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CARE
13 envoyé le
Objet -(un
peu plus développé): pour résumer, après avoir pris connaissance des
modifications que vous avez proposées aux autres locataires des autres
empilements[1],
permettez-moi de vous redire, ô combien, les plans de l’architecte d’origine
(chargé de la réalisation de ces immeubles, soit celui de départ), l’auteur,
sont globalement -(en grande majorité)- tous excellents et les meilleurs qui
soient pour ce qui concerne l’actuel emplacement de l’arrivée de l’eau et [de]
son évacuation[2]
dans l’état actuel de ces appartements, dont le mien où il n’y a, comme
pour les autres, en définitive, rien à changer, sauf, si vous insistez à
réaliser les différents travaux de rénovation[s] qui, sans avoir à être à
l’origine des déménagements[3],
restent de l’ordre du possible en une à deux semaines de travaux -(tout au
plus)- par appartement[4]
avec les occupants locataires qui auraient au pire à devoir s’installer à tour
de rôle -[de]- quelques heures à quelques jours[5]
dans l’un ou l’autre des appartements vides de la résidence[6]
pour la durée de ces travaux de rénovation -(et non de réhabilitation, comme
vous avez entendu ce terme)- permettant aussi de poser les corrections
thermiques et les correcteurs acoustiques en déplaçant pour ça ou pour autre
chose, si cela devait être nécessaire, certains meubles, alors mis au centre de
chacune des chambres et/ou espaces-séjour à rénover.
En
d’autres termes tous les travaux que vous proposez[7]
peuvent être réalisés en une à deux semaines dans le cadre d’une réfection /
rénovation.
Aussi
nous réitérons de vous conseiller pour vnôtre[8]
bien de renoncer à changer de place ces arrivées d’eau et ces tuyaux pour
l’évacuation de l’eau et de vous limiter à des travaux de rénovation, car ce
que nous proposons là s’est avéré amplement suffisant[9],
en atteste aussi la rénovation effectuée dans le logement -(21 rue des Carmes)-
dans lequel les responsables de Paris-Habitat[10],
nous ont reçu tout au long du processus des préliminaires de leur projet de
réhabilitation et -(sur la base)- du logement que j’habite depuis fin 2012 qui,
permettez-moi encore de le répéter, a été rénové de main de maître avant mon
installation[11].
D’autre
part, je viens d’écouter de nouveau votre message sur mon répondeur. D’accord
pour ce que vous proposiez.
Quand
je vous ai rappelé, pour des raisons contextuelles, je n’avais pas écouté la
teneur de votre message[12]
ce qui fait que j’ai demandé à mon téléphone mobile de vous rappeler sans avoir
consulté la teneur de votre message et en vous rejoignant par téléphone, je
n’ai pas compris de quoi il s’agissait, ce que je vous demande de me préciser,
s’il vous plait, en ayant ainsi la gentillesse de m’éclaircir en prenant
rendez-vous avec vous et la personne s’occupant du » mobilier après
travaux «, donc celle à laquelle vous songiez dans ce message que j’ai
enfin pu entendre avec votre proposition.
Monsieur,
A
la sortie de notre réunion avec Madame la Maire Florence Berthout vous, Mathieu
Trébosc, devant l’entrée de la Mairie, avez convenu avec moi que nous
reprenions contact bien avant le vote, donc dès que possible, pour nous mettre
d’accord en ce qui concerne les plans de mon appartement qui est le même de
quatre autres, au-dessus et au-dessous, (dans l’empilement de la résidence
Carmes-Ecole Polytechnique que Paris-Habitat, le propriétaire, vous a confié
d’étudier, ainsi qu’à l’équipe des architectes qui vous entoure[nt], dans
l’optique d’un hypothétique programme de réhabilitation. Vous avez compris,
avec les autres architectes, que ce serait dans le cas de mon appartement folie[13]
sacrilège[14] que de
réaliser les plans qui ont été proposés à travers vous par l’association des
architectes.
Permettez-moi
de vous rappeler que si l’architecture existe
-(a été créée au cours d’un au-plus-loin dans le Passé), c’est en tant qu’une solution alternative élégante[15]
pour faciliter l’existence de ceux qui étaient, il y a bien longtemps, coincés
à partager leur vie avec d’autres dans les grottes ou/et cavernes[16]
et non [pour] la compliquer -(notre existence), ce que les architectes,
monsieur Horn mais aussi celui qui est arménien d’origine, ont reconnu avec
moi, en reconnaissant que dans le cas de l’appartement n°49 que j’occupe, ce
qui a été proposé comme modification[s] serait effectivement cauchemardesque à
vivre car ce serait quasiment doubler le trajet / la distance à parcourir pour
bénéficier quotidiennement des W. C., du lavabo et de la douche, rassemblés
-(dans ces nouveaux plans proposés), just’après l’entrée de mon appartement, à
la place d’un placard/cagibi/petit-débarras qui s’y trouve extrêmement utile
tel qu’il est dans cette invention majeure qu’il représente aussi dans ces
dimensions qu’il peut avoir -(autres et dans certains cas[17])-
dans l’histoire de l’aArchitecture, [H. A.], ce qui, nous le
constatons avec plaisir dans notre cas, a bénéficié à l’aArchitecture sociale,
alors qu’au départ de cette idée elle l’était, comme une partie des nouveautés
et/ou prototypes, à ne bénéficier qu’aux happy
few, cette notion/invention de placard-cagibi-petit-débarras intérieur
s’étant donc peu à peu imposée en se démocratisant ainsi -(donc y compris pour
les plus diminués financièrement, les démunis et/ou handicapés, personnes
âgées, etc., soit les catégories de personnes en difficultés et qui
représentent souvent une partie importante du peuple dans ce que celui-ci
éprouve de difficulté[s] de toute[s] nature[s][18]
ce qui justifie les aides sociales afin de parvenir à loger [au]tant faire que
possible dignement ces catégories de personnes -(ou autres [parfois] dans de
piteux états) peu chanceuses, dans l’espoir de leur faciliter -(un peu)-
l’existence, grâce à tous ceux qui se sont donnés la peine de devenir
architectes ou/et ingénieurs, ou/et professions libérales assimilées, voire
avec leurs équivalents dans l’administration des États, mais aussi, bien sûr,
grâce à la main d’œuvre des travailleurs manuels au service des concepteurs
-(sur qui repose la création d’activités utiles / nécessaires / fondamentales)!
En
attendant votre proposition en raison que ce serait rendre infernale la vie de
tous les occupants des appartements -[de l’empilement]- de même nature que le
mien, (un T.2), pour leur éviter une moyenne de 140 pas supplémentaires par
jour aux 180 qu’en moyenne ils font déjà quotidiennement pour rejoindre les W.
C. , permettez-moi de vous rappeler que dans le cas de l’appartement que
j’occupe, ces architectes ont reconnu oralement avec moi que ces W.C., le
lavabo et la douche ont été placés -(sur le plan d’origine de la construction)-
extrêmement judicieusement[19],
(on ne peut pas mieux), ce qui nous enjoint à/de vous proposer de faire une
exception pour mon logement en proposant donc aux architectes et aux
responsables de Paris-Habitat de ne pas/plus y toucher[20]
et [21] du tout puisque nous avons démontré dans tous les
courriers précédents qu’on ne peut pas[22]
contraindre une personne âgée et à fortiori handicapée[23],
(mais aussi des personnes en bonne santé, voire des enfants), somme toute, à perdre
autant de temps à faire autant de pas supplémentaires en plus que ceux que ces
personnes[24] doivent
au minimum produire dans l’état actuel de ces appartements où se trouvent les
toilettes rassemblées[25]
-(en moyenne dix fois par jour)- pour faire leurs besoins -(uriner et/ou
déféquer), se laver les dents ou/et les mains, voire se doucher, etc. , ce qui
a rendu caduques / caducs, dans mon cas, les plans que ces architectes de
Paris-Habitat nous ont remis.
J’ai
un instant pu vous montrer ces plans et vous avez, je crois, compris ce cas
particulier exceptionnel que je représente[26],
pardon : nous représentons[27]
dans le projet de réhabilitation de ces immeubles.
Ces
réflexions que je vous ai faites comme si c’était un appartement qui m’appartenait[28]
sont si vraies que vous m’aviez téléphoné dans la semaine précédente notre
réunion à la Mairie pour me faire une proposition[29].
Je vous avais rappelé au téléphone, ce qui m’a permis de vous confirmer mes
propos écrits, de même que je le fais ici une autre fois avant le vote des
locataires pour que les travaux soient faits ou alors pour qu’ils ne soient pas
mis en chantier -(vote que vous auriez du repousser à la lumière des peines que
j’avais prises pour vous expliquer par écrit –[ce qui n’est pas si facile que
ça, même pour un docteur en Art et Sciences de l’Art de l’Université de Paris
I-Sorbonne, cinéaste vidéaste, photographe, peintre et … mais handicapé[30]]-
pourquoi ce que vous aviez proposé comme plan[s] ne se pouvai[en]t – dans mon
cas - réaliser concrètement -(dans la réalité).
Comme
à l’heure actuelle je ne sais pas l’issue de ce vote à la majorité d’une voix,
nous avons à prévoir le pire : que ces travaux soient votés /
acceptés à/d’ être réalisés concrètement à partir des plans que vous avez remis
à chacun des locataires pour bénéficier de leur point-de-vue[s].
Or
si ces travaux sont faits dans l’état actuel des plans que Paris-Habitat nous a
fait parvenir, il y aura, dans le cas de l’appartement que j’occupe,
véritablement sacrilèges de diverses sortes[31]
dont celui en aArchitecture, car si on réalise le[s] plan[s] -(que vous nous
avez adressés)- de mon appartement[32],
ce[s] sacrilège[s] sera/ont total[s]/totaux, malgré la vocation principale
-(quasi sacrée)- de l’aArchitecture en elle-même : son objectif fondateur
altruiste : celui de faciliter la vie des habitants de pareils immeubles[33].
Au
lieu d’être fidèle à cet objectif vertueux, admirable car charitable de cette
vocation de l’aArchitecture, être à l’origine -(créer)- de[s] très réelles et à
la longue gravissimes difficultés supplémentaires[34]
et ces sacrilèges le sont vis-à-vis des plans initiaux de l’auteur de ce groupe
d’immeubles, l’architecte-grand-maître qui a dessiné à l’origine les plans de
ces appartements autrefois, à tel point – vous le savez - que deux
des immeubles seraient à classer pas seulement pour leur arche sur laquelle
ils reposent, mais sur les choix aujourd’hui, si j’ose dire, de quasi
antiquité[s] précieuse[s] pour illustrer comment on vivait autrefois dans les
Années Trente à l’intérieur de ces immeubles où il n’était pas rare qu’il
faille passer par la cuisine pour rejoindre la douche ou la baignoire -(ce qui
est encore le cas sur les plans de chez ma voisine. Une façon de faire qui
était, en réalité, simplement géniale –[que beaucoup regrettent comme une
originalité, mais que la suite de l’histoire
de l’aventure humaine -(H. A. H.)-, (en croyant ici aussi bien faire), n’a plus
voulu proposer, ce qui a fait que pour Madame Fantin elle est, dans les
nouveaux plans sur la comète, à perdre les W.C. là où ils sont excellemment
placés, comme son placard[35]
pour retrouver ce placard derrière des W. C. -(dans les nouveaux plans pour
chez elle), en fait de l’autre côté de la cloison où j’ai placé mon bureau,
soit la chambre où j’ai fait mon séjour, ce qui serait malgré la correction
acoustique de prévue des bruits continuellement durant la journée, celui de la
chasse d’eau tirée périodiquement, ce qui serait aussi, ces nuisances
acoustiques pour ceux qui, chez elle, habiteraient la chambre dont l’entrée est
à la fin de son couloir devant ces nouveaux W. C. , à la longue -[de(s)
bruits]- insupportables[36].
Il
faut comprendre que si l’architecte d’origine n’a pas placé ces W. C. là où
vous voulez les placer, c’est qu’avec le couloir qui y mène chez Madame Fantin,
il y a l’espace du couloir pour éviter les nuisances acoustiques chez le
voisin, en l’occurrence ma personne qui bénéficie aussi derrière la cloison de
séparation des deux appartements -(soit celle si j’ose dire mitoyenne)- de la
fin d’un couloir parallèle à celui de chez Madame Fantin, ce qui crée ainsi
-(ces deux couloirs parallèles séparés par la cloison)- l’espace suffisant pour
éviter ces nuisances acoustiques. D’où que placer chez Madame Fantin son W.C.
au bout de son couloir, c’est courir de fortes probabilités de déranger le
voisin, en l’occurrence ma personne, dont la chambre aujourd’hui séjour
serait continuellement attenante à ce W.C. ayant de grandes probabilités d’être
au moins un peu bruyants -(ne serait-ce qu’en raison de sa porte et des
allers-et-venues à celle-ci comme de la chasse d’eau). Donc nous courrons de
sérieuses probabilités -(moi/nous l’occupant de ce séjour, mon bureau)- d’être continuellement dérangé par les allées
et venues de l’autre côté de la cloison pour atteindre ces W. C. et leur emploi
et cela y compris la nuit si je devais recevoir quelqu’un dans ce séjour sur le
matelas gonflable d’appoint qui se trouve en temps ordinaires plié et dégonflé
dans le placard avec son oreiller, sa couette et son drap de dessous, mon
visiteur ou moi-même -(ayant offert mon lit pour
dormir sur ce matelas d’appoint)- étant
périodiquement dérangé par le bruit de ce[s] W. C. de l’autre côté d’une cloison qui, trop fine,
laisse -(j’ai eu à en souffrir quelques fois – cependant qu’heureusement pas
longtemps)– donc parfois[37]
passer des bruits.
Permettez-moi
de rappeler ici que j’ai
eu à signaler ces immeubles aux Monuments Historiques comme exemples
d’aArchitecture sociale de qualité extrêmement justement conçue autour de
l’arche de l’Impasse des Bœufs mais aussi pour certains autres détails :
-
comme la pierre choisie pour/dans les aplats -(au sens de parties plates où
l’on pose le pied pour monter : planche)- multicolores des escaliers dans
les parties communes,
-
l’idée originale des petits cailloux sombres le long de ces escaliers,
-
mais aussi le système de l’aération naturelle pour la douche, le lavabo et les
W. C. par l’entremise de la lucarne ouverte dans la douche et pour respecter la
pudeur de ceux qui prennent une douche placée assez haute -(cette lucarne)- de
manière à ce que de l’extérieur cela ne soit plus que la tête qu’on voit se
doucher, si cette lucarne était ouverte le temps de la douche, ce qu’elle peut
n’être pas[38]. Mais
ensuite rien de plus simple que l’ouverture de cette lucarne ayant fonction d’aérer
l’espace douche, lavabo et W. C. dans les plans d’origine de la construction
auxquels on ne peut plus revenir car il y a maintenant des représentations
figuratives animales de dessinées sur les quarante centimètres au-dessus du
miroir derrière le lavabo.
S’il
n’y avait pas eu ces originaux d’œuvres d’art, on aurait pu rétablir un peu des
plans initiaux de l’architecte en perçant sur quarante centimètres en haut
au-dessus du miroir la cloison qui se trouve entre l’espace douche et lavabo et
les W. C. de manière à faire profiter
les W. C. de nouveau de l’air qui entre par cette lucarne ouverte au-dessus de
la douche et dans l’espace lavabo qui, à l’origine n’était pas séparé des W.C.
. Aussi c’est une des rénovations passées qui a été à l’origine de ce qu’il y
ait une cloison derrière le lavabo et du coup derrière les W.C. . Cloison qu’on
aurait pu retirer en partie seulement -(car elle est devenue nécessaire pour y
placer un miroir comme je l’ai fait pour se raser, se brosser les cheveux –[ce
miroir derrière le lavabo]- et quand on y vient pour se laver les mains ou les
dents. Aussi, s’il n’y avait pas les représentations figuratives actuelles de
part et d’autre[39] et cela
avec mon autorisation d’auteur des représentations animales que j’ai dessinées sur
cette cloison des deux côtés de celle-ci, une autorisation écrite après, comme
l’un d’entre vous a proposé, photographies effectuées à vos frais de
Paris-Habitat par un spécialiste à/de la chambre photographique ayant le
maximum de définition et/ou de champ, tant il m’a fallu d’années pour maîtriser
ainsi le trait au pastel de ces représentations artistiques qui ornent ces deux
parties supérieures de cette cloison. On garderait ainsi en photo le souvenir
de ces originaux de ma main dessinés à même la paroi, proches du plafond -(sur
ces quarante centimètres).
Ce
que j’espère c’est que les architectes, à partir de mes réflexions qui ont mis
en lumière l’extrême intelligence de l’architecte des plans initiaux[40]
aient revu tous leurs plans et/ou propositions aux autres locataires en ayant
bien vérifié qu’ils n’allaient pas compliquer leur existence -(dans ces
appartements)- en ayant ainsi à déplacer l’arrivée de l’eau et son évacuation
-(comme pour mon appartement)- les W.C.
le lavabo et la douche, si j’ose dire en exagérant un peu et si vous me le
permettez, à Perpète-les-Oies : près de l’entrée de mon appartement, en me
privant de l’espace de rangement de l’admirable et si utile et … placard /
cagibi / petit-débarras intérieur.
J’espère
que ces architectes proposeront avant le vote pour réaliser ces travaux ou pas,
des plans améliorés qui tiendront enfin compte des réflexions en aArchitecture
que le cas particulier de mon appartement nous a mené à faire dans/pour le
meilleur Intérêt et Bien Général.
Aussi
si je vous écris ici c’est parce que je suis très inquiet à l’idée qu’une fois
que je serai âgé[41] d’avoir
ces -(en moyenne)- cent soixante pas supplémentaires à faire tous les jours
-(aux déjà deux cent pas en moyenne)- pour rejoindre les W.C., le lavabo et la
douche, en comptant / tablant sur une
moyenne de dix fois par jour[42]
au lieu de nous en tenir plus sagement -(et dans ce cas justement)- aux plans
tels qu’ils sont de nos jours, absolument sacrés car ayant été établis en
conscience pour éviter aux logés des déplacements totalement inutiles et qui
deviendraient une véritable torture ou du moins un véritable cauchemar à
chacune des allers et venues pour les habitants de ces appartements sur le même
moule / modèle que le n°49, notre sujet, dans lequel je vis, (ce qui a permis
sur mon expérience dans les lieux de créer ces données exactes à propos de cet
espace de logement).
Et
encore ces cent soixante pas supplémentaires par jour[43]
sont ceux d’une personne encore jeune. Mais si cette santé venait à être encore
moins bonne que la mienne actuelle, donc à se détériorer au point qu’il
faudrait faire des pas plus petits, voire au pire se servir d’un déambulateur,
cela pourrait mener à deux cent, voire au pire quatre cent petits pas
supplémentaires -(rappelons que nous tablons sur dix aller-retour quotidien)-
aux trois cent habituels par jour[44],
qui sont dans cet état de plus handicapé encore[45],
pour l’instant indispensables pour rejoindre ces W. C.[46]
depuis mon bureau et qui pourraient être plus nombreux encore avec un
déambulateur, si je devais avoir, au cours de ma vieillesse, des difficultés
pour marcher.
Pour
l’instant il faut dans le pire des cas au grand maximum quinze pas -(d’où plus
haut le trois cent)- du plus loin de l’appartement pour rejoindre les W. C., le
lavabo et la douche de ce qui a été nommé sur les plans » la
chambre «. Je rappelle qu’en moyenne nous nous rendons dix fois par jour
aux W. C. , douche et lavabo, ce qui signifie cent cinquante pas pour aller et
150 pour revenir -(d’où le trois cent de plus haut)- et que si nous avons à les
faire âgés, voire très âgés, cela peut mener à deux cent pas au lieu de ces
cent-cinquante, voire plus trois cent et avec un déambulateur quatre cent très
petits pas et cela au cours d’une journée.
Ajouter
de nouveau presqu’autant de pas supplémentaires pour rejoindre ces W. C.
[placés]- à l’autre bout de l’appartement, cela en devient criminel contre
l’humanité -(et c’est alors en s’en-têtant dans ce sens à le faire un véritable
péché : en plus de celui de ne pas avoir suivi les conseils de qui vous
avertis en Vérité[47]
pour vous éviter de commettre ce sacrilège de compliquer au maximum du possible
la vie de locataires au lieu d’y renoncer en toute cohérence avec la finalité
même de l’aArchitecture qui a pour fonction de faciliter la vie des locataires et/ou propriétaires -[et non de la compliquer])-
car cela va bien vite martyriser en nombre de pas supplémentaires à effectuer
pour chacun des habitants de ces appartements-sur-le-même-modèle dont les plans
sont, parce qu’ils évitent ces cauchemars à répétition, pour l’instant ainsi
qu’ils le sont chacun merveilleusement conçus -[dans leur état actuel].
J’ai
pu remarquer que ce problème ne se retrouve pas dans les autres appartements de
la résidence Carmes-Ecole Polytechnique, et c’est pourquoi je demande qu’en
raison du SPOK[48] on
renonce exceptionnellement pour mon appartement et ses semblables[49]
à changer plus qu’ils ne le furent pour être dans l’état actuel dans lequel ils
sont les plans de l’architecte de départ, ce qui signifie, si les travaux
devaient être votés qu’on revienne à l’état actuel, voire aux plans de départ
sans nécessairement percer de nouveau la porte entre la chambre et le séjour[50]
ce qui m’a fait changer de place la
chambre devenue séjour et le séjour la chambre, ce qui me permet d’avoir à trois pas de mon lit le lavabo
-(ce qui est utile pour se laver régulièrement les dents et les mains)- et à
quatre pas la douche, comme depuis mon lit de huit à neuf pas les W. C..
Aussi
cela signifierait si les travaux sont votés qu’on renoncerait dans mon cas à
les faire chez moi, donc aux plans qui nous ont été proposés, pour laisser les
choses / plans / la situation dans l’état comme/où ils le sont, admirables, à
moins que si on le souhaite[51]
on ouvre de nouveau le passage qui existait pour rejoindre directement la
cuisine, là où se trouve aujourd’hui un radiateur qu’il faudrait déplacer en le
rendant water-proof puisqu’il serait
mis sur l’un des murs de la douche, voire au plafond -(ce qui serait au-dessus
d’un de mes pastels – donc exigerait qu’on détruise en partie du moins une de
ces œuvres !).
Mais
à la réflexion, en raison des sacrilèges qui seraient effectués sur les dessins
dont nous sommes l’auteur sur ces murs, je propose qu’on évite cela pour qu’on
ne détruise pas ces dessins -(il y a là deux vaches, dont l’une d’elles d’une
très grande beauté originale, sept à huit oiseaux admirables, et le profil de
la DamOiseau au sein nu écrivant de son sein -(piquant-pointu)- avec un
tatouage d’oiseau sur le bras), silhouettes pas encore mises en couleur mais
qui sont d’une très grande valeur commerciale -(hors de prix)- par ce que ces
représentations figuratives sont de vos dévoués serviteurs le premier empereur
de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- à être devenu un
éveillé-par-acquis-de-conscience, soit un -[des]- bouddhahs[52].
De l’autre côté de la cloison, dans la cuisine, ce serait perdre une vingtaine
d’admirabilissimis…simissimes dessins d’oiseaux et j’estime, en grand
inspecteur qu’on n’a pas le droit de les détruire / effacer tellement, parmi
eux, il y en a de plus que parfaitissimis…simissimes -(en fait ce qui est le
SPOK pour chacun d’entre eux).
Je
rappelle que c’est dans cet appartement commencé à être décoré par mes soins
que j’ai écrit ma lettre
aux papes -(1300 pages)- et celle aux
présidents de la République (1700 pages) (qu’il sera dans le futur, à ma
disparition, l’objet d’un véritable culte et l’objet de revenus importants pour
Paris, à cause du tourisme qu’il génèrera[53],
mon corps n’étant pas loin en reposant -(avec les miens)- au Panthéon devenu
nécropole familiale de drôles d’étrusques), qui rendent plus claire ce que nous
avons eu l’honneur de faire dans l’Intérêt et pour le Bien Général à partir de
l’année 2005, ce qui a eu pour effet rétroactif de sauver la Terre, en mettant
un terme à la Seconde Guerre Mondiale à partir des trois dates synchrones entre
elles de 1967, 1977 et 2005 quand je [re]devins à chacune de ces dates, en
raison de l’apparition -(la présence quelques secondes)- à mon doigt de
l’anneau immaculé immatériel lumineux des êtres humains les plus véritablement
mariés -(au sens de cosmiquement, soit universellement), ce que je n’ai
découvert que depuis quatre jours grâce à la poursuite incessante de mon
auto-psychanalyse[54],
donc il s’agit de ma résidence principale décorée par mes soins en tant que vos
dévoués serviteurs les premiers bouddhahs-empereur[s][55],
soit vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs -(ce dernier mot signifiant
bouddhahs-empereur).
Les
murs de la cuisine comme le couvercle du chauffe-eau sont recouverts de dessins
des cousins, voire de l’oiseaux
De Media Patata. Ce serait bien
malheureux pour tous qu’ils soient effacés et/ou détruits y compris dans les W.
C. où c’est alors du très très grand art[56].
S’ils
devaient l’être -(détruits)- je vous prie – comme l’un d’entre vous l’a proposé
/ suggéré – de faire auparavant à vos frais des photos mais à la chambre
photographique[57] sous ma
direction de façon à ce qu’on puisse garder la trace de ces représentations
figuratives animales et/ou anthropomorphes : dois-je rappeler que j’ai mis
cinquante années pour dessiner ainsi aussi simplement bien cette grosso modo série d’oiseaux[58]?
Il y en a l’un ou l’autre d’une incroyable / époustouflante et incroyable
beauté[59].
Leur donner une valeur vénale est impossible. Ils sont uniques dans l’Histoire
de la Peinture et de l’Écriture et/ou des représentations figuratives d’autant
plus que dessinées par vos empereur-bouddhahs, soit vos dévoués serviteurs les
eanmeailleurs d’Ôz. Il est probable
qu’ils puissent à eux seuls -(avec quelques-unes des autres œuvres de
l’Histoire de l’Art)- payer toutes les dettes de Paris-Habitat et toutes les
dettes du monde entier et cela pour toujours tant ils sont parfaits[60]
dans leur simplicité et à jamais fraîcheur. Je ne voudrais pas être à la place
de ceux qui donneront l’ordre de les détruire ou de les recouvrir de
peinture[s] uniformément appliquée, ni dans ceux qui, ouvriers obéissants,
croiront possible faire disparaître des originaux de pareils chefs-d’œuvre[s]
en obéissant ici aux ordres auxquels la plus véritable conscience l’interdit
évidemment depuis toujours, soit en raison de l’état de vérité obtenu grâce à
la sécurité que j’ai démontré depuis ma naissance en 1963 existe dans l’être humain
pour l’aider à déterminer le bien du mal. Le sacrilège sera alors total et le
soleil sera alors prêt à exploser en raison de l’incohérence de tous ceux qui
veillent à préserver les dessins de Lascaux et autres cavernes et ceux qui
croiront possible attenter à nvos -(nos + vos = vnos et/ou nvos dans d’autres
SPOK)- dessins.
Sans
rire je vous le dis -(et vous aurais prévenu à Paris-Habitat comme dans
l’agence d’architecture à laquelle Paris-Habitat a eu recours)- vous aurez
déclenché le compte à rebours de l’explosion du soleil déjà passablement écœuré
par certains des agissements / comportements les plus infâmes et sacrilèges du
plus véritable Bien / Intérêt Général des êtres humains.
Je
vous aurais prévenu et c’est vos âmes en particulier qui en porteront la
responsabilité -(y compris de ce que ces dessins représentent chacun comme
virtualité que nos descendants auraient découvert)- au point d’obtenir, s’il
n’explose pas, en attendant, des réincarnations pittoyab[i]lissimis…simissimes,
tragiquissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes,
malheureusissimis…simissimes et /ou tristissimis…simissimes, et etc. Non, je
n’aimerai pas être à votre place, même si vous avez proposé ces photographies à
la chambre[61] qui ne
pourront que donner une vague idée de ces représentations[62]
celles-ci étant disséminées dans l’espace de la douche et du lavabo, de la
cuisine ou des W. C. et dans l’entrée et dans le couloir mais aussi un ou
l’autre de De Media Patata ou/et
intitulé autrement » Téjévé
« dans ma chambre, l’un d’entre eux étant le futur logo de
l’eanmeailleurs, soit de l’empire dont le pharaon est bouddhahs, soit ce
territoire / espace un eanmeailleurs de votre dévoué serviteur les
eanmeailleurs)- tandis que les originaux placés en conscience là où ils le sont,
sont absolument inimitables de génialité car du jamais vu -(il a fallu pour que
je dessine ainsi, la peinture de miniatures que vous pouvez découvrir dans mon
film La Momie à mi-mots.
Elles ouvrent, chacune de ces miniatures, des séquences de ce film. Mais il a
fallu le piano peint de ma fiancée Michèle Finck[63]
et la quarantaine de tableaux partitions -(réalisés par mes soins après 1995 –
date où je devins empereur)- ayant débouchés dans le cadre de la fin de satan
sur la découverte de la sécurité qui existe effectivement dans l’être humain,
ce qui permet enfin d’accéder à la conscience, ce qui m’a alors permis d’écrire[64]
ce dont je parle dans ces lettres sur Internet aux
Papes Benoît et François et aux
Présidents de la République, mais aussi à partir de là, dessiner une série
d’autoportrait d’empereur devenu vos dévoués-serviteurs bouddhahs, soit vos
dévoués serviteurs les eanmeailleurs Laurent-Marie Granier … Lang d’Ôz.
C’est
donc en tant que tels que je vous écris pour vous demander de renoncer à vos
plans sacrilèges -(j’espèce que cela n’a pas été
fait avec cette intention de les commettre mais seulement parce que vous avez
oublié momentanément le paramètre de » personne[s] âgée[s] « et ou »
d’handicapé[s] «[65])- et de conserver ces appartements sur le même modèle que
le mien tels quels, proches de la perfection -(dans le cas particulier qui les
a concerné), une fois rénovés en gardant pour l’essentiel les plans initiaux de
l’architecte-auteur de cette résidence.
Merci
de me répondre rapidement pour me rassurer en me disant que vous et vos
ouvriers respecterez les plans du T2 dans lequel je vis et que par conséquent
vous respecterez l’emplacement de l’arrivée de l’eau et de son évacuation comme
l’état de la cuisine avec son double évier devant la fenêtre -(c’est là que j’ai inventé la recette de
l’eanmeailleurs dont je me nourris et pour laquelle réalisation
gastronomique il est indispensable de disposer de deux éviers). Cette recette
comme vous pourrez aussi la
découvrir autrement sur Face Book a donc été réalisée historiquement dans
cet évier. Comme cet évier est employé pour créer ces sinkArt -(évier-[à]-Art -
une autre de mes
inventions)- et qu’il nous a permis de faire de nombreuses séquences toutes
originales d’eanmeailleurs et dans l’autre évier celles concernant les déchets
de l’eanmeailleurs, nous vous prions de ne pas les toucher là où ils sont
devant la fenêtre où ils se trouvent d’autant que j’ai besoin périodiquement de
cet évier éclairé par la lumière naturelle du jour par la fenêtre au-dessus de
l’évier pour laver les assiettes, couverts et casseroles et cuisiner des
recettes végétariennes délicieuses que j’invente et que, parfois, j’archive en
vidéo -(avant leur publication)- car l’avenir sera végétarien ou ne sera pas
-(le soleil ayant fini par exploser si ce réchauffement planétaire continue
alors qu’il y a autant de solutions alternatives élégantes -[SAÉ]- proposées grâce aux végétaux et céréales et aux
produits lactés, etc.).
Aussi,
si les locataires le désirent à la majorité, changez les autres appartements
-(si dans vos nouveaux plans ils ne contraignent pas à des déplacements
importants, donc à des difficultés supplémentaires pour rejoindre les W. C. ,
le lavabo et la douche, mais je vous prie, en grand inspecteur, en tant que vos
bouddhahs et empereur, soit en eanmeailleurs,
de ne rien toucher du mien comme des appartements faits sur le même
modèle que le mien : ils sont parfaits s’ils ont été rénovés comme l’a été
le mien il y a quelques années -(en 2012)- just’avant que je m’y installe
-(sinon ils sont simplement à rénover comme le mien l’a été).
Je
suis sûr que Monsieur Stéphane Dauphin, directeur général et Monsieur Eric
Pliez président, ne voudront pas entacher la réputation de Paris-Habitat qui a
vocation sociale en contraignant des personnes âgées et/ou handicapées à, quasiment,
le double de pas en plus pour rejoindre ces W. C. , ce lavabo et cette douche à
l’autre bout de l’appartement en nous faisant perdre ces espaces -[de]-
rangement[s] que sont le placard aussi spacieux qu’il l’est justement -(dès l’entrée [de l’appart.])-[66]
encore de nos jours mais aussi l’espace de rangement de plusieurs
étagères Billy qui sont disposées le
long des cloisons.
En
effet ce que vous proposez nous fait perdre de nombreux espaces pour ranger,
car nous aurions avec ce placard disparu[67]
deux à trois cloisons en moins[68],
ce qui nous contraindra à replacer là où vous les avez retirées ces étagères
pour recréer avec elles les cloisons qui auraient disparues sur lesquelles
elles s’appuient un peu -(et ce qui évite aux livres et aux vêtements de tomber
d’un côté ou de l’autre).
D’autre
part de changer la porte d’entrée de la cuisine
pour là où vous l’avez mise contraint -(chargé[s] de courses mais aussi sans
spécialement de courses, dès l’arrivée, à plusieurs pas supplémentaires pour
rejoindre la cuisine au nouvel emplacement où vous avez prévu la nouvelle
entrée de celle-ci. Cela n’est pas une bonne affaire car c’est une fois de plus
allonger le trajet d’au-moins cinq de mes pas[69]
pour rentrer dans la cuisine, même si à première vue le séjour bénéficierait de plus d’espace avec cette cloison d’angle
qui ne serait plus -(cependant, dans mon cas, j’aurais à mettre les étagères
qui se trouvent devant ces cloisons au même endroit par conséquent à recréer
avec ces étagères l’angle là où il se trouve encore).
Merci
de comprendre que c’est inutile de procéder à retirer ces cloisons, cependant
si vous y tenez, vous pourrez le faire aux appartements comme le mien[70],
mais je vous prie de ne pas toucher à ces cloisons pour/dans le mien. Je vous
l’ai dit, je trouve objectivement
ces cloisons nécessaires pour créer une sorte d’arrière-fond aux si
simples étagères Billy dont je fus,
des cieux, l’auteur avant l’heure d’avoir l’honneur de les acquérir.
En
vous remerciant de votre attention, veuillez recevoir, monsieur Mathieu
Trébosc, mes salutations distinguées,
Laurent-Marie
Granier …
[1] -(à cette heure-ci où je vous écris, sans ceux
–[des empilements]- du 15 rue des Carmes -[mais je me suis fait une idée de
chacun des empilements du 21 et 23 rue des Carmes, comme de ceux du 20 rue de
l’Ecole Polytechnique à partir d’un des appartements différents de/ans chacun
de ces empilements])
[2] -(ce qu’avec les architectes qui vous entourent
vous avez voulu changer et qui, dans l’ensemble des travaux de réhabilitation, seul contraint aux déménagements des
locataires)-
[3] -(c’est-à-dire en conservant ces arrivées d’eau
et ces emplacements de l’évacuation de l’eau, là où ils se trouvent
actuellement)-
[4] -(travaux qui peuvent être étalés dans le temps
en prenant rendez-vous avec les locataires à cette fin de les effectuer à la
convenance de chacune des parties et des corps de métier concernés et de ces
locataires mis d’accord[s] pour ces journées d’intervention de ces corps de
métier spécifiques dans le cadre de rénovation[s] au cas par cas)-
[5] -(au pire, si par exemple on doit changer le linoléum ou/et repeindre)-
[6] -(il y en a, vous nous avez dit devant Madame la
Maire, presque une vingtaine)-
[7] -(à l’exception des changements de place de
l’arrivée de l’eau et de son évacuation – qui contraignent eux seuls quelques
jours aux travaux en milieu vidé des occupants)-
[8] Vôtre + nôtre = vnôtre et dans d’autres cas
particuliers nvôtre.
[9] -(car pour notre compte, nous en avons bénéficié
à notre arrivée au 20 rue de l’Ecole Polytechnique en août 2012 et nous avons
pu mesurer à quel point parfaits et nous le soulignons amplement suffisants
pour de l’habitat social)
[10] (les architectes et la représentante de Soliha,
comme vous-même, et d’autres personnes)-
[11] Tous avons pu remarquer au 21 rue des Carmes, là
où vous nous avez reçu, qu’une rénovation dans le style de celui qui a été fait
pour rénover cet appartement où vous nous avez reçu à plusieurs reprises, est
amplement suffisant[e], d’autant plus que pour être celui -(d’appartement)-
dans lequel vous nous avez reçu, cette rénovation n’a pas du avoir duré
beaucoup plus de quinze jours, voire bien moins que ça, ce qui n’oblige
personne à déménager, puisque vous n’avez pas changé la place de l’arrivée de
l’eau ni celle de l’évacuation de celle-ci qui sont en définitive -(nous
l’avons vu avec chacun des appartements dont le mien)- admirablement placées et
c’est ce que nous souhaitons chacun des locataires, car nous éviterons ainsi
d’avoir à déménager -(sans changer de place l’arrivée de l’eau et celle de
l’évacuation qui sont placés très judicieusement : les tuyaux qui
composent cette arrivée d’eau et cette évacuation peuvent eux être changés,
sans pour autant avoir tout à casser et cela en une journée de travail par
appartement !). Donc sans contraindre personne à déménager comme c’est le
cas pour toutes les autres améliorations que vous proposez -(car il s’agit de
la pose d’éléments fabriqués en atelier puis à poser à un moment convenu dans
nos logements, une fois réalisés en atelier : amélioration du système de
chauffe-eau et changement des radiateurs, ce qui concerne une entreprise de
plomberie quelques heures tout au plus -(ce qui se fait donc au cours d’une
rénovation au cas par cas et cela ne contraint pas à déménager non plus les
locataires : on trouve un moment pour ça qui conviendra à la fois au plombier
spécialisé et au locataire. La même chose pour le changement des fenêtres et
des portes d’entrée ignifugées, idem pour repeindre les murs et changer le
linoleum -(cela se fait en regroupant les meubles au centre des chambres /
séjour, voire tous rassemblés dans une chambre après l’autre -(en entreposant
les meubles regroupés dans une des pièces durant la rénovation de la première
chambre, puis on fait la même chose avec la seconde pièce et ainsi de suite
pour refaire les appartements les uns après les autres)- et cela ne prend, par
appartement, qu’une semaine à plusieurs ouvriers compétents, etc.).
[12] -(j’ignorai que vous en aviez laissé un, et
c’est pourquoi en vous ayant rejoint par téléphone, tout de suite, je vous ai
demandé votre identité parce que j’avais rappelé le numéro automatiquement,
sans savoir de quoi il s’agissait et qui avait appelé)-
[13] -(au sens négatif de ce mot qui peut en avoir du
positif dans d’autres situations)-
[14] -(donc déraisonnable : des plans sur la
comète pour ici dire à l’ancienne, ce qui sera un jour j’espère mis-à-jour
comme définition puisqu’on a fini, en astronomie, par approcher un peu plus la
notion de comètes qu’elle ne l’était quand on usa de cette expression pour
signifier impossible)-
[15] Acronyme : S.A.É.
[16] -(l’augmentation de la démographie en ces
époques y contraignant)-
[17] Au sens de SPOK – voir plus bas dans les notes
pour l’explication de SPOK.
[18] – surtout en temps de crise économique ou/et
autrement -
[19] -(au point d’être exemplaires, [tout comme
l’emplacement du lavabo et de la douche]- pour les étudiants en aArchitecture
qui s’intéresseraient comme perspective d’avenir à l’architecture à vocation
sociale)-
[20] -(au sens de ne pas modifier les plans
actuels ; on garderait ainsi l’appartement n°49 dans l’état dans lequel il
est, mais aussi pour illustrer, si j’ose dire, en chair et en os une étape
importante de l’Histoire de l’aArchitecture sociale)-
[21] -(de le laisser dans l’état où il est, voire
dans quelques années pour qu’il soit de nouveau rénové comme il l’a été, par
exemple en renouvelant le linoleum qui s’est, à force de marcher dessus, par
moment un petit peu détérioré, ce qui nous offre ce délais)-
[22] -(en toute cohérence avec la notion
d’aArchitecture sociale à vocation de loger des personnes plus ou moins handicapées,
âgées et/ou en difficultés financières)-
[23] -(mais aussi des visiteurs moins gênés dans leur
existence, voire d’autres ayant des enfants)
[24] -(en réalité, vous l’aurez compris, de toute[s]
sorte[s] elles pourraient être)-
[25] -(W.C. – douche et lavabo grosso modo là où ils se trouvent au centre de l’appartement)-
[26] -(comme c’est le cas des habitants des autres
appartements élaborés dans/sur le même moule dans l’empilement où se trouve le
mien n°49) –
[27] -(ils sont au moins quatre appartement[s] à être
sur vos plans sur la comète, modifiés comme ce que vous proposez au mien)-
[28] -(par conséquent soucieux du plus véritable
Intérêt et Bien général qu’il représente notemment aux bons soins de
Paris-Habitat)-
[29] -(qu’alors en fin de journée – après de grands
travaux d’écritures sur d’autres sujets - je n’ai pas comprise, au point de
vous présenter cette excuse que j’espère vous recevrez aimablement)
[30] Vous comprendrez un peu pourquoi en
lisant ma lettre aux Papes et aux Présidents de la République française :
mon cas est exceptionnel car il est aussi, par certains aspects un cas de force
majeure : je n’avais pas le choix pour sauver tout le monde
rétroactivement comme je le fis en 1967 et 1977 à partir de 2005 en raison de
ce que l’empereur que j’étais depuis 1995 était devenu un
éveillé-par-acquis-de-conscience, donc bouddhahs à partir de 2005, année
synchrone et cieux avec/de 1967 et 1977.
[31] Je ne vais pas développer ici les pertes que les
Observatoires InterRégionaux -(au sens d’internationaux)- des Nuages d’Ôz
-(organisation que j’ai fondée en cours de création)- aurait à endurer durant
la durée des travaux -(soit des milliers de photos et vidéos admirables
chacune, mais aussi des pertes des dessins que j’ai décorés sur les murs de
l’appartement que j’occupe -(ces dessins résultat de plus de cinquante années –
toute ma vie, dès le plus jeune âge - consacrées aux Arts et aux Sciences de
l’Art, comme à d’autres recherches permettant de sauver l’être humain du
système infernale des réincarnations, par exemple avec notre/ma création de la recette de
l’eanmeailleurs – voir plus loin le lôrYen – soit néologisme pour dire
l’expression » lien hypertexte « : un lôrYen … pour découvrir
cette recette végétarienne sur you tube).
[32] -(et des appartements semblables dans
l’empilement où se trouve le mien)
[33] -(qui plus est sociaux, par conséquent ayant
cette spécificité de faciliter l’existence des plus démunis / désespérés)
[34] -(soit le contraire de » faciliter la vie
quotidienne « des occupants de ces appartements)-
[35] -(près de la cuisine et non comme dans les
nouveaux plans au fin fond de son appartement dans la dernière de ses chambres,
ce qui est absurde)-
[36] -(que ces W.C. réalisés derrière une cloison
réduisant la surface de cette chambre au bout de son appartement, cette chambre
–[diminuée de la surface de ce W.C et de ce placard]- au bout du couloir de
chez madame Fantin, en étant contraint ici de percer une arrivée d’eau toute
spécialement et une autre pour l’évacuation de l’eau car il n’y en a pas en
raison que celles-ci -[l’arrivée et l’évacuation de l’eau]- se trouvent à
l’entrée pour la cuisine, les W. C. et la douche, etc.).
[37] -(à certains moments – mais heureusement cela
[ne] s’est produit [que] rarement)-
[38] (ce qui préserve l’intimité et la pudeur de celui
ou celle qui prend la douche qui alors ne se montre pas)
[39] -(donc au-dessus du lavabo et derrière les W. C.
, ce qui aurait pu être fait, c’est de percer cette cloison en haut sur 40 cm
–[pour faire circuler l’air et le renouveler])-
[40] -(qui a placé au centre de l’appartement
l’arrivée de l’eau et l’évacuation de l’eau parce que la douche, le lavabo et
les W.C. ont été placés à cet endroit central pour éviter aux habitants
locataires d’avoir à faire plus de chemin pour rejoindre ces W.C. et sanitaires)-
[41] -(mais aussi dans deux à trois ans après les
travaux – s’ils sont votés)-
[42] -(pour se
laver les mains, faire ses besoins, se laver les dents matin, midi et soir et
se doucher dans un espace qui ne sera plus aéré avec de l’air naturel comme
c’est le cas aujourd’hui grâce à la lucarne ou sorte de hublot carré pour
l’espace douche et lavabo - mais avec de l’air obtenu artificiellement ce qui
aura un temps un petit coût d’électricité, sauf quand viendra le tout en
énergies propres liées à la solution
alternative élégante, la saé –[S. A. É.]- de l’électricité solaire)-
[43] -(avec hélas, mille fois hélas, perte du placard
/ cagibis / petit débarras !!!)-
[44] -(si on prend un autre point de départ pour
compter, soit le point le plus éloigné de l’appartement des W.C. dans leur
emplacement actuel. 300 multipliés par 365 jours = 109 500 pas ce que
multiplié par la longueur de mon pas, 67 cm, soit 0, 67 mètre[s] =
7 336 500 cm et 73 365 mètres,
soit environ 73 kilomètres par an)
[45] -[que je ne le suis sur différents points très
importants dont
celui de mon cœur, ce qui m’interdit tout effort physique à des horaires
précis]
[46] -(donc dix fois par jour pour ce calcul
d’aller[s] et venue[s], ce qui fait vingt aller[s] simple[s] donc vingt fois en
moyenne douze pas de moyenne ampleur = 240 pas par jour)-
[47] -[et en grand-inspecteur, peut-être, et si vous permettez le nouveau Grand Architecte de l’Univers, soit le G. Ô. -(au moins depuis 2017)- qui entrera en fonction en tant que tel quand il cessera d’être constemment victime des effets secondaires de « médicaments » -(voir ici ma lettre à la doctoresse Hortense Boulanger)- imposés arbitrairement et d’aucune façon légitimement mais le fait d’un chef de service en-têté de l’hôpital Sainte-Anne qui ne croyait qu’à l’existence du mensonge y compris en matière de sevrage alors qu’au contraire je lui avais démontré depuis 2012 -(sur moi-même en guise de cobaye)- qu’il est possible d’en faire de très véritables qui marchent exactement car produits en toute[s] plus véritable[s] logique[s]]- de même qu’il ne croyait qu’au mensonge alors que je lui tenais tête en lui opposant l’existence de la Vérité pour expliquer le moindre détail de ce qui nous entoure mais aussi les idées les meilleures, donc les remèdes les plus appropriés.
[48] -(soit acronyme pour situation précise, occasion, cas particulier -[car
ici c de cas et p de particulier = k de SPOK])-
[49] -(au-dessus et au-dessous dans l’empilement dans
lequel il est rue de l’Ecole Polytechnique, [ils sont au moins quatre])-
[50] -(qui a été condamnée lors d’une des rénovations
passées de l’appartement)-
[51] -(mais cela signifierait qu’on détruise la
silhouette de mon pastel de la femme nue-oiseau sur la cloison avec la
cuisine)-
[52] -(dans ce cas bouddha s’écrit comme ça :
bouddhahs)
[53] -(au point que probablement on aura, pour éviter
des détériorations causées par l’humidité générée par une trop grande affluence
à le reproduire très fidèlement à un autre étage, voire en utilisant les quatre
appartements sur le même moule dans le même empilement -(il faudra conserver
les inscription[s] sur la porte – elles sont sacrées)- pour ces copies à
l’identique et permettre ainsi de répondre à la très grande Demande -(de
visites)- concernant l’appartement du premier empereur de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A.
H.]- à être devenu l’un des bouddhahs, en ayant accès bien entendu à la
sécurité qui existe dans l’être humain pour acquérir la conscience, par
conséquent à avoir la connaissance du sacré et des droits de l’homme, de la
femme, des enfants, des animaux pacifiques et inoffensifs, etc. )
[54] -(les cérémonies de ces mariages n’étant pas
encore advenues bien qu’elles semblent peut-être se profiler à l’horizon si
utiles à tous)
[55] Pour préciser il s’agit donc de mariages
spirituels que furent les miens, une fois redevenu bouddhahs.
[56] -(car le rendu des oiseaux encore dans un autre
style).
[57] -(ayant des planches de négatif les plus grandes
possibles)-
[58] -(car il y a parmi ces dessins d’autres animaux
et figures anthropomorphes. Nous l’avons évoqué pour la silhouette du nu de la
femme-oiseau)
[59] -(au sens que cela prouve qu’elle est possible à
atteindre par le Dessin). En fait chacun l’est encore plus que le précédent.
[60] -(ils fuient – sort de chacun d’eux - la preuve
de l’existence de la Vérité multicatégorielle et multi-dimentionnelle y compris
en matière de dessin, représentation, écritures donc Art et Sciences de l’Art
et etc.)-
[61] -(ce qui devrait réduire d’un peu les
réincarnations que vous obtiendrez sinon – des plus abjectes)-
[62] -(pourtant établies multidimensionnellement en
deux dimensions dans les trois dimensions)-
[63] -(ma fiancée. Je peux vous le montrer en photo
car il est en ce moment à Strasbourg sur le premier livre -[de poèmes]-
waterproof que j’ai eu l’honneur d’éditer)-
[64] -(en tant qu’eanmeailleurs soit de premier
empereur à être devenu l’un des éveillés-par-acquis-de-conscience, soit -[ce
qui signifie]- bouddhahs, donc parmi mes autres mérites celui, parfois, de
grand inspecteur)-
[65] -(au point d’avoir cru possible dans un moment
d’égarement d’augmenter d’autant le trajet pour rejoindre les W.C., le lavabo,
et la douche)-
[66] -(pour y ranger le caddie des courses et y
mettre, quand il y a enfant, patin-à-roulette, trottinette, landau ou/et
bicyclette pliable, parc à jeu[x] pliable, vêtements d’été l’hiver, vêtement
d’été l’hiver, couvertures et couette d’hiver l’été, une partie de la
garde-robe d’été l’hiver et celle d’hiver l’été, jouets, etc. etc.)-
[67] -(celui que vous proposez de faire -[de
placard]- à la place n’est pas intéressant pour un locataire ayant utilisé ce
mur -[où vous voudriez le placer]- situé du côté de l’entrée du séjour pour des étagères Billy de chez Ikéa)-
[68] -(dont une d’angle sur ces trois, donc faite en deux parties à angle droit)
[69] (je mesure un mètre soixante-quinze ; mes pas faisant donc grosso modo et en moyenne environ soixante-sept cm, [sauf quand je les étends pour qu’ils deviennent un mètre])-
[70] Cependant que je vous prédis qu’il faudra un
jour refaire les quatre autres appartements de cet empilement exactement comme
nous aurons réussi à conserver le mien dans l’état actuel pour répondre à la
demande de visiteurs de mon appartement, appartement (l’original)- auquel ne
pourront accéder que des chercheurs patentés en plus véritable Art et Sciences
de l’Art -(voir munis d’autorisations spéciales pour éviter de détériorer les
murs où se trouvent ces dessins)- tandis qu’aux profanes, soit aux laipis
-(acronyme de uniquement laïcs,
strictement athées, ignorants, profanes, inconscients
et /ou sacrilèges, au sens positif et
négatif de ces six mots)- et aux autres, reviendra l’honneur d’accéder aux
duplicata -(de l’appartement que j’occupe)- où devront être reconstitués mes
dessins / décorations à l’identique -(soit à partir des originaux si vous
respectez mon conseil en cessant enfin cette réhabilitation au profit d’une
beaucoup plus sage rénovation au cas par cas)- soit à partir des photos que
vous aurez prises en n’oubliant pas de m’en donner copies. Aussi je vous
conseille d’avance de ne pas toucher non plus aux quatre appartements sur le
même modèle que le mien, cela évitera d’avoir à les reconstituer comme nous
devons conserver le mien avec ses décorations originelles et originales
exceptionnelles.