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"La momie à mi-mots": Un essai cinématographique. 

Genèse d’un film.

 

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Remerciements

Sans l’aide de tous, je n’aurais jamais pu tourner La momie à mi-mots.

Je remercie les momies, qui m’ont aidé à retrouver la vérité qui est une, et qui est indestructible.

Je remercie Jean Rouch de ses conseils, de son soutien chaleureux, de sa foi dans mon projet, de sa longue patience. Il a su attendre, suivre et aimer, étape après étape, mon travail dans sa durée.

Je remercie le professeur Claude Beylie d’avoir accepté la direction de cette thèse, et de m’avoir aidé et encouragé, à plusieurs reprises, dans la réalisation de La momie à mi-mots.

Je remercie Michèle Finck, mon assistante, sans qui ce travail n’aurait même pas pu commencer. Mon film est le fruit d’un dialogue ininterrompu avec elle. Elle a été la fée de ce film.

Je remercie mon ami Laurent Burin des Roziers pour son aide.

Je remercie tous les membres de l’équipe technique de La momie à mi-mots 1.

Je remercie tous les acteurs et tous les musiciens, avec qui j’ai travaillé. Ma gratitude va particulièrement à Carolyn Carlson, au contact de qui j’ai beaucoup appris, et qui m’a ouvert un monde: la danse.

Je dédie ce travail à ma mère, et à mon père, que je remercie.

Je le dédie aussi à ma chienne, Celte, morte au cours de l’un des montages. Elle avait accepté de figurer dans mon film.

Je dédie aussi ce travail à tous ceux qui oeuvrent pour une plus grande beauté, et pour une plus grande lumière, et qui savent encourager, sans les forcer, les projets qui véhiculent des messages de paix, de bonheur et d’amour.

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01 Pour plus de détails voir, en annexes, les remerciements sur la copie du générique, qui fait état de l’ensemble des personnes ayant aidé et soutenu le film.

 

 



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Révision : 11 avril 2003