eux aussi de se sentir
mieux, il faut arrêter car sinon on devient
addict ou drogué (au
sens d’« habitué ») et cela signifierait qu’on a
obtenu l’autorisation médicale ou des médecins qui représentent pharaon.
Or pharaon
sait qu’on n’a pas le droit de prescrire ces substances que seulement pour des
raisons d’urgence médicales et c’est pourquoi l’ensemble des gendarmes ou des
policiers ont ordre de mettre la main sur les
dealers ou sur ceux qui d’une façon
illégale propose ces drogues dont les plantes ou les composés chimiques sont
assemblés dans des laboratoires pharmaceutiques à des dosages contrôlés par des
personnes qui savent qu’elles ont à organiser le travail pour conditionner ces
produits ayant fait l’objet de nombreux tests et qui servent normalement à
chacun de ces véritables médecins qui ont fait infiniment d’études comme pour
cela des centaines d’heures de mathématiques et de chimies et d’autres sciences
et qui sauront, par exemple, les administrer correctement à une personne
souffrante. Il n’y a donc qu’elles qui savent au cas par cas, ou alors tous ceux
qui se sont intéressés à toutes ces sciences et par conséquent à rechercher le
meilleur mode d’emploi pour éduquer, puisque cela va avoir à faire avec l’école,
avec les heures des programmes scolaires et donc avec des accumulations de
savoirs divers et des investissements faits par des familles à titre privé, mais
aussi avec des participations de l’Etat, dans une certaine mesure.
Prenons
l’exemple d’un médicament ou d’une drogue : les substances qui permettent de
créer l’anesthésie. Tous ceux qui sont allés chez un dentiste se faire soigner
une carie savent que l’anesthésie rend supportable la douleur. Il n’y a que le
dentiste qui a été reconnu par ses pairs, c'est-à-dire par l’ordre des
médecins-dentistes, car il est sensé avoir au moins acquis (c’est
une sécurité pour le patient) toutes les
connaissances médicales d’un baccalauréat + cinq ou sept à neuf années d’études
(suivant les pays ou les
régimes scolaires ou les spécialisations) pour avoir
le droit de penser que dans le cas de cette carie là (un
cas totalement différent de la carie d’à côté et qui le sera totalement
différent de celle d’une autre mâchoire - chacune signifiant des choses précises
pour un véritable savant - même si c’est sur la dent qui est placée à cette
place), il peut recourir à l’anesthésie (ce
qui sous-entend que dans un autre cas, il n’a pas le droit ou qu’il vaudrait
mieux pas – mais bien sûr, (y
compris par compassion pour les faux dentistes qui comme d’autres faux médecins
n’ont pas acquis la main des véritables médecins-dentistes – aussi il vaut mieux
éviter des souffrances inutiles et se montrer encore une fois charitable envers
cette engeance de vermine qui se fait passer pour dentiste et qui ne sont que
des charlatans déguisés ou des voleurs, ayant appris ou espionné les techniques
pour réussir à avoir un cabinet et rechercher à l’utiliser aussi à d’autres
fins : comme par exemple pour récupérer l’or dans votre mâchoire – aussi il a
fallu mettre au points des alternatives moins précieuses – ou en profiter pour
faire la traite de vos filles ou des patientes ou les mener à se prostituer, car
ils ont obtenu l’argent pour s’établir en dentiste par les circuits d’argent
sale, et à cette fin ! – ce seront ceux qui ne sont que capables de vous
anesthésier car sinon, ils savent qu’ils ne vous feront que mal puisqu’ils sont
incapables d’avoir la main qu’il faut pour opérer sans l’anesthésie sans faire
trop mal, aussi depuis, ils sont sûr d’avoir du succès)
comme le savoir médical véritable s’est perdu, de nombreux dentistes ne sachant
pas dans quel cas ils sont, préfèrent eux aussi anesthésier (car
ils n’ont pas appris comme les premiers ou très anciens dentistes)
et donc cela va faire croire à celui qui vient d’être soigné que de toute façon
on va recourir à cette drogue de l’anesthésie (mais
nous dirons de nos jours pour être plus exactes : « médicament » ou
« médecine », des synonymes, car dans ce cas les principes chimiques développés
dans cette drogue – car il faut avoir obtenu l’autorisation pour avoir le droit
d’en avoir dans le cabinet dentaire ou ailleurs – sont curatifs et donc médicaux),
dont il vient de commencer à prendre l’habitude pour le tirer d’affaire, la fois
d’après. Ce qui est mauvais comme façon de voir les choses, car il devrait être
fier d’avoir pu être soigné, sans avoir contraint toute la société à faire cet
effort pour lui permettre de moins souffrir, étant donné que s’il a un problème
à une dent cela vient très certainement d’une autre raison ou du fait qu’il y a
des choses qu’il n’a pas réglé dans sa vie ou qu’il a des répercussions de
l’existence de tous les malhonnêtes ou qu’il l’était ou pour d’autres milles
raisons qu’il pourra rechercher avec son psychanalyste d’autant plus s’il est
devenu un égoïste, un enfant gâté ou un adolescent !
Aussi
toutes les substances qui servent à fabriquer les drogues ne peuvent être
confiées qu’à des esprits mathématiciens ou des chimistes (en
un mot des gens de sciences, ce qui signifie évidemment des gens pourvus d’une
conscience, car tous savent que « sciences sans conscience n’est que ruine de
l’âme »[45]
mais ne comprennent pas cette vérité car d’une part ils ont perdu leur
conscience en en devenant des menteurs et d’autre part
ne savent pas très bien ce qu’est un
esprit scientifique) de personnes devenues
réellement des adultes et des responsables comme c’était le cas de tous les
véritables pharmaciens.
Et donc
s’il y a un marché noir qui permet de se procurer ces plantes ou ces drogues
cela est très dangereux pour ceux qui vont y devenir client car même si les
produits sont moins chers, il faut réellement avoir été diagnostiqué comme
« malade » par des personnes infiniment instruites en vérité et en sciences
exactes et qui se sont établies en tant que véritables médecins ou praticiens –
parfois ils ont aussi
fondé une famille – pour avoir le droit
d’administrer ou de conseiller ou de prescrire une des drogues ou des
médicaments à ingérer.
Cela signifie que les médecins, chacun des médecins (ou
leurs équivalents – en général des personnes qui ont fait dans d’autres domaines
autant ou plus d’études qu’eux, mais qui vont demander en général un avis à un
camarade qui s’est spécialisé dans la partie – catégorie – sous entendu médicale)
pour avoir le droit de donner/prescrire (voir
les synonymes) un médicament car ces personnes sont
alors contraintes de déroger à un principe sacré qui est de réussir à soigner
sans l’aide des médicaments (au
sens de formules chimiques qui sont conditionnées comme telles – capsules, etc.)
ou de drogues. Ils doivent donc « droguer » ou déroger à la règle, d’où le nom
de « drogue ». La règle étant par exemple de soigner quelqu’un en lui donnant un
travail à faire ou une chose utile pour l’Ensemble : en général d’essayer de
faire en sorte que la personne aille vers des occupations qui lui permettront
d’accéder à l’argent propre : il en sera fier ou il sera fier de pouvoir passer
à un endroit et de se dire que les fauteuils dans lesquels les futurs véritables
étudiants en médecine s’assoient, c’est lui-même qui a aidé à les fabriquer en
ayant dérogé à la règle des paresseux qui est celui du
far niente ou de s’abandonner à
la dolce vita, en drogués : enfin au
contraire, en s’étant mis au travail pour tous !
C’est le début alors de l’apprentissage dans les métiers dits « manuels » de tous ceux qui n’avaient voulu que faire parti des ignorants, au mauvais sens du mot, ou des loubards.
Vos
ciaï …
[1]
Sauf, évidemment, si les prix des médicaments,
devaient être sur les marchés officiels, hors de
la portée des bourses des
indios,
ce qui est peu probable, à moins d’ententes
monopolistiques difficilement crédibles pour
cette industrie de salut publique.
[2]
De « à première vue » ou de « à premier
entendu », « à première langue » « à premier
goût », « au toucher », etc.
[3]
Car il existe ce mot dans son sens positif.
[5]
Ce qui induit des investissements financiers
considérables et l’exigence scientifique
proportionnelle qui ne peut être efficace qu’une
fois acquise la conscience, sinon cela ne sera
que « ruine de l’âme ».
[6]
S’étant délivrés de l’enfant-gâté, de
l’adolescent ou de l’égoïste à jamais.
[7]
Ou peut-être même à …
[8]
ou dans un cas semblable : une occurrence du
même ordre ou appartenant à la même catégorie :
or le cas d’Antonin Artanud est unique et ne
ressemble pas au cas d’un de nous : il a donc eu
très certainement à passer de nombreux examens
ou tests à l’occasion de son séjour auprès de ce
peuple appartenant encore, à cette époque là, à
une très haute et très ancienne culture
infiniment respectable.
[9] Il s’agit d’un élément qui en étant éjecté ainsi signifie qu’il a fait plus chaud que la normal à l’endroit en question.
[10]
Le crime avait donc été plus immense qu’immense
sur Isis et l’histoire d’Osiris était vraie.
[11]
Epoque, temps.
[12]
Mais j’ai présenté cela comme des exercices
préparatoires au droit d’enseigner ou de
transmettre.
« How many works must a man … before you ca call
him a teacher”, comme dirait la chanson
vaguement référentielle.
[13]
Au sens négatif (qui ne va pas bien).
[14] Il y a de quoi avoir honte dans des cas semblables (ou d’autres) d’être sous médicament ou d’avoir besoin d’une « drogue » pour survivre, quand il y a tellement de solutions élégantes de proposées pour s’en passer.
[15]
Au sens négatif de ce mot car il peut être bon,
dans certains cas, de s’accorder des bonnes
choses.
[16] A moins de s’en être délivré à jamais. Alors les effets sont salutaires pour ce qu’on appelle les drogues très légères qui permettent même de rire de bon cœur. Mais bien sûr celui-ci peut s’atteindre autrement, à force de tristesses, salutairement par esprit de contradiction.
[17]
Quel peut donc être ce faux médecin ou cet
usurpateur (imposteur
serait plus juste ou cet « ignorantus-ta-tum »
au mauvais sens de ce mot)
qui a cherché à les rendre à ce point mal élevés
et malades, à leur ruiner la santé, à les rendre
à ce point inconscients, à leur manquer de
respect pour faire d’eux des salauds et leur
masquer la réalité ou la vérité en me
contraignant à devoir prendre (ainsi qu’à tant
d’autres) tant de peines pour
tenter d’y remédier, par l’usage de la
raison, de démonstrations, de sacrifices
véritables, de la pédagogie, de la vérité ou des
véritables sciences ?
[18]
Des lieux infestés de microbes.
[19]
C’est le cas de tous les barbares ou de tous les
envahisseurs ou de tous ceux qui imposent leur
présence, ne sachant pas être discrets ou qui
ont contraint des gens discrets d’habitudes à
devoir se fâcher ou à être des personnes
reconnues universellement, étant donné que la
situation devenait, avec ce genre de folie ou
d’insouciances, si grave et que les mœurs de ces
sombres individus généraient les pires maladies
décrites avec forces détails à travers les
siècles (vérifiées
en ce dernier siècle comme génétiquement et
sexuellement transmissibles),
ce qui a inspirait des auteurs comme Murnau avec
son admirable
Nosfératus.
[20]
Ce qui signifie déconseillées, à proscrire, à
éviter pour éviter ces dépendances ou ces
accoutumances nocives puisqu’handicapant les
raisonnements donc à l’origine du « perdu » ou
du « fou ».
[21]
Et à cause de cela méchant.
[22]
Ou êrèr ou rr (pour
mieux rejoindre le RER à Paris !)
[23] Ou, à la longue, une fois dans les mœurs, « sroner »
[24]
De profil. C’est pourquoi seuls ceux qui savent
écrire en vérité ou qui avaient l’intention de
finir par y parvenir avaient le droit à un
siège.
[25] Mais les rois, les tzars ont été bien trop socialistes ou communistes avant l’heure puisque de tels grossiers personnages croient en avoir acquis le droit, et peut-être même sur des fauteuils qui n’existent que pour faciliter les labeurs ?
[26]
Ayant eu des difficultés pour s’insérer ou
trouver une activité qui exige de faire parti
des personnes qui pensent en vérité. Ils ont
donc acquis le droit de travailler à ce genre
d’activités en menteurs ou grâce à elles, à
force de s’occuper d’une chaise à porter de çi
de là, sur la voie d’enfin bien faire, comme
ceux qui sont chargés d’étendre le linge.
[27]
Puisqu’il s’agit dans certains cas d’une large
fenêtre sur un art véritable.
[28]
Encore une fois ici pour rappeler combien
chacune des personnes déportées ou martyrisées
l’ont été infiniment injustement puisque chacune
contenait des trésors de connaissances les plus
diverses (des
quantités innombrables de bibliothèques de
savoirs) et
n’étaient bien évidemment pas seulement
affiliées à la religion à laquelle on a cru
improprement qu’elles ne l’étaient en raison des
heures où elles avaient recherché à s’en rendre
digne ou même seulement aux connaissances liées
à leurs métiers, mais également chacune, ce que
recelaient tous les temps intermédiaires vécus
entre religion et occupations diverses dont le
travail ou la fonction. Aussi ceux qui passaient
la frontière avec la carte d’identité donnant
des informations n’étaient évidemment pas que
les mots inscrits
qui les désignaient mais pour l’Ensemble de ces
souverains éclairés qui avaient institué l’état
civil ou ces registres cadastraux, ils
comportaient les mêmes virtualités que les êtres
humains les p
[29]
Des saints ! Sauf tous les professeurs infiltrés
et faussaires (hélas
si nombreux puisqu’ils n’ont qu’à réciter ce qui
a été si difficilement cogité ou écrits par les
personnes les plus sensées en ces manuels comme
celui de Lagarde et Michard ou ces dictionnaires
ou encyclopédies qui sont des trésors de
patiences qu’on ne pourra visiter qu’avec des
gants ou en ayant pris le soin de plastifier les
pages pour plus facilement les nettoyer – il a
fallu toute l’histoire de l’imprimerie pour
n’inscrire ou ne chercher qu’à publier les
choses les plus belles et les plus vraies et
voilà que des menteurs ou des personnes qui ne
croient qu’à un mot qui ne représente que tout
ce qu’il y a de plus répugnant ou plus abjecte,
de plus vil ou de plus sale, veulent qu’on
publie leur texte se moquant de la femme ou
d’Isis, sur du papier, autre invention ou
solution élégante).
[30]
ou èrême en verlan : mar(r)és – j’ai ajouté un
« r » car il y en a …
[31] Voir Serge Gainsbourg.
[32]
De « accrocs »,
addict
en anglais.
[33]
De « dé » +« rogation »
ou « d(é)rogation » - notre époque est habituée
au diminutifs ou au mots raccourcis. C’est ainsi
par exemple que
[34] Souvent des rois ou des reines ou des princes ou d’autres mots admirables qui n’ont pas besoin de porter une couronne comme Liliam Gisch dans La Nuit du Chasseur.
[35]
Alors qu’on est visiblement entré dans une de
mes chambres puisqu’on s’adressait à moi pour
obtenir ce droit de s’asseoir.
[36]
(puisqu’il est le pharaon(s) et qu’il est
[37]
Et non de grossières et vulgaires et abjectes
et/ou voraces parodies au point que j’ai eu à
cause de cela à demander à un des architectes de
mon père et ma mère, sir
Peï, de choisir
de couvrir de
losanges ou de dents de canines, la
pyramide du Louvre, pour être sûr qu’elle ne
déplaira jamais aux tyrannosaures, aux requins,
aux ours, aux tigres, aux lions et aux
crocodiles puisqu’ainsi revêtue de ces écailles
elle incite à jouer à
scopa
pour avoir le sept de carreau et les « ori » et
qu’elle fait peur à toutes les autres espèces.
[38]
Pour l’instant, espérons qu’elles veuillent
changer.
[39] Elles ont finalement changé, depuis le début de la phrase.
[40]
Il s’agit du mot « dérogation », j’en parle
just’après.
[41]
Enfin, j’y viens : mon propos.
[42]
Le néologisme de plus haut. Il est donc utile.
[43] Provenant de personnes qui risquent gros car elles peuvent être responsables de catastrophes ou de rendre une personne addict, ce que leur bon sens devrait leur interdire, de même qu’il y a des personnes qui devraient regarder moins la télévision, cette dose ne les rendant que spectateurs et donc consommateurs ou comme drogués.
[44]
Voyons !
[45]
J’ai vérifié que c’est une phrase vraie en
absolu. Point de salut sinon pour ceux qui
oublient que c’est aussi ce mot, (la
conscience), qui est
en relation avec le « cœur », ce qui doit donc
interdire naturellement certaines pratiques ou
façon de faire – comme l’usage de cobayes qui
pourraient avoir à en souffrir plus que ce qui
est tolérable. Aussi cela interdit d’espionner à
l’insu et sans autorisation, mais permet
seulement l’esprit scientifique d’observation
qui n’est que connu pour sa discrétion.
(à suivre)
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