accueil lettres à personnalités
Nous vous rappelons que vous êtes sur la suite du brouillon (première version) de ma/la lettre/courrierIne/courriel/courriAne/... en cours à [Monsieur le Président de la République française] François Hollande à partir de la lettre/courriel au président nicolas sarkozy publié en raison du caractère Priorité Cosmique InterRégionale Mondiale Universelle de Sauvetage des Êtres Humains (PCI[R]MUSÊH) dans le passé (où nous sommes en ce moment, ceux qui sont nés avant le 29 janvier 1986 - pas encore ceux qui sont nés après le 29 janvier1986 au jour d'aujourd'hui le 29 janvier 2016 - bien que cela ne saurait tarder pour eux aussi - dès qu'ils naîtront là-bas dans les jours prochains) sur mon site et évoqué sur ma page face book
En
fait mon site Internet est/sera (une
fois que j’aurais du temps et surtout les moyens pour en offrir la gestion à une
personne qui s’intéresse à cette voie) celui
qui résume et qui parle de la personne de laquelle tous les sites Internet de
cette planète sont venus et cela dans toutes les catégories confondues. (Cela
va faire une publicité à mon fournisseur d’accès (free) qu’il est probable qu’il
finira non seulement par ne plus faire payer la connexion aux diverses personnes
que je lui signalerai (la
liste des candidats à devenir ôsiens)
et qu’il me demandera par lettre d’avoir l’amabilité de lui signaler, mais qu’il
paiera de lui-même ce qu’il sait me devoir de sa fortune, comme chacun de ses
collègues fournisseurs d’accès dans le monde entier qui sont en retard sur cela
comme de bien pitoyables autres samouraïs dans les autres catégories de ponts au
nutelcafé qui se sont illustrés au point d’avoir été décorés par mes
représentants – comme mon voisin qui, si je ne m’abuse en portait une).
Je
suis donc une personne qui se rend compte qu’elle est importante à un point tel
que j’ai heureusement du mal à m’en rendre compte d’autant plus que je n’en ai
nullement jamais l’idée: puisque ce que j’ai fait d’ici m’avait, sur le moment,
coulé de source ou paru tout à fait naturel et/ou aller de soi (en
raison de ce que la conscience se devait en pareil cas – c’est donc la
Providence elle-même qui se charge de me rappeler à l’ordre chacun de mes
soldats partout dans le monde ayant été aussi sacrilèges envers leur chef
suprême et ayant cru pouvoir aussi malignement que cela le trahir)
avant même d’y être à le devoir réitérer, quarante ans après et trente ans
après. Mais c’est véritablement pharaonique, puisque j’ai dicté aussi l’ensemble
des centrales nucléaires à construire dans le monde entier pour permettre qu’on
profite de ce temps pour étudier, avancer et développer l’ensemble des énergies
alternatives et permettre ainsi à ceux qui croient à la filière du nucléaire de
trouver les solutions élégantes pour nous débarrasser des déchets nucléaires, ce
qui est un des problèmes à résoudre (dont
j’ai dicté, en attendant les manières de stockage et d’autres surgénérateurs la
possibilité de les retraiter) mais dont
j’avais dicté quelques amorces de solutions élégantes).
Je
cumule donc le rôle d’empereur avec les moments que je consacre en particulier à
chacune des catégories et à d’autres réflexions dans tous les autres domaines de
mes compétences qui sont donc aussi nombreuses qu’il y a de catégories
existantes (et toutes
celles encore inconnues) et cela dans
l’Intérêt Général dans toutes les disciplines, car j’avais l’intention de me
marier à l’âge de mes deux ans et un mois, (trouvant
le temps long) vraiment, c’est à dire en
Vérité (donc sans rien
avoir à cacher) et donc pour pouvoir être
le meilleur conseiller de mes enfants et comme j’ai pu m’assurer que j’étais
bien ici il y a quarante ans et il y a trente ans, quand je n’y étais que dans
le virtuel éthérique, cela signifie que je suis totalement exacte et
infaillible, puisque j’ai la preuve que j’ai compté d’avance aussi chacun des
photons de lumière, y compris chacun des neutrinos qui touche la planète de
partout sur toute sa surface avant même qu’ils soient émis par le soleil ou
viennent de l’espace d’une étoile lambda
(à ne pas confondre avec
la iota ou la danse nommée
« lambada » qui n’est pas seulement dansée par des idiotes et dont j’eus à faire
la renommée d’avance comme du Ti amo
de Umberto Tozzi ou d’autre tube annoncés et leurs aAuteurs – qui me devront une
partie des royalties qu’ils obtinrent
– puisqu’ils ne sont pas dans la possibilité encore de s’en passer et de chanter
en amateur car chacun recherche, comme eux, des CFP –
crédits de financements propres –
pour nourrir les familles desquelles ils dépendent et qu’ils entendent fonder en
particulier).
Aussi je comprends qu’il serait dans l’intérêt de
l’éEtat de s’attacher plus professionnellement[1]
mes services, financièrement parlant[2],
car je suis doté de possibilités d’analyses peu commune et c’est pourquoi je
vous demande en me remboursant de ce que l’éEtat français me doit (et
en veillant à ce que tous les autres me rémunèrent pour mes services depuis 1965)
de m’offrir un poste rémunéré en proportion de mes responsabilités d’Empereur
mondial pour vous conseiller, le cas échéant, de loin, par
Internet, si je trouve des choses
intéressantes qu’il serait bon de développer pour la France, l’Europe (comme
autrefois Léonard au Clos Lucet pouvait conseiller le roi)
et les superficies sous placées comme la petite régions française sous ma
responsabilité, mais je vous prie que vous fassiez en sorte que tout cela soit
définitif et d’avance à jamais (comme
le sont les ambassadeurs de France, très rares à avoir le droit de porter ce
titre de façon définitive même au-delà de leur retraite et recevoir les
émoluments qui vont avec[3]
- mais évidemment à mon degré de responsabilité qui est celui de chef de tous les
ambassadeurs de tous les pays et de tous les anciens souverains comme des
nouveaux – aussi ces émoluments doivent être calculés en proportion de ces
responsabilités pharaonique de façon à ce que je puisse enfin songer à édifier
mes maisons et ainsi à faire profiter de ceux-ci les personnes qui seront
chargées de ces constructions qui concernent un plan privé à
Oz qu’il convient de distinguer du
plan public – mais cela pourrait être des achats de lieux dont je voudrais les
transmettre à mes ayant droit et dans lesquels je pourrais me sentir bien pour
travailler en ayant à jouer le rôle de père si je devais avoir suffisemment la
certitude de disposer d’assez de revenus pour assurer la construction d’avance
de la plupart des tombes de ma descendance jusqu’à plusieurs milliards de
milliards et plus loin encore de là où Nous sommes puisque j’aurais – c’est
normal, l’espoir de les retrouver là-bas en bonne santé – un père ou une mère
véritable ne peut se permettre d’agir autrement ou alors il s’agit d’un
faussaire puisqu’il entend faire peser cette question financière sur des enfants
qui ont déjà des difficultés considérables pour réaliser quotidiennement la
somme des travaux ou des devoirs exigée des enseignants ayant été chargé de leur
transmettre la somme de vérités relatives qui sera accessible assez rapidement
dans chacune des rRégions sur Internet
– c'est-à-dire sur GranierIn ou LaurIn
– Saint-Pierre de Rome étant une de mes maisons/demeures personnelles (lieux de
résidence officiels) et en raison du Sacrifice comme de ce que j’eus à prouver
en apparaissant dans le ciel trente années avant celle de S. A. I. SSS … C. … L.
, ma femme – une maison qui doit m’être remise avec les clés, puisque je fus
reconnu comme Dieu lui-même et que toute cette hiérarchie Vaticane s’est appuyée
sur ces transmissions à travers l’espace et le temps pour fonder la légitimité
de leurs actions religieuses – d’avoir oublié de me proposer ce logement vers
2005 (quand cependant
j’eus pour la première fois directement dans ma tête des nouvelles y compris de
la maison Blanche) rend
un peu coupable le pape et la hiérarchie Vaticane qui a cru possible m’infliger
le déménagement dont je fus victime (puisque
j’eus à quitter – heureusement momentanément puisque vous allez faire le
nécessaire pour que je puisse continuer à vous aider de ce studio qui se trouve
dans un immeuble blanc rue du Val de Grâce que j’eus à faire construire avant ma
naissance en raison de ce qu’il y a … et des sorties sur plusieurs rues – ce qui
me convient (j’aime les alternatives ou avoir le choix et je n’aime pas qu’il
n’y ait qu’un seul itinéraire pour aller à Rome – par voie d’air, de bâteau ou
d’automobile en voilà trois mais il y a aussi la route à cheval et à pied des
pèlerins comme pour « le chemin d’étoile » brossé aussi pour Saint-Jacques de
Compostelle – ce qui permet d’offrir tout du long des sources de revenus CFP à
quantité de personnes qui n’en deviendront jamais malhonnête puisqu’ils
n’auront, par exemple, qu’à devoir s’occuper d’une activité aussi simple que de
gérer une station service) - ce lieu de ce petit studio qui permet de sauver la
Terre rétroactivement et dont a pu bénéficier le Vatican comme chacun des autres
éEtats à cause des transmissions qui se sont de nouveau déroulées, en raison que
j’avais à y devenir phénix pour la troisième fois pour assurer durant ces temps
(de traversée du désert) de la validité de tous les sacrements du mariage de
tous les terriens mais aussi de tous les animaux et de toutes les plantes dans
tous les temps – ce qui n’est pas rien, car cela a permis un peu plus loin qu’à
nôtre époque mais sur le même axe de l’Espace-Temps aussi le mariage des
tyrannosaures rex, entre autres)
– en oubliant une autre fois (comme
lors de mon arrivée à Rome en 1967-68 et en 1975-78)
de rendre à césar ce qui est à césar (dont
à Dieu ce qui est à Dieu – ce qui a fondé la loi d’aAuteur)
et donc en se comportant une autre fois
d’une façon incohérente et cela bien que j’ai pu entendre que « j’avais le
Vatican pour moi » - mais les voilà en m’ayant obéit à travers le temps à nommer
cet autre pape que celui allemand que j’avais fait préparer du futur d’avance
trente années, ce qui est une bonne chose (car
obéissant, sur ce point, à un dieu qu’ils n’ont pas même songé à rassurer sur le
logement ou sur la dépense (et le contraindre à perdre du temps pour la demander
quand les économes ont pour mission de les anticiper pour chacune des catégories
de personnel) – en effet, avec mes femmes, nous avons besoin de lieux pour y
mener nos activités ou y attendre des enfants qui devront aller à l’Ecole –
comment croient-ils possible imposer que j’ai même à devoir me préoccuper de
verser des CFP puisqu’en ce moment comme dans tous les temps passés se sont mes
propres mains qui s’occupent de rémunérer et soigner chacun selon sa peine
partout – visiblement ces cardinaux qui avaient cependant une idée de mes
dimensions spirituelles ou de mon immensité dans le ciel n’ont pas songé, ne
serait-ce qu’à l’aune de leurs propres difficultés, à ce que cela pourrait
signifier pour ma personne comme difficultés, ne serait-ce que pour avoir à me
ravitailler en divers produits (heureusement
qu’à l’occasion de chacun des camps scouts j’ai pris l’habitude de me charger
encore plus que le nécessaire pour me contraindre à m’habituer à porter en
prévision de ce qui m’attendait puisqu’aucun de mes camarades n’a jamais songé à
m’aider à porter tandis qu’ils devaient chacun d’être debout uniquement par ma
présence) – je ne suis pas
un travailleur manuel mais uniquement un hyper-intellectuel hyper-exacte et
hyper scientifique – je ne puis que trouver drôle d’être ainsi à devoir
m’occuper de ces problèmes de dinette ou de magasins où y trouver les œufs ou à
devoir faire les marchés pour des personnes ayant des mentalités d’esclavagiste
et à la longue trouver un peu agaçant qu’on n’ait pas songé non plus pour chacun
des membres de ma famille qui sont dans les mêmes dispositions/facilités (ce
qui signifie handicape et difficultés dans ce cas)
intellectuelles que moi pour se consacrer grâce à Nos sciences au Bien Général à
les pourvoir au moins d’un embryon d’administration à leur service (il
faut donc devoir en faire la demande car personne n’y songe pour aider celui qui
n’a, en raison de conscience, que songé à aider ses prochains avant lui-même –
pire, me voilà à devoir l’écrire, ce qui est vraiment inconcevable et prouve que
nous n’avions qu’à faire qu’à des morts-vivants et d’aucune façon encore à des
êtres humains au sens où naturellement où je crus qu’il l’était à l’aune de
moi-même et de ce que j’y ai découvert d’aussi bon que tous en eurent un aperçu
avant même que cela n’eut à être réitéré en chair et en os)
– j’ai trouvé plutôt infiniment sacrilège d’avoir imposé, en raison de manque de
CFP, à ma sœur dont les enfants furent annoncés du ciel, quarante ans avant
leurs naissance, que celle-ci, malgré ses diplômes et de ce qu’elle était la
femme d’un véritable architecte (vérifié
par mes soins avant sa naissance),
ait, avec les responsabilités de très sainte et très excellente et admirable
reine à faire toutes les courses ou à devoir s’occuper de tout (quand elle est
la première à savoir comme son mari que des milliards de personnes sans emploi
auraient eut ici de quoi gagner des CFP et à se rendre utile dans une activité
qui est prévue pour eux tandis que tous les aAuteurs les plus
incommensurablement géniaux se donnent toutes les peines les plus difficiles
pour réussir à créer des admirables divertissement comme
Star Trek ou d’autres qui exigent des
capacités de metteur en scène (soit
de chef de famille du même genre que celle que ma sœur a dû créer pour m’aider,
alors que j’étais en légitime défense dans le futur de son anneau de mariage à
sauver la situation de cette planète),
ce qui ne lui a pas permis de se consacrer à son métier dans lequel elle excelle
pourtant (ce qui aurait été profitable à long terme pour l’Ensemble d’autant la
quantité de textes admirables italiens pas encore traduits puisqu’elle l’a
appris cette admirable art de Nôtre mère, les impératrices)
en raison de ce que Vous découvrirez nous attend tous à cause des fossés qui
concernent toutes les crises cardiaques des personnes âgées – je ne pouvais pas
prendre le risque qu’un autre pape meurt à cause de la surcharge de travaux
incommensurablement difficiles dont tous les peuples ignorent toujours tout des
détails et de ce que cela a exigé comme préparations pendant des années les
plus horriblement difficiles pour être de ceux capables de rendre assez simple
ou le plus simple des textes très complexes ou qui ne furent inscrits tout au
long des siècles que par les personnes les plus incommensurablement lettrées et
ayant percé pour quelques unes d’entre elles le secret des alphabets locaux pour
permettre grâce à la transmissions des sciences de développer un peu de confort
minimal dans toutes les régions et éviter que les enfants se retrouvent sans un
toit et qu’avec de mauvaises conditions de départ, ces personnes ne deviennent
contraires à l’Intérêt Général de leurs descendants, à cause de cela malhonnêtes
(et donc partant dans
l’existence avec l’univers contre eux).
Soit avec Nôtre famille ce qui
ne fut que générosité d’autant que ces personnes comme les exemples que j’eus
enfant avec Saint-François d’Assise ont dû renoncer à avoir une descendance ou
tous les autres avantages qu’on obtient en étant mariés (ou
même en couple) pour se
consacrer à être les meilleurs conseillers dans leurs régions et à relever
l’Eglise comme Giotto l’a peint en la fondant aussi sur une façon communiste, au
bon sens de ce mot, de procéder – en tout cas socialiste – ici aussi au bon sens
de ce mot et non au mauvais qui fit perdre tant de progrès à l’Ensemble avec les
expériences soviétiques ou maoïstes ou de ces autres zapata qui ne sont que des
ignorants, au mauvais sens de ce mot comme au bon et des personnes qui en
utilisant les armes à feu pour obtenir, gâchent toujours tout puisqu’ils sont
alors de ceux qui n’ont pas la patience d’attendre que ce qu’ils veulent ou
désir puisse réellement se produire en faisant alors d’eux non pas un danger ou
un rapace mais un futur bienheureux homme).
Veillez donc d’avance pour l’ensemble de vos successeurs, en faisant le
nécessaire pour cela, y compris par écrit, en m’en envoyant des preuves signées
(et aux divers sceaux)
car avant de me lancer dans mes mariages (en
raison de ce que la mort a effectivement été une triste réalité sur cette
planète), je veux être absolument certain de
la canonicité de mes mariages et de mes éventuels virtuels descendants comme de
pouvoir disposer d’avance des moyens financiers pour élever et loger mes enfants
comme leurs descendants dignement et exactement comme je l’entends et cela dans
l’Intérêt Général, non pas pour en faire des enfants-gâtés (ce
qu’hélas chacun d’entre nous est dès la naissance, en ce siècle où on bénéficie
de l’aide médicale pour cela – ce qui est une preuve que l’Architecte de
l’Univers considère l’être humain une œuvre d’aArt ou du moins ayant la
possibilité de le devenir), mais des êtres
capables d’être utiles quand viendra leur heure où ils devront entrer en scène
en raison de leurs descendances. Gouverner
leurs prochains puisque c’est à eux (qu’heureusement
je n’ai jamais oublié comme une possibilité que la Nature m’offrait)
que je dois mon génie car c’est pour eux seuls que je l’ai retrouvé, à plusieurs
reprises, en sachant que tant qu’on n’a pas retrouvé sa promise légitime (dans
la quantité de dames ayant cette opportunité de croire l’être)
on se comportera comme un profane ou (souvent)
un moins que rien, car c’est de la promise légitime qu’on peut avoir sa
descendance ou alors d’une profane qui deviendra au fur et à mesure comme une
promise légitime, en réussissant à faire de vous un être humain parachevé et un
légitime époux enfin débarrassé de l’ineptie, l’esprit ouvert pour affronter les
problèmes qui se poseront de travailleur au service des compétences dont on
dispose.
Je
vous ai déjà dit qu’il serait intéressant d’essayer de m’envoyer en mission
comme ambassadeur extraordinaire pour convaincre les membres responsables des
pays de l’OPEP de baisser les prix du pétrole pour qu’ils puissent disposer à
court terme ou moyen terme d’un beaucoup plus grand pouvoir d’achat (en CFP et
non pas comme ils se sont rendus coupables en cff, cfu, cfs, cfm ou cfcch, ce qui leur
permettrait d’acheter des centrales solaires, par exemple jusqu’à deux ou
beaucoup plus (à plus
long terme, une fois le prix du baril de pétrole baissé et donc tous les autres
produits aussi) nombreuses pour le prix
d’une.
A
la réflexion faite (je
pense que comme on m’espionne et donc que ce texte est connu d’eux aussitôt,
comme de ce qu’il sera accessible publiquement sur mon site
Internet (comme
mes autres courrieIns que j’ai pris l’habitude de publier dès les années 2000
dès que j’ai le sentiments qu’ils peuvent tenir sur le long-terme),
je n’aurais pas besoin d’effectuer ce voyage qui m’aurait cependant permis
d’admirer l’architecture musulmane à laquelle je suis sensible),
je vous demande de me dédommager de ne pas l’avoir pu (ou
alors de faire en sorte que je le puisse)
car il est normal que je sois rétribué pour les peines que je me donne (mais
bien sûr je suis prêt à leur expliquer
avec une web cam comme je l’ai fait pour le sauvetage des personnes âgées
d’avance dont vous serez comme moi-même dans plusieurs années de ce problème
cardiaque qui va affecter tout le monde puisqu’il a affecté et affecte déjà
l’Ensemble). Ils ne pourraient pas
comprendre sinon (puisqu’ils
sont affectés de la maladie dont j’ai vérifié qu’elle existe puisqu’elle est
celle des personnes inconscientes et irresponsables financièrement parlant ou
qu’il convient de mettre sous tutelle pour éviter de dilapider les matières
premières qui assurent une partie du produit intérieur brut),
ils se méfieraient, étant donné leur degré d’ignorance, mais au mauvais sens de
ce mot (bien qu’à
première vue, ils soient comme nous pourvus de celle qui est au bon sens de ce
mot) dans laquelle ils sont chacun embourbés
en enfants-gâtés) à trouver les moyens de les convaincre avec les ambassadeurs
sur place (et des
personnes pour traduire peut-être les raisonnements qui concernent la question
du pétrole que j’ai résolue dans ce courrier comme dans d’autres de mes textes)
qui seraient chargés de me recevoir et de préparer ces rendez-vous avec ces
dignitaires pour essayer de leur faire comprendre, avec pédagogie, comment
fonctionne l’économie mondiale (y
compris locale[4])
et pourquoi ils auraient vraiment intérêt de baisser ce prix du pétrole pour
l’ensemble du monde arabe et des pays d’Afrique et sud-américain, car plus ils
baisseront le prix plus ils pourront acheter, au point que s’ils baissent de
quatre fois moins, ils auront la possibilité d’acheter au moins deux fois plus,
et peut-être un peu plus encore, puisque cela permettrait aux richesses de se
créer partout (aux
entreprises de produire donc de disposer de stocks)
et à la prospérité mondiale d’apparaître, ce dont ils bénéficieraient les
premiers car cela permettrait, au passage, aux nouveautés de trouver un marché (ce
qui n’est pas le cas en temps de crise).
J’aimerai aussi pouvoir publier et développer sur ce site
Internet de
lauriemage (autrefois
Lorimage) des textes qui sont à l’état
d’ébauche et dont certains d’entre eux ont été dictés à 1975-1980, ce qui
signifie que je les ai retrouvé entre 2005 et 2010 un peu comme si 1975-1980
avait été la photocopie de ces textes provenant de 2005-2010 et vis versa (ici
en raison de ce qui s’est passé de 1965 à fin 1971 on ne peut pas savoir au
juste exactement si c’est vis versa ou pas, puisque nous avons eu à vérifier que
mes transmissions à travers l’espace-temps se sont déroulées en alpha-oméga et
avant même ma naissance en raison de mon aAnneau de mariage qui est cosmique
universel et … ) : il
demeure pour l’instant encore des inconnus dans mon esprit car j’ai encore des
milliards et plus encore de données à analyser de ce qui s’est passé dans ma
tête à partir de 1965, 1975 et 2005 avant de pouvoir être certain - ce qui
confirme néanmoins qu’effectivement entre l’original et la photocopie, il y a un
temps qui s’est révélé exister aussi pour réaliser cette dictée entre des
époques si lointaines et différentes – mais cette idée de ce temps est en tout
cas totalement en relation avec la pyramide du Louvre et celle à l’enverre que
j’eus à faire édifier à un point qui est en relation avec le décalage qui
existe entre le verre sur lequel on pose l’original à photocopier et qui après
les divers procédés mécaniques donne la photocopie – en effet, pour que ces
interventions aient pu avoir lieu d’avance, j’eus entre autre à devoir
comptabiliser d’avance chacune des photocopies effectuées sur l’ensemble de la
planète durant les époques où je serais en synchrone avec ces miennes
virtualités ou réalités – et cela est un peu relié avec la notion de miroir
puisqu’il a fallu trente années exactement pour que (comme) la photocopie d’un
moment qui avait eu lieu advienne de nouveau – soit le temps qu’il existe en
réalité à d’autres proportions gardées entre le temps qu’il faut à une
imprimante pour imprimer ce qui n’est que de la réalité-virtuelle sur l’écran,
c'est-à-dire comme si c’était au ciel ou dans le ciel avant de l’obtenir grâce à
cette imprimante ou cette machine à photocopier en chair et en os sous forme de
papiers imprimés ou en livres – il y a donc un processus qui permet diverses
facettes, un peu pyramidales bien que mécaniques ou électroniques qui vont donc
permettre à ce qui n’était que virtuel de devenir réel – en cela c’est
ontologiquement et consubstantiellement surnaturel ou lié aux sciences
organisées ayant permis l’avènement de ces instruments pour nous venir en aide
– sans l’existence donc du Saint-Esprit ou du moins d’un esprit sain dans un
corps sain, il aurait été impossible de trouver les solutions élégantes pour
assurer autant d’impressions quotidiennes à l’échelle planétaire y compris
celles individuelles ou même seulement de photocopies de quartier – cela
signifie qu’il n’y a que des sciences qui sont dirigées cosmiquement et
universellement dans le bon sens qui est de réaliser
Oz et de parvenir à débloquer la
situation pour réaliser le terrain de l’univers de la résurrection des morts où
ceux-ci devraient [re]trouver des conditions d’existence plus satisfaisantes
qu’elles n’ont été dans ces époques bien moins confortables que ce qu’elles sont
cependant (dans quelques
cas de noms de personnes)
advenues grâce à leurs efforts – nous sommes donc tous collectivement redevables
à une sorte de « plus-value » ou valeur ajoutée qui serait cette somme d’efforts
dont nous fûmes cependant tous les parasites ou les profiteurs – d’où le devoir
envers les squelettes de chacun dans les cimetières dont la mémoire n’était pas
chez chacun d’entre eux seulement reliée à des mauvaises choses mais à quantité
de choses qui représentaient des trésors puisqu’il suffit de se souvenir d’un
lieu où on a été pour le reconstituer virtuellement autour de nous – d’où que
les personnes déportées portaient chacune comme des tortues de véritable disques
durs de souvenirs et de journées de classe à l’école avec chacun des murs de
chacune des classes et chacun des instants autour d’eux comme l’admirable Marcel
Pagnol a pu nous en donner un aperçu dans sa trilogie concernant soin enfance
d’aArtiste multidisciplinaire).
Des améliorations aussi que j’ai transmises aux années 1975-80 pourraient être
développées (et créer de
la richesse grâce au développement de celle-ci sur le plan de la production
soumise aux lois de la Quantité et de la Rareté comme le furent les téléphone
mobiles ou les fax ou les ordinateurs dont on me doit des royalties depuis le
premier walkman et les diverses améliorations que je fis élaborer en hi-fi)
par des personnes qui, pour l’instant, ne sont pas encore dans l’univers de
l’invention ou de la création permanente comme je le suis, au service de
l’Ensemble, et comme l’ont été tous les grands peintres et les grands artistes à
travers le temps, en ayant pu rejoindre l’univers qui l’offre en question mais
qui est, je l’ai vérifié, véritablement difficile d’accès (comme
verrouillé dans la tête de chacun des imposteurs et des tricheurs ou de ceux qui
se sont habitués à faire semblant) . Mais il
est important d’avoir des garanties pour que ce ne soit pas de la racaille qui
essaie de les réaliser, mais des gens méritant ou qui veulent pouvoir mériter,
en se donnant ce mal.
Je
ne pourrais pas me marier plus officiellement que je le suis en définitive
depuis 1965 (avec la même
promise) sans être certain que si ma (ou
mes) femme(s) devai(en)t mourir entre temps,
je ne sois pas capables d’avoir les moyens de laisser ce qu’il faut pour élever
les enfants que j’aurais eu d’elle(s) ou dont j’aurais pris sous ma
responsabilité l’éducation pour les amener à l’âge des adultes et des êtres
responsables, lucides et débarrassés de l’enfant-gâté (donc
pouvant subvenir à leurs besoins financiers comme à ceux de leurs descendants en
honnêtes gens), étant donné que j’ai pu
vérifier avec l’Ensemble, la nécessité d’être pourvu d’un véritable anneau de
mariage vis-à-vis des enfants (ils
sont rassurés car sur le plan sexuel, cela signifie que leur futur épousé ou
épousées ne risquent rien puisqu’en général le mari a été fatigué par l’épouse
et ne représente pas le danger que malheureusement les faux maris (étant
pourvus d’un anneau en usurpateurs et non en fidèles)
satyres ou centaures représentent), puisque
celui-ci d’aAnneau est, par ailleurs, dans d’autres cas, relié aussi au
sacrement du mariage qui a été conçu à cet effet pour protéger « les fruits de
l’amour » bien qu’il soit normal, à notre époque, quand une femme est
indépendante financièrement de vivre en couple, sans être forcément mariée ou
alors de vivre séparé d’avec la personne qui forme le couple bien qu’étant
mariés (bref de faire ici comme on le sent, suivant les cas) comme en réalité
quand nous venons au monde après nos naissance respectives que nous sommes donc
chacun virtuellement mariés à celui ou celle avec lequel ou laquelle on aura des
enfants – d’où que cette séparation est en forme d’yx puisqu’il faut aboutir à
un carrefour ou un croisement à l’issu parfois de nombreuses années pour mettre
au monde sa descendance – ce croisement est celui qu’on retrouve avec cette
notion de Croix et de crucifixion qui a induit la perte des enfants de celui qui
fut à se sacrifier pour Nous de façon à ce que nous ayons une chance grâce à son
histoire de retrouver un peu de bon sens et à nous permettre de Nous interroger
sur le rôle que nous aurons à jouer en tant que futurs parents d’enfants qui
sont destinés à connaître ces confrontations qui en leur centre (de
ces deux directions sont le croisement),
comme à l’autel ou publiquement permettent de germer en un arbre de vie : c’est
comme un « t » bien qu’issu souvent d’un « x » qui mène deux lignes droites,
comme à Nazca à soudain engendrer bien plus qu’un palais puisque ces personnes
sont capables de représenter même à une échelle invisible depuis le sol, donc
pour des personnes qui voleraient dans les cieux de merveilleuses
représentations qui sont des preuves que chacun avait découvert en lui-même les
sciences de l’architecte (ou
celle des reports sur plans). C’est bien
très souvent en ce centre des travées perpendiculaires[5]
qu’à été édifié l’autel
Dans mon cas c’est moi (qui
l’est assuré pendant trente années, voire quarante si on compte depuis 1965 où
je fus témoin moi-même de ces transmissions à travers le temps et plus de temps
si on m’a entendu avant) qui n’est pas
encore[6]
les moyens d’assurer mon indépendance financière, vis-à-vis de l’une comme les
autres de mes impératrices légitimes et par conséquent je dois m’employer à me
donner ces moyens financiers, bien que normalement depuis 2008-2009, en raison
de ce que j’ai transmis à ce sujet à travers le temps, je devrais être à la tête
d’une fondation qui porte le nom de « trois petits points » : … puisque C. L. en
était la responsable désignée d’avance du ciel, et dont je ne sais à cette
heure-ci en octobre 2014 où je
relis cette lettre pas encore si celle-ci a été constituée selon ma volonté, en
ayant reçu cependant les pourcentages que j’avais exigé à partir de 1978 (2008)
de l’ensemble des revenus de l’ensemble des terriens que j’ai sauvé de
J’ai été clair à ce sujet, si l’ensemble des terriens voulaient comme ce fut le
cas continuer à vivre avec le système de l’argent (les CFP), quand le moindre de
mes points inscrits de ma main en multi dimensions et de mes dessins valent bien
plus que l’ensemble des matières premières qui existent dans tous les univers et
sur toutes les planètes de chaque système solaire, étant donné ce que j’ai
prouvé depuis 1965, en apparaissant en virtuel d’avance comme en faisant la
Dictée Pharaonique de la NNDIM de moi-même en synchro avec moi-même dans un
autre espace-temps et en démontrant que j’étais en 2005 en même temps qu’en 1965
et 1975 et cela tous les jours jusqu’à la fin 1971 et jusqu’à 2012 et donc, par
conséquent, que l’argent (les CFP) en valeur absolue (à
l’aune de mon aArt qui s’est traduit dans maintes œuvres)
n’a pas forcément de valeur du tout pour payer des actes d’amour ou des
sacrifices, bien que j’ai compris, en raison de la situation générale qui était
bloquée sa nécessité d’être dans les échanges interhumains, en raison seul de
l’existence des tricheurs et des menteurs (ces
enfants gâtés qui n’auront aucune idée de ce que signifie le Commerce sur des
bases aussi honnêtes que celles qui ont mis des millénaires à advenir grâce à
l’idée ingénieuse des comptoirs et de la Banque et des CFP plutôt que les faux)
comme de ceux qui ne veulent faire aucun effort pour participer
(mais disposer de cfs,
cff, cfu, cfm, ou cfcch même s’il s’agit de CFP qu’ils transforment aussitôt en faux
rien qu’en les touchant ou en en disposant puisqu’ils sont chacun dans l’idée de
croire que l’Etat les arnaque, ce qui fut effectivement vérifié par mes soins
sur quelques points en raison de l’incompétence de la plupart ou seulement de
quelques uns de ses soi-disant serviteurs tandis qu’en valeur absolu ce mot
n’est que positif comme tous ceux qui sont négatifs et qui n’ont donc acquis cet
aspect négatif qu’en raison de circonstances bien spéciales ou particulières (souvent
d’origine historiques ou géographiques ou sociales – ces causes souvent subjectives et
non objectives aux modifications du sens des mots)
qu’il faut veiller à ne pas considérer comme des vérités absolues, mais
seulement relatives pour éviter de généraliser et affubler à ce[s] mot[s] ces
fausses valeurs puisqu’il en a comme bien d’autres toutes les occurrences où il
ne fut qu’éminemment positif ou bon pour l’Ensemble, comme très certainement le
furent chacun des représentants des catégories des personnes qui furent néanmoins
l’objet d’iniques persécutions ou soupçons, y compris sur la question financière
qui devait les préoccuper, puisqu’ils appartenaient heureusement (ce qui est un
privilège rare) à tous les gens les plus instruits (les
plus fins ou les plus cultivés ou les plus essentiels pour que la gestion de
l’Ensemble ait une chance d’être des meilleures)
qui n’ignorent aucune des interactions existantes et donc l’absolue nécessité
d’être excellent en mathématique ou en géométrie ou en d’autres sciences avant
de songer à obtenir une quelconque rémunération légitime et surtout de la
nécessité absolue de passer par de vraies écritures pour réussir à obtenir
légitimement ou preuves à l’appui et non pas en raison de s’être prostitué)
car ils se comportent en profiteurs (tous
nous le sommes, mais il y a des degrés (une
échelle de pourcentage à l’aune de services ou de compétence ou d’utilité)
qui permettent à la majorité qui compte ou même seulement à une personne juste
de comprendre que des personnes exagèrent dans le mauvais sens, en devenant
profiteurs, mais au mauvais sens de ce mot au lieu du meilleur qui leur aurait
préférablement convenu c'est-à-dire en conscience et comme les capitalistes
véritables en faisant profiter des profits qui sont donc comme une fontaine qui
permet à d’autres d’en tirer parti ce qui sera le meilleur pour l’Ensemble –
c’est pourquoi tirer à boulets rouges contre le capitaliste (au
bon sens de ce mot qui n’est pas celui qu’on a voulu ridiculiser y compris en le
rendant synonyme de paternaliste ce qui fut mépriser bien à tort, puisqu’il
s’agissait de personnes n’ayant que le soucis d’anticiper sur les besoins de
leurs ouvriers) c’est
rechercher à tarir la source même de la fontaine à laquelle pourtant tous
s’abreuvent y compris les animaux). Ils sont
pleins de préjugés et de vérités relatives mais de celles fausses ou
relativement vraies (qui
ne le sont que dans un cas particulier ou deux et non d’une façon plus générale,
ce qui est le cas, par exemple, de nombreuses théories mathématiques ou lois de
physique ou de chimie) comme très peu
capables de penser s’il n’y a pas, grâce à cela, des rétributions à obtenir
comme avoir, à la longue, à cause de leurs engagements rétribués de vrais
responsabilités, mais en constatant que je ne suis pas le seul dont les œuvres,
dessins ou même simples écritures ne pourront, parce qu’elles sont vraies en
absolu, dans le contexte de la situation générale qui était bloquée, être payés
en retour[7].
C’est comme pour les originaux de Franquin ou des dessins [de l’équipe] de Walt
Disney, ces originaux sont infiniment sous estimés comme le sont les dessins et
les écritures de Léonard de Vinci ou bien des tableaux de Turner, ou ceux de … y
compris les statues de … ou les compositions manuscrites des grands
compositeurs.
Cela signifie aussi (par ailleurs) que l’ensemble des terriens sont riches de
chacune des œuvres conservées[8]
dans les musées ou ailleurs et donc même les plus pauvres d’entre eux sont très
riches, bien plus que des milliardaires, mais une grande partie sont pauvres en
esprit : ils sont face à ces merveilles sans les discerner, sans les comprendre,
sans même les voir : comme des abrutis (j’ai
vérifié sur moi-même, c’est ainsi que la condition de profane va rendre : vous
involuez au lieu de poursuivre la chance d’évoluer dans le bon sens qui était le
processus dans lequel advînt vôtre réincarnation, fruit de l’évolution vers
l’être humain habile ou/et savant : adroit mais surtout parachevé
intellectuellement, donc étant dans la connaissance des droits, catégorie par
catégories et situation par situation, cas particulier par cas particulier, au
point que pour chaque superficie habitée en fonction de divers paramètres, il
sera meublé différemment).
Aussi le système de l’argent (les
CFP), à notre époque, est [peut-être] à
revoir puisqu’il y a des personnes, sur cette planète, qui sont de véritables
sources de richesses au point qu’à chacun des instants qu’ils vivent ils
enrichissent l’Ensemble par des œuvres (souvent
accessibles en différé) qu’on ne pourra
jamais payer en fait au prix juste, ce qui signifie que tous les prix concernant
ces œuvres (véritables)
sont bien que réels (car
il s’agit de ce dont l’artiste a besoin pour se rembourser de ses divers frais
pour la réaliser, donc pour survivre lui et sa famille)
mais aussi sur un autre plan symboliques, informatifs et/mais toujours amplement
sous-estimés pour la moindre des œuvres accomplie de celle en vérité (en
réalité inestimable puisque ses virtualités ou ce qu’elle induit en elle-même
est si précieux ou si généreux). Cela
signifie que pour ces valeurs financières, pour les estimer, on a dû passer sur
le plan commercial lié évidemment aux diverses lois habituelles qui régissent
toutes les activités mercurielles. Ce plan exclu quantité de paramètres car
sinon l’œuvre ne pourrait pas trouver d’acquéreur. Il s’agit donc comme d’une
règle du jeu qui est fondée sur des paramètres importants privilégiés au
détriment de paramètres pourtant importants jugés mineurs ou à ne pas prendre en
compte en raison qu’ils sont tous comme des dénominateurs communs ou en commun,
donc le propre de l’œuvre d’aArt qui ne pourrait plus devenir une valeur refuge
ou commercialisable. En réalité en raison de leur seule existence mais aussi des
quantités de produits semblables cela constitue la richesse d’une région comme
la quantité de biens immobiliers ou d’infrastructures qui, on le sait ne sont
que des ouvrages d’artisans ou répétés mimétiquement à partir d’une recette qui
a été émise par un aAuteur en particulier ayant eu l’idée. Il y a donc à
distinguer dans les richesses d’une région ce qui provient d’idées originales,
d’Auteurs, et ce qui est semblable avec partout ailleurs, soit ce qui sera/est
réalisé par le travailleur manuel non aAuteur de l’idée dont il n’est que les
mains. Il y a donc la tête et les jambes
ou plutôt les mains, ce qui était le titre d’une émission à la télévision dans
laquelle apparaissaient de véritables aArtistes comme Brassens, très rares et
pour compenser quantité de travailleurs manuels, c'est-à-dire des sportifs qui
ne devront leur salut qu’en ce que leur force physique sera employée canalisée
dans le bon sens par ceux qui sont les aAuteurs ou la tête. C’est pourquoi il y
a des différences dans les mots utilisés pour qualifier les revenus financiers
des personnes qui sont la tête de ceux qui sont les jambes ou les mains qui
perçoivent des salaires calculés justement en fonction de mains paramètres qui
sont pris en compte par ceux qui appliquent les lois ou les critères,
c'est-à-dire ces paramètres qui permettent aussi de discerner et de déterminer
que quand deux œuvres se ressemblent autant
elles posent un problème de quantité et en devenant moins rares vont donc être
moins estimées en valeur vénale. Il y a donc le caractère original ou unique ou
jamais vu ailleurs d’un prototype / master / original et c’est ce qui va faire
augmenter le prix de vente qui est soumis, par ailleurs aux nombre de copie,
c'est-à-dire à la quantité au point que selon les objets ou les œuvres, dès
qu’il y en a plus que six ou vingt ou cinquante ou cent ou mille, les prix
changent y compris en fonction de la quantité du tirage de la première édition.
Il y a aussi la notion de seconde main ou plus que cela comme les paramètres
liés à l’emploi de l’œuvre et à quelle personnalité elle a appartenu avec la
durée (aussi si l’œuvre d’art a appartenu à un faussaire ou un criminel contre
l’humanité ou une personne qui l’a acquise avec des cff, cfu, cfm, cfs, ou cfcch cela
va concerner ce qu’on appelle « la petite histoire » ou ce qui fait sourire
comme de bien entendu ou sera l’aspect drôle, divertissant car ces experts ont
de l’humour et savent qu’il aura fallu quantité de CFP supplémentaires pour
qu’elle revienne (à cause
des rackets) dans le circuit du marché de
l’aArt le plus propre (donc
qu’elle aura occasionné un détail historique, comme chacune de celles qui furent
dérobées dans le Musée de Bagdad par des personnes locales qui n’étaient que des
faux irakiens, indignes de celles-ci et des peines et des CFP dépensés tout au
long des années passées pour les conserver, les protéger, et les mettre en
valeur, pour faire plaisir aux visiteurs touristes (qui
représentent des dépenses effectuées en CFP pour les différents commerçants
véritables du coin) ayant
l’occasion d’une sortie des plus intéressantes dans cette capitale qui abritent
quantité de représentants de langues différentes s’occupant d’entretenir de
bonnes relations commerciales entre cette région et la leur. Il est normal qu’il
y ait des lieux de concorde possible grâce aux divers établissements
spécialistes d’objets d’aArt – on y est tout de suite comme chez soi puisqu’il y
a souvent un objet ambassadeur de l’ethnie à laquelle on appartient et on aura
plaisir à y manger entre étrangers, bien que du même pays ou de régions
voisines, mais comme chez soi à la cafétéria ou au restaurant qui ne survie que
grâce à ces œuvres d’aArt). Tout cela va
jouer un rôle qui en général fini par la réalisation d’un film ou d’aventures (par
exemple Tintin et le fétiche de l’oreille cassée)
et bien sûr augmente la valeur commerciale des objets qui à première vue, pour
l’ignorant au bon comme au mauvais sens de ce mot, n’en a pas spécialement au
point qu’il puisse croire que les étiquettes des estimations sont fausses et
même d’en rire. Or, il y a donc ces sommes d’à côtés ou ces historiques qui
archivés ont donné lieu à quantité de dépenses établies en CFP au point que le
prix de vente de ces œuvres est souvent sous-estimés : elles ont coûté beaucoup
plus que cela pour être effectuées.
Mais alors comment faire fonctionner le monde entier puisque ce sont l’ensemble
des œuvres d’art dans un pays qui garantissent avec ce qui est en grande
quantité et donc moins rare la valeur d’une monnaie, comme celle de tous les
autres pays ?
Et
si nous cherchons à être ou à continuer à être honnête, c’est l’être humain qui
a la possibilité de devenir parfois une œuvre d’art (cela
donne des acteurs comme Orson Welles quand il n’est pas employé comme
réalisateur) qui ont le droit d’exiger des
revenus ou des émoluments ou des cachets très importants (c’est
donc bien à l’aûne du parcours d’une personne, de ses réalisations qu’on doit le
rétribuer – or, ici, il n’y a souvent que l’acteur lui-même qui sache combien on
lui doit déjà d’œuvres dans lesquelles il a été œuvre d’art cherchant à se
parfaire dans des rôles précis), ce qui veut
dire que ce sont les corps des êtres humains qui composent une nation et qui ont
été à l’origine de la production de ces rares richesses qui sont effectivement
des trésors, même s’ils font partis pour l’instant des squelettes et des morts
conservés aussi en raison de cela, dans les cimetières que l’éEtat a pour
mission de défendre de toutes les profanations car sinon il devient « Eétat » (ce
qui est ontologiquement voué à changer, en raison des divers états par lesquels
chacun d’entre nous passons quotidiennement en raison des lois gouvernant
l’impermanence d’humeur, alors que la majuscule signifie que c’est du solide,
bâtit pour durer : l’Etat).
Mais j’ai bien conscience que pour progresser et intéresser des personnes à
devenir des œuvres d’art elles-mêmes, l’objectif d’avoir et de se donner des
moyens financiers est acceptable y compris sur le plan de l’éthique, puisque
sinon personne ne ferait les efforts pour devenir une/cette source de richesses
dans un monde dans lequel chacun d’entre nous a des besoins et pas seulement les
pauvres.
D’autre part la situation générale qui était bloquée a créé les maladies, la
vieillesse, et la mort. Comment faire sans donner de la valeur à des œuvres
parce qu’elles demeurent éternellement vivantes ? Bien sûr, il y a l’offre et la
demande à ce sujet – mais il s’agit en fait de placements (comme
ceux boursiers) et rarement de gens
intelligents qui achètent – j’ai vérifié.
Le
problème ne pourrait être résolu que seulement quand ceux qui gèrent la
situation financièrement parlant pourront être certains que chacun d’entre les
terriens pourront continuer à être certains qu’il y aura toujours la possibilité
de création, de véritables créateurs et en raison de cela des sources de
richesses nouvelles, même/surtout en prenant ce mot de « richesse » comme
n’ayant pas à voir seulement avec des valeurs vénales, par conséquent des gens
qui sont de ceux qui agissent en conscience et non en irresponsables ou en ceux
qui n’ont qu’une conscience limitée ou ne tenant pas en tête présent les points
de vues des éventuelles victimes des situations (par
exemple les enfants quand la mère se permet d’avoir des relations autres qu’avec
le père. Elle risque de ne plus être prise au sérieux comme mère, de même qu’un
père ayant plusieurs femmes et donc plusieurs familles – les enfants n’auront
que la sécurité de leur mère, leur père étant l’éternel absent ou l’étranger en
route d’un lieu à un autre – aussi celui-ci est craint comme un étranger
appartenant à d’autres lieux ou comme un fidèle qui s’est soumis à des
conventions – il n’y a que rarement un aArtiste dans un père pareil, mais
seulement un don Juan, un infidèle, que l’ensemble des dames ont réussi à
maîtriser en lui donnant du champ libre pour mieux le tenir prisonnier –
l’aArtiste est forcément synonyme de fidèle – aussi il n’y a que le véritable
aArtiste qui peut avoir plusieurs femmes car il n’aura pas fait semblant de
tenir compte de ses devoirs financiers sachant la différence entre le faussaire
et celui qui ne l’est pas. Le faussaire est celui qui sera à plusieurs femmes
qui doivent le payer, tandis qu’elles savent reconnaître l’homme de bien ou
l’homme véritable qui n’a pas besoin d’elles financièrement pour s’en sortir.
Aussi le rapport devient égal quand chacun dans le couple dispose de revenus
propres – non sales, nun usurpés, non malhonnêtes, non faux et contribue au
prorata de ses capacités financières aux dépenses du ménage. Mais évidemment
cette indépendance ou autonomie financière est plus ou moins longue à venir
selon les personnes, puisque par exemple, il faudra attendre pour qu’un aArtiste
gagne les premiers CFP parfois cinquante ou soixante dix ans (ce
qui explique qu’il soit normal que les ayant droit aient au moins pendant
soixante quinze années les droits d’autant qu’il est probable que l’aArtiste n’a
œuvré que pour eux, comme un père ou une mère)
au cours desquels il n’aura fait qu’investir (donc
dépenser des CFP de famille)
en temps et travaux les plus incommensurablement difficiles à réaliser (les
investissements de l’aArtiste ne sont que sur du très long terme (par exemple
dans l’espoir qu’ils rapporteront ou seront un signe plusieurs milliers d’années
après comme celui de Lascaux ou de Nazca et qu’alors la Vie ait une chance
d’être sauvée y compris le projet de l’aArtiste) – aussi voilà l’aArtiste est
l’handicapé qui a souvent été contraint à des compromis, financièrement parlant.
En effet, il ne travaille qu’en perdant puisqu’en face il n’a que depuis
toujours l’ineptie et son cortège de certitudes vulgaires, grossières, abjectes
ou la fausseté.
Tant que le variateur demeure entre les mains de personnes devenues
inconscientes de la valeur virtuelle (possible)
de chacun des êtres humains s’étant spécialisé au point d’être de véritables
maîtres, tant que ce variateur (comme la vieille salle des machines) sont entre
les mains de personnes qui ne veulent ni ne peuvent plus comprendre pourquoi les
œuvres d’art, qui ont été faites, traduisent la possibilité de l’immensité que
sont certaines des âmes des aArtistes les ayant élaborés, grâce à leur capacité
d’analyse, en ayant réussi à passer « de l’autre côté du miroir », nous sommes
forcés d’être dans ce monde des CFP (qui se différencient des cff, cfs, cfu, cfm
ou cfcch), à moins qu’ici on trouve une meilleure idée (ce
qui ne se peut pas en raison de ce que les aArtistes ont, c’est normal, un
projet de constitution de famille, donc des ayant-droits à qui ils savent qu’ils
doivent de réserver une indépendance financière ou une autonomie financière pour
leur donner une chance de préserver ou conserver et transmettre leur œuvre qui
est dès le premier dessin plus importante encore que la notion de patrie
puisqu’elle rejoint une catégorie qui est ontologiquement internationale, voire
universelle – aussi il est d’avance certain que tous les véritables artistes
seront dans le rire dès qu’il y aura un chef d’éEtat à se prendre pour la patrie
– celle-ci n’existe qu’en raison de ce qu’il y a d’universel ou de véritable
localement par conséquent est forcément celle d’Ôz ou du très véritable Etat qui
ne peut d’aucune façon être celui d’une nation plus qu’une autre, ni même d’un
être humain adulte parachevé plus qu’un autre. En effet il est impossible de
considérer qui est plus important entre Charlie Chaplin et Eisenstein et Bergman
– on aura des affinités ou des préférences, ce qui est normal, mais il s’agit de
ceux qui ont fondé la/les patries dont ils sont les très saints pères y compris
Picasso en ayant autant de femme qu’il aura pu avoir et ici en étant le scandale
des « bien-pensants » - mais Charlie Chaplin ou Picasso n’ont agi que
canoniquement comme très certainement Polanski – évidemment ils sont ensuite
confrontés au cas de figure dont ils sont les victimes consentantes avec ce que
cela induira comme mots ou phrases contre des principes ou des règlements qu’ils
transgressent en s’étant donnés les moyens financiers de cela – le divorce se
déroule parce que la dame ou les dames sont chacune avec des préjugés à ce sujet
et veulent imposer les conventions sociales d’autant plus si elles ont attendu
un enfant – il y a donc réalisation d’un autre aAnneau non à l’insu mais d’une
façon sue – l’époque n’était certainement pas mûre pour que l’aAnneau précédent
survive en même temps à cause des habitudes et des préjugés à ce sujet y compris
sur la notion de « tromper » - ici à partir de quand commence-t-elle ? N’est-ce
pas dès le premier moment où on a oublié sa femme pour une autre ? N’est-ce pas
simplement en changeant d’interlocuteur ou d’interlocutrice ce qui a donné les
sociétés aujourd’hui dîtes féodales des moucharabiers ? Mais heureusement cette
notion fut élastique au point que tous s’accordent à trouver normal des écoles
mixtes ou les universités mixtes puisque l’habitude a été prise dès l’enfance
d’amitiés entre garçons et filles. Mais la question se posera des amitiés à
l’intérieur de la même catégorie. N’y a-t-il pas tromperie de sa femme à avoir
un ami pour la vie garçon simplement pour des raisons intellectuelles ? Ici bien
sûr que non puisqu’il est normal d’entretenir des amitiés ou des dialogues avec
quantités d’interlocuteurs différents dès l’enfance. Alors pourquoi « tromper »
ne se limite qu’à l’intime sexuel et non pas à tous les rapports intellectuels ?
Cela vient donc de ce que la civilisation et la société induisent comme
contraintes et de la question de l’enfant comme des descendants de celui-ci
reliés à un lieu d’habitation – c’est en réalité le problème de la légitimité du
lieu d’habitation ou de la caverne, la question du château ou celle d’appartenir
à une maison, soit à un seigneur ou un maître ou un roi ou un souverain, ce qui
signifie à un ingénieur, donc un aArtiste véritable ayant acquis une autorité
indiscutable et donc étant connu pour être juste (non
injuste, car une femme a en réalité horreur de l’injustice ou alors elle n’est
plus une femme mais une mégère ou une « salope » (ce
qui signifie avoir déchu et ne pas être digne des études effectuées puisqu’on va
être de celles à croire possible profiter d’esclaves – en réalité cela n’aura
été possible qu’en raison de ce qu’il s’agissait de femmes qui n’avaient pas
assez étudié, non assez scolarisées, n’étant pas celle sachant avoir un devoir
de cohérences et qui sont à oublier les paramètres qui permettent de contredire
ce qui à première vue/ouïe semble une bonne idée – si elles avaient été de
celles les plus instruites ou probes intellectuellement, elles auraient retrouvé
les arguments ou tous les paramètres qui n’autorisent personne à être négrier au
sens où cela a dégénéré et rendu ceux qui crurent possible ce commerce hostiles
aux droits fondamentaux des autochtones à être rétribués financièrement en
échange de ces temps consacrés comme main d’œuvre aux divers travaux – en effet,
chacun d’entre eux sont dans un parcours qui doit les conduire à devenir des
vieux hommes ou des vieilles femmes qui auront besoin de finances pour survivre
et rétribuer des plus jeunes pour les aides qu’ils auront à recevoir même en
n’ayant été que travailleurs manuels ou main d’œuvre – ces aides ne sont pas
réservés aux maîtres mais sont justement celles auxquelles ont droit toutes les
classes de populations puisque chacun a participé plus ou moins et en fonction
de sa santé à des années collectives dont les plus jeunes profitent – aussi tous
savent qu’il y a des différences de savoir-faire et de compétence et que chacun
est en réalité prisonnier de ses compétences mais aussi de tous les paramètres
sociaux qui le constituait – tous savent aussi que l’aArtiste est rare et qu’il
connaît d’avance ses droits y compris à être rassuré financièrement pour sa
vieillesse – aussi il n’y a pas que les salariés qui ont le droit à la retraite
mais l’aArtiste qui ne la prendra jamais et qui ne peut pas s’arrêter puisqu’il
s’agit de création véritable, donc d’extraordinaire et non de ce qui est
ordinaire : soit l’acte de copulation rasoir si cela ne permet pas à l’aArt
d’advenir – c’est en général ce qui prend le nom d’enfance qui parce qu’il
arrive à une autre époque va continuellement étonner tout le monde – mais il y a
vite le risque qu’il « n’y ait plus d’enfant », comme le fait dire Molière à un
malade immaginaire
– c’est ici le danger
général de toute la société ou de toute la civilisation ou celui que court de
millénaire en millénaire la femme dans sa trajectoire infinie de mère qui peut
avoir à ses côtés le père de l’enfant ou s’en passer allègrement, puisqu’elle
sait que le chef-d’éEtat ou le soldat ou l’ouvrier ou le travailleur manuel
n’est pas l’ingénieur, l’aArtiste, ou le prince au point qu’elle ne fait que
semblant de croire qu’un chef est un chef – en effet, la femme est un véritable
problème : elle croit être le chef de tout puisqu’elle abrite la Vie en elle et
doit se tenir prête à la défendre – d’où que les lois sont jugées bonnes par les
femmes avant les maris qui les font appliquer par les soldats – c’est un peu ce
qu’a eu à penser Federico Fellini à travers son film
la Città delle donne ou en tout cas
en donnant ce titre à son film a permis de nous faire penser : et si en réalité
le pouvoir n’avait été que féminin depuis des millénaires ?)
– mais cette notion d’injustice où commence-t-elle (on
le voit bien ici pour les hommes. - Mais quels hommes ? Ici il y en a de
tellement de sortes différentes qu’on a l’embarras du choix – va donc se poser
la question de l’homosexualité qui sera inscrite par la femme dans la Bible comme
étant hors-les-lois – En effet, c’est la menace qui pèse sur la Vie et sur la
transmission de celle-ci (donc à première vue une notion de bon sens ou censée,
juste qui sera reprise dans le Coran ou par d’autres religions – une notion à
première vue évidente) – l’homosexualité n’est qu’une mauvaise affaire que pour
la femme, mais/et donc pour le renouvellement de la société – et ce sera à cause
de cela que la femme va faire croire que l’homosexualité est hors-la-loi, quand
elle n’est en réalité qu’une notion intrinsèque maternelle, celle de la sœur ou
de l’amie d’une autre jeune femme – évidemment en cela elle ne fait rien de mal,
mais est très naturellement une confidente ou à rechercher de l’aide pour quand
elles deviendront mères – mais cela peut être mal vu par le garçon ou le futur
père de l’enfant (en raison des bruits qui courent et des textes considérés
comme sacrés à ce sujet (en
général une chose scensée ou de bon sens est vite considérée comme sacrée,
d’autant plus de la concorde qu’elle trouvera : adhésion car facile à comprendre
ou pourcentage important qui vont confirmer – mais il reste néanmoins le
pourcentage mineur ou faible qui n’est pas d’accord : « ce n’est pas aussi simple
que ça » - d’où antagonismes et mensonges),
d’où que la femme ait cru avoir le droit de mentir à ce sujet
– en effet, si le père disparaît ou part
avec une autre femme (ou
même devient homosexuel),
la future mère ne peut que compter pour élever l’enfant que sur des amitiés
certaines (ce seront ses
camarades d’enfance ou de jeunesse)
– ce seront donc plusieurs femmes à élever l’enfant – et comme l’homme a des
problèmes financiers ou n’arrive que rarement à disposer de CFP en assez grandes
quantités que pour assurer sa propre subsistance (quand
il s’agit d’un type bien qui ne veut pas peser sur le budget de sa femme)
d’autant plus qu’il est souvent devenu un égoïste ne se souciant que de sa
retraite personnelle, voilà nos femmes qui sont à devoir payer de leur poche
pour élever un enfant qui appartenait en partie à ce garçon – aussi pour elles
le mariage n’est pas nécessaire en cela, mais il n’était en réalité nécessaire
que pour l’homme qui sait qu’il dispose d’un lieu, mais surtout qu’il a des
devoirs et des droits – d’où que le mariage soit à la fois une bonne chose –
dans certains cas – et qu’il soit dans d’autres une mauvaise chose – en fait un
compromis - puisqu’on risque d’avoir pour toujours une personne – son mari
- dans les pattes – ce que peu de femmes acceptent, puisqu’elles aiment tomber
amoureuses quand elles ne le sont plus de leur mari. En effet, elles ne croient
pas tromper en s’adressant à un autre père que le père de leur enfant et il n’y
a donc que le garçon adolescent, enfant-gâté et égoïste à être possessif de sa
mère, sa sœur ou sa femme, par conséquent à avoir la sale mentalité d’espion ou
même à représenter une menace pour la mère ou le père qui aurait été surpris par
lui avec une autre personne pour des relations sensuelles (ici,
c’est encore une situation qui n’arrivera qu’en raison de ce que la situation
était bloquée, car sinon tout serait autrement, puisque tous les enfants
naissent sans préjugés et prêts à s’adapter à chacune des époques – cependant il s’agit
comme nous l’étions tous d’être justes qui savent que l’être humain a le droit
de refuser les commerces sexuels et de les réserver à une personne en
particulier en priorité comme ils savent qu’on a le droit de totalement ne pas
être intéressés par la question comme quand on s’intéresse à une catégorie
pendant des heures où la sexualité n’entre nullement en jeu – d’où que sur cette
question ce qui adviendra sera lié à des choix qui sont dus à la situation
bloquée et à l’héritage millénaire ayant conduit à ces compromis ou solutions
élégantes qui deviennent vite des préjugés – soit le danger de ce qu’on
représentés les conservateurs au mauvais sens de ce mot comme au bon, puisqu’il
est d’avance imbécile ou stupide de vouloir faire table rase du passé – c’est bien le
passé qui a permis de réaliser l’autel et la table en elle-même aussi ce serait
bien bête de vouloir y renoncer ou signifierait de vouloir se priver pour
toujours d’architectes et d’ingénieurs, soit de cette catégorie de personne,
comme les chirurgiens dentistes ou de spécialistes de droit qui sont à dresser les
plans de ce qui permet de soigner puisque cela permet de construire /de répondre
aux besoins de toutes les catégories sociales – faire table rase du passé c’est
une ineptie car cela signifie vouloir oublier et se passer de la table elle-même
qui permet aux lois et aux accords ou aux contrats ou à ce qui est le meilleurs
d’advenir : il s’agit aussi d’un comptoir avec la table – donc du lieu où on
mange – faire table rase du passé c’est se condamner à la famine et c’est le
propos de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot et non au bon, soit celui qui
répète une expression qu’il a entendu dire dans une situation où il vaut mieux
effectivement chercher à oublier des choses désagréables pour éviter de devoir
se venger ou d’avoir à égorger des coupables – on préfèrera alors « tourner la
page » ce qui ne signifie pas « oublier » - d’ailleurs on lit sur des tables ou
sur des tablettes comme on lit les textes sacrés à l’autel par respect pour les
aAteurs qui accomplirent ces miracles pour qu’ils deviennent des sujets de débat
et même de contradiction – ce serait comme vouloir se priver de livres que de
faire table rase du passé puisque le livre et la table sont comme mari et femme,
indissolublement liés en raison de plume, d’encre et de papiers – il y a donc
avec celui qui brûle les livres le fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non
positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.),
occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences
(Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui ne se rend pas compte des
investissements que chacun d’eux a requis pour être établis/inscrits à l’état
d’originaux ou de textes prototype ou masters – il s’agit réellement de pensées
qui parfois sont effectivement contestables sur un point ou un autre, ce qu’on
appelle la recherche du cas particulier ou de l’amendement – c’est ici le
travail des docteurissimissimes qui sont continuellement à s’infliger des doutes
et à rechercher la contradiction dans ce qu’elle est la meilleure pour l’avancée
ou la progression de l’Ensemble au point que les voilà à affirmer parfois que ce
qui est considéré par une minorité au sujet de l’homosexualité peut être vrai
dans une situation précise d’une civilisation ayant évoluée, obéissant à divers
paramètres qui sur le plan hygiéniques ont résolu des questions ou des problèmes
– cela signifie donc que cette notion n’est peut-être pas aussi impure qu’on l’a
présentée au cours des siècles et cela ne sera certes pas Jean Cocteau ou
Montaigne à me contredire – évidemment cela va signifier ici un autre projet et
la gestion de la question sur le plan financier aussi et bien sûr en CFP car
sinon il s’agira de l’homosexualité des satyres ou des centaures qui est néfaste
à la fois à la Vie, donc à la femme, mais aussi à celle des dieux dans la mesure
où ils seraient à considérer homosexuels – ce qui n’est nullement certain même
quand ils en ont l’air – en réalité seulement à s’intéresser à comprendre, ce
qui n’est ni le propre de la femme, ni le propre de l’homme de façon distincte
ou antagoniste, mais des deux, soit de l’être humain spiritualisé, c'est-à-dire
roman ou même gothique, en un mot bien élevé, comme les statues ornant les
entrées de Notre-Dame et rappelant celles démesurément longues de Giacometti –
bref, de l’être humain renaissant, s’étant défait de sa part d’ombre)
– mais on peut aisément le comprendre : l’enfant pourrait croire que l’aAnneau
va être brisé, donc que lui-même est dissocié ou séparé ou infidèle à une des
moitiés de lui-même (et
cela l’enfant ne le veut pas – il pourrait l’accepter
si les enfants étaient de tous et si tous les parents n’étaient pas
individualisés personnellement par l’enfant – mais cela signifierait un
changement de civilisation qui ne pourrait advenir qu’à l’issue de ce que la
vieille salle des machines ait été rendue pendant plusieurs générations aux
penseurs ou aux êtres humains conscients ou issus de la Renaissance, soit tous
ceux qui se sont consacrés à l’œuvre de Dieu et qui se sont chargés de tout
administrer – En effet, ceux-ci (comme les prêtres) considèrent un peu, tous les
enfants comme les leurs à qui ils ont mission de donner de bons conseils)
– c’est pour cela qu’il est conseillé que les séparations entre époux aient lieu
une fois, par exemple que l’enfant est fiancé ou lui-même étant déjà parvenu à
l’âge d’attendre un enfant dans de bonnes conditions financières – ici, l’homme
rassure la jeune femme, donc la mère de l’enfant – par conséquent sera jugé par
le fils ou la fille un » bon père « qui n’a pas recherché en macro à
arnaquer la mère – l’enfant saura pour toujours que ses parents se sont
véritablement apprécié à égalité – aussi il est sûr aussi qu’il s’inscrit dans
un projet plus ample – le voilà à avoir la tête dans les étoiles ou les galaxies
– le voilà métaphysicien et peut-être ingénieur, le voilà à rechercher à recréer la même situation qui est la meilleure – le voilà » légitime « )
et surtout elle varie dès que les paramètres pris en compte sont évoqués – on
les avait oublié, aussi ce qui à première vue était injuste ne l’était pas : il
est donc normal que celui qui s’est donné plus de mal se rémunère plus – de cela
nous sommes certains d’avance d’avoir l’adhésion unanime de l’ensemble des
femmes qui savent ce que signifie se donner du mal, puisque depuis toujours ce
sont elles qui, en raison de la fatigue physique des hommes (à
cause d’elles), se donnent
du mal en raison des diverses responsabilités qu’elles sont contraintes à
assumer – c’est en cela que la femme est souvent une sainte d’autant plus
qu’elle sait qu’elle ne peut vivre de cfs, cfu, cfm, cff, ou cfcch ce que les femmes
corrompues acceptent plus facilement pour s’en sortir avec toutes les
conséquences auxquelles elles soumettent leurs enfants – ce sont donc elles à
avoir donné l’idée que l’éEtat était formé de personnes corrompues qui
corrompaient – évidemment cela n’est pas possible que seulement des personnes
qui se laissent corrompre et qui ont mentalité de faux-monnayeurs – c'est-à-dire
de personnes dans l’ignorance de tous les paramètres économiques, marchands,
commerciaux, industriels, artisanaux, etc. – c'est-à-dire des ignorants au
mauvais sens de ce mot qui ne sont que des adolescents profiteurs dérobant le
bien d’autrui : donc les parasites ou les entretenus – en fait ceux qui on des
mentalité de très vulgaires ou grossiers macros – soit les satyres et les
centaures qui résultent des très mauvais élèves et des tricheurs)
– ici ce sont en général les femmes qui vont le déterminer car elles
remarqueront qu’il n’a aucunement le soucis des autres hommes et qu’il n’est
qu’à étudier, inventer s’intéresser aux arts et aux sciences de l’art, bref à ce
qui pourra permettre de sauver la Vie – d’où qu’en général elles seront les
mécènes ou celles qui vont aider l’enfant prédisposé à toutes les sciences,
puisqu’elles sont assurées avec les faunes, les satyres et les centaures ou tous
les dégradés d’autant de personnel dont elles auront besoin pour tous les
travaux manuels – en effet, elles n’ont pas grandes considérations pour les
chefs d’éEtats, les ministres ou les fonctions officielles, les militaires, mais
seulement pour les aArtistes véritables – soit ceux qui sont dans le vrai (celui-ci
transparescent dans les œuvres : il s’agit de personnalités qui poursuivent donc
les mêmes but que la femme véritable : soit la Très Sainte Vierge Marie en Isis
l’infinie compatissante)
– elles savent que naturellement le mariage n’existait pas, par conséquent qu’il
s’agit d’un artifice qui est une solution élégante trouvée à un problème qui
s’est posé dans différentes époques sous différentes traditions millénaires et
qu’en ces lieux divers, on a abouti d’une façon diverse à la même idée : un
compromis à cause des problèmes que posent l’enfant de l’enfant de l’enfant de
l’enfant de l’enfant et plus loin là-bas encore le descendant, bref la notion de
poupée russe intrinsèquement et consubstantiellement ou ontologiquement
féminine, soit la notion d’infini – Isis n’est que mathématicienne quand elle
songe a elle comme mère), mais ce qui est
certain c’est qu’il y a des choses à faire tous les jours et que, pour
l’instant, sans argent, il n’y a que les bénévoles qui, parce qu’ils sont
assurés d’avoir assez de CFP pour survivre, travaillent gratuitement, ce qui a
été le cas d’innombrables véritables aArtistes et de milliardaires (par
conséquent aussi des misérables et des pauvres qui effectivement travaillent à
quêter des CFP dans des décors qui attestent autour d’eux que l’ensemble est
constemment collectivement comme milliardaire, mais que chacun de ces décors qui
appartiennent aux Granier d’Ôz, tous
de droit (puisqu’ils se
sont donnés du mal pour les conserver pour l’Ensemble
grâce à mes transmissions de la NNDIM
qui a évité leur destruction puisque cela a permis d’arrêter les guerres) ont
été placé localement sous des responsabilités particulières chargées de les
entretenir et de les valoriser, ce qui en a fait d’une certaine manière de
légitimes détenteurs Nous représentant – en atteste les sites Internet – qui
découlent de ces transmissions à travers le temps - lié à ces diverses
administrations).
Dès qu’on est assuré d’avoir les moyens pour survivre avec les membres de sa
famille, alors il y a des activités qu’on peut faire bénévolement (et
on ne s’en ai jamais privé au point d’avoir acquis des mérites souvent reconnus
par la cité ou les journaux ou d’autres instances).
Dans mon cas, je n’ai pour l’instant fait que chacune des choses bénévolement
depuis mon enfance y compris en faisant intervenir la virtualité de moi-même, ou
ce prolongement virtuel de moi-même dans le futur qui a permis d’enrichir (financièrement
parlant quantité de milliardaires et de millionnaires dont j’eus à communiquer
les noms d’avance), pour créer de la
richesse, pour que les gens les plus pauvres soient assurés d’un minimum leur
permettant au moins de manger, jusqu’au jour où ils pourraient être rétribués,
un peu plus (si je
parvenais enfin à mes fins pour le prix du baril de pétrole : qu’il baisse pour
que la prospérité générale advienne et qu’enfin
la Nave vada
« vogue la galè’e » en prenant ici le son du point de vue du » nèg’e «
ans ses bulles, au-delà de la hune, au sommet du mât du bâteau des pirates dans
les aventures d’Astérix
le gaulois – il est le seul à s’en so’ti’ puisqu’il se donne toutes les
peines, tandis que les aut’es sont à p’ofiter de lui et à lui imposer son poste
de veilleu’ ou d’obse’vateu’ : en effet, quand le bâteau coule, il dispose avec
son tonneau d’une embarcation de secou’, tandis que les autres sont à se noyer),
en apportant leurs concours pour participer, étant donné que chacun d’entre nous
avons des devoirs, des obligations et que chacun d’entre nous poursuit sa voie
en raison des lois des conséquences liées à ses ancêtres en interactions avec
les autres lois (cosmiques,
etc.).
L’argent (les CFP)
est/sont donc (dans
ce cas de figure de la Création bloquée jusqu’au 8 octobre 2014 et 31 juillet
2017) une nécessité fondatrice puisque rien ne
peut de nos jours être construit sans argent (sans
ces CFP), sans budget, au point que même les
choses qui vont bénéficier de bénévolat ont besoin d’argent (de
CFP), puisqu’il y a des achats à faire qui
coûtent ces CFP avant même qu’ils soient disponibles à tous ceux qui produisent
ces éléments, ne serait-ce que pour payer l’ensemble des frais de transports de
chacune des matières premières ou seconde ou yXième assemblées et des
personnes travaillant à les élaborer pour que ces produits permettent ces
bénévolats (en effet,
sans les industriels produisant des casseroles grâce aux ouvriers qui ont
accepté de se soumettre à la hiérarchie existant dans l’entreprise artisanale
ou industrielle on ne pourrait pas/jamais assurer le renouvellement des
fournitures pour assurer la soupe populaire ou les restaurants du cœur dont
j’eus à transmettre du futur l’idée en indiquant à Coluche de la réaliser, ce
qu’il fit généreusement, à ce qu'il paraît, au point de mettre réellement la main
à la poche et d’aider des prêtres ou des bénévoles dans l’organisation de cette
charité).
Et
celui qui vous écrit et qui a tant sacrifié ne peut plus imaginer pour la suite
de son existence de continuer de vivre démuni[9],
de continuer à faire du bénévolat en ayant encore à sacrifier sa première et
seconde femme légitime[10]
et une autre femme, la troisième, qui connaît, à son tour, ce que signifie être
loin de la personne avec laquelle elle se croyait déjà mariée[11]
car j’ai partagé avec elle dix huit ans de son existence (certes
un ou deux jours par semaine en moyenne ce qui n’est pas vivre maritalement au
sens ancien de ce mot – les lieux de Paris et Strasbourg ayant permis ce
compromis).
Elle peut donc enfin comprendre ce qu’elle a imposé à ma première femme
(promise) et légitime aux yeux de Dieu et du Grand Architecte de l’Univers,
puisque dès que j’ai appris, par l’intervention de celui qui se prétendait Dieu,
que j’avais eu une promise (comme
une petite sœur en 1965 - qui était donc ma première femme légitime épouse dans
la personne de Christine…Lang), j’ai compris
que je devais rompre mes fiançailles avec celle qui est devenue, à partir de
2010, une « amie de loin ». C’est alors que j’ai fini par comprendre qu’elle
n’avait pas pu comprendre en 1965, ni même à partir de 1975 (quand
la situation s’est renouvelée dans le ciel, à Rome, de mes apparitions alors
virtuelles, là-bas, où j’y étais alors en chair et en os avec dans mes bras
Christine…Lang). Ce qui signifie que nous
n’avons pas la même idée/conception du mariage (et
des responsabilités paternelles) et de ce
qu’il signifie sur le plan religieux, dans la sphère du sacré de l’existence et
que cela explique pourquoi ma première épouse légitime est reconnue comme telle
par l’idée que j’ai de ce que cette intervention de ce prétendu Dieu, concorde (s’il
ne m’avait alors pas demandé d’épouser M. F. ) avec l’idée que j’ai du G. A. U. – il y a donc eu
indéniablement l’aspect providentiel de toutes ces transmissions qui ont donné
chair à l’idée d’un dieu. En effet, elles furent faites de ma chambre (située
dans le ciel du point de vue de ces trente années auparavant qui ont eu à devoir
braquer les yeux au ciel) comme s’il
s’agissait de celle de l’Elysée ou du Sénat ou des députés : publiquement, en
empereur légitime – par conséquent en conscience et dans l’Intérêt Général, mais
aussi en légitime défense de ma personne impériale et de mon aAnneau de
fiançailles légitime retrouvé. Soit celui qui n’existe pour les véritables
empereurs ou les rois qu’en raison de la raison d’être d’un prince pour ses
sujets dont il est en réalité l’esclave au sens de serviteur – c'est-à-dire au
sens admirable de Dürer a signalé : le nèg’e – soit vôs dévoués
ciaï – donc l’aArtiste de la
Renaissance à Florence : le diable, dans son sens positif.
A
cause tout cela, nous avons été contraint de nous séparer, de faire ce
sacrifice, dès l’âge de deux ans et demi. La première fois, cette dernière (C.
L.) ayant un an ou un an et demi et cela
puisqu’il y avait des répercussions de
Michèle Finck savait presque tout ce qui avait été transmis alors par ma
virtualité dans le ciel de Rome. En découvrant qu’elle me l’avait caché autant
de temps, j’ai compris qu’heureusement le Dieu en lequel j’ai cru enfant avait
bien fait d’interdire de tuer de ses mains. J’avais donc à transmettre tout ce
qui devait concourir à me permettre de vérifier en chair et os pourquoi cela
s’était mal passé et j’ai donc agis, en légitime défense, en prévenant qu’il y
avait des choses à ne pas réaliser dans ce que je dictai d’autant plus qu’avec
le temps qui passait ma colère, mon indignation, et ma douleur s’est calmée et
que j’ai fini par comprendre qu’on devait l’ensemble des problèmes à des gens
qui sont en fait des « ignorants » au mauvais sens de ce mot ou de ceux qui ont
perdu le sens de la logique minimale, comme aussi les capacités pour affronter
la réalité telle qu’elle est véritablement constituées des milliards de
milliards et à l’infini de paramètres à chacune des fractions de secondes (mémorisés
en conscience ou très exactement depuis le premier regard sur la réalité de
n’importe lequel des nouveaux-nés) et surtout
qui ne peuvent pas comprendre (à
cause des dégâts que l’amnésie – ce que j’eus à démontrer – a fait dans leur
tête au point de les priver de conscience ou de ces référents aux paramètres les
plus convenables ou juste quand on se considère soi-même comme le futur
responsable d’une dynastie, ce qui est normalement une virtualité dont est
pourvu chacun des êtres humains qu’il a le droit de se refuser y compris pour
des motifs qu’il désapprouverait la Création – mais de là à la vouloir combattre
ou détruire, c’est autre chose (la
façon des terroristes, par exemple)
qui mériterait aussi un peu plus de cohérence car alors pourquoi en profiter
autant, au bon sens de ce mot (ce
qui n’est qu’affirmer qu’elle est bonne et charitable quand elle est entre de
bonnes mains servie par des empereurs vertueux)
– aussi la vouloir détruire est hors-la-loi ou avoir voulu créer la mort quand
elle n’existait pas est intrinsèquement, ontologiquement et consubstantiellement
hors les lois ou contraire aux droits inhérents des êtres humains – ce qui rend
légitime la défense de la Vie par tous les moyens)
et c’est pourquoi je suis même revenu sur des choses que j’avais inscrites dans
la Dictée Pharaonique, mais malheureusement je n’ai pas pu revenir sur des
choses qui étaient fondamentales pour me permettre d’intervenir le jour venu sur
1965 et 1975, de 2005 et cela pour éviter la reprise de la guerre et pour sortir
le monde de ces époques très lointaines par rapport à notre époque des années
2005 qui devrait permettre aux enfants, même les moins capables à l’école, de
comprendre un peu mieux quelles peuvent être les priorités pour leur génération
et les suivantes (devenir
compétent – obtenir un emploi et des CFP – refuser les cfs, cfu et cff, cfm ou
cfcch
qui rendent corrompus à rechercher que cela soit les autres qui aient les
problèmes – cela n’est en rien fraternel ni digne des peines incommensurables
prises par tous ceux qui n’ont pas des métiers manuels ou de main d’œuvre mais
qui n’ont que tous ceux qui exigent de penser en vérité, ne serait-ce que pour
organiser les plans de travail pour monter un immeuble pour ceux qui attendent
d’être logés ou seulement le plan de travail du tournage d’un des films
consommés périodiquement).
Alors pourquoi proposer au Pape d’épouser aussi Michèle Finck, comme cette autre
qui est en réalité ma légitime promise restituée ?
C’est que la situation générale pharaonique et cosmique me contraint à cela en
raison de l’anneau et de ma conscience par rapport à ce qui s’est passé, c’est
donc de façon logique et pour des raisons éthiques mais aussi dans l’espoir que
la véritable M. F. finira par l’emporter sur la fausse (ou
celle qui fut abusée par des à première vue trop rapides ou trop superficiels à
mon sujet – enfin en ayant retrouvé la clé de ce que je n’avais pas été toujours
au mieux durant ces années puisque je ne me savais pas avoir eu à me séparer de
la femme de laquelle j’attendais mes enfants, je n’étais pas moi-même, ce que je
devais être pour avoir à vérifier quantité de détails concernant les malhonnêtes
– il n’y a rien de mieux pour ça que de le devenir, une fois redevenu honnête on
comprend beaucoup mieux le malhonnête et ce qu’il faudra lui dire pour vérifier
de ses efforts à redevenir honnête ou de son acharnement à demeurer
malhonnête ou a ne pouvoir que faire semblant d’être honnête : c’est ainsi que
Jean Valjean a fait).
J’aurais préféré évidemment autrement, mais cela ne pourrait être que considéré
par ceux qui en moi voudrait renoncer, en conscience, à des devoirs qui
logiquement s’imposent, en raison de la logique de la situation et de trois
petits points qui sont les inconnues (en
détails) dont, dans ce cas, je me dois
honnêtement de tenir compte.
Permettez-moi de vous avertir que je vais ajouter ce courrier, en annexe, à ma
lettre au Pape et je vous en préviens, Monsieur le Président, d’autant plus
qu’il y a de nombreuses personnes qui ont même fondé plusieurs familles et qui
sont dans des situations comme la mienne : de personnes coincées en ayant
plusieurs femmes et enfants dont ils ont la charge et qui sont donc écartelées
entre d’un côté le légitime et de l’autre une idée peut-être fausse de
l’illégitime, au sens que la civilisation a donné à ces mots y compris
juridiquement (avec le
problème des batards). Heureusement je n’ai
pour l’instant (à ce jour
où je vous écris –
sous-entendu je m’offre la possibilité que cela puisse évoluer et changer)
pas, comme elles, mis d’enfant au monde pour que cela soit lui/elle qui ai[en]t
à trouver les solutions élégantes. J’espère continuer à les trouver moi-même (comme
toutes les autres qui ont fait la fortune de cette fin de siècle)
car je ne veux pas appartenir à ces pères qui comptent sur la génération
suivante pour ce qu’ils n’ont pas pu résoudre eux-mêmes parce que limités
intellectuellement à ces cerveaux de dégradés involuant vers le centaure au lieu
du contraire.
Les dessins et les peintures qui valent autant ne peuvent valoir autant que
seulement dans un monde qui est celui qui a des CFP (et
non des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch
[12])
comme monnaie d’échange.
A
l’époque de Lascaux celui qui a peint une des peintures dans la caverne ne
pouvait pas imaginer que certaines de ses représentations, peut-être ailleurs,
dans une autre grotte aussi, valent bien plus que des milliards de milliards de
milliards et plus encore de tonnes de diamants les plus purs[13]
et leur pouvoir d’achat en raison des conséquences qu’elles ont eu y compris en
architecture et en psychanalyse mais aussi pour confirmer qu’il avait détecté
dans quel sens allait l’Evolution.
Pourtant c’est le cas car il s’agit d’un moment fondateur, fondamental
localement et nous ne savons pas où peut bien être le corps, le squelette [les
ossements] d’un tel génie (mais
j’ai vérifié que le profane ne s’en rend pas compte d’autant plus qu’il a pris
l’habitude de vivre dans le monde où les représentations en couleur foisonnent)
incommensurable (cela
signale qu’il utilise sa mémoire et que ce qu’il inscrit est vrai de la vérité
relative limitée à ces moyens techniques dont il dispose – avec rien, il fait
tout puisqu’il créait l’alternative à la disparition de la vision d’Atlantide
mais surtout matière à penser en vérité – c’est donc une des première page de la
Bible).
Le
risque de supprimer les CFP pour la génération des enfants qui sont à quatre
pattes, c’est celui de ne plus permettre à ceux-ci de devenir géniaux ni
comprendre ce qui a de la valeur de ce qui en a moins – de ne plus vouloir être
de ceux qui disposeront de plus de CFP que les autres pour restaurer pour leur
compte des vieilleries ou voyager ou produire ou être actionnaires dans les
projets des autres – donc d’avoir envie de participer aux progrès et à la
prospérité générale puisque ces investissements sont comme des sacrifices : on
ne dispose plus de ces sommes de CFP pendant de longues années avant de toucher
un pourcentage des profits s’ils adviennent ce qui n’est jamais certain en
raison de différents paramètres auxquels il faut tenir compte.
Cela dans la situation générale qui était bloquée.
Il
y a ce mot de « valeur »[14]
qui est à étudier en relation avec chacun des mots existant dans le monde entier
et par rapport aussi à chacune des expressions et chacun des textes, des images,
des sons enregistrés (qui
en ont) des images animées, etc. , mais
aussi qu’il faudrait analyser en prévision du moment où la situation se
débloquerait enfin. Donner le résultat, c'est-à-dire, la conclusion de ces
réflexions sur le mot de « valeur », ici même, n’est possible que pour la
situation générale qui était bloquée, car nous ne savons pas exactement ce qui
se produira une fois débloquée, même si nous pouvons sérieusement y réfléchir et
le prévoir ou le déduire avec les dangers que par précaution dont nous avons à
avertir et à protéger.
Donner le résultat en calculant tout, s’est s’exposer à ne pas avoir pris en
considération aussi ces trois petits points qui sont l’ensemble des inconnues et
des impondérables y compris des imprévus que ce problème pose et donc risquer de
faire une erreur, peut-être même capitale, menant à la ruine l’Ensemble de ce
qui a pu être érigé comme civilisation ces cinquante dernières années, comme
plus encore : en fait depuis la fin de
Un
risque que pourtant nous avions à prendre quand Christine…Lang et moi avons eu à
nous séparer pour les raisons que l’ensemble n’a pas compris ou voulu comprendre
aussi que ce qu’ils entendaient en virtuel (du ciel) était aussi un test avant
Mais l’époque était encore trop proche de la fin de
Par conséquent, c’était une époque intolérante comme cela est souvent le cas par
des personnes qui ne veulent pas tenir compte de la situation générale qui était
bloquée, comme paramètre, avant de se décider à agir ou à parler (donc
qui n’imaginent pas ce qu’elle pourrait donner débloquée à plus ou moins long
terme – elle n’était que peu versée en films d’anticipation ou de sciences
fiction, ce qui permet d’étudier d’avance tous les cas particuliers).
C’est pourquoi nous avons été contraints de procéder par étapes successives et en
acceptant de nous ridiculiser, de commettre sur nos personnes des profanations
et des sacrilèges contre notre corps qui était redevenu pur, ainsi que notre
tête, et nous avons pu heureusement connaître, à cause de cela, les remords.
Nous avons eu aussi à connaître la honte de nous-mêmes. Nous avons même failli
devenir fou et nous avons pu aussitôt bien mieux aller, dès l’intervention du
Grand Architecte de l’Univers, ce qui nous a contraint à agir en conséquence,
puisque nous avons alors découvert que nous avions été victime d’une amnésie (ce
dont il se souvenait) canonique au point de
perdre notre identité véritable, longtemps.
Aussi, vous comprendrez, monsieur le Président, que c’est une situation qui
exige de la part de l’Ensemble qui a été sauvé grâce à tous ces malheurs comme
le sacrifice de cette séparation des dédommagements (financiers)
à divers titres car personnellement je vais avoir à me soigner pour le restant
de mon existence (en
raison de l’écartèlement que cela a créer comme personnalités différentes
traversées – du plus crétin à l’un des plus intelligents, plusieurs fois)
étant donné la masse de traumatismes les uns après les autres que j’ai eu à
endurer injustement, y compris comme Christine…Lang et Michèle Finck qui,
vraisemblablement a été utilisée à son insu et avec son consentement de personne
devenue artificiellement, en raison de l’usage de la vieille salle des machines
à son encontre, contraire à l’Intérêt Général et par conséquent devenue
prisonnière de certitudes mensongères mais très certainement l’objet d’un racket
sur son âme par des personnes qui m’ayant pris pour dieu ont voulu la dresser
contre moi alors que je suis pour ce qu’il y a de plus intelligent en elle.
C’est vraiment une chance que je n’ai pas fait semblant de l’aimer, à partir
d’un certain moment, après avoir essayé, pendant des années, en faisant semblant
et en utilisant la méthode Coué, car sinon il n’y aurait jamais eu ce cas de
figure de la création ayant été sauvée au moins jusqu’à cette date car c’était
parti pour
En intervenant d’ici, j’ai pu à la fois continuer à
faire faire des progrès dans l’armement, mais aussi par la même occasion lancer
le désarmement général, ce qui doit être continué et remis en chantier, étant
donné qu’on a de nombreuses personnes qui sont capables d’expliquer en vérité
comment résoudre les problèmes qui se posent grâce à la pédagogie, donc
des négociations en cas de litige y compris les recours au tribunal
international (ou à ma
personne pour trancher, puisque je suis empereur – mais pour que je fasse ce
travail que je sais faire, je ne le puis sans être assuré financièrement de tous
les moyens dûs à mon rang, de tous ceux qu’on m’a dérobé, de tous ceux qu’on me
devait dès 2005 (mais déjà dès 1965 et 1975) et que personne n’a songé à me faire trouver – bref d’avoir
accès aux trésors des nations comme s’il était le mien puisque j’eus à les
sauver autant que cela), en espérant tomber
sur des personnes qui ont compris qu’on ne peut plus se comporter en voyous, et
en menteurs dans
Vous admettrez que c’est intolérable pour tous ceux
qui se sont donné beaucoup de mal pour parvenir à faire autre chose que des
gribouillis ou des allées et venues de balais – les miens depuis valent de l’or
ou des diamants par montagnes, tandis que ceux-là sont ceux de faussaires qui ne
signifient que mensonges ou désir d’escroquer ou de vivre en parasite ou en
profiteurs au mauvais sens de ces mots capables de reproduire des choses aussi
élémentaires que celles des primitifs préhistoriques peintres en bâtiment ou
faiseur de briques, comme des petits pains (car
ayant appris à le faire par un véritable aAuteur ou ingénieur)
– cette danse des petits pains de Charlie Chaplin dans
la ruée vers l’or vaut en elle-même
de l’or – il s’agit d’invention, de création (qu’ensuite
tous pourront s’amuser à reproduire, mais il s’agit de l’idée d’un père de
famille pour créer de la beauté puisque des personnes ont voulu priver
l’Ensemble de celle-ci – nous voilà à y gagner uniquement grâce à Charlie
Chaplin qui est effectivement sur ces murs (de projection) la révélation du
génie d’ozien[15])
- en se donnant du mal à sculpter un chapiteaux au-dessus de ces sortes de
saucisses de colonnes qui partout ont induit les gens à tant d’erreur et dans
des simplicités de benêts allant acheter leur baguettes, toutes pareilles,
faites dans le même moule et n’ayant jamais requis plus de connaissance que pour
gâcher le plâtre sus décrit (cinq
minutes pour apprendre à les reproduire car encore une fois l’idée est à un
aAuteur véritable qui n’est pas cette main d’œuvre qui en bénéficie – toujours
le même, le vrai Dieu qui donna l’idée à Jésus Christ de cette solution élégante
du sacrifice pour nous donner une autre chance et appartenir à ceux qui
discernent le bien du mal) ou pour croire
qu’ils sont utiles à quelques chose en faisant la sentinelle ou en ayant appris
à mettre la table ou à servir un café derrière un comptoir et à être obnubilé
par la colonne au lieu de comprendre l’intérêt du chapiteaux ! A
Tourette-sur-loup vous trouverez le pain appelé une
main de Picasso – il s’agit d’un très
bon pain blanc, une variante de la baguette (proposé
à peine plus cher, en raison de la qualité de la mie de pain qui est meilleure)
autrement présentée, en cinq morceaux, facilement détachables dont l’idée est
venue inspirée par ce peintre au boulanger : il n’y a que quatre doigts mais
avec un pouce – j’ai finalement compris que c’était à Walt Disney qu’on se
référait).
Il
est normal que ce qui savent ce qu’est l’art véritable refusent de voir
Atlantide, le Paradis, l’Éden dans ces conditions (où
ce variateur n’appartiendrait qu’à la vermine ou aux faussaires et non aux êtres
au service de la vérité) puisqu’ils savent
ce que cela a signifié pour eux et leurs ancêtres d’avoir à atteindre les
possibilités de représenter, dans un monde dans lequel il n’y avait plus de
représentation, ni même le souvenir d’Atlantide : d’écrire, de peindre en
vérité, y compris de filmer, de comprendre et d’expliquer, à partir d’analyses
exactes des choses qui sont vraies comme simplement celles qui se rattachent aux
définitions des mots (qu’ils
eurent le génie de trouver aussi justes)
avec leurs différents sens officiellement admis, mais aussi ceux qu’on peut
découvrir qu’ils ont à d’autres niveaux de lecture et dans des cas spéciaux (ce
qui contraint à obliger le lecteur à s’y référer, puisque dans ce cas là, il
s’agit d’une plaisanterie sur la scène d’un théâtre et le mot a été entendu
d’une façon originale). La vision
d’Atlantide et le variateur ne peuvent avoir une chance de devenir de l’art que
seulement si celui-ci sera mu par une main propre et utilisé en suivant un
programme très précis, très scientifique, respectueux de l’ensemble des
catégories y compris de celle de la pornographie qui résulte (on
peut justement le déplorer) de la situation
générale qui a mené de nombreuses personnes à choisir un monde « à première
vue » possible pour eux seuls qui se sont ainsi fait berner par cette situation
générale les menant vers des choix involutifs (car
non respectueux des autres ou recherchant à en profiter)
qui n’ont pu permettre cela qu’aux personnes devenues inconscientes de leurs
devoirs, n’ayant pas pris soin de leur âme en conscience, victimes de la
situation générale bloquée (cela est admirablement décrit dans
les damnés de S. A. I. SSS Lord
Visconti et … ).
D’un côté nous avons des personnes qui savent ce que c’est que d’avoir à
travailler non pas pour tromper mais pour soigner, en raison de l’Intérêt
Général (au sens global –
ils ne peuvent donc qu’à appartenir à l’internationale de l’esprit qui partout
conseille, soigne ou signale ce qui est juste de ce qui l’est moins aux
personnes réceptives – soucieuses de choisir le bon chemin d’avance pour leurs
descendants – ces personnes sont donc généreuses, même si à première vue un peu
égoïste (ou solitaires)
puisqu’elles ne s’intéressent qu’à étudier – elles ne le font que dans l’optique
d’être des rochers sur lesquels ces petits pourront s’appuyer – au lieu de
tromper, elles n’ont chois que de conseiller fraternellement et entretenir le
patrimoine commun. Elles gronderont ou se fâcheront souvent très justement/à
propos (leurs colères sont
saines et signalent que vous exagériez – au sens négatif de ce mot)
– elles vous corrigent donc, mais de droit, car elles songent à l’Ensemble et à
plus loin, en raison du danger que représente la loi des conséquences – en effet,
si vous continuez à mal faire c’est une catastrophe pour tous ceux qui sont à
vous considérer un exemple ou qui avaient, innocents, foi en vous – ils n’ont
pas été averti que vous les trompiez et risquent gros[16])
et donc en faisant cela en conscience et c’est pourquoi ce variateur doit leur
être remis car ils n’ont jamais cherché à utiliser les machines en ignorants (au
mauvais sens de ce mot mais dans le bon sens de celui-ci)
et c’est pourquoi, par exemple, ces personnes s’étaient mises à analyser
sérieusement ces rêves ou cauchemars car ils représentaient des énigmes. Il ne
pouvaient pas imaginer que ces machines existaient utilisées par des
inconscients à des fins égoïstes, qui en sont devenues méchantes (ou
contraires au meilleur des intérêts général qui ne doit avoir que le soucis de
participer à la gestion de l’Ensemble, par conséquent d’aider pour résoudre les
problèmes qui se posent (mais
savoir s’interdire à cause de la loi des conséquences qui parce que vous aurez
nui risque de faire de plus amples dégâts)
et précisemment éviter que des personnes ne soient la proie de cette
inconscience avilissante ou néfaste, alors que celle-ci pourrait être positive
autrement employée)
transformant artificiellement en
prisonniers de la dictature des sens (menant
à une soumission à la subjectivité au lieu de l’être envers l’objectivité qui
s’est soumise à la raison elle-même en relation avec l’ensemble des paramètres,
donc avec la notion de devoir, par ailleurs et le conflit que cette contrainte
ou ce paramètre entretien avec tous les autres menant à l’ignorer – il y aura
fatalement comme des écartèlements mais en général comme chacun essaie de
construire la maison de ses descendants dès qu’on apprend qu’on est dans une
civilisation où tout se paie, cela se résout par devoir courber l’échine ou
s’infliger les peines avec joie, puisqu’il y aura des sourires ou de nombreuses
bêtises à corriger qui feront rires tout le monde y compris ces enfants à venir
en progression – en effet, chacun de nous a dû passer par ces moments d’erreurs
ou d’adolescence ou de difficulté avant les choix plus mûrs grâce à la
compréhension des explications les plus justes (donc
grâce aux informations – scolaires -
retenues en mémoire)
– aussi ces rires ne sont jamais à
devoir mal être pris puisqu’ils sont du côté du plaisir de savoir en vérité ou
justement – il y a donc un monde ou vérité et rire coïncide[17],
c’est celui du bon esprit), donc rendant les
personnes seulement capables d’utiliser leur mains pour ne plus que « branler[18] »
des manches à balai, des pinceaux et éviter ainsi d’avoir à faire tous les
efforts du monde pour utiliser les stylos ou les pinceaux à des fins artistiques
véritables, ce que les autres familles, s’étant, en faisant preuve de bon sens,
gardée d’avoir accès à cette vieille salle des machines d’origine
extra-terrestre, ont su en revanche préserver pour devenir ces personnes
assises, capables d’analyser les problèmes qui se posent au jour le jour de
différentes manières dont les négociations et en raison de cela ont été capables
d’avoir de vraies conversations souvent préparées à l’avance par écrit sans
avoir comme objectifs celui de s’autoriser à « pécher » (puisqu’il
y avait réellement des problèmes à résoudre et réellement cette notion de
perspective dans laquelle s’inscrit chacun des êtres humains
(ce qui fut abondamment
souligné par les responsables de l’admirable civilisation Nazca)
- car résistants aux tentations, étant donné le caractère sacré des négociations
en cours ayant à déboucher sur des signatures et des engagements officiels, donc
refusant de tromper et vivant en vérité (tenant
leurs engagements), selon la parole donnée,
notemment avec des personnes qu’elles ont aimé (amicalement
ou plus autrement – sous
entendu - que cela)
et avec lesquelles elles ont construit ce qu’on a appelé justement une
« famille ») car c’est effectivement « pécher » que rechercher à nuire ou à
mener des gens à vouloir nuire en utilisant ces machines ainsi (ce
n’est vraiment pas fraternel ou même seulement amical ou cela est à rechercher
une amitié qui résultera du même esprit qui a cru autoriser à devenir aussi
infraternel que cela, donc hostile aux êtres humains véritables – c’est à dire
ceux qui se défendent de devenir non fraternel dans l’idée qu’ils ont de ce mot
qui en est alors la vérité puisque cela mène à résister à la vulgarité, la
grossièreté des enfants-gâtés y ayant eu accès comme Jean Moulin ou d’autres
saints sachant qu’ils sont sur terre en ayant une mission à long terme, donc des
responsabilités et qu’ils ne cachent rien de ce qu’il convient le mieux dans
cette perspective qui est à très long terme mais qui concerne tous, puisque le
temps permet à celui qui est devenu une honte de cesser de l’être – comme Jean
Valjean qui en devient, à force de méthode Coué, ou alors en raison de ce qu’il
comprend enfin qu’il s’était réellement trompé de voie, grâce à cette rencontre
avec un véritable vénérable,
l’inverse du hors les lois – mieux ou pire il finit par les comprendre toutes et
les appliquer et sauve une localité entière du chômage en procurant aux
habitants des CFP et non des cfs, cfu, cfm, cff ou cfcch– c’est en réalité le
portrait de l’entrepreneur paternaliste de la fin du siècle passé – soit celui à
qui nous devons tous le bien être actuel – il a souvent été un adolescent rebel
ou même injustement puni, mais au lieu de continuer à/de se venger, le voilà à
accepter/acceptant des injustices ou d’être soupçonné d’être encore un
malfaisant, mais s’ingénie à faire du bien, sans même qu’on n’en sache rien –
pourtant le dieu Victor Hugo voit tout – il est la conscience qui décrit de loin
les conflits intérieurs auquel fait face le personnage qui en les surmontant
pourrait avoir une chance de devenir à son tour dieu).
Bien sûr, si les autres se sont comportés mensongèrement, il est normal que les
autres aussi aient le droit au mensonge. Mais ce qui a fait l’objet d’accords,
de signature en temps de paix, peut être négocié de nouveau, bien qu’il soit
normal d’être fidèle aux résultats d’efforts souvent très importants pour
arriver à ces textes ou à des situations qui devraient changer pour le meilleur
et pour tout le monde, puisque ce n’est que dans cet état d’esprit qu’on arrive
à trouver les meilleurs moyens d’appliquer des décisions qui se justifient en
vérité et en raison que le bon sens existe, qu’il faut rester réaliste,
c'est-à-dire respectueux de l’ensemble des paramètres qui constituent la réalité
(il y a aussi les
merveilleux ou les musicaux, les poétiques et les mathématiques, etc. – aussi il
est nécessaire de faire la synthèse à partir des différents développements),
par conséquent qui obligent à être conscients des problèmes qu’on aura à
affronter et ne pas se comporter en cherchant à se défiler, à fuir le partage
des responsabilités qui incombent et sont d’autant plus impérieuses que des
individus autrefois enfants-scolarisés arrivent à l’âge où il est normal, si des
sentiments sont partagés, de fonder à leur tour une famille (c’est
ici la tentation de l’adolescent devenu aimant ou amoureux – il comprend en
général que ces temps d’enfance avaient du bon avant d’avoir commencé à mal
faire – aussi, en général, s’il est encore un peu intelligent, il vivra dans sa
chair, la parabole du retour de l’enfant
prodigue – même si cette famille à laquelle il était attaché n’était pas
celle rêvée, elle avait du bon en ce que rien n’avait été dérobé et chacun des
coûts dépensés avec des CFP – aussi cela signifie qu’il y a en chacun la
nostalgie d’avoir les mains propres ou d’être vrai – donc de ne pas tricher).
Cumuler, s’est aussi être capable d’assumer une autre responsabilité qui est
aussi celle de pouvoir contribuer, avec sa femme, à élever des enfants[19]
qui auraient de nos jours le droit de reprocher[20]
à leurs parents[21]
de les avoir mis au monde dans ces grandes difficultés vers lesquelles ils vont
et cela parce qu’on est un enfant de parents qui ont cru pouvoir se permettre
d’avoir des enfants, alors qu’ils n’ont pas les moyens financiers d’assurer
l’éducation de ceux-ci pour en faire au moins des personnes dignes des meilleurs
ancêtres communs au patrimoine de l’humanité, qui font partis de ceux qui n’ont
fait que donner des signes de zèle, au point qu’on comprenne facilement pourquoi
il y a eu autant de génies différents dans l’ensemble des catégories, mais il
faut tenir compte qu’il y a des enfants de très grandes personnalités qui n’ont
strictement aucun intérêt, souvent avant longtemps, ce qui ne veut pas dire que
plusieurs génération après il n’y en ai pas qui descendants de ces derniers ont consacré
leur existence à valoriser l’œuvre de leur parents (par
exemple une des activités possibles d’enfant de la balle)
ne soient pas ici encouragés à faire aussi bien que l’un de leur ancêtre
directe.
Depuis l’âge de mes deux ans et demi, l’État mondial[22],
me doit infiniment y compris l’ensemble des familles qui ont pu s’approcher de
mes parents et de mes frères et ma sœur, d’autant plus que j’étais déjà dans ces
multi dimensions, hélas, je l’ai vérifié, invisibles pour ceux qui m’ont
approché (ne se rendant
pas compte de qui ils ont exactement devant eux et j’ai pu vérifier amplement
que seules quelques personnes sont capables de voir en moi ces dimensions dans
lesquelles je suis, puisqu’ils ne peuvent voir que le reflet de la dimension
dans laquelle ils sont eux, ne soupçonnant pas qu’il puisse y avoir des univers
aussi extraordinaires, aussi géniaux que ceux dans lesquels certains d’entre ces
personnes différentes d’eux se trouvent, en raison de multiples raisons,
peut-être même de facteurs génétiques, mais aussi de parcours personnels
familiaux (ancestraux) ou qu’ils auraient eu antérieurement à leur naissance,
dans d’autres réincarnations (comme
ce fut le cas de la plupart des rois ou de reines véritables)
– aussi cela sera handicapant pour ces personnes seulement devenues
intellectuelles ou penseurs qui ne peuvent plus s’occuper de métiers de main
d’œuvre, leurs mains servant à élaborer des choses considérablement complexes et
à permettre qu’avec les chiffres des décisions souvent coûteuses aient lieu –
celles-ci ne devaient pas être connues des peuples pour des raisons que ces
chiffres sont souvent pharaoniques et que des personnes étant à gagner des
sommes très limitées ne peuvent pas comprendre encore tout à ces sujets – mais
les peuples ont cherché à comprendre ce qui n’est pas mal. Ils voient donc
qu’ils posent des problèmes chiffrés).
En
tout cas les romains et les italiens ont pu découvrir dans le ciel de Rome, à
partir de 1975 à quoi j’allais devoir ressembler exactement trente années
plutard, ce que j’ai fini à mon tour par comprendre, en 2005 seulement (en
raison de l’amnésie infligée). Quelles sont
les raisons pour lesquelles je suis si immense ? C’est en parti à cause de la
souffrance causée par ce sacrifice de cette séparation d’avec ma légitime
promise épouse depuis 1965 et tout ce que j’ai eu à souffrir physiquement et
psychiquement entre la fin 1971 et 1975, mais aussi durant ces 27 années
d’amnésie, à partir de 1978, ce qui m’a contraint à explorer de très nombreuses
choses différentes, au point d’avoir su et pris (de
nouveau) connaissance, comme montré à un
autre âge, à partir de 1978, vers mes quinze ans, comment progressivement on
peut devenir minuscule (faune, satyre, centaure). Mais aussi une des raisons
pour lesquelles je suis si grand sont les centaines de métiers différents (sans
pour autant ne les avoir exploré qu’en amateur et parce que j’avais besoin de
les apprendre pour faire des économies de CFP à trouver pour payer les personnes
qui les ont comme activité puisqu’ils m’étaient utiles en essayant pendant ces
années d’amnésie de me spécialiser ainsi en me diversifiant sur la plupart des
plans techniques pour réaliser un jour des films véritables (et
non des films de pacotille), comme ce fut le
cas pour la dizaine d’années consacrée à la réalisation de
La
momie à mi-mots – tout cela n’ayant d’autres fins que celle que la
parole [me re]vînt au cinéma, au lieu de demeurer seulement musical, dansé et
muet comme pour cette première vraie expérience de tournage en équipe) donc pour
essayer de m’en sortir en ne sachant plus rien en raison de l’amnésie, du
sacrifice que Christine et moi avions été contraints de faire, et tout cela nous
a mené en 2005 à la [re]découverte que, déjà, depuis 1965, j’avais été contraint
de me séparer de celle qui était prévue pour être ma complémentarité dans ce cas
de figure, pour des raisons impériales (il est normal que j’ai besoin d’avoir à
mes côtés une (véritable)
impératrice (dans
l’Intérêt Général) formée à cet effet et
ayant été initiée à la vérité que ce que ce cas de figure de
Je
suis aussi de cet avis pour Michèle Finck, puisque j’ai vérifié que quand on est
dans l’état de personnes qui sont dans l’erreur ou convaincues que l’être humain
doit se comporter en écrasant les autres, en faisant la guerre, comme en croyant
que les êtres humains sont des ennemis, on aura peur des autres, bien qu’on ait
reçu des preuves que ceux-ci ne sont qu’à l’origine de l’ensemble des solutions
élégantes trouvées qui permettent à l’Ensemble de vivre (ne
serait-ce qu’en raison de ma dictée de
Christine normalement devait être la mère d’une famille que nous aurions pu
constituer si nous n’avions pas été contraint à la sacrifier entièrement avec la
descendance (donc la
pyramide dont j’espérais être le père – cela ne m’a pas empêché de faire
construire celle du Louvres qui témoignera à jamais de ce sacrifice y compris de
la pyramide que mon frère devait avoir avec S. A. I. SSS Dame Katriona Munth)
en raison de cette séparation, pour permettre peut-être un jour, à certaine
personne d’avoir le bonheur de comprendre[23],
à nôtre place, le sens de l’aAnneau et ce que sont comme virtualité les bébés
élevés dans des conditions acceptables, propices à permettre leur évolution
telle que nous l’avons comprise nous-mêmes quand nous étions bébés jusqu’à
l’année 2005 (1965)
où, las d’attendre, je me suis mis à penser et à réfléchir au point de faire
intervenir le futur avant même d’y être et par conséquent d’avoir pu prendre
d’avance en une fraction de seconde et peut-être moins que cela, connaissance de
ce que j’ai eu (mais aussi l’ensemble) à vivre, chaque jour, jusqu’à 2005 et les
années suivantes. A partir des années 1965, j’ai remonté d'avance le temps, tous les
jours, pendant les années, qui ont permis qu’on m’entende de loin, y compris en
1975.
Le
sacrifice de nos enfants légitimes, que nous n’avons pas pu mettre au monde,
signifiait, forcément, qu’en sacrifiant nous devions nous séparer, en ayant
finalement le bonheur d’avoir pu contribuer aux progrès nombreux comme en ayant
pu permettre, par contre, à de nombreuses personnes de connaître à notre place
le bonheur d’avoir une famille et d’avoir à s’occuper de la croissance de chacun
des enfants et assister à leurs changements à l’intérieure d’une époque qui a,
elle aussi, changé beaucoup, en raison d’une expression: l’« électronique et
l’informatiques et ses corollaires » lancée à travers le temps par mes soins.
Mais aussi, il y avait un problème qui concerne tous ceux qui depuis des
millénaires se sacrifient et dont les autres profitent. Il nous a semblé
légitime qu’en raison de ce qui avait été fait par ces personnes qui ont
continuellement été de celles qui ont sauvé les sciences et la transmission de
celles-ci par les biais universitaires ou scolaires, nous avions à devoir nous
solidariser avec eux puisqu’il est évident que les autres n’ont pas le droit de
profiter d’autant de générosité en se servant d’une salle des machines pour
espionner ou être à convaincre d’inepties à travers elle quand il n’y a que
d’admirables catégories ou logiques dont on sera rapidement au courant grâce à
ces personnes entrées dans ces logiques stoïques qui offrent tant de progrès
possibles (en effet, ces
personnes ayant renoncé à s’avilir dans des égoïsmes animaux ou préhistoriques
sont donc à vous ouvrir la porte vers des façons assez belles d’être : soit des
manières de fonctionner qui mirent des millénaires à devenir des réalités).
Ce
sacrifice ayant pour objectif aussi que l’ensemble prennent enfin conscience de
ce que peut être un aAnneau pour des enfants qui ne font pas semblant d’être
scolarisés et de découvrir le monde qui les entoure, en raison qu’ils sont les
enfants de personnes « assises », lettrées, instruites, s’étant attendues avant
de décider d’un projet familial, etc.
On
espère qu’elles vont donc lire la réalité avec de nombreux niveaux de lecture et
quand ils font un rond avec l’aide d’un compas à l’école, cela leur donne
matière à penser comme à relier à l’anneau de fiançailles de leur mère, de leur
sœur, de leur tante, de leur grand-mère ou de leur grand-père. Il a fallu qu’un
jour la conscience de l’anneau vienne à l’esprit d’une personne, ce qui créa un
aAuteur. C’est donc la conscience (ou
l’Esprit-Saint) qui est l’auteur.
La
réalité a un véritable sens pour ces enfants qui grandissent et se préparent
religieusement à des sacrements, mais aussi à retrouver la complémentarité
perdue, ce qui, en général, va les amener à se marier « en vérité » et en
comprenant que la vie c’est sérieux, y compris leurs futurs enfants.
J’ai pu montrer comment celle-ci devient vite incompréhensible, au point de
devenir comme perdu ou plus ou moins un clochard, au point de vivre comme un
minable et cela dès qu’on s’est autorisé à être volage comme un don Juan, bien
qu’à d’autres moments j’ai fait de sérieux efforts, mais j’ai pu vérifier qu’on
peut avoir de très mauvaises pensées, au point de devenir « l’ombre de
soi-même », de perdre toute ou en partie son intelligence (je
l’avais déjà démontré entre 1973 et 1975)
donc de ne plus avoir la parole (alors
que je l’avais autant eu). D’où que j’ai une
autre fois démontré la nécessité sur le long terme (donc
en raison des descendants) des étapes
religieuses liées à ces sacrements qui sont donc garants de la possibilité de
s’humaniser au lieu du contraire (ce
qui est néfaste) – appartenir à un socle
commun de textes et de valeurs ayant permis aux avancées de la civilisation
d’advenir et d'éviter les réincarnations malheureuses.
Ce
qu’il y a de certain c’est que ces sacrifices ne sont pas des choses naturelles
(loin de là !)
et il y a des conséquences très graves qui nous attendent, car pour réaliser
cette époque-ci, il y a de nombreuses personnes qui ont été sacrifiée très
injustement ou qui ont eu à sacrifier leurs descendants (cela
n’est pas juste et n’est pas acceptables quand on y songe fraternellement et
pourtant s’est en invoquant ce mot qu’ils le firent et ont permis siècle après
siècle de transmettre les écritures saintes et la possibilité d’accéder à
l’esprit pour les commenter et en tirer les substantifiques sèves pour mieux
nous conseiller).
Cette « à première vue » prospérité générale a donc pour socle ces injustices et
des souffrances en réalité inconcevables mais surtout inimaginables pour ceux
qui ne soupçonnent naturellement pas qu’elles soient choisies en âme et
conscience pour le bien de tous.
Il
est normal, que face à tant d’ineptie (celle
de ceux qui profitent des progrès qui ne furent possibles que grâce à ces
sacrifices), le Grand Architecte de
l’Univers, veuille vérifier si cela peut continuer, au moins parce qu’il y a
quelques personnes justes sur un ensemble qui, malgré les progrès, a choisi de
continuer à se détériorer et d’être à l’origine des malheurs différents mais
aussi de ces personnes qui, en plus, n’ont fait que souhaiter, comme donner les
moyens, pour réussir à sortir de la misère spirituelle à des gens dont on est
cependant en droit d’espérer pour eux qu’ils auront une descendance qui fera
honneur non seulement à leur famille, mais à ces personnes qui ont pu réussir à
créer ces conditions acceptables et plus confortables par philanthropie (la
fondation trois petits points : …),
un mot qui bien qu’il qualifie justement un grand nombre de personnalités qui
sont passées par cette planète en réalisant cet objectif, ne peut pas être bien
compris par ceux qui sont dans des états d’esprit plus égoïstes ou encore
mensongés, sauf quand Billy Wilder va le montrer possible, grâce à Marylin
Monroe qui est magnifiquement dirigée dans ce film avec ces bandits soudain
philanthropes pour leurs veuves et leurs orphelins, vers la fin de
Certains l’aiment
chaud (Some like it Hot)[24],
sorti en 1959. Il y a donc de la charité chez les bandits et une forme
indéniable de fraternité, comme celle-ci existe aussi à l’intérieur d’une même
espèce. Aussi nous avons ici comme l’existence de clubs liés à des entre-aides
ayant induit des fidélités sur la base d’idées pas toujours justes ou même sur
des points de départ faux.
Notre sacrifice de notre séparation est bien moins affreux que ceux qui ont été
exigé par la force (ici
au mauvais sens de ce mot, celle des abrutis, des violents ou des méchants)
des ignorants ayant perdu ce qui leur restait d’humanité, en séparant des femmes
d’hommes mariés ou fiancés, y compris des enfants, dans les inconcevables camps
de concentrations et nous avons donc pu comprendre dans nôtre chair ce qu’ont
éprouvé, à de nombreuses reprises, des gens qui ont dû se séparer, en raison de
situations qui ont exigé d’eux ce qui est proprement inconcevable, y compris
pour des enfants qui se savent promis l’un à l’autre, dans un système qui exige
de la bonne volonté pour le gérer et aller de l’avant grâce à la fidélité en des
amitiés reposant sur la beauté de textes véritables.
Nous avons donc à remercier ceux qui se sont permis de nous faire comprendre de
l’intérieur ce que pour l’instant ils n’ont pas encore bien compris eux-mêmes (à
moins d’avoir eu des morts ou des disparus amis qui auraient compté pour eux –
c’est ici ce qui fait se comprendre mutuellement),
étant donné qu’ils se sont rendus imperméables à l’existence de l’amour avec un
grand A (car ils se
conduisent en enfants-gâtés à cause de cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch dont ils sont
assurés (au lieu de CFP)
ce qui leur fait connaître la sexualité sur un jour qui n’est pas réaliste et
qui les empêche de connaître l’Amour véritable)
autrement qu’uniquement vu pour répondre à des exigences physiques égoïstes
rapidement à créer la voracité à ce sujet et à vous faire oublier que vous
pourriez servir autrement que seulement sur un plan qui ne pourrait être fertile
que s’il n’amenait pas à occulter ou se fermer à toutes les catégories et les
disciplines qui pourtant sont les seules à permettre avec celle de la sexualité
sous le signe de l’Amour à la barque du monde de voguer.
Sur d’autres niveaux de lecture ils ont voulu se spécialiser en matières ou
catégories érotiques et pornographiques avec le corollaire (pour encourager ces
égoïsmes et se moquer de ceux qui conscients de ce que les réalités exigent
sacrifient cet égoïsme au profit du générosité plus difficile d’accès que ces
immédiats plaisirs charnels, ce qui nous ramène à
Nous espérions, par ces étapes (1965-fin
1971; 1975 à 2005 et enfin de 2005 à nos jours)
que les habitants de la terre puissent avoir envie de cesser de chercher à
casser les plus belles histoires d’aAmour et cela pour différentes raisons ou
par jalousie comme par incapacité de sortir chacun du rôle de
Mais nous avons pu totalement redevenir nous-mêmes, c'est-à-dire digne de ce que
l’ensemble des princes et des rois des temps passés ont érigé, en étant
cependant contraint à cela par nous-mêmes, étant donné qu’il fallait créer de la
richesse pour payer des sujets (en CFP) qui ont, au fil des siècles, eu de
véritables besoins.
Michèle Finck a plusieurs personnalités et nous sommes certains que si elle est
devenue à certains moments la « bête », c’est aussi un peu à cause de nous et
pas seulement parce que la vieille salle des machines lui a présenté celui qui a
été contraint, à partir de 1978, en raison de son amnésie, de devenir la
« bête », et nous lui avons montré, que grâce à elle, et à sa gentillesse, à de
nombreuses reprises, nous sommes redevenus, ce qu’elle pourrait devenir à son
tour, et cela grâce à l’amour de Christine…Lang et du mien retrouvé comme à
l’époque de nôtre enfance, étant donné qu’elle a pu se rendre compte
qu’effectivement il se pourrait qu’elle ait été l’objet de malversations locales
et victime des apparences (c'est-à-dire des « à premières vues » qui me
concernaient durant la période pendant laquelle j’ai dû tomber de Charybdes en
Scylla et devenir à moitié, au moins cette « Bête », avant de la rencontrer.
Sans préméditation à ce sujet puisque j’ai eu l’amnésie que la bande en question
ne s’est pas gênée de m’espionner avoir à m’infliger et que j’avais évidemment
prévue quand je n’étais pas amnésique (à
l’occasion de mes apparitions virtuelles d’avance pour souligner la canonicité
du processus, puisque dans ce cas cela aurait signifié qu’on avait refusé que
j’ai le droit à plusieurs impératrices – ce qui n’est pas concevable car c’est
connu, un roi a le droit à plusieurs reines, d’autant plus que les pions le
seraient devenus).
Or, depuis 2010, j’ai compris qu’il s’agissait d’un sauvetage qui a été mis au
point par le Grand Architecte de l’Univers pour essayer de sauver Michèle Finck,
si elle souhaite enfin comprendre que Dieu l’aime malgré l’état dans lequel elle
est, (nous espérons
momentanément) et en ayant compris que c’est
certainement en espionnant l’ensemble de mes fautes (celles
que j’eus à m’infliger de faire pour être à son diapason en découvrant qu’elles
avaient été annoncées à l’avance à partir de 2005 notemment pour tenter d’éviter
les conséquences fâcheuses de celles-ci),
avant de la rencontrer et qui découlaient de mon état d’amnésique, par conséquent
se faisant de moi une idée « à première vue » (« il
faut se méfier des apparences » surtout quand on est de ceux qui veulent oublier
comment ce à quoi ils assistent a commencé – oublier la cause, c’est comme
rechercher à profiter de celui qui est dans l’erreur : ce n’est jamais honorable
– c’est même le contraire, c’est pécher contre la partie saine de l’être humain
– vous pouviez lui éviter de s’embourber et au lieu de l’avertir voilà que
celui-ci est dans des problèmes considérables – il n’y a donc que de nouvelles
preuves ici qu’il s’agissait de personnes non fraternelles ou fausses – elles
savaient quoi dire pour que la personne ne souffre plus, elles l’ont tu pour que
la personne souffre – cela est totalement l’inverse de la démarche médicale et
ressemble à de la vengeance sur une personne non seulement innocente mais
surtout à qui l’on devait tout le meilleur)
et en ne comprenant pas pourquoi celui qui a pris autant de goût que moi pour
« pécher » (dans l’état
d’amnésique dans lequel on m’avait réduit et un peu Minotaure sur les bords), était
donc contraint à se présenter à elle comme un pauvre diable et donc sans
tricher, se trouver dans un des grands épisodes, à partir d’une rencontre à un
âge relativement avancé, faisant partie de ceux de la « stratégie des mariages »
qui devait autrefois, dès 1965, mais aussi en 1975 autrement (si
les choses n’avaient pas tournées ainsi),
permettre les deux mariages, si l’Ensemble n’avait pas été ici prisonniers des
préjugés de l’époque à propos du mariage en Occident et de la
nécessité monogame, ce qui a contraint à cette amnésie mais aussi pour rendre le
sacrifice plus supportable à Christine.
Il
ne m’a donc pas été donné un autre choix que celui que nous vivons en ce moment
et qui me contraint à ces écritures au Pape, mais aussi à vous, Monsieur le
Président, étant donné qu’effectivement en 1965, nous (ma
génération) sommes en réalité à seulement
vingt années après la guerre (ce
qui pour nous, les bébés en ces années-là est un temps considérable long, car
c’est parfois l’âge de nos parents et ils sont, en général, rudement compétents
pour nous élever, même ceux nés en 1940-45).
Mais il faut souligner ici que c’est parce que Michèle Finck ne peut pas
comprendre alors (dans
cette région de Strasbourg issue de l’éprouvante histoire locale)
comment on devient une véritable princesse, alors qu’on est devenue une
« bête », peut-être parce qu’on a été certaine que l’autre l’était, d’autant
plus qu’on dispose de la vieille salle des machines pour rappeler l’ensemble des
fois où on a été certaine à première vue que l’autre s’est conduit en salaud (puisqu’il
était insouciant, inconscient, irresponsable, enfant-gâté, profane mais
amnésique à cause de l’origine du processus, soit ce point de départ qu’en
oubliant, comme on oublierait comment un nuage s’est présenté dans le champ du
viseur d’une caméra, on ne pourra qu’être victime du processus de la
métamorphose en cours ou des actions auxquelles on se référera qui évidemment
n’auraient jamais eu lieu autrement – d’omettre le parcours et le point de
départ d’une transformation en salaud, c’est ne plus jamais donner de chance à
l’autre ou à ce nuage de redevenir un gentilhomme, puisqu’on ne le lui
rappellera pas – c’est bien ce qu’il fallait démontrer en démontrant que seule
l’auto-psychanalyse ou la psychanalyse peuvent vous aider à redevenir quelqu’un
de bien puisqu’il s’agit à travers ces sciences de soigner la mémoire d’une
personne convaincue qu’elle est autre chose que ce qu’elle est en réalité).
C’est normal, je ne pouvais que ne pas tricher et donc montrer sans rien savoir
du processus en cours comment on le devient, tricheur, petit à petit, d’autant
plus que pour pouvoir aimer M. F. en vérité, il fallait bien que je puisse
l’admirer et lui devoir ma métamorphose en celui que je suis depuis 1965 et de
nouveau depuis 1975 comme de nouveau encore depuis 2005, en réalité grâce à
Christine…Lang qui fut donc découverte être prioritaire et promise connue
d’avance à partir de ces dates-là et qui mérite donc comme dans les admirables
œuvres du théâtre classique amplement de me retrouver puisque c’est parce que ce
prétendu dieu m’a rappelé son existence (en
cela il fut véritable et conforme à l’idée de Dieu puisqu’il dévoila une chose
importante et véritable qu’il aurait pu cacher – aussi il y eut indéniablement
de l’honnêteté à mon sujet sur ce point (y
compris de la part de mon père qui pu vérifier que je ne savais rien de ce qui
s’était passé et que c’était bien lui et ce prétendu "dieu" qui était à l’origine
d’une situation qui ne faisait alors que [re]commencer, de mon point de vue pour
la première fois jusqu’au moment où j’aurais la preuve dans ma mémoire remise en
marche qu’on me voyait dans le ciel trente ans avant, la scène effectivement
inoubliable m’étant revenue en mémoire – comment était-ce même possible d’avoir
oublié un pareil évènement qui était si exceptionnel et extraordinaire que dès
que cela s’est matérialisé dans la réalité je me souvins effectivement du point
de vue que j’avais eu trente ans avant minuscule avec mes camarades de classe
face à cette immensité dans le ciel (ma personne) qui était apparue avec des
objets qui n’existaient pas à nôtre époque, dont une sorte de balle creuse qui
se déployait en structures colorée et se rétractait sur elle-même en étoile que
j’avais acheté pour mon fils ou ma fille d’avance et qui m’avait effectivement
fait ressembler à un magicien ? Pourtant ce ne sera pas avant ce moment-là que
je compris la situation et à cause de cela me revînt en mémoire la situation qui
était celle de nos parents et la nôtre d’écoliers en 1975 – aussi je compris
alors que nous étions avant le moment qui ferait que mon père devait être
confirmé comme pharaon puisque sinon il ne serait pas possible que je le trouve
pharaon après adolph hitler en 1995 quand j’y serais à cause que là où je
m’adressais autour de moi dans le studio j’avais eu la preuve que j’étais en
permanence vue trente années auparavant à partir de ce moment-là où j’étais
effectivement apparu au-dessus de la ville de Rome des années 1975, immense –
une situation si extraordinaire sur le plan dramatique qu’elle offrait en tout
cas la possibilité, grâce aux instruments dont je disposais autour de moi de
créer avec mon père un empereur qui disposerait des meilleures informations pour
gouverner la planète durant les années qui viendraient pour lesquelles je
comprenais que j’aurais à m’infliger une amnésie canonique et grâce à cela, sans
tricher, retrouver cet anneau que j’avais avec C. L. que je devais perdre comme
mes enfants pour ne pas me venger (puisque le christianisme comme ma mère me
l’avait déconseillé depuis l’enfance) sur M. F. qui était visiblement comme nous
tous la victime d’une situation causée par des personnes incapables de
comprendre que mon cas particulier d’empereur permettait plusieurs femmes
officielles dès 1965 ou 1975 comme solution élégante – et comme je compris que
rien n’avait commencé non plus en 1965, je dus intervenir à ce sujet aussi car
il faudrait que je puisse avoir l’enfance que j’avais eu à Rome pour sauver la
planète rétroactivement. J’étais prisonnier de la logique de ma situation
d’empereur après une abominable histoire ayant entre autre traumatisé l’Alsace –
je n’avais pas le choix : il fallait reconstruire l’Empire entièrement sur de
nouvelles bases qui seraient non plus l’armée mais les commerces et la monnaie
unique, la création d’un Marché Commun dont je transmettais l’idée à travers
l’espace-temps – aussi j’ai pu faire bénéficier le passé de tout ce que j’avais
appris durant mes années de formation universitaires mais pratiques, donc de mes
vérifications au sujet de la loi de la Quantité et de la Rareté comme de la
Concurrence et de l’Offre et la Demande et je compris que les armées n’étaient
qu’un gouffre financier de personnes n’ayant pas pris conscience que l’époque
n’était plus qu’aux commerces – en réalité un client dupé par des impératifs
industriels cyniques puisque les soldats morts n’étaient que des chiffres ou des
êtres humains utilisés comme chair à canon, ce qui était inadmissible dans
l’idée d’un empire mondial où les frontières, grâce aux ajustements économiques
pourraient progressivement tomber comme les barrières douanières entre les
régions de la zone euro – aussi s’était simplement une histoire de temps et ce
sacrifice permettrait d’éviter des guerres, de créer une confédération
européenne comme la Suisse en seulement trente ou cinquante ans malgré la taille
et surtout une confédération de confédérations pour la réalisation de l’Empire
sur le modèle économique américain ou helvétique ou capitaliste qui s’était
révélé le plus soucieux des réalités particulières, individuelles, des
différences – le commerce, l’économie étant ce qui fondait les relations
humaines, donc la religion comme l’armée n’étant plus qu’au service de cette
notion qui parce qu’elle était mondialement la réalité quotidienne impliquait
que les conflits nationalistes cessent, au profit d’une sorte d’armée de métier
qui est en réalité un gendarme international, même si localement appelé du nom
du pays – d’où l’amitié possible entre les généraux de tous les pays et
l’importance des organisations internationales de défense ou comme l’ONU
puisqu’elles sont en réalité au service de l’ordre et veillent à ce que les
jeunes ne s’entretuent pas ou à les occuper durant les journées à des activités
qui sont diverses et qui permettent de progresser dans les études pour les plus
brillants officiers – en réalité une sorte d’école spécialisée sur des activités
plus physiques qui font des personnes souvent en bonne santé ou sportives – en
fait il s’agit de personnes qui permettent aux commerçants de survivre
puisqu’ils représentent des besoins quotidiens. En réalité il s’agit de
consommateurs donc de quantité pour lesquelles il faut prévoir en économes des
quantités de produits – ils se préparent à des guerres qui n’existeraient pas si
la vieille salle des machines était comme à l’origine de tous et à tous – ils
représentent chacun une perte colossale d’énergies physiques qui pourraient être
employées, par exemple, dans la construction ou dans le secteur industriel,
puisque les ouvriers ou les travailleurs manuels sont comme des soldats – au
lieu de cela, ils s’entraînent pour se battre contre des personnes qui sont
scencées être sur un autre plan comme leurs frères et surtout y sont menés en
raison de ce qu’une mise à jour de la situation internationale n’a pas été
effectuée localement ou rarement (ils vivent donc selon des schémas qui sont en
décalage par rapport aux réalités de l’époque) – donc sur des présentations
anciennes des relations [antagonistes] existantes ou ayant existé entre les
nations devenues régions en relations commerciales entre elles à cause de la
facilité des transports motorisés au service de l’artisanat et de l’industrie
recherchant des marchés, c'est-à-dire des acheteurs disposant d’un pouvoir
d’achat pour écouler les productions, donc ces marchandises qui de toute
évidence auraient été offertes si le prix du baril de pétrole avait baissé au
lieu de monter – dès qu’on fait disparaître l’antagonisme ou qu’on s’aperçoit
que l’argument qui le fonde est fondé sur un fait qui réalité n’a peu
d’intérêt, on comprend que l’antagonisme n’existe qu’en raison de causes qu’il
convient de faire disparaître (dissiper
le malentendu, l’incompréhension)
ce qui est possible si on renonce à se venger et fait œuvre pédagogique alors
qu’effectivement si on n'avait pas de la religion on devrait tuer l’autre – mais
l’autre ne sait pas ou jamais pourquoi aux yeux de l’un ou l’autre, il vient de
se comporter d’une façon insupportable, déplaisante – c’est donc ce qu’il
pourrait découvrir un jour qui était à incriminer de ce point de vue
particulier, par conséquent c’est d’une certaine façon la connaissance ou le
savoir ou les sciences, du point de vue de celui qui n’en sachant que très peu
ou ce que le profane sait qui est forcément ici le coupable jusqu’au moment où
ce dernier comprendra enfin celui qui est convaincu d’être dans le vrai ou qui
était déplaisant – c’est ce qui est toujours arrivé au moment d’une théorie
révolutionnaires en chimie ou en physique – l’autre, ce mystère arrive avec un
nouveau concept qui remet en cause les certitudes qu’on avait (mais
à l’inverse le voilà à dire du mal de Victor Hugo jusqu’au moment où il comprend
son génie – alors pourquoi en disait-il du mal ? – il est donc celui qui a tué
cet auteur durant les temps où il en a pensé du mal comme il est celui qui a
crucifié le Christ, alors que celui-ci vous offre la chance de vous sauver.
C’est bien cela qui interdit d’être méchant envers des auteurs qu’on n’a pas
pris le soin de comprendre soi-même, avant de répéter en perroquet un bruit qui
court contre Victor Hugo ou un autre mot, une calomnie (rien de fondé en vérité)
à laquelle un de vos amis a cru et parce qu’il est vôtre ami, vous épousez sa
thèse ou sa position sans avoir cherché, grâce aux études et à l’indépendance
d’esprit que la scolarité permet d’obtenir/procure sur du long terme ou très
long terme à vérifier en quoi cette calomnie était vraie ou un mensonge ou
seulement se fondait sur un instant sorti d’un contexte plus vaste qui pourrait
vous prouver le contraire (victime d’à première vue, ne sachant à quel moment la
situation à laquelle vous assistez a commencé pour les personnes en cause, vous
prenez parti peut-être ou sûrement en vous trompant – l’affaire est toujours
plus complexe que ce qu’elle apparaît) – c’est pareil du mal que vous direz
des
prêtres en général, alors que parmi eux il y a eu tous les bienfaiteurs de
l’humanité – donc il s’agissait d’un moment d’un prêtre en particulier que vous
n’avez pas apprécié et non de l’ensemble – visiblement à ce moment-là ce curé
n’était pas le saint qu’il essaie d’être à d’autres moments, ce qui n’est
évidemment pas facile (le
demeurer dans la durée : préférer être fidèle à l’Atlantide des origines,
fraternelle, conseillant les êtres humains à éviter de pécher plutôt que les
inciter à cela – il y a plus de mérite à avoir choisi ce qui est le plus
difficile que de se laisser aller aux alcools et autres plaisirs qui vous feront
oublier vos devoirs envers vos semblables ou même vos enfants à l’état de
virtualité) – aussi vous étiez simplement mal tombé – une autre fois sera plus aimable, voire seulement
au bout de cinquante fois : insistez – il s’agit de gens qui ne sont que
préoccupés que de la mort et du passage vers l’au-delà. Ils sont continuellement
affectés de partout car la situation bloquée depuis des milliers d’années fait
souffrir constemment des gens qui étaient leurs amis ou pour lesquels ils
avaient de l’admiration et avec ils avaient compris ensemble des choses
essentielles en ayant éprouvé de véritables amitiés fondées sur des compétences
réelles – ils avaient donc une idée de la valeur des autres sur des faits ou des
actes ou des engagements tenus)
– et cela se produira dès qu’une personne est convaincue d’être le mot qui
représente un parti, un pays mais aussi une équipe – en effet, quand viendra
l’heure de la mort tout cela était bien ridicule – aussi il faut donc
reconnaître que chacun fait un peu semblant d’être la fonction qu’il a, mais
évidemment il y a ce qui n’est plus tolérable qui permet au moins de fonder son
action – aussi on ne peut agir que pour voir cesser ce qui est faux ou ce qui
n’est pas acceptable ou ce qu’on connaît de faux en soi-même – par exemple des
combats armés entre deux peuples – c’est ici que l’intervention humanitaire qui
est synonyme de descente de police est fondée légitimement : la séparation des
belligérants pour les contraindre à négocier civilement par les biais légaux,
par des accords écrits grâce à des personnes neutres mais intéressées à ce que
la paix advienne, en cessant d’en vouloir à l’autre à cause des morts ou des
blessés (cela a dégénéré
mais c’est du passé et il y a l’avenir),
en ne mélangeant pas les objectifs d’avec des ressentiments ou des lésions
personnelles – aux yeux de la collectivité ou de l’Ensemble vous venger serait
minable – il y a ce que l’autre représente comme objectif possible de changement
bon pour l’Ensemble et d’autre part ce qu’il est sur le plan personnel, ce qui
n’est pas ce qui en réalité importe autrement que pour tout le bon qui peut en
découler, mais ce dans quoi il peut s’insérer en devenant un partenaire
économique, commercial ou une force qui sera d’elle-même utile)
qu’on m’avait caché auparavant mais seulement connu à partir de ce moment de
2005, ce qui fut le fait majeur ou la pierre angulaire de mon changement radical
de comportement, car je me sus, dès ce moment-là, engagé et dans des devoirs de
fidélité envers C. L. dont en retrouvant la mémoire je compris qu’on avait eu à
perdre nos enfants à partir de 1975, tandis que tous se délectaient de nôtre
sacrifice et de ce que je prenne la Dictée Pharaonique en note pour effectuer
cette NNDIM – soit ce qui fut le pire des supplices infligé à un jeune homme qui
plus est pharaon à trois endroits dans le temps en même temps en le
contraignant, en raison d’acquis de conscience à s’infliger cela une autre fois
à lui-même – donc parce que je ne pouvais pas ignorer mon devoir d’empereur (scolarisé)
en pareille situation – c’est donc bien cette notion de « devoir » au sens des
grands classiques que je vérifiai exister effectivement ontologiquement et
indissolublement lié à cette conscience qui m’était revenue d’un seul coup dès
l’apparition de mon anneau immaculé à mon doigt (soit
le signal que j’attendais un enfant),
soit ce qui permet de prendre les décisions qui s’imposent dans une situation
précises en raison de l’Intérêt Général qui passe avant le sien puisque c’est
alors celui de la génération suivante pour laquelle comme toutes les autres
avant la nôtre, on aura à mourir, puisqu’il y a celle d’après et plus loin –
j’étais donc, à cause de ce grand malheur qui se répétait mathématiquement une
autre fois devenu véritablement le petit souverain de 1965 que j’avais été au
sens de « père » qui doit se battre pour son fils ou sa fille – mais ce qui fut
horrible, c’est que je perdais ces enfants donc je ne me battais que pour le
principe ou en faisant comme si je devais être fidèle à la mère de ces enfants)
que j’ai accepté l’ensemble du parcours (infernal)
qui nous attendait[25],
alors que j’ai découvert en 2005 que j’étais depuis toujours dans ce studio[26],
dans ce cas de figure de la Création qui a été bloqué, donc à un [sacré[27]]
carrefour pour tous, qui n’est pas seulement sacré, mais en rapport avec les
multi catégories existantes, comme celles qui sont virtuelles, étant donné que
j’ai pu vérifier aussi que ma multi dimensionnalité et que ma taille sont dues à
ce que M. F. ne peut pas encore comprendre et qu’elle pourrait avoir une chance
de comprendre si, enfin, les clés de la vieille salle des machines comme du
variateur de la vision d’Atlantide nous étaient rendues, d’autant plus que
l’Ensemble a tout fait pour nous avoir comme empereur, car alors, elle pourrait
avoir de véritables chances de dissiper les malentendus qui ne lui ont pas
permis de comprendre ceux qui ne disposent pas des instruments de la vieille
salle des machines et elle pourrait enfin comprendre pourquoi je ne suis pas un
salaud (bien que j’ai dû
me mettre assez longtemps dans la peau d’un à moitié salaud et cela pour devoir
un jour vers 2005 à Michèle Finck de ne plus être cet « à moitié salaud » que
j’étais devenu pour réussir à l’aimer suffisamment de façon à pouvoir montrer
que c’était bien moi, qui, il y a quarante ans, et trente ans auparavant qui
était intervenu à travers le temps pour bien de très nombreuses choses d’Intérêt
Général en ayant à m’infliger la perte de mes enfants d’avec C. L. puisque je
découvrais soudain qu’M. F. ne pouvait pas comprendre dans quelles logiques sont
les familles aryennes au sens ancien ou véritable du terme et non celui qui fut
l’objet de calomnie ou de mensonges avec hitler – il ne s’agit pas avec elles de
menteurs mais uniquement de personnes penseur/concepteur, en légitime défense et
ayant pour mission de créer des emplois comme d’orchestrer/gérer la société –
elles ne sont plus de la main d’œuvre qui exécute mais uniquement de la
conception qui s’est infligé tous les maux pour rejoindre familialement ce monde
de la compréhension – il s’agit de
personnes qui sont donc de l’autre-côté du miroir et qui savent donc en une
fraction de seconde à quel stade de la maladie vous êtes et évidemment ils ne
vont pas accepter d’être embrassés ou touchés, car ils savent naturellement les
risques qu’on coure à cause des microbes – pourtant ils seront capables de vous
donner la main ou de vous embrasser pour vous soigner et surtout conviendront
entre eux des moments pour cela – voire seront capables de démonstration
d’affection, mais cela n’est nullement possible qu’en raison d’un rapport précis
à l’aArt).
Par conséquent c’est en raison d’un certain nombre de choses bien précises que
j’ai pu constater qu’il y a eu cette nécessité d’accepter l’amnésie pour me
laisser devenir un à moitié salaud pour réussir à avoir ensuite une chance
d’aimer véritablement Michèle Finck (qui
de son côté faisait des efforts pour comprendre des choses difficiles qui mènent
toujours dans la bonne voie) et parce que
pas longtemps après (à
l’échelle de
Si
j’ai aimé M. F. cela signifie que ce qui s’est passé avait été très dangereux
pour l’Empire, mais cela m’a permis de voir de nouveau avec des yeux véritables
et pas de ceux qui sont à moitié aimant et qu’on peut arnaquer quand on est une
jeune fille qui a été montée contre moi (ou
qui est hostile en raison de ce dont elle a été au courant à l’insu),
parce que peut-être victime d’avoir espionné de loin, à partir du moment où j’ai
été de nouveau amnésique et ne tenant plus compte de l’état anormal qui en avait
résulté (par rapport aux
temps où j’avais eu à démontrer mon attachement au stylo et à l’apprentissage de
l’écriture, donc du sérieux pour résoudre, grâce à cette Dictée de la NNDIM une
partie des problèmes) et a joué pour que
certaines de mes actions soient de celles qui m’ont amené à devenir à moitié un
salaud, ce qui pouvait donc rassurer certaines personnes de la vieille salle des
machines qui, en raison de mes actions et de mes péchés, étaient sûres que
j’allais les rejoindre et devenir pour toujours prisonniers avec elles de
l’ensemble des inepties et mensonges générés par toutes ces personnes qui sont
en fait rudement à plaindre (puisqu’elles
ignorent aAmour avec un grand « A », mais ne connaissent « amour » qu’avec ce
petit « a » qui va les rendre accrocs à des programmes érotiques les
encourageant ou les entretenant dans l’idée qu’elles aient à pécher selon les
canons admis ou qui résultent de la situation bloquée)
et pour lesquelles continue à aller notre compassion puisque ce qu’elles croient
des êtres humains qu’elles voient « à première vue » être, peut-être des
salauds, (comme ce
qu’elles sont devenues elles-mêmes), ne sont
peut-être que des stratégies matrimoniales (à
cause de la situation bloquée) et les très
grands nombres de tests que certains sont contraints de faire avant d’être
certains d’avoir trouvé la personne adéquate avec laquelle fonder une famille.
Donc non pas seulement pour se moquer de la personne car, en général, dans
d’autres cas (que celui
qui nous occupe), cela aboutit normalement à
des séparations, des ruptures de fiançailles, des divorces.
Donc cela devait me permettre de devenir à moitié « bête », donc de redevenir un
être humain un peu comme tout le monde[30]
dès le début de l’amnésie. C’est que la situation dans laquelle ce prétendu
« dieu » nous a mis en 1975, (bien
que j’ai conseillé que les clés de la vieille salle des machines reviennent à
ceux qui vivent et œuvrent en conscience, donc à ceux qui n’avaient pas accès à
ces gadgets de la vieille salle des machines, ni au variateur),
m’a contraint à dicter à travers Espace et Temps l’ensemble de
L’ensemble des interventions à travers le temps en raison de l’existence de
l’anneau véritable de mariage exigeait donc de créer les conditions pour que
celles-ci adviennent pour prévenir canoniquement en profitant en fait du
décalage que Nous avons eu à créer grâce à celles-ci et cela devait
[re]commencer parce que l’ensemble de ceux qui ont hérité de la vieille salle
des machines sont capables de faire des choses qu’on leur recommande / conseil de
ne surtout pas faire, comme par exemple de ne pas faire du mal aux animaux
végétariens et herbivores ou aux poules ou même sont capables d’assister à des
personnes qui s’infligent des amnésies sans rien faire ou dire pour leur
rappeler qu’ils n’étaient ni faunes ni satyre mais un dieu. Cela advînt à partir
de 1977-78 (ils font tout
pour désobéir ou pour s’autoriser ce qui est déconseillé ou judicieusement
interdit). C’est pourtant cette amnésie qui
allait me permettre de me mettre progressivement dans des états capables de
partager la détresse et la souffrance de M. F. , n’ayant jamais pu comprendre ce
que sont les vrais rois et les vraies reines comme les vraies princesses (bien
qu’à de nombreux moments j’ai pu croire et être même certain que Michèle Finck
était une vraie princesse (et
cela d’autant plus aujourd’hui que je sais qu’elle devait absolument être
trompée (dans l’Intérêt
Général passant avant l’intérêt particulier)
par celui que j’ai dû devenir progressivement en sortant de ma seconde victoire
de 1975 à 1977 (la NNDIM)
qu’on m’a fait cependant chère payer puisque cela a coûté le Sacrifice à
renouveler en raison de la séparation canonique d’avec Christine…Lang
de 1965 (le
premier) qui, encore une
fois, ayant été élevée dans un contexte aristocratique
(certainement impitoyable)
était une des seules capables d’accepter publiquement aussi officiellement notre
séparation sur ce mode sacrificiel en raison de ce qui s’est passé en Allemagne
dans la région qui est celle de sa famille ayant participé à la création de
l’Unité Allemande. Sa famille ayant été impliquée très fortement dans le
processus en question qui a malheureusement eu pour conséquence la guerre à
l’époque de Napoléon III et
Par conséquent, ce sacrifice s’inscrivait dans la logique de la création de
l’Union Européenne à Strasbourg puisque Christine …Lang représentait à l’époque
encore
Il
n’y a donc que quand j’ai retrouvé ma mémoire que j’ai compris qu’il y avait un
sens à tout cela et que je pouvais accepter dans l’Intérêt Général d’avoir à
revivre le sacrifice avec Christine (qui
allait débuter une autre fois à partir de 1978)
pour essayer de soigner Michèle Finck qui a bien pu vérifier elle-même qu’un « à
moitié crapaud » (même
devenu totalement crapaud au point qu’on lui ait montré Atlantide – puisque le
variateur a été hérité [ou est entre les mains] par les crapauds),
petit à petit, parce qu’il se met à aimer vraiment, redevient un prince
charmant.
Et
c’est donc possible pour elle qui, pour l’instant ne peut que difficilement
démordre des certitudes qu’elles s’est mise dans son crâne à mon sujet étant
donné qu’elle n’arrive pas à comprendre qu’un prince charmant cela ne peut plus
que passer son temps à tester (à
faire des expériences), à faire des
vérifications sur ses sujets pour savoir s’ils sont dans le vrai ou bien s’ils
sont partis de nouveau du côté du mensonge et des erreurs habituelles
prévisibles et ce que j’aimerai c’est qu’elle arrive à comprendre à quels
moments elle s’est dévoilée une princesse charmante et digne d’être une
impératrice.
Mais je lui ai promis de faire le maximum pour qu’elle puisse, à son tour,
retrouver le chemin de la vérité. Mais cela risque d’être très long car il
s’agit d’une femme (ce
qui est depuis pratiquement toujours assuré de CFP ou par les autres
financements) et il est à regretter que cela
aurait pu être bien plus court à faire dans les années 1965 et/ou dans les
années 1975 et c’est pourquoi, si elle veut avoir une chance de redevenir une
« vraie princesse » ou bien même une vraie impératrice, il faut qu’elle fasse
confiance et qu’elle collabore. D’abord en rendant la vieille salle des machines
et le variateur, comme en acceptant que la vieille salle des machines
appartienne, tant que l’ensemble de ceux qui y sont enfermés n’auront pas
retrouvé leur vraie identité (celle
perdue au profit d’une collective ou de personnes interchangeables ou presque
qui fonctionnent toutes pareillement), à
ceux qui ont gardé – en raison de leurs études faites en vérité et en conscience
- le sens des réalités (tous
les paramètres qui s’y rattachent) et
peuvent soigner et conseiller ceux qui ont perdu les capacités d’êtres humains
véritables qu’ils étaient pourtant au départ, c'est-à-dire pas seulement
sensibles et sensuels mais logiques, cosmiquement parlant, étant capables
d’organiser avec intelligence, et de prévoir à l’avance à court, à moyen et à
long terme l’ensemble des difficultés qu’induisent les chiffres ou les mots et
grâce à cela apprendre à ne pas se comporter en égoïstes, ce dont elle a eu des
preuves à son sujet de la part de ceux qui n’avaient pas eu accès à la salle des
machines, puisque Christine...Lang a accepté de perdre ses enfants et sur tout
de moi à ses côtés pendant de très nombreuses longues années à son profit –
puisque même devant C. L. (quand
l’Histoire nous a remis en face l’un de l’autre)
je ne savais plus rien d’elle et de moi, en étant donc devenu totalement un
autre. En sacrifiant sa jeunesse de jeune fille et de femme pour que Michèle
puisse avoir elle, qui n’a pas été élevée comme une vraie princesse (ce
qui a dû être à l’inverse son cas), ma
jeunesse (qui a été
sérieusement malmenée, en raison de l’amnésie dont j’ai été victime et de la
nécessité de démontrer de nouveau comment on devient un à moitié crapaud et
comment grâce à « amour » véritable on redevient un prince).
Nous devions donc nous séparer et vivre des parcours chacun d’entre nous qui
allaient mathématiquement aboutir à découvrir comment, progressivement, je me
suis retrouvé en chair et en os là où, dans le ciel, depuis au moins trente
années l’Ensemble m’avait vu et entendu (c’est
dire le prince que j’étais devenu en 1965 à l’âge de deux ans et demi à cause de
cette histoire qui avait eu lieu, en réalité entre ma naissance et les deux ans
et un mois mais qui recommençait! En effet en 1965 l’intervention depuis les
années 2005 commença et cela signifiait que tout avait eu lieu avant. Aussi
normalement j’aurais dû pouvoir partager ma chambre avec C. L. dès 1965 comme
avec M. F. – mais c’était difficile à expliquer pour un enfant non scolarisé et
surtout à des personnes convaincues de mots figés à propos du mariage au point
d’avoir des préjugés sur tellement de points que cela ne sert à rien de parler –
vous savez qu’ils croient avoir
raison et que vous avez tort – votre cas particulier doit s’adapter à ce qui est
convenu ou à la canonicité, c'est-à-dire à ce qu’on a déterminé être le mieux ou
le plus légitime – vous devez vous résigner à attendre de démontrer que vous
pensiez juste dès ce moment-là).
Donc, l’ensemble des adultes et des personnes âgées n’ont pas voulu renoncer en
1975-77, pour la seconde fois, à notre séparation, ni ne sont intervenus pour
nous conseiller de ne pas accepter ce sacrifice, y compris ce prétendu « Dieu »,
y compris mon père que j’avais pourtant confirmé dans son rôle de pharaon (c’est
ici la grave erreur qu’il fit, comme s’il ne voulait pas être cohérent avec tout
ce qui découle des enseignements philosophiques qu’il avait reçu ou même ce
qu’il avait dit à d’autres moments mais compte tenu qu’il était l’empereur après
le pire fou sanguinaire au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) mais handicapé qui ne s’était conduit qu’en enfant-gâté
ignorant au mauvais sens de ce mot, je ne pouvais qu’être admiratif de sa
situation la moins enviable au monde ou la plus difficile à vivre : être
contraint à devenir comme un criminel malgré qu’on ne soit que le plus honnête
des hommes : le cauchemar ou de quoi comprendre ce que peut-être la folie – mais
voilà une chose qui est bonne pour son grade : on se croyait un très
honnête
homme et on comprend qu’on aurait pu se comporter en criminel si on avait eu le
parcours de celui qui est devenu fou – d’où qu’on comprenne mieux les
raisonnements subjectifs et qu’on accepte un peu mieux l’inconscience).
J’ai vérifié entre 2005 et 2010 que j’ai demandé qu’on propose les clés comme la
vieille salle des machines et le variateur de la vision d’Atlantide à ceux qui
en ont été privé, ce qui a été peut-être fait entre 1975 et 1980 et dont je ne
sais rien, à cette heure-ci (10 heures
34, le 14 juin 2012 – je relis le 3 mai 2013 et le 31 juillet 2017).
J’ai demandé et conseillé plusieurs fois à la bande de ceux qui ont hérité de la
vieille salle des machines de le faire.
Si
j’ai les preuves que cela a été le cas cela signifie que j’ai été entendu à ce
sujet, mais j’ai dit aussi que les autres avaient le choix de les refuser (les
autres savent que je m’exprime aussi sous la forme de
tests puisque je m’exprime en multi
catégories) et ils ont peut-être cru avoir
de bonnes raisons pour les refuser alors que s’ils les avaient acceptées nous
serions depuis longtemps dans l’autre cas de figure de
Ils m’avaient petit à petit fait devenir à moitié un à moitié salaud et à moitié
inconscient avant que je ne rencontre M. F. et qu’en raison du fait que j’en
avais assez (à la fois de
ma façon de me comporter mais aussi de mon égoïsme)
j’ai alors fait « comme si » j’allais pouvoir faire de cette jeune fille ma
femme. C’est ici que j’ai démontré que cela peut marcher la méthode Coué.
Si
cela a tardé autant c’est que je n’avais plus le souvenir du traumatisme causé
par mon apparition dans le ciel de Rome, à partir de 1975, ni du Sacrifice car
j’étais devenu un profane et je ne me souvenais pas non plus que cela avait
correspondu à l’époque des préparatifs des mariages d’un de mes frères aînés et
de ma sœur aînée.
C’est pourquoi grâce à cet état dans lequel j’étais – obtenu grâce à l’amnésie
qui m’a permis de faire des choses de profane (sinon
cela n’aurait pas été possible en raison du milieu dont je venais et du
sacrement de Confirmation que je venais de recevoir)
nous avons vécu ensemble en « union libre » ou en « concubinage » non déclaré
comme à d’autres moments déclaré plusieurs années – ce que j’ai trouvé tout à
fait normal car j’étais un profane parmi les autres qui ne savait plus que les
mots signifient ou induisent des quantités de choses précisent qui s’inscrivent
dans des perspectives (aussi
ceux-ci, les mots, ne servent alors qu’à ce qu’on croit le mieux égoïstement au
mauvais sens de ce mot comme aussi au bon et non pas encore en vérité)
mais des mots que je trouve aussi tout à fait normal pour des personnes qui
souhaitent les utiliser sans être pour autant réduits à n’être que profanes.
Nous n’étions pas « mariés » (bien
que dans l’état de profane, comme on ne comprend pas/plus grand-chose, on croit
que fréquenter une personne d’un autre sexe c’est pareil)
et cela parce que j’étais devenu, en montrant comment, un « ignorant », un
« laïc », un « athée », un « profane », un « sacrilège » (en fait je ne savais
pas que cela devait être envers moi-même), et le corollaire des mots qui vont
avec mais ces mots dans le sens négatif qu’ils ont (ce
que j’avais déjà démontré, mais plus jeune, à partir de la fin 1971 à 1975,
c'est-à-dire en quatre années perdues entre l’âge de mes neuf ans et l’âge de
mes douze ans et demi) et Michèle Finck ne
m’a pas dit qu’elle était au courant de tout cela ni
de l’ensemble de mes péchés que je lui ai pourtant révélé progressivement
étant donné que plus je l’ai aimé plus j’ai eu confiance en elle et plus j’ai eu
des remords de m’être comporté dans différentes situation avant de la rencontrer
d’une façon qui n’était pas à mon honneur durant toute cette existence de
profane (quand j’étais
amnésique).
Mais Michèle Finck était en cela très compréhensive donc parce qu’elle n’y
voyait pas autant de mal que j’y savais y avoir été (car
ma conscience revenait au fur et à mesure que je prenais du plaisir à me donner
du mal à mes travaux) de plus en plus
princesse à mes yeux (mais
sans me dire ce qu’elle savait, donc en cachant la vérité ou en faisant durer un
jeu dans lequel elle était assurée d’avoir l’avantage ce qui en réalité l’a
déshonoré d’un seul coup à mes yeux dès que je l’appris quand je sus que C. L.
avait existé au point de me faire recommander dès 2005 à celui que j’étais
trente ans d’avoir à m’ingénier à contracter cette amnésie car un tel silence
n’était pas acceptable : elle avait fait semblant, tandis que moi pas du tout de
changer pour elle au point de me donner beaucoup de mal pour lui prouver que je
voulais en faire ma femme ou du moins confirmer mes fiançailles car je
comprenais que cette histoire pouvait finir par nous permettre d’attendre des
enfants) mais elle était devenue, comme
moi-même, totalement une « non croyante » ou plutôt dans l’impossibilité de
croire en Dieu ni même dans son fils Jésus Christ (cela
fait que nous étions devenus l’un et l’autre des profanes et l’ensemble des mots
qui vont avec – donc à n’y plus rien comprendre).
Mais nous avions des travaux à faire et à poursuivre et plus cela avançait vers
2000-2005, plus la question de Dieu s’est reposée à moi et bizarement dans le
langage il est devenu une référence qui s’imposait de lui-même au point de
m’interroger sur la langue elle-même en relation avec les peines considérables
que je m’étais infligées pour réussir à devenir compétent et donc dans l’espoir
de gagner des CFP pour pouvoir nourrir mes enfants – aussi cette notion de Dieu
véritable n’est possible qu’entre le père et le fils (d’où
le Saint-Esprit entre eux, comme un fil invisible)
ou comme si on devait avoir/attendre un fils ou une fille, ce qui explique
pourquoi les prêtres font le signe de la Croix en invoquant ces trois notions à
la messe (et comme je
comprenais cela d’une façon de plus en plus évidente, ce mot de Dieu devînt
intéressant au point que je me suis dit que j’avais peint son piano – mais ici
c’est en ne sachant encore rien à son sujet – des boutades et surtout en ayant
totalement oublié qu’il pouvait être Jésus Christ – en effet, il faut comprendre
que celui qui est devenu profane est réellement limité intellectuellement à
cause de tous les efforts qu’il a fait sexuellement qui l’ont fatigué).
Je ne savais plus que cette notion s’était posée vraiment autrefois pour moi
mais comme j’avais beaucoup travaillé et que j’ai commencé à aimer vraiment
Michèle, la question de la vérité s’est de nouveau imposée à moi (bien
que j’ai pu avoir en 1995 un certain nombre d’expériences de travaux importants
menés par mes soins, avant de devenir l’empereur que je fus après l’intervention
du Grand Architecte de l’Univers) d’autant
plus que mes intentions de me marier devenaient dès cette époque plus précises (d’une
hypothèse de travail à enfin jeter les bases pour la concrétiser).
Durant le déménagement en 2005 – un déménagement que j’ai fait en grande partie
moi-même (en ayant tout à
porter moi-même, alors que j’ai découvert après, durant la Dictée de
C’est bien l’amnésie de ce qui s’était passé (allait
se passer) entre 1975 et 1977 à Rome, avant
mon départ pour Berne, en Suisse qui était le point de départ de l’ensemble de
ma dégradation jusqu’à ma rencontre avec Michèle Finck (quel
soulagement de le découvrir : je n’avais donc jamais été un salaud : on m’avait
contraint à le devenir pour des raisons de légitime défense de mon anneau de
mariage avec C. L.). J’avais donc accompli
l’ensemble de mes travaux (d’Hercule)
comme des sortes de peines au Purgatoire (en
raison du fait que je m’étais [que j’allais] (m’) autoris(é)(r) du futur pour
les besoins de la cause à devenir profane),
du point de vue du vrai Dieu de toujours (ou
de celui qui est enseigné grâce aux textes saints),
puisqu’il m’était redevenu inconnu et que j’avais, en raison de l’amnésie,
recommencé à pécher (je ne savais pas que c’était pour faire comprendre comment
chacun des terriens était devenu artificiellement ainsi un pécheur – en raison
de l’amnésie de divers paramètres essentiels à l’heure des besoins engendrés par
la civilisation - car c’est bien l’amnésie dont chacun a fait l’objet qui a
conduit certains à pécher (donc
à mal agir ou contrairement à l’Intérêt Général)
et c’est pourquoi les terriens ont une très grande chance d’avoir parmi les
dieux anciens mais devenus traditionnels Jésus Christ, à partir d’une certaine
époque. (J’ai découvert
cela aussi moi-même, bien que je ne sois pas certains tout à fait que cela soit
seulement une chance puisque j’eus tant à devoir en souffrir pour le
confirmer/vérifier comme effectivement un recours exact pour l’une des
meilleures attitudes à avoir familialement, socialement, etc. ).
C’est pourquoi les divers sacrements institués progressivement en raison de
l’évolution de la situation générale par/de l’Église Catholique Apostolique
Romaine sont [dans certains cas] absolument essentiels et chacun d’entre eux
très véritables, y compris le pardon des péchés pour ceux qui les regretteront
vraiment et qui changent totalement (comme
Jean Valjean) après les avoir sincèrement et
honnêtement reconnus, en se sachant véritablement avoir été coupables, donc
indignes des mots comme simplement celui de « fraternité » - en réalité
effectivement méprisables.
C’est ce que j’ai été amené à vérifier entre la fin 1971 et la fin 1975 quand
j’avais fait les premières démonstrations (qui, en fait, étaient les secondes
car les premières démonstrations ont été faites entre ma naissance et 1965 (en
deux années), mais elles me sont revenues en
mémoire qu’après l’intervention de ce prétendu « Dieu » en 2005. Par conséquent
en 1972, j’ai commencé pendant plusieurs années à m’intéresser au « doute »
comme à l’antithèse, vis-à-vis de la religion locale à Rome en Italie et si
j’avais été croyant comme ma famille jusqu’à la fin 1971, j’ai commencé à ne
plus croire et même à mentir et à tricher et par conséquent à penser de façon
fausse, car j’avais obéit à celui que j’allais être à partir de 2005 : je devais
montrer comment, sans tricher, on devient une possible ordure locale à l’âge des
enfants (ce que je fis en devenant faune en ces "après-midis").
Heureusement, je ne le suis devenu cependant qu’à moitié et grâce à ma chienne,
j’ai compris une chose qui m’a fait revenir à celui que j’étais, en 1965, devenu
(en 1975),
ce qui a fait alors apparaître dans le ciel de Rome la virtualité de celui que
j’allais devenir à partir de 2005 quand, du point de vue de ce prétendu « dieu »[32],
comme du point de vue de Jésus Christ, j’étais de nouveau une
persona grata au Paradis,
c'est-à-dire parmi les saints et les martyrs (mais
à ce jour les profanes ignorent encore à quel point et pour quelles raisons bien
qu’ils en sachent que quelques points résumés),
étant donné que finalement l’ensemble des saints et des martyrs y compris –
c’est probable -
Donc, les grandes religions sont absolument fondamentales à étudier et à
transmettre comme chance pour la génération suivante, puisqu’il y a de très
nombreuses occasions de pécher et de « ne pas résister à des tentations » ou
simplement d’avoir envie d’oublier et donc à cause de cela de régresser ou
d’involuer.
C’est la situation générale qui était bloquée qui contraint à devoir à cause de
cela à « résister aux tentations » pour éviter la réincarnation qui va
correspondre alors à ce qu’on est devenu durant sa vie (il
s’agit donc de chances nouvelles qui ont été données à chacun de servir alors
autrement et de gagner des points ou bien d’en perdre au point par exemple de
devenir une lionne, ce qui est un animal très complexe à étudier et qui
s’attaque « à première vue » à plus faible qu’elle – c’est cet état d’esprit de
lâche qui n’est pas acceptable chez l’être humain car il n’est pas fraternel,
comme ne se peut pas entre adultes et petits êtres humains – profiter d’un
enfant c’est tricher sur la question essentielle de l’être humain).
Pour que la situation générale qui était bloquée puisse changer, il est
impératif, après l’ensemble de mes inspections, de mettre une fin à ce qui est à
l’origine de l’ensemble des malheurs de chacun d’entre nous, y compris des
animaux et c’est pourquoi il faut ici que ceux qui ont hérité de la vieille
salle des machines et du variateur fassent totalement confiance dans ceux qui
s’en sont privés et qui ont supporté depuis longtemps des injustices
inconcevables, alors qu’ils n’ont cherché qu’à donner l’exemple, bien conseiller
et à savoir ce que signifie de s’engager avec une autre personne pour fonder une
famille et cela à la fois d’une façon civile au point parfois, en raison de
cela, de le confirmer autrement sur le plan religieux. Aussi la société laïque
bien que dans l’ignorance parfois totale des faits ou étapes religieuses menant
à l’acquisition d’une véritable spiritualité doit accepter que ces dimensions
encore inconnues d’eux soient comprises ou induisent d’autres comportement que
les leurs. Ne pas le comprendre c’est être intolérant et contraindre en légitime
défense les moines ou les bonnes sœur à avoir le droit de tuer ou moins que cela
– en effet il n’y a que les forces de l’esprit qui soient fertiles ou capables
de résoudre les maladies à cause de raisonnement aussi logiques que toutes les
programmations logicielles.
Cette façon civile concerne la série des mots précédemment notés (laïcs,
athées ; etc.), dans leur sens négatif, qui
sont ceux qui désignent des personnes qui, à la longue, sont devenues
honnêtement incapables de comprendre les religions, Dieu, encore moins le Grand
Architecte de l’Univers, les sciences, etc. et qui ont préféré se mettre dans
des situations de « profanes » et d’« ignorants », par conséquent de « laïcs » (au
sens ancien du terme) parce que cela les
arrangeait et parce qu’ainsi ils pouvaient continuer à vivre dans le péché, en
faisant semblant de ne pas comprendre pourquoi c’est le cas à ces moments là et
donc en étant devenu à cause de cela impurs (du
point de vue de ceux qui accèdent à la nécessité des dentelles pour les baptêmes
ou les mariages) : il s’agit de ceux qui ont
cru alors que les autres, qui sont capables de comprendre les religions sans
tricher sont en fait incompréhensibles, voire des menteurs, alors qu’en réalité
d’aucune façon, puisqu’ils sont dans le monde de ceux qui ont compris même ce
qui est inscrit entre les lignes, dans les textes sacrés et ne les oublient
jamais dans les meilleurs conseils qui s’y trouvaient en comprenant pourquoi ils
ont été donnés de préférence comme des avertissements. En entendant ou en lisant
ces textes, ils les savent contenir aussi des vérités moins importantes ou
relatives (dont certaines sont même devenues des mensonges ou bien, en raison de
la situation générale, sont des phrases qui ont été profanées « à première
vue », sur lesquelles des générations plus loin ont été contraintes de revenir
dessus ou de les démontrer fausses, ce qui a eu pour effet d’avoir admiré
finalement des sacrilèges au sens premier ou de ceux-ci inscrits comme tels dans
la Bible comme le sont, par exemple l’ensemble des barrages – à l’aune de
l’interdiction de bon sens qui se trouve dans la Bible je devrais être lapidé et
mon père aussi puisque j’ai dicté une liste de très grands barrages qui ont été
fait au cours de ces années de la Nouvelle Nouvelle Donne, à partir de 1975 (aussi
je devrais être considéré comme sacrilège, puisque tous ceux construits dans le
monde entier dès cette date avec leur point de géo-localisation ont été transmis
par mes soins – évidemment tous savent qu’il s’agissait d’un bon conseil pour
l’époque et que le pharaon a le droit d’être sacrilège quand c’est pour un Bien
Général aussi important que l’enjeu électrique de la planète pour éviter les
pollutions autrement (trop
de consommation de charbon ou de pétrole)
– aussi les fondamentalistes ou ceux qui obéissent aux règlements à la lettre
(les fidèles au sens souvent très primaires ou ceux qui appliquent les
règlements car ils ne savent pas encore concevoir sont calmés par les modérés ou
par ceux qui ont du bon sens : on apprend à ces personnes à lire en raison de
contextes différents – d’où l’importance de la datation et des chiffres : ce qui
était vrai ne peut plus l’être dans ce domaine car les paramètres ont changé : la
démographie, les besoins énergétiques exigent en prévision de la consommation
mondiale la construction de barrage et des expropriations en bonne et dûe règles
(respectueuses et compensatrices) à ces fins – mais j’ai bien spécifié qu’il
fallait construire des chenaux pour les poissons - aussi la solution élégante
techniques n’avait pas été trouvé et on avait préféré par précaution interdire
les barrages – en effet quand on étudie la question cela peut à première vue
être nuisible si c’est mal fait ou si un ingénieur non compétent dirige
l’opération – ce qui sera la crainte des habitants localement).
En
effet, ceux qui ont inscrit des conseils, des vérités relatives à ce sujet, dans
Étant donné qu’on peut être pardonné par Dieu et/ou
par son fils Jésus-Christ des péchés commis (si
on en est réellement désolé ou malheureux),
c’est une raison qui me semble suffisante et qui serait bien normale de prendre
en compte pour que
le variateur de la vision d’Atlantide soit utilisé et remis
en fonction régulièrement selon le programme scientifiquement établi, par
exemple, depuis Saint-Pierre de Rome, s’il est possible de le faire marcher de
là-bas (ou alors de là où
il se trouve comme si c’était aussi à Saint-Pierre qu’on le devait – mais on le
devra à Saint-Paul et aux autres évangélistes).
Effectivement, c’est logique, à partir du moment où
c’est à Dieu comme à Jésus Christ qu’on doit de pouvoir avoir des chances de
revenir à des états d’esprits sains (rationnels
– dans le monde de la vérité) qui permettent
aussi de nous éviter de nous dégrader l’esprit et de nous faire commettre des
péchés nuisibles pour l’Ensemble, il faut rendre à César ce qui est à César, par
conséquent à Dieu ou/et à Jésus-Christ ce qui est effectivement leur mérite ou
leur appartient de droit puisque sans eux on risquerait de ne se comporter entre
nous qu’en vauriens, en menteurs, en tricheurs, en traîtres, en usurpateurs, en
profane, en sacrilèges, en incapables de penser logiquement, en pécheurs, etc.
par conséquent en responsables de l’ensemble des maladies, des incapacités, des
déserts à la fois ceux qui existent dans la réalité qui sont un peu comme un
miroir de ceux qui existent dans les êtres humains qui n’ont pas voulu essayer
de comprendre les raisons pour lesquelles les religions réussissent à maintenir,
par des rituels précis, ce qui est indispensable aux êtres humains : la pureté
des origines (qu’on
retrouve souvent autour d’une famille qui attend des enfants avec des CFP (donc
sur des mérites personnels, sans avoir triché) – d’où cette notion de crèche)
et garantissent la possibilité de retrouver le chemin de cette pureté, même si
on a été contraint, en raison de la situation générale qui était bloquée, par/de
faire des parenthèses dans l’impureté, par conséquent d’avoir eu l’expérience de
la souillure, de la condition de pécheurs, de tout ce qui a à voir avec ces
termes qui s’ajoutent à ceux de certains « athées », « laïcs », « ignorants »,
« profanes », « sacrilèges » et les corollaires, au sens négatif de ces mots,
car il y a le sens positif de ceux-ci, y compris pour les mots d’« impureté »,
« souillure », « tâche », « saleté », « ordure », « pourriture », etc. : à la
longue ces mots, quand on les analyse, par rapport à d’autres mots ont acquis un
sens positif, à de certaines occasions, car l’Ensemble s’est habitué à vivre
avec le monde de l’impureté comme avec le monde de la pureté, mais aussi avec
d’autres mondes qui vont avoir plus ou moins des rapports avec chacun de ces
mots de « pureté » et d’« impureté ».
Il faut comprendre pourquoi en Inde il y a les
« intouchables », les personnes « impures ». Elles constituent une réalité aussi
dans les autres pays bien que ceux-ci n'étant pas encore végétariens ne
possèdent pas beaucoup de purs.
Les clés rendues à Saint-Pierre, c'est-à-dire à une
institution qui a depuis des siècles la fonction de garantir la pureté des
sacrements administrés y compris ceux du mariage, cela changera la situation de
chacun puisque les vraies intentions de l’Église ne sont que bonnes et pures
dans l’Intérêt Général (pas
celle des infiltrés et des planqués dans l’Eglise qui de toute façon n’y sont
pas) : tolérante (sauf
ce qu’on ne peut pas tolérer après des milliers d’années de civilisation et de
preuves d’intelligences), elle ne cherche en
rien à nuire, mais à bien conseiller et à participer à la gestion de la
situation générale bloquée, parce qu’elle s’était chargée longtemps du rôle de
formateur, d’enseignante (c’est
à elle qu’on doit la première université).
Avant que les écoles deviennent laïques, c’était aux prêtres qu’incombait
l’enseignement. En raison des conséquences de
Cela n’empêche pas qu’il y ait une personne de
chacune des régions européenne pour être, à tour de rôle, le chef de l’Union
Européenne, comme devrait continuer longtemps encore qu’il y ait le chef des
Etats-Unis d’Amérique à la Maison Blanche, mais il faut comprendre que la
démographie dans chacun des éEtats des États-Unis a elle aussi augmenté et
nécessite localement, dans chacun des états des supers-fonctionnaires comme
gouverneurs qui sont en réalité comme des chef d’éEtats (j’ai
eu à transmettre la liste de leurs noms car j’avais les fiches et donc j'ai facilité
le travail localement). Cela signifie aussi
que les départements sont peuplés aujourd’hui proportionnellement comme
l’étaient les régions autrefois et donc un responsable d’un département cela
doit être au moins un super-fonctionnaire (c'est-à-dire
des personnes qui travaillent en conscience et qui connaissent les priorités
comme savent organiser, canton par canton, les activités qui vont des services
hospitaliers aux animations culturelles et sociales, durant les vacances d’été,
qui doivent être préparées longtemps à l’avance, comme simplement l’animation de
festival – c’est en réalité partout pareil mais avec plus ou moins d’atouts à
faire-valoir).
En fait les cantons qui sont formés par des
ensembles intercommunales, de communes qui travaillent déjà ensemble doivent
aussi être gérés par des super-fonctionnaires, c’est le cas des cantons en
Suisse qui sont, certains d’entre eux, un peu plus grand comme superficie que
les cantons français, mais il y a la démographie qui est ici plus ou moins
importantes en France, suivant les cantons Français.
Si tout cela marche, nous le devons à la
bureautique que j’ai fait développer par mon père en intervenant du futur,
c'est-à-dire aux progrès effectués grâce aux ingénieurs dans les domaines aussi
de la téléphonie, des fax, des ordinateurs, d’Internet : on le doit, donc aux
efforts dans le monde entier sur ces sujets puisque les composants de certains
appareils sont produits dans une entreprise qui est parfois de l’autre côté de
la planète de celle qui assemblera le produit finalement. Mais ce qui est très
inquiétant, c’est cette augmentation de la population et donc du nombre de
personnes dont vont être tenus comme responsables ceux qui ont des
responsabilités officielles localement.
Un chef d’État est contraint de cumuler avec sa vie
de famille des responsabilités importantes dans chacune des différentes
catégories des ministères de son pays, localement, par conséquent et qui
représentent les différents paramètres vitaux de chacun des individus y compris
de chacun de ses enfants et petits enfants virtuels qui sont ces bébés à quatre
pattes qui vont donc avoir à grandir chacun en fonction de son contexte social
de départ et qui sont scensés aller vers leur complémentarité y compris
sexuelle, mais comme il y a eu le
Problème, la cause du problème (l’occupation
de la vieille salle des machines par un groupe d’inconscients au détriment de
l’autre plus conscient), chacun s’est
retrouvé longtemps sans comprendre, sans disposer des facultés pour comprendre
ce qui s’est réellement passé et en fait cela s’est manifesté au même instant à
plusieurs endroits dans le temps et adolph hitler ne pouvait pas comprendre non
plus car il n’y a eu que le bouddha, il y a cinq mille ans qui a un peu compris.
Il est une des personnalités qui a résulté de la situation générale qui était
déjà bloquée à son époque et j’ai pu vérifier que si cela est bloqué s’est
peut-être à cause de Michèle Finck qui ne peut pas non plus elle aussi encore
comprendre (puisqu’il
faut pour cela être devenu totalement conscient – soit ce que permet sur du long
terme les découvertes scolaires ou universitaires)
et qui est dans l’état d’esprit d’une personne qui a des préjugés (bien
qu’elle s’en défende puisque la femme est en général celle qui est scensée en
avoir le moins – sauf que c’était elle qui voulait être la seule impératrice, ce
qui prouve qu’elle en avait) et qui est
forcément déçue que l’histoire est tournée comme cela, puisqu’elle a été
contrainte à croire à des inepties, comme je le lui ai montré, à partir de ma
nouvelle amnésie en 1978, et c’est pourquoi il va falloir procéder ici
canoniquement, de nouveau, car la situation est très grave.
Mais en raison d’un certain nombre de réactions que
Michèle a eu à certains moments, durant les années que nous avons vécu par
moment ensemble, je ne pouvais pas faire autrement que ce que j’ai fait, car
sinon elle réussissait à me tuer. C’est donc en légitime défense que j’ai été
contraint à dire quelques mensonges pour sauver ma peau. Mais je suis certain
que si elle pouvait découvrir enfin le monde de la vérité, elle comprendrait que
ce qu’elle n’a pas aimé en moi ne pouvait qu’advenir de cette façon, puisque
j’étais dans l’amnésie et que je ne pouvais pas alors imaginer qu’une histoire
pareille était en cours à nôtre sujet. J’ai donc eu des attitudes et des pensées
incohérentes, à certains moments insultantes à l’égard de Michèle et malgré cela
elle a été à de nombreux moments très patientes avec moi, qui ne savait pas
pourquoi j’étais devenu un égoïste, un mécréant, un laïque, un athée, un
ignorant, en étant écartelé à certains moment comme
dans
La nuit du chasseur[35].
Il y a donc bien des raisons valables pour que Michèle Finck n’ai pas réussi à
aimer le Laury Granier qui, en raison de plusieurs choses que Michèle Finck
avait fait ne pouvait pas, du moins dans un premier temps lui apparaître en
« prince charmant », quand nous nous sommes rencontrés « par hasard » (alors
qu’elle avait dès cet instant la possibilité de tout dire de ce qu’elle savait
de mon amnésie depuis 1975). C’est pourquoi,
j’ai été contraint de me présenter à elle en à moitié devenu, à mon insu (ce
que j’ai découvert depuis n’était pas vrai, car elle le savait),
« salaud », ce qui a fait que Michèle Finck était persuadée d’autant plus de
certaines de mes pensées qu’elle connaissait, à mon insu (ici
véritablement, et sans tricher, car je ne pouvais pas imaginer qu’elle connaisse
mes pensées en ayant accès à une salle des machines dont je ne savais pas
qu’elle existait), que j’en était un et elle
s’est donc comportée comme une jeune fille qui ne veut pas se faire arnaquer (ce
qui est compréhensible et même intelligent, et même souhaitable et même à
conseiller par des parents soucieux du bonheur de leur fille qui vivrait avec un
monstre qu’elle cherche à consoler dans sa nuit, comme dans
En 1980
moi je suis sur le chemin de redevenir « la bête », car Michèle et ses amis
m’ont rendu amnésique, ce qui est de leur point de vue une plaisanterie, mais
cela a eu des conséquences cosmiques, très graves et dont Michèle et ses amis
souffrent, car c’est parce qu’ils ont osé me faire vivre cela, malgré les
premières démonstrations, entre la fin 1971 et 1975, que cela a mal tourné dans
le passé, jusqu’au premier des pharaons, car c’est ainsi qu’ils ont inventé les
maladies, les incapacités, la vieillesse, les déserts et la mort. Par conséquent
ce n’est pas adolph hitler qui a inventé la mort et les maladies, mais des
personnes qui sont nées après
Dans les écritures sacrées, ce qui est gênant comme
peut paraître à première entendu comme mensongers ou incohérents « à première
vue »[36]
ce seront certains détails des textes de
Donc c’est alors (pour ainsi dire) compris
seulement par des spécialistes : ceux qui n’ont pas manqué de comprendre chacun
des mots dans l’ouverture qu’ils pourraient avoir vers d’autres mots qui en
raison de la phrase manquaient (car
le problème inhérent au langage c’est qu’il ne permet que de travailler sur une
chose à la fois bien que le mot de « tout » existe – (mais
aussitôt après on sera dans une nouvelle notion, à risquer d’oublier ce plan
d’ensemble, donc à zoomer sur le nouveau détail ou problème préoccupant, le « tout »
n’est plu mais l’objet de l’échange de mots qui n’était pas ce tout, mais une
partie ponctuelle ou particulière)
on est donc coincé dans le punctum et
souvent autour de lui, de sa localité (la catégorie) – cependant que parfois
celui-ci permet de passer d’une région du ciel à une autre ou d’une étoile à une
autre très distante, dans la même phrase, en ayant alors sauté de très
nombreuses étapes ou comme j’eus à démontrer que c’est possible à travers le
Temps et l’Espace, en intervenant d’avance en synchro entre 1965 et 2005 – aussi
c’est bien la preuve que les prévisions économiques sont véritables (sans
avoir besoin de faire ce que j’ai eu à démontrer, donc en étant le résultat de
l’instruction publique, de sa chaise à partir des paramètres qu’on doit prendre
en compte pour ça) quand
elles sont faites par des esprits scientifiques tenant compte des paramètres qui
sont comme des moteurs qui s’ajoutent permettant de rejoindre ces points ou
étoiles qui sont les résultats – le prophète n’est donc qu’un homme de science
exacte disposant de référents de bonne qualité auxquels son auditoire n’a pas
coutume de faire attention ou même n’a pas d’intérêt – il est celui qui se sert
en conscience de sa mémoire en tenant compte de tous les paramètres, comme un
ingénieur – c’est donc l’intellectuel dans toute sa splendeur, celui qui averti
car il sait les résultats d’avance comme s’il s’était déplacé en synchro avec
celui qu’il serait en tenant compte du temps et en raison des divers calculs
et/ou additions soustractions multiplication divisions et autre principes
mathématiques qu’il applique aux paramètres qui composent la réalité – mais
c’est un travail considérablement difficile et qui exige en permanence de ne
rien oublier ou alors de ne pas tenir compte des choses moins importantes pour
l’objectif de prévision – en réalité comme si on avait à tracer une ligne droite
ou comme si un vaisseau spatial comme dans Star Treck devait rejoindre un point
précis de l’Espace et du Temps – tout y est prévisible d’avance en fonction des
informations qu’on détient sur l’avancée de l’époque, le degré de scolarité des
personnes les plus instruites, etc. – évidemment cela risque de faire peur à
ceux qui sont dans la cécité ou la surdité ou la nuit cérébrale : ils ont devant
eux des personnes qui s’expliquent tout scientifiquement alors qu’ils n’ont
jamais été à l’école ou seulement pour se moquer des enseignants, c'est-à-dire
pour se moquer de la Connaissance véritable – ce qui était donc contre leur
intérêt et celui de leurs enfants y compris contre l’intérêt de ceux qui
arrivent en soucoupe volante qui ne la doive qu’aux sciences, comme ceux qui
disposent d’une mobylette ou d’une automobile ou d’une maison – rien n’aurait
été possible sans ceux qui connaissent les lois de la Quantité et de la Rareté
et toutes les autres qui concernent les commerces, donc sans l’écriture et les
calculs justement établis – par conséquent sans les CFP et non les cff, cfm, cfs, cfu
ou cfcch qui ne seront recherchés que par ceux qui sont dans l’obscurité cérébrale
ou dans le faux, donc hostiles à l’Etat véritable, par conséquent à eux-mêmes –
celui-ci n’existant qu’en raison de ce que la lumière et la vérité existe, ce
qui est incompatible avec l’esprit de dérision ou de fausseté ou de méchanceté –
en effet la lumière est une bonne / belle / bienfaisante chose et non une méchante
chose) et qui vont aussi les mettre dans
leur cerveau avec chacune des disciplines, des catégories qu’ils connaissent
dans leur vie quotidienne (les auditeurs, les « ouailles » de chacune des
religions sont par essence des comparatistes, des analystes, des penseurs, des
gens de réflexion. Mais parfois ces
moments qui posent problèmes ne peuvent être compris que de certains prêtres ou
initiés, des spécialistes, mais ici ils ne peuvent jamais rien révéler puisque
ces divers éléments « à première vue » incohérents, etc. vont contribuer à ce
qu’on appelle de leur point de vue le « mystère de la foi » (tandis
que dans l’assemblée il y a souvent ou parfois rarement ou même pas du tout une
personne qui comprendra, mais personne n’en sait rien – aussi l’appréciation de
ces textes constituent un cheminement personnel, quelque chose de très intime ou
de nature privé souvent difficiles à partager, en fait un peu comme quand on a
compris dans une des catégorie scolaire la raison d’être d’une règle de
grammaire ou d’un mot et que les autres n’ont pas compris – c’est en cela qu’il
y a un rapport direct avec le dieu de vérité)
et quand ils représentent des choses gênantes, l’assistance est capable de
comprendre que c’est inscrit ainsi parce que les clés d’Atlantide, comme du
Paradis perdu, n’ont pas encore été rendues au représentant de Saint-Pierre, le
Pape, à Rome, ou au représentants des rabbins ou du bouddha et des musulmans (ou
même seulement ou simplement à ma personne depuis 1965).
Donc ces personnes qui espionnent à ce sujet dans les synagogues, dans les
églises, dans les temples bouddhiques, chez les vrais musulmans, ne pourront
comprendre là où cela est incompréhensible, incohérent, à première vue même de leur
point de vue (mais on a
pu voir en note de fin de page, comment ils l’ont acquis autant faussé)
stupide, etc. que seulement après qu’ils se soient débarrassés chacun de
l’enfant-gâté au SNNPM[.] : au sens négatif
et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) en eux, c'est-à-dire de la cause même de leurs malheurs et du
malheur général : la vieille salle des machines et le variateur de la vision
d’Atlantide qui pourrait être restituée à l’ensemble suivant un programme précis
effectué par des personnes scientifiques qui ont appris à pardonner (quand
il y a véritablement regrets sincères) des
actes qui ont pour origine « l’ignorance » de l’existence des sphères (catégories)
sacrées en ce monde et qui donc ont à voir avec l’existence du Ciel dans lequel
je me suis retrouvé en 1975 (en
virtuel), avant même d’y être en chair et en
os, donc malgré moi : évidemment sans faire exprès, n’en sachant rien avant, et
cela en raison d’une histoire d’amour compliquée qui pourrait cependant
permettre (à cause de sa
complexité et des points géolocalisés[39]
où elle se situe) de commencer à restituer
la vision d’Atlantide, puisqu’il y a eu véritablement de l’amour entre les deux
camps, quand l’un d’entre les deux était malade d’une amnésie dont les
responsables sont en réalité dans le camp des profanes qui a essayé, à sa façon,
de « soigner » le camp de ceux qui n’ont pas accès à la vieille salle des
machines, en voulant les faire tous devenir profanes et en les détournant des
religions comme de leurs devoirs vis-à-vis des générations suivantes, voire pour
s’autoriser à tout faire sexuellement sans scrupules mais pour les conséquences
génétiques bien pire que désastreuses et en renonçant en cela au statut d’être
humain analysant en conscience et avec compassion pour se réduire ainsi à bien
peu de chose ou à celui d’animal local (minotaure)
dénué d’esprit !
Ceux de la vieille salle des machines qui ont comme activité l’espionnage (en
raison de leur peur totale des autres – souhaitent ainsi être comme avertis à
l’avance pour se préparer et pouvoir mieux « faire semblant » de trouver tout ce
qu’il vont avoir à découvrir dans un des travaux effectué à l’issu
d’incommensurables peines (comme
les symphonies de Beethoven)
normal car ils veulent se faire passer
pour des gentilshommes[40])
sont certainement abusés par des à-premièrevues comme aussi ils l’ont été
par l’ensemble de mes pensées dans l’état d’amnésique et de devenu ignorant de
la situation générale comme aussi qu’il existait la vieille salle des machines
et ses instruments. Par conséquent, j’étais inconscient de ce qui se jouait avec
ma personne, et donc ils savaient quand j’étais confiant à leur égard et quand
je me posais des questions, voire quand j’avais jugé des personnes en les
trouvant … ou … quand, en réalité si je les trouvais … ou … c’était parce que
j’avais été rendu amnésique par leurs agissements et que je ne les trouvais
qu’ainsi que parce que je n’étais plus moi-même dans le monde de la vérité qui
contraint souvent à les trouver autrement. Par conséquent cela signifie sinon
que j’aurais eu à leur égard d’autres pensées et si j’avais connu la situation
générale, je ne les aurais certainement pas fréquentées ou alors autrement, en
sachant qu’il s’agissait de malades de la situation générale et par conséquent
seulement en m’adressant à eux avec de la compassion, puisqu’il ne faut pas
avoir fait Normale Supérieure, à l’âge de deux ans et demi, pour comprendre
qu’il y a des personnes qui tout autour de vous vont mal, à cause de la
situation privée de la vision d’Atlantide et cela simplement du premier coup
d’œil, donc à cause de cela de personnes privées chacune intérieurement de
beauté / bonté et bienfaisance (soit
ce qui est admirablement révélé sur les murs d’Atlantide ou d’Ôz quand le
variateur est enclenché, au point de montrer cette beauté, bonté et ce bien
inhérent ou consubstantiel ou ontologiquement intrinsèquement lié à la Création
elle-même – ce qui se révèle dans toutes les véritables œuvres d’aArt).
Dans ce cas là on ne peut être que gentil avec ceux qui sont à l’origine de leur
propre malheur, comme du malheur général, d’autant que comme il s’agit de
méchants, ils auront ce qu’ils méritent (ces
réincarnations où ils n’auront à être que malheureux de ne plus appartenir à
l’espèce humaine capable d’être à l’origine de tant de bienfaits).
Il
fallait donc, à partir de 1965 au moins continuer jusqu’à ce que l’Ensemble
comprennent qu’il y a un véritable anneau qui concerne les individus de cette
planète et qui est le résultat de véritables sacrifices : non plus de ceux qui
utilisent des animaux, non plus de ceux qui ont été jusqu’à la mort de martyrs
et de saints, mais de ceux qui sont les plus difficiles à supporter, car cela
dure longtemps, comme dans ce cas où on se sait séparé de l’autre qui était
pourtant sa complémentarité et qui est vivant ailleurs, mais que la société, la
civilisation ne permet pas/plus d’approcher (en
réalité comme deux fiancés avant de [re]connaître auront été séparés)
et donc qui va empêcher des personnes qui s’aiment de connaître l’amour
autrement que spirituel (à
distance : l’amour de loin), puisqu’il y a
dans la tête de certaines personnes des règles précises et/ou des lois qui
n’existent que par prévention à cause des conséquences des rapports physiques en
dehors des liens du mariage (ou
qui seraient advenus avec des faunes, des satyres et des centaures)
ce qui était encore largement la façon de penser en 1965 et ce qui nous a
contraint de patienter physiquement et d’être fidèle bien qu’il y ait eu la
nécessité, à la fin 1971 de montrer comment on devient une personne à moitié
sans qualité (faune) et cela en seulement deux années dès l’âge d’environ neuf
ans - cela correspond à la lettre « V » (qui
se dit « vé » en français ou « vi » en italien)
majuscule vérifiée comme n’étant pas seulement utilisable dans les textes
profanes, mais surtout dans les textes sacrés (en
tout cas plus sérieux et souvent ennuyant ou menant au sommeil):
en effet j’ai été contraint de déchoir jusqu’à un moment qui m’a permis aussi de
vérifier l’existence de la lettre « A » majuscule à l’envers et/où je suis
remonté – d’où les pyramides que j’ai fait construire - pour atteindre 1975 un
moment, car j’avais à vérifier (puisque
l’Ensemble l’a souhaité) la lettre double
« vé » (« W ») et à partir de 1977[41],
j’ai donc descendu la seconde pente (puisque
j’étais scensé avoir descendu et remonté les deux premières au cours des
premières démonstrations appelées
après-midi d’un faune de pharaon SAI SSS H. T. et …
de 1970-71 à 1975) de ce « w » pour
arriver en bas, au fin fond de ce « w » étant donné qu’en 1995 c’est là-bas, au
fin fond de ce second « v » de ce « w » qu’on a voulu faire de moi
« l’empereur » (c’est à
cause de ce W que je fis faire la pyramide au centre du Louvres avec des
losanges mais aussi à cause de
la Momie à
Mi-Mots que j’aurais à réaliser) mais
j’ai eu ensuite à remonter la seconde pente de ce « w » jusqu’en haut (donc
de 1995 à 2005 d’où en raison de ce M et de ce W j’avais pu apparaître d’avance
trente ans avant, mais aussi quarante ans avant, car en fait de ma naissance à
1965, j’avais réussi à vérifier cosmiquement et universellement que ce W et ce M
étaient bien autant que cela en service sur cette planète pour me permettre de
sauver la situation mondiale grâce à ma promise qui venait de naître : la notion
de losange existait et même seulement de facette de la bague de fiançaille de ma
maman – elle ne m’avait donc pas menti ou n’allait pas me mentir quand elle
prétendrait qu’elle avait été fiancée au préalable : d’où que j’eus à confirmer
son mariage : il était bien véritable puisque j’avais eu à compter tous les
losanges existant dans tous les univers y compris les minuscules des grains de
sables d’avance pour qu’elle comprennent qu’elle était bien légitimement ma
mère : une intellectuelle comme moi). Et
comme je l’avais déjà fait une fois entre ma naissance et l’année 1965, cela
s’est donc passé trois fois, ce qui explique les trois « w » des adresses
Internet, car j’ai pu vérifier aussi l’ensemble des lettres et des signes grâce
à ce parcours qui s’était déroulé une première fois plus rapidement qu’un simple
« clic » de souris étant donné, vers la fin 1965, que j’avais déjà vérifié et
tout pris en compte (donc
aussi les triangles de chacune des particules qu’on représente parfois grâce à
ce truchement) puisque j’avais fait entendre
ma virtualité dans le futur, dans ce cas de figure de la création qui était
bloquée et dont évidemment tous était victime.
C’est pourquoi je trépignai d’impatience dans mon lit de bébé étant donné que je
ne comprenais pas que les gens qui m’entouraient ne comprennent pas qu’ils
devaient me rendre la vieille salle des machines, car il existait un cas de
figure qui n’aurait pas exigé que chacun d’entre nous contribue d’une façon ou
d’une autre à créer le réseau Internet, car celui-ci existait depuis toujours
parachevé dans le cas de figure de
Il
est regrettable que nous ayons tous eu des peines difficiles, alors que nous
aurions pu rejoindre
D’autre part les architectes comme les ouvriers comme chacun des métiers
seraient depuis longtemps dans le monde en question en ayant d’autres activités
si napoléon n’avait pas fait en réalité semblant de capituler, puisqu’il n’a pas
rendu les clés (il s’est
donc rendu pour berner et continuer à tricher en enfant-gâté).
Par conséquent, il a voulu continuer à tricher comme adolph hitler après la
Seconde Guerre mondiale.
Quand on comprend pourquoi on n’a pas le droit de sacrifier un enfant, comme
Abraham l’a naturellement compris avec l’évidence de celui qui comprend que Dieu
est entrain de lui faire un test pour
s’assurer de sa fidélité, en lui faisant par la même occasion comprendre qu’il a
horreur des sacrifices, y compris des animaux bien qu’il comprenne qu’Abraham
est une personne qui vit dans un contexte ancien, très éloigné des connaissances
scientifiques électroniquement exactes de nôtre époque, ce qui explique pourquoi
il lui fait trouver, pas loin, sur le chemin, l’alternative ou un animal à
sacrifier, d’autant plus, qu’à l’époque c’est encore le temps de la chasse et
donc des animaux à chasser, comme il y aussi les animaux à élever et Abraham
comprend que Dieu souhaite qu’il puisse avoir l’aide de son fils quand il sera
âgé, par conséquent Dieu (ou
l’Univers – ce qui sera synonyme ici) est
une personne intelligente qui veut le bien des peuples et qui ne considère pas
fréquentable ceux qui, malgré l’ensemble des possibilités de sortir de
l’« ignorance », préfèrent continuer à évoluer vers des états de désert
ambulants (sur le plan de
la pensée, donc des incapacités – l’incompétence),
comme l’ont été toutes les sociétés d’anthropophages (en
effet, cela insuit qu’il s’agissait de personnes non respectueuses d’eux-mêmes
puisqu’être humains) ou toutes celles qui
croient pouvoir assister à un sacrifice humain, ce qui revient au même : c’est
sacrilège.
J’ai donc été contraint d’être fidèle à ma promise, en dehors de la parenthèse
où j’ai montré comment on peut se dégrader, jusqu’au jour de la première
rencontre avec la dite « promise », puisque ma « doublure », dans le ciel, était
enchanté pour moi d’avoir enfin retrouvé « sa promise » et avec sa mémoire (après
la première salve de Démonstrations … ), pas
seulement à partir de 1965, mais à partir de 1975 et 2005, en découvrant que
c’est parce que j’avais perdu la mémoire que je me suis mal conduit à certains
moments (donc ce n’est
pas de ma faute, car en 1965 comme en 1966, moi j’étais déjà fidèle à celle dont
on avait entendu le nom, mais que je n’avais pas réussi à retenir – j’étais trop
petit) et cela signifie aussi que chacun de
ceux qui sont devenus des menteurs, des tricheurs, etc. ne le sont devenus que
parce qu’ils ont été faits par des personnes ayant violé leur droits, puisque
celles-ci n’arrivent pas à comprendre pourquoi on n’a pas le droit de faire
certaines choses et par conséquent, en inconscients, se permettent de faire des
choses que la situation générale, qui était/est bloquée, dans la logique même
dans laquelle elle se trouve, ne permet vraiment pas à ces idées de se
concrétisées sans dommages, car il va y avoir alors des conséquences graves,
d’autant plus de la cohérence de l’époque, ce qui explique pourquoi il y a des
gens qui ont la charge de surveiller et de protéger l’enfance des enfants qui,
en raison de la situation qui était bloquée sont forcément promis à des
complémentarités quand ils seront en âge d’être indépendants financièrement pour
connaître l’amour, puisque le partenaire aura fait pareil : se sera rendu lui
aussi indépendant financièrement et donc, le cas échéant, capable d’avoir, avec
la complémentarité en question, la possibilité de connaître l’amour bâtisseur,
l’amour constructeur, l’amour qui peut changer le monde et le rendre plus juste.
En effet, la plupart des habitants de cette planète vivent dans des villes où
ils ont été menés à étudier. Ils savent qu’ils ne sont plus à l’époque des
cavernes où il n’y avait comme toute instruction que les peintures rupestres
comme à nôtre époque des posters sur
les murs des chambres. Ils savent qu’il a fallu énormément de temps pour réussir
à ce que l’architecture puisse prendre le relais des cavernes naturelles et donc
que l’être humain n’est pas seulement concerné par la sensualité ou la
sexualité. En effet, ce sont bien toutes les catégories dont celles liées aux
religions qui vont permettre que l’architecture nous abrite, donc de bâtir. Sans
les apprentissages scolaires ou particuliers dans les disciplines diverses
(positives) ou les métiers, point de bâtisseurs : des gens à la rue, la misère,
le malheur, etc. Le salut passe donc uniquement par les efforts liés à
l’Instruction ou par l’Ecole et ses dérivés.
Quand la vieille salle des machines opèrent pour rendre des gens amnésiques et
les transformer en porcs, elles est forcément à contrario du bon sens et entre
de mauvaises mains, en tout cas pas les bonnes et ce sont alors les enfants qui
sont malheureux car ils voient bien que cela ne ressemble pas à ce qu’ils ont
autour d’eux et qu’ils étudient à l’école : un grand nombre sont déçus et ils
sont très malheureux de découvrir, certains d’entre eux, qu’ils sont peut-être
le résultat de quelque chose qu’ils ne voudraient pas se permettre de faire
ainsi (puisqu’ils voient
bien qu’il existe un monde admirable que les sciences de l’art permet de
découvrir), puisqu’ils savent aimer
spirituellement ou ont fait parti de ceux qui ont accès à ces dimensions
spirituelles ou à ce qui mérite d’être admirer spirituellement (ce que j’ai cru,
monsieur le Président de République française, Monsieur François Hollande, vous
cherchez très justement à faire de nouveau éprouver au cours d’une époque dans
laquelle votre pays de France et quelques uns de vos compatriotes se sont
particulièrement relâchés dans leurs mœurs, ce qui signifie effectivement que le
temps est venu, en raison des leçons de l’histoire, de ce qu’on fasse un peu de
publicité à ce qui découle des plus beaux textes de morale et/ou des vertus dont
on n’a pu vérifier que l’acquisition de celles-ci sont nécessaires pour le
chemin long sur la Terre et qu’elles sont indubitablement fondatrices, sans
l’ombre d’un neutrino ou d’un électron de doute de chacune des grandes
civilisations. Certains enfants, en raison de leur contexte ont des doutes au
sujet du rôle de l’État étant donné qu’il y a autant d’opinions différentes à
son sujet qu’il y a eu de personnes dans le monde à en avoir une. Vous avez
amplement raison de penser qu’il y a autant de France différentes que de
français et on peut ajouter aussi autant de France que d’étranger l’ayant
parcourue, connue, chacun dans des situations différentes ou sur des dépliants
d’agence de voyages ou à l’occasion d’un moment qui les a concerné en
particulier. Évidemment, ce que nous disons ici est valable pour chacun des
autres pays reconnus par la « communauté internationale » à l’ONU.
Si
l’expression «
Ce
n’est pas parce qu’on est né dans un lieu, dans une localité qu’on est forcément
pour toujours lié à cette localité. Les joueurs de
football qui changent de club le
savent bien : ils appartiennent, (parfois) avant d’appartenir à leur pays, au
sport qui a été à l’origine de leur passion et surtout de leurs revenus (dont
ils savent qu’ils sont essentiels pour payer les différentes charges qu’ils ont
chacun). Les travailleurs émigrés qui
travaillent dans la construction, par exemple, appartiennent à un métier en fait
international et c’est pourquoi il faut faire un véritable travail à l’échelle
mondiale pour que l’ensemble des peuples qui n’ont pas pu créer des
« super-fonctionnaires » finissent par comprendre l’intérêt qu’ils auraient à ce
que des personnes, qui pourraient venir des pays qui forment ces fonctionnaires
les aide puisqu’ils sont avant tout devenues des spécialistes pour gérer des
situations n’importe où qui exigent ces formations difficiles, longues à
acquérir, représentant des investissements (financiers
et personnels) importants et pouvant
réellement proposés dans d’autres administrations qui étaient considérées « à
première vue » comme problématiques et en l’occurrence situées à l’étranger. Ces
régions réclament les nécessités de savoir-faire administratifs qui ont permis
de former des fonctionnaires précisément à cet effet, étant capables de
s’adapter à n’importe laquelle des régions du monde, d’autant plus que les
langues sont de moins en moins un obstacle, en raison de traductions
électroniques. C’est le sens, il me semble, de la « coopération » qui était un
service (presque)
diplomatique pour venir en aide à des pays en difficulté. Mais il y a le risque
que des calomnies anciennes et les malentendus causés par la colonisation et la
décolonisation circulent encore localement et que des personnes « ignorantes »,
au mauvais sens de ce mot et non au bon, ne veuillent pas comprendre qu’il
s’agit, avec ces gestionnaires, non pas d’étrangers mais de personnes simplement
au service de l’efficacité, en matière de gestion d’entreprise ou d’un canton ou
d’un département ou d’une région, voire d’un pays. On parlera injustement alors
de « tutelle » parce que les personnes sur place, peut-être, se croient capables
de gérer leur problème entre elles et ne veulent pas accepter des fonctionnaires
venant de l’extérieur que quand elles n’arrivent plus à gérer la situation ou
qu’elles sont devenues hors-les-lois ou des problèmes financiers pour les autres
régions. Et en plus la difficulté réside dans le fait que des personnes sur
place sont convaincues qu’elles peuvent faire aussi bien que ceux qui ont été
formés pour devenir des gestionnaires (appartenant à la nation ou au monde ou à
l’univers des fonctionnaires gestionnaires qui sont contraints partout de
fonctionner plus ou moins de la même façon. Cela peut faire comprendre pourquoi,
dans la marine marchande, par exemple, il y a des marins, nombreux, de
différentes nationalités à bord. (« Fluctuat
nec mergitur »). En fait, c’est parce que c’est un métier qui permet de se
déplacer entre des pays par voie de mer, mais c’est d’abord le métier de marin
et il est international, comme chacun des autres métiers. Chacun est devenu, en
raison de savoir-faire, avant même d’être une nationalité, un marin spécialiste
en cuisine, ou bien un steward (appartenant
au monde des stewards, normalement
des « intendants »). Alors comme vous
l’affirmez, il y a autant de France que de personnes qui en connaissent
l’existence et ce n’est pas parce qu’on est français que
Nous appartenons aussi
à la terre entière et une partie de nous, la tête, est dans le ciel car ce sont
nos pieds qui appartiennent aux diverses catégories de sols foulés par la
semelle de nos chaussures. Nous sommes donc en relation avec chacune des
catégories ou des espèces ou des races de choses différentes et forcément quand
nous avons une lettre inscrite sur du papier ou bien à l’écran nous appartenons
un instant à ce signe qui pour certains est lisible, compréhensible, mais pour
ceux qui sont à quatre pates, c’est encore difficile à lire, comme pour des
étrangers qui ont d’autres signes ou habitudes d’alphabet ou … différents. Pour
eux le signe en question ne pourra dire quelque chose que si on l’explique.
C’est pourquoi la jeunesse est capable de faire l’erreur de se préparer à la
guerre de façon quasiment continuelle, quand il s’agit de jeunes qui ont arrêté
leurs études trop tôt. Ils n’ont pas commencé à réfléchir sur les différentes
questions fondamentales que posent le mot de « relatif », de ce qui est
« relatif » à leur culture, à leur langue, en s’apercevant alors, s’ils ont
trouvé le temps pour cela, que celle-ci appartient, (est reliée), suivant les
mots ou les expressions donc les choses (les
catégories) et
au-delà, comme parfois des paragraphes explicatifs, voire les signes de
ponctuation ou les chiffres (ils
sont inscrits pour les numéros de téléphones, mais ils servent à d’autres
occasions) mais
aussi l’ensemble des images et des sons comme des œuvres d’art à des influences
provenant de l’histoire des migrations ou des grandes découvertes avec ce que
cela a signifié comme conséquences commerciales. C’est pourquoi la véritable
psychanalyste est en relation avec la mémoire de l’individu. S’il y a eu
« oubli » alors il y a eu des parties de ce qui nous constitue, de chacune des
fractions de seconde que nous avons vécues les yeux ouverts qui sont alors
oubliées, alors que chacune de ces choses appartenaient à des catégories
différentes auxquelles nous sommes chacun d’entre nous reliés, mais chacun en
ayant un patrimoine génétique différent, une histoire totalement différente de
celle d’un autre, car notre point de vue, ce que nous mettons en nous, les
expériences que nous faisons dans chacune des catégories, ont, suivant les cas,
d’autres fins, d’autres objectifs que ceux qui parfois ont fait les mêmes
erreurs ou les mêmes expériences au point d’avoir les mêmes connaissances, par
exemple dans le maniement d’un logiciel, mais ne vont l’utiliser que pour des
objectifs différents. Les différentes catégories de choses qui entrent en nous,
vont donc nous porter à croire à des vérités ou bien à des mensonges, suivant
l’exigence que nous avons dans notre rapport pour rechercher la vérité comme à
notre affiliation à la catégorie appelée « logique », ce qui va alors donner des
textes plus ou moins cohérents, donc plus ou moins vrais. Mais la situation
générale qui était bloquée a donc contraint, pour être des personnes œuvrant à
la recherche de la vérité, à de nombreuses années d’études et de recherches.
C’est pourquoi les jeunes doivent comprendre, dans la situation actuelle, qu’en
raison de ce préjugé qui est parfois heureusement vrai, il est préférable qu’ils
attendent, car les anciens ont une expérience qui leur permet d’hériter de
chacune des régions à administrer, pour permettre au moins à une partie des
jeunes de poursuivre leur scolarité et leurs études, en espérant qu’il y en aura
parmi eux qui voudront continuer celles-ci très longtemps, voire à jamais, en
raison de la quantité astronomique de problèmes à résoudre que les connaissances
mémorisées permettent de solutionner (il
n’y a que celui qui a perdu la mémoire de ses études scolaires ou des paramètres
étudiés qui va croire possible la solution par le meurtre et non par la
négociation et des engagements écrits qu’on ne peut transgresser sans avoir tout
à devoir renégocier car aussitôt ils se montrera non respectueux de ses frères :
il révèle alors qu’il n’est qu’égoïste ou qu’il n’a été élevé que par des égoïstes
au mauvais sens de ce mot – donc qu’il est un minus qui fait des choses
en cachette ou déconseillées par l’ensemble, puisqu’elles ont révélé qu’elles
peuvent être nocives ou mener au faune, au satyre ou au centaure et à cause de
cela, à des maladies génétiques).
Cela permet de donner du temps à la formation des enfants qui, pour l’instant,
ne savent des mots à employer, sur lesquels penser, que ce qui est entendu en
général et souvent malentendu, par conséquent aussi dans un seul des sens, de
façon restrictivement employé et qui risque, s’ils n’ont pas fait les études (qui
peuvent être celles d’autodidactes)
de tomber dans le piège que, malgré eux, les mots représentent, au point qu’on
comprenne très bien qu’il y ait des gens qui préfèrent être spectateurs et non
participant, bien qu’en relation avec la catégorie de spectacle, auxquels ils
assistent, muets, n’osant pas prendre la parole, n’ayant même pas une question à
poser, se comportant, à première vue, comme des déserts, bien qu’il soit certain
qu’ils ont suivi le film, le concert, l’exposition présentée, etc. Il y a
certainement, parmi eux, ceux qui n’arrêtent pas de mettre en relation chacun
des instants avec des choses qu’ils ont découvertes ailleurs. Mais cela est trop
difficile à formuler et encore plus oralement et c’est pourquoi ils s’expriment,
en prenant le temps, à travers des articles publiés, par exemple dans les
journaux ou dans les sites ou les blogs car c’est difficile[50]
d’écrire même trois lignes pour donner une idée ou bien un conseil ou bien pour
prévenir, par exemple, que cela peut être dangereux comme spectacle ou bien
comme livre à lire ou bien comme attraction (par
exemple certaines de celles dans la chambre des horreurs).
Donc nous appartenons virtuellement (nous
avons la possibilité)
d’appartenir virtuellement à chacune des catégories existantes (les
acteurs le savent bien)
dans l’univers suivant les moments. Mais derrière chacune de ces catégories, il
y a des définitions qui sont données et qui sont représentées par un ou
plusieurs mots. Effectivement, il y a un ensemble de mots pour en donner les
explications, les différents sens et on s’aperçoit alors, que pour réellement
« appartenir » ou être en relation avec chacun de ces mots, il y a, de la part
des lecteurs de ces catégories, quand elles doivent intervenir pour nous
permettre d’accéder, par exemple, à une profession, à devoir s’infliger un
véritable travail à accomplir au préalable qui va consister à intégrer et à
comprendre et à traduire dans les faits des notions, des mots, des catégories et
cela plus ou moins, selon le métiers. Par conséquent, au départ, il est
nécessaire de créer les conditions pour que la formation plus ou moins difficile
de chacun puisse donner lieu à la réalisation de l’objectif et, pour y arriver,
suivant les cas, il y a aussi la nécessité de maîtriser des instruments plus ou
moins faciles. L’encyclopédie va faciliter comme le dictionnaire (ou
le mode d’emploi)
la compréhension de chacun des mots qui posent problème. Mais dans la société
orale d’autrefois ceux-ci n’existaient pas et on ne disposait pas de l’ensemble
des sens possibles d’un mot ou concernant une catégorie dans chacun des cas de
figure où ces mots, ces catégories ont vu le jour (d’autant
que voir le jour il faut en devenir l’ingénieur ou le concepteur, ce qui est
soudain comprendre que c’est vrai – aussi cela ne peut se situer que dans le
monde de la Vérité – comme des constructions de théorème ou de système complexes
à résoudre – les problèmes sont vrais, puisqu’on peut les résoudre en appliquant
des méthodes ou des solutions –
bien sûr il y a le faux-problème qui est souvent résolu).
Nous avons vu ci-dessus le danger de ne pas savoir réfléchir à partir des
différentes définitions des mots et des catégories. Cela signifie qu’il faut
être capable de penser en lisant comme ceux qui vont continuer à réfléchir
devant un spectacle. Les définitions, les articles publiés dans les
encyclopédies offrent matière à spectacle dans le sens où le mot de
« spectacle » est en relation avec le mot de spéculateur[51]
(dans
le bon et mauvais sens de ce mot)
qui signifie qu’il y a des personnes capables de réfléchir à partir de chiffres
ou bien d’autres éléments, d’autres choses. Dans le mot de « spectateur » nous
retrouvons ce « pc » avec le risque de « péchés » qui va avec, mais aussi le mot
italien de « specchio »[52]
qui signifie « miroir », par conséquent qui est relié à ceux qui sont capables
de réfléchir. Les spéculateurs sont donc nécessaires (quand
ils réfléchissent en conscience[53]
[et] en « bons pères de famille »)
à tous les niveaux car en fait ce sont des gens qui vont chercher les causes,
les origines d’une possibilité (de
s’enrichir[54]).
Ils sont capables d’investir financièrement, parce qu’ils vont comprendre que ce
que se propose de faire une entreprise va être à plus ou moins long terme
profitable, que cela va permettre un développement d’activités créatrices de
sources de richesses (en CFP). Cela contraint ces personnes à agir d’une
certaine façon en raison de la situation générale qui était bloquée. En fait,
ils sont comme chacun d’entre les spectateurs, mais ils ont une qualité
supplémentaire qui est celle de réfléchir à partir des informations qu’ils vont
rechercher à propos de la catégorie dans laquelle ils vont prêter de l’argent ou
bien emprunter de l’argent pour le prêter, en ayant alors à payer des intérêts (à
cause du loyer de ce que représente le décaissement de cette somme qui
représente les économies [de personnes – des particuliers ou des entreprises ou
des Etats, etc.] déposées en confiance)
pour pouvoir prêter ou acheter des actions ou bien les différentes possibilités
(obligations,
etc.)
inhérentes à cette façon de permettre à des entreprises de poursuivre leurs
activités, même quand celles-ci ont à traverser des moments difficiles
économiquement, d’autant plus de la concurrence qui existe dans chacun des
secteurs. Mais il est vrai qu’il y a de mauvais spéculateur, des personnes qui
spéculent sans éthiques, pour faire de l’argent (des
CFP qui sont alors par ces aspects impropres ou inopportuns en partie au moins
des cff ou des cfm, des cfi)
et pas seulement pour permettre à des
entreprises de poursuivre leurs activités et dans ce cas, ce ne sont pas des
spéculateurs qui utilisent leurs réflexions à long terme, dans l’Intérêt
Général: ils jouent en Bourse et n’ont pas de scrupules à/de ruiner des
entreprises dont l’Ensemble aurait eu besoin, même seulement sur le plus
long-terme (ici
la spéculation à court terme joue contre celle à long-terme).
Cela est un des facteurs/paramètres, une des causes (d’où
qu’on remarquera que le mot de « cause » est synonyme de facteurs/paramètres),
qui peut entrer en compte pour expliquer, plus ou moins, comment les crises
économiques apparaissent, car soudain des personnes qui avaient la confiance des
marchés et des investisseurs perdent cette confiance et c’est une [ou des]
entreprise[s] qui connaî[ssen]t
[55] alors de graves difficultés pour
survivre. C’est alors, par exemple, la montée artificiellement advenue des
augmentations des prix du baril de pétrole et cela va avoir des conséquences
dans le monde entier, puisque les prix ont augmenté, mais aussi il y a des
conséquences en matière politique qui vont profiter à des partis politiques qui
sont entre les mains de personnes qui ont de l’économie une analyse faussée (elles
sont aux prises avec des vérités relatives, des préjugés)
et comme c’est alors la crise, ces personnes ne vont pas donner les vraies
raisons de celle-ci et c’est alors qu’on peut voir monter dans les sondages ces
partis qui ont des réactions de protectionnistes, de conservateurs, capables
d’accuser, évidemment à tort, des personnes qui n’y sont pour rien et ont en
réalité raison. Par conséquent ces partis populistes de mentir à leurs électeurs
en présentant la situation générale qui était bloquée à de nombreuses personnes
touchées par les effets de la crise, au point d’être, certaines d’entre elles,
dans la misère, ce qui s’est passé en Allemagne, avec les répercussions de la
crise de 1929 aux États-Unis[56]
et donc de devoir leurs élections respectives à des campagnes mensongères et
accusatrices vis-à-vis des personnes qui n’y sont pour rien et qui « à première
vue » (seulement)
sont dans un meilleur état financiers que ceux qui sont devenus pauvres, parfois
misérables et qui vont croire des sirènes qui sont dans l’erreur, comme
cherchent à profiter de la situation, non seulement pour se faire élire, mais
pour prendre le pouvoir, sans comprendre comment et pourquoi le système général
fonctionne en vérité (ils
sont toujours des esprits locaux et ayant rarement voyagé et ne sachant rien des
langues que tous les souverains éclairés ont étudié au paroxysme, avant de se
permettre de prendre une seule décision – aussi ils maudissent les étrangers ou
les pays étrangers et sont dans des généralités toujours d’avance fausses que
seuls les ignorants, au mauvais sens de ce mot et non au bon, croient comme eux,
puisqu’ils n’ont pas en tête tous les paramètres qu’il ne fallait pas oublier).
En plus, ils n’ont pas les capacités pour, malgré la crise mondiale, comme aussi
celle de 1973 à 1979, comme celle de 1999 à 2010, produire des richesses, pour
créer des emplois et croient même qu’on peut supprimer des instruments qui ont
permis, par exemple, à une grande superficie, à un grand ensemble, de ne pas
connaître la guerre et vont même s’en prendre à ces institutions en les accusant
d’être celles qui sont à l’origine des difficultés financières dans lesquelles
ces personnes se sont mises elles-mêmes, par exemple en empruntant de l’argent
(des CFP) et en n’étant plus capables de le rendre, par conséquent en ayant à
s’endetter, ce qui coûte cher, voire très cher à ceux qui ont permis, à d’autres
moments, ces prêts (en
effet, il va falloir consacrer une personne compétente qu’il faudra payer pour
suivre le prêt et pour intervenir : ce prêt a donc des coûts que l’emprunteurs
ne connaît pas, puisque ce qui lui importait était le prêt : la somme empruntée
– or, c’est une catastrophe pour la Banque, jusqu’à ce que l’emprunteur n’ait
pas rendu la somme avec les intérêts de la dette, puisqu’il va falloir tout
payer jusqu’à ce jour là de l’administration de l’Etablissement Bancaire, du
Comptoir – on suppose donc que celui qui emprunte des CFP (puisqu’il
s’agissait de sommes empruntées proprement inscrites pour lesquelles les lois
ont prévu qu’elles doivent être remboursées par des équivalents estimés ou des
sommes équivalentes)
rende des CFP et non des cff, cfm, cfs, cfi, cfu ou cfcch)
avec des intérêts plus ou moins élevés, suivant l’analyse de la situation
économique locale qui a forcément à voir avec le système politique en place
localement, selon les engagements pris localement, vis-à-vis de d’ensemble
auxquelles ces localités appartiennent, y compris les individus momentanément
affectés par les répercussions d’une crise économique qui est en partie due à
cause des spéculateurs égoïstes (au
mauvais sens de ce mot)
qui, malgré les quantités et les réserves prouvées de pétrole dans le monde
entier, au lieu de baisser les prix, ont augmenté ceux-ci pour, à-premièrevues, faire eux des profits très importants, mais qui sont, en réalité,
contraires à l’Intérêt Général ou au Bien Général et forcément contraires à
leurs propres ontologiques intérêts ou ce qui leur aurait beaucoup mieux
convenu, puisqu’ils se rendent coupables de l’ensemble des augmentations des
prix, ce qui a pour effet de les contraindre à augmenter de nouveau le prix du
baril de pétrole et ainsi de suite en étant alors, ce qui est logique, à
l’origine de la baisse de la valeur des monnaies principales utilisées dans le
monde (comme
celle du dollar et/ou de l’euro, mais aussi les monnaies japonaises ou des pays
qui n’ont pas de pétrole qui sont donc l’équivalent de crédits proposé en
échange/troc à ses livraisons de baril de pétrole – on comprendra ici que ces
pays qui vendent cette matière première n’aient aucun intérêt et même le
contraire, que cela leur serait fatal/mortel, si la valeur du dollar ou celle de
l’euro ou ces valeurs liées à ces différentes monnaies/devises baissait – ce qui
s’est produit dans les années 1970, au point qu’ils purent constater que s’ils
continuaient à augmenter le prix du baril de pétrole, il n’aurait plus aucun
pouvoir d’achat avec les dollars proposés en échange et par conséquent
perdraient encore plus (sur toute la ligne) à cause de ce qui est nommé
mécanisme inflationniste – c’est aussi pour cette raison, à cause de cette leçon
que nous a donné l’Histoire que je fis depuis 2005 un ramdam d’enfer pour éviter
que cela recommence à cause des augmentations du cours du brut qui se
produisirent jusqu’à 2014 – en effet, si la valeur des principales monnaies
d’échange est garantie à un certain niveau j’étais dans les inquiétudes les plus
horribles que ces valeurs ne commencent à chuter car ce n’est qu’en raison du
miracle économique qui fut mon œuvre à partir de 1975-78 que malgré ces
augmentations du prix du baril de pétrole ces principales devises monétaire
n’ont pas chuté au-delà de ce seuil qui a même permis d’apprécier la Monnaie
Unique Européenne par rapport à celle du dollar aux Etats-Unis d’Amérique, car
sans mon intervention en raison des hausses du prix du baril de pétrole le
dollar n’aurait plus rien valu et c’était la fin, car il aurait fallu
rapidement des milliers de dollars pour un baril de pétrole si je n’avais pas
apporté du ciel au moins 50% des réserves mondiale actuelle de pétrole en les géolocalisant – aussi personne n’aurait plus pu payer ce pétrole et comme
c’était encore la guerre froide qui avait failli se réenclencher, cela aurait
été le réenclenchement de la guerre par l’arsenal nucléaire ou le feux
d’artifice général – aussi dès 2005, comme cela avait recommencé de plus belle,
j’ai craint de nouveau le pire : que Euro, cette récente et admirable monnaie
qui évite la guerre entre les régions de la Vieille Europe et qui fut/[eut]
aussi difficile[ment] que cela à obtenir une solide crédibilité sur le plan
international, ne soit victime de cette crise encore dix-quinze à mille fois ou
plus encore plus grave que la précédente, selon qu’on ajoute ou pas les critères
de démographie ou que ne s’en tienne que strictement sur un angle reserré à
simplement cette augmentation du prix du baril de pétrole, depuis 1979 – d’où
que Monsieur le Président, je sois à vous savoir inquiet puisque vous recherchez
comme moi par la diplomatie à éviter la guerre)
pour ces transactions et qui dépendent donc de ceux qui en ont. Ces pertes de
valeurs des monnaies sont à l’origine de l’ensemble des problèmes sociaux étant
donné le chômage engendré par la perte du pouvoir d’achat (la
diminution de la valeur d’échange qui est liée aux critères de santé économique
de la région ayant adopté cette devise monétaire d’échange en particulier)
de ces monnaies et l’obligation de délocaliser des entreprises pour qu’elles
demeurent compétitives. L’inflation est donc une constante et on voit apparaître
la misère, la pauvreté et le manque d’hygiène, même dans les pays dits
« développés », tandis qu’à « première vue » ceux qui ont augmenté le prix du
baril de pétrole croient qu’ils sont riches (en
réalité, plus ils l’ont augmenté, moins ils l’étaient, puisqu’ils dérobaient
l’Ensemble, pour s’offrir des CFP pour acheter en escrocs et que tous ont risqué
de voir baisser ces valeurs monétaires – ils ne sont en réalité dans leur tête
qu’encore plus pauvres, même s’ils ont autour d’eux l’illusion d’avoir des biens
puisqu’avec l’ensemble du grogramme de la NNDIM, donc de la Dictée pharaonique
nous sommes parvenus à créer de la richesse sur tous les points dictés et donc
avons permis que ces valeurs monétaires liées à ces banques centrales ne se
déprécient pas plus à cause de la facture énergétique, donc de tout ce qui était
à payer ou à avoir au déficit des balances commerciales ce qui entraîne alors
plus il est important la baisse de la valeur de la monnaie à moins que celle-ci
ne soit garantie au minimum par le Saint-Esprit – ce qui s’est en définitive
produit partout même dans les pays laïcs grâce à ceux qui ont compris qu’il
valait mieux ne rien dire à ces pays en grave déficit pour qu’au moins la valeur
de leur monnaie soit à ce minimum plancher qui est garanti sur les avoirs/les
actifs de la région endettée).
Or ils sont à
l’origine de l’ensemble des misères dans le monde entier, car s’ils avaient
baissé le prix du pétrole, ils auraient permis aux différentes économies de
chacun des pays de se développer, ce qui aurait augmenté le pouvoir d’achat de
la monnaie d’échange du dollar ou de l’euro ou de … et par conséquent en faisant
disparaître le chômage à terme, permettait à tous les pays producteurs de
pétrole de pouvoir acheter dix fois plus dans tous les pays producteurs des
biens de consommations (des
besoins de toutes les personnes indigeantes / dans la misère qui auraient pu être
comblés / pourvus, puisqu’au lieu d’être confiné ou réduite la Production
(industrielle / artisanale / etc.) qui aurait donc pu reprendre aurait pu répondre à
cette quantité de besoin),
d’autant plus qu’une partie de ces pays producteurs de pétrole sont musulmans et
que ces personnes ont donc plusieurs familles à nourrir et par conséquent les
mêmes besoins, mais en plusieurs exemplaires (ce
qui permet souvent de faire un prix de gros car le client bénéficie alors de la
loi de la Quantité qui est partout appliquée, grâce à l’industriel qui en amont
l’applique, comme le commerçant grossiste intermédiaire et finalement le
commerçant- détaillant – le client en bénéficie toujours ce qui a des
répercussions pour les objets rares ou à l’unité et qu’on nomme alors la Loi de
la Rareté qui est donc celle qui rend coûteux la matière première, ce qui s’est
souvent limité au cours de l’Histoire à la matière première de l’or et à celle
des diamants ou des pierre précieuses d’autant que les mines se sont épuisées,
les autres matières premières y compris celle du pétrole n’étant pas considérée
comme étant de celles-ci, mais au contraire de celles très communes, banales en
grande Quantité comme l’eau qu’on peut rendre potable dans les régions qui n’ont
pas encore été touchées par le phénomène de désertification et de réchauffement
planétaire – donc malgré celui-ci, dans ces régions, cette matière première
comme les autres étant en grande quantité donc pas rare – mais il est vrai que
tant que je n’ai pas eu à apporter ces quantités de réserves de pétrole en plus
que le bruit circulant au sujet des réserves de pétrole qui existaient à cause
de l’inquiétude liée au facteur démographique a permis aux plus inquiets
d’accorder un peu de crédibilité à ceux qui ont fait courir le bruit que cette
matière première du pétrole allait manquer – or les chiffres que j’ai eu à
consulter d’avance dans le futur à partir de 2005-2010 m’ont permis de rassurer
mon père l’empereur totalement d’autant plus que j’apportais à titre personnel
ces plus que 50% des réserves mondiales et donc que cela permettait d’en
rechercher d’autres en pouvant baisser les prix et donc faire repartir
l’Economie, ce qui ne s’est pas produit (le
prix / la valeur du dollar est demeurée plus ou moins la même sur l’ensemble de la
durée de ces décennies, ce qui signifie que l’ensemble de la création des
richesses qui aurait pu le faire monter est partie constemment en fumée : en
consommation de pétrole pour les produire à ce taux constant dans une
civilisation de consommation productrice de gâchis et de fumées également sur ce
point – alors que si on m’avait écouté, ces monnaies se seraient appréciées et
auraient pris tant de valeur que les monnaies en circulation auraient pu être
finalement [re]fabriquées en or et en argent, progressivement dans tous les pays
du monde y compris les plus pauvres, avec un pouvoir d’achat progressivement
décuplé, la crise ayant été jugulée, en raison de ce qu’enfin on n’aurait obéit
aux empereurs très saints Granier où à ceux qui disaient la vérité en disant
qu’il fallait baisser ce prix du pétrole pour assurer la prospérité générale[57]),
puisqu’au contraire ces personnes organisées en cartel ou trust contre la
loi elle-même qui les interdit à cette fin en raison de ce que ces matières
premières n’ont pas été mise sur cette planète pour faire chanter ou racketter
ceux qui en ont besoin et ne les ont pas sur leur sol géographique sur lequel
ils produisent ces autres matières premières ou secondes ou plus que cela (des
biens de consommations convoîtés / nécessaires / utiles) qui sont ces résultat du
génie artisanal et industriel/etc. qui est donc forcément alors limité ou freiné
dans son généreux élan pour satisfaire la demande générale, puisque le pouvoir
d’achat de tous les ouvriers, donc des consommateurs mais aussi des indigents,
est limité d’autant que ces augmentations à cette matière première de première
nécessité sont advenues, d’où la crise, le chômage, la misère, les
mécontentements, etc. : ce qui pouvait être évité, mais que la rapacité,
l’incompétence (donc comme la cécité et les incapacités à discerner, la surdité
à tout ce qui est bon, juste, vrai) et le refus de comprendre d’où viennent les
meilleurs conseils où ceux des gens les plus instruits, pour n’écouter en
définitive que les sirènes de très bas-étage ou qui ne sont qu’au niveau du
trottoir et qui n’ont le plus souvent des sciences les plus exactes ou les plus
justes des mathématiques qu’une idée beaucoup trop simple (au
sens de primaire et très égoïste : pour ce qu’elle en tireront elles seules
comme profits et non l’Ensemble)
car c’est infiniment complexe que l’Economie et pas seulement celle de ce
qu’on appel « le bon sens populaire », ce qui a signifié souvent hélas le
contraire, au point qu’on ne puisse plus lui faire confiance, sauf dans un cas
pareil ou d’autre cas ponctuel (et
c’est pourquoi des idées provenant de n’importe qui dans le peuple peuvent être
toujours les bienvenues),
puisque mes conclusions étaient bien celles d’une personne appartenant [aussi]
au peuple[58]).
C’est pourquoi en étant à l’origine de tous les appauvrissements dans le monde
entier, ils sont de plus en plus pauvres (dans
leurs cerveaux)
puisque la pauvreté de n’importe qui est le signe pour l’ensemble de ceux qui
sont « à première vue » riches ou qui ont des moyens, qu’ils sont en réalité
tous menacés de redevenir pauvres. Chacun des pauvres qui existent dans le monde
entier, chacune des personnes devenues comme des déserts (intellectuellement
ou de celles qui ont des difficultés pour comprendre ce qui est pourtant simple
pour d’autres étant de celles les plus instruites ou alors qui ont compris peu
d’instructions mais bien, sans jamais oublier que d’autres ingénieurs en ont
compris infiniment plus et donc seront attentifs à ce que les paramètres liés à
chacune des autres catégories confirment que la décision prise est la meilleure)
est le signe que nous-mêmes nous nous appauvrissons et risquons de devenir un
désert ou bien qu’il y a une part de nous-mêmes qui est dans de graves
difficultés matérielles, au point d’avoir rendu aussi pauvre spirituellement,
comme une part de nous-mêmes qui est constituée de pauvreté (sans
esprit), donc
de misère et tout le corollaire des mots étant directement rattachés à ces mots,
dans le sens négatifs qu’ils ont, en étant de ceux qui sont aussi à l’origine de
toutes les maladies et incapacités y compris celles de comprendre en vérité la
situations générale globale, mais aussi locale. Par conséquent, ceux qui
augmentent le prix du baril de pétrole ont « à première vue » l’illusion d’être
riches, mais en réalité, ils sont à l’origine même de leurs incapacités à
comprendre comment fonctionne l’économie à l’échelle mondiale et semblent ne pas
avoir tenu compte ni compris la loi des conséquences (au
point même de n’avoir pas compris ce que signifie un clic de souris),
par conséquent celle des causes et des effets, y compris celle des répercutions
comme celle des interactions économiques. D’autre part, en étant de ceux qui
croient, parce qu’ils ont obtenue de l’argent (on
ne sait comment (par quelle compétence, quel savoirs faire) ni d’où),
pouvoir se payer/s’offrir ce dont ils ont envie, ces personnes n’apprennent
pas/jamais de vrais métiers (de
véritables compétences)
et ne font peut-être même pas d’apprentissages (ils
sont donc pour toujours des faussaires, ce qui sera néfaste pour leurs
descendants et leur fera dire des inepties puisqu’ils auront autant que cela
ignoré les réalités auxquels sont confrontés les autres et donc tous les
paramètres qu’il ne fallait jamais ignorer). Avoir de l’argent (des
CFP) sans faire
d’efforts pour en obtenir et vivre de rentes, n’est possible qu’à des personnes
qui en connaissent la véritable valeur et par conséquent ayant souvent mis
longtemps (ce
qui n’est pas toujours le cas)
avant d’avoir pu gagner honnêtement leurs premières sommes d’argent (de
CFP). Il est
certain qu’ils sauront transmettre à leurs enfants le respect de ces biens et
comment réussir à en gagner toujours du propre et non du malhonnête. Mais cela
peut risquer de faire des enfants-gâtés. Tandis que les autres croient possible
tout acheter y compris l’amour avec les cfu, cfs, cfm, cff ou cfcch. Cela est à
l’origine de tous les rapports faussés, de toutes les fausses amitiés (on
doit même fréquenter des personnes qui sont devenues impures, puisqu’elles sont
dans l’idée qu’elles auraient le droit d’escroquer ceux qui d’aucune façon les
escroquent d’un tantinet, puisqu’ils leur disent la vérité exacte, mathématique,
sans un électron ou photon d’erreur dans tous les Espace-Temps).
Cela est donc à l’origine de la paresse de ceux qui croient alors pouvoir se
payer[59]
l’aide de ceux qui n’ont rien ou qui ont peu au point de croire que ces
personnes sont leurs esclaves. C’est ainsi qu’ils vont penser que chacune des
entreprises dans le monde entier travaillent pour elles qui n’ont même pas la
curiosité de se mettre à la place d’un travailleur ayant une famille à nourrir
et cela sur ces efforts physiques ou grâce à de nombreuses études et
investissements faits par des éEtats soucieux de transmettre les lois, y compris
celles du commerce avec, à cet effet, les investissements financiers, des
preuves d’amour, faits par des personnes appartenant à des familles vivant
honnêtement. Ces investissement[s] financiers ont été faits/établis pour leurs
enfants, pour qu’ils apprennent à étudier et à penser en vérité, ce qui peut
faire de ces enfants là des personnes capables de nombreuses choses différentes
y compris d’être, par exemple, des médiateurs pour arrêter des conflits entre
enfants-gâtés et ceux qui ne l’ont jamais été, voir faire cesser ces conflits
pour d’autres raisons. Mais bien sûr, il s’agira d’enfants qui sont dans les
affaires et cela parce qu’ils voient bien que la misère est partout (on
ne rejoint que dans ce dessein car si cela était pour un autre, cela n’aurait
aucun intérêt, ce qui signifie que les personnes aisées matériellement parlant
pourraient ne pas avoir démérité, ni leurs ancêtres – il vaut mieux partir de ce
principe que de croire qu’elle ne doivent leur fortune qu’à avoir escroqué leur
prochain y compris pour les grandes institutions religieuses, cela est le
meilleur parti à prendre puisqu’il y a eu ces efforts en architecture de faits,
ce qui ne se peut commencer ou fonder que sur un vrai au moins relativement vrai
ou nécessaire ou utile à un moment donné – autant le conservé au moins comme
vestige ou patrimoine, plutôt que de vouloir faire « table rase du passé », une
façon de faire qui est de fermer la porte ou de clore et qui peut dans un cas ou
deux être à faire dans une situation sentimentale particulière pour éviter
d’être malheureux, mais qui appliqué à une généralité de systèmes chacun
différents en raison de familles, ethnie et gènes différents est tomber dans des
façons de faire beaucoup trop expéditives et peu respectueuses des différences ou
des styles des costumes et des modes à conserver de ce passé – pourquoi vouloir
se passer des catégories qui sont constitutives de passé : pour le « rien » qui
est ce tout mais qui ne serait plus que perçu en animaux privés de lumière et
des connaissances les plus sacrées fondatrices en tous les lieux et tous les
temps de chacune des civilisations. Pas une bonne affaire que de vouloir éluder
la question du sacré d’autant plus qu’il y a autant de signe que cela qu’elle
n’a pas fait semblant d’exister).
Aussi les voilà dans de nombreux calculs qui ne sont que des prises de risques (des
emprunts et la nécessité de convaincre à ce sujet, comme donner toutes les
garanties que leurs calculs sont justes ou plausibles)
ou qui exigeront d’eux qu’ils se transforment en généraux ou en PDG, ce qui est
très difficile, d’autant plus qu’on aura une vie de famille.
Par conséquent, ces
personnes agissent ici en « primitifs », en individus encore « préhistoriques »,
en se rendant coupables de l’ensemble des malheurs qui arrivent même par
répercussion à cause d’eux aux honnêtes gens (en
fait, ils agissent comme des personnes qui n’auraient jamais été à l’école pour
contredire les personnes qui y sont allées les conseillant au mieux et les voilà
à refuser des conseils qui valent plus encore que tous les trésors du monde,
puisque s’ils les avaient suivi, ils en seraient riches au lieu d’être aussi
pauvres et toujours aussi ignorants ou faussaires, au mauvais sens de ces mots
d’autant plus que très vils ou sales espions à la mentalité de paparazzi,
au mauvais sens de ce mot et non au bon qui permet au moins d’apprendre à cadrer
et faire quelques jolies photos, donc de gagner des CFP qui sont sur un au moins
des aspects si ce n’est sur plusieurs des cfpourris et non des Crédits de
Financements Propres).
Ils sont la cause, l’origine même de l’obligation parfois d’avoir à intervenir
militairement dans certains pays dont les dirigeants se conduisent autant qu’eux
comme des inconscients, en ayant perdu ce qui caractérise les êtres humains
véritables, c'est-à-dire la possibilité de comprendre que leur propos ou leurs
actions peuvent avoir des conséquences catastrophiques pour ceux dont ils
n’arrivent pas à se mettre à leur place comme pour leurs descendants ou leurs
proches (en
effet, ils ne pourront jamais se mettre à la place de personnes qui se sont
rendues / devenues maîtresses de tant de sciences (qui induisent tant de
nécessités et de besoins matériels, financiers) – ils sont donc comme devant la
Vérité qui remarque quand l’autre ne comprend plus ou fait semblant – d’où
qu’elle essaie depuis des siècles de lui faire comprendre pédagogiquement et
aimablement ce qu’il f[v]aut mieux),
par exemple comme chef d’entreprise ou bien responsables divers y compris
politiques (mais
pourquoi compatir ou comprendre ceux qui se refusent à se comporter en
enfant-gâté et égoïste, alors qu’on peut continuer à demeurer pour toujours un
adolescent menteur escroc et parasite de toutes les personnes adultes
parachevées ?).
Ils ne voient donc que leur propre intérêt à courte vue ou à vues munies
d’œillères à satisfaire d’abord en personnes qui n’ont que de l’argent (ces CFP)
qu’en n’ayant pas voulu comprendre pourtant tout ce que des honnêtes gens leur
ont pourtant expliqué (qu’on
ne peut en obtenir qu’en raison de compétences estimées à leur juste valeur) en
ayant eu à tant financièrement investir pour créer des outils de travail
destinés à instruire: ils s’accrochent aux préjugés ou aux vérités relatives
qu’ils ont en tête depuis longtemps et n’arrivent pas à faire l’effort de
comprendre que l’ensemble des prix de chacune des choses qui les entourent est
le reflet de leur façon primaire d’analyser le monde : chacune des choses qu’ils
convoitent porte un prix et si c’est le cas, la cause en est celle du prix du
pétrole qu’ils ont voulu augmenter, alors que les décisionnaires avaient amorti
en quelques semaines d’exploitations les différents frais pour le trouver, (forer
et l’exploiter),
ce qui aurait dû, s’ils avaient été honnêtes, les déterminer fraternellement à
en faire profiter autrui et donc à baisser le prix du pétrole et à le mettre à
un prix qui serait proche de zéro dollar, ce qui aurait fait alors baisser tous
les prix de ce qu’ils auraient voulu, de ces pays pourvus en cette matière
première, acquérir dans tous les autres pays du monde. Ils n’auraient cependant
pas pu le mettre à zéro puisqu’il y avait encore des frais pour l’exploiter y
compris pour chercher d’autres emplacements et faire des forages, ce qui
représente des investissements à partir des bénéfices. Aussi le prix du pétrole
ne pourrait pas être à zéro dollar, à moins que l’ensemble des pays dans le
monde entier renoncent tous à l’usage de l’argent (ce
qui n’est possible que si chacun songe à se donner du mal et refuse de devenir
parasite ou profiteur et comme il y en a au moins le risque d’un seul, c’est
risquer alors tous de devenir son esclave – et tous s’y refuseront sagement :
les CFP sont donc collectivement une nécessité vitale intrinsèque, légitime,
fondamentale, donc consubstantielle pour que la Création avance, progresse,
fonctionne – donc avec la Banque, la Bourse, etc.).
Cela pourrait
peut-être être le cas seulement quand la vieille salle des machines et le
variateur de la vision d’Atlantide seront remis à ceux qui calculent, le plus
justement du monde, le prix de chaque chose, en fonction de la quantité : de
l’offre et de la demande y compris utilisent les sciences à des fins exactes,
donc agissent en vérité pour déterminer les autres paramètres qui permettent
d’ajouter de la valeur ou d’en retrancher[60]
et qui permettent d’ordonner justement à chacun ce qu’il aura à faire (mais le
parasite ou celui qui cherche à en faire le moins est la menace). Ce cas de
figure de
Ils ne sont pas comme
dans une ruche d’abeilles ou bien dans une fourmilière, capables de fonctionner
dans l’Intérêt de l’espèce entière des êtres humains. Ils sont chacun d’entre
eux les conséquences d’un problème qui s’est passé il y a des milliers d’années.
Ce problème est la cause / l’origine / le paramètre principal de l’ensemble des
problèmes depuis des millénaires et il est la répercussion dans le passé de
l’« ignorance », au mauvais sens de ce mot, comme de la folie d’une personne
ayant perdu les capacités pour penser justement et objectivement comme de façon
cohérente, par rapport au sens de l’Histoire qui a touché / handicapé un
empereur : adolph hitler qui, de plus, n’a pas voulu agir comme il aurait dû,
après
Le
problème est un mot ici mis au
singulier. Il a signifié des milliards de milliards de milliards de milliards et
quasiment à l’infini de milliards de problèmes à chacune des fractions de
secondes depuis qu’il est advenu. On peut considérer ce mot de « problème »
comme étant dans le passé très lointain, (son
origine au départ),
mais nous avons pu démontrer que les conséquences de ces problèmes étaient dans
le futur (comme
nous avons pu démontrer aussi que c’était ces problèmes dans le futur qui
avaient peut-être ou sûrement étaient la cause ou l’origine du problème dans ce
passé très lointain),
car la situation générale y était bloquée jusqu’à notre intervention de ce
futur, avant même d’y être, et cela en ayant pu, l’Ensemble, vérifier, que ces
interventions du futur, de ce studio de la rue du Val de Grâce, s’étaient
déroulées entre 1965 et la fin 1971, comme de nouveau à partir de la fin 1975 (en
vérifiant, par-dessus le marché, le calendrier (Occidental) sur autant d’années
à la fraction de seconde près : il est bon, juste et fonctionne réellement en
raison aussi des vérités relatives en astronomie qui, vérifiée ont permis de
commencer la conquête de l’Espace en orbite, sur la Lune et sur Mars mais aussi
en la commençant vers nulle part et ailleurs ou plus loin).
En découvrant, en
chair et en os, ces interventions à partir de 2005 qui n’avaient été autrefois
que du virtuel, puisque nous avons pu le vérifier nous-mêmes et d’autres
personnes, en chair et en os, dans le passé, c'est-à-dire aux dates indiquées,
puisque nous écrivons ce texte en 2012 (relu
et corrigé, ce passage, en 2014, le 22 novembre et premier août 2017),
l’origine de ce problème pourrait être aussi plus loin encore qu’à l’époque
d’adolph hitler, dans le futur en tant que conséquences et non pas en tant que
cause. La cause des effets produits dans le passé comme dans le futur venant de
l’emploi des mots, oralement, pour dire la vérité ou alors, nous l’avons vu plus
haut avec la note au sujet de Marc Aurèle, pour créer une incertitude ou même
pour mentir, par des usagers de ces mots employés en mensonges (parfois
avec de bonnes intentions et non des mauvaises ou alors maladroitement)
n’ayant donné chez eux que des signes d’incohérences, de folies, d’incapacités à
comprendre l’époque, d’analyses erronées ou trop partielles (y
compris pour affirmer les vérités générales qui le furent)
et cela parce que la vérité, dans l’époque en question, n’est connue que par
quelques rares personnes instruites et se sachant dans un monde dont les membres
sont, en grande partie, devenus des menteurs (d’autant
plus qu’assurés de revenus obtenus par copinages et non pour de réels mérites
personnels liés à des compétences et des savoir-faire acquis avec détermination
et constance, donc à force de vertu, ce qui a entraîné ces personnes du côté de
la parodie de l’être humain ou la recherche des vices avec leur cortège de maux
et de malheurs divers menant plus ou moins à des morts certaines d’autant plus
d’une trop grande complaisance à pécher et d’autant plus aussi qu’ils furent
ceux qui ont rejoint ceux qui par peur atroce de la vérité, donc n’arrivant pas
à la dominer, se sachant en faute, eurent néanmoins en raison de ce qu’ils ne
voulurent pas se soumettre au devoir d’antithèse que l’honnêteté véritable exige
(ce
qui a conduit l’empereur Hermès Trismégiste et … qui écrit à découvrir que c’est
en réalité l’existence de l’hyper-éthique et de l’hyper-sainteté et non pas
seulement de l’éthique ou de la sainteté, etc. , comme on l’avait autrefois
constaté, qui a été à l’origine même du sauvetage de la Création, comme de ce
texte),
à cacher l’existence de la salle des machines)
et le corollaire de mots qui vont avec (donc
des ignorants, au mauvais sens de ce mot),
par conséquent qui sont des « hors-la-loi » sur une planète qui pour et dans
chacun de ses électrons ou de ses atomes ou de la mémoire qu’elle aurait de
chacun des photons reçus gratuitement en raison de la loi de la Quantité de ce
soleil pourtant rare (un
paradoxe ici car une chose rare est chère ou précieuse ou coûteuse, pourtant le
voilà autant généreux)
car unique dans ce système solaire, obéit aux vraies lois cosmiques
universelles. C’est bien ainsi que nous trouvons la cause, l’origine du
problème : des personnes profanes qui font le choix de ne pas obéir à ce que la
situation générale recommande comme soumission aux vraies et justes lois comme
par exemple de désobéir aux fausses lois[62]
qui ne peuvent avoir comme origine que des personnes devenues mensongères.
Pourquoi sont-elles devenues menteuses ? Pour de très nombreuses différentes
raisons pour chacune d’entre ces personnes et parmi ces raisons, il y a eu
l’accès à la lecture, comme à l’écriture, dans une situation générale bloquée (par
eux entêtés dans l’idée qu’ils pouvaient s’autoriser à agir contre l’existence
des meilleurs conseils ou les meilleurs avertissements, proverbes ou textes
saints, des investissements et des preuves que la bonté était une réalité et non
du « rien »),
qui permet
alors de façon canonique à ceux qui n’ont pas la vieille salle des machines,
d’avoir absolument tous les droits dans les différentes réalisations qui sont
les leurs, y compris dans l’ensemble des sciences et des sciences de l’aArt et
cela pour être capables de distinguer les êtres humains par catégories y compris
celle des menteurs, par conséquent des futurs dangers qui doivent être repérés,
car l’Intérêt Général est de ce fait menacé par ces individus qui font semblant
de respecter les lois y compris les règles, y compris les individus, alors
qu’ils sont allés rejoindre la vieille salle des machines pour devenir encore
plus inconscients, irresponsables, incohérents, incompétents en se moquant de
l’existence des uns ou des autres ou même de la souffrance de ceux qui résistent
(les
résistants – ce qui est absolument indispensable, car sinon tout fond ou se
dissous. Aussi vôtre groom mécanique ne permettra jamais à la porte de se
fermer d’elle-même, sans que vous ayez à devoir prendre ce temps à y veiller
pour éviter que les courants d’airs n’apportent leur lot de pollution et de
microbes – la rRésistance étant donc la pièce maîtresse qui est fondamentale –
rien ne marchera jamais sans celle-ci [à toutes les formes d’inepties], car
alors le groom ne fonctionnera plus, ni peut-être même le zoom –
ce qui est ici pour la rime et non un synonyme : il ne faut pas confondre ! Bien
qu’en inscrivant cela je sois d’avance certain y compris en me relisant (ce
qui le confirme exactement une autre fois sans doutes),
car je me connais : cela va finir par être possible zoom et groom
comme synonyme, à cause de l’esprit de mon très salubre esprit de contradiction
ou celui de ceux qui sachant les choses moins simples que cela s’ingénient à les
mettre en adéquation avec ce qu’ils savent intrinsèquement et
consubstantiellement ontologiquement plus compliqué (du sens, du complexe, à
opposer au simple, au sens) qu’à première vue simple et peut-être même dans
l’intention de les perfectionner à l’extrême, car à la réflexion faîte, il y a
dans la notion de groom comme de zoom une résistance en commun,
surtout dans ceux motorisés et électriques et surtout, ce serviteur, ce groom
l’est en [à la manière d’un] zoom – aussi voilà dans le futur les
plus hardis photographes qui s’ingénient à [re]donner du service aux appareils
photos de nôs époques passées, munis de zoom pour être fidèles avec
raison à la photographie sur support argentique (la
vraie pellicule),
à dire « passe-moi le groom ! ». Et zoom ! la porte qui se ferme,
mais, oh ! , peut-être les lunettes qui sont tombées en raison que la résistance
qui était mal réglée (je
pense ici à une porte précise rue des Feuillantines à Paris)
transporte la porte à frapper encore violemment contre le montant de celle d’à
côté qui est celle à laquelle elle est mariée en temps normal (quand
elle sont à l’état de fermeture bien que l’une et l’autre vitrée, mais grâce aux
croisées de bois, cela évite à l’entrant de poursuivre en ne prenant pas garde à
la transparence et cela lui évite, cette solution élégante de menuiserie
sainjoséphienne, de passer à travers les amples carreaux de verres, nommés
vitres qui ont permis d’économiser autant de bois que cela, ce qui a déplu aux
bûcherons peu soucieux de la conservation de leur gagne-pain et donc peu
soucieux des forêts, ne s’étant pas interdit comme les plus conscients de
saboter ce gagne-pain. Elles purent être proposées à ce prix, ces vitres, grâce
à la loi de la quantité qui a permis à une industrie qui avait commencé en
artisanat de les fabriquer en autant d’exemplaires qui engendre des coûts à
stocker et de ce fait au lieu d’avoir à les proposer à la vente, comme ce que
représentait le prototype dont eu l’idée l’incommensurablissime ingénieur muni,
comme d’habitude en raison de mariages du Saint-Esprit, en raison que cela a
permis d’offrir un travail rémunéré par Charité à de la main d’œuvre et a ainsi
permis de proposer ces vitres à des prix très bas ou le plus bas possible pour
intéresser jusqu’aux plus démunis, si possible mais des prix qui durent en tout
temps répercuter les coûts des prix des transports pour tout organiser et au
minimum nourrir les ouvriers, ce qui n’a pas permis, d’autant plus de
l’augmentation du prix du baril de pétrole depuis 1850, de les offrir, puisqu’il
a fallu reporter chacun des coûts pour les produire, ce qui est aussi le cas
pour les planches en/de bois, alors que les arbres poussent généreusement et
gratuitement pour produire comme les plus âgés des branches immenses (en
Amazonie qui sont elles-mêmes en raison de la loi fractale comme un arbre
miniature, mais à l’horizontal au lieu d’être à la vertical ou alors en
diagonal, poussant, s’élevant, vers le haut, comme en définitive les arbres
nommés sapins de Noël)
qui sont les seules qu’on puisse tailler et non le tronc, sauf en ayant les
dérogations des Services de l’Architecture et du Plan de l’Occupation des Sols,
puisqu’il est périodiquement cette contrainte, [en
raison de la démographie qui augmente malgré l’existence de la contraception, ce
qui est paradoxale avec cette ancienne haine de la reine de la nuit
envers/contre Dieu et qui affirme donc que les gens sont à vouloir la Vie et non
la mort de leurs descendants, donc à être près à reconnaître aux sciences de
Dieu tous les bienfaits dont ils disposent, en sachant que ce n’est pas au
diable, au mauvais sens de ce mot, qu’ils les doivent, mais bien au moins pour
une grande partie à Jésus Christ, Sauveur du monde, au Bouddha auparavant, à
Mahomet et à d’autres personnes ayant eu la Bible des israélites et les anciens
testaments (des conseils, des avertissements) comme très saint référents en
commun],
de ce qu’on n’a pas voulu encore se permettre de construire aussi haut ou même
plus haut encore (comme
le conseillait Le Corbusier)
que les arabes de déraciner des arbres pour étendre les habitats, au lieu de
bénéficier de l’espace vital que depuis longtemps chacun des clochers de chacune
des paroisses signalait comme faisable, avec ce qui a donné la notion de tour ou
gratte-ciel, phares, goulots, puits, à moins que ces clochers ne résultent de
cette notion de puits):
elle ne semble divorcer un instant (puisqu’elle
part vers la recherche parfois d’un extrême)
que pour mieux rejoindre son épouse grâce au retour causé par ce ressort ce qui
donne, quand cela est mal réglé, cette claque, ou gifle qui grâce au groom
mécanique (un Spirou de service, peut-être un enfant s’il n’était pas aussi
consciencieusement au service de l’Immeuble, du Navire nommé Ôz) enfin
réparé et mieux dosé dans les variations des échelles possibles pour cette
résistance, rend « salubre le vent » dégagé par ces beaucoup plus tendres
retrouvailles quand ça marche[63])
au point que le déplacement du vent, comme dans les dessins animés a décoiffé[64])
pour le Bien Général et qui sont au service de la Vérité comme des progrès, mais
aussi capables de le conserver afin de pouvoir transmettre ces anciennes
nouveautés, mais aussi ces nouveaux progrès à ceux qui sont capables de les
apprécier, comme le feront l’ensemble des vrais maîtres ou enseignants ou
professeurs ou pères et mères responsables de l’éducation de la génération
suivante). Une des
origines (des
causes) du
problème provient de ce qu’il y a des gens qui veulent utiliser l’écriture ou la
lecture d’œuvres diverses dans chacune des catégories possibles, à des fins
égoïstes (au
mauvais sens de ce mot, non comme l’admirabilissimissime Jules Vernes)
et donc en utilisant les différentes catégories pour tromper et agir en
faussaires, y compris les mots corollaires qui vont avec dans leur sens négatif,
car il y a toujours un sens positif pour chacun des mots, dans chacune des
différentes langues humaines et/ou animales et peut-être même végétales (en
tout cas ici cette idée dans un sens poétique, tant qu’on n’aura pas vérifié de
la sensibilité des plantes y compris de leurs capacités à communiquer entre
elles, ce qui est peut-être le cas pour certaines espèces, y compris
sous-marines).
Nous sommes certains
que le Problème, sur cette planète (donc
un problème local dans le très vaste cosmos),
est venu de l’invention de l’égoïsme par l’enfant-gâté (il
s’agit de celui qui n’a pas pris l’habitude d’aider et qu’on a servi, alors
qu’il ne donnait rien en échange ou peu (on peut, c’est normal servir celui qui
comme Jules Vernes ou Hugo ou Dumas ou Balzac ou d’autres sont fertiles, mais on
doit s’interdire de servir celui qui va être si ça continue l’auteur du désert)
– par exemple qu’il a fait semblant d’aller à l’Ecole et n’y est allé en
définitive que pour s’amuser et se moquer des enseignements reçus puisqu’il n’a
pas voulu entretenir sa mémoire. C’est celui qui va recevoir des cadeaux
disproportionnés et donc qui sera corrompu, etc. – cela vient de parents qui
eux-mêmes sont des enfant-gâtés dans la mesure où les Crédits de Financements
dont ils disposent seraient faux ou usurpés ou sales ou à l’origine malhonnêtes
sur quelques points (donc
si le point de départ pour les obtenir fut faussé)
– prenons un exemple, le patron d’un abattoir disposera très rapidement de
beaucoup de Crédits Financiers à-premièrevues Propres et donc va probablement
assez facilement et assez rapidement pouvoir gâter ses enfants. Ce sera pareil
en Occident, pour le patron d’une boucherie, d’une charcuterie ou d’une
pêcherie, puisqu’il est assuré de vivre très confortablement assez rapidement
(à
cause de cette loi sur la Quantité dont il bénéficie comme le bûcheron de plus
haut qui a le choix entre être celui qui n’a pas le soin de son gagne-pain ou au
contraire qui est de ceux qui connaissent d’avance la perspective, donc qu’il y
a au bout de rue ou de cette voie, un angle droit alors qu’à première vue on ne
pouvait plus poursuivre tout droit ou alors devoir rejoindre une entrée (aussi
l’automobiliste profane ou au contraire averti sait qu’il aura à décélérer, à
rétrograder les vitesses pour mieux épouser ce virage de l’Angle droit qui est
celui sur lequel la Croix a permis de porter plus spécialement qu’avant Nôtre
attention : rien n’est plus pareil, en arrivant au carrefour/rond point (parfois
synonymes pour ceux qui sont ici à préférer être dans le vague, puisqu’on ne
sait pas ce qui s’est passé comme modifications par les services de la voierie
en ce point : a-t-il évolué ou est-il sans statue ou œuvre d’art / calvaire au
centre)
et donc il conviendra de se préparer collectivement dans l’automobile, si on est
à plusieurs, comme au cours d’un rally, pour tourner – aussi si le
bûcheron, comme le boucher et le pêcheur comme l’ostréiculteur ou le
conchyliculteur savent et sont avertis d’avance, qu’en raison des chiffres
démographiques, l’heure de la fin absolue impérative de la boucherie,
charcuterie et pêcherie, conchyliculture a sonné ou va sonner au bout de cette
rue qui à première vue était une impasse et même une voie sans issue, mais
heureusement une ouverture à angle-droit (à
cause du pharaon de l’Angle)
s’y trouver pour tourner au bout (ce
qui n’a pas contraint à poser les panneaux signalant que la voie était sans
issue – on n’avait donc pas menti : il y a que cela continue plus loin au moins
jusqu’au feu-rouge, [un stop aussi qui n’est pas loin et où il faut se décider
pour la route à prendre] qui mène à la rue Saint-Jacques qui permet de rejoindre
en passant par la place du Val de Grâce, en Espagne Saint-Jacques de CompostIne
(compostYne), variante de Saint-Jacques de Compostelle ou Compostèle),
dans trois générations ou peut-être moins que cela (bien que toute proportion
gardée pour venir de l’avenue de Port-Royal à l’angle de la rue des
Feuillantines qui permet d’arriver à ce feu rouge ayant à main droite le Vin
sobre et à main gauche la Sensitive tandis que sur le trottoir de gauche la
boucherie admirable et dont les pâtés sont mémorables [de Charcelay, très vaguement charcutier peut-être aussi quand il proposera le
jambon délicieux à l’os en étant ainsi fidèle / en illustrant cette notion de
« logique du signifiant » un des dossiers que je n’oublie pas, car voilà un
exemple de plus qui le confirmera],
le virage est possible et/pour la Grande Mutation, enfin une réussite, avec
cette autre perspective d’une voie aussi royale que celle d’avant (qui doit
cependant nous faire forcément retourner à cette avenue Port-Royal, même si
nous voulions l’éviter en prenant tout droit pour/par les Gobelins et enfin
rejoindre la Place d’Italie où j’ai fait bâtir un métaphore. De toute
façon il faut passer par se détour pour rejoindre le Sud et le Soleil par au
moins une liaison avec le Boulevard du Port-Royal (une
abbaye que j’eus à visiter au cours de cette réincarnation, donc dans laquelle
je fus et qui est liée à S. A. I. SSS Lord l’immenssissimissime…
Pascal et …)
du côté de l’Escurial (Cinéma),
mais avec d’avance cet autre petit carrefour à cet autre angle qui mène aussi
vers Notre-Dame, dont Nous savons d’avance, ce qu’il va signifier comme Nouvelle
Grande Mutation (qui
feront la route droite jusqu’à au-delà du détroit de Gibraltar, d’un côté si on
opte pour le Portugal ou alors de l’autre, sans avoir à prendre le bâteau pour la
Sicile si nous devions éviter Port-Royal et [de nouveau] aller vers Rome par la
route).
Aussi il est pour l’instant important de se focaliser sur ce qui encore loin :
75 ans. C’est trois générations de vingt cinq ans chacune, mais déjà d’anticiper
sur l’angle d’après, comme n’importe lequel des braves chauffeurs qui a en-tête
d’avance le parcours, en raison de ce qu’il a consulté normalement avant de
partir la carte ou le plan. Cela signifie que comme dans la rue Pierre Nicole
qui mène à la rue des Feuillantines qui est effectivement à angle droit avant
l’entrée de l’Ecole de l’Abbé de l’Epée que Nous fîmes percer de ce côté dans le
mur (comme construire les différentes extensions y compris en salle de sport à
l’intérieur) pour palier au manque auditif des sourds et muets et permettre
qu’ils s’expriment grâce à l’exercice d’une langue particulière et savante qui a
été trouvée par ce saint homme [à cannoniser s’il ne l’a pas encore été], comme
fut trouvé celle qui permet de noter les notes de musiques ou récemment celle
pour préparer sur le papier des compositions chorégraphiques (ce que j’eus à
demander de réaliser, en le dictant à travers le temps et [en] en donnant la
solution élégantes pour ces plans),
au point d’être le meilleur ami de son banquier. Le voilà donc facilement parmi
les « honnêtes gens » ou les notables, mais en étant complice de ceux qui, en
réalité, ont les mains sales et donc sans être de ceux qui vont trouver mal
qu’un enfant dispose d’un jouet coûteux (en
effet, son problème n’était pas le bien et le mal, mais un problème de réaliste,
au mauvais sens de ce mot : il devait trouver des financements pour survivre
avec sa famille et n’a pas voulu acquérir les savoirs-faires les plus exigeants
ou les plus particulièrement difficile à acquérir, ni même de diplômes (ne
serait-ce que pour rassurer les
colets-montés[65]
et parfois à cause de cela dédaigneux à ce sujet) : il a donc accepté un emploi
aisé et qui n’exige pas de grandes difficultés, gâté en cela par la civilisation
qui l’a autorisé au lieu de l’interdire, entretenu dans cette facilité d’obtenir
des moyens financiers importants en ayant peu de peines, comme en général la
main d’œuvre qui n’a qu’à aller et venir avec un manche à balais – ce qui
signifie avec des activités simples, parfois un peu exigeant physiquement la
répétition de mouvements simples et toujours plus ou moins les mêmes, ce qui est
donné à faire dans l’espoir que finalement cela pourrait aboutir à faire
fonctionner le cerveau mieux que cela pour alors pouvoir enfin accéder à plus
difficile – ce qui est et sera toujours le plus fondamental pour réussir à
innover, donc ce qui fut en tous temps pour chacune des solutions élégantes qui
nous entoure et qui n’eurent alors que ces sciences de Dieu enfin en très petite
quantité accessibles sur granier (Internet), conservées le plus
précieusement dans tous les monastères y compris coptes de l’Egypte ancienne ou
au Mont Athos ou dans ceux des Météores, en Grèce)
– l’enfant lui-même trouvera normal d’avoir obtenu ce jouet et appartiendra aux
corrompus ou se tournera vers ceux qui pourront lui permettre de reproduire la
même chose, quand il aura lui-même un enfant : donc disposer facilement de
financements pour corrompre et non pas rechercher à être juste (vrai)
– aussi naturellement le voilà à avoir pour amis ceux qui n’ont pas de problèmes
de CFP et qui pour cela rackettent la civilisation entière en augmentant le prix
du baril de pétrole, d’autant plus qu’ils n’arrivent pas ou très peu à
comprendre l’Economie ou le Commerce – le voilà a être du côté des bandits, au
lieu d’être le serviteur de l’Etat véritable (qui
est forcément une notion d’ingénieur, d’architecte véritable et donc
incompatible avec la notion de bandit, puisqu’il n’existe comme l’a compris
Michel-Ange dans la Sixtine que pour le fils, donc pour être transmis,
aussi propre, qu’il fut possible au père de le recevoir d’Abraham, Moïse, etc.
pour plus loin)
– il sera donc celui qui fait semblant, le faussaire à cause d’une éducation au
départ improprement administrée).
Il est né de l’occupation de la vieille salle des machines et à cause de cela,
il y a eu (une répercussion de cela logique) « la propriété privée », comme avec
elle, l’exclusion de ceux qui n’appartiennent pas à cette espèce de
club[66].
Le Problème ou bien la cause, c'est-à-dire l’origine de l’ensemble des problèmes
survenus, nous l’avons dit, provient de ce que le peuple a voulu accéder aux
savoirs et aux connaissances qui n’appartenaient autrefois qu’à certains
rarissime[s] aristocrates dont quelques uns de véritables rois et véritables
reines, d’autres des saints et des moines ermites, d’autres les aArtistes très
véritables et non les faussaires. L’accession et la soif de connaissances n’est
véritablement pas un mal en soi, mais quand cela est fait n’importe comment (par
exemple en espionnant),
par des personnes qui n’ont pas voulu rechercher et bénéficier d’un encadrement
de maîtres véritables ou d’initiés, c'est-à-dire par des personnes qui ont des
longueurs d’avance, cela a des chances de tourner en vinaigre (et
pas de celui de Modène, balsamique[67],
qui est des meilleurs, mais de ceux très désagréables)
ou bien pire car le peuple n’a pas la formation qui permet d’être critique et de
réfléchir sur ce qui lui est proposé comme phrases écrites, ou dites, y compris
en tant que chansons dont les textes proviennent parfois, au contraire, de très
grands poètes, mais aussi, à l’inverse, parfois de charlatans et de menteurs[68].
Pourtant il fait à d’autres moments preuve de plus de bon sens.
Ce qui s’est passé,
avec le désir, en soi-même une très bonne chose, de faire de l’Instruction une
priorité, une contrainte[69],
une obligation, a donné des gens plus ou moins instruits (qui
n’ont pas/plus eu le constant soucis de rechercher celui d’entre eux qui l’était
au plus haut des degrés pour le suivre comme Abraham ou Moïse, mais souvent
celui qui l’était le moins – d’où que de ce côté cela n’a donné que la très
infâme et vilaine et très laide haineuse reine de la nuit et de l’autre Platon,
Archimède, Jésus, Shakespeare, Molière, Bergman, etc. : la reine de la lumière
ou la Très Sainte Vierge Marie, par conséquent que des très merveilleux
grands-hommes ou grandes dames)
et ceux-ci ont voulu accéder à des livres ou des textes, des scénarii de
film, des pièces de théâtre qui ont été écrits, comme l’ensemble des œuvres qui
témoignent encore d’être[70]
des traces ou des vestiges d’anciennes civilisations, à des moments précis et
dans des contextes précis (il
y a donc, par conséquent, les préjugés et les injustices de ces époques-là à
combattre).
Cela signifie donc que sans avoir des notions d’histoire et de géographie, mais
aussi d’autres sciences, celui qui n’a pas non plus des informations concernant
l’auteur, risque de croire à des phrases qui vont soit l’indisposer contre le
compositeur de texte (l’écrivain)
soit le faire adhérer pleinement à la pensée de cet auteur au point de devenir
un inconditionnel ou de rejoindre les membres de sa chapelle pour lui ériger
comme avec/pour Eugène Delacroix au moins un monument qui sera finalement
autrement dans chaque ville le rappel de ce qu’il nous offrit à tous comme ors (dont
nous lui seront pour toujours redevable puisqu’il continue à émettre de la vraie
Vie), puisque
ces noms de personnalités sont des
sézames [Ali baba
et les quarantes voleurs
avec l’immenssissimissime... S. A. I. SSS Lord Fernandel]
et … devant
la Montagne Sainte-Victoire
de Cézanne qui est donc une des portes ou
un des passages obligés de la Très Grande et Très Véritable Peinture qui a aussi
intéressé les réalisateurs Straub et Huillet, un de ces tableaux filmés en noir
et blanc, d’une façon continue et peut-être à première vue seulement ennuyeuse
comme ces films calomniés avec
ce grand acteur au prise avec la cécité plus ou
moins totale d’un alter ego
maire, prétendant être « communiste » avec, et que[71]
ce mot n’est que d’Eglise !
L’« adhésion »
signifie qu’on est d’accord sur la logique du raisonnement et qu’on en comprend
les raisons qu’on partage,[72]/[73]
qu’on a en commun aussi le même sens donné aux mots. C’est ici que si on n’a pas
en permanence en tête l’origine du
problème et les répercussions de celui-ci partout (dans
le passé, autour de nous dans le présent et par voie de conséquences dans le
futur) y
compris dans toutes les catégories, on risque de croire, par exemple, que la
maladie, la mort, est/sont un état normal par lequel nous aurons à passer,
inévitable (hors
un
grand nombre de personnes ne tombent jamais malades et j’ai pu le vérifier sur
moi-même depuis 2005 : trois jours seulement en tout de un peu mal à la gorge,
avec un peu de fièvre, que j’ai soigné avec des citronnades chaudes et aussitôt
disparus, tandis que quand je fus à démontrer de 1978 à 2005 ce qu’est devenir
amnésique et pendant quelques années fumer des cigarettes avant de trouver le
moyen d’arrêter, on comprend que la Sécurité Sociale n’est peut-être pas la
meilleure solution, car les gens autant sûrs d’être assistés et remboursés sont
à faire toutes les erreurs pour tomber malades, puisqu’ils sont devenus faunes,
satyres et centaures au lieu, en raison de peurs d’attraper mal, de ne rien
oublier de l’hygiène minimal pour l’éviter).
En effet, la mort existe toujours / encore à notre époque en 2014, mais elle n’est
qu’une conséquence du fait que la vieille salle des machines est entre les mains
de personnes n’ayant pas acquis les qualités d’honnêteté scientifique autant
exacte que moi pour être de ceux enfin dignes d’avoir le droit de l’utiliser, en
ayant continuellement en mémoire que c’est bien l’occupation de cette vieille
salle des machines qui est responsable et auteur de la mort, ce qui est à
l’origine de l’ensemble des maladies[74]
et forcément, parmi celles-ci, celles qui conduisent à la mort. En ayant
déterminé aussi exactement qu’ici la cause, l’origine de l’état général de la
situation de chacun d’entre nous, en ayant trouvé pourquoi il y a la souffrance,
les maladies, les déserts et la mort, nous nous sommes conduits ici, comme de
véritables Sherlock Holmes ou médecins, car c’est ainsi que les véritables
médecins peuvent apporter les années d’expériences et de connaissances
scientifiques dont ils sont devenus les dépositaires pour tenter de soigner des
personnes qui vont mal. En effet, une des caractéristiques majeures des vrais
médecins est celle de la curiosité dans ce que ce mot a de meilleur pour
déterminer « pourquoi » la personne qui est devant eux est malade ou souffre[75].
Tant que le médecin n’a pas trouvé les raisons par des questions ou des tests
qui peuvent conduire les patients à être contraints de faire des analyses de
sang, par exemple, le médecin ne peut pas se prononcer ou bien au contraire dira
plus ou moins certainement de quoi est malade la personne, étant donné des
listes de statistiques qu’il consulte en raison du fait qu’il doit se tenir à
jour et qu’il s’abonne à des revues spécialisées pour le corps médical.
La cause / l’origine est
entendue, nous avons déterminé ce qui est / était à l’origine de l’existence de la
mort et des maladies, y compris des incapacités de certaines personnes qui vont
donc être des personnes qui, par exemple, copient sur les voisins, puisqu’ils
n’ont aucune idée pour répondre à un sujet : ils sont parfois même devenus des
déserts, tandis qu’il y a ceux qui, faisant parti de la vieille salle des
machines, ont plein d’idées pour se lancer dans des textes de faussaires[76]
et cela parce qu’ils ont compris comment appliquer des méthodes et qu’ils
veulent s’infiltrer chez ceux qui sont dépourvus de ces machines et qui ont des
activités difficiles[77]
à exercer dans ce monde de la Vérité qui est si contrasté au point d’attirer ces
personnes provenant du monde du mensonge (de
la salle des machines)
qui espéraient cependant faire avec elles (ce
qui est incompatible)
des nouvelles recrues et détourner ces personnes qui vivent dans le monde de la
vérité pour les mener dans leur monde [et] vers les maladies, les déserts et la
mort[78].
Pour que les effets de ces mots de « maladies », de « déserts » et de « morts »
disparaissent, il est impératif que cette vieille salle des machines ne soit
plus utilisée ainsi mais soit utilisée en « it » (donc
ni en he (il), ni en she (elle) mais en « it », car elle est,
cette machine, un « it » objet qui, on a pu le remarquer, quand elle fut en ces
mauvaises mains (celles
de la reine de la nuit, haineuse) oublieuses de notions / paramètres, comme celle
de la souffrance, conduit à rendre infiniment coupable l’ensemble de ceux qui y
eurent accès)
revienne enfin entre des mains honnêtes / propres, au point de pouvoir être de
celles qui les ont peut-être conçues (donc
à des gens de sciences exactes[79]
ou plus que cela avec moi).
Cela permettra à ceux qui les ont utilisées et conservées, jusqu’à nos jours, de
bénéficier chacun d’entre eux, y compris leurs ancêtres d’un capital qui
résultera aussitôt de l’ensemble des souffrances que ces personnes, ayant
renoncé enfin à continuer à être les héritiers de cette vieille salle des
machines, jusqu’à ce qu’elles puissent de nouveau leur appartenir, une fois
qu’ils seront guéris, et donc en ayant retrouvé la possibilité de les utiliser,
mais enfin avec un autre état d’esprit, en étant capables de lire, sur de
nombreux niveaux de lecture différents, et en prenant en considérations de
nombreux paramètres y compris contradictoires y compris qui peuvent se traduire
par des inconnues, par exemple sous la forme de trois petits points, ce qui
contraint alors, forcément, à ne pas pouvoir tuer et donc à être hostile à la
peine de mort, car la personne qui « à première vue » la mérite, se situe dans
un contexte particulier, fait partie d’un contexte qui a été soumis, pour les
gens de sciences exactes, à ces paramètres inconnus qui jouent en faveur de la
personnes, s’étant très grandement mise « hors-la-loi » (à
cause d’ignorance, au mauvais sens de ce mot et non au bon).
En rendant la vieille
salle des machines, comme le variateur de la vision d’Atlantide (à
des personnes enfin véritablement compétentes),
cela signifie plusieurs conséquences positives pour ceux qui en détenaient le
maniement. La première des conséquences positives très importantes et qui est
une très bonne affaire, si nous nous trouvons toujours dans le cas de figure de
Cela devrait donc
rassurer ceux qui ont hérité de cette vieille salle des machines dont ils
pourront expliquer le fonctionnement y compris technique pour réaliser des rêves
ou des cauchemars[81]
à distance,
mais cela à partir du moment où se seront les autres qui en seront les
responsables, seulement avec l’accord au préalable des personnes qui dorment,
c'est-à-dire en situation de consentement mutuel et/ou à des fins scientifiques,
pour rechercher les moyens de soigner les cerveaux qui ont été endommagés par
l’usage de ces machines n’importe comment, sans réelle déontologie d’une
scrupuleuse honnêteté scientifique hyperéthique car hélas ceux qui en héritière
étaient encore sans conscience (donc
en étant effectivement à l’origine des ruines de ces âmes s’étant permises ce
qu’elles auraient dû s’interdire)
et sans s’être jamais mis d’avance, en fonction des rêves ou des cauchemars,
comme s’ils devaient être à les recevoir en tête, à la place de ceux qui en ont
été les victimes, donc sans véritable fraternité ni générosité à l’égard du
cobaye : donc parce que sans cœur, sans réelles sciences. Au fond, sans éthique
non plus (puisque
cette science et consubstantielle à la notion de Fraternité –
c’est parce que l’éthique est absente qu’on se comporte non fraternellement
ou/et par exemple en espion, sans prévenir –
cela signifie que ces personnes n’ont plus accès à la Vérité puisqu’elles
s’autorisent ce que chacune des autres s’interdit d’elle-même et sait
inconcevable ou impossible puisqu’elles sont réellement nobles),
et sans respect de la différence de chacun des parcours de chacune des personnes
ayant des histoires originales au point de croiser[82],
à certains moments, comme quand on survole les pistes de Nazca au Pérou,
ces sortes de voies tracées, longues, qui semblent des pistes d’atterrissages
pour des avions, alors qu’elles sont en réalité d’élémentaires/simples
perspectives en quasi trompe-l’œil et qu’elles sont sur un autre plan (celui
de l’esprit, ce qui n’est pas visible à première vue – j’ai eu à le vérifier en
faune ou apprenti satyre, pour comprendre pourquoi les centaures n’y
comprenaient rien)
les métaphores d’existences (de vies) ayant en tant qu’individus (in
sè, per sè
ou ayant à persister dans leur être ontologique)
à se croiser à de certains moments (à
un point carrefour),
avec d’autres semblables ou légèrement différentes comme deux grains de thé sont
différents (l’emprunte
ici l’idée à une pièce de Théâtre de mon frère S. A. I. SSS Lord et
l’archi-saint
Luc-François Granier et … qui est
peut-être le Prince et la Nonne (deux en une, ici un raccourci) ou
L’Ogresse, je ne sais plus, car cela remonte à loin que j’eus l’honneur de
l’entendre les lire lui-même),
allant dans des directions différentes ces dissolutions de théïne[83],
parfois pointant ou longeant l’une de ces figures qui sont parfois celles
d’animaux ou des objets (un
peu comme des emblèmes des contrades –
équipes/quartiers
- de la ville de Sienne en Toscane en Italie)
et qui ne sont visibles, comme ces pistes, que quand on les survole, ce qui
signifie bien que cette civilisation Nazca, après la presqu’île de
Paracas, sur la panaméricaine Sud ([comme] la
voie Appia de l’Amérique Latine)
au sud de Lima, était formée de personnes qui avaient bien conscience qu’il y
avait des personnes dans le ciel, auxquelles ces habitants s’adressaient et
rendaient hommage, espérant peut-être que ces dieux leur seraient favorables à
moins que ces personnes n’aient eu la chance[84]
de connaître, pendant un certain temps la possibilité de voler, comme Dracula –
aussi, il est probable que Dracula cru que c’était un hommage à son intention
alors qu’un avertissement : « les destinées des gens sont pareilles à des lignes
sans fins qui croisent les destinées d’autres personnes, ce qui donne naissance
à un colibri ou un singe ou une baleine ou d’autres sortes d’êtres humains
animaux qui sont ces lignes elles-mêmes » et c’est point carrefour d’où en
raison de l’anneau qui se manifeste alors à cause de l’aAmour qui naît de toutes
les preuves qu’il n’y a qu’aArt en ce monde (les
céramiques et les poteries Nazca ne cessaient de le prouver),
proviennent les enfants. Il y a donc eu une véritable civilisation à Nazca qui
avait l’intention de résoudre/débloquer le problème. Les vestiges l’attestent
comme pour les autres grandes civilisations crées par cet état d’esprit proche
mais différent des autres grandes civilisations (il
n’est pas étonnant que chacune de ces céramiques soient plus précieuses que tout
au point de garantir comme les autres œuvres d’art des civilisations
pré-colombienne
la monnaie elle-même des péruviens d’aujourd’hui : le
sol et de permettre de
créer la futur Monnaie Unique des pays sud-américains à l’instar de celle du
groupe/ensemble de pays d’Amérique Centrale ce qui s’inscrit dans celle plus
globale et Unique d’Ôz).
Une fois ces machines
entre des mains qui ne chercheront d’aucune façon à se veanger[85]
ou même à les utiliser pour avoir un pouvoir qui ne soit de ceux légitimes, donc
seulement en ayant la perspective de soigner les cerveaux endommagés, et qui, à
cause de cela, en sont devenus si mal élevés, irrespectueux, insolents, etc.
incapables d’anticiper sur les besoins[86]
des futurs bébés ou des enfants comme sur les besoins des personnes âgées qui
souvent renoncent à demander ce qu’ils seraient en droit d’exiger et cela parce
qu’ils ne veulent pas gêner et qu’ils ont de la religion, par conséquent sachant
discerner, et ayant de l’expérience à ce sujet, étant donné que ce sont les
actes qui comptent, il se pourrait, si nous sommes dans le cas de figure qui a
permis à ce système solaire de continuer à porter les formes de vie à partir de
cette planète que nous sommes recherchant chacun plus de justice (et
toujours moins de cruauté – non le contraire comme on l’a à tort cru)
que les conséquences positives de cet acte qui consisterait à remettre le
variateur de la vision du Paradis, comme les vieilles machines entre des mains
de personnes devenues elles-mêmes de véritables œuvres d’aArt, étant donné que
la perspective serait longue : la somme de biens qui en résulterait soit plus
importante que la somme de maux engendrés depuis le début du Problème,
c'est-à-dire il y a des milliers d’années (en minimisant). Aussi ceux qui l’ont
utilisé pour mal faire, comme à d’autres moments pour faire des bonnes
plaisanteries (de
leur point de vue qui ne tenait pas compte de la réalité des autres)
à certains (donc,
en fait, ils ne recherchaient que l’amitié et la complicité dans l’erreur et le
mal, en croyant bien faire, trompés par la situation elle-même, les amnésies qui
par lassitude étaient advenues, en prenant le mal pour le bien)
n’obtiennent pas ce dont ils avaient peur qu’ils pourraient être les victimes (qu’on
les frappe et se veange). C’est
que si nous envisageons cette « ou bien » (voir
S. A. I. SSS Lord Alain Resnais et …
avec Smoking, No smoking)
nous pouvons spéculer ici sur le court terme, à moyen terme et à long terme. Si
effectivement l’ensemble des rêves et des cauchemars, sans demander
l’autorisation, et qui sont faits, constituent une atteinte et une violation de
domicile privé (la
tête, boîte crânienne de chacun – on le sait une boîte est un domicile parfois
pour celui qui n’a que cette boîte pour s’offrir un lieu / adresse pour gagner de quoi
survivre – on dit en argot qu’on est dans une boîte pour dire qu’on est à
l’Ecole) et
sont donc des actions pour l’instant considérées comme néfastes, odieuses,
irrespectueuses (des
sortes de viols, mais au sens uniquement négatif de ce mot, puisque ceux qui
utilisaient ces instruments ainsi ne tiennent pas compte des instruments
existants durant la journée pour établir une communication ou insistent à
vouloir approcher des personnes qui ne le souhaitent pas pour différentes
raisons dont celles de la recherche de CFP pour faire fortune et participer,
grâce à leurs compétences, à l’Aventure Collective),
etc. et … , au point certaines fois qu’il peut y avoir des personnes qui en ont
assez, le fait d’avoir compris que chacun des usagers de la vieille salle des
machines ont été fait chacun sur le même modèle (leurs
droits ayant été au départ violés par des personnes qui à l’origine n’avaient
pas encore pu s’élever jusqu’à comprendre en quoi le Droit est une notion vitale
ou bienfaisante qui permet tout dans les limites que le Droit a su, comme sur la
voie d’une autoroute, tracer[87])
est essentiel ou un fait capital positif, étant donné qu’ils s’aperçoivent
qu’ils ont voulu sombrer dans l’« oubli » et l’incohérence et les corolaires,
une des autres causes, une des autres origines du fait qu’en étant amnésiques,
ces personnes ont ainsi pu rejoindre l’ensemble de celles qui ont perdu ainsi
leur véritable identité, au profit d’une identité commune, interchangeable [et]
en oubliant que chacun d’entre eux était totalement différent, comportant des
expériences différentes, analysant les enseignements reçus à l’éEcole ou plutard
différemment, au point d’avoir des fonctions différentes en résultant, chacune,
de parcours bien originaux, comme ceux qui savent que même des jumeaux ou des
clones semblables génétiquement, en tout point, sont différents, étant donné que[88]
chacun à un point de vue dans l’espace, comme vont l’avoir chacune des brebis
différentes, différent puisque le champ de vision et l’itinéraire que chacune
d’entre ces brebis prend est géolocalisé localement différent.
Donc en ayant compris
d’où vient le problème, la cause du problème, nous sommes l’Ensemble en mesure
de parvenir à tenter de soigner l’ensemble de ceux qui se sont faits avoir par
ceux qui s’étaient fait avoir avant eux (et
ainsi de suite jusqu’au plus loin dans le passé et les passés de chacun)
et nous aurons pu mettre un terme à ce qui est / était contraire à l’intérêt de
leurs descendants comme nous aurons réussi à faire comprendre que cela n’était
aucunement une bonne affaire d’avoir voulu devenir les héritiers de personnes
qui avaient en commun hérité, avec cette salle des machines encombrante, par la
même occasion d’autant de complaisance dans la malveillance et les soupçons
aussi calomnieux en raison d’à première vue aussi oublieux de tous les
paramètres que l’honnêteté intellectuelle exige normalement, comme de l’ensemble
de ces mots qui caractériseront ces états d’enfants-gâtés, inconscients de ce
que ces exigences représentent comme difficultés pour les autres personnes.
Donc celles-ci,
gâtées, devenues celles de ce club des innombrables Dalton standards qu’elles
sont devenues en raison de leur affiliation à cette espèce de club, sont
devenues en grande partie bien pire encore que pourries et donc sont dans un
très mauvais état de santé psychique pour comprendre des choses qui sont
effectivement difficiles à comprendre car complexes (il
ne faut jamais oublier comme au moment où deux éléphants de mer commencent à
s’échauffer en ayant recours à leurs dents, comment cela a commencé),
mais qui ont trouvé leur justification d’être en raison de la situation générale
qui était bloquée, ne permettant pas à ces personnes, même armées de bonne
volonté, de comprendre des sciences aussi complexes que celles qui sont mises en
œuvre par ceux qui y ont accédé et les ont comprises, puisqu’ils proviennent de
familles qui ont renoncé à certains des aspects négatifs des causes,
c'est-à-dire à devenir des complices de personnes ayant progressivement perdu
leur statut d’êtres humains, au profit d’autres sortes de monstruosités qui
permettent de mieux comprendre pourquoi, dans certains cas, certaines de ces
personnes ressemblent autant à de futurs animaux (au
sens négatif de ce mot),
au lieu de chercher à ressembler à ces personnalités qui ont effectivement donné
de nombreuses preuves que l’être humain est, avant tout, une personne capable
d’analyser, de mesurer, de rechercher les causes des maladies et cela avec
l’espoir d’en élaborer des remèdes divers, de soigner ceux qui ont été
effectivement affectés par les effets de ces causes lointaines qui ont enfermé
les êtres humains en boîte de nuit, ou bien dans d’autres situations pour faire
parfois ou pire, souvent, de chacun d’entre eux des irresponsables, comme aussi
des personnes ne pouvant pas trouver les raisons d’être de textes ou d’œuvres
qui proviennent d’univers auxquels ils ont renoncé à avoir accès et en cela
préféré faire parti des gens perdus, malades, seuls, menteurs, etc. puisque ces
textes sont à première vue autant paternalistes, donc de leur point de vue
« ennuyeux » (il
ne peuvent pas être autrement pour les temples ou lieux pour/de l’Esprit
puisqu’ils sont de ceux qui s’évertuent à soigner de ceux qui écrits autrement
ont mené à des catastrophes ou à ces quantités d’actions pour toujours honteuses
ou indignes, même si elles devaient avoir permis à Dracula de voler, à moins
qu’il ne le puisse pour une toute autre raison qui n’est pas à imputer à la
seule malfaisance de ses péchés – ce qui serait à découvrir ou à trouver et qui
pourrait participer à le rédimer, s’il ne devait pas être seulement malfaisant
et désirer, comme Jean Valjean, enfin changer ou revenir à Dieu, s’il devait
s’être fâché contre Lui pour des raisons qu’il ne pouvait pas se douter quand il
était enfant qu’être bon c’est être capable de choses inconcevables et
merveilleuses pour juguler le méchant et devoir s’ingénier à lui donner d’autres
perspectives pour « nuire », ce qui sera synonyme de « bien-faire », en
anti-phrase).
C’est que c’est une
bonne affaire d’un seul coup de bénéficier d’un crédit car nous savons ces
personnes qui ont bénéficié de l’héritage de la vieille salle des machines
travailleuses, pas du tout seulement paresseuses, puisqu’elles sont contraintes
d’espionner « à première vue » et donc en permanence, en raison de leur peur (car
en situation de mensonge)
cherchant (ayant)
à avertir. Certainement elles sont payées pour cela avec de l’argent (des CFP)
qui n’a(ont) pas été fait / gagné honnêtement et c’est ce qui a tout gâché car ils
n’ont en définitive que fait perdre le temps à tous, comme les quarante voleurs.
Mais, ce qui
risquerait de se passer, c’est que les autres qui sont infiniment travailleurs
aussi, au point que certains ne peuvent pas/plus trouver la force de déplacer un
crayon d’un endroit sur la table pour marquer une idée, (étant
donné leurs dimensions immenses et qu’ils ne le font qu’en vérité – et surtout
qu’ils n’ont fait que donner, pour ne rien d’autre que recevoir outrages et
incompréhension ou être dérobés),
soient contraints de travailler encore plus pour essayer de trouver les moyens,
en utilisant ces machines, de soigner les cerveaux de ceux qui [se s]ont réduits
(leur
tête) à n’être
que des aliénés aux divers inepties et ont perdu leur véritable personnalité, au
point d’être chacun interchangeable ou même quasiment les mêmes (comme
les Dalton[89]),
pour l’instant, tant qu’ils n’auront pas repris et retrouvé le chemin qui mène à
la véritable connaissance (qui
ne peut advenir qu’en raison d’une soumission totale aux CFP et un rejet total
des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch – casses, fausse-monnaie, rackets internationaux,
réseaux de prostitutions sans assistance ou suivi médical, etc.),
y compris accès aux véritables responsabilités, ce qui a alors donné partout de
véritables parents et aussi la conscience professionnelle, mais aussi ce qu’on
appelle le Saint-Esprit (on
l’appelle ainsi dans la religion chrétienne cette conscience d’origine
bouddhique ou mahométane ou hébraïque ou … ).
Le variateur de la
vision du Paradis n’est donc pas du tout une bonne affaire, ni à nôtre époque la
vieille salle des machines et cela pour personne (elle
l’était peut-être au départ, quand elle était à tout le monde, mais en raison de
ce qui s’est passé, elle a conduit ceux qui en ont hérité à devenir hostiles
à/de leurs intérêts fondamentaux, ceux de leurs enfants et enfin l’intérêt de
tous, les faisant devenir inconscients et irresponsables et donc des dangers
pour eux-mêmes – pire : cela a conduit au péché et à devoir trouver une solution
élégante pour en tirer les uns et les autres, grâce au Christ, le Seigneur et sa
mère, la Sainte Vierge).
Aussi, il y a comme autre solution élégante celle qui permettrait à ceux qui en
ont hérité de cette salle des machines d’être toujours les héritiers légitimes,
ces propriétaires de celle-ci et de faire avec les instruments à bord, ce qui
serait conseillé de faire par ceux qui sont les descendants de ceux qui ont
résisté pour éviter de se faire arnaquer par ces derniers qui n’ayant pas appris
à lire en vérité, n’ont jamais su distinguer dans la réalité ce qui est du
domaine de la vérité de ce qui ne l’est pas (puisqu’ils
ont dû ne faire que semblant – ils ont employé l’écriture et les mots dans leur
unique intérêt, au point de ne pas discerner les anti-phrases, ni même pourquoi
les phrases étaient inscrites – de quoi il était question et n’ont pu comprendre
qu’en prenant le lâche parti de ceux qui s’abritent ou s’identifient aux
méchants – soit à ce qu’ils étaient devenus),
au point de ne pas comprendre les blagues (ce
qui est paradoxales puisque c’est eux qui s’étaient autorisé à les faire en
utilisant les machines à rêves et à cauchemars)
ni sur quel plan se situent les informations qu’ils glanent, en étant de faux
amis, de fausses maîtresses, de faux époux (comme
le rôle du mari dans Julietta des esprits),
car en raison de leurs incapacités, ils sont avant tout devenus des espions (ou
cherchent par des attitudes à premières vues honnêtes une couverture, en voulant
approcher ceux qui ont compris),
par conséquent des personnes étant capables par mimétisme de copier, de faire
comme les personnes qu’ils observent en cachette, comme le fera une mère lionne
cachée dans les hautes herbes, en ayant l’embarras du choix sur les mâles ou
femelles qui, cornus, se préparent à devoir se défendre, comme certains buffles,
dans un élément que certains chats n’aiment pas trop, car il s’appelle l’eau. La
lionne y sera précipitée et mourra en se noyant ou alors renoncera sagement à
cette chasse pour tuer un serpent ou un crocodile, ce qui était ce qui serait le
plus difficile et qu’elle doit réussir pour éviter un pire destin sinon si elle
s’acharne en lâche sur plus faible qui ne peut se défendre (puisque
les forces physiques brutales sont injustement disproportionnées). Aussi la voilà
testée et plus elle prend des mauvaises habitudes de chasseresse avec ses
copines les lionnes, plus elle va perdre ce qu’elle aurait gagné en utilisant
ses dents qui sont de véritables poignards, pour égorger des peaux beaucoup plus
dures [et] qui sont celles qu’elle risque de devenir à la prochaine
réincarnation si elle s’interdit de les chasser pour chasser, en lâche, plus
facile. Ces réincarnations plus néfastes sont donc heureuse de perdre la vie
pour éviter de devenir pire : par exemple serpent alors qu’elle avait la chance
d’être crocodile, car c’est ce que les crocodiles n’ont que le droit de manger,
du serpent (ils
savent depuis toujours qu’ils doivent s’interdire de manger un poisson qui n’a
pas de dents et qui viendrait, nageant, confiant, à entrer dans leur gueule
ouverte, alors qu’ils seraient, crocodile et poisson, dans le fond de la vase de
l’étang à se reposer, le crocodile d’une chasse au serpent acquatique (en
effet, le crocodile défend les poissons qui n’ont pas de dents de la prédation
des serpents – il est donc comme un gendarme ou un chien de garde dans les
fleuves ou milieux aquatique qui sont de ceux qui furent à sa convenance comme
son habitat)
devant s’interdire alors de refermer la gueule
(puisqu’il
a bien pu remarquer que le poisson qui est entré dans l’espèce de caverne qu’est
sa gueule ouverte est de l’espèce qui broute des algues ou mâchouille du
plancton
(il
n’est donc pas un des poissons prédateurs que le crocodile a le droit de tuer)
: en
effet, ce n’est pas un ennemi
(puisqu’il
ne peut même pas se défendre, comme peut l’être la lionne ou un des fauves, avec
ses poignards ou canines, en forme de pointe de lance qui ne les a obtenu que
pour chasser le crocodile, car quand elle s’attaque à plus faible, elle sait
qu’elle est perverse
(injuste,
contre Nature ou contre le bon sens de la Création qui a été faite pour, malgré
ceux qui se sont ingéniés à la vouloir saboter en toutes les époques
redonner des chances à ceux-ci, en tenant compte de l’éventualité qu’il puisse y
avoir eu un problème, par exemple, d’amnésie qu’auraient eu
(ou
qu’on aurait infligé méchemment et artificiellement – donc contre le gré initial
de l’individu / l’âme particulière)
un
futur chien, un futur chat, un futur fauve ou une lionne ou pire : un serpent ou
un requin)
sacrilège,
et qu’elle va donc perdre des points, à cause de ce qu’elle est en situation de
très grave péché :
c’est l’ancienne déesse lionne Baschett qui
sera à première vue aimée par chacun des terriens, car elle est joueuse, une
bonne mère et possède ces qualités redoutables de tueuses de crocodile (donc
capable, par exemple, de défendre un enfant ou une ethnie appartenant à l’espèce
humaine, comme le font tous les braves chiens) – donc est utile quand elle fait
comme les autres fauves leur travail dans le bon sens – ce qui signifie toujours
que ces animaux ont perdu la raison, dès qu’ils chassent les herbivores et qu’à
cause de cela, ils vont obtenir une réincarnation déshonorante : pire encore,
puisque pour chasser ces herbivores, ils ont recherché à contracter une amnésie
(ou bien cette mauvaise habitude de chasser plus faible qu’eux, par exemple dans
un parc animalier qui autoriserait des quotas) et ainsi s’autoriser ce qu’ils
savent ils n’avaient que le droit de manger que seulement une fois l’animal mort
de vieillesse, par exemple, comme les vautours).
A l’origine du
Problème, il y a la différence entre l’époque dans laquelle le Problème a
commencé (c’est
ici il y a très longtemps),
sans que personne n’ait alors conscience (de
ce qu’il allait engendrer)
ou ne comprenne alors que l’origine du Problème serait aussi, à cause de cela et
de la loi des conséquence, dans le futur, à l’époque du début de l’Aviation, ce
qui a permis, par ailleurs, d’être certain de la circonférence du globe de la
planète et rendu l’ensemble des distances plus courtes à franchir, par
conséquent, ce qui a rendu beaucoup plus petite (en
tant que temps pour parcourir les distances)
la Terre / Atlantide / Ôz / Arcadie / Eldorado / l’Egypte[90] / etc.
aux yeux de l’ensemble de la génération de 1920 et des suivantes. En effet, même
si on savait cela depuis longtemps par bâteaux[91],
il a fallu attendre l’époque de l’aviation civile qui signifie un très important
niveau de civilisation et de connaissances techniques, ce qui n’était pas le cas
quand il y a des milliers d’années le Problème s’est manifesté, à une époque qui
n’avait pas encore trouvé les moyens pour représenter, pour écrire les sons et
s’accorder sur le sens le plus usuel comme moins que cela des mots (puisqu’avec
les siècles en raison du caractère limité en nombres possibles des sons, vont
apparaître les divers autres sens des mêmes sons, dont les sens figurés, avec
tous les risques / probabilités de malentendus inhérents d’autant plus des degrés
d’études ou alors au contraire de l’ignorance, au bon comme au mauvais sens de
ce mot). C’est
pourquoi le Problème sur cette planète a eu à voir avec la communication et la
représentation, comme avec les problèmes qui concernent l’écriture et ceux qui
sont engendrés par la parole articulée, qui a permis ces communications orales
mémorisées ou bien moins mémorisées que cela, puisque on était cru sur parole et
on ne pouvait pas soupçonner de la complexité qui concerne la recherche de la
vérité et la nécessité de passer par la médiation de sa représentation par
écrit : une forme d’enregistrement et des références au point que cela ait donné
d’un côté les textes sacrés comme celui des Dix commandements[92]
par exemple et de l’autre les textes plus profanes.
En écrivant ce texte,
je parle à voix haute, tout en l’écrivant, comme si l’écriture était la
traduction de mes pensées exprimées à haute voix pour vérifier la justesse des
phrases à la fois parlées à haute voix, mais aussi inscrites, en même temps, sur
l’écran (ce
qui me permettra, à la relecture, de modifier, de corriger, de supprimer, de
relire y compris, de nouveau, à haute voix pour être certain que le texte soit
lisible pas seulement avec les yeux, mais aussi à haute voix pour ceux qui sont
dans l’impossibilité de déchiffrer, de lire en vérité).
En fait, il y a une sorte d’état d’écriture qui fait la synthèse entre la pensée
orale et la pensée écrite, mais il m’est arrivé d’écrire de longues journées
sans murmurer à voix haute le texte que j’écris et cela, en général, pour le
premier jet qui se révèlera à corriger dès la première relecture à haute voix,
nécessitant le silence autour de moi, par conséquent d’avoir la paix, car
effectivement l’écriture qui a donc à voir avec la lecture à haute voix, doit
pouvoir être lue, pas seulement avec ses yeux de correcteur ou de critique, mais
en entendant si ce qu’on écrit est juste et vrai (c’est
si c’est logique, car le sujet qui m’intéresse ici n’a que peu à voir avec
l’absurde, mais avec la réalité et ses composantes scientifiques comme avec le
Problème).
C’est bien le Problème
qui a créé d’un côté des personnes qui vont croire, sans écrire leurs textes,
improviser oralement sur la base de certitudes qu’ils ont acquises, sans avoir
eu le temps de réfléchir et en faisant confiance, alors qu’ils ont pris des
mauvaises habitudes à cause de la situation qui était bloquée et que, par
conséquent, celle-ci a engendré des effets qui ont causé, logiquement, la
nécessité d’opérer, d’analyser autrement que très spontanément, donc autrement
qu’«à première vue »[93]
la réalité, ce qui va être ressenti à la fois dans les discours oraux, mais
aussi dans ceux qui sont le résultat d’une écriture qui se donne le temps de
réflexion que le discours oral n’offre pas, ni même si on est devenu un brillant
orateur et qu’on a acquis la science de l’orateur, d’autant plus des idées qui
passent alors dans la tête et qui exigent parfois des vérifications[94]
comme aussi de l’entrainement, ce que pratiquent les musiciens qui ont à répéter
et à se préparer parfois de très nombreuses années pour jouer avec d’autres
musiciens ayant parfois eu plus de facilités à rejoindre leur place au sein d’un
orchestre. Le peuple est composé de l’ensemble des individus et dans les
statistiques, il y a un pourcentage encore très faible de personnes qui
s’intéressent aux matières et disciplines appelées « catégories de l’esprit[95] ».
Ces catégories, ces matières, ces disciplines sont très nombreuses pourtant,
mais en raison de contextes sociaux desquels proviennent les composantes du
peuple (les
gens, les personnes),
malgré l’accès à l’instruction publique, à la radio, à la télévision, à
Internet, ce peuple a encore besoin qu’on s’adresse à lui par la parole
articulée, bien que les orateurs aient fini par rédiger, à l’avance, leurs
interventions orales, alors que l’usage donnait la préférence à ceux qui étaient
capables d’improviser en public, sans notes, en construisant leur discours au
fur et à mesure, inspirés par la recherche du bien et de bien défendre des
causes leur tenant à cœur (en
général à première vue[96]
des injustices).
Nous voyons hélas ce que cela a fait comme dégâts étant donné que de nombreux
orateurs n’ont pas pris le temps de réfléchir par écrit à l’importance des
sujets traités et des réponses à donner à des reproches ou bien à des sujets à
l’ordre du jour dans les assemblées de députés ou de sénateurs. Cela va changer
dans la mesure où chacun d’entre eux va pouvoir prendre connaissances des
solutions élégantes publiées sur le réseau Internet y compris à
l’étranger concernant précisément des problèmes analogues traités, ce que les
traductions informatisées vont faciliter. Indéniablement nous sommes arrivés à
l’époque de l’écriture et de la représentation graphique dans et pour illustrer
chacune des catégories y compris en disposant d’images archivées, parfois
animées, pour être capables de communiquer et de communications. C’est donc
impossible de se passer de l’écriture pour trouver des explications à donner
comme pour gérer la société ou pour créer des scénarii de composition. La parole
orale va concerner d’autres types de communications dont l’improvisation et a
besoin d’être étayée dans sa recherche de la vérité par l’ensemble des écritures
concernant les différents sujets traités[97].
Le peuple qui est formé de personnes en grande quantité n’ayant pas pu, pour
différentes raisons, poursuivre leurs études, ayant des aptitudes de personnes
concernées par les différents travaux manuels, facilitées par la division du
travail qui a permis ce que la taylorisation a pu offrir comme activités
rémunérées, a besoin de personnes qui sont formées à des hauts niveaux pour les
représenter, car ces personnes sont scensées savoir écrire, parler, penser,
calculer et vérifier ainsi le bien fondé du marché du travail qui est composé
par différentes catégories d’individus qui forment aussi ce peuple qui a,
suivant les personnes, des qualités différentes à offrir en échange de ces
moyens financiers qui sont calculés plus ou moins justement, en fonction de
différents paramètres[98].
L’instruction publique offerte au plus grand nombre n’a permis qu’à un petit
nombre de devenir de véritables créateurs et de comprendre le sens total de
[1]
En reconnaissant officiellement les anciens que
je ne puis continuer d’offrir bénévolement car
j’ai à songer, en connaissance de causes, à
nourrir une éventuelle descendance qui est de
l’ordre du virtuel, comme à ne pas seulement
songer à me rémunérer en ôzInes
(cette
nouvelles monnaies d’Ôz qui même si elle est
comme celle d’un Etat est de celle, nous avons
eu à la vérifier qui sera pour toujours
sous-estimée à l’aune des résultats obtenus
malgré les bâtons dans les roues qui nous furent
mis – ces personnes à se donner autant de mal
que cela à faire de l’obstruction ne vont pas
bien – au lieu d’aider, elles s’ingénient à ne
pas vouloir comprendre les gens compétents –
pire : à être totalement incohérentes
puisqu’elles profitent de celles compétentes
continuellement – donc réellement à ramer dans
le sens inverse du bon sens)
– il est aussi normal que ce que me doivent les éEtats (comme
aussi d’avoir réussi comme vous le verrez dans
ce texte et d’autres de mon cru à rétablir la
situation éEconomique mondiale, dès le prix du
pétrole sera à dix dollars et enfin comme vous
le verrez en raison que la Reprise sera au
rendez-vous (comme une voiture qui enfin
pourrait démarrer ou changer de vitesse) à un
dollar le baril de pétrole, bien que j’interdise
pour toujours à aller au-dessous (comme
j’ai eu à le supplier au cours de mes
démonstrations pour faire comprendre que ces
personnes gagneraient un pouvoir d’achat
augmenté au moins d’un zéro)
– car on m’a fait trop attendre et même je ne
devrais pas céder à moins de dix dollars, tant
ce que j’eus à vivre fut le plus pénible du
monde, au cours de ces écritures pour réussir à
convaincre ce qui est élémentairement
compréhensible par n’importe lequel des enfants
à jardin d’enfant plus (+) deux ans scolarisé –
mais en songeant à l’un ou l’autre d’entre eux
si adorables, je craque, pour accepter à un
dollar (depuis - j'ajoute en 2017 - je suis
arrivé à 0, 01 centime de dollar). Mais jamais à moins, en raison de ce
dont leurs ancêtres sont devenus coupables
envers Nôtre maison Granier d’Ôz
– en fait, je ne connais personne qui aurait
insisté autant que moi pour avoir cette victoire
dans l’Intérêt Général des siècles à venir en
ayant pour celle-ci à devoir endurer tant de
malheurs – mais celle-ci en vaudra sans doute la
chandelle, ce dont pourront m’assurer divers
prétendues amies que j’avais ou que j’aurais
alors, c’est bien normal – quand elles ne furent
toutes que mes ennemies, bornées comme elles le
furent ou comme la femme mal élevée et pas assez
scolarisée l’est au point qu’elle préfère
entendre et croire aux dires de faux adultes
jouant les dominants alors que totalement
incompétents et faisant comme elles semblant et
que la vérité sort des enseignements scolaires
les mieux établis par les personnes les plus
compétentes –
Hey !
teacher kids only needs education).
[2]
Et je ne comprends toujours pas pourquoi dès
1965 il ne m’a pas proposé de rémunération pour
ce qu’il savait me devoir (au
moins depuis 1967-68 s’il a jugé que j’étais
trop petit à l’âge de deux ans)
! Il va donc y avoir des dédommagements et des
pénalités à s’infliger qu’on me devra pour
autant de préjudices moraux – mais surtout
autant de crimes de lèse majesté au point que
cela ne fut que sacrilège et la preuve que
l’ineptie n’était plus que dans l’éEtat – comme
si un enfant n’était pas une personne qui
n’était pas déjà, dès le premier jour, au
travail comme chacun, depuis toujours, pour être
le serviteur de sa propre future pyramide !
L’ignorer s’est prendre les enfants pour des
crétins et c’est leur devoir des dédommagements !
L’ignorer quand, de plus, le nom de la promise
est sue/connue d’avance (comme
ce fut mon cas),
c’est pire encore que criminel ou qu’une faute
ou qu’un outrage ou que de l’ineptie, c’est
rechercher avec préméditation à voler tout ce
qu’on doit à ce couple et c’est signer qu’on n’a
rien compris ni à Dieu, ni à l’éEtat ni à quoi
que ce soit qui concernent les devoir inhérents
liés à la condition de parents). Mais j’ai su
cependant que Jean Rouch le savait, puisqu’il me
disait, en admirant les enfants passer sur les
trottoirs avec leurs mères que les petits
garçons avaient leurs enfants dans leurs
couilles (ce
qui me fit penser que je n’avais pas encore mes
enfants et qu’il faudrait donc que je puisse
créer les conditions d’honnête homme pour les
attendre) !
Aussi nous ferons comme si l’éEtat français
avait dû s’attacher mes services de pharaon
depuis 1965 et me devait depuis lotrs des
émoluments. Ensuite
nous ferons comme si l’éEtat Européens avait dû
s’attacher mes services de pharaons et me devait
des émoluments et enfin après l’avoir fait pour
les Etat-Unis, la Chine, le Japon, l’Allemagne,
la Russie et de chacun des organismes et des
éEtats du monde entier dont j’ai dû m’occuper
multidimentiellement et multicatégoriellement
et en
… avaient dû s’attacher mes services de
pharaon et me devaient des émoluments et vous
pourrez constatez de combien chacun d’eux me
doit financièrement parlant (d’autant
plus de l’extraordinaire et peu commun office –
du ciel, durant des années en dévoué serviteur,
obligé à se condamner comme à la prison et aux
spaghettis – rien d’autres à cause des
injonctions de la conscience végétarienne (et du
peu de moyens) et à cause de la
logique de la situation et de ce que je suis
empereur (dont
l’avènement avait donc été annoncé autant
glorieusement et courageusement que cela en
Un pour
tous)
et ne puis me soustraire à mes obligations qui
me sont donc dictées en conscience par ce qui
résulte de l’analyse de la situation
particulière dans laquelle l’Ensemble m’a fourré
– ce tous),
au point que je ne sais pas comment vont faire
les terriens et à qui ils vont
pouvoir emprunter car le montant de leur
dette à Nôtre/mon sujet (mais
ici je songe aussi à ces dettes qu’il va falloir
estimer qu’on doit à
quelques personnes)
rien qu’en émoluments escroqués et si important
que de m’avoir fait survivre avec cinquante
euros par semaine pendant autant d’années
constitue y compris de la part du pharaon
précédent la pire des insultes ou le pire des
outrages ou des sacrilèges – ce qui ne serait
jamais arrivé s’il n’avait pas eu lui-même (il
s’agit de mon père à qui je suis contraint de
tout pardonner d’avance car il ne peut pas aller
bien, en étant dans le sarcophage après un tel
criminel, fou, handicapé,
au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans
d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) lui, mon père qui n’a
jamais fait de mal à une mouche et qui respecte
avec raison les araignées ou tous les animaux et
surtout les dames)
une répercussion de la maladie du pharaon
précédent et que sa situation de coincé à
l’angle entre deux systèmes – celui des mains
propres et des gants hyper-blancs ou aussi
immaculées que mes mains dès ma conception et
celles plutôt devenues atrocement noires ou du
fou au
SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce
mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances,
points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
ou de l’handicapé le précédant – soit celui
qui l’a effectivement handicapé beaucoup (en
réalité beaucoup trop ou même à l’infini et qui
fait de lui un hyper-saint)
pour réussir à s’adapter intellectuellement à la
cohérence de son époque ou de ce que la loi
d’auteur en son sens multidimensionnelle et
cosmique induit – puisque c’est aussi à cause de
celle-ci que j’ai pu sauver l’empereur
précédent, a. h. et même le faire protéger par
mon père, car on va pouvoir confisquer les
royalties
de a. h . auxquels il aurait, à première vue,
droit (comme ceux de napoléon) ou ce qui est
fait à tous les hors les lois pour leurs éviter
d’avoir à le payer pire que cela, donc grâce
aussi à une sorte de processus alchimique
faisant appel à des inversement proportionnels
(ou
des valeurs négatives à prendre en compte),
mis en route par mes soins qui permet à
l’inverse du nocif dont ces personnes sont
devenues les auteurs (donc
coupables),
de leur éviter la peine de mort (d’autant
plus qu’ils n’ont pas l’intention de recommencer
puisqu’il s’agit de personnes qui comprennent
pourquoi on n’a plus le droit de tuer – à cause
du virtuel positif que représente l’autre, mais aussi de
tout ce qu’on ne sait pas de positif l’autre
aurait fait à d’autres moments dont on n’a pour
l’instant rien su)
puisqu’il n’y a pas aussitôt comme conséquences
dans tous les temps futurs une seule personne
dans le monde entier qui comme à la fin de
M le
maudit ne les montre ensuite du doigt en les
rejetant chacun
comme l’exemple pire que le mal – ce qui
n’est effectivement pas, comme le pense Fritz
Lang y compris Stanley Kubrick dans
Orange
mécanique, beau, pas bien, et pas bon, (bien
que pourtant juste à propos des années et les
temps où ils sévirent à
contrario du bon sens, en réussissant à faire
vieillir tout le monde et à augmenter les
surfaces de désert – donc à ne faire que nuire
ou presque et ce qui effectivement mérite un/des
châtiment[s] ou des punitions)
car ce n’est pas comprendre exactement comment
ces personnes sont autant que cela devenues
« criminelles contre l’humanité » et oublier que
les ancêtres le furent devenus simplement en
voulant appliquer l’idée, à première vue,
cependant démagogique (et
contraire à ma vision de l’eEtat car il risque
d’en devenir méphistophélesque – ce qui n’est
pas bon non plus et même contraire à l’idée que
j’en est – on me devra des
royalties
sur l’entreprise de chaussure
Méphisto
que j’ai pensé devoir créer pour qu’on puisse
réfléchir sur cette notion dont le public se
familiariserait – car c’est une bonne marque et
une bonne idée pour des chaussures en cuir ou
même en peau de crocodile et de serpent, ne
trouvez-vous pas ? Et on pourrait, cependant à
tort m’accuser de l’être ici, si je n’avais pas
spécialement été « réaliste » en cela plutôt que
méphistophélesque)
de « la poule-a-pot » (des
mauvaises habitudes)
que l’on doit à trop de bonté pour la misère
humaine (ce
qui a eu pour effet, trop d’ingratitude et
finalement en raison de cela, parce que ce
n’était pas juste, l’auto-destruction de la
reine de la nuit qui en fut, car aussi ingrate,
fâchée et pire aussi haineuse : le monde,
l’univers et la Création toute entière était
effectivement le contraire qu’à détester et
depuis toujours tel qu’elle l’avait su petite
fille : aimable, très admirable, très belle,
très bonne : bref du très très bien et son
auteur, le GAU, admirable en tout !
de quoi donc pouvoir être aussi injuste et aussi
détestable – et par conséquent de quoi s’auto
anéantir puisqu’on est injuste pour la troisième
fois alors qu’on a été averti d’avance et qu’il
y a eu tant de travaux d’effectués de partout
pour comprendre que ce à quoi elle croyait n’est
pas possible : on ne peut pas rendre esclave des
personnes qui naissent libres (mais par d'autres
aspects prisonnières) et qui ont la
possibilité grâce au langage d’échanger des
compétences contre des rémunérations établies
proprement – donc dont l’origine est propre ou
celle officiellement connue des autres éEtats).
[3]
Car même si j’ai acquis de droit de battre
monnaie comme pour l’instant je ne dispose en
cette journée de 2014 d’aucun billet de banque
et comme on n’est jamais à l’abris d’une
révolution (même
si comme je le crois enfin toute cette histoire
aura donné à réfléchir à jamais aux
révolutionnaires les plus bornés et violents
qu’il vaut toujours mieux pas se faire justice
soi-même et faire confiance au inscriptions
établies justement ou très scolairement comme
aux raisonnements les plus diplomatiques ou ceux
des êtres humains les plus lettrés ou scolarisés),
même au sein de sa propre famille (par
exemple une fois âgé ou plus que cela, en raison
des diverses maladies qui traînent et qui
s’attrapent (vous
devez avoir vu quelques épisode de
Dallas,
il s’agit d’une saga et chacun est une
personnalité qui cherche à faire mieux que son
frère ou sa sœur ou que ces cousins, d’autant
plus de la barre a été mise assez haute à un
moment dans l’Histoire par un ancêtre en commun
–
ici l’exemple tombe mal car c’est un de ces
incompétents en Economie qui fut à l’origine de
chacune des guerres –
d’où qu’on comprenne que JR joue le rôle d’un
méchant), je
préfère m’assurer de revenus sur plusieurs plans
ou en provenance de plusieurs lieux / trésors
distincts (en
plus de ceux qui vont me devoir faire suivre une
comptabilité ôzienne et me transformer en
acheteur de projets ou d’idées pour investir ce
trésor légitime en ayant ici à devoir compter
sur l’honnêteté que pourrait acquérir la
personne s’il devait réussir son projet, ce qui
va représenter quantité de tentatives pour ces
concepteurs pour arriver à leurs fins que de
penser qu’il faudra recourir aux huissiers
locaux pour se faire rembourser et suivre
chacune de ces personnes étant aux prises aux
difficultés parfois importantes dans lesquels
ils sont me paraît une façon très discourtoise –
aussi prêter des crédits de financements
proprement établis sera l’affaire de banquiers
attachés à ma cour et non directement de ma
personne – c’est à ces personnes qu’il sera
demandé ces CFP – elles me feront des rapports
et j’aurais à donner mon avis selon les
maquettes et les dessins ou autres peines que
ces personnes veulent s’infliger, mais je n’ai
nul envie de rencontrer ces gens)
car si je devais clore le projet de monnaie
unique d’Ôz (qui
est mondial – ce qui serait une mauvaise affaire
pour tout le monde car c’est ne plus jamais voir
aboutir à la Paix entre toutes les armées, ce
qui serait dommage car quelques uns de ces
enfants avant de devenir autant enfants-gâtés
que cela avaient du talent pour autre chose que
des parades de personnes au service de l’ineptie
et de ce qui ne sert à rien, ou de ce qui coûte
aux éEtats considérablement du temps, des
efforts et des investissements en pure pertes)
ou même à devoir menacer quelques mois de ne
plus jamais en entendre parler (en
raison de la mauvaise volonté d’un de mes
descendants –
ce qui ne serait pas du chantage mais qui serait
réellement une catastrophe mondiale universelle
qui toucherait tout le monde en raison de
l’adolescence en cours
–
ce qui signifierait que j’aurais un traître au
palais de l’empereur)
j’aurais au moins (en
cessant de battre monnaie mondialement (en
ayant tout perdu – ce qui signifie que tous
seraient à deux doigts de mourir),
les revenus qui sont reconnus dans les divers
ensembles que mon père et moi eûmes à créer
(voire si nous devions clore l’expérience
européenne, ceux stricto français qui à première
vue suffiraient du point de vue de ce descendant
devenu un parasite qui ne mériterait pas même le
surplus de ceux-ci que je pourrais dégager pour
lui permettre de faire des études, en espérant
que cette maladie locale qui l’aurait rendu
minuscule et méprisable par l’ensemble de ces
ancêtres et toutes les générations à venir, lui
passe – ce qu’évidemment ne devrait pas être
mais comme il y a des répercussions de certaines
années passées et de nombreuses choses qui vont
m’échapper car je ne pourrais jamais veiller à
l’éducation de ces petits à ces heures-là, avec
en prime ce dont je ne suis pas au courant il
leur manquerait comme paramètres pour réussir à
comprendre là où j’ai en revanche heureusement
pour eux eu à comprendre à leur place pour être
digne de l’idée que je me fis d’eux par avance à
l’aune de mon génie même si cela devait être une
petite fille (car
il n’y a pas de raison qu’elle ne soit pas au
moins aussi géniale que ma mère)
et que j’ai pu vérifier combien c’est
véritablement dangereux au plus haut des degrés
(et
c’est, je vous prie de le croire minimiser au
maximum)
comme au plus bas que la fréquentation des
terriens habitants de cette planète d’autant
plus qu’il s’agirait du fils ou de la fille de
l’empereur qui ne pourra jamais savoir lui-même
ou elle-même à quel point ils sont handicapés à
cause de cela sur tous les points d’avance et
non avantagés comme j’eus à le vérifier et cela
d’autant plus des sourires partout depuis
quelques temps comme complices que cet/ces
enfants devrai[en]t rencontrer, je ne puis que
devoir prévoir le pire, y compris à cinq cent
années d’ici, quand cette monnaie unique du ÔzIne
sera entrée dans les mœurs partout (comme
ce fut le cas pour le franc suisse ou la lire ou
la livre ou le yen ou le dollar ou le rouble)
- en effet, même s’il faut la supprimer une
seule heure – cela signifiera
aussitôt (comme
pour l’euro ou comme ce le fut pour le dollar en
d’autres temps avant l’unité parachevée de cet
ensemble d’éEtats, des rRégions)
sur tous les marchés du monde des catastrophes
boursières, des suicides et des faillites par
milliers, voire par millions y compris sur la
Lune ou sur Mars alors commençant à être un peu
repeuplé – si même il s’agit d’une seule minute
où je dois employer dans l’un de mes domiciles
familiaux cette menace – ce sera la panique
partout – comme cela le fut à chacune des fois
où on menaça de faire disparaître l’eEuro – car
c’est aussitôt la mort par million et la misère
et son cortège de maux – bref vous me voyez dans
cette retraite spirituelle pré-nombreuses choses
liée à l’existence de cet aAnneau exceptionnel
qui fut celui des Granier d’Ôz à devoir
réfléchir à plusieurs millions d’années lumière
de là où nous sommes (ce
qui je l’avoue est difficile, voire impossible,
bien que j’eus soudain une idée de la situation
à cinq cent ans à l’instant plus haut sur au
moins un des points qui nous concerne tous)
et comme j’ai assisté d’avance à l’explosion du
soleil dans un des cas de figure de la Création
qui s’est déroulée avant que dans un autre cas
de figure de la Création on ne me rende enfin
les commandes de la vieille salle des machines (qui
devait m’être rendue en 1965 mais qui en ne
m’étant pas remise fut le début de ce que
l’Ensemble des terriens devinrent sacrilèges
envers Nôtre anneau de fiançailles avec C. L. ,
j’eus en légitime défense à en tirer les
conséquences),
il vaudrait mieux que celui-ci se produise
plutôt que l’autre et donc que celui-ci
n’explose pas. Aussi j’ai à devoir faire comme
si cette histoire de l’Aventure Humaine allait
durer à devoir prévoir les situations
financières difficiles que nous allons
rencontrer et surtout celles engendrés de la
part de mes descendants (qui
n’ont pas forcément les mêmes centres d’intérêt
que moi)
mais qui risquent d’avoir les mêmes facilités
que moi en éEconomie assez rapidement comme
j’eus à le constater dans ces familles qui
descendent de mon père et ma mère et donc
peut-être de vouloir, comme eux qui ont par
ailleurs de la religion, faire le bonheur
partout. Mais je risque d’être à devoir utiliser
la loi et peut-être des armées d’avocats pour
qu’ils se fassent rembourser de ce qu’on leur
devra (par
des personnes qui de mauvaises fois utilisent
déjà la monnaie européenne que Nous avons créé
et qui n’ont pas songé d’un tantinet que nous
étions confrontés continuellement à des
problèmes financiers et en cela freinés
continuellement – et cela ils ne l’ont même pas
songé en espionnant ou en disposant entre eux de cff, cfu, cfm, cfs,
et cfcch ce qui signifie que ces
personnes qui espionnent sont réellement à
n’appartenir qu’à des morts-vivants ou des
personnes qui n’ont plus rien d’humains (ou pas
encore un atome de l’être humain aArtiste en
eux, au sens de l’un des adultes parachevés un
tantinet conscients ou capables de déduire des
images qu’ils regardent à la télévision ou de
informations à la radio ce qui est fondamental
dans l’Intérêt Général, ce qui ne peut être vrai
et ne doit jamais l’être dans l’Intérêt Général
(comme
par exemple la disparition de la monnaie de
l’Euro et celle d’Ôz qui n’en ait qu’au même
stade où en était l’Euro en 1975 – c’est dire
que nous en sommes très loin, pas avant quinze
années en tant que billet ou monnaie commençant
à circuler, ce qui signifie ensuite de
nombreuses années pour l’établir durablement
dans les mœurs – et tout cela signifie des
investissements très importants de la part de
tous ceux qui aspirent à un monde en paix – les
uns avec les autres pays – d’où que les
compensations financières soit la meilleur chose
pour régler les problèmes)
et pourquoi cela peut l’être à de certain
moments en raison qu’il y a à élever un enfant –
bref tout ce dont je ne mêlerais pas si j’étais
l’un de ces espions car simplement d’espionner
les mènera à des souffrances si abominables
chacun d’eux. Ils n’ont pas ces référents aussi
exactement que moi je les ai en ne me posant que
l’Intérêt Général à long terme comme projet. Ils
ne pourront qu’à chaque fois qu’ils l’invoquent
chacun d’eux qu’apparaître encore plus menteurs
et faux et fourbes ou tricheurs, tandis que ma
personne seule dans le vrai et dans les années
qui suivront complexés au paroxysme, ils seront
comme des fous
au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce mot (dans d’autres
S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.),
occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) pour toujours chacun d’eux
considérés ainsi par toutes les personnalités
n’étant qu’intéressées à dire que j’ai raison
puisque je ne vais pas me permettre de dire une
chose fausse à cause de ce que je sais d’avance
celles-ci ne seront pas même dans l’idée d’avoir
à me contredire (comme
si elle devait désobéir à un ordre – aussi la
vie risque d’être d’un ennui pharaonique total
puisque j’ai comme d’habitude raison contre tous
et pour tous)
– en effet, aucun de ces espions n’a jamais eu
le parcours de chacun de mes ancêtres ni le
mien et comme il leur manque les milliards de
milliards de milliards et plus encore d’atomes
de référents de chacune des fractions de
seconde j’ai eu à devoir supporter et à
traverser et auxquels j’ai constemment à devoir
me référer dans chacun des états différents
causés soit par le retour de ma mémoire, soit
par la disparition de celle-ci pour être aimable
envers ces inconscients, ces irresponsables, ces
adolescents qui ont perdu leur mémoire (donc
les référents dont ils ne sont pas encore dans
la connaissance et qui pourrait les amener à se
comporter autrement au lieu d’être chacun une
parodie incarnée de l’être humain parachevé ou
adulte – soit ce dont il faudrait avoir honte)
ou qui ne dispose que de celle qui les rend
chacun aussi menteur que cela – si seulement ils
devaient disposer d’un moyen pour se référer à
chacune des fractions de seconde en question qui
me permettent de prendre les décisions que je
prends, ils en deviendront encore plus fou à se
suicider chacun d’eux car n’ayant aucun de ces
référents compris aussi bien et étant dans les
leurs qui sont souvent aussi faux que ceux dont
ils se sont convaincus, ils ne sont que ce qui
n’est pas tolérable d’un électron et qui
mériterait normalement seulement d’avoir à les
égorger – mais voyez-vous ce qu’il y a de
merveilleux c’est que ceux qui sont légitimement
en droit d’égorger se l’interdisent avec cet
espoir, depuis des millénaires, que ces personnes
comprendront l’intérêt de cesser leurs
provocations dont ils ne se rendent pas compte
qu’elles le sont – ce qui est donc ici la
contrainte d’avoir à se dire combien ceux qui
sont aussi naïfs que cela déraisonnent – donc
tout est une question de référents et de
paramètres, ce qui va effectivement contraindre
à la civilisations des autoroutes de
l’information – donc à
Internet
et si vous n’êtes pas connecté aux référents ou
au cas de figure invoqué comme à la définition
qui est celle qui est venue dans le passé en
raison de l’existence du Saint-Esprit, vous
serez un de ceux-là qui croient que les mots
servent à mentir ou qu’on peut s’autoriser à
tout dire – ce qui n’est possible que dans une
situation précise dans laquelle on sait tout ce
qu’on doit absolument s’interdire, puisque les
conséquences sont catastrophiques sinon – celui
qui ne sait pas s’auto censurer sur les plans
essentiels où il aurait dû n’est pas digne de
respect – il est celui sans délicatesse qui sera
capable d’espionner pour savoir ce qu’on pense
de lui ce qui sera toujours trop flatteur par
rapport à ce qu’il s’est permis d’intolérable,
d’inadmissible d’égoïste dans un monde qui ne
prouvait que le contraire – d’avoir cru
possible cacher dans les livres de biologie ou
de sciences naturels que les crânes et les
cerveaux étaient reliés à une vieille salle des
machines est ce qui ne pourra jamais trouver
dans aucun des univers de pardon – aucun esprit
véritablement scientifique ne pardonnera jamais
cette complicité de chacun des Eétats à cette
non information cependant sue de ceux qui avaient eu
accès à cette vieille salles des machines et qui
de ce fait se sont chacun d’entre eux maudits et
condamnés à bien pire que la morts pour
l’éternité : l’ineptie en commun, soit ce qui
n’est digne que de la contrainte à jamais
d’éprouver pour chacun d’eux un devoir de mépris
qui mérite des compensations financièrement car
c’est en réalité contraire à la nature –aussi
que des encyclopédies d’injures et d’insultes
nous tombent du ciel pour qualifier à chacune
des fractions de seconde de pareils profiteurs de toutes les sciences d’Osiris un
en Horus par Isis qui ont osé cacher cela à tous
les esprits scientifiques et que la mort touche
chacune d’eux en tous les temps en étant la plus
cruelles et la plus néfaste et surtout la plus
douloureuse, donc qu’elle tarde à venir mais
qu’ils n’aient chacun d’eux à souffrir
éternellement d’avoir cru possible le cacher –
maudits chacun
d’eux dans chacun des atomes et cela en
tous les siècles dès le premier jour où vous
voulûtes réserver cette information à quelques
uns seulement (de
vos amis)
en la cachant aux autres et cela dans un monde
où la société des autoroutes des informations
télévisées ou des véritables journalistes ne
vous ont que continuellement tout dévoilé y
compris encyclopédiquement ou même ceux qui
furent espionnés n’ont fait que travailler à des
solutions élégantes dont chacun profite
actuellement et qui ne furent qu’en raison de
ces études scientifiques sur la base de savoirs
réels – c’est bien ici la mentalité du profiteur
dans le pire sens de ce mot ou de celui qui
n’est qu’à vous tromper et à se moquer de vous
dans vôtre dos – c’est donc la pire vermine qui
s’attaque à la bonté, la beauté, et le bien pour
n’en tirer que le plus abject profit de
thénardier – c’est la personne qui en réalité ne
mériterait rien, pas même jamais un mot, un
texte, une œuvre, ou de l’aide – c’est ce qui
devrait être anéanti, exterminé car cela
s’attaque en lâche et durant le sommeil au lieu
d’employer les créneaux officiellement à la
portée de tous durant la journée – c’est celle
qui n’a pas fait la différence entre la
conscience et l’inconscience et qui n’est plus
que soumise et esclave ou prisonnière de cette
dernière qui ne lui fera rechercher que des
propos de fou ergotteur de mauvaise foi qui
affirmera le contraire mensongèrement ne
parvenant pas à comprendre pourquoi – c’est donc
bien celui qui ne fut que ladre et qui
finalement est démasqué – il ne reste plus que
cette ultime chance que les circonstances ont
créé qu’il révèle tout ce qu’il cachait et qu’il
poursuive ses activités financières d’une
personne qui n’a pas voulu faire confiance dans
l’Enseignement ou l’Instruction ou l’Ecole pour
découvrir la vérité et cela parce qu’il
disposait de cette instrument en enfant-gâté
pour se faire passer pour plus que l’autre – ce
qui signifie forcément qu’il est moins puisqu’il
utilise un instrument d’une façon aussi peu
fraternelle et sans le partager avec ces esprits
scientifiques qu’il a trompé en ne leur révélant
pas ce qu’il savait de ce qu’était l’être humain
sur ce plan scientifique qui seul importait au
chercheur de vérités – aussi voilà nôtre
menteurs pris les mains dans le sac : il avait
voulu se faire passer pour le maître du monde
alors qu’il n’est même pas digne d’être
confronté à un ver de terre qui est infiniment
plus honnête que lui et admirable en tout – le
voilà à avoir voulu tromper des enfants ou Horus
de siècle en siècle partout et à lui être
redevable de tout – il s’est réellement grillé
comme la reine de la nuit dans son jus de haine
la plus noire – il était adolph hitler, soit la
personne qui fut sensible aux charmes de cette
hideur au lieu d’être sensible aux vraies
charmes – il trouva beau ce qui était laid et
qui n’est que laid et ne peut être que laid –
les mots ne mentant pas – mais il dispose
maintenant d’une fortune importante ou immense :
trois dessins dont deux d’enfants et un piano
décoré qui n’est pas du faux mais réellement les
premières véritables œuvres qui vaillent
immensément dans sa future collection, puisque
celles-ci – une fois l’affaire conclue devrait
permettre à ces personnes qui en hériteraient en
les rendant au propriétaire de recevoir un
crédit financier ou une sorte de rente –
évidemment, il faut qu’il rende tout avec et que
cette idée d’Atlantide devienne l’idée que j’ai
d’Ôz qui ne peut advenir que rationnellement et
sur ce que la raison peut admettre comme
possible et non l’inconscience ou
l’irresponsable, mais l’homme totalement
conscient de ce que voudraient rêver ou vivre
les êtres humains du futur comme Walt Disney en
eut l’idée en exigeant de ses dessinateurs des
efforts immenssissimes pour respecter la limite
intellectuelle de chacun des personnages coincé
dans la situation de laquelle chacun est
prisonnier – le rêve des Rapetout est d’avoir
« la vie de château » et de faire fortune et ils
savent que cela n’est pas possible sans
s’ingénier (mais
comme il n’ont que moyens financiers usurpés à
l’origine ils ne vont que d’échec en échec et
les succès qu’ils croient être les leurs sont à
chacune des fois un échec encore plus important
– puisqu’ils ne sont qu’à tricher ou à
espionner, ce qui revient au même – aussi quand
ils ont un pei de cfs ou de cff ou de cfm ou de
cfu, ou de cfcch ils ne vont les dépenser que pour une vie
de château de faussaires dont ils sont dans
l’illusion d’être les maîtres, alors qu’ils ne
sont que vulgaire vermine de très bas-étage à ne
devoir que tout le bon, le bien ou le beau qu’à
des personnes qu’ils ne font que dérober et qui
n’ont souvent pas grand-chose pour survivre y
compris Picsou dont la fortune garanti le fait
qu’ils puissent avoir une chance d’avoir du
chauffage dans les prisons qui sont finalement
le lieu de leur destination pour poursuivre
cette vie de « château », qui l’est
effectivement, puisque dans d’autres temps, ils
seraient utilisés pour avoir à rembourser tous
les coûts qu’ils causent : frais d’électricité,
de repas, de garde, de vêtement, etc comme de
logement – et il s’étonne que quand on leur
trouve une activité rémunérée comme éplucher des
pommes-de-terre ou aider dans les cuisines
pénitentiaires, on ne puisse que les payer si
peu ? Si on augmentait, alors qu’ils ont coûté
chacun à l’Ensemble tant et rien rapporté, on
devrait tous se priver en proportion, ce qui
signifie que pour chacun des euros versés en CFP
et non cff alors qu’après leurs crimes, ils ne
méritent rien et sont endettés pour des
milliards de milliards d’années – par exemple
quand ils ont tué – qui pour leur être versé
signifie des milliers à devoir être dépensés
pour payer tout le système jusqu’à ce que par
charité ils aient de quoi s’offrir des
cigarettes sans parler de ce qu’ils coûtent en
médicaments, ils devraient proposer de
travailler pour toujours bénévolement – non,
une fois sortie, les voilà à de nouveau être
dans les réseaux de combines avec des cff, cfu,
cfs cfm ou cfcch et à trouver drôle de voler chacune
des choses qu’ils achètent en les payant avec
ces fausses monnaies, des choses qui étaient
destinées à des personnes méritantes et qui en
avaient besoin et dont toutes les autres
appartenant à la même catégories doivent se
passer, parce qu’il y a l’ensemble des menteurs,
tricheurs et autres vermine qui veulent les
acquérir avec ces crédits de financements
escroqués à l’Ensemble – ils peuvent être
assurés chacun, s’ils ont des enfants, qu’ils ne
sont que la honte de ceux-ci qui dès qu’ils vont
à l’école se rendent compte que la table sur
laquelle ils étudient en est une véritable y
compris la petite chaise et les instruments et
donc qu’il ne s’agit pas de matériel pour des
faussaires)
– aussi les voilà à l’école à essayer de
comprendre cette lois de la Quantité et de la
Rareté et toutes les autres qui vont leur
permettre de gagner des crédits financiers
proprement, puisqu’ils savent qu’avec les deux
œuvres en question (le piano décoré et le triptique) que leur chef me rendra, ils
devraient disposer d’un crédit illimité auprès
des banques – mais comment faire avec tant de
moyens financiers ?
Oui, mais voilà ces deux œuvres ont été comme
extorquée, puisque la première du triptique,
comme la seconde (alors qu’elle était peinte en
synchrone avec ma personne dans le Ciel qui
peignait la troisième qui n’était alors que du
virtuel, furent donnée à adolph hitler pour
calmer la situation générale, d’une certaine
façon pour acheter la Paix (ce que ces trois
dessins ont permis). Le piano qui aurait dû
être, une fois à Strasbourg, rendu au moment des
fiançailles rompues, et comme la bague de
fiançailles n’ont pas été rendus. Evidemment il y
a la propriété du meuble piano, c'est-à-dire ce
qu’on appelle le support qui est donc à estimer
sans à l’état brut, c'est-à-dire vernis et noir
comme un meuble d’occasion (sauf qu’il
s’agissait d’un piano qui avait été légué à M.
F. par une personne de sa famille – mais on le
sait, la bande des aigrefins, des adolph n’a
jamais voulu tenir compte de ce genre de détails
qui sont les détails historiques ou intimes et
s’est toujours précipitée comme à l’occasion de
la vente aux enchères des objets d’André Breton
en vautours pour détruire une collection
d’objets qui étaient l’ensemble un parcours
historique lié au pape du surréalisme –
évidemment M. F. n’est pas André Breton et le
piano dont elle a hérité et qui a été peint par
l’empereur d’Ôz ne vaudra pas plus, une fois
estimé qu’un des pianos qu’on trouve aux puces –
puisqu’il s’agit du support (que je pourrais en
raison de ce que j’ai eu à l’utiliser avec son
autorisation – puisqu’elle n’a rien contre qu’on
peigne partout – ce sont ses propres mots –
racheter le double de sa valeur vénale –
puisqu’il en reste une quantité importante dans
le commerce qui sont concurrencés par tous les
pianos contemporains de bien meilleur qualité
acoustique – aussi il n’y a que la décoration
qui l’est rendu précieux et à conserver et
surtout tout l’histoire de cette décoration en
relation avec divers martyrs et mensonges qui
m’ont été faits durant tous les temps où j’eus à
m’ingénier ainsi à force de méthode Cué à
réussir à éprouver de véritables sentiments pour
M. F. étant donné que ce qui s’était passé en
1975-1978 m’avait fait recommander du futur
trente années avant d’y être, à celui que
j’étais trente années avant et qui était
contraint par cette jeune fille de sacrifier les
enfants qu’il attendait d’avec l’impératrice C.
L. car elle voulait elle seule occuper le rôle
de l’impératrice à la place de l’impératrice –
évidemment si j’avais su une seule seconde qui
était M. F. et ce qu’elle avait causé comme
dommage dans ma vie passée, je n’aurais jamais
pu éprouver des sentiments d’amour pour elle –
cela va de soi – d’où la contrainte de l’amnésie
puisque j’y serais absolument contraint pour
réussir à sauver la planète Terre
rétroactivement et cela en vue de fonder Ôz –
d’où la valeur inestimable des sarabandes
peintes ou de toutes les peintures qui recouvre
ce piano d’autant plus de ce dont je fus victime
quelques mois avant d’avoir à me rendre à Rome
en 1995 où on essaya de m’intimider alors que je
ne savais rien de l’existence de la salle des
machines - mais cela dans l’invisible – mais à la
suite de diverses épopées, cette même bande – en
réalité des fous et des irresponsables au
SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de
ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K.
(situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) qui ont
perdu le sens de ce à quoi obéissent chacune des
réalités – c'est-à-dire de la sommes des
paramètres en interactions pour que chacun d’eux
advienne proprement – ont voulu me faire
empereur en 1995 – ce qui m’a permis de
découvrir Atlantide une dizaine de Seconde,
puisqu’ils utilisèrent le variateur de la vision
d’Ôz – ce qui est synonyme pour me faire
découvrir ce que les murs révélaient et qui
résulte du travail que les ingénieurs
architectes confient à la main d’œuvre pour
faire des fonds uniforme, ce qui est
l’équivalent de passer l’éponge et ce dont tous
les analphabètes sont capables y compris les
faunes, les satyres et les centaures comme petit
travail qui n’exige aucune des peines qui ont
contraint pendant des milliers d’heures chacun
des architectes à faire des années d’études pour
tracer des plans qui vont permettre à des chefs
de chantiers d’embaucher cette main d’œuvre en
leur donnant ici une chance de se débarrasser de
l’enfant-gâté, de l’adolescent et de l’égoïste
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de
ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K.
(situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) en apprenant à travailler en équipe à des
travaux qui ne sont qu’aimablement rétribués sur
les bases scientifiques de la loi de la Quantité
de main d’œuvre semblable, de la quantité en
Concurrence et d’autres paramètres évalués comme
les évaluent les véritables réalisateurs de
films avec leur producteur avant d’annoncer un
film en chantier, ce qui offre à toutes les
personnes en difficulté de pouvoir être utile à
des activités qui, en général s’apprennent assez
rapidement, sauf évidemment celle des maîtres
décorateurs, éclairagiste comme Henri Alekan, ou
directeur des prises de vue technicolor comme
Jean Badal ayant travaillé pour Jacques Tati, à
qui j’eus recours un moment pour
La Momie à mi-mots. Aussi, voilà
l’exemple d’œuvres invendables, celle du piano
comme du tryptique. Tous sauront progressivement
l’histoire de ces œuvres qui ont sauvé la
planète Terre ou Atlantide ou Ôz ou Eldorado ou
Schtroumpfs ou … (des synonymes – tient pourquoi
pas planète Synonyme depuis qu’on a découvert
les exoplanètes appartenant à d’autres systèmes
solaires) et voilà donc des personnes qui parce
qu’elles appartiennent aux ignorantes, au
mauvais sens de ce mot comme au bon, ne savent
même pas qu’ils détiennent ces œuvres
abusivement, puisqu’ils se sont aussi mal
comportés depuis 1975-1978, et cela d’autant
plus qu’ils habitent chacun dans la maison de
l’empereur d’Oz qui n’ignore pas les lois et ses
droits, tandis que ces personnes ignorent la
loi, les convenances et ce qu’il convenait de
faire avec ces œuvres. Et elles découvrent, en
raison de la loi sur la Rareté que ces œuvres à
l’aune des diverses performances que
représentent ces transmissions à travers le
temps du ciel, valent autant que l’une comme
l’autre et donnent au détenteur le droit de
battre monnaie (comme
l’une ou l’autre des œuvres qui sont conservées
au Vatican – sauf que celles-ci ont permis de
sauver la planète et l’univers – donc si un éEtat a acquis le droit de battre monnaie sur
une fortune aussi importante, cela signifie que
n’importe laquelle des personnes détentrice
d’une œuvre d’art véritable peut battre monnaie
pour autant de crédits financiers que représente
sur le marché de l’aArt cette œuvre d’aArt –
soit l’équivalent – évidemment dans le cas des
décorations qui recouvrent le piano-peint et
d’autant plus du livre waterproof à tirage
limité le Piano à quatre mains qui s’accompagne
du cd audio et du cd-rom dont j’ai les masters –
ce qui peut permettre d’offrir des jolis
cadeaux, l’ensemble devait faire partie de
divers réalisations chorégraphiques et musicales
dans une optique future muséale ou de fondation
ce qui permettrait de créer un ou deux emplois –
mon unique soucis depuis que je suis petit pour
les rétribuer en CFP et non en cfs ou cfu ou cfm
et cfcch
et ce qui permet à un lieu de survivre et
parfois toute une petite région),
puisqu’il n’y a pas d’œuvre dans tous les
univers qui n’ait l’histoire incomparable de
celle-ci et surtout de son auteur qui ici même
s’exprime (c’est
donc un dossier de plus qui va donner de la
valeur supplémentaire à cette œuvre – puisqu’il
est vraisemblable qu’en raison de ce que cela a
permis avec la NNDIM, toute cette histoire va
donner lieu à un film qui aura certainement un
succès important, si réalisé par de très
grands-interprètes, etc. – bref à des
conséquences qui pourraient faire vendre des
cd-audio des poèmes ou des textes mais aussi des
cd-rom et donc permettre à quelques personnes de
survivre comme à l’occasion de ce qu’on appelle
les droits dérivés autour d’un film ou d’une
exposition et cela d’autant plus qu’il y a la
quarantaine de toiles-partitions pour le piano
peint qui ont fini par permettre les
communication à travers le temps et sauver la
planète rétroactivement – d’où la valeur
considérable de chacun des millimètres carrés de
l’ensemble du parcours en productions d’œuvres
d’arts entre 1975-1978 et 2005-2008 – cela
signifie qu’il y a des correspondances pour
chacun de mes coups de pinceaux dans toutes les
œuvres de littératures, de peinture, de
musique, de danse, etc. et cela
chronologiquement mais aussi dans toutes les
autres catégories – soit une période de
l’histoire de l’aArt qui est donc à géométrie
variable à considérer au point que très
certainement cela est advenu partout en même
temps sur la planète entière et cela dans
chacune des civilisations – au points que chacun
des caractères que je pose ici, sont en
correspondance exacte avec chacun de faits les
plus merveilleux advenus partout en même temps
chez chacun des aArtistes – mais surtout pour la
première fois nous savons sans un électron
d’erreur que chacun l’aura été à un instant
précis qui correspond dans l’histoire personnelle
de chacun des individus y compris des
malhonnêtes à des choses précises qui se sont
produites ou des choses dont ils eurent
connaissance et cela en différé chacun ou alors
directement mais aussi à tout ce qui s’était
déroulé entre 1965-68 et 1975-78 ou alors
1965-1970 qui correspond à 1975-1980 – soit la
période l’histoire de l’aArt peut-être la plus
admirable en raison de cet aspect
hyper-scientifique qui peut aussi être mise en
rapport avec les prouesses des champions de sport
– au point de l’urgence qu’il y aurait à ce que
n’importe lequel caractère de posé ait sa date,
et son horaire car ensuite on pourra réussir à
savoir dans la même ligne ce qui a été fait en
même temps au même moment par tous ces aAuteurs,
donc en déduire quantités de choses
extraordinaires ou même prévisibles si on prend
le soin d’étudier toutes ces correspondances ou
du moins quelques unes – donc tout cela étant
lié à la loi des Conséquences)
à l’issu du processus, une autre fois vérifié,
au point que tous nous sommes absolument
certains que ce piano existait peint par mes
soins comme le film
La momie à mi-mots, dès 1965, terminé
comme toutes les autres œuvres dans toutes les
catégories achevées en 2005 (ce
qui permet de comprendre ici que le cas de
figure de la Création dont l’Univers est
parachevé existe d’avance, qu’il est donc dans
une autre dimension déjà entièrement construit,
édifié, au point que cela signifierait que plus
personne n’aurait à devoir se donner des peines
pour travailler pour édifier jusqu’à réaliser
par étapes (comme nous avons eu à le constater
avec celles de 1965, 1975 et 2005) ce là-bas, si
ce n’est aux occupations qui ont court une fois
là-bas dans cet autre univers – d’où l’intérêt
absolu pour tous les malfrats et tous les
malhonnêtes de se laisser gouverner de façon à
ce que nous ayons une chance de le rejoindre
plus rapidement à partir d’un moment qui devrait
venir mathématiquement au bout d’un certain
nombre d’années – peut-être de dizaines d’années
- de travaux divers et/mais d’un seul coup
tous
arrivés (sains et saufs) – ce qui vaut beaucoup
mieux que de continuer à empiler des morts par
millions et de le devoir à l’Eternel Retour pour
que seuls des descendants l’atteigne en ayant
ensuite à devoir s’occuper de chacun des morts
(ce qui signifie des peines pendants des
milliards d’années du même ordre que celles qui
furent celles de nos ancêtres pendant des
milliers d’années), ce qui signifie devoir se
fatiguer à quantité d’activités qui mènent à
réaliser petit à petit quelques petits progrès
qui sont comme ce piano ou mes différentes
œuvres que nous avons pu vérifier l’étaient déjà
peintes ou déjà réalisées tournées montées (deux
autres fois dont une fois en 1965 et la seconde
en 1975) sans que personne n’ait à se donner du
mal pour cela)
– c'est-à-dire avec le TGV comme Internet ou les
écrans plats et tout en couleur, mais aussi tous
les films et tous les tableaux - et si on
m’avait rendu la vieille salle des machines dès
1965 ou même dès 1975, comme on l’aurait dû,
puisque j’étais comme marié avec ma promise et
surtout j’attendais ma descendance, nous aurions
fini par découvrir ou retrouver ces
travaux parachevés puisqu’ils avaient été du
virtuel en correspondance avec les années 1962 à
1965 – au lieu de cela, M. F. à Strasbourg a
voulu devenir (en raison des préjugés) la
meurtrière de ma descendance d’avec C. L. , et
séparer l’empereur de l’impératrice comme ne pas
comprendre, en raison des préjugés qu’elle
avait, qu’elle pouvait devenir une seconde femme
[dans le harem] de l’empereur (ou en tout cas
d’une des femmes importante de l’empire et dont
les avis auraient été entendus comme aurait été
écoutés – car en raison de mon statut
d’empereur, j’ai le droit, pour des raisons que
j’ai à mener une bonne politique pour l’Empire
entier à autant de femme que je jugerai bon (un
droit que j’avais dès 1965) – puisqu’on ne peut
se marier en ce monde que quand c’est une
condition de survie pour l’Ensemble – et cela
d’autant plus qu’on peut avoir autant d’histoire
d’amour qu’on veut sans être mariés (sauf qu’on
ne peut s’en autoriser une seule sans disposer
de CFP car si seulement vous en engagez une en
disposant de cfs, cfm, cfu ou cfcch vous serez à jamais
prisonnier de celle que vous prétendiez aimer
aussi faussement puisque ces financements ne
sont pas mérités de droit ou de ceux qui font de
vous une personne autonome et indépendante
financièrement, donc crédible pour être le père
d’une famille tout comme la jeune femme, si elle
ne dispose pas de CFP mais que vous la sauriez
liée aux divers chantages que les cfs, cfu, cfm
et cfcch
lui font subir, vous êtes donc avec une personne
qui est malhonnête et donc qui ne pourra pas
être la mère de ses enfants qu’en étant hostile,
sans même s’en rendre compte aux intérêts
intrinsèques, ontologiques de ces enfants venant
au monde dans un univers qui appartenant à la
maison Granier n’est pas d’un photon ou d’un
électron ou même d’anti-matière sur tous
malhonnête – aussi voilà cette dame à l’être
devenue et donc à habiter illégalement, comme
la reine de la nuit, un lieu qui n’est pas le
sien ce qui explique qu’elle ait décidé de
s’auto-anéantir puisqu’elle squattait un lieu qui
n’était nullement à elle et dont les lois ne
sont que celles de la Très Sainte Vierge
Immaculée Conception). Aussi voilà donc des gens
qui n’ont que des préjugés et qui ne vivent
qu’en cachotiers et dans des hontes
(sexuellement) puisqu’ils ne sont qu’à envisager
des relations sexuelles qu’en les cachant aux
uns et aux autres (avec
le faux plaisir qui consiste à arnaquer une
personne qui tenait à vous d’une façon
possessive – ce qui ne peut qu’advenir en raison
des répercutions de la maladie d’adolph hitler
mais une possessivité qui n’existait pas à
l’origine avant que la vieille salle des
machines ait été occupée, puisque le mariage tel
qu’il est codifié de nos jours n’existait pas et
que très certainement les adultes respectaient
comme de nos jours les gorilles le font les jeux
des enfants en étant d’avance à leur souhaiter
des amitiés liées à leur âge, c'est-à-dire comme
un petit frère avec une sœur de son âge, ce qui
est normal et n’est nullement une attitude
égoïste mais celle d’adultes qui ont
naturellement le soucis de la vie sensuelle de
leurs enfants se souvenant combien d’avoir à y
renoncer fut pénible – s’ajoute à cela le
problème qu’ont créé les faunes, les satyres et
les centaures qui sont ceux qui ne font
qu’espionner mais qui n’existaient pas dans la
véritable Atlantide des origines puisque la
vieille salle des machines était à tous et cela
à une époque sans encore cette langue
rationnelle – en effet, ce qui comptait alors
était subjectif mais comme la vieille salle des
machine appartenait à tous, il s’agissait d’une
subjectivité objective et qui était admise
naturellement par l’ensemble car ce qui comptait
était de résoudre les problèmes de la vie
quotidienne mais dans un monde entièrement
végétarien et qui n’avait nullement appris à
combattre ou à tuer – d’où que cela soit
totalement le contraire de ce qu’il faut faire
de tuer ou de se battre – mais voilà ce qui sont
devenus les managers de la vieille salle des
machines ont progressivement voulu s’en servir
d’une façon contrevenant ou en totale infraction
avec les notions de fraternité véritables, ce qui
contraint tous ceux qui n’en disposent pas à
devoir se défendre sur le bon dDroit ou ce qui
est juste ou en raison de personnes qui sont les
auteurs de leurs actes et qui sont donc tenus
chacun comme responsables de ceux-ci – d’où
qu’il y a des distinctions à faire sur chacun
d’entre eux qui relève alors de l’analyse ou de
celle qu’on retrouvera tableau par tableau ou
case par case de bande dessinée, c'est-à-dire
image-clé par image-clé ou si on préfère
moment-clé par moment-clé pour chacun et cela
chacun confronté à chacune des nécessités et aux
impératifs de l’existence dont celui qui est
vite devenu à l’échelle planétaire le principal
et qui consiste pour chacun d’entre nous à
devenir indépendant et/ou autonome
financièrement, ce qui ouvre alors des
possibilités qui seront de celles qui permettent
une égalité, s’il y a égalité de revenu ou alors
une dépendance vis-à-vis de celui qui est le
plus rétribué – il n’est pas ici question
d’inégalité mais de ce qui permet l’égalité
entre chacun des êtres humains, soit ce qui le
rend autonome ou indépendant financièrement – je
ne pourrais pas écrire cela si tous n’avaient
pas eu à vérifier que je n’ai eu de cesse avec
les transmission pharaonique à travers le temps
de créer des emplois pour que les couples soient
aussi libres de pouvoir divorcer le cas échéant
et non pas à devoir se vendre sexuellement ou
l’un ou l’autre, c'est-à-dire à dépendre de
celui qui a le plus de revenu qui pourrait en
profiter – ce qui le rend aussitôt hors-les-lois
ou suspect de tous – en effet, voilà le futur
père corrupteur ou la future mère corruptrice et
donc dans une situation qui lui permettra du
faire chanter ses enfants ou de les menacer –
c'est-à-dire le contraire même de l’aAmour et de
la fraternité, le contraire même de ce qui peut
fonder une véritable famille – donc une parodie
de famille ou l’une de celle qui n’ont que des
cfs, cfu, cfm ou cfcch en commun et qui sont celles
qu’auront des enfants-gâtés égoïstes qui vont
croire pouvoir élever des enfants en ayant à les
menacer y compris sur le plan financier ou même
voudront leur offrir tous leurs caprices pour en
tirer sensuellement et pourquoi pas sexuellement
des avantages – il n’y a là qu’une démarche
contraire à la notion de fraternité qui n’est
pas à aimer un aAuteur pour des raison qu’il
s’agit d’un corps mais uniquement parce qu’il
s’agit d’un esprit qui exprime des choses dignes
d’admiration comme le firent la plupart des
cCompositeurs),
c’est ce rapport aux CFP ou aux cfu, cfs, cfm
qui déshonore toutes ces personnes et cela
parce que la vieille salle des machines n’a, en
définitive appartenu qu’à de très faux mariés ou
à des couples qui n’ont que des mariages
arrangés et qui vont donc s’en servir pour
espionner ou pour l’utiliser pour exercer une
contrainte ou des chantage à travers elle – soit
une fraternité entre combinards qui sont entre
eux à se soutenir entre eux en raison de
compromis avec les divers mensonges, erreurs ou
fautes qu’ils avaient en commun (car depuis le
début de la scission (il
y a plusieurs millénaires),
il y a eu l’occasion d’avoir des certitudes
mensongères à propos de plus ou moins tout et
cela ne serait-ce que pour être d’accord entre
ceux qui ont en commun un rituel de passage au
sujet de la salle des machines qui les arrange
eux-seuls (par
conséquent qui n’aura de l’Intérêt Général
qu’une notion qui n’est pas la très véritable
mais l’inverse ou celle réduite aux intérêts de
cette sorte de
nomenclatura qui à cause de cela ne sera
plus qu’uniquement de celles dans le mensonge et
dans son cortège d’ineptie et surtout avec de
fausse fraternité qui ne sera donc basée que sur
l’idée fausse qu’ils ont de l‘aAmour entre eux
n’ayant voulu que tirer un avantage égoïste de
cet instrument – c’est donc ainsi qu’est né le
mauvais esprit ou l’idée de s’en servir pour
faire des esclaves)
– ce qui est l’inverse même de la fraternité et
uniquement la façon de faire du truand,
c'est-à-dire, en définitive de celui qui est
contraire à ses ontologiques intérêts mais
surtout à ceux de ses enfants et de ses
descendants encore plus loin, soit la honte du
genre humain ou celui qui l’a utilisé pour
augmenter le prix du baril de pétrole pour
disposer à travers des cfs, de cfu ou de cfm ou
de cfcch de
« la vie de château » (qui
est en réalité celle d’une fausse vie de
château, car il n’y a jamais eu un monarque ou
prince esclavagiste dans tous les temps mais au
contraire tout le contraire à ne faire que
s’occuper de prix ou autre grands honneurs de
façon à ce que des personnes compétentes
acquièrent des renommées pour qu’ils en
deviennent comme des rois, c'est-à-dire en
réalité comme des petits maîtres puisque la
fortune ou les biens que ces personnes vont
acquérir sont légitimes et permettent aux
personnes appartenant à leurs familles de vivre
relativement d’une façon indépendante ou
autonome – la vie de château n’est donc qu’une
vie de travail incommensurable de la part de
chacun des responsables qui y ont eu accès et
elle n’est donc que le fait de personnes
compétentes qui savent s’écrire et résoudre tout
uniquement par courriers – pour éviter d’avoir à
se battre et progressivement démêler chacun des
points et les résoudre canoniquement, sur des
façons de procéder qui ne pourraient jamais à
devoir trouver à redire même dans plusieurs
milliards de siècles – c'est-à-dire sans se
tromper)
comme seul l’enfant menteur ou contraire à la
fraternité véritable rêve de s’offrir « la vie
de château », c'est-à-dire en trompant tous les
autres et en voulant les réduire en esclavage (ou
profiter de ces moyens financiers pour corrompre
et créer une vie d’orgies – celles-ci
n’adviennent qu’uniquement si les moyens
financiers sont ceux des faussaires qui avec les
faux moyens financiers dont ils bénéficient en
sont assurés de pouvoir les mener et n’ont plus
que sentiment d’irresponsabilité, croient
pouvoir se comporter en inconscients ou même
s’offrir chacun de leur caprice en enfants-gâtés
égoïstes au SNNPM[.] : au sens négatif et non
positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô.
K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) – chacun en devient alors nuisible à
l’Ensemble, bien qu’il va croire le contraire,
parce qu’il dépense et permet, à première vue,
au vendeur d’automobile ou de moto d’avoir la
belle vie, parce qu’ils lui auront acheté
quantité de véhicules – en réalité, ils dérobent
ces véhicules et les escroquent plusieurs fois
sur différents plans où nous aurions matière à
développement (comme
un chef d’éEtat ayant obtenu le pouvoir en
utilisant le mensonge et non la vérité – toutes
les dépenses de l’éEtat ne sont plus que celles
établies en cfs, cfu ou cfm ou cfcch et non plus en CFP –
il n’y avait qu’un projet d’escroquerie et non
un projet d’Etat)
– de plus cette consommation de voitures va
augmenter la pollution (d’où
réchauffement planétaire et ajout de CO2 – à
cause de la quantité de véhicules utilisés par
les enfants-gâtés - dans le processus de
désertification et de fonte des glaces du pôles
qui avaient une vocation d’assurer le climat
tempéré, un juste milieu entre les chaleurs
tropicales ou équatoriales et celles des pôles
sont sur toutes les zones intermédiaires)
puisqu’ils sont autant que cela à s’être pourvus
d’automobiles (qu’ils
ont à leurs noms propres),
sans en mériter une et en contraignant pour cela
l’ensemble des ouvriers à travailler – ceux-ci
étant ceux qui eurent à sacrifier ces véhicules
qui leur revenaient de droit, parce qu’ils
avaient peiné à les réaliser pour les voir
acheter en réalité dérobés par cette engeance de
moins encore que vermine dont l’origine des
financements est en réalité cette augmentation
du prix du baril de pétrole dont ils se servent
pour escroquer,
en consommateurs s’étant habitués dès l’enfance
à être gâtés,
l’Ensemble et bénéficier alors de ce qui sera
une fausse vie de château, ou celle de
pacotille, et non une vraie (qui
est la mienne, même si mon bureau est, pour
l’instant, en attendant qu’on me paie tout ce
qu’on me doit, dans un lieu réservé aux pauvres)
c'est-à-dire des insouciants, des irresponsables
et des inconscients ou ce qu’on a appelé
la dolce
vita des adolescents et des enfants-gâtés
au SNNPM[.] : au
sens négatif et non positif de ce[s] mot[s]
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises
(S . P.), occasions, circonstances, points,
scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.),
cas [particuliers] (K .))
qui ne vont que voler ou dérober l’Ensemble (c'est-à-dire
surtout tous ceux qu’ils n’auraient jamais dû
dérober car il s’agit d’honnêtes gens qui n’ont
pas accès à la fausse sécurité des cfs, cfm, cfu)
en faisant semblant d’être des gens bien élevés
– mais comme les crédit de financements dont ils
disposent sont aussi sales / usupés / malhonnètes
(s ;u ;m) que cela et reposent sur un
racket
aussi immense, les voilà uniquement à mentir,
quand ils font une dépense y compris pour un de
leurs amis : ils ne sontdonc devenus que des
menteurs et donc auront des comportements de
personnes qui croyant qu’ils peuvent dépenser
ces sommes de financements se croient chez eux
puisqu’ils pensent entretenus des commerçants
qui sinon auraient eu à beaucoup moins
travailler donc à avoir plus de repos et une
meilleure santé – pourtant ce qu’ils vont
recevoir autrement, puisqu’ils participent à
divers titres (en
tant que main d’œuvre ou même enseignants ou
alors politiciens appartenant à ces usurpateurs)
a été véritablement élaboré (il
s’agit de choses vraies obtenues en échange de
ces sommes de financement qui à première vue
seulement n’ont pas d’odeur),
parfois même avec leur aide, au point qu’ils ont
touché des CFP en plus de ce dont ils sont par
leurs réseaux assurés (cela
leur a permis, par exemple de vendre le pétrole
au marché noir durant l’embargo à un meilleur
prix)
– mais les voilà encore plus voleurs/escrocs (et
ce n’est pas un compliment – il n’y a pas de quoi
être fier en raison de toutes les honnêtes gens
qui leur proposent à des prix les plus
avantageux des choses ayant requis parfois des
peines d’années de travaux qu’ils achètent pour
le prix d’un billet de Cinéma ou de théâtre
alors que toutes les dépenses n’ont été faites
qu’avec des CFP ou alors de l’argent blanchi ou
alors des participations estimées ou des
à-valoirs, ce qui est comme des reconnaissances
de dettes en CFP ou avec d’autres
valeurs/produits d’équivalentes valeurs)
car ils auraient dû refuser ces CFP puisqu’ils
étaient assurés des cfs, cfu, cfm ou/et cfcch – et toujours
à ne rien comprendre de chacune des peines des
artisans, ou de celles des grands patrons
d’industrie aux mains propres ayant parfois des
centaines de personnes à nourrir tous les mois
ou des banquiers les plus honorables qui se sont
donnés du mal pour financer avec des CFP chacun
des produits vendus, s’ils ont été produits en
très grandes quantités pas chers et s’ils ne
sont pas aussi rares qu’un seul original d’une
œuvre d’aArt ou un prototype de manuscrit à des
prix pouvant être très importants
quantitativement, comme ce qu’on aura, par
exemple, à rémunérer pour les plans d’un pont à
construire (dans
une des grandes villes d’Afrique ou des pays en
voie de développement)
et qui représente quantité d’heures de
préparation, de frais d’agence, etc. de repas (qui
ne peuvent se faire qu’en ayant plaisir à
travailler car si le travail doit devenir un
cauchemar cela fera un pont qui en sera un à
découvrir et qui n’aura rien de particulièrement
intéressant ou nouveau comme ceux de Santiago
Calatrava),
de travaux et remboursements de scolarité
pendant des années pour y parvenir au point
d’être ensuite de ces très rares personnes à
être capables de diriger les travaux, comme un
réalisateur de film ou un metteur en
scène-producteur-distributeur véritable).
Soit donc avec cette sécurité des crédits de
financements usurpés à l’Ensemble la façon de
voir de l’enfant-gâté et de l’égoïste (du
profiteurs parasite de l’éEtat ou celui qui le
dérobe puisqu’il bénéficie de lui sur tous les
plans où des serviteurs intègres l’ont servi)
qui n’a pas encore compris que chacun des êtres
humains naît libre et égal en droit et par
conséquent est soumis à la même règle du jeu
financière que n’importe qui d’autres en pouvant
compter d’avance sur la charité de l’Etat
puisque ce qu’il en reste et à rendre à césar,
ce qui signifie en réalité à rendre à la
Synagogue, à la Mosquée et à l’Eglise, donc au
socle commun des enseignements découlant de la
Bible, par conséquent aux grandes Ecoles et aux
Universités qui en découlaient déjà (en
atteste l’admirable place de la Sorbonne)
– évidemment en Orient, ce sera aux
enseignements bouddhiques – d’où qu’on ne puisse
utiliser les Crédits de financements usurpés à
l’Ensemble pour corrompre, mais seulement les
CFP pour rétribuer très justement, comme à
l’occasion des pourcentage que les maisons
d’édition savent devoir reverser après le bilan
auquel elles sont tenue à chacun de leurs
aAuteurs, ce qui est l’origine des CFP qui
permettent de rétribuer toute la chaîne des
travaux jusqu’aux coursiers – c'est-à-dire de la
main d’œuvre souvent non qualifiée ou très peu
qualifiée, par exemple pour n’avoir qu’à livrer
(en échange de ces CFP) – celle-ci appartenant à
ces quantités de personnes qui ne sont en rien
rares
(puisqu’il
s’agit d’une activité que tous savent faire des
les premiers pas (on
va jusqu’à livrer une tasse de café ou un thé
dans une des chambres des lieux où l’ont
commence à grandir – l’activité de livraison est
donc celle qui ne nécessite en principe auxune
scolarité
(sauf
qu’il faudra apprendre à conduire et transporter
les paquets comme les lettres)
dans
les compétences qu’elles ont en commun, ce qu’au
contraire l’aAuteur est – rare quand il est
véritable et donc, comme l’iIngénieur ou
l’architecte à devoir se contraindre à se priver
des activités de livraison pour que les
personnes n’étant pas aAuteur ou responsable
(c'est-à-dire à œuvre en conscience ou du moins
grâce à quantités de savoirs) puisse comme les
activités de travaux manuels être à les pourvoir
– j’ai vérifier un jour que j’ai voulu livrer de
l’oxygène que même si je m’entendait bien avec
le chauffeur du camion, ma place n’était pas
celle de livreur – bien sûr j’ai eu quantité de
livraison personnelle de lettres ou de paquets à
faire à la poste, ce qui aurait dû être fait par
un secrétaire et non par moi qui n’aurait pas dû
avoir à perdre mon temps à recopier des adresse
et à mettre en paquet ou même à perdre mon temps
pour les timbrer à la poste – pourtant j’eus
des dizaines, voire des centaines et peut-être
des milliers de fois à devoir faire de travail
qui est normalement celui du débutant – d’où
une perte de temps considérable pour tout ce que
je suis le seul au monde capable de faire, soit
ce qui me rend rare ou unique et qui donne du
prix à mes inventions – évidemment si on avait
songé à me rembourser ce qu’on savait me devoir,
j’aurais pu rétribuer une personne dans le
besoin et qui n’a pas autant de scolarité que
moi pour m’aider et me faire gagner du temps
dans toutes les activités les plus difficiles
dans lesquelles personnes n’est au monde à les
mener aussi bien que moi – cette personne est
peut-être à l’heure actuelle devenue malhonnête
alors que si on avait songé à me rembourser de
ce qu’on me devait, à force de travailler avec
moi serait devenu le plus honnête homme du monde
– les serviteurs des différents éEtats mais
aussi des personnes qui me doivent leur fortune
n’ayant pas songé à cela me devront des
dédommagements pour ne s’être conduites qu’en
égoïstes et n’avoir pas songé qu’imposer des
milliers d’aller et venue vers une Poste de
quartier à un jeune homme à qui ont doit toutes
les fortunes honnêtement faites dans le monde
entier est bien pire à chacune des fois qu’un
crime de lèse majesté d’autant plus du manque à
gagner sur tous les autres plans que cela a
représenté – soit des dédommagements financiers
en proportion de ces pertes depuis 1975-1978).
Et
surtout avoir perdu les deux œuvres qui ne
seront plus jamais à eux – soit celles qui vont
permettre de créer ce parcours qui permettra
d’offrir un travail à un (ancien)
rapetout (qui
voudrait commencer à bien faire)
pour qu’il commence à devenir honnête (en
s’appliquant à une discipline quotidienne
structurante)
: s’occuper de délivrer des billets pour
l’exposition, et puis chacun des autres travaux
exigés pour monter l’exposition et non assister
à ceux qui se donnent du mal pour le faire
eux-mêmes en se donnant en spectacle et qui ne
sont que des Cendrillons qui fournissent tous
les efforts dont le publics ne fait que profiter
(en
oubliant de les évaluer ou en s’abandonnant au
rêve alors qu’il ne s’agit pas de cinéma mais de
réalité)
– cela n’a visiblement servi à rien cette façon
de faire puisque toujours les mêmes à se donner
du mal comme les chefs d’orchestre véritables ou
les aAuteurs et les metteurs en scène véritables
et toujours les mêmes, ceux-là, qui ne sont qu’à
profiter des ordres donnés et qui ont caché
qu’ils utilisent les artifices qu’offre la
vieille salle des machines pour espionner par
exemple d’avance la moindre correction apportée
sur les scripts ou autres documents, alors que
tout autour d’un plateau de tournage (y
compris dans les coulisses)
des bonus
sont tournés par des apprentis metteurs en
scène, comme j’eus à le conseiller et que cela
ne sert à rien d’espionner de l’intérieur une
personne en lui cachant comment fonctionnent tous
ces gadgets qui appartenaient à tous, en
Atlantide ou à Ôz
avant que la scission n’advienne ou une fois que
tous se décideront enfin à cesser ce qui n’est
que mauvais pour eux-mêmes (se laisser bercer
par les illusions des à premières vues non
analysées sur tous les autres plans – vraiment
les Rapetout se sont acharnés contre leurs
intérêts ontologiques, vraiment les Pat
Hilubaire n’ont recherché qu’à se faire du tort
à eux-mêmes – les voilà effectivement plus
riches ou autant riches que le plus grands des
collectionneurs d’autrefois (quand
les œuvres d’aArt véritables ou rares
n’appartenaient qu’aux très rares connaisseurs)
ou plus encore (au
point d’en regorger dans leurs habitations
escroquées) et ils n’ont pas songé un tantinet à
valoriser ces objets pour permettre à des
personnes de gagner des crédits de financements
propres
grâce à elles, alors que chacun de ces
artistes incommensurables ne se sont donnés tous
les maux ou toutes les peines du monde à
maîtriser le juste trait comme le juste son (celui
de Maria Calla, par exemple)
que par charité pour permettre de faire part de
la culture véritable à tous ceux qui sont sans
lumière ou qui ne sont encore que prisonniers
des touche cul-cul ou de passions qui ne sont
que véhicules de microbes de toute nature (puisqu’il
y a toutes les maladies psychologiques et
psychiques)
– et il faut que cela soit moi qui disent
comment faire fortune avec ces œuvres car ces
individus n’y songeaient même pas assurés chacun
d’autant de financements usurpés, sales ou
malhonnêtes (ce qui signifie qu’ils n’ont jamais
compris aucune des peines des aArtistes qu’ils
prirent au cours des siècles, ne serait-ce que
celles pour écrire des livrets d’Opéra ou les
partitions de musiques et cela dans l’espoir sur
le nombre de tentative qu’il y en aurait un qui
en assurant le succès permette que la personne
qui serait chargée de passer l’aspirateur soit
payée avec des CFP (non usurpés) ou celui chargé
de poinçonner un ticket de métro puisse
comprendre (peut-être en fin de carrière
seulement) qu’il ne le doit qu’aux peines de ces
ingénieurs compétents (donc
véritables et non des faussaires – sauf qu’il y
eut les faussaires dans le lot des véritables)
ayant dirigé les travaux lui permettant, pour
l’instant en ancien centaure ou en satyre
d’avoir une place pour délivrer des carnets de
ticket de métro (ce
qui là non plus n’aura jamais exigé la quantité
d’études incommensurablement difficiles que les
autres eurent à faire pour créer les plans de la
petite loge : la dessiner et en dirigeant les
travaux la fournir de toutes les commodités de
l’époque pour une personne dont tous savent que
le cerveau appartient encore à ceux qui sont
dégradés, mais que la régularité dans le
travail, car ce n’est pas ce cerveau est encore
loin de celui d’un aArtiste véritable qui a tous
les droits, car il sait s’auto-censurer comme
s’organiser ou ce qu’il a à faire (les priorités
mais aussi ses devoirs ou comment programmer
ceux des personnes qui dépendent de lui),
pourrait à la longue le remettre dans le chemin
des compétences les plus utiles),
et donc d’être payé très exactement, grâce aux
sciences très véritables qui n’ont rien à voir
avec des escroqueries, d’autant plus du recours
à la Banque du Saint-Esprit, quand il manqua de
quoi payer !
Ils veulent garder ces œuvres pour que personne
n’y ait jamais accès ? (Non pas, heureusement,
puisque j’explique ce qu’il y aura à faire pour
qu’elles apportent ici la séduction dont elles
sont les vecteurs et avec elle ce quyi devrait
permettre de boucler des budgets leur permettant
de survivre en otarcie (autarcie) – d’être à l’origine de
bien faits, comme le sont toutes les œuvres
admirées dans le monde entier qui ont permises
en raison des dégradations qu’elles avaient
subi, à des métiers de restaurateurs compétents
d’advenir, en étant certainement pas entrain
d’usurper les CFP qu’ils exigent puisque c’est
parfois au terme de très nombreuses années
qu’ils parviennent à facturer en sachant qu’il
ne s’agit pas de fausses factures mais de celles
où ils ne sont qu’hyper honnête puisque s’il n’y
avait pas les malhonnêtes ils n’auraient
travaillé que gratuitement et que les factures
qu’ils exigent sont donc simplement pour vivoter
ou espérer avoir de nouvelles commandes au degré
de compétence parfois immense qu’ils ont atteint
qui est donc amplement sous-estimé pour éviter
les inflations et permettre à chacun de
survivre). Ou enfin il se décident à être un peu
conscient de ce qu’on fait quand on est vraiment
des milliardaires en vraies CFP.
Pourquoi cacher les cfs, cff , cfu ou cfm qu’ils
continuent à dépenser en escroquant l’Ensemble
après les livraisons de pétrole, puisque les
deux œuvres d’aArt en question valent bien plus
que tous les milliards dans tous les temps
qu’ils pourront jamais obtenir – alors cela les
a avancé à quoi de tout cacher ? Cela les a
avancé à quoi de me les extorquer – Le piano
peint, loin de la quarantaine de
tableaux-partitions qui ont été peint pour le
projet de chorégraphies à Beaubourg que je fis
construire, enfant, depuis Rome où j’étais en
poste de pharaon assistant de mon père que
j’avais à l’œil et qui fit à ce sujet un choix
remarquable avec Renzo Piano – en effet, malgré
tout le mal qu’on a dit de ce projet, le fait
qu’il ressemblait un peu à ce qu’Alain Resnais a
admirablement décrit dans
le Chant
du Stirènes, soit une raffinerie de pétrole
me paru une admirable idée pour l’époque qui
vivait une crise du pétrole sans précédent –
c’était bien l’enjeu du pétrole que d’offrir à
chacune des cultures et des langues le moyen,
grâce à Internet de faire disparaître les
antagonismes culturels et de créer une synergie
de traductions de chacune des choses de chacune
des rRégions dans chacune des langues des autres
rRégions – ce qui est comme un travail d’aAuteur
et c’est pourquoi Nous avons lancé les logiciels
de traduction ou d’équivalence linguistique en
rassurant d’avance pour dire à quel point cela
marchait ou pourrait être un excellent outil au
service des traducteurs qui me devront des
royalties
comme les différentes grandes entreprises de
logiciels y compris ceux qui permettent de
dicter à haute-voix, ce qui retranscrit en
caractères dactylographiques comme par ailleurs
l’entreprise des livres lus que je songeai pour
les personnes âgées ou handicapées et pour
donner ainsi des CFP aux acteurs à d’autres
moments où ils ne sont pas sur la scène d’un
théâtre ou un plateau de cinéma – une activité
que j’adore faire, celle de lire à haute voix
des livres et qui permet de parfaire son jeu
d’acteur – en fait j’ai aimé particulièrement
cela car mon père est un admirable lecteur qui
avait réussi à me passer le virus de la lecture à
haute voix car il aime lire des pièce de Théâtre
– cela était donc possible dans chacune des
rRégions avec les livres et cela parce que ma
mère avait fait un investissement d’un appareil
à cassette pour que j’apprenne l’anglais, ce qui
fait que j’ai eu cette idée de développer
beaucoup plus qu’elle ne l’était cet idée des
livres audio au point d’avoir fait des cd-rom
audio – évidemment il s’agit d’investissements
car l’idéal et d’enregistrer sa propre lecture
d’un livre (y compris pour la transmettre à ses
descendants – aussi quand on la réalise, on
pourrait aussitôt la donner à partager et il est
probable que dans le tas de très mauvais
lecteurs, il y en ait un qui soit bon – aussi
cela peut donner des quantités de version du
même texte qui n’auront aucun intérêt
auditivement et qui soudain trouvent tout ce
qu’il cachait grâce à celui à qui il s’adressait
pour en révéler les » substantifiques sèves « )
et par conséquent de se trouver du côté des
patrons, ce qui ne peut être compris qu’à
l’issue d’un parcours abominablement difficile (car
ils sont nombreux à ne se comporter que le plus
honnêtement du monde)
– aussi ils n’auront autour d’eux que des
personnes dont aucun des ancêtres ne s’est
jamais donné le mal que je me suis donné et par
conséquent tous en situation de dette pour
toujours envers Nous
– ce qui est difficile à vivre et ce qui peut
amener à vouloir en profiter, ce qui alors me
contraindra à devoir menacer d’arrêter tous les
travaux maçonniques sur le champ partout, car il
est hors de question qu’un seul Granier d’Ôz,
après ce que signifie pour mon père et pour moi
1965, 1975 et 2005, devienne un malhonnête. En
effet, le pharaon d’avant a fait tant de mal, au
mauvais sens de ce mot, qu’il a réussi à
défigurer cette planète avec la/sa bande des
Rapetout. Aussi comme j’ai vérifié qu’ils ne
peuvent pas comprendre d’un électron l’Economie
(mais
qu’ils font au moins semblant, ce qui n’est déjà
pas si mal)
et qu’ils ne font semblant que partout de
comprendre, et comme j’ai pu vérifier qu’ils
s’agit de personnes qui se donnent du mal dans
les différents travaux qu’ils s’infligent (sans
faire semblant de se donner du mal – bien que le
but de la manœuvre est d’arnaquer – ce qui est
finalement drôle mais moins pour eux qui
s’arnaquent eux-mêmes)
et qu’assurés de crédits financiers usurpés ils
sont au moins rassurés, je crois que la
meilleure des solutions est de les convertir en
légitimes, à cause de la valeur de ces deux
œuvres d’art dont ils disposent et qui serait
réellement à eux de dDroit s’ils ne les avaient
pas en réalité extorqué. En les rendant (avec la
vieille salle des machines qui sera mise sous
mes scellés en raison de ce dont elle s’est
rendue coupable (des milliards de morts) et
enfin en se comportant en aspirant gentilshommes,
du coup l’ensemble de l‘œuvre est reconstituée (le
piano-peint et la quarantaines de tableaux qui
devaient être présentés sauf une des partitions
sur des pianos peints uniformément, comme on les
donne à vernir à la main d’œuvre, ce qui
représente une technique de fond qui est
reproduite en série et qui n’exige aucunement
les compétences liées à l’infinitésimal qui a
permis en tous les temps de se dédier aux
miniatures ou aux enluminures des textes sacrés (c’est
ainsi qu’on a fini par dessiner les plans des
orgues et des pianos, de très savantes
constructions)
pour des œuvres sacrées comme s’y consacrent les
plus grands compositeurs en travaillant avec les
notes les rapports savemment mathématiques
qu’elles entretiennent entre elles)
et ils pourront continuer à faire comme si
l’ensemble était à eux dans la mesure où la
vieille salle des machines qui nous aura été
remise (pour
qu’elle ne serve plus étant donné que pour
espionner, au sens positif de ce mot qui permet
d’apprendre, alors qu’au sens négatif, à l’insu,
cela n’aboutira qu’à la dégradation de ceux qui
s’y
adonnent, puisque c’est se moquer des droit
ontologiquement liés à la personne humaine –
droits liés entre autres à la maîtrise de sa
propre image – en effet, nous vivons à une
époque audio-visuelle depuis au moins la fin du
XIXème siècle et ne sommes plus à
l’époque où il n’y avait pas partout ces
possibles « veilleuses » ou fenêtres
d’accessibles)
sera en tout cas longtemps fermée ou du moins
autant de temps que je n’aurais pas évalué
exactement par rapport à chacun des mots et
chacune des expressions en conscience si ces
machines ont un quelconque intérêt pour amener
quelqu’un à retrouver la raison (au
lieu de n’avoir conduit jusqu’ici tous ceux qui
l’ont approché à la perdre en devenant aussi
irresponsables que cela ou aussi nocifs à
l’Intérêt Général, celui que la conscience
détermine au cas pas sans un électron d’erreur
par rapport à toutes les données connues et
toutes celles en pointillés qui pourraient donc
être à devoir considérer d’avance).
En tout car chacun peut se servir d’Internet
et atteindre chacune des
web cam
qui n’est nullement à l’insu mais allumée ou
ouverte sur des sujets différents y compris
sexyes
(ce
qui n’étant pas fait à l’insu n’a donc pas à
être caché – ici c’est à chacun de savoir se
conformer, soit en s’autorisant une infidélité
spirituelle à sa femme ou à son mari (ce
qui visiblement à l’air possible avec accord
mutuel quand on accepte de devenir inconscient
et d’oublier les devoirs qu’on doit à ses
descendants de se pourvoir en CFP pour les
nourrir et les loger puisque ceux-ci sont
normalement destinés à d’autres personnes et
sont seulement nés pour tenter de vous soigner
pour vous redonner une chance de vivre vôtre
enfance et vous souvenir de combien vous
n’aspiriez qu’à de belles et bonnes choses et
non à toutes celles dégradantes qui firent de
vous un escroc – vous le saurez rapidement en
fréquentant ces enfants, vous n’étiez pas escroc
puisqu’ils ne le sont en rien – aussi cela
signifie que les descendants plus loin encore
où ceux qu’ont virtuellement vos enfants à la
naissance où qu’ils recherchent le sont encore
moins – d’où que tout cela est admirablement
bien fait pour vous donner de nouvelles chances
et au lieu de vous enfoncer, de vous faire jouer
un rôle respectable dans la cité – vous ne le
devrez qu’à vos petits enfants ou à encore plus
loin dans le futur et n’imaginez pas qu’ils
soient coupables de quoi que se soit – c’est
vous seul qui êtes d’avance coupables de le
croire – vous blasphémez en pensée – vous devez
tout aux petits nourrissons qui naissent et qui
sont aussi patient et aussi dénués de préjugés
et surtout qui ne font nullement le mal en
tétant – mais j’ai pu vérifier que celui qui n’a
fait que le mal ou qui est encore dans des
fausses attitudes et dans le mal est capable de
le croire en enfant-gâté des péchés de la luxure
lui ayant dénaturé la vue et surtout le cerveau
– très certainement qu’on lui a présenté la
question sexuelle comme le mal alors qu’elle ne
l’est aucunement quand l’aAmour avec un grand
« a » permet de vous débarrasser de l’adolescent
et de l’égoïste et de vous rendre enfin un
garçon conscient et responsable y compris
comptable de vos dépenses et d’avance des
besoins de vôtre moitié et de ceux de vos
descendants au point d’avoir à songer à devoir
mettre de côté des CFP pour qu’ils ne soient pas
démunis s’ils devaient devoir payer des
funérailles quand ils seront âgés et que vous
n’êtes plus proche d’eux – en effet, c’est vous
qui avez décidé de les mettre au monde – vous
deviez vous assurer de disposer des crédits
financiers à cette fin – vous avez compté sur le
système et l’éEtat – vous êtes donc celui qui
parasite les autres ou qui voulez peser sur la
bourse des honnêtes gens qui ne se sont jamais
permis d’avoir des enfants sans être au moins
certains d’avance de disposer des moyens de
leurs offrir une tombe en vue de protéger leur
corps jusqu’à la résurrection des morts –
puisque vous fûtes de ceux qui avez cru possible
donner à la mort du crédit – c'est-à-dire à tous
ceux qui ne sont que de très sombres ignorants
au mauvais sens de ce mot qui en ne rendant pas
la salle des machines à des Jean Moulin ou à des
ingénieurs en aArts appliqués n’ont fait que se
conforter dans l’idée qu’elle pouvait faucher
alors qu’en restituant la vision d’Atlantide (ou
d’Ôz,
ce qui est synonyme)
selon un programme précis cela l’aurait évité),
soit pour s’intéresser sur d’autres plans à ce
qui n’est qu’à première vue
sexy
– évidemment cela peut l’être pour ceux qui sont
dans l’humeur ou le temps de la journée de
récréation ou on peut sortir d’un travail qui
étant de ceux ou la sexualité n’intervient
d’aucune façon (au premier plan ou même sur
d’autres plans que parfois en pénultième
position ou antépénultieme, voire ultime (ce
qui est vrai, rare)
– car il ne vaut mieux pas sinon vous pourriez
vous retrouver coupables d’erreurs si colossales
ou d’accidents si considérables que de le croire
possible c’est mélanger les torchons et les
serviettes, ce qui se peut difficilement dans
un lieu de rangement une fois repassés. En
effet : j’ai vérifié que de mélanger la conduite
automobile avec le plaisir de regarder des
jolies filles qui marchent sur les trottoirs
c’est dangereux pour l’automobile – il y a donc
un temps pour chaque chose)
quand les personnes se sentent aptes
d’apparaître en public –
c’est donc différent (les
web cam)
bien que cela permet aussi d’accéder n’importe
où (bien
qu’ils sachent que chacun des objets est relié à
un responsable qui est chargé parfois d’avoir à
l’entretenir ou à veiller à sa restauration, ce
qui exige d’être devenu expert et d’être capable
de confier ces œuvres à ces mains d’aArtistes –
évidemment ils profitent ensuite de ces
restaurations qui sont des dépenses faites par
les éEtats ou par les institutions qui les
détiennent en propriété ou par des particuliers
ce qui est des soins dont les mérites reviennent
aux personnes étant devenue responsables de ces
objets – ne pas comprendre qu’ils
n’appartiennent qu’à des personnes méritantes et
vouloir les acheter pour se faire passer pour
des milliardaires ayant converti ou blanchi des
sommes escroquées à l’Ensemble en œuvres d’aArt
très véritables, c’est disposer chez eux de
collections ou de trésors usurpés à ceux qui en
savent réellement le prix qui est de toute façon
supérieur à celui qui leur a permis de placer
ces sommes de financements cff, cfs, cfu, cfm ou
cfcch
– aussi ne pas comprendre la démarche que je fis
faire pour le musée Maïolle ou celle que nous
avons mené sur un autre plan pour la Gare
d’Orsay en la transformant en ancêtre des
Bons
Marchés de l’aArt du XIXème
siècle en ayant à porter l’ancien Jeu de Paume
du côté de la photographie et de l’audio-visuel
comme de l’art contemporain, c’est ne pas
comprendre non plus combien nous eûmes à cœur la
Donation Picasso – ce qui est le plus drôle (pour
ne pas avoir ici à dire d’une tristesse
affligeante pour ceux qui voulurent en devenir
coupable)
c’est qu’on ne songea jamais à m’inviter ou
m’envoyer une voiture pour tous les grands
vernissages (évidemment
ces gens se basaient sur des à premières vues
qu’ils avaient espionnés en profitant de ce
qu’ils savaient qua j’avais oublié comment cela
avait commencé en 1975-1978 à l’occasion de
Notre sacrifice avec les impératrice C. L. –
c’est dire en minimisant la lâcheté de ces
misérables, dont tout les chefs- d’éEtat qu’ils
furent)
– aussi, j’ai bien compris à qui j’ai à faire :
des faux partout qui n’ont utilisé l’aArt que
pour mieux circonvenir et s’en moquer ou en être
sacrilège comme Paolo et Francesca se moquant de
ce qu’ils lisent et aspirant « à fauter » comme
si les trésors du Vatican ou du Louvres devaient
permettre ces sacrilèges (c’est
déraisonner puisque chacune de ces œuvres ne
poursuit depuis des millénaires que le projet de
soigner, ceux qui à partir de ces admirables
formes sauront commencer à penser comme Dante ou
Shakespeare ou Goldoni, Marivaux ou Rossini – il
est probable que je serais invité un jour
partout, mais je sais à quoi m’en tenir
d’avance, je pourrais au moins envoyer des
représentants qui ne me fréquenteront que pour
accéder gratuitement à ces évènements)
mais en respectant la volonté et les droits des
personnes à être certaines que personne ne se
mêlera de ce qu’elles ont à faire (il
s’agit d’une ontologique liberté qui induit de
chacun qu’il ait une tête pour choisir quand il
est visible publiquement de quand il ne l’est
pas – ne pas être visible, cela dépend de tant
de paramètres, comme celui de se sentir
admirable – tant qu’ils ne sont pas résolus, il
y a un devoir de respect de la part des
spectateurs – d’autre part l’adolescence induit
des cachoteries qui peuvent être (en
raison des circonstances qui remontent à si loin
et de tout ce qu’il ne sait pas exactement),
normales – vouloir espionner les adolescents,
c’est croire qu’ils sont coupables, ce qui n’est
pas vrai (ils
n’aspirent pas au mal mais à tout le contraire)
puisque ce sont tous ceux qui ont tout fait pour
les rendre adolescents qui en ne se
l’interdisant pas en sont les coupables).
Mais s’ils
abandonnent l’administration, la politique,
l’économie (comme
toutes les autres catégories)
aux personnes réellement compétentes, ils
pourront se consacrer à l’un des travaux manuels
dont j’ai pu vérifier qu’à force d’efforts pour
se les infliger, ils conduisent à devenir un
ôzien
– mais cela nécessite un préalable : de renoncer
à être malhonnêtes et en disposant alors
collectivement du trésor de ces deux œuvres
d’aArt de mon cru (c'est-à-dire
de ce qu’il représente dans les cieux comme
valeur véritable – non de celles qui sont
terriennes ou vénales ou liées aux circonstances
ayant apporté la solution élégante des commerces
qui sont donc sur un autre plan puisqu’ils
obéissent aux lois de la Quantité et de la
Rareté et à tous les paramètres qui y sont
rattachés),
leur fortune serait celle d’honnêtes gens et non
plus celles de faussaires et il dispose ici de
la possibilité de la perdre, de la dépenser, de
continuer d’essayer en enfant-gâtés à la
dilapider et à corrompre, donc d’un choix de
« propriétaires » (au
mauvais sens de ce mot) :
voudront-ils, au contraire comme les vrais
propriétaires (donc
au bon sens de ce mot)
cesser de détruire la planète Terre et de se détruire eux-mêmes comme de nuire ou de
rechercher à être agréable en corrompant les
autres qui savent que, pour réussir un jour à
être l’un des premiers à disposer d’un billet de
banque ôziens,
il s’agit là d’un privilège rare et non de
billets seulement photocopiés ou tirés avec une
imprimante qu’on peut falsifier aussi
facilement, puisqu’il aura fallu autant d’année
pour arriver à cette monnaie unique mondiale en
perspective après celle de l’Euro (il
y eut le même engouement dans les premiers temps
avec elle en sachant enfin que l’Union
Européenne disposait d’une devise au moins aussi
forte que le dollar)
et voudront-ils enfin comprendre que les sommes
de rémunération financières obtenues, versées,
sont sacrées car calculées au plus juste (ce
qui induit des formations en proportion qui
permettent alors de tenir compte humainement des
besoins minimaux – ce qui signifie que les
personnes qui les ont calculé sont de celles qui
se sont délivrées de leur égoïsme, de
l’enfant-gâté et de l’adolescent qui n’est qu’à
rechercher d’avoir lui seul en propriété au
point de croire avoir le droit de la défendre
par les armes à feu contre tous ceux qui
n’avaient cependant nulle intention de la
dérober mais uniquement de la mettre sous
séquestre ou sous tutelle, s’il ne l’administre
pas correctement ou s’en-dette outre mesure en
faisant peser sur les autres d/ses besoins qui
pouvaient attendre que l’Ensemble puisse y
répondre, au lieu d’être de ceux qui veulent
être servis les premiers, en oubliant que les
petits n’ont rien mangé)
et pas seulement comme ils l’ont cru jusqu’ici
servant « à escroquer ») et au lieu d’avoir un
centre avec la monnaie mondiale d’Ôz,
cette fleur serait avec des pétales sans tige,
sans architecture pour la tenir, comme la
marguerite qui parfois est de celles avec une quantité très importante de pétales (comme
autant de devises de monnaies s’étendant sur le
territoire de ce pétale comme s’il était celui
d’une des rRégions du globe)
au point que chacun d’eux pourrait être une
monnaie unique en cours dans un ensemble (cette
surface ou superficie de ce pétale tirant sa sève
de cette banque centrale reliée à la Terre/Ôz
– et c’est ici, que lyriques, on songera à
la fin de
Autant en emporte le vent et à la dame qui
penchée sur celle-ci songe peut-être à ce
qu’elle est à [re]fleurir pour d’autres
qu’elle-même, après avoir perdu sa descendance,
à cause de cette guerre de Sécession
admirablement dépeinte dans les épisodes des
Tuniques bleues).
Or une fleur sans tige ne peut pousser. Aussi
sans la banque (ce
qui est synonyme de tige ou racines)
centrale comment faire pour que ces sèves
irriguent les nervures jusqu’à ce point qui
déploie en rosaces ces pétales ?
[4]
Il est probable qu’en raison de l’Histoire et
des étapes de la découverte du pétrole ces
personnes se soient habituées à vivre de leurs
rentes (mais
au mauvais sens de cette expression qui en a du
bon pour l’Ensemble autrement vu)
et à croire normal ce qui est en infraction avec
les lois de la Quantité et de la Rareté (et
etc.) mais
aussi en infraction avec les principes de la
fraternité et les lois du commerce dont ils
bénéficient cependant quotidiennement. Ils ont
donc cru simplement avoir à augmenter le prix du
baril de pétrole selon la quantité de leurs
besoins, en se conduisant ici d’une manière
totalement irréaliste (avec
les œillères des inconscients et des
irresponsables mais surtout des ignorants au
mauvais sens du mot de ce qu’est l’Economie le
Droit et la bonne politique –
ils se sont fait d’avance les ennemis de tous
les êtres humains dans tous les temps futurs)
ou en égoïste (ne
pensant d’aucune façon aux conséquences de leurs
actes pour toutes les personnes qu’ils
prétendaient être leurs frères et qui dépendent
de cette matière première en raison de
géographie hostiles ne bénéficiant pas de la
chaleur de ces régions pétrolières – ce qui fut
la preuve de leur racket et de leur non
fraternité dans les échanges commerciaux
puisqu’à ne pas vouloir comprendre la situation
du point de vue des peuples soumis à ces climats
météorologiques induisant de telles dépenses dont
ils disposaient de la complémentarité ou plutôt
de ce qui pouvait rendre plus facile tous les
travaux artisanaux ou industriels destinés à
exporter les biens en surproduction ou en
surplus, ce dont ils auraient bénéficié – au
lieu de cela en augmentant le prix du baril de
pétrole, ils ont freiné toutes les entreprises,
les ont limitées au minimum de leurs capacité de
production (et
en raison du coût de la main d’œuvre limité
l’emploi et même créé tout le chômage qui existe)
et donc ont rendu les exportations coûteuses
d’autant des répercussions de ce prix de la
matière première énergétique en devenant chacun
à l’Opep criminel contre les intérêt vitaux de
l’humanité, puisque même le prix du lait
(c'est-à-dire un aliment vital ou fondamental ou
primordial) dont les mamans ont grandement
besoin à partir d’un certain moment a augmenté
ou n’a pu être proposé au prix bas où il a
continué à être vendu qu’en bénéficiant de
subventions ayant endetté les éEtats d’autant,
comme tous les produits de première nécessité
qui aurait pu être offert sinon en assurant à
chacun des terriens, dès l’enfance, de manger
chacun quotidiennement trois repas et un
logement minimal tous les jours à mesure que le
prix du pétrole aurait baissé en permettant à
chacun des pays producteurs de pétrole
d’augmenter leur pouvoir d’achat d’autant
l’augmentation du pouvoir d’achat du dollar qui
aurait découlé d’une économie de plus en plus
saine et performante : disparition du chômage,
production permettant d’assurer les besoins
mondiaux toutes catégories confondues, prospérité
constante),
donc contraire aux intérêts de l’Ensemble et en
s’habituant à « la vie de château » qui est
celle, en réalité non pas de châtelains ou de
véritables souverains, mais uniquement de celles
des ignorants, au mauvais sens de ce mot, ou de
ces parasites et sombres profiteurs rentiers ou
enfants-gâtés ce qui a déshonoré leurs ancêtres
et chacun d’eux au paroxysme du paroxysme de
l’inconcevable, puisqu’ils sont devenus complices
des plus grands crimes contre l’humanité (partout,
chacune des personne en souffrance ou malade ou
âgée est leur œuvre)
à cause du réchauffement planétaire que cela a
induit et des divers phénomènes de
désertifications y compris dans les cerveaux :
en effet, une personne assurée de financement à
ce point (de
racketteur)
ne va pas chercher à s’ingénier pour survivre,
donc à devenir de celles faisant des efforts
pour devenir intelligente et productive (créer
des sources de richesses), elle s’installe dans
le moelleux confort des égoïstes et des
enfants-gâtés et devient l’ennemie de la
meilleure partie d’elle-même, soit l’ennemie de
l’humanité (comme
les saddam hussein, ou les fidel
castro) pour
ne rejoindre que les divans et autres habitudes
de personnes servies (mais
n’ayant pas appris à servir ou même d’un
tantinet à analyser exactement comment les
choses fonctionnent),
usurpant ces services bien évidemment immérités,
en étant alors, par le moindre des serviteurs
toutes catégories confondues devant leurs
maîtres et seigneurs dans chacune, puisque
ceux-ci gagnent honnêtement les CFP dont ils ont
besoin (et
n’ont pas l’assurance des réserves des puits de
pétroles pour continuer à jouer les rentiers ou
s’offrir la possibilité de faire des dettes en
les hypothéquant d’avance)
et en raison de peines qui ne sont pas de celles
néfastes mais des meilleures pour la santé de
leurs raisonnement puisqu’elles encouragent à
être efficace ou dans le vrai ou logiques et
cohérent tandis que le rentiers sous les
conditions décrites qui sont celles d’un rentier
au mauvais sens de ce mot s’est assuré de rentes
si néfastes qu’elles ne le conduiront qu’en
égoïste ou alors en ayant un champ de générosité
qui les arrangent uniquement eux seuls (donc
dont l’angle ou le champ est aigu, local, limité
- (à))/et
leurs semblables, sans penser que l’Intérêt
général est l’Ensemble sans exception.
[5]https://www.google.fr/search?site=&source=hp&q=perpendicullaire&oq=perpendicullaire&gs_l=hp.3..0i10.14426225.14429618.0.14429910.17.13.0.4.4.0.288.1099.11j1j1.13.0....0...1c.1.55.hp..1.16.823.0.7GzToQaZwE8
[6]
Il aurait été convenable que dès 1965 on me
fasse trouver ces moyens financiers (puisqu’on
était prévenu d’avance de ma naissance à ce
point) pour
que je n’ai pas/jamais à devenir voleur et que
je puisse, sans avoir en permanence ce soucis
(depuis 1968-69) constant des finances (à
différentes échelles qui ont finalement
signifié toutes)
pour tout, non seulement sur le plan personnel
individuel (bien
qu’ayant assuré à tous de quoi survivre)
mais sur tous les autres plans légitimes qui
consistent à ce que les dames approchées soient
rassurées à ce sujet. Ne l’étant pas, elles
seront toujours contraintes de survivre à partir
des personnes qui les assurent des revenus dont
elles disposent, sans avoir pris soin de
vérifier s’ils sont totalement légitimes (d’où
que la plupart d’entre elles ou même seulement
quelques unes vont devenir complices, dès
l’enfance, des hors-les-lois et être l’ennemie
d’elles-mêmes et des intérêts les meilleurs ou
les plus fondamentaux
de leurs
enfants).
[7]
Il en va ici d’un problème qui concerne le
payeur ou celui qui a acquis ce droit,
évidemment l’objet de la jalousie des autres ou
de ce qu’il pourrait compter sur cette
prérogative ou avantage. C'est-à-dire de celui
qui profite de ce qu’il est du côté des plus
forts – d’où que longtemps l’idée d’un
contre-pouvoir ne fut pas seulement mauvaise en
soi, car ceux qui disposaient de cet avantage
par exemple financier savaient qu’il était
fragile. Aussi voilà que parce qu’il a le droit
de battre monnaie il est courtisé par tous ceux
qui veulent y avoir accès. Pire, le voilà
contraint de devoir se défendre par les armes
pour assurer ce moyen de paiement à ses sujets.
Le voilà donc isolé, il est donc le roi ou
l’empereur véritable ou celui qui est du côté de
la loi. Aussitôt il a contre lui tous les autres
n’ayant pas obtenu ce droit légitimement. C’est
que celui qui est légitime ne doit songer qu’à
défendre ce qui permet légitimement à chacun de
demeurer honnêtes en vérité. Aussi il est
contraint de refuser la vie de château au sens
où celle-ci induit des comportement orgiaque ou
de décadents pourvus de cfs, cff, cfm, cfu ou
cfcch –
soit tous ceux nuisibles ou illégitimes ou qu’on
a volé à l’Etat véritable. Il n’a donc que
l’idée très véritable de chacune des choses dans
leur complexité comme tous les véritables
aArtistes qui savent pourquoi cette notion de
légitime ou de Dieu est vraie ou la métaphore
d’un état d’appréciation de la réalité qui
n’existe évidemment pas dans le monde des
ignorants, des enfants-gâtés et des égoïstes
décadents n’ayant obtenu cette vie de cibarites
qu’avec des cfs, cfu, cfm, cff, ou cfcch donc en
trichant ou en étant du côté des rapetouts et
des voleurs, c'est-à-dire en constituant depuis
toujours le frein continuellement tiré au maximum
à l’échelle mondiale (contre tous les progrès et
contre la prospérité) car il en suffit d’un seul
malhonnête sur un seul sujet pour que l’Ensemble
n’ait à vivre que continuellement dans des
problèmes difficilement solubles qui résultent
de celui
qui est dans le faux ou voit toujours
faux ou n’a pas encore conscience de la
complexité de ce qu’il va falloir mettre sur
pied pour qu’il puisse disposer par exemple d’une
somme de CFP auquel il aurait droit (puisqu’il
n’a pas voulu jouer le jeu qui aurait pu le
faire devenir un des milliardaires pourvu en CFP
– c'est-à-dire en commençant par des activités
simples comme les ancêtres de ce milliardaire
pour progressivement appartenir à des personnes
capables en chacun des instants à ne comprendre
que complexement chaque chose, donc avec tous
les problèmes qu’ils induisent à court, moyen,
long et très long terme comme même plus loin que
cela) ce qui
est certainement l’espèce de légitimité sur
laquelle il a voulu s’appuyer pour le faire
devenir celui qui a dérobé les contenus des
puits de pétrole, en rackettant tous les éEtats
et en devenant l’anti-éEtat, soit l’Opep pourvue
de ces cff, cfs, cfu, cfm ou cfcch (crédits
financiers sales, usurpés, malhonnêtes,
criminels contre l'humanité) qui n’ont que
l’aspect à première vue de CFP (crédits
de financements proprement établis)
et qui ne vont donc concerner que des personnes
qui ne sont plus au courant des Bonnes Pratiques
– elles consomment et paient, comme si elles
étaient chez elles, alors qu’elles ne font que
dérober toutes les autres qui étaient vraiment chez elles (puisqu’elles
ne sont qu’à des activités qui génèrent des CFP).
Celles-ci n’étant que très respectueuses des
corps humains puisqu’elles ne sont, le plus
souvent, que d’éminents médecins ou chirurgiens
incommensurablement doctes ne voulant jamais
devenir assassins (au
point de réparer les soldats même des camps
adverses pendant les conflits)
ont donc cédé à ces chantages de bien moins
encore que les plus vils barbares ou ignorants (dont
on se défait depuis toujours en payant)
avec ce que cela va induire comme vulgarités et
grossièretés, puisque disposant de ces sommes
financières aussi facilement et aussi
illégitimement, puisqu’ils n’ont utilisé que la
façon de faire des moins bien élevés ou des plus
abrutis ou des plus nocifs aux intérêts les
meilleurs de leur races, donc en ne s’étant
comportés ici comme ailleurs comme les plus
ignorants, au mauvais sens de ce mot, les voilà
à ne les dépenser qu’en profiteurs (et
au lieu de les investir à bon escient, tout le
contraire, puisqu’ils n’appartiennent nullement
aux personnes capables de discerner et ayant
pris l’habitude de respecter les gens les plus
véritablement doctes quand ceux-ci s’expriment
avec le poids des millénaires dont ils ont
hérité par ailleurs des biens à transmettre :
plusieurs civilisations particulièrement
géniales sur certains points étant liées entre
elles par des accords, des traités, des textes,
ayant nécessité chacun les plus hauts degrés
d’instruction pour être inscrits – ce qui
induira à conflit si violés, demande de
réparation, dédommagement, convocation de
personnalités, réunions de généraux prêts
aussitôt à intervenir, etc. – comme l’a
admirablement montré Akira Kurosawa dans
Run –
aussi le fou
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de
ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances,
points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
est celui qui croit se permettre de
violer le droit d’une personne ou même
d’interdire une chose qu’une personne est seule
légitimement en droit de faire (il a appris que
la chose ne peut se faire et ne distingue pas
celui qui en raison de ce qu’il est de droit chez
lui partout a le droit de la faire, puisqu’elle
ne sera pas nuisible (tous
les autres véritable souverains qui sont à
partager ce chez lui étant d’avance d’accord
pour qu’il la mène à sa façon)
s’il s’agit d’une personne devenue adulte
parachevée s’étant délivrée de l’adolescence, de
l’enfant-gâté et de l’égoïste en lui – sinon,
bien sûr, il conviendra de lui interdire l’accès
– comme on interdit l’accès aux films
pornographiques qui ne sont nullement nuisibles
pour ces adultes parachevés qui savent très bien
à quoi s’en tenir ou qu’ils assistent parfois ou
souvent à des spectacles de cochons ou moins
encore que cela qui les instruisent à ce sujet
dans les considérables dangers que représente la
proximité d’avec d’autres êtres humains (d’où
la nécessité de garder ses distances ou de
demander si on peut embrasser car sans avoir
obtenu au préalable le consentement on risque
les problèmes de toujours à ce sujet)
– aussi cela ne les incitera nullement à se
vautrer dans cette fange de décadeants
(décadents), tandis
que ces images comportent un risque pour tous
ceux qui sont adolescents ou devenus
enfants-gâtés, à cause d’elles (au
lieu de s’interdire de les admirer comme ils en
étaient cependant avertis, ils voulurent
transgresser cet interdit et tomber dans le
piège que par ailleurs elles revêtent quand on
est pas un véritable adulte – à cause de cela
les voilà à se devoir réincarner en chats ou en
chiens un peu plus loin dans le temps ou
d’avance)
qui les pousse à ne devenir qu’égoïstes ou à
espérer ce genre de perspective de revenus
financiers (qui
dans ce cas, en raison des conséquences seront
donc des cff, cfs, cfm, cfu ou cfcch et non des CFP)
qui est celle des je m’enfoutistes ou de ceux
qui vont croire pouvoir proposer ces films
abusivement comme disent-ils « des œuvres
d’art », alors qu’il s’agit de perspectives
nocives (l’aArt
étant incompatible avec le nocif)
pour les adolescents, irréalistes, et surtout
qui obéiront à la quantité de produits
similaires (puisqu’ils comportent l’aspect
commercial) qui ne sont donc nullement rares et
qui ne permettent pas de donner du prix à ces
séquences rasoirs (puisque
« ça va et ça vient »)
– elles s’inscrivent dans toutes celles
appartenant à cette catégorie qui peuvent mener
à la décadence et surtout à l’oubli de toutes
celles qui peuvent mener à une idée de la
Création, sous le signe de l’aAmour véritable
qui est donc autrement plus bâtisseur que ce qui
est à l’origine de la ruine). En effet, ce qui
fut mon cas, avec plusieurs femmes j’ai ce droit
pour créer la paix dès 1970-72 quand je trouve
l’idée – aussi l’Ensemble en m’ayant coincé dans
l’idée qu’aurait la demoiselle de Strasbourg qui
ne voulait être qu’elle seule la légitime
impératrice, tous eurent à en subir les
conséquences, car cette façon de faire a signalé
à tous, dès cet instant, qu’il ne s’agirait
nullement d’une impératrice au sens universel
mais seulement que très locale, n’ayant pas le
soucis du Bien Général dans son ensemble en
absolu, ce qu’à l’inverse, les impératrices C. …
L. en acceptant le sacrifice qu’elle eut à subir
une autre fois démontra qu’elle l’était comme
plus tard F. L. sans même en tirer aucune gloire
ou même le rappeler – ce qui était pourtant son
droit comme C. L. qui sans le savoir en raison
de l’injustice dont elle fut comme moi-même la
victime a permis de sauver la terre
rétroactivement puisqu’en découvrant de quoi
elle fut victime, je ne pus que confirmer ma
solidarité avec elle en retrouvant ainsi celui
que j’avais été qui n’est nullement un adepte
des films pornographiques mais uniquement au
service de tous comme j’eus à le devoir
démontrer une autre fois en remettant les
pendules à l’heure comme en sachant distinguer
les mérites de ceux qui au contraire
n’accumulent que ceux qui n’en sont point
puisqu’il s’agit d’égoïstes ou destinés à leur
en faire acquérir à première vue qu’à eux seuls
en oubliant d’aider leurs prochains dans toutes
les catégories autres que sexuelles qui n’ont
ici aucune importance ou des moindres par
rapport aux exigeances / impératifs que la réalité
induit) au
mauvais sens de ce mot, ce qui va les rendre
client des films pornographiques et leur donner
une idée fausse de la vie dont ils sont devenus
les empoisonneurs au lieu du contraire : d’en
avoir un infini respect, ce qui induit
d’apprendre à être infiniment patient et surtout
que les enfants sont vite pourvus, grâce à
l’Ecole, de sentiments véritables, par
conséquent de droits (il
s’agit avec chacun d’entre eux d’une petite
personnalité en cours de formation avec son lot
de milliards de souvenirs et de référents qui
les détermineront dans leurs choix)
– en effet, on pourra croire possible vivre un
temps de sexe (comme
ce fut le cas à l’époque du premier empire),
mais il est improbable qu’on puisse en faire un
commerce pour toujours. Ce sont donc les autres
catégories des sciences exactes qui, à nôtre
époque, nous donnent/assurent de quoi manger ou
nous loger pour pouvoir y avoir à certaines
heures enfin quelques bons moments satisfaisants
ou légitimes sur ce plan. Mais tout cela ne peut
que contraindre à le devoir organiser, comme à
disposer de moyens financiers légitimes pour en usufruire d’autant plus des
conséquences – si
vous ne disposez que des cff, cfu, cfs, cfm ou
cfcch,
au lieu de CFP, vous serez à n’avoir qu’une très
fausse idée de l’existence et vous aurez à le
payer tôt ou tard).
[8]
Mais ici cela coûte à l’Ensemble y compris les
œuvres qui ont été données par des donateurs ou
celles qui avaient été dérobées dans ces époques
où il n’y avait que mentalité de barbares ou de
tricheurs à la tête de chacun des éEtats (heureusement
jamais en même temps partout puisque la vérité a
toujours été préservée)
c'est-à-dire d’envahisseurs ayant des mentalités
hostiles et cherchant à imposer le joug d’une
armée qui rançonnait les peuples soi-disant
conquis). Il y a donc ici à distinguer les
conquêtes légitimes de celles illégitimes (il
y a les vraies conquêtes qui n’ont donc rien de
militaire puisque celles-ci, dans cet état
d’esprit sont fausses – tandis qu’il y a toutes
les vraies, militaires comme celle du roi des
belges au Congo pour éviter qu’on ne fasse des
esclaves de ces noirs – donc pour les protéger
des négriers et esclavagistes – il s’agit de ces
monarques éclairés qui sont au service de l’être
humain et non au service de leur égoïsme – ils
sont la seule raison de vivre des rois et des
reines puisqu’ils sont à ce point des exemples).
Les « conquêtes » légitimes sont donc du type
protectorat (tutelle
– ce qui signifie ontologiquement qu’elle n’est
que momentanée, circonscrite dans le temps et
l’espace géographique officiellement établi, à
cause d’une situation précise)
à la demande d’un souverain local qui obtient
ainsi l’assurance que les marchés de la rRégion
qu’il a sous son administration ne seront pas la
proie des pilleurs ou de ceux qui dérobent (c'est-à-dire
en général des hordes d’adolescents ayant refusé
de se scolariser et s’étant mis hors des
réalités familiales ou ethniques ou qui sont les
paramètres concernant la survie de leur éEtat –
ils sont devenus des ignorants au mauvais sens
de ce mot et des enfants-gâtés et utilisent le
chantage pour obtenir des biens – ils ne veulent
pas aider ou se rendre utiles gratuitement – ne
serait-ce que pour commencer à acquérir des
compétences en attendant qu’on puisse un jour
les aider financièrement – aussi quand ils
proposent leurs service ce n’est que dans
l’intention de dérober dans un temps plus ou
moins long les biens de ceux qu’ils prétendent
aider). Le
souverain local ne peut assurer seul l’ordre et
réclame de l’aide à l’étranger (ce
fut le cas du Maroc, par exemple – en raison de
ce qu’il était reconnu internationalement sa
requête est valable ou légitime et la nation à
laquelle il s’adresse peut l’aider ou refuser –
mais en l’aidant elle n’est que légitimement
colonisateur, puisqu’il s’agira
d’investissements financiers CFP et non des faux
qui vont être versés à quantité de personnes
pour administrer avec des méthodes plus
efficaces une région en retard sur de très
nombreux plans – c’est ainsi par exemple que le
Shah d’Iran en demandant de l’aide aux
Etats-Unis d’Amérique n’était que légitimement
entrain de faire son travail de roi – en effet,
quand un souverain s’adresse à un autre
souverain pour demander une aide matériel la
partie de son peuple digne de son souverain est
chez lui dans le pays qui sera aidé et si le
roi lance cet appel c’est qu’il a estimé que
c’est la meilleure chose pour que son pays
puisse se développer – il ne choisit que ce qui
est bon pour son pays et surtout le souverain
qui dispose de suffisemment de biens pour s’en
priver pour aider celui qui est en situation
difficile – en effet, l’aide américaine ou
l’aide française au Maroc signifie que les
peuples qui aident vont faire des sacrifices et
se priver de nombreuses choses pour aider un
territoire plus grand – comme si une région en
plus devait être nourrie, ce qui signifie des
efforts de l’ensemble de la région en avance
pour aider celle qui est en retard comme c’était
le cas de l’Iran ou du Maroc).
D’une certaine façon l’Empire Britannique ou le
Communwealth est un système basé sur le
protectorat. Chacune des rRégions sachant qu’il
doit à des investissements financiers effectués
par les britanniques (la
couronne)
leur survie localement. Ils se soumettent donc
aux règles ou aux lois britanniques qui
respectent les coutumes et les religions
locales, dans la mesure où elles sont
compatibles avec les principes des droits des
êtres humains (donc dans la mesure où elles sont
respectables, ce qui induit une ouverture
d’esprit et une auto-critique envers ses propres
lois et coutumes remises en question par celles
de ces régions – si elles ne sont pas nocives
cela rend tolérant la couronne qui dispose alors
d’une ouverture d’esprit sans pareille ou aussi
merveilleuse que l’était celle de l’empereur
d’Autriche, étant lui aussi, comme l’empereur
russe, avec tant de langues, dialectes et
cultures et coutumes différentes à administrer
en même temps, qu’il s’agit de personnes
admirables – évidemment cela n’est en général
possible qu’en raison de la religion du
souverain qui est très bonne pour les personnes
pratiquant d’autres religions). C’est à cause de
cela qu’il y a tant de manifestations d’aArts
différents. Les collections qui furent établies
par les souverains n’avaient comme objectif que
d’éduquer à cette tolérance interculturelle.
Evidemment toutes les œuvres dérobées ne le
furent que par ceux qui avaient la mentalité
d’esclavagistes ou qui se croyaient
« supérieurs » au point de piller les trésors
locaux. Ici il ne s’agit pas de souverains
éclairés mais de la mentalité des thénardiers ou
des faussaires, c'est-à-dire des nazis ou des
fascistes qui vont dérober un obélisque qui
appartenait localement à un peuple (j’ai demandé
qu’on fasse un moule pour les italiens et que
l’original soit renvoyé avec des indemnités car
ce n’est pas concevable de se conduire ainsi –
si encore cet obélisque avait été acheté ou
avait été remis officiellement comme celui de la
Concorde pour sceller une amitié à jamais entre
l’Egypte et la France, cela est ici tout à fait
admirable, ce qui explique que les armées
défilent devant lui, mais dérober un obélisque,
c’est se conduire comme les rapetout, avec
l’idée de le revendre et d’en obtenir un bon
prix par le pape ou le roi d’Italie (qui ne
l’achètera que pour le conserver dans l’espoir
de le rendre un jour à ceux qui ont été volé –
aussi en attendant l’œuvre est conservée, ce qui
va induire des coûts parfois importants pour
éviter qu’on l’a dérobe tant elle est précieuse
ou importante dans l’Histoire de l’Art et
l’administration des musées qui la stocke peut
signaler combien elle coûte au prorata de toutes
les autres conservées et cela par rapport à la
surface du musée. Evidemment cela produit en
général de la part des pays qui ont été victime
du vol une sorte de contentement car leur
patrimoine national a été mis en valeur à très
grands frais ou coûts (vitrines, système
d’alarme, personnel pour le garder,
climatiseurs, frais d’éclairages et location
d’espace souvent prestigieux) d’où que les plus
intelligents d’entre eux ne réclament pas ces
œuvres volées autrefois car en réalité leur
région est l’objet de l’admiration générale des
gens les plus cultivés dans la nation qui s’est
finalement rendue propriétaire de l’œuvre en
question de laquelle on peut aussi réaliser une
copie à l’identique ou presque pour la rendre au
pays lésé ou même rendre l’original et conserver
cette copie et l’histoire de cette œuvre (qui
est en elle-même une épopée valorisant l’œuvre).
Mais rendre l’original de cette œuvre c’est
soudain perdre tout les CFP qui avaient été
dépensés pour la conserver, la mettre en valeur
au point de devenir pour le pays lésé une bonne
affaire : il a dans un autre pays ou dans une
autre région une sorte d’ambassadeur permanent
de sa culture et sans avoir eu à dépenser des
CFP pour cela. D’où réellement qu’en général il
préférera laisser l’original à l’étranger et
disposer de la copie et sachant que de toute
façon s’il devait avoir besoin de l’original à
l’occasion d’une exposition, en raison de ce
qu’il détient une admirable copie, il s’agira
d’un texte qui sera à ce moment là effectué de
la part de toute la communauté internationale
(cette nation/région va-t-elle résister au désir
de garder l’original et de renvoyer la copie ou
alors va-t-elle comprendre qu’après plusieurs
décennies il y a comme prescription mais surtout
que cette œuvre originale a représenté tant et
tant de problèmes à résoudre pour les souverains
locaux qui en héritèrent qu’en raison des
dépenses effectuées elle est de droit à ce pays
qui en l’ayant acquise et payée à des voleurs
l’ont valorisé en la conservant ou en l’exposant
dans un cadre souvent agréable. Il y a donc ainsi
quelques œuvres qui ont été réclamées et dont
l’issu des négociations, en raison des coûts
qu’elles ont engendrées doivent être la solution
élégante de la copie offerte par le pays hôte ou
alors achetée par le pays lésé (s’il
y a un projet de mise en valeur culturel),
selon le cas particulier de l’historique de ce
que cette œuvre a représenté comme coûts plus ou
moins important pour sa conservation. A
l’occasion de l’établissement de la copie, on
peut imaginer intéressant d’avoir à en faire
plusieurs, par sécurité et en faire bénéficier
d’autres établissements de conservation du
patrimoine mondial de l’humanité, comme des
sites miroirs. En effet, il s’agit de pièces de
collections qui en étant placées même en tant
que copies dans un autre parcours permettront de
générer du sens à l’aune de ces pièces
originales auprès desquelles elles figureront
qui diffèrent de celles qui entourent cette
œuvre autrefois volée (mais
cependant conservée à grand frais par les
responsables du pays hôtes).
Ce qui se produira générera des informations
supplémentaires auxquelles on aurait jamais
pensé puisque les conservateurs qui voudront
acquérir ces autres copies pour les placer au
sein d’itinéraires particulier seront le
résultat de tous leurs savoirs induisant ainsi
d’autres découvertes. En effet, ce n’est que par
le rapprochement et la comparaison d’œuvres qui
n’étaient jamais sensées être rapprochées, grâce
à l’intervention d’autres catégories ou sujets
d’exposition qui permettent soudain ces
proximités parfois même surréalistes que ces
sujets offrent peut-être matière à inventions ou
nouveautés (ce qui n’est pas le cas ou alors
différemment dans le lieux où elles sont
présentées). Ces œuvres sont donc en elles-mêmes
créatrices. Avec l’expérience du pillage du
musée de Bagdad en Irak, nous avons pu remarquer
que c’est le peuple local lui-même qui a volé et
non les américains qui sont venus rétablir
l’ordre. Aussi cela signifie que les irakiens
n’étaient que de faux irakiens qui ont profité
de cette situation de conflit pour faire main
basse sur les trésors en place pour les vendre.
Par conséquent ceux qui achètent ces œuvres
autrefois appartenant aux peuples d’une région,
sont dans la légalité de le faire pour protéger
ces œuvres ou même pour les proposer à la vente
de nouveau. Le musée local qui s’est fait
dérober la collection qui appartenait à la
nation est donc dans le devoir de la
reconstituer puisque des CFP par
l’administration de l’Irak (qui
dépend de la Nôtre)
ont été dépensés pour que ce lieu puisse vivre.
Aussi voilà des œuvres qui sont à l’origine
peut-être issues de prélèvements archéologiques
à des tombes, donc à de légitimes propriétaires,
qui vont donc devoir être rachetées une autre
fois pour reconstituer cette collection connue
de tous les experts puisqu’il y avait photo. Une
œuvre doit donc aux CFP dépensés sa survie et
permet à des personnes de survivre honnêtement
en raison des CFP dépensés pour qu’ils assurent
sa conservation. L’œuvre d’aArt est donc
autonome ou indépendante financièrement dès sa
réalisation puisqu’elle est le trésor lui-même
ou une éventuelle richesse collective.
Evidemment elle augmentera sa valeur vénale de
chacune des dépenses qu’elle a permis de
réaliser en CFP pour sa conservation (au cours
des siècles), ce qui lui fait être parfois très
chère. En effet, des particuliers (mais parfois
les éEtats ou des organisations) ont dû stocker
des lieux en payant des loyers avec des CFP
gagnés honnêtement (ils
ont été établis officiellement dans cette
optique et ont requis des experts qui ont eu à
investir des temps parfois importants de leurs
existences au niveau de compétence parfois des
plus doctes pour convaincre que ces dépenses
étaient des investissements utiles
(nécessaires), voire qu’ils seraient à la longue
bons pour la région (réalisation
d’un musée, d’une salle d’exposition municipale,
qui peut devenir un centre touristique ou pour
une référence pour les études des passionnés et
des experts)
– il s’agit en raison de chacune des
interventions de connaisseurs comme de valeurs
ajoutées ou de plus values y compris grâce aux
textes étayés souvent de comparaisons les plus
intelligentes. Cela en supplément à la valeur
esthétique, sensuelle en elle-même ou simplement
de sens de la représentation – il y a donc tous
les plans de valeurs différentes qui concernent
les œuvres et tout ce qu’elles génèrent comme
commentaires de différentes sortes jusqu’à ceux
des experts, mais aussi l’œuvre comme
trait-d’union ou permettant, grâce à elle-même,
le sujet de conversation (conservation) – d’où
qu’on comprenne ici que la parole véritable sert
à conserver, donc à soigner et cela fonde en
absolu les différents conservatoires de métiers
ou écoles de restauration – les sujets qui sont
les œuvres d’aArt sont comme des patients ou des
momies précieuses à conserver – elles offrent
aux travailles manuels qui n’ont que le plumeau
à passer pour les dépoussiérer les CFP comme les
statues présentées à Orsay – l’œuvre d’aArt ne
peut donc être que le produit et la preuve de
l’aAmour véritable (œuvre de l’esprit de vérité)
puisque cela a toujours mené, ne serait-ce que
par mimétisme pour devenir aussi adroit, à de
nouveau la réalisation d’œuvres d’art par ceux
qui réussissent à trouver comment – se rendre
capable d’élaborer ou de créer de véritables
œuvres d’aArt c’est devenir homo sapiens sapiens
ou être humain capable dans toutes les
dimensions de l’esprit par conséquent toutes les
catégories et c’est donc ce qui permet de
devenir souverain – cela va donc ouvrir, par
exemple sur des royaumes qui sont de nouvelles
catégories effectivement illustrées, donc
compréhensible – l’aArtiste véritable ne peut
donc qu’être un véritable pédagogue – ces
notions sont donc intriquées : il n’y a pas
d’aArt sans retrouver le bon sens – aussi la
fonction de chacune des véritable œuvre d’aArt
était de permettre à chacun de retrouver le bon
sens, la raison – l’aArt est donc la Médecine et
la Médecine l’aArt – c’est pour cette raison
qu’il n’y a que la beauté, la bonté et le bien
qui soignent et que le variateur de la vision
d’Ôz – ce qui est synonyme d’Atlantide,
d’Eldorado, de Paradis, etc. – ne peut être
administré que par des personnes délivrées de la
méchanceté qui est donc ce qui n’est pas le
propre de l’être humain mais issu de la
situation générale qui était bloquée par des
personnes s’étant avilies à devenir ignorantes,
au mauvais sens de ce mot au lieu de ne l’être
qu’au bon sens comme tout le monde – elles en
sont devenues grossières et vulgaires et surtout
de moins en moins voyantes et entendantes au
point de ne plus discerner ce qui est beau –
elle ne vivent que dans ce qui est laid
cérébralement au point de ne pas même comprendre
pourquoi une œuvre d’aArt est aussi précieuse
que cela – c’est ainsi qu’elles passent devant
les êtres humains dans les rues avec la même
indifférence mais surtout avec la même fausseté
– il s’agit des terriens qui ont perdu tout ce
qui en eux était précieux pour ne devenir
d’aucune façon une bonne affaire pour l’Ensemble
mais seulement représenter des coûts pour éviter
d’avoir à s’en débarrasser en les supprimant –
ils sont donc le cauchemar des ingénieurs et des
statisticiens ou des économistes ou de toutes
les personnes conscientes, car ayant été amenées
à la conscience grâce à l’aArt véritable qui
n’est que sciences des arts)
grâce à leurs activités pour préserver l’œuvre
en se privant pour elle de cette surface qui lui
est consacrée.
[9]
Puisque cela ne serait pas juste. En effet, ce
qu'on lui doit devrait permettre à quantité de
gens de survivre, puisqu’il s’agira de sommes de
CFP placées qui vont permettre aux banques de
financer des projets et des créations
d’emplois.
[10]
(qui partage, en ce moment, la vie d’une autre
personne qu’elle n’aime peut-être pas autant que
nous nous sommes aimés)
[11]
(puisqu’elle n’arrêtait pas de dire, à la plage,
en Italie, « où est mon mari », en italien (ce
qui ne me posait aucun problème alors étant
donné que je ne savais pas que j’étais victime
d’une amnésie et qu’en raison de cela je vivais
dans les illusions et dans l’honnêteté de celui
qui est en parti dans le mensonge et qui ne sait
plus très exactement ce qu’est le monde de la
vérité)
[12]
Car dans ce monde là, même la totalité de
ceux-ci dans tous les temps ne paient même pas
un des atomes de matière posée par des mains
propres. Ce qui signifie qu’il y a des règles du
jeu auquel tous les aArtistes véritables avons
dû nous soumettre depuis toujours et qui a comme
objectif de réussir à en faire d’autres (cela
depuis Lascaux ou bien avant depuis les premiers
glyphes ou les premiers véritables signes
signifiants – d’où, vous le savez bien la
consubstantialité de l’Etat et de l’Education ou
de sa vocation à/pour l’Instruction et donc la
transmission des savoirs-faire – donc la
nécessité de valoriser par des prix les efforts
dans cette direction des plus zélés – en effet,
il en va ici de la survie de toutes les avancées
de la civilisation qui ne sont pas négligeables
et bien sûr des espoirs des momies ou des
disparus à retrouver une autre vie).
[13]
(je crois qu’on ne comprend pas exactement la
valeur de certaines œuvres d’art y compris de
certains écrits qui ont été capables
effectivement de changer le monde : si nous
écrivons de nos jours et pensons et créons, nous
ne le devons qu’aux artistes qui ont passé leur
existence à analyser et à penser comme à créer
en vérité. Ce matin, alors que je dormais encore
un peu, debout et sans être drogué par aucune
espèce de drogue au sens actuel qui les
différencie des médicaments, je me suis amusé,
car je m’ennuyais de ma cafetière à la regarder
autrement et pour ne pas la voir à la cubiste
mais plutôt à
[14]
C’est en grande partie l’histoire de l’œuvre qui
donne sa valeur mais aussi de nombreux autres
paramètres, qui sont très nombreux. Dans le cas
de mes tableaux c’est indéniablement l’histoire
qui se renouvelant à trois reprises (deux fois
en virtuel et enfin trois fois au moins dans la
réalité en 1965, 1975 et à partir de 2005) en
raison de la confirmation de l’anneau nuptial
(donc de tous les mariages véritables) qui
soudain a donné une valeur à toute l’œuvre alors
que l’instant d’avant ces communications à
travers le temps se matérialisant, elles
n’étaient que des tentatives ou des recherches
profanes et que si elles avaient déjà une
certaine valeur en raison de mon œuvre dans les
autres domaines (mais dans la dimension profane,
vénale), elles n’avaient pas encore ce poids
soudain fondateur de toute la civilisation
depuis 1965. Mais bien sûr sans mon frère
peintre et sans Rubens ou d’autres génies et les
différentes œuvres d’art que j’ai pu admirer
enfant en Italie, je n’aurais jamais osé me
mesurer à ces immensités. Donc ce mot de valeur,
nous l’avons bien compris est relatif car
personne ne peut imaginer en voyant le piano que
j’ai peint ou les tableaux-partitions que j’ai
peint pour lui qu’ils peuvent avoir cette
valeur. Ce n’est que parce que l’œuvre sera
valorisée et bien présentée pour en faire une
attraction et un questionnement ou l’énigme
qu’elle est avec quelques explication qu’elle
donnera à rêver ou à penser et que sa valeur
pourra faire son effet bienfaisant sur certains.
Pour l’ignorant, au mauvais sens de ce mot ou le
profane, même avec ces paramètres, il est
tellement devenus un abruti que c’est sans
espoir. Il est habitué à l’extraordinaire avec
ces appareils d’enfant-gâté qui lui permettent
de jouer à des jeux électroniques et comme il
est dans la confusion continuelle, il est
capable de penser encore une ineptie ou de faire
des comparaisons qu’on ne peut pas faire ici et
ne pas se rendre compte qu’il est devant bien
plus peut-être encore que le graal devant le
parcours de chacune de ces œuvres.
[15]
Synonyme de « terrien » car en raison de ce qui
s’est passé (1920-1950 –
pour minimiser)
ceux-ci sont devenus suspects d’avoir collaboré
avec la vermine nazie, fasciste, communiste ou
maoïste, etc. (de
la même engeance de faux),
bref liée à chacun des petits roquets déguisés
en soldats (en
réalité des égoïstes ayant convoité des biens
qui n’étaient pas à eux de droit)
alors qu’ils ne sont aucun d’entre eux devenus
des êtres humains véritables -
mais n’ont choisi que l’involution vers des
rétrécissements des capacités du cerveaux
– soit le soldat (ici
cependant le mot dans son sens positif– ce que
je signale, car cela se réfère à avant l’incise
et j’ai pu vérifier que sinon ces analphabètes
tombent dans le panneau – ce qui signifie qu’ils
font l’erreur au point de croire positif ce qui
est la honte de l’humanité : le soldat tueur –
en effet, un vrai soldat est celui qui
s’interdira toujours de tuer ou qui évite cela
jusqu’au moment où comme c’est en légitime
défense de la Vie elle-même, il n’a plus le
choix : il doit frapper ceux qui se sont
déshumanisés ou sont devenus hostiles à leur
intérêt ou celui de leurs enfants ou de plus
loin encore)
[de la recherche] de la vérité (qui
évidemment existe pour chacune des choses ou des
questions – donc en/sur tout, puisque les mots
existent pour permettre d’expliquer et discerner
ce qu’il convient préférablement de choisir –
comme pour écrire une phrase juste dans un
contexte précis – soit un cas particulier ou une
situation – ce qui est synonyme - forcément un
peu différente d’une autre ou alors ressemblant
à une autre avec des paramètres en plus en
raison des progrès et des acquisitions de
savoirs supplémentaires – cela explique la
nécessité de ne pas approcher de trop près ceux
qui en détiennent tant, sans être au préalable
préparés ou avoir un des
cursus
honorum véritables à vôtre actif qui vous
permette d’intervenir en ayant à vous y référer
publiquement pour rappeler ce qu’on vous doit (cela
commence dès le jardin d’enfant ou dès les
premiers dessins)
– vôtre intervention sera alors des plus
admirable ou profitable pour l’Ensemble, tandis
que sinon vous ne serez intervenu que pour vous
faire valoir en égoïste et en futur faussaire –
en effet, vous aurez pris appui sur un argument
qui a été réfuté par quantité de maîtres
véritables à travers le temps – vous le saviez,
mais vous avez voulu provoquer et faire perdre
du temps à l’assemblée – vous êtes un nuisible
et vous le révélez – vous freinez l’ensemble et
semez le doute – vous avez oublié que des
enfants pourrez écouter et qu’il vous
appartenait de donner l’exemple, puisque leur
route sera au moins aussi longue que la vôtre
avec des responsabilités certainement en plus (si
vous n’avez pas réussi à en dégrader quelques
uns pour les attirer dans vôtre piège qui vous a
fait devenir un ennemi de l’humanité : vous
mentiez ou êtes de mauvaise foi)
puisque vos propos sont ceux d’un irresponsable
ou d’un inconscient des dégats que vous faites
en raison de ces méchancetés auxquels une entité
qui n’est pas vôtre véritable vous-même vous
aliène – mais vous lui avez donné crédit et elle
s’ingénie à vous rendre ridicule par toutes les
époques : vous êtes le fou
au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce mot (dans d’autres
S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.),
occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))).
[16]
C’est ici souvent le rôle d’un père ou d’une
mère qui ne doit pas non plus corriger parce
qu’elle a vu ou espionné que dans une situation
semblable cela s’est fait. On ne peut donc
corriger qu’après l’acquis de conscience que la
plupart des religions ont cru, souvent très
justement, nommer Saint-Esprit. Les laïcs
l’ayant en Italie nommer « mettere sù il
giudizzio » (ce
qui signifie « porter dans le cerveau le
jugement » - en d’autres terme, rendre clair
(conscient) le lieu de l’esprit ou de l’âme : la
tête – avoir des faits comme de la réalité une
vision claire et juste non influencée par
d’autres impératifs que la raison et la logique
qui permet les mesures les plus exactes – donc
en ayant mis des hiérarchies bienfaitrices aux
catégories pour éviter d’être prisonnière d’une
seule, tout en sachant que cette hiérarchie doit
mener à un projet salubre pour autrui : la
découverte de la conscience ou l’âge de raison :
la cohérence et surtout ce qui découle des mots
employés : des actes en conséquence).
[17]
A différencier des faux rires, gras, vulgaires,
grossiers, abjectes acoustiquement. Cela (pas
la phrase d’avant mais –
il fallait suivre
- le référent dans le corps du texte – En effet,
voilà le problème des lecteurs non-avertis comme
pour les anti-phrases, ils peuvent se tromper de
référants – d’où ensuite le malentendu –
c’est en ayant de régulières conversations avec
Jean Rouch avec qui j’ai souvent petit-déjeuner
qu’en analysant les structures de ces phrases
que j’ai compris que le problème venait aussi de
là
– c’est pourquoi on procède par étape dans
l’apprentissage de la lecture, pour mener des
enfants, ayant acquis de solides bases, vers les
textes plus complexes qui autrefois, parce qu’on
était limité en nombre de page (par le coût des
éditeurs), ne permettait pas aux personnes les
plus doctes de s’adresser seulement aux enfants
(c’est
de ce problème que les catégories de lecteurs
sont nées)
– ce qui est maintenant possible : avec les
fichiers informatiques, ils permettent même
l’enseignement sur le mode ludique et
divertissant – cela est dû qu’on est beaucoup
moins limité et même plus du tout et à ce que je
fis faire grâce à la
NNDIM
qui a permis de réaliser des cd-roms éducatifs –
donc d’apprendre en jouant – en effet, le
fichier électronique ne coûte rien en
comparaison/à l’aune des coûts éditoriaux sur
papier ou livre et permet d’ajouter quantité
d’illustrations couleurs, de sons, de fichier
vidéo, etc. (bref
de référents pour mieux comprendre)
– aussi les empereurs Granier d’Ôz (issus
de personnes parmi les plus scolarisées de leur
époque)
s’honorent d’avoir ainsi fait réaliser sur le
long terme des économies financières très
importantes – dont on me devra les
royalties
(comme
sur chacun des cd-audio et cd-rom puisqu’on ne
songea pas à Nous envoyer copie de chacun dont
j’étais l’aAuteur, puisque j’ai eu à transmettre
les dimensions de ceux-ci et des DVD, mais aussi
la plupart des détails pour que les industriels
et les ingénieurs réalisent les
lecteurs-enregistreurs y compris des variantes)
car j’ai des frais ou des coûts en perspective –
ce qui réjouit d’avance tous ceux qui facturent,
(les
profiteurs – ici au bon sens de ce mot car des
honnêtes gens)
- de ces dépenses)
a même donné
le bel
gioioso, un vin qui est peut-être de la
région Ligure (à
vérifier) –
en tout cas j’eus à en boire le nectar à San
Remo sur la plage du Lido foce.
[18]
Il paraît que cela se dit sans grossièreté.
[19]
(ce qui n’est pas possible sans CFP (donc ce qui
signifie sans cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch) et être à
certains moments de la journée une mère ou un
père c’est être autre chose que quand on
travaille à ses occupations. C’est une forme de
métiers qu’on pourrait valoriser financièrement,
si la planète manquait subitement d’enfants ou
si les parents avaient acquis de réelles
capacités de l’être pour le mieux de l’espèce
humaine (ce
qui est souvent le cas d’enseignants dévoués).
Il y aurait des problèmes démographiques à
résoudre, des manques (ce
qui est peut-être le cas dans certaines régions
moins peuplées, hostiles).
Quand on est dérangé par un enfant faisant
irruption dans sa chambre alors qu’on travaille
à son bureau, c’est être contraint à changer
dans les secondes qui suivent d’état
(de
celui qui a contraint à trente ans d’études à
celui d’avoir à comprendre aimablement les
problèmes que traverse un enfant à l’âge qu’il a
dans la situation générale commune qui était
bloquée)
étant donné qu’on sait qu’il y a une différence
d’âge et qu’on doit faire un effort pour
s’adapter à une situation qui est très
différente de celle qui nous occupait (il
arrive avec ses référents et nous avons les
nôtres – il y a donc forcément sujet à conflit
ou à décalages, puisqu’il y a cette part
d’inconnue de chacun des côtés: on fait alors
une parenthèse
(et
s’il a une idée de qui nous sommes en raison du
rôle que nous jouons publiquement nous ne savons
jamais d’avance
(sauf
les initiés ou ceux qui ont pris en
considération divers faits notables à son sujet
– ne pas les remarquer, c’est passer à côté d’un
futur ingénieur ou polytechnicien ou une très
rare personne, sans même le remarquer et c’est
donc perdre collectivement une chance d’avancées
considérables ou même qui seront importantes
seulement dans cinquante années – donc c’est ne
pas avoir songé au long terme, ce qui est très
grave, car alors tous seront âgés et ne pourront
que compter sur cet enfant qui doit être pourvu
du même esprit à plus long terme encore – aussi
cela va créer un chef et par conséquent d’avance
des conflits à éviter avec ceux qui étaient
convaincus d’en être, mais qui finissent par se
soumettre car depuis le Christ on a compris
qu’il ne faut d’aucune façon crucifier celui qui
est plus docte que soi-même, mais au contraire
proposer des postes rémunérés en CFP, puisqu’il
s’agit de réincarnations de très grands maîtres
et que tous y gagneront en sagesse)
et cela sera
comme avec un appel téléphonique. C’est une des
raisons pour lesquelles les répondeurs
téléphoniques dont nous avons transmis, avec le
fax et le minitel la réalisation possible pour
les voir apparaître sur les marchés ont eu
autant de succès, au point qu’il n’est plus même
possible de concevoir son existence/vivre sans
répondeur et sans
fax
pour certains métiers même si le développement
d’Internet
a constitué une concurrence à ces produits.
On peut aussi
penser que grâce à ces utiles instruments,
(si
la démographie ne représentait pas à ce point la
preuve, en augmentant, malgré les différentes
possibilités de ne pas avoir d’enfant),
que
nous ne vivons plus en enfer – car sinon
personne ne voudrait mettre au monde des enfants
pour ne les voir naître qu’en enfer : « on ne va
pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas
subir à la place d’autrui » et par conséquent
cela signifie que les enfants qui ont été désiré
ont consenti à naitre en futur être humains pour
constituer les descendants de ces familles de
personnes unies grâce/par le consentement
mutuel/amical, etc. (soit
donc à cause d’un projet en commun)
– et si effectivement il n’y avait pas, comme de
nos jours, à décourager les adultes d’avoir trop
d’enfants, en raison de la menace que
l’accroissement démographique fait peser sur
l’Ensemble (ou
sur les contextes familiaux dépourvus de
suffisemment de CFP pour les assumer),
on pourrait valoriser financièrement le travail
des femmes au foyer (des
mères), ce
qui pourrait leur assurer un revenu et par
conséquent une forme d’indépendance,
d’autonomie, par rapport à celui qui est obligé
de jouer son rôle de père, une fois rentré du
travail. Mais l’inverse est aussi concevable
dans le cas des pères au foyer puisque sce sont
leurs épouses qui ont un emploi. Peut-être cela
pourrait rassurer, mais il y a un risque très
grave, comme pour les allocations, qui est celui
de peser sur les enfants et de les avoir voulu
pour avoir le droit à toucher ces subventions (ce
qui est alors faire devenir des CFP des cfu,
cff, cfm ou cfs)
et cela va donc changer la nature des rapports
amoureux et les enfants ne seront pas sûrs
d’avoir été désirés comme de futurs brillants
esprits capables aussi simplement d’être ce
qu’ils sont, chacun d’eux, beaucoup de chose,
infiniment de choses, pour leur entourage, bien
que pour d’autres entourages y compris celui
d’enfants, ils n’aient aucun intérêt et même
soient l’objet de moqueries, étant donné qu’ils
sont souvent handicapés par des choses qu’ils
n’ont pas encore apprises à faire (évidemment,
ils ne représentent de l’intérêt que pour les
adultes parachevés qui ont le soucis de leur
transmettre les enseignements pour les amener à
découvrir la conscience en eux).
Ici, avec cette
note de fin de page, cela concerne un dossier de
réflexions sur les éducations à transmettre qui
doit tenir compte aussi, des années (qui
viennent) qui devraient [nous] permettre/offrir
d’apercevoir de temps en temps le Paradis,
Atlantide, selon un programme de mon cru
scientifiquement préétabli. Cela va changer de
très nombreuses choses étant donné que déjà sans
voir Atlantide et seulement parce qu’il y a des
chaînes à la télévision, comme il y a le cinéma
et d’autres activités (dans
les cités plus fortement urbanisées),
de nombreuses personnes trouvent que l’existence
vaut la peine d’être vécue, même si on a à
vieillir, à souffrir, et à se préparer tous les
jours, un peu plus à nôtre mort, qui, encore une
fois, si la vieille salle des machines et le
variateur est confié à des personnes compétentes
comme moi pourrait à plus ou moins long terme
disparaître et même éviter qu’on vieillisse (perde
ses dents, et tous les maux qui vont avec).
Cette salle des machines et surtout ce
variateur, en accord avec les lois qui
concernent les établissements issus de
fondations ou du droit public, à la fondation
« trois petit points », comme en réalité depuis
la date de 2008, la planète entière et tout ce
qui la compose appartient à cette fondation (qui
a peut-être été créée comme je l’avais signalé
d’avance à devoir être établie officiellement)
y compris l’ensemble des âmes et des âmes des
ancêtres y compris des descendants, étant donné
qu’on ne peut pas rétablir la vision
d’Atlantide, après ce qui s’est passé (guerres,
massacres d’innocents, déportations abusives,
faux témoignages, mauvaise foi ou emploi de
mensonges en raison diverses),
depuis le premier des pharaons, n’importe
comment et en improvisant : il s’agit donc d’un
chantier pharaonique de longue haleine et cela
ne peut se faire que légalement, bien qu’il
faille avoir à l’esprit en permanence, si
possible, le caractère légal « à première vue »
(dans la légalité de l’époque ancienne/antique
en question qui est celle d’individus encore –
sur de nombreux aspects -
préhistoriques au sens de non-évolués
autant qu’à nôtre époque même ceux qui
régressent le sont et par conséquent dans
laquelle société existe alors encore la loi du
plus fort (au
sens de force physique qui y était seulement
attaché et non de celui le « plus juste » ou
« exacte » – au point que de nos jours quand une
chose est vraie ou exacte, on dise alors « c’est
fort » - ce qui est une des preuves que les
siècles polissent les concepts et les langues au
point de rendre plus amples des sens autrefois
étroits – l’exemple de la langue anglaise est
sur ce point à l’attester),
ce qui n’est plus le cas de nos jours, au sens
premier et physique du terme, étant donné que
c’est la loi du plus fort dans ce qu’il va
démontrer être le meilleur dans des
catégories/disciplines qui n’ont souvent plus à
voir avec la force physique (brutale).
Pour gouverner, la force physique sera celle de
ceux qui en sont pourvus pour défendre les justes
lois (ce
qui est la force d’une région)
mais avec celui qui est encore scensé, qui est
clair, qui raisonne logiquement, de façon
rationnelle, car sce sont des gens comme cela
qui ont fini par démontrer, par exemple, en
mathématique la vérité des théorèmes, bien
qu’ils entretiennent, si possible leur corps et
que cela ne les empêche pas de développer les
matchs de foot-ball ou de
rugby
(comme
j’eus à le demander),
à l’échelle mondiale, en championnat, en ayant
constaté d’avance, pour rassurer 1975-et les
années 80, que cela pourrait devenir une aussi
bonne affaire à l’échelle internationale pour
les forces brutales nécessitant les encadrements
que les forces de l’esprit proposent. En effet,
elles sont canalisées pour accomplir de grandes
choses (un
stade est l’exemple d’une grande chose pour que
des forces qui s’affrontent physiquement aient
le dessus en raison de ce que les meilleurs vont
réussir à apprendre à jouer en équipe, donc des
stratégies payantes – le sport est donc la
possibilité d’apprendre à respecter
l’adversaire, à le relever si à terre – un
apprentissage de la fraternité et surtout
l’apprentissage du peu d’importance d’une
victoire – car la victoire est le stade en
lui-même, ce lieu en commun : une structure ou
une architecture accueillante dans laquelle des
jeux non dangereux pour la santé des êtres
humains advienne – bref des lieux d’amitié
possibles d’autant plus qu’à première vue en
raison des règles ennemis dans le jeu – en fait
une convention au point que ce n’est qu’en
raison de la situation générale ayant donné à la
lutte qu’on soit antagoniste car en réalité une
fois terminé les hostilités, il n’y a que bon
souvenirs – s’il n’y a pas une blessure ou ou
endommagement physique – d’où qu’il s’agit d’un
merveilleux apprentissage du refus de la
brutalité pour résoudre des antagonismes au
point d’en avoir à remercier Coubertin qui a
infiniment bien fait de remettre au goût du jour
les jeux olympiques, soit le propre d’une nation
évoluée comme la Grèce antique plutôt que la
barbarie des jeux du cirque qui n’encourageaient
les spectateurs qu’à involuer ou à régresser à
ne plus appartenir en rien au genre humain
puisqu’ils ne tenaient pas compte du caractère
éminemment précieux du corps de l’autre – en
effet il n’y a ici que des empereurs égoïstes et
totalement réfractaires à la cohérence d’époque
ayant évoluées dans le soucis médical de la
santé de chacun qui vont croire possible
martyriser des personnes admirables ou autant
qu’elles le sont dans chacune des activités ou
des compétences qu’elles ont quotidiennement, au
point d’être continuellement à devoir changer de
mots pour les décrire ou même à les devoir
représenter par autant d’images-clés comme dans
les bande-dessinées dans lesquelles ils sont
alors occupés à d’autres activités requérant
ces compétences (il
s’agit donc de personnes plurielles et non au
singulier et il y a forcément parmi elles les
moins néfastes ou les meilleures pour tous)
– d’autre part on ne peut parler de sport, au
sens noble ou coubertain (ce
qui est synonyme)
du terme en faisant combattre des espèces
différentes n’ayant aucune des qualités ou des
atouts de l’autre – c’est en cela que la corrida
n’est pas juste non plus, car il s’agit d’une
autre logique animale limitée par le cerveau
qu’il a amené à la suite d’harcèlements divers
à devoir songer à se défendre en légitime
défense brutalement (le
harcèlement ayant été interdit par la loi).
Des possibilités cérébrales limitées qui mènent
à combattre contre l’être humain à partir de
cette base faussée de départ, donc
artificiellement à cause du harcèlement survenu
(qui
donne, par conséquent au taureau – qui n’avait
pas commencé – d’être dans son droit de tuer –
il y a eu provocation et injustice commise de
l’être humain contre l’animal, par conséquent le
spectacle n’est en rien admissible ou n’est que
la survivance de personnes ayant été assez bêtes
ou injustes autrefois, dans ces époques encore
préhistoriques ou ignorantes, à le croire
possible – donc fausses ou de celles à croire
avoir le droit de faire du mal à un [animal]
innocent),
et qui pour l’instant cherche aussi
hypocritement que cela (avec
la complicité de responsables)
à rendre aussi faussement que cela légitime la
boucherie (bref
à rechercher à devenir des bourgeois, au mauvais
sens de ce mot - soit tous ceux qui
complaisemment avec ce qui est intolérable –
au lieu de s’y refuser s’incrustent,
s’enracinent dans le préjugé ou la tradition ou
la mauvaise habitude, mauvaise car elle n’est
plus cohérente avec les avancées de l’époque
ou/et la présence d’alternatives alimentaires
dûes aux commerces les plus lointains, ce qui
souligne à ses denrées le caractère précieux,
même si peu coûteux -
ou incohérent avec la gentillesse ou la bonté
dont chacun, à d’autres moments, a donné de
nombreuses preuves y compris avec les vaches ou
qu’il sait en donner d’autres preuves sur
d’autres points, seront entretenues dans leur
involution ou régression au lieu du contraire
puisqu’ils s’affichent être du côté de
l’injustice au lieu d’être du côté des justes –
en effet, si le taureau n’avait pas été malmené
ou provoqué ou blessé, il ne se serait pas
défendu en utilisant les cornes puisqu’il ne
dispose pas de la parole ou d’un avocat pour
souligner l’injustice qui lui est faite – soit
l’origine de ce que les êtres humains lui ont
reconnu comme droit à la légitime défense, au
point que même tueur, il aurait le droit de
retourner rejoindre ses amies les vaches comme
un héro – on a fait du tort aux taureaux – au
lieu de jouer avec lui à des jeux admirables on
le fait souffrir – c’est bien la preuve que si
on s’en était abstenu chrétiennement ou
simplement en personnes cohérentes avec la
religion qui conseille de ne pas tuer, il ne se
serait jamais montré hostile mais au contraire
aimable – frappez un chien il est bien sûr en
droit de vous mordre ou du moins d’aboyer si
vous ne lui avez pas trop fait de mal, aussi
frappez un taureau, il a le droit de vous
encorner – mais vous n’aurez été qu’injuste et
vôtre jeu un de ceux qui n’en est pas un de
légitime sur tous les points ni sur le principe
et pas seulement digne de celui que vous avez
considéré vôtre adversaire sans le respecter
(vous avez commencé par ne pas le respecter en
tant qu’espèce ayant le droit à la vie comme
vous-mêmes et cela d’autant plus qu’il n’est pas
nuisible mais pacifique herbivore donc à vous
aider à ne pas être envahi par les herbes et à
trouver des pelouses pour des repas dans la
Nature – vous êtes un misérable, tandis que ce
taureau un héro ou un dieu, comme chacun des
précédents que vous n’aviez pas le droit de
mettre à mort ainsi – il est le Christ lui-même,
injustement crucifié, par tous ceux qui se
prétendent aussi fallacieusement que cela des
chrétiens, y compris de toréador qui de plus,
compte sur Jésus-Christ et la Sainte-Vierge pour
avoir une chance, malgré l’incohérence de sa
profession, avoir la vie sauve puisqu’il est le
premier à savoir qu’on a trompé le public : on a
dès le départ harcelé / trompé ce pauvre animal et
on veut en faire un martyr et un saint – le
voilà dès qu’il voit rouge à avoir le Droit pour
lui – aussi ce qui trouve ça drôle ont perdu le
statut d’êtres humains – ils ont capturé un
animal admirable, père de vaches non moins
admirables qui ont permis à tous les enfants que
nous avons été de boire de bons chocolat au lait
pour avoir des corps sains et des dents saines
et mettent cet être exceptionnel à mort (c’est
comme si un fou entrait à Lascaux pour effacer
ou barrer les œuvres d’art comme la plus
qu’admirable
Piétà de Michel Ange qui fut frappée),
alors qu’on lui doit les yaourts, les exquis
fromages ou tout ce qui est bon (puisqu’il
est capable de faire des efforts physique pour
tirer des charrettes ou avec des jougs en tant
que boeuf)
– c’est donc comme souligner une hostilité
envers Dieu qui n’a que bien fait chaque chose –
en participant à ces jeux modernes du cirque
espagnol vous n’êtes pas à la page ou vous
n’avez pas encore fait de mise à jour avec vôtre
époque qui est celle des cirques artistiques où
vous ne trouverez pas des dompteurs de chevaux à
malmener des taureaux, puisqu’ils ne malmènent
pas les fauves non plus, mais, par compassion,
leur donne des restes de carcasse animale – soit
des reliquats d’un passé de l’humanité qui fut
longtemps fondée sur une mauvaise appréciation
de la réalité (des malentendus) et de
l’Evolution, au point que chez certains
individus cela ait donné des personnes néfastes
à elles-mêmes ou involuant)
– d’où l’aspect complice des involués ou de ceux
qui cherchent à être maintenus dans un état de
personnes qui régressent plutôt que d’appartenir
à l’inverse, à toutes celles ayant choisi le bon
sens ou le sens vers lequel tend l’Histoire de
l’Aventure de l’Evolution Humaine).
Sans les forces de l’esprit d’un architecte qui
l’a utilisé pour dessiner les plans d’un futur
gratte-ciel, il ne pourrait jamais y avoir de
construction, ni même d’organisation susceptible
de réussir à construire, en faisant les divers
efforts de nature différente qui vont de ceux
les plus difficiles des plans à ceux (souvent
plus faciles car)
les plus à la portée de toute la main d’œuvre (il
en va de même pour élaborer la plus belle robe
de soirée ou de haute-couture ou les costumes
que porteront sur scène des danseurs avec Sarah Lipska étant parvenue à les dessiner pour les
donner à réaliser à quantité de mains adroites –
sans le patron/le maître rien de bien n’est
possible).
C’est donc l’univers de l’esprit qui va
gouverner la matière et qui va pouvoir utiliser,
par exemple l’énorme force d’un fleuve qu’on
pourra considérer comme brutal, au moment d’une
chute d’eau, pour régulariser, à travers un
système d’écluses, ces quantités de ces masses
d’eau ayant paru brutales/violentes. La force
brutale (au
sens physique)
est nécessaire pour de nombreuses choses
difficiles à faire pour ceux qui n’ont pas pu
développer en eux des capacités musculaires à
l’aune de cette violence / force exigée. Voilà
donc une façon de parler de la violence
positivement car elle est maîtrisée par les
forces de l’esprit comme à l’occasion des matchs
de foot ball ou de tennis qui s’inscrivent à
l’intérieur de règles issues/produites par
l’esprit. Cela s’est traduit par de nombreuses
solutions élégantes mises en œuvre dans la
catégorie des instruments mécaniques venant au
service des êtres humains pour leur permettre de
multiplier par … (ici
il y va d’un chiffre selon l’instrument)
leur force et utiliser alors des machines qui
sont le résultat des études de ceux qui sont
animés par la connaissance et l’esprit pour
dresser les plans des différents composants
d’une machine qui sera comme l’apologie de ce
que permet la force / violence de moteurs qui avec
les autres mots qui composent l’instrument sont
l’expression vivante de ce qu’est / contiennent
la/de force brutale d/les matières premières,
comme celle de l’acier nécessaire pour produire
ces instruments qui sont donc bien la preuve et
le résultat de la canalisation des forces
[brutales –
donc dans le bon sens de ce mot]
domestiquées par les forces de l’esprit (l’analyse
de l’ensemble des mécanismes à réaliser pour
arriver à créer l’objet escompté)
qui une fois organisées sont canalisées et
peuvent être mises entre les mains de n’importe
qui n’est pas forcément une personne forte
physiquement, car il s’agit de savoir utiliser
ce nouvel instrument (comme
n’importe lequel des véhicules)
qui fait, dans ce cas, en quelques minutes, le
travail de milliers de personnes. Ce sont les
règles du jeu de
football,
du rugby,
du tennis, mais aussi des autres sports qui
encadrent et canalisent la brutalité/les forces
naturelles des enfants comme des jeunes sportifs
qui vont éprouver des sensations physiques
précises qu’ils aiment souvent à en juger par le
succès de ces sports – si je dis « jeune » ici,
c’est parce qu’une personne « jeune » a depuis
longtemps été considéré par les aArtistes et les
sculpteurs comme étant capables de représenter à
l’âge de l’adolescence le mot de « guerre »,
plus facilement qu’une personne d’expérience,
approchant la cinquantaine, (à
partir de la quarantaine)
qui symbolise, par contre – et il y a ici un
exemple notemment sur la façade côté jardin du
Luxembourg du Sénat - la Paix (en
tout cas la recherche de celle-ci – or voilà le
plus drôle : adolph hitler se faisant
photographier devant cette entrée du palais côté
jardin et donc au-dessous de ces statues et ne
comprenant pas le point de vue de l’auteur de
l’architecture (des
hommes de sciences)
qui l’ont pourtant averti grâce à ces deux
sculptures antagonistes signalant d’avance le
danger que la jeunesse représente, au mauvais
sens de ce mot de
giovinezza ou de
juventus,
puisqu’elle contraint les anciens à frapper ou à
trouver des remèdes pour éviter cette guerre
qu’ils prônent en inexpérimentés puisque la Paix
est vitale/essentielle pour que les commerces
puissent s’épanouir et avec eux la prospérité et
ainsi contenter la jeunesse au bon sens de ce
mot qui peut, dans certains cas, être sagesse –
en effet, des enfants très jeune sont des sages
tandis que des adolescents « jeunes » se
conduiront en fous
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de
ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances,
points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
– donc nécessitant des
interventions pour les mener à plus de raison –
aussi longtemps le mot de « jeune » fut
considéré un synonyme de « sage » mais au
contraire de dérèglement – aussi en général ce
mot de « jeune » est entendu négativement sauf
que ceux qui l’emploie savent qu’il y a des
exceptions – le problème de la généralité c’est
qu’elle met tout le monde dans le même sac et
qu’elle va induire à la contradiction en vertu
de cas particulier dont le risque est de les
ériger en généralités y compris pour contredire)
- ils apparaissent alors, ces joueurs dans leurs
efforts physiques de jeunes hommes (ou
bien de jeune filles ou de jeunes femmes y
jouant) au
point de ne pas déplaire, ce qui permet de les
admirer, ces sportifs qui se sont consacrés à
permettre à leur corps de fournir des efforts
physiques (ce
qui est indispensable pour devenir un bon
travailleur manuel ou appartenir à la main
d’œuvre),
d’autant plus qu’on a eu le plaisir de connaître
le sport en question soi-même et de le suivre à
la télévision, notemment quand celui-ci était
pratiqué par Pelé, au Brésil, qui visiblement
jouait inspiré par l’esprit, de façon très
intelligente, au point de s’illustrer avec son
équipe comme un champion de monde, ce qui n’est
pas le cas de très nombreux autres joueurs, le
titre étant réservé à des joueurs qui sont
spéciaux, insolites – moins communs que les
autres). Car si nous parlons de « légitime »
comme d’« illégitime » à propos de
l’appropriation de ce variateur de la vision
d’Atlantide qui a été hérité à cause de
l’Histoire par des personnes, qui, en raison de
cela, se sont rendues capables d’être invisibles
(et
donc d’espionner à l’insu),
c’est la notion de légal comme celle
d’illégitimité qui a évolué en ce qui concerne
la légitime propriété de cette salle des
machines, à partir du moment où le problème a
commencé, s’est posé (en
effet, cela a commencé en créant
ipso
facto l’illégitime).
Car pour ceux qui en sont exclu ou n’ont pas
voulu s’y rendre depuis toujours cela a signifié
une appropriation [de l’ordre de l’]illégitime,
il est compréhensible que pour les autres qui en
ont hérité elle soit de leur point de vue
légitimement à eux. Mais ici nous raisonnerions
comme il y a 5000 ou 6000 ans si le langage de
cette époque encore archaïque avait pu traduire
cela. La vérité en raison de ces 5000 ou 6000
ans n’est plus de celles-ci préhistoriques qui
proviennent d’« à première vue » qui vont
contenter des personnes se satisfaisant
d’arguments d’ignorants, au mauvais sens de ce
mot. La vérité à ce sujet est devenue plus
complexe que l’à première-vue en question qui
maintenait un statut depuis le début injuste.
Elle est donc plus compliquée (puisqu’il
faut respecter les héritiers ayant été abusés au
point de prendre le goût de s’encanailler plutôt
que le contraire – devenir des honnêtes gens)
et cela a même été une mauvaise affaire pour
ceux qui en ont hérité en se servant d’elle pour
faire des mauvais coups, pour/et en profiter
pour nuire. Ils s’aperçoivent qu’ils ont été
punis en voulant à ce point exclure les autres (s’exclure
de ceux qui ont recherché à suivre les bons
conseils qui découlent des différentes logiques
scolaires liés aux disciplines)
et en voulant continuer à se comporter sans
réelle possibilité d’évolution (mais
au contraire contraints à cause d’elle à
involuer puisqu’à ce point égoïstes à ne songer
qu’à leur intérêt personnel)
et en se retrouvant bloqués dans des états
obtenus, en réalité en trichant vis-à-vis de
ceux qui ne disposent pas de l’instrument en
question. Par conséquent, ce qui était « à
première vue » une bonne affaire est devenu une
très mauvaise affaire pour ceux qui ont voulu
hériter de cet instrument (avec
ce dessein malfaisant de disposer d’une sorte
d’arme dont les autres ne savaient rien, quand
il est probable que cette salle des machines
avait été laissée sur cette planète comme un
lieu en commun – de tous – comme le sont
aujourd’hui encore les Eglises paroissiales ou
les places des mairies ou les bâtiments
administratifs, écoles et universités)
en s’en servant pour trouver les moyens de
fausser compagnie (puisqu’on
appartient à ce groupe disposant de cet
instrument),
d’en faire le moins possible dans les diverses
activités « à première vue » ennuyeuses (car
n’étant pas de celles physiquement ou
sensuellement agréables – donc moins plaisantes
que les plus agréables qui ont donc rassemblé
ces personnes sur ce point, en leur faisant
perdre l’objectivité et/ou le sens des réalités
au profit de cette subjectivité y compris sonore
leur faisant croire à des mensonges sous
prétextes qu’ils sonnent justes – c’est ainsi
que les généralités les plus fausses et
inconcevables ont été crues de ceux qui ne
disposent pas ici du doute salvateur ou de
l’esprit de contradiction qui s’impose – voilà
des personnes à ne pas pas s’imposer
l’anti-thèse d’une affirmation qui ne sera
vraie, par exemple que si un individu
appartenant à l’une de ces catégories s’est mal
comporté – ce qui est vraisemblable ou probable
d’avance pour chacune des catégories puisque
vous trouverez des faussaires pour chacune tant
que la discipline n’a pas réussi à vous faire
devenir vrai – ce qui est la fonction de chacune
des disciplines ou catégories ou métier)
ce qui ne leur a pas permis d’évoluer comme les
autres, qui, par contre, n’ont fait que toujours
évoluer et devenir de véritables savants, à
partir de chacun des nouveaux paramètres vécus
étant donné qu’il consacrent du temps à les
analyser et à s’en servir pour essayer de
trouver la sagesse, mais aussi pour se préparer
à leur mort, tout au long de leur existence, en
cherchant de l’utiliser pour faire du bien pour
permettre aussi à certaines personnes engluées
dans le mensonge, dans les sables mouvants du
mensonge, de s’en sortir victorieux, soignés,
lavés, renouvelés, pour être là, le cas échéant
à leur tour pour aider ceux qui ne peuvent pas
imaginer encore ce que peut-être le monde de la
vérité, (dans ce cas de figure de
La jeunesse ne peut
que très difficilement ne pas croire « à
première vue » ou au « à première entendu » et
c’est pourquoi nous allons y trouver de
nombreuses personnes qui vont, par exemple,
vouloir appartenir à leur « patrie » et qui vont
chacun avoir une idée précise de ce que leur
pays est, en oubliant que c’est la même chose
qui se passe dans chacune des autres régions,
car c’est en raison de cela qu’il va y avoir la
naissance des identités nationales (un
fait qui a toujours été positif car c’est comme
la constitution d’une famille, mais aussi
négatif sur quelques autres plans).
L’âge mûr (de
la sculpture représentant ce père de famille
nommé la Paix) a en ces temps là
plus de chances/probabilités d’avoir été de la
tranche d’âge à avoir eu le luxe de voyager à
l’étranger
(comme les députés et les sénateurs)
et d’avoir compris que ce qui se passe dans la
région où l’on vit (son
pays) se
passe aussi dans chacun des autres pays mais en
étant chacun certains d’appartenir
administrativement grâce à la langue pratiquée à
cette autre région ou centre, donc à un ensemble
culturel donné et donc la personne qui a la
chance de voyager et de pouvoir réfléchir à
partir des particularités régionales découvertes
(ces objets ou œuvres de l’esprit), non pas
seulement pour des raisons vénales vont donc
devenir des valeurs à prendre en compte mais
aussi des paramètres qui vont permettre à la
personne en question de comprendre que le pays a
fait l’effort de montrer et de présenter ces
objets d’art, (la culture à laquelle il
appartient est partagée, proposée à l’ensemble
des « étrangers » ou personnes de passage, qui
vont prendre alors conscience que ces objets
d’arts (et/ou avancées ou progrès dans le monde
de l’aArt local) sont partagés avec l’ensemble
des personnes qui vont respecter ces objets et
en emporter, par exemple des reproductions
photographiques ou même tridimensionnelles,
puisque de nos jours il est possible, grâce aux
imprimantes à 3 dimensions de réaliser des
copies parfaites et pratiquement semblables de
sculptures anciennes conservées à
« l’étranger », en fait simplement conservées
par une/des administrations au service de la
localité (plus ou moins grande) à gérer et dans
laquelle il y a parfois quelques unes de ces
véritables œuvres d’art, qui proviennent d’être
humains accomplis/parachevés en raison de
parcours personnels, grâce au concours de leur
famille, grâce aux efforts financiers d’autres
administrations qui sont chargées chacune sur
des points précis à des niveaux de
responsabilités différentes de gérer la
superficie qui leur a été remise ou de laquelle
ont hérité des personnes qui se sentent alors
concernées plus particulièrement par la mise en
valeur/l’exploitation (au
bon sens de ce mot et non au mauvais)
de ces superficies (qui
sinon seraient à l’abandon, les habitations qui
s’y trouvent tomberaient en ruine),
leur entretien, et la nécessité d’avoir à les
transmettre à la génération suivante (puisque
des investissements de nature différentes,
financiers et canalisant des capacités physiques
ont été faits)
étant donné que cela peut contribuer, si cela
fait l’objet d’une bonne gestion, à ce que des
personnes [perdues] puissent retrouver leur
santé, le chemin de chez eux (le
bon chemin),
en découvrant, effectivement que parfois ces
œuvres d’art restaurées sont bien de celles qui
attestent du génie de l’être humain, de sa
spiritualité retrouvée dans certains cas et dans
certaines régions qui ont axé leur développement
en focalisant celui-ci parfois ou le plus
souvent par l’entremise des religions permettant
à la cité de se considérer comme société
appartenant à une même culture ou à des cultures
et des langues issues de la civilisation
engendrée par cette religion. Voir des objets
d’art (même
seulement ayant des sujets profanes ou à
première vue indéchiffrables ou abstraits),
c’est parfois bon pour commencer à croire
possible qu’on pourra finir par en réaliser
soi-même (en
devenant un façonnier au sens d’homo
faber qui est l’équivalent d’ingénieur).
La guerre ou/et les jeunes c’est le plaisir de
croire appartenir à un mot (un
parti ou une équipe)
dont on ne sait pas tout ce qu’il a pu, comme la
notion même de nation représenter dans
l’ensemble des siècles passés. Comme on a pu
constater qu’effectivement cela représente
beaucoup à l’aune des cours élémentaires des
écoles primaires, on cherche alors
malhonnêtement à croire que ce mot auquel on
appartient, sur plusieurs plans ou niveaux
différents, est plus qu’un autre mot souvent
équivalent en droits et compétences (comme
vont le croire les joueurs de certaines équipes
de football nationales ou régionales)
alors qu’on fait parti, à ce moment là, des
« ignorants » (excluant)
au mauvais sens de ces mots, de personnes
inhospitalières (car
l’hospitalité exigerait, en jouant un
match
contre une personne ou un groupe de personnes
qui viennent de loin qu’on s’arrange à perdre le
match pour que celui-ci garde un bon souvenir de
l’hospitalité reçue lors de son passage, par
exemple par le pays organisant les jeux
olympiques ou bien les championnats du monde
d’un sport quelconque – mais étrangement
l’hospitalité qui pourtant est connue de tous
n’est, à ma connaissance, jamais allée jusque là
– évidemment c’est qu’on dissocie avec justesse
l’hospitalité du motif de celle-ci et comme la
raison est la confrontation pour une victoire à
remporter on ne fait pas intervenir la cohérence
qu’induirait cette hospitalité si celle-ci
devait être à privilégier – aussi bien que cette
notion d’hospitalité est capitale ou
hiérarchiquement celle qui gouverne à l’amitié
entre les peuples, voilà que le sport ou les
jeux pourraient nous faire oublier qu’elle
existe en devenant facteur de division, en
soulignant des antagonismes nationalistes au
mauvais sens de ce mot puisqu’il ne tient
visiblement plus compte de cette notion
d’hospitalité autrement que pour faciliter des
antagonismes sur ce qui n’était que jeux ayant
comme dessein de faciliter les contacts des
jeunes avec les autres peuples – aussi voilà une
partie du stade à prendre partie pour l’équipe
torero
alors que l’autre est celle du taureau
injustement lésé ou diabolisé à tort –
l’hospitalité est alors l’objet d’un sacrilège
et au lieu d’assister au combat de deux taureaux
de la même force sachant qu’ils auront à éviter
de s’encorner, voilà que cela tourne mal : l’une
des équipes voulait mettre à mort l’autre. C’est
ici les limites du sport ou quand ce sport
faillit).
Mais le jeune homme, en raison de la façon de
présenter les différentes matières qu’il a
étudiées à l’école, comme à l’université, en se
spécialisant, est certain d’appartenir à une
nationalité et il oublie (donc
par omission)
ce qu’il doit à l’ensemble des autres
nationalités. C’est ici que celui-ci,
malheureusement, va se conduire d’une façon qui
ne va pas non plus honorer son pays même s’il
croit au contraire qu’il le défend : il est
capable (à
l’occasion de ces matchs, par exemple)
de se comporter avec mal politesse, hostilité,
et cela comme quand il y a un combat de boxe
avec des personnes qui prennent parti contre
d’autres personnes.
Cela est cependant
très préjudiciable comme l’attitude neutre
pourrait aussi le paraître à première vue,
puisque cela peut mener à des conflits que
seules des personnes d’expérience (souvent
âgées)
peuvent calmer, ce qui explique pourquoi d’un
côté nous avons la statue du jeune homme nu (un
ancien habitué des lieux de luttes
gréco-romaines)
avec un casque ancien de soldat, grecque ou
romain, et de l’autre nous avons l’homme
d’âge mûr, nu, lui aussi, mais qui à l’époque de
la construction du palais du Luxembourg (à
moins que ces sculptures aient été ajoutées dans
les époques ultérieures)
était à l’âge des anciens (en
raison de l’espérance de vie à cette époque là)
par conséquent, il y avait bien plus de gens
« jeunes » pour être partants pour/à faire la
guerre que de personnes qui pouvaient atteindre
l’âge de l’homme qui cherche la paix, car sans
elle, établie durablement, sur un territoire
très important (il
s’agit d’un château royal)
le commerce des différentes matières premières
ne pourra pas permettre de forger pour la
génération suivante le casque de guerrier
inspiré peut-être par l’idée du guerrier
spartiate puisqu’il n’est que peu vêtu. Nous
retrouvons cela dans une des miniatures persanes
sur laquelle je me suis étendu par écrit
longtemps ailleurs, ou oralement, dans mes
exercice d’éloquence au cours de mon
auto-psychanalyse mêlée de Nouvelle Donne à
l’échelle mondiale, et qui présente des
personnes âgées plus ou moins, entrain de
négocier la paix, (face
à un texte de Nizâmi,
Panégyrique de Mahomet,
l’ascension du prophète, dans
[20]
Si ce n’est qu’il se pourrait – ce que nous ne
pouvons pas exclure - que ce soient les enfants
qui ont voulu avoir pour parents ces personnes
qui leur servent de parents pour des raisons
qu’ils sont eux-mêmes parents d’enfants les
ayant souhaité ces parents-là et ainsi de suite
(sans doute pour de bonnes raisons).
[21]
(dans cette époque-ci qui est celle des
différentes solutions plus ou moins élégantes
pour éviter d’avoir des enfants grâce à la
contraception : on se doit d’être cohérent et de
comprendre le sens de l’histoire comme ce que
des nouveautés ou paramètres nouveaux offrent
comme conséquences et comme obligations et comme
choix à faire en la matière)
[22]
(soit celui d’Oz que nous sommes contraints de
fonder - nous aspirons à ce que chacun de nous
puissent disposer de la carte d’identité de
citoyen de la planète Terre, avant d’appartenir,
dans cette époque qui aussi est celle du
tourisme et de la découverte des autres régions
du monde, dans le cadre de la mondialisation des
échanges commerciaux qui sont à l’origine, en
temps de paix, de très nombreux métiers
différents qu’on trouve partout dans le monde
entier, ce qui constitue un des véritables
moteurs qui participe des contraintes que nous
avons les uns et les autres. Sans contraintes,
sans résistance à l’ineptie, sans … il n’y a pas
de progrès possible : c’est alors la décadence
et la fin de plusieurs civilisations différentes
qui avaient réussi à créer entre elles,
ensemble, grâce aussi à
[23]
Pour ceux qui n’ont jamais eu accès à la vieille
salle des machines constituer une famille est
une étape très importante dans la vie au point
qu’on comprend qu’ils aient ressenti le besoin
de se marier pour rendre officiel cela dans des
lieux publiques spécialement conçu pour cela et
qu’on a nommé en Occident Église ou temples
d’autant plus de l’histoire sainte. Bien sûr,
j’ai vérifié que pour les profanes cela n’a
aucun intérêt la vie, y compris le mot de
famille puisqu’ils ignorent la vérité et sont
dans l’inconscience. L’acte sexuel cependant
importe et c’est de ces sensations là qu’ils
souhaitent être les esclaves, les enfants
n’ayant pour eux très certainement aucun autre
intérêt que sensuel. Ignorant l’existence de
toutes les autres dimensions (innombrables) de
l’esprit et du spirituel, ils n’accordent pas de
prix à la vie car leur cerveau n’est qu’en
relation qu’avec des sensations et non la
recherche de la vérité. Ils vont croire que la
vérité est sexuelle quand cela n’est qu’en très
faible parti vrai (un pourcentage infime). Aussi
ils ne peuvent comprendre ce que cela peut
signifier d’avoir perdu ses enfants d’autant
plus qu’ils n’aiment pas la vie puisqu’ils ont
été capables d’utiliser les machines pour faire
du tort à des enfants ou à des personnes
différentes d’eux et qui souvent étaient de
celles aimant la vie.
[25]
Ce parcours est passé par Florence Loewy, la
troisième impératrice, dont j’ai fini par
comprendre récemment dans ma lettre au cardinal
Vingt Trois qu’elle avait a retrouver sa place.
[26]
(peut-être même avant ma naissance puisqu’il y a
une toile de Goya qui montre un personnage nu
dans le ciel et qu’il se pourrait que ce soit
moi quand je suis dans la douche du studio où je
vis qui donne sur un miroir (qui
en me réfléchissant est peut-être dans le ciel
d’un passé d’où on me voit dans la région où je
suis), par
conséquent on m’aurait vue en Espagne bien avant
ma naissance et déjà là, dans le ciel, un peu
comme on me voit et on m’entend dans le ciel de
Rome depuis 1975, d’un autre coin du studio, rue
du Val de Grâce ayant, quant à lui, une
baignoire et un peu comme j’ai pris l’habitude
avec ma caméra vidéo
de discerner dans
les nuages du ciel des silhouettes de personnes
faites / constituées de nuages bien réellement présentes qui
semblent savoir être aperçues dans le passé là
où elles se trouvent (il
y a d’autres exemples au point que j’eus à
fonder, ces derniers temps l’Observatoire
[international] de[s] nuages d’Oz,
télé ar[t]chivage de nuages [des ailes de]
Pégase (en réalité les ailes du cheval
Suegno
dans
La momie à mi-mots avec la participation
du Musée Vivant du Cheval de Chantilly) – télé
‘N’ comme « nuages » ou « nuvole » ou TV ‘C’
comme « cloud »
)
[27]
De mon point de vue, indubitablement, en raison
de ce que cette
NNDIM
ou Dictée pharaonique du ciel a permis à cause
du sacrifice qui est en réalité
pluricatégoriques et pluridimentionnel par
conséquent aussi un sacrilège que j’eus
m’infliger à moi-même, comme si j’avais atteint
un sommet invisible auquel étaient reliées
toutes les pyramides (des éEtats) s’étant
rejointes dans le temps et que je devais être à
la fois le prêtre et le supplicié et en même
temps que le bienfaiteur (et en bénéficier
moi-même) une liste impressionnante d’autres
mots tous véritables et différents (bref prendre
conscience de la multiplicité de l’être humain
dans ces possibilités altruistes – en fait
renouer avec la religion, mise entre parenthèses
durant toutes les années où je fus requis à
devoir démontrer comment on redevient profane,
alors qu’on en avait bénéficié et en fait
vérifier de l’utilité des sacrements pour
retrouver la cohérence d’une personne pourvue de
nouveau de logique à cause de cela au point de
vérifier, par ces preuves que j’avais de la
vérité terminologique à employer et ce que cela
entretient avec la notion de sacrifice en
relation avec ces conséquences pour tous les
autres mots – comme si pour fonder une
civilisation ou la société des êtres humains
commençant à se servir mutuellement ou même
avoir accès à la parole un sacrifice personnel
avait été nécessaire toujours comme préalable –
en coïncidant à chaque fois avec la fin de
l’adolescence, le refus de s’abandonner aux
facilités de l’enfant-gâté pour anéantir
l’égoïste en soi et l’accès à des dimensions
plus vastes puisqu’enfin les mots signifient des
réalités scientifiques et ce qui en découle – en
un mot l’accès à la conscience, ce qui ne permet
plus de se conduire comme avant et surtout cela
permet en effet de comprendre tout ce qui fut
élaboré en conscience ce que j’ai vérifié on ne
comprend pas sinon ni même on arrive à imaginer
comment ces objets ou les techniques à employer
pour les réussir – aussi on est avant ce
moment-là dans le monde du faussaire ou de celui
qui fait semblant et à partir de ce moment-là
dans le monde de la vérité – d’où l’aspect sacré
et forcément la compréhension de la notion de
Dieu par rapport à une situation antécédente
sans Dieu – mais le mot est peut-être maladroit
car il est celui que tous utilisent pour parler
d’une notion floue ou alors convenue. Peut-être
vaut-il mieux employer un mot qui ne veut rien
dire comme tout dire en français :
schtroumpf – effectivement pour celui qui
n’a jamais étudié aucune langue vivante en
France ce mot est un mystère et ne signifie rien,
bien qu’on comprenne qu’il permet de tout dire à
des personnes qui se comprennent donc entre
elles
à mi-mots ou comme de bien entendu ou en
raison de ce qui est évident entre elles et qui
est pour les croyants d’avoir compris que leur
vie servait à un projet infiniment vaste
s’incluant dans l’espace et le temps n’admettant
pas l’injustice et la méchanceté puisqu’il n’y a
effectivement que solutions élégantes et mieux :
la vision d’Atlantide et/ou d’Ôz
qui atteste qu’il n’y avait que
bonté / beauté / bien – soit ce qui s’est traduit
par une de mes innovations enfant par le bureau
pour baignoire (le bb) en attendant qu’elle se
révèle de nouveau : en effet, j’avais pensé
qu’elle pourrait procurer des CFP à la main
d’œuvre qui participerait à sa réalisation –
aussi cela signifie que les solutions élégantes
trouvées sont dans le registre du beau, du bien
et du bon comme le variateur lui-même de la
vision d’Oz
ou comme la Création et qu’on a bien fait
d’appeler les nouveaux-nés des bébés puisque
c’est encore enfant (mais adulte parachevé un en
Osiris bien qu’Horus) que j’eus l’idée du bureau
pour baignoire pour créer des emplois – mais
bien sur il fallait en créer un qui soit
ingénieux et c’est ici que j’ai eu à vérifier
combien le profane ou le dégradé ne trouvera
jamais la solution élégante et combien de
quantité d’années de peines et de progrès
personnels dans de nombreuses disciplines sont
nécessaires avant d’avoir l’idée pour le premier
prototype – enfin il faudra encore des millions
d’autres progrès pour celui qui est le premier
dont on sera sûr qu’il puisse convenir à chacun.
En fait, c’est comme pour le scénario des grands
films d’art ou les œuvres de théâtre classique
ou les textes fondateurs, il faut rejoindre
l’au-delà ou rejoindre l’état d’esprit qui très
certainement a permis de réaliser le variateur
de la vision d’Ôz lui-même – c’est alors qu’on
découvre qu’il n’a jamais été réalisé pour faire
une mauvaise blague comme n’importe lequel des
objet ou instrument utiles – et c’est cela qui
permet de déterminer sans erreur qu’il a été
hérité par des mains inadéquates ou celles de
sacrilèges par rapport au génie de l’instrument
lui-même – d’où qu’en m’en rendant compte j’ai
accepté de faire les démonstrations pour qu’on
se rende compte des paramètres qui vont mener à
cette involution au lieu du contraire au point
d’être sacrilège ou d’être capable d’utiliser
l’instrument n’importe comment, c'est-à-dire
comme seul une personne privée de conscience,
donc de savoirs-faire l’utilisera – c'est-à-dire
en réalité privé des sciences qui ont permis de
l’élaborer dans une optique de consolation ou de
médecine puisque la beauté depuis toujours
soigne – c’est la raison pour laquelle en m’en
rendant compte comme à cause de cette NNDIM de
la civilisation de la mondialisation des
échanges commerciaux j’eus à choisir mon nom de
pharaon principalement autour de la notion de
« commerce », « d’arts » et de « médecine »
d’autant qu’à plusieurs reprises j’avais pu
soigner la situation générale grâce à ce que
représentent ces mots de positif).
[28]
Cela aurait été possible si la chronologie
n’avait pas joué en défaveur de M. F. au point
de révéler qu’il y avait eu un sacrifice qui
l’avait rendu responsable de la mort de mes
enfants attendus d’avec C. L. .
[29]
Or une histoire sentimentale entre deux
personnes implique une dose d’égoïsme (en
général ici dans le sens positif de ce mot).
Il y a donc à distinguer l’égoïsme néfaste de
celui plus positif dans la mesure où il apparaît
comme normal, légitime d’attendre des enfants (donc
de constituer un centre – dans le mot d’égoïsme
il y a un «o» qui n’est pas seulement néfaste
puisqu’il peut être vu comme un anneau – il
signale qu’il y une notion centrale qu’on ne
peut pas éviter d’affronter un jour ou l’autre
soit pour en sortir vainqueur soit au contraire
pour en être toujours la victime malheureuse, le
prisonnier – ce cercle est en relation avec
l’être féminin duquel naisse des enfants mais
aussi avec la cage d’ascenseur qui ronde va
permettre soit de monter soit de descendre –
aussi le danger pour la civilisation sera quand
l’être féminin devient un égoïste, au mauvais
sens de ce mot et non au bon qui est le droit de
la femme de se défendre contre tous les égoïstes
pour assurer la survie de sa race (son
patrimoine génétique, en réalité les ancêtres
dont elle peut à bon droit être fier)
par exemple si elle dispose de CFP en
raison/issus de travaux dont elle est elle-même
capable – elle ne les a accompli que pour
permettre à elle-même et ses enfants de survivre
(voir une famille ou un mari) – la femme est
alors généreuse et non une égoïste – c’est une
église et elle est la porte du Paradis – tandis
que si elle n’a obtenu que des cff, cfm, cfu, cfs,
ou cfcch elle n’a pas voulu penser à l’intérêt à
long terme de ses enfants et comme Fantine est
contrainte ensuite de mettre sa fille en pension
chez les abominables Thénardier et vivre comme
rackettée – elle s’était donc conduite en
égoïste et par conséquent sa fille ou son fils
en sera affecté et malheureux – le génie de
Victor Hugo s’est de s’en être rendu compte
comme Jean Valjean et de vouloir sauver la jeune
fille méprisée ou qui part handicapée dans la
vie comme Cendrillon ou la jeune fille aimée par
la Bête dans le conte de Cocteau).
Or il ne vient pas à la tête d’un enfant de se
croire illégitime. Par conséquent c’est une
mauvaise appréciation de ce qui est légitime de
ce qui ne l’est pas qui est en cause ou à
l’origine. Pourtant une promise légitime est
bien celle qui est officiellement prévue par le
GAU (cette
notion étant par exemple déjà les descendants
dans vingt ou trente siècles ou plus encore ou
alors moins que cela)
pour résoudre la situation après la Seconde
Guerre mondiale. Le légitime est donc ce qui
est/était su officiellement. Ce qui est n’est
pas à l’insu. (c’est
en cela que ceux qui ne savent rien de
l’existence de la salle des machines sont en
légitime défense par rapport à ceux qui en
savent les maniements et donc ceux qui n’y ont
pas accès avec de fortes probabilités d’être
depuis toujours plus dans le vrai que ceux qui
détiennent l’héritage de l’instrument. En
réalité c’est comme un enfant né dans un village
amazonien à mille lieues de Brasilia qui n’est
pas au courant de l’existence de la civilisation
ou des sciences – même s’il est un ignorant, un
sauvage, il est certainement plus encore à
respecter qu’un savant qui se moquerait de lui
ou qui se croirait supérieur parce qu’il a
compris, par exemple la loi de la Quantité et de
la Rareté alors que pas encore cette personne
–
ce qui signifie que l’ignorant, au bons sens de
ce mot (et non au mauvais) a des droits
intrinsèques ontologiques consubstantiels – donc
qu’il n’y a en réalité aucune supériorité de
laquelle il faut plastronner/se venter ou même
se sentir fier, si ce n’est de penser juste, ce
qui est donné à l’ignorant, au bon sens de ce
mot – le véritable savant est donc un ignorant
au bons sens de ce mot, soit ce qu’avait compris
François Truffaut à l’occasion de sa
démonstration sur/de
L’Enfant
Sauvage ce qui signifie que le faune, le
satyre et le centaure sont pressentis pour se
délivrer de l’égoïsme dont ils sont les victimes
au mauvais sens de ce mot – ce sont donc tous
les travaux que les dieux imposent qui doivent
permettre cette métamorphose ce qui est advenu
pour quantité de personnes au cours des
différentes Nouvelle Donnes – en effet, ces
travaux sont si difficiles que finalement
chacune des personnes ne devient plus que
généreuse – elles ont alors retrouvé l’esprit de
Vérité qui est ignorance, au bon sens de ce mot
– cette légitime défense concerne l’enfant qui
dispose seulement d’un crayon quand les plus
âgées disposent d’un stylo – il sait
naturellement que quand il aura l’âge de ceux
qui ont le droit de recevoir un stylo, il sera
capable de faire des merveilles – l’instrument
qui est obtenu pour écraser l’autre est à
supprimer de sa vie car il entretiendra
l’égoïsme au mauvais sens de ce mot ou dans
l’idée d’être supérieur car on dispose d’un
meilleur instrument que celui qui n’a pas cette
chance – d’où le très grave problème que posent
les outils en tant qu’aide ou solutions
élégantes en elles-mêmes – il arrivera qu’une
personne ayant tous les moyens préfère pourtant
pour couper un arbre le couper à l’ancienne (avec
une simple scie manuelle)
plutôt que d’un coup de tronçonneuse – de même
une personne se refusera d’utiliser un
instrument facilitant le travail car il ne veut
pas faire de mise à jour ou se mettre à la page
de son époque – aussi le voilà victime de son
ignorance, ici (soit
à ce moment)
au mauvais sens de ce mot, comme un enfant qui
ne veut pas essayer d’écrire au stylo car il
sait être arrivé à la quasi perfection au crayon
de papier. Mais voilà qu’on lui propose beaucoup
mieux car on l’en a jugé digne, mais cela
signifie un nouvel apprentissage, donc une
tristesse car de nouveau il doit débuter à zéro
pour devenir maître d’une nouvelle technique –
ici les maîtres d’Ecole doivent être attentif à
ce moment charnière qui est en général craint
par l’enfant, traumatisant ou alors au contraire
euphorisant comme si on recevait la plus
importante distinction ou le grade de commandeur
ou en tout cas la légion d’honneur – en réalité
ce n’est rien de tout ça, c’est pour lui éviter
de perdre du temps à tailler les crayons :
encore une solution élégante !)
Donc avec le légitime (pendant
longtemps)
ce qui est connu ou dit ou inscrit (en
atteste les admirables inscriptions sur les
obélisques ou ailleurs – cela est donc relié
avec la notion de « sacré » : pas d’écriture
pendant des millénaires et soudain l’écriture :
plus qu’un miracle : une interrogation –
pourquoi un tel cadeau ? D’où cette idée que
cela vienne de Dieu – comme une sécurité qui
aurait été donné à l’être humain en cas de
problème – c’est ici ce qui fonde durablement la
résolution de tous les différends grâce aux
échanges de courriers et l’instruction de
dossier plutôt que de céder à vilenie et se
faire justice soi-même brutalement).
Mais il s’agit d’un niveau de légitime qui peut
être contestable par les intéressés qui ont le
droit de refuser ce qui est écrit pour des
raisons qu’ils considèrent légitime des
personnes qu’elles préfèrent à celles imposées
par une sorte de somme ou résultat d’une
machine, comme ce que j’ai dû paraître en ayant
à tenir compte de tous les paramètres entre 1965
et 2005 pour sauver cette planète. Quand une
machine donne un résultat ou même délivre une
boisson vous êtes libre de ne pas la prendre ni
la boire bien que vous ayez mis des monnaies
pour qu’elle la délivre. De même qu’une machine
qui délivre des billets de banques (vous
pouvez les y laisser)
– de toute façon ici ce qui importera sur le
plan psychanalytique c’est la raison pour
laquelle vous l’avez fait – c’est ici ce qui est
positif, donc pas seulement négatif et il est à
parier que cela était prévu dans un processus de
guérison ou alors que c’est ce qui aurait à vous
rendre malade (que
s’est-il passé ensuite ? regrettez-vous ces
billets ? etc.
–
ici la question comme les réponses peuvent
dévoiler que le psychanalyste n’est que pourvu
de CFP et qu’il se rendra compte que le patient
n’a que des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch – d’où alors la
difficulté de la guérison).
Aussi c’est la manière et les objectifs que vous
poursuivez qui comptent et moins l’acte qui à
première vue signifie une ânerie : vous avez
perdu des CFP car aucune personne scensée ne
peut croire qu’il s’agissait de cff, cfu, cfs ou
cfm puisqu’il n’a eu accès qu’à des scéphpés (CFP
- peut-être
s’agira-t-il d’un psy qui ne dispose que de cfu,
cff, cfs et cfm).
D’où le problème qui est loin d’être résolu pour
le patient qui est en réalité entrain de soigner
l’un et l’autre psy : ils avaient besoin de CFP
pour être utile à la profession qu’ils
prétendent exercer ou maîtriser dans un des cas
légitimement et dans l’autre, en usurpateur,
pour vous mener à la corruption et à la
déchéance.
[30]
(grâce à l’intervention de Dieu, dont Dieu
lui-même, comme le grand Architecte de l’Univers
ont pu s’assurer que je ne savais d’aucune façon
que celui-ci apparaîtrait en 2005 un peu après
m’être installé dans le studio)
[31]
Je cite ici Claude Vigée.
[32]
Puisqu’apparemment il était intervenu en raison
de ce que m’étais accusé d’être indigne et donc
de ne pouvoir prétendre jamais épouser M. F. (à
cause soudain que j’avais compris que mes péchés
que je ne savais pas encore avoir été la seule
façon de sauver la planète Terre m’étaient
apparues comme un obstacle pour avoir le droit à
la paternité et surtout soudain, avant d’avoir à découvrir toute à fait le contraire, que la dame
de Strasbourg était la comme la Vierge Marie – en
effet, je comprenais soudain l’horreur d’avoir
été profane – mais au fil des jours qui
suivirent la situation m’amena à comprendre que
c’était un cas particulier canoniquement
extrêmement intéressant mais d’une complexité
pharaonique ou colossale qui me permettait
cependant de vérifier que la Création est à la
fois totalement ratée, mais aussi réussie, bien
que sur les plans ratés cela soit très grave
puisque cela oublie de tenir compte des
principes ou des causes et donc que les
conséquences se mettent mathématiquement en
marche sans tenir compte du cas particulier (donc
comme la loi des éboulements ou des avalanches)
– d’où le sentiment que chacun s’est fait avoir,
ce qui n’est pas faux de le penser et par
conséquent d’un légitime rejet ou sentiment
d’injustice).
[33]
Donc des parmètres qui sont liés aux sciences
étudiées ou écrites ou à des logiques. C’est
donc en cela que l’ignorant ou la personne non
instruite, non scolarisée sera défavorisée.
[34]
Ce mot signifie qu’on s’est soumis aux Bonnes
Pratiques commerciales, etc.
[35]
de l’immensisime Charles Laughton (qui a
certainement ici fait un des plus merveilleux
films qui soit car cela a à voir aussi avec la
psychanalyse)
[36]
(pour les profanes et les laïcs qui s’appuient
sur ces points précis – de ce qui est gênant -
pour ne pas vouloir ni pouvoir croire – au sens
des croyances religieuses - et qui croient alors
être dans la vérité, en ne croyant pas, en étant
athées ou bien laïcs ou profanes, parce qu’il y
a effectivement de nombreux détails à contester
« à première entendu » à certains moments, qui
paraissent des mensonges, voire pour les esprits
animés de l’esprit de contradiction des
inepties)
[37]
Et tandis qu’ils ont beaucoup mieux compris que
peut-être celui qui fait l’homélie, il y a tous
ceux qui font semblant ou ne comprennent rien
autour d’eux comme parfois leurs parents ou leur
frère et sœur – d’où que c’est comme si dans une
classe il y avait celui qui dans une des
disciplines peut passer dans le niveau
suivant/supérieur mais les autres ne le pouvant
pas (c’est
ici l’origine même du contrôle des connaissances
et de la nécessité pour l’enseignant ou celui
qui fait l’homélie, car il est dépositaire des
explications ou des rapports à partir
d’explications à entretenir avec d’autres
disciplines, d’examiner et de découvrir (assez
souvent) dans les écrits que l’élève a parfois
encore mieux compris que lui, ce qui réjouira
l’enseignant au point de le rendre admiratif et
parfois de faire état publiquement aux autres
écoliers de cette lumière).
Evidemment ici ce qui se passe n’est souvent
même jamais su nulle part mais cela signifie
pour tous les enseignants depuis toujours qu’il
n’y a pas un seul des écoliers qui soit le même
qu’un autre (sauf
évidemment tous ceux qui font semblant ou qui
trichent qui se ressemblent tous)
comme il y aura aussi la solution élégante de ne
jamais en faire état (pour
des raisons diverses dont la prudence ou éviter
à l’écolier de se faire détester par tous ceux
qui trichent).
Mais nous avons un esprit scientifique qui vient
d’apparaître par conséquent un véritable
chrétien duquel dans le futur toutes les
véritables richesses en ce monde découleront.
[38]
Il est évident que des personnes à qui on aura
dit du mal d’une catégorie de gens seront dans
la méfiance, voire ne voudront jamais que ces
personnes deviennent leurs amis. Elles sont ici
victime d’une généralisation au sujet
d’individus qui étaient chacun différent et
seulement le mot ou la catégorie en question aux
heures où elles s’y consacrent ce qui signifie
qu’elles sont autres aux autres heures – donc
semblables à n’importe qui risquant d’être
hostile ou méfiant s’il entend du mal d’une
personne ou d’un groupe de personne. C’est ici
le danger de la parole ou de l’écriture ou des
textes non lus de bout en bout, c'est-à-dire
seulement critiqués et contestés sur le point
litigieux ou qui va causer problème. Tout ce qui
était bon est oublié au profit de ce qui ne va
toujours pas. De plus ce qui ne va pas, une fois
connu risque un autre danger : de devenir un
préjugé ou une généralisation alors que ce
n’était que circonstanciel. On comprend que des
personnes aient choisi le silence et renoncé à
expliquer, puisque l’esprit de dérision,
d’incrédulité et de mauvaise foi est si fort
qu’il trouve toujours d’autres arguments pour
contester ou se moquer ou dire du mal.
[39]
En effet chacun des protagonistes est situé à
une distance bien précise des autres et chacun
se trouve à des déplacements particuliers. Les
lieux appelés « lits » ne sont pas seulement par
hasard des chambres nuptiales ou des lieux où
des personnes peuvent sensuellement être
contentées. Evidemment ces lieux sont en grande
quantité partout au point qu’ils ne revêtent
qu’un intérêt médiocre puisqu’il y a tous les
autres lieux où les échanges de divers nature
ont lieu. Pourtant, ce qui advient c’est qu’il y
a des déplacements pour rejoindre ces lieux au
point parfois que des époux éloignés en raison
de ce que le mari travaille aux Etats-Unis et la
femme en France font de nombreux kilomètres pour
y dormir ensemble. C’est bien la preuve qu’on ne
peut pas séparer des personnes qui s’aiment au
point de se donner des difficultés pareilles
pour se retrouver. Mais cela peut se produire
aussi entre personnes non mariées : on aura la
ville à traverser pour rejoindre cette personne.
On comprendra ici d’avance dans un film
d’anticipation qu’une personne qui a été enlevée
par une soucoupe volante dans une époque
ancienne et qui vit dans l’an 3553 après
Jésus-Christ soit malheureuse sans sa famille et
ses amis. En effet, tout y est d’avance
différent là-bas. C’est ce qu’on pourra aisément
comprendre de cette notion d’après la mort – un
lieu qu’on rejoint où tout est différent de
celui qu’on a quitté. C’est peut-être dans trois
cent années comme dans cinquante ou des
milliers, mais c’est alors un lieu où tout est à
recommencer à zéro car très certainement il y a
des imposteurs, des usurpateurs, des tricheurs
et/mais quelques personnes admirables ayant
laissé des preuves que la Vérité a été connue et
que le projet est toujours le même – il y aura
aussi des croyances dont les gens ont hérité et
qui sont peut-être ou sûrement incomprises, il y
a aussi toutes les solutions élégantes qui
manquent et c’est pourquoi il n’y aura de refuge
que dans la réalisation d’œuvres d’art, car il
n’y a que l’aArt qui fasse l’unanimité,
au-dessus des religions en raison qu’il y a avec
son aspect sensuel la beauté la bonté et le bien
qui ont été à son origine. En fait comme la
vision d’Atlantide qui en ayant disparu a fait
de ceux qui ont hérité de la culpabilité de ce
fait (ou
de l’accès au variateur)
des méchants, soit forcément puisque la Création
est bonne sur tant de points, des
contre-productifs ou des personnes hostiles à
leurs ontologiques intérêts donc de devenus
totalement faux sans plus même s’en rendre
compte. Pour cela ils se sont abandonné à
l’irresponsabilité qu’ils n’ont pu obtenir qu’en
raison de la sécurité des cff, cfu, cfm, cfs ou
cfcch
au lieu de comprendre en quoi l’acquisition de
CFP (donc des véritables sommes de financements
méritées) pouvait faire d’eux des personnes
conscientes ou capables de comprendre tous les
mécanismes économiques liés aux économies de
marché. Les voilà donc à dépenser ou à acheter
sans avoir en rien mérité aucune des choses
acquises. Ils sont donc comme des morts à la
compréhension des nécessités pour que la vie
perdure. En effet, assurés de tant de crédits
financiers, ils n’ont que projets d’amusement,
insouciance ou même de s’abandonner à
l’inconscience. Aussi ils vont appartenir aux
chiffres qui d’avance sont sur ce point à
concerner tout le monde, les gens qui
comprennent comme ceux qui ne comprennent que
peu : des consommateurs (mais
faussaires dans leur cas – sauf aux moments où
ils comprennent et méritent alors déjà plus ce
qu’ils consomment).
[40]
Evidemment ils n’en sont pas du tout et ne
savent que par ouïe dire ce que cela peut être.
Ils en sont la caricature, sauf ce qui le
seraient ou chercheraient à le devenir vraiment
(ce
qui signifie devoir se débarrasser du faune, du
satyre et du centaure : un si long travail qui
impliquera de n’accepter que des revenus
proprement établis et de refuser tous les faux
ou nocifs pour la santé de l’esprit – en sachant
que celui qui pensera à vous rémunérer des très
véritables est en train de perdre du temps et
des revenus pour vous amener à devenir méritant
ou vous soigner – c’est en cela que chacun des
états qui se sont pourvus d’une monnaie avait ce
dessein admirable qui a contraint ceux qui ont
dépensé ces monnaies ou ces billets à devoir
défendre par les armes le Trésor, puisqu’il peut
offrir un crédit à des personnes devenues
compétentes, donc un pouvoir d’achat mérité).
[41]
Ce que j’avais déjà fait entre ma naissance et
1965 comme entre 1965 et 1975, mais personne
n’en savait rien et c’était trop compliqué à
expliquer (j’avais
douze ans et de plus j’avais la Dictée
Pharaonique à prendre en notes qui ne me
permettait pas de trouver du temps pour tout ce
qui, en réalité avait ma préférence : la pensée
exacte – en effet chaque jours après les heures
d’inscription j’étais exténué (écrire
à la main c’est fatiguant – cela peut paraître
un travail « manuel », mais cela est considéré
plus justement un travail d’intellectuel – c’est
ce qui permet de différencier la main d’œuvre
des personnes ayant à la gérer)
– aussi mes découvertes devaient demeurer mise
de côté dans mon cerveau et c’est pourquoi j’ai
vraiment beaucoup redouté l’amnésie que j’aurais
à devoir m’infliger : en effet, j’allais devoir
perdre pour / durant les démonstrations à venir
(que tous m’imposaient en me contraignant à
perdre mes enfants et à me séparer de ma
promise) les milliards et plus encore de bibliothèque de savoirs et de connaissances exactes au
moins aussi grandes chacune que celle de la
Bibliothèque F. M. toutes remplies de disque
durs de très grande capacité, ce que je fis
cependant construire dans l’optique de faire
comprendre un jour ce qu’est le cerveau de
n’importe lequel des enfants à/dès la naissance.
Enfant qui n’est pas particulièrement à une
catégorie plutôt qu’à une autre, mais dont ces
abrutis, parce qu’ils ont cru qu’ils
appartenaient à une de ces catégories (ce
qui n’est pas même concevable pour les parents
qui l’affirmeront puisqu’ils appartiennent à
toutes ou en tout cas à celles qui permettront
de sauvegarder ce qu’il y a d’humain au bon sens
de ce mot – c'est-à-dire se refusant à involuer
ou à régresser à des comportements de misérable
ou de thénardiers raquetteurs)
qui défilent en ces ignorants de toujours (au
mauvais sens de ce mot)
qu’ils étaient/sont devenus puisque des mots ils
n’en voyaient plus rien que du faux ou comme
chacun d’eux fermés à l’ouverture de l’esprit (leur
esprit, à cause de la situation général, s’étant
refermé, comme un escargot qui ne voudrait
jamais plus sortir de sa coquille ou une tortue
barricadée à l’intérieur d’elle-même, donc
prisonnière d’elle-même et ne comprenant pas
qu’il y a bien qu’à sa vitesse de vastes
territoires à explorer qui se mueront en
souvenirs ou en référents, donc en connaissances
et en savoir : de « substantifiques sèves »)
ou alors sans les relations invisibles qu’il
entretien avec tous les autres ou toutes les
autres expressions par conséquent en proposant
des résultats dans chacun des cas et cru pouvoir
se moquer ou espionner ou persécuter ou
contraindre à faire du sport, alors que
seulement des têtes pensantes et uniquement des
créateurs géniaux à chacune des fractions de
seconde (établissement comme en musique des
savantes constructions), comme chacun de ces
ingénieurs déportés en camp de concentration
par, au contraire, des personnes qui n’auraient
pu tout au plus être que de la main d’œuvre en
raison de ce qu’elles sont devenues aussi
faussaire et aussi nulles à cause de ce qu’elles
n’ont plus qu’ineptie entre elles devenues
semblables au lieu de chacune totalement ce
qu’elle était différente et cela dans les pseudo
et soi-disant échanges intellectuels entre eux (risibles
et prétextes à tromperies de leurs étudiants –
donc d’eux-mêmes car de faux maîtres ou de faux
pères ou de fausses mères)
– soit uniquement et seulement des devenus
ignorants, au mauvais sens de ce mot ou des
prétentieux, ne comprenant pas ce qu’est même un
point posé par à l’inverse d’eux des individus
conscients par exemple en géométrie sur un plan
ou même seulement comme cela : – ce que cela
signifie comme exigence de visualisation et
comme clarté d’esprit (que
la raison de deux au lieu d’un)
puisque c’est comme créer quand ils vont
concourir à créer des représentations
signifiantes des images de synthèse à
l’intérieur de sa tête et devoir trouver un
moyen de les traduire exactement à l’extérieur
ou seulement approximativement – donc de sortir
ces points ou ces lignes d’un lieu (la tête)
capable de concevoir et de créer des signes qui
se référeront à ce qui est parfois aussi
complexe que toute une automobile ou une fusée
dans les détails techniques et technologiques –
à croire que ces sombres individus quand ils
lisent une phrase ne sont plus capables
d’imaginer de quelle automobile de quelle fusée
visualisée par l’écrivain avec l’ensemble des
détails il se référait – le voilà comme Jules
Verne à devoir faire des efforts pédagogiques
extrêmement complexes pour grâce à des
descriptions réussir à permettre la transmission
de cette visualisation qui s’était produite en
lui au lecteur – preuve est qu’il s’agit avec
l’écriture d’une émission et que le lecteur est
un récepteur qui possède un décodeur qui n’a pu
se constituer que grâce aux années de scolarité
judicieusement et scrupuleusement suivies –
aussi on pourrait aller jusqu’à dire que
l’Ecole/l’Université (etc.) permet de mettre en
fonction un décodeur qui préexistait et qui
s’adapte à chacune des langues – parfois ce
décodeur n’existait plus localement (ou même
personne ne savait qu’il existait) ou ne
fonctionnait plus au point que plus rien n’est
compréhensible – l’école ou les travaux manuels
vont permettre à cause des efforts de faire
fonctionner de nouveau ce décodeur (qui
était hors circuit)
qui permet alors l’analyse sur d’autres niveaux
de lecture jusqu’à comprendre le sens du point
en tant que possible représentation d’une étoile
dans le ciel reportée sur du papier ou comme sur
certaines mappe-monde spécialisées des époques
de la Renaissance (conservées
au Palais des Rohan à Strasbourg, par exemple)
– il y a donc eu report et il y a notion de plan
– ce qui est inscrit signifie réellement une
vérité cosmique : on retrouvera effectivement
l’étoile dans le ciel à cette place (c’est une
observation) – en réalité l’expression « cette
place » est un raccourci pour signifier qu’elle
y est inscrite comme en miroir de la réalité
reportée sur le plan – la place est donc à la
fois dans le ciel, le sujet de la représentation
et dans la représentation qui est la vérité
relative ou le référant souvent plus accessible
que la réalité : en effet, parfois il s’agit de
configurations stellaires qui sont dans l’autre
hémisphère. En sortant de chez soi en France, on
n’aura pas ce spectacle dans le ciel mais un
autre. Aussi on peut imaginer ou le reconstituer
à partir de relevés – l’écriture, comme le
dessin n’existaient donc, comme la musique que
pour faire part de la vérité – ceux qui
utilisent ces moyens pour tricher comme d’autres
instruments sont donc hors-les-lois cosmiques
universelles)
d’autant que cela avait été une vérification
cosmique et universelle sans un électron
d’erreur au sujet de cette vérité relative mais
qui est aussi véritable autrement : en absolu,
dès qu’on tient compte de la vérité relative.
[42]
Mais le faussaire prétendra que c’est grâce à
lui qui a été client et qui a payé. En vérité,
il dérobait au moins deux fois la personne à qui
il a laissé la somme de fausse monnaie et une
autre fois la personne pour qui l’objet était
destiné et qui devait l’apprécier à sa juste
valeur comme constater qu’il avait reçu beaucoup
plus que ce qu’il a dépensé. En effet, s’il est
honnête, il comprendra qu’il n’aurait jamais
réussi à proposer l’objet, sommes toutes, à ce
prix (ne
serait-ce qu’une bouteille de Coca-Cola).
Aussi ce n’est qu’en raison de sciences exactes
qu’un tel miracle est possible. Bien sûr, elles
bénéficient des millénaires d’expériences durant
lesquels les gens se sont habitués à commercer
aussi intelligemment car l’objectif était de
rendre honnêtes des personnes malhonnêtes ou que
chacune parviennent, en aidant, à comprendre les
lois et les sciences véritables. Evidemment, les
prix auraient été bien plus bas ou même nuls,
s’il n’y avait pas eu ceux qui ont voulu révéler
qu’ils étaient des malhonnêtes et des tricheurs
chacun nominativement (avec
leur famille)
à la Communauté Internationale et aux
générations futures.
[45]
(je conseille ici d’aller voir les différentes
définitions concernant le mot de « race »
d’autant plus qu’il y a celle qui est l’origine
du racisme, car les personnes qui y croiront,
sans connaître les différents sens du mot de
« race » vont donc oublier de comprendre que
chacun d’entre eux est représentatif de l’une
des premières définitions du mot de « race »,
inscrite ci-dessus, donc oublie que chacun de
nous, appartenant à une famille différente, est
en lui-même une race différente. S’ils avaient
compris cela ils auraient compris qu’ils étaient
obligé de respecter chacune des autres familles
comme la leur)
[46]
donc des « voleurs » à
[47]
Or pour avoir n’importe quelle race il a fallu
au départ un mélange, un métissage.
[48]
Gustave Aimard, dans les Trappeurs de l’Arkansas
(1858)
[49]
Ici cela pose un problème financier, car ces
enfants travaillent dans l’Intérêt Général et
donc mériteraient des rétributions particulières
qui devraient assurer leur autonomie ou
indépendance. En effet, se sont des enfants qui
en cinq minutes ont compris la logique de
chacune des choses, comme par exemple la
cuisine, ou d’autres mots. Ils sont déjà des
enseignants (par
exemple pour leurs frères et sœur).
[50]
En effet, cela exigera au préalable d’avoir
acquis cette conscience pour le déterminer,
comme quand en faisant une route on comprend
qu’il vaudrait mieux mettre un panneau pour
avertir d’un virage cent cinquante mètres avant,
ce qui est finalement une sorte de règle
puisqu’on en a généralisé la solution élégante,
quand cette idée est venue à un endroit précis
au sein d’une famille précise qui a compris
l’intérêt pour l’Ensemble de bénéficier de ce
qui n’avait surgi qu’à l’occasion d’un danger.
Aussi la censure n’est que dans l’intérêt de
prévenir d’un danger parce qu’on appartient à
ceux qui conscients, savent d’avance le danger
que sinon les autres risqueraient de vivre.
C’est donc un acte généreux ou de précaution et
qui a requis des investissements ou l’idée du
cas particulier qui pourrait être néfaste. D’où
que cela se situe dans l’univers des lois
retrouvées et donc de ce qu’on appelle le
canonique ou ce qu’il convient de s’interdire.
Evidemment cela va créer des certitudes qui sont
peut-être dangereuses puisque la transgression
est en elle-même possible. Mais retirez tous les
panneaux avertissant d’un virage et vous verrez
que les statistiques des accidents augmentent en
proportion. Pourtant vous pourrez affirmer sans
mentir dans une ou l’autre situation que le
panneau ne sert à rien et même entendre que
c’était une dépense inutile. Cela est donc ici
sur un autre plan qui pourrait être subjectif
s’il n’était pas objectif dans le cas où
effectivement le virage se voit d’avance à des
kilomètres ou même dès cinq cent mètres. Mais
aviez-vous pensé au paramètre de la route avec
du brouillard épais ? C’est donc le paramètre en
moins ou dont on est dans l’ignorance qui
modifie le comportement d’une personne qui va
donc être dans l’erreur pour toutes celles qui
l’ont en mémoire. Et si une personne ignore le
contenu de ce que représentent les religions
comme avancées pour ne retenir que les moments
qui ne sont pas à leur honneur, le voilà
tricheur et l’ennemi des conservateurs de
celles-ci. D’où que celui qui voudra faire
accomplir des progrès ne peut pas tirer un trait
(faire
table rase du passé)
sur ce qui n’a produit en définitive que de
l’admirable. Ce n’est que toujours à partir de
ce qui est une conséquence admirable qu’on peut
faire encore mieux. C’est ainsi que la religion
musulmane étant issue de la religion chrétienne
et juive est admirable. Elle le sera d’autant
plus qu’elle voudra prendre en compte les
enseignements bouddhiques, comme les deux
autres. Il y a donc des métissages
intérreligieux qui relevant des meilleures
influences vont permettre de constituer une
ratatouille délicieuse puisque la fin est de
nourrir l’âme pour lui éviter de devenir égoïste
ou celle d’un enfant-gâté adolescent uniqmement
laïc, profane, sacrilège, athée et en définitive
ignorant, au mauvais sens de ce mot au lieu du
contraire.
[51]
On y trouve aussi le mot de « pécule » qu’on a
utilisé pour « pécule d’insertion » - et on peut
y voir le son « pai » : en effet, il a été
longtemps question d’acheter la « paix ». Pour
que celle-ci advienne, il faut se rencontrer à
un croisement ce qui induit ce « x »
(chacune des parties de cette lettre étant le
miroir de l'autre, donc fondant la paix sur la
Justice) à « pai »
utiliser par exemple pour « paître » (des
moutons paissaient –
pascolare
en italien – cela a donc à voir avec
Pasqua,
la paix –
Pâcques de la parole est, paraît-il, un
titre d’un livre – ce qui signifie que ce
« paî » est devenu « pas » en Italie ou
l’inverse plutôt – on emploi le mot de « passo »
en italien pour signifier un « pas » dans le
sens aussi de frontière (un
lieu de paix, quand il ne devient pas le point
de départ du contraire, d’un litige, par
exemple : l’autre, sans demander la permission
ou sans frapper est entré dans la chambre –
pourtant, il y a bien la trace d’une porte, d’un
passage, d’un seuil – le voilà à l’ignorer et à
ne pas comprendre qu’il a dérangé – il ne s’est
pas annoncé non plus, etc. tous les paramètres
seront alors bon pour analyser ce qui s’est
passé et déterminer de quel niveau ou degré (de
conscience)
appartient l’individu)
de passage et on comprend qu’il s’agit d’une
difficulté peut-être pour atteindre ou marcher
vers la Paix. Un pas de [pour la] paix, n’est
pas un pas de guerriers)
ou d’avoir de la religion chrétienne le plus
infini des respects. Autre occurrence de « pec »
dans le mot « respect » qui surgit d’elle-même
[ou tombe à « pic » !] et qu’on retrouve dans le
mot de
pecora dans l’expression
pecora
smarrita. « Brebis perdue » ou berger un
pecoraro.
On comprend que sans le travail de l’élevage des
brebis et des vaches, il n’y a pas de paix.
C’est le cheptel qui va, grâce aux
cow boy,
permettre à la paix d’advenir (il
a un métier de travailleur manuel en plein air,
ce qui ne l’empêchera pas de lire comme maints
bergers). On
compte et « spécule » comme des personnes qui
feront des projets en fonction des paies (les
paiements reçus)
et donc des économies qu’on aurait pu écrire
péconomie,
s’il n’y avait pas ici une autre règle qu’on a
trouvé meilleure d’appliquer pour nous délivrer
de ce « p », d’autant que la racine ne vient pas
de ce mot « pec » qui est en commun avec le mot
de
peccato en italien, donc de « péché » dans
lequel on retrouve ce « pec » qui souligne qu’il
y a risque de péché à spéculer malhonnêtement au
lieu au contraire de justement. Sans économie
point de paix (pékaïre !
en langue poc ! pardon, d’Oc – soit d’oie car
oca
en italien signifie « oie » donc signifie qu’il
s’agit d’un pays de fermes ou de paysans élevant
poules et oies, un pays de paix – d’où qu’on
boive du
Coca cola, une boisson qu’on partage comme
des personnes civilisées, étant des paysan ou
d’anciens paysans).
Par conséquent sans la maîtrise de la question
financière point de paix avec ces enfants qui
seront continuellement à avoir des besoins. Des
fiançailles ne peuvent donc advenir ou être
confirmée qu’uniquement quand la question
financière est résolue ou en voie de l’être pour
le garçon comme pour la jeune fille. Evidemment
ce « pai » est en passant la Manche devenu
« pea » qui se prononce « pi ». Aussi le « a »
de « pai » a en réalité disparu mais pour des
raisons locale ce « i » c’est écrit « ea » qu’on
retrouve dans « tea » qui s’écrit ‘thé’ en
français. Aussi de « poc » à « d’oc » il y a un
monde sonore et le sens qui ira avec en fonction
de l’histoire de l’évolution de la langue locale
en interaction avec d’autres paramètres
puisqu’en soi-même à première vue « oc » ne
signifie rien – il faut donc rejoindre la
logique inhérente à une langue ou d’un dialecte
pour comprendre ce qui a bien pu se passer ou
comme ici savoir qu’il s’agit d’une abréviation
d’« occitan », soit le pays où on tue les oies.
(le
pays des pâtés de foie gras).
La lettre « c » est donc en français sicaire,
coupante à cause du « c » qui ressemble à la
faucille actuelle. La question financière est
une question coupante ou blessante – ce « c »
est dans le mot de « finance », mais les
fiançailles grâce à la cédille arrangent les
choses. On ne dira pas les fiancailles mais les
fiançailles – ce qui vaut mieux car sinon cela
signifie qu’elle ne sont pas encore advenue.
Cette cédille est justement un petit « c » à
l’envers qui est comme la dérive d’un futur
landau qu’on peut apercevoir dans de « c » au
point avec ce minuscule « c » à l’envers placé
au-dessous d’interroger sur la notion d’anneau.
Est-ce que cette cédille ne va pas permettre de
clore le « c » de façon à ce qu’il devienne un
« o ». : fianoailles. Ici nous comprenons sur un
autre plan que la famille Noailles et Jean
Cocteau étaient prédestinés à se rencontrer pour
la Belle
et la bête. Il s’agit d’un projet de
fiançailles avec ce conte et le mot de « fi »
engage la « foi », donc la confiance.
[52]
« Sono nel tuo specchio … royauté ou lac ? ». Cf
Autoromante de LFG.
[53]
C’est parce que vous n’avez jamais accordé la
moindre vérité à ceux qui affirment ou qui
chantent que « rien n’est réel ici bas » que
vous avez eu une chance de survivre en ce monde
et de devenir un honnête-homme. Heureusement,
ils le disent dans une autre langue qu’on ne
peut que comprendre qu’une fois qu’on aura
comprise en vérité la nôtre et qui, sous forme
de sons, ne représente aucun danger, sauf pour
ceux qui y prêteront foi et si c’est vrai pour
eux (qui
en deviennent inscensés à vos yeux les mieux
scenscés),
cela signifie qu’ils n’accordent pas le même
sens aux mots que la réalité propose (qu’ils
n’ont pas adopté nos codes, donc qu’ils n’ont
pas compris comme nous, qui sommes confrontés
aux impératifs que cette réalité
commande/ordonne (en réalité des conséquences
(comme pour un musicien qui doit entrer en scène
d’y trouver son clavier ou sa guitare, ce qui
signifie de prévoir qu’ils y soient au moment
antérieur, comme le micro, etc. – si ce ne sont
pas ici des éléments très rééls auxquels seront
soumis chacun des organisateurs, comment
voulez-vous les appeler ? Ce n’est en tout cas
pas « rien » (même si vous pourrez dire « c’est
rien » cette peine de les y avoir placé – ce que
si vous n’entendrez pas, alors, comme une peine
dont vous seriez redevable à celui qui l’a
prise. Cela signifie qu’il est probable que vous
êtes un enfant-gâté ou que celui qui affirme que
« ce n’est rien » est un dieu qui vous aide de
tout son cœur puisqu’il affirme aussi que vous
ne lui devez « rien ») puisqu’il a fallu faire
l’ensemble des démarches pour qu’ils soient
ponctuels à l’heure sur scène, et sans l’aide
des CFP comment y parvenir – Bénévolement ?
Cela n’est possible que pour des spectacles de
débutants ou d’adolescents assurés d’avoir un
lieu chez leurs parent pour dormir et y manger
et qui peuvent ici s’investir dans un projet
formateur. Mais si vous voulez persévérer dans
cette profession, vous aurez à apprendre à
facturer et à tout compter et prévoir d’avance,
comme à trouver ces budgets ainsi que tous les
autres dont vous aurez besoin pour chacune des
autres charges ou responsabilité que vous avez
contracté. Si vous ne disposez pas de ces moyens
financiers, vous ne pouvez vous engagez qu’en
raison que vous avez obtenu l’assurance d’en
disposer ou que vous savez qu’on vous doit des
CFP : de l’argent), à partir de paramètres
bien/très rééls (chiffrés en sommes à débourser
gagnées/obtenues légitimement) et qui parce qu’ils
furent des faits très exacts enregistrés sont
incontestables, comme référents (ce n’est pas
rien un référent), ce qui permettra de déduire
les conséquences d’avance, pour les meilleurs –
donc de prévoir),
où qu’ils sont à utiliser des moyens ou des
drogues ou une technologie qui n’a rien de
commun avec celle dont nous sommes tous les
victimes ou les usufruitiers (car
ce n’est pas seulement négatif car cela a mis
des millénaires à être une solutions élégantes
qui fonctionne bien, au point d’avoir plus
récemment permis de créer les distributeurs de
billets de banques nationales qui sont en
réalité chacune internationales, car chacune
reconnue par l’ensemble des autres – ce qui a
nécessité des garanties et des certitudes que
celles-ci soient à pratiquer les Bonnes
Pratiques – donc soumises aux mêmes règles,
lois, usages)
d’une façon scolaire et scientifique à nôtre
époque qui nous contraint à/de nous heurter aux
souvent ou parfois (plus
ou moins, c’est selon le cas particulier)
dures réalités des matières premières pour
réaliser ce qu’ils croient (en
véritables fous)
ne pas être réel, puisqu’ils en nient
l’existence (ce
qui est donc à première vue l’affirmer en
salvatrice anti-thèse, ce qu’ils ont cru à tort
de celle qu’ils ont décrété en ignorants au
mauvais sens de ce mot qui n’ont pas cherché à
comprendre ce qu’elles avaient de bon, contre
ceux, qui ont les pieds sur terre : réalistes).
Ils mentent donc pour tous ceux qui sont à
savoir que la vie (ce
qui est une sous-partie de ce « réel » à moins
que cela soit le contraire, ce qui rend synonyme
de chacun de ces points de cette espèce de début
de poupée gigogne symétrique qu’on pourrait y
avoir entrevu pour ce début de plan qui est avec
au moins autant de mots que tous ceux qui
existent pour nous interroger sur ce mystère ou
alors le contraire s’il a été en partie dévoilé)
contraint de savoir compter dans les sciences
les moins élémentaires ou les plus ardues.
En fait, il s’agit
de personne ayant perdu la tête ou devenue
inconscientes et qui parlent en irresponsables,
si elles devaient être au courant que ceux
auxquelles elles s’adressent ne sont nullement
au courant de cette technologie dont ils
disposeraient rendant cette réalité du « rien ».
Cette absurdité de
laquelle on ne sait comment ils sont convaincus
comme d’un nouveau préjugé aussi néfaste que
tous les autres qu’ils ont acquis par des
fréquentations du même genre est le signe, pour
ceux qui sont au contraire réalistes (comme
n’importe lequel des grands chef d’orchestre qui
sont aussi d’autres mots très vrais),
c'est-à-dire conscients que la situation est
d’une gravité extrême et cela rejoint l’idée
qu’ils auraient que les gens qui les entourent,
« c’est du cinéma », au mauvais sens que ce mot
a longtemps signifié, mais qui signifie aussi,
on le sait, « cinéma du réel » (ce qui n’est pas
une escroquerie de langage en déplaise à Jean
Rouch qui en était persuadé, bien que le premier
bénéficiaire y compris en terme de subvention
pour l’aspect de la sous-partie (une
autre, décidemment la vie est plus que trois
lettres)
plus ethnographique (cela
peut-être parce que ces films appartiennent
aussi à d’autres catégories, comme chacune des
images qui sera l’objet d’une description
détaillée, mais cela n’empêche pas de proposer
globalement cette notion qui, bien que
réductrice, est une indication pour ouvrir sur
tout ce qui concerne la réalité – ce qui n’est
pas peu : d’où que d’autres catégories ou mots
qui concernent d’autres genres de films pourront
y être présentés et qu’elle pourrait déborder
sur ces autres notions avec des risques de
tromper le spectateur si les quantités de films
proposés dans les sous-catégories ne sont pas
justes ou équilibrées, comme l’admirable
Françoise Foucault veilla à respecter des cotas
admissibles et en proportion avec ce que
représentent ces autres mots par rapport à
toutes les catégories les plus dangereuses qui
concernent aussi cette « réalité » qui est aussi
synonyme de Vie – c’est ici qu’intervient le
génie du programmateur et son sens de l’équité
et qu’on le laisse libre de ces choix en
fonction de ce dont il dispose (ce qui signifie
matériellement et financièrement mais aussi
autrement, sur les autres plans – par conséquent
de préparation intellectuelle – si c’est un
imbécile le résultat sera minable tandis que
sinon il sera de qualité comme a bien des
reprises pour ses « bilans ») – il peut aussi
porter l’accent au fil des festivals sur une
sous-partie beaucoup plus explorée ou
représentée que toutes les autres ou alors moins
encore inconnue ou peu connue ainsi – on
découvre alors que le mot de « réel » est
immense et qu’il s’ouvre à l’infini, donc qu’on
ne peut pas le considérer comme un mensonge ou
du « rien », puisqu’il y a eu de vivantes et
souffrantes tout ce qui advînt dans chacune des
images – ce n’est pas « rien » du point de vue
de ceux qui furent malmenés ou maltraités et
partout cela signale qu’il y a des dommages et
des dédommagements à payer par ceux qui ont cru
pouvoir maltraiter leur prochain ou ceux qui ne
sont que très fraternels, de cette façon parfois
pire que brutale que seuls les plus ignorants,
au mauvais sens de ce mot ont en commun car
n’ayant jamais d’un tantinet songé qu’ils
pouvaient être l’autre ou celui qui recevra les
coups – c’est ici la très grossière erreur du
mal élevé, du profane et donc de l’égoïste, par
conséquent du fou – c'est-à-dire celui qui ne se
rend pas compte de ce qu’il fait en raison de ce
qu’il a pris des mauvaises habitudes et que
personne n’a porté l’attention sur le fait
qu’elles l’étaient et si cela a été, ces
habitudes étant depuis trop longtemps prises,
la personne n’arrive pas à s’en défaire comme
certains fumeurs de cigarette qui savent que
c’est mauvais pour la santé mais qui n’arrivent
pas à se passer de cigarette – la mauvaise
habitude est donc contractée y compris pour
penser d’une façon erronée ce qui aura comme
conséquence, en raison de cette loi
incontestable sans un photon possible d'erreur dans tous
les temps pour diverses raisons très longues
dont celle de la loi de l’impermanence qui n’est
pas « rien » puisqu’il y a eu des actes qui
furent rescencés ou enregistrés – donc
permanents bien que n’étant plus, ce qui
signifie qu’ils ont été une réalité avec ce que
cela va provoquer si cette réalité n’est pas
bien expliquée ou comprise exactement – d’où les
conséquences qui peuvent par ailleurs aboutir à
des réincarnations plus ou moins néfastes ou
positives – la réincarnation est un des effets de
la loi des conséquences),
ce qui sont des preuves que ces moments furent
très véritables, comme pour chacun des produits
dont nous avons besoin quotidiennement : il
s’agit de sommes et il a fallu, en raison qu’il
s’agit de réalités, songer à tout, en amont,
pour que ce moment advienne. D’entendre un jeune
affirmer qu’il n’y a en définitive « rien » est
très inquiétant (même
si cela devait être vrai malgré la mémoire ou
les traces, en raison d’une chose dont
l’auditeur ne serait pas au courant et que
celui-là serait l’un des seuls à savoir, sans
avoir songé à l’expliquer, car évidemment s’il
démontre qu’il n’y a « rien », alors que nous
avons en mémoire chacune des secondes de nôtre
propre existence et que cela constitue des
millions ou encore plus à l’infini de
bibliothèques et de vidéothèques avec tout ce
que recèle chacun des points de celles-ci comme
virtuel (possible) – ce qui est une richesse et
non 'rien' puisque nous n’avons pas seulement
rêvé, je suis prêt à renoncer à mes recherches
qui pourtant ne font que nous conduire à
confirmer qu’il n’y a qu’infiniment et qu’il est
probable que ce tout, mais peut-être ce 'rien',
est à explorer, analyser, comprendre, etc, mais
aussi que chaque chose qui ne sont pas « rien »
n’avait surtout comme fin ou comme objectif que
de réussir à le soigner de cette idée fausse (si
seulement celle-là à propos de la réalité) et à
laquelle il s’accroche comme un perroquet
fou comme d’autres qui affirment en
leitmotiv qui finissent par être drôles en
raison du comique de répétition bien que sans
aucune innovation dans un principe généralisant
qui ne tient pas compte de la mise à jour que la
notion de zoom induisait : « que c’est l’enfer »
– cela n’est pas vrai seulement, puisque le
Paradis / Ôz / Eldorado / Atlantide / Arcadie / etc.
existe après le Purgatoire – Il faudra
peut-être, pour les atteindre que vous ayez à
explorer de nombreux autres mots ou points qui
induiront, si vous les comprenez exactement, des
actes, des décisions, des écrits, des contrats,
etc. puisque nous avons pu vérifier que ce sont
les points qui forment les pixels des lettres de
l’alphabet servant à divers possibles – il y a
déjà ces mots et tout ce qu’ils représentent de
vrai, grâce à ces points qui selon des formes
précises ont permis de les créer comme autrefois
des lignes d’encre (elles
étaient donc constituées autrement vues de
points qui sont chacun comptés – en raison de la
loi de la quantité, comme ces points ne sont pas
rares, à cause de celle-ci, mais aussi de ceux
qui comme moi ont veillé à ce qu’il y ait des
barrages sur les fleuves pour l’électricité ou
d’autres sources d’approvisionnement, les voilà
à pratiquement ne rien du tout coûter ou presque
à celui qui travaille tout de suite et toujours
comme dans une version « au propre », avec ces
caractères d’imprimerie, alors qu’autrefois cela
coûtait beaucoup plus pour en disposer sur le
papier et n’était donc réservé qu’aux seuls
immensément riches financièrement parlant – aussi
on me devra sur le long terme ces gains (très
immenssissimissimes et je minimise) que je fis
faire)
– vous ne pouvez pas dire qu’il y a « rien »
quand le métro arrive et que vous trouverez un
siège dans le wagon – et si vous êtes sûr de
cela, vous ne pouvez que devoir respecter tous
ceux qui sont dans des certitudes bien
différentes et qui vous respecteront à penser
qu’il n’y a rien, tant que vous n’en deviendrez
pas plus nuisible, car si vous cherchez à en
convaincre tous ceux qui ont le droit de croire
au contraire que chacun des mots est vrai et
qu’ils signifient ou induisent des comportements
qui ne sont pas du « rien » (puisqu’ils donnent
la possibilité, entre autre de construire)
d’autant qu’ils peuvent être enregistrés, il est
probable que cela finisse mal, comme cela finira
pour un menteur ou une personne qui a voulu se
convaincre d’une seule et unique choses (qui de
plus est douteuse) – on vous proposera de vous
égorger, puisque vous affirmez qu’il n’y a
« rien » et donc que vous n’existez pas, par
conséquent que vous n’êtes pas une perte (à
moins que pour l’instant vous ne vous exprimiez
que maladroitement et qu’on ne parvienne pas à
vous comprendre dans ce que vous entendiez ou
compreniez par ce « rien » qui en ayant été dit
à ce moment-là du point de vue de l’auditeur
traumatisé, par un cauchemar ou par un rêve, ne
peut l’accepter, sans songer que vous êtes un
menteur – un « traumatisme » ce n’est pas
« rien » et rien non plus ce n’est pas « rien »
au risque de devoir marcher dans le
territoir / univers / monde / création Devosien[ne])
– vous verrez alors votre réaction et vous
découvrirez que si vous êtes cohérent vous devez
accepter qu’on vous enthanasie, puisque cela
ne vous fait ni chaud ni froid : « rien » (Deux
fois ? Ou plus ? [A peut-être à] deux voix ?),
c’est « rien » donc, ni chaud ni froid (?): on
va donc vous brûler (mais pas une brûlure pour
vous faire plaisir car nous vous savons
fou/folle) et on vous prévient d’avance que vous
aurez la réaction de dire « aïe » - vous voyez
bien qu’il y a « aïe » et pas « rien » et vous
voyez bien que vous avez mal (que vous nous
faîtes perdre du temps sur des dossiers
prioritaires [dont vous pouviez bénéficier] en
raison de ces traumatismes que vous infligez en
égoïstes et en oubliant que l’autre pourrait en
avoir des séquelles – ce n’est pas « rien » des
séquelles – il y en a de toutes les sortes, ce
qui est synonyme de catégories) et vous en
conviendrez en comprenant qu’il y a la peau et
les nerfs et que ce n’est pas « rien » ce
système nerveux et que c’est grâce à lui que
vous ressentez la douleur ou le plaisir (voyez
et lisez les encyclopédie de Médecine, vous
serez informé et comprendrez mieux : ce n’est
pas « rien » un « nerf », bien qu’il soit
probable que dans une situation de dissection à
laquelle vous aurez assisté comme,
par exemple, dans
le film des
Deux
Fragonard, vous entendrez celui
qui futur chirurgien opère dire en rencontrant
une difficulté ou en comprenant « rien, c’est un
nerf », mais il s’agira d’un cas particulier
(acoustiquement à dire avec le ton qu’il faudra
et qui différera de plus haut car la situation
est totalement différente, nous sommes dans un
autre cas particulier) ou d’une situation bien
précise ou ce « rien » convient d’être dit sur
le sujet de ce nerf bien précis et qui fut une
réalité mémorisée par l’ensemble des assistants,
mais aussi par l’invisible, dans un temps précis
concernant une géolocalisation précise sur cette
planète de ce système solaire précis, ce qui
n’est pas « rien » (et
qui induit qu’on devrait pouvoir l’atteindre ou
revenir en arrière jusqu’à avant ce point en
raison de la loi des
rewind
sur les magnétoscopes ou sur les DVD ou sur les
appareils à cassettes ou autres matériel Hi-Fi
ou caméscope – ce qui signifie que cela devrait
être possible y compris pour les souvenirs qui
étant d’anciennes réalités mémorisées peuvent
donc être transposés ou transférés par exemple
sur des disques durs avec l’ensemble de cette
réalité qui offrira comme une maquette la
possibilité de penser ou de réfléchir grâce à
l’analyse pour comprendre ce que cela pourrait
induire ou permettre sur divers plans y compris
celui de la guérison de la psychée : prise de
conscience qu’un moment ancien bien précis (ce
qui sera donc la cause du malentendu ou
l’origine de ce que vous n’alliez plus bien) a
été la cause d’une dérive ayant mené l’individu
à ne plus se conduire que comme une parodie
d’être humain et non comme les autres ou ceux
qui ont mieux tourné : en chercheur de vérité,
ce qui est sa fondamentale et ontologique
caractéristique – car sinon comment expliquer de
Très Véritables aArchitectes, de Très Véritables
pPeintres, de Très Véritables cCompositeurs, de
Très Véritables dDanseurs, de Très Véritables
éEcrivains, de Très Véritables … = etc.)
- d’autres diront même le contraire car ils ont
ici l’esprit de contradiction enfin dans le bon
sens ou juste ou fertile ou véritable : « c’est
beaucoup », ce qui pourra se dire sur le plan
sonore par le contraire, mais en comprenant que
cela signifiait « beaucoup » et non ce « rien »
qui acoustiquement a signifié « rien » et non
« tout »),
l’un comme l’autre ne sont pas « rien » et vous
découvrirez qu’ils sont en liaison avec des
milliards de milliards de milliards et à
l’infini de dossier et de secondes qui ne sont
pas « rien(es) »
[même
si cela ne s’accorde pas, un adverbe, car il ne
fallait pas risquer de confondre accoustiquement
ce mot avec « reine », même s’il était tentant
en poésie de le lui faire rimer, ce qui était
bien juste comme vérité relative grammaticale
et/ou excuse pendant des siècles, y compris pour
faciliter l’apprentissage au sujet de l’adverbe]
puisqu’elles ont été et se sont transmuées en
« mémoire » - vous comprendrez que celui qui
s’est permis de dire cela a été mal élevé et/ou
qu’il a été étudier des sornettes qui l’ont
rendu insensible à ce qui est scensé, juste et
vrai et donc que vous êtes dans le faux à
prendre le « rien » à cette occasion là pour
vrai et par conséquent si cela avait été le cas
vous représenterez comme celui qui vous induisez
en erreur un danger pour l’Ensemble, au point
que tous pourraient avoir le droit de vous
enfermer, tant que vous ne redeviendrez pas plus
scensé (vous
le savez cela se termine toujours mal pour celui
qui affirme n’importe quoi ou ce qu’il a entendu
sans avoir tout compris, comme Arlequin).
Vous ne songez pas aux conséquences de ces
affirmations : il suffit que des personnes aussi
perdues que vous les croient pour que cela
devienne encore plus grave pour l’Ensemble, donc
pour vous, et nous pouvons vous affirmer qu’il
n’y a pas un seul instant où vous n’êtes pas
examiné – donc qu’il n’y a pas « rien »
puisqu’examiné ! La preuve par ce texte lui-même
comme par tous les autres ou par toutes les
représentations qui devraient normalement
permettre que vous en reconnaissiez au moins
une : c’est « rien » la représentation d’une
corbeille de fruit ou celle d’une tête de cochon
dessinée à l’encre de Chine devant une taverne
qui l’a propose à déjeuner (est-ce que la
fortune entière de l’aubergiste ne sera pas
entièrement dûe à celui qui présenta aussi
aimablement, ce qui n’est pas, à la réflexion
faîte, aussi joli que ça sur d’autres plans ?
Puisque vous comprenez que ce n’est pas
« rien », mais au moins tout ce que signifie la
description que nous venons d’en faire, en
raison de ce qui découle de ce que nous avons
dit plus haut au sujet de la souffrance ou du
plaisir, vous conviendrez aussi que ce n’est pas
rien pour ce cochon d’être égorgé, puisque vous
avez-vous-même refusé de l’être tantôt (plus
haut) et donc qu’il avait plaisir à vivre dans
la ferme, par exemple à/d’Hagenbach ou ailleurs
et à se nourrir des déchets et à être à la place
de l’éboueur : une solution élégante (pour
éviter trop d’impôts locaux à ce sujet puisqu’il
faut les payer, ce qui revient beaucoup plus et
donc est très coûteux puisque pour réaliser ce
prodige sans être aucunement à les racketter, il
a fallu tout élaborer)
et non pas « rien ». Vous vous dîtes insensible
à la souffrance des animaux de boucherie, mais
ceux-ci comme le mot de « réel » sont de très
nombreuses autres choses. Vous vous êtes donc
habitué à agir dans une tradition qui n’est pas
plausible/compatible avec tout ce qui découle de
toutes les œuvres d’aArt véritables et que vous
prétendez admirer ou de toutes les sciences ou
les philosophies les meilleurs pour la Santé de
vôtre âme – aussi ce n’était pas « rien » et
tout cela fut élaboré avec un projet / une destinée
qui était d’arriver à ce moment où vous
comprendriez enfin que cette souffrance qui est
très réelle peut être évitée à ces espèces,
puisqu’il y a tant de solutions élégantes
alternatives qui ne sont pas des matières
premières à souffrir pareillement, avec ce
système de nerfs qui vous a fait dire « aïe » et
comprendre ce que c’est pour ces animaux qui
savent naturellement qu’il y a bien au moins ce
que nôtre espèce nomme une réalité qui les
entoure (sinon
ils n’éviteraient pas l’arbre et rentreraient
dedans : ils voient – voir ce n’est pas rien :
Woody Allen, mais aussi d’autres réalisateurs
l’ont démontré dans un de ces admirabilissimes
films)
et non pas « rien » que d’avoir à souffrir et à
dire « aïe » dans leur langue – si vous plantez
un ongle méchemment dans le dos d’un chien, il
se retournera pour vous mordre ou alors si c’est
un bon chien dont vous seriez le maître, il
tournera la tête comme je l’ai vu faire du mien
et vous y lirez « pourquoi me fais-tu ça, je ne
t’ai rien fait de mal et tu vois bien que je ne
me veange pas ou ne t’en veux pas car j’ai
confiance en toi » tandis que s’il a mal agi et
que vous lui faîte un peu mal, ce n’est pas
pareil : il était indispensable d’en passer par
là, pour son éducation, qu’il se souvienne ainsi
de ne pas recommencer à s’intéresser à ce genre
de crottes qui sont néfastes pour tous ceux qui
sont un tantinet à avoir encore une façon
claire/[cohérente avec les savoirs scientifiques
dignes de foi] de voir, c'est-à-dire de scanner,
d’analyser, de déterminer et d’agir en
conséquence, sur des faits ou des objets qui ne
sont pas « rien », mais qui sont lisibles, y
compris en les quantités de dangers qu’ils
représentent chacun en nombre de probabilités
d’attraper des microbes ou des vers, comme le
ténia
ou des
ascaris
ou autres parasites intestinaux qui pourront
tuer vôtre chien – vous l’avez donc frappé pour
qu’il évite ce risque, puisque pour en arriver
là, à ce scandale, il a forcément dû, au moins
pour la deuxième ou troisième fois, voire la
énième fois si vous êtes du genre patient (ce
qu’il vaut mieux) oublié que vous lui interdisiez
cela pour son bien, autrement qu’en le
frappant : en le grondant à chacune des fois à
une intensité de plus en plus importante et
comme ça n’a pas marché avec celui-là, il a
fallu – c’est triste ou malheureux, mais il a
fallu s’y résoudre en ayant mal au cœur d’avoir
à le faire - utiliser la force ainsi peut-être
qu’en craignant cet ongle qui a fait mal [et
non du bien, puisqu’il a gémi et s’est plaint
sans faire semblant]
ou alors cette tape sur son museau le voilà à
mieux comprendre – ça finira par refaire
fonctionner ça mémoire en pareil cas – la même
situation, ce qui est synonyme aussi de « dans
une situation comparable / semblable)
quand on sait, au contraire, ce que tout
signifie dans le moindre détail. Il s’agit
donc / peut-être / probablement (mais
cela peut être aussi pour d’autres raisons ou
dans un autre cas dont nous ne saurions pas au
courant de l’appréciation ou de ce que signifie
ce « rien » de son point de vue – ce qu’il a pu
échafauder comme théorie, car on sait que pour
le
bouddha, il y eut comme l’idée qu’il n’y
avait rien, mais très certainement à un moment
donné de ses méditations qui ne sont pas celles
qui nous occupent quotidiennement [et qui n’ont
pas trait à ce cas] quand nous devons songer à
nous vêtir, à nous scolariser pour devenir
compétent et à nous alimenter – si tous même le
pense, tous sont entrain de faire des choses
descriptibles qui sont des réalités et celle-là
du
Bouddha qui crut comprendre qu’il n’y avait
« rien », en raison de ce que nous pouvons la
décrire « est », donc n’était pas « rien » mais
« plus rien » (« plus rien » ou même « rien »
dit comme « plus rien » (ce qui sonnera
différemment), n’a jamais signifié « rien »,
mais tout ce qui ne sera jamais oublié, car il
s’agira de référents certains, descriptibles et
qu’on pourra reconstituer (ce fut donc ce rêve
et/ou ce cauchemar un attentat contre vous-même
sur nous-même et non pas « rien », vous eûtes à
en souffrir puisque nous eûmes à en souffrir
(alors que vous crûtes le contraire et peut-être
même que vous aviez intérêt à nous voir en
souffrir, ce qui n’est pas acceptable (ni
concevable – et la preuve que vous manier ces
machines d’une façon qui est à créer des
dommages, des traumatismes (ce
que vous ne pouvez nullement vous autoriser
d’autant plus que nous ne vous menacions
d’aucune arme à feu et que nous nous reposions
chez Nous (de plus vôtre pharaon (chef suprême à
qui vous devez tout ce que vous avez mangé,
consommé, etc. de bon, de bienfait et de beau)
mais que nous vous disons la vérité et que
d’autres part, vous ne pouvez pas vous immiscer à
nôtre insu chez nous, un lieu que nous habitons,
obtenu légalement qui est juridiquement à
caractère privé – vous n’avez donc aucune autre
possibilité officiellement que celle dont tous
disposent et qui sont donc partagées par
l’Ensemble (téléphone pour nous contacter ou
Internet pour poser des questions) – vous êtes
donc en absolue totale infraction – donc
contraire à Vos intérêts puisque nous Vous avons
prouvé que Nous somme vos souverains et à
veiller à ce qui est le meilleur pour vous –
soit le rôle du vrai berger ou du vrai pharaon)
ou qui aurait pu être évité puisqu’il y a
toujours des alternatives à cela : en effet,
quand il y a un feu dans la cheminée, vous
n’allez pas y mettre la main, vous l’évitez.
Aussi vous ne pouvez pas imposer une douleur ou
une souffrance à une personne qui n’a rien fait
de répréhensible et qui n’est que digne de
louanges – ce serait comme soudain frapper vôtre
ami le chien qui a gardé vôtre maison et
caracole en toute confiance le long de vôtre
promenade. On ne peut donc frapper qu’en raison
d’un motif valable / recevable, sur le plan de la
conscience ou des raisonnements et cela en
relation avec tout ce qui découle de juste, de
bon, de beau et de véritablement bien de tout ce
qui est le meilleur pour celui qu’on frappera –
si vous vous permettez cela, on vous prendra
pour fou, au sens de réellement malade, au sens
négatif de ce mot et non au bon. Cela signifie
que plus personne à nôtre époque n’a le droit
d’infliger des rêves ou des cauchemars durant
ces moments où confiants, vous vous reposez pour
dormir. Sans en avoir obtenu l’autorisation au
préalable ou sans avoir obtenu en échange
réparation et dédommagements donc des
financements pour les préjudices subits, vous ne
pouvez pas) - mais cela n’empêche pas d’utiliser
ce mot de « rien » pour avertir qu’on ne veut
« rien ajouter », donc faire silence, ce qui
n’est pas « rien »)
de l’égoïste qui en enfant-gâté provoque, en
nihiliste adolescent (c'est-à-dire
en une personne devenue de celles au mauvais
sens de ces mots, donc qui utilisent la mauvaise
foi et le mensonge)
et dont on sait d’avance qu’il sera sourd à la
souffrance des autres, puisqu’il sera capable
aussi mensongèrement que cela d’affirmer qu’il
n’y a « rien » ou que « ce n’est rien » (s’il
y a des situations et des cas
[particuliers / ponctuels] où il conviendra de le
penser ou même de l’affirmer, ne serait-ce que
grâce à la méthode Coué pour éviter de trop
souffrir et espérer ainsi arriver soi-même à
réduire sa souffrance, il est probable que celui
qui vous dira que ce n’est « rien », ce dont
vous souffrez, vous agacera et que vous vous
direz qu’il s’agit d’une personne menteuse au
moins sur ce point – bien sûr, vous avez
toujours la possibilité de minimiser vôtre
douleur en disant que ce n’est « rien », mais ce
sera ici vôtre choix pour des raisons diverses
que vous aurez adoptées – aussi vous serez le
seul ou la seule à savoir l’intensité de cette
souffrance – c’était vôtre choix ou vous n’aviez
pas d’autres choix – il n’empêche tous vous
devrons des dédommagements (financiers), puisque
normalement vous ne deviez pas avoir à la devoir
souffrir – vous accusez Dieu ? Et si vous aviez
péché contre Lui et étiez coupable (ce n’est
certainement pas Lui qui a reçu en héritage
cette vielle sale des machines car sinon vous ne
l’auriez pas crucifié pour prouver à tous que
c’était bien Jésus Christ : Dieu : c’est
probable et même certain, à l’aune des
merveilles qu’il fît pour vous, ne serait-ce
qu’en raison de la loi des conséquences et des
preuves de ce qu’elle a donné partout, comme
admirables Pieux Etablissements (entièrement
pourvus d’admirables et saintes merveilles qui
attestent du véritable bon goût dans toutes les
catégories artistiques de mises en scènes
pluridimensionnelles : on ne vous y reçoit donc
que dans une alternative à l’Atlantide
disparue :
Ôz,
admirable dans tous les feux de ses vitraux aux
coloris variés qui découlent donc de choix de
textes, d’inscriptions dont vous pouvez avoir
confiance les yeux fermés, puisque rien n’est
fait pour vous conduire à mal agir, mais tout au
contraire à avoir envie d’être fortuné / gagner
des CFP pour soulager par Charité quand vous le
pourrez ceux qui sont dans le besoin : d’être
dans tout ce luxe admirable devrait vous
rassurer, ce n’est pas spartiate: on vous soigne
dès vôtre entrée par la beauté, les aArt,
l’aArchitecture et des textes souvent admirables
(peut-être à mettre à jour sur certains points
en tenant compte des problèmes que cette
époque-ci a généré ) vous donnant le goût de
bien faire y compris à vos enfants – donc il
s’agit de lieux
qui proviennent de personnes ayant
pensé/songé à l’Education la meilleure et à
créer des lieux de pensées et de réflexions /
d’activités publiques qui diffèrent de
ceux strictement clos sur une laïcité ostracisante – je n’ai pas eu connaissance pour
l’instant de ceux qui rejettent les religieux
(mais il y a eu des crimes contre eux – d’où
qu’il s’agissait de personnes sacrilèges et que
cela n’est pas à la gloire de la laïcité de
rechercher à s’en prévaloir ou même trouver ça
admirable –
c’est bien le contraire, une très grave perte
pour l’Ensemble, d’autant que ces personnes se
privent de nombreuses choses plutôt et souvent
considérées très justement comme « agréables »
- et donc en cela contraire à la loi sur la
discrimination)
– vous êtes donc dans vôtre tort et Lui, pas
d’un photon dans tous les temps – vous Lui devez
en plus réparation et des dédommagements pour
calomnie et sacrilèges comme tout ce que vous
fîtes contre Lui ou saboter Sa Création (elle
n’était pas à rendre désertique puisqu’Il avait
pensé a tout – aussi au lieu de la rendre plus
belle, vous avez cherché à la détruire bien
qu’il y ait eu les partisans de ce Dieu qui en
comprenant les prodiges de cette Création ont
essayé de la gérer le moins mal possible – donc
d’un côté ceux qui se sont acharnés en
profiteurs pour la détruire et de l’autre ce qui
ont construit avec et lui ont de ce fait donné
de la valeur)
– plus le temps passe et plus vous continuez à
vous comportez en hostile et sans consentir à la
vérité, plus vous aggravez vôtre cas et vous
aurez à Lui devoir et plus vous tarderez plus
vous lui devrez au point que vous regretterez la
proposition de plus haut qui était celle de vous
anéantir – c’est trop tard : vous avez dit
« aïe » et reconnu que ce « aïe » comme cette
Création n’est pas « rien », mais que ce « aïe »
a fait mal et que c’est donc une réalité, vous
êtes donc à devoir et à devoir payer vôtre dette
à ceux qui se sont refusés de la détruire. Cette
dette est colossale ou autant pharaonique (que
ces déserts) ou que l’audit / cela que nous avons
pu mener puisqu’elle concerne autant de pharaons
qui ont cru pouvoir s’offrir la vie de château
sans avoir d’autres compétences que celle de
destructeurs et de barbares et donc de
consommateurs de biens qui ne peuvent pas se
gérer ainsi en les dérobant à ceux qui les
méritaient : rien ne presse, vous êtes endettés,
nous [ré]échelonnerons celle-ci (ce qui signifie
des dépenses à faire et des compétences pour
nous éviter de frapper ou de vous malmener, mais
vous aurez à devoir payer intégralement tout ce
que vous avez consommé en faisant les
faux-monnayeurs et en ayant pas voulu comprendre
que continuellement on vous disait la vérité
quand on vous disait que cela coûtait.
Pourquoi ? Mais pour conserver vôtre langage et
rester dans le registre des réponses incohérente
puisque vous auriez-mieux fait d’éviter de poser
cette question et tout de suite d’exécuter ce
dessein, parce que « pourquoi pas » ? Vous êtes
un enfant du « pourquoi pas », vous
l’affirmiez ? Alors pourquoi pas, les plus beaux
rêves (et finir par supprimer à jamais les pires
ou ceux qui virent au cauchemar) ce qui est
synonyme d’espoirs de Dieu pour Sa Création, au
lieu de vous escrimer dans les pires outrages
sacrilèges ou de ces mœurs vulgaires ou
grossières, puisque vous affirmez autant
que cela voir pris goût à la musique classique.
Vous voyez bien qu’avec ce que vous aurez à
payer, nous utiliserons ces sommes convenablement
et elles seront bien employées et n’ayez crainte,
vous en aurez la partie qui vous permettra au
moins de continuer à payer ce que vous devez –
aussi cela sera comme si vous étiez salarié (et
croyez-moi, c’est ce qu’il y a de meilleur, car
vous n’aurez jamais à compter ni à calculer des
choses complexes et qui sont réellement
difficiles – vous y gagnez encore, comme
toujours, puisqu’on vous a reconnu aussi
handicapé que cela – vous n’aurez donc qu’à
obéir, puisque vous avez voulu vous faire obéir
brutalement, vous comprendrez que nos méthodes
sont différentes et qu’on attend de vous sans
vous brutaliser que de vous-même, vous
retrouviez cette bonne volonté qui vous avez
honoré dans d’autres temps, donc que vous
cessiez de vous comporter en enfants-gâté, à
faire les difficiles et cela dans l’espoir de
réussir simplement à ce que l’Ensemble trouve de
quoi manger dans vingt cinq ans ou plus (ce qui
vaudrait mieux comme encore plus loin, ce qui
est l’inquiétude de tous les enfants ou des
jeunes à chacun des éternels retours dont nous
vous avons prouvé qu’ils existent tous les dix
ans) et cela malgré la quantité démographique
qui augmente, ce qui n’est pas « rien », n’en
déplaise à celui que j’ai pris pour un
« jeune », mais qui était peut-être un vieil
homme, au mauvais sens de ce mot, et non au bon,
ce qui l’aurait rendu sage au point de lui
éviter de dire cette chiennerie – synonyme
d’ânerie avec ce « rien » à ce moment-là)
mais d’avance nous vous prévenons qu’en raison
de ce que vous fîtes comme dommage à la
Création, au lieu de vous en abstenir (comme
les conseils de partout étaient dans ce sens
dirigés, mais vous avez voulu nier jusqu’à la
pollution des gaz d’échappement des automobiles,
alors qu’on vous a fait voir dans un film qu’une
automobile laissée allumée dans un garage avec
une personne ou un chien, au bout de quelques
heures c’est d’asphyxie que ce chien ou cette
personne meurent, ce qui est bien à cause de la
pollution – par conséquent, on ne vous dit pas
des mensonges, car si vous croyez
comme dans la chanson qu’on vit dans un
yellow
submarine, ce que de mon point de vue n’est
qu’une vue de chanteurs illuminés un peu
exagérée dans la comparaison, comme difficile à
comprendre, car je préfère la vieille idée de
Navire qu’on doit par ailleurs à Homère, vous
comprendrez que s’ils ont raison de comparer le
Système à ce Sous-Marin cela ne serait
qu’affirmer encore plus qu’il est comme un
garage l’objet de l’ensemble des déversements ou
défécations de ces pots d’échappement et ceux
des usines, appelés cheminés, qui ne font pas
semblant de « polluer »),
vous serez à devoirs encore réparer dans
plusieurs milliards de milliards de milliards de
milliards et plus loin encore à l’infini
d’années de là où nous sommes, où vous n’êtes
que de nouveau à commencer à continuer à la
payer pour autant de temps et ainsi, étape par
étape, pour plus loin encore où ça recommence
pour toujours, le même dommage, qui va coûter
cher à réparer, puisqu’il faut réussir à tout
retrouver de ce qui fut « consommé » (comme âmes
mais aussi autrement) – c’est vous qui avez
voulu être satan et vous complaire dans ce
cliché du diable seulement vu au mauvais sens de
ce mot et non pas au bon comme Nous qui vous
avons bien fait comprendre que vous pouviez
devenir au moins comme Nous grâce à ces
Démonstrations … qui représentent des
investissements financiers considérables établis
en véritables CFP par l’ensemble de ceux qui
m’ont aussitôt compris à plein mots, comme
à
mi-mots seulement et nous vous avons fait
comprendre que, par ailleurs, il y avait depuis
2006-2007 et les mois qui ont suivi
« satana[na!]nas », ce qui n’est pas rien comme
concept à l’aûne des royalties des
copyright
ou enseignes et logos (qui
signifie « espace à caractère privé », obéissant
donc à des questions de Droits et autres
règlements auxquels il convient de se plier pour
se conformer aux meilleurs usages qui permettent
de gagner des CFP pour payer ce qu’on doit)
et de ce que cela a signifié comme travaux pour
arriver à ce mot alchimique (alchimie
du verbe oblige) – pour vôtre information
même celui qui se prétendait Dieu et qui avait
joué en réalité lâchement les
méphistophélès s’est rangé et a gagné / ralié,
démasqué lui aussi, Nôtre camp, en renonçant à
nuire et en étant devenu bon et gentil comme le
plus gentil des agneaux (à
croire qu’il n’a jamais été cette bien
pirissimissimissimes (et c’est peu dire) que
horrible abjection ou saleté : et s’il ne gagne
pas encore des points à tous les moments, il est
supportable, après en avoir autant perdu de
nombreux, puisque pour devenir celui-là qu’il
fut, il a très certainement péché un peu plus
que la normale et ce mot non au bon sens qu’il
pourrait avoir, mais comme depuis toujours
considéré d’une façon négative : une très
mauvaise affaire à laquelle il vaut toujours
mieux renoncer, au lieu de s’enorgueillir
d’avoir encore « des tours dans son sac »)
– et c’est à cause de lui que vous êtes devenu
celui qui va mal – vous ne trouverez plus
personne pour vous mal conseiller : ils ont trop
peur et leur peur est totale, absolue comme
depuis toujours de ce mot de Dieu qui avait eu
visiblement confiance, en laissant sur cette
planète ou ce satellite du soleil, une salle des
machines qui n’étaient évidemment pas pour
s’amuser à persécuter ou à nuire contre des
serviteurs de cette notion qu’ils ont comprise,
plus juste et bonne (comme ce que la Création
proposait) et que vous n’aviez pas à travestir
ou à pervertir en mauvaise ou néfaste,
c'est-à-dire ce que fut satan : ils savent donc
tous qu’ils ont perdu, comme cela avait été
depuis toujours annoncé en vérité d’avance : « à
plus ou moins long terme » et
l’auto-carbonisation de la reine de la nuit dans
sa haine en fut la preuve annoncée d’avance pour
qu’elle veille à sauver ce qui serait possible
d’elle et qui appartenait à la reine du jour qui
est aussi la reine de la nuit puisque
l’électricité permet d’éclairer cette planète de
nuit comme de jour – aussi il n’y a plus que le
jour partout).
Il est donc pour l’instant non-voyant et
seulement préoccupé de sa folie de spectateur de
mauvaise foi qu’il n’a pu devenir qu’en ayant
obtenu des Crédits de Financements usurpés, de
faussaire, de tricheur, donc ceux du malhonnête,
(cfusurpés, cfsales, cfmalhonnètes, cfpourris,
cffaux, cfcriminrld contre l'humanité et les corollaires synonymes) : un jeune
qui a dû se vendre comme celui qui fut
représenté amant de Marc Aurèle (d’autres
temps, d’autres mœurs que S. A. I. SSS Lord
Eugène Delacroix a peint pour le Musée des
Beaux-Arts de Lyon, reproduit par Gérard Bordes
dans l’encyclopédie de Médecine aux Editions
Atlas volume 1, p.142, pour illustrer l’article
sur « l’agonie »),
pourtant un empereur que j’estime et dont je ne
suis pas sûr, à l’aune des moments les plus
admirables de ses écrits (celui
qui est cité est celui qui est devenu enfin
contestable au sujet de « cette loi implacable
de la nature, à laquelle nul vivant ne peut se
soustraire » qui seraient ses dernières paroles,
soit celles d’une personne qui en ce temps là où
la Médecine n’a pas fait autant de progrès, ni
les sciences des aArts grâce à moi, était
considéré des
truismes.
L’anti-thèse de ce qui est à première vue
incontestable autant que cela est cependant
fondamentale : cela a donné aussi l’idée que la
résurrection des morts serait possible, mais
aussi que vivre dans l’assurance de l’éternité
est possible (en effet, rappeler qu’elle a
existé avec les dates des disparitions
officiellement constatées est à double tranchant
car cela peut convaincre que la mort est
inévitable : on s’habitue à ces constats où les
personnes ont peut-être, une fois déclarée
mortes, eu simplement à devoir changer
d’identité, dans certains cas, donc à ne pas
mourir mais à disparaître – d’autre part
l’existence de la salle des machines dont je
n’ai acquis la certitude qu’en 2014 serait, tant
qu’on ne sait pas de quels instruments elle
dispose, un argument qui irait dans ce sens. Ce
qui était donc une vérité cachée, pour des
raisons encore mystérieuses (que la mort
n’existe pas) mais qu’on a cru bonnes dans les
siècles passés, sans avoir eu la possibilité de
faire ici l’antithèse jusqu’à nôtre époque où
elle s’impose enfin d’elle-même, cachait
peut-être aussi une vérité au sujet de cette à
première vue certitude au sujet de la mort de
l’empereur, car s’il y a bien une personne qui
est dans les temps passés sûre au moins que sa
fonction pourra se perpétrer semblable, en
raison du sarcophage des empereurs, c’est bien
le pharaon assuré que son œuvre sera poursuivie
par celui d’après dans lequel il trouvera asile.
Alors pourquoi mentir au sujet de la mort ?
C’est donc qu’elle existe à cette époque-là,
malgré cette certitude pharaonique que les
empereurs savent qu’ils doivent mourir chacun à
un moment donné qui sera inscrit, mais dans des
époques dans lesquelles tous cachent l’existence
de la salle des machines : d’où la raison même
de l’existence de la mort : ce qui connaissent
l’existence de la salle des machines s’en
servent pour tromper ceux qui n’en savent rien
et qui, en légitime défense ont compris avoir le
droit de tuer – d’où une situation qui mènera en
raison des craintes et des peurs ceux qui ont
acquis l’héritage de la vieille salle des
machines à mentir au sujet de la mort de leurs
amis et surtout vont vouloir devenir censeurs et
interdire qu’on inscrive dans les livres des
informations à ce sujet – le censeur est celui
qui est dans le désir de cacher une information,
c’est ce qui a donné la mentalité d’espion qui
est persuadé que ceux qui ne cachent rien le
trompe autant que lui qui est le seul à tromper
et c’est cette mentalité précisément qui a
engendré l’origine de toutes les maladies et
donc la mort elle-même – aussi dès qu’on
dévoilera la vérité au sujet de l’existence de
cette vieille salle des machines comme en
réalité l’ancêtre de la maison des horreurs dans
les parcs d’attractions contemporains ou
modernes, la mort disparaît mathématiquement, y
compris les maladies d’autant plus qu’il n’y a
aucun mal à brancher des
web cam
sur sa personne considérée comme une œuvre
d’aArt et à s’exhiber pour être l’objet de
l’admiration ou de peintures – le problème
venait donc de ceux qui ont caché l’existence de
cette vieille salle des machines qu’ils ont
voulu se réserver à eux seuls, donc en se
comportant en avares, ce qu’ils ont eut le
toupet de reprocher aux autres, par exemple aux
juifs qui n’étaient nullement radins mais qui,
c’est normal avaient, privés de leur entrée dans
la vieille salle des machines, à devoir veiller
au grain de tous, donc qui n’étaient qu’économes
et à songer à l’avenir, ce que les autres
disposant de la vieille salle des machines pour
espionner ou pour avoir des mentalités de
sentinelles, c'est-à-dire de gardiens ne
pouvaient que difficilement comprendre puisque
pour devenir autant aussi non-fraternels que
cela, ils avaient dû chacun auparavant
contracter la maladie de l’ignorant, au mauvais
sens de ce mot, ce qui ne lui permet plus de
raisonner logiquement en tenant compte de toutes
les logiques et de tous les systèmes les plus
cohérents y compris de celui de la très
véritable sainteté – donc de l’Intérêt Général
véritable, soit cette notion de Dieu qu’ils
contestèrent en devenus égoïstes, enfant-gâtés
et adolescents, au mauvais sens de ce mot (donc
en personne capables de voler le bien d’autrui
et acquis légitimement par autrui – une maladie
qui disparaîtra dès que la vieille salle des
machines sera fermée ou transformée et qui
n’existe pas chez le bébé – elle vient donc
plus tard en raison de nécessités ou
contextuellement ou à cause d’exemples ou
l’oubli de paramètres et contraint donc aux
serrures, aux clés, etc.),
par conséquent au sein de la Vie qui était
synonyme d’Eternité, les auteurs de la mort y
compris de toutes celles qui advinrent
rétroactivement : d’où la/une culpabilité
infinie des empereurs et de leur entourage,
jusqu’à mon père, qui assure en pharaon de
l’Angle, la transition vers enfin la notion
d’empereur véritable Osiris lui-même, n’ayant
rien à cacher, ni l’intention de cacher ou de
tromper ceux qui n’ont pas accès à la vieille
salle des machines et qui ne sont que vérifiés
très vertueux ou saints à chacun des instants et
dont chacune des actions ne peut que s’inscrire
dans la logique qui a découlé de cette situation
affreuse / atroce / horrible, etc. , préjudiciable
et en réalité nocive pour tous ceux qui comme
Marc Aurèle (peut-être
aussi, s’il appartient à un des empereurs liés à
ces sarcophages des empereurs)
furent cachotiers – on ne peut donc avoir un
secret que s’il est bon pour l’Ensemble, soit
une notion qui implique d’avoir obtenu l’accès à
la conscience totale / pleine au préalable pour le
déterminer avec certitude
possible / nécessaire / juste),
qu’il soit autant que cela intéressé par les
satyres, mais bien plutôt par le soucis de sa
femme.
[54]
En se donnant ce mal, cela va permettre à
parfois de nombreuses personnes d’être payées
des CFP et donc de progressivement éviter les cff, cfu, cfm, cfs
ou cfcch qui sont nocifs pour la
santé comme pour la civilisation elle-même.
[55]
Noter ici comment l’ajout de la pluralité donne
just’après une sorte d’écho du « s » par le
redoublement qu’il engendre avant la pluralité
liée à la conjugaison du verbe. Comme si la loi
des conséquences qui intervient effectivement
dans la notion d’écho créait l’avalanche.
[56]
Qui est en réalité une répercussion de la
Première Guerre mondiale comme de la montée du
mensonge en Allemagne, à cause des mensonges de
la révolution soviétique.
[57]
Pour arriver à dire une phrase aussi simple et
aussi vraie ou exacte qu’elle, cela signifie que
les personnes qui le disent sont dans le monde
où elles ne trompent personne et ne disent que
des choses infiniment précieuses et qui
permettent autant de bien que n’importe laquelle
des mesures bien établie, honnêtement prise –
évidemment cela n’est pas courant, car de
nombreuses personnes ne s’assurent pas que leur
mètre est le bon sont capables de prendre des
mesures avec
la meilleure bonne foi du monde des plus
fausses, les sirènes qu’ils ont
écouté n’étant que les plus malhonnêtes
reinettes de la nuit (qui
n’y entendent goutte en Economie et même en
qualité de mètres – elles oublient par exemple
le paramètre concernant la dilatation des
matériaux en été ou d’autres encore que le vrai
architecte n’oublie jamais au sujet du mètre).
[58]
Voyez ou remarquez ici l’incohérence de ceux qui
ont déporté des gens du peuple en prétendant
être ce peuple et qui étaient ces déportés donc
d’abord à ce peuple (forcément international),
qu’on sait partout hétéroclite et métissé depuis
toujours à plus ou moins grande échelle et
surtout composé de catégories différentes ou de
religions différentes et qui réagiront toutes
différemment, puisqu’il n’y a que le très
véritable roi ou la très véritable reine qui
sache ici discerner (et
non plus le Peuple qui n’a comme dans la ruche
qu’à obéir).
[59]
S’offrir, vaudrait mieux, puisque cela signifie
en sous-entendu « de droit ».
[60]
Mais voilà que cette phrase contredit la
précédente et qu’on s’aperçoit qu’il faut bien
que la valeur d’échange existe puisqu’il y a des
œuvres d’aArt uniques (à
un seule exemplaire)
que de nombreuses personnes aimeraient avoir
chez elles (Demande
importante, voire unanimité pour offrir un
espace d’accueil).
Hélas, elles ne sont qu’à un seul exemplaire,
comme certain tableaux accrochés dans les musées
ou certaines statues. Aussi il n’y a que les
objets qui sont réalisés en un grand nombre
d’exemplaires qui peuvent voir le prix
chuter / baisser. C’est donc bien la rareté qui
donne de la valeur, pas seulement à la matière
précieuse de l’or ou des diamants, mais aux
prototypes ou aux masters à un seul exemplaire.
On le voit bien avec les textes publiés sur
Internet,
ils sont accessibles de partout ou sont à autant
d’exemplaires qu’il y a d’écrans pour les
recevoir, ils n’ont plus que la valeur
spirituelle ou ce qu’ils procurent comme
bienfait[s] ou alors comme nuisance (pour
ceux qui sont mensongers).
On le verra aussi pour les personnes très
rares : elles ont de la valeur, tandis que
toutes les autres se ressemblent plus ou moins :
rien d’exceptionnel.
[61]
Il vaut mille fois mieux une personne qui vous
corrige ou se fâche pour vous faire réussir un
progrès (comme
un dompteur qui réussit avec un chien ou un ours
à lui faire accomplir une difficulté/une
prouesse que de le voir risquer de se faire tuer
par tous les chasseurs, puisqu’il s’en-tête au
lieu de cela à détruire les ruches des abeilles,
à leur dérober le miel ou à voler des animaux
dans une ferme)
que ce genre d’attitudes.
[62]
De la distinction des lois qui s’impose, soit
des catégories puisqu’il y a celles qui
concerneront des vérités relatives et non la
vérité. D’où que celle-ci soit scientifique,
c'est-à-dire admissible objectivement. Il n’y a
donc pas de place à l’arbitraire ou alors cela
sera toléré, par compassion ou bonté ou par
pitié (« voilà Médor qui ronge son os ») en
raison que cela est l’un des symptômes habituels
de la maladie qui concerne l’âge de
l’adolescence ou l’enfant-gâté ou l’égoïste.
[63]
Cela signifie que la notion de rRésistance est
soumise à des échelles différentes de variations
possibles et parfois quand elle est trop
importante le
groom
ne marche plus, à première vue : on le sait, ici
il faudra le régler (ce qui donne la possibilité
d’une intervention pour permettre, par Charité à
une personne appelée travailleur manuel de
gagner des CFP en ayant à le régler, ce qui
n’est pas être celui qui a conçu les plans de
l’objet et donc qui a eu à prévoir d’avance ce
métier de réparateur de
grooms
qui peut être exercé en amateur par n’importe
qui dans l’Immeuble à partir d’informations
recherchées sur Internet au sujet de ce modèle
quand il n’est pas encore de ceux qui vont sans
même avoir besoin de se référer à ces modes
d’emploi en raison de compétences acquises
trouver la solutions d’eux-mêmes pour le
remettre en fonction et ainsi permettre à
l’Immeuble d’économiser ce déplacement qui en
raison de ce que le prix du baril de pétrole a
augmenté l’a rendu onéreux puisqu’il faut aussi
que l’Entreprise veille à nourrir cet employé,
ce qui occasionnant d’autres coûts de transports
répercutés augmente donc les factures en
endettant chacun y compris ceux qui ont augmenté
le prix du baril de pétrole puisqu’ils
constatent que tous les prix augmentent en
raison de ce que c’est eux les coupables : il
appuient sur le frein au point qu’il va falloir
dans certains immeubles attendre plusieurs mois
ou années avant que le
groom
soit réparé, puisqu’aucun des locataires n’a pu
faire les économies pour en les mettant ensemble
avec ceux qui peuvent payer le déplacement du
technicien et à cause de cela être avec une
porte divorcée à jamais du montant contre lequel
elle couchait ! Aussi voilà un métier, celui de
réparateur de groom (une
activité qui s’apprend en peu de temps, en deux
ou trois
grooms – ce qui risque un jour de devenir
synonyme de jours)
qui au lieu d’être donné à dix personnes n’est
plus qu’à une seule personne, qui a du mal à en
vivre alors que si le prix du pétrole avait
baissé, il y aurait des
spirous
partout, c'est-à-dire ce ressort dont S. A. I.
SSS Lord abbé de Fénelon et … a attiré nôtre
attention, au sujet de cette notion de Dieu,
dans son
De l’existence de Dieu.
[64]
Est-ce que je ne m’égare pas dans la catégorie
du
scénario ? Et n’en ai-je pas conscience à
dessein de le remarquer. N’est-ce pas dû à nôtre
époque qui permet des explorations Internet (ou
graniériennes – puisqu’internaute est synonyme de
granierien qu’il ne faudra pas/jamais
confondre (auditivement) avec
grammairien, bien qu’il soit probable que
monsieur ou madame Gra[n]mère ait eu
l’agrégation, comme ces
Graniers
de Cours-le-haut auxquels je me réfère (le
nom de famille de mon père l’empereur Granier de
Saint-Gervais-sur Mare à ne pas confondre avec
Pierre Gervais agrégé d’Histoire, entre autre
qui aime beaucoup entendre la musique de
Franceso Guccini qui a mis sans gène au moins
pour commencer la Genèse (la
Genesi) de l’Ancien Testament en musique et
chanson)
en raison de l’épouse
qu’il
prit avec Itala-France Joussin Aime de Coni qui
l’avait obtenue avant son mariage en Italien
pour demeurer toujours indépendante et autonome
financièrement parlant, ce qui a donné naissance
à la notion d’impératrice des lumières et des
temps contemporains, non pas comme une
vulgaire entretenue et très mauvaise femme
prostituée, mais une femme bien de nôtre temps,
cette nouvelle Eve (féministe en diable) ou la
reine du Jour et des révolutions scientifiques
permanentes car s’étant donnée à une discipline,
puisque n’ayant rien obtenu par la prostitution,
au mauvais sens de ce mot ou en raison de
mauvais calculs d’enfants-gâté, adolescentes
égoïste mais uniquement en raison de compétences
très réelle et hyper-précises dans des activités
rares, mais cependant demandées sur le marché du
travail (puisqu’il y aura l’ensemble des
productions littéraires et artistiques italienne
à mettre en V. F. (en raison de la construction
de la Confédération Européenne ce qui rend donc
vrai la même choses en raison de ce que la
notion de symétrie et de transitivité peut dans
ce cas précis être érigé en loi avec/entre
toutes les langues) et n’étant donc qu’une de
celles intellectuelles, donc l’équivalent de
celles des ingénieurs, architectes, médecins,
créateurs, innovateur, etc. la plus grande
aArtiste de nôtre temps en raison des
conséquences de ses aAmours, d’autant plus que
petite fille d’architecte et ayant pour tante
une dessinatrice hors pairs et un pianiste
virtuose et les autres admirables qualités de
ses tantes ou mères s’étant sacrifiées très
chrétiennement pour l’élever)
et donc des liaisons vers d’autres catégories
pourtant reliées sur un point très précis, à
cause du laurYen (synonyme
ou variante pour lien hypertexte : on retrouve
cet ‘i’ grec, lié aussi à la notion d’hyper-éthique
que nous avons commencé à évoquer ici).
[65]
Il s’agit de ceux qui n’ont jamais voulu se
profaner (et
en cela, ils ont bien eu raison, mais ont une
idée peut-être réduite de ce mot, comme de celui
de sacrilège, car en étant collet-montés, ils le
sont d’une certaine façon, sacrilèges et
profanes – puisqu’ils oublient ou n’oublient pas
d’où nous venons : la caverne de Platon :
Lascaux, l’Esprit des lois et peut-être savent
enfin où nous allons : cela risque de donner des
bouchers collet-montés, des pêcheurs
collet-monté, des conchyliculteurs
collet-montés, etc.)
et qui sont donc très strictes et très austères.
Ils ne parviennent pas à trouver drôle des
plaisanteries qui ne peuvent d’aucune façon être
admises [par ces personnes], de n’importe lequel
des biais possible ou des angles en les leur
présentera et seront capable d’en vouloir
éternellement à quelqu’un (donc
à ne faire que le calomnier ou dire du mal à son
sujet, au lieu de s’en abstenir comme les
principes religieux le prescrivent, d’autant
plus si la personne s’est comportée dans les
règles ou a payé sa dette):
ils ne vont donc qu’avoir la fâcheuse tendance
que de croire qu’à ce qui est reconnu
officiellement (ce
qui a du bien, puisque cela évite d’écouter les
calomnies ou les bruits qui circulent, mais
aussi du mal en d’autres cas)
– en cela, ils sont réellement et effectivement
moins encore que la racaille, puisqu’ils furent,
paraît-il, capables d’être trop sévères, dans
les peines qu’ils administrèrent ou [alors] de
s’acharner. Peut-être même qu’ils sont capables
de monter leur cou, en se croyant plus que les
autres (c’est
en réalité une défense d’autant qu’ils se savent
très respectueux de l’ordre établi qui les
garantie dans le soucis qu’ils ont de leur
pudibonderie maladive en ces époques très
lointaines où il n’y avait pas ni baignoires, ni
piscines, ni vacance à la plage ou à la mer, des
solutions élégantes qui furent possibles grâce à
la révolutions industrielles qui ne fut possible
qu’en ayant à devoir abolir l’esclavage pour
cette notion bien préférable de l’ouvrier)
et d’être en cela parfois punis par leurs
instituteurs ou maître d’école qui veulent leur
faire perdre une mauvaise habitude qui n’est pas
jolie esthétiquement parlant, puisqu’elle révèle
qu’ils se prennent plus encore que Dieu pour
Dieu, au lieu de rechercher à être eux-mêmes (ils
ne peuvent pas être Dieu, même s’ils sont
cardinaux ou prêtres ou évêques ayant
l’incommensurable chance d’être à son service
dans tous les temps d’avant sa venue sur terre,
si celui-ci devait être un être humain, à
première vue comme les autres).
[66]
Ce qui est drôle et paradoxale, c’est qu’ils
avaient en détestation, dans les années 1970,
les bien plus merveilleux qu’admirabilissimes
livres pour enfant intitulés
Club des
cinq alors que moi qui n’avait pas la
télévision j’attendais le jour où on me
proposait ces lecture avec la plus grande
impatience dès que j’en avais fini un. C’est
donc qu’ils n’ont pas compris que les auteurs de
cette série, qui pourra faire d’admirables
films, rendaient hommage à cette notion de
club
(dont
ils étaient en réalité coupable et qu’en raison
d’alchimie du verbe, grâce à un inversement
proportionnel qui s’est mis en place comme
l’accès aux mathématiques les plus logiques
touchant les sciences du langage pour contrer et
palier à ces malfaisances en révélant ici que
c’était bien un synonyme possible pour vieille
salle des machines, ce qui a fini par forger
cette notion de
bienvenu
au
club)
encore mieux servie dans
Le Clan
des sept. Evidemment ce
Club / Groupe du G7
(pour
lequel on me doit les royalties)
j’ai eu à en avoir l’idée ainsi, comme solution
élégante en Economie, quand j’étais enfant,
précisément grâce à cette série de ces lectures,
car je me suis dit, voyant les difficultés que
mon père avait avec l’Economie planétaire et à
faire comprendre les concepts dans lesquels il
avait baigné grâce à ses études à l’Ecole des
Sciences Politiques, une fois en poste à Rome,
que c’était bon de faire ainsi un peu mieux
comprendre ce que signifie la notion de pays
plus développés que les autres (cette notion
qui est depuis devenue synonyme de
tête de peloton)
– j’eus, par la suite, à ne pas oublier de
demander du ciel à mon père de nommer Jacques
Delors, président de l’Union Européenne, pour y
participer comme un membre régulièrement en
plus. Il devînt pour moi ce
Clan des
sept (qui,
en détail, sont huit à se réunir et qui
pourraient devenir plus nombreux, quand les
chiffres permettront de trouver d’autres pays à
être autant avancés qu’eux : sans les pays les
plus riches aucun développement des pays plus en
arrière dans les wagons du Grand Train ne
pourront bénéficier de progrès (dans
un des compartiments il y a
Tango qui confirme bel et bien que la vidéo
est le Dixième aArt),
d’autant plus qu’ils refuseraient à adopter les
Bonnes Pratiques qui sont les seules, en
réechelonnant les dettes, à apporter des
améliorations dans ces wagons de troisième classe
ou pire, s’il devait en rester en circulation
sur une ou l’autre des lignes encore en activité
– ce qui ne sera un déshonneur que pour les
collets montés (Troski,
par exemple ou ces « haut dignitaires menteurs
qui ont besoin de l’hôtel cinq étoiles,
puisqu’ils n’ont voulu devenir que des
enfants-gâtés),
car on y voyage assez bien et de façon folklorique,
par exemple dans le train de la ligne, de
Huancayo à Lima que j’eus à prendre ou celui de
Cuzco à
Machu Pichu, en ayant à descendre quelques
kilomètres avant la station
terminus
sur l’Urubamba pour faire l’ascension du Chemin
des liquènes (un
nom que je lui est donné et qui n’est pas encore
officiellement connu là-bas, car il s’agit de ces
sortes d’algues qui poussent spontanément sur
les arbres et qui sont peut-être étudiées dans
les propriétés gustatives qu’elles pourraient
avoir autrement que décoratives au point, dans
le souvenir que j’en ai, de les considérer
[comme] des coraux)
pour arriver après une nuit de sommeil sous la
tente par l’entrée d’autrefois (celle
qui était de ce peuple ou ethnie qui fit un
aussi beau travail au point qu’Ôz
devrait / pourrait s’apeler
Machu
Pichu – encore un nom mystérieux comme ceux
d’Atlantide, d’Eldorado, d’Arcadie, de Cythère
ou de Granier)
– avant que le train ne permette, grâce aux
ingénieurs, par Charité, de créer des emplois et
de permettre ainsi une amélioration locale de la
vie des indiens qui participèrent à sa
construction et qui furent payés
(sans
doute de leur point de vue toujours trop peu,
mais il est certain qu’en raison de la situation
internationale [économique sur divers plans]
cela ne pourrait être mieux payé qu’uniquement
si le prix du pétrole baissant enfin)
pour
le réaliser, comme les autres chemins de fer,
sans que personne ne fut alors esclavagistes
dans ces projets pharaonique d’Intérêt Général
qui concerneront ces chiffres de main d’œuvre à
devoir être employés à des activités utiles et
qui faciliteront/avaient pour but/objectif de
faciliter la vie (matériel,
transports obligent pour assurer des activités
commerciales de première nécessité ou minimales)
de leurs futurs enfants)
nouvelle version appelé
Groupe
des sept qui en tant que
clan des
sept avait un chien et un personnage qui
était un père de famille – ce qui dans ma tête
d’enfant était donc l’idée de Dieu (puisqu’à
relier autant que cela à la notion de
bon père
de famille),
donc de bon conseiller et je ne découvre cela
que le 22 novembre 2014, en n’ayant pas eu le
temps entre 1975 et 1978 d’inscrire cette idée
que j’eus alors quand effectivement j’eus à
noter à l’occasion de la Dictée Pharaonique (de
moi à moi) que celui que j’étais en virtuel
dictait : c’était lui, le pharaon/père que je
serais qui était le patron du
club des
sept et du G7 : S. A. I. SSS Lord Jacques
Delors, n’étant alors, en ces début, que son
admirabilissime chien !
[67]
Dont j’eus à signaler au cours de cette
Dictée
Pharaonique (la D. Ph.) de la
NNDIM
(Nouvelle
Nopuvelle Donne Internationale Mondiale)
qu’il permettrait a tous ceux qui déteste la
salade de l’adorer (ce
qui est maintenant le cas partout de ceux qui la
testèrent / goûtèrent avec cet sorte de
baume
nommé
aceto balsamico – au point qu’on puisse ici
affirmer que ce mot de
baume
pourrait devenir dans le futur un des synonyme
de sauce
et qu’on pourra nommer ce vinaigre de
Modène pour les exportations dans les pays
francophone / philes:
Baune
(vinaigre)
Balsamico
–
on me devra, comme à mes ayants Droit, sur cette
variante commerciale, les
royalties
liée à la nouvelle appellation contrôlée),
si on se chargeait de l’exporter dans ce cadre
de la Confédération des rRégions-Unies d’Europe que
Nous sommes entrain de construire (en
effet, le vinaigre n’est que délicieux ainsi, au
point qu’il fasse l’unanimité et même détrône le
délicieux citron sur les endives, ce qu’on
pourra cependant ajouter en quelques gouttelines
(goutelettes)
dans ce vinaigre italien en une dose très minime
pour en modifier la saveur sur ce genre de
salade [vaguement
– en raison de la couleur de l’écume aussi]
blanc d’os, en raison des substantifiques sèves
qui lui a permis de monter en ogive nucléaire le
plus souvent immaculées).
En effet, cela permet avec des
toasts
HarrYs [« Extra
moelleux Nature (sans huile de palme ni
additifs) »]
de faire des
sandwichs
de salade[s]
assaisonnées de différentes sortes en créant
cette notion de
viande de
salade, grâce à la mie de pain entourée de
sa croûte (vaguement
couleur os à moelle)
imbibée de sauces à l’huile d’olive, par
exemple, ou une autre et donc d’offrir une
solution élégante alternative qui pourra, dans
une des variantes permettre au
Tabasco
(attention aux ulcères)
de raisonner dans le palais ou des moutardes de
qualité ou alors les cornichons à la russe ou à
la polonaise, mais aussi aux tomates de
constituer comme certains agglomérés obtenus avec
des branches d’arbres concassés ou broyées une
des chair même parfois dure de cette
viande de
salade, moins [couleur] sang en ces verts
prairies ou feuilles de salades, comme
l’impériale roquette qui, pour les daltoniens,
est rouges (d’où
que ces tomates rouges soit parfois vertes ou
d’autres couleurs puisqu’on en a trouvé autant
d’espèce ayant des saveurs autant différentes
allant jusqu’à celle des tomates cerises pour
cocktails).
[68]
En réalité de personnes qui essaient d’écrire,
ce qui n’est pas mal en soi et même à
encourager. Mais comme il s’agit
d’enfants-gâtés, donc de devenus faussaires,
leurs inscriptions ou leurs textes seront à
comporter ce qui n’est à certains moments pas
possible pour tous les points de vue scensés, ou
ce qui peut être dommageable à cause des
conséquences. En effet, l’enfant-gâté et celui
qui ne fera pas attention à ce qu’il entend ou
alors qui prendra pour nuisible tout ce qui
pourrait l’empêcher de persister dans son être
mal habitué ou enfant-gâté – c'est-à-dire celui
qui est la victime d’au moins quelques préjugés
(d’où
qu’on comprenne l’absolue nécessité des études
le plus loin possible pour réussir à comprendre
dans quel cas on est si on fait bien d’être la
victime du préjugé et de l’appliquer ou au
contraire il convient de le proscrire).
[69]
Notemment grâce au remarquable travail de
Fénelon pour que les jeunes filles aient accès à
cette chance autrefois réservée aux garçons.
[70]
Forgé à partir de la notion italienne « di
essere ».
[71]
Vieille façon de s’exprimer, en fait = « alors
que » / synonyme / variante actuelle médiévale
ou romane.
[72]
Ou « et ».
[73]
J’aurais fini par mettre une note de fin de page
à une virgule : c’était mon rêve / espoir enfant
d’y parvenir, tant j’avais à dire, ne serait-ce
qu’en reconnaissance, à cause / pour d/les
petits classiques
Garnier qui concernaient, entre
autres, le Théâtre, en raison des notes de fin
de page. Donc des bibliothèques entières à
ajouter, peut-être même à l’occasion de chacune
des ponctuations justes qui permettait donc de
retrouver dans la lecture silencieuse à laquelle
j’eus à m’adonner exactement le ton dans
lesquelle ces phrases avaient été inscrites ou
pouvaient être dites et leur sens exact, donc de
déterminer toutes les anti-phrases qui furent
hélas, l’Histoire l’a démontré, moins perçues ou
comprises qu’en tant que telles, par ceux qui ne
sont pas allés jusqu’au bout de leurs
apprentissages de néophytes lecteurs / études et
qui, a cause de cela, ne devinrent jamais rien
d’autre que de la pacotilles ou des esbrouffeurs, comme de mimétiques plagiaires
(hélas au mauvais sens de ce mot, puisqu’au bon
sens cela a donné tous les grands aAuteurs)
parasites et aux autres défauts (qui
heureusement à force d’être impitoyable avec
soi-même, selon les mots de l’admirable Pierre
Lartigue, se corrigent au point de mener à la
lumière alors qu’en raison de ces défauts
obscurs auteurs
in
progress by the works).
[74]
Dont celle de l’enfant-gâté. En effet, disposé
de cette machine c’est être parmi ceux qui ont à
première vue un
bonus
que les autres n’ont pas. C’est donc être gâté.
Le problème qui concerne depuis toujours
l’enfant-gâté est celui du profiteur, au mauvais
sens de ce mot. Il profite de son avantage et
n’éprouve en égoïste aucune tristesse envers
celui qui ne dispose pas de ce même
avantage. C’est ici même l’origine de la maladie
de [la] méchanceté qu’il n’aurait jamais attrapé
sinon (il
faut pour devenir méchant être devenu un
égoïste, au mauvais sens de ce mot et non au bon).
C’est donc bien cette notion de la propriété
[mal acquise] qui est en cause ou la coupable.
Mais ce qui est le plus grave c’est que celui
qui hérite de la vieille salle des machines, en
enfant-gâté, ne sait pas qu’elle est à l’origine
mal-acquise (c’est
en cela qu’il ressemblera à tous ceux qui
acceptent des crédits de financements sans
jamais se soucier si l’origine de la provenance
de ceux-ci est légale ou possible en vérité
(et
non « possible » entre menteurs)).
En effet, sa conscience et sa vigilance a été
endormie par ceux qui ont voulu le gâter et
qu’il a cru ses amis et qui n’ont plus
qu’inconscience ensemble et par conséquent à
cause de cela méchanceté, puisqu’ils iront
jusqu’à croire possible utiliser ces instruments
pour faire du chantage ou intimider et en cela
se comporter dans le sens totalement contraire
de ce que la fraternité exigeait. Ils le
remarquaient eux-mêmes, ils n’étaient pas dignes
de ces machines et ne ressemblent pas à ceux à
qui on offre une automobile ou une moto et qui
ne s’en servent que dans l’Intérêt Général, par
exemple pour faciliter leurs déplacement pour
aller au travail et être utiles avec. Non, ils
ne l’utiliseront que dans le sens contraire :
d’abord pour se faire plaisir et enfin pour le
travail.
[75]
D’où ça vient. C'est-à-dire la cause qui a
produit l’effet à cause de la loi des
conséquences.
[76]
Les mensonges ou l’incohérence ne les
embarrassent pas – ils ne croient pas qu’il y ait
une réponse possible vraie car ils sont devenus
des menteurs.
[77]
Puisqu’ils sont de ceux qui savent qu’il n’y a
qu’une véritable réponse possible ou alors
plusieurs mais vraies chacune. Cela parce qu’ils
ont conscience que c’est bien la logique qui
mène le monde et non le mensonge ou le péché.
C’est en cela qu’il y a donc existence de
pureté, tandis que les autres seront devenus
impurs à cause d’enfant-gâtés.
[78]
En réalité elle sera vite des capacités de
raisonnement du cerveau qui deviendra infertile
au point parce qu’il a perdu l’accès à la
conscience de proposer des mauvaises solutions
ou des solutions indignes des êtres humains
civilisés infiniment respectueux de la Vie et de
l’altérité. Ce sont les solutions des égoïstes
et des enfants-gâtés qui ne songent qu’à leur
intérêt (en
général en faire le moins possible, ce qui se
traduira en architecture par des maisons toutes
pareilles et ennuyeuses – aucune, des œuvres
d’aArt ou des sculptures par-dessus le marché,
mais des cages à lapin ou des boites à chaussure)
à court terme, se débarrasser d’un travail le
plus vite fait possible (et
à première vue bien fait – aussi ils n’écriront
que deux mots ou trois pour résoudre un dossier
qui exigeait cependant des réponses à donner à
chacun des problèmes inscrits et en cela
deviendront aussitôt les ennemis de celui qui a
pris la peine de leur écrire et donc du genre
humain entier – ils se sont débarrassés des
problèmes (en
vue des plus importants que d’autres, ce qui
est vrai mais qui leur fait oublier de régler
les plus petits car facilement contentés d’avoir
régler les grands)
pour lesquels ils étaient pourtant payés pour
les résoudre (tandis
que celui qui les leurs a soumis, souvent
l’injustement lésé : il n’aurait pas pris cette
peine sinon)
et vont donc ainsi mécontenter le peuple ou tous
ceux qui savaient qu’il y avait eu réelle
injustice – dès cet instant leur nom de famille
n’est plus propre mais sale et à vomir par
toutes les générations à venir et ces
responsables, des enfants-gâtés en mourront dans
les pires morts sans que personne ne les
regrette jamais, puisqu’ils seront devenus comme
chacun des enfants-gâtés les ennemis du genre
humain et à cause de cela des usurpateurs aux
postes qu’ils occupaient).
Encore une fois cela ne concerne pas les
véritables milliardaires qui ont été escroqués
car ils devaient l’être des milliards de fois
plus encore en raison de ce qu’il y a ces
malhonnêtes qui le leur ont empêché, il s’agit
de tous les faux milliardaires ou tous ceux qui
sont confortablement assurés d’un emploi tandis
que tous les autres aucunement et ayant à se
donner du mal non pas en corrompus mais
réellement pour gagner des crédits de
financement propres (CFP).
[79]
Conscients - qui savent par exemple que l’emploi
du masculin ou du féminin comme l’emploi du
singulier et du pluriel sont une/des
convention(s) qui concerne[nt] la vérité
relative propre à chacune des langues employées
et qui s’est donc fondée, pour exister, sur des
« à première vue » révélant que le bon sens
existait, pour lesquels il y a eu concorde (permettant
grâce à cela de distinguer, en effet, il y a des
mots qui signifieront autre chose dès qu’ils
changent de genre –
catégorie
- ) entre
les locuteurs, au point regrettable peut-être de
créer des certitudes qui sont devenues des
préjugés gênants (d’autant
plus qu’il y a eu la nécessité de passer par
l’imprimerie pour publier, les ouvriers du livre
ayant acquis des certitudes quasiment de
correcteurs –
souvent des préjugés en ce qui les concernait
- interdisant
y compris pour faire des économies d’encre ou
d’usure de caractères par exemple l’emploi, dans
la même phrase d’un singulier et d’un pluriel
(il
fallait choisir dans un sens ou dans l’autre, ce
que l’écrivain faisait alors, sans se faire
prier en raison des peines incommensurables qui
avaient déjà été les siennes – bien
qu’insatisfait, on comprend qu’il ne voulait pas
s’en ajouter d’autres – de toutes façons il
s’adressait à des gens rares, les gens lettrés
et parmi eux ceux qui comprennent aussitôt, à
demi-mot, tout ce qui concerne ces conventions
puisqu’il s’agit de gens d’esprit, donc aussi de
personnes qui étaient scensées déceler les
anti-phrases – en effet, l’apprentissage de la
lecture et de l’écriture n’était réservé qu’à
ceux qui s’étaient débarrassés de l’enfant-gâté,
de l’adolescent et de l’égoïste, y compris dans
les petites classes, puisque cela faisait
intervenir des « précepteurs » qui sont des
personnes un peu comme les véritables maîtres
d’école, rarissimes en ces temps anciens
(Fénelon) – évidemment à nôtre époque moins,
mais il n’est pas sûr que les très véritables et
vénérables ne le soient pas demeurés, rares –
d’où ici qu’il s’agisse d’un métiers à
revaloriser régulièrement, car sinon, il n’y
aura que des faussaires à apprendre à lire et à
écrire ou compter et non des personnes
intéressées à permettre de devenir véritables
grâce à ces métiers liés à l’Enseignement ou aux
écritures et autres travaux permettant de
sauvegarder son esprit). Mais cela a
engendré une logique qui a le mérite d’être
logiquement exacte, au moins du point de vue
élémentaire et donc qui permettra à toutes les
personnes primaires d’accéder facilement à la
compréhension de celle-ci. Ce n’est que dans un
autre temps, celui du secondaire, qu’elles
comprennent qu’elles sont chacune à pouvoir
jouer des rôles très différents et donc qu’elles
ne sont pas une seule personne seulement, mais
ont la possibilité d’en être plusieurs (de
jongler avec des personnalités différentes),
quand elles se donneront en spectacle sur une
scène de théâtre ou au cinéma ou si elles sont
contraintes à avoir plusieurs métiers ou
responsabilités différentes (en
général, cela requière de s’être débarrassé de
l’enfant-gâté et de l’adolescent comme de
l’égoïste auparavant, donc d’être devenu un
adulte parachevé).
Les voilà surtout à pouvoir jouer tous les rôles
y compris ceux de méchants ou de bandits ou de
malades divers et ne s’en privent pas, car cela
leur permet plus facilement, grâce à ces rôles,
alors d’analyser tous les éléments, les
paramètres qui vont rendre malade. Aussi cela
facilite pour eux, en toutes les époques de
déterminer que c’est l’enfant-gâté qui est le
danger. L’enfant-gâté n’est que rarement le
prince ou le roi ou le tzar – jamais ou alors
ponctuellement à des moments précis quand il est
mal élevé (cela
arrive donc enfant ou quand il était jeune, au
mauvais sens de ce mot et tous le lui
pardonneront d’autant plus que tous savent que
c’est difficile de ne pas l’être – enfant-gâté -
en ayant autant de droit à son nom),
puisqu’il ne s’agit que d’un travailleur se
sentant souvent coupable « d’avoir » (légitimement)
alors que des gens n’ont rien, malgré tous les
efforts de ces princes pour que ceux-ci
réussissent à « avoir » un peu en échange des
efforts (physiques
ou autres – en effet, Beaumarchais s’est battu
pour qu’on reconnaisse le droit d’auteur qui
permet de gagner des CFP pour des
occupations / activités qui ne sont plus
uniquement de travailleurs manuels ou de main
d’œuvre, mais normalement réservées aux
intellectuels ou aux aArtistes – hélas, cela a
profité aussi aux faussaires et aux tricheurs
puisqu’ils voulurent se faire passer pour des
aAuteurs alors qu’ils ne l’étaient pas encore
mais seulement en voie de l’être)
dont sont capables ces personnes quand elles
sont bien dirigées et encadrées, par des
ingénieurs compétents canalisant dans des
projets d’intérêt publics cette énergie physique
qui sinon pourraient être plus mal employée (soit
par exemple à des fins de favoriser
l’enfant-gâté – le terroriste, le réalisateur de
virus informatique, etc. -
et donc
avec lui la ruine générale, ce qui advînt avec
napoléon et adolph hitler).
Savoir ce qu’induisent ces conventions permet
d’être plus souple, plus tolérant au point de
n’avoir aucun problème en ce qui concernera des
couples homosexuels (comme
celui de Cocteau, par exemple
ou d’un Yves Saint-Laurent) car la vérité en
science n’est que très relativement liée à la
sexualité. En effet, en raison de ce que la
spiritualité est à l’origine de la venue de la
parole et donc de l’écriture dans chacune des
langues, la sexualité ou le genre, c'est-à-dire
la catégorie à laquelle appartiennent les mots,
soit masculin ou féminin, soit singulier soit
pluriel, va être souvent confirmée par le
synonyme qui appartenant au masculin alors que
le mot de départ est au féminin trouvera aussi
dans les autres langues, en raison de la logique
inhérente / relative au fonctionnement et à
l’architecture de ces langues, confirmation sur
ce point : le genre ou le sexe des objets ou des
concepts est donc une convention – cependant
pour le singulier et le pluriel c’est plus
complexe, car cela est fondé sur l’unité et la
quantité, qui ne sont pas non plus sexuées :
c’est le bon sens populaire qui permet partout
de donner du crédit à cette notion de pluralité,
dès que l’objet est multiplié. Donc c’est encore
une fois le résultat de cette constatation (et
dans ce mot il y a la notion de faire état : en
disant vrai – car on y trouve le mot italien de
« stato » qu’on retrouvera dans
statistique
comme pour le mot de
Stato
qui signifie Etat en Italie au point qu’on
retrouve le mot anglais de
State)
que deux pierres sont plus qu’une seule – c’est
donc ce qui va être pris en compte par les gens
honnêtes pour rétribuer des efforts et donc
payer plus deux fois le même effort au lieu
d’une seule fois – ce qui importe pour/à tout le
monde, c’est que la caisse remplie soit apportée
à telle adresse et qu’elle arrive en bon état ou
toujours la même ce qui se produira si elle ne
reçoit pas durant le transport ou le
voyage des modifications – (la
notion de durée est donc liée à la modification
ou à la métamorphose possible d’un état dans un
autre) c’est
donc aussi la notion de mouvement qui permettra
de comprendre que durant ce moment où la caisse
a voyagé, elle a subi des heurts ou des coups,
au point d’arriver dans cet autre état. On
compare les photos, celle de départ et celle
d’arrivée, il s’agit de la même caisse devenue
deux caisses différentes, au point qu’on pourra,
avec un logiciel de métamorphose (morphing)
comprendre ce qui est arrivé à divers moments
pour cette modification (la
modification est donc liée à la métamorphose ou
à un changement)
– il y aura eu plusieurs dommages et donc
plusieurs caisses, même si c’est la même qui ne
serait demeurée la même qu’uniquement si elle
n’avait pas reçu de coups (par
ailleurs ce qui était dans la caisse et qui
était peut-être entrain de se modifier, comme
des bananes, change en raison de la durée mais
c’est prévu et se sont les même bananes qu’au
départ qui subissent l’injure du temps – ici
parce que l’exemple concerne le cas particulier
d’un aliment plus sensible au temps qui passe
que ne le sera un chargement de DVD ou de
cassettes vidéo qui ne vont pas être sensible de
la même manière au temps qui passe au point
d’arriver les même qu’au départ : pas de
modification à moins d’un accident – s’il s’agit
d’aliment pour l’esprit, ce qui les fait être
sur ce point comparable avec des aliments, la
durée du transport ne fait pas comporter de
risques majeurs à l’expéditeur ou à celui qui
reçoit la marchandise – pour les aliments, au
sens traditionnel, ils devront être vendus dans
un temps réduit qui ne sera pas la même
obligation pour le DVD bien que considéré par
quelques esprits des contenants possibles
d’alimentations ou de sujets pour l’esprit –
c’est pour cette raison qu’on les aura inscrit
avec bon sens comme des produits culturels et
non de « l’alimentation générale », au sens de
nourriture – en effet, dans la catégorie de
nourriture on distingue celle spirituelle de
celle alimentaire, qui permet au corps physique
de faire fonctionner l’esprit ou à la raison de
marcher quand l’esprit est sainement entretenu –
bien nourri – d’où que c’est l’alimentation, la
nourriture, qui soit essentielle (élémentaire)
pour éviter de déraisonner – en effet, si vous
donnez de mauvaises choses au corps vous aurez
des problèmes de santé pour suivre en classe,
mais si vous donnez de bonne choses à manger,
vous serez plus vaillant à l’étude et au lieu de
rechercher des choses mauvaises pour l’esprit,
vous rechercherez de bonnes choses –
l’alimentation est ce qui fréquentera vôtre
intimité, la fréquentation ou ce que vous
mettrez comme carburant dans le moteur – il est
préférable de mettre de l’essence bien distillée
que de l’essence frelatée ou de mauvaise qualité
et ce sera pareil si vous buvez du vin : il vaut
mieux en boire du bon ou du très bon que du mauvais
qui était destiné à vous tromper).
Aussi le langage, pour éviter d’avoir à donner
des explications souvent trop complexes,
simplifie et résume : on dira qu’il s’agit de
deux caisses différentes, entre celle de départ
et celle d’arrivée, et évidemment on entendra
dire que c’est faux, car c’est bien toujours de
la même qu’il s’agit – le malentendu est alors
généré par l’absence d’esprit d’une personne qui
ne songe pas qu’il y avait eu photo au départ et
qu’à l’arrivée ce n’est pas de la même caisse
qu’il s’agit. Il y en a un qui n’a pas essayé de
comprendre ce que l’autre disait dans ce degré
de résumé pour signifier, par exemple, que la
différence entre ces deux caisses est un
véritable scandale ou outrage ou sacrilège, dont
est victime le propriétaire de cette caisse qui
exige des réparations, car le service devait
être assuré de façon à ce que cette modification
ne se produise pas, à cause des biens qui se
trouvaient protégés par cette caisse (d’autre
part en la voyant arrivée démolie, il a eu un
choc nerveux, voire a cru que ce qui se trouvait
à l’intérieur était endommagé).
Si ces biens n’ont rien, grâce à l’emballage de
papier bulle ou de polystyrène à l’intérieur de
la caisse, l’affaire est rapidement close (y
compris le préjudice moral ou le traumatisme,
car celui qui récepteur est souvent compréhensif
– on le sait, durant un trajet, des
impondérables peuvent survenir. Plus de peur que
de mal) et
n’importera à personne car de toute façon
l’emballage était à jeter, sauf pour celui qui
voulait récupérer l’emballage, il sera mécontent
et peut porter plainte, ce qui est ici
évidemment agaçant, pour l’enfant-gâté qui
répondra que l’essentiel, le produit, qui devait
être protégé, n’a rien et que par conséquent la
requête de réparations pour le dommage n’est pas
admissible, d’autant que la fonction d’une
caisse est bien celle d’encaisser les coups et
de protéger le contenu qui n’ayant rien de cassé
avait donc été judicieusement protégé, ce qui
effectivement n’étant pas faux, évitera à cette
personne mécontente dès le départ de se plaindre
(malgré
la crainte que le pire soit arrivée en raison de
la configuration de cette caisse),
au point qu’après avoir déballé le chargement,
elle a jeté la caisse sans regret, sans même
songer à faire une histoire pour si peu (voilà
quelqu’un de bon et qui aurait pu l’être
beaucoup moins que cela).
Pourtant, elle pourrait se plaindre de cette
caisse arrivée en mauvais état (si
par exemple le chargement est endommagé, ce qui
on le sait donne droit à des réparations)
au responsable de la Poste qui fera le
nécessaire alors pour en avertir le responsable
du trajet en question (comme
à l’expéditeur) :
en effet, sur ce trajet, il s’est passé des
choses anormale : la caisse est arrivée dans ce
mauvais état – peut-être n’a-t-elle pas état
prévue assez épaisse par rapport au poids –
aussi des questions seront posées pour
déterminer de la responsabilité et s’il ne
s’agit pas d’un manutentionnaire qui n’a pas
jeté cette caisse ou malmené au cours d’un
changement de véhicule les paquets. Une fois
déterminé par l’inspection du travail, au lieu
d’avoir de l’avancement, celui-ci, si c’est bien
lui en cause, sera considéré comme une personne
qui appartient encore aux inconscients ou aux
irresponsables – il est certain que pour obtenir
la promotion qu’il désirait, cela emploiera du
temps en plus (il
n’a pas donné les preuves qu’on puisse compter
sur lui et qu’il évite de lui-même les
accidents : bref qu’il est conscient – qu’il ne
fait pas semblant ou n’a pas été envoyé pour
espionner, etc.):
non, il n’espionnait pas mais il est un
débutant : il est celui qui utilise son pied
avec les caisses, alors qu’on lui a fourni des
gants (évidemment
il y a des cas où il faut utiliser le pied, mais
il ne s’agissait pas de celui-ci)
– il est donc celui qui n’a pas encore le
respect du client ou de l’autre, à qui la caisse
appartient de droit. Il sera considéré un « je
m’enfoutiste » ou un « fumiste » et si
l’entreprise est en difficulté économique et
doit réduire son personnel, le voilà parmi les
premiers dans les listes de ceux qu’il faudra
mettre à la porte si on ne décide pas cela sur
le champ. En effet, cela peut arriver une fois
ou deux que des caisses arrivent démolies, mais
quand cela devient récurant sur le même
parcours, c’est qu’il y a un problème quelque
part sur ce trajet. Cela va coûter des CFP à
l’entreprise de réussir à le déterminer et donc
peut-être même l’endetter supplémentairement.
Aussi le manutentionnaire, sans en avoir
conscience, car il n’a pas encore la conscience
mais appartient à la main d’œuvre (qui
est payée en ignorant tout ce que cela signifie),
coûte encore plus cher et est même devenu un
problème alors qu’il avait la chance d’avoir
cette activité. S’il s’agit d’une entreprise
privée (dont
les capitaux sont sur des économies que des
particuliers ont gagné honnêtement (celles
que les banques ont investi),
le voilà à la porte, tandis que s’il s’agit
d’une entreprise d’Etat, il va avoir une chance,
voire plus que cela de conserver sa place,
d’autant que sur les années qui viennent, il est
supposé changer, et cesser de détruire les
caisses, car les fonctionnaires de l’Etat, vont
lui apprendre très gentiement / aimablement à
mieux travailler ou plus respectueusement de ce
qui lui offre cette activité (en
évitant d’avoir fait de lui un malhonnête)
– ils bénéficient du temps pour cela et de ce
qu’ils se sont mis dans la tête que l’Etat peut
s’endetter pour eux qui ont à former le
personnel – ce qu’une entreprise privée (donc
à capitaux familiaux ou sociaux d’origine privé)
ne peut pas s’offrir comme luxe que rarement ou
les plus riches – d’où la concurrence considérée
comme déloyale entre les entreprises d’éEtat de
celle qui sont sur de réelles compétences
privées ou appartenant à des particuliers
devenus travailleurs indépendants ou autonomes
appartenant à leur entreprise comme à une équipe
qu’ils veulent faire gagner (on
les dit compétitives et à l’origine des progrès
partout : de la richesse car quand le patron
perd des CFP, tous en perdent, puisqu’il a
intéressé l’ensemble de ses employés – en effet,
si l’entreprise réussi ils auront des étrennes à
Noël ou un peu plus de moyens financiers – mais
si l’entreprise est en difficulté, le patron ne
pourra pas leur faire de cadeaux).
Aussi, vous devriez avoir plus de probabilités
de trouver un mauvais serviteur dans une
entreprise d’Etat que dans une entreprise
appartenant à un individu (particulier)
qui en est le patron et qui sait combien chaque
chose dont il dispose lui a coûté comme peines
parfois colossales ou incommensurables pour en
disposer. Celui-ci ne pourra s’entourer que de
collaborateurs les meilleurs et qui sont comme
lui au courant de ce que signifie en absolue
toutes les valeurs vénales, tandis que l’Etat
réputé pour croire pouvoir s’endetter, ne se
verra servi, comme d’autres institutions
importantes, parfois internationales, que par
les médiocres ou les enfants-gâtés (on
les appelle des infiltrés et il y en eu dans
l’Eglise comme dans d’autres grandes
organisations)
– on les dit ces mauvais serviteurs étant à
l’origine des dettes des éEtats qui au lieu de
devenir de bonnes affaires comme des entreprises
privées qui font des bénéfices, sont dans le
sens contraire à être endettés, par conséquent
mal servis – mais on pourra découvrir que les
dettes des éEtats ne sont apparues (ces
derniers temps)
qu’en raison de ce qu’ils furent rackettés par
ceux qui disposaient du pétrole, soit des
entreprises privées ou appartenant à des éEtats
(Opep) qui en sont devenus des Eétats voyoux (donc
appartenant à des particuliers n’ayant pas le
sens de l’Etat (véritable) mais seulement de
leur intérêt particulier (il
s’agit donc d’usurpateurs ou d’imposteurs
s’étant infiltrés dans les appareils d’Etat pour
en prendre les commandes et mettre dans la honte
à jamais les peuples qu’ils prétendent conduire
– surtout pour faire de ces peuples les ennemis
de ceux bien conduits ou bien gouvernés)
– non pas l’intérêt de l’Ensemble et qui ne
recherche qu’à s’enrichir lui seul et non avec
lui l’Ensemble),
donc en réalité les anti-Etats de l’Opep – ce
qui rend donc moins possible d’accuser les
serviteurs des Etats n’ayant pas de pétrole
d’être les responsables de ces dettes – en fait
c’est pour éviter d’égorger ces racketteurs (on
sait depuis toujours que celui qui se comporte
ainsi ne peut être en réalité que l’ignorant, au
mauvais sens de ce mot et non au bon, (il
n’y a que lui pour avoir eu ce sombre dessein de
l’usurpateur à vouloir s’infiltrer dans
l’appareil d’Etat pour être un faux chef d’Etat
ou un incompétent)
c'est-à-dire celui qui fait semblant ou le
menteur – aussi personne ne veut avoir à devoir
perdre son temps à faire couler son sang (à
se battre physiquement)
pour une personne ou des personnes qui n’en
valent pas la peine – elle appartiendra à
celles qui n’auront qu’à se réincarner dans les
plus malheureuses, à jamais – elle l’a voulu et
non les autres qui lui disaient la vérité – elle
a préféré croire aux menteurs et penser que
l’Etat pouvait servir à gruger d’autres Etats –
elle est donc l’ennemie d’elle-même)
et éviter la guerre qu’on a payé ces personnes (comme
on se débarrasse toujours d’un racketteur pour
avoir la paix, puisqu’il s’agit de l’ignorant ou
de la honte incarnée, on le paie (c’est
ce qu’on a toujours fait à ce qui ne sont que
vilenie)
– soit celui qui ne comprend pas qu’il créait
les problèmes à l’Ensemble)
qui sont en réalité de très sombres ignorants,
au mauvais sens de ce mot – soit des égoïstes et
des enfants-gâtés ayant cru possible, avec ce
bon filon, se la couler douce et avoir la vie de
château – ce qui est alors la vie d’usurpateurs
et d’imposteurs ou de tricheurs ou de menteurs (dans
cette situation)
ou celle de personne non-réalistes qui ne sont
en réalité qu’improductives (puisqu’elles
profitent de la production de leur puits qui ne
donnait ce qu’il offre qu’en raison des sciences
exactes de celui qui conseille de mettre le prix
du pétrole le plus bas possible au lieu
d’utiliser ces puits qui ont été remboursés, dès
les premiers jours d’exploitation. Aussi
utiliser ce qu’ils produisent pour racketter et
avoir la vie de ceux qui ne veulent pas se
donner de peines pour aider leurs prochain, qui
pourtant s’en sont infligés de nombreuses ne
serait-ce que pour réaliser les plans de la
solution élégante des puits eux-mêmes (ce
qui aurait dû déterminer ces personnes une fois
remboursés les investissements pour tirer le
pétrole à en baisser le prix, comme tous les
industriels qui plus ils augmentent la quantité
produite, plus réussissent à en baisser le prix
à l’unité à la vente)
ou qui s’en donnent en supplément pour réaliser
tant d’admirables choses grâce à de véritables
compétences, c’est n’appartenir qu’à cette
engeance d’enfants-gâtés dans la cécité et la
surdité à tout ce qui est vrai et qui ne
recherchent que ce qui est faux, suicidaires –
ce qui est la honte de l’humanité)
et à freiner tous les progrès y compris surtout
les leurs et ceux de leurs enfants qui ne vont
avoir entre eux que le mauvais esprit –
Cependant obtenir la vie de château aurait été
possible, mais uniquement légitimement, en
raison de réelles compétences et non de
vols/rackets effectués à l’Ensemble – il aurait
été préférable d’offrir les puits et les
réserves à l’Etat – d’autant que plus de
cinquante pour cent des réserves mondiales
m’appartiennent de droit pour en avoir signalé
les emplacements d’avance (et
d’autre part qu’on sait que les matières
premières appartiennent à Dieu, c'est-à-dire à
tous – par ailleurs cela appartient à l’empereur
s’il sert Dieu ou l’Ensemble – aussi s’il
utilise ces réserves de pétrole pour servir ses
intérêts particuliers, il devient alors le
faux empereur),
de façon que riches collectivement de cette
matière première, elle facilite, au lieu de
devenir un frein général de l’industrie à cause
des coûts qu’elle induit pour les transports à
répercuter sur chacun des produits à la vente –
en fait, il aurait simplement fallu faire ce qui
s’est toujours fait dans le cas de la découverte
d’une matière première abondante ou qui existe
en grande quantité comme, par exemple, le sel :
la considérer comme un bien collectif (un
don de Dieu),
dont il faut donner l’exploitation (comme
les sources d’eau minérale)
à des personnes honnêtes, sachant qu’en raison
de la quantité pharaonique (importante)
parce qu’elle ne manque pas (aussi
le projet de Dieu était seulement généreux,
tandis que quelques êtres humains en ont abusé),
elle ne vaut rien ou presque, mais qu’elle est
cependant nécessaire – il ne viendrait à
personne de refuser le contenu de la salière à
une personne qui trouve que ce qu’il mange
manque de sel et cela est tellement vrai qu’à la
longue malgré les distances de transport très
importantes ou plus importantes encore que pour
le sel, cela est ce que chacun pense aussi au
sujet du poivre ou même de la moutarde
(attention aux ulcères)– c’est
donc qu’ici il est évident que ces produits
devenus de première nécessité seraient gratuits
ou presque, comme tous les autres y compris
l’eau minérale, si le prix du pétrole baissait –
tous y gagneraient au point d’avoir une idée
enfin vraie de la vie de château, donc réelle et
non de celle des malhonnêtes – les produits
rares étant donc ceux qui continueraient à avoir
un coût financier réservés aux personnes ayant
acquis très honnêtement leur fortune – en effet,
une vie assurée du minimum vital pour tous les
terriens est possible grâce à ce que représente
le pétrole comme activités et nécessité –
ensuite viennent les compétences plus rares qui
méritent plus de biens en échange car sinon
personne ne voudra se donner du mal pour les
acquérir – aussi tous les travaux manuels
offrent cette sécurité qu’ils représentent pour
l’emploi, en échange de quoi disposer du minimum
pour manger, voire pour se loger – mais les
voilà à devoir être organisés et il s’agit ici
d’emplois plus difficiles y compris pour les
gérer).
[80]
Je ne suis pas pour la destruction des preuves
que l’ineptie existe ou a existé. Au contraire,
j’ai un côté grenier et aime conserver tout dans
chacune des catégories y compris celle des
péchés, d’autant que s’ils devaient disparaître,
d’avoir été enregistrés permet de comprendre
pourquoi ils avaient à disparaître ou pouvaient
servir de point de départ à se réformer. En
effet, ce qu’il y a de plus grave avec ce mal,
c’est la complaisance qui mène à les réitérer et
à ne plus s’en sortir : on est/tombe malade et
on a des comportements de malades (c’est
ici le plus drôle. Evidemment une fois qu’on est
guéri. Aussi la conservation des inepties, leur
archivage, permet aussi de déterminer quand
elles le sont moins que cela, ou alors dans quel
cas il s’agit réellement de cela, car il y a
aussi des à premier vue ou entendus qui à leur
sujet permettront de conclure qu’elles ne le
sont pas seulement
(en
réalité c’est comme les microbes eux-mêmes qui
sont étudiés dans chacun des cas par ceux qui se
sont spécialisés dans chacun d’entre eux. Si on
ne les avait pas aimé à étudier on n’aurait pas
réussi à trouver le remède – d’où qu’il y en a
qui feront rires certains de très bon cœur –
mais voilà, si par malheur un espion est au
courant, c’est bien pire que la mort qui
arrivera à l’espion. Aussi il aurait mieux vallu
qu’il s’en abstienne et c’est en cela que la
curiosité demeure l’un des pires défauts et
qu’il ne faut pas du tout la confondre avec la
curiosité d’un esprit véritablement scientifique
duquel découleront finalement tous les bienfaits
comme cela fut le cas de la façon de travailler
de S. A. I. SSS Lord. Jules Vernes et …).
Elles peuvent aussi servir aux dessinateurs, aArtistes véritables à/pour proposer des remèdes
et en cela c’est ce qui toujours advînt puisque
malheureusement il y a ces répercutions de ce que
la reine de la nuit a cru pouvoir squatter et
s’approprier une planète qui n’était pas
[uniquement] la sienne, mais véritablement
appartient à toutes les galaxies et à tous les
univers d’avance, mais chacun dans le bon sens
et donc ne pouvant être qu’orchestrés en Vérité
ce qui fait que les inepties sont soumises comme
les meilleurs choses à la loi de la Quantité.
Aussi il est difficile de leur donner de la
valeur à moins de les utiliser comme une sorte
de médicament ce qui a créé l’humour. Le Théâtre
est plein de personnages qui sont la proie
d’inepties et c’est en cela, comme dans le Grand
Cinéma ou la Grande Bande Dessinée (le Neuvième
Art) qu’elles permettent de créer des contrastes
admirables.
[81]
Mais devenus ignorants de ce qui est le bien ou
de ce qui est le mal, les voilà à les avoir
utilisé non-fraternellement, donc à s’être
autorisé ce qui ne se peut aucunement
fraternellement jamais et ce que les nouveaux
propriétaires de cette salle des machines
s’interdiront naturellement puisqu’ils savent ce
qu’on a le droit de se permettre de faire et ce
qu’on doit s’interdire. Ceux qui la restitueront
étant assurés que ceux qui l’obtiendront ne
l’utiliseront pas pour se venger non plus,
puisqu’ils ont montré combien ils ont de la
religion. Aussi elles ne serviront plus jamais
pour faire des cauchemars ou pour contraindre en
recherchant à intimider (d’autant
que tous conviennent fort honnêtement qu’il faut
avoir une activité pour gagner des CFP au moins
avant d’avoir un enfant)
ou à faire peur, mais dans un premier temps,
elle servira à restituer selon un programme de
prise régulière d’un médicament la vision d’Ôz
ou d’Atlantide (ce
qui est synonyme)
et ce qui fait du bien, mais qui ne peut être
restituée que sur un programme précis et avec
des dosages de plus en plus importants, mais
espacés dans le temps, pour qu’on s’habitue à
cela, sans en subir à cause du trop important en
quantité des effets de drogués.
[82]
Au croisement, la croyance. Pourquoi ? Car c’est
ici qu’on prend connaissance de directions
possibles. Si vous ne croyez pas que ce qui y
est inscrit est vrai, vous finissez
effectivement par vous croire dans le « rien »
et donc penser que ce qui a pris tant de peine
pour être installé et rejoindre le hall
d’embarcation n’est pas vrai. Pourtant comme
vous devez prendre l’avion, vous ne pourrez pas
manquer de penser qu’on ne vous trompez pas avec
ce que vous prîtes à tort seulement pour un
mensonge. Vous allez embarquer et l’avion
existe. Aussi vous vous direz que vous alliez
mal à croire que vous n’étiez pas dans le hall
B, c’est que vous avez oublié à quoi servent les
vérités relatives. Si vous ne nommez pas la
flèche ou la direction vous serez à ne jamais
apprendre à parler ni à penser, donc perdu
puisque toutes les flèches mènent au même
endroit qui n’a même plus de nom. Evidemment
cela simplifierait les choses d’autant plus
qu’on les fabrique grâce à la loi de la
Quantité et le même pochoir génialement fait par
celui qui eut l’idée des pochoirs le premier,
une idée qui s’est vite généralisée. Mais voilà,
la flèche que la direction marque vous ne la
percevez que comme c’est marqué et vous êtes
bien contraint de conclure qu’il n’y a pas
« rien » puisqu’il y avait la direction pour
rejoindre le
hall
d’embarquement. Vous y êtes assis en étant
persuadé qu’il n’y a « rien », peut-être pour
d’autres raisons encore plus mensongères car
vous n’avez pas voulu vous donner la peine de
lire ce qui était inscrit sur cette flèche et
donc peu importe la destination, vous vous
croyez chez vous (vous oubliez l’architecte qui
a eu à dessiner les plan de l’aéroport, vous
oubliez tout ce qu’il a fallu orchestrer pour
vous offrir ce rêve ou vous êtes, dans
l’aéroport à être autant persuadé que cela qu’il
n’y a « rien ». Pourtant comment nommez-vous la
chaise thermo moulée sur laquelle vôtre séant
siège ? - « Rien » ! Pas sûr si vous comparez
les couleurs qui y sont comme de l’émail à ongle
luisant [ou verni à ongle] peint pour être ces
sorte[s] de casques sur lesquels les gens attendent
assis un peu différents que ceux d’autres lieux
où vous fûtes et qui ne purent être pourvus de
fauteuil ou de ces « comodités de la
conversation » que grâce à la loi de la
Quantité. En effet, il ne s’agit pas d’un des
rarissimissimes fauteuils à un seul exemplaires
ou deux que le frère de S. A. I. SSS Lord
Giacometti et … a fabriqué de ses mains, ni que
S. A. I. SSS l’impératrice Sérénissime
Sarah Lipska
a fait pour un décor ! Vous voyez il y a
« rien » quand tout est pareil, standardisé,
quand tous sont assis sur le même banc ou la
même chaise. Tandis qu’il y a quelque chose, en
raison de ce que ce mot de chaise peut donner à
S. A. I. SSS Lord. Jean Bois et … une séquence
admirable au Théâtre, quand il eut à la jouer
lui-même après l’avoir écrite comme S. A. I. SSS
Lord. Molière et … .
Il y a des chaises pour les patrons et
des chaises pour les employés et vous êtes le
premier à reconnaître un trône d’une misérable
affreuse chaise. Et si cette chaise avait été
défoncée, elle serait celle sur laquelle vous
auriez évité de vous asseoir (il
y a des probabilités d’avance en pourcentage
importants pour ça, en raison que vous en seriez
même choqué et que vous voudriez vous plaindre
qu’elle y soit, réduite à cet état pitoyable de
sculpture lamentable, pardon bancale – vous
voyez-bien qu’il n’y avait « rien » - autre
exemple d’anti-phrase).
(A poursuivre, j’abrège)
[83]
C’est ici qu’il n’y a vraiment plus de doute à
avoir au sujet de cette loi sur la Quantité qui
a touché comme le reste jusqu’à la matière
première du thé et enfin le sachet de thé et les
boîtes de thé. Hélas, comment voulez-vous
distinguer deux grains de théïne différent dans
tous les pains de thé (j’emprunte
l’idée de pain aux agglomérés des pains de sucres
marocains car j’ai eu à en acheter un ou deux
avec S. A. I. SSS Florence Loewy)
ou même des admirables
Twinnings
qui loin d’être seulement des baumes sont à
illustrer parfaitement cette notion qui gouverne
les matières premières dans les commerces et qui
offrent tant de merveilleux voyages à ces
personnes assises sur des admirables fauteuils,
eux-aussi fabriqués en quantité importante en
nombre, ce qui leur permet, avec les radios des
mêmes modèles mêmes fabriqués en grande
Quantité, en bénéficiant de cette loi de la
Quantité, d’écouter ce qu’ils souhaitent dans
l’éventail des chaînes/directions proposées.
Vous vous voyez-bien qu’il y a autre chose que
le « rien » car si ces chauffeurs étaient
convaincus qu’il n’y a « rien », les cargaisons
seraient à être passées au-delà des flèches à
suivre ou des lignes infiniment plus longues que
celles de Nazca et d’un autre genre (puisqu’il
n’y a eu qu’à les peindre)
au moins visibles de la hauteur où on est et qui
les maintiennent dans les voies, hors des marges
pour s’arrêter d’urgence, ces camions alors
accidentés comme la chaise dans le décor – tant
qu’ils ont cru qu’il y avait bien ce qu’ils
voyaient, ils n’eurent pas de problèmes – ce
n’est que quand ils ont oublié qu’ils étaient
entrain de conduire la cargaison parfois
précieuse qui leur a été confiée, qu’il sont
sortis de la route – oublier qu’il n’y a pas
‘rien’, mais au moins se souvenir des paramètres
qui mènent à un croisement vers la bonne
direction à suivre, est la qualité minimale
exigée. Les gens de Nazca n’ont pas représenté
des zigzag ou des embardées, mais des sortes de
croix ou lignes en diagonale qui se croisent, en
X – à chacune de ces intersections un point :
l’angle qui a pris chair au sol par des cailloux
ou des pierres qu’on ne peut remarquer que mieux
qu’en les survolant – aussi cela signifie que
celui qui a fait très patiemment ces merveilles
était capable de reconnaître chacun des cailloux
ou des pierres (qu’il
a dû organiser à partie de celles qu’il a trouvé
peut-être comme sur Mars ou sur la Lune alors
que seulement à quelques lieues du village de
Nazca) et de
se souvenir du plan qu’il avait dessiné, au
point de créer, sans les voir, ces traces au sol
en les déduisant en conformité et à l’échelle de
ses plans – c’était Dieu lui-même qui est
encore, par Charité à permettre à des personnes
de gagner honnêtement des CFP en ayant le
plaisir de voir l’œuvre parachevée alors qu’il
est probable que de son vivant, l’homme de Nazca
ne put jamais disposer de ce recul pour corriger
là où il y aurait une erreur ou mieux à faire –
comment fit-il pour se repérer ? Sur le sol, au
sol tous les cailloux se ressemblent et chacun
des grands animaux est à un endroit qui comme
les galaxies est loin d’une autre, ne
s’enchevêtre pas comme les lignes qui elles
auraient cette fonction d’aboutir à des pistes
se croisant – rien n’est possible sans le
repérage géographique à plus ample échelle, ne
serait-ce que pour revenir au village après ces
travaux immenssissimes : il y avait un projet de
mariage et toute sa vie il eut l’espoir que cela
permettrait à ses enfants de voler – chacun
avait un nom d’animal merveilleux et était une
galaxie ou un univers lointain à atteindre –
personne, personne n’aura les larmes qu’il faut
verser pour pleurer ce qui advînt d’horrible et
dont tous nous seront coupables – il est évident
qu’il pouvait si on lui avait confié la vieille
salle des machines éviter toutes les guerres du
futur mais même ceux qui volaient ne comprirent
pas – ils furent donc à jamais transformés en
réincarnations abominables et si affreuses qu’à
cette heure-ci chacune de leur âme est en route
pour les ères préhistoriques d’où on sait
d’avance que ce fut pour eux bien pire que les
plus atroces fins comme pour ceux qui tirèrent
profit de ces traces admirables ou des œuvres de
céramiques Nazca sans songer avec une partie des
gains à protéger les momies de la famille de ce
génie à Nazca – pire en détroussant, en pilleurs
de tombes, les momies de Nazca – ce qui arrivera
à chacun de ceux qui crurent possible ces
forfaits est la même chose que pour chacun de
ceux qui recherchent en faux dentiste l’or des
dents des personnes qui ont pu se faire soigner
ainsi – s’ils ne versent pas tous ces cff, cfu,
cfs, cfm ou ces sommes qu’ils n’ont pu obtenir
qu’en corrompus à quelques uns des organismes
véritablement charitables (et
non de faussaires),
leur âme est mal partie : pas dans la bonne
direction ou le bon sens en tout cas, mais dans
celle qui les mènera à n’avoir que d’horribles
malheurs).
[84]
Ou la malchance car peut-être cette sorte de
momie en souffre. Mais en tout cas, si elle a
survolé Nazca a pu remarquer que les gens
l’aimait bien, puisqu’ils créèrent ces
admirables signes qui n’étaient visibles que de
lui seul ou de ses semblables volant.
[85]
Ainsi écrit ce mot a visiblement servi à se
poser la question des « vendanges » ou du moins
à réfléchir à partir du latin, du grec et de
l’italien (vendemia).
Evidemment il ne s’agit aucunement de
‘vengeance’ dans la ‘vendange’, mais il y a un
risque avec l’alcool qui non consommé sobrement
peut amener à se « veanger » au lieu que si plus
sobrement consommé avec d’autres boissons, elles
l’éviteront et éviteront que la société ait à
intervenir en ayant parfois à devoir prendre le
parti du profane contre celui qui est le plus au
courant. En effet, c’est le profane qui est
l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, et non la
personne la plus instruite, et c’est pourquoi le
Christ accepte la crucifixion, puisqu’il sait
d’avance que le profane n’est que pécheur, donc
uniquement et seulement constemment dans
l’erreur à chacune des fractions de seconde de
son existence, même quand il croit se comporter
« bien ». En effet, le profane n’est qu’à faire
semblant puisqu’il utilise la salle des machines
pour espionner. Il triche et donc ne connaîtra
jamais la vérité, mais seulement la fausseté et
avec, son corollaire de malheurs – mais c’est le
profane lui-même qui l’a voulu et recherché.
S’il avait été attentif à tous les sens des
textes sacrés, comme s’il avait essayé de
comprendre ce qu’ils cachent, il aurait été le
Christ ou du bon côté à préférer souffrir,
plutôt que de s’abaisser ou s’humilier à devenir
aussi criminel : jamais (y
compris en pensée – évidemment, cela signifie
que quand un chrétien se défend physiquement ou
frappe, ce n’est nullement par vengeance mais en
raison de Justice – ce qui est différent).
[86]
De nourriture, par exemple ou autrement : de
jeux permettant de développer des capacités
comme des jeux éducatifs.
[87]
C’est merveilleux de retrouver la phrase latine
avec le verbe à la fin. Elles avaient donc été
inscrites par les premiers auteurs latins
modèles dits classiques en sacré.
[88]
« Etant donné que » peut se dire par deux
points. Ce qui a permis d’éviter dans les temps
passés que ces caractères aient à être inscrits
et à user ces lettres qui devaient en priorité
servir à d’autres contenu de phrases. Aussi cela
a contraint les gens à plus d’études pour
accéder à des textes beaucoup plus travaillé que
les miens puisqu’il y avait cette contraintes
éditoriales liée aux imprimeurs soucieux de
réduire les coûts. C’est pareil avec « puisque »
qui fut remplacé par un point et qui a contraint
des phrases a être plus courtes ou scindées, ce
qu’il vaut mieux pour les gens débutant ou
élémentaires sauf quand étant donné et puisque
réapparaisse ou d’autres trésors de langue. En
fait des ancêtres de liens
hypertextes ou de
laurYens
car il s’agit d’un résultat, la phrase à
partir d’une donnée qu’on a l’amabilité de
rappeler, car celui qui lit n’est pas forécement
au courant de vôtre référeant, ce qui est donc
aimable et qui est en réalité le signe de
l’addition +, car / puisque la phrase doit être un
résultat exact (la preuve). L’écrivain ne peut
le devenir que mathématicien, comme le
mathématicien ne peut advenir sans l’écrivain (d’où
les dDémonstrations … qui ne peuvent advenir
sans une totale cohérence).
Aussi le point au-dessus ( . ) aurait pu être un
« car », un « puisque », un « étant donné », au
point que ces locutions seront des synonymes de
cette ponctuation qu’on retrouve en les diverses
autres sciences.
[89]
Mais comme c’est en liaison avec la notion de
variateur, les voilà du minimum au maximum
[d’ineptie] (Averel,
à première vue pour ne pas déplaire à Joe).
Ce qui a fini par les rendre sympathique à la
longue (qu’est-ce
que serait le monde sans les Dalton et le chien
Rantamplan ?)
[90]
Mais ici il ne faut pas confondre avec
l’actuelle Egypte, une région ancienne, une
nation qui est toujours le long du
Nil.
Aussi il s’agit de L’Egypte au sens
métaphysique, spirituel, artistique, etc. : la
hHaute-Egypte qui n’est pas la Bbasse-Egypte où
sont ceux qui sont devenus des morts et qui ont
triché. Donc tous ceux qui sont en enfer ou dans
la nuit pour l’instant, tant qu’ils n’auront pas
renoncé à utiliser, en devenus inconscients, par
exemple les machines d’Atlantide / d’Ôz / … , tant
qu’ils n’auront pas renoncé à espionner, tant
qu’ils n’auront pas renoncé à pécher. Ils sont
donc nuisibles à/pour l’Ensemble, par conséquent
à eux-mêmes, à leurs enfants, donc impurs.
Pourquoi ? Parce qu’ils ont perdu ce qui est
absolument capital pour survivre et qui était
dans la tête de chacun dès la naissance : la
conscience, cela en raison qu’il y a eu des gens
[le
contexte familial ou social dans lequel ils sont
nés, en fait l’entourage]
qui se sont ingéniés (parfois
même non pas méchemment ou même avec
préméditation, mais surtout en raison d’héritage
contextuel qui serait simplement une ou des
mauvaises habitudes ancestrales dûes au départ à
l’ignorance au mauvais sens de ce mot qui a
conduit ces personnes à avoir leur esprit dans
leur tête qui s’est [comme] refermé)
à [les] faire oublier et à refermer le lieu où
celle-ci se trouve, blanche et immaculée (qu’on
soit de race blanche, de race jaune ou de race
noire ou même de race métis, ce qui est en
réalité tous au départ, car il y a ici le sens
de ce mot qui varie au point qu’un enfant que
vous auriez eu d’une voisine de la même
race / espèce que vous est un métis ou même que
vous auriez eu avec quelqu’un de vôtre ethnie
(une cousine) et cela ira dans ce qui est le
plus usuel ou habituel de considérer ce mot à
propos des races, quand vous créez une couleur
intermédiaire, qui est donc le fils / fille d’une
personne d’une couleur avec une autre personne
étant d’une couleur, à première vue décrites –
cela est un procédé habituel / courant en peinture
ou en cuisine : les sauces sont issues de
métissages de races / espèces différentes, comme
la plupart des couleurs qui ne sont pas celles
appelées « primaires » / de base ou fondamentales
liées à la notion de soustractif ou l’inverse).
D’où que quand le Bouddha s’en est rendu compte,
il a conçu des méthodes (par
le travail et les efforts physiques)
comme/pour la nécessité de la retrouver, ce qui
s’est imposé aussi au Christ qui a compris et a
réussi à le faire savoir, grâce à Saint-Jean
Baptiste (et
à cette notion de colombe qui est même devenu un
prénom pour fille (utilisé
en Corse, par exemple)
Colomba
ou même un nom de famille célèbre S. A. I. SSS
Lord [Amiral]
Christophe Colomb …
) et cela a donné
depuis le Sacrement du Baptême (au
point qu’on comprenne qu’on ne l’obtient que
quand on a réussi à arriver comme en Amérique (la
Haute-Egypte)
pour devenir une sorte de
colon
d’un nouveau territoire (c’est ici utilisé en
Médecine pour signifier un lieu de passage,
souvent fréquenté : c’est le l’intestin côlon –
l’accent circonflexe, très important permettant
de différencier à l’écrit comme à la lecture,
cette notion qui signifiera ici « voyage des
aliments au cours de la digestion » vers
l’orifice anal qui permet aux espèces animales
qui en sont pourvus d’éjecter ces substances
rejetées ce qui a été compris pour quelques unes
d’entre elles comme de marquer un lieu où elles
déposent ce que leur estomac a produit, comme la
poche qui sert à la vache pour ruminer les
herbes et produire du lait, en fait on peut
aller jusqu’à dire que les insectes colonisent
par ces petits excréments la planète et c’est
ainsi que la terre est faite de cela et que nous
sommes donc le hôtes des insectes, cette Terre
est chez eux depuis des millions d’années et ils
l’ont produite en mastiquant en herbivores les
feuilles des arbres à l’automne en se
nourrissant
de « substantifiques sèves » avec celles des
herbes – aussi il y a plusieurs niveaux de
colonisations et d’hôte ou de précédence en tant
que légitimes propriétaires à qui Nous devons
tous les bienfaits, mais le premier chez l’être
humain sera la conscience qui permet de se
rendre compte en vérité de ce qui est vrai et en
vérité de ce qui est faux), ce Nouveau Monde
qu’est en définitive le monde de la conscience (vous
y trouverez tous les grands aAuteurs dans toutes
les Sciences (de l'aArt) les plus précises dont,
par ailleurs, la Théologie, la Morale,
l’éEthique, etc. mais aussi les Sciences dures
ou pures)
– ce qui aura comme synonyme d’autres mots)
qui célèbre donc le moment où un être humain a
finalement retrouvé l’accès à la conscience (cela
peut arriver au moment de la Première Communion
ou alors de la Confirmation, d’autres
sSacrements qui sont en liaison comme tous les
autres avec le premier : le Baptème),
donc grâce à elle, parfois, au Saint-Esprit ou
du moins pour commencer à un esprit sain (ce
qui est déjà ça de bon ou un bon point – aussi
cela signifie qu’on ne pourra retrouver
un esprit
sain dans un corps sain que seulement ou en
parti grâce aux très grands fondateurs des
principales religions et par conséquent pour la
plupart d’entre eux, (sauf
le Bouddha, l’exception qui confirme la règle),
uniquement grâce aux textes fondateurs de la
Sainte Bible hébraïque – et les occasions de
retrouver cet esprit sain seront nombreuses, au
cours de l’existence humaine, puisqu’il y a de
nombreux mots qui sont reliés à des étapes clés
dans la vie de chacun, dont, par exemple, celui
du « mariage » - ce sont les mots qui impliquent
de grandes décisions et de graves
conséquences puisqu’elles sont, si on attend des
enfants sur plusieurs générations à devoir
prévoir (en général on va se soucier d’une
« maison » ou d’un « logement »: d’où qu’ils ont
donné lieu pour chacun à la compréhension de
ceux-ci (vastes
chacun comme plus que des millions de
bibliothèques – en minimisant - en nombre
d’occurrences où ils furent employés dans la
même idée du sens qu’ils ont depuis longtemps
chacun officiellement),
grâce à des cérémonies : celles-ci sont souvent
celles d’autres que vous-mêmes, mais permettent
donc de se rappeler que ces mots sont des étapes
considérablement importantes, par exemple dans
la vie d’une femme qui va, parce que nubile,
avoir des enfants officiellement reconnus par le
père de l’enfant avec lequel elle a décidé de
fonder une famille, même si ce père devait vivre
ailleurs – ici ce sont des arrangements et des
décisions qui concerneront le couple (tout
cela étant soudain très grave, puisqu’il y a en
jeu des questions financières à cause qu’il
faudra réussir à nourrir l’enfant ou même plus
qu’un puisque souvent cela s’est passé)
– il ne faut pas confondre des emplois du temps
qui découlent des mariages avec ce qui a fait
qu’on arrive à cette décision de l’officialité
du mariage qui est totalement autre chose que
l’officieusité – et cela le sera d’autant plus
que les intéressés ne sont pas au courant de
l’existence de la vieille salle des machines –
et c’est pourquoi ce n’était pas une bonne idée
de le cacher à qui que ce soit – bien sûr on se
dira que c’est impossible de mettre au courant
chacun de ceux qui naisse qu’elle existe, mais
il incombait à ceux qui y avait eu accès de le
faire savoir à tous ceux qui n’en savait rien –
ne pas l’avoir dit a donc été l’acte le plus
non-fraternel qui soit et donc l’inverse même de
la fraternité, par conséquent ce qui a été à
l’origine de la naissance de l’ineptie et avec
les malheurs et la Bbasse-Egypte, c'est-à-dire
ceux qui vont avoir entre eux la mentalité de
profiteurs de tous ceux qui travaillent à des
choses extrêmement complexes dont il est
probable qu’ils n’aient jamais compris pourquoi
puisque ces personnes avaient accès à cette
vieille salle des machines (dont
je n’ai obtenu la confirmation qu’elle existe
que depuis deux ou trois mois vers septembre
2014 seulement)
qui est pourvue de gadgets – aussi si ces
gadgets sont utilisés n’importe comment et en
dépit de l’existence de cette conscience, donc à
l’inverse en inconscients, il est logique et
normal que cela ait donné toutes les situations
tragiques qui furent dûes à l’incompréhension
entre d’un côté des gens raisonnables qui vivent
avec tout ce qui découle d’exacte, de juste, de
mesuré, de cohérent avec l’ensemble des
sciences, des catégories et des religions et de
l’autre des gens qui n’ont plus accès qu’à
l’ineptie de ceux qui ont progressivement eu la
disparition de cette conscience les menant à
croire possible ce qui est tout à fait
logiquement inconcevable, nuisible ou
dommageable
prévisible d’avance par tous ceux munis de
conscience – donc de discernement – aussi il
n’est pas étonnant qu’à l’aune de cette simple
évidence cela ait fini par donner hHaute-Egypte
et Bbasse-Egypte – mais cela est aussi relié à
l’existence du variateur de la vision
d’Atlantide ou d’Ôz et ceux qui furent au
courant de son existence en raison de ce qu’ils
eurent accès à la vieille salle des machines
sont donc ceux qui n’ont plus que la lumière de
« la sombre nuit », c'est-à-dire ce qui va
caractériser des personnes devenues subjectives
ne pouvant plus comprendre toutes celles qui
sont d’une logique aussi implacable que celle
des Einstein ou autres personnalité n’étant qu’à
l’inverse d’elles très conscientes puisque très
vraies au point que ce ne sera que d’elles
seules que découleront tous les savoirs
faire, tous les progrès, toutes les véritables
connaissances et finalement toutes les richesses
qui permettent de rémunérer la main d’œuvre,
grâce aux économies ou en prévoyant sur les
revenus qui seront possibles – tout cela n’est
donc plus ici que la Haute-Egypte ayant accès à
la Haute-Finance, en réalité par Charité pour
l’Ensemble dont elle fait partie. Aussi le
moindre espionnage aboutira dans tous les temps
passés à la destruction systématiques de ceux
qui n’avaient pas le droit d’espionner et qui ne
se conduisent que non-fraternellement, même
s’ils croient avoir la meilleure intention du
monde vis-à-vis de celui qui est l’objet de
l’espionnage – tout est alors permis en légitime
défense contre autant de sacrilèges : toutes les
pires armes, jusqu’à l’explosion du soleil car
personne n’a le droit de s’approprier (à
un petit groupe, pour un club)
une salle des machines qui appartient / tenait à
tous : il y a tromperie, etc. d’avoir cru
possible une telle horreur ou un tel sacrilège
vis-à-vis de ceux qui n’ont fait que donner des
preuves que la fraternité ne les a conduit qu’à
élaborer les plus admirables merveilles – aussi
le péché et le sacrilège de ceux qui ont
espionné ces grandes figures est si fort qu’ils
se sont bien pire que damnés pour toujours dans
les pires souffrances et les pires malheurs
jusqu’à ce que cela cessera enfin et que ces
jouets seront remis à la nouvelle
légalité/légitimité qui ne sera nullement à les
utiliser pour exercer un quelconque chantage
avec, puisque cela est incompatible avec
l’esprit (le
vrai et non le faux)
des religions ou de tout ce qui découle de ce
qui juste ou vrai ou possible en communautés de
sociétés toutes différentes ayant à vivre
ensemble).
[91]
On peut mettre un accent circonflexe en raison de
la règle concernant
forêt.
En italien on dit « bastimento » pour navire ou
embarcation et donc on retrouve ce « s » de
foresta
qui a permis cet accent circonflexe sur le
mot en français. On retrouvera dans le mot de
bâtiment
la proximité avec le mot de
bâteau.
[92]
Mais voilà, le problème va se corser entre ceux
qui ont l’intuition du sacré ou même qui ont
accès à l’évidence des dimensions sacrées et
ceux qui n’en ont plus d’aucune façon le soupçon
qu’elles existent. Aussi d’un côté les Dix
Commandements paraîtront évident ou acceptables
(un
bon compromis, de bons conseils à éviter de
transgresser si possible et selon les situations)
à suivre comme d’autres recommandations
religieuses peut-être plus difficiles encore à
suivre et de l’autre évidemment à transgresser
ou même à considérer comme mensongers, d’autant
plus qu’on aura pris l’habitude de les
transgresser. Aussi voilà un écartèlement qui
se produit contraignant à défendre ces
Dix
commandements (une
sorte de base ou de socle qui a fondé la
civilisation des personnes ayant à devoir vivre
ensemble – en général avec la Bible en commun)
en légitime défense et donc parfois à les
transgresser y compris militairement – et voilà
comment apparaît la distinction entre vie civile
et vie religieuse, avec pour le profane la
possibilité d’en souligner, à première vue
l’hypocrisie (dont
ont conscience les grands aAuteurs comme
Molière, par exemple avec son Tartufe).
En réalité rien de ces combats ne seraient
advenus, si la salle des machines avait été
rendue à ceux qui étaient religieux qui se
seraient interdits de l’utiliser autrement que
pour rétablir la vision d’Atlantide, voire
simplement pour punir celui qui dérobe, ce qui
n’est pas à lui de droit (mais
pour cela, il n’y a pas besoin de la salle des
machines. On le détermine autrement, étant donné
que chacun sait honnêtement ce qui lui
appartient de droit : c’est ce qu’il a pu
acquérir lui-même (ou
les personnes chez qui il vit)
avec des CFP et non avec des cff, cfu, cfs, cfm
ou cfcch). De
plus, il est probable, qu’une fois la salle des
machines rendue les questions financières
deviendront moins importantes. C’est parce
qu’elles est entre les mains d’uniquement
profanes que cela est un danger pour l’Ensemble.
[93]
En effet sur cette notion de l’à première-vue,
c’est bien le fait que la vision d’Atlantide ou
d’Ôz
ou d’Eldorado ou du Paradis ou de
Schtroumpf ait disparue qui a engendré cette
notion elle-même. En effet à première vue les
murs sont uniformément de la même couleur, les
rochers sont uniformément de la couleur rocher
ou les sols sont uniformément formés de gravier,
ce qui est possible en raison de la loi de la
quantité et de la rareté. Ils ne sont pas en or,
mais en graviers qui coûte le prix auquel il est
vendu en raison de cette énorme quantité de
gravier qu’on trouvera et qui rend cette matière
première ou seconde (si
elle est produite)
non rare et facilement à répandre par des
travailleurs manuels qui, parce qu’ils sont en
nombre immense ou en énorme quantité, ne peuvent
pas être payés comme Pollock, quand il fait les
toiles avec des
action
painting. En effet, ce que ces travailleurs
manuels font n’a rien de rare ou d’exceptionnel
et n’a pas engendré des coûts supplémentaires (qui
sont portés sur les comptes particuliers de
l’aArtiste)
comme ceux que cet aArtiste a dû affronter pour
réaliser ses toiles. Ils ont eu à verser ces
graviers comme on ouvre un robinet d’eau et
qu’on a à étaler de la pâte – soit une chose qui
n’a pas exigé ces investissements financiers
pour être maîtrisés et par conséquent n’être le
propre que de personnes très rares (qui
prennent donc des risques financiers personnels
ou particuliers qui les engage eux-mêmes comme
le devenir de leur famille).
[94]
On n’en a pas la mémoire tout à fait exacte ni
de la formulation (souvent complexe) – aussi il
est souvent préférable de disposer d’écritures
ou de notes (et
d’intervenir à partir des communications écrites
plutôt qu’orales – évidemment cela va nuire au
côté spontané ou chaleureux de discussion et
cela mène à la communication du spécialiste : il
a étudié la question délégué par l’Ensemble et
par conséquent réclame une rémunération, ce qui
est normal – il ne parle pas pour mentir ou
tromper, mais en expert – voilà donc ce qu’il
vaut mieux sur la base de son expérience – et ce
seront, à l’époque en question,
les Dix
Commandements qui apparaissent comme une
œuvre d’art scensée ou nécessaire apparaît (un
décret de salut public, une règle du jeu pour
réussir à vivre ensemble. Soit ce qu’il vaut
mieux)
– elle induit en général un devoir de fidélité –
mais bien sûr elle va avoir pour conséquence
l’écartèlement qui existera entre ceux qui
comprennent pourquoi cette nécessité et ceux qui
ne le comprennent pas toujours aussi bien que
les autres car en difficulté cérébrale, les
premiers comprenant d’autant plus qu’ils
comprennent que ceux-ci résultent d’une avancée
considérable ou très importante depuis le
Sacrifice d’Abraham, déjà considéré comme une
avancée ou une solution élégante ou cette
alternative pour éviter de sacrifier le fils –
donc d’un point d’évolution de l’être humain
devenu encore plus social ou donnant la preuve
d’être à l’origine ou la conséquence d’un haut
degré de civilisation : il se refuse donc à
rejoindre les abrutis ou tous ceux qui ne tenant
pas compte des avancées historiques ont préféré
régresser et involuer, donc d’être l’ennemi de
l’Intérêt Général véritable (de ne pas tenir
compte des étapes et des acquis principaux que
la civilisation a apporté – c’est alors que le
fossé se creuse encore plus entre ceux qui ont
évolué et sont à cause de cela d’un raffinement
exquis en tout (en général la famille royale et
la cour) comme ont perdu toute vulgarité et
grossièreté au point de ne plus même avoir
d’affinité avec le grotesque et tous les autres
qui y sombrent corps et biens, mais en réalité
dans pire que cela, puisqu’ils n’apparaissent
plus partout qu’en sombre Dalton on Lontarins,
soit à l’origine du comique ou du rire, s’ils
n’étaient pas devenus très dangereux pour
eux-mêmes, leurs enfants et l’ensemble car bêtes
ou capables d’utiliser leur métier pour devenir
nuisible ou profiter d’un pouvoir qu’ils
auraient – celui d’avoir le droit de mettre des
contravention à des infractions et de les mettre
à des personnes qui ne les méritaient pas. Mais
comment savoir ? Lontarin sait très bien qu’il
s’agit de personne ne disposant que de très
faibles rémunérations et pourtant va les
pénaliser. Il profite de son uniforme pour
assouvir une méchanceté dans laquelle il est et
profite lâchement de ce qu’il représente la
préfecture de police pour cela – c’est donc
comme le prêtre qui profitera du pouvoir de
l’Eglise pour interdire et punir et non pour
interdire pour amener l’autre à comprendre
pourquoi il vaut mieux s’interdire ce qui est à
devoir s’interdire – cela va donner ici les
personnes « comme il faut » ou qui vont trouver
mal qu’une personne ait deux femmes ou qu’une
jeune femme ait deux amants – en effet, il
aurait mieux valu qu’elle choisisse et cela à
cause de l’enfant qui n’a qu’un des pères
génétiquement et non les deux ou même plus que
cela – de le faire croire à la jeune fille est
faux bien que l’enfant puisse se choisir
plusieurs pères spirituels).
[95]
Sur un autre plan chacun des métiers découle de
l’intervention de l’esprit qui a permis de le
codifier. Mais il y aura toutes les matières ou
catégories plus spirituelles au point de
permettre de comprendre en quoi elles sont en
relation avec les religions.
[96]
Or nous avons bien compris que la situation
générale a mené à se tromper à propos des à
première vue ou des à premier-entendu qui ne
seraient pas issus de pensées exactes ou
d’expériences menées scientifiquement, grâce à
l’expérimentation (comme
nous eûmes à la devoir mener au cours de ce
Sacrifice christico-bouddhico, judaïque et … ne
déplaisant ni aux gens d’Islam ni aux laïcs et
profanes. Il s’est avéré être comparable à celui
du Christ mais pour un couple impérial, ce qui a
permis plus facilement de grands progrès – en
effet, ce n’est que quand l’empereur se sacrifie
qu’il réussit à comprendre Dieu et donc d’athée
ou de laïc comprendre toutes les dimensions qui
lui était interdites sinon en tant
qu’enfant-gâté, adolescent et égoïste – ce qui
le définissait avec sa bande de très vulgaires
maître-chanteurs n’ayant aucune bonnes manières
de civilisé, croyant pouvoir régler les
problèmes sur des à premier entendu ou vu alors
que la disparition de la vision d’Atlantide
signale qu’il faut se méfier des à premier-vue
puisque ceux-ci qui offrent des murs
uniformément peints d’une seule couleur cachent
la révélation du Paradis – l’heure n’est donc
pas aux à premier-vue ou entendus, mais à tous
ceux qui sont les plus élaborés – par exemple
qui décriront sur une étiquette d’eau minérale
les composants chimique de l’eau, ce qui
attestera qu’il y a un autre niveau de lecture
que celui à première vue et qui est celui des
sciences de Dieu ou du très véritable Grand
Architecte de l’Univers qu’on ne peut pas gruger
puisqu’il ne vous à pas grugé y compris sur le
prix des choses vendues : elles sont à ce prix
en raison de ce qu’il y a ceux qui ont voulu
tromper Dieu et le Grand Architecte de l’Univers
sur cette planète et se comporter aussi non
fraternellement que cela en escroquant avec
l’augmentation du prix du baril de pétrole – les
voilà un par un repérés par eux-mêmes s’étant
désignés et leur famille y compris dans les
Bourses du monde entier, puisqu’ils avaient fait
monter le prix du baril de pétrole au lieu de le
faire descendre – voilà les ennemis du genre
humain et d’eux-mêmes, voilà les égoïstes
au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce mot (dans d’autres
S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.),
occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))
qui se
sont appropriés une matière première en
abondance qui avait été mise sur cette planète
par ce dieu ou le Grand Architecte de l’Univers
pour des raisons justes – voilà ceux qui sont
les faux frères et les faux parents – voilà ce
qui est intolérable et qui s’est lui-même puni
puisque les réincarnations qu’il obtiendront
seront en proportion du mal qu’ils ont fait).
[97]
A l’heure actuelle, se permettre de parler sans
avoir consulté les définitions dans les
encyclopédies ou sans songer à se référer à un
texte de spécialiste, c’est risquer gros, comme
sa réputation dans l’avenir – heureusement que
d’autres travaux, plus admirables, pourront
permettre de la rétablir (mais
il y aura tous ceux qui sont au courant de vôtre
désir de fausser ou de ce que vous avez été
faussaire et si vous n’avez pas alors le
Saint-Esprit sur vous ou pensé à ce que cela
soit admissible canoniquement dans un cas
particulier qui le rendrait admissible, vous
voilà à comprendre d’avance que si vous deviez
avoir eu une statue de vous en bronze, elle sera
déboulonné et le bronze récupéré (au détriment
du travail de l’artiste qui avait peut-être fait
du bon travail, aussi ce sera dommage car ce
qu’il y avait de beau dans cet escroc n’était
que l’aArtiste et non l’escroc – en effet, l’aArtiste
voyait au-delà de l’escroc, comme Victor Hugo
avec Jean Valjean et donc s’est donné du mal
pour rendre beau ce qui n’était que laid) comme
celle de lénine ou de staline partout ou celle
de mao ou celle de chacun des imposteurs ou des
usurpateurs car elles ne sont pas comme celle
d’Archimède ou d’Aristote ou même seulement des
représentations de Platon ou celles qui concerne
au
Walhalla les grands compositeurs de musique
classique ou d’autres grands hommes au point
d’être véritables en tout comme celle d’un
Delacroix ou d’un Jules Vernes, des
panthéonisables, comme Gustave Doré – et comme
l’avait reconnu Jean Rouch, il s’agit de bien
tristes sires : de vulgaires et « très
minables » escrocs qui n’ont donc été servis que
par des escrocs ou des faussaires, soit moins
encore que la lie : ce qui ne sera jamais que
méprisable en soi par l’ensemble du genre humain
véritable mais surtout par ces personnes
elles-mêmes s’étant mises dans cet état en ne
voulant écouter que des menteurs au lieu
d’écouter des personnes véritables – mais voilà,
à première vue – j’ai vérifié – pour ces
personnes devenues fausses, les personnes
véritables sont des menteurs ou des faussaires –
et c’est ici le tragique car elles sont
persuadées d’être honnêtes elles seules – or,
j’ai eu à vérifier qu’elles ne disposent plus
des paramètres que les autres ont en tête et
c’est donc comme si pour devenir faussaires, il
leur manquait la tête – aussi les voilà comme
Lontarin à appliquer des lois ou un règlement
dont ils se souviennent et qui dans cette
situation ne devait pas s’appliquer – ils ont
pourtant l’idée qu’ils sont dans le vrai en
raison de ce référant mais comme tout est obscur
encore au sujet de ce règlement en liaison avec
chacune des situations possibles, les voilà à
faire l’erreur – et c’est pourquoi ils se
rendent alors coupable de ce qu’il faudra perdre
le temps à contester la contravention obtenue,
en comptant sur la compassion d’un plus haut
gradé qui versé dans les écritures manuscrites
ou dans les situations décrites plus justement
comme capable de prendre en considération ce
qu’a représenté comme peine d’avoir dû perdre ce
temps à la contester très justement (peut-être
seulement pour des raisons financières
compréhensibles),
en supprimant la contravention aura ici bien agi
– tandis que l’agent en question considéré pour
toujours un âne – puisqu’il aurait dû être
capable d’apprécier la situation au point de
s’interdire la contravention dans ce cas
particulier – la personne ne lui ayant pas menti
– non, le voilà à avoir lâchement profité de son
insigne et donc attrapera des maladies graves
que les lâches obtiennent, puisqu’il a voulu
être non fraternel, au lieu de rechercher le
contraire, grâce à la chance d’avoir cette
activité – en effet, il était assuré d’être
rémunéré justement, donc pour apprendre à se
montrer juste mais en a profité pour être
injuste, ce qui le déshonorera comme Lontarin ou
le faux-flic ou comme le maire de Champignac,
soit le faux-maire – c'est-à-dire précisément
celui dont la statue est intrinsèquement
contestable – mieux que cela : doit être
contestée car elle n’est pas une des très
véritables).
[98]
Justes, nous l’avons remarqué sur les bases de
la loi de la Quantité et de la Rareté, de
l’Offre et de la demande mais aussi de la
concurrence comme aussi d’autres paramètres en
fonction des cas particuliers (nous
l’avons vu, ils interviennent comme plus haut
pour le chargement de banane qui est différent
d’un chargement de DVD – il en va de même de
chacune des activités qui ont requis qu’elles
figurent quantifiées ou décodées y compris en
relation avec ces investissements de départ pour
les maîtriser – aussi on aboutit à des sortes de
moyennes, mais aussi en ayant à comparer avec
d’autres activités – c’est ici qu’on s’apercevra
que de nombreux grands patrons sont sous-payés y
compris des présidents de république ou des
gouverneurs ou des princes à l’aune de leurs
responsabilités et cela s’il s’agit de personnes
réellement compétentes).
[99]
C'est-à-dire en réalité des tarés pour
longtemps, soit des Lontarin ou des Dalton (une
autre variante de la même espèce de malades).
[100]
Et qui n’avaient plus qu’intérêt que pour le
sale, le laids, ou ce qui est pourri : l’abject.