Aussi, mon frère aîné et mon ex-beau-frère ont été victime, l’un et l’autre, de la situation y compris ma sœur, mon autre frère peintre, mes nièces et mes neveux. Il y a cet autre frère, Jean-Paul qui peint plus encore que remarquablement bien, puisqu’il est même capable, quand il a un peu de temps, de s’astreindre à restaurer sculptures ou peinture et qu’il est musicien. Restaurer est une chose que les autres (frères et beaux-frères) ne sont pas autant capables de faire qu’ils ne le souhaiteraient  car ils ont envie de s’envoler chacun, de créer, à partir des œuvres à restaurer, pour les poursuivre ou en révéler de nouvelles, en dialoguant avec elles. Elles proviennent alors de ces ailleurs différents qu’ils rejoignent et qui ont permis la Création du monde, selon chacun des grands artistes. Pour avoir la qualité de restaurateur, il faut être un peu comme mon père (qui a reconstruit en empereur véritable la planète[1] à partir de l’après-guerre) et qui avait, pour cela, renoncé en parti à sa carrière d’artiste-peintre-musicien (un sacrifice important – car j’ai pu découvrir un ou deux de ses dessins : ils étaient remarquables et ceux qu’il m’a donné à découvrir dialoguaient un peu avec le fauvisme (et cela à une époque où ce mouvement était en difficulté). Il était capable de s’astreindre dans une des autres disciplines qu’il maîtrisait en raison de ses multiples capacités et savoir-faire (juridiques, économiques, etc) qui étaient devenues les siennes à force d’avoir dû, avec quelques uns de sa génération, les étudier en vérité. Il était donc capable de rester longtemps au service d’une de ces catégories de savoir-faire dans lesquels il était parvenu à exceller naturellement sans jamais se venter de sa connaissance en la matière[2] comme venant de l’intérieur[3] de chacun de ces savoir-faire qu’il avait acquis par divers apprentissages dans chacune des disciplines, il nous montrait qu’une fois dedans, il ne fallait pas en sortir ni chercher jamais, durant ces moments là, à réfléchir sur d’autres niveaux, en créant alors des liens hypertextes (des laurYens) qu’il se permettait de faire in petto en qualité de poète ou de garder secret - avec chacune des autres catégories qu’il avait appris à bien analyser – c’est schématiquement ce que j’ai fini par comprendre en 1965, de nouveau en 1975 - mais à partir de 2005 - en ayant fait toute la route de ma naissance à 2005 et c’est pourquoi j’étais sûr qu’en l’imposant comme empereur, ce serait une bonne affaire pour tous (bien qu’il m’imposerait un rythme dur), car, en fait, il n’y avait pas plus compétent que lui, étant donné qu’au cours de la Seconde Guerre Mondiale et peut-être même avant, il avait dû se délivrer de son côté enfant-gâté, y compris de son adolescence ou de son état d’ignorant, au mauvais sens de ce mot, ce qui l’avait fait quitter la condition de profane. Il s’est agi comme d’une réaction salubre, par rapport à tant de preuves que l’ineptie et l’incompétence de ceux qui « font semblant » d’en avoir, sont à l’origine de la ruine des états, ce qui a fait de lui et de ma mère pour tous  - et toujours - des excellents exemples à suivre, puisqu’avec eux la prospérité a pu revenir partout, malgré ceux qui continuaient à vouloir ruiner l’Etat et à se comporter en tricheurs, y compris dans les relations internationales. Restaurer de cette façon une œuvre d’art, en se cantonnant à ce métier, dans le cas de mon père et peut-être de mes frères, c’est rejoindre, à chaque fois, les sphères de la création la plus pure Poésie elle-même, car ils s’arrangent à faire passer pour facile ce qui ne l’a pas été[4] et c’est pourquoi on accepte alors facilement dans une telle ambiance, s’il n’y a personne de préposé pour faire la vaisselle, de balayer ou de descendre les ordures, ne serait-ce que pour donner l’exemple aux enfants et « faire semblant » d’être un de ces ignorants, au mauvais sens, comme au bon sens de ce mot, qui débutent et/ou qui a besoin de commencer par le début : apprendre à faire la vaisselle, à laver une salle de bain et des WC (ce que mon père lui-même nous a appris à faire), apprendre à faire la cuisine (ce qu’il adore faire quand il a le temps), apprendre à peindre un mur blanc ou à faire du plâtre ou à poser des cailloux, c'est-à-dire toutes les activités élémentaires de base qui pourraient être utiles de savoir faire, comme celle de faire le ménage, avant d’être de ceux qui vont creuser une de ces autres matières (ou une des autres catégories) exigeant de vraies études. Bref, être capable de superviser ce qu’on donne à faire à des personnes qui n’ont pas eu à être de celles ayant à apprendre à s’instruire en vérité et qui débutent ou qui exercent de ces métiers qui sont très faciles, car ils n’ont chacun requis que des temps très courts, plus ou moins, comme formations, et pour lesquels, malgré la facilité qu’ils représentent, ils obtiennent en échange des revenus qui leur seront versés par ceux qui travaillent avec ceux qui ont dû poursuivre leurs formations en vérité, pour acquérir des compétences dans d’autres catégories de métiers beaucoup plus complexes (ayant fait d’eux des personnes s’étant libérée de l’enfant-gâté) et qui ont dû renoncer à tous ces emplois exigeant aussi peu de formations – bien qu’il s’agira d’occupations qu’ils pourront avoir parfois, comme des passe-temps ou comme activités annexes, ce qui est le cas de la restauration d’art ou de la peinture ou de la poésie ou de la musique, ou du théâtre, ce qui a été le cas pour mon père qui, pour fonder sa famille et sauver l’empire, a dû renoncer en partie à quelques unes de ces passions pour consacrer ses temps de travail, en cette qualité de haut-fonctionnaire s’étant dévoué à la Construction Européenne et à tous les autres dossiers dans toutes les autres catégories dont j’ai été contraint de le charger du futur, avant même d’y être, (puisque j’ai découvert avoir dû lui suggéré d’entreprendre autant, puisqu’en raison de cette guerre et de son mariage, il construisait, avec sa génération et ceux qui l’ont souhaité dans les générations suivantes, comme tous les vrais rois avant lui l’avaient fait, le monde de ses petits-enfants sur de nouvelles bases, en ayant pris le soin de discerner dans le monde du passé, tout ce qu’il fallait conserver, qui était bon et encore valable pour tous de tout ce qui n’était plus vrai – il distinguait donc les vérités relatives, des vérités indispensables, pour permettre à tout de continuer à fonctionner, ce qu’il a réussi à me transmettre et voyant que je m’ennuyais et que je ne pensais pas à choisir de moi-même un livre dans sa bibliothèque, il me conseillait les lectures qu’il savait être bonne à mon âge (ce n’est qu’assez tard que j’ai acheté moi-même un livre comme un Mickey que je trouvais au kiosque en italien, ce qui m’a permis de mieux apprendre cette langue, sans même m’en apercevoir comme une autre langue maternelle, bien que mon vocabulaire resta longtemps très limité. En effet la bande dessinée qui prend la peine de présenter toutes les descriptions et les contextes, n’offre souvent que des dialogues assez pauvres en vocabulaire. Mais mon père (et ma mère) m’ont fait découvrir les aventures du pirate Sandokan écrit par Salgari et d’autres œuvres pour enfants et adolescents qu’on trouvait aussi en kiosque). C’est pourquoi ceux qui sont un peu plus instruits que les balayeurs, les personnes qui font du ménages ou les livreurs, ou chacune de ces personnes qui ont la chance d’avoir un de ces métiers simples à faire (ne serait-ce que pour commencer) et qui sont donc plus rares, vont être de celles qui, en raison de leurs études, creusent un texte ou des images pour explorer une ou plusieurs catégorie et avancer dans ces recherches de la vérité liée à ces spécialités, en apprenant à distinguer la vérité des autres niveaux de vérité, ce qui profite en général à toutes les personnes moins instruites, pour peu qu’elles décident, pour des raisons diverses de s’intéresser, de nouveau, à ne pas se limiter à leur condition seulement de profanes.

Mais pour se permettre de restaurer un tableau ou une sculpture d’un grand maître, ce n’est pas le peintre en bâtiment, l’ignorant, même au bon sens de ce mot, qui pourra le faire, bien qu’il soit dans un état d’esprit déjà meilleur et moins profane, et cela même au bout du mille cinq cent ou vingt-cinq mille murs blanchis ou qu’il a tapissé, car il faut se rendre capable d’apprendre « à restaurer » des formes peintes avec des couleurs ou des dégradés de la même couleurs et donc s’être totalement débarrassé de l’enfant-gâté et/ou de l’adolescent en soi, avant de se permettre de toucher les œuvres qui n’ont été faites que par des personnes dans cet état d’esprit, ayant acquis des mains propres et des savoir faire particulièrement pointus. Sans s’être inscrit dans une école de dessin où suivre un maître en la matière, ce sera très risqué pour l’œuvre qui pourrait être perdue pour tous, ou même perdre de sa valeur (financière), si elle est restaurée par un faussaire. Car il s’agit de « représentations » à restaurer que ces originaux touchés par les mains des artistes en question à un moment donné dans une époque donnée, avec une science du poids dans la pause de chacune des nuances et donc il s’agit d’œuvres qui n’ont souvent pas été peintes seulement dans le monde des profanes, ce qui signifie qu’au moment de la restauration, il faut être capable d’essayer de rejoindre ce monde-là et comprendre exactement ce moment-là, différent du nôtre, ce qui signifie que le restaurateur va devoir se heurter à un niveau de difficulté. Il existe, comme partout ailleurs, des restaurateurs profanes ou faussaires ou menteurs qui ont l’air de faire assez bien leur travail, quand ils appliquent les méthodes, comme il existe des faux peintres en bâtiment ou des faux qui croient pouvoir exercer d’autres métiers (ce sont les imposteurs ou les usurpateurs). Mais la restauration de l’œuvre d’un très grand peintre ne peut pas être confiée à d’autres mains que celles d’un très grand artiste, car il faut que celui-ci touche avec son pinceau l’œuvre en atteignant exactement le même degré d’intensité de vie et d’intelligence du monde que l’auteur de l’œuvre endommagée et donc, d’une certaine façon, parvienne à entrer en dialogue avec le même moment de l’univers d’où provenait l’œuvre (ce qui est très difficile, car il faut voir comme l’artiste voyait ou peignait, pour retrouver ce même degré ou ce même point qu’il avait atteint, en se déplaçant de là où on restaure immobile pour rejoindre cette condition par l’analyse, comme arrivent parfois à le faire certains chefs-d’orchestre avec leurs musiciens en révélant alors exactement, ou le plus exactement possible, la composition inscrite ou en poursuivant la composition qu’un maître a interrompue. Alors, c’est parfois la figure même du compositeur, même si disparu, qui dirige l’orchestre lui-même.

Vous comprendrez pourquoi je réclame justice et le rétablissement de la vérité au sujet de ma famille, d’autant qu’ici, c’est encore une fois l’Ensemble qui s’est rendu coupable du fait que j’ai été contraint de calomnier mon frère et mon beau-frère du ciel – ce qui a néanmoins duré trente cinq ans, en plus des dix premières années où cela avait commencé pour chacun d’eux – et cela pour assurer la sécurité mondiale durant plus de trente cinq ans. Ils en ont certainement subi l’un et l’autre des dommages et un préjudice considérable, mais sans jamais se plaindre ni réclamer aucun dommages – alors qu’ils y ont droit et que tous auraient dû comprendre, à partir de 2005, et leur faire honneur. C’était à ce prix de ces sacrifices supplémentaires que la Vie serait sauvée jusqu’à fin 2012 et qu’on éviterait la reprise de la guerre et les menaces nucléaires, puisqu’on s’éloignerait, grâce à l’arrivée des nouvelles générations, de ces années où régnaient encore cet esprit de revanche, totalement crétin, comme cette cécité chez les adultes et les vieillards, appartenant[5] à leurs respectives « nations » en raison de bourrage de crâne stupides (du type des propagandes les moins intelligentes) cette vague de « nationalisme » qui au XIXème siècle avait été nécessaire pour consolider les socles des différentes cultures et langues de l’ensemble européen – cet esprit nationaliste, s’il a son aspect positif a toujours malheureusement été celui des ignorants, au mauvais sens de ce mot (les esprits locaux), qui, à cause de cela, ont été à l’origine de tous les problèmes dans les affaires internationales (c’est pourquoi, par exemple, la Guerre de Cent ans a duré si longtemps). Il s’agit de la façon de fonctionner du profane et des personnes liées à leur localité, au point d’oublier que le téléphone, la télévision ou la radio (ou autrefois le télégraphe) leur permettent de rejoindre les lieux les plus lointains, comme les journaux ou les magazines et plus récemment Internet. Ils sont ceux qui, en raison de leur esprit local (ou d’appartenance au club de leur village ou de leur ville) cherchent à tout prix une revanche sur l’autre club (comme l’opéra de Bernstein West side Story nous le décrit, bien que l’essentiel du propos soit une histoire d’amour), étant donné que chacune de ces villes a son champion de sumo, par exemple, ou ses champions de foot-ball. Même si ceux-ci provenant de l’étranger ou d’un autre club, (parce qu’ils sont payés par le club), sont à eux. Aussi, il s’agit donc d’une belle chose qui a pourtant son aspect négatif, car cela donne le côté partisan, au mauvais sens de ce mot, quand celui-ci est pourtant indispensable dans bien des cas qui concerne la recherche de la vérité. C’est alors que les erreurs adviennent, car l’esprit de la localité est celui qui risque d’être fermé aux apports positifs qui viennent de l’extérieur. Cela peut donner des régions closes et hostiles à tous ces apports ou ces progrès venus de loin et cela peut créer de vraies inimitiés entre jeunes de localités différentes. Ce n’est qu’avec le temps et grâce aux jeunes des générations suivantes que ces inimitiés disparaissent et entre temps les rapports entre ces localités ou régions s’en ressentent car les plus âgés aux commandes, solidaires de leur région, ont des problèmes avec leur homologues, à moins de faire appel à un médiateur ou à des personnes neutres, connues pour être justes, et essayer de résoudre les problèmes non pas pour favoriser des personnes, mais la réalisation de choses utiles à restaurer ou à construire. Mais ces personnes étaient dans le passé rares et peu écoutées, car déjà au service de nations internationalisées, ouvertes les unes aux autres et gérées en vérité, tandis que les autres sont prisonnières de l’appareil de leur parti, alors qu’en fait le problème à résoudre ne concerne que des spécialistes ou des techniciens qui existent partout dans chaque pays et qui sont des personnes qui ont de réelles compétences. Celles-ci peuvent avoir des affinités politiques mais sont ingénieurs ou architectes, et par conséquent, représentent eux-mêmes la solution élégante à mettre en œuvre. Ce qui se passait en ces époques-là était grave car le personnel administratif n’avait aucune compétence en architecture ou en commerce, ou dans les matières artistiques, et ces  responsables de ces grands ensembles continuaient à avoir l’état d’esprit qui règne dans la cours de récréation, ou entre équipes partisanes devenues sourdes au bon sens ou à la vérité, à cause de cette recherche de la revanche qui pour une partie d’échec, un match, dans le sport (ou à d’autres occasions) peut se justifier, ou même être nécessaire, comme un second épisode à une aventure, mais qui n’est jamais bon entre nations, car cela peut aboutir à mort d’hommes, donc à une nouvelle guerre et, par voie de conséquence, cela risquera d’avoir fatalement des répercussions dans la génération suivante ou dans celle d’après qui, en fait, chacun, personnellement, n’y sont, ni l’une ni les autres, concernées – mais localement, c’est comme si on les avait contraint à prendre parti au lieu de bénéficier du fait qu’appartenant à la génération suivante, ils ne sont pas nés pour venger leurs aînés, mais pour essayer de construire quelque chose avec les enfants des anciens ennemis, car pour arriver à ces conflits, il y a dû y avoir de façon absolument certaine des malentendus ou de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, donc de l’incompréhension. Cela signifie qu’il n’a plus été possible de se comprendre et qu’il y en a qui ont cru pouvoir s’autoriser des choses qui ont déplu aux autres. Cela arrive souvent entre générations différentes, mais aussi entre personnes qui n’ont pas fait de mise à jour et qui, à cause de cela, se retrouvent perdues. Le monde a changé et il leur déplait. Ils entrent alors en conflit avec tout ce qui n’est pas comme on leur avait appris localement, quand ils étaient petits (or s’ils ont appris des choses fausses, ou s’ils n’ont pas les bonnes bases, c’est comme s’ils avaient en tête les effets d’une propagande mensongère – c’est pourquoi l’éducation est si importante y compris le système éducatif mis en place dans chacune des localité). Aussi comme ils ignorent l’existence des autres mathématiques ou formes de logiques (non enseignées), ils seront capables de faire la guerre à ceux qui ont de la religion, puisqu’ils n’ont jamais été que des profanes ou des sacrilèges incapables de les comprendre ou de comprendre ces autres mathématiques. C’est bien donc de cette ignorance, au mauvais sens de ce mot, qu’il s’agit, qui ne va plus permettre à des personnes de s’intéresser aux nouveautés comme aux changements qui pourraient en résulter. C’est l’esprit du conservateur stérile, au mauvais sens de ce mot, qui sera incapable de progresser au-delà de ce qu’il a connu enfant et qu’il avait trouvé normal de repérer.  Cela aboutit à des réactions de protectionnisme (cas de l’Albanie jusqu’en 1975, au moins) et de méfiance ou de peur vis-à-vis de ceux qui veulent apporter des améliorations ou qui voient ce qui ne va pas (parfois en comparaison avec des lieux plus en avance) ou qui sont devenus des spécialistes dans des matières pas très connues. On se méfiera de celui qui sait comment construire un pont et qui est parachuté vers une localité (bien qu’on lui fera des honneurs et on l’accueillera le mieux possible) ou qui sait faire quelque chose que personne ne sait faire, alors que tous ont besoin du pont, ou de la mise en scène dans le théâtre ou l’opéra de la ville de province en question, ou du grand médecin ou du chirurgien ou de l’architecte ou du compositeur ou du peintre ou du réalisateur de film. On se méfie, car c’est quelqu’un de compétent qui sait, en vérité, opérer, alors que pour l’instant les autres ne savent pas encore, apprennent. Une fois le pont terminé le maître d’œuvre est plus abordable et on a compris que ce n’était pas si difficile que cela. On est même prêt à recommencer avec lui – si cela s’est bien passé - tout de suite comme quand on participe à la réalisation d’un film ou à un grand chantier. On se méfie de celui qui est prêtre ou devenu curé, car il a choisi une vie qui n’est pas celle de la majorité des gens. Pourquoi ces sacrifices : ce n’est pas naturel ! Pourquoi cette recherche de l’amour autrement qu’animal ? Mais cela était logique avec la situation : par esprit de contradiction (une fois délivré de l’enfant-gâté), exigé par la nécessité de gérer son existence et pour compenser la quantité de personnes qui ont cru pouvoir, en devenus inconscients, s’autoriser, parce qu’ils disposaient de la vieille salle des machines, de tout se permettre de faire sexuellement (au mépris de l’hygiène et de leurs futurs descendants) et qui, à cause de cela, en sont devenus des profanes ou des animaux qui ont renoncé à essayer de comprendre toutes les autres catégories autres qu’érotiques ou pornographiques ou ne s’y intéressant que dans la mesure où elles leur offraient des possibilités dans celles-ci qui étaient devenues leur spécialité (la vie n’ayant de sens, à leurs yeux, qu’en égoïstes et en enfant-gâtés jouissant d’un instruments – cette vieille salle des machines autrement qu’en frères puisqu’elle a servi à persécuter méchemment – mais surtout très bêtement - des êtres qui avaient le droit et le devoir d’être fidèles à cette différence qui était la leur puisqu’ils refusèrent salutairement ces instruments dans l’Intérêt Général et même pour ceux-là qui les persécutaient, donc effectivement par amour de l’autre (dans l’intérêt véritable de l’autre) car ils avaient découvert quelque chose qui, de toute évidence, serait bon pour l’autre (au point d’accepter de mourir pour cela – ce qui est bien la preuve qu’ils ne trompaient pas les autres – mais ceux que les autres, trop bêtes, ne comprenaient pas encore – mais ce que le profane a fini par comprendre, en comprenant qu’il devait cesser de persécuter car sinon, à chaque fois, il y aurait à construire des temples ou des églises pour conserver les ossements ou les reliques de ces saints et martyrs, puisqu’il s’agissait de personnes qui n’avaient fait que du bien, ayant sacrifié de nombreuses choses à première vue agréables, et qui étaient l’objet de calomnie. C’est ainsi que le profane (ou celui qui n’était que peu être humain et qui persécutait depuis sa salle des machines a dû apprendre à respecter ce droit à la différence, d’autant qu’il reposait sur cette conscience que ceux-ci, différents, avaient de tout ce qu’il faut mettre en œuvre pour, par exemple, transformer la caisse en carrosse, ou gérer les commerces, c'est-à-dire sur la compréhension de ce qu’il faut prévoir pour organiser ce qui donna naissance à cette soif d’études faites en vérité, avec des mots signifiants, tandis que les autres, en enfants-gâtés, ne les firent que pour devenir des animaux (ou presque) ou les utiliser pour se moquer (les faire en mimétiques parodiques) de ceux qui les faisaient par conviction et dans l’idée de devenir des êtres humains parachevés (aristocrates) ou futur pères et mères de familles ayant des responsabilités et s’étant délivrés, grâce aux meilleurs conseils des différentes religions, de cette condition profane servile des pulsions exclusivement sensuelles, ce qui empêchait d’analyser, de penser, de comprendre en vérité, de créer et d’avoir conscience de sa personne dans l’espace, à l’intérieur de la boîte ou du socle évidé à cet effet, donc en accédant à la compréhension de la finalité des représentations, ce qui a donné la géométrie au service de l’architecture. C’est ainsi qu’ils se délivraient aussi de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, qui a résulté de cet état de prisonniers de la vieille salle des machines ou de la mentalité d’espion qui en découla (comme de cette voracité sexuelle et sensuelle, à cause de cela, de satyre). Ces personnes se sont méfiées à tort de l’ingénieur ou de l’artiste puisqu’anti conformiste quand s’est nécessaire, il n’a pas accepté de se conformer à ce qui est admis depuis toujours comme réaliste (juste), dans la vieille salle des machines ou on est forcément prisonniers de la tradition, au mauvais sens de ce mot (de cet état d’esprit conservateur qui n’a pas pu offrir la possibilité de créer, mais seulement de reproduire ou de copier). On oublie qu’il a fallu un début pour considérer ce qui est la coutume une bonne tradition et que, par conséquent, il a fallu, à chaque fois un homme ou une femme remarquable pour en être à l’origine, donc une cause et que celle-ci est donc liée à une époque et que peut-être, ce qui pose problème c’est qu’on n’a pas fait la mise à jour adéquate, d’où l’état de prisonnier et cette différence d’avec ceux qui ont été contraint de la faire, délivré y compris des préjugés au point de comprendre multidimentiellement les différentes lois de la relativité. Ce fut aussi la principale cause des incompréhensions car évidemment les objectifs qui en découlent sont différents.

Ceux qui ont fait des révolutions en se conformant, en ces désordres créés, à des façons de faire dont les ignorants, au mauvais sens du mot, se sont toujours rendus les auteurs, (car au lieu d’essayer de rechercher la vérité, ils en sont venus à des actes violents et meurtriers) n’ont pas été capables de cohérences, puisqu’ils n’ont pas été capables, non plus, de voir que les vrais révolutionnaires étaient ces peintres qu’ils ont rejeté, ou même proscrit (la traditionnelle erreur qui est faite par l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, se rendant coupable d’ostracisme ou de rejet envers ce qu’il ne connaît pas ou qui est si différent des capacités qu’il a reconnu en lui). Ce qui signifie que leur révolution étaient bien celles d’ignorants, au mauvais sens du mot, d’imposteurs, d’usurpateurs, de tricheurs, d’insensés et donc de criminels qui en voulaient à des personnes qui, pourtant, faisaient de leur mieux pour transmettre leurs savoirs et qui avaient naturellement le droit de se défendre, en légitime défense, comme de contraindre, étant donné qu’ils n’étaient plus des profanes et qu’ils avaient, en raison de leurs fonctions, à tout gérer, à tout conserver, à tout défendre, pour la génération suivante, voire à tout améliorer, d’autant plus de la constitution de leurs familles qu’ils ne pouvaient se permettre de créer qu’en la réalisant à partir de règles qui étaient nées de la situation (de la différence même entre profanes et délivrés de cette état) dans une perspective bien précise. Aussi le roi ou le prince n’était pas enfant-gâté mais souvent « les meilleurs ouvriers » de leurs royaumes (ou essayaient de l’être) et la méconnaissance des sujets et des profanes à leur égard les contraignait à devoir fonctionner de façon mystérieuse.

En ces temps là, il était impossible d’expliquer tout cela aux profanes et c’est pourquoi il y a eu tant de morts et de personnes impliquées dans des affrontements inutiles qui sont demeurés, chacun, comme des défaites que des stupides recherches de revanches (le propre des compétitions sportives) pouvaient donner fallacieusement l’illusion de pouvoir laver. Par conséquent, c’est un état d’esprit vraiment plus qu’imbécile (la revanche), puisqu’il y a en jeu des vies humaines et les corps d’êtres humains blessés ou handicapés à vie qui pouvaient être utiles, en bonne santé, à d’innombrables autres activités, bien plus profitables pour la nation. D’autre part, c’est chercher à se servir d’enfants pour les rendre complices (contre son prochain) sans respecter leurs droits ou en abusant de leur crédulité (ou de leur gentillesse) et pour en faire ce qui est plus bas que médiocre : des ennemis (artificiellement ainsi) de personnes, à l’étranger, ou dans la localité voisine, qui sont de leur propre génération, avec lesquelles, normalement, ils auraient intérêt à unir leur force et leurs talent, car ainsi tout devrait bien se passer (comme cela s’est toujours bien passé au cours des époques où il n’y avait plus eu de conflits ou même pas encore entre ces localités) – les conflits naissent souvent de la peur de la différence ou de complexes (« lui, il sait et moi je suis nul, je ne sais pas » – problème entre le père qui sait et le fils qui ne sait pas encore, mais aussi entre camarades de classe : « comment alors bluffer, pour lui faire comprendre que je suis aussi bon que lui qui est le premier » – problème du roi avec son fils le prince – le même problème existe entre un maître ou un spécialiste (ou le professeur et les élèves – le profane et celui qui ne l’est plus) – et c’est pourquoi cela peut être à l’origine de diverses attitudes adolescentes (soumission, béat d’admiration, rejets basés sur complexes d’infériorité maquillés dans le contraire - on prétend alors qu’on est un surhomme - et cela parce qu’on n’a pas été capable de véritable gratitude, donc d’admiration véritable, et de se soumettre à la vérité, en préférant s’accrocher aux préjugés, aux calomnies - ou au mensonge - en demeurant profane – à cet état de jaloux - et parce qu’on ignore au sujet de la personne en question les innombrables paramètres qui ont permis de la constituer aussi intègre ou/et compétente. C’est pourquoi ce dont a été victime Le Corbusier est scandaleux, comme bien d’autres personnes qui disaient la vérité, mais que peu de personnes voulaient écouter, car peu étaient chevronnés pour voir que ces personnes étaient de réels visionnaires, (comme Jacques Tati ou Méliès et tant d’autres), puisque chacun avait préféré, localement, devenir un égoïste ou un enfant-gâté et ne pas remettre en question ses habitudes, ne sachant pas que parmi elles, il y avait toutes les mauvaises et les nuisibles à distinguer de celles qui sont bonnes et à conserver comme à transmettre, oubliant la nécessité de s’astreindre à la discipline pour se réformer, quand on a pris les mauvaises habitudes de penser mal ou faussement, d’autant plus que la nouvelle génération continue, comme les précédentes, à être différente, et si les anciens sont toujours enrichissants et la source de tous les savoir-faire et des métiers qu’ils sont capables de transmettre, une chose est d’en connaître les principes, et une autre chose est de s’y astreindre. Par temps de pays (différents) cette amitié entres générations de localités diverses ou de régions diverses a permis de rédiger et d’améliorer les dictionnaires ou les encyclopédies : nos ancêtres avaient l’attrait de ce qui est différent, de sons nouveaux pour dire la même chose et sur place, au moment de la rédaction de ces équivalences entre les mots, ceux qui les ont rédigé et donné à lire, ne se sentaient pas étrangers, mais appartenant au territoire de la communication ou du verbe, comme nous avons de nos jours l’attrait de terres nouvelles, au point d’avoir cartographié la Lune, et sa face cachée, ou la planète Mars, de tous les territoires nouveaux à explorer. En fait en ayant l’attrait de ce qui est étranger ou différent, ou nouveau, ce qui explique que cela ait engendré cet engouement massif (un peu partout) pour le tourisme et l’envie des voyages au large ou vers les lointains chantés et célébrés, et c’est pourquoi je réclame justice, y compris pour ces neveux et nièces qui sont à considérer comme bien plus que des princes et des princesses (car sans eux, je n’aurais pas pu comprendre que j’étais en âge de me marier et que tous mes travaux s’inscrivaient dans la recherche de devoirs encore plus difficiles à assumer: celui de père auquel je me suis refusé, tant que je n’ai pas été certain d’avoir retrouvé ma femme légitime, ce qui a été le cas en 1965, 1975 et à partir de 2005) et auxquels je n’ai pas pu offrir, quand ils étaient jeunes, autant de voyages formateurs que j’aurais aimé et dont, malgré les difficultés, j’ai pu un peu bénéficier moi-même.

Pensez, Monsieur le Cardinal, il y en a de mes nièces et neveux qui ont eu des enfants sans être marié, ce qui a dû être un scandale, certainement, dans notre famille dans laquelle mes parents s’étaient vus confirmer, comme mes frères et sœur qui se sont mariés, leurs anneaux de mariage, dès 1965 et à partir de 1975, du ciel grâce à ces miennes interventions à travers Espace et Temps qui m’avaient ramenées à la vérification du mariage. Ils se sont comportés en profanes, comme leur oncle (moi), qui alors était aussi un scandale (pour certains), puisqu’il vivait en union-libre ou maritalement, étant donné que j’étais alors amnésique canoniquement de tout cela, puisqu’il fallait prouver au monde entier qu’il existe bien un anneau de mariage entre certains époux auquel on ne peut arriver (qu’on ne peut obtenir) qu’en s’y préparant et pour ne plus être un égoïste ou un enfant-gâté, avant de se permettre, soi-même, à son tour, d’accueillir des enfants (en effet, être un enfant-gâté et avoir des enfants, en étant devenu un enfant-gâté, c’est ne mettre que des enfants égoïstes au monde qui risqueront de se comporter de très contraire façon à l’intérêt de tous. C’est donc très important que tous ceux qui ne sont plus des enfants-gâtés veillent, dans une société, à ce que les enfants ne le deviennent pas).

Mais ces naissances d’enfants nés « en dehors des liens du mariages » cela nous a fait du bien à tous, car on méritait, dans notre famille, de recevoir des leçons de la part des plus jeunes qui nous ont montré, à ces moment-là, qu’il n’était pas utile, de leur point de vue, de se marier, pour avoir des enfants et oser des choses que notre génération ne pouvait pas se permettre, à cause des précédentes ou à cause des répercutions d’une histoire infiniment complexe, d’autant plus que nos parents avaient subi chacun le traumatisme de la Première et Seconde Guerre mondiale, puisque leur parents avaient subi celui de la Première. C’est, néanmoins en grande partie grâce à ces neveux et nièces que j’ose ce petit scandale de plusieurs impératrices légitimes qui n’en est certainement pas un à leurs yeux, ni aux yeux de quelques uns de leur génération ou de celle des plus petits encore qui doivent trouver totalement normal que leur empereur se marie avec plusieurs impératrices, puisque beaucoup n’ont pas encore de préjugés, ni ne savent encore ce qui est canonique ou pas canonique de faire dans le cas aussi complexe de l’empereur que je suis, après autant d’empereurs, qui furent des « conformistes », des pécheurs et des profanes ou vraisemblablement aussi des cachotiers, envers leurs épouses légitime, à l’exception de mon père.

Ce sont les plus âgés ou les fils et filles (des enfants-gâtés) de ces empereurs qui ne furent jamais des artistes mais seulement l’inverse, des guerriers au sens de barbares, au mauvais sens de ce mot (ce qui est le contraire de l’art, car il s’agit de personnes qui sont capables de tuer des œuvres d’art vivantes (animaux pacifiques et inoffensifs y compris) ou des personnes dans les lieux où l’art s’épanouissait, par des incendies de ces lieux, où il y eu des pillages (ou pour dérober), non pour ce que ces œuvres pouvaient signifier comme signe d’apogée culturelle, localement, ce qui aurait permis des échanges ou des achats pour rapporter des souvenirs d’un pays découvert avec sa culture et ses savoir-faire, mais pour des valeurs vénales (qui intéressent leur portes feuilles ou leurs économies) pour obtenir en échange, une fois retournés au pays, ce que représentaient financièrement ces biens volés (ou on ne sait comment) ou des avantages sensuels ou des commodités. Elles sont donc des personnes qui n’ont pas été capables d’apprécier l’art pour lui-même sans l’aspect mercantile, au mauvais sens de ce mot, qui le leur a révélé ou qui a permis de les rendre sensibles à la bonne affaire qu’il offre, et ils ne respectaient donc pas non plus ces êtres humains qui avaient en commun ces objets qu’ils étaient capables de considérer même en tant qu’ennemis dès que l’un d’eux s’opposait souvent très justement, en tant qu’étranger, ou spécialiste, ou pour d’autres raisons, qui n’étaient pas profanes à toutes ces manifestations de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, dont ces personnes voulaient se montrer les auteurs (viols et non respect de cultures différentes). Pourtant ces personnes plus conscientes se permettaient d’attirer ainsi l’attention de leurs contemporains pour éviter que les maux habituels, à l’origine des malheurs, des déserts ou des maladies, ne se répandent, d’autant plus qu’ils avaient le soucis, en médecins, de l’hygiène minimale (y compris spirituellement) à respecter pour les générations suivantes. Mais le mot de « peuple » était bien souvent alors synonyme de « non-voyant » ou de « personnes de « courtes-vues » et ces personnes nous les avons retrouvées dans les années 1965, dans les descendants de ceux qui n’avaient pas pu comprendre ni la liberté d’un Picasso, ni celle d’un Chagall ou d’un Kandinsky ou la musique de Prokofiev, ni de bien d’autres artistes, ce que la plupart des enfants non-gâtés, ou qui avaient dû se débarrasser de leurs égoïsme respectif dans notre génération, comprenaient comme des artistes qui allaient de soi, à notre époque (en effet, nous n’avions pas les préjugés de ceux qui étaient nés en 1900, ni ceux des contextes qui s’en étaient débarrassés vers 1950, ces préjugés provenant des vérités relatives du XIXème siècle ayant généré des calomnies ou des façons mensongères de penser dans certains contextes familiaux s’étant accrochés à ces choses fausses en matière d’art, par exemple, et, beaucoup d’entre nous pourtant délivrés, grâce à ces contextes ouverts sur ces nouveautés ayant fait scandale, les ont néanmoins côtoyés dès les petites classes, à la récréation. Il s’agit de ces enfants de conservateurs, au mauvais sens de ce mot, qui continuaient à vouloir se comporter en enfants-gâtés et qui ne voulaient pas s’ouvrir aux divers résultats de la recherche des années 1900 à 1960, ni seulement faire les efforts pour la comprendre. Ils voulaient demeurer fidèles à des principes qui pourtant avaient été remis sainement en cause par de nombreux artistes visionnaires et précurseurs du XIXème siècle, en raison de nouveaux outils).

Au sujet du mariage de l’empereur ces personnes se mêlent de ce qui ne les regardent pas, puisqu’elles ne sont pas à ma place (ni de mon niveau, ni ont mes expériences), la plupart étant toujours la proie ou les prisonniers des inepties habituelles de leurs fréquentations ou de leurs ainés (les préjugés en la matière de mariages) ou celles de leur temps (lié à ces époques lointaines et à des coutumes d’ignorants, au mauvais sens de ce mot) ou qu’ils ont voulu gober comme des aspirateurs à roulette à l’état d’enfant dans leur poussette, en s’en rendant profanes de surcroit, sacrilèges, laïques, athées ou ignorants, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), et en ne comprenant pas ce que j’essaie de faire (avec ces mariages), qui a à voir avec des formes de géométrie dans l’espace qui devrait me permettre de poser, dans ce contexte de Construction Européenne et de civilisation de la mondialisation des échanges plusieurs points (de mariage) pour nous permettre d’élever l’empereur ou l’impératrice de la génération suivante dans cet esprit de tolérance, si possible, en faisant de lui quelqu’un d’intelligent et d’ouvert, et surtout pas comme son arrière grand-père, adolph hitler, qui en raison de l’esprit d’intolérance a été la personne qui a crue possible d’exclure ceux dont il ignorait tout des richesses (intellectuelles) infinies (sur la base de calomnies à leur sujet, de généralisation provenant de préjugés) et à cause de cela mener à la ruine les efforts de milliers d’années (précédent sa naissance) pour construire et préserver la paix entre les peuples (car il prit le parti inverse du bon sens et du sens de l’Histoire en se fondant sur une idéologie dont les bases étaient totalement fausses) ce qui a néanmoins contraint les empereurs suivants à être des « réalistes » reconstructeurs et à affronter les problèmes et les défis que pose leur époque, avec, entre autres, la démographie, en nous contraignant, après guerre, à envisager la Lune ou Mars comme planète végétarienne à habiter. Nous ne savons pas ce qui se passe de catastrophique en ce moment dans un autre système solaire de la galaxie puisque nous n’y avons pas encore d’ambassade ou des informations sûres et certaines, aussi dans l’ignorance de ce fait, nous n’y pensons pas comme une menace pour notre planète. Qu’il y ait un endroit, ou une époque, dans laquelle des animaux préhistoriques carnivores s’affrontent, de notre point de vue, ne concerne que l’époque en question. Pourtant cela pourrait être grave, si nous devions être mis en relation avec des animaux aussi ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui apparaitraient à notre époque, comme ces tyrannosaures qui viendraient dévorer ou tout casser à notre époque. C’est alors qu’ils chevaucheraient un pont qu’il a fallu dix ans pour construire et risqueraient de le détruire (en glissant dessus, en marchant sur un des véhicules qui leur aurait servi de patin à roulettes – merci …) comme d’autres inconscients cassent les vitrines du Louvre pour en voler le contenu (ou brûler des voitures) alors qu’elles ont été péniblement faites chacune, le mieux possible, pour mettre en valeur des objets qui devaient plaire aussi aux tyrannosaures ou aux abrutis, comme des signes pour leur offrir de découvrir combien l’être humain n’est capable que de choses admirables quand il fait les efforts pour devenir le contraire. Les voir démolies est un constat d’échec y compris pour l’instruction publique. C’est pourquoi tant que nous n’avons pas de rupture dans le temps, l’apparition soudaine d’un animal aussi monstrueux que ce tyrannosaure n’est pas possible à notre époque, mais nous devons être prêt à une telle éventualité et à y faire face, avec des armes puissantes et paralysantes car nous devons protéger ces objets rassemblés, ou ces ouvrages d’art que sont les ponts de leurs destructions, puisque cela permet ce qui est essentiel : aux commerces de nous nourrir de bonnes choses grâce à ces patins à roulettes motorisés que sont les camions[6].

De savoir qu’il y a une planète où il y a seulement des carnivores, cela signifie qu’elle n’a plus rien d’humain, au sens ancien (et de nouveau d’actualité) et intelligent du terme et qu’il n’y a plus que des personnes perdues dans leur tête, comme les ancêtres des lapons qui ne font plus que du ski de fond ou des courses de traineaux avec des chiens pour chasser non loin des igloos, dans ce lieu où la nuit est quasiment totale toute l’année et qu’on nomme pôle. Cela signifie des mentalités de chasseurs, au mauvais sens du terme, car la chasse est une bonne chose, si elle nous permet de trouver un bel arbre fruitier pour y manger une pomme, ou des fleurs à butiner quand on est une abeille. Mais il s’agit d’un autre type de chasse : on chasse alors le pollen et comme des Mirages (ou d’autres avions sophistiqués capables de rester en équilibre), on se pose sur la fleur, sans lui nuire, pour le cueillir et le transporter vers les greniers de la ruche. Cette mentalité de la chasse, au mauvais sens de ce mot, a donné l’égoïste et le don Juan, mais aussi le perdu dans les solitudes nocturnes de lieux désolés et aussi désertiques que ces lieux nordiques et glacés où point n’était possible d’inventer ou étudier. Une planète qui n’aurait plus que des chasseurs aussi stériles (en invention d’alternatives plus intelligentes), et qui ne peuvent plus avancer ou progresser dans leur tête, contraints chacun au même genre de vie, pour toujours, serait celle de la damnation de ceux qui, à cause de leurs ancêtres, sont devenus ainsi profanes, ou continuent à être sacrilèges envers la nature, puisqu’ils sont contraints de tuer des animaux pour manger, donc de faire souffrir, tandis qu’une planète agricole (de légumes et de fruits, de céréales et d’animaux des fermes) offre une alternative (le salon de l’agriculture l’atteste) et peut permettre de sortir de l’état de chasseur / pêcheur ou/et de profane.

En exporter ces principes dans le système solaire à partir d’une origine ayant été aussi contrastée (en ayant tiré les leçons de l’Histoire) que notre époque pourrait permettre de créer un monde nouveau car de la lune ou de Mars nous n’aurions plus que des rapports lointains avec ces origines autrefois antagonistes qui créèrent tant de malentendus. Ce serait comme des lieux sacrés pour tous, puisque tous, sur la planète Terre, nous aurions à participer à les édifier pour les rendre vivant et vivables (des sanctuaires comme les temples de Paestum). La lune ou Mars serait à édifier comme autrefois on a édifié des temples dans des endroits choisis, souvent lointains de la curiosité des profanes, à rejoindre pour des raisons médicales, comme aujourd’hui certains lieux de cures thermales. On pourrait n’y exporter que ce qui est bon et les séjours pour les terriens pourraient faire plus de bien encore que quand, de nos jours, on trouve les moyens d’aller visiter Disneyland ou un parc à thème (ou au cinéma et au concert), ou qu’on va voyager pour découvrir, en touristes, l’étranger. Mais ce qui est certain, c’est que, comme pour les séjours dans la station orbitale, on ne pourra jamais se rendre dans ces endroits sans s’être débarrassé au préalable de l’enfant-gâté (bien que cela puisse représenter aussi, comme la station orbitale internationale, ou un vol pour découvrir l’apesanteur, à partir d’une certaine altitude, un lieu où ne vivraient que des enfants-gâtés (mais il faut admettre que c’est ce qui était le cas tout au début des temps quand la vieille salle des machines appartenait à tous sans distinction : il faisait bon vivre en voyant Atlantide partout dans la Nature autour de soi, en étant ces habitants des forêts, végétariens, fructivores et herbivores qui ne savaient pas encore ce qu’était le mal). D’avoir créé la scission n’a que compliqué la situation générale bien que cela ait finalement permis, par esprit de contradiction, de créer toutes ces variétés d’Atlantide différentes que sont chacune des catégories ou spécialités différentes (ayant donné chacune naissance à de véritables bibliothèques) y compris celles astronautiques avec toutes ces personnes passionnées par les espaces infinis, en y voyant comme des appels lointains attirants (mais j’ai vérifié que le profane a peur ou craint cela. Il a peu l’esprit de l’aventure et essaie de se défiler en préférant que les autres s’y lancent). Mais c’est la même chose pour entrer dans une Eglise, un temple ou d’autres lieux, où les profanes n’avaient pas le droit d’accéder autrefois, on a alors envie de transgresser et rien que par esprit de contradiction, bien qu’on appartienne à la catégorie des profanes, on va vouloir construire une colonie sur la lune ou sur Mars, même si c’est loin (cela signifie que le profane veut aussi accéder aux lieux « réservés » et aimerait entrer en religion ou en « parenté de plaisanterie » - cela s’est peut-être déjà passé sur la station orbitale internationales). Bien sûr, au train où vont les choses on peut espérer que les distances vers ces lieux pourraient être parcourues peut-être aussi rapidement que dans certains films de science-fiction. Mais comment arriver à ce genre de prouesses techniques et imaginer dans la réalité une navette faisant des allées et venues entre deux points aussi distants, pour y exporter la Vie et nous menant dans une réalité qui est si dépourvue de Vie, au point d’être pareil aux déserts sur Terre ?      

Tous croient normal les créations qui sortent des mains de mon frère Luc-François car il a une façon de présenter ces compositions avec une telle humilité et simplicité qu’on a l’impression qu’elles ne valent strictement rien, alors que même chacune de mes œuvres que l’Immense Architecte de l’Univers, ne pourra jamais s’offrir même avec l’ensemble des diamants et de l’or que recèlent tous les coins de l’univers ne valent, de mon point de vue d’expert, pas même un sous-électron – si cette notion devait exister - ce qui est improbable – mais on ne sait jamais qu’il ait réussi à en mettre un - d’un des originaux des œuvres de mon frère – c’est qu’il a mis la barre tellement haute que j’ai beau faire de mon mieux, nous n’arrivons pas à faire mieux que lui – impossible – aussi, nous avons renoncé à être en concurrence avec lui, bien que nous continuions à chercher - et quand je sais ce que signifient exactement un de mes pas, et que je le vois, l’air de rien, marcher dans la rue ou avoir ses étages à monter pour rejoindre, comme autrefois, sa chambre de bonne, alors qu’il est une personne omnisciente comme moi, en raison du fait que s’est enfin de nouveau absolument transparent dans chacun de ses dessins ou dans chacune de ses peintures, mais que personne d’autre que moi ne peut le comprendre, car chacun ne fait que se voir soi-même dans les œuvres des autres, au point qu’il y a ceux qui les jugent nulles, peu intéressantes, voire seulement pornographiques, alors qu’elles viennent vraiment d’ailleurs, d’un autre monde qui existe vraiment, tel quel, ou qu’il y a ceux qui ne savent plus juger les œuvres des autres, n’ayant pas pris en considération tout (comme les personnes omniscientes) pour leurs jugements, ils apparaissent tous totalement mensongers ou simplement de ceux qui vont répéter les points-de-vue de personnes qui, omniscientes, ont eu le temps de dire du bien d’une personne ou d’une autre, ce qui a permis non seulement au marché de l’art de ne pas se tromper, mais aussi à tous les tricheurs, les imposteurs, les usurpateurs de pouvoir répéter ces informations et se faire passer à la place pour ces connaisseurs omniscients – c’est vraiment trop injuste - et je me dis qu’il faut que tous comprennent qu’il est temps de faire cesser cet outrage de tous à l’Art et au sciences de l’Art (j’en suis docteur, par ailleurs) vis-à-vis de ces membres de ma famille qui ont eu tant de peines injustes qu’aux degrés de connaissances où ils étaient chacun, ils ne méritaient plus certes d’aucune façon d’avoir, puisque ce sont des ancêtres d’il y a cinq ou six générations ou peut-être sept qui (de même qu’aujourd’hui il y a des personnes qui font des efforts physiquement et qui sont les ancêtres de personnes admirables) les ont eu, ces peines, pour permettre à leurs descendants de servir à ces choses qu’il n’y a que nous qui sachions faire pour les autres, et pour ceux dont nous reconnaissons la qualité du travail. Il s’agit de ces personnes dont nous avons pu vérifier nous-mêmes que les travaux méritent plus qu’amplement d’avoir leur existence matérielle facilitée (d’autant qu’ils la consacrent ainsi au Bien et à l’Intérêt Général, c'est-à-dire à tant de gens qui ont besoin d’avoir, en la matière, grâce à ces exemples supplémentaires aux nombreux autres laissés par les artistes véritables au cours des siècles passés, de bons conseils et d’être utiles à quelque chose) compte tenu des talents qu’ils ont sur d’autres plans et que, ne pouvant que si peu développer, puisqu’ils ont à faire quotidiennement face, par manque de moyens, à des choses qu’ils devraient avoir les moyens de donner à faire à l’un ou l’autre de ceux qui pourraient entrer à leur service ou à tout débutant maladroit ou à l’une ou l’autre des personnes qui n’ont pas eu la chance de s’instruire. C’est pourquoi ces personnes qui donnent tant d’elles mêmes sont dans une situation matérielle très injuste au point de manquer certainement de place pour mieux travailler. Et si la situation est si grave que cela, c’est en raison de ceux qui ont cherché à augmenter le prix du pétrole, au lieu de le baisser, pour permettre à ces personnes d’avoir des existences meilleures, d’autant qu’elles produisent ce qu’ils espèrent acquérir pour faire de bons placements financiers. Ils n’ont pas pensé qu’en rendant la vie moins chère à ces artistes, ceux-ci pourraient produire des œuvres moins chères aussi, et peut-être disposer des moyens d’en faire des beaucoup plus monumentales, ce qui aurait permis de découvrir sans cesse de nouvelles choses dans nos villes et de les rendre plus belles grâce à la statuaire. Pourtant ces artistes n’ont même pas réclamé des lieux, ou se sont débrouillés avec si peu de moyens que c’est scandaleux par rapport à ce qu’ils ont offert. Si la vie avait coûté moins cher, les œuvres d’art auraient pu plus facilement être réalisées (des tirages en bronze en plus grands nombres – en série - auraient été possibles en étant accessibles à des collectivités locales pour enjoliver leur quotidien comme on fait plusieurs cloches et cela aurait permis à beaucoup plus de personnes d’acquérir des savoir faire), mais il y a tous les faux-frères qui ont voulu se servir de la Bourse pour spéculer sur le prix du pétrole (la matière première de base) et s’enrichir égoïstement « à première vue », en étant sûr qu’ils auraient plus (eux d’abord), en augmentant ce prix du pétrole, alors qu’à chacune des augmentations qui se sont répercutées par l'augmentation des prix, non seulement ils ont fait avoir moins à tous, mais ils ont réduit l’existence de tous, et la leur, à ne vivre que dans ce décors-ci avec des difficultés matérielles, ou dans ce cas de figure de la Création, dont ils se sont rendus les geôliers avec les innombrables problèmes de la misère qu’ils ont engendré, et cela malgré tous les efforts de tous les vrais artistes pour créer de la richesse, en se contentant en échange de si peu. Chacune de ces augmentations a eu des répercussions sur l’ensemble des prix et n’a pas permis de les faire baisser ce qui se serait produit si ce prix du pétrole s’était comporté normalement, d’autant plus de la découverte de nouveaux gisements (dont j’avais donné du futur les points de géo-localisation) qui en apportant des quantités supplémentaires sur le marché devait le rendre de moins en moins cher. Certes il y a eu le facteur démographique, mais nous avons pu vérifier que c’est sur la foi à des mensonges qu’il a été augmenté d’autant que nous avions dû intervenir sur 1975 en pensant ainsi rassurer les marchés. Certains beaucoup d’entre ces artistes prennent les transports en commun alors que leur temps est consacré à permettre de faire vivre l’Ensemble, grâce à leurs œuvres, puisqu’ils mettent au monde chacun une Atlantide nouvelle, qui leur est personnelle, qui est une façon originale de traduire et interpréter le monde de leur point de vue et qu’ils ont mis au monde. Mais ce qui s’est avéré c’est que cela ne l’a été que pour de nombreux ingrats, puisque ceux qui avaient la possibilité de leur prouver leur reconnaissance fraternelle pour l’apport de toutes ces œuvres pour égayer l’existence dans un monde où avait disparu la vision d’Atlantide et qui disaient les admirer, ne se sont révélés chacun que comme de vils hypocrites flatteurs menteurs et tricheurs, qui faisaient en réalité semblant de trouver ces œuvres belles ou de les encourager, en ignorants les efforts incommensurablement difficiles que ceux-ci affrontaient pour les réaliser et animer socialement ces soirées ou ces lieux publics, en offrant tant de preuves continuelles qu’ils servaient ce Bien et cet Intérêt Général pour des raisons autres que celles de s’enrichir personnellement comme l’on fait bêtement ces personnes qui en augmentant le prix de cette matière première du pétrole ont rendu la vie insupportable à tous les artistes, puisque tous les prix ont augmenté (non seulement des fournitures mais aussi de toutes les choses indispensables pour vivre et égayer la vie des autres en disposant d’un pouvoir d’achat le permettant)[7]. Nous n’avons eu d’un côté que des preuves de vrais frères (les artistes) et de l’autre que des preuves de faux frères ingrats, même quand ceux-ci ont accepté d’aider, puisqu’ils n’ont pas rendu la vieille salle des machines d’eux-mêmes, comme ils auraient dû, ne serait-ce que par admiration, à ces êtres compétents comme Calder, Jean Renoir ou Man Ray ou Léger, Miro, Matisse, ou/et Picasso ou tous ces immenses faiseurs d’œuvres illustres, ou moins illustres antécesseurs (ou qui sont venus après) et qui semblaient trouver un écho chez ces personnes, ne serait-ce que pour que ces « merci » qu’ils avaient appris à dire, (pour faire croire qu’ils étaient gentilshommes, ou pouvoir les dire en faussaires), puissent sonner vrais et cohérents, puisqu’ils ne recevaient qu’œuvres admirables, preuves sur preuves que la beauté existait (malgré la disparition de la vision d’Atlantide) et que ces artistes en étaient l’origine ou avaient appris à en découvrir la source en chacun d’eux-mêmes (dans ce territoire virtuel auquel ils ont eu accès en eux) pour devenir chacun finalement ces listes d’œuvres ou d’étapes aussi impressionnantes que celles qui se sont traduites par des monographies, de quoi naturellement confier sa fortune, ou la vieille salle des machines, à des personnes (ayant créé autant de richesse – ce n’est donc par pour exploiter les autres ou les asservir mais pour des raisons que la vraie générosité existe) qui nous ont toujours montré par leur propre exemple que l’essentiel existait ailleurs que dans l’ineptie, et les corollaires érotiques et pornographiques (au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))), de quoi naturellement confier le variateur de la vision d’Atlantide ou la vieille salle des machines à l’un de ces médecins, ingénieurs ou artistes véritables qui ne le réclamant pas étaient visiblement capables de tant de prouesses que cela, en par exemple réfléchissant, comme ils l’ont fait depuis, à comment construire une carte-mère, une carte graphique ou une des cartes électroniques, permettant de faire fonctionner un ordinateur ou comment mettre au point ces éléments à élaborer pour faire fonctionner les premières télévisions ou radios ou automobiles ou appareils qui volent ou sont submersibles. C’est à croire que ces tricheurs ou menteurs ou usurpateurs qui pourtant se sont débrouillés pour disposer de sommes d’argent pour acheter ces objets devenus indispensables pour avoir une vie plus confortable, comme le sont devenus le radiateur électrique ou le système de chauffage d’un immeuble, n’ont vraiment que toujours su ne faire que semblant d’être reconnaissants (alors que chacun des moments de leur existence respective a été rendue plus agréable par les autres) y compris en présence des auteurs de ces solutions élégantes. C’est très grave, car cela signifie qu’en raison du fait qu’ils ont eu accès à la vieille salle des machines et aux gadgets qui s’y trouvent, ils ne se sont condamnés, chacun, qu’à des vies de personnes fausses, ce qui est la pire des saletés qu’on puisse se faire à soi-même, comme mauvaise plaisanterie : être contraint de passer son existence à tricher, ou faire croire vrai qu’on trouve une chose belle que tous les autres trouvent effectivement belle, car ceux-ci la comprennent en vérité, c’est à dire avec toutes les dimensions de perception possible ou ces sensibilités de personnes capables d’y déceler tous les niveaux de lecture virtuels. C’est donc se mettre dans une situation où il sera normal qu’on fasse l’objet de reproches ou corrections, car si ceux qui sont dans l’état d’en faire y renoncent, c’est que vous êtes perdus pour toujours, puisque vous avez voulu rejoindre ceux qui ne seront qu’ingrats, une des caractéristiques de ceux qui font semblant ou de l’adolescence, c'est-à-dire de moments où il y a des choses qu’on n’a pas voulu comprendre (dans le bon sens), au point de devenir un de ces enfants-gâtés, par conséquent un problème pour tous ceux qui ne le sont pas. Celui qui ne l’est pas est celui qui ne dispose pas d’une planche à billet pour faire des faux billets et qui a compris pourquoi la loi concernant la fausse monnaie qu’on n’a pas le droit de faire est une vraie bonne loi qui a sa raison d’être pour garantir le pouvoir d’achat de tous. C’est donc l’ignorant, au mauvais sens du mot, celui qui n’a pas la curiosité pour rechercher la vérité (le conservateur incohérent dont nous avons parlé plus haut) et qui rejoindra la vérité des menteurs qui est préjugé ou tradition dans le mensonge et qui, par conséquent, va faire rire tous ceux qui sont dans le vrai, car ils savent le pourquoi et le comment, au point de pouvoir bien encadrer ou décider des choses en conscience qui sont bonnes pour tous et qui peuvent apparaître, à première vue, quelques temps, scandaleuses – mais pas bien longtemps : pour des personnes demeurées conservatrices ou habituées à des écrans de télévision qui pèsent 15 ou vingt kilogrammes, alors que les écrans plats, tout fins, sont facilement déplaçable, par exemple. En quoi sont-ils un scandale ces écrans plats et grâce à cela de pouvoir en avoir plusieurs dans un appartement ?

En quoi et pourquoi, l’empereur, un artiste, n’aurait pas le droit d’avoir plusieurs impératrices, lui qui sait ce qu’est une œuvre d’art ou pourquoi il agit, comme où il doit mener le monde ? Certains me reprocheront de comparer une femme à un écran plat (bien qu’il s’agisse d’une ouverture sur le monde aussi) et ont raison.

Ce qui s’est passé est admirable : celui qui était devenu un faussaire, celui qui avait commencé à faire semblant (en raison d’amnésie) – moi - est devenu plus vrai que le vrai au point que cela a permis de sauver la planète un peu partout (en 1965, 1975 et 2005) en découvrant qu’il avait donné une chance aux faussaires (parce qu’il les connaît bien), tout du long, et à plusieurs reprises (1965, 1975 et 2005) de cesser de tricher. Et c’est pourquoi je caresse l’idée que Michèle Finck à force d’être bien entourée, réussira, elle-aussi, à finir par être plus vraie que vraie (ce qu’elle essaie de faire croire et qui me ravie étant donné la connivence qu’il y a entre nous de ces états antérieurs où j’eus, comme elle, à ne plus savoir ce qui était vrai en raison d’amnésie). C’est seulement pour elle que je veux ces autres mariages impériaux, car je sais que cela devrait aboutir, à terme, à sa confiance envers ses sœurs ou cousine les impératrices légitimes, d’autant qu’elle verra que les soupçons qu’elle nourrissait envers elles ou moi, en raison de ce qu’elle a en mémoire à mon sujet, (mais j’étais en ces moments là dans l’état de détérioration avancée que l’amnésie avait produit et je ne m’étais pas encore débarrassé de l’enfant-gâté), ne sont que des soupçons injustement fondés y compris sur Dieu ou bien plus ou moins que lui, le Grand Architecte de l’Univers. J’espère qu’à la longue elle trouvera, à son tour, la force de se délivrer de l’enfant-gâtée ou du faussaire ou même du vilain petit canard qu’elle n’a pu devenir qu’artificiellement, et, je le lui ai montré, en raison des amnésies qu’elle a eu petite fille (comme tous les autres) pour devenir le véritable cygne ou la véritable princesse qu’elle espérait devenir et que nous avons cru qu’elle était et que nous espérions qu’elle devienne depuis 1965 et 1975 comme de nouveau depuis 2011, après cette rupture des fiançailles qui est, en réalité, causée par la surprise que j’ai eu d’avoir été trompé par elle, une grande sœur, alors que je ne savais pas encore tous les dessous de cette très détestable situation et pourquoi Michèle avait voulu tout me cacher. Ce n’est que quand j’ai pu avoir la certitude et vérifier sur moi-même que ces machines ont servi, contre les droits ontologiques, consubstantiels, intrinsèques et fondamentaux des êtres humains, à faire du chantage (qu’il ne faut pas confondre avec avertissements dont les motivations de départ se justifient réellement pour le bien de l’autre) et que j’ai compris qu’enfant, comme les autres, ses semblables, elle avait probablement été victime de chantages que j’ai compris qu’on ne pouvait pas lui en vouloir autant qu’en 2005, de ne pas avoir osé vendre la mèche ou d’avoir caché autant de chose – en me mettant à sa place, et en découvrant qu’à cause de cela, j’étais prisonnier des causes mêmes des malheurs en ce monde - car il se pourrait que tous ces faussaires se sont sentis contraints de se faire peurs les uns les autres ou soient contraints de faire semblant, parce qu’ils sont l’objet de ces chantages (entre eux).

Aussi, ce n’est pas l’envie qui leur manque de devenir des gens biens, sur toutes les coutures, puisqu’ils savent que ce sont ces personnes qui voient ce qu’il y a à faire, comme qui innovent et entrent dans le dictionnaire, en se contentant de peu de lignes (car elles sont nombreuses et ne se sont pas illustrées par des crimes ou des déportations de gens innocents qui étaient constitués de ce genre de personnalités à l’origine de solutions élégantes) qui signifient des choses aussi positives et admirables apportées au monde qui sont tellement importantes que des statues en diamant purs de chacun d’entre eux sur la place de chacun des villages ou des villes ne pourraient pas même les repayer du mal qu’ils se sont donnés pour accéder à réaliser autant de bien faits (alors que les autres se sont ingéniés dans le mal, la cupidité, les inepties et la cécité stérile des ingrats consommateurs de choses difficilement élaborées (des spectateurs infertiles. Donc des déserts voyeurs). Au lieu de cela, ils n’ont que le nom d’une rue ou d’une place ou même quelques lignes sur eux dans les guides touristiques, ce qui est bien infime, pour célébrer leur apport et cela, d’autant plus que, dans les mêmes ouvrages, on trouve les noms de personnes qui n’ont été qu’à l’origine de malheurs ou de tragédies. Évidemment, si elles ont voulu être de celles qui, pour gouverner ou diriger, font du chantage ou/et de l'intimidation, au lieu d’être de celles qui seront capables de réfléchir en vérité aux raisons de l’emplacement d’un pont à tel endroit plutôt qu’à tel autre comme celles qui ont étudié la question vraiment, y compris tout ce qu’il faut faire pour monter le pont ou réaliser le film ou l’immeuble, en ayant appris chacune des étapes qui permet de s’en voir confier la responsabilité, avec une chance de permettre à de nombreuses personnes ignorantes, au mauvais sens du terme, comme au bons sens, de progresser un peu, grâce à leur participation à rendre ces ouvrages des réalités, ce qui représentera des efforts, mais dont tous vont alors bénéficier, comme d’une cloche qu’on hisse dans une tour et qui grâce à cela va sonner longtemps et apporter sa note au concert des autres, l’effort aura été, somme toute, infime, par rapport au bien que l’Ensemble obtient en échange. Mais hélas ou heureusement, il faut plusieurs compétences bien précises pour fabriquer une cloche, un gong ou un instrument de musique et si des personnes n’acceptent pas de faire l’effort de se former pour acquérir ces savoir-faire auprès des compétentes, personne ne pourra changer la cloche fêlée, réparer l’instrument (quand viendra, hélas le moment) et il restera des millions de personnes qui n’ayant aucun savoir-faire auraient pu être au moins toutes utiles pour [9] aider à monter la cloche, car on n’aurait eu besoin, à ce moment là, que d’une petite somme d’efforts supplémentaires à ceux fournis par l’équipe de ceux qui ont fait les efforts pour maîtriser l’art de la fonte d’une cloche en bronze ou dans d’autres métaux pour des statues. Aussi ce capital d’êtres humains qui aurait pu faire de grandes choses n’aura rien fait, puisqu’aucun parmi eux, malgré les modes d’emplois assez facile à suivre, n’aura essayé de se lancer dans la réalisation de la cloche et tous auront cru qu’ils demeuraient disponibles pour la hisser en raison de leurs capacités physiques ou manuelles qu’ils ont privilégié à celles qu’ils avaient pourtant pour devenir chacun une tête pensante capables d’acquérir de véritables savoir faire difficiles (ils sont devenus des disquettes mais ne sont pas encore devenus des lecteurs de disquettes et encore moins des ordinateurs (aussi les maîtres ne peuvent s’intéresser à chacun que comme des disquette : un sujet à l’intérieur). Mais pour peu qu’il y en ait une qu’ils acceptent de servir comme celle qui dirigera la montée des cloches dans le clocher[10], en un rien de temps, cette violence enfin canalisée dans le bon sens, fait un miracle : les cloches sonnent, les ponts sont construits, les gratte-ciels fleurissent, les lignes d’Internet ou les oléoducs, des tuyaux sont tirés, des outils sont forgés comme les ordinateurs et les téléphones et la renaissance de la civilisation défunte se produit (il fallait seulement savoir leur parler et les convaincre).        

Si tomber malade ou être condamné à prendre les transports en commun, au risque d’attraper une grippe, peut constituer un préjudice général quand une de ces personnes qui devraient avoir des chauffeurs ou, du moins, une voiture particulière, pour ne pas l’attraper (car il est lecteur de disquette ou de cd-rom ou ordinateur, les disquettes et les cd-audio ou cd-rom cela peut prendre les transports en commun), sont contraintes, par manque de moyens, à cette probabilité de risque d’attraper mal, cela n’est pas pareil pour la grippe qu’un égoïste va attraper dans les mêmes conditions ou ailleurs. Peut-être même que celle-ci lui fera du bien. Mais cela est une perte de temps général pour réussir à le soigner ou à le sortir de son état de prisonnier de l’enfant-gâté qu’il est devenu car, à cause de lui, qui a peut-être un chauffeur ou une voiture, qu’il n’a pas mérité d’avoir, des personnes qui mériteraient de disposer d’un véhicule pour le temps qu’elles utilisent pour tous[11], ont à risquer ces lieux ou ces couloirs, ayant à certaines heures, comme les transports en commun, des probabilités d’être beaucoup moins salubres que de prendre un taxi ou mieux[12]: de disposer d’une voiture particulière dans laquelle personne d’autres qu’elles (ou des personnes en bonne santé) rentrent ou ne conduisent.

Quand je pense à ma sœur qui doit aller en métro depuis des années alors qu’elle est devenue grand-mère, enseigner à Neuilly, alors qu’elle habite le cinquième arrondissement, et qu’elle a des compétences de (vraie) traductrices d’italien comme toutes les autres que je lui connais et qu’elle a élevé ses enfants, qu’elle est la fille de l’empereur, notre sœur ainée et qu’elle n’a conçu comme mes parents son existence qu’en faisant parti des personnes de bonne volonté et qu’elle doit marcher jusqu’au station de métro ou traverser ces couloirs, alors qu’elle s’est toujours débrouillée pour ramener jusqu’à chez devant chez elles, en voiture, tous les tricheurs ou les menteurs qui sont venues dîner chez elle, ou qu’elle a soigné des menteurs ou fait elle-même tous les repas et les courses elle-même, alors qu’elle est la fille de l’impératrice qui, une vraie agrégée d’italien de l’Université a arrêté ses études et a sacrifié la réalisation de son doctorat pour élever des enfants qui devaient naître, dont ma personne, pour sauver la planète en permettant de faire partout, continuellement, des miracles (y compris dans le passé, avant même de naître) en étant donc la personne un peu spéciale ou différente des autres (de ceux qui sont encore des ignorants, au mauvais sens de ce mot, mais en réalité pas très différent de ceux qui ont de vraies compétences) que je suis, et que depuis que ma sœur est petite, comme beaucoup d’autres jeunes filles, elles ont grandi en sachant combien d’exemple l’humanité a donné de grands hommes et de femmes admirables, et qu’elle a dû perdre tout ce temps à faire les repas, les courses, ou ces allées et venues, alors qu’elle avait, en plus, à recevoir chez elles parfois les présidents de l’Organisation des Nations Unis, car mon père n’avait pas le temps pour les recevoir en particulier, et qu’ils devaient porter certains, eux-mêmes, leurs courriers en espérant que mon père puisse les lire, et qu’à l’âge qu’elle a, elle continue à faire ses courses elle-même, y compris pour ma mère, en ayant refusé en mars 2013 encore de l’aide de ma part et cela parce que l’Etat n’a pas cru bon penser de lui-même lui donner les moyens[13] (qu’elle n’a pas eu le temps de demander) ni la saluer comme la femme de son mari architecte qui n’a construit que des solutions élégantes tout au long de sa vie, dans l’Intérêt de tous, je me dis que celui qui est empereur sur cette planète ou qui a été très proche de l’empereur (moi) jusqu’à fin 2017, n’a été qu’outragé et insulté et n’eus que des difficultés ou continuellement été l’objet d’injustices ou de l’incompréhension générale et que ma famille et moi n’avons fait œuvre que de charité pour tous les terriens (des profiteurs) en ne disposant que de ces très infimes moyens qui, s’ils ont existé, n’ont vu le jour qu’en raison des efforts des ancêtres et d’héritages familiaux acquis en toute vérité, en toute justice, en toute honnêteté et en toute cohérence avec les civilisations religieuses et aristocratiques, au sens très ancien de ce mot, c'est-à-dire des personnes qui n’ont jamais voulu faire parti des tricheurs et des menteurs et qui ont donc été l’objet d’injustes incompréhensions martyrisantes, vexantes et blessantes en échange du dons de leur personnes à ces niveaux de responsabilités dont les compensations financières n’ont existées qu’aux tarifs de base et qu’en raison seul de la nécessité de l’argent (puisqu’il y a des malhonnêtes et les profanes)[14] (des crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD). Nos réalisations n’ont pas encore été mesurées ni les conséquences positives sur tous, puisque notre famille à travers ces interventions que j’ai été contraintes à dicter a fondé plus qu’une civilisation nouvelle. Mon frère, dans chacune de ses œuvres en fonde une nouvelle et peut-être sur chacun des points qu’il trace ou dessine. C’est réellement tout à fait d’une toute autre époque que ces interventions à travers Espace et Temps, en raison de nos vrais mariages, qui ont engendrées (puisqu’elles se sont fondées sur de vraies valeurs) ces civilisations (numérique, Internet, robotique, des transports à grande vitesse, de la station orbitale internationale, des autoroutes de l'information, des jeux vidéo, etc.). Notre époque est celle de temps où chaque chose trouve des explications rationnelles exactes et logiques, comme chacun des instruments qui sont capables de marcher justement. Ce qui est triste, c’est que tant de personnes aient préféré ne pas fonctionner ou ne plus fonctionner, alors que nous avions pu montrer sur nous-mêmes, en cobaye[15] comment elles sont devenues chacune d’entre elles de la parodie d’être humain, au point de faire parti de ces voyeurs espions qui n’ont plus jamais fonctionné d’aucune façon correctement que seulement déboussolés, chacun, puisque nous avons découvert qu’elles nous espionnaient à notre insu, tout du long de ce processus qui devait nous mener à me salir (pour leur montrer comment ils se sont salis) – mais sans doute ont-elles raté des épisodes et sont-elles de ces personnes spectatrices qui voient sans êtres de celles qui pensent sur ce qu’elles voient ni analysent, au point d’en être devenues ces déserts voyeurs et non observateur, au point de s’être pourries le regard et d’être devenues réellement folles, et donc peut-être capables de se réjouir de ce dont personne au monde de sensé ne peut se réjouir (elles sont devenues insensées puisqu’elles ignorent sur quoi sont fondés ces mariages de ces personnes qu’elles ont espionné et qui ne peuvent pas se marier sans s’être au préalable débarrassé de l’enfant-gâté[16]). Nous avions donc à faire à des malades qui ont cherché à pourrir le monde entier, et en échange nous l’avons soigné depuis 1965 jour après jour, en proposant ce que le bon sens impose en pareille situation. Il en a résulté comme des démonstrations au cours desquelles une cruauté inénarrable et une méchanceté sans équivalence s’est abattu sur ma personne dont tous ont pu découvrir qu’en échange, puisque nous avons bien déterminé qu’elle était causée par cette ignorance, au mauvais sens de ce mot, nous n’avons opposé que bonté, bon sens et sciences, y compris amour de la vérité, d’autant plus que nous avons pu vérifier et montrer comment et à quel point on devient un véritable imbécile un incompétent ou alors un faussaire, en commençant à s’autoriser à faire n’importe quoi avec sa semence dans les conditions de profane, au point de devenir un égoïste et un enfant-gâté y compris un faux artiste (ce qui est incompatible de nos jours avec la notion de paternité ou avec celle de mère : on donne la vie pour l’offrir en raison d’une histoire d’amour fondatrice comme deux oiseaux ont envie en y consentant librement de construire un nid ensemble qu’il faut avoir fait soi-même pour accueillir des oisillons et les élever – cela peut être deux aigles comme dans le cas de l’empereur et de l’impératrice (s'ils ne sont pas bouddhas), bien qu’il soit important que ce soit deux êtres humains parachevés).   

Il est donc normal qu’une fois ce malentendu dissipé tout rentre dans l’ordre et que nous tachions de faire en sorte que ces personnes privées de raison et qui sont contraintes à faire semblant de penser ou qui ne voient plus les choses justement, si elles font enfin ce que nous leur conseillons, puissent un jour accéder, à leur tour, à ces connaissances si nécessaires et si utiles à tous y compris pour tout gérer. Il serait donc normal, monsieur le cardinal, que pour ce projet, nous disposions enfin des moyens matériels pour le faciliter et ainsi faciliter la sortie de l’état de menteur de chacun d’entre eux qui, à cause de cela, vont vers ces régressions ou ces involutions qui représentent pour tous y compris pour eux-mêmes une perte considérable.  

Mais ces difficultés de mouvements qui ne m’ont pas empêché ces transports en commun enfant ou adolescent souvent de plus de quarante minutes à l’allée comme au retour pour rejoindre les lieux de formation aux savoirs scolaires (mais à l’âge des études universitaires un peu moins tous les jours pour rejoindre les lieux de ma License d’histoire[17]) ne m’ont pas empêché, ni ne m’empêche, de faire du tennis ou de la marche y compris en montagne ou du ski d’autant que tout du long où je pratique ces activités sportives, comme je pratique l’écriture ou la peinture et le dessin assis ou debout, ou la cuisine, il n’y a pas un score ou une belle balle au foot ball ou ailleurs dans un autre sport dont l’Ensemble n’ait pas pu vérifier que le score inscrit alors dans chacun des stades, ou à chacun des matchs, n’ait pas été rendu possible seulement et uniquement en raison de la position où je me trouve, ce qui fait que vous pouvez bien imaginer ce que signifie pour moi quand je dis « pas grave », quand une de mes propres balles au tennis ne passe pas le filet après un service. Si les lutteurs de sumo ont des serviteurs et des personnes chargées de faire leur course pour les gaver ou des véhicules spéciales, le très débutant apprenti champion (qui n’est pas sûr de l’être encore dans aucune des disciplines qui me doivent pourtant un certains nombre d’apports véritables) que je suis, se demande quand les responsables de la Communauté Internationale ou des diverses organisations (que j’ai créé du futur), dont tous ont pu vérifier que je les ai créées, (avec les banques et toutes les entreprises dans le monde entier qui ont permis l’avènement entre autres de la Civilisation de l’Informatique et du Numérique et etc.) penseront que le débutant empereur que j’entends devoir demeurer, comme depuis 1965, a besoin d’être enfin reconnu professionnellement (au sens où ce mot a toujours signifié de disposer enfin des moyens matériels qui sont prévus à des fonctions pareils (parfois seulement honorifiques) et dont j’ai amplement acquis de droit, y compris certains membres de ma famille que je désignerai, d’autant plus que je vais avoir des frais pour réaliser ces projets de mariages d’ordre privés mais publics (comme des travaux supplémentaires dont je vais m’imposer les responsabilités - bien que je me suis aperçu qu’on en était au courant très récemment et que, par conséquent, ma vie était connue publiquement – alors je vous demanderais à quoi servent tous ces efforts, si toutes nos actions privées[18] sont espionnées ? Il y a quelque chose qui ne va pas car cela aurait exigé des compensations financières que d’être ainsi espionnés (sans le savoir) puisque tous sont donc considérés comme des « acteurs » par ces voyeurs qui avaient accès à la vieille salle des machines (eux seuls, en club privé, en étant à l’origine de l’apartheid, c'est-à-dire de l’injustice). Il y a donc une situation absurde et incohérente qui est à revoir en profondeur dans l’espoir de voir se débloquer la situation, d’autant plus de l’aspect bien plus que catastrophique qu’elle est (en raison des chiffres, mais aussi de tous les paramètres dont j’ai conscience).

Il y aurait donc plusieurs familles dont je serais plus personnellement responsable ou du moins dont les membres devraient faire plus précisément l’objet de mon attention et pour lesquels je pourrais peut-être espérer compter. Donc plusieurs maisons à entretenir (ce qui permettrait d’embaucher des personnes) car si j’envisage[19] c’est surtout pour nous offrir « le luxe » d’adopter des enfants (c'est-à-dire des peines supplémentaires à prendre) ou pour en avoir provenant de moi et ainsi avoir l’honneur de devenir leur éducateur ou leur tuteur et peut-être, comme le fut toujours mon père pour moi, de parvenir à transmettre des savoir faire ou des bons conseils pour leur éviter de faire les bêtises ou pour bénéficier de la somme de ces milliards de milliards et plus encore de véritables bibliothèques que j’ai dû traverser pour être, à cause de ce qui se passait en 1962-63-64-65, à l’échelle internationale, dans le futur, avant même d’y être, et de ce fait être enfin certain, comme tous, que je ne puis me tromper d’un électron en les conseillant, si ces enfants devaient rencontrer des problèmes à surmonter (ce que n’importe quel père ou quelle mère devrait avoir fait pour ses enfants (et ce que mes parents, peut-être d’une certaine façon, à cause de ces deux guerres mondiales, ont fait pour leurs enfants, en ayant, grâce à cela, réussi, malgré l’incompréhension dont ils furent victimes, à faire le bonheur général avec notre aide puisque mon anneau immaculé de mariage a confirmé, à chaque fois – 1965, 1975 et à partir de 2005 - le leur et leurs années de mariage, donc d’expérience, en devenant les fondateurs de la civilisation des communications et des solutions élégantes (des fax, minitel, web cam et téléphones mobiles et portables, GPS, etc. ), donc des alternatives au vieux télégraphe et téléphone, y compris grâce, plus récemment aux messages Internet, en créant avec ces miennes communications à travers le temps, ces sortes d’interphones-visiophones possibles entre tous – faciles à poser et à connecter -  ce qui permet d’apprendre, grâce à toutes ces innovations techniques, à considérer l’être humain comme mes grands-parents et arrière-grands-parents le considéraient : une possible œuvre d’art (sinon mon arrière grand-père ne serait jamais devenu architecte et n’aurait pas accepté de faire les efforts qu’il a fait pour marier ses filles), en raison de leur époque (et malgré les guerres) qui avait été celle de l’avènement de la photographie, de l’opéra, du cinéma, du télégraphe et du téléphone, mais aussi des premiers phonographes permettant d’entendre les belles interprétations musicales chantées, des premières machines à écrire que l’empire de mes parents a finalement transformé en claviers électriques, puis électroniques et machines à traitements de textes (les même progrès ont eu lieu grâce à eux dans l’édition et les kiosques à journaux, dans toutes les langues, regorgent de leur divers intérêts qu’ils proposent et ont partagé avec l’Ensemble) ou écrivant sous la dictée, en suivant ces indications du futur à 1975 (à partir de 2005). Ces personnes qui ont pris conscience qu’en quelques années seulement de la paix imposée par nos soins et malgré tous les bâtons mis dans les roues à mon père l’empereur, par le précédent empereur alors, encore adolescent (malgré son âge) et jaloux et ces partisans (qui après avoir mené le monde à la destruction continuaient à croire qu’on pouvait se comporter en malhonnêtes en incitant à augmenter le prix du pétrole en méprisant la vérité et les règles économiques et en ne voulant pas comprendre pour quelles raisons elles sont justes[20] y compris pour donner de réelles compétences aux personnes désireuses de bien faire) ou voulant se venger, c'est-à-dire ceux qui ont voulu ne pas évoluer, pire : involuer, ni comprendre leur époque, ni même être des gens délivrés de l’égoïsme des enfants-gâtés qui sont capables de se réjouir de la souffrance d’un cobaye sans défense (alors que partout autour d’eux les médecins s’acharnent à soigner les êtres humains), comme seuls les fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), les incohérents et les mauvais enfants (ou les mauvais garçons) peuvent tomber si bas à croire possible se l’autoriser sur des personnes jugées de ce point de vue faussé amoindries ou plus faibles (alors que celles-ci sont handicapées par la quantité de paramètres à avoir de façon précisément en tête en vérité) - le monde est cependant passé, grâce à ma famille – en si peu de temps - à ce si haut degré de technologie et de technicité, y compris pour les autres moyens de communications, ce qui a porté les gens à vouloir découvrir les paysages de cette planète grâce à l’avion déjà plus sûr que l’automobile et à sortir de leur cloisonnement ou enfermement provincial. Une civilisation nouvelle est née des décombres d’une ancienne qui avait été fondée sur de fausses bases, car elle se cherchait encore les chefs ne sachant plus distinguer le vrai du faux, bien qu’ils demeuraient un lien avec les époques passées, grâce à l’anneau de mariage, c'est-à-dire la géométrie et la science. C’est en cela qu’il reste du bon de ces époques anciennes, puisqu’une famille pharaonique unie et provenant d’un anneau de mariage sûr a pu éviter si longtemps la fin en raison de vérité de parole retrouvée avec le bon sens lui-même comme le sens des éducations à administrer, y compris de comment et pourquoi. Il s’agit donc d’une famille de pharaons qui se sont délivrés de leur égoïsme ou de l’enfant gâté en eux, ce qui n’avait pas été possible pour les anciens qui ont fini à force d’erreurs par créer les conditions d’une salutaire contradiction dans la personne même de l’empereur ayant fini grâce aux soins de mon père et les miens par comprendre pourquoi les rois avaient été justement considérés des rois et le tzar, tzar y compris l’empereur de Chine ou du Japon, ne tirant leur légitimité que grâce à ces fondateurs des religions orientales qui depuis sont devenues, à cause de cela, occidentales car les erreurs qui ont été commises au Tibet, à cause des conséquences de la Grande Vague (Hokusaï) des Révolutions françaises, russes et chinoises ont permis, par esprit de contradiction salutaire contestataire et résistant envers des méthodes iniques et incohérentes avec la notion même de pouvoir, de faire comprendre de façon non-violente que des injustices comparables avaient été perpétrées contre la Vérité et les preuves incessantes données qu’Amour (Agapè) et sacrifices avaient engendré en solutions élégantes complémentaires et pouvant offrir enfin aux occidentaux des alternatives à leurs religions dont certains s’étaient lassés au point de les persécuter et de ne pas reconnaître les filiations évidentes entre elles de poupées russes d’autant que celles-ci pourraient de nos jours s’orientaliser (au sens de prendre la couleur) plus facilement, en raison de la grande proximité des distances réduites en raison des diverses technologies de transport ou de communication, ce qui devrait permettre aux peuples d’Orient de plus amples parentés avec ceux d’Occident et vis et versa. Pourtant aux yeux de beaucoup ce dont cette famille de pharaons a disposé pour survivre était fort peu. C’est normal, ils étaient le résultat de plusieurs générations qui n’avaient pas eu beaucoup plus que des personnes appartenant aux classes moyennes (ou alors des tarifs de base quand ils se sont élevés dans l’échelle sociale), aussi ces personnes surent gérer au mieux et en toute équité leur époque malgré toute l’injustice dont ils furent les victimes (tradition du pharaon reliée à l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, au caractère païen et profane, s’étant approprié par la force et en abruti, à l’origine, la vieille salle des machines, donc en égoïste et enfant-gâté devenus sourds aux arguments sensés et voulant être servi comme dans le monde aristocrate qui ne l’a été que pour mieux servir ses sujets) et malgré le changement dynastique de pharaon. Dans les temps passés, il y a dû y avoir de graves difficultés au moment des changements de dynastie pharaonique (mais il parait que celui-ci demeurait le même). Ce fut le cas souvent et il se pourrait que celui-ci soit en raison d’un changement de comportement qui n’a plus rien de commun avec les façons anciennes qu’avaient les pharaons de considérer les femmes. S’ajoute à cela que le rôle des femmes a totalement changé au cours du XXème siècle, d’autant plus de l’accès à la contraception, de la révolution sexuelle, de son accès à l’indépendance ou autonomie au point que le mariage lui-même est remis en question : une réflexion nouvelle s’ébauche à son sujet (on le voit bien ici) d’autant plus de toutes les opportunités que la photographie et la présence de la vidéo, nous permettant de nous découvrir sur les écrans suscitent (il sera possible à un chinois de trouver une européenne pour épouse ou vis versa par Internet comme de nombreuses personnes ont trouvé l’âme sœur ainsi, et il est probable que le mariage au sens traditionnel perdure comme des situations plus complexes naissent de tant de tentations. Chacun en publiant son journal intime sur Face Book et ses progrès peut se faire des amis et finir par trouver ailleurs que dans sa ville une personne intéressée par son profil – cela sert de vitrine).

Peut-être ces personnes qui ont un peu mieux compris qu’il est intéressant de consolider la paix et de payer ce qu’il faut pour l’obtenir que de faire la guerre, en revanchards ou en ignorants, au mauvais sens de ce mot, et qui ont pu se rendre compte des changements survenus (jusqu’aux lecteurs de DVD portables en si peu d’années, ainsi que les ordinateurs portables ou les téléphones mobiles) comprendront qu’il faut être patient pour construire l’avenir qui peut nous réserver aussi des bonnes surprises, si chacun a enfin envie d’y jouer son rôle ou de se mettre au service de ce qui leur sera proposé, s’ils n’ont pas d’idées eux-mêmes où s’ils parviennent enfin à écouter les conseils appropriés, en fonction du cas particulier qu’ils représentent, en bénéficiant des personnes vraiment compétentes qui, avant de leur répondre, tiennent compte ou réfléchissent en conscience à la faisabilité ou pas de leurs projets, par rapport à de très nombreux paramètres qu'ils sont à connaître et à maîtriser avant de se lancer, car se lancer à l’aveuglette c’est risquer l’échec (mais parfois le contraire). Peut-être aussi ces personnes comprendront qu’il y a des gens « compétents » et qui le sont véritablement, bien que parfois âgés seulement de quelques années (certains même avant le jardin d’enfant – ce qui fut mon cas – je n’avais que deux ans et demi quand je devins l'un des bouddhas). Aussi se mettront-elles à respecter certains enfants têtus ou qui s’obstinent et qui peuvent avoir raison y compris contre Dieu (tel qu’il a été présenté par certains fidèles), sans pour autant s’abaisser à devenir des démons (ou des ignorants, au mauvais sens de ce mot – c'est-à-dire des personnes ayant perdu une à une, à partir d’un certain moment, toutes les capacités qui pouvaient faire d’elles des personnes savantes et conscientes, y compris capables de maîtriser et comprendre d’avance tous les problèmes que va poser la moindre des choses à réaliser (ce qui peut s’apprendre grâce aux études, en se spécialisant dans chacune des catégories qui fonctionne de façon particulière). Cette omniscience a été perdu par ces personnes qui sont devenues un problème pour toutes les personnes omniscientes, d’autant plus qu’elles avaient rejoint des personnes comme elles, qui ne sont plus capables de faire rien d’autre que « faire semblant ». L’ignorant, au mauvais sens de ce mot, est donc celui qui est contraint de « faire semblant » car il ne veut pas montrer qu’il ne sait pas.  

Je suis contraint par ma situation de prévoir ou de « faire comme si » nous aurons à vivre, un moment que d’autres que moi pourraient redouter, mais qu’enfin je ne redoute plus, me sachant presque prêt à ajouter à mes innombrables casquettes, celle aussi de père, comme mon père qui l’a été admirablement, bien qu’empereur. Si les pharaons ont eu à traverser toutes les époques, la situation générale n’est pas du tout la même dans l’Histoire et surtout ce que j’ai eu à subir comme sacrifice, y compris les séquelles de tout ce que j’ai dû traverser, font que je suis contraint, y compris par mes occupations et mes différents innombrables talents (et casquettes) et fonctions différentes, de me préparer à ces nouvelles fonctions de père en adéquation avec ce que j’ai pu comprendre de particulièrement grave ayant concerné la réalité impériale dans les temps passés, mais aussi ce que pourrait signifier le rôle d’empereur à notre époque, y compris celui de père. Vous comprendrez qu’avoir maintenant cette perspective canonique de plusieurs épouses officielles représente aussi, pour moi, un véritable problème cosmique dont je ne suis peut-être que le seul conscient. Vous comprendrez aussi pourquoi, alors que je vous avais demandé de l’aide pour mon déménagement et pour obtenir le droit de poser quelques caisses à Saint-Jacques du Haut-pas, cela m’aurait simplifié la vie puisque vous vous souvenez enfin de mes dimensions réelles dans le ciel. Mais peut-être n’avez-vous pas eu le temps de vous préoccuper de moi ni pu imaginer à quel point ces interventions, à travers le temps, qui ont permis de construire notre époque, pouvaient requérir de difficultés physiques pour l’empereur, puisque vous n’avez jamais eu ce rôle à jouer vous-même d’empereur cosmique, universel et … mais j’espérais que jugeant de vos propres difficultés à vous mouvoir, en tant que Cardinal, vous pourriez avoir une petite idée de ce que signifie les mouvements d’un empereur cosmique et … qui avait pourtant réclamé votre aide et dont tous savent qu'en général il ne demande rien que ce qui lui parait utile pour le progrès de tous : quand j’étais petit, alors que normalement je ne demandais rien, mais je fus contraint et forcé par l’Ensemble, en raison de la situation, d'exiger une voiture (bien que tous sachent que je préfère prendre les transports en commun, quand j’ai le temps). Peut-être avez-vous cru qu’il y a des personnes plus à plaindre que moi (cela peut être vrai, à première vue, mais si vous aviez été à ma place, à partir de 1965 (et peut-être même avant), vous n’auriez pas pu endurer une seule fraction de seconde ce que l’Ensemble m’a pourtant exigé d’avoir à traverser – en effet remonter le temps d’un temps qui n’existe pas encore, qui n’est que du virtuel et qui dépend de tant de paramètres à mettre en place, qui est encore tout à bâtir et s’y trouver comme s’y faire entendre dans le passé et s’y faire voir d’avance, cela signifie d’avoir soi-même à bâtir et à porter chacun des déplacements qui se sont opérés partout durant ce temps en question qui sera à vivre, jour après jour pour en confirmer l’existence (et cela d’autant plus difficilement qu’on doit être le sujet d’une amnésie pour montrer comment chacun s’est dégradé au point de devenir profane et ignorant, au mauvais sens de ces mots, en se permettant durant ces temps là des choses impensables sinon ou alors en tant que seule des caricatures (ce qui en justifie l’intrinsèque nécessité en art) ou actes faits par des inconscients – c'est-à-dire des personne qui ont perdu la raison). C’est donc très certainement une des souffrances les plus difficiles à supporter qui ait été imposée à un petit enfant. On m’a imposé de m’imposer cela une seconde fois à partir de 1975 et enfin une troisième fois à partir de 2005, à chaque fois en chair et en os et à chaque fois en virtuel, ce qui m’a permis de vérifier à quel point c’était bien inadmissible pas seulement en virtuel mais en vrai, dans la réalité. On doit donc, au cours de ces temps traverser la mémoire de chacun des êtres vivants et des animaux (y compris de chacun des insectes) durant les quarante et les trente années qui vont venir ainsi que le parcours de leur vie respective (qui n’a pas encore eu lieu) y compris ailleurs dans la galaxie ou dans l’univers, s’il y a des temps qui, durant cette période, correspondent à des temps du passé et déjà du futur. C’est donc, il me semble, le paroxysme de l’omniscience et de l’exactitude, au point qu’il faut aussi en même temps donner et traverser tous les émissions de radio et de télévisions, toutes les manipulations de toutes les machines et de tous les véhicules et tous les résultats exactes de tous les ordinateurs existants pour rejoindre ces époques qui n’existaient pas encore mais qui découleront de la situation bloquée depuis que dans ces époques préhistoriques il y a eu occupation de la vieille salle des machines par des analphabètes abrutis, brutaux et à l’esprit propriétaire, au mauvais sens de ces mots. C’est donc particulièrement éprouvant d’être en quelques sortes Chronos en personne, tout en ayant d’autres rôles à jouer, y compris ceux durant toutes les périodes où on a été canoniquement contraint d’être amnésique.

Car ce que j’ai eu à endurer dans cet état multidimensionnel visible et audible dans le passé, sans même avoir à se servir d’un micro, (avant même d’y être) et en ayant à porter secours charitablement, jour après jour, pour être fidèle à ma promesse scout d’une béa par jour au moins, ce n’est pas le déplacement d’un chef d’entreprise, même de la Chine ou aussi grande que celle des Etats-Unis, mais vous aurez pu le vérifier, si vous avez fait un tour à Rome, comme François Mitterrand, pour me voir dans le ciel, à partir de 1975, puisque je lui annonçais du futur son élection et qu’il est venu lui-même s’en assurer en m’y voyant et en m’y rencontrant aussi (mais en chair et en os, en tant qu’enfant faisant du vélo dans le jardin au-dessus de la maison de Néron - car j’y habitais dans un appartement rue Mecenate 22, alors qu’il me voyait déjà dans le Ciel trente ans après, mais à l’état virtuel, puisque j’étais en 1975 et que dans le Ciel, dans ces proportions , cela ne serait qu’à partir de 2005 si toutes les erreurs qui n’auraient pas dû avoir lieu avaient lieu comme prévues par mes soins à partir de 1965 – dix ans avant), se sont donc les mouvements d’un chef d’entreprise de tous les  chefs d’entreprises et ceux de celui qui rend possible et qui a dû calculer d’avance (puisqu’on ne lui rendait pas « sa » salle des machines à partir de 1965, alors qu’il était pharaon) dans cette situation bloquée l’ensemble des créations, mais simplement des mouvements de tous, y compris de tous les animaux mais aussi tous ceux des véritables chirurgiens et des médecins, en les portant chacun lui-même (aussi malgré toute ma bonne volonté à ne faire que bien fonctionner toute chose et l’ensemble des terriens et des animaux, y compris tourner les moteurs des machines à laver ou des automobiles, toutes les erreurs qui se produisent n’existent donc dans les mécanismes ou dans les êtres humains que parce que la situation a été bloquée il y a des millions d’années – mais cela n’avait jamais dégénéré entre les êtres humains au point de la Seconde Guerre Mondiale et cela alors que pourtant les époques antérieures étaient bien moins bien achalandées (c’est pourquoi j’exigeais qu’elle fut débloquée dès 1965 ou dès 1975), au point que tous les chiffres qui s’écrivent en ce moment sur tous les tickets de caisse dans le monde entier vont s’inscrire exactement avec leur montant prévu d’avance, car j’ai même pu le vérifier à mon sujet plusieurs fois, y compris  en faisant des tests par le mensonge à travers le temps à ce sujet (et j’en ai fait plusieurs) sur le montant : il va être autre que celui qu’on aura donné en mentant (il y aura le vrai d’inscrit et non le faux), alors que celui qu’on aura donné en disant la vérité a été justement inscrit trente ans avant (pour vérifier), avec la date le jour et la minute où il est sorti de la caisse, alors que dans les deux cas nous n’avions pas même prémédité d’avoir recours au supermarché en question pour y faire nos achats. De même, les insectes qui devaient passer ou sortir de leur cachette dans un sens à un endroit précis tel jour passent et si on ment à ce sujet, il passe le jour et à l’heure qui n’est pas celui décrit à travers le temps mais celui où ils sont apparus (j’ai donc donné à travers le temps le nom d’un autre insecte et une autre journée comme une autre direction et d’un autre endroit – pourtant ce qui s’est passé dans la réalité était tout autre : j’avais assisté à la vérité. C’est pareil pour d’autres tests que j’ai fait concernant des personnes qui devaient dans la rue passer ou ne pas passer, ou des couleurs ou des parapluies ou des choses qui devaient avoir lieu ou n’avoir pas lieu : nous sommes dans une situation qui est donc bloquée cosmiquement et qui résulte, entre autre, de la loi des conséquences comme chacune des situations que nous vivons ou des interactions qui ont lieu comme chacun de nous-mêmes résulte donc en partie à cause de cette loi, y compris les actions entreprises dans le passé par nos ancêtres. C’est pourquoi en en prenant conscience à cause de mon anneau immaculé de mariage en 1965 qui s’est donc renouvelé mathématiquement et conséquentiellement à plusieurs reprises (1975 et 2005), j’ai fait ce que j’ai pu pour sauver la situation qui avait en fait été sauvée de cette façon et que nous avons donc eu simplement à revivre ainsi, une fois de plus, car elle s’est reproduite du fait que l’Ensemble m’a contraint à devenir à bord, comme une sorte de funambule, en permanence, en ayant tous les temps à porter (donc les virtualité y compris celles les plus catastrophiques) et en allant, à l’intérieur de moi, des milliards et plus encore de fois plus rapidement que la vitesse de la lumière, puisqu’en étant en 1965, j’étais en même temps déjà et de façon totalement synchronisé en 2005 (mais aussi en 1975). Cela signifie qu’en ce moment même où je suis, je suis aussi plus loin dans le futur en même temps (une démonstration que je n’ai plus à faire de là où je me trouve déjà dans le futur, puisque tous ont pu se rendre compte que c’est bien comme cela que je fonctionne depuis 1965 – 1975 et 2005 - à ce sujet, en 2015, j'ai pu me filmer en vidéo dans le ciel probablement en 2045 - c'était à Paris du pont qui mène à Châtelet et je me trouve dans le ciel au-dessus de la mairie de Paris). Cela m’a permis de comprendre pourquoi j’ai, à certains moments, des difficultés que d’autres n’ont pas et pourquoi, en raison de cela, je ne peux pas m’intéresser à des choses que je sens nuisibles pour ma santé (donc qui sont certainement nuisibles pour la santé des habitants de la terre) car étant à ce point consubstantiellement lié à la notion de temps et de l’exactitude, donc de la vérité en toute chose, comme lié à toutes les interactions y compris celles de chacune des micros fumées ou celles concernant toutes les machines ou les mouvements des êtres humains qui ont lieu en même temps sur la planète, la conscience que j’ai en permanence est celle d’une personne infaillible, y compris dans le Droit. Je ne sais toujours que d’avance ce qui peut être bon pour la santé ou mauvais, et c’est pourquoi sachant de façon certaine et en absolu (sans un électron d’erreur possible) que manger des animaux pacifiques et inoffensifs ou de la chair animale y compris celle des poissons cela est dommageable, je conseille, si possible, de faire à ce sujet comme Léonard de Vinci qui, visionnaire, comme d’autres grandes figures, l’avait compris. Le Bouddha par exemple a permis d’éviter que sur la même latitude (celle du Sahara) le désert qui s’y trouve pourtant ne se manifeste pas en Inde et en Chine (il a donc sauvé le processus de la Vie rétroactivement car si sa bouddhéité ne s’était pas manifestée à cette heure-ci il n’y avait plus de planète Terre. Tout le monde n’est pas le Bouddha mais tous peuvent atteindre le statut de Bouddha par un parcours personnel qui fera qu’on contribuera, comme lui, à essayer de sauver localement la Vie (il vaut mieux un champ qui reste verdoyant qu’un chant qui devienne sec et stérile), même au risque d’en souffrir comme d’avoir à changer, dès que nous en prendrons conscience). Si le désert est aussi important et s’il augmente c’est aussi en raison de l’habitude des occidentaux à manger de la viande et du poisson. Cela parait impossible à croire mais c’est vrai. C’est le Bouddha qui a compris cela, il y a longtemps, et c’est pourquoi il a interdit de manger de la viande et du poisson (il en avait l’intuition car il n’avait pas encore de cartes précises et c’est à notre époque que nous comprenons qu’il avait vu juste puisque tout confirme que ses enseignements en matière alimentaire ont permis de sauver les végétaux partout où pour cela, il était encore temps, même avant sa naissance). En raison de cela, il a permis de sauver rétroactivement la Vie avec les conséquences de sa bouddhéité dans les temps passés, mais aussi futurs et si la nature fournie autant de bonnes choses en Inde et en Chine ou au Japon, qui auraient sinon disparues pour laisser la place au désert, comme au Sahara, car l’Inde est placée sur la même latitude, c’est parce que le Bouddha a compris qu’il devait donner l’exemple de se priver de choses que son époque consommait et s’est mis à rechercher dans la nature les aliments qui, non innervés, comme les animaux, n’auraient pas à souffrir avec des réactions de douleurs (c’est ainsi qu’il a été appelé le Compassionnel et le fondateur de l’alimentation végétarienne – sans doute avait-il eu à souffrir et une lutte à mener contre la partie la plus ignorante de lui-même et finalement ne s’étant pas laissé avoir par les chantages de celle-ci, il a eu le dessus pour celle-là, égoïste, et non pour lui-même car, très certainement, il n’a pas même cherché à avoir la victoire dans ce combat : en effet, c’était pour réussir à soulager la souffrance de l’autre, de celui qui était devenu ignorant, au mauvais sens de ce mot, ou seulement un animal, alors qu’il découvrait qu’un tout autre monde existait possible (au lieu de se croire damnés et dans un monde seulement dépourvu de confort, il s’est mis à penser et à trouver des solutions élégantes y compris pour guérir les âmes (il a compris que sa vie pouvait servir pour faire quelque chose de bien pour les autres comme Saint-François d’Assise en Occident, mais autrement). Aussi ce qui s’est passé géologiquement dans le passé est aussi dû au futur et c’est pourquoi si nous ne changeons pas de comportement en ne nous délivrant de l’enfant gâté (cela ne signifie pas pour autant qu’il faille jeter nos collections ou nos voitures, si elles sont utiles et si nous avons la passion de les collectionner ou passer notre temps en philanthropie du genre de ceux qui offrent à des musées des œuvres estimées un millions de dollars alors qu’en réalité elles valent et vaudront toujours bien plus – à moins qu’enfin ce qui est la cause de ces augmentations de valeurs ou du prix des choses sur le marché disparaisse enfin car alors un milliard vaudra un million ou même pourrait redevenir cent sans pour autant que ce cent ne vaille, en réalité bien plus puisque les prix des œuvres d’art et des originaux n’obéissent qu’à la demande et à la quantité de l’offre en fonction d’innombrables paramètres garantissant ces prix, donc ayant permis la valorisation de ces œuvres sous forme d’offres et de prix) le processus de désertification sera irréversible. Cela signifie que tout ce qui est encore vivant sur la planète toute entière a été sauvé par le Bouddha qui a absolument tout compris quand il s’est concrétisé mathématiquement pour la première fois, bien avant Jésus Christ, en Orient. Ce qui signifierait qu’il est une conséquence de quelque chose qui s’est produit avant (très certainement la naissance de la représentation et de l’écriture chinoise ou quelque chose comme ça) et il se pourrait qu’une partie de la religion juive découle un peu du bouddhisme (à moins qu’il faille croire l’inverse et que le sacrifice d’Abraham est à l’origine de la naissance du bouddhisme qui est venu plus tard en Orient – ici il faudrait consulter les spécialistes).

Et ce chef d’État de tous les chefs d’états que je suis y compris de celui qui s’appelle Dieu qui est intervenu en 2005 et qui m’a alors rappelé qu’il était intervenu en 1975, ce qui m’a permis de faire fabriquer dans le passé, comme des petits pains, le système motorisé (pas seulement celui qui permet de faire baisser les stores) qui permet de monter les caisses pour soulager les déménageurs, en en donnant les principes à travers le temps, en me basant sur une échelle de pompier munie d’un petit ascenseur pour monter et descendre une plate-forme (à ne pas confondre avec le cas de la précédente du vieux patin-à-roulettes-camions), n’avait pas seulement de moyens financiers pour déménager lui-même, y compris pour faire face à des dépenses qu’il aurait le droit de faire dans l’Intérêt et pour le Bien Général[21]. De plus, ce qui est le plus malheureux - j’ai été expulsé de ce lieu qui a permis de sauver la planète depuis 1965 et depuis 1975 jusqu’à 1982 (de 2005 à 2012) alors que je demandais d’y rester en m’adressant pour cela en toute confiance à un chef d’Etat (sarkozy) qui me devait toute sa carrière y compris chacun des membres de son gouvernement que j’avais nommé du futur, puisque j’ai compris aussi que je ne pouvais rien changer du passé (pour me permettre d’intervenir, car si je suis intervenu c’est que j’étais absolument indigné et que ces personnes y avaient joué chacune leur rôle, ce qui ferait qu’à la longue, en raison de leurs erreurs, l’origine de mes réactions pour eux-mêmes en légitime défense de Notre Empire qui est le leur aussi, mais qu’ils ne se sont pas rendu compte (inconscients et incompétents) qu’ils trahissaient à certains moments, en se conduisant en irresponsables, ce qu’ils ont confirmé comme incompétents sur ce dossier précis bien que mes lettres étaient claires – peut-être ont-ils cru à un canular comme ont-ils eu peur, mais les efforts que j’ai pris ensuite et depuis devraient les mener à retrouver un peu de bon sens – il s’agit de gens âgés (qui ne sont plus dans le coup) et qui n’ont jamais su ce qu’est la politique ou même les véritables artistes qui sont leurs pharaons les connaissant chacun avant même qu’ils naissent (et croyant être plus qu’un pharaon qui n’est que pour eux – ce qu’il y a encore de vrai en eux) et qui n’a eu qu’à les nommer du futur pour que déjà ils fassent d’avance toutes les erreurs qui allaient être et avaient été à l’origine de mon indignation (puisque plus âgés ils ont cru se permettre d’être des mauvais exemples). Mais comme ces interventions étaient nécessaires pour éviter la reprise de la guerre en 1965 et 1975, il fallait bien que dans le tas des gens que j’ai nommé, il y ait ceux qui n’auraient pas le beau rôle dans l’Histoire puisqu’ils allaient me permettre de les inspecter en pharaon mécontent de leurs service et de sauver la situation (je les en remercie) et je signifiais à ce président du pays de mes ancêtres, la nécessité (car je ne disposais pas de fonds propres, bien qu’empereur depuis 1995 officiellement voulu par l’Ensemble) qu’il se devait d’avoir d’exproprier le lieu d’où je sauvais une nouvelle fois la planète, en raison d’un cas de force majeure (mon anneau immaculé de mariage qui est peut-être en correspondance avec un grand nombre d’autres anneaux dans les temps passés et futurs) pour le Bien et l’Intérêt général en ayant pris le soin de tout expliquer.

J’espère donc pouvoir compter sur votre aide, Monsieur le Cardinal, auprès de Monsieur Hollande, pour faire ce que je crois de notre devoir de faire dès que possible pour que ce lieu de la rue du Val de Grâce redevienne mon bureau pour ces communications à travers le temps vers la cuisine d’il y a trente ans où nous sommes en ce moment tous en ayant trente ans de moins, car si nous ne continuons pas à les faire, alors que nous avions la possibilité de le faire, et que s’était notre devoir à tous de continuer ce sauvetage du futur sur ces années qui, pour nous, ici sont lointaines, mais qui sont en réalité en ce moment même seulement à un étage plus bas, (comme dans la cuisine ou le laboratoire ou la cave ou les fondations), trente années avant, entrain de recommencer pour se charger d’élaborer notre époque[22] (de même qu’ici nous sommes la cuisine du futur), nous allons ici, dans les jours qui viennent, l’Ensemble, risquer sérieusement d’avoir tous à mourir, car nous n’aurons pas fait ce que nous devions faire pour « porter secours à nous-mêmes dans le passé, en danger » qui risquons à chaque instant la fin, bien que j’ai donné le calendrier et les noms des principaux chefs d’état (puisqu’ils avaient été) à mettre en place jusqu’à 2005-2012 (en cessant sur ce sujet pour le moment et pour les années qui viennent car enfin je suis en sécurité arrivé là où j’étais empereur dès 1965, 1975 et 2005 en ayant seulement plus qu’à m’occuper de ma santé et à me remettre de ces amnésies qui ont été particulièrement éprouvantes mais qui ont eu le mérite de créer cette indignation dès 1965) car il se pourrait que cela ne soit plus la peine pour les années à venir. De même que des personnes pouvant porter secours en haute montagne à des personnes à secourir meurent ou mourront de n’avoir pas cru de leur devoir de le faire – et je pèse mes mots : il y aurait eu « non assistance à personne en danger » et vous savez que c’est inscrit dans la loi française de tâcher de le faire (à moins qu’il s’agisse d’une personne qui fait semblant d’être en danger), quand c’est possible, et si des personnes sont payés pour être responsables dans l’administration également pour veiller à appliquer (c'est-à-dire donner les moyens à ceux qui ont compris la nécessité de le mettre en œuvre) ce point particulier, comme certains dans l’Eglise, y compris bénévolement qui se rendent utiles en ce sens, ou croient devoir le faire et qu’elles ne le font pas, comme des pompiers qui disposant du matériel n’iraient pas éteindre un feu, alors qu’il y en a un et qu’il y a les canadairs qui sont prévus pour cela, il est normal que ces personnes subissent les conséquences d’un état d’esprit médiocre ou minable qui compte sur les autres pour faire leur devoir de devenus égoïstes et irresponsables, y compris inconscients et donc dangereux pour eux-mêmes et pour l’Ensemble comme des mauvais exemple pour les petits (enfants).

Il est donc absolument certain et prouvé que si les pays occidentaux sont encore vert, et ne sont pas encore désertiques, c’est parce que dans les temps futurs les gens sont devenus végétariens[23] et ont compris, à partir d’un certain moment, leur intérêt à le devenir pour éviter que la planète ne meurt tout à fait et pour participer à la lutte contre le réchauffement planétaire et la propagation des déserts avec les moyens qui ont été créés à l’occasion de ces années où j’ai eu, en tant qu’empereur, à avoir l’honneur, avec ma femme légitime, de nous séparer, pour effectuer ce sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots), qui bien qu’ayant permis de construire un grand nombre de merveilles, bien plus intéressantes ou semblables au Taj Mahal[24], nous a causé bien des peines et du tort, car j’ai eu à devenir plusieurs fois profane, ce qui est une condition véritablement détestable (une fois qu’on en est sorti), ce qui a permis, à chaque fois, aux profanes qui espionnaient de vérifier qu’ils sont devenus aussi inconscients et insouciants y compris égoïstes que cela que seulement parce qu’ils n’ont pas voulu comprendre, avec leur contexte familiale, dès leur enfance, en vérité, et en conscience, chacune des choses étudiées pourtant par tous les hommes remarquables et de sciences, en ayant voulu se spécialiser ou se focaliser en des époques sans chauffage centrale sur des transgressions aussi anodines et bêtes que celles de regarder ce qu’il y a sous des vêtements (des choses que tous ont et qui n’ont rien de spécial, ni de provoquant, d’autant que cela est plutôt devenu courant sur les plages partout y compris dans tous les films) en ces époques ou le manque de transports en commun ne permettait pas de rejoindre ces plages et de trouver normal ce que toutes les générations depuis, qui ont eu accès en raison du socialisme aussi à la possibilité de nager dans les piscines publiques, trouvent normal y compris en ayant suivi à la télévision régulièrement les compétitions de natation. Des obsessions sexuelles qui engendrent des comportements sexuels qui sont devenus « transgressifs » en raison des films érotiques ou pornographiques qui sont véritablement dangereux pour la santé des enfants ou des parents qui s’y abreuvent sans formation audiovisuelle de très haute volée universitaire (en d’autre terme sans être devenu capable de mettre en scène des films ou des œuvres de théâtres ou des peintures ou comme seuls les aristocrates véritables, débarrassés de l’enfant gâté en eux avaient le droit de s’y intéresser notemment dans les objets collectionnés que les cabinets de curiosités offraient à eux et aux personnes choisies sans pour autant pécher de même que Goya a peint la Maja Desnuda sans pécher aucunement ou Rubens a peint le roi Henri IV et sa future femme plus ou moins nue alors que celui-ci est encore en armure) étant donné qu’il n’y a rien qui corresponde à la réalité que nous ayons à vivre et à laquelle l’ensemble des populations du monde entier soit confrontées et qui soit possible de vivre à notre époque soumise aux impératifs scolaires et professionnels, si ce n’est que comme des illusions ou des fantasmes ou des façons mensongères de se comporter entre personnes, car il s’agit de personnes ayant perdu le sens des réalités et des exigences que l’existence impose vis-à-vis de l’éducation des enfants ou vis-à-vis des autres peuples puisque ces relations sexuelles dépourvues d’amour véritable sont entre des personnes qui ne cherchant pas l’amour véritable, en font des rapports dénués de sentiments et de devoirs vis-à-vis de l’autre (alors que la notion de devoir est devenue fondamentale y compris fondatrice : « nous devons ») et en cela des rapports sexués de devenus égoïstes qui sont donc transgressifs par rapport aux devoirs qu’on se doit aux conséquences, à ses enfants de ne pas perdre ses énergies et ses forces vitales à ne pas essayer de contenter l’autre aussi sur le plan des avancées spirituelles (l’autre différent, n’ayant d’intérêt que pour avancer dans cette catégorie là aussi et à se sortir du profane). C’est ce qui reste hélas de ces « nuit des temps » ou d’éducations données par des personnes devenues ignorantes, au mauvais sens de ce mot, qui n’ont pas pu comprendre qu’elles avaient des « devoirs » de parents au service de la formation d’esprits à « élever » qui auraient des responsabilités, ce qui va de soi, en ayant à se préparer avec quelqu’un pour se marier à cette fin (tant que le mariage sera considéré comme la solution élégante permettant d’être au service de la génération suivante et de celle d’après ou/et pouvoir l’approcher ou être l’objet de ses soins).

C’est que la condition de profane  ne leur a pas permis de comprendre des notions multi dimensionnelles et cosmiques qui concernent pourtant le mot d’« amour » avec, par conséquent, la possibilité aussi de comprendre que des sacrifices personnels individuels qu’on s’impose a soi-même et qui sont injustes d’un point de vue animal y compris incompréhensibles, étant donné qu’ils sont vraiment pénibles, voire inconcevables à soi-même dans la situation de profane et que cela va permettre de rejoindre le statut d’être humain qui saura distinguer le Bien du mal en se débarrassant de ses préjugés, des mensonges, de tout ce qui n’est pas vrai, mais cela fait quitter le monde des profanes et des égoïstes puisqu’on ne se comporte plus alors qu’en artistes véritables capables de comprendre alors ceux qui sont différents et aussi de se mettre à la place de chacune des personnes qui souffrent y compris les animaux ou ceux qui sont encore des égoïstes (mais hélas on découvre alors que les autres ne sont pas encore capables de cette façon élémentaire d’être, nouvelle, emmurés et prisonniers de leur respectifs égoïsmes d’enfants-gâtés non encore délivrés).

Ce sont donc les sacrifices qui sont durs pour soi-même à faire qui sont donc les seuls qui, dans tous les temps, ont marché (les autres qui font souffrir des ou un anima(l)ux pacifiques et inoffensifs ou un être humain ne fonctionnent d’aucune façon et s’ils ont marché à de certaines occasions c’est en raison de la loi de la probabilité qui donnait une chance sur deux que cela marche ou pas avec ou pas le sacrifice. Ils étaient donc faits par des très minables et très charlatans, des usurpateurs, des tricheurs qui ont abusé de la crédulité des gens et non en personnes véritablement scientifiques et prophètes qui s’appuient sur des milliards de paramètres et plus encore à l’infini avant d’affirmer qu’une chose est vraie ou fausse à propos des sacrifices ou des vérités prouvées grâce à la quantité d’expériences qui le prouve, comme ici).

Car nous ne pouvions que faire que ce que nous nous devions en conscience de continuer à faire et c’est pourquoi j’avais demandé au président sarkozy et à ses ministres – mais j’ai pu vérifié sur moi-même qu’un devenu profane ne sait même plus lire et ne fait que semblant ou alors s’il arrive à lire il n’arrive pas à comprendre tout ce que le texte qu’il a lu ou écrit en faisant semblant induit - d’intervenir pour exproprier ce lieu d’habitation où je vivais en expliquant la situation pour que je n’ai pas à vivre les jours de l’expulsion d’un lieu d’Intérêt autant universel que cela, en raison des conséquences positives de mes communications à travers le temps ayant permis de bâtir notre époque y compris les suivantes. Elle serait plus sûrement bâtie pour être celle qu’elle est, plus facilement, dès que je pourrais reprendre ces communications à l’adresse en question du 12 rue du Val de Grâce, pour faciliter les transmissions concernant un certain nombre de points que je n’ai pu, pour l’instant, qu’effleurer et dont les personnes que nous sommes, il y a trente ans, et que nous continuons à être là où nous sommes, chacun en ce moment, il y a trente ans (à des endroits très précis que nous avons chacun quelque part dans notre mémoire aussi), auraient bien besoin de connaître pour bénéficier d’un sérieux coup de pouce supplémentaire pour leur/nous permettre d’accomplir tout ce qui va les (nous) entourer dans les années qui viennent (qui seront les années que nous vivons en ce moment – confirmée peut-être par nos descendants qui constatent que cette histoire n’a pas fait chômer tout le monde et en confirmant qu’il y a eu parfois, à certain moment, des gens géniaux). Nous comprenons mieux en nous souvenant de l’époque d’il y a trente ans que, sans cette providentielle aide du futur, jamais l’humanité ne serait parvenue à trouver les solutions élégantes, ne serait-ce que pour les écrans plats en couleurs ou les LED, le GPS, Internet, etc, si je n’avais pas été ainsi contraint par l’Ensemble, dès 1965, parce que j’étais empereur et que je devais me marier (donc de penser à faire dans la réalité – le quotidien - le bonheur des enfants – puisque mon existence a été placée sous le signe du travail et d’avoir à s’ingénier pour participer à des animations ou à des activités éducatives autres que seulement érotiques et pornographiques), avant même d’y être, à faire ce qu’on appelait autrefois une forme d’espionnage industriel du futur alors que je n’y étais pas encore en chair et en os mais seulement en virtuel (et que tous m’y ont découvert dans le ciel au cours de ces communications à travers le temps, à partir de 2005, vers les années 1975). De nos jours, j’ai fait des photos qui permettent de vérifier effectivement qu’il y a comme des immensités dans le ciel qui, virtuelles, pour l’instant nous surveillent déjà du futur et qui sont peut-être nos enfants et nos petits enfants).

Car il y a du point de vue de ces virtualités et de ces descendants, les impératrices qui doivent se marier avec moi devant Dieu (qui ne quitte plus notre chambre et pour qui ce qui se passe signifie peut-être, à son échelle, des choses précises qu’il ne peut pas pour l’instant me dévoiler étant donné que je suis espionné de l’intérieur par les empereurs (et de la vieille salle des machines) tandis que j’écris ce texte y compris peut-être autrement, mais je ne sais pas encore exactement comment, bien que tous aient pu vérifier qu’en intervenant ici avant d’y être j’ai pris en considération tous les mouvements qui pouvaient avoir eu lieu (dans n’importe lesquelles des dimensions connues et supposées inconnues de moi) dans la vieille salle des machines y compris tous les mensonges ou l’usage de celle-ci qui en a été fait contre l’Intérêt et contre le Bien Général des générations à venir). Dieu veut cependant être témoin de toutes ces miennes écritures et d’une certaine façon il les écrit avec moi, tout en les écrivant avec chacun des empereurs précédents – alors où était donc le problème entre Dieu et le Diable ? Dites-moi, Monsieur le cardinal ? N’y avait-il pas eu un faux problème, basé sur bien des malentendus au sujet de qui pouvait bien être Dieu ou le Grand Architecte de l’Univers, basé sur des calomnies, des mensonges qui circulaient, des vérités relatives ou même des préjugés : rien qu’une fausse approche de ces notions comme de la situation générale auparavant qui en a résulté avec des positions bien sectaires et tout compte faits d’ignorants, au mauvais sens de ce mot? 

Mais vous le savez je suis aussi devenu un artiste - depuis 1965, avec quelques interruptions – assez longues - en raison de l’amnésie, (l’état de profane), qui, j’ai vérifié, ne permet plus ni de dessiner, ni d’écrire, ni de compter, ni même de réfléchir en vérité, ni même de comprendre vraiment la peinture ou les dessins animés y compris les bandes dessinées – c’est un véritable désastre et pourtant dans l’état en question on cherche cependant à devenir un « artiste », ce qui est drôle, car dans le meilleur des cas, on devient alors, comme moi, un artiste profane (ainsi fort de toutes les années où on est devenu un profane).

Mais je suis devenu un artiste plutôt rare qui a pu vérifier qu’en devenant profane on s’ennuie avec les œuvres d’art qu’on ne comprend plus y compris la beauté qui en émane. C’est que le profane perd aussi la notion d’espace, donc de distance, au sens où celui-ci permet de calculer exactement un volume et les distances et d’en comprendre les possibilités, d’où l’importance de la sculpture qui va permettre d’approcher la perspective (mais seulement après, bien après). Le profane c’est malheureusement la cécité et la surdité y compris l’insensibilité aussi et cela signifie l’absence de cœur et l’égoïsme. L’architecture n’intéresse pas le profane qui pourtant en profite depuis l’enfance, puisqu’il y en a qui ont accès à une chambre qui est la leur, et il fait semblant de s’y connaître et c’est pourquoi il ne peut pas se rendre compte de ce que représente pour les initiés, le monde tel qu’il était ordonné, géré et organisé par leurs soins, sans disposer de la vieille salle des machines ni de la vision d’Atlantide, un monde pourtant admirable à certains endroits où on s’est donné un peu plus de mal qu’à d’autres. Il s’agit donc du monde dans lequel même les traits les plus sombres ou noirs ne sont que des couleurs comme l’avaient affirmé justement les impressionnistes, mais déjà d’une autre manière les réalisateurs des vitraux. J’ai pu trouver un instant l’autre nuit pour faire le tour de Notre-Dame (il y a des restaurations à faire et des sculptures ou des bas-reliefs à l’extérieur admirables qui sont sales). Si vous ne parvenez pas à voir chacune des choses qu’il y a à faire restaurer, pour Dieu sait quelles raisons, j’ai la chance de voir assez rapidement ce qu’il y a à faire en priorité et je puis vous être utile. Mais pour l’état de l’humidité des parois ou des plafonds (ce qui permet de voir, assez régulièrement, en filigrane Atlantide dans les parties dégradées, comme en marchant sur les sentiers recouverts de graviers ou de sables (Jean Dubuffet s’en était rendu compte) par les effets d’agglomérations et de dégradés de l’humidité y compris sur ces plafonds dans certaines chapelles ou à l’occasion des pluies ou de la neige qui tombe sur les trottoirs, il ne faut pas hésiter à faire disparaître ces filigranes ou preuves toutes semblables d’Atlantide (qui n’a en fait aucun intérêt puisqu’elle est finalement partout la même en raison d’un processus fractal lié à l’existence de ce variateur qui a depuis longtemps rendu certain la bande qui en a hérité qu’il n’y a pas une chose en ce monde qui soit d’une beauté absolue y compris tout ce qu’affirmait « laid » ou « affreux » les autres qui, ne voyant pas ou ne sachant pas qu’Atlantide existait sur tous les déchets ou dans les pelures de pomme de terre, trouvaient réellement laid les ordures et la pourriture, ce qui n’a jamais été le cas pour ceux qui avaient accès à la vieille salle des machines y compris pour la pourriture, au point que se sentir traiter de cela n’a pas représenté pour eux vraiment une insulte puisqu’ils ne savent pas ce qui peut être beau de ce qui est laid (ayant fait disparaître le beau pour contraindre certains parmi les autres à trouver beau ce qui était laid – ils ont donc été contraint de faire semblant de trouver laid ce qui était véritablement laid ou affreux pour les autres – la pourriture, les dégradations que l’eau cause aux plafonds – des choses qui ne vont leur coûter aucun efforts d’intellectuels à réparer (un coup de pinceau – ce à quoi on aboutit seulement quand on est un dégradé – c’est pourquoi ils ont toujours eu de la considération pour les grands peintres – « toi aussi tu peints » ne faisant pas encore la différence entre l’artisan-peintre en bâtiment et l’artiste-peintre – bien qu’il va y avoir l’embarras du choix et une concurrence entre eux à cause de la quantité de gens qui ont atteint ces capacités élémentaires qu’on retrouve avec joie les week end) et qui sont donc à la portée de personnes ayant refusé, pour des raisons locales, de se mettre dans les bonnes conditions pour se préparer à être digne d’entrer à l’Ecole (avec un grand « E ») pour y faire un vrai jardin d’enfant, puisqu’ils ont décidé, eux, de n’y aller seulement que pour y rencontrer des futurs voyous avec des intentions profanes (déjà de fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))) d’échangistes ou de futurs pornographes y compris de macros, donc de « pécheurs » (les autres y allant dans un tout autre état d’esprit pour sauver de la ruine ces murs et ces revêtements de peintures ou parfois les fresques qui ornent l’intérieur de ces chapelles endommagées et qui commencent à être attaquées par ces infiltrations d’eau. Peut-être que quand c’est vraiment très endommagé, au point de faire apparaître un peu la vision d’Atlantide autant que cela, dans certains cas, on peut songer à l’y laisser à ces endroits, en trouvant néanmoins un moyen pour éviter que ces pierres ou ces plafonds ne tombent encore plus en ruine.


Ce qu’il y a de difficile à comprendre pour le profane c’est quand le référant est ailleurs (dans ce qui n’est pas expliqué) et c’est bien cela qui est génial dans la messe car sinon on se dit que le prêtre est fou – j’ai vérifié, en tant que profane même autrement, certains moments de la messe paraissent incohérents à certains – Or, j’ai vérifié aussi, pour peu qu’on se débarrasse de son égoïsme, de son état de profane et de son état d’enfant-gâté, la messe ne l’est pas du tout incohérente et même est très cohérente, chaque instant trouve une raison d’être en absolu, est pourvu d’un sens, mais d’une cohérence et d’une logique qui est très difficile à comprendre si on n’est pas de ceux capables de se hausser au niveau de ces spécialistes ou au moins de ceux qui veulent s’y initier (aussi le profane ou l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, peut considérer ce qu’il ne connaît pas, comme Dieu ou le GAU, comme une menace ou une chose étrangère – c’est bien le problème de l’esprit local ou prisonnier de la localité, la difficulté d’accueillir et d’essayer de comprendre ce qui est différent ou métis ou ce qui n’est pas dans les habitudes y compris culinairement. Pourtant il fait encore une fois ici preuve d’incohérence puisqu’il ne cesse de zapper d’une chaîne à l’autre pour découvrir des choses qui proviennent de l’étranger ou de personnes étrangère à lui-même (peut-être même l’un de ses voisins qui a comme spécialité la réalisation de film. A ce moment là il ne se méfie pas de l’étranger car c’est sur l’écran ou dans le livre ou à la radio et ces éléments font partis de « son » chez soi et comme on le prévient qu’il s’agit d’une fiction ou d’une des catégories, il est alors certain que le livre est bien un livre « de genre », etc. ce qui est le cas. C’est pourquoi nous n’arrivons pas à comprendre pourquoi se problème vis-à-vis de « l’étranger » qui souvent est l’auteur du livre ou du film ou du tableau. Mais nous avons prévu de traiter ailleurs le sujet).

Je ne m’ennuie jamais car j’ai à travailler, à me parfaire dans chacun des domaines que je ne fais que commencer seulement à connaître ou à comprendre assez bien comme quand j’ai à réfléchir – je ne suis jamais seul avec mes innombrables moi-même et l’ensemble des informations engrangées tous les jours, à chaque instant depuis que je suis petit et je ne m’ennuie jamais à écrire mais si les gens ne font pas une œuvre avec leur vie, ils ne sont pas intéressants à mes yeux comme s’ils n’arrivent pas à me faire découvrir de nombreuses choses nouvelles qui vont me permettre d’apprendre et ils m'ennuient d'autant plus qu'ils ne sont pas comme moi à m’inquiéter de ce qui se passe il y a trente ans et dans le futur. En général, leur vie se répète et si je n'ai pas découvert qu'ils ont progressé dans le bon sens en se renouvelant ou en explorant à chaque fois une nouvelle catégorie à travers leurs œuvres et qu’ils se répètent, alors ils m’ennuient. S'il ne tenait qu'à moi, je me marierai donc avec chacune des femmes séduisante du genre Lauren Bacall qui a une spécialité qu’elle maîtrise dans un art au moins une heure ou deux, mais après, compte tenu de ce qui m’est arrivé et du fait que j’ai dû sacrifier mon espoir de pouvoir entretenir une existence monogame, comme celle de mes parents, pour jouer à être un papa, j'espère donc tout de suite trouver d'autres inspiratrices et d'autres muses, puisque l’Ensemble a contraint ma personne à interdire à l’empereur d’avoir une seule et unique épouse : sa légitime – c’est donc d’une certaine façon le mariage d’un don Juan un peu spécial que nous préparons – comme un enterrement de l’adolescent ou d’une vie de profane, monseigneur - au point qu’on a envie, à cause de cette injustice faite à la monogamie, de se marier en Chérubin avec chacune des belles femmes qui semblent nous faire des signes dans chacun des portraits peints qui sont arrivés jusqu’à nous de ces lointaines époques, quand elles ont fini chacune par devenir une de ces œuvres d'art admirables, peinte ou sculptée ou depuis qu'elles se sont mises à devenir elles-mêmes des mères d’artistes ou d’homme et de femmes de sciences exactes à part entière notemment depuis la libération de la femme, le féminisme aidant – ce que j’approuve plus ou moins selon les cas - car il y a toujours toutes celles qui sont conservatrices (et il se pourrait que Michèle, malgré tous ses diplômes et le temps qu’elle a passé avec moi soit demeurée conservatrice à propos du rôle de la femme (en 2017, je ne crois pas), ce qui a été le cas de toutes les femmes non suffisemment instruites et ayant eu des enfances d’enfant-gâtées par des mères elle-même peu instruites, ayant besoin de leurs filles pour conserver près d’elles leurs maris qui n’y restaient donc pas pour des raisons d’honneur ou en raison de sentiments de devoir, mais parce que les pères tombaient amoureux de leurs filles comme les mères de leurs garçons, ce qui est, somme toute, très juste et normal mais qui par rapport à la sophistication des civilisations actuelles et leur complexité techniques et technologiques demeure puéril).

Il faudrait lire ici mes quelques notes sur la jalousie, un tout début de réflexion à ce sujet, comme pour les autres textes - ci-joint - qui exigeront de plus amples travaux ultérieurs pour leurs développements. Ce côté don Juan que j’ai ici à l’instant, pour certains, puisque j’évoque plusieurs épouses et même l’envie de se marier à tout bout de champ, en raison de la beauté des jeunes filles (mes devoirs envers mes premières femmes légitimes m’empêchent pour l’instant de m’intéresser aux mariages ultérieurs), ce sont des répercussions de ce qui se passe en ce moment pour moi en 1982 – j’y ai dix neuf ans - sur la même ligne de temps, y compris de ce qui se passe en 1972 - mais vous comprendrez que ce qui m'importe c'est de trouver des impératrices qui puissent s’occuper d’un héritier à élever, pour en faire un jour un empereur, si possible, qui puisse relever le défi qu’il y aura alors en terme de chiffre et de décisions à prendre (qui sache donc être tolérant avec toutes les religions y compris l’existence des ignorants, au mauvais sens de ce mot, s’il devait y en avoir encore à ce moment là et qui ait le goût de l’étude) et prendre la suite de l’évolution de l’empire au niveau où nous l’aurons porté là-bas quand j’aurais à me reposer sur lui, car il va falloir alors, en raison de la quantité de gens à bord, en raison de ce qui s’est passé, veiller à l’éducation des petits (enfants) qui seront à ce moment là, pour leur faire passer l’envie d’être seulement des ignorants, au mauvais sens de ce mot, de ceux qui n’ont envie que de se battre physiquement,  pour leur donner envie de chercher à se battre à travers des écrits toujours plus justes et toujours plus intelligents et donc j’aimerais aider à former un empereur digne d’être de son grand-père et de sa grand-mère (mon père et ma mère) de l’empire, l’héritier. Un empire transmis à une époque qui aura beaucoup changé en raison d’Internet, de l’habitude de l’utilisation des ordinateurs et de la visiophonie ou d’autres nouveautés. Un empereur digne aussi de celui que nous serons devenu quand nous serons alors âgé et qui pourrait bénéficier peut-être, grâce à toute cette histoire, d'un père exemplaire et de bons conseils pour se conduire le mieux possible, y compris envers sa future femme qui déjà est de notre point-de vue, comme toutes les petites filles, une arrière-arrière grand-mère ailleurs dans le temps et qui sera peut-être petit bébé et petite fille, quand celui-ci naîtra et grandira. Du temps de mon père et de ma mère, on se mariait pour toujours à une seule et même femme (ce qui est parfois, dans certains cas, beaucoup comme nombre « une seule femme » pour parler de sa femme qui parfois met au monde une fille et des enfants : une femme cela signifie donc la virtualité de plusieurs personnes qui sont chacune vingt cinq à trente personnes très légèrement différentes à chacune des secondes durant toute leur existence, si on les filme avec une caméra (cela fait donc beaucoup de monde, l’autre, et on comprend que chacun soit peuplé de souvenirs personnels différents comme on comprend les grands peintres).

Aussi le nombre d'épouse que je vais devoir avoir va permettre – faut-il l’espérer ? - de débloquer la situation puisque tout le monde pourra bien constater que je ne ressemble à rien de prévu car ce qui était cru à mon sujet provenait de personnes accrochés à des préjugés, ou à des traditions qui dans mon cas, en raison de l’époque, s’avèreraient néfastes pour l’Empire. Je ne ressemble à aucun des empereurs me précédant puisque je suis le premier à avoir construit du futur le passé et les années à venir à cause de l’Ensemble qui, en m’interdisant aussi longtemps que cela d’avoir accès à ma femme légitime (même si seulement [comme] ma petite sœur), m’a contraint à ne plus connaître la jalousie ni même le sentiment de propriété (en ce qui concerne ma (mes) femme(s)). Il s’agissait de toute façon d’une maladie qui rejoint celle de l’espionite et qui a donc à voir avec des personnes étant, à cause de la situation générale, prisonniers les uns des autres. On le voit bien avec l’engouement des cadenas qui ornent les ponts : on cherche, comme disait la chanson « une prison d’amour et sa belle geôlière », donc une forme d’esclavage dans les rapports amoureux. Je crois que si c’est vrai et peut-être beau jusqu’à un certain stade et que ces cadenas sont d’une certaine façon bien jolis à voir pour parler d’un couple, on ne peut pas réduire l’anneau de mariage à cette fermeture sur l’autre ou à cette exclusion. Une relation d’amour qui rend esclave n’ai pas une relation saine car elle n’a pas permis de rendre l’autre indépendant, de s’ouvrir sur les autres pour essayer de les aider. C’est l’objectif même de la création d’une famille de faire en sorte que cela permette un jour à un enfant ou plusieurs de devenir indépendants.

D’autre part comme je ne me suis découvert aucun rival nulle part, dans mes dimensions – et le monde a été témoin et averti qu’elles sont assez exceptionnelles - en raison de tout ce que j'ai accompli d’extraordinaire, je ne vois pas de qui je devrais être jaloux, ou quel garçon ou de quel homme qui fréquenterait une de mes femmes légitimes ou à rendre légitime par des fiançailles et par un mariage. Aussi, je suis d'avance heureux de connaître les amants ou les maris ou les concubins de ces femmes que je voudrais peut-être épouser officiellement (mais peut-être pas nécessaire), à la suite d'un parcours canonique, pour chacune d'entre elles, qui devrait les mener à genoux devant la Sainte Vierge Marie et devant son fils Jésus-Christ, y compris devant Saint-Pierre et Saint-Paul, en étant chacune enfin capable de comprendre ces personnes qui leur ont donné leur vie, avec bien d’autres semblables, pour qu’elles n’aient plus à « faire semblant » ou à mentir comme beaucoup d’épouses d’empereurs ou de dignitaires profanes, laïcs, athées, en fait des ignorants, au bon comme au mauvais sens de ces mots, qui en raison de leur ignorance se sont exclues en profanes.

Après un tel sacrifice accompli pour sauver la Vie et l’empire, je ne crois plus possible que les êtres humains ne demeurent que des profanes ou des sacrilèges ou des ignorants au mauvais sens de ce mot. Ce n’est pas bon de vouloir s’exclure ou cracher méchemment sur tous ceux qui vous ont permis de survivre ou d’avoir la vie sauve à partir de 1965 tous les jours en ayant de quoi survivre et en vous permettant d’accéder aux divers biens de consommations qui ont finalement permis d’ériger une sorte de grand village commun planétaire dans lequel on parle plusieurs langues. Bien sûr,  je n’ai pas de mérite de croire en ces personnes connues car elles se sont manifestées un instant dans ma chambre vers 2005 : Jésus et Saint-Pierre sont passés rapidement dans l’invisible dans ma chambre, vers 2006 - mais je n'ai pas eu du temps de m'entretenir avec eux, ni avec André Breton qui suivait ces personnes que je n’ai pas pu voir mais qui voulaient s’entretenir avec moi dans l’invisible. J’étais trop fatigué par une de ces journées de communication à travers le temps et si maintenant je m’en veux un peu de ne pas leur avoir fait honneur, il faut comprendre que ces communications à travers le temps duraient depuis avril 2005 tous les jours, dans l’état décrit plus haut, comme un véritable Chemin de Croix jusqu’à aujourd’hui, bien qu’en raison du fait qu’on les a crucifié injustement, il y a deux mille ans, ce Chemin de Croix ne peut plus finir par la crucifixion car tous les hommes et les femmes de bonne volonté ou appartenant à la religion chrétienne ont, depuis leur baptême des vies parfois très pénibles, puisqu’ils ne sont plus profanes et qu’ils ont bien compris que ce qui a été dit par Jésus sont des messages et des enseignements qui ont permis de sauver beaucoup de monde et de préparer chacun à après la mort. Aussi je me suis conduit cette nuit là comme un des soldats peints par Piero della Francesca devant le tombeau du Christ, en préférant m’endormir. J’étais exténué, d’autant plus que cela devait continuer tous les jours, dès le matin suivant, sans la moindre aide pour me faire à manger ou pour faire les courses jusqu’à aujourd’hui, en 2013 - ou alors si peu – (au moins en 1965 et à partir de 1975, j’avais autour de moi des personnes qui s’occupaient de ces choses matérielles (ce qui me permettait d’inventer sans cesse), ce qui me permettait aussi d’aller à l’Ecole ou à l’Université en ayant à m’occuper du futur, tant que j’étais conscient). Cela signifie que ces grandes figures comme de nombreux morts sont bien au Paradis et sont parfois dans l’invisible autour de nous et/ou nous voient avec les autres saints et les martyrs de tous les temps, y compris les disparus et qu’ils n’ont que perdu pour l’instant que leur enveloppe charnelle. C’est sur cette nouvelle découverte que j’ai pensé important poursuivre mes recherches dans l’intérêt que j’avais manifesté enfant pour la religion chrétienne et l’Eglise puisque les fondateurs de cette religion eux-mêmes mais aussi du surréalisme, ce qui est drôle (en raison d’un texte que j’ai écrit après sa disparition, au moment de la vente aux enchères des objets du parcours de la vie d'André Breton), une autre forme de religion, donc, se sont manifestés de l’au-delà.

Cela s’est passé quand nous avons été contraints dans ces années-là de nous contraindre nous-mêmes dans le passé à effectuer ce sacrifice de notre séparation avec ma femme légitime, comme si celui-ci avait été reconnu officiellement au Paradis dans l’Intérêt de tous par le patron de cet univers qui existe donc.

Entre un homme et une femme, il y a comme un véritable anneau quand on veut construire une famille, alors comment pouvoir accepter une situation aussi nouvelle (plusieurs femmes légitimes) et aussi peu orthodoxe par rapport aux lois anciennes et ancestrales du mariage? C'est, monsieur le Cardinal, à première vue un scandale ou du moins pour ceux qui ne connaissent pas bien la religion chrétienne et qui ont des préjugés à son sujet ou qui savent qu’elle a toujours conseillé la monogamie. Pourtant, il y a eu le cas d’une personne qui a eu à devoir changer de femme et cela a provoqué comme un schisme. Depuis la religion anglicane permet le divorce. Or, je crois qu’on se marie avec une personne pour la vie et que divorcer cela représente une forme d’échec, bien que cela puisse se transformer avec les années en « amitié de loin ». Ma situation est celle d’une personne qui veut demeurer fidèle à ces personnes qui ont joué un rôle très important pour sauver la situation générale durant toutes ces années où je fus amnésique. Je n’aime pas renier ou faire du mal et quand j’ai compris que Christine ne voulait pas se venger et avait eu des réticences pour redevenir l’unique impératrice quand j’ai décidé de mettre un terme à notre sacrifice en 2011, (mais cela contraignait à annuler son mariage) et que cela pouvait rendre malheureux le mari de Christine (que j’aurais récupéré) comme Michèle peut-être inconsolable (étant donné qu’à ce moment là les fiançailles étaient rompue sans l’intention d’en avoir de nouvelles), j’ai trouvé tout cela dommage et c’est pourquoi en écrivant la lettre au Pape, la solution élégante de deux épouses est apparue possible car Christine, visiblement, ne voulait pas faire de mal à Michèle et avait renoncé à l’empire, en tant qu’impératrice légitime. Aussi c’est à la seule condition que Christine accepte d’être réintégrée dans ses fonctions d’impératrice que Michèle serait un jour impératrice. Depuis (mais plus récemment) l’impératrice Florence Loewy est apparue comme la troisième épouse (je vous l’ai dit) légitime. Donc des points de mariages qui sont chacun avec un sens précis et qui sont à poser dans le temps et dans l’espace dans la très vaste "Cité Interdite" de notre empire.  

Les temps ont changé et les fondateurs de cette religion chrétienne comme les fondateurs, nous l’avons vu, à première vu disparus des différents mouvements ou univers artistiques comme le surréalisme (mais cela signifie aussi le cubisme, l’impressionnisme, le pointillisme, etc.) suivent peut-être nos histoire d’amour ou nos vies de là où ils sont ainsi que le problème qui s’était posé et ils ont bien vu, tout comme Dieu, que je n’ai pas pu faire autrement (et qu’au lieu de réagir comme ils l’auraient certainement fait j’ai choisi une façon de faire qui est celle de l’homo sapiens sapiens et peut-être encore une fois sapiens) – au point qu’on puisse croire que celui-ci est devenu un imbécile – sans qu’aucun ne se soit opposé à cette idée pour moi de plusieurs femmes légitimes, bien qu’en raison de la situation générale devenues aux yeux de certains de « vieilles occases » chacune.

Il faut aussi remarquer qu’à notre époque, il y a des web cam que je me propose de mettre un peu partout dans chacune des chambres, car ne faisant rien de mal et n’ayant rien à me reprocher, je n'ai l'intention de ne tromper aucune de mes impératrices, ni de leur cacher rien comme à ma mère, à ma sœur ou à mes frères ainés de mes affaires sentimentales et/ou sexuelles, car j’ai pu montrer que c'est bien cette façon de faire (à se cacher des choses en profitant de façon perverse et transgressive de l’architecture, de ses portes ou de ses chambres) qui a, entre les uns et les autres, amené certains, à devoir se « cacher », par pudeur, ce qui a créé le « pécher » des autres qui ont voulu voir ce qui leur était déconseillé d’autant plus du froid dans certains pays.

Ils en sont venus à espionner en devenus égoïstes et paranoïaques et à ne pas respecter ceux qui travaillent sérieusement pour eux-mêmes et tout le monde, puisque les dépenses qu’ils font permettent aux autres d’avoir des activités honnêtes. C’est à cause de bien des malentendus ancestraux que le désir de s’approprier ce qui n’est pas à soi (la femme de l’autre), donc à transgresser les interdits sont devenus une réalité et vous comprendrez, qu’après ce que j’ai vécu, ou j’ai été contraint de montrer si longtemps comment on devient profane et égoïste, au point de ne pas se comporter en futur père de famille responsable, mais en une sorte de parodie, c'est-à-dire en adolescent ou en enfant-gâté, nullement digne d’être en présence de petits enfants, je n'ai nulle intention de pécher supplémentairement en me mettant hors des lois en ayant droit, en tant qu’empereur, à plusieurs mariage. La démarche que je fais est inverse puisque c’est pour continuer à être le frère en moi que j’avais eu à renier puisqu’en me permettant de retrouver ma mémoire, Dieu, m’a permis de retrouver ma petite sœur Christine à qui j’étais promis petit et pour qui je m’étais incarné (cela signifie que je n’ai pu embrassé ou m’intéresser à une autre fille que seulement parce que j’avais été rendu amnésique, sinon, bien évidemment, je n’aurais jamais osé sans sa permission me conduire malhonnêtement ou déloyalement ou lui cacher quoi que ce soit). C’est quand j’ai compris cela en 2005 que j’ai compris qu’il fallait rompre mes fiançailles avec Michèle. Mais je ne savais pas encore à ce moment là que j’avais été contraint de subir ce que j’aurais à subir à partir de 1977, amnésique. J’étais de plus très blessé qu’elle m’ait caché tout ce qu’elle savait sur cette histoire alors que j’ai eu périodiquement à en souffrir. J’ai fait plusieurs tests pour vérifier qu’elle était bien au courant de ce sacrifice pour elle que j’avais été contraint de faire. Je ne savais pas que Michèle avait été contrainte de « faire semblant » et qu’elle était sur certains points encore profane, car pour moi on s’était fiancé avec un anneau provenant de ma famille (un anneau sacré) et cela avait commencé à signifier des choses importantes. Elle n’avait peut-être pas pu se rendre compte des efforts que je faisais, toujours plus, pour me rendre « mariable ».

En retrouvant Christine, j’ai pu cesser de me chercher car j’ai retrouvé la mémoire y compris de ce que j’avais été enfant (car l’histoire allait recommencer du point de vue quarante année après) et de comment j’avais toujours considéré les femmes et les jeunes filles et d’un seul coup tous mes comportements de profane ou d’aliéné à des inepties se sont envolés car je me suis souvenu qu’enfant, le mariage de mes parents, comme plus tard, c’était une chose à laquelle j’avais cru. Aussi j’ai cru de nouveau au mariage et c’est pourquoi la Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale s’est faite sous le signe de l’anneau de mariage, car je n’ignorai pas que jour après jour, en 1965 et 1975, il y avait des mariages qui avaient lieu, donc des enfants qui viendraient au monde (dont certains ne sont pas encore nés car nous sommes en 1983 et 1973 et pas encore en 1984 ni en 1974, à cette heure-ci où j’écris ce texte en 2013 – ce qui signifie que ces personnes qui ont peut-être connaissance de ce texte ici alors qu’ils ne sont pas encore nés auront certainement à changer d’attitudes comme à confirmer certaines choses dans les jours qui viendront – j’ai donc l’espoir qu’ils décideront une bonne fois pour toute de changer puisqu’ils auront pu vérifier eux-mêmes qu’ils étaient au courant de l’existence de ce texte avant leur naissance et que j’ai fait en sorte avec Christine, par ce sacrifice de contribuer à leur sauvetage), dont certains étaient peut-être déjà apparentés à ma famille, en raison de la naissance de mes neveux et nièces qui sont venus comme annoncés du futur avant de naître. J’étais donc dans un état assez particulier après la rupture de ces fiançailles car je n’avais plus besoin d’aucune femme à mes côtés, si ce n’est que j’étais heureux de faire le bonheur des autres, ce qui est l’état d’esprit d’une personne qui fait comme si elle devait se marier ou qui est heureux à cette idée (mais je n’avais pas le temps en 2007 de me demander avec qui mais comme je me savais en 1967 en même temps, je me suis mis dans cet état d’esprit d’enfant qui comprend qu’il doit accepter de faire sa scolarité à cette fin, aussi cela a rendu plus facile la Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale à travers le temps, car je me suis souvenu que plus j’avançai jour après jour en la dictant trente ans avant du ciel, plus il s’agissait en effet de toutes les idées que j’avais eu en commençant ma scolarité quarante ans avant, à partir de l’état des programmes scolaire de l’époque). Cette idée de faire le bonheur des gens un peu contre eux-mêmes en raison du fait qu’on est des personnes ayant bénéficié de l’instruction et de savoir faire est un comportement que j’avais commencé à apprécier en qualité de profane, à partir du moment où j’ai commencé à faire des mini-petits chefs-d’œuvre sous forme de films, de peinture ou de vidéos montées, aussi je m’en suis donné à cœur joie en agissant sur l’époque qui commençait dans les années 1975 car je découvrais que cela avait été tout du long de leur vie l’état d’esprit de mes parents et c’est pourquoi j’avais enfant pris exemple sur eux continuellement et que je comprenais que j’avais essayé au cours de mes fiançailles avec Michèle de reproduire cette façon de vivre que j’avais considéré enfant comme admirable. Cela avait donc abouti à de nouveau mon anneau de mariage et à l’intervention de celui qui disait s’appeler Dieu.

Je n’ai donc pas sur le moment pensé à récupérer Christine car la sachant mariée mon premier mouvement était d’être très heureux pour elle et de lui faire un dessin pour elle et son mari. Mais ce n’est que quand j’ai compris que personne n’avaient les bonnes réactions (alors que tous semblaient suivre ce qui se passait chez moi) que j’ai compris que si nous poursuivions, ce sacrifice pourrait être dangereux d’autant plus qu’ayant découvert qu’un profane est complètement perdu et comprend sans comprendre vraiment, je me suis interdit d’en profiter car cela n’aurait pas été chic, d’autant que j’avais pu mesurer à quel point en tant que profane on ne peut d’aucune façon se douter de ce que font pour nous tous ceux qui ne le sont plus (si on s’en doutait d’un seul instant, on irait pour le moins à genoux au travail en traversant la rue car on ne se sentirait pas digne de monter dans un autobus ou une rame de métro et sans même de protection pour les genoux, donc en culotte courte, y compris en hiver dans les régions les plus froides et totalement gratuitement et on accepterait de manger comme un chien devant une niche, en s’interdisant toutes les bonnes choses. Mais ceux qui ne sont pas profanes n’ont voulu que nous permettre de faire semblant de ne pas l’être car comme c’est beaucoup trop compliqué à expliquer et que cela peut prendre plusieurs années, ils n’ont pas voulu notre mort, ni jamais se venger de l’incompréhension ou des sarcasmes qu’ils suscitaient. Aussi alors que profanes nous mériterions seulement de souffrir et la mort comme rien du tout, ils ont voulu que la prise de conscience ne soit que le moins pénible possible pour tout ceux qui se moquent des lois ou qui sont devenus des menteurs, des tricheurs, des profiteurs, des pourris ou à l’origine de tous les malheurs et de toutes les formes de déserts. Certes c’est peut-être plus difficile dans de bonnes conditions d’éprouver de la compassions comme de se rendre compte de ce qui pourrait être amélioré, mais les conditions d’autres fois étaient celles qui avait fait des serfs ou des esclaves et beaucoup l’avait reproché à ces personnes de qualité qui employaient ces personnes à des choses simples à faire puisqu’elles étaient à l’époque incapables même de lire ou d’écrire ou de s’intéresser à l’écriture musicale ou à la peinture, étant donné l’état de la maladie de leur cerveau). D’autre part, j’ai découvert vers 2007, que s’était moi qui avait conseillé à Christine de se marier en raison de ce que nous allions devoir tous traverser dix ans auparavant de 1965 à 1967, donc de 1975 à 1977 (à partir de 2005) et qu’il fallait à tout prix, pour sa sécurité, qu’elle soit protégée (aussi Dieu a vérifié que c’est canoniquement pour cette raison que nous avons dû sacrifier notre femme légitime, ici aussi, sur ce point (ce qui a pu représenter pour certain un sacrilège ! Mais je devais veiller à la vie de Christine). Ce qui explique pourquoi j’ai failli me sentir mal en 1977, à l’âge de quatorze ans, quand j’ai compris cela (alors que je m’étais conservé vierge pour elle) et que le dernier jour de classe, Christine, qui avait entendu cela dans le ciel, a osé me dire qu’elle obéirait à cette injonction, quand je la priai de désobéir, alors que nous étions entrain de sortir de l’établissement  scolaire comme frère et sœur et que de marcher à côté d’elle – la sœur avec laquelle j’avais commencé un tel parcours sacrificiel - tout en ayant le futur qui intervenait en synchro – (et le moment où nos allions devoir nous quitter) - d’avance, dans le ciel, me mettait dans un état second – en raison d’injustice), car si j’avais envie de lui faire des baisers (puisqu’on s’en était fait deux ou trois) et bien plus que cela (de la garder avec moi, de ne pas me séparer d’elle), je ne pouvais pas, car c’était assez difficile de tenir ainsi plusieurs époques en marchant comme dans le vide à côté d’elle ("suspendus au-dessus du précipice qu'est la vie" comme l'écrira Michèle dans "Connaissance par les larmes", éditions Arfuyen 2017) et peut-être nous voyait-on dans le ciel dix ans plus tôt, puisque nous venions de vérifier cela – j’étais donc comme un funambule à côté d’elle qui était sur le fil de sa propre vie qui si elle m’avait rejoint dépendait alors de tous qui auraient pu permettre, au lieu de nous voir nous éloigner l’un de l’autre, de commencer à tisser sa robe de mariée – au lieu de cela, l’inverse: commencer à la profaner, la déchirer, la détruire – et malgré notre âge de quatorze ans et de nous dans le ciel, immense, et malgré ce que tous avaient compris qu’on n’a pas le droit de faire en raison du Débarquement et de la fin de la Guerre en 1945 – séparer des enfants ou des parents qui se sont mariés ou des jeunes qui ont des intentions pures de se marier – personne des adultes n’intervenait (pour prendre notre défense et dire tout ce que j’ai pu me donner néanmoins les moyens d’écrire tant cela avait fait mal sur le moment et tous contraignaient l’impératrice et l’empereur à se séparer et même à s’oublier en commettant un second abominable sacrilège (après celui de 1965) – alors que tous savaient qu’on se marie pour toujours – l'anneau immaculé que j'avais pu visualiser à notre sujet existait - je compris à ce moment là pourquoi le divorce avait existé dans l’histoire et dans le passé et pourquoi beaucoup de personnes s’étaient perdues de vue – mais je ne pouvais parler – je ne pouvais écrire tout ce que je comprenais et qui était à chaque fraction de seconde de nouveau aussi important que tout ce que j’avais traversé dès 1965 à l’âge de deux ans et demi au point d’avoir à me prendre en charge du futur – quarante ans après y compris pour me faire accomplir ma première sortie de chez moi, « tout seul » en 1966 à partir de 2006 aussi – les adultes ou les grands avaient été rendus certains par mes soins d’occuper les postes pour la suite de l’Histoire dont ils ne comprenaient pas qu’elle était encore virtuelle et qu’ils pouvaient à tout moment y renoncer pour permettre l’avènement d’une bien plus belle histoire les concernant chacun (d’autant que je détenais déjà à ce moment là tous les savoirs sur les trente années qui allaient venir, mais qui n’étaient encore pas réelles) en renonçant à nous contraindre à ce sacrifice car bien sûr s’ils s’y s’étaient refusés petit à petit nous n’aurions plus vu vieillir nos mères et nos pères ni souffrir personne car nous aurions eu à vivre un autre cas de figure de la Création qui aurait permis très certainement que j’épouse aussi Michèle Finck avec le consentement de tous y compris de Christine, impératrice vers 1995. Au lieu de cela, les adultes se sont lancés dans la réalisation de la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale que je commandais du futur bien avant d’y être en chair et en os puisqu’en ce moment même je suis il y a trente ans et que tous pouvaient le constater et au lieu de rejoindre un moment qui nous aurait permis à toute la terre de faire un bond dans le temps en nous retrouvant dans un autre univers où tout est résolu comme quand on appuie sur le clic d’une souris pour faire apparaître une nouvelle fenêtre à l’écran, ou comme quand à la fin d’un plan ou d’une séquence on change de séquence et on bascule dans un autre temps et dans le décors qui nous est offert à ce moment-là de découvrir, ce qui n’a jamais fait peur à personne et qui se produit le plus naturellement possible sans même avoir besoin de « cliquer » car c’est le monteur et le réalisateur qui ont fait le travail qu’ils nous offrent ensuite de découvrir, nous avons dû tous poursuivre dans ce cas de figure de la Création qui a continué à être bloqué – ce que j’avais vérifié depuis 1965 et que tous les plus intelligents ont vérifié en 1975 puisque cela se reproduisait encore une fois – et au lieu de rejoindre nos descendants qui sont dans le monde en question du cas de figure que nous aurions rejoints sans même avoir à nous en rendre compte, l’Ensemble nous a contraint à ce cas de figure où ils sont obligés de s’incarner comme nous tous en ayant chacun, hélas, certains, à tomber parfois dans des contextes familiaux de gens devenus ignorants, au mauvais sens de ce mot, ou même au bon sens de ce mot, ce que personne ne reproche car c’est un état des choses qui a concerné beaucoup de nos ancêtres au cours des temps, et ce qui a mené beaucoup de ces enfants à se profaner, à devenir des ignorants ou même à faire des choses déconseillées dans l’état actuelle de la situation générale, ce qui a donné quelques très graves problèmes puisque il y a eu même de ces enfants qui sont devenus des ennemis de l’humanité et de la Vie (donc d’eux-mêmes et de leurs intérêt intrinsèques, ontologiques, fondamentaux) au point que c’est eux, en inconscients, qui ont cru drôle de pouvoir séparer l’impératrice légitime et le petit empereur que j’étais (mais dont tous découvraient que dans le ciel j’avais déjà des proportions assez exceptionnelles de nature à permettre qu’effectivement la plupart des avions dans les temps passés arrivent à bon port et à l’heure y compris les trains, étant donné que la planète de l’époque en question et tout ce qui s’y passait était à l'aune de ces miennes dimenssions dans le ciel plutôt minuscule – c’est normal car les gens étaient dans leur tête devenus minuscules, aussi je ne m’étonnais pas du fait qu’ils ne représentaient pour moi rien d’intéressant d’autant que tous ces lilliputiens allaient me faire perdre trente années de ma vie car je ne pouvais accepter cette séparation d’avec ma femme légitime Christine, donc ce sacrifice, qu’en en devenant amnésique puisque j’aurais, entre autres, à rencontrer, dans ce cas de figure, de façon canonique la prétendante au trône d’impératrice qui imposait à tous ce parcours car elle s’était montrées encore profane en voulant être l'unique impératrice, en nous contraignant Christine et moi à nous séparer alors que nous attendions en Immaculée Conception notre descendance, et cela parce que pour que ces interventions soient renouvelées le jour venu en chair et en os (non plus à l'état de virtuel), cela s'était passé ainsi. Aussi avec du recul et cela depuis 2017, j'ai découvert que nous devions ces interventions salvatrices à Michèle qui n'avait pas accepté en 1977 la solution élégantes de ma proposition de plusieurs épouses, ce qui m'a contraint à m'imposer une amnésie pour réussir, en devenant profane, à aimer celle qui m'avait séparé de Christine. C'est parce que je suis arrivé à l'aimer d'amour pur, au point de redevenir bouddha, que j'ai pu obtenir de moi la voix de vérité qui s'est entendue au moins quarante années et une autre fois trente années avant les jours des émissions des propos transmis à travers Espace et Temps. Evidemment c'est aussi parce que la personne qui m'a été présentée comme Dieu m'avait rappelé, en 2005, l'existence de Christine mettant la fin à mon amnésie et un commencement pour moi à la nécessité de me souvenir grâce à la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale que j'ai été alors obligé de commencer puisque j'avais en mémoire de mettre trente ans plus tôt vu dans le ciel dans ces proportions immenses (ce qui n'avait été alors qu'en virtuel - ce que je découvrais à partir de 2005). C'est donc en raison de cela aussi que j'ai renoué avec Michèle qui est donc celle sans laquelle à cause de Christine, il n'y aurait pas eu de sauvetage de l'Ensemble à travers Espace et Temps à effet rétroactif en raison que j'ai pu à cette occasion nommer mon père empereur avant moi.

Nous découvrions tous de façon certaine que là où nous étions nous venions d’avoir la preuve que nous étions en 1967 aussi – or, il était impossible à ce moment-là, avec moi dans le ciel déjà à une autre époque, mais en virtuel, de me souvenir exactement de ce qui s’était passé en 1967, ce jour là de la fin de l’année scolaire en 1977, et si j’étais dans le ciel c’était toujours à cause de ce même anneau de mariage qui m’avait déjà séparé dix ans de Christine (le premier sacrifice), mais aussi de cet autre anneau immaculé de mariage que j'ai obtenu à mon doigt annulaire en 2005 avec Michèle avant qu'on me redonne la mémoire de Christine et que du coup je décide de rompre mes fiançailles avec Michèle qui ayant tout caché de ce qu'elle avait su depuis 1977 me paru m'avoir trompé. Mais ces jours là, non seulement celui que j’étais devenu dans le futur exigeait que je me sépare de Christine, mais pire : il demandait, en riant, à celle qui était ma sœur, à Isis, à ma femme légitime, à celle que je venais de retrouver, qu’elle se sacrifie plus encore : de se marier – vraiment le monde était abominablement injuste avec ses nouveaux pharaons qui venaient de sauver encore une fois la planète et éviter la reprise de la guerre depuis le mariage de leurs parents et cela d’autant plus qu’en sacrifiant tous nos moments où nous aurions pu nous découvrir ou faire connaissance, je n’avais que pris en dictée et marqué que de très jolis cadeaux possibles qu’on pourrait tous se faire les uns aux autres durant toutes ces années-là (une fois réalisés) – heureusement que je ne savais pas encore ce qui m’attendait comme injustices et bien pire qu’ignominie tout au long des années que j’aurais à traverser avant de retrouver la mémoire vingt sept ans plus tard. Mais là-bas, à partir de 2005, je le savais et d’avoir réussi par devoir à sauver la planète (grâce à ces communications à travers Espace et Temps) alors que j’avais acquis la certitude qu’il n’y avait plus un des terriens qui avait du bon en lui et cela dans tous les temps passés, je n’ai pu me résoudre à punir et j’ai continué à ne faire que donner, en me disant que peut-être pour un dans le futur tout cette parenthèse devait néanmoins être vécue (d’autre part personne ne me donnait une autre possibilité et Michèle Finck qui proposait d’entretenir une amitié de loin, n’était pas encore, à ce moment-là en mesure de comprendre pourquoi je concevais ainsi, en serviteur, le rôle de l’empereur, au point de n’avoir fait tous ces efforts que gratuitement et sans avoir été payé un centime encore à cette date du 16 septembre 2017 où je relis, ce qui fait qu’à partir de 2008, voyant que personne ne s’était empressé de me verser tout ce qu’il me devait – au moins dix pour cent de ce qu’on gagne à ceux à qui ont doit sa vie ou grâce à qui on retrouve son porte feuille et qui, au lieu de garder le contenu pour eux et de jeter le porte-monnaies le rapportent aux objets trouvés, ce qui se fait dans tous les pays dits civilisés y compris quand on ne le retrouve pas aux objets trouvés, voyant à quel point tous auraient été capables de me laisser mourir sans moyens d’existence, alors que je découvrais qu’on me devais le réseau Internet, tous les ordinateurs et les écrans plats et la plupart des innovations depuis le walkman que j’avais fait faire comme première chose dont j’avais eu l’idée à partir d’un petit magnéto à bande Philips de mes parents, vers 1966, mais en confirmant cela possible de 2005-2006 sur les années 1975-76, pour un des Noëls, j’ai bien averti que si ces sommes d’argent n’avaient pas été versées à partir d’un moment donné à la Fondation trois petits points, tout ce qui étaient à chacun était y compris les corps des terriens à la Fondation en question. Mais comme je ne suis pas un voleur et que je ne suis pas capable de contraindre méchamment qui que ce soit, si tout est effectivement à moi seul, je le laisse bien sûr à ceux qui ont obtenu ces biens, car il faut que jour après jour cela puisse continuer à fonctionner, puisqu’il y a les enfants et que nous sommes de passage. Mais comme j’ai l’intention sérieusement de fonder des familles, il faut bien que je dispose de conditions pour pouvoir entretenir et élever des enfants jusqu’à ce qu’ils soient capables de s’en sortir par eux-mêmes et c’est pourquoi même si les planches à billet de chacune des nations sont de droit les miennes y compris chacune des banques (d'autant plus de ma solution élégante pour le prix du baril de pétrole qui fera disparaître du jour au lendemain la misère et la pauvreté et permettra de rembourser les dettes), je ne suis pas content qu’il y ait des déficits pareils et que le pétrole dont tous ont pu vérifier qu’il est de droit le mien, puisque j’en ai donné les points de géo-localisés, soit à l’origine de tant de misère, de tant d’inflations, de la perte du pouvoir d’achat, comme du fait que tous ont au moins cinq fois moins que prévu normalement, dans l’autre cas de figure où tous auraient compris qu’ils devaient tous s’opposer à nous désunir, car les dix premières années (1965-1975) du sacrifice avaient été largement suffisantes et nous souhaitions, c’est normal, permettre aux plus pauvres et aux plus dans la misère d’avoir cinq fois plus, voire beaucoup plus – car en nous séparant et en réalisant ces trente ans de sacrifices (en 2017 quarante ans en plus des dix premiers), nous avons néanmoins réussi, malgré toutes ces augmentations du prix du pétrole avec la Nouvelle Nouvelle Donne à créer une relative prospérité et même à faire reculer la pauvreté puisqu’il y a des chiffres encourageants sur certains points mais les chiffres auraient été bien meilleurs car mon père et ma mère sont de véritables magiciens et ils s’étaient mariés après la Seconde Guerre mondiale pour faire disparaître la pauvreté partout et réenchanter le monde entier. Aussi c’est normal que bébé à deux ans et demi comme à douze ans, quand j’ai redécouvert cela, j’ai voulu faire pareil, y compris quand vers quarante deux ans, j’avais fait tous les efforts pour pouvoir montrer à Michèle Finck que je n’étais pas seulement celui qu’elle avait cru que j’étais puisque pour l’approcher j’avais dû avoir une amnésie et en subir les conséquences. Mais j’ai découvert que j’avais du futur dû dire de nombreuses choses pour que les sachant je puisse finir par aimer Michèle Finck (mais elle ne m’a jamais dit d’où lui était venu toutes ces choses qui m’avait séduit en elle – en fait elle les tenait de moi du futur et c’est ainsi que je suis revenu à mon anneau immaculé de mariage, car il n’est lié qu’à des choses intelligentes pour faire le bonheur de tous, puisque c’est aussi l’anneau de mariage de mes parents et de mes grands-parents comme de mes ancêtres que je n’ai pas connu). Je ne savais pas combien une amnésie peut amener à se conduire avec autant d’inconscience, de légèreté et d’imbécilité. Je suis bien content d’avoir su dès le premier message de Christine en 2005, reçu par Internet, qu’elle était au courant du fait que j’allais intervenir, puisque de son point de vue, visiblement, il n’y avait rien de nouveau que je lui apprenne en ayant retrouvé la mémoire d’elle, alors que pour moi, à chacune des secondes, je découvrais ce qui avait été effacé de ma mémoire et qui avait donc été pour nous tous en 1965 et à partir de 1975. Si c’était une vieille histoire pour Christine, pour moi cela ne faisait que recommencer et c’est pourquoi je découvrais, d’une certaine façon, le comique de répétition ou comme le même film vu à des âges différents : à partir de l’âge de deux ans et demi environ, à partir de l’âge de douze ans et demi et enfin du point de vu d’un homme en âge de devenir père, mais qui se souvient de ses points de vue de petit enfant ou avant une pré-adolescence forcée ou contrainte car sinon je n’aurais jamais pu « aimer Michèle Finck vraiment – il fallait donc que pour cela, je crée les conditions de croire que j’allais lui devoir d’être un peu intelligent  et c’est pourquoi l’amnésie qui allait me rendre un à moitié imbécile, pour le moins !).   

J’ai pu vérifier que cela est en fait une maladie l’esprit adolescent qui est liée et causée mathématiquement à la situation bloquée de ceux qui ont voulu, en devenus inconscients, utiliser les vieilles machines d’Atlantide dans l’état de devenus des dégradés et des pécheurs ainsi artificiellement y compris des impatients plutôt que d’avoir l’intelligence d’attendre, comme les autres qu’il y ait des web cam partout qui autorisent donc à partager les images naturellement et se faire des amis (derrière la clôture que procurent le cadre des ordinateurs), sans faire rien de particulièrement interdit, puisqu’il s’agira comme du téléphone d’un moyen normal de communication ou comme pour l’avion de voler sans être contraints de se cacher de honte dans l’invisible comme Dracula et ses amis qui savent qu’ils sont en situation de tort puisque nous avons découvert un petit instant ce jour là où il avait oublié de se rendre invisible que la vieille salle des machines donne toujours cette possibilité mais aussi celle de faire une copie entière d’un ordinateur ou d’autres possibilités. Il est donc normal que des personnes qui ont eu accès à ce genre de gadget, sans les mériter, ne puissent pas se rendre compte de la valeur de la vie où aient été capables de se comporter comme des ignorants, au mauvais sens de ce mot, puisqu’ils n’ont pas les mêmes contraintes ou ne sont pas soumis aux mêmes lois et aux mêmes devoirs des autres. Il y a donc eu comme un dialogue de sourds pendant des millénaires et c’est bien normal que ceux qui trichaient et bénéficiaient de cette vieille salle des machines aient été contraints de faire semblant et aient recherché à faire tous les travaux les moins contraignant intellectuellement parlant, pour se défiler des tâches les plus difficiles exigeant le sens de l’organisation comme le sens du droit ou d’avoir accès aux différentes sciences qui transparaissent dans certaines œuvres d’art. Peut-on reprocher à un chien d’être devenu un chien ou à un chat de l’être ? Je ne crois pas (sauf dans certains cas). C’est pourquoi vers 2011, j’ai pensé possible reprendre un dialogue avec Michèle Finck dans une perspective qui est en fait la même que celle que nous aurions eu en 1977 si tous avaient compris l’intérêt de ne pas nous contraindre tous à vivre ce tour de manège de trente ans ou l’intérêt qu’il y avait dès les années là à débloquer la situation, car il est probable que nous aurions pu avec Christine nous rapprocher de Michèle et l’amener à devenir l’impératrice vers 1995 ou l’an 2000 ou même avant. Je n’aurais pas eu alors à rencontrer Florence Loewy qui s’est avérée indispensable dans cette histoire et qui a permis que je connaisse un moment l’état d’amoureux véritable (faiseur de miracles alors que cela faisait longtemps que j’étais devenus profane), ce qui m’a permis vers 2005 de me rendre compte que j’étais en train de me mettre dans le même état. Mais si je suis dans l’état d’amoureux en raison de la chronologie des découvertes quotidiennes que j’ai faites à partir de 2005, j’ai dû rompre aussitôt mes fiançailles avec Michèle qui m’avait permis de tomber amoureux d’elle. Ce n’est vraiment pas de chance, mais je n’ai eu en fait qu’à embrayer sur Christine qui en 2005 était comme ma propre petite fille en 1965 et en 1975. Aussi cela m’a permis de beaucoup rire bien que j’étais très éloigné d’elle et que je le savais en train de partager ses nuits avec un normalement considéré comme un rival, son mari. Comme elle avait dû supporter pendant des années la cruauté d'adolescente de Michèle qui m’avait caché qu’elle m’avait pris à Christine, je trouvais cela juste d’éprouver de nouveau ce que Christine avait dû éprouver pendant des années avant de connaître son mari, qui, de mon point de vue, devait la protéger. Mais Christine ne savait pas pourquoi j’avais exigé pour sa sécurité qu’elle se marie et très certainement a cru pouvoir se marier pour trouver le bonheur et c’est pourquoi ma première réaction avait été la bonne, au lieu d’en vouloir, comme j’ai fait semblant ensuite à son « rustre » de mari russe. En effet, comme la Dictée ne faisait que commencer, il a fallu que j’assure et c’est pourquoi nous nous sommes amusés quelques temps à envisager avec Christine des liaisons dangereuses ensemble ou même que j’allais jouer le rôle de l’amant de la contesse Serpieri (Elle, Christine) dans l’admirable Senso de Visconti, avec Alida Valli. N’étant pas autrichien ni jeune soldat ni même à Venise, mais reprenant contact par Internet avec elle de Paris, il s’agissait de choses qu’un frère peu se permettre de plaisanter avec sa petite sœur (d’autant plus que j’espérais qu’elle comprenne pourquoi je devais avoir recours à cela). J’espère seulement que le mari de Christine n’a pas pris au sérieux ces projets loufoques destinés à nous faire connaître des récréations d’adultes et à m’assurer la poursuite de la Dictée à travers le temps car sans doute les espions auraient été ainsi aguichés par nos propos transgressifs à la normal et aux devoirs d’une femme mariée. Mais même si Christine devait m’avoir désiré de nouveau alors, elle n’a pas péché puisqu’elle est ma première femme légitime retrouvée, c’est pourquoi j’ai le droit, d’autant plus que je suis l’empereur son souverain de la séduire (en toute légitimité). Certains diraient le devoir (ce qui doit avoir un effet bœuf sur celui qui croit être légitimement son mari). D’autre part tout cela était fait canoniquement puisque cela a permis au fondateur de la religion chrétienne lui-même , Jésus et Saint-Pierre de se manifester, mais seulement de façon sonore dans la chambre, d’où, pendant la journée, on me voyait et m'entendait trente ans plus tôt (avant).

Je ne conçois nullement (vous l’aurez compris en raison du soin et du temps que je prends pour y voir clair) donc ces mariages à venir, Monsieur le Cardinal, comme le droit d’avoir accès au droit de pécher officiellement – le mariage ainsi envisagé est d’une répugnante hypocrisie qui dénature sa raison d’être -  mais la présence même seulement momentanée du fondateur de cette religion dont je me suis souvenu qu’il s’était manifesté trente ans avant aussi (tout comme un serpent accolade dont je parle ailleurs) et je n’avais pas eu non plus le temps de m’entretenir avec lui - devrait contraindre Jésus et ses amis au Paradis, si j’avais des enfants, à s’occuper de l’au-delà de mes descendants, comme ces anges qui « intercèdent auprès le la Vierge Marie » dont on parle à la messe (d’autant qu’en tant qu’empereur j’ai le droit, de façon profane, en raison du premier empereur, qui a été fait à un moment donné, où les religions n’existaient pas sous cette forme, d’avoir des relations avec les femmes comme un homme singe et démon primitif de l’époque). Ne vaudrait-il pas mieux que toutes ces personnes qui se trouvent au Paradis reviennent sur cette planète quand tout sera prêt pour les accueillir ? Et qu’ils s’occupent des enfants avec des web cam ou en utilisant le téléphone, plutôt qu’à leur âge (Saint-Pierre doit avoir 2000 ans aussi) ils aient à s’occuper de tous ces terriens qui se trouvent certainement souvent, comme moi et Christine avec les liaisons dangeureuses (si toute fois il ne s'agissait pas là d'une plaisanterie) à première vue en situation de pécheurs ? Ne serait-ce que pour bénéficier de leur expérience car depuis deux mille ans, ils doivent en savoir des choses comme très certainement être de bons conseils pour bien élever les enfants.

Je crois que cela a été le problème des empereurs avant mon père : ils étaient profanes. Mon père, en raison de ma mère et de la Seconde Guerre mondiale (mais aussi de la Première Guerre mondiale) ont été contraint par la situation plus que catastrophique des années qu’ils ont eu à traverser de se débarrasser de l’enfant-gâté en eux et cela a été le cas de nombreuses personnes qui ont même, à cause de cela eu la foi et de la religion et cela malgré ces choses horribles, à premières vues (mais qui le sont aussi à dernière vue) que certains ont voulu imputer à Dieu, alors qu’il ne faut trouver les coupables de ces méfaits qu’à cause de cette ignorance, au mauvais sens de ce mot, qui est cette maladie qu’on finit par avoir tous ceux qui sont devenus des égoïstes, en rejoignant la vieille salle des machines pour s’autoriser à y faire effectivement des choses inavouables et déconseillées et qui sont nuisibles pour la santé comme d’espionner à distance ou d’utiliser en devenus inconscients des machines à rêve ou à cauchemars qui en raison du fait qu’elles ont été faites pour une époque très lointaine du passé ne correspondent plus à nos façons honnêtes et avancées basées sur la chronologie et les nombreux moments clés d’une personne de juger d’elle. Elles sont donc utilisées comme les inconscients jouent aux flippers sans ménagement pour la boule. Hors l’être humain n’est pas une boule de plomb qu’on peut malmener.

En raison du premier empereur qui était forcément un profane les empereurs ne purent jamais accéder à « l’initiation » qui permet de se délivrer de l’enfant-gâté en soi-même, donc de se délivrer de l’aspect profane et de rejoindre la Connaissance en comprenant enfin ce qui est peut être légitime ou pas et s’ils ont eu accès à la vieille salle des machines, ils se sont retrouvés à tricher chacun d’eux y compris leurs amis (aussi les conquêtes militaires romaines étaient celles de lâches tricheurs qui connaissaient les plans des adversaires avant et qui se sont arrangés pour les provoquer pour faire croire qu’ils pouvaient, de ce fait, se permettre de faire des esclaves et cela pour éviter eux-mêmes de devenir adroits et d’acquérir les nombreux savoir-faire – cela fait donc des paresseux et des usurpateurs et une mentalité de gens qui profiteurs et croyant être les plus malins en se l’autorisant, nuisent à leurs intérêts fondamentaux, celui de devenir capables par eux-mêmes – aussi il y a de quoi être révolté contre cette mentalité qui n’a rien de fraternelle et qui ne considérant pas l’autre comme tout ce qu’il représente, mais seulement comme des préjugés d’une classe sociale abusée par des aînés les a mensongèrement considéré en les traitant d’inférieurs, nous devons en conclure qu’implicitement les romains signifiaient par le mot d’esclaves ceux qui étaient en réalité de véritables maîtres puisque pour ne pas tuer ceux qui trichaient, ils avaient été capables stoïquement d’accepter le devenir. Il ne devait donc pas y avoir plus intelligents ou de condition plus enviable que celle des esclaves à Rome puisqu’il s’agissait de gens qui avaient des occupations intelligentes et plus minables que tous ceux qui, espions, ou ayant d’autres fonctions de délateurs « à première vue » se sont compromis avec ces tricheurs, en sortant ainsi de la condition humaine naturellement au départ fraternelle et qu’il a été possible effectivement de retrouver grâce à la propagation des idées religieuses qui engendrent des actes mais aussi des réelles compétences.

Par conséquent ces personnes comptant sur les autres pour élever leurs enfants y compris sur les « esclaves » n’ont jamais pu être de véritables pères mariés à de légitimes épouses, mais peut-être seulement de la parodie ou même le contraire en étant contraints à « faire semblant », ce qui a rendu le mariage profane sacrilège, y compris l’anneau de mariage sur leur doigt, puisque ces personnes devenues stériles intellectuellement ou même mensongères en employant pourtant de véritables mots ne s’expliquaient pas exactement la nécessité du mariage, mais certainement se mariaient par mimétisme de certaines grandes figures du passé l’ayant institué. C’est ainsi qu’ils ont voulu avoir le droit aux mêmes cérémonies y compris religieuses certains peut-être pour essayer de plaire à ceux qu’ils grugeaient à d’autres moments en continuant à se conduire en satyres ou en centaures et à se moquer des dieux auxquels ils ne parvenaient pas à croire puisque il avaient accès à ces vieilles machines et étaient devenus comme fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), en raison de péchés de luxure.

Ce que je recherche, à mon âge, c’est d’une certaine façon de pouvoir continuer à entretenir des liens complices et fraternels véritables avec des femmes ayant compté et qui pourraient devenir comme des marraines ou des tantes ou des grandes sœurs ou des cousines d’enfants qui seront à élever, grâce à cette façon de voir, j’espère sans préjugés ces mères ou responsables de leurs éducations, en raison des passés qu’elles ont eu, donneront à ces enfants par l’exemple qu’elles représenteront, comme bien d’autres femmes que ces enfants auront à approcher dans la littérature, le cinéma ou dans la vie, un panel de cas qui pourront leur faire part de leurs expériences pour les élever, puisqu’en en faisant de chacune d’elles de véritables épouses libres de mener l’existence qu’elles voudront, mais symboliquement liées à l’empereur, elles pourraient constituer des refuges pour ces enfants. Mais c’est pour l’instant l’esquisse d’un projet, et je vous le redis, Monsieur le Cardinal, il ne s’agit que d’une hypothèse de travail, car après ce qui s’est passé, avoir cette perspective me parait pour l’instant qu’un scénario. Mais en admettant qu’on joue la pièce, ces femmes auraient des droits puisqu’il s’agirait de rendre officiel, par le mariage, le don de soi à l’autre qui a bien été une réalité entre Christine et moi au point que le sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) a marché bien plus encore que nous en avions la très vague idée en 1975 quand il a recommencé, car une chose est un mot écrit sur le papier dicté du futur comme les solutions élégantes à mettre en œuvre pour disposer d’écrans plats et une autre l’est d’en avoir un devant soi qui marche alors que l’époque où nous étions ne disposait que seulement d’une très grande majorité d’écran en noir et blanc très encombrant, les autres impératrices ont rudement compté et si Michèle Finck a été contrainte de se montrer parfois fausse (elle y a peut-être été contrainte tant que j'étais profane) telle n’est plus son intention (mes divers travaux et droits divers, toutes mes productions élaborées pourraient servir à élever les enfants dont nous aurions la responsabilité et que ces impératrices avec nos familles pourraient m’aider à élever) nous pourrions enfin vivre réellement à l’époque d’Internet en nous plaçant au-delà de la problématique du péché, d’autant plus que tous sauraient que s’il a existé, il a été causé par une situation triste qui a rendu de nombreuses personnes esclaves et prisonnières d’instruments dont dans l’état de détérioration dont ils ont été l’auteur, ils ont cru à tort qu’en continuant à les détenir au détriment des autres, il y avait un avantage. Hélas nous avons pu vérifier que cela n’est pas du tout le cas et que c’est bien une très grave perte qui en a résulté pour ces personnes qui se sont rendues impures et profanes ou même pécheresses alors que déjà manger un radis ou une betterave ou une pomme de terre qui germe rend l’être humain l'un des plus criminels de tous les êtres ! Mais comme la situation est très grave, vous le savez, Monsieur le Cardinal, il y a des dérogations et c’est pourquoi les prix sont ceux qu’ils sont d’autant qu’il est juste d’essayer de nourrir avec des choses bonnes pour la santé, tant qu’il n’y aura pas des alternatives, les gens qui sont à bord. Ceux qui cherchent à tout prix à pécher ou à commettre des sacrilèges auront de quoi assouvir leur penchant tant qu’ils ne voudront pas s’en sevrer et ceux qui croyaient bien faire en s’autorisant à manger naturellement ces délicieuses bonnes choses se diront qu’ils ne se rendaient pas compte que la situation était si grave que cela et pourrons assouvir leur gourmandises de pécheurs qui s’ignoraient pécher en mangeant une pomme-de-terre ou une carotte, jusqu’au jour où les alternatives existeront. Cela signifie que l’Église a encore de beaux jours devant elle car ce n’est pas du jour au lendemain qu’on peut se priver de pomme-de-terre, ou de légumes-bulbes pour ne manger que les feuilles ou les fruits de ces bulbes en les respectant comme des ceps de vigne. Aussi les êtres humains seront pécheurs encore longtemps et le sont véritablement (c’est vérifié) et sans le pardon de Jésus Christ, de saint Pierre ou de saint Paul (qui devait bien roder quelque part mais qui n’a pas jugé bon de se placer – peut-être en raison d’André Breton - au cours de cette soirée où j’avais fermé mon confessionnal - si j’ose dire - en n’hésitant pas à commettre ici ce petit blasphème ou cette petite provocation « en parenté de plaisanterie », car je ne suis pas prêt de m’interdire à certains moments des tournures d’esprit de profane, puisque je ne suis nullement prêtre, comme vous le savez et que ce soir là j’étais exténué et que je n’ai pas encore compris pourquoi, s’ils devaient passer de nouveau, ils n’ont pas pensé qu’un rythme pareil de travail à travers Espace et Temps exigeait, en disposant d’un corps, du repos – apparemment ils ne se souviennent plus de la difficulté que c’est d’avoir un corps et bien sûr n’étant pas dans ma peau, ils n’ont pas pu s’y mettre à ma place dans la condition qui est aujourd’hui la leur. Bien sûr, je les absous de m’avoir dérangé comme qu’ils aient cru m’honorer en me rendant visite dans l'invisible, mais ma condition de profane et de devenu assez mal élevé était encore très proche de ma nouvelle façon d’être, en raison de mon anneau immaculé d’enfance retrouvé. Nous étions avant 1968, et vous savez, un petit (enfant), qui fait une telle révolution à lui tout seul en étant contraint de faire le délateur du futur au Général de Gaulle qui est à ce moment là celui qui doit mater la rébellion de ceux qui sont pris en sandwich par le petit en question qui se trouve dans le futur, quarante ans après à l’âge de responsabilité ayant à voir avec celles de l’anneau de mariage de ce soldat du passé ayant, avec Winston Churchill et F.D. Roosvelt délivré l’Europe de façons mensongères de considérer l’être humain, alors qu’en 1965 pour ces personnes, je ne suis qu’un enfant ayant à veiller sur sa petite sœur et ayant cru que sa grande sœur Michèle Finck l’aimait. Or, du futur j’étais toujours plus jeune que ces grandes figures qui avaient eu la victoire, mais comme je suis pharaon je suis aussi contraint de comprendre la situation du point de vue du pharaon qui ne pouvait pas comprendre et qui n’avait pas eu le temps, avec la Première Guerre mondiale pour se préparer à son vrai mariage. C’est pourquoi il a fallu que je le protège grâce à mon père en 1965 et à partir de 1975 car j’avais le recul qu’il fallait y compris j’ai pu bien comprendre l’esprit des profanes, en ayant tant d’années à passer avec Michèle Finck. Il y a indéniablement du bon dans l’état de profane et de personnes qui vont rêver leur existence sans chercher à tout comprendre. Ils ne croient pas qu’ils ont des choses à faire ou que les mots induisent des vérités ou des comportements. Ce sont des moments où les choses ne sont pas difficiles à faire car on y est léger puisqu’on croit ne rien devoir aux autres (dans mon cas je crois maintenant, paradoxalement que …) et on est convaincu que ceux qui ne sont pas profanes ou qui vont à la messe sont des imbéciles y compris les curés et donc on voit les choses assez justement (injustement) et en toute bonne foi y compris l’ordre, la famille comme qu’on peut s’autoriser des choses « interdites » ou « déconseillées » ou « à ne pas faire » car c’est normal « les êtres ne sont que des égoïstes » (on oublie tous ceux qui ne le sont pas). J’ai été surpris à mon sujet car vraiment je ne m’attendais pas à une chose pareille d’autant que je croyais normal chacun de mes efforts puisque très caché au fond de moi j’avais toujours su qu’on était bien contraint de se donner du mal pour les autres et qu’on cherchait à devenir riche ou compétent par charité envers ceux qui seraient démunis et qu’on pourrait alors aider. Cela donne donc un sens à sa vie d’avoir des objectifs pareils ou, grâce à l’instruction de pouvoir être utile à ceux qui en ont moins. Mais en devenant profane on perd une à une les possibilités de réfléchir en conscience et les personnes qui le deviennent ainsi vont vers de vraies difficultés. Il est normal qu’elles se soutiennent entre elles et qu’elles trouvent des amis confrontés aux mêmes problèmes et qu’avec ces personnes elles espèrent améliorer leur sort.  Nous avons d’une certaine façon beaucoup parlé ici de Saint-Paul – le grand absent de la nuit des revenants (plus haut) - puisqu’il est ce soldat romain qui a réussi à se débarrasser de l’enfant égoïste ou adolescent ou enfant gâté ou romain, au mauvais sens de ce mot (et nous avons vu plus haut lequel, celui d’un faux empire gouverné par des tricheurs capables d’obéir aveuglément à des règlements sans être capables d’apprécier au cas par cas les problèmes – cela donne la mentalité Suisse (qui a aussi l’inverse, du bon et même plus) dans ce que ce mot représente de plus négatif et de plus agent de ville, au mauvais sens de ce mot, admirablement illustré dans ce personnage de Lontarin, représenté par l’imenssissime Franquin, dans les gags de Gaston Lagaffe. Un agent de ville qu’il a réussi à cependant rendre touchant comme beaucoup d’homme politique dans les caricatures qui les concernent comme le sont tous les personnages de faux curés, de faux moines, car il s’agit d’un dessinateur qui aime tous ses personnages même les plus détestables dans lesquels certains d'entre nous se reconnaîtrons parfois. En effet, on se surprend parfois entrain de se demander pourquoi un agent de ville n’a pas fait son travail à un moment donné où il avait pourtant à le faire ou pourquoi le responsable de la quête n’a rien dit quand le panier de la quête arrivant devant une mère avec des enfants au lieu d’avoir une pièce de monnaie en plus, soudain se voit raflé de tout ce qu’il contenait. On se dit alors qu’on avait des préjugés au sujet de celui qui aimablement aide l’église à faire la quête, puisqu’on le voit complice de ce vol (il ne dénonce pas) ou de cet emprunt, comme l’évêque qu’on sait pour Jean ValJean, on comprend alors qu’il doit y avoir quelque chose que la personne qui a osé faire cela, en donnant l’exemple à ses enfants, n’a peut-être pas compris.

Saint-Paul qui a connu la délivrance par ses textes a parfois écrit comme des poèmes. Ils pourraient être mis en chants, si cela ne l’a pas été.

Mais il ne peut être interdit d’aimer de la sorte, en toute transparence chacune des impératrices pour ce qu’elle a permis. Des réflexions s’imposeront cependant très certainement avec chacune pour arriver à créer des conditions pour réaliser ce projet qui pourrait faire du bien à chacune pour nous aider encore plus à sortir de nos égoïsmes en ayant à travailler pour des enfants : cela peut faire du bien.

On ne s'est marié dans notre famille, depuis des générations non pas autrement pour des raisons autres qu’amour – bien que j’ai pu vérifier que l’état de profane jette un « sacré » doute à ce sujet, au point que parce qu’on est devenu un vaurien, on croit que ceux qui se sont mariés par amour, le sont, un peu comme celui qui est devenu profane satyre ou centaure sur les bords y compris voyeur (pensez ! l’Ensemble m’a contraint à me contraindre de vivre de telles horreurs moi-même qui en avait dès l’enfance une sainte horreur), et donc on est alors en situation de blasphème et de sacrilège envers ses ancêtres et ses parents ou les proches qui se marient vraiment, y compris en tant que simples profanes, parfois, et le sacrifice que j'ai eu à renouveler, en raison de l'existence des ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui se sont damnés dans le péché et qui, à cause de cela, ignorent et font semblant de savoir ce que peuvent bien être  les devoirs d'un véritable frère pour une véritable sœur, comme entre frère, comme d'une sœur pour une autre sœur, y compris pour une sœur cadette, dans ce monde-ci, privé de la vision d'Atlantide et la vieille salle des machines ayant été héritée par ces profanes, ces égoïstes inconscients, nous a tous contraint, à ce sujet, vous le savez, à des choses bien canoniques. Ils pourront s’en rendre compte avec l’histoire détaillée heure par heure, le jour venu, de ce méga-sacrifice cosmique sur la zone de temps 1965-2005 qui a concerné beaucoup de monde : un véritable Chemin de Croix - je me répète - et, peut-être, à cause de cela, pourront-ils comprendre que la télécommande comme le lecteur de DVD, mais aussi le premier walkman, les fax et tous les instruments, la télé couleur, comme tous les gratte-ciels y compris les ponts les plus grands du monde et tout le reste, n’ont pu voir le jour que seulement grâce à ce sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) et qu'il y a vraiment donc autre chose que ce qu'ils ont cru en profane et en voyeurs[25] au sujet de l'amour et du mariage, puisqu'ils ont pu constater que ce n'est que parce qu'il y a des gens qui font des sacrifices véritables qui leur coûte personnellement beaucoup et qui les rendent alors des êtres humains et les sortent de la condition d’animaux, par conséquent les rend dignes de disposer d’instruments ou de machines pour soigner ou venir en aide qu’ils ont accès à ces instruments aussi. C’est donc grâce à ces sacrifices ayant aussi à voir avec des probabilités inhérentes aux lois mathématiques, inconnues de ces profanes, pour l'instant, que vous-même, comme toutes ces personnes, bénéficient de la Vie même, à chacune des secondes de votre existence. C’est à ces sacrifices qu’on ne doit aussi chacun des instants les meilleurs passés ainsi qu'à leurs auteurs ayant fait ce qu'aucun d'entre eux n'est capable d’endurer ou de refaire en raison d'égoïsme ou d’état profane, donc d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, comme de tout ce qui va avec, puisqu'ils sont encore prisonniers de cet "égo" et qu'en raison de cela, il ne peuvent d'aucune façon utiliser leur cerveau pour réfléchir exactement, en tenant compte par altruisme, de milliards et à l’infini de paramètres, à chacune des fractions de seconde autrement que seulement en tant que l’un des futurs animaux qu'ils vont devenir, puisqu’ils mentent avec la parole ou le langage qui même, dans les langues maternelles régionales, peut être lu et compris autrement que de façon profane, si transcrit et lu comme l’ont fait les papes dernièrement ou des personnes qui ne sont pas devenues, à cause de cette langue, des tricheurs, car s’ils ne cherchent pas à se comporter avec leur travail en vérité, le risque qu’ils courent est qu’ils sont déjà devenus un peu les états d’esprits des animaux de leur future réincarnations en ayant perdu chacun la chance qu'ils avaient d'avoir fait toutes les réincarnations pour arriver, après avoir été un des animaux utiles, à s’incarner en tant qu’êtres humains et donc ainsi, dans cette condition, être en mesure d’aider vraiment les autres plus accomplis (ou parachevés) qui ont à faire face aux innombrables problèmes que posent ces profanes et, grâce aux sciences, tout à gérer comme à tout organiser pour permettre à chacun de survivre et essayer de réaliser les rêves les plus utiles à tous.  

Ce sont donc des sacrifices comme seuls les vrais dieux des temps très lointains étaient capables et cela pour sauver la vieille Terre après la Seconde Guerre Mondiale, comme pour éviter que la guerre ne reprenne, ce qui aurait ruiné tous les efforts de Reconstruction que la génération de mon père (qui devait se marier) a dû entreprendre et celle de ceux qui sont nés dans les années 40 et 60 et il a fallu renouveler ce sacrifice à plusieurs reprises dans l'échelle de temps cosmique, dans laquelle je vis à cause de mon anneau immaculé de mariage depuis ma naissance, mais surtout depuis avril 1965, et à partir de 1975 et de 2005, ce qui signifie que la moindre des bonnes choses que les terriens consomment ou le moindre moment de bonheur qu'ils ont dans tous les temps et sur toute la surface de la Terre, ils ne le doivent qu'à ce genre de sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) qui ont été librement consenti, mais, nous l’avons vérifié, fait sous la contrainte d’une situation bloquée et exigés par l’Ensemble qui s’en est rendu coupable, ce qui signifie qu’on s’en tire à trop bon compte avec les salam alec des messes, croyant par ces cérémonies en célébrant ces auteurs salvateurs être ainsi moins leur débiteur alors que d’autres le faisant dans un esprit de réelle reconnaissance comprennent combien la dette est lourde (bien que ce soient eux qui aient exigé de tels sacrifices – ils ne se rendent pas compte qu’ils n’en avaient pas le droit et qu’en étant des faux prêtres ils vivent, encore une fois, en parasites, sur des artistes) puisque s’ils ont été seulement soigné en tant que chien ou animal quelconque, dans les réincarnations précédentes, ils le doivent aussi, dans une certaine mesure, à ces personnes à qui ont doit de nos jours aussi de respecter certains animaux qui autrefois était chassés, tués sans ménagement, mangés, maltraités. Ces personnes ayant exigé de tels sacrifices sont/étaient/seront coupables et fautives en vérité et pour toujours à chacune des fractions de seconde de leur existence envers Christine, ma première épouse légitime et ma personne (ici je vois ce qui s’est passé en tant que profane aussi qui ne peut accepter qu’on fasse des choses qui lui paraisse contre nature, en oubliant que la situation bloquée a engendré une situation artificielle et dans certains cas une autre espèce d’êtres humains très différente de celle des animaux, mais qui est très respectueuse des animaux et des profanes. Il s’agit de l’homme pensant et de l’être humain capable de se sacrifier par « amour » y compris pour ses enfants – une notion à géométrie variable dans certains cas - ces mot étant reliés à l’aspect multi dimensionnel et cosmique comme à toutes les occurrences spirituelles). Et cela d’autant plus qu’ayant le choix de ne pas réédité une seconde fois ce sacrifice, il a été renouvelé, bien que j’ai pu vérifier que je ne le souhaitais aucunement et si cela s’est reproduit, c’est encore une fois à cause de cette ignorance, au mauvais sens de ce mot, et de toutes ces incapacités à comprendre ce que la situation exige de ceux qui ont eu accès à la vieille salle des machines. Il s’agit en fait de personnes qui « font semblant » y compris de jouer (aux échecs ou à n’importe quel autre jeu) car la lecture comme l’écriture n’est prétexte pour eux, comme les œuvres d’art, à ne plus lire, à ne plus écrire, à ne plus jouer à autre chose  qu’entretenir des rapports sensuels avec celui ou celle avec lequel ils jouaient (« è non leggiammo più » comme Paolo e Francesca surpris par celui qui, en raison de la vieille salle des machines, était au courant d’avance des sentiments que ces deux futurs tourtereaux nourrissaient l’un pour l’autre – c’est dire combien le mari a triché pour les coincer de façon perverse en situation de péché ou pour créer la situation pour contraindre Paolo à pécher avec Francesca – hors ceux-ci ne péchaient pas puisqu’ils s’aimaient – celui qui a péché est celui qui a voulu se moquer de sa femme en s’arrangeant pour arriver au juste moment pour la surprendre et le lui reprocher ou lui faire honte de s’être allé à avoir plus que des sentiments pour Paolo – mais je dois dire que je ne connais que par ouïe-dire et très lointainement cette histoire dont je ne sais pas tous les détails ni ne connais le passé des personnages bien qu’il semble que cela se soit passé de cette façon plutôt caricaturale, donc avec un mari « vieille manière », genre Lontarin, croyant aux règlements ou qu’une femme doit absolument être fidèle alors que depuis longtemps, il ne mérite plus cette fidélité pour des raisons que nous ne savons pas et qui sont peut-être, Dieu le sait, connues de Francesca – pourtant ici c’est très complexe comme situation et pour peu qu’on soit à l’écoute de ses sens, on peut se laisser aller à oublier qu’on était une femme de devoir ou marié, à l’époque, comme à une autre époque, la lecture permettant précisément des réunions, donc des rencontres et bien que personnellement je puisse comprendre qu’on ait à oublier parfois cette notion de ce qu’on est ou de à quoi on s’est engagé, d’autant plus qu’on n’a pas encore d’enfants à élever et à qui « devoir » donner l’exemple d’une fidélité de corps et d’esprit à son mari – la situation était donc faussée et il ne me semble pas qu’il y ait péché si ces personnes s’aimaient – le péché fut du côté de ceux qui cherchèrent à utiliser la vieille salle des machines pour reprocher des inclinaisons bien normales puisque proches physiquement d’un texte comme l’ont été certains maîtres de musique. Cette intervention en gardien d’un ordre moral (qui était oublié grâce à la poésie ou au texte lu) imposé par l’existence du mariage qui, dans ce cas n’a évidemment pas été compris dans sa raison d’être, comme certains ne comprennent pas la notion d’État dans son aspect positif – aussi vous pouvez vous doutez que j’ai l’impression que ce sont des peines perdues que tous ces efforts qui furent les miens, à moins que cela finisse par enfin se débloquer dans la vieille salle des machines. A ce sujet, il se pourrait qu’il y ait une probabilité que cela soit le cas, puisque je ne suis pas du genre à punir ou à intervenir comme le mari de Francesca en gardien d’immeuble jaloux.

Nous avons pu vérifier que le mot de « bloqué » est vrai cosmiquement et, par conséquent, la possibilité de « débloquer » aussi. Cela dépend donc de ceux qui se permettant des partouses comprendront qu’il est très mal venu d’espionner dans les maisons de ceux qui s’étant mariés ne se les autorisaient pas (ou plus) ayant désiré prendre au sérieux leur futur rôle de parents.  Débloquer est donc possible comme pour une serrure ou un interrupteur à tourner ou appuyer sur un clic de souris ou un bouton à presser, ce qui « débloquera » alors ce quelque chose de totalement « bloqué » depuis des millénaires entre profanes et non-profanes et qui a créé tant de malentendus et de situations stupides ou de délations minables ou de personnes inapprochables. C’est en fait tout simplement comme pour une télévision éteinte qui s’allume ou une balance avec des plateaux qu’on remet en marche. Sans cette perspective, ces profanes ne méritent plus l’honneur d’être concernés par tant d’efforts dans l’élaboration de tant de cadeaux, car on a caressé l’espoir longtemps de les voir rejoindre cette condition de délivrés de la condition de profane. Il s’agit de tous ces objets utiles ou ces films dont les plans ou les trames ont été conçus en plusieurs dimensions par des inventeurs, des innovateurs des hommes et des femmes de sciences qui ne sont plus des profanes.

J'ai découvert seulement, à partir de 2005, (vers 2010), qu'il se pourrait que ce sacrifice ait été accompli tout au long de chacune de ces journées en fait, en réalité virtuelle, mais aussi réelle des milliards de milliards et à l'infini de fois à d'autres reprises, et cela aussi bien avant ma naissance et ma conception, en chair et en os, en 1962 !

Donc nous avons eu à faire à des êtres totalement contraires ou étant devenus contraires à leur Intérêt véritable y compris celui de l’empire à chaque fois, et nous leur avons montré comment - simplement en faisant une ou l'autre des choses déconseillées dans la Bible ou dans les Évangiles – en transgressant des interdits y compris avec leur semence profanée, dilapidée comme entre eux dans la vieille salle des machine, n’importe comment et avec n’importe qui des leurs - et s'ils « écoutaient » ou avaient appris à écouter attentivement les lectures des livres sacrés, qu'il faut impérativement avoir tous ou du moins les principaux compris entièrement, avec, si possible leur multiples niveaux de lecture, avant de se permettre de se marier et de faire des enfants sur cette planète, sous peine sinon de risquer de se « damner » soi-même pour l'éternité, en devenant l’un de ces profanes, en ayant alors comme perspective seulement celle de l’involution ou de régresser (ou tout au mieux) à devenir un de ces roquets ou de ces chats (pourtant de nos jours plus chanceux qu’autrefois – la laisse extensible pour les chien, par exemple) dans une ou deux régions seulement du monde où ils sont mieux traités qu’autrefois en raison de vétérinaires charitables ou d’inspiration chrétienne et du fait que nous ayons pensé en conscient de leur situation à leur améliorer un peu leurs conditions d’existence.

Car si ces profanes deviennent l’un de ces animaux ce sera à l'occasion d'une de leurs réincarnations où ils auront à en souffrir infiniment d’autant plus qu’ils ne peuvent pas s’exprimer en être humain et qu’ils sont, à cause de cela, à chacune des secondes, dans des peurs animales. Ils pourraient cependant éviter ces malheurs s’ils débloquent la situation comme aussi d’avoir à vivre d'autres catégories de craintes ou de peines, d'autant plus qu'ils auront osé se comporter, durant leur existence d'être humains, en cachotiers ou en lâches voyeurs (et c’est pourquoi ces web cam y compris la 4G ou la visiophonie devrait finir par atténuer cet état d’esprit néfaste puisque ce qui était « interdit » sera accessible à tous, donc ne le sera plus, comme le sont à partir d’un certain âge les magasines spécialisés comme Play Boy ou des semblables pour femmes. L’interdit licite devenant normal est moins dangereux pour la santé mais quand cela fini par créer le réchauffement planétaire et l’accroissement des surfaces désertiques, la montées des eaux à certains endroits, à d’autres la disparitions des lacs, des mers des oasis, une pollution apocalyptique, etc. Il est indispensable de se réformer ou du moins de changer ce qui ne peut plus continuer et qui nuit autant à tous).

Il est normal, cependant que des personnes aient le droit de ne rien montrer et d’être pudiques. Car si cette pudeur existe – bien qu’on puisse le reprocher - c’est en raison de la situation qui était bloquée. Une fois débloquée et d’autant plus des web cam et de la visiophonie, elle devrait disparaître d’elle-même en permettant surtout aux jeunes générations de connaître un autre état d’esprit que celui de devenus malades en raison d’ancêtres à cheval sur les vêtements de bon ou mauvais genre au point que cela ait créé le faune, le satyre et le centaure y compris le voyeur et toutes les maladies sexuelles et pire, les désirs de changer de sexe qui résultent de l’incapacité d’attendre sa femme ou la personne avec laquelle on voudra construire un destin commun, ayant oublié que la vie avait peut-être cette fin.

Préjuger que ce qui est à cacher aux représentants véritables de Dieu comme à Dieu lui-même, ou bien plus ou moins qu'à Dieu, au Grand Architecte de l'Univers, qui ne peut, certes, d’aucune façon, avoir à voir, avec les représentants des comportements de voyeurs ou de maître-chanteurs – ce qui explique la réalisation des ordinateurs, des web cam et/ou de la visiophonie - d'aucune sorte, si ce n’est en ayant compris tous les processus mathématiques qui mènent à ce genre de comportements néfastes et malades qui sont le fruit de détournement caricaturales d’objets utiles pour l’avancée de tous. Mais très certainement, si le G. A. U. devait avoir une apparence humaine, elle serait de personnes totalement scientifiques ou fonctionnant comme les ordinateurs qui ne sont pas sexués ou des deux sexes et qui convenant aux deux sexes, (bien qu’on puisse créer des modèles plus féminins ou plus masculins comme pour les stylos à plumes ou les vêtements), répondent indifféremment aux requêtes des hommes comme des femmes, par conséquent, comme une machine donnant l’heure exacte ou se comportant avec d’autres dessins certainement que seulement sensuels, vu l’ampleur de ce qu’il peut représenter dans l’univers. En fait, une de ces machines de bon conseil envers des personnes qui s’étant perdues ou se sont profanées ou qui ont voulu détourner au profit d’une maladie l’usage des instruments qui sont utilisés alors en usurpateurs à d’autres fins, comme l’ont été, à cause de cela, maints instruments au cours des millénaires y compris les armes, pour offenser alors qu’elles ont été forgées pour se défendre ou les livres pour corrompre alors qu’ils étaient faits pour véhiculer le savoir et permettre aux êtres humains d’accéder aux Connaissances. Il en allait naturellement de même d'une vieille salle des machines conçue à cette fin et non pour devenir l’instrument d’une offense continuelle vis-à-vis de personnes délivrées de l’état de profanes, des non sacrilèges, de ceux qui avaient gardé intacte la foi des origines en la fidélité, dans le mariage et la monogamie y compris dans la famille, en devenant ainsi l’objet d’espionnage ou de soupçons sous prétexte que différents parce qu’ils n’ont plus le temps de se profaner dans des partouzes et qu’ils ont conscience de l’importance de leur rôle à jouer pour le bien de leur famille et le Bien de tous et déjà de leurs enfants même s’ils ne sont que des enfants et de ce fait devenus les antagonistes de ceux qui ayant perdu leur conscience et le sens du temps veulent oublier leurs devoirs envers leurs enfants ou qui se sont peut-être moqués de ceux qui soignaient avec tendresse et respect le corps de personnes plus âgées de leur famille avec lesquels ils n’avaient entretenu à partir d’un certain moment du moins, que des relations spirituelles et des rapports respectueux en donnant à ces espions l’exemple des effets de la « bonne éducation », à ceux qui n’en comprenant pas l’intérêt étaient néanmoins contraints de les singer et de progresser grâce à ces personnes « différentes ».  Car ces personnes s’autorisant entre elles toutes les transgressions aux interdits y compris celle de voyeurs ou d’espions des autres, qui par contre ont le sens des responsabilités familiales et des devoirs y compris du reste. Celles-ci ont fini par échanger entre elles cet objet symbolique de l’anneau de mariage pour se déclarer unies et essayer de construire si possible de façon monogame leur famille pour l’offrir à une autre, étant donné qu’ils ont compris qu’il n’y avait aucun intérêt à vivre en égoïstes pour eux tout seuls, mais en ayant le bonheur d’être utiles aux autres semblables ou s’étant avili à ce point que de les prendre pour des ennemis alors qu’ils ont renoncé à ce qui est mauvais mais qui peut sembler bon « à première vue » (ces drogues sexuelles) comme certaines drogues ou poisons, d’autant plus qu’on n’a pas été mis en garde.  

Aussi depuis longtemps cette vieille salle des machines ne marche plus et n’est plus cohérente avec ce qu’on peu considérer la vérité scientifique dans le monde des êtres humains qui n’existe que grâce à la logique et la cohérence notemment chronologique liée à la loi des causes et des effets et qui est née de la soudaine conscience de l’enchainement des événements qui sont apparus à chacun dans un certain ordre (ce qui compte en psychanalyse beaucoup) et cela dans un monde totalement transparent (pour certains, alors que pour d’autres il demeure incompréhensible, opaque ou même sombre), d'autant que ces méthodes là de lavage de cerveau ou d’offenses faites par l’usage de ces machines par des personnes devenues inconscientes à cause de l’usage qui a été fait de ces machines sur eux-mêmes, envers des personnes inoffensives ou/et innocentes et/ou de bonne volonté (donc qui n’œuvrent que pour le Bien et l’Intérêt Général) ne sont, en raison de cela, plus du tout compatibles avec tout ce qui découle de toutes ces lois justes qui interagissent dans notre quotidien comme des autres lois auxquelles nous sommes soumis ou de ce qui peut être canonique ou pas de faire donc acceptable ou pas à notre époque, c'est-à-dire pour la nouvelle génération, en raison des leçons innombrables que nous avons tirées chacun, grâce aux erreurs de nos ancêtres dans la situation générale car ceux qui sont nés après la Seconde Guerre Mondiale où peu à peu sont apparues enfin toutes les explications exactes dans chacune des catégories ce qui peu éviter, entre autre, à chacun, de se conduire en maitre-chanteur d’une quelconque manière, sont donc, en parti, pour ceux qui se sont instruits, de très nombreux mots différents suivant chacune les activités qu’ils mènent et de nos jours de nombreuses images puisque les communications vidéophoniques enregistrées sur les disques durs des ordinateurs attestent qu’ils sont une succession de photos et de sons, par conséquent qu’ils pourraient devenir des œuvres d’art, s’ils parviennent à se débarrasser chacun de l’enfant-gâté, du mal élevé ou de l’égoïste et l’adolescent, c'est-à-dire de l’irresponsable ou de celui qui demeure sourd et comme un aveugle perdu dans un monde qui est pourtant déchiffrable, lisible donc compréhensif en vérité. Encore une fois il faut être capable de distinguer les catégories de vérités et se méfier de la vérité subjective qui intervient dans la vie privée de certains, alors que la vérité se situe à un autre niveau.

Il savent faire la différence entre ce qui est du chantage inadmissible qu’il ne faut pas confondre avec des avertissements qui sont fondés sur des nécessités pour voir le Bien Général prendre forme en raison des différentes contraintes mondiales ou cosmiques qui nous menacent très certainement pour des raisons positives, donc pour notre bien, chacun de nous en particulier puisque toutes les formes d’apocalypses possibles ont été déclenchées (c'est-à-dire toutes les fins possible imaginables ou pas même imaginables par ceux qui se sont mis en infraction pharaonique en ne me rendant pas la vieille salle des machines et le variateur de la vision d’Atlantide à partir d’avril 1965 en croyant possible de nouveau cela à partir de 1975 et d’avril 2005 alors qu’à chacun de ces moments, je suis intervenu, une fois devenu l'un des bouddhas en tant que légitime pharaon en raison de mon anneau immaculé de mariage qu’il a fallu que je reconstitue de ma naissance à 1965 de 1965 à 1975 et de 1975 à 2005 y compris jusqu’à ce jour le 17 septembre 2017 et cela pour réussir à donner quelques temps supplémentaires de Vie à la planète terre comme permettre à tous de vérifier que les secondes, les minutes, les années existent belles et bien y compris les mois et toutes les définitions des mots dans les dictionnaires ou encyclopédies (et ce qu’ils induisent) étant bien des mots qui ont des raisons d’être absolument exactes[26] en les prenant comme référents pour forger chacune des phrases dans le bon sens. En effet, parmi les apocalypses, il faut voir cette menace bien réelle des météorites ou des comètes, venues de loin et qui frôlent la terre avec parfois des ellipses qui à chaque tour permettent à ces immenses blocs de se rapprocher un peu plus précisément de notre planète pour nous anéantir comme un merveilleux défi qui nous est proposé et que nous avons à relever puisque nous avons pu nous en rendre conscients à partir d’un certain moment avec les instruments que nous avons pu forger grâce aux sciences : serons-nous capables de tirer juste avec des canons lasers avant que nous soyons anéantis ? Et si même nous ne devions pas être touchés, n’avons-nous pas le devoir, ne serait-ce que par prudence, d’envisager une réponse adéquate à cette virtualité ? Bien sûr cela signifie des investissements et des efforts, comme des armes terribles à mettre au point. Mais, pour une fois, elles seront dirigées non pas contre un pays étranger sur la planète pour nous détruire entre nous, mais par la planète toute entière, unie, contre ces énormes blocs qui, peut-être même aussi gros que la Lune, pourraient nous tomber dessus ou arriver de beaucoup plus loin dans l’espace, puisque nos télescopes ont pu photographier de façon très précises, des explosions gigantesques (et c’est un mot faible). De mon côté, je n’ai même pas eu à me déplacer vers un observatoire ou à rechercher les photos sur Internet de ces phénomènes d’explosion d’étoile. Vers 2010, j’ai levé la tête vers ce qui m’a paru effectivement une étoile dans le ciel nocturne, et cinq seconde plus tard alors que je la fixais car ce point lumineux, j’ai assisté à une explosion, mais aussi à une implosion (en même temps) et puis plus rien à la place de ce point lumineux qui s’était mis subitement à grossir d’une façon inquiétante dès que mon regard s’est arrêté dessus, alors que je faisais une petite récréation dans la dictée de la Nouvelle Donne InterRégionale (internationale) mondiale à trente ans avant du studio de la rue du Val de Grâce. J’ai cependant mis quelques semaines à prévenir de ce terrible et horrible évènement l’époque à laquelle je m’adressai du ciel car j’ai eu besoin d’y réfléchir en tâche de fond durant mes travaux, et j’ai mis du temps à arriver jusqu’à 2012 pour ne plus être certain comme possibilité qu’il s’agissait seulement d’une étoile. En effet, vers la fin 2012, je me suis demandé si ce n’étais pas l’Univers lui-même entier qui, à cet endroit, là-bas, avertissait d’avance du cas de figure où il exploserait, si nous ne changions pas nos comportements ou nos coutumes alimentaires barbares et égoïstes, au mauvais sens de ce mot, d’ici là. Pourtant, j’avais écarté l’idée que cela puisse être une galaxie qui explosait car, à première vue, ce que j’avais vu, était un point lumineux comme les autres à côté, qu’on a l’habitude de regarder et reconnaître comme des étoiles. Mais comme il m’a été donné de regarder dans une lunette astronomique et de voir qu’un point lointain qui semble à première vue une étoile, et qui s’avère être la galaxie d’Andromède, par exemple, en y regardant de plus prêt, je me devais honnêtement d’utiliser ce savoir et cette expérience, donc ce paramètre, pour penser après avoir assisté à l’évènement de l’explosion et y réfléchir dessus avant d’être certain qu’il s’agissait bien d’une étoile. Ce n’est donc que bien après, en prenant en compte d’autres paramètres, donc à un autre niveau de lecture, que je me suis dis, en toute logique, avec ce que j’étais entrain de vérifier, trente ans après, en me retrouvant en chair et en os dans le ciel, d’où je n’avais été que du virtuel quarante ans avant, en le vérifiant moi-même dix ans après avec ma promise légitime, mais aussi des enfants de mon établissement scolaire y compris mes parents et le Vatican comme toute la ville de Rome, et je me suis dit que nous assistions en ante prima à l’apocalypse du cas de figure de la Création qui n’avait pas été encore débloqué à ce moment-là, sur une ligne de temps cosmique dans la mesure où l’infraction pharaonique à mon sujet se poursuivrait au-delà de ce moment-là (décalage compris) : ce serait donc le cas de figure où, dans quarante ans (ou peut-être avant – dix ans, vingt ans … ?) l’univers entier exploserait. C’est donc une chose que l’honnêteté comme la somme d’expériences que j’ai me contraint à dire, en avertissant d’avance, tout le monde, mais cela peut avoir lieu seulement dans trente ans ou plus tard ou avant. Mais ce qui est certain c’est que nous étions à ce moment là entrain de regarder le Ciel d’un instant où la vieille salle des machines n’avait pas été rendue à son propriétaire légitime depuis avril 1965, c'est-à-dire à l’auteur de cette lettre, ce qui signifie, qu’encore une fois, le Grand Architecte de l’Univers en me faisant lever la tête et pointer les yeux sur l’évènement, nous prévenait d’avance à travers ma personne tout à fait concernée et qui s’est rendue capable, à la longue, de déchiffrer les signes à partir des paramètres de cette époque-ci, comme de savoir tout ce qu’il faut innover, développer, encourager, ou mettre en œuvre partout pour favoriser le Bien Général. Mais depuis trois jours en 2013, j’ai affirmé que même si on devait me rendre cette vieille salle des machines, je ne la veux plus d’aucune façon (en dehors du variateur qui pourrait permettre le rétablissement périodique de la vision d’Atlantide). Aussi cela signifie que l’explosion aura lieu. Peut-être que si, d’ici là, on réussit à me la faire accepter, j’accepterai qu’en même d’y mettre les pieds, pour éviter l’explosion ou que les météorites de ce système solaire ou de l’Univers lui-même nous arrivent dessus, bien qu’à l’heure actuelle je me demande si nous n’avons pas à tenter l’expérience car personnellement j’en ai assez des gens enlisés dans l’ineptie et dans ces états de profanes et d’insensés qui ruinent depuis toujours tous les efforts des hommes religieux ou pourvus d’une conscience. Cette explosion dont j’ai été le témoin à l’œil nu doit certainement avoir ce sens puisque tout ce que j’étais entrain de faire à ce moment là n’était que par charité pour cette époque où nous étions coincés trente ans avant. C’est comme si on était là entrain de donner la dernière chance à cette planète dont les habitants s’ils n’adoptent pas une autre manière de vivre sont avertis qu’ils peuvent être tenus chacun comme responsables de l’explosion du système solaire lui-même, car la première idée qui m’est venue après ces semaines de réflexions fut qu’il s’agissait de la position de notre étoile le soleil lui-même dans le ciel, dans l’avenir, de même que j’avais pu vérifier depuis 2005 que la virtualité de ma personne dans le ciel était devenue une réalité trente ans après que nous ne l’avions vu qu’en temps que virtualité. Aussi je n’assistai donc d’avance qu’au cas de figure qui est encore évitable où notre système solaire explosait. Ce n’est donc que plus tard que j’ai pensé que cela pouvait-être tout l’univers, peut-être alors pour une autre Création qui avait besoin de ce cas de figure avant de se réaliser dans cette auto-destruction et anéantissement, me suis-je dit ! Cela nous affranchirait de la matière et du temps mais cela ne serait que dans bien longtemps (et peut-être pas pour quelque chose de mieux).

Bien sûr je faisais cette Dictée aussi en raison de toutes les autres catégories et de l’état multi dimensionnel dans lequel j’étais en raison de mon anneau de mariage aussi l’explosion était liée à cette situation très exceptionnelle de pharaon que je suis et du fait que depuis 1965 et de nouveau depuis 1975, j’avais, à cause de Dieu, qui s’était manifesté pour cela, retrouvé la mère de mes enfants que nous avions dû sacrifier à cause de cette séparation imposée par tous et malgré la preuve que nous n’avions que comblé tous de bienfaits. Comme, à ce moment là, cinq ans après avoir retrouvé la mémoire de ce sacrifice j’étais encore entrain de le poursuivre, puisque je n’avais repris contact avec ma promise légitime que par Internet et que l’Ensemble ayant pu constater qu’effectivement nous avions cet anneau de mariage que pour qu’il ne se manifeste de nouveau et pour nous permettre de nous retrouver, l’intensité de ce sacrifice qui se poursuivait puisque c’est à cause de lui que j’étais contraint d’intervenir dans le passé où j’y étais encore, mais avec quarante et trente ans de moins, avait bel et bien déclenché un logarithme tel que l’étoile en question dans le futur explosait. C’est à partir de ces réflexions que j’ai compris qu’il fallait mettre un terme à ce sacrifice car sinon nous allions tous y passer. Mais c’était l’Ensemble qui s’était rendu responsable de ce sacrifice que je sentais bien qu’il ne fallait pas faire et qui était bien plus dangereux que celui de Jésus-Christ, il y a deux mille ans, puisqu’il serait renouvelé deux fois et qu’il durerait d’abord dix ans et puis trente ans, le Chemin de Croix tous les jours pendant ce temps-là, pour un certain nombre de personnes toujours injustement comprises par les autres, profanes. Ce qui signifie que s’il m’arrive la moindre injustice cela va être considéré comme bien pire qu’une crucifixion d’il y a deux mille ans, car l’Ensemble avait eu deux mille ans pour comprendre que sa liberté fini dès qu’elle entrave la liberté de l’autre qui est dans le même état d’esprit, mais aussi pour comprendre qu’on ne peut d’aucune façon se comporter en maitre-chanteurs dans un monde fraternel, comme aussi le temps pour comprendre cette religion chrétienne. Aussi, avoir voulu être en infraction contre deux pharaons, un seul en Saint-Esprit, qui ont, en plus permis de tout reconstruire sur de nouvelles bases qui ne sont que justes, avec des explications rationnelles pour chaque chose, y compris concernant la grille des salaires de celui le moins compétent au plus compétent, y compris internationalement et dans un monde soumis à la législation du droit d’auteur, a véritablement créé un dommage considérable et il est fort probable que les temps à venir ne vont pas seulement considérer comme des saints ces nouveaux pharaons que nous avons dû être à endurer tant d’injustices et d’incompréhensions pour notre soucis constant de dire la vérité de façon à pouvoir gérer au mieux la planète avec les hommes et les femmes de bonne volonté, y compris ayant le sens du respect dû à toutes les religions pour soulager la misère et lutter avec bienveillance contre les causes de cette misère qui sont celles qui ont pour nom « mensonge, profane, inconscience, et corollaires ».

Pourtant j’avais bien conscience que nous avions dû sacrifier toute notre descendance à cause de la situation générale de l’Ensemble qui avait exigé ce sacrifice dès 1965 au pharaon lui-même, après la Seconde Guerre Mondiale, en raison de l’état de relativement profane de Michèle Finck voulant être, tant que j'étais profane, une impératrice profane dans un monde où des sacrifices sont capables de faire exploser les étoiles elles-mêmes en raison du caractère cosmique de la dimension sacrée de l’Univers que malheureusement les profanes n’arrivent pas à percevoir car ils ont perdu leur conscience et se rendre coupables chacun de chacune des souffrances de chacun des êtres vivants y compris des leurs en s’étant aussi rendus coupables de la souffrance de tous les saints, celle de la famille de Jésus Christ y compris celle de tous les animaux. Aussi ce n’est qu’après l’explosion de l’étoile et d’autres évènements que j’ai vécu, comme à cause de l’attitude de ma première femme légitime Christine au sujet de Michèle que cela m’a permis d’arriver, pour sauver la situation en mettant un terme à ce sacrifice qui est le plus dangereux et le plus diaboliques de tous, puisqu’il a concerné la personne même de l’unique empereur et de celle qui aurait dû être l’unique l’impératrice (qui n’avaient normalement, dans la vision ancienne et profane de cette fonction impériale d’aucune façon à faire un pareil sacrifice) à l’idée récente, pour commencer, d’essayer de réaliser – pour sauver la situation - trois mariages chrétiens, grâce à une façon un peu musulmane ou bouddhique de concevoir le mariage, en adéquation avec la civilisation de la mondialisation comme avec ma personne d’artiste. Donc de poser trois points qui devraient venir successivement avec ces trois épouses différentes, pour élever nos enfants et donc être utiles à la génération suivante qui attend, elle-aussi, ses enfants qui attendent eux-aussi leurs enfants et ainsi de suite et qu’il faut donc élever dans cette optique dont nous avons conscience, puisque ces générations vont avoir, si la situation n’est pas débloquée, le problème du vieillissement des générations les précédents y compris la question de la mort de chacune des personnes qui se posera.

Peut-être même qu’aucune d’entre ces impératrices ne sera la mère biologique de mes enfants qui seront faits par des mères-porteuses et cela à partir d’une de mes cellules contenant mon ADN (car il n’est plus d’aucun intérêt d’avoir à faire des efforts sexuels pour avoir des enfants, de nos jours, grâce au progrès des sciences – ce qui signifie que nous démontrons l’inutilité de l’acte sexuel dans les relations humaines qui n’ont donc un intérêt que seulement spirituel. Cela confirme que le mariage n’a de finalité que spirituelle y compris mettre au monde des enfants, par conséquent qu’ils ne se sont incarnés que pour se délivrer de l’enfant–gâtés et devenir des êtres de pensée véritables au point de concevoir des machines en plusieurs dimensions – ce que j’ai vérifié impossible dans l’état de profane y compris la compréhension d’une phrase écrite à déchiffrer).

Je vois donc ces trois premières impératrices – malgré leur âge - un peu comme « trois grâces » qui, chacune, pourraient être importante comme point de repère pour ces enfants totalement innocents de ce qui a bien pu se passer et qui arriveraient dans une autre époque, totalement nouvelle de leur point de vue, donc une nouvelle Aventure pour leur génération, à partir de toutes les époques passées, un monde à réinventer. Ces enfants pourraient se voir faciliter l’avènement d’un tel monde, très différent du nôtre, ainsi, en bénéficiant de trois sons de cloches totalement différents ou de trois approches différentes (en attendant d’autres sons de cloches) de la situation générale du monde qui les a engendré et cela à titre instructif. Ils auraient trois mères différentes avant d’en découvrir de nouvelles et ils verraient ainsi, dès l’enfance, que la seule mère génétique ne détient pas toute la vérité et qu’entre elles, chacune étant un exemple différent et une approche du monde différentes des points de vue peuvent s’opposer. Cela pourrait grandement stimuler leur intelligence comme les rendre tolérants et capables ainsi de mieux comprendre ceux qui n’ont pas de parents ou de mère et qui n’ont des adultes qu’une idée partielle, puisqu’ils ont été élevés par des personnes n’ayant pas de lien de sang directement avec eux et qui étaient payés pour le faire (organismes charitables pour enfants trouvés ou abandonnés, par exemple). Souvent ces personnes se sentent moins responsables que des parents qui sont allés jusqu’à la reconnaissance officielle par le mariage et l’aspect juridique qu’il revêt, avant d’attendre leurs enfants. Peut-être qu’ainsi grâce à ces trois impératrices nous pourrions éviter l’explosion générale avec ce que cela signifie comme fin pour toutes les virtualités et les solutions élégantes qui peuvent découler de toutes celles qui déjà existent grâce à ceux qui font des études ou qui réfléchissent en vérité.

Donc des personnes qui savent faire la différence entre des avertissements et ces chantages. Ce qui signifie qu’elles ont été incomprises tout au long de l’Histoire, puisqu’elles sont des personnes qui connaissent aussi les droits des êtres humains et des animaux, comme des plantes, sans pour autant exercer nullement du chantage. Cela signifie que ce qui a été pris pour des chantages de leur part dans les temps passé n’était seulement que des avertissement fondés et justes, basés sur des masses colossales d’expériences que les profanes n’arrivaient pas à comprendre mais qui ont servi néanmoins partout pour que tous puissent vivre ensemble sans trop de heurts, puisqu'on peut, de nos jours, par la négociation, la diplomatie, les études les écritures, au cas par cas, avec de la bonne volonté, trouver ces solutions élégantes, une par une, à chacun des problèmes qui se posent, d'autant plus qu’en ayant fait construire Internet, cela permet, depuis peu, même de travailler ensemble à distance à y réfléchir ou, en sachant s’en servir, de les résoudre (en forum) et ces solutions trouvées à un endroit peuvent être parfois internationales puisque tous ceux qui savent la même langue, ou plusieurs différentes en commun, peuvent alors le comprendre et les appliquer ou les mettre en œuvre dans leur pays.

J'ai découvert que ce sacrifice m'a contraint à prendre en considération de très nombreux paramètres (je l’ai dit, je le répète - dont je n’avais plus la mémoire durant ces années d’amnésie mais que j’ai eu en tête quand je n’étais pas amnésique) et que j’ai eu à faire des calculs absolument inimaginables et prodigieux qui ne pourraient être idéalement faits, normalement, que par l’ensemble des ordinateurs interconnectés, mais dans mon cas, il a fallu que je calcule aussi d’avance l’ensemble des calculs effectués à tous les instants par chacun des ordinateurs pour remonter le temps en intervenant d’avance de l’époque en question quarante ans avant même d’y être en chair et en os y compris trente ans avant (c'est-à-dire prévoir dans le moindre détail à chaque instant tous les évènements qui découleraient pour tous sur toute la surface de la planète avant même que ces évènements aient lieu : cela a donc été comme si j’avais fait un voyage dans le futur avant même que ce futur n’advienne et c’est bien en cela que je suis un prophète[27] puisque tout ce que j’ai pu, en virtuel, prophétiser du ciel en raison de mon anneau de mariage en 1975 s’est matérialisé dans la réalité elle-même au cours des années 1975 à 2005 jusqu’à maintenant) et c’est ainsi qu’on m'a forcé à redevenir très compétent en tout point bien que je me sente, Monsieur le Cardinal, très humblement seulement votre serviteur et celui de tous comme de n’importe lequel des ordinateurs ou des insectes, leur empereur aussi.

J'ai effectivement compris ce que personne, dans tous les temps, sauf peut-être une ou deux personnes dans les temps passés ont compris de façon exacte[28]. C’est pourquoi ce que je crois possible avec trois mariages et puis d’autres ensuite, si cela devait s’avérer nécessaire du point de vue des enfants, même si scandaleux pour notre génération, doit être mis en place car sinon nous risquons cette explosion de notre soleil.

Mais ce qui est certain c’est que ce qui m’est arrivé trois fois (ces préparations à trois anneaux de mariages distants dans le temps qui n’en font qu’un) peut être d'une grande aide pour tous ces gens qui aspirent à un peu mieux comprendre et qui sont pour l'instant prisonniers chacun d'égoïsmes d’enfants-gâtés encore profanes. Mais je revendique un peu de ce mot aussi à mon sujet puisque j’ai bien compris que la situation générale contraint de nombreuses personnes à devoir s’occuper d’elles-mêmes avant de pouvoir prendre le temps de s’occuper des autres et de se montrer charitables, une fois débarrassées, chacune, de cet égoïsme ou de l’enfant-gâtée en elles. De plus nous tous qui arrivons dans cette époque-ci, comme déjà chacune des générations avant la notre, nous sommes enfants-gâtés ne serait-ce que parce que nous avons accès aux possibilités de nous instruire au point même, pour ceux qui le souhaitent vraiment, à force de travailler, de tout comprendre en vérité sans un électron d’erreur possible. C’est pourquoi j’ai depuis tout petit passé mon temps à analyser tout ce qui m’entourait et à ne faire que travailler du cerveau comme à bien apprendre à me connaître moi-même (ce qui a été facilité par les trois séjours profanes de ma naissance à 1965 de 1972 à 1975 et de fin 1977 à avril 2005). L’expérience de ces amnésies dont je suis sorti totalement, grâce à Dieu, (mais avec des séquelles qui probablement ne disparaîtront jamais), va nous être à tous très utile, comme cela avait été le cas déjà dès 1965 jusqu’à 1972 à l’issue de celle dont j’avais été victime après ma naissance, avant d’être le sujet de la première des amnésies officiellement contractée, prévenus du futur, qui m’a mené heureusement aux premiers baisers de celle qui en étant ma promise (qui avait été elle aussi annoncée du futur) est celle dont j’ai dû me séparer, puisque personne n’a choisi alors de faire le bonheur de tous, mais tous ont préféré alors choisir le malheur pour tous, alors que le contraire était possible y compris pour tous dans le passé, avec les répercussions en conséquence dans le futur. J’espère qu’enfin tous, forts de l’expérience de cette renouvelée bonne leçon pour la troisième fois que nous avons tous eu (y compris moi-même, comme enfin tous convaincus de l’absolue certitude qu’on ne peut plus d’aucune façon se marier en faisant semblant (mais selon un protocole d’approches qui suivant les cas va exiger du temps et de nombreuses péripéties), puisque l’existence de l’anneau immaculé de mariage a été vérifié à ce point véritable, à l’occasion de ces éternels retours cosmiques (1965, 1975, 2005) mais légèrement décalés au point que les mariages des enfants pourraient être envisagés y compris ceux des un peu plus grands (vers l’âge de douze ans) de façon absolument certaine, dans un empan qui suivant les cas va de la non compréhension du mariage par les profanes ou l’ignorant, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), à sa compréhension d’initié, c'est-à-dire à sa raison même d’être pour le Bien et l’Intérêt Général en raison de notre vie en société, dans ce cas de figure de la Création qui a été bloquée par ceux qui ont voulu se retrouver – c’est vérifié dès 1965, de nouveau à partir de 1975 et à partir de 2005 - en état d’infraction pharaonique à chacune des fractions de seconde de leur vie et à cause de cela en se damnant chacun car sacrilèges vis-à-vis de l’amour véritable, donc de la notion de famille et par conséquent de celle du mariage – donc des fiançailles, etc. ). Pourtant nous devons donner des preuves que nous sommes intelligents vis-à-vis de la situation grave que vivent les profanes ou les ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui ne peuvent pas même imaginer que les mots engagent à tant de responsabilités et de vérité y compris de conséquences. C’est pourquoi il ne faut pas persécuter les profanes s’ils ne font rien de nuisible (ce qui est difficile à comprendre une fois qu’on est dans le monde de la vérité, car la moindre chose qu’ils font a des probabilités d'être d’avance dans l’erreur. Mais comme c’est en raison des innombrables paramètres qui remontent pour chacun à la nuit des temps, il faut réussir à comprendre que ce qu’ils se permettent en prenant l’habitude de transgresser les interdits au point de se rendre pareils à des animaux, et de s’éloigner de leur statut d’êtres humains ou de personnes ayant cette virtualité ou cette perspective, ne doit pas faire l’objet de reproches car ils sont dans un état de complexes d’infériorités tels qu’ils croient possible les masquer par l’inverse et par chacune des provocations sacrilèges ou profanes y compris en étant dans l’esprit de contradiction qui n’est autre que celui de confirmation du bien fondé de chacune des recommandations comme des conseils que les principales religions ont veillé à transmettre en étant naturellement des personnes capables de comprendre ce qu’on n’est absolument incapables de comprendre dans l’état de profane (vérifié totalement par mes propres soins et qu’on ne pourra comprendre qu’en acceptant que des propositions soient faites par ceux qui ne sont plus profanes pour amener, sur le long terme, et peut-être plus long que long, ces personnes totalement devenues irresponsables, inconscientes, vautrées dans les fanges sexualo-analo-spermatiques et fécales leur ayant totalement fermé les capacité cérébrales et spirituelles pour se rendre capables de réfléchir véritablement sur la plan collectif et général un peu plus ample que celui qui est devenu le leur et qui ne concerne que leur personne seulement intéressée par la réussite matérielle locale, en profiteurs du système général qui n’a été mis en place que pour leur permettre à la longue de passer de « profane » à « initié » - ce qui peut arriver à n’importe quel âge, y compris dans le fœtus lui-même, ce qui fait qu’effectivement, il y a des bébés qui sont dès la naissance plutôt en avance sur d’autres, par conséquent qui vont être handicapés par l’ensemble de ceux qui sont vautrés dans leurs conditions d’ignorants profanes et sacrilèges quoi qu’ils fassent. Il en résulte ces incompréhensions dans les cours de récréation avec d’un côté des enfants qui sachant que l’autre qui est dans l’erreur, dans l’état de profane, a des chances de ne plus l’être un jour, vont endurer des choses qu’il n’y a que les saints et les martyrs qui les ont supportées étant donné qu’ils refusent avec grande intelligence de se battre physiquement contre ces provocateurs qui sont prisonniers de ces façons primitives de se battre à une époque où ce ne sera que grâce aux échanges de lettres et de textes et d’œuvres comme en raison de véritables compétences qu’on acquière une véritable notoriété et une véritable considération internationale, voire plus encore que cela comme Chagall, Picasso, Rubens, etc. qui traverseront tous les siècles et les millénaires en devenant à chacun des siècles, en l’absence de la vision d’Atlantide, toujours plus connus comme les simples mots ou les instruments qui nous sont essentiels pour survivre, en attendant que ces personnes malheureuses et prisonnières d’une situation qui s’est toujours retournées contre eux étant donné qu’ils n’ont appris qu’à devenir des incompétents, trouvent enfin le courage de laisser s’occuper de ces machines par de véritables maîtres et des personnes de sciences exactes pour rétablir la vision d’Atlantide conformément à ce que la logique de la situation elle-même exige – mais j’ai vérifié que le profane a vraiment des difficultés pour comprendre l’expression « logique de la situation » elle est un mystère – seuls ceux qui ne sont plus profanes savent en raison des milliards de paramètres dont l’autre ignore l’existence à cause de son état de détérioré).

Nous espérons donc qu’enfin sûrs chacun d’eux de l’existence de l’anneau de mariage chacun voudra faire de meilleurs choix distinguant de façon plus sûre entre le malheur, la maladie, le désert et la mort et cette hypothèse de travail qui en a résulté dans laquelle je me propose de continuer à tenter de faire le bonheur de tous malgré ceux qui, de mauvaise humeur, ou pour d’autres raisons, voudraient continuer à trouver drôle de se faire du mal à eux-mêmes en prenant du plaisir à créer des obstacles, à mettre des bâtons dans les roues ou à se moquer de ceux qui essaient depuis parfois plusieurs générations par ce qu’ils offrent de contribuer à faire ce bonheur, en raisons d’études élaborées dans ces contextes familiaux « résistants » de façon moins inconscientes, donc en ayant fini par comprendre comment gérer chacun des problèmes y compris celui de celui qui ne sait pas sincèrement ce que signifie « la logique de la situation » au cas par cas. Cette hypothèse de travail est égoïste « à première vue » (mais beaucoup ont fini par comprendre que les mariages « égoïstes » de la famille Granier et qui font l’objet de tant d’écriture et de préparations, de précautions et d’échanges comme de lettres et de cérémonies ne sont en réalité qu’altruistes ou généreux de même que Spencer Tracy qui marie sa fille dans un des films hollywoodiens où il vit ce drame avec sa femme (plus ou moins l’enfer de ces préparatifs) pour accueillir de futures difficultés en plus dans les personnes de ses virtuels, pour l’instant, petits enfants qui le rendent ce père de cette fille capable alors, pour elle, comme peut-être pour sa femme, de supporter des choses plutôt difficiles et désagréables (en ne comprenant pas ce qu'il supporte).

Si nous avons en effet d’un côté La Mélodie du Bonheur, nous assistons à une bien triste fin pour une soi-disante aristocrate qui devait épouser quelqu’un de son milieu, un veuf, ayant eu quelques enfants, durant la période troublée par les mensonges ou les vérités relatives comme les préjugés et les calomnies qui circulaient à l’époque en Autriche et dans le reste des pays germanophiles. Nous savons tous que la vérité était et sera toujours dans la « résistance » à ces inepties et dans toutes les actions des personnes qui agissent grâce à ces leçons de l’histoire en conscience, donc justement, et non comme ces automates qui ne sont pas même capables de comprendre ce qu’ils font, mais qui ont le mérite parfois d’être capables d’appliquer des règlements ou des méthodes qui ont été élaborées et trouvées par ceux qui sont délivrés du mensonge. Grâce à ces méthodes, par mimétisme (mais parfois à contrario ou autrement de ce que la logique de la situation exigerait) mais sans pouvoir encore réfléchir vraiment, ils sont capables d’avancer en faussaires et en personnes qui font semblant, dans l’existence en étant parfois arrivés aussi à des niveaux que les autres ne peuvent plus atteindre – tant ils sont inconcevables – d’où les corrections ou les biffures ou les censures dans le temps passé qui ont été mal prises puisqu’impossibles à comprendre - étant donné la conscience qu’ils ont des milliards de milliards et plus encore de paramètres qui interagissent et qui ont fait d’eux des bergers, des pasteurs, des personnes capables d’êtres de bon conseils, des recours, voire des rois et des reines. Nous sommes plus de soixante dix ans après le début du traumatisme général qu’a connu toute l’Europe et le monde entier en raison du fait qu’adolphe hitler n’arrivait pas alors à comprendre même que son nom ou son prénom était d’origine chrétienne et juive comme le sont chacun des mots dans chacune des langues y compris asiatiques, mais aussi chacun des chiffres internationaux, d’origine arabe et toutes les bonnes choses existantes en raison de personnes ayant été élevées dans l’absolu respect des religions fondatrices de toutes les religions et de toutes les civilisations alternatives à tous les comportements de personnes s’étant vautrées dans les fanges issues des diverses inepties, en se rendant indignes de leurs enfants et petits enfants et en voulant croire que ceux-ci n’étaient que, comme eux, des salauds, des parasites, des ignorants, des profiteurs quand chacun de ces enfants, grâces aux sciences, provenant de la mesure et d’une des lettres de l’alphabet à l’origine israélite (qui offre un angle droit à la lettre en question, qu’on retrouve à 4 reprise dans le « H » d’hitler) a permis, grâce à la religion en question, de forger tous les mots dans toutes les langues du monde, au point que chacun de ceux-ci est accessible, en raison du sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots)impériale que vous savez, de nos jours, comme une sorte de patrimoine commun, par Internet à tout le monde. Tous ceux qui ont été d’un seul atome de seconde nazis, fascistes, etc. ou même sympathisant y compris adolph lui-même, ne peuvent plus croire à aucune des inepties de leur jeunesse, comme tous les communistes et ceux que j’appelle les faux socialistes qui n’ont pas réussi d’un seul électron à penser justement avec les mots que pourtant l’aristocratie tzarienne avait offert à ces délivrés du servage par le grand-père de celui qui a été injustement tué alors qu’il a œuvré tous les jours pour construire la Russie de son fils et peut-être même de son petit-fils en ayant hérité des charges aussi démesurées qui pesaient sur sa famille qui avait permis, avec l’ensemble de ceux qui collaboraient, d’amorcer le désir de s’instruire et de sortir de sa condition profane pour rejoindre l’ensemble des hommes et des femmes qui ne faisaient plus semblant de réfléchir à partir de textes ou d’images.

Pourquoi tant de générosité vis-à-vis d’ignorants, (au mauvais sens de ce mot) ? Peut-être parce qu’il faut être devenu un véritable peintre avant de se permettre d’écrire avec les mots et de les utiliser, ce qui fut le cas de quelques grands rois et prince. Cela a été en tout cas mon expérience. Ce n’est que parce que progressivement j’ai fait tous les efforts pour devenir ce véritable peintre que j’ai pu commencer à petit à petit véritablement parler et penser en vérité absolue et ultime et exactement, sans un électron d’erreur et cela de 1965 à 1972, puis de nouveau après avoir embrassé ma légitime promise de 1975 à 1977 et en suite à partir de 2005.

Pourquoi ?
Parce que j’ai découvert que la finalité de la peinture c’est de pouvoir être digne d’accueillir des enfants chez soi ou des modèles en respectant d’avance la fidélité qu’ils doivent à leurs enfants y compris à ceux avec lesquels ils ont eu l’honneur de les faire.

Mais tout cela concerne (nous faisons comme si) mon mariage et mes éventuels enfants. Il s’agira alors, avec la condition d’homme marié, d’assumer la part d’égoïsme que signifie le devoir de pourvoir à l’éducation d’enfants issus de soi-même et dont l’Ensemble va profiter, car ils engendrent alors des frais et des dépenses qui vont permettre à tous les acteurs de la société civile et commerciale de survivre grâce à eux, puisqu’il y a quotidiennement des quantités de choses à acheter et à mettre en œuvre pour être au service d’un tel dessein : les élever avec les autres acteurs pour en faire, en raison de leur patrimoine génétique exceptionnel (issu de ma personne qui n’a pas peu prouvé que l’ensemble de son arbre généalogique recèle de surprises bénéfiques – il doit certainement y avoir lointainement des histoires d’amour exceptionnelles et vraies pour avoir permis conformément au signifiant « aime » à la planète d’être ainsi préservée de malheurs supplémentaires après la Seconde Guerre Mondiale, grâce à ce sentiment qui, partagé entre ma mère et mon père, a donné mes frères et sœur, les oncles et les tantes de mes neveux annoncés, dans ce cas, en légitime défense de l’Empire par moi-même découvrant quarante ans après que j’étais déjà dans le futur avant même d’y être, puisque j’ai pu m’entendre à l’âge de deux ans et demi, alors que j’étais petit, m’ordonner toute une série de choses à moi-même en vérifiant que je ne pouvais pas être en même temps dans plusieurs endroits différents, ce qu’à partir de 2005, j’ai à contrario pu vérifier, comme tout le monde, effectivement vrai – ce qui va nous permettre, à partir de ce paramètre incroyable de mieux comprendre certaines espèces de coquillages ou les escaliers en colimaçon de long de la tour de cathédrale de Strasbourg, et peut-être un peu mieux ce qu’est l’être humain : certainement aussi cet esprit d’escalier et ce gastéropode auquel je pense, et une surprenante, c’est le moins qu’on puisse dire, interrogation et énigme). Soudain on doit passer, en raison du mariage, à nous mettre au service de tous les enfants, dans chacune de nos activités, y compris celles des célibataires, puisqu’il faut en passer pas cet état, avant de se rendre dignes, (parfois déjà à l’âge encore enfant) de se marier. Mais la situation générale économique ne permet pas encore à notre époque (peut-être dans le futur si la situation venait à être débloquée sur le long terme) les mariages des enfants entre eux, bien que de mon côté, je ne m’oppose nullement à ce qu’ils aient cette perspective chacun quand ils auront les moyens financiers d’en assumer les conséquences avec la personne de leur choix, étant donné que c’est particulièrement recommandable de découvrir les sentiments d’amour et de constance y compris de fidélité et de se tenir à un projet d’union qui a vu le jour enfant (on devrait être alors mieux capables de comprendre ses propres enfants puisqu’on gardera cette façon enfantine d’être fidèle, au risque de régresser et, à cause de cela, d’être exclusif et de ne jamais sortir de la jalousie ou de l’enfant-gâté, puisqu’on a connu une forme d’amour animale, sans avoir profité de son cheminement avec l’autre pour connaître le statut d’être humain parachevé et en cours de développement). Normalement un mariage c’est la possibilité d’être heureux en rendant heureux - mais vous l’aurez compris, Monsieur le Cardinal, de même que vous êtes entré dans les ordres dans l’Intérêt et pour le Bien Général, c’est ainsi que je pense ce qui me pose ces travaux difficiles sur le plan des droits canoniques et pour lesquels l’Ensemble m’a de nouveau contraint, en permanence, à sacrifier, depuis 2005, tout le temps que d’habitude, durant les années, où je fus artificiellement plus profane que je ne le suis heureusement un peu resté, en me consacrant alors à mes activités professionnelles, c’est à dire celles pour lesquelles je me suis formé et qui devaient me procurer, normalement, honnêtement, à moyen terme, des moyens financiers  pour subvenir à mes besoins comme à ceux des enfants qui pourraient trouver de quoi manger: le dessin, la peinture, l’écriture de scénarii, le tournage de films, de nombreuses inventions ou innovations, etc. que j’aimerai avoir le temps de réaliser moi-même, ainsi que tous les conseils que je pourrais prodiguer dans toutes les catégories dont j’ai découvert être devenu (d’une certaine façon) le maître (puisque qu’il n’y a donc pas un des travaux effectués sur toute la surface de la terre qui n’avait pas été effectué par moi-même personnellement avant qu’il ne le soit, puisque j’ai eu à remonter le temps avant que ceux-ci n’adviennent en chair et en os (c'est-à-dire dans la réalité elle-même) et que c’est donc moi-même (à travers ces mains) qui a fait, de mes propres mains (les mains d'autrui étant les miennes d'un point de vue pharaonique) et avec mon propre cerveau chacune des choses que j’ai fini par demander du futur une troisième fois vers le passé, en les exigeant alors, une fois qu’elles étaient effectivement élaborées, en chair et en os (pour faciliter leur élaboration dans la cuisine des années 1975-80 et suivantes).

Donc ces personnes qui nous font perdre notre existence (notre temps), puisque nous nous consacrons au Bien et à l’Intérêt Général, alors qu’eux sont devenus nuisibles et sont donc contraires à leurs intérêts fondamentaux ontologiques consubstantiels intrinsèques, etc. y compris à ceux de leurs enfants et de leurs petits enfants, y compris contraires à l'Intérêt et au Bien d’encore plus loin dans le temps et sont donc devenues contraires à l’Intérêt de leurs ancêtres, (ce qui se passe de commentaire, tant cela est abominablement triste et malheureux), sont donc bien à plaindre, puisqu’il s’agit en réalité des profanes ou des ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui seraient capables de prendre un futur bon père de famille pour un égoïste (en raison des leurs – n’en ayant pas connu de délivrés de l’enfant-gâté), alors qu’il a comme tâche, celle de former des enfants qui vont avoir à grandir, dans une autre époque, pour permettre à tous à partir de là, de poursuivre l’Aventure Humaine, de leur point de vue, forcément un peu différent et plutôt enrichissante, car il est probable qu’à cette occasion on ait à recommencer à zéro l’école, comme les grands-parents et les arrière-grands-parents qui apprennent alors que les choses ont un peu changé !

Il ne faut sûrement pas déduire que ceux qui prennent les peines que vous savez pour tout gérer et tout administrer (dont vous-même – soyez-en ici infiniment reconnu) soient seulement des saints ou des anges, comme de futurs martyrs, puisqu’ils sont à ce point incompris dans leur résistance, qui va de soi, aux différents facteurs menant à ce qui est la cause de la ruines des « civilisations qui furent mortelles » car ils n'en ont, c’est normal, nullement la vocation au départ - je l'ai vérifié sur moi-même, en 1965, à l'âge de deux ans et un mois : je n'avais d'aucune façon cet état d'esprit et plutôt même celui de tout le monde. Aussi c'est contraint et forcé par l’Ensemble et la logique même de ma situation pharaonique (impériale), donc en raison du fait que j'étais l’empereur pour le Bien Général, à partir de 2005, en 1975 et en 1965 que j'ai pu sauver la situation et cela seulement à cause de l'existence de l'anneau de mariage de mes parents comme aussi de celui des  fiançailles (mais aussi du mien) donc d'une chose qui n'a qu'à voir qu’avec des sentiments véritables qu’on doit être capable d’éprouver vraiment pour une autre personne reconnue en raison de ces mots utiles à l’Intérêt Général de notre empire, l’anneau ayant à voir avec les sciences et la Géométrie, comme avec le calcul du diamètre, et donc avec l'ensemble des catégories véritablement scientifiques qui permettent d'approcher cette notion de compas, de rond, de roue et donc tout ce qui est lié dans tous les temps à cela, ce qui explique pourquoi je risque de déplaire sur le plan strictement scientifiquement religieux (de la religion chrétienne ou de l'Église) telle que vous en avez peut-être une idée préconçue (quand on oublie la rosace), bien que je vous sache normalement à votre niveau un esprit libre, ayant bénéficié certainement des meilleures études et que vous n’avez non plus rien contre ces sciences (qui - je ne vous apprends rien – mais c’est pour les espions ici qui, j’ose l’espérer, cherchent ainsi à, au moins, progresser en copiant ou en assurant entre eux la relève, mais en risquant de manquer les épisodes qui leur aurait été profitables étant donné que je soupçonne qu’ils n’opèrent que parce qu’ils sont rémunérés en échange et non pas par vocation et se retrouvent ainsi en ayant manqué plusieurs cours essentiels – aussi il n’est jamais profitable d’être animé par ce soucis d’espionner son prochain que seulement au grand jour (non à l'insu mais sous la forme de leçons, de cours, de conférences) et en ne se permettant de le faire que chez les personnes qui le sachant, feront alors les efforts qui ont peut-être toujours été faits au point qu’en raison de cela, par toujours les mêmes personnes de bonne volonté, l’humanité entière a progressé jusqu’ici – mais sur cet « ici » l’un et l’autre avons certainement une façon de le voir qui nous est personnelle), puisque nous sommes depuis toujours d’accord à ce qu’elles ne servent qu’en conscience pour les raisons que sinon elles pourraient conduire, ce qu’elles ont failli à la ruine des civilisations, (je ne vous apprend rien puisque j’emprunte cette idée reçue vérifiée comme essentielle). Des sciences auxquelles on est contraint de faire appel aussi pour réaliser l’anneau, donc cette étape chez le bijoutier qui procède d’un dessin et de calculs. Des sciences qui interviennent dans la vie de chaque être humain chrétien ou pas, se préparant pour créer ces conditions pour accueillir dans une sorte de nid – chez lui ou chez elle – parfois une cabane, parfois moins que cela, une grotte sans encore de chauffage ni d’air conditionné, encore moins animal, cette autre personne issue d’un rapprochement au préalable sentimental ou pour d’autres raisons que celui du sexe complémentaire qui portera, pour commencer, ce mot de « bébé », non pas en songeant à Brigitte Bardot, non pas en songeant au Bureau pour Baignoire, non pas en songeant à lettre « b », ni aux autres occurrences qui de nos jours peuvent apparaître, pour quelques unes d’entre elles, pour l’instant répertoriées (il ne faut qu’en accuser ici le début d’Internet, comme on a pu justement, reprocher, au début de l’imprimerie, que l’ensemble des textes écrits à la mains et conservés dans les monastères n’étaient pas encore tous accessibles ainsi démocratisés par cette solutions élégantes du livre imprimé découlant de constations hébraïques et chinoises sur la notion d’impression) dans un ordre, parfois exigé chronologiquement par certains moteurs de recherches qui le rendent possible, à cette vitesse là, par rapport à la date de publication sur le www (3W ou le world wide web).

Vous êtes d’une religion le très-haut représentant en ayant eu, normalement, un jour ou l'autre la chance – ou le malheur - de connaître vous aussi ce moment de l’ouverture de l'esprit qui est célébré par le baptême depuis que Saint-Jean et son cousin ont compris ce que beaucoup, à l’époque, ne pouvaient plus comprendre puisqu’ils ne connaissaient de l’existence que la condition profane, sacrilège, militaire au sens romain, par conséquent de devenus sourds aux bons conseils des personnes sages et prévoyantes.

Dans cette histoire qu’on m’a contraint à vivre depuis avril 1965, j'ai pu montrer comment celui qui a bénéficié de cette ouverture d'esprit assez jeune, peut simplement, parce qu'il y a des personnes qui ont cherché à lui faire avoir une amnésie, ce qui l’a mené à perdre alors tout le bénéfice de ce moment-là, au point de connaître lui-même, de nouveau cette fermeture de son esprit – et les peurs du profanes qui vont avec et qui sont totales vis-à-vis de ceux qui vivent leur existence en conscience y compris de chacun des instants qui entrent alors chronologiquement chargés chacun du sens de ceux-ci. Ces devenus écervelés ont rejoint, à cause de cela, toutes les personnes dépourvues d’esprit véritable, toutes celles s'étant condamnées elles-mêmes à vivre dénuées d'esprit comme à faire semblant d'en avoir et donc à demeurer hors de la Vérité de ceux qui vivent leur existence en personnes devenues, par contre, des « gens d’esprit », au sens ou ce mot est employé aussi pour nous prévenir des objectifs même du théâtre ou même seulement de spectacles aussi puériles que ceux des marionnettes ou de Guignol ou des gens spirituels (Kandinsky, le peintre, a écrit un très beau texte sur le spirituel et l’art), d’autant plus qu’ils sont alors devenus quasiment semblables aux futurs animaux qu'ils seront, ce qui est malheureux, car ils ne sont plus capables que de « faire semblant » alors d’avoir de l’humour ou de l’esprit et parfois donnent même, dans leur détresse, l'illusion d'être des gentlemen ou de faire parti de ces êtres humains parachevés, ce qui n'est malheureusement aucunement le cas de comme nous l'avons toujours entendu, en l’ayant découvert progressivement au cours de ces dernière années ayant amené l’Ensemble à découvrir dans le ciel, en virtuel, quarante années avant que cela ne soit, donc avant de devoir l’incarner comme une réalité de chair et en os, en tant que l’être qui s’essaie à penser ici ou ailleurs, capable, nous l’avons vérifié, à cause de cela, de ces calculs prodigieux, mais aussi de faire parti simplement des êtres de conscience universelle, dotés de la notion du temps, ce qui permet avec nos bras et la faculté d’écrire et de penser, comme avec l’aide de la géométrie, l'organisation de tous les travaux à programmer, étant donné qu’il y a, encore une fois, les bébés et les enfants et déjà au-delà d’eux quand on les regarde, ces poupons, leurs petits enfants qui ne nous changent pas beaucoup d’eux et que tout ce monde là signifie des besoins constants.

Ces personnes inconscientes sont prisonnières de toutes les catégories profanes envisagées dans la perspective de « pécher » et ainsi de parvenir encore plus à se nuire à elles-mêmes (c’est là une des caractéristique de la folie, s’en prendre à soi-même), ce qui va les conduire à différentes actions néfastes qui « bousillent » et ont enclenché un processus d’atrophie des fonctionnalités de leur cerveau et avec cela des capacités cognitives permettant de se mettre, par exemple, à la place des autres ce qui leur est impossible puisqu’ils ne sont devenus que des égoïstes tant qu’ils n’apprennent pas à changer d’état d’esprit . Ce sont les capacités d’analyse et de discernement qui ont ainsi disparues, bien qu’ils prétendent déterminer la vérité de façon sonore. Mais malheureusement, ils n’ont plus que les capacités à ce sujet de devenus des vils voyeurs et transgresseurs d’interdits y compris pécheurs, donc profanes, se réjouissant de faire le mal et d'être à l'origine de tous les malheurs, ce qui n'est vraiment pas intelligent et qui signifient que d’avance, ils se réjouissent des souffrances qu’ils auront à endurer eux-mêmes puisque c'est eux qui en seront forcément les victimes, très logiquement, d’autant plus qu’il y a tous les autres qui se réjouissent naturellement et justement du contraire : de faire le bonheur de tous par les peines qu’ils prennent dans leurs différents travaux, au point que le zèle leur est devenu aussi naturel que respirer.

Effectivement, j’ai pu vérifier sur moi-même que dans l’état de profane on "ne se rend pas compte" sauf ceux qui savent – mais qui le cachent - qu'ils se comportent en tricheurs, en usurpateurs, en imposteurs, en voleurs et tout ce qui va avec mais qui honnêtement l'avouent souvent quand ils s’épanchent en inconscients et en trouvant ça normal et juste (ils sont donc très malades puisqu’il ne peuvent pas même imaginer que l’état d’esprit dont ils se moquent où qu’ils croient étranger à l’être humain tel qu’ils ont été amené à le considérer animal puisse proposer la compréhension exacte de tout) et drôle.

A l'occasion de ces cérémonies de mariage qui seront alors célébrées avec le faste que l'on envisagera au cas par cas (pour chacune des impératrices) puisque l'objectif de ces mariages est peut-être de finir par débloquer la situation et d’avoir un enfant ou plusieurs héritiers à élever – ce qui va représenter un travail considérable supplémentaire auquel j’espère être prêt comme m’être rendu digne par mes innombrables études et expériences professionnelles. Un ou des héritiers qui pourraient peut-être être en parti génétiquement issus de mes propres gènes (d’autant qu’ils se sont avérés plutôt exceptionnels comme déjà dit plus haut y compris à partir de l’ADN de chacune des cellules de mes os – que j’espère que vous comprendrez que l’Etat a intérêt de conserver pour le moins au Panthéon mon corps et les corps de chacun des membre de ma famille y compris de ma mère et mon père qui ont réussi à réaliser un tel miracle économique mondial constant et permanent, avec ma personne comme dernière roue du carrosse depuis 1965 - étant donné que ce que j'ai fait avec cette chair-ci autour du squelette que j’ai rejoint, à l’occasion de cette réincarnation, est plutôt, pour minimiser, bien plus que fabuleux et incroyable (je m’exprime en pharaon devenu bouddha donc chacun des mots est vrai même si je minimise souvent en alpha-oméga cosmiquement et universellement et en …) et que je le dois à un instant précis qu'il y a eu entre mon père et ma mère après leur mariage et vers la dixième année après la naissance de mon frère ainé, à l’occasion de la rencontre de deux cellules provenant de deux patrimoines génétiques différents, ayant l’un et l’autre une histoire remontant à très loin dans la nuit des temps. Pour tous les hommes et les femmes de sciences exactes l’étude de pareils squelettes ou tissus cérébraux (ayant été à l’origine de tant de bienfaits) ou de peau représentent de possibles biens faits (comme ont été conservés à cet effet, infiniment précieusement, dans des lieux spéciaux parfois mis en valeur par des œuvres d’art les corps des rois ou des saints y compris des martyrs, dont la matière permet parfois simplement en s’approchant d’elle, de guérir des personnes dans un état très grave de maladie et cela même seulement si ces reliques sont à l’état d’os ou de dents ou même en s’approchant de leur tombeau) y compris ceux de mes grands parents et mes arrières grands-parents comme de mes grandes tantes et oncles y compris plus loin, si nous retrouvons leur lieu d’enterrement, ce qui s’avérera passionnant, dans les années à venir, pour devenir l’objet de pèlerinage et revêtir, si les prières qui leur sont adressées sont de celles de personnes recherchant l’honnêteté et à guérir en vérité, la possibilité d’être exaucées. C’est qu’en même exceptionnel que la nuit des temps ait fini par donner un pareil jour et de pareils intelligences qui, en seulement une fraction de seconde, en 1965, aient réussi comme moi, à reconstruire une planète en la délivrant progressivement des guerres et cela sur la base de plusieurs histoires d’amour incroyables à première vue, car impensables (se séparer en sacrifice après de tels précédents) et cela jusqu’à 2013, le 12 avril, en ayant fait passer le monde entier à l’aire de la civilisation numérique y compris informatique, électronique ou celle des lasers et etc.? (En cette fraction de seconde qui a duré soixante ans puisqu’il se pourrait qu’on m’ait déjà entendu en 1945, à la fin de la guerre, donc avant ma naissance (en 1963), ce qui, je vous l’avoue, est difficile à croire, y compris pour moi (je relis en 2017 - entre temps ma mère m'a confirmé que j'ai aussi été entendu avant ma naissance - j'ai donc bien déduit comme bien fait, au cours des communications depuis les années 2005 et suivantes de m'adresser plus loin qu'aux années 1965 - ma voix a donc porté avant), car si d’autres que moi m’affirmaient possible cela, j’aurais vraiment du mal à les prendre au sérieux, mais la sagesse, en pareil cas, conseille de faire au moins comme si de telles idées à premièrevues incohérentes dont peu de personnes arriveraient scientifiquement à comprendre pourquoi elles sont possibles, sont effectivement plausible. Après tout ce monde est tellement extraordinaire ne serait-ce que parce qu’il existe, puisqu’il serait plus normal qu’il n’y ait rien, que je crois que face à une telle idée, bien que rationnellement j’ai été élevé comme vous dans le discernement de ce qui est cohérent et l’habituelle idée de privilégier la rationalité et la chronologie telle que nous nous sommes habitués à l’école à la concevoir, ce qui permet plus facilement de déterminer la cohérence de ce qui ne l’est pas, il faudra donc se résoudre à, du moins, sur ce point, en émettre l’hypothèse ou penser possible cette incohérence cohérente (qu'on m'ait entendu avant même ma naissance), d’autant plus que dans certains tableaux, y compris de Goya, apparaît dans le ciel un géant, comme dans d’autres tableaux des personnages assis sur des nués (en effet, c'est bien du ciel que je suis intervenu - le ciel qui existe en même temps que nous sommes à vivre notre vie sur terre - il y a donc la dimension céleste qui concerne toute chose). Nous aurions donc réussi à reconstruire le monde totalement détruit par l'empereur fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))et cela du futur en raison des sciences géométriques multi dimensionnelles et à faire passer à l’aire d’Internet, de la paix et des voyages interplanétaires (Lune, Mars, station orbitale Internationale, etc. Et cela simplement parce que nous avons été de ceux ayant étudié en vérité et en logique comme nos ancêtres pour être au service du prochain c'est-à-dire parfois de ceux qui sont embourbés dans l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, sont prisonniers des esclavages libidinaux et masturbateurs d’égoïsmes stériles en ayant cet espoir que tout ce qui est mis en œuvre puisse les en délivrer pour leur faire connaître le monde du spirituel c'est-à-dire aussi de la géométrie – certes compliquée à ce point de tout prendre en compte dans la tridimensionnalité dans laquelle chacune des personnes sont. Mais je me souviens de Jean Rouch qui me conseillait, quand j’étais encore seulement profane, de me souvenir d’une phrase quand j’avais alors un peu peur notemment du chiffre 666 – « ces mystères nous dépassent feignons d’en être les organisateurs » et c’est ainsi qu’en à moitié menteur et à moitié faussaire, j’avais moins peur puisqu’il ne s’agissait, sommes toutes, que de « faire semblant » de comprendre des choses que j’ai vérifié on ne comprend pas du tout, c’est pourquoi je suis devenu très indulgent et très compréhensif vis-à-vis des profanes y compris des charlatans et de tous les bandits y compris des menteurs car je connais d’avance leur état de terreur panique et le courage que cela exige d’eux d’arriver à faire semblant y compris de n’avoir pas peur. Ils ont à ce sujet une solidarité entre eux qui est remarquable et qui est véritablement par certains aspect chrétienne car c’est fraternellement ou religieusement qu’ils se soutiennent, mais entre malhonnêtes et tricheurs (et tout le reste), ce qui est parfois comme dans le Billy Wilder avec Marilyn Monroe dans le gâteau au cours de la cérémonie du syndicat du crime à premièrevue même exemplaire pour les soi-disant chrétiens qui devraient en prendre de la graine : la solidarité des bandits et des mafieux donnerait comme une leçon – car, hélas, il s’agit de rouler les lois et les contraintes pour éviter d’avoir à être de service ou alors pour n’utiliser le service que pour y faire semblant de travailler et n’y faire que des choses interdites).

Il pourrait ainsi y avoir pour cet enfant ou ces enfants issus de moi, bien qu’ils pourraient s’agir d’enfants adoptés (si je parviens à avoir suffisemment de moyens financiers pour gérer tout cela en « bon père de famille »), si je n’arrive pas à avoir des enfants à partir d’un noyau d’une de mes cellules qui ne soient pas forcément d’origine sexuelles, pour ces enfants issus de moi, plusieurs mères (mères-porteuses) différentes ou "impératrices-mères", ayant été reconnues comme telles aussi par les instances religieuses en raison de ces mariages reconnus aussi civilement y compris s’il s’agit d’impératrices d’origine étrangères, dans la mesure où, tout cela, pourrait faire évoluer la situation vers un mieux de Michèle Finck, car vous l'avez compris, Monsieur le Cardinal, tout ce que nous avons tenté depuis 1965, avec ces sacrifices canoniques, n'avait comme objectif que d'arriver à créer les conditions d’une sorte de cour constituées d'impératrices légitimes diverses (un peu comme avant le problème, quand la vieille salle des machines appartenait à tous) pour entourer Michèle Finck qui s’est sentie en 2005 spoliée de moi, qu’elle croyait « posséder » pour toujours car j'ai cru qu'elle ne me voulait, vous l’avez compris, que pour elle seule ou à son service comme une sorte d'esclave (une conception du mariage que celui qui s’est débarrassé de l’enfant-gâté ne peut pas admettre). Or, ce sentiment égoïste, n’existait pas dans la vraie Atlantide des origines. On appartenait à la communauté générale et cela permettait de nouer des histoires d’amour qui n’avaient pas les contraintes de notre époque[29] qui découlent génétiquement de la différence de chacun de nos ancêtres mais aussi des contraintes sociales liées à l'établissement de familles. C’est peut-être pour cette raison qu’il y a eu dans certains cas de la jalousie et de disposer de la vieille salle des machines « jalousement », en excluant les autres, cela a facilité le développement de ces sentiments de « propriétaires » y compris entre individus. Il est vraisemblable que si la vieille salle des machines avait appartenu à l’Ensemble sans distinction et de façon fraternelle, jamais ces sentiments de possession ne se seraient à ce point propagés (avec ce qui en a résulté de bien comme hélas de malentendus : « c’est à moi »).

Je me dois, en tant qu’empereur à mes devoirs de futur père de famille et à cause de cela à l’Empire, donc à l’Ensemble, comme déjà à chacune des autres impératrices (et pas seulement à Michèle Finck) mais cela a du être peut-être un moment pénible à vivre pour Michèle qui avait, visiblement, les mêmes préjugés que j’avais en tant que profane au sujet de l’amour ou une façon de concevoir son couple qui l’avait contrainte à se rendre capable de cacher des choses (d’autant qu’elle me savait à l’époque jaloux) mais qu’elle avait peut-être le projet de dévoiler un jour. Ne l’ayant pas fait à temps elle est apparue en 2005, soudain, comme une femme contre-productive, et ne tenant pas compte des devoirs qu’on a vis-à-vis de ses descendants déjà au plus loin possible qu’on puisse imaginer. Je vous dirai que tant que je n’étais pas devenu certain qu’elle pourrait être la mère de mes enfants, en tant que ce profane que j’étais devenu, j’étais bien loin, moi, aussi de le croire possible pour notre couple, bien que je trouvais naturel que ce soit le cas chez les autres. Les sentiments de Michèle comme les miens, au sujet du mariage, provenaient de la situation générale. C’était des façons de voir, sommes toutes assez banales, car elles avaient à voir avec l’idée égoïste et profane de l’amour que nous avons partagé durant ces années là, malgré mes efforts, pour approcher et coller à la condition de fiancé légitime et d’éventuels candidats au mariage dont nous pensions qu’il ne pouvait être utile que pour ceux qui voudraient avoir des enfants (durant toute cette époque jamais je ne sus qu'en 1977 je lui avais proposé plusieurs épouses d'autant que je me savais virtuellement attendre des enfants de Christine). Je dois dire que cette idée ne nous est pas venue jusqu’à ce qu’elle me vienne vraiment en me délivrant alors de ma condition de profane mais en découvrant alors que Michèle avait fait semblant de ne plus être profane, ce qui ne m’a pas plu du tout, car soudain je déchantai (vous lirez, si vous le temps, dans d'autres de mes textes, les autres réflexions sur cette histoire extraordinaire, dans laquelle je m’emploie à voir clair).

En fait, cette façon profane de vivre en union libre ou de se préparer au mariage sans en avoir l’air, nous avait rendu peu sensible aux malheurs des autres et à cause de cela refermés sur nous-mêmes à ces velléités d’engendrer et de nous rendre responsables, à notre tour, de l’éducation d’enfants (nous n’en avons pas envisagé jusqu’au moment où, me libérant soudain de mon égoïsme et de l’enfant gâté comme de l’adolescent attardé, je découvrais en raison de la soudaine honnêteté de Dieu, en réponse peut-être à la mienne (il s’est peut-être senti contraint d’être cohérent avec l’idée qu’il avait donné de lui-même, pris à son propre piège), l’avoir déjà été ([comme] marié) par le passé à partir de 1965 et de 1975 sans avoir pu vivre avec ma légitime épouse puisque déjà l’Ensemble avait exigé, malgré ce que normalement, renseignés du futur aussi précisément que cela, (certainement dans d’autres époques plus proches des nôtres ou dans le futur, en raison du fait que nous étions seulement vingt ans après la Seconde Guerre Mondiale), j’aurais certainement permis de faire à mon fils ou ma fille en pareil cas promis ou promise, peu importe à qui, mais de cette façon si inhabituelle, si impérialement retransmise, en facilitant alors la vie commune de ces enfants promis (mais en raison des paramètres de l’époque, une pareille joie, nous a été refusée, interdite et chacun de nous a été contraint à être fidèle et à attendre sagement que le destin nous permette de nous rapprocher ou de rendre possible ce qui aurait dû l’être dès que l’Ensemble avait pris connaissance de nos trépignements de joie à savoir que l’autre, prévu, prédestiné, était né et se trouvait à une certaine distance de là où impérialement malgré notre âge, nous nous tenions en essayant de faire honneur à cette information tant qu’elle a été présente à notre esprit[30], et en nous gardant bien de désirer d’autres câlins que ceux prévus y compris en refusant ceux de notre mère, de nos tantes, de notre sœur, car nous nous sentions déjà un homme).

Je désirais de nouveau, à cet âge là, me marier et fonder une famille et c’est alors que Dieu est apparu, en 2005, en pouvant bien constater et vérifier que même si je ne tombais pas des nues, mais émergeais de nouveau de ma condition de profane, je ne savais rien de ce qui s’était passé une première fois en 1965 et une seconde fois à partir de 1975, puisque tout ne faisait qu’une fois de plus recommencer pour moi et pour la première fois comme le Phénix (j’étais ailleurs dans un autre décors à un autre âge) et cela me permettait de découvrir, oh! malheur, oh! bonheur, que j’avais eu une autre femme qui avait permis de découvrir, dès mes premières années, que j’avais un véritable anneau immaculé de mariage cosmique avec elle, qui se renouvelait à l’occasion de ce que je prie pour mon mariage pour lequel je m’étais préparé avec Michèle. Mais en raison de ce que je découvrais je n’eus pas d’autres choix que me glisser dans la peau de celui que j’étais quarante ans avant et trente ans avant ne pouvant pas imaginer possible Michèle comme ma femme légitime, étant donné qu’elle avait osé me cacher tout ce que je n’ai que par la suite eu seulement les confirmations nombreuses de l’intuition subite qu’en avril 2005 j’avais eu au sujet de Michèle (elle savait), ce qui me fit beaucoup souffrir puisque j’avais eu à son sujet des intentions honnêtes et pures de me marier avec elle. Mais je n’ai pas eu le temps de m’apitoyer sur mon sort et alors que la situation après les innombrables précédentes dont vous ne savez encore rien mais qui m’ont conduit, par exemple, à peindre une quarantaine de tableaux (fous – mais pas seulement) et fort difficiles à réaliser, comme à supporter des situations vraiment injustes, je n’ai trouvé que le mot d’humour à opposer à cet « amour » qui devait prendre fin (jusqu'à 2017 où il a recommencé) par la décision logique de rompre mes fiançailles qui remontaient en fait à plusieurs années déjà (en 1965) mais qui n’avaient trouvé, en raison de mes efforts, l’idée d’évoluer ou de se métamorphoser en mariage que seulement très récemment en 2005).

Cela augure donc (une fois que ces années instructives de 2005 à 2011 nous aient redonné l’idée de créer des conditions propices à renouer un futur dialogue de fiancés, puisqu’il y a l’ensemble des paramètres dont nous ne savions rien avant qui se sont manifestés) qu’à son tour, à la fin du processus, si la situation générale est débloquée (le variateur nous est rendu pour qu’au moins d’ici là nous ayons au moins commencé à permettre à ceux qui en ont le plus besoin – les menteurs, les tricheurs, etc. - de voir quelques minutes par an, pour commencer, Atlantide – en prélude à ces noces au bout de la perspective qui, je ne vous le cache pas, sont beaucoup plus lointaines que dans le cas de figure où l’Ensemble, dès 1965, ou au pire dès 1975 avait pu comprendre qu’elles auraient pu avoir lieu bien que seulement au nombre de deux et non de trois, beaucoup plus tôt – ainsi Michèle pourrait enfin connaître, à son tour, notre état d’esprit de libérés de la servitude des préjugés profanes, comme de la jalousie, ce qui permet d’envisage la constitution d’une famille ouverte, donc le mariage, dans une perspective générale à assez long terme. Nous finirions par accepter ce qui paraissait impossible, inconcevable en 1965 ou en 1975 mais qui, à la lumière de notre époque (comme de mon âge) au mœurs discutables, me parait être une solution très élégante que nos devons, encore une fois, à Christine, malgré elle, mais qui fut ébauchée par Dieu dès 2005 y compris par mon père vers 2006 bien qu’alors ayant été vingt sept ans profane et à cause de cela beaucoup moins enclin à la diplomatie ou à des négociations que maintenant, je n’ai pu accepter sur le moment d’autant qu’il me manquait alors plusieurs paramètres importants qui ont joué en faveur de Michèle de nouveau (je n’ai compris que vers 2010-2011 que Michèle ne pouvait vraiment pas comprendre, comme si elle appartenait à une autre espèce – en fait le monde profane que j’avais quitté en n’ayant pas semblant de la vouloir pour épouse mais qui m’avait ouvert les yeux sur l’existence d’une Michèle, victime d’une situation remontant en réalité à la nuit des temps et cela pour la troisième fois !). Mais pour rendre ce rapprochement possible de nouveau, il fallait renoncer à l’annulation du mariage de Christine et à la seule condition que Christine accepte de mettre un terme à notre sacrifice incompris des profanes qui avait fait d’elle la femme mariée que j’ai eu à vouloir qu’elle devienne (à première vue contre mes intérêts y compris ceux que les préjugés en la matière ont l’habitude de considérer comme étant de mise et concrétisant traditionnellement ces rapprochements entre personnes complémentaires se destinant à des perspectives conjugales) pour la protéger (canoniquement, comme en pareil cas on se doit - je ne l’ai vérifié que plus tard, mais même si cela n’avait pas été inscrit comme j’en avais naturellement l’intuition que cela doive être légitimement un droit, je me proposai – malgré le travail dans lequel j’étais - de faire le nécessaire pour qu’on comprenne, le cas échéant, que ce cas particulier nécessiterait une telle inscription en droit canon que j’eus le plaisir plusieurs mois après, en allant consulter, par Internet, le Droit canonique du Vatican, lié plus spécialement à la sous-partie concernant les mariages, effectivement de voir inscrit, en confirmant ce que naturellement mon bon sens m’avait fait entrevoir comme issue possible, d’autant que ma décision à ce moment-là, de mettre un terme au sacrifice était arrêté – au moment où je sacrifiai le célibat de ma promise en le lui communiquant du ciel à l’âge qu’elle avait à treize ans – imaginez !, je vous prie ces situations peu communes qui s’ordonnaient pourtant chronologiquement en s’avérant d’une logique cruelle – mais cela m’a contraint de signifier cette nécessité dans laquelle Christine se trouverait de chercher un mari en l’exigeant d’elle du ciel, à travers le temps, vers l’année 1977 de 2007 où je me trouvais ayant quatorze ans (en même temps qu'en 2007 et 2017), particulièrement indigné que personne ne comprennent qu’on n’avait pas le droit de nous faire subir une telle horreur, alors qu’on venait de s’embrasser pour la première fois en se sentant à ce point un(i)s et nécessaire l’un à l’autre [comme mariés]).

A partir de 2005 en raison de l’intervention de Dieu, Christine redevenait ma femme, prévue par Dieu et par le Grand Architecte de l’Univers, dès 1965 (une situation paradoxale naitrait de ce que j’étais contraint d’exiger (le mariage) pour protéger Christine en raison de ce que nous allions traverser comme en 1965 à partir de 2005) et renouvelé en 1975, en raison de notre anneau en épousant aussi, à un autre moment, religieusement, Florence Loewy comme je vous l’exprime ici possible, en ouvrant la voie à d’autres mariages ultérieurs que je ne puis depuis d’aucune façon m’interdire en tant qu’empereur dans l’intérêt de l’empire et de la génération suivante (bref finalement un nombre illimité de droit à me marier avec des épouses nouvelles, religieusement, et chrétiennement – un droit dont vous pouvez être certain d’avance je n’abuserai d’aucune façon, puisque vous voyez bien le temps que je prends pour régler canoniquement chacun de ces anneaux qui n’en font qu’un autour de la génération suivante ou des descendants).

Je crois que ma façon de faire de ne vouloir rien cacher à ces impératrices comme à Michèle Finck pourra progressivement lever les soupçons méprisables qu’elle aurait pu nourrir contre moi et les autres impératrices (si je ne la savais pas être capable de folie mais aussi de moment plus raisonnables) puisque je n'ai nulle intention de lui cacher quoi que ce soit et même j'ai l'intention du contraire : de mettre des web cam qui seront reliées à son ordinateur personnel à tous les instants ou à sa tablette reliée à Internet, ce qui lui permettra de suivre, comme d’enregistrer, si elle a envie de retenir des choses contre moi, ou seulement pour avoir des explications, si elle devait se sentir lésée, ce qui ne sera jamais le cas puisque nous ne serions que dans la légalité de ce qui est naturellement possible sans anneau de mariage à des empereurs plus profanes que celui que l’Ensemble a contraint, en ma personne, de ne plus être seulement et grâce à ces web cam (parfois pourvus d’anneaux de simples anneaux de plastiques pour la mise au point devant l’objectif), dans tous les lieux où j'aurais à me rendre, elle pourra de loin espionner légalement (sans avoir plus besoin de la vieille salle des machines (et à cause de cela de commettre des péchés comme le maris pour Paolo e Francesa) qui est devenue illégitime à moins qu’elle ne soit rendue ou partagée avec ceux qui de façon certaine ne vont l’utiliser qu’en ayant en tête ce qu’on a le droit de faire de façon exacte en raison des milliards et plus encore de paramètres précis qui ne permettent plus de nos jours de l’utiliser à l’insu des personnes concernées. Mais les web cam étant physiquement visibles et librement consenties ou refusées (ce qui est un droit légitime) y compris dans la chambre de chacune de mes impératrices où je ne pourrais hélas y être en même temps (bien que nous ayons pu vérifier que je fus capable d’être en trois points [1965; 1975; 2005] au moins en même temps, ce qui les laisse chacune d’elle totalement libre de faire ce qui leur chante et d’avance elles sont assurées qu’ayant bien d’autres intérêt que l’espionnite, je ne serais pas celui qui les fera espionner d’aucune façon car elles pourront comme elles l’entendent éteindre ces web cam que je découvre avoir fait réaliser aussi pour rassurer Michèle Finck et uniquement pour elle y compris tous les voyeurs et les paparazzi qui pourront ainsi prendre tous les clichés qu’ils souhaiteront de nos ébats amoureux impériaux les jours où nous nous sentirons enclins à les rendre ainsi publics en raison peut-être que nous nous sentirons assez reposés y compris en bonne forme pour qu’ils soient agréables à découvrir (car j’ai l’intention d’en mettre plusieurs de web cam à des axes intéressants car je n’ai pas peu eu la certitude de l’œuvre d’art que je suis devenue et l’ensemble des publics), y compris celui des enfants, est bien sûr d’avance bien venu à travers ces caméras, en anonymes, car nous n’aurons rien à cacher puisque nous serons mariés religieusement par l’Église et cohérent avec notre époque et ces gadgets « honni soit qui mal y pense » ou qui éprouve de la vergogne – n’avons-nous pas Christine et moi montré à partir de 1975, qu’en raison du fait que nous étions promis l’un à l’autre et qu’elle avait le droit de m’embrasser sur mon sexe publiquement, ce qu’elle fit sans que cela ne produise que l’admiration du Ciel où j’étais en virtuel à le recommander et en découvrant de quoi j’avais été capable dès l’âge de treize ans y compris Christine sans pécher d’un atome – et si nous faisons cela ce n’est pas par provocation ni pour des raisons de pornographie, vous l’aurez compris, Monsieur le Cardinal, mais parce qu’il y a à soigner beaucoup de gens malade et qui ont été victime de la situation en devenant mathématiquement cette masse de satyres et centaures, y compris certains peut-être des démons, alors que si l’Ensemble avait compris en 1965 et/ou au plu tard en 1975, ces personnes seraient peut-être devenue des dieux et ne seraient plus des profanes enlisés dans ces boues infectes de façons d’être sacrilèges.  Ce sont les malentendus qui ont fait d’eux ces parodies de ce qu’ils étaient sinon promis à être si la situation générale avait été débloquée en 1965, 1975 ou même à chaque instant depuis avril 2005 et s’ils avaient renoncé à être en infraction pharaonique vis-à-vis de mon père empereur y compris de moi-même dès 1965 et nous sommes assurés d’avance avec ces web cam que ceux qui sont pudiques et respectueux des us et coutumes comme des autres y compris polis et courtois n’auront que l’attitude habituelle que leur dictera leur conscience et leur éducation de gentlemen on ne s’y intéressant par exemple pour des raisons intelligentes – comme Rubens s’est intéressé au mariage d’Henri IV.

Mais cela permettra à Michèle Finck ainsi d’être au courant quand je ne serais pas au près d’elle, des centres d’intérêts qui seront naturellement les nôtres comme préliminaires avec chacune des impératrices avant peut-être de prendre un peu de repos à côté d’elles puisque nous aurons à nous réunir pour réfléchir à organiser les emplois du temps, comme chacune des activités de ces héritiers y compris à veiller à leurs éducations et à nous partager pour suivre leurs études  (je vais ici pouvoir bénéficier de l’expérience de Florence Loewy qui a déjà deux grands garçons) comme à organiser leurs vacances tout en ayant à gérer les innombrables problèmes que posent l’empire, en sachant d’avance que nous comptons sur vous et sur le dévoué Saint-Père, par conséquent continuellement à être, comme nous l’avons été, au service de la génération suivante dans le même esprit de relative abnégation qui a bien plus exemplaire que nous en mes parents qui ont été capables avec leur génération, non seulement de gérer leur vie sentimentale et professionnelle chacun, mais toutes les affaires de l’empire International mondial que j’ai découvert avoir créé du futur avant même d’y être, y compris en réalisant cette Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale d’avance (en ayant hélas à la confirmer en chair et en os), une fois que je me suis assuré qu’elle avait bien été réalisée (bien que je n’étais que dans le monde du virtuel) par fidélité et admiration pour le président F. D. Roosevelt (qui a toujours été un modèle aussi pour Michèle Finck – c’est elle qui me l’a dit et c’est en songeant à ce moment où elle m’avait plu que j’ai pensé que si cet homme n’avait pas démérité en en faisant une à l’échelle du territoire dont il était responsable, très certainement Michèle, en apprenant que j’étais l’auteur d’une Nouvelle Donne à l’échelle mondiale, serait particulièrement fière de ne pas s’être trompée en considérant ce président des Etats-Unis d’Amérique comme exemplaire, quand de mon côté, il m’apparaît comme celui qui a sauvé la Construction Européenne elle-même y compris le monde entier, en ayant eu ce courage là de frapper dans ce qui était plus pourri que le pourri puisque cela avait cru possible ne pas comprendre pourquoi l’être humain a le droit de choisir librement son travail ou son maître et de ne pas être considéré comme un esclave au sens où il était devenu inadmissible de le voir en ces époques précédents de la révolution industrielle anglo-saxonne). Mes parents ont été, malgré la charge de l’Empire à reconstruire, capables en plus de ces métiers d’élever mes frères et sœurs avant d’avoir à se consacrer quand ils le purent à mon éducation comme à veiller à mes études en ayant le souci constant de mes activités sportives bienfaisantes et ils m’ont nourri quand j’avais faim, m’ont soigné quand j’étais malade en me donnant l’exemple de parents fidèles l’un à l’autre et qui n’ont pas pris à la légère leur rôle et leur engagement mutuel y compris sur le plan religieux.

Aussi, Michèle Finck pourra bien constater que malgré ma tendance à privilégier la monogamie comme un véritable bienfait, je suis capable d’y renoncer pour lui faire comprendre que ce n’est pas parce que j’aurais théoriquement droit à d’autres femmes légitimes mariées religieusement à ma personnes que je la tromperai, d’aucune façon, si elle devait arriver jusqu’au jour où elle pourrait se voir mariée. Je ne la tromperai pas avec chacune des impératrices qui auront tout au long de leur vie à s’occuper en plus de leurs enfants (celles qui en auront eu avec d’autres pères que moi) ou en raison d’histoire personnelles (une cellule d’une personne intéressante par insémination artificielle) et pour calmer sa jalousie ou bien l’attiser (une maladie qui provient de la situation bloquée) elle pourra veiller personnellement, grâce aux web cam, à l’éducation jalouse de ces enfants puisqu’ils auront ces veilleuses dans leur chambre et qu’ils auront le choix de les ouvrir ou de les éteindre y compris pour se donner en spectacle à leur copain de classe quand ils croiront bon devoir s’affranchir de leurs études contraignantes dans des improvisations soit en ayant construit leurs programme comme des petites séquences et en ayant bien sûr le droit de faire des streep tease si cela leur chante y compris avec des camarades de passage (il faut bien que l’âge bête passe puisqu’il a eu pour auteur bien de nombreuses personnes reliées à de nombreuses époques). Cela devrait arriver à produire un certain nombre de réactions mathématiques dont je sais d’avance les résultats à déjà plusieurs génération d’ici et cela devrait être véritablement bienfaisant pour tous les spectateurs qui suivront les feuilletons consacrés à l’éducation de la famille de l’empereur que nous demeurons au service de tous.

Bien sûr, chacune des impératrices aura naturellement le droit et même le devoir, à moins qu'elles s'en fichent (vous me permettrez s’il vous plait l’expression), de vivre de façon plus privée et plus intime en ayant d'avance les mêmes droits des enfants, c'est-à-dire d’éteindre ces web cam de reality show pour des raisons qui seront les leurs et que je respecte infiniment d’autant plus que personne n’a le droit d’imposer en permanence des caméras de surveillance à l’intérieur de lieux privés. Ce n’est donc que librement que ces enfants comme ces impératrices, y compris nous-mêmes, accepteront de transformer en lieu public, à de certains moments, ce qui n’est que du domaine privé et qui représentent des investissements financiers (à l’origine provenant de sources privées et dont nous n’avons pas à rougir car le fruit de véritables travaux immaculés) que nous aurons à faire, en espérant trouver quelques sponsors ou annonceurs qui voudront profiter de ce genre de spectacle destinés à la galerie y compris à soigner tous ceux qui, en raison de la situation générale, ont fini par avoir des préjugés et à devenir seulement des voyeurs, des espions, des satyres, des centaures, des menteurs, des tricheurs, des imposteurs, des usurpateurs toujours à l’affut comme des bêtes honteuses et devenues prédatrices – en raison de leurs peurs et du fait qu’elles savent être entrain de transgresser des droits fondamentaux en ayant cru pouvoir utiliser la vieille salle des machines en excluant ceux qui étaient dans le vrai – Ils pourront ainsi savoir ce qui se passe chez les dieux et de cette manière ils seront servi, puisqu’ils sont cet ensemble de malades qui nous a toujours posé des problèmes dans tous les temps passés y compris depuis 1965.

Je serais à mes affaires à d’autres moment au travail, comme ici et je me propose aussi quand j’aurais les moyens de mettre une ou plusieurs web cam tout autour de moi y compris dans mon atelier de peintre (si je devais finir ou commencer par avoir enfin ce bonheur) de façon à ce que ceux qui s’intéressent à une personne qui ne fait que penser dans l’Intérêt et pour le Bien général puissent bien être certains qu’il n’y a aucune espèce de tricherie ni de désir d’arnaquer qui que ce soit y compris dans chacune de nos œuvres d’art y compris en faisant des baisers. Ils pourront aussi assister à chacune de mes réunions de travail si je dois rencontrer des acteurs, des producteurs, des décorateurs, des personnes susceptibles de m’aider pour réaliser les films que j’ai l’intention de faire, en y prenant le soin que chacun aura pu espionner ou que chacun a pu espionner quand à l’époque je n’en savais encore rien de l’existence de la vieille salle des machines que j’ai fini par déduire à partir de 2005. En effet, j’ai découvert que j’ai été espionné tout au long de cette époque où je fus amnésique et au cours de laquelle j’eus à élaborer le film de cinéma la momie à mi-mot (il y a un préjudice et je demande des réparations financières y compris pour tous ceux qui l’ont été depuis toujours (tous les morts) – ce qui va de soi. C’est ainsi que j’avais des assistants ou des espions durant le montage, comme durant le choix des musiques y compris durant toutes les phases de mes différents travaux et je m’étonne que ces personnes ayant espionné n’aient pas compris ce que représente parfois dans la cuisine l’élaboration de cinq minutes de film ni compris pourquoi il y a des prix aux choses qui sont dans les vitrines (évidemment si le prix du baril de pétrole était mis au tarif que je propose depuis 1975, la plupart de ces prix seraient gratuits). Ils ont pu espionner les différentes phases de l’élaboration des musiques avec des musiciens et des compositeurs et tout cela car j’avais des intentions honnêtes d’arriver un jour à me rendre capable de disposer de revenus faits proprement pour payer ce que je découvre je vais devoir avoir comme charges, non seulement en découvrant celles qui concerneront ma personne mais les charges à payer pour élever ces enfants en espérant pouvoir faire des économies suffisantes si jamais il devait leur arriver un quelconque malheur et être ainsi capable de faire face à ces dépenses, sans trop peser financièrement sur leur mère (le moins possible) bien qu’elles soient d’avance avertie qu’elles auront, elles aussi, à être capables de faire face à ce qu’on appelle un impondérable et qui peut représenter des frais très importants « qui ne se trouvent pas dans le pas d’un cheval ».

Donc des impératrices qui devront aussi être capables, si je devais avoir un quelconque problème de santé, de prendre aussitôt, à jamais, le relais financier, pour continuer à élever ces enfants de rang impérial, qui, encore une fois, peuvent être de l’une ou l’autre d’entre elles, l’Ensemble solidaires, d’autant plus que mariées chacune peut-être devant le Saint-Père (puisqu’élevées au rang impérial par les préparatifs et le chemin qui j’espère ne sera pas seulement de Croix jusqu’à de pareils honneurs). Cela devrait les conduire à être capables d’avoir l’honneur, d’être devant des enfants adoptés ou bien provenant de leur ventre. Aussi, je suis sûr ici que nous restons pour l’instant du moins à ces seuls trois impératrices sur le projet de « 7 d’un coup » que pourtant j’ai logiquement entrevu possible à partir de ces trois premières et même de plus, ultérieurement, et peut-être même ne va-t-il plus y avoir d’hésitations à cette nouvelle audace, en raison de préjugés qui auront valsé mais qui étaient bien compréhensibles ayant les antécédents historiques et culturelles dont nous avons conscience et cela pour faire à cette très encombrante responsabilité à supporter jusqu’à son dernier souffle comme père ou comme mère d’autant que les signatures d’’épousées administrativement, contractuellement et religieusement attesteront qu’elles sont réellement les mères de ces, pour l’instant, inconnus, car si de notre côté nous nous engageons à faire comme si nous devions envisager d’avoir un ou plusieurs héritiers à cette charge qui nous est tombée du ciel, c’est dans une perspective bien précise et dans l’espoir qu’il leur appartiendra de garder en tête cette histoire, voire d’en retrouver la genèse par écrit, s’ils devaient se perdre en route, en comprenant que nous avons pris le temps de comprendre que leur époque et différente de la nôtre et qu’en raison des infrastructures techniques comme des « time code » il y a des choses qui sont permises à des enfants qui ne sont pas contraints d’être omniscients ou de le devenir dans chacune des matières étant donné qu’ils ne sont pas forcément destinés chacun à devenir l’empereur.

Mes devoirs de pères sont ceux que je connais et que vous voyez je ne prends pas à la légère en bénéficiant néanmoins du don Juan de Mozart bien qu’à première vue ce soit don Juan qui, en bénéficiant de ces leçons, cherchent enfin à se marier, puisqu’il veut avoir le droit à autant d’impératrices que cela et que c’est bien sa façon de procéder (ici nous sommes certains de plaire au moins à tout le monde).

Connaissant un peu l’être femme, je ne me sens nullement le droit de pouvoir leur interdire quoi que ce soit et encore moins me permettre d'en espionner une seule qui aura eu ma confiance en tant qu’impératrice y compris celle de l'Eglise l’ayant reconnue pour devenir ma femme légitime avec la charge d’impératrice dans ces conditions, il est vrai, assez exceptionnelles et nouvelles, celle d'un empereur (devenu l'un des bouddhas) qui mesure la portée des conséquences de ses actes, de ses écrits bien précis dont l'Ensemble, dans tous les temps, nous l’avons vérifié, s'est rendu coupable.

Je vivrai avec la souffrance des séquelles dont je suis victime qui sont difficiles à accepter et de l'idée que je me suis fais, grâce à ce sacrifice, de l'Amour, comme grâce à toutes les vraies œuvres d'art et au fait qu’il est normal qu’on est totalement confiance dans celles qui devront être les mères d’enfants, si elles se sont débarrassées de l’enfant-gâté en elles et qu’elles sont parvenues à en débarrasser leurs prétendants avant d’en devenir des mères en raison des effets qu’elles produisent. Il s’agit de cette merveilleuse confiance qui régnait quand la vieille salle des machines appartenait à tous et qui pourrait être enfin retrouvée entre tous et cela, progressivement, dans les années qui viennent y compris en rétablissant régulièrement la vision d’Atlantide.

Cette confiance qu'on se doit d’avoir en tant que frère, que fiancé, qu'époux, que mari, que futur père et les milliards et plus encore d'autres choses et d'autres mots y compris images et œuvres que nous sommes à chacune des fractions de seconde en train, comme vous le voyez, de continuer à sacrifier d’innombrables plaisirs pour le Bien Général et dans l'Intérêt Général International, Mondial, Cosmique, Universel et ...

Michèle Finck, pourrait être une des mères impératrices de cet enfant ou ces enfants pour l’instant virtuel(s) et qui pourra(ont) même être adopté(s) comme ses frères et sœurs si j'en ai les moyens financiers et les surfaces adéquates pour pouvoir les accueillir et les élever donc pour en faire des hommes et/ou des femmes capables de devenir un jour chacun autonomes et indépendants, financièrement parlant, en ayant la possibilité de s'intéresser aux études ou d'y renoncer ou de les reprendre, comme d'avancer, chacun à sa vitesse, en raison du fait que je suis au courant, comme beaucoup de gens, que nous vivons un véritable problème continuel et que nous cherchons à faire chacun de notre mieux pour contribuer à le résoudre par l’ensemble de nos activités et de notre bonne volonté à cela.

Cet enfant ou ces enfants pourront me considérer comme quelqu'un qui pourrait leur venir en aide s'ils ont un problème, car il n'y a pas que les études dans l'existence ou que le travail : il y a le divertissement et les plaisirs spirituels nombreux qu’offrent la grande ville ainsi qu’apprendre à avoir plaisir à vivre ensemble, d’autant que la route sera longue jusqu’au moment où ils iront de leur côté rejoindre leurs descendants.

Toutes les formations qu’ils auront devraient les mener à être un jour utiles comme à déterminer pourquoi une chose est vraie ou même canonique car sinon on se trouve handicapés dans l'existence quand on vit au sein d'une civilisation qui est comme la notre : le résultat, d’un grand nombre la précédent, mais aussi, nous l’avons vu, le produit de la mesure multidimensionnelle, multi catégorielle, multi disciplinaires, multi ... , cosmique en alpha-oméga des soins que j’ai dû personnellement prendre, en raison de ce sacrifice qui s’est révélé comme ses semblables, un des seuls qui marche.

C'est pourquoi « en donnant du temps au temps » on peut comprendre au moins que dans un bon nombre d'œuvres d'art nous trouvions que ce mot de « juste » comme tous les autres se révèlent employés « justement », mais ce qui est important c’est comment atteindre ce « juste » et si nous mettons des web cam cela pourrait permettre de se rendre compte un peu mieux des efforts considérables qu’il faut à cette fin et c’est pour les nombreuses personnes qui se refusent aux devoirs qui sont pourtant les leurs et qui cherchent par tous les moyens de fuir leurs responsabilités en devenant chacune l'origine de « l'injuste » et des malheurs comme des déserts, des maladies et toutes les formes de "vieillesses ennemies" causées par ces égoïsmes absolument répugnants, mais qui sont causés depuis longtemps par ces malentendus et par des peurs qui résultent d’éducations données par des ignorants, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), non pas pour faire des êtres humains, mais seulement des parasites capables de se conduire en moins que vauriens et donc avec des esprits qui sont de ceux de devenus proches de ceux d’animaux dénués de l’intelligence minimalement élémentairement humaine nécessaire pour gouverner le monde animal car ils ont préféré se droguer (au mauvais sens de ce mot) au lieu de chercher par le travail la vraie liberté qui est, vous le savez bien, Monsieur le Cardinal, une chose très complexe à comprendre bien que la statue de la Liberté, devant New York, nous en donne un aperçu : ce n’est pas une mince affaire qu’être libre et en raison de cela avoir des droits y compris celui d’être responsable des monnaies et billets de banques en circulation pour en garantir les valeurs et les pouvoirs d’achat.

Peut-être même que l'enfant sera de Michèle Finck puisque j'ai demandé qu'elle fasse conserver des ovules d'elle, si c'est possible, m’étant dit que la maternité pourrait lui faire le bien qu'elle ne pourra plus jamais trouver avec moi autrement (par des biais traditionnels vu l’âge qu’elle a), en raison de ce que j'ai découvert elle a cru possible me cacher et dont tous était au courant (la vérité fini par toujours se savoir et tous l’ont vérifié). J’attendais que Michèle change le destin du monde entier et ait le courage de me révéler le sacrifice que Christine et moi avions fait pour elle (ce qu’elle n’a reconnu qu’en 2012-2013, peut-être parce qu’elle a pu constater combien elle me donne du fil à retordre, en suivant de loin ces miens divers écrits et ces hypothèses de travail en comprenant un peu mieux ce dont elle a été victime dans son contexte familial enfant, ses droits ayant été probablement violés, ce qui ne lui a pas permis de comprendre l’attitude qu’elle aurait dû avoir vis-à-vis de sa cadette Christine, alors bébé, en 1965, que j’avais le devoir, en tant que frère ainé de protéger, ce qui explique pourquoi le Grand Architecte de l’Univers m’avait destiné à cette petite fille puisque je me suis conduit comme il fallait et en sacrifiant mon plaisir avec cette à première vue aînée de Michèle pour jouer mon rôle de protecteur des petites filles, d’autant plus de l’époque et d’autant plus de ce qu’elle représentait à l’échelle mondiale, en tant qu’héritière de l’histoire européenne et allemande qui avait souffert ce que vous savez, en raison de ceux qui sont des ignorants, au mauvais sens de ce mot, et qui ont cru pouvoir se moquer des lois et de tous les efforts des ancêtres les appliquant comme de toutes les personnes de bonne volonté ayant fait ce qu’il fallait pour leur permettre d’avoir un métier, parfois seulement dans les mines de charbons de façon à permettre à leurs petits enfants de prendre le train, en ayant des activités utiles au sein de l’Unité Allemande qui s’intégrait alors naturellement pour l’ensemble de ses familles instruites et parlant la même langue dans ce qu’on appelle l’Europe. Évidemment, il faut être relativement instruit pour arriver à comprendre que chacune des cultures européennes est cousine de la voisine comme chacun des patois ou des langues régionales sont complémentaires pour comprendre l’évolution des langues en fonction des distances et des géographies en relevant de la mathématique et de la logique. Ces ancêtres des années 1900 sont comme nous, pour certains, de nos arrières petits enfants : des ignorants, au mauvais sens de ce mot. Mais depuis toujours les sages et les personnes âgées ont fini par comprendre qu’elles étaient en difficulté sans l’aide des petits enfants (c’est ce qui a fini par se passer entre mon grand père pharaonique adolph hitler et moi, puisque même mort officiellement, en raison de mon apparition dans le ciel et de mon indignation, il m’a reconnu en 1975-76 y compris mon père comme empereurs après lui étant donné qu’il vérifiait qu’il ne s’était pas du tout préparé pour être empereur ni à son rôle de père débarrassé de l’enfant-gâté à une époque aussi compliquée de l’Histoire et que c’était bien là la cause qui avait mené le monde entier à la catastrophe – c’est pour cela qu’on a vu assister à la possibilité de s’intéresser à la franc-maçonnerie en kiosque à journaux vers les années 1995-2000, ce qui n’avait jamais été permis avant, les cinq ou six mots qu’il avait cru pouvoir persécuté étant devenus l’objet de l’intérêt général y compris d’un mea culpa continuel honorant ceux qui avait cru pouvoir persécuter le contenu de ces mots sans en comprendre la complexité infinie).

Je n'étais d'aucune façon, en ces époque là de vie commune avec Michèle Finck au courant qu’elle savait ce qui s’était passé en 1975 et 1965, puisque Dieu l'a vérifié y compris mon père y compris Jésus Christ y compris Saint Pierre y compris André Breton, étant donné que si cela s’est passé c’est à cause de Dieu qui est intervenu et qui, en me révélant Christine…Lang, a déclenché tout cela.

Cela devrait signifier que tous les soupçons qui ont peut-être pesé sur moi au cours de l’Histoire au Paradis y compris ceux de Dieu lui-même (qui depuis ne quitte plus la chambre ou je travaille car il se sent rassuré) ou même dans d'autres univers ont été levé totalement à mon sujet et qu'on s'est enfin rendu compte qu'on avait été grandement injuste à mon égard partout, dans tous les temps, y compris passés et déjà futurs, étant donné que je ne triche pas d’aucune façon et encore moins qu'un électron ou même de moins d'un neutrino avec la vérité (grâce à Michèle qui m’en a donné le goût alors que je l’avais perdu pour qu’elle puisse bénéficier de cela un jour) et s'il devait y avoir des électrons d'antimatière ou de substance nouvelles pour l'instant inconnue à notre époque, je ne me permettrai pas de tricher non plus d'un seul atome  vis-à-vis de ces substances (quand je m’accuse de tricher c’est que j’ai toujours oublié un paramètre parmi les nombreux dont je me souviens normalement) mais si j’ai été contraint à le faire à certains moments, dans certains cas, y compris en employant le mensonge, c'est toujours pour une bonne raison d'Intérêt et de Bien Général multidimensionnel, multi catégoriel, multi factoriel, multi alpha-oméga, multi ... et (comme mes tests par le mensonge pour avoir la vérité sur les horaire concernant les insectes, à travers le temps) en ayant pris en considération TOUT et je sais que le Grand Architecte de l'Univers m'absoudra puisqu'il y a de mon côté alors l’absolue certitude d'avoir affaire à des tricheurs, des menteurs, des moins encore que la pourriture, etc. et qu'il est alors de mon devoir pour tous d'éviter à tous que cette moins que pourriture ne prenne plus de volume et menace à plus ou moins long terme la Vie elle-même.

Je n'ai triché d'aucune sorte en favorisant « à première vue » dans certains cas, Dieu  (que j'ai cru être le dieu des chrétiens, des juifs et des musulmans) car j’y ai été obligé parce que de toute façon les autres bénéficiaient d'argent sale (des crédits financiers usurpés (cfu), des crédits financiers escroqués (cfé), des crédits financiers malhonnêtes (cfm), des crédits financiers volés (cfv), des crédits financiers trichés (cft), des crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)), étant donné qu’ils étaient assurés d'avoir l'argent des augmentations (contraires au bon sens) du prix du pétrole et cela contre mes recommandations, mais pour disposer ainsi d'une sécurité (ce qu’on peut comprendre du point de vue de personnes ne comprenant pas le bien fondé des lois) mais en étant à cause de cela, et de leur manque de confiance dans les autres qui savent gérer en vérité et qui étaient au courant de l’origine même de l’Etat, les auteurs de toutes les formes de misères matérielles et spirituelles dans le monde entier y compris les leurs. Je n'avais donc pas le choix, il fallait favoriser ceux qui mettent vraiment la main à la patte et qui n'ont l'intention de s'enrichir que pour permettre à des personnes ayant les mêmes valeurs (civilisatrices) de pouvoir un jour entreprendre à leur tour dans l'Intérêt et pour le Bien Général, en toute transparence, avec les organismes bancaires et les autorités qui garantissent les droits. D'autre part si j'ai menti à deux ou trois reprises c'est parce que j'étais en état de légitime défense (je n’avais pas encore les clés de la vieille salle des machines et ce ne sont pas ces personnes habitués à mentir qui croiront pouvoir se permettre me reprocher un seul de mes mensonges – ils sont trop bien élevés pour ça, les bandits, ils savent que s’il y en un qui dit un mensonge c’est pour une bonne raison pour les bandits - mais je n'ai jamais menti à mon père) et j'avais des connaissances précises de paramètres qui concernaient certains moments qui allaient avoir lieu entre 1977 et 2005 qui auraient pu marquer la fin de TOUT y compris de moi-même, si je ne l'avais pas fait (par conséquent mentir est possible et admissible dans certains cas).

Si l’enfant ou les enfants proviennent du ventre d'une autre femme que Michèle Finck, car la notion de patrimoine génétique chez les animaux ou les personnes qui ne sont pas encore des êtres humains relève des sciences comme aussi toutes les autres notions liées à des valeurs spirituelles et religieuses qui sont totalement le produit des millénaires d'évolution et de l’infini spiritualisation de chacun des êtres humains qui a eu cours pour arriver au stade du langage et de l'écriture comme des calculs exactes y compris toutes les notions liées au devoir, nous espérons que cette maman ou ces mamans pourront élever elle(s)-mêmes cet enfant ou ces enfants, les autres impératrices n’étant un peu que des sortes de marraines ou des tantes ayant elles mêmes leurs histoires, voire leurs enfants et leurs devoir mais pouvant intervenir en raison des web cam qui, étant mises en fonction à de certains moments, par les intéressés, pourraient susciter des courriers électroniques ou même des prises de rendez-vous, comme peut-être des demandes de conseils de la part de ces individus, appelés « enfants ».

Pour devenir compétent et pour gérer sans être présent physiquement nous-mêmes le moindre atome de notre empire International et Mondial et … nous avons bien conscience que cela a exigé à de nombreuses personnes de faire des sacrifices un peu de la même nature que les nôtres. Il s’agit au cas par cas de chacun des enfants dont nous avons pu vérifier que c’est naturellement, chacun, qu’ils ont voulu s’incarner en êtres humains de façon à contribuer, chacun, à leur façon, dans la limite de leur capacité, parfois ayant eu à souffrir des répercutions génétiques de la situation générale, à débloquer un jour la situation (puisque cela a été le cas pour moi à qui l’Ensemble a exigé à plusieurs reprises ce sacrifice d’avec celle que je considérais alors, en 1965, comme mon unique et légitime épouse, quand je n’avais pas encore connaissance du problème général qui s’est posé à l’échelle cosmique concernant la planète Terre – ce n’est que petit à petit que, par déduction, j’ai pu ajouter à chacune des fractions de seconde des nombreux paramètres pour mieux comprendre ce qui s’est passé si lointainement que cela).

Mais c'est vers 2016-17 que j'ai compris que Michèle avait eu le droit (dans l'ordre chronologique), jusqu'en 1965, de se considérer la première épouse, car Christine est née après elle.

Donc des difficultés mais qui s'avèrent, à la longue, celles de personnes en définitive profanes, bien qu’utiles et serviables y compris bien élevées et aimables surtout quand elles cessent de jouer les charlatans ou les menteurs ou les tricheurs et qu’elles se rendent compte un peu des torts qu’elles causent et qu'elles pourraient éviter de causer à toutes ces personnes de bonne volonté qui, ayant bénéficié de « l’ouverture de leur esprit », ont, à cause de cela, tant de problèmes depuis toujours, étant donné que les autres ne sont pour l’instant qu’encore et seulement que profanes.

Mes œuvres, donc mon travail, devraient me permettre d'obtenir enfin les moyens de mon ambition pour faire face à l'achat de ces bagues de fiançailles qui devraient être, en raison du sacrifice qui a effectivement marché proposées, en mettant à notre disposition le trésor de l’Église, et en nous donnant le choix, à partir de toutes celles conservées, et qui ont chacune des histoires saintes, certainement édifiantes, bien que ces impératrices aient le choix d’exiger de moi un dessin original qui deviendra cette bague et une œuvre d’art de plus à leur doigt.

« Sept d’un coup » et puis je suis arrivé à voir "neuf, et plus", quand j'ai entendu ce "t'es con", toujours par cette même voix lointaine [comme] de Michèle Finck, ce qui m'a fait rire au possible, comme à l'instant - c'est bien ce que vous pourrez comprendre, Monsieur le Cardinal, avec d'autres détails ailleurs, car je décide ici de vous ajouter des textes écrits par moi en plus : celui du 30 01 2013 et du 28 01 2013 ces jours-ci - il s'agit de fichiers que mes autres témoins ou concernés par ces mariages ont déjà reçu.

Vous les lirez quand cela sera possible et non comme les personnes impatientes, ce que nous pouvons comprendre et ce qui pousse à la faute, puisque ces personnes, à cause de cela, sont devenues incapables d’inscrire leur respective existence à l’intérieure des perspectives à plus ou moins très long terme (ils sont impatients comme pour la suite des feuilletons ou pour des assouvissements de jeunes pécheurs luxurieux) et vous savez que c’est cela qui a contraint des gens comme Descartes ou Pascal ou d'autres immensités à choisir des voies diamétralement opposée et difficiles (comme celle que vous avez-vous-même choisi) voire même d’autres personnes se sont privées très longtemps et totalement de relations sexuelles comme tous les prêtres véritables ou moines véritables sachant naturellement que l'essentiel est ailleurs comme du temps où la vieille salle des machines appartenait à tous et où très certainement il n’y avait pas de luxure comme il n’y en a probablement pas entre certains grands singes.

Or, le but de l'opération c'est de pouvoir débloquer la situation générale afin que ceux qui ont sacrifié ces "bonnes choses" puissent, sans plus jamais "fauter" ou être malade de quoi que ce soit, ni même « pécher », n'être plus poursuivi d’aucune façon s'ils ont une véritable histoire d'amour, ce que j'espère un jour vous pourrez avoir, Monsieur le Cardinal, comme tous les moines, comme toutes les bonnes sœurs, y compris toutes les personnes qui n'ont pas encore pu fonder de famille, puisque d'un côté avant que le génome de l’ADN de l’être humain n’ai été recensé, il y avait tout ceux qui prétendaient qu'on ne peut rien faire sans sexualité et de l'autre, ceux qui affirmaient très justement que l'être humain se conçoit et a été conçu autrement, y compris grâce au Saint-Esprit, ce qui s'est avéré le cas à de nombreuses reprises au cours des temps et à notre époque, depuis 1977, cela est confirmé par les bébés éprouvettes et même par les possibilités actuelles d'envisager des ventres artificiels et des conceptions assistée par ordinateurs et à partir du noyau d'une quelconque cellule qui aura été reconnue disposer des caractéristiques comparables de celles qui portent le noyau et qui sont appelées spermatozoïdes et qui portent ce noyau jusqu'à l'ovule, ce qui permet normalement d’initier le processus d'élaboration du fœtus qui contient donc, dès le premier instant, du choc entre les deux cellules, la virtualité de l’individu appelé « bébé » et qui nous l’avons vu ailleurs, dans un autre texte, est virtuellement un arrière grand-père, voire dans une tombe ou ailleurs avant d’être conçu, comme déjà à attendre en tant que squelette, mais l’âme ayant rejoint ceux qui sont au véritable paradis.

En effet, il n'est pas normal qu'avec des chromosomes qui sont à 2 à 2,5% liés à la sexualité sur l’ensemble des chromosomes, toutes ces personnes de bonne volonté et religieuses ne puissent pas consacrer 2 à 2,5% de leur temps à la sexualité en ayant eu à en faire le sacrifice pour des personnes souvent aussi ingrates qui se sont profanées au point de ne consacrer leur existence et de n’avoir comme objectif que de la consacrer par esprit de contradiction à 97,5% seulement à la sexualité et à toutes les formes d’inconscience, au point de se servir de l’ensemble des véritables connaissances n’ayant jamais été élaborées en tout cas pour une grande partie d’entre elles qu’en se privant souvent de tout rapports sexuels. Elles ont donc, en réalité, inversé au cours de leurs existence le temps qu’il faut consacrer à la sexualité, au point de devenir chacun d’entre eux une menace pour la planète toute entière, pour leurs enfants y compris leurs descendants puisqu’ils vont tout faire pour chercher à se soustraire à leurs obligations, à leurs devoirs et, par exemple, n’accepteront de travailler que simplement parce que cela permet d’avoir des revenus pour mieux corrompre ceux et celles qu’ils convoitent et pouvoir bénéficier de rapports sexués en proportion de leurs investissements financiers – ce qui, vous l’admettrez, Monsieur le Cardinal, n’est pas l’objectif de la création de l’État ni celui recherché au moment de la création de la monnaie, ni même le projet éditorial, et encore moins celui recherché par tous ces hommes remarquables qui ont tant donné d’eux-mêmes, chacun, au cours de leur existence par des efforts incommensurables et tant sacrifié pour permettre à chacun de survivre en étant un jour au moins utiles aux autres et en essayant ainsi de contribuer à la prospérité générale et à ce que les causes de la misère et des formes de déserts disparaissent enfin.

Au cours des millénaires, en raison de cette bande d'inconscients, ces personnes ont dû se priver totalement de sexualité, tandis que ceux-ci passaient leur vie dans diverses profanations ou sacrilèges ou à se moquer des saints et/ou des martyrs sur ce plan là ou à essayer de les tenter avec des rêves ou des cauchemars en se moquant de ces responsabilités et ces devoirs (ces personnes prisonnières de la salle des machines ne pouvaient pas comprendre à cause des méfaits dont elles furent victimes) de leurs sentiments ou des choix élaborés par les familles pour leurs mariages d’autant plus qu’ils étaient parfois devenus des souverains qui se croyaient puissants et qu’ils se mariaient de leur point de vue pour l’Intérêt et le Bien Général. Ils se moquaient de ces sacrifices et ils se comportèrent en provocateurs et en exhibitionnistes. Ils ne voulurent pas comprendre ce que des artistes aussi immenses et universaux que les Bach, les Mozart, les Beethoven, et bien d’autres avaient compris. Ils ne voulurent pas comprendre ce que les van Gogh, les Cézanne, les Picasso, les Rubens, les Léonard de Vinci, les Jésus, le Bouddhas et d'autres encore ont compris et laissé comme héritage dont la valeur à chacune des fractions de seconde sont de celles qui de chacune des œuvres de ces personnalités répandent dans le monde entier des fleuves ou des océans de bienfaits valant des milliards et plus encore de tonnes de diamants les plus purs et infiniment plus encore que l’ensemble des tonnes d’or existant dans tous les temps partout dans le cosmos puisqu’ils offrent ces alternatives à la vision d’Atlantide ayant disparue. Mais comme nous vivons dans un monde où il y a de l’argent, on est bien contraint, par la situation générale, de donner des valeurs symboliques à ces œuvres pour avoir l’honneur de les avoir chez soi, en privant d’autres personnes de cet honneur (en raison des problèmes financiers liés au répercussions des augmentations du prix du pétrole) et en sachant que le monde du marché de l’art obéit à différents paramètres exactes et juste.

Il y a aussi les prophètes Mahomet qui avaient compris à leur manière, à leur époque, en traçant, comme les autres, sa propre voie, au point de devenir, comme les nombreux autres, y compris Delacroix, une catégorie, une religion, un univers à soi-même. Bien sûr il y a tous les autres et Le Corbusier en architecture. 

Je ne vous apprends rien, vous qui connaissez un peu ou beaucoup les musées du Vatican où j’ai pu vérifier que les œuvres qui s’y trouvent fuient chacune de ces substances alchimiques les plus précieuses, les plus justes, les plus belles, les plus harmonieuses, les plus intelligentes, témoignant de ce que l’être humain n’a rien à voir que de très éloigné avec un animal, ce que Dürer pensait justement à propos de l’Empereur en l’entourant d’un si grand nombre d’épouses (les vertus) sur son char, où j’ai l’honneur de siéger, en vous écrivant.

Bonne journée

Veuillez agréer, Monsieur le Cardinal, l’expression de mes sentiments les plus respectueux et transmettre tout ce dossier ou les parties que vous jugerez utiles à l’ancien comme au nouveau Saint-Père, à l’occasion de ce début de feuilleton concernant mon mariage impérial dont vous avez eu des petites avant-notes envoyées par Internet.

Merci encore et de tout cœur,

Laurent-Marie Granier dit Laurie ou Laury Granier mais aussi comme noms d’empereur celui des pharaons les Hermès les Trismégistes et les … (trois petits points) y compris de (saint) satana[na!]nas  mais aussi de Laury Aime ou Ayme en tant que peintre, ces noms et prénoms étant officiels et n’étant donc pas des pseudonymes comme celui de Guignol ou les maints autres que vous n’ignorez pas dans tous les temps passés j’ai pu avoir puisque Dieu qui est intervenu prétend que j’ai fait un certain nombre de réincarnations avant celle-ci qui devrait, en raison de ce sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots), contribuer amplement, nous l’espérons, à enfin débloquer la situation générale et à permettre à l’ensemble des personnes ayant de l’esprit ou appartenant à des contextes religieux de pouvoir cesser de sacrifier ce que j’ai vérifié, dans ce cas de figure, les gens profanes n’arrivent pas à comprendre, en raison de leur cerveau ayant eu ces dommages considérables, à cause de l’usage de ces machines utilisées par des inconscients que nous retrouvons parfois dans certains films pornographiques, ce qui explique pourquoi en mettant des web cam partout, cela devrait finir par faire que cette curiosité malsaine, (mais qui peut être saine, dans d’autres cas, chez certains individus ayant à analyser en conscience ce qui se passe), puisse disparaître d’elle-même une fois la situation débloquée, de même que cette nécessité qu’ont certains à devoir se cacher pour voir et faire alors des choses interdites de satyres, de centaures, ou de démons, contraires à leurs intérêts fondamentaux y compris ceux de tous.

Je vous rappelle que j'interviens dans cet écrit toujours dans cet état de multi dimensions, en multi catégories et en multi ... mais aussi en tant que votre empereur cosmique universel et … car devenu l'un des bouddhas dont il a été vérifié qu'il se pourrait qu'on me voit dans le ciel dans le passé à chacune des fractions de seconde depuis 2005. 

 

Les Pharaons les Hermès les Trismégistes et les ...

Vos dévoués serviteurs,

Laurent-Marie Granier








P. S. : le 17 septembre 2017 je termine la relecture et la correction de cette lettre (il ne reste que les notes de fin de page à relire) avec ce que la situation a apporté de nouveau. Depuis plusieurs mois Michèle Finck et moi avons renoué. Fort de ce que je suis revenu à la religion chrétienne, j'avais appelé Michèle pour lui pardonner (puisqu'elle m'avait demandé de le faire au cours d'un de ses appels téléphonique, consciente d'avoir en 1977 exagéré en me refusant la solution élégante de plusieurs épouses, alors que nous n'éprouvions pas encore de sentiments l'un pour l'autre et que je venais d'être comme fiancé avec Christine depuis 1975 et que j'étais apparu d'avance dans le ciel pour confirmer ces fiançailles) et petit à petit, je me suis rendu compte que ma façon objective, rationnelle de considérer mon mariage à partir des données de 1965 et 1975 (donc en toute logique avec cette situation exceptionnelle qu'est la mienne) a abouti à une situation des plus difficiles, voire impossible à vivre dans l'état actuel des mentalités (voire comme moi des habitués à la monogamie) en ayant comme ce fut le sujet de cette lettre cette perspective polygame. De plus Christine qui m'avait demandé de m'occuper de l'annulation de son mariage est récemment revenue sur sa décision, au point même de dire d'une façon que j'ai sur le moment jugé sacrilège, qu'elle n'avait en rien vécu notre séparation comme le sacrifice de ses enfants (avec le temps, les années, notre séparation, il est probable qu'elle a vécu sa vie autrement en oubliant certains des moments que j'ai probablement vécu d'une façon plus intense qu'elle d'autant plus que vivant et revivant en même temps plusieurs époques - 1965, 1975 et 2005). Aussi il n'y aurait eu que moi dans ce couple à voir la situation à ce point tragique (Christine était trop jeune: onze à treize ans et pas encore nubile, tandis que moi âgé d'un an de plus, étant le dernier né de frères et d'une sœur en âge de se marier, j'avais, en raison des cours d'éducation sexuelle, extrapolé à partir de ses baisers en me considérant, parce que redevenu bouddha [à la suite des premières démonstrations nommées "Après-midi d'un faune"] et ayant eu l'apparition de l'anneau immaculé de mariage à mon doigt annulaire, son mari et le père de nos enfants, par conséquent attendus en Immaculée Conception d'autant plus de ces interventions à travers Espace et Temps qui nous avait élu). Aussi je veux dire ici parce que j'aime de nouveau Michèle Finck que probablement il n'y aura pas plusieurs impératrices.

Parce que je n'avais pas pris en compte l'aspect subjectif du mariage, par conséquent liés aux sentiments, je crois que ces lettres au papes et aux présidents de la république émanaient de quelqu'un qui en réalité n'avait plus de sentiments d'amour pour l'une ou l'autre des impératrices, mais jugeait froidement un cas particulier exceptionnel donnant effectivement droit sur le papier comme en théorie à plusieurs impératrices si ce n'est que j'avais oublié qui était Michèle Finck, sa bonté, sa patience, sa grande intelligence et ses droits, adolescente (mais aussi adulte) d'avoir un seul mari tout à elle (comme cela est le cas de la majorité des femmes occidentales), ma solution alternative élégante de plusieurs femmes étant en réalité musulmane, ce que Michèle avait le droit de ne pas vouloir être et cela contre mes droits de bouddha, d'empereur et même de patron des musulmans.

En sauvant la monogamie, hélas cela a abouti à ce que nous avons perdu la possibilité d'attendre nos enfants qui se sont annoncés de nouveau, comme en 1975-77 par l'apparition de l'anneau immaculé de mariage car Michèle a passé l'âge d'avoir des enfants et comme j'aime toujours Michèle (et que je n'ai pas l'intention d'avoir d'autres épouses qu'elle) je dois admettre que la plupart des propos de cette lettre comme ceux de la lettre au papes et aux présidents de la république sont à reconsidérer car quand je les ai inscrit je n'avais plus de sentiments ni d'amour étant donné que j'en voulais à Michèle d'avoir exigé en 1977 ma séparation sacrificielle d'avec Christine.

Aujourd'hui je comprends que si Michèle ne l'avait pas exigé et si elle ne s'était pas comportée comme elle s'est comportée à partir du moment où nous nous sommes connus, il n'y aurait jamais eu en souvenir de mon amour pour Christine ces interventions à travers Espace et Temps donc il n'y aurait pas eu d'Hyper Méga Dictée Pharaonique Providentielle Miraculeuse Maçonnique Multicatégorielle Multidimentionnelle Corne d'abondance à travers Espace et Temps de la Nouvelle Donne InterRégionale (internationale) Mondiale pas plus que cela n'aurait pas eu lieu si ce "Dieu" ne m'avait pas rappelé en 2005 l'existence de Christine, cet amour de mon enfance que dans ma tête j'avais considéré ma première épouse, voire à l'époque mon unique épouse au point d'en vouloir à Michèle dès que celle-ci, encore adolescente, avait refusé ma solution alternative élégante de plusieurs épouses ce qui m'avait contraint à m'ingénier à obtenir de moi l'amnésie qu'on sait pour un jour pouvoir la fréquenter puisque notre amour devait impérativement déboucher sur ces communications salvatrices à travers Espace et Temps.

 



[1] Que son prédécesseur avait détruite.

[2] (au contraire personne ne savait qu’il l’était, car sa discrétion et son humilité était totale et sera certainement légendaire y compris celle de ma mère. Cela lui permettait de reconnaître le génie qu’il trouvait toujours chez les autres en l’oubliant chez lui-même et les siens qu’il n’a reconnu que tard et en veillant à ce que celui de ces enfants qui en était effectivement pourvu ne le pensent pas et s’il donnait des preuves constantes aux siens qu’il en était pourvu, lui aussi, il savait faire passer cela comme allant de soi et les plus difficiles problèmes qu’il avait résolu comme les choses les plus évidentes ou simples. C’est ainsi que ce qui paraissait insoluble à tous trouvait toujours une solution élégante avec lui. Il nous a donné l’exemple d’une personne qui a toujours suivi tous les dossiers jusqu’au bout et d’une constance à reprendre son travail qui était exemplaire, car il fallait qu’il soit à chaque fois le mieux possible et fait en conscience (avec tout ce qui en découlerait à gérer et à prévoir), aussi il était impitoyable avec lui-même dans chacune de ses phrases écrites qu’il nous a appris à forger, avec l’aide de ma mère, pour qu’elles soient le plus à même de traduire la vérité et sa recherche qu’il servait avec maman constemment. Avec lui l’Etat était une réalité indubitable puisqu’il a passé sa vie à le servir. Il me vient à l’esprit que c’est grâce à ce genre d’éducation que 650 kilomètres faits sur un coup de tête dans la journée, en conduisant soi-même, sa voiture, était une chose normale. Donc rien qui puisse peser. C’est ainsi que d’aller en train à Strasbourg le vendredi soir pour revenir le lundi matin, en train ne m’a jamais pesé, d’autant que je n’avais pas à conduire la voiture et que j’ai compris, qu’en dehors des destinations pour lesquelles il y a un décalage horaire à assumer, on peut faire en avion des allers et retour comme on prend l’autobus tous les jours pour aller à l’école dans une ville où cette école est située à parfois une heure de son domicile, ce qui était mon cas à Rome et c’est pourquoi j’ai trouvé facile aussi d’avoir un autobus, un train et un autre autobus pour aller à l’école à Fribourg en Suisse tous les jours, alors que j’habitais Bern, car le temps que cela prenait n’excédait jamais une heure à l’allée comme au retour. J’ai donc eu dès ma première année après le jardin d’enfant des distances importantes pour rejoindre le lieu de mes études car comme je vivais à l’étranger, je ne pouvais aller que dans des établissements scolaires qui suivaient le cursus français. J’ai donc bien conscience de ce que signifient les transports en commun, parfois quatre fois par jour de quarante cinq minutes pour aller suivre des cours. Beaucoup aurait renoncé mais comme mon père et ma mère trouvaient normal que nous ayons ce genre d’effort à faire, ce que j’ai découvert par la suite paraître difficile à quelques uns nous paraissait facile et normal. C’est à ce moment là que j’ai pris conscience du caractère relatif des distances. En effet pour rejoindre le jardin d’enfant à Rome ce n’était qu’au bout de la rue à pied, donc à cinq à dix minutes et c’était donc tout prêt et puis quand j’avais grandi vers la sixième cela restait proche même s’il fallait marcher deux fois cinq minutes pour atteindre l’arrêt de bus, en prendre deux et rejoindre le lycée au bout de quarante minutes. En effet ce qui devenait loin c’était le trajet à faire à pied, car dès qu’on était dans un véhicule ou qu’on avait la chance d’avoir une mobylette, même les trajets lointains étaient proches, d’autant qu’on avait pas à marcher pour rejoindre la mobylette. Ce relatif des distances a trouvé sa confirmation dès que nous décidions non pas de rejoindre à une heure et demi, deux heures de Rome, le week end, une location pour skier le dimanche en partant le samedi, mais pour aller du Latium au Piémont à Coni, ce que j’aimais car nous mettions le compteur de kilomètres à zéro et nous trouvions à quelques kilomètres prêt la même distance de six cent cinquante kilomètres à chaque fois (à peu près), suivant l’itinéraire différent que nous avions pris de la maison pour rejoindre l’autoroute à la sortie de Rome. C’est pourquoi j’ai voulu un compteur pour mon vélo pour savoir aussi à quelle vitesse j’allais).

[3] Pas une source qui ne soit vérifiée plusieurs fois par des recoupements dans d’autres journaux opposés politiquement ou étrangers avant d’y porter crédit car il se méfiait des informations fausses.

[4] (puisque, par ailleurs, on va recevoir tant en échange qu’il est donc stupide pour eux comme pour mes parents de se plaindre – en effet, car sinon pourquoi avoir fondé une famille, si ce n’est que pour se plaindre de la difficulté des travaux à poursuivre)

[5] De notre point de vue d’aujourd’hui cela va de soi et chacun appartient à la catégorie d’un mot qui trouve toujours – plus ou moins – son équivalent internationalement en raison du fait que dans toutes les nations on a pensé à former des spécialistes dans la langue de chacune des autres nations et des traducteurs – mais cela n’était pas aussi évident à comprendre pour un fils de douanier – pourtant ayant eu à se poser la question de la « traduction » ou de la nationalité, d’autant plus que proche de la Confédération Helvétique (multilinguiste), proposant cette solution élégante de démocratie, mais appartenant à l’empire d’Autriche qui était comme le reste d’une sorte d’ancienne confédération d’Etats dotés de langues différentes que l’empereur avait apprises pour  que ses sujets vivent ensemble malgré ces cultures différentes (on a voulu confondre culture, langues et nation, ce qui est dans certains cas vrai mais qui dans ces cas là, malgré leurs différences, vivaient ensemble). De notre point de vue d’aujourd’hui une personne exerçant sur le plan « politique » sait qu’il a des homologues ou des collègues dans le monde entier qui sont comme lui, de même qu’un ouvrier sait que dans le monde entier il y a la profession de l’ouvrier. C’est pareil avec chacun des métiers et avant d’en être pourvu, on sait qu’on appartient tous à la profession d’écolier ou d’étudiant, qu’on retrouve dans tous les pays, puisque nombreuses écoles sont jumelées internationalement, comme les universités, et vont permettre de trouver des correspondants à l’étranger pour apprendre les langues. Tous savent à notre époque qu’on peut utiliser Internet pour trouver un partenaire pour jouer à un des jeux électroniques ou correspondre en profitant du réseau et qu’on est alors, pendant ce temps-là « joueur » (international), si le partenaire se trouve dans un autre pays et connaît comme vous ce jeu, comme autrefois on avait le jeu des échecs en commun, ou celui des dames, avant d’avoir le Monopoly, du poker ou du bridge. En effet, il y avait des affrontements à l’échelle mondiale et dans tous les pays, comme pour les compétitions, il y a des clubs qui permettent de pouvoir rejoindre les premiers classés. Aussi beaucoup on pris conscience que la nationalité concerne des choses très précises qu’on retrouve dans chacun des autres pays différemment exprimée et qu’elle est donc liée à une façon particulière d’administrer avec une langue et une culture qui se nourrit des apports étrangers d’autant plus de notre époque où le commerce international a tant d’importance. Mais cela était certainement moins clair pour des personnes du XIXème siècle n’ayant pas eu autant de chance que les générations actuelles de voir tant de films étrangers. Il s’agissait de personne très peu instruites et qui avaient aussi très peu voyagé, car faire du tourisme n’avait été possible qu’aux personnes les plus avancées intellectuellement, les plus courageuses, les plus désireuses de découvrir des cultures différentes (Chateaubriand). C’est pourquoi les gens avaient une tendance à l’autarcie, c'est-à-dire à se replier sur eux-mêmes (ce qui n’est pas seulement un mal dans de certaines occasions dans lesquelles il faut avoir un esprit de groupe ou d’équipe localement, mais encore faut-il ne pas choisir le groupe des gens les moins intelligents et qui veulent se conduire en animaux rapaces ou voraces, dans un monde d’être humains ayant appris à penser justement et à permettre à chacun de ne pas peser sur les autres, voire même d’offrir la possibilité de s’épanouir). Conquérir une nation par les armes et vouloir la soumettre par la force, ne permet aucun épanouissement ni du conquérant, ni de celui qui endure cette injustice. Conquérir une nation par l’esprit et par la pédagogie ou la patience (comme une femme qu’on aime) pour la libérer de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, comme on a donné à tous les enfants la possibilité de s’instruire, s’ils y arrivent, au plus haut niveau, c’est permettre partout, y compris dans sa future famille, de vraies conquêtes du même type d’advenir qui vont permettre à tous de canaliser les forces brutales pour essayer de s’en affranchir, dans l’élaboration d’une nourriture plus fine, plus travaillée que de simples socles fabriqués en série (ce qui est à la portée de beaucoup) sans statue ou des pierres plates à tailler ou des briques à mouler, toujours les mêmes, comme on reproduit les cd-audio ou les cd-rom en série ou avant, les cassettes vidéo, les livres, ou un quotidien ou ces planches en bois, car en attendant la vision d’Atlantide on va ainsi pouvoir apprendre à faire ces statues, dessiner les plans des armoires, et non pas seulement des étagères, ou apprendre à dessiner, plutôt qu’avoir des fonds uniformes à proposer qui n’exigent pas d’autres compétences que celles d’une personne analphabète ayant un torchon ou une éponge à passer sur une table pour la nettoyer, ce qui est le premier stade de l’apprentissage, comme pour apprendre à tailler un cube ou une pierre ou fabriquer en série des briques ou reproduire par millions des petits points. En effet, sur ces fonds peints par ceux qui n’en sont qu’au tout début de leur évolution pour devenir des êtres humains pensant (mais qui sont déjà capables de faire ces fonds comme d’autres nettoient une table en cuisine ou ailleurs mais qui ne peuvent, pour l’instant, qu’être des spectateurs (le peuple), ils seront donc capables de comprendre les bons conseils comme les explications, comme aussi sont capables de reproduire des techniques simples du genre de celles qui vont leur permettre de monter un mur, de le blanchir, ou de le peindre uniformément blanc, ou de nettoyer une vitre ou une table (ce qui est à la portée de chacune des personnes non instruite ou peu instruite, comme est facile de regarder la télévision ou d’écouter la radio, mais celui qui apprendra à peindre ce mur en deux couleurs ou du moins à peindre la partie de ce mur qui doit être peinte dans une autre couleur avec cette autre couleur (si cela doit être le cas) aura peut-être un peu progressé, comme celui qui comprend qu’on peut nettoyer une table pas seulement avec torchon, mais avec une éponge ou autrement. Sans le savoir encore, comme un de ces enfants qui ne sont pas au jardin d’enfants encore, mais qui savent déjà se rendre utiles en aidant en cuisine, ils sont en chemin vers cet apprentissage du dessin et peut-être cette possibilité d’apprendre à fabriquer un socle à partir d’un dessin. Mais comme Atlantide avait disparu, il fallait bien que ceux qui se sont débarrassés des enfants-gâtés en eux inscrivent sur le fond de ces pages blanches des informations, ou ce qui leur passait par la tête ou y dessinent les dimensions pour ce socle, voire les plans de la statue qui sera dessus, comme on apprend chez un menuisier à fabriquer des choses avec les matériaux bruts que sont ces planches de bois taillées, toutes semblables, chez les bûcherons ou alors avec celles alternatives en aluminium ou en plastique, pour proposer par exemple des meubles originaux (où les plans pour y parvenir inscrits sur ces feuilles, car ce sont toujours les plans qui sont les choses les plus difficiles à faire au point que c’est rarement celui qui les fait qui peut les réaliser) ou des œuvres sur ces fonds uniformément ennuyeux. C’est pourquoi personne ne peut remplacer celui qui s’est haussé jusqu’à l’élaboration de l'idée, de plans ou de textes justes et qui s’est affranchit de la brute en lui-même (ou de l’enfant-gâté) ou de celui qui se contentait paresseusement de travaux répétitifs sans grande originalité ou innovation et qui n’a pas été capable d’inventer l’avion. J’ai remarqué que le paresseux ou l’enfant-gâté va éviter d’avoir à faire la cuisine, car il sait gagner du temps en mangeant là où on fait, comme des briques, tous pareils, des sandwichs ou des choses aussi simples à faire qu’un steak et une salade, ou que ce qui se vend dans une charcuterie ou une boucherie ou chez le poissonnier. Avoir à faire les quelques petits efforts supplémentaires pour élaborer des délicieux mets qui proposent des saveurs aussi exquises que celles des légumes, des fruits ou des céréales, ayant pour origines les odeurs des fleurs (autrefois réservés aux seuls rois ou aristocrates qui les offraient quand ils appréciaient une personne) ratatouilles, salades de fruits, fromages ou/et gâteaux qu’on trouve dans les pâtisseries, faits eux aussi aujourd’hui en série, comme on fabrique des briques ou la baguette de pain, le paresseux ou l’enfant-gâté, va essayer d’éviter cela, en comptant, en mauvais élève, sur les autres, comme on va compter sur le sculpteur ou l’architecte ou le médecin à d’autres occasion, puisqu’on est de ceux qui, pour l’instant, ne veulent pas mettre la main à la pâte ou ne peuvent être que des travailleurs manuels, pour reproduire en série sur le même moule des sandwichs ou peindre des murs uniformément blancs, ou faire du transport, etc. en ayant cette mentalité de profiteur du système ou de celui qui parviendra ainsi à se « planquer », comptant aussi sur ceux qui font en série de quoi s’alimenter au lance-pierre, ou en comptant même sur ceux qui ont appris à analyser et « pensent » pour trouver les solutions élégantes qui elles-mêmes, de nos jours, devront être ainsi proposées en série (pour ne plus être réservées aux seuls hommes d’Etat, comme autrefois, les téléphones portables dans les automobiles de fonction). C’est ainsi qu’en devenant ces personnes enfant-gâtées disposant d’instruments qui avaient un sens et qui n’étaient réservés qu’à des personnes de condition, au service de tous, on trouve normal d’avoir des téléphones mobiles ou des GPS ou lecteur de DVD en voiture comme autrefois la radio, en demeurant tout aussi incapables que les mêmes autrefois de se mettre à la place de ces quelques personnes qui ont été contraintes par l’ensemble à être de celles qui ont trouvé ces solutions électroniques et informatiques élégantes (réalisation des logiciels dans des langues spéciales) sans faire semblant (puisqu’elles marchent et qu’ils les ont trouvées en vérité) puisque les utilisateurs sont en réalité assez étrangers à la notion de progrès, mais seulement convaincus qu’elles ont intérêt à profiter de la situation, en disposant de cette chance là d’y avoir accès autrefois réservée, comme l’écriture, la lecture ou la peinture elle-même, seulement à des personnes qui en faisaient un véritable usage d’Intérêt Général, comme des mathématiques, pour préférer n’avoir qu’une ou deux petites compétences seulement (ce qui sera le propre de certaines ménagères qui croient pouvoir asservir, par le mariage ou les fiançailles, des hommes aux compétences multiples, en ne proposant en échange que leur savoir faire cliché à propos de la femme, celle de l’éponge pour essuyer la table ou celle du balais et de la pelle : le bé.a.bA que tous devraient savoir faire et qu’on retrouve à la buvette ou dans un bar (ou dans une sandwicherie) ou avant d’entrer au jardin d’enfant ou avec l’apprentissage de ces quelques recettes inventées par d’autres qu’elles-mêmes, puisqu’elles sont de celles qui n’ont pas encore réussi à passer du stade du balais à la compréhension de ce qu’est la cuisine comme art véritable, et qu’elles ne sont donc aucunement des artistes y compris en tant que mères, car avec cet état d’esprit  de profiteuses et d’usurpatrices (ou de copieuses) puisque d’elles-mêmes elles ne seront pas capables de les inventer. Non, pour l’instant, tout au plus, elles ânonneront et reproduiront, en soumises obéissantes, ces recettes inscrites sans jamais comprendre qu’elles pourraient chacune atteindre le génie de ceux qui en ont eu les idées ou les ont composées, de même que celui qui utilisera la peinture en vrac ou les outils inventés (par tous ces génies) ne comprendront pas ce qu’ils auraient pu comprendre avec). Elles, comme le peintre en bâtiment, feront bien leur travail, ne soupçonnant pas le mal qu’ils ont l’un et l’autre causé à toutes ces personnes qui leur ont permis de réaliser cette assiette en cuisine ou de peindre ce mur dans les règles et en suivant une méthode (qu’ils doivent, encore une fois, à ces personnes qui ont trouvé la recette pour la rendre si simple que cela). Et ce sont ces personnes qui trouvent continuellement toutes les solutions élégantes qui ont été punies, persécutées, humiliées, calomniées, dont on est allé jusqu’à faire exploser la statue en Afghanistan (un bouddha) ou détruit les églises (Jésus) ou martyrisé ses partisans, alors que celles-ci ont permis avec moi par ce qui a découlé de leurs œuvres et de leur état d’esprit, le sauvetage de la planète de nouveau après la Seconde Guerre Mondiale à plusieurs reprises - 65-75 et 2005 -, en raison de leurs divers écrits dont j’ai pu vérifier l’intrinsèque nécessité pas seulement en tant qu’empereur ou que futur père de famille, mais en devenu profane et fait artificiellement profane, dans cette situation historique aussi dramatique et tragique, ayant donné naissance à autant de voyous, d’imposteurs, d’usurpateurs ou de menteurs que cela (en fait des personnes cherchant à en faire le moins possible et à profiter des autres plus sérieuses et conscientes). En effet, comment, sans ces grandes figures, trouver les bons conseils et arriver à trouver les bonnes idées comme les réaliser honnêtement pour donner au moins, par charité, quelques heures des choses utiles à faire à tous, faciles - car n’exigeant pas d’avoir à se renouveler sans cesse - donc des activités qu’on peut faire, comme balayer etc. sans avoir des formations longues et pénibles à faire, ni, par conséquent, des investissements financiers sur le long terme à fournir avant d’en maîtriser les compétences – pour répéter facilement celle-ci et faire, par exemple, des sandwichs ou des pizzas ou des crêpes, etc. (ou balayer ou nettoyer une table) et autrefois laver la vaisselle, avant que ces ingénieurs ne trouvent, grâce à la véritable réflexion, et aux études faites en vérité (en comprenant) toutes les pièces à assembler de la même manière, facilement et de façon répétitive, mais non pas d’un puzzle en deux dimensions, mais en trois (en volume) et qui pourra aussi servir à l’occasion de socle, pour offrir cette solution élégante de la machine à laver. C’est qu’il y a d’un côté celui qui réussit à faire une caisse, un cube, un socle et celui qui le creusera pour en faire une automobile. Deux état d’esprit très différents, le second ayant commencé à un moment donné dans l’histoire de sa famille à ne plus faire comme dans le premier cas la caisse en carton en série, comme on la donne à faire à un débutant dans une entreprise de déménagement. Le second n’ayant plus le temps le faire ou défaire ces caisses car il est celui qui va à l’intérieur de celle-ci inventer un décor, donc créé, au point d’avoir réussi à faire voler cette caisse.   

[6] (c’est ici qu’en relisant j’ai l’idée que ces plates-formes qu’ils offrent pourraient transporter (à plusieurs) ces gigantesques statues au moins quelques mètres. L’idée m’est venue du dinosaure jouant les King Kong qui est tombé à la renverse dans l’eau du fleuve en détruisant le pont en ayant mis le pied sur le camion, sans faire exprès, et celui-ci soudain est parti en roue-libre vers l’avant (ou l’arrière) les engrenages cassés (en raison du poids) – il n’y avait personne heureusement et le chauffeur s’en est tiré. Certes ces plates-formes camion servent déjà pour transporter les différents éléments à assembler d’un airbus ou d’une fusée et forcément de statues – et je remercie ici Franquin).

[7] C’est cette cécité et cette incohérence qui est intolérable : celle de celui qui augmente le prix de la matière première indispensable pour faciliter la vie de tous ceux dont il est le client pour tous les autres produits. Cette personne à qui pourtant on explique cela sera capable de dire oui, de faire semblant de comprendre, et de continuer à être le maître-chanteur de tous en augmentant le prix du pétrole ce qui va limiter la production industrielle, créer du chômage, la misère et handicaper tous les acteurs de l’économie dans le monde. Cela signifie qu’il ne mesurait les interactions liés à ses décisions ou à ses actes, ni les conséquences. Ne voyant pas descendre les prix des choses dont il a besoin, il augmente le prix du pétrole en fonction de ses besoins ce qui fera augmenter les prix, ce qui le fera augmenter encore une fois le prix du pétrole et produira de nouveau des augmentations en créant cette inflation mondiale généralisée.  C’est l’ignorant, au mauvais sens de ce mot qui est donc l’auteur de toutes les formes de misères. Le profane. Celui qui fonctionne avec de si courtes vues et des œillères telles qu’étant préposé comme jardinier et responsable du robinet d’eau, étant donné qu’il veut acheter une chose dont il a envie et qu’il est impatient d’avoir, ne comprenant qu’il doit attendre que les prix baissent pour l’acheter, va fermer le robinet d’eau dont il a responsabilité et se comporter en maître-chanteur, comme certains syndicalistes ou certains acteurs d’affrontements sociaux qui ne sont pas intelligents dans un tels contextes. Si cette personne s’est vue avoir la responsabilité du robinet des puits de pétrole (ce n’est que pour les défendre des voleurs et non pas agir comme un voleur en faisant du chantage avec).

[8] Car on ne l’est devenu qu’en raison de contextes précis et sur la base de malentendus et d’a priori (donc en fait, rien de vrai – j’ai pu le vérifier moi-même et le montrer en devenant ce « profane » et puis en redevenant le contraire – au point qu’il y a un moment ou on en veut à ceux qui ne sont plus des profanes, avant de comprendre qu’ils étaient contraints)

[9] (faire des briques, des socles, des choses en série, faciles à faire et n’ayant pas exigé de savoir faire particulièrement ardus à reproduire)

[10] (une experte – celle dont on se méfie car elle va prendre de véritables risques et s’appuie sur des savoirs de solistes. C’est celui qui n’est plus ignorant au mauvais sens de ce mot mais uniquement au bon sens, sait qu'elle ne sait pas beaucoup de choses)

[11] (car une fois débarrassée de l’enfant-gâté la personne en travaillant pour elle travaille pour tous)

[12] (car on ne sait pas qui peut bien être le client précédent dans un taxi – un lecteur de disquette ou un ordinateur c’est beaucoup plus fragile et couteux qu’un cd-audio ou cd-rom qui risque moins dans les transports si emballés – les autres aussi mais ce n’est pas pareil – les uns et les autres sont fabriqués en séries mais il ne faut pas confondre le sujet et celui qui traite le sujet, qui va l’analyser, qui va le comprendre et l’amener à être utile : c’est le créateur : l’être humain qui n’est plus profane comme l’est le sujet, c’est le véritable enseignant et non le faussaire) 

[13] (que mon père n’a pas pensé exiger par discrétion, croyant qu’on pourrait lui reprocher d’avoir trop, alors qu’il a n’a fait que travailler constemment à un niveau de compétences difficile à atteindre pour que tous puissent, grâce à ma Dictée de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale avoir un peu)

[14] (et que c’est donc sous la forme de bénévolat que toutes ces compétences ont été acquises et qu’il y a tant d’heures supplémentaires qui ont été faites au point que je suis persuadé qu’il n’y a eu que les peines les plus difficiles pour n’avoir en échange qu’ingratitudes, injustices, soupçons, jalousies mais aussi malveillances et tout le corollaire d’infamies et d’incompréhensions dont n’ont été victime dans le passé que les plus grands artistes ou les plus saints)

[15] – puisqu’elles étaient de celles qui aimaient des cobayes pour les faire souffrir – le spectacle dont elles voulaient se délecter, en ayant à nous faire souffrir tant d’ignominies et de perfidies, d’insolences et de vulgarités, tant de grossièretés, de sortilèges de charlatans, de perfidies et d’injustices, et de sacrilèges, etc. -

[16] Elles ne font plus rien comme avant ou ceux qui s’autorisent tout et n’importe quoi en insensés ou qui ne peuvent qu’être espions. Il est certain qu’une fois qu’elles se sont débarrassées de l’enfant-gâté, elles comprennent qu’elles ont un rôle exemplaire à jouer, puisqu’il y a un avant et un après.

[17] (alors que j’étais amnésique de cette intervention qui avait été mais qui allait de nouveau être, si la situation n’était pas débloquée avant)

[18] Ne le sachant pas : on s’autorise des choses seuls et quand on le sait on s’en autorise d’autres seuls bien précisément étant donné que la situation est faussée. Elles sont d’une autre nature et ceux qui sont espionnés n’y comprennent plus rien au point d’avoir des soupçons injustes sur celui qui se permet, de leur point de vue, des choses différentes qu’eux qui se sachant espionnés ne peuvent pas soupçonner qu’on puisse prendre autant de liberté, au point que les espions croient possible ce qui ne l’est pas mais qui ne l’avait été que pour mieux les confondre au yeux de ceux qui sont espionnés (aussi les espions seront démasqués par celui qui comme Picasso ou un autre s’autorise des choses non-canoniques : Bouddha, Jésus, Mahomet, etc.).

[19] Ces bagnes, mais pas seulement.

[20] – peut-être n’y arrivant tout simplement pas en raison du fait que célibataires endurcis et égoïstes, ils n’avaient été que des profanes « faisant semblant » de savoir mener les affaires et reproduisant les façons irrespectueuses  de parents qu’ils avaient eu, maitres-chanteurs à leur égard qui les avaient contraint à exercer par la force une autorité et non par la raison et/ou l’intelligence –

[21] (comme avoir de quoi payer un repas dans un restaurant ou dans une cantine – d’autant plus que c’est moi qui est lancé l’idée des sandwicheries et autres restaurations rapides à développer) ou être servi chez lui par une personne qui n’ayant pas pu faire d’études a au moins les capacités de faire à manger ou le ménage – de celles qui existent malheureusement par millions et qui pourraient être utiles pour faciliter les études des autres dont ils profiteront fatalement, si ceux-ci disposaient de moyens financiers pour se les attacher)

[22] (où nous confirmons tous que nous voulons enfin nous montrer dignes des efforts de nos ancêtres y compris de nous-mêmes trente ans avant car certains ont compris que toutes les apocalypses ont été déclenchées y compris les processus qui risquent de les mener à devenir des chiens ou des chats dans le meilleur des cas si ce n’est pire comme animal, c’est-à dire les faire régresser, bien qu’ils soient assurés certains, s’ils ne naissent pas dans des endroits où ils seront maltraités qu’ils ont une chance d’être choyés, s’ils s’incarnent dans une époque et dans une localité où on est aimable avec ces animaux – s’ils se sont bien comportés en tant que futurs chats - mais s’ils devaient s’incarner dans le passé (en raison des effets rétroactifs vérifiés donc - pas seulement dans le futur ces réincarnations) quand on tuait les chats ou mangeait les chiens, ce qui est possible, cela risque de leur faire avoir des vies de cauchemars en ayant peur d’être chassés – c’est pour cela que les chasseurs devraient arrêter de chasser car sinon ils risquent de se réincarner dans un animal qui sera malheureux et qui sera forcément chassé, par conséquent qui aura à connaître en permanence la peur d’être abattu par des êtres devenus iniques et injustes – mais ils l’auront voulu étant donné qu’il y avait toutes les alternatives et qu’ils ont choisi de mal faire au lieu de bien faire. Ils pouvaient éviter de chasser ou de faire du mal aux animaux pacifiques et inoffensifs).

[23] (car ce cas de la Création qui est virtuel a existé et pourrait devenir la réalité qui permettrait à beaucoup de gens d’éviter l’une ou l’autre des apocalypses les concernant)

[24] (ce qu’essaiera de démontrer l’Histoire, bien que cette histoire d’amour diffère sur beaucoup de points puisque l’héroïne n’est pas morte, ni moi non plus, et que nous avons pu réfléchir à même élargir ce cercle des impératrices, malgré l’idée première en 2010 de nous retrouver « égoïstement » - le point de vue de certains au sujet du mariage monogame - en limitant à nous seuls ces retrouvailles, bien que nous en ayons sérieusement le droit (ou même le devoir pour certains qui pourraient ainsi croire au happy end si tout cela n’avait pas déclenché quelque chose qui serait juste pour Michèle), après ce que nous avons eu à endurer au cours de cette séparation, mais comme nous n’avons ni l’un ni l’autre seulement deux ans ou un an, en 1965, ni plus douze ans et onze ans en 1975, ni même quarante deux ans en 2005 et que cette histoire nous a mené à prendre connaissance de beaucoup de problèmes et des points de vue des uns ou des autres, nous préférons nous tourner vers l’avenir (c'est-à-dire regarder vers les petits/enfants) en essayant de leur faire bénéficier des leçons de cette histoire fondatrice (car nous savons qu’ils aimeraient trouver le bonheur et construire des choses solides) et de cette esprit de tolérance que nous avons acquis et l’un et l’autre capables d’endurer bien plus que l’inadmissible, en ayant bien pris conscience des difficultés qu’ont ceux qui sont devenus faussaires et incompétents, puisqu’ils le sont devenus mathématiquement, en raison des malversations de semblables qui ayant perdu l’esprit de logique et de cohérence (devenus fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))) se sont permis de faire n’importe quoi avec ces vieilles machines car ils étaient demeurés parce qu’ils « avaient » des profanes préhistoriques et analphabètes brutaux en croyant le contraire. Or, un bien mal acquis ne profite jamais et cela signifie qu’un bien acquis en « abruti » ou en « barbare » ou en « profane » ou par la « force » ou en « faisant du chantage », au mauvais sens de ces mots, ou de « façon injuste » ou « vorace » (idem) en animaux préhistoriques (primitifs) (en voleur) ne peut pas profiter à la partie intelligente ou à cette partie qu’on appelle justement « esprit » et dont sont pourvus tous les « gens d’esprit » s’étant débarrassés du profane et de l’enfant-gâté. Un chien avisé le sait bien : il attend que son maître lui dise que c’est le moment de manger quand c’est convenu entre eux (car le maître veille alors à ce qu’il ne se brûle pas les babines avec le riz chauds ou les spaghettis mélangées avec des restes y compris de viande quand celui-ci a penser à lui chez le boucher).

[25] (et en se détériorant une à une toutes les capacités cérébrales au point d’en devenir athées et à cause de cela d’être incapables de comprendre Dieu, Jésus ou le Bouddhas ou les autres voies spirituelles)

[26] (comme une forme de mathématique que leur existence ce que l’informatique à confirmé en en créant de métissés avec les chiffres ou d’autres signes pour les langues spéciales comprises par les machines)

[27] Pourtant Michèle a pu vérifier que pendant toute la période où j’étais profane je ne savais rien de ce qui pourrait advenir même seulement l’année suivante et cela même seulement en innovations techniques de matériel nouveau, alors qu’elle, en revanche, ayant été avertie du futur – alors que je n’en savais plus rien - jouait les devins ou les annonciatrices de surprises et de cadeaux en se faisant passer pour prophétesse ou initiée à des secrets mystérieux (c’est d’ailleurs une des raisons qui m’ont rassuré et pour lesquelles je l’ai aimé), alors qu’elle ne me disait pas la source d’où elle détenait ces informations alors que moi, si je l’avais sue d’avance, je ne l’aurais pas utilisée pour tricher ainsi, d’autant qu’aimer l’autre, c’est ne rien lui cacher.

[28] (mais il n’y a pas de mots pour traduire ce qui ne peut être compris que sous forme de choses infiniment plus complexes que les mathématiques et la géométrie dans l’espace ou de toutes les lois réunies)

[29] (d’autant plus qu’il n’y avait pas encore de vêtements et que la nudité était une chose aussi normale que celle qui concerne les animaux – rien d’exceptionnel)

[30] (mais au moment de la formation de la mémoire enfantine, les informations ne demeurent pas longtemps gravées – c’est selon les bébés et c’est pourquoi beaucoup oublient tout ce qui s’est passé avant la naissance bien qu’il se pourrait qu’il y ait des nombreux éléments mémorisés déjà à l’état de fœtus – donc des informations)

Fin des notes de fin de page de la lettre au cardinal Vingt-Trois