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à Michèle Finck 

                                                                                                                                                             le 11 d'Avril 2021

Pour apporter de l’eau aux moulins qui œuvrent pour la fin des abattoirs des APIK

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N. B. : à la suite de ce texte vous trouverez celui-ci sans notes de bas de page pour une lecture différente -(si cela vous dit)- si vous préférez.

 

Si nous devions nous conduire plus justement, c'est à dire en conscience, nous ne nous accorder[i]ons pas le droit[1] de porter atteinte[s] aux animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes et/ou gallinacés[2], ces APIHQ[3] ^{et [4]} nous fournissant des matières premières comme celle, géniale, du lait et de ses nombreux dérivés comme les produits laitiers -(dont les nombreuses variétés de fromages).

 

Pour ce qui est du cochon[5], il est celui qui, dans la ferme, mange toutes sortes de déchets[6], soit parmi ceux-ci aussi ceux des aliments végétariens qui ont vocation[7] de servir à fabriquer du compost, soit à terme de la nouvelle terre[8], donc participe à sa façon à la propreté de cette ferme, (point central de l’Économie s’appuyant sur l’Agriculture depuis de nombreux millénaires).

 

Aussi il est enfin possible en occident -(comme depuis longtemps en Inde en Orient)- d’être respectueux de la vie des animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes[9] démunis de canines[10] et gallinacés et cela depuis que les échanges commerciaux intercontinentaux nous offrent[11] continuellement accès à des légumes et des fruits des saisons chaudes[12], ce qui advient grâce à la complémentarité de l’hémisphère Sud de celui du Nord où nous habitons à Paris.

 

En effet, quand nous sommes en hiver dans le froid, dans l’hémisphère Sud c’est l’été avec la cueillette de tous les fruits et légumes -(dont le raisin pour le vin)- que nous [n’]aurons à notre disposition, poussant dans nos régions, qu’environ six mois après.

 

Aussi devenir végétarien[s] en raison de ce que nous respecter[i]ons enfin l’ensemble des APIQH / APIK[13] est une sorte de garantie pour toute l’Économie, soit l’Économie à l’échelle planétaire[14]. C’est pourquoi il faut, de tout notre cœur, être pour -(cette mondialisation des échanges), ce qui exclut le nationalisme -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK[15]), au sens de rRégionalisme[16] en pouvant même en devenir l’un des moteurs -(de l’Economie)- parce que nos cœurs respectifs nous disent avec ceux de nos meilleurs enfants et/ou petits enfants qu’ils ne veulent plus faire du mal à ces APIQH / APIK, parce qu’ils ne font pas de mal à une mouche. Ces enfants-là ou/et nos petits-enfants pensent ainsi de façon juste / éminemment respectable. Nous ne pouvons pas les décevoir. Ils ont raison. Ils sont dans le vrai[17]. Ils voient loin en renonçant à ce que des animaux gentils soient maltraités en étant élevés à des fins de boucherie. Aussi pour eux et les enfants de l’avenir leur ressemblant nous cesser[i]ons de nous comporter injustement / iniquement et nous verr[i]ons disparaître les scènes de maltraitance animale des APIQH ou/et APIK[18] et gallinacés[19], la mort disparaissant alors à jamais.

 

Je remercie publiquement ma fiancée Michèle de m’avoir envoyé cette pétition -(https://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-souffrance-animale-abattoirs-fermeture-abattoirs/119137?source=cross&provCross=cross1)- à signer, ce qui me donne l’occasion de m’exprimer un peu, ce que j’ai commencé à faire depuis quelques années sur mon site Internet de granier.laury.free.fr notemment dans les rubriques » lettres envoyées « ou/et » les articles «, voire parfois sur ma page Face Book : https://www.facebook.com/laurie.granier.3.  mais aussi dans ce film https://youtu.be/B5-6MekG9Nk qui -[y]- est[20] visible gratuitement[21] et que je vous envoie / adresse pour vous soutenir dans votre cause[22] à laquelle tout véritable homo sapiens sapiens devrait naturellement adhérer, s’il était véritablement honnête et cohérent avec la meilleure partie de lui-même, en raison des solutions alternatives élégantes[23] comme cette dernière de l’eanmeailleurs dont je suis aussi l’auteur : https://youtu.be/OauwY0zSBsA, contribution qui s’ajoute à la liste déjà longue de toutes les autres délicieuses / exquises / divines, etc. S. A. É. existantes.

 

On le sait nous vivons depuis quelques années avec Internet aux temps de la civilisation des mises-à-jour[24], ce qui signifie qu’Il y a donc une sorte de mise-à-jour[25] à collectivement faire en donnant le temps et en respectant tous ceux qui ont des difficultés à devenir végétariens en raison des mauvaises habitudes qu’ils ont souvent prises à leur insu dès leur[s] enfance[s] respective[s] en croyant possibles poursuivre leur[s] existence[s] dans ces mœurs héritées[26] remontant[s], hélas, infiniment hélas[27], aux temps préhistoriques[28], idées qu’ils ont partagées avec des personnes auxquelles ils se sont attachés sentimentalement au point de les croire dans le juste quand elles continuaient à dire qu’il fallait aller à la chasse aux APIK, alors que l’élevage était alors considéré la solution alternative élégante, ce qu’elle ne fut qu’à première[s]-vue[s] et n’est en définitive pas du tout puisque nous avons vu plus haut que c’est en définitive manquer de cœur -(ce qui est le propre des hommes les plus véritables - avoir du cœur - qui sont de ce fait capables de clémence[s], voire de compassion[s])- et la plus véritable S. A. É. : toujours celle du bouddha de l’indouisme en nous prescrivant[29] de devenir végétarien, car hélas, infiniment hélas, l’élevage participe grandement du/au réchauffement planétaire et de/à l’effet de serre, par conséquent est une des causes de la désertification, une autre raison[30] pour laquelle il vaut la peine de se battre[31] gentiment -(donc si possible comme nous ici de façon non violente, par l’entremise du secours / recours à la Vérité qui, on vient de le voir, est[32] plutôt complexe)- ce qui confirme qu’on doit le[33] considérer comme une forme de maltraitance animale : en fait[34] un abus de confiance -(ce qui, nous le savons tous, en conscience n’est pas licite) : on élève alors les animaux le mieux du monde possible avec Radio Classique ou/et France Musique[35] dans les étables, mais pour les amener à l’abattoir, donc en fin de compte[s] en ayant trompé ces trop confiants APIHC et les maltraiter[36]. Mais est-ce qu’il ne vaut pas mieux cela : la musique classique dans les fermes, le soir, derrière les barreaux à l’étable que les maltraiter plus ou moins continuellement en ne leur donnant pas assez d’espace vital en pleine air? Au moins auront-ils été heureux d’entendre de la belle musique pour nous donner un lait -(probablement)- d’encore meilleure qualité pour faire un meilleur beurre, une meilleure graisse ou/et margarine, une meilleure crème, une meilleure chantilly, de meilleurs yaourts et des meilleurs fromages. C’est donc, cette musique à l’étable, une souhaitable étape vers la fin de l’élevage à des fins de boucherie quand tous auront mangé de l’eanmeailleurs grâce à la Mondialisation des Échanges[37].

 

Merci.    

 

Vos dévoués serviteurs

Laurent-Marie Granier :..

les eanmeailleurs d’Ôz.

 

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 Texte ci-dessus sans notes de bas de page:

 Pour apporter de l’eau aux moulins qui œuvrent pour la fin des abattoirs des APIK

CARE 10

  

Si nous devions nous conduire plus justement, c'est à dire en conscience, nous ne nous accorder[i]ons pas le droit -(depuis les âges du début de l'Agriculture nous ayant appris à labourer la terre pour nous nourrir de produits végétaux que nous avons appris à exporter et/ou importer grâce aux commerces les plus véritables)- de porter atteinte aux animaux pacifiques et inoffensifs quadrupèdes herbivores et/ou gallinacés -(nous offrant en échange de leur protection à/dans la ferme, des œufs pour nous faciliter la réalisation de pâtisseries, voire d’omelettes et etc.)-, ces APIQH ou/et APIK -(en échange de leur protection)- nous fournissant des matières premières comme celle, géniale, du lait et de ses nombreux dérivés comme les produits laitiers -(dont les nombreuses variétés de fromages).

 

Pour ce qui est du cochon -(une sorte de poubelle vivante)- il est celui qui, dans la ferme, mange toutes sortes de déchets probablement par sotte gourmandise et sans scrupule[s] de conscience, soit parmi ceux-ci aussi ceux des aliments végétariens qui ont vocation -(comme destinée)- de/à fabriquer du compost, soit à terme de la nouvelle terre -(nécessaire pour lutter contre les déserts), donc participe à sa façon à la propreté de cette ferme, point central de l’Économie s’appuyant sur l’Agriculture depuis de nombreux millénaires.

 

Aussi il est enfin possible en occident -(comme depuis longtemps en Inde en Orient)- d’être respectueux de la vie des animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes -(les APIQH ou/et APIK, acronyme : –[K = H + Q et/ou dans d’autres cas C + P]- démunis de canines – voire les ayant très peu développées dans leur gueule, en raison qu’elles sont une lointaine trace de réincarnations précédentes moins pacifiques)- et gallinacés et cela depuis que les échanges commerciaux intercontinentaux nous offrent -(avec le matériel Hi-Fi des chaines stéréos et des ordinateurs)- continuellement accès à des légumes et des fruits des saisons chaudes -(alors que nous sommes plongés dans la fin de l’automne, l’hiver et le printemps, soit dans les saisons les plus fraîches), ce qui advient grâce à la complémentarité de l’hémisphère Sud de celui du Nord où nous habitons à Paris.

 

En effet, quand nous sommes en hiver dans le froid, dans l’hémisphère Sud c’est l’été avec la cueillette de tous les fruits et légumes -(dont le raisin pour le vin)- que nous [n’]aurons à notre disposition, poussant dans nos régions, que six mois après.

 

Aussi devenir végétarien[s] en raison de ce que nous respecter[i]ons enfin l’ensemble des APIQH / APIK -(qui ne font pas de mal à une mouche, donc qui sont adorables. Par conséquent qu’il est totalement injuste de tuer / manger / persécuter / etc. -(dont, hélas, infiniment hélas, par le biais des » vivisecteurs «)- est une sorte de garantie pour toute l’Économie, soit l’Économie à l’échelle planétaire -(ça tombe bien : on ne fait que parler de » mondialisation des échanges « -(nous l’avons dit plus haut avec l’exemple des radios, etc.). C’est pourquoi il faut, de tout notre cœur, être pour -(cette mondialisation des échanges), ce qui exclut le nationalisme au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK -(acronyme de situations précises, occasions cas particuliers -[car ici c de cas et p de particulier = K de SPOK]), au sens de rRégionalisme – ce mot écrit ainsi » rRégion « est synonyme de nation / pays)- en pouvant même en devenir l’un des moteurs parce que nos cœurs respectifs nous disent avec ceux de nos meilleurs enfants et/ou petits enfants qu’ils ne veulent plus faire du mal à ces APIQH / APIK, parce qu’ils ne font pas de mal à une mouche. Ces enfants-là ou/et nos petits-enfants pensent ainsi de façon juste / éminemment respectable. Nous ne pouvons pas les décevoir. Ils ont raison. Ils sont dans le vrai. Ils voient loin en renonçant à ce que des animaux gentils soient maltraités en étant élevés à des fins de boucherie. Aussi pour eux et les enfants de l’avenir leur ressemblant nous cesser[i]ons de nous comporter injustement / iniquement et nous verr[i]ons disparaître les scènes de maltraitance animale des APIQH ou/et APIK -(K pour Q + H) et gallinacés -(et/ou autres oiseaux ou/et animaux producteurs d’œufs).

 

Je remercie publiquement ma fiancée Michèle de m’avoir envoyé cette pétition à signer, ce qui me donne l’occasion de m’exprimer un peu, ce que j’ai commencé à faire depuis quelques années sur mon site Internet de granier.laury.free.fr notemment dans les rubriques » lettres envoyées « ou/et » les articles «, voire parfois sur ma page Face Book : https://www.facebook.com/laurie.granier.3.  mais aussi dans ce film https://youtu.be/B5-6MekG9Nk qui -[y]- est -(à ce laurYen – se dit » laurYen « pour -[un]- » lien hypertexte «)- visible gratuitement -(bien qu’il ait nécessité dix années de travail)- et que je vous envoie / adresse pour vous soutenir dans votre cause -(qui est une des miennes)- à laquelle tout véritable homo sapiens sapiens devrait naturellement adhérer, s’il était véritablement honnête et cohérent avec la meilleure partie de lui-même, en raison des solutions alternatives élégantes -(S. A. É.)- comme cette dernière de l’eanmeailleurs dont je suis aussi l’auteur : https://youtu.be/OauwY0zSBsA , contribution qui s’ajoute à la liste déjà longue de toutes les autres délicieuses / exquises / divines, etc. S. A. É. existantes.

 

On le sait nous vivons depuis quelques années avec Internet aux temps de la civilisation des mises-à-jour, ce qui signifie qu’Il y a donc une sorte de mise à jour à collectivement faire en donnant le temps et en respectant tous ceux qui ont des difficultés à devenir végétariens en raison des mauvaises habitudes qu’ils ont souvent prises à leur insu dès leur[s] enfance[s] respective[s] en croyant possibles poursuivre leur[s] existence[s] dans ces mœurs héritées -(à l’époque sans mise[s] à jour)- remontant[s], hélas, infiniment hélas -(pour eux et pour nous tous)- aux temps préhistoriques -(dans ces contextes familiaux les responsables de leur éducation ignoraient que la plus véritable Histoire commence avec l’éclosion de l’Agriculture végétarienne en Orient, grâce, entre autres, aux bouddhas de l’indouisme)- idées qu’ils ont partagées avec des personnes auxquelles ils se sont attachés sentimentalement au point de les croire dans le juste quand elles continuaient à dire qu’il fallait aller à la chasse aux APIK, alors que l’élevage était alors considéré la solution alternative élégante, ce qu’elle n’est pas du tout puisque nous avons vu plus haut que c’est en définitive manquer de cœur -(ce qui est le propre des hommes les plus véritables - avoir du cœur - qui sont de ce fait capables de clémence[s])- et la plus véritable S. A. É. : toujours celle du bouddha de l’indouisme en nous prescrivant de devenir végétarien, car hélas, infiniment hélas, l’élevage participe grandement du/au réchauffement planétaire et de/à l’effet de serre, par conséquent est une des causes de la désertification, une autre cause / raison pour laquelle il vaut la peine de se battre gentiment -(donc si possible comme nous ici de façon non violente, par l’entremise du secours / recours à la Vérité qui, on vient de le voir, est – pour éviter de blesser l’autre dans ses certitudes fallacieuses dont on sait l’origine sentimentale, par conséquent respectable - plutôt complexe)- ce qui confirme qu’on doit le considérer comme une forme de maltraitance animale : en fait un abus de confiance -(ce qui, nous le savons tous, en conscience n’est pas licite) : on élève alors les animaux le mieux du monde possible avec Radio Classique ou/et France Musique -(avec/sur ce matériel Hi-Fi souvent importé grâce à la Mondialisation des Échanges)- dans les étables, mais pour les amener à l’abattoir, donc en fin de compte[s] avoir trompé ces confiants APIHC et les maltraiter -(ne pas respecter leur droit à la vie et à bénéficier de protection en raison de ce qu’ils nous offrent, comme par exemple la laine pour nous couvrir une fois cardée et peignée après leur[s] tonte[s]). Mais est-ce qu’il ne vaut pas mieux cela : la musique classique dans les fermes, le soir, derrière les barreaux à l’étable que les maltraiter plus ou moins continuellement en ne leur donnant pas assez d’espace vital ? Au moins auront-ils été heureux d’entendre de la belle musique pour nous donner un lait -(probablement)- d’encore meilleure qualité pour faire un meilleur beurre, une meilleure crème, une meilleure Chantilly, de meilleurs yaourts et des meilleurs fromages. C’est donc, cette musique à l’étable, une souhaitable étape vers la fin de l’élevage à des fins de boucherie quand tous auront mangé de l’eanmeailleurs.

 

Merci.    

 

Vos dévoués serviteurs les eanmeailleurs d’Ôz.

 

 

 

 

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