Mes chers voisins,                                                                               Paris, le 26 Août 2021

 

Bonjour,

 

   Permettez-moi de vous faire part, avant la réunion du 2 septembre 2021 à 17 heures 30 à la Mairie du Cinquième Arrondissement de Paris avec Madame la Maire et les représentants de Paris-Habitat, d’un complément que je viens de mêller / mailer -(envoyer)- à mon curateur Monsieur Xavier de Montgolfier -(à ma psychiatre, à mon assistante sociale, à ma sœur -(avec ma mère et ma fiancée vos impératrices)- pour les mettre au courant de ce dont on nous menace tous -(tous les locataires)- de déménager trois ans alors que seraient possibles des rénovations[1] au cas par cas ne durant pas plus d’une à deux semaines -(au pire)- de travaux[2] par appartement pour réaliser une très grande partie des modifications envisagées par l’équipe des architectes actuels de Paris-Habitat, à l’exception de celle -(de modification)- vérifiée impensable[3] au sens d’inconcevable pour mon appartement, modèle des cinq ou six autres au-dessus et au-dessous, du changement de place de l’arrivée et de l’évacuation de l’eau[4].

   Merci d’avoir la gentillesse d’en prendre connaissance comme du reste attenant. C’est là une partie de nos renouvelés efforts pour nous éviter à tous pire qu’un sacrilège en plus véritable [a]Architecture © : une très très grande bêtise !!!, voire pour d’autres «» pire qu’une grande bêtise : de véritables sacrilèges -[(a)Architecturaux ©] !!! «» :

http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/xavier_de_montgolfier_25082021.html

 

   Tant que les responsables de Paris-Habitat ne voudront pas tenir compte des impedimenta ou/et contre-indications recensées et que nous avons signalées conformément à leur attente / vœux[5] pour éviter ces grands dommages, nous risquons tous le pire : soit de devoir déménager trois années -(pour où ? quel[s] appartement[s] au moins aussi confortable[s] que -[ne]- sont les nôtres ?)- alors qu’en respectant les plans initiaux admirables de nos logements nous disposerons, après une rénovation[6] -(pareille à celle qui a été menée admirablement dans l’appartement où nous avons été reçus par Paris-Habitat tout au long du processus pour ce projet de « réhabilitation » comme aussi de celle dont j’ai bénéficié[7] avant mon installation fin 2012), nous sommes tous en très réel danger d’avoir encore plus de peines que nous en avons déjà pour uriner ou/et déféquer[8]  dans les waters, nous laver, raser, brosser les dents devant le lavabo et nous doucher parce que dans les plans retenus par ces architectes on nous allongera grandement et considérablement le chemin / trajet à parcourir à l’aller comme au retour à l’intérieur de nos appartements, au moins en moyenne cinq à six fois par jour[9] -(ce qui ferait au moins, donc en minimisant un peu, -[en moyenne]-, cent cinquante pas par jour en plus)- du moins pour certains d’entre nous - pour ce faire quotidiennement, soit au lieu de nous faciliter l’existence, rendre plus commode l’exercice de la vie[10], au contraire nous la compliquer excessivement[11] soit extrêmement -(si l’on devait avoir, par-dessus le marché, recours à l’aide d’un déambulateur), ce qui n’est vraiment pas une bonne affaire, d’autant plus de la diminution des espaces des surfaces de rangements que cela entrainera / implique !!!, ce qui, pour ceux qui vivent dans les plus petits espaces[12] dans ces immeubles est très dommage / dur / antipathique / ingrat / malheureux, cauchemardesque et/ou tragique, en tout cas très triste, etc. En effet, une diminution de ces surfaces de rangements n’est possible que si on dispose de beaucoup plus d’espace[13] ce qui n’est pas le cas dans cette architecture sociale -(conçue avec des budgets resserrés en raison des difficultés économiques)- mais qui peut être dans / sous d’autres formes d’architecture[s] étant afférée[s] à de plus grands espace[14]. 

 

   Il est impératif que ces architectes[15] prennent enfin en considération nos dires -(et pour commencer renoncent à la votation – soit à nous faire voter tant que notre / ce problème n’aura pas été totalement résolu)- et proposent, par exemple, de ne rien toucher aux plans initiaux de l’appartement que nous occupons comme des appartements calqués sur le même modèle que le mien[16] dans notre empilement, ce qui est renoncer à changer de place les W. C., le lavabo et la douche comme l’emplacement de l’évier de la cuisine et la cuisine elle-même avec l’arrivée de l’eau et son évacuation[17]. C’est cette garantie[18]  que nous attendons, ce qui permettrait de réaliser avec une autre entreprise[19], les travaux dans l’essentiel qu’ils comportent : les parties communes et pour l’essentiel -(avec sourire ici): les différents gadgets améliorant[s] / innovant[s] en définitive un peu nos existences … de, il faut bien le reconnaître -(malgré nos handicapes respectifs)- [de] véritables enfants-gâtés[20].

 

                                          S.E.I.E.S.S.S.L.P.P.B.E Laurent-Marie Granier … Lang d’Ôz



[1] -(plus respectueuses de nos existences à ne pas malmener / traumatiser par ces déménagements)-

[2] -(en profitant des logements vides pour déposer -[avant ces réfections]- nos meubles et/ou objet ; voire nos lits respectifs pour nous reposer et/ou dormir pendant ces travaux de rénovations / réfections d’une à deux semaines au plus ne nécessitant pas que nous ayons, au pire, à perdre notre lit -(plus d’une semaine ou deux –[voire en le retrouvant dans l’un de ces appartements vacants durant la semaine de travaux, voire deux -(de semaines, au pire du pire), durant lesquelles les différents travaux intellectuellement acceptables / admissibles seraient parfaitement goupillé[s] / organisé[s] / effectué[s] dans ce timing très précis ayant pu rassembler -(au sens de regrouper chronologiquement :)- ces réfections / rénovations sur l’un ou l’autre des différents points retenus]- et non de « réhabilitation » au sens où Paris-Habitat a voulu entendre ce mot qui est, il faut le reconnaître, [quasi]- synonyme des précédents -(rénovations / réfections)– cela donc pour permettre de jouer sur les mots : une réhabilitation étant, on le sait, une forme de rénovation -(peut-être un peu plus poussée ou/et dans certains cas extrême comme par exemple d’une ruine-remise-à-neuf – ce qui, il convient de le reconnaître honnêtement, n’est nullement le cas de nos deux immeubles, ce qui signifie qu’il aurait été préférable d’envisager une rénovation, voire une réfection)-

[3] -(en raison de ce que cela compliquerait très grandement l’existence des locataires, soit le contraire même de la vocation de la plus juste [a]Architecture ©)-

[4] -(ce qui entraine avec la modification en conséquence de la cuisine –[qui est parfaite telle qu’elle est], le changement de place des W. C., du lavabo et de la douche de l’appartement que nous occupons comme la disparition d’une majeure partie du cagibi / placard dans les dimensions actuelles qu’il a, et en raison de sa taille actuelle si constamment utile / nécessaire avec ses surfaces de rangement[s] pour nous faciliter la gestion quotidienne de nos respectives vies et cela aussi dans les appartements du même modèle que le nôtre dans l’empilement –[il y a donc, avec le nôtre, aux alentours de six appartements qui ne doivent pas changer / voir modifier leurs plans d’origine, ceux de l’architecte de départ auteur des choix principaux de ceux-ci]- ils se situent au-dessus et au-dessous de chez moi : appartement n°49 au 20 rue de l’École Polytechnique)

[5] -(en raison – en les citant ici eux-mêmes aux premiers pas –[au début]- de leur projet –[quand ils sont venus nous rendre visite à chacun des locataires]– « de ce que nul ne connait mieux que les occupants eux-mêmes –[nous autres, les locataires]- les avantages et les défauts des lieux –[ces appartements]- dans lesquels vous vivez » - ce qui les a fondé à avoir / recueillir nos/ces nôtres avis de départ en nous incitant courtoisement à continuer à réfléchir avec eux – ce que nous n’avons pas manqué de faire pour les épauler et les conseiller du mieux possible – comme ici, dans l’Intérêt Général)-

[6] -(soit en réalité une forme de réhabilitation plus modeste, donc une réfection –[plus les pieds sur terre – donc plus réaliste et non ces plans sur la comète en majeure partie irréalistes car ils n’ont pas tenu compte de paramètres qui interviennent en architecture-à-vocation-sociale : comme, notemment, la vieillesse de[s] locataires / habitants parfois handicapées pour lesquelles un ou deux pas de plus ce sont de réels efforts des plus fatiguant[s] et bien sûr à fortiori aux alentours de 150 pas par jour !!! -(en ayant ici compté une moyenne de 12 pas de plus ce qui pour rejoindre ces nouvelles toilettes serait le cas à l’aller comme au retour du nouvel emplacement des toilettes aux alentours de 6 à sept fois par jour – ici des pas normaux et non de ceux plus nombreux qu’on est parfois contraint d’effectuer à l’aide d’un déambulateur quand on est très âgés, ce qui peut porter à trois cent -(petits)- pas -(voire plus ou moins selon les difficultés)- supplémentaires par jour en plus de ceux pour rejoindre actuellement les W. C. où ils se situent centraux])-

[7] -([de rénovation], avec de ma part une grande reconnaissance pour Paris-Habitat qui l’a menée si bien en nous l’imposant / proposant / imposant / réalisant :)-

[8] -(faire nos besoins quotidiens et/ou nocturnes. Pardon ici – très sincèrement, du fond du cœur - pour ceux que j’aurais choqué, il y a un tout petit instant par l’emploi de ces mots)-

[9] – voire ma fiancée / femme, vos impératrices eanmeailleuses les S. A. I. S. S. S. P. E. Michèle Finck dit peut-être en exagérant un peu : dix fois – c’est donc ce qu’il conviendrait de compter 240 en tenant compte du pire, ce qui signifie donc au moins deux cent pas -(pour plus haut note 6), voire beaucoup plus encore – (350 à 500)- avec l’aide d’un déambulateur.

[10] -(la plus réelle vocation – soit la raison d’être de l’[a]Architecture sociale – [[a]Architecture © cela signifie architecture à tendance sacrée, vraie, bonne , meilleure, juste, admirable, etc. : la plus merveilleuse car elle tient compte de nombreux paramètres et/ou présupposés, … - donc non oublieuse des impedimenta y compris moraux, sacrés comme en architecture sociale celui de respecter les personnes âgées et prévoir leurs difficultés d’handicapés])-

[11] -(ce qui est tout-à-fait le contraire d’une plus véritable [a]Architecture-à-vocation-sociale, soit le contraire même du bien-fondé et/ou de la raison d’être de l’[a]Architecture)-

[12] -(une pièce, deux pièces et trois pièces)- 

[13] -(de place – par exemple à partir de quatre pièces)-

[14] -(donc plus de surface[s] voire de superficie[s] – [par exemple d’un quatre à cinq, voire plus de pièces])

[15] -(comme les responsables de ce projet à Paris-Habitat)-

[16] -(il devrait y en avoir au moins cinq sur les six où vous pourriez être reçus, voire habiter à la place des occupants actuels – il convient de faire comme si) –

[17] -(ce qui était la raison pour laquelle ces architectes veulent nous forcer à déménager pour faire « travailler » nos maçons les appartements vidés, ce qui s’est donc révélé, comme je n’ai pas cessé de le démontrer, une/de très très grande[s] bêtise[s])

[18] -(de renoncer à modifier les plans originaux même si déjà un peu modifiés – sur certains détails sans trop d’importance - par les précédentes rénovations)-

[19] -(si celles de ces architectes actuels ne veulent plus de cette affaire de « seulement » réfection[s], rénovation[s] étant avec nous synonymes d’économies, donc moins chères car l’essentiel pour nous tous de l’emplacement de l’arrivée de l’eau et de son évacuation ne changeraient pas la place des W. C., lavabo et douche ni de l’évier ni nous ferait perdre les espaces rangements du plus qu’utile placard / cagibi)

[20] -(même si cette réhabilitation débouche sur une plus juste, plus réaliste et donc féconde rénovation / réfection des parties communes et d’au moins 50 % des travaux actuellement envisagés dans les appartements – je le redis car je le sais - possibles en une à deux -(au pire)- semaines!).