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Octobre 2022

 

 

CARE 10

 

 

Cher Tristan,

 

 

Bonjour. Comme promis je vais essayer de vous décrire le procédé que j’ai inventé pour améliorer les enregistrements des sons et/ou des musiques comme vous avez pu avoir la gentillesse de le remarquer dans les deux vidéos (1 et 2) où de manière manuelle j’ai obtenu ce qu’à la longue j’ai compris pourrait intéresser la Musique enregistrée par le truchement d’un logiciel élaboré à partir des descriptions que je vais essayer de vous faire parce que je crois / pense que vous êtes peut-être capable d’en réaliser un -(de logiciel avec les personnes de votre génération que vous connaissez ou que vous allez connaître), voire sinon que vous avez dans vos relations un ou plusieurs informaticiens capable(s) de créer une application à fin de redynamiser les sons enregistrés qu’ils soient musique(s) ou pas car le procédé que j’appelle de nos vœux fonctionnerai en liaison avec les crêtes / pics des sons visibles sur la time line -(c’est pourquoi je vous ai ajouté deux images que j’ai trouvées sur Internet -(à propos d’autre chose mais qui permettent une meilleur[e] compréhension de ce qu’il faudra mettre en œuvre)- pour illustrer à partir de ces exemples cela et nous ferons comme-ci les lignes de sons qui y figurent au nombre de cinq étaient celles de l’une des vidéos des calanques qu’à l’heure actuelle vous avez peut-être [re]vues [?]).

 

J’ai aussi pensé qu’à titre individuel cela pourrait vous intéresser car vous êtes réparateur d’instruments complexes et d’une certaine façon agir comme je le fis sur les sons de musique(s) utilisé(s) s’est » réparer «, de manière à vouloir proposer comme objectif une forme de perfection acoustique qui, vous le verrez, peut avoir plusieurs degrés / niveaux de perfection avant d’être, si possible, accomplie totalement.

 

C’est pour que vous compreniez mon idée que je vous ai joint aussi un fichier son. Il est / sera important d’avoir accès à l’enregistrement de départ -(comme c’est le cas du fichier son joint – la musique que vous entendrez à partir de ce fichier est pour commencer un enregistrement / une proposition de départ)- pour comparer avec la piste son après traitement à ma/notre façon.

 

Pour cela je vous joins un fichier son que j’ai pu obtenir gratuitement sur le site pond5 -(il s’agit d’une musique dans le / du domaine public que j’ai donc utilisé[e] comme première musique dans la vidéo d’environ une heure vingt minutes): 

 

Vous pourrez dans l’un des derniers fichiers d’environ 1heure 21 minutes -(que je vous ai envoyés concernant notre repérage aux calanques de Cassis)- retrouver cette sonate de Franz Schubert. Pour cela je suis allé voir le générique de ce repérage d’une heure 21 - donc la musique du début de ce repérage- pour la comparer acoustiquement à celle que j’ai obtenue après traitement et qui se trouve dans cette version du repérage d’environ une heure vingt minutes des calanques de Cassis à Marseille, au début.

 

Pour faciliter votre comparaison vous pouvez d‘un côté écouter la musique de Schubert en première position dans la vidéo pour la comparer avec la copie du fichier original -(que je joins à l’envoi de ce message)- que j’ai utilisé en appliquant mon procédé pour le moment artisanal -(car j’eus tout à faire à la main mais c’est ce résultat qu’on pourrait obtenir de/sur toutes les musiques une fois converti ce procédé artisanal en logiciel / application). 

 

Il s’agit du fichier « n°044336323-sonata-minor-d-845-ii-andante «  que nous retrouv[er]ons sur mon bureau dans le dossier musiques gratuites et dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=QPQlzT2OPMk&t=4282s -(soit le repérage d’environ une heure vingt minutes)- vous le trouverez au commencement.

 

En effet ça commence par cette musique de Schubert, la sonate n°16  en A minor D845 … après le générique de début.

 

Si vous avez la gentillesse de comparer les deux musiques, celle du fichier que je joins -(donc l’enregistrement original de départ)- et celle que vous trouverez en début de vidéo, la version d’une heure vingt-et-une, vous comprendrez rapidement ce que je vous ai dit : c’est la nuit et le jour car ce que j’en ai fait -(de ce fichier de départ pourtant probablement réalisé par un profession[n]el)- est proprement admirable acoustiquemenparlant -(acoustiquement-parlant)- dans la vidéo, mais ce fut un très long travail chirurgical, cependant que ce qu’on obtient vous le verrez est génial, merveilleux de plénitude acoustique, vraiment beaucoup mieux que le fichier de départ de la musique dans le domaine public! Et c’est tout le long comme ça pour chacune des musiques utilisée[s] au point que les fichiers de départ proposés apparaissent avoir été mal enregistrés – ce qui n’est pas vrai car en réalité enregistrés d’une façon très pro -(en prévision du loudness possible pour tous les fichiers son avec chacun des meilleurs amplificateurs le proposant), mais beaucoup moins claire que celle que j’ai obtenue en travaillant note après note, accord après accord chacun de ces sons : de nombreuses journées de travail en avançant très lentement, et en ayant à recommencer plusieurs fois l’intégralité de chacun des morceaux pour passer de premiers stades d’améliorations à des stades supérieurs, donc par étape, par approximations successives en découvrant qu’on pouvait donc améliorer chacune des musiques sur au moins dix niveaux paliers de redynamisation ! Cela reste dans l’esprit des meilleurs virtuoses qui n’hésitent pas à répéter inlassablement pour se parfaire. On reste donc fidèle à l’état d’esprit des meilleurs musiciens : des chercheurs et passer leurs musiques par notre procédé augmente[ra] l’intérêt du spectateur qui bénéfice de cet instrument pour améliorer qu’est l’ordinateur quand il se rend capable d’appliquer comme une sorte de filtre avec ce procédé. L’orchestre, vous le savez parfois rassemble de nombreux instruments. Avec l’ordinateur c’est un nouvel instrument, un instrument de plus qui permet d’améliorer encore plus que d’appuyer sur la touche loudness qui sur les chaînes stéréo fait déjà gagner quelques décibels – que je sache, (mais je puis me tromper), ce loudness n’est pas possible avec/sur un ordinateur ou/et un poste de télévision à moins de brancher ce poste de TV sur une chaîne stéréo –(ce qui est théoriquement possible – mais le faisons-nous ?)- disposant de ce bienfait de la touche loudness – ici une recherche s’impose pour savoir comment, sur internet on a pallié à ce manque de la fonction loudness – si c’est le cas – est-ce que tous les lecteurs de fichiers son proposent la touche loudness ? Peut-être le savez-vous, cher Tristan ?)

 

Vous comprendrez que j’ai eu à tout revoir note après note, accord après accord à partir d’une méthode qui plus j’y travaillai plus s’est affinée et a finalement donné la bande son -(de musiques)- que nous avons, en ayant à m’y reprendre plusieurs fois -(donc en plusieurs étapes).

 

Je vais essayer de vous décrire -(ce que j’aurai préféré vous montrer - mon procédé - à l’occasion de votre visite dans mon quartier et cela en utilisant le logiciel Da Vinci Resolve 17 que j’ai utilisé pour ces derniers montages d’images tournées à Cassis et dans ses alentours)- quelques-uns des paramètres de ce qui pourrait devenir un logiciel.

 

Mais ici –(à ce point du message)- j’ai décidé de faire une recherche internet, ce qui a été rendu plus simple avec la notion que j’y ai découvert de « normalisation » de l’audio -(que j’ai pensée un peu autrement que celle qui est présentée déjà possible / faisable car on pourrait – avec mon procédé – » normaliser « en mettant la barre plus haut pour obtenir ce que vous pourrez juger à vue d’oreille[s] à partir de la musique de départ enregistrée) :

 

en effet si on prend les points les plus haut de chaque son -(les pics)- nous pouvons vérifier -(comme dans la première image ci-dessous)- qu’il y a des notes plus fortes que les autres -(au point que vous n’êtes pas sans savoir que pour trouver le bon niveau d’enregistrement -(soit celui qui est représenté ci-dessous), on doit avant de commencer un enregistrement, choisir le bon niveau –[régler l’intensité, voire l’intensification, soit le niveau d’enregistrement]- de manière à ce qu’une fois enregistrés les sons les plus forts ne saturent -(ne sortent pas des gradations rouges des vu-mètres)- et/donc ne soient trop forts. On sait qu’il convient de ne pas aller dans la zone rouge des vu-mètres car sinon il y a danger de restitution du son trop fort).

 

Par exemple si vous regardez dans l’image ci-dessous au début de la time-line les deux premiers sons, parce que le réglage aura été bien fait pour enregistrer à cause de ce premier son [le] plus fort de tous, la pointe (le pic) lié[e] à ces premiers sons touche le moment où, si ils dépassaient à cet endroit, nous obtiendrons de grandes probabilités d’avoir un son beaucoup trop fort tandis que là où se trouve ce pic ou la sorte de » v « inversé se mirant en symétrie dans une autre sorte de v probablement à cause de la stéréo -(cette seconde piste), notre pic ne dépasse pas ni en haut ni en bas -(mais nous sommes arrivés – on le voit – au maximum possible : nous sommes certains que nous avons trouvé pour l’enregistrement des sons qui suivent le juste niveau d’enregistrement des premiers sons les plus forts car pour ces sons les plus forts, cela ne dépasse pas le point ou sinon -(si ça dépasse)- le résultat sera un volume beaucoup trop fort, courant de sérieuses probabilités de saturer ! (Je vous prie de m’excuser dans ces descriptions peut-être un peu maladroites, voire difficiles à comprendre, cependant que vérifiées justes / bonnes / à propos).

 

Cependant que je vous demande de regarder les notes -(sur la portée de ces deux premières lignes)- qui viennent ensuite : le niveau sonore de la note suivante, la deuxième / seconde, est, si on le compare avec la première note, tout petit puis pour le troisième accord -(ou note ou/et son)- le pic se situe bien au-dessus de la petite note, la seconde, suivant l’accord -(la première note)- où le pic touche le sommet de la piste -(est visible sur toute la largeur de la piste).

 

Mais cette troisième note ou accord -(nous ne savons pas au juste de quoi il s’agit c’est pourquoi nous l’appellerons aussi » son  «)- est plus faiblement enregistré -(sans que l’ingénieur du son ne s’en soit mêler : l’enregistrement a continué avec les réglages de départ de manière à éviter que les sons trop fort ne soient beaucoup trop fort au point de saturer)- que le premier groupe de sons, c’est-à-dire que le pic de cette troisième note -(ou accord ou/et son)- se situe à mi-chemin entre la note la plus forte -(le premier grand V du premier groupe de notes)- et la quatrième note -(ou son)- qui est un peu -(a un peu l’aspect de)- comme la seconde / deuxième note, cependant que sur la seconde ligne -(celle du dessous)- on remarquera que ce quatrième son est plus fort que le second qui ressemble -(pour ce qui est du niveau du volume)- au cinquième son, beaucoup plus faible que la quatrième note -(sur la seconde ligne, la voie gauche ou droite, [peu importe ici de le savoir exactement]).

 

Aussi si on regarde ces deux voies, il y a entre chacun des pics de ces sons une ligne qui correspond à un temps parfois plus allongé qui nous évoque un volume de moindre importance. Il s’étire ou s’allonge par exemple après le second son -(accord, note)- jusqu’à la troisième note et dans l’image suivante -(le grand encadré reproduit après le premier grand encadré ci-dessous)- nous avons une idée -(par la représentation des lignes enregistrées soit la mise en image du son)- de ce que d’habitude cet étirement représente en détail.

 

Même si ce n’est pas de cet étirement de quasi silence -(en tout cas de sons faibles)- dont il s’agit dans l’image / capture d’écran suivante, il s’agit de l’agrandissement de ce qui s’est produit comme volume de son comme cela serait le cas dans l’image ci-dessous si nous nous étions intéressés à ce qui se produit entre le second son et le troisième que ce soit sur la voie droite ou la gauche.

 

Et nous reparlerons -(ultérieurement)- de cette qualité de sons -(faibles)- entre les notes -[ou accords ou/et sons]- plus loin car nous avons à parler de la différence de ces sons qui représentent vue depuis les satellites que nous sommes une sorte d’enfilade d’avions de plus ou moins grande portée qui sont au nombre de huit après les deux premiers sur la première ligne tandis que 9 sur la seconde -(au dessous)- le neuvième étant un tout petit son de rien du tout dont le volume du son est dans l’état actuel peu perceptible et avant lui il y a une ligne très fine qui rejoint l’arrière d’un avion -(vu d’avion ou depuis un satellite)- tandis que sur la ligne au-dessus, la première, le fil qui sort de l’avant du huitième « petit avion » est long car il englobe le neuvième élément qui lui aussi a disparu bien qu’on perçoive un petit peu sa présence mais écrasée, agglomérée à cette ligne qui aboutit comme sur la seconde ligne à l’arrière des ailes du dixième élément qui lui aussi est précédé par un son faible comme c’était le cas après le premier élément de la seconde ligne.

 

Nous avons eu à décrire ces sons qui mènent dans le premier long rectangle noir du haut au dixième son, puis au onzième son précédé du douzième précédé sur lui-même par le treizième qui se poursuit sous forme de ligne -(du Temps, cette ligne !)- au  quatorzième son qui colle avec le quinzième qui arrive dans l’arrière d’un seizième menant au dix-septième qui est, lui, un son tronqué car il est minuscule -(en bout d’encadré)- comme est placé en fin de ligne encadré -(la première time line – sur trois - entourant de manière rectangulaire et noire les deux lignes de son)- parce qu’il continue à l’extérieur de cet encadré concernant des temps précis probablement continuant au-delà de ce qui nous ai montré -(il s’agit donc d’une succession de détails arrêtés).

 

Probablement si ce que nous voyons représenté était en état de marche ces deux lignes – si ça marchait – avanceraient et nous verrions alors à quoi ressemble ce dix-septième son dans son intégralité. Mais ici il s’agit d’une photo -(et non d’une vidéo d’une time line aussi complexe qu’elle serait [alors])- et nous devons nous arrêter à ce que nous voyons -(ce qui est une chance pour simplifier notre projet).

 

Cher Tristan vous remarquerez que ces deux premières lignes de cet encadré rectangulaire allongé qui en présentent deux autres ensuite un peu différentes -(quant aux formes de ces lignes dans le second encadré rectangulaire de time line)- sont suivies d’une autre ligne, seule[,] dans le troisième encadré dans lequel il n’y a pas de seconde ligne -(probablement, celles-ci, pour assurer / suivre la stéréophonie), ce que nous avons dans les deux longs rectangles au-dessus de ce long rectangle au centre duquel il y a cette cinquième ligne de sons dont les éléments symétriques tout-du-long aboutissent à un son à l’extrême droite dont la représentation sur cette ligne est beaucoup plus grande que tous les sons précédents dont les représentations sont plus ou moins petites en formant cette succession de moments -(notes ou accords, en tout cas de[s] sons !)

 

Sur cette cinquième ligne nous allons compter les notes / accords / sons en nous basant sur les pics. Ces notes / accords / petites successions de sons regroupés et de différentes intensités sonores sont au nombre de 33 voire moins si on ne compte pas l’un ou l’autre d’entre eux comme j’ai cru devoir les compter -[en me trompant sûrement] – en fait ils pourraient devenir plus nombreux si on tient compte des notes entre les petits pics. Aussi le chiffre total de ce nombre de note est plus ou moins 33. Il pourrait même désigner le double, voire plus !

 

Mais disons / admettons que dans ce troisième encadré il y a donc aux environs de 33 petits groupes de sons qui à cause du 34 ème élément apparaissent faibles comme nous sont apparus faibles dans le premier encadré le second son, le quatrième et les suivants jusqu’au dixième un peu plus faible que le premier -(mais on peut y voir entre eux le seizième son –[l’avant dernier, car le 17 est celui dont on ne voit qu’un tout petit bout à son début], cependant je crois que c’est le sixième qui entre le premier et le dixième son est en troisième position, celui qui est en seconde position étant le troisième. Peut-être aura-t-on à vérifier un peu plus que ça car c’est difficile : il y a de nombreux sons qui se ressemblent -[quant à leur taille]- à partir du troisième dans le premier encadré rectangulaire allongé de la première time line).

 

Nous constatons que dans le premier encadré nous avons des sons qui ont des formes de flèche(s) ou de volant, voire d’avions du genre Concorde -(le premier son), tandis que dans le troisième encadré on dirait, si on mettait ce son à la verticale -(et non à l’horizontal comme il est / c’est le cas)- que nous avons comme une succession de pied de bilboquets sur une même ligne ou alors la forme de bobines voire de montant de lit à baldaquin, voire sinon pieds de lampe plus ou moins ventrus empilés les uns dans les autres jusqu’à ce moment où le son est alors la représentation d’un son dont le volume est très fort et si nous regardons à 90 degré[s] on dirait avec ces derniers sons, les 34 qu’il s’agit d’une coupole surmontée d’une flèche, posée sur une sorte de piédestal qui est/sont le[s] son[s] le plus fort de toute la cinquième ligne. 

 

Au centre, dans le grand rectangle noir du centre, nous avons des sons différents de ceux du premier encadré et différents aussi de ceux du troisième encadré rectangulaire fort long. Ils sont néanmoins composés de parties qui ressemblent à la ligne de son 5 dans le troisième encadré de time line.

 

Nous y reviendrons -(le moment venu).

 

Voilà donc sommairement décrites ces lignes et ces formes sur ces lignes et celles de cet exemple – vous verrez – ressemblent aux formes que j’ai pu travailler dans le logiciel de montage Da Vinci Resolve 17 dont je me suis servi pour mes vidéo-repérages des calanques de Cassis. J’ai utilisé des sons dans le Domaine Public proposés par Pond5 -(or ce que j’en ai fait est un tout autre enregistrement : c’est une autre création : une autre musique bien que cela soit la même musique de départ car il s’agit de cet enregistrement passé à la moulinette de mon procédé que j’ai, en artisan zélé, appliqué systématiquement à l’enregistrement entier -(en m’octroyant parfois des libertés de le faire ou ne pas le faire en fonction de la forme d’une note ou d’une autre. Il y a donc une marge de manœuvre pour se faire encore plus plaisir acoustiquement -(et c’est ici qu’intervenait la touche loudness dans les meilleures chaînes)- mais tout cela est basé sur de la logique aussi on peut imaginer avoir à sacrifier cette marge manœuvre pour avoir une sorte d’égalisation dans cette nouvelle façon de » normaliser «).

 

Vous aurez peut-être noté que j’ai employé dans le générique de fin et/ou de début de l’une des deux dernières vidéos que j’ai co-produites et réalisées, (celles des trois calanques), le mot de » redynamisé « , voire celui de » retravaillé « au sens de » remasterisé « au sens de » [ré]intensification « qui parfois peu signifier » éblouification auditive « -(ce » jour « dont j’ai parlé plus haut)- et nous le constatons au sens positif de cette expression.

 

En effet voilà comment j’ai procédé mais je dois avertir que cela s’est fait en plusieurs fois à l’occasion -(à chacune des fois)- de révisions -(de CARÉ(s) – soit l’acronyme de corrigé, abrégé, augmenté, relu, élaboré)- de ces nouveaux montages.

 

Je vais vous faire comprendre comment j’ai procédé pour obtenir les sons des musiques que vous avez pu découvrir dans les deux nouvelles vidéos qui s’ajoutent aux deux plans séquences des neuf calanques de Cassis vers Marseille et au montage n°1 en plus de 66 plans du premier repérage de ces calanques le premier soir à Cassis quand nous avons pu rejoindre le cap Canaille pour nous y baigner après avoir découvert les trois premières calanques en bateau motorisé électriquement -(donc ne polluant pas – [j’écris ici aussi à ma fiancée pour lui rappeler ce qu’elle a contribué à nous/nvous -(nous + vous = nvous et dans d’autres cas vnous)- offrir]).

 

Dès que je remarquai sur la bande son de la musique -(importée comme le fichier de l’un des média sur la time line de montage)- que le son était plus faible que les sons enregistrés les plus forts, je m’arrangeais pour couper avec l’outil lame-de-rasoir de Da Vinci Resolve 17 avant le son des notes -(de la musique)- plus faibles que celui le plus fort.

 

Aussi si je devais le faire entre le premier son de l’encadré n°1 -(en haut – ci-dessous)- et le second son – imaginez-le - SVP – cette coupe avant ce second son sera suivie d’une coupe avant le troisième son et ainsi de suite jusqu’au derniers sons sur cette time-line -(même si je crois nous aurons évité de trop couper en traitant d’un seul tenant plusieurs sons de quasi même intensité :/[comme] du troisième son au dixième à l’exception du neuvième. En effet nous allons pouvoir les traiter globalement ensemble[s] car ils sont plus ou moins au même niveau les uns et les autres au point de ressembler entre eux par leur[s] taille[s])- cependant que vous avez noté – bien sûr – que chacun de ces sons qui se suivent sont plus ou moins intenses au sens de forts -(le volume) -(soit qu’ils sont présentés ayant cette forme parce que l’ingénieur du son, voire il s’agissait peut-être d’un amateur, a/ont choisi à l’enregistrement d’éviter que cela sature : que les sons les plus forts soient trop forts -(il s’est/se sont donc basé[s] sur les sons les plus forts – du genre du premier- pour son enregistrement et ceux-ci, nous l’avons vu, concerne le premier son, mais aussi le dixième et le seizième).

 

Aussi cela signifie qu’il a dû avant d’enregistrer, par exemple au cours d’une des répétitions préalables, être attentifs aux pics des sons les plus forts pour décider que ces sons les plus forts n’aillent pas à l’extérieur de la bande son -(soient dans le rouge -[sur les vumètres]- au point de les perdre mais surtout en nous évitant de nous assourdir)- et que leur pic reste visible sur la time line représentant la largeur de la bande où sont/vont ces enregistrements.

 

L’ingénieur du son a en quelque sorte indexé tous les sons / toutes les musiques à enregistrer en fonction des moments les plus forts -(dangereux pour les enregistrements qui peuvent être ratés si ces sons les plus forts amènent les aiguilles des vumètres au-delà du rouge –[en général la couleur proposée pour/dans les vu-mètres pour la zone critique d’enregistrement], au plus haut ou au plus loin –[sur d’autres vu-mètres] –[même si c’est malgré tout parfois possible un tout petit peu sans danger. Ici ça dépend de l’ingénieur du son car comme vous le verrez celui qui a enregistré la musique que vous trouverez dans le fichier joint ne s’est pas permis de dépasser du côté du rouge tandis que moi en retravaillant ces sons je me le suis un tout petit peu permis dans les limites du raisonnable mais en évitant que mes vumètres ne le soient de trop –(dans le rouge)])- et c’est pourquoi nous avons ce résultat avec les sons les plus forts apparaissant les plus grands, les représentations de ces sons collant à la limite extérieure de la bande son comme en symétrie à la limite extérieure du bas de la bande.

 

Les autres sons, plus faibles, nous apparaissent plus faibles parce qu’ils sont plus faibles que ces sons les plus forts et nous les avons décrits pour le premier encadré comme pour les autres sans nous étendre grandement pour ceux qui sont dans le second encadré.

 

Si j’ai été amené à couper c’est que vous pourrez remarquer dans le fichier son que je vous ai mis en fichier joint que j’ai compris qu’il y avait un problème pour les sons les plus faibles -(ils étaient pratiquement inaudibles ou presque et avaient la forme qu’ils ont -[parfois comme nous l’avons remarqué dans l’exemple ci-dessous ces sons les plus faibles disparaissent dans la ligne où la musique fait quasiment silence]- parce qu’ils n’ont pas été enregistrés un à un parce qu’on a choisi le niveau sonore de l’enregistreur à cause des dangers acoustiques que représentent les sons les plus forts -(celui de saturer et du coup de rater l’enregistrement : d’être trop forts et de rendre l’enregistrement affreux) : je me répète mais autrement pour souligner l’importance et le danger des sons les plus forts déterminant en fait les niveaux d’enregistrement des plus faibles au point que tous les sons s’indexent – pour ainsi dire – aux pics des sons les plus forts / élevés qu’il convient d’éviter de retrouver dans le rouge des vu-mètres -(ils ne doivent pas dépasser le point le plus haut ou/et le plus loin des vumètres qui servent donc de repère d’intensité des sons, soit donnent des indications précises concernant le maximum -(et le minimum)- possible du volume des sons à enregistrer qui doit rester endeçà de ce point en général rouge si on veut éviter les scratch[s] acoustique[s]). Et c’est là le problème de tous les enregistrements : le fait que les sons les plus forts déterminent le niveau d’enregistrement des sons les plus faibles au point que ces sons les plus faibles ne sont pas assez forts, voire contraignent à prêter l’oreille pour les distinguer -(et du coup deviennent » matière à « ennui[s]. Je pense ici à Frédéric Worms et au titre de son émission sur France Culture en 2021 « » matière à penser « » mais aussi à la » matière sonore « telle qu’en parle ma fiancée Michèle Finck de Strasbourg)! Aussi nous dirons / comprenons que les sons les plus faibles ont l’aspect qu’ils ont parce les plus forts sont bridés de manière à ce qu’ils évitent les zones rouges des enregistrements. Heureusement que c’est ainsi, cependant tous les autres sons, plus faibles que ces sont les plus forts ont l’amplitude qu’ils ont en leurs représentations sur la time line à cause de ces sons les plus forts qui contraignent à tourner le bouton variateur pour enregistrer jusqu’à ce que ces sons les plus forts ne soient pas trop forts, tous les autres sons moins forts posant le pic lié à leur propre intensité très au-dessous du maximum toléré).

 

Jusqu’ici rien de nouveau sous le soleil -(la routine en matière d’enregistrement -(depuis longtemps :) – une façon simple – enfantine – de procéder : une façon logique, cohérente -(liée à un variateur –[celui qui permet de régler le volume de d’entrée des enregistrements qui ressemble à celui – de variateur - de sortie / restitution des sons]).

 

Mais isolés et coupés avec précision just’avant la fraction de seconde où ils vont commencer, ces sons les plus faibles -(par exemple le deuxième de la seconde ligne), comme les suivants, un peu plus forts que ce deuxième / second son, peuvent faire l’objet d’une augmentation de niveau sonore au point que le troisième son -(du premier très long rectangle de la time line)- s’il est coupé à la fin de sa pointe qui va toucher le quatrième son, il peut permettre au chef monteur, voire à son assistant d’augmenter le niveau de ce son isolé entre les deux coups de l’outil « rasoir » de Da Vinci Resolve 17/18.

 

Aussi on peut [ré]intensifier ce troisième son de la première ligne dans le premier encadré -(on va dire la time line du haut pour cet encadré)- en l’ayant repéré comme étant un peu moins fort que le dixième son qui est un peu moins fort que le premier son, par conséquent au troisième niveau de l’échelle des intensités / volumes de son dans une vision si j’ose dire en fait pyramidale bien qu’il ne s’agisse pas de ça, cependant vous m’accordez que par ordre de son[s] allant du plus fort au plus faible, nous trouvons en premier le premier son et le seizième, en second le dixième, en troisième le troisième et le dixième -(de la seconde ligne), à la quatrième place le treizième, en cinquième le quinzième, en sixième le douzième, en septième le quatrième, en huitième le septième et le huitième, en neuvième le cinquième et le neuvième, en dixième le second qui ressemble au neuvième qui sera le dixième en onzième, etc. -(il se peut qu’en comptant trop rapidement je me sois un peu trompé dans ce dernier paragraphe – que je n’ai pas relu suffisemment -(qu’il se soit glissé à la longue, dans cette énumération une erreur ou deux- soyez indulgent SVP)- mais je suis sûr que vous avez compris du moins à mi-mots de quoi je parle : l’enjeu : des sons de différents niveaux de volume, [vu] dans ce sens -(nous l’avons dit -[en commençant par le plus fort, le premier]), decrescendo)

 

 

 

 

meilleur logiciel d'enregistrement audio

 

 

 

 

L’idée serait donc pour cette « normalisation » -(mais à notre manière –[qui de toute[s] façon[s] donne un bien meilleur résultat qu’en passant par la touche loundness] en étant l’enjeu / l’objet / le sujet de la création de cette application – vérifiez je vous prie pour me confirmer)- de procéder à un découpage automatique avant chacune des notes / accords / sons ayant pic ou/et crête en prodiguant ensuite un accroissement des niveaux de volume pour chacun des sons ainsi post-traités de cette manière logicielle pour redynamiser en studio -(de montage)- les sons utilisés, (musiques y comprises).

 

 

Mais cela pose problème quand les sons ressemblent à ci-dessous. Pourtant j’exagère ici à dessein en vous proposant l’illustration ci-dessous. On ne peut alors que de difficile manière découper pour en-suite mettre à niveau – aussi ici il faudra créer globalement la ligne pour qu’elle apparaisse redynamisée

 

meilleur logiciel d'enregistrement audio

 

 

Pour cela il faudra agrandir et travailler en macroscopie chacune des notes -(vous savez c’est bien sûr possible mais quand il y a tant de différence entre chacune des notes, cela devient rasoir à faire un à un manuellement. On y renonce et on les traite globalement et tant pis si on a obtenu au préalable une ligne comme ci-dessus car on ne va tout-de-même pas traiter chacun de tous ces différents niveaux de ce qui en fait représente, de loin -(non en macro comme ci-dessus, une simple ligne – cette vision de loin a donc du bon puisqu’elle nous offre malgré tout de voir ensemble des groupes de notes / sons, soit les principaux et on l’a dit ils ont – pour simplifier au moins dix niveaux d’intensité)- une ligne de quasi silence dans laquelle on retrouve une succession de sons minuscules mais d’intensité différente un peu comme ci-dessus.

 

Mais voilà l’idée que j’ai eu petit à petit mise en œuvre je le fis et cela a pris des semaines pour tout redynamiser bien que plus j’avançai dans cette peine je constatai que la musique devenait géniale -(même -[/ surtout]- les moments plus ennuyeux), beaucoup plus présente, en fait beaucoup plus juste en tout cas mise en relief. En effet, je procédai -(à titre d’exemple ici nous nous réfèrerons aux deux images jointes)- à une intensification du second son en augmentant le volume de ce second son -(sur la time line un peu plus faible que le premier le plus fort)- au point de l’amener à apparaître sur la time line presque aussi fort que le premier son -(le plus fort de tous au moment de son pic)- au point d’avoir réduit un peu plus l’écart et créé un pic au même niveau que celui du premier son, voire un tout petit peu plus petit de manière à conserver un peu la trace de la différence qu’il y avait à l’origine au cours de cet enregistrement entre le premier et le second son. Mais on n’y est pas obligé : on peut rendre aussi important le son un tout petit peu plus faible que le premier étant le plus fort au point de rendre ainsi aussi forts les sons 16 et 10, voire les suivant[s] par ordre chronologiques au point d’obtenir pour les lignes de quasi silence entre chacune des notes ce qu’on voit dans l’encadré ci-dessus -(qui en fait les concernerait, [ces sons des lignes menant[s] au son suivant]): et vous comprendrez qu’il restait des informations acoustiques dans ces parties les plus faibles heureusement de cette manière réintensifiées au point que pour les sons un peu plus faibles que les trois premiers les suivant qui vont en terme de volume vers la taille -(représentés qu’ils sont)- du second/deuxième son, ils peuvent être intensifiés / redynamisés et devenir beaucoup plus forts de manière à créer une présence car enfin entendus et non pas éclipsés comme c’est le cas après tous les enregistrements qui, nous l’avons dit, se produisent en fonction des sons déterminés les plus forts.

 

Et c’est ainsi, après avoir redynamisé un par un chacun des sons, que nous avons eu à redynamiser les lignes de sons qui vont jusqu’au son suivant et qui apparaissent sur la time line comme dans l’image ci-dessus au lieu sinon de n’apparaitre que comme un fil ne contenant plus à premières-vues aucune informations acoustiques au point d’être du quasi silence !

 

En fait ce que j’ai mis au point manuellement a permis au son n°2 de la deuxième ligne de devenir aussi important que le -(son)- douze (12) de la seconde ligne ! Cela a tout relevé au point que les lignes les plus fines entre les sons sont devenues des amas de sons du genre du deuxième de la seconde ligne, voire du deuxième de la première ligne !!

 

Il faut donc regarder l’image ci-dessus comme un agrandissement de l’une de ces lignes de sons qui vont jusqu’à l’accord / la note / le son suivant -(mais évidemment en exagérant beaucoup -[si on s’attarde à cette représentation de ces lignes]!).

 

Ce qui est certain avec mon truc c’est que les sons 2, 5 et 9 de la seconde ligne sont devenus des sons de la taille 4, 6 et 8 et que le son 9 de la première ligne jusqu’avant le dizième -(qui est un des sons les plus forts mais venant en second après le premier)- est devenu -(comme le second / deuxième de la taille du son 4, 6 et 8), un son contenant de nombreuses informations acoustiques d’autant plus de sa position sur la ligne qui mène au dixième son !

 

Pour ce qui concerne la cinquième ligne ce fut beaucoup plus simple -(et vous jugerez ici de l’intérêt d’avoir à y procéder : je n’eus à couper qu’avant le son terminal très fort qui clôture, voire qui était l’aboutissement de tous les sons précédents mais qui à cause de ce son extrêmement fort apparaissent comme très faibles. Tandis qu’en isolant les sons les plus forts, nous pouvons d’un seul coup relever toute la ligne de son[s] qui prendront alors une beaucoup plus grande importance et deviendront quasiment tous comme le premier ou quinzième son ou dixième des deux premières lignes car si nous ne touchons pas aux sons les plus forts rien ne nous empêche de rendre beaucoup plus intense / forts les sons précédents -(avec leur taille)- ces sons les plus forts !

 

Et c’est à partir de là que je me suis dit que nous avions à créer un nouveau logiciel pour normaliser et découper automatiquement toutes les crêtes, isoler les pics et relever autant qu’on le souhaitera les sons apparemment plus faibles et comme il y a des pics même pour les sons les plus faibles -(des tout petits pics)- toutes proportions gardées, nous comprenons que ces sons les plus faibles pourraient avoir beaucoup plus de présence puisqu’avec mon système il serait même possible de trouver quelques sons dans les silences comme si nous nous étions approchés des sources des sons les moins forts qui avec ce système retrouvent une beaucoup plus véritable importance !

 

On va dire que la représentation de la cinquième ligne concerne les moments qui sont entre les trente-trois notes dans le troisième encadré rectangulaire. On va comprendre que le groupe des sons de ces 33 notes / accords qui sont espacés peuvent apparaître beaucoup plus forts qu’ils ne le sont en rendant les moments les plus faibles beaucoup plus forts au point qu’ils pourraient apparaître comme dans l’image ci-dessus -(ces sons les plus faibles – et on voit qu’ils ne sont pas aussi faibles qu’on a pu les entendre parce qu’il y avait des sons très très forts qui les ont rendu très/trop faibles).

 

D’où la nécessité de disposer d’un outil permettant de redyn amiser tous les sons moins forts que les sons les plus forts, en fait de les relever, les rendre plus présents si possible toute[s] proportion[s] gardée[s]. En fait il faut comprendre que du point-de-vue de chacun des musiciens -(dans un orchestre) l’instrument qu’ils utilisent est entendu beaucoup plus fort que dans la salle pour les spectateurs, voire pour le chef d’orchestre -(aussi cela signifie que quand on enregistre une musique on entend un compromis entre des sons qui sont normalement plus forts y compris les plus faibles)

 

Aussi prenons un exemple : les sons 1 et 10 sont presque de la même taille -(donc presque aussi forts) : on n’y touche pas, mais les sons suivants, dans l’ordre, soit les sons treize (13) rien nous empêche de dire à la machine que tous les sons qui seront d’une forme proche du son treize ont leur niveau de volume augmenté pour devenir des sons ayant l’intensité de leur volume comme le son n°10.

 

Et on fera la même chose pour les sons moins forts comme les sons 12. On dira à la machine d’en augmenter le volume pour qu’ils aient l’intensité de leur volume en sons 13 ou autrement : 10, voire 1. En fait comme on veut car on devrait pouvoir augmenter chacun des sons comme on le souhaite[ra] pour que ce qui se passe sur la ligne de son 5 n’existe plus. En effet les 33 sons sont trop faibles par rapport au petit groupe du 34 ème dont on remarque l’importance !

 

Ces 33 groupes de sons avant le 34 ème seront relevés sans être pour autant à devoir devenir aussi grands que le groupe du trente quatrième, cependant que nous n’avons pas le droit de nous l’interdire non plus au point que le logiciel proposera d’augmenter ces 33 sons pour être aussi forts que le son n°34 -(voire un peu en deçà – un peu moins - mais pas autant qu’ils ne le sont finalement à cause du 34 ème – ce qui signifie une très souhaitable augmentation pour l’ensemble des 33)! Cependant vous remarquerez que chacun de ces sons, sont des groupes de sons avec parmi eux des sons un peu plus forts que les autres qui par certains côtés ressemblent à ces lignes entre les sons de la première ou seconde ligne de sons ! Même si grandement différents : il s’agit des sons les plus faibles et ceci avec notre procédé permettra de pouvoir travailler ces sons les plus faibles même si devenus beaucoup plus forts car les 33 groupes de sons plus faibles que le dernier -(groupe de son)- sur la cinquième ligne, verrons les parties les plus fortes devenir aussi importantes que le son 1 de la première ligne, voire un petit peu moins en obtenant un peu l’aspect du son dix -(10).

 

Voilà, cher Tristan, exposé quelques-unes de mes réflexions résumant le projet de redynamisation des sons enregistrés. Je pense vous aurez compris qu’on pourrait éviter d’augmenter un à un les sons et les traiter par lots-de-sons de même intensité en passant par la vision macro de chacun d’entre eux.

 

Tous les sons aussi forts que le n° 1 seraient à enregistrer en évitant qu’aucun d’eux ne sorte des limites maximales où les entendre car s’ils sont surenregistrés cela fait rater l’enregistrement qui aurait été le plus souhaitable / juste. S’il y a des sons faisant exception et qui vont au-delà du maximum, on dira à l’ordinateur de les niveler pour qu’ils deviennent au moins comme le premier son -(du premier encadré dans l’exemple de notre illustration, soit celui qu’on a déterminé pouvant être considéré comme le premier son, cela parce que les plus forts font parfois exception par conséquent peuvent être traités manuellement individuellement et par exemple rabaissés à l’intensité 1 -(mais il faudrait que cela soit aussi possible par lot de sons excédant le niveau 1, soit les sons les plus forts)- et il faudrait qu’on puisse cela pour tous les sons qui seraient beaucoup plus forts que l’intensité 1 en étant ici l’objet d’une autre gradation : + 1, + 2, + 3 , + 4, + 5, … soit dix autres gradations au-dessus des dix existant pour une time line de sons redynamisée : 1, 2, 3, 4, …, 9, 10 à cause qu’ils sont, en fait, en réalité – 1, - 2, - 3, - 4, … , - 9, - 10, voire -11, - 12, -13, … jusqu’à - 20 ! Mais nous avons dit qu’il faudrait que ces dix gradations puissent chacune devenir la gradation n°1, donc boostés -[ces sons]).

 

La même chose devra être possible pour tous les sons de 1 à 10 -(soit de – 1 à -10)- comme pour ceux de – 11 à – 20 -(pouvant devenir respectivement des sons – 1 à -10)

 

Tous les sons comme le second chronologiquement -(en fait dans la réalité de notre exemple le seizième du premier encadré rallongé rectangulaire)- pouvant devenir comme le premier, voire un micro chouia de moins mais plus que comment ils apparaissent -(et il est souhaitable qu’on ait à notre disposition le fait de pouvoir les accentuer collectivement ou alors, encore mieux, indépendamment -(individuellement) et ainsi de suite jusqu’au son les plus faibles qu’on trouvera dans la ligne entre les notes ou groupes de notes sous la forme de silence, voire avec de très faibles sons qui sont alors les – 11, - 12, etc. jusqu’à – 20 -( : moins 20).

 

Et dans la cinquième ligne, il faudrait pouvoir intervenir par lot ou individuellement ou collectivement -(par lot)- sur les groupes de ces 33 sons en les agrandissant pour pouvoir les dissocier de manière à pouvoir pour eux aussi intervenir en fonction de leur niveau sonore. En fait il s’agit de plusieurs sons distincts et les traiter chacun dans ces groupes devrait être possible selon la force de leur intensité respective ou pour commencer en en augmentant leur volume par lot.

 

Amitié,

 

Laurie Granier

 

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Révision : 19 octobre 2022