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Proposition pour un nouveau métier peut-être utile: loueur installateur à l'heure (à la demi-heure ou plus) d'hamacs dans les parcs et jardins (ou aires de repos) qui peuvent le permettre non seulement parce qu'il y a des allées d'arbres disposés tous les 3 à 4 mètres pour pouvoir fixer le hamac entre deux troncs mais surtout avec l'accord des responsables des jardins.

Sans doute un travail saisonnier (surtout pendant les belles périodes des vacances pendant lesquelles il fait beau et chaud) ce métier pourrait déborder dans sa durée de vie annuelle dans les cas de jardins bien équipés d'infrastructures d'accueil (buvettes, barbe à papa, bars ou lieux de locations de petits bateaux, lieux de vente qui pourraient servir à proposer ces hamacs).

Certaine fois avec l'hamac à proposer dans les lieux (sans arbres) on pourra offrir à la location (et transporter à l'aide d'un léger diable à roulette) deux piliers solides arrimés avec des contrepoids dans le lieux de 'repos' du locataire du hamac (ce qui pourrait donner encore un petit métier supplémentaire de transporteurs de piliers).

Ce métier pourrait se développer aussi dans des lieux sans arbres comme sur certaines plages en supplément et pour proposer une variante des locations habituelles des traditionnels lits pliants ou 'transats' (dont j'ai remarqué depuis quelques années, avec joie d'ailleurs, que l'encadrement est aujourd'hui fort heureusement répandu et fabriqué en aluminium, ce qui tout en les allégeant considérablement constitue un immense progrès de plus esthétique et qui de surcroît protége l'environnement - et ne détruit plus les arbres dont on utilisait le bois - à ce propos j'en profite ici pour une petite réflexion sur le lit pliant encadré de bois qui ressemblait autrefois à une toile vierge d'un tableau monté en lit pliant. Aujourd'hui comme le cadre de ces lits pliants est en aluminium, ce qui les rend légers d'une part et surtout qui les rend pérennes - puisque qu'il n'y a plus les problèmes du bois: mites, gonflement, etc..  il est pensable de généraliser aussi pour les tableaux l'usage de l'aluminium comme encadrement ce qui préserve le vivant des arbres). Il serait aussi fortement conseillé qu'avec le hamac proposé à la location, l'usager ait aussi la possibilité de louer aussi une petite couverture (pour éviter le vent ou le froid). En proposer une à ceux et celles qui le souhaitent peut constituer un atout supplémentaire surtout pour les personnes âgées et les femmes désireuses de se couvrir les jambes si elles ont froid.

 

Premier courrierIn à Xavier Gorce

mer. 24/11/2004 04:03

Bonsoir,

Merci de m’avoir répondu, cher Xavier Gorce (enfin, je sais votre véritable nom ! – j’en profite ici pour vous dire que, peut-être, il serait préférable que l’on puisse lire un peu mieux votre signature à la suite de vos cases car je ne savais pas distinguer Gorce de Gorle, dessinez mieux votre signature svp, si vous me permettez ce petit conseil amical).

En tout cas veuillez transmettre mes plus vifs remerciements à celui ou ceux qui vous ont transmis mon petit clin d’oeil par cette petite tentative très maladroite de poursuite de votre si jolie histoire que vous aviez commencée (pour moi seulement « commencée ») il y a quelques jours dans le Monde et même très certainement conclue avec votre humour si rafraîchissant – c’est le cas de le dire, il vient des pôles - (d’ailleurs il se pourrait, en y réfléchissant, en cet instant, que malgré le rire ou le sourire que vous provoquez toujours avez très grand talent et très rapidement en souvent seulement 3 cases, ce soit en fait, à chaque fois, les débuts d’une planche beaucoup plus longue en réalité et en devenir car elles suscitent toutes de véritables profondes réflexions vos 'planchettes' et elles demandent par conséquent toutes peut-être à être poursuivies, ce qui, sans aucun doute, provoquerait, si vous souhaitiez poursuivre dans ce sens, par votre si grand talent, avec d’autres cases chacune de vos histoire, des rires infinis en cascade ou en crescendo car je suis sûr que vous trouveriez toujours du comique - si vous aviez le temps de les poursuivre ailleurs dans des livres comme par exemple le si Immense Schultz des CB books (Cherlie Brown) qui lui aussi arrive à faire plus que rire parfois même en si peu de cases seulement, comme vous, ou en quelques cases supplémentaires) mais comme j’espère qu’un jour tous les animaux du monde, même les plus sauvages finiront par devenir enfin des êtres fréquentables et au moins végétariens - et que je pense cela réellement faisable aujourd’hui, notamment grâce aussi aux nouvelles technologies - je me suis permis cette petite initiative personnelle de prolongement de votre histoire de marsouins, hélas encore carnivores, histoire dont j’ai cherché à vous faire part. En effet, vous le déduirez des mes petites cases, ils finiront certainement par écouter du Bach, du Haendel, du Mozart ces pingouins, même sur la banquise, en étant peut-être nourrit par les hommes et en étant obligés certainement d'avaler la 'pilule' pour éviter une surpopulation pinguinesque, par conséquent les poissons aussi et les orques aussi… (cela pour briser à jamais la si injuste et cruelle chaîne alimentaire). Mais nous n’en sommes hélas pas encore là, car il y a encore les hommes eux aussi qui doivent commencer par changer leurs sales habitudes de prédateurs, etc.. etc… Donc nous avons encore le temps…

Je réponds donc à votre demande, j’espère qu’ainsi plus lourde en ‘Mégas pixels’ et non en "méga-Lo-manie" vous aurez ainsi plus de facilité à lire les petites notes des micro dialogues que vous me disiez ne pas pouvoir déchiffrer sur votre ordinateur (j’ai essayé sur celui que j'utilise et si vous utilisez le logiciel de visionneuse  « Microsoft Office Picture Manager » vous pouvez alors zoomer et agrandir là où vous ne parvenez pas à lire).

Mais si, malgré ce nouvel envoi, vous n’y parveniez pas, n’hésitez pas à me le faire savoir par retour car je peux vous écrire sur un prochain courrierIn (néologisme que j’ai créé pour varier de l'habituel ‘courriel’, et qui signifie 'courrier Internet') la teneur de mes petits dialogues faisant suite aux vôtres.

Comme j’ai fait cela en quatrième vitesse, je vous prie encore de m’excuser surtout de ne pas avoir mis non plus les couleurs comme vous le faites si bien en les choisissant toujours avec beaucoup de goût.

Encore grand merci pour votre très grand talent, (comme il est tard, je me propose d’aller voir demain votre site, excusez-moi de ne pas vous en parler, ni de vous en remercier car je veux le voir à tête reposée).

Salutations très distinguées.

Laury Granier

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Second courrierIn à Xavier Gorce                                                                                                                                               mar. 30/11/2004 19:34

Avez-vous réussi à lire la libre suite très maladroite que je vous ai renvoyée conformément à votre souhait ? Était-elle cette fois-ci suffisamment claire ?

Merci beaucoup pour le numéro d’aujourd’hui. En lisant vos dessins (dans le Monde), il m’a semblé qu’il y a comme un délit d’initiés dans l’air, car l’autre jour j’ai pu découvrir un jeune garçon sud-américain installé dans un hamac entre deux arbres dans l’une des allées du jardin du Luxembourg et ce 'pingouin' (permettez-moi ici cette expression qui ne peut être que gentille quand on connaît vos beaux dessins) s’y était installé pour lire et y étudier toute une après-midi – peut-être habitez-vous le quartier et l’avez-vous aperçu comme moi ?.

publié dans le Monde du mardi 30 novembre

site de Xavier Gorce: http://www.inzemoon.com/xaviergorce
 

Je crois comme cet étudiant sud américain le suggérait par son exemple (qui d'ailleurs n'avait causé aucun problème aux responsables chargés de la sécurité de ce jardin du Sénat), que ce serait une bonne idée d’offrir, le long de l’allée des arbres du jardin, (dans les parcs aussi ou les airs de repos disposant d'arbres écartés suffisemment pour permettre cela), la possibilité aux promeneurs ou aux gens de passage de louer un hamac individuel ou même deux places (beaucoup plus confortable que les chaises métalliques actuellement heureusement  à la disposition des promeneurs).

Merci encore de votre clin d’œil (sans doute involontaire) qui m'a aussitôt rappelé ce projet assez ancien pour l’instant encore confidentiel dont je ne m’explique pas comment vos pingouins ont été tenus au courant si loin d'ici aux pôles? L’histoire des pingouins aujourd’hui publiée sur la page quotidienne du journal Le Monde accessible sur Internet et que j'ai grand plaisir à découvrir comme un gentil cadeau de vous me rappelle cette idée et que la réalisation de celle-ci pourrait offrir certainement un métier ou plusieurs métiers très utiles (installateurs d'hamacs ou du moins loueurs d'hamacs)  autour des jardins ou des espaces verts dans nos cités d'autant que j'ai vu que le système d'attache de l'hamac ne semblait pas blesser  le tronc des deux arbres sollicités comme pilier pour cela.

En effet cela devrait avoir pour conséquence de relancer à la fois la production d'hamacs et de permettre d'écouler ces hamacs en filets tressés qui pourraient peut-être être ainsi achetés (d'une façon ou d'une autre, peut-être même à crédit) par les loueurs d'hamacs qui reverseraient alors une partie de la location de ces hamacs aux producteurs,. Cela leur offrirait de quoi travailler du moins peut-être ici un métier saisonnier (durant les vacances au moment du tourisme ou au moment ou il ne fait pas trop froid) évidemment avec l'autorisation des principaux responsables des Parcs et Jardins concernés, puisque nous avons, quant à nous (à la différence de vos pingouins) la chance de ne pas vivre dans de trop grands froids et d'avoir de véritables arbres souvent disposés à des distances qui pourraient permettre ce genre de repos (notemment les allées) !

Comme je dois publier ce projet sur mon site Internet me permettez-vous, s'il vous plaît, d’utiliser votre dessin en guise d’introduction et en créant ainsi une comparaison peut-être possible avec les images vidéo que j'ai enregistrées de cet étudiant sud-américain en sciences politiques de passage à Paris installé confortablement dans le hamac en question qu'il avait lui-même apporté et installé lui-même au jardin en très peu de temps (il m'a montré c'était très facile d'attacher ce modèle d'hamac). La chance a voulu que j'avais sur moi ce jour là de quoi enregistrer et j'ai donc vidéographier  cela (mais je dois retrouver pour l’occasion ces images car j'espère un jour mettre en relation celles-ci avec ce texte pour l'illustrer et montrer à la fois que c'est vrai et possible de bénéficier du plaisir de l'hamac pour se reposer ou lire dans les jardins publics à Paris ou ailleurs) ? Si oui, bien sûr, je mettrai évidemment que votre dessin a été publié dans le Monde du mardi 30 novembre 2004 et peut-être aussi, si vous le souhaitez, un lien vers votre site (que je n’ai pas eu encore malheureusement le temps de découvrir) et d’autres informations que vous souhaiterez utiles de faire connaître si vous le voulez et que vous voudrez bien avoir l’amabilité de m’envoyer dès que possible. Bien sûr c’est une proposition de ma part et vous êtes libre de ne pas du tout l’accepter.

(By the way, il me semble que votre signature n’est pas lisible, une fois de plus (hier elle l’était cependant) et je suis une fois de plus induit un peu en erreur. Je lis « Gorle » au lieu de Gorce, garce de mine ! (ce doit être la faute de la mine du crayon).

Salutations distinguées et reconnaissantes pour vos très belles vignettes.

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réponse au courrierIn de Xavier Gorce                                                                                                     (jeu. 02/12/2004 00:10)

Merci de m’avertir pour votre site car j’ai essayé avec beaucoup de curiosité sans succès et il à l’air très ‘oiseau(x)’ !

Merci de me permettre d’utiliser votre dessin pour ce projet concernant les location d'hamacs dans les lieux publics…je vous avertirai quand il sera en ligne.

Bien sûr, vous pouvez utiliser (et vous me feriez grand plaisir à le faire), si vous envisagiez de donner une suite à votre histoire de pingouins, ma petite idée de suite très brouillonne (ci-dessus) que je vous ai envoyée en hommage car elle pourrait, j'espère peut-être se vérifier un jour dans la réalité (grâce à vous aussi si vous pouviez le l'envisager avec moi) en permettant ainsi par la même occasion de donner de très nombreux métiers utiles aux esquimaux eux-mêmes qui seraient chargés, à la place de la mer, de nourrir v(n)os pingouins (dans les réserves sur la banquises visitées par les touristes des 'brises-glaces') pour l’instant encore hélas carnivores comme vous le soulignez par cet outrage au sens du juste que semble constituer aux yeux des hommes l'esclavage de cette malheureuse chaîne alimentaire comme vous le rappelez si joliment dans votre dessin: 

tout en permettant d'écouler le surplus de légumes et des fruits produits dans les terres moins polaires acheminées qu'ils seraient par avion ou par bateaux réfrigérés ; les esquimaux étant contraint aussi, par la même occasion de s’humaniser par le progressif abandon de leurs si dégradantes chasses inhumaines décimant les merveilleux animaux que vous dessinez avec votre élégance naturelle, chasses hélas traditionnelles (mais que diable les hommes sont-ils allés faire, au cours des siècles passés dans des 'galères' aussi glaciales, si ce n’est poussés par leur appétit malsain et meurtrier de chaires fraîches! Ne pensez-vous pas que d’une certaines façon il se sont punis eux-mêmes à vouloir manger du produit de leur chasse au lieu de se comporter plus sagement et de se sédentariser comme partout ailleurs ?)

Donc si nous voulons changer les choses petit à petit tout en respectant ces peuples aux très anciennes traditions ancestrale étroitement liées qu'elles sont à leur situation géographique et climatique ce sera évidemment un très long et délicat combat qu’il faut cependant poursuivre (car les esquimaux ne sont plus du tout aujourd'hui les mêmes que ceux de Flaherty dans Nanouk l'Esquimau - je crois même que certains ont aujourd'hui la TV et Internet dans leurs igloos !!!) et continuer à mener également par cet humour, le votre et que l’on pourra certainement gagner ce combat de toujours grâce aux technologies, aux transports, aux progrès de l'agronomie, etc…).

Merci d'avance de votre aide à ce petit projet de nature à tenter d'essayer de déraciner le mal à sa racine même, hélas même si la racine semble encore sous certaines latitudes profondément enfouie sous la glace !

Salutations distinguées.

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copie du courrierIn de Laury Granier à Xavier Gorce, Jeudi 03/03/2005 06:37

Cher (te)X.Gor©e,

Une révélation ! ici, tout à l’heure, cette nuit : j’écrivais un texte sur la nécessité de cesser d’être chasseur ou trappeur pour le peuple canadien des grands nord dans un monde où la photo et la vidéo (et le cinéma) offrent une alternative à deux branches majeures à la nécessité du meurtre d’animaux, et, enfin, dans une des phrase, apparaît avec les mots que j’employais, ceux de « laine polaire » et une référence à une marque célèbre, la marque « gore tex » (une autre de cette nouvelle alternative à deux branche (avec la laine polaire) permettant aujourd’hui de se passer, bien heureusement, de fourrure !) et soudain je pense à vous : la logique du signifiant m’y invitant : une sorte de synchronicité ou de fondu enchaîné dans ma tête aussi rapide que la lumière, analogie dans la typographie même de ce nom commun de « gore tex » avec votre propre nom propre, au point que je suis sûr, pendant un instant, que vous signez Gore (tex) et non Xavier Gor(c)e, en tout cas jusqu’à ce que j’éprouve le besoin de vérifier votre signature sur la dernière planche reçue aujourd’hui par Internet (pour laquelle je dois vous remercier et par ailleurs aussi vous complimenter d’avoir veillé, une fois de plus, à ce ‘o’ qui était aujourd’hui clair dans votre signature, ne pouvant être confondu avec un ‘a’, sujet, (dont vous vous souvenez sans doute), m’ayant incité à vous écrire mon premier courrierIn (variante que j’ai créé au mot de « courriel »), par lequel je cherchais à retrouver votre trace, à prendre contact avec vous pour vous envoyer une suite maladroite improvisée de ma main, de l’une de vos propres histoires dessinées, celle où vos pingouins se posent de vraies questions philosophiques, éthiques, au sujet d’élémentaires problèmes alimentaires existentiels, tout à leurs honneurs !).

Évidemment c’était une illusion : mais quand on songe à vos dessins, à l’attrait permanent de la banquise, il n’est pas impossible de croire (c’est possible de penser – j’écris ici cette traduction de l’expression précédente car j’ai comme un doute de ne pas avoir réussi à exprimer cette dernière expression ici écrite ainsi, plus simplement signifiante, évidemment, et en me demandant avec regrets s’il n’était pas préférable de ne pas l’avoir trouvée tout de suite, plutôt que d’avoir cherché à compliquer !) que ce lapsus de signifié est profondément révélateur, profondément relié intrinsèquement l’un dans l’autre, l’autre dans l’un : sans ‘Gore tex’, X.Gorce peut-être ne s’intéresserait pas aux pingouins car le ‘X’ de ‘Xavier’ se retrouve aussi à la fin de la partie du mot « tex - (te)» de « Gore tex » (‘tex’ pour ‘texte’ ou ‘texture’, non ! Pour ‘textile’ ! Me dis-je, en comprenant soudain !).

Donc, je crois même alors avoir fait la découverte d’un secret, au point que j’ai l’impression un instant sincèrement d’avoir un peu de géni, un peu comme à la façon de ce Newton des rubricabracadabrantes de l’Immense Gotlib, mais dans un dessin qui, pour une fois, se termine bien pour lui.  « Xavier Gorce » est en fait un pseudonyme en hommage au « Gore tex », ou bien plutôt le contraire : le « Gore tex » est un pseudonyme pour Xavier Gorce (ce qui me semble soudain plus exacte et je me dis que vous devez avoir de très nombreux lecteurs puisque l’un d’eux a certainement donné à l’une des matières les plus belles du monde, une des matières salvatrice de toute l’Humanité, celle qu’on utilise dans les grands froids dignes seulement de pingouins, ce pseudonyme réalisé sciemment à partir de votre prénom et votre nom ! Ou est-ce par hasard ? Alors nous avons ici une preuve éclatante que « le Hasard a donc bien fais les choses sur ce point ! »).  

Grâce à cette matière c’est la fin d’une humanité désirant la prédation, d’une humanité de carnivores, d’une humanité de pêcheurs, d’une humanité à jamais aussi grégaire que celle des pingouins que vous dessinez, moutonniers qu’ils semblent être dans leur réalité polaire, « tous pareils (mais) tous (très légèrement, imperceptiblement) différents » grâce au fait qu’ils sont mis en scène sur le théâtre de cette illusion de banquise dans vos vignettes et cela grâce à votre grand talent, un peu aussi comme ces moutons du « Génie des Alpages » que nous avons certainement aimé, l’un et l’autre, plus jeunes.

Elles nous font toujours bien rire ces brebis, ils nous font rire ces pingouins que vous animez si simplement dans vos bandes, condamnés encore par atavisme à poursuivre les autres espèces dans les fonds marins, alors que nous, grâce à la laine polaire, et grâce surtout au « Gore tex », (grâce à X. Gor©e), nous ne le sommes plus, car on va enfin pouvoir tous s’affranchir à jamais, dans les temps à venir de cette maudite chaîne alimentaire si déshonorante pour l’Être humain au point que l’expression a conduit beaucoup de gens qui se sont abaissée à la croire, au cours des millénaires, à ne pas comprendre l’existence, en tombant évidemment dans des erreurs fatales (pour une grande partie d’entre eux), ayant préférés s’identifier à des prédateurs, aux carnivores alors qu’ils étaient, bien évidemment, tous, au départ, à la naissance, un peu comme les moutons, c’est à dire des végétariens ou même encore, ce qui est de loin préférable, des V+ (je mets ici ce lien, car j’explique un peu dans ce texte lié ce qu’est un V+ - quoi que je vais bientôt m’exprimer avec générosité sur ce chapitre, donc plus en détail ici  dans quelques jours).

Qu’en pensez-vous ? Ai-je eu tort de vous en faire part et de partager avec vous ce secret de polichinelle et cela en vous dérangeant peut-être dans l’un de vos dessins  !?

Merci d’avance de votre attention.

Cordialement,

Laury Granier


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Révision : 16 juillet 2005