objet: projet de Fondation Européennes Vidéo des Enseignements Supérieur (FEVES), Vidéothèque des Enseignements Supérieur (VES), et Télévison des Enseignements Supérieurs(TVESE).

Copie de la lettre du vendredi 12 décembre 2003 à Monsieur Hervé Célestin, chef du bureau du Cabinet du ministre de l'éducation et de la Recherche, Monsieur Ferri.  Réponse à sa lettre Ref:BDC/CS-SUP/LF/AML/N°383611. Adressée par la poste au 110 rue de grenelle 75357 Paris 07

Monsieur,

Je vous remercie de votre lettre qui m'étonne vraiment beaucoup. Je ne pensais plus jamais avoir affaire à vous sur ce sujet.

Permettez-moi cependant de vous dire que vous êtes en train de commettre une absurdité de plus car monsieur Ferry et vous-même répétez ici une stratégie qui n'a pas porté ses fruits et vous le savez de longues dates.

C'est en effet la même lettre ou presque que celle que vous m'aviez envoyée la dernière fois et qui a produit les conséquences que vous savez (puisque je vous ai par ailleurs tenu à l'époque tous les deux au courant de ces conséquences).

Permettez-moi donc de vous envoyer à toutes fins utiles une nouvelle fois la copie du courrier (http://laurygranier.free.fr/lettres_a_des_personnalites/jacques_chirac_3.htm) que j'ai dû écrire d'urgence ce 11 mars dernier à la suite de la réunion à laquelle j'avais été convié en vous faisant alors confiance.

Vous y lirez une nouvelle fois comment on a eu l'outrecuidance de me traiter alors et vous y lirez aussi la description que je fais de l'attitude proprement irresponsable, inadmissible et scandaleuse de Monsieur Monteil et de son entourage au sujet de le FEVES de la VES et des TVESES. Vous comprenez que, lorsque vous évoquez dans votre nouveau courrier du 28 novembre 2003 que Monsieur Ferry a chargé de nouveau Monsieur Monteil du problème, je sois aujourd'hui scandalisé, indigné et en colère contre cette proposition irresponsable et qui me paraît aussi à la fois peu diplomate et peu respectueuse de ma personne et de mes qualités. J'irai jusqu'à dire que compte tenu des précédents, elle s'avère même une insulte dont je vous prie de vous excuser et/ou de m'expliquer la raison.

Or, vous le savez, j'ai tenu au courant Monsieur Chirac, Monsieur Prodi, Monsieur Ferri (vous le constaterez car je joue toujours "cartes sur tables" et ne veux rien cacher à personne).

Je vous ai alors vous-même personnellement tenu à l'époque au courant car j'avais aussitôt après, les insultes reçues par ce simulacre d'intérêt de l'entourage de Monsieur Monteil et son attitude absolument scandaleuse de mépris à mon égard, appelé votre secrétaire et vous-même au secours pour ne pas compromettre la création de la FEVES et vous tenir au courant comme je pensais de mon devoir de le faire suite à votre première missive. Vous n'avez alors rien fait, ce que j'ai pris bien sûr aussi pour une nouvelle insulte car en ne rien faisant vous preniez le parti de ceux qui m'avaient fait du tort.

J'ai donc dû signaler l'ensemble de mes déboires et cette nouvelle perte de temps pour la FEVES par la lettre  (adresse internet ci-dessus) que je vous demande ici vous-même et monsieur Ferri de relire.

Comme vous le savez les conséquences sont affligeantes: en adoptant l'attitude négative que vous avez eue jusqu'à cette dernière lettre et en ne m'ayant rien proposé financièrement comme j'étais en droit de l'attendre pour créer une l'institution si nécessaire à la propagation des Savoirs et à l'Europe, vous l'avez momentanément compromise.

Vous êtes donc à mes yeux responsables de ce second échec (le premier ayant été commis par l'administration de Jospin) et de l'appauvrissement constant depuis de nombreux mois de l'Europe de l'Education, de la Culture et donc de l'Europe Economique, puisque comme vous le savez je prévoyais de créer immédiatement en France 50 000 emplois et d'ici trois à cinq ans ans 300 000 emplois. Vous avez donc une responsabilité vis-à-vis de toutes ces personnes qui aujourd'hui travailleraient pour le bien collectif, sans parler du retard à l'échelle européenne et du nombre équivalent de personnes que je comptais employer dans chacune des régions d'Europe à cette fin. Voilà, monsieur, une partie de votre responsabilité et cela à chaque seconde et minute qui passent!

Vous comprendrez que je m'étonne de votre courrier et que vous-même et monsieur Ferri me relanciez sans même vous excuser de ce qui s'est passé.

Dois-je une nouvelle fois rappeler à Monsieur Ferri et à vous-même qu'à chaque heure qui passe ce sont des milliers d'heures de Savoir que nous aurions pu enregistrer, thésauriser et diffuser!

Vous êtes pour l'instant à mes yeux, Monsieur Célestin, l'un des responsables de la perte colossale des Connaissances audiovisuelles de la France et en m'ignorant la dernière fois comme vous l'avez fait, vous avez rendu par votre incompétence, votre ignorance du sens du devoir Monsieur le ministre Ferri aussi responsable que vous l'êtes dans cette affaire!

Et vous m'écrivez sans même vous excuser! Et vous m'écrivez que vous avez choisi la même stratégie !

Monsieur Monteil (Directeur de l'Enseignement Supérieur) n'a pas voulu comprendre à l'époque le considérable enjeu de ce Projet tant universitaire qu'économique (également à l'échelle des économie technologique de la planète) puisqu'il génèrera de nombreux emplois. Ce projet est, comme vous le savez, absolument vital pour l'Education Universitaire et pour l'Europe de demain.!

J'avais donc écrit à l'ensemble des acteurs de la scène internationale que Monsieur Monteil n'était pas digne d'être mon interlocuteur, ni de la confiance de l'Etat français et je crois avoir été clair en demandant de ne plus avoir à faire qu'avec monsieur Ferri lui-même et par téléphone (car je ne me déplacerai plus jamais dans votre ministère). Il donnera, s'il le juge utile, sans doute tous les ordres qui s'imposent. Mais le mieux c'est encore qu'il lise le projet en détail puisque d'une part je n'ai plus de temps à perdre et d'autre part l'enjeu en vaut la chandelle et que c'est très clair. Adresse du projet: http://laurygranier.free.fr/la_feves/le_projet.htm

Monsieur Ferri ne m'a même pas appelé la dernière fois, suite à mon courrier, pour s'excuser auprès de moi des insultes que j'ai reçues à cause de son idée à confier le dossier à l'ensemble de ce ce personnel incompétent. Je ne trouve pas cela courtois.

Au nom de toute la communauté européenne, que je ne crois pas trahir ici, je répète que je vous tiens pour personnellement responsable de cette perte considérable et inadmissible de temps et donc d'argent et je ne manquerai pas de le faire savoir.

C'est ici au nom aussi de toutes les générations à venir d'étudiants ou de curieux de connaissances que je parle, car c'est pour eux que j'œuvre au mieux en cherchant à réaliser l'ensemble de ces nouvelles institutions européennes (elles sont l'expression même de ce que tous les étudiants européens attendent depuis longtemps déjà) !

Le comportement inqualifiable de Monsieur Monteil (et le vôtre d'alors) au sujet de ce dossier m'a obligé non seulement à écrire la lettre ci-jointe (alors que je ne suis même pas payé pour cela) mais à déranger une nouvelle fois personnellement Monsieur Prodi et quelques autres responsables éminents des instances européennes (ce qui n'est pas facile) et bien sûr Monsieur Chirac, par deux fois (dont une fois dans le cadre des grands projets européens, ce qui n'est non plus pas facile), ce qui l'a amené, une nouvelle fois, à saisir Monsieur Ferri du dossier (puisque vous me l'écrivez et que vous donnez enfin signe de vie!).

Si je vous écris c'est que la procédure dont vous me faites part et que vous avez apparement choisie d'adopter ne m'inspire vraiment aucune confiance, et vous-même et monsieur Ferri comprendrez maintenant certainement pourquoi!

Je demande ici à Monsieur Ferry de prendre toutes les mesures en son pouvoir qui s'imposent pour écarter monsieur Monteil et l'ensemble du bureau (apparemment seulement compétent) de mon projet (et je pèse ici mes mots car, sur ce sujet, Monsieur Monteil est indigne de sa fonction et en ayant ainsi à la légère fait perdre à toute l'Europe un temps extrêmement précieux, s'est rendu impardonnable, même s'il avait l'intelligence de reconnaître enfin son erreur et sa grossièreté envers moi et qu'il lui prenait l'envie de s'excuser).

Je préviens ici, par votre intermédiaire, monsieur le ministre Ferri que si rien n'est fait financièrement parlant dans les 10 jours à la réception de cette lettre recommandée pour favoriser financièrement la création institutionnelle de la Feves, de la Ves et de la TVESE comme Monsieur Chirac le souhaite, et pour que je puisse commencer à travailler sérieusement (et non bénévolement comme je le fais maintenant depuis 4 ans), il ne sera plus digne d'aucune confiance ni excuses et je serai obligé, vis-à-vis des générations à venir de porter cela sur la place publique et avec l'ensemble des médias de considérer son attitude comme proprement scandaleuse. Il risque lui aussi d'être tenu pour responsable d'incompétence, surtout à la vue de la nouvelle orientation que vous avez vous-même exprimée dans votre dernière missive et qui est, compte tenu de ma lettre précédente (qu'il avait reçu), inadmissible et vraiment scandaleuse!

Je tiendrai bien sûr au courant l'ensemble des dirigeants européens, de cette nouvelle preuve d'incompétence de l'administration française. Vous direz à monsieur le Ministre que je n'ai vraiment pas apprécié qu'il ne m'ait pas répondu personnellement à la suite du courrier précédent, comme il aurait dû le faire et qu'il m'ait obligé ainsi aujourd'hui de lui écrire à nouveau, à la fois pour lui rafraîchir la mémoire, (ce que vous, Monsieur Celestin vous auriez dû faire avant de m'écrire), et pour cela lui renvoyer la lettre précédemment envoyée.

Il a fallu attendre l'intervention personnelle du chef de l'Etat et des responsables européens (que j'ai dû seul contre tous et seul pour tous déranger) pour que vous daigniez vous sentir obligé d'une nouvelle réponse qui atteste de toute évidence de votre parfaite inconscience et votre irresponsabilité.

Il me semble en vous lisant, aujourd'hui, malgré les efforts que j'ai entrepris depuis de nombreuses années pour notre bien collectif à tous dans la création de ces concepts de FEVE, VES et TVESE que vous me répondez en imposteur, Monsieur Hervé Celestin et (je pèse ici mes mots) et que vous cherchez par ce courrier non seulement à me tromper (c'est à dire à vous tromper vous-même) mais à faire passer pour un imbécile Monsieur le Ministre Ferri qui à cause de vous risque d'être considéré lui aussi comme un imposteur. Ou alors je vous prie de vous expliquer !

Car je le répète ici avec toute la sainte indignation due en pareil cas et qui s'impose bien sûr, en lisant votre copier-coller de courrier, puisqu'il est quasiment identique au précédent, que vous n'avez rien compris ou alors que vous chercher à noyer le poisson (ce qui est difficile car les poissons savent nager) et donc que vous m'écrivez pour me faire part d'un semblant d'intérêt de vous-même ou de monsieur le Ministre pour ce projet Européens des FEVES, VES et TVESE que pourtant l'ensemble de mes titres universitaires et autres qualités m'ont autorisé à proposer pour l'Europe des Connaissances de demain.

En effet je suis aussi légalement crédible et cela par l'ensemble de mes compétences et donc je suis en droit de proposer à l'Europe tout entière un tel programme de FEVES, de VES et de TVESES non pas bien sûr pour ma satisfaction personnelle mais par sens du devoir, conscience professionnelle et surtout sens de la responsabilité citoyenne européenne et de mon implication dans les valeurs d'éducation, de culture et d'art de notre époque !

Or vous comprendrez bien sûr que, malgré la lettre que je vous ai précédemment envoyée, votre réponse qui demeure en substance la même que la précédente soit ressentie par moi comme une véritable nouvelle insulte, une de plus  que l'administration de l'Education Nationale est en train de porter contre l'Education, la Culture, les sciences et l'Art!

Bien sûr j'envoie copie de cette lettre à tous les intéressés. J'espère que vous voudrez cesser de rendre monsieur le Ministre Ferri ridicule à yeux du monde entier et qu'il saura se comporter en homme responsable et digne d'intérêt ou nous en ferons une affaire d'Etat Européen (qui aujourd'hui est à l'ordre du jour).

Je vous salue et place malgré tout mes meilleurs espoirs en vous.

Laury Granier