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Copie de ma lettre à "One Voice" suite à la canpagne d'affichage du 8 octobre 2003

 

Bravo, je suis avec vous et de tout cœur! J'ai vu votre campagne d'affichage, c'est très fort et cela devrait marquer plus d'un esprit.

Il faut donc faire vite et faire cesser la souffrance animale et végétale de toutes les manières, où qu'elle soit (plantes à bulbe et à racine y compris - on ne doit pas utiliser de bulbe pour se nourrir, ne vous en déplaise, car ce sont des sources de vie et ces bulbes ont le même droit fondamental à la vie que nous, naturellement comme tous les êtres vivants - comme les bulbes des fleurs : on peut cueillir une fleur mais celui qui arrache sans replanter la racine ou le bulbe d'où provient la fleur est une sorte d'assassin!

En échange de la sauvegarde de ces plantes et de ces bulbes nous cueillerons certaines de leurs fleurs, de leurs feuilles pour nous en nourrir, mais nous aurons à cœur de préserver leur genèse, c'est à dire la source d'où provient la vie de ces feuilles, de ces fleurs qui nous seront à tous d'une grande utilité alimentaire).

Merci vraiment beaucoup de votre initiative, de votre action et de votre combat en faveur des animaux, vous voyez qu'il reste aussi d'autres combats à mener. Commençons donc par celui-ci.

Il faut utiliser dans n(v)otre (ce) combat un argument de poids: le droit d'auteur (il est d'actualité et unanimement revendiqué et reconnu et cela grâce et depuis Beaumarchais qui s'est battu pour que les auteurs puissent enfin vivre des leurs œuvres. Comme vous le savez, il s'applique aussi à la photographie, et à toutes les œuvres audiovisuelles). Ce droit est revendiqué notamment dans le monde du spectacle et de la télévision, comme dans celui du cinéma. Il est devenu un droit fondamental reconnu pour tous ceux qui inventent y compris pour les peintres et les artistes qui peuvent ainsi toucher ce que l'on appelle un subside provenant des droits de représentation éventuelles et de reproduction. Il devrait aussi s'appliquer, par extension de la notion, aux animaux et aux végétaux qui sont filmés et vidéographiés partout sur la planète par les milliers de caméras existantes et depuis quelques temps par des web-cam et de ce fait deviennent les acteurs des enregistrements diffusés. Nous pourrons considérer, il me semble, de façon honnête et à juste titre, qu'ils seront aussi les auteurs puisqu'en étant les acteurs (involontaires), ils sont aussi auteurs de leurs propre corps, de leurs propre genèse, du développement de leur croissance intrinsèque et que par conséquent ils ont une forme toujours originale et différente et qu'en ce sens il y a création et par conséquent œuvre. D'ailleurs l'ensemble des animaux et des plantes vivantes ont toujours été considérés comme "la Création" et ce mot contient donc la notion d'Art qui lui est intrinsèquement consubstantielle. Ils est donc grand temps de reconnaître dans nos textes cette notion d'auteur-acteur de l'ensemble des animaux et des végétaux qui servent dans les décors et/ou les toiles de fond de nos films, vidéos ou programmes télévisés. Ne pas le faire ne serait pas honnête de la part de l'ensemble des professionnels des arts audiovisuels qui doivent enfin reconnaître ce qu'il doivent dans leur art à ces divers éléments qui ont toujours été classifiés dans les "plans de travail" dont se sert l'ensemble d'une équipe de cinéma, comme des "acteurs", des "figurants". Il me semble que l'on a oublié la notion d'auteur injustement dans le sens où chaque être devient aussi le miroir de son âme et de la lignée qui l'a précédé, il est le produit et le résultat de l'ensemble des croisements de ses parents et grands-parents et par conséquent original et c'est pour cela que l'auteur-réalisateur-cinéaste choisira tel cheval plutôt que tel autre, tel arbre dans le champ du viseur de la caméra plutôt que celui d'à côté, car ce qui importe dans la création d'une image c'est la forme que l'on observe, sa couleur, son expression,etc…

C'est donc pour ces simples raisons que chaque chose en ce monde peut être considérée comme originale (et nous ne parlerons pas ici des clones, ou des produits manufacturés ou industriels, copies de copies, etc, qui contredisent cette idée, dans le sens qu'ils sont des reproductions et que parce qu'ils sont les multiples d'un produit original, ne sont pas considérés comme originaux eux-mêmes et donc ont les prix que l'on connaît, ce qui permet par ailleurs de baisser les coûts de ces produits, et de les démocratiser à grande échelle si on les fabrique en grand nombre) est qu'il est temps de reconnaître cette notion d'auteur de leur être propre à chaque homme, chaque animal et chaque plante et donc de la respecter comme telle, y compris les bandits ou les êtres peu recommandables qui, malgré tout et n'étant surtout pas placés du bon côté, sont les auteurs de leur âme et c'est d'ailleurs pour cela que dans un casting on choisira une tête plutôt qu'une autre, même quand il s'agit de figuration, non pas qu'il est ici de délit de faciès ou que l'on condamne quelqu'un sur sa gueule mais il s'est avéré depuis que le théâtre et les arts de la représentation existent que l'on préfère (en tant que metteur en scène) choisir telle personne plutôt que telle autre pour incarner un rôle, sur des critères originaux des personnes que l'on a devant soi; il s'agit de son aspect extérieur, de la couleur de ces cheveux, du son de sa voix, etc. et c'est l'ensemble de ces éléments qui déterminera le metteur en scène ou le directeur de casting pour confier à quelqu'un un rôle plutôt qu'à une autre personne, en fonction surtout de l'idée qu'il se fait du personnage à jouer qui, elle, naît de plusieurs paramètres que sont à la fois l'expérience de vie (d'auteur donc) du metteur en scène et donc aussi sa culture, sa sensibilité etc.. (je ne vais pas ici retrouver l'ensemble des idées clés et fondamentales qui justifient pour toujours le combat de Beaumarchais qui a heureusement donné naissance à ce droit qui permet à de nombreuses personnes de vivre aujourd'hui de leur art).

Et pour revenir à nos moutons (et surtout pour pouvoir les protéger) chaque animal devrait posséder donc, d'un point de vue légal, comme l'homme un droit d'auteur consubstantiellement lié à la notion d'acteur réel ou virtuel (à venir ou pas) qu'il faut donc faire admettre dans toutes les législations différentes des pays de la planète, et une lutte ici s'impose dans cette optique et peut-être faut-il commencer tout de suite par l'ONU, car il est important de gagner la bataille sur ce point rapidement - nous pouvons ainsi gagner du temps, sauver des vies et éviter de faire souffrir ces pauvres bêtes comme c'est encore malheureusement le cas que vous avez bien fait de rappeler).

Chaque animal encore vivant de la planète doit être et peut donc être considéré comme le propriétaire légal de son image. Et comme vous le savez, les animaux ont eu la noblesse de ne pas se révolter contre les iniquités commises et ils n'ont pas cherché encore à réclamer les royalties qui leur reviennent alors qu'il serait en droit légal de le faire, si cette idée d'élargissement de la notion du droit d'auteur pouvait prendre corps dans les consciences juridiques et si elle était finalement admise dans les faits, dans les textes de nos législations surannées respectives donc dans tous les codes civils de Justice de la planète - puisque, sur ce point précis, aucune réflexion, ni débat public n'ont eu lieu et qu'il me semble que les textes relatifs au droit d'auteur datent d'avant l'introduction massive de la TV dans la plupart des foyers dans le monde ou du moins, si la législation a été modifiée par la suite, elle ne tenait pas compte à l'époque des droits fondamentaux d'auteurs des 'personnes' animaux, puisque la génération précédentes qui a rédigé le texte de ces lois était elle-même l'héritière d'une génération n'ayant pas eu la chance, comme la notre, d'avoir accès à cette fenêtre changeante dans l'espace et le temps en permanence qu'est la Télévision et que par conséquent elle n'a pas eu le temps de réfléchir en profondeur à cette notion n'ayant pas encore devant elle tout les éléments du problème.

Je propose donc que votre noble organisation se charge de ce combat et de récupérer d'une seule voix (One voice) légalement auprès de toutes les chaînes de télévision du monde l'ensemble des royalties qui reviennent de droit aux animaux qui ont été filmés, (souvent sans leur consentement, hélas et de façon abusive par rapport à la morale ou à l'éthique d'une conscience qui se fonderait sur le cœur et cela dans les airs, sur terre et dans les mers) et qui, même s'ils ne devaient plus être de ce monde, comme ces millions d'animaux aujourd'hui morts, ont pourtant à récupérer leur droits "d'auteur" ou devraient avoir le droit légal d'en faire profiter, par les biais d'avocats qui se chargeraient de le faire admettre partout, en héritage leurs cousins ou leurs descendants, en tout cas votre organisation qui lutte contre les animaux maltraités partout où c'est le cas.

 

La manne qui devrait découler de ces justes requêtes devrait ainsi servir v(n)otre combat pour protéger, dans un premier temps les animaux qui souffrent injustement et qui sont ainsi torturés abusivement ou, si j'ose dire "vivi-sectionnés" (c'est à dire privés de vie) et nous conduire ainsi vers un monde plus juste!

 

Il devrait en aller de même pour toutes les images qui ont été prises des arbres et des forêts, car bien qu'elles sensibilisent l'homme au patrimoine naturel de la planète, elles offrent aux spectateurs de véritables œuvres d'art (des tableaux mouvants de la nature) et il est inconcevable que les hommes qui tirent bénéfice de ces images (pour le moment volées) ou qui nous ont été offertes gratuitement par la création du monde (en tout cas sans le consentement explicite des arbres et des plantes!) ne leur reversent pas une sorte de "droit d'auteur" puisque c'est de la trace d'eux-mêmes (arbres ou plantes) jaillie sur la pellicule que naît ainsi l'œuvre cinématographique elle-même, vue par le spectateur.

Je propose donc que par la même occasion un droit de vie soit accordé à chaque plante ainsi filmée ou virtuellement en état de l'être puisque les images de celles-ci sur les pellicules photographiques, cinématographiques ou vidéographiques du monde pourront servir un jour d'une façon ou d'une autre (soit à la télévision, soit par Internet) et qu'elles sont en réalité chacune d'elles l'équivalent des traces peintes à Lascaux ou dans la grotte Chauvet, il y 20 000 ans et nous savons aujourd'hui, 20 000 ans après ce que ces peintures génèrent heureusement comme profit grâce à leur mise en valeur!

Or en réalité, il n'est pas malhonnête de penser que les images photos, cinéma ou vidéo + celles maintenant des web-cams, sont comme ces peintures de Lascaux, bien que peintes de matière numériques (ou analogiques) sur les affichages de nos écrans respectifs, et, sans aller jusqu'à Lascaux, on peut aussi penser à toutes les peintures du monde, aujourd'hui dans le domaine public et qui sont devenues des images photographiques cinématographiques ou des cd-rom et qui, lorsqu'elle sont reproduites dans des livres, ou sur de simple tee-shirts, sont capables de générer- elles aussi- les profits dont on peut consulter les montants auprès de ceux qui se sont chargés du travail et qui payent de justes impôts et cette taxe pour la valeur ajoutée, taxe dont une partie de la somme devrait revenir de droit pour la protection des animaux, car cette valeur ajoutée à bien des égards l'a été sur leur dos: qu'ils soient animal ou végétal, c'est sur leur existence et leur sacrifice (qu'ils n'ont jamais souhaités) que c'est malheureusement bâtie en partie cette civilisation, qui, nous le savons, est en Occident encore beaucoup trop cruelle, alors qu'en Orient, en Inde ou au Tibet, par exemple, on est mis justement en prison si l'on tue une poule ou un canard et j'imagine que les peines doivent être justement encore plus fortes si on a filmé cela ou pris une photo, car non seulement cette photo sert de témoignage, mais elle constitue un viol et vol du sujet maltraité (cependant nous voyons qu'elles sont utiles, dans le cas de votre campagne d'affichage aussi car elles témoignent maintenant aux yeux de tous de l'Inadmissible, de l'Enfer, de la Cruauté et du combat qu'il nous faut tous mener en solidarité avec ce petit singe maltraité, comme si c'était nous que l'on cherchait ainsi à aveugler en fermant nos yeux à jamais et en les cousant ainsi de cette immonde façon. Nous refusons que les yeux des hommes soient aveuglés par ceux qui cherchent sadiquement cela. Nous devons combattre!) Aussi parce que nous avons connu, grâce à la télévision et par les l'existences des documentaires que l'on peut admirer les cousins encore heureusement en liberté, en "liverté" au sens anglais du terme "live"+ "liberté" du français mélangé en ce néologisme européen de rigueur aujourd'hui où les langues s'entremêlent et se métisse et que l'on voudra bien m'accorder ici. Permettez-moi aussi de parler, arrivé à ce point de mon raisonnement, des musées ou des expositions qui sont un arguments de plus en ce sens que nous avons vu, ce quart de siècle-ci une affluence importante de personnes désireuses de s'instruire et/ou de contempler les arts des civilisations passées, expositions qui se sont heureusement révélées profitables ou juteuses pour les organisateurs et qui génèrent continuellement des nouveautés en la matière, je veux dire de nouveaux cadeaux qui nous sont fait grâce aux importants trésors dont nous disposons sur tous les continents et qui ainsi rassemblés nous offrent le témoignage de la grandeur et des savoir faire de nombreux ancêtres qui se sont révélés de fins observateurs et souvent de véritables artistes-enchanteurs ce dont nous profitons aujourd'hui encore. J'ajoute ici l'idée que la plupart des peintres ont peint des animaux et des plantes qui sont morts aujourd'hui, nous devons à ces animaux ou à ces plantes du passé qui nous donnent encore du plaisir et nous ravissent encore, lorsque nous les admirons, dans ces œuvres d'art, des royalties, nous les offrons en pensée du moins sous la forme d'une reconnaissance méritée (puisque ces peintures, ancêtres de nos vidéos sont aussi le témoignage du temps qui passe et des époques qui se succèdent).

 

Il en découle donc, vous l'aurez compris, une nécessité absolue de refondre toutes les législations des pays de la planète pour inciter tous les gouvernements à obliger les spectateurs des TV à payer une contribution générale obligatoire sur leurs redevances respectives, pour protéger ainsi de façon légitime les animaux et les plantes, car avec cette source de financement il sera logique de pouvoir enfin protéger la plupart des forêts (encore pillées par des bûcherons sans scrupules) et tous les animaux (chassés ou torturés) en embauchant pour cela, peut-être même ceux-là mêmes qui les torturaient ou avaient plaisir à pratiquer de la vivisection (qui n'a jamais servi qu'à faire souffrir de pauvres animaux innocents) pour les convertir à l'admirable spectacle qu'offrira ainsi la nature "livérée" (cf. ci-dessus, mot que j'ai forgé sur le modèle du précédent néologisme "liverté") .

 

Donc les animaux ont le droit de vivre car ils sont filmés et leurs images servent de témoignage dans les postes des télévisions - elles ont une importances certaines auprès des spectateurs chez qui elles interagissent car ils les aperçoivent dans des documentaires, mais également dans n'importe quel films où les animaux apparaissent - et depuis que les films de fiction sont tournés en extérieurs, il n'est pas rare qu'ils apparaissent bien souvent, mais aussi dans de nombreuses émissions sur le cirque sous les chapiteaux, vous avez raison de le souligner. (Sur ce point j'ai pensé que les nombreuses images dont nous disposons devraient maintenant suffire pour contenter tous les amateurs de cirque du monde qui peuvent s'y référer ou qui les obtiendront bientôt par Internet. Je suis d'accord avec vous aussi qu'il faut cesser de les considérer comme des animaux de foire ou "de cirque", car bien qu'il puisse y avoir (et se serait injuste de ne pas le reconnaître ici) un véritable amour et une grande amitié ou affinité entre le montreur d'ours et son ours, ou entre les "maîtres" et leurs animaux, il n'en demeure pas moins qu'ils sont dans des cages et souvent punis pour arriver à amuser le public. Et nous devons aussi reconnaître au cirque que pendant un temps c'est grâce à son existence que peut-être il y a eu moins de chasseurs ou de tortionnaires d'animaux. Mais les temps ont changé, la caméra nous a habitués à voir les animaux libres dans leurs éléments respectifs et si nous voulons les mettre en cage nous contrevenons à notre époque, car si certains s'attachent encore à l'existence des zoos, ils ont tort de le faire, car mettre un animal en prison n'est pas digne de l'homme. S'il tient à mettre en cage ou en bocal les animaux, qu'il le fasse par le biais de la télévision, en alignant en aquarium disposés comme dans les magasins qui vendent les TV, des écrans sur lesquels passeront en boucles des films sur chaque oiseau ou poisson dont on souhaite avoir des informations, comme c'est le cas aujourd'hui dans les merveilleux documentaires que l'on pourrait ainsi rassembler dans des Zoo audiovisuels. Il est inconcevable aussi, à notre époque nourrie par les films du commandant Cousteau que l'on assiste à la mise en aquarium des poissons! Les images de ces mêmes poissons vus en liberté dans leur élément liquide sur les écrans de nos télévisions sont ainsi révélées comme dans des sortes de bocaux (les télévisons sont les aquariums de notre époque), tout compte fait moins chers que les vrais aquariums inhumains, et qui évitent ainsi la souffrance de la prison ce qui, comme vous le savez permet des proximités entre poissons qui s'évitent souvent naturellement dans la vie car il ne se fréquente pas d'habitude les mêmes fonds ou même s'évitent - je veux dire pour être clair ici que ce sont des poissons d'espèces différentes. Il s'agit aussi pour eux d'une torture psychique et les responsables de ces lieux de "divertissement" devront changer de tac-tique s'ils ne veulent pas un jour connaître la prison, car il s'agit ici aussi, comme pour les dauphins ou les animaux montrés, d'un véritable viol qui a été pratiqué sur la personne de ces mammifères qui avaient droit à leur existence d'êtres libres, comme nous le sommes tous. La solution est donc télévisuelle (je ne suis pas docteur en Art et Sciences de l'Art (cinéma-télévision-audiovisuel) de l'Université de Paris I-Sorbonne pour rien et si j'ai tant peiné pour en arriver ici dans mes nombreuses études c'est pour que mes conclusions puissent servir à tous, y compris à One Voice qui est l'une des seules voie(x) possible pour tirer d'affaire l'ensemble de ces animaux souffrant aujourd'hui).

C'est pourquoi les chaînes de télévision du monde entier devront beaucoup d'argent également à tous les animaux morts au cours du siècle passés (je pense ici à ceux qui sont visibles sur les champs de bataille) où la caméra a pu filmer ainsi et engranger des quantités immenses d'images qui doivent être mises au services des hommes, bien sûr, pour les dégoûter de la guerre mais pour confirmer que nous devons nous battre pour la reconnaissance des droits élémentaires à la vie de tous les animaux de cette planète car il s'est avéré heureusement, dans la majorité des pays du monde, que les hommes et leurs enfants préfèrent assister à des documentaires sur la vie des animaux vivants pour apprendre à les comprendre et les admirer vivants, en les observant dans cette encyclopédie vivante expliquée par des spécialistes que peut-être la TV, quand elle est dans de bonnes mains, plutôt qu'à des spectacles de chasses destinés à tuer ces animaux et qui sont hélas les tristes héritages de temps anciens heureusement à jamais révolus, et je suis sûr ainsi qu'aucun homme qui a un peu gardé de son cœur d'enfant des premières années de son existence ne peut vraiment vouloir le meurtre d'un animal ou d'une plante de son plein gré, après avoir vu aussi un grand nombre de documentaires sur les sujets - s'il est dans ce camp malheureux de ceux qui poursuivent ainsi de minables expériences sur de pauvres bêtes, il faut le considérer comme une victime et non seulement comme un coupable - l'origine de tout cela vient d'un manque de logique de l'Occident qui n'a pas compris, comme en Orient, que les animaux étaient des êtres sacrés que l'on ne devait pas manger et qui nous avaient été donné pour que nous puissions, en échange de leur protection contre la méchanceté (atavique et génétique) des tigres et des hommes, disposer du lait, de la laine, du beurre et des fromages qui nous étaient nécessaires, ou même des œufs. Au lieu de cela les occidentaux ont continuer à privilégier la chasse qui devait être réservée dans de certaine conditions extrêmes par exemple pour se protéger des loups qui risquaient de nous manger ces mêmes animaux dont dépendait en partie notre existence.

Nous le voyons, il me semble, que c'est clair pour tous. Ce sont donc des victimes qui sont logiques avec elles-mêmes et qui se disent bêtement: "puisque nous mangeons des animaux alors cela veut dire qu'on peut les utiliser comme on le veut". Et c'est là qu'il commettent tous l'impardonnable et l'inadmissible car ils ont oublié la logique du Vrai qui implique un certain comportement dans la vie. Car c'est ici, à la base même que leur raisonnement est faux: puisqu'il est logique de ne pas les manger puisqu'on ne peut pas manger celui qui nous offre tant par ailleurs ou ses petits sous peine de ne plus être considéré un homme digne de ce nom!

 

Du cœur pour les animaux, cela veut dire aussi ne pas les manger! car si on aime la vie parce qu'on reconnaît aussi aux animaux les nombreux bienfaits qu'ils nous offrent (qu'ils nous procurent par les aliments sains que sont les produits dérivés du lait, et nous l'avons vu, ci-dessus, par les images) nous ne pouvons pas continuer à mettre à mort ces animaux ou même leur petits pour notre seul plaisir gastronomique et cette "passion de viande ou du poisson" qui oublie que le cœur est la source et le moteur même de notre civilisation à venir ou du moins celui des hommes véritables!

Les hommes devront donc choisir entre le plaisir de voir et regarder à la télévision dans laquelle les animaux apparaissent soudain comme ils étaient au moment où ils ont été filmés et semblent ainsi revivre ces moment, ressuscités, qu'ils sont à chaque fois, à notre vue grâce à l'outil télévisuel où continuer à les manger bêtement dans leurs infernales casseroles ou même à les torturer, ce qui est bien sûr inadmissible et totalement incompatible avec la simple logique dont nous venons de démontrer un petit nombre de conclusions.

Ce sera où l'un ou l'autre, mais ce ne peut être les deux! Les animaux ont trop souffert du manque de cœur des hommes.

C'est à nous de réparer cette erreur historique qui a trop longtemps duré et qui risque d'être la honte des générations à venir, si nous ne parvenons pas à interdire partout, le plus rapidement possible, ces ignominieuses pratiques barbares de bourreaux et braconniers d'un autre âge qui n'ont bien sûr rien à voir avec les Sciences qui se fondent comme vous le savez tous, aussi sur l'éthique et sur la conscience des expérimentations justes, basées sur une observation humaine, c'est à dire sans jamais faire de mal. Car la fonction de l'homme n'est pas de faire du mal mais de soigner le mal et de consoler!

 

Il ne peut donc y avoir de véritable sciences basée sur le manque de cœur et sur le non respect de l'Autre qu'il soit animal, végétal ou homme! Toute pseudo Sciences qui voudrait nous faire croire cela chercherait à tromper l'ensemble de toutes les communautés des hommes. Ceux qui chercheraient à nous le faire croire devront être amenés gentiment à penser autrement et à se convertir, sous peine d'être considérés comme des menaces pour l'humanité tout entière, en finissant comme elles le méritent, peut-être même en prison, à cause de propos inadmissibles de même nature que les propos racistes d'autrefois se sont avérés néfastes pour le sort des hommes et des femmes de notre planète, dans leur ensemble. Et nous l'avons vu, ceux qui prétendent cela se trompent eux-mêmes d'abord, et donc cherchent à tromper les autres par de mauvais raisonnements au sens où ils ne sont pas vrais, faux, inhumains, sans consistance et totalement illogiques. Nous aurons à cœur de guérir ces hommes sans les faire souffrir car nous devrons leur faire retrouver leur cœur qu'ils ont malheureusement perdu par la souffrance ou des malentendus ou même de la paranoïa, il se peut même qu'il se soit glissé en eux des éléments schizo (et je m'autorise à dire cela en connaissance d'un certains nombres d'éléments psychanalytiques et d'une expérience personnelle dans le domaine).

D'autre méthodes d'expérimentation existent et ont prouvé leur efficacité - nous en avons pris connaissance notamment dans votre site Internet et nous vous en remercions car cela nous donne de grands espoirs pour n(v)otre cause, et je vous renvoie pour cela mes lecteurs aux spécialistes de ces questions.

 

Une des caractéristique de l'homme est sa pensée fondée comme nous le savons sur son Intelligence et si possible sur les faculté de son cœur qui est le seul trésor de son existence. Perdant son cœur, l'homme perd son trésor, en le retrouvant il retrouvera le trésor de son existence. Nous devons trouver les moyens de faire que ceux qui ont perdus leur cœur puissent le retrouver ce qui sera par conséquent bénéfique pour la cause animale et végétale.

 

Ces caractéristiques essentielles de l'homme devraient suffire à trouver toutes les solutions pour toutes les maladies de notre planète car l'ensemble de ces caractéristiques et bien d'autres que nous n'avons pas eu le temps d'évoquer forment ainsi ses capacités de déductions et de clarté dont nous bénéficions depuis si longtemps dans toutes sortes de domaines (à partir de la conquête spatiale , à l'invention de notre pot de chambre!)

 

Je crois pouvoir affirmer sans mentir et en pesant ici le poids de tous mes mots que les maladies des hommes ne se règleront jamais en étant cruels de quelques façons que ce soit envers des animaux innocents ou des plantes innocentes. Il se pourrait même que la plupart des maladies existant dans le monde proviennent de l'existence de cette cruauté à l'œuvre chez certains sujets qui, nous le savons ont manqué d'amour et qui osent s'en prendre aux animaux pour leur fausses expérimentations qui ne donnent jamais rien de grand et de bien valable (si ce n'est quelques exceptions au cours de l'histoire qu'il ne serait pas honnête ici de ne pas reconnaître et qui me contredisent mais qui ont toujours étaient réalisées par des hommes très sains de corps et d'esprit qui ont, en conscience, choisi d'en arriver à ces extrémités inhumaines car ils étaient déjà pratiquement convaincus, par ailleurs, du bien fondé de leurs recherches par l'ensemble de leurs déductions, analyses et réflexions, fruits souvent d'un immense travail de bénédictins accompli en amont) et que nous ne parviendront pas à trouver les solutions tant que ce manque de cœur existera chez certains membres de la communauté "scientifique" et/ou humaine, mais peut-on ici parler d'humanité car il semble qu'ils s'en soient excluent eux-mêmes en se glorifiant abusivement d'être arrivé à des résultats par ces immondes pratiques ignominieuses.

 

De plus, nous venons de le voir, ces pratiques seront bientôt illégales car elles ne respectent pas la vie d'un animal qui virtuellement a le droit d'être en possession de son image, au sens propriétaire de ce terme, et nous l'avons vu aussi, plus haut, car il est un possible acteur-auteur (télévisuel, cinéma, multimédia), etc. Donc un animal ou une plante sont aussi riche de sa représentation possible que n'importe quel homme, quel qu'il soit.

 

Ce qui m'amène à conclure ici en disant que c'est justement parce que chaque homme est virtuellement aujourd'hui un possible "figurant" de photo, film, vidéo, multimédia, etc... (et souvent cela commence par les photos prises dans son berceau), qu'il devrait lui aussi, par conséquent, toucher, ce que nous pourrions appeler un revenu minimum universel, en contrepartie de l'abandon éternel de son droit d'auteur et de représentation de lui-même et du droit de reproduction attenant au droit d'auteur qu'il détient de par la législation en vigueur en ayant cependant toujours, lui et ses ayants droits, un droit de regard sur l'utilisation de son image pour qu'elle ne risque pas d'être détournée à des fins malhonnêtes.

 

Si cela était admis par tous, nous pourrions espérer voir naître une société plus juste où la prostitution n'existerait plus ou du moins ne serait plus subie par des personnes souvent faibles et/ou incultes et qui ne le souhaitent pas vraiment réellement de leur plein gré puisque nous le savons tous, elles sont les victimes d'autres victimes. Elles pourront ainsi se contenter dans une certaine dignité financière du nécessaire de base pour vivre au lieu de devenir l'ombre d'elles-mêmes, c'est à dire l'inverse de ce qu'un homme censé aspire à être.!

 

Ce revenu minimun universel permettrait également à tous les hommes qui travaillent de vivre aussi de ces hommes et de ces femmes qui toucheront le RMU. Il y aura de ce fait peut-être un peu plus d'argent en circulation dans le monde et je pense que les ressources de la planète devraient permettre à tous de vivre.

 

Je souhaiterais aussi qu'en contrepartie de ce RMU les hommes qui en disposeront deviennent dans un premier temps végétariens, il faudra pour un certains nombres d'entre eux, que nous trouvions un moyen de les accompagner, dans cette modification de leur comportement, s'ils veulent prétendre à toucher ce revenu de base. Pour un autre nombre ce sera plus facile pour eux, ils sont déjà pauvres et démunis et ne peuvent prétendre à avoir accès à la viande.

 

De toutes façon ce RMU ne pourra être accordé aux carnivores car ils se sont exclus de la communauté des hommes de cœur. Car l'existence même de ce revenu offert aux hommes est une preuve vivante de l'existence du cœur et celui-là, nous venons de le voir n'est plus compatible avec les sangs versés.

 

Et grâce à ces sommes de base, dont tous disposeront enfin de droit en échange aussi des images d'eux mêmes et qui deviendront ainsi le bien collectif dès l'instant où les gens en disposeront, y compris dans les temps à venir, pour les générations qui arrivent (et n'oublions pas que les web-cam seront bientôt dans nos montres) il devrait y avoir ainsi plus de travail et de revenus pour tous, puisque cet argent serait investi par ceux qui le touchent dans les rouages des économies mondiales et que ceux qui travaillent pourront à la fois travailler en étant sûr de ne pas/plus mourir de faim et de pouvoir ainsi compter sur le minimum de dignité humaine pour vivre (d'autant que cette dignité se vérifiera dans leurs actes quotidien de vie puisque ces hommes et ces femmes auront choisi avec le RMU de ne plus participer à la cruauté du monde envers les animaux et un jour prochain, nous l'espérons, envers les plantes). Ils seront d'autant plus libres de choisir leurs activités qui pourront être éventuellement bénévoles. Ils pourront ainsi ajouter leur salaire obtenu au droit légitime et primordial de vivre que chaque homme aurait avec le RMU .

 

Cela aurait aussi des conséquences positives puisqu'il n'y aurait plus de bandits ou du moins beaucoup moins car un grand nombre le deviennent car la vie les a peut-être déshérités et en plus il me semble qu'à la longue cela doit être fatiguant d'être malhonnêtes - il faut toujours veiller à ne pas oublier ses propres mensonges et puis à trouver toujours plus d'argent comme nous le montre toute l'histoire du cinéma - et ils préfèreront peut-être enfin dormir tranquille car ils pourront ainsi devenir les simples consommateurs de base, ou des bandits, au choix libre de leur conscience inspirée et de leur portefeuille, mais ils auront beaucoup plus de mal à faire admettre, pour se défendre, lors de leurs procès éventuels, qu'ils n'avaient pas le choix à cause de leur situation financière de déshérités (car d'une part ils sauront qu'ils participent involontairement comme figurants à l'ensemble des images filmées sur cette planète et que ce sont des doits qu'ils touchent ainsi, sur des avaloirs probables de figurants involontaires acteur-auteurs - ce qui n'empêche pas, par ailleurs, aux métiers de figurants de continuer à exister dans certains cas précis de film de fiction par exemple et d'autre part, ils auront la certitude que le Vrai et le Bien existe et qu'il consiste à refuser la viande et les poissons car c'est parce qu'ils sont dans le Vrai qu'ils toucheront le RMU. La viande et le poisson sera réservée à ceux qui la veulent vraiment contre la conscience du Bien.

Mais ils perdront le RMU en consommant de la viande ou du poisson. Ils n'auront plus de droit au RMU. Ce seront alors las riches imbéciles qui continueront à manger de la viande en croyant sans doute bien faire mais qui seront dans l'erreur prouvée. Tous verront qu'ils mentiront sur ce point précis à la face de toute l'humanité puisque c'est précisément à cause de leur soif de sang que de nombreux animaux sont aujourd'hui torturés ou massacrés par des personnes qui ont ainsi confondu et préféré le mensonge à la vérité, qui ont préféré aussi satisfaire leur gourmandise et leur curiosité malsaine au Bien général et commun et qui sont devenus la cause même de tous les ennuis, de toutes les maladies, de toutes les cupidités et de toutes les méchanceté ou cruautés sur cette terre et des problèmes dont nous avons hérité et que nous avons à cœur de résoudre en faisant cette proposition pour que les générations à venir n'aient pas à rougir et soient peut-être un peu fières de nous avoir vus nous comporter finalement en homme au bon moment, sans manquer de discernement et de logique et en l'employant correctement comme il se doit à chaque fois qu'un homme se trouve face à l'imbécillité humaine) et de leurs différences avec le voisin d'en face - avant de rejoindre les prisons qu'ils auront méritées et où ils seront soignés pour devenir des hommes.

 

Ce minimum serait donc versé, comme aux animaux, dont nous avons parlé et également pour la protection des plantes et proviendrait de la volonté de tous les gouvernements et des entreprises de TV du monde entier et serait versé à des fonds qui se chargeraient honnêtement et/ou bénévolement de les gérer pour le bien aussi des plus démunis (c'est à dire finalement pour tous les êtres qui viennent au monde - dans une limite de 3 par famille à moins d'accord entre familles de façon à repeupler la terre) et surtout pour ainsi avoir les moyens de pouvoir intervenir contre tout les hommes sans scrupule (et qui sont, nous le savons, souvent à la base démunis financièrement ou qui cherchent à convoiter le bien d'autrui - ceci expliquant cela) qui osent faire commerce d'animaux pour assouvir les passions malsaines de pseudos savants en mal de notoriété.

 

Triste notoriété que celle qui se base sur le meurtre que ce soit de plantes, d'animaux ou d'hommes! Triste notoriété que celle de celui qui a tué!

 

Ceux qui filment et torturent des animaux où que ce soit, sans avoir versé pour cela un pourcentage de leur droits télévisuels qu'ils ont reçu après la vente de leurs films ou de leur programme, s'exposeront à des poursuites allant jusqu'à l'emprisonnement. Les télévisions qui ne cotiseraient pas seraient poursuivies pénalement et les présidents des chaînes qui ne veilleraient pas à ce que ces droits soient reversés à partir d'un pourcentage de toutes les recettes publicitaires et des redevances à ces fonds risqueraient d'être démis de leurs fonctions ou même seraient mis en prison en cas de récidive.

 

Ceci serait bien sûr valable y compris pour la chaîne "Chasse" qui, elle, devrait cesser d'émettre ces programmes ou pour tout film, présent passé et futur, comportant des scènes de violences , ou alors faisant l'apologie de la chasse. Elle devrait payer un tribu beaucoup plus important car il y a dans les films que montrent ces chaînes des individus peu recommandables et qui sont des modèles à ne pas suivre et peut-être ici nous avons matière à un scandale ou du moins à un combat à gagner encore d'une seule voix, car ceux qui proposent ces émissions se rendent complices des meurtres et des catastrophes, car nous sommes bien placés pour connaître le pouvoir de l'image sur la conscience des hommes et nous avons expérimenté sur nous même les poisons et les dangers que comportent certaines images (sur lesquels je m'exprimerais ailleurs) et de l'incitation au meurtre d'êtres-auteurs (les animaux) puisque nous avons vu et démontré plus haut et qu'ils le sont véritablement dans toute l'éternité en laissant ainsi les traces de leurs passage et que donc tout ceux qui s'attaquent à eux sont les victimes d'époques préhistoriques de notre planète et qu'il s'agit donc d'assassins d'auteurs et nous pouvons employer, à juste titre ici d'assassins d'artistes, puisque les mouvements des chorégraphies des animaux filmés sont ceux de la grâce et de l'élégance des êtres animés de la nature. Oui il s'agit d'artistes et qui plus est pour un bon nombre d'entre eux de végétariens car ils broutent et ne font de mal à personne! Ils ont aussi l'élégance des chorégraphies de Lascaux. Les chasseurs devront se limiter à l'avenir à devenir les assistants des vétérinaires qui soigneront les animaux en limitant aussi les naissances. Les chasseurs auront à endormir sans blesser les animaux sauvages et ils pourront donc continuer à s'exercer à tirer ou se reconvertir en "chasseurs d'images" ce qui serait finalement peut-être plus profitable pour tous, en faisant alors de ces chasses-là de véritables œuvres d'Art avec des acteurs merveilleux en mouvement, les animaux vus comme des patineurs ou des champions sur la piste exhibant leur art, c'est à dire leur mouvement, et eux même dans la vie, sur les pistes de danse de nos écrans télévisuels.

 

Ces images seront conservées, puisque, par ailleurs, des organismes de Conservation des Images existent et sont reconnus d'utilité publique, je veux parler ici des Cinémathèques ou des Vidéothèques qui attestent de ces conservations où nous pouvons les découvrir comme de véritables œuvres d'art.

 

Si les images, les films, les documentaires ont, pendant une génération (peut-être deux) permis aux hommes de cette planète de se découvrir et de s'apprécier et de se respecter dans leurs enrichissantes différences grâce à la circulation de tous les films et de tous les programmes de TV traduits, il est temps, grâce à cette immense richesse accumulée, dont nous héritons tous en commun, de rendre aux Césars-animaux ou aux césars-plantes, ce que nous leur avons injustement pris et que nous leur devons avec reconnaissance et en tâchant ainsi de nous faire pardonner à nous les méfaits des sourdes générations précédentes à celle qui a eu le temps et la bonté de nous les faire admirer en nous rendant tous ainsi sensible à ce problème épineux. Nous devons donc leur rendre justice et les remercier de l'immense plaisir qu'ils nous ont à tous procuré pendant notre enfance et notre adolescence, certaine fois quotidiennement à la télévision, nous avions tous enfant plaisir à les découvrir sur nos écrans et en se faisant ainsi filmer sous toutes les coutures ou en apparaissant seulement en arrière plan, ces animaux auront ainsi contribués eux-mêmes à cette Justice que nous appelons de nos vœux aujourd'hui.

Salutations très respectueuses et distinguées.

Laury Granier

 


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Révision : 06 août 2004