Je viens de dire à Michèle par téléphone
que ceux qui rétabliront
la Vision du Paradis, soit la Vision d’Oz selon
mon programme, vont collectivement bénéficier pour leurs
réincarnations au moment de leur mort, de ce que cette Vision du Paradis / d’Ôz, (une
heure toutes les cinq heures au terme de vingt-quatre ans d’approximations
successives logiques), soigne -(fait du bien au lieu du contraire)- comme
le font les œuvres d’Art les plus véritables -(sacrées)- comme
c’est le cas par exemple pour un Vermeer ou/et un tableaux de Goya ou /et un de
ceux de Léonard de Vinci ou/et une sculpture de Michel-Ange ou/et une peinture
cubiste de Picasso, voire d’œuvres de mon frère aîné Luc-François Granier de Venise et de Cunéo,
tes oncles.
En fait nous le savons : tous les
arts et toutes les sciences,
(comme un grand nombre de catégories et de religions intellectuellement
admissibles -[une fois qu’on a accès en soi-même à la
conscience et qu’on les étudie ou les analyse, voire quand on continue à les
développer])- de
l’Art ont -(comme
quelques-unes des musiques)- pour fonction de soigner et d’être des solutions alternatives élégantes
–([acronyme en:]- S.A.É.)- à la disparition historique de la Vision d’Ôz.
Mais je lui ai dit aussi que ceux qui ont
des acouphènes de 5 à 10 sur l’échelle de la souffrance liée à ces
bourdonnements dans les oreilles, soit de ceux-ci -(les acouphènes), même si la
Vision d’Ôz
est rétablie, si on ne les traite pas selon la méthode que j’ai conçue -(tu la trouveras à la fin de ce message)- pour
faire disparaître ces acouphènes ou/et bourdonnements dans la tête près des
oreilles, voire dans les oreilles dont ils sont victimes, ne pourront pas
apprécier à sa juste valeur la Vision d’Ôz -(restituée un moment après des
millions d’années, si possible, pour Noël 2023, ce qui signifie que pour eux,
même si est rétablie la Vision d’Ôz, leur vie est devenue un véritable cauchemar et que même
si la beauté la plus incommensurab[i]lissimis..simissime génialissimis..simissime comme admirab[i]lissimis..simissime est rétablie, la souffrance dans laquelle ils
sont -(à cause des acouphènes de 6 à 10 sur l’échelle qui permet au patient
comme aux médecins de les évaluer selon l’intensité de la souffrance dont ils
sont eux-mêmes -([dans] leur corps)- les auteurs -(ces bourdonnements dans les oreilles
nommés par leur nom savant acouphènes)-
ne
leur permet plus d’apprécier -(comme tous ceux qui n’en souffrent pas,
soit ce qui ont ce qu’on appelle une existence normale bien que celle-ci pour
chacun d’entre nous diffère en étant à cause de cela originale)- le décor qui, une heure toutes les cinq
heures, sera déployé au sens de révélé -(depuis la salle des machines où se
trouve le TGV -(très grand variateur qui a été utilisé en 1995 cinq pleines secondes pour nous
dévoiler l’existence d’Ôz
soit la Vision du Paradis)- à l’issue de vingt-quatre années d’approximations successives logiques
-(A. S. L.)- pour réaliser cet objectif commun, soit la perspective de, tous,
revoir le paradis d’avant la très grande catastrophe -(la tgc)- ayant eu lieu -(de
multiples sources sérieuses l’attestent / le confirment y compris dans/par
l’étude de la gGéologie ©)- il y a plusieurs millions
d’années. D’où sur le plan des généralités et des évaluations, on peut penser /
croire plus ou moins justement à un constat d’échec qui nous fait dire / penser
à tous que la Création est ratée même si un bon nombre de ceux qui sont
victimes de l’une ou/et l’autre des maladies -(causée[s] plus ou moins directement
–[ou/et indirectement- en raison / à cause de la disparition de la Vision d’Ôz]- pourrai[en]t
néanmoins un peu -(ou beaucoup)- guérir, [voire]- grâce à la Vision restituée
d’Ôz), noteront que, malgré la beauté absolue qui
apparaitra
-(bien sûr aussi pour tous ceux qui souffrent de maladie[s] plus ou moins de
nos jours encore incurable[s]), la vie ne vaut rien : est à mépriser
au point de préférer suivre ceux qui révoltés et devenus méprisants, voire
méchants n’en supportent pas -(au sens qu’ils sont devenus imperméables
aux nombreux charmes et bienfaits de la vie)- injustement les charmes -(même s’ils ne
sont pas affectés par des souffrances et/ou maladies, voire handicapes notables
comme ceux qui à cause de cela ne supportent pas/plus de vivre).
Pourtant ceux qui feront
réapparaître la Vision d’Ôz[1] -(https://www.instagram.com/p/CJRdE80A4Ks/?fbclid=IwAR1-bfHQKTg6O8Cv6L5L0opYrvGxlmcRJZtrLa9A-jBJDpezO_bSBVBk9tE – N. B.: si en
cliquant sur ce lien vous ne voyez aucune image[s] apparaître, veuillez copier
le lien ci-dessus sans la ligne au-dessous -(ce qui est proposé dans la note de
bas de page) et placer les lettres et les chiffres de cette ligne-adresse dans
la ligne dans laquelle on colle -[par exemple dans/avec Google - ou un autre moteur de recherche], les adresses des pages qu’on souhaite
rejoindre / consulter sur Internet pour découvrir la photo d’une des maisons
ou/et palais sur lequel on a pris soin de révéler une idée de ce que le TGV a
révélé partout en 1995 -(à tous ceux qui, à cette heure-là, ne dormaient pas
quand il -(ce TGV)- fut utilisé comme ce fut le cas en 1995 au moins cinq
secondes pleines quand on m’a contraint et forcé, sans même me prévenir, à/de
devenir le nouvel empereur à la suite du précédent, mon père, Jean-Luc Granier de Saint-Gervais-sur-Mare de Łódź et de Paris, ton Bon Papa)-[2] selon / en suivant notre processus ou/et
notre programme, même
s’ils sont devenus criminels contre l’humanité, gagneront des points au lieu de
continuer à en perdre
-(en raison de ce que cacher la
Vision d’Ôz
comme l’existence du très grand variateur –[le T.G.V.]- de la vision d’Ôz c’est hélas, le contraire, et
cela depuis des millions d’années)- au point que c’est la raison / cause de ce
qu’ils obtiennent à leur mort l’une ou l’autre des réincarnations animales les
plus horribles / pénibles à vivre -(du point de vue des hommes et des
femmes ayant eu accès à la conscience et, du coup, ces derniers en chemin de
parachèvement d’eux-mêmes par toutes sortes d’actions et/ou réalisations
vertueuses)- étant
donné qu’elles s’éloignent de celles qu’il faut rechercher à obtenir pour avoir
finalement une réincarnation en l’une ou l’autre des réincarnations animales en
être vivant appelés homme ou/et femme, ce qui les mène à être pourvus de
conscience, la première des étapes menant par la compréhension et/ou
connaissance du bien et du mal à la meilleure des intelligences et ce qui
permet à plus ou moins long terme de vérifier l’existence comme la présence du
Saint-Esprit, notemment dans certains textes et/ou
œuvres d’art -(sacrées)- comme celle, entre autre[s], du saint-Sacrement.
CARE 9
Merci Oriane pour ton cadeau de ces belles
images -(tes photos)- de moments visiblement heureux.
J’ai tout de suite reconnu l'admirable
Melchior à l’architecture de ses plates-formes extra-terrestres et enfin Oscar
qui a grandi au point d’être un petit homme -(voire à
son âge au moins Peter-Pan).
Je ne sais pas le prénom de ton chéri ni
ceux de ses deux enfants dont je comprends que tu t’en occupes en plus des
tiens, ce qui est prenant, voire difficile à cause, en même temps de tes
études, mais qui remplacent un peu -(cependant
qu’autrement)- les frères et sœurs que tu attendais de Florence et Nicolas : tu
es devenue la tête d’une grande famille et il apparaît ainsi que tu es la
générosité en personne.
Je dois te dire que je suis très heureux
que tu existes ma très chère Oriane -(et je te dis cela les larmes me montant
aux yeux en songeant aux difficultés qui ont été les tiennes tout au long des
années où je n’ai pas pu être de/une grande aide, ni ton oncle véritablement,
pas plus que celui d’Aurélia et d’Éléonore étant donné que tu auras compris je
devais faire tout ce qu’il fallait faire pour me profaner en raison de ce qui
s’est produit en 1977 quand je suis apparu immense et d’avance dans le Ciel à
Rome, vingt-sept ans avant que cela -[ne]- se (re)produise
enfin dans la réalité, ce que j’ai été mené à devoir démontrer à partir du
moment où ta tante Christine .. Lang et moi avons du,
en 1977, pour le bien et dans l’intérêt général
-(B.I.G. © – c’est moi, [nous], qui suis/sommes à l’origine de cet acronyme), nous
séparer sacrificiellement en raison de la crise du
pétrole de 1973-77 et années suivantes, ce qui rendait quasiment impossible de
fonder une famille dans les pays sans pétrole pour tous ceux qui avaient
vraiment conscience de la situation économique de rackettés -(en permanence)-
par des parasites de la pire espèce même pas dignes du mot d’ordure[s] et/ou
pourriture[s], car de véritables ignorants et inconscients -(bien évidemment au
sens négatif de ces mots qui, tu t’en doutes bien, en a du positif dans
d’autres SPOK -[acronyme de situations
précises, occasions, cas particuliers –(car ici c de cas et p de particuliers = k de SPOK)]).
Aussi ceux qui ont réussi à avoir des
enfants dans les années 1980 dans les pays importateurs de pétrole sont à
considérer comme des surhommes car en réalité, compte tenu des dettes
financières de chacun des Etats, dépendants des
énergies pétrolifères/pétrolières, aucune personne un tantinet censée -(au sens
de véritablement consciente de la situation)-
ne pouvait s’offrir cet incroyable luxe : -[celui de]- se
reproduire en donnant la vie à des êtres à moitié [d’]eux-mêmes -(et c’est
pourquoi prendre la pilule –
[c’est ainsi qu’on appelle ce contraceptif- pour éviter de mettre au monde dans
les difficultés financières -(qui seraient)]- n’était certainement pas/plus un péché pour
toutes les personnes encore capables de réfléchir honnêtement).
Aussi ta naissance comme celle de tes
sœurs est non seulement un vrai miracle mais aussi un prodige qu’on doit à
Florence et Nicolas, ton père-tout-à-fait génial en raison de ta mère
tout-à-fait virginale et admirable et :… .
Si nous avions pu éviter, voire mettre un
terme aux prétentions financières des vendeurs de pétrole, tu aurais eu une
plus grande famille car ma sœur, ta maman, Florence, la générosité en personne -(tu tiens d’elle comme tes sœurs), attendait d’autres
frères et sœurs de son mari Nicolas, ton père. Mais ceux qui ont cru pouvoir
quotidiennement racketter tous ceux qui n’ont pas de pétrole pour, de cette
manière, créer tous les mécontentements et augmenter tous les prix, (donc créer
artificiellement l’enfer sur terre par des difficultés économiques)- comme
créer artificiellement la crise -(économique)- avec son cortège -(merci à
Baudelaire à -[la fin]- La Chambre Double)-
de pauvres et de misérables, ont été repérés chacun individuellement pour être
les auteurs, par conséquent les responsables de tous les malheurs de chacun
d’entre nous y compris et bien sûr les leurs -(de malheurs -[qui ne tarderont
pas à fondre sur eux])- qu’ils se sont ingéniés à créer aussi bêtement en
croyant possible en raison des répercussions de leurs prétentions exécrables
augmenter le prix de chacune des matières premières -(souvent elles-mêmes le
produit de nombreuses autres matières premières)- nécessaires à/pour l’Économie
-(à laquelle on pense tout spécialement quand on sait qu’on attend des
enfants ; des comptes sont alors à faire : et si possible les
meilleurs calculs)- pour
créer tous les produits qui, pour rejoindre leur place plus ou moins définitive,
doivent être chacun transportés, ce qui contraint, malgré la loi de la quantité et de la
rareté qui permet un peu à la longue et en raison des quantités de finir par
baisser quelques-uns des prix -(au point d’atteindre le plancher du prix minimal
pour éviter de vendre à perte[s]), à reporter les dépenses de transport[s] sur
tous les prix, ce qui est à l’origine -(si le prix du pétrole augmente)- des
inflations et de la perte du pouvoir d’achat par conséquent de la réduction des
contenus en quantité des marchés -(cela limite la quantité de produits
alternatifs sur/dans les marchés)- et donne le cortège de chômeurs car la vie
ainsi devenue artificiellement -(par conséquent qui pouvait être
naturellement le contraire : bon marché car ces deux causes, pauvreté[s]
et misère[s], pouvaient être de la manière -[que]- nous, les pharaons/empereurs
Granier d’Ôz - ton grand-père et moi – av[i]ons
proposé en 1977 : à jamais éradiquée)- chère limite le nombre de ceux qui peuvent
s’offrir du superflu
-(donc limite en solutions élégantes ou/et nombres de produits alternatifs la
taille des marchés, soit de ce qui peut être vendu pour/dans/avec le pouvoir
d’achat -[local] de la région précise en cause, par conséquent limite la
clientèle)- et
par conséquent limite indirectement -(soit par conséquence[s])- la
taille des familles car au prix où sont les choses / produits / matières
premières et/ou secondes voire énièmes -(comme peuvent l’être les automobiles
ou les appartements ou d’autres produits ayant eu pour exister / apparaître
recours à de nombreuses autres matières premières pour être assemblés / créés).
On comprend vite qu’avec le budget qu’on a même à deux, (: la femme et l’homme –
dans/de la cellule familiale des pays le plus développés - travaillant)- il
ne va pas être possible de disposer de suffisemment
de moyens financiers propres et mérités de droit -(MFPMD)- donc de place suffisante pour élever les fruits de
l’aAmour ©, voire des amours interdits -(ce qui dans
certains cas veut dire le contraire :
permis). Du coup si on appartient aux gens conscients on se passe de
mettre au monde des enfants ce qui les rend rares dans les régions les plus
développées car pour toutes ces personnes bien élevées on ne peut agir avec
inconscience étant donné qu’élever des enfants représente de très nombreuses
dépenses / investissements -[même s’il s’agit seulement des biens de
première[s] nécessité[s] ils -[en]- auront besoin pour se former aux
compétences vitales qui apparaissent de plus en plus difficiles à cause de la
concurrence que représentent les autres enfants sur le[s] marché[s] de
l’emploi]- tout au long de leur scolarité jusqu’au moment où ils acquièrent à
leur tour suffisemment de MFPMD pour voler de leur
propres ailes en, si possible - il faut le souhaiter pour eux car c’est
ici accéder à une forme de liberté enviable - indépendants.
Mais durant toutes ces années où tu
grandissais et parce que j’avais du m’ingénier pour
me créer une amnésie de l’existence de ta tante Christine ..
Lang
-(pour laquelle un anneau immatériel immaculé lumineux était apparu en 1977 à
mon doigt annulaire de la main gauche)- j’ai pu vérifier ce qui se produit dans la
tête de ceux qui deviennent menteurs et inconscients -(voire qui s’éloignent de
la Vérité), soit de tous ceux qui font semblant de s’y connaître en Économie
alors qu’ils ne comprennent que le très/trop peu de toutes les interactions
continuellement en jeu et j’ai découvert qu’effectivement, en raison de la
complexité de tout ce qu’il y a en jeu -(voire de certitudes qui en réalité sont
fausses, voire ne sont que des préjugés), ils sont obligés de faire semblant de
comprendre car en réalité tout cela est beaucoup plus complexe qu’on ne peut,
dans l’état dans lequel on est alors, -[ou pouvait]- imaginer, car l’Economie, la sacrée – donc la vraie - c’est à géométrie
variable et pluridimentionnel. Elle change selon
chacun des paramètres on prend on compte ou pas et si on en oublie un important
c’est alors la catastrophe plus ou moins générale – ce qui fut le cas à partir
de 1973. En fait ils ne comprennent rien -(au sens de trop peu, très peu -[un pourcentage au-dessous de 50% de ce qu’il fallait
comprendre et qui plus est en bénéficiant de simplifications. Quand nous disons »
rien « comme ici cela signifie qu’ils comprennent malgré tout un petit
peu, mais pas assez, en fait à un pourcentage de compréhension qui est des plus
réduits : au-dessous de 50 % - ce qui nous fait dire » rien « car agacés évidemment on exagère d’autant plus qu’on
sait que l’autre a oublié dans ce qu’il affirme de très nombreux paramètres on a –
ceux qui pigent, à l’inverse, heureusement pour tous -(et nous-mêmes bien
sûrs)- tenu
compte. Ce n’est donc pas assez pour piger tout
ce qu’il faut piger pour comprendre aussi avec ses fonctionnements les
objectifs les plus saints de l’Économie la plus sainte / sacrée / juste / féconde –
(ce que ta tante Christine et moi en 1977 avions -[dans le] / pour le BIG –[acronyme de bien et intérêt général]- en
tête car nous avions prouvé de 1967 à 1977 que nous nous aimions totalement –[en raison des enfants que nous
attendions et que tes Luc-François attendaient de Katriona
Munth]- et par conséquent comprenions
l’incompréhensible y compris).
Les autres -(ceux qui ne comprennent
pas, voire trop peu, voire pas assez)- comprennent de
manière trop élémentaire
-[au sens négatif de ce mot qui heureusement en a du positif dans d’autres SPOK
– « élémentaire mon cher Watson »])- étant
donné qu’ils n’ont pas pu comprendre toutes les interactions économiques
industrielles interRégionales -(au sens du mot
d’autrefois d’ »internationales «)- nous tenions, à l’inverse d’eux,
compte. J’ai vérifié, plus ou moins inconscients à cause de leur sexualité
débridée il leur manque des cases et ne peuvent imaginer que des cercles
vertueux -(d’une autre nature que strictement sexuelle
et érotique, soit de celle spirituelle ou/et intellectuelle)- existent pour
fonder durablement et légitimement le[s] bien[s] fondés de l’Économie et ses
meilleurs objectifs -(sa raison d’être sacrée)- selon selon.
Oui, enfant, encore, à quatorze ans –
quand je redevins bouddha
-(comme en 1967 où cela s’était produit une seconde fois quatre ans après ma
naissance, mais à l’âge de quatre ans)- après avoir démontré de l’âge de quatre ans
à l’âge de quatorze ans comment un enfant baptisé et bien élevé peut facilement
devenir un menteur et à cause de cela se conduit en imposteur, et à cause de
cela en soupçonnant de mensonge[s] ses parents et/ou ses frères et sœurs de
tricher y compris avec aAmour, soudain sombre dans la
cécité cérébrale, ce qui a des répercutions intellectuelles et à cause de cela
croit même à des anti-thèses néfastes au lieu de
croire à toutes les thèses les plus belles, voire à ce qui, en conscience, est
le meilleur et c’est ainsi qu’il découvre que l’inconscience
-(qui a du positif dans / pour d’autres situations)- est
à l’origine de bien des malheurs comme des incompréhensions au point de trouver
normal, par soudaine ignorance – une véritable maladie - que des gens
augmentent le prix du baril de pétrole parce que la plupart des produits
fabriqués voient –
c’est logique et juste sauf pour l’une ou l’autre exception - leurs
prix augmenter -(en raison que le prix final d’un produit industriel ou/et même
artisanal, voire de services aux tiers et etc. , répercute –
[le prix est donc une sorte de condensé, voire de résumé nous donnant une idée
juste de la plus ou moins grande honnêteté du fabricant et des vendeur – tu le
sais parfois on dit d’un commerçant que c’est un voleur ; tu sais Hermès
est aussi le dieu des voleurs et c’est pourquoi j’ai choisi ce nom comme nom de
pharaon mais en y ajoutant Trismégiste : trois fois grand car pour nous tous il y eut 1967, puis 1977 et
enfin à partir de 2005, dates
importantes d’une nouvelle ère auxquelles je suis à chacune des fois redevenu
bouddhahs, soit trois fois saint]- toutes les dépenses du processus de création
de ce produit et si on réfléchit un tantinet avec honnêteté à ça, on comprend
que le moindre des prix des objets dont nous avons continuellement besoin
-(soit les biens de première nécessité comme par exemple de chacun des éléments
de base de/pour notre alimentation ou/et pour nous vêtir ou/et nous chausser, voire
nous loger, éclairer et chauffer, et etc.)- dépend du prix du transport de chacune des
matières premières à réunir pour les assembler pour donner finalement ce
produit (possible si tous ceux qui participent à sa fabrication voient
transporter tout ce dont ils ont besoin pour travailler dans les meilleures conditions : d’autres frais
de transports qui s’additionnent car pour être logés il a fallu transporter
tous les matériaux pour construire ce qu’un architecte a dessiné et qu’il n’a
pu dessiner qu’en raison de ce qu’on a transporté jusqu’à lui tout ce dont il
avait besoin mais aussi tous les biens alimentaires mais aussi divertissants ce
qui est nécessaire pour supporter l’existence donnant donnant -(donc on peut
résumer / simplifier au sujet des produits fabriqués : ils ont le prix à
cause des dépenses de transport en plus des remboursement des années de
formations – des investissements ayant causé d’autres frais de transports pour
acquérir et/ou regrouper l’apprentissage des compétences nécessaires pour
reproduire un ou plusieurs objets nécessaires / utiles. Aussi le mot prix est
synonyme de » coût de transport[s] « de tous les éléments à
assembler, notemment pour construire notre habitat
ou/et pour l’élémentaire accès à l’alimentation nécessaire -(de base), soit ce
qui est totalement obligatoire car si on ne mange pas à sa faim -(ce qui a été
transporté et qui a donc le coût que cela a en raison de l’augmentation du prix
des transports, on ne peut pas apporter son concours pour aider à fabriquer
ou/et produire, aussi toutes les boissons qui font partie des produits de
premières nécessités voient elles aussi leur prix augmenter bien que
quelques-unes d’entre elles soient considérées du superflu -(ce qui fait que
dans les époques de crise[s] économique[s] certains sont contraints de s’en
priver, ce qui n’est pas si mauvais que cela car c’est une forme de jeûne qui
nous est imposé par la réalité économique). Or vivre -[au
sein]- d’une civilisation c’est pouvoir s’autoriser au moins à quelques rares
occasions à accéder au superflu -(qu’on peut appeler » des gadgets «)- car
il est très difficile d’être en permanence sage au point de s’en passer un peu
comme l’oncle Picsou chez lui malgré sa profonde amitié et sa vénération pour
Géo Trouvetou de Disneyland). C’est normal de désirer
-[les]- acheter ces gadgets, mais alors certains d’entre nous courons le risque
d’être comme Pinocchio devenu un âne bâté incapable de prendre -(voire de se souvenir), en compte de nombreux paramètres
devant entrer / entrant en considération -(en ligne de compte)- dans les
budgets dont on dispose mais bien sûr souvent trop compliqués pour des
personnes n’ayant suivi comme cursus que les classes élémentaires -(ils ont
alors besoin de l’aide de leurs banquiers).
Oui, ma chère Oriane, j’ai pu vérifier sur
moi-même – c’est-à-dire avec mon cerveau – en me mettant en condition -(comme
si nous dépendions des enseignements des acteurs apprenant à jouer avec/chez Actors Studio)-, qu’il y a le monde des
très mauvais calculs qui s’oppose -(probablement depuis toujours)- à celui de
la vertu autrice -(au sens du synonyme auteure)- au contraire des bien[s]
meilleurs calculs, soit -[de]- tous ceux les plus justes mais – j’ai vérifié -
les plus difficiles à faire, soit, en général, ceux des plus véritables
architectes / ingénieurs et/ou médecins, etc. -(en fait les acteurs de ce qu’on
appelle à notre époque les professions libérales, voire les enseignants
d’Université et/ou grandes écoles et etc. qui sont de ceux censés avoir eu accès
à leur conscience).
C’est que j’ai grand espoir en toi ma très
chérie et dans les cours que tu suis pour devenir mMédecin(e)
©.
Comme tu le sais je suis un peu touchàtout -(au bon sens de ce mot qui en a du négatif dans
d’autres situations)- en raison de ton grand-père maternel qui conseillait d’avoir
si possible plusieurs cordes à son arc ; conseil que je me suis ingénié à
suivre dès mes quatre ans et parmi les spécialités qui m’ont intéressées il y
a, depuis l’âge de mes quatre ans, la Médecine et bien sûr en ayant exploré
l’inconscience comme j’ai été amené à le faire -(dangereusement – j’aurai pu y
laisser ma peau, ce qui miraculeusement n’a pas été le cas), je me suis
intéressé aux maladies psychiques. Le souvenir de la lecture de l’ » Introduction
à la Psychanalyse « -(au
pastel j’ai ici dessiné un hommage à -[Sigmund]- Freud,
l’original, archi-précieux, une miniature au pastel incroyable mais vraie, sera
à toi un jour : c’est sur un meuble noir avec Todo dessiné plus haut, le père, Dieu
de De
Media Patata)- que nous avions comme livre à lire durant
l’année de Terminale avant le bac compte parmi les moments où il y avait encore
un peu de -[la]- lumière en moi -(bien que j’avais commencé à me conduire
bêtement soit ce qu’il fallait démontrer à partir de causes aussi importantes que
la perte de mémoire de m’appartenir à ma femme légitime, mère des enfants que
naturellement chacun des garçons est censé attendre), voire
de l’intelligence -(ce qui est synonyme), même si mes résultats n’étaient pas
bien brillants depuis que j’avais du m’ingénier à
oublier ma présence immense dans le Ciel de 1977 au-dessus de Rome, mesurant
environ 6 500 mètres de hauteur -(j’ai longtemps hésité entre dire dix
mille mètres et cinq mille et j’ai donc coupé la poire en deux en ma défaveur
car, par prudence je ne vais pas écrire 7 500 mètres bien que j’étais peut-être
beaucoup plus immense que ça durant toutes ces années où quotidiennement
j’intervenais du ciel pour aider ton grand-père, ton Bon Papa, puisque j’ai été
contraint –(j’ai pas eu le choix)- à le faire / nommer empereur
-(j’avais pas le choix quand je suis redevenu bouddhah
je me suis trouvé soudain dans une situation inimaginable et totalement
imprévue aussi j’ai improvisé avec les moyens du bord. Heureusement que je
disposai d’Internet ce qui m’a permis de transmettre à ton Bon Papa qui se
trouvait comme moi-même à Rome vingt-sept ans avant, depuis le ciel -(pour nous
le voyant au-dessus de nos têtes dans les années 1977)- toutes sortes de
secrets de fabrication qui dans le futur, soit dans les années 2005 étaient
connus et/ou publics sur Wikipédia -(que j’eus à demander de créer car sinon
comment ferai-je pour transmettre tout ce que j’ai eu à transmettre en
improvisant jour après jour en profitant de ce que je me souvenais qu’on
m’entendait vingt-sept ans avant que je sois en chair et en os dans le futur à
cette place à laquelle j’étais le premier étonné et c’est ainsi avec Wikipédia
que nous avons contribué à changer grandement les choses dans le passé notemment sur le plan technologique, en ayant à décrire des
objets aussi complexes que les ordinateurs et autres bien faits -[aussi à
trente-sept ans avant -(à 1967)])- avant
de l’être moi-même à partir de 1995), en fait âgé
en 1977 de quarante-deux ans alors que sur place, n’ayant que quatorze ans,
mais promu du Ciel secrétaire particulier de cette éminence d’extension de
moi-même qui ne serait telle qu’on me voyait et m’entendait, mesurant ces six
mille cinq cent mètres dans le Ciel de 1977, que seulement vingt-sept années
plus loin, par conséquent seulement à partir de 2005 d’où j’intervenais à haute
voix -(donc je savais qu’on m’entendait à partir de 1977)- et sans même un
micro en pratiquant -(à l’occasion d’)- une auto-psychanalyse pré-nuptiale auto-critique avant
de comprendre que j’avais à profiter de l’occasion pour transmettre tout ce qui
était possible de réaliser à partir des années 1977 par tous ceux qui, à Rome,
avaient, durant la journée, les yeux et les oreilles rivés à mes propos / dires
dans le Ciel -(célestes nos propos), ce qui m’a contraint quotidiennement à
improviser une méga-hyper dictée : la Dictée de la NNDIM
–(de la nouvelle nouvelle donne interRégionale
– au sens d’internationale – mondiale)-
car
j’avais conscience -(car
je me souvenais / m’en souvins)- que là-bas où je n’avais que quatorze ans,
rien de notre monde des écrans plats couleurs n’existait. Aussi j’alternai mes
journées d’auto-psychanalyse et de NNDIM et je passai souvent quinze heures
d’affilée à transmettre toutes les informations dont je disposai grâce à Internet
et un livre du Quid -(autrefois offert dans les années 2000 par ma marraine Colette)- et des journaux ramassés autour de chez moi rue du
Val de Grâce dans les poubelles -(pour ne pas avoir à faire la dépense de
les acheter tant mon budget était maigre. C’est ainsi que j’ai trouvé dans un
magazine la liste de milliardaires dans les années 2005 et suivantes, liste que
je communiquai
-[pour –(leur)- faciliter les choses dans les années 1977 et suivantes car ces
milliardaires y vivaient peut-être alors seulement en illustres inconnus]- à
ton bon Papa, mon père, Jean-Luc Granier que, pris au
dépourvu et me sachant là-bas n’ayant que quatorze ans, j’eus la bonne idée
d’imposer du ciel comme empereur ayant la responsabilité de mon éducation étant
donné que j’avais pu vérifier qu’à partir de 1995 -(quand on m’a fait empereur
à Rome)- il était empereur chronologiquement avant moi dans le sarcophage des
derniers empereurs qui n’existe – je le découvrais - que dans le/un monde invisible -(qui
soudain apparait et à cela je n’ai pour l’instant aucune explication[s]
rationnelle[s] : en tout cas c’est mystérieux, voire incompréhensible,
mais je peux te dire que c’est)- et c’est pourquoi j’eus à me fâcher et dans
le Ciel me mettre en colère
-(ce que tu sais je ne fais jamais : me mettre en colère quand je suis
bouddhahs – impossible. Il n’y a que quand je n’étais plus moi-même que je me
suis mis en colère mais là, ce jour-là, quand j’ai découvert que tous savaient
que j’aurai à intervenir à travers Espace et Temps et que je ne pouvais que
compter sur moi car je n’avais pas d’aide et quand j’ai compris que tous
avaient joué la comédie durant toutes ces années où j’avais du devenir
amnésique de ma femme Christine.. Lang pour laquelle
un anneau immaculé immatériel lumineux s’était matérialisé en 1977 -(était
apparu à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement
mariés)- pour elle et que j’avais du m’ingénier à
l’oublier pour approcher Michèle qui avait cru possible en 1977 briser notre
couple archi-saint -(avec Titine)- et nous faire
perdre notre descendance sacrée attendue, je me suis mis en colère avec une
vraie colère -(probablement du genre de celle de Jésus avec les marchands du Temple), une de celle dont il est
probable que tous se souviennent dans les temps les plus lointain : la
situation dans laquelle j’étais était totalement inadmissible : rien
n’était prêt pour de telle[s] intervention[s] et/mais j’improvisai)- pour
obliger tout le monde en 1977 à faire de ton Bon-Papa l’empereur avant moi car
c’était ce que j’aurais à découvrir en 1995 -(et nous étions alors à la fois en 1977
mais aussi en même temps en 2005)- par où forcément j’étais déjà passé
–[pour intervenir d’avance à partir de / depuis 2005 en synchrone sur les
années 1967 et 1977])- quand
mon tour viendrait où j’aurais à prendre le relais -(impérial).
C’est en raison de ton grand-père empereur
que j’ai nommé avec l’aide du Saint-Esprit -(qui ne m’a pas quitté d’un atome à
partir du moment où je suis redevenu bouddhahs –[bouddha s’écrit bouddhahs
quand il s’agit de l’empereur qui est bouddhahs]- en 2005)- que
nous avons pu créer la Confédération de l’Union Européenne
-(tu vas rire : la C. U.E. voilà un C. U. qui étrangement s’accorde, donc
qui existe au féminin à cause de la désignation féminine du » e « :
une CUE)- par
étapes dont celle de la monnaie unique de l’euro -(M. U. E.)- et ainsi assurer la pPaix
© dans un espace où les mêmes règles économiques existent et s’appliquent en
raison que chacun a compris -(tutto il mondo è paese)- que la loi de
la quantité et de la rareté existe vraiment comme fondement de/à la
concurrence, moteur de l’économie capitaliste -(au bon sens de ce mot qui en a du
négatif dans d’autres circonstances)- tandis qu’on a assisté à la mondialisation
des échanges commerciaux -[(c’est par là :)- M. E. C. -(ha! ha!)]- en
réalisant plusieurs grands ensembles économiques fonctionnant un peu comme des
Marchés Communs -(ce qui a été après-guerre la seconde étape vers l’Union
Européenne).
Et toi et tes sœurs aînées vous
grandissiez car vous avez été annoncées par mes soins à partir de 2005 sur les
années 1967 et 1977 y compris en donnant le nom de ton père Nicolas à ces
années aujourd’hui pour toi et nous tous lointaines mais qui, bien sûr, sont
très proches pour/de ceux qui disposent de la machine intérieure-à-remonter-le-temps
-(certains historiens le sont devenus -(historiens)-
et sont capables de nous révéler comme des professeurs en fac. – (j’ai passé
autrefois une licence d’Histoire à la Sorbonne, je sais ce que je te dis)- faisant des cours la restitutions d’époques anciennes.
Ils se transforment en machine-à-remonter-le-temps grâce à leurs connaissances
livresques et parfois restituent comme des réalisateurs cinéastes par les
phrases qu’ils parlent / disent / évoquent des époques passés aux étudiants
prenant des notes, ce qui permet aussi, d’élaborer des scénarii comme par
exemple celui qui concerne la vie de Flora Tristan -(rôle que tu pourrais jouer
avec ta mère Florence et une des filles d’Aurelia),
la grand-mère de Gauguin, film que je veux réaliser grâce au Cinéma, ce qui
permettrait de recréer de nouveau ces époques de manière audiovisuelle
-(cela se situe de la fin du Premier Empire à la fin de la guerre entre la
France et la Prusse, soit à la fin du Second Empire)- ce
qui évite des voyages dans la réalité elle-même avec une plus véritable machine
à remonter le temps
-(comme celles utilisées dans les films de science-fiction ou les bandes
dessinées d’anticipation)– et ce dont on parle alors, voire les costumes
qu’on restitue comme les décors c’est, au départ de celui qui les reconstitue
ou/et qui en parle, du
virtuel que les décorateurs et/ou costumiers tire mais d’un virtuel en
eux-mêmes en liaison avec des éléments réels auxquels leur mémoire a eu accès –
c’est donc que le monde de la réflexion existe – j’enfonce une porte ouverte et
m’extasie sur une banalité) .
Annoncée tu l’as été et bien sûr tu es
parfaitement légitime, peut-être même l’unique souveraine absolue qui n’ait
jamais été -(soit ce qui signifie le contraire : qui a toujours été)- car
tu as été annoncée dans le Ciel des années 1967 quand ta mère et ton père
Nicolas ont appris qu’ils vous attendaient -(toi et tes sœurs et tes cousins
les enfants de Jean-Paul, mon frère, lui aussi avec ses enfants annoncés de ta
tante Martine Granier-Pierre-Marie, la sainte Vierge
comme ta mère, ma sœur Florence, fille de la Sainte-Vierge, ma mère, Itala-France Granier-Joussin Aime
de Cuneo ta grand-mère qui, tu le sais, nous a quitté récemment quelques temps,
on le comprend aisément, pour se reposer d’avoir eu avec ton grand-père et avec
moi et mes frères aînés et ma sœur et ton père comme tes tantes -(aux moments
où je fus bouddhahs – soit tous ceux où je me savais à Christine .. Lang et à
Michèle Finck)- tout l’Univers sur cette planète à gouverner :)- malgré le
prix du baril de pétrole qui en augmentant est devenu un gigantesque
frein-à-main du genre de celui dans une Renault 4L ou/et celui d’une Fiat 500,
petit à petit tiré[s] au maximum sur l’Économie -(et tu verras, si on tire un
cran de trop ce frein à main il peut lâcher : c’est le soleil alors qui
explose[ra])- créant toujours plus d’enfer au sens négatif de ce mot qui
pourrait en avoir du positif dans d’autres SPOK -(situations
précises, occasions, cas particuliers -[car ici c de cas et p de particuliers = K de SPOK]-
à
déterminer).
Aussi Médecine -(mais celle en liaison avec les maladies psychiques, celle des meilleurs raisonnements
ou/et des conséquences de malentendus et beaucoup moins de celle qu’on
appellera mécanique, les maux de celle-ci étant parfois causés par ces
problèmes psychiques à l’origine de ces problèmes et/ou dysfonctionnement dans
le corps. Tu le sais il faut donc remonter aux causes des maladies dont
certaines sont psychiques)- m’intéressait beaucoup mais comme il allait
falloir que je me dégrade infiniment pour qu’on me fasse empereur à partir de
1995 -(pour prendre la relève de ton bon Papa, nous savions en 1977 que cela
serait, mais nous ne savions pas dans quelles circonstances et ses détails cela
allait être), j’eus à abandonner ce projet de devenir médecin qui nécessite une
très bonne mémoire ce que j’allais devoir perdre car pour embrasser un jour
Michèle -(qui n’avait pas voulu de ma solution alternative élégante des deux
épouses et dont, à cause de cela, je ne devais rien savoir avant de la
rencontrer
-[car elle avait cru possible en 1977 me séparer de Christine, une de mes femmes cosmiques universelles, pour m’avoir
pour elle toute seule en trouvant, qui plus est, normal le sacrifice de notre
séparation à son profit])- je
devais donc m’ingénier à perdre la mémoire de mon apparition dans le ciel de
1977 à Rome et ne plus rien savoir de moi bouddhahs contraint d’accepter la
séparation sacrificielle proposée d’avec Christine, ta tante, cependant que
nous eûmes à réaliser La Momie à Mi-Mots -(quelques
temps après ta naissance)- où tu te souviens tu as participé car je t’ai remis
une petite mappemonde dans un cube en plastique transparent un peu avant la
scène des cartes du monde devenues, grâce à toi dans le film et dans la
réalité, cerfs-volants prenant leur envol, ce qui a permis dans le chapitre
suivant à Carolyn Carlson de ressusciter et par sa danse d’enchanter de nouveau
le monde à la fin du film autour de la Fontaine Carpeaux d’où votre génération
vous partez à la suite de Carolyn Chaplin -(toujours elle, Carlson)- vers un
avenir incertain et parait-il ce sont des psychiatres et des psychanalystes de
l’Université de Médecine de Buenos Aires en Argentine à avoir primé le film
avec le premier prix Andreï Tarkovski pour la Création Artistique et le Langage
Cinématographique que j’ai reçu avec Michèle -(qui écoutait comme moi le
répondeur à notre retour de Toulouse où mon ami d’enfance Laurent Burin-des-Roziers que tu as certainement du croiser un jour ou
l’autre s’était marié car il attendait Paul et Jeanne, ses enfants légitimes,
de Catherine Dupuy dont j’avais aussi communiqué l’identité du Ciel aux années
1977 et suivantes synchrones de celles de 2005 et suivantes
-(ce qui confirmerait les/de grandes -(au sens de nombreuses)- probabilités à
ce que la spirale du Temps existe)- comme synchrones avec celles des années
1967 et suivantes -(mais pour un enfant de quatre ans. Tandis qu’ensuite il
s’agit de quatre ans à quatorze ans et à partir de 1977 de 14 ans à 42 ans -(en
2005 !) – ce qui signifie que cette spirale du Temps a de forte chances
d’être des plus compliquées / complexes, mais que les voyages dans le Temps et
l’Espace sont matériellement -(et non pas
seulement ceux d’hurluberlu enseignants d’Histoire à l’Université victimes de
la passion de lire des textes ou preuves d’autrefois dans les archives)- possibles. En tout cas dans le futur ceux
qui doivent rejoindre les années 1960 passent -(peut-être à leur insu quand
cela se produit avec des soucoupes volantes)- par le
Jardin du Luxembourg – et à l’occasion je te montrerai les lieux où ces
passages existent vers 1967 en pouvant te dire très précisément où en 2005, à
Paris, est, en 1967 Paris, et ce qui en 2005 à Paris correspond
géographiquement à Rome en 1977 !).
Ma très chère Oriane ces derniers temps
parmi de trop nombreuses maladies j’ai pu vérifier sur moi-même il y a celle
des acouphènes qui, dans mon cas ont heureusement disparu -(il s’agissait des
bourdonnements dans la tête du côté des oreilles qui sont, selon les cas, de un
à dix -[comme échelle])- et c’est de ça que je vais essayer de t’entretenir car
cela a de l’avenir en matière de médication ou, si tu préfères, de remèdes -(et
cela pourrait te décider de te lancer dans de juteuses affaires si les choses
continuent aussi injustement sur ce chapitre où sont en cause les
neuroleptiques du genre Risperdal et Xeplion et
corollaire de cette famille).
Florence t’a peut-être mis au courant de
ce qui s’est passé en 2017 quand, alors que j’étais dans un processus de
sevrage bien avancé, un soi-disant « médecin-chef » du secteur 3 à/de
Saint-Anne m’a fait hospitaliser parce qu’il ne voulait pas croire que les
sevrages fonctionnaient tous mathématiquement et exactement, ce que pourtant je
lui avais assuré -(en le démontrant sur moi-même avec son bras droit la
docteure Nicole Koechlin)- sur la base de
l’expérience que nous menions -(avec son bras droit, une psychiatre, la
docteure K.)- depuis
fin 2012, à la suite d’une mienne hospitalisation -(dont tu sauras un jour la
cause inadmissible / sacrilège à mon égard).
Je pourrais te montrer le carnet de
périodicité des injections et tu comprendras très facilement que lorsque ce
« médecin »
-(je mets entre-guillemets car il y a là matière à employer le ton le plus
ironique qui soit possible pour en douter à son sujet et au sujet de ses
compétences)- est
intervenu à mon domicile en 2017 -(alors qu’il n’avait pas le droit
d’entrer dans cette passerelle extra-terrestre que représente mon appartement,
mon identité avec ce que je suis -[en extrêmement bref]- étant inscrite au
pastel bleu sur la porte. Ce qui est chez moi est ailleurs dans l’Univers que
là où on croit, en profane, simplement être), cela faisait plus de deux ans et demi que
j’étais comme sevré -(Hortense
Boulanger, une autre psychiatre a même reconnu que le dosage auquel j’étais
correspondait à » plus rien « - [cependant que pour moi ce »
rien « ne pouvait être que totalement sevré, soit après la demi-dose de Risperdal
25 mg toutes les neuf semaines pendant six mois où effectivement j’avais prévu
que cesseraient à jamais ces injections car nous étions dans un processus de
sevrage extrêmement long de manière à avoir toutes les chances de notre côté
qu’il fonctionne à la perfection –(ce qui était le cas)- et que je ne causerai
plus aucun problèmes – (ce sevrage est en réalité très important car nous
devons restituer la Vision d’Ôz et la restitution progressive sur vingt-quatre années de
la Vision d’Ôz
fonctionne comme un sevrage inversé –[soit la prise progressive d’une sorte de
médicament, en l’occurrence pour Ôz de la Beauté
absolue se révélant sur toutes les surfaces]-: je devais donc prouver qu’un
sevrage cela peut fonctionner toujours parfaitement bien, par conséquent qu’il
ne faut pas du tout avoir peur de mon Programme / Processus de Rétablissement
de la Vision d’Ôz)- car je recevais une injection d’une
demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines.
Mais comme cette dose était le produit du
sevrage qui me concernait, tu sais que c’est par paliers que nous étions
arrivés -(avec l’assistante du docteur Marcel madame K.)-
à ce dosage car nous avions commencé à la suite de la dernière
l'hospitalisation à une dose de Risperdal 25 mg tous les quinze jours.
C’est environ tous les six mois que nous
avons baissé le traitement et j’avais rencontré ce « chef de
service » car comme cela faisait plus de deux ans et demi que nous étions
à cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, depuis plus de deux
ans j’attendais qu’on continue à, logiquement -(c’est
à dire ce qui est souvent vrai et juste de faire)- baisser le dosage pour
passer à cette demi-dose de R. toutes les huit semaines.
Mais soudain je me suis heurté à un
élément de l’un des pires cauchemars de mon existence : le médecin chef nous
disait "qu’il n’y avait pas de vérité en matière de sevrage -(par conséquent il ne croyait à rien de logique en
Médecine :)- « pas plus qu’en Médecine » car selon lui tout
n’était que mensonge! ».
Tu imagines facilement ma réaction. Il
avait devant lui pharaon-bouddhahs fils de ton Bon Papa -(qui
avec la Vérité, en empereur, ne plaisante pas), soit l’eanmeailleurs d’Ôz lui-même en
personne et il osait dire qu’il n’y avait pas une seule chose qui soit vraie !
Evidemment je n’en croyait pas mes oreilles.
Comme s’était la première fois de mon
existence que j’avais à faire à un pareil menteur, j’ai réagi selon comment ma
conscience -(une sorte de boussole intérieure)- me recommandait et devant une/sa
jeune assistante, madame Adham, qui l’accompagnait je
lui ai dit qu’il se trompait -(d’autant que sans l’existence de la Vérité dans
chaque catégorie rien n’est possible –[pas même un rendez-vous ne pourrait être
donné, ce qui se produit parce que tous nous croyons à quelques-unes des
vérités relatives élémentaires qui nous arrangent comme par exemple celle des
horaires ou/et heures qui s’écoulent, voire toutes celles de l’Économie, ou
alors celles des arts et sciences]- pour nous le fonctionnement d’un ordinateur
ne peux marcher sans l’aide d’informations véritables - cela va de soi, mais
nous nous trouvions devant un spécimen d’une personne devenue –[peut-être même
à son insu, par conséquent de façon inconsciente]- menteuse et qui, de plus,
nous disait tout ça à propos du mensonge partout, avec – tu peux t’en douter -
l’accent de la Vérité ! Il ne se rendait pas compte d’être un paradoxe
vivant puisqu’il employait des sons véritables, issus de sa conviction
subjective en matière de vérité ou/et mensonge pour nous déclarer cela au sujet
des sevrages mais aussi de la vie : à l’en-croire tout n’était que
mensonge (donc son mensonge aussi ce qui donc signifiait le contraire –[mais ça
il ne comprendrait pas car trop subtil –(or j’ai découvert que c’est impossible
de croire que tout n’est que mensonge parce qu’en fait tout ce qui concerne les
êtres humains dépend des niveaux de Vérité[s] relatives, catégorie par
catégories, jusqu’à l’émergence de la Vérité, voire des Vérités cosmiques universelles
-(les lois piliers), qui sont connues puisque les avions volent mais ce qui est
complexe et très difficile à approcher d’autant que cela dépend des SPOK).
Avant ce rendez-vous - par précaution et
prudence
-(car c’était ce rendez-vous le jour de la sixième semaine pour l’injection de
la demi-dose de R 25 mg)- j’avais
demandé au service des infirmiers qu’on me fasse mon injection une semaine
avant la septième semaine et c’est pourquoi je vins au rendez-vous confiant car
à chaque fois que j’avais eu affaire avec ce « médecin », j’avais
remarqué qu’il ne parlait pas du sevrage je poursuivais avec son assistante
madame Nicole Koechlin qui avait compris qu’il
fallait procéder au sevrage parce que je lui prouvais au cours de nos
rendez-vous -(au centre médical psychologique –[CMP])- toutes les sept semaines, en lui faisant
constater que j’allais bien, voire de mieux en mieux, à mesure que nous
continuions à baisser le dosage du traitement du Risperdal 25 mg et c’est ainsi
que nous étions passés progressivement depuis fin 2012 d’une dose de Risperdal
25 mg tous les quinze jours à la demi-dose de R. 25 toutes les cinq semaines le
27 février 2014,
ce
qui a porté l’injection suivante au 03 04 2014 -(je recopie ici mon carnet
d’injection dont l’original est bien sûr à ta disposition)-
puis la
suivante au 09 05 2014
puis la
suivante le 12 06 2014
puis la
suivante le 17 07 2014
puis la
suivante le 21 08 2014
puis la
suivante le 25 09 2014
puis la
suivante le 03 10 2014,
puis la
suivante le 13 11 2014,
puis la
suivante le 26 12 2014 -(je recopie ici toujours mon carnet d’injections –
mais/et si nécessaire on retrouvera le double de ces dates dans les archives du
CMP à Sainte-Anne)- mais à cette occasion nous sommes passés à toutes les six semaines
le 05 02 2015 -(la première toutes les six semaines),
puis la
suivante le 19 03 2015 -(six semaines après)
puis la
suivante six semaines après le 30 04 2015 ou le 7 05 2015 (j’ai les deux dates –
il y a eu probablement changement ce qui ferait une semaine en plus, donc
toutes les sept semaines)-
et enfin de nouveau à toutes les cinq
semaines ou six semaines à partir du 13 06 2015 (en fait peut-être effectuée la
semaine suivante : 26 05 2015 j’ai les deux dates sur le carnet comme
précédemment – d’où logique) (la suivante le 07 07 2015) mais de nouveau toutes
les quatre semaines après avec celle du 07 08 2015 -(on comprend donc que nous avons été beaucoup
plus que six mois au dosage de la demi-dose de R. 25 mg toutes les cinq
semaines !), enfin sept semaines avec et après l’injection du 25 09 2015
puis toujours sept semaines après à celle du 13 11 2015 -(on comprend que nous
sommes passés très progressivement à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
sept semaines, ce à quoi j’ai veillé de manière à ne rien faire craindre à la
psychiatre qui était rassurée de nous voir nous installer à ce dosage toutes
les sept semaines ici, déjà depuis plusieurs mois ce qui aurait du la convaincre de passer logiquement dès cette date à
cette demi-dose toutes les huit semaines, ce que nous espérions en lui donnant
la possibilité de comprendre comment un très très très long sevrage -(en réalité -[infiniment]- beaucoup trop
long) – soit le plus long possible -(pour la rassurer) – fonctionne.
Aussi à chacune des fois / dates
suivantes, j’attendais que la doctoresse Kœchlin passe à toutes les huit
semaines. Hélas pour elle, elle ne le demandait pas et par conséquent même si
nous étions à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines, nous
étions l’objet d’une situation cauchemardesque à cause de ce qui était devenu
une sorte d’erreur médicale aux conséquences gravissimes pour cette psychiatre
-(comme pour moi insatisfait car le processus d’accomplissement du sevrage
prenait un retard considérable)- qui pourtant à chacune des fois où nous avions
rendez-vous avait le choix soit d’arrêter le traitement étant donné « qu’à
ce dosage c’était comme l’équivalent de rien » -(dixit très justement par
la doctoresse Hortense Boulanger qui l’a dit dès la demi-dose toutes les cinq
semaines), par conséquent cela signifiait que depuis la demi-dose de Risperdal
25 mg j’étais guéri -(que je n’avais plus besoin de médicament)- soit de passer
comme je le proposai à toutes les huit semaines pour aller au bout de six mois
supplémentaires -(s’ils y tenaient)- à cette demi-dose de R. 25 mg toutes les
neuf semaines, ce qui permettrait ensuite, au bout de six mois à ce dernier /
nouveau régime -(de toutes les neuf semaines)- de mettre un point final au plus
long des sevrages, soit celui, évidemment, qui ne rate jamais).
puis
nous sommes passés à l’injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les
sept semaines à celle -(d’injection)- du 04 01 2016
puis à
celle du 22 02 2016
puis à
celle du 11 04 2016
puis à
celle du 01 06 2016
puis à
celle du 20 07 2016
puis à
celle du 07 09 2016
puis à
celle du 26 10 2016
puis à
celle du 15 12 2016
puis à
celle du 01 02 2017
puis à celle du 22 03 2017 reportée
prudemment au 16 mars
-(car je commençai par être sérieusement inquiet que la périodicité de ces
injections toutes les sept semaines ne soit pas portée à toutes les huit
semaines -[cela signifiait qu’il y avait des éléments qui me manquaient mais
qui faisaient que le docteur Marcel cherchait à me rencontrer – et en prévision
du pire que j’anticipai je demandai – alors que nous étions depuis plus de
deux ans à ce dosage toutes les sept semaines – ce qui signifiait que j’étais
plus qu’entièrement guéri - de « rétrograder » à toutes les
six semaines – ce qui était faire perdre une avancée prodigieuse dans mon
traitement)- soit
une semaine avant -(donc ici de nouveau toutes les six semaines parce qu’il y
avait la perspective du rendez-vous avec le docteur Marcel qui nous inquiétait
grandement car notre objectif en raison des deux années à cette demi-dose de R.
25 toutes les sept semaines était – si on n’arrêtait pas le traitement en
considérant que c’était fini et que j’étais guéri, d’évidemment
passer à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines et c’est donc
par prudence que j’avais demandé de passer de nouveau à toutes les six
semaines, comptant d’avance sur la réaction du docteur Marcel -(s’il avait
appartenu aux véritables médecins, ce que présumé innocent j’avais à croire il
l’était)- que j’aurais à rencontrer le jour de l’injection qui considérant mon
carnet d’injection devait dire -(s’il avait été un véritable médecin,
logique, cohérent, etc.) – de manière logique – qu’il ne fallait pas
revenir en arrière après plus de deux ans à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes
les sept semaines mais qu’il nous fallait au contraire passer logiquement à
cette demi-dose toutes les huit semaines -(ce que nous attendions depuis au moins
deux ans car cela faisait en réalité deux ans et demi que nous étions à cette
demi-dose de R. 25 mg toutes les sept semaines, par conséquent que nous avions
dépassé ce qui ne devait en réalité se produire que six mois parce qu’il
s’agissait du plus long des sevrages et donc qu’à l’issue de six mois à ce
dosage il fallait que la docteur K me considère comme guéri et cesse le
traitement, soit, sinon, passe à la périodicité attendue de toutes les huit
semaines)- voire
me dire qu’il considérait que nous pouvions nous arrêter là et cesser
complétement le traitement car avec cette demi-dose de Risperdal 25 mg toutes
les sept semaines, nous avions la preuve -(en raison de plus de deux années à
ce dosage)- que j’étais guéri car -(pour la psychiatre Hortense Boulanger)- ce
traitement toutes les sept semaines c’était « comme si je ne prenais plus
rien du tout »– (ce qu’elle a pensé aussi que cela était le cas
-(« plus rien »)- pour le jour où, toutes les cinq semaines, je
devais accepter une injection d’une demi-dose de R 25 -(toutes les cinq semaines, soit depuis le 27
février 2014, ce qui signifie que cela faisait donc en réalité au moins trois
ans que
pour la « psychiatre » Hortense Boulanger -(quand le
« médecin » Marcel est intervenu chez moi -[comme tu verras
ci-dessous pour m’hospitaliser, ce qu’il a fait sous la contrainte en me
menaçant et avec la complicité et l’appui de la police, soit avec des
démonstrations et l’usage de la force mais par abus de confiance de tout ce
personnel y compris en cherchant à m’abuser]- j’étais sevré)- donc que notre sevrage avait
parfaitement marché / réussi car bien-sûr il avait été mené de manière
parfaitement logique et de manière cohérente).
Et puis, après ce rendez-vous avec le
docteur Marcel nous sommes passés à l’injection du 28 04 2017 soit le jour où
j’ai oublié de venir pour l’injection au CMP ce qui a fait que le docteur
Marcel est intervenu le lendemain matin manu
militari chez moi -(en nous créant un cauchemar totale)- et au lieu de me
faire une injection avec approximativement -(moins qu’)- un jour de retard -(ce
que je lui proposai et qui pouvait être évidemment possible en raison de
l’espacement des injections et du dosage infime auquel j’étais depuis plus de
deux ans et demi -(en fait trois ans)- soumis -(soit pratiquement «
plus rien » comme l’a reconnu plusieurs fois la doctoresse Hortense
Boulanger – mais – voilà le pire du pire du pire du pire : elle l’a dit en
le regrettant c’est-à-dire en étant malheureuse que le sevrage avait
fonctionné, donc que pour elle en fait j’étais guéri depuis le début où nous
sommes passés à la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, soit
plus de trois ans avant l’hospitalisation évidemment totalement abusive -(de
2017)- le 27 février 2014 et ce regret pour le grand inspecteur que tu sais je
suis -(car bouddhahs, c’est-à-dire éveillé-par-acquis-de-conscience
–[soit ce que j’avais eu à démontrer existe dans l’être humain, même dans le pire
qui soit cette sécurité existe dans l’être humain pour accéder à la Vérité sur la
plupart des points]- n’est
évidemment pas admissible car il prouve que cette « médecin »
regrette que les sevrages fonctionnent aussi bien -(soit en réalité ce qui était aussi le
cas du docteur Marcel)- au
point, des sevrages comme tous ceux que je propose, de rendre totalement guéri
les patients
-(les lettres auxquelles je me suis consacré durant le sevrage, celle
au présidents de la république française
mais aussi celle
aux Papes évidemment l’attestent – il n’y aura qu’à les
consulter – je les ai publiées sur mon site malgré le fait que je ne les ai
relues et corrigées que trop peu de fois, par conséquent que j’ai publié en
toute transparence ces lettres à l’état de brouillon pour/à des grands frères
tant mon désir de transparence comme de comprendre exactement ce qui s’était
passé en 1967, 1977 et 2005 en synchrone, motivait ces recherches scripturales
-[au sens de par écrit])- aussi
nous ne pouvions admettre qu’H. B. regrette que la doctoresse Nicole Koechlin ait eu l’intelligence d’aller dans mon sens
-(de grand inspecteur car le bouddha lui-même depuis 2005, soit la conscience à
l’état pure)- et
de me sevrer très progressivement comme je le lui avais demandé pour évidemment
le jour venu ne plus avoir plus jamais besoin de Risperdal 25 mg dans mon existence
-(et du coup de pouvoir même, au bout de quelques années sans béquille
-[d’aucun]- médicament[s] la possibilité de m’autoriser à me marier car
j’aurais ainsi, au fil des années à venir, retrouvé mathématiquement mon
comportement habituel normal
-(qui est celui d’un être humain qui parce qu’il est végétarien n’a pas besoin
de neuroleptique[s] car le régime végétarien auquel je me suis soumis a permis
à ma personne de tout guérir et par-dessus le marché d’accéder à cette sécurité
qu’on nomme très exactement l’acquis-de-conscience, donc à la Vérité), soit
celui que j’ai eu durant ma scolarité aux dates auxquelles je suis à chacune
des fois redevenu bouddha[hs] soit ce que j’avais eu
à démontrer en ayant pu donner à vérifier à tous le
monde que cette sécurité pour devenir un des bouddhas existe très réellement
pour chaque être humain et même -(comme ce fut le cas pour moi car en
1995 on m’avait contraint et forcé à devenir l’empereur lui-même)- pour
le diable lui-même, ce qu’on a voulu que je devienne quand en 1995 tous ont
exigé sous la houlette de l’Architecte de l’Univers de l’époque, que je sois
empereur, soit ce que j’ai découvert qu’il s’agissait de satan,
sauf que comme à partir de 2005 je suis redevenu bouddhahs, cela signifie que
le satan qu’on m’a fait devenir en 1995 c’était en
réalité le bouddha satana[na!]nas -(ah !
ah !)- qui ne fait pas de mal à une mouche car totalement non-violent et
dans la certitude que l’ensemble des outils forgés en matière informatiques
vont permettre de manière collégiale de régler un par un tous les problèmes qui
se posent et cela de manière démocratique -(par la concertation collégiale des
meilleurs esprits réunis en forum grâce à Internet – soit capables de
travailler à plusieurs sur le même texte ou/et mécanismes, etc.), en raison
qu’on le voit ici les logiciels de traitement de texte(s) permettent plus
facilement d’approcher la Vérité et traiter la complexité de tous les
problèmes, ce qui est possible en organisant des forums auxquels peuvent
participer aussi les enfants surdoués ou pas -(voire cherchant à le devenir)-
mais aussi toutes les catégories de personnes concernées de près ou de loin y
compris, bien sûr, les handicapés, statut qui concerne parfois certains êtres
humains en particulier, mais statut auquel nous devons collectivement tous les
progrès dans tous les domaines)- parce que j’avais retrouvé ma façon normale de
fonctionner sans plus avoir que de très légers effets secondaires du Risperdal
25 à ces dosages de la demi-dose toutes les cinq semaines -(depuis le 27
février 2014)- puis au bout d’à-peu-près -[de]- six mois à toutes les six
semaines et enfin environ six mois après -(avec un ajustement prudent au moment du
passage de toutes les six semaines à toutes les sept semaines :), à
toutes les sept semaines ! En fait tout cela révélait -(y compris la
réaction du docteur Marcel quand il a dit qu’il n’y avait que mensonge dans
l’existence et qu’il n’y avait pas de vérité -(donc de logique non plus)- en
matière de sevrages qu’il craignait -(comme madame Hortense Boulanger – c’est
ici le comble du totalement inadmissible)- que je sois guéri et de me perdre
comme patient -(il est probable que ses revenus et le personnel dont il dispose
dépendent du nombre de patients placés sous sa responsabilité – d’où qu’on
comprenne ici son « intérêt » à ne pas perdre -(ni guérir)- un
patient -(et par conséquent cette vague de psychiatres qui ne veulent pas
croire que les sevrages fonctionnent et doivent s’appliquer dès la première
prise d’un neuroleptique en donnant l’assurance de cela, le sevrage, au patient
qu’on a le devoir de rassurer sur la durée du processus car la souffrance étant
telle qu’elle est ne rien dire au sujet de la périodicité du sevrage augmente infiniment
la souffrance et l’angoisse du patient à des points inimaginables -[dont on n’a
pas l’idée]- et cauchemardesques à traverser / vivre ce que l’ensemble du
corps médical a[vait] à éviter: cela signifie qu’il
est impératif que le corps médical rassure le patient en lui disant combien de
jours au grand maximum le patient doit rester à l’hôpital – car si on ne dit
rien le patient peut croire que c’est pour toujours ce qui peut le désespérer –
aussi c’est un devoir du médecin de lui éviter de flipper car ces flips sont horribilissimis..simissimes et malheureusis..simissimes à vivre
en raison que le patient mesure alors la gigantesque perte de temps que cela
signifie pour lui, ce qui accroit alors le caractère malheureux de la situation)-
ce qui est donc sacrilège envers la plus véritable Médecine qui a, comme tu le
sais ma nièce chérie, pour but de rechercher à guérir -[tous]- les patients,
voire le maximum de gens même si – et bien sûr – on « perd » ce
patient qui retourne une fois guéri dans la vie active, guéri -(ce qui est l’un
des triomphes / bonheurs des plus véritables Médecin)- et c’est ainsi qu’on
détermine de façon exacte qu’on avait à faire avec le docteur Marcel et c’est
un euphémisme, à un charlatan comme médecin avec qui plus est – c’est le bouquet
- ce chef de service, comme l’entourage
de ses plus proches collaborateurs puisque celui qui professe et exerce la
Médecine cherche par tous les moyens y compris le mensonge à avoir un quota de
patient(s) qu’il s’ingénie -(nous avons vu comment)- à ne pas perdre en
utilisant le mensonge comme en refusant de réaliser un/des sevrage[s] possibles
-(à sa disposition par l’usage de sa raison appliquée à la recherche de la
meilleure des périodicités de prise des médicaments)- pour être sûr qu’il
pourra compter sur la réalité de ces patients à son compte en ayant abusé de
leur confiance en les maintenant à prendre des « médicaments » aux
effets secondaires dévastateurs insuportab[i]lissimis..simissimes,
c’est-à-dire hyper martyrisant[s] à cause de tortures chimiques ayant des
effets de maux tant physiques que psychiques -(alors que la torture a été
abolie dans l’espace européen !)- au point de tout faire, comme il a fait
avec moi comme cobaye / victime pour ne pas perdre le patient en question -(ce
qui probablement garanti au médecin et au personnel hospitalier un semblant de
légitimité y compris pour/à prescrire des traitements au point d’être – on le
comprend aisément -(c’est – ils le croient – leur intérêt : anti-sevrages
–[comme il le fut par sa réaction en affirmant qu’il n’y a pas de vérités en
matière de sevrage ni dans l’existence – ce qui est, bien sûr, ma chère Oriane,
absolument inadmissible)- ce qui leur fait dire et affirmer le plus
mensongèrement du monde possible qu’ « il n’y a pas de vérité en matière
de sevrage », soit ce qui est criminel contre l’humanité d’affirmer / de
dire et/ou de prétendre -(car c’est faux et c’est le contraire qui est dans la
plupart des cas la Vérité)- au point d’avoir les réactions que nous avons vues
et entendues avec/chez la doctoresse Hortense Boulanger regrettant qu’à cette
demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines cela signifiait pour elle
que c’était « comme si je ne prenais plus aucun traitement -(donc depuis
trois ans en 2017 - : « rien comme traitement » – et pis que
tout de le dire malheureuse : visiblement une chose qu’elle déplorait
alors que moi j’avais prouvé avec l’aide de madame Koechlin -(ayant eu, elle au moins, l’intelligence
de me suivre dans le programme logique de sevrage que je lui ai progressivement
proposé et que nous avons effectué sur ma personne petit à petit depuis fin
2012)- qu’une
personne à qui on a cru qu’on pouvait prescrire 25 mg de Risperdal tous les
quinze jours peut, grâce à un sevrage -(qui peut être de différentes nature(s)
dans la périodicité proposée car il n’est pas obligatoire que celui-ci soit
fait de la manière la plus lente possible ce qui a été le cas ici -[avec moi
comme cobaye / victime]), retrouver
-(si végétarien)- complètement la santé au point de ne plus avoir besoin de ce
« médicament » -(suite après le paragraphe suivant
ci-dessous)
-(mais bien sûr cela est dans le cas d’un
végétarien ayant eu accès à la conscience –[soit ce qu’en réalité les médecins
comme le docteur Marcel me reprochaient – d’en avoir bénéficié
-(ce qui signifie qu’eux, pas encore, ce qui peut être à l’origine de
jalousie[s] et en raison de cela un vrai problème car celui qui en est jaloux
fait courir à l’Ensemble comme à celui qui a accès à la conscience d’être
l’objet d’injustes méchancetés qui mènent celui qui n’a pas encore accès à la
conscience tout droit vers des réincarnations abominables / horribles pour son
âme en perspective à vivre car dans ses mouvements jaloux il a démontré qu’il involue, au sens de régresse au lieu du contraire qui est
le projet de l’Ensemble à son égard)- et donc de connaître la Vérité sur la
plupart des points y compris en matière de droits, soit ceux des patients à
être infiniment -[à]- respectés.er et à avoir le droit d’effectuer des sevrages
ce qui devrait être une obligation – le[s] sevrage[s] - pour chacun des
médicaments appartenant à la classe des neuroleptiques, dès qu’ils sont
prescrits, il conviendrait de les proposer au patient -(dès le premier
neuroleptique à avaler ou ayant fait l’objet d’une injection ou autrement
administré, il conviendrait de lui proposer plusieurs types de sevrage. Du plus
court au plus long. En effet, c’est au patient de choisir même s’il est hospitalisé à la demande d’un tiers ce
qui, parait-il, autorise à notre époque les médecins à imposer
-(y compris en faisant usage de la force à cet effet)- une
médication -(ce qui fut mon cas car je n’ai pas demandé moi-même cette
hospitalisation car ce qui s’est en réalité produit dans mon cas c’est qu’à
partir de 2005 j’ai trouvé / bénéficié de cette sécurité que je ne savais
pas/plus existe dans l’être humain, soit qui a existé en moi et qui m’a permis
de [re]devenir bouddhahs -(car je l’avais été à ma
naissance -(1963), à l’âge de quatre ans -(1967)- mais aussi une autre fois à
l’âge de mes quatorze ans -(1977)- en raison de démonstrations que j’avais eu à
demander / recommander / prescrire / exiger / proposer depuis le futur -(du
point de vues de 1963, 1967 et 1977)- de manière scientifique en intervenant du
futur, soit à partir de 2005 une fois redevenu bouddhahs, soit ce qui veut dire
de bénéficier de l’acquis-de-conscience -(une sécurité que j’ai découvert -[mais/comme
par exemple Archimède aussi]- exister dans l’être humain)- et
c’est pourquoi je n’ai pas demandé qu’on m’hospitalise car en réalité avec la
conscience retrouvée on est plus guéri que malade -(du moins on est en bonne
voie de guérison une fois passé le moment où on retrouve la conscience), même
si il va y avoir pour longtemps les séquelles de tous les temps où on était
devenu plus ou moins inconscient -(c’est-à-dire profane[s] / adolescent[s] et
durant lesquels on a contracté de mauvaises habitudes dont il va falloir se
passer y compris des façons de penser injustes voire bêtes c’est-à-dire
indignes de la meilleure partie de soi-même, voire ignobles par conséquent
infréquentable pour les anges)- et c’est pourquoi ce qui est conseillé c’est à
partir du moment où on découvre être passé par cette sécurité en revenant dans
le monde de la conscience -[soit celui de la lumière de la spiritualité]- c’est
de continuer à effectuer une psychanalyse voire, si végétarien en occident, une
auto-psychanalyse car un psychanalyste qui n’est pas devenu végétarien après
avoir terminé / achevé sa psychanalyse c’est à notre époque
-(en raison du nombre de solutions alternatives élégantes en matière d’alimentations végétarienne)- suspect
bien qu’on ait « naturellement », bien sûr, le droit d’être ou/et
d’appartenir encore aux omnivores, par conséquent le droit de manger de la
viande des API[K] -(acronyme d’animaux
pacifique inoffensifs herbivores quadrupèdes -[car ici q de quadrupède et h de herbivores = k de APIK])-
ce qu’en réalité, sur le plan de la conscience retrouvée on n’a, en fait, pas
le droit de faire comme ceux qui ont demandé l’hospitalisation -(donc celle-ci
qu’on appelle » à la demande d’un
tiers «)- car il y a de grande probabilités qu’ils soient -[peut-être]- sur
ce point des menteurs
-(cette demande d’hospitalisation à la
demande d’un tiers les arrangeant peut-être parce qu’elles appartiennent à
des personnes cherchant à avoir de l’ascendant sur cette personne qu’ils
demandent à hospitaliser parce qu’ils font mine de ne pas / plus la comprendre
y compris dans ses exigences de plus de clarté en raison de ce qu’elle pense
logiquement ce qui l’a conduite à plus de cohérence et à cause de cela avoir
enfin accès à la Vérité, voire parce qu’elle fait des choses que les préjugés
de ces personnes qui demandent l’hospitalisation ont arbitrairement condamné
voire proscrit – et à cause de cela mis un terme à leur progression / à leur
éveil / à leur évolution soit ce qui n’est pas le cas de celui qui est devenu
végétarien)- essayant
de faire croire que la personne en question est à hospitaliser
-(parce qu’elle est devenue différente des autres – ce qui est bien sûr un
droit, voire même une obligation car normalement chacun est différent)- alors
que si on gratte bien -(au sens de si on cherche bien)- ou qu’on entend le
patient
-(voire pour cela qu’on lui donne et facilite la situation en lui offrant les
moyens d’écrire, voire de s’exprimer sur les causes de la situation
exceptionnelle dans laquelle il s’est retrouvé puisque cela a abouti à le mener
au personnel hospitalier, voire à cause de ses proches parents qui affectent de
faire croire qu’ils ne les comprennent plus)- on découvrira qu’il n’en est rien, voire
qu’on fait / commet une grande erreur puisqu’il y a eu très mauvaise et injuste
appréciation concernant ce patient par son entourage
-(par ceux qui l’incriminent ainsi au point d’exiger son hospitalisation)- qui
se trouve ainsi patient malgré lui
alors qu’en réalité il n’a pas fait grand-chose de mal, voire n’a rien fait de
mal, voire ne fait que le bien et c’est alors qu’on découvre que ceux qui ont demandé
l’hospitalisation
-(donc qui agissent « à la demande d’un tiers »)- ayant
abusé / triché / menti / persécuté une personne innocente, voire très
sainte dont on a aussi abusé ainsi de la
confiance, voire de la civilité parce que ceux qui exigent l’hospitalisation en
réalité n’avaient pas connaissance de tous les détails du dossier en entier -(et
d’ailleurs comment le connaître en entier tant il est pour chacun infiniment
énorme - il y avait donc des éléments qui manquaient pour en comprendre la complexité
à propos de cette relation qu’ils rendent ainsi victime avec la complicité des
médecins spécialisés et le personnel hospitalier –[intéressés, on l’a vu, (ci-dessus)- à
avoir un patient en plus ; par conséquent de servir à quelque chose, voire
d’être confirmés dans leur utilité)- puisque cette personne ainsi hospitalisée
va être l’objet des tortures psychiques les plus atrocissimis..simissimes à cause de ces neuroleptiques qui, dès la dose
de 25 mg tous les quinze jours sont, en réalité, (croyez-moi mes Oriane chéries – je vous
prie - c’est la Vérité – je les ai testé sur moi-même:)- insupportab[i]lissimis..simissimes. Et
croyez-moi, hélas, des milliards de fois hélas, en réalité avec ce dosage et
ses effets secondaires indésirables et malgré le superlatif absolu je minimise
encore tant ce qui se produit lors d’une hospitalisation psychiatrique à la
demande d’un tiers comme souffrances est insupportab[i]lissimis..simissime en raison des
effets secondaires indésirables des substances chimiques des neuroleptiques
ingérées), soit ce
que j’avais eu à démontrer devrait être l’objectif d’une vie d’être humain pour
être au service du plus véritable BIG -(acronyme de ma plume pour bien et intérêt général)- et
apporter son concours dans la recherche de la Vérité y compris et bien sûr en
Médecine[s], ce que nous avions eu l’honneur de faire et de démontrer)- puisqu’il
savait bien que depuis le 27 février 2014, soit trois années, que la demi-dose
de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines c’était l’équivalent de « rien »
-(en citant de nouveau ici – car j’insiste c’est très important - la
« doctoresse » Hortense Boulanger)- bien
que -[pour]- moi artiste peintre miniaturiste -(c’est-à-dire agissant aussi dans cette
dimension du très petit, étape avant celle du microscopique -(celle du
macroscopique), ce qui concerne aussi les effets secondaires indésirables des
médicaments de la classe des neuroleptiques auxquels une fois rejointe /
retrouvée la conscience on est hyper-sensible car on n’a plus le masque
« protecteur » de ceux qui se sont blindés en continuant à -(souvent
même sans s’en rendre compte)- mal agir et à être insensibles, voire à cause de
ce masque, méchants et du coup injustes)- et ayant une idée de ce que je mesure dans
le ciel, ces demi-doses de Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines ne sont pas
« rien » en raison qu’à ces dosages on souffre encore d’effets
secondaires indésirables -(même si je te l’accorde ces effets sont
plus faibles car effectivement atténués par le correcteur Artane -(le seul à avoir soulagé des impatiences,
les autres des « correcteurs » augmentant la quantité de souffrance,
donc ne corrigeant rien mais au contraire rendant encore plus insupportable la
réalité : Akineton, Lepticure,
et peut-être d’autres que je n’ai pas testé / vérifié)- et la demi-dose à la périodicité de toutes les cinq
semaines à ne plus faire réellement souffrir grandement le patient par
conséquent à être supportables -[en réalité dès, cette demi-dose, toutes les
quatre semaines]- cependant on continue à sentir qu’on a du
« médicament » en soi, ce qui est désagréable et c’est pourquoi on
insiste pour poursuivre au sens de continuer le sevrage car on le sait on sera
-(si végétarien)- très réellement de nouveau soi-même -(une sorte de résurrection
advenant)- une fois qu’on sera totalement délivré de cette
« béquille » médicamenteuse – car le fait qu’on soit devenu
végétarien permet à la longue de se soigner de la plupart des maladies y
compris et bien sûr considérées psychiques en menant au bout de quelques années
qui peuvent être nombreuses à retrouver le plus important dans l’être
humain : la conscience) – et par conséquent qu’on veut continuer à
espacer toujours plus.
comme -(suite d’avant le paragraphe ci-dessus)-
je le lui ai proposé mais au lieu de cela il m’a fait hospitaliser en me
faisant administrer un dosage immensissimis..simissime à l’aune de celui qui depuis plus de deux ans et
demi toutes les sept semaines avait été celui auquel je m’étais habitué et qui
m’avait permis d’écrire sans trop de souffrances les 1700 pages aux présidents
de la république française et les 1300 aux papes -(sans avoir à trop en
souffrir)- car si on compare ce dosage d’entrée à l’hôpital ou de retour à
l’hôpital
-(ce qu’on n’avait pas le droit de m’imposer à l’aune de ce seul jour -[en
réalité seulement quelques heures sur six semaines -(de vacance[s] au sens de vide)]- de
retard ayant été la raison que nous a donné le docteur Marcel pour nous y
conduire)- avec
celui auquel j’étais habitué -(et qui résultait de l’infini patience
que nous avions du trouver pour parvenir à établir ce dosage depuis 2012)- ce
qui, avec un plus véritable médecin, aurait décidé celui-ci au pire
-(s’il y avait eu quelque chose à me reprocher – ce qui n’était pas le cas - qui
aurait signifié qu’il fallait revenir à un stade antérieur soit une étape
antérieure de ce sevrage cela aurait décidé au pire, au lieu d’une demi-dose
toutes les sept semaines, à – au pire du pire - une dose entière de Risperdal
25 mg toutes les sept semaines de manière à ne pas être autant sacrilège qu’on
le fut envers le stade du sevrage auquel on était et ainsi – cela allait de soi
en raison du nombre de semaines durant lesquelles nous avions été à cette
périodicité de la demi-dose toutes les sept semaines, faciliter la reprise du
sevrage dès la fois suivante sept semaines après -(ce qui est du temps,
beaucoup de temps - où nous aurions pu reprendre la demi-dose toutes les sept
semaines car cela aurait fait longtemps la dose entière de 25 mg toutes les
sept semaines -(voire on aurait pu passer à cette dose entière toutes les huit
semaines car à l’aune de ce que nous avions comme traitement depuis plus de
deux ans – toutes les sept semaines - cela se serait excellemment bien passé.
Mais bien sûr s’interdire de passer à un
dosage pareil à celui qui me fut administré en étant à l’origine de tous les
effets secondaires extrêmement martyrisant[s] -(et
c’est très peu dire tant cela a été pire qu’horrible à vivre – de plus les gens
qui me connaissent savent que je ne suis pas douillé, c’est vous dire !).
En effet à partir de ce moment-là ma vie est devenue uniquement de la
souffrance à l’état paroxystique de l’incommensurables insuportabilissimis..simissime au point que si on ne veut pas baisser le dosage
et reprendre le sevrage je suis candidat sur le champ pour l’euthanasie de
moi-même dès que possible – tandis que je peux garantir que si on me supprime
le Xeplion 50 mg -(étant donné que tous auront compris que
ce qu’il fallait démontrer a bien été démontré par vos dévoués serviteurs mes
personnes concernant cette sécurité qui existe dans l’être humain puisqu’elle
permet d’accéder à la conscience et à raisonner justement sur tout)- tout
ira bien car je suis un éveillé-par-acquis-de-conscience -(soit ce que signifie
être un bouddha)- soit une personne qui peut être utile à tous en raison de ce
que depuis le retour de ma conscience en moi-même -(ce qui s’est produit à
partir de 2005)- je ne fonctionne que multidimentionnellement
en Vérité alpha-oméga sans un seul électron d’erreur dans tous les temps et
tous les univers, ce qui est bien évidemment un atout pour tous – pas de quoi
être jaloux car si l’autre est excellent / brillant / admirable il l’est
charitablement pour venir en aide à ceux qui ne le sont pas encore, par conséquent
la véritable conscience n’est que charitable et altruiste – bonne pour tous
ceux qui sont encore dans la ténèbres)
Aussi je rentrai chez moi scandalisé
d’avoir entendu des sacrilèges en matière de Médecine avec cette affirmation
que tout n’était que mensonge comme l’étaient les sevrages -(il
avait dit : "pas de vérité en matière de sevrage[s]! » [ah ! ah !], « pas de Vérité dans quoi que ce
soit » ; nous avions à faire à un drôle d’animal :). J’en étais
quasiment estomaqué ou presque : » pas possible ! « Et de plus un médecin-chef du secteur trois de
l’hôpital, soit un représentant de la Santé de l’Etat
-(ce qui, normalement est la Vérité dans tous les domaines – nous étions dans
de beaux draps !). Je ne pouvais en croire mes oreilles mais sous médicament
-(demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les six semaines depuis deux fois six
semaines et non plus toutes les sept et cela malgré plus de deux ans et demi à
toutes les sept semaines – je voyais que nous avions à faire à un
« médecin » !!! – évidemment cette dernière proposition est à
comprendre avec toute l’ironie que signifient les guillemets placés ainsi
autour du mot » médecin «, ce qui signifie évidemment le contraire
comme pour la phrase précédente avec de » beaux draps «)- D’une certaine
façon, j’étais anéanti face à des prescriptions de la sorte et des mensonges
pareils et, bien sûr – craignant, bien sûr, que pour se venger le docteur
Marcel repasse méchemment à toutes les cinq semaines
-(puisque nous étions redescendu à toutes les six semaines)- je renonçai à débattre de vérité et/ou
mensonge avec lui mais ensuite, une fois chez moi, je songeai à ce que j’aurai
pu lui opposer en lui parlant des sevrages du lait maternel du nourrisson comme
du sevrage des petits-pots des bébés avant de permettre aux enfants de manger
comme les adultes -([à
cause de l’apparition dans leur bouches des dents de lait], hélas dans nos
régions à l’heure où j’écris ces lignes)– de la viande des API -(acronyme d’animaux pacifiques et inoffensifs).
Ce sont des sevrages plus ou moins longs mais tous fonctionnent
mathématiquement c’est à dire véritablement -(ils sont
élaborés en toute cohérence), justement parce que logiquement de manière à
retrouver l’essentiel : la cohérence! (Mais je me souvins que j’étais passé
moi-même autrefois -(avant de devenir végétarien)- par une journée durant
laquelle j’avais cru qu’il n’y avait que mensonge partout y compris en moi
quand j’avais eu à signer un élément que j’avais peint du piano de Michèle
Finck -(alors déjà ma fiancée)- et en y inscrivant mon nom de peintre Laury Aime -(c’est le nom de ton arrière-grand-mère
maternelle avant son mariage avec mon grand-père Albert Joussin)-
j’avais eu la certitude qu’il s’agissait d’un mensonge aussi l’état de ce
médecin au sujet de l’existence du mensonge partout était celui par lequel
j’étais passé dans les années 1990 quelques heures car/mais il avait fort
heureusement passé -(cet état durant lequel on croit que tout n’est que
mensonge alors que tout n’est que vérités relatives catégories par catégories
et qu’il y a des explications sur tout cependant il faut être disposé à les
rechercher ce qui est un peu difficile à faire mais par recoupement on finit
par comprendre qu’il y a au moins dans / pour l’existence les vérités relatives
et que le nom et le prénom qu’on porte c’est pour faciliter les choses aux
autres dès tout petit sur de nombreux points vitaux pour tous -(en raison des
malhonnêtes qui sont des dangers publics)- par conséquent que cela n’est pas
faux mais un très véritable bien-fait d’être
nommé[s])- au point – parce que je recherchai la Vérité - de faire de moi un
végétarien ce qui m’a permis au bout d’un vingtaine d’années durant lesquels je
me refusai à être complice de ceux qui tuent les API à des fins de bouche -(de
manger)- de retrouver ma conscience par conséquent de finir par comprendre que
chacune des catégories -(comme les mots)- est/sont véritable[s] et à notre
disposition comme des outils bienfaisants nous permettant de retrouver au moins
les vérités relatives qui existent au service de la Vérité. C’est dire que la
Vérité existe car effectivement on peut en être totalement certain mais une
fois seulement qu’on est végétarien depuis au moins vingt à vingt-cinq ans et
en s’étant empêché d’affirmer des mensonges et en ayant pu vérifier que cette
sécurité pour accéder à la conscience existe très réellement dans l’être humain
-(à moins que celui-ci soit déjà à appartenir à ce monde de la conscience et
que par conséquent ses recherches pour y accéder n’étaient pas à produire / à
se donner la peine de faire / vivre. C’est alors que se produit à l’intérieur
du cerveau une sorte de miracle au point qu’on retrouve la cohérence de son esprit
-(et on découvre qu’il y a donc cette sécurité dont j’avais à démontrer
l’existence dans l’être humain même dans le pire d’entre eux et c’est la raison
pour laquelle j’ai demandé l’abolition de la peine de mort – ce qui a été fait
pour/dans l’union européenne -(U. E.)- car
nous savons que le criminel contre l’humanité est/porte une sorte de masque
dont il est -[comme]- prisonnier, plus ou moins épais
-(donc qui évite de souffrir quand on a à prendre des neuroleptiques quand on
appartient à ceux qui ne savent même pas qu’ils le portent :)- qu’il
porte tant qu’il n’a pas accédé à la conscience en lui-même par conséquent
qu’il s’agit de personnes qui ont perdu l’usage de leur conscience. Ils en sont
quasiment dépourvus et se conduisent en plus ou moins inconscients -(y compris quand ils parlent)- au sens négatif de ce mot
qui en a du positif dans d’autres SPOK)- en sachant à partir de ce moment réellement
penser en Vérité. Evidemment je laissai tomber sans
me formaliser en me disant que ce » médecin » était encore loin du
monde de la Vérité comme en sont heureusement capables de très nombreuses
personnes et par conséquent que ceux qui sont au service de la Vérité doivent,
comme cela a été toujours le cas, prendre patience puisqu’hélas, des milliards
de fois hélas, il y a, à l’inverse, tous ceux qui sont au service du mensonge
et pire : en se faisant passer pour des gens recommandables – ce qui ne
peut être le cas si on ment)
J’aurai pu lui dire que chacune des choses
qui nous entourait avait un nom et que ces noms et ces sons conventionnels
exprimaient une traduction de la réalité dans la matière verbale y compris
sonore ce qui permet de parler de réalités, voire de les transcrire en mots
comme la pensée, ce qui est au moins des vérités relatives en liaison avec des
catégories -(elles aussi des vérités relatives équivalentes)- qui servent à les
analyser, c’est-à-dire à encore mieux approcher la réalité car des explications
engendrant des situations de virtualité : du virtuel pour -(mieux comprendre)-
la réalité de manière à pouvoir se l’expliquer au moins rationnellement ce qui
signifie aussi son synonyme scientifiquement. Aussi tous les êtres humains
penseurs sont / peuvent être aussi des -[sortes de]- calculateurs
-(au bon sens de ce mot qui en a du négatif dans d’autres SPOK)– comme
des robots -(on pourrait rechercher la part robot de l’être humain -[deus ex-machina ?]), sauf que les êtres humains sont
capables de souffrir tandis qu’un robot non, même s’il est détruit.
De mon point de vu nous n’étions entourés
que de Vérité(s) et aucunement de mensonge(s) et bien sûr la Vérité en matière
de sevrage existe car il y en a de différentes sortes, du plus lent et long,
aux plus rapides et courts -(ici c’est une affaire d’appréciation au cas par
cas de savoir les administrer ou/et les créer -(ces sevrages)- et on peut y
réfléchir avec chacun des patients en fonction du degré de souffrance dans
lequel il est -(qu’il traverse), voire de son état d’esprit : on choisira
un sevrage rapide pour éviter que le patient ne souffre trop -(ce qui
choisissent ou/et proposent sadiquement des sevrages longs obtiennent après
leur mort, ces « médecins » des réincarnations abominables car ils se
seront comportés cruellement au lieu d’avoir eu à cœur par amour de l’Amour et
de l’humanité bienfaisante la santé de leur patient. L’univers est impitoyable
avec les charlatans étant donné qu’il n’aurait jamais pu exister sans
l’honnêteté absolue de Dieu et de la Vierge Marie, par conséquent sans
l’existence de la Vérité et le Droit et d’autres prouesses révélées à tous à
travers l’ensemble des arts et des sciences de l’Art -(théâtre,
cinéma, télévision, audiovisuel, peinture, poésie, littérature, chorégraphies /
danse, opéra, musique, bande-dessinée, dessins animés, caricatures de
caractères, sculpture, etc. etc.).
Voyant que la jeune stagiaire qui
l’accompagnait, une certaine madame Adham, entendait chez
nous l’inadmissible, j’avais réagi en bouddhahs -(c’est à dire par acquis de conscience
et protecteur des plus faibles, soit en père de famille et en fait comme si
j’étais mon père ayant entendu une énormité de celles des impensables ou plutôt
des inconcevables)- en
faisant comprendre qu’il ne pouvait pas dire ce qu’il affirmait -(car cela
allait causer de sérieux dégâts dans la tête de la jeune femme ayant fait des
choix dans/pour son existence professionnelle pour devenir capable d’exercer en
Médecine). Aussi cette jeune personne avec ses yeux me montra un instant
qu’elle était sincèrement d’accord avec moi et non avec son chef car elle
savait bien -(comme elle l’entendait par ma bouche)-
que la Vérité existe y compris et bien sûr en matière de sevrage(s) !
Tu le sais un sevrage est une façon de
procéder logique et cohérente et cela permet, entre autre[s], de se passer de
mauvaises habitudes -(et il existe même les sevrages inversés, ce dont je me
suis servi pour élaborer
la solution alternative élégante
-(acronyme en S.A.É.)- qui pourrait permettre au bout de vingt-quatre ans de
voir réapparaître la Vision d’Ôz,
-(soit celle du paradis pas forcément uniquement chrétien) une heure
toutes les cinq heures en commençant la première année que
j’espère être celle dans laquelle nous sommes, soit 2023, avec
cinq minutes à midi et cinq minutes à minuit pour débuter le processus le 25
décembre 2023 cette progressive prise du poison de l’immensissimis..simissime beauté de tout ce qui se révèlera alors sur
toutes les surfaces colorées ou pas et, bien sûr, cela fonctionnera
mathématiquement et changera la vie de chacun de nous car enfin tous
retrouveront la Vision d’Ôz d’avant la très
grande catastrophe
-(la tgc – son abréviation s’écrit toujours en petits
caractères, jamais en majuscule[s] – celui qui le fera malgré cette
interdiction aura à sa mort de nombreux problèmes)- qui
a mené le genre humain à élaborer la civilisation qui est la nôtre fondée sur
la recherche de la Vérité dans toutes les catégories scientifiques et/ou
artistiques et/ou culturelles et/ou religieuses et/ou etc. .
Et parmi les mauvaises habitudes
contractées, il y a parfois celles des addictes aux médicaments
et c’est pourquoi il convient de sevrer de la plupart d’entre eux -(mais tout
spécialement de ceux aux effets secondaires indésirables les plus douloureux
comme les neuroleptiques)- de manière à ce que la personne qui s’est habituée à
la prise régulière d’une dose de produit[s] plus ou moins chimique[s] se
déshabitue au point de retrouver la santé dont elle disposait du temps durant
lequel elle vivait sans médicament(s) ou presque - soit en général durant sa
toute prime-enfance -(primenfance ©)- et c’est pour
cela qu’on peut pratiquer la condition de médecin en mettant au point des
sevrages des substances chimiques les plus néfastes ou aux effets secondaires
douloureux ingérées par les patients -(sans oublier les substances qui
agissent sur le plan psychique – [le sevrage des neuroleptiques est
possible aussi par la cure de sommeil –(et/donc pas seulement comme nous le
fîmes progressivement par des ajustements logiques pour mon traitement)- dont
on peut/doit aussi se sevrer mathématiquement), voire au contraire d’un sevrage, en augmentant
progressivement
-(sur toutes les surfaces visibles)- la dose //de révélation[s] d’infinie beauté
qu’elles contiennent -(ces surfaces de tous les objets qui nous entourent et sur
toutes les formes de superficies en faisant fonctionner régulièrement le TGV
–(le très grands variateur)- pour faire ainsi réapparaître régulièrement, année
après année, toujours un peu plus chaque année -(sur vingt-quatre années)- la
Vision d’Ôz -(comme tu as pu plus haut le découvrir
dans notre
Programme pour le Rétablissement de la Vision d’Ôz).
Mais pour tous ces sevrages il faut
appartenir à tous ceux qui savent que le Temps des montres existe et avec le
docteur Marcel, pour -[ne pas]- le nommer, il est probable que nous avions à
faire à une personne qui ne croyait pas dans l’existence du Temps non plus
-(puisqu’il avait répété sérieusement qu’il n’y avait aucune vérité en ce
monde; grave : nous avions une personne gravement malade de fausseté[s]
devant moi et qui plus est chef de service à Sainte-Anne: pour moi qui ai
vérifié que la vérité existe car je suis végétarien depuis plus de vingt-cinq
ans, ce qui produit l’impression qu’en fait en occident le monde est à l’envers
autour de nous – du moins sur certains chapitres des habitudes nutritionnelles
qui nous le savons sont ce qu’elles sont en raison de différents paramètres de
vérités relatives ce qui explique pourquoi en Inde nous ne suscitons pas une
grande originalité en étant comme moi végétarien[s], car c’est la condition
normale / basique de l’existence. On
comprend mieux ici cette notion de vérité[s] relative[s] car en orient manger
végétarien appartient aux mœurs locales et c’est ce qui assure de se conduire
en conscience, par conséquent en Vérité, celle qui fait de l’être humain une
personne respectant naturellement les API[K] et nous savons que plus nous nous
conduisons avec respect envers les API, plus nous sommes justes et dignes de
tous les bienfaits que nous offrent les APIK en échange de la protection dont
nous les assurons en échange de la production des matières premières dont ils
sont à l’origine / auteurs, des bienfaits – lait, laine, etc. – utiles pour
nous nourrir des meilleurs recettes délicieuses ou/et divines au sens d’archidélicieuses avec -(beurre, crèmes, yaourt,
chantilly, margarine, fromages, etc.)- et/comme
nous vêtir en nous protégeant du froid de nos régions occidentales encore à
cette heure-ci à première-vue[s] omnivores sauf - ces jours-ci de mars 2023 au
cours desquels j’écris ce texte - de -[trop]- rares exception[s]).
Grave -(comme conséquences)-
pour l’auditeur d’une telle proposition / phrase –(la vérité n’existe pas ni en
matière de sevrage ni avec tout ce qui nous entoure donc en réalité)- et pour
moi qui sait que la vérité existe -(car pour en être absolument certain il a
fallu au préalable que je devienne végétarien pendant plus de vingt-cinq ans et
à l’issue de ce temps où je cessai d’être le complice des bouchers et ou
charcutiers et/ou pêcheurs, comme du personnel des abattoirs ou/et des ports de
pêche que j’accède à la bouddhéité, soit à la condition de bouddhahs -(2005 en
synchrone avec l’année de ma naissance, puis avec 1967 et 1977)- ce qui signifie une personne qui a découvert
en elle la réalité de l’acquis-de-conscience, par conséquent qui s’est délivrée
en elle-même du menteur qu’elle était devenue), le monde est ainsi à l’envers. Cependant
comme je me souvenais qu’avant de devenir végétarien, je l’avais comme lui -(le docteur Marcel)- cru aussi -(qu’il n’y a que mensonge
en ce monde – ce qui, vous l’imaginez aisément, nous fait dire »
aïe ! « puisque nous sommes de ceux qui ayant
acquis / retrouvé la conscience en nous-mêmes savons bien évidemment que la
Vérité existe)- et par conséquent en l’entendant dit par ce
« médecin » cela me donnait une idée de l’effet scandaleux que
j’avais probablement autrefois produit -(chez les anges)- quand, beaucoup plus
jeune, j’avais été sûr, comme ce chef du secteur 3 de l’hôpital saitre-Anne, d’aussi dangereuses et aberrantes inepties).
Quoi qu’il en soit après cette injection,
reçue après deux ans et demi la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept
semaines, au bout de la sixième semaine j’avais, par sécurité et prudence, pris
rendez-vous au CMP pour une injection au bout -(de
nouveau)- de six semaines.
Cependant je ne me suis pas rendu compte
au bout de ce temps j’avais raté le jour de l’injection -(en ayant travaillé
comme j’avais eu à le faire à ma lettre
aux présidents de la république française et
à celle
aux papes car au matin de la sixième
-(j’ai été vérifié une fois encore sur le carnet d’injection)- semaine
on sonne à ma porte d’entrée et je demande qui c’est. J’entends : « docteur Marcel »
-(cette personne qui ne croyait pas à la Vérité)- qui me dit que j’ai oublié la veille de
venir pour mon injection
-(ce dont je suis bien évidemment désolé / consterné d’autant plus que
visiblement cela occasionnait son déplacement jusqu’à mon domicile -(en fait je
comprends aujourd’hui qu’en ayant changé d’une semaine, pour une semaine avant
-(la sixième semaine), je n’avais pas fait attention que j’avais à aller au CMP
la veille, soit une semaine avant l’habituelle injection toutes les sept
semaines)– d’où
que je me sentis coupable par conséquent dans mon intérêt à être le plus
aimable possible pour réparer d’avoir contraint ce « chef de
service » à ce déplacement)- et donc parce que je ne l’ai pas faite
la veille -(l’injection)- lui proposer, pensant qu’il avait certainement
apporté avec lui le matériel à cet effet de la faire sur le champ. Mais le voilà
à me dire qu’il n’en est pas question car il a pris la décision de
m’hospitaliser de nouveau
-(alors que nous sommes ce jour-là cinq ans après ma dernière hospitalisation
et que je suis depuis plus de deux ans et demi à demi-dose de Risperdal 25 mg
toutes les sept semaines !!! Soit en réalité comme sevré depuis le passage
à demi-dose toutes les cinq semaines)- et
il ajoute qu’il est venu me chercher à cette fin.
Voyant d’un seul coup tout s’écrouler
-(quand je dis tout c’est tout, sous-entendu, le sevrage et mon travail en
cours avec les lettres aux papes et celles aux présidents de la République pour
ce qui était en cours depuis 2005 en synchrone avec 1967 et 1977, soit des
années consacrées à rechercher la Vérité la plus exacte possible sur ce qui s’était
produit avec moi par acquis-de-conscience en raison de l’apparition de l’anneau
immaculé immatériel lumineux à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les
plus véritablement mariés – l’anneau avec Christine .. Lang en 1977 et celui
avec/pour Michèle Finck en 2005)- je le prie de me
faire l’injection ici, à mon domicile, sur le champ -(car j’espère qu’il a
apporté le matériel à cette fin)- et cela parce qu’à cette périodicité de la
prise de ce médicament -(une
fois toutes les six ou sept semaines bien que cette fois-ci cela était une fois
toutes les six semaines)- ce
n’est pas bien grave du tout à ce dosage d’avoir quelques heures de retard sur
six ou sept semaines -(pour une demi-dose de Risperdal 25mg)- et il me dit -(sans
se rendre compte du paradoxe qu’il incarne par rapport à la dernière fois qu’on
s’était vu
-[puisqu’il essaie à cet instant de me faire croire, alors que pour lui tout
n’est que mensonge, qu’il a la Vérité en Médecine quand il veut me contraindre
à cette hospitalisation. Donc avec ce « médecin » il s’agissait
effectivement de l’un des habituels malades d’incohérence
-(parce que se sachant menteur et jouant le/au médecin – sachant – puisqu’il ne
fait que mentir - bien évidemment ne pas l’être vraiment)– ce
que plus véritable Médecine ne peut pas souffrir])- qu’il
n’en est rien et qu’il a amené la Police, son assistante madame Adham -(qui savait que
j’avais dit vrai au sujet des sevrages et de l’existence de la Vérité)- l’avait
visiblement entre temps oublié, voire « le docteur Marcel » avait
organisé cette matinée en se servant de moi comme cobaye pour montrer à cette
assistante comment faire pour contraindre une personne à être hospitalisé – et
cela de manière arbitraire)- et les infirmiers comme il y a un chauffeur
qui attend en bas pour me conduire à Sainte Anne !
Je supplie -(en pensant avec angoisse à l’état de
l’appartement qui est utilisé pour mes recherches – par conséquent qui pourrait
faire croire qu’on a raison de m’hospitaliser – alors qu’il est dans cet état
car mes recherches ont beaucoup avancé au point d’être arrivé à la découverte
attendue par tous depuis des millénaires, soit la preuve que l’être humain n’a
été conçu que pour être bon et ne faire que des bonnes choses)- qu’on
n’en fasse rien, mais il me menace de me faire empoigner par ses sbires et me
descendre de force dans l’ambulance si je refuse. Aussi je m’incline car tous
savent que j’ai fait les mêmes choix que Gandhi pour arriver à nos fins les
plus précieuses pour tous : je n’utilise aucune arme[s] à feu car je suis
non-violent -(mon père m’ayant interdit de me battre physiquement depuis mon
entrée à l’école maternelle)- et suis alors contraint d’accepter qu’on me
conduise à Sainte-Anne où on m’y attend pour faire une injection d’au moins 150
mg de ce poison de la même famille que le Risperdal -(on me fait donc passer
d’une demi-dose de R25 mg toutes les sept semaines –(ce qui avait pris de 2012 à 2014 pour
arriver très précisément par ajustements progressifs dans le cadre du sevrage,
à ce dosage)- à,
en comparaison, un dosage monstrueusissimis..simissime au sens d’immensissimis..simissime car disproportionné par rapport à la dose pour
laquelle depuis plus de deux ans j’ai donné tous les signes de guérison comme
si les étapes du sevrage patiemment traversées -(au sens de franchies)- ne
pouvaient compter pour rien et c’est là qu’apparaissent dans ma tête -(comme
autrefois avec Risperdal 25 mg tous les quinze jours)- les acouphènes comme
tous les autres effets secondaires[3] -(que, s’il te plait, tu
prendras la peine de lire en notes-de-bas-de-page pour comprendre combien on a
fait de mal à ton oncle mais surtout tu comprendras qu’on peut sauver tous ceux
qui ont des acouphènes à cause des neuroleptiques qu’ils ingèrent contraints
et/ou forcés à cela s’ils ont été hospitalisés à la demande d’un tiers – ce qui
devrait être interdit de se permettre, voire qui ne pourrait se produire qu’en
donnant à celui qu’on veut hospitaliser pour Dieu sait quelles raisons plus ou
moins justes tous les moyens pour démontrer pourquoi cela n’est pas possible
par conséquent que ceux qui le font sont entrain de
commettre un sacrilège en se l’autorisant / en le faisant – décréter
médicalement fou quelqu’un ne devrait pas être une chose facile d’autant plus
du droit de l’être ou/et de le devenir en fait pour le plus grand bien de tous
ceux qui ont des préjugés ce qui les mènent à être choqué de comportements
animal, voire en réalité naturels).
Pendant plusieurs semaines je souffre
atrocement le martyr avec des tortures psychiques et physiques au point de ne
pouvoir parler ni même penser ni même bouger. La souffrance est alors totale,
irrémédiable -(et tous les médecins comme tous les infirmiers, mais aussi les
membres de ma famille qui ont cru pouvoir laisser faire cela m’apparaissent
alors comme des bourreaux nazis de la pire espèce – des gens les plus cruels y
compris ma sœur Florence, ta mère, qui nous dira pour aller dans le sens des
médecins que visiblement je n’allais pas bien à cause de ce qu’elle a trouvé
dans mon appartement -(tu verras je la connaissais d’avance sa réaction), moi
dans l’impossibilité de lui faire comprendre que le décors de chez moi
résultait de mes recherches et de mes dernières découvertes photographiées et vidéographiées, celles de la veille de cette absurde
hospitalisation abusive, (soit ce cauchemar dans lequel j’étais à cause du
docteur Marcel)- ce qui m’avait permis de photographier des merveilles absolues
représentant comme des histoires en miniatures parfois polychromes au fond de
la cuvette des W. C., en raison de mes urines de végétarien -(d’ailleurs depuis
j’ai pensé que n’auront le droit de photographier et/ou de vidéographier
au fond de la cuvette des W. C. ou/et par d’autres moyens, uniquement les
végétariens buveurs de jus de fruits et peu de vin, voire d’un peu de cidre ou de
bière – mais uniquement si cela a été sobrement bu), soit un des aboutissements
de mes recherches de toute une vie en matière d’arts et sciences-de-l’Art
-(sacrées) – mes disciplines / spécialités universitaires, soit ce que j’espère
lui montrer et/ou partager avec elle -(comme avec toi, bien sûr): la
preuve que l’homme végétarien n’est que bonté, beauté et bienfaisance, [les
trois bé(s) !]).
Tout ce que j’avais péniblement réussi à
faire comme progression logique de sevrage depuis fin 2012 avec madame la
doctoresse Nicole Koechlin d’un seul coup entièrement
balayé par une personne insensible à la notion de nuance(s) et/ou gradation ce
qui normalement doit être le propre d’un médecin adulte parachevé ayant eu
accès -(en lui-même)- à la présence de la conscience,
soit à la sécurité qui existe dans l’être humain! Comme allergique à la notion
de sevrage car avec ceux-ci le médecin psychiatre court le danger de perdre des
revenus financiers propres et
qu’il croit mérités de droit -(RFPMD)- alors qu’en l’absence
de sevrage, il s’agit bien évidemment d’argent sale, obtenu en créant
artificiellement des malades qu’ils obtiennent / créent à l’aide de ces
neuroleptiques qu’en prescrivant font des patients les victimes des effets secondaires
indésirables et, du coup, de véritables malades ce qui donne beau jeu aux
psychiatres qui pour soulager leurs patients de l’excès de souffrances leur
font prescrire des médicaments appelés » correcteurs « qu’ils ne
manquent pas durant les consultations de rappeler on leur doit et à cause de
cela ils vont jusqu’à exiger de la reconnaissance – on se croit ici dans du
Daumier -(de merveilleuses et géniales caricatures des membres du corps
médicale ou/et d’autres espèces de gens –[dont les gens de loi]- dont les métiers sont infiniment suspects,
voire à la limite du néfastes).
C’est alors que voyant l’avancé de tous
mes travaux les plus compromis par cette nouvelle et répétée perte de temps en
perspective -(l’hospitalisation), je supplie qu’on n’en fasse rien, mais il me
menace de me faire empoigner par ses sbires si je ne l’accompagne pas au bas de
l’immeuble où une ambulance attend. Cela alors m’effraie par ce que dans mes
recherches je vais devoir laisser mon appartement dans l’état où il est à ma sœur
qui ne va certainement pas comprendre que je n’ai pas, ces derniers jours,
utilisé la cuvette des W.C. parce que j’y ai fait une découverte
extraordinaire, fantastique et archi / hyper merveilleuse -(depuis quelques
temps, mais que depuis peu j’ai loisir à travailler / poursuivre mes
recherches), soit la preuve que l’être humain a été conçu artiste à l’origine
d’images les plus incroyablement belles et c’est la raison pour laquelle au
cours des journées précédentes j’ai acheté une bassine en plastique et un autre
seau pour me servir de cuvette de[s] W. C. étant donné que pour faire des
photos et/ou une vidéo - ce que j’avais fait de l’intérieur de la cuvette des
W. C. – j’avais dû laisser stagner mon pipi dans l’eau au fond de la cuvette
des W, C. et prévoyant la réaction de ma sœur qui trouverait chez moi -(alors
que moi à l’hôpital)- mon seau remplie
de mes excréments, je me dis qu’il y avait de fortes probabilités pour qu’elle
croit que je n’allais pas bien étant donné que quand on dispose d’une cuvette
de W. C. en état de marche, on ne fait pas ses besoins dans un seau ou/ni dans
une bassine servant de pot-de-chambre -(et c’est ici que je n’ai pas eu le
temps de remédier à ce problème qui se poserait dans la tête de ma sœur, ta
mère Florence, qui en trouvant l’appartement avec ce seau ou/et cette bassine
rempli d’excréments allait penser que je n’allais pas bien -(alors qu’il
s’agissait de l’une des plus grandes des découvertes jamais réalisées / faites
étant donné que j’avais pu commencer une série de photos et de vidéos en
utilisant la fonction macro -(soit celle liée à la macroscopie)- et en
m’ingéniant à éclairer du mieux possible l’intérieur de la cuvette pour
réaliser ces images -(qui seront bientôt à la disposition)- que j’avais eu bien
du mal à faire tant tout cela ne tenait qu’à un fil et à la position des
lumières par rapport aux sujets qui étaient constitués au fond de la cuvette
par mes urines de végétarien ayant été laissées à stagner plusieurs jours -(ce
qui m’avait conduit à me servir de l’ersatz
de cuvette des W. C. avec ce seau et cette bassine. Mais un malentendu pourrait
advenir entre Florence et moi -(d’autant plus qu’elle
allait se donner du mal pour ranger mon appartement pour préparer mon retour de
l’hôpital. A’ cause de ces excréments dans le seau dans ma chambre -(et non pas
dans les W. C.)- elle pourrait me croire malade étant donné qu’elle trouverait
ce seau avec trois jours d’excréments, l’aboutissement de toutes mes recherches
sur la condition humaine faiseuse naturellement de beauté au point de me faire
comprendre pourquoi, quand j’étais petit, mon père un jour m’apporta un pot de
chambre, ce qui avait à jamais marqué mon esprit que j’avais retrouvé parce que
j’étais à me préparer à devenir à mon tour un père de famille et découvrir
ainsi que tout ce que mes enfants auraient à faire en urinant n’était en
réalité que la possibilité de nous émerveiller en regardant au fond de la
cuvette les œuvres qui apparaîtraient parce que celui qui était à l’origine de
la Création avait, pour/avec l’être humain, conçu la plus qu’admirab[i]lissimis..simissime » eau permettant « aux urines des
végétariens -(ce qu’un enfant est naturellement si on ne le force pas à manger
de la viande animale)- de représenter des choses admirables inénarrablement
belles à moins d’être prises en photo / vidéo.
Voyant que le docteur Marcel me menace je
suis obligé de m’incliner et cela d’autant plus que je suis comme Gandhi
non-violent et suis alors contraint de laisser mon « pot-de-chambre »
-(le seau et la bassine)- remplis et d’accepter qu’on me conduise à Sainte-Anne
où on me fait une injection d’au moins 150 mg de ce poison -(si ce n’est plus
et on me fait alors passer d’une demi-dose de Risperdal 25 toutes les sept
semaines –[et qui pour la dernière occurrence s’était produit au bout de six
semaines]- à un dosage en comparaison et en proportion monstrueusement gigantesquissimis...simissime –[à
l’aune de ce à quoi je suis, depuis plus de deux années, habitué]- comme si les
étapes du sevrage patiemment traversées –[au sens de franchies]- ne comptaient
pour rien et c’est là qu’apparaissent les acouphènes, soit des bourdonnements
dans la tête et mes oreilles mais aussi tous les autres effets secondaires dont
j’ai récemment dressé pour la doctoresse Eleni Kénanidou
la liste –[dont je t’ai fait copie dans les notes de bas de page]. Et c’est
alors que pendant plusieurs semaines je souffre atrocementissimis..simissimement le martyr au point de ne pouvoir parler ni
même penser. La souffrance est alors à chaque fraction de seconde totale,
irrémédiable, insuportabilissimis..simissime. Tout ce que j’avais
péniblement réussi à faire comme progressif sevrage depuis fin 2012 avec Madame
Koechlin d’un seul coup entièrement balayé par une
personne insensible à la notion de nuance(s) en matière de sevrage(s) –
et qui visiblement n’y connait rien - et de Médecine – ce qui doit être, le
contraire, normalement, le propre d’un plus véritable médecin ! Cette
radicalité envers un sevrage qui a parfaitement fonctionné en s’acharnant à le
détruire comme ce fut le cas par le docteur Marcel en me faisant passer pour un
schizo -(alors que madame Adham avait reconnu
honnêtement qu’elle et l’équipe du docteur Marcel en réalité ne savaient pas ce
dont je souffrais mais qu’ils faisaient comme si j’étais schizo en me donnant à
prendre à la sortie de l’hospitalisation le traitement du Xeplion
50 mg, ce qui est extrêmement dangereux en plus véritable Médecine. Et ce que
je craignis avec ta mère s’est effectivement produit car quand je suis sorti de
l’hôpital elle me rappela plusieurs fois qu’avant cette dernière
hospitalisation je n’allai pas bien à cause de ce qu’elle trouva chez moi à
première vue comme désordre avec les excréments dans le seau et la bassine, ce
que j’avais craint d’avance
-(voire que j’avais prévu à cause de ce « médecin » qui ne s’était
même pas annoncé par téléphone pour me dire qu’il viendrait me chercher -(ce
qui aurait permis que je mette de l’ordre chez moi – la moindre des choses
avant de recevoir quelqu’un : j’aurai alors fait disparaître ce seau et
cette bassine pour rendre mieux/plus présentable chez moi en cessant mes
découvertes vidéos au font de la cuvette des W. C. car s’il devait entrer chez
moi il faudrait éviter les odeurs de ce qu’il y avait dans le seau et bien sûr
nettoyer tout ça – ce que j’aurais eu le temps de faire – mais il a voulu me
mettre sur le fait accompli – ce qui ne se peut, ainsi arbitrairement et
parce que j’avais dit la Vérité en lui disant qu’il y a bien sûr des sevrages
qui fonctionnent mieux que d’autres et par conséquent qu’il y a la Vérité pour
présenter tous les types de sevrages possibles – dont ceux qui sont forcés de
marcher ou/et de bien fonctionner – par ce que la Vérité existe pour tout!)– ce qu’il
aurait du faire avant de brûler les étapes et en
venant directement chez moi de manière si mal polie – sans même s’annoncer –
soit de manière brutale en prétextant ces quelques heures de retard dues à mon
oubli pour nous imposer cette hospitalisation)- en raison de ce que des à-premières-vues dans
lesquels ou pour lesquels il manque des informations -(soit des données)- vont
rendre celui qui est innocent coupable parce qu’on se fie sur des premières
impressions et non sur tous les temps qui concernent celui qui à cause de cela
est persécuté tout à fait injustement y compris par les membres de sa famille
qui manquant d’informations et du temps qu’il aurait fallu que j’ai pour
montrer les photos et les vidéos qui concernent mes découvertes de l’eau au
fond de la cuvette des W. C. dans laquelle j’avais fait stagner mes urines de
végétarien depuis trois jours -(sans en ajouter d’autres pour ne pas brouiller
les merveilleuses représentations de miniatures figuratives -(des histoires
multicolores avec l’éclairage adéquat)- car j’étais sûr qu’avec mon seau et ma
bassine je pouvais attendre encore vingt-quatre heures -(d’autant que cela
faisait au moins deux ans et demi s’était toutes les sept semaines)- pour
moissonner des merveilles supplémentaires au fond de cette cuvette avec les
photos macroscopiques prouvant que le beau et le sublime existe réellement avec/dans
les productions de l’être humain jusque dans ses urines à l’origine des
spectacles les plus incroyablement beaux et infiniment admirables au fond de la
cuvette des W. C., par conséquent que ceux qui en voulaient à Dieu avaient
torts car des urines d’être humain végétarien ne s’autorisant que quelques fois
du cidre comme alcool sont effectivement admirablement belles et/ou
prodigieuses y compris en photographie[s] et pas seulement en vidéo : de
véritables histoires qui se transforment, si on les remue !
Ayant enfin compris cela de l’être humain
-(c’est-à-dire de ma personne)- je compris que je pouvais peut-être un jour me
permettre de procréer et devenir un père de famille car j’avais acquis la
certitude -(même si on ne montre plus jamais Ôz), qu’un enfant de moi pourrait
découvrir ces merveilles dont il serait aussi l’auteur -(ma préparation à mon
rôle de futur père de famille touchait à sa fin : j’étais persuadé avec
ces premiers résultats de mes recherches du bien-fondé de la Création,
admirable sur tous les points -(même sans la Vision d’Ôz)- y compris sur les excréments
que j’avais jusqu’à là à tort ou à raison considéré uniquement comme de la
saleté
-(d’où la chasse-d’eau et le mot de béurk © constaté et/ou confirmé), -(bien que j’avais appris
qu’on peut les utiliser pour créer du compost)-
ce
qui était un préjugé de plus qui venait de voler en éclat(s) -[car nous savons
qu’ils peuvent entrer en compte pour réaliser les meilleurs compost]). Enfin le sacré existait de
manière indubitable et la Création était à mes yeux une parfaite réussite ce
qui confirmait les cinq secondes durant lesquelles, quand on m’avait forcé à
devenir empereur, on m’avait dévoilé la Vision d’Ôz, soit celle du Paradis, en 1995
– si tu veux je te dirai comment tout cela s’est passé mon Oriane chérie.
Mais le docteur Marcel faisait le mal en
me menaçant et en m’ayant contraint à le suivre comme à repousser à jamais
-(par l’état de souffrances dans lesquelles il me mettait)- toutes
les avancées de mes recherches esthétiques y compris les plus privées -(au sens
d’intimes car de par mon éducation écrire ce que j’inscris ici croyez-moi est
difficile à dire car il s’agit -(avec ces recherches)- aussi de choses intimes
qui pouvaient demeurer secrètes comme à ne partager qu’avec ceux qui à mes yeux
le méritaient vraiment. Plusieurs fois j’ai essayé de faire comprendre à ma
sœur que ce qu’elle avait trouvé comme appartement avec la montagne de papiers
essuie-tout -(une autre de mes découvertes ayant donné de nombreuses œuvres
photographiques – j’ai ici aussi l’antériorité en tant qu’auteur - en
conservant ces feuilles et en les tassant de manière à souligner et produire
des plis pour photographier le résultat de ce poids posé sur ce papier de
manière à découvrir avec les plis ainsi créés des représentations fantastiques
et merveilleuses que ma sœur allait trouver, ce qui l’a conduit à jeter
l’ensemble alors que patiemment jour après jour j’avais accumulé ces
-(d’habitude)- considérés des déchets - elle qui ne savait pas encore ces
découvertes car je n’avais pas eu le temps de lui montrer ces découvertes
infiniment extra-ordinaires et fantastiques réalisées
avec mes façons de procéder originales de manière à découvrir constemment des nouvelles formes qui racontaient chacune
des histoires incroyables mais vraies avec les formes ainsi produites par
tassement, donc simplement en ayant à tasser chacune de ces feuilles froissées
et salies en cuisine ou n’importe où autre part en s’asseyant dessus en les
mettant au-dessous d’un morceau de carton plat sur le siège où je travaillai à
mes lettres aux présidents de la république française comme à celle aux Papes.
Ma sœur, ta mère, Florence, ayant cru avoir le droit de jeter toutes ces
feuilles de sopalin froissées que j’avais conservées et accumulées au fur et à
mesure de leur utilisation parce qu’elle avait découvert le seau et la bassine
remplie d’excréments de plusieurs jours -(car je n’avais pas pu utiliser la cuvette
des W. C. pour les y jeter et les y faire disparaître -(en tirant la chasse
d’eau)- étant donné que l’objet de mes études portait précisément sur le fond
de cette cuvette et son eau stagnante au bout de quelques heures et l’évolution
des formes de l’urine mélangée dans l’eau étant donné l’immensité de mes
découvertes avec ces représentations les plus admirabilissimis..simissimes -(et je minimise)- avec le pipi laissé à stagner
au fond de la cuvette, ce que je ne pourrais lui apprendre que fort difficilement
-(car elle viendrait, adorable comme toujours, me voir à l’hôpital dans un état
où je ne parviendrai jamais à lui expliquer l’immensité et la génialité de ma
découverte qui pourrait assurer notre subsistance si nous devions un jour
manquer de moyens financiers propres et mérité de droit -(MFPMD) –[j’ai les photos comme
preuves de l’antériorité de ma découverte – quiconque en fera sans dire que
c’est moi qui ait eu l’idée sera considéré comme malhonnête et voleur de droits
d’auteur qui nous reviennent sur ce point comme sur tous les autres où je fus
auteur(s)]- soit des MFPMD. Impossible de lui trouver les mots pour lui
communiquer la teneur de mes dernières découvertes -(avant ce temps de cette
hospitalisation abusive qu’on nous volait)- moi-même ne pouvant trouver un
moment pour lui montrer les preuves photographiques et vidéographiques qui
s’étaient accumulées dans les disques durs externes où je recopiai les unes
après les autres les cartes mémoires des appareils de photographies et/ou vidéo
qui avec chacun des fichiers image comportant la date et l’heure des photos
comme des vidéos prouveraient à la terre entière que j’avais l’antériorité pour
ces découvertes et qu’en raison de cela me revenait des droits d’auteur dont
nous avions besoin pour avoir de quoi nourrir les enfants que notre famille
attend, voire ceux-là même de ces enfants, comme le sont tes enfants, ma chère
Oriane, que nous savons attendre leurs enfants qui attendent les leurs
attendant d’autres enfants attendant d’autres enfants et etc. jusqu’à l’infini
– bien que parmi eux il se pourrait qu’il y ait des célibataires, voire à tort
ou à raison des hostiles envers le mariage !)
Autre fin / variante :
Cependant je ne me suis pas rendu compte
au bout de six semaines que j’avais raté le jour de l’injection -(en ayant
travaillé comme j’avais eu à le faire à ma lettre au
président de la république française et à celle
aux papes car au matin de la sixième semaine -(cette personne
qui ne croyait pas à la Vérité)- sonne à ma porte d’entrée et je demande qui
c’est. J’entends le « docteur » -(Marcel)-
me dire que j’ai oublié la veille de venir pour mon injection et donc parce que
je ne l’ai pas faite, il me dit qu’il a pris la décision de m’hospitaliser de
nouveau -(alors que nous sommes ce jour-là cinq ans après ma dernière
hospitalisation et que je suis depuis plus de deux ans et demi à demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les sept semaines !!!)- car il est venu me chercher
à cette fin.
Aussitôt je lui dis qu’il peut me faire
l’injection sur le champ car à cette périodicité de la prise de ce médicament
ce n’est pas grave du tout à ce dosage d’avoir quelques heures de retard sur
sept semaines -(pour une demi-dose de Risperdal 25mg). Il me dit -(sans se rendre compte du paradoxe qu’il incarne par
rapport à la dernière fois –
donc sans se soucier de cohérence - qu’on
s’était vu -[puisqu’il essaie de me faire croire ce matin-là qu’il a et
représente la Vérité en Médecine quand il veut contraindre à cette
hospitalisation])- qu’il n’en est rien et qu’il a amené la Police, son
assistante madame Adham et les infirmiers comme il y
a un chauffeur qui attend en bas dans une ambulance pour me conduire à sainte-Anne.
Je supplie -(en pensant avec angoisse à l’état de
l’appartement qui est utilisé pour mes recherches – par conséquent qui pourrait
faire croire qu’on a raison de m’hospitaliser – alors qu’il est dans cet état
car mes recherches ont beaucoup avancé au point d’être arrivées à la découverte
attendue par tous depuis des millénaires, soit la preuve que l’être humain n’a
été conçu que pour être bon et ne faire que des bonnes et admirables choses)- qu’on
n’en fasse rien, mais il me menace de me faire empoigner par ses sbires et me
descendre de force dans l’ambulance si je n’y vais de moi-même. Aussi je
m’incline car tous savent que j’ai fait les même choix que Gandhi pour arriver
à nos fins les plus précieuses pour tous : je suis/reste/demeure quoi
qu’il arrive non-violent et suis alors contraint d’accepter qu’on me conduise à
Sainte-Anne où on m’y attend pour faire une injection d’au moins 150 mg de ce
poison de la même famille que le Risperdal -(on me fait donc passer d’une
demi-dose de R25mg toutes les sept semaines –[ce qui avait pris de 2012 à 2014
pour arriver à ce dosage moins important et/mais suffisant]- à, en comparaison,
un dosage monstrueux au sens d’immensissimis..simissime et disproportionné comme si les étapes du sevrage
patiemment traversées -(au sens de franchies)- ne pouvaient compter pour rien
et c’est là qu’apparaissent dans ma tête -(comme autrefois avec Risperdal 25 mg
tous les quinze jours)- les acouphènes comme tous les autres effets secondaires
-(que, s’il te plait, tu prendras la peine de lire pour comprendre combien on a
fait de mal à ton oncle mais surtout tu comprendras qu’on peut sauver tous ceux
qui ont des acouphènes à cause des neuroleptiques qu’ils ingèrent). Pendant
plusieurs semaines je souffre atrocement le martyr au point de ne pouvoir
parler ni même penser ni même bouger. La souffrance est alors totale,
irrémédiable -(et tous les médecins comme tous les infirmiers, mais aussi les
membres de ma famille qui ont cru pouvoir laisser faire cela m’apparaissent
alors comme des nazis de la pire espèce – des gens les plus cruels y compris ma
sœur Florence, ta mère, qui me dira que visiblement je n’allais pas bien à
cause de ce qu’elle a trouvé dans mon appartement, moi dans l’impossibilité de
lui faire comprendre que le décors de chez moi résultait de mes recherches et
de mes dernières découvertes photographiées et vidéographiées,
celles de la veille de cette absurde hospitalisation, (soit ce cauchemar dans
lequel j’étais à cause du docteur Marcel)- ce qui m’avait permis de
photographier des merveilles absolues représentant des histoires en miniatures
au fond de la cuvette des W. C., en raison de mes urines de végétarien
-(d’ailleurs depuis j’ai pensé que n’auront le droit de photographier et/ou de vidéographier au fond de la cuvette des W. C. ou/et par
d’autres moyens, uniquement les végétariens buveurs de jus de fruits et de thé
et non de vin, voire d’un peu de cidre ou de bière ou de vin de qualité – mais
uniquement si c’est sobrement bu), soit un des aboutissements de mes recherches
de toute une vie en matière d’arts et sciences-de-l’Art
-(sacrés), soit ce que j’espère lui montrer et/ou partager avec
elle -(comme avec toi, bien sûr): la preuve que l’homme végétarien n’est
que bonté, beauté et bienfaisance, [les trois bé(s) !]). Tout ce que
j’avais péniblement réussi à faire comme progression logique de sevrage depuis
fin 2012 avec madame la doctoresse Nicole Koechlin
d’un seul coup entièrement balayé par une personne devenue bête en
raisonnements médicaux puisqu’elle était venue me chercher à cause de quelques
heures de retard -(le prétexte pour hospitaliser)- alors qu’à ce stade de
dosage, même si j’avais dix jours de retard cela ne faisait rien / n’aurait
rien causé car, de plus cela aurait permis de revenir à la demi-dose toutes les
sept semaines, (voire à celle toutes les huit semaines –[que depuis plus de
deux ans j’attendais qu’on me prescrive]), soit à celle à laquelle j’étais
habitué depuis plus de deux ans et que j’avais interrompu depuis la dernière
injection pour passer, par prudence et en prévision du pire, à toutes les six
semaines quelques temps en raison de ce que le docteur Marcel tenait à me
rencontrer insensible à la notion de nuance(s) et/ou gradation du sevrages en
cours puisqu’il n’avait pas voulu passer à toutes les huit semaines
-(ce que je lui avais demandé par l’intermédiaire de sa nouvelle assistante et
qui m’avait été refusé. C’est en prévision du pire que j’avais demandé de passer
à toutes les six semaines comme si je sentais d’avance qu’il me ferait des
difficultés -(voire qu’il n’avait pas compris combien
les avancées de mon sevrage exigeaient de nous décider enfin à passer à la
dernière ligne droite à toutes les huit semaines)- comme
allergique à la notion de sevrage de son patient, voire d’autres patients comme
moi. Peut-être cela vient-il de ce que le médecin psychiatre ne veut pas courir
le risque pour lui un danger de perdre des revenus
financiers propres et qu’il croit mérités
de droit -(des RFPMD)- alors qu’en
l’absence de sevrage il s’agit bien évidemment d’argent sale, obtenu en créant
artificiellement des malades que ces « médecins » obtiennent à l’aide
de ces neuroleptiques qu’en prescrivant font des patients les victimes des
effets secondaires indésirables et, du coup, de véritables malades ce qui
donne beau jeu aux psychiatres qui pour soulager leurs patients de trop de
souffrances de ces effets secondaires indésirables leur font prescrire des
médicaments appelés » correcteurs « qu’ils ne manquent pas de
rappeler -(quand ils soulagent un peu comme l’Artane
des impatiences et/ou d’autres maux provenant des effets secondaire
indésirables)- on leur doit et à cause de cela ils vont jusqu’à exiger de la
reconnaissance. On se croit ici dans du Daumier -(de
merveilleuses et géniales caricatures – tu verras –[si tu ne connais pas encore]
– cela vaut la peine, c’est admirablement dessiné / caricaturé / caricaturisé © variante : néologisme de mon cru à
partir d’un italianisme, le verbe italien pour » caricaturer
« francisé) - du
corps médicale ou/et d’autres espèces de gens dont les métiers sont suspects,
voire néfastes).
Si je t’écris c’est en pensant que tu
pourrais une fois terminées tes études de Médecine monter avec quelques-uns de
tes collègues une solution / remède qui marcherait pour soigner tous ceux qui
sont victimes des acouphènes -(en les prenant
en charge pour les accompagner)- à
cause de l’ingestion de neuroleptiques.
Cela consiste à une cure de sommeil pour
que le patient ne souffre plus quand il est sur l’échelle de souffrance de 5 à
10 soit à partir de 5 ce qui commence à être insupportablement douloureux et qui
devient à 10 insupportablement douloureusissimis..simissime.
En fait ce qu’il faudrait c’est créer au
patient les conditions pour accompagner le sevrage des neuroleptiques en cause
de l’apparition des acouphènes / bourdonnements dans la tête au niveau des
oreilles.
Une fois dans ta clinique, voire hôpital qui
accepterait de jouer le jeu, le patient sous neuroleptique -(qui souffre plus
ou moins atrocement comme tu peux l’imaginer dès au-dessus de 5 – chiffre que
tu pourras vérifier en recoupant avec mon autre méthode à partir de la grosseur
des caractères pour savoir exactement le chiffre auquel est sur l’échelle le
patient victime d’acouphènes)- est mis au lit pour être endormi pendant au
moins -(pour commencer)- quatre semaines à l’issue desquels il est réveillé car
on a à lui demander si debout il souffre encore des acouphènes.
Si c’est encore le cas -(car c’est
probable en raison du temps durant lequel il eut à souffrir les différentes
injections ou doses comprimés de neuroleptiques)- sans attendre plus – car on sait qu’il souffre
plus ou moins atrocement – on le remet aussitôt au lit à dormir -(comme mort)-
pendant un mois entier supplémentaire à l’issue duquel on reproduit le scénario
du réveil et s’il est encore victime des acouphènes on lui prescrit un mois
supplémentaire à dormir comme il vient de le faire -(évidemment en ayant
absolument cessé de lui administrer le moindre des neuroleptiques depuis le
premier jour de la cure de sommeil).
Au bout de ce mois supplémentaire s’il est
encore victime des effets secondaires de la cure de neuroleptiques et qu’il
entend encore ces acouphènes dont il était victime -(mais dont on a fort
sagement arrêté la délivrance de la cause)- on lui
propose trois semaines -(et non 4)- pour continuer à dormir et se purger des
neuroleptiques dans son sang -(il est vital d’éliminer toute trace des
neuroleptiques -[dans le sang]- qui sont la cause de ces acouphènes).
Si au bout de trois semaines il a encore
mal alors on prescrit trois semaines -(une fois -[de
plus]- encore)- de sommeil et si au bout de ces trois semaines il a encore mal
on lui prescrit quinze jours de plus de cure de sommeil à l’issue de laquelle
on le réveille et on lui demande s’il a toujours mal. S’il n’a pas / plus mal
on va l’accompagner à retrouver le sens des réalités mais ce qui est sûr c’est
qu’on ne lui prescrira plus jamais des neuroleptiques -(desquels
il est allergique)- auxquels tous ont compris qu’il était allergique par les
différents effets secondaires indésirables on a remarqué en lui et sur lui
-(le/la patient.e)- mais aussi en raison de ce qu’il
a coûté à la collectivité comme hospitalisation.
Mais si le mal revient dans les jours qui
suivent alors de nouveau -(rebelote :)- la cure
de sommeil mais pendant deux semaines et non trois. Peut-être qu’à l’issue de
ces deux semaines supplémentaires il ira mieux et n’aura plus ces satanés
acouphènes ! Mais s’il en est encore victime on le remet au moins quinze
jours de plus au dodo et on le réveille quinze jours après.
S’il a de nouveau mal au bout de quinze
jours supplémentaires c’est le signe qu’il n’est toujours pas purgé des
neuroleptiques alors je propose – mais tu me diras comment tu vois les choses
de nouveau une cure de sommeil pendant quatre semaines et on le réveille après.
S’il est encore avec les acouphènes c’est
que son sang est encore à charrier les poisons -(je
dis » poison « comme on disait autrefois » drogues «)- du Risperdal ou du Xeplion
ou des autres neuroleptiques appartenant à la même famille et qui ont causé
tous les effets secondaires atrocis..simissimis..simissimes de souffrance
douloureusissims..simissimes
et je crois qu’il faut encore quatre semaines de plus de sommeil. Mais si cela
s’est amélioré alors on peut prescrire trois semaines si ces acouphènes
réapparaissent autour de 5 à 10 sur l’échelle des acouphènes.
Voilà ce que je te propose sommairement de
créer en attendant qu’on interdise la commercialisation des neuroleptiques en
question qui sont un scandale absolu à cause des effets secondaires
indésirables dont les acouphènes parmi eux.
Merci de mettre en œuvre ce genre de
programme avec ta génération ce qui peut vous procurer des revenus financiers propres et mérités de droit
-(RFPMD)- comme vous couvrir de gloire -(en tout cas de la reconnaissance des
patients ainsi sauvés de l’usage n’importe comment des neuroleptiques à des
dosages qu’il faudra à l’avenir interdire -(au-dessus de 25 mg qui est déjà une
dose aux effets secondaires indésirables tout-à-fait insupportables (ce qui est
moins qu’insupportab[i]lissimis..simissimes).
Je t’embrasse en te saluant à l’indienne
d’Inde, soit en m’inclinant devant les majesté[e]s de
ma si merveilleuses Ririe.
Tes dévoués serviteurs
Laurie .. d’Ôz
-(là d’où nous venons et où nous devons tous retourner).
[1] -(
https://www.instagram.com/p/CJRdE80A4Ks/?fbclid=IwAR1-bfHQKTg6O8Cv6L5L0opYrvGxlmcRJZtrLa9A-jBJDpezO_bSBVBk9tE
– N. B.: si en cliquant sur ce lien
vous ne voyez aucune image[s] apparaître, veuillez copier le lien ci-dessus
sans la ligne au-dessous et placer les lettres et les chiffres de cette
ligne-adresse en copiant-collant dans la ligne dans laquelle on colle -[par
exemple dans/avec Google]- ou un autre moteur de recherche, les adresses des
pages qu’on souhaite rejoindre / consulter sur Internet pour découvrir la photo
d’une des maisons ou/et palais sur lequel on a pris soin de révéler une idée de
ce que le TGV a révélé partout en 1995 -(à tous ceux qui, à cette heure-là, ne
dormaient pas quand il -(ce TGV)- fut utilisé comme ce fut le cas en 1995 au
moins cinq secondes quand on m’a contraint et forcé, sans même me prévenir,
à/de devenir le nouvel empereur à la suite du précédent, mon père, Jean-Luc Granier de Saint-Gervais-sur-Mare de Łódź et de Paris, tes Bon Papa)-
[2] -(
https://www.instagram.com/p/CJRdE80A4Ks/?fbclid=IwAR1-bfHQKTg6O8Cv6L5L0opYrvGxlmcRJZtrLa9A-jBJDpezO_bSBVBk9tE
– N. B.: si en cliquant sur ce lien
vous ne voyez aucune image[s] apparaître, veuillez copier le lien ci-dessus
sans la ligne au-dessous et placer les lettres et les chiffres de cette
ligne-adresse en copiant-collant dans la ligne dans laquelle on colle -[par
exemple dans/avec Google]- ou un autre moteur de recherche, les adresses des
pages qu’on souhaite rejoindre / consulter sur Internet pour découvrir la photo
d’une des maisons ou/et palais sur lequel on a pris soin de révéler une idée de
ce que le TGV a révélé partout en 1995 -(à tous ceux qui, à cette heure-là, ne
dormaient pas quand il -(ce TGV)- fut utilisé comme ce fut le cas en 1995 au
moins cinq secondes quand on m’a contraint et forcé, sans même me prévenir,
à/de devenir le nouvel empereur à la suite du précédent, mon père, Jean-Luc Granier de Saint-Gervais-sur-Mare de Łódź et de Paris, tes Bon Papa)-
[3]
A’ la doctoresse Eleni Kenanidou,
de la part de
Laurent-Marie Granier
PARIS 4 Janvier 2023
Objet :
Récapitulatif des effets
secondaires indésirables du Xeplion 50 mg sur ma
personne depuis mon hospitalisation de 2017 tous les jours à chacune des
secondes de chacune des minutes de chacune des heures 24 heures sur 24 :
des souffrances qui disparaîtraient toutes si on poursuivait le sevrage
interrompu brutalement et de façon sacrilège et tragique en 2017 à cause de la
dernière hospitalisation qui fut décidée arbitrairement -(en se faisant passer
pour un professionnel de la Médecine)- parce que j’avais moins d’un jour de
retard dans ma venue au centre médical psychologique -(C. M. P.)- sur sept semaines pour prendre
l’injection de la demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les sept semaines -(voire de nouveau toutes les six semaines si on
avait contre moi des motifs après plus de deux années à ce dosage d’être des
griefs qu’on aurait cru pouvoir me reprocher – donc comme un comportement
anormal au sens qu’il aurait gêné les autres ou / et le voisinage [notemment parce que je parlai à haute voix chez moi – ce
qui est une des caractéristiques de mon métier de metteur-en-scène et
réalisateur de film[s] / vidéos écrivant des scénari
dans lesquels la parole et donc les dialogues sont inévitables (comme la connaissance de chacun des personnages, ce
qui permet d’explorer tout ce qu’une personne ou une autre, voire Dieu ou
d’autres personnages peuvent avoir à dire dans une histoire ou une autre)- voire nécessaires et utiles à la réalisation de ces
documents audio-visuels comme peuvent aussi l’être des commentaires écrits ou
même improvisés]- étant donné que tous ont appris qu’» on n’a pas le droit de
faire à autrui ce dont nous n’aurions pas aimer que l’on nous fit «, le
mot d’ordre qui nous permet à tous de vivre en société chacun d’avance ainsi
respectueux des différences avec les autres, voire avec les compétences des
autres qui en raison d’activités licites peuvent parfois donner l’impression
qu’ils sont entrain de contrevenir à la bonne marche de l’Ensemble et si c’est
le cas c’est parce que nous sommes alors, les autres, dans l’ignorance de
détails qui concernent les activités des autres au point parfois de créer, à
cause de cela, des incompréhension[s] ou/et des malentendus dont les auteurs
ont raison de vouloir les dissiper y compris au pire par la négociation ou/et
la plainte, ce qui peut contraindre à des demandes de dédommagement[s] justes
parce que cela a fait perdre plus ou moins beaucoup de crédits financiers propres et mérités de droit – des
CFPMD)- alors
qu’à ce stade de périodicité et de dosage je pouvais évidemment et largement
comme allégrement nous permettre jusqu’à une semaine, voire dix jours de retard-
c’est la raison pour laquelle le passage à toutes les huit semaines était
attendu car évidemment faisable ! Mais le docteur Marcel ne voulait
pas admettre que mon sevrage réussissait
-(parce qu’il voulait continuer à considérer les patients –[comme moi qu’il croyait être comme d’autres qui
avaient été considérés comme les siens, ce qui signifie placés sous sa
responsabilité de chef de service]- comme
malades en disant haut et fort qu’il n’y avait aucun sevrage qui réussissait
parce que selon lui -(hélas : -[mille milliards de milliards d’hélas])-
« il n’y avait aucune vérité en matière de sevrage » alors que nous
prouvions depuis 2012 avec son assistante ou/et bras droit madame Koechlin que mon sevrage du Risperdal 25 mg commencé en
2012 fonctionnait à merveille et encore en 2017 admirablement et très
exactement d’une façon logique et cohérente -(c’est dire véritablement !).
Non, monsieur le docteur Marcel, chef de service du secteur 3 de l’hôpital
Sainte-Anne, ne voulait rien admettre parce que selon lui « il n’y avait
aucune vérité au monde » – alors que sans elle
-(La Vérité et les recherches les plus honnêtement établies de celle-ci)- et l’ensemble des vérités relatives -(dont celles qui se sont, hélas, mille et une
fois hélas – bien que cela ait, par la suite,
généré des progrès - avérées des mensonges)- comme celles des sevrages rien ne pourrait marcher /
fonctionner, ce que j’affirmai à mes différents titres -(empereur
et éveillé-par-acquis-de-conscience donc ce qui signifie bouddha et que j’ai
nommé/appelé eanmeailleurs)- aussi pour se
venger de ce que, pour lui, je lui avais fait la leçon
-(en lui disant que la vérité existe objectivement sur tous les points sans exception)-
il s’appuya sur ce « jour de retard » – parce que je voulais qu’on passe à
Risperdal 25 mg toutes les huit semaines – pour
m’hospitaliser en bousillant notre œuvre d’infini patience de mon sevrage en
entier alors que nous en étions à cette fréquence d’injection toutes les sept
semaines depuis plus de deux ans et demi et qu’effectivement nous pouvions sans
problème passer, comme je le lui demandai -(et comme je l’avais demandé à
Madame Koechlin dès la troisième prise toutes les
sept semaines, [évidemment, car logiquement, soit exactement]- à cette
demi-dose de Risperdal 25 mg toutes les huit semaines ! Après
l’hospitalisation, dans les mois qui ont suivi, alors que son assistante
m’avait proposé de passer à Xeplion 25 mg, c’est moi
qui n’ai pas voulu car je voulais qu’on y arrive progressivement par l’étape à
ce 25 mg de Xeplion, pour commencer, du Xeplion 50 mg ! Hélas, la fois suivante où je viendrai
au CMP quatre semaines après, j’allai découvrir pour mon très grand malheur que
l’assistante avait oublié qu’elle avait proposé 25 mg de Xeplion
et quand j’ai demandé de baisser effectivement à 25 mg en mémoire de la fois
précédente durant laquelle nous avions alors réfléchi au meilleur des dosages,
à cause d’une infirmière qui y était hostile, elle n’a plus voulu passer à 25
mg, ce qui s’est aussi produit et poursuivi avec sa remplaçante, madame
Hortense Boulanger alors que celle-ci avait dit qu’elle diminuerait la dose de
moitié au bout de trois années depuis la fin de mon ultime
hospitalisation ! Aussi depuis lors, j’attends cette diminution -(mais visiblement la psychiatre en question a
oublié ce qu’elle avait promis)- de manière à
voir diminuer les effets secondaires indésirables qui sont en réalité
continuellement insupportables car ils causent des souffrances atroces et ne
sont nullement nécessaires puisque j’ai repris mes activités de
producteur-réalisateur et distributeur de réalisations audio-visuelles pour
confirmer avec chacune de ces réalisations que l’Université de Médecine[s] de
Buenos Aires en Argentine a bien fait de me remettre sous la forme de la phrase
suivante le Premier Prix Andreï
Tarkovski pour la Création Artistique et le Langage Cinématographique pour le film dont je suis producteur-réalisateur-distributeur
et au moins maître dans les cinquante autres compétences pour servir, entre
autre(s) la cinématographie et que j’ai eu à prouver détenir avant de sortir en
salle de cinéma de La Momie à mi-mots qui est/fut considérée un ovni mais
aussi une sorte de solution alternative élégante -(SAÉ)- à consommer en guise de médicament / médecine /
drogue -(au sens ancien du terme qui signifiait médecine)- pour soigner -(redonner de l’espoir, un but à certains qui
pourraient être considérés comme morts s’il n’y avait pas dans chacun de nous
cette perspective de renaissance grâce à la prochaine génération à initier aux
œuvres de l’esprit)- étant donné que je suis en
raison de la thèse -(que représente aussi ce
film)- à l’Université de Paris I-Sorbonne, docteur en Arts et Sciences de l’Art
-(cinéma – télévision – audiovisuel - …)- avec les félicitations du jury dont
le président était Jean Rouch et mon directeur de thèse Claude Beylie -(ainsi que Jean Gilly et Pierre Hafner comme autre
membres de ce jury)- à réaliser toutes sortes de
films / vidéo clips ou/et vidéo nuages diaporamas et/ou vidéopoèmes
-(un genre que j’ai eu l’honneur de créer en même temps que Gonzague Saint-Bris
qui l’a proposé un peu autrement à sa manière), et photographies, mais aussi
ces derniers temps en tant qu’artiste peintre et sculpteur, etc. des activités
et/ou compétences dans lesquelles j’excelle et que je pratiquai facilement sans
avoir besoin de médicaments -(substances chimiques)- d’aucune sorte[s], ce qui
me permettait de réaliser ces œuvres d’art bonnes ou/et excellentes pour
l’esprit y compris celui des enfants comme des adultes et adolescents, ce à
quoi je continue à m’employer de tout mon cœur sauf que cela est devenu
totalement insupportable depuis 2017 et cette hospitalisation abusive et qui
n’aurait jamais dû être car nous attendions après deux ans et demi à la
demi-dose de Risperdal 25 mg -(je vous montrerai
le carnet des injections qui confirmera que je dis vrai)- de passer fort logiquement / justement, donc
nécessairement en Vérité à cette demi-dose toutes les huit semaines pour
confirmer ma guérison totale -(et ainsi, d’une
certaine façon, la fin d’un de quelques-uns, de mes handicapes)- et de n’avoir plus du tout besoin de cette béquille
médicamenteuse -(comme le dirait les peintres
Francisco Goya et/ou Salvator Dali)- car
celle-ci me fait continuellement souffrir de :
1)
Problèmes
dermatologiques concernant mon visage et tout spécialement le front comme
autour du nez et sur le nez, mais aussi sous les cheveux sur le crâne -(ça
gratte à plusieurs endroits au sommet de la tête, derrière la tête comme
parfois sur les côtés derrière les oreilles : je suis obligé de résister
au désir de me gratter y compris au niveau des tempes et/ou à plusieurs
endroits sur le front comme autour du haut du nez au-dessous des arcades
sourcilières, sur mes joues vers mes
oreilles, mais aussi derrière les oreilles où des croutes se sont formées quand
j’oublie d’y répandre la pommade bienfaisante que la dermatologue de l’institut
Vernes, rue d’Assas m’a prescrit)
-
2)
Problèmes de vue -(moi qui n’en ai jamais eu, ils sont apparus dès la fin de la
dernière hospitalisation de 2017 au point que j’ai dû consulter un ophtalmologue
/ oculiste pour qu’il me prescrive une paire de lunettes -(que nous avons
choisi avec l’aide de ta mère Florence), puis, en raison des mesures, un
opticien pour obtenir ces lunettes dont je suis parfois à devoir me servir pour
lire quand il n’y a pas assez de lumière sur le texte ou que les caractères
sont trop petits et que je ne parviens pas à me servir de la fonction loupe
pourtant à la disposition des explorateurs sur Internet).
-
Les
pieds sont continuellement affectés de maux / souffrances à chacun de mes pas
en me donnant l’impression de ne pas avoir de chair autour des os de ces pieds,
(os qui les constituent)- et cela, selon l’intensité.
C’est parfois très douloureux -[à chacun de mes pas
mais aussi au repos allongés sur le lit, les pieds donnent l’impression de
brûler continuellement avec des moments plus ou moins douloureux après avoir
plus longtemps marché – cependant que quand je suis assis les maux que je
ressens sous mes pieds sont supportables, ce qui arrive parfois – bizarre –
aussi, après avoir longtemps marché, comme s’ils devaient passer – et bien sûr
j’espère tout le temps qu’ils finiront par disparaître].
-
3)
Pour ce qui est de la zone anale et fessière de ma personne, ces zones sont
continuellement présentes à mon esprit -(alors que
pendant toutes les années précédentes je n’ai jamais fait spécialement
attention à cela, voire ce qui n’avait jamais été le cas et qui modifie mon
rapport à la réalité. Et Xeplion 50 mg fausse
artificiellement la/ma réalité en me faisant croire – ce que je sais être un
des effets indésirables et secondaires – donc ce qui signifie que je sais que
cela ne serait pas ainsi sans le Xeplion 50 mg, par
conséquent à l’état normal ce qui m’interdit donc de donner de l’importance à
ce que je sais ressentir qu’à cause que je suis victime des eggets
secondaires indésirables du Xeplion 50 mg au point
malheureusement que cela me gêne continuellement y compris quand je
travaille : en me faisant croire que ma sexualité serait du type
homosexuelle -(par conséquent à m’intéresser artificiellement à ces points de
mon corps dans ce sens – ce qu’évidemment je ne veux pas [re]connaître
ni confirmer pour ne pas être infidèle -(physiquement et spirituellement)- à ma
fiancée Michèle en la mettant dans une situation qui pourrait la rendre triste
/ malheureuse, ce qui n’est non plus pas juste vis-à-vis des enfants que nous
attendions, non pas, bien sûr, pour avoir des relations physiques au sens de
sexuelles avec eux -(jamais de la vie)- mais pour développer nos avancées
-(notre progression)- dans les approches de la spiritualité et la connaissance
du sacré grâce à ce qu’ils -(ces enfants que nous attendions)- représenteraient
comme intelligence[s] / lumière, en réalité celle de ma fiancée cumulée avec la
mienne, soit une forme de métissage, ce qui est toujours le cas pour chacun des
mariages / unions à partir des patrimoines génétiques individuels des
principaux protagonistes, les mariés : le mariage est toujours une source
de métissage de deux patrimoines génétiques originaux différents pour mettre au
monde une fille ou un fils, voire plusieurs enfants en créant ainsi une
famille, ce qui est l’objectif normal d’un couple à moins que les conditions ne
soient pas encore réunies à cette fin, ce qui peut être le point-de-vues de ce
couple – leur conscience le déterminant librement et dans le contexte actuel du
prix du baril de pétrole à l’origine de tous les problèmes économiques cela est
devenu totalement dissuasif car avec de telles augmentations des prix qui
répercutent le prix du transport de toutes les matières premières nécessaires à
la poursuite de nos activités et/ou devoirs pour fabriquer souvent des matières
énièmes -(par exemple des avions, voire de
simples automobiles ou alors des appartements genre studio, voire des
instruments de musique et/ou autres produits comme des ordinateurs, voire des
lecteurs MP3 qui ont remplacé les walkman ou/et des lecteurs de DVD ou des
imprimantes et scanners, etc. etc.)- plus
personne d’un tantinet conscient des difficultés financières qui ont affectées
chacun, y compris les plus milliardaires, en revenus financiers propres et mérités de droit –
(RFPMD) et non en argent sale -(car il s’agit de
sommes sacrées qui pour être déterminées exigent d’être pourvus de conscience),
ne peut sérieusement songer à constituer une
famille -(pour obtenir des héritiers qui seront totalement endettés, ce
qu’aucun de nous n’avait le droit de faire à moins d’appartenir aux plus
grandes fortunes).
-
Cette
façon de me sentir intéressé physiquement par mon derrière, je ne puis
l’accepter comme effet secondaire indésirable car je considère comme un devoir
de réserver mon sexe et ma semence pour la/les femme[s] pour lesquelles j’ai vu
apparaître à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus
véritablement mariés un anneau immatériel immaculé lumineux, ce qui a été le
cas pour l’impératrice Christine .. Lang en 1977 et
enfin pour ma fiancée Michèle Finck de Strasbourg -(ce
qui veut dire qu’elles sont mes femmes légitimes et cela pour toujours, quoi
qu’elles aient fait de bien ou de mal,
ce que je sais elles ne peuvent avoir fait qu’en raison de la situation bloquée
à l’échelle universelle. Par conséquent cela signifie que je relativise en
permanence au sujet des autres en sachant qu’en réalité et en vérité je n’ai en
fait aucun intérêt à vouloir satisfaire mon derrière puisque l’état dans lequel
je ressentirai de l’intérêt à cela n’a été obtenu qu’artificiellement à cause
de l’ingestion du Xeplion 50 mg et non naturellement
-(ce qui signifie que mes désirs sexuels sur ce côté-là de mon corps n’existent
qu’en raison d’artifice et non de plus véritables désirs qui naîtraient de
véritables sentiments amoureux, grâce à l’autre dans le couple. Aussi je les
considère suspects et je les matte en passant des jets d’eau glacée pour les
faire disparaître car je ne veux pas avoir recours à des médicaments pour me
faire désirer ma fiancée ou d’autres femmes si je devais être persuadé de
pouvoir me permettre des infidélités, voire des bagatelles -(ce que je ne
crois pas avoir le droit de devoir nous exclure même en restant fidèle à ma
fiancée-femme / promise Michèle et à ma première femme cosmique universelle
Christine, en raison de l’anneau immaculé immatériel lumineux j’ai vu
apparaître, (à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus
véritablement mariés), pour ces deux femmes et cela même si nous ne sommes pas
officiellement mariés à la Mairie et/ou à l’Église mais ayant vu apparaître cet
anneau qui signifie que du point de vu de l’Univers qu’elles le veuillent ou non, je suis à jamais leur[s] mari[s] mais
aussi leurs fidèles chevaliers
servants)!
-
Aussi
comme pour le moment je ne veux être fidèle qu’à mes femmes légitimes et aux
personnes que j’aime, je ne puis m’intéresser au plaisir anal qui, s’il était
éprouvé -(comme j’en ai eu parfois l’idée, notemment avec des jets d’eau à l’intérieur d’une piscine
le long d’une des parois par laquelle l’eau de la piscine se renouvelle, voire
sinon grâce au jet d’eau d’un pommeau de douche), fausserait
mon rapport au monde en me rendant infidèle à celle[s] que j’aime car
homosexuel pour des raisons non spirituelles et/ou de complicité(s) amicales
-(ce qui relève d’un choix personnel libre : un paramètre qui concerne la
liberté d’autres que moi : une façon de voir la question différente de la
mienne axée construction maçonnique avec la / les femme[s] légitime[s] en vue
du Rétablissement
de la Vision d’Ôz, une heure toutes les cinq heures à
l’issue de mon/notre Programme
/ Processus]).
-
Allergie
pectorale dermatologique qui me contraint à mettre régulièrement de la crème bétaméthasone Biogaran 0,05% qui
est efficace. Mais il s’agit d’une allergie qui remonte à avant 2005. Parfois
elle disparait de nombreuses semaines -(après que j’ai
passé la crème)- mais revient parfois plusieurs mois après avoir disparu. C’est
bizarre car incompréhensible : je crois que le mal a disparu -(ce qui se
produit dans les jours suivants presque aussitôt après avoir répandu cette
crème)- et alors que je suis certain que cela a disparu, parfois depuis
longtemps -(plusieurs semaines), voilà que cela recommence à
réapparaitre : incompréhensible car cela a donné tous les signes de
guérison -(nous espérons que viendra enfin le moment où la disparition de cette
gêne sera enfin définitive et à cet effet j’ai pensé ici qu’au lieu de répandre
la crème une fois tous les trois ou/et six mois je ferai bien de la mettre tous
les jours pendant un mois, voire trois mois et du coup cela ne reviendrai plus
– je vais donc essayer cette méthode dès aujourd’hui).
-
Douleurs
dans les mains à tel point que quand il fait froid c’est comme rapidement glacé
au point de ne plus pouvoir bouger de longs moments les articulations des mains
et les doigts -(ce qui arrive quand je ne mets
pas de gants l’hiver et si je n’en porte pas c’est que j’ai des photos et/ou
vidéos à prendre / tourner, aussi il me gêneraient pour les faire [les
images])- parfois je me réveille et c’est si
engourdi au point de durcir comme si j’avais une pince de crabe à la place de
ma main droite -(celle dont j’ai besoin pour faire fonctionner l’interrupteur
de l’appareil photo). Cela fait mal mais au bout de quelques efforts pour
remuer mes doigts de la main, je retrouve ma main et ses doigts mais avec une
gêne constante en continu comme une sorte de décalage qui m’empêche d’utiliser
mes doigts le plus franchement du monde – ça m’empêche de taper sur le clavier
de l’ordi. aussi bien qu’autrefois sur les touches de ce clavier – et pour ce
faire je dois faire un effort – qui est devenu constant - pour éviter de taper
à côté de la lettre sur une lettre qui n’est pas celle que je veux inscrire et
choisir sur le clavier pour le texte à rédiger – mais ici dans cette
description j’ai un peu exagéré ce mal dont sont affectés les doigts de mes
mains -(dont nous étions au courant par la
notice du Xeplion 50 mg qui donne comme effets
indésirables des gênes aux extrémités, par conséquent aux pieds, aux mains et à
la tête, ce que j’ai donc pu vérifier exacte)- car
en réalité c’est supportable et plus rare que souvent bien que désagréable
quand j’ai à en souffrir l’hiver quand je tape les caractères sur le clavier
pour, en les utilisant, former les mots de mes/nos phrases – cependant dès que
cela se réchauffe autour de moi c’est bon pour les mains et je retrouve leur
usage normal).
-
Toux
-(quintes de toux)- par contre elles insupportab[i]lissimis…simissimes -(quand cela se produit cela fait beaucoup de
mal / souffrances y compris dans ma tête
dans mon cerveau qui frappe contre les os de ma boîte crânienne, pressé). Ces
quintes de toux ont été décrites dans la notice du Xeplion
50 mg, il s’agit bien d’un effet secondaire indésirables prévus pour certains
patients auxquels on a prescrit ce neuroleptique. Quand elles se manifestent,
ce qui n’est heuresement pas trop souvent mais qui
est au moins une fois ou l’autre par semaine on aimerait en mourir tant cela
fait mal : tant c’est insupportablissimis..simissime et injuste et/car cela
peut même conduire à des vomissements.
-
Parfois
des pointes comme une flèche se plantant dans le pied -(mais
heureusement c’est rare, cependant que quand cela se produit cela fait
atrocement mal), voire au niveau d’autres élancements en sorte de pointes dans
les bronches, dans les poumons -(ce qui produit les quintes de toux), voire
ailleurs -(c’est arrivé)- dans le corps (ces pointes – cependant heureusement
cela ne se produit pas toujours au maximum du douloureux).
-
Vertiges
-(c’est heureusement suivant les jours, voire quand je
me lève ou/et quand je me promène à l’extérieur ou dans le couloir de chez moi
mais heureusement cela n’est pas continuellement tout le temps, c’est donc
discontinu – cependant quand cela arrive je peux avoir l’impression que si cela
continue je cours le danger de tomber, donc de m’évanouir)
-
Impatiences
qui étaient beaucoup plus importantes et insupportab[i]lissimis..simissimes avant que je ne trouve finalement l’Artane comme médicament » correcteur « -(ce
qui a pris longtemps et qui rendait mon existence insupportab[i]lissimis…simissime)- mais
heureusement, après avoir essayé plusieurs correcteurs inefficaces et
douloureux, voire qui accroissaient les maux y compris impatiences en question,
j’ai finalement trouvé l’Artane qui m’a en très
grande partie délivré de ces impatiences insupportab[i]lissimis…simissimes à Xeplion 50 mg.
Avec l’Artane
cela est devenu parfois insupportable -(ces impatiences quand elles se
manifestent) - ce qui est – je l’admet[s] aisément – bien mieux que cela était,
d’autant plus qu’il y a eu la période avec les acouphènes force 10/10, soit à
l’infini de l’infini de l’hyperissimis…simissime insupportab[i]lissimis…simissime -(au point que je ne pouvais plus parler ni écrire ni même
penser. Je ne voulais que me suicider cependant je ne l’ai pas fait parce que
je savais que ces acouphènes étaient causés par le Xeplion
50 mg et j’espérai qu’on me supprime le Xeplion 50 mg
ou alors au moins qu’on baisse de Xeplion 50 mg à
X.25 mg comme on m’a promis -(dans le cadre du sevrage que mademoiselle Adham voulait de nouveau recommencer à la sortie de
l’hôpital comme je le demande car nous avons tous en mémoire les trois années
où tout c’est bien passé à partir du moment où j’étais à la demi-dose de
Risperdal 25 mg toutes les cinq semaines, puis toutes les six semaines et enfin
toutes les sept semaines et sevrage que madame Adham
m’avait proposé de recommencer à la sortie de l’hospitalisation abusive /
assassine de 2017 dont j’ai été victime. C’est moi ici – et je m’en voudrai
toujours pour ça – qui, sous médicament, ai fait l’erreur de vouloir une étape
avant le Xeplion 25 mg proposé pour commencer de nouveau
le sevrage à 50 mg).
J’ai
fait croire que ces
acouphènes baissent avec l’Artane mais c’est faux. Au
mieux ils sont de ceux insupportables, ce qui est grandement préférable à ceux
qui sont à ce point à l’infini de l’infini de l’hyperissimis…simissime insupportab[i]lissimis…simissime et croyez-moi
– que vous le vouliez ou pas - je minimise encore la douleur paroxistiquissimis…simissime que
ce fut tant que je n’ai pas trouvé l’Artane pour
rendre plus supportables les impatiences -(ce qui aurait peut-être un peu fait
baisser l’intensité des acouphènes – cependant je crois que nous devons qu’ils
aient disparu à quelque chose de miraculeux en tout cas d’inexplicable).
A l’heure où j’écris ce texte je
peux dire qu’en comparaison avec ce qui fut mon état à la suite de
l’hospitalisation, je n’ai plus/pas à souffrir des acouphène(s) -[durant la
journée]- sauf un petit peu le matin quand je me réveille en position allongée
(il se pourrait qu’en position allongé le sang qui irigue
mon cerveau touche des neurones et des synapses qui déclenchent les acouphènes
ce que la position verticale ne produit pas, voire au contraire modifie
l’irrigation du cerveau en faisant disparaître – voire amoindrir – les effets
de ces acouphènes.
Cela m’a permis de trouver le
remède à prescrire à tous ceux qui souffrent des acouphènes de ceux les moins
forts / intenses à ceux les plus forts : dont le volume est maximal ce qui
a pour effet que celui qui en est victime se frappe la tête contre les murs
dans l’espoir que cela s’arrêtera, voire ce qui mène au suicide -(si on ne
cesse pas sur le champ d’administrer le traitement de Xeplion
50 mg ou de Risperdal 50 mg et que l’on ne réalise pas un sevrage à partir de
la prise de 25 mg comme nous l’avons fait et décris ici – dans ce texte). Tu
dois savoir, ma Ririe adorée qu’il y a un remède qui
marchera pour débarrasser un patient de ces bourdonnements dans les oreilles
qu’on appelle acouphènes et ce que je vais inscrire vaut de l’or bien que si
cela se produit sur un patient la première obligation des médecins sera et doit
être de supprimer aussitôt le neuroleptique qui avait été prescrit à ce patient
qui malheureusement n’a pas pu le supporter au point, parfois de le conduire au suicide, ce qui est tout à fait
malheureux même s’il s’agit d’un criminel contre l’humanité car la souffrance
des acouphènes au plus haut degré est absolument infiniment insupportab[i]lissimis..simissimis..simissimissime -(croyez-vous que si ce n’était pas vrai
j’aurai pu écrire / inventer un superlatif pareille ?). C’est dans le
corps du texte et non en note de fin de page que je vais te décrire comment
procéder dès qu’on aura prescrit la fin des neuroleptiques au patient affecté
par ces acouphènes effets secondaires indésirables du Risperdal 50 mg et du Xeplion 50 mg, mais aussi du Risperdal 25 mg tous les
quinze jours -(ce que j’ai moi-même pu vérifier en 2012, ce qui nous a conduit
avec la doctoresse Koechlin à commencer le sevrage
qui avait donc parfaitement réussi bien que je commençai à m’impatienter et à
trouver le temps long en ayant à demeurer à demi-dose de Risperdal 25 mg toutes
les sept semaines comme si cette doctoresse ne parvenait pas à comprendre
qu’elle avait à cesser de prescrire le Risperdal 25 mg puisqu’à cette demi-dose
toutes les sept semaines c’était comme si je ne prenais plus rien par
conséquent que tout était donc revenu dans l’ordre pour moi ! C’est que
cette « médecin » -(et on comprend qu’ici, comme toujours dans ces
cas-là dans tous les textes où ils furent ainsi employés, ces guillemets doivent
faire entendre de l’ironie au sujet du mot employé, voire l’inverse de ce
qu’ils désignent par le mot entre-guillemets)- craignait de me perdre comme
patient de même qu’aura cette crainte la doctoresse Adham
et la doctoresse Hortense Boulanger comme la doctoresse Eleni Kénanidou de même que ce fut le cas pour le docteur
Marcel et c’est pourquoi ils n’ont pas voulu sevrer leurs patients alors que
bien sûr tous les plus véritables médecins savent qu’on n’a pas le droit de
prescrire un neuroleptique -(à l’origine de véritables tortures dans un monde
où elles sont interdites par les lois)- sans un calendrier de sevrage proposé à
chacun des patients -(dès la première prise du neuroleptique)- plus ou moins
affecté[s] par les effets secondaires indésirables de ces insuportabilissimis..simissimis…simissimes poisons les
plus douloureusissimis..simissimes
à supporter. Aussi ma chère Oriane tu retrouveras dans le corps du texte ce
qu’il faut aussitôt faire -(si on rencontre une personne qui a des acouphènes
de force 6 à 10, soit ceux qui sont insupportablement douloureusissimis..simissimes et horribi[l]issimis..simissimes comme insupportab[i]lissimis..simissimes à vivre)- après lui avoir à jamais retiré /
enlevé le traitement médical dont il était l’objet avec les neuroleptiques que
des médecins devenus inconscients ont cru pouvoir prescrire au lieu de
comprendre que la cause des dérèglements et des maladies psychiques en Occident
a pour origine depuis toujours l’inadéquate
élémentaire alimentation et pour la plupart des acouphènes les
neuroleptiques.
C’est en effet l’alimentation
occidentale à base de viandes et de poissons
-(et autres substances ayant été à l’origine de souffrances animales des API[K]
– animaux pacifiques et inoffensifs
d’herbivores quadrupèdes -[et autres poules]– car ici h de herbivores et q de quadrupèdes
= k de APIK)- qui est l’origine de toutes les incohérences
alimentaires qui se traduisent par des maladies de différents types dont à plus
ou moins long-terme les problèmes des dents et la perte des dents -(car en
mangeant des viandes animales on ne mange plus autant de produits lactés dans
lesquels se renforcent les dents grâce au calcium qui s’y trouve à cette fin de
protéger la dentition de la bouche, ce qui évite les caries et autres malheurs
– je l’ai vérifié sur moi-même – tu peux être certaine que c’est vrai :
les problèmes dentaires se manifestent quand on mange trop de viandes et ou de
charcuteries provenant des API[K] et des poissons et/ou de la volaille alors
que celle-ci ne peut être élevé que pour les œufs nécessaires pour réaliser les
meilleures cuisines).
-
Prurit
-(ce qui fait que je me gratte)- sur le front et le
nez, comme sur les joues en raison des problèmes dermatologiques causés par le Xeplion -(déjà dit).
-
Mémoire
affectée : j’ai de grandes difficultés à me souvenir des éléments récents -(qui viennent d’être vécus -[cependant qu’il y a, fort
heureusement, souvenir des éléments anciens]).
-
Mauvaise
saveur dans la bouche -(mais heureusement pas de façon
continu, mais cela quelques fois)
-
Avec
le froid impossibilité de mouvoir les doigts des mains, ce qui est un tantinet
le cas sinon normalement / habituellement car les extrémités -(mains
et pieds)- sont affectées par des empêchements douloureux comme des pointes-piqures)
-
Donc
un seul point positif depuis 2019 : la disparition des acouphènes au point
maximal où ils étaient -(qu’ils avaient)- à l’infini
de l’infini de l’hyperissimis…simissimement
insupportab[i]lissimis…simissime ! Et pourtant tous me connaissait comme une
personne qui avait l’habitude de minimiser -(qu’est-ce
que cela serait comme superlatif absolu si cela était écrit par une personne
qui aurait tendance à exagérer ? Qu’on le croit ou pas, je demeure une
personne qui minimise mais malgré cela j’ai trouvé juste de créer ces
superlatifs absolus pour décrire l’état de souffrance que génèrent les
acouphènes de six à dix sur l’échelle Granier d’Ôz des acouphènes
– soit ce qui traduit en chiffres l’intensité au sens de degrés de l’insupportabilissimis..simisime. Tu trouveras dans mes textes une autre échelle
que j’ai créée avec la taille des caractères dans un autre de mes écrits, ce
qui – si on utilisait cette autre méthode - pourrait permettre de savoir encore
plus précisément combien sont forts les acouphènes d’un patient (s’il est
encore en état de lire et/ou de comprendre ce qu’il faut souligner en liaison
et proportion avec ce dont il souffre à cause des acouphènes trop forts, voire
si on a affaire à un tricheur ou un menteur, voire une personne qui exagère car
il y a des acouphènes faibles qui sont un peu moins insupportabilissimis..simissimes voire qui sont supportables -( : ceux de 1
à 5 bien qu’il faille pour eux aussi procéder comme je l’ai marqué plus haut
par interdire l’ingestion de neuroleptiques à l’origine de l’apparition de ces
acouphènes dès la dose de 25 mg de Risperdal soit ce qui correspond à 25 mg de Xeplion bien que ce dernier « médicament » soit
un peu moins douloureux que le Risperdal, par conséquent à prescrire à la place
du Risperdal qu’il faudrait totalement interdire comme tous les neuroleptiques
à cause des effets secondaires indésirables et cela parce que la torture a été
interdite dans la zone européenne exemple à/pour cela à suivre pour toutes les
autres zones de cette planète).
En me relisant je remarque que j’ai déjà parlé de ces
trois derniers points au-dessus.
Envoyé le 4 janvier 2023 sous la forme d’un CARE5 -(soit
d’un texte corrigé, augmenté, abrégé, relu, et [ré]élaboré
5 fois – alors qu’ici 7)- sur la messagerie de Cécile
Rival pour la doctoresse Eleni Kenanidou de la part du docteur
Laurent-Marie Granier .. d'Ôz,
(G. Ô.).
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