ACCUEIL DU SITE

Accueil de "Diverses lettres envoyées"

 CourrierIne à Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimissîmes Oscar Michelin-Granier ... d'Ôz

Ma très chère Oriane,                                                                                                                                   lun. 21/12/2015 23:52

Ci-joint, pour [vôtre] Noël 2015, la deuxième version de ma lettre à Oscar (donc relue et corrigée - mais pas assez encore: deux, voire parfois trois fois et pas quatre - aussi j'aurais à réitérer cela: elle est impubliable pour l'instant sur du papier dans l'état - mais pour la lire à l'écran, cela devrait passer (en rectifiant quand tu le jugeras utile et/ou en sautant les passage ennuyeux ou en la lisant par l'une ou l'autre des notes de fin de page ou en entrant où tu voudras dans le texte que j'avais donc laissé reposer comme une pâte à pizza depuis la dernière version ou comme tu voudras la lire, [mon] Oriane).

Je salut à l'indienne (pour faire réaliser des économie à la Sécurité Sociale et/ou pour que chacun garde ses microbes d'autant que depuis que je suis végétarien j'ai vérifié que cela s'est arrangé: je n'ai même pas eu un mal de gorge depuis 2006, soit plus une seule maladie au bout seulement de treize années après le début du moment où je pris la décision de devenir végétarien en 1992-93 et visiblement c'est le remède miracle: on guérit de tout puisque carrément cela me fit même devenir, en fin de parcours (car j'avais aussi arrété de fumer), vers 2005, bouddha - ça marche donc) ta petite famille en vous souhaitant un joyeux Noël ainsi qu'à Melchior avec évidemment mes salutations à Frédéric qui j'espère t'aidera dans le déchiffrement de cette peine (que je croyais être un cadeau - mais encore une fois je me suis visiblement trompé). Je vais la mettre dans la rubrique lettre envoyée à la suite de celle que j'avais écrite à Aurélia, sur mon site granier.laury.free.fr (que j'ai à mettre à jour) avec cette entrée en matière.

ton oncle le père-Laurie!

lettre du dimanche 31 mars 2013 relue et corrigée comme légèrement augmenté pour la Noël 2015 

Mon très cher Oscar,

J'ai appris par Florence, (la maman de ta maman, Oriane), ma sœur (nous nous sommes vus une fois quand tu es venu voir ma mère, ton arrière grand-mère, rue des Feuillantines), la naissance de ton petit frère, aujourd’hui, et su que tout s’est bien passé pour ta maman Oriane, dont je suis par conséquent l’oncle. On était tous heureux de cela.

Tu vas pouvoir, comme ton cousin Anton, qui a une petite sœur, aider tes parents et découvrir la vie de grand frère d’un petit frère -[(qui est aussi, autrement-vu ton grand-frère comme est ta grande sœur cousine germaine la nouvelle venue, Louison, de ton autre grand oncle, un de mes frères à-premièrevues – il faut toujours se méfier des à premier-vue ou des à premier-entendus, tu le découvriras ou/et l’as déjà découvert et donc apprendre à relativiser comme vérifier en soi-même ou avec Internet si officiellement c’est plausible ou vrai en subjectivité objective et non pas seulement de façon subjective (c'est-à-dire, avec la subjectivité objective, s’il y a des raison[s] valables, rationnellement acceptables, dignes d’être considérées comme recevables) - plus âgé que moi, Jean-Paul)]- qui va apprendre à parler après ses premiers sourires que tu vas certainement provoquer, si tu apprends à faire le clown (c’est un métier passionnant). Mais il ne faut pas être pressé pour obtenir des résultats. Cela ne parle pas, comme les bébés.

Ton petit frère porte le nom d’un roi mage, mais ne sait pas, à cet âge là encore, faire de la bicyclette, comme toi et Anton, sans les roulettes arrières de secours ! Tu devras être très patient car tu sais que tu as mis du temps pour y arriver.

Avec Valentine, tu as appris à être très respectueux des tout petits.

C’est très handicapé un bébé et c’est très sensible. Aussi il faudra que tu veilles sur son sommeil et s’il a peur de quoi que ce soit (du bruit, par exemple) apprends à faire le clown , car tu peux être sûr d’avance que c’est le contraire qu’il devrait éprouver. Plus le bruit paraît fort « à premier-entendu », moins, en fait, il fait peur ou devrait faire peur, bien que des imbéciles (ils sont victime de ces à premiers entendus qui renseignent à cause de l’intensité, mais sur l’ouïe des auditeurs qui s’ils ne mettent pas les volumes très forts, n’entendent rien ou presque rien – aussi même si ça intimide parfois, ne crains rien, c’est qu’il y a des sourds peut-être même muet dans la salle où tu entends ce tintamarre en ayant à te boucher les oreilles et à trouver un endroit moins bruyant ou alors à affecter que cela pourrait être encore plus fort que même dix fois plus, tu n’en serais aucunement gêné (ce que je fais à l’occasion de toutes les manifestation[s] où les décibels sont presque à 100% - cela ne me gène aucunement, car je pense à chaque fois qu’il a fallu réussir à trouver la solution élégante des amplificateurs – géniales dans d’autres cas [particuliers], par exemple pour retransmettre des musiques admirables – alors ils peuvent y aller même cent milliards de milliards de milliards et plus encore (j’exagère, car en fait cela ferait exploser le tympan), comme quand on entend le pire des tonnerre[s] de Dieu, je n’ai jamais peur et trouve d’avance ça admirable puisqu’il s’agit de « sons » (même si dans ce cas là on dit bruit) - évidemment tous ne sont pas d’accord avec moi et tous ont raison de penser qu’on ne peut pas faire grand-chose de bien, au niveau d’intellectuellement parlant dans le bruit – d’ailleurs j’ai vérifié, comme ton arrière grand-père, j’ai besoin du silence pour écrire ou composer (cela contraint en architecture, partout, à l’obligation de chambres individuelles)  – [d’où que sur un autre plan]/car, sans bruit[s] qui courent ou sans calomnies, la vie est plus agréable à vivre) [ou alors]/car c’est comme ceux qui ont peur de la couleur noire et qui ne comprennent pas que c’est parce qu’ils manquent de lumière intérieure pour réussir à le voir avec d’autres couleurs, ce qui est parfois possible, au point que cela a fini par donner du blanc en brûlant ce noir, à une très grande chaleur – j’ai pu vérifier cela avec la peau des poivrons – au-delà du noir charbon cela devient blanc) prétendent le contraire (mais bien sûr il y a des cas où ce que je dis ça peut se discuter et où ces idiots ont raison). En fait la situation générale a mené à faire parfois mentir la réalité (l’excès de bruits et de sons forts cache et révèle parfois la peur de ceux qui émettent ces sons au volume trop fort – il ne faut donc pas avoir peu de ces bruits cependant que la sensibilité des plus sensibles d’entre nous va nous amener à fuir ces sons trop forts – c’est une réaction naturelle, mais il ne faut pas oublier que s’ils sont si élevés en tant que volume sonore, c’est qu’il y a des gens qui sont devenus presque sourds, en raison de la quantité des mensonges qu’ils ont dit, d’où qu’ils ont besoin des sons les plus forts ou de bruits car leur cerveau a du mal à entendre « un bruit aussi léger » comme « ceux qui sont dans l’anxiété de l’amour » à qui il est difficile/impossible de mentir sans obtenir sinon à cause du sacrilège de ce que constitue le mensonge des probabilité pour une future réincarnation des plus malheureuses (chien, chat ou pire, parmi les voraces, d’anciens menteurs) pour avoir trompé des gens qui ne trompent pas et qui, par conséquent, entendent les sons correctement).  

Si c’est ainsi problématique c’est que la vision -[(ta mère t’expliquera, il se peut qu’elle l’ait entrevue un instant vers 1995 quand je fus fais empereur par/avec l’accord du Très Grand Architecte de l’Univers – même si nous avons habité dans le même immeuble, nous n’avons pas eu le temps de trouver un instant pour en parler elle et moi – a-t-elle apprécié ou voit-elle cela comme moi dangereux trop de beauté, à première-vue et surtout à l’aune de ce que cela a signifié, cette disparition de cette vision de l’immense beauté du monde cependant perceptible [comme] en filigrane, ou alors à mi-mots, peut-être que cette beauté ne signifie plus (sur un autre plan) que le contraire : hideur/laideur – d’où qu’il faille se méfier, comme Boris Vian, dans on tuera tous les affreux, de trop de beauté – en fait, il voulait dire à mi-mots le contraire Et on tuera tous les beaux, ce qui n’est pas forcément très malin ni très intelligent. Pourquoi ? de quoi seraient-elles coupables toutes les belles âmes ? De nous rendre la Vie belle ? C’était donc bête comme titre dans un cas comme dans l’autre – il aurait fallu trouver autre chose, à moins que l’époque était à la provoque/[cation])]- d’Atlantide a disparue (mais je travaille à ce qu’elle revienne) depuis des millénaires (peut-être plus encore : des millions d’années) et cela a interverti beaucoup de choses. Par exemple, il y a des bébés froussards qui ont peur du noir. Et bien, c’est tout le contraire qu’il devrait se sentir : courageux et ne pas avoir peur du tout de cette couleur qui, en détail n’est pas noires comme de nombreux peintres l’avaient découvert à force de peindre et de la contempler ([comme] à première vue punis – c’est en réalité tout le contraire et cette couleur noire, on l’adore, et c’est parfois du blanc ou du miroir, c’est pourquoi, elle en devenue blanche à force d’être brûlée – essaye avec une peau de poivron que tu cherches à retirer sous la flamme (ta mère te montrera, c’est hyper simple et pas dangereux une fois qu’on a appris le coup – cinq minutes à une demi-heure, voire trois jours pour les plus crétins qui ont eu cependant le mérite de réussir à surmonter une petite appréhension ou petite peur dès que ça marche sans se brûler les doigts, ce qu’ils peuvent réussir à faire avec des gants, genre ceux en aluminium pour éviter de se brûler et une pince à poivron (qu’on peut réussir à faire à partir d’une de celle à spaghetti ou/et une de celles pour les cornichon, cependant qu’elles ne pourront pas être en bois car il faut parfois toucher la flamme, donc un peu comme la pince à bois ou à charbon – un compromis des quatre donc pour arriver à trouver la meilleure forme) – ta grand-mère et moi on s’en passe car on a appris à le faire petit et donc on maîtrise bien comment apprendre aux autres à le faire sans avoir cette dépense supplémentaires, financière à faire pour l’achat de ces gants qui sont cependant tentant[s] et que finalement je ne trouve pas désagréable d’avoir en cuisine ne serait-ce que pour prévenir d’avance un problème qui peut advenir : perdre le manche d’une poêle qui est sur le feu – c’est là qu’il vaut mieux en avoir, car sinon il faut rechercher aussitôt une tenaille ou une pince dans la boîte à outils, ce qui est si évident qu’on est le premier à réussir, grâce à l’une d’elles à comprendre alors comment les anses furent conçues – d’où que cela est venu pour éviter de se bruler les doigts, donc une solution élégante ou/et une alternative à un bobo bien inutile et qu’on pourra s’éviter facilement avec sces gants (j’en eu l’idée vers ton âge, enfant, quand mon père se plaignait de ne pas avoir de quoi prendre ces anses sans se brûler, on les appelle des gants de cuisine, mais il y a aussi des carrés dans la même matière, ignifugée) -  ensuite on passe le poivron devenue noire (il n’y a K attendre en ayant alors le temps de lire une bédé ou même de jouer avec une tablette d’un ordinateur ou avec un jeu vidéo, si la téloche n’est pas branchée trop loin et on revient périodiquement tourner sur le feu le poivron pour lui faire griller la peu de ces cinq ou six faces, car on peut le voir comme une boîte ou alors comme SAI SSS les Lord. Terry Guilliam, dans les Aventures du baron de Mun. , comme une montgolfière – tu verras c’est magnifique dans le film, mais aussi sur la gazinière – on peut les faire quatre à cinq à la fois par feu, si on comprend comment élaborer le roulement - puis avec l’eau du robinet, la peau se détache tout de seule (dans la vidéo (j’espère qu’elle sera vite de nouveau accessible car il y a eu un petit moment où il y a eu des difficultés, mais je me suis plait d’autant que c’était injuste de ne pas les rejoindre – cela devrait remarcher), tu verras il y en a un peu de celle-ci qui restait au fond de l’évier avec d’autres saleté[s] et ça a fait une sorte de dragon-poisson spontanément, au fur et à mesure que ce caméscope tournait ou aspirait ces prises de vues – en fait, il s’agit d’un aspirateur d’images, ces caméscopes ou mobiles visiophones – ils aident à faire le ménage et permettent d’archiver des désordres dont on aurait la nostalgie (j’ai commencé à ar[t]chiver les résultats des balayages ou après un ménage) – avec la distance et en donnant le temps au temps, comme avec les poivrons qui prennent un temps précis à se noircir comme des anciens chiffonniers, parce que le feu exerce sur eux/les provoks en cette notion d’effort qu’ils auraient à se contraindre à faire à l’occasion de la Grande Mutation : de dures, ces poivrons deviennent tendres et donc moins difficile à manger pour les édentés – les enfants mais aussi quelques personnes âgées – dont l’âge osseux a pris un coup de vieux) et enfin ça fait, dans l’évier, tu verras des choses drôles ou loufoque (comme des marionnettes d’eau – on peu ensuite, avec l’arrêt sur image, les utiliser comme modèle pour en faire des dessins) à ar[t]chiver  en ayant simplement à pointer le bout de la caméra vidéo stylo ou du cigare-vidéo ou alors d’une clé USB vidéo ou d’un caméscope, comme celui que ta grand-mère m’a offert, avec lequel j’ai pu faire ça :  https://www.facebook.com/laurie.granier.3/videos/891186664258410/ mais aussi d’autres petites séquences (que peut-être tu découvriras si tu t’intéresses un jour à mon cas [particuliers] (pas très intéressant, par rapport au tien, d’avance génial et merveilleux, j’en suis sûr – attention fait attention ç’est peut-être pour te flatter et tu le sais tout flatté vit au dépend de celui qui le flatte (les chiens ou les chevaux aiment bien être flattés y compris les chats) à moins que ça soit/s’avère vrai et que tu prouves que dans ton cas [particulier] c’était effectivement vrai, j’avais bien fait de voir juste d’avance – mais je n’ai pas de mérite, vers 2010-2012, je t’ai vu dans le Ciel, dans le futur avec une de tes sœurs – aussi vous êtes beaux à voir de nôtre époque -  j’ai un faible pour la beauté : je me fais avoir, en subjectif ! – D’où que parfois elle suffit amplement, même si elle n’est [hélas] compétente en rien : une potiche très belle et bien décorée, même si elle est encombrante est qu’en même plus jolie à voir dans un magasin qu’un gobelet en plastique au milieu de millier d’autres pareils – d’un côté une rareté et de l’autre, ce qui est si commun (fabriqué en très grande quantité d’autant plus la facilité à le faire), que cela touche la vulgarité ou même la grossièreté, cependant qu’il ne faut pas non plus dédaigner cette solution élégante (du gobelet), par exemple pour les pique-niques ou même pour y tremper son pinceau pour faire des aquarelles – ils ne valent pas chers/coûteux et sont une bonne affaire) qu’ensuite je partage sur ma page You tube (j’espère qu’elle remarchera) ou ailleurs – si ça t’intéresse je te tiendrai au courant, au moins je travaillerai pour un seul spectateur de l’ordre du virtuel – peut-être quand tu seras très âgé (pardon, redevenu tous les jours plus jeune) – mais tu n’es pas obligé de suivre chacune de mes âneries -[(des recherches, parfois sur la contradiction à devoir s’infliger en raison de vérités ambiantes que j’ai vérifiées peuvent, grâce à une anti-thèse bien élaborée par d’innombrables paramètres dont j’ai réussi à avoir les secrets, être formulé sans mentir et malgré ce dont tous sont convaincus, au sujet de la vieillesse ennemie – ce qui est vrai au moins à ce sujet, la voir comme une future jeunesse amie – ce que tu as aussi intérêt à faire, car le jour viendra où si tu te fais avoir par ceux qui penses (pensent) le contraire, tu risques alors ta peau – il vaut mieux donc croire ce que je crois et que ton arrière grand père a bien fait de croire aussi : qu’Il rajeuni et non vieilli – en effet, j’ai pu vérifier que c’est le cas car Ses textes sont plein d’esprit et de jeunesse, moins lourds et moins sérieux que les miens, plus insouciant[s] – Il a de la chance – mais c’est parce qu’Il s’agit d’un père Noël plus âgé que moi, donc plus jeune et plus expérimenté – il en a vu d’autres, des malheurs et surtout Son père en a vu d’autres, c’est à dire ton arrière-arrière grand père, un homme du peuple devenu un enseignant et un censeur dans un Lycée, à Trêve, que je salue)]-, il y en à d’autres de plus intéressantes) de la gazinières en cuisine – ou ailleurs – et tu verras si je ne dis pas vrai, quand on oublie de retirer le poivron, au point qu’on perd alors la chair de l’escogriffe en question (le poivron), car tout n’est plus que à première vue (or tu verras qu’une fois ôtée, grâce à la soyeuses et bienfaisante fraîche eau (– eau fraîche – c’est comme tu le sens – pour le dire) cette peau brûlée, carbonisée est immangeable, devenue charbon (bien qu’on vende du charbon sucré à Piazza Navona à Rome, depuis mon intervention dans le ciel de 1965 (en fait je m’étais retrouvé quarante ans après dans le ciel (comme ta sœur et toi que j’ai vu) et comme j’y étais alors seulement en tant que virtualité, j’ai songé à en faire profiter l’époque qui m’accueillait charitablement à ma naissance – d’où que j’intervins en raison de l’anneau que j’avais avec une de tes grande tantes (comme toi avec cette sœur que j’ai vu et qui est ton pair ou ta pair dans le Ciel) et que je ne pus redécouvrir qu’uniquement en étant contraint par l’ensemble d’accomplir un sacrifice absurde qui néanmoins advînt et permis d’annoncer d’avance ta naissance et celle de tes frères et sœurs, puisque j’avais autant de preuves que cela de l’existence de la Très Grande Symétrie et de transfert possible en Symétrie et/ou Transitivité et autres lois que tu connais déjà, mais que Tu redécouvriras, fastoches, à l’Ecole), il a fallu attendre 1967-68 pour que je vérifie moi-même le charbon sucré annoncé à 1965-66, mais il fallait, c’est normal, entre temps le mettre au point et trouver cette main d’œuvre qui avait envie de gagner des CFP[M] c'est-à-dire des Crédits Financiers Propre[ment]s [Mérités] et non de ceux de corrompus, des cfc, usurpés, des cfu, des malhonnêtes, des cfm, des tricheurs, des cft, etc. avec les synonymes on peut les forger : des véreux et volés (cfv), des frauduleux et des faux (cff), soit des crédits financiers ou fourbes ou félons (aussi), des déloyaux (cfd), des cfm : des crédits financiers menteurs, des cfp(des crédits financiers perfides), des cfb(blagueurs), cfi(incorrectes ou infidèles) cfa(approximatifs) cfh[ypocrites], cfg[rimaciers] ; cfs(sournois) ; cfd[issimulés], etc. (évidemment au mauvais sens de ces mots et non au bon que tu découvriras en d’autres occasion[s], par exemple si tu t’intéresses au Théâtre ou au Cinéma – il y a des exemple[s] anti-thétiques puisque cela tourne bien pour le Jean Valjean en question qui en devient l’un ou l’autre monsieur Madeleine); tu t’amuseras à trouver les autres synonymes possibles ou facilement inscriptibles -[(par exemple dans une copie de cette lettre, en note de fin de page (pour plaire à ton arrière grand-père, il les adore, car ça fait sérieux alors qu’il ne l’est pas forcément autant que cela – mais au moins, quand il y en a c’est le signe d’un travail fait dans les règles de l’aArt et comme il sait qu’il a fallu des millénaires pour qu’elles arrivent jusqu’à nous, cela le rassure : il y a, à première vues, des notes de fin de pages, certes un peu succinctes, mais elle promettent)] dans le logiciel Word en cliquant sur la souris à droite pour obtenir le synonyme de chacun des autres mots à partir de « faux » - au-delà je n’ai pas été plus loin (c’est un travail agaçant, car rien [vraiment – cependant que tu trouveras des contradicteurs qui dironts que j’ai exagéré jusqu’à mentir ici [avec ce ‘rien’ – avant l’ouverture du crochet précédent] – non pas, ils n’ont pas atteint le niveau de lecture où ce que je dis est une vérité relative admissible]- de nouveau, c’est la même méthode d’employée – cependant  que cela plaira à un débutant de se l’imposer (il trouvera lui-même le premier les autres puisqu’avec ça, il vérifiera une partie de la loi de la conséquence liée à la catégorie synonyme), ne serait-ce que pour avoir à apprendre à travailler à la chaîne artisanale ou industrielle taylorisante), aussi il en reste d’autres à trouver (qui sont des appellations contrôlées copyrightées d’autant plus de l’origine qui est en parenté de plaisanterie avec un futur pair – d’où que c’est des choses sur lesquelles il n’y aura que nous deux et d’autres pairs du même ordre [catégorie] qui pourront plaisanter dessus (car toutes l’Economie de l’Empire Granier …[1] d’Atlantide … Lang de [R]Ôz[eau/…/w/y/s] va reposer sur ça – donc cela permettra au gens de manger ou alors s’ils cherchent à faire les malins, ils vont voir ce que cela va leur coûter[2]) – donc vraiment dûs à leur temps de travail à des choses de plus en plus difficiles et pour lesquelles, il n’y a que de moins en moins de gens compéteants sur le marché du travail – tout cela à cause de la loi de la Quantité et celle de la Rareté qui gouvernent pratiquement presque tout (à une ou deux exceptions prêt qui confirmeront cette loi et qui de plus sont au sujet d’autres catégories qui ne sont que reliées à notion de tierce personne ou alors qui concernent un autre niveau de lecture que le plus élémentaire lié aux matières premières) et qui met chacun en concurrence avec chacun et chacune (bien qu’heureusement chacun des articles ait des paramètres précis ou/et originaux avant d’être reproduits en grande quantité – aussi il conviendra d’étudier ce qui les différencie chacun pour voir si cette loi qui gouverne les commerces s’applique en pareil cas ou pas) – une pas jolie histoire mais cela a néanmoins sur d’autres plans, c'est-à-dire niveaux de lecture du bon ou même de l’excellent (tant qu’il y aura des plus ou moins analphabètes ou ignorants au mauvais sens comme au bon sens de ce mot : ils sont assurés d’emplois aussi faciles que ceux de balayeurs ou de cadreurs caméra, des cameraman, soit des aspirateurs de saletés ou alors, au contraire, de très belles choses (comme j’essaie quand j’ai une récréation ou une autre à m’accorder dans ces travaux d’écritures ou de dessins) et en cela, parce qu’ils n’ont aspiré qu’à rechercher le beau comme celui qui passe l’aspirateur, ce qui est le balais, sur une moquette et qui grâce à l’instrument (celui qui n’a pu être au départ que l’idée d’un très véritable iIngénieur/bouddha, artiste très véritable, homme de sciences) l’a fait redevenir propre, le voilà à n’avoir passé en définitive que l’éponge – rien de plus – c’est le travailleur manuel ou la main d’œuvre capable de reproduire en mimétique, celui qui est comme tous ceux qui ne sont pas handicapés en ayant une main en moins ou un organe en moins ou même des facultés en moins, au moins capables de mettre la table ou de servir un café, c'est-à-dire de reproduire une activité facilissimissîme (des plus aisées) sans avoir eu simplement qu’à bénéficier pour cela des effets du mimétisme (il ont appris en cinq minutes ou parfois en trois mois comme pour ceux qui n’arrivent pas à passer en trois jours leur permis de conduire[3]) – rien qui ne lui ait permis d’inventer le fil à couper le beurre, car même pas chef coiffeur ou chef maquilleur de véritables vedettes sur scène ou même pas chef-décorateur comme S. A. I. SSS les Lordissîmes maître Alexandre Trauner ou Daniel Louradour – cependant que celui-ci pour exercer son métier ou son aArt, aura besoin de main d’œuvre ou/et de travailleurs manuels désireux de progresser et peut-être même de devenir, vers la fin de leurs apprentissages, (sur le plus ou moins long terme), chef-décorateur)  car on profite continuellement tous de cette admirable loi – aussi d’un côté elles n[V]ous handicape et de l’autre elle n[V]ous favorisera – ici il faut faire confiance à un spécialiste, par exemple comme ton grand oncle Luc-François ou ta grand-mère Florence ou alors moi -[(s’ils devaient comme ton oncle Jean-Paul avoir un doute – dans nôtre famille c’est toujours moi qui a eu raison – ils le savent et c’est comme ça depuis 1965, peut-être à cause de ce que sans le savoir les uns et les autres N[v]ous t’attendions avec des p’tits frères et sœurs et cousins germains de ta génération qui attendaient plus loin vos descendants ceux-ci attendant les leurs et ainsi de suite N[v]os ancêtres, donc n[V]os ascendants :descendants – en fait kif-kif, sauf qu’il y en a eu qui, parce qu’il s’agissait de petits, les ont cru moins intéressants qu’eux-mêmes et les ont traité avec mépris et ça, figures-toi qu’ils ont fait le coup à ton serviteur (moi qui t’écris/t), mais déjà à ton arrière grand-père comme aussi à ta mère ou ta grand-mère et tu vois, il y a une chose qui une fois peut se faire, mais deux c’est une fois de trop et quand c’est trois, ça signifie l’exclusion ou le carton rouge, d’autant la peine qu’on a eu pour réussir à faire les deux cartons jaunes d’avant avertissant – d’où que cela a fini par bonjour les dégâts même déjà à cause de deux fois seulement, une fois de trop, dans ce cas particulier – certes dans d’autres cas [particuliers]/donc circonscrits autour d’une situation précise qui peut donner lieu à représentation scénique, ne serait-ce que pour mieux analyser et comprendre pourquoi il vaut/vallait mieux ne pas réitérer la situation ou l’évènement néfaste, on peut réitérer l’erreur – par exemple, quand on est follement épris de sa promise ou de sa femme et que c’est réellement réciproque, cela donne des enfants – ce qui est parfois – mais rarement une bonne surprise et même pas du tout une erreur – sauf qu’on ne la présentera pour éviter de se faire mousser comme une erreur, ne serait-ce que pour que les contradicteurs se manifestent en raison de ce que c’est souvent le cas dans d’autres cas particuliers – il s’agissait avec quelques enfants qui sont nés du résultats de fautes ou de péchés et non de l’aAmour avec un grand « a » - aussi ceux-ci sont handicapés, car ils ne savent pas que l’’amour’ qui a un grand « a » existe (Amour) puisqu’ils n’ont autour d’eux que de futures réincarnations en chiens et en chats (des êtres humains ayant l’esprit qui est devenu de ceux voraces – du coup leurs dents appelées canines vont devenir plus longues et plus pointus à la prochaine réincarnation et leur nez devenir un museau – ils perdent aussi les mains et des doigts car ils sont devenus des paresseux, ne savent que consommer en enfants-gâtés et ne savent plus utiliser ces instruments pour créer, faire, façonner, fabriquer des œuvres originales – ils les ont utilisé pour copier sans génie et pour avoir sans avoir recherché au préalable à être pour n’avoir que des CFPM – c’est-à-dire des revenus Financiers Propres et Mérités – non ! ils se sont contentés de tous ceux dérobés à l’Ensemble, les revenus escroqués les cfé – crédits financiers escroqués – du coup ils ont régressé et involués cérébralement et donc obtiennent l’une de ces réincarnations de voraces puisqu’ils se sont comportés en trop gourmands mais au mauvais sens de ce mot et non au bon qui par exemple sont les gourmandises qui ne feront jamais celui qui les mange complice de ceux qui tuent des animaux inoffensifs et pacifiques donc font le mal : les gourmandises en pâtisserie cela ne te fera pas avoir des mauvais points et même il vaut bien mieux que celle en saucissons et en charcuterie qui sont celles qui te feront régresser, involuer car il s’agissait d’animaux inoffensifs et pacifiques, par conséquent injustement et prématurément occis à des fins de bouche, alors qu’ils avaient d‘autres fonctions en participant à l’Economie de l’Ensemble : les porcs et les cochons pour faire le travail des éboueurs, par exemple – donc utiles – mais les éboueurs ont voulu leur prendre/voler ce travail que peut-être effectivement certains d’entre eux font mieux que ces animaux d’autant que pour réussir à cela ils furent aider par les iIngénieurs qui trouvèrent des solutions élégantes comme le balais ou des tapis roulant – ou moi en ajoutant des roues sous les poubelles comme aussi récemment en trouvant l’idée de les motoriser et d’autres que tu sauras) et encore uniquement parce qu’ils furent avertis à temps par mes soins car sinon ils étaient l’un des requins qui eux aussi sinon auraient été bien pire que ça et donc se seraient retrouvés dans une époque qui est distante des millions d’années lumière de là où nous sommes, et dont nous avons d’avance les résultats : quelques-uns des dinosaures les plus débiles dont il reste l’un ou l’autre des os que nous cherchons à valoriser un peu (j’ai eu l’idée de les présenter un peu mieux qu’autrefois dans un musée devant la gare d’Austerlitz qui nous doit des royalties), pour qu’ils en bénéficient là-bas – évidemment tous n’en ont que faire d’un os de dinosaures en plus ou en moins, mais on s’est tous mis d’accord pour trouver ça un événement et puis parfois il y a une nouvelle espèce – alors c’est intéressant, parce qu’il faudra la nommer, lui trouver le nom scientifique exact et là il y a des spécialistes de la question autour du conte de Champignac dont tu découvriras les aventures dans Spirou)]-, leur petit frère et à mi-mots, tu comprends ce que cela signifie, donc … ) – ce fut certainement très difficile à faire, un secret de fabrication qui a permis d’offrir un travail honnêtement rétribué à quantité de main d’œuvre peu scolarisée ou peu instruite, donc à des travailleurs manuels sachant au moins reproduire par mimétisme et/donc à des transporteurs livreurs, comme c’est le cas du père Noël, une fois par an lui-même : il livre Sces cadeaux), et dans ce cas particulier, à jeter -[(les eaux de poivrons qui, en petits morceaux noirs (la peau brulée) se mélangent et flottent dans l’évier ou dans la bassine d’eau, comme des poissons en ombre chinoises dans un aquarium – c’est un récipient d’autrefois, transparent spécial poisson vivant, pas encore une bière à poisson où là c’est pas très joli loli ce qui est arrivé au gentil poisson – car pire, c’est une perte général à l’aune des images qu’on pouvait tourner à son sujet en ayant simplement avec le fusil photographique à le poursuivre tous les jours dans les grottes sous-marines comme dans de nombreux dessins animés (j’ai eu l’idée de mettre des web cam sous-marines dans les aquarium ou dans les grottes sous-marines – chacun des poissons a une histoire qui est légèrement différente de celle de l’autre poisson appartenant à la même espèce, mais évidemment il faut qu’ils soient en liberté pour s’en apercevoir comme dans les films du Général Cousteau car sinon les voilà à être victime de la loi de la Quantité et à se retrouver en énormes quantités si nombreux qu’il y en a qui on cru possible les manger, puisqu’à première vue cela mettait moins de temps à grandir, un poisson, dans un bassin fermé – ici il s’agissait d’un lâche qui a fait le coup, ou alors de … , ils ‘agissait d’un test et peut-être même que celui qui a eu l’idée était en légitime défense – que de faire pousser des légumes – cependant que ce n’est pas vrai, une fois qu’on a vérifié, les légumes poussent plus vîtes comparativement qu’un poisson nourri aux céréales – ce qui fait autant de céréales en moins pour faire les différents pains ou délicieux gâteaux – d’où la perte collective y compris sur ce point et de plus une menace pour l’Ensemble, si on continue à s’habituer à manger du poisson, au lieu de la viande/chair de poivron, à cause de la démographie qui augmente et à cause de cela pire : la désertification – évidemment c’est en raccourci mais tu vas étudier à l’Ecole tout ce qui a inquiété ton arrière grand-père qui n’a pas voulu m’inquiéter avec ça, pas plus que je n’ai envie de t’inquiéter, car pour l’instant tu dois compter sur moi et je te promet que tous te verseront ce qu’ils me devaient depuis 1965 et 1975, puisque j’ai pu vérifier qu’il t’ont pillé (tu étais et tu es mon Trésor) avec préméditation comme moi-même – des moins que pire encore que la pire des pourriture[s] de parasites la plus abjecte qui soit (en réalité des stronzi di marcia secca merda mente (j’ai vérifié sur moi-même – ils ont cette maladie – d’où que j’ai fait supprimer la peine de mort puisque j’ai vérifié qu’ils ne sont pas/plus capable de comprendre et sont contraints de faire semblant, en raison qu’ils sont devenu des plus ou moins débiles – mais attention, ils l’ont voulu et pire n’ont fait que rechercher à devenir ces malades au lieu du contraire, d’où qu’ils soient le grande majorité coupables) – c’est pas étonnant qu’ils se soient tous finalement retrouvés dans l’ère secondaire ou tertiaire, pendant des millénaires dans le froid, punis par eux-mêmes – des malades – en réalité ces stronzi di merda marcia secca mente, ce qui signifie des étrons de merde de cerveau asséchés, donc en définitive désertiques, [comme] morts – voire comme un crâne qui serait d’un squelette de l’un deux dans une image bédé ou même photographique les concernant partout dans l’une ou l’autre des réincarantions qui fit de chacun d’eux un des animaux appartenant à l’une ou l’autre des voraces quelconques – j’ai été vorace et toi aussi dans d’autres temps qui concernent les époques avant les réincarnations qui firent de toi un être humain – aussi cela a donné chez les êtres humains qui régressent ou involuent, celui qui est devenu un gourmand et qui a besoin d’une dose de viande ou de chair animale – c’est celui qui a retrouvé dans les jours de son enfance (il l’a voulu) la nécessité de régresser pour redevenir l’une des animaux chasseurs parfois c’est nécessaire et il le faut, quand on se réincarne au pôle Nord comme Derzu Uzala (un film de Ses Altesses Impériales  Ses Saintetés Satana[na !]nas les Lordissimissîmes Akira Kurosawa) ou alors comme la famille de Ses Altesses Impériales  Ses Saintetés Satana[na !]nas les Lordissimissîmes Paul Emile Victor de la femme de laquelle il a eu des enfants au Pôle Nord (c’est à glisser ici dans mon dossier concernant la logique du signifiant – Paul/pôle) – là c’est normal, on ne peut pas survivre autrement qu’en, mangeant de la chair d’animaux – sauf depuis peu, mais il faut changer ses coutumes et traditions et devenir enfin une des personnes les plus rares qui soit dans ces contrées lointaines, un artisan, donc travailler de ses mains comme l’homo faber – ici les progrès sont garantis rapidement (comme pour les marmitons en cuisines qui n’ont qu’à reproduire (par mimétisme) des plats selon des recettes inventées par des ingénieurs d’autrefois quand toutes les alternatives (que je leur ai décrites du Ciel – à cause de ta génération que j’ai aperçue dans le ciel du futur) existent un peu partout)  n’étaient pas encore arrivées fraîches -[(car elles arrivaient en boîte de conserve et ma mère, ton arrière Grand-Mère, était fâchée de cela, à cause certainement que chez le coiffeur elle avait su que des gens avaient une dent contre les boites de conserve et peut-être même contre le fil à couper le beurre, alors qu’on lui peignait Sces cheveux noirs, longs)]-, grâce à ton arrière grand-père et à ton arrière grand-mère qui y on veillé)  à tel point que même les plus nuls apprennent à faire les calculs élémentaires nécessaires à la survie d’une ethnie ou d’un village esquimaux), à moins que tu tiennes à faire du charbon (mais je t’annonce ce que ta maîtresse d’Ecole ou même tes enseignants te confirmeront : il n’y a que ça ou presque, le charbon sur cette planète, donc il est en grand quantité si énorme qu’il ne vaut pratiquement rien ou presque rien, sauf qu’il vaut la peine physique que se donnent l’ensemble des costauds (qui sont  bien plus encore nombreux que les lutteurs de sumo – en fait tous les passionnés de sport, mais aussi ceux qui n’ont pas pu fournir les efforts (peut-être parce qu’ils n’avaient pas les moyens financiers ou pour d’autres raisons qu’ils n’arrivaient plus à suivre à l’Ecole, peut-être seulement génétiques ou alors paresseux ou ayant trop fait la fête) pour faire autant d’études que les gens qui ont vite compris qu’ils avaient à tout devoir sacrifier pour réussir à comprendre comme ça marchait, les plus spécialisés ayant fini par comprendre : c’est simple, le fil à couper le beurre : il n’y avait qu’à prendre un des cheveux de maman ou à méditer dessus le jour où je suis allé perdre un peu de temps avec elle dans un salon de coiffure quelconque – il se ressemblaient tous, autrefois, sauf que maintenant il y en a (des salons de coiffure – une activité de travailleurs manuels mimétiques sauf pour les deux ou trois qui ont eu les idées des coiffures originales que tous les autres ont reproduit) où on trouve des livres et même des catalogues d’exposition de peintures ou d’art, bref où on peut trouver du temps pour s’instruire sur des choses qu’on n’a pas eu le temps de découvrir, mais que le propriétaire du salon de coiffure, le week end est allé cherché pour s[S]ces clients – ils s’intéressent de plus en plus à l’aArt car ils doivent tout aux grands aArt et à tous les grands peintres qui ont archivé au cours des siècles, grâce au dessin et à la peinture quantité de coiffures plus ou moins loufoques, jusqu’au dernière, assez drôle, des futur[s] balayeurs [d’anciens] punk – c’est un mouvement aArtistique qui a barbouillé et fait de nombreux essais de bruits ou de sons qui peuvent finir par devenir intéressant[s] à étudier – mais ils sont victimes de la loi de la Quantité car les produire est assez facile et à la portée de beaucoup de jeunes – aussi les voilà en concurrence tous les uns avec les autres (ils vérifient que cette loi de la concurrence, ils la subissent) et donc dans des difficultés financières dont ils arrivent parfois à se sortir en vendant leur âme au diable et non à Dieu – par conséquent les voilà à être contraints de devenir malgré eux des escrocs (il parait qu’ils obtiennent ainsi des cfé et non des CFPM – donc il s’agit des CFPM qui t’appartenait et qu’ils t’ont volé), alors qu’ils voulaient avec la Musique devenir des créateurs de sons (ce que je ne déteste pas être non plus et même plus que cela – j’aime être compositeur – ce qui est le stade terminal ou parachevé de l’être humain : le compositeur, le musicien, Orphée – soi S. A. I. SSS les lordis … simis…sîmes et maestrissimissimussisîmes Charlie Chaplin qui après avoir trouvé Sces gaguissîmes mais aussi gags (car il paraît qu’il y en a des moins bons – qu’on me disent lesquels ?)  a même trouvé la musique pour ; Le génie complet absolu – total – l’objectif de tout véritable aArtiste : la maîtrise d’une réalisation de film avec la musique y compris) – aussi quand ils s’en aperçoivent ils sombrent dans une grande tristesse : c’est raté d’autant que le même son ou le même bruit a été trouvé par un autre groupe » musical « (ta tante Eléonaure (dite en famille ‘Nonô’ est dans cette situation difficile : elle a énormément de concurrentes douées dans le métier – aussi elle risque de nombreuses calomnie[s] ou pire qu’on croit : qu’elle aurait été favorisée par la subjectivité de l’empereur à Son sujet – ce qui n’est pas vrai d’un électron puisqu’elle n’a jamais couché avec moi (bien qu’elle soit hyper-canon  et si elle ta prise dans ses bras, t’es un sacré veinard)  ni même seulement une fois ou l’autre, pas même seulement dansé – aussi pourquoi serait-je à la favoriser ? Pas du tout, j’ai vu et je trouve qu’Elle, ma petite princesse d’autrefois, souvent fâchée au point que je l’ai sue Minerve casquée et pire, à la Athéna guerrière : en cela elle est d’avance formidable – c’est qu’il fallait que je retrouve la mémoire et il se pourrait qu’elle ait oublié qu’elle a fait un sacrifice à un moment donné, peut-être même contrainte et forcée – cela s’est passé à cause d’une histoire de cheveux (Florence les lui a fait couper) et du malentendu que cela a généré, d’autant que j’ai dit alors ce qu’il ne fallait peut-être pas dire, en raison de ce qu’avec inconscience je me souvenais vaguement de moi-même autrefois avoir été, enfant, un peu (même beaucoup) uniquement psychanalyste (quand je n’étais pas aux autres moments toutes les autres casquettes que j’avais comme Toi) – aussi cela a peut-être généré une anti-thèse et je suis inquiet pour « Elle est au Nord » (ça tombe bien on parlait de ton grand oncle Jean-Paul) – mais visiblement elle aime beaucoup son copain et lui fait confiance – il se pourrait qu’à force de faire du bruit, il parvienne soudain par faire enfin un son juste et non pas seulement du bruit en bûcheron ou en celui qui frappe – il sait peut-être que cela est possible, depuis qu’il m’a peut-être espionné à rechercher autant que je le fis le » trait juste « en faisant comme lui des efforts de travailleur manuel ou de main d’œuvre reproduisant en mimétique puisque je ne savais pas (pas plus qu’Ailée) avoir dû sacrifier, au moment de l’amnésie canonique dont j’avais absolument besoin pour éviter de tuer de mes propres mains un autre être humain (en effet, ma mère et mon père me l’avait interdit dès que j’étais enfant, à l’âge de raison, et puis comme je trouvai confirmation de cela dans des textes dits sacrés entendus à l’Eglise le dimanche y compris en comprenant à mi-mots pourquoi, dans chacune des occasions, je n’ai pas eu d’autres choix, au cours de mon existence, que d’éviter au maximum ces meurtres, car il est préférable d’essayer de soigner ceux qui cherchent à les faire commettre en ayant accès à ces textes qui ont été à l’origine de la fondation des corporations des métiers différents mais surtout des artisans, découvrir un peu de quoi est faite la vie de quartier, voire comment se rendre utile, en aidant les uns ou les autres, j’ai donc eu à devoir m’ingénier à éviter de frapper (ce que je te conseille ainsi qu’à ton frère (jamais frapper – aucune personne malhonnête ne mérite que des mains d’honnête gens s’abaisse à les toucher – ce serait trop d’honneur)  – par conséquent celui qui trouve drôle d’obtenir beaucoup de bruit en frappant fort, n’est pas spécialement pour moi un critère d’élection – celui qui est très fort comme le sumotori m’intéresse dans le moment qui le fait réussir sans frapper l’autre [méchemment] jamais, à néanmoins l’éjecter : en fait c’est quand le moment vient où l’autre fera soudain l’erreur – aussi, en général c’est celui-là qui s’éjecte lui-même – l’autre n’ayant pas eu beaucoup de mal à le faire tomber – peut-être mieux préparé ou alors favorisé par les dieux, en raison d’on ne sait laquelle des belles actions, (en douce et à l’insu de tous), ce champion aurait été l’auteur) – c'est-à-dire pourvu des mêmes virtualités que moi, les meilleures, comme hélas, j’eus à devoir me l’imposer – contraint et forcé par l’Ensemble qui en cela fut une autre fois criminel contre l’Humanité - en anti-thèse de celui que j’avais fini par enfin devenir en 1975 (« quelqu’un de bien, juste quelqu’un de bien » pas plus, ni mieux – bien que profitant de la circonstance (c'est-à-dire du cas particulier ou de la situation dans laquelle je me trouvais) dans le ciel (d’avance) à profiter de ce que je savais et me souvenais m’y avoir vu pour réaliser, en quelque sorte comme un espion visitant une époque future d’avance (ou un voyageur ayant donné le goût du voyage comme celui qui inspira Chronique d’un été [un film] de Jean Rouch, mais qui œuvra à la Renaissance ou au Moyen-Âge ou alors dans une époque où il les a remise au goût du jour, ne serait-ce que par la comparaison qui en résulta d’avec l’époque et le lieu dont il provenait, soit son pays de naissance – en fait une personne un peu comme SAI SSS les Lord. Montaigne à Bordeaux, où je sais que tu as eu la chance d’aller vivre, mais qui a écrit Les Lettres Persanes – je ne l’ai pas lu encore mais j’ai vu ce film de JR qui, paraît-il, s’en inspire et c’est ce qui m’arriva en ayant à visiter d’avance une époque qui n’était pas encore en chair et en os dans l’a réalité mais seulement dans le Ciel, soit une époque un peu le résultat de la loi des conséquences et de l’idéalisme collectif (de la recherche du meilleur) ou même d’utopies anciennes devenues néanmoins des réalités ou même les dépassant comme celles que tu découvriras dans les livres de S. A. I. SSS les panthéonisables Jules Vernes), la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale, (c'est-à-dire InterRégionale, Impériales -NNDIM) Mondiale, grâce à une Dictée Pharaonique en cinq sur cinq avec moi-même, n’ayant que douze ans, au moment où elle commença – un âge que tu va bientôt avoir – dans deux ou trois ans ou plus ou moins mais que tu as déjà eu, puisque je t’ai vu dans le Ciel de trente ans après ces années où tu es né – d’où que tu as bien plus que ton âge et que tu es peut-être même plus âgé que moi ? puisque tu es déjà en 2010-2012 à être en 2040, 2042 tandis que moi seulement depuis ces deux ou trois derniers jours-ci a être certain d’être déjà en 2045 – donc à avoir grosso modo le même âge que toi et cette sœur qui s’y trouvais – d’où que compte tenu de l’âge que Vous avez j’autorise que vous dormiez ensemble, si vous le souhaitez, sauf qu’il faudra que ta sœur attendent d’avoir des moyens financiers obtenus grâce à Sces compétences pour pouvoir mettre au monde sces enfants, comme toi-même – donc il faut que vous puissiez ne pas avoir d’enfants tout de suite car pour l’instant, même si on me doit beaucoup de CFP[M] ne les ayant pas à première vue sur mon compte courant bancaire, je ne puis me permettre de faire la moindre dette supplémentaire « car un tien vaut mieux que deux tu l’auras », cependant que les gens sachant d’une façon certaine qu’on doit des CFPM (Crédits Financiers Propres et Mérités – de droit) à une personne pourront m’ouvrir des lignes de crédit, puisque je leur donne l’assurance grâce à mes textes très véritables que normalement si on a affaire à des personnes qui recherchent à demeurer dans la respectabilité de leur nom propre mais aussi de leur renommée d’honnête gens (s’ils ne tiennent pas à obtenir l’une de ces sales réincarnations) qu’ils croyaient avoir obtenu en découvrant qu’ils ne furent en réalité que le contraire, malgré eux, cependant qu’ils le furent une autre fois à partir de 1975-77 au paroxysme de tous les paroxysme sacrilèges – bien qu’ils croyaient peut-être le contraire – auront je crois, très certainement à cœur, de s’empresser à rétablir l’injustice (donc à payer leurs dettes) dont j’ai su de source sûres que je suis victime depuis toujours, l’Etat n’ayant existé partout et en toutes les époques qu’uniquement grâce à n[V]ous ici en 1965, 1975 et depuis 200, 2015 (mais déjà avant grâce à mes précédentes réincarnations) – d’où que nous devrions retrouver les facilités financières que j’avais offertes à ton arrière grand-père les pharaons Jean-Luc Granier de l’Angles, à l’occasion du moment où je le fis le premier empereur et le premier dans tous les temps à l’avoir été fait en véritable Saint-Esprit, à partir de 2005-2006 avec effet rétroactifs et ma personne ayant pu vérifier ce que cette notion de Saint-Esprit signifie comme milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de milliards de bibliothèques de connaissances à traverser, donc à essayer de comprendre très exactement – soit ce que tu as traversé (puisque je t’ai vu dans le ciel, toi aussi d’avance dans une époque qui n’existe qu’à l’état de virtualité et non pas encore dans la réalité) et dont je me suis assuré au moment de ta naissance quand avant de devenir le nouveau Horus le Très vénérable, tu t’es retrouvé trente ans après d’avance avec cette sœur (sans doute ta future femme) ayant eu la même initiation tout en un au moment de Sa divinissîme naissance (qui doit avoir eu lieu dans les même temps que la tienne) – tout cela ayant été possible en raison de ce que j’étais occupé à sauver une autre fois la Vie (comme en 1965 et 1975) et à permettre ainsi la naissance de tes tantes et de tes oncles, trente ans avant les années 2005 (c'est-à-dire grosso modo, dix ans après n[V]ôtre époque – celle de vôtre génération qui dans trente ans ou peut-être même avant passe aux commande dans beaucoup d’organismes en raison de la génération suivante qui est peut-être déjà aux commande simplement au moment de la conception en tant que bébé dans les matrices des mamans – donc même pas à l’état de fœtus – c'est-à-dire à l’état d’œuf ou de l’un ou l’autre des spermatozoïdes – c'est-à-dire comme SAI SSS les Lord. Woody Allen l’a supposé dans un film drôle que tu verras – Tout ce que vous n’avez jamais su à propos du sexe … - cela signifie que ces enfants qui naîtrons et que vous attendez, sont de toutes façons irréprochables et comme vous sans aucun péchés quoi que vous fassiez – inutile de vous mettre martel en tête en croyant que vous faites une chose mal – ce n’est pas le cas – sauf que les mauvaise pensées peuvent conduire à pécher – et c’est ici l’horreur absolue, sauf pour ceux qui aiment avoir des mauvaises pensées (il s’agit de l’un de ces malades) et qui sont appelés les méphistophéliques/esques – ils spéculent sur l’idée que l’homme ne soit que méchant (en cela ils se sont totalement trompés puisque nous avons pu vérifier au cours d’une herméneutique la plus élaborée le contraire), simplement par esprit de contradiction avec ceux qui avaient raison de penser qu’il n’aspirait, comme Jean Valjean qu’à devenir aussi bon et adorable que Monsieur Madeleine – admirable : un exemple) – En effet, vous étiez bien dans les parties génitales et les ovaires de ceux-ci dès la conception de ceux-ci comme mon père a pu vérifier que cela avait été le cas pour lui et moi, par conséquent mes autres frères et sœurs plus âgés (d’où que tout est en rapport avec la notion de Temps et d’Espace-Temps et d’infini)  – donc en brochettes et en un/Un, en poupée russes – ce qui n’est ici qu’à apporter de l’eau au moulin de la théorie de l’Unicité globale et par la même occasion de l’acte de la Crucifixion du Christ ayant effectivement permis de sauver, parce que Un avec l’Ensemble, l’Ensemble et par la même occasion à travers moi qui a réussi à le comprendre en 1965, 1975 et de nouveau à partir de 2005 mon père l’Empereur,  comme moi-même et d’avance les empereurs suivants, puisque J.-C. n’est mort que quelque jours (cette notion est à géométrie variable et c’est selon la dimension spirituelle de l’individu ou sa qualité de dieu ou alors de simple profane) effectivement pour Nous sauver tous (en effet, cela permet en se repentant des péchés qu’on ferait malgré nous-mêmes d’éviter l’une des réincarnations dans l’un des animaux inférieurs – puisqu’ils ne sont pas capable comme l’un des êtres humains scolarisés d’inventer, de créer chacun des composants d’un poste de télévision ou d’un ordinateur ou d’un autre système plus ou moins mécanique – texte, scénario – bref de créer) et nous permettre, qui plus est, à ceux qui avaient fait des choses à leur insu de mal ou alors même le sachant de redevenir blancs (une fois qu’ils se repeantent sincèrement sans tricher – ce que j’eus à vérifier et que tu n’auras pas à vérifier car tu pourras en juger d’après mes [autres] écrits en te permettant d’être dubitatif (tant que tu n’auras pas toutes les réponses) et en me posant toutes les questions auxquelles j’essaierai de répondre – moi-même ayant été dans le doute à ce sujet – le doute qui n’est que constructif, mais qui mène parfois à être injuste et cela quand la chose est indubitable ou si vraie que d’avoir douté est commettre blasphème ou pire, sacrilège – cependant personne ne t’en voudra et pas même le dieu Jésus Christ (qui doit t’envoyer une luge qu’il a conservé pour toi, car peut-être tu sais avoir le temps d’apprendre à faire du ski, car tu sais qu’il n’y a pas d’os (pour toi, sur ta route) au moins pendant trente ans – donc que tu n’es pas pressé et que tu peux attendre qu’on trouve un moment pour te mener faire du ski – aussi avec cette petite luge que j’espère tu conserveras pour tes enfants, tu peux faire un peu dans les rues de Bordeaux ou de Paris s’il neige, des glissades) car c’est monnaie courante que le sacrilège sur cette planète – les terriens ne se rendent même plus compte qu’ils ne font que cela – et à l’aune de ce dont n[V]ôtre famille impériale de Granier d’Ôz fut victime, le sacrilège est si immense, qu’ils ont bien de la chance de pouvoir s’en sortir grâce à ce dieu nommé Jésus-Christ qui en ayant été crucifié il y a deux mille années a souffert de cela à ma place comme à ta place (comme à la place de chacun de ceux qui demeure juste et comme c’était une injustice que de lui faire cela, il a déclenché une soif de justice qui interdit à chacun la moindre injustice ou de se montrer injuste car aussitôt on obtient une des réincarnations néfastes ou de futur animal inférieur, ce que Sa crucifixion nous rappelle comme une sorte de carrefour où il vaut mieux choisir son camp – demeurer avec ceux qui n’ont accès qu’au CFPM ou alors partir du côté des faussaires, des menteurs, des tricheurs, des pourritures, donc des voraces et à cause de cela ne plus appartenir aux êtres humains adultes parachevés mais seulement aux adolescents, aux enfants-gâtés et aux égoïstes, au mauvais sens de ce mot, donc aux voraces ou aux trop gourmands, par conséquent aux injustes ce qui les fera involuer, régresser pour obtenir ces réincarnations qu’ils n’auront pas volé puisqu’ils auront causé tant de problèmes à tous les autres) et pour éviter que tu es comme ta sœur à souffrir de cela toi-même (de l’ineptie de ceux qui le crucifièrent, soit des faux-juges, des menteurs ou des usurpateurs sur le plan intellectuel ou d’autres encore : la honte de Rome qui signifie Amor ou Roma – et figure-toi que cette honte c’est celle des empereurs et de leurs partisans – mais cela jusqu’à ton grand-père et à moi qui heureusement sommes les premiers empereurs à l’avoir compris à temps – donc à avoir renoncé à nous comporter en chiens (soit en l’un des êtres animés inférieurs, réincarnation de voraces trop gourmands, des anciens enfants-gâtés, égoïstes au mauvais sens de ces mots donc n’ayant pas cherché à aussi bien faire qu’une brebis, une chèvre ou une vache, ce qui est au moins utile à tous en raison de leurs productions qui permettent aux êtres humains de délicieusement manger grâce à ces produits lactés qui sont les éléments de base des cuisines les plus savoureuses – c’est en raison de leurs dons continuels qu’il s’agit des étapes qui précèdent les réincarnations en être humain, ce qui, par conséquent exclue la gourmandise au mauvais sens de ce mot qui a conduit quelques êtres humains à croire possible tuer les animaux pacifiques et inoffensifs comme ces animaux herbivores pour les manger – et en cela ils le crurent possible en tant qu’héritiers des anciens êtres humains préhistoriques qui étaient des chasseurs qui trouvèrent la solution de l’élevage comme une alternative leur évitant bien de nombreuses longues recherches dans la nature durant lesquelles ils dépensaient toutes les énergies qu’ils avaient obtenu en ayant mangé ces viandes animales, ce qui ne leur permettait que très peu de temps à des activités artisanales ou même de bâtisseurs, tandis que l’élevage l’a permis et en cela comme n’importe lequel des végétaux qu’on fait pousser à des fins de chairs et viandes végétales, ce qui fut la solution élégante absolue discernée par l’un des bouddha dans le passé qui a proposé ces alternatives agricoles pour permettre aux êtres humains d’avoir du temps pour réaliser les choses utiles, artisanales et enfin industrielles mais aussi ayant trait aux diverses constructions, bref de se sédentariser au lieu d’être à courir derrière les animaux à chasser et par conséquent de construire villages et villes dans lesquelles les arts sont tour à tour nés puisqu’ils résultaient d’instruments mis au point artisanalement parce qu’ils furent au départ inventés chacun par des bouddhas : de très véritables iIngénieurs qui étaient aussi des architectes léonardevinciens, c’est-à-dire peintres et autres talents),mais au contraire à ne nous être comportés qu’en êtres humains adultes parachevés – en homme de sciences exactes) – tout comme ce que tu sauras on m’imposa comme via crocis pendant plus de 27 ans (en plus des dix premières années), puisque j’eus à devoir sacrifier mes/N[v]os enfants et à me séparer momentanément (mais longtemps) d’une de mes impératrices (en fait, j’ai dû me séparer de plusieurs impératrices qui attendaient des descendances d’enfants de moi, à cause d’une histoire que, si tu veux, tu apprendras et qui est à l’origine de ta naissance comme celle de ta mère et tes tantes) prévue[s] chacune par la divinissimes Isis, à sa place pour que ma sœur et l’un de mes frères puissent au moins attendre les leurs (donc ta mère et par conséquent toi), ce qui a permis à ton frère Melchior et tes cousins Anton et Valentine (comme aux autres) de naître, dans un monde bénéficiant des effets de la Dictée Phare comme des effets de la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale (NNDIM) j’eus à faire (du Ciel) pour que mon père que j’ai alors nommé pharaon (ton arrière Grand-Père qui a eu son anniversaire hier le 28 avril) puisse [re]constuire ta/v[N]ôtre Maison selon mes/n[V]os plans)  même si sans le vouloir nous avions dû commettre (en légitime défense) des péchés, ce que grâce à ce vieux Dieu terrien nommé Jésus Christ nous avons pu vérifier que nous sommes, à chacune des fois, redevenu blanc (c’est-à-dire que son histoire a permis de nous donner envie d’être pardonné pour ces péchés que nous avons sincèrement regretté commettre (ils avaient été requis dans le cadre de Démonstrations …, ma personne comme cobaye, pour montrer comment ces personnes se sont abîmées, détériorées le cerveau au point de devenir des faunes, puis des satyres et enfin des centaures, c’est-à-dire de futures réincarnations en l’un ou l’autre des animaux qui ne sont plus des êtres humains et qui doivent recommencer à s’éviter de mal agir pour avoir une chance de redevenir l’une des brebis, des chèvres et des vaches pour enfin redevenir un des êtres humains) et c’est ainsi qu’en étant réellement désolé de les avoir commis nous avons pu éviter d’involuer ou de régresser sinon, donc d’obtenir une des réincarnations catastrophiques (ce qui a vraisemblablement été le cas [particulier] de chacun des empereurs, avant les empereurs Granier d’Ôz), puisqu’on est alors privé de mains et des doigts  (parce qu’on s’est mis à penser plus ou moins n’importe quoi, donc à agir d’une façon absurde, voire en hors les lois) et qu’on ne peut plus ni bien écrire, ni compter, ni utiliser chacun des différents enseignements scolaires et universitaires (ou même provenant de sages), donc les catégories pour réussir à créer des objets ou des textes utiles (ce qui est depuis très longtemps le propre de l’être humain adulte parachevé (donc des êtres humains, des animaux pensant, voire pansant), donc une fois devenu bouddha et iIngénieur – donc à améliorer le sort de la condition humaine, en étant alors, parfois, à l’origine de la production de richesses (ce qui est indispensable car sinon on ne peut pas rémunérer les gens – sans participation et production de biens de consommation il ne peut y avoir les consommateurs – cela contraint l’Ensemble à produire à partir des matières premières qui ont été mises par le Grand Architecte de l’Univers sur cette planète – l’être humain se caractérise donc dans le fait qu’il participe à la transformation et à la métamorphose de ces différentes matières premières en l’un ou l’autre des exemplaires de ces rarissimissimes prototypes qui proviennent de ces trop rares personnes devenues des bouddhas qui les élaborent – c’est donc les aAuteurs [des idées, les prototypes ou les descriptions techniques] desquels découlent ces richesses reproduites – évidemment cela est impossible sans l’Instruction publique ou privée ou en auto-didacte et c’est ici que ces temps consacrés à s’instruire peuvent s’évaluer et sont aussi considérés comme des investissements personnels), à travers ces divers prototypes qu’il n’y a plus qu’à reproduire comme des baguettes de pain, en série, donc en de nombreux exemplaires, puisqu’il s’avère qu’il s’agit de choses utiles – c’est alors que cela offre la possibilité à la main d’œuvre – autrefois des chasseurs mais aussi d’anciens paysans devenus ouvriers – des personnes qui savent au moins reproduire par mimétisme, de participer et alors de gagner des points qui leur évite l’une ou l’autre des réincarnations abjectes ou malheureuses, sauf que plus ils se font payer ou/et plus ils sont assurés de financements usurpés (donc reliés à des métiers/activités impur[e]s) moins ils progressent et plus ils involuent – d’où que c’est ici un casse-tête pour les très véritables iIngénieurs, celui de fixer le montant des revenus d’autant plus des conséquences à cause des répercussions sur tous les plans économiques que tu étudieras). Aussi grâce à la crucifixion du Christ et à l’Eglise qu’Il a édifié, j’ai pu un peu retrouver ma bouddhéité perdue – donc redevenir le bouddha et par conséquent réussir les Démonstrations … qui prouvent la nécessité de conserver les principales religions comme autant de catégories permettant à des êtres humains momentanément perdus d’éviter le pire (ces futures réincarnations de plus ou moins anciens menteurs). Soit des Démonstrations … qui ont aussi confirmé et vérifié de la nécessité de l’obtention des sacrements comme des étapes indispensables. Bref ce qu’un futur père de famille doit savoir à cause, en Occident, de ce problème qui concerne les péchés – il est probable qu’en Orient, en raison de ce que cela fait longtemps que la majorité des peuples sont végétariens, cette notion de péché est moins importante (cependant qu’elle le fut, avec des gens comme mao tsé tung et polpot, des criminels contre les intérêts vitaux des êtres humains, des criminels contre l’humanité, des fous, au mauvais sens de ce mot, parce que des ignorants et des menteurs, des incompétents en Sciences Economiques [comme ailleurs] – ils n’ont pas cherché à comprendre comment les choses fonctionnent et ont cru possible « avoir » avant d’être devenu l’un ou l’autre des adultes parachevés – ils se sont donc comportés en enfants-gâtés et en adolescents égoïstes au mauvais sens de ces mots, c’est-à-dire comme l’une ou l’autre de ces réincarnations de voraces, donc d’une façon opposée à celle qui permet de créer en aArtiste ou en iIngénieurs, donc de comprendre les interactions comme la loi des conséquences ou les autres lois)

Mais rassure-toi les péchés que j’ai eu à commettre étaient en légitime défense (et pire : contraint et forcé)  – ils comptent beaucoup moins ceux-ci et même sont autorisés ou/et canoniquement admissibles d’avance, sauf qu’on n’a pas le droit de les commettre contre des gens qui ne sont pas coupables – cependant j’eus à vérifier que tous étaient coupables sans exception d’avance, sauf ceux qui partout et en tous les temps sont arrivés à comprendre la notion de dieu/divinité (bonté), etc. (de chose bien faite – bien élaborée), donc en Vérité et non en faisant semblant (c'est-à-dire en hypocrites – il y a deux ou trois chevaux qui le furent, y compris peut-être même un ou deux hippocampes, mais il s’agit d’animaux très beaux et qui plus est souvent très utiles (ils appartiennent aux réincarnations supérieures (des étapes avant celle en être humain) – mieux, comme la brebis, la chèvre et la vache, ils aidèrent grandement les êtres humains tout au long des siècles passés (comme les éléphants) et c’est pourquoi il faut se refuser de les manger, ne serait-ce que pour ne pas favoriser des financements indignes et sales (ces activités impures) puisqu’ils furent des amis, comme Crin Blanc, ou à participer avec joie et entrain dans des films – ce serait déchoir que se nourrir de leur chair ou de leur viande, alors qu’ils furent peut-être ou sûrement plus utiles encore en rapportant des CFP[M] (Crédits de Financements Propres et Mérités) que l’un ou l’autre chien ou chat de salon qu’on aimera bien, car enfin un de ceux admirables, alors qu’il y a tous ceux qui n’y sont qu’en parasites les plus vulgaires ou grossiers et mal élevés). Ces CFPM vont, par exemple, aux mixeurs ou aux Dj (disques jockey) qui en profitent, puisque ce sont les iIngénieurs qui leur ont créé ce métier (dont j’ai eu l’idée enfant), pour qu’ils apprennent au gens à aimer à s’habituer, acoustiquement, à des transitions musicales indolores – d’une plage/morceau de musique à un[e] autre – d’une catégorie musicale à une autre (cela signifie qu’ils ont repéré un point où la transition d’une musique à une autre se fera sans même qu’on s’en rende compte (ce qui évite les interruptions), par conséquent on peut extrapoler ici et dire d’une ère à la suivante (on est à titre indicatif dans la Quatrième grande ère et on est entrain de passer depuis 1965/1975…/2005/ 2015 à la Cinquième Grande Ere, l’Ere de la Très Grande Mutation qui a impliqué la Grande Transition ou le Grand Fondu Enchainé)  et donc ces Dj, ils ont préparé, sans même s’en rendre compte, en animant les soirées (en raison de ce que j’ai un diplôme d’Animation Culturelle et Sociale (option Cinéma) depuis longtemps – donc que je m’intéresse à beaucoup de catégories différentes pour trouver des idées) la Très Grande Mutation, ce qui signifie, une Très Grande Transition qui sera longue à l’aune, en plus, de l’existence d’un Angle à 90° qui a permis ce miracle et ce sauvetage quasiment général plusieurs fois (une angle, c’est une idée possible de la notion de transition : d’une direction, vers une autre) – mais cet Angles (qui est pluriel bien que singulier), nous eûmes à le créer ex-nihilo avec ton Arrière Grand-Père les Pharaons de l’Angles avec moi et avec Toi (que j’ai aperçu dans le ciel alors que cela se passait en synchrone en 1965, 1975 et 2005) et ta cousine Valentine, si vous voulez, car il y a plus loin encore dans le Temps donc quand vous deux serez à vôtre arrières grands parents ou même plus loin encore que cela : arrière-arrière grands parents – car pour te donner une idée, Oscar, moi, à l’échelle pharaonique, c’est napoléon premier, mon arrière-arrière grand père empereur, tandis qu’il n’est que le grand-père empereur de mon père pharaon de l’Angles et de la Reconstruction qui est le fils d’un instituteur devenu censeur, mais enseignant d’Histoire et Géographie, ce qui est l’équivalent de plus encore qu’un roi, pour l’époque de 1815 ou même celle de 1789 (et il y a eu là – tu le trouveras dans les livres d’Histoire, à l’Ecole, ce qui s’est passé : quelque chose de sacrilège et de vraiment pas beau quand cela a abouti à la mort de Louis XVI et Marie-Antoinette, mais/et ce qui a permis de faire advenir au pouvoir napoléon, mon arrière grand-père à l’échelle pharaonique, empereur – cependant que, vu d’ici, grâce à toi (qui est immaculé), sans lui (mais en réalité contre lui), je n’aurais pas réussi à sauver la Vie, ni la vie de vos descendants – c’est qu’il était bien canonique, même s’il s’est très mal conduit – et c’est pareil avec ton arrière-grand père pharaon, mon père (s’il devait avoir fait quelques irrégularités) : il est canonique et je puis t’assurer que c’est seulement parce qu’il a un empêchement ou deux pour comprendre en ces années 1965 et 1975 qu’il se serait (peut-être – mais c’est pas sûr) mal conduit, malgré lui (il est probable que si c’est le cas c’est parce qu’il y est contraint par l’empereur avant lui qui est avec adolph hitler celui qui a été Le très grave problème général depuis le premier des pharaons ou même avant car il s’agit de celui qui est l’handicapé mental, celui qui est devenu fou, au mauvais sens de ce mot et qui a, qui plus est (ce qui n’arrange rien et même qui rend son cas désespéré), accusé des innocents et pire qui n’a fait que les maltraiter et les accuser calomnieusement, alors qu’en réalité c’était lui, avec ses partisans, le problème : en effet, pour qu’il puisse obtenir le pouvoir, ses partisans avaient (contre les règles commerciales les plus honnêtes ou scensées – sensé +censé = scensé) augmenté le prix du baril de pétrole pour créer de la misère artificiellement, donc créer des mécontentements, et comme pour napoléon premier, à partir de ces malhonnêtetés obtenir le pouvoir. Or, ici c’est interdit car il n’y a de pouvoir que celui qui est légitimement obtenu – et non obtenu en trompant les peuples – ce dont je me suis aperçu dès que je devins bouddha – en 1965, 1975 et 2005) – Il vaut mieux croire que mon père, le pharaon de l’Angle et de la Reconstruction, ton arrière-grand-père pharaonique (car ton père est ton pharaon) n’ait rien fait de mal, car sinon se serait affreux pour lui – je le connais, il n’aime pas faire à autrui ce dont il n’aimerait pas être victime lui-même comme mauvaise plaisanterie – d’où que s’il aurait péché, c’est contraint et forcé (un peu comme moi, en légitime défense – donc ça ne compte pas) et il avait en raison de ce que je suis le chef de toutes les religions sans exception, le Saint-Esprit sur Lui pour le couvrir plus ou moins à son insu – Pourquoi ? Parce que je l’aime comme s’il était moi-même – sauf qu’il avait des préjugés à ce sujet et donc qu’il crut possible des choses qu’il vaut mieux s’interdire – aussi j’ai eu à créer le Pacs pour qu’il arrive à comprendre et même dans certains cas le mariage entre garçons, car c’est une étape qui peut mener à retrouver la Vérité sur tout, comme l’a retrouvé Jean Cocteau ou d’autres homosexuels célébrissimissimes qui n’ont jamais spécialement péché, mais seulement été d’immensissimes esthètes, comme par exemple Yves Saint-Laurent – évidemment ils paraissent un peu efféminés et il y a des sombres ignorants très vulgaires et très grossiers qui se moquent méchemment d’eux et qui à cause de cela vont de toute façon perdre leur dents et/ou obtenir l’une ou l’autre des réincarnations de balourds – il s’estiment des machos et c’est ici le premier pas vers le centaure ou vers le satyre ou pour commencer, le faune. Cependant, ne crois pas que je suis homosexuel  car cela n’est pas la question, pas plus que je ne serais le contraire – il s’agit avec moi qui écrit ou qui pense de pensée à l’état pure, dénuée de sexualité (la vérité est au-delà de notion sexuelle, bien que parfois celle-ci soit influencée ou/et répercuter des paramètres liés au genre – en effet de nombreuses données vécues changent selon qu’on soit une femme ou un homme – par exemple tout ce qui va concerner le poids à porter – cela pose en général moins de problèmes aux garçons tandis que cela est un problème pour les femmes – d’où que j’ai eu l’idée des caddies et des poubelles à roulettes motorisés) – un simple constat logique qui est le résultat de l’expérience – en général tous ceux qui sont à dire du mal des homosexuels ou à s’interdire de le devenir, sont des personnes y ayant tendance, ne voulant pas l’admettre, aussi de toute façon cela concernera ici la notion de désir (et cela est vécu d’une façon différente par ceux qui sont devenus des adultes parachevés ou alors par ceux qui sont encore des faunes, des satyres et des centaures), c'est-à-dire un moment qu’on doit pouvoir s’autoriser une fois qu’on a tout bien fait et qu’on a un peu de temps pour se consacrer à des questions sensuelles ou/et subjectives ou/et au bien être du corps – donc un moment a parte : la buona parte, car on aimerait que ça dure plus longtemps, sauf qu’il faut repartir à l’Ecole ou pour une cause ou une autre, régler des problèmes et là, le désir, cela n’intervient que rarement dans la rationalité, puisque ce qu’on fait n’est qu’en serviteur (au sens de l’Intérêt Général Supérieur, le meilleur qui n’est perceptible ou compréhensible qu’intellectuellement ou/et spirituellement, c'est-à-dire en révélant alors tout ce qui est le plus nocif, ou le moins intéressant pour tous – bref, cette notion de Bien Général, liée depuis toujours à l’existence des Bonnes-Pratiques : ne jamais oublier ce que l’on doit, devrait, devra[4]) des autres. Aussi, dans nos sociétés modernes, on ne pourra que devoir attendre le moment où lui offrir libre-cour – et c’est ici qu’il vaut mieux avoir trouvé son/sa pair[e] – c'est-à-dire soit sa femme, soit un ami[5] réellement pour toujours, comme ont montré possible cela exemplairement à première vue de loin, avec ce grand couturier son ami[6] qui s’est occupé de choses moins difficiles que de dessiner) par ce que tu en manques et que t’[7]as des stocks de poivrons que tu n’as pas réussi à vendre – mais je t’avertis d’avance que tu risques de perdre du temps à ça et que cela[8] va faire revenir[9] très coûteux chacun de ces morceaux de charbon, à l’aune du temps perdu et pire de la chair/(viande) exquise du légume d’évanouie en fumée – c’est pas du tout une bonne affaire, même pas en y songeant autrement qu’à premièrentendue (cependant intéressante). Donc, une fois qu’on médite le coup : rien de bon. C’est un conseil d’aîné, pour t’éviter de perdre du temps comme ceux qui s’étaient mis en-tête de gagner des CFP[M][10] avec les agro-carburants : une mauvaise affaire d’avance[11], car dès que le prix du pétrole sera à cours-le-bas, ces agro-carburants seront trop coûteux à produire (donc plus intéressants, financièrement parlant à produire) et, de plus, monopolisent des terres qu’on devrait plutôt songer à utiliser pour produire des poivrons qui, avec de l’huile d’olive et un peu d’ail, ou même sans, et seulement un peu de vinaigre baumique[12] ou/et du citron ou même [mangés] nature, sans aucun condiment, sont délicieux ]comme/en tant[/car[13] alternative ou solution élégante (évidemment préférable à celle finale qui, en raison qu’on emploie le mot de final (qui signifie synonymiquement le mot de ‘solution’, car elle est toujours à la fin, la bonne) sont pléonastiques (aussi cela ne sert à rien de répéter le mot de solution dans/avec ce mot de « final[e] »[14], car tous savent qu’une solution est (par essence ou ontologie, ce qui revient quasiment au même, car synonyme) un résultat, donc celui qui est censé être le meilleur (donc qui ne doit pas être la pire ou alors c’est la solution la pire qu’on écrit – ce qui est à la fin, ne doit pas être le pire, mais si possible le meilleur, car sinon c’est raté (la solution ratée) – en effet un dessert, ce qui est le synonyme d’une bonne chose, est situé en fin de repas, pour qu’on ait plaisir à terminer par une bonne chose. C’est pourquoi, on réservera le meilleur pour la fin, ce qui est toujours les fromages et/ou les gâteaux et/ou les fruits ou/et les liqueurs ou/et digestifs à base d’herbes savoureuses et bienfaisantes. Aussi, on commence toujours par le moins bon et c’est depuis longtemps dans toutes les véritables grandes sociétés (y compris occidentales) par la viande et le poisson. Soit ce qui va rappeler ces âges préhistoriques (appartenant à ces époques liées à ces personnes n’ayant pas acquis l’adresse des êtres humains véritablement supérieurs (les artisans, voire mieux que cela des aArtistes), dans certains dîner de société, ce qui ne va permettre que de rétribuer avec des CFP[M] des personnes qui sont aux basses besognes (activités impures fondées sur le meurtre d’animaux pacifiques et inoffensifs) et/ou/car [re]devenues préhistoriques ou/et [plus ou moins] attardées mentales, au point de croire possible ou concevable (encore de nos jours bénéficiant depuis longtemps de toutes les alternatives et solutions élégantes alimentaires bien meilleures et préférables pour la Santé de chacun des corps – celles-ci bénéficiant de la valeur ajoutée liée aux transports frigorifiques ou/et provenant de régions lointaines – fruits exotiques ou avocats, etc.) ce qui déjà dans les temps préhistoriques avait posé problème (la chasse effectuée contre ces animaux pacifiques et inoffensifs et non la chasse en légitime défense contre les animaux voraces, donc les prédateurs qui est la seule légitime et intellectuellement admissible – car logique, donc de bon sens – d’ailleurs les chiens le savent puisqu’ils participent aux chasses à l’ours ou à celle au renard et au loup ou à celle au lion – il y a donc les chasses légitimes et les chasses illégitimes, celles qui font obtenir des réincarnations inférieures comme celles contre des herbivores, donc des animaux pacifiques et inoffensif, soit ce qui avait effectivement posé le problème ayant causé la désertification dans le passé – le bon sens n’autorise donc que la chasse contre les animaux qui causent des problèmes à ceux qui sont pacifiques, herbivores et végétariens – c’est-à-dire sans beaucoup de défenses, en fait comme l’être humain qui a été contraint de s’ingénier pour se défendre en légitime défense, ce qui interdit de s’attaquer à plus faible – non armé, par exemple – d’où le succès mathématique de la non-violence de SAI SSS les Lord. Gandhi d’autant plus qu’on peut réussir grâce aux mots et aux chiffres à trouver des accords et/ou des solutions élégantes), au point de faire apparaître partout la solution élégante (l’alternative) de l’Agriculture (depuis des millénaires). Soit, avec cette viande [animale] et le poisson (mais aussi coquillages, crustacés et escargots[15]) le rappel, à table, des de ces époques lointaines et, de nos jours, préhistoriques (car on peut faire débuter l’Histoire à l’époque de la Révolution, Néolithique – il y a avant et après l’invention de l’Agriculture) durant lesquelles peu de personnes n’étaient devenues compéteantes en cuisine, au point de proposer chacune des alternatives et solutions élégantes. Donc de manger cette viande et ce poisson par solidarité (pour les gourmands s’étant mal habitués et recherchant à favoriser des tueurs d’animaux qui sinon[16], ces animaux,  auraient eu plaisir à continuer à vivre) avec les lapons qui sont coincés au Pôle Nord, comme les descendants de chasseurs voraces (poussés dans ces régions par la faim), et assurés de trouver (mais avec en contrepartie un inconvénient majeur qui était un signe à lire: un avertissement et même de quoi comprendre que le Grand Esprit décourageait à cela, mais n’interdisait pas – ils ont donc atteint le Pôle à leur risque et péril : d’y demeurer perdus pour toujours, sauf qu’avec Nanouk l’esquimau, SAI SSS les Lord. Flaherty va permettre d’ouvrir une voie de communication avec eux, malgré le fait qu’il soit marié chez les occidentaux, ce sera pareil [mais autrement vu] avec Derzu Uzala et SAI SSS les Lord. Akira Kurosawa) dans les mondes dépourvus de lumière (peu d’heures d’ensoleillement), [donc, comme] punis (pour ceux qui, au contraire en disposent) en cela par eux-mêmes (en fait leurs ancêtres, n’ayant pas voulu, bien qu’ils aient le choix avant de rejoindre ce Pôle, devenir agriculteurs ou éleveurs – d’où que faire l’apologie des peuples de chasseurs s’étant perdus dans le grand Nord n’est vraiment pas très intelligent – c’est même tout  le contraire, c’est bien celui (avec adolph hitler) qui ne comprend  rien (trop peu) à l’histoire des migrations, donc à comment tout à pu se goupiller – ce que moi, parce que j’eus à devenir bouddha en 1965 j’ai compris fort bien en 1975, comme de nouveau en 2005 (après les vingt sept années d’amnésie canoniques – en légitime défense), très exactement – donc en comprenant dans quel sens allait la Création et par conséquent le Projet de l’Architecte de l’Univers pour sauver à temps cette planète (avec la Grande Mutation) – ce qui fait que j’ai imposé mon père comme pharaon avant moi, puisqu’il était probable qu’il ne voyait pas les choses aussi clairement que moi en 1965 et/ou en 1975-77, en me disant que j’aurais à attendre le moment où je pourrais expliquer ce que j’avais compris de 1965 à 1975 à l’Ecole primaire et secondaire, d’aussi exactissimissîme – donc sans erreur et objectivement – pas pour des raison d’affinité à des lubies mais en raison de tous les paramètres qui m’avaient été confirmés et dont j’avais tenu compte – donc objectivement), de quoi se nourrir en assassins d’âmes animales, en profitant de ces armes qui n’avaient été forgées qu’en légitime défense de l’ours, du loup ou du tigre ou d’autres animaux sauvages, ayant tendance chacun (quand ils ne sont pas à brouter ou à se comporter en cueilleurs de baies ou de fruits ou mangeurs d’herbe à chat) à la voracité, à cause d’une mâchoire qui résulte de comportements précédents (dans la vie antérieure) où ils recherchaient par exemple à piller une ferme (en réalité celle de tous) et se sont nourris (en enfants-gâtés et/ou adolescents attardés, donc en égoïstes, au mauvais sens de ce mot car peu soucieux de la vie de chacune de ces âmes animales, donc  leur cœur devenu dur et insensible au sujet de chacune de ces âmes autres que les leurs - sous- au sens du own  anglais – la partie propre de celle-ci – en effet, en mangeant des animaux de fermes, c’est-à-dire de boucherie, cela fait obtenir une réincarnation en être humain pour l’animal pacifique et inoffensif mangé, mais malheureusement cela fait obtenir une réincarnation dans l’un des animaux voraces à ceux qui les tuent et les mangent – d’où que ce n’est pas une bonne affaire du tout ni pour ceux qui les tuent ni pour les animaux en question qui auraient été beaucoup plus productifs en choses essentiels comme les produits lactés ou la laine au lieu d’avoir leur vie abrégée aussi rapidement – cela aurait produit beaucoup plus de CFPM en définitive et en fait une meilleure alimentation car à base de gâteaux, donc de bonnes choses, de pâtisseries, de chocolat au lait, etc. – donc en fait grâce au solution élégantes alternatives qui résultent du génie humain, donc de bonnes idées – donc toute celle diamétralement opposée à celles découlant de la cruauté – c’est-à-dire du manque de respect envers la Vie) de viandes animales – comme l’ont fait parfois en bande de chiens [sauvages], non pas de ceux les mieux élevés, ou devenus des aristo-chiens ou aussi braves que les 101 dalmatiens) – aussi celui qui répète le mot de solution, en lui ajoutant ensuite le mot de final est, soit l’ignorant le plus absolu, au mauvais sens de ce mot ou/et le menteur, qui ne sait pas que les gens savent qu’une solution est toujours finale (en effet, elle se situe à la fin et que cette solution ne doit être que [la] bonne, comme un dessert – déporter des gens et les traiter comme des animaux destinés aux abattoirs n’est pas ce qu’on peut appeler un « dessert » - c’est une entrée de préhistoriques (au mauvais sens de ce mot : des gens qui n’ont pas fait de mise à jour, par conséquent qui n’ont pas compris les raisons pour lesquelles les progrès sont advenus – certainement pas pour réaliser des esclaves mais tout le contraire) donc encore une fois une solution de carnivores (de voraces) au sens d’égoïste et d’enfant-gâté, insensibles à la condition humaine et au respect qu’on doit aux êtres humains – c’est donc la solution du fou, au mauvais sens de ce mot, de le handicapé mental, de l’incompétent (de celui qui n’a pas compris les avancées des époques antérieures) – de celui qui ne sait pas ce qu’est l’être humain d’admirable ou/et de merveilleux – aussi cela ne peut pas être celle d’un homme véritablement marié et père de famille – c’est la solution de l’imposteur, du célibataire, de celui qui a fait semblant de se marier, du tricheur et donc de l’usurpateur – celui qui n’a pas le sens de la famille non plus et du respect qu’on doit aux couples et aux enfants, puisqu’il croit possible se conduire en esclavagiste et les séparer – c’est donc la solution de celui qui est sans cœur, de l’ignorant (au mauvais sens de ce mot des fonctions des CFPM - la solution du méchant homme (c’est-à-dire qui n’a obtenu ces CFPM qu’en tricheur ou en corrompu/teur), c’est-à-dire la solution de celui qui n’est que pauvre en solution élégantes qui au contraire l’honoreraient (dont celle des CFPM – Crédits Financiers Propres et Mérités) – c’est donc la solution de celui qui n’a pas de religion et qui est sacrilège, par conséquent la solution de celui qui avait (peut-être sans le vouloir – il faut l’espérer pour lui) le projet de faire devenir la terre un désert total, car il se moque de ce que celle-ci souffre, c’est donc la solution de l’irresponsable et de l’inconscient, au mauvais sens de ces mots, c’est-à-dire de celui qui est devenu incohérent et fou, car inhumain : ne respectant pas les droits de l’homme, donc en définitive ne se respectant pas lui-même, ni les animaux pacifiques et inoffensifs : la solution des sacrilèges (celle du boucher) c’est celle qui aboutit à toutes les ruines – par conséquent aux malheurs – il fallait donc faire cesser cela et découvrir ce qui avait pu mener quelqu’un à autant que cela déraisonner, devenir faux – ce que j’eus à prouver durant ces Démonstrations … par conséquent à vérifier comment ces personnes en deviennent autant que cela de stronze di marcia secca merda mente – donc à sortir de l’espèce humaine, à régresser et/ou à involuer, à cause de ce qu’elles sont assurées de ces revenus usurpés à l’Ensemble des très/plus honnêtes gens qu’eux) il s’agissait donc seulement de la solution impossible, inconcevable dont l’égoïste ou/et l’enfant-gâté ou/et le paresseux ou/et l’adolescent ou/et ce profane ou/et ce sacrilège (ayant en tête d’exclure des personnes ayant été des rares à pouvoir avoir accès à la compréhension des différentes notions permettant de comprendre celles de divines, donc situées dans un univers différent qui est cependant incontestable partout, puisque d’une façon ou d’une autre de nombreux individus de façon singulières y ont eu périodiquement accès d’une façon privée, intime et objective – en effet, la foi n’est pas seulement issue d’une subjectivité quelconque, mais d’une certitude objective[17]) ou/et le plus sombre des abrutis irrespectueux de l’altérité (des autres et de leurs droits[18]) et de toutes les virtualités qui y sont attachées (dont celle d’accéder comme Jean Valjean à la connaissance du sacré au point de choisir la conversion et de devenir monsieur Madeleine, puisqu’il vérifie que la notion de sainteté existe belle et bien, s’est incarnée dans ce prêtre qui se refuse à le persécuter, donc qui s’interdit de se venger, par conséquent qui applique à la lettre les conseils de ce maître de tous les maîtres, Jésus Christ qui est allé jusqu’à refuser en révolutionnaire la loi du talion ; l’ancienne coutume), c'est-à-dire avec celle des ignorants, au mauvais sens de ce mot, ceux qui ont été capables de croire être la bonne (solution), alors qu’elle n’était, en réalité et très véritablement qu’uniquement la plus fausse ou la plus mensongère ou la plus indigne de l’espèce humaine des êtres humains pensant ou/et n’ayant eu accès chacun d’une façon ou d’une autre à la notion de cœur ou à celle de Charité[19] (dès leur enfance – et nous avons pu remarquer qu’elle est inhérente à la notion même de mots qui ne se peuvent tourner que dans le bon sens, par conséquent en légitime défense de ceux qui vont croire possible l’extermination de gens paisible, pacifiques, cultivés, ayant la connaissances des lois économiques et des droits (ne consommant de la viande et de poissons que par charité pour permettre à des personnes ignorantes, n’ayant pas pu faire la mise à jour qui advînt dans tous les contextes les plus éclairés (ou les moins ignorants) d’être rémunérées en CFP[M])  comme des valeurs, y compris à cause de la loi de la Quantité qui n’en donne aucune à celle du pétrole, si ce n’est ce prix symbolique (dans un monde où l’argent continuerait d’être roi, ce qui n’est pas toujours un mal en soi) d’un centime le baril de pétrole, ce qui était déjà amplement des milliards et à l’infini de fois plus coûteux que ce qui se serait produit, si en très véritable frères, ceux-ci avaient livré sans rien attendre ce pétrole dont les entreprises occidentales, liées à la Révolution Industrielle commencée en Grande Bretagne et aux Etats-Unis au XVIIIème siècle avaient besoin – il est à parier que depuis longtemps la vision Laurie Granier … d’Atlantide… Lang de [R]Ôz[eau/ …/ w/y/s] aurait été rétablie et que tous les pauvres et les misérables dans le monde entier n’existeraient plus, chacun étant au moins autant milliardaire que les plus milliardaires, mais l’argent (ou les CFP[M]) ayant disparu car chacun n’obtenant que des cadeaux de l’Ensemble – évidement cela induisait aussi que les très véritables ingénieurs qui sont à l’origine de chacune des solutions élégantes renoncent à leurs différents projets, ce qui n’est pas possible, puisqu’il s’agit de ceux qui procurent des activités à ceux qui ne sont pour l’instant que de la main d’œuvre reproduisant par mimétisme, ayant grâce à celles-ci (des très véritables iIngénieurs ou des aArtistes, la possibilité d’évoluer – d’où la nécessité intrinsèque et ontologique du système lui-même des CFP[M] – c’est l’objectif d’en réaliser sans tricher, en parfait honnête gens qui motive dès l’enfance, car l’objectif est de réussir à faire disparaître la misère et les différentes sources de manque d’hygiène et de confort  – nous avons hérité collectivement d’une situation malade sur de très nombreux plans – d’où que les CFP[M] sont vus aussi comme un/le remède – évidemment ils ne peuvent pas être immérités car c’est comme si une personne n’avait pas obtenue un prix mérité au cours d’un palmarès d’un festival – cela est donc en liaison étroite avec la notion de compétence les Crédits Financiers Propres [pour des/de/car Compétants] (il y a) des CFP[C] synonymes des CFP[M]) qui honorent et fondent toutes les actions des hommes les plus remarquables depuis la nuit des temps, soit alors au contraire de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, une personne pédagogue qui cherche à souligner par le synonyme (finale) qui suit, la vérité du concept précédent, donc pour créer un effet de redite, comme pour souligner autrement et assurer son auditoire qu’il s’agit de celle qui est effectivement la dernière (on avait alors parlé de der des der) et en cela nous retrouverons alors cette personne au moins avec un désir de transmettre en enseignante, par exemple pour instruire des personnes moins savantes qu’elle, c'est-à-dire une de celle qui va écrire de nombreux textes à des fins de réussir à expliquer, donc une personne qui ne dédaignera pas à utiliser la raison et les démonstrations scientifiques, comme ici, pour souligner par double emploi pléonastique ou dont la rhétorique est à rechercher à souligner le sens de l’un par le sens de l’autre, mais aussi pour tous les plus savants, la totale inutilité de qualifier de « finale » une solution qui ne pouvait évidemment même pas se concevoir pour en être d’un tantinet une considérée comme pensable pour commencer. Pourquoi ? Parce que celle que j’ai en tête, c'est-à-dire celle à laquelle je me réfère et qui a affecté l’Allemagne et un ou deux pays satellites ou vassaux des années 1933 à 1945 est totalement contre la notion de famille (au sens ou celle-ci est issue d’une rencontre et d’une progression entre deux personnes de sexe complémentaire à des fins d’engendrer, c'est-à-dire contre la notion de différence qui caractérise chacune des personnalités au sein d’une famille quelconque et qui plus est, en mettant des choses en commun, sans songer à plus loin dans le temps (c'est-à-dire au moment où on sera plus âgé et pas spécialement dans l’idée de vouloir passer son temps avec des gens) que chacun est aussi différent l’un de l’autre que chacune des étoiles située l’une ou l’autre à des années lumière de l’une ou d’autre, au point pour quelques unes d’être d’un autre côté de la galaxie (il faut bien qu’il y en ait qui ne soit nullement à être à éclairer les mêmes directions que les autres, à appartenir à des emplacements géographiques différents qui en raison de cela auront leur originalité ou leur singularité qui ne fera qu’encore plus affirmer la notion d’individualité et de droit  à avoir comme objectif comme chacune d’elles, une relative autonomie et indépendance d’avec chacune des autres – en effet un système planétaire autour d’une étoile se suffit à lui-même , comme une famille) dont on n’a aucune idée là où en se trouve de tout ce qui gravite autour d’elles de notions ou géographies ou géologie, c'est-à-dire d’espace ou de temps différents, mais aussi s’il devait y avoir de la vie extra-terrestre (ce qui est plausible/probable avec la notion d’étoile et d’âmes) d’approches linguistiques, donc avec ces projets impossibles d’éradication des excellentes bonnes herbes ou de tout ce qui est le meilleur ou le plus intelligent pour ne conserver que les plus mauvaises ou/et néfastes avec des individus n’ayant qu’inepties diverses en commun, le contraire même de la recherche de la construction de la fraternité (d’autant qu’on ne recherche qu’à manger ou se nourrir de ce qui est sain pour le corps, donc bon et bienfaisant – ce serait comme rechercher à vouloir manger des ronces, ce que les ânes font avec les chardons, car ils les estiment à offrir quelques substantifiques sèves qui doivent avoir bon goûts de leur point de vue qui n’est pas aussi délicat/sensible que celui des êtres humains – cependant que comme l’être humain s’est intéressé à l’artichaut, il se pourrait qu’il y ait de l’intérêt pour ces chardons et pas seulement pour les ânes, donc à analyser d’un peu plus prêt même si à première vue aussi repoussant que les piquants ou les pointes des artichauts – il se pourrait qu’il y ait une substance qui donne de l’énergie et de la force physique à l’aune de celle que ces admirablissîmes quadrupèdes réussissent à obtenir après de légitimes gourmandises dans ce sens, leur permettant de varier de l’ordinaire peu réjouissant, peut-être même un peu amère, mais leur donnant avec cette énergie peut-être aussi un peu de la sagesse et de la bonté qu’ils ont avec tous ceux qui les respectent) ou de ce qui convient ou convenait de meilleur ou de préférable comme discours (celui de la sagesse, celui des très véritables savants qui depuis toujours ont montré qu’ils étaient capables d’admirer et de peindre ou de rendre sublime, à première vue, même des espèces différentes à première vue seulement nocives : les très véritables peintres ou très véritables aArtistes qui éprouvent continuellement ce sentiment qui est la solution[20] (élégante) : le respect des espèces, des races et des différences[21]) et d’ontologique nécessité d’accepter les différences de temps qui concerne chacune des âmes appartenant à chacune des espèces ou de races – c’est l’intolérance, ce qui n’est pas concevable ou acceptable, puisque cela a été à l’origine de toutes les formes d’exclusion et donc de rejet, de non acceptation des différences de chacun, en tant que virtualités par essence ou ontologies enrichissantes) quelques unes de conclusives quand la conclusion est aussi erronée qu’elle fut en raison d’un socle de paramètres pour commencer qui ne posaient nullement honnêtement la question et étaient de ceux qui ne voient pas clair, cependant que dans d’autres cas [particuliers] il y a des solutions finalement qui sont bonnes, comme l’une ou l’autre ici, dans cette lettre : un bon conseil, par exemple au sujet de l’éthanol – du temps perdu pour tous, bien qu’effectivement si ceux qui disposent des revenus du pétrole devaient refaire la même erreurissîme historique d’augmenter le prix du baril de pétrole, on peut y recourir et alors il s’agira de l’alternative dont ils ont peur qui fait baisser le prix du baril de pétrole, d’autant plus qu’en occupant les terres pour sa culture, voilà autant de gens affamés et tués par ces escrocs ou/et ces hors les lois qui ont voulu augmenter le prix du baril de pétrole pour être les seuls à disposer d’une caisse noire, tandis que les autres contraints comme ta maman ou ton grand-père ou tes arrières-grand-pères à travailler jusqu’à 11 000 fois plus que le nécessaire (quand le pétrole était à 110 dollars le baril, ce qui est onze mille centimes), ce qui a rendu leurs cheveux bancs en raison de ce qu’ils ont dû peiner puisque les autres n’étaient qu’à rechercher qu’à acheter et à avoir la vie de château sans en mériter même pas un électron (ils dépensaient ces cfu[surpés], cfé[scroqués], cfv[olés] à l’Ensemble) – les voilà à cause de cet état d’esprit de profiteurs au mauvais sens de ce mot, donc de racketeurs ou de ceux qui font du chantage, à n’avoir comme perspective d’avenir que celle des animaux n’ayant qu’involué ou régressé (puisqu’ils n’ont pas souhaité partager ce qui était à tous : cette matière première du pétrole mais ont recherché à avoir plus que les autres en la gérant de cette manière contraire aux intérêts de l’Ensemble) au point que leurs canines ont poussé comme celles des chats et des chiens, des paresseux qui aiment seulement être couchés et de temps en temps faire du sport ou courir ou rassembler le bétail (pour se rendre dignes de ce qu’ils reçoivent à manger. Là ils sont parait-il d’admirables toutous, tandis que sinon uniquement des sombres parasites, profiteurs, escrocs et ennemis d’eux-mêmes, de ce qui leur aurait le mieux convenu : en prêtant main forte et en canalisant leur violence comme des bons chiens de traineaux, les voilà à faire glisser loin sur la banquise le traineau magique du père Noël, celui des rennes qui sont sinon l’alternative car en réalité ces chiens ne sont employés que par charité puisqu’il y a cette alternative ou celle de tirer ce traineau avec les bœufs ou même d’autres animaux moins sportifs à première vue, comme l’éléphant ou la girafe ou d’autres encore, cependant qu’en permettant à un lion ou deux de tirer le traineau du père Noël, tous sont contents – le Père Noël a même essayé de redonner de l’emploi aux crocodiles, mais ceux-ci sont devenus si paresseux que le traineaux n’avance pas, avec les crocodiles comme moteurs, cela ne permet pas de rendre les enfants à Noël heureux- on ne peux donc qu’employer les chiens comme alternative aux rennes des neiges ou alors un ou deux tigres qui voudrait redevenir rennes des neige[s] pour voler comme l’admirable Pégase dans le Ciel quand c’est Lui qui se charge de ce traineau que quelques uns ont prétendu être le Carrosse d’Or, un film de SAI SSS les lord. Jean Renoir que tu découvriras chez l’une ou l’autre de tes arrières bonnes maman ou bons papas). La solution élégante des chairs/viandes de légume est par conséquent inoffensive envers les animaux (mais cela dépendra de toi d’arriver à le faire comprendre : c’est qu’il ne fallait pas croire à tous les « à première vue », être victime des « à premier entendu » non plus (ce dont les occidentaux furent nombreux victimes dans leurs contextes familiaux peu instruits).

Tu es arrivé à une époque où l’école va contribuer à t’apprendre à analyser le plus possible en détail et à « relativiser ». Mais c’est difficile à faire comprendre à des petits bébés, bien que tu ais compris cela, car tu es grand assez pour avoir eu le droit à te reposer dans un hamac. Les hamacs cela évite que les serpents viennent dormir dans un lit quand on est dans la jungle ou la forêt ou s’il y a deux arbres assez robustes en ville – on en tire un entre deux. Cela pourrait être une des solutions au moins de fortune pour certaines personnes sans abris dans les villes, l’été. C’est une vieille solution élégante qui a été trouvée pour se reposer et il y a dans les allées, dans les villes de nombreux troncs d’arbres qui se suivent pour faire de l’ombre (cela pourrait être permis à partir d’une certaine heure, au moins jusqu’au lever du soleil en laissant des passages en alternance pour que les piétons puissent traverser ou rejoindre leur voiture). Bien sûr de nuit, aux heures creuses (ta maman t’expliquera ce mot).

Il faudra que tu aides ta maman à faire la cuisine, si ton père ne sais pas encore la faire et ainsi vous pourrez apprendre ensemble avec ton père y compris à faire les courses ensemble. Tu feras le marché, ce qui permet de voir des couleurs naturelles qui viennent d’un peu partout (du monde entier sur les étalages des marchés) et apprendre à compter.

Moi j’aime bien faire la cuisine (j’ai passé un brevet de cuisinier aux louveteaux (pour moi ce mot signifiait beaucoup de choses différentes, dont le contraire, car quand j’y suis allé, j’étais déjà devenu bouddha – aussi je ne faisais que penser et remettre en question ces  àpremierentendus), mais tu es encore trop petit et il faut avoir une paroisse de quartier pas loin pour s’inscrire si on trouve qu’on peut faire confiance à ceux qui se prétendent des chefs (fait attention, il y a ceux qui disent qui le sont et qui ne le sont pas : ils ne savent pas encore ce que veulent dire les mots et ils s’embrouillent). C’est quand j’ai fait du scoutisme petit et j’ai fini par faire moi-même à manger pour la petite patrouille qu’on m’avait confiée comme responsable, une sizaine, quand on faisait des camps (au lieu de me faire servir, parce que j’étais le chef, j’ai appris à servir les gars de ma sixaine en découvrant que c’était ça être chez : servir). On mangeait autour de feux en plein air, on apprenait à dire des histoires ou à faire du théâtre, etc. Peut-être tu pourrais t’intéresser aux aventures de Donald qui sont en kiosque en couleur (comme ça si je viens un jour te voir tu pourras me conseiller une histoire ou l’autre que tu auras aimé avant d’aller visiter Disneyland – fais attention il y a des gens qui sont contre les bandes dessinées et qui préfèrent les vrais livres, au point de vouloir les interdire aux enfants. Ils disent du mal de ces personnages, en prétendant que ce n’est pas de l’art que les originaux dessinés à la main par les dessinateurs de bandes dessinées, mais il y a des gens qui essayent de faire comprendre que certaines d’entre elles c’est déjà de l’art (tu verras il y a des affrontements sérieux à ce sujet – moi je suis persuadé que c’est un des arts majeurs, celui de la bande dessinée et des dessins animés).

Mais tu es encore trop jeune pour partir faire des randonnées qui sont de très longues promenades pour faire des photos ou des vidéos d’animaux, si on a la chance d’en croiser. Pourtant avec des personnes sportives autour de toi, tu pourrais y arriver.

Tu es devenu l’ainé et c’est rudement gentil à toi d’avoir accepté d’accueillir un petit frère dans cette maison, que tu auras à apprendre à protéger (pour cela il faut apprendre le droit et comprendre le bien fondé des lois et des règles) et avec lequel tu vas partager tes jouets.

Je m’en veux : je n’ai pas beaucoup eu le temps de venir te voir pour t’emmener te promener à Vincennes, mais j’espère que si j’ai moins de travail que cela dans les années qui viennent, je pourrais avoir le plaisir de découvrir ce jardin et ce château qui a été récemment restauré. Je sais que mon frère Luc-François qui a plus de temps que moi en ce moment, a pu te voir et j’ai découvert hier le dessin que tu as donné à Florence. Elle avait trouvé le temps de m’acheter un polo que je porte ce soir pour t’écrire et qui est rayé de lignes violettes, bleues, blanches, vertes, … à l’horizontale sur fond bleu marine et cela m’a fait très plaisir, parce que j’ai lu dans un livre d’un auteur japonais traduit en français que la sonorité japonaise [kon] signifie « bleu marine ». Si Oriane ou ton papa t’explique, tu vas rire. (Tu as compris que j’aime les insultes – ce qui est drôle c’est qu’il s’agit de mots qui le sont devenus pour des raisons parfois qui ne sont pas très bonnes, comme dans ce cas là – en trouver de nouvelles ce serait formidable).

J’aime beaucoup les polos. J’en avais beaucoup, mais comme j’ai beaucoup travaillé ces dernières huit années, depuis 2005, j’en avais qui s’étaient déchirés et qui étaient trop usés pour les mettre. Aussi j’ai été très heureux de cette surprise de ta jeune bonne maman Florence. Un vrai cadeau dans la maison aux miroirs.

Tiens c’est une idée, des hublots miroirs comme fenêtres en architecture et pas seulement pour celle des bateaux, l’architecture navale.

Tu vas entrer à l’école bientôt et apprendre à écrire. « Personnellement », comme on dit en Afrique, j’ai adoré avoir ma première trousse et un crayon de papier et tu vois, j’ai mis au moins 42 ans pour finir par écrire des vraies phrases (j’avais néanmoins pu un peu le faire avant, parfois, mais c’était des essais). Il faut dire que si je réussi mieux qu’avant, je le dois à l’aide de l’ordinateur.

Je suis sûr que tu mettras beaucoup moins de temps, car tu es de la génération qui a accès à Internet et tu pourras aller vérifier très facilement des mots comme « Afrique », par exemple, sur l’encyclopédie Wikipedia, bien qu’il y ait des personnes qui ont raison de préférer les vraies encyclopédie en gros volume qui sont celles d’autrefois[22] car elles exigent aussi une autre forme de patience et moins de muscles, à moins d’avoir à utiliser un des vieux ordinateurs portables trop lourds pour cela, toujours pour les mêmes « enfant-gâtés », ce que je ne dédaigne pas être, mais au sens positif.

Oriane, ta maman, t’apprendra à te servir d’Internet. En fait, c’est très simple et tu vas pouvoir avec cet instrument « chercher » tous les mots, ce qui te permettra, si tu as appris à lire[23], de dire à ton petit frère ce que tu découvriras, car si tu as appris des mots déjà nombreux, tu pourras mieux les réviser ou les apprendre plus profondément en les partageant avec lui – mais surtout penser avec eux dans le bon sens – parfois on n’a pas besoin de penser pour trouver et comprendre (c’est ce qui advient, une fois devenu bouddha).

J’espère que ce que je t’ai écrit Ne sont pas de trop longues phrases (avec les notes de fin de page qui sont comme des parenthèses que tu peux aussi lire à la fin de la phrase) et que cela n’a pas été trop difficile à comprendre ou à lire[24].

Je suis fier d’avoir deux petits neveux qui ont deux plus petits qu’eux à élever en ayant à leur apprendre ce qu’ils ont déjà appris (et à apprendre à protéger des plus petits).

 Si tu me le permets, je te salue à l’indienne, car je n’embrasse plus, en raison de ce c’est plus hygiénique : cela évite de se toucher et de risquer un rhume en hiver ou à une autre occasion à cause de certains microbes qu’ont attrapé ce qui s’embrassent ou mangent de la viande et du poisson ou des crustacés.

Il ne faut pas avoir peur des microbes, tu apprendras à l’école qu’ils sont invisibles et dans l’air minuscules : c’est très intéressant – on a réussi à les photographier en utilisant la « macroscopie » au point que cela en a passionné certains et qu’ils sont devenus chercheurs en médecine, ce qui est une profession (ou un métier) du genre « architecte » pour soigner l’intérieur des personnes, mais aussi l’extérieur. Tu le sais puisque Nicolas l’est. A propos, si tu le vois, tu lui diras, s’il te plait, et si tu n’oublies pas, que je le salue et que j’aimerai avoir son adresse Internet, à l’occasion. Peut-être suffit-il d’envoyer à son attention à l’agence ? Mais peut-être aura-t-il envie de te communiquer à mon intention une adresse qu’il consulte pour ce qui n’est pas professionnel et qu’il te permettra de me transmettre pour que je ne le dérange pas durant son travail et l’oblige à classer ces messages dans des dossiers.

 Salutations affectueuses.

 Laurie

 


[1] [ex napoleon et ex hitler et ex ceux avant eux, d’autres empereurs, à-premièrevue, canoniques] – si tu avais des difficultés à lire avec la couleurs cardinale, tu peux ‘sélectionner tout’ dans les notes de fin de page ou tout le texte et choisir la couleur blanche ou une autre, pour que les mots, donc les caractères, soient plus lisibles en plus clair.

[2] Et si cela n’est pas bon pour eux, ce n’est pas bon pour n[V]ous non plus.et si ça leur coûte très cher, cela n’est pas bon non plus pour n[V]ous. Ce n’est pas une bonne affaire que de se réjouir que ça leur coûte cher : ce qui signifie qu’ils auront à en souffrir (en effet, à cause de cela, ils vont perdre du temps, ne serait-ce que pour se soigner, ce qui est une sorte de frein général et une perte générale – mauvais pour l’Ensemble).

[3] Mais attention, il y a de ces activités qui exigent des apprentissages plus long[s] que ceux pour se servir d’un mobile téléphonique ou même d’une cocotte minute – parfois cela exige au moins cinq années d’école – tandis que pour d’autres personnes quarante années d’Ecoles diverses ou d’études diverses. Des investissements financiers personnellement avancés ou obtenus en raison de la confiance de tiers qui sont qu’il faudra des années à rembourser d’autant que ceux-ci les auront proposés en CFP[M] et non dans des cff. 

[4] Car il n’y a que l’irresponsable ou celui qui a perdu sa conscience qui est capable de devenir coupable d’un tel crime contre l’autre ou celui /le avec le/laquel[le] il est en dette, c'est-à-dire avec la meilleure part de l’humanité (puisqu’elle lui fit, confiante, autant crédit): des noms propres de famille et des prénoms d’êtres humains. L’oublier, à l’occasion de chacune de ses découvertes, c’est renoncer à remonter aux causes qui ont produit la part lumineuse de sa propre (au sens anglais du own Anglais) personnalité et par conséquent c’est ne vouloir rejoindre que les escrocs ou les ingrats, c'est-à-dire ce qui, fatigués, (car en général encore et toujours adolescents n’ayant pas s’extirpé de cette adolescence), se conduisent en irresponsables enfant-gâtés, au point d’oublier leurs dettes, ou même de croire s’autoriser à en faire supplémentairement (des fous, au sens maladif de ce mot et non au bon sens, qui a pu conduire à des éloges).

[5] Mais est-ce possible ? Cela pourrait l’être si les deux personnes sont animées du même désir, ne faire que progresser et évoluer. Elles finiront tôt ou tard par se séparer tout en demeurant amies de loin, à moins d’un miracle. Ici la solution élégante est proposée dans « chacun chez soi ou/et chacun dans ses appartements », (pour les rares chanceux qui en disposent de droit) cependant qu’il y a tous les moments où on est persuadé de pouvoir faire chambre commune ou « maison commune ». Cela est ou sera autour des premières années de la naissance de l’enfant attendu, ou en réalité durant l’époque précédent les fiançailles et les mariages (des fois ils durent ou dureront tant que l’enfant à naître, le fils ou la fille vivra) ou alors ils sont voués à évoluer autrement. Se pose la question des pacs – car nous devons continuer à les différencier des mariages hétérosexuels pour des raison[s] administratives, juridiques, et même touchant d’autres catégories, même s’il n’est pas interdit aux intéressés de les considérer [comme] des mariages, par conséquent y compris sur un plan sacré – mais cela concernera cas par cas, donc couple par couple. En fait il s’agit souvent de confusion liées à la notion de join venture (aventure commerciale en commun) ou alors d’aventure permettant d’évoluer, de progresser, au moins pour l’un des deux grâce à celui qui a des longueurs d’avance (attention l’autre, dans ce couple court le danger de régresser à cause de celui qui est à la traîne) – un aspect rassurant comme quand on voit un requin qui en sous-marin se déplace avec un (autre) requin satellite (en général plus petit et rassuré, à cause de sa grande peur de la réalité : perdus). Cependant qu’il y aura des cas ou des situations particulières de couples homosexuels qui sont peut-être plus mariés encore que des êtres à première vu mariés (le cas de Jean Cocteau, par exemple ou peut-être le cas d’Yves Saint-Laurent). Ici c’est le cas par cas et la nécessité de respecter la vérité subjective de chacun qui n’est peut-être pas encore de ceux qui ne sont plus qu’à faire un avec l’objectivité, au point d’avoir soumis leur subjectivité à celle-ci. Ce sont alors des personnes robot au sens d’ordinateur ou même qu’on appelle extra-terrestre – elles sont hyper-exactes et ne supportent pas la confusion  à ce sujet qui sera l’origine des incohérences et par voie de conséquences des maladies. D’où que le mariage pour ces dernières est encore autre chose qui ne sera pas accessible aux mortels : il s’agit de dieux, par conséquent qui peuvent avoir plusieurs épouses ou plusieurs dits  « maris » et en cela ressembler à la femme qui pourrait avoir des enfants de différents maris, si elle avait la certitude de disposer de Crédits Financiers Propres (des CFP) et Mérités (ou CFP[M]) et non de ceux usurpés (cfu), escroqués (cfés), malhonnêtes (cfm), corrompus (cf(de)c) – ici au mauvais sens de ces derniers mots (à ce sujet il faut créer le multi-signet – soit le signet qu’on affectera à plusieurs mots dans le textes, les référents du signet – on Nous devra, cher Oscar (qui m’inspire), pour ça aussi) qui on le sait, employés en anti-phrase ou autrement (donc dans d’autres cas [particuliers]) peuvent avoir du bon.

[6] Evidemment il s’agit d’affaires (de commerce et de chiffres d’affaires, etc. : d’emplois ou d’activités à proposer) et dans ce cas là vite la vie privée et la vie publique se mélangent et si l’un des deux n’est doué que pour une chose, ou/et ne veut pas s’intéresser au travail de l’autre, pourtant complémentaire, cela peut aboutir à une scission ou même à une autre histoire d’amour, un peu comme dans le merveilleux film assez drôle (voire en de certains moments plus que cela ‘très drôle’ – la peinture d’une époque au cours de laquelle ces personnes s’ingéniaient à faire croire que la reine de la nuit étaient encore à sévir (un peu comme dans le S. A. I. SSS Pier Paolo Pasolini et les 120 journées de la république de Salo – alors qu’elle était morte depuis 1815 et même avant) de la Cage aux folles qui est lisible sur de nombreux niveaux de lecture et qui sera même si drôle que tu pourras remarquer que l’acteur qui s’appelle Galabru et qui joue le rôle d’un ministre ressemble un peu à mon père ou/donc à ton grand-père pharaon, au moment où se sont mariés ta grand-mère Floreance et ton Grand-Père Nicolas: c’est même une jolie caricature à leur sujet (donc ce n’est que vrai en tirant par les cheveux – en fait cela ne s’est pas du tout passer comme ça – un jour tu sauras et on riera), mais cela te renseignera sur l’époque qu’on a été contraint de traverser tous (les pharaons ont la particularité d’avoir eu à traverser des époques et d’avoir maintenu des traditions qui datent probablement grosso modo de la fin du Quaternaire (justement, quand il y a eu soudain la nécessité de créer le premier des pharaons (qui fut arnaqué) – ce fut leur attrait et la séduction qu’ils exercèrent puisqu’ils voulurent prétendre que l’être humain était uniquement animal -[(il est indéniable que certains animaux, les pacifiques et les inoffensifs, possèdent des qualité, voire une forme de sagesse (mais cela n’a rien de commun avec la sagesse des êtres humains, une fois qu’ils accèdent à la bouddheité (donc à la connaissance véritable)]- et non spiritualité, sauf qu’ils se contredisaient tout le temps à ce sujet à l’aune de toutes les preuves données partout qu’il n’y avait que spiritualité, recherche de sainteté véritable et même plus que cela, Saint-Esprit ! D’où que plus les empereurs et les pharaons ont rejoint cette époque-ci, plus l’Empire s’est réduit et cela depuis que ce Dieu nommé Jésus-Christ en raison de sa très grande spiritualité et de la solution élégante qu’il trouva (à son détriment) pour nous délivrer des péchés, mis, sans même y songer, un coup fatal à l’Empire romain, autrefois Egyptien – d’un seul coup, à cause de l’erreur commise par plusieurs personnes à l’époque d’il y a 2000 ans dans cet empire des pharaons d’avant ton Grand Père Jean-luc Granier, les pharaons de la Reconstruction et de l’Angles et de … , avec ma personne : l’empire, ton empire d’un seul coup détruit. Aussi j’eus à l’occasion de ta naissance à créer un empire très différent et qui est si différent qu’il n’a plus rien de commun (ou peu de choses) en commun avec l’empire tel que ces empereurs très préhistoriques car belliqueux dans leurs revendications territoriales ou/et de femmes, avaient eu l’habitude de considérer la raison d’être de l’empire (militaire, offensif, dans lequel la loi du plus fort, physiquement prévalait – donc dans des époques n’ayant pas encore (peu) accès aux spiritualités et par conséquent aux alternatives et solutions élégantes à toute forme de brutalité – ce qui advînt en Orient (plus ou moins au mêmes moments), grâce aux premiers bouddhas – le plus fort est celui qui raisonne le plus juste et non le plus brutal et jamais celui qui fonctionne irrespectueusement de la différence dans laquelle se trouve prisonnier, très souvent, le profane, voire le sacrilège (donc les empereurs) qui, on le sait ne peut pas réussir à comprendre en raison d’innombrables manques qui sont souvent dans ces temps-là anciens d’origine scolaires, ou même universitaires – des formations incomplètes, donc en moins, ce qui ne leur permet que d’accéder aux activités non intellectuelles, peu intellectuelles (celle de la plupart des militaires) qui leur permettent cependant de reproduire en mimétiques, à l’identique et/mais souvent d’être convaincus de nombreux préjugés et/ou inepties) – à tel point que ce fut comme soudain un angle à 90° (une sorte de virage) qui s’est produit toujours au même dates : 1965, 1975 … 2005, 2015, etc. les années se terminant en 5 (cela a été si important cet Angles que les gens qui écrivaient avec du papier à l’horizontal, se sont mis à écrire avec des écrans à la verticale – ce qui avait été pendant des siècles annoncé par l’ensemble des peintres) – en fait c’est l’empereur a. h . , mon grand-père pharaonique (donc ton arrière-arrière grand-père empereur) qui m’y a contraint à partir de ces dates, en légitime défense de ton/n[V]ôtre Empire : mais aussi de la Vie (et non la mort, comme cet ignorant, au mauvais sens de ce mot, c’était mis en tête de croire qu’il était (car il n’était pas devenu bouddha, ce qu’il m’a, en me croyant à tort être une menace, sans le vouloir, contraint à devenir et cela dès ma naissance, mais aussi une autre fois en 1965, une autre en 1975 et enfin depuis 2005 à cause d’un anneau de mariage que j’ai avec une de tes grandes tantes depuis l’âge de mes deux ans – ce qui m’a permis d’annoncer d’avance la naissance de ta mère et la tienne – cela a fait énormément plaisir à ton grand-père qui adore, comme moi, sa fille, ta grand-mère) – en fait seulement à cause de son époque qui était dans l’obscurité de la prétendue existence de la reine de la nuit et surtout qui n’avait pas pensé que les enfants pouvaient être autrement vu des arrières grands-parents (donc qui croyaient que les enfants étaient seulement bêtes et inutiles) – cette reine de la nuit a existé et il est probable qu’il s’agissait uniquement d’une sorte de maquerelle fellinienne, tenancière de bordels, même pas encore apprivoisée (soit une mégère ou un roquet, pas très intéressante intellectuellement comme conversation[s] et surtout la tête farcies de préjugés ou d’idées fixes au mauvais sens de ce mot – il y a plusieurs caricatures d’elles même plutôt flatteuse, par exemple dans une admirable et drôle de bande dessinée qui s’appelle Ma Dalton dans la série des Lucky Luke) – ça ne vole jamais très haut – et en cela il est probable qu’elle représente la façon de faire des empereurs que j’appelle préhistoriques (avant mon père) : elle croyait qu’elle avait le droit d’employer la force et l’intimidation par les armes à feu (ou autrement – peut-être en se servant d’une salle des machines dont j’ai appris qu’elle existerait) pour obtenir ce qu’elle n’a pas voulu comprendre on ne pouvait obtenir qu’en échange de temps consacrés à des choses utiles à tous – elle voulait donc se faire servir (comme une adolescente et une enfant-gâté mal polie avide, donc égoïste au mauvais sens de ces mots), en employant la brutalité et les armes à feu – ce qui n’est pas concevable puisqu’il y a la solution élégante des Crédits Financiers Propres et Mérités de droit qui permettent d’obtenir en échange de ces crédits versés à des gens qui les méritent pour services rendus et d’autre part la négociation pour obtenir la libre adhésion à un projet – en fait, elle ne voulait pas travailler et croyait pouvoir voler des choses qui ont requis infiniment de peines à des êtres humains pour être élaborés, même en plusieurs exemplaires, de façon à permettre de réduire les prix d’autant les prix de gros que les fournisseurs des matières premières s’ingénient aimablement dans ce cas-là à vous faire pour que vous réussissiez une entreprise ayant par exemple des automobiles à réaliser en de nombreux exemplaires à partir du prototype de départ (ce dont est capable l’iIngénieur ou l’Architecte comme sont capables les compositeurs ou/et les écrivains avec des livres d’aventures ou des textes sacrés – des prototype, des originaux qui représentent partout des dépenses en amont, c’est-à-dire des investissements différents et par conséquent des apports capitalistiques de gens qui travaillent beaucoup plus que d’autres, ce qu’on a découvert être les aAuteurs, en général quand il s’agit des bons, des vrais, des [devenus] bouddhas qui fonctionnent donc d’une façon non profane et qui ont donc des comptes bancaires très différents de ceux qui ne sont pas encore des bouddhas, donc avec la nécessité de fonctionner d’une façon autonome et indépendante liée à chacune de leurs différente entreprises – il s’agit donc de gens qui fonctionnent d’une façon extrêmement complexe puisque plus ou moins tout dépendra d’eux seuls – ce qu’évidemment une personne non-instruite suffisemment, comme l’’est MA Dalton ou/et même ses enfants les daltons ne peut pas comprendre : le monde de la vérité – c’est-à-dire comment les choses peuvent réellement se goupiller – bref comment concevoir un revolver, par exemple ou même un Mirage 2000 : cela ne se peut donc qu’uniquement en légitime défense et contre les gens qui ne respectent pas les sciences qui permettent de s’instruire pour réaliser les plans des différents objets qui ne peuvent donc pas servir contre ceux qui défendent le véritable éEtat, par conséquent qui ne peuvent pas servir à voler ni à escroquer, ni même à faire des esclaves et encore moins à intimider et à se conduire en enfants [trop] gâtés) – aussi il est probable qu’elle ne fonctionnait qu’en exerçant des chantages odieux et en maintenant son petit monde dans une situation de plus ou moins esclaves de ses désirs injustes et irrespectueux du travail comme des formations de ces personnes ayant été ses victimes en toutes les époques du passé, avant sa mort)  – je n’ai pas eu le choix et cela a eu des répercussion dans le passé peut-être jusqu’à 1925, quand ton arrière grand-père avait alors plus ou moins ton âge : cinq ans ! Et le voilà à devoir grandir pour rejoindre l’âge où parait-il on n’est pas sérieux quand on à dix sept ans – aux dires d’un grand poète qui écrivit avec le plus grand des sérieux cette phrase à la plume en se référant sans doute à un cas particulier qu’il avait en tête qu’il a peut-être (malgré lui ou pour les besoins et nécessité de son poème – ce qui n’est qu’une des vérités relatives existantes, celle de la Poésie – certes qui va souvent jeter des ponts avec d’autres vérités relatives en les évoquant, par exemple d’une façon intrinsèquement [plus] poétique que la réalité scientifiquement exacte, issue de vérification expérimentales probantes) érigé en cas général ou en généralité, au point que de nombreuses personnes « bien comme il faut » le crurent sur le plan général, alors qu’il ne s’agissait que de ce cas de figure-là (qu’il avait en tête comme référant) donc relativement relié à l’expérience de cet immensissîmes poète qui a peut-être même écrit le contraire (par anti-phrase) à ce moment-là, en raison de l’âge qu’il avait, qui était en cette époque du passé celui où les garçons songent à devoir prendre épouse pour se marier et attendre leurs enfants pour les élever à des dignités ou/et des compéteances qui honoreront le nom de famille devenant propre grâce à ces descendants faisant des choses admirables, comme par exemple ce poètissîme du nom d’Arthur Rimbaud – ce fut l’époque qui précéda de peu pour Lui (ton grand Bon papa) la Seconde Guerre mondiale et c’est pourquoi il est probable que ton arrière grand-père qui est ton grand-père, à l’échelle pharaonique, mon père Jean-Luc Granier, car il est le pharaon me précédant n’a jamais été que sérieux à cause de cette guerre avant son mariage et qu’il n’a pu devenir un peu l’inverse de sérieux que petit à petit, vers l’an 2000 ou 2005) – l’époque des gens « hyper-officiels » (des gens insupportables d’ennuis – ils peuplent les préfectures de provinces (ils ont à changer de costumes plusieurs fois par jour, ce sont les maires de Champignac, par exemple) - et c’est à Paris qu’ils sont en ce moment comme ils l’ont plus ou moins toujours été dans les ministères – au point qu’il vaille  mieux, je te comprend[s], rejoindre la Province, comme tu as fait, en partant rejoindre SAI SSS les Lord. Montaigne à Bordeaux – c’est au lycée Montaigne que ton Grand-Père pharaonique (donc mon père) a appris à écrire, au point qu’il a écrit de très beaux poèmes - peut-être encore plus beaux que ceux de Rimbaud - ,= dès l’âge de ses cinq ans ou sept ans – je traduis avec ma mère  (l’impératrice en titre) en italien un de ses recueils de poèmes plus tardifs « Résurgence captives »). Evidemment caricature un peu mordante, voire déplaisante, mais qui a dû faire sourire ton arrière grand-mère tant qu’Elle ne songea pas qu’il s’agissait de son mari, voire même à d’autres moment l’a-telle mal pris, en voyant que je trouvai drôle de penser que ton arrière grand-père ressemblait un peu à cette caricature de ministre ou à celle du Schtroumpf-à-lunette et encore plus du pharaon qu’elle a épousé (elle sait que le problème des folles ou des garçons qui deviennent des folles, est un vrai problème. En effet, ça n’a rien à voir Galabru et Jean-Luc Granier (fort heureusement pour les deux), si ce n’est que cela est tellement antithétique que cela en devient caricatural et donc drôle, parce que ce n’est qu’inverser ou alors avoir des idées clichées de la fonction de ministre – celle des ignorants au mauvais sens de ce mot ou même au bon sens – c’est pourquoi ce film commercial est réussi dans l’idée qu’il donne des préoccupations intestines d’acteurs qui sont à d’autres occasions capables de faire totalement autre chose comme personnages à interpréter/jouer – le risque avec le Cinéma est de se dire que ces acteurs ne sont que pour toujours ces rôles, alors qu’évidemment il sont dans d’autres films d’autres caractères/personnages qu’ils illustrent souvent autrement – aussi s’il te prend de l’inimitié pour quelqu’un d’entre eux dit-toi qu’ailleurs, à un autre moment, cette personne à une autre activité (comme rôle) que celle qui te déplaît tant dans ce cas où il t’a déplu, donc qu’il serait peut-être enfin mieux employé – le risque cependant avec l’incarnation de caricatures de personnalité ministérielles ou/et officielles ou/et de responsables très véritable[s] est de faire croire que le peuple peut généraliser au point de penser que le pharaon ou un président n’est que cette façon d’être dans sa vie privée que ce Galabru l’incarnant – ils ont alors avec ces films populaires et drôle, une idée préconçue , voire un préjugé (qui se forme alors) sur des fonctions ou l’exercice d’activités officielles et ne se rendent pas compte de ce qu’elles sont, en réalité – d’où que naissent alors des mensonges et des certitudes qui sont erronées ou peu conformes avec ce qu’est le mot quand il est véritable : ministre intègre, compétents et travailleurs infatigable, serviteurs de l’Etat avant lui-même, comme S. A. I. SSS les Lord. Pierre Bérégovoy – d’où que tous alors n’avaient eu qu’une idée fausse car le référent caricatural était trop peu conforme à la réalité de la charge (éEtatique) – mais évidemment il n’y aura ici que ceux qui savent la vérité au sujet d’une personne qui sont les victimes d’une sorte de sacrilège collectif qui est dû à la notion de divertissement, au sens de légèreté qui a du bon, bien sûr, mais surtout du mauvais, quand cela va travestir ou transformer une chose vraie et pure en une chose impure et fausse ou même de fou et folles – en fait cela ne plaira qu’à celui qui devient fou ou folle au mauvais sens de ce mot – car il y a de nombreux ingrédient effectivement représentant l’envie d’extrapoler ou de souligner comme le fait aussi SAI SSS les Lord. Federico Fellini avec les défauts des personnages – mais il réussit cela bien, car il souligne aussi les bons aspects, ce qui est aussi le cas de ce film qui, en réalité, n’est pas drôle quand on le verra avec le sérieux des gens hyper-conscients – mais il y a toute sorte de choses qui sont remarquablement faites et qui renseignent sur la maladie de luxure, au point que tu comprendras pourquoi je t’écris car je m’inquiète de t’éviter à toi comme à ton entourage de rechercher à la contracter – elle va rendre aussi stupide que ceux qui vont complaisamment trouver normal les attitudes entre les uns et les autres ayant perdu le Nord, c'est-à-dire la notion des réalités et des impératifs y compris financiers d’un couple ou/et même de futurs couples attendant leurs enfants – et en cela ce qui se passe entre le fils du ministre ou la fille et le fils ou la fille du couple à première vue homosexuel est asse bien vu : le contraste – il y a donc dans ce que les uns et les autres appellent à tort ou à raison le bordel de Dieu, des zones d’Amour véritable – cela touche des moments épiphaniques – des moments privilégiés, des choses qui seront parfois des œuvres d’aArt et c’est ici que la Création est à prouver qu’effectivement elle a été très bien conçue, puisqu’ils existent,  ces moments-là, malgré cette succession ininterrompue de masques ou ce à première vue « carnaval des animaux »). Je t’écris donc en tant que ton tuteur pharaonique ou/et père pharaon puisque ton arrière grand-père qui était mon tuteur pharaonique est ton Grand-Père pharaon en sachant que tu as un père, Frédéric qui est [comme] ton pharaon (je n’ai pas l’intention de lui voler sa place).

Ici ta grand-mère S. A. I. SSS les impératrices Floreance Granier-Michelin … d’]R[Ôz]eau/…/w/y/s[ te dira qu’on ne doit pas écrire ça, mais « tu as » - elle a raison - elle est de bon conseil (mais moi j’essaie de transgresser un interdit pas trop dangereux et ça à l’air de marcher : on avait réussi à me mettre dans la tête un préjugé – effectivement, il y a des arguments pour et d’autres contre – dont un qui parait-il fait laxiste – un autre que ça (cela) fera économiser de l’encre le « u » en moins à ce ‘tu’, et ça (cela) à l’éditeur et du coup sur le nombre de copies du texte sur papier : il y gagne un centime ou moins que cela – tu vois ici le tableau – de quoi effectivement, rien que pour les embêter rajouter ce « u » ou ce ‘ela’ à ‘ç’&’a’ (de ça) pour parler comme les plus généreux et pas comme les plus radins, c'est-à-dire les mal élevés – sauf que quand c’est bien dit, c’est comme le mot « ça », ça évite de dire ‘cela’ ou alors, comme ce mot de « car », qui évite d’employer plusieurs mots ou l’expression comme celle par exemple de « parceque ». Moi je ne suis pas contre les économies de salive ou d’encre, donc contre les raccourcis (y compris clavier)  pour aller plus vite (ça évite de rejoindre la souris et de diriger le pointeur dans le menu pour aller rechercher ce qui en réalité est autrement vu une touche, donc une alternative ou une solution élégante qui est prévu quand on n’a pas la souris en main et qu’on est par exemple à taper – d’où que je te conseille de les apprendre ces raccourcis claviers quand tu auras le temps, cela te fera gagner du temps que je perd[s] à passer par le détour des vielles routes : la souris. En effet, on peut la voir, en raison de son fil, comme un chemin plus long, dans ce cas où on avait les deux mains sur les dents du clavier : une bouche drôle ? car elle ne perd pas ses dents, au contraire ce sont des dents rebondissantes – qui rebondissent – et cela parce que chacune d’elles par-dessous est munie du fameux ressort Féneloniens – dont Fénelon a eu l’idée pour expliquer la Création dans son livre sur de l’existence de Dieu) et éviter de dépenser de la salive ou de l’énergie à formuler les mots un par un. En fait il faudrait, pour bien faire, songer à faire fifty fifty (moitié moitié, car cinquante pour cent- sous entendu - chacun) c'est-à-dire (c-a-d) employer de nombreux mots et parfois peu de mots pour dire les choses d’une façon aussi brève que ces mots très courts arrivent à le dire parfois. Ici c’est donc affaire de dosage, du grand aArt : pour plaire aux peuples, mais aussi aux plus fines bouches que cette quantité de personnes qui appartien[nen]t sans réelle distinction à toutes les catégories socio-professionnelles ou bénévoles (ne pas avoir ni cette masse qu’on a généralisée, ni ceux à partir de celle-ci qui se seraient distingué contre soi, voilà ce qui incombe au futur père ou à la future mère de famille pour éviter à sa descendance des conflits, par exemple parce qu’on transgresse les interdits qu’une partie de ces gens défendent comme des dragons ou comme les anciens nationalistes (des gens ayant esprit locaux/hamlettiens et en cela casanier, un peu paysan, fermiers donc amateurs d’omelettes) devenus un peu plus intelligents à nôtre époque d’Internet (tu vois ça rime), car enfin conscients de la rRégionalisation ou de la départementalisation que Nous avons grâce à leur aide, indirectement, effectuées avec les ancienne nations ayant enfin compris que le Village est planétaire (en réalité ils habitent, si j’ai bien compris chez pharaon – c’est-à-dire chez moi et chez toi) et qu’elles ne peuvent d’aucune façon se permettre de dire du mal d’une autre langue ou d’un autre peuple, sans donner le droit à celui-ci de porter aussitôt plainte, puisqu’ils ont chacun d’entre eux de très véritables raison[s] d’être fiers ou orgueilleux de leurs ancêtres autour de grands-hommes qui bien que locaux (des gens qui aiment les œufs) sont toujours universels en raison de leurs œuvres qui rayonnent et rejoignent toutes les œuvres des autres universaux bien qu’eux aussi au départ des individus à première vue coincés dans la localité maternelle, native. Cette personne locale mais universelle, c’est ce que je te souhaite d’avance de continuer à être comme depuis Ta naissance ou alors si tu étais déjà devenu trop orgueilleux de ton lieu de naissance, de [re]devenir en songeant continuellement que tu pourrais être né dans des lieux qui ne disposent pas encore d’eau courante dans la cuisine de leur maman et peut-être pas encore de sanitaires ou de lieux pour être propre, c'est-à-dire de localité n’ayant pas encore pu répercuter, sur place, les différents réels progrès dont des personnes, en avance sur les autres, tentes (tentent) – le mot est mis dans une tente - de leur faire bénéficier grâce à la loi de la Quantité qui a réussi par le nombre d’exemplaires à reproduire, à ne plus rendre rarissimissime ce qui est/était/sera toujours les aspects du/des progrès : les différents gadgets qui nous entourent et qui sont devenus ce mot qui n’est pas seulement à les réduire ou à en raccourcir l’importance (gadget), mais aussi un compliment, puisqu’il a le mérite synonymique de ne pas nous appesantir outre mesure sur ces incommensurables progrès  en les réduisant à la routine et à cause de cela à ce qui est nôtre devoir collectif : veiller que ces gadgets puissent être accessibles, y compris dans les localités les plus éloignées

[8] Note : de ça à cela, il n’y qu’un pas (au sens de marche, un pas de commandeur).

[9] Ou ‘devenir’.

[10] Crédits Financiers Propres et Mérités (CFPM).

[11] A première vue seulement bonne (elle est cependant bonne à-premièrevues pour les agriculteurs qui voulaient s’y consacrer), mais elle n’est pas bonne pour l’Ensemble, à moyen terme ou même à long terme (aussi c’est en définitive une bien mauvaise affaire pour eux, puisque cette affaire l’est pour l’Ensemble, si le prix du pétrole baisse à cause/grâce à elle. Evidemment si le prix du baril de pétrole devait remonter, il ne faut pas hésiter comme je l’ai conseillé à faire pousser en grande quantité ces bio-carburants partout. Aussitôt ces imbéciles (et c’est ici minimiser leur état de stronzi di merda marcia secca mente c’est en apprenant les insultes italiennes que j’ai commencé à m’intéresser à cette langue enfant et tu vois elles ont du bon et sont sans équivalent ailleurs cependant que j’ai trouvé à traduire non littéralement cette idée par pourriture infecte de parasites  ou d’une autre variante que tu trouveras dans une autre de mes tentatives évitant le mot à mot (ce qui ait plus aisé en passant par les synonymes, bien que dans ce cas j’ai dû extrapoler et passer par des comparaisons) – je te conseille de t’intéresser à une langue par ce biais très populaire (les insultes), ce que tu verras ton arrière grand-mère la Grande Pharaonne, t’interdira – aussi il faudra que tu transgresses un interdit – dès qu’on arrive à piger/comprendre l’insulte et à trouver l’équivalent dans sa langue maternelle (grâce à ce ‘comme’ comparatif) , on sait que cette langue a du bon – je me contredis un peu par rapport à plus haut c’est que c’est à faire dans ce cas particulier)  qui l’augmentent, voyant qu’ils y a le produit de substitution (qu’ils avaient oublié depuis longtemps, puisqu’on y avait renoncé dans les années 1920-1935, pour les mêmes raisons qu’ils ont eu peur alors qu’on ne leur achète plus ce sale pétrole polluant à cause de la solution élégante ou l’alternative – qui n’est pas une bonne affaire pour eux ni même pour l’Ensemble – en fait un pis-aller en attendant la meilleure qui est celle de l’automobile à hydrogène ou/et électrique à laquelle l’ensemble des industriels et des inventeurs ou ingénieurs mécaniciens avaient renoncé par Charité pour contraindre leurs éEtatsr espectifs à acheter du pétrole et de cette manière procurer des revenus, par charité, à cette masse ou quantité de gens en ces époques-là encore très ignorantes, au mauvais sens de ce mot comme au bon, qui sinon n’auraient pas eu de travail (ou de quoi acheter ni se moderniser, donc n’auraient pas pu accéder au confort minimal propice à développer le sens de l’étude) si tous les pays industriels à la fin des années 1800 avaient choisi cette catégorie/type de solution élégante pour les moteurs, ce qui aurait alors creusé encore plus qu’il ne l’est le fossé [technologique] qui existait entre les pays sous-développés et les pays développés (en effet la culture des agro-carburants mobilise des surfaces des terres agricoles qui pourraient être consacrées à des produits pour nourrir les êtres humains – d’où la mauvaise affaire en définitif, comme pour l’élevage qui de plus contraint les trop gourmands en viande animale à obtenir les pires réincarnations – d’où une autre très mauvaise affaire sur le plan de l’âme et de ce qu’on a choisi encore une fois de se comporter égoïstement, au mauvais sens de ce mot, plutôt que le contraire généreusement, ce qui aurait évité ces réincarnations et aurait même permis finalement l’accès à la bouddhéité – d’où qu’un planteur d’agro-carburant, c’est en général la voie [royale – ici en antiphrase] pour devenir requin d’autant plus si celui-ci se met d’accord avec ceux qui augmentent le prix du baril de pétrole – il est probable alors que sa réincarnation sera à Jurassic Park (le titre d’un film admirable de SAI SSS les Lord. Steven Spielberg – qui me doit des royalties pour lui en avoir donné l’idée de le réaliser – on est en compte et je lui fait crédit en raison d’un hommage caricaturale qu’il me fit dans un autre de ses chefs-d’œuvre – E. T. ), dans l’un des Tyrannosaures rex) – ce qui signifie que pendant un siècle entier, tous se sont contraints à avoir des maladies respiratoires par charité et chrétiennement pour pouvoir [par charité] payer ce pétrole aux arabes pour qu’ils aient des CFP[M] et qu’ainsi ils aient une chance (des probabilités) chacun de devenir des honnêtes-gens (mais ce calcul génial, éminemment chrétien – donc intelligent, normalement , car c’est synonyme – ça/il a loupé en très grande partie : ils n’en sont devenus qu’à l’infini encore plus escrocs qu’ils l’étaient avant)  puisqu’avec ces sommes qu’alors on appelait argent propre, ce qui est le synonyme de CFP[M], ils apprenaient à le dépenser en se conformant aux Bonnes-Pratiques, donc en ayant chacun cette chance de devenir de véritables frères – mais les voilà, en raison de ces cerveaux d’arriérés ou d’necore préhistoriques contraires à leur ontologie ou à ce qui aurait été la meilleure affaire pour eux (et surtout pour leurs descendants), par exemple de devenir l’un ou l’autre de très véritables ingénieurs comme heureusement un ou deux des ressortissants de ces pays le sont effectivement devenus (car il y a, heuresement pour eux – en général de ceux qui se sont ouverts aux autres religions et les font leurs autant que la leur - un ou deux musulmans qui furent ingénieux), à se mettre en tête de racketter les pays qui avaient alors renoncé à la solution la meilleure par charité et christianisme pour leur permettre de disposer de CFPM, soit d’argent propre – donc en véritables fous, au sens maladif de ce mot et c’est en parti à cause du faux empereur, mon grand-père pharaonique (ton arrière , voire arrière-arrière – vu autrement - grand-père pharaon) qui était handicapé du cerveau au paroxysme du paroxysme et qui ne disait souvent que des âneries en public au point de ne faire qu’accuser des innocents – bref, il a été à l’origine de la honte de tous les empereurs jusqu’au premier et de leur défaite quasiment permanente, les uns après les autres jusqu’à l’ensemble des siennes (mais aussi celles de napoléon premier qui les lui doit), y compris toutes celles de mon père le pharaon de l’Angles qui ne doit ces victoires qu’à moi et à Toi, car c’est pour Toi que je me suis battu (et qu’il s’est battu pour reconstruire la planète qui avait été bousillée par celui qui a disjoncté, au sens qui est devenu fou et handicapé mentale au point de croire possible devenir criminel contre ses propres intérêts les plus précieux et celui des peuples – donc à cause de cela d’être à l’origine de chacune des réincarnations en l’un ou l’autre des animaux qui sont souvent très malheureux de ne pas être l’un des êtres humains ayant autorité sur eux comme sur la Création pour l’administrer, la gérer en « bon pères de famille » ce qui signifie normalement en bouddhas ou /et en adultes parachevés) et pour le pharaon suivant et celui d’encore plus loin, y compris celui qui serait à l’infini – en fait pour les petits et pour qu’on cesse un jour de les racketter ce que j’avais trouvé comme solution élégante à cause de ma première séparation durant dix années de 1965 à 1975 d’avec ma promise (une de tes grandes tantes), ce qui me permis d’étudier la situation très exactement pour en trouver le remède après avoir déterminé d’où venait le problème : cela venait tout simplement de ce que le prix du baril de pétrole avait augmenté au lieu de baisser alors qu’on ne cessait de trouver de nouveaux gisements, donc que les quantités étaient toujours plus importantes – d’où que la règle qui fonde l’Economie, celle de la Quantité et de la Rareté avait été sur ce seul point faussée, ce qui a causé automatiquement, en raison des répercussions la misère partout – tout cela parce que il y avait ceux qui avaient eu intérêt à créer le mécontentement pour créer un nouvel empereur (soit celui qui a disjoncté, a. h. , d’autant plus qu’il se croyait honnête et qu’il ne comprenait pas qu’il était la cause même de ce que ses partisans avaient ainsi artificiellement créé la misère : soit ce peuple qui est alors ignorant, au mauvais sens de ce mot et qu’il a prétendu servir – mais servir uniquement en voleurs et assassins d’innocents, donc en rendant coupable et auteur ce peuple des pires malheurs l’ayant lui-même atteint comme ayant atteint tous les innocents qu’il n’a qu’injustement martyrisé avec ses pairs ailleurs les lénine, staline, mao, mussolini, franco et compagnie, pire, finalement en volant ton pétrole qui était avant d’être le tien le mien et celui de mon père – c’est pourquoi j’avais trouvé le remède en 1975 pour rétablir la situation et réaliser ce qui avait été espéré par les véritables socialistes dont j’étais car uniquement capitaliste, au bon sens de ce mot, : ingénieurs et bouddha : donc sans erreur dans mes diagnostiques médicaux car le véritable patron de la médecine, des commerces et des aArts à cause de cette séparation bouddhico-judaïco-christique ne déplaisant pas aux membres des autres religions ni aux gens d’Islam ni aux profanes, endurée dix années d’avec ma promise à laquelle j’étais demeuré fidèle – c’est cette fidélité à mon anneau de mes deux ans et un mois qui m’avait fait trouver le remède comme comprendre d’où venait le problème : donc qui m’avait permis de voir les choses enfin clairement y compris la révolution française comme une erreur du même genre que celle qui fut faite pour faire monter au pouvoir adolph hitler : on avait accusé en grande partie des innocents, en faisant la même erreur populaire, celle que font les ignorants : généraliser, ce qui fut aussi le cas au moment de la Crucifixion de Jésus-Christ – (un procès en [grande] partie malhonnête, donc injuste qui accuse un innocent – il n’y avait pas de quoi crucifier – Il n’avait tuer personne – ce ne sont pas les mots qu’Il avait dit qui pouvaient inciter à le mettre à mort – c’est donc infiniment injuste et par conséquent inacceptable) – donc pour arnaquer tout le monde y compris en premier eux-mêmes), diminuent le prix du pétrole. (Avec ces agro-carburants, c’est l’alternative de sécurité, mais elle n’est pas une bonne affaire pour les racketteurs non plus, car ce seront des surfaces en moins de terres consacrées à l’Agriculture, donc cela fera monter les prix de tous les produits agricoles, d’où finalement au bout de quelques années (en réalité cinquante ans, si cela conduisait à devoir retirer tous les arbres d’Amazonie pour produire ces carburants, car il faut bien que les autres terres continuent à produire ce dont on a besoin pour manger – aussi c’est la raison pour laquelle le forêt amazonienne est en danger de mort et à cause de cela c’est le dernier espace qui permet d’absorber les excédents de gaz carboniques (la pollution atmosphérique due au trop plein de consommation de pétrole) et de les transformer en tronc d’arbre – aussi c’est une véritable catastrophe qui nous menace tous si elle disparaît, car il n’y a que les arbres et un peu une ou l’autre autre chose qui puissent aspirer l’excédent de ces gaz nocifs à effet de serre et qui sont responsables, en raison de leur trop grande quantité du phénomène de désertification – soit (avec la chasse dans les temps anciens) ce qui a rendu le Sahara un très vaste désert presque comparable en taille (donc en superficie) à cette surface de l’Amazonie qui elle, au contraire, et florissante, mais est considérée un « enfer-vert » (ce qu’était probablement le Sahara autrefois) – bien qu’autrement vue, sur le plan de la qualité de l’air, elle soit l’auteur de la Vie, donc le poumon de n[V]ôtre empire – le poumon général – c'est-à-dire un peu l’opposé de celui totalement asséché que le désert présente – le poumon mort (qu’on devrait remettre en fonction en le couvrant de panneaux solaires qui pourraient coûter beaucoup moins avec le prix du baril de pétrole beaucoup plus bas, car à un centime de dollar le baril, cela signifie que celui qui achète une centrale solaire peut en acheter onze mille pour le prix d’une seule – ce qui est une bonne affaire car cela permet de créer une très vaste serre sur l’étendue du Sahara qui produit continuellement des légumes, des fruits, tout ce dont on aurait besoin y compris les générations futures – c’est impossible tant que prix de pétrole n’est pas à ce très grand maximum : un centime de dollar le baril car il y a aussi à payer tous les autres travaux d’adduction d’eau et de transport de la terre fertile qu’il faut acheter – moins le prix du baril sera élevé plus tous les travaux corollaires seront aussi moins coûteux, chers, onéreux), autrefois verdoyant comme l’était l’Amazonie - en fait l’ensemble des terriens ne respirent plus qu’avec un seul poumon qui est, de plus, terriblement menacé par les déboisements ou ce qu’on a appelé en synonyme, la déforestation  (à cause de ce que les bois sont à créer des forêts). Cette perte des arbres est/représente l’une des épées de Damoclès qui pèsent sur chacun de n[V]ous et qu’il faudra éviter, bien qu’il soit possible de construire des grandes routes à l’intérieur de cette à première vue gigantesque forêt (bien qu’à l’aune des surfaces/superficies habitées par les terriens, ce soit vraiment un tout petit poumon et c’est là qu’on comprend pourquoi il est urgent de chercher à recréer un poumon artificiellement dans cette superficie du Sahara, par tous les moyens, et tous ensemble car c’est vital, d’autant plus de l’accroissement démographique attendue) pour faciliter les Commerce[s] entre l’Amérique du Sud [partie située à]/de/car à l’Est et l’Amérique du Sud de l’Ouest – ce que nous avons favorisé avec deux ou trois villes nouvelles. Mais il faudra veiller à interdire plus de grandes routes ayant pour dessein de créer des grandes agglomérations en coupant ces arbres, car ces arbres sont la seule chance qu’il n[V]ous reste de pouvoir respirer tous les jours encore du bon air ou de l’air respirable (donc filtré et propre, pur en haute montagne, d’autant les forêts ou les bois qui en couvrent les socles), malgré la pollution des grandes villes, un peu de leur si précieux oxygène qu’ils émettent ou produisent, comme de véritable filtres (ces arbres) qui transforment le gaz carbonique (CO2) qui passe à travers eux, [transformée] en cette très précieuse substance dont l’appareil respiratoire de chacune des êtres animés et animaux ont essentiellement besoin (mais aussi de nombreuses plantes y compris les arbres, durant la nuit qui alors ont besoin d’oxygène et n’ont plus besoin de gaz carbonique – ils en ont trop respiré durant la journée et c’est pourquoi, ils grossissent un peu, mais aussi grandissent, car ils transforment en carbone, c'est-à-dire dans la chair même des arbres, les troncs ou les branches (la viande du feu quand il s’agit de bois sec, mort ou alors la viande (une matière première – plus elle devient rare plus elle est précieuse – mais il y a encore de nombreux arbres, cependant que nous nous inquiétons tous que le stock diminue trop vite – puisqu’ils sont utile aussi comme viande pour faire du papier – d’où qu’il faut préférer utiliser les alternatives et solutions élégantes pour faire diminuer la consommation de papiers) pour d’autres chose : des objets en bois), ces gaz qu’ils sont comme à fossiliser, mais qu’ils irriguent grâce à leur appareil circulatoire de sèves productrice de feuilles mais aussi de fruits, dont tous les animaux et les oiseaux ont besoin) pour que son système circulatoire sanguin soit alimenté par cette substance si nécessaire ou si utile, par exemple pour parler ou pour penser ou pour travailler (en effet, nos poumons sont à faire un peu comme s’ils étaient chacun une vaste Amazonie et à filtrer les airs chargés de gaz carbonique, mais aussi de cet oxygène très précieux que ces véritables arbres et non des alvéoles pulmonaires, bien qu’on puisse les comparer et même croire qu’ils sont synonymes, ont besoin pour que cet oxygène puisse être transformé en sang bienfaisant – tu verras que quand nous inspirons, c'est-à-dire quand nous rejetons l’air de nos narines, nous rejetons le gaz carbonique (ce qui signifie que nous avons conservé l’oxygène mais que ce seront les arbres dans les forêts qui vont respirer et retenir dans leurs branches et dans leurs troncs, ces gaz carboniques pour les transformer en matière carbone. En effet, c’est cette matière qui une fois le feu mis à elle qui va, en se consumant donner vers la fin du feu des cendre[s] et pour la partie qui n’est pas encore entièrement devenue des cendres, du charbon au point que cela soit très facile de créer la couleur noire qui n’en ai pas vraiment une, car c’est ce moment qui est très/trop facile (de nos jours) à obtenir : il n’y a qu’à (K) mettre le feu à du bois sec ou alors du bois mort et on obtient autant de cette teinte noire ou alors on peu faire un crayon avec une mine carbone, donc ce qu’il y a de charbon dans les mines de charbon cela résulte d’un très grand feu qui est advenu dans les temps lointains du passé, il y a très longtemps, ce qui signifie que les êtres humains n’ont pas besoin de bois ou de forêt vertes pour les faires devenir du charbon ou de la couleur noire car il y a l’alternative et simplement qu’à creuser dans ces mines pour trouver des quantités de charbon, ce qui permet de créer des matières première carbones, y compris toutes celles rigides – d’où que cela n[V]ous donne le droit en légitime défense de la Vie et des habitants de l’Empire tout entier d’interdire de couper ces arbres en Amazonie, y compris de punir ceux qui transgressent cet interdit – d’où qu’il faut interdire la destruction de cette forêt rapidement par tous les moyens, y compris le cas échéant (s’il y a des gens qui ne comprennent pas) utiliser (ce que je déteste faire) la menace physique (ici, le très vieux empereur (que tous savent morts) sait comment faire et il sait que moi je suis incapable de donner ce genre d’ordre  - bien que je ne sois pas du tout pour cette méthode, car je crois toujours que l’être humain est capable de comprendre les meilleurs conseils, si on lui explique très aimablement le danger collectif que tous nous courons, à cause de ce qu’il avait oublié ce paramètre scientifiquement exacte qu’heureusement pour lui et l’Ensemble quelques très véritables ingénieurs et/ou aArtistes comme les bouddhas n’ont pas oublié de comprendre aussi exactement grâce aux peines qu’ils se sont donnés en étudiant très scolairement dans le dessein de pouvoir se fiancer en honnêtes gens qui seront alors capables de dire la vérité comme ton arrière grand-père (mon père savait la dire) qui n’est que ton grand-père à l’échelle pharaonique (donc pas aussi sérieux qu’un véritable arrière grand-père – ce qui est peut-être devenu le cas de cet empereur d’avant qui s’est tellement trompé qu’il en est peut-être devenu enfin un bon élève et qu’il ne veut plus faire d’erreurs – c’est peut-être pour ça qu’il espionne et dans ce cas, c’est bien, puisqu’ils donnera des ordres aux grognards pour qu’on cesse de couper les arbres de l’Amazonie – sauf pour les deux ou trois très grandes routes qu’il faut construire (y compris pipe-line) mais pas plus : un sanctuaire et une réserve, une sorte de filtre à air, donc pour la pureté de l’air dont tous on besoin pour que cela ne soit pas de plus en plus pénible de respirer ou même de faire des compétitions sportives – quand une automobile roule sur trois pattes c’est moins que sur quatre et quand un corps ne respire plus que sur un seul poumon qui plus est endommagé, en raison de ce que sa superficie diminue, c’est considérablement tragique pour ce corps qui avait besoin de deux poumons pour bien survivre et vivre et donc être en forme (cependant que par sécurité, heureusement on a obtenu, à l’état normal, en double ces organes – cela aurait bien mieux en triple ou même en quadruple – il se pourrait qu’il y avait un cas de figure de la Création – un ou bien rénaisien, si les choses avait bien tournées au lieu de mal, où nous avions trois ou quatre poumons et peut-être deux autres bras et jambes – mais il faut faire avec le peu que finalement on a, en sachant qu’il n’y a rien de plus précieux que ce dont on dispose comme les poumons pour nous garantir une respiration de bonne qualité – d’où l’intérêt de ne pas fumer pour éviter de rendre l’appareil respiratoire rapidement comme un désert) – voilà donc que le Corps – c'est-à-dire l’Ensemble – est handicapé et même fatigué plus rapidement puisqu’il lui manque cette quantité d’oxygène que le poumon amazonien du Sahara, devenu un désert, lui procurait ! – D’où la situation de crise respiratoire mais aussi de défi pharaonique, de challenge (celui de remettre un jour en route un poumon artificiel créé sur le Sahara) colossal. Cette situation handicapée, je l’ai vérifié, Oscar, quand j’ai eu la chance d’être l’aide d’un très aimable chauffeur de camion qui transporte tous les jours à des personnes ayant des difficultés respiratoires des bombonnes d’oxygène- celles-ci sont contraintes, un peu comme les homme grenouille, de les porter sur le dos, mais dans leurs appartements ou les lieux dans lesquels ils habitent pour que leur respiration soit ainsi meilleure, sinon ils mourraient – c’est pour cette raison et malgré la Charité chrétienne que cela représentait que d’acheter tous les jours le pétrole aux rRégions de l’Empire pour faire fonctionner les automobiles qu’il faudra remplacer nos véhicules (ou nos cars en anglais - cela signifie voiture) pour ces solution élégantes ou alternatives qui avaient été trouvées au moment de la décision pour le moteur à explosion ou alors pour le moteur à hydrogène – moi, je suis pour celui-ci, mais aussi pour celui électrique qui recharge des batteries, grâce aux générateurs d’électricité solaires ou éoliennes – ce qu’on appelle les énergies propres qui auraient coûtées autant moins chères à réaliser que ce que cela aurait coûté, si le prix du baril de pétrole, comme ton grand-père pharaon et moi-même l’avions demandé, avait été porté à cours-le bas, vers un dollar le baril, voire encore moins coûteux à ce centime de dollar  – à cette heure-ci, une grande partie du désert du Sahara, serait à produire de l’électricité qui serait proposée quasiment gratuite et cela aurait pu alimenter tous les moteurs électriques ou les ordinateurs – donc eu un effet bœuf qui aurait porté à cours-le haut toutes les valeurs boursières en assurant partout le plein emploi et des revenus financiers proprement mérités à chacun beaucoup plus importants qu’ils ne le furent, au point de faire disparaître entièrement la misère et/ou la pauvreté partout). Dans ce cas particulier, pour ceux qui n’arrivent pas à comprendre pédagogiquement des choses aussi clairement exprimées et qui continuent à couper ces arbres, il convient même de les dissuader de le faire violemment, en employant pour les en dissuader, la force des gendarmes (au moins dans ce cas ils servent à quelque chose d’autant qu’ils s’entrainent physiquement pour être capable de défendre (c’est ici un cas de légitime défense de l’Ensemble, la préservation du poumon de cette planète : la forêt Amazonienne – d’où qu’il faut qu’ils arrêtent la déforestation pour obtenir des agro-carburants – absurde !)  – mais il faut pour commencer qu’on limite ça au territoire de l’Amazonie, car il ne faut pas que ces gendarmes, se mettent à frapper une personne ailleurs qui a besoin de retirer un arbre pour le replanter ailleurs, parce qu’il a besoin de la superficie de cet arbre pour construire, par exemple un hangar pour stocker des marchandises dont les habitants d’une ville ont besoin – aussi il vaut mieux que cela soit un ordre donné aussi à l’ensemble des gardes forestiers et s’il y a une personne qui coupe un arbre, très certainement il a obtenu une patente ou une autorisation, ce qui leur donne le droit de contrôler et d’interdire tant que la patente ou la License n’est pas accordée (ce qui ne peut être le cas que si un ou plusieurs arbres sont replantés pour celui qui est coupé) – c’est un peu comme le garde chasse qui doit vérifier que le chasseur a payé pour avoir le droit de tuer chaque année – cette License qui est payante permet au garde chasse et à l’administration de compter les animaux et de veiller à protéger les mois de l’année où ces animaux se reproduisent et ne doivent pas être inquiétés supplémentairement à ce qu’ils sont quotidiennement et durant les nuits à cause de l’impitoyable concurrence qui règne entre eux, mais aussi en raison de ce qu’ils sont l’objet de la prédation d’animaux voraces, c'est-à-dire de réincarnations d’âmes qui ont voulu faire pire que des gentils chiens ou des gentils chats, autrefois, dans une autre vie lorsqu’ils appartenaient à l’espèce humaine et donc faire encore plus de tort ou de dégâts que ces gentils toutous ou ces gentils matous, à la Création, car ils avaient préféré écouter les mensonge de la reine de la nuit, au lieu d’écouter la vérité de la reine du jour et de la nuit, la Sainte Vierge Marie (en général elle est celle qui contraint à ne faire qu’étudier ou à travailler et à produire des solutions élégantes pour générer des CFPM car elles cherche à créer des honnêtes femmes)  – une autre reine de la nuit, mais qui est la seule et unique très véritable de jour comme de nuit : elle ne dit pas des mensonges et c’est de façon continuelle ton arrière grand-mère, la Grande Pharaonne, c'est-à-dire la maman de ta grand-mère, la jeune impératrice Floreance qui est la mère de ta mère Oriane et de ta tante Aurélia et aussi d’AiléeÔNord, les trois princesses impératrices avec ta tante Pauline qui sont peut-être, entre la dernière lettre que je t’ai écrite et celle-ci, devenue la maman de petits garçons et petites filles qui sont plus petit[e]s que toi et comme un aîné tu dois les défendre, cependant que je te conseille de faire ce que mon père m’avait dit : de ne jamais te battre physiquement avec personne. Tu dis comme moi je disais, sans craindre qu’on me traite de poule mouillée ou qu’on se moque de toi parce que tu refuses le combat : « je ne me bat pas physiquement, j’étudie pour me battre un jour ou une nuit, à force d’arguments et de logiques telles que j’aurais seul raison contre tous et pour tous y compris en imposant aux uns et aux autres de refuser de se battre physiquement » – car ainsi on évitera aux chirurgiens et aux médecins de devoir réparer des blesser et perdre du temps à cela, quand chacun d’eux (quand il s’agit de très véritables) est doué en d’autres catégories ou/et disciplines et donc sont entrain de sacrifier du temps qu’ils auraient pu consacrer à créer des œuvres d’aArt, puisqu’ils le perdent à devoir soigner des personnes ou/et des animaux qu’ils considèrent des œuvres d’aArt puisqu’ils se savent eux-mêmes l’être devenu au point qu’effectivement ils sont capables de remplacer une dent par une autre ou même un membre par une alternative ou une solution élégante appelée prothèse et qui sait peut-être un jour, un poumon par un poumon artificiels quand ils arriveront à le faire par exemple grâce à une éponge de mer de laquelle ils se seront inspirés pour re[créer] ce poumon, tandis que dans les déserts les travaux vont commencer pour les juguler et éviter qu’ils ne se propagent plus – cela est possible avec tous ceux qui ont un peu de temps à offrir pour désherber ce qui aurait pu être le cas, si le désert était demeuré le poumon qu’il était en cette Amazonie n°1 qui a disparue, ils n’auront donc qu’à dépierrer, c'est-à-dire à retirer les caillons, mais aussi à désabler, donc à faire des sols sur lesquels on pourra faire une très grande terrasse et ainsi progressivement recréer des superficie agricoles et pourquoi pas alors, y faire pousser des agro-carburants, si ces escrocs continuent à vouloir augmenter le prix du baril de pétrole, si la leçon qu’ils ont reçu n’est toujours pas comprise et qu’ils seraient à croire possible continuer à faire semblant – ce qu’ils vont cesser, dès qu’ils vérifieront qu’effectivement avec la même somme de CFPM (Crédits Financiers Propres et Mérités) ils peuvent acheter deux fois plus ou même trois fois plus en raison de ce qu’en baissant le prix du baril de pétrole enfin en 2015, ils ont pu constater que tous les commerçants les plus honnête[s] ont répercuté cette baisse au point même de baisser encore plus que le pourcentage de cette baisse leur prix et certainement cela pour inciter ceux qui avaient augmenter le prix du baril de pétrole contre la volonté de ton arrière grand-père, ton grand-père pharaon, et moi, et qui a cause de cela ont créé des difficultés gravissimissimissimes qui ont fait momentanément – j’espère, des cheveux blanc à ton arrière grand-mère (car ils peuvent se remettre à noircir – c’est heureusement réversible dans certains cas) en raison des soucis et des inquiétudes financières qu’elle a eu pour conserver « la Maison de ces petits enfants », comme elle m’a écrit récemment dans une de Ses lettres – en fait la maison c’est le pharaons – donc Toi, moi et mon papa qui a un ancien fou et un handicapé mental (mais au mauvais sens de ces mots) avant Lui  - son prédécesseur n’a visiblement pas été souvent capable de comprendre quoi que ce soit d’intelligent, quand il était adolescent et cela a duré trop longtemps avec lui au point qu’il se peut il n’en ai jamais sorti et il est demeuré prisonnier de cette adolescence (au mauvais sens de ce mot), au point qu’il a dû un peu en donner le goût à mon père qui, tu le sais, n’avait pas eu le temps d’en avoir une, car il est né entre les deux guerres – aussi il a voulu me contraindre à en avoir une aussi – ce qui est bête car c’est du temps perdu (mais je me suis ingénié à m’en procurer une artificiellement car je me suis bien douté de comment ces grognards étaient devenus des mauvais élèves et surtout des menteurs et des tricheurs à cause de ce qu’ils sont devenus des sinistres ignorants, au mauvais sens de ce mot. En effet, un écrivain italien qui s’appelle SAI SSS les Lord. Collodi avait écrit Pinocchio et donc j’avais été averti enfant (cet écrivain n’avait pas menti) – moi j’ai constaté que toi tu es déjà adulte parachevé, donc que tu n’as pas besoin de perdre du temps avec ceux qui sont adolescents et c’est pourquoi je te parle comme si tu étais un peu mon fils, c'est-à-dire comme quand mon père quand il était encor un tantinet censé me parlait, enfant. Il avait compris que je savais trouver les solutions élégantes, mais il est probable qu’il fut l’objet d’intimidations ou/et de chantage par le précédant empereurs (déclaré ‘mort’ par toutes les presses du monde entier – ce qui signifie qu’il l’est) qui est celui qui a disjoncté et qui est le fou et l’handicapé, au point qu’il est le principal responsable, avec cette reine de la nuit à laquelle il avait cru (il s’est fait avoir par elle qui n’a fait que lui mentir) de la superficie du désert du Sahara qui portait déjà ce ‘h’. et ce ‘a.’ pour l’avertir d’avance, si celui-ci avait été un tantinet studieux, sans faire semblant à son époque, ce qui lui aurait permis de comprendre ce dossier que j’ai ouvert concernant la logique du signifiant lié aux noms et prénoms qu’on porte et qui est évidemment d’avance à proposer des exemples pour y réfléchir en thèse et en anti-thèse – évidemment ce n’était pas aussi évident que cela d’y voir un lien, en cette époque du début du XXème siècle mais une de mes impératrices  qui est à Strasbourg et qui s’occupe avec moi de l’Union Européenne s’intéresse beaucoup à la logique du signifiant, un peu en précieuses ridicule du point de vue de quelques uns de ses connaissance[s], cependant que de mon point de vue pas du tout, elle a raison de creuser dans cette direction et donc on aura des sujets de conversation avec elle comme de découvertes – si on réfléchit bêtement sur les sons Sahara on peut l’entendre écrit « ça [il y] h. a. ([aura à] [r]ép[a]re[r] » – évidement c’est en filigrane et à mi-mots et c’est déjà la preuve que Dieu sait d’avance que a. h. est le coupable de tous les malheurs (en fait qu’on a voulu faire de lui le coupable, comme Jean Valjean, mais qu’en réalité, il espère devenir monsieur Madeleine, dès qu’il est sauvé par ton arrière-grand-père et par moi à la fin de la Seconde Guerre mondiale où il doit passer pour mort – car en réalité c’est la reine de la nuit qui était coupable avec l’ensemble des jeunes filles qui ont voulu croire en elle et non en la Très Sainte Vierge Marie – peut-être aussi avec une partie de la Vierge Marie) et surtout de la disparition de ce très large poumon de verdure et de forêts qui autrefois recouvrait aussi l’ancienne Egypte – c’est que le premier des pharaons est coupable jusqu’à a. h. à cause de ce que a. h. a disjoncté (son enfance et des malentendus divers comme peut-être des incapacité génétiques héréditaires seraient en cause): il a créé une répercutions telles dans le passé, en accusant des innocents et en se conduisant en enfant-gâtés, mais au mauvais sens de ce mot, donc en égoïste (au mauvais sens de ce mot aussi), que cela a créé le désert malgré le sauvetage in-extrémis du Bouddha (et de tous les Bouddhas) ai[en]t réussi à sauver la situation en extrême Orient y compris ce qui reste d’Amazonie et qu’il convient de préserver comme une sorte de pôle vert qui est en danger comme le pôle Nord, à cause de la fonte des glaces (j’ai pu photographier de près les petits icebergs qui furent disposés devant le Panthéon de Paris (tu verras c’est admirable : des sculptures naturelles avec des formes ingénieuses qu’il faudrait recenser)  – aussi il y a comme une correspondance entre la quantité des arbres prélevés en Amazonie, et la quantité des glaces qui fondent au point que les deux phénomènes s’inscrivent réellement dans le processus de désertification et de réchauffement planétaire qu’il nous incombe de juguler à temps car sinon nôtre planète deviendra aussi désertique que la Lune ou Mars – d’où que tu sois né avec ta sœur à un moment très alarmant (peut-être le plus qui n’est jamais été dans la galaxie)  et tu peux être certain que ta mère et ton père Frédéric n’ont pas fait semblant d’aller à l’Ecole pour s’instruire et devenir l’un et l’autre des parents aussi admirables et exemplaires qui te conseilleront le mieux comme ta grand-mère et ton grand-père du côté de ta mère ce que je suppose doit être aussi le cas du côté de Frédéric que j’ai trouvé épatant)  – comme remède, on peut aussi boycotter les produits qu’ils tirent de l’assassinat de ces arbres (par exemple ne plus acheter des choses en bois neuve, mais seulement d’occasion et acheter les alternatives proposées dans chacune des autres matières premières qui ne sont pas autant en danger d’extinction, ce qui signifie un synonyme de « disparition », comme quand la flamme d’un mini briquet Bic disparaît – tu pourras en choisir une ou deux, peut-être trois, car ils sont en couleur que je rembourserait à ta mère – c’est un cadeau de moi – mais tu lui diras de se souvenir de combien ça coûte – cela me renseignera – qu’elle achète là où elle croit le mieux, en raison de ce qu’elle sait – elle l’aurait appris de Sa mère ou d’ailleurs – ici ce sont des histoires de filles – elles savent des choses dont nous les garçons on ne sait jamais rien) – on peut aussi se contraindre à acheter les alternatives, même si à première-vue plus coûteuses, mais en sachant que plus la Demande va augmenter, plus elles seront produites en grande quantité, plus le prix proposé sera moins onéreux ou coûteux et que ces alternatives ne sont que chères pour commencer, car si tous n’achètent plus qu’elles, alors elles seront de plus en plus à cours-le-bas (bien que la valeur industrielle sera à cours-le-haut)  puisqu’elles vont créer des emplois et même devenir l’un des moteurs de l’Industrie) les mêmes conditions économiques désastreuses que durant la crise du pétrole, même si le produit de substitution est là, pour palier à l’offre de baril de pétrole en baisse, ce qui par ce mensonge a fait augmenter artificiellement le prix du baril de pétrole, par ses escrocs, autant non-fraternels que cela et chacun criminels contre l’humanité, à l’Opep (Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole). Evidemment sauf moi, puisque personne ne songea à me proposer d’y entrer (alors que j’étais majoritaire et le principal propriétaire de droit) et cru possible avec la complicité de ton grand-père pharaon (c'est-à-dire ton arrière grand-père) dérober le pétrole d’Horus que j’étais et qui le conservait pour son fils Horus, une fois devenu grand, donc Osiris (en fait ce que tu es devenu – Horus – à nos yeux à tous, car j’ai été contraint (tu sauras les détails et la chronologie)  en légitime défense de ma personne comme de l’Empire de te faire naître – donc il s’agissait de ton pétrole – bref du nôtres). Ces géo-localisation des points des puits des réserves transmises à travers l’espace et le temps, du Ciel, en devenant ici aussi, sur ce point (en augmentant le prix du pétrole au lieu du contraire) hyper-criminels contre l’Humanité entière (en fait contre les générations à venir, puisque ce pétrole appartenait et appartient à Horus, c'est-à-dire d’avance à ton arrière petit-fils ou celui de ta sœur ou encore plus loin à Horus (toujours), s’il en reste encore à dénicher quelque part – aussi cela signifie que l’Ensemble des personnes âgées ou/et devenues adultes parachevés nous ne sommes que les dépositaires, de ‘passage’ (le titre d’un des poème de ton arrière-grand-père pharaon), des biens appartenant à Horus dans le futur ou l’avenir à plusieurs milliards d’années de là où Nous sommes et encore plus loin – d’où que cela a créé des problèmes avec Anubis qui ne voyait pas les choses comme ça (il est probabale qu’Anubis ait eu des incapacité intellectuelles telles (à cause de ce qu’il se comporta en enfant-gâté)  qu’il n’est devenu qu’égoïste, au mauvais sens de ce mot)  – sauf que c’est souvent un bon chien de garde et donc qu’il est sur le fond d’accord y compris Seth et bien sûr aussi Sekhmet, une brave lionne au fond, y compris Apopis que j’ai eu l’honneur de rencontrer de nouveau récemment, comme quand je fus mis en sa présence enfant – cela m’a rafraichit la mémoire – et qui n’a rien trouvé contre moi – je suis toujours le pharaon que ce serpent attendait, car il sait qu’au font il était un prince ou une princesse, mais ne se souvient pas du moment où soudain le voilà à régresser à involuer, à se complaire à faire quantité de péchés de luxure quand il était enfant ou peut-être plus âgé et le voilà à devoir se réincarner en serpent, par conséquent à être handicapé, sans même les bras et les sortes de menottes palmées des crocodiles qui sont en cela déjà un peu chien – aussi il s’agit certainement d’un serpent trouillard qui a peur que les crocodile ne le mangent car il les sait beaucoup plus rapides que lui et surtout pourvus de crocs  (sachant chacun d’entre eux que s’ils sont devenus crocodiles ils le devinrent trompés par Apopis qui  doit probablement avoir été trompé par un des requin ou une des orques – et cela remontant à encore plus loin – probablement que celui qui a trompé, le premier est depuis longtemps détruit, mais cela a eu des conséquences jusqu’ici). En effet, ils n’ont pas mon bon cœur eux, et savent que c’est de la faute de ce serpent s’ils sont devenus chacun un crocodile au lieu d’être seulement un adorable chien ou une adorable chienne comme cette Celte dont tu vas entendre parler (elle avait acquis une belle réputation au point qu’une de tes arrières-arrières grandes tantes (en fait une tante de ta Grande Pharaonne, ma mère)  professeur de piano dans les écoles magistrale à Cuneo en était jalouse) puisqu’il parait que ton grand père pharaon l’a perdu (il ne s’en est jamais consolé et même a chanté et peut-être versé une larme au sujet d’une couverture en alpaca qui fut, à un moment où j’avais perdu ma générosité, sacrifiée plutôt qu’une moins belle – elle est parti avec) – mais c’est peut-être momentané, elle était un peu fatiguée ces derniers temps et donc elle est allé se reposer quelques temps – peut-être qu’elle est devenue cette vigogne ou ce lama, en raison des mérites acquis durant toutes ces années où elle s’est très bien comportée : donc elle se serait réincarnée dans l’un des animaux supérieurs, ceux qui sont pacifiques et inoffensifs ce qui est probablement arrivé aussi à ma chatte Angela qui s’est comportée admirablement avant d’avoir elle aussi à disparaître) puisqu’au lieu de baisser le prix du baril de pétrole, en raison de la quantité astronomique de pétrole en plus j’avais en une seule fois apporté sur le marché mondial, de plus de 50%, ces moins encore intéressants à regarder que le pire des microbes au microscopes – donc ces pourritures de parasites ou ces s[tronzi]m[arcia]s[ecca]m[ente] (car ils sont les coupables de la disparition de ma chienne, mais aussi de la disparition de maintes personnalités auxquelles Nous accordions du crédit, des maîtrisssimissîmes admirabilissimissîmes) ont cru pouvoir continuer à augmenter le prix du baril de pétrole, en continuant à mentir et à dire qu’il en manquait (alors que du ciel et avec internet, j’avais pu obtenir les renseignements concernant les quantités estimées scientifiquement par des méthodes que j’avais étudiées à l’Ecole et qui le permettent – donc que j’avais une idée précise de ce que d’un seul coup l’Ensemble aurait à sa disposition, ce qui devait naturellement, par voie de conséquence, faire chuter les cours du baril de pétrole partout et par conséquent favoriser et faciliter l’emploi, car l’énergie n’étant plus un problème, cela devait faire comprendre que le frein avait été levé et que la crise économique était terminée) – en fait ils ont continué à s’entendre entre eux (malgré la loi anti-trust qui est un signal et une référence commune (elle est issue des meilleures réflexions et du résultat de la civilisation au plus haut des degré sur ce qu’il convient de mieux pour que les Commerces puissent se poursuivre entre très véritables gentilshommes (ils n’ont pas voulu prendre en considération ce paramètre, pourtant un signal ou comme un panneau avertissant sur la route qu’il convient de mettre sa flèche pour signaler qu’on va tourner – cependant que dans certains cas, si on a regardé dans le rétroviseur et qu’on a effectivement constaté qu’il n’y a personne derrière le véhicule qu’on conduit, on n’aura nullement besoin de mettre cette flèche, comme d’invoquer la loi anti-trust quand personne n’est entrain de la transgresser) - ce qui est, dans un cas [particulier] semblable, d’énergies (ce pétrole) vitale pour se chauffer l’hiver dans les pays froids, tu le comprendras aisément,/: illicite – c’est comme si nous les occidentaux avions refusé de leur livrer des produits de base ou de première nécessité sous prétexte que ces personnes avaient augmenté le prix du baril de pétrole – ce que nous aurions pu faire (si nous avions songé à nous venger) pour les affamer mais qu’aucun des Alliés ne l’a fait – au contraire on a ménagé des couloirs humanitaires pour leur livrer ces produits de première nécessité – aussi il est probable qu’ils n’arrivent vraiment pas du tout à comprendre comment fonctionne l’Economie, ni à l’échelle locale et encore moins à l’échelle planétaires – ce sont les kadhafi et compagnie y compris les sadam hussein, ce qu’on appelle de très sinistres ignorants, au très mauvais sens de ce terme et non au bon – des totalement devenus faux ou la honte de l’humanité – donc très certainement des personnes qui ont dans le cerveau ce que j’ai vérifié il se passe au moment de l’adolescence dont ils n’arrivent plus à s’extirper ou à sortir – aussi à partir de ce moment-là où ils sont tombés ou alors ils ne sont plus que devenus des menteurs, les voilà à ne devenir que leur propre (au sens anglais de own) ennemis et alors ils combinano guaiil guaio della madonna santissima – celui dont a été victime la Grande Pharaonne, mais aussi l’Impératrice, ta grand-mère avec des répercutions jusqu’à ta génération – c’est parce qu’ils n’ont pas voulu faire l’effort de comprendre en vérité à l’école toutes les intéractions dans les autres catégories [qu’avait] la moindre des nouvelles informations délivrées par les enseignants [avait] – ils demeurent alors des très sombres ignorants et surtout des vauriens qui s’intéressent aux armes à feu, au lieu de s’intéresser aux sciences des raisonnement[s] les plus logiques ou/et les plus exactes, de ceux-là qui font fonctionner ensuite des horloges ou des montres ou de nos jours des ordinateurs de bureau ou portables qui peuvent alors être reproduits en séries (c'est-à-dire en très grand nombre ou en très grande quantité, ce qui fera alors baisser les prix de chacun des exemplaires au prorata du nombre et au prorata du prix des matières premières acquises, mais aussi des dépenses à faire pour les réaliser) à partir de la première qui fonctionne, le master ou le prototype)  pour diminuer l’Offre sur les marchés et obtenir ainsi artificiellement ce prix du baril de pétrole (donc par des ententes illicites, puisqu’elles ne sont pas de celles qui recherchent au contraire à faire bénéficier les clients de prix avantageux (donc à rendre moins coûteux un résultat) mais au contraire de celles pour n’avoir qu’à les arnaquer et pire les contraindre à payer de plus en plus cher, ce qui, en réalité, par des ententes licites ou de meilleure qualité, c'est-à-dire véritablement fraternelles, permettaient de rendre ce prix finalement inscrit sur les étiquettes en tant que chiffre beaucoup moins cher/coûteux/onéreux  pour le consommateur, donc avantageux pour les clients (c’est synonyme de « consommateur »), c'est-à-dire, parce qu’ils se diversifient en sous catégories, les particuliers ou les entreprises qui sont de différentes sortes ou catégories elles aussi et qui ne doivent pas être freinées mais au contraire encouragées par des prix ou des chiffres qui ne doivent pas être trop onéreux car sinon d’avoir à rembourser ces sommes trop élevées va représenter beaucoup plus de travail et de peines que sinon, ce qui est ici ce que de véritables frères doivent ne pas oublier comme paramètres concernant toutes les entreprises ou toutes les industries lointaines dans lesquels les travailleurs sont à réaliser en tant que main d’œuvre diverses y compris en tant que patrons, ce qui est autre chose, les objets de cette consommation que la clientèle souhaite, c’est normal, au meilleur prix – aussi celui qui augmentera le prix du baril de pétrole ce qui a des répercussions partout puisque cela augmente non seulement le prix du plein d’essence ou de gazoil, mais en raison de la loi des conséquences et des répercussions, le prix des transports et des camions eux-mêmes – aussi une entreprise qui aurait pu offrir (peut-être en exagérant un peu ou alors en minimisant, si on tient compte d’autres paramètre) du travail à cinquante chauffeur (le prix du baril de pétrole à un dollar)  ne peut à cause de cela n’en offrir qu’à dix seulement quand le prix du baril de pétrole est à cinq dollar au lieu d’être à un dollar comme tes parrains les pharaons de l’Angles le voulaient l’un comme l’autre, l’un et l’autre, y compris ta grand-mère la grande pharaonne pour faire disparaitre le chômage et cette crise économique et petit à petit créer la prospérité partout) qui est la honte même de l’humanité car pour chacune des hausses qu’ils ont obtenues depuis 1978-79, où j’ai eu fini de prendre en note ces nombreuses réserves de pétrole, des millions de terriens allaient partout mourir de faim et de froids ou de fatigue en ayant à devoir travailler à chaque fois plus encore, pour réussir à obtenir des CFP[M] (donc ne jamais avoir les mains sales puisque se sont celles, les propres, qui sont les seules à pouvoir soigner), tandis que ces moins encore intéressants chacun à regarder que la pire des pourritures au microscope électronique, ces sms[m]m (et peut-être déjà au microscope d’antan), étaient entrain d’obtenir des crédits financiers sales, de tricheurs, menteurs, pourris : des cfs, cfm, cfp et pire que tout, ne m’avaient pas invité à siéger comme leur président (évidemment je m’étais alors montré trop honnête en prenant sous la dictée la géolocalisation de plus de 50% des réserves de pétrole mondiales – aussi ils ne songèrent pas même à me proposer cette place qui me revenait même si je n’avais que quatorze ans) peut-être aussi parce qu’ils ne m’ont pas considéré un pays (le bouddha est bien plus qu’un pays – il est au-dessus de tous les pays et les gouverne tous depuis toujours de n’importe lequel des endroit où il fut – il appartient à un autre univers qui n’est accessible qu’aux véritables bouddhas, ce qui se peut à force de peindre, comme j’ai eu à le démontrer puisque je me suis proposé comme cobaye pour qu’ils arrivent à comprendre le mot de métamorphose, en espionnant – mais visiblement ils n’ont rien compris même en espionnant à l’insu et il a fallu que je prenne la peine d’expliquer ce à quoi ils avaient assisté car sinon ils n’auraient jamais rien compris – c’est dire le degré de totale cécité cérébrale ou presque dans laquelle chacun de ces profanes se trouve)  – alors que leur empereur d’un empire immensissîme) puisqu’ils savaient que j’avais dit la vérité, ou/et ce qu’il convenait le mieux pour tous (c'est-à-dire [pour] l’Ensemble), en exigeant cette baisse du prix du baril de pétrole à un dollar pour commencer, voire à encore moins (ce que je savais d’avance serait à l’aune des résultats miraculeux obtenus – pour qu’il y ait un miracle il faut qu’il y ait les conditions de créées, donc que les causes pour que ce miracle, par exemple économique souhaité par l’Ensemble, soient créées – ce à quoi que Tu remarqueras je/n[V]ous [m’]emploie/ons/ez), pour permettre que toutes les valeurs industrielles (cotées en Bourse ou ailleurs) soient enfin à cours-le-haut (tu verras tu y a un début de pied à terre, une ancienne bergerie que j’ai fait acheter à mon père et un jardinet minuscule qui est à ta mère, mais qui dispose d’une petite arrivée d’eau, ce qui pourrait permettre d’alimenter une petite piscine pour barboter dans les temps qui précèderont ceux où tu seras assez vaillant pour faire un peu de montagne – ce qui est un mot exagéré et pompeux au sujet de ces collines qui pourtant ne sont pas loin de la Montagne Noire, c'est-à-dire celle qui contient du charbon, au point qu’il y eut autrefois des mines, qu’on a été obligé de fermer et de sacrifier (mon papa était malheureux car son père y avait vu beaucoup de gens de sa famille à y travailler et gagner des CFPM, peut-être même des oncles ou des cousins germains – du coup il a trouvé un ami pour la vie qui s’appelle monsieur Mas, un paysan formidable qui aime les pomme-de-terre et qui connaît la loi de la Quantité et de la Rareté – il sait que c’est parce qu’il y avait de très nombreuses quantité de charbon qui ont été estimées par les géologues comme ont été estimées les réserves de pétrole en quantité, que le travail ou la peine des mineurs n’est pas beaucoup rétribuée à cause de la concurrence énorme qu’il y a entre les différents propriétaires ou dépositaires ou ceux qui ont obtenu une licence pour exploiter les mines qui ne peuvent pas proposer très cher/onéreux/coûteux leur charbon dont on a besoin pour l’aciérie – c’est pour les chantiers navals/navaux car s’ils proposent très/trop cher/coûteux alors le responsable du creuset/et dans lequel on fabrique l’acier, s’adresse aussitôt à celui qui propose au meilleur prix le charbon  et se sont les pays en voie de développement ou sous-développés qui sont alors les moins coûteux sur le marché – aussi cela permet d’acheter ce charbon aux chinois, à cours-le-bas et ainsi ils obtiennent des Crédits Financiers Propre[ment]s [Mérités] en très grande quantité, ce qui leur permet de rembourser leurs dettes ou d’acheter avec ces dollars ou ces euros des produits (qu’ils n’auront pas à se donner la peine de fabriquer) dans d’autres pays y compris dans des pays encore plus sous-développés qu’eux dans certaines catégories quand dans d’autres ils sont les meilleurs – c’est ce que je voulais réussir à faire avec le pétrole – grâce au charbon et à d’autres produits les chinois sont redevenus une grande puissance économique, ce qui aurait pu être le cas [particuliers] des pays explorateurs de pétrole s’ils avaient baissé le prix du baril au lieu en l’augmentant de contraindre tous leurs clients à augmenter leurs prix en proportion de ces hausses donc à cause de la loi de la répercussion ou celle de la conséquence ou celle des dominos (c’est la même autrement vue/dites :entendues – il s’agit de synonymes ou d’équivalence pour réussir à la faire comprendre autrement, ce qui peut être dans certains cas de personnes ayant des difficultés à la comprendre avec un mot qu’il ne sait pas – d’où l’intérêt d’étudier les mots en vérité et non en faussaire, car ceux-ci offrent alors par d’autres axes ou biais des sortes d’hyperliens (tu verras ils existent sur Internet) permettant alors de comprendre ce qu’on n’avait pas compris d’une certaine façon présentée – il y a alors intérêt à rechercher une autre façon ou une autre approche pour que la personne étant dans le malheur de ne pas arriver à se figurer l’une des lois fondamentales réussisse enfin à comprendre à la foi son aspect positif mais aussi le danger qu’elle représente – en effet, la plupart ou la majorité des lois qui nous gouvernent sont à la fois positives, mais aussi comportent chacune des dangers peut-être même pharaoniques, sauf celles qui n’en comporte aucun, une fois qu’on les respecte) cette loi des dominos est implacable, sauf dans une ou deux situations ou cas particuliers que je sais, qui offre un moyen de l’arrêter à temps – c’est ce que depuis mon enfance j’essaie de m’ingénier à mettre en place et cela éviterait que cette planète ne devienne un désert comme celles de la Lune ou celle de Mars qui est comme la Terre un satellite du soleil, tandis que la lune la première planète de la Terre, si on considère la Terre comme s’il était un/le soleil) pour permettre aux chinois, par charité d’exploiter leurs mines, car ils étaient en-dettés ou dans de très graves situations comme l’union soviétique , quand ton grand-père pharaon, grâce à moi dans le Ciel d’avance, avons sauvé (comme d’autres – en fait à cause de ton arrière grand-père empereur qui avait disjoncté à cause d’elles, mais surtout à cause de la reine de la nuit qui l’a trompé) ces deux rRégions (à l’époque, elles étaient convaincues d’inepties anciennes) de Nôtre empire et moins depuis que les pays capitalistes se sont privés d’exploiter ces mines de charbons anciennes qu’on a dit (chrétiennement et charitablement) revenaient trop chères (à gérer) pour rassurer les chinois ou les pays africains ou d’Amérique du Sud (il y a l’embarras du choix en réserve de quantité charbons, car il y a eu pendant longtemps un feu et cela s’est passé dans une ère ancienne, très lointaine, à des millions d’années lumière de là où nous avons le bonheur d’être, quand la reine de la nuit s’est fâchée et a mis le feu partout : elle en est morte : elle s’est suicidée ou euthanasié, on n’a pour l’instant jamais su – mais on saura – cependant que cela a fait un dégât colossal et que cela a duré longtemps – aussi il se peut que tu es eu un peu chaud au moment de ta naissance, mais tu verras (cela avait été la même chose pour moi, rassure-toi et je m’en suis très bien tiré en devenant le bouddha stoïque que je fus durant deux ans – ça avait vraiment chauffé) ça va vite passer et tu comprendras pourquoi ta mère comme ta grand-mère comme ton arrière grand-mère la Grande Pharaonne font des économies pour pouvoir t’acheter un chandail pour ton Noël et cela sur ce qu’elles n’ont que gagné que très honnêtement en CFP[M] et pas du tout en faussaires ou/ni en usurpatrices puisqu’elles n’ont pas fait semblant depuis qu’elles sont toute petites de t’attendre, Nôtre/leur ‘chou’) qui exploitent alors les leurs) et ainsi mettre un terme à la crise du pétrole, ce que le baiser que j’avais reçu de ma pharaonne C. L. , à cet âge de mes douze ans, m’avait assuré comme possible. Tu verras comment les adultes faussement parachevés (c'est-à-dire pas encore devenus adultes au plein sens de ce mot : ad-ultimum – à la fin au sens de in fine) ont contrarié Nos projets (en fait les leurs – mais ils les avaient oublié), mais du moins tu es des nôtres comme tes plus petits frères et sœurs, puisque vous vous êtes incarnés pour Nous aider à sauver cette planète et que nous avons pu vérifier que sinon elle serait déjà depuis les années 1970-75-80 (mais certainement vers 1960-62-63 devenue un désert comme la Lune ou Mars, si je n’étais pas intervenu du futur au moins quarante années-lumière avant même d’y être en chair et en os, donc indirectement pour annoncer ta naissance, puisque j’ai pu annoncer la naissance de tes tantes et de ta mère comme de tes oncles au moins quarante années avant 2005 (puisque j’étais moi-même tout jeune bébé et que j’ai pu entendre l’intervention quarante années avant qu’elle n’adviennent dans la réalité et cela tandis que tu te décidais avec ta sœur et tes cousins à apparaître d’avance dans le ciel trente ans plus loin, c'est-à-dire dans trente ans – tu imagines l’effet bœuf que cela a fait sur les années 1965 – il n’était plus question que d’invasion d’extra-terrestres – effectivement ceux qui seront des jeunes en 2035-45 sont, en raison des jeux auxquels ils [aur]ont accès [vus comme] des extra-terrestres par rapport aux personnes nées en 1930-1940-1950, c’est évident (cela avait été la même chose pour nous avec les première montres à quartz)  puisqu’en plus en raison de ces transmissions à travers l’Espace et le Temps, en trente ans, entre 1975 et 2005, il y a eu l’équivalent à première vue de deux mille à trois mille années de progrès d’un seul coup à cause du Sacrifice bouddhico-judaïco-christico-islamique ne déplaisant pas aux profanes et aux membres des autres religions, qu’on m’a contraint à réitérer entre 1965 et 1975) – en fait la désertification de cette planète, j’ose l’espérer pour vous qui vous êtes donné cette peine de naître dans les difficultés que Nous traversons, cela a peut-être même été repoussé (si ces ex-abrutis comprennent enfin), peut-être même grâce à vôtre naissance, donc sine die le grand désert qui ferait devenir la Terre la même chose que Mars en 2010 ou que la plus grande partie du désert du Sahara pour l’instant encore. Mais pour cela, il faut que les anciens partisans de l’empereur qui a disjoncté – ici pour minimiser au paroxysme du maximum ce qu’il fit (soit a. h. -  il en reste hélas quelques uns qui ont peut-être même changé de nom de famille et qui ont les mains sales) acceptent enfin de se soumettre complètement  aux  Bonnes Pratiques en se remettant progressivement au travail (comme main d’œuvre ou travailleurs manuels – et cessent de jouer aux intellectuels de pacotille qui colportent des ragots et des inepties) en ne se permettant plus jamais de transgresser aucun de nos ordres, puisqu’ils ont pu vérifier qu’à chaque fois, cela les a mené à faire de nouveau mourir la reine de la nuit et ses prétendus représentants  puisqu’elle n’était que celle de la nuit qui s’était d’avance auto-carbonisée et autodétruite, à cause de sa jalousie maladive contre celle du jour et de la nuit : la Sainte Vierge Sainte-Marie.

[12] Un nouveau nom synonymique, un raccourci, que j’ai forgé à partir de celui  de »  baume « comme alternative à balsamique sous entendu de Modène, dont j’ai eu l’idée que les italien[s] de ce département (la région de Modène en Italie) de la Confédération des Etats-Unis d’Europe l’exporte comme le vin de Bordeaux pour rayonner et rendre l’empire Modène comme il l’est Bordeaux ou d’autres mots de noms propres de villes, dès que l’une de celles-ci, spécialiste dans une catégorie précise ou/et une autre, exporte, comme la cité de Gruyère en Suisse, son ‘fromage’ (ce qui équivaut à dire, sa ‘marchandise’ : un synonyme ici de ce mot, pourtant une réalité issue des produits lactés qui est porté sur un autre plan. En effet, comme le nom de cette catégorie de ‘fromage’ a rayonné partout ou presque, le/a voilà être devenu/e, comme le mot de salade ou celui de pneu, en raison de ce que chacun des êtres humains en a un réel besoin essentiel quotidien (souvent il s’agit de produits devenus de ceux de première nécessité), ce substantif (ce nom) synonyme du mot de ‘marchandise’ lui-même : cette ‘salade’ ou ce ‘fromage’ même s’il s’agit d’un ‘cd-rom’ contenant un ‘jeu vidéo interactif’ (en quoi une salade serait un jeu vidéo interactifs ? Voilà une question particulièrement drôle – il y a donc un point au moins en commun entre le mot de salade et le mot-expression de ‘jeu vidéo interactif’ c’est ce plan ou ce niveau qu’il faut trouver pour y répondre comme entre le mot de ‘fromage’ et de ‘salade’, voire ‘pneu’ : ils ont tous en commun d’être des marchandises, donc d’être soumis aux règles et aux lois qui gouvernent les commerces – qu’on le veuille ou non – en effet, pour produire ces biens de consommation, il y a en amont, c’est-à-dire au départ, voire en aval – comme on voudra – des dépenses à engager, fournir, investir et celles-ci appartiennent à plusieurs catégories d’investissements – sans le personnage fondamental/capital du banquier, c’est-à-dire de celui qui va prêter des économies (en général collectives et qui sont le fruit de particulier se privant de ces biens durant des temps déterminés) qu’on lui a confié, il n’y a pas de possibilité de produire d’une façon industrielle, à grande échelle, satisfaisante dans l’Intérêt Général et ce sera la même chose dans les éEtats qui ont cru possible s’emparer de terres qui avaient été données à gérer à des particuliers, donc séquestrer (au sens de ‘confisquer’) collectiviser les terres – cela ne se peut (dans certains cas particuliers qui se défendent en conscience, donc possible/admissibles en conscience – en raison d’intérêts supérieurs, comme le Bien Général) que parce que l’éEtat serait à Dieu ou/et à son représentant le bouddha – aussi on propose en général des expropriations contre des CFPM car il est impensable de prendre une terre sur laquelle des gens se trouvent depuis longtemps ou qui était une région ayant été confiée à gérer à une personne en particulier qui ne le peut qu’à certaines conditions – ici il faut se poser la question si les conditions qui existent sont légitimes ou ne le sont pas et c’est ce qui a concerné la question royale – et si je comprends bien cela s’est opposé longtemps à la question impériale, tant que l’empereur n’a pas été un bouddha, donc par ailleurs un roi véritable – ce qui est finalement advenu providentiellement (mais parce que j’eus à l’annoncer d’avance du Ciel) dans l’Histoire de l’Aventure humaine à partir de 1963, 1965, 1975 et 2005 – donc ce qui devrait enfin pouvoir régler le problème de la disparition de la vision d’Atlantide dont le [Très] Grand Variateur, si je comprends bien est depuis des siècles entre les mains des héritiers de la salle des machines, donc de l’empereur qui pour obtenir cette salle des machines n’a pu l’obtenir qu’en devenant profane, sacrilège, impur, donc en bandit, en criminel contre l’humanité, par conséquent en s’autorisant à faire de la fausse monnaie, par exemple ou alors en augmentant le prix du baril de pétrole contre ma volonté et contre l’Intérêt Général – Pourquoi ? Parce qu’il est le représentant des ignorants, au mauvais sens de ce mot, parce qu’il est certainement devenu un handicapé en sciences et en raisonnements scientifiques supérieurs – ne peut pas accéder à la compréhension pluri-dimensionnelles – celles auxquelles accèdent finalement ceux qui parviennent à se délivrer de leur égoïsme de criminels contre les intérêts vitaux de tous : les bouddhas- d’où les conflits entre d’un côté celui qui ne s’embarrasse d’aucun scrupule, parce qu’il a perdu l’accès à la conscience dans son cerveau et qu’il est donc devenu comme un handicapé, l’empereur, parce qu’il s’autorise le crime et de l’autre ceux qui sont infiniment handicapés parce qu’ils l’interdisent – on retrouve une autre fois l’interrupteur et le [Très] Grand Variateur de la vision d’Atlantide poussé au maximum en 1995 au moment où on me fit empereur et puis de nouveau, parce que le bouddha en moi sait qu’on n’a pas le droit de tuer, la disparition de la vision d’Atlantide – donc uniquement la vision d’Atlantide quand j’oublie un instant que l’être humain a été conçu avec cette solution élégante, difficile, mais qui est une réalité incontestable, de comprendre l’intérêt de s’empêcher de tuer autrui (ou l’un des animaux pacifiques et inoffensif)  et de devenir bouddha d’autant que je suis devenu végétarien depuis au moins deux ou trois ans – donc uniquement quand j’oublie qu’il y a des solutions élégantes alternatives à la facilité que constitue le meurtre d’une huitre, d’un escargot ou d’un lapin – c’est-à-dire quand je deviens bête et handicapé comme a. h. ne réussissant plus à faire fonctionner sa tête – c’est à ce moment-là, parce que je me suis contraint à obtenir artificiellement une amnésie canonique dont le Vatican, mon père est au courant depuis 1977 (sauf moi) que j’ai ce moment de bêtise telle que cela correspond à celle d’a. h. qui révèle alors qu’il aspire à la sainteté, malgré ce qu’il s’est permis d’horrible entre 1925 et 45- évidemment cela n’a duré que quelques secondes pas plus ce moment où le bouddha devient un instant convaincu – parce qu’il a été trompé et que personne ne lui a rappelé son amnésie – qu’il est Satan – cela est en réalité ce qui est arrivé à chacun des empereurs – ils ont chacun d’entre eux oublié que l’être humain a été conçu avec cette sécurité de pouvoir accéder à la bouddhéité – et cela ils ne le savent pas pendant longtemps, peut-être plusieurs millénaires jusqu’à ce que j’ai à le démontrer, ce qui confirme alors « l’interdit de tuer », donc que j’ai bien fait, alors que ‘jétais devenu un moment Satan en 1995, de m’imposer le doute salvateur : est-ce que je ne serais pas en train de faire une erreur quelque part à croire que je ne suis que Satan ? Et j’ai bien fait de m’imposer ce doute malgré le fait que mon cerveau était devenu tout à fait limité dans les possibilité de penser et que je ne comprenais pas grand-chose de ce qui m’arrivait, car il me manquait alors toutes les informations au sujet de l’existence de cette salle des machines, et je ne savais plus rien du passé, de mon sacrifice en 1975 avec ma promise – par conséquent je n’avais plus accès du tout à la conscience ni à la spiritualité – j’étais moi le bouddha, ne sachant pas que j’étais bouddha, devenu profane complètement et même sacrilège en pensée – donc de quoi obtenir l’une des pires réincarnations et cela d’autant plus que je ne savais rien de ce qui s’était passé entre 1975 et 1977 – c’est-à-dire des interventions qui n’auraient lieu de nouveau qu’à partir de 2005 – par conséquent totalement avec des manques de données capitales ne serait-ce que pour me rassurer – aussi je dois ma métamorphose de nouveau en le même bouddha, c’est-à-dire adulte parachevé qu’en 1965 et 1975 uniquement qu’à la Peinture qui à partir de 1995, après avoir vu un instant Atlantide, m’a amené à rechercher Atlantide en peignant, donc sans même être encore capable de le penser, proposer une alternative à l’inexplicable disparition de la vision d’Atlantide après ce bref moment où très certainement j’ai pu comprendre effectivement la gravité du mal dont furent victime les empereurs : leur absolue inconscience, absence de conscience, donc capacité à penser un tantinet justement comme y parviennent tous ceux qui sont les plus civilisés, les plus raffinés, les plus nuancés, les plus doctes, les plus clairvoyants, les plus soucieux de vérités relatives ou absolue, les plus objectifs, bref les plus ingénieurs et/ou bouddhas). Tu entendras parler les terriens de ces objets qui sont issus du travail des êtres humains les plus géniaux , c'est-à-dire les plus artisans ou/et les plus industrieux, donc les plus compétents, comme de la ‘salade’ et comme il y a eu un grand nombre d’imbéciles à la dédaigner, car ils ne l’avaient jamais encore goûtée avec ce vinaigre baumique (les êtres humains sont facilement des smsm : quand ils n’aiment pas quelque chose, ils n’imaginent jamais qu’il y aurait un remède pour que cette chose qu’ils n’aiment pas, ils puissent l’aimer enfin – donc ils oublient le paramètre ‘autrement’ et c’est pourquoi pendant des siècles, en raison d’une première fois qu’ils n’ont pas vraiment aimé ni même essayé d’aimer, il ne vont pas vouloir essayer ‘autrement’ – c’est  ce manque de curiosité qui a affecté tous les enfants-gâtés, les adolescents, au mauvais sens de ces mots – ils demeurent convaincus jusqu’à la mort d’une ineptie qui est le préjugé fatal) et de l’huile d’olive et encore moins avec le vinaigre très précieux au goût de framboise j’ai fait faire, pour rendre moins amère ou/et moins acide ce vin qui a tourné de l’œil et qu’on obtient facilement en laissant un fond de bouteille de Bordeaux ou d’un autre vin, à l’air libre sans bouchon en quelques jours, ce qui permet d’écouler les invendus ou/et les stocks de vin de moins bonne qualité : on ouvre alors le tonneaux qui n’est plus sous-vide et il n’y a qu’à attendre : au lieu de jeter ce vin, on obtient alors du vinaigre, c’est pourquoi on en obtient rapidement des quantité[s] astronomique[s] à partir de tous les vins invendus et on ne le propose alors comme alternative à l’acidité du fruit du citron provenant de Sicile ou d’ailleurs, que très peu onéreux à cause de la concurrence et de la priorité pour les assaisonnement avec l’huile d’olive de ce fruit-jaune qui n’a vraiment pas le goût de framboise, tandis que mon vinaigre oui, ce qui ne le rend plus aussi âcre qu’il était devenu sinon – c’est un vinaigre de bien meilleure qualité que celui qui n’est en réalité qu’issu de la récup’ ce qui avait rendu désagréable au palais de nombreuses personne les salades, malgré par exemple, les saveurs incommensurablement indescriptibles de délices (divines) de la roquette ou d’autres herbes un peu amer proposées en salades particulières ou mixtes – d’où que c’est cette notion de saveur et de goût qu’il fallait réussir à valoriser (voire retrouver) – toutes les gammes de chair ou viande (végétales) de sèves un peu amères, voir très amères – le titre d’un poème de Saint John Perse par ailleurs est ‘amer’ – le vinaigre baumique ou balsamique apportant juste un peu de sucré pour compenser et créer l’équilibre parfait en se mariant avec l’huile d’olive à tel point que je me fait des sandwichs -[(à l’époque de la solution élégante des sandwichs ne pas avoir fait la mise à jour, ni avoir compris que tous les repas peuvent être proposés aussi sous cette forme, solution élégante, est une fois de plus la confirmation d’un problème qu’ont les gens pour s’adapter à une nouvelle époque qui vient de vivre une véritable révolution avec l’apparition des sandwich, cette viande de céréales, le pain qui se marie avec d’innombrables ingrédients végétaux mais aussi des crèmeries fromagères et qui permettent aussi de manger rapidement, un peu quand on le sent ou on a fin comme les crêpes – ici aussi il s’agit d’une solution élégante et d’une alternative déjà ancienne qui peut éviter à chacun des terriens les réincarnations malheureuses qui sinon les attendent en ayant cru possible manger trop de viandes animales – « un peu, c’es possible, mais beaucoup bonjour les dégâts » si on ne consacre pas le reste de la journée pour éliminer ces quantités d’énergies en trop qui, de plus vous on rendu complice des criminels contre les droits des animaux pacifiques et inoffensifs : les herbivores ce qui fait alors obtenir des quantités de mauvais points qui de plus détériorent le cerveau puisque cela est l’origine même de comment se constitue l’égoïste au mauvais sens de ce mot, c’est-à-dire celui qui s’en fou de ce qu’un animal innocent, pacifique et inoffensif, qui plus est producteurs de biens qui peuvent donner lieu à des CFPM souffre et soit occis pour satisfaire la gourmandise d’une personne qui a dédaigné en enfant-gâté l’une ou l’autre des solutions élégantes alternatives de viandes ou chairs végétales ou même les pois chiches richissimes en protéïnes qui comme les lentilles ont même une sorte de consistance de viande autant insipide – par conséquent on a avec celui qui consomme de la viande et du poisson aussi les autres maladies qui se forment dont celle du snob – c’est pourquoi Gonzague Saint-Bris qui venait d’écrire un livre à ce sujet était venu nous rendre visite à Rome – un livre que je n’ai pas lu encore et dont j’ignore s’il y a une partie qui concernerait l’omnivore à tendance carnivore en tant que snob, car il est probable que son auteur appartienne à cette génération qui a été convaincue qu’il était bon pour la santé de manger de la viande, ce qui probablement n’a été jamais dit autrement par les médecins qu’en anti-phrases sauf dans de certaines occasions précises – et c’est pareil pour ce qui s’est passé avec le tabac – on le donnait pour soigner à une très rare occasion et puis c’est devenu une nécessité car le sang de l’individu devient drogué)]- entre deux tranches de pains moelleux HarrYs aux endives assaisonnées que j’espère tu auras envie de t’offrir accompagné par un des bons vins que ton grand-père Nicolas (un nom de marchand de vin, par ailleurs, qui propose par exemple, un vin excellent qu’il m’a fait déguster et qui s’appelle Terres-Blanches) est entrain de mettre en valeur avec le Musée du Vin dans cette ville du divinisssîme Montaigne que « mon petit doigt » m’a dit que tu as eu la chance de rejoindre, en fait l’une des capitales de la Freance, d’autant qu’elle est l’une des trois portes vers la rRégion espagnole de n]V[ôtre empire L. Granier … ). 

[13] Cette partie de ton prénom permet de gagner du temps, car (puisque) cela a fait faire autrefois des économies d’encre (noire, quand les livres n’étaient qu’imprimés en noir et non pas encore en quadrichromie ou polychromie – donc avec [autrefois] les très rarissimissîmes couleurs qui en raison de la loi de la quantité qui a touché régulièrement tous les produits [commerciaux] sans exceptions (sauf les originaux des œuvres d’aArts) sont devenues très banales, car on les a reproduites (comme les tulipes, qui au départ étaient proposées sur les marchés ou/et vendues à prix d’or) en des quantités astronomiques (très nombreuses – c’est ici comprendre la loi de la Quantité à l’aune du nombre d’étoiles et comprendre combien pour le petit Prince elles sont fragiles même si en grand nombre – il est vrai qu’une de perdue, dix de retrouvées), au point qu’elles ont rapidement comme cette teinte noire, perdu leur statut de « rarissimes » (une catégories où ces tulipes/couleurs furent très longtemps) et même de rares : elles sont aujourd’hui, à ton époques, devenues archi-banales (au point qu’on s’intéresse de nouveau au noir et blanc – mais qu’on a trouvé que Nôtre solution élégante est préférable : tourner en couleurs et puis découvrir une autre version par un transfert/transfère le résultat en noir et blanc qui dans certains cas [particuliers], c'est-à-dire pour certains sujets est préférable, comme par exemple ceux qui reconstituent (dans un film) une époque où les gens n’avaient que l’habitude au Cinéma[tographe] (dans une salle pour les projection de Cinéma) d’admirer les films en noir et blanc, ce qui se dit en Italie dans l’autre sens « blanc et noir » bianco e nero à cause des films ‘a colori (‘en’ couleur – ce ‘a’ italien devenu ‘en’ en français – ah ! la belle chose que de savoir quelque chose ), ne serait-ce que pour permettre de donner à méditer à l’étudiant français sur la notion de relatif et de choix relatifs concernant les langues. Aussi si tu devais vouloir agacer un français dis « cinéma blanc et noir », il est tellement conditionné à croire que ça se dit dans l’autre sens – c'est-à-dire qu’il a dans sa tête un préjugé linguistique (que sa langue maternel a créé– il n’est plus libre) tel qu’il va te corriger et en tirer un sentiment de supériorité qui est déjà un peu plus loin à lui faire obtenir la réincarnation de minable qu’il méritait, puisqu’il n’a pas voulu se donner la peine (en s’imposant d’apprendre à l’Ecole une ou plusieurs autres langues vivantes – donc codes) de comprendre l’idée, mais qu’il était là à te juger dans l’armée de singe (souvent des brutes épaisses du genre des sumo (bien que tu apprendras ailleurs (autrement qu’ici) que je trouve intéressant leurs conflits publiques en tant que sport plus noble à première vue que celui infiniment dégradant et indigne des êtres humains que les combats de coqs, quand ceux-ci sont affublés [comme] de lames de cutteurs, comme armes, en plus des ongles de leurs pattes (cela les blessera quand ils se sautent dessus ou/et se battent entre eux parfois même sans chercher à se faire mal, donc pour se désennuyer et mesurer leur force) – là (ces combats de coqs autant dangereux entre eux) s’est évidemment à interdire et à poursuivre par voie de gendarmerie (les policiers ne sont plus qu’en chemin vers la gentilhommerie quand ils mettent de l’ordre et interdisent des paris qui vont faire souffrir, de cette manière (avec des lames de cutter en plus à leurs griffes naturelles) ces animaux – c’est comme si dans les gants de boxe des boxeurs il y avait des choses qui vont blesser encore plus l’autre sportif – ce n’est plus Sport, c’est de l’arnaque) comme atteinte aux droits des animaux – cependant que deux coqs ont le droit, c’est normal, d’avoir une prise de bec (par exemple) au sujet d’une ou l’autre poule, par conséquent qu’ils ont le droit de s’affronter en politique, pour obtenir le pouvoir dans un poulailler – il faut donc voir chacune des rRégions de n[V]ôtre empire (aussi) comme un poulailler à administrer avec des coqs plus efficaces et intègres que d’autres, ces roitelets locaux) – en fait  à première vue (en raison de leurs mensurations) des enfants-gâtés (ces sumotori) qui ne sont qu’à favoriser leur gourmandise et même à y être encouragés (par la société qu’ils ont à divertir ou qui les utilise pour parier) par un très grand artiste SAI SSS les Lord. Bottero – mais se serait se tromper sur Ses intentions de fresquiste (faiseur de fresques ou d’afresquiste) il n’a jamais voulu cela : au contraire, il a essayé de considérer les gros, comme Obélix et compagnie [comme] des œuvres d’art, pour les décomplexer – ça marché et cela devrait les mener à s’intéresser à l’inverse, avec SAI SSS les Lord. Giacometti : filiforme, gothiques, la mozartiuenne (le conseil de SAI SSS les Lord. W. A. Mozart) et donjuanienne magrotta per l’estate quando la grassota è per l’inverno (tes premiers mots d’italien à moins que Riri[e] te parle déjà avec Floreance (quand j’étais petit, et que je n’étais pas encore sorti du parc que constituai mon lit en fer forgé, dans sa chambre, je l’appelais en trépignant d’impatience de la retrouver : « Arane » - je savais donc,  l’air de rien, qu’elle attendait ta mère. Mais évidemment comment réussir à faire comprendre que je savais d’avance. Impossible ! Avec si peu de scolarité et de difficultés pour parler : dire, s’exprimer. Cela ne peut que contraindre à moult[es]/(beaucoup) d’études avant d’y parvenir . C’est ce que j’ai alors décidé, à l’occasion du premier dictionnaire que j’ai réussi à sortir de l’une des étagères, car j’ai alors découvert les mots et surtout une planche reproduite en couleur avec les drapeaux de chacune des rRégions de couloir où je l’avais transporté pour rester de longs moments devant ces différents drapeaux et j’ai alors compris que chacun d’entre eux était en relation avec chacun des mots, mais très certainement différemment inscrits (ce que j’ai découvert dans les jours à venir, puisqu’on parla d’un dictionnaire franco-italien . C’était ma maman qui demandait peut-être à Ta grand-mère qu’on le Lui apporte. Elle devait peut-être devoir vérifier un mot en cette langue) car ces imbéciles crurent que je voulais dormir avec ta grand-mère que je savais naturellement intouchable puisque/car destinée à ton grand-père. Ils me changèrent de chambre (en raison de bruits qui avait couru que j’avais fait le ‘zouave’ (ce que j’ai dû annoncer du futur en le criant à travers le ciel et à quoi les peuples crurent) – il était donc à prêter foi à des calomnies ou à des racontars (je n’avais pas fait le zouave)  – je devais donc me méfier – dès ce moment-là j’eus à devoir garder mes distance avec chacun des membre de ma famille : je ne pouvais pas avoir fait une chose dont je n’avais jamais rien su de ce que cela signifiait ou existait – mais ils n’avaient pas non plus tort (en y songeant et en spéculant comme en omettant qu’elle attendait Sa descendance, donc en ne tenant pas compte de ce paramètre qui m’avait contraint, en gentilhomme, à tant de galanterie (la même qu’avec ma mère que je savais engagée avec mon père), j’aurais bien aimé être avec elle, à avoir en ante prima des câlins qu’elle destinait peut-être à ses filles voire à cette « Arane ». Mais déjà ma sœur n’aimait que les [plus] grands – elle n’avait pas encore trouvé en elle la fibre maternelle et ne se voyait pas encore comme une future maman. En effet, vers l’âge de sept à neuf ans, les petites filles deviennent adolescentes (quelques unes avant cet âge là, à cause de/’un « fait[s] majeur[s] ») – d’où qu’elles trouvent peu intéressant leurs petits frères et s’intéressent aux amis de leurs pères ou/et aux chefs de leurs frères aînés (ceux qui sont l’objet de l’admiration des garçons) – il s’en suit ici que tous les petits qui sont amoureux de leurs grandes sœurs (mais déjà sont souvent amoureux de leurs mères) sont à découvrir de très abominables injustices à leur sujet – d’où des brimades, sans même que ces petites filles ou futures jeunes filles aient songé à les faire subir à ces plus petits qui en sont très tristes – en fait elles en ont assez de devoir aider leurs mères – ce qui peut se comprendre – c’est donc le moment du conflit mère-fille – mais ça s’arrange en général toujours plus tard ou beaucoup plus tard, quand la fille est à son tour dans les époques où elle attend ses enfants – cependant que jusqu’à là, ce ne seront pas des jolis moments – il y a dans chacune des familles des répercussions du problème et cela a donné l’adolescence des uns et des autres avec des répercussions chez les pères et les oncles et la même chose chez les mères et les tantes qui sont à en vouloir à ces jeunes filles qui, s’est normal, trouvent leurs oncles ou leurs grand frères comme défenseurs – d’où conflits possibles ou probables entre les adultes, entre les deux sexes) – évidemment entre nous il y a celle qui est la via di mezzo en général pas/non loin de celle de la conciliazione, (celle de la Paix ou du médiateur) ni trop grasse, ni trop mince – et c’est difficile avec toutes ces tentations de bonnes choses à manger, d’être au centre, alors qu’entre froid et chaud, il y a autant de degrés qu’entre un ‘non’ et un ‘oui ‘– d’où cette notion de ‘tiède’ ou de ‘tropiques’ que j’aime bien, ni équateur ni polaire – en fait  de ‘pays tempérés’ – pour réussir à trouver cette expression, elle résulte d’une sorte de moyenne, ce que tu apprendras à faire en allant à l’Ecole : des moyennes, grâce à des notes additionnées qui sur plusieurs mois vont permettre de comprendre où se situe ton niveau de constance. Des fois tu seras très bon dans quelques domaines/catégories et des fois moins bons, voire mauvais, car pour l’instant elles ne t’intéressent pas – cela vient de ce que tu ne sais pas encore pourquoi elles pourront te servir à quelque chose dans l’avenir et tu n’as pas encore fait la découverte de cette raison. Quand tu la feras, tu feras l’effort de t’intéresser à cette catégorie, d’autant plus qu’en manquant à tes connaissances elle pourrait être ce paramètre handicapant pour la suite – sauf que des fois ce n’est que vers la Terminale, donc vers le baccalauréat qu’on s’intéresse par exemple aux mathématiques et aux sciences, grâce à un excellent enseignant en philosophie qui s’est réellement posé la question de ces mots sous cet angle de philosophe. J’en ai eu un très bon qui s’appelait Monsieur Cattey et cela alors que j’étais devenu très quelconque, voire même mauvais en sciences – nul en Physique et en Chimie – mais depuis 2005 de nouveau capable de plus ou moins tout comprendre dans ces catégories que j’avais prises en horreur comme les mathématiques, à cause de ce que j’eus à démontrer il advient, durant la période qu’on appelle l’adolescence, chez le garçon (devenu profane). En fait, tu sauras un jour comment j’eus à devoir m’ingénier pour en obtenir une artificiellement de mon âme (alors que bouddha – soit commettre les pires sacrilèges contre ses intérêts les plus précieux, donc contre soi-même - pour devenir profane – ce que tous m’imposèrent de faire contre mon gré sur place en 1977 et alors que je venais de les rendre chacun plus ou moins richissimissîmes et que j’avais donné la solution élégante pour sortir la planète de la crise économique dans laquelle elle s’était embourbée et qu’ils ont fait perdre à cette occasion aussi mes enfants comme ceux qu’attendaient mon frère aîné, ton grand oncle Luc-François qui a dû lui aussi les sacrifier car ils n’ont pas voulu m’obéir) et cela a permis de [de nouveau] démontrer ce que j’avais eu à démontrer au cours de deux années de (1972-73 à 1975) quand j’étais enfant, en ayant été contraint de devenir un faune malgré moi, c'est-à-dire un des enfants qui involuent, car ils deviennent [comme] des Pinocchio et donc [comme] l’un des adolescents enfant-gâtés et plus ou moins égoïstes et croient possible mentir ou même cacher des choses qu’ils font et surtout croient avoir le droit d’être de mauvaise foi – voire ils sont  très irrespectueux envers les personnes âgées ou toutes celles qui ne conseillent que sagement. En fait il s’agit d’enfants [qui sont redevenus] sauvages – c’est en général à la suite de divers malentendus ou alors parce qu’on leur a interdit de révéler une chose ou de faire une chose qu’ils se sont alors ingéniés à faire en cachette (à l’insu et contre les avis les plus éclairés) – donc on en a fait des cachottiers ou des personnes, à cause de cela, ayant des préjugés : par exemple, ils se sont mis à croire l’une ou l’autre calomnie ou bruits qui courent au sujet d’une personne et ne seront plus qu’influencé par ce paramètre au sujet de cette personne, en oubliant toutes les autres virtualités (y compris celles de changements possibles entre temps – ce qui est probable), c'est-à-dire toutes les possibilités les meilleures qu’elles pourraient avoir quand elles décideront de changer – mais pour cela, il faudra, par exemple, qu’elles adoptent les Bonnes Pratiques et renoncent à la caisse noire, dans laquelle piochent leurs amis et leurs parents - c'est-à-dire ce qu’ils cachent en bandits qu’ils ont en commun – soit l’accès au trésor dérobé à l’Ensemble (escroqué à tous) – donc à moi leur pharaon - qui ne les assure qu’eux seuls (en escrocs) pour les achats qu’ils convoitent, donc en ayant été faite, cette caisse noire, en réalité que contre leurs intérêts intrinsèques les meilleurs et par ricochet (ou voie[s] de conséquence – ce qui est parfois – c'est-à-dire dans un cas [particulier] semblable à celui-ci - synonyme) contre l’Intérêt Général, donc des hors les lois de la Fraternité Véritable – qui, on le sait, sont souvent celles de l’Equité – Mais ils te diront ou t’opposeront qu’ils sont équitables (entre eux, c’est probable, mais pas certain, car ils ont des chefs qui étant ceux qui ont accès à ces sommes de financements, peuvent favoriser les uns ou les autres plus ils sont (ces chefs) flattés ou plus ils sont encouragés dans les vices qu’ils ont contracté – donc celui d’avoir escroqué l’Ensemble – ce qui n’est vraiment pas fraternel et qui est la cause ou l’origine de tous les malheurs dont les leurs puisqu’ils sont considérés, c’est logique, comme les ennemis des êtres humains véritables ou/et même en raison de ce qu’ils ont pillé le Trésor collectif à leur seul et unique profit (et celui de leurs flatteurs, une autre qualité de profiteurs et de parasites) des criminels contre l’humanité (puisqu’à cause de cette caisse noire, tous sont contraints à travailler au moins plus de onze mille fois plus que le nécessaire normal). En effet, il n’y a aucun intérêt à vouloir piller l’Ensemble, on sera soi-même le premier arnaqué – c’est l’argument qui devrait les décider de cesser à jamais ce qui s’est avéré aussi mauvais que cela pour chacun d’entre eux puisqu’ils en ont obtenu ces réincarnation[s] de crocodiles ou de requins, donc au lieu de progresser, de continuer à involuer, car ils se sont ainsi encouragés à ne demeurer que des enfants-gâtés irréalistes (donc à quitter l’espèce humaine véritable (composée d’ingénieurs, de concepteurs, de penseurs – bref de tous ceux qui accédèrent à la bouddhéité – soit le ecce homo léonardevincien – soit la finalité même de toutes les réincarnations jusqu’à celle en être humain) – donc ne voulant pas comprendre qu’en se soumettant aux Bonnes Pratiques, ils seront chacun à comprendre les raisons des différentes contraintes (d’elles-mêmes alors elles se présenteront à leur esprit avec les explications rationnelles), y compris tout ce qui concerne les prix et les tarifs, entre les différentes monnaies qui existent entre les rRégions du monde : des sortes de logiques historiques s’étant mises en place en fonctions de paramètres et de règles du jeu communes, au sujet des commerces et des marchés) car ils partagent probablement tout entre eux en pilleurs et entre escrocs (d’où que sur ce point il y aurait comme un point en commun avec ceux qui n’ayant pas acquis ou accès à la caisse noire sont à partager des choses en commun, eux aussi, bien que sachant à qui chacune est) – c’est effectivement à première-vue une forme d’équité, mais qui n’est pas la vraie puisque/car elle est entrain de nuire à ceux qui partagent, sans contraindre à aucune relation sexuelles ou même contrepartie, si ce ne sont les devoirs que chacun sait avoir à s’infliger et auxquels hélas peu de personnes n’échapperont, ces contraintes autres (de chantage) que celles qui sont éthiquement admissibles ne sont pas admissibles et les voilà encore plus hors les lois, puisque leur équité était entre faussaires et non entre des personnes de qualité (vraies) – donc à être contre leurs intérêts fondamentaux ou ontologiques (garantissant l’indépendance et l’autonomie (financière) de chacune des âmes), c'est-à-dire les plus essentiels. Fais donc très attention aux fréquentations de tes futurs amis d’autant qu’ils te savent tous – sans peut-être même te l’avoir dit – un des proches et possible aides de camp (on fera ensemble du scoutisme, si tu veux – peut-être des promenades en montagne, une fois ou l’autre dans le futur) de l’empereur) – tu risques d’en rencontrer, y compris parmi des soi-disant enseignants. Ce sont ce qu’on appelle des petits bourgeois, au mauvais sens de ce mot : la honte de l’humanité : les conformistes (attention, il ya aussi du bon dans ce mot, pas seulement du mauvais, mais c’est autrement-vu, c'est-à-dire dans un autre cas [particulier] ou dans une autre situation), mais au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire tout aussi bête que les anti-conformistes qui le sont au mauvais sens de ce mot ou cherchent à faire scandale (ce qui a du bon, idem que la parenthèse précédente) car ils n’ont pas voulu rechercher la raison de chacune des règles ou des lois avant de les transgresser, ce qui se peut pour toutes, peut-être même sans exception[s] (ici j’exagère peut-être, j’y vais au pif et à la probabilité près) mais uniquement canoniquement, c'est-à-dire quand on a trouvé le cas particulier, parfois seulement unique entre tous où il y a la possibilité de les transgresser – transgresser la loi ou les lois, voilà ce qui est passionnant, mais il faut savoir faire ou trouver la solution élégante non-dangereuse, ne risquant pas de créer un dommage à ton âme de départ – il y a donc parfois des possibilité légitime de les transgresser, comme j’eus à le prouver – ce qui fait qu’ici, le moindre des Lontarin est pour longtemps le plus handicapé des êtres humains, car il n’est pas, tout comme le maire de Champignac, capable de discerner le cas particulier de ceux qui ont le droit de les transgresser – en effet, il s’agit alors, hélas toujours avec ces personnes de celles qui ne sont capables encore que de reproduire en travailleurs manuels par mimétisme, rien de plus – aussi elles ne savent même pas pourquoi elles ont une activité (publique) puisqu’elles sont de celles qui (en cachette) étaient assurées d’avoir accès à la caisse noire – d’où qu’elles constituent depuis toujours l’élément drôle, l’aspect comique et/ou ridicule comme les Dalton ou le chien Rantanplan quand ils essaient de se comporter honnêtement, donc de gagner des CFPM – alors qu’ils sont assurés des cfu[usurpés], cfv[olés], cfc[orrompus], cfm[alhonnêtes], cfé[scroqués]).

Les produits commerciaux, c'est-à-dire aussi communs que la baguette que tu trouves dans toutes les boulangeries de base, car les boulangers ont copié un maître dont ils ont dérobé la recette et cela leur a permis de gagner des CFP[M] (des Crédits Financiers Propres et [Mérités], en fait ce qu’on appelait autrefois de l’argent propre (dont ils doivent à ce maître une partie, ce qui est donc normalement représenté par l’éEtat -[(défenseurs des intérêts des droits des particuliers – car chacun des éEtats est constitué de personnalités, de particuliers, de personnes qui agissent en tant qu’individus motivés par leur intérêt sur le plan privé – ce qui est donc public ne serait en réalité qu’une forme d’excuse, comme la notion d’éEtat lui-même – quand il n’est pas le véritable – à permettre de développer les intérêts privés de chacun de ses membres – mais une excuse qui est aussi le remède quand l’éEtat est servi par des mains justes, honnêtes et intègres – il y a donc un point où on ne peut plus contester, en avocat du diable, le bien fondé de l’éEtat providence, si ce n’est que toute contestation sera d’avance dans le registre du théâtre de l’absurde – de l’inconcevable, car c’est alors contre l’intérêt de l’Ensemble, donc en premier lieu contre son propre intérêt y compris si on est le diable, au mauvais sens de ce mot – donc de mauvaise foi – c’est la raison pour laquelle le diable a toujours voulu s’infiltrer, comme Lontarin ou le maire de Champignac, en lâche et en faussaire dans l’éEtat comme il a essayé dans l’Eglise ou avait essayé dans l’ancienne Synagogue – bref dès qu’il y a une institution qui se créait, qu’une réalité est reconnue (officiellement), dès qu’une chose est en chemin pour aboutir, les parasites aussitôt apparaissent – donc tous ceux qui recherchent à profiter dans le mauvais sens de ce mot – donc contraire à la chose elle-même qui est créée au départ comme un remède – d’où que le remède peut se retourner contre son auteur – la création de la notion d’éEtat par l’un des premier bouddhas quand l’éEtat n’est plus que constitué par des [devenus] faussaires – le remède est la refonte de l’éEtat, la nécessaire recréation de l’éEtat – la nécessité de retrouver les raisons fondamentales pour lesquelles il ne serait que légitime – ce qui n’est jamais possible autrement que par la naissance d’un [nouveau} bouddha)]- et fonde ici la légitimité de collecter l’impôt puisque le maître était absent jusqu’à ma naissance en 1963, mais ce qui avait permis dans toutes les époques précédentes à des maîtres de trouver des solutions élégantes (donc d’avancer par petites touches vers cette époque-ci) comme celle de la baguette à base de pain ou d’autres en des époques où il est probable que ces maîtres qui trouvèrent ces solutions élégantes, en devenant bouddhas, ne furent pas rétribués en pourcentages de droits d’auteurs alors qu’il s’agit de ceux qui ont fondé l’éEtat et permis grâce aux impôts à de nombreux serviteurs de l’éEtats de vivre ce qui  a permis par voie de conséquences à tous les autres aussi de survivre – l’éEtat était  donc une autre des solutions élégante qui ne relève que de la bouddhéité et de la capacité d’associer des mots conçus et pensés enfin dans le bon sens (comme instruments pour résoudre des problèmes qui se posent continuellement), par conséquent dans chacune des langues maternelles utilisées à chaque fois en sacrées. Elles s’articulent comme des instruments pour essayer de faciliter la gestion quotidienne des impératifs – il y avait donc une finalité au langage et enfin on en trouva plusieurs dont ceux pour se divertir – autant que des catégories différentes – d’où que c’est en relation avec la notion de cadre, de sujet et d’hors sujet – ce qui n’est souvent que des àpremièrevue quand on le croit car il est probable qu’il manque simplement un mot, une phrase, un paragraphe pour comprendre pourquoi une catégorie àpremièrevue lointaine, n’ayant que peu à voir avec le sujet, intervient au sein d’une pensée).

Quelques-uns des serviteurs de l’éEtat ne sont pas encore tout à fait devenus des honnêtes gens, bien que j’ai pu vérifier, il y en a un ou deux qui le seraient très véritablement devenus. Ils doivent (pour l’instant encore) payer des impôts (cela handicapera ceux qui en étant devenu des créateurs de pains parmi les boulangers, de ceux tout à fait nouveau ou même de pâtisseries dont ils furent les auteurs des recettes, n’avaient pas à en payer (car à l’origine d’une innovation) – puisqu’il y a des probabilité d’avance que la recette soit copiée par un de ceux -[(qui sans idées, sans solutions élégantes de leur cru – générée par eux-mêmes - ne sont pour l’instant que capable de reproduire en mimétique donc grâce à ceux qui sont devenus finalement géniaux – en fait ceux qui correspondent à l’être humain tel qu’il a été conçu, capable donc de trouver des solutions élégantes s’il se donne la peine d’étudier, donc s’il investit – or comment investir si on ne dispose pas d’aides financières pour réussir à devenir compétent dans un domaine ou dans un autre ? Et surtout investir autant d’années de travaux souvent les plus difficiles à réaliser pour finir par être dérobé, volé, pillé par l’Ensemble se moquant de ceux qui ont compris qu’il y a cette voie, c’est savoir qu’on va appartenir aux handicapés, c’est-à-dire aux véritables aArtistes – ceux qui trouvent ces solutions élégantes dont tous raffolent, ont besoin et qui ne peuvent être trouvées que seulement si on devient bouddha, par conséquent le seul éEtat véritable)]- qui en la proposant sur le marché va gagner des CFPM – en fait des cfu[surpés] car s’ils oublient de rendre une partie de ce qu’ils ont gagné à celui qui leur a donné l’idée (les voilà hors les lois de la fraternité véritable qui consiste à rendre à césar ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu, donc à Bouddha ce qui est à Bouddha et à chacun des aAuteurs ce qui est à l’origine à chacun de ces aAuteurs – or la notion d’auteur est à géométrie variable – où commence-t-elle et où finit-elle ? et surtout cela selon chacune des catégories – par conséquent celle juridique mais aussi commerciales – donc lié aux paramètres qui concernent la spécificité de ces catégories – donc il y a ici maint sujet possible de conflits et/ou de discorde selon que celui qui va employer le mot d’auteur est au courant, devenu spécialiste ou non de la question en la confrontant aux autres catégories avec leurs nécessités – un véritable casse-tête qu’on simplifie par ceux qui sont de mauvaise foi et ceux qui sont de bonne foi, crédibles, sensés parce qu’ils tiennent compte des impératifs liés aux catégories concernées par cette loi d’aAuteur, dont on sait que le principe est juste, admissible parce que il y a la nécessité absolue de donner envie à certain membre de l’éEtat d’en devenir de très réels – c’est donc vital pour l’Ensemble de créer des bouddhas qui sont donc les seuls véritables médecins dans l’Histoire de l’aventure humaine) – [et dans cette optique] on comprend que cela soit normal que ces boulangers aient à payer des impôts (les boulangers qui n’ont eu qu’à copier, qu’à reproduire une idée au départ qui est celle d’un très véritable iIngénieur – on comprend alors pourquoi les impôts servent à financer légitimement les écoles qui se chargent d’élever, de créer les futurs ingénieurs – le principe de l’impôts à ces fins d’instruction est donc incontestable, légitime) y compris l’impôt sur la valeur ajoutée car au lieu d’être à proposer gratuitement ces reproductions (les baguettes de pains reproduites en série), ils en tirent ou escomptent d’en tirer des profits et finalement après les comptes du chiffre d’affaire, des bénéfices à se partager – or ces bénéfices devaient normalement revenir à l’auteur qui en fonction de la quantité de ceux-ci peut en affecter une part à chacun de ceux qui en travailleurs manuel ou en main d’œuvre reproduisant en mimétique (les artisans) a participé à les faire en un  plus ou moins grand nombre d’exemplaires. Quand ce n’est pas l’aAuteur, ce sera les représentants de l’aAuteur et on le sait les auteurs n’ont pu le devenir sur cette planète sans l’aide de Dieu (donc de ce qu’ils se sont découvert à un moment donné bouddha (schtroumpf) et évidement cela ne peut l’avoir été à chacun de ces moment-là contre les moments antérieurs où ils n’étaient pas bouddhas, c’est-à-dire ceux au cours desquels ils sont encore dans l’obscurité cérébrale (et comme le rappelle Guy de Fauconval grâce à Ézéchiel 12:2 « Fils de l'homme, tu habites au milieu d'une famille de rebelles, qui ont des yeux pour voir et qui ne voient point, des oreilles pour entendre et qui n'entendent point; car c'est une famille de rebelles" et grâce à Zacharie 7:11 « Mais ils refusèrent d'être attentifs, ils eurent l'épaule rebelle, et ils endurcirent leurs oreilles pour ne pas entendre », ce que Saint-Paul confirmera -[(et que je confirme après vérifications diverses sur moi-même, la fermeture de l’oreille, en tant que profane à plus ou moins tout ce qui est vrai ou juste ou intelligent ou exacte : des incompréhensions adviennent de différentes sortes et se forment dans le cerveau de ceux qui deviennent profanes ou qui le sont depuis la naissance parce qu’ils sont nés dans des contextes profanes, n’ayant que peu (trop peu) eu accès à l’instruction supérieure)]- Alors peu[s] capable[s] de nourrir une pensée cohérente, exacte, capable de concevoir des solutions élégantes, d’où que ce sera contre ce moment où ils n’étaient chacun d’entre eux que diable (au mauvais sens de ce mot (et non au bon), ce qui signifie ‘profane’ et même ‘sacrilèges-sans-le-vouloir’ sans s’en rendre compte (inconscients, donc [en grande partie] irresponsables, ne mesurant pas vraiment d’avance les dégâts dont ils sont les auteurs) – ce qui est une des caractéristiques des profanes) ou ce qui était à chaque fois à l’origine du mal, dont parfois leurs œuvres (leurs travaux) allaient délivrer ou soigner – cette contribution qui permet finalement à quelques-uns – trop rares – à force de devenir bouddhas – c’est-à-dire un ou l’autre des véritables adultes parachevés) – en fait ces impôts payés devraient être reversés à ce maître qui trouva dans les temps les plus lointains le secret de la pâte-à-pain qui a permis une très grande avancée partout (qui ne faisait alors que confirmer une fois de plus que la Révolution Néolithique étaient bien la voie à généraliser, à développer, à étendre), car elle fut adaptée, jusqu’à servir les crêpes et à la Pizza (il y en a depuis de nombreuses catégories différentes car j’ai eu à communiquer au cours de la NNDIM de cette Dictée Phare des variantes et des nouvelles qualités de pain qui permettent dans ce pays, mais peut-être depuis à l’étranger aussi, de trouver des alternatives et de pouvoir changer selon les jours – plus il y en a de différentes sortes (de variété, de choix) plus cela donne la chance de plaire aux clients (donc d’essayer autrement ce qui avait peut-être déplu d’une seule manière) comme des chances au boulanger de plaire sur une des catégories au moins en vente et d’avoir une clientèle sur celle-ci, de la fidéliser et donc de pouvoir compter d’avance sur une vente ou une autre (mais cela peut créer des invendus qu’il faut songer à redistribuer – ce qui est alors possible à ceux qui sont en difficulté[s], qu’on espère momentanée[s] – cela peut prendre des années – aussi ils faut prendre alors les meilleurs d’entre eux, les plus vaillants pour faire la ronde (par exemple dans le cadre des restaurants du cœur) des invendus à jeter, les récupérer et les proposer à leurs collègues qui sont devenus pauvres et qui ont besoin de pain  et qui ne doivent pas devenir des voleurs ou des personnes qui vont menacer un boulanger qui ne leur donnerait pas du pain (car souvent il ne peut pas à l’heure en question). En effet, il pourra le leur donner, si la personne en échange fait un effort comme par exemple porte des sacs de farine d’un endroit à un autre et accepte de se mettre au travail – lui, le boulanger, il sait ce que c’est que faire l’effort de s’être mis au travail tous les jours et d’être devenu un travailleur manuel ou de la main d’œuvre utile dans toute celle devenue inutile des enfants-gâtés ou/et adolescents et/ou égoïstes qui ne veulent même pas/plus aider et qui s’arrangent même pour être considérés comme handicapés pour s’introduire – j’ai vérifié – en escrocs dans les hôpitaux psychiatriques, pour y être servi à manger et y trouver un logement ou alors dans d’autres établissements comme la prison – aussi les voilà à faire une chose interdite : pour y aller à l’hôtel – c’est escroquer encore plus et ce sont là actes de fous, au mauvais sens de ce mot – les voilà à piller la caisse de léEtat qui est déjà surendettée à cause de ceux qui ont voulu créer une caisse noire en volant l’éEtat véritable (qui est depuis toujours le même partout quand celui-ci est servi par des mains dignes de ce mot d’éEtat quand il est le véritable – d’où qu’il n’est localement que la manifestation d’une des vérités relatives possibles liées à cette notion d’éEtat et on le sait les vérités relatives sont soumises à des évolutions, des changements, des métamorphoses locales comme à celle des intéressés par cette notion localement – leur degré d’évolution - soit dans le sens de l’éEtat soit dans le sens de l’Eétat ou pire de l’Eeuh.etat ! – dégradation de la notion d’éEtat parce que la personne s’est dégradée elle-même (a commis des actions interdites, impossibles, contraires à ce qui fondait l’éEtat) en raison de personnes qui en profitent, au mauvais sens de ce mot) – tu comprendras que rien ne va plus et que dans ces conditions je n’ai pas pu tout de suite me marier (en 1965, ni en 1975) avant d’être sûr de pouvoir laisser l’éEtat à une personne qui le portera à son successeur en un bien meilleur état qu’à mon arrivée et si possible redevenue une bonne affaire pour que les prix et les tarifs baissent et que chacun des terriens ait bien plus qu’avant comme pouvoir d’achat et donc comme bons moments en perspectives (tant pour se divertir, se délasser, voyager, pour consommer, avoir plaisir à vivre) – c’est ce que j’avais compris possible just’avant que ma promise en m’embrassant se fiance avec moi en raison de Son baiser dans la cours de récréation du Lycée Châteaubriand à la villa Strohl Fern à Rome) – un autre maître eut ici cette idée géniale pour obtenir la concorde comme dernièrement celui qui eut l’idée que les japonais, au lieu de continuer à se comporter en offenseur en envahissant militairement les autres pays, proposent d’autres type de conquêtes, les conquêtes commerciales plus rentables, comme les allemands et leurs coccinelles, donc des Toyota (ton grand-père en a conduit une longtemps – peut-être il l’a toujours – il faudra veiller à la conserver car quand les automobiles seront toutes électriques ou à hydrogène, celle-là qui roule avec du pétrole raffinée sera rare et deviendra comme les quelques unes très anciennes qu’on a parfois le bonheur de voir participer à des rallyes d’automobiles de 1900 à 1925 ou 30. Mais évidemment cela contraint à devoir trouver un endroit pour la conserver – aussi cela oblige à des investissements à cet effet et c’est pourquoi en général personne ne veut payer ces frais pour conserver un ou deux modèles de ceux qui sont de toute façon conservés par la famille responsable de l’usine qui les a construite – sauf quand cette usine est nationalisée – alors il s’agit de gens qui n’ont même plus l’intérêt de conserver ces vieux modèles et qui croient qu’ils peuvent les jeter à la casse et c’est alors la catastrophe – ils sont à détruire des machines qui méritaient que les éEtats se substituant à ces chefs de familles les conservent à grands frais, voire tente de les valoriser (comme je le fis en demandant de créer quelques musées de l’automobile) – de toute façon quand une usine a été nationalisée c’est souvent par des personnes jalouses qui cherchent à devenir les propriétaires d’une affaire de famille dont ils savent qu’elle est rentable – c’est alors qu’on peut être sûr, à moins d’autres cas particuliers qui vont contredire celui-ci, que l’éEtat en question est entre les mains de ceux qui vont le transformer en un Eétat, voir pire un Eé eu.tat, puisqu’ils ne sont que sacrilège[s] y compris en invoquant la « nationalisation », ce qui n’est possible éthiquement que si l’entreprise est en difficulté très grande et qu’elle ne peut pas rembourser, même dans cent cinquante ans (avec les intérêts de la dette), ou alors comme je le disais plus haut, quand on aura la nécessité d’exproprier, ce qui est une forme de rRégionalisation en attribuant à ce dernier mot le sens ancien de »nationalisation« et ce qui ne se fait que dans l’Intérêt Général, par conséquent y compris de celui ou des descendants de celui qui sera l’objet de cette expropriation – tandis que des nationalisations établies, par des plus ou moins égoïstes cherchant à se partager entre eux, ce qui appartenait de droit à ceux qui de pères en fils ont développé jour après jour une entreprise pour en faire une de celles compétitives malgré la concurrence mondiale impitoyable, au point de la faire devenir une des plus riches à première vue, c’est sacrilège, à moins que le chef de famille de cette entreprise veuille renoncer à certains droits et devenir [comme] un des salariés de son entreprise, en raison de ce qu’il en ait assez de vivre de façon permanente et absolue uniquement et seulement dans l’angoisse absolue (que personne au monde ne peut même seulement d’un tantinet connaître/imaginer tant qu’il n’a pas gagné l’un de ses premiers revenus mérités de droit) comme depuis le premier jour de la création de cette entreprise par son arrière grand-père – dans ce cas là, c’est compréhensible, mais c’est dommage, car il n’y aura plus dans cette entreprise que des étrangers, même s’ils sont du même pays, en réalité uniquement des profiteurs et des parasites, à l’intérieur de murs donc chacune des pierres ne fut posée qu’en sachant ce qu’elle avait réellement coûté très exactement à la lignée d’ancêtres ayant permis l’avènement d’un des frères Lumière ou un des frères Michelin ou des autres grands visionnaires et prophètes et bâtisseurs de n[V]ôtre empire – en fait le tien, « mon chou », en sachant d’avance que tu verrais peut-être encore beaucoup plus loin que ton oncle qui t’écrit et dont je sais que tu connais d’avance cette lettre, car tu es à l’attendre pour savoir si je vais mieux, puisqu’ils ont été vraiment aussi horribles que ça avec moi comme avec toi et ta mère, en nous dérobant de tout ce que nous avions de droit. Pire, tu as perdu d’innombrables frères et cousins dans le passé (des milliards de milliards de milliards de milliards de milliards et plus encore, mais on a été contraint de minimiser le crime de ces ânes qu’on a appelé des ânes (comme dans Peau d’âne pour ne pas les traiter de pire que chiens – c'est-à-dire par bonté et par charité et pour éviter de les culpabiliser plus qu’ils ne le furent, en réalité si peu en raison de deux ou trois procès genre celui du chien Citron dans les Plaideurs de S. A. I. SSS les lordissimissîmes Jean Racine – mais comme ces imbéciles, au lieu d’aussitôt comprendre qu’ils avaient dépassé le possible ou ce qui était concevable crurent que par mon intervention je les couvrais – c’est ce que je n’ai pu déduire que récemment, ils n’ont pas voulu reconnaître publiquement leur tort tout de suite – peut-être attendaient-ils mon ordre pour cela et pas avant – c’’est ce que je déduis maintenant et tu comprendras par là à quel point il s’agit réellement de moins encore que des sous-microbes ces smsm, puisqu’ils ne se rendent pas compte que ce qu’ils ont fait en Russie en déportant, en Espagne en attaquant des gens élus ou dans les pays dans lesquels ils se sont comportés en hordes de barbares et de gens incivilisés et en rapetou, sans parler d’autres choses très néfastes pour le karma de chacun d’entre eux – mais je suis sûr qu’ils vont vouloir expier, car peut-être ils attendaient qu’on leur explique pourquoi ils ne se sont comportés qu’en incohérents et en fous, au mauvais sens de ce mots donc en malades et hostiles envers la partie encore saine de l’Etat (c’est-à-dire d’eux-mêmes, ce qui est encore sensé) – mais cela ne te concerne plus car déjà cela ne nous concernait plus Nôtre génération nées vingt années après la fin du conflit et maintenant on est si loin de la fin de ce conflit, bien qu’il aurait pu tourner, avant ma naissance en fin de la planète, ce que j’ai évité de justesse en ayant à m’imposer ce Sacrifice qui aurait dû se terminer en 1975-1977 pour pouvoir réitérer ces interventions le cas échéant, si cela tournait mal, en chair et en os donc pas seulement en virtuelles – mais visiblement les anciens étaient encore l’objet de rackets ou d’intimidations diverses et ils ont préféré imposer à tes grandes tantes de perdre leurs enfants qu’elles attendaient de moi – par conséquent je fus l’empereur qui a payé pour tous les précédents (qui eux s’étaient tout permis) – sauf que cela suffit et qu’ils ont à me rembourser de ce qu’ils ont pillé Ton Trésor et celui de tes descendants car qui plus est depuis mon intervention à travers le temps, il se pourrait que ceux qui se marient que cela soit à l’Eglise ou que cela soit devant l’Etat, ne le font que devant moi – par conséquent sont un peu comme mes enfants à en croire les curés qui croient que je suis Dieu) et à cause de toute cette part manquante de l’univers – tu (n[Vous]ous ê[s]tes/ommes très handicapés pour la suite et tu dois veiller à ne faire que des économies partout d’autant qu’à travers moi, tu as été bien trop généreux envers des gens que tu dois savoir n’être en réalité qu’uniquement et seulement des ingrats y compris d’avance tes meilleurs amis (ils ont pris nôtre famille pour une vache à lait et n’ont même pas songé à lui construire une étable ou même en lui procurant de quoi manger (ils viennent régulièrement depuis 1965 uniquement la dérober de tout et la laisse mourir de faim) et même cette vache n’a aucun amis ni aucune possibilité de se promener, mais seulement à devoir transformer en alchimiste qu’elle est l’herbe en bon lait pour des gens qui n’ont fait que lui tuer veaux après veaux tous ses enfants (qu’ils n’ont fait que manger et dévorer entre eux en, parasites – voilà la raison à ta naissance de ton traumatisme (mais tu as une chance c’est que j’ai eu le même que le tien et que je m’en suis souvenu à temps pour te rassurer ici – tu ne crains rien car ton arrière grand père pharaon et un peu chien amoureux de cette vache et donc la protège (cependant qu’elle n’a rien pour survivre et n’a pensé comme la poule aux œufs d’or qu’à permettre à tous de survivre comptant sur la probité des gens – or elle a découvert que même les plus haut gradés ne le sont nullement même seulement d’un tantinet tandis que ton grand-père les pharaons de l’Angles comme un bon chien de berger avait prouvé qu’Il était probe  (d’où la déception, mon chou – on sera donc deux vaches-qui-rit et on attendra que ces imbéciles se donnent un peu de mal pour que nous ayons au moins de quoi attendre nos descendantes, d’autres vaches aussi drôles que nous) – ils ne peuvent même pas imaginer le traumatisme que tu as eu le jour de ta naissance (te retrouver dans le futur, trente ans plus loin, avant que ce futur n’advienne !) – mais rassure-toi, ce fut le même que le mien (et attend toi à devoir le [re]vivre trente ans environ après ta naissance (car dans tout ce qu’on t’aura dit, il y a des mensonges et des gens qui ne croient pas une seconde à ce qu’ils répètent uniquement pour faire semblant de faire croire qu’ils croient à cette vache – comme ils sont au courant de choses que cette vache ne sait pas exactement (au sujet de la salle des machines, par exemple), ils font semblant, les vaches, et c’est donc très agaçant – il se pourrait que cela soit au sujet des CFP[M] – il se pourrait qu’ils n’ont fait que semblant de croire que cela existait vraiment en tant que vérité cosmique universelle sans un électron ou photon de faux – par conséquent les voilà à ignorer quantité de dimensions dans l’hyper-exactissimissîmes et dans la vérité relatives qui sont reliées à ces chiffres ou billets de banques – mais ne t’inquiète pas on va enfin réussir à leur expliquer, car tu m’as fait faire ces ordinateurs qui sont à faciliter grandement la pédagogie. En effet, j’ai pu vérifier que l’oralité ne permet nullement à celui qui sait en vérité cosmique universelle sans un photon d’erreur dans tous les temps quelques choses de le/a communiquer, tandis que grâce à l’écrit cela devient un peu plus possible (comme quand on essaie de réaliser une sculpture – à force de la travailler, donc de la remettre en question grâce à la nécessité des relectures), comme quelques formules ou théorèmes de mathématique ou grâce à des métaphores ou en mettant des concepts en relation avec d’autres – cela produit des chocs et donc des résultats – car hélas j’ai pu vérifier que celui qui involue vers le chien n’a plus toute sa tête et par conséquent ne va pas pouvoir accéder tout de suite à la compréhension de ces textes véritables et donc encore moins à cette notion de Dieu (ce qu’elle cacherait) et encore moins de celle encore plus impitoyables de Grand Architecte de l’Univers – c’est si difficile à comprendre pour ce genre de cerveau ayant rétréci qu’il vaut encore mieux qu’ils aient des religions phares ou traditionnelles anciennes auxquelles ils sont affiliés, voire même à des notion[s] de langue maternelle ou de localité et/ou rRégions auxquelles ils font semblant de croire en profanes que d’essayer – ils ne peuvent donc pas se figurer l’Univers autrement que comme leur cerveau endommagé/détérioré/dégradé leur en donne accès – d’autre part ils n’ont pas appris à méditer sur le point ou sur l’absence de point – ils ne sont pas encore des contemplatifs, ce qui est le stade ultime que réussit à atteindre le très véritable aArtiste : l’esthète véritable : la jouissance de ce qui est réellement beau puisqu’ils ont cru pouvoir tuer des êtres-animaux pacifiques et inoffensifs, ce qui n’est d’aucune façon beau, donc qui ne pouvait pas être admis – bien sûr il y a des situations qui autorisent à l’admettre ce qu’on comprend en étudiant en détail la géographie, donc ce qui a fait croire possible cela – donc il y a bien des plans où ce qui n’est pas admissible devient tolérable, au point d’obtenir des dérogations possibles à cause d’autres paramètres aussi cela nuance et contraint à nuancer ses points de vue à l’aune des paramètres qui modifient ce qui est l’idéal du bien, de beau, du bon – mais cela ne doit pas retirer l’envie de parvenir à retrouver la condition humaine avant l’invention des armes – elle était forcément non-violente – les armes ne tirent donc leur légitimité que pour se protéger de l’agression en légitime défense donc pour défendre un peuple agressé – les utiliser pour offenser donne le droit à tous ceux qui en possèdent de les utiliser contre l’agresseur, ce qu’il y eut à démontrer dans la guerre d’Irak quand les irakiens endettés ont voulu faire main-basse sur le Koweit pour rembourser leurs dettes avec les économies des Koweitiens) – mais ne t’inquiète pas à cause de cela, tu nous a permis de vérifier que tu es sans erreur (même quand on te diras que tu en fais à l’Ecole avec ta sœur ou tes cousins, garde présent dans la tête que ce sont des erreurs que tu fais par rapport aux vérités relatives dans lesquelles se sont spécialisés ces enseignants (ce qui est une bonne chose car au moins tu peux recourir à eux pour avoir une idée de la vérité relative dans cette spécialisation), au point hélas pour les plus crétins d’entre eux de les prendre pour les quelques uniques vérités dont ils soient sûrs, voire la Vérité – c’est ici que leur cerveau devient celui de ceux qu’ils ont combattu avec justesse : ceux de personnes ayant des préjugés – cependant accepte les mauvaises notes qu’on t’infligera (si tu devais être aussi nul que je le fus durant une période – heureusement ça peut changer et s’améliorer) car la vérité relative en question qu’on essaie de te transmettre est toujours bonne à prendre, puisqu’il apparaît à première vue qu’il y ait comme une forme de consensus à son sujet – tu noteras au passage, dans des fichiers que tu ouvriras toutes celles qu’il te faudra mettre à jour -[(toutes celles dont tu as les droits de douter) quand tu maîtriseras l’écriture et la pensée comme la logique en vérité et non pas seulement en vérité relative avec les dangers que des sujets parasites ou même absurdes se mêlent à ceux qui t’occupaient sans que cela ne puisse déboucher sur rien de constructif)]-comme moi qui m’essaie en/à cela (qui a même été contraint de croire pendant des années que j’étais dans l’erreur – car évidement je le fus dès que j’eus à oublier ta grande tante (ma promise) – c’est ce qu’il fallait démontrer – soit celui qui se conduit mal envers Sa sœur – c'est-à-dire celui qui n’est plus digne d’Elle (évidemment ta grand-mère et ta Bonne Maman étaient au courant et savaient d’avance que cela ne me rendrait qu’encore plus blanc car elles ont toujours eu confiance en moi puisqu’Elles se souvenaient de moi enfant et de ce qui s’était passé dans le ciel – mais très certainement se sont les autres femmes et les messieurs qui n’ont fait que se moquer de moi à première vue – pire, ils ont cru possible oublier les premières Démonstrations … nommée à titre provisoire et en hommage à un compositeur « Après-midi d’un faune » – ils ont profité de ce que je ne savais plus rien de l’existence de la salle des machines – ce qui avait pourtant été révélé du Ciel par mes soins pour m’observer comme un cobaye à mon insu (mais j’avais donné mon accord quand je l’avais su) – c'est-à-dire comme tous ceux qu’ils ont arnaqué pendant des millénaires en croyant avoir le droit de fonctionner sur des à première-vues et non sur des principes qui remontant de cause en effet chronologiquement à comment ont commencé les conflits permettent de déterminer très réellement de la culpabilité, à chacune des fois, de ceux qui ont eu accès à la salle des machines – ils se conduisent donc – mais peut-être ne peuvent pas imaginer autre chose d’eux-mêmes comme des enfants-gâtés, croyant pouvoir se venger d’à premier entendus ou de ce qui ne leur plait pas et dont ils ont été au courant en espions (donc à l’insu – on comprend qu’à cause de cela une contrainte au silence comme à s’éviter de penser des choses désagréables au sujet des gens soit de mise – voire même des hypocrisie ou des mensonges puisqu’ils en seraient au courant – tout cela n’est donc aucunement propice à rien de bon si ce n’est à créer une société, hypocrite, fausse) – et c’est ici que les autres, comme moi, n’ont pas appris à devoir se soucier jamais de ce que pense les uns ou les autres de vous (étant donné que ce qui sera pensé par des gens aussi minables à son propre sujet n’a d’avance aucun intérêt – seul ce qui est pensé par écrit et qui est le fruit de raisonnement[s] juste[s] peut être considéré comme intéressant comme renommée (en fait comme une petite œuvre d’art auquel on peut se référer) – sauf que là aussi il suffit que les personnes soient payées pour que cette renommée change du tout au tout selon les valeurs/principes/paramètres-le-constituant de celui qui paiera – aussi s’il s’agit d’une personne dépourvue d’instruction ou/et qui appartient aux moins instruites paye en ayant obtenu par exemple les revenus pour payer grâce à la caisse noire pour que l’article soit de ceux qui favorisent les gens irréguliers, illégaux, contrevenant aux principes commerciaux équitables ou/et juste et donc ne favorise en définitive que les malhonnêtes, tandis que sinon dans le cas contraire ce seront des articles qui ne favorisent que les gens d’Ethiques irréprochable (ce qui a alors un autre coût, celui des CFPM) – d’où qu’à cause de cela les extrémismes existent – encore une fois le répercussions de l’existence du [Très] Grand Variateur, le [T]GV dans le quotidien de chacun d’entre nous – avec le problème que pose tous ceux qui proviennent des contextes peu instruits (donc forcément plus facilement malhonnêtes parce qu’ils sont dans l’oubli des paramètres que les honnêtes gens n’oublient pas) – la vérité admissible par tous est donc plus nuancée, entre les deux extrêmes (donc plus au centre – tiède), sauf que la situation a créé cette sorte de verticalité qui oppose Dieu au diable – froid à chaud, oui à non, vorrei a non vorrei etc. )  – certes c’est toujours plus agréable de savoir qu’on est bien aimé, mais encore vaut mieux-t-il l’être pour des faits réellement glorieux ou/et des progrès réels apportés que pour des escroqueries de bas-étage, des meurtres ou des personnes ayant acquis leurs bien en pilleurs des biens collectifs ou de tous comme ce fut le cas avec le prix du baril de pétrole ! Cela ne permettra plus à personne de survivre (mais seulement à trop peu) puisqu’au contraire c’était parce que cette personne était devenue riche financièrement parlant, légitimement, que tous avaient au moins le peu de pain qu’ils ont pu partager – aussi convoiter le bien d’autrui n’est d’une façon générale impossible car sinon vous en deviendrez des ladres et par conséquent vos propres ennemis (celui qui avait obtenu légitimement n’avait que pour permettre à ceux qui n’ont rien d’avoir à leur tour (d’où que ce qui est méchemment dit contre les très véritable riche est sacrilège – par conséquent tout ce qui fut dit par le peuple [encore] pauvre, au moment des diverses révolutions dites communistes ou socialistes ou même à l’époque de la révolution française contre les possédants) – un bon chien le sait et il attend sagement le menton posé sur le genou de son maître que sans se faire remarquer de personne, on puisse sous la table lui donner un petit morceau de la richesse d’un repas partagée entre êtres humains – s’il n’a pas aboyé ni été être trop envahissant, il reçoit discrètement un petit morceau – il sait que son maître ne l’oubliera pas – tandis qu’il y a l’un ou l’autre de ces clébards qui sont impossibles et qu’on ne pourra aucunement souffrir sous aucune des tables où l’on dîne ou même on déjeune – cela signifie qu’il faut avoir passé du temps à élever ce chien pour en faire un aristo-chien – comme l’un des 101 dalmatiens – mais tu feras cela avec ta tante Nono qui doit regretter Celte et qui héberge un chien chez elle (n[V]ous – cependant que ce sera à son ami de le sortir ou de l’amener en forêt et de lui donner à manger – bref de s’en occuper, donc de l’élever – peut-être qu’elle va pouvoir vérifier ainsi que son ami est capable de s’occuper sur le long terme – quinze ans au moins de ce chien et qu’il ne va pas l’abandonner et ne pas oublier de le laver ou de l’amener chez le vétérinaire pour lui faire avoir ses vaccinations à jour – ce sera un bon camarade à/pour toi) – puisque je t’ai vu d’avance avec ta sœur dans le ciel du futur et que vous êtes l’un et l’autre admirablement beaux (évidemment pour des vieux schnock[s] les jeunes sont toujours beaux – sauf qu’il faut être beau dans ce qu’il y a de plus beau à dénicher en soi et tu découvriras que les textes religieux présentés aident à rechercher cela ou à entretenir cela si on est de ceux qui avaient cette beauté de départ – ils sont préférables à tous les textes qui n’encouragent qu’à devenir égoïstes et à considérer autrui comme uniquement des ennemis ou des personnes à qui on ne peut pas faire confiance – ce qui est vrai dans certains cas et ce qui est faux dans d’autres cas – c’est ici tout le problème et tu verras que la même personne digne de confiance, la fois suivante que tu la rencontreras ne l’est peut-être plus sur l’un ou l’autre plan auquel pourtant la précédente fois il semblait l’être [devenu]– d’où que tu dois essentiellement compter sur toi-même et ton génie et te donner du mal continuellement pour atteindre les objectifs que tu choisiras en fonction d’un projet que tu aurais – celui-ci doit être le meilleur pour la partie la plus intelligente de toi-même – c’est normal, mais en étant le meilleur de ce que tu peux (sans exagérer comme ton grand-oncle qui y fut contraint en légitime défense) pour l’Ensemble et donc tout ira bien ainsi – évidemment cela va être fatiguant et c’est pourquoi il faut que tu songes à ménager de grand plages de repos – tu auras le temps quand tu seras plus âgé de travailler de nuit avec des camarades à des projets – donc de faire des nuits blanches et tu verras c’est très fatiguant et même si on est heureux d’avoir réussi à veiller toute une nuit avec les grands, on trouve vite cela lassant – cependant qu’une fois ou l’autre une nuit blanche pour faire la fête et peut-être même boire plus que de coutume cela peut être agréable avec une personne qui veille à te ramener sans danger par les rues jusqu’à ta chambre ou la base que tu as chez ta mère (c’est le point que tu ne dois jamais quitter et envers lequel tu ne dois jamais être infidèle : ta mère)  – n’oublie pas non plus que tout ce que tu va boire c’est des CFPM que ta mère ne pourra pas dépenser pour nourrir ton autre frère, tes amis, etc. ou tes plus petits frères que tu attends peut-être – d’où que tu seras sur ce point à t’éviter de lui empêcher de faire des économies qu’elle a appris grâce à sa mère et à sa bonne maman à gérer au mieux pour Vous les petits comme pour survivre elle-même (voire aider ton père s’il devait être en difficulté) – elle doit aussi t’apprendre tout cela, avec ta sœur et tes cousins, car quand elle sera âgée, il faudra que cela soit vous qui gériez à Vôtre tour la Grande Maison, donc l’Ensemble) – peut-être c’est ce que les terriens croient à mon sujet, car ils m’ont vu durant des années dans le ciel avant que je n’y sois en raison du même traumatisme que tu as eu au moment ou tu es né. En effet, toi comme moi, nous étions hyper-légitimes (en tant que pharaons) et provenant de familles n’ayant jamais dérobé un centime à l’éEtat – mieux que cela, seulement à en avoir  seulement et unique rapporté des quantité énormes (au point que les habitants de cette planète ne sont qu’endettés pour les millénaires à venir envers Nôtre Trésor (familial – à cause de ce qu’ils ont obtenu avec la NNDIM et la Dictée pharaonique et cru possible et qui était impossible : piller n[v]os réserves de pétrole et avoir la belle vie eux-seuls, en oubliant les générations à venir – sauf au Koweit ou j’ai appris qu’un émir a fait des économies dans cette optique – et comme il était devenu à première vue plus riche que les autres pays qui n’y ont pas songé – le voilà la proie de tous les voisins – aussi l’Ensemble de n[V]os alliés, se sont battus pour que cet émir qui avait pensé à plus loin que lui-même et que son plaisir (à assurer de CFPM (à assurer en CFPM les générations à venir de koweitiens) soit remis en place, puisqu’il n’était avec aucune dette et même avait commencé à prêter des CFP[M] un peu partout – il était donc de Nôtre devoir de le défendre, car tous les pays endettés ne mangeaient que grâce à Lui qui s’était soumis aux Bonnes Pratiques des Granier Joussin d’Ayme de Coni … d’Ôz - celles qui sont à mi-mots inscrites dans la Très Sainte Bibles et probablement dans le Coran et dans les Evangiles – et que cet émir avait compris peut-être enfant en cinq sur cinq avec ces textes – la nécessité de songer aux greniers et celle de faire des réserves d’avance si possible pour deux cent ou trois milles années, voir plus encore – tant l’angoisse de manquer partout est plus encore colossale que pharaonique (car moi, comme toi, je/nous n’ai/vons pas peur car nous sommes assurés pour nous ayant été voir dans le futur d’avance  – nous avons pu vérifier Dieu, à nôtre naissance – mais personne n’a eu cette chance que nous deux ou peut-être trois (il faut espérer que nous n’appartenions pas aux seuls à avoir eu cet honneur) et je peux t’assurer que quand on a perdu la mémoire de cela comme des paramètres qui font qu’on a compris qui est Dieu (ce qu’est Dieu), ou de ceux scolaires on est vraiment comme perdu et on craint pour sa survie matérielle/financière – donc paumé (désemparé) et sans plus jamais pouvoir accéder à la compréhension de ce concept (Dieu) englobant tous les autres, on ne comprend plus rien, au point de croire que ce pourraient être les escrocs qui ont raison (donc de s’agréger à ceux qui disposent de cfu[surpés], cfm[alhonnêtes], cfc[orrompus], cfs[ales], cf[faux] – ici quand on a perdu le bon sens) dès qu’on a un tantinet les yeux ouverts et qu’on a compris tout ce qui concerne/régit l’Economie – {[des milliards de milliards de milliards et à l’infini de données naturelles en interactions entre elles avec plusieurs catégories d’êtres humains qui y sont affectés, dont ceux qui appartiennent qu’à ceux qui comptent – évidemment parmi eux, il y a ceux qui comptent de façon élémentaire et enfin progressivement et par degrés successifs ceux qui comptent de façon supérieure, jusqu’à cette notion de Dieu ou de Grand Architecte de l’Univers -[(je te parlai de verticalité giacomettesque/ienne, médiévale) et c’est ici tellement d’opérations à faire à chacune des fractions de secondes que ce qui est alors comme résultat ne peut qu’être vrai, mais parfois à contredire, à première vue, comme avec le prix du baril de pétrole à un centime de dollar le baril, des calculs élémentaires qui proviennent donc de gens concernés par la gestion personnelle, égoïste, d’une bourse – c’est ce qui a causé cet empêchement qu’ils ont eu si longtemps pour comprendre mes raisonnements les plus simples, car supérieurement complexes)]}- qui est à leur service, mais en étant très admirablement géré par Nos soins) et à avoir permis à tous de survivre en raison de nos sciences (incommensurablement génialement maîtrisées par tes oncles) et de nos prévisions infaillibles dans toutes les catégories sans exception[s] – aussi on n’a pas compris, toi comme moi, pourquoi il n’y a pas eu plus de fête ou de réjouissance ou de danse et de chants ou de couleurs dès nos naissances respectives (au point qu’on attendait naturellement (toi comme moi) de voir proposé dans nôtre chambre la vision Granier d’Atlantide d’[R]Ôz[eau/…/w/y/s] , donc autour de nous (puisque toi comme moi sauvions la Vie sur cette planète et qu’on était attendu, puisque toi comme moi n’avons été qu’infiniment courtois et avons eu à avertir d’avance de nos naissances respectives (avant même que nous ayons à naître) en ayant même à devoir réunir tous les paramètres d’avance pour réussir par charité ce sauvetage in-extrémis – ce qui signifie à la dernière seconde – en fait bien moins que cela : à 0, 0000…000… etc. 000… 1 seconde près – ce qui est du domaine de l’improbable – cependant que nous y sommes parvenus à trois reprises au moins miraculeusement -[(mais les miracles s’expliquent et celui-ci fut causé par la fidélité à des principes concernant la notion de ‘mariage’, donc celui-ci vu uniquement d’une certaine façon possible (admissible) et non d’une façon fausse – mais d’une façon qui correspondait à celle concevable (bien qu’héritière de la question profane) à une époque possible du développement des différentes civilisations ayant en commun d’avoir ce mot de ‘mariage’ qu’on pourrait donc effectivement comprendre ainsi, malgré tous les autres possibles au sujet de ce mot – donc en limitant à une façon de voir, ce qu’on peut accuser être une forme de préjugé moral, sauf qu’il a permis de sauver le soleil et la planète - tout – donc qu’il s’agit de la bonne façon de voir le ‘mariage’)]-, mais j’ai acquis la certitude d’au moins quatre (avec 1963) et il semblerait qu’il y eut d’autrefois avant – d’où que les êtres humains doivent absolument changer leurs comportements et respecter les bébés et les enfants comme des personnes très âgées et qui sait leurs maîtres, puisque se sont des bébés et des enfants qui ont d’une certaine façon (sans même le vouloir participé au sauvetage de la planète et l’ont fait à chaque fois christiquement, boudhiquement, et peut-être et sûrement judaïquement, en ne déplaisant pas aux membres des autres religions et aux gens d’Islam ni même aux profanes et aux sacrilèges admissibles – cependant que ces derniers sont souvent indignes de ces/leurs enfants) nous attendions donc de voir Atlantide dès nôtre chambre de bébé – et à l’époque de ma naissance il n’y avait que peu de couleurs (mais j’en ai un peu plus trouvées dans l’appartement où je fus considéré par les occupants de celui-ci qui vinrent me trouver comme appartenant à cette famille Granier (à l’époque on ne parlait pas encore de génétique autant que maintenant – ce mot est continuellement responsable de tout – et on ne savait pas autant que maintenant que chacun est le résultat d’un patrimoine génétique bien spécifique qui est totalement différent d’un bébé provenant et appartenant à une autre dame (cela rend chacun des enfants unique, mais aussi d’avance très différent, au sens où il y a une frontière entre chacun d’entre eux y compris au sein d’une même famille – cette frontière se présente dès nôtre enveloppe charnelle et sera encore plus grande entre chacun en raison des secondes qui s’égrainent dès la naissance dans des lieux différents (dont les contenus visibles et auditifs sont spécifiques à ces lieux) de différents autres paramètres historiques concernant la succession des événements dans cette famille et l’état de dégradation ou au contraire l’état de construction de celle-ci (cela correspond aux deux mouvements possibles qui sont proposés par le Très Grand Variateur lui-même [T]GV – ruine ou alors le contraire : construction, développement, [rRe]naissance)– s’il s’agit d’une famille qui construit avec des matériaux qui durent, sur le long terme ou si au contraire, il s’agit de construction de pacotille, de tentes – personnellement j’aime beaucoup les tentes comme les roulottes car elles permettent de changer de lieu, mais les exigences actuelles – qui pourraient changer – contraignent encore, à nôtre époque, à disposer d’une adresse durable, si possible fixe (l’adresse maternelle, comme la langue maternelle ou alors cette notion bouddhico-judaïco-chrétienne et islamique de « maison du père », en fait, autrement vue, la maison maternelle) – évidemment pour les personnes un tantinet sérieuses et clairvoyantes ou n’étant pas irréalistes – les autres qui ont perdu leur tête, sont devenues folles à force de dégradations et de transgressions aux meilleurs conseils donnés basés sur l’expérience de plusieurs milliers d’années de civilisations diverses en en tirant la quintessence à partir de ces données transmises avec soin, sont à prouver le contraire : qu’on peut toujours dormir dans la rue par terre et à vivre de mendicité, puisqu’on a voulu ne pas croire aux diverses nécessités ou obligations ou contraintes ou impératifs et se prendre pour des aArtistes sans avoir franchi au préalable toutes les étapes qui permettent enfin de comprendre ce mot en Vérité – les voilà donc des « artistes » au lieu d’être parmi les rares Artistes et tu peux être certain d’avance qu’ils sont à t’arnaquer ou/et à mentir puisque ce qu’ils attendent c’est que tu leur donnes des moyens financiers que sinon ils sont prêts à voler/dérober – ne respectant aucunement la notion d’Artiste et peut-être même dans certains contextes les moins instruits n’en ayant jamais entendu parler avant longtemps y compris en Musique – ils ont donc alors une idée des mots qui est celle des profanes avec de nombreuses confusions – l’aArtiste véritable fut à l’origine de la création du premier habitat autre que la caverne ou la grotte – il en a dressé les plans à Lascaux, en a donc trouvé la solution élégante : la traduction à l’échelle selon des rapports mesurés, compréhensibles qu’on peut reporter pour trouver l’équivalent – voilà le grand apport d’un des premiers bouddhas avec l’écriture et le dessin : la notion d’équivalence c’est-à-dire cette notion fondamentale et fondatrice peut-être de chacune des civilisations  de »  comme «, le ‘as’ anglais – les voilà donc à convoiter le lieu dans lequel tu vis et les choses que tu possèdes de droit – les voilà à ne te fréquenter que parce qu’elles sont à toi de droit ou alors parce que tu portes un nom à qui tous doivent le bien qu’ils ont – donc pour s’enorgueillir de t’avoir dans leurs fréquentations (pour prétendre et/ou dire être ton ‘ami’) et tu peux d’avance être sûr que tu auras beaucoup d’amis, si tu ne savais pas d’avance ce que je sais qu’ils ne sont qu’uniquement faux et n’auront jamais aucune cure de toi pour rien, dès que tu manqueras de moyens financiers. C’est hélas le triste constat que tu dois avoir constemment en tête pour toujours, en ayant d’avance à le devoir transmettre à chacun de ceux de ta descendance et plus loin encore – rien ne va donc plus sur cette planète – aussi tu ne peux envisager d’avoir une descendance qu’une fois assuré sur le plan financier avec des CFPM (même si tu devais entendre partout prétendre que tu peux autant que tu voudras avoir ta part dans la caisse noire – dès ce moment-là tu perdras ton indépendance, ton autonomie de pensée et tu devras accepter des choses qui ne sont pas tolérables sinon : celui de voler l’Ensemble, l’éEtat, donc tes enfants, celui d’accepter les escroqueries intellectuelles de ceux qui oublient des paramètres fondateurs des tracés les plus exactement mesurés, ceux des lettres elles-mêmes, ceux des signes des idéogrammes des autres langues, bref de tout ce qui a été fondé par ceux qui ont eu accès aux notions sacrées que les bouddhas ont progressivement découvertes dans chacune des civilisations à transformer, faire avancer, relier avec les autres, des équivalents, des pairs – c’est hélas ce qui s’est passé depuis que ce pétrole est ainsi devenu ce qui a permis la constitution de la caisse noire : une sorte d’Eée.uhtat dans l’éEtat) – cela signifie de tout devoir sacrifier pour la Vérité – tous les divertissements et évidemment tous ceux sensuels et sexuels très longtemps ou au moins jusqu’au moment où tu trouveras la personne adéquate pour t’unir avec elle dans cet objectif de la transmettre – évidemment cela va changer beaucoup de chose car la plupart de ceux qui vont devenir ces « artistes » et non ces aArtistes croient avoir le droit de connaître tous les plaisirs sensuels ou sexuels avant leurs mariages ou même leurs fiançailles, d’autant plus qu’ils ne sont à cause de cela qu’uniquement devenus plus ou moins stériles plus ou moins intellectuellement et par conséquent plus ou moins nuls en mathématiques et autres disciplines/catégories – ils n’ont pas hésité à se fatiguer sensuellement et sexuellement avant l’heure et n’ont rien cherché réellement à bâtir de durable (pire, ils ont cru pouvoir se permettre de mettre au monde des enfants alors que cette chose intolérable des vieillissements, des maladies, de la mort existait – ici cela n’était pas même acceptable (sauf peut-être en raison d’une exception qui serait à découvrir) et constitue même une sorte de péché de commis contre ses propres enfants : trouver normal une chose intolérable (comme inconcevable) d’autant plus qu’on ne sait pas pourquoi – c’est pourtant ce qui s’est passé partout sur cette planète depuis des millénaires et cela alors qu’en tout temps chacun des bouddhas a pu vérifier qu’effectivement il y avait bien un projet, un sens et/comme un accomplissement de prévu dans ces processus liés aux diverses réincarnations qui est bien l’être humain, dernière étape ayant comme finalité celle de devenir, à son tour, l’un des bouddhas – d’où qu’il y a un véritable problème qui a touché cette planète puisque la mort peut surgir – un danger réel à vivre) – ils ont dès l’enfance oublié qu’ils pourraient être porteurs et responsables à leur tour d’une descendance elle-même porteuse de la suivante et ainsi de suite – comme nous avons pu vérifier qu’elles existent d’avance à l’état de virtualité jusqu’à l’infini dans chacun des pépins/graine – en raison de la représentation de l’arbre de Jessé ou de n’importe lequel des arbres généalogiques – évidemment cela parmi les peuples un tantinet civilisés qui ont accès en ces années où ton arrière grand père pharaon aux lieux appelés églises ou aux Musées qui les exposent comme autant d’illustrations sur lesquelles méditer, ce qui ne fut (dans les premiers temps du moins) pas donné aux peuples autres qu’aux membres de ceux-ci qui les avaient peints pour méditer dessus et qui recherchèrent avec avidité parfois l’Instruction et la Connaissance tandis que tous leurs contemporains ne s’avilissaient que dans tout ce qui était encore plus que médiocre ou laid : le peuple – d’où que ce soit de cet état des choses que sont nés les personnes qui nous entourent – il y en a qui ont soif de s’instruire et de progresser, tandis que toujours les mêmes ne recherchent qu’en folles et en encore et toujours dépourvues de conscience, par conséquent en irresponsables toujours plus de sensations et d’amusements et de divertissements  sensuels et sexuels pour ne faire que sombrer dans une complaisante decadance qui affecte les fonctions de raisonnements les plus exactes, ceux du cerveau en le leur obscurcissant et en leur empêchant de comprendre la plus grande partie des niveaux de lecture de la réalité qui les entoure mais aussi comment ne pourrait fonctionner le monde s’il fonctionnait enfin (cela ne leur importe pas) – les voilà devenus chacun un dangers pour eux-mêmes et les autres et surtout comme des fous plus ou moins dangereux puisqu’ils ne savent pas/plus penser et sont capables de croire les phrases les plus folles ou les plus fausses à première-entendu, toutes celles qui traînent dans les cafés ou les bars ou les lieux publics non officiellement reconnus (si les officiers appartiennent à des gens qui sont à défendre des valeurs qui sont réellement édificatrices de consciences) – cependant que l’expérience qui ont été menées sur les vérités officielles ne sont pas non plus de celles qui sont satisfaisantes puisque chacune des vérités relatives menant à la connaissance de la Vérité sont d’une complexité des plus considérablement vastes bien qu’à première entendu ‘simples’ – le simple est donc complexe – d’où un problème supplémentaire qui va concerner des quantités innombrables de personnes non suffisemment instruites étant crédules et ingénues et abusées par leur sens et les à première vue – ce qui sera le danger continuel, car en réalité il se peut qu’autour de nous tous il n’y ait déjà plus rien, cependant qu’un retour en arrière permettra de vérifier à première vue que tout se déroule mathématiquement en raison de la loi des conséquence et que chacune des choses sera trouvée à l’heure dite et à la journée inscrite pour peu qu’on se soit donné la peine de le faire (elles ont réellement existée à ces instants avec ce que cela signifie comme bonheur ou alors comme souffrances, voire comme injustices – ce qui est parfois vrai, comme parfois faux que de le croire – aussi ce qui permet de déterminer d’une chose juste ou injuste ce sont les paramètres de départ et la légitimité historique qui n’est pas seulement une vérité relative mais réellement une composante de la Vérité) – de même qu’on revient en arrière avec un magnétoscope ou un lecteur de DVD – aussi si tu appartiens à la génération qui pourra voyager dans le Temps et l’Espace, il est probable que tu puisses assister de chez moi 14 rue du val de grâce où j’étais entrain de transmettre à trente années avant depuis 2005 les grandes listes appartenant à la Grande Dictée, au moments concernant ta naissance (peut-être – mais je ne savais pas – j’avais autour de moi un public invisible) – mais tu pourras aussi revenir sur tous les autres points concernant chacune des autres personnes qui étaient en même temps à agir (ailleurs) sans même songer à toi – en fait, c’est ici la réalité qui concerne chacun – il s’agit de celle avant la naissance des quotidiens et des informations officielles – on ne sait à propos des uns ou des autres que quelques secondes les concernant chacun dans différentes situations – on ne sait donc que très peu – d’autre part, ce qui a concerné une autre personne – sa vie – n’est connue que d’elle seul en sa totalité mais aussi à travers les point-de-vues de personnes l’ayant fréquenté (ce qui fonde en parti le journalisme et/ou la biographie) – à ce sujet je te recommande Citizen Kane de SAI SSS les Lord. Orson Welles et Ludwig de SAI SSS les Lord. Visconti mais aussi La nave va de SAI SSS les Lord. Federico Fellini – ce sont donc les autres qui vont parler au sujet d’une personne et qui vont donc un peu parler d’elles-mêmes à ce moment-là, puisqu’il s’agira de leur point de vue souvent subjectif, tant qu’elle n’appartiendront pas aux êtres objectifs – or les êtres subjectifs sont plus nombreux que ceux qui ont réussi à ne devenir que scientifiquement exactes et ils sont dans des illusions continuellement plus ou moins fausses – ils sont chacun d’eux le cauchemar absolu des êtres objectifs – c'est-à-dire des rationnels et des plus cohérents – les voilà continuellement à parler (ou à croire possible se permettre des choses) en ayant oublié la plupart des paramètres (dont tous ceux à première vue inacceptables concernant la finitude, la mort) et par conséquent à ne faire que se tromper pour/du point de vue de l’une ou l’autre personne qui n’oublie pas ces référents. Evidemment on ne peut pas tuer ces êtres subjectifs (de plus on ne peut souvent pas intervenir et les interrompre au cours des meeting où ils ne font que plus ou moins se tromper (donc mentent) en publics en croyant être qui plus est de bonne foi. C’est en effet si difficile à expliquer en utilisant des mots à l’oral (et puis il faudrait qu’ils aient la connaissance de tous les livres que visiblement ils n’ont pas, que tous ceux qui les ont s’interdisent souvent de leur faire honte en les leur rappelant ou de leur démontrer par la contradiction (et les faits ou les référents) qu’ils n’ont fait qu’à première vue que se mentir, donc tricher – plus ou moins – mais peut-on frapper celui qui n’a pas la connaissance d’un paramètre ou qui l’omet sciemment en étant de mauvaise foi ? C’est la question même de l’ignorant, au bon comme au mauvais sens de ce mot qui est posée – ils en sont arrivés à inscrire que nul n’est censé ignorer les lois – ce qui signifie en d’autres termes que chacun d’entre nous devrait avoir la connaissance ou l’omniscience intrinsèque, celle précisément qu’effectivement on obtient une fois devenu bouddha. Si c’est effectivement vrai et cela concerne quelques uns, dont celui qui a écrit ce principe en ayant découvert effectivement en lui qu’il connaissait toutes les lois (en Droit) cela n’est pas le fait dans la réalité de chacun des êtres humains qui sinon se comporteraient tous très justement – d’où que la phrase concernant cette connaissance des lois est un idéal à atteindre qui est évidemment possible et que j’ai vérifié vrai, mais qui ne concernera que quelques êtres exceptionnels, les autres étant perdus sans ceux-ci  qui n’oublient pa non plus la raison de ces lois) puisque nous même devons accepté de l’être (subjectif) en quelques rares occasions où cela s’imposera – par exemple vis-à-vis des membres de sa famille (et en cela on peut considérer ce mot de famille au sens large ou alors plus étroit, donc en zoomant et en réduisant le champ ou alors on la voyant comme les peuples tous et partout : le genre humain étant cette famille (de nouveau le [Très] Grand Variateur (le [T]GV)  mais aussi en incluant la famille des animaux ayant été des étapes réincarnationnelles avant celle de l’être humain et enfin la famille des végétaux et les paysages, en fait les mots et les catégories ce qui est effectivement synonyme de la notion de ‘famille’ : quand on fait une recherche sur Internet, on inscrit avec le mot ou la catégorie la famille, le nom – aussi il conviendra toujours de réduire son analyse au sens qu’on donnera à ce mot, celui qu’on y verra et qui diffèrera de celui que donnera une personne n’ayant pas connu la notion de ‘famille’ ou n’ayant eu de cette idée qu’une idée vaste ou celle d’appartenir à un groupe (dans chacun des cas, cela changera la personnalité de l’individu) – ici il est probable et même certain que ce groupe est dans l’erreur sur de nombreux plans, puisqu’il n’est que le résultat de paramètres différents de ceux d’un autre groupe, plus réduit (une famille, au sens de celle issue d’un couple marié, par exemple) – on retrouvera ici le conflit qui peut advenir entre des catégories à première vue différentes – cependant que toutes concourent malgré ces différences à donner une idée de continuelle variété – c'est-à-dire de catégories différentes – il ne pourra donc pas y avoir d’amitié entre deux choses qui n’ont pas entre elles au moins un point commun – c’est par le point commun, ce qui permet à la diplomatie d’exister, qu’il peut y avoir des laurYens – les liens hypertexte- en d’autre termes des ponts ou un passage : une relation – la sensation de répulsion advient quand il n’y a pas/plus de point en commun visibles ou même que spirituellement on n’en trouve plus – aussi cela exige alors de se protéger contre celui qui est dans l’erreur, qui s’est détourné de ce qui était en commun entre chacune des civilisations : sa culture propre, ce qui est la résultante de la spiritualité – on ne peut alors plus fréquenter ceux qui sont dans l’erreur qu’en ayant à contraindre ces personnes à se soumettre à un rituel qui mène à un club – celui de pairs dans ces approches très véritables ou plus véritables – c’est ici la naissance de la notion de racisme ou de spécisme, puisque plus rien n’est vu autrement qu’objectivement à devoir rejoindre telle catégorie ou telle autre (par exemple la classe des gens ayant obtenu un doctorat ou alors avant un baccalauréat ou encore avant une maîtrise – cela existe entre les classes à l’intérieur même des écoles, par niveau scolaire : les élémentaires, les secondaire, etc.) – aussi on comprendra qu’il y a[urait] un sens positif au racisme et au spécisme, puisqu’il permet de différencier, mais qu’hélas il va y avoir tous ce qui ne sera pas très positif au sujet de ces mots que nous étudierons autrement ailleurs dans leur aspect positif puisqu’ils ont été autant que cela démontré comme négatifs – c’est donc l’incompréhension des raisons scientifiques liées à la contrainte aux catégories et l’oubli de l’aspect synonyme qu’elles ont chacune avec les autres qui va engendrer les malentendus – l’oubli du paramètre de l’âge entre des classe à l’Ecole qui font qu’à première vue celui qui est au jardin d’enfant ne peut pas être à suivre un cours de philosophie en Terminale – or on sait qu’on se trompe en le pensant dans plusieurs cas particuliers d’enfants pas spécialement plus doués que les autres, non : simplement plus philosophe que d’autres naturellement comme les personnages de Charlie Brown y compris le chien Snoopy– sauf qu’il y a une différence entre la cervelle d’un être humain qui devient celle d’un chien ou d’un chat avec celle d’un être humain qui devient l’inventeur du Nagra ou même du moteur diesel – d’un côté l’évolution et de l’autre l’involution, la régression à des étapes de réincarnation antérieures à celle de l’être humain – d’où qu’on comprendra très aisément ou beaucoup plus aisément pourquoi il y a des frontières ou des seuils entre chacun des appartements ou chacun des lieux d’habitats : des portes à franchir comme celle que Christo et sa femme firent disposer à Central Park selon mon idée de départ : autant de seuils, autant d’étapes – la personne qui vit dans ce lieu appartient soit aux très véritables ingénieurs dans toutes les catégories possibles ou alors n’appartient qu’à l’inverse c'est-à-dire aux incompétents ou alors seulement à une personne compétente sur un ou deux points – il est bien normal alors que l’ensemble des incompétents aient à veiller sur la sécurité de celui qui est devenu le plus compétent ou celui qui est digne de foi – cela concerne normalement tous les enfants, jusqu’au moment de l’adolescence où chacun d’eux connaît, à partir d’un fait majeur, un ou un autre problème qui faisant boule de neige ‘noire’ peut devenir une avalanche et être la cause à venir de cauchemars pour lui-même et les autres – je suis convaincu, car j’ai pu le vérifier sur moi-même, qu’en Occident comme dans les pays musulmans, ce fait majeur est en réalité le traumatisme absolu (qui pourtant n’a pas été ressenti comme tel dans aucun des cas de chacune des familles puisque tout fut fait à une époque où on était trop petits pour imaginer qu’on puisse nous tromper en nous présentant aussi aimablement  que cela fut dans chacun des cas (dans chacune des cases) dans chacune des cuisines ou des lieux où nous devions nous nourrir sur les chaises de bébés avec la viande et le poisson présenté en employant des sons et des mots qui affirmaient que ce n’était en réalité que seulement relativement bon pour la santé, ce qui fut alors compris par beaucoup d’entre nous comme ‘bon’ et même (hélas à tort) pour certains comme étant la seule Vérité – c’est ici que comme il s’agissait d’une vérité relative et non de la Vérité, comme de ce que cette vérité relative dépendait de tant de paramètres différents, historiques et migratoires comme je l’ai expliqué ailleurs, que les moins vigilants d’entre nous, les plus confiants, les moins à employer le doute, se soumirent à cette àpremierentendue ‘vérité’ (peu contestable à cet âge-là et comment ?) qui en réalité est à 95% un mensonge et seulement à 5% une vérité relative des plus acceptables, ce qu’on a toujours/souvent chacun d’entre nous lâchement accepté, d’autant plus de nôtre impuissance en tant qu’enfant à pouvoir là contester rationnellement par manque d’informations et surtout à l’âge des premiers mots gazouillés par manque d’instruction, à cet âge-là, ce qui avait été le cas de nos aïeux) celui d’avoir cru possible s’autoriser à manger de la viande et du poisson comme des charcuteries et autres êtres animés pacifiques et inoffensifs (il est probable que la mort n’aurais jamais existé nulle part si les gens s’était interdit l’accès aux viandes animales appartenant à ces catégories et s’étaient contentés des viandes végétales et des œufs des gallinacés – mais on a compris très exactement pourquoi cela s’est mis en place, comme aussi pourquoi elle fut crue possible comme alimentation – la facilité à première vue de la produire, des des facteurs historiques liés aux grande[s] migration[s] causée[s] par la chasse ayant réduit des superficies énormes de territoire à des déserts, d’où la contrainte d’émigrer vers les zones situées au Nord ou au Sud et les dérogation d’Henri IV à/pour permettre de poursuivre cette activité de la chasse et de l’élevage d’autant plus que probablement et vraisemblablement il n’y avait pas encore de certitude au sujet des réincarnations ou qu’elle s’était perdue ou alors que seulement ceux qui involuaient, régressaient, recherchaient contre leur intérêt fondamental, donc masochistement ces régressions et involutions les éloignant toujours plus de la notion de Dieu ou plus encore de GAU (inconnu en ces époques ou alors sous la forme du Grand Horloger avec SAI SSS les Lord. Fénelon)  ou de bouddha – en fait rien que simplement des effets de la loi des conséquences et de ce que l’enfant n’aura pas été sur ses gardes en ayant alors cru possible ce qui est impossible ou même inconcevable (tuer un animal inoffensif et pacifique pour s’en nourrir) – des bruits qui courent, des clichés ou alors pris pour vraies, des farces ou des fables ayant à nous avertir de charlatans) ou alors vis-à-vis d’une personne dont on considère les propos méritoires – en fait à chaque fois pour des raisons objectives – mais cela ne concernera ici que les gens comme toi destinés d’avance à ne rechercher que la Vérité – ce qui est une exigence ou un intérêt qui est vite oubliée par les enfants-gâtés et tous ceux qui financés par des financements dérobés à l’Ensemble (donc ne fréquentant que des tricheurs) n’ont plus entre eux qu’uniquement mensonges et par conséquent sont prêts à croire possible l’inconcevable ou ce qu’ils se seraient interdits : manger d’un animal inoffensif et pacifique – d’où qu’il faut être particulièrement vigilant dans ses fréquentations – tu ne sais jamais, au sujet d’une personne avec qui elle a pu trainer (qui elle a fréquenté y compris comme images télévisuelles ou cinématographiques et surtout comment ces images ont été vues – en tant que spectateurs doués d’intelligence analytique et dans le secret des créateurs ou alors en tant que l’une des personnes auxquels ces œuvres s’adressent et qui sont normalement encore chacun d’elles dans les ténèbres, d’autant plus de toutes les pseudo et/ou soi-disantes œuvres de prétendus artistes ne l’étant nullement encore en vérité qui ne font que maintenir ces personnes dans ces ténèbres embourbées dans les inepties en question (celles-là devenues des préjugés ou des certitudes alors qu’en grande majorité des faussetés d’autant plus de nôtre époque nous donnant accès aux solutions élégantes et aux alternatives à ces certitudes mensongères dont on a malheureusement hérités, certains d’entre nous, dès la petite enfance, en raison de contextes familiaux non suffisemment vigilants et instruits, dont on n’a pas songé à le critiquer, le comparer avec d’autres différents, ayant choisi ces alimentations orientales issues de la Révolution agricole du Néolithique, donc de contextes familiaux n’ayant pas recherché à faire de mise à jour – des conservateurs, au mauvais sens de ce mot et non au bon c’est-à-dire de ceux non progressistes – donc des contextes ayant interrompu leur progression, leur évolution, s’étant conformé à ce qui n’exigeait pas de changements dans les habitudes malheureusement prises à cause de faits historiques non remis en question – ici aussi nous avons la preuve de ce que le mimétisme comporte un aspect dangereux (négatif) et non pas seulement positif – c’est en cela qu’un couple va devoir faire attention à tout ce qu’il se permet en raison des conséquences du mimétisme chez l’enfant – on comprend ici, avec ce qui fonde la notion de responsabilité, plus facilement que les couples ayant pris l’habitude de manger de la viande animale aient alors transmis cette habitude en ayant même eu raison de croire qu’ils faisaient bien. Or, c’est ici le fait ‘élémentaire-majeure’, le « centre générateur » de tous les dysfonctionnement, qui a été à l’origine même de la création de toutes les maladies et de toutes les formes de déraisonnements : s’autoriser à manger un animal pacifique et inoffensif (ce qui ressemble le plus à l’ontologie de l’être humain originel), s’autoriser une lâcheté n’est pas digne de l’être humain véritable, puisque l’acte plus courageux que cette lâcheté, au contraire, existe : celui, précisément, de s’éviter cette lâcheté (ou si grande facilité qu’elle en est écœurante, indigne) grâce aux alternatives et solutions élégantes qui quand elles n’existent pas – comme dans les pays lapons, autorisent la chasse, à première vue, admissible, voire comme une vertu (on le comprend bien/mieux dans ce contexte géographique différent) – d’où qu’on retrouve alors cette notion de relative dérogation : la chasse admissible dans/à ces latitudes nordiques ou polaires, pour survivre ce qui l’exclu[ait] donc autre-part et c’est ici qu’on comprend le rôle des migrations causées par les effets dévastateurs de la chasse dans les climats tempérés, tropicaux et/ou équatoriaux – d’où qu’on comprend comment est né le Sahara et comment la chasse mais aussi l’élevage a contribué peu à peu à augmenter ces zones désertiques au point de pousser les êtres humains chasseurs toujours plus vers les zones polaires pour s’y perdre en ces périodes anciennes, mais heureusement qu’en chemin une partie de ces migrants ont déclenché la Révolution du Néolithique qui a abouti en Indes à l’interdiction par le Bouddha, qui a compris le problème dans son ensemble comme dans les détails, de manger de la viande et du poisson, ce qui a permis de sauver la Terre car cela a maintenu, pourtant aux mêmes Latitudes que celles du Sahara cette zone géographique de l’Inde verdoyante car la chasse y étant proscrite envers les animaux pacifiques et inoffensifs, mais seulement autorisée envers les animaux prédateurs, cela à éviter la propagation du désert et surtout permis de comprendre progressivement aux occidentaux comme au reste des peuples qu’il était impératif de développer les solutions élégantes alternatives agricoles pour éviter la propagation de ces déserts causés aussi par les élevages intensifs qui contribuent au réchauffement planétaire et à cause des excréments et des urines à la sécheresses des terres qui sinon produisent des quantités beaucoup plus importantes en nombre de kilogrammes de viandes et chairs végétales et fruitières lorsqu’elles sont encore fertiles, ce que l’élevage comme la chasse rend sur le long terme, on l’a vu à l’occasion de chacun du développement de chacun des déserts, impossible ou même difficile, les terres s’appauvrissant – cette sécheresse n’advient que sur le long terme à cause de la quantité d’animaux revenant sans cesse brouter – aussi ce n’est que seulement à première vue que l’élevage à des fins de bouche, c’est-à-dire d’alternatives et solution élégante pour remplacer la chasse a pu être compris en ces temps anciens par nos ancêtres qui ont cru bien faire et même que c’était la meilleure des solutions, mais cela a été à l’origine de ce réchauffement planétaire, des phénomènes de désertifications et avec eux des migrations. Or les migrants ont migré avec leurs coutumes dont celle de la chasse et de l’élevage et c’est pourquoi progressivement la désertification s’est étendue y compris en Grêce, en Italie du Sud et en Espagne et menace aujourd’hui – on le voit bien avec la fonte des glaciers comme celui du Mont-Blanc, accru par le phénomène des rejets des pollutions carboniques et chimiques industrielles et automobiles également à nos latitudes au point de faire fondre les glaciers aux Pôles – d’où la nécessité générale de la Grande Mutation et d’adopter la solution élégante élémentaire alimentaire des peuples indiens garante des probabilités de ce que les déserts causés par l’élevage animal n’augmente pas – en effet, normalement l’Inde située à la même Latitude que le Sahara aurait dû être un désert – or c’est ce choix alimentaire du végétarisme qui a fait ce miracle y compris rétroactif – en effet, le problème des migrants a été celui d’exporter leurs coutumes et comme ils n’arrivaient pas à s’expliquer pourquoi le désert augmentait au point de les pousser vers l’Egypte des pharaons, ils ont continué à croire possible chasser des animaux inoffensifs et pacifiques puisqu’ils n’ont pas compris que les animaux prédateurs étaient des réincarnations des chasseurs des animaux inoffensifs et pacifiques – en effet, la connaissance bouddhique de ce phénomène vérifié par moi-même au cours des Démonstrations … nommées « Après-midi d’un faune » mais aussi au cours de celles nommées « Après-midi d’un satyre », plus longues de 1977 à 2005-2015, la vérification des processus involutifs liés à l’enfant-gâté, l’adolescent devenu égoïste au mauvais sens de ce mot, ce qui rend alors prédateur, n’était pas compris à l’époque des anciens pharaons et c’est pourquoi ils ont cru possible maintenir le droit de chasser comme le droit de l’élevage à des fins de boucherie y compris la pêche – en effet, il s’agissait d’une coutume ancienne qui remontait à des temps antérieurs au premier des pharaons et personne ne pouvait comprendre alors dans ces époques (ou alors de très rares personnes) que cette augmentation du désert était la résultante de ce que l’être humain n’a pas le droit de se comporter lâchement et de tuer un animal pacifique, inoffensif ou sans [beaucoup de] défenses puisqu’il est un être capable de s’ingénier à trouver des solutions élégantes pour assurer sa légitime défense – d’où qu’en chassant l’animal inoffensifs et pacifique c’était aller contre la nature même de l’être humain qui est ontologiquement (enfant comme vieillard) inoffensif et pacifique, par conséquent ce qui relève de l’adolescence (au mauvais sens de ce mot et non au bon), c’est-à-dire de l’erreur, de l’absence de sagesse puisqu’on s’est autorisé d’utiliser les armes assurant cette légitime défense pour offenser et même prendre le parti de ceux qui tue avec les animaux inoffensifs et pacifiques – donc qu’on a péché contre la Création  mais surtout contre l’ontologie de l’être humain qui n’est méchant que quand il déraisonne, devient fou, au mauvais sens de ce mot car sinon il n’est que bon, aimable, gentil, serviable, capable d’aider – en fait on peut résumer la quantité de tous les problèmes advenus depuis toujours par cette maladie qu’est » l’adolescence « , c’est-à-dire le moment des malentendus et des incompréhensions diverses, comme des fausses ‘bonnes’ solutions en fait en l’absence d’instructions, de connaissances sûres – une adolescence qui aurait touché plus ou moins chacun d’entre les terriens puisque cela a même mené des peuples à contester – d’une façon adolescente donc – l’admirable solution élégante de l’Agriculture et des alimentations végétariennes pour aller se perdre, en continuant à croire à ce préjugé du droit qu’on aurait de chasser, dans les nord sibériens ou encore plus au Nord, parce qu’on était convaincu de ce que ce droit puisse être légitime – c’est-à-dire que les anti-thèses seraient fausses y compris celle des cultures intensives du blé, comme chair ou/et viande de céréales à imbiber d’huiles ou/et de graisses lactiques, comme le ‘beurre’, ce qui constitue effectivement depuis très longtemps la solution élégante alimentaire par excellence, d’autant plus de l’invention des fromages et de la découvertes des fines herbes et des piments pour relever la saveur de ces sandwichs primitifs à base de pain de campagne ou traditionnellement proposé qui sont en réalité des chairs et/ou viande bien meilleures pour la Santé car cela évite à ceux qui les mangent arrosé d’un bon vin ou de bières  ou de jus de fruits de devenir prédateurs, donc d’involuer ou de régresser, d’autant plus que la production de ces denrées alimentaires est beaucoup moins chèr/coûteux/onéreux que produire un kilogramme de viande, avec ce que cela signifie comme dégradation à plus ou moins long terme des terres sur lesquelles ces élevages sont effectués) – d’où la nécessité d’être continuellement à refuser même de débattre oralement avec qui que ce soit car il n’y a que dans le silence et en s’imaginant d’avance un contradicteur  ou des contradicteurs, qu’on parviendra à la meilleure analyse ou la plus honnête, donc en se contraignant d’être soi-même celui qui est pour l’instant encore embourbé dans ces incapacités à rejoindre l’esprit critique, donc à analyser ce qu’on lui propose, à la lumière de tout ce qu’il a déjà ‘embibliothiqué’ (emmagasiné, mis en bibliothèques à l’intérieur de sa tête – « qu’on me permette ce néologisme » : embibliothiquer) comme référeants, expériences, secondes de vie sur les différents plans – publics (sociaux) ou/et privés (personnel, individuel , intime, plus subjectif, etc. / plus secret) – d’autre part c’est bien l’aspect subjectif qui va intervenir au moment d’une union avec une autre personne (d’une amitié ou plus que cela – aussi il y a alors une sorte de rejet de l’objectivité qui se produit au profit de cette subjectivité qui on le sait est en liaison constante avec l’inconscience et parfois même l’irresponsabilité – d’où qu’on comprenne alors pourquoi le bouddha mais aussi d’autres très grands hommes ont conseillé à quelques uns de se passer de relations sexuelles, donc d’éviter au moins durant les premières années liées à l’acquisition des divers enseignements fondamentaux de base, de s’interdire la création d’une famille pour pouvoir mieux conserver l’esprit d’objectivité et donc être plus lucide et vigilants ou mieux être capable de discerner puisqu’il y a de nombreux mensonges ou même des vérités incomplètes ou même des vérités relativement exactes qui circulent, donc que ces années de formations sont indispensables pour acquérir la sagesse, ce qui est synonyme de connaissance véritable – aussi on pourra alors s’abandonner à la subjectivité, vers le moment des fiançailles parce qu’on est devenu un être objectif, capable de discerner ce qui est essentiel ou le mieux à transmettre à la génération suivante – aussi c’est ici qu’on comprend pourquoi j’eus à m’imposer le premier sacrifice de séparation d’avec ma promise, celui entre 1965 et 1975 car non seulement je devais réussir à déterminer, donc à discerner ce qui clochait et pour quelles raisons il y avait la misère et les maladies sur cette planète, mais aussi j’aurais à réaliser durant deux années les premières Démonstrations … nommées « Aprés-midi d’un faune » donc durant ces dix années de chasteté de très nombreuses choses à vérifier en Grand Inspecteur et à prouver – cependant que dès 1975-77 quand je suis apparu en tant que virtualité dans le ciel de Rome et que j’ai commencé la Dictée Pharaonique de la NNDIM, il n’était donc plus nécessaire que je demeure chaste et c’est pourquoi ma fiancée avait pu me retrouver et m’embrasser après ces dix années de séparations sacrificielle d’autant que j’avais trouvé grâce à cette chasteté  qui avait permis que je réfléchisse toujours plus objectivement le remède pour faire disparaître la misère, puisque j’étais parvenu, grâce à cette chasteté, non seulement à vérifier l’origine de tous les malheurs (comme aussi des réincarnations animales mais à déjà trouvé la plupart du contenu de mes textes comme de nombreuses solutions élégantes ingénieuses) mais aussi à comprendre que c’était l’augmentation du prix du baril de pétrole qui était à l’origine de tous les problèmes économiques donc à proposer le remède d’autant plus que celui qui apparaissait dans le ciel et qui était comme moi redevenu bouddha géo-localisait plus de 50% des réserves de pétrole mondiales en m’en faisant le légitime propriétaire des découvertes de ces réserves, ce qui me donnait donc la majorité absolue à l’Opep et qui devait faire que cette organisation baisse le prix du baril de pétrole comme je le demandais, l’exigeait, l’ordonnait chez moi, c’est-à-dire chez mon père devenu pharaon, et c’est ici qu’en me désobéissant comme en ne comprenant pas que j’avais les moyens financiers légitimes pour assurer deux descendances, celle de ma promise et celle à Strasbourg, qu’on n’a fait ce que je ne pensais pas qu’on ferait : me désobéir – ce qui a contraint canoniquement à l’amnésie que je me suis ingénié de contracter pour m’éviter de tuer de mes mains les auteurs de ce sacrilège envers ma volonté, et mes droits (d’autant que je n’avais aucune possibilité de recours étant donné que mes parents, empereurs, avaient pris le parti de ceux qui étaient contre ces droits pourtant pharaoniques) , cela débouchant alors sur la seconde partie du Sacrifice, celui qui avait été interdit, et la réitération des Démonstrations … nommées « Après-midi d’un satyre », ce qui aboutirait donc à ce qui avait été d’avance courtoisement transmis : à partir de 2005, en raison de la confirmation de mon anneau immaculé : à la nécessité de vivre alors, non plus en virtuel, mais en chair et en os la totalité des transmissions de la Dictée Pharaonique avec de nouveau la nécessité de la vérifier (d’en redécouvrir les teneurs) et de transmettre de nouveau cette Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale (dont je découvrirai comment j’en avais été fait l’aAuteur malgré moi, contraint et forcé en légitime défense) qui avait donc sauvé autrefois la planète Terre, à partir de 1975, en raison de cette séparation d’avec ma promise et de mon devoir de chasteté, comme de fidélité à son sujet, ce qui serait de nouveau la même situation à partir de 2005) – évidement pour des raisons objectives, mais c’est en raison de paramètres précis qui, s’ils changent, peuvent être de ceux qui vont te démontrer que cette objectivité n’est que tributaire de critère subjectifs – évidement si tu creuses tu réussiras en homme de science à démontrer le contraire, cependant que le résultat obtenu peut être vu subjectivement de façon si différentes, selon chacune des personnes, qu’il y a de quoi objectivement [à] en détester l’humanité entière pour son incohérence et son absence de logique – mais tu découvriras que c’est ici l’origine de la Tragédie et de la Comédie comme aussi de l’Ingénuité et de la Charité, bref de l’Innocence). En effet, j’ai fermé les yeux au moment de ma naissance, car j’étais sous l’effet du traumatisme (j’allais naître et j’ai pu vérifier quarante deux ans après ce que cela a signifié exactement comme problèmes de désordres de différente nature (une sorte de pagaille) dans le studio que j’occuperai d’autant que cela s’est produit rétroactivement plus ou moins au moment du Débarquement des alliés, donc du Jour-le-plus-long – si tu avais une idée de capharnaüm que cela a représenté dans ce studio et des états psychiques traversés avant ce moment-là tu comprendrais un peu ce traumatisme à l’aune de chambre bien rangée, bien en ordre – donc d’un coup la traversée de toutes les civilisations antérieure à ma naissance plus ou moines en même temps en ayant eu à me retrouver d’avance quarante deux ans plus loin (le jour de ma naissance et un peu après le Débarquement, donc ce Jour le plus-long qui a donc eu lieu avant ma naissance physique de ma mère) dans une époque qui n’existait même pas en chair et en os, car je n’étais que bébé, 42 ans avant, tu comprendras qu’au sujet de la naissance des bébés, il convienne aux responsables de la/des civilisation[s] nouvelle[s] que j’ai eu à créer à l’occasion de cette NNDIM et aux médecins accoucheurs de faire particulièrement attention. Celui qui va naître est une virtualité en même temps que la réalité du bébé qu’il est et bien sûr quand j’étais petit, cela n’était pas autant que maintenant dans l’évidence d’en tenir compte d’avance (comme je ne crois pas qu’on savait qu’un bébé avait déjà au moins cent dix ou cent vingt années (ce que j’ai pu vérifier et démontrer (ce qui me vaudra aussi un prix Nobel sur ce point – donc cela change tout sur les plans des droits y compris sensuels et probablement ce que nous savions au sujet de ce qu’il n’y a aucun mal, ni péché à téter sa mère était vrai et sera toujours vrai). Evidemment il y a quelques mamans qui s’en dout[ai]ent un peu mais elles savent que l’enfant qu’elle porte ne sera un à première vue adulte qu’environ quarante ans après (en général ceux à qui elles ont été contraintes de croire fille, jeune fille ou femmes – d’où l’origine du problème : la femme incapable d’expliquer, victime de sa condition de femme et des nécessités qu’elle a de fonctionner à long terme – donc d’éviter de se créer des ennemis, ce qui l’a fait souvent adopter la politique de l’autruche)  ou alors dix huit ans après, puisque c’est ‘l’âge légal’ (ce qu’évidemment toutes les femmes un peu spirituelles vont s’amuser à se moquer comme à ne pas croire sauf que dans la réalité cela étant relié à des inscrptions administratives qui appartiennent au registre des vérités relatives sur ce plan-là ces justes moqueries sont de fait dans la réalité contredites – il y a donc un problème à appliquer le Droit et les lois humaines qui souvent sont issues de compromis qu’il est juste de contester surtout dans certains cas particuliers, quand l’enfant est bien plus mûr que les enfants qui sont encore adolescents, donc ne se comportent pas encore en adultes parachevés, c’est à dire souvent en étant beaucoup plus de bon conseil que le plus âgé et expérimenté des vieillards – de la légitime contestation des lois humaines – évidemment dans ces cas particuliers ce qui permettra aussi à l’un de ces enfants de conduire avant l’âge requis) – elles le voient donc comme un bébé ou comme une poupée plus petite qu’elles, cependant qu’il peut arriver que cela soit l’inverse : que l’enfant qui s’incarne soit très grand ou très immense en savoirs divers : un [plus ou moins] ‘omniscient’ ou même plus que cela – soit une personne qui est naturellement continuellement à prévoir en prophète et à calculer car elle tient compte très lucidement de tout les nouveaux éléments qui entrent dans son cerveau (l’enfance sollicite l’objectivité et la logique au point que ce qui n’est pas logique soit suspect) – d’autres part comme au moment de sa naissance elle est parfois seulement trente année plus loin, elle ne va que s’ennuyer d’avance à l’occasion de chacune des choses qu’elle aura à faire, puisqu’elle sait d’avance qu’elle va mener à la suivante et que bien sûr on ne peut que se conduire qu’en adulte parachevé, c'est-à-dire (par ailleurs/aussi) responsable d’une famille et d’une descendance, donc en ne pouvant d’aucune façon avoir le temps pour une bagatelle ou même pour embrasser une personne qui n’est pas celle avec laquelle on veut construire – d’où que ces enfants attendent leur promis ou leur promise et qu’il convient alors de les leur présenter dès l’enfance, d’autant qu’ils sont souvent des milliards de milliards de milliards et à l’infini de fois hyper-adultes parachevés et cela dès la naissance (ce qui éviterait leurs adolescences) – c'est-à-dire à être plus âgés que s’ils étaient les plus sages d’entre les sages – évidemment cela va pauser des problèmes à ceux qu’on appelle les sages ou les docteurs – et c’est ce qui s’est passé comme problème au moment de la naissance de Jésus-Christ – ceux qui avaient mis des années pour obtenir une place (reconnue/publique) de [considéré] « sage » ou comme un des  référents important dans la société de leur temps, n’avaient pas la science de cet enfant -[(en réalité très âgé car déjà à se promener en l’an 1975-77 invisible dans ma chambre comme une autre fois en l’an 2007, si c’est bien Lui qui effectivement vînt dans l’invisible me faire croire, en donnant son identité qu’il était présent, ce que je ne peux donc que croire à première entendu, puisque je n’ai pas accès à cette dimension invisible pour le vérifier – il faut donc que je fasse ici confiance et cela confirme qu’il y a une vie après, qui n’est pas une de celle où l’on obtient une réincarnation, mais une de celle où on demeure un être humain qui plus est doué de la possibilité d’employer des mots très faiblement audibles, mais en tout cas qui ne sont pas des illusions sonores, bien qu’on puisse par esprit de contradiction, comme en s’en méfiant, grâce à cette notion de doute (fondamentale car en bien d’autres cas salvatrice), les considérer comme des illusions – y compris pour faire ici l’avocat du diable et donc ne pas y croire – en 2007, Il était accompagné de Saint-Pierre et SAI SSS les Lord. André Breton)]- et c’est ce qui m’est arrivé en ayant à démontrer comment chacun d’entre ceux qui l’avait chacun dès la naissance l’ont, hélas pour eux, perdu, tous, les uns après les autres, en raison des contextes familiaux et des fréquentations qui les ont amené à ne plus être que des faussaires ou des charlatans et d’autres mots même moins aimables (escrocs, etc. : pis-que-pendre) – donc à être à involuer ou/et à régresser et à perdre toutes les sciences les plus incommensurablement géniales peut-être même dès les premiers jours et ainsi de suite. Mais j’ai aussi démontré au bout de deux ans (et sans doute cela fut un miracle qui fut causé par ce que mes parents m’oublièrent à cet âge-là dans un appartement situé square Georges Contenot à Paris XIIème) qu’on pouvait les retrouver toutes, au point même de redevenir bouddha(ce qui avait prouvé que je l’étais dès le jour de ma naissance) et faire intervenir d’avance quarante ans plus loin dans le ciel, mais aussi cinquante ans plus loi (ce dont j’ai eu la preuve ces derniers mois), celui (l’enfant) qui les retrouverait, une autre fois, en raison de son véritable anneau de mariage, si les terriens ou/et ces faux doctes – soit ces faux adultes ou faux docteurs de l’Eglise (comme autrefois faux docteurs de la Synagogue) – continuaient à exiger en véritables sacrilèges (injurieux, scandaleux envers les bébés et l’ontologie humaine) d’autres Démonstrations … en mathématique cosmiques et … , ce qui devait avec les miennes amplement suffire avec ces deux ans durant lesquels j’avais été ce cobaye et encore plus avec les dix années qui avaient suivi – par conséquent ces abrutis de pseudo et soi-disant convaincu d’être des docteurs ou des spécialistes, peut-être même des pédiatres, ne se sont une autre fois rendus qu’hyper-ridiculissîmes en tant qu’évêques, cardinaux, papes ou responsables ou/et pseudo-scientifiques (ils avaient oublié que l’enfant dès sa conception est relié avec la notion d’infini au sens multi-dimentionnel aussi y compris rétroactif mais aussi à sa réincarnation précédente – ne pas l’admettre n’est appartenir qu’aux menteurs ou à ceux qui chercheront à le vérifier mais qui courent le danger que j’ai durant ces démonstrations couru tout le temps sans plus le savoir, d’obtenir une des réincarnation involutive et régressive, donc de se faire le plus grand des torts à la meilleure partie d’eux-mêmes – c’est donc le grand danger que va courir celui qui veut vérifier lui-même et ne fait pas confiance aux bouddhas l’ayant pour lui vérifier d’avance – cela est donc une perte de temps qu’avoir exigé une autre fois les Démonstrations comme le Sacrifice de séparation d’avec ma promise – une perte de temps totale de quarante années supplémentaires pour chacune des âmes de cette planète, puisque normalement je devais me marier avec ma promise et enfin plus loin dans le temps avec celle de Strasbourg (pour consolider la question de la Construction Euroépenne)– résultat il y en a maintenant au moins trois d’impératrices, dont il se pourrait qu’elles aient été chacune plus ou moins dans l’erreur et déjà les victimes de l’adolescence chez les jeunes filles, les femmes) – visiblement ils sont dans l’ignorance de la Vérité, tandis que ma personne pas du tout (en 1965, 1975 et de nouveau depuis 2005), puisque je ne suis qu’uniquement et seulement sans un électron d’erreur, même quand je fais de faute d’orthographes ou des erreurs à première vue – c’est simplement que je ne me suis pas contraint à une chose ou une autre (et il est probable que je me l’accorde en raison de ce que je prends tant de peines pour être juste sur l’essentiel, ou ce qu’il est prioritaire – c’est donc un peu comme ce qui advient quand on doit noter les cours par écrit à l’Université, en prenant des notes – on n’est pas toujours soucieux de ce que toutes les lettres y soient inscrites, puisqu’il ne s’agit que des notes à comprendre par soi-même qui de toute façon se souviendra très bien, en les relisant, que s’il manque ce caractère ou ce mot -[(qu’on rétablit alors dans sa tête) c’est qu’on a fait un choix sur le moment pour abrégé ses difficultés ou ses peines à noter avec un stylo ou une pointe bille (ou autrement) – donc un peu ce qui a donné finalement la solution élégante de la sténographie – c’est pareil dans les conversations orales, on préférera donner le résultat que de s’infliger la peine de rappeler tous les développements et tous les référeants qui permettent d’arriver au résultat, par exemple pour le prix du baril de pétrole à un centime de dollar le baril, comme j’avais trouvé en 1975, avant que ma promise ne m’embrasse – ce que visiblement je méritai après dix années de Sacrifice de séparation et de chasteté alors que je n’étais nullement prêtre – en fait les calculs effectués pour arriver à ce résultat, ou ce remède d’un abord très simple à comprendre, sont en réalité d’une complexité inouïe d’autant plus qu’il faut appartenir à ceux qui n’ont plus de préjugé en sciences et en calculs – donc véritablement des esprits libres – ce qu’on ne devient qu’en devenant bouddha)]- – soit un paramètre ou un autre qui à ce moment là m’oblige à inscrire ou/et à brider la Vérité dans une vérité relative, liée à une catégorie donnée qui n’a en réalité aucune importance, si ce n’est qu’elle en a en se contraignant à l’altruisme, par conséquent au christianisme, donc à la bonté et à la charité envers ces pseudo et soi-disant docte qui « n’ont pas encore lus tous les livres » (ce qui advient au moment où on devient un bouddha) et que la contrainte à la pédagogie nous impose d’instruire (pour offrir à d’autres que nous cette possibilité d’accès à la vérification des connaissances bouddhiques) – puisque se sont en tous les temps uniquement des devenus (hélas) plus ou moins sombres crétins (ce qui est même en de divers moments les flatter au paroxysme)  – comme tous ces « sages qui jouent à ce rôle dans la cité où Jésus grandi[t]-évidemment il y en a un ou deux de plus intelligent que les autres, mais comme d’habitude en ce temps là ou en d’autres temps, ils ne sont considérés que comme des imbéciles par ceux qui n’ont plus qu’étrons de merde sèche et noire (la traduction littérale de s[tronzi] [di] m[arcia] s[ecca] m[ente] en italien) dans leur crâne – tous (ou la plupart sauf exception) ces usurpateurs et courtisans ou ces pseudos chefs dans les cités – des faussaires et chacun moins encore intéressant à fréquenter que la pire des pourritures regardée au microscope – soit les gens « établis » - évidemment dans ce mot il y a tout ce qui est positif lié au mot de ‘table’ (ne l’oublions pas – voire d’’autel’) puisque sans établissement point de société et de nouveauté, donc de progrès, mais j’évoquai ce qui est négatif dans ce mot – aussi comment concilier ces aspects diamétralement opposés qui nous font comprendre l’intérêt qu’il y a dans ce qui n’est qu’éphémère et ce qui est fait pour durer ? C’est ici des raisons supplémentaires de conflits et ceux-ci sont inhérents à ces oppositions qui très certainement n’existent qu’àpremièrevues (cela peut être au pluriel dans certains cas cette à première-vue), puisqu’elles ne sont causées que grâce à la naissance des catégories / les mots issues du langage, du Verbe ou de la Parole et par conséquent limité par elle qui cependant a bien en-tête l’idée d’illimité ou/et d’infini – en fait tous ces mots et la nécessité de passer par leur médiation qu’en raison de la disparition de la vision d’Atlantide et de ce qu’on a caché malignement l’existence de la salle des machines et du [Très] Grand Variateur (le [T]GV] – ces conflits n’existeraient pas sinon, puisque ce [TG] vVariateur détenait et détient la possibilité de réconciliation par la vision qu’il procure/offre (sans aucun doute d’avance en l’état du développement de nôtre civilisation qui s’est axée autour des produits audio-visuel et télévisuels, une vision rapidement qui serait de nouveau lassante, à cause de l’avidité à la consommation d’images et de films – les télévores ou ‘mangeurs de films’ – une autre preuve des répercussions des nécessités adolescentes en la matière) – cependant qu’en effet face à la beauté, on est réconcilié – c’est donc la fonction des aArts : réussir à la [re]créer.  Mais voilà que j’ai pu vérifier que tous ceux qui n’ont plus que la laideur en commun qu’ils prennent [en enfer] pour la beauté, ne voient plus celle-ci – d’où la/es civilisation[s] [elle[s]-même[s] est/sont] en danger) – peut-être toi aussi tu as fermé les yeux en naissant. C’est ainsi que je n’ai pas pu vérifier qui était ma maman (à nôtre époque on permet aussitôt cela à l’enfant, mais autrefois on ne croyait pas qu’il pourrait mémoriser quoi que ce soit. Or cela dépend des cas [particulier] donc des petits (et bien sûr ceux qui ont de la mémoire vont être à bénéficier de ces paramètres, tandis que les autres (mais peut-être aussi les premiers) sont prêts à changer de mère. Or est-ce possible (et dans quels cas [particuliers]) ? C’est elle qui disposait des gènes et qui est reliée à l’enfant – on m’a aussi raconté quand j’étais enfant qu’il y a eu des enfants dérobés à des mamans, cela veut dire qu’il y a des personnes dans les rues qui n’ont pas eu leur maman biologique pour les élever, mais une autre, voire d’autres – donc qui ne savent pas bien leur origine – tandis que toi et moi savons nos origines, nous connaissons nos mères – c’est naître ici dans nôtre cas particulier favorisés (du moins sur certains plans) mais en même temps pas autant que ceux qui naissent et découvrent un peu ce que c’était que naître dans la caverne, par conséquent à être d’accord pour appartenir à celui qui s’occupera de vous – et évidemment ces enfants ne savent pas s’ils sont élevés avec des CFP[M] (Crédits Financiers Propres et [Mérités] ou avec au contraire des cfu[usrpés], cfs{ales], cfm[alhonnêtes], cfc[orrompus], cft[richeurs] ou cfé[scroqués] (on retrouve ici la distance qui existe entre le ’on’ et le ‘off’, le ‘oui’ et le ‘non’ qui n’est dû qu’à la correspondance dans le langage de l’existence du [Très] Grand Variateur, à tel point que cela a créé les inverse[s] sur le plan sonore (une personne qui insultera sera entrain de complimenter. Bref des choses simples et logiques et mathématiques – négatif/positif – d’autre part tous ceux qui n’ont que des CFPM appartiennent aux êtres humains issus de ceux qui ont eu accès à la découverte de la sécurité qui existe intrinsèquement dans chacun des êtres humains dans le cas de figure où le Très Grand Variateur serait entre les mains d’imposteurs – cette sécurité a joué à un moment donné et à alors transformé chacune de ces personnes en serviteur du Très Grand Architecte de l’Univers, soit de Dieu et par conséquent de Jésus-Christ qui l’avait/aurait découverte – aussi tous ceux qui n’ont pas voulu reconnaître Jésus-Christ, n’ont pas voulu reconnaître qu’une sécurité inhérente ou/et intrinsèque dans chacun des êtres humains existait et a été mise dans chacun d’entre eux pour accéder à la compréhension bouddhique de Dieu ou de la Création dans ses moindres détails cosmiques ou simplement microscopiques et atomiques. C’est celle qui permet de comprendre les phénomène[s] de réincarnation qui vont toucher chacune des âmes – donc de rendre sensible et perceptible objectivement et subjectivement (ne faisant alors qu’un), donc d’une façon synthétique tout le processus qui va toucher chacune des âmes y compris celles des faussaires. Il est probable que cette sécurité ait été voulue par tous ou qu’elle se soit mise en place d’elle-même dans la Création en liaison même avec le processus des évolutions qui se différentie des processus involutifs et régressifs n’y donnant plus accès (d’où comme alors une sorte de fermeture, d’obturation, par sécurité : cela a donné conscience ou alors son contraire absence de conscience, inconscience – évidemment selon le sujet c’est plus nuancé que cela d’autant les influences permanente des propos des plus conscients y compris anciens) – évidemment tant que personne ne sait qu’elle est à dénicher en soi-même à force de peines et de travaux d’Hercule, personne n’en tiendra compte, tandis que dès qu’elle est comprise par le premier des Dalaï lama, alors la Vie et la Vérité ont une chance d’être de nouveau sauvée – évidemment le [devenu] menteur et le tricheur [du point de vue de ceux qui ne le sont plus car ils ont accès à cette conscience] ne sachant pas qu’elle existe ou ne sachant pas quel pourra bien être l’effet de celle-ci quand elle se déclenche dans l’être humain est affolé à l’idée qu’elle existe et va donc longtemps nier qu’elle existe comme il va nier l’existence de Dieu ou du Grand Architecte de l’Univers ou de chacun des sens convenu de chacun des mots mathématiquement et très exactement inscrits en vérité alpha-oméga par chacun des bouddhas l’étant devenu dès qu’ils ont eu accès à cette sécurité qui permet d’affirmer aussi que Dieu n’existe pas, puisqu’il s’agit d’une sécurité mathématique et que c’est bien plus encore que Dieu qui est découvert avec : les vérité[s] relatives appartenant à chacun des ordres et tout ce qui découle de chacune d’elles et enfin la Vérité – celle-ci n’étant donc accessible qu’après ce passage – celui de Jean Valjean à Monsieur Madeleine – donc du noir au blanc – ce que j’avais démontré entre mes neuf ans et mes douze ans en ayant dû devenir noir ou gris foncé : faune, avant, d’un seul coup, de redevenir blanc au point de faire apparaître un autre immaculé (comme un clone ou un double de moi-même, mais ayant grandi au même instant qui avait duré trente ans) dans le ciel trente ans d’avance – en fait comme si on juxtaposait côte à côte la photo d’un enfant de treize ans et de lui-même trente ans plus loin à quarante-trois ans – ce qu’on a fait, par exemple avec l’enfant qui a joué dans Le  Kid de SAI SSS les Lord. Charlie Chaplin en l’interviewant des années après et en lui montrant des images de lui enfant – dans la même images les deux âges coexistent (comme quand on consulte un album de photo de famille avec sa grand-mère) cependant qu’on a changé d’époque pour obtenir au premier plan celles de celui qui a quarante ans de plus – on n’avait jamais pu avoir cette photo d’avance de celui qu’on serait, qu’on deviendrait quand celui-ci au premier plan n’avait que treize ans – ce qui advînt dans ce cas exceptionnel avec moi : tous ayant su d’avance qui je serais puisque je pus faire le spectacle continuellement dans le ciel en transmettant toutes les données, me sachant vu car je me suis alors souvenu de ce à quoi j’avais assité dans le ciel quand j’avais douze ans – d’où que me sachant vu, je devîns une personne publique, consciente d’être acteur et de ce que cela pourrait avoir comme conséquences rétroactivement puisque j’étais sûr de la date de l’époque qui avait les yeux rivés sur moi comme les oreilles puisque j’y étais encore, au même instant, dans cette époque du passé – c’est alors ici l’explication rationnelle (donc admissible) de ce que nous avions pris pour un miracle : cette apparition, cette méga dictée et la NNDIM) – ils vont donc devenir complices de ceux qui les élèvent en leur garantissant des revenus financiers et c’est pourquoi les voilà à être dès ce moment-là hostiles (sauf qu’ils aimeraient bien aussi cesser de s’auto-détruire et d’involuer ou de régresser, c'est-à-dire de prendre le chemin de l’une ou l’autre des réincarnations d’animaux profiteurs et parasites et au contraire devenir utiles) envers ceux qui ne sont issus que de CFP[M]) – car je me suis retrouvé en 1965 – ce que je n’ai pu vérifier que quarante ans après, quarante ans après dans les bras du pharaons que j’étais/serais entre temps devenu (donc que j’avais été) – aussi comme j’ai été rassuré par ce père très gentil (moi-même en réalité) et très patient, j’ai été calmé et j’ai pu me réveiller de nouveau en 1963 et une autre fois en 1965, là où j’étais dans un état de traumatisme post-natal qui était de ceux-là qui nécessitent une maman – d’où que j’ai pu vérifier ce jour-là (en futur patron des Médecines, malgré moi) que ce n’est pas aussi évident que cela de naître, car ça/cela correspond aussi au jour de la naissance de ses descendants et cela à l’infini de l’infini (dans la mesure où on en aurait (à cause d’un phénomène lié à la notion de poupée russe ou des virtualités des graines) – ce qui normalement  est, sauf qu’il y a eu la part manquante de l’Univers à cause de ce qu’a. h. a totalement disjoncté et a voulu devenir coupable de cela et de l’existence de chacune des personnes dans le monde entier ayant eu une seule difficulté ou un seul problème financiers ou même un malheur ne soit qu’à être pour toujours sûr et certain qu’il fut le seul et unique coupable de tous les malheurs et de toutes les maladies comme de tous les déserts – soit ici le ‘rêve’ (et non le cauchemar) du masochistes qui est évidemment totalement impossible à accepter, car c’est rechercher encore une fois une importance qui ne peut être individuelle, égoïste au mauvais sens de ce mot, puisqu’elle est l’effet de tous ceux qui voulurent s’agglutiner dans cette caverne à la reine de la nuit qui était en réalité l’unique coupable – c’est ce que vont rechercher les gens peureux, lâches : une union qui leur donnera l’illusion d’être une sorte de force et ils comptent sur cette force physique (voire intellectuelle) pour obtenir, au lieu que rien ne peut s’obtenir durablement par la force physique que seulement en ladre ou en prepotente ou farabuto, donc en imposteur ou/et en abruti – d’aucune façon en véritable gentilhomme ou /et honnête homme – mais on sait l’homme décevant et souvent celui qui manque de courage – d’où qu’il sera facilement le jouet de femmes intrigantes, au mauvais sens de ce mot)  – mais évidemment au sujet de mes voyages quotidiens jusqu’à 2005, il n’y avait que moi qui le savait en 1963 et j’ai peut-être (heureusement pour tous) craint d’oublier cet extraordinaire qui m’advenait – et surtout comment le dire alors qu’on ne sait pas, bébé, la langue du lieu où l’on est né ? Aussi j’avais peur de l’oublier (ce que j’ai fait (oublier) jusqu’à ce que j’en eu la mémoire de nouveau non seulement en 1965 mais en en ayant à le vérifier 42 ans après – encore une fois une sorte de providentielle sécurité advînt liée au processus des réincarnations qui plus est bouddhiquement établies et vérifiées de nouveau à cette occasion), mais aussi comme j’étais bébé et que je me reposais de ce traumatisme, j’ai forcément oublié un peu, à cause de tout ce qui s’est passé entre ces premiers jours et les jours où, de nouveau, tout ça s’est reproduit exactement, y compris ma naissance, quand j’ai eu deux ans et un mois, en 1965 (de nouveau 1963 donc 1975 et 2005 par anticipation – c’est que 1945 avait été une année très grave avec le jour le plus long qui allait effectivement correspondre à l’échelle pharaonique à une situation personnelle de conflit avec des forces invisibles (en ces différentes stations/gares/étapes (1965, 1975 et 2005) sur lesquelles je devais avoir la victoire et à chacune des fois en légitime défense (et sans utiliser aucune armes à feu à cause de les proportions et dimensions de pharaon suivant mon père, donc d’abord enfant en 1965 et 75, puis à l’âge plus considéré comme celui habituellement d’un adulte en 2005, bien qu’en 1965 et 1975 en devenant bouddha j’étais devenu adulte parachevé), car sinon c’est moi qui mourrait (or je ne pouvais pas me permettre ce luxe car tout rétroactivement y compris dépendait de ma survie puisque j’étais pharaon) – j’avais donc soudain des ennemis [invisibles – en fait ceux qui avaient été dans le passé sans me connaître ni savoir rien de moi exactement – peut-être même des ennemis en raison de malentendus et faux principes – qui plus est ces ennemis n’existaient pas/plus physiquement parlant en raison d’un décalage dans le Temps et l’Espace au point qu’il est probable que je ne vive pas du tout dans le même temps que mes contemporains qui pourtant à première vue vont être persuadés que je suis dans le même lieu qu’eux – c’est vrai mais c’est aussi faux sur d’autre plans auxquels ils n’ont aucun accès] alors que je n’en voyais aucun peu de temps avant – d’où qu’il s’était produit un fait majeur essentiel et c’était celui au cours duquel on m’avait annoncé que j’avais aimé autrefois une fille[tte] de mon âge, ce qui m’a permis alors de comprendre que j’avais eu à sacrifier les enfants que j’avais attendu avec cette jeune fille et je n’ai vraiment pas apprécié cette « plaisanterie » (autre exemple d’anti-phrase), ce qui fait que j’ai eu facilement la victoire, puisque ce qui avait été fait contre cette épouse ou fiancée (donc mes enfants d’avec elle) était en réalité inacceptable, inconcevable par tous y compris par ceux qui avaient joué dans le camp de ceux qui se croyaient mes ennemis –aucun d’entre eux, à ma place aurait accepté une telle horreur) – d’où que j’en ai déduis qu’à cause de cette souffrance d’avoir eu à perdre mes enfants (le sachant d’avance puisqu’on a pu vérifier j’étais dans le futur sur plusieurs dates clés) je suis né particulièrement plus adulte parachevé et omniscient que d’autres bouddhas avant moi (en ayant eu à vaincre avant ou pendant ma naissance, cependant que personne ne s’est rendu compte du conflit dont j’étais sorti victorieux en devenant le soleil puisque déjà quarante deux ans plus loin (et depuis 2015 ayant vérifié que je suis déjà d’avance en 2045 – donc j’avais au moins quatre-vingt deux années dès le jour de ma naissance) – ce qui m’a rendu long les jours de mon enfance) mais qu’entre mes premiers jours et ces deux ans et un mois, j’ai eu une amnésie et c’est ici qu’heureusement, grâce au Sacrement du Baptême sur lequel je me suis mis à méditer vers mes deux ans, d’autant plus qu’il s’agissait d’une de mes premières sorties et que celle-ci m’avait permis d’entrer dans un lieu aux architectures dignes de ma grandeur et de mon intérêt pour tout ce qui est le plus luxueux et le mieux fait, cela a aboutit à une sorte de petite psychanalyse à la Charlie Brown, mais aussi un peu à la Snoopy d’autant qu’il y avait ces moments alpha-oméga (où j’étais déjà dans le futur tout en ayant à cause de cela la connaissance de la vérité qui concerne le passé (en effet, les études et la distance a permis grâce aux recherches historique d’avoir une connaissance plus juste du passé que ne l’avait sur le moment les gens impliqués dans l’Histoire – de cela tous bénéficièrent au cours de la NNDIM et de la Dictée Phare) mais est-ce que ces moments alpha-oméga étaient-ils avant ou après, voire oméga-alpha, je ne saurais que plus tard) qui m’a fait réitérer ma naissance et tout le processus vers 1965 – cela ayant parfaitement correspondu à ce qui s’est passé pour moi vers l’âge de mes douze ans, donc avant l’âge des considéré[s] comme tels adolescents (cependant qu’à ma naissance en 1963 j’avais donc déjà eu (dans le ventre maternel) de nombreuses aventures sentimentales, puisque j’avais en réalité deux ans et un moi, douze ans et quarante deux ans au moins – en fait aussi cinquante deux ans et quatre vingt deux ans et ainsi de suite pyramidalement avec des marches de trente ans (d’où ma sagesse et bien sûr l’aspect hyper docte et sans erreur, puisque d’avance à savoir en prophète véritable les résultats sur les choses digne de spéculer  - ce qui est particulièrement souhaitable en Economie) – c’est là que je venais de démontrer comment on devient Snoopy mais aussi comment on redevient Charlie Brown – cependant ces bougres d’imbéciles n’ont rien compris à mes premières Démonstrations … en mathématique cosmique universelle et … et les voilà, alors que cela faisait dix ans que j’étais séparé de ta grande-tante [les impératrices] C. … L. à vouloir que je les réitère, mais à un âge très dangereux ou encore plus dangereux (celui de la puberté d’où que ces seconde ou troisième – autrement comptées – Démonstrations … sont nommées « Après-midi d’un satyre » ) – cela n’aurait pas été possible sans les pharaons en un seul (toujours moi, autrement vu) étant intervenus en virtuel du futur et conseillant comment les autoriser si  on Nous y contraignait contrairement à nôtre gré, en fait en synchro entre ces époques (1965, 1975 et 2005), ce que j’ai découvert peu après, avec ta naissance et celle de ta sœur (peut-être promise qui sait – dans le ciel)  et c’est ainsi que j’ai mis au courant d’avance ton arrière-grand-père (à qui tu as été présenté – il y a une photo de toi dans le salon de ta grand-mère avec elle et ta mère et ta grand-mère avec une jupe sombre où des motifs blancs réapparaissent.  Elle te présente peu après ta naissance et c’est peut-être ton père ou une tierce personne qui a fait cette photo de toi bébé regardant du côté d’un tableau sur lequel deux petits enfants sont peints autour d’une musicienne ou de l’entrée, hors champ – tu es coincé dans le porte-bébé et ta tête va dans cette direction – tandis qu’au même moment des milliards de choses se passent ailleurs, au-delà de ce lieu qui t’est en ce moment-là proposé comme décors au cours de cette scène de présentation à ton pharaon mais aussi ton arrière-grand père et qu’en dehors des personnes concernées,  personne n’est censé être au courant à ton sujet – pas même moi (pourtant ton [autre] pharaon (on n’a pas songé à me faire part de l’évènement – ce que je pourrais prendre très mal, si je ne m’étais pas dit que c’est pour éviter de me déranger qu’on ne me tient pas au courant (d’autant qu’au même moment je suis probablement entrain de dicter la NNDIM à travers le temps et l’espace annonçant la naissance de ta mère à cette époque du passé qui est située trente ans avant – d’où que j’ai pu vérifier que le décalage existe aussi en cela – ce décalage serait une autre sécurité que j’ai dû créer ex-nihilo à partir de 2005 en légitime défense de mon anneau avec cette tienne grande tante, C. L. ), en effet, je suis occupé à ce moment-là à sauver la planète dans le passé, donc avec un effet rétroactif, en raison que j’ai découvert depuis peu, à l’occasion de ce qui aurait dû être mon mariage, qu’en réalité on me voit dans le ciel, d’avance trente ans avant – c’est que je m’en souviens seulement à ce moment-là: j’y étais moi-même (dans ce passé les yeux rivés au ciel et les ouïes incroyablement surprises par la teneur des communications) et j’avais alors douze ans en 2005 (ce qui est plus ou moins le moment de ta naissance) quand en réalité d’avance en 1975 j’avais les quarante deux ans que dans le ciel j’avais) qui suis/t entrain de transmettre deux rues plus loin (alors que tu es déjà né et que je t’ai vu trente ans ou (car c’est peut-être autrement vu « vingt ans » et non trente ans – ici il y a une part de mystère encore à éclaircir) plus loin dans le ciel, avec cette jeune fille à tes côtés, le temps de tes fiançailles à venir et peut-être ou sûrement de ton mariage) à celui que je suis trente ans avant (plus jeune de trente ans – or il est plus jeune de dix ans, à ce moment-là, car en réalité [cela] se reproduit, ce qui s’était passé, en 1965 – donc quand tu vas naître, j’ai grosso modo le même âge que toi, car j’ai deux ans et un mois en 1965, douze ans et un mois en 1975 et quarante deux ans en 2005, ce qui fait que si tu es né en 2007-2008, j’ai cinq ans, quinze ans et quarante cinq ans – mais depuis 2015, en vérifiant moi-même que je suis déjà dans le ciel trente ans après (ici je crois que c’est trente ans et non vingt ans car cela s’est passé en 2015 cette récente découverte de moi (mon double) dans le ciel d’avance comme en 2005 vu depuis 1975 – c’est pourquoi je crois que je t’ai vu dans le ciel des années 2038 et non 2028 bien que l’image que j’en garde est celle d’un couple très jeune, voire même qui aurait dans les quinze ans) – tu pourras voir la séquence que j’ai tournée moi-même et que j’ai postée/publiée sur Internet sur ma page face book (j’attends que face book la rétablisse à l’adresse indiquée, car il y a eu un problème au sujet d’une autre séquence dont ils n’ont pas compris le montage sonore que j’ai réalisé avec les sons qu’ils proposent  et ils m’ont momentanément suspendu le compte (en révélant alors qu’ils étaient coupables ce qu’un texte de moi, publié, démontre) – j’espère qu’il vont pouvoir le réinitialiser, car sinon j’aurais tout à recommencer : plusieurs mois à mon niveau pour publier ces vidéos extraordinaires sur télé ‘N’ comme ‘Nuages’ à des moments de récréations que j’avais utilisés pour ça, ce qui donne alors avec cette nouvelle chaîne de TV alors un plus ample choix dans les chaînes à dominante artistiques, puisque c’est permettre de découvrir des nuages en différé au spectacle desquels on n’a pas pu assister – une de mes idée télé ‘N’ comme ‘Nuages’ pour créer des emplois rémunérés avec à la clé des CFPM, ce qui devrait éviter aux employés l’une ou l’autre des réincarnations les pires), j’ai trente ans de plus et donc toujours le même âge puisque 2015 correspond à 2005 – aussi depuis cette date-là, je n’ai pas vieilli, bien que j’ai administrativement (une vérité relative qui n’est pas la Vérité) dix ans de plus en arrivant vers la date de mon anniversaire – ce qui fait que j’ai cinquante deux ans tout en ayant les 42, les 12 ans et les deux ans, mais aussi ces 82 ans d’avance et il est probable qu’en raison de ce qui s’est passé et que nous avons pu vérifier dans trente ans, je suis déjà une autre fois dans le ciel trente ans plus loin, donc que j’ai aussi 110 ans mais aussi 140, 170, 210 ans  et ainsi de suite jusqu’à l’infini (un peu comme Jésus-Christ qui, j’ai pu le vérifier, est passé dans ma chambre, dans l’invisible mais non l’inaudible, 2000 ans après sa Crucifixion – ce qui prouve qu’il est toujours vivant), ce qui fait que j’ai des milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini d’années d’avance sur les autres (ce qui devrait être aussi ton cas) – cela ne permet à personne de faire payer quoi que ce soit à un tel vieillard, ce qui est effectivement ce qui normalement advient pour tous les enfants qui trouvent des parents qui s’occupent de ces détails, car il s’agit de la vérité relative dans laquelle l’époque est coincée et cela correspond à des choses aussi exactissîmes que chacune des années qui passent (sur d’autres plans). On le sait depuis quelques années, on traite les enfants de « papa » ou de mamans pour plusieurs raisons mais aussi parce que beaucoup de jeunes se sont profanés et ont voulu avoir la religion de ceux qui n’ont pas de religion (les profanes), par conséquent qui font plus ou moins n’importe quoi et cela parce qu’ils se croient tout permis, parce qu’ils sont physiquement plus vaillant et parfois plus beaux que des personnes à première vue âgées – celles-ci ne sont devenues âgées qu’en raison de ce qu’elles ont recherché à me faire réitérer le Sacrifice que j’avais fait entre 1965 et 1975 et qui devait amplement suffire, puisque normalement elles devaient me permettre de vivre avec ma promise C. … L. dès 1965, et aussi la fillette à Strasbourg quand le moment serait venu – ces hyper-crétins (ici pour abréger et toujours minimiser au paroxysme, ces smsm (en italien ici) de terriens, n’ont pas compris et surtout sont en 1965 comme dans toutes les époques antérieures bourrés de préjugés, au point que leur cerveau respectif sont dans des conditionnements de personnes qui feraient bien d’apprendre à désapprendre (à la lumière de faits majeurs aussi important que celui qui nous avait concerné en 1975-77, éclairé, en cela par moi qui étant le principal concerné comme relié en cinq sur cinq avec ma virtualité qui du futur intervenait trente ans avant d’y être savait donc la Vérité sur place: donc, par ailleurs (avec toutes les fondamentales), qu’il ne fallait pas réitérer ce Sacrifice – qu’il y avait des probabilités pour, qu’à cause de cela, en plus de ce que cela signifierait comme poursuite de la misère qui sinon était éradiquée en quelques semaines au grand maximum, chacun de ceux qui ne m’obéirait pas serait mal parti, donc court le danger que courent les désobéissants, ce que je venais de prouver au cours de ce premier sacrifice de dix années de séparation d’avec ma promise en ayant néanmoins fait (et en cela en obéissant au pharaon du futur qui me l’avait ordonné) cette parenthèse de deux années au moins pleines où à cause de désobéissances (et des mauvaises actions qui en avaient résultées) j’avais pu démontrer comment un véritable little bouddah devient un faune, mais aussi (heureusement pour tous – et surtout pour moi, car sinon je serais devenu un des êtres humains les moins intelligents qui se sont donc promis à une des réincarnations les moins à rechercher) comment un faune peut redevenir un bouddha) – d’autre part ça tombe mal 1965, car c’est à seulement vingt années de la fin de la Seconde Guerre mondiale et les vieillards sont ceux qui sont les premiers touchés par ces préjugés en matière d’âge – ils n’ont jamais réussi à comprendre pourquoi ce n’est pas normal de vieillir (ce qui au contraire était l’un des sujets dont je voulais découvrir les raisons (car ce n’est pas normal) et parce qu’ils se sont habitués à trouver cela normal (sans en avoir recherché les causes comme le bouddha) sont persuadés, en crétins absolus (ici en minimisant toujours, donc en sms[m]m), que c’est normal (ils n’ont pas pu remonter comme moi à la cause, donc non plus trouver le remède et de plus croient à première vue que j’ai l’âge qu’ils me donnent (alors que je suis réellement en 1965 déjà au moins une personne âgées administrativement de 82 ans – d’où qu’ils sont aussi sur ce point infiniment sacrilèges à mon sujet – mais comment leur expliquer si ce n’est par étapes et pédagogiquement puisqu’aucun d’entre eux, visiblement n’a recherché à faire son herméneutique jusqu’au bout pour avoir la vérité sur tout): de plus à cause de ce qu’ils sont dans des idées aussi fausses ils n’autorisent pas ce que j’avais indiqué être la solution élégante par excellence (celle qui était prévue dans l’autre cas de figure de la Création appelée No smoking en hommage au film que j’ai demandé à SAI SSS les Lord. Alain Resnais de faire) de l’autorisation d’avoir plusieurs épouses légitimes, en tant que premier pharaon-bouddha – ils aggravent leur cas aussi sur ce chapitre) – ils n’ont pas recherché la cause ou l’origine du fléau (de ces vieillissements) qui les touche à ce sujet systématiquement depuis toujours au point d’avoir régulièrement à enterrer leurs morts et à trouver normal les pompes funèbres. Or, jamais un Dieu véritable, et encore moins le Grand Architecte de l’Univers n’a inventé la mort (il fut être débile ou smsm ou un de ces crétins à la croire inévitable) pour cela : il y a donc des causes à cela, par conséquent probablement un coupable et le coupable est peut-être pluriel : de nombreuses personnes convaincues d’inepties indécrottables : elles se sont attachées [comme] à des crochets de boucher (difficilement visibles, ces préjugés) qui sont comme minuscules dans leur cerveau, plus ou moins grands dans la tête, ce qui ne leur permet plus d’être totalement cohérents et logiques (sur tous les points, mais seulement sur ceux qui les arrangent par conséquent avec des probabilités certaines qu’il s’agit d’erreurs ou de mensonges), donc dans des réactions qui les font être chacun dans l’erreur – comme leurs ancêtres (d’où que la mort ait perduré longtemps). Un des paramètres qui les a conduit chacun à être dans l’erreur, j’ai eu à le démontrer à mon insu, est celui d’une alimentation qui n’est pas encore la meilleure pour favoriser des raisonnements sans faille, sans erreur, totalement exactes. En fait, il s’agit seulement de mauvaises habitudes contractées il y a longtemps (parfois dans la nuit des temps en ces époques préhistoriques qui découlent de ce que le [Très] Grand Variateur fut baissé ou levé pour faire disparaître la vision d’Atlantide) et qui furent considérées comme canoniques ou possibles, malgré ceux qui savaient qu’il s’agissait de péchés incommensurablement néfastes – et c’est en raison de cela que, précisément, en se les autorisant ou en s’y habituant à cause de ce qu’ils le savaient ou ne savaient pas, on ne raisonne plus correctement et on peut alors être de ceux qui deviennent très/plus tolérant vis-à-vis des péchés des autres et à cause de cela automatiquement et donc mathématiquement en raison des lois des conséquences, on involue et on régresse, vers l’une ou l’autre des réincarnations qui font alors perdre l’usage des mains qui permett[ai]ent d’écrire des textes vrais, de dessiner des choses vraies, de compter dans plusieurs logiques de mathématiques différentes (parfois même pluri-dimentionnelles) et enfin de concevoir aussi en pluridimentions avec l’aide des matières premières différentes. Bref, on n’est plus, à l’inverse, alors qu’un faux aArtiste puisqu’on a perdu la plupart des facultés de départ (lié à la conception même de l’être humain, donc qui sont intrinsèques à l’ontologie de l’être humain – le ecce homo à l’origine de la Renaissance léonardevincienne l’ayant souligné) les unes après les autres comme j’eus à le démonter après les avoir toutes retrouvées durant ces Démonstrations …  nommées à titre provisoire à défaut de mieux et en hommage au compositeur « Après-midi d’un faune » – cependant on va alors devenir ce qui est appelé paradoxallement un travailleur manuel ou/et de la main d’œuvre appartenant à celle qui est non intellectuelle, mais capable de reproduire par mimétisme comme d’appliquer des règles et des méthodes (ce qui peut être à l’origine d’effet néfastes aussi, voire créer des préjugés) – c'est-à-dire une personne capable de reproduire exactement un geste ou une chose inventée par un[e] autre : donc en faussaire).

Ces premières démonstrations avaient abouti  à ce qu’on me voit et m’entende dans le ciel – aussi quand je découvrirai cette photo de toi et de ta mère, je suis bien content (car je vais alors comprendre de nouveau des choses que j’avais oubliées (d’autant que je bénéficie, quand je verrais cette photo, de ce que j’ai entre temps retrouvé toutes mes facultés (innombrables) puisque redevenu bouddha (mais aussi sachant enfin la réelle dimension de mon crâne dans le ciel (selon un paramètre qui me manque encore pour évaluer ma tête aurait entre cinq cent mètre à cinq kilomètre de diamètre alors qu’à première vue celle de n’importe lequel des terriens – donc cela relativise et me contraint de vivre continuellement sur deux échelles différentes qui sont comme opposées celle du à première vue elle fait vingt centimètre de diamètre environ comme n’importe lequel des crâne mais aussi l’autre échelle qui correspond à mes dimensions bouddhique vérifiées dans le ciel d’au moins cinq cent mètre, voire un non kilomètre au moins de diamètre au minimum – tu imagines donc que cela signifie une autre approche de l’être humain et qu’on comprenne plus aisément pourquoi je ne cesse de dire qu’on n’a pas le droit de tuer un être humain puisque sa tête contient des souvenirs pluridimensionnels par milliard de milliard de milliard et à l’infini de milliards de très grande bibliothèques et qu’il n’est donc qu’administrativement l’un ou l’autre mot, ce qui ne signifie pas qu’il le soit jamais en Vérité – il ne faut donc pas confondre ces vérités relatives à la Vérité) – aussi je suis content que la photographie-souvenir serve à quelque chose, même si c’est en/du différé, j’ai pu assister à un moment-clé de n[V]ôtre famille impériale : cette présentation historique du fils ainé de ma dernière nièce (dont tu sauras combien cela fut un miracle qu’Elle vînt au monde comme tes tantes Lala et Nono), bien aimée (tu vas la découvrir à l’âge de ses deux ou trois ans dans une petite séquence qu’on s’est amusé à tourner en famille et en amateur -[(bien que tout cela devait me permettre d’exercer ma future profession de metteur en scène – ce qui advînt en légitime défense de n[V]ôtre empire (mon chou) dans le Ciel à l’échelle cosmique, mais surtout localement et rétroactivement à partir de l’époque de 1975) à la façon d’anciens sizainiers louveteaux (c’est là qu’on apprend à être un bon chef ou un chef de patrouille, donc à prévoir pour les autres et à ne pas se laisser arnaquer par ceux qui veulent seulement paresser – on y a constemment des projets et des objectifs à réaliser dans l’esprit de Baden Powell – on y devient adroit à manier les matières premières)]- sur les champs de Mars), tandis que je venais d’annoncer trente années avant la naissance de ta mère qui ne l’était pas encore née (au moment de cette photo où elle te tient dans ce kangourou – d’où que cela rend plutôt difficile à comprendre, pour les habitants de la caverne (chacun des crâne[s] est un peu comme une caverne), la notion de Temps et d’Espace -[(comme cette sorte de sécurité visiblement cosmique que j’ai été contraint de créer à partir de 2005 qui de facto a prouvé, à cause de cette photo de toi que ta mère n’était pas encore née alors qu’elle te tient déjà dans ses bras – donc qu’il se pourrait qu’un très grand nombre de gens ne soient pas encore nés, bien qu’étant sûr, à première vue, de l’être – cela paraît absurde comme raisonnement, voire impossible à croire, mais nous avons des indices sérieux pour être sûr de ce paradoxe et il se pourrait qu’on soit à cause de cela contraint de confirmer sa naissance, ce qui expliquerait aussi la raison de l’existence de ces sacrements – à cause d’incertitudes mais aussi du nombre de contradictions possibles selon qu’on appartienne aux profanes ou au contraire à ceux délivrés de la condition profane)]- comme celle d’années, d’autant plus que tu es peut-être né avant que ta mère ait trente ans, donc avant qu’elle naisse (ce qui prouverait ici que mes théories sont exactes (la plupart des gens qui sont à marcher dans les rues, ne sont pas encore véritablement nés et peut-être appartiennent encore et toujours aux [comme] morts – ils ne naîtrons/t que s’ils parviennent à mettre à mort en eux l’égoïsme, au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire cette part d’eux-mêmes qui ne les mène qu’à des régressions d’enfant-gâtés, au point de n’appartenir plus qu’aux faunes, satyres et centaures, donc aux parasites, ce qui a été grandement favorisé par cette caisse noire qui résulte d’un vol immenssissîmissîmes commis depuis 1976-77 aux empereurs Laurie Granier d’Ôz, ton grand oncle qui t’écrit, étant intervenu du ciel pour géolocaliser plus de 50% des réserves en cette période de crise où il était vendu sept dollars le baril et pour rappeler que les réserves lui appartenaient de droit en tant qu’empereur, mais aussi en tant que bouddha et en tant que pris/considéré pour Dieu dans le ciel où j’étais d’avance au courant de ta naissance, donc à y défendre entre autre avec ton empire ton pétrole, soit celui des générations futures – ce qui m’avait fait dire sur place que le prix de celui-ci devait être mis à ce centime de dollar le baril, pour que la misère disparaisse étant donné que tous les plus pauvres pouvaient disposer alors, en baissant le prix du baril, de cinquante fois plus de revenus et qu’avec les 650 centimes de dollars qui restaient, on pouvait facilement baril après baril rembourser toutes les dettes accumulées depuis des siècles, celles de chacun des éEtats devenus quelques uns à cause de cela un peu comme des faux-monnayeurs (à force d’accumuler ces dettes si ce n’est qu’en les inscrivant honnêtement en des écriture sacrées, donc en les reconnaissant, il demeure ici la part honnête des éEtats) pour ne le faire devenir que des entreprises au contraire profitables, une fois apurées, ayant enfin des crédits, ce qui devait alors permettre de faciliter la résurrection des morts, car elle n’est pas possible pour faire de ceux-ci des escrocs – c’est évident – donc elle ne peut avoir lieu que quand toutes les conditions existeront pour que cela offre la possibilité à chacun de demeurer honnête, ce qui évite aussi de vieillir mais surtout évite ces régressions ou involutions qui mènent mathématiquement à ces réincarnations qui font alors quitter à chacun l’espèce humaine des êtres devenus réellement des iIngénieurs et des aArtistes souvent même universels – ce qui constitue une véritable perte pour tous à l’aune des conséquences bienfaisantes de leurs œuvres – en effet, la résurrection des morts ne peut pas se concevoir autrement qu’en celle qui permet de retrouver la part la plus honnête de chacun des disparus car sinon chacun de ceux-ci constituerait un danger pour l’ensemble de ceux qui sont encore et toujours des honnêtes gens – aussi on comprend que le phénomène du vieillissement concerne spécialement tous ceux qui deviennent malhonnêtes – en l’honnêteté véritable il n’y a pas de vieillesse possible, ce qui explique la longévité du soleil, par exemple ou alors celle des étoiles – ce qui est juste, donc bien fait, dure longtemps)  – ce paradoxe de plus haut est incroyable même pour des gens habitués à ce sujet et qui sont aussi rationnels que moi – il y a à première vue, ce qui n’est pas possible, cependant que tout cela est la vérité des faits chronologiques (alors que je suis entrain d’annoncer la naissance de Lala ou/et celle de Nono, tu es, du point de vue de ceux qui sont trente ans avant, les yeux rivés dans le ciel, au même instant présenté à tes arrières-grand-parents. Aussi on finira par comprendre exactement pourquoi – j’ai des pistes à ce sujet et cela concerne l’aîné et le/la dernier de famille) – donc tu es dans cette photo devant les pharaons de l’Angles qui est au courant de tout en transparence avec moi – je ne lui cache rien, car il est mon père, car c’est lui, enfant, qui m’a confirmé ce que je savais du sens de chacun des mots (puisque j’étais d’avance quarante années après et j’ai pu vérifier qu’il disait vrai quand j’étais petit – aussi, comme je vis qu’il s’était comporté honnêtement et avait appelé une ‘serrure’ une ‘serrure’, je l’ai fait avant moi pharaon, à la fois parce que c’est normal : c’est lui et non moi qui a connu la période ou l’empereur avant Lui a bien pire que disjoncté (en menant tout le monde à la catastrophe) tout en étant assuré qu’il y avait un pharaon compétent après Lui, mon père, nommé en Saint-Esprit empereur par moi, à cause de Toi, donc qui pouvait donc me protéger car j’étais encore très bébé en 1965 bien que devenu bouddha – de plus on devait partir pour Rome où il y avait eu des choses affreuses qui s’étaient passées et moi j’étais petit, ne sachant pas encore bien expliquer (en mots), tant c’était complexe – mais j’avais la maîtrise sur tout, puisque je faisais intervenir d’avance ma personne du futur – aussi j’avais réussi à arrêter cette guerre, sans savoir encore comment elle avait pu être déclenchée : les causes exactes, ce que j’ai recherché grâce à ce sacrifice de séparation d’avec ma promise qui m’a contraint à la chasteté par fidélité pour elle, à  l’Ecole, entre 1965 et 1975 -[(cette chasteté a permis de vérifier que ceux qui se l’imposent dans l’une ou l’autre religion où c’est la règle, permet effectivement de trouver des solutions élégantes, car on se consacre alors (en ayant fait une croix – momentanée - sur la question sexuelle) à la recherche de la vérité objective – on recherche des choses qui sont visiblement plus rares à trouver sinon car elles contraignent pour les trouver à cette chasteté – ce qui fonde alors légitimement cette nécessité, comme le conseil en la matière de se l’imposer – bien sûr cela a des effets pervers, voire même un revers à la médaille : on quitte d’une certaine façon un peu l’espèce humaine de ses semblables – mais c’est une des possibilités inhérente à/du genre humain que ce choix – d’où qu’il soit aussi légitime sur ce plan)]– il y en a plusieurs [de causes – tant qu’on ne les connaît pas on ne peut jamais trouver le vrai remède] très importantes qui pourront créer une liste et qui concernent de nombreuses catégories différentes, donc celle d’absence de religion – conflit entre ceux qui ont accès aux enseignements de celles-ci qui ont eu souvent le dessein de responsabiliser chacun, donc de rendre conscient de ce qu’on n’est pas le seul sur terre, par conséquent qu’il y a à partager les ressources principales : ce qu’on appelle les matière premières, c'est-à-dire les richesses de chacune des rRégions (ou nations) appartenant en réalité l’ensemble de celles-ci à l’Empire qui ne peut être qu’à ce Dieu de bonté (puisque ces matières premières sont de bonnes choses : le fer, ou le cuivre, ou d’autres encore), puisqu’on l’a fait devenir Dieu en le crucifiant injustement sans raisons admissibles, tout comme lâchement on déporte vers les abattoirs des animaux pacifiques et inoffensifs (en cela chacun d’entre eux est Dieu qu’on maltraite d’autant plus qu’il s’agit des réincarnations d’herbivores qui précèdent la réincarnation en être humain – d’où qu’il s’agit d’une offense au principe même des réincarnations qui, je l’ai vérifié, constituent une sécurité pour chacune des âmes – voilà donc l’autre cause du dysfonctionnement plus ou moins général de la salle des machines). Mais évidemment le mérite appartient aussi aux autres fondateurs des religions fondamentales : il n’y a pas que Jésus-Christ qui soit Dieu, même si ce qu’il a fait est fondamental et permet effectivement, quand on se repend vraiment, de pouvoir obtenir un nouveau crédit, y compris du temps en plus pour vivre et essayer de réparer là où on a été à détruire Son œuvre bienfaisante et charitable) – bien que ceLui-ci  (ton arrière grand-père pharaon) soit, dès sa petite enfance (donc dès 1925) dans un position la plus difficile qui soit donnée à un futur pharaon et n’ayant jamais existé pour aucun des pharaons le précédeant. Il est, en raison de ses études et de son contexte familier, au courant des Très Bonnes Pratiques (commerciales) et donc d’une honnêteté absolue. C’est pourquoi, j’ai été contraint de le faire pharaon en Saint-Esprit, à l’occasion de Vôtre -[(la tienne, celle de ta fiancée dans le ciel (donc dans le futur) – ces fiançailles correspondent aux miennes avec ta grande tante CL en 1975 au moment de nôtre sacrifice et de la Dictée Pharaonique le la NNDIM - et celle d’Anton et de ses frères et sœur)]- naissance, elles aussi pharaoniques (car déjà vos mères et vos pères furent annoncés avant leur naissance) en ne sachant pas du tout encore, à ce moment-là (à cause de mon père) que le pharaon, c’était, en réalité, avant ton arrière grand-père, le chef des bandits, car j’étais totalement innocent quand cette histoire abracadabrantesque m’est arrivée en 1965 et de nouveau en 1975 (je ne me suis douté de cela un peu vers 1977 au moment où j’ai dû obtenir mon amnésie – donc j’ai oublié -  mais surtout à partir de 1995 quand j’ai découvert qui pouvait bien avoir été cette notion de diable ou de Satan (cependant que mon cerveau à cause de l’amnésie était alors détérioré et donc que je ne me savais même pas être devenu un menteur - mais j’ai été vite couvert par le Très Véritable Grand Architecte de l’Univers (en raison qu’il était au courant de mon amnésie mais aussi du Saint-Esprit qui s’était manifesté vingt années auparavant pour confirmer ton arrière grand-père en tant qu’empereur après l’empereur catastrophe, soit a. h. en minimisant au paroxysme qui est aussi l’empereur handicapé : empereur [c]ha[t] (ce qui est différent du Schah d’Iran). Ou l’empereur fou – ce mot au mauvais sens de celui-ci, à l’aune de ce qu’il a fait en totalement écervelé, c'est-à-dire comme le principal représentant des enfangâtés, des égoïstes et des adolescents dépourvus de cœur (donc n’appartenant plus à l’espèce humaine véritable), seul, le pouvait faire de pareils dégâts – il s’agit de personnes qui ne savent plus la réelles valeur des choses qu’ils consomment et qui ont perdu la conscience à ce sujet comme dans bien d’autres catégories à cause de cela – d’autre part, il a cru possible rétablir l’esclavage, alors que c’était depuis longtemps enfin, avec l’abolition de l’esclavage, retrouver la façon même qui régnait entre les êtres humains quand la vision d’Atlantide était partout : il n’y avait pas d’esclaves et chacun était libre, sachant ce qu’il avait à devoir s’imposer de faire (pour aider autrui) – il n’y avait pas non plus de menace, car personne ne savait que les armes pourraient exister -[(et il est probable qu’il n’y avait pas ou alors peu d’animaux prédateurs – pour qu’ils se soient manifestés, il a fallu qu’une cause advienne, donc qu’un dysfonctionnement s’opère en raison d’une origine précise, d’un fait-majeur – et ce fait, nous le savons maintenant d’une façon sûre est l’occupation de la salle des machines par des adolescents – ces ancêtres préhistoriques - et la disparition de la vision d’Atlantide – donc avec eux le vol d’une chose qui était commune à tous au profit d’un petit club qui en sont alors devenu l’origine même de tous les crimes contre l’humanité et l’ontologie même de la Création)]– aussi on apprend qu’elles ont existé entre temps – donc comme une parenthèse et on sait qu’elles ne peuvent exister qu’en légitime défense. Hélas cet empereur les a utilisé en offençant et en ingrat du sauvetage des américains en 1914-1918. D’autre part, il s’est cru au-dessus des lois et n’a pas voulu comprendre pourquoi chacune d’elles existaient (les diverses raisons intellectuelles qui interdisent de tuer un autre être humain) pour tous ceux qui n’ont jamais eu accès à la vieille salle des machines et qui ne savaient pas qu’elle existait – en y ayant lui (seul et les siens) accès, en étant à ce point ignorant, au mauvais sens de ce mot, sur ces points essentiels, ce qui ne fera jamais de ce genre d’individus que des paparazzi (soit ce mot ici mal vu) à l’affut des bruits qui courent et des à première vue (de ce qui n’est que superficiel) ou de ce qu’en dit la presse, le voilà à vouloir se venger, alors qu’il est très aimablement l’objet de critiques destinées à le faire progresser dans le bon sens (il en veut à ceux qui en le critiquant peut-être même durement, voire à première vue méchemment, investissent de leur temps, donc des CFPM pour lui rappeler qu’on ne peut pas se permettre de parler comme il a parlé, d’accuser des gens innocents, coincés qui plus est dans leur réalité de personnes n’ayant pas accès à la salle des machines – ce qui rend alors tributaire/victime d’une autre réalité, par conséquent qui contraint à disposer de CFPM et interdit tous les cfu[usrpés], cfc[orrompus], cfs[ales], cfm[alhonnêtes], donc qui contraint à l’honnêteté véritable, par conséquent à l’acquisition de la conscience et avec elle à la Vérité)  – il en veut aux personnes qui appellent un chat un chat, tant que ce [c]ha[t] n’est pas un gentilhomme – d’où la position très inconfortable de ton arrière Grand-Père qui est un très véritable gentilhomme et qui sait peut-être qu’il y a une véritable différence entre l’être humain et le chat (mais qui n’a peut-être pas pu vérifier ce que j’ai pu vérifier au sujet des réincarnations) – De mon côté j’ai été contraint de le mettre dans cette situation (très dangereuse pour un honnête homme – ce qu’il m’a bien rendu en refusant ma solution canonique des deux épouses légitimes et en renonçant, en 1977, à mon idée du prix du pétrole à un centime de dollar pour partir à Bern – il m’ alors mis dans une situation encore plus dangereuse puisque pour m’en sortir je n’avais que la solution élégante de l’amnésie canonique – c’est-à-dire probablement l’inverse de celle qu’il dût vivre lui comme situation dangereuse, en conscience) car il a pu vérifier que c’est lui-même qui en me révélant l’existence de ma promise C. L. en 2005 (seulement), m’a mis dans cette situation à le devoir contraindre du futur (en donnant son nom même peut-être entendu avant Sa naissance, à cause de la construction de l’opéra Garnier qui devait le faire réfléchir sur son nom Granier et l’amener à devenir poète), alors que je n’y étais qu’en virtuel, à le faire empereur, puisque chronologiquement, cela s’était passé ainsi, in-extrémis avant Ta naissance, en raison de ce qu’Il a[vait voulu] tué[r] mes descendants d’avec cette promise pour me contraindre (préjugés bourgeois, au mauvais sens de ce mot, au sujet du mariage) à n’aimer que cette jeune fille de Strasbourg  qui avait été, elle aussi, à croire possible en adolescente ces sacrilèges et meurtres de cette descendance que j’attendais d’avec cette promise alors que celle-ci était en âge nubile, donc en 1975-77 – par conséquent bien sûr tout cela contre ma volonté d’alors (comme de celle d’aujourd’hui (car c’est une chose que personne ne peut s’autoriser) – cependant j’ai réussi (malgré ce dont j’allais être victime) à au moins permettre que ta grand-mère SAI SSS les dames impératrices Florence Granier-Michelin puisse se marier avec ton grand-père SAI SSS les Lord. Nicolas et donc cela a donné tes tantes et ta mère qui annoncées d’avance (alors que tu étais déjà né dans le futur) sont un peu comme mes petites sœurs, car heureusement je n’ai pas vécu géographiquement trop éloignées d’elles, quand elles étaient petites, bien que malheureusement, comme j’ai dû me contraindre à subir une amnésie (qui a été à l’origine de cette adolescence artificiellement contractée, grâce à cette amnésie) concernant la culpabilité de chacun en 1977-78 -[(où du point de vue de ces personnes qui ignoraient que j’avais déjà au moins quatre-vingt deux ans et que j’étais bouddha, je n’étais apparu à premiervues que comme un enfant de douze à quatorze ans – ceux-ci ayant visiblement des idées préconçues sur cette notion d’enfance qui n’étaient que des préjugés (comme ce qu’elle autoriserait comme manque de respect envers une fiancée d’un ‘enfant’ – comme si cela ne pouvait pas être sérieux que les sentiments ou les engagements entre deux enfants) sauf deux ou trois choses à première vue vraies comme aussi tributaires du Système dont nous étions les héritiers et qui était devenu celui qu’il est, y compris en raison de l’absence de ces informations, capitales, au sujet des enfants – on le sait depuis au moins Molière : «Ah ! Il n’y a plus d’enfant’)]-  étant donné que je devrais m’ingénier (malgré ce dont elle était devenue coupable) pour aimer cette jeune fille de Strasbourg et éviter de me venger en la tuant, puisqu’elle avait refusé la solution élégante que j’avais proposé de plusieurs épouses et qui permettait par exemple que ta mère puisse avoir deux maris ou même que ta grand-mère puisse avoir deux maris (elle avait eu un faible pour un italien musicien), ce qui aurait aussi permis à ton arrière grand-mère d’avoir deux maris officiels, car nous n’allons pas parler d’amants ou de bagatelles ou de passades – donc (à l’inverse) de choses plus sérieuses qui normalement durent et cela parce qu’en tant qu’empereur (qui plus est devenu bouddha) j’avais le droit naturellement à plusieurs épouses – aussi on a voulu imposer et cela depuis 1965 à la personne très sacrée de l’empereur un système qui ne concernerait que la première épouse, donc qui privilégiait la monogamie -[(ce qui relève des préjugés et de traditions, donc au départ d’un artifice (certes dont nous pourront analyser les causes) par conséquent d’une vérité relative suspecte – à tel point que les faits l’ont confirmé en substituant à la très légitime, Sai SSS les dames impératrices C. L. , M. F. qui avait été la cause de la perte des enfants de cette légitime – ce qui n’aurait pas été le cas dans la Création que je proposais alors en guise de remède (puisque j’avais compris toute l’affaire dans les moindres détails – c’est-à-dire jusqu’à ceux liés à l’origine des problèmes dans les temps préhistoriques) appelée No smoking, puisque j’aurais pu avoir ces deux épouses légitimement et ce qui n’était pas acceptable car sacrilège envers les droits de cette légitime promise, donc aussi envers la monogamie)]-, ce qui est peut-être ce qu’il avait fallu (dans les temps passés) tant qu’avec la personne de l’empereur, il ne s’agit que d’un adolescent (en effet, grâce à la monogamie, on arrive – parfois – à faciliter l’accession au devenir adulte parachevé, donc à la bouddhéité qui est la seule condition à avoir le droit de s’affranchir de la monogamie car sans l’avoir obtenu au préalable on ne devient qu’un vulgaire don Juan, c’est-à-dire au mieux un chien et au pire un requin-marteau – d’où que la flûte enchantée mais aussi cet opéra de SAI SSS les Lord. W. A. Mozart, don Juan soit autant importants [cruciaux] comme enseignements à connaître et à analyser).  En effet, un adolescent ou une adolescente ne va devenir adulte parachevé qu’uniquement grâce à celle/celui qu’il/elle aime – c’est ici que cette personne est fondamentale – on retrouvera probablement cela aussi dans le monde des singes. En effet, tous les adolescents ont besoin de chefs et vont donc en général trouver un chef, s’ils sont garçons, grâce à une jeune fille et s’ils sont des jeunes filles, grâce à un jeune homme, C’est ce qu’on a appelé aussi un gourou ou une gourou (un protecteur), ce qui est souvent une cheftaine ou un chef – des synonymes). Tous les enfants parachevés n’ont aucunement besoin de gourous ou de chefs (ni de père, ni de mère) ou même de scoutisme : ils savent se conduire en toutes circonstances et connaissent les droits de l’autre, cependant que chacun des adolescents deviennent le problème général des adultes parachevés (donc parfois d’enfants plus avancés qu’eux) qui savent qu’ils ont comme mission de mettre sur la voie, progressivement et sans blesser chacun de ceux qui leur fait confiance, mais qui ne sont encore que des adolescents – donc parfois des enfants-gâtés, d’autrefois des égoïstes ou alors des personnes qui cherchent à fuir leurs responsabilités, au point même, pour ceux qui ne sont que de mauvaises foi, de prétendre qu’il n’y en a pas – certain le diront même en étant persuadé de cela et chercheront à te persuader de cela : c’est ceux qui vont mal et ils ne savent plus ce que les mots signifient, ni même que chacun d’entre eux, d’une façon invisible, gouvernent tout dans le bon sens – tu découvriras dans cette vidéo des images animées du ciel pour lesquelles la fonction "pause", utilisée comme s'il s'agissait d'images d'une époque, la nôtre, qui n'aurait pas connu encore d'autres images que celles-ci (sans avoir jamais vu d'images, comme si c'était les premières images qu'on aurait vues) donc en utilisant cette vidéo en la visionnant une autre fois sans entendre le commentaire, mais en la regardant par moment image par image, donc comme des photos à regarder image par image, comme s'il s'agissait de miniatures peintes à la main (une successions de miniatures peintes à la main - donc en utilisant la fonction pause et en n'écoutant pas le commentaire ou alors une fois, mais en regardant de nouveau cette vidéo sans entendre le commentaire, rien que pour découvrir comment sont disposées les étoiles et s'arrêter, grâce à cette pause, de temps en temps pour comprendre ces plans d'ensemble), cela te donnera une idée du ciel constellé [comme] composé en réalité d’immenssissimissîmes mots pluridimentionnels mais de différentes tailles, chacun de ces mots formé de lettres formée d'étoiles: l'origine des lettres des alphabets des écritures, les étoiles ou/et les nuages (des preuves des Arts du Grand Architecte de l'Univers): à voir aussi sur télé 'N' comme 'Nuages' ces nuages quand on l'aura enfin rétablie comme je le réclame. Donc, en attendant, voilà la séquence, à contempler, et peut-être à méditer grâce à l'usage de cette pause : la matière ordinaire, ces mots, qui s’inscrivent clairement dans ce fond noir). Ton arrière grand-père était forcément honnête, de mon point de vue d’être humain parachevé (bien que n’ayant que douze ans) sur le point d’épouser une jeune fille de mon âge (et ce que je proposai devait offrir à mon père la possibilité de fonder un autre foyer, quand Il l’aurait souhaité, tandis que ton arrière grand-mère pouvait s’occuper de rendre un homme plus jeune qu’elle, une personne de qualité en lui faisant bénéficier de sa grande expérience de femme et d’impératrice – d’autant qu’il y a une importante différence d’âge entre les garçons et les demoiselles (tant qu’ils sont jeunes et ont le même âge, tout va bien, mais c’est à partir du moment où la jeune fille ne peut plus avoir des enfants, qu’il va y avoir un problème d’autant plus que cela est en général (il y a des probabilités supérieures en nombre qu’avant)  le moment où les garçons deviennent adultes – d’où ma solution élégante de plusieurs épouses officielles – mais cela parce que j’avais les moyens financiers, en raison de ce que j’étais au moins le propriétaire légitime des réserves de pétroles que j’avais géo-localisées (mais aussi en tant qu’empereur comme en tant que bouddha et ceLui considéré et pris pour Dieu lui-même qui est donc propriétaire de ces réserves de matières premières), sans parler de ma fortune soudain devenue colossale en raison de tout ce que j’avais transmis comme informations donnant lieu à des pourcentages (dans plus ou moins tous les domaines, chacun des éEtats me devant), avait aussi le mérite de me permettre ces deux descendances officielles qui devaient permettre de faire devenir des femmes – voire des reines - ces jeunes filles – ce dont les seuls véritables bouddhas savent en général comment faire avec des jeunes filles) et qui sait que j’ai plûtard une ou plusieurs autres épouses, quand ces femmes à leur tour auraient eu intérêt à se consacrer à plus jeune que moi, puisqu’elles auraient eu les amis de leur enfants et donc qu’elles seraient à trouver normal des câlins qu’elles avaient prodigué à des petits, ce qui est aussi un peu normal pour des pères de famille ayant souvent pu rencontrer les amies filles de leurs filles – mais tous alors n’étaient visiblement pas assez âgés et croyaient qu’il s’agissait de péchés, tandis que chez les singes (qui n’ignorent rien de l’existence de Dieu, comme chacune des espèces animales) cela n’est pas considéré comme un péché de s’intéresser à l’amie de sa fille. Aussi, on a alors choisi contre ma volonté, donc en me désobéissant, y compris au Vatican, de me faire du tort (en réalité les pires sacrilèges qu’on puisse commettre envers Bouddha)  en plus de celui incommensurable que j’avais eu au cours de la première partie des Démonstrations … . Pire, le Vatican, a voulu en faire de la récupération à ses propres fins et a célébré l’administration du Sacrement de Confirmation dans le Panthéon de Rome comme étant administré à mon sujet par Jésus lui-même – aussi, il y a eu volonté de rechercher à ne confirmer que l’anneau de mariage échangé entre deux personnes monogame (celui d’autrefois) contre la réalité qui est comme qui a le droit d’être autre dans certains cas notemment quand il s’agit de celui du Bouddha ou alors de divinité bouddhique femmes, c'est-à-dire confirmer effectivement ce que j’ai marqué ailleurs : « que l’administrations des Sacrements sont comme des rappels de vaccins, sur le plan spirituel », ce qui permet d’obtenir de droit celui des fiançailles (peu célébré – souvent, d’une façon privée et à l’insu du public entre fiancés) et enfin celui du mariage ouvrant sur tous les autres et évidemment sur ceux qui concernent la maladie et la mort – car ces gens au Vatican n’avaient pas compris que j’avais trouvé la solution élégante pour tuer la mort (bien que cela avait été le cas étant donné que j’avais pu vérifier que Jésus s’était manifesté dans l’invisible dans ma chambre, donc qu’il était vivant ailleurs) et que cela s’était effectivement passé puisque la reine de la nuit avait été annoncée comme s’étant auto-carbonisée donc auto-détruite – cela s’était passé en 1945 et en 1815, mais peut-être (sans-doute) avant – en fait avant la Création – aussi elle n’avait que bluffé partout à travers chacune des jeunes filles qui s’étaient mise en tête d’être à son service pour mieux tromper chacun des empereurs et les arnaquer intellectuellement ou autrement : bref en petite filles gâtées ou adolescentes et égoïstes qui n’ont que faire de leurs enfants : des fausses-mères, n’ayant leurs enfants que pour encore mieux arnaquer les garçons qui les leurs ont fait et elles se servent de leurs enfants pour que ceux-ci soient leur prisonniers et donc à leur service (ce qui n’est bien sûr pas tolérable et qui rend légitime la contraception, donc la pilule pour l’éviter) – c’est évidemment le cas, sauf de toutes celles qui sont très religieuses et qui sont devenues indépendantes ou/et autonomes financièrement, en raison de compétences réelles en dehors de toutes celles sensuel[le]s ou sexuel[le]s qui sont communes à toutes, par conséquent qui obéissent à la loi de la Quantité et/ou de la Rareté, tout comme les performances sexuelles et sensuelles des garçons – mais les religions ont sur ce chapitre signifié que ces relations ne se monnayent pas, ce qui n’est pas le point de vue d’Hermès, le dieu Mercure (une autre des qualité de Bouddha) qui est depuis toujours un réaliste et qui s’Il sait que c’est vrai dans/sur l’Olympe Absolu, sait hélas que ce n’est pas du tout la situation sur Terre – dans le Ciel « oui » mais sur Terre « non ». Le problème va donc être pour chacun des terriens « comment atteindre ce ciel ?». Evidemment les relations sensuelles qui se monnaient cela déplaira toujours à Zeus et à Junon qui avaient (depuis toujours) une autre idée de la Création (la véritable) et un autre espoir pour elle-même. Mais la Création est faite de particularité dont Zeus ou Junon ne sont pas toujours au courant ou qu’ils ne vont pas trouver importants à relever. Ils n’en tiennent pas compte car l’important est pour eux deux [souvent] ailleurs – c’est ici la limite de Zeus ou/et celle de Junon et cela parce qu’ils ne sont plus que très lointainement préoccupés par chacun des dossiers : ils font confiance à ceux qui ont pris la relève (dans les diverses administrations) et n’ont pas compris non plus que cette façon qu’ils ont eu de faire, a fait perdre beaucoup de CFP[M] – ils n’ont pas voulu s’abaisser à être Mercure (Hermès) – par exemple, en ne recherchant pas plus que cela à faire baisser le prix du baril de pétrole – d’autre part cela s’est passé en 1975-77 et il s’agissait alors d’un vieux Zeus qui s’est cru aux ordres de celui qui était dans le Ciel (c’est-à-dire en réalité moi le bouddha qui suis aussi (et surtout) Hermès) sans comprendre que celui qui était dans le ciel était devant aussi devant Lui (ton arrière grand-père qui se prenait pour Zeus) mais à première vue encore un enfant (sauf que j’avais au moins quatre vingt deux ans – donc que j’étais plus vieux que Lui persuadé de n’avoir que cinquante cinq ans comme il était persuadé dix ans avant de n’avoir que quarante deux ans et déjà à ce moment-là devant moi qui avait au moins quatre-vingt deux années) – aussi le voilà inspecté par ceLui qui est dans le ciel d’avance et qui a d’avance des milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de très véritables années de terriens et celui qui est devant lui à première vue un enfant de deux ans et un mois en 1965 ou un jeune homme de douze ans et un mois en 1975 : le très véritable Zeus, mais qui a dû passer à un moment donné par le stade Chronos et qui est évidemment par ailleurs sur le moment où cela va l’intéresser, Mercure, car on ne peut devenir Zeus sans être passé par Hermès (sans savoir négocier en pédagogue), c'est-à-dire sans avoir compris très exactement toutes les lois et toutes les interactions qui régissent les Commerces et c’est pourquoi quand une seule d’entre elles est transgressée, Mercure (c’est-à-dire moi, les bouddhas nous nous fâchons) se fâche, car nous savons ce que cela va avoir des conséquences gravissimissîmes, puisque nous n’oublions pas ce que cela signifie que de ne pas être des bouddhas – donc ce qu’endurent tous ceux qui n’ont pas accès aux trésors véritables (leurs difficultés financières et leurs incapacités à comprendre des raisonnements pourtant simples comme celui de baisser le prix du baril de pétrole car ils ne sont plus que devenus chacun des affreux avares et des égoïstes et des voleurs) – c’est la raison pour laquelle, j’eus à devoir, malgré l’interdiction de mon père (se prenant en 1977-78 pour le représentant du Zeus dans le ciel d’autant plus qu’il allait devenir grand-père) fumer de nouveau et non plus en cachette, rien que pour faciliter l’amnésie que je devais obtenir de moi-même (puisqu’on allait me contraindre à devoir me faire devenir sacrilège de moi-même, le bouddha, qui n’avait cru qu’à l’amour pur – ceLui du très véritable Zeus – pour découvrir au contraire (une autre fois en anti-thèse – comme entre 1973 et 1975) l’amour impur – c'est-à-dire le pire des sacrilèges que les êtres humains (en fait les faunes, les satyres et les centaures) aient cru possible infliger à Zeus – ce dont mon père qui n’était, à première vue pas à leurs appartenir, allait devenir coupable) et pour emmerder ce père qui n’avait pas voulu comprendre la chance qu’il avait que je sache lire à mi-mots et entre les ligne de la Grande Dictée que j’avais moi-même inscrite en cinq sur cinq avec ce Zeus, en comprenant tout ce qui peut découler de chacun des textes comme conséquence ou chiffre d’affaire mais aussi sur le plan juridique : le cas de figure de la Création qui s’appelle Smoking) – en raison que j’avais assisté et photographié le mariage de ta grand-mère l’impératrice et ton grand-père Nicolas et celui de ton grand oncle Jean-Paul et ta grande tante Martine – ils avaient été bénis par le Pape – qui a pris du temps sur ses priorités pour les reconnaître en le signant lui-même de sa main – ce n’est pas si anodin que cela même si c’est en général fait en série – il s’agit d’un temps consacré à cela qui ne l’est pas à des choses autres aussi importantes) et je suis redevenu ce Zeus (publiquement), visiblement au moment de mon baptême, de ma Confirmation et de la confirmation de mes fiançailles et de mon mariage (cela parce qu’en Occident on ne sait pas très bien ce qu’est un bouddha, ce qui advînt comme métamorphose avant d’obtenir ces sacrements – un bouddha ça s’adapte car ça a créé des synonymes ou des équivalence avec des choses plus importantes que ces cérémonies cependant nécessaires pour tous ceux qui ne sont pas encore devenus des bouddhas ) – ce qui fait, en somme, cette histoire abracadabrantesque qui a précédé ta naissance que tous, dans tous les temps futurs, savent d’avance que tu es totalement et absolument innocent et immaculé comme ta sœur, cette fiancée vues avec Toi d’avance depuis les années 2007-2010 – mais aussi comme ta mère et tes tantes de tout ce qui a pu se passer comme problèmes avant ta/vôtre naissance (vous ne seriez pas même nés si je n’avais pas eu en légitime défense de l’Empire à réunir et à marier vos ancêtres – donc dans l’espoir de vous confier légitimement l’Empire) y compris au sujet du mot ‘péché’ (cela ne te regarde pas et tu t’en détourneras de toi-même, dégouté que cela puisse exister, comme je le fus moi-même, dès mon petit âge, car c’est en réalité répugnant (envers les membres de sa descendance) et ceux qui s’y complaisent sont donc hostiles à ce qui fonde l’être (l’ontologie) humain[e] (cette possibilité de ne se conduire que sans ‘erreur’ comme tous les véritables iIngénieurs – dans le supérieur ou alors avec quelques rares erreurs, parfois même faite exprès). En effet, il y a toujours un plus grand intérêt d’acheter un modèle, même d’occasion, qui marche/fonctionne, qu’un modèle qui ne marchera pas. Rechercher l’erreur ou le pécher, c’est ne rechercher qu’au mieux d’être l’objet d’une réparation ou au pire d’être détruit parce que ne fonctionnant plus que mal, donc comme une ordure néfaste ou seulement encombrante – il n’y aucun intérêt à appartenir  aux personnes qui se complaisent dans les erreurs ou dans les péchés : des sacrilèges envers leurs descendants les plus proches, comme les plus lointains). En fait, il faut te dire que vous ne seriez pas nés, sans que ce sacrifice avec ta grande tante C. … L. ait marché (la Vie sur cette planète localement appelée la Terre était condamnée à une mort certaine partout vers 1960-62 sans mes interventions à travers Temps et Espace : les bombes atomiques étaient sur le point d’être lancées et les rRégions de Nôtre empire se seraient auto-détruites, en continuant à se venger les unes les autres. Aussi j’eus dès 1963 et 1965 à apprendre à ne pas me venger et c’est à ton arrière grand-mère, la Grande Impératrice (ou les dames Impératrices doyenne et sérennissimissîmes) qui m’a appris cela – mais je dois reconnaître que c’est la chose la plu difficile à faire : on a envie de frapper ceux qui vous ont blessé ou qui vous ont calomnié – mais j’ai pris le parti de ne jamais perdre du temps à y songer, sauf que grâce aux mots et aux écritures, en homme d’honneur, on peut trouver du temps pour rectifier ce qui a été perçu d’une façon erronée – par exemple, on fera comprendre à ceux qui n’ont eu que deux ou trois exécutions de leurs chefs après la Seconde Guerre mondiale qu’ils ont eu bien de la chance, puisque tous les allemands et les collaborateurs de ces menteurs sans exceptions étaient coupables et qu’ils auraient dû se présenter tous en hommes d’honneurs pour supplier d’ être lynchés, à l’aune de leurs crimes contre l’humanité – cette part manquante de l’univers – mais hélas ces peuples ont voulu être personnellement et nominativement coupables de ces sacrilèges odieux (c’est là qu’il s’agit réellement de smsm c’est-à-dire réellement de résultat d’une maladie et d’incapacités à raisonner /penser plus justement – ce que peut-être ils ne pouvaient pas faire, parce qu’ils ne bénéficiaient pas, comme moi, du recul d’un devenu bouddha de quatre-vingt deux années d’âge au moins, alors que je n’avais à première vue que deux ans) ce qui explique pourquoi je n’ai pas trouvé bête le calcul de deux bombes nucléaires sur le Japon qui étai[en]t effectivement préférable[s] à ce que la guerre continue peandant des années en faisant, en définitive, un nombre infini de victimes (en beaucoup plus grand nombre) puisque la guerre continuerait encore cinquante ans après et n’aurait pu être arrêtée) et c’est pourquoi je suis considéré un peu comme une personne différente pour certains (car je n’ai pas voulu croire que cette bombe atomique n’était que négative, mais au contraire très positive – la peur de continuer à les déclencher a facilité la guerre froide, ce qui m’a donné le temps de grandir durant cette période que je n’ai même pas remarquée comme agaçante, d’autant qu’elle a pu aboutir, grâce à ce sacrifice bouddhico-judaïco-christique ne déplaisant pas aux membres des autres religions ni à ceux d’Islam et encore moins aux profanes, malgré la séparation d’avec ma promise (une autre fois), à la Réunification de l’Allemagne, la patrie de ta grande-tante dans le cadre de cette Construction Européenne qui ne fut possible comme la Monnaie Unique que grâce à ce Sacrifice, ce qui remet à l’honneur partout les religions ayant eu à être mises entre parenthèse un moment qui correspond à cette adolescence artificiellement obtenue sur ma personne ayant à la devoir accepter car mon père n’avait pas voulu (sagement) abdiquer en ma faveur en 1977 – il était donc l’adolescent à soigner, l’enfant-gâté), car j’ai réussi ces différents exploits d’arrêter aussi les autres  guerres en créant, grâce au mariage de tes grands-parents et enfin au mariage des sœurs de ta mère une chance à cette Vie de se poursuivre – en rassemblant les différents paramètres qui devraient permettre à des gens qui n’en ont rien à faire de cette Vie, de vouloir au contraire tâcher de la servir enfin, dans le seul sens qui vaille la peine. Mais je sais que c’est s’imposer des choses qu’on a envie de ne pas faire – mais si le prix du pétrole baisse, on devrait enfin travailler tous un peu ou beaucoup moins stressés, en sachant qu’on pourrait désendetter à plus ou moins long terme l’Ensemble, car en réalité les dettes des uns ou des autres sont sur un autre plan les dettes de tous. Evidemment cela n’affecte pas à première vue directement ceux qui ne sont pas endettés, cependant que c’est le cas et que nous l’avons vérifié au point que tous eurent à devoir travailler beaucoup plus que si on m’avait obéit – je l’ai calculé sur une situation qui aurait été l’idéal à ce centime de dollar le baril de pétrole – onze mille fois plus que le nécessaire (car le prix de ce pétrole est monté à onze mille fois plus que ce maximum plancher de ce centime de dollar le baril fin 2014) et pire que tout : pour n’être en définitive qu’onze mille fois moins riches chacun que prévu dans la situation que j’avais prévue à ce centime de dollar le baril si ces pseudo et soi-disant adultes ‘mariés’ avaient accepté que j’ai deux femmes qui auraient pu avoir plusieurs maris, puisqu’elles étaient financièrement assurées de pouvoir subvenir à leurs nécessité financière, en raison de ce qu’on me devait ne serait-ce que pour cette solution élégante du prix du baril de pétrole à un centime (qui permettait de rembourser les dettes) qui en elle-même m’assurait un autre pourcentage – mais il ne s’agit, avec la plupart des terriens, que de très véritables « étrons de merde pourrie sèche en guise de cerveau » (donc de stronzi di marcia secca [merda] mente – ces smsm)- évidemment, il s’agit d’une sorte de métaphore encore trop aimable à l’aune de ce dont il furent chacun coupables y compris les plus doctes d’entre eux (majors polytechniciens et autre génies) qui n’est dûe qu’au fait qu’au moment où je l’emploie, je m’impose d’exagérer  mon indifférence à leur sujet, donc à m’énerver en songeant à ce dont ils ont recherché chacun d’entre eux à devenir coupables : c’est donc une image qui me permet de me souvenir d’une explication concernant la maladie dont leur cerveau est victime, donc les concernant à l’aune, une image et une insulte qui n’en est pas une (en raison de ce qui normalement aurait dû être pour ce dont ils sont coupables) – donc même si subjectif à première vue grâce cette imprécision subjective la possibilité d’objectivement parler de leur maladie à cause de ces pertes plus que colossalissimissîmes de plusieurs milliards de milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de milliards (à cause des conséquences) nous perdons collectivement (et surtout Nous les empereurs Granier d’Ôz) à chacune des fractions de seconde (d’autant qu’ils ont voulu devenir de véritables voleurs et escrocs, ce qui est une autre perte peut-être encore plus importante concernant chacun), donc de que nous avons aussi eu à perdre à titre de compte personnel, au point qu’à cause de cette génération de ton arrière grand-père, qui était l’objet d’un chantage de celle d’avant (tout aussi lamentablement bête sauf toujours un ou deux évidemment jamais écouté), nous n’avons pas pu faire disparaître comme je l’espérais, la misère, ce que j’avais prévu dans l’autre cas de figure [No smoking] pour avant Ta naissance et celle de tes cousins germains ou de ta sœur (cette fiancée que j’ai vu dans le ciel) et tu me vois horriblement triste de cela (mais n’aies crainte j’ai appris à en rire de bon cœur puisque j’ai l’explication : ils ont cette maladie des smsm) car normalement le baiser de ta tante devait avoir ce pouvoir de me permettre de réussir ce miracle financier pour l’an 2000, ta mère arrivant dans le monde qui était prévu par mes soins en tant que Son serviteur et le Tien, puisque depuis longtemps j’étais père de famille et archi-milliardaire, comme Picsou lui-même, d’autant que par ailleurs pharaon et … - aussi ces pseudo « adultes » de merde– mais tu comprendras ce mot ici, au mauvais sens de celui-ci, c'est-à-dire de merdes-qui-puent (repoussantes), soit celles qui n’ont pas la véritable odeur Granier d’Atlantide d[R]öz/eau/…/w/y/s], car au contraire des merdes de végétariens de celles de carnivores (affectés à cause de cela de tous les impedimenta cérébraux pour ne devenir que ces smsm (c’est bien cette alimentation des omnivores carnivores qui est à incriminer, coupable et qui ne les a qu’empêché de devenir capable de plus de cohérence et de logique – en n’ayant pas fait la mise à jour pour adopter l’alimentation la plus moderne, la plus hi-tech, celle proposée par les bouddhas indiens et orientaux et en demeurant à manger, malgré Léonard de Vinci ou/et parait-il Michel-Ange qui ont été des végétariens notoires (donc ayant donné le ‘la’ en la matière, en Occident) les empêchant chacun d’être un tantinet créateurs véritables, mais uniquement ou en partie des faussaires (y compris dans leurs raisonnements en matière de Sciences Economique), donc au lieu d’être de la merde de végétariens qui sent bon au point qu’elle est mangeable, car elle n’est en réalité que ce qui a été mangé en trop et dont le corps n’a pas besoin, tandis que celle des carnivores contient aussi tout ce qui est néfaste pour le corps (car il s’agissait de cadavres qui sont alors rapidement en décomposition donc couverts de probabilité de microbes en plus), donc dont l’intéressé en ayant mangé ces substances s’est (à son insu puisqu’ils ne se voient pas à l’œil nu : des micro-organismes se développant) comme empoissonné et dont le corps doit, en légitime défense, se débarrasser – cela donne alors des odeurs de très mauvaise qualité, qu’on ne peut plus appeler des parfums ou même des bonnes choses – d’où qu’en ayant découvert cette transformation qui s’opère en devenant végétarien (l’odeur des excréments change au point que parfois on a une idée de la notion de Paradis par ceux-ci), j’ai compris pourquoi il y a des personnes dont on dit qu’elles sentent bon ou alors d’autres dont on dit qu’elles sentent mauvais – en fait j’ai pu vérifier, dès mon enfance, pourquoi on avait dit que je sentais bon, y compris dans ce que mon intestin produisait comme, àpremièrevues, déchets, cependant que quand je suis devenu carnivore (parce qu’il est vrai que l’être humain dispose de cette sécurité que représente cette condition de base d’omnivore d’autant plus à nôtre époque puisqu’il n’est plus à l’époque où celle-ci se limitait, en l’absence des armes pour chasser, qu’à être végétarien), parce que c’était normal de se conformer aux habitudes locales qui remontaient à Henri IV, donc à très très loin pour le peuple dont je faisais parti et qui avait alors cru faire une très bonne affaire en devenant en ces moments-là où il accédait à la poule-au-pot carnivore, autant peut-être qu’un roi a le droit de l’être, j’ai pu vérifier que ces excréments sentaient mauvais, même si pour mes parents je disposai de cet apport nutritionnel les rassurant par rapport à ce que les diététiciens locaux (de l’époque), victimes de ce paramètre lié aux habitudes contractées à l’époque d’Henri IV, mais aussi liés à leur gourmandise personnelle (fondée sur le préjugé que les viandes animales étaient réservées aux riches, donc des préjugés de snobs) comme croyant faire une bonne affaire en étant complice des abattoirs et des pêcheries, avec une mauvaise foi totale, à l’aune des alternatives ou solutions élégantes alimentaires infiniment plus savoureuses et parfumées, avaient propagé en à moitié ou totalement charlatans (selon les uns selon les autres) au nom de la Médecine, ce qui était le sacrilège le plus absolu, vis-à-vis de la Vérité, en matière d’excréments préférables (on le sait depuis toujours un Médecin véritable se fie aussi aux à premières odeurs, et à son intuition par rapport aux à premières impressions) ne serait-ce que simplement dans les jeux d’amour entre deux personnes qui s’aiment – en effet, si cela sent mauvais, c’est mauvais signe et cela déplaira à l’un des deux partenaires ou alors habituera l’un des deux à considérer sentir bon, ce qui, en réalité ne sent que mauvais, donc doit être écarté ou repoussé – c’est ainsi que les gens s’habitent à ce qu’on appelle le mauvais goût ou/et les mauvaises odeurs : rien de fin ou de raffiné, rien qui permettent de se dire en mettant les doigts dedans et en ayant à le sentir ensuite : je vais bien, car ça sent bon – en fait une chose très simple, très facile à comprendre, car en définitive très animale, très singe (de bon sens, sage) conscient de sa bonne santé ou alors de sa mauvaise santé en fonction du sens de l’odorat, soit celui ancien, très développé du chien qui est le résultat d’une âme qui ne s’est que très mal habituées (en ne mangeant que des viandes animales qui sentent mauvais) au point de considérer sentir bon, ce qui en réalité sent mauvais – les chat le savent à leur sujet et sont beaucoup plus propres, au point d’avoir en détestation les excréments : ils les recouvrent en sachant que cela sent mauvais (ce qui confirme que ce qu’ils tuent pour le manger, ils n’avaient pas à le faire), en cela ils sont beaucoup plus évolués, sauf que chien et chat vont tant qu’ils sont chiots et chatons, en raison qu’ils sont nourris au lait de vache ou même à celui de leurs mères, avoir des excréments qui sentent bons – aussi quand j’étais petit et que j’étais à réfléchir à ce dossier en étant assis sur le trône des toilettes (les W. C.) à Rome dans celles qui étaient les miennes et non celles de mes parents (la salle de bain était verte tandis que la leur était rose), j’étais très préoccupé par ce problème vis-à-vis de mon épouse à venir. En effet, je savais que je devais être omnivore-carnivore, mais que cela avait eu comme conséquence que je perde ma bonne odeur de quand j’étais enfant (qui est celle que tous les peuples végétariens conservent) – aussi j’ai compris alors qu’il y avait un rapprochement possible à faire avec la notion « d’être en odeur de sainteté », un bruit qui court à Rome, à cause de l’existence de l’éEtat du Vatican qui devient un Eétat quand Il n’est plus en odeur de sainteté du point de vu de Dieu – ce qui allait advenir dès l’erreur canonique monstrueuse que les membres représentants ce soi-disant Etat (qui en est un pour de multiples raisons historiques) dès que ces prélats les plus insignifiants et les plus crétins (smsm) dans tous les temps allaient vouloir nous contraindre ta grande tante l’impératrice et moi à réitérer le Sacrifice après celui qui avait duré dix années aux deux premières horriblement longues que nous avions dû endurer et cela pour nous contraindre à démontrer de nouveau ce qui venait d’être démontré entre 1963 et 1965 et enfin 1965 et 1975, mais cette fois-ci en devenant chacun d’entre eux y compris les papes, coupables du meurtre de ma descendance d’avec la petite impératrice désignée du futur, comme aussi de celle qui adviendrait mathématiquement, en raison de la complicité pour ces crimes supplémentaires, avec la seconde impératrice, celle de Strasbourg, qui aurait à assumer la culpabilité générale de ces plus encore que les plus pourris ou les plus faux prêtres qui n’aient jamais existé, soit de ceux-là (des infiltrés assurés d’avoir gite et de quoi manger) qui ont cru pouvoir collaborer pour déporter des chrétiens véritables ou l’une ou l’autres des catégories qui furent arbitrairement mais injustement considérées comme coupables ou/et responsables alors que c’était le donneur d’ordre lui-même et ses amis qui en augmentant ses prétentions pour livrer le pétrole était à l’origine de chacune des répercussions sur les hausses des prix et donc l’origine même de toutes les difficultés financières des patrons et par conséquent des ouvriers avec les conséquences sur l’emploi – soit avec adolph hitler, la mauvaise foi et l’incompétence totale au pouvoir parce qu’il avait négligé d’étudier voire de faire l’anti-thèse des thèses anti-capitalistes et/ou jésuites qui circulaient – c'est-à-dire celui qui ne s’est nullement préparé pour assumer en Vérité un rôle aussi admirablement salué partout d’avance par les plus grande personnalités des mondes archi-scientifiques et des Sciences de l’aArt, soit avec adolph hitler, l’imposture et l’usurpation incarnée (comme cela l’avait été de napoléon premier), ce qui a effectivement mené le monde à la catastrophe une autre fois et à cette part manquante de l’Univers– mais nous comprendrons qu’il n’était qu’un des atomes qui constituait la défunte reine de la nuit et qu’il avait été fait très certainement par ruse et en profitant de sa candeur ou de ce qu’enfant, il appartenait aux ingénus (c’est-à-dire à ce peuple au mauvais sens de ce mot), comme à ceux qui recherchent à se conformer à des traditions qu’ils vont adopter, puisqu’à première vue il s’agit de celles des plus forts, mais en étant à ce sujet très peu instruits sur la notion de « force », si ce n’est qu’elle est alors considérée celle des sumotori ou celle des brutaux, ou celle des physiquement « doués » – d’où le problème à Munich avec le poing de l’athlète noir levé – il s’agit là d’une vieille conception de la « force » qui a même engendré des énormes machineries qui sont bien à confirmer que cette force, à première vue brutale, est essentielle – cependant ces énormes mécaniques ne sont le résultat que des sciences et de l’esprit, au point qu’on puisse affirmer qu’elles ne résultent, comme un texte de qualité crédible, que de l’existence du Saint-Esprit qui est le maître d’œuvre, au point de tout organiser (sauf ce qui est bête) – on parle alors de « montage » - d’une chose montée et c’est donc ce qui répercute la notion d’érection quand pour les jubilés on érige ou on monte un obélisque ou alors une tour, puisque celle de SAI SSS les Lord. les ingénieurs Gustave Eiffel reprend cette idée – il faut réussir chez le pâtissier, au moment de la célébration d’un mariage à faire une pièce-montée, par exemple de délicieux profiteroles glacés, recouvert de caramels chaud – cette notion de « monter » nous renvoie à l’ascension de la roche de Solutré que j’ai conseillé à François Mitterrand de gravir durant ses septennats, périodiquement, car tu auras avec moi ou sans moi à gravir au moins celle du Suquet, à Cous-le haut, quand nos temps de vacances permettront de rejoindre cette petite bergerie que ton arrière grand-père le pharaon de l’Angles a choisi un jour bien particulier (pour ses enfants, en fait pour ton grand oncle l’aîné qui était entré dans une des années d’étude d’aArchitecture) en me faisant confiance pour ce choix et c’est sur ses économies et celle de Ta Grande Bonne Maman, en se privant de nombreuses autres choses préférables qu’ils ont pu petit à petit ? sur un grand nombre d’étés, restaurer cette ruine, pour en faire moins ou plus – cela dépend ici du degré de fortune – un petit pied-à-terre, pour à partir de là, faire des promenades ou des activités sportives durant les vacances (mais aussi culturelles car on peut les rejoindre avec une automobile à partir de là) étant donné que tu va devoir suivre un programme scolaire qui est celui très difficile (mais vu autrement pour d’autres faciles y compris pour ceux qui trichent et qui savent d’avance les sujets des examens en raison de ce qu’ils utilisent la salle des machines certainement pour les obtenir d’avance) de ta génération – tu pourras te rendre rapidement compte que tes parents n’arrivent pas à faire tes devoirs, tant ce que tu vas étudier et encore plus difficile que ce qu’ils ont eu à étudier dans les différentes sciences – mais sur d’autres points, cela sera beaucoup plus facile et peut-être même ces matières très difficiles à comprendre pour un grand nombre d’entre nous – c’est qu’il y a eu des progrès considérable en pédagogie, au point que de nombreux scientifiques ont réussi à rendre divertissant[es] des choses qui n’étaient pas du tout drôles à apprendre quand ton Arrière Grand Père pharaon était petit, mais aussi à mon époque – c’est moi qui a signalé possible cette très grande révolution dans l’enseignement (apprendre en s’amusant), au point qu’il y a de très nombreux enfants qui trouvent ainsi présenté tout hyper-facile à comprendre – cependant que cela exige pour arriver à cela de très nombreuses collaborations d’esprits provenant de disciplines différentes (n’ayant au départ que peu de choses en commun entre eux, à première vue, au point que les anciennes générations ne pouvaient songer possible transmettre d’une façon aussi drôle, des choses si complexes – pour réussir ce miracle on a été contraint de passer par l’audio-visuel, les dessins animés, et d’utiliser continuellement la métaphore, ce [comme] car c’est grâce à Jésus Christ qui en se proposant à être crucifié, alors qu’innocent, a réussi ce miracle, en se comparant lui-même (son corps) au « pain » et (son sang, injustement versé) au « vin » - donc sur un point au moins il y a en raison d’à première vue des choses comparables - aussi pour des esprits scientifique comme moi, c’est le génie absolu, puisqu’il arrive à soigner des gens qui sont dans des mauvaises habitudes, simplement grâce à cette comparaison qui n’est pas celle à première vue d’un esprit scientifique, car le corps ou le sang d’une personne n’est pas le pain et/ou le vin, mais en raison de ce à quoi cela va renvoyer comme décision historique objective, aux-à-côtés, donc aux corollaires liés à cette décision auto-sacrificielles de nature salvatrice, donc médicale, cela va marcher (d’autant plus que le pain est [comme] la viande, la chair issue des céréales et que le vin est rouge comme le sang), car Il ne va pas faire semblant de souffrir très injustement dans sa chair et ses os et d’être martyrisé pour éviter à chacun des êtres humains de l’être – donc pour permettre à jamais que chacun connaisse un destin plus heureux – la comparaison qui n’était que subjective et difficilement croyable devient crédible, à l’aune de ce qui advient véritablement : il ne s’agit pas d’une personne faisant semblant de nous proposer, grâce à ce carrefour ou à la Très Sainte Croix, une salvation possible, mais aussi une autonomie et indépendance d’âme (la possibilité de croire à autre chose, la possibilité d’accéder à cette notion de métaphore au sujet de Dieu, bref à ce « comme », car il y a le risque de mort, de ne pas réussir à faire de vieux os et surtout en raison des péchés d’obtenir une réincarnations plus ou moins dans l’un des animaux inférieurs car parasites, non pas comme les supérieurs producteurs, donc apportant[s] un apport qui peut être évalué en bons points à l’Economie de l’Ensemble ce qui explique qu’effectivement ce sont tous les animaux herbivores qui soient les réincarnations qui précèdent celles en êtres humains, les autres n’étant qu’une perte continuelle pour tous étant donné qu’elles ne peuvent s’en sortir qu’en ayant comme un futur bon chien bien élevé à s’interdire de mal faire pour avoir une chance d’accéder de nouveau à l’une des réincarnations précédentes de celles de la condition humaine) – c’est avec Lui la chance en la renaissance de l’individu, en tant qu’être humain particulier disposant d’une relative autonomie et indépendance – bien qu’évidemment dépendant comme chacun d’entre nous tous de tous les autres, mais en ayant sa totale liberté de se référer à des propositions, de consentir ou de refuser à devenir une âme sauvée, c'est-à-dire de pouvoir accéder à la notion d’adulte parachevé, au lieu au contraire de poursuivre dans l’immature, de régressions en involution d’enfants-gâtés adolescents égoïstes menant à l’une ou l’autre des pertes colossales cérébrales qui vont mener ces êtres humains vers l’animal (au mauvais sens de ce mot) au lieu de le mener vers l’ecce homo ou l’homme de Vitruve léonardevincien (soit la condition humaine véritable, celle de l’ingénieur ou du très véritable aArtiste puisqu’elle existe depuis longtemps (déjà à Lascaux) avec l’un ou l’autre des universaux) – soit ce qui s’est produit pour toi au moment de ta naissance, puisque j’ai pu vérifier que tu étais d’avance dans le ciel (donc comme moi trente ans plus loin, ce qui signifie que tu es né en étant déjà au Ciel et donc que tu n’es pas obligé d’aller à l’Ecole ou de te contraindre à y aller avec cette future sœur et ton cousin Anton et Valentine – bien que tu trouveras certainement des choses intéressantes à étudier dans ce qui te sera proposé, ne serait-ce que pour être au courant des vérités relatives dans lesquelles les autres enfants, avec lesquelles peut-être tu as plaisir à jouer, sont – il ne faut pas te forcer, si tu n’as pas plaisir, étant donné qu’il peut arriver qu’on trouve ces jeux ennuyeux, cependant qu’en se forçant à en rechercher la substantifique sève, ou l’origine et à les comprendre dans leur essence, on apprend des choses qu’on pourra transmettre à un plus petit que soi, quand on sera grand – en réalité tu es très handicapé et cela parce que tu est comme cette sœur que j’ai aperçu comme toi, immenssissîme, bien qu’à première vue aussi petit que les autres enfants – ceux-ci ayant la possibilité de grandir ou alors à l’inverse de devenir toujours plus insignifiants de bêtise et d’inepties diverses en involuant et en régressant, car enfant-gâtés, adolescents et égoïstes (d’autant qu’ils auraient eu accès à ces pétrodollars constituant la caisse noire et qu’à cause de cela ils ne font plus que semblant d’être honnête puisqu’ils ne furent que malhonnêtes en nous les dérobant, c’est-à-dire en les dérobant à l’Ensemble pour n’être qu’eux seuls à ‘avoir’ donc en s’excluant à jamais de la possibilité de devenir de véritables frères sauf évidemment en requins, ce qui n’est plus appartenir aux êtres humains pensant, mais à une triste parodie) ayant en horreur les efforts intellectuels permettant d’obtenir la vérité ou cette substantifique sève à propos de chacun des instants admirés ou contemplés dans tous les paramètres éminemment hyper-scientifiques qui les composent chacun – ceci dit c’est difficile à vivre, car on passe alors sa vie comme un scanneur ou un appareil recherchant le défaut pour le réparer ou améliore les modèles – d’où que cela soit agréable de faire des erreurs et même d’en créer artificiellement, ne serait-ce que pour pouvoir en rire – mais évidemment cela n’est possible qu’entre pairs car sinon pour les autres il s’agira de pièges – ce qu’on a appelé vulgairement des « pièges à cons » - pour cela, il suffit de dire une chose incomplète et c’est bien le propre des êtres de sciences exacte que de ne dire que des choses incomplètes, puisqu’ils ne peuvent pas, à chaque fois qu’il parle, devoir ou avoir à rappeler vingt ou trente années d’études scientifiques supérieures hyper-exactes pour expliquer par les milliers de bibliothèques qu’ils ont en mémoire ou simplement quelques livres dignes de crédibilité, la raison de leur résumé en la proposition syntaxique qu’ils ont élaboré ou même du conseil donné à propos du prix du baril de pétrole qui devait être au grand maximum à ce plancher de un centime de dollar le baril – c’est ici que l’ignorant au mauvais sens de ce mot comme au bon doit absolument faire confiance à un tel maître, car ce qu’il affirme n’est pas un mensonge et c’est même ce qui a permis, par exemple, de découvrir les propriété du charbon ou celle d’un autre minerai ou alors une autre solution élégante. Or, ce qui s’est passé en 1975-1977 quand ton arrière grand-père et moi qui étions pharaon avons dit la vérité au sujet du prix du baril de pétrole (qui devait baisser comme nous le recommandions) est ici si grave qu’à cause de ces moins que rien (ce qui est au paroxysme les flatter), des personnes ont du mourir sur le champ de bataille de l’Irak ou/et qu’il a fallu déclencher une guerre pour enfin rétablir la situation seulement vers la fin 2014 ou on a enfin compris grâce aux brouillons de mes textes au Pape et au Président Hollande (au moins mille page à chacun) épiés, pourquoi, en raison de ces écrits, cela était intéressant pour tous de baisser ce prix du baril du pétrole (c’est-à-dire ce que j’avais résumé en 1975-77 en disant qu’il fallait que ce prix du baril de pétrole soit mis à ce centime de dollar le baril comme prix maximal plancher) – c'est-à-dire en ayant fait perdre à ton arrière grand-père pharaon et à ton arrière grand-mère quarante années de vie pour rien, en supplément des cinquante années qu’a. h. « l’empereur » totalement smsm du cerveau inapte à la moindre gouvernance et même à visiblement la moindre chose intelligente leur avait déjà dérobé – pire en les ayant finalement rendu complice contre mon gré véritablement de socialiste car capitaliste et le patron en sciences économiques, ce que j’avais démontré avec ma solution élégante remède sur place en 1975-77, de la pire escroquerie mondiale jamais advenue qui n’a donné à chacune de ces personnes que l’assurance de crédits financiers usurpés [cfu], volés [cfv], malhonnêtes [cfv], sales [cfs] et escroqués[cfé], donc immérités [cfi], ceux de faussaires [cff] et de corrompus [cfc], donc de criminels contre l’humanité (cfcch] au lieu de tous ceux au contraire très véritablement mérités les CFPM (Crédits Financiers Propres et Mérités] et qui profitent au niveau de la santé psychique comme physique puisqu’au contraire de ceux des tricheurs [cft] et des menteurs [cfm] qui vont être à l’origine de chacune des maladies même bénignes, ceux qui ne sont qu’obtenus par des mérites réels, soignent – d’où que cela signifie que depuis que tu es né comme ta sœur, tous te doivent réparation, comme déjà tous devaient réparation financière à tes tantes et tes oncles s’étant incarnés comme toi, pour n[V]ous aider à sauver la situation sur cette planète et à conserver l’empire du pharaon étant après toi et pour lequel déjà tu travail [comme] en esclave – au bon sens de ce mot ici- soumis, puisqu’il y a le suivant et ainsi de suite jusqu’à l’infini – tous sachant que tu ne serais jamais né sans que le Sacrifice réussisse (ça c’est important car ça signifie que tu es totalement innocent de ce qui s’est passé avant ta naissance exactement comme moi – qui a pourtant eu tout à payer car on a cru un temps – qui hélas a duré longtemps - peut-être que j’étais coupable – ce qui fut ici une injustice au moins aussi crucifiante que celle qu’on fit à Jésus-Christ) – donc que tu n’es coupable de rien et que tu as tous les droits de faire ce que tu crois bon avec cette sœur (qui à l’heure actuelle est certainement née quelque part) et Anton et s’il a des frère et des sœurs, tes cousins germains – je te donnerai les noms d’enfants qui furent autrement que toi prévus sur trente années seulement (alors que toi au moins quarante ans avant) – ils sont en cela promis à être tes vassaux, donc tes serviteurs étant dans la même certitude que tu es en ton absolue légitimité (en tant que patron) – cependant que si tu as un petit frère ou une petite sœur dernière après toi, il est vérifié qu’il est encore plus patron que toi, si seulement il se comporte avec sagesse et non en enfant-gâté, ce à quoi tu dois toujours veiller, car les derniers ont tendance à se croire tout permis, surtout les plus petits, puisqu’ils savent qu’ils peuvent compter sur les plus grands, s’il s’agit de chevaliers véritables et de princesses charmantes, pour être défendus – tandis que sinon, il ne  s’agira que de faussaires en tant qu’aînés. En effet, un petit c’est toujours uniquement et seulement continuellement handicapé, mais moins dès qu’il a trouvé plus petit que lui, d’où qu’il se met à considérer qu’il est au moins aussi avancé que son père ou son grand frère et cela l’inspire à n’être que très brillant ou le premier en classe, ce qui sera une chose qu’il ne devra qu’au dernier. En effet, il est devenu aussi consciencieux ou encore plus que son père au point que celui-ci fait alors confiance à cet ainé pour élever à sa place les petits et c’est en cela qu’un aîné ou une aînée est [comme] une maman ou un papa – sauf quand ils sont autant dans l’erreur que ce père ou cette mère, ce qui est alors le désespoir absolu de tous les derniers de famille – le voilà à ne se conformer qu’aux recommandations reçues et à ne pas être un esprit-libre – d’où le conflit entre l’aîné et le dernier, mais cela se résout toujours et ne concernera que les derniers et les premiers qui doivent passer par l’adolescence, les autres sont « en parenté de plaisanterie », donc se comprennent cinq sur cinq et se font normalement confiance totalement , au point que ce seront tous les frères et sœurs, entre le dernier et le premier, qui posent problèmes – c’est eux qui sont difficile à élever et à caser – de plus ils vont s’ingénier pour agacer l’aîné et agacer le dernier – mais évidemment, il y a parmi eux des aînés même situés après l’aîné – il y a de nombreux cas ou cela advient et si momentanément un second de famille a eu une adolescence, en quittant sa place de second aîné pour ne devenir qu’un chien, cela n’est qu’une histoire de temps ou d’années pour que cette personne retrouve son statut – il y a eu un malentendu à un moment donné et on en a voulu à l’aîné ou alors au cadet, toujours très injustement – mais peut-être à partir d’un fait ou de choses qui à première vue étaient effectivement contestables pour des enfants, ne recherchant pas totalement la lumière sur la notion de fait, de causalité, c’est à dire les raison de l’effet, ce fait – ce ne seront donc que des études très exigeantes envers soi-même qui permettront d’analyser plus justement les scènes dont on a été témoin dans chacune des familles d’accueil pour éviter d’être dans l’erreur que génèrent les à premier vues ou à premier entendu – c’est ce qui permet à l’intérieur du discours de chacun de déterminer dans laquelle des catégories est située chacune des propositions émises – cela va permettre, grâce en général au commentaire de celui qui analyse les propos, de ranger chacune des ces propositions dans le bon tiroir – c’est à dire dans la bonne catégorie – tout ce qui est objectif et vrai ou scientifiquement exacte dans cette tranche/tiroir/catégorie et tout ce qui relève du subjectif, de ce qui n’est pas certain, dans ces catégories qui se subdivisent en de nombreuses autres, tout comme les premières exactes – mais il y aura des degrés d’exactitude qui plus on monte vers la notion de Dieu ou de Grand Architecte de l’Univers plus sont impossibles au commun des mortels – ce sont d’autres mathématiques qui sont alors maîtrisées par des esprits supérieurs et une personne affirmant une chose localement sera pratiquement toujours dans l’erreur donc loin de la Vérité ou même des vérités relatives – d’où l’énorme fossé qui existe ou ce « V » qui prévient dans le mot lui-même de Yahvé que rejoindre le Paradis est comme réussir à monter en escalade en partant d’un sol très bas (au fond de l’abîme au milieu de ce ‘V’) : d’où la nécessité de se confrontée périodiquement à une montée à pied : la recherche de la montagne, de cette petite victoire qui est d’arriver sur le point culminant – là où normalement il y a une vue vers une autre vallée, une autre terre, au sens de géographique et géologique – tu as la chance pour cela d’avoir un grand-père qui est parmi les très bons alpinistes et j’ai pu vérifier quand j’étais malade qu’il savait aussi bien lire une carte que moi quand j’allais bien – d’où que si tu pars avec lui faire de la montagne, je puis t’assurer qu’il va t’apprendre des choses admirables – il a appris à comprendre une carte et donc à prévoir chacune des difficultés que tu auras à surmonter durant la promenade – pour ce qui est du roc du Suquett, c’est de la montagne à brebis, rien de bien dur ou exceptionnel par rapport aux Alpes ou à l’Himalaya, donc du très facile, mais il faudra que tu m’aides à retrouver le chemin que j’avais trouvé enfant pour arriver au sommet – il n’était pas marqué sur les cartes d’alors, mais nous l’avions trouvé grâce à un ingénieur des mines dont la maison est à cours-le-bas – c’est là-bas que nous avons installé avec ta grande Bonne Maman – pas Floreance mais sa maman, ma mère, nôtre quartier général d’été dans une petite maison louée l’été par la nièce d’une bergère admirable et qui s’appelle Eva tandis que nous allions restaurer cette bergerie à Cours-le-haut – elle fait des fromageons et une eau de vie qu’elle appelle un alcool de noix – c’est elle qui connaît les chemins pour aller aux Petits pieds – mais on le retrouvera ensemble, si tu veux et on ira méditer sur les millénaires passés entre l’époque où ces ancêtres vivaient pieds nus peut-être même sans une bergerie pour se protéger des intempéries et nôtre époque hyper-electronisées et hyperissimissîmes précise puisque tu es né comme je l’avais annoncé à ton arrière grand-père le pharaon de l’Angles qui sur la photographie n’est pas peu fier de toi. En effet, Lui et moi on a amélioré les chaussures au point d’y mettre des pneus et de l’air, voire des ressorts, comme j’ai eu l’idée dernièrement pour accumuler de l’électricité de façon à y brancher des clés USB ou même des tee-shirt psychédéliques pour réussir à encore mieux draguer (quand on est jeune on aime bien avoir plusieurs fiancées (tant qu’on n’a pas trouvée celle qui vous convient sur le long terme et qui pourra avoir les enfants qu’on aimerait élever, une fois qu’on dispose de moyens financiers propres et mérités pour financer leurs études – ce qui peut durer longtemps avec l’un ou l’autre d’entre eux) dans une boîte de nuit (ou au cours d’une soirée – on fait alors de la publicité pour une marque de vêtement[s] que plusieurs autres personnes vont peut-être avoir envie d’acheter à leur tour – évidement, c’est quand on a un nom de famille propre et exemplaire ou sans tâche qu’on va ainsi donner envie à d’autres de porter les choses qu’on a trouvées admirables ou d’un bon rapport qualité-prix – aussi à ce moment-là, tous les souverains travaillent pour le dieu Hermès – cela fait parti d’une sorte de contrat à l’amiable qu’ils ont avec Zeus – de rechercher à s’habiller d’une façon qui puisse permettre localement le développement d’une industrie du vêtement et/ou les exportations des marques ou des griffes {[- c’est le mot qu’emploient les chats comme synonyme (ils préfèrent, mais parfois ils disent ‘marques’ pour se faire passer pour des connaisseurs, donc des commerçants – alors que loubards, ils mettent sur leur museaux le masque des honnêtes gens, ils disent alors « marque » tandis que les honnêtes gens par discrétion, et pour se faire passer au moins un peu pour des loubards (et pour éviter de leur donner des complexes) disent ‘griffe’ – d’où que tu comprendras ici le problème : que les malentendus ont fleuri et ont été généré en quantité astronomique au point qu’on ne savait plus qui était honnête de qui était malhonnête -[(car il y a plusieurs autre mots dans bien d’autres cas qu’il n’y a à ce sujet pour les connaître tous que les loubards car ils ont eux seuls à cœur de se faire passer pour des gens honnêtes, car de nombreux honnêtes gens y avait renoncé, sachant que celle-ci, l’honnêteté, n’appartient qu’à Dieu seul, puisqu’ils ont bien compris que quoi qu’ils faisaient au cours des siècles passés – sauf évidemment quand ils se comportaient bien - ils pèchaient)]- ou même que grâce à la connaissance du vocabulaire de l’autre camp (comme des manières espionnées) de ce que de nombreux gens totalement incompétents (des faussaires) ont, en réussissant à faire illusion, réussi à s’infiltrer dans des organisations des gens compétents, au point que celles-ci ont souvent sombré – ils se font passés pour savants alors qu’ils ne le sont pas et font donc semblant]} – même les plus innovantes ou les mieux encadrées socialement par d’excellent patrons – genre monsieur Madeleine – il y a eu par exemple Adidas et d’autres marques de sport, car c’est ici que cela est important pour les jeunes – en effet, les vêtements sports sont ceux qu’on aimerait porter toujours, car ce sont ceux qui permettent les promenades et d’être à l’aise, cependant que les activités citadines ne permettent pas toujours de les porter autrement que chez soi ou alors en pratiquant le sport en question – il y a donc les autres vêtements – mais ta mère et ton père vont t’expliquer mieux que moi ce qu’est le conformisme, car ta grand-mère et ta Bonne maman savent très bien ce qu’il vous faut porter – tandis que moi, je me remet de plusieurs années où je ne savais plus et où je me suis habillé longtemps plus ou moins en Arlequin – car je ne trouvais pas/plus important de savoir pourquoi s’habiller – aussi je me suis conformé, sans plus ni chercher à comprendre ni remettre en question cette notion de mode et comme j’ai un faible pour les vêtements de sport en raison du confort qu’ils procurent, je me suis habillé toujours en sportif, avec des polos à manche courte (car je les trouvais plus agréable à porter que les chemises à manche longues) au point que j’ai lancé la mode des baskettes noires, ce qui est scandaleux, car historiquement elles n’avaient été que conçues pour n’être que blanches y compris en tennis – par exemple c’est moi qui est eu l’idée des Stan Smith noires de chez Adidas (on me doit des royalties sur chacune des paires vendues)– évidemment cela a fait scandale, mais cela a marché du tonnerre de Dieu (c’est que durant cette période où j’étais amnésique, au bout d’un certain temps, j’ai recommencé à avoir des idées géniales, parce que je me suis remis à aimer sans faire semblant et je ne savais pas que je l’avais été ni que j’étais considéré par le Vatican pour ce mot :’Dieu‘). En fait je trouvais simplement plus confortable ces chaussures de sport à celle dites de ville – et c’est pourquoi déjà enfant, je ne voulais pas les retirer à l’école pour les chaussures de « bureau », estimant que les progrès scientifiques avaient été faits dans la qualité de confort de ces chaussures de sport, tandis que dans les chaussures traditionnelles à lacet et même-pa- à scratch, on était parfois un peu gêné d’autant plus du bruit des talons . J’aime spécialement les gens qui ne sont pas bruyant, mais je comprends que des personnes aient besoin, par courtoisie, d’annoncer leur arrivée en faisant du tapage avec leur pied (ça contraint à les éviter et à passer le plus au large – il y a ici une autre façon de voir cela : comme de la provoque et dans le temps ça rappelait qu’au besoin l’agresseur (en général dont les chaussures ne se font pas entendre car il doit attaquer par derrière en lâche) pourrait, le cas échéant, tâter du bois de ce sabot ou du talon de ces chaussures plus bruyantes). En mettant un ressort dans leur talon cela devrait permettre à un petit accumulateur d’électricité d’être toujours chargé en cas de panne ou de manque d’électricité – une petite réserve en plus qui permet de faire fonctionner des feux de position (ce qui peut être intimidant, car prévenant : je suis arrêté ou alors le contraire je marche – il y a parfois des bandes fluorescentes aussi qui remplacent un peu la nécessité de ces diodes). En effet, il y a des automobilistes qui sont fous, au mauvais sens de ce mot, et qui ont cru possible écraser des gens, en prétendant ensuite qu’ils ne les ont pas discerné (alors qu’ils roulaient) dans l’obscurité de la nuit, malgré les phares ou les feux de leurs véhicules. Aussi cela rassurera les mamans et les papas que de savoir qu’une petite lumière, comme celle d’un vélo autour de la partie fluorescente, et qu’une dynamo, avec les ressorts, produit le courant et permet d’éviter ce malheur qui évitera de mettre en prison pour longtemps ou de punir à d’innombrables efforts à devoir accomplir, si cette personne de mauvaise foi, refuse de reconnaître ses torts, en contraignant des assurances à devoir s’endetter pendant des centaines d’années pour aider la personne handicapée à cause de leur état de fou-au-volant ou peut-être de personnes ayant cru possible de conduire en ayant trop bu (état d’ébriété) et sous prétexte qu’ils seraient assurés-tout-risque s’amuser à des jeux qui sont absolument interdits par la part un tantinet intelligente d’eux-mêmes ayant veillé (y compris dans le code de la route) à les interdire pour éviter qu’on ne fasse à eux-mêmes ce genre de saletés qui sont qui plus est des crimes – aussi croire possible les faire subir à autrui est ce qui ne fera jamais de cette personne que l’ennemi du genre humain tout entier étant donné que la moindre personne un tantinet censée évidemment se l’interdit y compris vis-à-vis d’un animal qui serait le long de la route – il appartient à tous de faire comprendre qu’en pareil cas de malveillance, l’assurance en question ne jouera pas et que cette personne aura à payer pour tous les dommages qu’elle a causé avec cette mauvaise intention de profiter à première vue d’une situation de dominant comme de l’existence des assurances pour s’offrir des amusements qui ne peuvent en aucun cas être considéré comme des amusements licites (foncer sur une personne qui est entrain de marcher le long de la route ou même qui traverse la rue (alors qu’elle n’est pas protégée par une carrosserie autour d’elle, donc qu’elle est dans une situation d’infériorité et de danger par rapport à ceux qui sont à l’intérieur de leur automobile) est réellement un crime odieux, celui d’enfant-gâtés inconscients et irresponsables par conséquent qui n’avaient pas le droit de conduire une automobile pour être les auteurs de ce genre de situation et c’est pourquoi ils doivent comprendre en obtenant l’examen du code la raison pour laquelle un passant ou un piéton est toujours prioritaire, puisqu’il n’est pas protégé contre le métal) – cet « amusement » n’est qu’une illusion mensongère car une pareille intention ne peut-être que celle de devenus intellectuellement des moins encore intéressants que des microbes, donc des minables qui contraignent d’autres parents à être continuellement morts d’inquiétude quand leurs enfants ne sont pas rentrés et à devoir veiller à ce que leurs enfants qui sortent de nuit disposent de ce lumignon, car ils savent le danger que leurs enfants courent. Evidemment il y a une très faible probabilité car il faut vraiment que la personne pour foncer sur un passant soit devenue folle, au mauvais sens de ce mot, pour être capable de trouver drôle de tuer un passant. Mais hélas cet état d’esprit existe (dans les degrés de folie qui peuvent toucher l’un ou l’autre de ces adolescents-enfants-gâtés et égoïstes, au mauvais sens de ces mots comme ceux décrits dans Orange Mécanique de SAI SSS les Lord. Stanley Kubrick)  d’autant plus que certains automobilistes oublient que le passant pédestre est toujours prioritaire comme l’animal sur le bas-côté, puisqu’il ne dispose pas de carapace ou de carrosserie pour se protéger – c’est un des articles du code de la route qui est si juste qu’on comprenne pourquoi on ait à l’étudier, comme aussi à passer cet examen qui en raison de l’évidence de l’explication ne peut que s’obtenir facilement (puisqu’il ne s’agit que d’être logique par rapport à ses propres droits qu’on est contraint de reconnaître aux autres si on veut apprendre à bien se conduire) – dès qu’une personne pose le pied au-delà du marchepieds ou des trottoirs pour traverser, elle est prioritaire toujours y compris sur un tank -[(ce qui explique pourquoi le jeune homme sur la place Tienanmen en Chine n’a pas été écrasé – le conducteur du char étant respectueux des priorités et en cela au moins général (par rapport à d’autres Lontarin qui auraient cru possible poursuivre), en tout cas digne de ce qu’on lui ait confié ce char – il n’est fait, en réalité, que pour tirer sur un autre char ou contre au moins l’équivalent qui menacerait – ce qu’une personne seule et désarmée qui plus est, n’est pas ([une menace]) – ce qui explique pourquoi ceux qui frappent et qui appartiennent à la police de l’ordre n’ont pas le droit de le faire, si devant eux ceux qui manifestent n’ont pas d’armes à feu – ils sont donc payés pour protéger ceux qui sont dans leur mandat politique (eux aussi scenscés (censé+sensé = scenscé) être désarmés puisqu’ils prétendent se conduire civilement), donc pour recevoir le cas échéant des coups à la place comme, en réalité, des gardes-du corps – rien de plus (en ces moments-là) – d’où que cela explique les boucliers et si ils reçoivent des coups alors choisir selon la situation d’en rendre ou au contraire de les encaisser car protégés par ces boucliers, alors que les autres sans – évidemment, s’il y a parmi les manifestants des gens qui ont des chaînes pour casser, c’est autre chose – mais tant qu’il s’agit de défilés pacifiques, on ne peut jamais frapper, car cela signifie qu’il y a un sujet ou un véritable problème qu’il va falloir résoudre – ce qui est aujourd’hui beaucoup plus possible avec les forum sur Internet, au point qu’ils devraient même éviter les défilés ou les manifestations, puisqu’il est possible démocratiquement de résoudre chacun des problèmes, en les énonçant et en comptant sur plus intelligent que soi-même pour les résoudre – ce qui n’est rarement chez les fonctionnaires assurés de leurs salaires que seulement s’ils appartiennent aux honnêtes gens, les autres ne faisant qu’escroquer l’Ensemble – aussi les solutions élégantes sont souvent chez des gens qui ne sont pas spécialistes d’une question, en raison qu’ils adaptent des façons qu’ils ont de résoudre des problèmes à l’intérieur de la catégorie dans laquelle ils sont spécialistes aux autres catégories, en créant des équivalences ou en se référant à des paramètres que les gens ayant eu le problème ne connaissaient pas)]- ou un véhicule militaire ou n’importe lequel des camions -[: en effet, il peut s’agir d’une urgence et la personne qui traverse n’importe où n’étant pas carrossée (devenue carrosse : caparaçonnée) doit être rendue certaine par les automobilistes qu’elle ne risquera rien en traversant – donc ils s’arrêtent ou décélèrent pour laisser passer cette personne qui a jugé possible de prendre le risque de traverser, peut-être même à un endroit interdit (autoroute, périphérique ou n’importe où – il y a forcément une bonne raison pour laquelle cette personne fait une chose rare et prend un tel risque – elle ne le fait pas seulement pour braver un conseil à ne pas le faire – elle est dans une situation handicapée pour/par un paramètre ou un autre que cette personne qui traverse connait lui-seul (voire une personne ou une autre dans la confidence) à ce moment-là – il appartient à ceux qui, de toute façon vont plus rapidement qu’elle, puisque motorisés donc caparaçonnés, de lever le pied de l’accélérateur et de ne pas faire comme certains [faux] suisses qui sont la honte du genre humain, parce qu’ils se croient dans leur droit : d’accélérer, pour faire peur à cette personne qui, de leur point de vue, n’avait pas le droit – ceux-ci appartiennent aux Lontarins et qui plus est sont dans l’oubli que l’être humain est celui qui, en se donnant du mal pour étudier, a trouvé la solution élégante du véhicule qu’ils conduisent – donc qu’ils n’ont pas le droit d’y porter atteinte d’autant plus que sans grandes protections équivalentes, donc en situation de faiblesse, ce qui interdit de profiter de sa position dominante, car cela devient un abus dans cette catégorie de position dominante ou/et privilégiée sur celui qui est encore ce piéton, donc virtuellement au moins [comme] Dieu ou l’un de ceux qui en étudiant les sciences de Dieu lui ont procuré cet instrument, cet outil, le véhicule qu’il a la chance de conduire confortablement assis, roulant alors que l’autre dans les difficultés de piétons)]- ou alors pour marcher dans la rue, en étant sûr d’être repéré par des automobilistes, ou alors pour permettre à l’autre de bénéficier du torse pour présenter des images (voire animées) quand on n’arrive pas avec les mots à se faire comprendre (aussi on prépare chez soi les images ou les plans à présenter ou qu’on veut donner à découvrir à une personne sur l’écran que va former le tee-shirt et ça peut être même une vidéo (aussi ce sera surtout employé par les garçons, cependant que très certainement les filles vont se servir de cela pour t’attirer dans leur piège (puisque cela peut permettre d’habiller ou même d’éclairer leurs appâts, c’est à dire leur seins [en extrapolant et en se référant ici à ce mot entendu quand nous étions petits, donc par extension – mais d’autres prétendront que c’est l’origine du mot, cependant que c’est un vocabulaire de pêche (ce qui sous-entend l’hameçon donc de t’attirer dans un piège quand le mot en question est employé), ce que tu découvriras en allant taquiner la truite avec moi, dans les gouffres du Casselouvres, si tu as envie de manger de bonnes choses (attention avec moi, parfois je suis contraint dans une ou l’autre des situations d’employer des anti-phrases – d’habitude on les déduit quand on me connait) – c’est vrai et en même temps faux, mais c’est vrai par rapport à l’époque des Petits-pieds qui sont la trace de nos ancêtre dans les pierres, il y a plusieurs milliers d’années – évidemment de leur point de vue, se serait bête de ne pas trouver bon, ce que le génie de l’un d’entre eux a réussi à apprendre aux autres à faire : appâter et obtenir un bon poisson à cuire au feu de bois dans la cheminée – ils n’ont pas fait d’études, en ces temps préhistoriques, pour mesurer la portée de leurs actes, à l’aune des innovations ou en liaison avec le nombre d’alternatives proposées et/ou même tous les paramètres existants pour savoir si la vérité relative qu’il découvre est véritable en absolue, donc bonne ou seulement momentanément bonne, donc relativement bonne seulement – aussi ils sont rapidement dans la préservation de la tradition de la pêche et ne mesurent pas encore ce que tous gagneraient à ce que personne n’inquiète cette truite en ce qu’un très grand compositeur comme SAI SSS les Lord. Schubert a compris – aussi tu verras qu’on ira peut-être avec des caméras sous-marines toi et moi pour les enregistrer – donc à la pêche aux images (au moins cet animal demeure ainsi autrement capturé vivant), comme on ira à la chasse aux images de sangliers , mais on ne va pas interdire, ni toi ni moi, que d’autres que nous pêches ou d’autres que nous chassent les sangliers durant les jours autorisés, car personnellement j’aime bien pécher et je crois que j’aimerai bien chasser, mais comme je trouve plus joli que ces animaux soient en vie, je me l’interdis et donc je mange des légumes et des alternatives qui sont des solutions élégantes de remplacement – c’est peut-être parce que j’appartiens à la génération télévision qui a bénéficié de nombreux documentaires sur les animaux – aussi je me dis que le film aurait pu continuer sur chacun d’entre eux et qu’ils ont d’une certaine manière des droits d’acteur (puisque ces moments enregistrés deviennent de [possibles] référents) – d’où que cela ne me parait plus juste d’avoir à la fois les images merveilleuses où ils sont admirables et bien vivants et de l’autre côté (à l’inverse) alors qu’ils y a toutes  les alternatives les meilleures pour la santé de chacun, ces animaux devenus des accrochés, tués, chez les bouchers – il y a ici [comme] une incohérence qui permet de comprendre que les êtres humains sont en cela sans logique, car ils n’ont pas voulu faire encore le choix à ce sujet (ou la mise à jour qui s’imposait par voie de conséquence) entre d’un côté la passion pour la télévision et donc ces documentaires animaliers (par ailleurs) et de l’autre côté, le refus de cette tradition qui remonte à l’époque où ces alternatives alimentaires étaient moins connues et moins nombreuses qu’à nôtre époque, donc appartenant à une époque où cela n’existait pas encore de donner à voir et à connaître la vie d’animaux en particulier, c'est-à-dire comme des personnages ou des âmes accessibles attachantes dès le moment du visionnage – tant qu’on ne connaissait rien de ce qui fait la vie d’un animal, on peut à la rigueur admettre de le pécher, mais quand à son sujet il commence à y avoir des bibliothèques entières d’œuvre d’aArt ou d’informations instructives sur divers plans ou niveaux, on se dit qu’il faut choisir entre tradition d’un côté et modernité ou mise à jour de l’autre : enfin tenir compte des droits de l’animal en tant qu’âme – cependant, si tu veux pêcher un poisson, je t’apprendrais comment le faire, car je suis particulièrement doué et enfant j’en avais attrapé plus que tous les anciens et même que celui qui était celui qui m’avait appris à ne pas les louper – cependant que je savais que je n’aimais pas ça – mais on s’est régalé au dîner et maman a fait des économies – cela a même remboursé ma canne à pêche et les coûts de la License annuelle – c’est que j’ai bien appris cela d’un type épatant qui s’appelle monsieur Espitalier qui était pêcheur et très bon marcheur – il m’a expliqué une fois, et puis j’ai appliqué sa méthode et elle a marché à tous les coups – c’est deux ou trois choses qu’il faut ne pas oublier et qui sont entrain de me revenir en tête, car je suis en même temps que j’écrit entrain de planer comme un aigle, au dessous des gorges du Casselouvres que j’entrevois avec ces gouffres et mes souvenirs à la Pagnol, entre mon clavier sur lequel mes doigts courent et mes yeux, comme si ceux-ci avaient projeté des images déduites par extrapolation de ces diverses randonnées de pêcheurs amateurs – en effet, on mémorise les lieux par lesquels on a dû passer. Ensuite il n’y a plus qu’à fonctionner comme un logiciel 3D et créer dans sa tête par extrapolation ces paysages ou ces décors vus autrement – le logiciel 3 D n’est qu’une des facultés dont l’être humain est pourvu normalement avant d’avoir détérioré son cerveau comme tous ceux qui en involuant et en régressant ne sont plus capable d’imaginer ces décors ou de déduire d’après un plan la réalité en 3D]) – évidemment pour toi c’est une chose archi-normale et pour le pharaon suivant encore plus normal, tandis qu’à nôtre époque, ce n’est pas encore normal et même ce ne sont que les plus avancés qui sont habillés avec ces gadgets, en sachant les utiliser fastoche (facilement) – évidement les anciens vont râler et dire qu’on n’a pas besoin de ça (ils ont toujours été aussi bête, y compris à l’époque des premières télés noires et blancs – ça a été pareil pour celle en couleur et dernièrement pour Internet (LaurYnet, c’est synonyme – c’est pour qu’on puisse se moquer de moi – tiens v’là laurYnet – sinon c’est granierYnet – ça fait dinette pour les ours en peluche ou les poupées)  – dès que j’ai une idée, ils râlent, car ils savent d’avance que ça va être du « tonnerre de Dieu » – donc que ça va marcher et que tous les enfants voudront l’obtenir, car ils sont comme moi, ils aiment les gadgets (ça rime avec dinette), par conséquent tout ce qui est en réalité inutile pour les véritables sages – ce qui signifie que je suis encore plus sage que les véritables sages, puisque j’aime ce qui n’est pas sage (ce qui créaient des gadgets, les Géotrouvetou) – mais il se pourrait que depuis 1975-77, il y ait deux ou trois sages qui se soient mis à aimer les gadgets aussi, au point qu’il y a des anciens qui aiment déjà à nôtre époque travailler avec un ordinateur (ceux qui ont soixante dix ans et qui ont beaucoup de mérite de s’y être mis et même de publier dans des blogs) – mais ils le doivent aux petits qui ont trouvé normal de s’y mettre et qui leur ont montré que c’est hyper facile) (]) - Cela se place pour rappeler qu'une parenthèse a été ouverte beaucoup plus haut quand à l'intérieur de celle-ci, il y en a de nombreuses (donc qu'il faudra se référer à la première ouverte). En fait quand on ne peut pas utiliser les couleurs pour signaler le début de cette parenthèse et la fin, ce que j'ai démontré et créé ailleurs. Donc après la dernière parenthèse, se référant à la première. D'où : ) (]) (je me suis d’abord confié à ma page face book (quand j’ai trouvé cette solution élégante), d’où le grisé, car il s’agit d’un copier/coller) en raison de la lumière émise par les diodes ou écrans plats sur ces textiles) prenant des décisions libres, créatrices, même si difficiles ou exigeantes et en cela l’aArtiste, d’autant plus que contre une certaine vétusté de l’ordre établi, ne tenant pas compte des mises à jour périodiques à faire ou de la nécessité d’intégrer les solutions les plus élégantes trouvées (souvent au départ de celles-ci, dans d’autres langues maternelles que la sienne) – soit ce que recherche chacun des aArtistes véritables : une autre façon, une autre voie, une façon différente d’avancer (l’alternative, la solution élégante), de l’originalité et de la nouveauté – ce qui peut faire [parfois] scandale quand l’arrivée d’une nouveauté n’est pas préparée à l’avance, soigneusement : en effet, réussir à modifier les règles du jeu localement pour d’infiniment bien meilleures (pour tous à plus ou moins long terme, ce qui ne sera qu’une étape vers d’autres encore meilleures), n’est jamais chose aisées, puisque chacun s’est ou était « habitué » (par conséquent n’est plus que souvent « accroché » (conservateur, au mauvais sens de ce mot et non au bon – donc devenu à son insu plus ou moins capitaine Crochet – soit l’handicapé qui cherche à profiter d’un instrument dont il est le seul à disposer en raison de son handicape : ce crochet de boucher – ou la salle des machine – ce qui revient au même au niveau métaphorique – pour en définitive ne s’en servir que contre les forces de la très véritable lumière : celle des véritables enfants et de l’innocence ou contre la pureté, donc contre tout ce qui pourrait améliorer la condition humaine, puisque de ces principes n’a découlé que toutes les sources les plus véritables de richesses spirituelles, ce qui ne peut venir que de ceux qui sont dépourvus de cet instrument d’handicapé, puisque celui-ci ne conserve que dans des préjugés dont la moindre logique un tantinet rationnelle démontrera qu’il ne s’agit que de ceux de devenus malades, faunes, satyres ou centaures (ou ogresses chez les jeunes filles) comme j’eus à le démontrer – cela a évidemment pour origine la transmission de cette salle des machines sur la base très certainement de principes anciens (qui ne tiennent pas compte de tous les paramètres sans exception qui permettent d’approcher les sciences de Dieu, soit toutes celles les plus rationnelles et objectives, c'est-à-dire d’avance sans un électron d’erreur dans tous les temps sur n’importe lequel des sujets – donc une transmission de ce crochet qui est advenue sur des bases faussées, en raison du comportement alimentaire faussé ou ne tenant pas compte du processus des réincarnations, ce qui a rendu plus ou moins l’ensemble des occidentaux incohérents (donc comme fous, au bon comme au mauvais sens de ce mot, mais aucunement sages, c'est-à-dire uniquement omniscients ou plein de savoirs hyper-exactes, permettant d’être cohérent, c'est-à-dire en cela enfin apte au service du prochain – au contraire cette salle des machines a été utilisée en âmes devenus chacune nuisible à toutes celles de l’Ensemble, donc à elles-mêmes pour commencer, ce qui a mené chacun de ceux qui y a eu accès à régresser ou à involuer et donc à être hostile à l’ontologie de l’être humain qui n’est depuis la première enfance qu’à rechercher, au contraire, le très véritable progrès, l’utilité, donc l’Evolution) puisque le résultat n’est qu’aussi infraternel vis-à-vis d’être humain qui ne sont que siècle après siècle qu’à uniquement donner des preuves partout de ce qu’est la très véritable fraternité des personnes les plus doctes et les plus évoluées, en attestent ici leurs œuvres incommensurablement géniales dans chacune des disciplines des sciences d’Osiris et d’Isis, un en Horus), donc l’objet de ces nombreux préjugés qui se sont traduits dans les différents cerveaux de ces personnes comme ces minuscules crochets (ou des points de liaison, peut-être comme de minuscules carrefours, endommagés) qui affectent les liaisons entre les neurones et les synapses et cela pour chacun des péchés commis (c'est-à-dire chacune des actions préjudiciables vis-à-vis de l’Ensemble), donc des erreurs, en réduisant d’autant toutes les capacités cérébrales de départ (infinies et couvrant tous les champs possibles sans exceptions, dans la génialité la plus absolue – ce qui est effectivement le cas, une fois qu’on a réussi à réparer, à force de travaux incommensurablement difficiles ou les plus difficilissimissîmes, chacune de ces microscopiques connexions – ce que j’eus à démontrer, c’est possible) puisque l’être humain véritable n’est qu’ingénieur/x très véritable, donc concepteur de machines complexes qui fonctionnent, multidimensionnelles, à effets divers et conséquences bénéfiques innombrables, chacune d’elle ayant été conçue grâce au Saint-Esprit (y compris les plus terrifiantes) en légitime défense des sciences elles-mêmes, ne faisant qu’un avec la notion de Saint-Esprit, de Conscience, de Vérité et par conséquent d’Etat (quand évidemment, celui-ci n’est servi que par des personnes d’une probité intellectuelle absolue) et très exactement sans erreur – d’où qu’il n’y a aucun intérêt et même tout le contraire à rechercher à créer des erreurs ou à s’ingénier à se créer des erreurs ou des fautes à commettre, qui plus est artificiellement (par conséquent ayant été ici le jouet de tous ceux qui ne sont plus que dans le mensonge et par conséquent à la source même de chacune des maladies qui les auto-détruirons en leur faisant obtenir les réincarnations involuantes [et] qui résultent de régressions déshonorantes - c'est un très mauvais calcul qui affectera chacun de ceux qui se réjouissent d'une erreur de l'autre) et en cela c'est aussi génial que celui qui invente le casse-noisette, au lieu de continuer à se servir d'un pavé ou d'un gros caillou pour ouvrir ces alternatives aux céréales, tous adoptent [la nécessité ou l’utilité] du casse-noisette ou du stylographe ou de la pointe bille, en sachant d’avance que c’est une étape vers un système qui pourra les ouvrir en série. En effet, une sorte de dossier à été ouvert à ce sujet pour l’évolution de cette première alternative, ce qui d’avance signifie toujours – à l’aune du processus historique ayant concerné tous les objets – qu’il y aura d’autres alternatives, d’autres étapes – de même que ce texte, reprend un texte précédemment envoyé et le complète un peu en sachant d’avance qu’à la fin ou au cours d’un nouveau début, se situant plus loin dans le temps, il pourrait avoir, finalement des millions de milliards de pages – c’est le temps que nous avons sur chacun des dossiers qui limite celui-ci à la forme ou au peu qu’il représente en définitive – cependant que parfois dans ce peu, à première vue ainsi plus ou moins toujours condensé et/ou résumé, il y a plusieurs milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de Très Grandes Bibliothèques remplies de disques durs de très grandes capacités de faits et gestes, mais aussi de paysages ou de nuages ou de points sur lesquels on a zoomé, [donc] de mémorisés, ce qui porte alors le nom simplificateur de Très Très Grande Bibliothèque (puisqu’il y en a autant) de la même façon que chacun des individu porte le nom et prénom qu’il a, c'est-à-dire quelques lettres (qui pourraient même contenir des chiffres) résumant (tout comme chacun des mots signifie leur définition – elle-même un résumé succinct) un contenu qui est virtuellement (j’exagère à dessein, car agacé – on songeant à tous ceux qui se sont permis de tuer de telles merveille, les êtres humains qui étaient ces bibliothèques) des milliards de milliards de milliards et à l’infini de fois plus encore que ces Très Grandes Bibliothèques, pour peu que celui-ci se souvienne et donc ait réussi à réparer sa mémoire endommagée, ce qui visiblement affecta tous ceux qui crurent possible de tels sacrilèges)]-.

On peut donc transmettre les savoirs de façon plus ludique et comme on me doit cette amélioration pédagogique car j’en ai transmis la faisabilité en lançant des collaborations interdisciplinaires, on devait à l’occasion de ta naissance (ce qu’on aurait dû aussi à l’occasion de la mienne en 1963 car je m’étais annoncé avant même de naître – peut-être en raison de l’existence de ce sarcophage concernant les empereurs) te dévoiler la vision d’Atlantide car tous auraient dû se réjouir et à cause de cela faire fonctionner le [Très] Grand Variateur (le [T]GV) et montrer la vision {[Laurie Granier …] d’Atlantide [… Lang d’[R]Ôz/eau…/w/y/s]} des admirables révélations artistiques sur toutes les parois, à premièrevues de couleur uniforme (ou d’un seule teinte, monochromes, soit ce qui est donné à faire au débutant avec un pinceau, c’est-à-dire au travailleur manuel non encore assez intellectuel, mais en tout cas déjà/encore capable de reproduire par mimétisme, ce qui l’affecte à cause de cela à la série, c’est-à-dire à un des béa-ba du l’histoire du travail : la répétition en lui assurant ainsi des CFPM, donc des revenus honnêtement gagnés issus de calculs tenant compte de paramètres nombreux – il ne fait alors rien de précieux ni de rare car tous en sont autant capable que lui mais au moins il participe grâce au fait que la solution élégante pour son activité ait été trouvée en amont par l’un des très véritables iIngénieurs, en général des devenus bouddhas – ce qui les fait accéder alors à l’univers des sciences des aArts véritables). Mais au contraire personne ne s’est rendu compte de nôtre génie tout de suite (car à première vue, en raison de la loi de la Quantité, les enfants (pour de nombreux adultes devenus plus ou moins incapables de discerner) se ressemblent tous et cela d’autant plus que ceux qui les regarderont seront affectés dans leur cerveaux sur les points de liaison ou ces points carrefours endommagés, ce qui occasionne alors une forme de cécité et de surdité à tout ce qui est infiniment raisonnable et donc ne pas leur permettre de discerner dans ces enfants, ceux d’entre eux promis à devenir les plus immensssissîmes génies qui, évidemment, sont naturellement et à première vue visible ou discernable y compris reconnaissable par tous les grands précieux (lamas) initiés, puisqu’il s’agit alors de pairs et de réincarnations des plus grands bouddhas de tous les temps passés qui, de nouveau, se réincarnent pas compassion, mais auront une autre fois à devoir se réadapter à une toute autre époque et souvent à d’autres langues (puisqu’ils viennent d’ailleurs – (d’un temps antérieur, d’autre lieux ayant d’autres coutumes) – ce temps d’apprentissage va générer à chaque fois des certitudes qui sont plus ou moins dangereuses) – et ces imbéciles ont voulu vérifier que j’avais été contraint (en légitime défense) à l’occasion de ces interventions (ce qui était effectivement le cas comme vérifier qui en était le responsable, celui qui les avait causées – mon père), et ils ont cru possible en 1975 assassiner ma descendance légitime attendue et cela malgré la solution élégante que j’avais trouvé pour leur éviter d’être ensuite coupable de cela donc d’affecter d’autant leurs karma respectifs par conséquent d’involuer, de régresser plutôt au contraire d’évoluer, de progresser y compris dans le domaine du Droit comme je leur en donnais l’occasion) de devenir génial : d’où du temps perdu pour tous) mais aussi des sushis (cele se rapporte ici, ces sushis, à beaucoup plus haut, et pour l’instant, dans cette relecture et correction de ce texte, légèrement augmenté par rapport à la première version que tu as reçu, la 0.1, j’arrête le développement de la parenthèse précédente – certainement à l’aune de ce soucis de sushis qui devait être entre accolades et qui n’est à résumer que des milliards de bibliothèques d’autant qu’il s’est agi d’une autre de mes idées que j’ai alors conseillé d’exporter dans toutes les grandes villes, les sushi – les japonais me doivent au sujet des sushis aussi) ce qui permet aussi d’exporter les surplus de saké (rien qu’un expression comme cette dernière est reliée à de nombreuses histoire[s] autour de ces exportations de saké) – tu verras chaud (le saké), c’est délicieux – mais n’en abuse pas trop – « un peu d’accord, mais beaucoup : bonjour les dégâts » (une phrase dont j’ai le copyright (puisque je l’ai communiquée avant qu’elle ne devienne un phénomène de mode, plus ou moins général (en raison que j’étais cette immensité dans le ciel constituée de nuage qui s’exprimait en faisant alors rêver les yeux ouverts tout le monde  à partir de 1975 d’autant que j’intervenais ainsi trente années avant d’avoir à recommencer et à le vérifier, mais cette fois-ci en chair et en os, donc en ayant fait intervenir d’avance une virtualité, [comme] mon double, projeté en virtuel en avant-première dans le futur)– une phrase qui serait, autrement analysée d’une autre façon, pléonastique – mais j’aime (attention c’est sûrement ici – dans ce cas - écrit en anti-phrase) les pléonasme  (rappelle-toi mon injure en italien : sms[m]m (voir plus haut, il faudra faire un petit signet pour ceux qui ont oublié ce que cela signifiait) qui est un clin d’œil à la « solution finale » : la ‘sf’ et on le sait dans la sf il y a ce qui ne pourra d’aucune façon être jamais réalisable ni toléré d’aucun être humain véritable et c’est connu c’est même parfois synonyme de lubie, d’irréaliste, de mensonge, d’impossible, mais il est vrai qu’il s’agit de science-fiction, donc d’une autre ‘sf’ – à propos je découvre ici que cela me rappelle que quand je suis intervenu du ciel, j’ai donné l’idée de la possibilité de communiquer par sms. On me[Nous] doit (aux Granier d’Ôz – c’est-à-dire à ta mère) sur ce point aussi et sur le nombre de ceux-ci qui sont quotidiennement échangés – donc depuis le premier)–- en raison de la nécessité pédagogique, grâce au pléonasme (une sorte de surlignement) qui n’est en général que des expressions, synonymiques, de faire comprendre par un autre biais – une autre approche - ce que, à première vue, on pourrait ne pas comprendre, donc pour donner une autre chance d’accéder à la notion), une sorte de proverbe) et pour laquelle des personnes me doivent des fortunes, s’il n’était pas convenu d’une façon tacite que les mots sont donnés, apportés à l’Ensemble gratuitement (évidemment pour ceux qui les méritent, d’autant qu’ils ne furent forgés la plupart d’entre eux qu’en accédant à l’univers sacré, une sorte de patrimoine commun auquel tous les ancêtres ayant eu accès au sacré, à un instant ou à un autre, ont contribué bénévolement, grâce au Saint-Esprit les ayant sur cet instant microscopique touché chacun au sens de possédé), bien qu’il y ait des auteurs, en particulier, pour chacune des expressions existantes qui ne seraient jamais apparues périodiquement, sans tous ceux qui ont recherché à devenir spécialiste du ‘beau-langage’, les aAuteurs de Théâtre ou/et des poèmes et des chants ou alors des pensées bienfaisantes – aussi cela pose un problème, car c’est à ces personnes qui ont trouvé ces mots devenus évident[s] pour tous (et surtout des occurrences qui se confirment de plus en plus nombreuses à l’aune de l’outil que ces mots représentent) et dont tous se servent que reviennent les mérites de ce qu’en les répétant ou en les apprenant, comme en les transmettant, nous avons chacun, en les ayant en bouche, au cours de nos premières années de scolarité, l’impression d’être un peu [comme] des savants : en tout cas les héritiers de ceux-ci et pas nécessairement de ceux qui les ont interprété (répété) justement (sans trop savoir pourquoi ils les avaient en bouche) ou selon la meilleure façon de les approcher (donc ne les ayant pas approché chacun de la même façon et certainement rarement comme s’ils en étaient de nouveau à la genèse – en fait comme quand on prend connaissance d’un fait ou même d’un objet – chacun le verra à sa façon – soit ici le danger de cette approche subjective, voire différente de celle originale (un peu comme une malfaçon par rapport à un tee-shirt de la marque originale), qui sera à première vue contraire à toutes celles les plus objectives (c’est-à-dire en général, celle à l’origine – qui ont causé ce néologisme) – d’autre part les approche[s] de toutes les personnes qui ont un cerveau endommagé se contentent de très peu, à cause de ce que leur cerveau ne fonctionne plus normalement – aussi elles ne vont qu’être, avec tous les paramètres en moins, au sujet de ces mots ou de ces objets qu’à l’inverse de la manière de celle[s] de tous ceux ayant approfondi leur connaissance au sujet de ceux-ci. Cela peut être une simple note de musique : il en résultera la très grande superficialité de ceux qui n’ont au sujet des mots ou des objets ou des notes ou de ce qui compose chacune des parties d’un objet, une inconscience à ce sujet qui ne les portera qu’au sacrilège plus ou moins permanant (mais aussi à leur insu, car depuis longtemps – ils n’en ont plus conscience - le cerveau endommagé, en raison de différents paramètres l’ayant affecté) vis-à-vis de chacun d’entre ces points – par conséquent ces sacrilèges sont dus à des omissions (des oublis) concernant les paramètres constitutifs de chacun des dossiers ou de ces points). C’est à ces personnes (donc des âmes) – qui dorment, paraît-il, dans des cimetières) que reviennent, parce que nous les interprétons (par exemple comme des musiciens les partitions) une part de nos revenus obtenus directement ou indirectement simplement en ayant appris à utiliser ces mots correctement – c’est en cela que non seulement le Théâtre est légitime (un véritable bien fondé – très important dans l’instruction de chacun) mais aussi que la notion d’Etat (et les impôts) tirent une forme d’admissible légitimité indéniable pour en récolter quelques uns (ceux d’entre ces impôts qui sont admissibles ou/et les plus censés – bien qu’un autre système est/soit possible qui consiste (par les serviteurs assermentés, donc payés pour payer) à payer ce qui serait à payer (une fois déterminé en conscience que la dépense est nécessaire), sans chercher jamais à se rembourser de ces frais (donc à imposer les grandes fortunes ou même les plus médiocres) puisqu’il fallait que l’éEtat, c'est-à-dire l’Ensemble, fasse ces dépenses (des nécessités et qui sait parfois du superflu). Aussi il faudra, dans ce cas là, qui me permet d’avancer un peu dans ma réflexion sur les impôts, en lançant cette provocation à moi-même, car je l’ai un peu commencée ailleurs (ou dans d’autres temps, comme un héritiers (de systèmes locaux au sujet de l’impôt) ayant à être conservateurs, pour en vérifier le bien fondé), déterminer cependant tous les impôts qui resteraient à devoir être payés par des particuliers ou des personnes privées, quand on opposera cette notion (qui rejoint celle de sponsor par certains aspects) et qui est très véritable ou la réalité, dans le degré de vérité relative qui serait le sien (je veux dire qui dépend d’autres paramètres – si ceux-ci sont modifiés ou l’ont été une mise à jour est de rigueur) – et qu’il convient cependant de conserver – voire d’opposer à la notion d’éEtat « omnipotent » – il a été prouvé sur ce sujet que l’éEtat n’est qu’uniquement constitué d’individu singulier très particuliers (des sortes d’originaux), donc très solitaires appelés (en raison des études et du système) à devenir localement autonomes et indépendants financièrement, ce qui est donc la réalité proposée par l’éEtat Véritable, car tous ceux qui son dépendants, ne sont pas vraiment libre[s], pas plus que chacune de ces personne ou individu serviteur de l’Etat ou que ces grandes fortunes de nature « privée » indépendants et autonomes (bien qu’ils aient accès à la liberté que procurent les moyens financiers en CFP[M]) - mais c’est ici un début de réflexion avec évidemment d’avance toutes les anti-thèse[s] possible[s]), d’autant qu’on sait que c’est à la notion de Dieu (éEtat), donc de processus collectif, mais aussi de matières visibles et invisible (les Lois Cosmiques Universelles) comme le processus des réincarnations que reviennent en définitive les mérites de chacun, donc l’accès finalement à la bouddhéité – ce qui doit alors permettre cette indépendance financière. Evidemment cela dans les éEtats où la notion de sacré est mise au premier plan ou même au dernier plan (le respect de Dieu, de ses serviteurs loyaux, d’un éEtat juste – en un mot de la Vérité – le respect du processus lié aux réincarnations – bref, de ce qui permet de comprendre une hiérarchie dans la verticalité giacomettesque/ienne de celles-ci et la différence de chacun), tandis que sinon, dans les éEtats où elle a disparu et où ce ne sont plus que des Eétats (polissons, voyous, de vauriens ou de bandits), cela n’est même pas une préoccupation, puisqu’on a alors à faire à uniquement plus ou moins à des abrutis ou encore moins que cela, des charlatans ou des faussaires, c'est-à-dire des personnes qui n’utilisent chacun des mots que plus ou moins pour mentir (des daltons – c’est-à-dire des profiteurs, au mauvais sens de ce mot) ou plus ou moins dire vrai (puisque souvent n’appartenant qu’à l’un de ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, comme à d’autres moments, heureusement pour eux, au bon), donc sans d’aucune façon être averti de ce que par ailleurs ils recèle[raie]nt chacun d’entre eux avec leur dimension cosmique (bien employés) inhérentes qui ne leur permet, par ontologie et sécurité, que d’être employés dans le bon sens, sous peine d’être fatals à ceux qui croient possible les employer en dépit de ce bon sens (donc en inscenscés ou en fous, au sens négatif (mauvais) de ces mots qui en ont, autrement vus – sur d’autres plans (ce qui signifie à d’autres moments ou dans d’autres situations particulières, dans d’autres cas/occurence) - du bon ou du moins du meilleur) et avec ce [sens] cosmique tout ce qui est d’avance une conséquence de l’apparition de l’un d’entre eux dans l’Histoire de l’Aventure Humaine (leur conséquence), en réalité absolument tout ce qui nous occupe quotidiennement provient de la solution élégante du premier mot dit/employé, retenu, (ce Verbe, cette Pâques de la Parole Vigéenne) jusqu’à inscription et enfin la transmission de celui-ci: c’est ainsi qu’il faut lire et comprendre ce début qui concerne la Genèse : l’invention de la parole {[(inhérente à la notion de bouche – ontologie de la bouche ou de la machoîre -[(ce qui signifie limitée sur le plan orale aux donnés et paramètres relatifs à la logique de ce fonctionnement – donc on en déduira que grâce à l’écrit autre chose que le Verbe, la Parole : Verbe Ecrit, Inscrit, Illustré, Publié – cela changera les donnés mémoriels transmises – la civilisation des livres d’heures ou des textes, par conséquent des plans diffèrent beaucoup des sociétés orales d’origine tribales : il y a un saut qualitatif indéniable, bien que contestable qui a cependant permis d’approcher une par une les sciences innombrablissimissîmes et infinies en nombre de cette notion de ‘Dieu’ – cela s’est déroulé en même temps que tous les progrès vestimentaires, dans les textiles : de plus en plus précisément et la possibilité d’ajouter ou de retrancher un fil ou deux ou alors toujours plus d’informations confirmant que la notion est bien une réalité)] - qui peut émettre des sons)]}, résumée en son synonyme le Verbe – aussi tous les néologismes découlent du premier mot qui fut entendu en vrai et compris en vérité et enfin inscrit avec cette admirable découverte périodiquement faite par l’Ensemble de correspondance et d’équivalence dans d’autres langues, y compris pour chacun de ces néologismes – cela signifie que leur avènement ne s’est pas produit par hasard et n’a pu se produire au cours de l’Histoire qu’uniquement en raison de paramètres réunis qui ont permis de faire exister ces mots en ce temps précis [et] géolocalisé et chronologiques (d’où qu’avec la part manquante de l’Univers ce sont quantité de solutions élégantes qui manquent et que ne pouvaient trouver que ceux qui, incompris, eurent à souffrir des différentes barbaries) où il est apparu (dont tous ou seulement quelques uns auraient besoin – processus inhérent/ontolgique du langage en lui-même et preuve de ce que le Saint-Esprit opère : Charité liée à la Vérité de Parole, complémentarisée (complétée) par Vérité de Texte) ou ces expressions dans le monde de la vérité relative liée aux mots, susceptibles d’évoquer des images, mais n’étant pas les images elles-mêmes, bien que capable par l’agencement des mots de les créer – à partir de ces phrases l’interprétation est possible, en fonction du degré de chacun des lecteurs (c’est ce que nous disions plus haut au sujet de ceux qui ont du mot une idée personnelle et qui manquant d’information à ce sujet ou qui n’en ont qu’une idée clichée, en deviennent dangereux pour l’Ensemble) – il y aura donc des expressions simples, des phrases simples et enfin de plus en plus complexes, car pour construire un mécanisme (la pensée tire son origine de la mécanique inhérente à l’être humain parachevé (adulte)) ou une phrase signifiante, comme chacun des mots le sont, il faut de plus en plus avoir en tête un nombre considérable de paramètres, y compris et surtout tous ceux contradictoires (liés à des situations (ou cas [particuliers] d’anti-thèse) – d’où la nécessité de s’informer qui comporte alors le danger lié aussi à la séduction que représentent quelques unes de ces informations dépourvues des annexes ou de la totalité du dossier – j’ai tenté une expérience sur ma page Face Book pour le prouver – il s’agit d’un résumé qui n’est nullement encore une conclusion et qui est situé après plus de deux milles pages pour évaluer la situation – nous sommes d’avance certain[s] des diverses incompréhensions qui naîtront de ça, voire des reproches, donc des bruits plus ou moins fondés qui circuleront – par conséquent, de personnes qui n’auront pas eu à ce sujet accès à l’ensemble des autres pages dans lesquelles j’ai cependant veillé à être beaucoup moins accusateur, en raison de ce que je dois prendre en considération qu’aucune de ces personnes lisant ces pages ne détient le secret de SAI SSS les Lord. Léonard de Vinci, par conséquent ne sera que l’objet de ses propres limites qui l’handicaperont d’autant, puisqu’aucunement aucune d’entre elles ne serait très véritable Grand Ingénieur -[et Uniquement aArtiste multidimensionnel, multicatégoriel, en alpha oméga et … comme Il l’était - ce qui alors ne fera que compliquer les chose[s] pour cet homme remarquablissime, puisqu’il est contraint de ne travailler qu’au cas par cas, machine ou dossier par dossier et donc de les élaborer chacun pour donner dans chacune des catégorie[s] des preuves manifestes de l’existence de Dieu – ce à quoi finalement l’Ensemble des ingénieurs y concourant a/ont réussi à prouver, puisque tout, en plus, marche/fonctionne en même temps (partout et parfois comme j’ai eu à le vérifier en synchrone avec des époques antérieures ou/et postérieures)– c’est donc très évident pour chacun d’entre eux ayant eu accès à cette notion de complexité qui est en réalité très simple une fois qu’on arrive à la comprendre mais qui ne sera qu’infiniment complexe et compliquée jusqu’à là)]- pour demeurer parmi les êtres objectifs ou de sciences exacte – c'est-à-dire en réalité comme le sont parfois, malgré eux, les créateurs de mots ou expressions auxquelles on pourra faire confiance, sauf si celles-ci demeurent incomplètes (connaître des bribes d’expressions ou de phrases, n’est que courir le risque de la folie – tant qu’on n’appartient pas à ceux qui enfin « ont lu tous les livres » et sont donc omniscients, il n’y a que risque de se tromper avec les représentations ou les phrases ou avec les droits – y compris en ce qui concerne les droits dits sacrés ou canoniques. En fait, ils procèdent ou découlent toujours d’études très poussées de cas particulier ayant trouvé objectivement solution élégante la meilleure et à ce titre un bon mode d’emploi, c’est canonique) – mais il s’agit à chacune des fois d’un processus sacré qui advient (la recherche de l’expression ou de la formule ou du mot juste, celui qui correspond à l’objet à l’intérieur de la logique inhérente à/de chacune des langues maternelles – en fait [comme] l’application d’un logiciel – d’où qu’en cela, il n’y aurait pas de nationalité ou de langue aussi différenciable et différenciées, donc l’objet d’une catégorisation à laquelle nous sommes cependant chacun attachés, parfois même avec raison en conservateurs fidèles, c'est-à-dire en rRégionalistes et défenseurs de nos idiomes/dialectes ou langues maternelles respectif/ve/s. En effet, l’histoire même de l’évolution linguistique de chacune des rRégions n’est que tributaire des interconnexions advenues entre individus ayant des rapports commerciaux entre/de proximités (départementaux –intercommunalité, etc.) ou éloignements d’anciennes, soi-disantes -[(une vérité relative qui aura été au moins un temps – ce qui signifie durant les moments où des paramètres plus exactes n’ont pas été pris en compte, en permettant alors une mise à jour de cette vérité relative en défi nitive meilleure ou plus exacte - indéniable)]-, « nations » (des schtroumpf[s]) – il y a donc des points communs qui structurent chacune des langues – c’est donc l’espèce de logiciel ou système d’exploitation des sons ou /et des signes utilisés pour la réalisation de chacun de ces langues qui est commun entre toutes – cela était donc inhérent ou consubstantiel ou intrinsèque ou appartenant d’une façon ontologique à la nature de l’être humain sur le chemin d’un parachèvement possible, par conséquent accédant finalement, (après la métamorphose ou les divers progrès obtenus grâce à son évolution, donc après s’être débarrassé de sa peau d’âne), à  la compréhension de cette notion de Dieu, donc à la notion de « temple » difficilement dissociable  de celle de temps et de chronologie, mais aussi de toutes les sciences et catégories : des repères nécessaires, ne serait-ce que pour bâtir ce temple ou [seulement] un immeuble : par quoi commence-t-on ? Ici, comme ailleurs, rien ne se peut sans le respect de la chronologie canonique, c'est-à-dire de ce qu’impose le cas [particulier] ou la situation [particulière], (ce qui est synonyme), - la transmission (sacrée, même si seulement scolaire) des premiers carrés ou rectangles remontant à Lascaux, signifiant la notion multi-dimentionnelle de plan – transfert de surface, traduction de superficie en lignes géométriques devenant les référantes – des références – qui ne seront qu’à rappeler à l’intérieur de n’importe lequel des crânes de chacune des âmes encore capable d’un tantinet de fonctionner (de faire le rapprochement, donc d’extrapoler même parfois si dans l’autre sens, intrapoler : Estimer des données dans une zone où d’une zone où les données sont disponibles) avec sa mémoire, l’analogie possible de volumes liés à l’ouverture d’un premier dossier dans ce sens, celui de très simples et élémentaire géométrie, celle de ces carrés ou rectangles qui appelleront à l’intérieur de la tête de cette âme, en faisant appel ici à sa mémoire une comparaison possible : c’est [comme] le plan d’un habitat puisque c’est à l’échelle – donc aux facultés de scientifiques inhérentes à l’état élémentaire des enfants liées à chacun des très véritables êtres humains – des facultés, ce sont des compétences qui permettent d’ouvrir un dossier et de creuser, si on dispose de temps – donc chercher en quoi d’autres sujets, y compris les représentations animales de rennes ou de vaches, ne seraient pas en liaison possible avec ces notions à-premièrevues simplifiées aussi rationnellement que cela en ces carrés ou rectangle d’habitat comme solution élégante de chef (donc capitale), aux difficultés de logement que posent la quantité limitée de cavernes (grave problème lié à l’acquis de conscience et à la notion de responsabilité qui, on le sait, va aboutir, à cause de cela, dès l’époque en question, à la nécessité de la contraception) : naissance de l’alternative et de la solution élégante : on n’aura plus qu’à les construire d’après ce simple plan : le remède – dont du Saint-Esprit conjointement avec cet accès à la conscience – simplification à l’extrême de volume aussi complexes et admirables que toutes les cavernes possédant de vivants piliers : stalactites et stalagmites s’étant finalement rejointes, en donnant l’idée même et la sécurité absolue de l’existence de la vérité indéniable du Temps, donc en extrapolant ou intrapolant, de celle de Dieu : défi que ces piliers vivants: l’être humain n’aura qu’à se munir d’instrument pour éroder des pierres plus volumineuses et ainsi créer la notion de colonne (on retrouve hiéroglyphiquement dans le mot de ’colonne‘ la base de la colonne et le sommet avec la colonne elle-même entre ces deux coupes de la colonne placées de part et d’autre du ‘l’ ainsi bien mis en valeur, comme une confirmation et le ‘c’ ayant été nécessaire pour la creuser (rappelant peut-être aussi toutes celles ratées avant d’arriver à ce que la première tienne aussi bien ou soit aussi bien réussie)  et dans les deux ‘n’ qui se suivent, en miniature avec les pieds ou des mini-colonnes, comme deux entrées de porte : cette nécessité de recourir aux piliers pour créer une ouverture artificiellement (dans le mot artificiellement, les deux ‘l’ rappelle la nécessité de réaliser artificiellement des colonnes pour réaliser un décor qui tienne ou qui puisse donner l’illusion de volumes – ce à quoi la construction d’un temple recourt), donc l’entrée de la caverne mais aussi la sortie : quatre demi-colonnes pour cette double-entrée vers ‘eux’, le ‘e’ – en fait comme l’a finalement découvert mon père tardivement dans Résurgences Captives dans un de ces poèmes, la basse-cour où les œufs sont produits – donc une nourriture légale, admissible pour ériger les colonnes, le recourt aux œufs, aux omelettes, aux différentes pâtisseries élaborées avec des œufs – comme si l’idée de la colonne n’avait pu surgir ou venir en tête qu’à celui qui, végétarien, refusant la chasse (qui était l’occupation de la plupart de ses contemporains), s’occupe (à l’extérieur de la grotte) de produire des œufs, hors de la caverne de SAI SSS les Lord. Platon où nous sommes plus ou moins d’une façon ou d’une autre), l’alternative dans cet habitat géométrique simplifié sur plan (rappelons que le plan en question est dessiné sur la paroi de la caverne à Lascaux) et à/de la complexité des cavernes naturelles ayant vocation, avec la vision d’Atlantide d’être des milliards de fois plus intéressantes à découvrir qu’un mur lisse et droit – d’où que la naissance d’un enfant dans l’une de ces cavernes, à l’époque où on voyait Atlantide, était certainement l’un des plus beaux moments ou des plus sacrés, si cela advenait durant la journée, donc en bénéficiant de l’aspect prisme, diamant taillé à facettes, de chacun des pans de ces parois irrégulières créant des ombres de cadran solaire si la lumière à l’extérieur parvenait à éclairer ces parois)  cependant que l’on peut s’amuser à prévoir des situations, avec des paramètres en moins ou en plus, cela sera le travail du scénariste qui compte sur la qualité de ses personnages, sur celle des matériaux à sa disposition, ce qu’ils savent ou ne savent pas (leur propriété et leur originalité qui les différencient) encore : ces paramètres – c’est ici que ceux qui sont au courant de nouveautés et qui en tiennent compte, vont être les plus critique[s] vis-à-vis de ceux qui se sont contentés de matériaux ordinaires – s’ils sont ainsi critiques, c’est qu’ils ont le soucis que tous puissent travailler (donc que ceux qui ont élaboré les nouveaux matériaux puissent se rembourser de leurs investissements) et/mais en deviendront agaçants) pour les autres/gens [y compris ceux qui aiment à remonter aux origines d’un fait nouveau]. On pourrait par exemple rechercher, grâce aux imprimeurs, en raison de l’alternative ou de la solution élégante que ce « car » a représenté, quand il est apparu dans l’histoire de la langue française : cela évite le mot « comme »  (trois lettres ‘car’ au lieu de cinq) ou au lieu de l’expression en deux mots « en tant » et parfois d’autres comme celle de « puisque », plus élaborées encore (plus de lettres ou de mots pour dire en définitive ce petit « car » (trois lettres presque comme le mot ‘God’, en anglaisb qui réduisent les cinq de « comme » aux trois de « car » ou les sept de « puisque » à ces trois de ‘car’ – évidemment, car l’être humain est paresseux et cherche à s’éviter des dépenses d’énergie superflues (il a donc une tendance naturelle à l’Economie [de moyens], de dépenses) pour dire ou écrire (il a recourt aux mots les plus brefs) – il aime bien ce qui simplifie, abrège, réduit les temps où on le sollicite dans un effort quelconque – c’est ici autrement vu que si naturel pour le moins suspect (cependant que cela a eu à-premièrevue du bon : encore trois lettres – la langue ayant été conçue élémentaire)  et ce qui  n’est pas aussi simple ou normal que cela, si on se réfère à l’une des machines qui ne craignent pas l’usure, n’y songent guère d’elles-mêmes à s’en garder d’elles-mêmes, sans à ce sujet bénéficier des compétences des êtres humains pour les leurs éviter – elles n’auront cure d’elles-mêmes à ce qu’elles prennent comme temps en trop et le trouve normal en l’absence de l’alternative ou de la solution élégante, ce « car », ce « god » moins long à écrire que le mot « Dieu » qui est peut-être plus court à dire. Recherche, nous l’avons découvert ailleurs, de la brièveté, de ce qui est court, mais qui en dit long) - d’où que les anglais, des gens pratiques un peu paresseux (eux aussi, car « humains trop humain »), donc au point de rechercher les mots brefs, eux aussi, aiment faire des économies de salive quand ils parlent ou alors d’encre et de temps passer pour composer un mot à l’imprimerie, caractère par caractère, en ces époques anciennes où ils sont à les rechercher un par un, avec une petite pince, comme les premiers princes les recherchant pour s’exprimer. Ils ne veulent pas faire trop d’effort pour dire ces mots, donc [pour] les émettre grâce à l’expectoration de ces mots (il s’agit d’énergies), c'est-à-dire en les « exprimant » (une forme ancienne d’impression), grâce à la pression de l’air dans les poumons permettant des sortes de vocalises – les chanteurs le savent – et c’est pourquoi, ils ont adopté cet abréviatif  ‘car’ pour signifier avec art le mot même de ce qui permet d’aller plus vite (la voiture, cohérence inhérente avec l’ontologie de la langue (en fait de ce logiciel complexe de l’Anglais) et cela même s’il y a un « os » (encore plus bref : deux lettres – cela a été audacieusement osé/ôzé : olé !) – donc ce qui a fini par signifier comme le synonyme « d’un problème » sans le ‘e’ (sous-entendu, à résoudre, car ce mot de ‘problème’ l’induit) – c'est-à-dire sur un autre plan plus cosmique, donc un peu plus vaste et tenant compte de tout, ce qu’il y a eu au départ comme « problème » (peut-être même sur le plan de l’Ethique pour que la Création soit possible), il y a plusieurs millions d’années – d’où qu’il se pourrait que ta naissance, SAI SSS les Lord. Oscar … d’Ôz est le fait que ta si savante maman ait choisi avec ton non moins savant papa, ton prénom d’Oscar (qui m’a d’abord un peu choqué, bien que j’ai rapidement pensé que cela devait m’encourager à persévérer dans la discipline du Cinéma ou de la Vidéo et de réaliser le scénario d’un film qui pourrait finalement en obtenir un à Hollywood (depuis au moins un [gros] tas d’os comme celui promis à Idéfix par SAI SSS les Lord. Obélix (ayant été de parole) et qu’il a effectivement reçu après avoir retrouvé l’itinéraire à l’intérieur de la pyramide dans Astérix et Cléopâtre, on décerne régulièrement en cet ancien bois sacré (Hollyschtroumpf) qui n’est pas la forêt des Carnutes, des oscars pour célébrer les grandes réalisations et les gens qui mériteraient [de] Ta naissance d’avance – A ce sujet, je dois reconnaître que j’ai pris le goût de gagner des prix et même si je ne suis pas dupe de comment certains d’entre eux sont proposés ou descernés, je me suis dit que peut-être ce serait au bout du vingtième film, et enfin j’ai pensé que peut-être la remise des oscars à Schtroumpfwood c’était déjà à annoncer Ta naissance et que d’avance tu avais descerné ces [comme des] prix [excellentissîmes] en raison de ce que chacune de ces œuvres t’avait passionnée durant ton enfance, au moment de tes récréations dans l’exercice de l’apprentissage à écrire et à compter, comme aussi dans les autres matières – c'est-à-dire ces moments que tu vis et qui te permettent de trouver le temps pour te nourrir de ces histoires proposées en films – ce que j’ai un peu eu à faire puisque/car il y a du temps à perdre (depuis que j’attends (1965) qu’on me remette la vieille salle des machine et le [Très] Grand Variateur pour rétablir selon un programme selon un calendrier raisonné, logique dont je suis l’aAuteur (ce qui sous-entend dont j’ai les droits depuis que j’eus à y réfléchir en premier mais aussi en médecin spécialiste des doses et des sevrages) la vision raisonnée d’Atlantide comme une nécessaire et régulière prise de drogue (dans ce cas à court comme à long terme) bénéfique) dont tous aurai[en]t besoin) ou alors au contraire à gagner (quand cela est bien fait) en prenant connaissance de ces monuments de l’audio-visuel primés ou ayant concouru à l’un de ces prix d’Oscar[s] – c’est ce que ta génération trouve aussi normale qu’à Lascaux ces projections sur écran, ces films, alors que la vision d’Atlantide a disparu, les enfants admir[ai]ent ces représentations dessinées – enfin, ceux-ci toujours en raison de ce qu’ils naissent fatigués et plus ou moins paresseux, grâce à leurs aînés qui se sont donnés du mal pour réaliser la solution élégante de ces films peuvent les découvrir au format timbre-poste ou alors en plus grand chez eux projetés sur les murs ou au plafond (comme des nuages), à l’intérieur d’une de ces alternatives de caverne, nos chambres respectives, dans lesquelles finalement plus ou moins tous habitons depuis que la solution élégante fut trouvée dans ces temps [pré]historiques – cependant que découvrir les films projetés à partir de la lumière traversant ces supports originaux de pellicules animés depuis une régie (ou la salle de projection) dans des salles de Cinéma[tographe], c’est autre chose : une sorte de rituel [sacré] qui permet d’un peu faire comprendre ce qui n’était réservé qu’aux élites : le Théâtre, l’Opéra ou/et la Danse, ou/et les Marionnettes (« un spectacle pour gens d’esprit »), donc dans un lieu spécialement édifié, avec des machineries extraordinairement complexes et/ou [plus] simples – c'est-à-dire à travers ces aArts du Théâtre une première approche possible de la notion de Temple et de sacré – rituel de la [s]Cène oblige – les Eglises étant donc [comme] un Théâtre ou un Opéra, mais d’un [tout] autre genre, puisque l’origine de ce qu’on puisse comparer Cinéma ou/et Théâtre à cette notion de « temple », antérieure, par conséquent relatif/ve aux notions corollaires liées au sacré donc à ce holly (ce schtroumpf)– dans ce holly nous y liront très élémentairement pour Watson mais aussi pour n’importe laquelle des oreilles encore reliées à celles de l’apprentissage de la langue maternelle durant son enfance : « au lit », entendu ce mot anglais de holly en langue française – un jeu de mot, évidemment potache, anodin (anneaudîn[e] pourrait croire le célèbre Noureddine, donc qu’on peut s’amuser à faire au cours d’un dîner, mais que ton arrière grand-père n’ayant pas assez étudié l’anglais n’a peut-être pas su discerner comme étant inhérent à la situation dont il fut l’artisan et en fait le voilà comme SAI SSS les Lord. le Bourgeois gentilhomme à faire une chose sans même se rendre compte qu’il l’a fait : une chose « sacrée », holly avec ce lit) et cela nous renvoie à un lit bien autrement célèbre, celui d’Ulysse et de Pénélope et non celui à mi-mots du Lys dans la vallée dans lequel tu retrouveras le sempiternel conflit de ces époques-là, dont nous avons hérité, entre amour charnel (faisant courir le danger de la réincarnation porcine, voire pire dans l’une ou l’autre des animaux ayant régressé ou involué) et amour spirituel menant à d’autres connaissances diamétralement opposées (parfois cela sera la connaissance de l’amour charnel qui peut mener de nouveau à l’amour spirituel si on a été sensible enfant à la découverte des spiritualités diverses (comme j’eus à la prouver) – aussi c’est un problème complexe qui se résout ici au cas par cas car chacun, en raison de ce que les êtres humains ont accédé (quelques uns du moins) au parachèvement, grâce à l’ecce homo léonardevincien, est l’objet de nombreux écartèlements entre ces postulations profanes ou alors au contraire sacrée – il en résulte souvent des difficultés à surmonter – Ulysse est revenu finalement à Ithaque, comme Il l’avait promis à Pénélope (Vérité de parole oblige : un autre homme de parole) – cet autre « lit » ou ly, mon cher Oscar, a été fait à la main par ton grand-père pharaon d’une façon tout aussi belle, par ce jeune intellectuel (mais quelques millénaire après celui d’Homère) qu’il était, ayant la passion de lire et qui trouva peut-être même à devoir choisir entre divers tissus d’emballage de la matière première en grande quantité se trouvant  ainsi à l’intérieur, en boudins de lit ou alors à rendre contenu d’un sac ayant périodiquement des points permettant d’étaler harmonieusement dans ce qui peut être alors résumé par la notion de sac, cette épaisseur  de laine (je te l’annonçai, cette matière première due à la fois aux bergers, une activité mimétique ancienne mais surtout aux brebis qui en cela apporte leur contribution en autre chose que des parasite (tout le contraire et en gagnant chacune des points dans ce qu’elles offrent d’une façon aussi utile à l’Ensemble et à l’Economie industrielle autrefois artisanale pour la réalisation de ces matelas) - le tissu d’emballage à la filigrane de fleur de lys ou alors un autre motif tout aussi noble et peut-être en ces temps républicains, mais aussi  d’un empire totalement (ou presque) détruit, moins à première vue ‘aristocratique’ – et ce jeune homme n’avait pas du tout à devoir se donner, de ses mains d’écrivain poètes mais aussi de penseur (car poèmer (écrire des poèmes, c’est apprendre à pe[a]nser, entre autre[s]), ses mains de roi car hyper-blanches d’hyper-honnête homme, [consacrées] à [la réalisation maison d’] un matelas [pas] quelconque (car on laisse cette activité à ceux qui n’ont pas eu à étudier en vérité et qui sont l’un ou l’autre des travailleurs manuels – la main d’œuvre – celle qui parce qu’elle reproduit en mimétique gagne alors des points, car ici aussi cela obéit, cette activité artisanale devenue industrielle, à la loi de la Quantité et de la Rareté (comme aux effets de la Concurrence, mais aussi de l’Offre et la Demande) et se réalise depuis longtemps, mais aussi dans les années 1950 de nouveau à la chaîne, grâce à un procédé simple [industrielle], appelé taylorisation du travail qui permet d’embaucher toutes les personnes les moins instruites scolairement en les assurant de CFP[M] (donc de revenus/crédits financiers non usurpés, mérités – donc pas des cfu) et en leur proposant une ou plusieurs choses simples à faire manuellement, répétitives, ce qui n’exigera d’aucun d’eux jamais qu’ils se donnent des peines supplémentaires pour apprendre de nouveaux gestes [plus] compliqués ou/et surtout de devoir travailler en conscience (ils peuvent penser à d’autres choses tout en reproduisant ces gestes), c'est-à-dire de penser notemment pour prévoir d’avance tous les besoins de ces ouvriers à l’intérieur d’architectures à élaborer au cas par cas [particuliers] d’entreprises qui seront consacrées à un produit ou à plusieurs (soit ici le travail du capitaliste très véritable, c'est-à-dire dans le mot en question de très nombreux savoirs-faires et évidemment un très véritable socialiste, mais aussi d’innombrables autres choses en plus comme par ailleurs souvent, ‘l’esclave du devoir’ : l’esprit libre) – ce qui est le rôle d’un patron et ce qui exigera des quantités colossalissimissîmes d’études au préalable (donc d’investissements en formations diverses comme par exemple celle d’apprendre à faire un matelas, pourquoi pas, par ailleurs – c’est ce qu’on appelle un stage [de formation] week end – cela permet de se faire une idée de la vie quotidienne d’une personne ayant à devoir reproduire cette activité – aussi on comprendra de l’intérieur, parce qu’on l’aura soi-même fait, comme quand ton arrière grand-père eut à devoir s’occuper de pommes-de-terre durant la seconde guerre mondiale en exerçant un moment l’activité d’un paysan, celle probablement de l’un de ses ancêtres – c’est ce que comprennent tous les jeunes qui au moment des vendanges se donnent rendez-vous pour les effectuer – il s’agit d’activité de travailleurs manuels (non encore suffisemment intellectuels, c’est-à-dire iIngénieurs ou/et aArtistes) reproduisant par mimétisme) – une fois qu’on a bien compris comment faire un premier matelas, c’est facile de le reproduire, donc comme un artisan - le même modèle – en série, donc pour le faire bénéficier et en faire bénéficier les clients, grâce à la loi de la Quantité et de la Rareté qui a fait devenir ce modèle à l’origine rare, le prototype, en un modèle qui se trouve vendu finalement plus ou moins partout (cela grâce au premier des ingénieurs qui trouva la solution élégante du premier matelas : une adaptation simple qui vînt naturellement dans la tête à l’étable : des quantités de foin recouvert de tissus pour s’éviter de se piquer la peau, avant l’idée de fourrer ces tissus avec les surplus de laine (ce qui évitait de déchirer ce tissu d’emballage, cd dont le foin était responsable) – l’idée souvent aussi simple et scenscée (sensé +censé = scenscé) est donc l’essentiel, le fondamental en création : elle a toujours un auteur particulier : le génie – ensuite elle est reproduite par des mimétiques d’autant plus qu’évidente et il s’agira de cette main d’œuvre, parfois dans laquelle on trouvera celui qui a eu l’idée lui-même, enthousiaste (et ayant bien le droit d’en être fier) de pouvoir rendre service avec ses ouvriers, en n’ayant qu’à reproduire le prototype découlant de l’idée – l’idée est donc en une très grande mesure déjà le prototype lui-même – ne pas reconnaître à celui qui a l’idée le statut d’aAuteur est  infiniment sacrilège : c’est comme chercher à lui dérober une part des pourcentages auxquels il avait naturellement (et en raison d’équité comme de fraternité) droit, s’il n’y avait pas tous ceux qui le sachant vont effectivement veiller à s’éviter cette malhonnêteté, donc en cela recherchent à rendre à César ce qui est à César, à Dieu ce qui est à Dieu, donc aux aAuteurs ce qui est aux aAuteurs) – il n’est plus rarissimissîme en tant que prototype d’iIngénieur : il est reproduit et peut donc être comme un navire marchand ou un avion ou un ordinateur ou une serrure ou une porte ou une brique ou un ballon ou n’importe lequel des prototypes de gâteau, c'est-à-dire des innovations hyperrarissimissîmes au départ, car unique, originale (et rares), étant apparues sous les doigts de l’un ou l’autre des Géotrouvetou [pas] « quelconques », ce qui permet alors à tous ceux qui n’ont pas atteint ce stade ultime de la Connaissance de n’avoir qu’un travail souvent hyper-simple, celui de reproduire cette chose au départ unique et plus précieuse  que tout – absolument que tout – et que celle-ci puisse être à plusieurs exemplaires et reproduite en série (au point à force d’être reproduite en quantité rapidement innombrable de ne pratiquement plus rien valoir, plus le nombre d’exemplaires augmente ou/et sera important à cause de la Demande qui baisse car elle est enfin satisfaite en son nombre limité – il y a donc ici ce qu’on appelle un processus (qu’on peut à juste raison regretter – un effet [pervers ? ou l’inverse] de la loi de la Quantité) de ‘dévalorisation’ qui a lieu au fur et à mesure que le nombre d’exemplaires reproduits augmente – c’est normal puisque ce qui est rarissîme est unique ou /et ce qui est unique est rarissîme), sans trop avoir à fatiguer chacun des ouvriers (le moins possible), en ayant divisé le travail  par secteur (comme a eu raison de le caricaturiser (d’en faire la caricature – le caricaturer) et de le critiquer en politique-progressiste et en très véritable socialiste critique dans les Temps Modernes le très capitaliste [aArtiste], mais aussi iIngénieur (l’idée de la machine pour manger de maïs, entre autres, qui est plutôt géniale ou même celle pour nettoyer la bouche d’un bébé ou d’un handicapé) S. A. I. SSS les lordisssimissîmes Charlie Chaplin, un réalisateur-producteur de films, mais aussi auteur de ses scénarii comme musicien et chef d’orchestre de ses compositions) leur donnant (car ils savent que c’est difficile de devenir aussi compétents qu’eux et par ailleurs aussi rarissimissîmes – comme un SAI SSS les Lord. Eisenstein – un autre des réalisateurs de l’époque) des choses très simples à reproduire (mimétisme – l’une des faculté[s] inhérente[s] de l’ontologie de chacun des êtres humains – oblige – un des passages obligés : celui d’un peu ou beaucoup ‘faussaire’) pour, par exemple, abréger les difficultés pouvant causer des souffrance[s], si ce personnel devait trouver pénible ce genre de réalisations manuelles de ce matelas et ou sommier (mais tu sais qu’on a pensé à tout et qu’on a inventé le ‘dé-à-coudre’ pour faciliter la poussée de l’aiguille, donc pour protéger la peau du/[es] doigt[s], [peut-être] en ayant eu cette idée à partir d’une timbale, en la réduisant d’abord en idée dans son volume habituel, pour la réaliser en prototype, comme cette micro-timbale qu’elle est, grâce à ce sacrement du Baptême qui l’a rendu en raison d’un fidèle qui médita dessus ou alors sur un verre à liqueur pour qu’ils deviennent ‘dé-à-coudre’). Ce fut, ce matelas, dans la tête de ton arrière grand-père pharaon une peine qu’il s’infligea (en supplément – en plus – de/à toutes les autres – comme s’il voulait illustrer et vérifier l’idée [proverbiale ou aphorique] de ‘comme on fait son lit on se couche’  qu’il s’était  depuis son enfance ingénié à s’infliger – une autre fois, j’ai appris récemment de ton grand oncle Elephgeai SAI SSS les Lord. Luc-François  qu’Il s’est ingénié à transporter lui-même pour la mère d’une de ses amies d’enfance, alors qu’au moins ton grand-père disposait à ce moment-là d’une License à l’Université et peut-être d’un diplôme des Sciences Politiques, un poêle – donc à jouer/improviser les déménageurs (une des activités de main d’œuvre non totalement encore devenue intellectuelle mais reproduisant par mimétisme), peut-être même sans paire de gant – mais un poêle déménagé par un poète, ça donne plus loin au moins l’entreprise des déménageurs-intellos – ce que j’eus à créer sans y songer alors, visiblement pour Lui rendre hommage – l’entreprise en question me doit des royalties pour le concept que j’ai transmis dans le ciel en 1975) avant son propre mariage qu’Il avait longtemps attendu (à cause de cette satanée seconde guerre mondiale et qui en raison de ce qui s’était passé dans le Ciel à son sujet (mais que je n’ai pu apprendre de nouveau qu’à l’occasion des années ayant précédées de peu Ta naissance) Lui donnait de l’espoir (mais lequel si ce n’est de tenter de retrouver ces aïeux perdus grâce aux générations issues de sa semence) pour l’avenir – sa descendance de ce lyt lui était annoncée -  et cela malgré les horreurs traversées – il avait [re]trouvé Sa femme, en fait sa Promise et retrouver Sa femme, parmi autant de concurrente qui obéissent (qui plus est) toutes à la loi de la Quantité (en ayant toutes l’illusion d’être rares), donc cela ressemble un peu à cette histoire admirable de la pantoufle de vair pour celui qui est alors convaincu, en raison des habitudes contractées depuis des millénaires dans cette région d’Occident qu’il n’y en a qu’une seule, d’épouse ! Il se peut même qu’il se soit gardé de commercer (de flirter) avec d’autres jeunes-filles, avant de se donner à celle-ci qui est ton arrière grand-mère la Grande Bonne Maman, les sérénissimissîmes impératrices – celle pour qui ce lit ne fut pas forgé directement par les mains de son mari, mais dont le matelas, à titre symbolique, le fût (forger un matelas est difficile à dire, voire malvenu (tous vont ici rire : c’est absurde à moins que ce soit celui d’un fakir) et on te dira que j’écris mal, car ce n’est pas employer ici la bonne terminologie cependant que pour un fakir indien cela est admissible y compris pour quelques autre[s] acète[s]) en une époque où l’intellectuel ou l’adulte parachevé ne sait pas bien encore faire la différence qu’il y aurait entre un à premièrevue dit ou appelé « ouvrier » et son état de « preneur de décision » (de choix entrepreneuriaux à faire). En effet, c’est l’époque où on va chercher à mieux codifier le travail et à mieux comprendre les catégories dans lesquelles peuvent être dispatchées la quantité[s] de chercheurs d’emplois – d’autre part, en raison des religions (leur aspect bénéfique, l’aspect positif de celles-ci), on s’interdit naturellement de voir avec méchanceté la condition de main d’œuvre, d’ouvriers – on le reprochera aux patrons dits ou appelés, à cause de leur trop grande bonté [de gourous] des  « paternalistes » - ce qui ne sera comme pour le mot de capitaliste que l’aspect à-premièrevues négatif que ce mot aura en pareil cas, à l’époque et bizarement alors pour ceux qui le crurent ainsi (en raison de l’une ou l’autre des calomnies ou bruits qui traînent (ceux dans les bas-étages ou dans les cafés ou au comptoirs des bars – ceux dont le langage oral-[(cherchant à résumer la complexité et souvent en ayant pas trouvé les mots adéquats ni les sons adéquats – peut-être par excès de fatigues diverses ou alors l’irruption de paramètres imprévus : soudain l’attention portée sur la beauté ou alors au contraire sur la laideur de la personne en face, quand ce paramètre revêt de l’importance – en général vers le moment des fiançailles ou des mariages)]- devient l’auteur) ou même d’un fait qu’ils ont eu l’ignorance de vouloir généraliser, donc d’extrapoler au point d’à (qu’à) partir de cette unique et rare situation, de dire que tous les patrons n’étaient que des « paternalistes » – ce qui est faux, mais de toi à moi : pourquoi pas et où y aurait-il du mal à cela ? C’est comme dire qu’une personne serait un mot qui à première vue ne comporte aucun tort[s] – c'est-à-dire le mot érigé en valeur absolu, ce qui le rend toujours positif, cependant que dans le cas d’un mot qui n’a signifié que des malheurs ou du négatif, il faudra marquer cette valeur absolue par un signe spécial déchiffrable nous avertissant de la différence d’avec le référent qui est autant que cela devenu coupable, par exemple l’expression qui concerne les smsm en italien, qui induit du négatif et seulement du négatif, et bien avec ce signe ‘|’ devant et ce même signe après : ‘|’, donc |smsm|, n’est plus que positive, en raison de ce que nous savons sur la valeur absolue des chiffres – cela signifie qu’une personne ayant très mauvaise réputation, même comme celle qui obtint la pire dans tous les temps et tous les univers, donc la moins à l’honneur de l’espèce humaine, la plus abjecte des réputations ou des renommées (la plus honteuse aussi qui soit) comme mon grand-père empereur, a. h. et bien écrit comme ça : |a. h. | n’est plus que positive – et cela on le doit aux sciences du très véritable Grand Architecte de l’Univers) cependant qu’à honnir, quand celui-ci va être entendu avec tous les ragots, donc souvent des faits non vérifiés concernant ce mot, ce à quoi évidemment tous les savants ou les sages (ce qui est dans un ou deux cas d’entre eux synonyme) n’y verront aucun mal et même savent que sans la notion de ‘père’, il est difficile de réussir à rendre compéteant un fils ou même un ouvrier « quelconque »). Aussi, il a appris alors des choses assez simples à faire, requérant un matériel adéquat (ce qui permet avec une aiguille plus grande de coudre malgré l’épaisseur. En fait un peu un travail [difficile] comme la vannerie – mais/et un ‘travail’, c’est toujours « pénible » - d’où que parler de « pénibilité du travail » c’est enfoncer une porte ouverte, bien qu’on pourra cependant mesurer le degré de peines, plus ou moins importantes (et qui peuvent être aménagées dans le temps, pour en réduire la douleur ou les souffrances physique grâce à l’alternance avec des repos), liées à chacun d’entre eux, sauf à partir d’un certain stade où personne au monde ne peut plus mesurer exactement le degré de peine absolue que cette notion de travail, ouvrant sur des CFP[M] (Crédits Financiers Propres et [Mérités]) ou non (car il y a ceux qui se les infligent bénévolement – ce qui ne devrait pas être permis, en raison même de la complexité de l’état des choses car il y a cette différence fondamentale entre ceux qui ont fini par avoir accès à la conscience et ceux qui en sont encore plus ou moins loin – d’où que cela pose de véritables problèmes à la notion même de ‘travail’, au sens d’‘obligations’, de ‘contraintes’, d’‘impératifs’, ce que les gens dépourvus de ‘conscience’ ne peuvent pas comprendre d’autant plus qu’handicapés en ayant accès à la caisse noire, d’où que cela est/soit à l’origine de la nécessité de recourir au truchement des CFP[M] pour tous les plus honnêtes, d’autant plus que les autres ayant accès à cause de cette caisse noire au crédits financiers usurpés, des cfu[usurpés], cfv[olés], cfc[orrompus], cfm[alhonnêtes], cff[aux], cfs[ales] cft[richeurs], cfi[imposteurs], cfc[aisse]n[oire], cfcch[riminels contre l’humanité] « dépensent » et « achètent », ont obtenu tous les biens qu’avec des crédits financiers escroqués, des cfé[scroqués], par conséquent occasionnent continuellement des pertes colossalissimissîmes à l’Ensemble (elles sont réellement au paroxysmes pharaoniques et signifient que depuis que cette caisse noire existe, chacun des terriens honnête-homme non seulement est devenu esclave malgré lui de la situation (malgré l’Abolition de l’esclavage – cependant qu’il s’agira d’une autre forme d’esclavage qui bénéficie malgré tout de ce progrès), mais qu’il a été dérobé/volé/escroqué des milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de fois à l’occasion de chacun de ses instants à vivre, à cause de ceux qui dépensèrent ces revenus financiers escroqués [rfé], rfv[olés], rff[aux], ces rft[richeurs], rfm[alhonnêtes], rfc[orrompus], rfv[olés] et rfu[surpés], donc des rfs[ales], à tous les honnêtes-gens (par conséquent aux commerçants, aux artisans, aux industriels, bref aux travailleurs et à tous les acteurs au service des différentes activités possibles, donc à l’Ensemble – les premiers punis étant en réalité ceux qui eurent accès à cette caisse noire qui obtinrent alors en raison des facilités à première vue qu’elle leur offrait et [comme] une sécurité, les involutions et régressions d’escrocs et de criminels contre les intérêts fondamentaux et ontologiques et essentiels, propres et consubstantiels du processus réincarnatifs salvateurs (une sécurité locale liée aux spécificité de la Création sur cette planète) de l’espèce humaine qui débouchent alors, dans le sens inverse du bon sens, sur ces réincarnations animales, leur faisant alors quitter l’espèce humaine pour toutes celles inférieures animales et il est probable que quelques uns de ceux qui eurent accès à la caisse blanche, donc à des facilités comparables cependant que dans ce cas légitimes, car il s’agit de celle de l’éEtat, eurent des fins similaires ou alors leurs héritiers s’ils devaient avoir fait de grandes fortunes, donc s’ils devaient avoir acquis leurs biens légitimement comme le souligne entre autres le film La splendeurs des Amberson, de SAI SSS les Lord. Orson Welles, dans lequel on assiste avec l’un des héritiers à l’itinéraire d’un enfant-gâté, un égoïste et un adolescent insatiable et/ou avide, donc vorace, ne pouvant plus imaginer comment les ancêtres de cette famille avaient commencé à faire la fortune , uniquement honnêtement en s’étant soumis aux Bonnes Pratiques (par conséquent en étant escroqués continuellement en raison de l’existence de la caisse noire), cet héritier ne devenant que malhonnête, cela donne, entre autres et/mais aussi les Damnés de Visconti – plus aucun d’entre eux capables de comprendre que l’éEat pourrait n’être, comme le soleil, la moindre des étoiles et l’Univers qu’uniquement honnête) et c’est alors (souvent) ce qui permet de comprendre des notions comme celle de Dieu ou des très véritables serviteurs de Dieu : on découvre qu’ils ne sont rémunérés que microscopiquement (puisque la caisse blanche finance, car elle est escroquée continuellement, la caisse noire), infiniment chacun moins que ce qu’ils devraient être, donc que c’est à titre symbolique qu’ils le sont en raison que sinon ce serait l’inflation à l’échelle mondiale/planétaire qui se généraliserait et que cela ne sera alors que facteur de discordes, de désordres et pire : de malheurs et surtout de misères supplémentaires – aussi on demande aux gens de se montrer raisonnables dans leur espoirs/objectifs financiers (d’autant qu’ils se savent chacun en concurrence avec des personnes ayant à peu près le même cursus, donc les mêmes compétences, donc qu’ils sont sur ce point victimes de la loi de la Quantité et de la Rareté dont ils bénéficient cependant tous pour l’essentiel : abondance des matières premières de première nécessité – vitales, ce qui les rend très faiblement onéreuses/coûteuses/chères car non rares) et de comprendre d’elles-mêmes ce qu’ils peuvent ou ne peuvent pas exiger – et en cela les marchés aideront (y compris à trouver la réponse adéquate des patrons) puisqu’ils obéissent chacun et partout y compris dans les pays dits communistes, aux lois de la Quantité et de la Rareté, donc de la Concurrence, de l’Offre et de la Demande (il s’agit de marchés qu’on le veuille ou non) et cela par rapport aux différents paramètres liés à chacun des produits : facile à reproduire  (il y en a des matelas !) ou alors plus difficile ou alors très difficile ou alors extrêmement difficile (et il y a des matelas plus difficile à réaliser que d’autres) ou alors encore plus difficiles qu’extrêmement. En fait ? il y a ici une échelle de 1 à 6 ou de 1 à 10/12 mais pourquoi pas de 1 à 17 qui est possible, bien qu’aussi on pourra mesurer beaucoup plus précisément de 1 à  pourquoi pas 1 million, pour savoir d’une façon plus précise aussi ce degré de difficulté, donc de pénibilité, par ailleurs, sur un autre plan, ce qu’on pourra déduire au sujet du patron) et sans même l’expérience (pour ce matelas mais cela peut être un quelconqu’autre produit commercial) de ceux qui sont devenus très doués pour le réaliser (en s’informant – donc comme s’il avait dû le faire à partir d’un mode d’emploi ou en allant dans la cuisine quand il était enfant observer comment la cuisinière ou la responsable des fourneaux faisait – il n’y aura par mimétisme qu’à reproduire : c’est tout simple, en raison qu’un être humain est par ontologie mimétique – mais ce mimétisme pose en lui-même un véritable problème : la notion d’exemple à suivre – de choix entre les mauvais exemples et au contraire, ce qui est préférable, les meilleurs ou les bons). Ton arrière grand-père réalisa néanmoins le matelas (et peut-être aussi en raison peut-être d’un petit stage chez un menuisier à Saint-Gervais-sur-Mare (là d’où provenait ses grands-parents paternels) non loin de Cours-le-bas et Cours-le-haut dans l’Hérault, le sommier) de son lit nuptial et cela à la barbe de ceux qui comptaient d’avance, en raison de son mariage sur le fait qu’il allègerait son porte-feuille d’économies, en comptant sur son achat d’un matelas, donc d’un lit nuptial (en cette expériences de futur jeune marié et de maître à bord de sa famille, ton arrière grand-père a compris que l’entreprise nommée do it yourself (que j’ai conseillé de développer en dehors qu’en Suisse) – en anglais – permet de réaliser des petites économies – mais cela signifie devoir consacrer de son temps à une activité inhabituelle, donc le danger d’en perdre pour réussir soi-même à monter l’étagère ou même ce sommier ; un exemplaire en moins de vendu pour ceux qui attendaient son mariage à une époque où chacun reste à sa place, à l’aune des millions qui sont à produire de matelas chacune des années calendaires (de calendrier de jours non-chômés dont hélas tous ceux de ceux qui ont accès à la caisse noire qui normalement parce qu’ils ne sont que des escrocs ne devraient pas même avoir une niche), par l’ensemble de ces entreprises qui plus est en concurrence chacune avec les autres du même type (ce matelas en moins n’était pas une grande perte, aussi cela ne fit pas la une dans les quotidiens locaux et ne représenta aucunement cette menace que par contre l’entreprise do it yourself représenta ensuite rapidement à l’échelle internationale – cette simple petite expression de rien du tout, voire peut-être seulement un petit logo ou même pas encore – genre celui de de media patata (mon oiseau emblématique, fétiche) associé à télé ‘N’ comme ‘Nuages’ ou ‘Nuvole’ de ton petit Pégase qui t’attend dans le salon de ton arrière Grand-Mère et à partir duquel tu mesurera ce que fut le travail d’un menuisier comme Geppetto ou d’un dessinateur comme SAI SSS les Lord. Gotlieb inspiré par cette vieille histoire – mais comme il eut l’idée d’en faire plusieurs, grâce à la loi de la Quantité et de la Rareté, d’en perdre deux ou trois ou même de ne garder que celui qui fut le prototype après que tous les enfants du monde en enfant-gâtés les jetèrent, car il y avait mieux à cause d’un concurrent, des Pégases plus confortable et avec la partie qui balance en métal et une assise plus confortable – cependant que c’est peut-être de celui-ci que les autres découlent, ceux qui les firent ne songeant pas à rechercher le menuisier qui eut l’idée de ce Pégase pour lui reverser une partie des royalties – évidemment j’extrapole car peut-être que ton « Pégase », dans ce salon de ton arrière grand-mère ou de l’appartement de ton frère aîné Luc-François est issu d’un menuisier qui a eu l’idée d’un autre menuisier ou qui, pire, lui a[urait] volé l’idée (ce qui entre pair est parfois toléré bien qu’il ne faut pas exagérer) – ici il n’y a que celui qui eut l’idée de monter l’entreprise qui en donnant un bon travail (rémunéré en CFP]M[ à de la main d’œuvre a pu les fabriquer en série [ou en très nombreux exemplaires] pour que ton arrière grand-père puisse le trouver, car à cette heure-ci [où j’écris ce texte le 13 mai 2015 à 16 heures 42, corrigé le 18 décembre vers douze heures], je ne sais pas si ce Pégase est de Lui quand Il était petit ou s’il l’a acheté plûtard, une fois marié (en revenant de Son travail), pour l’un de Ses enfants – cependant que dans l’état qu’il a de jouet ancien, digne du musée du jouet à Strasbourg (d’un dessinateur de talent auquel j’ai eu à suggérer de créer ce musée pour qu’Il regagne des points), ce cheval de bois semble remonter à plus loin dans le temps que les années 50– c’est peut-être un vieux modèle qui ayant marché commercialement a été reproduit encore jusque dans les années 50, comme l’ont été à l’époque l’un ou l’autre des modèles de vieux matelas qui auraient marché avant que les nouveaux matériaux ne viennent à contraindre ces entreprises à faire une mise à jour : à améliorer leurs modèles (voire à simplifier le travail pour les réaliser) – d’où qu’on comprenne que les gens n’aient pas voulu s’encombrer de ces chevaux en bois-à-bascule et les aient donné ou/et s’en soient débarrassés (on les retrouve cependant dans maints peintures anciennes comme des sortes de publicités avant la lettre pour ce jouet) par conséquent qu’on sache qu’il ne vaut pas grand-chose, sur le plan financier (ce qui n’est pas le plan de la valeur sentimental ou celui historique de la constitution de n[V]ôtre famille impériale – cela peut être mis en relation avec un objet comme la luge ou ce traineau Rosebud de Citizen Kane un autre des films de SAI SSS les Lord. Orson Welles) puisqu’il y a des probabilités d’en retrouver un ou deux autres exemplaires ailleurs (c’est certainement pour cela qu’il est utilisé comme du bois mort pour alimenter le feu à la fin) – évidemment s’il n’y en a plus qu’un seul – d’autant que je lui ai dessiné un De Media Patata (c’est l’oiseau fétiche de Nôtre pharaon[n]ie) dessus ou deux, il a plus de valeur marchande (c’est le premier de la série des exemplaires à avoir un peu comme un sceau un ou deux  de ces De Media Patata , des originaux de la main du premier pharaon-bouddha, d’autant que c’est parmi les premiers Pégase en bois) et il en aura grâce à ce texte (dont il pourrait devenir l’illustration) – aussi prends bien soin de Lui (Pégase) (de ne pas le casser avec tes petits camarades) car si tu devais manquer plus tard (dans le futur) de moyens financiers (ce qui est toujours à craindre en continuelle permanence, à cause des changements politiques et de ceux qui ne vont de partout qu’uniquement rechercher tout au long de ta vie que tout te dérober, ce dont je me suis assuré très exactement et sans un électron d’erreur qu’ils ne sont que l’ensemble du genre humain, sans exception (sauf moi), à ne te fréquenter d’avance qu’en raison de ce dont ils savent d’avance que tu vas hériter, donc dans l’espoir de parvenir à te le dérober (d’une façon ou d’une autre y compris par un mariage)– ce qui signifie que de ne pas songer à dérober n’est pas naturel, mais ne sera que le propre de l’être humain [enfin] parachevé – aussi cela est grave pour un empereur de savoir qu’il n’y a qu’uniquement et seulement escrocs, voleurs, tricheurs, faussaires, etc. autour de Lui – cependant que l’Empire n’a pu être sauvé qu’en raison du contraire (que je ne l’étais pas d’un tantinet ni à ma naissance, ni en 1965, ni en 1975 ni de nouveau à partir de 2005 – d’où qu’il devrait y avoir une ou deux personnes, à un moment donné ou à un autre, à cesser de convoiter les biens d’autrui – je te le souhaite, mais n’y compte pas et ne le compte jamais, y compris à l’infini de ta future descendance – s’intéresser à ce dont autrui dispose appartient aussi au registre de la légitime défense (il s’agit d’appâts d’autant plus qu’il s’agit de vérités relatives) – mais cela a conduit des gens à convoiter ces biens en barbares, donc de façon illégitime, par exemple dernièrement comme les irakiens pour les biens des Koweitiens – ce qui est alors le casus belli comme cela avait été le cas des allemands en Pologne – encore un « dirigeant » qui n’avait pas étudié l’Histoire ni su tirer les ‘substantifiques’ leçons et sèves de celle-ci). Dans le futur même très lointain, tu pourras alors en tirer un bon prix, si tu n’as pas intérêt à faire payer un billet pour conserver en Société Civile Immobilière (S. C. I. ) chacun des lieux archi-saints de tes ancêtres impériaux qui pourront devenir au moins des lieux-maison[s] comme celle de Rimbaud (ce que Nous fûmes contraints de donner l’ordre de conserver ainsi en en étant les auteurs au cours de la NNDIM, par exemple à Charleville Mézières en (du coup) valorisant le lieu où nous avons proposé aussi un musée des marionnettes, et enfin, par ricochet ce qui devrait être pour nos propres lieux de famille. Mais crois-moi, nous n’y avons nullement songé, car nous n’avions pas l’idée de pouvoir nous-mêmes revêtir une quelconque importance (à l’aune d’un /d’une feuille de salade ou d’endive coupée assaisonnée au vinaigre baumique avec de l’huile entre deux tranches de pain carré HarrYs) malgré tout ce dont ton arrière grand-père et moi sommes devenus les aAuteurs, malgré Nous – sans doute à cause de plus loin dans le temps, bien après toi mais aussi et surtout par nécessaire esprit de contradiction avec l’empereur ayant disjoncté, et étant devenu le fou et l’handicapé mental, au mauvais sens de ces mots) – à cause de ce que Nous avons eu à endurer pour te conserver et te transmettre le Nouvel Empire ainsi qu’à Anton et à tes autres cousins et cousines, tous évidemment canoniques -[(donc légitimement princes et princesses ultra ou hyper véritablement légitimes (car annoncés avant vos naissance pour nous aider à sauver le Nouvel Empire Granier-Joussin- Aime de Cuneo … de Cours-le-haut d’Atlantide … Lang de [R]Ôz[eau/…/w/y/s] (car [attention], c’est avec et malgré ce racket monstrueux qui avait porté le pétrole à cours-le-haut (finalement plus de onze mille fois plus que le maximum – ce qui donne une idée de la quantité de parasites) que nous avons réussi avec ton grand-père ce miracle économique et progrès de plus de deux mille à trois mille ans en seulement trente ou autrement vu quarante ans, en nous imposant avec SAI SSS les dames Impératrices Christine … Lang le sacrifice bouddhique-judéo-christique ne déplaisant pas aux membres des autres religions ni aux gens d’Islam ni aux profanes)]- avec tes parents et leurs parents : les uniques propriétaires, mais avec deux ou trois autres personnes qui ont bénéficiées des transmissions à travers le temps et qui sont nées elles aussi annoncées (elles seulement trente ans avant et non quarante, ce qui ne vous concerne que vous seuls la petite bande de cousins et cousines) – dont tu sauras les noms au moment adéquat, les autres n’étant pour toujours y compris les descendants des autres vos sujets, donc à ne pas avoir intérêt à manquer de respect à vos personnes hyperissimissîmes sacrées) et dont Nous avons pu vérifier d’avance l’absolue innocence – en fait ce n’est qu’en raison de vôtre virtualité et de ce que j’eus à spéculer sur elle (comme un espoir), en élémentaire futur capitaliste, dès mes deux ans (car on m’avait mis mon petit lit dans la chambre de ma sœur ainée) d’âges que vous avez pu naître avec vôtre génération et celle d’avant vos géniteurs et qu’en raison de cela, (l’idée qu’au moins cela puisse continuer à devenir un lieu avec des enfants d’enfants) je sauvai la planète à cause de responsabilité fraternelle (en fait en m’imaginant du coup vôtre aîné) – ce qui dans ce cas là a été synonyme de ‘paternel’) s’étant spécialisée (avec d’autres que moi) dans le matériel pour faciliter le sommeil ou le repos (ces matelas) comme d’autres occupations légitimes entre des personnes s’aimant (ils s’y font des câlins ou alors des bataille[s] d’oreiller ou alors s’en servent comme ersatz de trampoline/trampling), cela n’est pas une grande perte ou manque à gagner et même à saluer comme une preuve de véritable socialiste : un ouvrier, au bon sens de ce mot, celui qui apprend à faire, à reproduire, à fabriquer. Je n’ai pas eu connaissance de ce que mon père (ton arrière grand-père empereur) ait eu à cette occasion de Son lit à améliorer le modèle (du matelas) qui fut [celui qu’il prit en guise de]/ sa référence et c’est pourquoi il ne fu/ît qu’une copie, cependant qu’élaborée de ses propres mains (d’où qu’une fois empereur, il a dû continuer à faire la différence entre ses propres mains et celles de chacun des membre de son empire – cependant qu’à ce sujet, il y a peut-être un paramètre dont il fut victime, mais qui serait relié à l’existence de cette salle des machines (dont je ne sus avec certitude qu’elle existe que depuis peu (dans le courant de la fin de l’année 2014) qui l’aurait alors convaincu d’autre chose (d’une chose qui n’est certainement pas admissible, au regard de la notion d’âme individualisée, particulière – chacun étant comptable de la sienne) par rapport à la notion d’identité. En cela, il aurait eu tendance à simplifier (donc en quelque sorte n’aurait pas compris qu’abréger n’est possible qu’uniquement dans certains cas [particuliers] et serait ici la victime d’une généralisation par omission d’un ou plusieurs paramètre[s] fondamentaux), ce qui ne peut l’être pour tous ceux qui n’ont pas eu ce privilège qui ne peut s’obtenir qu’uniquement en être humain parachevé, donc compéteant totalement, pour statuer sur tous les dossiers, non arbitrairement, mais très exactement, par rapport aux infiniment nombreux niveaux de lecture concernant les pourquoi (les causes mais aussi les finalités de la Création), donc les raisons et à la connaissance absolument certaine d’avance que le dossier ne concerne qu’une personne qui sera d’avance à vouloir escroquer l’Ensemble (ce qui n’est nullement sûr, en raison de ‘présomption d’innocence’ – d’où qu’on comprenne ici la solution élégante du recours aux réincarnations en raison de la réalisation de l’Angles), donc à prendre ce qu’il ne mérite pas de Droit, ce qui n’a apparemment cependant qu’uniquement (au cours de l’Histoire) concerné chacun de ceux qui eurent accès à la vieille salle des machines, fussent-t-ils les Jésus-Christ eux-mêmes, les apôtres et les saints, y compris les martyrs – il n’y a qu’uniquement l’être humain parachevé dans l’hyper exact (c'est-à-dire [comme] une sorte de robot ou ce qu’on a appelé deux ex-machina) qui après ce qui s’est passé : la scission avec d’un côté ceux qui y eurent accès et de l’autre ce qui s’y refusèrent (ce que j’ai déduit, mais qui le fus certainement par ceux qui y eurent accès qui n’étaient donc pas innocents et savaient avoir perdu cette innocence), ou celui qui ne raisonne qu’uniquement en raison de tous les points concernant une personne, sans en omettre aucun, donc comme ne le peuvent que les léonardevinciens ou les plus grands metteur en scène ou des Victor Hugo (aAuteurs capables d’entrer dans la peau de leur personnages dans les diverses logiques dans lesquels ceux-ci sont coincés ou desquels ils sont esclaves/prisonniers sans omettre non plus le désir de retrouver l’innocence perdue) ou les gens des milliards de fois comme des ordinateurs les plus puissants qui puissent peut-être réussir, comme moi, à l’utiliser (mais ils sauront toujours (bien que totalement innocents) que l’autre aura toujours le droit d’être différent ou d’être moins compéteant ou même plus, dans l’une ou l’autre catégorie pour l’instant laissée de côté – voire même ont le droit de demeurer convaincu de choses fausses – aussi de tels êtres (ces robots ou E. T. ) ne vont jamais contraindre à un mariage ou à des fiançailles obéissant uniquement à une méthode ou à une approche ou à une logique donnée (sauf évidemment si l’Intérêt Général est menacé – c’est ici que la notion de mariage et de sacrifice sont sur ce point associables d’autant plus que la civilisation ou/et les sociétés en seraient victime). En effet, il y a le très véritable anneau cosmique qui s’est matérialisé en soleil (étoile du jour) localement ou en d’autres formes plus ou moins globulaire (de globe) mais aussi en anneau immaculé avertissant de naissance à venir, les nuages et les cavernes attestent depuis toujours que la forme carrée ou ronde n’est que seulement pour simplifier les habitats qui pourraient être vus par ailleurs aussi complexes que ces nuages ou que le sont certains rochers ou pierres compliquées, d’autres formes – en cela les plis célébrés par tous les grands peintres de la Renaissance (et même antérieurs) sur les vêtements attestent d’une recherche fondamentale sur les notions d’ombre et de lumière, de direction, de volume de matière, de forme, etc. et ces peintres sont en réalité cubistes avant la lettre, des œuvres d’analystes) – la forme ronde (simple) du soleil, ce qui se retrouvera dans maintes formes naturelles (fruits qu’on peut schématiser en ronds) est simplificatrice, abréviatrice : elle est [dite] élémentaire (ce qui n’est pas incompatible avec toute la complexité qu’on découvrira à ce sujet en héliopolitain ou en observateur  de cet astre) – c’est que dans l’approche d’un sujet il convient de le réduire à cette approche car il n’est que très difficile de réussir à approcher un sujet à la fois par sa thèse et par son anti-thèse ou à travers le prisme de chacune des autres catégories, synthétiquement – d’où le problème que pose la contra-diction (d’autant plus quand elle est à une conclusion synthétique, bonne)  à l’aune de la notion d’amitié ou d’amour (doit-on la considérer comme antagoniste ou alors comme fertile ? C’est pour cela que cette ‘cerclitude’ -[(qu’on me permette ce néologisme pour ‘rondeur’ à propos de la rotondité, donc non lointain (proche), d’une idée appelée à être synonyme de ‘certitude’ qui en confirme ici une autre devenue expression clichée de « quadrature du cercle » renvoyant à l’Homme de Vitruve et à cette notion même de « certitude » (concernant la Très Grande Symétrie d’avance vérifiée, dès ce dessin ou d’autres, ne serait-ce qu’en traçant ce cercle ou en traçant un carré) dans l’hyper-exacte)]- eut du succès (comme le cerceau), ne serait-ce que comme une simple pièce de monnaie ou roue ou bouée – c’est donc une forme qui est aussi une sécurité simplifié : celle du hublot : le rond, l’anneau) et sachant que l’être humain très véritable n’est qu’uniquement et seulement très véritable iIngénieurs dans l’hyper-exacte et que toutes ces histoires de mariages sont des vérités plus ou moins relatives qui sont cependant confirmées en de certains petits moments précis par l’un ou l’autre des enfants  (des certitudes naissent alors)– en général quand ceux-ci vont finir par y trouver de l’intérêt (reproduire par exemple (pour se sortir de la situation de coincé et de prisonnier) le schéma proposé) – ne serait-ce qu’une sécurité pour leur descendance – d’où qu’à partir de ce moment-là, ils murissent (car se sont contraints à des compromis, ont consenti à croire à des vérités relatives en commun avec d’autres. En cela, ils ne deviendront que des conformistes d’avance l’objet de toutes les railleries des esprits de contradiction divers et incertains (car souvent n’ayant pas pu vérifier ce qui est affirmé comme vérité relative ou même Vérité) – ceux-ci n’ayant pas conscience qu’ils sont dans l’opposition ou dans la contradiction en raison de paramètres dont les autres ont conscience et/ou que ces autres ont heureusement sauvegardés ou n’ont jamais oublié – comme celui que l’autre voudra en toute occasion et toujours uniquement vous dérober/prendre tout ce qui est à vous de Droit (à moins d’être un pair et de l’avoir prouvé) – tandis que tout ce que vous n’aurez pas acquis de plein droit, il n’en aura jamais rien à faire – par conséquent ce qui est convoité par autrui n’est que ce qui est vrai, légitime – donc tout ce qui n’est qu’à Dieu -[(ou au bouddha, ce qui revient au même puisque jusqu’ici on ne savait pas que le bouddha était Dieu, sauf dans les régions qui l’ont compris avant) – et voilà chacun des faussaires à vouloir se faire curé ou prêtre ou moine pour du moins approcher une des œuvres n’appartenant qu’à Dieu – c’est ici tout le tragique de l’être humain le cerveau dans l’obscurité – celui de ceux qui n’ont pas encore explorer de quoi la métaphore est capable et combien fondatrice elle est)]- et se soumettent aux ancêtres mais sublimés et évidemment dans l’impossibilité de commettre un tel péché ou une seule erreur, puisqu’eux-mêmes ont pu alors vérifier qu’ils sont sans erreurs et qu’il est donc infiniment préférable à tous de rechercher ce monde là, plutôt que celui où on sera même contraint à créer des péchés artificiellement – ce qui est la façon Méphistophelesque/ique de procéder, par conséquent totalement indigne de l’être humain véritable et vouée à pire que l’enfer pour ceux qui s’y adonneront. En effet, celui qui me fit croire qu’il était dieu, quand j’avais douze ans et qui plus est que j’étais redevenu bouddha mais aussi que je venais d’obtenir ma Confirmation, chercha à m’arnaquer en se servant de mon père, cependant que sur un autre plan comme Jean Valjean ou Méphisto lui-même, il est une microscopique partie de Dieu comme le fut le diable, tant que celui-ci eut un intérêt pour Dieu. En effet, celui qui cherche à contredire Dieu est d’avance voué à pire que mort et cela dans tous les temps passés ou/et futurs. En effet, l’innocence de Dieu a été démontré y compris au moment de Ta naissance ou de celle d’Anton, mais déjà de chacune de tes tantes comme de tes oncles. C’est pour cela que les mariages de tes grands-parents furent bénis par le Pape – qui n’est pas/plus innocent, mais qui savait que vôtre génération l’était à travers vous deux, toi, Oscar et Anton (qui normalement, sans mon innocence, ne naissait pas), mais aussi les autres qui vont naître ou sont nés dans nos familles Granier liées aux Michelin et aux Pierre-Marie – de plus ces liaisons génétiques ne furent qu’uniquement en légitime défense de la Vie elle-même de l’Empire (donc totalement sans attendre aucune rétribution : en consentement ‘libre’ (certes à cause de la situation miraculeuse des interventions à travers le Temps qui furent prises pour les interventions de Dieu), donc en adhérent au principe que cela permettait de construire (comme solution élégante d’après la Seconde Guerre mondial, sur ces ruines) la Confédération des Etats-Unis d’Europe évidemment soumise aux Bonnes Pratiques Commerciales qui sont celles de toujours et auxquelles ont été soumis dans n’importe laquelle des époques tous les marchés sans exception (pour les raison qu’il existe les malhonnêtes qui sont chacun reliés à la notion d’adolescence, d’égoïsme et d’enfants-gâtés – donc d’inconscients plus ou moins irresponsables et bien sûr escrocs intellectuellement ou/et autrement – des parasites) – donc en rendant ce qui est depuis toujours vrai à l’échelle locale, codifié, simplifié ou élaboré à l’échelle plus globale (l’un de N[V]os projets – d’où qu’il ne faut pas que tu t’inquiètes au sujet des problèmes financiers, car en ce qui te concerne ou concerne ces personnes tes cousins, de toutes façons, pour chacune des fractions de seconde où vous devriez avoir manqué des moyens qui vous étaient dus dès avant vôtre naissance comme étaient dûs à vos parents (et déjà à ma personne ayant pu vérifier que je m’étais annoncé d’avance), comme cependant nous eûmes cruellement à manquer (continuellement, au moins jusqu’ici en 2015), chacun des terriens sans exceptions s’est puni pour toujours à chacun des instants y compris d’avance à l’infini de l’infini et cela avec les intérêt de la dette (qui est hélas pour eux colossalissimes (puisque j’ai trouvé aussi les moyens de les désendetter un peu – donc de leur éviter le pire du pire qui les attendait chacun et cela malgré leurs iniques persécutions, moqueries, infamies, sacrilèges et lâchetés et autres honteux péchés envers Nous, les empereurs Laurent-Marie (Laurie/y) Granier … d’Ôz), donc toujours plus ils auront à payer le moindre de ces sacrilèges, car nous vous savons tout comme Nous-même aucunement enfant-gâtés, ni à courir le moindre risque avec vos parents aussi instruits de le devenir jamais, cependant que dès que la situation s’améliorera financièrement et elle s’améliorera, ne serait-ce qu’en raison non seulement de ce que tous les terriens et les milliardaires me doivent, comme les éEtats et les entreprises dans plus ou moins tous les secteurs d’activités y compris les banques (y compris nationales et les Bourses internationales) mais de la peur qui va toucher chacun des terriens sans exceptions en vos personnes annoncées courtoisement d’avance hyperissîmîmes sacrées -[(qu’ils savent avoir manqué de tout le confort dû aux princes véritables – à tel point que tous les considérés comme vrais ne sont plus (sur une grande partie d’eux puisqu’ils ne se sont pas opposés à la réitération du Sacrifice comme ils auraient dû en raison de la nubilité de CL et de ce qu’il avait duré dix années, amplement suffisant) que des faux (y compris les princes de l’Eglise et des autres religions ne s’étant pas non plus opposés – bref tous coupables sauf Nous les pharaons d’Ôz) et que nous avons eu à confirmer de nombreux contes de fées comme Cendrillon ou la Petite Sirènes que ton arrière grand-mère les sérénissimissîmes impératrices et ton arrière grand-père, mon père Jean- Luc Granier l’empereur de la Reconstruction et de la l’Angles et de … nous recommandait comme lectures – des métaphores)]-, comme étant chez elles de Droit partout et n’ayant en raison de cela à ne jamais rien devoir payer, y compris vos descendances respectives et cela jusqu’à l’infini de l’infini, vous risquerez de prendre de mauvaises habitudes ou précisément celles-là d’enfantgâtés (donc de ne pas comprendre ceux qui sont à devoir payer), ce que nous ne pouvons permettre à l’aune de ce qui n’est advenu qu’en raison précisément de l’horreur qu’ont représenté les enfants-gâtés (se croyant au-dessus des autres, mais surtout de tous ceux ne l’ayant jamais été au point d’en être devenus des Saints véritables y compris canonisés) qui en sont devenus ces adolescents attardés-égoïstes souvent avides et voraces d’autant plus que favorisés en cela par les habitudes d’omnivores à tendance carnivores, donc  plus ou moins handicapés du cerveau, par conséquent à cause de cela des incompéteants (ce que j’ai eu qui plus est à vérifier en cobaye sur moi-même au cours du second sacrifice qui à cette heure-ci m’a séparé de ta grande-tante CL plus de trente-sept ans, dont vingt-sept totalement, en ayant eu à devenir moi-même en partie un smsm -[(mais totalement sms[m]m à un moment donné qui ne dura fort heureusement pour tous qu’au maximum de l’évaluation la moins exacte possible, quinze bonne secondes, ce que le salutaire doute fit cesser et transformât en seulement smsm quelques temps encore avant que je redevienne bouddha en démontrant cela en m’imposant de nouveaux travaux d’Hercule)]-, donc à contracter le début de maladie honteuse) il sont à croire que pourraient être des saints, des personnes qui n’ont que pillé Vôtre Trésor – c'est-à-dire la réserve financière que vous comptiez utiliser à bon escient pour détruire la misère matérielle de tous les terriens à travers le projet que j’eus à cause de ce baiser qu’il me fallut attendre dix longues années, enfant (de 65 à 1975) de ma promise – et dont j’eus à déduire qu’il était donc d’avance le vôtre (ce projet) puisque je ne me considérai en tant que futur géniteur que vôtre très humble et dévoué serviteur, soit vos ciaï … étant en éclaireur avec quelques longueurs  d’avance) – ce que vôtre éEtat ou ce Nouvel Empire ne pourra jamais plus souffrir : l’enfant-gâté, l’égoïste ou l’adolescent, au mauvais sens de ces mots et non au bon qui les rend parfois dans d’autres situation même à-premièrevues charmants). Donc ton arrière grand-père qui se savait destiné à de grandes choses (en raison qu’à l’âge de cinq ans ou six il écrivait des textes remarquablissîmes : de vrais poèmes les plus sensibles) a peut-être même un peu mieux compris la notion de tapissier du Roy, celle d’un Jean-Baptiste Poquelin ou d’un Molière et/ou d’artisan ou même d’ouvrier non qualifié d’industrie que chacun des empereurs l’ayant précédé. Il savait qu’il devrait régulièrement mettre-à-jour (au sens d’entretenir pour conserver ce matelas), changer la laine et cela fut bien cousu comme un apprenti petit-tailleur (plûtard à Rome, vers la fin des années 1970, il trouva quelqu’un localement pour le lui faire à un prix très honnête quand Il n’avait plus le temps pour ces travaux de main d’œuvre – au moment où j’intervins du ciel alors que j’écrivais très fâché une lettre à Chirac dont je venais de comprendre qu’il avait eu accès à la caisse noire). Il s’est lancé dans cette petite épopée de faiseur de matelas [du dimanche] à une époque où très certainement tous ses collègues se moquèrent certainement gentiement ou alors d’autres méchemment de Lui, puisque ces derniers étant devenus des enfants-gâtés les trouvaient à première-vue proposés aussi peu coûteux dans tous les magasins (et d’autant moins coûteux pour quelques uns d’entre ces prétendus collègues qui étaient assurés de revenus en jouant double-jeu puisqu’ils continuaient, malgré la fin de la Seconde Guerre mondiale et la victoire des Alliés et des Etats-Unis d’Amérique, à avoir accès à l’existence d’une caisse noire (je le déduis seulement maintenant en t’écrivant (comme je l’avais un instant déduis alors)– dont je ne sus l’existence à cause de mon amnésie canonique que vers 2003 puisque quand j’étais petit : c’était inconcevable de pouvoir le croire et même tous les enfants comme moi s’y refusaient dès même qu’on le soupçonnait d’une personne : c’était peut-être une calomnie (car c’est impensable ou inconcevable que des parents puissent être autant débiles : utiliser des cfu, cff, cfm, cfs, cfc, cfv, cfé) – sauf que vers 1975, j’ai appris avec certitude, donc vers l’âge de mes douze ans qu’elle existait – cependant qu’ensuite comme j’eus à devoir contracter une amnésie (c’est ce que je te disais), je l’ai totalement oubliée au point d’en devenir un parfait benêt puisque je ne pouvais pas même imaginer qu’une seule personne autour de moi ne gagnait pas sa vie très honnêtement – cela à cause de ta grand-mère Floreance et ton grand-père Nicolas qui continuaient à prouver que ton arrière Grand Père et ton arrière Grand-mère n’ayant eu qu’accès qu’aux CFP[M] ne s’étaient que conduits en parfaits très honnête-homme – d’où que j’aspirai à connaître un jour la même situation et cela même si j’étais devenu un profane, que je vivais avec une jeune fille sans être marié -[(que j’étais un peu subventionné par mes parents en plus des minimas sociaux que j’avais fait voter d’avance comme nécessaires (comme une sécurité si ceux des parents devaient manquer – donc pour assurer une forme d’indépendance et d’autonomie minimale à laquelle je crois chacun a droit pour éviter des racket d’un type ou d’un autre), mais ne me souvenant pas que j’en étais l’aAuteur, puisque cela n’allait que devoir être confirmé une autre fois en chair et en os et cela à mon insu jusqu’au moment où j’en retrouverai la mémoire en vérifiant ainsi l’étendu des dégâts sur moi-même de mon amnésie)]- officiellement et que je ne me souvenais pas même d’un électron du Sacrifice ou même de la Grande Dictée (donc encore moins de ma promise) et encore moins encore de cette Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale (NNDIIIM ou NNDIM) dont j’avais été l’auteur impérial et international à l’âge de douze ans, à cause de ce vrai baiser que j’attendais (sans plus le savoir, car j’avais eu la première amnésie canonique durant les première Démonstrations … nommées » Après-midi d’un faune « ) depuis l’âge de mes deux ans et un mois (donc depuis dix ans) – donc très peu conscient des restes ou de l’écho du conflits ayant été à l’origine de la Seconde Guerre mondiale – j’avais totalement même trouvé inintéressant de le considérer encore : pour nôtre génération née dans les années 1960, une très très vieille chose plus ou moins totalement oubliée ou/et enterrée (sauf à l’occasion où quelques uns en parlaient comme de ce fait historique remontant aux calendes) : je n’étais plus du tout chef de famille car d’aucune façon vigilant et ne me savait/s pas être en situation de Démonstration …  ou même de cobaye – donc soumis aux dégâts -[(cet accent circonflexe sur le mot ‘dégâts’ à cause du mot de ‘guasto’ en italien, donc de ce mot dans la région limitrophe de cette partie de nôtre empire qui s’appelle l’Europe dans laquelle nous sommes habituellement en poste, donc à ce ‘s’ que tu retrouveras comme règle en français pour d’autres mots accentués en circonflexe – d’où l’intérêt pour toi – (‘interesse’, en italien) – d’apprendre l’Italien)]-  que cause l’amnésie d’un seul petit paramètre qui pour d’autres, y compris pour moi-même, une fois que ce paramètre me fut restitué, permis de restaurer mon identité qui n’avait qu’évoluée (à cause de la loi des conséquences) avec ce paramètre lié à ces omissions vers le smsm – heureusement que quelques uns se souvenaient de ce que j’avais été autre et surtout de cette Dictée Phare puisqu’elle a permis la réalisation par ton arrière grand-père, les empereurs de l’Angles et de la Reconstruction -[(avec moi et toi aussi, d’une certaine façon car tu as compris que je fus content de te découvrir dans le ciel d’avance deux années ou trois ou peut-être quatre (ici je n’ai pas envie de chercher précisément)  après le début de cette Dictée Phare, donc de cette NNDIM comme la bienheureuse conséquence de cette NNDIM ou Dictée pharaonique)]-, de l’intégralité de la Dictée Phare et de nombreux bonus/i en plus que nous découvrions un jour - donc des choses admirables d’avance et cela il est probable qu’Il a[it] pu le réaliser un peu, grâce à l’aide de l’empereur fou et handicapé (criminel contre les intérêts majeurs de l’humanité –ne les connaissant pas s’était facile de le devenir, en parfait ignorant au mauvais sens de ce mot) , au mauvais sens de ce mot, quand il était jeune – donc jusqu’à environ 1955 – c'est-à-dire grosso-modo quand ton arrière grand-père s’est marié en obéissant à mes ordres du futur – ce que je ne  savais pas quand j’étais petit et si peut-être un instant je l’ai su au cours des années 1965, comme à chacun des autres instants, je n’avais que des milliards de milliards de pixels de la réalité à analyser à chacune des fractions de seconde et que cela ne m’avait pas été marqué noir sur blanc – que je n’avais pas accès à une preuve quelconque, je ne pouvais plus honnêtement croire qu’avant ma naissance je m’étais annoncé – c’est impossible à comprendre un truc pareil (à moins de saintes écritures inscrites en sacré le démontrant)  quand on est enfant et surtout en étant à l’âge adulte : à  l‘annoncer avant même d’être conçu, ce qui signifie que ce sera le même spermatozoïde celui-là et pas l’un de ses frères et sœurs qui alors que ces annoncent (je relis : j’ai donc utilisé le pluriel lié aux verbes pour ‘annonces’, ce qui est en définitive pareil) furent faites en virtuels, donc sans ma personne en chair et en os, qui touchera la cible de l’ovule et cela à plus de quarante deux années lumière de distance d’un futur qui n’existait pas encore en chair et en os et donc qui sans tenir compte de la loi des conséquence avait des probabilités de ne jamais advenir – donc d’être improbable – cependant que cela a prouvé que la loi des Conséquences (celle des dominos autrement-vue ou alors des interactions autrement approchée[s], donc synonyme sur ces points) est absolument d’avance à permettre de prévoir tout sans même un photon d’erreur dans tous les temps et en fait cela s’est reproduit aussi pour ta naissance et celle de tes cousins (qui ne put advenir comme celles de tous les terriens aujourd’hui enfants qu’uniquement à cause de nôtre Sacrifice avec CL – comme si vous aviez exigé que j’ai à souffrir autant pour autoriser vôtre vie et venue sur Terre (je devrais vous en vouloir mais je ne puis) – sauf que vous n’y êtes pour rien, car nous vous savons sans avoir d’aucune façon envie que personne n’ait à souffrir, car ce sont les adultes d’alors qui ont choisit de me/n[V]ous désobéir et qui vous ont voulu (ce qu’ils auront en responsables et en coupables à devoir assumer) dans ce cas de figure de la Création, alors que vous étiez attendu par mes enfants d’avec CL (mais aussi d’avec MF) et ceux de Luc-François (avec SAI SSS les dames impératrices Katriona Munthe), vos cousins germains dans un autre « ou bien » rénaisien où la mort avait progressivement beaucoup plus rapidement disparu (puisque c’est en 1815 et confirmé en 1945  qu’elle a été totalement knock out – ce qui signifie qu’elle a continué à vouloir se venger, alors qu’elle n’était que totalement anéantie – peut-être ou sûrement à cause de la maladie cérébrale ayant affecté les grognards après les défaites de Napoléon Premier – ce qui les aurait porté à augmenter le prix du baril de pétrole vers les années 1860-70 puisque leur objectif était (en recherchant à se venger) de refaire un nouvel empereur (comme le précédent en s’aidant de la mauvais foi, par le mensonge, et les crimes – donc d’une façon non légitime, fausse), par conséquent à rechercher avec préméditation celui qui serait le dindon de la farce (le citrullo, l’arnaqué de service) pour arnaquer cet empereur (comme ils avaient réussi avec Bonaparte) et le faire empereur dans l’espoir d’une revanche – ce que seul le plus abruti ou le plus ignorant dans tous les temps ou le plus benêt (au mauvais sens de ce mot qui en a du bon autrement vu – sur d’autres plans à d’autres occasions) va croire pouvoir infliger à des gens qui ne sont pas du tout innocents, à cause des leçons de l’Histoire et de la très grande mémoire qu’ils ont de chaque conflit comme aussi des causes à l’origine de ceux-ci) – mais ce sont les adultes qui n’ont pas voulu comprendre la notion de à mi-mot ou de ce qui découle mathématiquement d’une phrase de ce qui est sous-entendu (ou en pairie [de plaisanteries]) – cela les arrangeait visiblement en 1975-77 pour des raisons qu’ils ne voulurent pas changer leurs habitudes, il se pourrait concernant la vente d’armes (Rimbaud en fut victime - soit ce que ma mère et mon père m’avait totalement interdit d’utiliser dès ma première enfance, à cause des divers traumatismes dont ils se sortaient tout juste – mais j’ai découvert que c’est moi du futur qui a exigé cela comme éducation de leur part à m’infliger et que mon père ne m’a ici (heureusement) qu’obéit – c’est donc qu’il y avait ce projet d’écriture (de passer par les négociations, et les vérités d’écriture, la diplomatie) comme alternative ce qui ne fait jamais beaucoup de mal puisqu’on peut tout bonnement ignorer ce qui est écrit de déplaisant sur une ligne ou une autre et ne retenir dans les écritures que ce qui sera à porter au crédit d’une personne qui s’est interdite de prendre les armes (à feu) pour se faire justice soi-même – évidemment l’occasion est bonne d’autant le préjudice subi qui dès 1975-1977 aurait amené n’importe lequel des autres garçons à ma place à trucider chacun de ces prétendus « adultes » (voire ses parents) et cela à cause des dommages qu’ils me contraignirent à m’infliger de 1977 à 2005 au moins ainsi que tous ceux qu’ils firent/causèrent à ton grand oncle Luc-François et à l’une de ses femmes -[(qui devait porter Ses enfants et dont mon père m’avait assuré qu’elle était Sa promise, sans me dire d’où Il l’avait su et moi-même ne pouvant pas d’un électron imaginer (d’autant que j’étais à ce moment-là dans la première partie des Démonstrations … , par conséquent amnésique)  que c’était de moi-même qu’il l’avait su mais d’un moi-même qui était intervenu en virtuel du futur à partir de 2005 alors que nous étions dans les années 1970, puisque le jour où il me l’a appris dans l’automobile que je ne savais pas non plus la Lui avoir fait obtenir (à l’occasion de ces interventions), Il n’a pas songé à évoquer ces transmissions à travers le temps qui le Lui avaient aussi certainement et indubitablement que cela appris – parole d’empereur à son fils qui ne sait pas que son père l’est, mais qui sait que Son père ne ment pas, par conséquent est indubitable – c’est ce qui expliquera pourquoi je n’ai pas hésité quand j’ai retrouvé ma mémoire de mon anneau avec C. … L. à transmettre de nouveau les noms des futurs mariés/promis comme aussi cela en direction/vers ces années 1965 où j’y étais petit et sur le point d’être considéré un enfant, les noms du mari de ma sœur  Nicolas Michelin et la femme de mon autre frères Martine Pierre-Marie)]- SAI SSS les Dames Katriona Munthe) – c'est-à-dire avec cette loi des conséquence ce qu’on déduit plus ou moins de partout, en raison des prévisions qui  découlent de la maîtrise de la connaissance de cette loi difficile bien qu’elle s’appliquer mathématiquement à l’occasion de n’importe quoi – il y a ici la possibilité d’un baromètre qui prévoit d’avance selon le choix qu’une personne fera face à une situation précise ce qui résultera d’elle un peu plus loin dans le temps – évidemment pas tout de suite, car il y a aussi la sécurité qui permet à la personne de revenir sur sa décision, cependant que dès que le choix est fait, il ou elle, comme j’eus à le démontrer, commencera à chausser sa Peau d’Âne et puis un peu plus loin sa peau de chien et un peu plus loin si ça continue sa peau de fauve, un peu plus loin sa peau de crocodile et enfin celle de serpent et pire, s’il continue celle de requin et enfin à rejoindre beaucoup plus loin l’ère préhistorique, dans le passé de laquelle nous avons déjà les résultats d’avance avec un os ou deux ou alors pire, tout le charbon au moment où la reine de nuit s’est auto-détruite, et a tué l’ensemble des animaux voraces qui la constituait – aussi les âmes voraces et négatives (celles en question) furent totalement détruites par la reine de la nuit qui n’avait été depuis toujours, par chacune des grande religions avertie et même en musique avec SAI SSS les Lord. W. A. Mozart dans la fin de son don Juan : « c’est la fin de celui qui fait [le] mal ») et cela le prix de ce matelas même avec un prix du pétrole cent à trois cent fois plus cher que ce qu’il aurait dû être (ce qui était le cas [particulier] après la seconde guerre mondiale – c'est-à-dire qu’Il  (ton arrière grand père pharaon) s’est donné cette peine pour faire rire tous ceux qui savaient à première vue que c’était une perte de temps et que l’enjeu n’en valait pas la chandelle (sauf que visiblement pour Sa chandelle (sa façon de vouloir s’endormir avec cette très belle demoiselle rencontrée de Hollande, ton arrière grand-mère) Il en avait jugé fort heureusement pour tous (et peut-être par fidélité inconsciente ou au contraire consciente (mais inavouable) à Homère) cela à devoir faire (donc en conscience, en pareil cas, c'est-à-dire confronté à cette situation matrimoniale – évidemment pour tous ceux qui n’ont alors été que spectateurs et qui n’ont nullement les mêmes référents que Lui, cela paraît à première vu acte de fou : pour une à première vue petite somme de crédit financiers proprement dépensées, on a, en plus l’assurance d’un matelas réalisé par un professionnel (certifié – une personne reconnue) et non par un improvisateur apprenti matelassier du dimanche – donc par un amateur même éclairé qui ne peut être comparé à celui qui est le professionnel – on aura alors un matelas-maison – un matelas du dimanche (do it yourself) qui n’a paradoxalement pas été fait en comptant gagner des CFP[M] grâce à une vente – en fait un acte hautement symbolique et que ma mère a totalement compris dans le merveilleux qu’Il proposait avec autant d’ingénuité : il s’agissait à coup sûr d’un véritable aArtiste qui enfin avait trouvé la dame de Sa vie) en plus de son travail hebdomadaire (qui était passablement difficile et délicat en ces années où il s’occupait de la Reconstruction (de ce qui devrait devenir Son Empire, mais que le précédent empereur, en raison de ce qu’il était plus ou moins totalement handicapé du cerveau (à cause de ces différentes omissions qui l’avait même amenées à croire possible braver l’interdit de tuer (non pas celui qui concerne la légitime défense qu’il prétendra mensongèrement être son Droit et la raison de ses crimes) mais celui qui concerne au contraire l’offense, le crime pour le crime, celui dont sont seuls capables la pourriture d’enfants-gâtées orangemécaniquienne, c’est-à-dire ces adolescents égoïstes (au mauvais sens de ces mots), simplement pour se permettre d’avoir le droit d’oublier les très justes raisons pour lesquelles chacun des êtres humains est précieux (il s’agit donc de crimes contre la partie la plus intelligente d’eux-mêmes qui se les interdit toujours, les sachant inconcevable, impensable comme celui d’arracher une rose ou même une plante – sauf évidemment dans certains cas particuliers possibles c’est-à-dire admissibles en conscience)  – soit l’acte de fou ou/et celui de l’handicapé, car étant sans l’usage de sa mémoire et croyant possible omettre toutes les raisons qui, d’une façon cohérente, logique interdisent d’avoir recours au meurtre dans la mesure du possible et cela parce que des anti-thèses lui parurent à première vue plus séduisantes que la nécessité de continuer, grâce à des arguments très véritables, à les réfuter. -[S’Il n’y a pas songé, c’est que son cerveau était endommagé, au point de ne pas songer à recourir à ces nombreux principes ou arguments qui sont simple de bon sens et qui vont naturellement conduire chacun, en raison des alternatives et solutions élégantes qui existent, à tout faire pour vue de s’éviter de devenir meurtrier (et à ne rechercher, en raison du bon sens qu’à le devenir le moins possible si possible) ne serait-ce que pour ne pas risquer d’être ensuite longtemps considéré comme infréquentable, par tout ce qui peut compter partout comme gens de qualité (parce qu’ils ont retrouvé le bon sens et reconnaissent ainsi ce qu’il est de loin préférable – vaut mieux) – cependant que ces admirables personnes appartenaient au monde des très véritables très grands aArtistes ou à celui de tous les très grands chirurgiens qui considèrent la vie d’un être humain comme très précieuses, comme celle d’un animal pacifique et inoffensif, car Ils n’ont pour exercer leur profession normalement que les mains blanches et savent combien de potentialité de génie bienfaisant recèle la nature humaine, ne serait-ce qu’en le déduisant de chacun des instruments génialissimissîmes qu’ils ont à leur disposition pour faciliter chacun des actes bienfaisants. Aussi les voilà tous, sans exception[s], à savoir que la notion de Dieu est très véritable, même ceux qui font semblant ou qui sont à faire mimétiquement (mais souvent en se trompant ou pas ? Bref, en faisant ce qu’il fallait faire dans le cas particulier) avec les mains sales, de leur point de vue le même métier, que les médecins (normalement des défenseurs de la Vie s’ils devaient être un tantinet cohérents avec leurs serments) – ils n’ont pas encore l’absolue certitude qu’ils le sont en vérité, aussi ils sont des adolescents qui font semblant d’être médecins – ce qui ne va pas permettre de guérir beaucoup de leurs patients, au point même d’en faire devenir quelques uns malades : ce sont les Knock) et surtout avec cet empereur précédent ton arrière grand-père, à un moment donné comme à d’autres devenu fou, au point paroxysistique de fausseté et d’irresponsabilité, donc de légèreté, au mauvais sens de ces mots (bref ce que le film les Damnés de Visconti a très bien décrit : des personnes prises dans un engrenage infernal qui les mènera, à force de mensonges, d’ânes (ce qui peut être parmi les meilleures réincarnations qui leur arrivera) à, hélas pour eux, requin ou pire encore, par conséquent assurés d’avance sur Terre d’avoir l’ensemble des meutes de chiens de lévriers afghans aux fesses, s’ils avaient encore à n’être pas descendus si bas, donc devenus lions, mais aussi l’ensemble des très véritables soldats dressés dans tous les temps d’avance contre eux. Pour être autant devenus des ânes c’est qu’ils ne colportent que des petegolezzi ou des bruits de couloirs ou qui traînent (des bribes de phrases en les érigeant en tant que vérité, mais arbitrairement) sans intellectuellement vérifier objectivement et scientifiquement exactement (cependant qu’ils ne vont qu’employer que le mot de scientifique, dont ils n’ont qu’une idée si élémentaire qu’elle est d’avance risible – pas complètement fausse, mais terriblement incomplète et surtout de personnes ne pouvant aucunement qu’être les victime du décor et des données qui s’y trouvent, à-premièrevues rassemblées – extrapoler ou lire sur d’autres niveaux de lecture, en tirer des conclusions ou les substantifiques sèves sur chacun des pixels de chacune des images : impossible – ils ne peuvent pas voir ce qui découle (des milliards de milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini d’innovations possibles sur chacun des pixels – évidemment pour cela, il faut avoir rejoint tous ceux qui appartiennent à ce concept génial de Dieu ou mieux encore de G. A. U. donc avoir eu accès au Saint-Esprit, donc à la conscience, sur un plan plus profane, c'est-à-dire à ceux qui savent exactement ce que signifie la notion de « devoir » : des milliards de milliards de milliards de milliards et à l’infini de Très véritables Bibliothèques de savoirs précis hyper-exactissîmes (qui forcément vont tempérer les autres notions comme celle de la liberté en valeur absolu – qui peut-être n’existe même pas même dans ce cas, en étant pourtant, dans ce cas, une exception bien que demeurant positive comme notion) – aussi tu les entendras dire : « nous devons partir en vacances » car effectivement ils le doivent). Ce qui est à première vue représenté ou inscrit est-ce vrai ou faux ? (C’est à nôtre avis la nécessité de choisir ce qu’il vaut mieux en absolu, à plusieurs milliards d’années de là où Nous sommes dans le futur, qui nous fera donner du crédit à une phrase ou alors la réfuter, à cause des conséquences inadmissible[s] de celles-ci – ce qui signifie qu’elles feront du tort à l’Ensemble ou une partie de l’Ensemble – il n’y a pas d’autres critères possibles pour des choix en conscience).   En raison de ce très faible niveau d’instruction qui ne concerne que les très/plus [sombres] ignorants, au mauvais sens de ce mot, ce précédent « empereur » avait réussi, en raison de personnes étant, elles, au contraire, au courant de la Vérité (de très véritables scientifiques, comme au courant du relatif de certaines à-première-vue vérités (arbitraires ou mal étayées, non objectives, peu crédibles à la lumière d’admirable[s] principes préférables d’autant qu’on en a bénéficié) donc dès que les arguments fondamentaux (ou ceux qui sont préférables de ne pas oublier dans l’Intérêt Général, sont retrouvés, en les mettant dans la balance effectivement en ayant à les opposer à tout ce qui alors, à la lumière de ces raisonnements, apparaît effectivement comme moins essentiel, voire ‘ineptie’ ou /et faux ou/et [alors] égoïste, soit le contraire des traits fondamentaux de la Création qui n’est que généreuse (à tous ceux qui ont compris la patience qui fut à l’origine de celle-ci) en ayant pensé aux quantités d’avance, mais sur quelques points précis des raretés pour renseigner et avertir qu’effectivement cette Création obéit [entre autres] à ce principe ou cette loi – cependant qu’il n’y eu qu’un seul spermatozoïde pour donner Woody Allen qui le rappel dans tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe et … )]- Donc à détruire l’Empire – en s’autorisant en arbitraire à les oublier – c’est le propre au sens de ce qui définit l’arbitraire de croire possible « oublier » ce qui est soudain gênant – c’est ici l’irruption du subjectif (donc de ce qui peut être [mis] en relation avec égoïsme, adolescent et enfant-gâté) dans ce qui ne peut être pratiqué qu’objectivement). On ne comprend pas/plus alors pourquoi le maître puni ou interdit ou déconseille (trop long et trop difficile à expliquer – il fallait faire confiance) puisqu’on n’arrive pas à comprendre les raisons que lui, fondamentales et légitimes, dans l’Intérêt Général qui contraignent ce maître, à cause de l’absence de bonne volonté pour se hausser à ce niveau de compétence ou pour le comprendre dans la difficulté qu’il a à mener les habitants de la région dont il est responsable, à persévérer dans des comportements les plus civilisés même avec les [anciens] ennemis qui peuvent devenir les amis de demain, dès que les malentendus seront dissipés. Donc par exemple ceux-ci en faisant grève (une forme de sabotage), à contraindre les autres à faire intervenir la police ou les gendarmes, puisqu’il est impératif qu’il continue au moins à ce qu’il y ait du lait dans les épiceries pour les  jeunes mamans et d’autres produits de première nécessité (sans la bonne volonté de chacun à l’activité que chacun s’est assignée, rien ne peut marcher – le droit de grève oui ! mais dans certains cas [particuliers] qui la rende légitime (sans que cela ne nuise aux commerces des biens de première nécessité ou de base) – d’où qu’il vaut mieux être bien conseillé car sinon on deviendra coupable de créer de l’obstruction aux commerces internationaux [de première nécessité] qui n’ont d’’autres objectifs de permettre à toutes les épiceries ED ou hypermarché Carrefour ou Leclerc d’être fournies de ce qui est vital et si possible du superflu, c'est-à-dire de l’agrément, de ce qui permet de se ‘gâter’ (peut-être ici écrit en anti-mot), se faire plaisir, donc au bon sens de ce mot, c'est-à-dire quand on sait le mériter ou surtout quand on sait qu’une ou l’autre des personnes dans sa famille le mérite – d’où ce Pégase et/ou d’autres jouets qui contribuent à la formation de l’enfant – ce que ne peut offrir que celui qui va se priver lui-même (sur d’autres plans) de ces sommes financières pour acheter ces très véritables cadeaux à un de ses enfants ou à l’ensemble de ceux-ci – d’où que celui-ci qui n’est pourvu que de CFP[M] ne sera qu’infiniment généreux, même s’il n’offre qu’une seule chose minuscule (ce qui signifie avoir consacré du temps à cela, donc un investissement) – tandis qu’évidemment ceux qui ont accès à la caisse noire ne feront qu’uniquement piller le Trésor collectif et uniquement continuellement dérober au sens de voleur, car chacun des achats qu’ils feront ne sera que continuellement du vol et par conséquent totalement en irresponsables et en inconscients de ce qu’ils achètent (sur de nombreux plans) au point de ne croire que seulement les à première-vue, donc ce qui est inscrit comme valeur financière à dépenser, à cet à-première-vue sans comprendre ce qu’il cache, ce qu’il représente en réalité comme différentes choses et paramètres rassemblés au préalable. En effet, aucune de ces personnes appelées des consommateurs, comme un synonyme autrement vu  de « peuple » ou de marché (ce qui en est encore un autre) n’est – sauf une ou deux d’entre elles – capable de comprendre pourquoi un téléphone mobile est si peu coûteux dans les boutiques spécialisées (comme l’étaient devenues de nombreux modèles de montres) à l’aune de ce que les téléphone mobiles présidentiels, dans les automobiles de fonction, rarissimissîmes représentaient autrefois comme dépenses pharaoniques pour ces quelques privilégiés d’autrefois (et ceux qui ont accédé au droit de disposer de ces véhicules reliés téléphoniquement) – pour qu’un tel miracle ait été possible en si peu de temps cela ne l’a été qu’uniquement que pour prouver que les patrons sont tous (les plus grands) hyper honnêtes et qu’ils sont coincés et contraints de répercuter les exigences de tous ceux qui sont malhonnêtes, voleurs, tricheurs, escrocs, faussaires, etc. , car nombreux d’entre eux le sont devenus en raison de ces incapacités cérébrales contractées les empêchant de faire confiance à ceux qui savent vraiment, sans un électron d’erreur (en réalité les véritables iIngénieurs, ceux qui sont à l’origine de chacune des innovations) – c’est – je l’ai vérifié sur moi-même  - qu’il y a un stade où ils n’arrivent pas/plus du tout à accéder à ce niveau considéré par tous ceux qui ont fait un peu de sciences véritablement, élémentaire – donc n’arriveront pas à prendre un risque, à cause du préjugé que les mauvais calculs dont nous avons hérité dans bien des domaines ont occasionné comme dommage et [comme une] lésion[s] en différents points (obturés, inopérants) cérébraux (des connexions qui ne se font plus et qui seront alors à l’origine de ce qu’en public vous direz ce qu’il ne fallait pas dire ou qui serait mal pris ou incompris ou à révéler l’erreur dans laquelle vous êtes) – cet impedimenta à accéder à ce niveau élémentaire de logique à peine mathématique, mais surtout logique en absolu (vis-à-vis de tous les paramètres existants ou qui existeront) qui est en relation [par ailleurs] avec simplement la décomposition des interactions économiques et cette loi des conséquences. Evidemment cela est hyper-facile à comprendre à n’importe qui ayant été un tantinet sérieusement à l’Ecole Elémentaire (Jardin d’Enfant plus un ou deux ans), n’ayant pas usurpé son droit à disposer d’un stylo à encre, le jour venu. Mais ces personnes qui ont prétendues y être aller n’y ont été que visiblement pour faire semblant ou d’autres choses ou continuer à faire la nouba qu’elles faisaient dans leur chambre avec leurs petits camarades, voisins et voisines (assurées, en raison de parents à-premièrevue honnêtes – ou auxquels ils se seraient lâchement vendus (donc déjà en corrompus) de ne manquer de rien) – peut-être même elles y sont allées en étant assurées en tant qu’enfants-gâtés, donc avec les risques inhérents de ne connaître ensuite qu’adolescences et égoïsmes liés à l’enfant-gâté (le fils-à-papa), de disposer  toujours de moyens financiers (en raison de l’un ou l’autre des papa[s] gâteau ou mère- gâteau avec lesquels ils sont entrés en contact, donc en comptant sur leurs relations – ce qui est déjà fausser tous ou moins toutes les spontanéités pour toutes celles appartenant à cette catégorie de corrompus)  et donc de ne pas avoir à rechercher spécialement une indépendance financière ou l’autonomie qui serait due à eux-seuls (méritée – du moins en grande partie) – c’est ce qui menace ceux qui sont dès le départ assurés (y compris les descendants) d’avoir de quoi survivre – ces personnes ne connaissant pas la situation de manque sont en danger de ne jamais pouvoir évoluer, grandir (ou même comprendre l’autre dans sa détresse) et certainement pas de réussir à comprendre ce qui ne va pas (autrement dit). Ces tâches ou/et ces peines qu’Il avait durant la semaine. Il, (toujours ton arrière grand-père, sentant venir le moment où enfin la société le considèrerait enfin adulte et lui reconnaitrait les mérites que ses parents avaient décelé) découvrit (avec ce matelas de Monsieur Dimanche (car il adore le Théâtre et S. A. I. SSS les lordissimissîmes Molière) car certainement pas de Dom Juan  (qui lui les achète tout fait) – peut-être même ayant été réalisé durant un sabbat transgressé, c'est-à-dire une obligation au repos – une indication que tous s’empressent à suivre quand elle arrange tout le monde -[, mais aussi à transgresser, si possible (y compris pour faire encore plus d’affaires, cependant que d’autres, aimant suivre les bons conseils à la lettre (donc aimant appliquer les règlements, ce qui est souvent synonyme de Lontarin)  ne seront q’hyper respectueux de ce temps donné à la possibilité de se parfaire sur des plans autres que strictement scolaires ou/et professionnels, donc des plans « amateurs »/d’hobbys spirituels et autres) mais/car il s’agissait avec l’introduction du/es jour[s] de repos d’un avertissement, d’un conseil concernant la Santé (ce que les religions ont eu à cœur de transmettre, tant qu’elles eurent voix au chapitre – c’était de leur ressort de ne pas oublier que les enfants sachent ce qui, grâce à l’expérience millénaire des anciens, a été déterminé, à force de comparer entre eux les résultats obtenus, (ceux des uns et des autres), sous la forme d’un consensus, qui a l’air de s’être rapidement manifesté chez ceux qui avaient conscience des heures, donc du calendrier (un  paramètre appartenant à une vérité relative, c'est-à-dire une catégorie qu’on n’a vite  plus pu négliger) - considéré comme un devoir : le repos y compris dans la semaine scolaire des programmes plus ou moins faciles à suivre, selon le degré d’éveil d’un enfant : un moment au milieu des journées de la dite semaine (sept jours) pour que ceux-ci aient accès à d’autres activités bienfaisantes pour le corps – en général un des sports – ce qui n’est nullement obligatoire, mais qui peut faire du bien. En fait, une indication qui est proposée, donc contestable avec les conséquences que cela aura, cependant que cette indication de repos est selon chacune des activités à pouvoir être pensée autrement : il s’agit de ce qui ne peut faire que du bien, mais probablement pas à quelques-unes des activités ou à quelques-uns des métiers dans l’ensemble de ceux-ci. Aussi, c’est encore une fois au cas par cas, que cela doit être adapté, d’autant que cela avait été donné comme façon de fonctionner à une époque où celui qui évalua la situation pour le décréter s’adressait à des gens peu instruits, (moins que lui), donc comme une sorte de solution élégante de compromis. C’est si vrai qu’elle n’était pas suffisante avec un seul jour par semaine, puisque cela devînt deux jours et même peut devenir trois, d’autant plus que le prix du baril de pétrole serait enfin mis à son maximum plancher de ce centime de dollar que j’avais demandé d’autant plus que ce pétrole, comme tous l’ont compris n’était que légitiment le mien à plus d’un titre – empereur, bouddha, pris et considéré pour Dieu dans le ciel et celui qui a transmis et géolocalisé de ce ciel plus de 50% des réserves mondiale de pétrole – aussi chacun de ceux qui augmenta le prix du baril de pétrole au lieu de le baisser comme je l’avais ordonné, exigé, conseillé, demandé, supplié, etc. obtint pour son âme la pire des pire réincarnation puisqu’il devînt personnellement coupable de l’existence de toute la misère matérielle qu’en quelques jours, si on m’avait obéit, il aurait au contraire contribué à faire aussitôt disparaître en raison des répercussions du prix du baril de pétrole sur l’ensemble des autres prix)]- à ménager à tous les travailleurs sans exception qui peuvent faire ici ce qu’ils veulent/voudront de ce temps et même croire possible le remettre en question, voire travailler, mais ce qui importe (comme est vital pour le cerveau) à d’autres activités. Ils doivent s’imposer absolument de changer d’activité (ne serait-ce que pour éviter de devenir fou, quand la principale des activités, celle qui procure le plus de CFPM est pratiquée plus de huit heures par jour) et c’est évident qu’il vaille mieux deux jours entiers [de repos] qu’un seul (ce qui aurait été possible jusqu’à trois jours au moins pour tous les habitants sans exception de cette planète avec le prix du pétrole, comme nous l’exigions en 1975-77 pour commencer mis à un dollar (et ensuite progressivement à ce prix plancher maximal de un centime de dollar), donc plus encore de temps de repos à un prix du baril de pétrole à encore moins (les patrons étant des gens réalistes, qui, quand ils peuvent, n’hésitent pas à faire bénéficier des répercussions des avantages qu’on leur à fait sur les prix de leurs dépenses, par conséquent sur les prix en fin de comptes proposés aux clients) mais quand ils ne peuvent pas, ne peuvent pas, en raison qu’à cause de ces augmentations du prix du baril de pétrole la conjoncture internationale économique ne s’y prêtait plus puisqu’elle n’a été qu’uniquement et seulement à continuellement que celle partout à devoir répercuter à chaque fois chacune de ces hausses du prix du baril de pétrole, donc les exigences d’un petit groupe d’enfant-gâtés, égoïstes, adolescents, au mauvais sens de ce mot (les gens de l’Opep qui ont cru pouvoir oublier le patron, c’est-à-dire ma personne puisque j’avais géolocalisé plus de la moitié des réserves mondiales et que tous savaient que j’étais le bouddha, l’empereur qui dans le ciel intervenait d’avance, donc celui qui était pris et/ou considéré comme Dieu – ces smsms ne crurent pas que j’étais déjà à leur époque le patron donc en 1975-77 et donc m’oublièrent en me désobéissant sur place et en profitant de ce qu’ils étaient à première vue adultes, donc plus fort que moi physiquement puisque je n’avais que douze à quatorze ans, donc ne se conduisirent qu’en abjectes lâches et continuèrent à augmenter le prix du pétrole en dépit de la loi de la Quantité et de la Rareté qu’avec ce plus de 50% des réserves mondiales j’avais transmis et inscrit de ma main immaculée de bouddha et d’enfant qui devait se marier et qui attendait ses enfants, avait permis de faire comprendre que ce pétrole n’était plus du tout rare à cause de ces quantités de réserves transmises, ce qui donnait le temps d’en trouver d’autres à partir de 1977 dans le cas où l’ensemble de ce que j’avais dicté concernant les énergies propres, de substitution, n’aurait pas suffit avec ce qui restait comme pétrole dans ces réserves miennes – nôtres car les tiennes et celles de mes enfants que j’eus à sacrifier à cause de ces criminels contre l’humanité qui en portent donc chacun nominativement la culpabilité y compris leurs enfants et cela jusqu’à la fin des temps y compris tous ceux qui devaient s’opposer et faire valoir mes droits qui ne l’ont pas fait alors que j’étais l’empereur – honte sur chacun d’entre eux et malheurs jusqu’à la fin des temps) car pire que des parodies de don Juan qui au moins a l’air de joliement chanter (un à-premièrentendu) et qui en parfaits ignorants, au très mauvais sens de ce mot de toutes ces lois économiques concernant les diverses interactions auxquels sont soumis toute la chaîne des revendeurs jusqu’aux patrons, ne se sont comportés qu’en satyres, faussaires, ou centaures, de mauvaise foi n’ayant qu’obtenu, grâce à ces pétrodollars qu’encore plus que cécité psychique : il ne firent que continuer à uniquement voler/piller nôtre Trésor en raison de leur très réelle et totale incompétence, celle d’usurpateur et d’imposteur avec ce prix du baril de pétrole qui augmentait à chacune des réunions entre ces prétendus ou soi-disant musulmans (uniquement des faux musulmans car les très véritables savent compter et sont des gens de sciences exactes comme moi – donc qui raisonnent justement) qui ne furent que des réunions d’individus totalement contraires à l’Intérêt Général le meilleur pour chacun de leurs descendants (uniquement des réunions de voleurs, menteurs, tricheurs, corrupteurs, criminels contre les intérêts vitaux de l’humanité et des générations futures – la lie, la vulgarité des ignorants, au mauvais sens de ce mot, des faussaires, des voleurs, entre eux – de ceux qui affament le monde entier pour n’avoir qu’eux seuls en égoïstes, adolescents et enfant-gâtés avides et insatiables  et en raison de cela devenus chacun uniquement méchants et bêtes, au mauvais sens de ce mot (et non au bon ce que ma solution élégante toute bête était), parce qu’ils n’arrivent pas à comprendre des choses simplissimissîmes qui ont à voir avec la nécessité de chacun des êtres humains de ne penser qu’au moment où il sera le plus âgé des êtres humains – par conséquent ce qui contraint à ce que chacun des êtres humains fasse bourse séparée et comptes différents comme accepte nôtre façon de gérer tout cela « en bon père de famille » ce que j’étais devenu et que je prouvai, malgré mes à première vue douze ans ou quatorze ans en 1975 alors que tous ont pu vérifier depuis l’époque que j’avais déjà quarante deux ans et depuis 2015 qu’en réalité j’en avais quatre vingt deux, puisque j’ai pu m’enregistrer en vidéo dans le ciel dans trente ans – aussi c’est contre un vieillard qui était la sagesse personnifiée car le bouddha lui-même qu’ils ne furent chacun d’entre eux qu’uniquement sacrilège – honte sur eux et pour toujours y compris sur chacun des membres de chacune des institutions qui ne voulu pas croire qu’il fallait m’obéir non seulement pour ce prix du baril de pétrole mais aussi pour le droit que j’avais de plusieurs épouses puisque le pétrole était à moi, donc que j’avais le droit d’employer une partie de ses revenus pour ma descendance – non ! il ne permirent pas qu’elle existe et ils en devinrent chacun les complice du meurtre de la virtualité alors que j’intervenais en virtuel du Ciel en rendant richissimissime chacun d’entre eux – pire, quand ils eurent oublié cela, alors que j’avais moi-même une amnésie, ils crurent possible me persécuter psychiquement – ils se sont à jamais maudit et damnés chacun d’entre eux d’autant les sacrilèges qu’ils exigèrent de moi que je fasse à ma semence sacrée de bouddha – la honte la plus absolue est sur les habitant de cette planète pour toujours alors qu’ils avaient obtenu de moi les renseignements pour la fabrication du premier walk man jusqu’aux écrans plats – même dans des milliards de milliards de milliards et plus d’années la honte est sur chacun de ceux qui utilisera un seul des gadgets qui ne ruissellent que du sang de les descendants, des purs, des innocents et des confiants comme je l’étais – jamais ils n’obtiendront le moindre pardon même si Jésus-Christ me supplie à genoux des milliards de milliards de milliards d’années – jamais à cause du mal qu’il firent à l’impératrice ma femme, cette petite fille enfin nubile et qui m’avait enfin retrouvé après dix ans de séparation sacrificielle – un autre cadeau que nous avions fait aux terriens qu’ils ne surent pas estimer à sa juste valeur)  – donc des réunions de personnes recherchant à continuer la vie d’enfants-gâtés irréalistes (financièrement parlant) et surtout de tricheurs (d’autant les quantités de cette matière première apportées, donc s’entendant entre eux d’une façon illégale (comme la loi équitable mais surtout de bon sens, donc juste : anti-trust l’interdisait, ce qui est déconseiller d’une façon impériale)  pour faire augmenter artificiellement le prix du baril de pétrole pour racketter et rendre malade tous ceux qui avaient besoin de ce pétrole pour fabriquer les produits dont ils étaient qui plus est – c’est le bouquet - les premiers consommateurs, donc à avoir besoin – par conséquent de réels sombres abrutis de vauriens au mauvais sens de ce mot, donc des s[tronzi]m[arcia]s[ecca]m[ente] mais peut-être comme il s’agit de gens qui ont détruit en partie leur mémoire est-il plus correct d’écrire sms[m]m, donc avec ce [merda] en plus, leur rappeler par ce pléonasme le stronzo de départ dans ma trouvaille comme expression évoquant de façon profane la maladie qu’ils ont contractée, celle qui fait devenir smsm) par rapport à la réalité même du Commerce qui repose sur cette loi de la Quantité et de la Rareté qu’en s’ingéniant aussi mensongèrement à nier sur cette matière première du pétrole, ils ne vont encore une fois que provoquer la colère de tous ceux qui savent compter justement et surtout comme moi en mathématiques supérieures (les seules utiles qu’on puisse utiliser pour fabriquer n’importe lequel des produits et prévoir les dépenses) et prévoir les diverses consommation à l’échelle globale y compris durant les temps qui  doivent être consacrés à la mutation énergétique globale – cela ne sert à rien de rendre artificiellement rare, donc faussement, ce qui ne l’est pas/plus depuis mes interventions à travers temps et Espace à partir de 1976, c'est-à-dire du moment où mon père est confirmé en tant que pharaon, puisque j’ai pu vérifier sur place qu’il connait la loi de la Quantité et de la Rareté (peut-être différemment que moi qui l’ai expérimenté sur des produits que j’ai fabriqué moi-même à vendre, donc en l’ayant expérimentée en détail et à tous les niveau de production, réalisation et distribution), celle de la Concurrence et celle de l’Offre et de la Demande qui avec deux ou trois autres lois ou/et paramètres inhérents à quelques produits en particuliers , gouvernent avec les autres lois habituelles (celle de la Conséquence, etc. ) tous les marchés sans exception, sur n’importe lequel des produits ou résultat (commerciaux) issus des aArts des artisanats ou de l’industrie, mais aussi de l’Agriculture (c’est à partir des chiffres et des quantités, donc des statistiques qu’on gouverne, donc à partir de données objectives, comme grâce aux divers devis ou appels d’offre qu’on apprendra à lancer en se conformant ou pas aux règles, à ce sujet).

C’est important pour le cerveau lui-même ces temps de repos (qu’on appelle vacance puisqu’on peut s’offrir à la vacuité sous différentes formes y compris en évitant, par exemple, de penser, de créer pendant ces moments où en général on peut s’allonger, sommeiller ou même se consacrer à l’amour) et surtout quand il y a comme le montre très bien SAI SSS les Lord. Charlie Chaplin (dans Les Temps Modernes), répétition du même acte qui ne doit pas devenir une chose aussi dangereuse. D’où mon idée de changer périodiquement, grâce à des roulements, d’actes à répéter et ainsi d’avoir au moins la chance, au bout de quelques années de se faire une idée précise de chacun des actes qu’il a fallu ajouter comme travail pour réaliser un des objets. Cela permet ainsi d’avoir une idée de la complexité à laquelle est soumise toute direction patronale.  Mais un tel idéal va représenter des coûts de formation supplémentaire que les patrons ne pourront se permettre que quand la conjoncture économique internationale le permettra et que pendant longtemps ce prix du pétrole leur permettra d’envisager sur un certain nombre d’années de dégager une marge financière qui permettra à ceux-ci cet investissement supplémentaire socialiste (ce qu’ils sont, forcément, puisque capitalistes – une tête est forcément reliée au sens exacte de chacun des mots qu’on utilise alors dans le bon sens pour créer des solutions élégantes sociales, donc pour essayer de détruire les causes de la misère : cette sale ignorance des enfants-gâtés, adolescents-égoïstes et fils à papa ou à leur mère qui ne se rendent pas compte de ce que cela a signifié de réussir à gagner dans l’Histoire les premiers centimes en CFP[M] et non en cfu, cfm, cfc, cfc, etc. – les voilà rackettant leur mère ou leur père pour disposer de revenus, donc pour dépenser sans produire l’équivalent de ce qu’ils dépensent, par conséquent en parasites, donc appauvrir l’Ensemble des très honnêtes gens). Mais en demeurant des capitalistes réalistes – ne pouvant qu’offrir que ce qui ne pourra venir qu’en son temps et en heure, donc en raison d’une possibilité réelle – tandis qu’il est possible que dans une des entreprises qui n’a été fondée qu’avec des  cfu[surpés] appartenant à cette caisse noire, on proposera mon idée de 1975-77, qu’on a espionné durant les temps où je travaillais prisonnier et esclave du devoir paternel, donc de l’Anneau et cela pour offrir ou séduire des jeunes à de meilleurs conditions de travail les rémunérant avec de l’argent pillé de nouveau à N[V]ôtre Trésor (en réalité le leur, mais c’était bien à moi qu’il incombait de le gérer – mais ils m’en écartèrent, en égoïstes enfants-gâtés et adolescents attardés pour se partager le gâteau entre eux seuls et discréditer à jamais le mot de socialiste – du moins durant la période 1977-2005 et malgré les interventions de l’unique véritable socialiste dans l’Histoire, (Picsou), qu’il y ait eu, avec ma personne (ainsi caricaturée) entièrement et seulement capitaliste, mais aussi au service de chacun des autres mots qui permettent des choses intelligentes) par conséquent en retardant ici la possibilité que tous les travailleurs puissent un jour connaître ce qui devrait les rendre plus intelligents, puisqu’ils travailleront en comprenant mieux la notion de polyvalence, ce pour quoi (la finalité : les rendre ainsi capable de s’adapter à de nouvelles activités requérant le sens de l’adaptation)  ils ont été embauchés – évidemment dans le cas où cette polyvalence est requise, sinon ils ont peut-être même de la chance de n’avoir qu’à répéter une seule chose (je considère personnellement que faire des petits points, comme le poinçonneur des Lilas, est très certainement la chose la plus agréable qui soit – j’ai trouvé triste que ces petits confettis disparaissent des sols où se tenaient ces personnes, les poinçonneurs, qui permettaient d’embaucher quelques balayeurs pour rassembler ces confettis puisqu’il est probable que ces poinçonneurs n’aient pas voulu se donner cette peine d’eux-mêmes alors que c’étaient eux qui avaient « souillé » et que c’était par charité pour eux, pour pouvoir les rémunérer avec des CFPM qu’on s’était donné du mal pour reproduire en une quantité assez nombreuses cette machine à poinçonner à partir d’un très rarissimissîme dessin d’un ingénieur « quelconque » - il s’agissait de micro-confettis ou de mini-confettis qui auraient pu être récupérés et même offerts (une fois nettoyés et stérilisés) – mais aucune de ces personnes ou de la hiérarchie de la Ratp n’y songea – en enfants-gâtés, ne mesurant pas ce que cela signifiait peut-être seulement comme plaisir pour les tout-petits et quand il fallut abandonner le poinçon pour les machines plus moderne à oblitérer, on oublia ces micro-confettis disséminés, grâce à la loi de l’aléatoire ce que j’eus à constater à l‘occasion de ma première sortie en métro pour assister au défilé du Quatorze Juillet avec mon père – cette sortie, les odeurs du métro, ces petits détails (qui dessinaient des choses au sol faites de points) et les bruits très particuliers de l’époque sont restés gravés dans ma mémoire y compris le temps où j’ai contemplé ces petits confettis au sol, en trouvant que ce serait une idée génial de les rassembler (car sur la quantité des station de métro, quotidiennement, cela en faisait tous les jour un bon paquet) et de se les lancer à la figure comme des flocons de neige avec ceux, dont le diamètre est un petit peu plus grand que le système qui permettait de ranger des feuilles trouées, avec le classeur  de ma sœur, m’avait fait remarquer qu’ils avaient [les précédents, ceux du poinçonneur]comme cousinage ou accointances. Mais il est probable que cette idée de flocons de papiers date d’avant et ne m’ait aucunement pour auteur – nous saurons un jour qui eut alors mon idée) que cela Lui [à ton arrière grand-père l’empereur qui n’est pas moi, ton grand oncle]  permettait de faire des économies, notemment une autre fois d’avance, dans l’éventualité qu’il ait à devoir changer ce matelas ou le rénover (ce qui doit se produire régulièrement en cette époque-là des années 1950 en raison des matériaux utilisés alors pour les réaliser) – cependant que malgré ce paramètre qu’Il connaissait très bien, puisqu’il n’en était pas à ces premières économies (qu’il donnait intégralement à ses parents tant qu’Il n’était pas marié), Il en fit d’autres ici (bien qu’Il comprit peut-être plus tard, un peu mieux, la loi des conséquences, quand il apprit que son fils aAuteur de Théâtre et peintre, peut-être en raison de ce qu’Il avait fait à son lit, se mit en tête pour une de ses actrices qui devait jouer un des rôles qu’Il avait écrit, de lui faire lui-même, de ses mains de peintre (par ailleurs), une robe – et non de l’acheter toute faîte). Cependant qu’à ces diverses occasions, Il eut à perdre un peu de temps, donc à le sacrifier à un des autres dadas/passion/hobby ou l’une des autres multiples compétences dans lesquelles il excellait : faiseur de poèmes ou poète, mais devenu de ces poètes du dimanche  (qui élaborent leur poème quand ils ont un petit moment en les écrivant sur la partie du ticket de métro qui offre une surface pour y inscrire un vers ou un autre) ou qui ne peuvent s’élaborer qu’à des moments perdus, puisqu’il avait nécessité de gagner des CFP[M] pour demeurer parmi les personnes ayant les mains blanches et songeant en tout bien tout honneur à l’aspect financier d’avance inhérent à ses objectifs principaux sur le plan personnel : celui de devenir, une fois marié, un père de famille, comme son père l’avait été pour Lui (ce qui contraint à faire bourse séparée avec n’importe qui d’autre car chacun est à des affaires totalement différentes obéissant à des impératifs différents qui concernent donc l’activité en question qu’il convient de maîtriser d’abord) – d’où que pour moi cette histoire a signifié un lit holly – sacré – évidemment tu sauras ailleurs ce que l’Ensemble exigea ici, au cours du Sacrifice (dont j’eus à être la victime avec ta grande tante Christine [… Lang]), et tu comprendras pourquoi chacun des terriens qui a cru possible ce Sacrifice s’est pour toujours plus encore que damné ou condamné à pire que mort (à ces réincarnations car tous ne font plus depuis 1965 et 1975 qu’uniquement me devoir et n’ont pas encore le 20 décembre 2015 remboursé un seul centime de ce qu’ils me doivent chacun sur toute la surface de la planète depuis que je sauvai la planète de la poursuite de la seconde guerre mondiale), puisqu’à l’une ou l’autre de ces réincarnations qui sont capables, en sacrilèges, enfants, de monter et de se vautrer sur de pareils lits que leurs pattes ne sont plus même capables, en raison de paresses accumulées, de contribuer à coudre ou à réparer – les voilà à parasiter un lit).

Tout cela pour permettre de résoudre cet « os », en raison que tu vas, à nôtre époque, beaucoup plus vite que les anciens, qui étaient habitués à aller à dos d’ânes ou même à cheval (donc sans ces « cars » - les voitures), quand le[s] Problème[s] a/ont rendu fou celui qui voulait aller vite à cause de son impatience à « avoir » et à ne pas savoir attendre (et à ne pas croire qu’il y a des étapes nombreuses à franchir avant d’être considéré comme compéteant), au point, avec sa bande alcaponisante (pourtant un nom destiné à devenir un capitaliste) de commencer par voler les automobiles (les cars : ils les voulaient pour eux en les payant avec de l’argent de faussaires) et de faire des trafics au marché noir, en raison qu’il était un ancien fils de douaniers qui n’avait pas su qu’il y a des anti-phrases, du genre de celle « qu’il faut [toujours] (en psychanalyse, réussir par) tuer un papa » (ce qui signifie quantité de choses à comprendre sur d’innombrables points, mais surtout que cela signifie évidemment le contraire : « jamais » (se l’interdire toujours, même si ce père exagère et se trompe) – cependant qu’il faut réussir à être spirituellement indépendant (ne plus avoir besoin des conseils d’un gourou – c'est-à-dire de ce « père ») car sans lui, on était perdu dans la vie jusqu’au moment où grâce à lui, on est devenu à son tour digne d’être un père : c’est lui qui [en général] (quand il s’agit d’un des pères fiables, qui n’appartient pas aux méchants hommes) sait te conseiller le mieux, même s’il doit te gronder un peu, en raison de ce qu’il est fatigué par trop de travaux ou de difficultés ou d’efforts physiques à faire, comme aussi d’économies financières, puisqu’il doit songer d’avance à en faire pour contribuer à payer les dépenses qui sont à sa charge (il contribue selon ses moyens aux dépenses de ta mère) et d’avance le mariage de sa/es filles ou même le tien, si tu devais avoir des difficultés ou même avoir à devoir prendre le temps pour réussir l’ensemble de tes formations et apprentissages pour te rendre maître dans un ou deux domaines d’activités, peut-être sur un plus long terme que de nombreuses autres rentables, comme il t’a montré cela possible, en demeurant un parfait gentilhomme et surtout indépendant et/ou autonome financièrement – tandis que ces vauriens ont cru pouvoir après ces vols de voiture ou trafics illicites divers contraindre ceux qui disaient vrai à ce sujet, car d’éminents pe[a]nseurs qui savaient en raison de l’expérience millénaire des anciens (grâce à l’Ecole et l’Université) ce qui était le meilleur pour les enfants de ces truands – non seulement leur déconseiller d’augmenter le prix du baril de pétrole (comme je le demandais) mais aussi leur déconseiller et interdire les drogues les plus dangereuses et si possible peu d’alcool, en raison de ce que la vie sera longue et qu’il convient d’éviter de détruire les neurones et les synapses du cerveau pour conserver ses facultés et devenir compéteant avant de se permettre de mettre au monde à son tour des enfants – ce qui est effectivement de bon sens comme le mieux à proposer à ceux qui sinon risquent d’être handicapés y compris financièrement, à cause de leurs dysfonctionnement cérébraux– et ces personnes qui disaient vrai et qui montraient chacune qu’elles résultaient de cette conscience à bien faire ou à faire ce qui était le plus sage, pire, ils voulurent les déporter et les contraindre à être (alors que dans la totale impossibilité ou presque de le faire car devenu de véritables intellectuels, penseurs, aArtistes, iIn,génieurs musiciens, bouddhas, etc. chacun) des ouvriers manuels reproduisant par mimétisme ou apprentis débutants (pire, en les traitant d’esclaves) alors qu’il ne s’agissait que d’anciens enfants de personnes ayant un très fort sens de ce qui convient le mieux pour une société respectueuse de chacune des personnalités, donc des hyper bien élevés et infiniment nobles (s’interdisant au maximum de tuer ou de se battre comme de provoquer des mécontentement au point que tous plus ou moins végétariens se contraignaient, par charité, à manger de la viande et du poisson, comme à inscrire dans les recettes [par écrit, en ayant à payer en CFPM ce qu’il fallait pour publier cela] qu’il convenait d’en mettre, étant donné que par charité, il fallait à cause des chiffres, songer à embaucher ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, comme au bon sens (cela concerne d’autres moments où ils sont enfin vivables), pour leur proposer une des activité faciles à reproduire par mimétisme et ainsi pouvoir les rémunérer en CFPM) n’appliquant depuis toujours que les lois les plus justes en Economie et en Finances – ce qui avait permis de réaliser, grâce à des emprunts bancaires, ces automobiles (évidemment pour faciliter la vie de ceux qui étaient dans l’urgence et des priorités publiques au début, donc qui investissaient leurs économies dans ces achats d’outils facilitant un peu certain travaux en rendant plus rapide les déplacements, mais aussi qui ajoutaient la valeurs de ceux-ci à leurs activités, ainsi parfois à première vue un peu facilitées – ce n’était encore que pour permettre par charité que les choses puissent s’améliorer pour les plus démunis, donc qui couraient le danger de devenir malfrats, voleurs, voire criminels et détrousser leurs proches – ce qu’ils réussirent à faire en augmentant le prix du baril de pétrole, donc en constituant cette caisse noire, à laquelle eurent accès comme des fonctionnaires tous les criminels contre les intérêts fondamentaux et essentiels de l’humanité comme des générations à venir (en constituant un Eeuh.ta dans l’éEtat – celui de gens totalement ignorants et faussaires (au mauvais sens de ce mot) : une parodie même d’êtres humains) – en réalité une très mauvaise affaire [pour eux], puisqu’ils m’ont volé – dès avant ma naissance - et en me volant t’ont volé et donc ont volé ta génération comme la mienne et celle de ta mère – par conséquent même s’ils ont eu la belle vie, se sont arnaqués eux les premiers puisqu’ils ont arnaqué chacun des très véritables éEtats qui, s’est connu, peuvent parfois être momentanément des Eétat mais jamais des Ee.uh.ta), malgré les prétentions immensissimissîmes de ceux qui livraient le pétrole à un dollar ou même deux dollars.

En effet, c’était cent à deux cent fois plus coûteux, en terme de CFP[M] (Crédits Financiers Propres et [Mérités]) donc de billets de banques véritables - correspondant à une richesse effectivement produite et apportée par la Création – donc une des matières première étant physiquement et géologiquement comme chimiquement répertoriée –{[: en même temps qu’une preuve de Dieu, puisqu’avec l’existence de celles-ci cela atteste qu’il y a ce qui pourrait convenir pour meubler les temps de chacun d’entre nous, en ayant une activité utile aux autres, en échange de ce que les autres, avec d’autres matières premières proposent – une Création n’existe que dans la mesure où elle doit servir à un projet pour elle-même, sa survie, en général, à laquelle tous les membres de cette Création sont attaché, concernés]- une source d’énergie alternative à celle du charbon ou à d’autres, une source de revenus pour les exploitants (comme à l’occasion d’un puits d’eau creusé dans un village – :cela correspond à un investissement et cela permet[tait] au porteur d’eau de bénéficier de cette matière première à n’avoir qu’à[la] livrer, ce qui offre alors à quantité de personne n’ayant pas pu s’instruire (comme autrefois aux ânes, pour que cela ne soit pas trop pénible) à de très haut niveaux [qui ont permis de dresser les plan de la première charrette à atteler] de compétence, un travail rémunéré de livreur d’eau, cela avant qu’on ne parvienne, grâce aux Très Véritables Ingénieurs, c'est-à-dire à quelques personnes infiniment instruites, donc n’ayant qu’étudié à trouver la/es solution[s] élégante[s] pour faire monter l’eau directement au robinet de chacun dans les lieux de vie (un miracle, mais dont il a fallu comprendre comment le rendre possible à partir d’essais, par approximations successives (études au préalables) avant une fois trouvée la solution élégante de la proposer à un prix de plus en plus attractif, afin de permettre d’offrir une activité de plombier à des gens n’ayant plus qu’à la reproduire, par mimétisme et n’étant pas ceux, aArtiste véritable, qui en eurent l’idée ni qui trouvèrent la solution élégante, mais seulement – ce qui n’est pas rien - les bénéficiaires (chanceux) de celle-ci) – aussi l’activité de porteur d’eau, ce qui se faisait dans ces temps anciens, aidé d’un âne ou deux a disparue, mais on l’a retrouvée avec le pétrole)]}- à mettre sur le marché avec l’assurance d’obtenir l’équivalent (cela peut s’estimer justement) de la valeur de ceux-ci, lié à de nombreux paramètres qui s’étudient – ces personnes livrant le pétrole contraignant à répercuter les dépenses liées à ces porteurs d’eau noire sur chacun des produits à réaliser chez les particuliers ou/et en manufacture ou/et en industrie ou/et en artisanat ou les produits agricoles, puisque/car les machines agricoles en recommandaient l’usage (elles tournent avec de l’essence ou du gazoil, des dérivés du pétrole) – d’où que cela a aussitôt mis tous les produits dans le Commerce, au moins (à cause de ce dollar d’exigé) cent fois plus coûteux (à un dollar le baril de pétrole) que si les prétentions (les exigences) pour le livrer avaient été plus réalistes et soucieuses de l’Economie à l’échelle planétaire, à un centime de dollar et donc c’est ainsi que le processus inflationniste ou inflationnistique s’est enclenché (déclenché) à ce moment-là, d’autant plus que les exigences financières, malgré la découverte de quantités de réserves de pétrole (en supplément des premières) a augmenté (ce qui aurait déjà dû faire baisser le prix du pétrole, en raison de la loi de la Quantité (et celle de la Rareté (il n’était plus rare), mais la Demande en pétrole a augmenté (ce qui a un peu compensé ce trop plein de découvertes géologiques au sujet de cette matière première du pétrole), ce qui a donné envie (et c’est ici qu’ils eurent tort et qu’ils se comportèrent en faux-frères, mais surtout en sacrilège par rapport à la loi de la Quantité et de la Rareté dont ils bénéficiaient sur tous les produits sans exception) aux exploitants de ces réserves de profiter de cette augmentation de la Demande pour racketter (donc augmenter le prix du baril) et s’enrichir d’une façon abusive, car profitant alors d’une sorte de monopole – par conséquent de contraindre à répercuter ces hausses dont ils étaient les auteurs, en s’entendant entre eux comme des voleurs (et non comme de bons pères de famille), sur les prix en bout de chaîne, à l’issue des entreprises productrices de ces biens de consommation – ces personnes ayant ainsi cru trouver un filon pour s’assurer la vie de château en étant certaines chacune que dès qu’ils auraient besoin de CFPM (d’agent), ils n’avaient qu’à augmenter le prix de ce baril de pétrole, ce qui ne les encouragea pas à étudier, puisqu’ils étaient assurés d’avoir des financements qu’ils dépensaient pour n’avoir qu’eux seuls la belle vie (car ils étaient persuadés que ceux qui disposaient de châteaux avaient la belle vie – ce qui es à la fois vrai et à la fois faux, d’autant que cela dépendait ici des fortunes de ces familles qui ne les détenaient qu’en CFP[M] et non en crédits financiers usurpés/faux/malhonnêtes/escroqués), ce qui a rendu la vie impossible à tous les très véritables patrons car à cause de ces augmentations de la matière première énergétique dont leurs machines avaient besoin pour tourner et pour permettre aux ouvriers de produire ces biens de consommation utiles à tous, ceux-ci voyant leur prix augmenter d’autant les répercussions de ces exigences pour la livraison de cette matière première avant d’être raffinée et de subir maints traitements coûteux qui en augmentaient les coûts, eux aussi à répercuter sur les prix de ces produits industriels divers ou services, a créé un frein continuel et général comme cette augmentation des prix partout, ce qui a donc limité de plus en plus au maximum, la quantité des biens produits, à cause du prix auquel chacun d’eux est finalement proposé sur les marchés (dépendant du prix de départ de chacune des matières premières répercutant le prix des hausses de ce baril de pétrole), [donc] en tenant compte des répercussions de cette augmentation du prix de la matière première, socle ou départ, sans laquelle rien n’est possible – d’où le cauchemar[d] général inflationniste – les prix augmentèrent au lieu au contraire de baisser plus on découvrait de nouvelles réserves de pétrole – mais ceux qui détenaient l’accès au pétrole qui pourtant appartenait à l’Ensemble comme appartient le charbon ou une mine de sel ou une source d’eau minérale, rackettaient tous les autres pour n’avoir qu’eux seuls en se fichant éperdument des problèmes financiers qu’ils causaient à tous les responsables ou/et les vrais patrons – donc avec ceux qui eurent accès à ces puits de pétrole ou qui voulurent en être les responsables : uniquement de très nuisibles escrocs et des voleurs de de très bas-étage (underground en fait, des pickpockets comme Lacenaire dans Les enfants du Paradis) ce qui était en réalité la richesse collective, donc qui appartenait à Dieu, comme à l’empereur ou/et aux bouddhas, pour permettre de gérer les différentes activités sociales d’Intérêt Général quelques uns même en véritables Monsieur Madeleine (ce qui aurait pu être le destin d’un autre Lasnère, donc plus Jean Valjean, donc moins bête) chacun grâce à cette matière première du pétrole qui donnait l’impression d’être en ce don de Dieu qu’elle représentait, la mieux capable de faciliter, en ces temps des moteurs à explosion, la gestion grandement facilité aussi par cette innovation d’iIngénieurs venant à point pour concurrencer les transports des trains facilités par cette autre matière première du charbon), ce qui a fait tirer ce frein ou/et appuyer sur ce frein de plus en plus fort (sur l’Economie Mondiale), tout en augmentant la pression de la production (malgré la rapidité des voies de communications commerciales ainsi favorisées), ne pouvant pas être absorbée par les acheteurs, car ceux-ci ne disposaient que de moins en moins de pouvoir d’achat pourvus de ces CFP[M] pourtant mérités et non de ceux usurpés ou étant le résultat d’une transgression ou d’une entorse aux règles commerciales (c'est-à-dire à la loi de la Quantité et de la Rareté et etc.) et au lieu de ce que ce pétrole donnait de la valeur à la monnaie, il s’est produit en réalité (mais aussi à cause de divers autres dépenses) la baisse de la valeur de la monnaie, à cause des dettes engendrées (toujours plus difficiles à rembourser à cause de ce prix de la matière première de départ), mais aussi de cette immense quantité de « fumée pour rien » (dont celles des charbons), puisque cela ne permettait que de peu réduire les prix finalement, bien qu’en raison de la quantité produite, ces prix très honnêtement (en raison de patrons admirablissîmes appliquant à la lettre la loi de la Quantité et de la Rareté) baissaient, mais jamais au-delà d’un seuil qui était celui qui répercutait, non seulement le prix du baril de pétrole sur l’ensemble des besoins à satisfaire pour réaliser chacun des produits dans une quantité minimale, mais aussi l’impossibilité que les plus pauvres n’accèdent à ces biens alors de cette façon, à cause de ces augmentation du prix de la matière première indispensable à l’Economie [générale]/internationale, limités en nombre (à cause des diverses augmentations du prix du baril – entraînant une plus grande cherté de la vie quotidienne), ces augmentations du prix du baril de pétrole agissant en [ce] frein) malgré les efforts considérable des patrons pour embaucher et produire à première vue seulement en grande quantité grâce aux bien faits de l’industrialisation). (J’ai eu la sensation plusieurs fois que c’était un des premiers textes écrits par Oscar lui-même – il me rappelait ton oncle Laurie, d’il y a quarante ans, en 1975, furieux, car c’est en réalité simple à comprendre, donc évident – ce qui signifie qu’on a perdu au moins quarante années depuis 1975 – mais en réalité cela est depuis que ce prix du baril de pétrole a atteint 1, 1 dollars – soit le moment où le soleil a failli déjà exploser – si cela n’a pas eu lieu, c’est grâce aux générations suivantes qui devaient naître et qui ont permis un peu de calmer la situation et même avec la nôtre dans les années 1960, grâce à ma providentielle intervention, cela ayant permis – mais il a fallu le payer très cher (personnellement dans nôtre famille des pharaons Laurie Granier d’Ôz) en ayant à s’imposer un pareil Sacrifice – d’éviter l’explosion à 11 dollars et enfin à 111 dollars – il a donc été moins une plusieurs fois).

[14] C’est pareil pour cette insulte que j’ai créée en italien de stronzi di marcia secca merda mente qui signifie en gros pourriture de parasites – il était inutile de répéter le mot de « merda » à cause du mot de stronzo qui signifie étron – d’où que c’est en clin d’œil (à mi-mots) à ceux qui ont eu besoin de souligner pléonastiquement solution finale (soit deux fois le même mot) – (il est probable qu’ils n’arrivaient pas à comprendre l’un des mots : qu’ils n’avaient pas assez  réfléchi sur le mot de solution et qu’ils dévoilaient ainsi qu’ils n’étaient que des ignorants, au mauvais sens de ce mot, c’est-à-dire des stronzi di marcia secca [merda] mente – d’où que mon insulte existe aussi dans sa variante sans la répétition : stronzi di marcia secca mente – évidemment il faut savoir comment la dire ou la lire : quel ton employer, puisqu’en général la première que j’ai forgé, la version avec la répétition concerne dans son ensemble les nazis : c’est un synonyme pour le mot de « nazi » (dont j’ai vérifié que cela est relié à des problèmes dans le cerveau et à ce qu’ils oublient au moment même où ils s’expriment ce qu’ils viennent de dire puisqu’ils sont à rechercher un synonyme à accoler pléonastiquement jusqu’après un mot qui signifie ce qui est souvent à la fin (en général), une solution pour l’ajouter en guise de soulignement et montrer qu’ils ont compris, qu’ils sont pédagogue – mais peut-être aussi en songeant à posteriori qu’il s’agissait d’une « solution » (en anti-phrase ici) pour commencer, de départ (c’est ce qui m’était proposé à ma naissance en 1963-1965 – j’ai dû faire avec), de façon à être à l’origine de la nécessité de me faire intervenir du ciel, étant donné que ce n’était ni une solution de départ, ni une solution finale possible ou même d’un tantinet concevable car j’ai eu à découvrir que s’étaient eux qui avaient augmenté le prix de la livraison du pétrole (donc à l’origine des répercussions sur les prix et de ces augmentations du baril), donc du transport de cette matière première en montrant qu’ils ne réussissaient pas à comprendre comment l’Economie fonctionne, donc en créant ainsi artificiellement la pauvreté et la misère, alors que sinon elle n’existerait pas, pas plus que les maladies et la vieillesse ennemie ou/et la mort – par conséquent des gens avec ces nazes ou ces smsm ou pire sms[m]m qu’il ne faut pas écouter puisqu’ils mentent)  mais aussi de fasciste, de communiste et de maoïste (et finalement même de socialistes – ce qui est le plus triste car il y avait eu des gens bien – comme il y a quelques communistes de qualité aussi)  puisqu’il n’y a eu qu’eux avec polpot et d’autres criminels contre l’humanité comme  les révolutionnaires, donc le peuple, pour avoir cru possible devenir criminels contre les intérêts vitaux de l’humanité et des générations de l’avenir et cela pour « avoir », obtenir des biens qui de toute façon seront perdus une fois mort – d’où l’intérêt de ne les obtenir que légitimement, sans n’avoir jamais eu à devenir criminel (ce qui pourrait éviter d’avoir à mourir), ce qui permet normalement aussi de les transmettre à des personnes qui les méritent et qui ont la même idée que vous à ce sujet : de respecter l’interdit de tuer ou de ne jamais obtenir par le vol, de songer à être d’abord (donc d’obtenir la sagesse et la véritable connaissance avant d’avoir ) – cette paupérisation générale et cette misère dans le monde entier est donc, hélas, ce dont les pays de l’Opep sont devenus chacun coupables : ils ont escroqué à l’Ensemble leurs revenus, depuis les premières augmentations du prix du baril de pétrole qui normalement, à l’aune des découvertes en quantité de réserves (que j’ai moi-même ajoutées) était un des prix qui devaient le premier baisser, en obéissant à la loi de la Quantité et de la Rareté – d’où que les stronzi di marcia secca merda mente sont légions comme les romains dans les aventures d’Astérix le gaulois).

[15] Ce qu’on a appelé abusivement, mais aussi sur un autre plan lié à l’époque actuelle en Occident, avec une possibilité d’y croire comme à une vérité relative incontestable -[(ce qui sera le piège, puisqu’alors on ne tient pas compte de la solution élégante ou de l’alternative indienne qui a prouvé que cela n’est que lubie ou seulement une vérité relative liée aux peuples occidentaux ou arriérés ou alors à tous ceux ne disposant pas encore de suffisemment d’alternatives et solutions élégantes alimentaires comme dans ce grand pays favorisé en cela en raison de sa position géo-localisée sur le globe) « la chaîne alimentaire » (est-ce que tu as déjà vu un être humain capable d’écrire et de compter comme d’autres choses aussi géniales que peindre ou sculpter, etc. pouvoir être assimilé à des animaux qui n’ont aucun d’entre eux ces facultés inhérentes ou/et ontologiquement propre à celle des êtres humains capable même de trouver les solutions élégantes pour faire fonctionner une tablette ou un ordinateur. Est-ce que tu as vu, en dehors que dans les dessins animés, ce qui est alors métaphorique et de plus réalisé par des êtres humains, des animaux capables de s’écrire des lettres, s’envoyer comme ici un courrierIne (variante de courriel) comme nous deux ? Non : aussi l’être humain est hors » chaîne alimentaire « sauf encore dans ce qui reste de pays dits » arriérés « (préhistoriques), qui n’ont pas fait [encore] de mise à jour, comme en Inde[s], depuis plus de dix mille ans, depuis la Révolution du Néolithique ce qui a mis un certain temps à être connu dans nos régions mais cela a été grandement facilité grâce au chemin de fer et aux automobiles comme à la navigation marchande et par l’aviation ayant raccourci le temps des distances à parcourir, donc au point de rendre très petite cette planète et même de considérer la confédération des rRégions-Unis d’Europe comme une autre Inde possible – en tout cas du point de vue des Indiens mais aussi de ceux qui en Europe sont désireux d’être à la page, donc d’avoir fait la mise à jour qui permet effectivement de se sortir de cette infernale chaîne alimentaire à l’origine des réincarnations en raison de l’occupation de la salle des machines par le groupe des ancêtres des smsms donc des incapable à raisonner véritablement justement, en toute logique et cohérence : des sms[m]m et pour reprendre ici la fameuse lettre de Boris Vian[de] à Monsieur le Président (à laquelle je rend[s] un peu hommage dans celle que je termine à Monsieur Hollande en ayant encore à la relire une autre fois avant de la lui courrierIner) quand il dit qu’il n’est pas ici sur terre pour tuer des pauvres gens, je puis assurer chacun des terriens qu’ils ne sont pas non plus sur cette planète (ni moi non plus) pour tuer des pauvres animaux inoffensifs (et sans grande défense par rapport à nos moyens offenssifs) et qui plus est pacifiques car éminemment  herbivores ou saladivores – hélas ou heureusement comme ils ne sont que des animaux, ils n’ont pas accès à ma sauce balsamique, ce qui résulte des commerces et des importations-exportations, donc des échanges de gens civilisés (sages et dans les connaissances des meilleures saveurs dont ces animaux nous firent les héritiers) de ce qui est le propre des êtres humains s’étant affranchis en cela, grâce à ces solutions élégantes alimentaires de qualité de cette ‘chaîne alimentaire’ en respectant le fait qu’ils sont chacun les réincarnations de ces herbivores et végétariens et/mais très lointainement, donc bien avant de réincarnations comme celle d’un chien ou d’un chat – il en reste une trace dans nôtre dentition, en raison de nos canines – mais de là à croire que c’est en raison de cela que cela autorise de nouveau à manger de la viande en chien, en renard ou en loup, cela n’est visiblement possible que chez les lapons ou les peuples s’étant perdus dans des régions où il ne disposent pas d’alternatives et de solutions élégante de remplacement, ce qui les porte à ces activité[s] de chasseur, donc en cela de prédateurs et à passer leur temps à courir derrière le gibier pour bruler les calories que ces animaux leur procurent une fois mangés – ce qui ne leur permet pas de très amples progrès (intellectuels) dans d’autres matières, au point qu’ils ne peuvent que difficilement comprendre les raisonnements les plus exactes puisqu’encore prisonniers de cette « chaîne alimentaire »)]- en incluant dans cette notion l’idée qu’il soit normal de consommer une viande animale d’une quelconque sorte, puisque les animaux voraces ou carnivores ne s’en privent pas. Ici ce n’est pas tenir compte de la nature possible ou la plus véritable de ‘l’être humain pensant’ en toute cohérence, et c’est encourager chacun des êtres humains à régresser ou/et involuer pour obtenir une des réincarnations néfastes qui sont à apporter de l’eau au moulin de cette notion de ‘chaîne alimentaire’ contraignant à la consommation animale (à demeurer en partie méchants sur un point ou un autre puisqu’on convoite peut-être même lâchement – du moins dans certains cas d’espèces - la chair d’un autre animal). Tandis que si la chaîne alimentaire existe effectivement entre les êtres appelés animaux, elle a été rompue par les êtres humains très véritables qui en sont devenus, il y a maintenant des millénaires, des végétariens (au moment de la Révolution Néolithique). C’est pour cette raison qu’on ne parle de ‘chaîne alimentaire’ que pour ce qui concernera le monde animal stricto sensu, puisque l’être humain arien, se refuse à/d’ être complice de cette voracité ou gourmandise strictement animale, qui empêche la cohérence de pensée car cela rend possible ou même normal un conflit entre les âmes. Cependant il existe une chaîne alimentaire végétarienne. C’est bien ce qui donne le droit de règlementer le nombre des carnivores comme aussi de réduire la consommation de viande animale aux êtres devenus végétariens qui voient beaucoup plus clairement la situation de la faim dans le monde (la situation générale), puisqu’ils mesurent les quantités que coûtent en supplément de ce qui aurait été le meilleur pour tous, tous ceux qui ont pris l’habitude de la consommation de ces viandes animales (des péchés, mais aussi moins que cela : des habitudes – des péchés à l’insu, par omission ou oubli – s’ils sont des péchés, c’est vis-à-vis de l’Ensemble : de ce qu’ils coûtent en réalité de retard à l’Ensemble et de ce que cela fait comme dommages à la Création qui aurait pu être beaucoup plus agréable et peut-être même parachevée depuis longtemps sans ces mauvaises habitudes de gourmands – évidemment elles sont très compréhensibles et j’ai pu vérifier sur moi-même qu’elles sont en réalité causées par des à-premièresaveurs ou à-premiergoûts – peut-être en raison des graisses que les huiles végétales ont résolu, puisqu’elles sont de réelles alternatives, comme le beurre à ces grillades de graisses à-premièresaveur[s] délicieuses, mais induisant/conduisant à contracter cette mauvaise habitude). Non seulement des surfaces agricoles de perdues pour faire pousser des arbres et des légumes variés ou des céréales et des champignons en tant qu’alternative et/ou solutions élégantes pour répondre aux besoins de l’Ensemble, ce qui n’est pas encore possible en 2015, mais qui devra impérativement l’être après La Très Grande Mutation pour d’ici à dans un siècle (grand maximum) et si possible pour avant 2115, car sinon en raison de la quantité démographique mondiale qui sera alors, il n’y aura pas assez de surfaces agricoles pour délivrer un repas par jour pour chacun des terriens (d’autant plus si ceux-ci devaient devenir omnivores comme les anciens occidentaux judéo-chrétiens et musulmans au lieu d’être conforme aux enseignement du Bouddha qui a depuis toujours raison à ce sujet, ce qui signifie que les peuples judéo-chrétiens et musulmans doivent au moins sur le plan alimentaire suivre les enseignements bouddhiques qui depuis les tout premiers temps avaient trouvé la solution élégante (pour commencer et donc forcément à la fin d’une ère, donc finale : c’était celle-là et elle existait depuis au moins dix mille ans avec la Révolution Néolithique, la véritable solution [finale] qui passe donc par l’Agriculture, la seule des deux (‘finales’) qui ait marché et dont les sms[m]m n’avaient pas encore mesuré à quel point ils en bénéficiaient) pour permettre que l’Ensemble ne risque jamais de mourir de faim. En effet, le Bouddha (Le créateur de toutes les solutions élégantes dans chacun des domaines) a compris comme celui de Lascaux ce que signifiait le mot de démographie qui augmente – l’Inde est une superficie qui avoisine un milliards de personne qui doivent manger tous les jours – elle tolère et comprend avec une très véritable compassion ceux qui ont pris ces mauvaises habitudes d’égoïstes, d’adolescents, d’enfants-gâtés, de smsm, de faunes, satyres et centaures, au mauvais sens de ces mots, ne songeant pas à ce que tous sans exception puissent manger à leur faim, ce qui ne sera possible qu’en végétariens, en raison simplement des quantités de surfaces agricoles de disponibles par rapport à ces quantités démographiques). D’où que nous n’ayons plus le choix pour la survie de l’être humain (La très Grande Mutation – mais/et j’ai vu – grâce à des cafards qui m’ont servi de cobayes - que c’est très facilement possible de la réaliser même en moins de trois générations, donc avant 2115) et des générations futures: sevrer progressivement les peuples omnivores à tendance carnivores (à l’exception bien sûr, dans les premiers temps des lapons qui peuvent continuer à chasser ou à pêcher (voire à exporter les produits de ces peines ou/et [pour eux, de leur point de vue] réjouissances), car ils n’ont pas de terres et ne peuvent pas obtenir sur ces glaces (sans l’aide de la technologie) des légumes ou des produits provenant des régions industrielles qu’en échange de biens produits (cela serait possible en créant une énergie solaire inversée – donc à partir de celle de la nuit et en bénéficiant de l’énergie solaire exportée jusqu’à ces contrées dans la nuit) –artisanat ou autre travaux, cependant qu’il serait possible qu’ils obtiennent ces biens alimentaires les meilleurs qui soient pour la santé de leurs corps, car ils sont par exemple souvent proposés en conserve, en raison des surplus, ce qui leur reviendra beaucoup moins cher à transporter, jusqu’à dans leurs régions froides, quand le prix du pétrole sera moins coûteux (aura baissé), ce qui devrait alors rendre moins coûteuses les automobiles électriques ou les camions de livraison électriques, par conséquent, en fin de compte, réduire le coût de ces exportations et les prix de ces denrées alimentaires auxquels ils risquent le danger de s’habituer (donc d’être les tributaires de ceux qui les leurs procureront qui doivent s’interdire de les racketter ou d’augmenter les prix – c’est ici ce qu’il y a de plus dangereux pour ces peuples qui aspirent à manger d’une façon plus saine, plus équilibrée, riche en vitamine et c’est pourquoi, ils auraient intérêt à réussir à produire dans des serres inversées ces légumes et ces arbres fruitiers sur place – il s’agit ici de tirer profit du froid (une idée que j’ai eu en raison de ce que j’ai remarqué que le thermomètre descend quand il fait froid, par conséquent pourrait peut-être actionner un levier ou un ressort quelconque – une idée en passant, pour laquelle on me devra des royalties car j’en devrais une partie à l’inventeur des baromètres et de ces thermomètre[s] à Mercure ou autrement) comme d’une énergie électrique capable de chauffer, cela devrait être possible avec de Très Immenssissîmissîmes ingénieurs, dont les noms sont déjà des statues de bienfaiteurs de l’humanité) vers ces pays froids en assurant des activités rémunérés en CFP[M]). 

[16] (les animaux et non les tueurs, je relis – à ce sujet, il faudra faire attention dans la plupart de mes textes, en raison qu’il est fort probable que je fus Anglais dans une précédente réincarnation, à la place de ces appositions ou de ces parties de phrases dans mes textes : ils se réfèrent parfois à bien avant et non à juste avant – d’où que cette innovation des signets (encore une à mon actif, donc qu’on me devra, ce qui devrait permettre d’embaucher un grand nombre de gens pour n’avoir qu’à les faire dans les textes d’aAuteur comme d’autres en ayant à faire les laurYens, des liens Hypertextes), va permettre de mieux faire comprendre au lecteur à quoi une proposition se réfère – cependant que l’écriture et la pensée, procède à l’Anglaise et donc nous met quasiment toujours dans l’embarras, en maniant cette langue française – ceci est tout à fait paradoxale, puisqu’en 2015, je ne brille pas encore dans n[v]ôtre langue de Shakespeare)

 

[18] Dans le mot « autres », nous y discernons le mot d’ » auteur «  dans une façon un peu jeu des chiffres et des lettres de procéder. Cela signifie qu’ils ont cette virtualité ou potentialité à le devenir au sens plein de ce mot, donc universel. Mais comme cela est à première-vue visible, cela va nécessiter de soi-même de réussir ce qui advient dans ce mot d’ »autre« pour devenir »auteur « . Il est à signaler la présence de ce ‘u’ qui est un cousin du ‘v’ sur lequel nous avons glosé ailleurs. Soi-même » autre « (« ‘je’ est un ‘autre’ ») induit la nécessité d’assumer ce ‘u’ qui déjà existe une fois dans ce mot d’‘autre’ et qui pour devenir ‘auteur’ représente une sorte d’écho en miroir à l’intérieur de ce mot ‘autre’ pour permettre après ce ‘t’ qui renvoie à La Très Sainte Croix de Jésus Christ, de devenir » auteur « , c'est-à-dire en ayant enfin tout à fait compris les raisons ou les paramètres qui ont permis à ce ‘v’ de devenir ‘u’. En effet, cela va même permettre de jouer sur le mot d’auteur : devenu autheur (l’author en anglais).  L’author (britannique) est celui qui a accès à l’heur[e] et en même temps à la notion de chronologie. D’où que ce ‘u’ devienne alors Outre-manche ‘o’. C’est en général la forme qui sera choisie pour les horloges  (mot dans lequel apparaît dès le début la notion d’author à laquelle on ajoute la notion de ‘loge’. (Le lieu du Temps, qui aurait ici trouvé à l’intérieur de ce ‘o’, grâce à ce ‘h’ un lieu à lui, fécond). « L’heure est d’or » (je cite de mémoire une de mes première tentative de Poésie loufoque de quand j’étais petit à Rome) et c’est bien ce que l’horloge va finir par générer, des montres rondes en or, des horloges, comme celle au centre du Palais du Luxembourg, dont des signes du zodiac ou/et des petits éléments décoratifs seront dorés. Association est donc faite entre la notion d’auteur, de paternité d’une œuvre ou même seulement d’un enfant étant promis localement à une royauté (c'est-à-dire précisément cette notion d’‘auteur’) » quelconque « (ce qui signifie ici ou dans d’autre cas, par anti-phrase ou ironie exactement le contraire : [pas] quelconque «) avec cette notion d’or (introduite par ce ‘h’ sur lequel je me suis un peu étendu dans d’autres de mes derniers textes) qui renvoie à celle de ‘rareté’ : la conscience du temps, ce qui a permis de représenter (assez souvent dans l’iconographie de l’Histoire de la Peinture) la mort avec la clepsydre dans la plupart des horloges y compris à Bern (CH), dans celle qui déclenche un mécanisme giratoire qui présente des personnages divers successivement, grâce au contre-poids et aux divers rouages et ressort[s] fénelonien[s]. Aussi apparaît dans le mot ‘mort’ ce ‘t’ de plus haut et ce ‘m’ qui a remplacé ce ‘h’, soit ce qu’on trouve dans la notion d’horticulture. C'est-à-dire une culture qui dépend du temps et d’une gestion des heures, celles des végétaux. Evidemment il s’agit ici de « fausse-étymologies » ou de celles peu habituelles. Elles ne font que confirmer autrement (sur cet autre plan que certain esprits-forts – exemple d’anti-phrase - nomment faux) les vraies, donc prouver que ces mots ont bien été conçus cosmiquement par diverses transitivités et symétries que les réflexions les plus intelligentes par association et en raison du ‘comme’ ou du ‘car’ permettent/favorisent.   

[19] Il est à remarquer ma découverte de ce matin 9 mai [2015], de Saint Ammonas (grâce à les essentiels » de l’hebdomadaire la Vie n°2998, du 13 février 2003), trouvé par hasard dans une poubelle (sans doute un sacrifice charitable pour un charlot quelconque), page II et III que Jean-Claude Larchet commente un peu. J’aurais à revenir sur cette notion de Charité qui n’est plus aussi simple qu’alors, d’autant plus de l’existence de tous les faussaires (ce que ce Saint recommande de considérer et de ne pas insulter/injurier). Si effectivement le conseil est bon, ne serait-ce que pour que ces personnes (souvent des devenus abrutis ou des ignorants, au mauvais sens de ce mot et non au bon, capables donc d’en vouloir) n’en veuillent pas (au sens de ‘découdre’ après s’être à premièrentendu senti injuriés), je crois cependant mûre cette époque-ci pour qu’on ai le droit de reprocher sur des points précis, donc des moments précis (et non sur d’autres points), des choses qu’une trop grande Charité pourrait être accusée dans l’esprit Ammonassien de favoriser en laxiste. C’est ici la limite (ou la force) de la pensée de Saint Ammonas qui risque de rendre benêt celui qui en tout se comporte avec autant de candeur qu’il préconise et donc effectivement de voir endeuiller la Charité à cause de sa trop grande bonté (donc comme la représentation de la synagogue à Strasbourg). Il y a donc ce qui est intolérable et qui doit l’être à/pour les fervents défenseurs de cette Charité, soit ce qui doit être défendu et par conséquent qui doit être capable de la défendre ou de la protéger des parasites que sinon effectivement elle favoriserait peut-être alors par impuissance de cette trop grande bonté associée au soleil qui se lève à la fois pour les justes (et sans se soucier non plus d’éclairer ou de prévenir les escrocs) et non pas seulement par charité. D’où ici ce qui légitime la gendarmerie pour protéger la Charité de chacun des rRégions ou des éEtats. En effet, le soleil se défend bien de ce qu’on puisse l’approcher de trop près. Et cela doit être toujours pour n’importe laquelle des personnes qui serait devenue riche, ce qui lui donne accès à toutes les armes admissibles y compris les préférables, celles qui sont en réalité les plus admissibles, juridiques ou canoniques (ou celles que les raisonnements les plus exactes (solaires) offrent), pour continuer à l’être de façon à pouvoir, avec les surplus que cette sécurité garantira, continuer à être charitable d’une façon indifférenciée pour chacune des espèces (bien qu’en ayant le devoir sur place de poursuivre le projet extrêmement patient du soleil – le soleil est un sage). Sans les lois qui protègent le soleil et lui permettent d’éclairer et de favoriser chacune des entreprises, rien ne serait possible à ce soleil. Aussi il convient de ne jamais se permettre de transgresser les lois les plus exactes comme celle de la Quantité et de la Rareté (et les corollaires), sans le risque qu’a couru le soleil d’exploser. Par exemple cela serait absurde de faire payer de plus en plus chère l’énergie gratuite qu’offre le soleil. Des photos en quantités astronomiques de déversés sur cette planète quotidiennement.  Même si chacun des photons de lumière est unique, les voilà cependant en quantité difficilement calculables (ce que je fus le seul à faire durant la période de 1965 à 2005 d’avance et visiblement de 2015 à 2045) a être émis par cet astre. Aussi il ne s’agit d’une denrée ou d’une matière première, la lumière, qui n’est à l’état naturel aucunement de celles dites « rares ». Nous avons donc comme avec l’eau des mers, une matière première en quantité très abondante et rassurante grâce à cette quantité (comme si le grenier en était plein continuellement à craquer). Il ne s’agit donc de rien de rare cependant que cela [se] valorise, par exemple tous les travaux photographiques en éclairage naturels, tandis que ceux qui doivent être tournés ou photographiés en éclairage nocturnes exigent des dépenses en lumière artificielles, donc des investissements et des peines aux êtres humains pour en assurer ceux qui en ont besoin pour réaliser des CFP[M] grâce à ces images nocturnes, en l’absence d’optiques sensibles ou de visées nocturnes. Cette matière première des éclairages solaires est donnée à l’é[E]tat brut (sans chichis, d’une façon première) et éclaire nos journées en nous épargnant des dépenses électriques en énergies artificiellement produites. Si cette électricité est produite par l’énergie solaire, donc en énergie propre, par accumulation ou réservoirs de batteries, nous avons la preuve qu’une matière première est au départ gratuite. C’est en cela que la comparaison entre matière[s] première[s] est possible. Chacune existe différente, à l’état particulier. Celle du pétrole est comme celle de l’eau ou celle du soleil ou du charbon, à transformer pour qu’elle devienne de l’énergie. C’est ici que les coûts financiers résident, car ils engagent le travail humain, la transformation de la violence physique de chacun des travailleurs manuels (obtenue grâce à leur alimentation qui trop riche en protéïnes contraint à des heures en plus de travail pour leur éviter des réincarnations néfastes – ils doivent éliminer ces calories en trop) en produits permettant de recevoir et transformer cette matière première en abondance en énergie électrique). La question qui se pose à l’Economiste, donc à l’éEtat véritable, est celle de donner une valeur de départ à cette matière première qu’il sait gratuite, mais qu’il sait par ailleurs sur d’autres plans aussi rare que la Création l’est en tant que telle. Aussi cette lumière reçue gratuitement vaut tout, mais aussi ne vaut rien – c’est ici la notion même de ‘gratuité’ – écartelée entre ces extrêmes au point qu’elle se sentira insultée si on prétend avec un son méprisant qu’‘elle ne vaut rien’ (puisqu’elle sait par ailleurs tout valoir). Pour éviter d’ergoter, donc de perdre du temps et pour couper la poire en deux – donc partager et être à la fois à croire qu’elle vaut beaucoup plus qu’elle ne vaut, comme qu’elle ne vaut rien, on arrive en tant qu’éEtat ou Responsable à la notion qui fait/era concorde (entre tous) de valeur symbolique « un » : 1 : elle vaut un (et donc il est préférable que cela vaille un centime que un dollar, soit cent centimes). C’est ici à première vue à la fois inimical, infraternel, mais aussi et surtout très réaliste, car cela tient compte de l’existence des faussaires, des tricheurs et/ou de tous ceux qui sont depuis toujours convaincus que chacune des peines doit être justement payées, en fonction de la difficulté qu’elles représentent ou sur d’autres bases justes (compétences, etc. – quantité de gens l’ayant en commun donc concurrents pouvant se l’infliger) – ce qui est évidemment juste car cela est une façon de comprendre ce qui incitera ou alors au contraire va freiner l’ardeur des êtres humains en concurrence entre eux – souvent à égalité de compétence[s] – ce qui procure alors et soumet l’Ensemble à la loi de la Concurrence). Cette unité représente donc une base d’accord possible (car on aurait pu prendre une autre base, la base deux ou trois ou quinze ou plus, voir moins que zéro, mais cela compliquera beaucoup, comme les mesures anglaises sont rendues plus simples à comprendre, grâce à la notion décimale liée aux nombres de doigts des mains ou des pieds des êtres humains – un est dix fois moins que dix : facile, et en cela il y a cConcorde car cela donne un obélisque au centre de la place, bien que celui-ci soit à chacun des instant[s], comme chacune des très véritables œuvres d’aArt, autant de fois qu’il y a de fraction de seconde dans une seule seconde – en réalité un nombre infini de fois à l’intérieur de ce ‘un’ – il y a donc une pluralité et une virtualité indéniable[s] dans l’existence de ce singulier (avant qu’il disparaisse – on le sait car un sac de blé permet à une quantité de transporteurs, c’est-à-dire de main d’œuvre reproduisant par mimétisme de gagner des CFPM et cela jusqu’à la disparition de ce sac de blé sous la forme de pain mangé ou autrement – ce sac de blé a permis à quantité de gens de survivre : il était donc pluriel mais il continue à être ‘un’ seul, unique à moins qu’on trouve le moyen, comme pour les photocopies de réaliser une copie parfaite du sac de blé) qui cependant facilite bien les choses à tout le monde, puisqu’il permet d’éviter de se compliquer ou de tenir compte dans ce cas de cette pluralité encombrante. On dit alors que cet obélisque permet des milliers de photos de cet obélisque (cela arrive aussi à un gâteau réussi[t]), ce qui va effectivement permettre alors de découvrir que cet obélisque (unique, bien qu’il est son frère à Louxor qui se languit de ne pas avoir sa copie à l’identique par le procédé Bourbon - au moins - de retour, offert par la Confédération Européenne à l’Egypte pour Sa contribution à l’avènement de l’Union Européenne, à cause de cet obélisque sur cette place) est multiple (aussi le voilà devenu comme le soleil, un seul, pourtant qui est vu par chacun ou qui apparaîtra éclairant de nombreuses photos gratuitement, du même obélisque – aussi ce soleil est effectivement multiple, mais il est multiple à l’intérieur de ce « un » - l’objet même de la concorde entre tous : en effet, une poire ou une orange ou une pomme est ‘une’, y compris quand on la mange ou l’ampute d’un morceau, cependant que ces fruits photographiés et peints seront représentés en plusieurs exemplaires à partir de ce ‘une’ orange, ‘une’ pomme, ‘une’ poire. On découvre alors ici combien la Création n’a été pensée qu’hyper-généreuse, cependant que cette orange ou cette pomme ou cette poire ne sera mangée qu’en une seule fois ou en plusieurs fois une fois (un morceau) – de même que l’obélisque risque de sce casser en deux morceaux s’il[s] tombe[nt], c’est alors que cet original qui existait en un seul morceau, comme une poire ou le soleil est brisé de façon définitive, comme il y en a eu un ou deux dans l’Histoire, en deux ou trois morceaux – le dommage est alors considérable, important, irrémédiable, mais il devient moins important, dès qu’il y a cinquante obélisques – c’en est un des trois cent qui est cassé – ce n’est plus aussi grave et on attendra de trouver l’époque qui aura trouvé la solution élégante pour le recoller ou le restaurer. Il reste couché, en attendant, ou alors peut servir comme colonne – récup’oblige – tandis que si le soleil explose, le dommage ici est gravissime (et c’est peu dire), car il y a de sérieuses probabilités pour que cela soit fini dès ce moment-là pour tous et à jamais (à moins d’un sauvetage avant que ce triste évènement à nôtre étoile advienne – ce dont j’eus à me charger trois fois au moins : 1965, 1975 et à partir de 2005) – ce que le nombre de poires ou d’oranges ou de pommes va confirmer autrement : la loi de la Quantité étant ici de nouveau confirmée : il y a une quantité immense en nombre de pommes, d’oranges et de poire ou d’un autre fruits (fruit[s]), par exemple des cerises et même si on va comparer d’une façon poétique ces fruits à des pierres précieuses ou même de petits soleils (voire des bijoux), on est alors passé dans une autre catégorie qui n’est plus seulement réaliste sur le plan commercial qu’autrement : il y en a en veux-tu en voilà, partout de ces ‘un’ à manger – pas/plus rare[s] du tout (ce qui permet logiquement de les différencier de la multitude de ces semblables unités), de même que les tomates ou/et les poireaux ou/et les épis de maïs (cette multitude est donc par ailleurs [intrinsèquement] plurielle dans chacune des unités qui la compose – il y a donc une multitude de plusieurs niveaux différents : la singulière, l’unique, l’originale et enfin celle issue d’une pluralité de ces unités – plurielles puisqu’au moins vingt cinq par seconde dans leur unité matérialisée). En effet, les grains/les pépins, les semences sont en nombres considérablement nombreux et en réalité presque comme autant (évidemment en exagérant la comparaison) de photons de lumière ou de notes de musiques sur les partitions manuscrites des auteurs universaux ou alors comme autant de spermatozoïdes – cela rend (à cause de cette abondance – une sécurité) alors beaucoup moins précieux ces matières premières qui ne sont pas/plus vues (d’autant plus des copies ou/et des reproductions possibles) comme rarissîmes, ce qui est le cas [particulier] d’une pierre précieuse ou alors de beaucoup plus précieux encore : l’original ou le master d’une œuvre d’aArt : nous l’avons vu avec l’obélisque, mais aussi un temple grec en bon état de conservation ou un vase de cette époque ancienne proposé dans la vitrine d’un musée (pour arriver jusqu’à nôtre époque, il dût être au moins vingt cinq de lui-même par seconde et éviter d’être brisé – il traversa bien des époques et des civilisations différentes : il témoigne d’une ancienne qui n’était composée que d’aArtistes admirabilissimissîme puisque le vase nous le signifie : ils savaient représenter des merveilles, par conséquent il est probable que ceux-ci savaient penser juste – ici comme il y a d’autres vase de la même époque et du même style, donc qui ont été élaborés à partir d’un style qui eut un auteur en particulier, il sera plus ou moins précieux pour les connaisseurs dans le précieux qu’il est par ontologie, intrinsèquement en étant le résultat plus ou moins admirable qu’il signifie – on comprend ici qu’il y a ce plus ou moins qui dépend de paramètres qu’il faut avoir appris à objectivement connaître pour se permettre un jugement qui sera subjectif à première vue : il existe donc bel et bien une subjectivité objective – une subjectivité nourrie d’objectivité, résultant d’objectivité : ce sont les jugements d’experts – ce qu’un devenu bouddha est toujours). Il s’agit là d’une pièce unique, au sens même qui est donné au soleil lui-même : ‘un seul’ qui plus est dans la continuité du même, en sachant qu’il est à ce point en permanence pluriel. C’est en cela que la main-d’œuvre ou les travailleurs manuels reproduisant[s] en mimétiques (donc non encore appartenant aux êtres humains parachevés, car n’étant pas à l’origine des innovations, des solutions élégantes trouvées par les iIngénieurs) ne sont pas [encore] des soleils aussi rares que le soleil (l’Ingénieur ou le Très Véritable aArtiste devenu bouddha) puisqu’on peut les comparer non pas au soleil, mais à ce nombre rapidement infini de pommes ou de poires ou de tomates ou de cornichons (tous plus ou moins pareils/semblables, les mêmes – ici cela est dit car c’est à première vue vrai cependant que dans le détail évidemment tous différents et on retrouve le même problème qu’avec le ‘un’ qui est pluriel, cela signifie que l’usage de ce « les-mêmes » est autant à rechercher la concorde, cela simplifie à cause de l’abondance, donc de la quantité et de ce que nous ayons tous à nous devoir comporter avec bon sens, ce qui contraint continuellement à faire des moyennes ou des évaluations, donc à porter des jugements grosso-modo : cela rend plus simple les négociations : même si chacun des grains de blé ou des grains de maïs sont imperceptiblement différents, en raison de leur place sur l’épis ou de celle à l’intérieur d’une pomme, pour des pépins, on dira qu’ils sont les mêmes car effectivement ils appartiennent à la même espèce qui en produit rapidement (en une saison ou une récolte) des quantités astronomiques, donc énormes : il s’agit des mêmes graines appartenant à une variété précise qui pour faciliter les choses porte[ra] un nom (pour en faciliter la différenciation) quand elle n’est pas considérée de son nom faisant l’unanimité ‘schtroumpf’ ou ‘truc’ ce qui permet, à l’oral, entre pairs de se comprendre à mi-mot[s] sans avoir besoin de recourir au mot savant) – il y en a une grande abondance sur le marché, tandis que d’ingénieurs très véritables ou d’êtres humains de sciences exactes, ou d’aArtistes très véritables ou/et de bouddhas – dont dépendent tous les travailleurs manuels, il n’y en a que fort peu et qui sait, il faut l’espérer, autant que le nombre d’étoiles, donc de soleil éclairant ‘la sombre nuit’ qui est composée de tous les travailleurs manuels ou de toute la main d’œuvre, ceux-ci étant comme des planètes à être éclairés, grâce aux sciences de ces êtres humains qui conseillent [toujours] très justement ou très aimablement ou qui proposent des activités dont l’objectif est de permettre à ces personnes encore dans la nuit (cérébrales) de devenir indépendantes ou autonomes financièrement, c'est-à-dire en mesure d’accueillir chez eux, la naissance d’un ‘sauveur’ (d’une étoile nouvelle), c'est-à-dire, par synonymie et par ailleurs aussi d’un soleil (c’est à mi-mots ce qui fut célébré avec la Nativité de Jésus-Christ). D’où cette notion de sun en anglais : qui est complétée en français par la notion de ‘fils’ – peut-être à associer à celle de ‘fil’, d’autant plus que les spermatozoïdes peuvent facilement créer cette idée de ‘file’[d’attente]. On retrouve ici la comparaison de ces derniers (les spermatozoïdes) avec les photons)- cette énergie du soleil est donc considérée comme une/la richesse commune comme pour chacune des matières premières à-premièrevue en excessive abondance (c’est si vrai qu’il est probable que s’il devait manquer une matière première, par exemple celle du sable, il est probable qu’on pourrait en faire sur la lune ou alors sur Mars, ce qui signifierait alors d’autres dépenses (beaucoup plus onéreuses/coûteuses/chères) pour l’obtenir à cause des répercussions des coûts pour réaliser ce sable dont nous aurions besoin sur Terre (il y a donc abondance de la matière première du sable dans le système solaire, puisqu’il existe aussi sur les autres planètes ou peut être réalisé sur celles-ci à partir de la qualité des pierres qui s’y trouvent – en effet, quand une matière première manque dans une des rRégion on la trouve en général dans une autre des rRégions du globe et c’est alors qu’elle n’est plus ce qu’elle était devenue, rare, cependant qu’elle aura un autre prix que celle dont on disposait sur place car il y aura les frais de transport à répercuter dessus, dont il faudra songer à se rembourser pour l’utiliser comme la précédente qui est venue à manquer : aussi on comprend aisément que l’augmentation du prix du baril de pétrole soit une véritable mauvaise affaire pour tous les acteurs économiques sans exception car cela fait augmenter les prix de chacune des matières premières qui sont transportées vers là où elles manquent et sont nécessaires dans l’élaboration des matières secondes ou troisième ou xièmes auxquelles elles concourent, elles aussi la résultantes de transports plus ou moins longs et/ou distants, ce qui contraint les responsables de ces entreprises à répercuter les prix non seulement des matières premières à l’état brut qui sont en générale toutes gratuites à l’origine, cependant que pour être isolée et transportée elles ont occasionné diverses dépenses pour offrir des activités utiles à de la main d’œuvre sachant reproduire par mimétisme, donc extraire la matière première d’une mine, et enfin la livrer à l’entreprise se chargeant du transport, une autre activité de travailleurs manuels sachant reproduire par mimétisme une chose simple, soit conduire cette matière première par les voies de la route, donc par camion, soit par les voies de la mer, soit par celle du chemin de fer, soit par avion – il y a donc le choix : mais chacun de ces moyens de transport représente des dépenses à faire et des activités pour qu’elles soient opératives – celles de main-d’œuvre ayant appris à reproduire par mimétisme – donc des travailleurs manuels, qui sont en concurrence entre eux, en raison de la même compétence, [en général] aisée à obtenir, n’ayant pas requis des investissements colossaux ou très importants pour l’obtenir, donc à l’inverse de toutes celles de ceux que certaines familles de particuliers ont faits (sur des fonds privés, économisés en CFP[M]) pour faciliter la formation de l’un des très véritables iIngénieurs, qui appartient alors (une fois reconnu par ses pairs) aux travailleurs manuels dits ‘intellectuels’, soit ceux qui ont accès à la conscience et donc appartiennent aux responsables, comme à ceux qui trouvent les solutions élégantes y compris pour améliorer les modèles de ces transports eux-aussi reproduits à de nombreux exemplaires comme autant de fruits et légumes chacun, par conséquent en abondance, ce qui permet de les rendre moins rares (ce que l’Agriculture a permis pour les céréales, les fruits et légumes, les champignons, la vigne en raison de l’abondance astronomique des semences ou/et des pépins, c’est-à-dire des graines) et par conséquent moins coûteux/chères/onéreux bien que chacun, hélas, à répercuter le prix du baril de pétrole de la même façon que chacun des aliments que consomme[nt] chacun de ceux appartenant à la main d’œuvre reproduisant par mimétisme, comme celle dite intellectuelle – ce qui va donc avoir comme conséquence que ces moyens de transport ne pouv[ai]ent pas être gratuits, d’autant plus qu’ils répercut[ai]ent ces coûts/dépenses initiales qui eurent à être faites, [alors] en l’absence des énergies propres, électriques-solaires ou/et éoliennes ou/et marées-motrices ou/et fluviales-motrices (à l’embouchure des estuaires, soit au fond ou alors à la surface des fleuves et des rivières pour bénéficier de la force de leurs aimables courants, comme au moment de la chute d’un torrents), par exemple, sur les trajets de ces matières premières nécessaires quotidiennement partout – il y a celle de première nécessité, comme le lait pour les nourrissons ou l’huile et le vinaigre balsamique pour la salade, comme la matière première du citron ou du sel (pour réaliser la matière seconde de la sauce baumique) mais aussi la farine (une matière seconde, tirée de celle première du blé) pour les sandwichs dans le pain HarrYs (donc [le pain est] une matière troisième (issue de la civilisation des échanges I. commerciaux) – ce qui signifie qu’elle est troisième en raison de la valeur ajoutée des deux antécédentes, ce qui signifie aussi qu’elle apporte cette valeur ajoutée en devenant la viande ou/et la chair des sandwichs) d’endives, une autre matière première ou d’une des salades, chacune étant une matière première liée à cette espèce/catégorie nommée salade (sur laquelle mon baumique (qu’on arrangera à sa guise donc en lui apportant d’autres nuances) est divin (un jugement ici objectif bien qu’à première vu subjectif). On peut donc affirmer sans mentir que le mot de ‘catégorie’ est parfois (dans certains cas) synonyme de matière-première). C’est donc à partir de cette unité de départ (ce ‘un’ (un spermatozoïde qui est l’auteur et non l’ensemble de ceux évacués souvent – heureusement -d’une façon solaire, ce qui sera préférable à autrement – à la façon des centaures ou des satyres lubriques, par exemple – rien de solaire ici, si ce n’est que souvent de l’inavouable (donc à cacher, l’aspect nocturne au mauvais sens de ce mot) – d’où tous les problèmes psychiques liés à cela – tandis que sinon pas – ce qui fut longtemps possible grâce au mariage : qu’on a cru être le/un remède – puisque l’union n’est que déclarée, donc officielle (plus de celles tenues secrètes, cachée), et par conséquent ‘avouable’ dans la communauté des [très véritables]  pères) qu’on va pouvoir estimer la valeur des autres (en fonction des mêmes critères, la quantité (abondance) ou la trop grande Rareté – il y aura donc l’apport du soleil à estimer dans cette énergie solaire et l’apport de ce soleil, c’est l’apport de la notion de Dieu ou celle de l’éEtat – un soleil collectif – c’est donc ce qui caractérise chacune des matières premières apportées : elles ont donc chacune (dans une vérité relative admissible, d’autant plus d’une finalité de concorde générale) une valeur d’apport, capitalistiquement compréhensible (compréhensible en capitaliste (c’est-à-dire admissible intellectuellement, en conscience, donc en Vérité)– c'est-à-dire par ailleurs en une personne capable de valoriser ces apports : transformer en calculs très honnêtes des données brutes parfois innombrables pour simplifier la gestion collective) et quantifiable les unes par rapport aux autres, à cause de la loi de la Quantité et de la Rareté). Evidemment, se pose alors un véritable conflit et une interrogation au sujet de cette abondance. Ne serait-elle pas aussi une sorte de sécurité ? Et si oui, qu’est-ce que cela cache ? Cela révèle une générosité et donc une [sorte de] garantie et en cela on est rassuré. Donc une preuve qu’on n’est pas l’objet d’un racket et même qu’on a la liberté de ne pas tenir compte de cela (cela explique pourquoi parfois, chez les meilleurs ostréiculteurs on vous propose treize à la douzaine, voire plus – mais cela n’est possible qu’en période où les prix baissent car sinon cela est impossible car déjà la douzaine est proposée moins chère/coûteuse/onéreuse que [si elle était composée de] l’huître à l’unité). Sauf quand soudain les chiffres vont révéler autre chose et qu’il y a péril en la demeure (ce qui est le cas de la situation qu’historiquement nous traversons/vivons) d’autant que tout a été vérifié est [comme] compté. Il y a donc une limite à ne pas franchir, même si à première vue, la notion d’infini existe (elle est conceptuellement admissible, du moins dans la vérité relative qu’elle induit, d’autant plus que la notion de Perspective la confirme), cependant que si elle débouche sur l’explosion du soleil, qu’est-ce qu’on aura gagné (et qu’auront gagné tous nos ancêtres à cela) et si oui qu’est-ce qu’il y aura après ? (Tous se seront donnés du mal pour rien, nos espoirs étaient donc vains ! [découragement général, satisfaction des uns, reproche des autres à Dieu qui nous avons pu vérifier trois fois au moins n’y est/sera pour rien – c’est donc de la faute des habitants de la Terre si cela advient]). C’est en cela qu’il vaut mieux, par précaution l’éviter, bien que nous soyons tenté [nombreux] de courir l’expérience. Il est peut-être ou même sûrement préférable de réussir à rejoindre la Création parachevée par approximations successive que par l’explosion du soleil qui ne débouche peut-être que sur un flop ou moins que cela total (en fait comme quand une ampoule électrique claque – en général elle est à jeter – la réparer n’est que difficilement possible, d’autre part il y a eu absence de lumière électrique durant ce temps où elle était cependant nécessaire à cet endroit à cause des planètes tout autour qui en avaient la nécessité – par conséquent rallumer un soleil éteint, si cela est possible en changeant d’ampoule, signifie qu’on change totalement d’Ere et qu’il y a eu une période entre ces deux moments d’intense glaciation, si les planètes, par bonheur, n’avaient pas été trop touchées par l’explosion-implosion en question (il est probable qu’elles aient aussi volée en éclat – du moins les plus proches de l’étoile) – d’où qu’il y a un après et un avant ce moment préoccupant, celui de l’explosion d’un soleil dans la galaxie ou/et dans l’un des Univers – c’est la raison pour laquelle, en général, on achète d’avance plusieurs ampoules électriques, pour ne pas avoir à en manquer, au moment du changement de ce qu’on appelle autrement ‘le capital circulant’ (celui qui contraint à de continuelles dépenses, en général effectuées en CFP[M], quand hélas (pour eux), il parait que certains ne les ont effectuées qu’en crédits financiers u[surpés], cfm[alhonnêtes], cfs[ales], cfv[olés], cfc[orrompus]) car la durée de vie est prévue limitée en absence des ampoules à durée de vie illimitée ou même qui seraient placées, plusieurs à la suite, pour se changer d’elles-mêmes, comme des cannettes de Coca-Cola tombant grâce à une machine à sous : au lieu du grand bruit qu’elle font, l’ampoule éteinte serait poussée par celle qui s’allumerait à la place – donc le lampadaire ou le luminaire devenant encombrant, car d’avance à prévoir le changement d’ampoule, de lampe à opérer (cependant que cela pourrait être possible dans le cas de diodes ou d’ampoule/lampes plus petites – mais ici (compte tenu de ce que la durée de vie des ampoules/lampes a augmenté) cela paraît à première vue une idée/invention absurde, loufoque, déraisonnable, d’enfants-gâtés, inconcevable, une mauvaise affaire : se donner autant de peine pour réaliser un tel mécanisme qui devrait être adapté à chacune des lampes/luminaire – cela prendrait de la place – ce qui n’aurait été possible que dans le cas de la Création dans laquelle chacun dispose chez lui d’une grande superficie et non dans le cas de la création où l’augmentation du prix du baril de pétrole a réduit considérablement les surfaces habitables de chacun des très honnête-homme à un point paroxystique – évidemment il y a des cas où cela pourrait s’imposer – par exemple si on ne trouve plus personne pour vouloir changer une ampoule chez une personne âgée – comment fera-telle sans lumière, donc sans ce mécanisme qu’elle aura pu acheter durant sa jeunesse en faisant des économies - pour rejoindre les toilettes ou alors changer de chambre ? On a bien pu vérifier ici que les êtres humains s’ils n’ont pas de la religion, ne songeront pas d’eux-mêmes, même en étant reçu chez cette personne, à vérifier que chacune des lampes de son appartement est en état de marche – cela est pourtant une chose bien moins qu’élémentaire, mais l’égoïsme de certains d’entre nous est tellement abjecte qu’il contraint à prévoir ce genre de solution élégante à mettre en œuvre en raison de mauvais fils ou de mauvaises filles ou même mauvais petits-enfants qui n’y songeraient pas, de même qu’ils ne songent pas à ce que la personne âgée ait de quoi manger – l’être humain, une fois devenu enfant-gâté est si abjecte qu’il n’est plus jamais fréquentable, ni même approchable par personne – de toute façon on ne peut pas comparer nôtre soleil à une lampe même si c’était le cas car il n’est pas une lampe mais seulement sur certains points la possible métaphore d’une lampe : il ne faut pas confondre). Quand on perd un ballon gonflé à l’hélium ou même un clown gonflé à l’hélium, même s’il était plusieurs ou au moins vingt-cinq par seconde dans les images tournées en 16 mm, et s’il explose, il ne reste que les déchets de ce ballon : on a alors perdu et le ballon et le clown. C’est plus que probable que c’est ce qui sera le cas quand le soleil explosera : le système planétaire local avec la Terre sera d’un seul coup grandement endommagé. D’où qu’il ne soit pas intéressant de tenter l’expérience y compris pour des raisons de balances ou pour des enjeux en œuvres d’aArts. Cela cassera ou déchirera ce ballon gonflé à l’hélium comme toutes les œuvres d’art et tous les êtres humains comme de toutes les pensées les plus justes y compris de ce texte, il ne restera que la trace au moment où cela [avait] existé – donc avant ce moment-là  Evidemment très certainement cela peut être rejoint avant ce moment-là par une soucoupe ou une plate forme extra-terrestre, venant d’un autre système solaire (mais ce n’est qu’avant ce moment-là, car après, c’est hélas pas très joli à voir (le lieu où se trouvait l’étoile est vacant) et celui qui ricane en faisant exploser avec une aiguille ou même trouve drôle de lâcher l’unique clown (gonflé à l’hélium) sur le tournage, en le dérobant à ce groupe de personne (en réalité l’ensemble des participants) qui à travers le responsable l’ont acheté avec des CFP[M] (des Crédits Financiers Propres et (amplement) Mérités) pour le faire jouer dans ce film, en brisant le fil qui en faisait l’un des personnages principaux de la séquence finale du film, s’expose à être considéré (dans l’[‘a petite] histoire de ce film) comme un saboteur. Il va y avoir (pour le responsable du film et son objectif à atteindre – en fait pour l’architecte) [comme] un manque (de signifiants) car ce clown ou ce ballon gonflé devait servir à autre chose que d’être aussi puérilement (au mauvais sens de ce mot qui signifie en adolescents insouciant et enfant-gâté ici aussi au mauvais sens de ce mot) utilisé pour être aussitôt perdu, délivré de son fil. Si cela avait été le cas et voulu par l’auteur, il aurait songé à plusieurs clown de façon à répéter la séquence et à choisir la meilleure pour que cette idée soit mieux servie ou plus facilement retenue ou lue dans/au cours d’une première lecture – cela n’avait pas été le cas – il s’agit d’un imprévu et donc d’une répercussion de la reine de la nuit se comportant comme si elle était chez elle et si les objets achetés l’avait été par elle (à partir de CFPM obtenus de droit – or on le sait, elle n’obtint qu’en ladre/faussaire/menteuse/méduse/pieuvre/requin, etc. – donc en vorace ennemie de l’espèce humaine – donc en l’ennemie d’elle-même) – donc avec de l’argent escroqué à l’Ensemble, ce qui n’était pas le cas, car chacun des centimes de dépensés (pour la production et la réalisation de La Momie à mi-mots n’avaient été qu’incommensurablement difficiles à réunir en CFPM donc aucunement usurpés, ou sales ou malhonnêtes ou à des fins de corrompre, mais réellement pour servir les idées principales du film (ayant bénéficié d’un consensus) qui de plus bénéficierait d’une œuvre rarissimissîme de Carpeaux au lieu du bassin devant le palais du Luxembourg que j’avais prévu pour la fin (et qui fut effectivement celui où je trouvai s’étant auto-détruite en s’auto-carbonisant, la reine de la nuit à jamais morte dans sa [own] haine prisonnière dans l’épaisseur de la glace ne lui ayant pas permis de s’échapper ni même de la fondre pour s’en sortir : elle était totalement anéantie par elle-même) – pour l’instant tirée à un seul exemplaire de fontaine [C. ]– bien qu’on puisse songer, par sécurité à en faire d’autres exemplaires, à placer dans une ou deux autres grande[s] citée[s] ou ville[s] moins importante[s] et qui sait dans une ville nouvelle appelée Carpeaux (: C. ) et/mais cela n’a pas été [encore, en 2015] possible – il faudra songer à le faire). Maintenant reste à savoir à quoi devait servir ce clown quand la danseuse étoile (donc rarissime) Carolyn Carlson ressuscita devant la Fontaine Carpeaux (c'est-à-dire dans l’autre « ou bien » rénaisien (à la Smoking ; No smoking !) qui n’aurait pas abouti à cet acte d’inconscients ou de fous ou d’irresponsables (au mauvais sens de ces mots) qui se fichent des directives du réalisateur et qui trouvent drôles de saboter une des séquences dans laquelle la notion de ‘masques’ va jouer autant que cela, y compris celui de clown, mais aussi de non-voyant. C’est ici ce qu’il faudra demander à l’interprète principale à qui ce clown devait être apporté ou donné/remis par celui qui interpréta le rôle de non-voyant (qui travaillait aussi comme/en tant que/car assistant costumier en d’autres moments). Peut-être devait-elle rejoindre l’enfant métis avec ce clown et donc déposer les fleurs sur le petit radeau improvisé et partir avec ce clown qu’elle aurait pu laisser dans le bassin accroché à ce radeau ou alors aller avec lui vers le cheval blanc de la statue de l’Aurore et le remettre à l’enfant-métis de l’Avenir. L’aspect Arlequin (coloré, brillant et pétillant, argenté) que ce clown avait, manque (cela devait-être un triple hommage à SAI SSS les Lord. Charlie Chaplin, à la fois à cause de le kid-(métis), à la fois à cause du clown et de ce que ce kid suivrait avec le clown tenu au bout de son fil, volant au-dessus de lui, le message que SAI SSS les dames Carolyn Carlson aurait délivré : « il ne reste plus qu’à essayer de faire le clown », donc apprendre à faire rire. Non, la fin de mon film fut saboté par ceux qui eurent l’idée si intelligente – exemple d’une anti-phrase – de libérer le clown qui s’envola vers les nuages, qui sait pour exploser ou alors finir par se dégonfler – il est probable que cela contribua à ces explosion de rires à partir de 2015, quand j’avais rejoins de nouveau le ciel au dessus de l’époque de 1975 enfin en chair et en os, ce qui s’était produit trente ans avant et qui devait se reproduire). Oui, c’est à ce kid, l’enfant métis (celui que j’essayais ainsi de faire comprendre que chacun d’entre nous est au départ) que Carolyn Carlson aurait donné ce clown à la place de ce qu’elle offre à l’Enfant de l’Avenir, l’enfant métis, assis sur le petit cheval devant la statue de l’Aurore, qui sait, préfigurant les robots-drôles ou les drôles de robots. Bref, la fin de la Momie-à mi-mots est un peu ratée (du point de vue de son aAuteur) par rapport à ce qu’elle devait être -[(en régie-accessoires, il n’y avait qu’un seul clown gonflé à l’hélium à nôtre disposition (donc localement accessible), en raison de nos finances trop réduites et de ce qu’en ayant continuellement à faire attention à ce point crucial, les CFP[M], nous nous étions économisé l’achat de plusieurs clowns, ce qui prouve que nous n’avions nullement l’intention de le lâcher comme les autres ballons (en grande quantités), mais au contraire, parce que rare, de le voir durer jusqu’à la fin)]-, car de cette façon tournée, la fin du film est à l’origine d’une ambiance différente (pas autant l’happy end qu’elle devait être) en ayant à donner cette baguette magique (au lieu du clown) à cet enfant, sous ce ciel gris évoquant ce climat d’ » inquiétante étrangeté «. Mais peut-être que par alchimie et pour des raisons qui s’avèreront ultérieurement, c’était – en tout cas à cause de l’époque où ce fut tourné - mieux ainsi (le clown perdu serait retrouvé autrement) car alors Carolyn Carson serait devenue une sorte d’évêque marchant avec sa canne-licorne (magique) tandis que l’enfant toujours à gâter terminant le film (avec ce clown – cependant qu’il fut encore plus gâté en ayant la baguette magique) de manière à souligner l’importance de cet aArt qui est celui du cirque, mais aussi du monde du muet (d’avant la Parole ou le Verbe – un monde universel qui sans l’auguste, ce que j’essaie un peu ici d’être au sujet de  Mmmn, n’est pas compréhensible par les faussaires : le monde où les choses sont à mi-mots dites ou en filigrane perceptibles) – ce que la passation de la baguette magique risque de confirmer (avec le danger que tout recommence. Donc du film en boucle, l’enfant unisexe (car pour l’instant petit), ce kid de la fin [de MMMM] n’étant en définitive que Carolyn Carlson enfant, donc ayant reçu cette baguette magique, comme chacun de Nous, trop gâté, grâce à little Nemo (LNm): l’Auteur, mais ayant à risquer de la perdre comme d’avoir à la retrouver, grâce au parcours semé d’embuche : risque inhérent, en raison de cette solitude trop grande de l’enfant-métis de devenir l’enfant et les sortilèges, puisque les autres (dans la séquence terminale de la momie à mi-mots) ne l’attendent pas : apprentissage de l’aspect égoïste des plus grands comptant sur les plus petits : proposant des cadeaux ou même des responsabilités, mais ne donnant pas (ou rarement) les moyens de les assumer : en effet, sans le clown, comment être intéressant puisque même avec la baguette magique, ce n’est pas l’enfant métis qu’on suit encore (il doit rejoindre les plus âgés que lui), mais la maîtresse (en avant) ayant pourtant en lui transmettant cette baguette reconnu son successeur, celui-ci devant suivre ce maître, (peut-être et sûrement en raison des préjugés des saboteurs de clowns) soit tous ceux qui ne considèrent pas important qu’une personne responsable d’un film sur les divers plans artistiques, financiers et techniques ait acheté ce clown dans une optique précise pour cette séquence, mais aussi qui ne considèrent pas important l’enfant auquel il était prévu d’offrir ce clown – donc encore une fois qui se moque des métis, de ceux qui sont entre plusieurs cultures ou/et univers à être [comme] des ponts. Du coup il est bien normal que je concrétisai l’idée de départ : de remettre la baguette magique à l’enfant qui, en l’oubliant, me fit décider de la placer sur le socle de la statue, ce qui la répare d’un seul coup, comme dans un film (il me semble avec Carry Grant, bien que je n’ai vu cette séquence qu’avec cet acteur (ou un autre), lui, vu de dos) quand il réussit à faire d’un seul coup la garniture/décoration d’un arbre de Noël, ce dont je viens, avec cette séquence isolée qui lance Noël 2015, de prendre connaissance, hier le 20 décembre, sur Internet). 

[20] Une solution doit toujours ou le plus souvent rechercher l’élégance (de la dDémonstration, par exemple) et s’interdire, dans la mesure du possible, toutes celles des ignorants, au mauvais sens de ce mot (mais non au bon), donc celles des bouchers ou des pêcheurs (qui le sont parfois au bon sens de ce mot d’ignorant) qui s’attaquent en lâches à plus faibles physiquement qu’eux. Donc contre des animaux sans défense ou presque et n’étant que souvent dépourvus de dentition, comme par exemple les truites qui broutent des petites algues ou d’autres poissons aussi paisibles que des agneaux ou des brebis à tondre, en fait un peu comme des lapins les pelouses (ils y trouvent quelques herbes qui leur plaisent). La solution ne pouvait pas être celle de s’attaquer à ceux qui sont  autant sans [grande(s)] défense[s] ou qui comptent naturellement sur un bon chien (ayant mordant et courage comme étant sportif) pour les défendre ou alors le lion de Kessel qui pourrait devenir chien (à la réincarnation suivante s’il devenait un lion végétarien) – il y a des ours qui parce qu’ils renoncent à trop tuer ou endommager deviendront chien au lieu de requin à la réincarnation suivante ou alors renard, voire loup (c’est préférable : il s’agit donc du [bon/meilleur des] sens des réincarnations puisque si tout va bien cela mènera à devenir l’une des grande figure ingénieur ou aArtiste véritable qui œuvrent dans la Création – donc innove – un des bouddha : la finalité de la Création dans le parachèvement décrit par SAI SSS les Lord. Léonard de Vinci, avec L’Homme de Vitruve : ecce homo – tu verras j’ai fais le mien aussi, différent, et qui est admirable – je l’ai envoyé en reproduction photographique à ta mère [SAI SSS les dames] Oriane [Michelin-Granier … d’Ôz] si tu passes un jour par chez moi, tu pourras voir l’original, ce qui est toujours différent que de découvrir une reproduction mais ne t’attends pas à un grand dessin : c’est en réalité tout petit : cela fait environ 9 cm par 9 cm : minuscule (presque un timbre poste, même pas une enveloppe), pourtant toute la métamorphose y est : de la réincarnation d’un lion à celle de l’être humain par étapes (comme en fondu enchaîné) devenu un des bouddhas, à 90° de celle de l’âne et du mouton [comme] en profil [égyptien]: Ecce homo ou L’Homme de/[u 20 rue de la rue Polytechnique à] Pareandre (un nouveau nom, une variante pour Paris – tu en trouvera d’autres de mon cru – ce qui signifie dont je fus l’aAuteur officiel, en inscriptions [sacrées] – ce qui signifie indubitables : vraies)  par Laurie Granier … d’Ôz !)

[21] Ils n’acceptent qu’à contre cœur de retirer les dites mauvaises herbes, sachant qu’en les étudiant, elles pourraient, comme la roquette, à premièresaveur amère, trouver de l’emploi (d’autant plus de l’huile d’olive ou alors de ma sauce baumique) : être utiles, peut-être après analyse génétique et recherches diverses (évidemment il y en a trop [de mauvaises herbes] et c’est cette quantité qui, en l’absence, de ces solutions élégantes qui pourraient les toucher/concerner, donc dont nous n’avons pas encore la connaissance, qui contraint à les exterminer en divers lieu où, en poussant, elles affectent des superficies agricoles qui peuvent donner quantité de fruits les meilleurs ou préférables, dont tous ont en priorité besoin, plutôt qu’à première vue des fruits amères ou repoussant[s]. Ce ne sont pas encore des solutions élégantes capables de transformer ces dites/considérées mauvaises herbes en quelques unes de celles dont tous auraient finalement autant besoin que les plus comestibles (il est probable qu’on a longtemps cru que la roquette était l’une d’elle et qu’elle n’était pas comestible en raison d’à-premièrevues – c’est souvent le cas avec les matière première brutes, ce n’est qu’après traitement et ajout de diverses valeurs ajoutées, parfois d’autres matières premières qu’on obtient un résultat intéressant – cela fut le cas de minerais historiquement qui devinrent très utiles et qu’on trouva en très grande quantité dans des pierres : ils y étaient. Elles en étaient les récipient[s] : le fer, le cuivre, etc.) ou permettant de parfumer agréablement ou alors ayant d’autres vertus y compris médicinales. Aussi on comprend que la Très Sainte Bible et même les Evangiles utilisent cette métaphore ou cette notion de mauvaise herbe sur un plan différent, d’une manière résumée, et cela par/en rapport à l’époque de ces écrits (en évitant de compliqué, pour servir à ce qui est prioritaire, donc au plus pressé/urgent) et en ayant évaluer quantitativement qu’il soit préférable d’éviter d’antrer dans le sujet, comme nous pouvons cependant au contraire nous offrir ce temps, en cette époque-ci, pour contester qu’elles ne soient vouées qu’éternellement à être exterminées, en nous plaçant pour ceci, dans les pas de l’un des exemplaires aAuteurs de la Confédération des Etats-Unis d’Europe, c'est-à-dire l’un des pères de l’Europe, avec Victor Hugo, et cette à première vue mauvaise herbe de Jean Valjean qui, après diverses rencontres advenues miraculeusement au cours de son parcours, malgré les torts qu’il avait accumulé, (mais aussi les peurs ou/et courageuses décisions inconnues du lecteur, donc non relatées) en devînt une aussi bonne et aussi exemplaire qu’elle fut en monsieur Madeleine – c’est ici l’aspect contestataire de Victor Hugo contre la Très Sainte Bible qui recommande/[ait] en raison des expériences du passé, à ce sujet, et en raison de ce que l’on crut de très faibles probabilités que cela puisse advenir (une métamorphose de ce genre, celle de Jean Valjean en Madeleine), d’arracher ces mauvaises herbes et de s’en débarrasser – d’où que ce qu’elles représentaient comme métaphore ou/et même comme réalité à mi-mots exprimée de cette façon admirable, en réalité parce que comparative, en utilisant ce [comme] (de la mauvaise herbe, sous-entendu « sont les Jean Valjean » est l’objet, c’est normal, d’une contestation (anti-thèse) qui peut dans une certaine mesure être fondatrice d’un nouvel ordre ou/et d’un espoir commun, celui qui grâce à la Bible et aux Evangiles relus et repensés, c'est-à-dire commencés à être un peu remis à jour par Victor Hugo, propose aux anciennes manière de voir, comme uniquement de la « racaille » ou pire que cela, une autre perspective d’avenir possible pour cette mauvaise herbe – nous sommes alors à un tournant, une sorte d’angle ou un croisement (l’un des axes est en général fait de matière pleine, tandis que l’autre est formé de ce qui est moins concret, dans le vide : un lieu vers lequel se diriger – à cet égard chacune des planètes, les satellites ou les étoiles sont des carrefour), celui que l’anti-thèse ou/et la mise en doute des propos généralisant ou simplificateurs ayant dû ou cru possible éluder le cas par cas (le K par K) a conduit les êtres humains à effectivement une forme de racisme ou de spécisme (le catégorisme (inhérent à la catégorie, au mot non nuancé, non estimé à l’aune des répercussions de l’existence du [Très] Grand Variateur qui nous y contraint car sinon on comprend que cela débouche sur des conflits) – donc au mauvais sens de ce mot : de ceux qui veulent exclure les autres catégories et ne se spécialiser que dans une seule, ce qui est possible qu’uniquement si celle-ci ouvre sur les autres un temps mises de côté au profit de celle-ci privilégiée – à cette égard le nombre de chaînes de télévisions se spécialisant et se diversifiant sont entrain de résoudre le problème d’autant qu’elles ne se focalisent pas exclusivement sur uniquement le mot stricto sensu (ce qui ne contraint qu’à l’envisager trop élémentairement comme dans les dictionnaires qui sont rarement philosophiques ou à s’intéresser sur des antithèses ou des aspects plus nuancés concernant le même mot dans d’autres cas – bien sûr les meilleurs les évoquent avec les sens figuré ou les exceptions), comme ont essayé de le résoudre les grands quotidiens ou magazines d’information). Cela avait engendré du mépris des fruits les meilleurs, envers tous ceux qui ne sont que de la mauvaise herbe – c’est ici la révolte de l’aArtiste véritable qui aime la Création jusque dans ce qu’elle n’offre pas à première vue du meilleur partout et même dans cette laideur ces à premièrevues ronces ou ces orties qui piquent et sont désagréables – pourtant comment ne pas les arracher aussitôt et même ne pas les considérer comme seulement néfaste[s] : on découvrira qu’elles peuvent même être cultivées et être utiles pour des sorte[s] de shampoing ou des baumes (voire des potages), au point de confirmer ici aussi, sur ce point que « rien ne se perd et que peut-être tout est/serait utile dans la Création », même ce qui ne serait vu qu’uniquement comme inutile et à première vue seulement ‘mauvais’. Cela est si vrai que cela a créé le second marché et enfin le marché de la troisième main (celui des occases/ions) ou des choses qui n’ont faites que de passer de main en main, donc qui ne sont plus du tout neuves (ou conservées par des mains qu’on sait être demeurées propres sur tous les points y compris intellectuels, voire moraux) et qui sont à perdre à cause de cela de la valeur marchande). A cet égard, on peut imaginer utiliser des requins (puisque quelques uns d’entre eux se font passer pour les êtres humains dociles, comme des chiens aimables) en guise de moteur pour rejoindre une épave (SAI SSS les Lord. le grand Hergé y a/ont pensé) ou pour faciliter des travaux d’archéologie marine, puisqu’ils ne sont pas si méchant (une fois qu’ils ont mangé) et surtout savent qu’ils doivent s’interdire de manger de l’être humain ou un animal n’ayant pas, comme eux, des dents pointues (qui puisse se défendre – en effet, ils savent, en raison des lois de la jungle, qu’ils n’ont pas le droit, en lâches, de profiter de la faiblesse d’une autre espèce – s’ils l’oublient, y prennent goût ou s’y adonnent, ils poursuivront contre l’intérêt de leur respectives ontologies (donc celui de leurs descendants) leurs involution et leurs régressions, en raison de ces nouveaux péchés accumulés et obtiendront pire encore comme réincarnation la fois suivante, donc courent de sérieuses probabilités de rejoindre ainsi une ère – aujourd’hui décrites et dites ‘géologique’ car elle de cette façon mieux datée – située dans le très lointain passé de cette planète – peut-être même l’ère des tyrannosaures rex (des monstres d’égoïsme, en tant qu’anciens enfants-gâtés chez les requins) dont on est au courant, à nôtre époque, qu’il n’en est plus resté un seul – aussi, ceux qui font le mal et s’en délectent sont avertis depuis longtemps, non seulement dans la Bible, mais aussi par SAI SSS les Lord. W. A. Mozart, s’étant donné la peine d’illustrer musicalement à travers une histoire pédagogiquement compréhensible cela à la fin de don Juan, « c’est la fin de ceux qui font [le] mal », le malheur que vous avez cherché, vous l’avez voulu et non pas Dieu qui vous avez prévenu à travers SAI SSS les Lord. W. A. Mozart comme autrement grâce à chacune des religions rappelant que la Création, vérifiée comme bonne (constituée de ces matières premières pour nous occuper à des choses utiles, puisque vous avez voulu faire disparaître la vision Laurie Granier … d’Atlantide … Lang de [R]Ôz[eau/…/w/y/s] – vous avez donc voulu vous anéantir chacun en vous permettant une seule des méchancetés en question vous vous permîtes et que nul être scensé – censé+sensé = scenscé – ne se serait jamais permise), cette Création ne pouvait pas et ne doit pas être traitée avec méchanceté). Les voilà, ces requins, par exemple, à avoir donné l’idée de la forme qui inspira les ingénieurs pour réaliser des petits soumarins, comme ceux que S. A. I. SSS les lordissimissîmes André Franquin imaginèrent, dans/pour l’album Le Repère de la Murènes, admirables et que tous aimeraient pouvoir, l’été, utiliser sur les plages comme l’une ou l’autre des planches-à-voile, en location, pour la découverte, en individuel ou en couple, des fonds sous-marins, aux abords des côtes – une solution élégante qui peut créer un peu d’emploi et qui exigera qu’on n’oublie pas de reverser des royalties à ce créateur génialissime ou à Ses ayants-droits (ils doivent être payé car ils ont à payer de nombreuses dépenses d’Intérêt Général – ils ont à leur charge financières) les frais, les coûts pour entretenir non seulement un musée où proposer aux spectateurs d’avoir l’honneur d’être enfin face à un ou l’autre des originaux du jour (tirés de la réserve ou des chambres fortes, si possible, à l’épreuve des bombes atomiques ou même à neutron, car ils sont, ces originaux de la main elle-même de l’aArtiste, chacun plus précieux que tout – et je minimise) ou/et le master d’une des planches reproduites (ce qui signifie des travaux d’isolation, de conditionnement de l’air, de protection contre le feu (mais aussi contre les regards étant capables de salir ces originaux ou/et de les endommager on y voyant ce qui ne fut même pas d’un seul électron envisagé au moment où cela fut représenté ou alors peut-être par Charité pour/en vers ce niveau de lecture des centaures, d’avance si méprisable s’il ne recherche pas à voir cela sur d’autres niveaux de lecture, au point de réussir à comprendre celui qui a permis à l’aAuteur de l’inscrire à première vue ainsi [mais] dans un tout autre dessein, pour une toute autre lecture que celle faussée par divers parasitage de bas-étage qui auraient atteint les cerveaux endommagés de ces devenus profanes – néanmoins cette lecture constitue une sorte de sécurité qui s’est d’elle-même ainsi créée et qui est celle qui va plaire à ce public encore assez éloigné de la condition de dieux -[(c’est-à-dire de véritable aAuteur), puisqu’il est important de séduire tous ceux qui, dans ce monde plus ou moins de morts-vivants, aspireraient à rejoindre (en le devenant, grâce à la poursuite de la métamorphose dans le meilleur des deux sens, car il faut s’éviter d’involuer et de régresser, mais au contraire progresser, évoluer) l’un de ces êtres exceptionnels que sont les trop rares dieux véritables comme Mozart ou d’autres : Beethoven, Chopin, Liszt, etc. avec les équivalents dans chacun des aArts majeurs, mais aussi d’autres catégories)]- de chacun des dessins – il s’agit de bien plus que le patrimoine de l’humanité (car il se peut qu’il y en ait de contestables et été abusivement inscrit dans: ce registre/catégorie) : de très véritable[s] chefs-d’œuvre et cela dans chacune des cases et des parties de la case. C'est-à-dire de l’origine même de la richesse collective, puisqu’ils ont contribué autant, grâce au dessin, à créer de l’emploi. En effet, c’est grâce à eux que celui qui est encore à appartenir aux ignorants, au mauvais sens de ce mot comme au bon, peut trouver une activité rémunérée honnêtement en n’ayant que simplement à livrer (donc à apprendre en bonus à se repérer – sous-entendu, peut-être à avoir ainsi une chance de finir par retrouver la partie la plus intelligente de lui-même perdue, en fait comme Jean Valjean qui en la retrouvant a fini par devenir monsieur Madeleine … un temple enfin – puisqu’une métaphore d’un processus advenu à un moment carrefour, grâce à cette notion même de Croix), soit l’activité de celui qui a encore la chance de ne pas appartenir aux ‘assis’, à qui on fait confiance, puisqu’on lui donne des paquets ou des lettres ou de la marchandise comme à Popeye (en fait un aide ou un serviteur de Mercure – d’où la notion de Poste qui permet ici de mettre à profit les études élémentaires que les uns ou les autres ont au moins suivies – déchiffrer une adresse et apprendre à peser est le béa-ba (ou b.a.-ba), comme de rejoindre le lieu en correspondance avec sa description – nom de lieu ou nom propre de famille sont ouverts sur le mystère et sur la géométrie variable des métamorphoses possibles – Jean Valjean, un ancien criminel ou forçat devient Monsieur Madeleine – donc un pseudonyme (le nom d’un temple est en réalité le nom d’un pseudonyme lié à une métamorphose de vaurien en vautou[t]) – il y a une direction, un sens à comprendre à celle éducation ou aux instructions reçues – cela n’était pas par hasard ! Cela s’inclut dans un projet qui concerne en réalité chacun et chacun est appelé à retrouver ce chemin, cette direction qui est en parallèle – ce qui signifie que cela fonctionne en même temps – à la notion d’évolution, mais celle-ci concernant chacun d’entre nous avec les gènes ou l’héritage particulier[s] propre[s] à ce nom de famille de départ – nom propre qui est peut-être encore sale – d’où que le pseudonyme est peut-être celui auquel on aspire ou qu’on découvrira être le bon, celui qui a du sens – ils peuvent être ‘un’ (seul[ement]) par activité différente et cela comme j’eus à le prouver  possible, mais ils peuvent être un seul plus globale comme était en réalité le prénom et le nom de départ – parfois on revient à celui-ci qui trouve son sens une fois qu’on est devenu monsieur Madeleine : c’était bien Jean Valjean).

[22] (Peut-être ta première note de fin de page J dans une de tes premières lettres reçues à ton prénom et nom) : mais il y a des paresseux qui n’aimaient pas à avoir à les porter (les encyclopédies), à les ouvrir et à prendre le temps pour faire les recherches comme à devoir réfléchir avec ces livres merveilleux : ils étaient impatients et c’est pourquoi, pour eux, il y a ce système nouveau qui fait néanmoins gagner du temps à tous - sur le très long terme, car il a fallu le construire et cela a pris du temps) – tu remarqueras qu’entre la première version de cette lettre que tu as reçu il y a longtemps et celle-ci, il y a donc au moins vingt-deux notes de fin de page : tu as grandi.

 

[23] Peut-être ta seconde note de fin de page : (ce qui est indispensable et tu me permettras ici, de te conseiller de le faire aussi sérieusement que possible (quand il n’y a qu’à devoir se retenir de rire continuellement, en raison de tout ce qu’on trouvera drôle, car inadmissible dans ce qu’on lira) y compris écrire et compter, en te retenant de pouffer de rire, si possible, en public quand tu trouveras comme moi tout drôle, surtout ces gens sérieux – car il y a des gens qui ne supportent pas qu’on rit – ils se sentent blessés – et tiennent à ce que tout soit fait ‘sérieusement’, quand tout peut être fait dans la joie véritable des gens encore plus sérieux que les autres parce qu’ils ne le sont pas – je suppose que tu vas faire comme Sartre dans ‘Les mots’ qui a appris à lire et à déchiffrer avant d’entre à l’Ecole, peut-être même à cause de cette lettre, hélas, ‘sérieuse’ dont je te remercie d’avoir pu la rédiger en ton honneur – j’espère qu’elle sera suivie plus loin dans le temps d’une troisième version, donc d’une autre relecture car ainsi, c’est te l’envoyer encore indigne d’être imprimée sur du papier – en effet, je n’ai pas encore pu la relire quatre fois, ce à quoi je me contraint – aussi tu excuseras les maladresses jusqu’à ce moment qui viendra où je la remettrais sur le bureau pour la relire, la corriger et l’augmenter de ce qui sera alors possible – je t’embrasse comme tes parents et ton frère Melchior à qui évidemment elle s’adresse aussi comme à tes cousins et cousines germain[e]s).

 

[24] (il y a la possibilité de télécharger des logiciels qui sont des voix de synthèse qui lisent les phrases - mais c’est en général pour certaines personnes handicapées qui ont, par ce moyen, comme une béquille – tu verras ce sont des personnes qui boitent et elles s’appuient dessus ; on s’appuie sur des logiciels quand on a une difficulté pour faire les choses, sans avoir recours au vieux système du crayon de papier ou du stylo et du papier qui étaient déjà des solutions élégantes pour travailler et palier à des difficultés à surmonter), ta troisième note de fin de page : la routine. Cependant que dans cette deuxième version de ta première lettre de moi, en te souhaitant un joyeux Noël et une magnifique année 2016, je découvre que ces notes de fin-de-pages sont vingt-quatre, comme la tradition des 24 desserts pour la veillée de la nuit de Noël. Le compte y est !

----------

Copyright © 2015

 

Lauriemage (Lorimage)

(Laurent-Marie Granier/Laurie Granier)

De Media Patata

et Pharaons les Hermès les Trismégistes les ...

E. T. , Sait ni heure[s] des Annô et Magicien d'Ôz,

le Bouddha de toutes les compassions

 

Tous droits réservés.
Révision : 22 décembre 2015