Accueil de "Diverses lettres envoyées"
Vous êtes sur la page internet reproduisant notre lettre e.mail / courrierIne du 25 Septembre 2021 à Marianne Storogenko, présidente ADLCPP -(Association de Défense des Locataires du groupe Carmes-Polytechnique Paris).
CARE 16
Chère Marianne Storogenko,
Merci de votre message sur papier libre dans ma boîte aux lettres.
Pour vous répondre avant le 4 octobre comme vous demandez -(ainsi qu’aux membres de notre association)- tout d’abord
vous remercier de votre aide pour le résultat que nous avons obtenu au cours de
la votation -(du vote des locataires)- concernant les travaux de « réhabilitation » -(en effet notre habitat est loin d’être de ceux en
ruine)- de la résidence Carmes-Ecole-Polytechnique.
En effet, nous avons évité de nombreux cauchemars qui allaient, hélas, tous
nous concerner, si les travaux avaient été votés.
Nous sommes effectivement enfin soulagés[1]
d’autant que dans mon cas et les locataires de l’empilement dans lequel on retrouve
la même disposition de mon appartement, ces « architectes »
s'apprêtaient à commettre de véritables sacrilèges envers plus véritable
[a]Architecture {(en deux mots petit rappel : surfaces de placard-à-rangement
perdues et contrainte d’aller chercher le lavabo, la douche et les W. C. à
l’entrée de l’appartement dans l’ancien cagibi, alors que situés ces W. C. et
éléments de toilette[s] actuellement grosso
modo au centre de l’appartement[2].
Cela aurait rendu la vie plus infernale qu’elle [n’]est déjà et -[cela aurait]-
grandement pénalisé les locataires, en les contraignant au quasi double de chemin pour avoir accès à ces W. C., ce qui aurait,
tout/s-compte[s]-fait[s], compliqué en moyenne huit à dix fois par jour leurs
vies au lieu, au contraire –[la vocation de l’Architecture]- de la simplifier
en gardant l’arrivée et l’évacuation de l’eau de ces appartements là où ils
sont dans les plans actuels, admirables –[on ne peut mieux, car réalisés
probablement par l’architecte de départ ayant eu accès aux connaissances les plus
sacrées en toute cohérence -(dans notre cas)- avec sa mission d’édifier de l’
Architecture Sociale, par conséquent à ce qui se fait de mieux de manière
cohérente avec l’objectif de toute véritable architecture, soit celle de
simplifier la vie des habitants / locataires ou/et propriétaires et/ou usagers[3]])}.
Mais effectivement nous devons reconnaître que durant ces cinq années les
cages d’escalier laissent à désirer, notamment à cause des fils qui
courent sur les plafonds aux étages et qui ne sont pas encore invisibles, comme
heureusement le sont déjà une partie d’entre eux, placés dans des gaines
spéciales. Il serait souhaitable de poursuivre dans cette direction pour les
masquer tous, comme les autres éléments électriques parfois plus importants -(en taille)- que de simples fils, mais aussi les tuyaux à
gaz qui, pour la plupart d’entre eux, l’étaient avant que[4]
ceux-ci aient été montrés
-(de manière sacrilège)- révélés / dévoilés au cours d’une mise en scène
grotesque pour lui faire croire que des travaux étaient à entreprendre.
(Vraiment intelligente cette manœuvre ![5]).
Pour ma part, je n’ai pas encore vu ce que vous dites à propos de la
corniche[6]
qui à vous en croire pourrait donc -(à l’occasion)-
être consolidée -(notemment quand il y aura nécessité
de l’obligation périodique[7]
du ravalement des façades).
Pour les salles-de-bain, je ne crois pas que des immeubles à vocation
sociale puissent avoir, (nombreux, [dans les années 1930]), des espaces plus
grands pour baignoires et cela parce que les espaces-douche sont là où ils ont
été placés dans les plans d’origine excellemment, en raison de la
trouvaille de l’ouverture du hublot-lucarne carré[e] qui permet une pudique aération
de cet espace de douche et du lavabo, voire permettait[8],
à l’air entrant par cette
ouverture originale, d’aérer naturellement les W. C..
Vous évoquez les dix-neuf appartements vides qu’il convient -(avant de
les remettre en location)- de rénover[9]
au moins, nous l’espérons, aussi bien que fut remis à neuf le mien[10]
avant mon installation fin 2012, mais aussi comme le fut excellemment
l’appartement où eurent lieu nos rendez-vous avec l’équipe de Paris-Habitat où
leurs architectes nous présentèrent les plans sur la comète que vous savez et
que fort heureusement et sagement pour tous nous avons refusé pour/dans le
meilleur Intérêt et Bien Général à l’issue du vote à une grande majorité[11]
contre ces travaux[12].
Dans les travaux de réfection de ces parties communes, je crois l’idée
de sas d’entrée possible -(mais non obligatoire)- pour
l’entrée du 20 rue de l’Ecole Polytechnique en
déplaçant dans l’entrée de l’immeuble les boîtes aux lettres vers la porte d’entrée
de l’immeuble de manière à agrandir ce sas du côté de l’ascenseur[13].
Je pourrais l’expliquer aux responsables de l’entreprise qui serait chargée de
réaliser ce sas comme les travaux qui concernent les cages d’escaliers[14].
Je crois aussi qu’il convient de protéger de nouveau de la vue les tuyaux
de gaz qui sont dans le chenal que vous savez dans le mur à droite dès le
rez-de-chaussée et à chaque étage[15].
Il y a aussi à faciliter le retrait des poubelles[16]
aux éboueurs pour leur
éviter de « sortir » ces poubelles en passant / traversant chaque
fois par l’entrée[17].
Le camion des éboueurs pouvant du coup entrer en-marche-arrière sous l’arche,
le travail du préposé éboueur étant ainsi facilité à l’extérieur par cette
rampe d’accès aux poubelles[18].
On peut aussi songer à végétaliser ce petit peu de cour, donc rendre cet espace
plus sympathique, voire y construire un local à vélo en plein air – en face des
poubelles[19]
qui pourraient le jour venu accueillir
celle des déchets bio[20].
Enfin on peut songer à repeindre aux étages les portes intérieures des
ascenseurs à la longue ayant été un peu abimées / détériorées, victimes de
l’usure.
En profitant de la rénovation au cas par cas de ces cages d’escaliers mais
aussi des nombreux appartements vides, il serait possible[21]
d’installer des portes d’entrée
ignifugées aux entrées des appartements et pour ceux qui disposent d’un
chauffe-eau[x] vétuste -(dans les
appartements qu’ils occupent)- d’un nouveau chauffe-eau[22]
comme, pour certains d’entre
nous, de radiateurs nouveaux[23].
Je précise que pour ma part, soit dans mon cas, qu’en raison de la
rénovation de mon appartement relativement encore récente, (2012), je n’ai pas
besoin de changer de chauffe-eau ni les radiateurs[24].
L’ensemble des travaux dans les parties communes et/ou des rénovations
respectueuses des plans d’origine des appartements dans lesquels nous vivons ne
nous contraindront pas à devoir déménager y compris si nous devons placer un
système pour ventiler -[dans]- nos cuisines et W. C. ou/et même – pour
certains d’entre nous - du chauffage au plafond, là où se trouve l’espace
douche[25]).
Il est tout aussi possible de renforcer par une protection thermique
les murs entourant les fenêtres, voire renforcer par une protection
supplémentaire l’aspect acoustique de certains des murs mitoyens[26].
Je ne crois pas que nous ayons à changer les fenêtres hi-tech admirables dont nous avons la
chance de bénéficier malgré le très fin filet d’air qu’elles font passer de
manière à rénover continuellement l’air de nos chambres/séjours/cuisines/etc. .
C’est bien vu, car le filet d’air est infime et évite ainsi d’avoir
à constamment aérer. Cependant que cela est possible, ce changement de
fenêtre[s] pour ceux qui le désireront[27]
à moins que nous n’ayons pas le droit de le faire au cas par cas, à cause de ce
que cela « défigurerait » l’unité des façades[28].
Une fois encore, permettez-moi de le répéter, ce n’est pas mauvais qu’il y
ait de minuscules / infimes filets d’air dans nos espaces de vie -(chambres, séjours, cuisines, douches, W. C., etc.)-
même froids en hiver, ce qui a pour effet d’augmenter un peu notre facture de
chauffage[29] et
[30].
Merci, s’il vous plaît, de communiquer la copie de ce message aux
autres locataires s’étant constitués en association avec nous par vos soins et
ceux de Monsieur Fabrice Didier -(et autres locataires)- que je remercie
d’avoir veillé en nous représentant durant la journée de la votation des locataires
qui a donné la victoire au bon/juste droit, soit à la Vérité -(celle d’une aArchitecture sacrée qui protège / tient compte des
difficultés des personnes âgées et se soucie des handicapés[31] -(ce que nous devons à la plus véritable
des religions, donc d’une façon religieuse, lucide, en conscience de procéder)-
dont, nous l’avons aussi prouvé avec ma
personne, certains d’entre eux, sont si nécessaires / utiles à tous. C’est
parce qu’en raison de la démographie galopante nous étions handicapés par le
manque de caverne[s] que nous avons eu à créer l’architecture et tout le reste.
La situation d’handicapé est donc inhérente -(consubstantielle
de)/[à] l’être humain, mais aussi positive car l’un des moteurs de l’Economie[32].
Tous les instruments créés / utiles y compris notre nourriture proviennent de ce que nous sommes tous plus ou moins
handicapés, donc pas seulement à cause de » la vieillesse ennemie « qui en
serait l’origine, mais de tous les autres âges de l’être humain
-[handicapant(s)]).
En saluant aussi les autres membres de notre association de mes meilleures
salutations, en vous remerciant pour les peines que vous vous êtes données, et
celles que vous nous proposez de vous donner pour la suite avec la rénovation
périodique de nos appartements[33],
et bien sûr des parties communes détériorées, veuillez agréer, chère madame Marianne
Storogenko, et cher Fabrice Didier, l’expression de
mes sentiments respectueux, reconnaissants et distingués.
Laurent-Marie Granier
P. S. : Oui, il faut reconnaître que c’est le bon sens qui a été
exprimé à l’occasion du vote historique de ces travaux. C’était déraisonnable
que d’avoir à déménager de un an à trois ans et cela uniquement[34]
pour changer arbitrairement[35]
la colonne d’évacuation de l’eau et celle de l’arrivée d’eau que nous avons
démontré excellement / justement placées là où elles
se trouvent, probablement depuis la construction de ces immeubles.
Pensez ! Nous aurions eu à revenir dans nos appartements après ces
déménagements-forcés pour avoir -(pour
satisfaire nos besoins vitaux et notre goût de la propreté)- environ deux fois plus de trajets à faire à chaque fois[36].
Non sens !!!
Cela ne signifie pas qu’il ne faudra pas pour autant l’un de ces jours
-(sans changer de place cette colonne d’évacuation de l’eau), la rendre propre
ou/et la rénover / la nettoyer à l’intérieur d’elle, voire au pire -(si elle
devait commencer à sentir mauvais :)- la changer d’un par un les éléments
devenus pourris qui la composerait à plus ou moins chaque étage, soit les tubes
qui la constituent -(si le plus simple ramonage de cette colonne devenait
inefficace), mais bien sûr sans la changer de place puisqu’elle est on ne peut
mieux placée[37].
Là aussi il conviendrait d’avoir une loi pour périodiquement, au moins une
à deux fois par an, voire mieux tous les trimestres, nettoyer l’intérieur de
cette colonne d’évacuation des eaux sales comme cela se fait ailleurs avec les
ramoneurs des cheminées et/ou pour l’admirable et si ingénieuse idée du
vide-ordure -(quand il est obturé) – idée qu’on pourrait améliorer comme je
viens d’en avoir justement de nouveau l’idée -(comme je l’eus la première fois en
2005)- ici avec, dans le local à poubelle, la possibilité de placer la poubelle
précise qui correspond au déchet placé dans le vide-ordure[38]
depuis l’étage où il serait/est
jeté).
Merci à ceux qui sur le plan politique -(Madame la
Maire, Madame Florence Berthout, par exemple)-
pourront faire avancer le Droit -(et le Devoir : au pire une fois tous les
six mois)- sur ce point -(si cela n’est pas déjà le SPOK[39],
ce dont elle est probablement au courant).
By the way, bien sûr, j’en profite pour La remercier pour son invitation littéraire périodique.
[1] -(pour certains d’entre nous près de cinq
années d’angoisse[s] ou/et d’inquiétudes diverses et etc.)-
[2] –[ce qui permet un moindre trajet, voire
comme dans mon appartement, un beaucoup plus court trajet depuis les points les
plus éloignés]
[3] -(en s’interdisant donc, naturellement, de
compliquer les choses)
[4] (pour influencer
Madame la Maire dont on savait qu’elle aurait à passer dans nos immeubles pour
[se] décider quel parti prendre)
[5] -[Exemple d’une anti-phrase. Donc à lire sur le ton
ironique qui, naturellement, s’entendait à la lecture si bon / vrai lecteur]
[6] -(j’espère nous trouverons un moment pour
que vous puissiez nous montrer cela)-
[7] –[je crois la loi, depuis André Malraux,
l’oblige aux propriétaires]-
[8] (quand il n’y
avait pas de cloison -[ce qui a été créé à l’occasion d’une précédente
rénovation, cette cloison])
[9] -(et pourquoi pas par l’équipe des maçons
ayant réalisé l’appartement témoin que vous savez ?)-
[10] Autre équipe de maçons possibles en concurrence des précédents.
[11] -(comme vous l’avez calculé : à 72 %,
ce qui est une large majorité – [: rappel des détail[s] du vote: 31 votes » non « pour
les travaux -(sur 43 inscrits ayant voté - aucun vote nul)- et
douze » oui «])-
[12] (au bénéfice –
cela était sous-entendu - de plus raisonnables / simples / sages / justes /
légitimes rénovations des parties communes, voire des appartements, ayant été
détériorés, pour certains d’entre eux, par de si longues occupations sans
périodiques et/ou nécessaires rénovations)
[13] -(ce sas est impossible sinon –[sans le
déplacement des boîtes aux lettres vers la porte d’entrée de l’immeuble])
[14] -(tuyaux et fils et autres boîtes murales à
soustraire de la vue des usagers de ces escaliers)
[15] -(il s’agit des tuyaux de gaz qui étaient
invisibles derrière des portillons grillagés à reconstituer / commander /
réaliser si possible en métal, voire aluminium)
[16] -(en ouvrant la porte de la rampe d’accès
qui donne de l’Impasse des Bœufs sur la petite cour intérieure –[où ces
poubelles se trouvent]- au rez-de-chaussée de l’immeuble d’où je vous écris)-
[17] -(ce qui les contraint à monter avec la
poubelle roulante après une petite marche -[pour entrer dans l’immeuble côté cour
qu’ils rejoignent en traversant l’entrée de l’immeuble]- quatre marches et
à en redescendre plus loin du côté des boîtes aux lettres deux plus une -(de marches)-
pour -(en ayant
maintenu ouverte la porte de l’entrée de l’immeuble)- sortir une par
une les poubelles de l’entrée de l’immeuble au 20 rue de l’École Polytechnique
dans la rue, puis à faire le trajet inverse quand ils ont à remettre la
poubelle vide dans la cour)
[18] -(enfin remise -[de droit]- en fonction, la
serrure étant changée à cet effet de leur en procurer le double de la clé)
[19] –(pour éviter à ceux qui disposent de
vélo[s] d’avoir à trouver à les garer à l’extérieur dans la rue)–
[20] -(qu’on ne trouve que le mardi et le jeudi non
loin au marché Maubert et pas encore dans la cour des
immeubles, ce qui serait bien pour créer du compost
à exporter pour, par additions
aux/des autres semblables -(poubelles à déchets organiques ou/et
végétaux)- faire, sur le
moyen terme, disparaître les déserts)
[21] -(pour plaire à notre gardienne Madame Sabine
Lemire qui, prudemment, le souhaite)-
[22] -(ce qui se pose en peu de temps une fois ce
chauffe-eaux réalisé à l’atelier de manière industrielle, comme la porte
d’entrée ou/et d’autres éléments de ventilateurs ou/et d’extracteurs d’air)-
[23] -(en achetant ceux-ci groupés ou/et en aussi
grand nombre, l’entreprise qui sera choisie pour les poser, pourra obtenir un
prix de gros intéressant. Ce qui rendra moins cher ces chauffe-eaux, ces portes
ignifugées, ces radiateurs, une fois déterminé le nombre exact de ces
éléments à, si possible, changer)
[24] -(mais pourquoi pas la porte d’entrée, ce
qui, nous l’avons dit, pour Sabine Lemire, serait plus sûr. Il faudra donc
conserver ma porte exceptionnelle, décorée de façon originale, unique, quelque
part – j’espère on me dira où, de manière à la remettre en place, à ma
disparition, le jour venu, in memoriam
de mon passage sur Terre par, entre autre[s],
l’habitation que j’occupai au 20 rue de l’Ecole
Polytechnique)
[25] –[dans mon appartement je n’en ai pas besoin
car il y a un radiateur dans l’espace douche et même s’il n’est pas de ceux waterproof à cause de la proximité de la
douche, là où on a trouvé où le placer, il
fonctionne bien à l’abris de l’eau]
[26] -(quand les bruits des autres appartements
se font entendre. Pour ma part c’est très rarement que j’entends mes voisins,
au point que pour mon appartement on peut se passer de ce renforcement
acoustique là où je l’avais indiqué. Mais je ne sais pour les autres. De toute
façon cela ne contraint pas à déménager de un à trois ans ces travaux de
renforcement acoustique car cela peut se faire en peu de temps, les locataires
sur place –[en réalité il s’agit de multiplier par
deux, voire trois, l’épaisseur des murs peut-être avec une matière spéciale
d’enduit quand cela a eu lieu de façon récurrente / récurante
-(est-elle écœurante cette variante orthographique au mot de récurrent ?
Ah ! Ah !]. C’est pareil pour les portes d’entrée -(coupe-feu)- des appartements auxquelles notre gardienne S. L.
tient beaucoup comme impératif changement, sauf là où les locataires ont déjà
réalisé à leurs frais ce changement, par exemple, parait-il, pour l’un d’entre
eux, par une porte-blindée très onéreuse. Au point qu’on pourrait faire
exception à cette porte d’entrée à changer, voire à la mienne aussi qu’on
pourrait se contenter de blinder du côté de l’intérieur de l’appartement de
façon ignifugée, ce qui éviterait de la changer totalement et d’en perdre ainsi
malheureusement les représentations -[de De Media Patata])
[27] -(ici aussi ces fenêtre à changer se
préparent à l’atelier du menuisier et se posent, [en calculant large], au cours
d’une à deux journées de travail par fenêtre)-
[28] -(pour savoir cela il conviendra de
consulter les Monuments Historiques ou/et le Patrimoine, voire d’autres
institutions veillant à la cohérence / symétrie des façades. Moi je n’ai rien
contre des fenêtres différentes pour chaque chambre d’appartement. Cependant
que par passion des gadgets -([in]utiles)- je respecte
avec du bon sens les fenêtres les plus génialement conçues, ce qui est le cas
avec les nôtres telles qu’elles le sont déjà, [et en plus hi-tech !]. On le sait j’ai parfois sur
l’une ou l’autre d’entre elles le projet d’en faire des écrans de TV, voire des
écrans d’ordinateurs transparents donnant sur la rue, pour si on veut, s’y
installer l’été venu, tandis que Les fenêtres faisant face au soleil peuvent
être utilisées pour produire de l’électricité solaire)
[29] -[individuel : un luxe qu’on peut se permettre
depuis que le prix du pétrole baisse enfin]
[30] -(mais considérons que nous disposons de cet
autre luxe : cet infime filet d’air pour renouveler continuellement
–[surtout quand il y a du vent]- l’air de nos espaces de vie sans avoir à
ouvrir grande la fenêtre avant d’avoir à les fermer à un autre moment – cet
infime/minuscule filet d’air en réalité nous fait gagner du temps)
[31] –[du nombre de pas à parcourir pour
rejoindre les commodités]
[32] -(s’il n’y avait pas les handicaps et les
maladies ou/et les situations handicapantes le progrès serait difficile à
obtenir : il n’y aurait pas de progrès)
[33] -(un droit -[en
majeure partie – au moins 75% - à la charge des propriétaires]- qu’il faudrait
instituer au moins à l’échelle européenne à partir d’au moins tous les quinze
ans de location, si besoin est)
[34] -(puisque pour tous les autres travaux
proposés il s’agit de quelques heures à quelques jours de travaux de rénovation
qui peuvent être faits en la présence des locataires)-
[35] -(en enfants-gâtés -[au sens négatif de ce
mot qui en a du positif dans d’autres SPOK]- donc de façon subjective et non
objectivement)-
[36] -(matin, midi et soir – soit en moyenne une
bonne huitaine de fois par jour)
[37] (donc sans tout
casser pour des lubies de voraces enfants-gâtés incohérents et sans cœur –[lire
/ voir ici Cuore
d’Edmondo De Amicis, livre qui a été traduit en
français]- vis-à-vis des personnes âgées et/ou handicapées, ce qui est
incompatible avec la plus véritable fonction de l’[a]Architecture ©)
[38] -(aussi il y aurait un choix électronique à
faire avant de laisser partir de l’étage, depuis la cuisine, le déchet qui
rejoindrait automatiquement la bonne poubelle -(les poubelles deviendraient
tournantes, servies sur un plateau rond, voire sinon alignées sur un plateau
droit avant de se placer d’elles-mêmes sous le vide-ordure)-
[39] – acronyme de situation précise, occasion, cas particulier -[car ici, (comme plus haut où nous l’avons employé, ce mot acronyme de SPOK), c de cas et p de particulier = K de SPOK]-