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" La momie à mi-mots": Un essai cinématographique. 

Genèse d’un film.

 

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V. 2. Production 3ème partie

À cette somme s’ajouteront les contributions que j’ai obtenues à la suite de la projection à la Cinémathèque française, et qui ont été elles aussi consacrées au quatrième montage du film, au montage son et au mixage. Comme on le verra, il s’agit encore principalement d’aides en nature; mais sans elles, je n’aurais pas réussi à terminer La momie à mi-mots.

La post-production de La momie à mi-mots était maintenant assurée par la société Lorimage, gérée par Sébastien Brochu. Toutefois rien n’avait changé dans mes démarches, auprès des organismes que je sollicitais: je promettais, à chacun d’eux, de les remercier au générique de La momie à mi-mots, exactement comme par le passé, quand Udnie s’était chargé de la production du film. D’ailleurs, dans certains cas, c’était encore cette association qui avait accepté de travailler avec Lorimage, qui intervenait dans le cadre de ces démarches. L’objectif d’Udnie restait, avant tout, de contribuer à la bonne fin du projet.

Voici la liste des organismes qui m’ont aidé au cours de cette nouvelle phase:

- Pyral m’a offert les bandes magnétiques sons dont j’avais besoin pour le repiquage des sons. Elle m’a donné également l’amorce son qu’il me fallait pour le montage sonore du film.

- l’Université de Paris I - Sorbonne, Cinémathèque Universitaire a mis à ma disposition la salle de projection de l’Institut d’Art et d’Archéologie, pour projeter le film et montrer l’avancée des travaux aux membres du C. R. O. U. S. qui n’avaient pas pu assister à la projection à la Cinémathèque. En outre, je pus faire une projection de mon troisième montage dans les sous-sols de Tolbiac à mon professeur Jean-Paul Torök, pour bénéficier de ses conseils. Il me dit qu’à son avis, il fallait songer à raccourcir certaines scènes, et à mieux rythmer mon film. On verra que j’ai essayé de travailler dans ce sens.

- Elison a assuré tous les travaux sons de repiquage et m’a prêté à nouveau le matériel dont j’avais besoin pour faire les enregistrements des nouvelles musiques.

- Neyrac m’a donné quelques produits d’entretien pour nettoyer la copie travail de mon film.

- La Procirep m’a accordé 200 000 francs.

- l’Association Française des Producteurs de Films m’a conseillé gratuitement pour les estimations du film.

- Tzu Design à Strasbourg a tourné une première version numériser- des panonceaux (dont je n’ai d’ailleurs pas pu me servir car je n’étais pas satisfait du résultat).

- Kinécolor a assuré le kinescopage du travail de Tzu Design.

- Kodak m’a accordé une remise sur l’achat de pellicules et m’a fait don de plusieurs boîtes de pellicules pour tourner le générique et les intertitres.

- Jack Gajos de la F. E. M. I. S. m’a aidé en me prêtant l’auditorium de cette école pour y réaliser un transfert vidéo de mon troisième montage.

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Révision : 11 avril 2003