Accueil de "Diverses lettres envoyées"
Laurent-Marie Granier
20 rue
de l’Ecole Polytechnique
75005
Paris
Tel :
09 50 93 81 25 /01 56 81 96 50
A’
Monsieur le président de la République
Emmanuel Macron
Paris
le lundi 12 février 2018
Objet de cet envoi: Suite à mes précédentes lettres – celle
du 15 juin 2017, du 24 août 2017, du 3 octobre 2017, et la lettre du 09 janvier
2018, je vous prie de recevoir pour information, avec l’additif à mon courrier
du 18 janvier 2018, la copie de ma nouvelle lettre au Docteur Marcel (01 45 65
82 70) et au Dr Adham de Sainte-Anne[1].
Je vous remercie de prendre connaissance de cette suite (à
ce qui devient hélas un feuilleton très pénible : tragique) de manière si
possible à faire le nécessaire pour me venir en aide avant que cela ne soit trop
tard pour m’éviter de continuer à souffrir ce que pour l’instant je souffre
encore comme martyrs et tortures incessantes (effets chimiques des effets
secondaires du médicament prescrit) en raison de l’obstination de ces médecins
dans l’erreur. De plus, ils m’ont donné
ce traitement parce que j’avais dérangé le voisinage (qui s’était plaint) sans
connaître les raisons pour lesquelles j’avais, en conscience et dans l’exercice
de mes fonctions d’eanmeailleur (empereur + bouddha), à intervenir en légitime
défense de nous tous pour, entre autres, sauver notre planète dans plusieurs
époques en même temps comme vous découvrirez en détail dans cette nouvelle
lettre. Ils m’ont ensuite renouvelé ce traitement alors que pratiquement sevré
d’un médicament similaire j’ai, parait-il, à ma nouvelle adresse, dérangé le
voisinage parce que j’ai ri après dix heures du soir alors que je relisais et
corrigeais la lettre[2]
aux présidents de la République française que j’ai publié depuis sur Internet.
Aussi
je vous demande d’agir dès que possible pour que ces médecins continuent à me
sevrer définitivement du médicament (pour que je retrouve mon état normal sans
avoir besoin de médicaments) à l’origine de ces souffrances à l’heure actuelle
insupportables (invivables) dues aux effets secondaires du médicament Xeplion
qu’ils m’ont prescrit à la légère sans au préalable avoir obtenu de moi tous ces
renseignements qui, s’ils les avaient connu, leur auraient normalement empêché
de me prescrire ce médicament qui m’a depuis artificiellement rendu malade,
rendu la vie impossible et invivable (insupportable) tant, vous lirez, il
comporte d’effets secondaires indésirables empoisonnant, martyrisant, torturant.
En vous
remerciant d’avance de votre compréhension et de tout ce que vous pourrez faire
pour abréger mes souffrances (martyrs et tortures) insupportables, veuillez
agréer Monsieur le Président, l’expression de mes sentiments respectueux.
Laurent-Marie Granier
[1]
Elle comporte aussi outre
cet additif la photocopie d’un extrait de la
notice des effets secondaires du Xeplion
signalant que les bourdonnements (acouphènes)
dont je suis victime la nuit ont bien été
mentionnés comme effets secondaires indésirables
(pourtant ces médecins n’ont pas voulu croire
pendant plus de neuf mois que le médicament
était en cause alors que je ne cessais de le
dire, m’ont contraint à me faire examiner par un
ORL qui m’a prescrit une audiométrie et un IRM
pour aboutir à la conclusion que mon cerveau
était normal et qu’il n’y avait aucune lésion et
à son avis que s’il était l’un de ces
psychiatres il conviendrait de changer de
famille de médicament puisque ces acouphènes –
bourdonnements dans les oreilles - sont apparus
quand on m’a hospitalisé en me faisant prendre
ce médicament). Il y a aussi la copie de
l’ordonnance en dermatologie que le Dr Espagne
m’a récemment prescrite à cause de probablement
cet autre effet secondaire dont je suis
victime : une dermite séborrhéique.
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Révision : 15 février 2018