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Nous vous rappelons que vous êtes sur la suite du brouillon (première version) de ma/la lettre/courrierIne/courriel/courriAne/... en cours à [Monsieur le Président de la République française] François Hollande à partir de la lettre/courriel au président nicolas sarkozy publié en raison du caractère Priorité Cosmique InterRégionale Mondiale Universelle de Sauvetage des Êtres Humains (PCI[R]MUSÊH) dans le passé (où nous sommes en ce moment, ceux qui sont nés avant le 29 janvier 1986 - pas encore ceux qui sont nés après le 29 janvier1986 au jour d'aujourd'hui le 29 janvier 2016 - bien que cela ne saurait tarder pour eux aussi - dès qu'ils naîtront là-bas dans les jours prochains) sur mon site et évoqué sur ma page face book

 

En raison de ce que cette lettre n'est/était pas publiable en l'état (sur du papier comme ne pouvait pas être connue ainsi autant incomplète et non-finie (achevée) comme extrêmement confidentielle (bien que nous ayons eu à maintes reprises des preuves que nous étions espionnés sur l'ordinateur, donc qu'elle est déjà amplement connue), nous la publions avec cette teinte d'écriture dans l'état actuel (en raison de ce qu'elle est inachevée) pour dissuader les lecteurs, mais aussi en rappelant qu'il est possible de faire un copier/coller dans un logiciel comme Word et de retrouver des couleurs plus facilement lisibles (comme ici - nous poursuivons donc dans cette teintes dissuasive ci-dessous à cause du caractère éminemment confidentiel et secret d'Etat que de mon côté en mes qualité d'empereur, de bouddha et de ... je suis prêt à partager avec n'importe qui).

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En fait mon site Internet est/sera (une fois que j’aurais du temps et surtout les moyens pour en offrir la gestion à une personne qui s’intéresse à cette voie) celui qui résume et qui parle de la personne de laquelle tous les sites Internet de cette planète sont venus et cela dans toutes les catégories confondues. (Cela va faire une publicité à mon fournisseur d’accès (free) qu’il est probable qu’il finira non seulement par ne plus faire payer la connexion aux diverses personnes que je lui signalerai (la liste des candidats à devenir ôsiens) et qu’il me demandera par lettre d’avoir l’amabilité de lui signaler, mais qu’il paiera de lui-même ce qu’il sait me devoir de sa fortune, comme chacun de ses collègues fournisseurs d’accès dans le monde entier qui sont en retard sur cela comme de bien pitoyables autres samouraïs dans les autres catégories de ponts au nutelcafé qui se sont illustrés au point d’avoir été décorés par mes représentants – comme mon voisin qui, si je ne m’abuse en portait une).

Je suis donc une personne qui se rend compte qu’elle est importante à un point tel que j’ai heureusement du mal à m’en rendre compte d’autant plus que je n’en ai nullement jamais l’idée: puisque ce que j’ai fait d’ici m’avait, sur le moment, coulé de source ou paru tout à fait naturel et/ou aller de soi (en raison de ce que la conscience se devait en pareil cas – c’est donc la Providence elle-même qui se charge de me rappeler à l’ordre chacun de mes soldats partout dans le monde ayant été aussi sacrilèges envers leur chef suprême et ayant cru pouvoir aussi malignement que cela le trahir) avant même d’y être à le devoir réitérer, quarante ans après et trente ans après. Mais c’est véritablement pharaonique, puisque j’ai dicté aussi l’ensemble des centrales nucléaires à construire dans le monde entier pour permettre qu’on profite de ce temps pour étudier, avancer et développer l’ensemble des énergies alternatives et permettre ainsi à ceux qui croient à la filière du nucléaire de trouver les solutions élégantes pour nous débarrasser des déchets nucléaires, ce qui est un des problèmes à résoudre (dont j’ai dicté, en attendant les manières de stockage et d’autres surgénérateurs la possibilité de les retraiter) mais dont j’avais dicté quelques amorces de solutions élégantes).   

Je cumule donc le rôle d’empereur avec les moments que je consacre en particulier à chacune des catégories et à d’autres réflexions dans tous les autres domaines de mes compétences qui sont donc aussi nombreuses qu’il y a de catégories existantes (et toutes celles encore inconnues) et cela dans l’Intérêt Général dans toutes les disciplines, car j’avais l’intention de me marier à l’âge de mes deux ans et un mois, (trouvant le temps long) vraiment, c’est à dire en Vérité (donc sans rien avoir à cacher) et donc pour pouvoir être le meilleur conseiller de mes enfants et comme j’ai pu m’assurer que j’étais bien ici il y a quarante ans et il y a trente ans, quand je n’y étais que dans le virtuel éthérique, cela signifie que je suis totalement exacte et infaillible, puisque j’ai la preuve que j’ai compté d’avance aussi chacun des photons de lumière, y compris chacun des neutrinos qui touche la planète de partout sur toute sa surface avant même qu’ils soient émis par le soleil ou viennent de l’espace d’une étoile lambda (à ne pas confondre avec la iota ou la danse nommée « lambada » qui n’est pas seulement dansée par des idiotes et dont j’eus à faire la renommée d’avance comme du Ti amo de Umberto Tozzi ou d’autre tube annoncés et leurs aAuteurs – qui me devront une partie des royalties qu’ils obtinrent – puisqu’ils ne sont pas dans la possibilité encore de s’en passer et de chanter en amateur car chacun recherche, comme eux, des CFP – crédits de financements propres – pour nourrir les familles desquelles ils dépendent et qu’ils entendent fonder en particulier).

Aussi je comprends qu’il serait dans l’intérêt de l’éEtat de s’attacher plus professionnellement[1] mes services, financièrement parlant[2], car je suis doté de possibilités d’analyses peu commune et c’est pourquoi je vous demande en me remboursant de ce que l’éEtat français me doit (et en veillant à ce que tous les autres me rémunèrent pour mes services depuis 1965) de m’offrir un poste rémunéré en proportion de mes responsabilités d’Empereur mondial pour vous conseiller, le cas échéant, de loin, par Internet, si je trouve des choses intéressantes qu’il serait bon de développer pour la France, l’Europe (comme autrefois Léonard au Clos Lucet pouvait conseiller le roi) et les superficies sous placées comme la petite régions française sous ma responsabilité, mais je vous prie que vous fassiez en sorte que tout cela soit définitif et d’avance à jamais (comme le sont les ambassadeurs de France, très rares à avoir le droit de porter ce titre de façon définitive même au-delà de leur retraite et recevoir les émoluments qui vont avec[3] - mais évidemment à mon degré de responsabilité qui est celui de chef de tous les ambassadeurs de tous les pays et de tous les anciens souverains comme des nouveaux – aussi ces émoluments doivent être calculés en proportion de ces responsabilités pharaonique de façon à ce que je puisse enfin songer à édifier mes maisons et ainsi à faire profiter de ceux-ci les personnes qui seront chargées de ces constructions qui concernent un plan privé à Oz qu’il convient de distinguer du plan public – mais cela pourrait être des achats de lieux dont je voudrais les transmettre à mes ayant droit et dans lesquels je pourrais me sentir bien pour travailler en ayant à jouer le rôle de père si je devais avoir suffisemment la certitude de disposer d’assez de revenus pour assurer la construction d’avance de la plupart des tombes de ma descendance jusqu’à plusieurs milliards de milliards et plus loin encore de là où Nous sommes puisque j’aurais – c’est normal, l’espoir de les retrouver là-bas en bonne santé – un père ou une mère véritable ne peut se permettre d’agir autrement ou alors il s’agit d’un faussaire puisqu’il entend faire peser cette question financière sur des enfants qui ont déjà des difficultés considérables pour réaliser quotidiennement la somme des travaux ou des devoirs exigée des enseignants ayant été chargé de leur transmettre la somme de vérités relatives qui sera accessible assez rapidement dans chacune des rRégions sur Internet – c'est-à-dire sur GranierIn ou LaurIn – Saint-Pierre de Rome étant une de mes maisons/demeures personnelles (lieux de résidence officiels) et en raison du Sacrifice comme de ce que j’eus à prouver en apparaissant dans le ciel trente années avant celle de S. A. I. SSS … C. … L. , ma femme – une maison qui doit m’être remise avec les clés, puisque je fus reconnu comme Dieu lui-même et que toute cette hiérarchie Vaticane s’est appuyée sur ces transmissions à travers l’espace et le temps pour fonder la légitimité de leurs actions religieuses – d’avoir oublié de me proposer ce logement vers 2005 (quand cependant j’eus pour la première fois directement dans ma tête des nouvelles y compris de la maison Blanche) rend un peu coupable le pape et la hiérarchie Vaticane qui a cru possible m’infliger le déménagement dont je fus victime (puisque j’eus à quitter – heureusement momentanément puisque vous allez faire le nécessaire pour que je puisse continuer à vous aider de ce studio qui se trouve dans un immeuble blanc rue du Val de Grâce que j’eus à faire construire avant ma naissance en raison de ce qu’il y a … et des sorties sur plusieurs rues – ce qui me convient (j’aime les alternatives ou avoir le choix et je n’aime pas qu’il n’y ait qu’un seul itinéraire pour aller à Rome – par voie d’air, de bâteau ou d’automobile en voilà trois mais il y a aussi la route à cheval et à pied des pèlerins comme pour « le chemin d’étoile » brossé aussi pour Saint-Jacques de Compostelle – ce qui permet d’offrir tout du long des sources de revenus CFP à quantité de personnes qui n’en deviendront jamais malhonnête puisqu’ils n’auront, par exemple, qu’à devoir s’occuper d’une activité aussi simple que de gérer une station service) - ce lieu de ce petit studio qui permet de sauver la Terre rétroactivement et dont a pu bénéficier le Vatican comme chacun des autres éEtats à cause des transmissions qui se sont de nouveau déroulées, en raison que j’avais à y devenir phénix pour la troisième fois pour assurer durant ces temps (de traversée du désert) de la validité de tous les sacrements du mariage de tous les terriens mais aussi de tous les animaux et de toutes les plantes dans tous les temps – ce qui n’est pas rien, car cela a permis un peu plus loin qu’à nôtre époque mais sur le même axe de l’Espace-Temps aussi le mariage des tyrannosaures rex, entre autres) – en oubliant une autre fois (comme lors de mon arrivée à Rome en 1967-68 et en 1975-78) de rendre à césar ce qui est à césar (dont à Dieu ce qui est à Dieu – ce qui a fondé la loi d’aAuteur)  et donc en se comportant une autre fois d’une façon incohérente et cela bien que j’ai pu entendre que « j’avais le Vatican pour moi » - mais les voilà en m’ayant obéit à travers le temps à nommer cet autre pape que celui allemand que j’avais fait préparer du futur d’avance trente années, ce qui est une bonne chose (car obéissant, sur ce point, à un dieu qu’ils n’ont pas même songé à rassurer sur le logement ou sur la dépense (et le contraindre à perdre du temps pour la demander quand les économes ont pour mission de les anticiper pour chacune des catégories de personnel) – en effet, avec mes femmes, nous avons besoin de lieux pour y mener nos activités ou y attendre des enfants qui devront aller à l’Ecole – comment croient-ils possible imposer que j’ai même à devoir me préoccuper de verser des CFP puisqu’en ce moment comme dans tous les temps passés se sont mes propres mains qui s’occupent de rémunérer et soigner chacun selon sa peine partout – visiblement ces cardinaux qui avaient cependant une idée de mes dimensions spirituelles ou de mon immensité dans le ciel n’ont pas songé, ne serait-ce qu’à l’aune de leurs propres difficultés, à ce que cela pourrait signifier pour ma personne comme difficultés, ne serait-ce que pour avoir à me ravitailler en divers produits (heureusement qu’à l’occasion de chacun des camps scouts j’ai pris l’habitude de me charger encore plus que le nécessaire pour me contraindre à m’habituer à porter en prévision de ce qui m’attendait puisqu’aucun de mes camarades n’a jamais songé à m’aider à porter tandis qu’ils devaient chacun d’être debout uniquement par ma présence) – je ne suis pas un travailleur manuel mais uniquement un hyper-intellectuel hyper-exacte et hyper scientifique – je ne puis que trouver drôle d’être ainsi à devoir m’occuper de ces problèmes de dinette ou de magasins où y trouver les œufs ou à devoir faire les marchés pour des personnes ayant des mentalités d’esclavagiste et à la longue trouver un peu agaçant qu’on n’ait pas songé non plus pour chacun des membres de ma famille qui sont dans les mêmes dispositions/facilités (ce qui signifie handicape et difficultés dans ce cas) intellectuelles que moi pour se consacrer grâce à Nos sciences au Bien Général à les pourvoir au moins d’un embryon d’administration à leur service (il faut donc devoir en faire la demande car personne n’y songe pour aider celui qui n’a, en raison de conscience, que songé à aider ses prochains avant lui-même – pire, me voilà à devoir l’écrire, ce qui est vraiment inconcevable et prouve que nous n’avions qu’à faire qu’à des morts-vivants et d’aucune façon encore à des êtres humains au sens où naturellement où je crus qu’il l’était à l’aune de moi-même et de ce que j’y ai découvert d’aussi bon que tous en eurent un aperçu avant même que cela n’eut à être réitéré en chair et en os) – j’ai trouvé plutôt infiniment sacrilège d’avoir imposé, en raison de manque de CFP, à ma sœur dont les enfants furent annoncés du ciel, quarante ans avant leurs naissance, que celle-ci, malgré ses diplômes et de ce qu’elle était la femme d’un véritable architecte (vérifié par mes soins avant sa naissance), ait, avec les responsabilités de très sainte et très excellente et admirable reine à faire toutes les courses ou à devoir s’occuper de tout (quand elle est la première à savoir comme son mari que des milliards de personnes sans emploi auraient eut ici de quoi gagner des CFP et à se rendre utile dans une activité qui est prévue pour eux tandis que tous les aAuteurs les plus incommensurablement géniaux se donnent toutes les peines les plus difficiles pour réussir à créer des admirables divertissement comme Star Trek ou d’autres qui exigent des capacités de metteur en scène (soit de chef de famille du même genre que celle que ma sœur a dû créer pour m’aider, alors que j’étais en légitime défense dans le futur de son anneau de mariage à sauver la situation de cette planète), ce qui ne lui a pas permis de se consacrer à son métier dans lequel elle excelle pourtant (ce qui aurait été profitable à long terme pour l’Ensemble d’autant la quantité de textes admirables italiens pas encore traduits puisqu’elle l’a appris cette admirable art de Nôtre mère, les impératrices) en raison de ce que Vous découvrirez nous attend tous à cause des fossés qui concernent toutes les crises cardiaques des personnes âgées – je ne pouvais pas prendre le risque qu’un autre pape meurt à cause de la surcharge de travaux incommensurablement difficiles dont tous les peuples ignorent toujours tout des détails et de ce que cela a exigé comme préparations pendant des années les plus horriblement difficiles pour être de ceux capables de rendre assez simple ou le plus simple des textes très complexes ou qui ne furent inscrits tout au long des siècles que par les personnes les plus incommensurablement lettrées et ayant percé pour quelques unes d’entre elles le secret des alphabets locaux pour permettre grâce à la transmissions des sciences de développer un peu de confort minimal dans toutes les régions et éviter que les enfants se retrouvent sans un toit et qu’avec de mauvaises conditions de départ, ces personnes ne deviennent contraires à l’Intérêt Général de leurs descendants, à cause de cela malhonnêtes (et donc partant dans l’existence avec l’univers contre eux).

Soit avec Nôtre famille ce qui ne fut que générosité d’autant que ces personnes comme les exemples que j’eus enfant avec Saint-François d’Assise ont dû renoncer à avoir une descendance ou tous les autres avantages qu’on obtient en étant mariés (ou même en couple) pour se consacrer à être les meilleurs conseillers dans leurs régions et à relever l’Eglise comme Giotto l’a peint en la fondant aussi sur une façon communiste, au bon sens de ce mot, de procéder – en tout cas socialiste – ici aussi au bon sens de ce mot et non au mauvais qui fit perdre tant de progrès à l’Ensemble avec les expériences soviétiques ou maoïstes ou de ces autres zapata qui ne sont que des ignorants, au mauvais sens de ce mot comme au bon et des personnes qui en utilisant les armes à feu pour obtenir, gâchent toujours tout puisqu’ils sont alors de ceux qui n’ont pas la patience d’attendre que ce qu’ils veulent ou désir puisse réellement se produire en faisant alors d’eux non pas un danger ou un rapace mais un futur bienheureux homme). Veillez donc d’avance pour l’ensemble de vos successeurs, en faisant le nécessaire pour cela, y compris par écrit, en m’en envoyant des preuves signées (et aux divers sceaux) car avant de me lancer dans mes mariages (en raison de ce que la mort a effectivement été une triste réalité sur cette planète), je veux être absolument certain de la canonicité de mes mariages et de mes éventuels virtuels descendants comme de pouvoir disposer d’avance des moyens financiers pour élever et loger mes enfants comme leurs descendants dignement et exactement comme je l’entends et cela dans l’Intérêt Général, non pas pour en faire des enfants-gâtés (ce qu’hélas chacun d’entre nous est dès la naissance, en ce siècle où on bénéficie de l’aide médicale pour cela – ce qui est une preuve que l’Architecte de l’Univers considère l’être humain une œuvre d’aArt ou du moins ayant la possibilité de le devenir), mais des êtres capables d’être utiles quand viendra leur heure où ils devront entrer en scène en raison de leurs descendances.  Gouverner leurs prochains puisque c’est à eux (qu’heureusement je n’ai jamais oublié comme une possibilité que la Nature m’offrait) que je dois mon génie car c’est pour eux seuls que je l’ai retrouvé, à plusieurs reprises, en sachant que tant qu’on n’a pas retrouvé sa promise légitime (dans la quantité de dames ayant cette opportunité de croire l’être) on se comportera comme un profane ou (souvent) un moins que rien, car c’est de la promise légitime qu’on peut avoir sa descendance ou alors d’une profane qui deviendra au fur et à mesure comme une promise légitime, en réussissant à faire de vous un être humain parachevé et un légitime époux enfin débarrassé de l’ineptie, l’esprit ouvert pour affronter les problèmes qui se poseront de travailleur au service des compétences dont on dispose.

Je vous ai déjà dit qu’il serait intéressant d’essayer de m’envoyer en mission comme ambassadeur extraordinaire pour convaincre les membres responsables des pays de l’OPEP de baisser les prix du pétrole pour qu’ils puissent disposer à court terme ou moyen terme d’un beaucoup plus grand pouvoir d’achat (en CFP et non pas comme ils se sont rendus coupables en cff, cfu, cfs, cfm ou cfcch, ce qui leur permettrait d’acheter des centrales solaires, par exemple jusqu’à deux ou beaucoup plus (à plus long terme, une fois le prix du baril de pétrole baissé et donc tous les autres produits aussi) nombreuses pour le prix d’une.

A la réflexion faite (je pense que comme on m’espionne et donc que ce texte est connu d’eux aussitôt, comme de ce qu’il sera accessible publiquement sur mon site Internet (comme mes autres courrieIns que j’ai pris l’habitude de publier dès les années 2000 dès que j’ai le sentiments qu’ils peuvent tenir sur le long-terme), je n’aurais pas besoin d’effectuer ce voyage qui m’aurait cependant permis d’admirer l’architecture musulmane à laquelle je suis sensible), je vous demande de me dédommager de ne pas l’avoir pu (ou alors de faire en sorte que je le puisse) car il est normal que je sois rétribué pour les peines que je me donne (mais bien sûr je suis prêt à leur expliquer avec une web cam comme je l’ai fait pour le sauvetage des personnes âgées d’avance dont vous serez comme moi-même dans plusieurs années de ce problème cardiaque qui va affecter tout le monde puisqu’il a affecté et affecte déjà l’Ensemble). Ils ne pourraient pas comprendre sinon (puisqu’ils sont affectés de la maladie dont j’ai vérifié qu’elle existe puisqu’elle est celle des personnes inconscientes et irresponsables financièrement parlant ou qu’il convient de mettre sous tutelle pour éviter de dilapider les matières premières qui assurent une partie du produit intérieur brut), ils se méfieraient, étant donné leur degré d’ignorance, mais au mauvais sens de ce mot (bien qu’à première vue, ils soient comme nous pourvus de celle qui est au bon sens de ce mot) dans laquelle ils sont chacun embourbés en enfants-gâtés) à trouver les moyens de les convaincre avec les ambassadeurs sur place (et des personnes pour traduire peut-être les raisonnements qui concernent la question du pétrole que j’ai résolue dans ce courrier comme dans d’autres de mes textes) qui seraient chargés de me recevoir et de préparer ces rendez-vous avec ces dignitaires pour essayer de leur faire comprendre, avec pédagogie, comment fonctionne l’économie mondiale (y compris locale[4]) et pourquoi ils auraient vraiment intérêt de baisser ce prix du pétrole pour l’ensemble du monde arabe et des pays d’Afrique et sud-américain, car plus ils baisseront le prix plus ils pourront acheter, au point que s’ils baissent de quatre fois moins, ils auront la possibilité d’acheter au moins deux fois plus, et peut-être un peu plus encore, puisque cela permettrait aux richesses de se créer partout (aux entreprises de produire donc de disposer de stocks) et à la prospérité mondiale d’apparaître, ce dont ils bénéficieraient les premiers car cela permettrait, au passage, aux nouveautés de trouver un marché (ce qui n’est pas le cas en temps de crise).

 

J’aimerai aussi pouvoir publier et développer sur ce site Internet de lauriemage (autrefois Lorimage) des textes qui sont à l’état d’ébauche et dont certains d’entre eux ont été dictés à 1975-1980, ce qui signifie que je les ai retrouvé entre 2005 et 2010 un peu comme si 1975-1980 avait été la photocopie de ces textes provenant de 2005-2010 et vis versa (ici en raison de ce qui s’est passé de 1965 à fin 1971 on ne peut pas savoir au juste exactement si c’est vis versa ou pas, puisque nous avons eu à vérifier que mes transmissions à travers l’espace-temps se sont déroulées en alpha-oméga et avant même ma naissance en raison de mon aAnneau de mariage qui est cosmique universel et … ) : il demeure pour l’instant encore des inconnus dans mon esprit car j’ai encore des milliards et plus encore de données à analyser de ce qui s’est passé dans ma tête à partir de 1965, 1975 et 2005 avant de pouvoir être certain - ce qui confirme néanmoins qu’effectivement entre l’original et la photocopie, il y a un temps qui s’est révélé exister aussi pour réaliser cette dictée entre des époques si lointaines et différentes – mais cette idée de ce temps est en tout cas totalement en relation avec la pyramide du Louvre et celle à l’enverre que j’eus à faire édifier à un point qui est en relation avec le décalage qui existe entre le verre sur lequel on pose l’original à photocopier et qui après les divers procédés mécaniques donne la photocopie – en effet, pour que ces interventions aient pu avoir lieu d’avance, j’eus entre autre à devoir comptabiliser d’avance chacune des photocopies effectuées sur l’ensemble de la planète durant les époques où je serais en synchrone avec ces miennes virtualités ou réalités – et cela est un peu relié avec la notion de miroir puisqu’il a fallu trente années exactement pour que (comme) la photocopie d’un moment qui avait eu lieu advienne de nouveau – soit le temps qu’il existe en réalité à d’autres proportions gardées entre le temps qu’il faut à une imprimante pour imprimer ce qui n’est que de la réalité-virtuelle sur l’écran, c'est-à-dire comme si c’était au ciel ou dans le ciel avant de l’obtenir grâce à cette imprimante ou cette machine à photocopier en chair et en os sous forme de papiers imprimés ou en livres – il y a donc un processus qui permet diverses facettes, un peu pyramidales bien que mécaniques ou électroniques qui vont donc permettre à ce qui n’était que virtuel de devenir réel – en cela c’est ontologiquement et consubstantiellement surnaturel ou lié aux sciences organisées ayant permis l’avènement de ces instruments pour nous venir en aide – sans l’existence donc du Saint-Esprit ou du moins d’un esprit sain dans un corps sain, il aurait été impossible de trouver les solutions élégantes pour assurer autant d’impressions quotidiennes à l’échelle planétaire y compris celles individuelles ou même seulement de photocopies de quartier – cela signifie qu’il n’y a que des sciences qui sont dirigées cosmiquement et universellement dans le bon sens qui est de réaliser Oz et de parvenir à débloquer la situation pour réaliser le terrain de l’univers de la résurrection des morts où ceux-ci devraient [re]trouver des conditions d’existence plus satisfaisantes qu’elles n’ont été dans ces époques bien moins confortables que ce qu’elles sont cependant (dans quelques cas de noms de personnes) advenues grâce à leurs efforts – nous sommes donc tous collectivement redevables à une sorte de « plus-value » ou valeur ajoutée qui serait cette somme d’efforts dont nous fûmes cependant tous les parasites ou les profiteurs – d’où le devoir envers les squelettes de chacun dans les cimetières dont la mémoire n’était pas chez chacun d’entre eux seulement reliée à des mauvaises choses mais à quantité de choses qui représentaient des trésors puisqu’il suffit de se souvenir d’un lieu où on a été pour le reconstituer virtuellement autour de nous – d’où que les personnes déportées portaient chacune comme des tortues de véritable disques durs de souvenirs et de journées de classe à l’école avec chacun des murs de chacune des classes et chacun des instants autour d’eux comme l’admirable Marcel Pagnol a pu nous en donner un aperçu dans sa trilogie concernant soin enfance d’aArtiste multidisciplinaire).

 

Des améliorations aussi que j’ai transmises aux années 1975-80 pourraient être développées (et créer de la richesse grâce au développement de celle-ci sur le plan de la production soumise aux lois de la Quantité et de la Rareté comme le furent les téléphone mobiles ou les fax ou les ordinateurs dont on me doit des royalties depuis le premier walkman et les diverses améliorations que je fis élaborer en hi-fi) par des personnes qui, pour l’instant, ne sont pas encore dans l’univers de l’invention ou de la création permanente comme je le suis, au service de l’Ensemble, et comme l’ont été tous les grands peintres et les grands artistes à travers le temps, en ayant pu rejoindre l’univers qui l’offre en question mais qui est, je l’ai vérifié, véritablement difficile d’accès (comme verrouillé dans la tête de chacun des imposteurs et des tricheurs ou de ceux qui se sont habitués à faire semblant) . Mais il est important d’avoir des garanties pour que ce ne soit pas de la racaille qui essaie de les réaliser, mais des gens méritant ou qui veulent pouvoir mériter, en se donnant ce mal.

 

Je ne pourrais pas me marier plus officiellement que je le suis en définitive depuis 1965 (avec la même promise) sans être certain que si ma (ou mes) femme(s) devai(en)t mourir entre temps, je ne sois pas capables d’avoir les moyens de laisser ce qu’il faut pour élever les enfants que j’aurais eu d’elle(s) ou dont j’aurais pris sous ma responsabilité l’éducation pour les amener à l’âge des adultes et des êtres responsables, lucides et débarrassés de l’enfant-gâté (donc pouvant subvenir à leurs besoins financiers comme à ceux de leurs descendants en honnêtes gens), étant donné que j’ai pu vérifier avec l’Ensemble, la nécessité d’être pourvu d’un véritable anneau de mariage vis-à-vis des enfants (ils sont rassurés car sur le plan sexuel, cela signifie que leur futur épousé ou épousées ne risquent rien puisqu’en général le mari a été fatigué par l’épouse et ne représente pas le danger que malheureusement les faux maris (étant pourvus d’un anneau en usurpateurs et non en fidèles) satyres ou centaures représentent), puisque celui-ci d’aAnneau est, par ailleurs, dans d’autres cas, relié aussi au sacrement du mariage qui a été conçu à cet effet pour protéger « les fruits de l’amour » bien qu’il soit normal, à notre époque, quand une femme est indépendante financièrement de vivre en couple, sans être forcément mariée ou alors de vivre séparé d’avec la personne qui forme le couple bien qu’étant mariés (bref de faire ici comme on le sent, suivant les cas) comme en réalité quand nous venons au monde après nos naissance respectives que nous sommes donc chacun virtuellement mariés à celui ou celle avec lequel ou laquelle on aura des enfants – d’où que cette séparation est en forme d’yx puisqu’il faut aboutir à un carrefour ou un croisement à l’issu parfois de nombreuses années pour mettre au monde sa descendance – ce croisement est celui qu’on retrouve avec cette notion de Croix et de crucifixion qui a induit la perte des enfants de celui qui fut à se sacrifier pour Nous de façon à ce que nous ayons une chance grâce à son histoire de retrouver un peu de bon sens et à nous permettre de Nous interroger sur le rôle que nous aurons à jouer en tant que futurs parents d’enfants qui sont destinés à connaître ces confrontations qui en leur centre (de ces deux directions sont le croisement), comme à l’autel ou publiquement permettent de germer en un arbre de vie : c’est comme un « t » bien qu’issu souvent d’un « x » qui mène deux lignes droites, comme à Nazca à soudain engendrer bien plus qu’un palais puisque ces personnes sont capables de représenter même à une échelle invisible depuis le sol, donc pour des personnes qui voleraient dans les cieux de merveilleuses représentations qui sont des preuves que chacun avait découvert en lui-même les sciences de l’architecte (ou celle des reports sur plans). C’est bien très souvent en ce centre des travées perpendiculaires[5] qu’à été édifié l’autel   

Dans mon cas c’est moi (qui l’est assuré pendant trente années, voire quarante si on compte depuis 1965 où je fus témoin moi-même de ces transmissions à travers le temps et plus de temps si on m’a entendu avant) qui n’est pas encore[6] les moyens d’assurer mon indépendance financière, vis-à-vis de l’une comme les autres de mes impératrices légitimes et par conséquent je dois m’employer à me donner ces moyens financiers, bien que normalement depuis 2008-2009, en raison de ce que j’ai transmis à ce sujet à travers le temps, je devrais être à la tête d’une fondation qui porte le nom de « trois petits points » : … puisque C. L. en était la responsable désignée d’avance du ciel, et dont je ne sais à cette heure-ci  en octobre 2014 où je relis cette lettre pas encore si celle-ci a été constituée selon ma volonté, en ayant reçu cependant les pourcentages que j’avais exigé à partir de 1978 (2008) de l’ensemble des revenus de l’ensemble des terriens que j’ai sauvé de la FIN du monde cette première fois, dès 1965, et une seconde fois dès 1975, vérifiant cela en chair et en os une autre fois, dès 2005, pour une nouvelle édition de ce sauvetage mondial qui ne fut plus du virtuel mais dans la réalité.

J’ai été clair à ce sujet, si l’ensemble des terriens voulaient comme ce fut le cas continuer à vivre avec le système de l’argent (les CFP), quand le moindre de mes points inscrits de ma main en multi dimensions et de mes dessins valent bien plus que l’ensemble des matières premières qui existent dans tous les univers et sur toutes les planètes de chaque système solaire, étant donné ce que j’ai prouvé depuis 1965, en apparaissant en virtuel d’avance comme en faisant la Dictée Pharaonique de la NNDIM de moi-même en synchro avec moi-même dans un autre espace-temps et en démontrant que j’étais en 2005 en même temps qu’en 1965 et 1975 et cela tous les jours jusqu’à la fin 1971 et jusqu’à 2012 et donc, par conséquent, que l’argent (les CFP) en valeur absolue (à l’aune de mon aArt qui s’est traduit dans maintes œuvres) n’a pas forcément de valeur du tout pour payer des actes d’amour ou des sacrifices, bien que j’ai compris, en raison de la situation générale qui était bloquée sa nécessité d’être dans les échanges interhumains, en raison seul de l’existence des tricheurs et des menteurs (ces enfants gâtés qui n’auront aucune idée de ce que signifie le Commerce sur des bases aussi honnêtes que celles qui ont mis des millénaires à advenir grâce à l’idée ingénieuse des comptoirs et de la Banque et des CFP plutôt que les faux) comme de ceux qui ne veulent faire aucun effort pour participer (mais disposer de cfs, cff, cfu, cfm, ou cfcch même s’il s’agit de CFP qu’ils transforment aussitôt en faux rien qu’en les touchant ou en en disposant puisqu’ils sont chacun dans l’idée de croire que l’Etat les arnaque, ce qui fut effectivement vérifié par mes soins sur quelques points en raison de l’incompétence de la plupart ou seulement de quelques uns de ses soi-disant serviteurs tandis qu’en valeur absolu ce mot n’est que positif comme tous ceux qui sont négatifs et qui n’ont donc acquis cet aspect négatif qu’en raison de circonstances bien spéciales ou particulières (souvent d’origine historiques ou géographiques ou sociales – ces causes souvent subjectives et non objectives aux modifications du sens des mots) qu’il faut veiller à ne pas considérer comme des vérités absolues, mais seulement relatives pour éviter de généraliser et affubler à ce[s] mot[s] ces fausses valeurs puisqu’il en a comme bien d’autres toutes les occurrences où il ne fut qu’éminemment positif ou bon pour l’Ensemble, comme très certainement le furent chacun des représentants des catégories des personnes qui furent néanmoins l’objet d’iniques persécutions ou soupçons, y compris sur la question financière qui devait les préoccuper, puisqu’ils appartenaient heureusement (ce qui est un privilège rare) à tous les gens les plus instruits (les plus fins ou les plus cultivés ou les plus essentiels pour que la gestion de l’Ensemble ait une chance d’être des meilleures) qui n’ignorent aucune des interactions existantes et donc l’absolue nécessité d’être excellent en mathématique ou en géométrie ou en d’autres sciences avant de songer à obtenir une quelconque rémunération légitime et surtout de la nécessité absolue de passer par de vraies écritures pour réussir à obtenir légitimement ou preuves à l’appui et non pas en raison de s’être prostitué) car ils se comportent en profiteurs (tous nous le sommes, mais il y a des degrés (une échelle de pourcentage à l’aune de services ou de compétence ou d’utilité) qui permettent à la majorité qui compte ou même seulement à une personne juste de comprendre que des personnes exagèrent dans le mauvais sens, en devenant profiteurs, mais au mauvais sens de ce mot au lieu du meilleur qui leur aurait préférablement convenu c'est-à-dire en conscience et comme les capitalistes véritables en faisant profiter des profits qui sont donc comme une fontaine qui permet à d’autres d’en tirer parti ce qui sera le meilleur pour l’Ensemble – c’est pourquoi tirer à boulets rouges contre le capitaliste (au bon sens de ce mot qui n’est pas celui qu’on a voulu ridiculiser y compris en le rendant synonyme de paternaliste ce qui fut mépriser bien à tort, puisqu’il s’agissait de personnes n’ayant que le soucis d’anticiper sur les besoins de leurs ouvriers) c’est rechercher à tarir la source même de la fontaine à laquelle pourtant tous s’abreuvent y compris les animaux). Ils sont pleins de préjugés et de vérités relatives mais de celles fausses ou relativement vraies (qui ne le sont que dans un cas particulier ou deux et non d’une façon plus générale, ce qui est le cas, par exemple, de nombreuses théories mathématiques ou lois de physique ou de chimie) comme très peu capables de penser s’il n’y a pas, grâce à cela, des rétributions à obtenir comme avoir, à la longue, à cause de leurs engagements rétribués de vrais responsabilités, mais en constatant que je ne suis pas le seul dont les œuvres, dessins ou même simples écritures ne pourront, parce qu’elles sont vraies en absolu, dans le contexte de la situation générale qui était bloquée, être payés en retour[7].

C’est comme pour les originaux de Franquin ou des dessins [de l’équipe] de Walt Disney, ces originaux sont infiniment sous estimés comme le sont les dessins et les écritures de Léonard de Vinci ou bien des tableaux de Turner, ou ceux de … y compris les statues de … ou les compositions manuscrites des grands compositeurs.

Cela signifie aussi (par ailleurs) que l’ensemble des terriens sont riches de chacune des œuvres conservées[8] dans les musées ou ailleurs et donc même les plus pauvres d’entre eux sont très riches, bien plus que des milliardaires, mais une grande partie sont pauvres en esprit : ils sont face à ces merveilles sans les discerner, sans les comprendre, sans même les voir : comme des abrutis (j’ai vérifié sur moi-même, c’est ainsi que la condition de profane va rendre : vous involuez au lieu de poursuivre la chance d’évoluer dans le bon sens qui était le processus dans lequel advînt vôtre réincarnation, fruit de l’évolution vers l’être humain habile ou/et savant : adroit mais surtout parachevé intellectuellement, donc étant dans la connaissance des droits, catégorie par catégories et situation par situation, cas particulier par cas particulier, au point que pour chaque superficie habitée en fonction de divers paramètres, il sera meublé différemment).

Aussi le système de l’argent (les CFP), à notre époque, est [peut-être] à revoir puisqu’il y a des personnes, sur cette planète, qui sont de véritables sources de richesses au point qu’à chacun des instants qu’ils vivent ils enrichissent l’Ensemble par des œuvres (souvent accessibles en différé) qu’on ne pourra jamais payer en fait au prix juste, ce qui signifie que tous les prix concernant ces œuvres (véritables) sont bien que réels (car il s’agit de ce dont l’artiste a besoin pour se rembourser de ses divers frais pour la réaliser, donc pour survivre lui et sa famille) mais aussi sur un autre plan symboliques, informatifs et/mais toujours amplement sous-estimés pour la moindre des œuvres accomplie de celle en vérité (en réalité inestimable puisque ses virtualités ou ce qu’elle induit en elle-même est si précieux ou si généreux). Cela signifie que pour ces valeurs financières, pour les estimer, on a dû passer sur le plan commercial lié évidemment aux diverses lois habituelles qui régissent toutes les activités mercurielles. Ce plan exclu quantité de paramètres car sinon l’œuvre ne pourrait pas trouver d’acquéreur. Il s’agit donc comme d’une règle du jeu qui est fondée sur des paramètres importants privilégiés au détriment de paramètres pourtant importants jugés mineurs ou à ne pas prendre en compte en raison qu’ils sont tous comme des dénominateurs communs ou en commun, donc le propre de l’œuvre d’aArt qui ne pourrait plus devenir une valeur refuge ou commercialisable. En réalité en raison de leur seule existence mais aussi des quantités de produits semblables cela constitue la richesse d’une région comme la quantité de biens immobiliers ou d’infrastructures qui, on le sait ne sont que des ouvrages d’artisans ou répétés mimétiquement à partir d’une recette qui a été émise par un aAuteur en particulier ayant eu l’idée. Il y a donc à distinguer dans les richesses d’une région ce qui provient d’idées originales, d’Auteurs, et ce qui est semblable avec partout ailleurs, soit ce qui sera/est réalisé par le travailleur manuel non aAuteur de l’idée dont il n’est que les mains. Il y a donc la tête et les jambes ou plutôt les mains, ce qui était le titre d’une émission à la télévision dans laquelle apparaissaient de véritables aArtistes comme Brassens, très rares et pour compenser quantité de travailleurs manuels, c'est-à-dire des sportifs qui ne devront leur salut qu’en ce que leur force physique sera employée canalisée dans le bon sens par ceux qui sont les aAuteurs ou la tête. C’est pourquoi il y a des différences dans les mots utilisés pour qualifier les revenus financiers des personnes qui sont la tête de ceux qui sont les jambes ou les mains qui perçoivent des salaires calculés justement en fonction de mains paramètres qui sont pris en compte par ceux qui appliquent les lois ou les critères, c'est-à-dire ces paramètres qui permettent aussi de discerner et de déterminer que quand deux œuvres se ressemblent  autant elles posent un problème de quantité et en devenant moins rares vont donc être moins estimées en valeur vénale. Il y a donc le caractère original ou unique ou jamais vu ailleurs d’un prototype / master / original et c’est ce qui va faire augmenter le prix de vente qui est soumis, par ailleurs aux nombre de copie, c'est-à-dire à la quantité au point que selon les objets ou les œuvres, dès qu’il y en a plus que six ou vingt ou cinquante ou cent ou mille, les prix changent y compris en fonction de la quantité du tirage de la première édition. Il y a aussi la notion de seconde main ou plus que cela comme les paramètres liés à l’emploi de l’œuvre et à quelle personnalité elle a appartenu avec la durée (aussi si l’œuvre d’art a appartenu à un faussaire ou un criminel contre l’humanité ou une personne qui l’a acquise avec des cff, cfu, cfm, cfs, ou cfcch cela va concerner ce qu’on appelle « la petite histoire » ou ce qui fait sourire comme de bien entendu ou sera l’aspect drôle, divertissant car ces experts ont de l’humour et savent qu’il aura fallu quantité de CFP supplémentaires pour qu’elle revienne (à cause des rackets) dans le circuit du marché de l’aArt le plus propre (donc qu’elle aura occasionné un détail historique, comme chacune de celles qui furent dérobées dans le Musée de Bagdad par des personnes locales qui n’étaient que des faux irakiens, indignes de celles-ci et des peines et des CFP dépensés tout au long des années passées pour les conserver, les protéger, et les mettre en valeur, pour faire plaisir aux visiteurs touristes (qui représentent des dépenses effectuées en CFP pour les différents commerçants véritables du coin) ayant l’occasion d’une sortie des plus intéressantes dans cette capitale qui abritent quantité de représentants de langues différentes s’occupant d’entretenir de bonnes relations commerciales entre cette région et la leur. Il est normal qu’il y ait des lieux de concorde possible grâce aux divers établissements spécialistes d’objets d’aArt – on y est tout de suite comme chez soi puisqu’il y a souvent un objet ambassadeur de l’ethnie à laquelle on appartient et on aura plaisir à y manger entre étrangers, bien que du même pays ou de régions voisines, mais comme chez soi à la cafétéria ou au restaurant qui ne survie que grâce à ces œuvres d’aArt). Tout cela va jouer un rôle qui en général fini par la réalisation d’un film ou d’aventures (par exemple Tintin et le fétiche de l’oreille cassée) et bien sûr augmente la valeur commerciale des objets qui à première vue, pour l’ignorant au bon comme au mauvais sens de ce mot, n’en a pas spécialement au point qu’il puisse croire que les étiquettes des estimations sont fausses et même d’en rire. Or, il y a donc ces sommes d’à côtés ou ces historiques qui archivés ont donné lieu à quantité de dépenses établies en CFP au point que le prix de vente de ces œuvres est souvent sous-estimés : elles ont coûté beaucoup plus que cela pour être effectuées.

 

Mais alors comment faire fonctionner le monde entier puisque ce sont l’ensemble des œuvres d’art dans un pays qui garantissent avec ce qui est en grande quantité et donc moins rare la valeur d’une monnaie, comme celle de tous les autres pays ?

Et si nous cherchons à être ou à continuer à être honnête, c’est l’être humain qui a la possibilité de devenir parfois une œuvre d’art (cela donne des acteurs comme Orson Welles quand il n’est pas employé comme réalisateur) qui ont le droit d’exiger des revenus ou des émoluments ou des cachets très importants (c’est donc bien à l’aûne du parcours d’une personne, de ses réalisations qu’on doit le rétribuer – or, ici, il n’y a souvent que l’acteur lui-même qui sache combien on lui doit déjà d’œuvres dans lesquelles il a été œuvre d’art cherchant à se parfaire dans des rôles précis), ce qui veut dire que ce sont les corps des êtres humains qui composent une nation et qui ont été à l’origine de la production de ces rares richesses qui sont effectivement des trésors, même s’ils font partis pour l’instant des squelettes et des morts conservés aussi en raison de cela, dans les cimetières que l’éEtat a pour mission de défendre de toutes les profanations car sinon il devient « Eétat » (ce qui est ontologiquement voué à changer, en raison des divers états par lesquels chacun d’entre nous passons quotidiennement en raison des lois gouvernant l’impermanence d’humeur, alors que la majuscule signifie que c’est du solide, bâtit pour durer : l’Etat).

Mais j’ai bien conscience que pour progresser et intéresser des personnes à devenir des œuvres d’art elles-mêmes, l’objectif d’avoir et de se donner des moyens financiers est acceptable y compris sur le plan de l’éthique, puisque sinon personne ne ferait les efforts pour devenir une/cette source de richesses dans un monde dans lequel chacun d’entre nous a des besoins et pas seulement les pauvres.

 

D’autre part la situation générale qui était bloquée a créé les maladies, la vieillesse, et la mort. Comment faire sans donner de la valeur à des œuvres parce qu’elles demeurent éternellement vivantes ? Bien sûr, il y a l’offre et la demande à ce sujet – mais il s’agit en fait de placements (comme ceux boursiers) et rarement de gens intelligents qui achètent – j’ai vérifié.

 

Le problème ne pourrait être résolu que seulement quand ceux qui gèrent la situation financièrement parlant pourront être certains que chacun d’entre les terriens pourront continuer à être certains qu’il y aura toujours la possibilité de création, de véritables créateurs et en raison de cela des sources de richesses nouvelles, même/surtout en prenant ce mot de « richesse » comme n’ayant pas à voir seulement avec des valeurs vénales, par conséquent des gens qui sont de ceux qui agissent en conscience et non en irresponsables ou en ceux qui n’ont qu’une conscience limitée ou ne tenant pas en tête présent les points de vues des éventuelles victimes des situations (par exemple les enfants quand la mère se permet d’avoir des relations autres qu’avec le père. Elle risque de ne plus être prise au sérieux comme mère, de même qu’un père ayant plusieurs femmes et donc plusieurs familles – les enfants n’auront que la sécurité de leur mère, leur père étant l’éternel absent ou l’étranger en route d’un lieu à un autre – aussi celui-ci est craint comme un étranger appartenant à d’autres lieux ou comme un fidèle qui s’est soumis à des conventions – il n’y a que rarement un aArtiste dans un père pareil, mais seulement un don Juan, un infidèle, que l’ensemble des dames ont réussi à maîtriser en lui donnant du champ libre pour mieux le tenir prisonnier – l’aArtiste est forcément synonyme de fidèle – aussi il n’y a que le véritable aArtiste qui peut avoir plusieurs femmes car il n’aura pas fait semblant de tenir compte de ses devoirs financiers sachant la différence entre le faussaire et celui qui ne l’est pas. Le faussaire est celui qui sera à plusieurs femmes qui doivent le payer, tandis qu’elles savent reconnaître l’homme de bien ou l’homme véritable qui n’a pas besoin d’elles financièrement pour s’en sortir. Aussi le rapport devient égal quand chacun dans le couple dispose de revenus propres – non sales, nun usurpés, non malhonnêtes, non faux et contribue au prorata de ses capacités financières aux dépenses du ménage. Mais évidemment cette indépendance ou autonomie financière est plus ou moins longue à venir selon les personnes, puisque par exemple, il faudra attendre pour qu’un aArtiste gagne les premiers CFP parfois cinquante ou soixante dix ans (ce qui explique qu’il soit normal que les ayant droit aient au moins pendant soixante quinze années les droits d’autant qu’il est probable que l’aArtiste n’a œuvré que pour eux, comme un père ou une mère) au cours desquels il n’aura fait qu’investir (donc dépenser des CFP de famille) en temps et travaux les plus incommensurablement difficiles à réaliser (les investissements de l’aArtiste ne sont que sur du très long terme (par exemple dans l’espoir qu’ils rapporteront ou seront un signe plusieurs milliers d’années après comme celui de Lascaux ou de Nazca et qu’alors la Vie ait une chance d’être sauvée y compris le projet de l’aArtiste) – aussi voilà l’aArtiste est l’handicapé qui a souvent été contraint à des compromis, financièrement parlant. En effet, il ne travaille qu’en perdant puisqu’en face il n’a que depuis toujours l’ineptie et son cortège de certitudes vulgaires, grossières, abjectes ou la fausseté.

 

Tant que le variateur demeure entre les mains de personnes devenues inconscientes de la valeur virtuelle (possible) de chacun des êtres humains s’étant spécialisé au point d’être de véritables maîtres, tant que ce variateur (comme la vieille salle des machines) sont entre les mains de personnes qui ne veulent ni ne peuvent plus comprendre pourquoi les œuvres d’art, qui ont été faites, traduisent la possibilité de l’immensité que sont certaines des âmes des aArtistes les ayant élaborés, grâce à leur capacité d’analyse, en ayant réussi à passer « de l’autre côté du miroir », nous sommes forcés d’être dans ce monde des CFP (qui se différencient des cff, cfs, cfu, cfm ou cfcch), à moins qu’ici on trouve une meilleure idée (ce qui ne se peut pas en raison de ce que les aArtistes ont, c’est normal, un projet de constitution de famille, donc des ayant-droits à qui ils savent qu’ils doivent de réserver une indépendance financière ou une autonomie financière pour leur donner une chance de préserver ou conserver et transmettre leur œuvre qui est dès le premier dessin plus importante encore que la notion de patrie puisqu’elle rejoint une catégorie qui est ontologiquement internationale, voire universelle – aussi il est d’avance certain que tous les véritables artistes seront dans le rire dès qu’il y aura un chef d’éEtat à se prendre pour la patrie – celle-ci n’existe qu’en raison de ce qu’il y a d’universel ou de véritable localement par conséquent est forcément celle d’Ôz ou du très véritable Etat qui ne peut d’aucune façon être celui d’une nation plus qu’une autre, ni même d’un être humain adulte parachevé plus qu’un autre. En effet il est impossible de considérer qui est plus important entre Charlie Chaplin et Eisenstein et Bergman – on aura des affinités ou des préférences, ce qui est normal, mais il s’agit de ceux qui ont fondé la/les patries dont ils sont les très saints pères y compris Picasso en ayant autant de femme qu’il aura pu avoir et ici en étant le scandale des « bien-pensants » - mais Charlie Chaplin ou Picasso n’ont agi que canoniquement comme très certainement Polanski – évidemment ils sont ensuite confrontés au cas de figure dont ils sont les victimes consentantes avec ce que cela induira comme mots ou phrases contre des principes ou des règlements qu’ils transgressent en s’étant donnés les moyens financiers de cela – le divorce se déroule parce que la dame ou les dames sont chacune avec des préjugés à ce sujet et veulent imposer les conventions sociales d’autant plus si elles ont attendu un enfant – il y a donc réalisation d’un autre aAnneau non à l’insu mais d’une façon sue – l’époque n’était certainement pas mûre pour que l’aAnneau précédent survive en même temps à cause des habitudes et des préjugés à ce sujet y compris sur la notion de « tromper » - ici à partir de quand commence-t-elle ? N’est-ce pas dès le premier moment où on a oublié sa femme pour une autre ? N’est-ce pas simplement en changeant d’interlocuteur ou d’interlocutrice ce qui a donné les sociétés aujourd’hui dîtes féodales des moucharabiers ? Mais heureusement cette notion fut élastique au point que tous s’accordent à trouver normal des écoles mixtes ou les universités mixtes puisque l’habitude a été prise dès l’enfance d’amitiés entre garçons et filles. Mais la question se posera des amitiés à l’intérieur de la même catégorie. N’y a-t-il pas tromperie de sa femme à avoir un ami pour la vie garçon simplement pour des raisons intellectuelles ? Ici bien sûr que non puisqu’il est normal d’entretenir des amitiés ou des dialogues avec quantités d’interlocuteurs différents dès l’enfance. Alors pourquoi « tromper » ne se limite qu’à l’intime sexuel et non pas à tous les rapports intellectuels ? Cela vient donc de ce que la civilisation et la société induisent comme contraintes et de la question de l’enfant comme des descendants de celui-ci reliés à un lieu d’habitation – c’est en réalité le problème de la légitimité du lieu d’habitation ou de la caverne, la question du château ou celle d’appartenir à une maison, soit à un seigneur ou un maître ou un roi ou un souverain, ce qui signifie à un ingénieur, donc un aArtiste véritable ayant acquis une autorité indiscutable et donc étant connu pour être juste (non injuste, car une femme a en réalité horreur de l’injustice ou alors elle n’est plus une femme mais une mégère ou une « salope » (ce qui signifie avoir déchu et ne pas être digne des études effectuées puisqu’on va être de celles à croire possible profiter d’esclaves – en réalité cela n’aura été possible qu’en raison de ce qu’il s’agissait de femmes qui n’avaient pas assez étudié, non assez scolarisées, n’étant pas celle sachant avoir un devoir de cohérences et qui sont à oublier les paramètres qui permettent de contredire ce qui à première vue/ouïe semble une bonne idée – si elles avaient été de celles les plus instruites ou probes intellectuellement, elles auraient retrouvé les arguments ou tous les paramètres qui n’autorisent personne à être négrier au sens où cela a dégénéré et rendu ceux qui crurent possible ce commerce hostiles aux droits fondamentaux des autochtones à être rétribués financièrement en échange de ces temps consacrés comme main d’œuvre aux divers travaux – en effet, chacun d’entre eux sont dans un parcours qui doit les conduire à devenir des vieux hommes ou des vieilles femmes qui auront besoin de finances pour survivre et rétribuer des plus jeunes pour les aides qu’ils auront à recevoir même en n’ayant été que travailleurs manuels ou main d’œuvre – ces aides ne sont pas réservés aux maîtres mais sont justement celles auxquelles ont droit toutes les classes de populations puisque chacun a participé plus ou moins et en fonction de sa santé à des années collectives dont les plus jeunes profitent – aussi tous savent qu’il y a des différences de savoir-faire et de compétence et que chacun est en réalité prisonnier de ses compétences mais aussi de tous les paramètres sociaux qui le constituait – tous savent aussi que l’aArtiste est rare et qu’il connaît d’avance ses droits y compris à être rassuré financièrement pour sa vieillesse – aussi il n’y a pas que les salariés qui ont le droit à la retraite mais l’aArtiste qui ne la prendra jamais et qui ne peut pas s’arrêter puisqu’il s’agit de création véritable, donc d’extraordinaire et non de ce qui est ordinaire : soit l’acte de copulation rasoir si cela ne permet pas à l’aArt d’advenir – c’est en général ce qui prend le nom d’enfance qui parce qu’il arrive à une autre époque va continuellement étonner tout le monde – mais il y a vite le risque qu’il « n’y ait plus d’enfant », comme le fait dire Molière à un malade immaginairec’est ici le danger général de toute la société ou de toute la civilisation ou celui que court de millénaire en millénaire la femme dans sa trajectoire infinie de mère qui peut avoir à ses côtés le père de l’enfant ou s’en passer allègrement, puisqu’elle sait que le chef-d’éEtat ou le soldat ou l’ouvrier ou le travailleur manuel n’est pas l’ingénieur, l’aArtiste, ou le prince au point qu’elle ne fait que semblant de croire qu’un chef est un chef – en effet, la femme est un véritable problème : elle croit être le chef de tout puisqu’elle abrite la Vie en elle et doit se tenir prête à la défendre – d’où que les lois sont jugées bonnes par les femmes avant les maris qui les font appliquer par les soldats – c’est un peu ce qu’a eu à penser Federico Fellini à travers son film la Città delle donne ou en tout cas en donnant ce titre à son film a permis de nous faire penser : et si en réalité le pouvoir n’avait été que féminin depuis des millénaires ?) – mais cette notion d’injustice où commence-t-elle (on le voit bien ici pour les hommes. - Mais quels hommes ? Ici il y en a de tellement de sortes différentes qu’on a l’embarras du choix – va donc se poser la question de l’homosexualité qui sera inscrite par la femme dans la Bible comme étant hors-les-lois – En effet, c’est la menace qui pèse sur la Vie et sur la transmission de celle-ci (donc à première vue une notion de bon sens ou censée, juste qui sera reprise dans le Coran ou par d’autres religions – une notion à première vue évidente) – l’homosexualité n’est qu’une mauvaise affaire que pour la femme, mais/et donc pour le renouvellement de la société – et ce sera à cause de cela que la femme va faire croire que l’homosexualité est hors-la-loi, quand elle n’est en réalité qu’une notion intrinsèque maternelle, celle de la sœur ou de l’amie d’une autre jeune femme – évidemment en cela elle ne fait rien de mal, mais est très naturellement une confidente ou à rechercher de l’aide pour quand elles deviendront mères – mais cela peut être mal vu par le garçon ou le futur père de l’enfant (en raison des bruits qui courent et des textes considérés comme sacrés à ce sujet (en général une chose scensée ou de bon sens est vite considérée comme sacrée, d’autant plus de la concorde qu’elle trouvera : adhésion car facile à comprendre ou pourcentage important qui vont confirmer – mais il reste néanmoins le pourcentage mineur ou faible qui n’est pas d’accord : « ce n’est pas aussi simple que ça » - d’où antagonismes et mensonges), d’où que la femme ait cru avoir le droit de mentir à ce sujet  – en effet, si le père disparaît ou part avec une autre femme (ou même devient homosexuel), la future mère ne peut que compter pour élever l’enfant que sur des amitiés certaines (ce seront ses camarades d’enfance ou de jeunesse) – ce seront donc plusieurs femmes à élever l’enfant – et comme l’homme a des problèmes financiers ou n’arrive que rarement à disposer de CFP en assez grandes quantités que pour assurer sa propre subsistance (quand il s’agit d’un type bien qui ne veut pas peser sur le budget de sa femme) d’autant plus qu’il est souvent devenu un égoïste ne se souciant que de sa retraite personnelle, voilà nos femmes qui sont à devoir payer de leur poche pour élever un enfant qui appartenait en partie à ce garçon – aussi pour elles le mariage n’est pas nécessaire en cela, mais il n’était en réalité nécessaire que pour l’homme qui sait qu’il dispose d’un lieu, mais surtout qu’il a des devoirs et des droits – d’où que le mariage soit à la fois une bonne chose – dans certains cas – et qu’il soit dans d’autres une mauvaise chose – en fait un compromis - puisqu’on risque d’avoir pour toujours une personne – son mari - dans les pattes – ce que peu de femmes acceptent, puisqu’elles aiment tomber amoureuses quand elles ne le sont plus de leur mari. En effet, elles ne croient pas tromper en s’adressant à un autre père que le père de leur enfant et il n’y a donc que le garçon adolescent, enfant-gâté et égoïste à être possessif de sa mère, sa sœur ou sa femme, par conséquent à avoir la sale mentalité d’espion ou même à représenter une menace pour la mère ou le père qui aurait été surpris par lui avec une autre personne pour des relations sensuelles (ici, c’est encore une situation qui n’arrivera qu’en raison de ce que la situation était bloquée, car sinon tout serait autrement, puisque tous les enfants naissent sans préjugés et prêts à s’adapter à chacune des époques – cependant il s’agit comme nous l’étions tous d’être justes qui savent que l’être humain a le droit de refuser les commerces sexuels et de les réserver à une personne en particulier en priorité comme ils savent qu’on a le droit de totalement ne pas être intéressés par la question comme quand on s’intéresse à une catégorie pendant des heures où la sexualité n’entre nullement en jeu – d’où que sur cette question ce qui adviendra sera lié à des choix qui sont dus à la situation bloquée et à l’héritage millénaire ayant conduit à ces compromis ou solutions élégantes qui deviennent vite des préjugés – soit le danger de ce qu’on représentés les conservateurs au mauvais sens de ce mot comme au bon, puisqu’il est d’avance imbécile ou stupide de vouloir faire table rase du passé – c’est bien le passé qui a permis de réaliser l’autel et la table en elle-même aussi ce serait bien bête de vouloir y renoncer ou signifierait de vouloir se priver pour toujours d’architectes et d’ingénieurs, soit de cette catégorie de personne, comme les chirurgiens dentistes ou de spécialistes de droit qui sont à dresser les plans de ce qui permet de soigner puisque cela permet de construire /de répondre aux besoins de toutes les catégories sociales – faire table rase du passé c’est une ineptie car cela signifie vouloir oublier et se passer de la table elle-même qui permet aux lois et aux accords ou aux contrats ou à ce qui est le meilleurs d’advenir : il s’agit aussi d’un comptoir avec la table – donc du lieu où on mange – faire table rase du passé c’est se condamner à la famine et c’est le propos de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot et non au bon, soit celui qui répète une expression qu’il a entendu dire dans une situation où il vaut mieux effectivement chercher à oublier des choses désagréables pour éviter de devoir se venger ou d’avoir à égorger des coupables – on préfèrera alors « tourner la page » ce qui ne signifie pas « oublier » - d’ailleurs on lit sur des tables ou sur des tablettes comme on lit les textes sacrés à l’autel par respect pour les aAteurs qui accomplirent ces miracles pour qu’ils deviennent des sujets de débat et même de contradiction – ce serait comme vouloir se priver de livres que de faire table rase du passé puisque le livre et la table sont comme mari et femme, indissolublement liés en raison de plume, d’encre et de papiers – il y a donc avec celui qui brûle les livres le fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui ne se rend pas compte des investissements que chacun d’eux a requis pour être établis/inscrits à l’état d’originaux ou de textes prototype ou masters – il s’agit réellement de pensées qui parfois sont effectivement contestables sur un point ou un autre, ce qu’on appelle la recherche du cas particulier ou de l’amendement – c’est ici le travail des docteurissimissimes qui sont continuellement à s’infliger des doutes et à rechercher la contradiction dans ce qu’elle est la meilleure pour l’avancée ou la progression de l’Ensemble au point que les voilà à affirmer parfois que ce qui est considéré par une minorité au sujet de l’homosexualité peut être vrai dans une situation précise d’une civilisation ayant évoluée, obéissant à divers paramètres qui sur le plan hygiéniques ont résolu des questions ou des problèmes – cela signifie donc que cette notion n’est peut-être pas aussi impure qu’on l’a présentée au cours des siècles et cela ne sera certes pas Jean Cocteau ou Montaigne à me contredire – évidemment cela va signifier ici un autre projet et la gestion de la question sur le plan financier aussi et bien sûr en CFP car sinon il s’agira de l’homosexualité des satyres ou des centaures qui est néfaste à la fois à la Vie, donc à la femme, mais aussi à celle des dieux dans la mesure où ils seraient à considérer homosexuels – ce qui n’est nullement certain même quand ils en ont l’air – en réalité seulement à s’intéresser à comprendre, ce qui n’est ni le propre de la femme, ni le propre de l’homme de façon distincte ou antagoniste, mais des deux, soit de l’être humain spiritualisé, c'est-à-dire roman ou même gothique, en un mot bien élevé, comme les statues ornant les entrées de Notre-Dame et rappelant celles démesurément longues de Giacometti – bref, de l’être humain renaissant, s’étant défait de sa part d’ombre) – mais on peut aisément le comprendre : l’enfant pourrait croire que l’aAnneau va être brisé, donc que lui-même est dissocié ou séparé ou infidèle à une des moitiés de lui-même (et cela l’enfant ne le veut pas – il pourrait l’accepter si les enfants étaient de tous et si tous les parents n’étaient pas individualisés personnellement par l’enfant – mais cela signifierait un changement de civilisation qui ne pourrait advenir qu’à l’issue de ce que la vieille salle des machines ait été rendue pendant plusieurs générations aux penseurs ou aux êtres humains conscients ou issus de la Renaissance, soit tous ceux qui se sont consacrés à l’œuvre de Dieu et qui se sont chargés de tout administrer – En effet, ceux-ci (comme les prêtres) considèrent un peu, tous les enfants comme les leurs à qui ils ont mission de donner de bons conseils) – c’est pour cela qu’il est conseillé que les séparations entre époux aient lieu une fois, par exemple que l’enfant est fiancé ou lui-même étant déjà parvenu à l’âge d’attendre un enfant dans de bonnes conditions financières – ici, l’homme rassure la jeune femme, donc la mère de l’enfant – par conséquent sera jugé par le fils ou la fille un » bon père «  qui n’a pas recherché en macro à arnaquer la mère – l’enfant saura pour toujours que ses parents se sont véritablement apprécié à égalité – aussi il est sûr aussi qu’il s’inscrit dans un projet plus ample – le voilà à avoir la tête dans les étoiles ou les galaxies – le voilà métaphysicien et peut-être ingénieur, le voilà à rechercher à recréer la même situation qui est la meilleure – le voilà » légitime « ) et surtout elle varie dès que les paramètres pris en compte sont évoqués – on les avait oublié, aussi ce qui à première vue était injuste ne l’était pas : il est donc normal que celui qui s’est donné plus de mal se rémunère plus – de cela nous sommes certains d’avance d’avoir l’adhésion unanime de l’ensemble des femmes qui savent ce que signifie se donner du mal, puisque depuis toujours ce sont elles qui, en raison de la fatigue physique des hommes (à cause d’elles), se donnent du mal en raison des diverses responsabilités qu’elles sont contraintes à assumer – c’est en cela que la femme est souvent une sainte d’autant plus qu’elle sait qu’elle ne peut vivre de cfs, cfu, cfm, cff, ou cfcch ce que les femmes corrompues acceptent plus facilement pour s’en sortir avec toutes les conséquences auxquelles elles soumettent leurs enfants – ce sont donc elles à avoir donné l’idée que l’éEtat était formé de personnes corrompues qui corrompaient – évidemment cela n’est pas possible que seulement des personnes qui se laissent corrompre et qui ont mentalité de faux-monnayeurs – c'est-à-dire de personnes dans l’ignorance de tous les paramètres économiques, marchands, commerciaux, industriels, artisanaux, etc. – c'est-à-dire des ignorants au mauvais sens de ce mot qui ne sont que des adolescents profiteurs dérobant le bien d’autrui : donc les parasites ou les entretenus – en fait ceux qui on des mentalité de très vulgaires ou grossiers macros – soit les satyres et les centaures qui résultent des très mauvais élèves et des tricheurs) – ici ce sont en général les femmes qui vont le déterminer car elles remarqueront qu’il n’a aucunement le soucis des autres hommes et qu’il n’est qu’à étudier, inventer s’intéresser aux arts et aux sciences de l’art, bref à ce qui pourra permettre de sauver la Vie – d’où qu’en général elles seront les mécènes ou celles qui vont aider l’enfant prédisposé à toutes les sciences, puisqu’elles sont assurées avec les faunes, les satyres et les centaures ou tous les dégradés d’autant de personnel dont elles auront besoin pour tous les travaux manuels – en effet, elles n’ont pas grandes considérations pour les chefs d’éEtats, les ministres ou les fonctions officielles, les militaires, mais seulement pour les aArtistes véritables – soit ceux qui sont dans le vrai (celui-ci transparescent dans les œuvres : il s’agit de personnalités qui poursuivent donc les mêmes but que la femme véritable : soit la Très Sainte Vierge Marie en Isis l’infinie compatissante) – elles savent que naturellement le mariage n’existait pas, par conséquent qu’il s’agit d’un artifice qui est une solution élégante trouvée à un problème qui s’est posé dans différentes époques sous différentes traditions millénaires et qu’en ces lieux divers, on a abouti d’une façon diverse à la même idée : un compromis à cause des problèmes que posent l’enfant de l’enfant de l’enfant de l’enfant de l’enfant et plus loin là-bas encore le descendant, bref la notion de poupée russe intrinsèquement et consubstantiellement ou ontologiquement féminine, soit la notion d’infini – Isis n’est que mathématicienne quand elle songe a elle comme mère), mais ce qui est certain c’est qu’il y a des choses à faire tous les jours et que, pour l’instant, sans argent, il n’y a que les bénévoles qui, parce qu’ils sont assurés d’avoir assez de CFP pour survivre, travaillent gratuitement, ce qui a été le cas d’innombrables véritables aArtistes et de milliardaires (par conséquent aussi des misérables et des pauvres qui effectivement travaillent à quêter des CFP dans des décors qui attestent autour d’eux que l’ensemble est constemment collectivement comme milliardaire, mais que chacun de ces décors qui appartiennent aux Granier d’Ôz, tous de droit (puisqu’ils se sont donnés du mal pour les conserver pour l’Ensemble grâce à mes transmissions de la NNDIM qui a évité leur destruction puisque cela a permis d’arrêter les guerres) ont été placé localement sous des responsabilités particulières chargées de les entretenir et de les valoriser, ce qui en a fait d’une certaine manière de légitimes détenteurs Nous représentant – en atteste les sites Internet – qui découlent de ces transmissions à travers le temps - lié à ces diverses administrations).

 

Dès qu’on est assuré d’avoir les moyens pour survivre avec les membres de sa famille, alors il y a des activités qu’on peut faire bénévolement (et on ne s’en ai jamais privé au point d’avoir acquis des mérites souvent reconnus par la cité ou les journaux ou d’autres instances). Dans mon cas, je n’ai pour l’instant fait que chacune des choses bénévolement depuis mon enfance y compris en faisant intervenir la virtualité de moi-même, ou ce prolongement virtuel de moi-même dans le futur qui a permis d’enrichir (financièrement parlant quantité de milliardaires et de millionnaires dont j’eus à communiquer les noms d’avance), pour créer de la richesse, pour que les gens les plus pauvres soient assurés d’un minimum leur permettant au moins de manger, jusqu’au jour où ils pourraient être rétribués, un peu plus (si je parvenais enfin à mes fins pour le prix du baril de pétrole : qu’il baisse pour que la prospérité générale advienne et qu’enfin la Nave vada  «  vogue la galè’e » en prenant ici le son du point de vue du » nèg’e « ans ses bulles, au-delà de la hune, au sommet du mât du bâteau des pirates dans les aventures d’Astérix le gaulois – il est le seul à s’en so’ti’ puisqu’il se donne toutes les peines, tandis que les aut’es sont à p’ofiter de lui et à lui imposer son poste de veilleu’ ou d’obse’vateu’ : en effet, quand le bâteau coule, il dispose avec son tonneau d’une embarcation de secou’, tandis que les autres sont à se noyer), en apportant leurs concours pour participer, étant donné que chacun d’entre nous avons des devoirs, des obligations et que chacun d’entre nous poursuit sa voie en raison des lois des conséquences liées à ses ancêtres en interactions avec les autres lois (cosmiques, etc.).

 

L’argent (les CFP) est/sont donc (dans ce cas de figure de la Création bloquée jusqu’au 8 octobre 2014 et 31 juillet 2017) une nécessité fondatrice puisque rien ne peut de nos jours être construit sans argent (sans ces CFP), sans budget, au point que même les choses qui vont bénéficier de bénévolat ont besoin d’argent (de CFP), puisqu’il y a des achats à faire qui coûtent ces CFP avant même qu’ils soient disponibles à tous ceux qui produisent ces éléments, ne serait-ce que pour payer l’ensemble des frais de transports de chacune des matières premières ou seconde ou yXième assemblées et des personnes travaillant à les élaborer pour que ces produits permettent ces bénévolats (en effet, sans les industriels produisant des casseroles grâce aux ouvriers qui ont accepté de se soumettre à la hiérarchie existant dans l’entreprise artisanale ou industrielle on ne pourrait pas/jamais assurer le renouvellement des fournitures pour assurer la soupe populaire ou les restaurants du cœur dont j’eus à transmettre du futur l’idée en indiquant à Coluche de la réaliser, ce qu’il fit généreusement, à ce qu'il paraît, au point de mettre réellement la main à la poche et d’aider des prêtres ou des bénévoles dans l’organisation de cette charité).

Et celui qui vous écrit et qui a tant sacrifié ne peut plus imaginer pour la suite de son existence de continuer de vivre démuni[9], de continuer à faire du bénévolat en ayant encore à sacrifier sa première et seconde femme légitime[10] et une autre femme, la troisième, qui connaît, à son tour, ce que signifie être loin de la personne avec laquelle elle se croyait déjà mariée[11] car j’ai partagé avec elle dix huit ans de son existence (certes un ou deux jours par semaine en moyenne ce qui n’est pas vivre maritalement au sens ancien de ce mot – les lieux de Paris et Strasbourg ayant permis ce compromis).

Elle peut donc enfin comprendre ce qu’elle a imposé à ma première femme (promise) et légitime aux yeux de Dieu et du Grand Architecte de l’Univers, puisque dès que j’ai appris, par l’intervention de celui qui se prétendait Dieu, que j’avais eu une promise (comme une petite sœur en 1965 - qui était donc ma première femme légitime épouse dans la personne de Christine…Lang), j’ai compris que je devais rompre mes fiançailles avec celle qui est devenue, à partir de 2010, une « amie de loin ». C’est alors que j’ai fini par comprendre qu’elle n’avait pas pu comprendre en 1965, ni même à partir de 1975 (quand la situation s’est renouvelée dans le ciel, à Rome, de mes apparitions alors virtuelles, là-bas, où j’y étais alors en chair et en os avec dans mes bras Christine…Lang). Ce qui signifie que nous n’avons pas la même idée/conception du mariage (et des responsabilités paternelles) et de ce qu’il signifie sur le plan religieux, dans la sphère du sacré de l’existence et que cela explique pourquoi ma première épouse légitime est reconnue comme telle par l’idée que j’ai de ce que cette intervention de ce prétendu Dieu, concorde (s’il ne m’avait alors pas demandé d’épouser M. F. ) avec l’idée que j’ai du G. A. U. – il y a donc eu indéniablement l’aspect providentiel de toutes ces transmissions qui ont donné chair à l’idée d’un dieu. En effet, elles furent faites de ma chambre (située dans le ciel du point de vue de ces trente années auparavant qui ont eu à devoir braquer les yeux au ciel) comme s’il s’agissait de celle de l’Elysée ou du Sénat ou des députés : publiquement, en empereur légitime – par conséquent en conscience et dans l’Intérêt Général, mais aussi en légitime défense de ma personne impériale et de mon aAnneau de fiançailles légitime retrouvé. Soit celui qui n’existe pour les véritables empereurs ou les rois qu’en raison de la raison d’être d’un prince pour ses sujets dont il est en réalité l’esclave au sens de serviteur – c'est-à-dire au sens admirable de Dürer a signalé : le nèg’e – soit vôs dévoués ciaï – donc l’aArtiste de la Renaissance à Florence : le diable, dans son sens positif.

A cause tout cela, nous avons été contraint de nous séparer, de faire ce sacrifice, dès l’âge de deux ans et demi. La première fois, cette dernière (C. L.) ayant un an ou un an et demi et cela puisqu’il y avait des répercussions de la Seconde Guerre mondiale dans le contexte familial de la jeune fille de Strasbourg, Michèle Finck, mon ex-fiancée, depuis 2005, qui voyant et croyant à ce qu’elle a[vait] comme contexte social (provincial) depuis qu’elle était petite, (au sujet du mariage), ne pouvait pas imaginer (avec ses responsables de l’époque – ses parents) qu’elle aurait pu être comme une grande sœur, ayant trois années de plus que moi et pouvant être élevée avec moi et Christine…Lang qui était promise à être mon épouse légitime et donc la mère de mes enfants (que nous avons pour l’instant eu à sacrifier aussi), ce qui était aussi possible pour cette seconde femme (de Strasbourg) vers laquelle je n’ai pu aller que seulement à partir de 1978-79 canoniquement (en raison de divers paramètres que vous découvrirez) en devenant amnésique, en raison de ce que la bande qui a hérité (dans cet état d’adolescents insouciants, irresponsables et inconscients) de la vieille salle des machines a cru possible de faire comme plaisanterie, et cela jusqu’à ce que je découvre en 2005 que Michèle Finck a été obligée de profiter de mon amnésie, en se gardant de me dire ce qu’elle aurait dû me dire si elle m’avait aimé vraiment, comme une sœur et une fiancée véritable (elle a eu 18 ans de preuves que de mon côté j’avais l’intention de partager mes revenus et que j’ai fini par l’aimer bien plus encore qu’une sœur à ne lui jamais rien cacher, en définitive) étant donné qu’il y a eu ce que j’ai compris après 2005, plusieurs tests du Grand Architecte de l’Univers, à ce sujet, qui lui aurait permis de me rappeler au moins ce qui s’était passé à partir de 1975 à Rome, dans le ciel, et dont j’ai pu vérifier, en chair et en os, à partir de 2005 qu’elle le savait et comment cela s’était effectivement passé et ce que j’ai eu à traverser entre 1965 et la fin 1971, comme à partir de 1975 comme successions d’épreuves inconcevables, y compris l’ensemble de celles qui m’ont rendues assez longtemps pour de nombreuses personnes un « minus », puisqu’en raison d’amnésie canonique j’eus  à me déshonorer dès le Lycée Xavier Marmier de Pontarlier mais aussi en d’autres circonstances puisque je devais comme Jupiter enfant  rejoindre une mortelle qui avait l’intention de prendre la place d’une déesse. Aussi elle ne devrait jamais m’embrasser en tant que dieu, mais seulement comme une des personnes de très basse cour puisqu’il s’agissait encore d’une adolescente égoïste et enfant-gâté, ayant, à cause de ses préjugés en 1975-78 empêché la réalisation du Grand Œuvre puisqu’elle refusa cette solution élégante de deux impératrices au point qu’il y en a maintenant au moins trois, si celle-ci devait demeurer sur les rangs pour réaliser finalement, comme je l’entendais ce Grand œuvre dès 1978-1980 en étant aux commandes de tout – puisque j’avais pu vérifier entre 1965 et 1975 qu’effectivement la vieille salle des machines ne fonctionne pas du tout selon les critères des gens les plus instruits ou les plus lumineux ou les plus exactes qui tiennent compte de tous les paramètres concernant une personne et non de ce qu’elle apparaît à première vue (ou des derniers gênants ou le contraire : séduisants)  en sachant déjà ce qu’elle va représenter comme dépenses ou besoins quand elle sera plus âgée.

 

Michèle Finck savait presque tout ce qui avait été transmis alors par ma virtualité dans le ciel de Rome. En découvrant qu’elle me l’avait caché autant de temps, j’ai compris qu’heureusement le Dieu en lequel j’ai cru enfant avait bien fait d’interdire de tuer de ses mains. J’avais donc à transmettre tout ce qui devait concourir à me permettre de vérifier en chair et os pourquoi cela s’était mal passé et j’ai donc agis, en légitime défense, en prévenant qu’il y avait des choses à ne pas réaliser dans ce que je dictai d’autant plus qu’avec le temps qui passait ma colère, mon indignation, et ma douleur s’est calmée et que j’ai fini par comprendre qu’on devait l’ensemble des problèmes à des gens qui sont en fait des « ignorants » au mauvais sens de ce mot ou de ceux qui ont perdu le sens de la logique minimale, comme aussi les capacités pour affronter la réalité telle qu’elle est véritablement constituées des milliards de milliards et à l’infini de paramètres à chacune des fractions de secondes (mémorisés en conscience ou très exactement depuis le premier regard sur la réalité de n’importe lequel des nouveaux-nés) et surtout qui ne peuvent pas comprendre (à cause des dégâts que l’amnésie – ce que j’eus à démontrer – a fait dans leur tête au point de les priver de conscience ou de ces référents aux paramètres les plus convenables ou juste quand on se considère soi-même comme le futur responsable d’une dynastie, ce qui est normalement une virtualité dont est pourvu chacun des êtres humains qu’il a le droit de se refuser y compris pour des motifs qu’il désapprouverait la Création – mais de là à la vouloir combattre ou détruire, c’est autre chose (la façon des terroristes, par exemple) qui mériterait aussi un peu plus de cohérence car alors pourquoi en profiter autant, au bon sens de ce mot (ce qui n’est qu’affirmer qu’elle est bonne et charitable quand elle est entre de bonnes mains servie par des empereurs vertueux) – aussi la vouloir détruire est hors-la-loi ou avoir voulu créer la mort quand elle n’existait pas est intrinsèquement, ontologiquement et consubstantiellement hors les lois ou contraire aux droits inhérents des êtres humains – ce qui rend légitime la défense de la Vie par tous les moyens) et c’est pourquoi je suis même revenu sur des choses que j’avais inscrites dans la Dictée Pharaonique, mais malheureusement je n’ai pas pu revenir sur des choses qui étaient fondamentales pour me permettre d’intervenir le jour venu sur 1965 et 1975, de 2005 et cela pour éviter la reprise de la guerre et pour sortir le monde de ces époques très lointaines par rapport à notre époque des années 2005 qui devrait permettre aux enfants, même les moins capables à l’école, de comprendre un peu mieux quelles peuvent être les priorités pour leur génération et les suivantes (devenir compétent – obtenir un emploi et des CFP – refuser les cfs, cfu et cff, cfm ou cfcch qui rendent corrompus à rechercher que cela soit les autres qui aient les problèmes – cela n’est en rien fraternel ni digne des peines incommensurables prises par tous ceux qui n’ont pas des métiers manuels ou de main d’œuvre mais qui n’ont que tous ceux qui exigent de penser en vérité, ne serait-ce que pour organiser les plans de travail pour monter un immeuble pour ceux qui attendent d’être logés ou seulement le plan de travail du tournage d’un des films consommés périodiquement).  

Alors pourquoi proposer au Pape d’épouser aussi Michèle Finck, comme cette autre qui est en réalité ma légitime promise restituée ?

C’est que la situation générale pharaonique et cosmique me contraint à cela en raison de l’anneau et de ma conscience par rapport à ce qui s’est passé, c’est donc de façon logique et pour des raisons éthiques mais aussi dans l’espoir que la véritable M. F. finira par l’emporter sur la fausse (ou celle qui fut abusée par des à première vue trop rapides ou trop superficiels à mon sujet – enfin en ayant retrouvé la clé de ce que je n’avais pas été toujours au mieux durant ces années puisque je ne me savais pas avoir eu à me séparer de la femme de laquelle j’attendais mes enfants, je n’étais pas moi-même, ce que je devais être pour avoir à vérifier quantité de détails concernant les malhonnêtes – il n’y a rien de mieux pour ça que de le devenir, une fois redevenu honnête on comprend beaucoup mieux le malhonnête et ce qu’il faudra lui dire pour vérifier de ses efforts à redevenir honnête ou de son acharnement à demeurer malhonnête ou a ne pouvoir que faire semblant d’être honnête : c’est ainsi que Jean Valjean a fait).

 

J’aurais préféré évidemment autrement, mais cela ne pourrait être que considéré par ceux qui en moi voudrait renoncer, en conscience, à des devoirs qui logiquement s’imposent, en raison de la logique de la situation et de trois petits points qui sont les inconnues (en détails) dont, dans ce cas, je me dois honnêtement de tenir compte.

 

Permettez-moi de vous avertir que je vais ajouter ce courrier, en annexe, à ma lettre au Pape et je vous en préviens, Monsieur le Président, d’autant plus qu’il y a de nombreuses personnes qui ont même fondé plusieurs familles et qui sont dans des situations comme la mienne : de personnes coincées en ayant plusieurs femmes et enfants dont ils ont la charge et qui sont donc écartelées entre d’un côté le légitime et de l’autre une idée peut-être fausse de l’illégitime, au sens que la civilisation a donné à ces mots y compris juridiquement (avec le problème des batards). Heureusement je n’ai pour l’instant (à ce jour où je vous écris – sous-entendu je m’offre la possibilité que cela puisse évoluer et changer) pas, comme elles, mis d’enfant au monde pour que cela soit lui/elle qui ai[en]t à trouver les solutions élégantes. J’espère continuer à les trouver moi-même (comme toutes les autres qui ont fait la fortune de cette fin de siècle) car je ne veux pas appartenir à ces pères qui comptent sur la génération suivante pour ce qu’ils n’ont pas pu résoudre eux-mêmes parce que limités intellectuellement à ces cerveaux de dégradés involuant vers le centaure au lieu du contraire.

 

Les dessins et les peintures qui valent autant ne peuvent valoir autant que seulement dans un monde qui est celui qui a des CFP (et non des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch  [12]) comme monnaie d’échange.

A l’époque de Lascaux celui qui a peint une des peintures dans la caverne ne pouvait pas imaginer que certaines de ses représentations, peut-être ailleurs, dans une autre grotte aussi, valent bien plus que des milliards de milliards de milliards et plus encore de tonnes de diamants les plus purs[13] et leur pouvoir d’achat en raison des conséquences qu’elles ont eu y compris en architecture et en psychanalyse mais aussi pour confirmer qu’il avait détecté dans quel sens allait l’Evolution.

Pourtant c’est le cas car il s’agit d’un moment fondateur, fondamental localement et nous ne savons pas où peut bien être le corps, le squelette [les ossements] d’un tel génie (mais j’ai vérifié que le profane ne s’en rend pas compte d’autant plus qu’il a pris l’habitude de vivre dans le monde où les représentations en couleur foisonnent) incommensurable (cela signale qu’il utilise sa mémoire et que ce qu’il inscrit est vrai de la vérité relative limitée à ces moyens techniques dont il dispose – avec rien, il fait tout puisqu’il créait l’alternative à la disparition de la vision d’Atlantide mais surtout matière à penser en vérité – c’est donc une des première page de la Bible).

Le risque de supprimer les CFP pour la génération des enfants qui sont à quatre pattes, c’est celui de ne plus permettre à ceux-ci de devenir géniaux ni comprendre ce qui a de la valeur de ce qui en a moins – de ne plus vouloir être de ceux qui disposeront de plus de CFP que les autres pour restaurer pour leur compte des vieilleries ou voyager ou produire ou être actionnaires dans les projets des autres – donc d’avoir envie de participer aux progrès et à la prospérité générale puisque ces investissements sont comme des sacrifices : on ne dispose plus de ces sommes de CFP pendant de longues années avant de toucher un pourcentage des profits s’ils adviennent ce qui n’est jamais certain en raison de différents paramètres auxquels il faut tenir compte.

 

Cela dans la situation générale qui était bloquée.

Il y a ce mot de « valeur »[14] qui est à étudier en relation avec chacun des mots existant dans le monde entier et par rapport aussi à chacune des expressions et chacun des textes, des images, des sons enregistrés (qui en ont) des images animées, etc. , mais aussi qu’il faudrait analyser en prévision du moment où la situation se débloquerait enfin. Donner le résultat, c'est-à-dire, la conclusion de ces réflexions sur le mot de « valeur », ici même, n’est possible que pour la situation générale qui était bloquée, car nous ne savons pas exactement ce qui se produira une fois débloquée, même si nous pouvons sérieusement y réfléchir et le prévoir ou le déduire avec les dangers que par précaution dont nous avons à avertir et à protéger.

 

Donner le résultat en calculant tout, s’est s’exposer à ne pas avoir pris en considération aussi ces trois petits points qui sont l’ensemble des inconnues et des impondérables y compris des imprévus que ce problème pose et donc risquer de faire une erreur, peut-être même capitale, menant à la ruine l’Ensemble de ce qui a pu être érigé comme civilisation ces cinquante dernières années, comme plus encore : en fait depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, par les générations nées en 1920, 1930, 1940, 50, 60, 70, 80, 90, étant donné que nous ne sommes certains que de notre contexte (social, érudit, scolarisé en un mot « civilisé », au bon sens de ce mot) pour partager nos idées à ce sujet, mais qu’il y aura, c’est naturel, le droit de contester nos conclusions, de dire même le contraire, et de voir ces charmants bambins ne pas vouloir se mettre au travail quand nous serons, à notre tour, âgés et par conséquent n’être pas certains, aujourd’hui, que nous serons traités dans nos tombes avec des égards et le respect que méritent cependant des êtres humains s’étant consacrés non pas seulement à l’ineptie des touches-pipi mais aussi longtemps à rendre d’avance plus confortable leur existence sur cette planète, alors que nous descendons des hommes des cavernes qui n’avaient nul confort et que ceux-ci pourraient sans l’exercice de nos sciences ne pas avoir ni l’eau ni l’électricité ni aucune de ces solutions élégantes de télévision par satellite ou d’Internet  pouvant permettre à l’un ou l’autre d’entre eux de faire peut-être bien mieux que nous, ce que nous espérons.

 

Un risque que pourtant nous avions à prendre quand Christine…Lang et moi avons eu à nous séparer pour les raisons que l’ensemble n’a pas compris ou voulu comprendre aussi que ce qu’ils entendaient en virtuel (du ciel) était aussi un test avant la FIN qui devait normalement contraindre l’ensemble de ceux qui ont un anneau véritable de mariage, à refuser que nous nous séparions et à encourager, au contraire, dès 1975-1978 (en raison du soin que j’avais pris pour noter cette Dictée de la NNDIM) à nôtre union sur le champ en renonçant à des faux honneurs et à de vaines gloires (en réalité des collections de photos qui vous donnent l’illusion d’avoir été une célébrité mais qui ne l’est peut-être pas de celles pour toujours ou seulement de celles néfastes comme celle des criminels contre l’humanité qui n’ont pas des raisons de s’enorgueillir des conséquences de leurs actions, mais tout le contraire : à en être sincèrement affligés puisqu’ils ont bien compris qu’on ne peut pas faire ou dire n’importe quoi puisqu’il y a des phrases qui signalent aussitôt que l’humanité entière doit tirer le signal d’alarme), ce qui aurait alors déclenché l’autre cas de figure de la Création, celui que nous attendions en 1965 dans notre berceau et qui aurait pu permettre aux personnes de ne pas vieillir, de souffrir beaucoup moins, et au lieu de mourir, elles seraient encore parmi nous et, par conséquent, auraient peut-être eu, finalement, le droit d’avoir une autre épouse, une autre famille, comme un monde différent (régulièrement assaisonné de la vision d’Atlantide ou d’Ôz, soit celle du Paradis), puisque Christine, comme moi-même, en 1975-1980, puisque nous nous aimions en vérité au point d’avoir eu à faire ce sacrifice et de faire intervenir le futur de rechercher de réaliser des actes néfastes. Nous ne connaissions pas non plus la jalousie. Chaque chose avait enfin du sens à nos yeux puisque nous nous aimions à ce point et avons compris que nous avions à soigner ensemble la jeune fille de Strasbourg y compris éventuellement pour en faire une seconde impératrice, une fois qu’elle aurait réussi à comprendre de quoi elle était devenue coupable.

Mais l’époque était encore trop proche de la fin de la Seconde Guerre mondiale et l’ensemble avait des préjugés sur ce que le mariage en Occident doit être (y compris le Pape, y compris ce prétendu Dieu qui a cherché à se faire prendre pour celui qui du ciel apparaissait en virtuel d’avance – vraisemblablement attiré par une illusion de pouvoir).

Par conséquent, c’était une époque intolérante comme cela est souvent le cas par des personnes qui ne veulent pas tenir compte de la situation générale qui était bloquée, comme paramètre, avant de se décider à agir ou à parler (donc qui n’imaginent pas ce qu’elle pourrait donner débloquée à plus ou moins long terme – elle n’était que peu versée en films d’anticipation ou de sciences fiction, ce qui permet d’étudier d’avance tous les cas particuliers).

C’est pourquoi nous avons été contraints de procéder par étapes successives et en acceptant de nous ridiculiser, de commettre sur nos personnes des profanations et des sacrilèges contre notre corps qui était redevenu pur, ainsi que notre tête, et nous avons pu heureusement connaître, à cause de cela, les remords. Nous avons eu aussi à connaître la honte de nous-mêmes. Nous avons même failli devenir fou et nous avons pu aussitôt bien mieux aller, dès l’intervention du Grand Architecte de l’Univers, ce qui nous a contraint à agir en conséquence, puisque nous avons alors découvert que nous avions été victime d’une amnésie (ce dont il se souvenait) canonique au point de perdre notre identité véritable, longtemps.

Aussi, vous comprendrez, monsieur le Président, que c’est une situation qui exige de la part de l’Ensemble qui a été sauvé grâce à tous ces malheurs comme le sacrifice de cette séparation des dédommagements (financiers) à divers titres car personnellement je vais avoir à me soigner pour le restant de mon existence (en raison de l’écartèlement que cela a créer comme personnalités différentes traversées – du plus crétin à l’un des plus intelligents, plusieurs fois) étant donné la masse de traumatismes les uns après les autres que j’ai eu à endurer injustement, y compris comme Christine…Lang et Michèle Finck qui, vraisemblablement a été utilisée à son insu et avec son consentement de personne devenue artificiellement, en raison de l’usage de la vieille salle des machines à son encontre, contraire à l’Intérêt Général et par conséquent devenue prisonnière de certitudes mensongères mais très certainement l’objet d’un racket sur son âme par des personnes qui m’ayant pris pour dieu ont voulu la dresser contre moi alors que je suis pour ce qu’il y a de plus intelligent en elle.

 

C’est vraiment une chance que je n’ai pas fait semblant de l’aimer, à partir d’un certain moment, après avoir essayé, pendant des années, en faisant semblant et en utilisant la méthode Coué, car sinon il n’y aurait jamais eu ce cas de figure de la création ayant été sauvée au moins jusqu’à cette date car c’était parti pour la FIN après la Seconde Guerre Mondiale en raison du nombre de bombes nucléaires qui n’avaient pas été comprises comme elles avaient à l’être, c'est-à-dire comme la seule possibilité d’éviter plus de victimes, comme à l’occasion d’une intervention de gendarmerie ou de la sortie des gaulois irréductibles du village pour frapper des personnes qui n’ont que fausseté ou mensonges en tête.

 

En intervenant d’ici, j’ai pu à la fois continuer à faire faire des progrès dans l’armement, mais aussi par la même occasion lancer le désarmement général, ce qui doit être continué et remis en chantier, étant donné qu’on a de nombreuses personnes qui sont capables d’expliquer en vérité comment résoudre les problèmes qui se posent grâce à la pédagogie, donc des négociations en cas de litige y compris les recours au tribunal international (ou à ma personne pour trancher, puisque je suis empereur – mais pour que je fasse ce travail que je sais faire, je ne le puis sans être assuré financièrement de tous les moyens dûs à mon rang, de tous ceux qu’on m’a dérobé, de tous ceux qu’on me devait dès 2005 (mais déjà dès 1965 et 1975) et que personne n’a songé à me faire trouver – bref d’avoir accès aux trésors des nations comme s’il était le mien puisque j’eus à les sauver autant que cela), en espérant tomber sur des personnes qui ont compris qu’on ne peut plus se comporter en voyous, et en menteurs dans la Communauté Internationale qui est entrain de devenir la Communauté InterRégionale de la planète, étant donné qu’il est temps aussi de réfléchir à créer les conditions pour habiter, plus nombreux dans la Station Orbitale Internationale qui pourrait s’étendre et s’agrandir d’autant plus qu’elle pourrait devenir une plateforme à rejoindre pour le « tourisme spatial », une sorte d’hôtel ou de refuge orbital (merci Walt Disney)  la rentabilisant avant de poursuivre vers la lune (comme dans 2001 l’Odyssée de l’Espace) et créer ces conditions aussi pour habiter dans les fonds marins comme pour envisager d’exporter la vie sur Mars (tout cela en raison de la démographie et des gens qui trouvent apparemment normal d’avoir des enfants dans un monde qui a offert effectivement autant de solutions élégantes, quand il n’est pas sûr que cela soit un Droit de l’Homme, dans les conditions dans lesquelles nous sommes et que plus nous avançons, plus nous pensons même que ce système solaire n’a peut-être plus le droit d’exister (ce qui nous rend à dessein incohérent avec ce Droit à la défense de la vie de plus haut) étant donné ce que avons eu à découvrir au sujet des êtres humains étant autant que cela devenus aussi injustes envers Nous en ayant dû nous contraindre de supporter nous-mêmes en chair et en os comme privations à cause de l’ensemble de ceux qui n’ont grâce aux cff, cfs, cfm, cfu et cfcch voulu se priver de rien et ont ainsi rejoint la bande de ceux qui croient que la vie ne concerne que des temps pour s’amuser avec les machines en fonction de ce que nous vivons, ressentons, pensons, disons, écrivons même au stade de brouillon, donc espionnés par des personnes qui, sans avoir nos degrés de sciences multidimensionelles, multicatégorielles, alpha-oméga et … en raison de cela, se sont pour toujours empêchées d’évoluer au point de ne pas comprendre les centres d’intérêts de ceux qu’ils espionnent ou de faire semblant de s’y intéresser, donc de feindre de comprendre pourquoi certains peintres comme celui qui s’appelle pour l’instant …  vallent autant de CFP que cela au millimètre carré, dans un monde privé de la vision du Paradis et cela parce qu’ils savent qu’en montrant Atlantide, l’ensemble des choses à première vue affreuses ou même pourries ou qui ont été réalisée dans l’état d’« ignorants » et d’inconscients, par des personnes qui n’ont pas besoin même de passer du jardin d’enfant à l’année supérieure, parce qu’ils ont appris à aller et venir et donc à passer un crépis sur le mur comme la main d’œuvre s’en rend facilement capable uniformément sur une façade ou avec de la chaux, donc à faire du plâtre (ce qui s’apprend en moins de cinq minutes) savent que quand le variateur de la vision d’Atlantide sera tourné, (pour révéler la présence du Paradis ou d’Ôz, ce qui est synonyme), l’ensemble de ce qui aura été ainsi « blanchi » (et qui a permis de recevoir des CFP et non de ceux faussement établis mais au contraire calculés justes) fera apparaître la Beauté, la Bonté et le Bien, comme sur n’importe quel trottoir ou route goudronnée ou bien les toiles qui sont enduites d’un fond uni, ou le papier blanc, c'est-à-dire ce qu’on fait quand on balaie ou même n’importe quoi avec un stylo ou quand on nettoie une cuisine, en faisant ici, en général de son mieux, ce qui est effectivement un travail physique (qui n’est proposé qu’à l’immense nombre ou quantité de main d’œuvre en concurrence), et révélera comme bien d’autres éléments (y compris immeubles en pierre de taille à travers ces différentes choses réalisées), ce Paradis, cette Atlantide des origines en donnant l’illusion que tout est de l’aArt ! Or si effectivement il faut apprendre à faire souvent des choses aussi faciles que de remonter un variateur ou appuyer sur un interrupteur pour commencer un parcours qui peut mener à force de devenir un technicien à être au service de l’aArt. Le fait de badigeonner ou de passer l’éponge ou de faire un fond ou de cueillir des pommes, n’est pas de l’aArt ni même un artisanat, mais seulement une activité de débutant que tous sauront aussi bien faire, qui n’exige nullement la quantité d’investissements (financiers de la part de famille altruistes, généreuses et donc appartenant à celles des adultes parachevés) en temps aussi considérablement importants en nombres pour réussir à maîtriser un art ou des techniques pour les utiliser à des fins oratoires (comme ici) ou de créations sublimes ou d’aArt, ce qui concernera ici des personnes très rares ou si précieuses qu’elles sont d’avance les seules à pouvoir décider du programme du calendrier de restitution de la vision d’Atlantide ou d’Ôz selon la rationalité scientifique qui ne peut être qu’établie en conscience, dans les règles de l’art et selon une progression précise qui ne nuise à personne et qui soit donc conforme à cause de cela à cette notion de Beau, de Bien et de Bon (de fraternel) qui effectivement est capable de révéler dans ce qui à première vue est aussi ennuyeux que la main d’œuvre elle-même dépourvue de talent (quand ce n’est pas le contraire qu’elle finirait par découvrir à force d’étudier), les plus beaux ornements dans ce qui n’est que banal, voir pourri et aussi facilement réalisé par des ignorants, au mauvais sens de ce mot comme au bon, soit les profanes et souvent même les athées, en raison qu’ils appartiennent à ceux qui se sont détériorés le cerveau pour s’empêcher de penser convenablement mais qui peuvent continuer à passer le balais, ce qui n’exige aucune grandes et difficiles sciences d’autant plus qu’assurés qu’une fois qu’ils monteront le variateur de la vision d’Ôz, c’est le Beau, le Bien et le Bon qui est là à soigner (comme les plus belles œuvres d’aArt) – sauf que celles-ci ont des aAuteurs qui ne sont pas de ceux qui passent le balais en inconscients ou en irresponsables mais d’une façon qui représente des choses vraies et qui pensent magnifiquement la création qu’ils ne se permettent pas de souiller, de profaner par des sacrilèges de la vulgarité ou des conduites d’enfant-gâtés égoïstes ne sachant pas partager ce qu’ils ont avec les autres ou se priver puisqu’ils sont assurés de ces cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch en plus des CFP qu’ils reçoivent.

 

Vous admettrez que c’est intolérable pour tous ceux qui se sont donné beaucoup de mal pour parvenir à faire autre chose que des gribouillis ou des allées et venues de balais – les miens depuis valent de l’or ou des diamants par montagnes, tandis que ceux-là sont ceux de faussaires qui ne signifient que mensonges ou désir d’escroquer ou de vivre en parasite ou en profiteurs au mauvais sens de ces mots capables de reproduire des choses aussi élémentaires que celles des primitifs préhistoriques peintres en bâtiment ou faiseur de briques, comme des petits pains (car ayant appris à le faire par un véritable aAuteur ou ingénieur) – cette danse des petits pains de Charlie Chaplin dans la ruée vers l’or vaut en elle-même de l’or – il s’agit d’invention, de création (qu’ensuite tous pourront s’amuser à reproduire, mais il s’agit de l’idée d’un père de famille pour créer de la beauté puisque des personnes ont voulu priver l’Ensemble de celle-ci – nous voilà à y gagner uniquement grâce à Charlie Chaplin qui est effectivement sur ces murs (de projection) la révélation du génie d’ozien[15]) - en se donnant du mal à sculpter un chapiteaux au-dessus de ces sortes de saucisses de colonnes qui partout ont induit les gens à tant d’erreur et dans des simplicités de benêts allant acheter leur baguettes, toutes pareilles, faites dans le même moule et n’ayant jamais requis plus de connaissance que pour gâcher le plâtre sus décrit (cinq minutes pour apprendre à les reproduire car encore une fois l’idée est à un aAuteur véritable qui n’est pas cette main d’œuvre qui en bénéficie – toujours le même, le vrai Dieu qui donna l’idée à Jésus Christ de cette solution élégante du sacrifice pour nous donner une autre chance et appartenir à ceux qui discernent le bien du mal) ou pour croire qu’ils sont utiles à quelques chose en faisant la sentinelle ou en ayant appris à mettre la table ou à servir un café derrière un comptoir et à être obnubilé par la colonne au lieu de comprendre l’intérêt du chapiteaux ! A Tourette-sur-loup vous trouverez le pain appelé une main de Picasso – il s’agit d’un très bon pain blanc, une variante de la baguette (proposé à peine plus cher, en raison de la qualité de la mie de pain qui est meilleure) autrement présentée, en cinq morceaux, facilement détachables dont l’idée est venue inspirée par ce peintre au boulanger : il n’y a que quatre doigts mais avec un pouce – j’ai finalement compris que c’était à Walt Disney qu’on se référait).

 

Il est normal que ce qui savent ce qu’est l’art véritable refusent de voir Atlantide, le Paradis, l’Éden dans ces conditions (où ce variateur n’appartiendrait qu’à la vermine ou aux faussaires et non aux êtres au service de la vérité) puisqu’ils savent ce que cela a signifié pour eux et leurs ancêtres d’avoir à atteindre les possibilités de représenter, dans un monde dans lequel il n’y avait plus de représentation, ni même le souvenir d’Atlantide : d’écrire, de peindre en vérité, y compris de filmer, de comprendre et d’expliquer, à partir d’analyses exactes des choses qui sont vraies comme simplement celles qui se rattachent aux définitions des mots (qu’ils eurent le génie de trouver aussi justes) avec leurs différents sens officiellement admis, mais aussi ceux qu’on peut découvrir qu’ils ont à d’autres niveaux de lecture et dans des cas spéciaux (ce qui contraint à obliger le lecteur à s’y référer, puisque dans ce cas là, il s’agit d’une plaisanterie sur la scène d’un théâtre et le mot a été entendu d’une façon originale). La vision d’Atlantide et le variateur ne peuvent avoir une chance de devenir de l’art que seulement si celui-ci sera mu par une main propre et utilisé en suivant un programme très précis, très scientifique, respectueux de l’ensemble des catégories y compris de celle de la pornographie qui résulte (on peut justement le déplorer) de la situation générale qui a mené de nombreuses personnes à choisir un monde « à première vue » possible pour eux seuls qui se sont ainsi fait berner par cette situation générale les menant vers des choix involutifs (car non respectueux des autres ou recherchant à en profiter) qui n’ont pu permettre cela qu’aux personnes devenues inconscientes de leurs devoirs, n’ayant pas pris soin de leur âme en conscience, victimes de la situation générale bloquée (cela est admirablement décrit dans les damnés de S. A. I. SSS Lord Visconti et … ).

D’un côté nous avons des personnes qui savent ce que c’est que d’avoir à travailler non pas pour tromper mais pour soigner, en raison de l’Intérêt Général (au sens global – ils ne peuvent donc qu’à appartenir à l’internationale de l’esprit qui partout conseille, soigne ou signale ce qui est juste de ce qui l’est moins aux personnes réceptives – soucieuses de choisir le bon chemin d’avance pour leurs descendants – ces personnes sont donc généreuses, même si à première vue un peu égoïste (ou solitaires) puisqu’elles ne s’intéressent qu’à étudier – elles ne le font que dans l’optique d’être des rochers sur lesquels ces petits pourront s’appuyer – au lieu de tromper, elles n’ont chois que de conseiller fraternellement et entretenir le patrimoine commun. Elles gronderont ou se fâcheront souvent très justement/à propos (leurs colères sont saines et signalent que vous exagériez – au sens négatif de ce mot) – elles vous corrigent donc, mais de droit, car elles songent à l’Ensemble et à plus loin, en raison du danger que représente la loi des conséquences – en effet, si vous continuez à mal faire c’est une catastrophe pour tous ceux qui sont à vous considérer un exemple ou qui avaient, innocents, foi en vous – ils n’ont pas été averti que vous les trompiez et risquent gros[16]) et donc en faisant cela en conscience et c’est pourquoi ce variateur doit leur être remis car ils n’ont jamais cherché à utiliser les machines en ignorants (au mauvais sens de ce mot mais dans le bon sens de celui-ci) et c’est pourquoi, par exemple, ces personnes s’étaient mises à analyser sérieusement ces rêves ou cauchemars car ils représentaient des énigmes. Il ne pouvaient pas imaginer que ces machines existaient utilisées par des inconscients à des fins égoïstes, qui en sont devenues méchantes (ou contraires au meilleur des intérêts général qui ne doit avoir que le soucis de participer à la gestion de l’Ensemble, par conséquent d’aider pour résoudre les problèmes qui se posent (mais savoir s’interdire à cause de la loi des conséquences qui parce que vous aurez nui risque de faire de plus amples dégâts) et précisemment éviter que des personnes ne soient la proie de cette inconscience avilissante ou néfaste, alors que celle-ci pourrait être positive autrement employée)  transformant artificiellement en prisonniers de la dictature des sens (menant à une soumission à la subjectivité au lieu de l’être envers l’objectivité qui s’est soumise à la raison elle-même en relation avec l’ensemble des paramètres, donc avec la notion de devoir, par ailleurs et le conflit que cette contrainte ou ce paramètre entretien avec tous les autres menant à l’ignorer – il y aura fatalement comme des écartèlements mais en général comme chacun essaie de construire la maison de ses descendants dès qu’on apprend qu’on est dans une civilisation où tout se paie, cela se résout par devoir courber l’échine ou s’infliger les peines avec joie, puisqu’il y aura des sourires ou de nombreuses bêtises à corriger qui feront rires tout le monde y compris ces enfants à venir en progression – en effet, chacun de nous a dû passer par ces moments d’erreurs ou d’adolescence ou de difficulté avant les choix plus mûrs grâce à la compréhension des explications les plus justes (donc grâce aux informations – scolaires -  retenues en mémoire)  – aussi ces rires ne sont jamais à devoir mal être pris puisqu’ils sont du côté du plaisir de savoir en vérité ou justement – il y a donc un monde ou vérité et rire coïncide[17], c’est celui du bon esprit), donc rendant les personnes seulement capables d’utiliser leur mains pour ne plus que « branler[18] » des manches à balai, des pinceaux et éviter ainsi d’avoir à faire tous les efforts du monde pour utiliser les stylos ou les pinceaux à des fins artistiques véritables, ce que les autres familles, s’étant, en faisant preuve de bon sens, gardée d’avoir accès à cette vieille salle des machines d’origine extra-terrestre, ont su en revanche préserver pour devenir ces personnes assises, capables d’analyser les problèmes qui se posent au jour le jour de différentes manières dont les négociations et en raison de cela ont été capables d’avoir de vraies conversations souvent préparées à l’avance par écrit sans avoir comme objectifs celui de s’autoriser à « pécher » (puisqu’il y avait réellement des problèmes à résoudre et réellement cette notion de perspective dans laquelle s’inscrit chacun des êtres humains (ce qui fut abondamment souligné par les responsables de l’admirable civilisation Nazca) - car résistants aux tentations, étant donné le caractère sacré des négociations en cours ayant à déboucher sur des signatures et des engagements officiels, donc refusant de tromper et vivant en vérité (tenant leurs engagements), selon la parole donnée, notemment avec des personnes qu’elles ont aimé (amicalement ou plus autrement – sous entendu - que cela) et avec lesquelles elles ont construit ce qu’on a appelé justement une « famille ») car c’est effectivement « pécher » que rechercher à nuire ou à mener des gens à vouloir nuire en utilisant ces machines ainsi (ce n’est vraiment pas fraternel ou même seulement amical ou cela est à rechercher une amitié qui résultera du même esprit qui a cru autoriser à devenir aussi infraternel que cela, donc hostile aux êtres humains véritables – c’est à dire ceux qui se défendent de devenir non fraternel dans l’idée qu’ils ont de ce mot qui en est alors la vérité puisque cela mène à résister à la vulgarité, la grossièreté des enfants-gâtés y ayant eu accès comme Jean Moulin ou d’autres saints sachant qu’ils sont sur terre en ayant une mission à long terme, donc des responsabilités et qu’ils ne cachent rien de ce qu’il convient le mieux dans cette perspective qui est à très long terme mais qui concerne tous, puisque le temps permet à celui qui est devenu une honte de cesser de l’être – comme Jean Valjean qui en devient, à force de méthode Coué, ou alors en raison de ce qu’il comprend enfin qu’il s’était réellement trompé de voie, grâce à cette rencontre avec un véritable  vénérable, l’inverse du hors les lois – mieux ou pire il finit par les comprendre toutes et les appliquer et sauve une localité entière du chômage en procurant aux habitants des CFP et non des cfs, cfu, cfm, cff ou cfcch– c’est en réalité le portrait de l’entrepreneur paternaliste de la fin du siècle passé – soit celui à qui nous devons tous le bien être actuel – il a souvent été un adolescent rebel ou même injustement puni, mais au lieu de continuer à/de se venger, le voilà à accepter/acceptant des injustices ou d’être soupçonné d’être encore un malfaisant, mais s’ingénie à faire du bien, sans même qu’on n’en sache rien – pourtant le dieu Victor Hugo voit tout – il est la conscience qui décrit de loin les conflits intérieurs auquel fait face le personnage qui en les surmontant pourrait avoir une chance de devenir à son tour dieu).

 

Bien sûr, si les autres se sont comportés mensongèrement, il est normal que les autres aussi aient le droit au mensonge. Mais ce qui a fait l’objet d’accords, de signature en temps de paix, peut être négocié de nouveau, bien qu’il soit normal d’être fidèle aux résultats d’efforts souvent très importants pour arriver à ces textes ou à des situations qui devraient changer pour le meilleur et pour tout le monde, puisque ce n’est que dans cet état d’esprit qu’on arrive à trouver les meilleurs moyens d’appliquer des décisions qui se justifient en vérité et en raison que le bon sens existe, qu’il faut rester réaliste, c'est-à-dire respectueux de l’ensemble des paramètres qui constituent la réalité (il y a aussi les merveilleux ou les musicaux, les poétiques et les mathématiques, etc. – aussi il est nécessaire de faire la synthèse à partir des différents développements), par conséquent qui obligent à être conscients des problèmes qu’on aura à affronter et ne pas se comporter en cherchant à se défiler, à fuir le partage des responsabilités qui incombent et sont d’autant plus impérieuses que des individus autrefois enfants-scolarisés arrivent à l’âge où il est normal, si des sentiments sont partagés, de fonder à leur tour une famille (c’est ici la tentation de l’adolescent devenu aimant ou amoureux – il comprend en général que ces temps d’enfance avaient du bon avant d’avoir commencé à mal faire – aussi, en général, s’il est encore un peu intelligent, il vivra dans sa chair, la parabole du retour de l’enfant prodigue – même si cette famille à laquelle il était attaché n’était pas celle rêvée, elle avait du bon en ce que rien n’avait été dérobé et chacun des coûts dépensés avec des CFP – aussi cela signifie qu’il y a en chacun la nostalgie d’avoir les mains propres ou d’être vrai – donc de ne pas tricher).

 

Cumuler, s’est aussi être capable d’assumer une autre responsabilité qui est aussi celle de pouvoir contribuer, avec sa femme, à élever des enfants[19] qui auraient de nos jours le droit de reprocher[20] à leurs parents[21] de les avoir mis au monde dans ces grandes difficultés vers lesquelles ils vont et cela parce qu’on est un enfant de parents qui ont cru pouvoir se permettre d’avoir des enfants, alors qu’ils n’ont pas les moyens financiers d’assurer l’éducation de ceux-ci pour en faire au moins des personnes dignes des meilleurs ancêtres communs au patrimoine de l’humanité, qui font partis de ceux qui n’ont fait que donner des signes de zèle, au point qu’on comprenne facilement pourquoi il y a eu autant de génies différents dans l’ensemble des catégories, mais il faut tenir compte qu’il y a des enfants de très grandes personnalités qui n’ont strictement aucun intérêt, souvent avant longtemps, ce qui ne veut pas dire que plusieurs génération après il n’y en ai pas qui descendants de ces derniers ont consacré leur existence à valoriser l’œuvre de leur parents (par exemple une des activités possibles d’enfant de la balle) ne soient pas ici encouragés à faire aussi bien que l’un de leur ancêtre directe.

 

Depuis l’âge de mes deux ans et demi, l’État mondial[22], me doit infiniment y compris l’ensemble des familles qui ont pu s’approcher de mes parents et de mes frères et ma sœur, d’autant plus que j’étais déjà dans ces multi dimensions, hélas, je l’ai vérifié, invisibles pour ceux qui m’ont approché (ne se rendant pas compte de qui ils ont exactement devant eux et j’ai pu vérifier amplement que seules quelques personnes sont capables de voir en moi ces dimensions dans lesquelles je suis, puisqu’ils ne peuvent voir que le reflet de la dimension dans laquelle ils sont eux, ne soupçonnant pas qu’il puisse y avoir des univers aussi extraordinaires, aussi géniaux que ceux dans lesquels certains d’entre ces personnes différentes d’eux se trouvent, en raison de multiples raisons, peut-être même de facteurs génétiques, mais aussi de parcours personnels familiaux (ancestraux) ou qu’ils auraient eu antérieurement à leur naissance, dans d’autres réincarnations (comme ce fut le cas de la plupart des rois ou de reines véritables) – aussi cela sera handicapant pour ces personnes seulement devenues intellectuelles ou penseurs qui ne peuvent plus s’occuper de métiers de main d’œuvre, leurs mains servant à élaborer des choses considérablement complexes et à permettre qu’avec les chiffres des décisions souvent coûteuses aient lieu – celles-ci ne devaient pas être connues des peuples pour des raisons que ces chiffres sont souvent pharaoniques et que des personnes étant à gagner des sommes très limitées ne peuvent pas comprendre encore tout à ces sujets – mais les peuples ont cherché à comprendre ce qui n’est pas mal. Ils voient donc qu’ils posent des problèmes chiffrés).

En tout cas les romains et les italiens ont pu découvrir dans le ciel de Rome, à partir de 1975 à quoi j’allais devoir ressembler exactement trente années plutard, ce que j’ai fini à mon tour par comprendre, en 2005 seulement (en raison de l’amnésie infligée). Quelles sont les raisons pour lesquelles je suis si immense ? C’est en parti à cause de la souffrance causée par ce sacrifice de cette séparation d’avec ma légitime promise épouse depuis 1965 et tout ce que j’ai eu à souffrir physiquement et psychiquement entre la fin 1971 et 1975, mais aussi durant ces 27 années d’amnésie, à partir de 1978, ce qui m’a contraint à explorer de très nombreuses choses différentes, au point d’avoir su et pris (de nouveau) connaissance, comme montré à un autre âge, à partir de 1978, vers mes quinze ans, comment progressivement on peut devenir minuscule (faune, satyre, centaure). Mais aussi une des raisons pour lesquelles je suis si grand sont les centaines de métiers différents (sans pour autant ne les avoir exploré qu’en amateur et parce que j’avais besoin de les apprendre pour faire des économies de CFP à trouver pour payer les personnes qui les ont comme activité puisqu’ils m’étaient utiles en essayant pendant ces années d’amnésie de me spécialiser ainsi en me diversifiant sur la plupart des plans techniques pour réaliser un jour des films véritables (et non des films de pacotille), comme ce fut le cas pour la dizaine d’années consacrée à la réalisation de La momie à mi-mots – tout cela n’ayant d’autres fins que celle que la parole [me re]vînt au cinéma, au lieu de demeurer seulement musical, dansé et muet comme pour cette première vraie expérience de tournage en équipe) donc pour essayer de m’en sortir en ne sachant plus rien en raison de l’amnésie, du sacrifice que Christine et moi avions été contraints de faire, et tout cela nous a mené en 2005 à la [re]découverte que, déjà, depuis 1965, j’avais été contraint de me séparer de celle qui était prévue pour être ma complémentarité dans ce cas de figure, pour des raisons impériales (il est normal que j’ai besoin d’avoir à mes côtés une (véritable) impératrice (dans l’Intérêt Général) formée à cet effet et ayant été initiée à la vérité que ce que ce cas de figure de la Création (qui était bloquée) a engendré pour les jeunes filles devant devenir mère de famille et tolérant l’ensemble des catégories y compris religieuses, malgré le statut plutôt laïc de la fonction des empereurs et surtout parce qu’il fallait mettre les choses au clair pour, de façon général, par rapport aux leçons de l’histoire (l’histoire de napoléon premier) mais aussi probablement (l’histoire d’adolph hitler) et bien faire comprendre progressivement ce que signifie (comme sacrifices) de vraies princes et de vraies princesses (ce dont ils sont capables pour l’amour de leurs sujets y compris en étant capables de faire ces sacrifices qui ont à voir avec la situation dont ils ont hérité, en étant conscients de celle-ci, qui va reposer sur des éducations très précises et qui ne peuvent pas se permettre un certain nombre de choses, quand ils sont en bonne santé, conscients de ces responsabilités – effectivement il ne s’agit pas d’inconscients : quantité de gens dépendent d’eux – cela n’a donc pas seulement à voir avec une famille au sens limité mais plus que cela : avec la notion de public). C’est donc, pour la Première, avec mon père et ma mère, ce qui a découlé de la Seconde Guerre mondiale et des personnes impliquées. Il est normal aussi que j’ai voulu redonner une chance à Michèle Finck, à partir de 2010, de nouveau, étant donné ce que j’ai vérifié qu’elle ne peut pas, pour l’instant que difficilement comprendre, en raison peut-être de l’histoire de son contexte familial dont j’ai bien vu, quand j’étais amnésique, qu’il comptait pour moi comme pour elle d’une façon profane, bien qu’au fur et à mesure, malgré les différentes étapes durant lesquelles j’ai eu à souffrir (de ce que je n’ai su qu’ensuite avoir été la nécessité d’une amnésie canonique), j’ai réussi à aimer véritablement. Mais comme j’ai compris qu’elle est dans cet état, parce qu’elle a fait l’objet, peut-être enfant, de lavages de cerveau, comme on l’a peut-être contrainte à croire à des choses qui ne sont pas vraies (ou qu’elle n’a pas songé à vérifier comme vraies en absolu en ayant été contrainte de croire à des personnes qui s’étaient aliénées à les croire), elle est donc une conséquence et une victime du passé (de l’histoire de la planète terre) et son histoire se déroule comme chacune des nôtres, dans un cas de figure qui était bloqué. C’est pourquoi j’avais demandé du ciel et de loin dans le futur qu’on protège adolph hitler (à cause aussi de toutes les conséquences positives qui sont nées après cette guerre ("plus jamais ça") comme un empereur, avec ma personne qui s’est entièrement soumise aux Bonnes Pratiques et qui est devenue l’inverse d’un esclavagiste – comme si à cause de ce grand malheur, le Saint-Esprit avait dû s’ingénier à entrer dans le sarcophage des empereurs pour que le mensonge et la mauvaise foi en disparaisse), malgré ce qu’il a fait.

Je suis aussi de cet avis pour Michèle Finck, puisque j’ai vérifié que quand on est dans l’état de personnes qui sont dans l’erreur ou convaincues que l’être humain doit se comporter en écrasant les autres, en faisant la guerre, comme en croyant que les êtres humains sont des ennemis, on aura peur des autres, bien qu’on ait reçu des preuves que ceux-ci ne sont qu’à l’origine de l’ensemble des solutions élégantes trouvées qui permettent à l’Ensemble de vivre (ne serait-ce qu’en raison de ma dictée de la Nouvelle Nouvelle Donne de 2005 à nos jours qui l’a prouvé et de l’existence des temples de la Finance à travers les Bourses ayant assuré cette prospérité capitaliste qui n’avait jamais eu d’autres projets que celui de poursuivre l’œuvre sociale et charitable des êtres humains étant devenus de ceux capables en vérité – soit des souverains éclairés entourés de personnes compétentes comme elles). Ces personnes comprendront quand ils feront enfin les véritables actes que nous attendons qui prouveront qu’effectivement ils souhaitent partager la vieille salle des machines pour nous permettre de restaurer pour eux et pour tous la vision d’Atlantide (ou celle d’Ôz ou du Paradis), selon un programme consciencieusement établi, en ayant à réfléchir et à obtenir des résultats avant de nous permettre d’augmenter le nombre de secondes de cette vision d’Atlantide d’une fois sur l’autre, puisque cela peut être dangereux, à l’échelle mondiale, de voir trop longtemps, en tout cas pour commencer, Ôz. Une petite dose de beauté / bonté / bien fait est souvent suffisante pour soigner. S’habituer à de grandes doses pourrait être aussi grave que se droguer ou alors il faut y parvenir par pallier successif qui devrait habituer à vivre avec ces doses importantes – on ne peut donc que s’habituer à un dosage important que d’une façon progressive, un peu comme tous ceux qui s’habituèrent à la télévision. Cela ne s’est pas tout de suite produit autant de temps pour tous chaque jour mais petit à petit, par intérêt mais aussi en apprenant à devoir s’en passer.    

Christine normalement devait être la mère d’une famille que nous aurions pu constituer si nous n’avions pas été contraint à la sacrifier entièrement avec la descendance (donc la pyramide dont j’espérais être le père – cela ne m’a pas empêché de faire construire celle du Louvres qui témoignera à jamais de ce sacrifice y compris de la pyramide que mon frère devait avoir avec S. A. I. SSS Dame Katriona Munth) en raison de cette séparation, pour permettre peut-être un jour, à certaine personne d’avoir le bonheur de comprendre[23], à nôtre place, le sens de l’aAnneau et ce que sont comme virtualité les bébés élevés dans des conditions acceptables, propices à permettre leur évolution telle que nous l’avons comprise nous-mêmes quand nous étions bébés jusqu’à l’année 2005 (1965) où, las d’attendre, je me suis mis à penser et à réfléchir au point de faire intervenir le futur avant même d’y être et par conséquent d’avoir pu prendre d’avance en une fraction de seconde et peut-être moins que cela, connaissance de ce que j’ai eu (mais aussi l’ensemble) à vivre, chaque jour, jusqu’à 2005 et les années suivantes. A partir des années 1965, j’ai remonté d'avance le temps, tous les jours, pendant les années, qui ont permis qu’on m’entende de loin, y compris en 1975.

Le sacrifice de nos enfants légitimes, que nous n’avons pas pu mettre au monde, signifiait, forcément, qu’en sacrifiant nous devions nous séparer, en ayant finalement le bonheur d’avoir pu contribuer aux progrès nombreux comme en ayant pu permettre, par contre, à de nombreuses personnes de connaître à notre place le bonheur d’avoir une famille et d’avoir à s’occuper de la croissance de chacun des enfants et assister à leurs changements à l’intérieure d’une époque qui a, elle aussi, changé beaucoup, en raison d’une expression: l’« électronique et l’informatiques et ses corollaires » lancée à travers le temps par mes soins. Mais aussi, il y avait un problème qui concerne tous ceux qui depuis des millénaires se sacrifient et dont les autres profitent. Il nous a semblé légitime qu’en raison de ce qui avait été fait par ces personnes qui ont continuellement été de celles qui ont sauvé les sciences et la transmission de celles-ci par les biais universitaires ou scolaires, nous avions à devoir nous solidariser avec eux puisqu’il est évident que les autres n’ont pas le droit de profiter d’autant de générosité en se servant d’une salle des machines pour espionner ou être à convaincre d’inepties à travers elle quand il n’y a que d’admirables catégories ou logiques dont on sera rapidement au courant grâce à ces personnes entrées dans ces logiques stoïques qui offrent tant de progrès possibles (en effet, ces personnes ayant renoncé à s’avilir dans des égoïsmes animaux ou préhistoriques sont donc à vous ouvrir la porte vers des façons assez belles d’être : soit des manières de fonctionner qui mirent des millénaires à devenir des réalités).

Ce sacrifice ayant pour objectif aussi que l’ensemble prennent enfin conscience de ce que peut être un aAnneau pour des enfants qui ne font pas semblant d’être scolarisés et de découvrir le monde qui les entoure, en raison qu’ils sont les enfants de personnes « assises », lettrées, instruites, s’étant attendues avant de décider d’un projet familial, etc.  

On espère qu’elles vont donc lire la réalité avec de nombreux niveaux de lecture et quand ils font un rond avec l’aide d’un compas à l’école, cela leur donne matière à penser comme à relier à l’anneau de fiançailles de leur mère, de leur sœur, de leur tante, de leur grand-mère ou de leur grand-père. Il a fallu qu’un jour la conscience de l’anneau vienne à l’esprit d’une personne, ce qui créa un aAuteur. C’est donc la conscience (ou l’Esprit-Saint) qui est l’auteur. 

La réalité a un véritable sens pour ces enfants qui grandissent et se préparent religieusement à des sacrements, mais aussi à retrouver la complémentarité perdue, ce qui, en général, va les amener à se marier « en vérité » et en comprenant que la vie c’est sérieux, y compris leurs futurs enfants.

J’ai pu montrer comment celle-ci devient vite incompréhensible, au point de devenir comme perdu ou plus ou moins un clochard, au point de vivre comme un minable et cela dès qu’on s’est autorisé à être volage comme un don Juan, bien qu’à d’autres moments j’ai fait de sérieux efforts, mais j’ai pu vérifier qu’on peut avoir de très mauvaises pensées, au point de devenir « l’ombre de soi-même », de perdre toute ou en partie son intelligence (je l’avais déjà démontré entre 1973 et 1975) donc de ne plus avoir la parole (alors que je l’avais autant eu). D’où que j’ai une autre fois démontré la nécessité sur le long terme (donc en raison des descendants) des étapes religieuses liées à ces sacrements qui sont donc garants de la possibilité de s’humaniser au lieu du contraire (ce qui est néfaste) – appartenir à un socle commun de textes et de valeurs ayant permis aux avancées de la civilisation d’advenir et d'éviter les réincarnations malheureuses.

Ce qu’il y a de certain c’est que ces sacrifices ne sont pas des choses naturelles (loin de là !) et il y a des conséquences très graves qui nous attendent, car pour réaliser cette époque-ci, il y a de nombreuses personnes qui ont été sacrifiée très injustement ou qui ont eu à sacrifier leurs descendants (cela n’est pas juste et n’est pas acceptables quand on y songe fraternellement et pourtant s’est en invoquant ce mot qu’ils le firent et ont permis siècle après siècle de transmettre les écritures saintes et la possibilité d’accéder à l’esprit pour les commenter et en tirer les substantifiques sèves pour mieux nous conseiller).

Cette « à première vue » prospérité générale a donc pour socle ces injustices et des souffrances en réalité inconcevables mais surtout inimaginables pour ceux qui ne soupçonnent naturellement pas qu’elles soient choisies en âme et conscience pour le bien de tous.

Il est normal, que face à tant d’ineptie (celle de ceux qui profitent des progrès qui ne furent possibles que grâce à ces sacrifices), le Grand Architecte de l’Univers, veuille vérifier si cela peut continuer, au moins parce qu’il y a quelques personnes justes sur un ensemble qui, malgré les progrès, a choisi de continuer à se détériorer et d’être à l’origine des malheurs différents mais aussi de ces personnes qui, en plus, n’ont fait que souhaiter, comme donner les moyens, pour réussir à sortir de la misère spirituelle à des gens dont on est cependant en droit d’espérer pour eux qu’ils auront une descendance qui fera honneur non seulement à leur famille, mais à ces personnes qui ont pu réussir à créer ces conditions acceptables et plus confortables par philanthropie (la fondation trois petits points : …), un mot qui bien qu’il qualifie justement un grand nombre de personnalités qui sont passées par cette planète en réalisant cet objectif, ne peut pas être bien compris par ceux qui sont dans des états d’esprit plus égoïstes ou encore mensongés, sauf quand Billy Wilder va le montrer possible, grâce à Marylin Monroe qui est magnifiquement dirigée dans ce film avec ces bandits soudain philanthropes pour leurs veuves et leurs orphelins, vers la fin de Certains l’aiment  chaud (Some like it Hot)[24], sorti en 1959. Il y a donc de la charité chez les bandits et une forme indéniable de fraternité, comme celle-ci existe aussi à l’intérieur d’une même espèce. Aussi nous avons ici comme l’existence de clubs liés à des entre-aides ayant induit des fidélités sur la base d’idées pas toujours justes ou même sur des points de départ faux.

Notre sacrifice de notre séparation est bien moins affreux que ceux qui ont été exigé par la force (ici au mauvais sens de ce mot, celle des abrutis, des violents ou des méchants) des ignorants ayant perdu ce qui leur restait d’humanité, en séparant des femmes d’hommes mariés ou fiancés, y compris des enfants, dans les inconcevables camps de concentrations et nous avons donc pu comprendre dans nôtre chair ce qu’ont éprouvé, à de nombreuses reprises, des gens qui ont dû se séparer, en raison de situations qui ont exigé d’eux ce qui est proprement inconcevable, y compris pour des enfants qui se savent promis l’un à l’autre, dans un système qui exige de la bonne volonté pour le gérer et aller de l’avant grâce à la fidélité en des amitiés reposant sur la beauté de textes véritables.

Nous avons donc à remercier ceux qui se sont permis de nous faire comprendre de l’intérieur ce que pour l’instant ils n’ont pas encore bien compris eux-mêmes (à moins d’avoir eu des morts ou des disparus amis qui auraient compté pour eux – c’est ici ce qui fait se comprendre mutuellement), étant donné qu’ils se sont rendus imperméables à l’existence de l’amour avec un grand A (car ils se conduisent en enfants-gâtés à cause de cff,  cfu, cfm, cfs ou cfcch dont ils sont assurés (au lieu de CFP) ce qui leur fait connaître la sexualité sur un jour qui n’est pas réaliste et qui les empêche de connaître l’Amour véritable) autrement qu’uniquement vu pour répondre à des exigences physiques égoïstes rapidement à créer la voracité à ce sujet et à vous faire oublier que vous pourriez servir autrement que seulement sur un plan qui ne pourrait être fertile que s’il n’amenait pas à occulter ou se fermer à toutes les catégories et les disciplines qui pourtant sont les seules à permettre avec celle de la sexualité sous le signe de l’Amour à la barque du monde de voguer.

Sur d’autres niveaux de lecture ils ont voulu se spécialiser en matières ou catégories érotiques et pornographiques avec le corollaire (pour encourager ces égoïsmes et se moquer de ceux qui conscients de ce que les réalités exigent sacrifient cet égoïsme au profit du générosité plus difficile d’accès que ces immédiats plaisirs charnels, ce qui nous ramène à la Reine de Crête, avec le taureau et avec l’intervention de Dédale et Icare, comme architectes du labyrinthe, dans lequel ce Minotaure s’il n’était pas l’ancien Anubis à tête de loup, a besoin régulièrement de chair fraîche, un peu comme dans la Belle et la Bête de Jean Cocteau. Mais il vaut mieux qu’il est la perspective d’être taureau plutôt que ce qu’il était dans les temps préhistoriques car au moins il s’agit en réalité d’un pacifique herbivore habitué comme le cerf à un harem.

Nous espérions, par ces étapes (1965-fin 1971; 1975 à 2005 et enfin de 2005 à nos jours) que les habitants de la terre puissent avoir envie de cesser de chercher à casser les plus belles histoires d’aAmour et cela pour différentes raisons ou par jalousie comme par incapacité de sortir chacun du rôle de la Bête (qui souffre énormément de ne pas être un véritable prince. Nous avons vérifié ce fait plusieurs fois en vérité, et nous l’avons vérifié entre notre naissance et la fin 1971, comme vers la fin 1975 et nous avons pu montrer comment un prince peut devenir une « bête », un animal, et donc échappe aux différents devoirs des véritables princes en ne devenant qu’un minotaure prisonnier du labyrinthe des villes. Nous avons même accepté de devenir cette « bête » en question, ce qui s’est manifesté quand l’Ensemble, en 1995, ayant oublié, comme nous-mêmes ce qui s’était passé à partir de 1975, a voulu faire de nôtre personne le nouvel empereur, sous la forme de la nouvelle « bête ». Mais visiblement nous avions un autre destin dont nous avions prévenu d’avance par courtoisie : celui d’être humain parachevé qui ne dédaignera pas ces questions sensuelles sauf en les mettant à la place qu’elles méritent à l’aune de ceux qui sur ce sujet prouvent depuis toujours que l’essentiel est ailleurs (par exemple qu’une entreprise permette, comme celle de Jean Valjean des CFP à une localité – bref ce qui est plus important que la satisfaction adolescente de libido d’inconscients non parvenus à maturité, sourds ou non-voyant des facteurs conduisant à la misère, à la détresse ou à d’autres graves pénuries).

Mais nous avons pu totalement redevenir nous-mêmes, c'est-à-dire digne de ce que l’ensemble des princes et des rois des temps passés ont érigé, en étant cependant contraint à cela par nous-mêmes, étant donné qu’il fallait créer de la richesse pour payer des sujets (en CFP) qui ont, au fil des siècles, eu de véritables besoins.

Michèle Finck a plusieurs personnalités et nous sommes certains que si elle est devenue à certains moments la « bête », c’est aussi un peu à cause de nous et pas seulement parce que la vieille salle des machines lui a présenté celui qui a été contraint, à partir de 1978, en raison de son amnésie, de devenir la « bête », et nous lui avons montré, que grâce à elle, et à sa gentillesse, à de nombreuses reprises, nous sommes redevenus, ce qu’elle pourrait devenir à son tour, et cela grâce à l’amour de Christine…Lang et du mien retrouvé comme à l’époque de nôtre enfance, étant donné qu’elle a pu se rendre compte qu’effectivement il se pourrait qu’elle ait été l’objet de malversations locales et victime des apparences (c'est-à-dire des « à premières vues » qui me concernaient durant la période pendant laquelle j’ai dû tomber de Charybdes en Scylla et devenir à moitié, au moins cette « Bête », avant de la rencontrer. Sans préméditation à ce sujet puisque j’ai eu l’amnésie que la bande en question ne s’est pas gênée de m’espionner avoir à m’infliger et que j’avais évidemment prévue quand je n’étais pas amnésique (à l’occasion de mes apparitions virtuelles d’avance pour souligner la canonicité du processus, puisque dans ce cas cela aurait signifié qu’on avait refusé que j’ai le droit à plusieurs impératrices – ce qui n’est pas concevable car c’est connu, un roi a le droit à plusieurs reines, d’autant plus que les pions le seraient devenus).

Or, depuis 2010, j’ai compris qu’il s’agissait d’un sauvetage qui a été mis au point par le Grand Architecte de l’Univers pour essayer de sauver Michèle Finck, si elle souhaite enfin comprendre que Dieu l’aime malgré l’état dans lequel elle est, (nous espérons momentanément) et en ayant compris que c’est certainement en espionnant l’ensemble de mes fautes (celles que j’eus à m’infliger de faire pour être à son diapason en découvrant qu’elles avaient été annoncées à l’avance à partir de 2005 notemment pour tenter d’éviter les conséquences fâcheuses de celles-ci), avant de la rencontrer et qui découlaient de mon état d’amnésique, par conséquent se faisant de moi une idée « à première vue » (« il faut se méfier des apparences » surtout quand on est de ceux qui veulent oublier comment ce à quoi ils assistent a commencé – oublier la cause, c’est comme rechercher à profiter de celui qui est dans l’erreur : ce n’est jamais honorable – c’est même le contraire, c’est pécher contre la partie saine de l’être humain – vous pouviez lui éviter de s’embourber et au lieu de l’avertir voilà que celui-ci est dans des problèmes considérables – il n’y a donc que de nouvelles preuves ici qu’il s’agissait de personnes non fraternelles ou fausses – elles savaient quoi dire pour que la personne ne souffre plus, elles l’ont tu pour que la personne souffre – cela est totalement l’inverse de la démarche médicale et ressemble à de la vengeance sur une personne non seulement innocente mais surtout à qui l’on devait tout le meilleur) et en ne comprenant pas pourquoi celui qui a pris autant de goût que moi pour « pécher » (dans l’état d’amnésique dans lequel on m’avait réduit et un peu Minotaure sur les bords), était donc contraint à se présenter à elle comme un pauvre diable et donc sans tricher, se trouver dans un des grands épisodes, à partir d’une rencontre à un âge relativement avancé, faisant partie de ceux de la « stratégie des mariages » qui devait autrefois, dès 1965, mais aussi en 1975 autrement (si les choses n’avaient pas tournées ainsi), permettre les deux mariages, si l’Ensemble n’avait pas été ici prisonniers des préjugés de l’époque à propos du mariage en Occident et de la nécessité monogame, ce qui a contraint à cette amnésie mais aussi pour rendre le sacrifice plus supportable à Christine.

Il ne m’a donc pas été donné un autre choix que celui que nous vivons en ce moment et qui me contraint à ces écritures au Pape, mais aussi à vous, Monsieur le Président, étant donné qu’effectivement en 1965, nous (ma génération) sommes en réalité à seulement vingt années après la guerre (ce qui pour nous, les bébés en ces années-là est un temps considérable long, car c’est parfois l’âge de nos parents et ils sont, en général, rudement compétents pour nous élever, même ceux nés en 1940-45).

 

Mais il faut souligner ici que c’est parce que Michèle Finck ne peut pas comprendre alors (dans cette région de Strasbourg issue de l’éprouvante histoire locale) comment on devient une véritable princesse, alors qu’on est devenue une « bête », peut-être parce qu’on a été certaine que l’autre l’était, d’autant plus qu’on dispose de la vieille salle des machines pour rappeler l’ensemble des fois où on a été certaine à première vue que l’autre s’est conduit en salaud (puisqu’il était insouciant, inconscient, irresponsable, enfant-gâté, profane mais amnésique à cause de l’origine du processus, soit ce point de départ qu’en oubliant, comme on oublierait comment un nuage s’est présenté dans le champ du viseur d’une caméra, on ne pourra qu’être victime du processus de la métamorphose en cours ou des actions auxquelles on se référera qui évidemment n’auraient jamais eu lieu autrement – d’omettre le parcours et le point de départ d’une transformation en salaud, c’est ne plus jamais donner de chance à l’autre ou à ce nuage de redevenir un gentilhomme, puisqu’on ne le lui rappellera pas – c’est bien ce qu’il fallait démontrer en démontrant que seule l’auto-psychanalyse ou la psychanalyse peuvent vous aider à redevenir quelqu’un de bien puisqu’il s’agit à travers ces sciences de soigner la mémoire d’une personne convaincue qu’elle est autre chose que ce qu’elle est en réalité).

 

C’est normal, je ne pouvais que ne pas tricher et donc montrer sans rien savoir du processus en cours comment on le devient, tricheur, petit à petit, d’autant plus que pour pouvoir aimer M. F. en vérité, il fallait bien que je puisse l’admirer et lui devoir ma métamorphose en celui que je suis depuis 1965 et de nouveau depuis 1975 comme de nouveau encore depuis 2005, en réalité grâce à Christine…Lang qui fut donc découverte être prioritaire et promise connue d’avance à partir de ces dates-là et qui mérite donc comme dans les admirables œuvres du théâtre classique amplement de me retrouver puisque c’est parce que ce prétendu dieu m’a rappelé son existence (en cela il fut véritable et conforme à l’idée de Dieu puisqu’il dévoila une chose importante et véritable qu’il aurait pu cacher – aussi il y eut indéniablement de l’honnêteté à mon sujet sur ce point (y compris de la part de mon père qui pu vérifier que je ne savais rien de ce qui s’était passé et que c’était bien lui et ce prétendu "dieu" qui était à l’origine d’une situation qui ne faisait alors que [re]commencer, de mon point de vue pour la première fois jusqu’au moment où j’aurais la preuve dans ma mémoire remise en marche qu’on me voyait dans le ciel trente ans avant, la scène effectivement inoubliable m’étant revenue en mémoire – comment était-ce même possible d’avoir oublié un pareil évènement qui était si exceptionnel et extraordinaire que dès que cela s’est matérialisé dans la réalité je me souvins effectivement du point de vue que j’avais eu trente ans avant minuscule avec mes camarades de classe face à cette immensité dans le ciel (ma personne) qui était apparue avec des objets qui n’existaient pas à nôtre époque, dont une sorte de balle creuse qui se déployait en structures colorée et se rétractait sur elle-même en étoile que j’avais acheté pour mon fils ou ma fille d’avance et qui m’avait effectivement fait ressembler à un magicien ? Pourtant ce ne sera pas avant ce moment-là que je compris la situation et à cause de cela me revînt en mémoire la situation qui était celle de nos parents et la nôtre d’écoliers en 1975 – aussi je compris alors que nous étions avant le moment qui ferait que mon père devait être confirmé comme pharaon puisque sinon il ne serait pas possible que je le trouve pharaon après adolph hitler en 1995 quand j’y serais à cause que là où je m’adressais autour de moi dans le studio j’avais eu la preuve que j’étais en permanence vue trente années auparavant à partir de ce moment-là où j’étais effectivement apparu au-dessus de la ville de Rome des années 1975, immense – une situation si extraordinaire sur le plan dramatique qu’elle offrait en tout cas la possibilité, grâce aux instruments dont je disposais autour de moi de créer avec mon père un empereur qui disposerait des meilleures informations pour gouverner la planète durant les années qui viendraient pour lesquelles je comprenais que j’aurais à m’infliger une amnésie canonique et grâce à cela, sans tricher, retrouver cet anneau que j’avais avec C. L. que je devais perdre comme mes enfants pour ne pas me venger (puisque le christianisme comme ma mère me l’avait déconseillé depuis l’enfance) sur M. F. qui était visiblement comme nous tous la victime d’une situation causée par des personnes incapables de comprendre que mon cas particulier d’empereur permettait plusieurs femmes officielles dès 1965 ou 1975 comme solution élégante – et comme je compris que rien n’avait commencé non plus en 1965, je dus intervenir à ce sujet aussi car il faudrait que je puisse avoir l’enfance que j’avais eu à Rome pour sauver la planète rétroactivement. J’étais prisonnier de la logique de ma situation d’empereur après une abominable histoire ayant entre autre traumatisé l’Alsace – je n’avais pas le choix : il fallait reconstruire l’Empire entièrement sur de nouvelles bases qui seraient non plus l’armée mais les commerces et la monnaie unique, la création d’un Marché Commun dont je transmettais l’idée à travers l’espace-temps – aussi j’ai pu faire bénéficier le passé de tout ce que j’avais appris durant mes années de formation universitaires mais pratiques, donc de mes vérifications au sujet de la loi de la Quantité et de la Rareté comme de la Concurrence et de l’Offre et la Demande et je compris que les armées n’étaient qu’un gouffre financier de personnes n’ayant pas pris conscience que l’époque n’était plus qu’aux commerces – en réalité un client dupé par des impératifs industriels cyniques puisque les soldats morts n’étaient que des chiffres ou des êtres humains utilisés comme chair à canon, ce qui était inadmissible dans l’idée d’un empire mondial où les frontières, grâce aux ajustements économiques pourraient progressivement tomber comme les barrières douanières entre les régions de la zone euro – aussi s’était simplement une histoire de temps et ce sacrifice permettrait d’éviter des guerres, de créer une confédération européenne comme la Suisse en seulement trente ou cinquante ans malgré la taille et surtout une confédération de confédérations pour la réalisation de l’Empire sur le modèle économique américain ou helvétique ou capitaliste qui s’était révélé le plus soucieux des réalités particulières, individuelles, des différences – le commerce, l’économie étant ce qui fondait les relations humaines, donc la religion comme l’armée n’étant plus qu’au service de cette notion qui parce qu’elle était mondialement la réalité quotidienne impliquait que les conflits nationalistes cessent, au profit d’une sorte d’armée de métier qui est en réalité un gendarme international, même si localement appelé du nom du pays – d’où l’amitié possible entre les généraux de tous les pays et l’importance des organisations internationales de défense ou comme l’ONU puisqu’elles sont en réalité au service de l’ordre et veillent à ce que les jeunes ne s’entretuent pas ou à les occuper durant les journées à des activités qui sont diverses et qui permettent de progresser dans les études pour les plus brillants officiers – en réalité une sorte d’école spécialisée sur des activités plus physiques qui font des personnes souvent en bonne santé ou sportives – en fait il s’agit de personnes qui permettent aux commerçants de survivre puisqu’ils représentent des besoins quotidiens. En réalité il s’agit de consommateurs donc de quantité pour lesquelles il faut prévoir en économes des quantités de produits – ils se préparent à des guerres qui n’existeraient pas si la vieille salle des machines était comme à l’origine de tous et à tous – ils représentent chacun une perte colossale d’énergies physiques qui pourraient être employées, par exemple, dans la construction ou dans le secteur industriel, puisque les ouvriers ou les travailleurs manuels sont comme des soldats – au lieu de cela, ils s’entraînent pour se battre contre des personnes qui sont scencées être sur un autre plan comme leurs frères et surtout y sont menés en raison de ce qu’une mise à jour de la situation internationale n’a pas été effectuée localement ou rarement (ils vivent donc selon des schémas qui sont en décalage par rapport aux réalités de l’époque) – donc sur des présentations anciennes des relations [antagonistes] existantes ou ayant existé entre les nations devenues régions en relations commerciales entre elles à cause de la facilité des transports motorisés au service de l’artisanat et de l’industrie recherchant des marchés, c'est-à-dire des acheteurs disposant d’un pouvoir d’achat pour écouler les productions, donc ces marchandises qui de toute évidence auraient été offertes si le prix du baril de pétrole avait baissé au lieu de monter – dès qu’on fait disparaître l’antagonisme ou qu’on s’aperçoit que l’argument qui le fonde est fondé sur un fait qui réalité n’a peu d’intérêt, on comprend que l’antagonisme n’existe qu’en raison de causes qu’il convient de faire disparaître (dissiper le malentendu, l’incompréhension) ce qui est possible si on renonce à se venger et fait œuvre pédagogique alors qu’effectivement si on n'avait pas de la religion on devrait tuer l’autre – mais l’autre ne sait pas ou jamais pourquoi aux yeux de l’un ou l’autre, il vient de se comporter d’une façon insupportable, déplaisante – c’est donc ce qu’il pourrait découvrir un jour qui était à incriminer de ce point de vue particulier, par conséquent c’est d’une certaine façon la connaissance ou le savoir ou les sciences, du point de vue de celui qui n’en sachant que très peu ou ce que le profane sait qui est forcément ici le coupable jusqu’au moment où ce dernier comprendra enfin celui qui est convaincu d’être dans le vrai ou qui était déplaisant – c’est ce qui est toujours arrivé au moment d’une théorie révolutionnaires en chimie ou en physique – l’autre, ce mystère arrive avec un nouveau concept qui remet en cause les certitudes qu’on avait (mais à l’inverse le voilà à dire du mal de Victor Hugo jusqu’au moment où il comprend son génie – alors pourquoi en disait-il du mal ? – il est donc celui qui a tué cet auteur durant les temps où il en a pensé du mal comme il est celui qui a crucifié le Christ, alors que celui-ci vous offre la chance de vous sauver. C’est bien cela qui interdit d’être méchant envers des auteurs qu’on n’a pas pris le soin de comprendre soi-même, avant de répéter en perroquet un bruit qui court contre Victor Hugo ou un autre mot, une calomnie (rien de fondé en vérité) à laquelle un de vos amis a cru et parce qu’il est vôtre ami, vous épousez sa thèse ou sa position sans avoir cherché, grâce aux études et à l’indépendance d’esprit que la scolarité permet d’obtenir/procure sur du long terme ou très long terme à vérifier en quoi cette calomnie était vraie ou un mensonge ou seulement se fondait sur un instant sorti d’un contexte plus vaste qui pourrait vous prouver le contraire (victime d’à première vue, ne sachant à quel moment la situation à laquelle vous assistez a commencé pour les personnes en cause, vous prenez parti peut-être ou sûrement en vous trompant – l’affaire est toujours plus complexe que ce qu’elle apparaît) – c’est pareil du mal que vous direz des prêtres en général, alors que parmi eux il y a eu tous les bienfaiteurs de l’humanité – donc il s’agissait d’un moment d’un prêtre en particulier que vous n’avez pas apprécié et non de l’ensemble – visiblement à ce moment-là ce curé n’était pas le saint qu’il essaie d’être à d’autres moments, ce qui n’est évidemment pas facile (le demeurer dans la durée : préférer être fidèle à l’Atlantide des origines, fraternelle, conseillant les êtres humains à éviter de pécher plutôt que les inciter à cela – il y a plus de mérite à avoir choisi ce qui est le plus difficile que de se laisser aller aux alcools et autres plaisirs qui vous feront oublier vos devoirs envers vos semblables ou même vos enfants à l’état de virtualité) – aussi vous étiez simplement mal tombé – une autre fois sera plus aimable, voire seulement au bout de cinquante fois : insistez – il s’agit de gens qui ne sont que préoccupés que de la mort et du passage vers l’au-delà. Ils sont continuellement affectés de partout car la situation bloquée depuis des milliers d’années fait souffrir constemment des gens qui étaient leurs amis ou pour lesquels ils avaient de l’admiration et avec ils avaient compris ensemble des choses essentielles en ayant éprouvé de véritables amitiés fondées sur des compétences réelles – ils avaient donc une idée de la valeur des autres sur des faits ou des actes ou des engagements tenus) – et cela se produira dès qu’une personne est convaincue d’être le mot qui représente un parti, un pays mais aussi une équipe – en effet, quand viendra l’heure de la mort tout cela était bien ridicule – aussi il faut donc reconnaître que chacun fait un peu semblant d’être la fonction qu’il a, mais évidemment il y a ce qui n’est plus tolérable qui permet au moins de fonder son action – aussi on ne peut agir que pour voir cesser ce qui est faux ou ce qui n’est pas acceptable ou ce qu’on connaît de faux en soi-même – par exemple des combats armés entre deux peuples – c’est ici que l’intervention humanitaire qui est synonyme de descente de police est fondée légitimement : la séparation des belligérants pour les contraindre à négocier civilement par les biais légaux, par des accords écrits grâce à des personnes neutres mais intéressées à ce que la paix advienne, en cessant d’en vouloir à l’autre à cause des morts ou des blessés (cela a dégénéré mais c’est du passé et il y a l’avenir), en ne mélangeant pas les objectifs d’avec des ressentiments ou des lésions personnelles – aux yeux de la collectivité ou de l’Ensemble vous venger serait minable – il y a ce que l’autre représente comme objectif possible de changement bon pour l’Ensemble et d’autre part ce qu’il est sur le plan personnel, ce qui n’est pas ce qui en réalité importe autrement que pour tout le bon qui peut en découler, mais ce dans quoi il peut s’insérer en devenant un partenaire économique, commercial ou une force qui sera d’elle-même utile) qu’on m’avait caché auparavant mais seulement connu à partir de ce moment de 2005, ce qui fut le fait majeur ou la pierre angulaire de mon changement radical de comportement, car je me sus, dès ce moment-là, engagé et dans des devoirs de fidélité envers C. L. dont en retrouvant la mémoire je compris qu’on avait eu à perdre nos enfants à partir de 1975, tandis que tous se délectaient de nôtre sacrifice et de ce que je prenne la Dictée Pharaonique en note pour effectuer cette NNDIM – soit ce qui fut le pire des supplices infligé à un jeune homme qui plus est pharaon à trois endroits dans le temps en même temps en le contraignant, en raison d’acquis de conscience à s’infliger cela une autre fois à lui-même – donc parce que je ne pouvais pas ignorer mon devoir d’empereur (scolarisé) en pareille situation – c’est donc bien cette notion de « devoir » au sens des grands classiques que je vérifiai exister effectivement ontologiquement et indissolublement lié à cette conscience qui m’était revenue d’un seul coup dès l’apparition de mon anneau immaculé à mon doigt (soit le signal que j’attendais un enfant), soit ce qui permet de prendre les décisions qui s’imposent dans une situation précises en raison de l’Intérêt Général qui passe avant le sien puisque c’est alors celui de la génération suivante pour laquelle comme toutes les autres avant la nôtre, on aura à mourir, puisqu’il y a celle d’après et plus loin – j’étais donc, à cause de ce grand malheur qui se répétait mathématiquement une autre fois devenu véritablement le petit souverain de 1965 que j’avais été au sens de « père » qui doit se battre pour son fils ou sa fille – mais ce qui fut horrible, c’est que je perdais ces enfants donc je ne me battais que pour le principe ou en faisant comme si je devais être fidèle à la mère de ces enfants) que j’ai accepté l’ensemble du parcours (infernal) qui nous attendait[25], alors que j’ai découvert en 2005 que j’étais depuis toujours dans ce studio[26], dans ce cas de figure de la Création qui a été bloqué, donc à un [sacré[27]] carrefour pour tous, qui n’est pas seulement sacré, mais en rapport avec les multi catégories existantes, comme celles qui sont virtuelles, étant donné que j’ai pu vérifier aussi que ma multi dimensionnalité et que ma taille sont dues à ce que M. F. ne peut pas encore comprendre et qu’elle pourrait avoir une chance de comprendre si, enfin, les clés de la vieille salle des machines comme du variateur de la vision d’Atlantide nous étaient rendues, d’autant plus que l’Ensemble a tout fait pour nous avoir comme empereur, car alors, elle pourrait avoir de véritables chances de dissiper les malentendus qui ne lui ont pas permis de comprendre ceux qui ne disposent pas des instruments de la vieille salle des machines et elle pourrait enfin comprendre pourquoi je ne suis pas un salaud (bien que j’ai dû me mettre assez longtemps dans la peau d’un à moitié salaud et cela pour devoir un jour vers 2005 à Michèle Finck de ne plus être cet « à moitié salaud » que j’étais devenu pour réussir à l’aimer suffisamment de façon à pouvoir montrer que c’était bien moi, qui, il y a quarante ans, et trente ans auparavant qui était intervenu à travers le temps pour bien de très nombreuses choses d’Intérêt Général en ayant à m’infliger la perte de mes enfants d’avec C. L. puisque je découvrais soudain qu’M. F. ne pouvait pas comprendre dans quelles logiques sont les familles aryennes au sens ancien ou véritable du terme et non celui qui fut l’objet de calomnie ou de mensonges avec hitler – il ne s’agit pas avec elles de menteurs mais uniquement de personnes penseur/concepteur, en légitime défense et ayant pour mission de créer des emplois comme d’orchestrer/gérer la société – elles ne sont plus de la main d’œuvre qui exécute mais uniquement de la conception qui s’est infligé tous les maux pour rejoindre familialement ce monde de la compréhension  – il s’agit de personnes qui sont donc de l’autre-côté du miroir et qui savent donc en une fraction de seconde à quel stade de la maladie vous êtes et évidemment ils ne vont pas accepter d’être embrassés ou touchés, car ils savent naturellement les risques qu’on coure à cause des microbes – pourtant ils seront capables de vous donner la main ou de vous embrasser pour vous soigner et surtout conviendront entre eux des moments pour cela – voire seront capables de démonstration d’affection, mais cela n’est nullement possible qu’en raison d’un rapport précis à l’aArt).

Par conséquent c’est en raison d’un certain nombre de choses bien précises que j’ai pu constater qu’il y a eu cette nécessité d’accepter l’amnésie pour me laisser devenir un à moitié salaud pour réussir à avoir ensuite une chance d’aimer véritablement Michèle Finck (qui de son côté faisait des efforts pour comprendre des choses difficiles qui mènent toujours dans la bonne voie) et parce que pas longtemps après (à l’échelle de la Création) ce prétendu dieu allait se manifester et me rappeler ce qu’il allait constater avec moi ne s’était peut-être (sur un autre plan) pas encore produit, bien que sur un autre plan cela s’était pourtant produit (du point du vue du passé et très réellement pour Nous qui nous souvenions l’avoir effectivement vécu de ces autres points du temps passé), puisque nous étions cette fois-ci en 2005 (à découvrir comme l’existence à partir de ce point dans l’histoire des pharaons d’un décalage ou d’un coin ou d’un angle à partir duquel tout changeait, comme si ce qui était le passé était le futur et ce qui sera l’avenir était le passé et c’est en cela que j’ai compris que les enfants qui naissaient n’étaient pas seulement des petits mais en réalité des personnes âgées, tandis que de leur point de vue j’étais comme un jeune homme de quarante deux ans déjà de ceux pas très sérieux (comme le sont souvent les personnes très âgées, rigolotes ou qui ont tellement vu d’horribles choses qu’elles en sont devenues désagréables et injustes) puisque me permettant quantité de choses que les enfants n’aiment pas entendre – mais j’y fus obligé dans l’intérêt de tous puisque je devais plaire à tous les publics (dont j’avais la mémoire – en effet mon école sur laquelle j’intervenais dans le ciel était composée d’enfant provenant de toutes les catégories sociales et de tous les pays du monde - et il y avait ceux qui descendaient de ceux qui avaient collaboré avec pire que la vermine, l’ineptie (mais que j’aimais bien sans les tenir pour coupables) et qui par conséquent n’étaient pas habitués à tout ce qui est toujours extrêmement intelligent, puisqu’ils n’avaient eu entre eux, comme les communistes des années 1975, que fausseté avec le système économique des pays de l’Ouest – d’autre part il fallait que je pense à nôtre sécurité et à celle de mon père à l’étage au-dessous (trente ans auparavant) qui était chef de famille et qui s’était soudain trouvé comme moi à la place du coupable (alors qu’il n’était que l’exemple même de l’honnêteté intellectuelle) et enfin mon représentant du futur dans le passé en tant qu’empereur à venir – il fallait qu’il ait le temps d’être compris notemment par les chinois ou Moscou (qui devaient comprendre cette priorité le la Confédération Européenne à réaliser économiquement et culturellement avec leur participation ce qui permettait de réunir l’Allemagne dans ce cadre-là et la Monnaie Unique, donc le futur marché en question dans lequel les guerres fratricides n’auraient plus lieu puisque tout devait se régler par voie de Droit et de Justice, donc par des dédommagements financiers ce qui vaut toujours mieux que blessés, meurtris, ruinés comme après des combats – je le vois bien moi-même car même si j’ai eu beaucoup à perdre, la perspective d’enfin ne plus avoir de problèmes financiers est plaisante : cela offre des possibilités qu’on ne pensait jamais pouvoir s’offrir ou offrir) – ce qui l’attendait comme rôle à jouer à Bern serait abominablement difficile – mais il était totalement rassuré d’avance sur son avenir (même entouré d’anciens criminels), ce qui était l’information capitale pour sa sécurité qui valait tous les trésors du monde (« même entourés d’assassins et de criminels contre l’humanité je serais en pleine forme en 2005-2010 » pour un pharaon cela donne alors envie de bien faire et surtout cela n’a plus peur de rien pour défendre les gens qui comptent) et c’est ce qui pourrait le tirer à chacun des instants du moindre des problèmes – le paramètre rassurant en diable, ce qui donne une aisance considérable – en réalité très certainement la possibilité d’avoir de nombreux succès – mais en échange de ce que j’offrais à mon père j’aurais à vivre pire que l’horreur d’autant que je découvrirai à partir de 2005 une autre fois que j’avais eu à perdre mes enfants – donc que c’était bien pire que le cauchemar qui m’attendrait pour que mon père devienne le pharaon-sauveur (après le fou et l’handicapé au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui au lieu de croire que l’être humain pouvait s’éviter de devenir criminel a au contraire voulu le devenir, ce qui est exactement le contraire du bon sens) grâce à cette opportunité que la Création avait engendré – permise providentiellement, parce que je n’avais pas triché dans les différentes étapes qui devait me conduire à devenir père d’un enfant avec M. F.[28] – par conséquent liées à un processus cosmique totalement indissolublement lié à cette notion d’anneau ou notion même de mariage ou de fiançailles qui sont donc des mots étapes qui signifient des choses exactes à l’échelle universelle cosmique pour les bébés qui s’incarnent déjà en liaison directe avec leurs descendants et qui ne peuvent s’incarner que quand tout est à peu près prêt pour leur survie future – d’où que cela ne soit pas intelligent de songer à leur faire peur ou du chantage. Ils ne pourront pas vous prendre au sérieux ou sauront alors qu’il s’agit d’ennemis des véritables intérêts de leur descendance qu’ils verront alors représentés par les véritables responsables religieux, par les hommes de sciences et par les aArtistes – donc par la scolarité et l’Université dans ses meilleurs aspects)  comme donner envie à tous ceux qui assistaient à mes interventions du ciel de cesser leurs affrontements adolescents dans les années 1975 et de se mettre au travail puisqu’ils attendaient leurs descendance comme ceux de mai 1968 qui m’avaient tant amusé. Donc j’eus à être parfois démagogique ou à faire croire que j’étais un peu pourtant dans le ciel comme le diable lui-même (d’autant qu’en 1995 on avait voulu me convaincre que je l’étais – donc ce fut facile, je savais bien ce qui l’intéresse), puisque à première vue j’avais de l’intérêt pour l’érotisme (Qui ne l’a pas ? Puisqu’il existe l’érotisme admissible ou positif entre deux personnes qui s’aiment, car sinon il n’y aurait pas d’enfant en ce monde. Aussi il y a la partie bonne ou juste (sans péché[s]) à ce sujet qu’il faut déterminer par rapport à celle qui est plus néfaste – néfaste sera par exemple quand il y a cachoterie, donc mensonge de l’une des deux personnes, ce qui est très souvent la situation du faune, du satyre et du centaure : l’insu, l’inavouable : le crime ou ce qui était faux ou qu’on sait on avait pas le droit de se permettre non pas pour des raisons de lois entendues mais parce que c’est la loi) car ce qui m’importait c’était qu’on réussisse à réaliser ces téléphones mobiles qui pourraient sauver de nombreuses vies ou permettre des conversations enregistrables (comme des dialogues ou des entretiens qu’on peut facilement partager comme les messages sur les répondeurs) à d’autres occasions – que la vidéo serve à la question sexuelle est une chose évidente qui n’a d’avance que l’intérêt qu’elle aura selon chacun des individus confronté au problème comme avec tous les autres objets qu’on sait d’avance pouvoir aussi servir dans cette catégorie qui est, en réalité, toujours à tourner souvent trop enfermée sur elle-même à risquer de mener chacune des personnes à l’égoïsme[29] (qui est péché), sauf comme j’eus à le démontrer avec M. F. de l’égoïsme à la générosité (ce que j’avais pu vérifier (c’est la raison d’être de la Grande littérature ou des Grands films) est souvent ce qui advient grâce au couple soudain concerné par la société ou civilisation de son temps – soit le moment où de célibataires, le couple devient « projet » - le baiser est véritable dans les scènes tournées par les grands réalisateurs – des moments magiques – unanimité même s’il s’agissait d’un ancien salaud : bref de l’aArt à l’état pur sur les écrans) puisqu’il y avait un véritable projet de constitution familial en tout cas de ma part, à partir d’un certain moment quand effectivement j’ai commencé à reprendre plus sérieusement mes travaux que je ne savais pas avoir eu à abandonner aussi longtemps pour avoir, en me dégradant à devoir connaître l’ineptie et ses corollaires d’inconsciences diverses (par principe puisqu’on ne devait pas contraindre ma promise à perdre sa descendance ni me contraindre à réitérer ce sacrifice) au point de n’avoir aucun intérêt à participer ou à prendre position dans les affaires publiques – en effet, on n’a alors aucune idée vraie sur personne et par conséquent on croit ce que des personnes à première vue aimables ou gentilles croient (ses amis ou les personnes avec qui on aime passer/perdre du temps) – c’est ce qui s’est toujours passé pour chacun des adolescents qui peuvent (c’est ici le risque que la société court) en devenir dangereux par fidélité amicale envers des personnes qui étaient cependant dans l’erreur et ne le savaient pas forcément).

Si j’ai aimé M. F. cela signifie que ce qui s’est passé avait été très dangereux pour l’Empire, mais cela m’a permis de voir de nouveau avec des yeux véritables et pas de ceux qui sont à moitié aimant et qu’on peut arnaquer quand on est une jeune fille qui a été montée contre moi (ou qui est hostile en raison de ce dont elle a été au courant à l’insu), parce que peut-être victime d’avoir espionné de loin, à partir du moment où j’ai été de nouveau amnésique et ne tenant plus compte de l’état anormal qui en avait résulté (par rapport aux temps où j’avais eu à démontrer mon attachement au stylo et à l’apprentissage de l’écriture, donc du sérieux pour résoudre, grâce à cette Dictée de la NNDIM une partie des problèmes) et a joué pour que certaines de mes actions soient de celles qui m’ont amené à devenir à moitié un salaud, ce qui pouvait donc rassurer certaines personnes de la vieille salle des machines qui, en raison de mes actions et de mes péchés, étaient sûres que j’allais les rejoindre et devenir pour toujours prisonniers avec elles de l’ensemble des inepties et mensonges générés par toutes ces personnes qui sont en fait rudement à plaindre (puisqu’elles ignorent aAmour avec un grand « A », mais ne connaissent « amour » qu’avec ce petit « a » qui va les rendre accrocs à des programmes érotiques les encourageant ou les entretenant dans l’idée qu’elles aient à pécher selon les canons admis ou qui résultent de la situation bloquée) et pour lesquelles continue à aller notre compassion puisque ce qu’elles croient des êtres humains qu’elles voient « à première vue » être, peut-être des salauds, (comme ce qu’elles sont devenues elles-mêmes), ne sont peut-être que des stratégies matrimoniales (à cause de la situation bloquée) et les très grands nombres de tests que certains sont contraints de faire avant d’être certains d’avoir trouvé la personne adéquate avec laquelle fonder une famille. Donc non pas seulement pour se moquer de la personne car, en général, dans d’autres cas (que celui qui nous occupe), cela aboutit normalement à des séparations, des ruptures de fiançailles, des divorces. 

Donc cela devait me permettre de devenir à moitié « bête », donc de redevenir un être humain un peu comme tout le monde[30] dès le début de l’amnésie. C’est que la situation dans laquelle ce prétendu « dieu » nous a mis en 1975, (bien que j’ai conseillé que les clés de la vieille salle des machines reviennent à ceux qui vivent et œuvrent en conscience, donc à ceux qui n’avaient pas accès à ces gadgets de la vieille salle des machines, ni au variateur), m’a contraint à dicter à travers Espace et Temps l’ensemble de la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale (NNDIM) en légitime défense, mais aussi pour le Bien Général, et il y a bien des détails que je ne souhaitais d’aucune façon qu’ils contraignent à des actions néfastes, mais comme je devais absolument éviter la reprise de la Seconde Guerre mondiale et/ou la troisième guerre mondiale car j’avais à connaître en chair et en os ce que « le Jour le plus long » en tant que pharaon signifiait en ayant les répercussions de 1945 en 1965, une autre fois en 1975 et enfin en 2005 (cela a signifié à partir de ces dates des choses difficiles à vivre physiquement car j’eus à me retrouver au milieu de matières devenues comme hostiles et qu’il a fallu que je combatte et/ou supprime et dont je me défende, comme si on m’attaquait dans l’invisible – en effet, comme j’étais visible dans le ciel, le ciel avait été un terrain de guerre tout comme était en liaison avec des lieux de guerre et j’avais donc la sensation d’être comme King Kong attaqué de tous côtés – sauf, que j’eus une autre fois la victoire seul contre tous comme à chacune des fois précédentes qui sont ces autres guerres), il a fallu des éléments qui puissent concourir à ce que je puisse évoluer et progressivement redevenir moi-même, « hors de l’agonie, vaincue[31] », en raison de choses bien précises qui allaient déclencher en moi l’énergie de vérité qui s’est avérée salvatrice du maximum de choses, mais en ayant à sacrifier un certains nombres d’autres choses auxquelles je tenais vraiment et cela d’autant plus que ma colère à devoir revivre pour la troisième fois, au moins, en quarante deux ans ces conflits, baissait d’autant plus des journées qui se sont enchaînées les unes après les autres à partir de 2005, me contraignant à tourner la page sur des détails qui demeurent néanmoins difficiles à supporter, pas seulement par ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines underground, mais difficiles à accepter par ma personne aussi d’autant plus que ma mémoire est revenue en me rappelant ce que j’avais eu à traverser à ces autres occasions dès 1965 quotidiennement pour sauver la Vie et la planète entière dès l’époque en question en ayant dû alors me mettre aussi dans cet état alpha-oméga, c'est-à-dire en synchrone avec ces autres moi-mêmes qui du futur intervenait et confirmait / annonçait ce qui s’était passé dans les années d’avant-guerre, durant la guerre elle-même et après la guerre jusqu’à ma naissance et comme j’étais déjà en 2005 et que j’en prenais connaissance y compris en tant que bébé, je ne pouvais pas non plus être certain que ce soit moi, puisque j’étais bébé et puis enfant et puis garçon d’une douzaine d’années en 1975 à vivre de pareils outrages. Evidemment en raison de ma taille tout le désordre que cela a créé autour de moi ne ressemblait pas à la guerre. Pourtant à mon échelle cela s’était traduit ainsi, par un désordre apocalyptique qui ne manquait pas d’intérêt au niveau plastique.

L’ensemble des interventions à travers le temps en raison de l’existence de l’anneau véritable de mariage exigeait donc de créer les conditions pour que celles-ci adviennent pour prévenir canoniquement en profitant en fait du décalage que Nous avons eu à créer grâce à celles-ci et cela devait [re]commencer parce que l’ensemble de ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines sont capables de faire des choses qu’on leur recommande / conseil de ne surtout pas faire, comme par exemple de ne pas faire du mal aux animaux végétariens et herbivores ou aux poules ou même sont capables d’assister à des personnes qui s’infligent des amnésies sans rien faire ou dire pour leur rappeler qu’ils n’étaient ni faunes ni satyre mais un dieu. Cela advînt à partir de 1977-78 (ils font tout pour désobéir ou pour s’autoriser ce qui est déconseillé ou judicieusement interdit). C’est pourtant cette amnésie qui allait me permettre de me mettre progressivement dans des états capables de partager la détresse et la souffrance de M. F. , n’ayant jamais pu comprendre ce que sont les vrais rois et les vraies reines comme les vraies princesses (bien qu’à de nombreux moments j’ai pu croire et être même certain que Michèle Finck était une vraie princesse (et cela d’autant plus aujourd’hui que je sais qu’elle devait absolument être trompée (dans l’Intérêt Général passant avant l’intérêt particulier) par celui que j’ai dû devenir progressivement en sortant de ma seconde victoire de 1975 à 1977 (la NNDIM) qu’on m’a fait cependant chère payer puisque cela a coûté le Sacrifice à renouveler en raison de la séparation canonique d’avec Christine…Lang  de 1965 (le premier) qui, encore une fois, ayant été élevée dans un contexte aristocratique (certainement impitoyable) était une des seules capables d’accepter publiquement aussi officiellement notre séparation sur ce mode sacrificiel en raison de ce qui s’est passé en Allemagne dans la région qui est celle de sa famille ayant participé à la création de l’Unité Allemande. Sa famille ayant été impliquée très fortement dans le processus en question qui a malheureusement eu pour conséquence la guerre à l’époque de Napoléon III et la Première Guerre mondiale, par conséquent la Seconde, par ricochet et la situation alsacienne dont avait hérité plus particulièrement M. F.).

Par conséquent, ce sacrifice s’inscrivait dans la logique de la création de l’Union Européenne à Strasbourg puisque Christine …Lang représentait à l’époque encore la Vieille Europe aristocratique ayant eu accès au Saint-Esprit qui depuis toujours sait que les familles des souverains ayant à gérer chacun sa région ou son royaume sont bien sur le même territoire européen depuis longtemps et de l’autre côté nous avions Michèle Finck qui provient de plusieurs contextes familiaux à l’origine profanes (qui ne provient pas de cela ?) bien que très méritant, car ils ont produit des personnes « à première vue » faisant partie de celles qui sont devenues des « assises » (une partie de sa famille avait réussi à se rapprocher de la Cathédrale) mais dans le contexte historique d’une Alsace qui a été autant écartelée que cela et que nous avons voulu faire – pour réparer les torts - une de nos capitales principales de l’Union Européenne, d’une certaine façon pour la dédommager des souffrances psychiques auxquels les alsaciens ont dû faire face depuis 1870 (c’est la grave situation des peuples en lisière ou dans les régions frontalières souvent tentés par les voisins où à première vue il fait toujours mieux vivre dès qu’on a un problème avec le centre ou la capitale à laquelle on a été rattaché). Mais il faut avoir à l’esprit qu’il s’agit d’une région qui a pu croire massivement aux mensonges d’adolph hitler, à partir de 1930, en raison alors de la très grande proportion de gens ignorants, au mauvais sens de ce mot, de profanes et durant mon amnésie, je n’ai jamais pu penser une seconde (à cause de mon âge m’ayant fait appartenir à cette génération née aussi loin de la fin de la Seconde Guerre mondiale) qu’il y avait encore des problèmes à ce sujet localement et/ou même des rancunes, puisque pour ma génération née environ vingt années après la guerre, quand nous rencontrons des allemands de notre âge, nous ne pouvons que penser qu’ils sont heureux que la situation ait engendré une solution aussi élégante que de faire parti d’un Marché Commun et enfin de l’Union Européenne et qu’ils ont compris combien ce que leurs parents avaient cru étaient à première entendu des vérités relatives qui se sont toutes avérées pour les plus fausses d’entre elles des affreux mensonges. Aussi nous avons à regarder chacun des allemands avec beaucoup de compassion car il n’y a rien de pire au monde que d’être issu d’un peuple de menteurs ou de profanes qui ont voulu se rendre responsables de toutes les pires ignominies dans tous les temps (il s’agit donc de personnes qui seront pour toujours très malheureuses d’avoir ce passé et d’avoir été à l’origine de toutes les injustices comme de tant de calomnies envers tant de morts illustres aussi admirablement et si justement résistants pour ce qui restait encore de véritable Allemagne qui est comme la véritable France ou Grande-Bretagne ou n’importe lequel des autres pays, au courant des Bonnes Pratiques au service de l’Esprit-Saint ou alors de la conscience, c'est-à-dire des raisonnement admissibles en tenant compte de ce qu’il y aura toujours le devoir d’élever des enfants, c'est-à-dire de transmettre toutes les sciences dans une une optique qui ne peut être que bonne – d’où qu’on ne puisse être méchant ou injustes avec autrui donc avec l’étranger ou celui qui en sait moins que vous).

Il n’y a donc que quand j’ai retrouvé ma mémoire que j’ai compris qu’il y avait un sens à tout cela et que je pouvais accepter dans l’Intérêt Général d’avoir à revivre le sacrifice avec Christine (qui allait débuter une autre fois à partir de 1978) pour essayer de soigner Michèle Finck qui a bien pu vérifier elle-même qu’un « à moitié crapaud » (même devenu totalement crapaud au point qu’on lui ait montré Atlantide – puisque le variateur a été hérité [ou est entre les mains] par les crapauds), petit à petit, parce qu’il se met à aimer vraiment, redevient un prince charmant.

Et c’est donc possible pour elle qui, pour l’instant ne peut que difficilement démordre des certitudes qu’elles s’est mise dans son crâne à mon sujet étant donné qu’elle n’arrive pas à comprendre qu’un prince charmant cela ne peut plus que passer son temps à tester (à faire des expériences), à faire des vérifications sur ses sujets pour savoir s’ils sont dans le vrai ou bien s’ils sont partis de nouveau du côté du mensonge et des erreurs habituelles prévisibles et ce que j’aimerai c’est qu’elle arrive à comprendre à quels moments elle s’est dévoilée une princesse charmante et digne d’être une impératrice.

Mais je lui ai promis de faire le maximum pour qu’elle puisse, à son tour, retrouver le chemin de la vérité. Mais cela risque d’être très long car il s’agit d’une femme (ce qui est depuis pratiquement toujours assuré de CFP ou par les autres financements) et il est à regretter que cela aurait pu être bien plus court à faire dans les années 1965 et/ou dans les années 1975 et c’est pourquoi, si elle veut avoir une chance de redevenir une « vraie princesse » ou bien même une vraie impératrice, il faut qu’elle fasse confiance et qu’elle collabore. D’abord en rendant la vieille salle des machines et le variateur, comme en acceptant que la vieille salle des machines appartienne, tant que l’ensemble de ceux qui y sont enfermés n’auront pas retrouvé leur vraie identité (celle perdue au profit d’une collective ou de personnes interchangeables ou presque qui fonctionnent toutes pareillement), à ceux qui ont gardé – en raison de leurs études faites en vérité et en conscience - le sens des réalités (tous les paramètres qui s’y rattachent) et peuvent soigner et conseiller ceux qui ont perdu les capacités d’êtres humains véritables qu’ils étaient pourtant au départ, c'est-à-dire pas seulement sensibles et sensuels mais logiques, cosmiquement parlant, étant capables d’organiser avec intelligence, et de prévoir à l’avance à court, à moyen et à long terme l’ensemble des difficultés qu’induisent les chiffres ou les mots et grâce à cela apprendre à ne pas se comporter en égoïstes, ce dont elle a eu des preuves à son sujet de la part de ceux qui n’avaient pas eu accès à la salle des machines, puisque Christine...Lang a accepté de perdre ses enfants et sur tout de moi à ses côtés pendant de très nombreuses longues années à son profit – puisque même devant C. L. (quand l’Histoire nous a remis en face l’un de l’autre) je ne savais plus rien d’elle et de moi, en étant donc devenu totalement un autre. En sacrifiant sa jeunesse de jeune fille et de femme pour que Michèle puisse avoir elle, qui n’a pas été élevée comme une vraie princesse (ce qui a dû être à l’inverse son cas), ma jeunesse (qui a été sérieusement malmenée, en raison de l’amnésie dont j’ai été victime et de la nécessité de démontrer de nouveau comment on devient un à moitié crapaud et comment grâce à « amour » véritable on redevient un prince).

Nous devions donc nous séparer et vivre des parcours chacun d’entre nous qui allaient mathématiquement aboutir à découvrir comment, progressivement, je me suis retrouvé en chair et en os là où, dans le ciel, depuis au moins trente années l’Ensemble m’avait vu et entendu (c’est dire le prince que j’étais devenu en 1965 à l’âge de deux ans et demi à cause de cette histoire qui avait eu lieu, en réalité entre ma naissance et les deux ans et un mois mais qui recommençait! En effet en 1965 l’intervention depuis les années 2005 commença et cela signifiait que tout avait eu lieu avant. Aussi normalement j’aurais dû pouvoir partager ma chambre avec C. L. dès 1965 comme avec M. F. – mais c’était difficile à expliquer pour un enfant non scolarisé et surtout à des personnes convaincues de mots figés à propos du mariage au point d’avoir des préjugés sur tellement de points que cela ne sert à rien de parler – vous savez qu’ils  croient avoir raison et que vous avez tort – votre cas particulier doit s’adapter à ce qui est convenu ou à la canonicité, c'est-à-dire à ce qu’on a déterminé être le mieux ou le plus légitime – vous devez vous résigner à attendre de démontrer que vous pensiez juste dès ce moment-là).

Donc, l’ensemble des adultes et des personnes âgées n’ont pas voulu renoncer en 1975-77, pour la seconde fois, à notre séparation, ni ne sont intervenus pour nous conseiller de ne pas accepter ce sacrifice, y compris ce prétendu « Dieu », y compris mon père que j’avais pourtant confirmé dans son rôle de pharaon (c’est ici la grave erreur qu’il fit, comme s’il ne voulait pas être cohérent avec tout ce qui découle des enseignements philosophiques qu’il avait reçu ou même ce qu’il avait dit à d’autres moments mais compte tenu qu’il était l’empereur après le pire fou sanguinaire au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) mais handicapé qui ne s’était conduit qu’en enfant-gâté ignorant au mauvais sens de ce mot, je ne pouvais qu’être admiratif de sa situation la moins enviable au monde ou la plus difficile à vivre : être contraint à devenir comme un criminel malgré qu’on ne soit que le plus honnête des hommes : le cauchemar ou de quoi comprendre ce que peut-être la folie – mais voilà une chose qui est bonne pour son grade : on se croyait un très honnête homme et on comprend qu’on aurait pu se comporter en criminel si on avait eu le parcours de celui qui est devenu fou – d’où qu’on comprenne mieux les raisonnements subjectifs et qu’on accepte un peu mieux l’inconscience).

J’ai vérifié entre 2005 et 2010 que j’ai demandé qu’on propose les clés comme la vieille salle des machines et le variateur de la vision d’Atlantide à ceux qui en ont été privé, ce qui a été peut-être fait entre 1975 et 1980 et dont je ne sais rien, à cette heure-ci (10 heures 34, le 14 juin 2012 – je relis le 3 mai 2013 et le 31 juillet 2017). J’ai demandé et conseillé plusieurs fois à la bande de ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines de le faire.

Si j’ai les preuves que cela a été le cas cela signifie que j’ai été entendu à ce sujet, mais j’ai dit aussi que les autres avaient le choix de les refuser (les autres savent que je m’exprime aussi sous la forme de tests puisque je m’exprime en multi catégories) et ils ont peut-être cru avoir de bonnes raisons pour les refuser alors que s’ils les avaient acceptées nous serions depuis longtemps dans l’autre cas de figure de la Création qui aurait permis à Michèle Finck, dans les années 1980, de continuer une histoire d’amour qu’elle avait avec une personne qui s’appelle Patrice (si je ne me trompe pas) et Christine…Lang et moi-même n’aurions pas été séparés, ce qui nous aurait permis de poursuivre nos études ensemble (je ne serais pas devenu un à moitié nul séparé d’elle car j’aurais continué à être celui qui omniscient faisait intervenir le futur d’avance. Je n’aurais pas dû m’infliger l’amnésie), ce qui aurait évité que je recommence des démonstrations liées à cette notion d’oubli (capitale car elle est à l’origine de toutes les involutions ou régressions), à l’amnésie, comme point de départ de ces démonstrations (ce qui semble être un passage obligé pour beaucoup d’enfants sur cette planète que l’oubli, l’amnésie (puisqu’on s’est ingénié de la vieille salle des machines à le créer en profitant des machines à rêves ou à cauchemars – donc en ne respectant pas les étapes de formations des cerveaux au point que cela va donner une quantité très importante de main d’œuvre ou de travailleurs manuels qui quittent la scolarité – si c’est le cas c’est en raison de problèmes de mémoires – la mémoire est affectée ou alors les enfants n’ont pas appris à s’en servir – d’autre pas il y a tous les enfants-gâtés qui ne veulent pas faire d’efforts pour l’exercer – ils sont assurés de cfs, cfu, cfm, cff  ou cfcch et ne comprennent pas à quoi servent les études – ils sont persuadés que pour obtenir ils n’auront qu’à être gentils sensuellement pour obtenir, ce qui est donc comme se prostituer et ne pas chercher la provenance de ces crédits financiers. Aussi quand cela ne marche pas avec certaines personnes, ils les prennent pour des ennemis alors que ces personnes qui refusent de les aider financièrement ne le peuvent pas et sont en réalité leurs meilleurs amis. Ils ne sont pas des macros). Cet oubli est à l’origine de tous les problèmes, puisque c’est à cause de cela qu’il y a ceux qui vont rejoindre la bande de ceux qui vont le créer à partir de la salle des machines, ce qui rend les enfants inconscients et irresponsables, avec les conséquences qui les font devenir à leur tour prisonniers de la bande en question, de sa voracité ou sa dépendance envers la sensualité au point de se détourner des vérités qui s’en passent pour sombrer corps et bien dans le mensonge ou en tout cas dans l’absence de scrupules et dans des rapports d’animaux dénués du propre de ce qui est humain et de spiritualité. En effet, en raison de ce que cela engendre comme fatigues physiques les voilà à chercher à compter sur des personnes pour assurer des choses aussi simples que les travaux de main d’œuvre. C’est à cause de ce qu’ils ne se sont pas organisés ou n’ont pas appris à gérer un planning. Aussi ils seront fatigués au point d’avoir des difficultés pour travailler dans les activités manuelles (les  voilà à mettre quinze ou vingt jours pour un travail de trois à cinq heures sans se soucier de ce que cela coûte à l’Ensemble que ce retard (aussi qu’ils ne s’étonnent pas qu’on ne puisse les rémunérer de façon importante puisqu’ils ne profitent pas de l’activité qu’on leur propose pour en faire trois fois plus ou plus encore, mais uniquement cinq fois moins ou moins encore).

Ils m’avaient petit à petit fait devenir à moitié un à moitié salaud et à moitié inconscient avant que je ne rencontre M. F. et qu’en raison du fait que j’en avais assez (à la fois de ma façon de me comporter mais aussi de mon égoïsme) j’ai alors fait « comme si » j’allais pouvoir faire de cette jeune fille ma femme. C’est ici que j’ai démontré que cela peut marcher la méthode Coué.

Si cela a tardé autant c’est que je n’avais plus le souvenir du traumatisme causé par mon apparition dans le ciel de Rome, à partir de 1975, ni du Sacrifice car j’étais devenu un profane et je ne me souvenais pas non plus que cela avait correspondu à l’époque des préparatifs des mariages d’un de mes frères aînés et de ma sœur aînée.

C’est pourquoi grâce à cet état dans lequel j’étais – obtenu grâce à l’amnésie qui m’a permis de faire des choses de profane (sinon cela n’aurait pas été possible en raison du milieu dont je venais et du sacrement de Confirmation que je venais de recevoir) nous avons vécu ensemble en « union libre » ou en « concubinage » non déclaré comme à d’autres moments déclaré plusieurs années – ce que j’ai trouvé tout à fait normal car j’étais un profane parmi les autres qui ne savait plus que les mots signifient ou induisent des quantités de choses précisent qui s’inscrivent dans des perspectives (aussi ceux-ci, les mots, ne servent alors qu’à ce qu’on croit le mieux égoïstement au mauvais sens de ce mot comme aussi au bon et non pas encore en vérité) mais des mots que je trouve aussi tout à fait normal pour des personnes qui souhaitent les utiliser sans être pour autant réduits à n’être que profanes.

Nous n’étions pas « mariés » (bien que dans l’état de profane, comme on ne comprend pas/plus grand-chose, on croit que fréquenter une personne d’un autre sexe c’est pareil) et cela parce que j’étais devenu, en montrant comment, un « ignorant », un « laïc », un « athée », un « profane », un « sacrilège » (en fait je ne savais pas que cela devait être envers moi-même), et le corollaire des mots qui vont avec mais ces mots dans le sens négatif qu’ils ont (ce que j’avais déjà démontré, mais plus jeune, à partir de la fin 1971 à 1975, c'est-à-dire en quatre années perdues entre l’âge de mes neuf ans et l’âge de mes douze ans et demi) et Michèle Finck ne m’a pas dit qu’elle était au courant de tout cela ni  de l’ensemble de mes péchés que je lui ai pourtant révélé progressivement étant donné que plus je l’ai aimé plus j’ai eu confiance en elle et plus j’ai eu des remords de m’être comporté dans différentes situation avant de la rencontrer d’une façon qui n’était pas à mon honneur durant toute cette existence de profane (quand j’étais amnésique).

Mais Michèle Finck était en cela très compréhensive donc parce qu’elle n’y voyait pas autant de mal que j’y savais y avoir été (car ma conscience revenait au fur et à mesure que je prenais du plaisir à me donner du mal à mes travaux) de plus en plus princesse à mes yeux (mais sans me dire ce qu’elle savait, donc en cachant la vérité ou en faisant durer un jeu dans lequel elle était assurée d’avoir l’avantage ce qui en réalité l’a déshonoré d’un seul coup à mes yeux dès que je l’appris quand je sus que C. L. avait existé au point de me faire recommander dès 2005 à celui que j’étais trente ans d’avoir à m’ingénier à contracter cette amnésie car un tel silence n’était pas acceptable : elle avait fait semblant, tandis que moi pas du tout de changer pour elle au point de me donner beaucoup de mal pour lui prouver que je voulais en faire ma femme ou du moins confirmer mes fiançailles car je comprenais que cette histoire pouvait finir par nous permettre d’attendre des enfants) mais elle était devenue, comme moi-même, totalement une « non croyante » ou plutôt dans l’impossibilité de croire en Dieu ni même dans son fils Jésus Christ (cela fait que nous étions devenus l’un et l’autre des profanes et l’ensemble des mots qui vont avec – donc à n’y plus rien comprendre).

Mais nous avions des travaux à faire et à poursuivre et plus cela avançait vers 2000-2005, plus la question de Dieu s’est reposée à moi et bizarement dans le langage il est devenu une référence qui s’imposait de lui-même au point de m’interroger sur la langue elle-même en relation avec les peines considérables que je m’étais infligées pour réussir à devenir compétent et donc dans l’espoir de gagner des CFP pour pouvoir nourrir mes enfants – aussi cette notion de Dieu véritable n’est possible qu’entre le père et le fils (d’où le Saint-Esprit entre eux, comme un fil invisible) ou comme si on devait avoir/attendre un fils ou une fille, ce qui explique pourquoi les prêtres font le signe de la Croix en invoquant ces trois notions à la messe (et comme je comprenais cela d’une façon de plus en plus évidente, ce mot de Dieu devînt intéressant au point que je me suis dit que j’avais peint son piano – mais ici c’est en ne sachant encore rien à son sujet – des boutades et surtout en ayant totalement oublié qu’il pouvait être Jésus Christ – en effet, il faut comprendre que celui qui est devenu profane est réellement limité intellectuellement à cause de tous les efforts qu’il a fait sexuellement qui l’ont fatigué). Je ne savais plus que cette notion s’était posée vraiment autrefois pour moi mais comme j’avais beaucoup travaillé et que j’ai commencé à aimer vraiment Michèle, la question de la vérité s’est de nouveau imposée à moi (bien que j’ai pu avoir en 1995 un certain nombre d’expériences de travaux importants menés par mes soins, avant de devenir l’empereur que je fus après l’intervention du Grand Architecte de l’Univers) d’autant plus que mes intentions de me marier devenaient dès cette époque plus précises (d’une hypothèse de travail à enfin jeter les bases pour la concrétiser).

Durant le déménagement en 2005 – un déménagement que j’ai fait en grande partie moi-même (en ayant tout à porter moi-même, alors que j’ai découvert après, durant la Dictée de la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale, que l’ensemble des déménageurs dans le monde entier disposent grâce à mes interventions – que j’allai découvrir avoir encore à faire de nouveau - du système (pour lequel on me doit les royalties) qui permet de monter les caisses et les objets directement de l’extérieur et de la rue grâce à la plate-forme que vous savez ajoutée à une sorte d’échelle de pompier ascenseur – aussi j’aurais pu me venger d’eux qui n’avaient pas songé à m’aider bien qu’au courant de ce déménagement, mais au contraire ce n’est qu’à eux que j’ai pensée en premier dans les solutions élégantes à transmettre du futur et qui n’existaient pas encore dans les 1975 et cela parce que je venais de trouver physiquement leur travail assez pénible, même s’il ne s’agit que d’une activité, sommes toutes, de travailleur manuel qui est réservée à la quantité considérables d’ignorants au bon comme au mauvais sens de ce mot qui peuvent très facilement l’effectuer pour gagner des CFP mais d’autant plus pénible pour moi que je n’avais fait que peu de sport et que j’allais découvrir être si immense dans le ciel du passé peut-être à cause de mes différents et nombreux apprentissages qui ne me limitent pas à porter des objets mais à les concevoir, ce qui est « porter » mais les solutions élégantes en soi – donc n’agir ou ne porter qu’en conscience – comme Picasso qui trouvait et ne cherchait plus) en découvrant le passage qui permet de passer du monde du profane au monde de la vérité, j’ai compris que Michèle Finck pouvait devenir ma femme et la mère de mes enfants, ce qui a constitué une étape dont je n’étais pas sûre jusque là et j’ai donc voulu me préparer à cela et c’est ainsi que ce prétendu « Dieu » est apparu et que j’ai donc découvert que la cause, l’origine de l’ensemble des péchés que je me suis permis de faire à partir de 1979 ou à partir du moment où j’ai été totalement amnésique de 1975-1978 venait du fait que j’allais devoir intervenir dans le passé et que je devais confirmer ma séparation sacrificielle avec Christine pour sauver la Vie sur cette planète. En effet, j’étais en avril 2005 ce que j’allais découvrir être en parallèle et synchro avril 1965 et avril 1975 et d’une certaine façon rien n’avait encore recommencé à ces dates-là (bien que par ailleurs tout s’était déjà passé – aussi c’est ici le sentiment d’étrangeté ou même de non logique – l’aspect extraordinaire ou même qui serait « oui » et « non » en même temps selon qu’on analyse la situation sur un plan ou à partir d’un autre – l’aspect rêve et réalité mais aussi qui ouvre à des dimensions insoupçonnées cependant existantes – on entre alors en aArt comme si on entrait en religion : l’incroyable mais vrai se produit, donc la possibilité d’être l’aAuteur d’un miracle qui deviennent vite pluriels car on y prend goût).

C’est bien l’amnésie de ce qui s’était passé (allait se passer) entre 1975 et 1977 à Rome, avant mon départ pour Berne, en Suisse qui était le point de départ de l’ensemble de ma dégradation jusqu’à ma rencontre avec Michèle Finck (quel soulagement de le découvrir : je n’avais donc jamais été un salaud : on m’avait contraint à le devenir pour des raisons de légitime défense de mon anneau de mariage avec C. L.). J’avais donc accompli l’ensemble de mes travaux (d’Hercule) comme des sortes de peines au Purgatoire (en raison du fait que je m’étais [que j’allais] (m’) autoris(é)(r) du futur pour les besoins de la cause à devenir profane), du point de vue du vrai Dieu de toujours (ou de celui qui est enseigné grâce aux textes saints), puisqu’il m’était redevenu inconnu et que j’avais, en raison de l’amnésie, recommencé à pécher (je ne savais pas que c’était pour faire comprendre comment chacun des terriens était devenu artificiellement ainsi un pécheur – en raison de l’amnésie de divers paramètres essentiels à l’heure des besoins engendrés par la civilisation - car c’est bien l’amnésie dont chacun a fait l’objet qui a conduit certains à pécher (donc à mal agir ou contrairement à l’Intérêt Général) et c’est pourquoi les terriens ont une très grande chance d’avoir parmi les dieux anciens mais devenus traditionnels Jésus Christ, à partir d’une certaine époque. (J’ai découvert cela aussi moi-même, bien que je ne sois pas certains tout à fait que cela soit seulement une chance puisque j’eus tant à devoir en souffrir pour le confirmer/vérifier comme effectivement un recours exact pour l’une des meilleures attitudes à avoir familialement, socialement, etc. ).

C’est pourquoi les divers sacrements institués progressivement en raison de l’évolution de la situation générale par/de l’Église Catholique Apostolique Romaine sont [dans certains cas] absolument essentiels et chacun d’entre eux très véritables, y compris le pardon des péchés pour ceux qui les regretteront vraiment et qui changent totalement (comme Jean Valjean) après les avoir sincèrement et honnêtement reconnus, en se sachant véritablement avoir été coupables, donc indignes des mots comme simplement celui de « fraternité » - en réalité effectivement méprisables.

C’est ce que j’ai été amené à vérifier entre la fin 1971 et la fin 1975 quand j’avais fait les premières démonstrations (qui, en fait, étaient les secondes car les premières démonstrations ont été faites entre ma naissance et 1965 (en deux années), mais elles me sont revenues en mémoire qu’après l’intervention de ce prétendu « Dieu » en 2005. Par conséquent en 1972, j’ai commencé pendant plusieurs années à m’intéresser au « doute » comme à l’antithèse, vis-à-vis de la religion locale à Rome en Italie et si j’avais été croyant comme ma famille jusqu’à la fin 1971, j’ai commencé à ne plus croire et même à mentir et à tricher et par conséquent à penser de façon fausse, car j’avais obéit à celui que j’allais être à partir de 2005 : je devais montrer comment, sans tricher, on devient une possible ordure locale à l’âge des enfants (ce que je fis en devenant faune en ces "après-midis").

Heureusement, je ne le suis devenu cependant qu’à moitié et grâce à ma chienne, j’ai compris une chose qui m’a fait revenir à celui que j’étais, en 1965, devenu (en 1975), ce qui a fait alors apparaître dans le ciel de Rome la virtualité de celui que j’allais devenir à partir de 2005 quand, du point de vue de ce prétendu « dieu »[32], comme du point de vue de Jésus Christ, j’étais de nouveau une persona grata au Paradis, c'est-à-dire parmi les saints et les martyrs (mais à ce jour les profanes ignorent encore à quel point et pour quelles raisons bien qu’ils en sachent que quelques points résumés), étant donné que finalement l’ensemble des saints et des martyrs y compris – c’est probable - la Sainte-Vierge ont compris ce que j’ai réussi à démontrer : que pour devenir une personne qui ne croit plus en Dieu : c’est simple, et c’est le résultat d’un certain nombre d’attitudes qui se mettent en place d’elles mêmes (logiquement) et qui font d’une personne assez rapidement un menteur, un inconscient, un irresponsable, etc. car il s’agit là, en fait, d’un processus mathématique (lié à la loi des conséquences) qui a, parmi les causes, les origines, cet « oubli » ou « amnésie » (de paramètres - quand il n’y avait pas l’Université ou les Grandes Ecoles ou les enseignements délivrés par les génies[33] - on ne savait même pas exister) et donc on devient alors quelque chose qu’on n’était pas au départ, ce qui justifie totalement la nécessité d’avoir de la religion (ou du moins pour commencer d’appartenir à une spécialité en véritable compétent – la compréhension de la religion peut donc venir plus loin dans le temps ou même très tard, ce qui compte c’est savoir se débrouiller de manière à gagner des CFP et non les autres sales, usurpés, malhonnêtes, faux ou criminels contre l'humanité) car, véritablement sans Jésus Christ (et le corollaire), personne ne peut s’en sortir sur cette planète (cela ne veut pas dire pour autant que chacun des prêtres est fréquentable puisque parmi eux il y a les faux prêtres, les infiltrés et c’est pareil chez les bonnes sœurs (les planqués, mais on retrouvera cette catégorie de personne partout, dans l’armée ou dans l’ascenseur ou dans l’autobus ou dans n’importe lequel des métiers – soi-même, dès qu’on prend trop de vacances ou qu’on s’offre trop de divertissements on a vite l’impression d’être un profiteur ou un planqué, sauf qu’il y a ceux qui se réjouissent de causer ce dommage à l’Ensemble et ceux qui en sont les victimes et qui ont par conséquent à devoir résoudre les problèmes, y compris monétaires avec ce que cela va avoir comme répercussions sur l’Ensemble). C’est pourquoi il faut continuer à se méfier des curés et du personnel ecclésiastique mais aussi de n’importe qui, car un certain nombre d’entre eux sont de vrais planqués (au sens de professionnels des non-professions ou de celles impossibles : de faussaires – pourtant elles sont celles des menteurs partout) comme un certains nombre de militaires dans l’armée et en fait un peu comme chacun de ceux qui sont dans chacune des institutions ou organisation ou association ou parti, étant donné que malheureusement il y a eu cette amnésie (qui est souvent seulement de l’ignorance) et que cela fait souvent oublier le devoir. Aussi il y a tous ceux qui, enfants, ont été victime de l’amnésie ou de cette ignorance ce qui les a mené à se profaner et progressivement à devenir/prendre les habitudes des menteurs, des tricheurs, des personnes de mauvaise foi ou des enfants-gâtés ou de celles qui ne veulent pas reconnaître leur tort, des orgueilleux ou des faux propriétaires (ils jouent à l’être alors qu’ils ne sont pas ceux qui se donnent du mal pour entretenir la propriété ou qui dépense des CFP gagnés honnêtement pour cela (ils croient s’en tirer en payant avec des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch et en réalité aggravent leurs cas): ces personnes vont donc vers des réincarnations abominables pour elles-mêmes puisqu’elles sont averties dans chacune des régions qu’il y a d’un côté les bonnes manières (ou Bonnes Pratiques) et de l’autre ce qui va continuer à faire d’eux des menteurs jusqu’au moment où on en a assez d’en être devenu un et qu’on aspire alors à commencer au moins à faire semblant de devenir « quelqu’un de bien » et de vrai, par conséquent quelqu’un de juste (mais il faut alors se réformer ou abandonner les mauvaises manières – d’où qu’il y a une conversation qui a lieu pour adopter les Bonnes Pratiques ou bonnes manières qui ne viendra qu’en utilisant ou s’infligeant la méthode Coué en commençant par continuer à faire semblant dans l’espoir de ne plus jamais faire semblant, puisqu’on sait que la vérité existe, en raison que logique existe ou mécanisme existe, etc. ou même seulement le mot d’ « autobus » ou de « bar » ou de « thé » ou de « café »).

Donc, les grandes religions sont absolument fondamentales à étudier et à transmettre comme chance pour la génération suivante, puisqu’il y a de très nombreuses occasions de pécher et de « ne pas résister à des tentations » ou simplement d’avoir envie d’oublier et donc à cause de cela de régresser ou d’involuer.

C’est la situation générale qui était bloquée qui contraint à devoir à cause de cela à « résister aux tentations » pour éviter la réincarnation qui va correspondre alors à ce qu’on est devenu durant sa vie (il s’agit donc de chances nouvelles qui ont été données à chacun de servir alors autrement et de gagner des points ou bien d’en perdre au point par exemple de devenir une lionne, ce qui est un animal très complexe à étudier et qui s’attaque « à première vue » à plus faible qu’elle – c’est cet état d’esprit de lâche qui n’est pas acceptable chez l’être humain car il n’est pas fraternel, comme ne se peut pas entre adultes et petits êtres humains – profiter d’un enfant c’est tricher sur la question essentielle de l’être humain).

Pour que la situation générale qui était bloquée puisse changer, il est impératif, après l’ensemble de mes inspections, de mettre une fin à ce qui est à l’origine de l’ensemble des malheurs de chacun d’entre nous, y compris des animaux et c’est pourquoi il faut ici que ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines et du variateur fassent totalement confiance dans ceux qui s’en sont privés et qui ont supporté depuis longtemps des injustices inconcevables, alors qu’ils n’ont cherché qu’à donner l’exemple, bien conseiller et à savoir ce que signifie de s’engager avec une autre personne pour fonder une famille et cela à la fois d’une façon civile au point parfois, en raison de cela, de le confirmer autrement sur le plan religieux. Aussi la société laïque bien que dans l’ignorance parfois totale des faits ou étapes religieuses menant à l’acquisition d’une véritable spiritualité doit accepter que ces dimensions encore inconnues d’eux soient comprises ou induisent d’autres comportement que les leurs. Ne pas le comprendre c’est être intolérant et contraindre en légitime défense les moines ou les bonnes sœur à avoir le droit de tuer ou moins que cela – en effet il n’y a que les forces de l’esprit qui soient fertiles ou capables de résoudre les maladies à cause de raisonnement aussi logiques que toutes les programmations logicielles.

Cette façon civile concerne la série des mots précédemment notés (laïcs, athées ; etc.), dans leur sens négatif, qui sont ceux qui désignent des personnes qui, à la longue, sont devenues honnêtement incapables de comprendre les religions, Dieu, encore moins le Grand Architecte de l’Univers, les sciences, etc. et qui ont préféré se mettre dans des situations de « profanes » et d’« ignorants », par conséquent de « laïcs » (au sens ancien du terme) parce que cela les arrangeait et parce qu’ainsi ils pouvaient continuer à vivre dans le péché, en faisant semblant de ne pas comprendre pourquoi c’est le cas à ces moments là et donc en étant devenu à cause de cela impurs (du point de vue de ceux qui accèdent à la nécessité des dentelles pour les baptêmes ou les mariages) : il s’agit de ceux qui ont cru alors que les autres, qui sont capables de comprendre les religions sans tricher sont en fait incompréhensibles, voire des menteurs, alors qu’en réalité d’aucune façon, puisqu’ils sont dans le monde de ceux qui ont compris même ce qui est inscrit entre les lignes, dans les textes sacrés et ne les oublient jamais dans les meilleurs conseils qui s’y trouvaient en comprenant pourquoi ils ont été donnés de préférence comme des avertissements. En entendant ou en lisant ces textes, ils les savent contenir aussi des vérités moins importantes ou relatives (dont certaines sont même devenues des mensonges ou bien, en raison de la situation générale, sont des phrases qui ont été profanées « à première vue », sur lesquelles des générations plus loin ont été contraintes de revenir dessus ou de les démontrer fausses, ce qui a eu pour effet d’avoir admiré finalement des sacrilèges au sens premier ou de ceux-ci inscrits comme tels dans la Bible comme le sont, par exemple l’ensemble des barrages – à l’aune de l’interdiction de bon sens qui se trouve dans la Bible je devrais être lapidé et mon père aussi puisque j’ai dicté une liste de très grands barrages qui ont été fait au cours de ces années de la Nouvelle Nouvelle Donne, à partir de 1975 (aussi je devrais être considéré comme sacrilège, puisque tous ceux construits dans le monde entier dès cette date avec leur point de géo-localisation ont été transmis par mes soins – évidemment tous savent qu’il s’agissait d’un bon conseil pour l’époque et que le pharaon a le droit d’être sacrilège quand c’est pour un Bien Général aussi important que l’enjeu électrique de la planète pour éviter les pollutions autrement (trop de consommation de charbon ou de pétrole) – aussi les fondamentalistes ou ceux qui obéissent aux règlements à la lettre (les fidèles au sens souvent très primaires ou ceux qui appliquent les règlements car ils ne savent pas encore concevoir sont calmés par les modérés ou par ceux qui ont du bon sens : on apprend à ces personnes à lire en raison de contextes différents – d’où l’importance de la datation et des chiffres : ce qui était vrai ne peut plus l’être dans ce domaine car les paramètres ont changé : la démographie, les besoins énergétiques exigent en prévision de la consommation mondiale la construction de barrage et des expropriations en bonne et dûe règles (respectueuses et compensatrices) à ces fins – mais j’ai bien spécifié qu’il fallait construire des chenaux pour les poissons - aussi la solution élégante techniques n’avait pas été trouvé et on avait préféré par précaution interdire les barrages – en effet quand on étudie la question cela peut à première vue être nuisible si c’est mal fait ou si un ingénieur non compétent dirige l’opération – ce qui sera la crainte des habitants localement).

En effet, ceux qui ont inscrit des conseils, des vérités relatives à ce sujet, dans la Bible, ne pouvaient pas imaginer qu’il y aurait des personnes capables de calculer des choses aussi difficiles que des courbes concaves pareilles en béton et qu’il y aurait autant besoin d’électricité que cela dans le futur – c’est pourquoi nous parlons de « vérités relatives » à ne pas confondre avec la vérité : il faut donc apprendre à comprendre sur quel plan, à quel niveau, dans quelle colorature, dans quel esprit l’autre s’exprime et de quelle catégorie il s’agit dans les textes qu’on entend ou qu’on lit et/ou qui nous proviennent du passé. Les textes sacrés sont aussi des textes mis à jour, puisqu’ils font constemment l’objet d’analyse ou de traductions nouvelles. Bien sûr se sont ceux qui font ce travail qui discernent et moins ceux qui les entendent ou qui en sont les spectateurs. Ils ne pouvaient pas imaginer en ces époques lointaines où ils avaient été interdits (pour des raisons justes à l’époque ignorantes de nos techniques actuelles) qu’on puisse, malgré ces barrages, permettre à l'eau de fleuve ou à la rivière de porter l’eau, en aval, vers les champs pour continuer leur irrigation et cela malgré l’absence d’eau à cause du barrage en amont (j’ai même demandé qu’on généralise de vrais passages pour les poissons même pour les anciens barrages où il n’y en avait pas, mais en veillant à ce que les ours ne profitent pas de l’aubaine par conséquent à ce que les gardes pèche protègent ces passages, sinon cela serait tromper les poissons). Depuis longtemps les personnes en question entendant et transmettant ces textes savent qu’ils seraient totalement différents (qu’ils feraient l’objet de corrections, qu’ils s’adapteraient à la nouvelle situation, qu’on ajouterait ou retrancherait des mots ou des expressions comme c’est le cas à chaque fois qu’on modifie officiellement la Constitution), si la vieille salle des machines avait été rendue aux représentants de Jésus-Christ et de son père « Dieu » (en réalité les sciences – soit celles que le Saint-Esprit permet de comprendre). C’est effectivement à Jésus-Christ qu’on doit d’avoir plusieurs chance chacun de redevenir un peu plus soi-même et d’être pardonné pour des péchés qui, dans mon cas, en fait, finalement, n’ont pas été réellement commis, puisque j’en étais blanchi d’avance (chacun se souvenant de l’ordre qui avait été donné que je m’ingénie à faire des bêtises) puisque j’ai découvert en fait m’en être accusé avant d’avoir à les commettre, mais comme je n’en savais rien sur le moment, j’ai eu, comme entre la fin 1971 et 1975, à supporter toutes les conséquences de ces péchés qui même étant à-premièrevues rien de très grave, quand on pense à ceux qu’ils ont été en réalité du point de vue d’un être humain parachevés sont graves (bien que tous ayant été faits en légitime défense) car capables d’ensuite mener à l’erreur pour ses semblables ou même du simple point de vue d’un être humain ne sachant pas le contexte dans lequel ces choses anti-canoniques à-premièrevues ont été canoniquement faites, il y avait effectivement de quoi avoir honte pour toujours. J’ai pu constater effectivement, quand on redevient sensé, à quel point ces actions néfastes apparaissent alors monstrueuses et sont réellement indignes et font de chacun de ceux qui croient pouvoir s’autoriser à commettre ces « peccadilles » (car aimablement les saints et les hommes de Dieu les minimisent pour éviter de rendre trop coupables), qui sont parfois hélas bien plus que cela (au point de noircir l’âme, donc la vue et l’ouïe),  des personnes qui, effectivement à cause de la complaisance à les vivre, prennent le chemin pour devenir des animaux et à perdre la chance d’avoir fait parti des êtres humains. Ils finissent par ne plus arriver à parler, à écrire, à entendre à calculer ou à écouter de façon véritable et deviennent chacun la partie d’une avalanche ou de l’éboulis dans lequel ils sont de plus en plus « perdus » sous les décombres des ruines dont ils sont les auteurs.

Étant donné qu’on peut être pardonné par Dieu et/ou par son fils Jésus-Christ des péchés commis (si on en est réellement désolé ou malheureux), c’est une raison qui me semble suffisante et qui serait bien normale de prendre en compte pour que le variateur de la vision d’Atlantide soit utilisé et remis en fonction régulièrement selon le programme scientifiquement établi, par exemple, depuis Saint-Pierre de Rome, s’il est possible de le faire marcher de là-bas (ou alors de là où il se trouve comme si c’était aussi à Saint-Pierre qu’on le devait – mais on le devra à Saint-Paul et aux autres évangélistes).

Effectivement, c’est logique, à partir du moment où c’est à Dieu comme à Jésus Christ qu’on doit de pouvoir avoir des chances de revenir à des états d’esprits sains (rationnels – dans le monde de la vérité) qui permettent aussi de nous éviter de nous dégrader l’esprit et de nous faire commettre des péchés nuisibles pour l’Ensemble, il faut rendre à César ce qui est à César, par conséquent à Dieu ou/et à Jésus-Christ ce qui est effectivement leur mérite ou leur appartient de droit puisque sans eux on risquerait de ne se comporter entre nous qu’en vauriens, en menteurs, en tricheurs, en traîtres, en usurpateurs, en profane, en sacrilèges, en incapables de penser logiquement, en pécheurs, etc. par conséquent en responsables de l’ensemble des maladies, des incapacités, des déserts à la fois ceux qui existent dans la réalité qui sont un peu comme un miroir de ceux qui existent dans les êtres humains qui n’ont pas voulu essayer de comprendre les raisons pour lesquelles les religions réussissent à maintenir, par des rituels précis, ce qui est indispensable aux êtres humains : la pureté des origines (qu’on retrouve souvent autour d’une famille qui attend des enfants avec des CFP (donc sur des mérites personnels, sans avoir triché) – d’où cette notion de crèche) et garantissent la possibilité de retrouver le chemin de cette pureté, même si on a été contraint, en raison de la situation générale qui était bloquée, par/de faire des parenthèses dans l’impureté, par conséquent d’avoir eu l’expérience de la souillure, de la condition de pécheurs, de tout ce qui a à voir avec ces termes qui s’ajoutent à ceux de certains « athées », « laïcs », « ignorants », « profanes », « sacrilèges » et les corollaires, au sens négatif de ces mots, car il y a le sens positif de ceux-ci, y compris pour les mots d’« impureté », « souillure », « tâche », « saleté », « ordure », « pourriture », etc. : à la longue ces mots, quand on les analyse, par rapport à d’autres mots ont acquis un sens positif, à de certaines occasions, car l’Ensemble s’est habitué à vivre avec le monde de l’impureté comme avec le monde de la pureté, mais aussi avec d’autres mondes qui vont avoir plus ou moins des rapports avec chacun de ces mots de « pureté » et d’« impureté ».

Il faut comprendre pourquoi en Inde il y a les « intouchables », les personnes « impures ». Elles constituent une réalité aussi dans les autres pays bien que ceux-ci n'étant pas encore végétariens ne possèdent pas beaucoup de purs.     

Les clés rendues à Saint-Pierre, c'est-à-dire à une institution qui a depuis des siècles la fonction de garantir la pureté des sacrements administrés y compris ceux du mariage, cela changera la situation de chacun puisque les vraies intentions de l’Église ne sont que bonnes et pures dans l’Intérêt Général (pas celle des infiltrés et des planqués dans l’Eglise qui de toute façon n’y sont pas) : tolérante (sauf ce qu’on ne peut pas tolérer après des milliers d’années de civilisation et de preuves d’intelligences), elle ne cherche en rien à nuire, mais à bien conseiller et à participer à la gestion de la situation générale bloquée, parce qu’elle s’était chargée longtemps du rôle de formateur, d’enseignante (c’est à elle qu’on doit la première université). Avant que les écoles deviennent laïques, c’était aux prêtres qu’incombait l’enseignement. En raison des conséquences de la Révolution Française et de la tolérance vis-à-vis des différentes religions (ce qui finalement est bon et se révèle à devoir être exporté), l’État, a bien fait, dans ce contexte, d’être servi par des laïques (qui sont devenus certains d’entre eux de très bons enseignants aussi car ils ont eu accès aux méthodes – de toute façon quand on enseigne on est autre chose qu’un prêtre ou pas seulement : on est le serviteur de la catégorie enseignée ou de cette compétence) ce qui n’empêche pas qu’il puisse y avoir des hommes qui à certains moments de la semaine se consacrent à leur religion, mais il y a le cas de la Grande-Bretagne qui n’a pas séparé la religion de l’Etat et cela marche encore très bien, puisque il y a une très grande tolérance pour l’ensemble des religions différentes, y compris vis-à-vis des catholiques puisque la monarchie est celle qui règne sur un empire dans lequel il y a de nombreuses autres religions différentes, ce qui signifie que les souverains savent prendre des décisions, au cas par cas, en fonction des différentes croyances de leurs sujets, en respectant ces croyances (qu’ils connaissent au point d’en avoir compris les fonctionnements), si celles-ci se montrent tolérantes également envers la religion anglicane (mais ici, je ne suis pas un spécialiste de la question, bien que nous ayons l’impression que cela se passe grosso modo bien et que cela ait fini par s’arranger en Irlande, grâce au fait qu’elle fait partie, comme la Grande-Bretagne, de l’Union Européenne qui a permis aux irlandais du Nord comme ceux de l’Irlande indépendante et autonome, en tant que région « souveraine » d’Europe, de ne pas chercher à conquérir militairement ce Nord de l’Irlande, en considérant cette partie de la Grande-Bretagne une sorte de pont ou une région permettant de comprendre plus facilement l’origine de sa culture britannique. La région en question est une chance à la fois pour l’Irlande en tant que nation mais aussi pour la Grande-Bretagne et l’ensemble s’est inscrit dans l’Union Européenne, ce qui permet d’espérer quand le moment sera venu, que la monnaie de ces régions se fonde ou se dissolve dans celle de l’Euro pour créer une monnaie capable de garantir par sa valeur la paix sur ce vaste territoire qui a au moins cinq cent millions d’habitants qui ont des langues et des cultures complémentaires et qui ont besoin d’être certaines que la paix soit garantie à la fois grâce à la monnaie commune mais aussi pour garantir les prix des marchandises, comme cela a été le cas pour le dollar, mais aussi antérieurement pour la Suisse et son franc suisse qui est lui aussi appelé à apporter sa devise, quand viendra le moment, pour le meilleur de l’ensemble en question (l’Union Européenne) étant donné la nécessité absolue que cet ensemble régional multi-langues demeure pour toujours, en faisant une entorse ou exception à la règle de l’impermanence, en Paix (militairement) pour garantir ces échanges commerciaux, la valeur de la monnaie en commun, en raison du grand Marché Commun où elle a cour, son pouvoir d’achat, sa crédibilité sur les marchés des bourses internationales appartenant à d’autres ensembles économiques, éviter l’inflation, et permettre au moins un peu à l’économie de tourner/fonctionner (générer des profits si possible, ce qui est toujours bon s’ils ont été honnêtement[34] réalisés) et d’être capable de réaliser les besoins anticipés, prévues de la génération suivante, qui doit, elle aussi, continuer à bénéficier d’un système qui pourrait être amélioré et qui va aussi permettre, aux régions des pays-nations, qui sont de plus en plus peuplés, de connaître plus d’autonomie et d’indépendance, puisque même avec des ordinateurs qui permettent d’employer moins de personnel et de faire le travail de cinq personnes d’autrefois, en raison de l’accroissement démographique, il est normal que des régions aussi peuplées puissent bénéficier chacune de super-fonctionnaires qui soient chacun un peu comme un chef d’éEtat ayant un peu comme un véritable gouvernement, étant donné qu’un chef d’éEtat doit pouvoir continuer à avoir sur un autre plan une vie de famille et ne pas être en permanence l’esclave des sujets de la région dont il a l’administration d’autant plus que ce sont rarement des surhommes, bien qu’heureusement les formations qu’ils ont eu soient de celles qui sont capables de créer des gens compétents, probes, équitables, etc. pour administrer ces régions qui, en raison des démographies, sont peuplées comme des pays autrefois gouvernés par une seule famille : l’Europe entière à l’époque de napoléon Ier compte une population très peu importante, l’équivalent de la population française ou italienne à notre époque, ce qui signifie qu’un chef d’éEtat actuellement de la France ou de l’Italie va gouverner une population qui à l’époque de napoléon est celle de l’Europe de l’époque qui était gouvernée sans ordinateur et sans les moyens moderne de transport par de nombreuses familles différentes hiérarchiquement composées par un savant jeu d’alliances remontant aux temps immémoriaux.

Cela n’empêche pas qu’il y ait une personne de chacune des régions européenne pour être, à tour de rôle, le chef de l’Union Européenne, comme devrait continuer longtemps encore qu’il y ait le chef des Etats-Unis d’Amérique à la Maison Blanche, mais il faut comprendre que la démographie dans chacun des éEtats des États-Unis a elle aussi augmenté et nécessite localement, dans chacun des états des supers-fonctionnaires comme gouverneurs qui sont en réalité comme des chef d’éEtats (j’ai eu à transmettre la liste de leurs noms car j’avais les fiches et donc j'ai facilité le travail localement). Cela signifie aussi que les départements sont peuplés aujourd’hui proportionnellement comme l’étaient les régions autrefois et donc un responsable d’un département cela doit être au moins un super-fonctionnaire (c'est-à-dire des personnes qui travaillent en conscience et qui connaissent les priorités comme savent organiser, canton par canton, les activités qui vont des services hospitaliers aux animations culturelles et sociales, durant les vacances d’été, qui doivent être préparées longtemps à l’avance, comme simplement l’animation de festival – c’est en réalité partout pareil mais avec plus ou moins d’atouts à faire-valoir).

En fait les cantons qui sont formés par des ensembles intercommunales, de communes qui travaillent déjà ensemble doivent aussi être gérés par des super-fonctionnaires, c’est le cas des cantons en Suisse qui sont, certains d’entre eux, un peu plus grand comme superficie que les cantons français, mais il y a la démographie qui est ici plus ou moins importantes en France, suivant les cantons Français.

Si tout cela marche, nous le devons à la bureautique que j’ai fait développer par mon père en intervenant du futur, c'est-à-dire aux progrès effectués grâce aux ingénieurs dans les domaines aussi de la téléphonie, des fax, des ordinateurs, d’Internet : on le doit, donc aux efforts dans le monde entier sur ces sujets puisque les composants de certains appareils sont produits dans une entreprise qui est parfois de l’autre côté de la planète de celle qui assemblera le produit finalement. Mais ce qui est très inquiétant, c’est cette augmentation de la population et donc du nombre de personnes dont vont être tenus comme responsables ceux qui ont des responsabilités officielles localement.

Un chef d’État est contraint de cumuler avec sa vie de famille des responsabilités importantes dans chacune des différentes catégories des ministères de son pays, localement, par conséquent et qui représentent les différents paramètres vitaux de chacun des individus y compris de chacun de ses enfants et petits enfants virtuels qui sont ces bébés à quatre pattes qui vont donc avoir à grandir chacun en fonction de son contexte social de départ et qui sont scensés aller vers leur complémentarité y compris sexuelle, mais comme il y a eu le Problème, la cause du problème (l’occupation de la vieille salle des machines par un groupe d’inconscients au détriment de l’autre plus conscient), chacun s’est retrouvé longtemps sans comprendre, sans disposer des facultés pour comprendre ce qui s’est réellement passé et en fait cela s’est manifesté au même instant à plusieurs endroits dans le temps et adolph hitler ne pouvait pas comprendre non plus car il n’y a eu que le bouddha, il y a cinq mille ans qui a un peu compris. Il est une des personnalités qui a résulté de la situation générale qui était déjà bloquée à son époque et j’ai pu vérifier que si cela est bloqué s’est peut-être à cause de Michèle Finck qui ne peut pas non plus elle aussi encore comprendre (puisqu’il faut pour cela être devenu totalement conscient – soit ce que permet sur du long terme les découvertes scolaires ou universitaires) et qui est dans l’état d’esprit d’une personne qui a des préjugés (bien qu’elle s’en défende puisque la femme est en général celle qui est scensée en avoir le moins – sauf que c’était elle qui voulait être la seule impératrice, ce qui prouve qu’elle en avait) et qui est forcément déçue que l’histoire est tournée comme cela, puisqu’elle a été contrainte à croire à des inepties, comme je le lui ai montré, à partir de ma nouvelle amnésie en 1978, et c’est pourquoi il va falloir procéder ici canoniquement, de nouveau, car la situation est très grave.

Mais en raison d’un certain nombre de réactions que Michèle a eu à certains moments, durant les années que nous avons vécu par moment ensemble, je ne pouvais pas faire autrement que ce que j’ai fait, car sinon elle réussissait à me tuer. C’est donc en légitime défense que j’ai été contraint à dire quelques mensonges pour sauver ma peau. Mais je suis certain que si elle pouvait découvrir enfin le monde de la vérité, elle comprendrait que ce qu’elle n’a pas aimé en moi ne pouvait qu’advenir de cette façon, puisque j’étais dans l’amnésie et que je ne pouvais pas alors imaginer qu’une histoire pareille était en cours à nôtre sujet. J’ai donc eu des attitudes et des pensées incohérentes, à certains moments insultantes à l’égard de Michèle et malgré cela elle a été à de nombreux moments très patientes avec moi, qui ne savait pas pourquoi j’étais devenu un égoïste, un mécréant, un laïque, un athée, un ignorant, en étant écartelé à certains moment comme dans La nuit du chasseur[35]. Il y a donc bien des raisons valables pour que Michèle Finck n’ai pas réussi à aimer le Laury Granier qui, en raison de plusieurs choses que Michèle Finck avait fait ne pouvait pas, du moins dans un premier temps lui apparaître en « prince charmant », quand nous nous sommes rencontrés « par hasard » (alors qu’elle avait dès cet instant la possibilité de tout dire de ce qu’elle savait de mon amnésie depuis 1975). C’est pourquoi, j’ai été contraint de me présenter à elle en à moitié devenu, à mon insu (ce que j’ai découvert depuis n’était pas vrai, car elle le savait), « salaud », ce qui a fait que Michèle Finck était persuadée d’autant plus de certaines de mes pensées qu’elle connaissait, à mon insu (ici véritablement, et sans tricher, car je ne pouvais pas imaginer qu’elle connaisse mes pensées en ayant accès à une salle des machines dont je ne savais pas qu’elle existait), que j’en était un et elle s’est donc comportée comme une jeune fille qui ne veut pas se faire arnaquer (ce qui est compréhensible et même intelligent, et même souhaitable et même à conseiller par des parents soucieux du bonheur de leur fille qui vivrait avec un monstre qu’elle cherche à consoler dans sa nuit, comme dans la Belle et la bête, mais ce qu’il y a de très grave, c’est que soudain, en 2005, je redeviens le Prince, par conséquent « le beau » confronté à un véritable problème : Michèle est elle devenue « la bête ».

En 1980 moi je suis sur le chemin de redevenir « la bête », car Michèle et ses amis m’ont rendu amnésique, ce qui est de leur point de vue une plaisanterie, mais cela a eu des conséquences cosmiques, très graves et dont Michèle et ses amis souffrent, car c’est parce qu’ils ont osé me faire vivre cela, malgré les premières démonstrations, entre la fin 1971 et 1975, que cela a mal tourné dans le passé, jusqu’au premier des pharaons, car c’est ainsi qu’ils ont inventé les maladies, les incapacités, la vieillesse, les déserts et la mort. Par conséquent ce n’est pas adolph hitler qui a inventé la mort et les maladies, mais des personnes qui sont nées après la Seconde Guerre mondiale, malgré le sauvetage de mes interventions qui étaient du virtuel, alors, et qui prévenaient de la catastrophe. Et la plaisanterie qu’ils ont cru pouvoir se permettre de faire, malgré les avertissements des religions, a eu des répercussions jusqu’au premier des empereurs et bien au-delà, avant, pendant des millénaires, aussi, mais comme il y a un décalage qui est probablement exacte à l’échelle cosmique et de tous les univers, ce décalage étant probablement dû à un rapport de mesure entre l’« ignorance » et ses corollaires avec la circonférence de la terre (pour donner une chance à des formes de vie devenues « ignorantes » s’il devait y avoir un problème et que peut-être, il se pourrait qu’il y ait une sécurité cosmique (autre que la vieille salle des machines et des instruments qui existent à différentes fins comme aussi ceux pour créer ces rêves ou cauchemars à distance mais aussi …), nous arrivons mathématiquement à notre époque et à cette histoire d’amour très compliquée qui aurait pu se résoudre plus simplement dès 1965 ou bien en 1975, en évitant l’ensemble des souffrances et des morts, au moins ceux à partir de 1965 ou 1975 (la cadence du nombre de morts par seconde comme du nombres de naissance par seconde aurait baissé, en permettant ainsi que la mort soit moins présente qu’elle ne l’est de nos jours : on se serait alors éloigné des maladies, des déserts et des vieillesses y compris de la mort, car en 1977, si on m’avait donné la vieille salle des machines, étant déjà immenssissime (on me voyait dans le ciel en virtuel) en sciences diverses, je pouvais déjà expliquer tout cela car j’étais officiellement comme fiancé, ce qui pour moi signifiait … (beaucoup comme on l’a compris ensuite) et donc j’allais vers le mariage et les responsabilité de père de famille. Mais à ce sujet, en raison de la stratégie des mariages qui s’est mise en place par rapport aux paramètres de l’époque d’après la Seconde Guerre mondiale, j’ai été obligé de transmettre à travers le temps des calomnies à mon propre sujet et cela a certainement fait l’effet prévu d’avance, mais si je ne l’avais pas fait la situation se serait débloquée avec des « doutes » à mon égard, puisque celui qui était en virtuel affirmait des choses qui « à première entendu » semblaient vraies, sauf pour les grands initiés qui eux ont compris partout, ce qui a effectivement permis de construire peut-être bien plus que la Nouvelle Nouvelle Donne, car l’ensemble des Grands Initiés ont compris ce que les autres (les profanes) n’ont jamais réussi à comprendre et donc ils étaient certains, à l’avance, de ma victoire (qui est la leur) tandis que les autres sont bien malheureux d’avoir encore une fois perdu (sans comprendre pourquoi, car profanes – encore dans le monde du mensonge).         

Dans les écritures sacrées, ce qui est gênant comme peut paraître à première entendu comme mensongers ou incohérents « à première vue »[36] ce seront certains détails des textes de la Bible comme dans ceux du Nouveau Testament (auxquels on ne prête jamais grand attention car en réalité, après analyse, cela manquait seulement de clarté ou d’explications, c’est comme si cela s’adressait à des personnes déjà dans la Connaissance des secrets qui permettent de la détenir. Or la plupart des spécialistes n’y comprenant rien vont ici montrer qu’ils ne l’ont pas acquise puisqu’ils se contenteront de paraphraser – d’où que vous déterminerez dans tous les lieux au sujet de ces moments de textes qu’ils pourraient être améliorés mais comme il s’agit aussi, sur un autre plan de pièges cela permet de comprendre que les représentants de la religion ne sont pas encore au niveau de celle-ci (des constructions souvent prodigieuses ou géniales qui entourent les lieux de leur homélie et qui découlent de ces textes) ou alors ne peuvent rien dévoiler pour le moment à ce sujet parce qu’il va protéger la religion elle-même – d’où que tous ceux qui trouvent en eux-mêmes les explications comme les ingénieurs et/ou les architectes les trouvent à mi-mots ou comme des constructions pluridimentionnelles ou conceptuelles et s’en contentent pour poursuivre dans la creusement de la compréhension de la réalité grâce à leur génie incommensurable puisqu’ils trouvent alors les confirmations et les explications pour ces points incompréhensibles, mais celles-ci demeurant intimes, particulières, secrètes mystérieuses (ils ne peuvent pas en faire état durant l’homélie[37]) au point d’être simplifié par le mot de « foi » lui-même, d’autant plus de l’incommensurable difficulté d’expliquer les extrapolations advenues pour expliquer ce qui n’est pas aussi clair que ça – en fait comme il s’agit de cerveaux clairs, ils n’ont pas de difficulté pour trouver (sauf qu’ils ne peuvent plus être des travailleurs manuels car ils ont compris qu’ils voleraient des activités qui sont réservées à ces quantités pharaoniques de personnes n’étant pas encore des intellectuels, ces activités leur étant réservées pour qu’à la longue le cerveau puisse fonctionner de nouveau à cette fin de concevoir en diverses catégories de vérités en conscience et non plus en menteurs, tricheurs et faussaires) en faisant appel à différents souvenirs ou situation comment expliquer ce qui est obscur ou même impossible et c’est ici qu’il s’agit d’esprit réceptifs positif, tandis que ces mêmes endroits difficiles à comprendre vont créer l’esprit de contradiction ou celui de dérision chez tous ceux qui n’ont plus le cerveau uniquement clair mais déjà atteint à cause de mauvaises attitudes et de péchés par des involutions ou régressions qui vont être à l’origine de leurs sentiments négatifs ou mauvais au point de susciter leur incrédulité par ces manques de possibilité d’extrapolation positive allant dans le sens de ce qui est entendu au lieu de susciter une méfiance qui prend appui sur au départ des préjugés hostile entendus (des calomnies ou des généralisations contre la catégorie des prêtres ou même contre l’Eglise, ayant créé cette méfiance sur des points qui n’étaient pas les textes eux-mêmes en suscitant des confusions et l’absence de recherches des explications plausibles sur les points incompréhensibles – aussi si ces personnes avaient entendu dans leur contexte familiaux du bien au lieu que du mal[38], elles auraient été réceptives au point de comprendre et auraient évité de tout confondre, d’autant que chacun des prêtres est différent, donc peut être celui qui si on l’écoute comme un enseignant vous permettra de comprendre ce que n’écoutant qu’avec méfiance et des à priori hostiles on utilisera pour se moquer, puisqu’on ne va pas rechercher en quoi cela pourrait être vrai mais seulement en quoi c’est faux d’autant plus qu’on aura acquis en raison des fréquentations de départ l’esprit de dérision ou même de fausseté sur ce sujet ou d’autres (soit l’esprit de l’ignorant au mauvais sens de ce mot et non au bon, qui est celui de fermeture. En l’absence de ces préjugés qui rendent  hostile à une catégorie de personnes qui sont de plus, chacune, un mystère, on se comportera plus justement, puisqu’on bénéficie de l’esprit d’ouverture qui recherche à comprendre en quoi l’autre pourrait dire vrai) – aussi dans cette cage d’escalier en forme de « o » au lieu de monter en ascenceur à l’étage supérieur, on rejoint les sous-sols ou les bas-étages) – en réalité, il n’y a rien de plus difficile que ces moments inscrits et ils ont ici un écho différents selon l’état de réceptivité des auditeurs, au point d’être à l’origine de ce qui est recherché par l’Eglise de siècle en siècle : l’esprit de chercheur / trouveur qui est déterminé par les anciens / prêtres comme dans le bouddhisme dès les premières années des enfants – aussi voilà nôtre futur grand maître ou nôtre futur compétent, tandis que tous les autres n’arrivent pas à passer le/les fossés en question – d’où l’intérêt de faire connaître ces textes sacrés dès les petites classes, car il y aura ici tous les enfants disposant de l’esprit d’ouverture ou qui ont de l’imagination à les analyser comme à rechercher ce qu’ils pourraient induire au point de comprendre naturellement comment ils doivent se comporter sur les divers plans sensuels entre enfants (puisqu’ils entendent parler de fiançailles ou de mariage signifiant une étape) mais surtout comprenant que rien ne se résout sans l’écriture ou l’instruction de dossiers sans exemples ou situations permettant d’analyser et de comprendre). En fait, ce sont à ces moments, en réalité, des sortes de tests et des pièges dans lesquels vont tomber parfois certains prêtres eux-mêmes qui, en analysant, pour expliquer à leurs ouailles n’arrivent que très peu nombreux à comprendre ces endroits en question qui ne peuvent être compris qu’à un certain niveau d’entendement et de lecture, en mettant ces moments parfois scandaleux « à première entendu » en relation avec d’autres textes ou d’autres disciplines qu’il faut bien avoir en mémoire, car ceux-ci permettent alors d’expliquer là où cela devient parfois inacceptable (c’est alors que tous les faux religieux sont démasqués ou alors tous ceux qui sont maladroits en explication de texte, ce qui ne veut pas dire qu’ils ne sont pas admirables en d’autres points où s’exprime un peu de leur religiosité ou de leur soif d’être utiles bénévolement ou presque).

Donc c’est alors (pour ainsi dire) compris seulement par des spécialistes : ceux qui n’ont pas manqué de comprendre chacun des mots dans l’ouverture qu’ils pourraient avoir vers d’autres mots qui en raison de la phrase manquaient (car le problème inhérent au langage c’est qu’il ne permet que de travailler sur une chose à la fois bien que le mot de « tout » existe – (mais aussitôt après on sera dans une nouvelle notion, à risquer d’oublier ce plan d’ensemble, donc à zoomer sur le nouveau détail ou problème préoccupant, le « tout » n’est plu mais l’objet de l’échange de mots qui n’était pas ce tout, mais une partie ponctuelle ou particulière) on est donc coincé dans le punctum et souvent autour de lui, de sa localité (la catégorie) – cependant que parfois celui-ci permet de passer d’une région du ciel à une autre ou d’une étoile à une autre très distante, dans la même phrase, en ayant alors sauté de très nombreuses étapes ou comme j’eus à démontrer que c’est possible à travers le Temps et l’Espace, en intervenant d’avance en synchro entre 1965 et 2005 – aussi c’est bien la preuve que les prévisions économiques sont véritables (sans avoir besoin de faire ce que j’ai eu à démontrer, donc en étant le résultat de l’instruction publique, de sa chaise à partir des paramètres qu’on doit prendre en compte pour ça) quand elles sont faites par des esprits scientifiques tenant compte des paramètres qui sont comme des moteurs qui s’ajoutent permettant de rejoindre ces points ou étoiles qui sont les résultats – le prophète n’est donc qu’un homme de science exacte disposant de référents de bonne qualité auxquels son auditoire n’a pas coutume de faire attention ou même n’a pas d’intérêt – il est celui qui se sert en conscience de sa mémoire en tenant compte de tous les paramètres, comme un ingénieur – c’est donc l’intellectuel dans toute sa splendeur, celui qui averti car il sait les résultats d’avance comme s’il s’était déplacé en synchro avec celui qu’il serait en tenant compte du temps et en raison des divers calculs et/ou additions soustractions multiplication divisions et autre principes mathématiques qu’il applique aux paramètres qui composent la réalité – mais c’est un travail considérablement difficile et qui exige en permanence de ne rien oublier ou alors de ne pas tenir compte des choses moins importantes pour l’objectif de prévision – en réalité comme si on avait à tracer une ligne droite ou comme si un vaisseau spatial comme dans Star Treck devait rejoindre un point précis de l’Espace et du Temps – tout y est prévisible d’avance en fonction des informations qu’on détient sur l’avancée de l’époque, le degré de scolarité des personnes les plus instruites, etc. – évidemment cela risque de faire peur à ceux qui sont dans la cécité ou la surdité ou la nuit cérébrale : ils ont devant eux des personnes qui s’expliquent tout scientifiquement alors qu’ils n’ont jamais été à l’école ou seulement pour se moquer des enseignants, c'est-à-dire pour se moquer de la Connaissance véritable – ce qui était donc contre leur intérêt et celui de leurs enfants y compris contre l’intérêt de ceux qui arrivent en soucoupe volante qui ne la doive qu’aux sciences, comme ceux qui disposent d’une mobylette ou d’une automobile ou d’une maison – rien n’aurait été possible sans ceux qui connaissent les lois de la Quantité et de la Rareté et toutes les autres qui concernent les commerces, donc sans l’écriture et les calculs justement établis – par conséquent sans les CFP et non les cff, cfm, cfs, cfu ou cfcch qui ne seront recherchés que par ceux qui sont dans l’obscurité cérébrale ou dans le faux, donc hostiles à l’Etat véritable, par conséquent à eux-mêmes – celui-ci n’existant qu’en raison de ce que la lumière et la vérité existe, ce qui est incompatible avec l’esprit de dérision ou de fausseté ou de méchanceté – en effet la lumière est une bonne / belle / bienfaisante chose et non une méchante chose) et qui vont aussi les mettre dans leur cerveau avec chacune des disciplines, des catégories qu’ils connaissent dans leur vie quotidienne (les auditeurs, les « ouailles » de chacune des religions sont par essence des comparatistes, des analystes, des penseurs, des gens de réflexion. Mais  parfois ces moments qui posent problèmes ne peuvent être compris que de certains prêtres ou initiés, des spécialistes, mais ici ils ne peuvent jamais rien révéler puisque ces divers éléments « à première vue » incohérents, etc. vont contribuer à ce qu’on appelle de leur point de vue le « mystère de la foi » (tandis que dans l’assemblée il y a souvent ou parfois rarement ou même pas du tout une personne qui comprendra, mais personne n’en sait rien – aussi l’appréciation de ces textes constituent un cheminement personnel, quelque chose de très intime ou de nature privé souvent difficiles à partager, en fait un peu comme quand on a compris dans une des catégorie scolaire la raison d’être d’une règle de grammaire ou d’un mot et que les autres n’ont pas compris – c’est en cela qu’il y a un rapport direct avec le dieu de vérité) et quand ils représentent des choses gênantes, l’assistance est capable de comprendre que c’est inscrit ainsi parce que les clés d’Atlantide, comme du Paradis perdu, n’ont pas encore été rendues au représentant de Saint-Pierre, le Pape, à Rome, ou au représentants des rabbins ou du bouddha et des musulmans (ou même seulement ou simplement à ma personne depuis 1965). Donc ces personnes qui espionnent à ce sujet dans les synagogues, dans les églises, dans les temples bouddhiques, chez les vrais musulmans, ne pourront comprendre là où cela est incompréhensible, incohérent, à première vue même de leur point de vue (mais on a pu voir en note de fin de page, comment ils l’ont acquis autant faussé) stupide, etc. que seulement après qu’ils se soient débarrassés chacun de l’enfant-gâté au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) en eux, c'est-à-dire de la cause même de leurs malheurs et du malheur général : la vieille salle des machines et le variateur de la vision d’Atlantide qui pourrait être restituée à l’ensemble suivant un programme précis effectué par des personnes scientifiques qui ont appris à pardonner (quand il y a véritablement regrets sincères) des actes qui ont pour origine « l’ignorance » de l’existence des sphères (catégories) sacrées en ce monde et qui donc ont à voir avec l’existence du Ciel dans lequel je me suis  retrouvé en 1975 (en virtuel), avant même d’y être en chair et en os, donc malgré moi : évidemment sans faire exprès, n’en sachant rien avant, et cela en raison d’une histoire d’amour compliquée qui pourrait cependant permettre (à cause de sa complexité et des points géolocalisés[39] où elle se situe) de commencer à restituer la vision d’Atlantide, puisqu’il y a eu véritablement de l’amour entre les deux camps, quand l’un d’entre les deux était malade d’une amnésie dont les responsables sont en réalité dans le camp des profanes qui a essayé, à sa façon, de « soigner » le camp de ceux qui n’ont pas accès à la vieille salle des machines, en voulant les faire tous devenir profanes et en les détournant des religions comme de leurs devoirs vis-à-vis des générations suivantes, voire pour s’autoriser à tout faire sexuellement sans scrupules mais pour les conséquences génétiques bien pire que désastreuses et en renonçant en cela au statut d’être humain analysant en conscience et avec compassion pour se réduire ainsi à bien peu de chose ou à celui d’animal local (minotaure) dénué d’esprit !      

 

Ceux de la vieille salle des machines qui ont comme activité l’espionnage (en raison de leur peur totale des autres – souhaitent ainsi être comme avertis à l’avance pour se préparer et pouvoir mieux « faire semblant » de trouver tout ce qu’il vont avoir à découvrir dans un des travaux effectué à l’issu d’incommensurables peines (comme les symphonies de Beethoven)  normal car ils veulent se faire passer pour des gentilshommes[40]) sont certainement abusés par des à-premièrevues comme aussi ils l’ont été par l’ensemble de mes pensées dans l’état d’amnésique et de devenu ignorant de la situation générale comme aussi qu’il existait la vieille salle des machines et ses instruments. Par conséquent, j’étais inconscient de ce qui se jouait avec ma personne, et donc ils savaient quand j’étais confiant à leur égard et quand je me posais des questions, voire quand j’avais jugé des personnes en les trouvant … ou … quand, en réalité si je les trouvais … ou … c’était parce que j’avais été rendu amnésique par leurs agissements et que je ne les trouvais qu’ainsi que parce que je n’étais plus moi-même dans le monde de la vérité qui contraint souvent à les trouver autrement. Par conséquent cela signifie sinon que j’aurais eu à leur égard d’autres pensées et si j’avais connu la situation générale, je ne les aurais certainement pas fréquentées ou alors autrement, en sachant qu’il s’agissait de malades de la situation générale et par conséquent seulement en m’adressant à eux avec de la compassion, puisqu’il ne faut pas avoir fait Normale Supérieure, à l’âge de deux ans et demi, pour comprendre qu’il y a des personnes qui tout autour de vous vont mal, à cause de la situation privée de la vision d’Atlantide et cela simplement du premier coup d’œil, donc à cause de cela de personnes privées chacune intérieurement de beauté / bonté et bienfaisance (soit ce qui est admirablement révélé sur les murs d’Atlantide ou d’Ôz quand le variateur est enclenché, au point de montrer cette beauté, bonté et ce bien inhérent ou consubstantiel ou ontologiquement intrinsèquement lié à la Création elle-même – ce qui se révèle dans toutes les véritables œuvres d’aArt). Dans ce cas là on ne peut être que gentil avec ceux qui sont à l’origine de leur propre malheur, comme du malheur général, d’autant que comme il s’agit de méchants, ils auront ce qu’ils méritent (ces réincarnations où ils n’auront à être que malheureux de ne plus appartenir à l’espèce humaine capable d’être à l’origine de tant de bienfaits).

Il fallait donc, à partir de 1965 au moins continuer jusqu’à ce que l’Ensemble comprennent qu’il y a un véritable anneau qui concerne les individus de cette planète et qui est le résultat de véritables sacrifices : non plus de ceux qui utilisent des animaux, non plus de ceux qui ont été jusqu’à la mort de martyrs et de saints, mais de ceux qui sont les plus difficiles à supporter, car cela dure longtemps, comme dans ce cas où on se sait séparé de l’autre qui était pourtant sa complémentarité et qui est vivant ailleurs, mais que la société, la civilisation ne permet pas/plus d’approcher (en réalité comme deux fiancés avant de [re]connaître auront été séparés) et donc qui va empêcher des personnes qui s’aiment de connaître l’amour autrement que spirituel (à distance : l’amour de loin), puisqu’il y a dans la tête de certaines personnes des règles précises et/ou des lois qui n’existent que par prévention à cause des conséquences des rapports physiques en dehors des liens du mariage (ou qui seraient advenus avec des faunes, des satyres et des centaures) ce qui était encore largement la façon de penser en 1965 et ce qui nous a contraint de patienter physiquement et d’être fidèle bien qu’il y ait eu la nécessité, à la fin 1971 de montrer comment on devient une personne à moitié sans qualité (faune) et cela en seulement deux années dès l’âge d’environ neuf ans - cela correspond à la lettre « V » (qui se dit « vé » en français ou « vi » en italien) majuscule vérifiée comme n’étant pas seulement utilisable dans les textes profanes, mais surtout dans les textes sacrés (en tout cas plus sérieux et souvent ennuyant ou menant au sommeil): en effet j’ai été contraint de déchoir jusqu’à un moment qui m’a permis aussi de vérifier l’existence de la lettre « A » majuscule à l’envers et/où je suis remonté – d’où les pyramides que j’ai fait construire - pour atteindre 1975 un moment, car j’avais à vérifier (puisque l’Ensemble l’a souhaité) la lettre double « vé » (« W ») et à partir de 1977[41], j’ai donc descendu la seconde pente (puisque j’étais scensé avoir descendu et remonté les deux premières au cours des premières démonstrations appelées après-midi d’un faune de pharaon SAI SSS H. T. et …  de 1970-71 à 1975) de ce « w » pour arriver en bas, au fin fond de ce « w » étant donné qu’en 1995 c’est là-bas, au fin fond de ce second « v » de ce « w » qu’on a voulu faire de moi « l’empereur » (c’est à cause de ce W que je fis faire la pyramide au centre du Louvres avec des losanges mais aussi à cause de la Momie à Mi-Mots que j’aurais à réaliser) mais j’ai eu ensuite à remonter la seconde pente de ce « w » jusqu’en haut (donc de 1995 à 2005 d’où en raison de ce M et de ce W j’avais pu apparaître d’avance trente ans avant, mais aussi quarante ans avant, car en fait de ma naissance à 1965, j’avais réussi à vérifier cosmiquement et universellement que ce W et ce M étaient bien autant que cela en service sur cette planète pour me permettre de sauver la situation mondiale grâce à ma promise qui venait de naître : la notion de losange existait et même seulement de facette de la bague de fiançaille de ma maman – elle ne m’avait donc pas menti ou n’allait pas me mentir quand elle prétendrait qu’elle avait été fiancée au préalable : d’où que j’eus à confirmer son mariage : il était bien véritable puisque j’avais eu à compter tous les losanges existant dans tous les univers y compris les minuscules des grains de sables d’avance pour qu’elle comprennent qu’elle était bien légitimement ma mère : une intellectuelle comme moi). Et comme je l’avais déjà fait une fois entre ma naissance et l’année 1965, cela s’est donc passé trois fois, ce qui explique les trois « w » des adresses Internet, car j’ai pu vérifier aussi l’ensemble des lettres et des signes grâce à ce parcours qui s’était déroulé une première fois plus rapidement qu’un simple « clic » de souris étant donné, vers la fin 1965, que j’avais déjà vérifié et tout pris en compte (donc aussi les triangles de chacune des particules qu’on représente parfois grâce à ce truchement) puisque j’avais fait entendre ma virtualité dans le futur, dans ce cas de figure de la création qui était bloquée et dont évidemment tous était victime.

C’est pourquoi je trépignai d’impatience dans mon lit de bébé étant donné que je ne comprenais pas que les gens qui m’entouraient ne comprennent pas qu’ils devaient me rendre la vieille salle des machines, car il existait un cas de figure qui n’aurait pas exigé que chacun d’entre nous contribue d’une façon ou d’une autre à créer le réseau Internet, car celui-ci existait depuis toujours parachevé dans le cas de figure de la Création Parachevée, mais qui signifie que ceux qui ont la vieille salle des machines permettent aux autres de l’utiliser de façon plus juste (c'est-à-dire en conscience), légalement, pour pouvoir rejoindre à un moment donné un point qui permettrait aussi à ceux qui ont détenu la vieille salle des machines de la partager enfin (mais eux-mêmes ayant retrouvé un peu de bon sens au lieu d’être à jamais prisonniers dans le/du faux), l’ensemble des problèmes dans tous les temps étant en moins de temps qu’il faut pour effectuer un clic de souris enfin réglés et donc cela nous amènerait à une surprise qui est forcément dans le monde du merveilleux, mais dont nous ne pouvons qu’être certains que parce qu’un instant entrevu dans une autre dimension [de l’esprit] qui est parallèle à la nôtre, mais dont nous n’avons pas encore l’accès, puisque il y a à faire, au préalable, l’ensemble des travaux qui nous attendent y compris cela, plus salutairement et plus sympathiquement pour tous en rétablissant au compte gouttes la vision d’Atlantide, régulièrement, selon un des programmes précis (que j’ai établi) et qui doit permettre aussi de continuer à respecter ceux qui analysent et conçoivent et s’ingénient pour créer des nouveautés qui ont d’ailleurs parfois des succès commerciaux et qui sont à-premièrevues, certainement aussi, des améliorations qui offrent de plus amples conforts que les êtres humains (ceux-là qui en ont les idées) sont en droit d’avoir en raison de leur degré de civilisation et/ou d’avancées dans les recherches les plus élaborées les ayant engendré (évidemment ici dans l’univers des plans qui n’est donc que situé toute proportion gardée comme entre le fond de ce V et son sommet.

Il est regrettable que nous ayons tous eu des peines difficiles, alors que nous aurions pu rejoindre la Création Parachevée avec l’ensemble de nos œuvres déjà élaborée et admirablement terminées dès la naissance, déjà là, ce qui aurait permis alors d’autres œuvres étant donné la quantité de celles-ci qui concernent certaines grandes figures de l’aArt mais qui dans ce cas ont été très peu nombreuses, par rapport à ce qu’elles seraient sinon (chacun ayant eu beaucoup d’ennuis et surtout l’ensemble ayant eu à cause de la situation générale d’innombrables artistes en moins, car beaucoup sont allés rejoindre la vieille salle des machines, ce qui n’a fait d’eux que des menteurs ou des faussaires (puisqu’assurés par ces financements usurpés ou dérobés à l’Ensemble). Cela signifie que sinon il y aurait des millions de véritables artistes universels en plus et d’innombrables œuvres en plus (ce qui aurait permis à beaucoup de gens de trouver le chemin de l’aArt véritable au lieu de poursuivre dans des chemins moins généreux) – nous avons donc connu le cas de figure où il y a très peu de belles choses, car d’innombrables personnes sont devenues des vauriens au lieu de devenir de grands artistes, ce qu’ils auraient été sinon).

D’autre part les architectes comme les ouvriers comme chacun des métiers seraient depuis longtemps dans le monde en question en ayant d’autres activités si napoléon n’avait pas fait en réalité semblant de capituler, puisqu’il n’a pas rendu les clés (il s’est donc rendu pour berner et continuer à tricher en enfant-gâté).

Par conséquent, il a voulu continuer à tricher comme adolph hitler après la Seconde Guerre mondiale.

Quand on comprend pourquoi on n’a pas le droit de sacrifier un enfant, comme Abraham l’a naturellement compris avec l’évidence de celui qui comprend que Dieu est entrain de lui faire un test pour s’assurer de sa fidélité, en lui faisant par la même occasion comprendre qu’il a horreur des sacrifices, y compris des animaux bien qu’il comprenne qu’Abraham est une personne qui vit dans un contexte ancien, très éloigné des connaissances scientifiques électroniquement exactes de nôtre époque, ce qui explique pourquoi il lui fait trouver, pas loin, sur le chemin, l’alternative ou un animal à sacrifier, d’autant plus, qu’à l’époque c’est encore le temps de la chasse et donc des animaux à chasser, comme il y aussi les animaux à élever et Abraham comprend que Dieu souhaite qu’il puisse avoir l’aide de son fils quand il sera âgé, par conséquent Dieu (ou l’Univers – ce qui sera synonyme ici) est une personne intelligente qui veut le bien des peuples et qui ne considère pas fréquentable ceux qui, malgré l’ensemble des possibilités de sortir de l’« ignorance », préfèrent continuer à évoluer vers des états de désert ambulants (sur le plan de la pensée, donc des incapacités – l’incompétence), comme l’ont été toutes les sociétés d’anthropophages (en effet, cela insuit qu’il s’agissait de personnes non respectueuses d’eux-mêmes puisqu’être humains) ou toutes celles qui croient pouvoir assister à un sacrifice humain, ce qui revient au même : c’est sacrilège.  

 

J’ai donc été contraint d’être fidèle à ma promise, en dehors de la parenthèse où j’ai montré comment on peut se dégrader, jusqu’au jour de la première rencontre avec la dite « promise », puisque ma « doublure », dans le ciel, était enchanté pour moi d’avoir enfin retrouvé « sa promise » et avec sa mémoire (après la première salve de Démonstrations … ), pas seulement à partir de 1965, mais à partir de 1975 et 2005, en découvrant que c’est parce que j’avais perdu la mémoire que je me suis mal conduit à certains moments (donc ce n’est pas de ma faute, car en 1965 comme en 1966, moi j’étais déjà fidèle à celle dont on avait entendu le nom, mais que je n’avais pas réussi à retenir – j’étais trop petit) et cela signifie aussi que chacun de ceux qui sont devenus des menteurs, des tricheurs, etc. ne le sont devenus que parce qu’ils ont été faits par des personnes ayant violé leur droits, puisque celles-ci n’arrivent pas à comprendre pourquoi on n’a pas le droit de faire certaines choses et par conséquent, en inconscients, se permettent de faire des choses que la situation générale, qui était/est bloquée, dans la logique même dans laquelle elle se trouve, ne permet vraiment pas à ces idées de se concrétisées sans dommages, car il va y avoir alors des conséquences graves, d’autant plus de la cohérence de l’époque, ce qui explique pourquoi il y a des gens qui ont la charge de surveiller et de protéger l’enfance des enfants qui, en raison de la situation qui était bloquée sont forcément promis à des complémentarités quand ils seront en âge d’être indépendants financièrement pour connaître l’amour, puisque le partenaire aura fait pareil : se sera rendu lui aussi indépendant financièrement et donc, le cas échéant, capable d’avoir, avec la complémentarité en question, la possibilité de connaître l’amour bâtisseur, l’amour constructeur, l’amour qui peut changer le monde et le rendre plus juste. En effet, la plupart des habitants de cette planète vivent dans des villes où ils ont été menés à étudier. Ils savent qu’ils ne sont plus à l’époque des cavernes où il n’y avait comme toute instruction que les peintures rupestres comme à nôtre époque des posters sur les murs des chambres. Ils savent qu’il a fallu énormément de temps pour réussir à ce que l’architecture puisse prendre le relais des cavernes naturelles et donc que l’être humain n’est pas seulement concerné par la sensualité ou la sexualité. En effet, ce sont bien toutes les catégories dont celles liées aux religions qui vont permettre que l’architecture nous abrite, donc de bâtir. Sans les apprentissages scolaires ou particuliers dans les disciplines diverses (positives) ou les métiers, point de bâtisseurs : des gens à la rue, la misère, le malheur, etc. Le salut passe donc uniquement par les efforts liés à l’Instruction ou par l’Ecole et ses dérivés.

Quand la vieille salle des machines opèrent pour rendre des gens amnésiques et les transformer en porcs, elles est forcément à contrario du bon sens et entre de mauvaises mains, en tout cas pas les bonnes et ce sont alors les enfants qui sont malheureux car ils voient bien que cela ne ressemble pas à ce qu’ils ont autour d’eux et qu’ils étudient à l’école : un grand nombre sont déçus et ils sont très malheureux de découvrir, certains d’entre eux, qu’ils sont peut-être le résultat de quelque chose qu’ils ne voudraient pas se permettre de faire ainsi (puisqu’ils voient bien qu’il existe un monde admirable que les sciences de l’art permet de découvrir), puisqu’ils savent aimer spirituellement ou ont fait parti de ceux qui ont accès à ces dimensions spirituelles ou à ce qui mérite d’être admirer spirituellement (ce que j’ai cru, monsieur le Président de République française, Monsieur François Hollande, vous cherchez très justement à faire de nouveau éprouver au cours d’une époque dans laquelle votre pays de France et quelques uns de vos compatriotes se sont particulièrement relâchés dans leurs mœurs, ce qui signifie effectivement que le temps est venu, en raison des leçons de l’histoire, de ce qu’on fasse un peu de publicité à ce qui découle des plus beaux textes de morale et/ou des vertus dont on n’a pu vérifier que l’acquisition de celles-ci sont nécessaires pour le chemin long sur la Terre et qu’elles sont indubitablement fondatrices, sans l’ombre d’un neutrino ou d’un électron de doute de chacune des grandes civilisations. Certains enfants, en raison de leur contexte ont des doutes au sujet du rôle de l’État étant donné qu’il y a autant d’opinions différentes à son sujet qu’il y a eu de personnes dans le monde à en avoir une. Vous avez amplement raison de penser qu’il y a autant de France différentes que de français et on peut ajouter aussi autant de France que d’étranger l’ayant parcourue, connue, chacun dans des situations différentes ou sur des dépliants d’agence de voyages ou à l’occasion d’un moment qui les a concerné en particulier. Évidemment, ce que nous disons ici est valable pour chacun des autres pays reconnus par la « communauté internationale » à l’ONU. La France, comme chacun des pays, appartient aux ancêtres comme aux habitants du monde entier qui rêvent de pouvoir s’en approprier un morceau quand ils viendront la visiter en touristes ou en acheteurs de résidences secondaires (ils le font comme les japonais avec des appareils de photo et repartent avec leur morceau de nôtre pays comme nous ferions dans le leur). La France appartient à ceux qui en prennent soin et qui cherchent à la valoriser, à la moderniser, à l’embellir. En fait, chacune des régions s’appartient à elle-même, mais appartient aussi au monde entier qui doit s’assurer qu’il y a des personnes compétentes dans chacune des régions pour gérer les problèmes qui se posent sur place (envoyez un soldat dans une région où il n’y a rien, il n’aura plus besoin de son uniforme, se mettra à la pioche pour construire une cabane ou une maison, s’il arrive par souvenir et mimétisme à retrouver les solutions élégantes pour monter des murs – très vite il comprendra qu’il n’était pas soldat, puisqu’il n’y a personne comme ennemi et comprendra que s’il ne se met pas au travail de la terre, il n’aura rien à manger plusieurs mois plus tard – évidemment, s’il n’y a que lui et qu’il est célibataire, il ne comprendra pas pourquoi se donner du mal, mais s’il y a un projet de famille, parce qu’il y aurait une demoiselle dans une autre région dont il aurait l’idée qu’elle puisse exister un jour heureuse à ses côtés, le voilà à se donner du mal, à embellir le lieu de vie comme Roger van Rogger à Bandol – cette demoiselle est peut-être la fille qu’il aura ou la femme de son fils – le célibataire est donc continuellement dans cette virtualité sauf quand il devient égoïste, enfant-gâté et adolescent au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)): en effet, pourquoi se donner du mal et pourquoi au contraire ne pas profiter de ceux qui s’en donnent – c’est là le mauvais calcul de ce faussaire ou de celui qui veut arnaquer l’Ensemble – puisque le voilà à convoîter le lieu qui a été édifié par des personnes qui ont fait des efforts de leurs mains et donc n’ont obtenu que des CFP – ils ne paient pas avec des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch mais avec des épargnes qu’ils ont peut-être mis plusieurs générations, dans leur famille, à économiser[42]).

Si l’expression « la France aux français » apparaît juste, « à première entendu », à première vue » sur les banderoles, il faut que ces personnes qui les exposent sachent que la France est une terre d’occupation de très nombreuses populations différentes qui se sont succédées et métissées au cours des siècles, par conséquent l’ensemble des français sont les descendants d’étrangers, comme les allemands qui sont aussi les descendants de nombreux français ayant émigrés, et d’autres populations ayant d’autres dialectes ou langues venant de l’Est. En réalité, c’est ici à géométrie variable et comment on comprend les mots. Cela devient un mensonge quand les personnes qui défilent contre les étrangers, ne comprennent pas que chacun d’entre ces étrangers, dès qu’ils sont sur le territoire français reçoivent, en raison de leurs yeux ouverts et de leurs oreilles ouvertes, un ensemble d’informations - même les sans-papiers - qui vont rentrer en eux, qui vont s’imprimer dans leur mémoire et qui leur donne quelques éléments (qui seront des référents ou la part de France en eux) de ce que peut être la France analysée alors, peut-être en comparaison par ces personnes habituées aux territoires de leur nationalité d’origine, de leur identité de naissance. Dès qu’ils sont en France selon des qualités différentes (touristes, chercheurs de travaux à faire au (marché) noir, ou bien cherchant de vrais emplois (déclarés pour lesquels ils bénéficient de droits et de recours possible grâce à la législation du travail) ou bien à d’autres titres, y compris en tant que représentant le ou les pays dont ils ont les identités, ils reçoivent à chacune des fractions de seconde qu’ils vivent ces informations provenant de notre territoire qui s’inscrivent dans l’ensemble de celles qu’ils ont depuis leur naissance et de chacune des personnes différentes qu’ils ont été mais dont ils ont la mémoire comme qui est entré dans la mémoire d’autres personnes. Il y a ceux d’entre eux qui essaient de rester en France et de trouver du travail : à partir d’un certains nombre d’années, on peut effectivement faire confiance dans leur jugement, puisqu’ils sont presque devenus français et qu’ils rejoignent ainsi l’ensemble des français qui, par millions, sont d’origine étrangère à la superficie de ce pays.

Ce n’est pas parce qu’on est né dans un lieu, dans une localité qu’on est forcément pour toujours lié à cette localité. Les joueurs de football qui changent de club le savent bien : ils appartiennent, (parfois) avant d’appartenir à leur pays, au sport qui a été à l’origine de leur passion et surtout de leurs revenus (dont ils savent qu’ils sont essentiels pour payer les différentes charges qu’ils ont chacun). Les travailleurs émigrés qui travaillent dans la construction, par exemple, appartiennent à un métier en fait international et c’est pourquoi il faut faire un véritable travail à l’échelle mondiale pour que l’ensemble des peuples qui n’ont pas pu créer des « super-fonctionnaires » finissent par comprendre l’intérêt qu’ils auraient à ce que des personnes, qui pourraient venir des pays qui forment ces fonctionnaires les aide puisqu’ils sont avant tout devenues des spécialistes pour gérer des situations n’importe où qui exigent ces formations difficiles, longues à acquérir, représentant des investissements (financiers et personnels) importants et pouvant réellement proposés dans d’autres administrations qui étaient considérées « à première vue » comme problématiques et en l’occurrence situées à l’étranger. Ces régions réclament les nécessités de savoir-faire administratifs qui ont permis de former des fonctionnaires précisément à cet effet, étant capables de s’adapter à n’importe laquelle des régions du monde, d’autant plus que les langues sont de moins en moins un obstacle, en raison de traductions électroniques. C’est le sens, il me semble, de la « coopération » qui était un service (presque) diplomatique pour venir en aide à des pays en difficulté. Mais il y a le risque que des calomnies anciennes et les malentendus causés par la colonisation et la décolonisation circulent encore localement et que des personnes « ignorantes », au mauvais sens de ce mot et non au bon, ne veuillent pas comprendre qu’il s’agit, avec ces gestionnaires, non pas d’étrangers mais de personnes simplement au service de l’efficacité, en matière de gestion d’entreprise ou d’un canton ou d’un département ou d’une région, voire d’un pays. On parlera injustement alors de « tutelle » parce que les personnes sur place, peut-être, se croient capables de gérer leur problème entre elles et ne veulent pas accepter des fonctionnaires venant de l’extérieur que quand elles n’arrivent plus à gérer la situation ou qu’elles sont devenues hors-les-lois ou des problèmes financiers pour les autres régions. Et en plus la difficulté réside dans le fait que des personnes sur place sont convaincues qu’elles peuvent faire aussi bien que ceux qui ont été formés pour devenir des gestionnaires (appartenant à la nation ou au monde ou à l’univers des fonctionnaires gestionnaires qui sont contraints partout de fonctionner plus ou moins de la même façon. Cela peut faire comprendre pourquoi, dans la marine marchande, par exemple, il y a des marins, nombreux, de différentes nationalités à bord. (« Fluctuat nec mergitur »). En fait, c’est parce que c’est un métier qui permet de se déplacer entre des pays par voie de mer, mais c’est d’abord le métier de marin et il est international, comme chacun des autres métiers. Chacun est devenu, en raison de savoir-faire, avant même d’être une nationalité, un marin spécialiste en cuisine, ou bien un steward (appartenant au monde des stewards, normalement des « intendants »). Alors comme vous l’affirmez, il y a autant de France que de personnes qui en connaissent l’existence et ce n’est pas parce qu’on est français que la France nous appartient, bien que cela soit aussi un peu vrai, mais à partir d’un certain niveau de lecture qui va peser le pour et le contre, la proposition « la France aux français » est donc dangereuse (sauf quand on sait que les français sont les étrangers), n’est plus vraie car elle est à ceux qui se donnent du mal pour qu’elle soit bien vivante, qu’elle soit accueillante, qu’elle rayonne et il y a dans le monde entier des amoureux de la France qui sont plus français que les français bien qu’ils n’aient pas cette identité administrative locale en question d’autant que certains d’entre eux en sont devenus des spécialistes (souvent plus savants que la majorité des français au sujet de ce pays) – d’où que les connaissances de qualité à nôtre sujet ou concernant nôtre pays sont peut-être à l’étranger. De toute façon ces personnes qui ont défilé ainsi (avec ce genre de panneaux) sont révélatrices de ce que l’« ignorance » produit comme cancres qui visiblement sont inconscients de donner une images d’eux en ayant de tels arguments préhistoriques sur lesquels nous pouvons déterminer qu’il y a eu un malentendu à l’école à ce sujet : qu’ils n’ont pas réfléchit au problème ou que la notion d’identité ne leur a pas été révélé avec tous les paramètres qui leur aurait permis de comprendre que bien qu’administrativement français, ils sont autre chose que le mot fermé, en fait ne signifiant que des clichés. C’est comme si les américains des États-Unis se mettaient à défiler en disant « les Etat-Unis aux américains » (la France a comme chacun des pays été peuplée grâce aux migrations). L’Egypte des pharaons l’était aussi puisque cette vallée fertile du Nil, avant de devenir désertique et de pousser à migrer vers d’autres régions, attirait. Cela signifie alors qu’ils ont oublié que leurs ancêtres proviennent de nombreuses régions différentes de la planète, ce qui est le cas aussi pour la France dans l’Europe, comme pour chacune des régions de l’Union Européenne. La France est donc à la France et aux touristes comme aux autochtones respectueux de celle-ci. Mais laquelle de France, car effectivement il y a celle des bébés à quatre pattes qui commencent à entendre leur langue maternelle qui parfois est le français et il y a ceux qui sont en France et qui parlent d’autres langues, bien que devenus français comme il y a ces enfants qui de chez eux sont avec la possibilité d’apprendre chacune des autres langues à la télévision ou grâce à Internet (la France est donc l’Europe mais aussi le monde, ce qui se pourra dire depuis chacune des nations). Le melting pot si caractéristique des habitants des États-Unis d’Amérique est une réalité depuis longtemps en France, en Grande–Bretagne, en Allemagne, en Italie, en Espagne et au Portugal, etc. en raison de l’histoire des migrations de populations. Les français sont donc un peuple métissé, au point qu’il y a aussi le sens du mot « métissé » simplement parce qu’on va épouser une personne appartenant à une autre famille, par exemple voisine, en fait par extension de sens. Chacun d’entre nous, même des enfants issus de frères et sœurs pourraient être considérés comme des sortes de « métissage » (encore une fois ici, par extension de sens, étant donné qu’un « métissage » est le « croisement de races »[43], mais aussi de culture différentes et qu’une des définition du mot de race s’applique à considérer possible que chacun d’entre nous appartienne à une race ou à une espèce particulière (ce qui explique pourquoi nous en sommes aux sites ou aux blogs personnels) qui est qualifiée alors comme par exemple à la race (ou l’espèce) des « joyeux », des « imbéciles », des « égoïstes », des « généreux », des « footballeurs », des « mécaniciens », de chacun des métiers mais aussi de chacune des attitudes possibles dans l’existence, mais aussi chacun, dans une définition « vieilli » du mot de « race »[44] qui est celle d’une « lignée, de l’ensemble des ascendants et descendants d’une même famille »[45] peut donc l’être au sens figuré du mot de « famille » : la famille des hommes « généreux » ou alors, à l’inverse des « tyrans » des « despotes », des « dictateurs », mais aussi des « forgerons », des personnes « belles », etc. Le mot de famille ici étant synonyme d’espèce, puisqu’on demande souvent : « de quelle espèce d’homme il s’agit ? », de « quelle race d’homme ou de femme il s’agit ?». Réponse : « de la race des honnêtes hommes, des gentlemen cambrioleurs[46] (!)). Chacun d’entre nous appartient donc à une « race » différente de celle du voisin ou même de celle de son père, sa mère, ses frères et sœurs, bien que le contraire soit vrai aussi pour ce mot, mais cela dépend du niveau de lecture et du sens qu’on connaît au mot de « race » et si on ne connaît, de celui-ci, que le septième des sens possible recensé de nos jours par exemple dans l’encyclopédie Wikipedia et qui concerne les animaux, donc au départ utilisé par les gens des fermes, les paysans et qui est employé par analogie et dont le sens de ce mot de « race » est celui de « qualité nette et pure », un sens donné comme « vieilli » de nos jours, illustré par l’exemple : « Hum ! fit l’inconnu, en jetant un regard sur mon mustang […], votre cheval me paraît de race[47], est-il donc si fatigué qu’il ne puisse encore fournir une course d’un couple de milles, tout au plus ? »[48], on risque de finir par croire qu’une personne appartient seulement à une race et non à des milliers de races possibles (au sens aussi de ce que ce mot de race désigne en elle-même la catégorie), puisque qu’on appartient, par exemple, à la race des « dormeurs », de ceux qui petit-déjeunent avec du café ou bien avec du thé ou bien avec de la confiture ou bien seulement avec du beurre salé, à la race ou à l’espèce de ceux qui sont encore au jardin d’enfant, ou bien à ceux qui sont à l’école primaire, secondaire, universitaire, etc. , à ceux qui sont bons dans une ou une autre discipline ou catégorie enseignée, de la race (catégorie) des forts en dessin, des moyens en mathématique, des hyper bons en histoire et géographie, de la race des télévores, de l’espèce de ceux qui roulent en rollers, ou en trottinettes, des travailleurs manuels ou des ouvriers, car le mot de race, comme celui d’espèce, sont aussi des synonymes du mot de « catégorie », par conséquent chacun d’entre nous est susceptible d’appartenir (au sens d’être en relations aussi) à chacune des catégories, par conséquent à chacun des mots et des expressions existantes, comme à chacun des paragraphes ou même des livres ou des fichiers sons ou même des vidéos ou même des transferts en vidéo numérisés de films divers, par conséquent aussi chacune des races ou des espèces appartiennent virtuellement, (ont la possibilité d’appartenir) à l’ensemble des langues et des choses « à première vue » étrangères : effectivement, quand nous sommes devant la télévision, devant l’écran relié à Internet, devant un livre, devant un panneau de signalisation, en entendant un disque, en voyant un film, etc. nous, la race de ce que chacun de nous est devenu (ici cela est souvent difficile de ne pas dire autrement qu’en plusieurs volumes) – et cela à n’importe quel âge, l’espèce d’individu que nous sommes devenus, appartenons alors au monde des images, au monde des sons, à l’univers des odeurs et des sens qui nous permettent de percevoir, mais aussi au monde des mathématiques et des sciences naturelles, comme aussi des sciences dures ou des sciences de l’aArt, mais nous appartenons parfois, [nous sommes souvent] à des races de personnes ou des espèces de personnes ou des catégories de personnes qui sont dans l’approximation quand nous nous exprimons par oral, alors qu’il y a des chances de rejoindre la vérité grâce à l’écriture et à sa maitrise, comme grâce à d’autres catégories (race, espèce, genre …) que vont être l’ensemble des signes qui représentent, par conséquent, l’ensemble des signes dans l’ensemble des catégories de langues possibles y compris mathématiques, informatiques, chimiques, physiques qui existent au monde. C’est logique, puisque nous appartenons à une catégorie, une race, une espèce : celle des hommes et des femmes ou des enfants ou des personnes âgées et comme nous sommes reliés à l’ensemble des catégories, nous ne pouvons ici qu’avoir l’embarras du choix (au point d’en changer et d’enfant d’appartenir à celle des anciens pour peu qu’on appartienne à la catégorie des enfants adultes parachevés[49]) pour réfléchir à partir de chacune d’entre elle (comme quand nous ouvrons l’officiel des spectacles et que nous avons le choix de nous rendre dans la réalité vers ce que représente chacune des lignes proposées) ou bien les explorer en travaillant en proposant notre originalité (puisque nous sommes chacun d’entre nous différents et donc d’une espèce ou d’une race ou d’une catégorie différente à chaque fois que nous faisons quelque chose qui est différent de ce que nous faisions avant et c’est pourquoi on peut même appartenir à la race ou l’espèce ou à la catégorie des trois petits points : (…) mais aussi des photographes amateurs au moment où on prend une photo. On sera de la race des photographes ou vidéastes ou cinéastes professionnels si on gagne de l’argent avec ce qu’on réalise, ce qui nous obligera à payer une part aux Impôts comme à d’autres caisses (maladies, retraite, etc.) ici c’est parce que ces métiers, qui comme l’ensemble des métiers peuvent être tous pratiqués en amateurs (sauf ceux qui nécessitent des diplômes, étant donné qu’il y a des charlatans y compris chez les diplômés et que par conséquent des personnes n’en ayant pas sont parfois de bon conseil) sont une réalité reconnue par l’administration et il y a donc des obligations qui concernent ceux qui gagnent de l’argent, en raison de lois, à ce sujet, qui trouvent des raisons d’être plus ou moins justes et cela suivant les époques. Par conséquent, il y a des lois qui appartiennent à des vérités relatives comme il y a celles qui sont justes, vraies et bonnes et dont on puisse penser qu’elles sont la vérité.

Nous appartenons aussi à la terre entière et une partie de nous, la tête, est dans le ciel car ce sont nos pieds qui appartiennent aux diverses catégories de sols foulés par la semelle de nos chaussures. Nous sommes donc en relation avec chacune des catégories ou des espèces ou des races de choses différentes et forcément quand nous avons une lettre inscrite sur du papier ou bien à l’écran nous appartenons un instant à ce signe qui pour certains est lisible, compréhensible, mais pour ceux qui sont à quatre pates, c’est encore difficile à lire, comme pour des étrangers qui ont d’autres signes ou habitudes d’alphabet ou … différents. Pour eux le signe en question ne pourra dire quelque chose que si on l’explique. C’est pourquoi la jeunesse est capable de faire l’erreur de se préparer à la guerre de façon quasiment continuelle, quand il s’agit de jeunes qui ont arrêté leurs études trop tôt. Ils n’ont pas commencé à réfléchir sur les différentes questions fondamentales que posent le mot de « relatif », de ce qui est « relatif » à leur culture, à leur langue, en s’apercevant alors, s’ils ont trouvé le temps pour cela, que celle-ci appartient, (est reliée), suivant les mots ou les expressions donc les choses (les catégories) et au-delà, comme parfois des paragraphes explicatifs, voire les signes de ponctuation ou les chiffres (ils sont inscrits pour les numéros de téléphones, mais ils servent à d’autres occasions) mais aussi l’ensemble des images et des sons comme des œuvres d’art à des influences provenant de l’histoire des migrations ou des grandes découvertes avec ce que cela a signifié comme conséquences commerciales. C’est pourquoi la véritable psychanalyste est en relation avec la mémoire de l’individu. S’il y a eu « oubli » alors il y a eu des parties de ce qui nous constitue, de chacune des fractions de seconde que nous avons vécues les yeux ouverts qui sont alors oubliées, alors que chacune de ces choses appartenaient à des catégories différentes auxquelles nous sommes chacun d’entre nous reliés, mais chacun en ayant un patrimoine génétique différent, une histoire totalement différente de celle d’un autre, car notre point de vue, ce que nous mettons en nous, les expériences que nous faisons dans chacune des catégories, ont, suivant les cas, d’autres fins, d’autres objectifs que ceux qui parfois ont fait les mêmes erreurs ou les mêmes expériences au point d’avoir les mêmes connaissances, par exemple dans le maniement d’un logiciel, mais ne vont l’utiliser que pour des objectifs différents. Les différentes catégories de choses qui entrent en nous, vont donc nous porter à croire à des vérités ou bien à des mensonges, suivant l’exigence que nous avons dans notre rapport pour rechercher la vérité comme à notre affiliation à la catégorie appelée « logique », ce qui va alors donner des textes plus ou moins cohérents, donc plus ou moins vrais. Mais la situation générale qui était bloquée a donc contraint, pour être des personnes œuvrant à la recherche de la vérité, à de nombreuses années d’études et de recherches. C’est pourquoi les jeunes doivent comprendre, dans la situation actuelle, qu’en raison de ce préjugé qui est parfois heureusement vrai, il est préférable qu’ils attendent, car les anciens ont une expérience qui leur permet d’hériter de chacune des régions à administrer, pour permettre au moins à une partie des jeunes de poursuivre leur scolarité et leurs études, en espérant qu’il y en aura parmi eux qui voudront continuer celles-ci très longtemps, voire à jamais, en raison de la quantité astronomique de problèmes à résoudre que les connaissances mémorisées permettent de solutionner (il n’y a que celui qui a perdu la mémoire de ses études scolaires ou des paramètres étudiés qui va croire possible la solution par le meurtre et non par la négociation et des engagements écrits qu’on ne peut transgresser sans avoir tout à devoir renégocier car aussitôt ils se montrera non respectueux de ses frères : il révèle alors qu’il n’est qu’égoïste ou qu’il n’a été élevé que par des égoïstes au mauvais sens de ce mot – donc qu’il est un minus qui fait des choses en cachette ou déconseillées par l’ensemble, puisqu’elles ont révélé qu’elles peuvent être nocives ou mener au faune, au satyre ou au centaure et à cause de cela, à des maladies génétiques). Cela permet de donner du temps à la formation des enfants qui, pour l’instant, ne savent des mots à employer, sur lesquels penser, que ce qui est entendu en général et souvent malentendu, par conséquent aussi dans un seul des sens, de façon restrictivement employé et qui risque, s’ils n’ont pas fait les études (qui peuvent être celles d’autodidactes) de tomber dans le piège que, malgré eux, les mots représentent, au point qu’on comprenne très bien qu’il y ait des gens qui préfèrent être spectateurs et non participant, bien qu’en relation avec la catégorie de spectacle, auxquels ils assistent, muets, n’osant pas prendre la parole, n’ayant même pas une question à poser, se comportant, à première vue, comme des déserts, bien qu’il soit certain qu’ils ont suivi le film, le concert, l’exposition présentée, etc. Il y a certainement, parmi eux, ceux qui n’arrêtent pas de mettre en relation chacun des instants avec des choses qu’ils ont découvertes ailleurs. Mais cela est trop difficile à formuler et encore plus oralement et c’est pourquoi ils s’expriment, en prenant le temps, à travers des articles publiés, par exemple dans les journaux ou dans les sites ou les blogs car c’est difficile[50] d’écrire même trois lignes pour donner une idée ou bien un conseil ou bien pour prévenir, par exemple, que cela peut être dangereux comme spectacle ou bien comme livre à lire ou bien comme attraction (par exemple certaines de celles dans la chambre des horreurs). Donc nous appartenons virtuellement (nous avons la possibilité) d’appartenir virtuellement à chacune des catégories existantes (les acteurs le savent bien) dans l’univers suivant les moments. Mais derrière chacune de ces catégories, il y a des définitions qui sont données et qui sont représentées par un ou plusieurs mots. Effectivement, il y a un ensemble de mots pour en donner les explications, les différents sens et on s’aperçoit alors, que pour réellement « appartenir » ou être en relation avec chacun de ces mots, il y a, de la part des lecteurs de ces catégories, quand elles doivent intervenir pour nous permettre d’accéder, par exemple, à une profession, à devoir s’infliger un véritable travail à accomplir au préalable qui va consister à intégrer et à comprendre et à traduire dans les faits des notions, des mots, des catégories et cela plus ou moins, selon le métiers. Par conséquent, au départ, il est nécessaire de créer les conditions pour que la formation plus ou moins difficile de chacun puisse donner lieu à la réalisation de l’objectif et, pour y arriver, suivant les cas, il y a aussi la nécessité de maîtriser des instruments plus ou moins faciles. L’encyclopédie va faciliter comme le dictionnaire (ou le mode d’emploi) la compréhension de chacun des mots qui posent problème. Mais dans la société orale d’autrefois ceux-ci n’existaient pas et on ne disposait pas de l’ensemble des sens possibles d’un mot ou concernant une catégorie dans chacun des cas de figure où ces mots, ces catégories ont vu le jour (d’autant que voir le jour il faut en devenir l’ingénieur ou le concepteur, ce qui est soudain comprendre que c’est vrai – aussi cela ne peut se situer que dans le monde de la Vérité – comme des constructions de théorème ou de système complexes à résoudre – les problèmes sont vrais, puisqu’on peut les résoudre en appliquant des méthodes ou des solutions – bien sûr il y a le faux-problème qui est souvent résolu). Nous avons vu ci-dessus le danger de ne pas savoir réfléchir à partir des différentes définitions des mots et des catégories. Cela signifie qu’il faut être capable de penser en lisant comme ceux qui vont continuer à réfléchir devant un spectacle. Les définitions, les articles publiés dans les encyclopédies offrent matière à spectacle dans le sens où le mot de « spectacle » est en relation avec le mot de spéculateur[51] (dans le bon et mauvais sens de ce mot) qui signifie qu’il y a des personnes capables de réfléchir à partir de chiffres ou bien d’autres éléments, d’autres choses. Dans le mot de « spectateur » nous retrouvons ce « pc » avec le risque de « péchés » qui va avec, mais aussi le mot italien de « specchio »[52] qui signifie « miroir », par conséquent qui est relié à ceux qui sont capables de réfléchir. Les spéculateurs sont donc nécessaires (quand ils réfléchissent en conscience[53] [et] en « bons pères de famille ») à tous les niveaux car en fait ce sont des gens qui vont chercher les causes, les origines d’une possibilité (de s’enrichir[54]). Ils sont capables d’investir financièrement, parce qu’ils vont comprendre que ce que se propose de faire une entreprise va être à plus ou moins long terme profitable, que cela va permettre un développement d’activités créatrices de sources de richesses (en CFP). Cela contraint ces personnes à agir d’une certaine façon en raison de la situation générale qui était bloquée. En fait, ils sont comme chacun d’entre les spectateurs, mais ils ont une qualité supplémentaire qui est celle de réfléchir à partir des informations qu’ils vont rechercher à propos de la catégorie dans laquelle ils vont prêter de l’argent ou bien emprunter de l’argent pour le prêter, en ayant alors à payer des intérêts (à cause du loyer de ce que représente le décaissement de cette somme qui représente les économies [de personnes – des particuliers ou des entreprises ou des Etats, etc.] déposées en confiance) pour pouvoir prêter ou acheter des actions ou bien les différentes possibilités (obligations, etc.) inhérentes à cette façon de permettre à des entreprises de poursuivre leurs activités, même quand celles-ci ont à traverser des moments difficiles économiquement, d’autant plus de la concurrence qui existe dans chacun des secteurs. Mais il est vrai qu’il y a de mauvais spéculateur, des personnes qui spéculent sans éthiques, pour faire de l’argent (des CFP qui sont alors par ces aspects impropres ou inopportuns en partie au moins des cff ou des cfm, des cfi)  et pas seulement pour permettre à des entreprises de poursuivre leurs activités et dans ce cas, ce ne sont pas des spéculateurs qui utilisent leurs réflexions à long terme, dans l’Intérêt Général: ils jouent en Bourse et n’ont pas de scrupules à/de ruiner des entreprises dont l’Ensemble aurait eu besoin, même seulement sur le plus long-terme (ici la spéculation à court terme joue contre celle à long-terme). Cela est un des facteurs/paramètres, une des causes (d’où qu’on remarquera que le mot de « cause » est synonyme de facteurs/paramètres), qui peut entrer en compte pour expliquer, plus ou moins, comment les crises économiques apparaissent, car soudain des personnes qui avaient la confiance des marchés et des investisseurs perdent cette confiance et c’est une [ou des] entreprise[s] qui connaî[ssen]t [55] alors de graves difficultés pour survivre. C’est alors, par exemple, la montée artificiellement advenue des augmentations des prix du baril de pétrole et cela va avoir des conséquences dans le monde entier, puisque les prix ont augmenté, mais aussi il y a des conséquences en matière politique qui vont profiter à des partis politiques qui sont entre les mains de personnes qui ont de l’économie une analyse faussée (elles sont aux prises avec des vérités relatives, des préjugés) et comme c’est alors la crise, ces personnes ne vont pas donner les vraies raisons de celle-ci et c’est alors qu’on peut voir monter dans les sondages ces partis qui ont des réactions de protectionnistes, de conservateurs, capables d’accuser, évidemment à tort, des personnes qui n’y sont pour rien et ont en réalité raison. Par conséquent ces partis populistes de mentir à leurs électeurs en présentant la situation générale qui était bloquée à de nombreuses personnes touchées par les effets de la crise, au point d’être, certaines d’entre elles, dans la misère, ce qui s’est passé en Allemagne, avec les répercussions de la crise de 1929 aux États-Unis[56] et donc de devoir leurs élections respectives à des campagnes mensongères et accusatrices vis-à-vis des personnes qui n’y sont pour rien et qui « à première vue » (seulement) sont dans un meilleur état financiers que ceux qui sont devenus pauvres, parfois misérables et qui vont croire des sirènes qui sont dans l’erreur, comme cherchent à profiter de la situation, non seulement pour se faire élire, mais pour prendre le pouvoir, sans comprendre comment et pourquoi le système général fonctionne en vérité (ils sont toujours des esprits locaux et ayant rarement voyagé et ne sachant rien des langues que tous les souverains éclairés ont étudié au paroxysme, avant de se permettre de prendre une seule décision – aussi ils maudissent les étrangers ou les pays étrangers et sont dans des généralités toujours d’avance fausses que seuls les ignorants, au mauvais sens de ce mot et non au bon, croient comme eux, puisqu’ils n’ont pas en tête tous les paramètres qu’il ne fallait pas oublier). En plus, ils n’ont pas les capacités pour, malgré la crise mondiale, comme aussi celle de 1973 à 1979, comme celle de 1999 à 2010, produire des richesses, pour créer des emplois et croient même qu’on peut supprimer des instruments qui ont permis, par exemple, à une grande superficie, à un grand ensemble, de ne pas connaître la guerre et vont même s’en prendre à ces institutions en les accusant d’être celles qui sont à l’origine des difficultés financières dans lesquelles ces personnes se sont mises elles-mêmes, par exemple en empruntant de l’argent (des CFP) et en n’étant plus capables de le rendre, par conséquent en ayant à s’endetter, ce qui coûte cher, voire très cher à ceux qui ont permis, à d’autres moments, ces prêts (en effet, il va falloir consacrer une personne compétente qu’il faudra payer pour suivre le prêt et pour intervenir : ce prêt a donc des coûts que l’emprunteurs ne connaît pas, puisque ce qui lui importait était le prêt : la somme empruntée – or, c’est une catastrophe pour la Banque, jusqu’à ce que l’emprunteur n’ait pas rendu la somme avec les intérêts de la dette, puisqu’il va falloir tout payer jusqu’à ce jour là de l’administration de l’Etablissement Bancaire, du Comptoir – on suppose donc que celui qui emprunte des CFP (puisqu’il s’agissait de sommes empruntées proprement inscrites pour lesquelles les lois ont prévu qu’elles doivent être remboursées par des équivalents estimés ou des sommes équivalentes) rende des CFP et non des cff, cfm, cfs, cfi, cfu ou cfcch) avec des intérêts plus ou moins élevés, suivant l’analyse de la situation économique locale qui a forcément à voir avec le système politique en place localement, selon les engagements pris localement, vis-à-vis de d’ensemble auxquelles ces localités appartiennent, y compris les individus momentanément affectés par les répercussions d’une crise économique qui est en partie due à cause des spéculateurs égoïstes (au mauvais sens de ce mot) qui, malgré les quantités et les réserves prouvées de pétrole dans le monde entier, au lieu de baisser les prix, ont augmenté ceux-ci pour, à-premièrevues, faire eux des profits très importants, mais qui sont, en réalité, contraires à l’Intérêt Général ou au Bien Général et forcément contraires à leurs propres ontologiques intérêts ou ce qui leur aurait beaucoup mieux convenu, puisqu’ils se rendent coupables de l’ensemble des augmentations des prix, ce qui a pour effet de les contraindre à augmenter de nouveau le prix du baril de pétrole et ainsi de suite en étant alors, ce qui est logique, à l’origine de la baisse de la valeur des monnaies principales utilisées dans le monde (comme celle du dollar et/ou de l’euro, mais aussi les monnaies japonaises ou des pays qui n’ont pas de pétrole qui sont donc l’équivalent de crédits proposé en échange/troc à ses livraisons de baril de pétrole – on comprendra ici que ces pays qui vendent cette matière première n’aient aucun intérêt et même le contraire, que cela leur serait fatal/mortel, si la valeur du dollar ou celle de l’euro ou ces valeurs liées à ces différentes monnaies/devises baissait – ce qui s’est produit dans les années 1970, au point qu’ils purent constater que s’ils continuaient à augmenter le prix du baril de pétrole, il n’aurait plus aucun pouvoir d’achat avec les dollars proposés en échange et par conséquent perdraient encore plus (sur toute la ligne) à cause de ce qui est nommé mécanisme inflationniste – c’est aussi pour cette raison, à cause de cette leçon que nous a donné l’Histoire que je fis depuis 2005 un ramdam d’enfer pour éviter que cela recommence à cause des augmentations du cours du brut qui se produisirent jusqu’à 2014 – en effet, si la valeur des principales monnaies d’échange est garantie à un certain niveau j’étais dans les inquiétudes les plus horribles que ces valeurs ne commencent à chuter car ce n’est qu’en raison du miracle économique qui fut mon œuvre à partir de 1975-78 que malgré ces augmentations du prix du baril de pétrole ces principales devises monétaire n’ont pas chuté au-delà de ce seuil qui a même permis d’apprécier la Monnaie Unique Européenne par rapport à celle du dollar aux Etats-Unis d’Amérique, car sans mon intervention en raison des hausses du prix du baril de pétrole le dollar n’aurait plus rien valu et c’était la fin, car il aurait fallu rapidement des milliers de dollars pour un baril de pétrole si je n’avais pas apporté du ciel au moins 50% des réserves mondiale actuelle de pétrole en les géolocalisant – aussi personne n’aurait plus pu payer ce pétrole et comme c’était encore la guerre froide qui avait failli se réenclencher, cela aurait été le réenclenchement de la guerre par l’arsenal nucléaire ou le feux d’artifice général – aussi dès 2005, comme cela avait recommencé de plus belle, j’ai craint de nouveau le pire : que Euro, cette récente et admirable monnaie qui évite la guerre entre les régions de la Vieille Europe et qui fut/[eut] aussi difficile[ment] que cela à obtenir une solide crédibilité sur le plan international, ne soit victime de cette crise encore dix-quinze à mille fois ou plus encore plus grave que la précédente, selon qu’on ajoute ou pas les critères de démographie ou que ne s’en tienne que strictement sur un angle reserré à simplement cette augmentation du prix du baril de pétrole, depuis 1979 – d’où que Monsieur le Président, je sois à vous savoir inquiet puisque vous recherchez comme moi par la diplomatie à éviter la guerre) pour ces transactions et qui dépendent donc de ceux qui en ont. Ces pertes de valeurs des monnaies sont à l’origine de l’ensemble des problèmes sociaux étant donné le chômage engendré par la perte du pouvoir d’achat (la diminution de la valeur d’échange qui est liée aux critères de santé économique de la région ayant adopté cette devise monétaire d’échange en particulier) de ces monnaies et l’obligation de délocaliser des entreprises pour qu’elles demeurent compétitives. L’inflation est donc une constante et on voit apparaître la misère, la pauvreté et le manque d’hygiène, même dans les pays dits « développés », tandis qu’à « première vue » ceux qui ont augmenté le prix du baril de pétrole croient qu’ils sont riches (en réalité, plus ils l’ont augmenté, moins ils l’étaient, puisqu’ils dérobaient l’Ensemble, pour s’offrir des CFP pour acheter en escrocs et que tous ont risqué de voir baisser ces valeurs monétaires – ils ne sont en réalité dans leur tête qu’encore plus pauvres, même s’ils ont autour d’eux l’illusion d’avoir des biens puisqu’avec l’ensemble du grogramme de la NNDIM, donc de la Dictée pharaonique nous sommes parvenus à créer de la richesse sur tous les points dictés et donc avons permis que ces valeurs monétaires liées à ces banques centrales ne se déprécient pas plus à cause de la facture énergétique, donc de tout ce qui était à payer ou à avoir au déficit des balances commerciales ce qui entraîne alors plus il est important la baisse de la valeur de la monnaie à moins que celle-ci ne soit garantie au minimum par le Saint-Esprit – ce qui s’est en définitive produit partout même dans les pays laïcs grâce à ceux qui ont compris qu’il valait mieux ne rien dire à ces pays en grave déficit pour qu’au moins la valeur de leur monnaie soit à ce minimum plancher qui est garanti sur les avoirs/les actifs de la région  endettée).

Or ils sont à l’origine de l’ensemble des misères dans le monde entier, car s’ils avaient baissé le prix du pétrole, ils auraient permis aux différentes économies de chacun des pays de se développer, ce qui aurait augmenté le pouvoir d’achat de la monnaie d’échange du dollar ou de l’euro ou de … et par conséquent en faisant disparaître le chômage à terme, permettait à tous les pays producteurs de pétrole de pouvoir acheter dix fois plus dans tous les pays producteurs des biens de consommations (des besoins de toutes les personnes indigeantes / dans la misère qui auraient pu être comblés / pourvus, puisqu’au lieu d’être confiné ou réduite la Production (industrielle / artisanale / etc.) qui aurait donc pu reprendre aurait pu répondre à cette quantité de besoin), d’autant plus qu’une partie de ces pays producteurs de pétrole sont musulmans et que ces personnes ont donc plusieurs familles à nourrir et par conséquent les mêmes besoins, mais en plusieurs exemplaires (ce qui permet souvent de faire un prix de gros car le client bénéficie alors de la loi de la Quantité qui est partout appliquée, grâce à l’industriel qui en amont l’applique, comme le commerçant grossiste intermédiaire et finalement le commerçant- détaillant – le client en bénéficie toujours ce qui a des répercussions pour les objets rares ou à l’unité et qu’on nomme alors la Loi de la Rareté qui est donc celle qui rend coûteux la matière première, ce qui s’est souvent limité au cours de l’Histoire à la matière première de l’or et à celle des diamants ou des pierre précieuses d’autant que les mines se sont épuisées, les autres matières premières y compris celle du pétrole n’étant pas considérée comme étant de celles-ci, mais au contraire de celles très communes, banales en grande Quantité comme l’eau qu’on peut rendre potable dans les régions qui n’ont pas encore été touchées par le phénomène de désertification et de réchauffement planétaire – donc malgré celui-ci, dans ces régions, cette matière première comme les autres étant en grande quantité donc pas rare – mais il est vrai que tant que je n’ai pas eu à apporter ces quantités de réserves de pétrole en plus que le bruit circulant au sujet des réserves de pétrole qui existaient à cause de l’inquiétude liée au facteur démographique a permis aux plus inquiets d’accorder un peu de crédibilité à ceux qui ont fait courir le bruit que cette matière première du pétrole allait manquer – or les chiffres que j’ai eu à consulter d’avance dans le futur à partir de 2005-2010 m’ont permis de rassurer mon père l’empereur totalement d’autant plus que j’apportais à titre personnel ces plus que 50% des réserves mondiales et donc que cela permettait d’en rechercher d’autres en pouvant baisser les prix et donc faire repartir l’Economie, ce qui ne s’est pas produit (le prix / la valeur du dollar est demeurée plus ou moins la même sur l’ensemble de la durée de ces décennies, ce qui signifie que l’ensemble de la création des richesses qui aurait pu le faire monter est partie constemment en fumée : en consommation de pétrole pour les produire à ce taux constant dans une civilisation de consommation productrice de gâchis et de fumées également sur ce point – alors que si on m’avait écouté, ces monnaies se seraient appréciées et auraient pris tant de valeur que les monnaies en circulation auraient pu être finalement [re]fabriquées en or et en argent, progressivement dans tous les pays du monde y compris les plus pauvres, avec un pouvoir d’achat progressivement décuplé, la crise ayant été jugulée, en raison de ce qu’enfin on n’aurait obéit aux empereurs très saints Granier où à ceux qui disaient la vérité en disant qu’il fallait baisser ce prix du pétrole pour assurer la prospérité générale[57]), puisqu’au contraire ces personnes organisées en cartel ou trust contre la loi elle-même qui les interdit à cette fin en raison de ce que ces matières premières n’ont pas été mise sur cette planète pour faire chanter ou racketter ceux qui en ont besoin et ne les ont pas sur leur sol géographique sur lequel ils produisent ces autres matières premières ou secondes ou plus que cela (des biens de consommations convoîtés / nécessaires / utiles) qui sont ces résultat du génie artisanal et industriel/etc. qui est donc forcément alors limité ou freiné dans son généreux élan pour satisfaire la demande générale, puisque le pouvoir d’achat de tous les ouvriers, donc des consommateurs mais aussi des indigents, est limité d’autant que ces augmentations à cette matière première de première nécessité sont advenues, d’où la crise, le chômage, la misère, les mécontentements, etc. : ce qui pouvait être évité, mais que la rapacité, l’incompétence (donc comme la cécité et les incapacités à discerner, la surdité à tout ce qui est bon, juste, vrai) et le refus de comprendre d’où viennent les meilleurs conseils où ceux des gens les plus instruits, pour n’écouter en définitive que les sirènes de très bas-étage ou qui ne sont qu’au niveau du trottoir et qui n’ont le plus souvent des sciences les plus exactes ou les plus justes des mathématiques qu’une idée beaucoup trop simple (au sens de primaire et très égoïste : pour ce qu’elle en tireront elles seules comme profits et non l’Ensemble) car c’est infiniment complexe que l’Economie et pas seulement celle de ce qu’on appel « le bon sens populaire », ce qui a signifié souvent hélas le contraire, au point qu’on ne puisse plus lui faire confiance, sauf dans un cas pareil ou d’autre cas ponctuel (et c’est pourquoi des idées provenant de n’importe qui dans le peuple peuvent être toujours les bienvenues), puisque mes conclusions étaient bien celles d’une personne appartenant [aussi] au peuple[58]). C’est pourquoi en étant à l’origine de tous les appauvrissements dans le monde entier, ils sont de plus en plus pauvres (dans leurs cerveaux) puisque la pauvreté de n’importe qui est le signe pour l’ensemble de ceux qui sont « à première vue » riches ou qui ont des moyens, qu’ils sont en réalité tous menacés de redevenir pauvres. Chacun des pauvres qui existent dans le monde entier, chacune des personnes devenues comme des déserts (intellectuellement ou de celles qui ont des difficultés pour comprendre ce qui est pourtant simple pour d’autres étant de celles les plus instruites ou alors qui ont compris peu d’instructions mais bien, sans jamais oublier que d’autres ingénieurs en ont compris infiniment plus et donc seront attentifs à ce que les paramètres liés à chacune des autres catégories confirment que la décision prise est la meilleure) est le signe que nous-mêmes nous nous appauvrissons et risquons de devenir un désert ou bien qu’il y a une part de nous-mêmes qui est dans de graves difficultés matérielles, au point d’avoir rendu aussi pauvre spirituellement, comme une part de nous-mêmes qui est constituée de pauvreté (sans esprit), donc de misère et tout le corollaire des mots étant directement rattachés à ces mots, dans le sens négatifs qu’ils ont, en étant de ceux qui sont aussi à l’origine de toutes les maladies et incapacités y compris celles de comprendre en vérité la situations générale globale, mais aussi locale. Par conséquent, ceux qui augmentent le prix du baril de pétrole ont « à première vue » l’illusion d’être riches, mais en réalité, ils sont à l’origine même de leurs incapacités à comprendre comment fonctionne l’économie à l’échelle mondiale et semblent ne pas avoir tenu compte ni compris la loi des conséquences (au point même de n’avoir pas compris ce que signifie un clic de souris), par conséquent celle des causes et des effets, y compris celle des répercutions comme celle des interactions économiques. D’autre part, en étant de ceux qui croient, parce qu’ils ont obtenue de l’argent (on ne sait comment (par quelle compétence, quel savoirs faire) ni d’où), pouvoir se payer/s’offrir ce dont ils ont envie, ces personnes n’apprennent pas/jamais de vrais métiers (de véritables compétences) et ne font peut-être même pas d’apprentissages (ils sont donc pour toujours des faussaires, ce qui sera néfaste pour leurs descendants et leur fera dire des inepties puisqu’ils auront autant que cela ignoré les réalités auxquels sont confrontés les autres et donc tous les paramètres qu’il ne fallait jamais ignorer). Avoir de l’argent (des CFP) sans faire d’efforts pour en obtenir et vivre de rentes, n’est possible qu’à des personnes qui en connaissent la véritable valeur et par conséquent ayant souvent mis longtemps (ce qui n’est pas toujours le cas) avant d’avoir pu gagner honnêtement leurs premières sommes d’argent (de CFP). Il est certain qu’ils sauront transmettre à leurs enfants le respect de ces biens et comment réussir à en gagner toujours du propre et non du malhonnête. Mais cela peut risquer de faire des enfants-gâtés. Tandis que les autres croient possible tout acheter y compris l’amour avec les cfu, cfs, cfm, cff ou cfcch. Cela est à l’origine de tous les rapports faussés, de toutes les fausses amitiés (on doit même fréquenter des personnes qui sont devenues impures, puisqu’elles sont dans l’idée qu’elles auraient le droit d’escroquer ceux qui d’aucune façon les escroquent d’un tantinet, puisqu’ils leur disent la vérité exacte, mathématique, sans un électron ou photon d’erreur dans tous les Espace-Temps). Cela est donc à l’origine de la paresse de ceux qui croient alors pouvoir se payer[59] l’aide de ceux qui n’ont rien ou qui ont peu au point de croire que ces personnes sont leurs esclaves. C’est ainsi qu’ils vont penser que chacune des entreprises dans le monde entier travaillent pour elles qui n’ont même pas la curiosité de se mettre à la place d’un travailleur ayant une famille à nourrir et cela sur ces efforts physiques ou grâce à de nombreuses études et investissements faits par des éEtats soucieux de transmettre les lois, y compris celles du commerce avec, à cet effet, les investissements financiers, des preuves d’amour, faits par des personnes appartenant à des familles vivant honnêtement. Ces investissement[s] financiers ont été faits/établis pour leurs enfants, pour qu’ils apprennent à étudier et à penser en vérité, ce qui peut faire de ces enfants là des personnes capables de nombreuses choses différentes y compris d’être, par exemple, des médiateurs pour arrêter des conflits entre enfants-gâtés et ceux qui ne l’ont jamais été, voir faire cesser ces conflits pour d’autres raisons. Mais bien sûr, il s’agira d’enfants qui sont dans les affaires et cela parce qu’ils voient bien que la misère est partout (on ne rejoint que dans ce dessein car si cela était pour un autre, cela n’aurait aucun intérêt, ce qui signifie que les personnes aisées matériellement parlant pourraient ne pas avoir démérité, ni leurs ancêtres – il vaut mieux partir de ce principe que de croire qu’elle ne doivent leur fortune qu’à avoir escroqué leur prochain y compris pour les grandes institutions religieuses, cela est le meilleur parti à prendre puisqu’il y a eu ces efforts en architecture de faits, ce qui ne se peut commencer ou fonder que sur un vrai au moins relativement vrai ou nécessaire ou utile à un moment donné – autant le conservé au moins comme vestige ou patrimoine, plutôt que de vouloir faire « table rase du passé », une façon de faire qui est de fermer la porte ou de clore et qui peut dans un cas ou deux être à faire dans une situation sentimentale particulière pour éviter d’être malheureux, mais qui appliqué à une généralité de systèmes chacun différents en raison de familles, ethnie et gènes différents est tomber dans des façons de faire beaucoup trop expéditives et peu respectueuses des différences ou des styles des costumes et des modes à conserver de ce passé – pourquoi vouloir se passer des catégories qui sont constitutives de passé : pour le « rien » qui est ce tout mais qui ne serait plus que perçu en animaux privés de lumière et des connaissances les plus sacrées fondatrices en tous les lieux et tous les temps de chacune des civilisations. Pas une bonne affaire que de vouloir éluder la question du sacré d’autant plus qu’il y a autant de signe que cela qu’elle n’a pas fait semblant d’exister). Aussi les voilà dans de nombreux calculs qui ne sont que des prises de risques (des emprunts et la nécessité de convaincre à ce sujet, comme donner toutes les garanties que leurs calculs sont justes ou plausibles) ou qui exigeront d’eux qu’ils se transforment en généraux ou en PDG, ce qui est très difficile, d’autant plus qu’on aura une vie de famille.

Par conséquent, ces personnes agissent ici en « primitifs », en individus encore « préhistoriques », en se rendant coupables de l’ensemble des malheurs qui arrivent même par répercussion à cause d’eux aux honnêtes gens (en fait, ils agissent comme des personnes qui n’auraient jamais été à l’école pour contredire les personnes qui y sont allées les conseillant au mieux et les voilà à refuser des conseils qui valent plus encore que tous les trésors du monde, puisque s’ils les avaient suivi, ils en seraient riches au lieu d’être aussi pauvres et toujours aussi ignorants ou faussaires, au mauvais sens de ces mots d’autant plus que très vils ou sales espions à la mentalité de paparazzi, au mauvais sens de ce mot et non au bon qui permet au moins d’apprendre à cadrer et faire quelques jolies photos, donc de gagner des CFP qui sont sur un au moins des aspects si ce n’est sur plusieurs des cfpourris et non des Crédits de Financements Propres). Ils sont la cause, l’origine même de l’obligation parfois d’avoir à intervenir militairement dans certains pays dont les dirigeants se conduisent autant qu’eux comme des inconscients, en ayant perdu ce qui caractérise les êtres humains véritables, c'est-à-dire la possibilité de comprendre que leur propos ou leurs actions peuvent avoir des conséquences catastrophiques pour ceux dont ils n’arrivent pas à se mettre à leur place comme pour leurs descendants ou leurs proches (en effet, ils ne pourront jamais se mettre à la place de personnes qui se sont rendues / devenues maîtresses de tant de sciences (qui induisent tant de nécessités et de besoins matériels, financiers) – ils sont donc comme devant la Vérité qui remarque quand l’autre ne comprend plus ou fait semblant – d’où qu’elle essaie depuis des siècles de lui faire comprendre pédagogiquement et aimablement ce qu’il f[v]aut mieux), par exemple comme chef d’entreprise ou bien responsables divers y compris politiques (mais pourquoi compatir ou comprendre ceux qui se refusent à se comporter en enfant-gâté et égoïste, alors qu’on peut continuer à demeurer pour toujours un adolescent menteur escroc et parasite de toutes les personnes adultes parachevées ?). Ils ne voient donc que leur propre intérêt à courte vue ou à vues munies d’œillères à satisfaire d’abord en personnes qui n’ont que de l’argent (ces CFP) qu’en n’ayant pas voulu comprendre pourtant tout ce que des honnêtes gens leur ont pourtant expliqué (qu’on ne peut en obtenir qu’en raison de compétences estimées à leur juste valeur) en ayant eu à tant financièrement investir pour créer des outils de travail destinés à instruire: ils s’accrochent aux préjugés ou aux vérités relatives qu’ils ont en tête depuis longtemps et n’arrivent pas à faire l’effort de comprendre que l’ensemble des prix de chacune des choses qui les entourent est le reflet de leur façon primaire d’analyser le monde : chacune des choses qu’ils convoitent porte un prix et si c’est le cas, la cause en est celle du prix du pétrole qu’ils ont voulu augmenter, alors que les décisionnaires avaient amorti en quelques semaines d’exploitations les différents frais pour le trouver, (forer et l’exploiter), ce qui aurait dû, s’ils avaient été honnêtes, les déterminer fraternellement à en faire profiter autrui et donc à baisser le prix du pétrole et à le mettre à un prix qui serait proche de zéro dollar, ce qui aurait fait alors baisser tous les prix de ce qu’ils auraient voulu, de ces pays pourvus en cette matière première, acquérir dans tous les autres pays du monde. Ils n’auraient cependant pas pu le mettre à zéro puisqu’il y avait encore des frais pour l’exploiter y compris pour chercher d’autres emplacements et faire des forages, ce qui représente des investissements à partir des bénéfices. Aussi le prix du pétrole ne pourrait pas être à zéro dollar, à moins que l’ensemble des pays dans le monde entier renoncent tous à l’usage de l’argent (ce qui n’est possible que si chacun songe à se donner du mal et refuse de devenir parasite ou profiteur et comme il y en a au moins le risque d’un seul, c’est risquer alors tous de devenir son esclave – et tous s’y refuseront sagement : les CFP sont donc collectivement une nécessité vitale intrinsèque, légitime, fondamentale, donc consubstantielle pour que la Création avance, progresse, fonctionne – donc avec la Banque, la Bourse, etc.).

Cela pourrait peut-être être le cas seulement quand la vieille salle des machines et le variateur de la vision d’Atlantide seront remis à ceux qui calculent, le plus justement du monde, le prix de chaque chose, en fonction de la quantité : de l’offre et de la demande y compris utilisent les sciences à des fins exactes, donc agissent en vérité pour déterminer les autres paramètres qui permettent d’ajouter de la valeur ou d’en retrancher[60] et qui permettent d’ordonner justement à chacun ce qu’il aura à faire (mais le parasite ou celui qui cherche à en faire le moins est la menace). Ce cas de figure de la Création ou le parasite n’est plus existe peut-être ou sûrement à moins que le parasite est un aspect de lui qui soit positif autant que le sont assez longtemps chacun des enfants avant de devenir enfin des adultes parachevés (aussi le parasite est simplement une façon de s’attarder à faire l’enfant plus longtemps que les autres, donc parfois au mauvais sens de ce mot et non au meilleur, par conséquent c’est l’adolescent dans ce qui est néfaste lié aux attitudes qui le mèneront parfois à la mauvaise foi dans des situations où elle ne devait pas être utilisée), mais plus le temps passe, plus nous nous éloignons de ce monde qui était peut-être possible et cela parce qu’il y a eu ceux qui ont voulu se la couler douce, être entretenus en adolescents et prendre en faussaires l’habitude des bonnes choses (le parasite et non l’enfant parasite, ce qui est la condition normale pour devenir adulte parachevé à Paris, par exemple !), en ne voulant pas que d’autres puissent accéder à ces biens de consommations qu’ils ont rendu rares, en nombre limité et cela pour les rendre très chers, donc réservés à eux seuls, en égoïstes et en faux capitalistes, comme en enfants gâtés qui ne veulent pas que les causes, l’origine du mal que sont ces augmentations du prix du pétrole, disparaissent pour donner à la place un monde dans lequel il y aurait plus de justice et un bien être, comme un confort plus général, normal et bien sûr souhaitable (ce n’est que quand le confort est obtenu qu’on peut se divertir ou faire des choses mieux encore). Hélas, il s’agit donc de personnes qui ne pouvaient pas discerner, qui n’arrivaient pas à faire les efforts élémentaires que requéraient la compréhension de ces quelques lignes logiques et vraies et qui préféraient conserver leur cerveau de devenus artificiellement des « ignorants », des « profanes », des « sacrilèges » de l’ensemble de la vie de ceux qui ne sont pas nés dans des contextes familiaux de bandits, de malhonnêtes, de personnes de mauvaise foi, de menteurs et tricheurs, d’usurpateurs et tous le corollaire des mots qui vont avec, y compris d’athées (au mauvais sens de ce mot et non au bon), mais aussi de tous les mots qui font tourner le dos à la lumière et à la vVérité et donc aux mathématiques qui ont donc à voir avec la Justice, avec ce qui est juste en vérité de penser, d’écrire et de lire (car on ne peut être que dans l’idée de servir ce qu’il y aurait de mieux pour le plaisir intellectuel des autres, ce qui sera forcément en fin de compte le plus véritablement sensuel car sans être plus l’esclave de clichés érotiques de bas étage ou de trottoir donc du peuple, au mauvais sens de ce mot qui a refusé de chercher à s’élever à rechercher le beau ou le sublime en aArt mais s’est contenté de ce qui est le plus rasoir ou qui ne demande aucun effort intellectuel que seulement celui du mimétisme dans ce qui ne conduit qu’à devenir un désert soi-même : absence de projets, enfant-gâté, consommateur télévore qui ne fais rien de toutes les informations qu’il a la chance de découvrir, etc.) y compris de savoir dans chacune des catégories ou des sciences exactes qui mènent finalement à la découverte d’une catégorie qui est ici plus secrète, plus difficile d’accès et qui, dans certains cas, peut à voir avec la « foi » sans pour autant que celle-ci soit en Dieu, mais simplement pour arriver à croire, comme à discerner, dans chacune des catégories, ce qui est vrai de ce qui est faux, donc ce qui est juste – par conséquent ce qui serait comme ou représentant ce mot de Dieu ou de G. A. U. mais qui déjà ressemble il y a deux mille ans à Jésus-Christ, au Bouddha et à d’autres grandes figures plus anciennes si on devait les trouver à l’Âge de Bronze ou à Lascaux portant d’autres noms que l’homme de Nazca, l’homme de l’île de Pacques, l’homme de la Vallée des Merveilles au col de Tende.

Ils ne sont pas comme dans une ruche d’abeilles ou bien dans une fourmilière, capables de fonctionner dans l’Intérêt de l’espèce entière des êtres humains. Ils sont chacun d’entre eux les conséquences d’un problème qui s’est passé il y a des milliers d’années. Ce problème est la cause / l’origine / le paramètre principal de l’ensemble des problèmes depuis des millénaires et il est la répercussion dans le passé de l’« ignorance », au mauvais sens de ce mot, comme de la folie d’une personne ayant perdu les capacités pour penser justement et objectivement comme de façon cohérente, par rapport au sens de l’Histoire qui a touché / handicapé un empereur : adolph hitler qui, de plus, n’a pas voulu agir comme il aurait dû, après la Seconde Guerre mondiale et surtout en faisant confiance sur ce point du pétrole aux pharaons suivants, dans l’ensemble des analyses exactes que ceux-ci (puisqu’avec mon père Nous l’étions) ont données en vérité, y compris en apparaissant dans le ciel d’avance à cet effet moi-même assistant mon père vérifié comme légitime, autant que moi, chronologiquement dans ce sarcophage des empereurs. Il s’agit donc avec adoplh hitler d’un empereur qui s’est mis hors-les-lois commerciales ou celles du bon sens y compris de celles des empereurs Granier qui ont cherché réellement à faire le bonheur général malgré qu’il y eut tout à reconstruire de celui-ci qui a abouti à une sorte de réalisation de cette notion de « table rase du passé » en barbare, au mauvais sens de ce mot car irrespectueux de l’infinie d’ifférence des peuples et des langues et des dialectes, donc cherchant à saboter tout ce qui faisait la richesse de l’Empire : sa diversité  (c’est qu’il a voulu, comme un enfant-gâté « avoir » l’argent (les à-premièrevues CFP) du pétrole appartenant à Dieu qui on le sait est à tous les peuples et non à en privilégier un (et qui devenaient entre ses mains des cff, cfu, cfs, cfm, cfi, et cfcch, etc. puisque voilà des personnes à corrompre avec, donc à acheter leurs amitiés ou à favoriser des personnes les flattant[61]) pour continuer à financer la corruption après la Seconde Guerre Mondiale (bien qu’officiellement mort, ce qui est en réalité le cas car cela est une très bonne chose et signifie que l’affaire est close : cette personne n’a donc plus le droit en théorie d’apparaître au grand jour avec son histoire, sauf par des truchements de pseudonymes s’il y tient ou alors s’il voulait être soigné et enfin accepté de comprendre qu’il faut être cohérent avec la chance qu’on lui a donné de le considérer comme handicapé et fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) puisque vérifié effectivement vrai sans un photon de doute possible à son sujet – aussi il a bénéficié des lois de Dieu à ce sujet qui ne frappe pas les fous puisqu’Il sait comment ils le sont chacun devenu en ne voulant pas se soumettre aux bons conseils scolaires ou universitaires de personnes les plus probes ou de qualité). Les répercussions de sa folie sont catastrophiques et à chacun des instants toujours plus graves et abominables partout dans tous les temps passés, présents et futur, tant que le variateur de la vision d’Atlantide ne sera pas remis à ces pharaons suivants dont je suis et qui ont été contraints d’incarner la raison, la conscience, ce qui est juste – car après de telles erreurs, il n’y avait pas le choix et ils auraient pu être à sa place (on le sait dans la liste des pharaons, ils n’ont pas tous été des criminels contre l’humanité, mais quelques uns, hélas pour eux – les empereurs qui ont suivi des criminels ne l’ont rarement jamais été et cela a toujours été une ère de prospérité qu’on a toujours dû par contraste et par le saint rejet de la brutalité). Mais à nôtre époque, en plus, ces empereurs qui ont suivi sont le résultat de la logique et de l’ensemble des sciences exactes et ils l’ont prouvé infiniment, au point d’avoir été capables de choses prodigieuses et miraculeuses, après la Seconde Guerre Mondiale et en ce qui me concerne de ne jamais avoir eu besoin de la vieille salle des machines pour sonder qui que ce soit, puisque nous avons agit et pensé comme ordonné logiquement, par rapport à ce que la situation générale de la folie, une maladie, avait créé comme horreurs : il fallait que ça cesse absolument et que les gens reviennent aux Bonnes Pratiques (commerciales qui assurent la prospérité, chacun étant responsable de sa caisse et de ses comptes, donc comptable devant Dieu, car se sont Ses sciences qui ont permis ces miracles et non celles de criminels qui ne les connaissent pas ou veulent les ignorer ou n’arrivent pas à les comprendre en raison qu’ils sont malades ou fous ou qu’ils ne voient pas encore clair, perdus, et donc à n’être que malhonnêtes ou à faire semblant de comprendre ou qu’ils n’ont pas encore pu atteindre le Purgatoire, ce qui les assure toujours du minimum de charité ou de celle qui est jugée possible quand elle est possible – ce qui ne peut advenir que si la prospérité revient, ce qui n’est possible qu’en acceptant de se soumettre aux Bonnes Pratiques) comme comprennent pourquoi ils n’avaient pas le droit de se comporter comme ça, avec qui que ce soit.

Le problème est un mot ici mis au singulier. Il a signifié des milliards de milliards de milliards de milliards et quasiment à l’infini de milliards de problèmes à chacune des fractions de secondes depuis qu’il est advenu. On peut considérer ce mot de « problème » comme étant dans le passé très lointain, (son origine au départ), mais nous avons pu démontrer que les conséquences de ces problèmes étaient dans le futur (comme nous avons pu démontrer aussi que c’était ces problèmes dans le futur qui avaient peut-être ou sûrement étaient la cause ou l’origine du problème dans ce passé très lointain), car la situation générale y était bloquée jusqu’à notre intervention de ce futur, avant même d’y être, et cela en ayant pu, l’Ensemble, vérifier, que ces interventions du futur, de ce studio de la rue du Val de Grâce, s’étaient déroulées entre 1965 et la fin 1971, comme de nouveau à partir de la fin 1975 (en vérifiant, par-dessus le marché, le calendrier (Occidental) sur autant d’années à la fraction de seconde près : il est bon, juste et fonctionne réellement en raison aussi des vérités relatives en astronomie qui, vérifiée ont permis de commencer la conquête de l’Espace en orbite, sur la Lune et sur Mars mais aussi en la commençant vers nulle part et ailleurs ou plus loin).

En découvrant, en chair et en os, ces interventions à partir de 2005 qui n’avaient été autrefois que du virtuel, puisque nous avons pu le vérifier nous-mêmes et d’autres personnes, en chair et en os, dans le passé, c'est-à-dire aux dates indiquées, puisque nous écrivons ce texte en 2012 (relu et corrigé, ce passage, en 2014, le 22 novembre et premier août 2017), l’origine de ce problème pourrait être aussi plus loin encore qu’à l’époque d’adolph hitler, dans le futur en tant que conséquences et non pas en tant que cause. La cause des effets produits dans le passé comme dans le futur venant de l’emploi des mots, oralement, pour dire la vérité ou alors, nous l’avons vu plus haut avec la note au sujet de Marc Aurèle, pour créer une incertitude ou même pour mentir, par des usagers de ces mots employés en mensonges (parfois avec de bonnes intentions et non des mauvaises ou alors maladroitement) n’ayant donné chez eux que des signes d’incohérences, de folies, d’incapacités à comprendre l’époque, d’analyses erronées ou trop partielles (y compris pour affirmer les vérités générales qui le furent) et cela parce que la vérité, dans l’époque en question, n’est connue que par quelques rares personnes instruites et se sachant dans un monde dont les membres sont, en grande partie, devenus des menteurs (d’autant plus qu’assurés de revenus obtenus par copinages et non pour de réels mérites personnels liés à des compétences et des savoir-faire acquis avec détermination et constance, donc à force de vertu, ce qui a entraîné ces personnes du côté de la parodie de l’être humain ou la recherche des vices avec leur cortège de maux et de malheurs divers menant plus ou moins à des morts certaines d’autant plus d’une trop grande complaisance à pécher et d’autant plus aussi qu’ils furent ceux qui ont rejoint ceux qui par peur atroce de la vérité, donc n’arrivant pas à la dominer, se sachant en faute, eurent néanmoins en raison de ce qu’ils ne voulurent pas se soumettre au devoir d’antithèse que l’honnêteté véritable exige (ce qui a conduit l’empereur Hermès Trismégiste et … qui écrit à découvrir que c’est en réalité l’existence de l’hyper-éthique et de l’hyper-sainteté et non pas seulement de l’éthique ou de la sainteté, etc. , comme on l’avait autrefois constaté, qui a été à l’origine même du sauvetage de la Création, comme de ce texte), à cacher l’existence de la salle des machines) et le corollaire de mots qui vont avec (donc des ignorants, au mauvais sens de ce mot), par conséquent qui sont des « hors-la-loi » sur une planète qui pour et dans chacun de ses électrons ou de ses atomes ou de la mémoire qu’elle aurait de chacun des photons reçus gratuitement en raison de la loi de la Quantité de ce soleil pourtant rare (un paradoxe ici car une chose rare est chère ou précieuse ou coûteuse, pourtant le voilà autant généreux) car unique dans ce système solaire, obéit aux vraies lois cosmiques universelles. C’est bien ainsi que nous trouvons la cause, l’origine du problème : des personnes profanes qui font le choix de ne pas obéir à ce que la situation générale recommande comme soumission aux vraies et justes lois comme par exemple de désobéir aux fausses lois[62] qui ne peuvent avoir comme origine que des personnes devenues mensongères. Pourquoi sont-elles devenues menteuses ? Pour de très nombreuses différentes raisons pour chacune d’entre ces personnes et parmi ces raisons, il y a eu l’accès à la lecture, comme à l’écriture, dans une situation générale bloquée (par eux entêtés dans l’idée qu’ils pouvaient s’autoriser à agir contre l’existence des meilleurs conseils ou les meilleurs avertissements, proverbes ou textes saints, des investissements et des preuves que la bonté était une réalité et non du « rien »), qui permet alors de façon canonique à ceux qui n’ont pas la vieille salle des machines, d’avoir absolument tous les droits dans les différentes réalisations qui sont les leurs, y compris dans l’ensemble des sciences et des sciences de l’aArt et cela pour être capables de distinguer les êtres humains par catégories y compris celle des menteurs, par conséquent des futurs dangers qui doivent être repérés, car l’Intérêt Général est de ce fait menacé par ces individus qui font semblant de respecter les lois y compris les règles, y compris les individus, alors qu’ils sont allés rejoindre la vieille salle des machines pour devenir encore plus inconscients, irresponsables, incohérents, incompétents en se moquant de l’existence des uns ou des autres ou même de la souffrance de ceux qui résistent (les résistants – ce qui est absolument indispensable, car sinon tout fond ou se dissous. Aussi vôtre groom mécanique ne permettra jamais à la porte de se fermer d’elle-même, sans que vous ayez à devoir prendre ce temps à y veiller pour éviter que les courants d’airs n’apportent leur lot de pollution et de microbes – la rRésistance étant donc la pièce maîtresse qui est fondamentale – rien ne marchera jamais sans celle-ci [à toutes les formes d’inepties], car alors le groom ne fonctionnera plus, ni peut-être même le zoom – ce qui est ici pour la rime et non un synonyme : il ne faut pas confondre ! Bien qu’en inscrivant cela je sois d’avance certain y compris en me relisant (ce qui le confirme exactement une autre fois sans doutes), car je me connais : cela va finir par être possible zoom et groom comme synonyme, à cause de l’esprit de mon très salubre esprit de contradiction ou celui de ceux qui sachant les choses moins simples que cela s’ingénient à les mettre en adéquation avec ce qu’ils savent intrinsèquement et consubstantiellement ontologiquement plus compliqué (du sens, du complexe, à opposer au simple, au sens) qu’à première vue simple et peut-être même dans l’intention de les perfectionner à l’extrême, car à la réflexion faîte, il y a dans la notion de groom comme de zoom une résistance en commun, surtout dans ceux motorisés et électriques et surtout, ce serviteur, ce groom l’est en [à la manière d’un] zoom – aussi voilà dans le futur les plus hardis photographes qui s’ingénient à [re]donner du service aux appareils photos de nôs époques passées, munis de zoom pour être fidèles avec raison à la photographie sur support argentique (la vraie pellicule), à dire « passe-moi le groom ! ». Et zoom ! la porte qui se ferme, mais, oh ! , peut-être les lunettes qui sont tombées en raison que la résistance qui était mal réglée (je pense ici à une porte précise rue des Feuillantines à Paris) transporte la porte à frapper encore violemment contre le montant de celle d’à côté qui est celle à laquelle elle est mariée en temps normal (quand elle sont à l’état de fermeture bien que l’une et l’autre vitrée, mais grâce aux croisées de bois, cela évite à l’entrant de poursuivre en ne prenant pas garde à la transparence et cela lui évite, cette solution élégante de menuiserie sainjoséphienne, de passer à travers les amples carreaux de verres, nommés vitres qui ont permis d’économiser autant de bois que cela, ce qui a déplu aux bûcherons peu soucieux de la conservation de leur gagne-pain et donc peu soucieux des forêts, ne s’étant pas interdit comme les plus conscients de saboter ce gagne-pain. Elles purent être proposées à ce prix, ces vitres, grâce à la loi de la quantité qui a permis à une industrie qui avait commencé en artisanat de les fabriquer en autant d’exemplaires qui engendre des coûts à stocker et de ce fait au lieu d’avoir à les proposer à la vente, comme ce que représentait le prototype dont eu l’idée l’incommensurablissime ingénieur muni, comme d’habitude en raison de mariages du Saint-Esprit, en raison que cela a permis d’offrir un travail rémunéré par Charité à de la main d’œuvre et a ainsi permis de proposer ces vitres à des prix très bas ou le plus bas possible pour intéresser jusqu’aux plus démunis, si possible mais des prix qui durent en tout temps répercuter les coûts des prix des transports pour tout organiser et au minimum nourrir les ouvriers, ce qui n’a pas permis, d’autant plus de l’augmentation du prix du baril de pétrole depuis 1850, de les offrir, puisqu’il a fallu reporter chacun des coûts pour les produire, ce qui est aussi le cas pour les planches en/de bois, alors que les arbres poussent généreusement et gratuitement pour produire comme les plus âgés des branches immenses (en Amazonie qui sont elles-mêmes en raison de la loi fractale comme un arbre miniature, mais à l’horizontal au lieu d’être à la vertical ou alors en diagonal, poussant, s’élevant, vers le haut, comme en définitive les arbres nommés sapins de Noël) qui sont les seules qu’on puisse tailler et non le tronc, sauf en ayant les dérogations des Services de l’Architecture et du Plan de l’Occupation des Sols, puisqu’il est périodiquement cette contrainte, [en raison de la démographie qui augmente malgré l’existence de la contraception, ce qui est paradoxale avec cette ancienne haine de la reine de la nuit envers/contre Dieu et qui affirme donc que les gens sont à vouloir la Vie et non la mort de leurs descendants, donc à être près à reconnaître aux sciences de Dieu tous les bienfaits dont ils disposent, en sachant que ce n’est pas au diable, au mauvais sens de ce mot, qu’ils les doivent, mais bien au moins pour une grande partie à Jésus Christ, Sauveur du monde, au Bouddha auparavant, à Mahomet et à d’autres personnes ayant eu la Bible des israélites et les anciens testaments (des conseils, des avertissements) comme très saint référents en commun], de ce qu’on n’a pas voulu encore se permettre de construire aussi haut ou même plus haut encore (comme le conseillait Le Corbusier) que les arabes de déraciner des arbres pour étendre les habitats, au lieu de bénéficier de l’espace vital que depuis longtemps chacun des clochers de chacune des paroisses signalait comme faisable, avec ce qui a donné la notion de tour ou gratte-ciel, phares, goulots, puits, à moins que ces clochers ne résultent de cette notion de puits): elle ne semble divorcer un instant (puisqu’elle part vers la recherche parfois d’un extrême) que pour mieux rejoindre son épouse grâce au retour causé par ce ressort ce qui donne, quand cela est mal réglé, cette claque, ou gifle qui grâce au groom mécanique (un Spirou de service, peut-être un enfant s’il n’était pas aussi consciencieusement au service de l’Immeuble, du Navire nommé Ôz) enfin réparé et mieux dosé dans les variations des échelles possibles pour cette résistance, rend « salubre le vent » dégagé par ces beaucoup plus tendres retrouvailles quand ça marche[63]) au point que le déplacement du vent, comme dans les dessins animés a décoiffé[64]) pour le Bien Général et qui sont au service de la Vérité comme des progrès, mais aussi capables de le conserver afin de pouvoir transmettre ces anciennes nouveautés, mais aussi ces nouveaux progrès à ceux qui sont capables de les apprécier, comme le feront l’ensemble des vrais maîtres ou enseignants ou professeurs ou pères et mères responsables de l’éducation de la génération suivante). Une des origines (des causes) du problème provient de ce qu’il y a des gens qui veulent utiliser l’écriture ou la lecture d’œuvres diverses dans chacune des catégories possibles, à des fins égoïstes (au mauvais sens de ce mot, non comme l’admirabilissimissime Jules Vernes) et donc en utilisant les différentes catégories pour tromper et agir en faussaires, y compris les mots corollaires qui vont avec dans leur sens négatif, car il y a toujours un sens positif pour chacun des mots, dans chacune des différentes langues humaines et/ou animales et peut-être même végétales (en tout cas ici cette idée dans un sens poétique, tant qu’on n’aura pas vérifié de la sensibilité des plantes y compris de leurs capacités à communiquer entre elles, ce qui est peut-être le cas pour certaines espèces, y compris sous-marines).

Nous sommes certains que le Problème, sur cette planète (donc un problème local dans le très vaste cosmos), est venu de l’invention de l’égoïsme par l’enfant-gâté (il s’agit de celui qui n’a pas pris l’habitude d’aider et qu’on a servi, alors qu’il ne donnait rien en échange ou peu (on peut, c’est normal servir celui qui comme Jules Vernes ou Hugo ou Dumas ou Balzac ou d’autres sont fertiles, mais on doit s’interdire de servir celui qui va être si ça continue l’auteur du désert) – par exemple qu’il a fait semblant d’aller à l’Ecole et n’y est allé en définitive que pour s’amuser et se moquer des enseignements reçus puisqu’il n’a pas voulu entretenir sa mémoire. C’est celui qui va recevoir des cadeaux disproportionnés et donc qui sera corrompu, etc. – cela vient de parents qui eux-mêmes sont des enfant-gâtés dans la mesure où les Crédits de Financements dont ils disposent seraient faux ou usurpés ou sales ou à l’origine malhonnêtes sur quelques points (donc si le point de départ pour les obtenir fut faussé) – prenons un exemple, le patron d’un abattoir disposera très rapidement de beaucoup de Crédits Financiers à-premièrevues Propres et donc va probablement assez facilement et assez rapidement pouvoir gâter ses enfants. Ce sera pareil en Occident, pour le patron d’une boucherie, d’une charcuterie ou d’une pêcherie, puisqu’il est assuré de vivre très confortablement assez rapidement (à cause de cette loi sur la Quantité dont il bénéficie comme le bûcheron de plus haut qui a le choix entre être celui qui n’a pas le soin de son gagne-pain ou au contraire qui est de ceux qui connaissent d’avance la perspective, donc qu’il y a au bout de rue ou de cette voie, un angle droit alors qu’à première vue on ne pouvait plus poursuivre tout droit ou alors devoir rejoindre une entrée (aussi l’automobiliste profane ou au contraire averti sait qu’il aura à décélérer, à rétrograder les vitesses pour mieux épouser ce virage de l’Angle droit qui est celui sur lequel la Croix a permis de porter plus spécialement qu’avant Nôtre attention : rien n’est plus pareil, en arrivant au carrefour/rond point (parfois synonymes pour ceux qui sont ici à préférer être dans le vague, puisqu’on ne sait pas ce qui s’est passé comme modifications par les services de la voierie en ce point : a-t-il évolué ou est-il sans statue ou œuvre d’art / calvaire au centre) et donc il conviendra de se préparer collectivement dans l’automobile, si on est à plusieurs, comme au cours d’un rally, pour tourner – aussi si le bûcheron, comme le boucher et le pêcheur comme l’ostréiculteur ou le conchyliculteur savent et sont avertis d’avance, qu’en raison des chiffres démographiques, l’heure de la fin absolue impérative de la boucherie, charcuterie et pêcherie, conchyliculture a sonné ou va sonner au bout de cette rue qui à première vue était une impasse et même une voie sans issue, mais heureusement une ouverture à angle-droit (à cause du pharaon de l’Angle) s’y trouver pour tourner au bout (ce qui n’a pas contraint à poser les panneaux signalant que la voie était sans issue – on n’avait donc pas menti : il y a que cela continue plus loin au moins jusqu’au feu-rouge, [un stop aussi qui n’est pas loin et où il faut se décider pour la route à prendre] qui mène à la rue Saint-Jacques qui permet de rejoindre en passant par la place du Val de Grâce, en Espagne Saint-Jacques de CompostIne (compostYne), variante de Saint-Jacques de Compostelle ou Compostèle), dans trois générations ou peut-être moins que cela (bien que toute proportion gardée pour venir de l’avenue de Port-Royal à l’angle de la rue des Feuillantines qui permet d’arriver à ce feu rouge ayant à main droite le Vin sobre et à main gauche la Sensitive tandis que sur le trottoir de gauche la boucherie admirable et dont les pâtés sont mémorables [de Charcelay, très vaguement charcutier peut-être aussi quand il proposera le jambon délicieux à l’os en étant ainsi fidèle / en illustrant cette notion de « logique du signifiant » un des dossiers que je n’oublie pas, car voilà un exemple de plus qui le confirmera], le virage est possible et/pour la Grande Mutation, enfin une réussite, avec cette autre perspective d’une voie aussi royale que celle d’avant (qui doit cependant nous faire forcément retourner à cette avenue Port-Royal, même si nous voulions l’éviter en prenant tout droit pour/par les Gobelins et enfin rejoindre la Place d’Italie où j’ai fait bâtir un métaphore. De toute façon il faut passer par se détour pour rejoindre le Sud et le Soleil par au moins une liaison avec le Boulevard du Port-Royal (une abbaye que j’eus à visiter au cours de cette réincarnation, donc dans laquelle je fus et qui est liée à S. A. I. SSS Lord l’immenssissimissime… Pascal et …) du côté de l’Escurial (Cinéma), mais avec d’avance cet autre petit carrefour à cet autre angle qui mène aussi vers Notre-Dame, dont Nous savons d’avance, ce qu’il va signifier comme Nouvelle Grande Mutation (qui feront la route droite jusqu’à au-delà du détroit de Gibraltar, d’un côté si on opte pour le Portugal ou alors de l’autre, sans avoir à prendre le bâteau pour la Sicile si nous devions éviter Port-Royal et [de nouveau] aller vers Rome par la route). Aussi il est pour l’instant important de se focaliser sur ce qui encore loin : 75 ans. C’est trois générations de vingt cinq ans chacune, mais déjà d’anticiper sur l’angle d’après, comme n’importe lequel des braves chauffeurs qui a en-tête d’avance le parcours, en raison de ce qu’il a consulté normalement avant de partir la carte ou le plan. Cela signifie que comme dans la rue Pierre Nicole qui mène à la rue des Feuillantines qui est effectivement à angle droit avant l’entrée de l’Ecole de l’Abbé de l’Epée que Nous fîmes percer de ce côté dans le mur (comme construire les différentes extensions y compris en salle de sport à l’intérieur) pour palier au manque auditif des sourds et muets et permettre qu’ils s’expriment grâce à l’exercice d’une langue particulière et savante qui a été trouvée par ce saint homme [à cannoniser s’il ne l’a pas encore été], comme fut trouvé celle qui permet de noter les notes de musiques ou récemment celle pour préparer sur le papier des compositions chorégraphiques (ce que j’eus à demander de réaliser, en le dictant à travers le temps et [en] en donnant la solution élégantes pour ces plans), au point d’être le meilleur ami de son banquier. Le voilà donc facilement parmi les « honnêtes gens » ou les notables, mais en étant complice de ceux qui, en réalité, ont les mains sales et donc sans être de ceux qui vont trouver mal qu’un enfant dispose d’un jouet coûteux (en effet, son problème n’était pas le bien et le mal, mais un problème de réaliste, au mauvais sens de ce mot : il devait trouver des financements pour survivre avec sa famille et n’a pas voulu acquérir les savoirs-faires les plus exigeants ou les plus particulièrement difficile à acquérir, ni même de diplômes (ne serait-ce que pour rassurer les colets-montés[65] et parfois à cause de cela dédaigneux à ce sujet) : il a donc accepté un emploi aisé et qui n’exige pas de grandes difficultés, gâté en cela par la civilisation qui l’a autorisé au lieu de l’interdire, entretenu dans cette facilité d’obtenir des moyens financiers importants en ayant peu de peines, comme en général la main d’œuvre qui n’a qu’à aller et venir avec un manche à balais – ce qui signifie avec des activités simples, parfois un peu exigeant physiquement la répétition de mouvements simples et toujours plus ou moins les mêmes, ce qui est donné à faire dans l’espoir que finalement cela pourrait aboutir à faire fonctionner le cerveau mieux que cela pour alors pouvoir enfin accéder à plus difficile – ce qui est et sera toujours le plus fondamental pour réussir à innover, donc ce qui fut en tous temps pour chacune des solutions élégantes qui nous entoure et qui n’eurent alors que ces sciences de Dieu enfin en très petite quantité accessibles sur granier (Internet), conservées le plus précieusement dans tous les monastères y compris coptes de l’Egypte ancienne ou au Mont Athos ou dans ceux des Météores, en Grèce) – l’enfant lui-même trouvera normal d’avoir obtenu ce jouet et appartiendra aux corrompus ou se tournera vers ceux qui pourront lui permettre de reproduire la même chose, quand il aura lui-même un enfant : donc disposer facilement de financements pour corrompre et non pas rechercher à être juste (vrai) – aussi naturellement le voilà à avoir pour amis ceux qui n’ont pas de problèmes de CFP et qui pour cela rackettent la civilisation entière en augmentant le prix du baril de pétrole, d’autant plus qu’ils n’arrivent pas ou très peu à comprendre l’Economie ou le Commerce – le voilà a être du côté des bandits, au lieu d’être le serviteur de l’Etat véritable (qui est forcément une notion d’ingénieur, d’architecte véritable et donc incompatible avec la notion de bandit, puisqu’il n’existe comme l’a compris Michel-Ange dans la Sixtine que pour le fils, donc pour être transmis, aussi propre, qu’il fut possible au père de le recevoir d’Abraham, Moïse, etc.  pour plus loin) – il sera donc celui qui fait semblant, le faussaire à cause d’une éducation au départ improprement administrée). Il est né de l’occupation de la vieille salle des machines et à cause de cela, il y a eu (une répercussion de cela logique) « la propriété privée », comme avec elle, l’exclusion de ceux qui n’appartiennent pas à cette espèce de club[66]. Le Problème ou bien la cause, c'est-à-dire l’origine de l’ensemble des problèmes survenus, nous l’avons dit, provient de ce que le peuple a voulu accéder aux savoirs et aux connaissances qui n’appartenaient autrefois qu’à certains rarissime[s] aristocrates dont quelques uns de véritables rois et véritables reines, d’autres des saints et des moines ermites, d’autres les aArtistes très véritables et non les faussaires. L’accession et la soif de connaissances n’est véritablement pas un mal en soi, mais quand cela est fait n’importe comment (par exemple en espionnant), par des personnes qui n’ont pas voulu rechercher et bénéficier d’un encadrement de maîtres véritables ou d’initiés, c'est-à-dire par des personnes qui ont des longueurs d’avance, cela a des chances de tourner en vinaigre (et pas de celui de Modène, balsamique[67], qui est des meilleurs, mais de ceux très désagréables) ou bien pire car le peuple n’a pas la formation qui permet d’être critique et de réfléchir sur ce qui lui est proposé comme phrases écrites, ou dites, y compris en tant que chansons dont les textes proviennent parfois, au contraire, de très grands poètes, mais aussi, à l’inverse, parfois de charlatans et de menteurs[68]. Pourtant il fait à d’autres moments preuve de plus de bon sens.

Ce qui s’est passé, avec le désir, en soi-même une très bonne chose, de faire de l’Instruction une priorité, une contrainte[69], une obligation, a donné des gens plus ou moins instruits (qui n’ont pas/plus eu le constant soucis de rechercher celui d’entre eux qui l’était au plus haut des degrés pour le suivre comme Abraham ou Moïse, mais souvent celui qui l’était le moins – d’où que de ce côté cela n’a donné que la très infâme et vilaine et très laide haineuse reine de la nuit et de l’autre Platon, Archimède, Jésus, Shakespeare, Molière, Bergman, etc. : la reine de la lumière ou la Très Sainte Vierge Marie, par conséquent que des très merveilleux grands-hommes ou grandes dames) et ceux-ci ont voulu accéder à des livres ou des textes, des scénarii de film, des pièces de théâtre qui ont été écrits, comme l’ensemble des œuvres qui témoignent encore d’être[70] des traces ou des vestiges d’anciennes civilisations, à des moments précis et dans des contextes précis (il y a donc, par conséquent, les préjugés et les injustices de ces époques-là à combattre). Cela signifie donc que sans avoir des notions d’histoire et de géographie, mais aussi d’autres sciences, celui qui n’a pas non plus des informations concernant l’auteur, risque de croire à des phrases qui vont soit l’indisposer contre le compositeur de texte (l’écrivain) soit le faire adhérer pleinement à la pensée de cet auteur au point de devenir un inconditionnel ou de rejoindre les membres de sa chapelle pour lui ériger comme avec/pour Eugène Delacroix au moins un monument qui sera finalement autrement dans chaque ville le rappel de ce qu’il nous offrit à tous comme ors (dont nous lui seront pour toujours redevable puisqu’il continue à émettre de la vraie Vie), puisque ces noms de personnalités sont des sézames [Ali baba et les quarantes voleurs avec l’immenssissimissime... S. A. I. SSS Lord Fernandel] et … devant la Montagne Sainte-Victoire de Cézanne qui est donc une des portes ou un des passages obligés de la Très Grande et Très Véritable Peinture qui a aussi intéressé les réalisateurs Straub et Huillet, un de ces tableaux filmés en noir et blanc, d’une façon continue et peut-être à première vue seulement ennuyeuse comme ces films calomniés avec ce grand acteur au prise avec la cécité plus ou moins totale d’un alter ego maire, prétendant être « communiste » avec, et que[71] ce mot n’est que d’Eglise !

L’« adhésion » signifie qu’on est d’accord sur la logique du raisonnement et qu’on en comprend les raisons qu’on partage,[72]/[73] qu’on a en commun aussi le même sens donné aux mots. C’est ici que si on n’a pas en permanence en tête l’origine du problème et les répercussions de celui-ci partout (dans le passé, autour de nous dans le présent et par voie de conséquences dans le futur) y compris dans toutes les catégories, on risque de croire, par exemple, que la maladie, la mort, est/sont un état normal par lequel nous aurons à passer, inévitable (hors un grand nombre de personnes ne tombent jamais malades et j’ai pu le vérifier sur moi-même depuis 2005 : trois jours seulement en tout de un peu mal à la gorge, avec un peu de fièvre, que j’ai soigné avec des citronnades chaudes et aussitôt disparus, tandis que quand je fus à démontrer de 1978 à 2005 ce qu’est devenir amnésique et pendant quelques années fumer des cigarettes avant de trouver le moyen d’arrêter, on comprend que la Sécurité Sociale n’est peut-être pas la meilleure solution, car les gens autant sûrs d’être assistés et remboursés sont à faire toutes les erreurs pour tomber malades, puisqu’ils sont devenus faunes, satyres et centaures au lieu, en raison de peurs d’attraper mal, de ne rien oublier de l’hygiène minimal pour l’éviter). En effet, la mort existe toujours / encore à notre époque en 2014, mais elle n’est qu’une conséquence du fait que la vieille salle des machines est entre les mains de personnes n’ayant pas acquis les qualités d’honnêteté scientifique autant exacte que moi pour être de ceux enfin dignes d’avoir le droit de l’utiliser, en ayant continuellement en mémoire que c’est bien l’occupation de cette vieille salle des machines qui est responsable et auteur de la mort, ce qui est à l’origine de l’ensemble des maladies[74] et forcément, parmi celles-ci, celles qui conduisent à la mort. En ayant déterminé aussi exactement qu’ici la cause, l’origine de l’état général de la situation de chacun d’entre nous, en ayant trouvé pourquoi il y a la souffrance, les maladies, les déserts et la mort, nous nous sommes conduits ici, comme de véritables Sherlock Holmes ou médecins, car c’est ainsi que les véritables médecins peuvent apporter les années d’expériences et de connaissances scientifiques dont ils sont devenus les dépositaires pour tenter de soigner des personnes qui vont mal. En effet, une des caractéristiques majeures des vrais médecins est celle de la curiosité dans ce que ce mot a de meilleur pour déterminer « pourquoi » la personne qui est devant eux est malade ou souffre[75]. Tant que le médecin n’a pas trouvé les raisons par des questions ou des tests qui peuvent conduire les patients à être contraints de faire des analyses de sang, par exemple, le médecin ne peut pas se prononcer ou bien au contraire dira plus ou moins certainement de quoi est malade la personne, étant donné des listes de statistiques qu’il consulte en raison du fait qu’il doit se tenir à jour et qu’il s’abonne à des revues spécialisées pour le corps médical.

La cause / l’origine est entendue, nous avons déterminé ce qui est / était à l’origine de l’existence de la mort et des maladies, y compris des incapacités de certaines personnes qui vont donc être des personnes qui, par exemple, copient sur les voisins, puisqu’ils n’ont aucune idée pour répondre à un sujet : ils sont parfois même devenus des déserts, tandis qu’il y a ceux qui, faisant parti de la vieille salle des machines, ont plein d’idées pour se lancer dans des textes de faussaires[76] et cela parce qu’ils ont compris comment appliquer des méthodes et qu’ils veulent s’infiltrer chez ceux qui sont dépourvus de ces machines et qui ont des activités difficiles[77] à exercer dans ce monde de la Vérité qui est si contrasté au point d’attirer ces personnes provenant du monde du mensonge (de la salle des machines) qui espéraient cependant faire avec elles (ce qui est incompatible) des nouvelles recrues et détourner ces personnes qui vivent dans le monde de la vérité pour les mener dans leur monde [et] vers les maladies, les déserts et la mort[78]. Pour que les effets de ces mots de « maladies », de « déserts » et de « morts » disparaissent, il est impératif que cette vieille salle des machines ne soit plus utilisée ainsi mais soit utilisée en « it » (donc ni en he (il), ni en she (elle) mais en « it », car elle est, cette machine, un « it » objet qui, on a pu le remarquer, quand elle fut en ces mauvaises mains (celles de la reine de la nuit, haineuse) oublieuses de notions / paramètres, comme celle de la souffrance, conduit à rendre infiniment coupable l’ensemble de ceux qui y eurent accès) revienne enfin entre des mains honnêtes / propres, au point de pouvoir être de celles qui les ont peut-être conçues (donc à des gens de sciences exactes[79] ou plus que cela avec moi). Cela permettra à ceux qui les ont utilisées et conservées, jusqu’à nos jours, de bénéficier chacun d’entre eux, y compris leurs ancêtres d’un capital qui résultera aussitôt de l’ensemble des souffrances que ces personnes, ayant renoncé enfin à continuer à être les héritiers de cette vieille salle des machines, jusqu’à ce qu’elles puissent de nouveau leur appartenir, une fois qu’ils seront guéris, et donc en ayant retrouvé la possibilité de les utiliser, mais enfin avec un autre état d’esprit, en étant capables de lire, sur de nombreux niveaux de lecture différents, et en prenant en considérations de nombreux paramètres y compris contradictoires y compris qui peuvent se traduire par des inconnues, par exemple sous la forme de trois petits points, ce qui contraint alors, forcément, à ne pas pouvoir tuer et donc à être hostile à la peine de mort, car la personne qui « à première vue » la mérite, se situe dans un contexte particulier, fait partie d’un contexte qui a été soumis, pour les gens de sciences exactes, à ces paramètres inconnus qui jouent en faveur de la personnes, s’étant très grandement mise « hors-la-loi » (à cause d’ignorance, au mauvais sens de ce mot et non au bon).

En rendant la vieille salle des machines, comme le variateur de la vision d’Atlantide (à des personnes enfin véritablement compétentes), cela signifie plusieurs conséquences positives pour ceux qui en détenaient le maniement. La première des conséquences positives très importantes et qui est une très bonne affaire, si nous nous trouvons toujours dans le cas de figure de la Création pour laquelle nous « faisons comme si » nous pourrions vaincre les maladies et les déserts sous chacune de leur forme, est une conséquences qui a à avoir avec ce qui se passe dans le monde de la finance et des banques : chacune des personnes faisant partie de celles qui se sont mises sous la protection de cette vieille salle des machines, vont bénéficier mathématiquement d’une sorte de crédit, étant donné que celles-ci renoncent pour toujours à nuire (aux enfants ou aux bébés puisqu’ils apprennent enfin le respect des sommeils et comprennent que chacun des enfants est dans de véritables difficultés et cela dans tous les pays du monde dès la naissance) et vont ne plus représenter le danger qu’elles représentent pour les autres, depuis qu’elles avaient hérité de la vieille salle des machines. D’autre part, il se pourrait qu’au terme du processus l’ensemble des maladies et l’ensemble des différentes formes de désert aient disparu. Cela nous le devrons à ceux qui justement, en raison de cela, vont dès qu’ils rendront la vieille salle des machines, être considérés comme de véritables potentiellement frères (et non plus de ceux qui continuent à faire semblant ou qui se servent d’une façon non fraternelles des machines. Enfin ils comprennent qu’un avis donné par une personne véritablement compétente doit être suivi), puisqu’ils auront enfin agit comme de véritables frères, vis-à-vis de ceux qui pourront alors, parce qu’ils seront chargés de la restitution de la vision d’Atlantide, selon un programme respectueux de la nécessité de transmettre les savoir-faire, plus facilement former et expliquer à ceux qui étaient devenus des inconscients, des irresponsables, des incohérents et des … , l’ensemble des choses que ces personnes ont du mal à comprendre pour l’instant (mais qui sont aussi des méthodes d’éducation meilleures) dans chacune des différentes sciences, y compris des sciences religieuses, comme aussi la théologie, mais aussi les sciences du sacré, donc l’art sacré, étant donné que ceux qui détenaient la vieille salle des machines savent très bien l’intérêt que ces personnes prisonnières de cet héritage encombrant, manifestent pour l’art profane ou bien même des œuvres qui ont, comme traits communs, d’être de celles qui sont proposées par des « ignorants », au sens négatif du terme donc des à première vue inepties[80].

Cela devrait donc rassurer ceux qui ont hérité de cette vieille salle des machines dont ils pourront expliquer le fonctionnement y compris technique pour réaliser des rêves ou des cauchemars[81] à distance, mais cela à partir du moment où se seront les autres qui en seront les responsables, seulement avec l’accord au préalable des personnes qui dorment, c'est-à-dire en situation de consentement mutuel et/ou à des fins scientifiques, pour rechercher les moyens de soigner les cerveaux qui ont été endommagés par l’usage de ces machines n’importe comment, sans réelle déontologie d’une scrupuleuse honnêteté scientifique hyperéthique car hélas ceux qui en héritière étaient encore sans conscience (donc en étant effectivement à l’origine des ruines de ces âmes s’étant permises ce qu’elles auraient dû s’interdire) et sans s’être jamais mis d’avance, en fonction des rêves ou des cauchemars, comme s’ils devaient être à les recevoir en tête, à la place de ceux qui en ont été les victimes, donc sans véritable fraternité ni générosité à l’égard du cobaye : donc parce que sans cœur, sans réelles sciences. Au fond, sans éthique non plus (puisque cette science et consubstantielle à la notion de Fraternité – c’est parce que l’éthique est absente qu’on se comporte non fraternellement ou/et par exemple en espion, sans prévenir – cela signifie que ces personnes n’ont plus accès à la Vérité puisqu’elles s’autorisent ce que chacune des autres s’interdit d’elle-même et sait inconcevable ou impossible puisqu’elles sont réellement nobles), et sans respect de la différence de chacun des parcours de chacune des personnes ayant des histoires originales au point de croiser[82], à certains moments, comme quand on survole les pistes de Nazca au Pérou, ces sortes de voies tracées, longues, qui semblent des pistes d’atterrissages pour des avions, alors qu’elles sont en réalité d’élémentaires/simples perspectives en quasi trompe-l’œil et qu’elles sont sur un autre plan (celui de l’esprit, ce qui n’est pas visible à première vue – j’ai eu à le vérifier en faune ou apprenti satyre, pour comprendre pourquoi les centaures n’y comprenaient rien) les métaphores d’existences (de vies) ayant en tant qu’individus (in sè, per sè ou ayant à persister dans leur être ontologique) à se croiser à de certains moments (à un point carrefour), avec d’autres semblables ou légèrement différentes comme deux grains de thé sont différents (l’emprunte ici l’idée à une pièce de Théâtre de mon frère S. A. I. SSS Lord et l’archi-saint Luc-François Granier et … qui est peut-être le Prince et la Nonne (deux en une, ici un raccourci) ou L’Ogresse, je ne sais plus, car cela remonte à loin que j’eus l’honneur de l’entendre les lire lui-même), allant dans des directions différentes ces dissolutions de théïne[83], parfois pointant ou longeant l’une de ces figures qui sont parfois celles d’animaux ou des objets (un peu comme des emblèmes des contrades – équipes/quartiers - de la ville de Sienne en Toscane en Italie) et qui ne sont visibles, comme ces pistes, que quand on les survole, ce qui signifie bien que cette civilisation Nazca, après la presqu’île de Paracas, sur la panaméricaine Sud ([comme] la voie Appia de l’Amérique Latine) au sud de Lima, était formée de personnes qui avaient bien conscience qu’il y avait des personnes dans le ciel, auxquelles ces habitants s’adressaient et rendaient hommage, espérant peut-être que ces dieux leur seraient favorables à moins que ces personnes n’aient eu la chance[84] de connaître, pendant un certain temps la possibilité de voler, comme Dracula – aussi, il est probable que Dracula cru que c’était un hommage à son intention alors qu’un avertissement : « les destinées des gens sont pareilles à des lignes sans fins qui croisent les destinées d’autres personnes, ce qui donne naissance à un colibri ou un singe ou une baleine ou d’autres sortes d’êtres humains animaux qui sont ces lignes elles-mêmes » et c’est point carrefour d’où en raison de l’anneau qui se manifeste alors à cause de l’aAmour qui naît de toutes les preuves qu’il n’y a qu’aArt en ce monde (les céramiques et les poteries Nazca ne cessaient de le prouver), proviennent les enfants. Il y a donc eu une véritable civilisation à Nazca qui avait l’intention de résoudre/débloquer le problème. Les vestiges l’attestent comme pour les autres grandes civilisations crées par cet état d’esprit proche mais différent des autres grandes civilisations (il n’est pas étonnant que chacune de ces céramiques soient plus précieuses que tout au point de garantir comme les autres œuvres d’art des civilisations pré-colombienne la monnaie elle-même des péruviens d’aujourd’hui : le sol et de permettre de créer la futur Monnaie Unique des pays sud-américains à l’instar de celle du groupe/ensemble de pays d’Amérique Centrale ce qui s’inscrit dans celle plus globale et Unique d’Ôz).

Une fois ces machines entre des mains qui ne chercheront d’aucune façon à se veanger[85] ou même à les utiliser pour avoir un pouvoir qui ne soit de ceux légitimes, donc seulement en ayant la perspective de soigner les cerveaux endommagés, et qui, à cause de cela, en sont devenus si mal élevés, irrespectueux, insolents, etc. incapables d’anticiper sur les besoins[86] des futurs bébés ou des enfants comme sur les besoins des personnes âgées qui souvent renoncent à demander ce qu’ils seraient en droit d’exiger et cela parce qu’ils ne veulent pas gêner et qu’ils ont de la religion, par conséquent sachant discerner, et ayant de l’expérience à ce sujet, étant donné que ce sont les actes qui comptent, il se pourrait, si nous sommes dans le cas de figure qui a permis à ce système solaire de continuer à porter les formes de vie à partir de cette planète que nous sommes recherchant chacun plus de justice (et toujours moins de cruauté – non le contraire comme on l’a à tort cru) que les conséquences positives de cet acte qui consisterait à remettre le variateur de la vision du Paradis, comme les vieilles machines entre des mains de personnes devenues elles-mêmes de véritables œuvres d’aArt, étant donné que la perspective serait longue : la somme de biens qui en résulterait soit plus importante que la somme de maux engendrés depuis le début du Problème, c'est-à-dire il y a des milliers d’années (en minimisant). Aussi ceux qui l’ont utilisé pour mal faire, comme à d’autres moments pour faire des bonnes plaisanteries (de leur point de vue qui ne tenait pas compte de la réalité des autres) à certains (donc, en fait, ils ne recherchaient que l’amitié et la complicité dans l’erreur et le mal, en croyant bien faire, trompés par la situation elle-même, les amnésies qui par lassitude étaient advenues, en prenant le mal pour le bien) n’obtiennent pas ce dont ils avaient peur qu’ils pourraient être les victimes (qu’on les frappe et se veange). C’est que si nous envisageons cette « ou bien » (voir S. A. I. SSS Lord Alain Resnais et … avec Smoking, No smoking) nous pouvons spéculer ici sur le court terme, à moyen terme et à long terme. Si effectivement l’ensemble des rêves et des cauchemars, sans demander l’autorisation, et qui sont faits, constituent une atteinte et une violation de domicile privé (la tête, boîte crânienne de chacun – on le sait une boîte est un domicile parfois pour celui qui n’a que cette boîte pour s’offrir un lieu / adresse pour gagner de quoi survivre – on dit en argot qu’on est dans une boîte pour dire qu’on est à l’Ecole) et sont donc des actions pour l’instant considérées comme néfastes, odieuses, irrespectueuses (des sortes de viols, mais au sens uniquement négatif de ce mot, puisque ceux qui utilisaient ces instruments ainsi ne tiennent pas compte des instruments existants durant la journée pour établir une communication ou insistent à vouloir approcher des personnes qui ne le souhaitent pas pour différentes raisons dont celles de la recherche de CFP pour faire fortune et participer, grâce à leurs compétences, à l’Aventure Collective), etc. et … , au point certaines fois qu’il peut y avoir des personnes qui en ont assez, le fait d’avoir compris que chacun des usagers de la vieille salle des machines ont été fait chacun sur le même modèle (leurs droits ayant été au départ violés par des personnes qui à l’origine n’avaient pas encore pu s’élever jusqu’à comprendre en quoi le Droit est une notion vitale ou bienfaisante qui permet tout dans les limites que le Droit a su, comme sur la voie d’une autoroute, tracer[87]) est essentiel ou un fait capital positif, étant donné qu’ils s’aperçoivent qu’ils ont voulu sombrer dans l’« oubli » et l’incohérence et les corolaires, une des autres causes, une des autres origines du fait qu’en étant amnésiques, ces personnes ont ainsi pu rejoindre l’ensemble de celles qui ont perdu ainsi leur véritable identité, au profit d’une identité commune, interchangeable [et] en oubliant que chacun d’entre eux était totalement différent, comportant des expériences différentes, analysant les enseignements reçus à l’éEcole ou plutard différemment, au point d’avoir des fonctions différentes en résultant, chacune, de parcours bien originaux, comme ceux qui savent que même des jumeaux ou des clones semblables génétiquement, en tout point, sont différents, étant donné que[88] chacun à un point de vue dans l’espace, comme vont l’avoir chacune des brebis différentes, différent puisque le champ de vision et l’itinéraire que chacune d’entre ces brebis prend est géolocalisé localement différent.

Donc en ayant compris d’où vient le problème, la cause du problème, nous sommes l’Ensemble en mesure de parvenir à tenter de soigner l’ensemble de ceux qui se sont faits avoir par ceux qui s’étaient fait avoir avant eux (et ainsi de suite jusqu’au plus loin dans le passé et les passés de chacun) et nous aurons pu mettre un terme à ce qui est / était contraire à l’intérêt de leurs descendants comme nous aurons réussi à faire comprendre que cela n’était aucunement une bonne affaire d’avoir voulu devenir les héritiers de personnes qui avaient en commun hérité, avec cette salle des machines encombrante, par la même occasion d’autant de complaisance dans la malveillance et les soupçons aussi calomnieux en raison d’à première vue aussi oublieux de tous les paramètres que l’honnêteté intellectuelle exige normalement, comme de l’ensemble de ces mots qui caractériseront ces états d’enfants-gâtés, inconscients de ce que ces exigences représentent comme difficultés pour les autres personnes.

Donc celles-ci, gâtées, devenues celles de ce club des innombrables Dalton standards qu’elles sont devenues en raison de leur affiliation à cette espèce de club, sont devenues en grande partie bien pire encore que pourries et donc sont dans un très mauvais état de santé psychique pour comprendre des choses qui sont effectivement difficiles à comprendre car complexes (il ne faut jamais oublier comme au moment où deux éléphants de mer commencent à s’échauffer en ayant recours à leurs dents, comment cela a commencé), mais qui ont trouvé leur justification d’être en raison de la situation générale qui était bloquée, ne permettant pas à ces personnes, même armées de bonne volonté, de comprendre des sciences aussi complexes que celles qui sont mises en œuvre par ceux qui y ont accédé et les ont comprises, puisqu’ils proviennent de familles qui ont renoncé à certains des aspects négatifs des causes, c'est-à-dire à devenir des complices de personnes ayant progressivement perdu leur statut d’êtres humains, au profit d’autres sortes de monstruosités qui permettent de mieux comprendre pourquoi, dans certains cas, certaines de ces personnes ressemblent autant à de futurs animaux (au sens négatif de ce mot), au lieu de chercher à ressembler à ces personnalités qui ont effectivement donné de nombreuses preuves que l’être humain est, avant tout, une personne capable d’analyser, de mesurer, de rechercher les causes des maladies et cela avec l’espoir d’en élaborer des remèdes divers, de soigner ceux qui ont été effectivement affectés par les effets de ces causes lointaines qui ont enfermé les êtres humains en boîte de nuit, ou bien dans d’autres situations pour faire parfois ou pire, souvent, de chacun d’entre eux des irresponsables, comme aussi des personnes ne pouvant pas trouver les raisons d’être de textes ou d’œuvres qui proviennent d’univers auxquels ils ont renoncé à avoir accès et en cela préféré faire parti des gens perdus, malades, seuls, menteurs, etc. puisque ces textes sont à première vue autant paternalistes, donc de leur point de vue « ennuyeux » (il ne peuvent pas être autrement pour les temples ou lieux pour/de l’Esprit puisqu’ils sont de ceux qui s’évertuent à soigner de ceux qui écrits autrement ont mené à des catastrophes ou à ces quantités d’actions pour toujours honteuses ou indignes, même si elles devaient avoir permis à Dracula de voler, à moins qu’il ne le puisse pour une toute autre raison qui n’est pas à imputer à la seule malfaisance de ses péchés – ce qui serait à découvrir ou à trouver et qui pourrait participer à le rédimer, s’il ne devait pas être seulement malfaisant et désirer, comme Jean Valjean, enfin changer ou revenir à Dieu, s’il devait s’être fâché contre Lui pour des raisons qu’il ne pouvait pas se douter quand il était enfant qu’être bon c’est être capable de choses inconcevables et merveilleuses pour juguler le méchant et devoir s’ingénier à lui donner d’autres perspectives pour « nuire », ce qui sera synonyme de « bien-faire », en anti-phrase).  

C’est que c’est une bonne affaire d’un seul coup de bénéficier d’un crédit car nous savons ces personnes qui ont bénéficié de l’héritage de la vieille salle des machines travailleuses, pas du tout seulement paresseuses, puisqu’elles sont contraintes d’espionner « à première vue » et donc en permanence, en raison de leur peur (car en situation de mensonge) cherchant (ayant) à avertir. Certainement elles sont payées pour cela avec de l’argent (des CFP) qui n’a(ont) pas été fait / gagné honnêtement et c’est ce qui a tout gâché car ils n’ont en définitive que fait perdre le temps à tous, comme les quarante voleurs.

Mais, ce qui risquerait de se passer, c’est que les autres qui sont infiniment travailleurs aussi, au point que certains ne peuvent pas/plus trouver la force de déplacer un crayon d’un endroit sur la table pour marquer une idée, (étant donné leurs dimensions immenses et qu’ils ne le font qu’en vérité – et surtout qu’ils n’ont fait que donner, pour ne rien d’autre que recevoir outrages et incompréhension ou être dérobés), soient contraints de travailler encore plus pour essayer de trouver les moyens, en utilisant ces machines, de soigner les cerveaux de ceux qui [se s]ont réduits (leur tête) à n’être que des aliénés aux divers inepties et ont perdu leur véritable personnalité, au point d’être chacun interchangeable ou même quasiment les mêmes (comme les Dalton[89]), pour l’instant, tant qu’ils n’auront pas repris et retrouvé le chemin qui mène à la véritable connaissance (qui ne peut advenir qu’en raison d’une soumission totale aux CFP et un rejet total des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch – casses, fausse-monnaie, rackets internationaux, réseaux de prostitutions sans assistance ou suivi médical, etc.), y compris accès aux véritables responsabilités, ce qui a alors donné partout de véritables parents et aussi la conscience professionnelle, mais aussi ce qu’on appelle le Saint-Esprit (on l’appelle ainsi dans la religion chrétienne cette conscience d’origine bouddhique ou mahométane ou hébraïque ou … ).

Le variateur de la vision du Paradis n’est donc pas du tout une bonne affaire, ni à nôtre époque la vieille salle des machines et cela pour personne (elle l’était peut-être au départ, quand elle était à tout le monde, mais en raison de ce qui s’est passé, elle a conduit ceux qui en ont hérité à devenir hostiles à/de leurs intérêts fondamentaux, ceux de leurs enfants et enfin l’intérêt de tous, les faisant devenir inconscients et irresponsables et donc des dangers pour eux-mêmes – pire : cela a conduit au péché et à devoir trouver une solution élégante pour en tirer les uns et les autres, grâce au Christ, le Seigneur et sa mère, la Sainte Vierge). Aussi, il y a comme autre solution élégante celle qui permettrait à ceux qui en ont hérité de cette salle des machines d’être toujours les héritiers légitimes, ces propriétaires de celle-ci et de faire avec les instruments à bord, ce qui serait conseillé de faire par ceux qui sont les descendants de ceux qui ont résisté pour éviter de se faire arnaquer par ces derniers qui n’ayant pas appris à lire en vérité, n’ont jamais su distinguer dans la réalité ce qui est du domaine de la vérité de ce qui ne l’est pas (puisqu’ils ont dû ne faire que semblant – ils ont employé l’écriture et les mots dans leur unique intérêt, au point de ne pas discerner les anti-phrases, ni même pourquoi les phrases étaient inscrites – de quoi il était question et n’ont pu comprendre qu’en prenant le lâche parti de ceux qui s’abritent ou s’identifient aux méchants – soit à ce qu’ils étaient devenus), au point de ne pas comprendre les blagues (ce qui est paradoxales puisque c’est eux qui s’étaient autorisé à les faire en utilisant les machines à rêves et à cauchemars) ni sur quel plan se situent les informations qu’ils glanent, en étant de faux amis, de fausses maîtresses, de faux époux (comme le rôle du mari dans Julietta des esprits), car en raison de leurs incapacités, ils sont avant tout devenus des espions (ou cherchent par des attitudes à premières vues honnêtes une couverture, en voulant approcher ceux qui ont compris), par conséquent des personnes étant capables par mimétisme de copier, de faire comme les personnes qu’ils observent en cachette, comme le fera une mère lionne cachée dans les hautes herbes, en ayant l’embarras du choix sur les mâles ou femelles qui, cornus, se préparent à devoir se défendre, comme certains buffles, dans un élément que certains chats n’aiment pas trop, car il s’appelle l’eau. La lionne y sera précipitée et mourra en se noyant ou alors renoncera sagement à cette chasse pour tuer un serpent ou un crocodile, ce qui était ce qui serait le plus difficile et qu’elle doit réussir pour éviter un pire destin sinon si elle s’acharne en lâche sur plus faible qui ne peut se défendre (puisque les forces physiques brutales sont injustement disproportionnées). Aussi la voilà testée et plus elle prend des mauvaises habitudes de chasseresse avec ses copines les lionnes, plus elle va perdre ce qu’elle aurait gagné en utilisant ses dents qui sont de véritables poignards, pour égorger des peaux beaucoup plus dures [et] qui sont celles qu’elle risque de devenir à la prochaine réincarnation si elle s’interdit de les chasser pour chasser, en lâche, plus facile. Ces réincarnations plus néfastes sont donc heureuse de perdre la vie pour éviter de devenir pire : par exemple serpent alors qu’elle avait la chance d’être crocodile, car c’est ce que les crocodiles n’ont que le droit de manger, du serpent (ils savent depuis toujours qu’ils doivent s’interdire de manger un poisson qui n’a pas de dents et qui viendrait, nageant, confiant, à entrer dans leur gueule ouverte, alors qu’ils seraient, crocodile et poisson, dans le fond de la vase de l’étang à se reposer, le crocodile d’une chasse au serpent acquatique (en effet, le crocodile défend les poissons qui n’ont pas de dents de la prédation des serpents – il est donc comme un gendarme ou un chien de garde dans les fleuves ou milieux aquatique qui sont de ceux qui furent à sa convenance comme son habitat) devant s’interdire alors de refermer la gueule (puisqu’il a bien pu remarquer que le poisson qui est entré dans l’espèce de caverne qu’est sa gueule ouverte est de l’espèce qui broute des algues ou mâchouille du plancton (il n’est donc pas un des poissons prédateurs que le crocodile a le droit de tuer) : en effet, ce n’est pas un ennemi (puisqu’il ne peut même pas se défendre, comme peut l’être la lionne ou un des fauves, avec ses poignards ou canines, en forme de pointe de lance qui ne les a obtenu que pour chasser le crocodile, car quand elle s’attaque à plus faible, elle sait qu’elle est perverse (injuste, contre Nature ou contre le bon sens de la Création qui a été faite pour, malgré ceux qui se sont ingéniés à la vouloir saboter en toutes les époques redonner des chances à ceux-ci, en tenant compte de l’éventualité qu’il puisse y avoir eu un problème, par exemple, d’amnésie qu’auraient eu (ou qu’on aurait infligé méchemment et artificiellement – donc contre le gré initial de l’individu / l’âme particulière) un futur chien, un futur chat, un futur fauve ou une lionne ou pire : un serpent ou un requin) sacrilège, et qu’elle va donc perdre des points, à cause de ce qu’elle est en situation de très grave péché : c’est l’ancienne déesse lionne Baschett qui sera à première vue aimée par chacun des terriens, car elle est joueuse, une bonne mère et possède ces qualités redoutables de tueuses de crocodile (donc capable, par exemple, de défendre un enfant ou une ethnie appartenant à l’espèce humaine, comme le font tous les braves chiens) – donc est utile quand elle fait comme les autres fauves leur travail dans le bon sens – ce qui signifie toujours que ces animaux ont perdu la raison, dès qu’ils chassent les herbivores et qu’à cause de cela, ils vont obtenir une réincarnation déshonorante : pire encore, puisque pour chasser ces herbivores, ils ont recherché à contracter une amnésie (ou bien cette mauvaise habitude de chasser plus faible qu’eux, par exemple dans un parc animalier qui autoriserait des quotas) et ainsi s’autoriser ce qu’ils savent ils n’avaient que le droit de manger que seulement une fois l’animal mort de vieillesse, par exemple, comme les vautours).

A l’origine du Problème, il y a la différence entre l’époque dans laquelle le Problème a commencé (c’est ici il y a très longtemps), sans que personne n’ait alors conscience (de ce qu’il allait engendrer) ou ne comprenne alors que l’origine du Problème serait aussi, à cause de cela et de la loi des conséquence, dans le futur, à l’époque du début de l’Aviation, ce qui a permis, par ailleurs, d’être certain de la circonférence du globe de la planète et rendu l’ensemble des distances plus courtes à franchir, par conséquent, ce qui a rendu beaucoup plus petite (en tant que temps pour parcourir les distances) la Terre / Atlantide / Ôz / Arcadie / Eldorado / l’Egypte[90] / etc. aux yeux de l’ensemble de la génération de 1920 et des suivantes. En effet, même si on savait cela depuis longtemps par bâteaux[91], il a fallu attendre l’époque de l’aviation civile qui signifie un très important niveau de civilisation et de connaissances techniques, ce qui n’était pas le cas quand il y a des milliers d’années le Problème s’est manifesté, à une époque qui n’avait pas encore trouvé les moyens pour représenter, pour écrire les sons et s’accorder sur le sens le plus usuel comme moins que cela des mots (puisqu’avec les siècles en raison du caractère limité en nombres possibles des sons, vont apparaître les divers autres sens des mêmes sons, dont les sens figurés, avec tous les risques / probabilités de malentendus inhérents d’autant plus des degrés d’études ou alors au contraire de l’ignorance, au bon comme au mauvais sens de ce mot). C’est pourquoi le Problème sur cette planète a eu à voir avec la communication et la représentation, comme avec les problèmes qui concernent l’écriture et ceux qui sont engendrés par la parole articulée, qui a permis ces communications orales mémorisées ou bien moins mémorisées que cela, puisque on était cru sur parole et on ne pouvait pas soupçonner de la complexité qui concerne la recherche de la vérité et la nécessité de passer par la médiation de sa représentation par écrit : une forme d’enregistrement et des références au point que cela ait donné d’un côté les textes sacrés comme celui des Dix commandements[92] par exemple et de l’autre les textes plus profanes.

En écrivant ce texte, je parle à voix haute, tout en l’écrivant, comme si l’écriture était la traduction de mes pensées exprimées à haute voix pour vérifier la justesse des phrases à la fois parlées à haute voix, mais aussi inscrites, en même temps, sur l’écran (ce qui me permettra, à la relecture, de modifier, de corriger, de supprimer, de relire y compris, de nouveau, à haute voix pour être certain que le texte soit lisible pas seulement avec les yeux, mais aussi à haute voix pour ceux qui sont dans l’impossibilité de déchiffrer, de lire en vérité). En fait, il y a une sorte d’état d’écriture qui fait la synthèse entre la pensée orale et la pensée écrite, mais il m’est arrivé d’écrire de longues journées sans murmurer à voix haute le texte que j’écris et cela, en général, pour le premier jet qui se révèlera à corriger dès la première relecture à haute voix, nécessitant le silence autour de moi, par conséquent d’avoir la paix, car effectivement l’écriture qui a donc à voir avec la lecture à haute voix, doit pouvoir être lue, pas seulement avec ses yeux de correcteur ou de critique, mais en entendant si ce qu’on écrit est juste et vrai (c’est si c’est logique, car le sujet qui m’intéresse ici n’a que peu à voir avec l’absurde, mais avec la réalité et ses composantes scientifiques comme avec le Problème).

C’est bien le Problème qui a créé d’un côté des personnes qui vont croire, sans écrire leurs textes, improviser oralement sur la base de certitudes qu’ils ont acquises, sans avoir eu le temps de réfléchir et en faisant confiance, alors qu’ils ont pris des mauvaises habitudes à cause de la situation qui était bloquée et que, par conséquent, celle-ci a engendré des effets qui ont causé, logiquement, la nécessité d’opérer, d’analyser autrement que très spontanément, donc autrement qu’«à première vue »[93] la réalité, ce qui va être ressenti à la fois dans les discours oraux, mais aussi dans ceux qui sont le résultat d’une écriture qui se donne le temps de réflexion que le discours oral n’offre pas, ni même si on est devenu un brillant orateur et qu’on a acquis la science de l’orateur, d’autant plus des idées qui passent alors dans la tête et qui exigent parfois des vérifications[94] comme aussi de l’entrainement, ce que pratiquent les musiciens qui ont à répéter et à se préparer parfois de très nombreuses années pour jouer avec d’autres musiciens ayant parfois eu plus de facilités à rejoindre leur place au sein d’un orchestre. Le peuple est composé de l’ensemble des individus et dans les statistiques, il y a un pourcentage encore très faible de personnes qui s’intéressent aux matières et disciplines appelées « catégories de l’esprit[95] ». Ces catégories, ces matières, ces disciplines sont très nombreuses pourtant, mais en raison de contextes sociaux desquels proviennent les composantes du peuple (les gens, les personnes), malgré l’accès à l’instruction publique, à la radio, à la télévision, à Internet, ce peuple a encore besoin qu’on s’adresse à lui par la parole articulée, bien que les orateurs aient fini par rédiger, à l’avance, leurs interventions orales, alors que l’usage donnait la préférence à ceux qui étaient capables d’improviser en public, sans notes, en construisant leur discours au fur et à mesure, inspirés par la recherche du bien et de bien défendre des causes leur tenant à cœur (en général à première vue[96] des injustices). Nous voyons hélas ce que cela a fait comme dégâts étant donné que de nombreux orateurs n’ont pas pris le temps de réfléchir par écrit à l’importance des sujets traités et des réponses à donner à des reproches ou bien à des sujets à l’ordre du jour dans les assemblées de députés ou de sénateurs. Cela va changer dans la mesure où chacun d’entre eux va pouvoir prendre connaissances des solutions élégantes publiées sur le réseau Internet y compris à l’étranger concernant précisément des problèmes analogues traités, ce que les traductions informatisées vont faciliter. Indéniablement nous sommes arrivés à l’époque de l’écriture et de la représentation graphique dans et pour illustrer chacune des catégories y compris en disposant d’images archivées, parfois animées, pour être capables de communiquer et de communications. C’est donc impossible de se passer de l’écriture pour trouver des explications à donner comme pour gérer la société ou pour créer des scénarii de composition. La parole orale va concerner d’autres types de communications dont l’improvisation et a besoin d’être étayée dans sa recherche de la vérité par l’ensemble des écritures concernant les différents sujets traités[97]. Le peuple qui est formé de personnes en grande quantité n’ayant pas pu, pour différentes raisons, poursuivre leurs études, ayant des aptitudes de personnes concernées par les différents travaux manuels, facilitées par la division du travail qui a permis ce que la taylorisation a pu offrir comme activités rémunérées, a besoin de personnes qui sont formées à des hauts niveaux pour les représenter, car ces personnes sont scensées savoir écrire, parler, penser, calculer et vérifier ainsi le bien fondé du marché du travail qui est composé par différentes catégories d’individus qui forment aussi ce peuple qui a, suivant les personnes, des qualités différentes à offrir en échange de ces moyens financiers qui sont calculés plus ou moins justement, en fonction de différents paramètres[98]. L’instruction publique offerte au plus grand nombre n’a permis qu’à un petit nombre de devenir de véritables créateurs et de comprendre le sens total de la Création, ce qui s’est traduit par de nombreuses œuvres qui sont souvent bien plus précieuses que des milliards et à l’infini de diamants les plus purs et les plus gros. Il s’agit de ces œuvres d’aArt accessibles ou que l’ensemble du peuple peut avoir devant les yeux, quotidiennement mais ne jamais réussir à discerner comme cela. C’est pourquoi nous pensons nécessaire de rétablir progressivement la vision d’Atlantide, car ceux qui souffrent ici le plus de la situation générale sont ceux qui se sont rendus non-voyants ou sourds[99] ou complices de ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines. Au moins avec la vision d’Atlantide ou du Paradis, en suivant un programme précis que j’ai établi et qui n’aura pas besoin d’obtenir l’accord des gens de sciences exactes (qui ne veulent pas se mouiller et qui veulent faire croire qu’ils ne le sont pas autant que cela), mais qui a obtenu l’accord de ceux qui savent manipuler le variateur (puisque M. F. à Strasbourg m’a confirmé par téléphone qu’elle trouvait l’idée juste), sans pour autant que celui-ci soit confisqué, il y aura des chances que les personnes s’étant exclues du monde de la beauté, (sans la vision d’Atlantide)[100], puissent avoir quelques instants l’assurance que la planète sur laquelle ils vivent est effectivement belle à voir, dans ses moindre détails, d’autant que tout ce qu’ils peuvent trouver injuste s’explique rationnellement et exactement, comme la moindre chose ou la moindre technique. C’est d’avoir voulu priver ceux qui étaient au courant de l’existence de la beauté (et qui avait eu accès aux sciences de l’esprit), sans avoir besoin de voir le Paradis pour cela, qui a rendu ceux qui ont voulu faire cette mauvaise plaisanterie malheureux, et surtout  faussaires et donc à faire semblant, par conséquent incapables de comprendre (profanes, laïcs, athées, sacrilèges et donc ignorants, au mauvais sens de ces mots et non au bon) ce que la cohérence et la logique comme les lois et la vérité, mais aussi d’autres mots qui fonctionnent en même temps dans la conscience des êtres humains, exigent. C’est pourquoi de grandes quantités de personnes (malheureuses) ont cru à des mensonges d’autant plus que l’éducation des princes exigeait d’eux d’avoir à se conserver sexuellement parlant vis-à-vis de la promise qui exigeait le mariage en raison des enfants à venir et qu’il s’agissait, avec celui-ci d’enfant pour les parents alors de nombreuses responsabilités différentes et pas seulement du mot de « mariage », vidé du contenu de son sens et de toutes ces responsabilités (parfois territoriales). Celui-ci était donc aussi géopolitique et ces mariages ont exigé la mise en place d’institutions pour les rendre possible, au point qu’effectivement, ce qui pouvait avoir lieu autrefois dans le monde d’avant le Problème (les mariages qui sont en réalité des accouplements naturels) et qui n’étaient d’aucune façon un péché (s’unir sexuellement) sont devenus, en raison de nombreux paramètres précis émanant de l’aspect négatif du mot de « civilisation » de véritables péchés et surtout à l’origine des involutions qui ont généré, par voie de conséquence, des états d’esprits « à première vue » inacceptables, comme celui de l’eugénisme, qui est, si on veut, un peu comme la recherche de la meilleure des semences pour créer des êtres humains ayant des chances d’être plus intelligents que ceux qui proviennent de contextes populaires qui n’ont pas recherché spécialement à se poser l’ensemble de ces problèmes, étant donné que ces personnes sont souvent de celles qui se sont arrêtées d’étudier, comme de penser et d’écrire, c'est-à-dire de réfléchir en conscience à des sujets - cela assez tôt – qu’il faut savoir résoudre puisque suivant les différentes régions du monde, on a la contrainte d’étudier, d’aller à l’école - cette obligation seulement jusqu’à un âge limite - qui varie suivant les pays et qui est grosso modo autour de quatorze à seize ans (en 2012). Aussi le résultat à ces questions sera différent selon le degré d’étude.


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[1] En reconnaissant officiellement les anciens que je ne puis continuer d’offrir bénévolement car j’ai à songer, en connaissance de causes, à nourrir une éventuelle descendance qui est de l’ordre du virtuel, comme à ne pas seulement songer à me rémunérer en ôzInes (cette nouvelles monnaies d’Ôz qui même si elle est comme celle d’un Etat est de celle, nous avons eu à la vérifier qui sera pour toujours sous-estimée à l’aune des résultats obtenus malgré les bâtons dans les roues qui nous furent mis – ces personnes à se donner autant de mal que cela à faire de l’obstruction ne vont pas bien – au lieu d’aider, elles s’ingénient à ne pas vouloir comprendre les gens compétents – pire : à être totalement incohérentes puisqu’elles profitent de celles compétentes continuellement – donc réellement à ramer dans le sens inverse du bon sens) – il est aussi normal que ce que me doivent les éEtats (comme aussi d’avoir réussi comme vous le verrez dans ce texte et d’autres de mon cru à rétablir la situation éEconomique mondiale, dès le prix du pétrole sera à dix dollars et enfin comme vous le verrez en raison que la Reprise sera au rendez-vous (comme une voiture qui enfin pourrait démarrer ou changer de vitesse) à un dollar le baril de pétrole, bien que j’interdise pour toujours à aller au-dessous (comme j’ai eu à le supplier au cours de mes démonstrations pour faire comprendre que ces personnes gagneraient un pouvoir d’achat augmenté au moins d’un zéro) – car on m’a fait trop attendre et même je ne devrais pas céder à moins de dix dollars, tant ce que j’eus à vivre fut le plus pénible du monde, au cours de ces écritures pour réussir à convaincre ce qui est élémentairement compréhensible par n’importe lequel des enfants à jardin d’enfant plus (+) deux ans scolarisé – mais en songeant à l’un ou l’autre d’entre eux si adorables, je craque, pour accepter à un dollar (depuis - j'ajoute en 2017 - je suis arrivé à 0, 01 centime de dollar). Mais jamais à moins, en raison de ce dont leurs ancêtres sont devenus coupables envers Nôtre maison Granier d’Ôz – en fait, je ne connais personne qui aurait insisté autant que moi pour avoir cette victoire dans l’Intérêt Général des siècles à venir en ayant pour celle-ci à devoir endurer tant de malheurs – mais celle-ci en vaudra sans doute la chandelle, ce dont pourront m’assurer divers prétendues amies que j’avais ou que j’aurais alors, c’est bien normal – quand elles ne furent toutes que mes ennemies, bornées comme elles le furent ou comme la femme mal élevée et pas assez scolarisée l’est au point qu’elle préfère entendre et croire aux dires de faux adultes jouant les dominants alors que totalement incompétents et faisant comme elles semblant et que la vérité sort des enseignements scolaires les mieux établis par les personnes les plus compétentes – Hey ! teacher kids only needs education).

[2] Et je ne comprends toujours pas pourquoi dès 1965 il ne m’a pas proposé de rémunération pour ce qu’il savait me devoir (au moins depuis 1967-68 s’il a jugé que j’étais trop petit à l’âge de deux ans) ! Il va donc y avoir des dédommagements et des pénalités à s’infliger qu’on me devra pour autant de préjudices moraux – mais surtout autant de crimes de lèse majesté au point que cela ne fut que sacrilège et la preuve que l’ineptie n’était plus que dans l’éEtat – comme si un enfant n’était pas une personne qui n’était pas déjà, dès le premier jour, au travail comme chacun, depuis toujours, pour être le serviteur de sa propre future pyramide ! L’ignorer s’est prendre les enfants pour des crétins et c’est leur devoir des dédommagements ! L’ignorer quand, de plus, le nom de la promise est sue/connue d’avance (comme ce fut mon cas), c’est pire encore que criminel ou qu’une faute ou qu’un outrage ou que de l’ineptie, c’est rechercher avec préméditation à voler tout ce qu’on doit à ce couple et c’est signer qu’on n’a rien compris ni à Dieu, ni à l’éEtat ni à quoi que ce soit qui concernent les devoir inhérents liés à la condition de parents). Mais j’ai su cependant que Jean Rouch le savait, puisqu’il me disait, en admirant les enfants passer sur les trottoirs avec leurs mères que les petits garçons avaient leurs enfants dans leurs couilles (ce qui me fit penser que je n’avais pas encore mes enfants et qu’il faudrait donc que je puisse créer les conditions d’honnête homme pour les attendre) ! Aussi nous ferons comme si l’éEtat français avait dû s’attacher mes services de pharaon depuis 1965 et me devait depuis lotrs des émoluments. Ensuite nous ferons comme si l’éEtat Européens avait dû s’attacher mes services de pharaons et me devait des émoluments et enfin après l’avoir fait pour les Etat-Unis, la Chine, le Japon, l’Allemagne, la Russie et de chacun des organismes et des éEtats du monde entier dont j’ai dû m’occuper multidimentiellement et multicatégoriellement et en  … avaient dû s’attacher mes services de pharaon et me devaient des émoluments et vous pourrez constatez de combien chacun d’eux me doit financièrement parlant (d’autant plus de l’extraordinaire et peu commun office – du ciel, durant des années en dévoué serviteur, obligé à se condamner comme à la prison et aux spaghettis – rien d’autres à cause des injonctions de la conscience végétarienne (et du peu de moyens) et à cause de la logique de la situation et de ce que je suis empereur (dont l’avènement avait donc été annoncé autant glorieusement et courageusement que cela en Un pour tous) et ne puis me soustraire à mes obligations qui me sont donc dictées en conscience par ce qui résulte de l’analyse de la situation particulière dans laquelle l’Ensemble m’a fourré – ce tous), au point que je ne sais pas comment vont faire les terriens et à qui ils vont  pouvoir emprunter car le montant de leur dette à Nôtre/mon sujet (mais ici je songe aussi à ces dettes qu’il va falloir estimer qu’on doit à quelques personnes) rien qu’en émoluments escroqués et si important que de m’avoir fait survivre avec cinquante euros par semaine pendant autant d’années constitue y compris de la part du pharaon précédent la pire des insultes ou le pire des outrages ou des sacrilèges – ce qui ne serait jamais arrivé s’il n’avait pas eu lui-même (il s’agit de mon père à qui je suis contraint de tout pardonner d’avance car il ne peut pas aller bien, en étant dans le sarcophage après un tel criminel, fou, handicapé, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) lui, mon père qui n’a jamais fait de mal à une mouche et qui respecte avec raison les araignées ou tous les animaux et surtout les dames) une répercussion de la maladie du pharaon précédent et que sa situation de coincé à l’angle entre deux systèmes – celui des mains propres et des gants hyper-blancs ou aussi immaculées que mes mains dès ma conception et celles plutôt devenues atrocement noires ou du fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) ou de l’handicapé le précédant – soit celui qui l’a effectivement handicapé beaucoup (en réalité beaucoup trop ou même à l’infini et qui fait de lui un hyper-saint) pour réussir à s’adapter intellectuellement à la cohérence de son époque ou de ce que la loi d’auteur en son sens multidimensionnelle et cosmique induit – puisque c’est aussi à cause de celle-ci que j’ai pu sauver l’empereur précédent, a. h. et même le faire protéger par mon père, car on va pouvoir confisquer les royalties de a. h . auxquels il aurait, à première vue, droit (comme ceux de napoléon) ou ce qui est fait à tous les hors les lois pour leurs éviter d’avoir à le payer pire que cela, donc grâce aussi à une sorte de processus alchimique faisant appel à des inversement proportionnels (ou des valeurs négatives à prendre en compte), mis en route par mes soins qui permet à l’inverse du nocif dont ces personnes sont devenues les auteurs (donc coupables), de leur éviter la peine de mort (d’autant plus qu’ils n’ont pas l’intention de recommencer puisqu’il s’agit de personnes qui comprennent pourquoi on n’a plus le droit de tuer – à cause du virtuel positif que représente l’autre, mais aussi de tout ce qu’on ne sait pas de positif l’autre aurait fait à d’autres moments dont on n’a pour l’instant rien su) puisqu’il n’y a pas aussitôt comme conséquences dans tous les temps futurs une seule personne dans le monde entier qui comme à la fin de M le maudit ne les montre ensuite du doigt en les rejetant chacun  comme l’exemple pire que le mal – ce qui n’est effectivement pas, comme le pense Fritz Lang y compris Stanley Kubrick dans Orange mécanique, beau, pas bien, et pas bon, (bien que pourtant juste à propos des années et les temps où ils sévirent à contrario du bon sens, en réussissant à faire vieillir tout le monde et à augmenter les surfaces de désert – donc à ne faire que nuire ou presque et ce qui effectivement mérite un/des châtiment[s] ou des punitions) car ce n’est pas comprendre exactement comment ces personnes sont autant que cela devenues « criminelles contre l’humanité » et oublier que les ancêtres le furent devenus simplement en voulant appliquer l’idée, à première vue, cependant démagogique (et contraire à ma vision de l’eEtat car il risque d’en devenir méphistophélesque – ce qui n’est pas bon non plus et même contraire à l’idée que j’en est – on me devra des royalties sur l’entreprise de chaussure Méphisto que j’ai pensé devoir créer pour qu’on puisse réfléchir sur cette notion dont le public se familiariserait – car c’est une bonne marque et une bonne idée pour des chaussures en cuir ou même en peau de crocodile et de serpent, ne trouvez-vous pas ? Et on pourrait, cependant à tort m’accuser de l’être ici, si je n’avais pas spécialement été « réaliste » en cela plutôt que méphistophélesque) de « la poule-a-pot » (des mauvaises habitudes) que l’on doit à trop de bonté pour la misère humaine (ce qui a eu pour effet, trop d’ingratitude et finalement en raison de cela, parce que ce n’était pas juste, l’auto-destruction de la reine de la nuit qui en fut, car aussi ingrate, fâchée et pire aussi haineuse : le monde, l’univers et la Création toute entière était effectivement le contraire qu’à détester et depuis toujours tel qu’elle l’avait su petite fille : aimable, très admirable, très belle, très bonne : bref du très très bien et son auteur, le GAU, admirable en tout ! de quoi donc pouvoir être aussi injuste et aussi détestable – et par conséquent de quoi s’auto anéantir puisqu’on est injuste pour la troisième fois alors qu’on a été averti d’avance et qu’il y a eu tant de travaux d’effectués de partout pour comprendre que ce à quoi elle croyait n’est pas possible : on ne peut pas rendre esclave des personnes qui naissent libres (mais par d'autres aspects prisonnières) et qui ont la possibilité grâce au langage d’échanger des compétences contre des rémunérations établies proprement – donc dont l’origine est propre ou celle officiellement connue des autres éEtats). 

[3] Car même si j’ai acquis de droit de battre monnaie comme pour l’instant je ne dispose en cette journée de 2014 d’aucun billet de banque et comme on n’est jamais à l’abris d’une révolution (même si comme je le crois enfin toute cette histoire aura donné à réfléchir à jamais aux révolutionnaires les plus bornés et violents qu’il vaut toujours mieux pas se faire justice soi-même et faire confiance au inscriptions établies justement ou très scolairement comme aux raisonnements les plus diplomatiques ou ceux des êtres humains les plus lettrés ou scolarisés), même au sein de sa propre famille (par exemple une fois âgé ou plus que cela, en raison des diverses maladies qui traînent et qui s’attrapent (vous devez avoir vu quelques épisode de Dallas, il s’agit d’une saga et chacun est une personnalité qui cherche à faire mieux que son frère ou sa sœur ou que ces cousins, d’autant plus de la barre a été mise assez haute à un moment dans l’Histoire par un ancêtre en commun – ici l’exemple tombe mal car c’est un de ces incompétents en Economie qui fut à l’origine de chacune des guerres – d’où qu’on comprenne que JR joue le rôle d’un méchant), je préfère m’assurer de revenus sur plusieurs plans ou en provenance de plusieurs lieux / trésors distincts (en plus de ceux qui vont me devoir faire suivre une comptabilité ôzienne et me transformer en acheteur de projets ou d’idées pour investir ce trésor légitime en ayant ici à devoir compter sur l’honnêteté que pourrait acquérir la personne s’il devait réussir son projet, ce qui va représenter quantité de tentatives pour ces concepteurs pour arriver à leurs fins que de penser qu’il faudra recourir aux huissiers locaux pour se faire rembourser et suivre chacune de ces personnes étant aux prises aux difficultés parfois importantes dans lesquels ils sont me paraît une façon très discourtoise – aussi prêter des crédits de financements proprement établis sera l’affaire de banquiers attachés à ma cour et non directement de ma personne – c’est à ces personnes qu’il sera demandé ces CFP – elles me feront des rapports et j’aurais à donner mon avis selon les maquettes et les dessins ou autres peines que ces personnes veulent s’infliger, mais je n’ai nul envie de rencontrer ces gens) car si je devais clore le projet de monnaie unique d’Ôz (qui est mondial – ce qui serait une mauvaise affaire pour tout le monde car c’est ne plus jamais voir aboutir à la Paix entre toutes les armées, ce qui serait dommage car quelques uns de ces enfants avant de devenir autant enfants-gâtés que cela avaient du talent pour autre chose que des parades de personnes au service de l’ineptie et de ce qui ne sert à rien, ou de ce qui coûte aux éEtats considérablement du temps, des efforts et des investissements en pure pertes) ou même à devoir menacer quelques mois de ne plus jamais en entendre parler (en raison de la mauvaise volonté d’un de mes descendants – ce qui ne serait pas du chantage mais qui serait réellement une catastrophe mondiale universelle qui toucherait tout le monde en raison de l’adolescence en cours – ce qui signifierait que j’aurais un traître au palais de l’empereur) j’aurais au moins (en cessant de battre monnaie mondialement (en ayant tout perdu – ce qui signifie que tous seraient à deux doigts de mourir), les revenus qui sont reconnus dans les divers ensembles que mon père et moi eûmes à créer (voire si nous devions clore l’expérience européenne, ceux stricto français qui à première vue suffiraient du point de vue de ce descendant devenu un parasite qui ne mériterait pas même le surplus de ceux-ci que je pourrais dégager pour lui permettre de faire des études, en espérant que cette maladie locale qui l’aurait rendu minuscule et méprisable par l’ensemble de ces ancêtres et toutes les générations à venir, lui passe – ce qu’évidemment ne devrait pas être mais comme il y a des répercussions de certaines années passées et de nombreuses choses qui vont m’échapper car je ne pourrais jamais veiller à l’éducation de ces petits à ces heures-là, avec en prime ce dont je ne suis pas au courant il leur manquerait comme paramètres pour réussir à comprendre là où j’ai en revanche heureusement pour eux eu à comprendre à leur place pour être digne de l’idée que je me fis d’eux par avance à l’aune de mon génie même si cela devait être une petite fille (car il n’y a pas de raison qu’elle ne soit pas au moins aussi géniale que ma mère) et que j’ai pu vérifier combien c’est véritablement dangereux au plus haut des degrés (et c’est, je vous prie de le croire minimiser au maximum) comme au plus bas que la fréquentation des terriens habitants de cette planète d’autant plus qu’il s’agirait du fils ou de la fille de l’empereur qui ne pourra jamais savoir lui-même ou elle-même à quel point ils sont handicapés à cause de cela sur tous les points d’avance et non avantagés comme j’eus à le vérifier et cela d’autant plus des sourires partout depuis quelques temps comme complices que cet/ces enfants devrai[en]t rencontrer, je ne puis que devoir prévoir le pire, y compris à cinq cent années d’ici, quand cette monnaie unique du ÔzIne sera entrée dans les mœurs partout (comme ce fut le cas pour le franc suisse ou la lire ou la livre ou le yen ou le dollar ou le rouble) - en effet, même s’il faut la supprimer une seule heure – cela signifiera  aussitôt (comme pour l’euro ou comme ce le fut pour le dollar en d’autres temps avant l’unité parachevée de cet ensemble d’éEtats, des rRégions) sur tous les marchés du monde des catastrophes boursières, des suicides et des faillites par milliers, voire par millions y compris sur la Lune ou sur Mars alors commençant à être un peu repeuplé – si même il s’agit d’une seule minute où je dois employer dans l’un de mes domiciles familiaux cette menace – ce sera la panique partout – comme cela le fut à chacune des fois où on menaça de faire disparaître l’eEuro – car c’est aussitôt la mort par million et la misère et son cortège de maux – bref vous me voyez dans cette retraite spirituelle pré-nombreuses choses liée à l’existence de cet aAnneau exceptionnel qui fut celui des Granier d’Ôz à devoir réfléchir à plusieurs millions d’années lumière de là où nous sommes (ce qui je l’avoue est difficile, voire impossible, bien que j’eus soudain une idée de la situation à cinq cent ans à l’instant plus haut sur au moins un des points qui nous concerne tous) et comme j’ai assisté d’avance à l’explosion du soleil dans un des cas de figure de la Création qui s’est déroulée avant que dans un autre cas de figure de la Création on ne me rende enfin les commandes de la vieille salle des machines (qui devait m’être rendue en 1965 mais qui en ne m’étant pas remise fut le début de ce que l’Ensemble des terriens devinrent sacrilèges envers Nôtre anneau de fiançailles avec C. L. , j’eus en légitime défense à en tirer les conséquences), il vaudrait mieux que celui-ci se produise plutôt que l’autre et donc que celui-ci n’explose pas. Aussi j’ai à devoir faire comme si cette histoire de l’Aventure Humaine allait durer à devoir prévoir les situations financières difficiles que nous allons rencontrer et surtout celles engendrés de la part de mes descendants (qui n’ont pas forcément les mêmes centres d’intérêt que moi) mais qui risquent d’avoir les mêmes facilités que moi en éEconomie assez rapidement comme j’eus à le constater dans ces familles qui descendent de mon père et ma mère et donc peut-être de vouloir, comme eux qui ont par ailleurs de la religion, faire le bonheur partout. Mais je risque d’être à devoir utiliser la loi et peut-être des armées d’avocats pour qu’ils se fassent rembourser de ce qu’on leur devra (par des personnes qui de mauvaises fois utilisent déjà la monnaie européenne que Nous avons créé et qui n’ont pas songé d’un tantinet que nous étions confrontés continuellement à des problèmes financiers et en cela freinés continuellement – et cela ils ne l’ont même pas songé en espionnant ou en disposant entre eux de cff, cfu, cfm, cfs, et cfcch ce qui signifie que ces personnes qui espionnent sont réellement à n’appartenir qu’à des morts-vivants ou des personnes qui n’ont plus rien d’humains (ou pas encore un atome de l’être humain aArtiste en eux, au sens de l’un des adultes parachevés un tantinet conscients ou capables de déduire des images qu’ils regardent à la télévision ou de informations à la radio ce qui est fondamental dans l’Intérêt Général, ce qui ne peut être vrai et ne doit jamais l’être dans l’Intérêt Général (comme par exemple la disparition de la monnaie de l’Euro et celle d’Ôz qui n’en ait qu’au même stade où en était l’Euro en 1975 – c’est dire que nous en sommes très loin, pas avant quinze années en tant que billet ou monnaie commençant à circuler, ce qui signifie ensuite de nombreuses années pour l’établir durablement dans les mœurs – et tout cela signifie des investissements très importants de la part de tous ceux qui aspirent à un monde en paix – les uns avec les autres pays – d’où que les compensations financières soit la meilleur chose pour régler les problèmes) et pourquoi cela peut l’être à de certain moments en raison qu’il y a à élever un enfant – bref tout ce dont je ne mêlerais pas si j’étais l’un de ces espions car simplement d’espionner les mènera à des souffrances si abominables chacun d’eux. Ils n’ont pas ces référents aussi exactement que moi je les ai en ne me posant que l’Intérêt Général à long terme comme projet. Ils ne pourront qu’à chaque fois qu’ils l’invoquent chacun d’eux qu’apparaître encore plus menteurs et faux et fourbes ou tricheurs, tandis que ma personne seule dans le vrai et dans les années qui suivront complexés au paroxysme, ils seront comme des fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) pour toujours chacun d’eux considérés ainsi par toutes les personnalités n’étant qu’intéressées à dire que j’ai raison puisque je ne vais pas me permettre de dire une chose fausse à cause de ce que je sais d’avance celles-ci ne seront pas même dans l’idée d’avoir à me contredire (comme si elle devait désobéir à un ordre – aussi la vie risque d’être d’un ennui pharaonique total puisque j’ai comme d’habitude raison contre tous et pour tous) – en effet, aucun de ces espions n’a jamais eu le parcours de chacun de mes ancêtres ni le mien et comme il leur manque les milliards de milliards de milliards et plus encore d’atomes de référents de chacune des fractions de seconde j’ai eu à devoir supporter et à traverser et auxquels j’ai constemment à devoir me référer dans chacun des états différents causés soit par le retour de ma mémoire, soit par la disparition de celle-ci pour être aimable envers ces inconscients, ces irresponsables, ces adolescents qui ont perdu leur mémoire (donc les référents dont ils ne sont pas encore dans la connaissance et qui pourrait les amener à se comporter autrement au lieu d’être chacun une parodie incarnée de l’être humain parachevé ou adulte – soit ce dont il faudrait avoir honte) ou qui ne dispose que de celle qui les rend chacun aussi menteur que cela – si seulement ils devaient disposer d’un moyen pour se référer à chacune des fractions de seconde en question qui me permettent de prendre les décisions que je prends, ils en deviendront encore plus fou à se suicider chacun d’eux car n’ayant aucun de ces référents compris aussi bien et étant dans les leurs qui sont souvent aussi faux que ceux dont ils se sont convaincus, ils ne sont que ce qui n’est pas tolérable d’un électron et qui mériterait normalement seulement d’avoir à les égorger – mais voyez-vous ce qu’il y a de merveilleux c’est que ceux qui sont légitimement en droit d’égorger se l’interdisent avec cet espoir, depuis des millénaires, que ces personnes comprendront l’intérêt de cesser leurs provocations dont ils ne se rendent pas compte qu’elles le sont – ce qui est donc ici la contrainte d’avoir à se dire combien ceux qui sont aussi naïfs que cela déraisonnent – donc tout est une question de référents et de paramètres, ce qui va effectivement contraindre à la civilisations des autoroutes de l’information – donc à Internet et si vous n’êtes pas connecté aux référents ou au cas de figure invoqué comme à la définition qui est celle qui est venue dans le passé en raison de l’existence du Saint-Esprit, vous serez un de ceux-là qui croient que les mots servent à mentir ou qu’on peut s’autoriser à tout dire – ce qui n’est possible que dans une situation précise dans laquelle on sait tout ce qu’on doit absolument s’interdire, puisque les conséquences sont catastrophiques sinon – celui qui ne sait pas s’auto censurer sur les plans essentiels où il aurait dû n’est pas digne de respect – il est celui sans délicatesse qui sera capable d’espionner pour savoir ce qu’on pense de lui ce qui sera toujours trop flatteur par rapport à ce qu’il s’est permis d’intolérable, d’inadmissible d’égoïste dans un monde qui ne prouvait que le contraire – d’avoir cru possible cacher dans les livres de biologie ou de sciences naturels que les crânes et les cerveaux étaient reliés à une vieille salle des machines est ce qui ne pourra jamais trouver dans aucun des univers de pardon – aucun esprit véritablement scientifique ne pardonnera jamais cette complicité de chacun des Eétats à cette non information cependant sue de ceux qui avaient eu accès à cette vieille salles des machines et qui de ce fait se sont chacun d’entre eux maudits et condamnés à bien pire que la morts pour l’éternité : l’ineptie en commun, soit ce qui n’est digne que de la contrainte à jamais d’éprouver pour chacun d’eux un devoir de mépris qui mérite des compensations financièrement car c’est en réalité contraire à la nature –aussi que des encyclopédies d’injures et d’insultes nous tombent du ciel pour qualifier à chacune des fractions de seconde de pareils profiteurs de toutes les sciences d’Osiris un en Horus par Isis qui ont osé cacher cela à tous les esprits scientifiques et que la mort touche chacune d’eux en tous les temps en étant la plus cruelles et la plus néfaste et surtout la plus douloureuse, donc qu’elle tarde à venir mais qu’ils n’aient chacun d’eux à souffrir éternellement d’avoir cru possible le cacher – maudits chacun  d’eux dans chacun des atomes et cela en tous les siècles dès le premier jour où vous voulûtes réserver cette information à quelques uns seulement (de vos amis) en la cachant aux autres et cela dans un monde où la société des autoroutes des informations télévisées ou des véritables journalistes ne vous ont que continuellement tout dévoilé y compris encyclopédiquement ou même ceux qui furent espionnés n’ont fait que travailler à des solutions élégantes dont chacun profite actuellement et qui ne furent qu’en raison de ces études scientifiques sur la base de savoirs réels – c’est bien ici la mentalité du profiteur dans le pire sens de ce mot ou de celui qui n’est qu’à vous tromper et à se moquer de vous dans vôtre dos – c’est donc la pire vermine qui s’attaque à la bonté, la beauté, et le bien pour n’en tirer que le plus abject profit de thénardier – c’est la personne qui en réalité ne mériterait rien, pas même jamais un mot, un texte, une œuvre, ou de l’aide – c’est ce qui devrait être anéanti, exterminé car cela s’attaque en lâche et durant le sommeil au lieu d’employer les créneaux officiellement à la portée de tous durant la journée – c’est celle qui n’a pas fait la différence entre la conscience et l’inconscience et qui n’est plus que soumise et esclave ou prisonnière de cette dernière qui ne lui fera rechercher que des propos de fou ergotteur de mauvaise foi qui affirmera le contraire mensongèrement ne parvenant pas à comprendre pourquoi – c’est donc bien celui qui ne fut que ladre et qui finalement est démasqué – il ne reste plus que cette ultime chance que les circonstances ont créé qu’il révèle tout ce qu’il cachait et qu’il poursuive ses activités financières d’une personne qui n’a pas voulu faire confiance dans l’Enseignement ou l’Instruction ou l’Ecole pour découvrir la vérité et cela parce qu’il disposait de cette instrument en enfant-gâté pour se faire passer pour plus que l’autre – ce qui signifie forcément qu’il est moins puisqu’il utilise un instrument d’une façon aussi peu fraternelle et sans le partager avec ces esprits scientifiques qu’il a trompé en ne leur révélant pas ce qu’il savait de ce qu’était l’être humain sur ce plan scientifique qui seul importait au chercheur de vérités – aussi voilà nôtre menteurs pris les mains dans le sac : il avait voulu se faire passer pour le maître du monde alors qu’il n’est même pas digne d’être confronté à un ver de terre qui est infiniment plus honnête que lui et admirable en tout – le voilà à avoir voulu tromper des enfants ou Horus de siècle en siècle partout et à lui être redevable de tout – il s’est réellement grillé comme la reine de la nuit dans son jus de haine la plus noire – il était adolph hitler, soit la personne qui fut sensible aux charmes de cette hideur au lieu d’être sensible aux vraies charmes – il trouva beau ce qui était laid et qui n’est que laid et ne peut être que laid – les mots ne mentant pas – mais il dispose maintenant d’une fortune importante ou immense : trois dessins dont deux d’enfants et un piano décoré qui n’est pas du faux mais réellement les premières véritables œuvres qui vaillent immensément dans sa future collection, puisque celles-ci – une fois l’affaire conclue devrait permettre à ces personnes qui en hériteraient en les rendant au propriétaire de recevoir un crédit financier ou une sorte de rente – évidemment, il faut qu’il rende tout avec et que cette idée d’Atlantide devienne l’idée que j’ai d’Ôz qui ne peut advenir que rationnellement et sur ce que la raison peut admettre comme possible et non l’inconscience ou l’irresponsable, mais l’homme totalement conscient de ce que voudraient rêver ou vivre les êtres humains du futur comme Walt Disney en eut l’idée en exigeant de ses dessinateurs des efforts immenssissimes pour respecter la limite intellectuelle de chacun des personnages coincé dans la situation de laquelle chacun est prisonnier – le rêve des Rapetout est d’avoir « la vie de château » et de faire fortune et ils savent que cela n’est pas possible sans s’ingénier (mais comme il n’ont que moyens financiers usurpés à l’origine ils ne vont que d’échec en échec et les succès qu’ils croient être les leurs sont à chacune des fois un échec encore plus important – puisqu’ils ne sont qu’à tricher ou à espionner, ce qui revient au même – aussi quand ils ont un pei de cfs ou de cff ou de cfm ou de cfu, ou de cfcch ils ne vont les dépenser que pour une vie de château de faussaires dont ils sont dans l’illusion d’être les maîtres, alors qu’ils ne sont que vulgaire vermine de très bas-étage à ne devoir que tout le bon, le bien ou le beau qu’à des personnes qu’ils ne font que dérober et qui n’ont souvent pas grand-chose pour survivre y compris Picsou dont la fortune garanti le fait qu’ils puissent avoir une chance d’avoir du chauffage dans les prisons qui sont finalement le lieu de leur destination pour poursuivre cette vie de « château », qui l’est effectivement, puisque dans d’autres temps, ils seraient utilisés pour avoir à rembourser tous les coûts qu’ils causent : frais d’électricité, de repas, de garde, de vêtement, etc comme de logement – et il s’étonne que quand on leur trouve une activité rémunérée comme éplucher des pommes-de-terre ou aider dans les cuisines pénitentiaires, on ne puisse que les payer si peu ? Si on augmentait, alors qu’ils ont coûté chacun à l’Ensemble tant et rien rapporté, on devrait tous se priver en proportion, ce qui signifie que pour chacun des euros versés en CFP et non cff alors qu’après leurs crimes, ils ne méritent rien et sont endettés pour des milliards de milliards d’années – par exemple quand ils ont tué – qui pour leur être versé signifie des milliers à devoir être dépensés pour payer tout le système jusqu’à ce que par charité ils aient de quoi s’offrir des cigarettes sans parler de ce qu’ils coûtent en médicaments, ils devraient proposer de travailler pour toujours bénévolement – non, une fois sortie, les voilà à de nouveau être dans les réseaux de combines avec des cff, cfu, cfs cfm ou cfcch et à trouver drôle de voler chacune des choses qu’ils achètent en les payant avec ces fausses monnaies, des choses qui étaient destinées à des personnes méritantes et qui en avaient besoin et dont toutes les autres appartenant à la même catégories doivent se passer, parce qu’il y a l’ensemble des menteurs, tricheurs et autres vermine qui veulent les acquérir avec ces crédits de financements escroqués à l’Ensemble – ils peuvent être assurés chacun, s’ils ont des enfants, qu’ils ne sont que la honte de ceux-ci qui dès qu’ils vont à l’école se rendent compte que la table sur laquelle ils étudient en est une véritable y compris la petite chaise et les instruments et donc qu’il ne s’agit pas de matériel pour des faussaires) – aussi les voilà à l’école à essayer de comprendre cette lois de la Quantité et de la Rareté et toutes les autres qui vont leur permettre de gagner des crédits financiers proprement, puisqu’ils savent qu’avec les deux œuvres en question (le piano décoré et le triptique) que leur chef me rendra, ils devraient disposer d’un crédit illimité auprès des banques – mais comment faire avec tant de moyens financiers ?

Oui, mais voilà ces deux œuvres ont été comme extorquée, puisque la première du triptique, comme la seconde (alors qu’elle était peinte en synchrone avec ma personne dans le Ciel qui peignait la troisième qui n’était alors que du virtuel, furent donnée à adolph hitler pour calmer la situation générale, d’une certaine façon pour acheter la Paix (ce que ces trois dessins ont permis). Le piano qui aurait dû être, une fois à Strasbourg, rendu au moment des fiançailles rompues, et comme la bague de fiançailles n’ont pas été rendus. Evidemment il y a la propriété du meuble piano, c'est-à-dire ce qu’on appelle le support qui est donc à estimer sans à l’état brut, c'est-à-dire vernis et noir comme un meuble d’occasion (sauf qu’il s’agissait d’un piano qui avait été légué à M. F. par une personne de sa famille – mais on le sait, la bande des aigrefins, des adolph n’a jamais voulu tenir compte de ce genre de détails qui sont les détails historiques ou intimes et s’est toujours précipitée comme à l’occasion de la vente aux enchères des objets d’André Breton en vautours pour détruire une collection d’objets qui étaient l’ensemble un parcours historique lié au pape du surréalisme – évidemment M. F. n’est pas André Breton et le piano dont elle a hérité et qui a été peint par l’empereur d’Ôz ne vaudra pas plus, une fois estimé qu’un des pianos qu’on trouve aux puces – puisqu’il s’agit du support (que je pourrais en raison de ce que j’ai eu à l’utiliser avec son autorisation – puisqu’elle n’a rien contre qu’on peigne partout – ce sont ses propres mots – racheter le double de sa valeur vénale – puisqu’il en reste une quantité importante dans le commerce qui sont concurrencés par tous les pianos contemporains de bien meilleur qualité acoustique – aussi il n’y a que la décoration qui l’est rendu précieux et à conserver et surtout tout l’histoire de cette décoration en relation avec divers martyrs et mensonges qui m’ont été faits durant tous les temps où j’eus à m’ingénier ainsi à force de méthode Cué à réussir à éprouver de véritables sentiments pour M. F. étant donné que ce qui s’était passé en 1975-1978 m’avait fait recommander du futur trente années avant d’y être, à celui que j’étais trente années avant et qui était contraint par cette jeune fille de sacrifier les enfants qu’il attendait d’avec l’impératrice C. L. car elle voulait elle seule occuper le rôle de l’impératrice à la place de l’impératrice – évidemment si j’avais su une seule seconde qui était M. F. et ce qu’elle avait causé comme dommage dans ma vie passée, je n’aurais jamais pu éprouver des sentiments d’amour pour elle – cela va de soi – d’où la contrainte de l’amnésie puisque j’y serais absolument contraint pour réussir à sauver la planète Terre rétroactivement et cela en vue de fonder Ôz – d’où la valeur inestimable des sarabandes peintes ou de toutes les peintures qui recouvre ce piano d’autant plus de ce dont je fus victime quelques mois avant d’avoir à me rendre à Rome en 1995 où on essaya de m’intimider alors que je ne savais rien de l’existence de la salle des machines - mais cela dans l’invisible – mais à la suite de diverses épopées, cette même bande – en réalité des fous et des irresponsables au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui ont perdu le sens de ce à quoi obéissent chacune des réalités – c'est-à-dire de la sommes des paramètres en interactions pour que chacun d’eux advienne proprement – ont voulu me faire empereur en 1995 – ce qui m’a permis de découvrir Atlantide une dizaine de Seconde, puisqu’ils utilisèrent le variateur de la vision d’Ôz – ce qui est synonyme pour me faire découvrir ce que les murs révélaient et qui résulte du travail que les ingénieurs architectes confient à la main d’œuvre pour faire des fonds uniforme, ce qui est l’équivalent de passer l’éponge et ce dont tous les analphabètes sont capables y compris les faunes, les satyres et les centaures comme petit travail qui n’exige aucune des peines qui ont contraint pendant des milliers d’heures chacun des architectes à faire des années d’études pour tracer des plans qui vont permettre à des chefs de chantiers d’embaucher cette main d’œuvre en leur donnant ici une chance de se débarrasser de l’enfant-gâté, de l’adolescent et de l’égoïste au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) en apprenant à travailler en équipe à des travaux qui ne sont qu’aimablement rétribués sur les bases scientifiques de la loi de la Quantité de main d’œuvre semblable, de la quantité en Concurrence et d’autres paramètres évalués comme les évaluent les véritables réalisateurs de films avec leur producteur avant d’annoncer un film en chantier, ce qui offre à toutes les personnes en difficulté de pouvoir être utile à des activités qui, en général s’apprennent assez rapidement, sauf évidemment celle des maîtres décorateurs, éclairagiste comme Henri Alekan, ou directeur des prises de vue technicolor comme Jean Badal ayant travaillé pour Jacques Tati, à qui j’eus recours un moment pour La Momie à mi-mots. Aussi, voilà l’exemple d’œuvres invendables, celle du piano comme du tryptique. Tous sauront progressivement l’histoire de ces œuvres qui ont sauvé la planète Terre ou Atlantide ou Ôz ou Eldorado ou Schtroumpfs ou … (des synonymes – tient pourquoi pas planète Synonyme depuis qu’on a découvert les exoplanètes appartenant à d’autres systèmes solaires) et voilà donc des personnes qui parce qu’elles appartiennent aux ignorantes, au mauvais sens de ce mot comme au bon, ne savent même pas qu’ils détiennent ces œuvres abusivement, puisqu’ils se sont aussi mal comportés depuis 1975-1978, et cela d’autant plus qu’ils habitent chacun dans la maison de l’empereur d’Oz qui n’ignore pas les lois et ses droits, tandis que ces personnes ignorent la loi, les convenances et ce qu’il convenait de faire avec ces œuvres. Et elles découvrent, en raison de la loi sur la Rareté que ces œuvres à l’aune des diverses performances que représentent ces transmissions à travers le temps du ciel, valent autant que l’une comme l’autre et donnent au détenteur le droit de battre monnaie (comme l’une ou l’autre des œuvres qui sont conservées au Vatican – sauf que celles-ci ont permis de sauver la planète et l’univers – donc si un éEtat a acquis le droit de battre monnaie sur une fortune aussi importante, cela signifie que n’importe laquelle des personnes détentrice d’une œuvre d’art véritable peut battre monnaie pour autant de crédits financiers que représente sur le marché de l’aArt cette œuvre d’aArt – soit l’équivalent – évidemment dans le cas des décorations qui recouvrent le piano-peint et d’autant plus du livre waterproof à tirage limité le Piano à quatre mains qui s’accompagne du cd audio et du cd-rom dont j’ai les masters – ce qui peut permettre d’offrir des jolis cadeaux, l’ensemble devait faire partie de divers réalisations chorégraphiques et musicales dans une optique future muséale ou de fondation ce qui permettrait de créer un ou deux emplois – mon unique soucis depuis que je suis petit pour les rétribuer en CFP et non en cfs ou cfu ou cfm et cfcch et ce qui permet à un lieu de survivre et parfois toute une petite région), puisqu’il n’y a pas d’œuvre dans tous les univers qui n’ait l’histoire incomparable de celle-ci et surtout de son auteur qui ici même s’exprime (c’est donc un dossier de plus qui va donner de la valeur supplémentaire à cette œuvre – puisqu’il est vraisemblable qu’en raison de ce que cela a permis avec la NNDIM, toute cette histoire va donner lieu à un film qui aura certainement un succès important, si réalisé par de très grands-interprètes, etc. – bref à des conséquences qui pourraient faire vendre des cd-audio des poèmes ou des textes mais aussi des cd-rom et donc permettre à quelques personnes de survivre comme à l’occasion de ce qu’on appelle les droits dérivés autour d’un film ou d’une exposition et cela d’autant plus qu’il y a la quarantaine de toiles-partitions pour le piano peint qui ont fini par permettre les communication à travers le temps et sauver la planète rétroactivement – d’où la valeur considérable de chacun des millimètres carrés de l’ensemble du parcours en productions d’œuvres d’arts entre 1975-1978 et 2005-2008 – cela signifie qu’il y a des correspondances pour chacun de mes coups de pinceaux dans toutes les œuvres de littératures, de peinture, de musique, de danse, etc. et cela chronologiquement mais aussi dans toutes les autres catégories – soit une période de l’histoire de l’aArt qui est donc à géométrie variable à considérer au point que très certainement cela est advenu partout en même temps sur la planète entière et cela dans chacune des civilisations – au points que chacun des caractères que je pose ici, sont en correspondance exacte avec chacun de faits les plus merveilleux advenus partout en même temps chez chacun des aArtistes – mais surtout pour la première fois nous savons sans un électron d’erreur que chacun l’aura été à un instant précis qui correspond dans l’histoire personnelle de chacun des individus y compris des malhonnêtes à des choses précises qui se sont produites ou des choses dont ils eurent connaissance et cela en différé chacun ou alors directement mais aussi à tout ce qui s’était déroulé entre 1965-68 et 1975-78 ou alors 1965-1970 qui correspond à 1975-1980 – soit la période l’histoire de l’aArt peut-être la plus admirable en raison de cet aspect hyper-scientifique qui peut aussi être mise en rapport avec les prouesses des champions de sport – au point de l’urgence qu’il y aurait à ce que n’importe lequel caractère de posé ait sa date, et son horaire car ensuite on pourra réussir à savoir dans la même ligne ce qui a été fait en même temps au même moment par tous ces aAuteurs, donc en déduire quantités de choses extraordinaires ou même prévisibles si on prend le soin d’étudier toutes ces correspondances ou du moins quelques unes – donc tout cela étant lié à la loi des Conséquences) à l’issu du processus, une autre fois vérifié, au point que tous nous sommes absolument certains que ce piano existait peint par mes soins comme le film La momie à mi-mots, dès 1965, terminé comme toutes les autres œuvres dans toutes les catégories achevées en 2005 (ce qui permet de comprendre ici que le cas de figure de la Création dont l’Univers est parachevé existe d’avance, qu’il est donc dans une autre dimension déjà entièrement construit, édifié, au point que cela signifierait que plus personne n’aurait à devoir se donner des peines pour travailler pour édifier jusqu’à réaliser par étapes (comme nous avons eu à le constater avec celles de 1965, 1975 et 2005) ce là-bas, si ce n’est aux occupations qui ont court une fois là-bas dans cet autre univers – d’où l’intérêt absolu pour tous les malfrats et tous les malhonnêtes de se laisser gouverner de façon à ce que nous ayons une chance de le rejoindre plus rapidement à partir d’un moment qui devrait venir mathématiquement au bout d’un certain nombre d’années – peut-être de dizaines d’années - de travaux divers et/mais d’un seul coup tous arrivés (sains et saufs) – ce qui vaut beaucoup mieux que de continuer à empiler des morts par millions et de le devoir à l’Eternel Retour pour que seuls des descendants l’atteigne en ayant ensuite à devoir s’occuper de chacun des morts (ce qui signifie des peines pendants des milliards d’années du même ordre que celles qui furent celles de nos ancêtres pendant des milliers d’années), ce qui signifie devoir se fatiguer à quantité d’activités qui mènent à réaliser petit à petit quelques petits progrès qui sont comme ce piano ou mes différentes œuvres que nous avons pu vérifier l’étaient déjà peintes ou déjà réalisées tournées montées (deux autres fois dont une fois en 1965 et la seconde en 1975) sans que personne n’ait à se donner du mal pour cela) – c'est-à-dire avec le TGV comme Internet ou les écrans plats et tout en couleur, mais aussi tous les films et tous les tableaux - et si on m’avait rendu la vieille salle des machines dès 1965 ou même dès 1975, comme on l’aurait dû, puisque j’étais comme marié avec ma promise et surtout j’attendais ma descendance, nous aurions fini par découvrir ou retrouver ces travaux parachevés puisqu’ils avaient été du virtuel en correspondance avec les années 1962 à 1965 – au lieu de cela, M. F. à Strasbourg a voulu devenir (en raison des préjugés) la meurtrière de ma descendance d’avec C. L. , et séparer l’empereur de l’impératrice comme ne pas comprendre, en raison des préjugés qu’elle avait, qu’elle pouvait devenir une seconde femme [dans le harem] de l’empereur (ou en tout cas d’une des femmes importante de l’empire et dont les avis auraient été entendus comme aurait été écoutés – car en raison de mon statut d’empereur, j’ai le droit, pour des raisons que j’ai à mener une bonne politique pour l’Empire entier à autant de femme que je jugerai bon (un droit que j’avais dès 1965) – puisqu’on ne peut se marier en ce monde que quand c’est une condition de survie pour l’Ensemble – et cela d’autant plus qu’on peut avoir autant d’histoire d’amour qu’on veut sans être mariés (sauf qu’on ne peut s’en autoriser une seule sans disposer de CFP car si seulement vous en engagez une en disposant de cfs, cfm, cfu ou cfcch vous serez à jamais prisonnier de celle que vous prétendiez aimer aussi faussement puisque ces financements ne sont pas mérités de droit ou de ceux qui font de vous une personne autonome et indépendante financièrement, donc crédible pour être le père d’une famille tout comme la jeune femme, si elle ne dispose pas de CFP mais que vous la sauriez liée aux divers chantages que les cfs, cfu, cfm et cfcch lui font subir, vous êtes donc avec une personne qui est malhonnête et donc qui ne pourra pas être la mère de ses enfants qu’en étant hostile, sans même s’en rendre compte aux intérêts intrinsèques, ontologiques de ces enfants venant au monde dans un univers qui appartenant à la maison Granier n’est pas d’un photon ou d’un électron ou même d’anti-matière sur tous malhonnête – aussi voilà cette dame à l’être devenue et donc à habiter illégalement, comme la reine de la nuit, un lieu qui n’est pas le sien ce qui explique qu’elle ait décidé de s’auto-anéantir puisqu’elle squattait un lieu qui n’était nullement à elle et dont les lois ne sont que celles de la Très Sainte Vierge Immaculée Conception). Aussi voilà donc des gens qui n’ont que des préjugés et qui ne vivent qu’en cachotiers et dans des hontes (sexuellement) puisqu’ils ne sont qu’à envisager des relations sexuelles qu’en les cachant aux uns et aux autres (avec le faux plaisir qui consiste à arnaquer une personne qui tenait à vous d’une façon possessive – ce qui ne peut qu’advenir en raison des répercutions de la maladie d’adolph hitler mais une possessivité qui n’existait pas à l’origine avant que la vieille salle des machines ait été occupée, puisque le mariage tel qu’il est codifié de nos jours n’existait pas et que très certainement les adultes respectaient comme de nos jours les gorilles le font les jeux des enfants en étant d’avance à leur souhaiter des amitiés liées à leur âge, c'est-à-dire comme un petit frère avec une sœur de son âge, ce qui est normal et n’est nullement une attitude égoïste mais celle d’adultes qui ont naturellement le soucis de la vie sensuelle de leurs enfants se souvenant combien d’avoir à y renoncer fut pénible – s’ajoute à cela le problème qu’ont créé les faunes, les satyres et les centaures qui sont ceux qui ne font qu’espionner mais qui n’existaient pas dans la véritable Atlantide des origines puisque la vieille salle des machines était à tous et cela à une époque sans encore cette langue rationnelle – en effet, ce qui comptait alors était subjectif mais comme la vieille salle des machine appartenait à tous, il s’agissait d’une subjectivité objective et qui était admise naturellement par l’ensemble car ce qui comptait était de résoudre les problèmes de la vie quotidienne mais dans un monde entièrement végétarien et qui n’avait nullement appris à combattre ou à tuer – d’où que cela soit totalement le contraire de ce qu’il faut faire de tuer ou de se battre – mais voilà ce qui sont devenus les managers de la vieille salle des machines ont progressivement voulu s’en servir d’une façon contrevenant ou en totale infraction avec les notions de fraternité véritables, ce qui contraint tous ceux qui n’en disposent pas à devoir se défendre sur le bon dDroit ou ce qui est juste ou en raison de personnes qui sont les auteurs de leurs actes et qui sont donc tenus chacun comme responsables de ceux-ci – d’où qu’il y a des distinctions à faire sur chacun d’entre eux qui relève alors de l’analyse ou de celle qu’on retrouvera tableau par tableau ou case par case de bande dessinée, c'est-à-dire image-clé par image-clé ou si on préfère moment-clé par moment-clé pour chacun et cela chacun confronté à chacune des nécessités et aux impératifs de l’existence dont celui qui est vite devenu à l’échelle planétaire le principal et qui consiste pour chacun d’entre nous à devenir indépendant et/ou autonome financièrement, ce qui ouvre alors des possibilités qui seront de celles qui permettent une égalité, s’il y a égalité de revenu ou alors une dépendance vis-à-vis de celui qui est le plus rétribué – il n’est pas ici question d’inégalité mais de ce qui permet l’égalité entre chacun des êtres humains, soit ce qui le rend autonome ou indépendant financièrement – je ne pourrais pas écrire cela si tous n’avaient pas eu à vérifier que je n’ai eu de cesse avec les transmission pharaonique à travers le temps de créer des emplois pour que les couples soient aussi libres de pouvoir divorcer le cas échéant et non pas à devoir se vendre sexuellement ou l’un ou l’autre, c'est-à-dire à dépendre de celui qui a le plus de revenu qui pourrait en profiter – ce qui le rend aussitôt hors-les-lois ou suspect de tous – en effet, voilà le futur père corrupteur ou la future mère corruptrice et donc dans une situation qui lui permettra du faire chanter ses enfants ou de les menacer – c'est-à-dire le contraire même de l’aAmour et de la fraternité, le contraire même de ce qui peut fonder une véritable famille – donc une parodie de famille ou l’une de celle qui n’ont que des cfs, cfu, cfm ou cfcch en commun et qui sont celles qu’auront des enfants-gâtés égoïstes qui vont croire pouvoir élever des enfants en ayant à les menacer y compris sur le plan financier ou même voudront leur offrir tous leurs caprices pour en tirer sensuellement et pourquoi pas sexuellement des avantages – il n’y a là qu’une démarche contraire à la notion de fraternité qui n’est pas à aimer un aAuteur pour des raison qu’il s’agit d’un corps mais uniquement parce qu’il s’agit d’un esprit qui exprime des choses dignes d’admiration comme le firent la plupart des cCompositeurs), c’est ce rapport aux CFP ou aux cfu, cfs, cfm qui déshonore toutes ces personnes et cela parce que la vieille salle des machines n’a, en définitive appartenu qu’à de très faux mariés ou à des couples qui n’ont que des mariages arrangés et qui vont donc s’en servir pour espionner ou pour l’utiliser pour exercer une contrainte ou des chantage à travers elle – soit une fraternité entre combinards qui sont entre eux à se soutenir entre eux en raison de compromis avec les divers mensonges, erreurs ou fautes qu’ils avaient en commun (car depuis le début de la scission (il y a plusieurs millénaires), il y a eu l’occasion d’avoir des certitudes mensongères à propos de plus ou moins tout et cela ne serait-ce que pour être d’accord entre ceux qui ont en commun un rituel de passage au sujet de la salle des machines qui les arrange eux-seuls (par conséquent qui n’aura de l’Intérêt Général qu’une notion qui n’est pas la très véritable mais l’inverse ou celle réduite aux intérêts de cette sorte de nomenclatura qui à cause de cela ne sera plus qu’uniquement de celles dans le mensonge et dans son cortège d’ineptie et surtout avec de fausse fraternité qui ne sera donc basée que sur l’idée fausse qu’ils ont de l‘aAmour entre eux n’ayant voulu que tirer un avantage égoïste de cet instrument – c’est donc ainsi qu’est né le mauvais esprit ou l’idée de s’en servir pour faire des esclaves) – ce qui est l’inverse même de la fraternité et uniquement la façon de faire du truand, c'est-à-dire, en définitive de celui qui est contraire à ses ontologiques intérêts mais surtout à ceux de ses enfants et de ses descendants encore plus loin, soit la honte du genre humain ou celui qui l’a utilisé pour augmenter le prix du baril de pétrole pour disposer à travers des cfs, de cfu ou de cfm ou de cfcch de « la vie de château » (qui est en réalité celle d’une fausse vie de château, car il n’y a jamais eu un monarque ou prince esclavagiste dans tous les temps mais au contraire tout le contraire à ne faire que s’occuper de prix ou autre grands honneurs de façon à ce que des personnes compétentes acquièrent des renommées pour qu’ils en deviennent comme des rois, c'est-à-dire en réalité comme des petits maîtres puisque la fortune ou les biens que ces personnes vont acquérir sont légitimes et permettent aux personnes appartenant à leurs familles de vivre relativement d’une façon indépendante ou autonome – la vie de château n’est donc qu’une vie de travail incommensurable de la part de chacun des responsables qui y ont eu accès et elle n’est donc que le fait de personnes compétentes qui savent s’écrire et résoudre tout uniquement par courriers – pour éviter d’avoir à se battre et progressivement démêler chacun des points et les résoudre canoniquement, sur des façons de procéder qui ne pourraient jamais à devoir trouver à redire même dans plusieurs milliards de siècles – c'est-à-dire sans se tromper) comme seul l’enfant menteur ou contraire à la fraternité véritable rêve de s’offrir « la vie de château », c'est-à-dire en trompant tous les autres et en voulant les réduire en esclavage (ou profiter de ces moyens financiers pour corrompre et créer une vie d’orgies – celles-ci n’adviennent qu’uniquement si les moyens financiers sont ceux des faussaires qui avec les faux moyens financiers dont ils bénéficient en sont assurés de pouvoir les mener et n’ont plus que sentiment d’irresponsabilité, croient pouvoir se comporter en inconscients ou même s’offrir chacun de leur caprice en enfants-gâtés égoïstes au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) – chacun en devient alors nuisible à l’Ensemble, bien qu’il va croire le contraire, parce qu’il dépense et permet, à première vue, au vendeur d’automobile ou de moto d’avoir la belle vie, parce qu’ils lui auront acheté quantité de véhicules – en réalité, ils dérobent ces véhicules et les escroquent plusieurs fois sur différents plans où nous aurions matière à développement (comme un chef d’éEtat ayant obtenu le pouvoir en utilisant le mensonge et non la vérité – toutes les dépenses de l’éEtat ne sont plus que celles établies en cfs, cfu ou cfm ou cfcch et non plus en CFP – il n’y avait qu’un projet d’escroquerie et non un projet d’Etat) – de plus cette consommation de voitures va augmenter la pollution (d’où réchauffement planétaire et ajout de CO2 – à cause de la quantité de véhicules utilisés par les enfants-gâtés - dans le processus de désertification et de fonte des glaces du pôles qui avaient une vocation d’assurer le climat tempéré, un juste milieu entre les chaleurs tropicales ou équatoriales et celles des pôles sont sur toutes les zones intermédiaires) puisqu’ils sont autant que cela à s’être pourvus d’automobiles (qu’ils ont à leurs noms propres), sans en mériter une et en contraignant pour cela l’ensemble des ouvriers à travailler – ceux-ci étant ceux qui eurent à sacrifier ces véhicules qui leur revenaient de droit, parce qu’ils avaient peiné à les réaliser pour les voir acheter en réalité dérobés par cette engeance de moins encore que vermine dont l’origine des financements est en réalité cette augmentation du prix du baril de pétrole dont ils se servent pour escroquer, en consommateurs s’étant habitués dès l’enfance à être gâtés, l’Ensemble et bénéficier alors de ce qui sera une fausse vie de château, ou celle de pacotille, et non une vraie (qui est la mienne, même si mon bureau est, pour l’instant, en attendant qu’on me paie tout ce qu’on me doit, dans un lieu réservé aux pauvres) c'est-à-dire des insouciants, des irresponsables et des inconscients ou ce qu’on a appelé la dolce vita des adolescents et des enfants-gâtés au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui ne vont que voler ou dérober l’Ensemble (c'est-à-dire surtout tous ceux qu’ils n’auraient jamais dû dérober car il s’agit d’honnêtes gens qui n’ont pas accès à la fausse sécurité des cfs, cfm, cfu) en faisant semblant d’être des gens bien élevés – mais comme les crédit de financements dont ils disposent sont aussi sales / usupés / malhonnètes (s ;u ;m) que cela et reposent sur un racket aussi immense, les voilà uniquement à mentir, quand ils font une dépense y compris pour un de leurs amis : ils ne sontdonc devenus que des menteurs et donc auront des comportements de personnes qui croyant qu’ils peuvent dépenser ces sommes de financements se croient chez eux puisqu’ils pensent entretenus des commerçants qui sinon auraient eu à beaucoup moins travailler donc à avoir plus de repos et une meilleure santé – pourtant ce qu’ils vont recevoir autrement, puisqu’ils participent à divers titres (en tant que main d’œuvre ou même enseignants ou alors politiciens appartenant à ces usurpateurs) a été véritablement élaboré (il s’agit de choses vraies obtenues en échange de ces sommes de financement qui à première vue seulement n’ont pas d’odeur), parfois même avec leur aide, au point qu’ils ont touché des CFP en plus de ce dont ils sont par leurs réseaux assurés (cela leur a permis, par exemple de vendre le pétrole au marché noir durant l’embargo à un meilleur prix) – mais les voilà encore plus voleurs/escrocs (et ce n’est pas un compliment – il n’y a pas de quoi être fier en raison de toutes les honnêtes gens qui leur proposent à des prix les plus avantageux des choses ayant requis parfois des peines d’années de travaux qu’ils achètent pour le prix d’un billet de Cinéma ou de théâtre alors que toutes les dépenses n’ont été faites qu’avec des CFP ou alors de l’argent blanchi ou alors des participations estimées ou des à-valoirs, ce qui est comme des reconnaissances de dettes en CFP ou avec d’autres valeurs/produits d’équivalentes valeurs) car ils auraient dû refuser ces CFP puisqu’ils étaient assurés des cfs, cfu, cfm ou/et cfcch – et toujours à ne rien comprendre de chacune des peines des artisans, ou de celles des grands patrons d’industrie aux mains propres ayant parfois des centaines de personnes à nourrir tous les mois ou des banquiers les plus honorables qui se sont donnés du mal pour financer avec des CFP chacun des produits vendus, s’ils ont été produits en très grandes quantités pas chers et s’ils ne sont pas aussi rares qu’un seul original d’une œuvre d’aArt ou un prototype de manuscrit à des prix pouvant être très importants quantitativement, comme ce qu’on aura, par exemple, à rémunérer pour les plans d’un pont à construire (dans une des grandes villes d’Afrique ou des pays en voie de développement) et qui représente quantité d’heures de préparation, de frais d’agence, etc. de repas (qui ne peuvent se faire qu’en ayant plaisir à travailler car si le travail doit devenir un cauchemar cela fera un pont qui en sera un à découvrir et qui n’aura rien de particulièrement intéressant ou nouveau comme ceux de Santiago Calatrava), de travaux et remboursements de scolarité pendant des années pour y parvenir au point d’être ensuite de ces très rares personnes à être capables de diriger les travaux, comme un réalisateur de film ou un metteur en scène-producteur-distributeur véritable). Soit donc avec cette sécurité des crédits de financements usurpés à l’Ensemble la façon de voir de l’enfant-gâté et de l’égoïste (du profiteurs parasite de l’éEtat ou celui qui le dérobe puisqu’il bénéficie de lui sur tous les plans où des serviteurs intègres l’ont servi) qui n’a pas encore compris que chacun des êtres humains naît libre et égal en droit et par conséquent est soumis à la même règle du jeu financière que n’importe qui d’autres en pouvant compter d’avance sur la charité de l’Etat puisque ce qu’il en reste et à rendre à césar, ce qui signifie en réalité à rendre à la Synagogue, à la Mosquée et à l’Eglise, donc au socle commun des enseignements découlant de la Bible, par conséquent aux grandes Ecoles et aux Universités qui en découlaient déjà (en atteste l’admirable place de la Sorbonne) – évidemment en Orient, ce sera aux enseignements bouddhiques – d’où qu’on ne puisse utiliser les Crédits de financements usurpés à l’Ensemble pour corrompre, mais seulement les CFP pour rétribuer très justement, comme à l’occasion des pourcentage que les maisons d’édition savent devoir reverser après le bilan auquel elles sont tenue à chacun de leurs aAuteurs, ce qui est l’origine des CFP qui permettent de rétribuer toute la chaîne des travaux jusqu’aux coursiers – c'est-à-dire de la main d’œuvre souvent non qualifiée ou très peu qualifiée, par exemple pour n’avoir qu’à livrer (en échange de ces CFP) – celle-ci appartenant à ces quantités de personnes qui ne sont en rien rares (puisqu’il s’agit d’une activité que tous savent faire des les premiers pas (on va jusqu’à livrer une tasse de café ou un thé dans une des chambres des lieux où l’ont commence à grandir – l’activité de livraison est donc celle qui ne nécessite en principe auxune scolarité (sauf qu’il faudra apprendre à conduire et transporter les paquets comme les lettres) dans les compétences qu’elles ont en commun, ce qu’au contraire l’aAuteur est – rare quand il est véritable et donc, comme l’iIngénieur ou l’architecte à devoir se contraindre à se priver des activités de livraison pour que les personnes n’étant pas aAuteur ou responsable (c'est-à-dire à œuvre en conscience ou du moins grâce à quantités de savoirs) puisse comme les activités de travaux manuels être à les pourvoir – j’ai vérifier un jour que j’ai voulu livrer de l’oxygène que même si je m’entendait bien avec le chauffeur du camion, ma place n’était pas celle de livreur – bien sûr j’ai eu quantité de livraison personnelle de lettres ou de paquets à faire à la poste, ce qui aurait dû être fait par un secrétaire et non par moi qui n’aurait pas dû avoir à perdre mon temps à recopier des adresse et à mettre en paquet ou même à perdre mon temps pour les timbrer à la poste – pourtant j’eus des dizaines, voire des centaines et peut-être des milliers de fois à devoir faire de travail qui est normalement celui du débutant – d’où une perte de temps considérable pour tout ce que je suis le seul au monde capable de faire, soit ce qui me rend rare ou unique et qui donne du prix à mes inventions – évidemment si on avait songé à me rembourser ce qu’on savait me devoir, j’aurais pu rétribuer une personne dans le besoin et qui n’a pas autant de scolarité que moi pour m’aider et me faire gagner du temps dans toutes les activités les plus difficiles dans lesquelles personnes n’est au monde à les mener aussi bien que moi – cette personne est peut-être à l’heure actuelle devenue malhonnête alors que si on avait songé à me rembourser de ce qu’on me devait, à force de travailler avec moi serait devenu le plus honnête homme du monde – les serviteurs des différents éEtats mais aussi des personnes qui me doivent leur fortune n’ayant pas songé à cela me devront des dédommagements pour ne s’être conduites qu’en égoïstes et n’avoir pas songé qu’imposer des milliers d’aller et venue vers une Poste de quartier à un jeune homme à qui ont doit toutes les fortunes honnêtement faites dans le monde entier est bien pire à chacune des fois qu’un crime de lèse majesté d’autant plus du manque à gagner sur tous les autres plans que cela a représenté – soit des dédommagements financiers en proportion de ces pertes depuis 1975-1978).

 Et surtout avoir perdu les deux œuvres qui ne seront plus jamais à eux – soit celles qui vont permettre de créer ce parcours qui permettra d’offrir un travail à un (ancien) rapetout (qui voudrait commencer à bien faire) pour qu’il commence à devenir honnête (en s’appliquant à une discipline quotidienne structurante)  : s’occuper de délivrer des billets pour l’exposition, et puis chacun des autres travaux exigés pour monter l’exposition et non assister à ceux qui se donnent du mal pour le faire eux-mêmes en se donnant en spectacle et qui ne sont que des Cendrillons qui fournissent tous les efforts dont le publics ne fait que profiter (en oubliant de les évaluer ou en s’abandonnant au rêve alors qu’il ne s’agit pas de cinéma mais de réalité) – cela n’a visiblement servi à rien cette façon de faire puisque toujours les mêmes à se donner du mal comme les chefs d’orchestre véritables ou les aAuteurs et les metteurs en scène véritables et toujours les mêmes, ceux-là, qui ne sont qu’à profiter des ordres donnés et qui ont caché qu’ils utilisent les artifices qu’offre la vieille salle des machines pour espionner par exemple d’avance la moindre correction apportée sur les scripts ou autres documents, alors que tout autour d’un plateau de tournage (y compris dans les coulisses) des bonus sont tournés par des apprentis metteurs en scène, comme j’eus à le conseiller et que cela ne sert à rien d’espionner de l’intérieur une personne en lui cachant comment fonctionnent tous ces gadgets qui appartenaient à tous, en Atlantide ou à Ôz avant que la scission n’advienne ou une fois que tous se décideront enfin à cesser ce qui n’est que mauvais pour eux-mêmes (se laisser bercer par les illusions des à premières vues non analysées sur tous les autres plans – vraiment les Rapetout se sont acharnés contre leurs intérêts ontologiques, vraiment les Pat Hilubaire n’ont recherché qu’à se faire du tort à eux-mêmes – les voilà effectivement plus riches ou autant riches que le plus grands des collectionneurs d’autrefois (quand les œuvres d’aArt véritables ou rares n’appartenaient qu’aux très rares connaisseurs) ou plus encore (au point d’en regorger dans leurs habitations escroquées) et ils n’ont pas songé un tantinet à valoriser ces objets pour permettre à des personnes de gagner des crédits de financements propres grâce à elles, alors que chacun de ces artistes incommensurables ne se sont donnés tous les maux ou toutes les peines du monde à maîtriser le juste trait comme le juste son (celui de Maria Calla, par exemple) que par charité pour permettre de faire part de la culture véritable à tous ceux qui sont sans lumière ou qui ne sont encore que prisonniers des touche cul-cul ou de passions qui ne sont que véhicules de microbes de toute nature (puisqu’il y a toutes les maladies psychologiques et psychiques) – et il faut que cela soit moi qui disent comment faire fortune avec ces œuvres car ces individus n’y songeaient même pas assurés chacun d’autant de financements usurpés, sales ou malhonnêtes (ce qui signifie qu’ils n’ont jamais compris aucune des peines des aArtistes qu’ils prirent au cours des siècles, ne serait-ce que celles pour écrire des livrets d’Opéra ou les partitions de musiques et cela dans l’espoir sur le nombre de tentative qu’il y en aurait un qui en assurant le succès permette que la personne qui serait chargée de passer l’aspirateur soit payée avec des CFP (non usurpés) ou celui chargé de poinçonner un ticket de métro puisse comprendre (peut-être en fin de carrière seulement) qu’il ne le doit qu’aux peines de ces ingénieurs compétents (donc véritables et non des faussaires – sauf qu’il y eut les faussaires dans le lot des véritables) ayant dirigé les travaux lui permettant, pour l’instant en ancien centaure ou en satyre d’avoir une place pour délivrer des carnets de ticket de métro (ce qui là non plus n’aura jamais exigé la quantité d’études incommensurablement difficiles que les autres eurent à faire pour créer les plans de la petite loge : la dessiner et en dirigeant les travaux la fournir de toutes les commodités de l’époque pour une personne dont tous savent que le cerveau appartient encore à ceux qui sont dégradés, mais que la régularité dans le travail, car ce n’est pas ce cerveau est encore loin de celui d’un aArtiste véritable qui a tous les droits, car il sait s’auto-censurer comme s’organiser ou ce qu’il a à faire (les priorités mais aussi ses devoirs ou comment programmer ceux des personnes qui dépendent de lui), pourrait à la longue le remettre dans le chemin des compétences les plus utiles), et donc d’être payé très exactement, grâce aux sciences très véritables qui n’ont rien à voir avec des escroqueries, d’autant plus du recours à la Banque du Saint-Esprit, quand il manqua de quoi payer ! Ils veulent garder ces œuvres pour que personne n’y ait jamais accès ? (Non pas, heureusement, puisque j’explique ce qu’il y aura à faire pour qu’elles apportent ici la séduction dont elles sont les vecteurs et avec elle ce quyi devrait permettre de boucler des budgets leur permettant de survivre en otarcie (autarcie) – d’être à l’origine de bien faits, comme le sont toutes les œuvres admirées dans le monde entier qui ont permises en raison des dégradations qu’elles avaient subi, à des métiers de restaurateurs compétents d’advenir, en étant certainement pas entrain d’usurper les CFP qu’ils exigent puisque c’est parfois au terme de très nombreuses années qu’ils parviennent à facturer en sachant qu’il ne s’agit pas de fausses factures mais de celles où ils ne sont qu’hyper honnête puisque s’il n’y avait pas les malhonnêtes ils n’auraient travaillé que gratuitement et que les factures qu’ils exigent sont donc simplement pour vivoter ou espérer avoir de nouvelles commandes au degré de compétence parfois immense qu’ils ont atteint qui est donc amplement sous-estimé pour éviter les inflations et permettre à chacun de survivre). Ou enfin il se décident à être un peu conscient de ce qu’on fait quand on est vraiment des milliardaires en vraies CFP.

Pourquoi cacher les cfs, cff , cfu ou cfm qu’ils continuent à dépenser en escroquant l’Ensemble après les livraisons de pétrole, puisque les deux œuvres d’aArt en question valent bien plus que tous les milliards dans tous les temps qu’ils pourront jamais obtenir – alors cela les a avancé à quoi de tout cacher ? Cela les a avancé à quoi de me les extorquer – Le piano peint, loin de la quarantaine de tableaux-partitions qui ont été peint pour le projet de chorégraphies à Beaubourg que je fis construire, enfant, depuis Rome où j’étais en poste de pharaon assistant de mon père que j’avais à l’œil et qui fit à ce sujet un choix remarquable avec Renzo Piano – en effet, malgré tout le mal qu’on a dit de ce projet, le fait qu’il ressemblait un peu à ce qu’Alain Resnais a admirablement décrit dans le Chant du Stirènes, soit une raffinerie de pétrole me paru une admirable idée pour l’époque qui vivait une crise du pétrole sans précédent – c’était bien l’enjeu du pétrole que d’offrir à chacune des cultures et des langues le moyen, grâce à Internet de faire disparaître les antagonismes culturels et de créer une synergie de traductions de chacune des choses de chacune des rRégions dans chacune des langues des autres rRégions – ce qui est comme un travail d’aAuteur et c’est pourquoi Nous avons lancé les logiciels de traduction ou d’équivalence linguistique en rassurant d’avance pour dire à quel point cela marchait ou pourrait être un excellent outil au service des traducteurs qui me devront des royalties comme les différentes grandes entreprises de logiciels y compris ceux qui permettent de dicter à haute-voix, ce qui retranscrit en caractères dactylographiques comme par ailleurs l’entreprise des livres lus que je songeai pour les personnes âgées ou handicapées et pour donner ainsi des CFP aux acteurs à d’autres moments où ils ne sont pas sur la scène d’un théâtre ou un plateau de cinéma – une activité que j’adore faire, celle de lire à haute voix des livres et qui permet de parfaire son jeu d’acteur – en fait j’ai aimé particulièrement cela car mon père est un admirable lecteur qui avait réussi à me passer le virus de la lecture à haute voix car il aime lire des pièce de Théâtre – cela était donc possible dans chacune des rRégions avec les livres et cela parce que ma mère avait fait un investissement d’un appareil à cassette pour que j’apprenne l’anglais, ce qui fait que j’ai eu cette idée de développer beaucoup plus qu’elle ne l’était cet idée des livres audio au point d’avoir fait des cd-rom audio – évidemment il s’agit d’investissements car l’idéal et d’enregistrer sa propre lecture d’un livre (y compris pour la transmettre à ses descendants – aussi quand on la réalise, on pourrait aussitôt la donner à partager et il est probable que dans le tas de très mauvais lecteurs, il y en ait un qui soit bon – aussi cela peut donner des quantités de version du même texte qui n’auront aucun intérêt auditivement et qui soudain trouvent tout ce qu’il cachait grâce à celui à qui il s’adressait pour en révéler les » substantifiques sèves « ) et par conséquent de se trouver du côté des patrons, ce qui ne peut être compris qu’à l’issue d’un parcours abominablement difficile (car ils sont nombreux à ne se comporter que le plus honnêtement du monde) – aussi ils n’auront autour d’eux que des personnes dont aucun des ancêtres ne s’est jamais donné le mal que je me suis donné et par conséquent tous en situation de dette pour toujours envers Nous – ce qui est difficile à vivre et ce qui peut amener à vouloir en profiter, ce qui alors me contraindra à devoir menacer d’arrêter tous les travaux maçonniques sur le champ partout, car il est hors de question qu’un seul Granier d’Ôz, après ce que signifie pour mon père et pour moi 1965, 1975 et 2005, devienne un malhonnête. En effet, le pharaon d’avant a fait tant de mal, au mauvais sens de ce mot, qu’il a réussi à défigurer cette planète avec la/sa bande des Rapetout. Aussi comme j’ai vérifié qu’ils ne peuvent pas comprendre d’un électron l’Economie (mais qu’ils font au moins semblant, ce qui n’est déjà pas si mal) et qu’ils ne font semblant que partout de comprendre, et comme j’ai pu vérifier qu’ils s’agit de personnes qui se donnent du mal dans les différents travaux qu’ils s’infligent (sans faire semblant de se donner du mal – bien que le but de la manœuvre est d’arnaquer – ce qui est finalement drôle mais moins pour eux qui s’arnaquent eux-mêmes) et qu’assurés de crédits financiers usurpés ils sont au moins rassurés, je crois que la meilleure des solutions est de les convertir en légitimes, à cause de la valeur de ces deux œuvres d’art dont ils disposent et qui serait réellement à eux de dDroit s’ils ne les avaient pas en réalité extorqué. En les rendant (avec la vieille salle des machines qui sera mise sous mes scellés en raison de ce dont elle s’est rendue coupable (des milliards de morts) et enfin en se comportant en aspirant gentilshommes, du coup l’ensemble de l‘œuvre est reconstituée (le piano-peint et la quarantaines de tableaux qui devaient être présentés sauf une des partitions sur des pianos peints uniformément, comme on les donne à vernir à la main d’œuvre, ce qui représente une technique de fond qui est reproduite en série et qui n’exige aucunement les compétences liées à l’infinitésimal qui a permis en tous les temps de se dédier aux miniatures ou aux enluminures des textes sacrés (c’est ainsi qu’on a fini par dessiner les plans des orgues et des pianos, de très savantes constructions) pour des œuvres sacrées comme s’y consacrent les plus grands compositeurs en travaillant avec les notes les rapports savemment mathématiques qu’elles entretiennent entre elles) et ils pourront continuer à faire comme si l’ensemble était à eux dans la mesure où la vieille salle des machines qui nous aura été remise (pour qu’elle ne serve plus étant donné que pour espionner, au sens positif de ce mot qui permet d’apprendre, alors qu’au sens négatif, à l’insu, cela n’aboutira qu’à la dégradation de ceux qui s’y adonnent, puisque c’est se moquer des droit ontologiquement liés à la personne humaine – droits liés entre autres à la maîtrise de sa propre image – en effet, nous vivons à une époque audio-visuelle depuis au moins la fin du XIXème siècle et ne sommes plus à l’époque où il n’y avait pas partout ces possibles « veilleuses » ou fenêtres d’accessibles) sera en tout cas longtemps fermée ou du moins autant de temps que je n’aurais pas évalué exactement par rapport à chacun des mots et chacune des expressions en conscience si ces machines ont un quelconque intérêt pour amener quelqu’un à retrouver la raison (au lieu de n’avoir conduit jusqu’ici tous ceux qui l’ont approché à la perdre en devenant aussi irresponsables que cela ou aussi nocifs à l’Intérêt Général, celui que la conscience détermine au cas pas sans un électron d’erreur par rapport à toutes les données connues et toutes celles en pointillés qui pourraient donc être à devoir considérer d’avance). En tout car chacun peut se servir d’Internet et atteindre chacune des web cam qui n’est nullement à l’insu mais allumée ou ouverte sur des sujets différents y compris sexyes (ce qui n’étant pas fait à l’insu n’a donc pas à être caché – ici c’est à chacun de savoir se conformer, soit en s’autorisant une infidélité spirituelle à sa femme ou à son mari (ce qui visiblement à l’air possible avec accord mutuel quand on accepte de devenir inconscient et d’oublier les devoirs qu’on doit à ses descendants de se pourvoir en CFP pour les nourrir et les loger puisque ceux-ci sont normalement destinés à d’autres personnes et sont seulement nés pour tenter de vous soigner pour vous redonner une chance de vivre vôtre enfance et vous souvenir de combien vous n’aspiriez qu’à de belles et bonnes choses et non à toutes celles dégradantes qui firent de vous un escroc – vous le saurez rapidement en fréquentant ces enfants, vous n’étiez pas escroc puisqu’ils ne le sont en rien – aussi cela signifie que les descendants plus loin encore où ceux qu’ont virtuellement vos enfants à la naissance où qu’ils recherchent le sont encore moins – d’où que tout cela est admirablement bien fait pour vous donner de nouvelles chances et au lieu de vous enfoncer, de vous faire jouer un rôle respectable dans la cité – vous ne le devrez qu’à vos petits enfants ou à encore plus loin dans le futur et n’imaginez pas qu’ils soient coupables de quoi que se soit – c’est vous seul qui êtes d’avance coupables de le croire – vous blasphémez en pensée – vous devez tout aux petits nourrissons qui naissent et qui sont aussi patient et aussi dénués de préjugés et surtout qui ne font nullement le mal en tétant – mais j’ai pu vérifier que celui qui n’a fait que le mal ou qui est encore dans des fausses attitudes et dans le mal est capable de le croire en enfant-gâté des péchés de la luxure lui ayant dénaturé la vue et surtout le cerveau – très certainement qu’on lui a présenté la question sexuelle comme le mal alors qu’elle ne l’est aucunement quand l’aAmour avec un grand « a » permet de vous débarrasser de l’adolescent et de l’égoïste et de vous rendre enfin un garçon conscient et responsable y compris comptable de vos dépenses et d’avance des besoins de vôtre moitié et de ceux de vos descendants au point d’avoir à songer à devoir mettre de côté des CFP pour qu’ils ne soient pas démunis s’ils devaient devoir payer des funérailles quand ils seront âgés et que vous n’êtes plus proche d’eux – en effet, c’est vous qui avez décidé de les mettre au monde – vous deviez vous assurer de disposer des crédits financiers à cette fin – vous avez compté sur le système et l’éEtat – vous êtes donc celui qui parasite les autres ou qui voulez peser sur la bourse des honnêtes gens qui ne se sont jamais permis d’avoir des enfants sans être au moins certains d’avance de disposer des moyens de leurs offrir une tombe en vue de protéger leur corps jusqu’à la résurrection des morts – puisque vous fûtes de ceux qui avez cru possible donner à la mort du crédit – c'est-à-dire à tous ceux qui ne sont que de très sombres ignorants au mauvais sens de ce mot qui en ne rendant pas la salle des machines à des Jean Moulin ou à des ingénieurs en aArts appliqués n’ont fait que se conforter dans l’idée qu’elle pouvait faucher alors qu’en restituant la vision d’Atlantide (ou d’Ôz, ce qui est synonyme) selon un programme précis cela l’aurait évité), soit pour s’intéresser sur d’autres plans à ce qui n’est qu’à première vue sexy – évidemment cela peut l’être pour ceux qui sont dans l’humeur ou le temps de la journée de récréation ou on peut sortir d’un travail qui étant de ceux ou la sexualité n’intervient d’aucune façon (au premier plan ou même sur d’autres plans que parfois en pénultième position ou antépénultieme, voire ultime (ce qui est vrai, rare) – car il ne vaut mieux pas sinon vous pourriez vous retrouver coupables d’erreurs si colossales ou d’accidents si considérables que de le croire possible c’est mélanger les torchons et les serviettes, ce qui se peut difficilement dans un lieu de rangement une fois repassés. En effet : j’ai vérifié que de mélanger la conduite automobile avec le plaisir de regarder des jolies filles qui marchent sur les trottoirs c’est dangereux pour l’automobile – il y a donc un temps pour chaque chose) quand les personnes se sentent aptes d’apparaître en public –  c’est donc différent (les web cam) bien que cela permet aussi d’accéder n’importe où (bien qu’ils sachent que chacun des objets est relié à un responsable qui est chargé parfois d’avoir à l’entretenir ou à veiller à sa restauration, ce qui exige d’être devenu expert et d’être capable de confier ces œuvres à ces mains d’aArtistes – évidemment ils profitent ensuite de ces restaurations qui sont des dépenses faites par les éEtats ou par les institutions qui les détiennent en propriété ou par des particuliers ce qui est des soins dont les mérites reviennent aux personnes étant devenue responsables de ces objets – ne pas comprendre qu’ils n’appartiennent qu’à des personnes méritantes et vouloir les acheter pour se faire passer pour des milliardaires ayant converti ou blanchi des sommes escroquées à l’Ensemble en œuvres d’aArt très véritables, c’est disposer chez eux de collections ou de trésors usurpés à ceux qui en savent réellement le prix qui est de toute façon supérieur à celui qui leur a permis de placer ces sommes de financements cff, cfs, cfu, cfm ou cfcch – aussi ne pas comprendre la démarche que je fis faire pour le musée Maïolle ou celle que nous avons mené sur un autre plan pour la Gare d’Orsay en la transformant en ancêtre des Bons Marchés de l’aArt du XIXème siècle en ayant à porter l’ancien Jeu de Paume du côté de la photographie et de l’audio-visuel comme de l’art contemporain, c’est ne pas comprendre non plus combien nous eûmes à cœur la Donation Picasso – ce qui est le plus drôle (pour ne pas avoir ici à dire d’une tristesse affligeante pour ceux qui voulurent en devenir coupable) c’est qu’on ne songea jamais à m’inviter ou m’envoyer une voiture pour tous les grands vernissages (évidemment ces gens se basaient sur des à premières vues qu’ils avaient espionnés en profitant de ce qu’ils savaient qua j’avais oublié comment cela avait commencé en 1975-1978 à l’occasion de Notre sacrifice avec les impératrice C. L. – c’est dire en minimisant la lâcheté de ces misérables, dont tout les chefs- d’éEtat qu’ils furent) – aussi, j’ai bien compris à qui j’ai à faire : des faux partout qui n’ont utilisé l’aArt que pour mieux circonvenir et s’en moquer ou en être sacrilège comme Paolo et Francesca se moquant de ce qu’ils lisent et aspirant « à fauter » comme si les trésors du Vatican ou du Louvres devaient permettre ces sacrilèges (c’est déraisonner puisque chacune de ces œuvres ne poursuit depuis des millénaires que le projet de soigner, ceux qui à partir de ces admirables formes sauront commencer à penser comme Dante ou Shakespeare ou Goldoni, Marivaux ou Rossini – il est probable que je serais invité un jour partout, mais je sais à quoi m’en tenir d’avance, je pourrais au moins envoyer des représentants qui ne me fréquenteront que pour accéder gratuitement à ces évènements) mais en respectant la volonté et les droits des personnes à être certaines que personne ne se mêlera de ce qu’elles ont à faire (il s’agit d’une ontologique liberté qui induit de chacun qu’il ait une tête pour choisir quand il est visible publiquement de quand il ne l’est pas – ne pas être visible, cela dépend de tant de paramètres, comme celui de se sentir admirable – tant qu’ils ne sont pas résolus, il y a un devoir de respect de la part des spectateurs – d’autre part l’adolescence induit des cachoteries qui peuvent être (en raison des circonstances qui remontent à si loin et de tout ce qu’il ne sait pas exactement), normales – vouloir espionner les adolescents, c’est croire qu’ils sont coupables, ce qui n’est pas vrai (ils n’aspirent pas au mal mais à tout le contraire) puisque ce sont tous ceux qui ont tout fait pour les rendre adolescents qui en ne se l’interdisant pas en sont les coupables).

Mais s’ils abandonnent l’administration, la politique, l’économie (comme toutes les autres catégories) aux personnes réellement compétentes, ils pourront se consacrer à l’un des travaux manuels dont j’ai pu vérifier qu’à force d’efforts pour se les infliger, ils conduisent à devenir un ôzien – mais cela nécessite un préalable : de renoncer à être malhonnêtes et en disposant alors collectivement du trésor de ces deux œuvres d’aArt de mon cru (c'est-à-dire de ce qu’il représente dans les cieux comme valeur véritable – non de celles qui sont terriennes ou vénales ou liées aux circonstances ayant apporté la solution élégante des commerces qui sont donc sur un autre plan puisqu’ils obéissent aux lois de la Quantité et de la Rareté et à tous les paramètres qui y sont rattachés), leur fortune serait celle d’honnêtes gens et non plus celles de faussaires et il dispose ici de la possibilité de la perdre, de la dépenser, de continuer d’essayer en enfant-gâtés à la dilapider et à corrompre, donc d’un choix de « propriétaires » (au mauvais sens de ce mot) : voudront-ils, au contraire comme les vrais propriétaires (donc au bon sens de ce mot) cesser de détruire la planète Terre et de se détruire eux-mêmes comme de nuire ou de rechercher à être agréable en corrompant les autres qui savent que, pour réussir un jour à être l’un des premiers à disposer d’un billet de banque ôziens, il s’agit là d’un privilège rare et non de billets seulement photocopiés ou tirés avec une imprimante qu’on peut falsifier aussi facilement, puisqu’il aura fallu autant d’année pour arriver à cette monnaie unique mondiale en perspective après celle de l’Euro (il y eut le même engouement dans les premiers temps avec elle en sachant enfin que l’Union Européenne disposait d’une devise au moins aussi forte que le dollar) et voudront-ils enfin comprendre que les sommes de rémunération financières obtenues, versées, sont sacrées car calculées au plus juste (ce qui induit des formations en proportion qui permettent alors de tenir compte humainement des besoins minimaux – ce qui signifie que les personnes qui les ont calculé sont de celles qui se sont délivrées de leur égoïsme, de l’enfant-gâté et de l’adolescent qui n’est qu’à rechercher d’avoir lui seul en propriété au point de croire avoir le droit de la défendre par les armes à feu contre tous ceux qui n’avaient cependant nulle intention de la dérober mais uniquement de la mettre sous séquestre ou sous tutelle, s’il ne l’administre pas correctement ou s’en-dette outre mesure en faisant peser sur les autres d/ses besoins qui pouvaient attendre que l’Ensemble puisse y répondre, au lieu d’être de ceux qui veulent être servis les premiers, en oubliant que les petits n’ont rien mangé) et pas seulement comme ils l’ont cru jusqu’ici servant « à escroquer ») et au lieu d’avoir un centre avec la monnaie mondiale d’Ôz, cette fleur serait avec des pétales sans tige, sans architecture pour la tenir, comme la marguerite qui parfois est de celles avec une quantité très importante de pétales (comme autant de devises de monnaies s’étendant sur le territoire de ce pétale comme s’il était celui d’une des rRégions du globe) au point que chacun d’eux pourrait être une monnaie unique en cours dans un ensemble (cette surface ou superficie de ce pétale tirant sa sève de cette banque centrale reliée à la Terre/Ôz – et c’est ici, que lyriques, on songera à la fin de Autant en emporte le vent et à la dame qui penchée sur celle-ci songe peut-être à ce qu’elle est à [re]fleurir pour d’autres qu’elle-même, après avoir perdu sa descendance, à cause de cette guerre de Sécession admirablement dépeinte dans les épisodes des Tuniques bleues). Or une fleur sans tige ne peut pousser. Aussi sans la banque (ce qui est synonyme de tige ou racines) centrale comment faire pour que ces sèves irriguent les nervures jusqu’à ce point qui déploie en rosaces ces pétales ?

[4] Il est probable qu’en raison de l’Histoire et des étapes de la découverte du pétrole ces personnes se soient habituées à vivre de leurs rentes (mais au mauvais sens de cette expression qui en a du bon pour l’Ensemble autrement vu) et à croire normal ce qui est en infraction avec les lois de la Quantité et de la Rareté (et etc.) mais aussi en infraction avec les principes de la fraternité et les lois du commerce dont ils bénéficient cependant quotidiennement. Ils ont donc cru simplement avoir à augmenter le prix du baril de pétrole selon la quantité de leurs besoins, en se conduisant ici d’une manière totalement irréaliste (avec les œillères des inconscients et des irresponsables mais surtout des ignorants au mauvais sens du mot de ce qu’est l’Economie le Droit et la bonne politique – ils se sont fait d’avance les ennemis de tous les êtres humains dans tous les temps futurs) ou en égoïste (ne pensant d’aucune façon aux conséquences de leurs actes pour toutes les personnes qu’ils prétendaient être leurs frères et qui dépendent de cette matière première en raison de géographie hostiles ne bénéficiant pas de la chaleur de ces régions pétrolières – ce qui fut la preuve de leur racket et de leur non fraternité dans les échanges commerciaux puisqu’à ne pas vouloir comprendre la situation du point de vue des peuples soumis à ces climats météorologiques induisant de telles dépenses dont ils disposaient de la complémentarité ou plutôt de ce qui pouvait rendre plus facile tous les travaux artisanaux ou industriels destinés à exporter les biens en surproduction ou en surplus, ce dont ils auraient bénéficié – au lieu de cela en augmentant le prix du baril de pétrole, ils ont freiné toutes les entreprises, les ont limitées au minimum de leurs capacité de production (et en raison du coût de la main d’œuvre limité l’emploi et même créé tout le chômage qui existe) et donc ont rendu les exportations coûteuses d’autant des répercussions de ce prix de la matière première énergétique en devenant chacun à l’Opep criminel contre les intérêt vitaux de l’humanité, puisque même le prix du lait (c'est-à-dire un aliment vital ou fondamental ou primordial) dont les mamans ont grandement besoin à partir d’un certain moment a augmenté ou n’a pu être proposé au prix bas où il a continué à être vendu qu’en bénéficiant de subventions ayant endetté les éEtats d’autant, comme tous les produits de première nécessité qui aurait pu être offert sinon en assurant à chacun des terriens, dès l’enfance, de manger chacun quotidiennement trois repas et un logement minimal tous les jours à mesure que le prix du pétrole aurait baissé en permettant à chacun des pays producteurs de pétrole d’augmenter leur pouvoir d’achat d’autant l’augmentation du pouvoir d’achat du dollar qui aurait découlé d’une économie de plus en plus saine et performante : disparition du chômage, production permettant d’assurer les besoins mondiaux toutes catégories confondues, prospérité constante), donc contraire aux intérêts de l’Ensemble et en s’habituant à « la vie de château » qui est celle, en réalité non pas de châtelains ou de véritables souverains, mais uniquement de celles des ignorants, au mauvais sens de ce mot, ou de ces parasites et sombres profiteurs rentiers ou enfants-gâtés ce qui a déshonoré leurs ancêtres et chacun d’eux au paroxysme du paroxysme de l’inconcevable, puisqu’ils sont devenus complices des plus grands crimes contre l’humanité (partout, chacune des personne en souffrance ou malade ou âgée est leur œuvre) à cause du réchauffement planétaire que cela a induit et des divers phénomènes de désertifications y compris dans les cerveaux : en effet, une personne assurée de financement à ce point (de racketteur) ne va pas chercher à s’ingénier pour survivre, donc à devenir de celles faisant des efforts pour devenir intelligente et productive (créer des sources de richesses), elle s’installe dans le moelleux confort des égoïstes et des enfants-gâtés et devient l’ennemie de la meilleure partie d’elle-même, soit l’ennemie de l’humanité (comme les saddam hussein, ou les fidel castro) pour ne rejoindre que les divans et autres habitudes de personnes servies (mais n’ayant pas appris à servir ou même d’un tantinet à analyser exactement comment les choses fonctionnent), usurpant ces services bien évidemment immérités, en étant alors, par le moindre des serviteurs toutes catégories confondues devant leurs maîtres et seigneurs dans chacune, puisque ceux-ci gagnent honnêtement les CFP dont ils ont besoin (et n’ont pas l’assurance des réserves des puits de pétroles pour continuer à jouer les rentiers ou s’offrir la possibilité de faire des dettes en les hypothéquant d’avance) et en raison de peines qui ne sont pas de celles néfastes mais des meilleures pour la santé de leurs raisonnement puisqu’elles encouragent à être efficace ou dans le vrai ou logiques et cohérent tandis que le rentiers sous les conditions décrites qui sont celles d’un rentier au mauvais sens de ce mot s’est assuré de rentes si néfastes qu’elles ne le conduiront qu’en égoïste ou alors en ayant un champ de générosité qui les arrangent uniquement eux seuls (donc dont l’angle ou le champ est aigu, local, limité - (à))/et leurs semblables, sans penser que l’Intérêt général est l’Ensemble sans exception. 

[5]https://www.google.fr/search?site=&source=hp&q=perpendicullaire&oq=perpendicullaire&gs_l=hp.3..0i10.14426225.14429618.0.14429910.17.13.0.4.4.0.288.1099.11j1j1.13.0....0...1c.1.55.hp..1.16.823.0.7GzToQaZwE8

 

[6] Il aurait été convenable que dès 1965 on me fasse trouver ces moyens financiers (puisqu’on était prévenu d’avance de ma naissance à ce point) pour que je n’ai pas/jamais à devenir voleur et que je puisse, sans avoir en permanence ce soucis (depuis 1968-69) constant des finances (à différentes échelles qui ont finalement signifié toutes) pour tout, non seulement sur le plan personnel individuel (bien qu’ayant assuré à tous de quoi survivre) mais sur tous les autres plans légitimes qui consistent à ce que les dames approchées soient rassurées à ce sujet. Ne l’étant pas, elles seront toujours contraintes de survivre à partir des personnes qui les assurent des revenus dont elles disposent, sans avoir pris soin de vérifier s’ils sont totalement légitimes (d’où que la plupart d’entre elles ou même seulement quelques unes vont devenir complices, dès l’enfance, des hors-les-lois et être l’ennemie d’elles-mêmes et des intérêts les meilleurs ou les plus fondamentaux  de leurs enfants).

[7] Il en va ici d’un problème qui concerne le payeur ou celui qui a acquis ce droit, évidemment l’objet de la jalousie des autres ou de ce qu’il pourrait compter sur cette prérogative ou avantage. C'est-à-dire de celui qui profite de ce qu’il est du côté des plus forts – d’où que longtemps l’idée d’un contre-pouvoir ne fut pas seulement mauvaise en soi, car ceux qui disposaient de cet avantage par exemple financier savaient qu’il était fragile. Aussi voilà que parce qu’il a le droit de battre monnaie il est courtisé par tous ceux qui veulent y avoir accès. Pire, le voilà contraint de devoir se défendre par les armes pour assurer ce moyen de paiement à ses sujets. Le voilà donc isolé, il est donc le roi ou l’empereur véritable ou celui qui est du côté de la loi. Aussitôt il a contre lui tous les autres n’ayant pas obtenu ce droit légitimement. C’est que celui qui est légitime ne doit songer qu’à défendre ce qui permet légitimement à chacun de demeurer honnêtes en vérité. Aussi il est contraint de refuser la vie de château au sens où celle-ci induit des comportement orgiaque ou de décadents pourvus de cfs, cff, cfm, cfu ou cfcch – soit tous ceux nuisibles ou illégitimes ou qu’on a volé à l’Etat véritable. Il n’a donc que l’idée très véritable de chacune des choses dans leur complexité comme tous les véritables aArtistes qui savent pourquoi cette notion de légitime ou de Dieu est vraie ou la métaphore d’un état d’appréciation de la réalité qui n’existe évidemment pas dans le monde des ignorants, des enfants-gâtés et des égoïstes décadents n’ayant obtenu cette vie de cibarites qu’avec des cfs, cfu, cfm, cff, ou cfcch donc en trichant ou en étant du côté des rapetouts et des voleurs, c'est-à-dire en constituant depuis toujours le frein continuellement tiré au maximum à l’échelle mondiale (contre tous les progrès et contre la prospérité) car il en suffit d’un seul malhonnête sur un seul sujet pour que l’Ensemble n’ait à vivre que continuellement dans des problèmes difficilement solubles qui résultent de celui  qui est dans le faux ou voit toujours faux ou n’a pas encore conscience de la complexité de ce qu’il va falloir mettre sur pied pour qu’il puisse disposer par exemple d’une somme de CFP auquel il aurait droit (puisqu’il n’a pas voulu jouer le jeu qui aurait pu le faire devenir un des milliardaires pourvu en CFP – c'est-à-dire en commençant par des activités simples comme les ancêtres de ce milliardaire pour progressivement appartenir à des personnes capables en chacun des instants à ne comprendre que complexement chaque chose, donc avec tous les problèmes qu’ils induisent à court, moyen, long et très long terme comme même plus loin que cela) ce qui est certainement l’espèce de légitimité sur laquelle il a voulu s’appuyer pour le faire devenir celui qui a dérobé les contenus des puits de pétrole, en rackettant tous les éEtats et en devenant l’anti-éEtat, soit l’Opep pourvue de ces cff, cfs, cfu, cfm ou cfcch (crédits financiers sales, usurpés, malhonnêtes, criminels contre l'humanité) qui n’ont que l’aspect à première vue de CFP (crédits de financements proprement établis) et qui ne vont donc concerner que des personnes qui ne sont plus au courant des Bonnes Pratiques – elles consomment et paient, comme si elles étaient chez elles, alors qu’elles ne font que dérober toutes les autres qui étaient vraiment chez elles (puisqu’elles ne sont qu’à des activités qui génèrent des CFP). Celles-ci n’étant que très respectueuses des corps humains puisqu’elles ne sont, le plus souvent, que d’éminents médecins ou chirurgiens incommensurablement doctes ne voulant jamais devenir assassins (au point de réparer les soldats même des camps adverses pendant les conflits) ont donc cédé à ces chantages de bien moins encore que les plus vils barbares ou ignorants (dont on se défait depuis toujours en payant) avec ce que cela va induire comme vulgarités et grossièretés, puisque disposant de ces sommes financières aussi facilement et aussi illégitimement, puisqu’ils n’ont utilisé que la façon de faire des moins bien élevés ou des plus abrutis ou des plus nocifs aux intérêts les meilleurs de leur races, donc en ne s’étant comportés ici comme ailleurs comme les plus ignorants, au mauvais sens de ce mot, les voilà à ne les dépenser qu’en profiteurs (et au lieu de les investir à bon escient, tout le contraire, puisqu’ils n’appartiennent nullement aux personnes capables de discerner et ayant pris l’habitude de respecter les gens les plus véritablement doctes quand ceux-ci s’expriment avec le poids des millénaires dont ils ont hérité par ailleurs des biens à transmettre : plusieurs civilisations particulièrement géniales sur certains points étant liées entre elles par des accords, des traités, des textes, ayant nécessité chacun les plus hauts degrés d’instruction pour être inscrits – ce qui induira à conflit si violés, demande de réparation, dédommagement, convocation de personnalités, réunions de généraux prêts aussitôt à intervenir, etc. – comme l’a admirablement montré Akira Kurosawa dans Run – aussi le fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) est celui qui croit se permettre de violer le droit d’une personne ou même d’interdire une chose qu’une personne est seule légitimement en droit de faire (il a appris que la chose ne peut se faire et ne distingue pas celui qui en raison de ce qu’il est de droit chez lui partout a le droit de la faire, puisqu’elle ne sera pas nuisible (tous les autres véritable souverains qui sont à partager ce chez lui étant d’avance d’accord pour qu’il la mène à sa façon) s’il s’agit d’une personne devenue adulte parachevée s’étant délivrée de l’adolescence, de l’enfant-gâté et de l’égoïste en lui – sinon, bien sûr, il conviendra de lui interdire l’accès – comme on interdit l’accès aux films pornographiques qui ne sont nullement nuisibles pour ces adultes parachevés qui savent très bien à quoi s’en tenir ou qu’ils assistent parfois ou souvent à des spectacles de cochons ou moins encore que cela qui les instruisent à ce sujet dans les considérables dangers que représente la proximité d’avec d’autres êtres humains (d’où la nécessité de garder ses distances ou de demander si on peut embrasser car sans avoir obtenu au préalable le consentement on risque les problèmes de toujours à ce sujet) – aussi cela ne les incitera nullement à se vautrer dans cette fange de décadeants (décadents), tandis que ces images comportent un risque pour tous ceux qui sont adolescents ou devenus enfants-gâtés, à cause d’elles (au lieu de s’interdire de les admirer comme ils en étaient cependant avertis, ils voulurent transgresser cet interdit et tomber dans le piège que par ailleurs elles revêtent quand on est pas un véritable adulte – à cause de cela les voilà à se devoir réincarner en chats ou en chiens un peu plus loin dans le temps ou d’avance) qui les pousse à ne devenir qu’égoïstes ou à espérer ce genre de perspective de revenus financiers (qui dans ce cas, en raison des conséquences seront donc des cff, cfs, cfm, cfu ou cfcch et non des CFP) qui est celle des je m’enfoutistes ou de ceux qui vont croire pouvoir proposer ces films abusivement comme disent-ils « des œuvres d’art », alors qu’il s’agit de perspectives nocives (l’aArt étant incompatible avec le nocif) pour les adolescents, irréalistes, et surtout qui obéiront à la quantité de produits similaires (puisqu’ils comportent l’aspect commercial) qui ne sont donc nullement rares et qui ne permettent pas de donner du prix à ces séquences rasoirs (puisque « ça va et ça vient ») – elles s’inscrivent dans toutes celles appartenant à cette catégorie qui peuvent mener à la décadence et surtout à l’oubli de toutes celles qui peuvent mener à une idée de la Création, sous le signe de l’aAmour véritable qui est donc autrement plus bâtisseur que ce qui est à l’origine de la ruine). En effet, ce qui fut mon cas, avec plusieurs femmes j’ai ce droit pour créer la paix dès 1970-72 quand je trouve l’idée – aussi l’Ensemble en m’ayant coincé dans l’idée qu’aurait la demoiselle de Strasbourg qui ne voulait être qu’elle seule la légitime impératrice, tous eurent à en subir les conséquences, car cette façon de faire a signalé à tous, dès cet instant, qu’il ne s’agirait nullement d’une impératrice au sens universel mais seulement que très locale, n’ayant pas le soucis du Bien Général dans son ensemble en absolu, ce qu’à l’inverse, les impératrices C. … L. en acceptant le sacrifice qu’elle eut à subir une autre fois démontra qu’elle l’était comme plus tard F. L. sans même en tirer aucune gloire ou même le rappeler – ce qui était pourtant son droit comme C. L. qui sans le savoir en raison de l’injustice dont elle fut comme moi-même la victime a permis de sauver la terre rétroactivement puisqu’en découvrant de quoi elle fut victime, je ne pus que confirmer ma solidarité avec elle en retrouvant ainsi celui que j’avais été qui n’est nullement un adepte des films pornographiques mais uniquement au service de tous comme j’eus à le devoir démontrer une autre fois en remettant les pendules à l’heure comme en sachant distinguer les mérites de ceux qui au contraire n’accumulent que ceux qui n’en sont point puisqu’il s’agit d’égoïstes ou destinés à leur en faire acquérir à première vue qu’à eux seuls en oubliant d’aider leurs prochains dans toutes les catégories autres que sexuelles qui n’ont ici aucune importance ou des moindres par rapport aux exigeances / impératifs que la réalité induit) au mauvais sens de ce mot, ce qui va les rendre client des films pornographiques et leur donner une idée fausse de la vie dont ils sont devenus les empoisonneurs au lieu du contraire : d’en avoir un infini respect, ce qui induit d’apprendre à être infiniment patient et surtout que les enfants sont vite pourvus, grâce à l’Ecole, de sentiments véritables, par conséquent de droits (il s’agit avec chacun d’entre eux d’une petite personnalité en cours de formation avec son lot de milliards de souvenirs et de référents qui les détermineront dans leurs choix) – en effet, on pourra croire possible vivre un temps de sexe (comme ce fut le cas à l’époque du premier empire), mais il est improbable qu’on puisse en faire un commerce pour toujours. Ce sont donc les autres catégories des sciences exactes qui, à nôtre époque, nous donnent/assurent de quoi manger ou nous loger pour pouvoir y avoir à certaines heures enfin quelques bons moments satisfaisants ou légitimes sur ce plan. Mais tout cela ne peut que contraindre à le devoir organiser, comme à disposer de moyens financiers légitimes pour en usufruire d’autant plus des conséquences – si vous ne disposez que des cff, cfu, cfs, cfm ou cfcch, au lieu de CFP, vous serez à n’avoir qu’une très fausse idée de l’existence et vous aurez à le payer tôt ou tard).

[8] Mais ici cela coûte à l’Ensemble y compris les œuvres qui ont été données par des donateurs ou celles qui avaient été dérobées dans ces époques où il n’y avait que mentalité de barbares ou de tricheurs à la tête de chacun des éEtats (heureusement jamais en même temps partout puisque la vérité a toujours été préservée) c'est-à-dire d’envahisseurs ayant des mentalités hostiles et cherchant à imposer le joug d’une armée qui rançonnait les peuples soi-disant conquis). Il y a donc ici à distinguer les conquêtes légitimes de celles illégitimes (il y a les vraies conquêtes qui n’ont donc rien de militaire puisque celles-ci, dans cet état d’esprit sont fausses – tandis qu’il y a toutes les vraies, militaires comme celle du roi des belges au Congo pour éviter qu’on ne fasse des esclaves de ces noirs – donc pour les protéger des négriers et esclavagistes – il s’agit de ces monarques éclairés qui sont au service de l’être humain et non au service de leur égoïsme – ils sont la seule raison de vivre des rois et des reines puisqu’ils sont à ce point des exemples). Les « conquêtes » légitimes sont donc du type protectorat (tutelle – ce qui signifie ontologiquement qu’elle n’est que momentanée, circonscrite dans le temps et l’espace géographique officiellement établi, à cause d’une situation précise) à la demande d’un souverain local qui obtient ainsi l’assurance que les marchés de la rRégion qu’il a sous son administration ne seront pas la proie des pilleurs ou de ceux qui dérobent (c'est-à-dire en général des hordes d’adolescents ayant refusé de se scolariser et s’étant mis hors des réalités familiales ou ethniques ou qui sont les paramètres concernant la survie de leur éEtat – ils sont devenus des ignorants au mauvais sens de ce mot et des enfants-gâtés et utilisent le chantage pour obtenir des biens – ils ne veulent pas aider ou se rendre utiles gratuitement – ne serait-ce que pour commencer à acquérir des compétences en attendant qu’on puisse un jour les aider financièrement – aussi quand ils proposent leurs service ce n’est que dans l’intention de dérober dans un temps plus ou moins long les biens de ceux qu’ils prétendent aider). Le souverain local ne peut assurer seul l’ordre et réclame de l’aide à l’étranger (ce fut le cas du Maroc, par exemple – en raison de ce qu’il était reconnu internationalement sa requête est valable ou légitime et la nation à laquelle il s’adresse peut l’aider ou refuser – mais en l’aidant elle n’est que légitimement colonisateur, puisqu’il s’agira d’investissements financiers CFP et non des faux qui vont être versés à quantité de personnes pour administrer avec des méthodes plus efficaces une région en retard sur de très nombreux plans – c’est ainsi par exemple que le Shah d’Iran en demandant de l’aide aux Etats-Unis d’Amérique n’était que légitimement entrain de faire son travail de roi – en effet, quand un souverain s’adresse à un autre souverain pour demander une aide matériel la partie de son peuple digne de son souverain est chez lui dans le pays qui sera aidé et si le roi lance cet appel c’est qu’il a estimé que c’est la meilleure chose pour que son pays puisse se développer – il ne choisit que ce qui est bon pour son pays et surtout le souverain qui dispose de suffisemment de biens pour s’en priver pour aider celui qui est en situation difficile – en effet, l’aide américaine ou l’aide française au Maroc signifie que les peuples qui aident vont faire des sacrifices et se priver de nombreuses choses pour aider un territoire plus grand – comme si une région en plus devait être nourrie, ce qui signifie des efforts de l’ensemble de la région en avance pour aider celle qui est en retard comme c’était le cas de l’Iran ou du Maroc). D’une certaine façon l’Empire Britannique ou le Communwealth est un système basé sur le protectorat. Chacune des rRégions sachant qu’il doit à des investissements financiers effectués par les britanniques (la couronne) leur survie localement. Ils se soumettent donc aux règles ou aux lois britanniques qui respectent les coutumes et les religions locales, dans la mesure où elles sont compatibles avec les principes des droits des êtres humains (donc dans la mesure où elles sont respectables, ce qui induit une ouverture d’esprit et une auto-critique envers ses propres lois et coutumes remises en question par celles de ces régions – si elles ne sont pas nocives cela rend tolérant la couronne qui dispose alors d’une ouverture d’esprit sans pareille ou aussi merveilleuse que l’était celle de l’empereur d’Autriche, étant lui aussi, comme l’empereur russe, avec tant de langues, dialectes et cultures et coutumes différentes à administrer en même temps, qu’il s’agit de personnes admirables – évidemment cela n’est en général possible qu’en raison de la religion du souverain qui est très bonne pour les personnes pratiquant d’autres religions). C’est à cause de cela qu’il y a tant de manifestations d’aArts différents. Les collections qui furent établies par les souverains n’avaient comme objectif que d’éduquer à cette tolérance interculturelle. Evidemment toutes les œuvres dérobées ne le furent que par ceux qui avaient la mentalité d’esclavagistes ou qui se croyaient « supérieurs » au point de piller les trésors locaux. Ici il ne s’agit pas de souverains éclairés mais de la mentalité des thénardiers ou des faussaires, c'est-à-dire des nazis ou des fascistes qui vont dérober un obélisque qui appartenait localement à un peuple (j’ai demandé qu’on fasse un moule pour les italiens et que l’original soit renvoyé avec des indemnités car ce n’est pas concevable de se conduire ainsi – si encore cet obélisque avait été acheté ou avait été remis officiellement comme celui de la Concorde pour sceller une amitié à jamais entre l’Egypte et la France, cela est ici tout à fait admirable, ce qui explique que les armées défilent devant lui, mais dérober un obélisque, c’est se conduire comme les rapetout, avec l’idée de le revendre et d’en obtenir un bon prix par le pape ou le roi d’Italie (qui ne l’achètera que pour le conserver dans l’espoir de le rendre un jour à ceux qui ont été volé – aussi en attendant l’œuvre est conservée, ce qui va induire des coûts parfois importants pour éviter qu’on l’a dérobe tant elle est précieuse ou importante dans l’Histoire de l’Art et l’administration des musées qui la stocke peut signaler combien elle coûte au prorata de toutes les autres conservées et cela par rapport à la surface du musée. Evidemment cela produit en général de la part des pays qui ont été victime du vol une sorte de contentement car leur patrimoine national a été mis en valeur à très grands frais ou coûts (vitrines, système d’alarme, personnel pour le garder, climatiseurs, frais d’éclairages et location d’espace souvent prestigieux) d’où que les plus intelligents d’entre eux ne réclament pas ces œuvres volées autrefois car en réalité leur région est l’objet de l’admiration générale des gens les plus cultivés dans la nation qui s’est finalement rendue propriétaire de l’œuvre en question de laquelle on peut aussi réaliser une copie à l’identique ou presque pour la rendre au pays lésé ou même rendre l’original et conserver cette copie et l’histoire de cette œuvre (qui est en elle-même une épopée valorisant l’œuvre). Mais rendre l’original de cette œuvre c’est soudain perdre tout les CFP qui avaient été dépensés pour la conserver, la mettre en valeur au point de devenir pour le pays lésé une bonne affaire : il a dans un autre pays ou dans une autre région une sorte d’ambassadeur permanent de sa culture et sans avoir eu à dépenser des CFP pour cela. D’où réellement qu’en général il préférera laisser l’original à l’étranger et disposer de la copie et sachant que de toute façon s’il devait avoir besoin de l’original à l’occasion d’une exposition, en raison de ce qu’il détient une admirable copie, il s’agira d’un texte qui sera à ce moment là effectué de la part de toute la communauté internationale (cette nation/région va-t-elle résister au désir de garder l’original et de renvoyer la copie ou alors va-t-elle comprendre qu’après plusieurs décennies il y a comme prescription mais surtout que cette œuvre originale a représenté tant et tant de problèmes à résoudre pour les souverains locaux qui en héritèrent qu’en raison des dépenses effectuées elle est de droit à ce pays qui en l’ayant acquise et payée à des voleurs l’ont valorisé en la conservant ou en l’exposant dans un cadre souvent agréable. Il y a donc ainsi quelques œuvres qui ont été réclamées et dont l’issu des négociations, en raison des coûts qu’elles ont engendrées doivent être la solution élégante de la copie offerte par le pays hôte ou alors achetée par le pays lésé (s’il y a un projet de mise en valeur culturel), selon le cas particulier de l’historique de ce que cette œuvre a représenté comme coûts plus ou moins important pour sa conservation. A l’occasion de l’établissement de la copie, on peut imaginer intéressant d’avoir à en faire plusieurs, par sécurité et en faire bénéficier d’autres établissements de conservation du patrimoine mondial de l’humanité, comme des sites miroirs. En effet, il s’agit de pièces de collections qui en étant placées même en tant que copies dans un autre parcours permettront de générer du sens à l’aune de ces pièces originales auprès desquelles elles figureront qui diffèrent de celles qui entourent cette œuvre autrefois volée (mais cependant conservée à grand frais par les responsables du pays hôtes). Ce qui se produira générera des informations supplémentaires auxquelles on aurait jamais pensé puisque les conservateurs qui voudront acquérir ces autres copies pour les placer au sein d’itinéraires particulier seront le résultat de tous leurs savoirs induisant ainsi d’autres découvertes. En effet, ce n’est que par le rapprochement et la comparaison d’œuvres qui n’étaient jamais sensées être rapprochées, grâce à l’intervention d’autres catégories ou sujets d’exposition qui permettent soudain ces proximités parfois même surréalistes que ces sujets offrent peut-être matière à inventions ou nouveautés (ce qui n’est pas le cas ou alors différemment dans le lieux où elles sont présentées). Ces œuvres sont donc en elles-mêmes créatrices. Avec l’expérience du pillage du musée de Bagdad en Irak, nous avons pu remarquer que c’est le peuple local lui-même qui a volé et non les américains qui sont venus rétablir l’ordre. Aussi cela signifie que les irakiens n’étaient que de faux irakiens qui ont profité de cette situation de conflit pour faire main basse sur les trésors en place pour les vendre. Par conséquent ceux qui achètent ces œuvres autrefois appartenant aux peuples d’une région, sont dans la légalité de le faire pour protéger ces œuvres ou même pour les proposer à la vente de nouveau. Le musée local qui s’est fait dérober la collection qui appartenait à la nation est donc dans le devoir de la reconstituer puisque des CFP par l’administration de l’Irak (qui dépend de la Nôtre) ont été dépensés pour que ce lieu puisse vivre. Aussi voilà des œuvres qui sont à l’origine peut-être issues de prélèvements archéologiques à des tombes, donc à de légitimes propriétaires, qui vont donc devoir être rachetées une autre fois pour reconstituer cette collection connue de tous les experts puisqu’il y avait photo. Une œuvre doit donc aux CFP dépensés sa survie et permet à des personnes de survivre honnêtement en raison des CFP dépensés pour qu’ils assurent sa conservation. L’œuvre d’aArt est donc autonome ou indépendante financièrement dès sa réalisation puisqu’elle est le trésor lui-même ou une éventuelle richesse collective. Evidemment elle augmentera sa valeur vénale de chacune des dépenses qu’elle a permis de réaliser en CFP pour sa conservation (au cours des siècles), ce qui lui fait être parfois très chère. En effet, des particuliers (mais parfois les éEtats ou des organisations) ont dû stocker des lieux en payant des loyers avec des CFP gagnés honnêtement (ils ont été établis officiellement dans cette optique et ont requis des experts qui ont eu à investir des temps parfois importants de leurs existences au niveau de compétence parfois des plus doctes pour convaincre que ces dépenses étaient des investissements utiles (nécessaires), voire qu’ils seraient à la longue bons pour la région (réalisation d’un musée, d’une salle d’exposition municipale, qui peut devenir un centre touristique ou pour une référence pour les études des passionnés et des experts) – il s’agit en raison de chacune des interventions de connaisseurs comme de valeurs ajoutées ou de plus values y compris grâce aux textes étayés souvent de comparaisons les plus intelligentes. Cela en supplément à la valeur esthétique, sensuelle en elle-même ou simplement de sens de la représentation – il y a donc tous les plans de valeurs différentes qui concernent les œuvres et tout ce qu’elles génèrent comme commentaires de différentes sortes jusqu’à ceux des experts, mais aussi l’œuvre comme trait-d’union ou permettant, grâce à elle-même, le sujet de conversation (conservation) – d’où qu’on comprenne ici que la parole véritable sert à conserver, donc à soigner et cela fonde en absolu les différents conservatoires de métiers ou écoles de restauration – les sujets qui sont les œuvres d’aArt sont comme des patients ou des momies précieuses à conserver – elles offrent aux travailles manuels qui n’ont que le plumeau à passer pour les dépoussiérer les CFP comme les statues présentées à Orsay – l’œuvre d’aArt ne peut donc être que le produit et la preuve de l’aAmour véritable (œuvre de l’esprit de vérité) puisque cela a toujours mené, ne serait-ce que par mimétisme pour devenir aussi adroit, à de nouveau la réalisation d’œuvres d’art par ceux qui réussissent à trouver comment – se rendre capable d’élaborer ou de créer de véritables œuvres d’aArt c’est devenir homo sapiens sapiens ou être humain capable dans toutes les dimensions de l’esprit par conséquent toutes les catégories et c’est donc ce qui permet de devenir souverain – cela va donc ouvrir, par exemple sur des royaumes qui sont de nouvelles catégories effectivement illustrées, donc compréhensible – l’aArtiste véritable ne peut donc qu’être un véritable pédagogue – ces notions sont donc intriquées : il n’y a pas d’aArt sans retrouver le bon sens – aussi la fonction de chacune des véritable œuvre d’aArt était de permettre à chacun de retrouver le bon sens, la raison – l’aArt est donc la Médecine et la Médecine l’aArt – c’est pour cette raison qu’il n’y a que la beauté, la bonté et le bien qui soignent et que le variateur de la vision d’Ôz – ce qui est synonyme d’Atlantide, d’Eldorado, de Paradis, etc. – ne peut être administré que par des personnes délivrées de la méchanceté qui est donc ce qui n’est pas le propre de l’être humain mais issu de la situation générale qui était bloquée par des personnes s’étant avilies à devenir ignorantes, au mauvais sens de ce mot au lieu de ne l’être qu’au bon sens comme tout le monde – elles en sont devenues grossières et vulgaires et surtout de moins en moins voyantes et entendantes au point de ne plus discerner ce qui est beau – elle ne vivent que dans ce qui est laid cérébralement au point de ne pas même comprendre pourquoi une œuvre d’aArt est aussi précieuse que cela – c’est ainsi qu’elles passent devant les êtres humains dans les rues avec la même indifférence mais surtout avec la même fausseté – il s’agit des terriens qui ont perdu tout ce qui en eux était précieux pour ne devenir d’aucune façon une bonne affaire pour l’Ensemble mais seulement représenter des coûts pour éviter d’avoir à s’en débarrasser en les supprimant – ils sont donc le cauchemar des ingénieurs et des statisticiens ou des économistes ou de toutes les personnes conscientes, car ayant été amenées à la conscience grâce à l’aArt véritable qui n’est que sciences des arts) grâce à leurs activités pour préserver l’œuvre en se privant pour elle de cette surface qui lui est consacrée. 

[9] Puisque cela ne serait pas juste. En effet, ce qu'on lui doit devrait permettre à quantité de gens de survivre, puisqu’il s’agira de sommes de CFP placées qui vont permettre aux banques de financer des projets et des créations d’emplois.

[10] (qui partage, en ce moment, la vie d’une autre personne qu’elle n’aime peut-être pas autant que nous nous sommes aimés)

[11] (puisqu’elle n’arrêtait pas de dire, à la plage, en Italie, « où est mon mari », en italien (ce qui ne me posait aucun problème alors étant donné que je ne savais pas que j’étais victime d’une amnésie et qu’en raison de cela je vivais dans les illusions et dans l’honnêteté de celui qui est en parti dans le mensonge et qui ne sait plus très exactement ce qu’est le monde de la vérité)

[12] Car dans ce monde là, même la totalité de ceux-ci dans tous les temps ne paient même pas un des atomes de matière posée par des mains propres. Ce qui signifie qu’il y a des règles du jeu auquel tous les aArtistes véritables avons dû nous soumettre depuis toujours et qui a comme objectif de réussir à en faire d’autres (cela depuis Lascaux ou bien avant depuis les premiers glyphes ou les premiers véritables signes signifiants – d’où, vous le savez bien la consubstantialité de l’Etat et de l’Education ou de sa vocation à/pour l’Instruction et donc la transmission des savoirs-faire – donc la nécessité de valoriser par des prix les efforts dans cette direction des plus zélés – en effet, il en va ici de la survie de toutes les avancées de la civilisation qui ne sont pas négligeables et bien sûr des espoirs des momies ou des disparus à retrouver une autre vie).

[13] (je crois qu’on ne comprend pas exactement la valeur de certaines œuvres d’art y compris de certains écrits qui ont été capables effectivement de changer le monde : si nous écrivons de nos jours et pensons et créons, nous ne le devons qu’aux artistes qui ont passé leur existence à analyser et à penser comme à créer en vérité. Ce matin, alors que je dormais encore un peu, debout et sans être drogué par aucune espèce de drogue au sens actuel qui les différencie des médicaments, je me suis amusé, car je m’ennuyais de ma cafetière à la regarder autrement et pour ne pas la voir à la cubiste mais plutôt à la Seurat, j’ai créé autour d’elle une robe en tutu en raison de ce que elle est constituée d’une robe octogonale en aluminium à sa base et ce fut une vision drôle d’un instant en couleur, donc une réalité virtuelle que j’ai pu constater se produire dans la réalité extérieure à mon cerveau et donc je l’ai comme photographié dans ma tête, mais aussi projeté autour de cette cafetière à partir de ma tête, tandis que celle-ci (la cafetière, évidemment) était sur la plaque électrique chauffante. Je crois qu’adolph hitler ne savait pas que chacune des personnes appelés « êtres humains » ont ce genre de capacité à leur disposition. Aussi il ne savait pas ce qu’est un être humain et tout ce qu’il a comme possibilité d’invention et de création car sinon il ne se serait pas permis d’écraser une fourmis, ce qui est mon cas car bien que j’ai pris en compte pour intervenir de 2005 en 1965 et 1975 l’ensemble des déplacements de chacun des insectes dans le monde entier y compris ailleurs, je sais que je ne connais pas en détail chacune des secondes vécues par chacune des fourmis et donc chacun des point de vue qu’elles ont chacune différent et cela est valable pour les abeilles ou tous les autres insectes mais aussi tous les animaux).

[14] C’est en grande partie l’histoire de l’œuvre qui donne sa valeur mais aussi de nombreux autres paramètres, qui sont très nombreux. Dans le cas de mes tableaux c’est indéniablement l’histoire qui se renouvelant à trois reprises (deux fois en virtuel et enfin trois fois au moins dans la réalité en 1965, 1975 et à partir de 2005) en raison de la confirmation de l’anneau nuptial (donc de tous les mariages véritables) qui soudain a donné une valeur à toute l’œuvre alors que l’instant d’avant ces communications à travers le temps se matérialisant, elles n’étaient que des tentatives ou des recherches profanes et que si elles avaient déjà une certaine valeur en raison de mon œuvre dans les autres domaines (mais dans la dimension profane, vénale), elles n’avaient pas encore ce poids soudain fondateur de toute la civilisation depuis 1965. Mais bien sûr sans mon frère peintre et sans Rubens ou d’autres génies et les différentes œuvres d’art que j’ai pu admirer enfant en Italie, je n’aurais jamais osé me mesurer à ces immensités. Donc ce mot de valeur, nous l’avons bien compris est relatif car personne ne peut imaginer en voyant le piano que j’ai peint ou les tableaux-partitions que j’ai peint pour lui qu’ils peuvent avoir cette valeur. Ce n’est que parce que l’œuvre sera valorisée et bien présentée pour en faire une attraction et un questionnement ou l’énigme qu’elle est avec quelques explication qu’elle donnera à rêver ou à penser et que sa valeur pourra faire son effet bienfaisant sur certains. Pour l’ignorant, au mauvais sens de ce mot ou le profane, même avec ces paramètres, il est tellement devenus un abruti que c’est sans espoir. Il est habitué à l’extraordinaire avec ces appareils d’enfant-gâté qui lui permettent de jouer à des jeux électroniques et comme il est dans la confusion continuelle, il est capable de penser encore une ineptie ou de faire des comparaisons qu’on ne peut pas faire ici et ne pas se rendre compte qu’il est devant bien plus peut-être encore que le graal devant le parcours de chacune de ces œuvres.

[15] Synonyme de « terrien » car en raison de ce qui s’est passé (1920-1950 – pour minimiser) ceux-ci sont devenus suspects d’avoir collaboré avec la vermine nazie, fasciste, communiste ou maoïste, etc. (de la même engeance de faux), bref liée à chacun des petits roquets déguisés en soldats (en réalité des égoïstes ayant convoité des biens qui n’étaient pas à eux de droit) alors qu’ils ne sont aucun d’entre eux devenus des êtres humains véritables - mais n’ont choisi que l’involution vers des rétrécissements des capacités du cerveaux – soit le soldat (ici cependant le mot dans son sens positif– ce que je signale, car cela se réfère à avant l’incise et j’ai pu vérifier que sinon ces analphabètes tombent dans le panneau – ce qui signifie qu’ils font l’erreur au point de croire positif ce qui est la honte de l’humanité : le soldat tueur – en effet, un vrai soldat est celui qui s’interdira toujours de tuer ou qui évite cela jusqu’au moment où comme c’est en légitime défense de la Vie elle-même, il n’a plus le choix : il doit frapper ceux qui se sont déshumanisés ou sont devenus hostiles à leur intérêt ou celui de leurs enfants ou de plus loin encore) [de la recherche] de la vérité (qui évidemment existe pour chacune des choses ou des questions – donc en/sur tout, puisque les mots existent pour permettre d’expliquer et discerner ce qu’il convient préférablement de choisir – comme pour écrire une phrase juste dans un contexte précis – soit un cas particulier ou une situation – ce qui est synonyme - forcément un peu différente d’une autre ou alors ressemblant à une autre avec des paramètres en plus en raison des progrès et des acquisitions de savoirs supplémentaires – cela explique la nécessité de ne pas approcher de trop près ceux qui en détiennent tant, sans être au préalable préparés ou avoir un des cursus honorum véritables à vôtre actif qui vous permette d’intervenir en ayant à vous y référer publiquement pour rappeler ce qu’on vous doit (cela commence dès le jardin d’enfant ou dès les premiers dessins) – vôtre intervention sera alors des plus admirable ou profitable pour l’Ensemble, tandis que sinon vous ne serez intervenu que pour vous faire valoir en égoïste et en futur faussaire – en effet, vous aurez pris appui sur un argument qui a été réfuté par quantité de maîtres véritables à travers le temps – vous le saviez, mais vous avez voulu provoquer et faire perdre du temps à l’assemblée – vous êtes un nuisible et vous le révélez – vous freinez l’ensemble et semez le doute – vous avez oublié que des enfants pourrez écouter et qu’il vous appartenait de donner l’exemple, puisque leur route sera au moins aussi longue que la vôtre avec des responsabilités certainement en plus (si vous n’avez pas réussi à en dégrader quelques uns pour les attirer dans vôtre piège qui vous a fait devenir un ennemi de l’humanité : vous mentiez ou êtes de mauvaise foi) puisque vos propos sont ceux d’un irresponsable ou d’un inconscient des dégats que vous faites en raison de ces méchancetés auxquels une entité qui n’est pas vôtre véritable vous-même vous aliène – mais vous lui avez donné crédit et elle s’ingénie à vous rendre ridicule par toutes les époques : vous êtes le fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))).

[16] C’est ici souvent le rôle d’un père ou d’une mère qui ne doit pas non plus corriger parce qu’elle a vu ou espionné que dans une situation semblable cela s’est fait. On ne peut donc corriger qu’après l’acquis de conscience que la plupart des religions ont cru, souvent très justement, nommer Saint-Esprit. Les laïcs l’ayant en Italie nommer « mettere sù il giudizzio » (ce qui signifie « porter dans le cerveau le jugement » - en d’autres terme, rendre clair (conscient) le lieu de l’esprit ou de l’âme : la tête – avoir des faits comme de la réalité une vision claire et juste non influencée par d’autres impératifs que la raison et la logique qui permet les mesures les plus exactes – donc en ayant mis des hiérarchies bienfaitrices aux catégories pour éviter d’être prisonnière d’une seule, tout en sachant que cette hiérarchie doit mener à un projet salubre pour autrui : la découverte de la conscience ou l’âge de raison : la cohérence et surtout ce qui découle des mots employés : des actes en conséquence).

[17] A différencier des faux rires, gras, vulgaires, grossiers, abjectes acoustiquement. Cela (pas la phrase d’avant mais – il fallait suivre - le référent dans le corps du texte – En effet, voilà le problème des lecteurs non-avertis comme pour les anti-phrases, ils peuvent se tromper de référants – d’où ensuite le malentendu – c’est en ayant de régulières conversations avec Jean Rouch avec qui j’ai souvent petit-déjeuner qu’en analysant les structures de ces phrases que j’ai compris que le problème venait aussi de là – c’est pourquoi on procède par étape dans l’apprentissage de la lecture, pour mener des enfants, ayant acquis de solides bases, vers les textes plus complexes qui autrefois, parce qu’on était limité en nombre de page (par le coût des éditeurs), ne permettait pas aux personnes les plus doctes de s’adresser seulement aux enfants (c’est de ce problème que les catégories de lecteurs sont nées) – ce qui est maintenant possible : avec les fichiers informatiques, ils permettent même l’enseignement sur le mode ludique et divertissant – cela est dû qu’on est beaucoup moins limité et même plus du tout et à ce que je fis faire grâce à la NNDIM qui a permis de réaliser des cd-roms éducatifs – donc d’apprendre en jouant – en effet, le fichier électronique ne coûte rien en comparaison/à l’aune des coûts éditoriaux sur papier ou livre et permet d’ajouter quantité d’illustrations couleurs, de sons, de fichier vidéo, etc. (bref de référents pour mieux comprendre) – aussi les empereurs Granier d’Ôz (issus de personnes parmi les plus scolarisées de leur époque) s’honorent d’avoir ainsi fait réaliser sur le long terme des économies financières très importantes – dont on me devra les royalties (comme sur chacun des cd-audio et cd-rom puisqu’on ne songea pas à Nous envoyer copie de chacun dont j’étais l’aAuteur, puisque j’ai eu à transmettre les dimensions de ceux-ci et des DVD, mais aussi la plupart des détails pour que les industriels et les ingénieurs réalisent les lecteurs-enregistreurs y compris des variantes) car j’ai des frais ou des coûts en perspective – ce qui réjouit d’avance tous ceux qui facturent, (les profiteurs – ici au bon sens de ce mot car des honnêtes gens) - de ces dépenses) a même donné le bel gioioso, un vin qui est peut-être de la région Ligure (à vérifier) – en tout cas j’eus à en boire le nectar à San Remo sur la plage du Lido foce.

[18] Il paraît que cela se dit sans grossièreté.

[19] (ce qui n’est pas possible sans CFP (donc ce qui signifie sans cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch) et être à certains moments de la journée une mère ou un père c’est être autre chose que quand on travaille à ses occupations. C’est une forme de métiers qu’on pourrait valoriser financièrement, si la planète manquait subitement d’enfants ou si les parents avaient acquis de réelles capacités de l’être pour le mieux de l’espèce humaine (ce qui est souvent le cas d’enseignants dévoués). Il y aurait des problèmes démographiques à résoudre, des manques (ce qui est peut-être le cas dans certaines régions moins peuplées, hostiles). Quand on est dérangé par un enfant faisant irruption dans sa chambre alors qu’on travaille à son bureau, c’est être contraint à changer dans les secondes qui suivent d’état (de celui qui a contraint à trente ans d’études à celui d’avoir à comprendre aimablement les problèmes que traverse un enfant à l’âge qu’il a dans la situation générale commune qui était bloquée) étant donné qu’on sait qu’il y a une différence d’âge et qu’on doit faire un effort pour s’adapter à une situation qui est très différente de celle qui nous occupait (il arrive avec ses référents et nous avons les nôtres – il y a donc forcément sujet à conflit ou à décalages, puisqu’il y a cette part d’inconnue de chacun des côtés: on fait alors une parenthèse (et s’il a une idée de qui nous sommes en raison du rôle que nous jouons publiquement nous ne savons jamais d’avance (sauf les initiés ou ceux qui ont pris en considération divers faits notables à son sujet – ne pas les remarquer, c’est passer à côté d’un futur ingénieur ou polytechnicien ou une très rare personne, sans même le remarquer et c’est donc perdre collectivement une chance d’avancées considérables ou même qui seront importantes seulement dans cinquante années – donc c’est ne pas avoir songé au long terme, ce qui est très grave, car alors tous seront âgés et ne pourront que compter sur cet enfant qui doit être pourvu du même esprit à plus long terme encore – aussi cela va créer un chef et par conséquent d’avance des conflits à éviter avec ceux qui étaient convaincus d’en être, mais qui finissent par se soumettre car depuis le Christ on a compris qu’il ne faut d’aucune façon crucifier celui qui est plus docte que soi-même, mais au contraire proposer des postes rémunérés en CFP, puisqu’il s’agit de réincarnations de très grands maîtres et que tous y gagneront en sagesse) et cela sera comme avec un appel téléphonique. C’est une des raisons pour lesquelles les répondeurs téléphoniques dont nous avons transmis, avec le fax et le minitel la réalisation possible pour les voir apparaître sur les marchés ont eu autant de succès, au point qu’il n’est plus même possible de concevoir son existence/vivre sans répondeur et sans fax pour certains métiers même si le développement d’Internet a constitué une concurrence à ces produits.

On peut aussi penser que grâce à ces utiles instruments, (si la démographie ne représentait pas à ce point la preuve, en augmentant, malgré les différentes possibilités de ne pas avoir d’enfant), que nous ne vivons plus en enfer – car sinon personne ne voudrait mettre au monde des enfants pour ne les voir naître qu’en enfer : « on ne va pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas subir à la place d’autrui » et par conséquent cela signifie que les enfants qui ont été désiré ont consenti à naitre en futur être humains pour constituer les descendants de ces familles de personnes unies grâce/par le consentement mutuel/amical, etc. (soit donc à cause d’un projet en commun) – et si effectivement il n’y avait pas, comme de nos jours, à décourager les adultes d’avoir trop d’enfants, en raison de la menace que l’accroissement démographique fait peser sur l’Ensemble (ou sur les contextes familiaux dépourvus de suffisemment de CFP pour les assumer), on pourrait valoriser financièrement le travail des femmes au foyer (des mères), ce qui pourrait leur assurer un revenu et par conséquent une forme d’indépendance, d’autonomie, par rapport à celui qui est obligé de jouer son rôle de père, une fois rentré du travail. Mais l’inverse est aussi concevable dans le cas des pères au foyer puisque sce sont leurs épouses qui ont un emploi. Peut-être cela pourrait rassurer, mais il y a un risque très grave, comme pour les allocations, qui est celui de peser sur les enfants et de les avoir voulu pour avoir le droit à toucher ces subventions (ce qui est alors faire devenir des CFP des cfu, cff, cfm ou cfs) et cela va donc changer la nature des rapports amoureux et les enfants ne seront pas sûrs d’avoir été désirés comme de futurs brillants esprits capables aussi simplement d’être ce qu’ils sont, chacun d’eux, beaucoup de chose, infiniment de choses, pour leur entourage, bien que pour d’autres entourages y compris celui d’enfants, ils n’aient aucun intérêt et même soient l’objet de moqueries, étant donné qu’ils sont souvent handicapés par des choses qu’ils n’ont pas encore apprises à faire (évidemment, ils ne représentent de l’intérêt que pour les adultes parachevés qui ont le soucis de leur transmettre les enseignements pour les amener à découvrir la conscience en eux).

Ici, avec cette note de fin de page, cela concerne un dossier de réflexions sur les éducations à transmettre qui doit tenir compte aussi, des années (qui viennent) qui devraient [nous] permettre/offrir d’apercevoir de temps en temps le Paradis, Atlantide, selon un programme de mon cru scientifiquement préétabli. Cela va changer de très nombreuses choses étant donné que déjà sans voir Atlantide et seulement parce qu’il y a des chaînes à la télévision, comme il y a le cinéma et d’autres activités (dans les cités plus fortement urbanisées), de nombreuses personnes trouvent que l’existence vaut la peine d’être vécue, même si on a à vieillir, à souffrir, et à se préparer tous les jours, un peu plus à nôtre mort, qui, encore une fois, si la vieille salle des machines et le variateur est confié à des personnes compétentes comme moi pourrait à plus ou moins long terme disparaître et même éviter qu’on vieillisse (perde ses dents, et tous les maux qui vont avec). Cette salle des machines et surtout ce variateur, en accord avec les lois qui concernent les établissements issus de fondations ou du droit public, à la fondation « trois petit points », comme en réalité depuis la date de 2008, la planète entière et tout ce qui la compose appartient à cette fondation (qui a peut-être été créée comme je l’avais signalé d’avance à devoir être établie officiellement) y compris l’ensemble des âmes et des âmes des ancêtres y compris des descendants, étant donné qu’on ne peut pas rétablir la vision d’Atlantide, après ce qui s’est passé (guerres, massacres d’innocents, déportations abusives, faux témoignages, mauvaise foi ou emploi de mensonges en raison diverses), depuis le premier des pharaons, n’importe comment et en improvisant : il s’agit donc d’un chantier pharaonique de longue haleine et cela ne peut se faire que légalement, bien qu’il faille avoir à l’esprit en permanence, si possible, le caractère légal « à première vue » (dans la légalité de l’époque ancienne/antique en question qui est celle d’individus encore – sur de nombreux aspects -  préhistoriques au sens de non-évolués autant qu’à nôtre époque même ceux qui régressent le sont et par conséquent dans laquelle société existe alors encore la loi du plus fort (au sens de force physique qui y était seulement attaché et non de celui le « plus juste » ou « exacte » – au point que de nos jours quand une chose est vraie ou exacte, on dise alors « c’est fort » - ce qui est une des preuves que les siècles polissent les concepts et les langues au point de rendre plus amples des sens autrefois étroits – l’exemple de la langue anglaise est sur ce point à l’attester), ce qui n’est plus le cas de nos jours, au sens premier et physique du terme, étant donné que c’est la loi du plus fort dans ce qu’il va démontrer être le meilleur dans des catégories/disciplines qui n’ont souvent plus à voir avec la force physique (brutale). Pour gouverner, la force physique sera celle de ceux qui en sont pourvus pour défendre les justes lois (ce qui est la force d’une région) mais avec celui qui est encore scensé, qui est clair, qui raisonne logiquement, de façon rationnelle, car sce sont des gens comme cela qui ont fini par démontrer, par exemple, en mathématique la vérité des théorèmes, bien qu’ils entretiennent, si possible leur corps et que cela ne les empêche pas de développer les matchs de foot-ball ou de rugby (comme j’eus à le demander), à l’échelle mondiale, en championnat, en ayant constaté d’avance, pour rassurer 1975-et les années 80, que cela pourrait devenir une aussi bonne affaire à l’échelle internationale pour les forces brutales nécessitant les encadrements que les forces de l’esprit proposent. En effet, elles sont canalisées pour accomplir de grandes choses (un stade est l’exemple d’une grande chose pour que des forces qui s’affrontent physiquement aient le dessus en raison de ce que les meilleurs vont réussir à apprendre à jouer en équipe, donc des stratégies payantes – le sport est donc la possibilité d’apprendre à respecter l’adversaire, à le relever si à terre – un apprentissage de la fraternité et surtout l’apprentissage du peu d’importance d’une victoire – car la victoire est le stade en lui-même, ce lieu en commun : une structure ou une architecture accueillante dans laquelle des jeux non dangereux pour la santé des êtres humains advienne – bref des lieux d’amitié possibles d’autant plus qu’à première vue en raison des règles ennemis dans le jeu – en fait une convention au point que ce n’est qu’en raison de la situation générale ayant donné à la lutte qu’on soit antagoniste car en réalité une fois terminé les hostilités, il n’y a que bon souvenirs – s’il n’y a pas une blessure ou ou endommagement physique – d’où qu’il s’agit d’un merveilleux apprentissage du refus de la brutalité pour résoudre des antagonismes au point d’en avoir à remercier Coubertin qui a infiniment bien fait de remettre au goût du jour les jeux olympiques, soit le propre d’une nation évoluée comme la Grèce antique plutôt que la barbarie des jeux du cirque qui n’encourageaient les spectateurs qu’à involuer ou à régresser à ne plus appartenir en rien au genre humain puisqu’ils ne tenaient pas compte du caractère éminemment précieux du corps de l’autre – en effet il n’y a ici que des empereurs égoïstes et totalement réfractaires à la cohérence d’époque ayant évoluées dans le soucis médical de la santé de chacun qui vont croire possible martyriser des personnes admirables ou autant qu’elles le sont dans chacune des activités ou des compétences qu’elles ont quotidiennement, au point d’être continuellement à devoir changer de mots pour les décrire ou même à les devoir représenter par autant d’images-clés comme dans les bande-dessinées dans lesquelles ils sont alors occupés à d’autres activités requérant ces compétences (il s’agit donc de personnes plurielles et non au singulier et il y a forcément parmi elles les moins néfastes ou les meilleures pour tous) – d’autre part on ne peut parler de sport, au sens noble ou coubertain (ce qui est synonyme) du terme en faisant combattre des espèces différentes n’ayant aucune des qualités ou des atouts de l’autre – c’est en cela que la corrida n’est pas juste non plus, car il s’agit d’une autre logique animale limitée par le cerveau qu’il a amené à la suite d’harcèlements divers à devoir songer à se défendre en légitime défense brutalement (le harcèlement ayant été interdit par la loi). Des possibilités cérébrales limitées qui mènent à combattre contre l’être humain à partir de cette base faussée de départ, donc artificiellement à cause du harcèlement survenu (qui donne, par conséquent au taureau – qui n’avait pas commencé – d’être dans son droit de tuer – il y a eu provocation et injustice commise de l’être humain contre l’animal, par conséquent le spectacle n’est en rien admissible ou n’est que la survivance de personnes ayant été assez bêtes ou injustes autrefois, dans ces époques encore préhistoriques ou ignorantes, à le croire possible – donc fausses ou de celles à croire avoir le droit de faire du mal à un [animal] innocent), et qui pour l’instant cherche aussi hypocritement que cela (avec la complicité de responsables) à rendre aussi faussement que cela légitime la boucherie (bref à rechercher à devenir des bourgeois, au mauvais sens de ce mot - soit tous ceux qui complaisemment avec ce qui est intolérable – au lieu de s’y refuser s’incrustent, s’enracinent dans le préjugé ou la tradition ou la mauvaise habitude, mauvaise car elle n’est plus cohérente avec les avancées de l’époque ou/et la présence d’alternatives alimentaires dûes aux commerces les plus lointains, ce qui souligne à ses denrées le caractère précieux, même si peu coûteux - ou incohérent avec la gentillesse ou la bonté dont chacun, à d’autres moments, a donné de nombreuses preuves y compris avec les vaches ou qu’il sait en donner d’autres preuves sur d’autres points, seront entretenues dans leur involution ou régression au lieu du contraire puisqu’ils s’affichent être du côté de l’injustice au lieu d’être du côté des justes – en effet, si le taureau n’avait pas été malmené ou provoqué ou blessé, il ne se serait pas défendu en utilisant les cornes puisqu’il ne dispose pas de la parole ou d’un avocat pour souligner l’injustice qui lui est faite – soit l’origine de ce que les êtres humains lui ont reconnu comme droit à la légitime défense, au point que même tueur, il aurait le droit de retourner rejoindre ses amies les vaches comme un héro – on a fait du tort aux taureaux – au lieu de jouer avec lui à des jeux admirables on le fait souffrir – c’est bien la preuve que si on s’en était abstenu chrétiennement ou simplement en personnes cohérentes avec la religion qui conseille de ne pas tuer, il ne se serait jamais montré hostile mais au contraire aimable – frappez un chien il est bien sûr en droit de vous mordre ou du moins d’aboyer si vous ne lui avez pas trop fait de mal, aussi frappez un taureau, il a le droit de vous encorner – mais vous n’aurez été qu’injuste et vôtre jeu un de ceux qui n’en est pas un de légitime sur tous les points ni sur le principe et pas seulement digne de celui que vous avez considéré vôtre adversaire sans le respecter (vous avez commencé par ne pas le respecter en tant qu’espèce ayant le droit à la vie comme vous-mêmes et cela d’autant plus qu’il n’est pas nuisible mais pacifique herbivore donc à vous aider à ne pas être envahi par les herbes et à trouver des pelouses pour des repas dans la Nature – vous êtes un misérable, tandis que ce taureau un héro ou un dieu, comme chacun des précédents que vous n’aviez pas le droit de mettre à mort ainsi – il est le Christ lui-même, injustement crucifié, par tous ceux qui se prétendent aussi fallacieusement que cela des chrétiens, y compris de toréador qui de plus, compte sur Jésus-Christ et la Sainte-Vierge pour avoir une chance, malgré l’incohérence de sa profession, avoir la vie sauve puisqu’il est le premier à savoir qu’on a trompé le public : on a dès le départ harcelé / trompé ce pauvre animal et on veut en faire un martyr et un saint – le voilà dès qu’il voit rouge à avoir le Droit pour lui – aussi ce qui trouve ça drôle ont perdu le statut d’êtres humains – ils ont capturé un animal admirable, père de vaches non moins admirables qui ont permis à tous les enfants que nous avons été de boire de bons chocolat au lait pour avoir des corps sains et des dents saines et mettent cet être exceptionnel à mort (c’est comme si un fou entrait à Lascaux pour effacer ou barrer les œuvres d’art comme la plus qu’admirable Piétà de Michel Ange qui fut frappée), alors qu’on lui doit les yaourts, les exquis fromages ou tout ce qui est bon (puisqu’il est capable de faire des efforts physique pour tirer des charrettes ou avec des jougs en tant que boeuf) – c’est donc comme souligner une hostilité envers Dieu qui n’a que bien fait chaque chose – en participant à ces jeux modernes du cirque espagnol vous n’êtes pas à la page ou vous n’avez pas encore fait de mise à jour avec vôtre époque qui est celle des cirques artistiques où vous ne trouverez pas des dompteurs de chevaux à malmener des taureaux, puisqu’ils ne malmènent pas les fauves non plus, mais, par compassion, leur donne des restes de carcasse animale – soit des reliquats d’un passé de l’humanité qui fut longtemps fondée sur une mauvaise appréciation de la réalité (des malentendus) et de l’Evolution, au point que chez certains individus cela ait donné des personnes néfastes à elles-mêmes ou involuant) – d’où l’aspect complice des involués ou de ceux qui cherchent à être maintenus dans un état de personnes qui régressent plutôt que d’appartenir à l’inverse, à toutes celles ayant choisi le bon sens ou le sens vers lequel tend l’Histoire de l’Aventure de l’Evolution Humaine). Sans les forces de l’esprit d’un architecte qui l’a utilisé pour dessiner les plans d’un futur gratte-ciel, il ne pourrait jamais y avoir de construction, ni même d’organisation susceptible de réussir à construire, en faisant les divers efforts de nature différente qui vont de ceux les plus difficiles des plans à ceux (souvent plus faciles car) les plus à la portée de toute la main d’œuvre (il en va de même pour élaborer la plus belle robe de soirée ou de haute-couture ou les costumes que porteront sur scène des danseurs avec Sarah Lipska étant parvenue à les dessiner pour les donner à réaliser à quantité de mains adroites – sans le patron/le maître rien de bien n’est possible). C’est donc l’univers de l’esprit qui va gouverner la matière et qui va pouvoir utiliser, par exemple l’énorme force d’un fleuve qu’on pourra considérer comme brutal, au moment d’une chute d’eau, pour régulariser, à travers un système d’écluses, ces quantités de ces masses d’eau ayant paru brutales/violentes. La force brutale (au sens physique) est nécessaire pour de nombreuses choses difficiles à faire pour ceux qui n’ont pas pu développer en eux des capacités musculaires à l’aune de cette violence / force exigée. Voilà donc une façon de parler de la violence positivement car elle est maîtrisée par les forces de l’esprit comme à l’occasion des matchs de foot ball ou de tennis qui s’inscrivent à l’intérieur de règles issues/produites par l’esprit. Cela s’est traduit par de nombreuses solutions élégantes mises en œuvre dans la catégorie des instruments mécaniques venant au service des êtres humains pour leur permettre de multiplier par … (ici il y va d’un chiffre selon l’instrument) leur force et utiliser alors des machines qui sont le résultat des études de ceux qui sont animés par la connaissance et l’esprit pour dresser les plans des différents composants d’une machine qui sera comme l’apologie de ce que permet la force / violence de moteurs qui avec les autres mots qui composent l’instrument sont l’expression vivante de ce qu’est / contiennent la/de force brutale d/les matières premières, comme celle de l’acier nécessaire pour produire ces instruments qui sont donc bien la preuve et le résultat de la canalisation des forces [brutales – donc dans le bon sens de ce mot] domestiquées par les forces de l’esprit (l’analyse de l’ensemble des mécanismes à réaliser pour arriver à créer l’objet escompté) qui une fois organisées sont canalisées et peuvent être mises entre les mains de n’importe qui n’est pas forcément une personne forte physiquement, car il s’agit de savoir utiliser ce nouvel instrument (comme n’importe lequel des véhicules) qui fait, dans ce cas, en quelques minutes, le travail de milliers de personnes. Ce sont les règles du jeu de football, du rugby, du tennis, mais aussi des autres sports qui encadrent et canalisent la brutalité/les forces naturelles des enfants comme des jeunes sportifs qui vont éprouver des sensations physiques précises qu’ils aiment souvent à en juger par le succès de ces sports – si je dis « jeune » ici, c’est parce qu’une personne « jeune » a depuis longtemps été considéré par les aArtistes et les sculpteurs comme étant capables de représenter à l’âge de l’adolescence le mot de « guerre », plus facilement qu’une personne d’expérience, approchant la cinquantaine, (à partir de la quarantaine) qui symbolise, par contre – et il y a ici un exemple notemment sur la façade côté jardin du Luxembourg du Sénat - la Paix (en tout cas la recherche de celle-ci – or voilà le plus drôle : adolph hitler se faisant photographier devant cette entrée du palais côté jardin et donc au-dessous de ces statues et ne comprenant pas le point de vue de l’auteur de l’architecture (des hommes de sciences) qui l’ont pourtant averti grâce à ces deux sculptures antagonistes signalant d’avance le danger que la jeunesse représente, au mauvais sens de ce mot de giovinezza ou de juventus, puisqu’elle contraint les anciens à frapper ou à trouver des remèdes pour éviter cette guerre qu’ils prônent en inexpérimentés puisque la Paix est vitale/essentielle pour que les commerces puissent s’épanouir et avec eux la prospérité et ainsi contenter la jeunesse au bon sens de ce mot qui peut, dans certains cas, être sagesse – en effet, des enfants très jeune sont des sages tandis que des adolescents « jeunes » se conduiront en fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) – donc nécessitant des interventions pour les mener à plus de raison – aussi longtemps le mot de « jeune » fut considéré un synonyme de « sage » mais au contraire de dérèglement – aussi en général ce mot de « jeune » est entendu négativement sauf que ceux qui l’emploie savent qu’il y a des exceptions – le problème de la généralité c’est qu’elle met tout le monde dans le même sac et qu’elle va induire à la contradiction en vertu de cas particulier dont le risque est de les ériger en généralités y compris pour contredire) - ils apparaissent alors, ces joueurs dans leurs efforts physiques de jeunes hommes (ou bien de jeune filles ou de jeunes femmes y jouant) au point de ne pas déplaire, ce qui permet de les admirer, ces sportifs qui se sont consacrés à permettre à leur corps de fournir des efforts physiques (ce qui est indispensable pour devenir un bon travailleur manuel ou appartenir à la main d’œuvre), d’autant plus qu’on a eu le plaisir de connaître le sport en question soi-même et de le suivre à la télévision, notemment quand celui-ci était pratiqué par Pelé, au Brésil, qui visiblement jouait inspiré par l’esprit, de façon très intelligente, au point de s’illustrer avec son équipe comme un champion de monde, ce qui n’est pas le cas de très nombreux autres joueurs, le titre étant réservé à des joueurs qui sont spéciaux, insolites – moins communs que les autres). Car si nous parlons de « légitime » comme d’« illégitime » à propos de l’appropriation de ce variateur de la vision d’Atlantide qui a été hérité à cause de l’Histoire par des personnes, qui, en raison de cela, se sont rendues capables d’être invisibles (et donc d’espionner à l’insu), c’est la notion de légal comme celle d’illégitimité qui a évolué en ce qui concerne la légitime propriété de cette salle des machines, à partir du moment où le problème a commencé, s’est posé (en effet, cela a commencé en créant ipso facto l’illégitime). Car pour ceux qui en sont exclu ou n’ont pas voulu s’y rendre depuis toujours cela a signifié une appropriation [de l’ordre de l’]illégitime, il est compréhensible que pour les autres qui en ont hérité elle soit de leur point de vue légitimement à eux. Mais ici nous raisonnerions comme il y a 5000 ou 6000 ans si le langage de cette époque encore archaïque avait pu traduire cela. La vérité en raison de ces 5000 ou 6000 ans n’est plus de celles-ci préhistoriques qui proviennent d’« à première vue » qui vont contenter des personnes se satisfaisant d’arguments d’ignorants, au mauvais sens de ce mot. La vérité à ce sujet est devenue plus complexe que l’à première-vue en question qui maintenait un statut depuis le début injuste. Elle est donc plus compliquée (puisqu’il faut respecter les héritiers ayant été abusés au point de prendre le goût de s’encanailler plutôt que le contraire – devenir des honnêtes gens) et cela a même été une mauvaise affaire pour ceux qui en ont hérité en se servant d’elle pour faire des mauvais coups, pour/et en profiter pour nuire. Ils s’aperçoivent qu’ils ont été punis en voulant à ce point exclure les autres (s’exclure de ceux qui ont recherché à suivre les bons conseils qui découlent des différentes logiques scolaires liés aux disciplines) et en voulant continuer à se comporter sans réelle possibilité d’évolution (mais au contraire contraints à cause d’elle à involuer puisqu’à ce point égoïstes à ne songer qu’à leur intérêt personnel) et en se retrouvant bloqués dans des états obtenus, en réalité en trichant vis-à-vis de ceux qui ne disposent pas de l’instrument en question. Par conséquent, ce qui était « à première vue » une bonne affaire est devenu une très mauvaise affaire pour ceux qui ont voulu hériter de cet instrument (avec ce dessein malfaisant de disposer d’une sorte d’arme dont les autres ne savaient rien, quand il est probable que cette salle des machines avait été laissée sur cette planète comme un lieu en commun – de tous – comme le sont aujourd’hui encore les Eglises paroissiales ou les places des mairies ou les bâtiments administratifs, écoles et universités) en s’en servant pour trouver les moyens de fausser compagnie (puisqu’on appartient à ce groupe disposant de cet instrument), d’en faire le moins possible dans les diverses activités « à première vue » ennuyeuses (car n’étant pas de celles physiquement ou sensuellement agréables – donc moins plaisantes que les plus agréables qui ont donc rassemblé ces personnes sur ce point, en leur faisant perdre l’objectivité et/ou le sens des réalités au profit de cette subjectivité y compris sonore leur faisant croire à des mensonges sous prétextes qu’ils sonnent justes – c’est ainsi que les généralités les plus fausses et inconcevables ont été crues de ceux qui ne disposent pas ici du doute salvateur ou de l’esprit de contradiction qui s’impose – voilà des personnes à ne pas pas s’imposer l’anti-thèse d’une affirmation qui ne sera vraie, par exemple que si un individu appartenant à l’une de ces catégories s’est mal comporté – ce qui est vraisemblable ou probable d’avance pour chacune des catégories puisque vous trouverez des faussaires pour chacune tant que la discipline n’a pas réussi à vous faire devenir vrai – ce qui est la fonction de chacune des disciplines ou catégories ou métier) ce qui ne leur a pas permis d’évoluer comme les autres, qui, par contre, n’ont fait que toujours évoluer et devenir de véritables savants, à partir de chacun des nouveaux paramètres vécus étant donné qu’il consacrent du temps à les analyser et à s’en servir pour essayer de trouver la sagesse, mais aussi pour se préparer à leur mort, tout au long de leur existence, en cherchant de l’utiliser pour faire du bien pour permettre aussi à certaines personnes engluées dans le mensonge, dans les sables mouvants du mensonge, de s’en sortir victorieux, soignés, lavés, renouvelés, pour être là, le cas échéant à leur tour pour aider ceux qui ne peuvent pas imaginer encore ce que peut-être le monde de la vérité, (dans ce cas de figure de la Création qui était bloquée sans la vision d’Atlantide mais qui est réellement une surprise, au point d’être malheureux de savoir que ces personnes sont réellement comme à des milliers de lieues, au fin fonds de la médiocrité, puisqu’elles ont cédé à des tentations sans éprouver d’aAmour véritablement (ce qui signifie de devoir songer aux conséquences d’autant plus de la dépendance de chacun vis-à-vis de la question financière), mais seulement des désirs à satisfaire égoïstement et en cherchant ici à faire des calculs, mais dans le mauvais sens de cette expressions. La guerre est donc quelque chose qui avait à voir avec la jeunesse donc avec les forces physiques de la jeunesse inoccupée par les sports ou les travaux physique d’envergure à une époque dans laquelle il n’y avait pas autant d’instruments spécialisés, militaires, de défense et depuis qu’on peut téléguider des bombes, celui qui est chargé d’obéir et qui pourrait avoir l’intelligence de ne pas obéir, s’il était doté de conscience, dans certain cas où cela n’est pas acceptable va donc être du genre d’un liftier ayant eu autrefois dans les ascenseurs la responsabilité d’appuyer sur le bouton qui mène à l’étage, ce qui n’exige que jardin d’enfant plus deux années pour savoir lire les numéros sur le tableau de bord et vérifier que ce qu’on reçoit comme CFP est conforme aux besoins minimums pour survivre en étant de ceux qui ont un métier aussi simple (comme ceux de nombreux analphabètes ou peu scolarisé qui se souviendront en quelques allées et venues que le son qu’ils vont entendre lié à l’étage signifie effectivement le chiffre inscrit pour lequel ils seront payés pour accompagner des passagers qui ont, en général, à l’époque en question, au moins chacun l’équivalent du baccalauréat (puisqu’ils sont les clients de l’hôtel) et qui, forcément, savent que le liftier a ici une chance d’être rémunéré avec des CFP à cause de cette permanence à ce « travail ». Il y est utile, puisque cela évitera à l’ensemble de ceux qui sont entrés dans l’ascenseur en question de se bagarrer entre eux pour être, l’un ou l’autre le plus zélé à être au service de l’équipée et à avoir le plaisir d’appuyer sur les boutons en questions qui probablement en l’absence du liftier seront appuyés les uns après les autres si l’ascenseur est plein et cela pour éviter que les gants blancs d’une dame ne soient salis (en effet poser le doigt là où on ne sait pas qui l’a posé, en ces temps de découverte des microbes, avait requis cette précaution dans les grands hôtels – mais tous se sont habitués à porter des gants et donc à se passer de liftier puisque l’augmentation du prix de baril de pétrole n’a plus permis à la direction de la plupart des grands hôtels de payer cet emploi).

La jeunesse ne peut que très difficilement ne pas croire « à première vue » ou au « à première entendu » et c’est pourquoi nous allons y trouver de nombreuses personnes qui vont, par exemple, vouloir appartenir à leur « patrie » et qui vont chacun avoir une idée précise de ce que leur pays est, en oubliant que c’est la même chose qui se passe dans chacune des autres régions, car c’est en raison de cela qu’il va y avoir la naissance des identités nationales (un fait qui a toujours été positif car c’est comme la constitution d’une famille, mais aussi négatif sur quelques autres plans). L’âge mûr (de la sculpture représentant ce père de famille nommé la Paix) a en ces temps là plus de chances/probabilités d’avoir été de la tranche d’âge à avoir eu le luxe de voyager à l’étranger (comme les députés et les sénateurs) et d’avoir compris que ce qui se passe dans la région où l’on vit (son pays) se passe aussi dans chacun des autres pays mais en étant chacun certains d’appartenir administrativement grâce à la langue pratiquée à cette autre région ou centre, donc à un ensemble culturel donné et donc la personne qui a la chance de voyager et de pouvoir réfléchir à partir des particularités régionales découvertes (ces objets ou œuvres de l’esprit), non pas seulement pour des raisons vénales vont donc devenir des valeurs à prendre en compte mais aussi des paramètres qui vont permettre à la personne en question de comprendre que le pays a fait l’effort de montrer et de présenter ces objets d’art, (la culture à laquelle il appartient est partagée, proposée à l’ensemble des « étrangers » ou personnes de passage, qui vont prendre alors conscience que ces objets d’arts (et/ou avancées ou progrès dans le monde de l’aArt local) sont partagés avec l’ensemble des personnes qui vont respecter ces objets et en emporter, par exemple des reproductions photographiques ou même tridimensionnelles, puisque de nos jours il est possible, grâce aux imprimantes à 3 dimensions de réaliser des copies parfaites et pratiquement semblables de sculptures anciennes conservées à « l’étranger », en fait simplement conservées par une/des administrations au service de la localité (plus ou moins grande) à gérer et dans laquelle il y a parfois quelques unes de ces véritables œuvres d’art, qui proviennent d’être humains accomplis/parachevés en raison de parcours personnels, grâce au concours de leur famille, grâce aux efforts financiers d’autres administrations qui sont chargées chacune sur des points précis à des niveaux de responsabilités différentes de gérer la superficie qui leur a été remise ou de laquelle ont hérité des personnes qui se sentent alors concernées plus particulièrement par la mise en valeur/l’exploitation (au bon sens de ce mot et non au mauvais) de ces superficies (qui sinon seraient à l’abandon, les habitations qui s’y trouvent tomberaient en ruine), leur entretien, et la nécessité d’avoir à les transmettre à la génération suivante (puisque des investissements de nature différentes, financiers et canalisant des capacités physiques ont été faits) étant donné que cela peut contribuer, si cela fait l’objet d’une bonne gestion, à ce que des personnes [perdues] puissent retrouver leur santé, le chemin de chez eux (le bon chemin), en découvrant, effectivement que parfois ces œuvres d’art restaurées sont bien de celles qui attestent du génie de l’être humain, de sa spiritualité retrouvée dans certains cas et dans certaines régions qui ont axé leur développement en focalisant celui-ci parfois ou le plus souvent par l’entremise des religions permettant à la cité de se considérer comme société appartenant à une même culture ou à des cultures et des langues issues de la civilisation engendrée par cette religion. Voir des objets d’art (même seulement ayant des sujets profanes ou à première vue indéchiffrables ou abstraits), c’est parfois bon pour commencer à croire possible qu’on pourra finir par en réaliser soi-même (en devenant un façonnier au sens d’homo faber qui est l’équivalent d’ingénieur). La guerre ou/et les jeunes c’est le plaisir de croire appartenir à un mot (un parti ou une équipe) dont on ne sait pas tout ce qu’il a pu, comme la notion même de nation représenter dans l’ensemble des siècles passés. Comme on a pu constater qu’effectivement cela représente beaucoup à l’aune des cours élémentaires des écoles primaires, on cherche alors malhonnêtement à croire que ce mot auquel on appartient, sur plusieurs plans ou niveaux différents, est plus qu’un autre mot souvent équivalent en droits et compétences (comme vont le croire les joueurs de certaines équipes de football nationales ou régionales) alors qu’on fait parti, à ce moment là, des « ignorants » (excluant) au mauvais sens de ces mots, de personnes inhospitalières (car l’hospitalité exigerait, en jouant un match contre une personne ou un groupe de personnes qui viennent de loin qu’on s’arrange à perdre le match pour que celui-ci garde un bon souvenir de l’hospitalité reçue lors de son passage, par exemple par le pays organisant les jeux olympiques ou bien les championnats du monde d’un sport quelconque – mais étrangement l’hospitalité qui pourtant est connue de tous n’est, à ma connaissance, jamais allée jusque là – évidemment c’est qu’on dissocie avec justesse l’hospitalité du motif de celle-ci et comme la raison est la confrontation pour une victoire à remporter on ne fait pas intervenir la cohérence qu’induirait cette hospitalité si celle-ci devait être à privilégier – aussi bien que cette notion d’hospitalité est capitale ou hiérarchiquement celle qui gouverne à l’amitié entre les peuples, voilà que le sport ou les jeux pourraient nous faire oublier qu’elle existe en devenant facteur de division, en soulignant des antagonismes nationalistes au mauvais sens de ce mot puisqu’il ne tient visiblement plus compte de cette notion d’hospitalité autrement que pour faciliter des antagonismes sur ce qui n’était que jeux ayant comme dessein de faciliter les contacts des jeunes avec les autres peuples – aussi voilà une partie du stade à prendre partie pour l’équipe torero alors que l’autre est celle du taureau injustement lésé ou diabolisé à tort – l’hospitalité est alors l’objet d’un sacrilège et au lieu d’assister au combat de deux taureaux de la même force sachant qu’ils auront à éviter de s’encorner, voilà que cela tourne mal : l’une des équipes voulait mettre à mort l’autre. C’est ici les limites du sport ou quand ce sport faillit). Mais le jeune homme, en raison de la façon de présenter les différentes matières qu’il a étudiées à l’école, comme à l’université, en se spécialisant, est certain d’appartenir à une nationalité et il oublie (donc par omission) ce qu’il doit à l’ensemble des autres nationalités. C’est ici que celui-ci, malheureusement, va se conduire d’une façon qui ne va pas non plus honorer son pays même s’il croit au contraire qu’il le défend : il est capable (à l’occasion de ces matchs, par exemple) de se comporter avec mal politesse, hostilité, et cela comme quand il y a un combat de boxe avec des personnes qui prennent parti contre d’autres personnes.

Cela est cependant très préjudiciable comme l’attitude neutre pourrait aussi le paraître à première vue, puisque cela peut mener à des conflits que seules des personnes d’expérience (souvent âgées) peuvent calmer, ce qui explique pourquoi d’un côté nous avons la statue du jeune homme nu (un ancien habitué des lieux de luttes gréco-romaines) avec un casque ancien de soldat, grecque ou  romain, et de l’autre nous avons l’homme d’âge mûr, nu, lui aussi, mais qui à l’époque de la construction du palais du Luxembourg (à moins que ces sculptures aient été ajoutées dans les époques ultérieures) était à l’âge des anciens (en raison de l’espérance de vie à cette époque là) par conséquent, il y avait bien plus de gens « jeunes » pour être partants pour/à faire la guerre que de personnes qui pouvaient atteindre l’âge de l’homme qui cherche la paix, car sans elle, établie durablement, sur un territoire très important (il s’agit d’un château royal) le commerce des différentes matières premières ne pourra pas permettre de forger pour la génération suivante le casque de guerrier inspiré peut-être par l’idée du guerrier spartiate puisqu’il n’est que peu vêtu. Nous retrouvons cela dans une des miniatures persanes sur laquelle je me suis étendu par écrit longtemps ailleurs, ou oralement, dans mes exercice d’éloquence au cours de mon auto-psychanalyse mêlée de Nouvelle Donne à l’échelle mondiale, et qui présente des personnes âgées plus ou moins, entrain de négocier la paix, (face à un texte de Nizâmi, Panégyrique de Mahomet, l’ascension du prophète, dans la Guirlande de l’Iran, édition Flammarion, 28 octobre 1948 sur les presses de l’imprimerie Kapp, page 34) : inspirés par des flammes spirituelles, les uns comme les autres, tandis que dans chacun des trois camps, la jeunesse se prépare à la guerre ces personnes la négocient. Il y a le troisième des personnages qui est au premier plan et qui est un jeune roi, très inquiet pour ses sujets et il observe à cheval, de loin, les négociations entre ses deux voisins : deux personnes qui sont heureusement animées par la vérité et un feu spirituel et qui ont donc entre eux, pour signifier la frontière de leurs éEtats, la rivière ou le fleuve qui est aussi le signe de l’appartenance de chacun d’entre eux à ce territoire différent qu’ils ont cependant le devoir de défendre chacun, ce qui a causé ces pourparlers de paix. Il s’agit ici d’une merveilleuse miniature très ancienne.

[20] Si ce n’est qu’il se pourrait – ce que nous ne pouvons pas exclure - que ce soient les enfants qui ont voulu avoir pour parents ces personnes qui leur servent de parents pour des raisons qu’ils sont eux-mêmes parents d’enfants les ayant souhaité ces parents-là et ainsi de suite (sans doute pour de bonnes raisons).

[21] (dans cette époque-ci qui est celle des différentes solutions plus ou moins élégantes pour éviter d’avoir des enfants grâce à la contraception : on se doit d’être cohérent et de comprendre le sens de l’histoire comme ce que des nouveautés ou paramètres nouveaux offrent comme conséquences et comme obligations et comme choix à faire en la matière)

[22] (soit celui d’Oz que nous sommes contraints de fonder - nous aspirons à ce que chacun de nous puissent disposer de la carte d’identité de citoyen de la planète Terre, avant d’appartenir, dans cette époque qui aussi est celle du tourisme et de la découverte des autres régions du monde, dans le cadre de la mondialisation des échanges commerciaux qui sont à l’origine, en temps de paix, de très nombreux métiers différents qu’on trouve partout dans le monde entier, ce qui constitue un des véritables moteurs qui participe des contraintes que nous avons les uns et les autres. Sans contraintes, sans résistance à l’ineptie, sans … il n’y a pas de progrès possible : c’est alors la décadence et la fin de plusieurs civilisations différentes qui avaient réussi à créer entre elles, ensemble, grâce aussi à la Chambre de Commerce Internationale et aux mécaniques boursières et bancaires, la situation dans laquelle nous vivons de nos jours qui, bien que laissant fort encore à désirer sur de très nombreux points, a l’air de s’aventurer vers des problèmes graves/importants à devoir résoudre, bien que cela soit « à première vue », l’existence, confortable, bien plus qu’avant, notemment en raison des bagages et des fauteuils à roulettes, mais aussi des  patins à roulette et des poubelles à roulettes, bref des roulettes dont j’ai eu à dicter les solutions élégantes aux années 80 pour répondre aux besoins de nôtre époque quand c’était du virtuel ici en 1975-1980, ou de la réalité virtuelle en 2005-à nos jours ! Trente années après ces communications qui furent à recommencer en chair et en os permettaient de constater par ailleurs l’importance du mot de roulettes ou de roues puisque ces transmissions ont transformé en gare ou aéroport les trottoirs des villes, chacun y compris les enfants avec leurs sacs à dos à roulettes se déplacent sans plus avoir besoin de personnes pour porter – on me devra des royalties sur ses sujets)

[23] Pour ceux qui n’ont jamais eu accès à la vieille salle des machines constituer une famille est une étape très importante dans la vie au point qu’on comprend qu’ils aient ressenti le besoin de se marier pour rendre officiel cela dans des lieux publiques spécialement conçu pour cela et qu’on a nommé en Occident Église ou temples d’autant plus de l’histoire sainte. Bien sûr, j’ai vérifié que pour les profanes cela n’a aucun intérêt la vie, y compris le mot de famille puisqu’ils ignorent la vérité et sont dans l’inconscience. L’acte sexuel cependant importe et c’est de ces sensations là qu’ils souhaitent être les esclaves, les enfants n’ayant pour eux très certainement aucun autre intérêt que sensuel. Ignorant l’existence de toutes les autres dimensions (innombrables) de l’esprit et du spirituel, ils n’accordent pas de prix à la vie car leur cerveau n’est qu’en relation qu’avec des sensations et non la recherche de la vérité. Ils vont croire que la vérité est sexuelle quand cela n’est qu’en très faible parti vrai (un pourcentage infime). Aussi ils ne peuvent comprendre ce que cela peut signifier d’avoir perdu ses enfants d’autant plus qu’ils n’aiment pas la vie puisqu’ils ont été capables d’utiliser les machines pour faire du tort à des enfants ou à des personnes différentes d’eux et qui souvent étaient de celles aimant la vie.

[24] http://fr.wikipedia.org/wiki/Certains_l%27aiment_chaud

[25] Ce parcours est passé par Florence Loewy, la troisième impératrice, dont j’ai fini par comprendre récemment dans ma lettre au cardinal Vingt Trois qu’elle avait a retrouver sa place.

[26] (peut-être même avant ma naissance puisqu’il y a une toile de Goya qui montre un personnage nu dans le ciel et qu’il se pourrait que ce soit moi quand je suis dans la douche du studio où je vis qui donne sur un miroir (qui en me réfléchissant est peut-être dans le ciel d’un passé d’où on me voit dans la région où je suis), par conséquent on m’aurait vue en Espagne bien avant ma naissance et déjà là, dans le ciel, un peu comme on me voit et on m’entend dans le ciel de Rome depuis 1975, d’un autre coin du studio, rue du Val de Grâce ayant, quant à lui, une baignoire et un peu comme j’ai pris l’habitude avec ma caméra vidéo de discerner dans les nuages du ciel des silhouettes de personnes faites / constituées de nuages bien réellement présentes qui semblent savoir être aperçues dans le passé là où elles se trouvent (il y a d’autres exemples au point que j’eus à fonder, ces derniers temps l’Observatoire [international] de[s] nuages d’Oz, télé ar[t]chivage de nuages [des ailes de] Pégase (en réalité les ailes du cheval Suegno dans La momie à mi-mots avec la participation du Musée Vivant du Cheval de Chantilly) – télé ‘N’ comme « nuages » ou « nuvole » ou TV ‘C’ comme « cloud » )

[27] De mon point de vue, indubitablement, en raison de ce que cette NNDIM ou Dictée pharaonique du ciel a permis à cause du sacrifice qui est en réalité pluricatégoriques et pluridimentionnel par conséquent aussi un sacrilège que j’eus m’infliger à moi-même, comme si j’avais atteint un sommet invisible auquel étaient reliées toutes les pyramides (des éEtats) s’étant rejointes dans le temps et que je devais être à la fois le prêtre et le supplicié et en même temps que le bienfaiteur (et en bénéficier moi-même) une liste impressionnante d’autres mots tous véritables et différents (bref prendre conscience de la multiplicité de l’être humain dans ces possibilités altruistes – en fait renouer avec la religion, mise entre parenthèses durant toutes les années où je fus requis à devoir démontrer comment on redevient profane, alors qu’on en avait bénéficié et en fait vérifier de l’utilité des sacrements pour retrouver la cohérence d’une personne pourvue de nouveau de logique à cause de cela au point de vérifier, par ces preuves que j’avais de la vérité terminologique à employer et ce que cela entretient avec la notion de sacrifice en relation avec ces conséquences pour tous les autres mots – comme si pour fonder une civilisation ou la société des êtres humains commençant à se servir mutuellement ou même avoir accès à la parole un sacrifice personnel avait été nécessaire toujours comme préalable – en coïncidant à chaque fois avec la fin de l’adolescence, le refus de s’abandonner aux facilités de l’enfant-gâté pour anéantir l’égoïste en soi et l’accès à des dimensions plus vastes puisqu’enfin les mots signifient des réalités scientifiques et ce qui en découle – en un mot l’accès à la conscience, ce qui ne permet plus de se conduire comme avant et surtout cela permet en effet de comprendre tout ce qui fut élaboré en conscience ce que j’ai vérifié on ne comprend pas sinon ni même on arrive à imaginer comment ces objets ou les techniques à employer pour les réussir – aussi on est avant ce moment-là dans le monde du faussaire ou de celui qui fait semblant et à partir de ce moment-là dans le monde de la vérité – d’où l’aspect sacré et forcément la compréhension de la notion de Dieu par rapport à une situation antécédente sans Dieu – mais le mot est peut-être maladroit car il est celui que tous utilisent pour parler d’une notion floue ou alors convenue. Peut-être vaut-il mieux employer un mot qui ne veut rien dire comme tout dire en français : schtroumpf – effectivement pour celui qui n’a jamais étudié aucune langue vivante en France ce mot est un mystère et ne signifie rien, bien qu’on comprenne qu’il permet de tout dire à des personnes qui se comprennent donc entre elles à mi-mots ou comme de bien entendu ou en raison de ce qui est évident entre elles et qui est pour les croyants d’avoir compris que leur vie servait à un projet infiniment vaste s’incluant dans l’espace et le temps n’admettant pas l’injustice et la méchanceté puisqu’il n’y a effectivement que solutions élégantes et mieux : la vision d’Atlantide et/ou d’Ôz qui atteste qu’il n’y avait que bonté / beauté / bien – soit ce qui s’est traduit par une de mes innovations enfant par le bureau pour baignoire (le bb) en attendant qu’elle se révèle de nouveau : en effet, j’avais pensé qu’elle pourrait procurer des CFP à la main d’œuvre qui participerait à sa réalisation – aussi cela signifie que les solutions élégantes trouvées sont dans le registre du beau, du bien et du bon comme le variateur lui-même de la vision d’Oz ou comme la Création et qu’on a bien fait d’appeler les nouveaux-nés des bébés puisque c’est encore enfant (mais adulte parachevé un en Osiris bien qu’Horus) que j’eus l’idée du bureau pour baignoire pour créer des emplois – mais bien sur il fallait en créer un qui soit ingénieux et c’est ici que j’ai eu à vérifier combien le profane ou le dégradé ne trouvera jamais la solution élégante et combien de quantité d’années de peines et de progrès personnels dans de nombreuses disciplines sont nécessaires avant d’avoir l’idée pour le premier prototype – enfin il faudra encore des millions d’autres progrès pour celui qui est le premier dont on sera sûr qu’il puisse convenir à chacun. En fait, c’est comme pour le scénario des grands films d’art ou les œuvres de théâtre classique ou les textes fondateurs, il faut rejoindre l’au-delà ou rejoindre l’état d’esprit qui très certainement a permis de réaliser le variateur de la vision d’Ôz lui-même – c’est alors qu’on découvre qu’il n’a jamais été réalisé pour faire une mauvaise blague comme n’importe lequel des objet ou instrument utiles – et c’est cela qui permet de déterminer sans erreur qu’il a été hérité par des mains inadéquates ou celles de sacrilèges par rapport au génie de l’instrument lui-même – d’où qu’en m’en rendant compte j’ai accepté de faire les démonstrations pour qu’on se rende compte des paramètres qui vont mener à cette involution au lieu du contraire au point d’être sacrilège ou d’être capable d’utiliser l’instrument n’importe comment, c'est-à-dire comme seul une personne privée de conscience, donc de savoirs-faire l’utilisera – c'est-à-dire en réalité privé des sciences qui ont permis de l’élaborer dans une optique de consolation ou de médecine puisque la beauté depuis toujours soigne – c’est la raison pour laquelle en m’en rendant compte comme à cause de cette NNDIM de la civilisation de la mondialisation des échanges commerciaux j’eus à choisir mon nom de pharaon principalement autour de la notion de « commerce », « d’arts » et de « médecine » d’autant qu’à plusieurs reprises j’avais pu soigner la situation générale grâce à ce que représentent ces mots de positif).

[28] Cela aurait été possible si la chronologie n’avait pas joué en défaveur de M. F. au point de révéler qu’il y avait eu un sacrifice qui l’avait rendu responsable de la mort de mes enfants attendus d’avec C. L. .

[29] Or une histoire sentimentale entre deux personnes implique une dose d’égoïsme (en général ici dans le sens positif de ce mot). Il y a donc à distinguer l’égoïsme néfaste de celui plus positif dans la mesure où il apparaît comme normal, légitime d’attendre des enfants (donc de constituer un centre – dans le mot d’égoïsme il y a un «o» qui n’est pas seulement néfaste puisqu’il peut être vu comme un anneau – il signale qu’il y une notion centrale qu’on ne peut pas éviter d’affronter un jour ou l’autre soit pour en sortir vainqueur soit au contraire pour en être toujours la victime malheureuse, le prisonnier – ce cercle est en relation avec l’être féminin duquel naisse des enfants mais aussi avec la cage d’ascenseur qui ronde va permettre soit de monter soit de descendre – aussi le danger pour la civilisation sera quand l’être féminin devient un égoïste, au mauvais sens de ce mot et non au bon qui est le droit de la femme de se défendre contre tous les égoïstes pour assurer la survie de sa race (son patrimoine génétique, en réalité les ancêtres dont elle peut à bon droit être fier) par exemple si elle dispose de CFP en raison/issus de travaux dont elle est elle-même capable – elle ne les a accompli que pour permettre à elle-même et ses enfants de survivre (voir une famille ou un mari) – la femme est alors généreuse et non une égoïste – c’est une église et elle est la porte du Paradis – tandis que si elle n’a obtenu que des cff, cfm, cfu, cfs, ou cfcch elle n’a pas voulu penser à l’intérêt à long terme de ses enfants et comme Fantine est contrainte ensuite de mettre sa fille en pension chez les abominables Thénardier et vivre comme rackettée – elle s’était donc conduite en égoïste et par conséquent sa fille ou son fils en sera affecté et malheureux – le génie de Victor Hugo s’est de s’en être rendu compte comme Jean Valjean et de vouloir sauver la jeune fille méprisée ou qui part handicapée dans la vie comme Cendrillon ou la jeune fille aimée par la Bête dans le conte de Cocteau). Or il ne vient pas à la tête d’un enfant de se croire illégitime. Par conséquent c’est une mauvaise appréciation de ce qui est légitime de ce qui ne l’est pas qui est en cause ou à l’origine. Pourtant une promise légitime est bien celle qui est officiellement prévue par le GAU (cette notion étant par exemple déjà les descendants dans vingt ou trente siècles ou plus encore ou alors moins que cela) pour résoudre la situation après la Seconde Guerre mondiale. Le légitime est donc ce qui est/était su officiellement. Ce qui est n’est pas à l’insu. (c’est en cela que ceux qui ne savent rien de l’existence de la salle des machines sont en légitime défense par rapport à ceux qui en savent les maniements et donc ceux qui n’y ont pas accès avec de fortes probabilités d’être depuis toujours plus dans le vrai que ceux qui détiennent l’héritage de l’instrument. En réalité c’est comme un enfant né dans un village amazonien à mille lieues de Brasilia qui n’est pas au courant de l’existence de la civilisation ou des sciences – même s’il est un ignorant, un sauvage, il est certainement plus encore à respecter qu’un savant qui se moquerait de lui ou qui se croirait supérieur parce qu’il a compris, par exemple la loi de la Quantité et de la Rareté alors que pas encore cette personne – ce qui signifie que l’ignorant, au bons sens de ce mot (et non au mauvais) a des droits intrinsèques ontologiques consubstantiels – donc qu’il n’y a en réalité aucune supériorité de laquelle il faut plastronner/se venter ou même se sentir fier, si ce n’est de penser juste, ce qui est donné à l’ignorant, au bon sens de ce mot – le véritable savant est donc un ignorant au bons sens de ce mot, soit ce qu’avait compris François Truffaut à l’occasion de sa démonstration sur/de L’Enfant Sauvage ce qui signifie que le faune, le satyre et le centaure sont pressentis pour se délivrer de l’égoïsme dont ils sont les victimes au mauvais sens de ce mot – ce sont donc tous les travaux que les dieux imposent qui doivent permettre cette métamorphose ce qui est advenu pour quantité de personnes au cours des différentes Nouvelle Donnes – en effet, ces travaux sont si difficiles que finalement chacune des personnes ne devient plus que généreuse – elles ont alors retrouvé l’esprit de Vérité qui est ignorance, au bon sens de ce mot – cette légitime défense concerne l’enfant qui dispose seulement d’un crayon quand les plus âgées disposent d’un stylo – il sait naturellement que quand il aura l’âge de ceux qui ont le droit de recevoir un stylo, il sera capable de faire des merveilles – l’instrument qui est obtenu pour écraser l’autre est à supprimer de sa vie car il entretiendra l’égoïsme au mauvais sens de ce mot ou dans l’idée d’être supérieur car on dispose d’un meilleur instrument que celui qui n’a pas cette chance – d’où le très grave problème que posent les outils en tant qu’aide ou solutions élégantes en elles-mêmes – il arrivera qu’une personne ayant tous les moyens préfère pourtant pour couper un arbre le couper à l’ancienne (avec une simple scie manuelle) plutôt que d’un coup de tronçonneuse – de même une personne se refusera d’utiliser un instrument facilitant le travail car il ne veut pas faire de mise à jour ou se mettre à la page de son époque – aussi le voilà victime de son ignorance, ici (soit à ce moment) au mauvais sens de ce mot, comme un enfant qui ne veut pas essayer d’écrire au stylo car il sait être arrivé à la quasi perfection au crayon de papier. Mais voilà qu’on lui propose beaucoup mieux car on l’en a jugé digne, mais cela signifie un nouvel apprentissage, donc une tristesse car de nouveau il doit débuter à zéro pour devenir maître d’une nouvelle technique – ici les maîtres d’Ecole doivent être attentif à ce moment charnière qui est en général craint par l’enfant, traumatisant ou alors au contraire euphorisant comme si on recevait la plus importante distinction ou le grade de commandeur ou en tout cas la légion d’honneur – en réalité ce n’est rien de tout ça, c’est pour lui éviter de perdre du temps à tailler les crayons : encore une solution élégante !) Donc avec le légitime (pendant longtemps) ce qui est connu ou dit ou inscrit (en atteste les admirables inscriptions sur les obélisques ou ailleurs – cela est donc relié avec la notion de « sacré » : pas d’écriture pendant des millénaires et soudain l’écriture : plus qu’un miracle : une interrogation – pourquoi un tel cadeau ? D’où cette idée que cela vienne de Dieu – comme une sécurité qui aurait été donné à l’être humain en cas de problème – c’est ici ce qui fonde durablement la résolution de tous les différends grâce aux échanges de courriers et l’instruction de dossier plutôt que de céder à vilenie et se faire justice soi-même brutalement). Mais il s’agit d’un niveau de légitime qui peut être contestable par les intéressés qui ont le droit de refuser ce qui est écrit pour des raisons qu’ils considèrent légitime des personnes qu’elles préfèrent à celles imposées par une sorte de somme ou résultat d’une machine, comme ce que j’ai dû paraître en ayant à tenir compte de tous les paramètres entre 1965 et 2005 pour sauver cette planète. Quand une machine donne un résultat ou même délivre une boisson vous êtes libre de ne pas la prendre ni la boire bien que vous ayez mis des monnaies pour qu’elle la délivre. De même qu’une machine qui délivre des billets de banques (vous pouvez les y laisser) – de toute façon ici ce qui importera sur le plan psychanalytique c’est la raison pour laquelle vous l’avez fait – c’est ici ce qui est positif, donc pas seulement négatif et il est à parier que cela était prévu dans un processus de guérison ou alors que c’est ce qui aurait à vous rendre malade (que s’est-il passé ensuite ? regrettez-vous ces billets ? etc. – ici la question comme les réponses peuvent dévoiler que le psychanalyste n’est que pourvu de CFP et qu’il se rendra compte que le patient n’a que des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch – d’où alors la difficulté de la guérison). Aussi c’est la manière et les objectifs que vous poursuivez qui comptent et moins l’acte qui à première vue signifie une ânerie : vous avez perdu des CFP car aucune personne scensée ne peut croire qu’il s’agissait de cff, cfu, cfs ou cfm puisqu’il n’a eu accès qu’à des scéphpés (CFP - peut-être s’agira-t-il d’un psy qui ne dispose que de cfu, cff, cfs et cfm). D’où le problème qui est loin d’être résolu pour le patient qui est en réalité entrain de soigner l’un et l’autre psy : ils avaient besoin de CFP pour être utile à la profession qu’ils prétendent exercer ou maîtriser dans un des cas légitimement et dans l’autre, en usurpateur, pour vous mener à la corruption et à la déchéance.

[30] (grâce à l’intervention de Dieu, dont Dieu lui-même, comme le grand Architecte de l’Univers ont pu s’assurer que je ne savais d’aucune façon que celui-ci apparaîtrait en 2005 un peu après m’être installé dans le studio)

[31] Je cite ici Claude Vigée.

[32] Puisqu’apparemment il était intervenu en raison de ce que m’étais accusé d’être indigne et donc de ne pouvoir prétendre jamais épouser M. F. (à cause soudain que j’avais compris que mes péchés que je ne savais pas encore avoir été la seule façon de sauver la planète Terre m’étaient apparues comme un obstacle pour avoir le droit à la paternité et surtout soudain, avant d’avoir à découvrir toute à fait le contraire, que la dame de Strasbourg était la comme la Vierge Marie – en effet, je comprenais soudain l’horreur d’avoir été profane – mais au fil des jours qui suivirent la situation m’amena à comprendre que c’était un cas particulier canoniquement extrêmement intéressant mais d’une complexité pharaonique ou colossale qui me permettait cependant de vérifier que la Création est à la fois totalement ratée, mais aussi réussie, bien que sur les plans ratés cela soit très grave puisque cela oublie de tenir compte des principes ou des causes et donc que les conséquences se mettent mathématiquement en marche sans tenir compte du cas particulier (donc comme la loi des éboulements ou des avalanches) – d’où le sentiment que chacun s’est fait avoir, ce qui n’est pas faux de le penser et par conséquent d’un légitime rejet ou sentiment d’injustice).

[33] Donc des parmètres qui sont liés aux sciences étudiées ou écrites ou à des logiques. C’est donc en cela que l’ignorant ou la personne non instruite, non scolarisée sera défavorisée.

[34] Ce mot signifie qu’on s’est soumis aux Bonnes Pratiques commerciales, etc.

[35] de l’immensisime Charles Laughton (qui a certainement ici fait un des plus merveilleux films qui soit car cela a à voir aussi avec la psychanalyse)

[36] (pour les profanes et les laïcs qui s’appuient sur ces points précis – de ce qui est gênant - pour ne pas vouloir ni pouvoir croire – au sens des croyances religieuses - et qui croient alors être dans la vérité, en ne croyant pas, en étant athées ou bien laïcs ou profanes, parce qu’il y a effectivement de nombreux détails à contester « à première entendu » à certains moments, qui paraissent des mensonges, voire pour les esprits animés de l’esprit de contradiction des inepties)

[37] Et tandis qu’ils ont beaucoup mieux compris que peut-être celui qui fait l’homélie, il y a tous ceux qui font semblant ou ne comprennent rien autour d’eux comme parfois leurs parents ou leur frère et sœur – d’où que c’est comme si dans une classe il y avait celui qui dans une des disciplines peut passer dans le niveau suivant/supérieur mais les autres ne le pouvant pas (c’est ici l’origine même du contrôle des connaissances et de la nécessité pour l’enseignant ou celui qui fait l’homélie, car il est dépositaire des explications ou des rapports à partir d’explications à entretenir avec d’autres disciplines, d’examiner et de découvrir (assez souvent) dans les écrits que l’élève a parfois encore mieux compris que lui, ce qui réjouira l’enseignant au point de le rendre admiratif et parfois de faire état publiquement aux autres écoliers de cette lumière). Evidemment ici ce qui se passe n’est souvent même jamais su nulle part mais cela signifie pour tous les enseignants depuis toujours qu’il n’y a pas un seul des écoliers qui soit le même qu’un autre (sauf évidemment tous ceux qui font semblant ou qui trichent qui se ressemblent tous) comme il y aura aussi la solution élégante de ne jamais en faire état (pour des raisons diverses dont la prudence ou éviter à l’écolier de se faire détester par tous ceux qui trichent). Mais nous avons un esprit scientifique qui vient d’apparaître par conséquent un véritable chrétien duquel dans le futur toutes les véritables richesses en ce monde découleront.

[38] Il est évident que des personnes à qui on aura dit du mal d’une catégorie de gens seront dans la méfiance, voire ne voudront jamais que ces personnes deviennent leurs amis. Elles sont ici victime d’une généralisation au sujet d’individus qui étaient chacun différent et seulement le mot ou la catégorie en question aux heures où elles s’y consacrent ce qui signifie qu’elles sont autres aux autres heures – donc semblables à n’importe qui risquant d’être hostile ou méfiant s’il entend du mal d’une personne ou d’un groupe de personne. C’est ici le danger de la parole ou de l’écriture ou des textes non lus de bout en bout, c'est-à-dire seulement critiqués et contestés sur le point litigieux ou qui va causer problème. Tout ce qui était bon est oublié au profit de ce qui ne va toujours pas. De plus ce qui ne va pas, une fois connu risque un autre danger : de devenir un préjugé ou une généralisation alors que ce n’était que circonstanciel. On comprend que des personnes aient choisi le silence et renoncé à expliquer, puisque l’esprit de dérision, d’incrédulité et de mauvaise foi est si fort qu’il trouve toujours d’autres arguments pour contester ou se moquer ou dire du mal.

[39] En effet chacun des protagonistes est situé à une distance bien précise des autres et chacun se trouve à des déplacements particuliers. Les lieux appelés « lits » ne sont pas seulement par hasard des chambres nuptiales ou des lieux où des personnes peuvent sensuellement être contentées. Evidemment ces lieux sont en grande quantité partout au point qu’ils ne revêtent qu’un intérêt médiocre puisqu’il y a tous les autres lieux où les échanges de divers nature ont lieu. Pourtant, ce qui advient c’est qu’il y a des déplacements pour rejoindre ces lieux au point parfois que des époux éloignés en raison de ce que le mari travaille aux Etats-Unis et la femme en France font de nombreux kilomètres pour y dormir ensemble. C’est bien la preuve qu’on ne peut pas séparer des personnes qui s’aiment au point de se donner des difficultés pareilles pour se retrouver. Mais cela peut se produire aussi entre personnes non mariées : on aura la ville à traverser pour rejoindre cette personne. On comprendra ici d’avance dans un film d’anticipation qu’une personne qui a été enlevée par une soucoupe volante dans une époque ancienne et qui vit dans l’an 3553 après Jésus-Christ soit malheureuse sans sa famille et ses amis. En effet, tout y est d’avance différent là-bas. C’est ce qu’on pourra aisément comprendre de cette notion d’après la mort – un lieu qu’on rejoint où tout est différent de celui qu’on a quitté. C’est peut-être dans trois cent années comme dans cinquante ou des milliers, mais c’est alors un lieu où tout est à recommencer à zéro car très certainement il y a des imposteurs, des usurpateurs, des tricheurs et/mais quelques personnes admirables ayant laissé des preuves que la Vérité a été connue et que le projet est toujours le même – il y aura aussi des croyances dont les gens ont hérité et qui sont peut-être ou sûrement incomprises, il y a aussi toutes les solutions élégantes qui manquent et c’est pourquoi il n’y aura de refuge que dans la réalisation d’œuvres d’art, car il n’y a que l’aArt qui fasse l’unanimité, au-dessus des religions en raison qu’il y a avec son aspect sensuel la beauté la bonté et le bien qui ont été à son origine. En fait comme la vision d’Atlantide qui en ayant disparu a fait de ceux qui ont hérité de la culpabilité de ce fait (ou de l’accès au variateur) des méchants, soit forcément puisque la Création est bonne sur tant de points, des contre-productifs ou des personnes hostiles à leurs ontologiques intérêts donc de devenus totalement faux sans plus même s’en rendre compte. Pour cela ils se sont abandonné à l’irresponsabilité qu’ils n’ont pu obtenir qu’en raison de la sécurité des cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch au lieu de comprendre en quoi l’acquisition de CFP (donc des véritables sommes de financements méritées) pouvait faire d’eux des personnes conscientes ou capables de comprendre tous les mécanismes économiques liés aux économies de marché. Les voilà donc à dépenser ou à acheter sans avoir en rien mérité aucune des choses acquises. Ils sont donc comme des morts à la compréhension des nécessités pour que la vie perdure. En effet, assurés de tant de crédits financiers, ils n’ont que projets d’amusement, insouciance ou même de s’abandonner à l’inconscience. Aussi ils vont appartenir aux chiffres qui d’avance sont sur ce point à concerner tout le monde, les gens qui comprennent comme ceux qui ne comprennent que peu : des consommateurs (mais faussaires dans leur cas – sauf aux moments où ils comprennent et méritent alors déjà plus ce qu’ils consomment).

[40] Evidemment ils n’en sont pas du tout et ne savent que par ouïe dire ce que cela peut être. Ils en sont la caricature, sauf ce qui le seraient ou chercheraient à le devenir vraiment (ce qui signifie devoir se débarrasser du faune, du satyre et du centaure : un si long travail qui impliquera de n’accepter que des revenus proprement établis et de refuser tous les faux ou nocifs pour la santé de l’esprit – en sachant que celui qui pensera à vous rémunérer des très véritables est en train de perdre du temps et des revenus pour vous amener à devenir méritant ou vous soigner – c’est en cela que chacun des états qui se sont pourvus d’une monnaie avait ce dessein admirable qui a contraint ceux qui ont dépensé ces monnaies ou ces billets à devoir défendre par les armes le Trésor, puisqu’il peut offrir un crédit à des personnes devenues compétentes, donc un pouvoir d’achat mérité).

[41] Ce que j’avais déjà fait entre ma naissance et 1965 comme entre 1965 et 1975, mais personne n’en savait rien et c’était trop compliqué à expliquer (j’avais douze ans et de plus j’avais la Dictée Pharaonique à prendre en notes qui ne me permettait pas de trouver du temps pour tout ce qui, en réalité avait ma préférence : la pensée exacte – en effet chaque jours après les heures d’inscription j’étais exténué (écrire à la main c’est fatiguant – cela peut paraître un travail « manuel », mais cela est considéré plus justement un travail d’intellectuel – c’est ce qui permet de différencier la main d’œuvre des personnes ayant à la gérer) – aussi mes découvertes devaient demeurer mise de côté dans mon cerveau et c’est pourquoi j’ai vraiment beaucoup redouté l’amnésie que j’aurais à devoir m’infliger : en effet, j’allais devoir perdre pour / durant les démonstrations à venir (que tous m’imposaient en me contraignant à perdre mes enfants et à me séparer de ma promise) les milliards et plus encore de bibliothèque de savoirs et de connaissances exactes au moins aussi grandes chacune que celle de la Bibliothèque F. M. toutes remplies de disque durs de très grande capacité, ce que je fis cependant construire dans l’optique de faire comprendre un jour ce qu’est le cerveau de n’importe lequel des enfants à/dès la naissance. Enfant qui n’est pas particulièrement à une catégorie plutôt qu’à une autre, mais dont ces abrutis, parce qu’ils ont cru qu’ils appartenaient à une de ces catégories (ce qui n’est pas même concevable pour les parents qui l’affirmeront puisqu’ils appartiennent à toutes ou en tout cas à celles qui permettront de sauvegarder ce qu’il y a d’humain au bon sens de ce mot – c'est-à-dire se refusant à involuer ou à régresser à des comportements de misérable ou de thénardiers raquetteurs) qui défilent en ces ignorants de toujours (au mauvais sens de ce mot) qu’ils étaient/sont devenus puisque des mots ils n’en voyaient plus rien que du faux ou comme chacun d’eux fermés à l’ouverture de l’esprit (leur esprit, à cause de la situation général, s’étant refermé, comme un escargot qui ne voudrait jamais plus sortir de sa coquille ou une tortue barricadée à l’intérieur d’elle-même, donc prisonnière d’elle-même et ne comprenant pas qu’il y a bien qu’à sa vitesse de vastes territoires à explorer qui se mueront en souvenirs ou en référents, donc en connaissances et en savoir : de « substantifiques sèves ») ou alors sans les relations invisibles qu’il entretien avec tous les autres ou toutes les autres expressions par conséquent en proposant des résultats dans chacun des cas et cru pouvoir se moquer ou espionner ou persécuter ou contraindre à faire du sport, alors que seulement des têtes pensantes et uniquement des créateurs géniaux à chacune des fractions de seconde (établissement comme en musique des savantes constructions), comme chacun de ces ingénieurs déportés en camp de concentration par, au contraire, des personnes qui n’auraient pu tout au plus être que de la main d’œuvre en raison de ce qu’elles sont devenues aussi faussaire et aussi nulles à cause de ce qu’elles n’ont plus qu’ineptie entre elles devenues semblables au lieu de chacune totalement ce qu’elle était différente et cela dans les pseudo et soi-disant échanges intellectuels entre eux (risibles et prétextes à tromperies de leurs étudiants – donc d’eux-mêmes car de faux maîtres ou de faux pères ou de fausses mères) – soit uniquement et seulement des devenus ignorants, au mauvais sens de ce mot ou des prétentieux, ne comprenant pas ce qu’est même un point posé par à l’inverse d’eux des individus conscients par exemple en géométrie sur un plan ou même seulement comme cela : – ce que cela signifie comme exigence de visualisation et comme clarté d’esprit (que la raison de deux au lieu d’un) puisque c’est comme créer quand ils vont concourir à créer des représentations signifiantes des images de synthèse à l’intérieur de sa tête et devoir trouver un moyen de les traduire exactement à l’extérieur ou seulement approximativement – donc de sortir ces points ou ces lignes d’un lieu (la tête) capable de concevoir et de créer des signes qui se référeront à ce qui est parfois aussi complexe que toute une automobile ou une fusée dans les détails techniques et technologiques – à croire que ces sombres individus quand ils lisent une phrase ne sont plus capables d’imaginer de quelle automobile de quelle fusée visualisée par l’écrivain avec l’ensemble des détails il se référait – le voilà comme Jules Verne à devoir faire des efforts pédagogiques extrêmement complexes pour grâce à des descriptions réussir à permettre la transmission de cette visualisation qui s’était produite en lui au lecteur – preuve est qu’il s’agit avec l’écriture d’une émission et que le lecteur est un récepteur qui possède un décodeur qui n’a pu se constituer que grâce aux années de scolarité judicieusement et scrupuleusement suivies – aussi on pourrait aller jusqu’à dire que l’Ecole/l’Université (etc.) permet de mettre en fonction un décodeur qui préexistait et qui s’adapte à chacune des langues – parfois ce décodeur n’existait plus localement (ou même personne ne savait qu’il existait) ou ne fonctionnait plus au point que plus rien n’est compréhensible – l’école ou les travaux manuels vont permettre à cause des efforts de faire fonctionner de nouveau ce décodeur (qui était hors circuit) qui permet alors l’analyse sur d’autres niveaux de lecture jusqu’à comprendre le sens du point en tant que possible représentation d’une étoile dans le ciel reportée sur du papier ou comme sur certaines mappe-monde spécialisées des époques de la Renaissance (conservées au Palais des Rohan à Strasbourg, par exemple) – il y a donc eu report et il y a notion de plan – ce qui est inscrit signifie réellement une vérité cosmique : on retrouvera effectivement l’étoile dans le ciel à cette place (c’est une observation) – en réalité l’expression « cette place » est un raccourci pour signifier qu’elle y est inscrite comme en miroir de la réalité reportée sur le plan – la place est donc à la fois dans le ciel, le sujet de la représentation et dans la représentation qui est la vérité relative ou le référant souvent plus accessible que la réalité : en effet, parfois il s’agit de configurations stellaires qui sont dans l’autre hémisphère. En sortant de chez soi en France, on n’aura pas ce spectacle dans le ciel mais un autre. Aussi on peut imaginer ou le reconstituer à partir de relevés – l’écriture, comme le dessin n’existaient donc, comme la musique que pour faire part de la vérité – ceux qui utilisent ces moyens pour tricher comme d’autres instruments sont donc hors-les-lois cosmiques universelles) d’autant que cela avait été une vérification cosmique et universelle sans un électron d’erreur au sujet de cette vérité relative mais qui est aussi véritable autrement : en absolu, dès qu’on tient compte de la vérité relative.

[42] Mais le faussaire prétendra que c’est grâce à lui qui a été client et qui a payé. En vérité, il dérobait au moins deux fois la personne à qui il a laissé la somme de fausse monnaie et une autre fois la personne pour qui l’objet était destiné et qui devait l’apprécier à sa juste valeur comme constater qu’il avait reçu beaucoup plus que ce qu’il a dépensé. En effet, s’il est honnête, il comprendra qu’il n’aurait jamais réussi à proposer l’objet, sommes toutes, à ce prix (ne serait-ce qu’une bouteille de Coca-Cola). Aussi ce n’est qu’en raison de sciences exactes qu’un tel miracle est possible. Bien sûr, elles bénéficient des millénaires d’expériences durant lesquels les gens se sont habitués à commercer aussi intelligemment car l’objectif était de rendre honnêtes des personnes malhonnêtes ou que chacune parviennent, en aidant, à comprendre les lois et les sciences véritables. Evidemment, les prix auraient été bien plus bas ou même nuls, s’il n’y avait pas eu ceux qui ont voulu révéler qu’ils étaient des malhonnêtes et des tricheurs chacun nominativement (avec leur famille) à la Communauté Internationale et aux générations futures.

[43]  http://fr.wiktionary.org/wiki/m%C3%A9tissage

[44] http://fr.wiktionary.org/wiki/race#ref-1

[45] (je conseille ici d’aller voir les différentes définitions concernant le mot de « race » d’autant plus qu’il y a celle qui est l’origine du racisme, car les personnes qui y croiront, sans connaître les différents sens du mot de « race » vont donc oublier de comprendre que chacun d’entre eux est représentatif de l’une des premières définitions du mot de « race », inscrite ci-dessus, donc oublie que chacun de nous, appartenant à une famille différente, est en lui-même une race différente. S’ils avaient compris cela ils auraient compris qu’ils étaient obligé de respecter chacune des autres familles comme la leur)

[46] donc des « voleurs » à la Arsène Lupin !

[47] Or pour avoir n’importe quelle race il a fallu au départ un mélange, un métissage.

[48] Gustave Aimard, dans les Trappeurs de l’Arkansas (1858)

[49] Ici cela pose un problème financier, car ces enfants travaillent dans l’Intérêt Général et donc mériteraient des rétributions particulières qui devraient assurer leur autonomie ou indépendance. En effet, se sont des enfants qui en cinq minutes ont compris la logique de chacune des choses, comme par exemple la cuisine, ou d’autres mots. Ils sont déjà des enseignants (par exemple pour leurs frères et sœur).

[50] En effet, cela exigera au préalable d’avoir acquis cette conscience pour le déterminer, comme quand en faisant une route on comprend qu’il vaudrait mieux mettre un panneau pour avertir d’un virage cent cinquante mètres avant, ce qui est finalement une sorte de règle puisqu’on en a généralisé la solution élégante, quand cette idée est venue à un endroit précis au sein d’une famille précise qui a compris l’intérêt pour l’Ensemble de bénéficier de ce qui n’avait surgi qu’à l’occasion d’un danger. Aussi la censure n’est que dans l’intérêt de prévenir d’un danger parce qu’on appartient à ceux qui conscients, savent d’avance le danger que sinon les autres risqueraient de vivre. C’est donc un acte généreux ou de précaution et qui a requis des investissements ou l’idée du cas particulier qui pourrait être néfaste. D’où que cela se situe dans l’univers des lois retrouvées et donc de ce qu’on appelle le canonique ou ce qu’il convient de s’interdire. Evidemment cela va créer des certitudes qui sont peut-être dangereuses puisque la transgression est en elle-même possible. Mais retirez tous les panneaux avertissant d’un virage et vous verrez que les statistiques des accidents augmentent en proportion. Pourtant vous pourrez affirmer sans mentir dans une ou l’autre situation que le panneau ne sert à rien et même entendre que c’était une dépense inutile. Cela est donc ici sur un autre plan qui pourrait être subjectif s’il n’était pas objectif dans le cas où effectivement le virage se voit d’avance à des kilomètres ou même dès cinq cent mètres. Mais aviez-vous pensé au paramètre de la route avec du brouillard épais ? C’est donc le paramètre en moins ou dont on est dans l’ignorance qui modifie le comportement d’une personne qui va donc être dans l’erreur pour toutes celles qui l’ont en mémoire. Et si une personne ignore le contenu de ce que représentent les religions comme avancées pour ne retenir que les moments qui ne sont pas à leur honneur, le voilà tricheur et l’ennemi des conservateurs de celles-ci. D’où que celui qui voudra faire accomplir des progrès ne peut pas tirer un trait (faire table rase du passé) sur ce qui n’a produit en définitive que de l’admirable. Ce n’est que toujours à partir de ce qui est une conséquence admirable qu’on peut faire encore mieux. C’est ainsi que la religion musulmane étant issue de la religion chrétienne et juive est admirable. Elle le sera d’autant plus qu’elle voudra prendre en compte les enseignements bouddhiques, comme les deux autres. Il y a donc des métissages intérreligieux qui relevant des meilleures influences vont permettre de constituer une ratatouille délicieuse puisque la fin est de nourrir l’âme pour lui éviter de devenir égoïste ou celle d’un enfant-gâté adolescent uniqmement laïc, profane, sacrilège, athée et en définitive ignorant, au mauvais sens de ce mot au lieu du contraire.

[51] On y trouve aussi le mot de « pécule » qu’on a utilisé pour « pécule d’insertion » - et on peut y voir le son « pai » : en effet, il a été longtemps question d’acheter la « paix ». Pour que celle-ci advienne, il faut se rencontrer à un croisement ce qui induit ce « x » (chacune des parties de cette lettre étant le miroir de l'autre, donc fondant la paix sur la Justice) à « pai » utiliser par exemple pour « paître » (des moutons paissaient – pascolare en italien – cela a donc à voir avec Pasqua, la paix – Pâcques de la parole est, paraît-il, un titre d’un livre – ce qui signifie que ce « paî » est devenu « pas » en Italie ou l’inverse plutôt – on emploi le mot de « passo » en italien pour signifier un « pas » dans le sens aussi de frontière (un lieu de paix, quand il ne devient pas le point de départ du contraire, d’un litige, par exemple : l’autre, sans demander la permission ou sans frapper est entré dans la chambre – pourtant, il y a bien la trace d’une porte, d’un passage, d’un seuil – le voilà à l’ignorer et à ne pas comprendre qu’il a dérangé – il ne s’est pas annoncé non plus, etc. tous les paramètres seront alors bon pour analyser ce qui s’est passé et déterminer de quel niveau ou degré (de conscience) appartient l’individu) de passage et on comprend qu’il s’agit d’une difficulté peut-être pour atteindre ou marcher vers la Paix. Un pas de [pour la] paix, n’est pas un pas de guerriers) ou d’avoir de la religion chrétienne le plus infini des respects. Autre occurrence de « pec » dans le mot « respect » qui surgit d’elle-même [ou tombe à « pic » !] et qu’on retrouve dans le mot de pecora dans l’expression pecora smarrita. « Brebis perdue » ou berger un pecoraro. On comprend que sans le travail de l’élevage des brebis et des vaches, il n’y a pas de paix. C’est le cheptel qui va, grâce aux cow boy, permettre à la paix d’advenir (il a un métier de travailleur manuel en plein air, ce qui ne l’empêchera pas de lire comme maints bergers). On compte et « spécule » comme des personnes qui feront des projets en fonction des paies (les paiements reçus) et donc des économies qu’on aurait pu écrire péconomie, s’il n’y avait pas ici une autre règle qu’on a trouvé meilleure d’appliquer pour nous délivrer de ce « p », d’autant que la racine ne vient pas de ce mot « pec » qui est en commun avec le mot de peccato en italien, donc de « péché » dans lequel on retrouve ce « pec » qui souligne qu’il y a risque de péché à spéculer malhonnêtement au lieu au contraire de justement. Sans économie point de paix (pékaïre ! en langue poc ! pardon, d’Oc – soit d’oie car oca en italien signifie « oie » donc signifie qu’il s’agit d’un pays de fermes ou de paysans élevant poules et oies, un pays de paix – d’où qu’on boive du Coca cola, une boisson qu’on partage comme des personnes civilisées, étant des paysan ou d’anciens paysans). Par conséquent sans la maîtrise de la question financière point de paix avec ces enfants qui seront continuellement à avoir des besoins. Des fiançailles ne peuvent donc advenir ou être confirmée qu’uniquement quand la question financière est résolue ou en voie de l’être pour le garçon comme pour la jeune fille. Evidemment ce « pai » est en passant la Manche devenu « pea » qui se prononce « pi ». Aussi le « a » de « pai » a en réalité disparu mais pour des raisons locale ce « i » c’est écrit « ea » qu’on retrouve dans « tea » qui s’écrit ‘thé’ en français. Aussi de « poc » à « d’oc » il y a un monde sonore et le sens qui ira avec en fonction de l’histoire de l’évolution de la langue locale en interaction avec d’autres paramètres puisqu’en soi-même à première vue « oc » ne signifie rien – il faut donc rejoindre la logique inhérente à une langue ou d’un dialecte pour comprendre ce qui a bien pu se passer ou comme ici savoir qu’il s’agit d’une abréviation d’« occitan », soit le pays où on tue les oies. (le pays des pâtés de foie gras). La lettre « c » est donc en français sicaire, coupante à cause du « c » qui ressemble à la faucille actuelle. La question financière est une question coupante ou blessante – ce « c » est dans le mot de « finance », mais les fiançailles grâce à la cédille arrangent les choses. On ne dira pas les fiancailles mais les fiançailles – ce qui vaut mieux car sinon cela signifie qu’elle ne sont pas encore advenue. Cette cédille est justement un petit « c » à l’envers qui est comme la dérive d’un futur landau qu’on peut apercevoir dans de « c » au point avec ce minuscule « c » à l’envers placé au-dessous d’interroger sur la notion d’anneau. Est-ce que cette cédille ne va pas permettre de clore le « c » de façon à ce qu’il devienne un « o ». : fianoailles. Ici nous comprenons sur un autre plan que la famille Noailles et Jean Cocteau étaient prédestinés à se rencontrer pour la Belle et la bête. Il s’agit d’un projet de fiançailles avec ce conte et le mot de « fi » engage la « foi », donc la confiance.

[52] « Sono nel tuo specchio … royauté ou lac ? ». Cf Autoromante de LFG.

[53] C’est parce que vous n’avez jamais accordé la moindre vérité à ceux qui affirment ou qui chantent que « rien n’est réel ici bas » que vous avez eu une chance de survivre en ce monde et de devenir un honnête-homme. Heureusement, ils le disent dans une autre langue qu’on ne peut que comprendre qu’une fois qu’on aura comprise en vérité la nôtre et qui, sous forme de sons, ne représente aucun danger, sauf pour ceux qui y prêteront foi et si c’est vrai pour eux (qui en deviennent inscensés à vos yeux les mieux scenscés), cela signifie qu’ils n’accordent pas le même sens aux mots que la réalité propose (qu’ils n’ont pas adopté nos codes, donc qu’ils n’ont pas compris comme nous, qui sommes confrontés aux impératifs que cette réalité commande/ordonne (en réalité des conséquences (comme pour un musicien qui doit entrer en scène d’y trouver son clavier ou sa guitare, ce qui signifie de prévoir qu’ils y soient au moment antérieur, comme le micro, etc. – si ce ne sont pas ici des éléments très rééls auxquels seront soumis chacun des organisateurs, comment voulez-vous les appeler ? Ce n’est en tout cas pas « rien » (même si vous pourrez dire « c’est rien » cette peine de les y avoir placé – ce que si vous n’entendrez pas, alors, comme une peine dont vous seriez redevable à celui qui l’a prise. Cela signifie qu’il est probable que vous êtes un enfant-gâté ou que celui qui affirme que « ce n’est rien » est un dieu qui vous aide de tout son cœur puisqu’il affirme aussi que vous ne lui devez « rien ») puisqu’il a fallu faire l’ensemble des démarches pour qu’ils soient ponctuels à l’heure sur scène, et sans l’aide des CFP comment y parvenir – Bénévolement ? Cela n’est possible que pour des spectacles de débutants ou d’adolescents assurés d’avoir un lieu chez leurs parent pour dormir et y manger et qui peuvent ici s’investir dans un projet formateur. Mais si vous voulez persévérer dans cette profession, vous aurez à apprendre à facturer et à tout compter et prévoir d’avance, comme à trouver ces budgets ainsi que tous les autres dont vous aurez besoin pour chacune des autres charges ou responsabilité que vous avez contracté. Si vous ne disposez pas de ces moyens financiers, vous ne pouvez vous engagez qu’en raison que vous avez obtenu l’assurance d’en disposer ou que vous savez qu’on vous doit des CFP : de l’argent), à partir de paramètres bien/très rééls (chiffrés en sommes à débourser gagnées/obtenues légitimement) et qui parce qu’ils furent des faits très exacts enregistrés sont incontestables, comme référents (ce n’est pas rien un référent), ce qui permettra de déduire les conséquences d’avance, pour les meilleurs – donc de prévoir), où qu’ils sont à utiliser des moyens ou des drogues ou une technologie qui n’a rien de commun avec celle dont nous sommes tous les victimes ou les usufruitiers (car ce n’est pas seulement négatif car cela a mis des millénaires à être une solutions élégantes qui fonctionne bien, au point d’avoir plus récemment permis de créer les distributeurs de billets de banques nationales qui sont en réalité chacune internationales, car chacune reconnue par l’ensemble des autres – ce qui a nécessité des garanties et des certitudes que celles-ci soient à pratiquer les Bonnes Pratiques – donc soumises aux mêmes règles, lois, usages) d’une façon scolaire et scientifique à nôtre époque qui nous contraint à/de nous heurter aux souvent ou parfois (plus ou moins, c’est selon le cas particulier) dures réalités des matières premières pour réaliser ce qu’ils croient (en véritables fous) ne pas être réel, puisqu’ils en nient l’existence (ce qui est donc à première vue l’affirmer en salvatrice anti-thèse, ce qu’ils ont cru à tort de celle qu’ils ont décrété en ignorants au mauvais sens de ce mot qui n’ont pas cherché à comprendre ce qu’elles avaient de bon, contre ceux, qui ont les pieds sur terre : réalistes). Ils mentent donc pour tous ceux qui sont à savoir que la vie (ce qui est une sous-partie de ce « réel » à moins que cela soit le contraire, ce qui rend synonyme de chacun de ces points de cette espèce de début de poupée gigogne symétrique qu’on pourrait y avoir entrevu pour ce début de plan qui est avec au moins autant de mots que tous ceux qui existent pour nous interroger sur ce mystère ou alors le contraire s’il a été en partie dévoilé) contraint de savoir compter dans les sciences les moins élémentaires ou les plus ardues.

En fait, il s’agit de personne ayant perdu la tête ou devenue inconscientes et qui parlent en irresponsables, si elles devaient être au courant que ceux auxquelles elles s’adressent ne sont nullement au courant de cette technologie dont ils disposeraient rendant cette réalité du « rien ».

Cette absurdité de laquelle on ne sait comment ils sont convaincus comme d’un nouveau préjugé aussi néfaste que tous les autres qu’ils ont acquis par des fréquentations du même genre est le signe, pour ceux qui sont au contraire réalistes (comme n’importe lequel des grands chef d’orchestre qui sont aussi d’autres mots très vrais), c'est-à-dire conscients que la situation est d’une gravité extrême et cela rejoint l’idée qu’ils auraient que les gens qui les entourent, « c’est du cinéma », au mauvais sens que ce mot a longtemps signifié, mais qui signifie aussi, on le sait, « cinéma du réel » (ce qui n’est pas une escroquerie de langage en déplaise à Jean Rouch qui en était persuadé, bien que le premier bénéficiaire y compris en terme de subvention pour l’aspect de la sous-partie (une autre, décidemment la vie est plus que trois lettres) plus ethnographique (cela peut-être parce que ces films appartiennent aussi à d’autres catégories, comme chacune des images qui sera l’objet d’une description détaillée, mais cela n’empêche pas de proposer globalement cette notion qui, bien que réductrice, est une indication pour ouvrir sur tout ce qui concerne la réalité – ce qui n’est pas peu : d’où que d’autres catégories ou mots qui concernent d’autres genres de films pourront y être présentés et qu’elle pourrait déborder sur ces autres notions avec des risques de tromper le spectateur si les quantités de films proposés dans les sous-catégories ne sont pas justes ou équilibrées, comme l’admirable Françoise Foucault veilla à respecter des cotas admissibles et en proportion avec ce que représentent ces autres mots par rapport à toutes les catégories les plus dangereuses qui concernent aussi cette « réalité » qui est aussi synonyme de Vie – c’est ici qu’intervient le génie du programmateur et son sens de l’équité et qu’on le laisse libre de ces choix en fonction de ce dont il dispose (ce qui signifie matériellement et financièrement mais aussi autrement, sur les autres plans – par conséquent de préparation intellectuelle – si c’est un imbécile le résultat sera minable tandis que sinon il sera de qualité comme a bien des reprises pour ses « bilans ») – il peut aussi porter l’accent au fil des festivals sur une sous-partie beaucoup plus explorée ou représentée que toutes les autres ou alors moins encore inconnue ou peu connue ainsi – on découvre alors que le mot de « réel » est immense et qu’il s’ouvre à l’infini, donc qu’on ne peut pas le considérer comme un mensonge ou du « rien », puisqu’il y a eu de vivantes et souffrantes tout ce qui advînt dans chacune des images – ce n’est pas « rien » du point de vue de ceux qui furent malmenés ou maltraités et partout cela signale qu’il y a des dommages et des dédommagements à payer par ceux qui ont cru pouvoir maltraiter leur prochain ou ceux qui ne sont que très fraternels, de cette façon parfois pire que brutale que seuls les plus ignorants, au mauvais sens de ce mot ont en commun car n’ayant jamais d’un tantinet songé qu’ils pouvaient être l’autre ou celui qui recevra les coups – c’est ici la très grossière erreur du mal élevé, du profane et donc de l’égoïste, par conséquent du fou – c'est-à-dire celui qui ne se rend pas compte de ce qu’il fait en raison de ce qu’il a pris des mauvaises habitudes et que personne n’a porté l’attention sur le fait qu’elles l’étaient et si cela a été, ces habitudes étant depuis trop longtemps prises, la personne n’arrive pas à s’en défaire comme certains fumeurs de cigarette qui savent que c’est mauvais pour la santé mais qui n’arrivent pas à se passer de cigarette – la mauvaise habitude est donc contractée y compris pour penser d’une façon erronée ce qui aura comme conséquence, en raison de cette loi incontestable sans un photon possible d'erreur dans tous les temps pour diverses raisons très longues dont celle de la loi de l’impermanence qui n’est pas « rien » puisqu’il y a eu des actes qui furent rescencés ou enregistrés – donc permanents bien que n’étant plus, ce qui signifie qu’ils ont été une réalité avec ce que cela va provoquer si cette réalité n’est pas bien expliquée ou comprise exactement – d’où les conséquences qui peuvent par ailleurs aboutir à des réincarnations plus ou moins néfastes ou positives – la réincarnation est un des effets de la loi des conséquences), ce qui sont des preuves que ces moments furent très véritables, comme pour chacun des produits dont nous avons besoin quotidiennement : il s’agit de sommes et il a fallu, en raison qu’il s’agit de réalités, songer à tout, en amont, pour que ce moment advienne. D’entendre un jeune affirmer qu’il n’y a en définitive « rien » est très inquiétant (même si cela devait être vrai malgré la mémoire ou les traces, en raison d’une chose dont l’auditeur ne serait pas au courant et que celui-là serait l’un des seuls à savoir, sans avoir songé à l’expliquer, car évidemment s’il démontre qu’il n’y a « rien », alors que nous avons en mémoire chacune des secondes de nôtre propre existence et que cela constitue des millions ou encore plus à l’infini de bibliothèques et de vidéothèques avec tout ce que recèle chacun des points de celles-ci comme virtuel (possible) – ce qui est une richesse et non 'rien' puisque nous n’avons pas seulement rêvé, je suis prêt à renoncer à mes recherches qui pourtant ne font que nous conduire à confirmer qu’il n’y a qu’infiniment et qu’il est probable que ce tout, mais peut-être ce 'rien', est à explorer, analyser, comprendre, etc, mais aussi que chaque chose qui ne sont pas « rien » n’avait surtout comme fin ou comme objectif que de réussir à le soigner de cette idée fausse (si seulement celle-là à propos de la réalité) et à laquelle il s’accroche comme un perroquet  fou comme d’autres qui affirment en leitmotiv qui finissent par être drôles en raison du comique de répétition bien que sans aucune innovation dans un principe généralisant qui ne tient pas compte de la mise à jour que la notion de zoom induisait : « que c’est l’enfer » – cela n’est pas vrai seulement, puisque le Paradis / Ôz / Eldorado / Atlantide / Arcadie / etc. existe après le Purgatoire – Il faudra peut-être, pour les atteindre que vous ayez à explorer de nombreux autres mots ou points qui induiront, si vous les comprenez exactement, des actes, des décisions, des écrits, des contrats, etc. puisque nous avons pu vérifier que ce sont les points qui forment les pixels des lettres de l’alphabet servant à divers possibles – il y a déjà ces mots et tout ce qu’ils représentent de vrai, grâce à ces points qui selon des formes précises ont permis de les créer comme autrefois des lignes d’encre (elles étaient donc constituées autrement vues de points qui sont chacun comptés – en raison de la loi de la quantité, comme ces points ne sont pas rares, à cause de celle-ci, mais aussi de ceux qui comme moi ont veillé à ce qu’il y ait des barrages sur les fleuves pour l’électricité ou d’autres sources d’approvisionnement, les voilà à pratiquement ne rien du tout coûter ou presque à celui qui travaille tout de suite et toujours comme dans une version « au propre », avec ces caractères d’imprimerie, alors qu’autrefois cela coûtait beaucoup plus pour en disposer sur le papier et n’était donc réservé qu’aux seuls immensément riches financièrement parlant – aussi on me devra sur le long terme ces gains (très immenssissimissimes et je minimise) que je fis faire) – vous ne pouvez pas dire qu’il y a « rien » quand le métro arrive et que vous trouverez un siège dans le wagon – et si vous êtes sûr de cela, vous ne pouvez que devoir respecter tous ceux qui sont dans des certitudes bien différentes et qui vous respecteront à penser qu’il n’y a rien, tant que vous n’en deviendrez pas plus nuisible, car si vous cherchez à en convaincre tous ceux qui ont le droit de croire au contraire que chacun des mots est vrai et qu’ils signifient ou induisent des comportements qui ne sont pas du « rien » (puisqu’ils donnent la possibilité, entre autre de construire) d’autant qu’ils peuvent être enregistrés, il est probable que cela finisse mal, comme cela finira pour un menteur ou une personne qui a voulu se convaincre d’une seule et unique choses (qui de plus est douteuse) – on vous proposera de vous égorger, puisque vous affirmez qu’il n’y a « rien » et donc que vous n’existez pas, par conséquent que vous n’êtes pas une perte (à moins que pour l’instant vous ne vous exprimiez que maladroitement et qu’on ne parvienne pas à vous comprendre dans ce que vous entendiez ou compreniez par ce « rien » qui en ayant été dit à ce moment-là du point de vue de l’auditeur traumatisé, par un cauchemar ou par un rêve, ne peut l’accepter, sans songer que vous êtes un menteur – un « traumatisme » ce n’est pas « rien » et rien non plus ce n’est pas « rien » au risque de devoir marcher dans le territoir / univers / monde / création Devosien[ne]) – vous verrez alors votre réaction et vous découvrirez que si vous êtes cohérent vous devez accepter qu’on vous enthanasie, puisque cela ne vous fait ni chaud ni froid : « rien » (Deux fois ? Ou plus ? [A peut-être à] deux voix ?), c’est « rien » donc, ni chaud ni froid (?): on va donc vous brûler (mais pas une brûlure pour vous faire plaisir car nous vous savons fou/folle) et on vous prévient d’avance que vous aurez la réaction de dire « aïe » - vous voyez bien qu’il y a « aïe » et pas « rien » et vous voyez bien que vous avez mal (que vous nous faîtes perdre du temps sur des dossiers prioritaires [dont vous pouviez bénéficier] en raison de ces traumatismes que vous infligez en égoïstes et en oubliant que l’autre pourrait en avoir des séquelles – ce n’est pas « rien » des séquelles – il y en a de toutes les sortes, ce qui est synonyme de catégories) et vous en conviendrez en comprenant qu’il y a la peau et les nerfs et que ce n’est pas « rien » ce système nerveux et que c’est grâce à lui que vous ressentez la douleur ou le plaisir (voyez et lisez les encyclopédie de Médecine, vous serez informé et comprendrez mieux : ce n’est pas « rien » un « nerf », bien qu’il soit probable que dans une situation de dissection à laquelle vous aurez assisté comme,  par exemple, dans le film des Deux Fragonard, vous entendrez celui qui futur chirurgien opère dire en rencontrant une difficulté ou en comprenant « rien, c’est un nerf », mais il s’agira d’un cas particulier (acoustiquement à dire avec le ton qu’il faudra et qui différera de plus haut car la situation est totalement différente, nous sommes dans un autre cas particulier) ou d’une situation bien précise ou ce « rien » convient d’être dit sur le sujet de ce nerf bien précis et qui fut une réalité mémorisée par l’ensemble des assistants, mais aussi par l’invisible, dans un temps précis concernant une géolocalisation précise sur cette planète de ce système solaire précis, ce qui n’est pas « rien » (et qui induit qu’on devrait pouvoir l’atteindre ou revenir en arrière jusqu’à avant ce point en raison de la loi des rewind sur les magnétoscopes ou sur les DVD ou sur les appareils à cassettes ou autres matériel Hi-Fi ou caméscope – ce qui signifie que cela devrait être possible y compris pour les souvenirs qui étant d’anciennes réalités mémorisées peuvent donc être transposés ou transférés par exemple sur des disques durs avec l’ensemble de cette réalité qui offrira comme une maquette la possibilité de penser ou de réfléchir grâce à l’analyse pour comprendre ce que cela pourrait induire ou permettre sur divers plans y compris celui de la guérison de la psychée : prise de conscience qu’un moment ancien bien précis (ce qui sera donc la cause du malentendu ou l’origine de ce que vous n’alliez plus bien) a été la cause d’une dérive ayant mené l’individu à ne plus se conduire que comme une parodie d’être humain et non comme les autres ou ceux qui ont mieux tourné : en chercheur de vérité, ce qui est sa fondamentale et ontologique caractéristique – car sinon comment expliquer de Très Véritables aArchitectes, de Très Véritables pPeintres, de Très Véritables cCompositeurs, de Très Véritables dDanseurs, de Très Véritables éEcrivains, de Très Véritables … = etc.) - d’autres diront même le contraire car ils ont ici l’esprit de contradiction enfin dans le bon sens ou juste ou fertile ou véritable : « c’est beaucoup », ce qui pourra se dire sur le plan sonore par le contraire, mais en comprenant que cela signifiait « beaucoup » et non ce « rien » qui acoustiquement a signifié « rien » et non « tout »), l’un comme l’autre ne sont pas « rien » et vous découvrirez qu’ils sont en liaison avec des milliards de milliards de milliards et à l’infini de dossier et de secondes qui ne sont pas « rien(es) » [même si cela ne s’accorde pas, un adverbe, car il ne fallait pas risquer de confondre accoustiquement ce mot avec « reine », même s’il était tentant en poésie de le lui faire rimer, ce qui était bien juste comme vérité relative grammaticale et/ou excuse pendant des siècles, y compris pour faciliter l’apprentissage au sujet de l’adverbe] puisqu’elles ont été et se sont transmuées en « mémoire » - vous comprendrez que celui qui s’est permis de dire cela a été mal élevé et/ou qu’il a été étudier des sornettes qui l’ont rendu insensible à ce qui est scensé, juste et vrai et donc que vous êtes dans le faux à prendre le « rien » à cette occasion là pour vrai et par conséquent si cela avait été le cas vous représenterez comme celui qui vous induisez en erreur un danger pour l’Ensemble, au point que tous pourraient avoir le droit de vous enfermer, tant que vous ne redeviendrez pas plus scensé (vous le savez cela se termine toujours mal pour celui qui affirme n’importe quoi ou ce qu’il a entendu sans avoir tout compris, comme Arlequin). Vous ne songez pas aux conséquences de ces affirmations : il suffit que des personnes aussi perdues que vous les croient pour que cela devienne encore plus grave pour l’Ensemble, donc pour vous, et nous pouvons vous affirmer qu’il n’y a pas un seul instant où vous n’êtes pas examiné – donc qu’il n’y a pas « rien » puisqu’examiné ! La preuve par ce texte lui-même comme par tous les autres ou par toutes les représentations qui devraient normalement permettre que vous en reconnaissiez au moins une : c’est « rien » la représentation d’une corbeille de fruit ou celle d’une tête de cochon dessinée à l’encre de Chine devant une taverne qui l’a propose à déjeuner (est-ce que la fortune entière de l’aubergiste ne sera pas entièrement dûe à celui qui présenta aussi aimablement, ce qui n’est pas, à la réflexion faîte, aussi joli que ça sur d’autres plans ? Puisque vous comprenez que ce n’est pas « rien », mais au moins tout ce que signifie la description que nous venons d’en faire, en raison de ce qui découle de ce que nous avons dit plus haut au sujet de la souffrance ou du plaisir, vous conviendrez aussi que ce n’est pas rien pour ce cochon d’être égorgé, puisque vous avez-vous-même refusé de l’être tantôt (plus haut) et donc qu’il avait plaisir à vivre dans la ferme, par exemple à/d’Hagenbach ou ailleurs et à se nourrir des déchets et à être à la place de l’éboueur : une solution élégante (pour éviter trop d’impôts locaux à ce sujet puisqu’il faut les payer, ce qui revient beaucoup plus et donc est très coûteux puisque pour réaliser ce prodige sans être aucunement à les racketter, il a fallu tout élaborer) et non pas « rien ». Vous vous dîtes insensible à la souffrance des animaux de boucherie, mais ceux-ci comme le mot de « réel » sont de très nombreuses autres choses. Vous vous êtes donc habitué à agir dans une tradition qui n’est pas plausible/compatible avec tout ce qui découle de toutes les œuvres d’aArt véritables et que vous prétendez admirer ou de toutes les sciences ou les philosophies les meilleurs pour la Santé de vôtre âme – aussi ce n’était pas « rien » et tout cela fut élaboré avec un projet / une destinée qui était d’arriver à ce moment où vous comprendriez enfin que cette souffrance qui est très réelle peut être évitée à ces espèces, puisqu’il y a tant de solutions élégantes alternatives qui ne sont pas des matières premières à souffrir pareillement, avec ce système de nerfs qui vous a fait dire « aïe » et comprendre ce que c’est pour ces animaux qui savent naturellement qu’il y a bien au moins ce que nôtre espèce nomme une réalité qui les entoure (sinon ils n’éviteraient pas l’arbre et rentreraient dedans : ils voient – voir ce n’est pas rien : Woody Allen, mais aussi d’autres réalisateurs l’ont démontré dans un de ces admirabilissimes films) et non pas « rien » que d’avoir à souffrir et à dire « aïe » dans leur langue – si vous plantez un ongle méchemment dans le dos d’un chien, il se retournera pour vous mordre ou alors si c’est un bon chien dont vous seriez le maître, il tournera la tête comme je l’ai vu faire du mien et vous y lirez « pourquoi me fais-tu ça, je ne t’ai rien fait de mal et tu vois bien que je ne me veange pas ou ne t’en veux pas car j’ai confiance en toi » tandis que s’il a mal agi et que vous lui faîte un peu mal, ce n’est pas pareil : il était indispensable d’en passer par là, pour son éducation, qu’il se souvienne ainsi de ne pas recommencer à s’intéresser à ce genre de crottes qui sont néfastes pour tous ceux qui sont un tantinet à avoir encore une façon claire/[cohérente avec les savoirs scientifiques dignes de foi] de voir, c'est-à-dire de scanner, d’analyser, de déterminer et d’agir en conséquence, sur des faits ou des objets qui ne sont pas « rien », mais qui sont lisibles, y compris en les quantités de dangers qu’ils représentent chacun en nombre de probabilités d’attraper des microbes ou des vers, comme le ténia ou des ascaris ou autres parasites intestinaux qui pourront tuer vôtre chien – vous l’avez donc frappé pour qu’il évite ce risque, puisque pour en arriver là, à ce scandale, il a forcément dû, au moins pour la deuxième ou troisième fois, voire la énième fois si vous êtes du genre patient (ce qu’il vaut mieux) oublié que vous lui interdisiez cela pour son bien, autrement qu’en le frappant : en le grondant à chacune des fois à une intensité de plus en plus importante et comme ça n’a pas marché avec celui-là, il a fallu – c’est triste ou malheureux, mais il a fallu s’y résoudre en ayant mal au cœur d’avoir à le faire - utiliser la force ainsi peut-être qu’en craignant cet ongle qui a fait mal [et non du bien, puisqu’il a gémi et s’est plaint sans faire semblant] ou alors cette tape sur son museau le voilà à mieux comprendre – ça finira par refaire fonctionner ça mémoire en pareil cas – la même situation, ce qui est synonyme aussi de « dans une situation comparable / semblable) quand on sait, au contraire, ce que tout signifie dans le moindre détail. Il s’agit donc / peut-être / probablement (mais cela peut être aussi pour d’autres raisons ou dans un autre cas dont nous ne saurions pas au courant de l’appréciation ou de ce que signifie ce « rien » de son point de vue – ce qu’il a pu échafauder comme théorie, car on sait que pour le bouddha, il y eut comme l’idée qu’il n’y avait rien, mais très certainement à un moment donné de ses méditations qui ne sont pas celles qui nous occupent quotidiennement [et qui n’ont pas trait à ce cas] quand nous devons songer à nous vêtir, à nous scolariser pour devenir compétent et à nous alimenter – si tous même le pense, tous sont entrain de faire des choses descriptibles qui sont des réalités et celle-là du Bouddha qui crut comprendre qu’il n’y avait « rien », en raison de ce que nous pouvons la décrire « est », donc n’était pas « rien » mais « plus rien » (« plus rien » ou même « rien » dit comme « plus rien » (ce qui sonnera différemment), n’a jamais signifié « rien », mais tout ce qui ne sera jamais oublié, car il s’agira de référents certains, descriptibles et qu’on pourra reconstituer (ce fut donc ce rêve et/ou ce cauchemar un attentat contre vous-même sur nous-même et non pas « rien », vous eûtes à en souffrir puisque nous eûmes à en souffrir (alors que vous crûtes le contraire et peut-être même que vous aviez intérêt à nous voir en souffrir, ce qui n’est pas acceptable (ni concevable – et la preuve que vous manier ces machines d’une façon qui est à créer des dommages, des traumatismes (ce que vous ne pouvez nullement vous autoriser d’autant plus que nous ne vous menacions d’aucune arme à feu et que nous nous reposions chez Nous (de plus vôtre pharaon (chef suprême à qui vous devez tout ce que vous avez mangé, consommé, etc. de bon, de bienfait et de beau) mais que nous vous disons la vérité et que d’autres part, vous ne pouvez pas vous immiscer à nôtre insu chez nous, un lieu que nous habitons, obtenu légalement qui est juridiquement à caractère privé – vous n’avez donc aucune autre possibilité officiellement que celle dont tous disposent et qui sont donc partagées par l’Ensemble (téléphone pour nous contacter ou Internet pour poser des questions) – vous êtes donc en absolue totale infraction – donc contraire à Vos intérêts puisque nous Vous avons prouvé que Nous somme vos souverains et à veiller à ce qui est le meilleur pour vous – soit le rôle du vrai berger ou du vrai pharaon) ou qui aurait pu être évité puisqu’il y a toujours des alternatives à cela : en effet, quand il y a un feu dans la cheminée, vous n’allez pas y mettre la main, vous l’évitez. Aussi vous ne pouvez pas imposer une douleur ou une souffrance à une personne qui n’a rien fait de répréhensible et qui n’est que digne de louanges – ce serait comme soudain frapper vôtre ami le chien qui a gardé vôtre maison et caracole en toute confiance le long de vôtre promenade. On ne peut donc frapper qu’en raison d’un motif valable / recevable, sur le plan de la conscience ou des raisonnements et cela en relation avec tout ce qui découle de juste, de bon, de beau et de véritablement bien de tout ce qui est le meilleur pour celui qu’on frappera – si vous vous permettez cela, on vous prendra pour fou, au sens de réellement malade, au sens négatif de ce mot et non au bon. Cela signifie que plus personne à nôtre époque n’a le droit d’infliger des rêves ou des cauchemars durant ces moments où confiants, vous vous reposez pour dormir. Sans en avoir obtenu l’autorisation au préalable ou sans avoir obtenu en échange réparation et dédommagements donc des financements pour les préjudices subits, vous ne pouvez pas) - mais cela n’empêche pas d’utiliser ce mot de « rien » pour avertir qu’on ne veut « rien ajouter », donc faire silence, ce qui n’est pas « rien ») de l’égoïste qui en enfant-gâté provoque, en nihiliste adolescent (c'est-à-dire en une personne devenue de celles au mauvais sens de ces mots, donc qui utilisent la mauvaise foi et le mensonge) et dont on sait d’avance qu’il sera sourd à la souffrance des autres, puisqu’il sera capable aussi mensongèrement que cela d’affirmer qu’il n’y a « rien » ou que « ce n’est rien » (s’il y a des situations et des cas [particuliers / ponctuels] où il conviendra de le penser ou même de l’affirmer, ne serait-ce que grâce à la méthode Coué pour éviter de trop souffrir et espérer ainsi arriver soi-même à réduire sa souffrance, il est probable que celui qui vous dira que ce n’est « rien », ce dont vous souffrez, vous agacera et que vous vous direz qu’il s’agit d’une personne menteuse au moins sur ce point – bien sûr, vous avez toujours la possibilité de minimiser vôtre douleur en disant que ce n’est « rien », mais ce sera ici vôtre choix pour des raisons diverses que vous aurez adoptées – aussi vous serez le seul ou la seule à savoir l’intensité de cette souffrance – c’était vôtre choix ou vous n’aviez pas d’autres choix – il n’empêche tous vous devrons des dédommagements (financiers), puisque normalement vous ne deviez pas avoir à la devoir souffrir – vous accusez Dieu ? Et si vous aviez péché contre Lui et étiez coupable (ce n’est certainement pas Lui qui a reçu en héritage cette vielle sale des machines car sinon vous ne l’auriez pas crucifié pour prouver à tous que c’était bien Jésus Christ : Dieu : c’est probable et même certain, à l’aune des merveilles qu’il fît pour vous, ne serait-ce qu’en raison de la loi des conséquences et des preuves de ce qu’elle a donné partout, comme admirables Pieux Etablissements (entièrement pourvus d’admirables et saintes merveilles qui attestent du véritable bon goût dans toutes les catégories artistiques de mises en scènes pluridimensionnelles : on ne vous y reçoit donc que dans une alternative à l’Atlantide disparue : Ôz, admirable dans tous les feux de ses vitraux aux coloris variés qui découlent donc de choix de textes, d’inscriptions dont vous pouvez avoir confiance les yeux fermés, puisque rien n’est fait pour vous conduire à mal agir, mais tout au contraire à avoir envie d’être fortuné / gagner des CFP pour soulager par Charité quand vous le pourrez ceux qui sont dans le besoin : d’être dans tout ce luxe admirable devrait vous rassurer, ce n’est pas spartiate: on vous soigne dès vôtre entrée par la beauté, les aArt, l’aArchitecture et des textes souvent admirables (peut-être à mettre à jour sur certains points en tenant compte des problèmes que cette époque-ci a généré ) vous donnant le goût de bien faire y compris à vos enfants – donc il s’agit de lieux  qui proviennent de personnes ayant pensé/songé à l’Education la meilleure et à créer des lieux de pensées et de réflexions / d’activités publiques qui diffèrent de ceux strictement clos sur une laïcité ostracisante – je n’ai pas eu connaissance pour l’instant de ceux qui rejettent les religieux (mais il y a eu des crimes contre eux – d’où qu’il s’agissait de personnes sacrilèges et que cela n’est pas à la gloire de la laïcité de rechercher à s’en prévaloir ou même trouver ça admirable – c’est bien le contraire, une très grave perte pour l’Ensemble, d’autant que ces personnes se privent de nombreuses choses plutôt et souvent considérées très justement comme « agréables » - et donc en cela contraire à la loi sur la discrimination) – vous êtes donc dans vôtre tort et Lui, pas d’un photon dans tous les temps – vous Lui devez en plus réparation et des dédommagements pour calomnie et sacrilèges comme tout ce que vous fîtes contre Lui ou saboter Sa Création (elle n’était pas à rendre désertique puisqu’Il avait pensé a tout – aussi au lieu de la rendre plus belle, vous avez cherché à la détruire bien qu’il y ait eu les partisans de ce Dieu qui en comprenant les prodiges de cette Création ont essayé de la gérer le moins mal possible – donc d’un côté ceux qui se sont acharnés en profiteurs pour la détruire et de l’autre ce qui ont construit avec et lui ont de ce fait donné de la valeur) – plus le temps passe et plus vous continuez à vous comportez en hostile et sans consentir à la vérité, plus vous aggravez vôtre cas et vous aurez à Lui devoir et plus vous tarderez plus vous lui devrez au point que vous regretterez la proposition de plus haut qui était celle de vous anéantir – c’est trop tard : vous avez dit « aïe » et reconnu que ce « aïe » comme cette Création n’est pas « rien », mais que ce « aïe » a fait mal et que c’est donc une réalité, vous êtes donc à devoir et à devoir payer vôtre dette à ceux qui se sont refusés de la détruire. Cette dette est colossale ou autant pharaonique (que ces déserts) ou que l’audit / cela que nous avons pu mener puisqu’elle concerne autant de pharaons qui ont cru pouvoir s’offrir la vie de château sans avoir d’autres compétences que celle de destructeurs et de barbares et donc de consommateurs de biens qui ne peuvent pas se gérer ainsi en les dérobant à ceux qui les méritaient : rien ne presse, vous êtes endettés, nous [ré]échelonnerons celle-ci (ce qui signifie des dépenses à faire et des compétences pour nous éviter de frapper ou de vous malmener, mais vous aurez à devoir payer intégralement tout ce que vous avez consommé en faisant les faux-monnayeurs et en ayant pas voulu comprendre que continuellement on vous disait la vérité quand on vous disait que cela coûtait.

Pourquoi ? Mais pour conserver vôtre langage et rester dans le registre des réponses incohérente puisque vous auriez-mieux fait d’éviter de poser cette question et tout de suite d’exécuter ce dessein, parce que « pourquoi pas » ? Vous êtes un enfant du « pourquoi pas », vous l’affirmiez ? Alors pourquoi pas, les plus beaux rêves (et finir par supprimer à jamais les pires ou ceux qui virent au cauchemar) ce qui est synonyme d’espoirs de Dieu pour Sa Création, au lieu de vous escrimer dans les pires outrages sacrilèges ou de ces mœurs vulgaires ou grossières,  puisque vous affirmez autant que cela voir pris goût à la musique classique.

Vous voyez bien qu’avec ce que vous aurez à payer, nous utiliserons ces sommes convenablement et elles seront bien employées et n’ayez crainte, vous en aurez la partie qui vous permettra au moins de continuer à payer ce que vous devez – aussi cela sera comme si vous étiez salarié (et croyez-moi, c’est ce qu’il y a de meilleur, car vous n’aurez jamais à compter ni à calculer des choses complexes et qui sont réellement difficiles – vous y gagnez encore, comme toujours, puisqu’on vous a reconnu aussi handicapé que cela – vous n’aurez donc qu’à obéir, puisque vous avez voulu vous faire obéir brutalement, vous comprendrez que nos méthodes sont différentes et qu’on attend de vous sans vous brutaliser que de vous-même, vous retrouviez cette bonne volonté qui vous avez honoré dans d’autres temps, donc que vous cessiez de vous comporter en enfants-gâté, à faire les difficiles et cela dans l’espoir de réussir simplement à ce que l’Ensemble trouve de quoi manger dans vingt cinq ans ou plus (ce qui vaudrait mieux comme encore plus loin, ce qui est l’inquiétude de tous les enfants ou des jeunes à chacun des éternels retours dont nous vous avons prouvé qu’ils existent tous les dix ans) et cela malgré la quantité démographique qui augmente, ce qui n’est pas « rien », n’en déplaise à celui que j’ai pris pour un « jeune », mais qui était peut-être un vieil homme, au mauvais sens de ce mot, et non au bon, ce qui l’aurait rendu sage au point de lui éviter de dire cette chiennerie – synonyme d’ânerie avec ce « rien » à ce moment-là) mais d’avance nous vous prévenons qu’en raison de ce que vous fîtes comme dommage à la Création, au lieu de vous en abstenir (comme les conseils de partout étaient dans ce sens dirigés, mais vous avez voulu nier jusqu’à la pollution des gaz d’échappement des automobiles, alors qu’on vous a fait voir dans un film qu’une automobile laissée allumée dans un garage avec une personne ou un chien, au bout de quelques heures c’est d’asphyxie que ce chien ou cette personne meurent, ce qui est bien à cause de la pollution – par conséquent, on ne vous dit pas des mensonges, car si vous croyez  comme dans la chanson qu’on vit dans un yellow submarine, ce que de mon point de vue n’est qu’une vue de chanteurs illuminés un peu exagérée dans la comparaison, comme difficile à comprendre, car je préfère la vieille idée de Navire qu’on doit par ailleurs à Homère, vous comprendrez que s’ils ont raison de comparer le Système à ce Sous-Marin cela ne serait qu’affirmer encore plus qu’il est comme un garage l’objet de l’ensemble des déversements ou défécations de ces pots d’échappement et ceux des usines, appelés cheminés, qui ne font pas semblant de « polluer »), vous serez à devoirs encore réparer dans plusieurs milliards de milliards de milliards de milliards et plus loin encore à l’infini d’années de là où nous sommes, où vous n’êtes que de nouveau à commencer à continuer à la payer pour autant de temps et ainsi, étape par étape, pour plus loin encore où ça recommence pour toujours, le même dommage, qui va coûter cher à réparer, puisqu’il faut réussir à tout retrouver de ce qui fut « consommé » (comme âmes mais aussi autrement) – c’est vous qui avez voulu être satan et vous complaire dans ce cliché du diable seulement vu au mauvais sens de ce mot et non pas au bon comme Nous qui vous avons bien fait comprendre que vous pouviez devenir au moins comme Nous grâce à ces Démonstrations … qui représentent des investissements financiers considérables établis en véritables CFP par l’ensemble de ceux qui m’ont aussitôt compris à plein mots, comme à mi-mots seulement et nous vous avons fait comprendre que, par ailleurs, il y avait depuis 2006-2007 et les mois qui ont suivi « satana[na!]nas », ce qui n’est pas rien comme concept à l’aûne des royalties des copyright ou enseignes et logos (qui signifie « espace à caractère privé », obéissant donc à des questions de Droits et autres règlements auxquels il convient de se plier pour se conformer aux meilleurs usages qui permettent de gagner des CFP pour payer ce qu’on doit) et de ce que cela a signifié comme travaux pour arriver à ce mot alchimique (alchimie du verbe oblige) – pour vôtre information même celui qui se prétendait Dieu et qui avait joué en réalité lâchement les méphistophélès s’est rangé et a gagné / ralié, démasqué lui aussi, Nôtre camp, en renonçant à nuire et en étant devenu bon et gentil comme le plus gentil des agneaux (à croire qu’il n’a jamais été cette bien pirissimissimissimes (et c’est peu dire) que horrible abjection ou saleté : et s’il ne gagne pas encore des points à tous les moments, il est supportable, après en avoir autant perdu de nombreux, puisque pour devenir celui-là qu’il fut, il a très certainement péché un peu plus que la normale et ce mot non au bon sens qu’il pourrait avoir, mais comme depuis toujours considéré d’une façon négative : une très mauvaise affaire à laquelle il vaut toujours mieux renoncer, au lieu de s’enorgueillir d’avoir encore « des tours dans son sac ») – et c’est à cause de lui que vous êtes devenu celui qui va mal – vous ne trouverez plus personne pour vous mal conseiller : ils ont trop peur et leur peur est totale, absolue comme depuis toujours de ce mot de Dieu qui avait eu visiblement confiance, en laissant sur cette planète ou ce satellite du soleil, une salle des machines qui n’étaient évidemment pas pour s’amuser à persécuter ou à nuire contre des serviteurs de cette notion qu’ils ont comprise, plus juste et bonne (comme ce que la Création proposait) et que vous n’aviez pas à travestir ou à pervertir en mauvaise ou néfaste, c'est-à-dire ce que fut satan : ils savent donc tous qu’ils ont perdu, comme cela avait été depuis toujours annoncé en vérité d’avance : « à plus ou moins long terme » et l’auto-carbonisation de la reine de la nuit dans sa haine en fut la preuve annoncée d’avance pour qu’elle veille à sauver ce qui serait possible d’elle et qui appartenait à la reine du jour qui est aussi la reine de la nuit puisque l’électricité permet d’éclairer cette planète de nuit comme de jour – aussi il n’y a plus que le jour partout). Il est donc pour l’instant non-voyant et seulement préoccupé de sa folie de spectateur de mauvaise foi qu’il n’a pu devenir qu’en ayant obtenu des Crédits de Financements usurpés, de faussaire, de tricheur, donc ceux du malhonnête, (cfusurpés, cfsales, cfmalhonnètes, cfpourris, cffaux, cfcriminrld contre l'humanité et les corollaires synonymes) : un jeune qui a dû se vendre comme celui qui fut représenté amant de Marc Aurèle (d’autres temps, d’autres mœurs que S. A. I. SSS Lord Eugène Delacroix a peint pour le Musée des Beaux-Arts de Lyon, reproduit par Gérard Bordes dans l’encyclopédie de Médecine aux Editions Atlas volume 1, p.142, pour illustrer l’article sur « l’agonie »), pourtant un empereur que j’estime et dont je ne suis pas sûr, à l’aune des moments les plus admirables de ses écrits (celui qui est cité est celui qui est devenu enfin contestable au sujet de « cette loi implacable de la nature, à laquelle nul vivant ne peut se soustraire » qui seraient ses dernières paroles, soit celles d’une personne qui en ce temps là où la Médecine n’a pas fait autant de progrès, ni les sciences des aArts grâce à moi, était considéré des truismes. L’anti-thèse de ce qui est à première vue incontestable autant que cela est cependant fondamentale : cela a donné aussi l’idée que la résurrection des morts serait possible, mais aussi que vivre dans l’assurance de l’éternité est possible (en effet, rappeler qu’elle a existé avec les dates des disparitions officiellement constatées est à double tranchant car cela peut convaincre que la mort est inévitable : on s’habitue à ces constats où les personnes ont peut-être, une fois déclarée mortes, eu simplement à devoir changer d’identité, dans certains cas, donc à ne pas mourir mais à disparaître – d’autre part l’existence de la salle des machines dont je n’ai acquis la certitude qu’en 2014 serait, tant qu’on ne sait pas de quels instruments elle dispose, un argument qui irait dans ce sens. Ce qui était donc une vérité cachée, pour des raisons encore mystérieuses (que la mort n’existe pas) mais qu’on a cru bonnes dans les siècles passés, sans avoir eu la possibilité de faire ici l’antithèse jusqu’à nôtre époque où elle s’impose enfin d’elle-même, cachait peut-être aussi une vérité au sujet de cette à première vue certitude au sujet de la mort de l’empereur, car s’il y a bien une personne qui est dans les temps passés sûre au moins que sa fonction pourra se perpétrer semblable, en raison du sarcophage des empereurs, c’est bien le pharaon assuré que son œuvre sera poursuivie par celui d’après dans lequel il trouvera asile. Alors pourquoi mentir au sujet de la mort ? C’est donc qu’elle existe à cette époque-là, malgré cette certitude pharaonique que les empereurs savent qu’ils doivent mourir chacun à un moment donné qui sera inscrit, mais dans des époques dans lesquelles tous cachent l’existence de la salle des machines : d’où la raison même de l’existence de la mort : ce qui connaissent l’existence de la salle des machines s’en servent pour tromper ceux qui n’en savent rien et qui, en légitime défense ont compris avoir le droit de tuer – d’où une situation qui mènera en raison des craintes et des peurs ceux qui ont acquis l’héritage de la vieille salle des machines à mentir au sujet de la mort de leurs amis et surtout vont vouloir devenir censeurs et interdire qu’on inscrive dans les livres des informations à ce sujet – le censeur est celui qui est dans le désir de cacher une information, c’est ce qui a donné la mentalité d’espion qui est persuadé que ceux qui ne cachent rien le trompe autant que lui qui est le seul à tromper et c’est cette mentalité précisément qui a engendré l’origine de toutes les maladies et donc la mort elle-même – aussi dès qu’on dévoilera la vérité au sujet de l’existence de cette vieille salle des machines comme en réalité l’ancêtre de la maison des horreurs dans les parcs d’attractions contemporains ou modernes, la mort disparaît mathématiquement, y compris les maladies d’autant plus qu’il n’y a aucun mal à brancher des web cam sur sa personne considérée comme une œuvre d’aArt et à s’exhiber pour être l’objet de l’admiration ou de peintures – le problème venait donc de ceux qui ont caché l’existence de cette vieille salle des machines qu’ils ont voulu se réserver à eux seuls, donc en se comportant en avares, ce qu’ils ont eut le toupet de reprocher aux autres, par exemple aux juifs qui n’étaient nullement radins mais qui, c’est normal avaient, privés de leur entrée dans la vieille salle des machines, à devoir veiller au grain de tous, donc qui n’étaient qu’économes et à songer à l’avenir, ce que les autres disposant de la vieille salle des machines pour espionner ou pour avoir des mentalités de sentinelles, c'est-à-dire de gardiens ne pouvaient que difficilement comprendre puisque pour devenir autant aussi non-fraternels que cela, ils avaient dû chacun auparavant contracter la maladie de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, ce qui ne lui permet plus de raisonner logiquement en tenant compte de toutes les logiques et de tous les systèmes les plus cohérents y compris de celui de la très véritable sainteté – donc de l’Intérêt Général véritable, soit cette notion de Dieu qu’ils contestèrent en devenus égoïstes, enfant-gâtés et adolescents, au mauvais sens de ce mot (donc en personne capables de voler le bien d’autrui et acquis légitimement par autrui – une maladie qui disparaîtra dès que la vieille salle des machines sera fermée ou transformée et qui n’existe pas chez le bébé – elle vient donc plus tard en raison de nécessités ou contextuellement ou à cause d’exemples ou l’oubli de paramètres et contraint donc aux serrures, aux clés, etc.), par conséquent au sein de la Vie qui était synonyme d’Eternité, les auteurs de la mort y compris de toutes celles qui advinrent rétroactivement : d’où la/une culpabilité infinie des empereurs et de leur entourage, jusqu’à mon père, qui assure en pharaon de l’Angle, la transition vers enfin la notion d’empereur véritable Osiris lui-même, n’ayant rien à cacher, ni l’intention de cacher ou de tromper ceux qui n’ont pas accès à la vieille salle des machines et qui ne sont que vérifiés très vertueux ou saints à chacun des instants et dont chacune des actions ne peut que s’inscrire dans la logique qui a découlé de cette situation affreuse / atroce / horrible, etc. , préjudiciable et en réalité nocive pour tous ceux qui comme Marc Aurèle (peut-être aussi, s’il appartient à un des empereurs liés à ces sarcophages des empereurs) furent cachotiers – on ne peut donc avoir un secret que s’il est bon pour l’Ensemble, soit une notion qui implique d’avoir obtenu l’accès à la conscience totale / pleine au préalable pour le déterminer avec certitude possible / nécessaire / juste), qu’il soit autant que cela intéressé par les satyres, mais bien plutôt par le soucis de sa femme.

[54] En se donnant ce mal, cela va permettre à parfois de nombreuses personnes d’être payées des CFP et donc de progressivement éviter les cff, cfu, cfm, cfs ou cfcch qui sont nocifs pour la santé comme pour la civilisation elle-même.

[55] Noter ici comment l’ajout de la pluralité donne just’après une sorte d’écho du « s » par le redoublement qu’il engendre avant la pluralité liée à la conjugaison du verbe. Comme si la loi des conséquences qui intervient effectivement dans la notion d’écho créait l’avalanche.

[56] Qui est en réalité une répercussion de la Première Guerre mondiale comme de la montée du mensonge en Allemagne, à cause des mensonges de la révolution soviétique.

[57] Pour arriver à dire une phrase aussi simple et aussi vraie ou exacte qu’elle, cela signifie que les personnes qui le disent sont dans le monde où elles ne trompent personne et ne disent que des choses infiniment précieuses et qui permettent autant de bien que n’importe laquelle des mesures bien établie, honnêtement prise – évidemment cela n’est pas courant, car de nombreuses personnes ne s’assurent pas que leur mètre est le bon sont capables de prendre des mesures avec la meilleure bonne foi du monde des plus fausses, les sirènes qu’ils ont écouté n’étant que les plus malhonnêtes reinettes de la nuit (qui n’y entendent goutte en Economie et même en qualité de mètres – elles oublient par exemple le paramètre concernant la dilatation des matériaux en été ou d’autres encore que le vrai architecte n’oublie jamais au sujet du mètre).

[58] Voyez ou remarquez ici l’incohérence de ceux qui ont déporté des gens du peuple en prétendant être ce peuple et qui étaient ces déportés donc d’abord à ce peuple (forcément international), qu’on sait partout hétéroclite et métissé depuis toujours à plus ou moins grande échelle et surtout composé de catégories différentes ou de religions différentes et qui réagiront toutes différemment, puisqu’il n’y a que le très véritable roi ou la très véritable reine qui sache ici discerner (et non plus le Peuple qui n’a comme dans la ruche qu’à obéir).

[59] S’offrir, vaudrait mieux, puisque cela signifie en sous-entendu « de droit ».

[60] Mais voilà que cette phrase contredit la précédente et qu’on s’aperçoit qu’il faut bien que la valeur d’échange existe puisqu’il y a des œuvres d’aArt uniques (à un seule exemplaire) que de nombreuses personnes aimeraient avoir chez elles (Demande importante, voire unanimité pour offrir un espace d’accueil). Hélas, elles ne sont qu’à un seul exemplaire, comme certain tableaux accrochés dans les musées ou certaines statues. Aussi il n’y a que les objets qui sont réalisés en un grand nombre d’exemplaires qui peuvent voir le prix chuter / baisser. C’est donc bien la rareté qui donne de la valeur, pas seulement à la matière précieuse de l’or ou des diamants, mais aux prototypes ou aux masters à un seul exemplaire. On le voit bien avec les textes publiés sur Internet, ils sont accessibles de partout ou sont à autant d’exemplaires qu’il y a d’écrans pour les recevoir, ils n’ont plus que la valeur spirituelle ou ce qu’ils procurent comme bienfait[s] ou alors comme nuisance (pour ceux qui sont mensongers). On le verra aussi pour les personnes très rares : elles ont de la valeur, tandis que toutes les autres se ressemblent plus ou moins : rien d’exceptionnel.

[61] Il vaut mille fois mieux une personne qui vous corrige ou se fâche pour vous faire réussir un progrès (comme un dompteur qui réussit avec un chien ou un ours à lui faire accomplir une difficulté/une prouesse que de le voir risquer de se faire tuer par tous les chasseurs, puisqu’il s’en-tête au lieu de cela à détruire les ruches des abeilles, à leur dérober le miel ou à voler des animaux dans une ferme) que ce genre d’attitudes.

[62] De la distinction des lois qui s’impose, soit des catégories puisqu’il y a celles qui concerneront des vérités relatives et non la vérité. D’où que celle-ci soit scientifique, c'est-à-dire admissible objectivement. Il n’y a donc pas de place à l’arbitraire ou alors cela sera toléré, par compassion ou bonté ou par pitié (« voilà Médor qui ronge son os ») en raison que cela est l’un des symptômes habituels de la maladie qui concerne l’âge de l’adolescence ou l’enfant-gâté ou l’égoïste.

[63] Cela signifie que la notion de rRésistance est soumise à des échelles différentes de variations possibles et parfois quand elle est trop importante le groom ne marche plus, à première vue : on le sait, ici il faudra le régler (ce qui donne la possibilité d’une intervention pour permettre, par Charité à une personne appelée travailleur manuel de gagner des CFP en ayant à le régler, ce qui n’est pas être celui qui a conçu les plans de l’objet et donc qui a eu à prévoir d’avance ce métier de réparateur de grooms qui peut être exercé en amateur par n’importe qui dans l’Immeuble à partir d’informations recherchées sur Internet au sujet de ce modèle quand il n’est pas encore de ceux qui vont sans même avoir besoin de se référer à ces modes d’emploi en raison de compétences acquises trouver la solutions d’eux-mêmes pour le remettre en fonction et ainsi permettre à l’Immeuble d’économiser ce déplacement qui en raison de ce que le prix du baril de pétrole a augmenté l’a rendu onéreux puisqu’il faut aussi que l’Entreprise veille à nourrir cet employé, ce qui occasionnant d’autres coûts de transports répercutés augmente donc les factures en endettant chacun y compris ceux qui ont augmenté le prix du baril de pétrole puisqu’ils constatent que tous les prix augmentent en raison de ce que c’est eux les coupables : il appuient sur le frein au point qu’il va falloir dans certains immeubles attendre plusieurs mois ou années avant que le groom soit réparé, puisqu’aucun des locataires n’a pu faire les économies pour en les mettant ensemble avec ceux qui peuvent payer le déplacement du technicien et à cause de cela être avec une porte divorcée à jamais du montant contre lequel elle couchait ! Aussi voilà un métier, celui de réparateur de groom (une activité qui s’apprend en peu de temps, en deux ou trois grooms – ce qui risque un jour de devenir synonyme de jours) qui au lieu d’être donné à dix personnes n’est plus qu’à une seule personne, qui a du mal à en vivre alors que si le prix du pétrole avait baissé, il y aurait des spirous partout, c'est-à-dire ce ressort dont S. A. I. SSS Lord abbé de Fénelon et … a attiré nôtre attention, au sujet de cette notion de Dieu, dans son De l’existence de Dieu.

[64] Est-ce que je ne m’égare pas dans la catégorie du scénario ? Et n’en ai-je pas conscience à dessein de le remarquer. N’est-ce pas dû à nôtre époque qui permet des explorations Internet (ou graniériennes – puisqu’internaute est synonyme de granierien qu’il ne faudra pas/jamais confondre (auditivement) avec grammairien, bien qu’il soit probable que monsieur ou madame Gra[n]mère ait eu l’agrégation, comme ces Graniers de Cours-le-haut auxquels je me réfère (le nom de famille de mon père l’empereur Granier de Saint-Gervais-sur Mare à ne pas confondre avec Pierre Gervais agrégé d’Histoire, entre autre qui aime beaucoup entendre la musique de Franceso Guccini qui a mis sans gène au moins pour commencer la Genèse (la Genesi) de l’Ancien Testament en musique et chanson) en raison de l’épouse  qu’il prit avec Itala-France Joussin Aime de Coni qui l’avait obtenue avant son mariage en Italien pour demeurer toujours indépendante et autonome financièrement parlant, ce qui a donné naissance à la notion d’impératrice des lumières et des temps contemporains, non pas comme une vulgaire entretenue et très mauvaise femme prostituée, mais une femme bien de nôtre temps, cette nouvelle Eve (féministe en diable) ou la reine du Jour et des révolutions scientifiques permanentes car s’étant donnée à une discipline, puisque n’ayant rien obtenu par la prostitution, au mauvais sens de ce mot ou en raison de mauvais calculs d’enfants-gâté, adolescentes égoïste mais uniquement en raison de compétences très réelle et hyper-précises dans des activités rares, mais cependant demandées sur le marché du travail (puisqu’il y aura l’ensemble des productions littéraires et artistiques italienne à mettre en V. F. (en raison de la construction de la Confédération Européenne ce qui rend donc vrai la même choses en raison de ce que la notion de symétrie et de transitivité peut dans ce cas précis être érigé en loi avec/entre toutes les langues) et n’étant donc qu’une de celles intellectuelles, donc l’équivalent de celles des ingénieurs, architectes, médecins, créateurs, innovateur, etc. la plus grande aArtiste de nôtre temps en raison des conséquences de ses aAmours, d’autant plus que petite fille d’architecte et ayant pour tante une dessinatrice hors pairs et un pianiste virtuose et les autres admirables qualités de ses tantes ou mères s’étant sacrifiées très chrétiennement pour l’élever) et donc des liaisons vers d’autres catégories pourtant reliées sur un point très précis, à cause du laurYen (synonyme ou variante pour lien hypertexte : on retrouve cet ‘i’ grec, lié aussi à la notion d’hyper-éthique que nous avons commencé à évoquer ici).

[65] Il s’agit de ceux qui n’ont jamais voulu se profaner (et en cela, ils ont bien eu raison, mais ont une idée peut-être réduite de ce mot, comme de celui de sacrilège, car en étant collet-montés, ils le sont d’une certaine façon, sacrilèges et profanes – puisqu’ils oublient ou n’oublient pas d’où nous venons : la caverne de Platon : Lascaux, l’Esprit des lois et peut-être savent enfin où nous allons : cela risque de donner des bouchers collet-montés, des pêcheurs collet-monté, des conchyliculteurs collet-montés, etc.) et qui sont donc très strictes et très austères. Ils ne parviennent pas à trouver drôle des plaisanteries qui ne peuvent d’aucune façon être admises [par ces personnes], de n’importe lequel des biais possible ou des angles en les leur présentera et seront capable d’en vouloir éternellement à quelqu’un (donc à ne faire que le calomnier ou dire du mal à son sujet, au lieu de s’en abstenir comme les principes religieux le prescrivent, d’autant plus si la personne s’est comportée dans les règles ou a payé sa dette): ils ne vont donc qu’avoir la fâcheuse tendance que de croire qu’à ce qui est reconnu officiellement (ce qui a du bien, puisque cela évite d’écouter les calomnies ou les bruits qui circulent, mais aussi du mal en d’autres cas) – en cela, ils sont réellement et effectivement moins encore que la racaille, puisqu’ils furent, paraît-il, capables d’être trop sévères, dans les peines qu’ils administrèrent ou [alors] de s’acharner. Peut-être même qu’ils sont capables de monter leur cou, en se croyant plus que les autres (c’est en réalité une défense d’autant qu’ils se savent très respectueux de l’ordre établi qui les garantie dans le soucis qu’ils ont de leur pudibonderie maladive en ces époques très lointaines où il n’y avait pas ni baignoires, ni piscines, ni vacance à la plage ou à la mer, des solutions élégantes qui furent possibles grâce à la révolutions industrielles qui ne fut possible qu’en ayant à devoir abolir l’esclavage pour cette notion bien préférable de l’ouvrier) et d’être en cela parfois punis par leurs instituteurs ou maître d’école qui veulent leur faire perdre une mauvaise habitude qui n’est pas jolie esthétiquement parlant, puisqu’elle révèle qu’ils se prennent plus encore que Dieu pour Dieu, au lieu de rechercher à être eux-mêmes (ils ne peuvent pas être Dieu, même s’ils sont cardinaux ou prêtres ou évêques ayant l’incommensurable chance d’être à son service dans tous les temps d’avant sa venue sur terre, si celui-ci devait être un être humain, à première vue comme les autres).

[66] Ce qui est drôle et paradoxale, c’est qu’ils avaient en détestation, dans les années 1970, les bien plus merveilleux qu’admirabilissimes livres pour enfant intitulés Club des cinq alors que moi qui n’avait pas la télévision j’attendais le jour où on me proposait ces lecture avec la plus grande impatience dès que j’en avais fini un. C’est donc qu’ils n’ont pas compris que les auteurs de cette série, qui pourra faire d’admirables films, rendaient hommage à cette notion de club (dont ils étaient en réalité coupable et qu’en raison d’alchimie du verbe, grâce à un inversement proportionnel qui s’est mis en place comme l’accès aux mathématiques les plus logiques touchant les sciences du langage pour contrer et palier à ces malfaisances en révélant ici que c’était bien un synonyme possible pour vieille salle des machines, ce qui a fini par forger cette notion de bienvenu au club) encore mieux servie dans Le Clan des sept. Evidemment ce Club / Groupe du G7 (pour lequel on me doit les royalties) j’ai eu à en avoir l’idée ainsi, comme solution élégante en Economie, quand j’étais enfant, précisément grâce à cette série de ces lectures, car je me suis dit, voyant les difficultés que mon père avait avec l’Economie planétaire et à faire comprendre les concepts dans lesquels il avait baigné grâce à ses études à l’Ecole des Sciences Politiques, une fois en poste à Rome, que c’était bon de faire ainsi un peu mieux comprendre ce que signifie la notion de pays plus développés que les autres (cette notion qui est depuis devenue synonyme de tête de peloton) – j’eus, par la suite, à ne pas oublier de demander du ciel à mon père de nommer Jacques Delors, président de l’Union Européenne, pour y participer comme un membre régulièrement en plus. Il devînt pour moi ce Clan des sept (qui, en détail, sont huit à se réunir et qui pourraient devenir plus nombreux, quand les chiffres permettront de trouver d’autres pays à être autant avancés qu’eux : sans les pays les plus riches aucun développement des pays plus en arrière dans les wagons du Grand Train ne pourront bénéficier de progrès (dans un des compartiments il y a Tango qui confirme bel et bien que la vidéo est le Dixième aArt), d’autant plus qu’ils refuseraient à adopter les Bonnes Pratiques qui sont les seules, en réechelonnant les dettes, à apporter des améliorations dans ces wagons de troisième classe ou pire, s’il devait en rester en circulation sur une ou l’autre des lignes encore en activité – ce qui ne sera un déshonneur que pour les collets montés (Troski, par exemple ou ces « haut dignitaires menteurs qui ont besoin de l’hôtel cinq étoiles, puisqu’ils n’ont voulu devenir que des enfants-gâtés), car on y voyage assez bien et de façon folklorique, par exemple dans le train de la ligne, de Huancayo à Lima que j’eus à prendre ou celui de Cuzco à Machu Pichu, en ayant à descendre quelques kilomètres avant la station terminus sur l’Urubamba pour faire l’ascension du Chemin des liquènes (un nom que je lui est donné et qui n’est pas encore officiellement connu là-bas, car il s’agit de ces sortes d’algues qui poussent spontanément sur les arbres et qui sont peut-être étudiées dans les propriétés gustatives qu’elles pourraient avoir autrement que décoratives au point, dans le souvenir que j’en ai, de les considérer [comme] des coraux) pour arriver après une nuit de sommeil sous la tente par l’entrée d’autrefois (celle qui était de ce peuple ou ethnie qui fit un aussi beau travail au point qu’Ôz devrait / pourrait s’apeler Machu Pichu – encore un nom mystérieux comme ceux d’Atlantide, d’Eldorado, d’Arcadie, de Cythère ou de Granier) – avant que le train ne permette, grâce aux ingénieurs, par Charité, de créer des emplois et de permettre ainsi une amélioration locale de la vie des indiens qui participèrent à sa construction et qui furent payés (sans doute de leur point de vue toujours trop peu, mais il est certain qu’en raison de la situation internationale [économique sur divers plans] cela ne pourrait être mieux payé qu’uniquement si le prix du pétrole baissant enfin) pour le réaliser, comme les autres chemins de fer, sans que personne ne fut alors esclavagistes dans ces projets pharaonique d’Intérêt Général qui concerneront ces chiffres de main d’œuvre à devoir être employés à des activités utiles et qui faciliteront/avaient pour but/objectif de faciliter la vie (matériel, transports obligent pour assurer des activités commerciales de première nécessité ou minimales) de leurs futurs enfants) nouvelle version appelé Groupe des sept qui en tant que clan des sept avait un chien et un personnage qui était un père de famille – ce qui dans ma tête d’enfant était donc l’idée de Dieu (puisqu’à relier autant que cela à la notion de bon père de famille), donc de bon conseiller et je ne découvre cela que le 22 novembre 2014, en n’ayant pas eu le temps entre 1975 et 1978 d’inscrire cette idée que j’eus alors quand effectivement j’eus à noter à l’occasion de la Dictée Pharaonique (de moi à moi) que celui que j’étais en virtuel dictait : c’était lui, le pharaon/père que je serais qui était le patron du club des sept et du G7 : S. A. I. SSS Lord Jacques Delors, n’étant alors, en ces début, que son admirabilissime chien !

[67] Dont j’eus à signaler au cours de cette Dictée Pharaonique (la D. Ph.) de la NNDIM (Nouvelle Nopuvelle Donne Internationale Mondiale) qu’il permettrait a tous ceux qui déteste la salade de l’adorer (ce qui est maintenant le cas partout de ceux qui la testèrent / goûtèrent avec cet sorte de baume nommé aceto balsamico – au point qu’on puisse ici affirmer que ce mot de baume pourrait devenir dans le futur un des synonyme de sauce et qu’on pourra nommer ce vinaigre de Modène pour les exportations dans les pays francophone / philes: Baune (vinaigre) Balsamico on me devra, comme à mes ayants Droit, sur cette variante commerciale, les royalties liée à la nouvelle appellation contrôlée), si on se chargeait de l’exporter dans ce cadre de la Confédération des rRégions-Unies d’Europe que Nous sommes entrain de construire (en effet, le vinaigre n’est que délicieux ainsi, au point qu’il fasse l’unanimité et même détrône le délicieux citron sur les endives, ce qu’on pourra cependant ajouter en quelques gouttelines (goutelettes)  dans ce vinaigre italien en une dose très minime pour en modifier la saveur sur ce genre de salade [vaguement – en raison de la couleur de l’écume aussi] blanc d’os, en raison des substantifiques sèves qui lui a permis de monter en ogive nucléaire le plus souvent immaculées). En effet, cela permet avec des toasts HarrYs [« Extra moelleux Nature (sans huile de palme ni additifs) »] de faire des sandwichs de salade[s] assaisonnées de différentes sortes en créant cette notion de viande de salade, grâce à la mie de pain entourée de sa croûte (vaguement couleur os à moelle) imbibée de sauces à l’huile d’olive, par exemple, ou une autre et donc d’offrir une solution élégante alternative qui pourra, dans une des variantes permettre au Tabasco (attention aux ulcères) de raisonner dans le palais ou des moutardes de qualité ou alors les cornichons à la russe ou à la polonaise, mais aussi aux tomates de constituer comme certains agglomérés obtenus avec des branches d’arbres concassés ou broyées une des chair même parfois dure de cette viande de salade, moins [couleur] sang en ces verts prairies ou feuilles de salades, comme l’impériale roquette qui, pour les daltoniens, est rouges (d’où que ces tomates rouges soit parfois vertes ou d’autres couleurs puisqu’on en a trouvé autant d’espèce ayant des saveurs autant différentes allant jusqu’à celle des tomates cerises pour cocktails).

[68] En réalité de personnes qui essaient d’écrire, ce qui n’est pas mal en soi et même à encourager. Mais comme il s’agit d’enfants-gâtés, donc de devenus faussaires, leurs inscriptions ou leurs textes seront à comporter ce qui n’est à certains moments pas possible pour tous les points de vue scensés, ou ce qui peut être dommageable à cause des conséquences. En effet, l’enfant-gâté et celui qui ne fera pas attention à ce qu’il entend ou alors qui prendra pour nuisible tout ce qui pourrait l’empêcher de persister dans son être mal habitué ou enfant-gâté – c'est-à-dire celui qui est la victime d’au moins quelques préjugés (d’où qu’on comprenne l’absolue nécessité des études le plus loin possible pour réussir à comprendre dans quel cas on est si on fait bien d’être la victime du préjugé et de l’appliquer ou au contraire il convient de le proscrire).

[69] Notemment grâce au remarquable travail de Fénelon pour que les jeunes filles aient accès à cette chance autrefois réservée aux garçons.

[70] Forgé à partir de la notion italienne « di essere ».

[71] Vieille façon de s’exprimer, en fait = « alors que » / synonyme / variante actuelle médiévale ou romane.

[72] Ou « et ».

[73] J’aurais fini par mettre une note de fin de page à une virgule : c’était mon rêve / espoir enfant d’y parvenir, tant j’avais à dire, ne serait-ce qu’en reconnaissance, à cause / pour d/les petits classiques Garnier qui concernaient, entre autres, le Théâtre, en raison des notes de fin de page. Donc des bibliothèques entières à ajouter, peut-être même à l’occasion de chacune des ponctuations justes qui permettait donc de retrouver dans la lecture silencieuse à laquelle j’eus à m’adonner exactement le ton dans lesquelle ces phrases avaient été inscrites ou pouvaient être dites et leur sens exact, donc de déterminer toutes les anti-phrases qui furent hélas, l’Histoire l’a démontré, moins perçues ou comprises qu’en tant que telles, par ceux qui ne sont pas allés jusqu’au bout de leurs apprentissages de néophytes lecteurs / études et qui, a cause de cela, ne devinrent jamais rien d’autre que de la pacotilles ou des esbrouffeurs, comme de mimétiques plagiaires (hélas au mauvais sens de ce mot, puisqu’au bon sens cela a donné tous les grands aAuteurs) parasites et aux autres défauts (qui heureusement à force d’être impitoyable avec soi-même, selon les mots de l’admirable Pierre Lartigue, se corrigent au point de mener à la lumière alors qu’en raison de ces défauts obscurs auteurs in progress by the works). 

[74] Dont celle de l’enfant-gâté. En effet, disposé de cette machine c’est être parmi ceux qui ont à première vue un bonus que les autres n’ont pas. C’est donc être gâté. Le problème qui concerne depuis toujours l’enfant-gâté est celui du profiteur, au mauvais sens de ce mot. Il profite de son avantage et n’éprouve en égoïste aucune tristesse envers celui qui ne dispose pas de ce même avantage. C’est ici même l’origine de la maladie de [la] méchanceté qu’il n’aurait jamais attrapé sinon (il faut pour devenir méchant être devenu un égoïste, au mauvais sens de ce mot et non au bon). C’est donc bien cette notion de la propriété [mal acquise] qui est en cause ou la coupable. Mais ce qui est le plus grave c’est que celui qui hérite de la vieille salle des machines, en enfant-gâté, ne sait pas qu’elle est à l’origine mal-acquise (c’est en cela qu’il ressemblera à tous ceux qui acceptent des crédits de financements sans jamais se soucier si l’origine de la provenance de ceux-ci est légale ou possible en vérité (et non « possible » entre menteurs)). En effet, sa conscience et sa vigilance a été endormie par ceux qui ont voulu le gâter et qu’il a cru ses amis et qui n’ont plus qu’inconscience ensemble et par conséquent à cause de cela méchanceté, puisqu’ils iront jusqu’à croire possible utiliser ces instruments pour faire du chantage ou intimider et en cela se comporter dans le sens totalement contraire de ce que la fraternité exigeait. Ils le remarquaient eux-mêmes, ils n’étaient pas dignes de ces machines et ne ressemblent pas à ceux à qui on offre une automobile ou une moto et qui ne s’en servent que dans l’Intérêt Général, par exemple pour faciliter leurs déplacement pour aller au travail et être utiles avec. Non, ils ne l’utiliseront que dans le sens contraire : d’abord pour se faire plaisir et enfin pour le travail.

[75] D’où ça vient. C'est-à-dire la cause qui a produit l’effet à cause de la loi des conséquences.

[76] Les mensonges ou l’incohérence ne les embarrassent pas – ils ne croient pas qu’il y ait une réponse possible vraie car ils sont devenus des menteurs.

[77] Puisqu’ils sont de ceux qui savent qu’il n’y a qu’une véritable réponse possible ou alors plusieurs mais vraies chacune. Cela parce qu’ils ont conscience que c’est bien la logique qui mène le monde et non le mensonge ou le péché. C’est en cela qu’il y a donc existence de pureté, tandis que les autres seront devenus impurs à cause d’enfant-gâtés.

[78] En réalité elle sera vite des capacités de raisonnement du cerveau qui deviendra infertile au point parce qu’il a perdu l’accès à la conscience de proposer des mauvaises solutions ou des solutions indignes des êtres humains civilisés infiniment respectueux de la Vie et de l’altérité. Ce sont les solutions des égoïstes et des enfants-gâtés qui ne songent qu’à leur intérêt (en général en faire le moins possible, ce qui se traduira en architecture par des maisons toutes pareilles et ennuyeuses – aucune, des œuvres d’aArt ou des sculptures par-dessus le marché, mais des cages à lapin ou des boites à chaussure) à court terme, se débarrasser d’un travail le plus vite fait possible (et à première vue bien fait – aussi ils n’écriront que deux mots ou trois pour résoudre un dossier qui exigeait cependant des réponses à donner à chacun des problèmes inscrits et en cela deviendront aussitôt les ennemis de celui qui a pris la peine de leur écrire et donc du genre humain entier – ils se sont débarrassés des problèmes (en vue des plus importants que d’autres, ce qui est vrai mais qui leur fait oublier de régler les plus petits car facilement contentés d’avoir régler les grands) pour lesquels ils étaient pourtant payés pour les résoudre (tandis que celui qui les leurs a soumis, souvent l’injustement lésé : il n’aurait pas pris cette peine sinon) et vont donc ainsi mécontenter le peuple ou tous ceux qui savaient qu’il y avait eu réelle injustice – dès cet instant leur nom de famille n’est plus propre mais sale et à vomir par toutes les générations à venir et ces responsables, des enfants-gâtés en mourront dans les pires morts sans que personne ne les regrette jamais, puisqu’ils seront devenus comme chacun des enfants-gâtés les ennemis du genre humain et à cause de cela des usurpateurs aux postes qu’ils occupaient). Encore une fois cela ne concerne pas les véritables milliardaires qui ont été escroqués car ils devaient l’être des milliards de fois plus encore en raison de ce qu’il y a ces malhonnêtes qui le leur ont empêché, il s’agit de tous les faux milliardaires ou tous ceux qui sont confortablement assurés d’un emploi tandis que tous les autres aucunement et ayant à se donner du mal non pas en corrompus mais réellement pour gagner des crédits de financement propres (CFP).

[79] Conscients - qui savent par exemple que l’emploi du masculin ou du féminin comme l’emploi du singulier et du pluriel sont une/des convention(s) qui concerne[nt] la vérité relative propre à chacune des langues employées et qui s’est donc fondée, pour exister, sur des « à première vue » révélant que le bon sens existait, pour lesquels il y a eu concorde (permettant grâce à cela de distinguer, en effet, il y a des mots qui signifieront autre chose dès qu’ils changent de genre – catégorie - ) entre les locuteurs, au point regrettable peut-être de créer des certitudes qui sont devenues des préjugés gênants (d’autant plus qu’il y a eu la nécessité de passer par l’imprimerie pour publier, les ouvriers du livre ayant acquis des certitudes quasiment de correcteurs – souvent des préjugés en ce qui les concernait -  interdisant y compris pour faire des économies d’encre ou d’usure de caractères par exemple l’emploi, dans la même phrase d’un singulier et d’un pluriel (il fallait choisir dans un sens ou dans l’autre, ce que l’écrivain faisait alors, sans se faire prier en raison des peines incommensurables qui avaient déjà été les siennes – bien qu’insatisfait, on comprend qu’il ne voulait pas s’en ajouter d’autres – de toutes façons il s’adressait à des gens rares, les gens lettrés et parmi eux ceux qui comprennent aussitôt, à demi-mot, tout ce qui concerne ces conventions puisqu’il s’agit de gens d’esprit, donc aussi de personnes qui étaient scensées déceler les anti-phrases – en effet, l’apprentissage de la lecture et de l’écriture n’était réservé qu’à ceux qui s’étaient débarrassés de l’enfant-gâté, de l’adolescent et de l’égoïste, y compris dans les petites classes, puisque cela faisait intervenir des « précepteurs » qui sont des personnes un peu comme les véritables maîtres d’école, rarissimes en ces temps anciens (Fénelon) – évidemment à nôtre époque moins, mais il n’est pas sûr que les très véritables et vénérables ne le soient pas demeurés, rares – d’où ici qu’il s’agisse d’un métiers à revaloriser régulièrement, car sinon, il n’y aura que des faussaires à apprendre à lire et à écrire ou compter et non des personnes intéressées à permettre de devenir véritables grâce à ces métiers liés à l’Enseignement ou aux écritures et autres travaux permettant de sauvegarder son esprit). Mais cela a engendré une logique qui a le mérite d’être logiquement exacte, au moins du point de vue élémentaire et donc qui permettra à toutes les personnes primaires d’accéder facilement à la compréhension de celle-ci. Ce n’est que dans un autre temps, celui du secondaire, qu’elles comprennent qu’elles sont chacune à pouvoir jouer des rôles très différents et donc qu’elles ne sont pas une seule personne seulement, mais ont la possibilité d’en être plusieurs (de jongler avec des personnalités différentes), quand elles se donneront en spectacle sur une scène de théâtre ou au cinéma ou si elles sont contraintes à avoir plusieurs métiers ou responsabilités différentes (en général, cela requière de s’être débarrassé de l’enfant-gâté et de l’adolescent comme de l’égoïste auparavant, donc d’être devenu un adulte parachevé). Les voilà surtout à pouvoir jouer tous les rôles y compris ceux de méchants ou de bandits ou de malades divers et ne s’en privent pas, car cela leur permet plus facilement, grâce à ces rôles, alors d’analyser tous les éléments, les paramètres qui vont rendre malade. Aussi cela facilite pour eux, en toutes les époques de déterminer que c’est l’enfant-gâté qui est le danger. L’enfant-gâté n’est que rarement le prince ou le roi ou le tzar – jamais ou alors ponctuellement à des moments précis quand il est mal élevé (cela arrive donc enfant ou quand il était jeune, au mauvais sens de ce mot et tous le lui pardonneront d’autant plus que tous savent que c’est difficile de ne pas l’être – enfant-gâté - en ayant autant de droit à son nom), puisqu’il ne s’agit que d’un travailleur se sentant souvent coupable « d’avoir » (légitimement) alors que des gens n’ont rien, malgré tous les efforts de ces princes pour que ceux-ci réussissent à « avoir » un peu en échange des efforts (physiques ou autres – en effet, Beaumarchais s’est battu pour qu’on reconnaisse le droit d’auteur qui permet de gagner des CFP pour des occupations / activités qui ne sont plus uniquement de travailleurs manuels ou de main d’œuvre, mais normalement réservées aux intellectuels ou aux aArtistes – hélas, cela a profité aussi aux faussaires et aux tricheurs puisqu’ils voulurent se faire passer pour des aAuteurs alors qu’ils ne l’étaient pas encore mais seulement en voie de l’être) dont sont capables ces personnes quand elles sont bien dirigées et encadrées, par des ingénieurs compétents canalisant dans des projets d’intérêt publics cette énergie physique qui sinon pourraient être plus mal employée (soit par exemple à des fins de favoriser l’enfant-gâté – le terroriste, le réalisateur de virus informatique, etc. -  et donc avec lui la ruine générale, ce qui advînt avec napoléon et adolph hitler). Savoir ce qu’induisent ces conventions permet d’être plus souple, plus tolérant au point de n’avoir aucun problème en ce qui concernera des couples homosexuels (comme celui de Cocteau, par exemple ou d’un Yves Saint-Laurent) car la vérité en science n’est que très relativement liée à la sexualité. En effet, en raison de ce que la spiritualité est à l’origine de la venue de la parole et donc de l’écriture dans chacune des langues, la sexualité ou le genre, c'est-à-dire la catégorie à laquelle appartiennent les mots, soit masculin ou féminin, soit singulier soit pluriel, va être souvent confirmée par le synonyme qui appartenant au masculin alors que le mot de départ est au féminin trouvera aussi dans les autres langues, en raison de la logique inhérente / relative au fonctionnement et à l’architecture de ces langues, confirmation sur ce point : le genre ou le sexe des objets ou des concepts est donc une convention – cependant pour le singulier et le pluriel c’est plus complexe, car cela est fondé sur l’unité et la quantité, qui ne sont pas non plus sexuées : c’est le bon sens populaire qui permet partout de donner du crédit à cette notion de pluralité, dès que l’objet est multiplié. Donc c’est encore une fois le résultat de cette constatation (et dans ce mot il y a la notion de faire état : en disant vrai – car on y trouve le mot italien de « stato » qu’on retrouvera dans statistique comme pour le mot de Stato qui signifie Etat en Italie au point qu’on retrouve le mot anglais de State) que deux pierres sont plus qu’une seule – c’est donc ce qui va être pris en compte par les gens honnêtes pour rétribuer des efforts et donc payer plus deux fois le même effort au lieu d’une seule fois – ce qui importe pour/à tout le monde, c’est que la caisse remplie soit apportée à telle adresse et qu’elle arrive en bon état ou toujours la même ce qui se produira si elle ne reçoit pas durant le transport ou le voyage des modifications – (la notion de durée est donc liée à la modification ou à la métamorphose possible d’un état dans un autre) c’est donc aussi la notion de mouvement qui permettra de comprendre que durant ce moment où la caisse a voyagé, elle a subi des heurts ou des coups, au point d’arriver dans cet autre état. On compare les photos, celle de départ et celle d’arrivée, il s’agit de la même caisse devenue deux caisses différentes, au point qu’on pourra, avec un logiciel de métamorphose (morphing) comprendre ce qui est arrivé à divers moments pour cette modification (la modification est donc liée à la métamorphose ou à un changement) – il y aura eu plusieurs dommages et donc plusieurs caisses, même si c’est la même qui ne serait demeurée la même qu’uniquement si elle n’avait pas reçu de coups (par ailleurs ce qui était dans la caisse et qui était peut-être entrain de se modifier, comme des bananes, change en raison de la durée mais c’est prévu et se sont les même bananes qu’au départ qui subissent l’injure du temps – ici parce que l’exemple concerne le cas particulier d’un aliment plus sensible au temps qui passe que ne le sera un chargement de DVD ou de cassettes vidéo qui ne vont pas être sensible de la même manière au temps qui passe au point d’arriver les même qu’au départ : pas de modification à moins d’un accident – s’il s’agit d’aliment pour l’esprit, ce qui les fait être sur ce point comparable avec des aliments, la durée du transport ne fait pas comporter de risques majeurs à l’expéditeur ou à celui qui reçoit la marchandise – pour les aliments, au sens traditionnel, ils devront être vendus dans un temps réduit qui ne sera pas la même obligation pour le DVD bien que considéré par quelques esprits des contenants possibles d’alimentations ou de sujets pour l’esprit – c’est pour cette raison qu’on les aura inscrit avec bon sens comme des produits culturels et non de « l’alimentation générale », au sens de nourriture – en effet, dans la catégorie de nourriture on distingue celle spirituelle de celle alimentaire, qui permet au corps physique de faire fonctionner l’esprit ou à la raison de marcher quand l’esprit est sainement entretenu – bien nourri – d’où que c’est l’alimentation, la nourriture, qui soit essentielle (élémentaire) pour éviter de déraisonner – en effet, si vous donnez de mauvaises choses au corps vous aurez des problèmes de santé pour suivre en classe, mais si vous donnez de bonne choses à manger, vous serez plus vaillant à l’étude et au lieu de rechercher des choses mauvaises pour l’esprit, vous rechercherez de bonnes choses – l’alimentation est ce qui fréquentera vôtre intimité, la fréquentation ou ce que vous mettrez comme carburant dans le moteur – il est préférable de mettre de l’essence bien distillée que de l’essence frelatée ou de mauvaise qualité et ce sera pareil si vous buvez du vin : il vaut mieux en boire du bon ou du très bon que du mauvais qui était destiné à vous tromper). Aussi le langage, pour éviter d’avoir à donner des explications souvent trop complexes, simplifie et résume : on dira qu’il s’agit de deux caisses différentes, entre celle de départ et celle d’arrivée, et évidemment on entendra dire que c’est faux, car c’est bien toujours de la même qu’il s’agit – le malentendu est alors généré par l’absence d’esprit d’une personne qui ne songe pas qu’il y avait eu photo au départ et qu’à l’arrivée ce n’est pas de la même caisse qu’il s’agit. Il y en a un qui n’a pas essayé de comprendre ce que l’autre disait dans ce degré de résumé pour signifier, par exemple, que la différence entre ces deux caisses est un véritable scandale ou outrage ou sacrilège, dont est victime le propriétaire de cette caisse qui exige des réparations, car le service devait être assuré de façon à ce que cette modification ne se produise pas, à cause des biens qui se trouvaient protégés par cette caisse (d’autre part en la voyant arrivée démolie, il a eu un choc nerveux, voire a cru que ce qui se trouvait à l’intérieur était endommagé). Si ces biens n’ont rien, grâce à l’emballage de papier bulle ou de polystyrène à l’intérieur de la caisse, l’affaire est rapidement close (y compris le préjudice moral ou le traumatisme, car celui qui récepteur est souvent compréhensif – on le sait, durant un trajet, des impondérables peuvent survenir. Plus de peur que de mal) et n’importera à personne car de toute façon l’emballage était à jeter, sauf pour celui qui voulait récupérer l’emballage, il sera mécontent et peut porter plainte, ce qui est ici évidemment agaçant, pour l’enfant-gâté qui répondra que l’essentiel, le produit, qui devait être protégé, n’a rien et que par conséquent la requête de réparations pour le dommage n’est pas admissible, d’autant que la fonction d’une caisse est bien celle d’encaisser les coups et de protéger le contenu qui n’ayant rien de cassé avait donc été judicieusement protégé, ce qui effectivement n’étant pas faux, évitera à cette personne mécontente dès le départ de se plaindre (malgré la crainte que le pire soit arrivée en raison de la configuration de cette caisse), au point qu’après avoir déballé le chargement, elle a jeté la caisse sans regret, sans même songer à faire une histoire pour si peu (voilà quelqu’un de bon et qui aurait pu l’être beaucoup moins que cela). Pourtant, elle pourrait se plaindre de cette caisse arrivée en mauvais état (si par exemple le chargement est endommagé, ce qui on le sait donne droit à des réparations) au responsable de la Poste qui fera le nécessaire alors pour en avertir le responsable du trajet en question (comme à l’expéditeur) : en effet, sur ce trajet, il s’est passé des choses anormale : la caisse est arrivée dans ce mauvais état – peut-être n’a-t-elle pas état prévue assez épaisse par rapport au poids – aussi des questions seront posées pour déterminer de la responsabilité et s’il ne s’agit pas d’un manutentionnaire qui n’a pas jeté cette caisse ou malmené au cours d’un changement de véhicule les paquets. Une fois déterminé par l’inspection du travail, au lieu d’avoir de l’avancement, celui-ci, si c’est bien lui en cause, sera considéré comme une personne qui appartient encore aux inconscients ou aux irresponsables – il est certain que pour obtenir la promotion qu’il désirait, cela emploiera du temps en plus (il n’a pas donné les preuves qu’on puisse compter sur lui et qu’il évite de lui-même les accidents : bref qu’il est conscient – qu’il ne fait pas semblant ou n’a pas été envoyé pour espionner, etc.): non, il n’espionnait pas mais il est un débutant : il est celui qui utilise son pied avec les caisses, alors qu’on lui a fourni des gants (évidemment il y a des cas où il faut utiliser le pied, mais il ne s’agissait pas de celui-ci) – il est donc celui qui n’a pas encore le respect du client ou de l’autre, à qui la caisse appartient de droit. Il sera considéré un « je m’enfoutiste » ou un « fumiste » et si l’entreprise est en difficulté économique et doit réduire son personnel, le voilà parmi les premiers dans les listes de ceux qu’il faudra mettre à la porte si on ne décide pas cela sur le champ. En effet, cela peut arriver une fois ou deux que des caisses arrivent démolies, mais quand cela devient récurant sur le même parcours, c’est qu’il y a un problème quelque part sur ce trajet. Cela va coûter des CFP à l’entreprise de réussir à le déterminer et donc peut-être même l’endetter supplémentairement. Aussi le manutentionnaire, sans en avoir conscience, car il n’a pas encore la conscience mais appartient à la main d’œuvre (qui est payée en ignorant tout ce que cela signifie), coûte encore plus cher et est même devenu un problème alors qu’il avait la chance d’avoir cette activité. S’il s’agit d’une entreprise privée (dont les capitaux sont sur des économies que des particuliers ont gagné honnêtement (celles que les banques ont investi), le voilà à la porte, tandis que s’il s’agit d’une entreprise d’Etat, il va avoir une chance, voire plus que cela de conserver sa place, d’autant que sur les années qui viennent, il est supposé changer, et cesser de détruire les caisses, car les fonctionnaires de l’Etat, vont lui apprendre très gentiement / aimablement à mieux travailler ou plus respectueusement de ce qui lui offre cette activité (en évitant d’avoir fait de lui un malhonnête) – ils bénéficient du temps pour cela et de ce qu’ils se sont mis dans la tête que l’Etat peut s’endetter pour eux qui ont à former le personnel – ce qu’une entreprise privée (donc à capitaux familiaux ou sociaux d’origine privé) ne peut pas s’offrir comme luxe que rarement ou les plus riches – d’où la concurrence considérée comme déloyale entre les entreprises d’éEtat de celle qui sont sur de réelles compétences privées ou appartenant à des particuliers devenus travailleurs indépendants ou autonomes appartenant à leur entreprise comme à une équipe qu’ils veulent faire gagner (on les dit compétitives et à l’origine des progrès partout : de la richesse car quand le patron perd des CFP, tous en perdent, puisqu’il a intéressé l’ensemble de ses employés – en effet, si l’entreprise réussi ils auront des étrennes à Noël ou un peu plus de moyens financiers – mais si l’entreprise est en difficulté, le patron ne pourra pas leur faire de cadeaux). Aussi, vous devriez avoir plus de probabilités de trouver un mauvais serviteur dans une entreprise d’Etat que dans une entreprise appartenant à un individu (particulier) qui en est le patron et qui sait combien chaque chose dont il dispose lui a coûté comme peines parfois colossales ou incommensurables pour en disposer. Celui-ci ne pourra s’entourer que de collaborateurs les meilleurs et qui sont comme lui au courant de ce que signifie en absolue toutes les valeurs vénales, tandis que l’Etat réputé pour croire pouvoir s’endetter, ne se verra servi, comme d’autres institutions importantes, parfois internationales, que par les médiocres ou les enfants-gâtés (on les appelle des infiltrés et il y en eu dans l’Eglise comme dans d’autres grandes organisations) – on les dit ces mauvais serviteurs étant à l’origine des dettes des éEtats qui au lieu de devenir de bonnes affaires comme des entreprises privées qui font des bénéfices, sont dans le sens contraire à être endettés, par conséquent mal servis – mais on pourra découvrir que les dettes des éEtats ne sont apparues (ces derniers temps) qu’en raison de ce qu’ils furent rackettés par ceux qui disposaient du pétrole, soit des entreprises privées ou appartenant à des éEtats (Opep) qui en sont devenus des Eétats voyoux (donc appartenant à des particuliers n’ayant pas le sens de l’Etat (véritable) mais seulement de leur intérêt particulier (il s’agit donc d’usurpateurs ou d’imposteurs s’étant infiltrés dans les appareils d’Etat pour en prendre les commandes et mettre dans la honte à jamais les peuples qu’ils prétendent conduire – surtout pour faire de ces peuples les ennemis de ceux bien conduits ou bien gouvernés) – non pas l’intérêt de l’Ensemble et qui ne recherche qu’à s’enrichir lui seul et non avec lui l’Ensemble), donc en réalité les anti-Etats de l’Opep – ce qui rend donc moins possible d’accuser les serviteurs des Etats n’ayant pas de pétrole d’être les responsables de ces dettes – en fait c’est pour éviter d’égorger ces racketteurs (on sait depuis toujours que celui qui se comporte ainsi ne peut être en réalité que l’ignorant, au mauvais sens de ce mot et non au bon, (il n’y a que lui pour avoir eu ce sombre dessein de l’usurpateur à vouloir s’infiltrer dans l’appareil d’Etat pour être un faux chef d’Etat ou un incompétent) c'est-à-dire celui qui fait semblant ou le menteur – aussi personne ne veut avoir à devoir perdre son temps à faire couler son sang (à se battre physiquement) pour une personne ou des personnes qui n’en valent pas la peine – elle appartiendra à celles qui n’auront qu’à se réincarner dans les plus malheureuses, à jamais – elle l’a voulu et non les autres qui lui disaient la vérité – elle a préféré croire aux menteurs et penser que l’Etat pouvait servir à gruger d’autres Etats – elle est donc l’ennemie d’elle-même) et éviter la guerre qu’on a payé ces personnes (comme on se débarrasse toujours d’un racketteur pour avoir la paix, puisqu’il s’agit de l’ignorant ou de la honte incarnée, on le paie (c’est ce qu’on a toujours fait à ce qui ne sont que vilenie) – soit celui qui ne comprend pas qu’il créait les problèmes à l’Ensemble) qui sont en réalité de très sombres ignorants, au mauvais sens de ce mot – soit des égoïstes et des enfants-gâtés ayant cru possible, avec ce bon filon, se la couler douce et avoir la vie de château – ce qui est alors la vie d’usurpateurs et d’imposteurs ou de tricheurs ou de menteurs (dans cette situation) ou celle de personne non-réalistes qui ne sont en réalité qu’improductives (puisqu’elles profitent de la production de leur puits qui ne donnait ce qu’il offre qu’en raison des sciences exactes de celui qui conseille de mettre le prix du pétrole le plus bas possible au lieu d’utiliser ces puits qui ont été remboursés, dès les premiers jours d’exploitation. Aussi utiliser ce qu’ils produisent pour racketter et avoir la vie de ceux qui ne veulent pas se donner de peines pour aider leurs prochain, qui pourtant s’en sont infligés de nombreuses ne serait-ce que pour réaliser les plans de la solution élégante des puits eux-mêmes (ce qui aurait dû déterminer ces personnes une fois remboursés les investissements pour tirer le pétrole à en baisser le prix, comme tous les industriels qui plus ils augmentent la quantité produite, plus réussissent à en baisser le prix à l’unité à la vente) ou qui s’en donnent en supplément pour réaliser tant d’admirables choses grâce à de véritables compétences, c’est n’appartenir qu’à cette engeance d’enfants-gâtés dans la cécité et la surdité à tout ce qui est vrai et qui ne recherchent que ce qui est faux, suicidaires – ce qui est la honte de l’humanité) et à freiner tous les progrès y compris surtout les leurs et ceux de leurs enfants qui ne vont avoir entre eux que le mauvais esprit – Cependant obtenir la vie de château aurait été possible, mais uniquement légitimement, en raison de réelles compétences et non de vols/rackets effectués à l’Ensemble – il aurait été préférable d’offrir les puits et les réserves à l’Etat – d’autant que plus de cinquante pour cent des réserves mondiales m’appartiennent de droit pour en avoir signalé les emplacements d’avance (et d’autre part qu’on sait que les matières premières appartiennent à Dieu, c'est-à-dire à tous – par ailleurs cela appartient à l’empereur s’il sert Dieu ou l’Ensemble – aussi s’il utilise ces réserves de pétrole pour servir ses intérêts particuliers, il devient alors le faux empereur), de façon que riches collectivement de cette matière première, elle facilite, au lieu de devenir un frein général de l’industrie à cause des coûts qu’elle induit pour les transports à répercuter sur chacun des produits à la vente – en fait, il aurait simplement fallu faire ce qui s’est toujours fait dans le cas de la découverte d’une matière première abondante ou qui existe en grande quantité comme, par exemple, le sel : la considérer comme un bien collectif (un don de Dieu), dont il faut donner l’exploitation (comme les sources d’eau minérale) à des personnes honnêtes, sachant qu’en raison de la quantité pharaonique (importante) parce qu’elle ne manque pas (aussi le projet de Dieu était seulement généreux, tandis que quelques êtres humains en ont abusé), elle ne vaut rien ou presque, mais qu’elle est cependant nécessaire – il ne viendrait à personne de refuser le contenu de la salière à une personne qui trouve que ce qu’il mange manque de sel et cela est tellement vrai qu’à la longue malgré les distances de transport très importantes ou plus importantes encore que pour le sel, cela est ce que chacun pense aussi au sujet du poivre ou même de la moutarde (attention aux ulcères)– c’est donc qu’ici il est évident que ces produits devenus de première nécessité seraient gratuits ou presque, comme tous les autres y compris l’eau minérale, si le prix du pétrole baissait – tous y gagneraient au point d’avoir une idée enfin vraie de la vie de château, donc réelle et non de celle des malhonnêtes – les produits rares étant donc ceux qui continueraient à avoir un coût financier réservés aux personnes ayant acquis très honnêtement leur fortune – en effet, une vie assurée du minimum vital pour tous les terriens est possible grâce à ce que représente le pétrole comme activités et nécessité – ensuite viennent les compétences plus rares qui méritent plus de biens en échange car sinon personne ne voudra se donner du mal pour les acquérir – aussi tous les travaux manuels offrent cette sécurité qu’ils représentent pour l’emploi, en échange de quoi disposer du minimum pour manger, voire pour se loger – mais les voilà à devoir être organisés et il s’agit ici d’emplois plus difficiles y compris pour les gérer).

[80] Je ne suis pas pour la destruction des preuves que l’ineptie existe ou a existé. Au contraire, j’ai un côté grenier et aime conserver tout dans chacune des catégories y compris celle des péchés, d’autant que s’ils devaient disparaître, d’avoir été enregistrés permet de comprendre pourquoi ils avaient à disparaître ou pouvaient servir de point de départ à se réformer. En effet, ce qu’il y a de plus grave avec ce mal, c’est la complaisance qui mène à les réitérer et à ne plus s’en sortir : on est/tombe malade et on a des comportements de malades (c’est ici le plus drôle. Evidemment une fois qu’on est guéri. Aussi la conservation des inepties, leur archivage, permet aussi de déterminer quand elles le sont moins que cela, ou alors dans quel cas il s’agit réellement de cela, car il y a aussi des à premier vue ou entendus qui à leur sujet permettront de conclure qu’elles ne le sont pas seulement (en réalité c’est comme les microbes eux-mêmes qui sont étudiés dans chacun des cas par ceux qui se sont spécialisés dans chacun d’entre eux. Si on ne les avait pas aimé à étudier on n’aurait pas réussi à trouver le remède – d’où qu’il y en a qui feront rires certains de très bon cœur – mais voilà, si par malheur un espion est au courant, c’est bien pire que la mort qui arrivera à l’espion. Aussi il aurait mieux vallu qu’il s’en abstienne et c’est en cela que la curiosité demeure l’un des pires défauts et qu’il ne faut pas du tout la confondre avec la curiosité d’un esprit véritablement scientifique duquel découleront finalement tous les bienfaits comme cela fut le cas de la façon de travailler de S. A. I. SSS Lord. Jules Vernes et …). Elles peuvent aussi servir aux dessinateurs, aArtistes véritables à/pour proposer des remèdes et en cela c’est ce qui toujours advînt puisque malheureusement il y a ces répercutions de ce que la reine de la nuit a cru pouvoir squatter et s’approprier une planète qui n’était pas [uniquement] la sienne, mais véritablement appartient à toutes les galaxies et à tous les univers d’avance, mais chacun dans le bon sens et donc ne pouvant être qu’orchestrés en Vérité ce qui fait que les inepties sont soumises comme les meilleurs choses à la loi de la Quantité. Aussi il est difficile de leur donner de la valeur à moins de les utiliser comme une sorte de médicament ce qui a créé l’humour. Le Théâtre est plein de personnages qui sont la proie d’inepties et c’est en cela, comme dans le Grand Cinéma ou la Grande Bande Dessinée (le Neuvième Art) qu’elles permettent de créer des contrastes admirables.

[81] Mais devenus ignorants de ce qui est le bien ou de ce qui est le mal, les voilà à les avoir utilisé non-fraternellement, donc à s’être autorisé ce qui ne se peut aucunement fraternellement jamais et ce que les nouveaux propriétaires de cette salle des machines s’interdiront naturellement puisqu’ils savent ce qu’on a le droit de se permettre de faire et ce qu’on doit s’interdire. Ceux qui la restitueront étant assurés que ceux qui l’obtiendront ne l’utiliseront pas pour se venger non plus, puisqu’ils ont montré combien ils ont de la religion. Aussi elles ne serviront plus jamais pour faire des cauchemars ou pour contraindre en recherchant à intimider (d’autant que tous conviennent fort honnêtement qu’il faut avoir une activité pour gagner des CFP au moins avant d’avoir un enfant) ou à faire peur, mais dans un premier temps, elle servira à restituer selon un programme de prise régulière d’un médicament la vision d’Ôz ou d’Atlantide (ce qui est synonyme) et ce qui fait du bien, mais qui ne peut être restituée que sur un programme précis et avec des dosages de plus en plus importants, mais espacés dans le temps, pour qu’on s’habitue à cela, sans en subir à cause du trop important en quantité des effets de drogués.

[82] Au croisement, la croyance. Pourquoi ? Car c’est ici qu’on prend connaissance de directions possibles. Si vous ne croyez pas que ce qui y est inscrit est vrai, vous finissez effectivement par vous croire dans le « rien » et donc penser que ce qui a pris tant de peine pour être installé et rejoindre le hall d’embarcation n’est pas vrai. Pourtant comme vous devez prendre l’avion, vous ne pourrez pas manquer de penser qu’on ne vous trompez pas avec ce que vous prîtes à tort seulement pour un mensonge. Vous allez embarquer et l’avion existe. Aussi vous vous direz que vous alliez mal à croire que vous n’étiez pas dans le hall B, c’est que vous avez oublié à quoi servent les vérités relatives. Si vous ne nommez pas la flèche ou la direction vous serez à ne jamais apprendre à parler ni à penser, donc perdu puisque toutes les flèches mènent au même endroit qui n’a même plus de nom. Evidemment cela simplifierait les choses d’autant plus qu’on les fabrique grâce à la loi de la Quantité et le même pochoir génialement fait par celui qui eut l’idée des pochoirs le premier, une idée qui s’est vite généralisée. Mais voilà, la flèche que la direction marque vous ne la percevez que comme c’est marqué et vous êtes bien contraint de conclure qu’il n’y a pas « rien » puisqu’il y avait la direction pour rejoindre le hall d’embarquement. Vous y êtes assis en étant persuadé qu’il n’y a « rien », peut-être pour d’autres raisons encore plus mensongères car vous n’avez pas voulu vous donner la peine de lire ce qui était inscrit sur cette flèche et donc peu importe la destination, vous vous croyez chez vous (vous oubliez l’architecte qui a eu à dessiner les plan de l’aéroport, vous oubliez tout ce qu’il a fallu orchestrer pour vous offrir ce rêve ou vous êtes, dans l’aéroport à être autant persuadé que cela qu’il n’y a « rien ». Pourtant comment nommez-vous la chaise thermo moulée sur laquelle vôtre séant siège ? - « Rien » ! Pas sûr si vous comparez les couleurs qui y sont comme de l’émail à ongle luisant [ou verni à ongle] peint pour être ces sorte[s] de casques sur lesquels les gens attendent assis un peu différents que ceux d’autres lieux où vous fûtes et qui ne purent être pourvus de fauteuil ou de ces « comodités de la conversation » que grâce à la loi de la Quantité. En effet, il ne s’agit pas d’un des rarissimissimes fauteuils à un seul exemplaires ou deux que le frère de S. A. I. SSS Lord Giacometti et … a fabriqué de ses mains, ni que S. A. I. SSS l’impératrice Sérénissime Sarah Lipska a fait pour un décor ! Vous voyez il y a « rien » quand tout est pareil, standardisé, quand tous sont assis sur le même banc ou la même chaise. Tandis qu’il y a quelque chose, en raison de ce que ce mot de chaise peut donner à S. A. I. SSS Lord. Jean Bois et … une séquence admirable au Théâtre, quand il eut à la jouer lui-même après l’avoir écrite comme S. A. I. SSS Lord. Molière et … .  Il y a des chaises pour les patrons et des chaises pour les employés et vous êtes le premier à reconnaître un trône d’une misérable affreuse chaise. Et si cette chaise avait été défoncée, elle serait celle sur laquelle vous auriez évité de vous asseoir (il y a des probabilités d’avance en pourcentage importants pour ça, en raison que vous en seriez même choqué et que vous voudriez vous plaindre qu’elle y soit, réduite à cet état pitoyable de sculpture lamentable, pardon bancale – vous voyez-bien qu’il n’y avait « rien » - autre exemple d’anti-phrase). (A poursuivre, j’abrège)

[83] C’est ici qu’il n’y a vraiment plus de doute à avoir au sujet de cette loi sur la Quantité qui a touché comme le reste jusqu’à la matière première du thé et enfin le sachet de thé et les boîtes de thé. Hélas, comment voulez-vous distinguer deux grains de théïne différent dans tous les pains de thé (j’emprunte l’idée de pain aux agglomérés des pains de sucres marocains car j’ai eu à en acheter un ou deux avec S. A. I. SSS Florence Loewy) ou même des admirables Twinnings qui loin d’être seulement des baumes sont à illustrer parfaitement cette notion qui gouverne les matières premières dans les commerces et qui offrent tant de merveilleux voyages à ces personnes assises sur des admirables fauteuils, eux-aussi fabriqués en quantité importante en nombre, ce qui leur permet, avec les radios des mêmes modèles mêmes fabriqués en grande Quantité, en bénéficiant de cette loi de la Quantité, d’écouter ce qu’ils souhaitent dans l’éventail des chaînes/directions proposées. Vous vous voyez-bien qu’il y a autre chose que le « rien » car si ces chauffeurs étaient convaincus qu’il n’y a « rien », les cargaisons seraient à être passées au-delà des flèches à suivre ou des lignes infiniment plus longues que celles de Nazca et d’un autre genre (puisqu’il n’y a eu qu’à les peindre) au moins visibles de la hauteur où on est et qui les maintiennent dans les voies, hors des marges pour s’arrêter d’urgence, ces camions alors accidentés comme la chaise dans le décor – tant qu’ils ont cru qu’il y avait bien ce qu’ils voyaient, ils n’eurent pas de problèmes – ce n’est que quand ils ont oublié qu’ils étaient entrain de conduire la cargaison parfois précieuse qui leur a été confiée, qu’il sont sortis de la route – oublier qu’il n’y a pas ‘rien’, mais au moins se souvenir des paramètres qui mènent à un croisement vers la bonne direction à suivre, est la qualité minimale exigée. Les gens de Nazca n’ont pas représenté des zigzag ou des embardées, mais des sortes de croix ou lignes en diagonale qui se croisent, en X – à chacune de ces intersections un point : l’angle qui a pris chair au sol par des cailloux ou des pierres qu’on ne peut remarquer que mieux qu’en les survolant – aussi cela signifie que celui qui a fait très patiemment ces merveilles était capable de reconnaître chacun des cailloux ou des pierres (qu’il a dû organiser à partie de celles qu’il a trouvé peut-être comme sur Mars ou sur la Lune alors que seulement à quelques lieues du village de Nazca) et de se souvenir du plan qu’il avait dessiné, au point de créer, sans les voir, ces traces au sol en les déduisant en conformité et à l’échelle de ses plans – c’était Dieu lui-même qui est encore, par Charité à permettre à des personnes de gagner honnêtement des CFP en ayant le plaisir de voir l’œuvre parachevée alors qu’il est probable que de son vivant, l’homme de Nazca ne put jamais disposer de ce recul pour corriger là où il y aurait une erreur ou mieux à faire – comment fit-il pour se repérer ? Sur le sol, au sol tous les cailloux se ressemblent et chacun des grands animaux est à un endroit qui comme les galaxies est loin d’une autre, ne s’enchevêtre pas comme les lignes qui elles auraient cette fonction d’aboutir à des pistes se croisant – rien n’est possible sans le repérage géographique à plus ample échelle, ne serait-ce que pour revenir au village après ces travaux immenssissimes : il y avait un projet de mariage et toute sa vie il eut l’espoir que cela permettrait à ses enfants de voler – chacun avait un nom d’animal merveilleux et était une galaxie ou un univers lointain à atteindre – personne, personne n’aura les larmes qu’il faut verser pour pleurer ce qui advînt d’horrible et dont tous nous seront coupables – il est évident qu’il pouvait si on lui avait confié la vieille salle des machines éviter toutes les guerres du futur mais même ceux qui volaient ne comprirent pas – ils furent donc à jamais transformés en réincarnations abominables et si affreuses qu’à cette heure-ci chacune de leur âme est en route pour les ères préhistoriques d’où on sait d’avance que ce fut pour eux bien pire que les plus atroces fins comme pour ceux qui tirèrent profit de ces traces admirables ou des œuvres de céramiques Nazca sans songer avec une partie des gains à protéger les momies de la famille de ce génie à Nazca – pire en détroussant, en pilleurs de tombes, les momies de Nazca – ce qui arrivera à chacun de ceux qui crurent possible ces forfaits est la même chose que pour chacun de ceux qui recherchent en faux dentiste l’or des dents des personnes qui ont pu se faire soigner ainsi – s’ils ne versent pas tous ces cff, cfu, cfs, cfm ou ces sommes qu’ils n’ont pu obtenir qu’en corrompus à quelques uns des organismes véritablement charitables (et non de faussaires), leur âme est mal partie : pas dans la bonne direction ou le bon sens en tout cas, mais dans celle qui les mènera à n’avoir que d’horribles malheurs). 

[84] Ou la malchance car peut-être cette sorte de momie en souffre. Mais en tout cas, si elle a survolé Nazca a pu remarquer que les gens l’aimait bien, puisqu’ils créèrent ces admirables signes qui n’étaient visibles que de lui seul ou de ses semblables volant.

[85] Ainsi écrit ce mot a visiblement servi à se poser la question des « vendanges » ou du moins à réfléchir à partir du latin, du grec et de l’italien (vendemia). Evidemment il ne s’agit aucunement de ‘vengeance’ dans la ‘vendange’, mais il y a un risque avec l’alcool qui non consommé sobrement peut amener à se « veanger » au lieu que si plus sobrement consommé avec d’autres boissons, elles l’éviteront et éviteront que la société ait à intervenir en ayant parfois à devoir prendre le parti du profane contre celui qui est le plus au courant. En effet, c’est le profane qui est l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, et non la personne la plus instruite, et c’est pourquoi le Christ accepte la crucifixion, puisqu’il sait d’avance que le profane n’est que pécheur, donc uniquement et seulement constemment dans l’erreur à chacune des fractions de seconde de son existence, même quand il croit se comporter « bien ». En effet, le profane n’est qu’à faire semblant puisqu’il utilise la salle des machines pour espionner. Il triche et donc ne connaîtra jamais la vérité, mais seulement la fausseté et avec, son corollaire de malheurs – mais c’est le profane lui-même qui l’a voulu et recherché. S’il avait été attentif à tous les sens des textes sacrés, comme s’il avait essayé de comprendre ce qu’ils cachent, il aurait été le Christ ou du bon côté à préférer souffrir, plutôt que de s’abaisser ou s’humilier à devenir aussi criminel : jamais (y compris en pensée – évidemment, cela signifie que quand un chrétien se défend physiquement ou frappe, ce n’est nullement par vengeance mais en raison de Justice – ce qui est différent).

[86] De nourriture, par exemple ou autrement : de jeux permettant de développer des capacités comme des jeux éducatifs.

[87] C’est merveilleux de retrouver la phrase latine avec le verbe à la fin. Elles avaient donc été inscrites par les premiers auteurs latins modèles dits classiques en sacré.

[88] « Etant donné que » peut se dire par deux points. Ce qui a permis d’éviter dans les temps passés que ces caractères aient à être inscrits et à user ces lettres qui devaient en priorité servir à d’autres contenu de phrases. Aussi cela a contraint les gens à plus d’études pour accéder à des textes beaucoup plus travaillé que les miens puisqu’il y avait cette contraintes éditoriales liée aux imprimeurs soucieux de réduire les coûts. C’est pareil avec « puisque » qui fut remplacé par un point et qui a contraint des phrases a être plus courtes ou scindées, ce qu’il vaut mieux pour les gens débutant ou élémentaires sauf quand étant donné et puisque réapparaisse ou d’autres trésors de langue. En fait des ancêtres de liens hypertextes ou de laurYens car il s’agit d’un résultat, la phrase à partir d’une donnée qu’on a l’amabilité de rappeler, car celui qui lit n’est pas forécement au courant de vôtre référeant, ce qui est donc aimable et qui est en réalité le signe de l’addition +, car / puisque la phrase doit être un résultat exact (la preuve). L’écrivain ne peut le devenir que mathématicien, comme le mathématicien ne peut advenir sans l’écrivain (d’où les dDémonstrations … qui ne peuvent advenir sans une totale cohérence). Aussi le point au-dessus ( . ) aurait pu être un « car », un « puisque », un « étant donné », au point que ces locutions seront des synonymes de cette ponctuation qu’on retrouve en les diverses autres sciences.

[89] Mais comme c’est en liaison avec la notion de variateur, les voilà du minimum au maximum [d’ineptie] (Averel, à première vue pour ne pas déplaire à Joe). Ce qui a fini par les rendre sympathique à la longue (qu’est-ce que serait le monde sans les Dalton et le chien Rantamplan ?)

[90] Mais ici il ne faut pas confondre avec l’actuelle Egypte, une région ancienne, une nation qui est toujours le long du Nil. Aussi il s’agit de L’Egypte au sens métaphysique, spirituel, artistique, etc. : la hHaute-Egypte qui n’est pas la Bbasse-Egypte où sont ceux qui sont devenus des morts et qui ont triché. Donc tous ceux qui sont en enfer ou dans la nuit pour l’instant, tant qu’ils n’auront pas renoncé à utiliser, en devenus inconscients, par exemple les machines d’Atlantide / d’Ôz / … , tant qu’ils n’auront pas renoncé à espionner, tant qu’ils n’auront pas renoncé à pécher. Ils sont donc nuisibles à/pour l’Ensemble, par conséquent à eux-mêmes, à leurs enfants, donc impurs. Pourquoi ? Parce qu’ils ont perdu ce qui est absolument capital pour survivre et qui était dans la tête de chacun dès la naissance : la conscience, cela en raison qu’il y a eu des gens [le contexte familial ou social dans lequel ils sont nés, en fait l’entourage] qui se sont ingéniés (parfois même non pas méchemment ou même avec préméditation, mais surtout en raison d’héritage contextuel qui serait simplement une ou des mauvaises habitudes ancestrales dûes au départ à l’ignorance au mauvais sens de ce mot qui a conduit ces personnes à avoir leur esprit dans leur tête qui s’est [comme] refermé) à [les] faire oublier et à refermer le lieu où celle-ci se trouve, blanche et immaculée (qu’on soit de race blanche, de race jaune ou de race noire ou même de race métis, ce qui est en réalité tous au départ, car il y a ici le sens de ce mot qui varie au point qu’un enfant que vous auriez eu d’une voisine de la même race / espèce que vous est un métis ou même que vous auriez eu avec quelqu’un de vôtre ethnie (une cousine) et cela ira dans ce qui est le plus usuel ou habituel de considérer ce mot à propos des races, quand vous créez une couleur intermédiaire, qui est donc le fils / fille d’une personne d’une couleur avec une autre personne étant d’une couleur, à première vue décrites – cela est un procédé habituel / courant en peinture ou en cuisine : les sauces sont issues de métissages de races / espèces différentes, comme la plupart des couleurs qui ne sont pas celles appelées « primaires » / de base ou fondamentales liées à la notion de soustractif ou l’inverse). D’où que quand le Bouddha s’en est rendu compte, il a conçu des méthodes (par le travail et les efforts physiques) comme/pour la nécessité de la retrouver, ce qui s’est imposé aussi au Christ qui a compris et a réussi à le faire savoir, grâce à Saint-Jean Baptiste (et à cette notion de colombe qui est même devenu un prénom pour fille (utilisé en Corse, par exemple) Colomba ou même un nom de famille célèbre S. A. I. SSS Lord [Amiral] Christophe Colomb ) et cela a donné depuis le Sacrement du Baptême (au point qu’on comprenne qu’on ne l’obtient que quand on a réussi à arriver comme en Amérique (la Haute-Egypte) pour devenir une sorte de colon d’un nouveau territoire (c’est ici utilisé en Médecine pour signifier un lieu de passage, souvent fréquenté : c’est le l’intestin côlon – l’accent circonflexe, très important permettant de différencier à l’écrit comme à la lecture, cette notion qui signifiera ici « voyage des aliments au cours de la digestion » vers l’orifice anal qui permet aux espèces animales qui en sont pourvus d’éjecter ces substances rejetées ce qui a été compris pour quelques unes d’entre elles comme de marquer un lieu où elles déposent ce que leur estomac a produit, comme la poche qui sert à la vache pour ruminer les herbes et produire du lait, en fait on peut aller jusqu’à dire que les insectes colonisent par ces petits excréments la planète et c’est ainsi que la terre est faite de cela et que nous sommes donc le hôtes des insectes, cette Terre est chez eux depuis des millions d’années et ils l’ont produite en mastiquant en herbivores les feuilles des arbres à l’automne en se nourrissant de « substantifiques sèves » avec celles des herbes – aussi il y a plusieurs niveaux de colonisations et d’hôte ou de précédence en tant que légitimes propriétaires à qui Nous devons tous les bienfaits, mais le premier chez l’être humain sera la conscience qui permet de se rendre compte en vérité de ce qui est vrai et en vérité de ce qui est faux), ce Nouveau Monde qu’est en définitive le monde de la conscience (vous y trouverez tous les grands aAuteurs dans toutes les Sciences (de l'aArt) les plus précises dont, par ailleurs, la Théologie, la Morale, l’éEthique, etc. mais aussi les Sciences dures ou pures) – ce qui aura comme synonyme d’autres mots) qui célèbre donc le moment où un être humain a finalement retrouvé l’accès à la conscience (cela peut arriver au moment de la Première Communion ou alors de la Confirmation, d’autres sSacrements qui sont en liaison comme tous les autres avec le premier : le Baptème), donc grâce à elle, parfois, au Saint-Esprit ou du moins pour commencer à un esprit sain (ce qui est déjà ça de bon ou un bon point – aussi cela signifie qu’on ne pourra retrouver un esprit sain dans un corps sain que seulement ou en parti grâce aux très grands fondateurs des principales religions et par conséquent pour la plupart d’entre eux, (sauf le Bouddha, l’exception qui confirme la règle), uniquement grâce aux textes fondateurs de la Sainte Bible hébraïque – et les occasions de retrouver cet esprit sain seront nombreuses, au cours de l’existence humaine, puisqu’il y a de nombreux mots qui sont reliés à des étapes clés dans la vie de chacun, dont, par exemple, celui du « mariage » - ce sont les mots qui impliquent de grandes décisions et de graves conséquences puisqu’elles sont, si on attend des enfants sur plusieurs générations à devoir prévoir (en général on va se soucier d’une « maison » ou d’un « logement »: d’où qu’ils ont donné lieu pour chacun à la compréhension de ceux-ci (vastes chacun comme plus que des millions de bibliothèques – en minimisant - en nombre d’occurrences où ils furent employés dans la même idée du sens qu’ils ont depuis longtemps chacun officiellement), grâce à des cérémonies : celles-ci sont souvent celles d’autres que vous-mêmes, mais permettent donc de se rappeler que ces mots sont des étapes considérablement importantes, par exemple dans la vie d’une femme qui va, parce que nubile, avoir des enfants officiellement reconnus par le père de l’enfant avec lequel elle a décidé de fonder une famille, même si ce père devait vivre ailleurs – ici ce sont des arrangements et des décisions qui concerneront le couple (tout cela étant soudain très grave, puisqu’il y a en jeu des questions financières à cause qu’il faudra réussir à nourrir l’enfant ou même plus qu’un puisque souvent cela s’est passé) – il ne faut pas confondre des emplois du temps qui découlent des mariages avec ce qui a fait qu’on arrive à cette décision de l’officialité du mariage qui est totalement autre chose que l’officieusité – et cela le sera d’autant plus que les intéressés ne sont pas au courant de l’existence de la vieille salle des machines – et c’est pourquoi ce n’était pas une bonne idée de le cacher à qui que ce soit – bien sûr on se dira que c’est impossible de mettre au courant chacun de ceux qui naisse qu’elle existe, mais il incombait à ceux qui y avait eu accès de le faire savoir à tous ceux qui n’en savait rien – ne pas l’avoir dit a donc été l’acte le plus non-fraternel qui soit et donc l’inverse même de la fraternité, par conséquent ce qui a été à l’origine de la naissance de l’ineptie et avec les malheurs et la Bbasse-Egypte, c'est-à-dire ceux qui vont avoir entre eux la mentalité de profiteurs de tous ceux qui travaillent à des choses extrêmement complexes dont il est probable qu’ils n’aient jamais compris pourquoi puisque ces personnes avaient accès à cette vieille salle des machines (dont je n’ai obtenu la confirmation qu’elle existe que depuis deux ou trois mois vers septembre 2014 seulement) qui est pourvue de gadgets – aussi si ces gadgets sont utilisés n’importe comment et en dépit de l’existence de cette conscience, donc à l’inverse en inconscients, il est logique et normal que cela ait donné toutes les situations tragiques qui furent dûes à l’incompréhension entre d’un côté des gens raisonnables qui vivent avec tout ce qui découle d’exacte, de juste, de mesuré, de cohérent avec l’ensemble des sciences, des catégories et des religions et de l’autre des gens qui n’ont plus accès qu’à l’ineptie de ceux qui ont progressivement eu la disparition de cette conscience les menant à croire possible ce qui est tout à fait logiquement inconcevable, nuisible ou dommageable prévisible d’avance par tous ceux munis de conscience – donc de discernement – aussi il n’est pas étonnant qu’à l’aune de cette simple évidence cela ait fini par donner hHaute-Egypte et Bbasse-Egypte – mais cela est aussi relié à l’existence du variateur de la vision d’Atlantide ou d’Ôz et ceux qui furent au courant de son existence en raison de ce qu’ils eurent accès à la vieille salle des machines sont donc ceux qui n’ont plus que la lumière de « la sombre nuit », c'est-à-dire ce qui va caractériser des personnes devenues subjectives ne pouvant plus comprendre toutes celles qui sont d’une logique aussi implacable que celle des Einstein ou autres personnalité n’étant qu’à l’inverse d’elles très conscientes puisque très vraies au point que ce ne sera que d’elles seules que découleront tous les savoirs faire, tous les progrès, toutes les véritables connaissances et finalement toutes les richesses qui permettent de rémunérer la main d’œuvre, grâce aux économies ou en prévoyant sur les revenus qui seront possibles – tout cela n’est donc plus ici que la Haute-Egypte ayant accès à la Haute-Finance, en réalité par Charité pour l’Ensemble dont elle fait partie. Aussi le moindre espionnage aboutira dans tous les temps passés à la destruction systématiques de ceux qui n’avaient pas le droit d’espionner et qui ne se conduisent que non-fraternellement, même s’ils croient avoir la meilleure intention du monde vis-à-vis de celui qui est l’objet de l’espionnage – tout est alors permis en légitime défense contre autant de sacrilèges : toutes les pires armes, jusqu’à l’explosion du soleil car personne n’a le droit de s’approprier (à un petit groupe, pour un club) une salle des machines qui appartient / tenait à tous : il y a tromperie, etc. d’avoir cru possible une telle horreur ou un tel sacrilège vis-à-vis de ceux qui n’ont fait que donner des preuves que la fraternité ne les a conduit qu’à élaborer les plus admirables merveilles – aussi le péché et le sacrilège de ceux qui ont espionné ces grandes figures est si fort qu’ils se sont bien pire que damnés pour toujours dans les pires souffrances et les pires malheurs jusqu’à ce que cela cessera enfin et que ces jouets seront remis à la nouvelle légalité/légitimité qui ne sera nullement à les utiliser pour exercer un quelconque chantage avec, puisque cela est incompatible avec l’esprit (le vrai et non le faux) des religions ou de tout ce qui découle de ce qui juste ou vrai ou possible en communautés de sociétés toutes différentes ayant à vivre ensemble).

[91] On peut mettre un accent circonflexe en raison de la règle concernant forêt. En italien on dit « bastimento » pour navire ou embarcation et donc on retrouve ce « s » de foresta qui a permis cet accent circonflexe sur le mot en français. On retrouvera dans le mot de bâtiment la proximité avec le mot de bâteau.

[92] Mais voilà, le problème va se corser entre ceux qui ont l’intuition du sacré ou même qui ont accès à l’évidence des dimensions sacrées et ceux qui n’en ont plus d’aucune façon le soupçon qu’elles existent. Aussi d’un côté les Dix Commandements paraîtront évident ou acceptables (un bon compromis, de bons conseils à éviter de transgresser si possible et selon les situations) à suivre comme d’autres recommandations religieuses peut-être plus difficiles encore à suivre et de l’autre évidemment à transgresser ou même à considérer comme mensongers, d’autant plus qu’on aura pris l’habitude de les transgresser. Aussi voilà un écartèlement qui se produit contraignant à défendre ces Dix commandements (une sorte de base ou de socle qui a fondé la civilisation des personnes ayant à devoir vivre ensemble – en général avec la Bible en commun) en légitime défense et donc parfois à les transgresser y compris militairement – et voilà comment apparaît la distinction entre vie civile et vie religieuse, avec pour le profane la possibilité d’en souligner, à première vue l’hypocrisie (dont ont conscience les grands aAuteurs comme Molière, par exemple avec son Tartufe). En réalité rien de ces combats ne seraient advenus, si la salle des machines avait été rendue à ceux qui étaient religieux qui se seraient interdits de l’utiliser autrement que pour rétablir la vision d’Atlantide, voire simplement pour punir celui qui dérobe, ce qui n’est pas à lui de droit (mais pour cela, il n’y a pas besoin de la salle des machines. On le détermine autrement, étant donné que chacun sait honnêtement ce qui lui appartient de droit : c’est ce qu’il a pu acquérir lui-même (ou les personnes chez qui il vit) avec des CFP et non avec des cff, cfu, cfs, cfm ou cfcch). De plus, il est probable, qu’une fois la salle des machines rendue les questions financières deviendront moins importantes. C’est parce qu’elles est entre les mains d’uniquement profanes que cela est un danger pour l’Ensemble.

[93] En effet sur cette notion de l’à première-vue, c’est bien le fait que la vision d’Atlantide ou d’Ôz ou d’Eldorado ou du Paradis ou de Schtroumpf ait disparue qui a engendré cette notion elle-même. En effet à première vue les murs sont uniformément de la même couleur, les rochers sont uniformément de la couleur rocher ou les sols sont uniformément formés de gravier, ce qui est possible en raison de la loi de la quantité et de la rareté. Ils ne sont pas en or, mais en graviers qui coûte le prix auquel il est vendu en raison de cette énorme quantité de gravier qu’on trouvera et qui rend cette matière première ou seconde (si elle est produite) non rare et facilement à répandre par des travailleurs manuels qui, parce qu’ils sont en nombre immense ou en énorme quantité, ne peuvent pas être payés comme Pollock, quand il fait les toiles avec des action painting. En effet, ce que ces travailleurs manuels font n’a rien de rare ou d’exceptionnel et n’a pas engendré des coûts supplémentaires (qui sont portés sur les comptes particuliers de l’aArtiste) comme ceux que cet aArtiste a dû affronter pour réaliser ses toiles. Ils ont eu à verser ces graviers comme on ouvre un robinet d’eau et qu’on a à étaler de la pâte – soit une chose qui n’a pas exigé ces investissements financiers pour être maîtrisés et par conséquent n’être le propre que de personnes très rares (qui prennent donc des risques financiers personnels ou particuliers qui les engage eux-mêmes comme le devenir de leur famille).

[94] On n’en a pas la mémoire tout à fait exacte ni de la formulation (souvent complexe) – aussi il est souvent préférable de disposer d’écritures ou de notes (et d’intervenir à partir des communications écrites plutôt qu’orales – évidemment cela va nuire au côté spontané ou chaleureux de discussion et cela mène à la communication du spécialiste : il a étudié la question délégué par l’Ensemble et par conséquent réclame une rémunération, ce qui est normal – il ne parle pas pour mentir ou tromper, mais en expert – voilà donc ce qu’il vaut mieux sur la base de son expérience – et ce seront, à l’époque en question, les Dix Commandements qui apparaissent comme une œuvre d’art scensée ou nécessaire apparaît (un décret de salut public, une règle du jeu pour réussir à vivre ensemble. Soit ce qu’il vaut mieux) – elle induit en général un devoir de fidélité – mais bien sûr elle va avoir pour conséquence l’écartèlement qui existera entre ceux qui comprennent pourquoi cette nécessité et ceux qui ne le comprennent pas toujours aussi bien que les autres car en difficulté cérébrale, les premiers comprenant d’autant plus qu’ils comprennent que ceux-ci résultent d’une avancée considérable ou très importante depuis le Sacrifice d’Abraham, déjà considéré comme une avancée ou une solution élégante ou cette alternative pour éviter de sacrifier le fils – donc d’un point d’évolution de l’être humain devenu encore plus social ou donnant la preuve d’être à l’origine ou la conséquence d’un haut degré de civilisation : il se refuse donc à rejoindre les abrutis ou tous ceux qui ne tenant pas compte des avancées historiques ont préféré régresser et involuer, donc d’être l’ennemi de l’Intérêt Général véritable (de ne pas tenir compte des étapes et des acquis principaux que la civilisation a apporté – c’est alors que le fossé se creuse encore plus entre ceux qui ont évolué et sont à cause de cela d’un raffinement exquis en tout (en général la famille royale et la cour) comme ont perdu toute vulgarité et grossièreté au point de ne plus même avoir d’affinité avec le grotesque et tous les autres qui y sombrent corps et biens, mais en réalité dans pire que cela, puisqu’ils n’apparaissent plus partout qu’en sombre Dalton on Lontarins, soit à l’origine du comique ou du rire, s’ils n’étaient pas devenus très dangereux pour eux-mêmes, leurs enfants et l’ensemble car bêtes ou capables d’utiliser leur métier pour devenir nuisible ou profiter d’un pouvoir qu’ils auraient – celui d’avoir le droit de mettre des contravention à des infractions et de les mettre à des personnes qui ne les méritaient pas. Mais comment savoir ? Lontarin sait très bien qu’il s’agit de personne ne disposant que de très faibles rémunérations et pourtant va les pénaliser. Il profite de son uniforme pour assouvir une méchanceté dans laquelle il est et profite lâchement de ce qu’il représente la préfecture de police pour cela – c’est donc comme le prêtre qui profitera du pouvoir de l’Eglise pour interdire et punir et non pour interdire pour amener l’autre à comprendre pourquoi il vaut mieux s’interdire ce qui est à devoir s’interdire – cela va donner ici les personnes « comme il faut » ou qui vont trouver mal qu’une personne ait deux femmes ou qu’une jeune femme ait deux amants – en effet, il aurait mieux valu qu’elle choisisse et cela à cause de l’enfant qui n’a qu’un des pères génétiquement et non les deux ou même plus que cela – de le faire croire à la jeune fille est faux bien que l’enfant puisse se choisir plusieurs pères spirituels).

[95] Sur un autre plan chacun des métiers découle de l’intervention de l’esprit qui a permis de le codifier. Mais il y aura toutes les matières ou catégories plus spirituelles au point de permettre de comprendre en quoi elles sont en relation avec les religions.

[96] Or nous avons bien compris que la situation générale a mené à se tromper à propos des à première vue ou des à premier-entendu qui ne seraient pas issus de pensées exactes ou d’expériences menées scientifiquement, grâce à l’expérimentation (comme nous eûmes à la devoir mener au cours de ce Sacrifice christico-bouddhico, judaïque et … ne déplaisant ni aux gens d’Islam ni aux laïcs et profanes. Il s’est avéré être comparable à celui du Christ mais pour un couple impérial, ce qui a permis plus facilement de grands progrès – en effet, ce n’est que quand l’empereur se sacrifie qu’il réussit à comprendre Dieu et donc d’athée ou de laïc comprendre toutes les dimensions qui lui était interdites sinon en tant qu’enfant-gâté, adolescent et égoïste – ce qui le définissait avec sa bande de très vulgaires maître-chanteurs n’ayant aucune bonnes manières de civilisé, croyant pouvoir régler les problèmes sur des à premier entendu ou vu alors que la disparition de la vision d’Atlantide signale qu’il faut se méfier des à premier-vue puisque ceux-ci qui offrent des murs uniformément peints d’une seule couleur cachent la révélation du Paradis – l’heure n’est donc pas aux à premier-vue ou entendus, mais à tous ceux qui sont les plus élaborés – par exemple qui décriront sur une étiquette d’eau minérale les composants chimique de l’eau, ce qui attestera qu’il y a un autre niveau de lecture que celui à première vue et qui est celui des sciences de Dieu ou du très véritable Grand Architecte de l’Univers qu’on ne peut pas gruger puisqu’il ne vous à pas grugé y compris sur le prix des choses vendues : elles sont à ce prix en raison de ce qu’il y a ceux qui ont voulu tromper Dieu et le Grand Architecte de l’Univers sur cette planète et se comporter aussi non fraternellement que cela en escroquant avec l’augmentation du prix du baril de pétrole – les voilà un par un repérés par eux-mêmes s’étant désignés et leur famille y compris dans les Bourses du monde entier, puisqu’ils avaient fait monter le prix du baril de pétrole au lieu de le faire descendre – voilà les ennemis du genre humain et d’eux-mêmes, voilà les égoïstes au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui se sont appropriés une matière première en abondance qui avait été mise sur cette planète par ce dieu ou le Grand Architecte de l’Univers pour des raisons justes – voilà ceux qui sont les faux frères et les faux parents – voilà ce qui est intolérable et qui s’est lui-même puni puisque les réincarnations qu’il obtiendront seront en proportion du mal qu’ils ont fait).

[97] A l’heure actuelle, se permettre de parler sans avoir consulté les définitions dans les encyclopédies ou sans songer à se référer à un texte de spécialiste, c’est risquer gros, comme sa réputation dans l’avenir – heureusement que d’autres travaux, plus admirables, pourront permettre de la rétablir (mais il y aura tous ceux qui sont au courant de vôtre désir de fausser ou de ce que vous avez été faussaire et si vous n’avez pas alors le Saint-Esprit sur vous ou pensé à ce que cela soit admissible canoniquement dans un cas particulier qui le rendrait admissible, vous voilà à comprendre d’avance que si vous deviez avoir eu une statue de vous en bronze, elle sera déboulonné et le bronze récupéré (au détriment du travail de l’artiste qui avait peut-être fait du bon travail, aussi ce sera dommage car ce qu’il y avait de beau dans cet escroc n’était que l’aArtiste et non l’escroc – en effet, l’aArtiste voyait au-delà de l’escroc, comme Victor Hugo avec Jean Valjean et donc s’est donné du mal pour rendre beau ce qui n’était que laid) comme celle de lénine ou de staline partout ou celle de mao ou celle de chacun des imposteurs ou des usurpateurs car elles ne sont pas comme celle d’Archimède ou d’Aristote ou même seulement des représentations de Platon ou celles qui concerne au Walhalla les grands compositeurs de musique classique ou d’autres grands hommes au point d’être véritables en tout comme celle d’un Delacroix ou d’un Jules Vernes, des panthéonisables, comme Gustave Doré – et comme l’avait reconnu Jean Rouch, il s’agit de bien tristes sires : de vulgaires et « très minables » escrocs qui n’ont donc été servis que par des escrocs ou des faussaires, soit moins encore que la lie : ce qui ne sera jamais que méprisable en soi par l’ensemble du genre humain véritable mais surtout par ces personnes elles-mêmes s’étant mises dans cet état en ne voulant écouter que des menteurs au lieu d’écouter des personnes véritables – mais voilà, à première vue – j’ai vérifié – pour ces personnes devenues fausses, les personnes véritables sont des menteurs ou des faussaires – et c’est ici le tragique car elles sont persuadées d’être honnêtes elles seules – or, j’ai eu à vérifier qu’elles ne disposent plus des paramètres que les autres ont en tête et c’est donc comme si pour devenir faussaires, il leur manquait la tête – aussi les voilà comme Lontarin à appliquer des lois ou un règlement dont ils se souviennent et qui dans cette situation ne devait pas s’appliquer – ils ont pourtant l’idée qu’ils sont dans le vrai en raison de ce référant mais comme tout est obscur encore au sujet de ce règlement en liaison avec chacune des situations possibles, les voilà à faire l’erreur – et c’est pourquoi ils se rendent alors coupable de ce qu’il faudra perdre le temps à contester la contravention obtenue, en comptant sur la compassion d’un plus haut gradé qui versé dans les écritures manuscrites ou dans les situations décrites plus justement comme capable de prendre en considération ce qu’a représenté comme peine d’avoir dû perdre ce temps à la contester très justement (peut-être seulement pour des raisons financières compréhensibles), en supprimant la contravention aura ici bien agi – tandis que l’agent en question considéré pour toujours un âne – puisqu’il aurait dû être capable d’apprécier la situation au point de s’interdire la contravention dans ce cas particulier – la personne ne lui ayant pas menti – non, le voilà à avoir lâchement profité de son insigne et donc attrapera des maladies graves que les lâches obtiennent, puisqu’il a voulu être non fraternel, au lieu de rechercher le contraire, grâce à la chance d’avoir cette activité – en effet, il était assuré d’être rémunéré justement, donc pour apprendre à se montrer juste mais en a profité pour être injuste, ce qui le déshonorera comme Lontarin ou le faux-flic ou comme le maire de Champignac, soit le faux-maire – c'est-à-dire précisément celui dont la statue est intrinsèquement contestable – mieux que cela : doit être contestée car elle n’est pas une des très véritables).

[98] Justes, nous l’avons remarqué sur les bases de la loi de la Quantité et de la Rareté, de l’Offre et de la demande mais aussi de la concurrence comme aussi d’autres paramètres en fonction des cas particuliers (nous l’avons vu, ils interviennent comme plus haut pour le chargement de banane qui est différent d’un chargement de DVD – il en va de même de chacune des activités qui ont requis qu’elles figurent quantifiées ou décodées y compris en relation avec ces investissements de départ pour les maîtriser – aussi on aboutit à des sortes de moyennes, mais aussi en ayant à comparer avec d’autres activités – c’est ici qu’on s’apercevra que de nombreux grands patrons sont sous-payés y compris des présidents de république ou des gouverneurs ou des princes à l’aune de leurs responsabilités et cela s’il s’agit de personnes réellement compétentes).

[99] C'est-à-dire en réalité des tarés pour longtemps, soit des Lontarin ou des Dalton (une autre variante de la même espèce de malades).

[100] Et qui n’avaient plus qu’intérêt que pour le sale, le laids, ou ce qui est pourri : l’abject.

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