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Lettre à monsieur le secrétaire d'ambassade du Japon en France au sujet de la FEVES.
jeu. 26/02/2004 à 00:02
Monsieur le Secrétaire d'Ambassade,
Permettez-moi de vous écrire, en vous priant de m'excuser pour le très grand retard.
Nous avions fait un peu connaissance à l'occasion de la venue de votre ambassadeur à la Sorbonne dans le cadre de la MOPA à la suite d'un concert donné par deux de vos concitoyennes à l'occasion de la remise des "palmes académiques" entre autres à mon père, monsieur Jean-luc Granier, ancien diplomate français en Italie et en Suisse.
Comme j'aime toujours faire ce que je dis, (en suivant l'exemple de mon père) vous me voyez vraiment désolé de vous écrire avec tant de retard, mais vous connaissez sans doute cette expression française qui j'espère m'excusera au près de vous: "mieux vaut tard que jamais".
Comme je vous l'avais dit alors, je suis à l'initiative d'un projet Européen concernant l'Université française et l'université européenne et l'Enseignement Supérieur. Il s'agit de la FEVES, VES et TVES. Ce projet a reçu depuis le soutien de monsieur Romano Prodi et de Monsieur Jacques Chirac.
Je vous avais promis de vous envoyer quelques informations plus détaillées concernant ce projet d'envergure.
Je vous prie de bien vouloir suivre le lien ci-après pour découvrir plus en détail les grandes lignes de ce projet qui pourrait aussi, nous l'espérons, relancer un peu l'économie mondiale, technologiquement parlant, tout en étant axé au service de la diffusion de la Culture, de l'Éducation et la Recherche, c'est à dire de vraies valeurs humaines, constructives.
Merci donc d'avance de bien vouloir prendre connaissance de ce projet et de le communiquer aux personnes que vous jugerez utiles en France comme au Japon de façon à ce que nous puissions concrétiser le plus rapidement possible, avec l'aide de nos/vos industries cet objectif qui permettrait de rendre beaucoup plus démocratique l'ensemble les Enseignements du Supérieurs Européens (qui je l'espère pourraient être accessibles un jour aux étudiants japonais qui le souhaiteront).
Peut-être y a-t-il un projet similaire au Japon. Si c'est le cas merci de me mettre en relation avec la personne chargé de cela au pays du soleil Levant ou avec votre Ministre de l'Éducation Nationale.
Je pense que compte tenu des "achats" que la communauté européenne devrait envisager de faire à plus ou moins long terme, sous réserve des formalités administratives d'usage, au près des industries nipponnes, il serait peut-être bon que le Ministre de l'Industrie Japonaise soit prévenu des intentions que nous avons et nous fasse peut-être des propositions.
En vous remerciant d'avance je vous prie d'agréer Monsieur le premier secrétaire, mes sentiments respectueux et distingués.
Je vous prie de transmettre à monsieur l'ambassadeur mon meilleur souvenir.
Laury Granier