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Vous av[i]ez employé le mot de » conscience «. 

par Laurie Granier d'ex-Atlantide Lang d'Ôz

 

(CARÉ9 -  (correction, augmentation, abrégé, relecture, []élaboration neuf fois)

 

publié le 25 juin 2019 en première mondiale sur granier.laury.free.fr

 

Ce matin, au moment du réveil, j’ai entendu le mot de » conscience « -(mais je ne sais pas dans quel contexte il était employé – cela est advenu autour de six heures et quart – alors que j’étais encore inconscient parce que je dormais)- et je me suis aussitôt dit que puisque j’avais pu bien dormir jusqu’à ce moment où j’ai été réveillé, je devais effectivement comme cela venait d’être dit, reprendre conscience[1] pour me mettre au travail après le petit déjeuner -{[(qu’en général on fait à moitié réveillé, donc qu’on prend en étant en partie inconscient – en effet, bien se nourrir -[(en se nourrissant, par exemple comme dans mon cas de manière/façon végétariennece qui permet de faire des économies et de ne plus entrer dans les statistiques de tous ceux qui ont besoin de l’élevage pour, par exemple, se nourrir le matin, au petit-déjeuner, de bacon, comme une partie des citoyens de l’empire britannique. En effet, il convient de ne pas oublier que l’élevage à des fins de bouche c’est-à-dire consommé en tant qu’omnivores à tendance carnivore, est en partie responsable du processus de désertification qui affecte cette planète au point, qu’il convient que tous prennent conscience de ce très grave danger, de manière à ce que soit enfin possible, à l’échelle planétaire, la Grande Mutation[2] parce que les urines des animaux pacifiques et inoffensifs affectent les sols où poussent les herbes dont ces animaux se nourrissent, au point -(cette urine)- de [comme] brûler ces herbes et à cause de cela de nuire aux sols où paissent par exemple ces bovidés. En effet tous ceux qui ont eu le plaisir d’élever un chience qui est parfois un plaisir, si ce chien n’est pas trop sauvage et accepte de devenir un animal de compagnie domestique ont pu remarquer, s’ils sont allés jouer avec leur(s) chien(s) sur une pelouse, voire [sur] celle du jardin de leur(s) maisons(s), que lorsqu’un chien urine sur cette herbe, cela a pour effet de rendre -(en quelques jours)- la zone où il a uriné sèche et, hélas, [devient] stérile pendant longtemps: cela -(d’un beau vert tendre effectivement à brouter)- devient jaune sec et la pelouse devient indélébilement marquée à cet endroit où le chien a uriné -(pour récupérer cette pelouse, il faudra creuser et remuer la terre à cet endroit où elle est marquée comme d’une sorte de sécheresse et puis, après avoir beaucoup arrosé avec de l’eau, replanter du gazon pour que l’année suivante la pelouse -(ou/et le champ recouvert d’herbe pour produire du foin)- puisse de nouveau pousser. On comprend alors ce que représente comme danger les urines des bovidés, même dans les pâturages dans les montagnes. C’est ainsi, à cause de l’élevage intensif que les régions se sont peu à peu asséchées au point de devenir une des raisons principales de la désertification en cours, à cause [aussi] du réchauffement planétaire dû, entre autres, à ce qu’on a justement nommé l’effet de serre causé par les activités humaines et/ou animales. Aussi il nous appartient à tous de choisir les formes les moins dangereuses d’élevage. Celles-ci, on le sait, existe à la ferme où le paysan distribue du foin à ces animaux pacifiques et inoffensifs qui sont si utiles car, par exemple, ils produisent le lait si nécessaire aux nourrissons mais aussi à tous les êtres humains, en raison des laitages produits - beurres, yaourts, fromages, crèmes, etc. si utiles aussi pour de nombreuses [viandes decar c’est comme une viande : il faut disposer de bonnes dents pour les mâcher] pâtes et pâtisseries, ce qui représente depuis longtemps une des complémentaritéss essentielles à/de nos respectifs repas. Il conviendra donc que ceux qui sont devenus carnivores -(en raison qu’ils ont eu la paresse d’apprendre à faire [de] la cuisine parce qu’ils étaient les héritiers de l’époque où les êtres humains masculins chassaient pour s’alimenter, c’est-à-dire l’époque ayant précédé celle de l’élevage), se contraignent à enfin faire en eux-mêmes une mise à jour pour éviter la taille trop importante de ces élevages démesurés à des fins de boucherie, de manière à ce qu’ils se nourrissent quotidiennement avec beaucoup moins de viande et de poisson, et si possible comme Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les lordissimis…simissimes princes Léonard de Vinci : en végétarien(s), à cause des solutions alternatives élégantes qui [lui] sont progressivement apparues notemment grâce aux importations-exportations de ces solutions alternatives élégantes commercialisées -(j’ai pu vérifier que la véritable élégance ne se remarque pas souvent, comme les choses les meilleures, parfois les plus simples, pour garantir une/la meilleure santé) à l’origine de véritables activités utiles -(et rémunératives en CFPMD – crédits financiers propres et mérités de droit – ce terme est synonyme du mot » argent « )- et réellement bénéfiques pour tous. En effet, ces animaux élevés dans des champs où ils trouvent beaucoup d’herbes à brouter, à la longue détruisent les sols qui, nous l’avons dit, s’assèchent. Cependant il est conseillé pour disposer de la meilleure qualité de viande de laisser brouter les herbes de ces champs. Or nous avons pu remarquer que les urines de ces bovidés (si elles ne sont pas coupées par dix à vingt fois leur volume en eau ne sont pas des fertilisant, voire des engrais et sont donc à la longue à l’origine / responsables de la stérilité de ces champs. Aussi on comprend donc que pour élever ces bovidés -(ces bovins, ovins (moutons), chèvres, etc.)- pour qu’ils produisent du lait (ce qui ne se produit que quand les femelles de ces animaux ont eu leur petits), voire de la laine, il convient de couper l’herbe de ces prés pour leur présenter sous forme de foins les herbes de ces champs qui, si elles étaient en permanence piétinées (à cause de la présence de ces bovidés), ne produiraient plus d’herbes et deviendraient secs (désertiques). Cela signifie donc que les paysans qui produisent des bovidés pour la boucherie (comme pour toutes les autres matières premières dont chacun de ces bovidés sont les auteurs) ont à nourrir ces bovidés dans/à la ferme, en récoltant au préalable ce foin pour les nourrir)]- permet petit à petit de sortir de l’inconscience des heures précédentes de sommeil et par conséquent de se préparer aux diverses activités de la journée qu’on ne peut, en vérité, réaliser qu’avec l’aide[3] de la conscience[4] qui permet, par exemple, de trouver chacune des solutions alternatives élégantes aux problèmes -[qui se poseront] / rencontrés. D’où la nécessité de manger des choses saines qui ne vont pas nuire à l’état de santé et même, au contraire, faire du bien, notemment parce que ces nourritures qu’on ingère n’ont pas rendu ceux qui les ont proposées sur le[s] marché[s] complices de ceux qui croient possible faire du mal aux animaux pacifiques et inoffensifs, ce que – je le rappelle - nous avons chacun des êtres humains tous été dès -[avant]- notre respective naissance.

En effet, avant notre réincarnation en êtres humains, nous avons tous été l’un ou l’autre des animaux pacifiques et inoffensifs des herbivores ou/et animaux végétariens, voire comme nos ancêtres les plus éloignés ne disposant pas encore de langues écrites -(ce qui a permis, entre autres, aux êtres humains de peanser -[car penser + panser = peanser]) uniquement mangeurs de fruits -(fructivores)- des arbres ou/et des bois.

Ce n’est qu’en l’absence des solutions alternatives élégantes végétariennes -(produites par les diverses révolutions agricoles)- que nos ancêtres, [venus[5] dans nos régions occidentales en raison des migrations causées par la très grande catastrophe -(à l’origine de la disparition de la vue du très-saint-paradis, soit celle de l’Eden, voire d’Atlantide, Ôz et les autres synonymes signifiant ces notions)- à l’origine de la progressive désertification causée en premier lieu par l’élevage intensif des animaux pacifiques et inoffensifs -[non pas seulement à des fins justes et bonnes – donc admissibles - comme la production de lait et de laine, mais à des fins de boucherie]- et de nos jours par le réchauffement planétaire, à cause des activités humaines grandes consommatrices d’énergies fossiles -(pétrole, charbon, etc.)- polluantes, les principales composantes/auteures de l’effet de serre)- à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine (H. A. H.)], sont, à cause de la chasse, (qu’ils se sont autorisés avec la solution alternative de l’élevage dans ces régions de la planète comportant des saisons différentes avec, à cause de cela, entre autres, la nécessité de se vêtir)- devenus ainsi omnivores, et parfois même, hélas ou/et heureusement -(cela ici dépend des points de vues)- à dominante carnée)]}.

 

Probablement ce mot que j’ai entendu -(celui de » conscience «)- employé au loin dans ma tête, l’était par des personnes ayant eu accès à la salle des machines, ce qui permet d’avoir accès, durant le sommeil d’une personne qui dort, à son cerveau, ce qui avait été le cas puisque j’avais entendu distinctement ce mot de » conscience « ne venant pas de moi mais d’une autre personne que la mienne. Donc même si c’était dans ma tête, cela appartenait à une chose extérieure à ma personne. Probablement une personne étant en train, sans mon consentement, malgré le somnifère que j’avais pris cette nuit, d’essayer, (donc sans [me] respecter [mes droits]), de me réveiller puisque c’est d’entendre ce mot de » conscience « dans probablement la fin d’un de mes rêves qui m’a effectivement réveillé.

J’ai alors compris que cette personne appartenait aux LAIPIS[6] (uniquement laïcs, strictement athées et inconscients, à cause de cela profanes et ignorants et/ou par moment(s) sacrilèges, au sens positif et/ou négatif de ces mots [ASPNM]), c’est-à-dire aux personnes ne se rendant pas compte qu’une personne qui se repose -(d’une – parfois, [voire souvent] - difficile journée de travail)- en dormant a des droits –(comme celui de se réveiller à l’heure qu’il veut ou/et qui correspond au moment où il aura à petit-déjeuner pour affronter -(comme chacun de nous)- la journée qui commence un peu avant d’avoir à faire les choses prévues la veille, sces -(ses + ces = sces)- devoirs, soit les activités qu’on s’est assignées, par exemple en se donnant une peine ou une autre qui serait/deviendrait alors prioritaire dans la chronologie de celles-ci durant cette journée de travail/travaux. 

 

Si ce mot de conscience a été employé durant mon sommeil, probablement dans un rêve dont je ne me souviens pas[7] -(parce que le sommeil m’avait rendu en partie inconscient), c’est parce qu’on sait que c’est un mot, la » conscience «, qui, m’intéresse beaucoup, en raison de ce que j’ai à ce sujet probablement dit ailleurs, voire dont j’ai récemment -(la veille, hier)- parlé avec Michèle Finck au téléphone, en lui disant qu’effectivement d’avoir retrouvé, à partir de 2005, en moi, cette conscience -(redevenue claire)- était aussi à l’origine de mon sens du devoir, mais aussi de cette abnégation -(sauf exception(s))- au service du Bien et de l’Intérêt Général, ce qui, on le sait, m’a effectivement permis d’intervenir à partir de 2005 à travers Espace et Temps dans les époques du passé -(comme je l’ai écrit/dit dans mes lettres au présidents de la République française mais aussi celles adressées aux papes -(dont le pape émérite) des années 1967 et suivantes comme de celle de 1977 et années suivantes en synchrone avec ces années 2005 et suivantes, tout cela n’ayant pu se produire que par acquis de conscience et progressif accès au Saint-Esprit.

 

On a donc choisi un mot qui m’intéresse pour me réveiller -(donc sans respecter mes droits de dormir jusqu’au moment où j’aurais eu à me réveiller de moi-même enfin assez reposé le réveil de cette manière, à distance, cela constitue une forme de viol de la personnalité, par conséquence cela est à l’origine d’une sorte/forme de traumatisme pour celui qu’on réveille ainsi au mépris de ses droits[8]). Celui qui a ainsi employé ce mot de conscience -(dans ce rêve)- suffisemment à haute voix pour me réveiller, ne sait probablement pas ce qu’il signifie, donc appartenait probablement aux inconscients – c’est-à-dire à tous ceux qui ont à un moment ou un autre de leur[s] existence[s] perdu leur conscience -(ou une partie de leur conscience), car alors s’il était de ceux qui sont dotés de cette conscience, il aurait su se comporter et ne m’aurait certainement pas réveillé -(même pour tout l’or du monde)- car les gens qui sont conscients savent que quelqu’un qui dort a le droit d’être, durant les moments où il dort, dans une/cette sorte d’inconscience liée au sommeilvoire dans certains SPÔK (situations précises, occasions, cas particuliers [car ici c + p = k]) moins conscient.

 

Aussi, parce que j’étais – avant d’entendre dans ce rêve ce mot de » conscience « – en partie du moins inconscient, je connais bien tous ceux qui sont L. A. I. P. I. S.[9] -(uniquement laïcs, strictement athées et [en partie] inconscients, à cause de cela profanes et ignorants et/ou par moment(s) sacrilèges ASPNM : au sens positif et négatif de ces mots), donc parmi eux les inconscients, soit ce que j’ai eu à démontrer de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005 -(en m’utilisant comme cobaye de ces expériences)- qu’on pouvait devenir -(par exemple aussi sans avoir suffisemment d’instruction[10]), pas seulement à cause du sommeil, mais durant certains moments de la journée, au point de finir par appartenir aux gens qui se mentent à eux-mêmes sur un certain nombre de points, ce qui est à l’origine de la plupart des malheurs et des tragédies.

 

Mais en réalité ce mot -(de conscience)- tombait bien, car depuis plusieurs mois je souhaitais commencer à m’exprimer sur cette question de conscience et d’inconscience, d’autant plus que j’ai bien pu déterminer -(avec moi-même comme cobaye de mes expériences à [enfin] essayer d’analyser [en conscience])- que même si on a enfin eu accès à la conscience -(à force de peiner, de travailler pour le Bien et l’Intérêt Généralc’est-à-dire en s’infligeant de constantes peines difficiles à réaliser pour réussir, le jour venu, à gagner des CFPMD crédits financiers propres et mérités de droit - pour gagner légitimement des sommes d’argent qui n’ont pas été volées, donc qu’on mérite réellement/légitimement)- qu’il reste peut-être [heureusement] -(c’est ici que nous aurons à nous prononcer sur la question)- tout une partie de soi-même qui demeure encore comme un peu inconsciente, notemment – nous l’avons dit - quand on dort, mais aussi, je l’ai remarqué, durant les temps où on œuvre avec/grâce à cette conscience retrouvée -(cela produit en soi-même en train de réfléchir et de CARÉ -(corriger, abréger, augmenter, relire, résumer, []élaborer)- un texte, des » ah ! j’oubliai [(sous-entendu:) ce(s) paramètre(s)] «, ce qui alors nous contraint à de nouveau CARÉ -(donc à modifier le texte sur lequel on travaillece sont ces CARÉ(s) successifs qui prouvent, de nos jours, qu’il est préférable -[pour exprimer des vérités relatives ou/et la Vérité -(qui est dans certains SPÔK complexe)]- d’écrire plutôt que parler, car les propos inscrits[11] permettent [comme] de les sculpter en plusieurs dimensions grâce à la véritable réflexion du lecteur / rédacteur / correcteur qui aura constemment à cœur de vérifier chacun des points -(qui, selon la quantité de données objectives auxquelles sa conscience le rattache, infirme ou/et confirme ces propos écritsdonc en raison de la cohérence des propos, de leur(s) logique(s) en accord avec sa personnalité de lecteur / spectateur / auteur), c’est-à-dire grâce à ces CARÉ(s) -(corrections, augmentations, abrégés, relectures, []élaborations)  successifs : des améliorations par approximations successives, grâce à des précisions ou/et à des exemples qui venant en nous à cause de ce que nous avançons dans ces CARÉ(s), infirment, voire autrement confirment ces propos. De toute façon ce qui se produit avec l’écriture, c’est cette possibilité, grâce aux CARÉ(s) de rendre plus claires des idées et/ou des intuitions, voire de devancer prophétiquement les problèmes, par conséquent de les creuser grâce aux meilleurs des raisonnements cohérents car logiques et rationnels, donc qui ne peuvent être qu’élaborés [qu’] en conscience -[objective], ce qui signifie en s’auto-critiquant en permanence, voire en s’auto-censurant, bref (pour reprendre un conseil que m’avait donné Pierre Lartique à la suite de la projection en avant-première de La Momie à mi-mots -(à la Cinémathèque française)- qui durait alors deux heures vingt minutes), en étant « impitoyable avec soi-même » [au cours des montages[12] à venir] à cause du fait qu’on se doit de penser d’avance aux conséquences de ce qu’on marque / inscrit / tourne /enregistre qui ne peut donc advenir, une fois cette conscience retrouvée en soi-même, que dans l’Intérêt et pour le Bien Général.

 

Mon hypothèse est que probablement nous parvenons aussi à œuvrer / travailler / avancer parce qu’une partie de chacun des êtres ayant eu accès à cette conscience ont aussi accès à une certaine dose d’inconscience –(donc de subjectivité)- car c’est la conscience –(parce qu’elle est en général en liaison avec la mémoire de toute l’existence de notre personne, donc à une énorme quantité de données)- qui rend lucide au point, parfois, de ne plus pouvoir exercer des activités autrefois sans cette conscience faciles, en fait cela par -[excès]- de conscience -(celle-ci comporte donc un aspect handicapant car elle est aussi en liaison avec la complexité de l’existence et de certaines vérités, mais aussi en liaison avec les existences des autres, notemment des LAIPIS -(uniquement laïcs, strictement athées et [en partie] inconscients, à cause de cela profanes et ignorants et/ou par moment(s) sacrilèges, au sens positif et négatif de ces mots - ASPNM).

 

Aussi mon hypothèse est que si, par exemple, je travaille à ce texte que j’essaie de rédiger -(en raison de CARÉ(s) -(corrections, abrégés, augmentations, résumés, relectures, []élaborations)- successifs élaborés en conscience, cela n’est possible que parce qu’une partie de moi continue à avoir soif de sommeil -(en raison de ce qu’on m’a réveillé trop tôt donc que je ne me suis pas assez reposé des fatigues endurées hier, donc durant les temps précédents)- tandis qu’une partie de ma personne – grâce à ces différentes relectures, ces CARÉ(s) -(corrections, abrégés, augmentations, résumés, relectures, recherches, []élaborations)- continuent à rechercher les vérités relatives pour mieux approcher / traduire la Vérité qui, je le sais, grâce à l’existence de cette conscience en moi, existe / concerne chacun des points / sujets, cependant sera probablement [un peu] différente de celle d’une autre personne, en fonction de la quantité de paramètres qu’on aura pris ou non en considération dans tous ceux vécus en conscience, voire tous ceux vécus alors que nous étions en partie inconscient.[13]

Aussi cela signifie que ceux qui ne CARÉ -(relisent, etc.)- pas suffisemment leurs textes n’ont une approche de la Vérité que d’une façon très/trop élémentaire en courant le danger d’être, à cause de cela, en fin de compte, dans l’erreur, bien que parfois, dans certains SPÔK -(dans certains cas, etc.)- ce qui est simple ou/et élémentaire soit vrai. Aussi ce sont d’autres SPÔK (situations précises, occasions, cas particuliers [car ici c + p = k])- qui nécessitent autant de recherches et où vérités relatives, voire contre-vérités ou/et mensonges au point de rendre obligatoires les nombreux CARÉ(s).

 

C’est d’être devenu(s) lucide, grâce à la conscience, qui est souvent à l’origine de ce qu’on se refuse de travailler, par exemple de/pour se rendre à la place utile en s’exerçant à penser sur des sujets divers -(dans l’Intérêt Général et pour le Bien Général, c’est-à-dire une fois devenus l’un ou l’autre des » éveillés « c’est-à-dire des bouddhas, en Vérité, soit en toute logique et cohérence -(ce que j’ai vérifié n’est possible sur tous les points probablement sans exception qu’en s’étant imposé de devenir végétarien[s], c’est-à-dire en s’interdisant de faire du mal aux animaux pacifiques et inoffensifs, ce qui est juste car il s’agit, chacune de ces réincarnations d’animaux pacifiques et inoffensifs, de l’une ou l’autre de celles par lesquelles chacun d’entre les êtres humains s’est incarné à l’étape précédente à/de celle de nos respectives incarnations en l’un ou l’autre des êtres humains)- avec la situation privée de la vision du très saint paradis (Ôz, Atlantide, l’Eden, Arcadie, Schtroumpf, etc.. ).

 

C’est ce que j’avais commencé à dire à Michèle à l’occasion d’un échange téléphonique. Nous avons évoqué cette nécessité que chacun des êtres humains essaie de [re]trouver cette conscience en lui/elle-même -(comme j’ai démontré la première fois dix années de 1967 à 1977 et la seconde fois vingt-sept ans, c’est possible à force d’efforts au cours de travaux et en ne faisant pas semblant d’aimer, ce qui exige de devenir cohérent avec cet idéal). L’acquis de conscience peut se traduire en italien par l’expression chère à ma grande tante Zia Elda, professeure de piano à Cuneo -(Piémont), qui me conseillait de » mettere sù il giudizio « -(ce qu’elle me recommandait quand elle remarquait, enfant, que je faisais des bêtises, ce aussi à quoi elle avait assisté quand en 1977 pour la seconde fois de mon existence – la première fois avait eu lieu en 1967 - j’avais démontré qu’un enfant qui a perdu sa conscience, donc qui est devenu en partie insensé comme un faune, peut retrouver cette conscience, notemment grâce au concours de tous les membres appartenant à chacune des religions et/ou disciplines / intellectuellement admissibles, catégories auxquelles il a aussi accès à l’Ecole et/ou dans sa famille, voire de nos jours grâce à la télévision ou/et sur Internet)- ce qui se traduit littéralement par » mettre le jugement dans la tête « ou » juger grâce à la tête « soit en intellectuel -(ce qui sous-entend en liaison avec d’autres paramètres)- ou » trouver le meilleur des jugements, en utilisant les différentes facultés intellectuelles, ce qui a pour effet de rendre ce jugement plus objectif que d’autres, puisqu’il n’est pas -(ne doit pas être)- de ceux influencés par la subjectivité qui est souvent le résultat des jugements causés par des excès de sensualité, voire, hélas, la tyrannie de la -[voracité]- sexuelle -(la luxure), soit ce qui peut être à l’origine de l’égoïsme -(au sens négatif de ce mot et non au sens positif : ASNMNSP)- au point de mentir sur les questions de Bien et d’Intérêt Général –(on ne voit plus que son seul intérêt personnel qui, dans ces SPÔK(s), rejoint rarement l’Intérêt Général).  

 

Et c’est [peut-être] cela qui est à l’origine de la plupart des tragédies –(le fait qu’il existe dans certains SPÔK -(situations précises, occasions, cas particuliers [car ici c + p = k])- les plus conscients voire les plus lucides, une -(plus ou moins grande)- part d’inconscience à combattre, ce qui est le plus désespérant pour tous ceux qui ont acquis cette pourrait-on dire -[divine]- conscience, c’est-à-dire qui ont pu enfin vérifier sur eux-mêmes qu’il existe bel et bien pour/dans chacun des êtres humains ce possible accès à cette sécurité humaine de finir par être gouverné par la conscience qui, je l’ai vérifié et démontré, ne se met en marche / fonction dans/pour chacun d’entre nous l’ayant perdu, qu’uniquement en cherchant voire pour cela en utilisant la méthode Cué -(comme ce fut mon cas assez longtemps : plus de dix ans)- réellement à bien faire -(selon les canons anciens liés traditionnellement à cette notion), ce qui n’est possible qu’en choisissant de ressembler à des êtres humains qui ont été durant leur[s] respective[s] existence[s] des modèles de vertu -(comme l’a été, par exemple, mère Teresa . Par conséquent -[progressivement]- probe, honnête, donc en s’interdisant de nuire, bref plus véritables et à cause de cela, à partir d’un certain moment enfin réellement altruiste -(on ne fait alors pas/plus semblant)- parce que chacun a vécu une sorte de métamorphose, il a, petit à petit, gagné des bons points, au point d’arriverincroyable mais vrai grâce à de constants efforts au purgatoire, au jour où il/elle retrouve leur conscience, c’est-à-dire cette sorte de lumière intérieure permettant durant la veille en général durant la journée, à moins qu’on soit de ceux qui préfèrent travailler de nuit de déterminer le vrai du faux, le bien du mal, en raison qu’on est alors capables de mesurer les conséquences à plus ou moins long terme de chacun des actes, de chacune des pensées, de chacun de ses dires, voire de chacun des moments vécus à partir desquels on peut tirer des enseignements féconds.

 

Évidemment l’accès à la conscience ce n’est pas seulement cela, mais c’est aussi cela dans un monde où l’on sait qu’hélas, pour l’instant encore, chacune des personnes qui nous entourent n’ont pas forcément eu accès, comme nous-mêmes, à cette conscience -(en raison pour chacun d’entre eux comme j’ai eu à le démontrer non seulement à l’âge des enfants mais aussi à l’adolescence - du moment où encore enfants ou/et adolescents, ils ont -(chacun pour des raisons précises)- perdu leur/cette conscience, ce qui a, hélas, eu comme conséquence parfois de sombrer corps et biens dans l’inconscience et ses corollaires –(au point d’être chacun de plus en plus perdu)- soit dans des situations où, à cause de ce qu’ils n’ont plus conscience, ils vont se comporter bêtement, et/ou faire de mauvais calculs/choix -(comme j’ai [dé]montré qu’on en fait durant toutes les périodes où je devins comme une grande partie des adolescents en partie inconscientce qui, on le sait, s’est produit pour ces Démonstrations la première fois de l’âge de quatre ans à quatorze ans, quand j’eus à vérifier que c’est en partie grâce à la religion chrétienne que vers mes quatorze ans, j’avais pu, une autre fois, retrouver cette conscience et, en suite, cela s’est passé de mes quatorze ans à quarante-deux ans - quand je dus m’imposer l’amnésie qu’on sait pour, en redevenant profane, réussir, parce que je n’ai pas voulu faire semblant d’aimer -(par conséquent pour cela, il y a eu au préalable la nécessité de rechercher la cohérence entre mes actes et mes dires/choix d’existence, grâce à des sortes de mises-à-jour, c’est-à-dire en tenant compte des changements et des solutions alternatives élégantes existantes)- progressivement Michèle donc ce qui ne fut possible que grâce à l’oubli -(l’amnésie)- canonique -(en pareille situation)- de ma fiancée SAIE SSSS P Christine … Lang comme aussi de tout ce qui s’était passé de véritablement extraordinaire -(d’incroyable mais vrai)- pour Christine et moi en 1977 (dont mon apparition dans le ciel, vingt-sept années avant que cela devienne la réalité en chair et en os). Cela avait été en partie responsable de ma séparation sacrificielle d’avec Christine qui sur place à Rome de mon point de vue de jeune amoureux -(ayant [eu] accès à ma conscience, donc redevenu bouddha -(c’est-à-dire [intellectuellement] éveillé, donc capable de peanser – car penser + panser = peanser – soit grâce à des pensées les plus saines – les plus objectives, les plus justes voire les plus éthiques - soigner, voir guérir)- dès cette date-là, attendait alors nos enfants -(notre descendance)- comme une virtualité -(possibilité)- qui était due à nos fiançailles cosmiques, universelles -(à cause de mon apparition y compris sonore vingt-sept ans à l’avance dans le ciel), d’autant, à cette occasion, (et avec vingt-sept ans d’avance), plus qu’extraordinaire de la virtualité du double de ma personne, vingt-sept années  avant que cela n’advienne dans la réalité en chair et en os, cela s’étant déroulé dans le ciel de Rome et pour commencer au-dessus du Lycée Chateaubriand à la Villa Strohl-Fern, cette apparition de moi immense dans le cielce qui avait suivi le retour de ma conscience retrouvée en 2005 après vingt-sept années de plus ou moins inconscience, à cause de cette amnésie que celui que je serais devenu -(d’avance dans le ciel, en fait à partir de 2005 alors que je m’adressais aux années 1977 et suivantes)- m’a recommandé de m’ingénier à m’infliger, pâtir / endurer -(dans un cas particulier pareil[14]), ce qui me permettrait de créer les conditions pour pouvoir démontrer à Michèle qu’une personne devenue inconsciente -(mais qui ne veut plus tricher avec la vie parce qu’elle/il souhaite aimer en vérité), peut, grâce à l’amour qu’il/elle cherchera à éprouver véritablement pour une personne de l’autre sexe donc complémentaire - redevenir consciente, et par conséquent peut aussi retrouver sa mémoire grâce dans mon cas - à la pratique de l’auto-psychanalyse -(qui fut publique car j’étais dans le ciel vu et entendu – la mémoire de cela m’étant en partie revenue - dans l’époque précédente des années 1977 et suivantes et parce que devenu un des bouddhas -(c’est-à-dire des éveillés ayant eu accès à leur conscience)- auto-critique[s] ce qui est dans d’autres SPÔK – situations précises, occasions, cas particuliers -[car ici c + p = k] - probablement possible aussi par la psychanalyse avec un psychanalyste -[qui doit être, avant de se permettre d’exercer,  impérativement]- devenu végétarien -(car il s’agit comme je l’ai démontré en vérifiant que Léonard de Vinci ne nous avait pas trompé en étant végétarien - de l’alimentation qui, à la longue, permet de retrouver la logique, la cohérence -(dans la plupart des analyses de SPÔK), la raison donc la Vérité) c’est bien le problème qui s’est posé pour moi qui était déjà devenu végétarien : aucun des psychanalystes qu’on m’a proposé de rencontrer pour commencer des séances d’analyse(s) n’était végétarienpar conséquent probablement tous ceux que j’ai alors rencontrés n’étant pas allés jusqu’au bout de leur psychanalyse, ce qui les aurait conduit immanquablement à s’imposer de devenir végétarien, ne serait-ce que comme moi, par soucis de cohérence avec le mot d’amour envers les animaux pacifiques et inoffensifs. A cause de leur alimentation d’omnivores et non celle de végétariens, ces psychanalystes avaient perdu, en partie du moins, leur(s) cohérence(s), (le sens de la logique exacte, donc de la vérité)- avec, du moins, une partie de leur conscience c’est pour cela que j’ai opté pour l’auto-psychanalyse, car pour retrouver la vérité en soi, on doit, sur le plan alimentaire forcément passer par les meilleurs conseils de Bouddha et ses enseignements, dont le premier d’entre eux est de ne pas s’autoriser à être complices de ceux qui aiment faire le mal voire d’être complice de ceux qui en font aux animaux pacifiques et inoffensifsc’est alors seulement, quand on s’interdit sincèrement cela que, petit à petit, on peut retrouver sa bouddhéité d’antant, soit celle qu’on avait, chacun d’entre nous, (même tous ceux qui sont devenus les plus criminels des êtres humains qui, on le voit, ont le temps de changer de nouveau – de vivre une métamorphose - pour retrouver leur âme d’enfant)- durant notre croissance, dans le ventre de nos respectives mères).

 

Mais depuis quelques temps – en fait depuis que je suis de nouveau fiancé avec Michèle – j’ai remarqué que je ne suis plus aussi conscient que durant la période où nous avions rompu, soit cette période d’environ treize ans, de 2005 à 2017, où j’ai eu – (parce qu’on me voyait à partir de 1977 dans le ciel de Rome synchrone avec les journées de l’année 2005 et les suivantes) - à m’avertir de ce qui m’attendait, en ayant – comme solution alternative élégante - à proposer notre sacrifice maçonnique de séparation d’avec Christine … Lang en conseillant de m’ingénier à obtenir cette amnésie de manière à petit à petit devenir un peu inconscient -(donc un des l. a. i. p. i. s.)- pour que je puisse faire la connaissance de Michèle -(qui avait voulu en 1977 être l’unique impératrice, en prenant la place de Christine, malgré la solution alternative élégante des deux épouses que je lui ai alors proposée au téléphone, étant donné que l’un de mes moi-mêmes, apparu dans le ciel, avait transmis le numéro de téléphone de Michèle Finck à Strasbourg pour qu’en 1977, au besoin, si  je le jugeai utile, je l’appelle, ce qui s’est produit avec alors ma solution alternative élégante des deux épouses)- en partie devenu inconscient -(il y a - pour attester/prouver cela - un portrait de moi, il m’a semblé intitulé » portrait d’un cinéaste « -(appartenant à une collection privée [car j’ai su entre temps qu’il a trouvé acheteur]), très bien peint par le peintre grec S. A. I. S. S. S. L. P. Dimitri Ratsikas où on me voit alors la face à moitié vivante car alors -(c’est, dans mon immeuble, au moment de ma rencontre avec Michèle Finck)- une moitié de ma personne est comme morte, sans vie, avec peu d’esprit et de conscience, ce que j’avais pu obtenir de moi en me comportant en satyre, c’est-à-dire en péchant –(en me profanant)- notemment à cause de films pornos que je voyais alors –(et pour me donner l’autorisation de les voir sachant que c’était mal faire/agir, je me suis alors inventé une excuse [depuis 2005 jugée inadmissible car une fausse bonne raison] dont je vais parler :)- sur Canal Plus, en me donnant cette sorte d’excuse intellectuelle, donc avec cette fausse bonne raison qui avaient l’apparence de -[rationnellement]- être acceptables en tant que circonstances atténuantes pour regarder ces films pornographiques sans décodeur, par conséquent comme – me disais-je – des œuvres d’art obtenues grâce à cette mécanique traiïïste avec ces traits décalés, les images de cette chaîne de télévision sans décodeur, ainsi brouillées à cause de ce que ne disposant pas d’assez de CFPMD -(crédits financiers propres et mérités de droit)- je n’avais pas loué de/un décodeur, par conséquent je regardais Canal + le plus souvent brouillé – sans le système de décodage y compris brouillée la question sonore et celame disais-je, cet aspect traiïïste original pour ces images brouillées -(pour m’autoriser à les regarder)- en croyant avoir ici une bonne raison ayant un rapport avec l’Histoire de l’Art ! En effet, ayant un peu étudié l’Art, enfant, au Lycée Chateaubriand de Rome, avec mon professeur Monsieur Moureau, et cet art à partir du mouvement impressionniste qui avait été à l’origine de tant d’incompréhensions au début du XXème siècle, j’avais été sensible aux peintres que j’avais déterminé appartenir au mouvement des traiïïstes qui, en réalité était celui des pointillistes -(les divisionnistes)- mais au lieu de procéder par des juxtapositions de points de différentes couleurs, les peintres -[devenus pour l’occasion]- traiïïstes, procédaient dans leurs tableaux par la juxtaposition de petits traits -(en fait cela concernait les pointillistes qui, parfois, pour aller plus vite, faisaient dans certains de leurs tableaux des petits traits de couleurs différentes. Aussi j’avais fait un lien dans ma tête entre les images de ces films pornographiques regardées -(je croyais à l’insu de tousj’ignorai alors qu’il existait une salle des machines dans laquelle on croit être au courant de tout)- sans décodeur avec le mouvement pictural des peintres qui avaient systématiquement réalisé quelques-unes de leurs toiles en faisant des traits de couleurs juxtaposés cela me donnait bonne conscience d’avoir créé en moi ce lien qui, à première-vue, attestait qu’on pouvait regarder un film pornographique sur un autre plan, pour l’intérêt qu’il revêtait grâce à l’absence de décodeur, comme si ce que j’avais trouvé pouvait être une excuse valable pour me permettre de regarder de temps en temps ces films pornographiques, comme si c’était avec ce brouillage à base de traits décalés des œuvres d’art, tant il avait été important pour moi devenu ainsi une sorte de minotaure de me trouver des excuses pour le besoin que j’avais de voir périodiquement l’un ou l’autre de ces films pornographiques en raison ce que je n’ai découvert que beaucoup plus tard en 2005qu’il était -(en raison de la mort de ma descendance d’avec Christine … Lang  ma fiancée de 1977)- impératif que je devienne profane pour rencontrer Michèle qui avait pu croire en 1977 qu’elle pouvait -(pour elle seule / à son profit)- alors adolescente, exiger ma séparation d’avec les impératrices Christine … Lang de laquelle, en raison de l’anneau immaculé qui était apparu à mon doigt annulaire des hommes mariés, j’étais alors assuré que j’attendais des enfants : cette descendance qui, vue autrement, pouvait être une ascendance, soit la naissance de mes parents, bref de ceux qui m’avaient créé pour naître et sauver cette planète par mes apparitions célestes et mes transmissions à travers Espace-Temps ayant eu lieu en ma présence à partir de 1967 et 1977 en synchrone depuis les années 2005.

C’est pour cela que, dans le tas de choses que j’avais eu à dicter du ciel à raison certains jours de plus de quinze heures par jour -(ce qui a finalement donné cette moyenne de douze heures par jour de 2005 à 2013)- entre autres la création d’une chaîne de télévision autorisée à passer une à deux fois par semaine des films pornographiques car, me connaissant, je n’aurais jamais osé entrer dans un cinéma de films pornographiques tant en 1977 mon amour pour Christine a / avait été pur et même ma maîtrise en Animation Culturelle et Sociale -(option Cinéma), je le savais, ne m’autorisait pas -(en conscience)- à en regarder. En avoir regardé a cependant permis que je m’intéresse à la nudité de la femme, notemment dans ma vidéo avec Anne-Laure Meury au sud du Portugal en Algarve à Faro. Il y a quelques plans d’Anne-Laure Meury nue qui sont réellement admirables. Cependant quand j’ai tourné ces plans, je ne faisais nullement de la pornographie d’autant plus que j’étais amoureux d’Anne-Laure Meury. Pour Anne-Laure Meury cela s’était déroulé naturellement comme si elle était chez elle. Aussi cela me soignait de certains préjugés comme tous ceux qui concernent, chez les satyres, la nudité des déesses. En réalité cette nudité très naturelle d’Anne-Laure Meury nous soignait comme toutes celles des nus que plus tard j’allais devoir dessiner chaque semaine, parfois en compagnie de mon frère aîné qui ayant des années de dessins et peintures derrière lui de plus que moi, probablement veillait du coin de l’œil sur moi comme parfois me donnait des conseils que je n’arrivais pas à comprendre ou à suivre / réaliser car j’étais encore au stade de l’apprentissage du dessin de nu – en réalité une chose très difficile avant d’être considérée une œuvre d’art véritable.      

 

En effet, pour réussir à obtenir de moi une amnésie, je n’ai pas lésiné à perdre mon temps pour explorer la pornographie -(à cause des films pornographiques que je regardai en cachette chez moi, grâce à Canal + mais sans avoir payé l’abonnement, par conséquent sans décodeur, sauf aux heures où c’était » en clair « (pour tous) – ces films pornographiques apparaissaient donc striés -(d’où mon rapprochement avec ce mouvement pictural des traiïïstes la fausse bonne raison de m’autoriser à les regarder sans que cela gêne trop ma conscience alors – je ne m’en était plus rendu compte -  en partie perdue)- car je n’avais pas de décodeurs en raison que c’était trop cher pour moi qui ne disposait que de RFPMD – (revenus financiers propres et mérités de droit), par conséquent obtenus en raison de l’existence de la conscience, voire de la charité compassionnelle de l’Etat)- et j’ai pu effectivement vérifier sur moi-même -(en comprenant depuis 2005 mais aussi en synchrone avec 1977 comme/et [en] 1967)- fort bien le devoir de l’Etat ayant pour mission de veiller, du mieux qu’Il peut, sur la Santé de tous, ce qui le conduit dans certaines rRégions -(pays)- de cette planète à naturellement interdire ces films pornographiques, voire à ne les autoriser qu’à tous ceux qui ont réellement plus de 18 ans[15] –[(ici il peut y avoir des gens qui n’ont pas encore un an d’âge mental -(ce qui signifie qu’ils ont accès à la conscience depuis au moins un an)- et qui ont à première-vue sur les papiers plus de dix-huit ans tout commeje l’ai démontré - il peut y avoir des enfants de quatre ans qui ont déjà au moins plus de soixante-neuf ans véritables, par conséquent sont en quelque sorte déjà des sages qui pourraient regarder ces films sans grands dangers car ils savent, en Vérité, qu’il s’agit dans la majorité des SPÔK -(situations particulières, occasions, cas particuliers [car ici c + p = k])- de cochonneries, et la plupart du temps de choses fausses -(n’ayant que peu à voir avec l’amour véritable qu’ils recherchent comme chacun d’entre nous tous, si on appartient aux êtres les plus sains), nuisibles, qui sont souvent, hélas, à l’origine de tous les malheurs, voire des actes inconscientsces péchés - par conséquent à cause de ceux-ci de l’existence de la plupart des maladies) – c’est-à-dire que ces derniers enfants ayant réellement l’âge qu’ils ont -(donc le nombre d’années qu’ils ont vécues en conscience)- sont normalement formés suffisemment intellectuellement pour savoir comment regarder sans danger pour eux-mêmes et leurs familles -(voire leurs descendants)- donc sans le danger de devenir à cause de ces films inconscients -(cependant que les regarder sans avoir au préalable obtenu cette sagesse peut rendre inconscients car il s’agit, entre autres, de simulacres oui, c’est là l’une des origines de la perte de conscience, de l’altération des facultés cérébrales, au point de fausser l’existence des uns ou/et des autres spectateurs qui perdent ainsi progressivement leur conscience, et avec, leur respective mémoire, au point pour entre autre le vérifier que j’avais conseillé du ciel à moi-même de m’ingénier à obtenir une amnésie ce qui aurait pour effet de me faire devenir profane, ce qui me permettrait -(par-dessus le marché)- d’étudier la question du profane de près : de l’intérieur, en l’ayant été si longtemps au point effectivement de devenir moi-même l’un des laipis [16]  donc uniquement laïcs, strictement athées, [une partie de la journée] inconscients, profanes, parfois ou/et souvent ignorants, momentanément –(sans en avoir conscience, par omission de certains paramètres)- sacrilègesdonc ces mots au sens positif comme au sens négatif de ceux-ci (MSPSN)) cependant que le mieux est de ne pas regarder/voir ces films pornographiques car en effet cela comporte ce danger très malheureux de contribuer à faire perdre s/la conscience, à devenir bête, ce qui est alors une réelle perte générale, une sorte de malheur collectif quand cela arrive à l’un d’entre nous qui court alors le danger d’obtenir le jour de sa mort une réincarnation malheureusissimis…simissime, tristissimis…simissime, tragiquissimis…simissime, honteusissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissime etc. , ce qui n’est vraiment pas une bonne affaire pour sa propre âme : en effet, il perd ainsi tous les bons points qu’il avait gagné lors de sa précédente réincarnation dans l’un ou l’autre des animaux pacifiques et inoffensifs qu’il était durant l’étape où il s’est préparé du mieux qu’il a pu pour la réincarnation suivante en tant qu’être humain)- ces films pornographiques - je l’ai vérifié sur moi-même - sont donc bien l’une des origines de l’existence de l’inconscience -(hélas au sens négatif de ce mot et non au sens positif [ASNMNSP]), par conséquent -(pour un être devenu conscient c’est-à-dire un éveillé, un devenu bouddha [au service du Bien et de l’Intérêt Général], il vaut mieux ne pas en regarder, voire en voir le moins possible, à cause des effets secondaires à plus ou moins long terme)- de transformations ou/et métamorphoses, hélas, dans le sens inverse de celles qui permettent, au contraire, de [re]trouver cette belle, pure, et (probablement)- [divine] conscience qui plus est innocente et bienfaisante. Une conscience que la majorité d’entre nous tous voire tous - nous avons heureusement connu bébés ou/et enfants].

 

Oui, mais voilà que les véritables relations amoureuses -(qui débouchent sur des relations sexuelles)- qui sont souvent à l’origine en même temps qu’une prise de conscience de l’un par l’autre de ce qu’une certaine dose d’inconscience -(au bon sens de ce mot)- va concerner ces [véritables] fiancés -(qui sont allés progressivement vers l’idée de mettre au monde des enfants et pour cela parfois au préalable de se marier, bien que par ailleurs on sache mieux, grâce à la conscience qui est durant ces fiançailles continuellement sollicitée, comment devoir se comporter au cas par cas -(et cela d’autant plus une fois devenu l’un des bouddhas, c’est-à-dire l’un de ceux ayant eu la chance voire autrement-vue la malchance -(car dans un monde où la majorité des gens se comportent en inconscient(s) celui qui a accès à la conscience est l’objet d’une sorte de guigne, bien que sur un autre plan, il ait la chance de pouvoir enfin penser en vérité, en ayant accédé à cette conscience / lumière en lui-même)- d’accéder en lui-même à cette conscience : parce qu’il a obtenu l’acquis de conscience.

 

Que faire ?

 

Comment vivre en étant, malgré la conscience aidant, à se conduire dans ses relations amoureuses avec son/sa partenaire avec parfois l’aide de l’inconscience – soit cette inconscience -(enfin comprise au bon sens de ce mot dans ce SPÔK – situation précise, occasion, cas particulier [car ici c + p = k]) ?

 

Car tout cela peut faire courir le danger de mener à l’incompréhension -(entre ceux qui ont enfin accès à la pensée sans erreur -(voire avec des erreurs qui n’existent qu’en raison de ceux qui sont encore LAIPIS) – donc consciente et ceux qui sont devenus [en partie] inconscients -(donc un peu, voire totalement laipis – strictement laïcs, uniquement athées, parfois inconscients, profanes, parfois ignorants, [par omission de paramètres] sacrilèges, ces six mots au sens positif et négatif).

 



[1] Je crois que pour les êtres devenus conscients durant leurs veilles, le sommeil n’est qu’apparemment de l’inconscience à tel point qu’on comprenne bien mieux l’existence d’une proximité entre les termes » dort « et » mort «. Lorsqu’on se réveille d’une bonne nuit de sommeil, on a l’impression de ressusciter -(de revenir)- dans l’époque dans laquelle on vit. Cela signifie qu’on a cru être comme mort durant le sommeil, bien que parfois se souvenir qu’on a rêvé modifie cette sorte d’assurance/idée. Ce sont donc ces rêves dont on se souvient qui nous prouvent qu’on a dormi, par conséquent qu’on n’était pas mort durant ces sommeils. Mais où notre âme est donc allée durant au moins une partie de ce sommeil -(dont parfois on se souvient)- dont parfois on se réveille plus fatigués qu’au moment où on s’est endormi ?

J’ai pu vérifier à partir des années 2005 – mais déjà avant – que les sommeils qu’on effectue durant nos enfances respectives sont en fait en liaison directe avec les journées - déjà vécues par nos doubles ayant par anticipation rejoint/exploré notre futur – les mêmes que celles qu’on aura à vivre bien des années après en chair et en os – donc dans la réalité de ce futur, au point que le temps consacré à dormir une nuit à l’âge des enfants -(c’est à-dire en général couchés à partir dix heures du soir)- va nous permettre, durant cette nuit, d’explorer -(donc avec cette forme d’anticipation)- une journée bien précise de notre futur -(en liaison mathématique avec cette nuit de notre enfance –[comme si nos existences se produisaient sur un très long escalier en colimaçon, chacune des [premières] marches -(celles de notre première enfance, voire de notre enfance)- étant en relation directe avec une marche particulière/précise, c’est-à-dire [d’]une journée, plus loin) – d’où, quand nous aurons à vivre ce rêve une fois adulte dans la réalité, parfois l’impression de déjà-vu)]- étant déjà advenu.

Cela, j’ai pu le déterminer avec précision à plusieurs reprises une fois devenu adulte, quand je me suis mis à faire des efforts physiques très importants pour peindre la série des tableaux-partitions pour le piano droit de Michèle Finck -(que j’avais aussi peint par endroits en le couvrant de miniatures plus ou moins abstraites). Comme cela avait exigé de moi des efforts très importants durant ces journées consacrées à la peinture de ces œuvres, je me suis soudain rappelé que ma famille m’avait dit – enfant – qu’en rentrant le soir tard vers minuit une heure du matin, voire en faisant un tour dans ma chambre au milieu de la nuit, elle m’avait souvent trouvé, dans mon premier sommeil, dormant en faisant le poirier au bout de mon lit -(aussi mon frère me prenait dans cette position pour m’allonger dans mon lit, cependant qu’il parait que tout en continuant à dormir je recommençais à me remettre en cette position du poirier). C’était donc les efforts intellectuels que j’allais faire dans l’avenir -(pour réussir à peindre ce piano comme ces toiles-partitions)- qui m’avaient mené en dormant -(durant cette mienne enfance)- à la tête en bas en prenant la position du poirier, donc mon corps à l’envers, les pieds en l’air, mon dos tenu par les montants de mon lit et mes pieds sur le mur jouxtant mon lit. Aussi, j’ai ainsi compris la raison des grandes fatigues que certains d’entre nous ressentons enfants -(voire adolescents ou/et adultes)- au moment de nos respectifs réveils. En réalité quand nous nous endormons, il arrive, du moins, que certains d’entre nous –(à moins que cela soit un processus qui nous concernent tous sans exception, voire qui soit inhérent au sommeil, par conséquent la vérité et non pas seulement une vérité relative)- se déplacent dans le temps dans le futur où ils continuent parfois -(comme ce fut mon cas)- à beaucoup travailler. Avec cette exploration d’avance du futur par notre double conscient, il en résulte, une fois de nouveau réveillés -(donc de retour dans la réalité de l’époque antérieure déjà reliée, grâce au sommeil, à l’époque suivante qui existe d’avance à cause qu’elle est le produit de l’époque antérieure)- cette très grande fatigue qui provient, pour certains d’entre nous, des travaux qu’on s’est infligés dans cette autre époque qu’on ne peut rejoindre d’avance qu’à cause de la loi des conséquences qui est à l’origine de l’existence d’avance de ce futur qu’on a donc comme je le fis - parfois réussi à rejoindre en dormant, ce qui probablement est à l’origine de la consistance de nos rêves -(pour ceux qui s’en souviennent à leur réveil car ils disposent ainsi de données prophétiques concernant leur avenir).      

[2] Cette Grande Mutation est à notre époque -(comportant autant de solutions alternatives élégantes alimentaires)- nécessaire pour tous comme aussi à cause de cela du domaine du tout-à-fait possible/réalisable car la génération des années 1960 a pris l’habitude de faire des mises-à-jours régulières dans l’Intérêt et pour le Bien Général, soit a compris qu’il faut régulièrement s’adapter, par exemple aux nouveautés technologiques facilitant toujours plus l’existence de chacun. Les générations précédentes de paysans avaient su s’adapter à l’utilisation des tracteurs -(ce qui est le produit de la mécanique et de la technique qu’on doit à tous les ingénieurs véritables)- pour la meilleure rentabilité de leurs terres. Aussi la Grande Mutation est comme une simple mise-à-jour qu’il est nécessaire d’effectuer en tenant compte des principaux dangers qui nous menacent tous, comme l’effet de serre avec ce réchauffement climatique planétaire à l’origine -(comme/avec l’élevage intensif)- de la plupart des formes de désertification.

[3] Des esprits c’est une expression que j’ai mis longtemps à comprendre parce que vérifiée : celle de » reprendre ses esprits « – ce qui se dit parfois pour le moment du lever. Il faut donc compter un temps plus ou moins long, après le sommeil, pour se trouver dans la réalité qui nous environne en ayant repris nos esprits -(c’est-à-dire retrouver nos caractéristiques, notre personnalité, ce qui nous détermine, nous différencie des autres – en général notre parcours plus ou moins original, personnel : notre histoire -(en effet, depuis notre venue au monde, ce que nous découvrons quotidiennement dans nos différents contextes familiaux est aussi le fruit de notre géolocalisation -[spatiale]- qui diffère de celle de chacun des autres membres de nos familles respectives : dans chacune des chambres habitables, nous sommes placés autrement que nos proches –(cela va concerner notre propre point-de-vue original -(objectif et subjectif, plus ou moins conscient), au point que tout ce à quoi nous assistons, même à première vue aux [mêmes] événements semblables que ceux auxquels assistent les autres, diffèrent pour chacun des spectateurs. Cela est aussi vrai pour les enfants portés dans les bras de leurs aînés. Notre point-de-vue est différent de celui/celle qui nous porte, d’autant que nous sommes pourvus de connaissances qui, souvent, ne sont plus prises en considération par ces personnes théoriquement chargées de notre sécurité. Elles les ont probablement oubliées en devenant « adultes » ! Ce sont donc tous les paramètres liés à cette petite enfance et/ou états de bébés)- qui sera aussi à l’origine de curriculum vitae différents), ce qui serait une sorte de synonyme à cette notion de conscience retrouvée pour nous permettre d’agir, parler, écrire, etc. en un mot d’» être « à la tâche ou/et la peine qu’il nous incombe de prendre / réaliser / résoudre, etc.

[4] Mais hélas cette conscience est plus ou moins développée en fonction de la mémoire de chacun des individus. Elle dépend donc de paramètres plus ou moins pris en considération -(c’est en cela qu’on parlera de degré(s) -[de conscience], voire de degrés de lucidité, voire ce qui a peut-être -[aussi]- donné la notion d’échelon, mais aussi celle de dégradé). Donc en réalité de l’accès à l’espèce de disque dur dont chacun d’entre nous est doté / pourvu normalement contenant toute la mémoire en général chronologique de chacun d’entre nous –(en réalité si cela fonctionnait bien, on devrait ici comprendre qu’il s’agit de chacune des secondes de nos respectives existences mémorisée(s) depuis avant même notre naissance, car j’ai pu vérifier sur moi-même -(dans un autre de mes textes manuscrits, j’en parle)- que j’ai pu me souvenir de ce qui s’est passé au cours d’une journée -[en particulier]- quelques semaines, voire jours avant ma naissance et j’ai pu constater que j’avais alors remonté le temps dans le futur au point que je me voyais d’avance (moi dans/depuis le ventre de ma mère et sans doute les yeux encore fermés, donc dans une sorte de vision intérieure)- en train de rédiger le texte concernant ce moment d’avant ma naissance qui m’était revenu à la mémoire dans les années 2000 –(donc il y avait eu une remontée d’avance dans le temps futur de ma vie, au point que ce temps/moment avait été vécu d’avance – cela signifiant que les derniers jours où l’on est dans le ventre de nos mères correspond aux jours qui peuvent précéder les jours où on va enfin avoir accès à cette/notre conscience, ce qui peut donc heureusement se produire dès le plus jeune âge -(voire dès la naissance), mais aussi, comme je l’ai démontré vers l’âge de quatre ans et de quatorze ans, voire vers la quarantaine : une autre chance est alors donnée d’y avoir accès)- où je visualisai le décors qui m’entourait, mais aussi ce que j’y faisais en m’entretenant avec [ce] moi-même pas encore né -(mais pour en arriver là, j’avais peint –[dans les jours précédents, en utilisant au maximum ma volonté], quelques peintures extrêmement difficiles à peindre, d’autant que je ne cherchai pas à représenter quelque chose en particulier : ces peintures sont de la séries des tableaux-partitions abstraits, donc sans réels sujets, que la recherche du trait le plus juste / vrai possible qui parfois, malgré moi, se mettait à représenter sur l’un ou l’autre détail un début de figuration quand l’ensemble de ces traits, une fois achevé le tableau, selon la distance et les points choisis de cette œuvre, peut faire apparaître des représentations originales, voire malgré ces abstractions de départ, des sortes de figurations).

Mais sans aller jusqu’à là, c’est de toute manière une quantité véritablement astronomique de données qui s[er]ont à l’origine de nos pensées les plus justes comme, hélas, parfois de celles les plus fausses, -(des bons comme des mauvais choix)- parce qu’on a oublié de tenir compte de l’un ou l’autre des paramètres, voire de tous ceux encore inconnus qui concern[ai]ent objectivement le sujet en question, ce qui fait de chacun d’entre nous même les plus doctes et/ou intelligents la plupart du temps un/des ignorant[s], mais ici, au bon sens de ce mot, car parfois avoir réellement conscience de cette ignorance nous rendra curieux pour dans le meilleur des SPÔK -(situations précises, occasions, cas particuliers [car ici c + p = k])- essayer de combler ces lacunes).

Il suffit qu’on ait affecté cette mémoire ou/et l’accès à une partie de cette mémoire -(c’est-à-dire, [comme je l’ai démontré à l’occasion de mes diverses amnésies : celle entre 1967 et 1977 – une sorte de V spatio-temporel - comme celle de 1977 à 2005 – un autre V ; au point ces deux amnésies de créer un étrange double vé : vV spatio-temporel], à un ou plusieurs paramètres essentiels, par exemple pour trouver la solution alternative élégante à un problème qui se posait, donc un SPÔK à résoudre)- par une ou plusieurs raisons -(qu’on a oublié[es], c’est-à-dire auxquelles on n’a plus, [momentanément]- accès)- pour qu’hélas la conscience ne soit plus de celles des plus fiables.

Aussi pour pallier [à] ce défaut / problème de -[degré de]- conscience des uns ou/et des autres ont été forgées au cours des temps passés toutes sortes de solutions alternatives élégantes comme plus récemment les livres, les dictionnaires, les encyclopédies, les peintures, les photos, les musiques et assez récemment, après les documentaires et les films et/ou émissions à la télévision, Internet.

En réalité dans certaines situations précises (S. P. [Ô. K.]), on ne devrait pas se permettre de répondre -(autrement que par écrit)- sans l’aide constante de ces instruments qui peuvent devenir de réelles appuis /soutiens pour construire nos réponses, comme le sont dans de nombreux livres bien faits[,] les citations ou/et notes de bas de pages qu’il faudra, le moment venu, relier elles-mêmes aux œuvres [numérisées] citées -(ce qui permet alors de comprendre dans quel contexte le mot, la phrase, le paragraphe, etc. , [qu’on cite parfois de mémoire], ont été cités, [s’inscrivaient]).

Je pense à un exemple dont tous nous avons été témoin un jour ou l’autre : le prêtre qui officie au cours de la messe, (même si c’est la millième fois qu’il la dit), est plus ou moins continuellement à se référer à ses différents livres et/ou textes posés sur l’autel ou/et les pupitres. Même s’il sait par cœur ce qu’il y a à dire, il a besoin comme d’une confirmation grâce à la lecture des textes qu’il prononce[ra] en y croyant souvent de tout son cœur -(ce qui lui permet aussi de savoir à quel moment il se situe du rituel que constitue autrement vue cette messe). Il y a pourtant certaines prières ou/et certains chants qu’à la longue il sait – comme les fidèles - par cœur, mais il y a chacun des moments pour lesquels il a besoin de sces -(ses + ces = sces)- instruments de travail que sont en général les livres, ses notes, voire la feuille paroissiale.

Cela signifie que l’Église a progressivement pris conscience de l’handicape que constitue parfois / souvent la mémoire des êtres humains, au point que je me pose sérieusement la question de la nécessité d’enregistrer en vidéo ou/et en audio chacune des homélies –(pour ensuite les mettre en ligne sur le site de la paroisse cette idée m’est venue récemment en trouvant souvent très belles les homélies de l’ancien curé de Saint-Etienne-du-Mont, ma paroisse à Paris, mais aussi les homélies du nouveau curé)- de la même façon que, quand j’étais empereur encore profane -(non encore revenu à la religion chrétienne de mes ancêtres, par conséquent un l. a. i. p. i. s. (laipis) – [strictement] laïc, [uniquement] athée, [en partie] inconscient, profane, ignorant et [parfois] sacrilège [sans le savoir], ces mots au sens positif comme au sens négatif de chacun d’entre eux), j’avais eu l’idée de créer la F. E. V. E. S. , la V. E. S. et la T. V. E. S. -(télévision des enseignements supérieurs)- quand j’avais eu à enseigner pendant un semestre à Paris I-Sorbonne au centre Saint-Charles mais aussi, bien sûr, en raison des conférences et cours de Michèle Finck, professeure à l’Université de Strasbourg -(ici, pour rechercher une autre cause à ces idées qui pouvaient générer des emplois simples / faciles à exercer au sein des Universités et/ou Grandes Ecoles, etc. -(soit à l’origine de ces miennes idées pour créer des emplois, mon mariage avec Michèle Finck, par conséquent pour les enfants que j’attendais avec elle, exercer une activité rentable d’Intérêt et pour le Bien Général, bref être utile à tous en raison de mes compétences diverses en la matière. Pour avoir l’idée de la création des FEVES, VES, TVES, je me suis souvenu aussi que mon père enregistrait ma mère à l’occasion de chacune de ses conférences publiques ou/et sur invitations -(en général sur des peintres célèbres)- sur un appareil portable mono Grundig à mini-cassette(s), de manière à pouvoir les écouter de nouveau avec ceux de leurs enfants qui avaient été absents).

En effet, j’ai pu remarquer qu’en raison de tout ce qui se déroule durant la messe, les enseignements qu’on pourrait tirer des homélies –(c’est-à-dire des sortes de conférences simples à comprendre parfois des improvisations inspirées - faites à partir des textes saints)- une fois rentrés les uns les autres dans nos respectifs domiciles, on a parfois -(selon le[s] cas)- de réelles difficultés pour se souvenir de ce dont il était question, bien qu’on aimerait s’en souvenir pour en parler -(ce qui nous rend handicapés comme si on prenait conscience d’un manque de mémoire), mais, on le sait, certains d’entre nous ont des difficultés pour résumer et ne savent plus par quoi commencer – ce qui sont des choses -(ces résumés)- qu’on apprend -[heureusement]– à faire à l’Ecole. C’est ici/là qu’on aimerait, (de la même façon qu’on consulte une émission de radio enregistrée ou/et un film à la télévision ou/et au cinéma), avoir accès à l’enregistrement de l’homélie -(on le sait, les magnétoscopes ont eu un réel succès comme les graveurs de DVD)- en se reportant ainsi à ce moment collectivement vécu à la messe, voire en différé, si on n’a pas eu le temps d’aller à l’Eglise.

Ces problèmes de mémoire concernant les sujets évoqués durant ces prêches signifient donc que notre état de conscience est plus ou moins affectée par les capacités de nos respectives mémoires à/de nous souvenir même de choses/détails aussi récent[e]s.

C’est pour cela que quand je parle d’acquis de conscience –(ce qui permet, entre autres, d’avoir accès à notre mémoire)- je suis de plus en plus sûr qu’il demeure une partie de nous -(bien qu’ayant heureusement accès à cette conscience)- sans autant de mémoire qu’on pourrait le croire même si être devenu conscient nous donne accès à la totalité de notre disque dur, c’est-à-dire aussi à nos diverses expériences ce qui va déterminer notre conduite. Aussi une chose est la conscience et une autre est la mémoire -(de nos expériences)- qui selon chacun d’entre nous est plus ou moins développée, au point même d’affecter notre conscience en raison des paramètres que nous oublions de prendre en considération -(voire que nous avons placé dans un ordre hiérarchique en tant que moins importants que ce que nous prenons en considération pour nous prononcer), voire des paramètres que nous croyons/savons n’avoir jamais su/connu.

Ce qui est certain c’est qu’une fois qu’on a accès à la conscience, on est censé savoir ce qu’est le bien et ce qu’est le mal -(aussi cette conscience – dont nous rappelons qu’elle est de différents degrés - est censée nous empêcher de devenir nuisible -(et à cause de cela, dans le cas contraire, de prendre le chemin pour obtenir l’une ou l’autre des réincarnations malheureusissis…simissimes, tristissimis…simissimes ou/et honteusissimis…simissimes, voire cauchemardesquissimis…simissimes comme sont celles de tous les animaux prédateurs qui ont ainsi régressé pour profiter lâchement de leur force physique au détriment des animaux pacifiques et inoffensifs végétariens et/ou herbivores qui sont chacun d’eux le passage obligé par lequel chacun d’entre nous être(s) humain(s), y compris ceux qui sont devenus les plus criminels d’entre nous, avons dû nous incarner avant la réincarnation en l’un ou l’autre des êtres humains – aussi la réincarnation en prédateur ne fait que faire perdre du temps à l’âme en question qui, pour regagner des points doit s’attaquer à plus prédateur -(à première vue plus fort)- que lui et éviter de s’attaquer à plus faible que lui, soit l’un ou l’autre des animaux pacifiques et inoffensifs)- au point qu’elle permet la religion chrétienne l’atteste – [cette conscience] d’avoir petit à petit accès au Saint-Esprit, ce que j’ai pu vérifier et démontrer exister dans la réalité, donc être vrai –(il ne faut pas oublier que mes interventions à travers Espace et Temps ont été faites / dictées par l’opération du Saint-Esprit, en étant d’avance relié à celui de mes descendances -(alors de l’ordre du virtuel)- dont celles que j’eus à sacrifier des impératrices Christine … Lang et enfin des impératrices Michèle Finck)- au point de justifier la nécessité de cette religion chrétienne des catholiques -(que je connais un tout petit peu mieux de toutes les autres religions).

C’est comme si chacun des sacrements qu’on cherche à recevoir / obtenir était une étape pour nous permettre d’accéder -(grâce aussi aux différents rituels – dont celui de la messe)- à cette conscience, voire mieux à ce fameux Saint-Esprit ! C’est pourquoi en l’ayant démontré et vérifiée sur moi-même en tant que cobaye de ces expériences, une première fois sur dix ans et une seconde fois sur vingt-sept années, je confirme ici la nécessité absolue de dispenser ces sacrements depuis le tout premier du Baptême ! En fait c’est comme si chacun de ces sacrements confirmait qu’il y a un très véritable mystère -(voire secret- concernant cette possibilité d’accéder à la conscience)- indicible – difficilement explicable - à individuellement découvrir, entre autres grâce à l’histoire sainte de Jésus-Christ et Sa Sagrada Familla -(comme cela peut-être découvert autrement en soi, grâce aux enseignements du Bouddha ou/et probablement à ceux de Mahomet, voire les enseignements d’autres religions intellectuellement admissibles, parce qu’elles sont au service du droit à la vie pour mieux vivre ensemble/collectivement, en proposant des solutions alternatives élégantes à la place de tout ce qui peut mener aux confusions de l’anarchie, au sens négatif de ce mot et non à ces aspects plus positifs)- comme grâce à tous ceux qui se sont ensuite réclamés de Lui -(ce qui a donné l’expression » mystère de la foi «). En fait cette religion chrétienne est, quand elle est bien présentée / servie par des personnalités ayant [eu] accès à leur respective conscience, comme une métaphore de ce qui peut mener, comme le disait ma grande tante Elda, professeure de piano à partir des années 1920 à Coni -(dans le Piémont), a mettere sù il giudizio -(c’est-à-dire utiliser le cerveau pour juger -[objectivement]- donc en son âme et conscience en attendant, grâce aux meilleurs conseils de la religion chrétienne catholique, de découvrir les multiples facettes de la réalité grâce à la présence du Saint-Esprit ! Aussi avec l’accès au Saint-Esprit, c’est comme si la conscience ne suffisait pas une fois obtenue/acquise -(parfois à la suite de très difficiles peines -[mais en réalité l’état normal de l’être humain adulte parachevé qui, on le sait, est doté d’une conscience], ce qui permet de comprendre tous les propos objectifs ou/et subjectifs en les déterminant chacun tel ou/et tel, au point d’être à l’origine de classement[s] par catégorie(s), heureusement - on le sait de nos jours plus facilement qu’autrefois grâce à Internet qui nous le prouve à l’occasion de la plupart de nos recherches - ouvertes -(et reliées)- les unes aux autres par des points en commun, ce qui va souvent rendre complexe la Vérité à propos de chacun des sujets d’autant plus qu’ils sont à considérer en liaison avec les causes les plus lointaines de la disparition de la vision d’Ôz, soit celle de l’Eden ou/et du très-saint-paradis ou/et d’Atlantide, voire en un mot de Schtroumpf ou/et tous les synonymes de ces notions).

[5] -(à cause de migrations dues aux problèmes de la désertification qui advint à cause de la chasse et à mesure que l’élevage à des fins de bouche[rie] se développa)

[6] Ou laipis (l. a. i. p. i. s. )

[7] On ne se souvient des rêves que l’on fait qu’en raison de ce que la conscience, alors en liaison avec la mémoire, est en activité au moment de l’une ou l’autre des séquences de sces -(ses + ces = sces)- rêves.

[8] Cependant, il y a depuis longtemps sur cette planète une situation qui autorise -[peut-être en conscience]- à, dans certains SPÔK (situations précises, occasions, cas particuliers [car ici c + p = k]), déroger à cela. Cette situation n’est pas seulement économiquement préoccupante pour chacun de ceux qui n’ont accès qu’au CFPMD – crédit financiers propres et mérités de droit, mais anormale car la vision du très saint paradis des origines a disparu, soit celle d’Atlantide, d’Ôz, de l’Eden, de Schtroumpf et des synonymes de ces notions elles-mêmes synonymes. Cependant s’il est normal de réveiller des personnes encore en partie inconscientes dans la vie quotidienne, durant la journée, de manière, par exemple, à leur offrir à travers des activités les moyens d’accéder le jour venu à leur conscience, une fois que la personne a acquis cette conscience, il ne faut surtout pas la réveiller, quand elle se repose étant donné que les journées où elle travaille munie de cette conscience, donc en conscience, sont plus fatigantes que toutes celles dans lesquelles on travail plus ou moins inconscient.

[9] S’écrit aussi en minuscules laipis ou/et l. a. i. p. i. s. .

[10] Sur certains sujets, on le sait, on manque -[plus ou moins toujours]- d’instruction, à moins de les rechercher sur des livres, des imprimés ou des sites Internet qui ne mentent pas, voire le moins possible. Mais on comprendra ici que sans ces recherches, on manque d’instructions même si on est omniscient -(en effet, il peut y avoir des détails qui nous ont échappé, au point que la vérification de ceux-ci s’avère utile/nécessaire – d’autant que certains sujets sont en permanente évolution, donc à mettre à jour périodiquement, voire quand on les aborde d’une fois sur l’autre).

[11] Honnêtement, en étant impitoyable avec soi-même, c’est-à-dire en s’imposant au cours de chacun des CARE (correction, augmentation, abrégé, relecture, []élaboration) le doute, voire de les infirmer de manière à ne conserver que ceux qui sont vrais en conscience, voire qui permettent d’approcher sans danger ces vérités relatives au service de la Vérité et ainsi déterminer le pourcentage de vérité de ceux-ci, voire le(s) SPÔK -(la/les situation(s) précise(s), l’/les occasions, le/les cas particuliers [car ici c + p = k]) où ces propos sont vrais.

[12] Le film La Momie à mi-mots a enfin effectivement fini par durer environ quarante-deux minutes, à la suite de plusieurs montages -(des CARE(s) ayant duré deux ans et demi [de montage], en ayant été effectivement « impitoyable avec moi-même » et les deux heures et demi du premier bout-à-bout -(qui avait été projeté un samedi matin à la Cinémathèque française par Jean Rouch en ma présence, de manière à recueillir des avis et/ou des conseils dans la salle).

[13] On le sait, chaque juxtaposition de mots à l’oral comme à l’écrit est à première-vue possible. Ce sont des expressions, voire des phrases, voire plus : des paragraphes qui, à première-vue, expriment des vérités relatives de l’ordre du virtuel.

Cependant on ne peut écrire ou/et dire ces mots en vérité qu’en les analysant par rapport à de plus ou moins nombreux paramètres essentiels à mettre en rapport –(ce qui justifie de s’astreindre à la réflexion)- de manière à confirmer la justesse de ces expressions ou/et phrases, etc., voire au contraire pour les infirmer : il suffit d’avoir oublié -(et c’est ici où l’accès à la conscience de/pour chacun d’entre nous s’avère une nécessité ontologique fondamentale) - voire de ne pas connaître ou/et de ne pas prendre en compte l’un de ce(s) paramètre(s) fondamentaux pour que l’expression ou/et la phrase qu’on exprime soit fausse en partie, voire comporte un pourcentage plus ou moins important de fausseté(s), c’est-à-dire de mensonge.

 

Aussi les vérités universelles sont difficiles à repérer dans la quantité de vérité(s) relatives, voire -(parfois plus justement considérés)- de mensonge(s) qui ne se révèleront en faire partie que parce qu’on avait oublié l’un ou l’autre de ces paramètres pourtant existant(s) en toute cohérence pour exprimer / approcher plus justement ces vérités.

 

Prenons un exemple : celui du minimum universel végétarien (M. U. V.) et du logement minimum (L. M.) garanti dès la naissance de chacun . Ceux qui sont contre le sont parce qu’ils ont oublié toute une série de paramètres importants, comme par exemple, ne serait-ce qu’en toute cohérence avec le droit à la vie qui a été ces derniers temps, (du moins depuis 1948 dans la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen), enfin reconnu comme un droit inhérent à la personne humaine -(comme, j’ajoute, ce droit concerne aussi chacun des animaux pacifiques et inoffensifs herbivores)- par les principales institutions mondiales.

 

Ils oublient les sous-entendus que cela signifie comme par exemple d’avoir aussi le droit – en raison de ce droit - à une vie décente, mais aussi que cela signifie d’avoir, [dans notre civilisation fondée sur le(s) Commerce(s), par conséquent les moyens financiers propres et mérités de droit (MFPMD)]- le droit de disposer du minimum vital -(qui, [pour des raisons de cohérence(s) avec l’Etat n’ayant entre autres légitimement le droit d’exister que parce qu’Il a le devoir de se soucier de la meilleure [des] santé[s] de chacun de ses membres], ne peut être que végétarien – car nous avons pu vérifier -(en le vérifiant sur nous-mêmes par l’expérimentation)- sur vingt sept années que devenir végétarien rend à terme de nouveau cohérent et logique, donc au service de la Vérité)- par exemple pour ne pas mourir de faim et de quoi se loger décemment, ces droits en CFPMD -(crédits financiers propres et mérités de droit)- étant garantis sur cette planète par la valeur commerciale -(fondée sur la base de la loi de la quantité et de la rareté, donc sur la concurrence à cause de l’offre et la demande)- de chacune de l’ensemble des matières premières existantes  étant – en théorie du moins – la propriété de chacun d’entre nous tous, cependant que l’exploitation de ces matières premières sont cédées sous forme de concession(s) plus particulièrement à celui ou/et celle qui, en responsable(s), en tirent des profits personnels dans l’Intérêt Général ou/et pour le Bien Général, voire parce qu’il(s) en est/sont le[s] légitime[s] propriétaire[s] -(ce qui signifie avoir la responsabilité de ces matières premières qui à cause de la valeur ajoutée de leur(s) exploitation(s) et la plus-value de l’étape de(s) l’exportation(s), sont dans certains SPÔK à l’origine de matières secondes, voire troisièmes, voire énièmes, par conséquent obtiennent de très réelles valeurs financières ajoutées  puisqu’elles ont induit [à] des dépenses, [à] des coûts qu’on reporte fort honnêtement sur ce qui au départ est un don [gratuit] de la Création toute entière pour offrir des activités utiles aux êtres humains à la recherche de la Vérité à travers l’exploitation de ces matières premières s’inscrivant dans un processus commercial où elles acquièrent la valeur qu’elles ont en fonction de leur plus ou moins rareté, mais aussi de la Demande, le prix proposé résultant non seulement de cela mais aussi du report des dépenses, dont celles des transports – aussi on comprendra aisément / facilement qu’il suffit que le coût des transports augmentent pour que par répercutions, les coûts de chacune des matières premières augmente ce qui les rend de moins en moins accessibles financièrement parlant ou alors réservées à un nombre de moins en moins grand d’acheteurs dont la production des matières secondes, troisième, voire énième est sérieusement compromise à cause de la baisse du pouvoir d’achat qui résulte des augmentations du prix du transport au point de devenir le frein tiré de plus en plus fort en proportion de ces augmentations sur l’ensemble de l’Economie en étant alors la cause, c’est-à-dire l’origine de la pauvreté et de la misère dans toutes les rRégions – pays – du monde. En effet, plus le prix du baril de pétrole augmente moins il y a de pouvoir d’achat de la devise / monnaie localement en circulation étant donné que les prix augmentent au point de contraindre tous à travailler beaucoup plus que ce qui aurait été normal de travailler pour contribuer à la prospérité générale garantie par la quantité de ses matières premières, dont celle du pétrole – à mesure que le prix du baril de pétrole a augmenté la valeur des monnaies a perdu du pouvoir d’achat ce qui signifie que la production de biens de consommation a été réduite au lieu d’augmenter à cause de la démographie qui augmente – aussi le frein à main sur l’Economie planétaire a été tiré au maximum du maximum en 2014 quand le prix du baril de pétrole a atteint les cent dix dollars au point que le soleil a failli exploser parce que ce prix était un million et cent mille fois plus cher que le maximum possible depuis 1977 – au moment de mes interventions à travers Espace et Temps durant lesquelles j’ai eu à dicter dans les années suivantes au moins 51% des réserves actuelles de pétrole en les ayant géolocalisé pour faciliter leur exploitation - de 0, 01 centimes de dollar le baril, ce qui même à ce prix à première vue minimum (alors qu’en réalité maximum pour réaliser le paradis pour tous sans exception, en en ayant fini une fois pour toute avec la pauvreté et la misère, comme avec les dettes accumulés par certains Etats) garantissait la pérennité du Commerce).

On oublie que si les CFPMD -(crédits financiers propres et mérités de droit)- sont en circulation comme moyens de paiement, il serait cohérent et logique, donc juste que chacun dispose de/en droit d’un accès à ces RFPMD -(revenus financiers propres et mérités de droit)- à l’origine de la possibilité d’instituer à l’échelle mondiale ce minimum universel végétarien comme ce logement minimal parce qu’il a été démontré dans/par d’innombrables exemples que pour vivre sainement en toute cohérence avec le mot d’» aimer « -(à l’origine de tous les bienfaits comme d’une fraternité possible entre chacun)- cela ne peut advenir qu’en raison de partages équitables entre tous des biens -(ces matières premières)- de ce monde et cela parce que nous sommes tous handicapés -(comme l’ont été la majorité de nos ancêtres y compris les plus éloignés)- à ne plus voir autour de nous se révéler sur toutes les différentes matières -(premières)- la vision du très saint paradis, soit celle d’Ôz, de l’Eden, voire d’Atlantide, etc. et cet handicape même si cette vision sera rétablie selon le programme que j’ai proposé qui, à terme, devrait permettre de revoir / retrouver la vision de ce paradis, tous les jours, au moins une heure toutes les cinq heures, ce qui signifie alors une toute autre civilisation y compris sur le plan financier, d’autant que cette heure d’Ôz toutes les cinq heures permet d’enregistrer en vidéo, voire en film et/ou en photos cette vision d’Atlantide retrouvée, ce qui offre la possibilité de voir le très saint paradis vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur Internet et/ou à la télévision en plus de l’heure toutes les cinq heures où nous serons tous, pour ainsi dire immergé, au très-saint-Paradis -(donc enfin à Ôz, en Atlantide retrouvée, en Eden, à Schtroumpf, en Arcadie, etc. ). 

 

L’être humain, à l’origine –[(donc nos plus anciens ancêtres avant [l’Histoire] de l’Aventure Humaine – HAH qui a commencé à cause de la très grande catastrophe de l’invention de la mort – d’où dans la plupart des religions intellectuellement admissibles -[pour contrebalancer]- l’interdit de tuer les animaux pacifiques et inoffensifs -(ce dont le genre humain est normalement constitué), ce qui fait obtenir dans le cas contraire l’une ou l’autre des réincarnations tragiquissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes, etc.)], vivait au Paradis : il ne tuait pas les animaux pacifiques et inoffensifs et se nourrissait sur la bande équatoriale où il vivait -(avant ses migrations ayant commencé après la très grande catastrophe)- des fruits des arbres et/ou forêt dont les écorces, les branches et les feuilles représentaient continuellement des variétés de merveilleuses figurations toujours différentes, selon le type d’arbre – la Création alors n’était jamais ennuyeuse. Or la vision de ce Paradis a disparu en raison d’une très probable [très grande] catastrophe qui a été à l’origine, millénaire après millénaires jusqu’à notre époque grâce aux études, de la nécessité de proposer à travers les arts et les sciences des arts -(comme grâce aux sciences pures et dures)- des solutions alternatives élégantes à cette disparition d’Atlantide -(le très saint paradis)- causée par ceux qui se sont autorisés – peut-être parce qu’ils avaient accès à la salle des machines tandis que les autres pas - à tuer, voire grâce à ces machines, à faire croire une personne morte.

 

Distribuer ce minimum mondial universel végétarien équitablement entre tous -(riches et pauvres)- comme un droit fondamental -(à une relative indépendance et/ou autonomie)- revient à dire que chacun, en tant qu’acheteurs -(consommateurs)- est finalement reconnu officiellement aussi comme tel avec ses besoins vitaux de première nécessité à satisfaire -(se posera alors la question sexuelle).

Je tiens à souligner que la viande et le poisson, (je l’ai vérifié et démontré -(prouvé) sur de nombreuses années où après avoir été longtemps omnivores, je suis devenu végétarien, ce qui, à la longue -(plus de quinze ans) m’a permis de retrouver ma conscience et la cohérence de/ans ma raison)- ne font pas partie des besoins de première nécessité car leur consommation -(se permettre / s’autoriser ces nourritures carnées)- altère / modifie -(comme s’il s’agissait d’une drogue)- la conscience -(empêche d’accéder en soi à toute l/sa clarté car on subit alors l’influence de ce qu’on s’est autorisé à manger en liaison avec le meurtre d’animaux pacifiques et inoffensifs – c’est bien la croyance qu’on a le droit de tuer un animal pacifique et inoffensif pour s’en nourrir qui va faire de chacun des plus ou moins incohérents – c’est ici même l’origine de tous les dérèglements de l’esprit comme des raisonnements les plus faux pour se l’autoriser et c’est à cause de cela qu’on obtient l’une ou l’autre des réincarnations en prédateur(s), au lieu, au contraire, si on s’interdit de manger des animaux pacifiques et inoffensifs de devenir l’un des bouddhas non violent comme l’a été Gandhi ou l’est le Dalaï Lama qui a raison de croire que la pédagogie et/ou les explications rationnelles, logiques, comme les meilleurs paraboles peuvent transformer des êtres mal partis, voire l.a.i.p.i.s. – uniquement laïcs, strictement athées, en partie inconscient, profanes, en partie ignorants, voire par omission sacrilèges), au point avec d’autres péchés qu’on s’autorise de voir cette conscience plus ou moins disparaître, voire de lui faire croire possible / acceptable -(en prenant qui plus est hypocritementde fausses bonnes raisons - appui sur l’Histoire non mise à jour grâce aux meilleures des influences et conseils pour la santé -[tant du corps que de l’esprit]- qui dépend, pour être bonne, comme je l’ai démontré, de la consommation de l’élémentaire alimentation végétarienne bouddhique ou/et en partie hindouiste)- tuer ces animaux pacifiques et inoffensifs -(ce qui est aussi le propre de l’être humain)- pour les manger. Aussi la cohérence de la raison individuelle / personnelle s’en trouve modifiée -(c’est ici la source de tout laxisme, au sens négatif de ce mot et non au sens positif : ASNMNSP)- au point de rendre cette conscience en partie inconsciente sur de nombreux autres points car elle rend en toute logique avec ce qu’elle s’est autorisée d’impossible -(de noir)- alors acceptable l’une ou l’autre forme de méchanceté -(cruautédont l’origine de cette maladie est trouvée dans le fait de s’autoriser à être omnivore au lieu d’être fidèle à la nature de nos ancêtres les plus éloignés –[quand il n’existait pas encore d’armes pour se défendre – ce qui a malheureusement conduit certains à les croire capables d’offenser, voire en prédateurs de/à tuer des animaux pacifiques et inoffensifs], végétariens)- à l’origine de la souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs comme le crurent quelques-uns de nos ancêtres, au point de croire légitimes la chasse et la pêche, voire ce qu’on a considéré longtemps comme une solution alternative élégante : l’élevage à des fins de boucherie -(aussi à l’origine du processus de désertification).

Il faut comprendre que cette chasse et cette pêche ont été /semblé à nos ancêtres -(comme à moi-même, une partie de mon enfancemais aussi une partie de mon adolescence -(et c’est pourquoi je comprends très bien l’espèce d’enthousiasmes de ceux qui aiment manger des côtes de bœuf, voire les steak tartare ou/et du jambon de Parme ou à l’os comme aussi le saucisson hongrois, la volaille, etc. voire des soles et des truites ou/et du saumon fumé, tant j’ai effectivement à première vue trouvé moi-même cela bon – mais cela faisait déjà longtemps que ma famille m’avait habitué à manger de la viande et du poisson -(aussi mon goût s’était adapté à ce régime alimentaire et en cela était modifié par rapport à celui des premières années de nos enfances respectives où, parce qu’on ne dispose pas encore de dents, on ne mange pas encore de viande et du poisson car c’est alors un régime essentiellement lacté et progressivement végétarien qui est de mise)- quand je n’avais pas encore eu vent que l’antithèse – le végétarisme - existait au point, par recherche d’honnêteté intellectuelle, de m’imposer le doute et de vérifier par l’expérimentation)- à-premièrevues légitimes, tant qu’on ne disposait pas des nombreuses solutions alternatives élégantes issues de l’Agriculture dans ce cadre économique mis-à-jour de la civilisation de la mondialisation des échanges commerciaux faisant bénéficier chacun des hémisphères de cette planète de la complémentarité des produits agricoles de l’autre (hémisphère). Mais sur un autre plan, celui du cœur -(que chacun d’entre nous souhaite maintenir bon envers autrui et si possible en bon état, (tant le désir d’aimer justement est vital)- en chassant et en pêchant ces animaux pacifiques et inoffensifs, voire en les élevant pour les manger, nous nous conduisons alors en lâches (on profite alors de la trop grande bonté / confiance de ces animaux herbivores)- et de manière non-fraternelle -(comment d’ailleurs croire à cette fraternité de la part de gens qui profitent de la relative absence de défense(s) des animaux pacifiques et inoffensifs ?)- avec, qui plus est, des espèces auxquelles nous devons déjà tant sur d’autres plans -(produits laitiers : fromages, crèmes, beurres, etc. laines pour nous vêtir dans les saisons froides ou/et plus chaudes). 

 

Il s’agit donc avec » la grande mutation « d’une nécessaire mise à jour de/pour tous, en toute conformité avec les meilleurs paramètres de notre époque -(cette grande mutation peut aussi devenir le moteur de l’Economie d’autant plus qu’elle permet, à terme, à chacun d’entre nous de retrouver sa conscience immaculée – par conséquent enfin tous plus réellement intelligents, celle d’» animaux peansant «  car penser + panser = peansant ou/et peançant).   

 

On n’avait donc pas le droit, en augmentant le prix du baril de pétrole, de créer artificiellement (mais malignement et de façon perverse en profitant de la très grande ignorance en compréhension des interactions économiques des responsables des pays producteurs de pétrole) la pauvreté et la misère -(ce qui sont /furent des états de certains êtres humains en toute logique donc en vérité - contraires à l’intrinsèque droit à la vied’où que ce droit à la vie n’existera que quand cessera le paradoxe qui à l’heure actuelle -(le 24 juin 2019)- existe encore avec les gens démunis, à cause de cette pauvreté et cette misère causée depuis l’après Seconde Guerre Mondiale par les différentes augmentations du prix du baril de pétrole, soit le » choc pétrolier « à l’origine de chacune des crises économiques -(des pays sans pétrole ou ayant / disposant de peu de cette matière première)- étant à l’origine de la hausse des prix, soit d’une sorte de frein à main qui a été tiré en 2014 au maximum du possible sur l’Économie planétaire, au point que j’ai bien compris que le soleil pouvait exploser d’un moment à l’autre car il n’existe – comme l’Univers lui-même - qu’en raison de l’existence des vertus cardinales -(célébrées entre autres par Albrecht Dürer dans son admirable gravure du char triomphal de l’empereur Maximilien Premier)- comme de l’innocence et/ou de la compassion, voire de l’existence de ce qui est plus qu’éthique, l’éthiquissimis…simissime).

 

Pour être cohérents -(c’est-à-dire logiques, donc justes)- ce droit à la vie de chacun des êtres humains doit être accompagné du droit à ne plus faire partie des pauvres et/ou des misérables, par conséquent d’avoir le droit à une vie convenable, digne – respectueuse du meilleur qui est souvent dans l’être humain charitable, voire compatissant, voire éthique et écologique. La disparition de la pauvreté et de la misère était possible dès 1977 -(voire dès 1973 au moment même du choc pétrolier, mais en réalité dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- dès que le prix du baril de pétrole était à un dollar, soit dès cette époque déjà cent fois trop onéreux/cher/coûteux que le centime de dollar symbolique que ce prix du baril de pétrole aurait dû atteindre à mesure qu’on trouvait des réserves toujours plus importantes de cette matière première et cela même si la Demande augmentait -(au fur et à mesure que la demande augmentait on trouvait d’autres réserves de pétrole, au point qu’en toute logique avec les lois habituelles des marchés celui-ci aurait dû voir son prix du baril baisser). Cette disparition de la misère et de la pauvreté financière pour tous les êtres humains était possible dès que j’ai demandé que le prix du baril de pétrole baisse à 0,01 centime de dollar le baril de manière -(tout en préservant la pérennité des commerces)- à éradiquer cette pauvreté et/ou misère du jour au lendemain partout grâce à le Reprise Economique qui aurait résulté de cette baisse du prix du baril de pétrole donnant alors un immense pouvoir d’achat à chacune des devises -(monnaies)- avec à la clé la fin du chômage à cause de l’augmentation du niveau de vie de chacun, grâce – je le répète - à l’augmentation du pouvoir d’achat en raison de la valeur du dollar qui aurait considérablement augmenté en proportion de la baisse du prix du baril de pétrole, au point que les pièces de monnaies en or pur et en argent pur auraient pu de nouveau circuler, toutes les dettes - aujourd’hui astronomiques - de chacune des rRégions -(Etats nations)- de cette planète ayant pu être remboursées!

 

Cette disparition de la misère et de la pauvreté est toujours à tous les instants possible -(donc bien sûr à l’ordre du jour) et cela permettrait de non seulement créer ce Minimum Végétarien Mondial -(comme le Logement de Solidarité Minimal)- mais aussi la Monnaie -[universelle]- de l’Ôz, la MÔz. Bien sûr aussi il conviendrait – comme je l’ai déjà dit ailleurs, de limiter les naissances pour éviter localement -(dans les pays en voie de développement, voire sous-développés)- des démographies trop importantes de tous ceux qui n’auraient comme revenus que ce minimum [mondial] universel (M. U). Seuls ceux qui seraient payés en plus pour des compétences bien réelles à l’origine de RFPMD -(revenus financiers propres et mérités de droit)- auraient le droit à des familles plus nombreuses que ceux qui seraient seulement à bénéficier de ces subventions comme celles accordées par exemple de nos jours aux handicapés qu’en réalité nous sommes plus ou moins tous -(dès nos respectives naissances)- sur l’un ou l’autre point parfois aussi fondamental que celui de nos déplacements qui ne sont devenus possibles dans certaines localités que grâce au développement des transports -[en commun]- qui ont été contraints – depuis 1973 – (mais déjà avant)- de répercuter dans leurs prix ces augmentations du prix du baril de pétrole en raison du renchérissement de la vie causé par ces répercussions des dépenses -(dans les prix de vente de toutes les matières premières, mais aussi des matières secondes, troisièmes ou/et énièmes)- dues à l’augmentations du prix du baril de pétrole.

[14] dans un tel SPÔK.

[15] Ce qui signifie normalement des individus conscients que cela peut être mauvais pour leur développement intellectuel car ils se rendent alors compte que le contenu de ces films peut mener à obtenir une réincarnation des plus tragiques, malheureuses, cauchemardesques, tristes, … d’autant plus qu’on sera de ceux qui s’abonnent à de tels spectacles / mises en scène qui éloignent l’être humain de la possibilité d’aimer avec un grand A -(et avec cela de connaître agapè), ce qui, nous l’avons démontré, abouti par exemple à devenir en toute logique végétarien et non-violent, ce qui est la solution alternative élégante par excellence pour retrouver la cohérence de son esprit -(en adéquation avec celui de nos plus lointains ancêtres qui ne se nourrissaient que de fruits des arbres)- dans un monde aussi contrasté, à cause d’extrémismes qui sont à l’origine de raisonnement subjectifs et non totalement objectifs ayant tenu compte de nombreux paramètres y compris économiques, ce qu’on obtient une fois devenu l’un des bouddhas -(un éveillé parce qu’il a accès à la conscience, voire mieux – mais plus difficile à comprendre - au Saint-Esprit). En effet, pour la question de l’alimentation, il y a comme extrémiste la position des végans qui refusent de comprendre qu’on a le droit de boire du lait, des yaourts, d’utiliser du beurre, de manger des fromages et/ou manger des œufs qui sont les produits offerts par des animaux utiles -(pacifiques et inoffensifs qui, à mesure qu’ils offrent tant aux êtres humains, gagnent des points pour leur future réincarnation en l’un ou l’autre des êtres humains)- en échange de leur(s) protection(s) -(quasiment contractuelle : en effet, une sorte de contrat tacite, de l’ordre du social mais aussi de l’écologie, autorise le fermier à obtenir de sces -(ses + ces = sces)- animaux ces matières premières dont ces animaux [sous la gouverne du paysan-fermier] sont les auteurs. Ce dernier les élève du mieux qu’il peut, c’est-à-dire humainement [et pourquoi pas en leur faisant entendre dans les étables ou/et dans les poulaillers de la musique classique à certaines heures])- à la ferme par des êtres humains soucieux du bien-être de ces animaux -[des fermes].

J’ai pu vérifier sur moi-même cobaye de l’expérience et démontrer aux yeux de tous qu’on peut, au bout de quelques années, devenir, en étant végétarien, l’un des bouddhas -(pour éviter, entre autres, en mangeant / consommant des animaux d’être en conscience tenu pour responsable de la souffrance animale de ces animaux pacifiques et inoffensifs), c’est-à-dire en ne mangeant pas/plus d’animaux pacifiques et inoffensifs, dont certains poissons proposés sur les marchés font aussi partie.

L’extrémiste des végans a cependant du positif en mettant l’accent -(en rendant sensible)- sur des injustices dont certains animaux pacifiques et inoffensifs sont encore victimes, à cause d’une surexploitation -(élevage intensif)- pour obtenir les produits qu’ils offrent aux êtres humains omnivores.

Être végétarien permet aussi d’œuvrer pour la cause animale de manière à faire en sorte que les animaux pacifiques et inoffensifs soient protégés, en essayant de leur offrir une vie plus agréable, d’autant qu’ils sont si généreux, donc sans jamais se permettre de les maltraiter, voire de les tuer pour les manger, ce qui est effectivement indigne -[des êtres humains civilisés qui disposent des nombreuses solutions alternatives élégantes végétariennes pour l’éviter], ni cohérent avec la notion de Sacré-Cœur, voire de tous ceux d’entre les êtres humains qui jour après jour essaient de devenir bons / meilleurs -(soit l’inverse de méchant[s]), dans leur existence, par conséquent tolérant avec tous ceux qui ne sont pas encore végétariens, en comprenant que c’est souvent à l’issue d’un très long et souvent [très] difficile/pénible parcours personnel -(étant donné que cela doit être un choix  individuel mûrement réfléchi)- qui va être à l’origine d’une progressive métamorphose en l’un ou l’autre des adultes homo sapiens sapiens parachevés, au point de conduire, dans certains SPÔK, à la longue, à devenir l’un des bouddhas, en raison de ce qu’avec cette alimentation végétarienne, on perdra progressivement l’habitude d’appartenir à ceux qui en s’autorisant à manger de la viande et du poisson faussent les meilleurs raisonnements car ils ont fait un compromis avec tous ceux qui ont continué à faire le mal -(à se conduire de façon impure vis-à-vis des animaux pacifiques et inoffensifs), malgré les très nombreuses solutions alternatives végétales et l’existence de ces produits laitiers et/ou ovipares -(d’œufs)- qui offrent aux êtres humains, nous l’avons dit, de très nombreuses solutions alternatives élégantes à travers chacune des meilleurs recettes pour de véritables délicieuses / exquises / divines cuisines -(qui, on le comprend aisément, donc en toute logique et cohérence, ne peuvent pas être fondées sur la souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs -(ni sur celle des animaux prédateurs). Nous rappelons pour rendre à César ce qui est à César que c’est souvent grâce à Dieu – voire aux actions des bouddhas et aux représentants des religions intellectuellement admissibles quand on souffre moins, voire pas ou/et si on évite de faire souffrir les autres, dont les animaux pacifiques et inoffensifs.

[16] (l. a. i. p. i. s. – ce mot, à la réflexion faite, ne doit plus s’écrire avec des majuscules, comme celui de lapis -(l. a. p. i. s.) que j’ai quelques fois déjà utilisé dans d’autres de mes textes précédents) qui est synonyme, voire le même)

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Révision : 25 juin 2019