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Au sujet de l'abandon de la réhabilitation de la résidence Carmes-Polytechnique

- Copie à Madame la Maire du Cinquième Arrondissement Florence Berthout

 

CARE14

 

Merci François d’envoyer copie à Madame la D. H. B.

 

Merci Madame Sabine Lemire d’envoyer copie au Directeur Général de Paris-Habitat Stéphane Dauphin et au Président Eric Pliez.

 

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Cher Thierry, (Cher Dominique)

 

Permettez-moi de vous écrire comme à deux confidents, voire à deux amis.

 

J’espère aussi que vous avez passé de bonnes vacances avec les vôtres et vous remercie pour les informations ci-dessous.

 

Je n’ai pas eu le temps de travailler la musique pendant ces «  vacances »  car j’ai été pris par les plans sur la comète d’architectes qui, voulant profiter d’une aubaine municipale, proposaient de « réhabiliter »  les immeubles de la résidence -(nullement en ruine)- dans laquelle je vis.

 

J’ai eu à défendre les plans de l’architecte d’origine qui étaient/sont excellentissimes une fois qu’on les comprend[1] tels qu’ils sont après les quelques rénovations, depuis la construction de l’immeuble dans les années 30.

 

Ces architectes de notre époque -(dans leurs nouveaux plans)- détruisaient en grande partie les placards[2] et voulaient contraindre les locataires des appartements faits dans le même moule que le mien[3] à environ 73 kilomètres -(allers-et retours compris)- par personne de plus à marcher par an[4] et cela, qui plus est, le comble de l’incohérence, dans des habitations à caractère sociales! 

 

J’ai donc dû prendre la peine d’écrire pour éviter un tel sacrilège qu’ils s’apprêtaient à faire avec la complicité tacite des responsables / propriétaires et pire, des pouvoirs publics, qui en auraient été, une fois les travaux finis, les complices responsable[s].

 

Finalement après des tribulations les locataires ont voté » non «  à ce projet démesuré[5]  mais irrationnel, de réhabilitation[6] qui pourraient cependant déboucher sur ce que nous appelons de nos vœux: une beaucoup plus raisonnable, juste et sobre rénovation au cas par cas, comme j’ai pu, heureusement pour tous, en bénéficier avant mon installation fin 2012 à cette adresse[7] du 20 rue de l’Ecole Polytechnique.

 

Cela nous a donné l’idée de parfaire le Système en, si possible, créant une loi qui pourrait contraindre les propriétaires d’appartements et/ou d’immeubles à périodiquement[8], le cas échéant, avoir à rénover les biens dont ils sont responsables / propriétaires[9].  

 

La résidence dans laquelle je loge est loin d’être en ruine[s], par conséquent n’est nullement à réhabiliter cependant que des rénovations périodiques au cas par cas sont possibles, voire souhaitables, ne serait-ce que pour entretenir le Patrimoine plus en détail et pour des raisons bien évidentes de salubrité, voire de mise-à-jours[10].

 

Ces architectes avaient les yeux plus grand que leur ventre, sous prétexte que les réfections des espaces publics sont à réaliser[11] ils croyaient pouvoir tout modifier en changeant partout les places de l'arrivée de l’eau et de l’évacuation -(en prenant appui sur ce prétexte que cette colonne d’évacuation de l’eau et d’arrivée d’eau étaient de leur point-de-vue « d’experts »[12] mal placés, voir à placer de leurs point-de-vue[s] hélas arbitraire[s][13] autrement, pour obtenir les crédits financiers propres et mérités de droit[14] sous forme de contributions et/ou subventions étatiques pour réaliser les travaux modifiant très grandement, voire dans certains cas du tout au tout, chacun des appartements[15] et cela parce que ceux qui leur accorderaient ces crédits ne sont pas spécialistes de l’Architecture, donc en réalité tout ça par abus de confiance), ce qui alors contraignait effectivement à changer tous les plans, d’autant plus qu’ils réduisaient le placard à une armoire à balais. Au lieu de comprendre qu’ils avaient éventuellement plus sagement à se contenter de changer à chaque étage la colonne d’évacuation de l’eau[16] pour une autre plus récente / neuve sans avoir à tout casser en tout -(au sujet de cette évacuation et arrivée d’eau)- déplaçant et en respectant que les locataires demeurent sur place, en changeant de place au cours d’une plus sobre rénovation -(que nous appelons de nos vœux)- ces éléments indispensables, ils contraignaient -(en bluffant)- à des travaux pharaoniques parfaitement inutiles puisque cela -(quasi)- double le trajet pour rejoindre les -(W. C. le lavabo et la douche), toilettes où on se rend chacun en moyenne de sept à dix fois par jour et à faire perdre avec les placards des surfaces de rangement indispensables, voire très utiles.  

 

Si vous voulez en savoir plus sur cette aventure, j’ai publié mes divers courriers au sujet de ce dont 42 locataires et moi-même allions être victime à la rubrique »  Paris-Habitat «  sur la page  http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/accueil_lettres_a_personnalites.htm.

 

Vous verrez, il pourrait y avoir -[là]- matière à scénario -(histoire ou film).

 

Je suis content que ces épreuves soient derrière nous[17] car nous courrions droit au désastre. 

 

Ce que je n’ai pas compris c’est l’attitude des responsables principaux de Paris-Habitat qui au lieu de me faire un pont d’or[18] en me proposant un travail de Conseiller en Architecture[19] au sein de Paris-Habitat[20] ne m’ont fait répondre qu’une seule fois[21] en grande partie à côté -(du sujet).

 

Mais rassurez-vous cette arnaque -(abus de confiance)- ne m’a pas empêché cet été d’aller visiter avec ma fiancée Carnac -(ici c’est pour finir avec une note d’humour, car sans blague[s], ce fut le cas !), lieu admirable entre tous que, si vous n’avez pas encore vu, je vous conseille vivement d’aller le voir.

 

J’espère pouvoir venir aux répétitions cette année et trouver enfin plus de temps pour déchiffrer les notes des chants que vous avez la gentillesse de nous faire découvrir.

 

Mes meilleures salutations à vous deux et respectueuses à Susanna à qui je souhaite ainsi qu’à son mari et à vous deux une belle année avec notre chorale de Saint-Etienne-du-Mont.

 

Laurent-Marie Granier

 



[1] -(en ayant placé W. C. lavabo et douche à peu près au centre de l’appartement et non dans le placard à l’entrée, ce que ces « architectes » proposaient de faire)-

[2] -(malgré leur grande utilité démontrée et la justesse du lieu où ils sont placés)-

[3] -(dans l’empilement :)- au-dessus et au-dessous du mien, pour rejoindre les W. C., le lavabo et la douche -(placés autrement qu’ils le sont aussi judicieusement),

[4] –(alors qu’il s’agit dans certains cas avec les locataires de personnes âgées et/ou handicapées

[5] -(d’habitude je n’ai rien contre les choses mégalomanes, [il s’entend :] au sens positif de ce mot qui en a, hélas - [c’est ici un des exemples], du négatif dans d’autres SPOK –(acronyme d’exception de/pour les mots situations précises, occasions, cas particuliers -[car ici c de cas et p de particuliers = K de SPOK, soit l’exception en acronymes])-

[6] -(peut-être aussi en raison des peines que je me suis données pour faire comprendre que nous allions vers des cauchemars parce que ces architectes voulaient travailler en l’absence des locataires dans les appartements, donc voulaient nous contraindre à déménager -[de]- une année à trois ans -(selon leurs estimations)- pour uniquement se faire plaisir égoïstement et de manière arbitraire -(en inscensés - [insensé + incenséinscensé, voire inscenscé])- sans tenir compte des paramètres sociaux liés notemment à »«  la vieillesse ennemie »« à considérer, les en empêchant en conscience)-

[7] -(ce qui fait que mon appartement n’est plu à rénover, car parfait tel qu’il m’a été fourni)-

[8] -(toutes les dix à quinze années environ, [c’est selon selon], voir plus, dans certains cas)-

[9] -(ces rénovations, avec une part d'aide financière de la mairie concernée, et celle du Patrimoine, à la charge des propriétaires n’ayant évidemment pas à augmenter les loyers à cette fin - donc la part de subventions des pouvoirs publics devant être de 66% à 75%, voire seulement 50% s’il y a [eu] une trop importante augmentation du loyer -[à cet effet malgré l’interdiction])

[10] -(conformité - ce dont peut se charger une entreprise sans déloger les habitants)

[11] -(d’autant plus d’un sabotage dont nous avons été victime pour nous y contraindre)- 

[12] -(mais de ceux subjectifs, irrationnels, intéressés  -[au sens négatif de ces mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK]- et peut-être à cause de ça mensongés, du moins sur le plan de l’objectivité)-

[13] -(non pas à la recherche de la plus juste vérité en Architecture)- 

[14] -(C. F. P. M. D. – cet acronyme synonyme du mot d’ » argent «, donc mis-à-jour ce dernier -[ce mot d’argent])-

[15] -(sans hésiter -[avec cela]- à compliquer au maximum la vie quotidienne des occupants, alors qu’Architecture -[normalement]- sert au contraire : à faciliter la vie quotidienne, ce qui en vaut la peine) -

[16] -(qui se fait un peu vieille tandis que celle de l’arrivée de l’eau est encore bien neuve avec son compteur flambant neuf)- 

[17] -(vous pouvez comprendre qu'elles ont un peu gâché mes vacances)

[18] -(parce qu’en leur écrivant je les aidais bénévolement en les conseillant au mieux -[en grand inspecteur], parfois une de mes qualités -[car éveillé-par-acquis-de-conscience])-

[19] -(ce qu’un réalisateur de films doit être en raison de l’importance des décors dans ses films ; S. E. I. S. S. S. L. P. Jacques Tati l’ayant prouvé avec Tativille)-

[20] -(ou un dédommagement en m’offrant par exemple un des appartements libres pour y faire -(le loyer et les charges à la charge de Paris Habitat)- mon atelier de peintre - ce qui serait un dédommagement possible à l’aune du mal que j’ai eu à me donner et que je pourrais, s’ils le souhaitent, me donner pour eux à l’avenir -[donc en échange de mes si précieux conseils en matière architecturale, voire en échange de l’une ou l’autre de mes œuvres -[dont je pourrais vouloir me séparer pour Paris-Habitat])-

[21] -(malgré ces peines incommensurables que je pris méritant honoraires d’autant que cela, ils l’ont vu, leur a -(nous aura)- finalement en définitive permis d’éviter le pire et fait faire à tous des économies -(et surtout évité aux ouvriers de perdre leur temps en travaux difficiles tout-à-fait inutiles)- avec de plus sages et souhaitables réfections / rénovations)

 


 
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Laurent-Marie Granier,
Laurie Granier ou/et Laury Granier.

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Révision : 15 septembre 2021