ACCUEIL DU SITE LORIMAGE

Accueil de "Diverses lettres envoyées"

Vous êtes ici sur la page consacrée à la copie de mon courrierIn au maire de Douai. Vous y trouverez des conseils et une réflexion pour la publication des bonnes dimensions des reproductions d'images relatives aux oeuvres d'art sur Internet, des propositions pour des améliorations techniques du logiciel Word  :

Samedi 31 mars 2006

Madame ou Monsieur le Maire de Douai,

Permettez-moi de vous écrire car j’ai eu la chance de découvrir par hasard le site Internet de votre si belle ville de Douai.

Merci beaucoup pour le cadeau de ce site Internet nous invitant chez vous, je l’espère, au cours d’une parenthèse festive ultérieure de notre existence, pour découvrir si possible cette cité qui semble déjà ainsi très attrayante.

Si je vous écris, c’est pour vous faire une remarque qui j’espère sera bien accueillie et elle concerne certaines des reproductions sous formes d’images photographiques couleurs des trésors culturels dont j’ai pu remarquer l’existence sur votre site avec un vif intérêt (objets dont vous avez la responsabilité et la garde, et dont vous espérez naturellement le rayonnement y compris par leur diffusion à travers Internet en vue de leur assurer une meilleure conservation pour faire partager plus largement leur renommée ; retombée naturelle pour les générations à venir)

Cette remarque concerne particulièrement la page Internet suivante : http://www.ville-douai.fr/intflane.htm mais il me semble soudain que ce cas particulier sur lequel vous me donnez la chance d’intervenir (ce dont je vous suis très reconnaissant) pourra peut-être avec le temps, ailleurs, servir peut-être d’exemple pour parfaire l’élaboration d’autres sites, et être considéré comme une suggestion pour un peu mieux faire : les reproductions qui y figurent, même au format de simples miniatures couleurs sont, il est vrai, déjà pour certaines d’entre elles, susceptibles d’attirer les intérêts variés de nombreuses personnes en tant que telles (il s’agit en réalité d’un logiciel très simple d’utilisation, à la portée d’enfants de 10ème (C.E.2.), que j’utilise moi-même peut-être à cause de cela - justement - et de sa très grande facilité d’emploi pour réaliser certaines pages de mon propre site, logiciel qui, vous le savez peut-être, permet de faire ces miniatures d’un tout simple clic, d’autant que l’on dispose au préalable de l’image photographique (sous forme d’un simple fichier ou/et ayant été scannée pour ce faire à partir d’un tirage réussi d’une photo) à miniaturiser pour gagner de la place et publier ainsi des pages Internet enrichies des reproductions de nombreuses œuvres s’y référant, plutôt qu’une ou plusieurs images seulement !

À ce sujet, pour la publication sur Internet, permettez-moi au passage d’ajouter ce que j’en pense ici car c’est aussi d’une simplicité plus qu’enfantine de le faire, avec un autre logiciel - souvent que l’on trouve même gratuit ! (quand on songe à ce qu’il faut de temps pour fabriquer un seul logiciel, quelle merveille que cet outil supplémentaire qu’il représente soit mis à notre disposition par des personnes altruistes) - que d’avoir à republier des images d’une dimension plus claires que les précédentes sur un site en construction (ou appelé naturellement à être mis à jour et contribuer parfois, grâce à cela, à ce désir d’améliorer de façon régulière autour de soi pour tenter de mieux faire - ce qui, à la longue, est devenu le propre de l’homme : une tradition, et fait partie de l’ontologie même de l’être humain lorsqu’il est pourvu heureusement de la bonne santé pour cela) et on peut le faire par plaisir, à l’occasion, si on a comme la majorité des gens actuellement comme violon d’Ingres la passion de l’informatique dont on peut déplorer actuellement le caractère du de l’engouement à cette passion quelque peu frénétique dans le mimétisme qu’elle a su entraîner même si l’on a conscience de l’aide que peut apporter l’informatique pour ces innombrables possibilités admirables dont j’espère que certaines d’entre elles contribueront ainsi au développement de l’intellect humain et au rayonnement de l’Esprit – cela est sûrement dû aussi à l’extrême facilité d’emploi de cet outil qui telle une variante un peu plus sophistiquée qu’une photocopieuse ne nécessite tout au plus que peu de temps pour être étudié ou pour faire son apprentissage et pour permettre à certains d’arriver à le faire fonctionner – croyez, monsieur le maire, que je ne cherche nullement ici à dévaloriser d’aucune façon ces produits technologiques qui paraissent à certains esprits excessifs comme « miraculeux » ou même « diaboliques »  - ce qui est le plus drôle  - et qui sont apparus ces derniers temps sur le marché, tout au contraire, car la facilité d’emploi est pour moi un critère plus que valable , une condition nécessaire : cela permet de donner entre autre du travail quelques fois même rémunéré (en parvenant à occuper ainsi) surtout ces personnes handicapées, malades, difficiles à réinsérer, quelques fois même un peu rebelles – ils le sont devenus parfois pour des causes qui ont l’air d’être au premier abord même valables – et qui ont parfois quelques difficultés pour faire des choses plus compliquées que cela. Petit à petit, grâce à ces travaux extrêmement faciles et sympathiques à faire, ces personnes auront peut-être envie, si elles devaient avoir l’intelligence un jour de chercher à faire preuve de plus d’intelligence (ce qu’elles ont par essence, même dans certains des cas les plus douteux, à moins de ne pouvoir disposer de l’usage de leur sens ou au pire de leurs membres, en cas d’accidents ou de formation fœtale différente que celle dont ont bénéficiés la majorité des êtres humains – appelé le plus souvent à tort « mal formation » ce qui est, vous le savez sans doute,  un  terme dangereux en l’occurrence car cela risque d’induire certains à des pensées malheureuses ou des prises de positions mensongères contre eux, ce qui entraîne parfois certains à des actes irrespectueux à l’égard de ces personnes qui ont le tort à leurs yeux d’être simplement différentes. Ils ne parviennent pas à voir la richesse que cette différence représente !) pour s’intéresser à des choses un peu plus compliquées que d’avoir à appuyer seulement sur un bouton ou à changer des rames de papiers ou qui sait quoi d’autre, (etc..), - vous voyez bien sûr ici ce dont je parle - ou même de s’intéresser d’un peu plus prêt au différents contenus qu’elles manipuleront et/ou des possibilités qu’offrent ces outils informatiques).

Ces photos aujourd’hui sont faciles à obtenir et ne nécessitent que la bonne volonté d’un amateur qui aura l’intelligence de comprendre que d’avoir à faire ces images est en réalité plus qu’un véritable cadeau qu’on lui offre : une chance qu’on lui offre non seulement comme artisan photographe mais surtout intellectuellement (cela en fonction bien sûr des sujets) – d’autant qu’il pourra mettre très discrètement son nom sur Internet à côté de ces représentations, une fois publiées – si je vous écris cela ici, c’est aussi pour éviter que vous n’ayez à trop dépenser des deniers de l’État pour réaliser ces images même si c’est important de permettre aux uns et aux autres d’avoir les moyens de vivre honnêtement : le photographe étant en fait payé à la fois par son travail et par la notoriété éventuelle qu’il pourra tirer d’avoir eu la chance d’avoir l’autorisation de photographier ces œuvres d’art dont certaines sont plus que précieuses et plus que prestigieuses - étant donné que la plupart des tableaux qu’il aura seulement à cadrer avec l’appareil dont il se servira (c’est surtout le peintre évidemment qui s’est posé en réalité la question du cadre !) sont évidemment beaucoup plus que de simples présents dépourvus de sens – il y en a, hélas, et malheureusement de nombreux ailleurs sur le web dans ce style raté ou qui n’ont que peu de sens : du temps perdu pour tous les lecteurs « surfeurs » sauf si, à la longue, cela conduit les personnes en questions à bien faire ou si on finit par utiliser ces images ou ces pages web comme de mauvais exemples (il y va ici d’une possible réflexion sur les mauvaises réalisations pour permettre de bien faire à partir de celles-ci dans une optique où l’on se permettra de retourner la situation en cherchant à comprendre ce qu’il ne fallait pas faire à partir de mauvais exemples) à bien sûr ne pas suivre - et qu’en en profitant ainsi par la lorgnette photographique qui déclenche « l’oiseau qui est sorti » ce photographe aura peut-être ainsi une chance de se rapprocher d’un mystère lié à la quintessence et à l’ontologie même de la raison d’être des œuvres d’art en ce monde (lui qui cherche peut-être de simple artisan photographe qu’il est à devenir un jour peut-être plus que cela ou autre chose qu’un Casanova ou un vulgaire don Juan de la gâchette photographique étant donné que lui comme nous, sommes par nature ici pour évoluer, chercher à nous transformer au moins spirituellement et non pour stagner dans une routine sans issue qui peut, il est vrai, à la longue paraître à certains esprits qui ont la bonne idée de rechercher du nouveau en eux ou dans la vie, être trop répétitive, voire même infernale, ce qui ne se peut !), ce que tout spectateur véritable ou visiteur d’exposition cherche et désir comprendre – ce préposé aux images photographiques aura le cas échéant à éclairer les sujets, comme d’habitude ou en apportant de chez lui, (s’il n’a pas de flash intégré à son appareil de prises de vues), une de ces simples lampes allogènes munie d’une rallonge qui s’achètent un peu partout à des prix souvent très honnêtes et que plus grand monde de nos jours n’a pas la mauvaise idée de ne pas avoir chez soi pour simplifier, le cas échéant, ce genre d’éclairage ou pour son usage domestique.

Il s’agit de l’une de ces lampes que parfois même on trouve dans la rue jetée aux ordures car il s’agit dans ce cas souvent des premiers modèles sans cette grille protectrice qui a été rendue obligatoire sur les modèles successifs qui permet d’éviter ces infectes grillades d’insectes. On le sait, les utilisateurs de ces éclairages sont des personnes qui, de plus en plus, ont généralisées l’usage de la photographie et de la vidéo dans leur famille.

Permettez-moi aussi d’ajouter à ce sujet de vous conseiller de ne pas omettre de dire à cette personne chargée de ce plaisir de réaliser ces images (ou de cette peine, s’il prend la vie au tragique – ce serait bien stupide de sa part car en fait il s’agit d’un cadeau et dans ce cas il vaut mieux trouver quelqu’un d’autre qui sera heureux de cette proposition, si vous aviez la gentillesse de la considérer comme indispensable) qu’il voudra bien demander (pour éviter d’avoir des problèmes avec les personnes chargées du gardiennage et responsables des salles) au préalable au responsable du musée l’autorisation de brancher la prise au bout du fil de cette lampe sur l’une des prises électriques au fur et à mesure de son avancée dans ces salles d’exposition dont les contenus historiques et artistiques accrochés vont l’occuper à ces prises de vues et en veillant si possible à éviter les reflets de lumière dans les œuvres photographiées – si possible sans les verres protecteurs, il vaut mieux, car ce sont eux les responsables de ces reflets et il est conseillé de se faire aider pour cela par des personnes compétentes ou préposées à cela que la direction du musée se chargera d’appeler à l’aide pour ce faire – et en dirigeant éventuellement cette lampe allogène de côté sur l’œuvre d’art mais pas trop proche pour ne pas risquer de la détériorer par la chaleur de la lampe ou celle-ci dirigée vers le plafond pour se servir du plafond peint comme d’une sorte de grand panneau réflecteur qui diffusera à travers l’angle de réflexion cette lumière dans la salle en direction de l’œuvre choisie à enregistrer).

On peut aussi, le cas échéant, confier cette mission à un enfant passionné par la prise de vues photographique, cherchant à se rendre utile et qui sera heureux d’avoir la possibilité de faire une photo de chaque tableau dans une meilleure définition et dans une dimension qui offrira enfin une meilleure lisibilité, mais en la faisant, si possible, avec un appareil à pellicule ou par l’intermédiaire des appareils sans pellicules qui offrent des résolutions numériques vraiment notables en nombre de pixels, permettant d’offrir une fois transférées (il suffit de brancher un cordon sur l’ordinateur sur lequel on travaille au site Internet – il ne faut pas nécessairement avoir le bac pour cela) cette dimension meilleure et plus acceptable (sujet de cette missive, dont vous pourrez trouver par exemple dans les deux modèles choisis ci-dessous, si vous voulez bien cliquer ici ), et cela dans le but d’éventuellement permettre aux chercheurs et aux étudiants de pouvoir se référer, si possible, au cours de leurs recherches et travaux, plus facilement à la reproduction proposée en question, en incluant naturellement le lien Internet vers l’œuvre qui les préoccupe dans leur réflexion et obtenir ainsi la reproduction de ce présent, qui bien qu’il serve déjà par ailleurs sur un autre plan, offre et offrira à travers ce nouvel utilisateur de nouvelles sources de réflexions et de connaissances également pour celui qui a eu la gentillesse d’en faire part au départ. (On voit ici par cela, comme par les innombrables commentaires qui existent déjà sur de nombreux chapitres, qu’Internet offre et offrira véritablement la possibilité d’une démocratisation des savoirs y compris universitaires. Évidemment il s’agit d’une première étape avant de pouvoir disposer peut-être un jour de ces fameux « moteurs de recherches » suffisemment intelligents pour déterminer dans ce flot de pensées, de messages et de textes qui parfois se ressemblent lesquelles seront les plus pertinents, les plus à même dans nos recherches de permettre au lecteur de s’identifier ou de retrouver une réflexion recherchée, de coller à une pensée d’un autre que soi qui est parvenu parfois à matérialiser réellement sur ce miroir du texte ce que le lecteur recherchait à la fois pour sa satisfaction comme pour permettre éventuellement une possible contradiction à partir de cela ou tout simplement d’offrir la possibilité d’adjoindre son opinion en complémentarité pour parfaire la réflexion en cours sur certaines facettes oubliées ou peu travaillées pour des raisons plus ou moins valables.

Pourtant ces outils que sont ces moteurs de recherches posent un problème : celui d’en devenir dans le pire des cas les exclusifs utilisateurs et de ne plus vouloir chercher ailleurs plus traditionnellement ou d’y renoncer étant donné déjà la masse d’informations offertes à compulser sur la toile du Web. En fait c’est bien à l’honnêteté et au sens de la vérité non relative mais absolue des auteurs comme des lecteurs qu’appartiendra ce qu’il faut penser d’un sujet. Évidemment cela dépend des dimensions personnelles des auteurs en question comme des lecteurs, mais ce qui est rassurant de savoir c’est que la lecture des pensées les plus élevées offrent, (à celui qui s’imprégnera de ces pensées et qui parviendra à comprendre celles-ci comme étant siennes ou comme susceptibles de nourrir sa propre réflexion en complémentarité de celles-ci), la possibilité de s’élever pour le lecteur ou l’entendeur – dans le cas des textes qui sont audibles – jusqu’à elles. Hélas ou heureusement les lecteurs comme les auteurs traduisent ce qu’ils sont et leurs préoccupations dans les choix de nourriture spirituelle qu’ils font et les textes qu’ils nous présentent ne comporte pas seulement un intérêt sur le plan spirituel mais nous révèle aussi sur le plan tout simplement alimentaire ce qu’ils sont car chercher la Connaissance véritable commence par savoir choisir ses aliments. Les affinités ou les remarques des uns ou des autres sont le reflet des êtres en question qui recherchent le plus souvent des réponses sur eux-mêmes dans ce qu’ils découvrent et c’est pourquoi beaucoup de personnes hésitent à écrire de peur de se livrer ou de travestir leurs pensées. De plus les individus étant changeant en fonction de leurs états d’âme leurs jugements ne peuvent pas être constants et objectifs. On ne juge hélas qu’en fonction d’un instant et cet instant est le résultat d’une somme d’instants, de l’expérience elle-même de chaque individu, voilà aussi pourquoi les jugements diffèrent les uns des autres car tous sont différents (pour reprendre ici le titre exemplaire de cette exposition au musée de l’Homme «  Tous parents tous différents »). Il n’y a qu’à travers les arts et spécialement le théâtre et le cinéma (et certaines fois la vidéo) qui permettent de voir un problème sous divers aspects et à travers la logique de personnages différents. C’est pourquoi il existe de multiples plans, comme des échelons d’une échelle, qui justifient aussi par ailleurs l’existence de cette échelle de tribunaux différents et complémentaires qui existent heureusement dans la réalité de nos sociétés contemporaines et qui sont aussi en rapport avec le contexte géographique (du local à l’universel en passant par le national, le continental ou le mondial à moins qu’à l’échelle locale on est la chance d’avoir des juges dont le jugement sûr est non seulement lié à la connaissance des règles, coutumes ou lois mais heureusement universel).

Cette extrême facilité que représente l’insertion de l’adresse Internet pas seulement du photographe mais de l’objectif illustratif complémentaire à atteindre lui-même, reliée à ce soulignement qui est traditionnellement en bleu, (sur lequel vous savez que l’on a la possibilité de « cliquer » dessus pour découvrir de quoi il s’agit - à la portée également d’un tout débutant utilisant un traitement texte – comme Word par exemple), permet au lecteur comme au rédacteur, bien sûr, pour les œuvres qu’il aura admirées et qui l’intéressent particulièrement, d’avoir peut-être un jour l’infinie chance et honneur d’être amenés physiquement en présence de l’œuvre elle-même, dans leur parcours intime de vie, en face donc de la réalité de ce cadeau fait pour lui (qui aura été signalé par le rédacteur du texte) souvent plus fécond en virtualités qu’ils n’y paraît, fait pour lui d’un autre temps du monde par un homme, parfois un artiste de surcroît, le plus souvent soucieux de partager amicalement et librement, en tout équité, fraternellement pourrait-on dire (car parfois l’amitié, quand elle est vraie peut avoir avec la fraternité quand celle-ci est aussi vraie) la sensibilité de ce sentiment légitime qu’est l’admiration du Beau, du Vrai auquel lui-même en artiste a finalement réussi à accéder pour parvenir à traduire à sa façon dans ses oeuvres (de la Liberté, de l’Egalité et de la Fraternité en art mais évidemment pas seulement : d’infiniment autres choses encore, en pensant évidemment ici au titre du film de Jean Rouch Liberté, Egalité, Fraternité et puis après…). Victoires individuelles partageables que ces œuvres d’art, pas seulement, mais aussi victoires collectives à travers la permanence de leur existence.

 Evidemment il est inutile de vous dire en détail l’intérêt éventuel que, par ailleurs, cela peut représenter ne serait-ce que touristiquement pour votre ville que toutes ces œuvres qui grâce à ces citations (envisageables nous l’avons dit sous forme de simples liens Internet) de l’ordre du virtuelles (de l’ordre du possible donc) dirigeront tous ceux qui le souhaitera vers ces références que sont ces reproductions d’œuvres d’art (dont les liens Internet vers ces représentations d’œuvres d’art auront, qui plus est, souvent été établis bénévolement au cours par exemple de simples travaux universitaires, - ou - autour de travaux relatifs à la Pensée ou autres travaux destinés à être un jour publiés).

Ces personnes participant ainsi à la propagation de ces images seront entrées en rapport avec ces œuvres en question grâce à « la toile » (un peu comme moi ces jours-ci pour les oeuvres de la ville de Douai) à travers l’intérêt suscité par ces reproductions de bonne qualité (d’où l’importance qu’elles le soient publiées aux bonnes dimensions – raison pour laquelle je vous écris). Ces œuvres auront ainsi plus de chance d’être citées de nouveau et elles le seront d’autant plus de cela effectivement (« cela » : il s’agit des bonnes dimensions des œuvres publiées) par ces individualités avec enfin la possibilité pour les lecteurs de savoir où retrouver dans la réalité et facilement les originaux eux-mêmes, d’autant plus que ces reproductions sont inclues dans ces « dossiers » plus vastes que sont les sites Internet eux-mêmes comme par exemple le site Internet de votre ville qui m’a permis de savoir où se trouvait l’une des œuvres sur laquelle avait porté mon intérêt (le site est en fait un dossier lui-même parmi les autres dossiers qui se trouvent accessibles sur Internet, muni de ses sous-dossiers qui comportent parfois des sous-sous dossiers – et quelques fois d’autres dossiers encore - dans lesquels figurent ces fichiers que sont ces pages (pour cette dernière réflexion, je n’ai rien inventé car elle est issue de la constatation toute simple de ce qui se passe réellement lorsqu’on publie ou met à jour son site grâce à un logiciel comme celui de par exemple de Filezila - il est gratuit - chez le fournisseur d’accès qui est souvent aussi capable de vous proposer l’hébergement de votre site : le site est en réalité suivant la taille comme un plus ou moins grand dossier numérique muni de sous parties dossiers et à l’intérieur de ces fichiers textes, images, et sons, etc… en fait de façon semblable à ce qui se passe d’habitude, en réalité, sur le disque dur lui-même d’un simple ordinateur comme par exemple dans le dossier « mes documents » lié à Windows où nous ordonnons – rangeons - nos différents fichiers, nos images, nos sons etc.. dans un ou plusieurs dossiers reliés quelques fois les uns vers les autres, précisément grâce à ces liens appliqués aux endroits où nous le souhaitons – je ne vous apprends donc certainement rien ici et je vous prie de m’excuser de vous prendre de votre temps en enfonçant des portes ouvertes pour vous et en résumant de la sorte ce que vous savez par ailleurs !).

Les lecteurs de ces pages Internet – à ce propos vous me permettrez, s’il vous plaît, la petite réflexion suivante qui interrompt du coup, ici, ce début de phrase, en ouvrant (ce que vous aurez compris très certainement à la lecture de ce courrierIn, j’affectionne particulièrement souvent de faire et qui me semble indispensable pour essayer de traduire au mieux une pensée comme la mienne par écrit – je vous remercie d’ailleurs d’avance de votre généreuse patience à avoir cherché à me comprendre ici au cours d’une lecture qui, souvent entrecoupée, pourrait peut-être être plus difficile et moins claire sans ces nombreuses parenthèses, car cela évite aussi du coup d’écrire de nombreuses notices[1] : que parfois certaines personnes évitent même de lire et qui sont néanmoins fécondes). Ici il s’agit donc d’une nouvelle parenthèse qui découle de ce  début de paragraphe ci-dessus, car j’ai cette pensée, au sujet de ce qui va suivre, sur le cœur depuis longtemps et je profite de l’occasion que vous me donnez pour vous en faire part : il est absolument incompréhensible que les premières versions du livre numérique n’est pas marché commercialement parlant comme un certain nombre de personnes de mauvaise foi cherchent à le faire croire.

De mon côté, je ne crois pas que cela n’est pas d’avenir, tout au contraire : ceux qui affirment cela ou le croient sont des imposteurs, des saboteurs, ou plutôt des ignorants, c'est-à-dire des gens qui ne savent pas penser ou réfléchir par eux-mêmes ou même qui peuvent avoir peur éventuellement pour leur fond de commerce éditorial conforme à ce qu’il a été d’usage de faire, voire même de façon industrielle ou de façon artisanale (c’est ici en effet totalement stupide qu’ils se soient érigés contre la propagation du « livre électronique » en remettant au goût du jour ces peurs archaïques habituelles qui apparaissent toujours les mêmes dans des circonstances semblables (il s’agit des mêmes peurs qui pour la plupart des nouveautés réapparaissent et font exprimer les hommes peureux, en menteurs, propagent toutes sortes de calomnies ou de contre-vérités en réalité sans en avoir conscience contre eux-mêmes et cela d’autant plus en l’occurrence que l’Histoire de l’édition sur papier a toujours évolué naturellement avec le temps et les techniques ou technologies vers des perfectionnement successifs amenant progressivement précisément à l’existence du livre électronique qui permet au lecteur par ailleurs d’adjoindre directement au moment de sa lecture des textes par ce biais des commentaires écrits mais bientôt oraux et/ou même vidéos un jour. Il semble que ce soit des personnes qui n’ont pas eu la patience d’essayer ou même d’avoir été bien informées. En tout cas elles sont de mauvaise foi d’autant plus qu’elles utilisent des ordinateurs pour écrire. Car pour faire comprendre l’intérêt de ce concept éditorial du « livre électronique » mais aussi économique, il faut savoir bien en parler et trouver les bons arguments. Ceux-ci sont évidents et extrêmement aisés à comprendre et à partager, d’une simplicité et d’une logique enfantine ne serait-ce que simplement parce que nous lisons déjà quotidiennement nos propres messages électroniques grâce à ces « courrierIns » (variante d’e.mail ici, pour « courriers Internet ») comme celui que je vous adresse, Monsieur le Maire de Douai, (et dont j’enverrai copie si possible aux différents ministres concernés par ces réflexions qui j’espère se chargeront de les répandre s’ils les jugent utiles et s’ils ont le temps de me lire) sur un ordinateur qui fait alors déjà office de livre électronique à l’instant où nous lisons ces messages ou même lorsque nous composons notre texte pour répondre à ces messages.

Certains d’entre nous ont eu la bonne idée, pour éviter en lisant d’être trop longtemps embêtés (avec le logiciel Word dont ils se servent lié parfois par défaut, comme sur mon ordinateur, au logiciel de messagerie que j’utilise) en permanence par ce blanc de fond de page quelques fois jugé trop lumineux, (bien qu’on puisse régler l’écran pour baisser cette luminosité), derrière les caractères généralement noirs utilisés pour écrire ces textes, (ce qui effectivement peut être à la longue un peu gênant pour certains (notemment pour ceux d’entre nous qui doivent lire des milliers de pages), de s’arranger pour, en deux clics rapides seulement, mettre les caractères du texte en blanc ou en plus clair sur « arrière-fond » plus sombre en utilisant pour cela une des couleurs d’ « arrière plan » pour les détacher et lire ces caractères (c’est hyper simple à faire, on va dans le « menu » de Word sur « Format » et on clique sur « arrière plan » pour choisir la couleur de celui-ci : lorsqu’on choisi la couleur « bleue », les caractères du texte se mettent automatiquement en blanc sur le fond bleu) ce qui repose naturellement leurs yeux durant ces lectures ou même ces rédactions de texte (à ce sujet, il est à déplorer que l’on n’arrive pas à envoyer pour l’instant ces textes ainsi pourvus de fonds de couleurs et écrits en lettres blanches car cela ferait gagner le temps de ces deux clics pour celui qui reçoit ces messages car il se doit à l’heure actuelle encore de mettre en route pour chaque message cette petite transformation de la présentation du message, en changeant à chaque fois le fond du message qui arrive en général blanc et la couleur des caractères du message pour faciliter sa propre lecture et reposer ses yeux ! Le mieux serait de disposer d’un petit logiciel qui pour tous les messages « entrants » fait automatiquement ce tout petit travail qui consiste à modifier pour le lecteur la couleur d’« arrière plan » et la couleur des caractères lors de l’affichage du message dans le logiciel de messagerie utilisé) en cela un peu à la façon des ouvrages de Franco Maria Ricci (FMR) dont les textes et les reproductions sont le plus souvent blancs sur fond noir.

Il est honnête de constater que ce sont bien les unes après les autres des pages d’une sorte d’Encyclopédie numériques gigantesque (de plus parfois même audio-visuelle) que nous avons déjà et aurons la chance incommensurable de continuer à consulter en surfant tout simplement sur le Web ! Il s’agit donc de façon permanente d’une forme primitive du livre électronique de l’avenir que les ordinateurs actuels que nous avons le bonheur d’utiliser qui s’appellent d’ailleurs parfois même lorsqu’ils sont portables des « book(s)» ! Je suis persuadé que le livre numérique a plus que des chances d’être utile dans l’Avenir, notemment pour tous ces hommes et ces femmes qui d’ors et déjà écrivent ou communiquent grâce à Internet comme j’essaie parfois de le faire. Dire le contraire en disant que le « livre électronique » n’a pas d’avenir c’est affirmer que l’on ne sait pas réfléchir, qu’on est des inconscients de ce que l’on fait plus ou moins bien en permanence : en lisant déjà sur ces sortes de livres électroniques que sont nos écrans d’ordinateurs une bonne partie de la journée (je suis personnellement un fervent lecteur du journal Le monde dans son édition électronique et je trouve cela beaucoup plus pratique à lire ainsi que la version du journal papier). Il y a d’ailleurs des logiciels comme Acrobat Reader – il s’agit d’un « logiciel lecteur » ou d’un « logiciel de lecture » - qui s’ouvrent automatiquement pour que nous nous permettre de lire des pages trouvées sur Internet éditées sur de nombreux sujets différents avec le format de texte que ce logiciel exige ! - découvriront comme ceux qui s’y sont référés ces reproductions et le lieu où ils pourront éventuellement avoir un jour la chance de les admirer en chair et en os (si j’ose dire pour parler des œuvres elles-mêmes) à l’abris.

Il s’agit en réalité, grâce à ces liens Internet, de directions proposées dans/pour ces publications personnelles (qui seront peut-être un jour éventuellement accessibles sur Internet d’autant plus que les étudiants les auront rédigées avec l’aide d’un traitement texte et qu’ils disposent de ce fichier sur disquette ou sur d’autres supports d’enregistrement ce qui offre par conséquence intrinsèquement d’autre plan que le seul plan universitaire), vers des objectifs précis qui rejailliront éventuellement sur la ville (comme celle dont vous avez la responsabilité administrative et qui dans le cas de Douai a été dotée de cette Université célèbre), cela représente un attrait touristique supplémentaire grâce à ce lien Internet et bien sûr le lecteur cherchera naturellement peut-être à en savoir plus corollairement ou en cliquant pour par exemple découvrir le tableau dans un format plus à même de nous éclairer réellement sur le compte tenu de l’œuvre en question dans le travail universitaire. (Cela n’empêche évidemment nullement que sur place dans la boutique du Musée ou par Internet on puisse acquérir les reproductions commerciales de celles-ci (comme dans ce cas exemplaire lié à ce lien Internet – cliquez ici pour découvrir cela) cartes postales, catalogue, dvd, etc – que vous pourriez d’ailleurs proposer sur votre site pour ceux qui recherchent de bonnes reproductions de ces œuvres si vous avez pensé à les faire imprimer dans une définition de meilleure qualité pour la diffusion de leur existence celles-ci sont complémentaires aux reproductions proposées et qui sont celles qui en réalité seront les références pour leur achat éventuels et pour ceux qui disposent de revenus suffisants pour se permettre ces dépenses supplémentaires car ce n’est pas parce qu’on dispose de la possibilité d’avoir une reproduction à imprimer de chez soi, grâce à l’une de ces imprimantes géniales, et de plus en couleur, que l’on ne va pas acheter éventuellement sur place ou même commander par le biais d’Internet d’autres genre de reproductions ou l’un ou l’autre ou même plusieurs de ces merveilleux « récipients » de savoirs que sont les ouvrages proposés ou accompagnant les expositions avec pour contenu ces autres reproductions réalisées à des fins plus éditoriales pour d’autres nobles résultats : les livres.

Vous le savez, monsieur le Maire, il ne faut jamais voir une alternative aussi géniale que peut devenir ou être Internet comme une menace de disparition d’autres médiums (moyens) mais comme une complémentarité d’autant que les définitions des reproductions que les internautes peuvent s’offrir sont toujours liées en général au fichier dans lequel se trouve la dimension de la photo publiée qui est lié à l’affichage des écrans limités pour l’instant à la définition de 72 dpi (pixels), ce qui par conséquent n’offre pas de bien grandes possibilités d’impressions privées par le biais de ces imprimantes admirables qui, vous le savez, pour être de bonne qualité sont beaucoup plus gourmandes en définition liées aux nombres de pixels. Ces images Internet sont en réalité de bonnes reproductions pour être perçues sur écran. Elles sont de bonnes publicités pour parler de ce à quoi elles se réfèrent.

Seules les choses qui ne sont pas indispensables ou vraiment utiles ou nobles risquent de disparaître d’elles-mêmes et il ne faut pas s’en attrister mais plutôt s’en réjouir (évidemment nous parlons ici que d’objets ou reproductions mais il se pourrait que cette idée s’applique aussi pour d’autres choses…) si je dis cela, c’est, si vous me permettez, en mémoire d’un excellent film dont je ne me souviens hélas pas du titre dans lequel l’immenssissime Mastroianni joue le rôle d’un homme impuissant face à sa femme récemment épousée qui il me semble joué par la très jolie Claudia Cardinale dans une Italie du sud hélas esclaves de préjugés très nombreux dont certains sont particulièrement détestables).

Hélas, dans le cas du site Internet de Douai que j’ai visité avant-hier jeudi 16 février 2006, lorsqu’on clique pour l’instant sur l’une de ces miniatures pour les rendre visibles, elles apparaissent en suite dans un format très décevant pour le profane comme pour l’amateur éclairé et encore plus pour le spécialiste.

Donc il s’agit en fait d’une faible qualité de reproduction qui ne fait aucunement honneur aux œuvres ni aux artistes qui les ont produites et par conséquent qui pourrait à la longue (car le sens de l’Histoire, heureusement, va dans le sens d’une démocratisation de la qualité) desservir votre ville qui ne donne pas ainsi l’impression, du moins sur Internet, d’être capable d’offrir le meilleur et/car surtout à cause de cela, on n’arrive pas à voir la plupart des détails des œuvres en question pour les étudier le cas échéant.

Ces oeuvres dont, permettez-moi de vous le rappeler, les supports originaux (les toiles elles-mêmes) ont permis, grâce à leur dimension de départ, souvent plus importantes que d’autres (…supports plus réduits donc), aux artistes d’élaborer des œuvres contenant de multiples sujets différents, de multiples plans comme l’atteste notemment le contenu de l’un de ces admirables polyptiques (ou retables) qu’offre votre musée dont j’ignorais, à ma grande surprise, l’existence (à ce sujet, sur des œuvres aussi fournies en détails, il serait opportun de les décomposer en plusieurs photographies de dimensions comparables (par exemple à celles que j’ai utilisées pour les reproductions de mes propres œuvres peintes ou infographiques sur le site qui m’est consacré – voir s’il vous plaît le lien plus haut - ou à celles que je cite en exemple plus bas sur le site exemplaire de la Tate gallery de Londres) et cela d’autant plus que les œuvres que vous avez eu la gentillesse et l’intelligence de choisir ont été réalisées sur plusieurs panneaux – d’où la nécessité d’en faire part d’une façon la plus respectueuse possible et de la plus reconnaissante des manières, même si, bien sûr, vous avez eu raison de montrer la totalité de l’œuvre par ce « plan d’ensemble » qui est indispensable – mais trop petit, je l’ai déjà dit - et qui n’a pas été achevé d’une façon satisfaisante infographiquement – c’est un bien grand mot ici pour cette tâche qui est en réalité un plaisir à réalisée et dont je me propose d’accomplir, en l’occurrence par égard pour l’immense maître Bellegambe, une première correction des quelques points de détails en question – je propose ci-dessous deux variantes visibles de la même image : en effet le logiciel de traitement photographique offre la toute simple possibilité d’éviter de montrer le fond du mur sur lequel était accroché le tableau qui apparaît, vous le verrez, de façon agressif ici, compte tenu de la différence extrême avec le noir du fond plus général, (qui à la façon des œuvres d’art présentées par le grand éditeur italien Franco Maria Ricci (F. M. R.) a été choisi par contre, lui, judicieusement par le concepteur du site pour soulager notre vision de tout ce blanc); ces deux carrés blancs et ce rectangle blanc – même si, sur un autre plan, ils peuvent être considérés un clin d’œil involontaire à ce mouvement important en art que l’on a appelé le constructivisme russe dont il n’est évidemment aucunement question ici pour ce plan d’ensemble de cette reproduction d’autant plus qu’il s’agit d’un polyptique et que ce retable devrait justement ne pas être là du tout pour que l’on comprenne en quoi ces carrés et ce rectangle font effectivement référence à ce mouvement Malevitchien - qui par la lumière blanche qui les traverse heureusement légèrement risque de gêner le regard du visiteur de ce genre de page Internet et le sentiment de l’Harmonie ou de l’Esthétique de la page elle-même car ils nuisent à l’ensemble de l’œuvre elle-même reproduite à cet endroit et empêchent une lecture plus claire de l’œuvre offerte (cela pour des raisons évidemment optiques : il se pourrait que la simple élimination de ces parties blanches permettent déjà de rendre moins flou le contenu du tableau lui-même. En effet c’est à la portée d’un enfant qui sait découper aux ciseaux en suivant les contours géométriques que d’avoir à éliminer ces parties blanches trop lumineuses et vous le savez sans doute c’est encore plus facile avec un logiciel conçu à cet effet – genre Photoshop - dont il faut malgré tout avoir un peu compris le principe, ce qui est très facile, car le mode d’emploi est très bien fait – pour abstraire ces fonds qui nuisent par trop de clarté à l’oeuvre que l’on a souhaité voir reproduite en général, ailleurs détourée pour bien faire, car l’outil « loupe » permet d’agrandir l’image pour découper au pixel près et retirer ces parties de l’image inesthétique avec l’aide de l’outil « baguette magique » (affichée pour cela une tolérance de 20 à 32, c’est conseillée) par exemple ou par exemple encore suivant d’autres méthodes à notre disposition, comme celle de l’outil « recadrage » ou d’une autre façon encore :

(ces outils qui sont aussi ces merveilleux cadeaux qui sont inclus dans ces logiciels de traitement d’image – il suffit pour cela de cliquer simplement sur l’icône qui représente la « loupe » d’entant dessus, l’outil « recadrage » ou l’outil « baguette magique » - et il suffit de lire le mode d’emploi pour comprendre si on arrive pas de soi-même à les reconnaître dans la palette d’outil à notre disposition, une fois ouvert le logiciel). Ces parties qui concernent le fond peuvent être aussi coloriées de sombre quand on les a isolées extrêmement facilement avec l’un ou l’autre de ces gadgets appelés outils – car ils le sont vraiment - qui permettent de les colorier ainsi, soit dans la couleur du fond plus général, choisie pour toute la page (noire dans le cas du site de Douai), ou dans une autre des couleurs sombres que l’on peut, le cas échéant retrouver et emprunter au tableau lui-même et que l’on sélectionne alors facilement avec l’outil « pipette » et cela si l’on souhaite, malgré tout, montrer l’existence de ces pans de mur d’une couleur autre que le fond de la page, pour ces parties hors de l’encadrement de la reproduction de l’œuvre choisie et reproduite comme ci-dessous) ;

 Ces hommes (les peintres dont je parle plus haut) ayant fait intervenir leur merveilleuses facultés et concentrations artistiques ou imaginatives pour réfléchir et élaborer le plus honnêtement du monde, en se confrontant avec la matière, ces enseignements qui sont aussi ces présents conservés et dont nous avons collectivement hérité. Evidemment il s’agit dans ces cas ci-dessus d’œuvre de grand format pour lesquelles ils ont élaboré de très multiples détails autour d’un sujet qui se démarque par conséquent de tout simples portraits ou plus simples élaboration picturales comme le plus souvent l’exige l’art du « portrait » (du genre de celui peint plus bas par l’immenssissime Füssli que vous découvrirez peut-être, s’il vous plaît), par exemple, qui, il est vrai, dans certains autres cas que celui-ci, ne demande pas, du moins à première vue, de façon ontologique autant de surface d’agrandissement pour sa reproduction y compris sur une page d’Internet que la taille elle-même de la miniature envisagée et mise par le concepteur de ce site britannique – ci-dessous - ce que nous pourrions malgré tout souhaiter ou espérer comme lui voir généraliser puisqu’il nous propose, malgré le confort visuel de la taille de la miniature choisie pour ce portrait, une fois cliqué, une plus ample reproduction par égard pour le peintre. Effectivement l’art du portrait comporte, il est vrai, suivant les peintres, l’exigence d’un travail minutieux et on comprend que ce ne soit que pour les portraits qui effectivement comportent ce soucis du détail qu’une dimension plus importante de reproduction Internet ou ailleurs semble nécessaire, souhaitable ou même de rigueur, à moins que la qualité des touches ne l’exige aussi.

Pourtant à ce sujet très simple (et préoccupation que j’espère certainement commune) de la question de la reproduction Internet de « portraits » peints ou photographiés, dont les droits de reproduction appartiennent au domaine public, (c'est-à-dire d’une certaine façon au patrimoine commun, même si certaines des œuvres reproduites n’ont pas encore le « label » ou eu le droit de porter l’appellation contrôlée par l’U.N.E. S.C.O. qui est seule habilitée à le faire pour l’instant, il me semble, en fonction de critères dont cette très estimable institution a le secret et en consultant pour cela de très nombreux savants), permettez-moi, s’il vous plaît, de vous envoyer ne serait-ce que ces deux petits liens Internet ci-dessous que j’ai déjà évoqués plus haut qui vous porteront, si vous le voulez bien, vers les pages réalisées en question avec beaucoup de soin, celui qu’elles méritaient d’ailleurs d’avoir, par les membres de cette autre institution non moins prestigieuse qu’est la Tate, qui est, vous le savez, sous la responsabilité de nos voisins de Londres, de cette région britannique très européenne toute proche d’autant plus qu’Internet nous invite et encourage à y aller, bien que la monnaie là-bas tarde de façon insupportable à devenir l’Euro (mais on peut le comprendre car ces voisins ont le soucis de la qualité et ne veulent pas prendre le risque de se mêler à des gens sans qualité).

Ces pages auxquelles je vous renvoie pourraient inspirer, le cas échéant, de façon exemplaires le responsable du site Internet de votre ville de Douai et/du musée qui vous a fourni les clichés (si ce n’est pas vous-même qui comme moi-même vous amusez à vos moments perdus à vous occuper de l’élaboration du site Internet de votre ville. Dans ce cas je vous prie de m’excuser de m’être permis de vous faire personnellement ces petites remontrances et recommandations – la ville sur Internet dont je m’occupe étant dans mon cas très modestement et de façon très amateur et en extrapolant, bien sûr ici, ma propre personne elle-même assez complexe, si vous me permettez ce trait d’esprit, sans chercher ici à me vanter nullement, et en sachant à quel point celle-ci est particulièrement difficile à explorer, à traduire ou à retranscrire – mais il m’a semblé que cela était dans les attributions de certains maires que d’avoir à y veiller ou à le réaliser car c’est plus qu’un cadeau merveilleux que d’avoir cette possibilité de réaliser et mettre à jour soi-même un site Internet où notre nom peut figurer, lié lui-même à une adresse Internet où nous joindre, d’autant plus que c’est d’une facilité d’enfant de C.E.2. (10ème) et que vous et moi sommes conscients du progrès que cela représente parce que nous avons connu l’époque où Internet n’existait pas – et dire qu’il y en a qui osent prétendre que cela peut être une « peine » et même qu’il y en a qui se font payer pour cela ! Si cela l’était une « peine », personne n’aurait eu ce plaisir à faire tous ces sites ou ces « blogs » que nous trouvons en ce moment !)

Voici donc les deux liens que je vous propose d’aller visiter pour vous inspirer et développer, le cas échéant, dans votre ville de Douai l’amélioration à le mesure de vos espérances communicatives et touristiques de votre site Internet :

1) http://www.tate.org.uk/britain/exhibitions/gothicnightmares/cast/ (cliquer ici pour revenir à ce qui se référait à ces liens dans ce courrierIn)

2) http://www.tate.org.uk/britain/exhibitions/gothicnightmares/cast/fuseli_large.htm#img.

Vous remarquerez la taille des reproductions offertes après avoir cliqué sur les miniatures liées à ces pages ci-dessus, de même que peut-être vous avez eu la curiosité de le faire pour mon propre site dont je me suis permis plus haut de vous mettre un lien (non pas pour me citer en exemple personnellement car j’ai hésité à trouver bonne l’idée de citer ce site qui me concerne, mais pour montrer ce que la technique peut offrir et aussi car j’ai trouvé une confirmation de ce que j’avais alors cru bon de faire en amateur sur ces deux pages de la Tate – ci-dessus - une confirmation donc de ma justesse de vue pour offrir la bonne dimension des reproductions de départ ayant permis de faire ces miniatures photographiques et que l’on retrouve par la suite en accédant à ces pages ce qui permet de cliquer dessus pour faire apparaître ces cadeaux supplémentaires que sont ces reproductions agrandies de ces miniatures liées à ces images agrandies (dimension des miniatures dont on peut demander une dimension standard au logiciel ou différente en fonction des sujets). Oui, ces images de départ réapparaissent après avoir cliqué sur la miniature à la dimension choisie en nous offrant alors la révélation de l’existence de ce merveilleux bonus que peuvent souvent représenter suivant les sujets ces images à découvrir. Une dite « fenêtre » s’ouvre avec la reproduction agrandie qui est du coup lisible et dont la dimension de l’image a été prévue pour des écrans de plus grandes dimensions, même à l’époque où j’ai placé ces images sur mon site et où ces écrans étaient encore assez rares ou destinés aux seuls happy few ou personnes extrêmement fortunées. (Si effectivement il est louable de penser à ceux qui ne disposent pas encore d’un confort d’écran et de proposer le cas échéant des reproductions comme les vôtres pour ces écrans de petites dimensions, permettez-moi de vous suggérer de ne pas omettre d’oublier, (en attendant qu’un logiciel offre peut-être un jour la possibilité en consultant les reproductions sur Internet de permettre en cliquant sur l’image+roulette de la « souris » (cette dernière servant de zoom) d’agrandir ou de réduire à souhait l’image reproduite dans une autre fenêtre complémentaire en modifiant  la taille de vision par ce zoom variable - cela existe déjà  sur certains sites consacrés spécialement à des œuvres d’art – le site du Louvre il me semble - ou à des musées, mais cela contraint à fabriquer tout le site au départ dans un format standard assez réduit et d’une façon il me semble moins libre que celle à laquelle je pense ici où nous pourrions, (en utilisant les mêmes logiciels archi-simples habituels de construction de site comme Frontpage (pour PC) par exemple), adjoindre cette faculté au départ pour nous permettre à l’arrivée (à partir des logiciels de « navigation Internet » que nous utilisons couremment  - genre Explorer) de « zoomer » sur ces images directement dans la fenêtre elle-même ou sur une autre apparaissant rapidement comme on en a déjà l’habitude, la surprise et parfois le bonheur, sans avoir à copier la photo de la page du site Internet visitée en ayant à ouvrir un autre logiciel pour cela du genre photoshop par exemple, pour pouvoir, en agrandissant cette image avec ce logiciel spécialisé la découvrir un peu mieux.

D’autre part il est à souligner, comme ébauché déjà plus haut en passant, que si vous voulez que vos photos soient bien reproduites sur votre site Internet, vous devez les avoir au départ enregistrées ou scannées avec le maximum de définition (même si cela prend un peu plus de place et du temps que de le faire et que cela pourrait, dans certains cas vous obliger à graver un cd-rom (ce qui est archi-facile et très plaisant à faire) car ensuite, au moment de la réduction à la définition de cette image à 72 dpi pour que l’image figure au moins d’une façon correcte sur l’écran (avec cette définition qui est celle en général conseillée pour une lisibilité correcte des reproductions d’images sur écrans – cela ne sert donc pas à grand chose de reproduire une image avec moins de définition que 72 dpi, sauf quand ce ne sont pas des images bien importantes et qu’il s’agit de donner une idée par une image d’une chose trop complexe à décrire et qu’on ne cherche pas spécialement la qualité pour cela) et même au moment de la compression (ce qui est conseillé si vous utilisez cette facilité supplémentaire pour gagner de la place pour développer plus amplement à l’avenir votre site à l’aide de logiciels faciles d’emplois) il est absolument préférable pour disposer de la meilleure reproduction possible d’avoir enregistré celle-ci avec le plus de définition possible (et cela d’autant plus que les photos pourraient un jour servir à autre chose dont nous n’avons pas encore idée – il est donc souhaitable de les conserver avec leur maximum de définition). C’est pour cela qu’il y a des images plus claires que d’autres sur Internet et c’est dommage que l’on n’offre pas pour cet outil à usage commun et maintenant indispensable pour de nombreuses personnes qu’est Internet le meilleur pour des raisons qui ne sont même pas d’ordre financières mais pratiques – la différence de prix est peu importante et compte tenu de la pérennité visée cela en vaut bien sûr la dépense - mais qui relèvent souvent de l’ignorance du technicien ou du trop peu d’expérience) à tous ceux qui, soucieux du confort visuel et de l’intelligence des Internautes, investissent financièrement dans ce qu’il y a de mieux (ils sont parfois et souvent à l’origine dans leurs travaux individuels de très nombreux progrès, parfois même et souvent dans d’autres disciplines que celles évoquées par les sites visités qu’ils découvrent aussi de façon non professionnel à travers leurs loisirs) et qui méritent en conséquence le mieux possibles car ce sont évidemment des personnes de qualité.

J’espère que vous apprécierez ces idées et que certains détails de ce « courrierIn » vous seront peut-être utiles.

Veuillez agréer, Monsieur le Maire, mes respectueuses salutations.

Laury Granier

Lorimage


[1] (« notes de bas de page » puisque c’est ainsi que le logiciel Word les a désignées notemment dans le « menu » du logiciel en nous permettant de les faire apparaître à travers le chemin que nous suivons avec les diverses possibilités de la souris « Insertion » suivi de « Référence » - si je le marque ici, c’est que j’ai moi-même eu quelques difficultés, à chaque fois, pour retrouver de quelle façon faire apparaître la possibilité d’accéder à ces dites « notices de bas de page », vierges qu’elles sont de tout texte dans l’encadré prévu à cet effet. Il s’agit de celui où l’on cherche parfois à inscrire, en référence à un instant du texte principal, comme ici, grâce à l’apparition de ce petit chiffre placé en « exposant » au moment opportun, des précisions. Elles apparaîtront au moment souhaité par le lecteur à la suite de ce même chiffre situé dans cet encadrement dénommé pour l’instant « Notes de bas de page » (à ce propos de chiffres cela peut-être aussi un système de signes autres que ces « chiffres » auxquels nous sommes accoutumés ou les « symboles » proposés pour le moment et on peut imaginer que par la suite - dans les versions prochaines de Word - il nous soit donné de disposer de bibliothèques d’ensembles de petits dessins comme par exemple d’anciens « pochoirs » scannés et réduits fortement, de signes typographiques anciens comme des traces de poinçons utilisés autrefois dans la reliure pour l’ornementation, ou des groupes de petits dessins ou un ensemble cohérent - ou au pire même incohérents, abstraits - de signes réduits dans cette optique qui pourraient offrir ainsi une variante à cette habitude contractée des chiffres en guise de signes pour nous amener vers la découverte du contenu de ces notices. On peut aussi imaginer avoir pour cet effet des idéogrammes ou des lettres d’alphabets utilisés dans des langues différentes de l’alphabet occidental).

Grâce au merveilleux Word 2003 ces nouvelles possibilités feraient apparaître, en les choisissant dans la petite fenêtre apparaissant après avoir cliqué sur l’expression « notices à créer », l’encadrement de bas de page où l’on se permet, comme ici, d’offrir éventuellement un contenu adjacent supplémentaire dans l’élaboration de ces dites ‘notices’, quand celles-ci s’avèrent vraiment utiles et informatives notemment dans la cas présent qui nous préoccupe : celui d’avoir à se référer sur Internet à une reproduction photographique de bonne dimension.

« By the way », il me semble que ce n’est pas juste que le mot de « référence » soit au singulier dans le menu « Insertion » de la version française de Word 2003, car ce qu’il offre après avoir cliqué dessus ce sont quatre possibilités et non une seule, dont celle qui nous occupe ici : cette possibilité précisément souvent recherchée en perdant actuellement, dans cette version du logiciel, un peu de temps pour cela de nous permettre d’établir ces « notes de bas de page » ou notices.

Il aurait mieux valu aussi que ce mot de « notices », (auquel de nombreuses personnes y compris les universitaires font très souvent appel pour diverses raisons), figure dans le menu « Insertion » d’une façon plus évidente pour l’usager. Il me semble donc qu’il y a sur ce point à parfaire un peu la présentation de ces possibilités en empruntant malgré cela, effectivement, la voie proposée (actuellement par le menu « Insertion » - ce qui est juste) mais en dégageant tout de suite, après avoir cliqué sur le mot « Insertion », de façon autonome et bien visibles, claires, ces possibilités de « Notes en bas de page », « Table et index » ou de « Commentaire » auxquels on a plus souvent recours,du moins universitairement, qu’aux possibilités liées au mot de « Légende » ou à celui de « Renvoi » qui apparaissent aussi, pour l’instant, après avoir pointé ou désigné le mot de « Référence » après avoir cliqué sur le mot « Insertion ».

Hélas, ce mot n’est pas, pour le moment, suffisamment clair en soi pour que l’on comprenne qu’il s’agit des possibilités d’adjoindre des « Références » du type de celles aussi utiles de ces « notices de bas de page » que nous cherchons à réaliser bien qu’effectivement leur élaboration renvoie à l’idée d’une « Référence » ou de « Référents », mais comme ce n’est pas évident d’emblé, à première vue, en lisant ce terme, il est nécessaire de « se creuser un peu la cervelle » pour comprendre qu’on a une chance de trouver cette possibilité en pointant la souris sur ce mot de « Référence » et parfois la différence d’état intellectuel auquel cela fait appel (entre le fait que l’on est soucieux du contenu à venir de la « notice »), nous oblige à perdre nos moyens face à la technologie : nous savons que cela se trouve dans la liste qui surgira de notre ‘clique’ sur le mot « Insertion » mais du coup, nous perdons du temps pour parvenir à retrouver dans les possibilités offertes le lieu ou l’inscription « notices de bas de pages », de façon à parvenir à faire apparaître cette possibilité pour disposer de l’encadrement vierge des « notices de bas de page ». Le mieux serait de voir apparaître tout de suite cette offre sous le mot de « Références » lui-même qui resterait éventuellement inscrit, si l’on tient à l’y laisser, comme une sorte de petit titre pour la déclinaison des diverses possibilités, qui apparaissent dans un petit encadrement adjacent en pointant dessus dans cette version du logiciel (qui ne dispose pas encore, il me semble, de cette autre possibilité auquel j’ai pensé plusieurs lignes au-dessus de « commentaire » qu’on pourrait y adjoindre) et qui hélas, pour l’instant, n’apparaissent que si l’on déplace le curseur sur ce mot ou si on sait qu’elles se trouvent liées à ce mot de « référence » qui, placé ainsi tout seul, suivi de ce petit triangle noir indicatif en guise de petite flèche, n’indique pas, ni n’augure pas forcément, de les y voir apparaître pour les y trouver ainsi que cette très recherchée et fameuses possibilité d’établir des « notices en bas de pages » que l’on cherche à créer.

Peut-être pourrions-nous en fait, pour simplifier, lorsqu’on clique sur le mot d’« Insertion », voir apparaître la liste actuelle des possibilités offertes, mais augmentée des encadrements pour l’instant liés aux mots suivis d’un petit triangle du type de celui décrit ci-dessus. L’usager aurait pour ces trois déclinaisons latérales encadrées (n’apparaissant pour l’instant qu’après pointage et qui sont dans le cas présent - du clic sur le mot « Insertion » du « menu » on le sait, dans cette version du logiciel Word 2003 -  respectivement liées aux mots des différentes lignes : « Insertion automatique », « Référence » et « Image » pour lesquels trois encadrements différents apparaissent latéralement munis de diverses autres possibilités), la possibilité d’en disposer à l’intérieur de la liste principale elle-même.

Autrement dit cette alternative est possible puisqu’il reste au moins la moitié de l’écran au-dessous de la liste elle-même apparaissant après avoir cliqué sur le mot d’ « Insertion ».

L’usager pourrait pour cela, à travers une « option de choix » à sa disposition par exemple comme actuellement dans le « menu » « Outils », s’offrir la possibilité de ce choix de présentation pour récapituler ou ordonner la présentation de ces petits encadrements latéraux à l’intérieur ou latéralement de la première liste : possibilité donc de privilégier et de faire apparaître dans l’encadrement principal (le premier : l’une de ces listes liées aux différents mots du « Menu ») l’un ou l’autre ou même plusieurs de ces petits encadrements latéraux, un peu à la façon d’une liste extensible du genre de celle que nous trouvons après avoir cliqué sur le mot de « démarrer » dans Windows et après avoir pointé sur la proposition « tous les programmes » : lorsqu’il y a plus de programmes que ceux qui sont possibles d’être listés dans cet encadrement contenant la liste des programmes contenue dans la hauteur de l’écran en pointant au bas de l’écran sur une flèche triangulaire noire, la pointe en bas, cela permet de faire défiler la liste en faisant apparaître d’autres mots interactifs peu à peu placés les uns sous les autres, ligne après lignes : programme à la disposition, possibilités offertes de petits travaux simplifiés par des logiciels conçus à cet effet pour nous aider ou nous assister. Cette suite de programmes apparaît en pointant sur un triangle du même type situé au sommet de l’écran, la pointe vers le haut et cela permet de remonter dans la liste si d’aventure nous avons manqué au cours du déroulement de la liste vers le bas le nom propre désignant un programme à notre disposition dans cette liste sur lequel nous aurions pu cliquer.

Pourquoi ne pas, pour ces différents mots interactifs liés au « menu » de Word, nous offrir la possibilité de faire dérouler de la même façon ou de voir apparaître avec cette liste, en même temps donc, l’un ou l’autre des encadrements co-latéraux dont on souhaite pour des raisons d’utilité personnelle, l’apparition et ce qui faciliterait le pointage de la souris ou le futur clic puisque nous n’aurions pas à chercher le chemin pour arriver au mot interactif souhaité.

Dans le cas du mot « Insertion » qu’offre ces trois petits encadrements co-latéraux à visiter pour trouver la fonction recherchée (ce mot interactif souhaité) pourquoi ne pas les voir apparaître ces trois encadrements dans l’écran reliés à l’existence des mots de départ. Ce devrait être une possibilité que d’avoir cela à l’écran même si cela risque de rendre un peu confus. Avec l’aide des couleurs dégradées on peut arriver à faire apparaître ces encadrements par ordre d’importance mais tous ensemble sur l’écran suivant que l’utilisateur le veuille ou pas.

J’espère au moins par ces réflexions que l’une ou l’autre ou l’ensemble des hypothèses ici envisagées pourront un jour améliorer le produit au moins sur ce sujet de l’accès simplifié à la possibilité de faire des « notices » de bas pages (c’est d’ailleurs le terme plus exact en français que celui qui est pour l’instant envisagé de « notes de bas de pages » (car le mot de notes, riche de sens différents, prête un peu à confusion) : il serait donc plus juste de dire « notice de bas de pages » ou « notices à créer » !

_______________________________________________________________________________________________________________________


halte aux tests cosmétiques
et autres tests sur les animaux!

Pour la correspondance

Contactez-nous

Contact us

pour dire stop

Voyez, SVP, ici une vidéo qui est vraiment instructive pour comprendre à quel prix de souffrance animale la fourrure existe encore de nos jours. Cela dépend de vous de faire cesser ce massacre

 

Quelques liens utiles :

Permettez-nous de soutenir ici l'action de :

GAIA: toujours sur la brèche pour les droits des animaux 

 Vivisection - 26.3 ko

Confédération nationale des SPA de France
Fondation Brigitte Bardot
Fondation Ligue Française des Droits de l'Animal
Protection Mondiale des Animaux de Ferme
Société Protectrice des Animaux
Conseil National de la Protection Animale
Oeuvre d'Assistance Aux Bêtes d'Abattoirs

Copyright © 2005 Lorimage. Tous droits réservés.
Révision : 31 mars 2006