Accueil de "Diverses lettres envoyées
Sujets un peu évoqués:
Être végétarien ou ne pas [l’]être,
euthanasie, vérités structurées
-(titre provisoire)-
Éthique, Inconscience, acquis-de-conscience.
(avec
l’aide / assistance de
Word,
soit ce qui permet de nos jours un
traitement de textes virtuels : une forme d’exploration plus approfondie /
plus juste, plus vraie que l’écriture d’antan, même avec / pourvu d’une machine
à écrire).
(Je
note ici un premier bout-à-bout d’idées à travailler / développer par d’autres
approches / de mes/nos réalisations. Donc d’abord, comme elles viennent.
Ensuite je CARE -(acronyme de corrige,
augmente, abrège,
relis, [ré]élabore ou ce qui peut aussi se dire
CÔRE :
corrige, ôgmente,
relis, [ré]élabore). Ici un CARE9 :
---
De
la même façon qu’il y a toute la gamme des nuances des couleurs autour des
extrêmes noires[1] et
blanches, il y a des niveaux de compréhension[s] différent[(e)s] de chacun pour
la réalité concernant en particulier chacun des États, mais aussi chacune des
informations -(apprentissages y compris).
Chacun
de nous est aux prises avec des difficultés qui rendent plus ou moins
compétent(s) à les résoudre.
Si
nous le devenons -(compétent[s])- c’est parce que nous
avons eu des facilités ou des difficultés à surmonter et cela va nuancer notre
degré de compétence(s), nous faire devenir une couleur plus ou moins claire sur
un sujet précis. On peut voir cela aussi comme étant les couleurs à nôtre disposition sur la/es palette[s], y compris -[de]-
celles électroniques.
En
théorie -(normalement)- personne n’est tout noir[2]
ou toute blanche car nous sommes chacun confrontés à des sujets précis qui nous
rendent plus ou moins colorés autour de ce blanc ou de
ce noir, ces sujets étant eux-mêmes -[comme]- des couleurs. Y aurait-il ainsi
des correspondances -[probables]- avec les couleurs selon nos choix ou/et
réponse[s] ?
Chaque
sujet exige de nous une résolution ou/et des choix, du moins, selon Worms[3],
» matière[s] à penser « comme quand à l’école,
voire au lycée, puis à l’université -(ELU)[4],
nous avions à disserter avec nos heures de rédactions.
Il
y a la théorie -(qu’on peut avoir étudiée)- qui se
révélera en pratique différente -(car la réalité est souvent beaucoup plus
complexe qu’elle ne paraissait / paraît sur le papier. Avec l’usage des
phrases, il s’agit
–[comme
avec la plupart des représentations figuratives artistiques]-
de virtualités, voire de réalité[s] / vérité[s]
traduites en images / mots / sons / etc., mise[s] en scène avec des peintures,
des couleurs, des formes, des représentations : des résumés de choses –[on dira pour plaire à mon frère aîné -(dont j’ai
souvenir qu’il nous donna l’idée à propos de ce qu’on mange):];
des histoires).
Chacun
arrive à ces idées / sujets avec tous les paramètres de sa propre / respective
histoire soudain à la rencontre de choix à -[devoir]- effectuer.
Et,
qu’on le veuille ou non, on fait des choix en fonction des paramètres qui nous
correspondent / différencient -(constituent)- et ces choix sont différents en
raison, à l’intérieur de nous, des formes de hiérarchie[s] de/dans nos
croyances[5].
On opère -[à]- ces choix en fonction du niveau de conscience de chacun, mais
aussi avec le contenu de nos mémoires respectives, des responsabilités qui nous
incombent -[en conscience]. Celles-ci, ces mémoires,
sont de nos jours avec de très nombreuses données dont autrefois on ne savait
rien / pas l’existence : l’être humain a changé, s’est
-(ces cinquante dernières années)- grandement modifié).
C’est
cela qui est à l’origine de[s] décision(s) qu’on appelle subjectives dans de
nombreux domaines, bien qu’on puisse croire qu’on s’efforce d’être objectif -(mais aussi on sait qu’on n’a pas le droit de faire à
autrui ce dont on n’aimerait pas être nous-mêmes victime[s] –[alors pourquoi,
avec ce principe ayant tous les aspects du respect de l’autre, (donc de ce qui
est juste), continuer à mettre au monde des enfants ?]. Ce qui présuppose
qu’on ait adhéré / accepté / consenti à la Création -[en toute logique, en
conséquence une chose qu’on n’aurait pas eu le droit de nous faire parce que
nous ne l’aurions pas fait aux autres parce que tout bien pe[n]sé nous n’aimerions pas en être les victimes et que, par
conséquent, les autres en soient eux-aussi les victimes car sinon, parce qu’il
n’y aurait rien, on n’aimerait peut-être être victime de l’existence de cette
Création, virtualité si elle était –[on nous aurait fait quelque chose qui ne
se pouvait pas, parce que nous ne nous serions jamais permis de la proposer /
imposer aux autres -(soit d’ériger cette Création en principe universel
bienfaisant et altruiste : généreux), ce que l’on ne pourrait pas :
puisque rien à la place. Donc cela
allait sans avoir à être dit, à compliquer et parce que peut-être nous aurions
aimé qu’on ne nous fasse pas naître et/pour subir le joug de cette Création
dont un grand nombre d’êtres animés souffrent car, bon[s] prince[s], nous ne
nous serions jamais permis de La proposer aux autres
-(pour/et vivre tant d’infamies. Sauf que celles-ci
avaient une coupable : satane : la haine, la méchanceté, la totale
cécité cérébrale de l’ignorance des laipis[6],
mortes depuis l’hiver 2005. Et c’est relativement récent)- et par conséquent depuis accepter de subir cette
Création, voire de participer cependant qu’il est très probable que parce
qu’Éthique existe, cette Création le serait
-(sinon ce mot d’Ethique n’existerait pas scensé[7],
pas plus qu’éthiquissimis…simissime,
soit avec ce mot la notion d’infiniment éthique, ce qui est probablement le
socle sur lequel repose cette Création avec toutes les autres vertus et/ou
bienfaits, par conséquent les paramètres au crédit de celle-ci), totalement, (sinon elle
n’aurait pas pu avoir lieu)- pour des raisons
qu’on feindrait donc d’ignorer pour se permettre de la reprocher à Son
Créateur, ce qui rend injuste le propos, ces griefs, au point que nous
l’aurions faite -(cette Création)- en ayant totalement le droit de la faire
légitimement en aimant, comme la très grande majorité, être sa/cette victime]).
Aussi ce truisme cela signifie qu’on ne peut faire à autrui que ce dont on
aimerait être soi-même victime -(au sens ici de
bénéficiaire), par conséquent avoir la chance de vivre. D’où que le monde est,
vu ainsi, par certains comme magique / heureux, ce qui est évidemment juste,
voire évidemment nécessaire / préférable au contraire : la vérité en ce
monde existe donc, soit ce qui est plus juste de ce qui, en définitive, ne
l’est/était pas -(totalement). Mais il y aurait tous ceux pour lesquels cette
Création n’est pas légitime, ne pouvait pas être imposée parce qu’encore une
fois « on n’a pas le droit de faire à autrui ce dont on ne voudrait pas
être soi-même les victimes » et cela concerne peut-être une grande partie
de ceux qui souffrent de cette Création. Alors pourquoi à l’époque des
contraceptifs se sont-ils permis de continuer à mettre au monde des enfants,
etc. pour la confirmer dans son bien-fondé, l’univers entier à témoin ?
Pourquoi sont-ils parmi les profiteurs à se conduire en méchants ? A être
à l’origine de tout ce dont ils savent qu’ils n’ont pas le droit ? Soit à
continuer à constituer satane, celle qui dans sa haine infinie reproche à sa
mort dans une colère noire à Dieu -(et à tous)- dans cette/sa haine absolue -(en obtenant en elle à cause de cela cette cécité
cérébrale de méchanceté toute noire)- et la
colère contre la Vie et contre l’Amour, d’être la Vie et d’être Amour -(soit
avec ces injustes reproches, et cette mauvaise foi, l’origine du chaos, de tout
ce qui n’allait pas, de tout ce qu’on ne pouvait pas se permettre de faire
parce qu’on ne voudrait pas en être victime).
Réjouissez-vous :
satane -(la cause de tous les dysfonctionnements
depuis la première occupation de la salle-des-machines)-
est morte depuis l’hiver 2005 ! Nous sommes
dix-sept ans après sa mort / destruction canonique : enfin des choses
autrefois impossibles -[du temps où elle vivait
comme le vent mauvais qu’elle a été en, par exemple, les femmes masquées de/par
cette haine sur la droite, dans le tableau des
Demoiselles
d’Avignon de Picasso[8]],
sont possibles).
Pourtant
il y a une grande difficulté à être, à croire, à choisir, à aimer, à
s’instruire, à dire, à penser -([plus] justement), à apprendre, à écrire, à etc. .
Tous
ces verbes et bien d’autres -(voire les mots)- dépendent, on le sait, de
paramètres -(explicatifs)- et de ceux qui ont à les vivre -(voire qui expriment
une réalité)- et ceux-ci, ces paramètres ou/et facteurs, sont en liaison avec
la mémoire : c’est parce qu’on se souvient de ceux-ci comme étant à ne -[surtout]-
pas oublier, qu’on sera dans les meilleurs conseils à donner pour approcher la
vérité, et/[mais]- cela peut être aussi à l’origine des échelles de valeur(s) :
les couleurs. Si on n’a pas la pleine connaissance de ces paramètres, on court
le danger de penser autrement, voire, hélas, de façon néfaste -(ce qui peut aboutir à noircir -[le tableau]/la
réalité : à comprendre ces paramètres de façon négative).
C’est
de la vérité qu’il s’agit : plus on a conscience, plus on l’approche, plus
elle est -(sur certains points du moins)-
complexe : parfois -(sur certains sujets :)- infiniment difficile à
approcher / comprendre. Alors comment faire ?
Il
y a des différences entre chacun. Aussi le projet de l’égalité qui nous
concernerait n’est possible que sur seulement certains points -(dont il conviendrait
d’établir la liste pour des raisons précises admirables / justes / vraies)-
et nullement sur tous les autres sur lesquels chacun
voit différent / différemment et c’est pareil pour la liberté et la fraternité,
(voire la solidarité et etc.). Ces dernières sont souvent même à lire comme
signifiant le contraire : la prison, l’enfermement au lieu de la »
liberté «, le non-amour du prochain -(en raison
de paramètres concernant cette fraternité qui ne la rendent pas compréhensible
/ possible dans les faits).
Aussi
ceux qui disent qu’il n’y a pas d’égalité -[possible]- apparaissent -[comme]-
dans le vrai quand ils le disent / propagent / décrètent sur de très nombreux
points comme ceux qui affirment au contraire qu’elle est possible -(cette égalité)- sur les autres points où on découvrira
qu’elle l’est.
Aussi
ceux qui disent qu’il n’y a pas de fraternité sont dans le vrai sur de très
nombreux points, comme ceux qui affirment que cette fraternité est possible sur
les autres points où elle l’est.
Aussi
ceux qui disent qu’il n’y a pas de liberté sont dans le vrai sur de très
nombreux points, comme ceux qui affirment que cette liberté est possible sur
les autres points où elle l’est.
Aussi
ceux qui disent qu’il n’y a pas de solidarité sont dans le vrai sur de très
nombreux points, comme ceux qui affirment que cette solidarité est possible sur
les autres points où elle l’est.
Aussi
ceux qui disent qu’il n’y a pas de … sont dans le vrai sur de très nombreux
points, comme ceux qui affirment que ce/t[te] … est possible sur les autres
points où elle/il l’est.
Pourquoi ?
Pourquoi
ces utopies -(au sens de wikipedia –[ce
jour du 25 Mars 2022])- sont impossibles sur
certains points ?
Qu’appelle-t-on
un point -(dans ce cas-là) ? (A quoi ça
rime ?)
-
Des sujets ?
-
Donc, si possible, à traiter ?
Mais
il se pourrait qu’ils ont été traités dans les textes dont nous avons tous
collectivement hérité -(ces référents).
Sauf
qu’à ce jour, la plupart de ces textes ont été rédigés sans logiciels de
traitement-de-texte du type de
Word -(que
j’utilise ici), paramètre qu’il ne fallait pas oublier pour répondre à ces
questions, voire aussi sans oublier qu’Internet permet la réalisation à terme
de l’accès à tous les textes et images photographiques, vidéographiques, et
cinématographiques existant([e]s), par conséquent aux sujets en partie du moins
traités par les uns et/ou les autres auteurs dans le passé -(Seraient-ce donc
des répétitions ? Des confirmations ?).
Il
y aura donc tous ceux -(des textes)- l’ayant été, traités sans l’aide de Word
et sans Internet -(bibliothèques des textes dans le Domaine Public
accessibles, à terme, par/via le
web, voire des textes gratuits publiés
sur des blogs ou/et des sites
perso(s), voire sur FaceBook
sur des faits plus récents): chacun – (et c’est ici une égalité)-
est libre de s’exprimer
-(une liberté)- en raison de la meilleure des
fraternités, car on croit possible accorder aux autres les mêmes droits qu’à
soi-même muni -(en pleine possession)-
de -[la]- conscience -(en sachant qu’il est probable
qu’au début de l’histoire de l’aventure
humaine -(H. A. H.)- il y a des probabilités qu’il n’y avait -(en exagérant ici, voire en travestissant la
vérité)- qu’inconscience, voire qu’un beaucoup
plus faible niveau de conscience -(en tout cas beaucoup plus faible que de nos
jours informatisés, un grand nombre de livres et/ou de textes étant devenus
films et/ou vidéo pour une vidéothèque et une sonothèque illustratives de ces
bibliothèques bientôt accessibles par Internet).
Aussi
cela signifie que ceux qui n’ont pas encore accès à la conscience n’auraient
pas le droit d’écrire, voire de penser ! -(ce que
certains trouveront – on peut les comprendre aisément – inadmissible[9] !).
Il y aurait donc comme un droit[10] :
le droit de penser, par conséquent d’être –(» je pense
donc je suis «)- et cela, bien sûr, même si on n’est pas encore pourvu de
l’âge-de-raison -(soit, normalement, au sein de nos sociétés -[grandement]-
civilisées,/: de quatre à sept ans : enfant[s])!
En
fait une restriction de la liberté, de l’égalité et de la fraternité, de la
solidarité, de la transparence, et etc. puisque cette dernière n’est possible
qu’à la condition préalable de l’accès à cette sécurité dans l’être humain
qu’est la conscience, soit avec cette conscience à la Vérité -(et
il était question en fait de cela, précisément de cela : la Vérité, au
plus exactement des vérités relatives de chaque catégorie dont toutes celles
mensongères. Ici se pose une question : quand donc une vérité -(relative)-
est-elle mensongère ? Quand donc des vérités relatives pourtant à premièrentendues[11]
justes sont fausses ?
Au
point qu’on aurait le droit d’exiger le silence :/car celui qui parle est très
probablement dans l’oubli de paramètres importants qu’il ne fallait pourtant
pas oublier ! Il s’exprime en inconscient, ce qui
signifie » sans avoir en tête tous les paramètres antithétiques,
voire aussi tous ceux formant la thèse «.
Celui
qui prend la peine de s’exprimer ne devrait pouvoir se l’autoriser qu’en
fonction de sa certitude qu’il vaut mieux le faire que de faire silence, voire
que s’exprimer autrement. Et cela relève de la conscience ayant mené à la
compréhension du Saint-Esprit -(celui-ci de bon
conseil : » il vaut mieux «, au sens de » c’est préférable «).
Qu’avons-nous
construit, (ces derniers temps), collectivement ?
[Aussi]- des logiciels qui fonctionnent et qui permettent de résoudre des
problèmes qui se posaient autrefois. Ils sont donc censés nous faciliter la
vie, la situation, voire de nombreuses peines comme, parmi elles, notre
information pour plus justement penser et nous décider sans recourir aux
informations imprimées sur du papier -(pour, à terme,
éviter de couper le bois de nos forêts à cet effet).
Y-a-t-il
un devoir de s’informer avant de parler
-(de prendre connaissance de ce qui a été pensé sur le sujet
avant notre époque où on peut enfin forger des phrases avec l’aide de Word -[ou d’un logiciel équivalent de
traitement de texte])- ou alors pas ?
Mais savoir qu’on ne pourra jamais connaître tout ce qui a été pensé sur un
sujet. Voire savoir que ne peuvent penser que ceux qui ont bon cœur.
Pourquoi ? Parce que le bien, le bon et le beau existe en absolu, ce qui
contraint, évidemment, de mettre tout ce qui représente l’inverse aux oubliettes -(ce qui est aimable car on
aurait pu faire pire en les détruisant tout simplement. Mais, bien sûr, il
convenait de minimiser)- et
de s’interdire toute méchanceté. Mais comment faire pour que ces notions
bienfaisantes puissent être perceptibles par ceux qui n’ont pas appris à les
connaître, voire ont appris de la réalité qu’elle ne serait que laide, mauvaise, méchante -(soit
uniquement cruelle ou injuste malgré toutes les preuves du contraire, musicales
et/ou artistiques) ? Voilà la question. Mettre en scène des contradictions,
soit ce qui sera à l’origine de conflits à cause des différences, des
divergences. Soit ce qui rend légitime les œuvres pour le Théâtre, le Cinéma,
la Télévision avec, par exemple, l’élaboration de continuités dialoguées -(C.D. : scénarii); des situations et en raison de cela
l’élaboration de décors, les éclairages pour tenter de résoudre ces oppositions
avec, s’il y a lieu aussi, panache / foison de costumes.
Comment
gouverner quand on prend conscience qu’il y a autant de points-de-vus et qu’ils
sont, la plupart d’entre eux, amnésiques
-(à oublier)- de plus ou moins
des
paramètres ayant été à l’origine de ces conclusions ?
Il
y a ceux pour qui c’est le son qui intelligemment en décidera.
D’où
la nécessité d’apprendre à lire et à écrire puisque chaque phrase peut être
dite en vérité. Même les plus fausses ?
-
Et si la Vérité –(les
vérités relatives)- étai[en]t
mensonge ?
-
Cela ne se peut.
Tous
les mots des dictionnaires n’existent que parce qu’ils peuvent servir à dire ce
qu’il y a de vrai : les mots sont outils de description[s] au service de
vérités plus exactes / justes, par exemple, en photos et vidéos. Est-ce que le
contraire de cette dernière phrase est vrai ? : les mots des
dictionnaires / encyclopédies servent-ils à dire des mensonges ? Les mots
ne seraient-ils pas des équivalences, soit des sortes d’équations servant
à traduire des réalités précises décidées à l’origine par les auteurs de ce qui
était alors néologisme[s], résumé[s] d’autres mots significatifs mis
ensemble[s] pour [d]écrire, [dé]peindre les éléments de la réalité, voire
d’autres genre?
: = = ou = = :
(dans les dictionnaires / encyclopédies, deux points égalent
-[le signe]- égal ou alors dans les livres de calculs [le signe] égal égale
deux points dans les dictionnaires / encyclopédies)
---
Quand
est-ce le cas ?
On
voit bien par cette réponse interrogative que probablement cela peut parfois
advenir par erreur, voire par omission de détails ou/et de paramètres, voire
pour tromper. De l’utilité de présenter les choses simplifiées, ce qui peut
conduire à des formes de mensonge[s], voire à éprouver une forme d’ironie à
propos des mots, les sachant autres que ce qu’ils tentent souvent si justement
d’exprimer.
Aussi
chaque situation, chaque difficulté peut être théoriquement résolue :
l’objet de meilleures solutions.
Mais
est-ce totalement vrai ?
N’y
a-t-il pas des exceptions à cette affirmation -[extra-terrestre]
?
Du
genre : » on ne trouvera jamais la solution à ce type de
problème « (par exemple pour aller, chargés, des milliards de fois -[voir plus haut il est question d’autres milliards qui
pourraient être ajoutés ici]- plus vite que la lumière), phrase qu’on lira /
dira sûr[s] et certain[s], comme on lirait son contraire avec plus de
joie[s], soit de réel enthousiasme. Rappelons-nous : dans les années 1977
et suivantes, les écrans plats étaient impossibles sauf dans les petites
tailles de ceux-ci dans les montres grises -[mais
argentées, au sens de métalliques]- chiffres noirs à quartz sur fond gris clair !).
Sauf, toutes celles -[de phrases]- qui sont fausses -(ou bien, serait-il plus
juste de dire qu’elles le sont
momentanément ?). Certaines vérités relatives sont affaire[s] de
temps.
Ces
deux dernières phrases / paragraphes sont-elles/ils objectivement vrai[e]s
alors qu’apparemment des contradictions / opposées ? On remarque que oui,
d’où le sentiment de malaise.
Comment
une phrase et son contraire peuvent-elles être vraies toutes les deux ?
C’est
donc selon les paramètres référentiels, soit les facteurs pris en considération
pour la thèse et tous ceux pour l’anti-thèse.
Exprimer
l’anti-thèse de toutes ces phrases inscrites ici
serait injuste, mensonger, globalement œuvre méchante, donc inacceptable
pour/par tous y compris -[pour]- les méchants -(que nous savons intéressés à se faire passer pour nous,
par conséquent à vouloir s’approprier nos textes pour se faire passer -[comme]-
des gentils les ayant eux-mêmes conçus[12])-
s’ils devaient faire preuve d’honnêteté les
concernant.
Pourtant
des aspirants à la condition humaine -(C. H.), soit à
devenir pleinement des êtres humains -(parachevés / aboutis), ont cru possible
les croire chacune sincèrement -(et à cause de cela ne pas savoir se décider
dans le choix à faire : laquelle des deux peut-être dans le vrai ?).
D’où,
une fois encore, la très grande difficulté de lire et écrire.
Quand
donc aura-t-on réuni toutes les conditions pour qu’on puisse croire à un
point-de-vue préférable à suivre, voire auquel il convient préférablement
à/d’adhérer ?
Penser
et être n’est possible en vérité qu’en conscience ?
Non, celui qui est encore inconscient croit sincèrement que ses pensées, choix,
mensonges sont possibles, justes, au point d’avoir de vrais amis avec tous ceux
qui pensent comme lui ayant oublié les paramètres antithétiques à/de ses
propos uniquement -(et hélas)- subjectifs.
C’est
hélas ici une des origines de la tragédie, … des tragédies.
La
conviction de fausseries -(état
de choses / pensées / … fausses).
Il
y a donc un état de la pensée avant
Word
et compagnie, (mais aussi avant Internet), comme il y avait eu un état de la
pensée / de la vérité avant l’Imprimerie, soit durant toutes les époques des
textes enluminés de miniatures colorées et écrites / peintes à la main :
la thèse -(ce qui est vrai, ce qui est juste : ce qui est beau
spirituellement, ce qui est bon est donc, dans certains cas, la thèse et non l’anti-thèse, car elle est en conscience préférable pour tous
/ la majorité -(voire pour obtenir l’unanimité) – cependant qu’il y a donc la
nécessité de l’accès à la conscience, la condition qui s’inscrit dans une
perspective spatialo-temporelle. Une découverte de
taille, ces dernières dimensions !).
Au
cours de ces époques médiévales, on vit alors différemment qu’aux époques des
quotidiens, des journaux, voire des informations véhiculées avec les
-[journaux]- gratuiciels reposant sur la vente de publicité[s] -[payées / payantes].
Il
y a aussi une époque différente avec la radio et les informations télévisées.
Et
c’est encore différent avec Internet, comme avec l’aide -(à
la place du gaz)- de l’induction en cuisine, soit encore une des solutions
alternatives
élégantes
-(S. A. E.).
La
Vérité -(elle est géniale et se présente à tout âge de
différentes façons avec les vérités relatives la
constituant :)- :
-
Orale ?
-
En image(s), photos ?
-
En temps réel ?
-
Ou écrite ?
-
Illustrée ?
-
Vidéo ?
-
Cinéma ?
-
Théâtre ?
-
Peintures ?
-
Bande-dessinées ?
-
Musicalisée ?
-
Par la métaphore des dessins animés et/ou
des caricatures ?
-
Par la Sculpture ?
-
La Danse, etc.
-
La Littérature ?
-
Ici ?
-
Les Décors ?
-
La Lumière sur scène ?
-
Les Costumes ?
-
La Poésie ?
-
L’Opéra ?
-
L’[a]Achitecture ?
-
Les Arts Sacrés ?
-
Les Sciences ?
-
La Culture ?
-
L’érotisme ?
-
La pornographie ?
-
Les Religions ?
-
Les sôçArts ?
-
L’Histoire ?
-
La Géographies ?
-
L’Agronomie / Agriculture ?
-
Les Sciences Economiques ?
-
En fait les diverses matières
enseignées dans les grandes écoles et les universités ?
-
- etc. etc. -(ainsi de
suite tous les mots de ces encyclopédies plus ou moins spécialisées).
-
Le premier jet ou un texte plus philosophiquement
élaboré ?
-
Sociologiquement élaboré ?
-
Anthropologiquement élaboré ?
-
Archéologiquement élaboré ?
-
Etc. élaboré ?
Quand
on rencontre un autre -(une autre)- qu’avons-nous de
sûr en commun ? Pouvons-nous être sûr de son point-de vue(s) ? Cela
revient à dire : pouvons-nous faire confiance ? Jusqu’à où
pouvons-nous faire confiance dans les propos que nous entend[r]ons de cette peronne ? Que
nous cachent ou nous disent -[à-mi-mots]- les textes
sur les sujets étudiés ?
Ici,
c’est la naissance de groupes ou/et partis qui ont, pour chacun des membres, en
commun, des certitudes. Ces gens qui divergent sur d’autres points, (même dans d/les
forums sur Internet)-
consacrés à des certitudes religieuses peuvent
appartenir, grâce à des intersections, (soit à
des formes de carrefour pris/arrivés/rejoints en commun)-
à des certitudes communes -(les lignes qui se croisent
à Nazca –[après Paracas vers le Sud du Pérou]- l’attestent).
Nous
croyons en commun ces vérités précises -(il y a ici,
nous l’avons dit, à en établir les listes), mais toutes celles-ci, différentes,
nous ne voulons pas les admettre parce que nous avons en nous connaissance de
paramètres les invalidant au sens d’infirmer, ce qui nous fait ne pas être
d’accord sur ces vérités relatives au point parfois de les croire, avec raison,
mensongères.
Y-a-t-il
des mensonges qui seront toujours des mensonges et des vérités qui seront
toujours, au contraire, vraies ? Et cela concerne les généralités ?
Peut-on éthiquement s’autoriser à en dire ? Dans quels cas / SPOK ?
C’est
que nous n’avons pas oublié tel ou tel paramètre anti-thétique
avec raison / justesse ! L’autre a beau avoir raison sur l’essentiel, nous
ne pouvons le suivre sur les points où nous sommes certains d’être plus dans le
vrai / préférable / meilleurs, etc. que lui / elle. Sur ces points, il lui
manquait des paramètres -(que nous sommes certains
d’avoir en toute justice). Soit ceux que nous avons et que nous avancerons pour
nous permettre d’être original, plus objectivement juste[s].
Ici
il y a l’éloge de la démocratie à faire, [seule ?]- façon juste et/ou
universelle de vivre en commun dans les organisations, associations,
lieux-dits, villages, communautés urbaines, intercommunalités, villes, régions,
nations, cantons, nomes, confédérations, etc. cependant qu’il ne faut pas
oublier qu’au départ c’est Périclès qui donne ce droit à tous de s’exprimer /
compter, par conséquent que celle-ci, la démocratie, est une/la confirmation
d’une initiative privée, en fait d’une sorte d’aristocrate dans le vrai -(soit
ayant eu accès à la conscience)- voulant donner / offrir en toute logique -(par
conséquent honnêteté, cohérence)- le même droit qu’à lui-même à tous : celui
de participer aux affaires-de-la-cité.
On
se range donc du côté de celui qui a l’idée apparaissant la plus juste ou/et
meilleure -(en fait la mieux expliquée)- et chacun a le droit de s’exprimer :
tous ceux au service de la thèse comme tous ceux au service de l’antithèse -(ce
que nous retrouvons dans l’élaboration des lois avec leurs cortèges
d’amendements dus aux cas particuliers à étudier / trouver pour servir la Justice :
le plus juste : les députés comme les sénateurs sont donc censés servir en
conscience la -[recherche de la]- Vérité sur tous les points publics. Avec eux
l’Etat retrouve sa légitimité, sa dignité. C’est un
lieu où s’affrontent les niveaux de lecture de chacune des mesures pour le plus
grand bien de tous. L’État repose comme le Panthéon ou/et le plafond de
Saint-Etienne-du-Mont au-dessus de l’autel sur des piliers : ce qui est
juste, bien, bon, beau, donc honnête, etc. , c’est
légitime : une affaire de famille ! Pourtant est-ce que le contraire
pourrait être vrai ?
Impossible
car ce serait la mort de tout : une maladie, celle de la pourriture, de la
corruption : la fin : l’Etat repose alors
sur l’injustice, le mal, le laid, la malhonnêteté, le mensonge, le dégoûtant,
le -[vraiment]- sale -(car j’ai démontré avec entre
autre les sôçArt[s] qu’il y avait un sale qui est
paradoxalement magnifique / merveilleux : du très grand art), etc. .
Pourtant quand on lit cette phrase on peut la croire aussi vraie que son
précédent contraire. Pourquoi ? Parce que ce beau, ce bienfaisant, ce bon,
pour être proclamés et justes, en quelque[s] sorte[s] existent sur les
contrastes de sces[13]
contraires qui apparaissent justes à la lumière de ce qui ne l’étant pas est
horrible, méchant, laid, haineux, affreux, cauchemardesque, etc.
Mais
pourtant il y a que par Amour -(soit ce qui,
pour certains, a fondé la Création, celle d’Osiris par Isis par Horus et/ou Horusse – [ : Horus à l’état de petite fille : [donc
(prêtons-nous y)]- Hora ; Horusse])- nous allons acheter/ fabriquer de la viande -(celle d’animaux pacifiques et inoffensifs
-[herbivores quadrupèdes], les API[K])- pour en
servir[14]
à
celui ou celle qui en voudra -(sans se poser des problèmes / scrupules de conscience à moins
d’appartenir aux êtres -[plus] conscients – ce qui est/serait, en définitive,
le but du jeu).
Amour
est aussi capable d’euthanasier pour éviter que la personne ne souffre trop,
mais en oubliant qu’au contraire elle aurait pu guérir, voire prolonger sa vie,
une fois réparée -(guérie après la convalescence),
indéfiniment. Cependant comme elle souffre trop et que c’est insupportabilissimis…simissme,
voire douloureusissimis…simissime
certains vont croire possible, par aAmour -(empathie
cognitive / compassion), avoir le droit de soulager la personne en pratiquant
l’euthanasie -(ce que la Médecine en théorie n’accepte pas : ne peut
accepter de manière cohérente avec sa raison d’être : soigner et guérir
puisqu’il s’agit de disciplines -(avec la
chirurgie et la psychanalyse, médecine de la psyché / pensée)- qui sont au service de toutes les formes de guérison
possibles -(elles sont aussi nombreuses qu’il y a de mots scensés).
Mais certains des responsables médicaux vont s’élever en disant qu’il y a des
cas particuliers où cela devient égoïste, au sens négatif de ce mot qui en
contient du positif dans d’autres SPOK[15],
de maintenir -(une personne qui ne veut plus vivre)-
en vie. Cependant nous avons pu vérifier qu’une personne qui le souhaite
vraiment sincèrement est dans l’amnésie de tous ou la plupart, (voire, hélas
pour elle, d’une bonne partie)- des paramètres qui
auraient pu la faire décider de demeurer en vie. Le désir d’en finir ici est
donc lié à un problème de mémoire : on ne se souvient plus de tout ce qui
nous avait fait aimer continuer à vivre si tant est qu’on ait été de ceux qui
ont éprouvé du plaisir à vivre / penser / être / consommer / créer / etc. . D’où que les lois interdisant l’euthanasie -(comme l’IVG)- sont donc à premières vues -(ce qui ne signifie pas totalement en terme de
pourcentages en raison des SPOK)- justes :
le patient ne se souvient pas / plus des paramètres positifs qui le faisait
participer / jouer son rôle du temps où il ne voulait pas en finir et avoir le
droit de poursuivre ses activités, même si, en vieillissant, cela, (sa part de
participation et d’utilité), se réduisait. Il
y a donc omission de paramètres très importants quand on veut pour soi-même
l’euthanasie ou/et le suicide assisté -(on a oublié de s’inscrire dans la
perspective du temps qui souvent fait bien les choses car il permet de trouver
les remèdes aux différe, celui qui est à
l’origine de guérison[s], voire de convalescences fructueuses en changements
dans le bon sens, de métamorphose[s] dues à une progressive prise de conscience
bienfaisante, ou alors de nouvelle[s] pratique[s] à cause de faits nouveaux
dont, hélas, on ne savait rien. Il y a eu le secours du temps -[celui des autres utiles]- dont on oubliait qu’il est -[si]-
fécond pour trouver les meilleures solutions aux problèmes : on ne savait
pas/plus que le Saint-Esprit est, en puissance -(et possibilités), partout sur
toutes choses : n’oublions pas que certaines des étoiles scintillent !).
D’autre part la loi en interdisant l’euthanasie, voire le suicide assisté -(comme l’IVG)- a raison de protéger la personne humaine
d’un entourage élaborant ces sombres calculs pour le faire hériter des biens de
la personne recherchant -([probablement] en raison de trop grandes souffrances)-
pour elle-même l’euthanasie ou/et le suicide assisté. La personne / le malade /
le patient qui recherche cela n’a plus en lui tous les paramètres qui le
poussaient à continuer à vivre et ceux-ci sont [très]- nombreux -(par exemple toutes ses bonnes actions. Il faut donc les
oublier -(soit oublier le sens de la vie : réaliser des bonnes actions –[B. A.])- pour être candidat à cette façon artificielle de
mourir et c’est ce qui fonde les adversaires de l’euthanasie comme ceux de l’i.v.g.
parce qu’avec ces paramètres qu’ils n’oublient pas, eux, (dont l’avancée des
travaux dans toutes les directions de l’esprit)- ils confirment l’aspect sacré
de l’existence humaine : une chance d’être en vie, utile[s] aux autres, la
réciproque étant bien sûr vraie, de mise. De jouer un rôle dans/pour le bien et l’intérêt général -(B.I.G.)- à géométrie variable
-(selon les compétences obtenues par les différents biais possibles et cela dès
les premiers jours de l’existence où se poser la question), a été tout aussi fondamental qu’à l’état de fœtus
accepté parce qu’on a célébré / reconnu
le droit à la Vie et ainsi en toute cohérence le droit du fœtus à se développer
pour vivre une fois né une vie bien à lui/elle et des paramètres qui le
constitue).
Aussi
face à une loi qui serait une mesure généralisante
-(générale)- il y a le cas particulier, voire l’exception, autre manifestation
d’Amour et cela peut se manifester avec le droit d’avorter, de réclamer
l’euthanasie ou le droit au suicide assisté, de la même façon qu’on a accordé
aux bouchers et aux pêcheurs le droit de pêcher, d’élever des animaux
pacifiques et
inoffensifs
-(herbivores +
quadrupèdes [= k de APIK])- pour les abattoirs à
des fins de bouche[s] / alimentation comme en faisant « pousser » des
huitres et/ou des escargots, voire, ces derniers temps -(en Extrême-Orient)- des
insectes réputés comestibles -(et en cela se nourrissant comme les oiseaux en
étant ici persuadés qu’on est dans la logique omnivore car on en a la
preuve par ces choix de nourritures notemment
quand on appartenait à ceux mangeurs des API[K] avant de comprendre, parce
qu’on en avait le droit, qu’en réalité dans le contexte économique de cette
époque-ci d’autres plans de pensée[s] plus justes -(des paramètres)- participent des arguments qui, en réalité,
nous l’interdisent en conscience !).
Par
amour on est capable de se priver de très nombreuses choses dont un égoïste -(au SNM – au
sens
négatif de ce
mot)- au contraire ne se prive pas, au point de ne pas tenir compte
des sacrifices qui sont faits par tous ceux qui croient assez justement qu’Amour
est à l’origine de la Création -(comme des raisons de leur vie / existence).
Adopter
la façon noire de regarder l’existence est possible par Amour, voire pour
sauver Amour -(on fera semblant sur de nombreux
points, voire on mentira – ici il en va du meilleur emploi du mensonge :
sa raison d’être en ce monde : le port d’un masque).
Tous
ceux qui ne croient pas possible l’euthanasie croient à d’autres paramètres
pour lesquels cela vaudrait la peine de vivre -(eux,
ils ne les ont pas oubliés).
Il
s’agit donc des paramètres, soit des arguments de chacune des catégories qui
rivalisent d’intérêt(s) de celui d’Amour mais qui font de chacun les serviteurs
de ces catégories auxquelles il y a adhésion(s) partisane(s).
Celui
qui croit qu’il n’y a pas de vérité(s) en ce monde sur un sujet comme sur tous
les autres est menteur, cependant sa conviction lui est apparue juste / vraie -(il affirme qu’il n’y a pas de vérité en matière de
sevrage, mais aussi dans tous les domaines et ne se rend pas compte de son
incohérence qui aurait dû le mener, du moins par honnêteté, au bien préférable
silence. Non, il est – peut-être sans même s’en rendre compte – (ce qui est
fort probable) - devenu malhonnête et ne se rend pas compte de cela quand il
affirme en vérité que la Vérité n’existe pas et encore moins en matière de
sevrage !!! Aussi il ne se rend pas compte qu’il est devenu faux !
Noir ! Pourtant il avait au programme à étudier les maths, soit ce qui
permet d’être exacte / logique en matière de sevrage[s] ou
de
programme[s]. En réalité, par sa conviction mensongère, il affirme le
contraire : la Vérité existe car le Saint-Esprit existe aussi -(cependant on ne pourra le découvrir qu’en accédant comme
première étape à la conscience –[c’est donc difficilement possible sans
conscience]– la conscience comme préalable -[à voler de ses propres ailes]).
Dire que celui-ci, le Saint-Esprit n’existe pas est provocateur, pour ainsi
dire une façon jésuite
-(au
sens un peu négatif de ce mot –[voire ici le problème de la » restriction
mentale « qui les a -(les jésuites)- historiquement concerné]- qui en a du
positif dans d’autres SPOK)- de considérer
l’existence.
Pourtant
celui-ci parce qu’il n’a plus connaissance des paramètres qui étayent l’anti-thèse
-(parce qu’il est dans
l’oubli de leur existence)-
parait
sincère, voire honnête en proclamant ce dont il est – de son point-de-vue » d’honnête
homme « – convaincu -(il ne se rend pas compte qu’il a des propos de
malhonnête[s] au point d’en être devenu infréquentable pour tous ceux devenus
véritablement de plus honnête(s)-gens. Ce qu’il croit en disant qu’il n’y a pas
de vérité est impossible, ou alors seulement dicible par un -[devenu]- inconscient
-(l’inconscience est [l’]oubli des paramètres qui structurent
les propos les plus conscients. La pensée est aussi en cela [a]Architecture[s] ;
plans).
Sans
structures – donc sans paramètres – difficilement possible de construire. On
s’appuie donc sur des constructions –(mentales issues
de l’esprit, donc spirituelles et on réalise des clés pendantes comme celle[s] du plafond au-dessus de l’autel de Saint-Etienne-du-Mont
à Paris).
Ce
qui est vrai est d’une façon ou d’une autre structuré. S’appuie sur des
fondations à l’épreuve des tremblements de terre et/ou des tsunami -(c’est donc à prévoir le pire ou
alors avec des structures légères, malléables, comme les tentes pour d’autres
usages). Il y a donc nécessité des fondations comme dans l’histoire des Trois Petits Cochons
-(pour
habiter dans des abris sûrs -[bons, beaux, bienfaisants]- construits sur du
assez long terme pour durer et protéger et c’est pareil sur le plan
alimentaire : il conviendra de manger éthique / bio, pour disposer d’une
bonne santé.
Éthique
n’est pas, en profondeur, conciliable avec l’état d’omnivore -(sauf exception,
voire le contraire, en raison de compassion), mais uniquement avec végétarisme
qui repose sur amour des API[K], soit le respect des animaux
pacifiques et inoffensifs qui sont chacun une âme en
chemin dans le processus qui mène finalement à la réincarnation en être humain,
la finalité elle-même de la Création qui, avec la réalisation de l’être-humain -(êtr[h]umain / êtrumain),
le rend capable de comprendre toutes les métaphores, dont celles liées à Dieu.
Il
est juste de dire -(et de penser)- que chacun des
êtres humains est / pourrait être à l’image de Dieu -(une fois devenu
éveillé-par-acquis-de-conscience on ne fait qu’un avec Dieu).
Serait-il
juste de penser et de dire aussi le contraire : que l’être-humain / êtrumain peut au lieu d’évoluer / progresser, involuer /
régresser, donc être à l’image d’animaux prédateurs et en cela du côté de
satane -[détruite], soit de ceux qui sont dans les ténèbres à manier la haine,
la méchanceté, la cécité cérébrale, soit l’absence de lumière menant aux
réincarnations les plus abyssales, prédatrices et dégénérescentes: il y a
donc entre les opposés des abimes de distances au sens de gouffres, ce qui
s’exprime parfois avec l’opposition entre le noir et le blanc, le non et le
oui, le juste et l’injuste, etc. : les contraires et ce qui est
intéressant est précisément les raisons de ces contraires à étudier. A ce
sujet, il est probable que chaque point ait son contraire apparaissant à
certains / pour certains – hélas -[et/ou
heureusement ?]- aussi justes que l’inverse ! Cependant il faudra
choisir ce qui vaut mieux pour le
bien
et l’intérêt
général -(le B.I.G.)- et cela en évitant
l’égoïsme et en sachant qu’il faudra le faire parce qu’on pourrait croire que
si on ne le fait pas tous pourraient en être pénalisé. Aussi il vaut mieux
espérer que ce serait le meilleur choix si tous avaient à le faire -(érigent une attitude /
solution en principe universel),
ils le feraient
en raison des conséquences prévisibles, soit les meilleures, soit ce qui vaut
mieux car si tous s’interdisaient, cela aurait des effets néfastes en érigeant
ce choix de façon universel. Dans ce SPOK précis on comprendra qu’on ne peut
pas, voire au contraire que c’est possible – soit ne jamais oublier le
paramètre qui érige en universel son choix -(est-il le bon qui peut être sans
danger pratiqué par tous comme le programme pour retrouver /
rétablir
la Vision d’Ôz
? Sans oublier de réfléchir à tous les cas avant de se décider)-
car il serait le meilleur pour le
bien
de l’intérêt
général– soit celui dont on n’aura jamais honte : le BIG).
Pourtant
il existe un problème[s], celui-là même de l’inconscient par rapport à des
propos plus conscients.
Comment
réconcilier ces deux opposés au point, à cause de cette solution, de les rendre
enfin complémentaires -(voilà la question qui nous est
révélée / posée) ?
Est-ce
seulement possible car nous ne pouvons pas nier l’existence de l’inconscience,
même une fois devenu[s] un de ceux conscients -(voire
qui ont eu accès à cette conscience grâce à l’éveil-par-acquis-de-conscience,
la/cette sécurité de/dans tous les êtres humains les plus véritables y ayant
-[finalement]- accédé, ce qui donne à de nombreuses choses la contradiction
comme plus véritable choix).
Ne
pas tenir compte des attitudes / pensées que le fait d’être inconscient génère
ne serait pas juste au sens d’éthique et cela par honnêteté. Il n’y aurait que
malhonnêteté à le penser possible.
Il
peut y avoir une forme de cohérence dans le fait de ne pas tenir compte de
l’Amour -(tout devient incohérence sans Amour).
Il
faut cependant reconnaître qu’Amour, (sainteté,
martyrs, service de Dieu, soit de la conscience)-
est une forme d’extrémisme
-(ce choix de la conscience, de la cohérence, par Amour)- révolutionnaire -(E.R.).
C’est
ici un véritable problème l’aAmour quand cela devient
intolérant -(par Amour et/ou soucis de cohérence, en
raison de l’éveil-par-acquis-de-conscience).
Cependant
il y a que la vérité excède la notion d’intolérance : ce serait la Vérité
à être intolérante : en fait – et c’est paradoxale - il n’y aurait rien de
plus intolérant que la Vérité ? Pas sûr, car cela serait ne pas avoir pris
le parti d’une plus juste vérité de le proclamer. Aussi on aurait en pensée
associé comme sujet » vérité « et » intolérance « plutôt
que le contraire, la tolérance dont sont censés faire preuve tous ceux ayant eu
accès à la Vérité !
Des
calculs
-(soit des
choses / arguments dont on tient compte)-
sont
impossibles dans le monde de la Vérité Amour. C’est l’Éthique, voire plutôt l’éthiquissimis…simissime qui
l’empêchent ! Mais combien le monde de la Vérité s’appuie sur des choses
seulement à première-vues -(donc pas autrement si on
les analyse plus profondément :)- vraies ! Aussi on prend des
décisions / choix comme véritable(s) en ayant extrapolé sur des bases fausses,
en définitive non totalement véritables ! Si on l’avait su on ne se serait
pas comporté ainsi -(en tirant ici le bénéfice du
juste).
Au
nom de vérité -(Vérité), donc ici synonyme d’amour-avec-un-grand-A :
Amour, on pardonne plutôt que -[de]- se venger et cela même en sachant que
l’autre -(toujours dans le faux)- ne s’est pas encore
repenti -(véritablement)- car inconscient[s], »« ils ne savent
pas ce qu’ils font ! »« -(= ils ne sont pas
conscients des conséquences de leurs décisions ou/et façons d’être).
Le
monde des êtres humains conscients s’oppose au monde de ceux qui sont encore
des animaux, voire qui « progressent[16] »
dans les régressions animales, soit dans l’involution !
Évoluer,
progresser, s’opposent à involutions régressions, un oui pour un non. Comment
les réconcilier -(les concilier)- ces oppositions
? Le peut-on simplement ?
Impossible,
à moins de faire l’avocat-du-diable -(avocadudiable).
Donc un choix s’impose.
Mais
pourquoi -[le]- faire ?
Parce
qu’on me fit – malgré moi-même – l’être -(diable)- en ma qualité
d’empereur ! Cependant je ne savais plus -(pas encore – ce qui me
reviendrait en mémoire fin 2021)- que nous étions dans
le processus de
la fin de satan.
Aussi
il a fallu – en pratiquant l’anti-thèse
don juanesque dans les faits - que je le devienne -(malgré que j’avais prévenu que
j’étais bouddhahs[17]
pour pouvoir faire retrouver la Vérité à tous ceux qui n’avaient plus entre eux
que certitudes mensongères / fallacieuses, soit qui sont devenus satan et à cause de cela vont obtenir les réincarnations
animales de plus ou moins prédateurs en proportion de leurs péchés / fautes /
mensonges / erreurs / méchancetés / haines / cécité cérébrales / choix néfastes
/ etc. -(se détournant du beau, du bien, du bon, du juste, du très véritablement
meilleur).
Une
fois qu’ils le sont devenus, ils n’ont plus comme perspective[s] que
réincarnations animales de moins en moins intelligentes à moins dans les habits -(les corps -[comme
vêtements])- de ces réincarnations -(soit ce qu’elles reprézentent
comme matière)- de vouloir redevenir des êtres
humains -(par conséquent de s’interdire de faire
le mal pour ne se consacrer qu’au bien),
ce qui
a comme finalité la bouddhéité, soit de retrouver la conscience par
l’éveil-par-acquis-de-conscience. Soit ce qui différencie tous les êtres
humains de tous ceux qui l’ont plus ou moins perdue -(d’où que chaque être
humain, bien qu’» animal pensant « -(animalpensant),
n’est pas seulement un animal appartenant aux espèces animales -(qui sont / résultent donc, chacune de degré[s] de conscience
du bien et du mal, soit de ce qui est admissible ou ne l’est pas
intellectuellement au sens de spirituellement)-
et
c’est pourquoi affirmer -(que l’êtrumain est / a été un temps omnivore que par nécessité
alors que profondément – s’il est vrai et amour, honnête – donc en toute
cohérence – il est/sera végétarien), est
vrai./: Ce sont donc les circonstances historiques qui, depuis le début du
problème -(à cause de l’héritage de la salle des machines), en raison des
migrations géographiques-historiques, ont mené l’être humain à devenir -(donc
par nécessité)- momentanément omnivore -(en l’absence des SAE : -(solutions
alternatives
élégantes),
par conséquent dans certaines régions à le/lui faire consommer de la viande
animale alors que sinon, naturellement, ou/et en raison de son cœur -(ayant du
cœur, donc de la bonté), il est, (bien
évidemment, en toute cohérence avec ces naturels désirs de bonté / Amour
–[s’opposant bien évidemment naturellement aux contraires pour le projet
personnel de progrès offert grâce à l’Evolution]),
végétarien).
[1] (Rappelons que la couleur noire n’existe pas pour les impressionnistes)
[2] Cependant j’ai pu vérifier que satane était toute noire de haine, de méchanceté, de cécité cérébrale sur toute la surface de son visage -(soit de sa face -[en exagérant pour ne pas minimiser, deux mètres carrés]- prise en sandwich dans l’épaisseur de la glace)- quand je l’ai vue, sans corps -(donc uniquement son visage), foudroyée -(stecchita – en italien ici)- par le froid de l’hiver 2005 dans l’épaisseur de la glace du bassin central du jardin du Luxembourg à Paris -(France, C.U.E. -[confédération de l’union européenne]), une entité de tout-au-plus deux mètres carrés -(probablement)- d’une épaisseur de 10 cm, (pour ne pas minimiser en disant / donnant 5 cm)- féminine et à cause de ce noir-de-haine et de méchanceté, dans la totale cécité mentale / morale / cérébrale bien que morte figée dans l’épaisseur de cette glace à droite du centre fontaine du bassin quand on a l’arrière du palais Médicis devant soi. Aussi il y avait donc comme exception cette face féminine que j’ai appelée » satane « qui était, il est vrai, totalement noire -(je l’avais un moment oubliée dans les versions précédentes de ce texte, par conséquent en brouillon -(un work in progress), et ce résultat nous l’obtenons parce que nous CAREons /[CÔREons]-(la notion de CARE –[voir en début de cette page]- est ici devenue verbe conjugué)- le texte, soit parce que nous le lisons en procédant honnêtement à ne pas oublier les anti-thèses à celles que nous avons inscrites / considérées -(parfois des thèses, selon le SPOK, et celles-ci peuvent être perçues :)- comme des anti-thèses de ce que nous affirmons ici de manière multi-dimensionnelle et multi-catégoriellement, ou par des contradictions, du moins en exhumant / produisant / révélant des paramètres / explications lié[e]s à des moments précis de notre existence gravés dans nôtre mémoire -(sans mémoire l’être humain n’est plus un être humain, il devient une sorte d’animal car il ne peut que très difficilement avoir des dialogues, infirmer ou confirmer, voire à cause de cela ne peut plus penser justement, avoir voix au chapitre)- qui sont, comme celui concernant celle que j’ai appelé satane, aussi des expériences -(quand on y pense)- au service de plus de vérité[s] / clarté[s].
[3] Sur France-Culture à partir de 2021 -(il se peut déjà avant, mais, pour ma part, je ne l’ai entendu qu’en 2021 avec son émission très intéressante : » Matière à Penser «).
[4] Des ELU ! les étudiants.
[5] -(si toutes celles-ci n’étaient que des leurres -[qu’est-ce qui fonde leur légitimité, (être) ? Soit leur vraisemblab[i]lité -(le fait d’être vrai[semblable])])- ?
[6] –(acronyme de laïcs, athées, inconscients, profanes, ignorants et sacrilèges)
[7] Ayant du sens : sensé + censé = scenscé / scensé.
[8] On comprendra avec le film La Momie à mi-mots dont j’ai l’honneur d’être l’auteur que ces femmes masquées aient à travailler pour se retirer le masque de méchanceté pour retrouver la Danse et le plus véritable chant, voire la Poésie, etc. .
[9] En effet. On ne peut décemment pas empêcher qui que ce soit d’écrire et en raison de cela essayer de penser. Il y a, bien sûr, un début à tout y compris, bien sûr, pour écrire. C’est en forgeant qu’on devient forgeron. C’est en écrivant qu’on peut, à terme, devenir écrivain, soit le secret de Léonard de Vinci : c’est en sciant que Léonard Devint Scie.
[10] Le monde du sacré est le monde de la conscience. Celui qui accède à la conscience -(première étape de la plus véritable connaissance)- se trouve paradoxalement handicapé puisque cela mène à la compréhension du mystère de Dieu comme celui de la foi avec en soi la dimension sacré de l’existence -(celle-ci est complexe d’autant plus qu’il vaut mieux ne plus regarder en arrière puisqu’on s’en est affranchi). La condition de laipis est pourtant respectable malgré que cela soit une ténébreuse affaire par laquelle certains de ceux qui accèdent à l’éveil-par-acquis-de-conscience sont passés quand d’autres n’ont plus la mémoire de l’avoir vécu dès avant la naissance, voire plus tard au berceau, voire durant leur enfance et croient donc que tous les êtres humains sont dotés naturellement de la même conscience qu’eux, cependant qu’ils découvriront progressivement que ce n’est pas le cas en déchantant à chacune des époques, voire en ayant à se défendre y compris grâce aux lois les plus justes en conscience -(celles-ci, les lois, ne pouvant avoir vu le jour qu’en raison même de l’existence de cette conscience qui permet de penser / panser -(soigner / peanser)- les situations difficiles pour, par exemple, en déterminer plus exactement les responsabilités, les peines, les devoirs, les textes les plus justes. Mais ce monde de la conscience doit toujours avoir à l’esprit que l’autre rencontré à des probabilités de ne pas faire partie de tous ceux muni de conscience. C’est ici la très grande difficulté qui l’autorise parfois à se servir du mensonge en légitime défense car il doit protéger tous ceux qui ont accès à cette conscience qui permet d’accéder aux bienfaisantes religions au service des sciences les plus exactes, en réalité les fruits de cette conscience ayant permis progressivement l’accès au sacré quand cela ne s’est pas produit dès la conception de manière immaculée, ce qui sera un très grand handicap pour le fœtus et l’enfant à cause de cela -[souvent]- surdoué, ces derniers ayant infiniment de difficulté[s] à fréquenter tous ceux qui sont encore dans les/la ténèbre[s] de leur point-de-vues évidemment incompréhensible -(puisqu’ils n’ont connu que le monde de la Vérité), la condition de l’être humain étant selon eux normalement naturellement lumineuse, à tout pouvoir s’expliquer ce qu’hélas celui / celle devenu[e] inconscient ne peut pas partager / comprendre : il est encore pour l’instant bête -(au sens négatif et positif de ce mot normalement désignant un état en chemin vers son contraire : plus d’intelligence !)- et requiert l’attention de tous les êtres conscients et vigilant(s). L’incompréhension dont fait l’objet celui -(ou celle)- qui accède à la conscience est probablement la plus tragique des situations à vivre d’autant plus que ce dernier / cette dernière n’aura jamais connu de cécité cérébrale, soit autrement vu[e] de nuit cérébrale, soit le plus souvent, à cause de cela, l’état de bêtise / bête, au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK –(voir plus loin la définition de ce nouvel acronyme). A cause de cette situation injuste pour les êtres les plus lumineux, soit ayant finalement accédé à la lumière intérieure de la conscience, (illuminati), l’humanité perd collectivement à chacune des fractions de seconde des milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards de milliards, de … , de milliards de milliards de tonnes de diamants les plus gros et les plus purs avec leur pouvoir d’achat le plus élevé qui était importante quand cette matière était rare -(par conséquent valait beaucoup plus). Cela signifie que nous ne faisons qu’uniquement perdre même si parfois nous nous ingénions à croire le contraire. Depuis 1977 nous avons dit la vérité en matière du prix du baril de pétrole en demandant à tous de baisser le prix du baril de pétrole d’autant plus que nous en sommes légitimement le propriétaire à nos divers titres -(empereur, bouddhahs, découvreur de plus de 50 % des réserves actuelles, les coordonnées géographiques de celles-ci transmises/géolocalisées par nos soins aux années 1980 et suivantes)- ce qui nous autorise à en fixer le cours. Il était donc possible de faire à jamais disparaître toute la misère et la pauvreté du monde entier à partir du moment où ce pétrole serait proposé à un centime de dollar le baril, voire encore mieux à 0,01 centime le baril, voire encore mieux à 0,0001 centime de dollar le baril -(car ainsi cela aurait permis de rembourser toutes les dettes de tous les États endettés, ce qui aurait grandement facilité à terme Le Rétablissement de la Vision d’Ôz, ce qui aurait été possible pour le premier janvier 2000, une heure de vision du Paradis toutes les cinq heures !!! Aussi nous avons, en 2022, accumulé un très long retard même si nous avons pu, à partir de 2005, vérifier en chair et en os ce qui s’était produit d’extraordinairement magique après-guerre et à partir de 1967 et 1977 en synchrone avec les années 2005 et suivantes quand nous sommes apparus immense dans le ciel de ces années 1967 et 1977 comme une virtualité en raison de nôtre anneau immaculé immatériel lumineux apparu cinq pleines secondes à partir de 2005 -(comme en 1977)- à nôtre doigt annulaire de la main gauche des hommes et des femmes les plus véritablement mariés).
[11] Ou à première-entendues.
[12] C’est pour cela que nous en retrouvons périodiquement aux plus hautes charges de fonctions au service de Dieu -(il s’agit d’imposteurs, de faux cardinaux, de faux évêques, faux papes, faux prêtres, faux … essayant de se faire passer pour -[plus]- véritables)
[13] -(ces + ses = sces et dans certains autres cas cses)-
[14] -(alors que nous savons que c’est commettre des injustices, se comporter malhonnêtement, mensongèrement pécher, sacrilège par rapport aux plus logiques adéquations avec Amour, soit ce qui a mené le bouddha / Osiris à être pour Isis et Horus / Hora, végétarien)-
[15] Acronyme de situations précises, occasions, cas particulier -[car ici c de cas et p de particulier = k de SPOK])-
[16] Evidemment lire ici avec ironie cet anti-mot -(forgé cet » anti-mot « à cause de l’exemple » anti-phrase «)- car il est entre-guillemets.
[17] (S’écrit ainsi » bouddhahs « quand c’est l’empereur qui est » bouddha «, soit éveillé-par-acquis-de-conscience)-
"Dieu (Allah), God", Pharaons-Empereurs-Bouddhah alpha-oméga Hermès Trismégiste et :..: