Vous av[i]ez employé le mot de » conscience «.
Ce matin, au moment du réveil,
j’ai entendu le mot de » conscience « -(mais je ne
sais pas dans quel contexte il était employé –
cela est advenu autour de six heures et quart
– alors que j’étais encore inconscient parce
que je dormais)- et je me suis aussitôt dit que puisque j’avais pu bien
dormir jusqu’à ce moment où j’ai été réveillé, je devais effectivement comme
cela venait d’être dit, reprendre conscience[1]
pour me mettre au travail après le petit déjeuner -{[(qu’en
général on fait à moitié réveillé, donc qu’on prend en étant en partie
inconscient – en effet, bien se nourrir -[(en
se nourrissant, par exemple comme dans mon cas de manière/façon végétarienne
– ce qui permet de faire des économies et de ne
plus entrer dans les statistiques de tous ceux qui ont besoin de l’élevage pour,
par exemple, se nourrir le matin, au petit-déjeuner, de
bacon, comme une partie des citoyens
de l’empire britannique. En effet, il convient de ne pas oublier que l’élevage à
des fins de bouche – c’est-à-dire consommé
en tant qu’omnivores à tendance carnivore, est en partie responsable du
processus de désertification qui affecte cette planète au point, qu’il convient
que tous prennent conscience de ce très grave danger, de manière à ce que soit
enfin possible, à l’échelle planétaire, la Grande Mutation[2]
parce que les urines des animaux pacifiques et inoffensifs affectent les sols où
poussent les herbes dont ces animaux se nourrissent, au point -(cette
urine)- de [comme]
brûler ces herbes et à cause de cela de nuire aux
sols où paissent par exemple ces bovidés. En effet tous ceux qui ont eu le
plaisir d’élever un chien – ce qui est
parfois un plaisir, si ce chien n’est pas
trop sauvage et accepte de devenir un animal de compagnie domestique
– ont pu remarquer, s’ils sont allés jouer
avec leur(s) chien(s) sur une pelouse, voire [sur] celle
du jardin de leur(s)
maisons(s),
que lorsqu’un chien urine sur cette herbe, cela a pour effet de rendre -(en
quelques jours)- la zone où il a uriné sèche
et, hélas, [devient] stérile pendant longtemps: cela -(d’un
beau vert tendre effectivement à brouter)-
devient jaune sec et la pelouse devient indélébilement marquée à cet endroit où
le chien a uriné -(pour récupérer cette
pelouse, il faudra creuser et remuer la terre à cet endroit où elle est marquée
comme d’une sorte de sécheresse et puis, après avoir beaucoup arrosé avec de
l’eau, replanter du gazon pour que l’année suivante la pelouse -(ou/et
le champ recouvert d’herbe pour produire du foin)-
puisse de nouveau pousser.
On comprend alors ce que représente comme danger
les urines des bovidés, même dans les pâturages dans les montagnes. C’est ainsi,
à cause de l’élevage intensif que les régions se sont peu à peu asséchées au
point de devenir une des raisons principales de la désertification en cours, à
cause [aussi]
du réchauffement planétaire dû, entre autres, à ce qu’on a justement nommé
l’effet de serre causé par les
activités humaines et/ou animales. Aussi il nous appartient à tous de choisir
les formes les moins dangereuses d’élevage. Celles-ci, on le sait, existe à la
ferme où le paysan distribue du foin à ces animaux pacifiques et inoffensifs qui
sont si utiles car, par exemple,
ils produisent le lait si nécessaire aux
nourrissons mais aussi à tous les êtres humains, en raison des laitages produits
- beurres, yaourts, fromages, crèmes, etc.
si utiles aussi pour de nombreuses [viandes de
– car c’est comme une viande : il faut disposer de
bonnes dents pour les mâcher] pâtes et
pâtisseries, ce qui représente depuis longtemps une des complémentaritéss
essentielles à/de nos respectifs repas. Il conviendra donc que ceux qui sont
devenus carnivores -(en raison qu’ils ont eu la
paresse d’apprendre à faire [de]
la cuisine parce qu’ils étaient les héritiers de l’époque où les êtres humains
masculins chassaient pour s’alimenter, c’est-à-dire l’époque ayant précédé celle
de l’élevage), se contraignent à enfin faire
en eux-mêmes une mise à jour pour éviter la taille trop importante de ces
élevages démesurés à des fins de boucherie, de manière à ce qu’ils se
nourrissent quotidiennement avec beaucoup moins de viande et de poisson, et si
possible comme Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les
lordissimis…simissimes princes Léonard de Vinci : en végétarien(s),
à cause des solutions alternatives élégantes qui [lui]
sont progressivement apparues notemment grâce aux importations-exportations de
ces solutions alternatives élégantes commercialisées -(j’ai
pu vérifier que la véritable élégance ne se remarque pas souvent, comme les
choses les meilleures, parfois les plus simples, pour garantir une/la meilleure
santé) à l’origine de véritables activités
utiles -(et rémunératives en CFPMD –
crédits
financiers
propres et
mérités de
droit –
ce terme est synonyme du mot » argent « )-
et réellement bénéfiques pour tous. En effet, ces animaux élevés dans des champs
où ils trouvent beaucoup d’herbes à brouter, à la longue détruisent les sols
qui, nous l’avons dit, s’assèchent. Cependant il est conseillé pour disposer de
la meilleure qualité de viande de laisser brouter les herbes de ces champs. Or
nous avons pu remarquer que les urines de ces bovidés (si elles ne sont pas
coupées par dix à vingt fois leur volume en eau ne sont pas des fertilisant,
voire des engrais et sont donc à la longue à l’origine / responsables de la
stérilité de ces champs. Aussi on comprend donc que pour élever ces bovidés
-(ces
bovins, ovins (moutons),
chèvres, etc.)- pour qu’ils produisent du
lait (ce qui ne se produit que quand les
femelles de ces animaux ont eu leur petits),
voire de la laine, il convient de couper l’herbe de ces prés pour leur présenter
sous forme de foins les herbes de ces champs qui, si elles étaient en permanence
piétinées (à cause de la présence de ces bovidés),
ne produiraient plus d’herbes et deviendraient secs (désertiques).
Cela signifie donc que les paysans qui produisent des bovidés pour la boucherie
(comme pour toutes les autres matières premières
dont chacun de ces bovidés sont les auteurs)
ont à nourrir ces bovidés dans/à la ferme, en récoltant au préalable ce foin
pour les nourrir)]- permet petit à petit de
sortir de l’inconscience des heures précédentes de sommeil et par conséquent de
se préparer aux diverses activités de la journée qu’on ne peut, en vérité,
réaliser qu’avec l’aide[3]
de la conscience[4]
qui permet, par exemple, de trouver chacune des solutions alternatives élégantes
aux problèmes -[qui se poseront] / rencontrés. D’où la nécessité de manger des
choses saines qui ne vont pas nuire à l’état de santé et même, au contraire,
faire du bien, notemment parce que ces nourritures qu’on ingère n’ont pas rendu
ceux qui les ont proposées sur le[s]
marché[s]
complices de ceux qui croient possible faire du mal aux animaux pacifiques et
inoffensifs, ce que – je le rappelle
- nous avons –
chacun des êtres humains – tous été
dès -[avant]-
notre respective naissance.
En
effet, avant notre réincarnation en êtres humains, nous avons tous été l’un ou
l’autre des animaux pacifiques et inoffensifs des herbivores ou/et animaux
végétariens, voire comme nos ancêtres les plus éloignés ne disposant pas encore
de langues écrites -(ce qui a permis, entre
autres, aux êtres humains de peanser -[car
penser + panser = peanser]) uniquement
mangeurs de fruits -(fructivores)-
des arbres ou/et des bois.
Ce
n’est qu’en l’absence des solutions alternatives élégantes végétariennes -(produites
par les diverses révolutions agricoles)- que
nos ancêtres, [venus[5]
dans nos régions occidentales en raison des migrations causées par la très
grande catastrophe -(à l’origine de la
disparition de la vue du très-saint-paradis, soit celle de l’Eden, voire
d’Atlantide, Ôz et les autres
synonymes signifiant ces notions)- à
l’origine de la progressive désertification causée en premier lieu par l’élevage
intensif des animaux pacifiques et inoffensifs
-[non pas seulement à des fins justes et bonnes –
donc admissibles
- comme la production de lait et de laine, mais à
des fins de boucherie]- et de nos jours par
le réchauffement planétaire, à cause des activités humaines grandes
consommatrices d’énergies fossiles -(pétrole, charbon, etc.)- polluantes, les
principales composantes/auteures de l’effet de serre)-
à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine (H.
A. H.)], sont, à cause de la chasse, (qu’ils
se sont autorisés avec la solution alternative de l’élevage dans ces régions de
la planète comportant des saisons différentes avec, à cause de cela, entre
autres, la nécessité de se vêtir)- devenus
ainsi omnivores, et parfois même, hélas ou/et heureusement -(cela
ici dépend des points de vues)- à dominante
carnée)]}.
Probablement ce mot que j’ai
entendu -(celui de » conscience «)- employé
au loin dans ma tête, l’était par des personnes ayant eu accès à la salle des
machines, ce qui permet d’avoir accès, durant le sommeil d’une personne qui
dort, à son cerveau, ce qui avait été le cas puisque j’avais entendu
distinctement ce mot de » conscience « ne venant pas de moi mais d’une autre
personne que la mienne. Donc même si c’était dans ma tête, cela appartenait à
une chose extérieure à ma personne. Probablement une personne étant en train,
sans mon consentement, malgré le somnifère que j’avais pris cette nuit,
d’essayer, (donc sans [me]
respecter [mes droits]), de me réveiller puisque c’est d’entendre ce mot
de » conscience « dans probablement la fin d’un de mes rêves qui m’a
effectivement réveillé.
J’ai alors compris que cette
personne appartenait aux LAIPIS[6]
(uniquement
laïcs, strictement athées et
inconscients, à cause de cela
profanes et
ignorants et/ou par moment(s)
sacrilèges,
au
sens
positif et/ou
négatif de ces
mots [ASPNM]),
c’est-à-dire aux personnes ne se rendant pas compte qu’une personne qui se
repose -(d’une –
parfois, [voire
souvent]
- difficile journée de travail)- en dormant
a des droits –(comme celui de se réveiller à
l’heure qu’il veut ou/et qui correspond au moment où il aura à petit-déjeuner
pour affronter -(comme chacun de nous)-
la journée qui commence un peu avant d’avoir à
faire les choses prévues la veille, sces -(ses
+ ces = sces)- devoirs, soit les activités
qu’on s’est assignées, par exemple en se donnant une peine ou une autre qui
serait/deviendrait alors prioritaire dans la chronologie de celles-ci durant
cette journée de travail/travaux.
Si ce mot de conscience a été
employé durant mon sommeil, probablement dans un rêve dont je ne me souviens pas[7]
-(parce que le sommeil m’avait rendu en partie
inconscient), c’est parce qu’on sait que c’est un mot, la » conscience «,
qui, m’intéresse beaucoup, en raison de ce que j’ai à ce sujet probablement dit
ailleurs, voire dont j’ai récemment -(la veille,
hier)- parlé avec Michèle Finck au téléphone, en lui disant
qu’effectivement d’avoir retrouvé, à partir de 2005, en moi, cette conscience -(redevenue
claire)- était aussi à l’origine de mon sens du devoir, mais aussi de
cette abnégation -(sauf exception(s))-
au service du Bien et de l’Intérêt Général, ce qui, on le sait, m’a
effectivement permis d’intervenir à partir de 2005 à travers Espace et Temps
dans les époques du passé -(comme je l’ai écrit/dit
dans mes
lettres au présidents de la République française
mais aussi
celles adressées aux papes -(dont le pape émérite) des années 1967 et
suivantes comme de celle de 1977 et années suivantes en synchrone avec ces
années 2005 et suivantes, tout cela n’ayant pu se produire que par acquis de
conscience et progressif accès au Saint-Esprit.
On a donc choisi un mot qui
m’intéresse pour me réveiller -(donc sans respecter
mes droits de dormir jusqu’au moment où j’aurais eu à me réveiller de moi-même
enfin assez reposé – le réveil de cette
manière, à distance, cela constitue une forme de viol de la personnalité,
par conséquence cela est à l’origine d’une
sorte/forme de traumatisme pour celui qu’on réveille ainsi au mépris de ses
droits[8]).
Celui qui a ainsi employé ce mot de conscience -(dans
ce rêve)- suffisemment à haute voix pour me réveiller, ne sait
probablement pas ce qu’il signifie, donc appartenait probablement aux
inconscients – c’est-à-dire à tous ceux qui ont à
un moment ou un autre de leur[s] existence[s] perdu leur conscience -(ou
une partie de leur conscience), car alors
s’il était de ceux qui sont dotés de cette conscience, il aurait su se comporter
et ne m’aurait certainement pas réveillé -(même
pour tout l’or du monde)- car les gens qui
sont conscients savent que quelqu’un qui dort a le droit d’être, durant les
moments où il dort, dans une/cette sorte d’inconscience liée au sommeil –
voire dans certains SPÔK (situations
précises,
occasions,
cas
particuliers [car
ici c + p = k]) moins conscient.
Aussi, parce que j’étais
– avant d’entendre dans ce rêve ce mot de »
conscience « – en partie du moins inconscient, je connais bien tous ceux
qui sont L. A. I. P. I. S.[9]
-(uniquement
laïcs, strictement
athées et [en
partie]
inconscients, à cause de cela
profanes et
ignorants et/ou par moment(s)
sacrilèges ASPNM :
au
sens
positif et
négatif de ces
mots), donc parmi eux les
inconscients, soit ce que j’ai eu à démontrer de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005
-(en m’utilisant comme cobaye de ces expériences)-
qu’on pouvait devenir -(par exemple aussi sans
avoir suffisemment d’instruction[10]),
pas seulement à cause du sommeil, mais durant certains moments de la journée, au
point de finir par appartenir aux gens qui se mentent à eux-mêmes sur un certain
nombre de points, ce qui est à l’origine de la plupart des malheurs et des
tragédies.
Mais en réalité ce mot -(de
conscience)- tombait bien, car depuis plusieurs mois je souhaitais
commencer à m’exprimer sur cette question de conscience et d’inconscience,
d’autant plus que j’ai bien pu déterminer -(avec
moi-même comme cobaye de mes expériences à [enfin]
essayer d’analyser [en conscience])-
que même si on a enfin eu accès à la conscience
-(à force de peiner, de travailler pour le
Bien et l’Intérêt Général – c’est-à-dire en
s’infligeant de constantes peines difficiles à réaliser pour réussir, le jour
venu, à gagner des CFPMD –
crédits
financiers
propres et
mérités de
droit -
pour gagner légitimement des sommes d’argent qui
n’ont pas été volées, donc qu’on mérite réellement/légitimement)- qu’il
reste peut-être [heureusement] -(c’est
ici que nous aurons à nous prononcer sur la question)- tout une partie de
soi-même qui demeure encore comme un peu inconsciente, notemment –
nous l’avons dit - quand on dort, mais
aussi, je l’ai remarqué, durant les temps où on œuvre avec/grâce à cette
conscience retrouvée -(cela produit en soi-même en
train de réfléchir et de CARÉ
-(corriger,
abréger,
augmenter,
relire,
résumer, [ré]élaborer)-
un texte, des » ah ! j’oubliai [(sous-entendu:)
ce(s)
paramètre(s)]
«, ce qui alors nous contraint à de nouveau CARÉ
-(donc à modifier le texte sur lequel on travaille
– ce sont ces CARÉ(s)
successifs qui prouvent, de nos jours, qu’il est préférable -[pour
exprimer des vérités relatives ou/et la Vérité
-(qui est dans certains SPÔK complexe)]-
d’écrire plutôt que parler, car les propos inscrits[11]
permettent [comme] de les sculpter en plusieurs dimensions grâce à la véritable
réflexion du lecteur / rédacteur / correcteur qui aura constemment à cœur de
vérifier chacun des points -(qui, selon la
quantité de données objectives auxquelles sa conscience le rattache, infirme
ou/et confirme ces propos écrits – donc en
raison de la cohérence des propos, de leur(s)
logique(s)
en accord avec sa personnalité de lecteur / spectateur / auteur),
c’est-à-dire grâce à ces CARÉ(s)
-(corrections,
augmentations,
abrégés,
relectures, [ré]élaborations)
successifs : des améliorations par
approximations successives, grâce à des précisions ou/et à des exemples qui
venant en nous à cause de ce que nous avançons dans ces CARÉ(s),
infirment, voire autrement confirment ces propos. De toute façon ce qui se
produit avec l’écriture, c’est cette possibilité, grâce aux CARÉ(s)
de rendre plus claires des idées et/ou des intuitions, voire de devancer
prophétiquement les problèmes, par conséquent de les creuser grâce aux meilleurs
des raisonnements cohérents car logiques et rationnels, donc qui ne peuvent être
qu’élaborés [qu’] en conscience -[objective],
ce qui signifie en s’auto-critiquant en permanence, voire en s’auto-censurant,
bref (pour reprendre un conseil que m’avait donné
Pierre Lartique à la suite de la projection en avant-première de
La Momie à
mi-mots -(à
la Cinémathèque française)- qui durait alors
deux heures vingt minutes), en étant « impitoyable avec soi-même » [au
cours des montages[12]
à venir] à cause du fait qu’on se doit de penser d’avance aux
conséquences de ce qu’on marque / inscrit / tourne /enregistre qui ne peut donc
advenir, une fois cette conscience retrouvée en soi-même, que dans l’Intérêt et
pour le Bien Général.
Mon hypothèse est que
probablement nous parvenons aussi à œuvrer / travailler / avancer parce qu’une
partie de chacun des êtres ayant eu accès à cette conscience ont aussi accès à
une certaine dose d’inconscience –(donc de
subjectivité)- car c’est la conscience –(parce
qu’elle est en général en liaison avec la mémoire de toute l’existence de notre
personne, donc à une énorme quantité de données)- qui rend lucide au
point, parfois, de ne plus pouvoir exercer des activités autrefois sans cette
conscience faciles, en fait cela par -[excès]- de conscience -(celle-ci
comporte donc un aspect handicapant car elle est aussi en liaison avec la
complexité de l’existence et de certaines vérités, mais aussi en liaison avec
les existences des autres, notemment des LAIPIS -(uniquement
laïcs, strictement
athées et [en partie]
inconscients, à cause de cela
profanes et
ignorants et/ou par moment(s)
sacrilèges, au sens positif et
négatif de ces mots - ASPNM).
Aussi mon hypothèse est que si,
par exemple, je travaille à ce texte que j’essaie de rédiger -(en raison de CARÉ(s)
-(corrections,
abrégés,
augmentations,
résumés,
relectures, [ré]élaborations)-
successifs élaborés en conscience, cela n’est possible que parce qu’une partie
de moi continue à avoir soif de sommeil -(en raison
de ce qu’on m’a réveillé trop tôt donc que je ne me suis pas assez reposé des
fatigues endurées hier, donc durant les temps précédents)- tandis qu’une
partie de ma personne – grâce à ces différentes
relectures, ces CARÉ(s)
-(corrections,
abrégés,
augmentations,
résumés,
relectures,
recherches, [ré]élaborations)-
continuent à rechercher les vérités relatives pour mieux approcher / traduire la
Vérité qui, je le sais, grâce à l’existence de cette conscience en moi, existe /
concerne chacun des points / sujets, cependant sera probablement [un peu]
différente de celle d’une autre personne, en fonction de la quantité de
paramètres qu’on aura pris ou non en considération dans tous ceux vécus en
conscience, voire tous ceux vécus alors que nous étions en partie inconscient.[13]
Aussi cela signifie que ceux
qui ne CARÉ
-(relisent, etc.)- pas suffisemment leurs textes n’ont une approche de la
Vérité que d’une façon très/trop élémentaire en courant le danger d’être, à
cause de cela, en fin de compte, dans l’erreur, bien que parfois, dans certains
SPÔK -(dans certains cas, etc.)- ce qui est
simple ou/et élémentaire soit vrai. Aussi ce sont d’autres SPÔK (situations
précises,
occasions,
cas
particuliers [car
ici c + p = k])- qui nécessitent autant de recherches et où vérités
relatives, voire contre-vérités ou/et mensonges au point de rendre obligatoires
les nombreux CARÉ(s).
C’est d’être devenu(s) lucide,
grâce à la conscience, qui est souvent à l’origine de ce qu’on se refuse de
travailler, par exemple de/pour se rendre à la place utile en s’exerçant à
penser sur des sujets divers -(dans l’Intérêt
Général et pour le Bien Général, c’est-à-dire une fois devenus l’un ou l’autre
des » éveillés « c’est-à-dire des bouddhas, en Vérité, soit en toute logique et
cohérence -(ce que j’ai vérifié n’est
possible sur tous les points probablement sans exception qu’en s’étant imposé de
devenir végétarien[s],
c’est-à-dire en s’interdisant de faire du mal aux animaux pacifiques et
inoffensifs, ce qui est juste car il s’agit, chacune de ces réincarnations
d’animaux pacifiques et inoffensifs, de l’une ou l’autre de celles par
lesquelles chacun d’entre les êtres humains s’est incarné à l’étape précédente
à/de celle de nos respectives incarnations en l’un ou l’autre des êtres humains)-
avec la situation privée de la vision du très saint paradis (Ôz,
Atlantide, l’Eden, Arcadie, Schtroumpf,
etc.. ).
C’est ce que j’avais commencé à
dire à Michèle à l’occasion d’un échange téléphonique. Nous avons évoqué cette
nécessité que chacun des êtres humains essaie de [re]trouver
cette conscience en lui/elle-même -(comme j’ai
démontré la première fois dix années de 1967 à 1977 et la seconde fois
vingt-sept ans, c’est possible à force d’efforts au cours de travaux et en ne
faisant pas semblant d’aimer, ce qui exige de devenir cohérent avec cet idéal).
L’acquis de conscience peut se traduire en italien par l’expression chère à ma
grande tante Zia Elda, professeure de
piano à Cuneo -(Piémont), qui me conseillait de »
mettere sù il giudizio « -(ce
qu’elle me recommandait quand elle remarquait, enfant, que je faisais des
bêtises, ce aussi à quoi elle avait assisté quand en 1977 pour la seconde fois
de mon existence – la première fois avait eu
lieu en 1967 - j’avais démontré qu’un enfant
qui a perdu sa conscience, donc qui est devenu en partie insensé comme un faune,
peut retrouver cette conscience, notemment grâce au concours de tous les membres
appartenant à chacune des religions et/ou disciplines / intellectuellement
admissibles, catégories auxquelles il a aussi accès à l’Ecole et/ou dans sa
famille, voire de nos jours grâce à la télévision ou/et sur Internet)- ce
qui se traduit littéralement par » mettre le jugement dans la tête « ou » juger
grâce à la tête « soit en intellectuel -(ce qui
sous-entend en liaison avec d’autres paramètres)- ou » trouver le
meilleur des jugements, en utilisant les différentes facultés intellectuelles,
ce qui a pour effet de rendre ce jugement plus objectif que d’autres, puisqu’il
n’est pas -(ne doit pas être)- de ceux
influencés par la subjectivité qui est souvent le résultat des jugements causés
par des excès de sensualité, voire, hélas, la tyrannie de la -[voracité]-
sexuelle -(la luxure), soit ce qui peut être
à l’origine de l’égoïsme -(au sens négatif de ce
mot et non au sens positif : ASNMNSP)- au point de mentir sur les
questions de Bien et d’Intérêt Général –(on ne voit
plus que son seul intérêt personnel qui, dans ces SPÔK(s),
rejoint rarement l’Intérêt Général).
Et c’est [peut-être] cela qui
est à l’origine de la plupart des tragédies –(le
fait qu’il existe dans certains SPÔK -(situations
précises, occasions, cas particuliers [car
ici c + p = k])- les plus conscients voire
les plus lucides, une -(plus ou moins grande)-
part d’inconscience à combattre, ce qui est le plus
désespérant pour tous ceux qui ont acquis cette pourrait-on dire -[divine]-
conscience, c’est-à-dire qui ont pu enfin vérifier
sur eux-mêmes qu’il existe bel et bien pour/dans chacun des êtres humains ce
possible accès à cette sécurité humaine de finir par être gouverné par la
conscience qui, je l’ai vérifié et démontré, ne se met en marche / fonction
dans/pour chacun d’entre nous l’ayant perdu, qu’uniquement en cherchant –
voire pour cela en utilisant la méthode Cué
-(comme ce fut mon cas assez longtemps : plus de
dix ans)- réellement à bien faire -(selon
les canons anciens liés traditionnellement à cette notion),
ce qui n’est possible qu’en choisissant de ressembler à des êtres humains qui
ont été durant leur[s]
respective[s]
existence[s]
des modèles de vertu -(comme l’a été, par exemple, mère Teresa .
Par conséquent -[progressivement]-
probe, honnête, donc en s’interdisant de nuire,
bref plus véritables et à cause de cela, à partir d’un certain moment enfin
réellement altruiste -(on ne fait alors
pas/plus semblant)- parce que chacun a vécu
une sorte de métamorphose, il a, petit à petit, gagné des bons points, au point
d’arriver – incroyable mais vrai –
grâce à de constants efforts au purgatoire, au jour
où il/elle retrouve leur conscience, c’est-à-dire cette sorte de lumière
intérieure permettant durant la veille – en
général durant la journée, à moins qu’on soit de ceux qui préfèrent travailler
de nuit – de déterminer le vrai du faux, le
bien du mal, en raison qu’on est alors capables de mesurer les conséquences à
plus ou moins long terme de chacun des actes, de chacune des pensées, de chacun
de ses dires, voire de chacun des moments vécus à partir desquels on peut tirer
des enseignements féconds.
Évidemment l’accès à la
conscience ce n’est pas seulement cela, mais c’est aussi cela dans un monde où
l’on sait qu’hélas, pour l’instant encore, chacune des personnes qui nous
entourent n’ont pas forcément eu accès, comme nous-mêmes, à cette conscience -(en
raison pour chacun d’entre eux – comme j’ai
eu à le démontrer non seulement à l’âge des enfants mais aussi à l’adolescence
- du moment où encore enfants ou/et adolescents,
ils ont -(chacun pour des raisons précises)-
perdu leur/cette conscience, ce qui a, hélas, eu
comme conséquence parfois de sombrer corps et biens dans l’inconscience et ses
corollaires –(au point d’être chacun de plus
en plus perdu)- soit dans des situations où,
à cause de ce qu’ils n’ont plus conscience, ils vont se comporter bêtement,
et/ou faire de mauvais calculs/choix -(comme
j’ai [dé]montré qu’on en fait durant toutes les périodes où je devins comme une
grande partie des adolescents en partie inconscient –
ce qui, on le sait, s’est produit pour ces
Démonstrations la première fois de l’âge de quatre ans à quatorze ans, quand
j’eus à vérifier que c’est en partie grâce à la religion chrétienne que vers mes
quatorze ans, j’avais pu, une autre fois, retrouver cette conscience et, en
suite, cela s’est passé de mes quatorze ans à quarante-deux ans -
quand je dus m’imposer l’amnésie qu’on sait pour,
en redevenant profane, réussir, parce que je n’ai pas voulu faire semblant
d’aimer -(par conséquent pour cela, il y a
eu au préalable la nécessité de rechercher la cohérence entre mes actes et mes
dires/choix d’existence, grâce à des sortes de mises-à-jour, c’est-à-dire en
tenant compte des changements et des solutions alternatives élégantes existantes)-
progressivement Michèle –
donc ce qui ne fut possible que grâce à l’oubli -(l’amnésie)-
canonique -(en pareille situation)-
de ma fiancée SAIE SSSS P Christine … Lang comme aussi de tout ce qui s’était
passé de véritablement extraordinaire -(d’incroyable
mais vrai)- pour Christine et moi en 1977 (dont
mon apparition dans le ciel, vingt-sept années avant que cela devienne la
réalité en chair et en os). Cela avait été
en partie responsable de ma séparation sacrificielle d’avec Christine qui sur
place à Rome de mon point de vue de jeune amoureux -(ayant
[eu] accès à ma conscience, donc redevenu bouddha
-(c’est-à-dire [intellectuellement]
éveillé, donc capable de peanser – car
penser + panser = peanser – soit grâce à des
pensées les plus saines – les plus
objectives, les plus justes voire les plus éthiques
- soigner, voir guérir)- dès cette date-là,
attendait alors nos enfants -(notre
descendance)- comme une virtualité -(possibilité)-
qui était due à nos fiançailles cosmiques,
universelles -(à cause de mon apparition y
compris sonore vingt-sept ans à l’avance dans le ciel),
d’autant, à cette occasion, (et avec
vingt-sept ans d’avance), plus
qu’extraordinaire de la virtualité du double de ma personne, vingt-sept années
avant que cela n’advienne dans la réalité en chair et en os, cela s’étant
déroulé dans le ciel de Rome et pour commencer au-dessus du Lycée Chateaubriand
à la Villa Strohl-Fern, cette apparition de moi immense dans le ciel –
ce qui avait suivi le retour de ma conscience
retrouvée en 2005 après vingt-sept années de plus ou moins inconscience, à cause
de cette amnésie que celui que je serais devenu -(d’avance
dans le ciel, en fait à partir de 2005 alors que je m’adressais aux années 1977
et suivantes)- m’a recommandé de m’ingénier
à m’infliger, pâtir / endurer -(dans un cas
particulier pareil[14]),
ce qui me permettrait de créer les conditions pour pouvoir démontrer à Michèle
qu’une personne devenue inconsciente -(mais qui
ne veut plus tricher avec la vie parce qu’elle/il souhaite aimer en vérité),
peut,
grâce à l’amour qu’il/elle cherchera à éprouver
véritablement pour une personne de l’autre sexe
– donc
complémentaire -
redevenir consciente, et par conséquent peut aussi
retrouver sa mémoire grâce –
dans mon cas - à la
pratique de l’auto-psychanalyse -(qui
fut publique car j’étais dans le ciel vu et entendu
– la mémoire de cela m’étant en partie revenue
- dans
l’époque précédente des années 1977 et suivantes et parce que devenu un des
bouddhas -(c’est-à-dire des éveillés ayant
eu accès à leur conscience)- auto-critique[s]
– ce qui est dans d’autres SPÔK –
situations
précises,
occasions,
cas
particuliers -[car
ici c + p = k] -
probablement possible aussi par la psychanalyse avec un psychanalyste -[qui
doit être, avant de se permettre d’exercer, impérativement]-
devenu végétarien -(car
il s’agit –
comme je l’ai démontré en vérifiant que Léonard de
Vinci ne nous avait pas trompé en étant végétarien
- de l’alimentation qui, à la longue, permet
de retrouver la logique, la cohérence -(dans
la plupart des analyses de SPÔK), la raison
donc la Vérité) –
c’est bien le problème qui s’est posé pour moi qui
était déjà devenu végétarien : aucun des psychanalystes qu’on m’a proposé de
rencontrer pour commencer des séances d’analyse(s)
n’était végétarien – par conséquent
probablement tous ceux que j’ai alors rencontrés n’étant pas allés jusqu’au bout
de leur psychanalyse, ce qui les aurait conduit immanquablement à s’imposer de
devenir végétarien, ne serait-ce que comme moi, par soucis de cohérence avec le
mot d’amour envers les animaux pacifiques et inoffensifs. A cause de leur
alimentation d’omnivores et non celle de végétariens, ces psychanalystes avaient
perdu, en partie du moins, leur(s) cohérence(s), (le
sens de la logique exacte, donc de la vérité)-
avec, du moins, une partie de leur conscience
– c’est pour cela que j’ai opté pour
l’auto-psychanalyse, car pour retrouver la vérité en soi, on doit, sur le plan
alimentaire forcément passer par les meilleurs conseils de Bouddha et ses
enseignements, dont le premier d’entre eux est de ne pas s’autoriser à être
complices de ceux qui aiment faire le mal –
voire d’être complice de ceux qui en font aux animaux pacifiques et inoffensifs
– c’est alors seulement, quand on s’interdit
sincèrement cela que, petit à petit, on peut retrouver sa bouddhéité d’antant,
soit celle qu’on avait, chacun d’entre nous, (même
tous ceux qui sont devenus les plus criminels des êtres humains qui, on le voit,
ont le temps de changer de nouveau – de
vivre une métamorphose - pour retrouver leur
âme d’enfant)- durant notre croissance, dans
le ventre de nos respectives mères).
Mais depuis quelques temps
– en fait depuis que je suis de nouveau fiancé avec
Michèle – j’ai remarqué que je ne suis plus aussi conscient que durant la
période où nous avions rompu, soit cette période d’environ treize ans, de 2005 à
2017, où j’ai eu – (parce qu’on me voyait à partir
de 1977 dans le ciel de Rome synchrone avec les journées de l’année 2005 et les
suivantes) - à m’avertir de ce qui m’attendait, en ayant –
comme solution alternative élégante - à
proposer notre sacrifice maçonnique de séparation d’avec Christine … Lang en
conseillant de m’ingénier à obtenir cette amnésie de manière à petit à petit
devenir un peu inconscient -(donc un des l. a. i.
p. i. s.)- pour que je puisse faire la connaissance de Michèle -(qui
avait voulu en 1977 être l’unique impératrice, en prenant la place de Christine,
malgré la solution alternative élégante des deux épouses que je lui ai alors
proposée au téléphone, étant donné que l’un de mes moi-mêmes, apparu dans le
ciel, avait transmis le numéro de téléphone de Michèle Finck à Strasbourg pour
qu’en 1977, au besoin, si je le
jugeai utile, je l’appelle, ce qui s’est produit avec alors ma solution
alternative élégante des deux épouses)- en partie devenu inconscient -(il
y a - pour attester/prouver cela -
un portrait de moi, il m’a semblé intitulé »
portrait d’un cinéaste « -(appartenant à une
collection privée [car j’ai su entre temps
qu’il a trouvé acheteur]),
très bien peint par le peintre grec S. A. I. S. S.
S. L. P. Dimitri Ratsikas où on me voit alors la face à moitié vivante car alors
-(c’est, dans mon immeuble, au moment de ma
rencontre avec Michèle Finck)- une moitié de
ma personne est comme morte, sans vie, avec peu d’esprit et de conscience, ce
que j’avais pu obtenir de moi en me comportant en satyre, c’est-à-dire en
péchant –(en me profanant)-
notemment à cause de films pornos que je voyais
alors –(et pour me donner l’autorisation de
les voir sachant que c’était mal faire/agir, je me suis alors inventé une excuse
[depuis 2005 jugée inadmissible car une
fausse bonne raison] dont je vais parler :)-
sur Canal Plus, en me donnant cette sorte d’excuse
intellectuelle, donc avec cette fausse bonne raison qui avaient l’apparence de
-[rationnellement]- être acceptables
en tant que circonstances atténuantes pour regarder ces films pornographiques
sans décodeur, par conséquent comme – me disais-je
– des œuvres d’art obtenues grâce à cette mécanique traiïïste avec ces
traits décalés, les images de cette chaîne de télévision sans décodeur, ainsi
brouillées à cause de ce que ne disposant pas d’assez de CFPMD -(crédits
financiers
propres et
mérités de
droit)- je n’avais pas loué
de/un décodeur, par conséquent je regardais Canal + le plus souvent brouillé –
sans le système de décodage y compris brouillée la
question sonore et cela – me disais-je,
cet aspect traiïïste original pour ces images
brouillées -(pour m’autoriser à les regarder)-
en croyant avoir ici une bonne raison
ayant un rapport avec l’Histoire de l’Art ! En
effet, ayant un peu étudié l’Art, enfant, au Lycée Chateaubriand de Rome, avec
mon professeur Monsieur Moureau, et cet art à partir du mouvement
impressionniste qui avait été à l’origine de tant d’incompréhensions au début du
XXème siècle, j’avais été sensible aux peintres que j’avais déterminé
appartenir au mouvement des traiïïstes qui, en réalité était celui des
pointillistes -(les divisionnistes)-
mais au lieu de procéder par des juxtapositions de
points de différentes couleurs, les peintres -[devenus
pour l’occasion]- traiïïstes, procédaient
dans leurs tableaux par la juxtaposition de petits traits -(en
fait cela concernait les pointillistes qui, parfois, pour aller plus vite,
faisaient dans certains de leurs tableaux des petits traits de couleurs
différentes. Aussi j’avais fait un lien dans ma tête entre les images de ces
films pornographiques regardées -(je croyais
à l’insu de tous –
j’ignorai alors qu’il existait une salle des
machines dans laquelle on croit être au courant de tout)-
sans décodeur avec le mouvement pictural des
peintres qui avaient systématiquement réalisé quelques-unes de leurs toiles en
faisant des traits de couleurs juxtaposés
– cela me donnait bonne conscience d’avoir
créé en moi ce lien qui, à première-vue, attestait qu’on pouvait regarder un
film pornographique sur un autre plan, pour l’intérêt qu’il revêtait grâce à
l’absence de décodeur, comme si ce que j’avais trouvé pouvait être une excuse
valable pour me permettre de regarder de temps en temps ces films
pornographiques, comme si c’était avec ce brouillage à base de traits décalés
des œuvres d’art, tant il avait été important pour moi devenu ainsi une sorte de
minotaure de me trouver des excuses pour le besoin que j’avais de voir
périodiquement l’un ou l’autre de ces films pornographiques en raison –
ce que je n’ai découvert que beaucoup plus tard en
2005 – qu’il était -(en
raison de la mort de ma descendance d’avec Christine … Lang
ma fiancée de 1977)- impératif que je
devienne profane pour rencontrer Michèle qui avait pu croire en 1977 qu’elle
pouvait -(pour elle seule / à son profit)-
alors adolescente, exiger ma séparation d’avec les
impératrices Christine … Lang de laquelle, en raison de l’anneau immaculé qui
était apparu à mon doigt annulaire des hommes mariés, j’étais alors assuré que
j’attendais des enfants : cette descendance qui, vue autrement, pouvait être une
ascendance, soit la naissance de mes parents, bref de ceux qui m’avaient créé
pour naître et sauver cette planète par mes apparitions célestes et mes
transmissions à travers Espace-Temps ayant eu lieu en ma présence à partir de
1967 et 1977 en synchrone depuis les années 2005.
C’est pour cela que, dans le
tas de choses que j’avais eu à dicter du ciel à raison certains jours de plus de
quinze heures par jour -(ce qui a finalement donné
cette moyenne de douze heures par jour de 2005 à 2013)- entre autres la
création d’une chaîne de télévision autorisée à passer une à deux fois par
semaine des films pornographiques car, me connaissant, je n’aurais jamais osé
entrer dans un cinéma de films pornographiques tant en 1977 mon amour pour
Christine a / avait été pur et même ma maîtrise en Animation Culturelle et
Sociale -(option Cinéma), je le savais, ne m’autorisait pas -(en conscience)- à
en regarder. En avoir regardé a cependant permis que je m’intéresse à la nudité
de la femme, notemment dans ma vidéo avec Anne-Laure Meury au sud du Portugal en
Algarve à Faro. Il y a quelques plans d’Anne-Laure Meury nue qui sont réellement
admirables. Cependant quand j’ai tourné ces plans, je ne faisais nullement de la
pornographie d’autant plus que j’étais amoureux d’Anne-Laure Meury. Pour
Anne-Laure Meury cela s’était déroulé naturellement comme si elle était chez
elle. Aussi cela me soignait de certains préjugés comme tous ceux qui
concernent, chez les satyres, la nudité des déesses. En réalité cette nudité
très naturelle d’Anne-Laure Meury nous soignait comme toutes celles des nus que
plus tard j’allais devoir dessiner chaque semaine, parfois en compagnie de mon
frère aîné qui ayant des années de dessins et peintures derrière lui de plus que
moi, probablement veillait du coin de l’œil sur moi comme parfois me donnait des
conseils que je n’arrivais pas à comprendre ou à suivre / réaliser car j’étais
encore au stade de l’apprentissage du dessin de nu – en réalité une chose très
difficile avant d’être considérée une œuvre d’art véritable.
En effet, pour réussir à
obtenir de moi une amnésie, je n’ai pas lésiné à perdre mon temps pour explorer
la pornographie -(à cause des films pornographiques
que je regardai en cachette chez moi, grâce à Canal + mais sans avoir payé
l’abonnement, par conséquent sans décodeur, sauf aux heures où c’était » en
clair « (pour tous) –
ces films pornographiques apparaissaient donc
striés -(d’où mon rapprochement avec ce
mouvement pictural des traiïïstes – la
fausse bonne raison de m’autoriser à les regarder sans que cela gêne trop ma
conscience alors – je ne m’en était plus
rendu compte -
en partie perdue)-
car je n’avais pas de décodeurs en raison que
c’était trop cher pour moi qui ne disposait que de RFPMD – (revenus
financiers
propres et
mérités de
droit),
par conséquent obtenus en raison de l’existence de
la conscience, voire de la charité compassionnelle de l’Etat)- et j’ai pu
effectivement vérifier sur moi-même -(en comprenant
depuis 2005 – mais aussi en synchrone avec
1977 comme/et [en]
1967)- fort bien le devoir de l’Etat ayant pour mission de veiller, du
mieux qu’Il peut, sur la Santé de tous, ce qui le conduit dans certaines
rRégions -(pays)- de cette planète à
naturellement interdire ces films pornographiques, voire à ne les autoriser qu’à
tous ceux qui ont réellement plus de 18 ans[15]
–[(ici il peut y avoir des gens qui n’ont pas
encore un an d’âge mental -(ce qui signifie
qu’ils ont accès à la conscience depuis au moins un an)-
et qui ont à première-vue sur les papiers plus de
dix-huit ans tout comme – je l’ai démontré
- il peut y avoir des enfants de quatre ans
qui ont déjà au moins plus de soixante-neuf ans véritables, par conséquent sont
en quelque sorte déjà des sages qui pourraient regarder ces films sans grands
dangers car ils savent, en Vérité, qu’il s’agit dans la majorité des SPÔK
-(situations
particulières,
occasions,
cas
particuliers [car
ici c + p = k])- de cochonneries, et la
plupart du temps de choses fausses -(n’ayant
que peu à voir avec l’amour véritable qu’ils recherchent comme chacun d’entre
nous tous, si on appartient aux êtres les plus sains),
nuisibles, qui sont souvent, hélas, à l’origine de
tous les malheurs, voire des actes inconscients –
ces péchés -
par conséquent à cause de ceux-ci de l’existence de la plupart des maladies)
– c’est-à-dire que ces derniers enfants ayant
réellement l’âge qu’ils ont -(donc le nombre
d’années qu’ils ont vécues en conscience)-
sont normalement formés suffisemment intellectuellement pour savoir comment
regarder sans danger pour eux-mêmes et leurs familles -(voire
leurs descendants)- donc sans le danger de
devenir à cause de ces films inconscients -(cependant
que les regarder sans avoir au préalable obtenu cette sagesse peut rendre
inconscients car il s’agit, entre autres, de simulacres
– oui, c’est là
l’une des origines de la perte de conscience, de l’altération des facultés
cérébrales, au point de fausser l’existence des uns ou/et des autres spectateurs
qui perdent ainsi progressivement leur conscience, et avec, leur respective
mémoire, au point pour entre autre le vérifier que j’avais conseillé du ciel à
moi-même de m’ingénier à obtenir une amnésie ce qui aurait pour effet de me
faire devenir profane, ce qui me permettrait -(par-dessus
le marché)-
d’étudier la question du profane de près : de
l’intérieur, en l’ayant été si longtemps au point effectivement de devenir
moi-même l’un des laipis
[16]–
donc uniquement
laïcs, strictement
athées, [une partie de la journée]
inconscients,
profanes, parfois ou/et souvent
ignorants, momentanément
–(sans en avoir
conscience, par omission de certains paramètres)-
sacrilèges
– donc ces
mots au
sens
positif comme au
sens
négatif de ceux-ci (MSPSN))
– cependant que le mieux est de ne pas
regarder/voir ces films pornographiques car en effet cela comporte ce danger
très malheureux de contribuer à faire perdre s/la conscience, à devenir bête, ce
qui est alors une réelle perte générale, une sorte de malheur collectif quand
cela arrive à l’un d’entre nous qui court alors le danger d’obtenir le jour de
sa mort une réincarnation malheureusissimis…simissime, tristissimis…simissime,
tragiquissimis…simissime, honteusissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissime etc. , ce qui n’est vraiment pas une bonne
affaire pour sa propre âme : en effet, il perd ainsi tous les bons points qu’il
avait gagné lors de sa précédente réincarnation dans l’un ou l’autre des animaux
pacifiques et inoffensifs qu’il était durant l’étape où il s’est préparé du
mieux qu’il a pu pour la réincarnation suivante en tant qu’être humain)-
ces films pornographiques -
je l’ai vérifié sur moi-même -
sont donc bien l’une des origines de l’existence de
l’inconscience -(hélas
au
sens
négatif de ce
mot et
non au
sens
positif [ASNMNSP]),
par conséquent -(pour
un être devenu conscient – c’est-à-dire un
éveillé, un devenu bouddha [au service du
Bien et de l’Intérêt Général],
il vaut mieux ne pas en regarder, voire en voir le
moins possible, à cause des effets secondaires à plus ou moins long terme)-
de transformations ou/et métamorphoses, hélas, dans
le sens inverse de celles qui permettent, au contraire, de [re]trouver cette
belle, pure, et (probablement)-
[divine]
conscience qui plus est innocente et bienfaisante. Une conscience que la
majorité d’entre nous tous – voire tous -
nous avons heureusement connu bébés ou/et
enfants].
Oui, mais voilà que les
véritables relations amoureuses -(qui débouchent
sur des relations sexuelles)- qui sont souvent à l’origine en même temps
qu’une prise de conscience de l’un par l’autre de ce qu’une certaine dose
d’inconscience -(au bon sens de ce mot)- va
concerner ces [véritables] fiancés -(qui
sont allés progressivement vers l’idée de mettre au monde des enfants et pour
cela parfois au préalable de se marier, bien que par ailleurs on sache mieux,
grâce à la conscience qui est durant ces fiançailles continuellement sollicitée,
comment devoir se comporter au cas par cas -(et
cela d’autant plus une fois devenu l’un des bouddhas, c’est-à-dire l’un de ceux
ayant eu la chance –
voire autrement-vue la malchance
-(car dans un monde où la majorité des gens
se comportent en inconscient(s) celui qui a accès à la conscience est l’objet
d’une sorte de guigne, bien que sur un autre plan, il ait la chance de pouvoir
enfin penser en vérité, en ayant accédé à cette conscience / lumière en lui-même)-
d’accéder en lui-même à cette conscience : parce
qu’il a obtenu l’acquis de conscience.
Que faire ?
Comment vivre en étant, malgré
la conscience aidant, à se conduire dans ses relations amoureuses avec son/sa
partenaire avec parfois l’aide de l’inconscience –
soit cette inconscience -(enfin comprise au bon sens de ce mot dans ce SPÔK –
situation
précise,
occasion,
cas
particulier [car
ici c + p = k]) ?
Car tout cela peut faire courir
le danger de mener à l’incompréhension -(entre ceux
qui ont enfin accès à la pensée sans erreur -(voire
avec des erreurs qui n’existent qu’en raison de ceux qui sont encore LAIPIS)
– donc consciente et ceux qui sont devenus [en
partie] inconscients -(donc
un peu, voire totalement laipis –
strictement
laïcs,
uniquement
athées,
parfois
inconscients,
profanes,
parfois
ignorants, [par
omission de paramètres]
sacrilèges, ces six mots au sens
positif et négatif).
[1] Je crois
que pour les êtres devenus conscients durant
leurs veilles, le sommeil n’est qu’apparemment
de l’inconscience à tel point qu’on comprenne
bien mieux l’existence d’une proximité entre les
termes » dort « et » mort «. Lorsqu’on se
réveille d’une bonne nuit de sommeil, on a
l’impression de ressusciter -(de
revenir)- dans l’époque dans laquelle on
vit. Cela signifie qu’on a cru être comme mort
durant le sommeil, bien que parfois se souvenir
qu’on a rêvé modifie cette sorte
d’assurance/idée. Ce sont donc ces rêves dont on
se souvient qui nous prouvent qu’on a dormi, par
conséquent qu’on n’était pas mort durant ces
sommeils. Mais où notre âme est donc allée
durant au moins une partie de ce sommeil -(dont
parfois on se souvient)- dont parfois on
se réveille plus fatigués qu’au moment où on
s’est endormi ?
J’ai pu vérifier à
partir des années 2005 –
mais déjà avant
– que les sommeils qu’on effectue durant
nos enfances respectives sont en fait en liaison
directe avec les journées -
déjà vécues par nos
doubles ayant par anticipation rejoint/exploré
notre futur – les mêmes que celles qu’on
aura à vivre bien des années après en chair et
en os – donc dans
la réalité de ce futur, au point que le temps
consacré à dormir une nuit à l’âge des enfants
-(c’est à-dire en
général couchés à partir dix heures du soir)-
va nous permettre,
durant cette nuit, d’explorer -(donc
avec cette forme d’anticipation)-
une journée bien
précise de notre futur -(en
liaison mathématique avec cette nuit de notre
enfance –[comme
si nos existences se produisaient sur un très
long escalier en colimaçon, chacune des [premières]
marches -(celles
de notre première enfance, voire de notre
enfance)-
étant en relation directe avec une marche
particulière/précise, c’est-à-dire [d’]une
journée, plus loin) –
d’où, quand nous
aurons à vivre ce rêve une fois adulte dans la
réalité, parfois l’impression de déjà-vu)]-
étant déjà advenu.
Cela, j’ai pu le
déterminer avec précision à plusieurs reprises
une fois devenu adulte, quand je me suis mis à
faire des efforts physiques très importants pour
peindre
la série des tableaux-partitions pour le
piano droit de Michèle Finck -(que
j’avais aussi peint par endroits en le couvrant
de miniatures plus ou moins abstraites).
Comme cela avait exigé de moi des efforts très
importants durant ces journées consacrées à la
peinture de ces œuvres, je me suis soudain
rappelé que ma famille m’avait dit –
enfant –
qu’en rentrant le soir tard vers minuit une
heure du matin, voire en faisant un tour dans ma
chambre au milieu de la nuit, elle m’avait
souvent trouvé, dans mon premier sommeil,
dormant en faisant le poirier au bout de mon lit
-(aussi mon frère
me prenait dans cette position pour m’allonger
dans mon lit, cependant qu’il parait que tout en
continuant à dormir je recommençais à me
remettre en cette position du poirier).
C’était donc les efforts intellectuels que
j’allais faire dans l’avenir -(pour
réussir à peindre ce piano comme ces
toiles-partitions)- qui m’avaient mené en
dormant -(durant
cette mienne enfance)- à la tête en bas
en prenant la position du poirier, donc mon
corps à l’envers, les pieds en l’air, mon dos
tenu par les montants de mon lit et mes pieds
sur le mur jouxtant mon lit. Aussi, j’ai ainsi
compris la raison des grandes fatigues que
certains d’entre nous ressentons enfants -(voire
adolescents ou/et adultes)- au moment de
nos respectifs réveils. En réalité quand nous
nous endormons, il arrive, du moins, que
certains d’entre nous –(à
moins que cela soit un processus qui nous
concernent tous sans exception, voire qui soit
inhérent au sommeil, par conséquent la vérité et
non pas seulement une vérité relative)-
se déplacent dans le temps dans le futur où ils
continuent parfois -(comme
ce fut mon cas)- à beaucoup travailler.
Avec cette exploration d’avance du futur par
notre double conscient, il en résulte, une fois
de nouveau réveillés -(donc
de retour dans la réalité de l’époque antérieure
déjà reliée, grâce au sommeil, à l’époque
suivante qui existe d’avance à cause qu’elle est
le produit de l’époque antérieure)- cette
très grande fatigue qui provient, pour certains
d’entre nous, des travaux qu’on s’est infligés
dans cette autre époque qu’on ne peut rejoindre
d’avance qu’à cause de la loi des conséquences
qui est à l’origine de l’existence d’avance de
ce futur qu’on a donc
– comme je
le fis - parfois réussi à rejoindre en
dormant, ce qui probablement est à l’origine de
la consistance de nos rêves -(pour
ceux qui s’en souviennent à leur réveil car ils
disposent ainsi de données prophétiques
concernant leur avenir).
[2]
Cette Grande
Mutation est à notre époque -(comportant
autant de solutions alternatives élégantes
alimentaires)-
nécessaire pour tous comme aussi à cause de cela
du domaine du tout-à-fait possible/réalisable
car la génération des années 1960 a pris
l’habitude de faire des mises-à-jours régulières
dans l’Intérêt et pour le Bien Général, soit a
compris qu’il faut régulièrement s’adapter, par
exemple aux nouveautés technologiques facilitant
toujours plus l’existence de chacun. Les
générations précédentes de paysans avaient su
s’adapter à l’utilisation des tracteurs -(ce
qui est le produit de la mécanique et de la
technique qu’on doit à tous les ingénieurs
véritables)-
pour la meilleure rentabilité de leurs terres.
Aussi la Grande Mutation est comme une simple
mise-à-jour qu’il est nécessaire d’effectuer en
tenant compte des principaux dangers qui nous
menacent tous, comme l’effet de serre avec ce
réchauffement climatique planétaire à l’origine
-(comme/avec
l’élevage intensif)-
de la plupart des formes de désertification.
[3]
Des esprits
– c’est une
expression que j’ai mis longtemps à comprendre
parce que vérifiée : celle de » reprendre ses
esprits « –
ce qui se dit parfois pour le moment du lever.
Il faut donc
compter un temps plus ou moins long, après le
sommeil, pour se trouver dans la réalité qui
nous environne en ayant
repris
nos esprits -(c’est-à-dire
retrouver nos caractéristiques, notre
personnalité, ce qui nous détermine, nous
différencie des autres –
en général notre parcours plus ou moins
original, personnel : notre histoire -(en
effet, depuis notre venue au monde, ce que nous
découvrons quotidiennement dans nos différents
contextes familiaux est aussi le fruit de notre
géolocalisation -[spatiale]-
qui diffère de celle de chacun des autres
membres de nos familles respectives : dans
chacune des chambres habitables, nous sommes
placés autrement que nos proches –(cela va
concerner notre propre point-de-vue original -(objectif
et subjectif, plus ou moins conscient),
au point que tout ce à quoi nous assistons, même
à première vue aux [mêmes] événements semblables
que ceux auxquels assistent les autres,
diffèrent pour chacun des spectateurs. Cela est
aussi vrai pour les enfants portés dans les bras
de leurs aînés. Notre point-de-vue est différent
de celui/celle qui nous porte, d’autant que nous
sommes pourvus de connaissances qui, souvent, ne
sont plus prises en considération par ces
personnes théoriquement chargées de notre
sécurité. Elles les ont probablement oubliées en
devenant « adultes » ! Ce sont donc tous les
paramètres liés à cette petite enfance et/ou
états de bébés)-
qui sera aussi à l’origine de
curriculum vitae différents),
ce qui serait une sorte de synonyme à cette
notion de conscience retrouvée pour nous
permettre d’agir, parler, écrire, etc. en un mot
d’» être « à la tâche ou/et la peine qu’il nous
incombe de prendre / réaliser / résoudre, etc.
[4]
Mais hélas cette
conscience est plus ou moins développée en
fonction de la mémoire de chacun des individus.
Elle dépend donc de paramètres plus ou moins
pris en considération -(c’est
en cela qu’on parlera de degré(s)
-[de
conscience],
voire de degrés de lucidité, voire ce qui a
peut-être -[aussi]-
donné la notion d’échelon, mais aussi celle de
dégradé).
Donc en réalité de l’accès à l’espèce de disque
dur dont chacun d’entre nous est doté / pourvu
normalement contenant toute la mémoire en
général chronologique de chacun d’entre nous –(en
réalité si cela fonctionnait bien, on devrait
ici comprendre qu’il s’agit de chacune des
secondes de nos respectives existences
mémorisée(s) depuis avant même notre naissance,
car j’ai pu vérifier sur moi-même -(dans
un autre de mes textes manuscrits, j’en parle)-
que j’ai pu me souvenir de ce qui s’est passé au
cours d’une journée -[en
particulier]-
quelques semaines, voire jours avant ma
naissance et j’ai pu constater que j’avais alors
remonté le temps dans le futur au point que je
me voyais d’avance (moi
dans/depuis le ventre de ma mère et sans doute
les yeux encore fermés, donc dans une sorte de
vision intérieure)-
en train de rédiger le texte concernant ce
moment d’avant ma naissance qui m’était revenu à
la mémoire dans les années 2000 –(donc
il y avait eu une remontée d’avance dans le
temps futur de ma vie, au point que ce
temps/moment avait été vécu d’avance – cela
signifiant que les derniers jours où l’on est
dans le ventre de nos mères correspond aux jours
qui peuvent précéder les jours où on va enfin
avoir accès à cette/notre conscience, ce qui
peut donc heureusement se produire dès le plus
jeune âge -(voire
dès la naissance),
mais aussi, comme je l’ai démontré vers l’âge de
quatre ans et de quatorze ans, voire vers la
quarantaine : une autre chance est alors donnée
d’y avoir accès)-
où je visualisai le décors qui m’entourait, mais
aussi ce que j’y faisais en m’entretenant avec [ce]
moi-même pas encore né -(mais
pour en arriver là, j’avais peint –[dans
les jours précédents, en utilisant au maximum ma
volonté],
quelques peintures extrêmement difficiles à
peindre, d’autant que je ne cherchai pas à
représenter quelque chose en particulier : ces
peintures sont de la séries des
tableaux-partitions abstraits, donc sans réels
sujets, que la recherche du trait le plus juste
/ vrai possible qui parfois, malgré moi, se
mettait à représenter sur l’un ou l’autre détail
un début de figuration quand l’ensemble de ces
traits, une fois achevé le tableau, selon la
distance et les points choisis de cette œuvre,
peut faire apparaître des représentations
originales, voire malgré ces abstractions de
départ, des sortes de figurations).
Mais sans aller
jusqu’à là, c’est de toute manière une quantité
véritablement astronomique de données qui
s[er]ont à l’origine de nos pensées les plus
justes comme, hélas, parfois de celles les plus
fausses, -(des bons comme des mauvais choix)-
parce qu’on a oublié de tenir compte de l’un ou
l’autre des paramètres, voire de tous ceux
encore inconnus qui concern[ai]ent objectivement
le sujet en question, ce qui fait de chacun
d’entre nous
–
même les plus
doctes et/ou intelligents
–
la plupart du temps un/des ignorant[s],
mais ici, au bon sens de ce mot, car parfois
avoir réellement conscience de cette ignorance
nous rendra curieux pour
–
dans le meilleur
des SPÔK -(situations
précises,
occasions,
cas
particuliers
[car
ici c + p = k])-
essayer de
combler ces lacunes).
Il suffit qu’on ait
affecté cette mémoire ou/et l’accès à une partie
de cette mémoire -(c’est-à-dire,
[comme je
l’ai démontré à l’occasion de mes diverses
amnésies : celle entre 1967 et 1977 –
une sorte de V
spatio-temporel
- comme celle de 1977 à 2005 –
un autre V ; au
point ces deux amnésies de créer un étrange
double vé : vV spatio-temporel],
à un ou plusieurs paramètres essentiels, par
exemple pour trouver la solution alternative
élégante à un problème qui se posait, donc un
SPÔK à résoudre)-
par une ou plusieurs raisons -(qu’on
a oublié[es],
c’est-à-dire auxquelles on n’a plus, [momentanément]-
accès)- pour
qu’hélas la conscience ne soit plus de celles
des plus fiables.
Aussi pour pallier
[à] ce défaut / problème de -[degré
de]-
conscience des uns ou/et des autres ont été
forgées au cours des temps passés toutes sortes
de solutions alternatives élégantes comme plus
récemment les livres, les dictionnaires, les
encyclopédies, les peintures, les photos, les
musiques et assez récemment, après les
documentaires et les films et/ou émissions à la
télévision,
Internet.
En réalité dans
certaines
situations
précises
(S. P.
[Ô. K.]),
on ne devrait pas se permettre de répondre -(autrement
que par écrit)-
sans l’aide constante de ces instruments qui
peuvent devenir de réelles appuis /soutiens pour
construire nos réponses, comme le sont dans de
nombreux livres bien faits[,] les citations
ou/et notes de bas de pages qu’il faudra, le
moment venu, relier elles-mêmes aux œuvres
[numérisées] citées -(ce
qui permet alors de comprendre dans quel
contexte le mot, la phrase, le paragraphe, etc.
, [qu’on
cite parfois de mémoire],
ont été
cités, [s’inscrivaient]).
Je pense à un
exemple dont tous nous avons été témoin un jour
ou l’autre : le prêtre qui officie au cours de
la messe, (même
si c’est la millième fois qu’il la dit),
est plus ou moins continuellement à se référer à
ses différents livres et/ou textes posés sur
l’autel ou/et les pupitres. Même s’il sait par
cœur ce qu’il y a à dire, il a besoin comme
d’une confirmation grâce à la lecture des textes
qu’il prononce[ra]
en y croyant souvent de tout son cœur -(ce
qui lui permet aussi de savoir à quel moment il
se situe du rituel que constitue autrement vue
cette messe).
Il y a pourtant certaines prières ou/et certains
chants qu’à la longue il sait – comme les
fidèles - par cœur, mais il y a chacun des
moments pour lesquels il a besoin de sces -(ses
+ ces = sces)-
instruments de travail que sont en général les
livres, ses notes, voire la feuille paroissiale.
Cela signifie que
l’Église a progressivement pris conscience de
l’handicape que constitue parfois / souvent la
mémoire des êtres humains, au point que je me
pose sérieusement la question de la nécessité
d’enregistrer en vidéo ou/et en audio chacune
des homélies –(pour
ensuite les mettre en ligne sur le site de la
paroisse –
cette idée
m’est venue récemment en trouvant souvent très
belles les homélies de l’ancien curé de
Saint-Etienne-du-Mont, ma paroisse à Paris, mais
aussi les homélies du nouveau curé)-
de la même façon que, quand j’étais empereur
encore profane -(non
encore revenu à la religion chrétienne de mes
ancêtres, par conséquent un l. a. i. p. i. s.
(laipis) – [strictement]
laïc,
[uniquement]
athée,
[en
partie]
inconscient,
profane,
ignorant
et
[parfois]
sacrilège
[sans le
savoir],
ces mots au
sens positif comme au sens négatif de chacun
d’entre eux),
j’avais eu l’idée de créer
la F. E. V. E. S.
, la
V. E. S. et la
T. V. E. S. -(télévision
des enseignements
supérieurs)-
quand j’avais eu à enseigner pendant un semestre
à Paris I-Sorbonne au centre Saint-Charles mais
aussi, bien sûr, en raison des conférences et
cours de Michèle Finck, professeure à
l’Université de Strasbourg -(ici,
pour rechercher une autre cause à ces idées qui
pouvaient générer des emplois simples / faciles
à exercer au sein des Universités et/ou Grandes
Ecoles, etc. -(soit
à l’origine de ces miennes idées pour créer des
emplois, mon mariage avec Michèle Finck, par
conséquent pour les enfants que j’attendais avec
elle, exercer une activité rentable d’Intérêt et
pour le Bien Général, bref être utile à tous en
raison de mes compétences diverses en la
matière. Pour avoir l’idée de la création des
FEVES, VES, TVES,
je me suis souvenu aussi que mon père
enregistrait ma mère à l’occasion de chacune de
ses conférences publiques ou/et sur invitations
-(en
général sur des peintres célèbres)-
sur un
appareil portable mono
Grundig
à mini-cassette(s),
de manière à pouvoir les écouter de nouveau avec
ceux de leurs enfants qui avaient été absents).
En effet, j’ai pu
remarquer qu’en raison de tout ce qui se déroule
durant la messe, les enseignements qu’on
pourrait tirer des homélies –(c’est-à-dire
des sortes de conférences simples à comprendre
–
parfois des
improvisations inspirées
-
faites à partir des
textes saints)-
une fois rentrés les uns les autres dans nos
respectifs domiciles, on a parfois -(selon
le[s] cas)-
de réelles difficultés pour se souvenir de ce
dont il était question, bien qu’on aimerait s’en
souvenir pour en parler -(ce
qui nous rend handicapés
–
comme si on prenait
conscience d’un manque de mémoire),
mais, on le sait, certains d’entre nous ont des
difficultés pour résumer et ne savent plus par
quoi commencer
– ce qui sont des
choses -(ces
résumés)-
qu’on apprend -[heureusement]–
à faire à l’Ecole.
C’est ici/là qu’on aimerait, (de la même façon
qu’on consulte une émission de radio enregistrée
ou/et un film à la télévision ou/et au cinéma),
avoir accès à l’enregistrement de l’homélie -(on
le sait, les magnétoscopes ont eu un réel succès
comme les graveurs de DVD)-
en se reportant ainsi à ce moment collectivement
vécu à la messe, voire en différé, si on n’a pas
eu le temps d’aller à l’Eglise.
Ces problèmes de
mémoire concernant les sujets évoqués durant ces
prêches signifient donc que notre état de
conscience est plus ou moins affectée par les
capacités de nos respectives mémoires à/de nous
souvenir même de choses/détails aussi
récent[e]s.
C’est pour cela que
quand je parle d’acquis de conscience –(ce
qui permet,
entre autres,
d’avoir accès à notre mémoire)-
je suis de plus en plus sûr qu’il demeure une
partie de nous -(bien
qu’ayant heureusement accès à cette conscience)-
sans autant de mémoire qu’on pourrait le croire
même si être devenu conscient nous donne accès à
la totalité de notre disque dur, c’est-à-dire
aussi à nos diverses expériences ce qui va
déterminer notre conduite. Aussi une chose est
la conscience et une autre est la mémoire -(de
nos expériences)- qui selon chacun d’entre nous
est plus ou moins développée, au point même
d’affecter notre conscience en raison des
paramètres que nous oublions de prendre en
considération -(voire
que nous avons placé dans un ordre hiérarchique
en tant que moins importants que ce que nous
prenons en considération pour nous prononcer),
voire des paramètres que nous croyons/savons
n’avoir jamais su/connu.
Ce qui est certain
c’est qu’une fois qu’on a accès à la conscience,
on est censé savoir ce qu’est le bien et ce
qu’est le mal -(aussi
cette conscience –
dont nous rappelons
qu’elle est de différents degrés
- est censée nous
empêcher de devenir nuisible
-(et
à cause de cela, dans le cas contraire, de
prendre le chemin pour obtenir l’une ou l’autre
des réincarnations malheureusissis…simissimes,
tristissimis…simissimes ou/et honteusissimis…simissimes,
voire cauchemardesquissimis…simissimes comme
sont celles de tous les animaux prédateurs qui
ont ainsi régressé pour profiter lâchement de
leur force physique au détriment des animaux
pacifiques et inoffensifs végétariens et/ou
herbivores qui sont chacun d’eux le passage
obligé par lequel chacun d’entre nous être(s)
humain(s), y compris ceux qui sont devenus les
plus criminels d’entre nous, avons dû nous
incarner avant la réincarnation en l’un ou
l’autre des êtres humains –
aussi la
réincarnation en prédateur ne fait que faire
perdre du temps à l’âme en question qui, pour
regagner des points doit s’attaquer à plus
prédateur -(à première vue plus fort)- que lui
et éviter de s’attaquer à plus faible que lui,
soit l’un ou l’autre des animaux pacifiques et
inoffensifs)-
au point
qu’elle permet
–
la religion
chrétienne l’atteste
– [cette
conscience]
d’avoir
petit à petit accès au Saint-Esprit, ce que j’ai
pu vérifier et démontrer exister dans la
réalité, donc être vrai
–(il
ne faut pas oublier que mes interventions à
travers Espace et Temps ont été faites / dictées
par l’opération du Saint-Esprit, en étant
d’avance relié à celui de mes descendances -(alors
de l’ordre du virtuel)-
dont celles que j’eus à sacrifier des
impératrices Christine … Lang et enfin des
impératrices Michèle Finck)-
au point de
justifier la nécessité de cette religion
chrétienne des catholiques
-(que
je connais un tout petit peu mieux de toutes les
autres religions).
C’est comme si
chacun des sacrements qu’on cherche à recevoir /
obtenir était une étape pour nous permettre
d’accéder -(grâce
aussi aux différents rituels
– dont celui de la
messe)- à
cette conscience, voire mieux à ce fameux
Saint-Esprit ! C’est pourquoi en l’ayant
démontré et vérifiée sur moi-même en tant que
cobaye de ces expériences, une première fois sur
dix ans et une seconde fois sur vingt-sept
années, je confirme ici la nécessité absolue de
dispenser ces sacrements depuis le tout premier
du Baptême ! En fait c’est comme si chacun de
ces sacrements confirmait qu’il y a un très
véritable mystère -(voire secret-
concernant cette possibilité d’accéder à la
conscience)-
indicible –
difficilement explicable
- à
individuellement découvrir, entre autres
grâce à l’histoire sainte de Jésus-Christ et
Sa
Sagrada Familla -(comme
cela peut-être découvert autrement en soi, grâce
aux enseignements du Bouddha ou/et probablement
à ceux de Mahomet, voire les enseignements
d’autres religions intellectuellement
admissibles, parce qu’elles sont au service du
droit à la vie pour mieux vivre
ensemble/collectivement, en proposant des
solutions alternatives élégantes à la place de
tout ce qui peut mener aux confusions de
l’anarchie, au sens négatif de ce mot et non à
ces aspects plus positifs)-
comme grâce à tous ceux qui se sont ensuite
réclamés de Lui -(ce
qui a donné l’expression » mystère de la foi «).
En fait cette religion chrétienne est, quand
elle est bien présentée / servie par des
personnalités ayant [eu]
accès à leur respective conscience, comme une
métaphore de ce qui peut mener, comme le disait
ma grande tante
Elda,
professeure de piano à partir des années 1920 à
Coni -(dans
le Piémont),
a mettere
sù il giudizio -(c’est-à-dire
utiliser le cerveau pour juger
-[objectivement]-
donc en son âme et conscience en attendant,
grâce aux meilleurs conseils de la religion
chrétienne catholique, de découvrir les
multiples facettes de la réalité grâce à la
présence du Saint-Esprit ! Aussi avec l’accès au
Saint-Esprit, c’est comme si la conscience ne
suffisait pas une fois obtenue/acquise -(parfois
à la suite de très difficiles peines -[mais en
réalité l’état normal de l’être humain adulte
parachevé qui, on le sait, est doté d’une
conscience], ce qui permet de comprendre tous
les propos objectifs ou/et subjectifs en les
déterminant chacun tel ou/et tel, au point
d’être à l’origine de classement[s] par
catégorie(s), heureusement -
on le sait de nos
jours plus facilement qu’autrefois grâce à
Internet qui nous le prouve à l’occasion de la
plupart de nos recherches
- ouvertes -(et
reliées)- les unes aux autres par des points en
commun, ce qui va souvent rendre complexe la
Vérité à propos de chacun des sujets d’autant
plus qu’ils sont à considérer en liaison avec
les causes les plus lointaines de la disparition
de la vision d’Ôz,
soit celle de l’Eden ou/et du très-saint-paradis
ou/et d’Atlantide, voire en un mot de
Schtroumpf ou/et tous les synonymes de ces
notions).
[5]
-(à cause de
migrations dues aux problèmes de la
désertification qui advint à cause de la chasse
et à mesure que l’élevage à des fins de
bouche[rie] se développa)
[6] Ou laipis
(l. a. i. p. i. s. )
[7] On ne se
souvient des rêves que l’on fait qu’en raison de
ce que la conscience, alors en liaison avec la
mémoire, est en activité au moment de l’une ou
l’autre des séquences de sces -(ses
+ ces = sces)- rêves.
[8]
Cependant, il y a depuis longtemps sur cette
planète une situation qui autorise -[peut-être
en conscience]- à, dans certains SPÔK (situations
précises,
occasions,
cas
particuliers
[car ici c +
p = k]), déroger à cela. Cette situation
n’est pas seulement économiquement préoccupante
pour chacun de ceux qui n’ont accès qu’au CFPMD
– crédit
financiers
propres
et mérités
de droit,
mais anormale car la vision du très saint
paradis des origines a disparu, soit celle
d’Atlantide, d’Ôz,
de l’Eden, de
Schtroumpf et des synonymes de ces notions
elles-mêmes synonymes. Cependant s’il est normal
de réveiller des personnes encore en partie
inconscientes dans la vie quotidienne, durant la
journée, de manière, par exemple, à leur offrir
à travers des activités les moyens d’accéder le
jour venu à leur conscience, une fois que la
personne a acquis cette conscience, il ne faut
surtout pas la réveiller, quand elle se repose
étant donné que les journées où elle travaille
munie de cette conscience, donc en conscience,
sont plus fatigantes que toutes celles dans
lesquelles on travail plus ou moins inconscient.
[9] S’écrit
aussi en minuscules laipis ou/et l. a. i. p. i.
s. .
[10] Sur
certains sujets, on le sait, on manque -[plus
ou moins toujours]- d’instruction, à
moins de les rechercher sur des livres, des
imprimés ou des sites Internet qui ne mentent
pas, voire le moins possible. Mais on comprendra
ici que sans ces recherches, on manque
d’instructions même si on est omniscient -(en
effet, il peut y avoir des détails qui nous ont
échappé, au point que la vérification de ceux-ci
s’avère utile/nécessaire – d’autant que certains
sujets sont en permanente évolution, donc à
mettre à jour périodiquement, voire quand on les
aborde d’une fois sur l’autre).
[11]
Honnêtement, en étant impitoyable avec soi-même,
c’est-à-dire en s’imposant au cours de chacun
des CARE (correction,
augmentation,
abrégé,
relecture,
[ré]élaboration)
le doute, voire de les infirmer de manière à ne
conserver que ceux qui sont vrais en conscience,
voire qui permettent d’approcher sans danger ces
vérités relatives au service de la Vérité et
ainsi déterminer le pourcentage de vérité de
ceux-ci, voire le(s) SPÔK -(la/les
situation(s)
précise(s),
l’/les occasions,
le/les cas
particuliers
[car ici c +
p = k]) où ces propos sont vrais.
[12] Le film
La Momie
à mi-mots a enfin effectivement fini par
durer environ quarante-deux minutes, à la suite
de plusieurs montages -(des CARE(s) ayant duré
deux ans et demi [de montage], en ayant été
effectivement « impitoyable avec moi-même » et
les deux heures et demi du premier bout-à-bout
-(qui avait été projeté un samedi matin à la
Cinémathèque française par Jean Rouch en ma
présence, de manière à recueillir des avis et/ou
des conseils dans la salle).
[13] On le
sait, chaque juxtaposition de mots à l’oral
comme à l’écrit est à première-vue possible. Ce
sont des expressions, voire des phrases, voire
plus : des paragraphes qui, à première-vue,
expriment des vérités relatives de l’ordre du
virtuel.
Cependant on ne peut
écrire ou/et dire ces mots en vérité qu’en les
analysant par rapport à de plus ou moins
nombreux paramètres essentiels à mettre en
rapport –(ce qui
justifie de s’astreindre à la réflexion)-
de manière à confirmer la justesse de ces
expressions ou/et phrases, etc., voire au
contraire pour les infirmer : il suffit d’avoir
oublié -(et c’est
ici où l’accès à la conscience de/pour chacun
d’entre nous s’avère une nécessité ontologique
fondamentale) - voire de ne pas connaître
ou/et de ne pas prendre en compte l’un de ce(s)
paramètre(s)
fondamentaux pour que l’expression ou/et la
phrase qu’on exprime soit fausse en partie,
voire comporte un pourcentage plus ou moins
important de fausseté(s),
c’est-à-dire de mensonge.
Aussi les vérités
universelles sont difficiles à repérer dans la
quantité de vérité(s)
relatives, voire -(parfois
plus justement
considérés)- de mensonge(s)
qui ne se révèleront en faire partie que parce
qu’on avait oublié l’un ou l’autre de ces
paramètres pourtant existant(s)
en toute cohérence pour exprimer / approcher
plus justement ces vérités.
Prenons un exemple :
celui du minimum universel végétarien (M.
U. V.) et du logement minimum (L.
M.) garanti dès la naissance de chacun .
Ceux qui sont contre le sont parce qu’ils ont
oublié toute une série de paramètres importants,
comme par exemple, ne serait-ce qu’en toute
cohérence avec le droit à la vie qui a été ces
derniers temps, (du
moins
depuis 1948 dans la
Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen),
enfin reconnu comme un droit inhérent à la
personne humaine -(comme,
j’ajoute, ce droit concerne aussi chacun des
animaux pacifiques et inoffensifs herbivores)-
par les principales institutions mondiales.
Ils oublient les
sous-entendus que cela signifie comme par
exemple d’avoir aussi le droit –
en raison de ce
droit - à une vie décente, mais aussi que
cela signifie d’avoir, [dans
notre civilisation fondée sur le(s)
Commerce(s),
par conséquent les
moyens
financiers
propres
et mérités
de droit
(MFPMD)]-
le droit de disposer du minimum vital -(qui,
[pour des raisons
de cohérence(s)
avec l’Etat n’ayant entre autres légitimement le
droit d’exister que parce qu’Il a le devoir de
se soucier de la meilleure [des]
santé[s]
de chacun de ses membres],
ne peut être que
végétarien –
car nous avons pu
vérifier -(en le vérifiant sur nous-mêmes par
l’expérimentation)- sur vingt sept années que
devenir végétarien rend à terme de nouveau
cohérent et logique, donc au service de la
Vérité)- par exemple pour ne pas mourir
de faim et de quoi se loger décemment, ces
droits en CFPMD -(crédits
financiers
propres
et mérités
de droit)-
étant garantis sur cette planète par la valeur
commerciale -(fondée
sur la base de la loi de la quantité et de la
rareté, donc sur la concurrence à cause de
l’offre et la demande)- de chacune de
l’ensemble des matières premières existantes
étant – en
théorie du moins – la propriété de chacun
d’entre nous tous, cependant que l’exploitation
de ces matières premières sont cédées sous forme
de concession(s) plus particulièrement à celui
ou/et celle qui, en responsable(s), en tirent
des profits personnels dans l’Intérêt Général
ou/et pour le Bien Général, voire parce qu’il(s)
en est/sont le[s]
légitime[s]
propriétaire[s]
-(ce qui signifie
avoir la responsabilité de ces matières
premières qui à cause de la valeur ajoutée de
leur(s) exploitation(s) et la plus-value de
l’étape de(s)
l’exportation(s),
sont dans certains SPÔK à l’origine de matières
secondes, voire troisièmes, voire énièmes, par
conséquent obtiennent de très réelles valeurs
financières ajoutées
puisqu’elles ont induit [à] des dépenses,
[à] des coûts qu’on reporte fort honnêtement sur
ce qui au départ est un don [gratuit] de la
Création toute entière pour offrir des activités
utiles aux êtres humains à la recherche de la
Vérité à travers l’exploitation de ces matières
premières s’inscrivant dans un processus
commercial où elles acquièrent la valeur
qu’elles ont en fonction de leur plus ou moins
rareté, mais aussi de la Demande, le prix
proposé résultant non seulement de cela mais
aussi du report des dépenses, dont celles des
transports – aussi on comprendra aisément /
facilement qu’il suffit que le coût des
transports augmentent pour que par répercutions,
les coûts de chacune des matières premières
augmente ce qui les rend de moins en moins
accessibles financièrement parlant ou alors
réservées à un nombre de moins en moins grand
d’acheteurs dont la production des matières
secondes, troisième, voire énième est
sérieusement compromise à cause de la baisse du
pouvoir d’achat qui résulte des augmentations du
prix du transport au point de devenir le frein
tiré de plus en plus fort en proportion de ces
augmentations sur l’ensemble de l’Economie en
étant alors la cause, c’est-à-dire l’origine de
la pauvreté et de la misère dans toutes les
rRégions – pays – du monde. En effet, plus le
prix du baril de pétrole augmente moins il y a
de pouvoir d’achat de la devise / monnaie
localement en circulation étant donné que les
prix augmentent au point de contraindre tous à
travailler beaucoup plus que ce qui aurait été
normal de travailler pour contribuer à la
prospérité générale garantie par la quantité de
ses matières premières, dont celle du pétrole –
à mesure que le prix du baril de pétrole a
augmenté la valeur des monnaies a perdu du
pouvoir d’achat ce qui signifie que la
production de biens de consommation a été
réduite au lieu d’augmenter à cause de la
démographie qui augmente – aussi le frein à main
sur l’Economie planétaire a été tiré au maximum
du maximum en 2014 quand le prix du baril de
pétrole a atteint les cent dix dollars au point
que le soleil a failli exploser parce que ce
prix était un million et cent mille fois plus
cher que le maximum possible depuis 1977 – au
moment de mes interventions à travers Espace et
Temps durant lesquelles j’ai eu à dicter dans
les années suivantes au moins 51% des réserves
actuelles de pétrole en les ayant géolocalisé
pour faciliter leur exploitation - de 0, 01
centimes de dollar le baril, ce qui même à ce
prix à première vue minimum (alors qu’en réalité
maximum pour réaliser le paradis pour tous sans
exception, en en ayant fini une fois pour toute
avec la pauvreté et la misère, comme avec les
dettes accumulés par certains Etats)
garantissait la pérennité du Commerce).
On oublie que si les
CFPMD -(crédits
financiers
propres
et mérités
de droit)-
sont en circulation comme moyens de paiement, il
serait cohérent et logique, donc juste que
chacun dispose de/en droit d’un accès à ces
RFPMD -(revenus
financiers
propres
et mérités
de droit)-
à l’origine de la possibilité d’instituer à
l’échelle mondiale ce
minimum
universel
végétarien
comme ce
logement
minimal
parce qu’il a été démontré dans/par
d’innombrables exemples que pour vivre sainement
en toute cohérence avec le mot d’» aimer « -(à
l’origine de tous les bienfaits comme d’une
fraternité possible entre chacun)- cela
ne peut advenir qu’en raison de partages
équitables entre tous des biens -(ces
matières premières)- de ce monde et cela
parce que nous sommes tous handicapés -(comme
l’ont été la majorité de nos ancêtres y compris
les plus éloignés)- à ne plus voir autour
de nous se révéler sur toutes les différentes
matières -(premières)-
la vision du très saint paradis, soit celle d’Ôz,
de l’Eden, voire d’Atlantide, etc. et cet
handicape même
si cette vision sera rétablie selon le
programme que j’ai proposé qui, à terme, devrait
permettre de revoir / retrouver
la vision de ce paradis, tous les jours, au
moins une heure toutes les cinq heures,
ce qui signifie alors une toute autre
civilisation y compris sur le plan financier,
d’autant que cette heure d’Ôz
toutes les cinq heures permet d’enregistrer en
vidéo, voire en film et/ou en photos cette
vision d’Atlantide retrouvée, ce qui offre la
possibilité de voir le très saint paradis
vingt-quatre heures sur vingt-quatre sur
Internet et/ou à la télévision en plus de
l’heure toutes les cinq heures où nous serons
tous, pour ainsi dire immergé, au
très-saint-Paradis -(donc enfin à Ôz,
en Atlantide retrouvée, en Eden, à
Schtroumpf, en Arcadie, etc. ).
L’être humain, à
l’origine –[(donc nos plus anciens ancêtres
avant [l’Histoire] de l’Aventure Humaine – HAH
qui a commencé à cause de la très grande
catastrophe de l’invention de la mort – d’où
dans la plupart des religions intellectuellement
admissibles -[pour contrebalancer]- l’interdit
de tuer les animaux pacifiques et inoffensifs
-(ce dont le genre humain est normalement
constitué), ce qui fait obtenir dans le cas
contraire l’une ou l’autre des réincarnations
tragiquissimis…simissimes,
cauchemardesquissimis…simissimes,
tristissimis…simissimes,
malheureusissimis…simissimes, etc.)], vivait au
Paradis : il ne tuait pas les animaux pacifiques
et inoffensifs et se nourrissait sur la bande
équatoriale où il vivait -(avant
ses migrations ayant commencé après la très
grande catastrophe)- des fruits des
arbres et/ou forêt dont les écorces, les
branches et les feuilles représentaient
continuellement des variétés de merveilleuses
figurations toujours différentes, selon le type
d’arbre – la Création alors n’était jamais
ennuyeuse. Or la vision de ce Paradis a disparu
en raison d’une très probable [très grande]
catastrophe qui a été à l’origine, millénaire
après millénaires jusqu’à notre époque grâce aux
études, de la nécessité de proposer à travers
les arts et les sciences des arts -(comme
grâce aux sciences pures et dures)- des
solutions alternatives élégantes à cette
disparition d’Atlantide -(le très saint
paradis)- causée par ceux qui se sont autorisés
– peut-être parce qu’ils avaient accès à la
salle des machines tandis que les autres pas - à
tuer, voire grâce à ces machines, à faire croire
une personne morte.
Distribuer ce
minimum
mondial
universel
végétarien
équitablement entre tous -(riches
et pauvres)- comme un droit fondamental
-(à une relative
indépendance et/ou autonomie)- revient à
dire que chacun, en tant qu’acheteurs -(consommateurs)-
est finalement reconnu officiellement aussi
comme tel avec ses besoins vitaux de première
nécessité à satisfaire -(se posera alors la
question sexuelle).
Je tiens à souligner
que la viande et le poisson, (je
l’ai vérifié et démontré -(prouvé)
sur de nombreuses
années où après avoir été longtemps omnivores,
je suis devenu végétarien, ce qui, à la longue
-(plus de
quinze ans)
m’a permis de retrouver ma conscience et la
cohérence de/ans ma raison)- ne font pas
partie des besoins de première nécessité car
leur consommation -(se
permettre / s’autoriser ces nourritures carnées)-
altère / modifie -(comme
s’il s’agissait d’une drogue)- la
conscience -(empêche
d’accéder en soi à toute l/sa clarté car on
subit alors l’influence de ce qu’on s’est
autorisé à manger en liaison avec le meurtre
d’animaux pacifiques et inoffensifs – c’est bien
la croyance qu’on a le droit de tuer un animal
pacifique et inoffensif pour s’en nourrir qui va
faire de chacun des plus ou moins incohérents –
c’est ici même l’origine de tous les
dérèglements de l’esprit comme des raisonnements
les plus faux pour se l’autoriser et c’est à
cause de cela qu’on obtient l’une ou l’autre des
réincarnations en prédateur(s), au lieu, au
contraire, si on s’interdit de manger des
animaux pacifiques et inoffensifs de devenir
l’un des bouddhas non violent comme l’a été
Gandhi ou l’est le Dalaï Lama qui a raison de
croire que la pédagogie et/ou les explications
rationnelles, logiques, comme les meilleurs
paraboles peuvent transformer des êtres mal
partis, voire l.a.i.p.i.s. – uniquement
laïcs,
strictement
athées,
en partie
inconscient,
profanes,
en partie
ignorants,
voire par omission
sacrilèges),
au point avec d’autres péchés qu’on s’autorise
de voir cette conscience plus ou moins
disparaître, voire de lui faire croire possible
/ acceptable -(en
prenant qui plus est hypocritement –
de fausses bonnes
raisons -
appui sur l’Histoire non mise à jour grâce aux
meilleures des influences et conseils pour la
santé -[tant du corps que de l’esprit]- qui
dépend, pour être bonne, comme je l’ai démontré,
de la consommation de l’élémentaire alimentation
végétarienne bouddhique ou/et en partie
hindouiste)- tuer ces animaux pacifiques
et inoffensifs -(ce
qui est aussi le propre de l’être humain)-
pour les manger. Aussi la cohérence de la raison
individuelle / personnelle s’en trouve modifiée
-(c’est ici la
source de tout laxisme,
au
sens
négatif
de ce mot
et non
au sens
positif :
ASNMNSP)- au point de rendre cette
conscience en partie inconsciente sur de
nombreux autres points car elle rend en toute
logique avec ce qu’elle s’est autorisée
d’impossible -(de noir)- alors acceptable l’une
ou l’autre forme de méchanceté -(cruauté
– dont l’origine de
cette maladie est trouvée dans le fait de
s’autoriser à être omnivore au lieu d’être
fidèle à la nature de nos ancêtres les plus
éloignés –[quand
il n’existait pas encore d’armes pour se
défendre – ce qui a malheureusement conduit
certains à les croire capables d’offenser, voire
en prédateurs de/à tuer des animaux pacifiques
et inoffensifs],
végétariens)- à l’origine de la
souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs
comme le crurent quelques-uns de nos ancêtres,
au point de croire légitimes la chasse et la
pêche, voire ce qu’on a considéré longtemps
comme une solution alternative élégante :
l’élevage à des fins de boucherie -(aussi
à l’origine du processus de désertification).
Il faut comprendre
que cette chasse et cette pêche ont été /semblé
à nos ancêtres -(comme
à moi-même, une partie de mon enfance –
mais aussi une
partie de mon adolescence -(et
c’est pourquoi je comprends très bien l’espèce
d’enthousiasmes de ceux qui aiment manger des
côtes de bœuf, voire les
steak
tartare ou/et du jambon de Parme ou à l’os comme
aussi le saucisson hongrois, la volaille, etc.
voire des soles et des truites ou/et du saumon
fumé, tant j’ai effectivement à première vue
trouvé moi-même
cela bon –
mais cela faisait déjà longtemps que ma famille
m’avait habitué à manger de la viande et du
poisson -(aussi
mon goût s’était adapté à ce régime alimentaire
et en cela était modifié par rapport à celui des
premières années de nos enfances respectives où,
parce qu’on ne dispose pas encore de dents, on
ne mange pas encore de viande et du poisson car
c’est alors un régime essentiellement lacté et
progressivement végétarien qui est de mise)-
quand je n’avais
pas encore eu vent que l’antithèse –
le végétarisme
- existait
au point, par recherche d’honnêteté
intellectuelle, de m’imposer le doute et de
vérifier par l’expérimentation)-
à-premièrevues légitimes, tant qu’on ne
disposait pas des nombreuses solutions
alternatives élégantes issues de l’Agriculture
dans ce cadre économique mis-à-jour de la
civilisation de la mondialisation des échanges
commerciaux faisant bénéficier chacun des
hémisphères de cette planète de la
complémentarité des produits agricoles de
l’autre (hémisphère). Mais sur un autre plan,
celui du cœur -(que
chacun d’entre nous souhaite maintenir bon
envers autrui et si possible en bon état,
(tant le désir
d’aimer justement est vital)- en chassant
et en pêchant ces animaux pacifiques et
inoffensifs, voire en les élevant pour les
manger, nous nous conduisons alors en lâches (on
profite alors de la trop grande bonté /
confiance de ces animaux herbivores)- et
de manière non-fraternelle -(comment
d’ailleurs croire à cette fraternité de la part
de gens qui profitent de la relative absence de
défense(s) des animaux pacifiques et
inoffensifs ?)- avec, qui plus est, des
espèces auxquelles nous devons déjà tant sur
d’autres plans -(produits
laitiers : fromages, crèmes, beurres, etc.
laines pour nous vêtir dans les saisons froides
ou/et plus chaudes).
Il s’agit donc avec »
la grande mutation « d’une nécessaire mise à
jour de/pour tous, en toute conformité avec les
meilleurs paramètres de notre époque -(cette
grande mutation peut aussi devenir le moteur de
l’Economie d’autant plus qu’elle permet, à
terme, à chacun d’entre nous de retrouver sa
conscience immaculée – par conséquent enfin tous
plus réellement intelligents, celle d’» animaux
peansant « –
car penser + panser = peansant ou/et peançant).
On n’avait donc pas
le droit, en augmentant le prix du baril de
pétrole, de créer artificiellement (mais
malignement et de façon perverse en profitant de
la très grande ignorance en compréhension des
interactions économiques des responsables des
pays producteurs de pétrole) la pauvreté
et la misère -(ce
qui sont /furent des états de certains êtres
humains en toute logique –
donc en vérité
- contraires
à l’intrinsèque droit à la vie –
d’où que ce droit à
la vie n’existera que quand cessera le paradoxe
qui à l’heure actuelle -(le 24 juin 2019)-
existe encore avec les gens démunis, à cause de
cette pauvreté et cette misère causée depuis
l’après Seconde Guerre Mondiale par les
différentes augmentations du prix du baril de
pétrole, soit le » choc pétrolier « à l’origine
de chacune des crises économiques -(des
pays sans pétrole ou ayant / disposant de peu de
cette matière première)-
étant à l’origine de la hausse des prix, soit
d’une sorte de frein à main qui a été tiré en
2014 au maximum du possible sur l’Économie
planétaire, au point que j’ai bien compris que
le soleil pouvait exploser d’un moment à l’autre
car il n’existe – comme l’Univers lui-même -
qu’en raison de l’existence des vertus
cardinales -(célébrées
entre autres par Albrecht Dürer dans son
admirable gravure du char triomphal de
l’empereur Maximilien Premier)-
comme de l’innocence et/ou de la compassion,
voire de l’existence de ce qui est plus
qu’éthique, l’éthiquissimis…simissime).
Pour être cohérents
-(c’est-à-dire
logiques, donc justes)- ce droit à la vie
de chacun des êtres humains doit être accompagné
du droit à ne plus faire partie des pauvres
et/ou des misérables, par conséquent d’avoir le
droit à une vie convenable, digne –
respectueuse du
meilleur qui est souvent dans l’être humain
charitable, voire compatissant, voire éthique et
écologique. La disparition de la pauvreté et de
la misère était possible dès 1977 -(voire
dès 1973 au moment même du choc pétrolier, mais
en réalité dans l’histoire de l’aventure humaine
-(H. A. H.)-
dès que le prix du baril de pétrole était à un
dollar, soit dès cette époque déjà cent fois
trop onéreux/cher/coûteux que le centime de
dollar symbolique que ce prix du baril de
pétrole aurait dû atteindre à mesure qu’on
trouvait des réserves toujours plus importantes
de cette matière première et cela même si la
Demande augmentait -(au
fur et à mesure que la demande augmentait on
trouvait d’autres réserves de pétrole, au point
qu’en toute logique avec les lois habituelles
des marchés celui-ci aurait dû voir son prix du
baril baisser).
Cette disparition
de la misère et de la pauvreté financière pour
tous les êtres humains était possible dès que
j’ai demandé que le prix du baril de pétrole
baisse à 0,01 centime de dollar le baril de
manière -(tout
en préservant la pérennité des commerces)-
à éradiquer
cette pauvreté et/ou misère du jour au lendemain
partout grâce à le Reprise Economique qui aurait
résulté de cette baisse du prix du baril de
pétrole donnant alors un immense pouvoir d’achat
à chacune des devises -(monnaies)- avec à la clé
la fin du chômage à cause de l’augmentation du
niveau de vie de chacun, grâce – je le répète -
à l’augmentation du pouvoir d’achat en raison de
la valeur du dollar qui aurait considérablement
augmenté en proportion de la baisse du prix du
baril de pétrole, au point que les pièces de
monnaies en or pur et en argent pur auraient pu
de nouveau circuler, toutes les dettes -
aujourd’hui
astronomiques -
de chacune des
rRégions -(Etats
nations)- de
cette planète ayant pu être remboursées!
Cette disparition de
la misère et de la pauvreté est toujours à tous
les instants possible -(donc
bien sûr à l’ordre du jour) et cela
permettrait de non seulement créer ce
Minimum Végétarien Mondial -(comme le Logement
de Solidarité Minimal)- mais aussi
la Monnaie -[universelle]- de l’Ôz,
la MÔz.
Bien sûr aussi il conviendrait – comme je l’ai
déjà dit ailleurs, de limiter les naissances
pour éviter localement -(dans
les pays en voie de développement, voire
sous-développés)- des démographies trop
importantes de tous ceux qui n’auraient comme
revenus que
ce minimum [mondial] universel (M. U). Seuls
ceux qui seraient payés en plus pour des
compétences bien réelles à l’origine de RFPMD -(revenus
financiers
propres
et mérités
de droit)-
auraient le droit à des familles plus nombreuses
que ceux qui seraient seulement à bénéficier de
ces subventions comme celles accordées par
exemple de nos jours aux handicapés qu’en
réalité nous sommes plus ou moins tous -(dès
nos respectives naissances)- sur l’un ou
l’autre point parfois aussi fondamental que
celui de nos déplacements qui ne sont devenus
possibles dans certaines localités que grâce au
développement des transports -[en
commun]- qui ont été contraints – depuis
1973 – (mais déjà
avant)- de répercuter dans leurs prix ces
augmentations du prix du baril de pétrole en
raison du renchérissement de la vie causé par
ces répercussions des dépenses -(dans
les prix de vente de toutes les matières
premières, mais aussi des matières secondes,
troisièmes ou/et énièmes)- dues à
l’augmentations du prix du baril de pétrole.
[14]
dans un tel SPÔK.
[15] Ce qui
signifie normalement des individus conscients
que cela peut être mauvais pour leur
développement intellectuel car ils se rendent
alors compte que le contenu de ces films peut
mener à obtenir une réincarnation des plus
tragiques, malheureuses, cauchemardesques,
tristes, … d’autant plus qu’on sera de ceux qui
s’abonnent à de tels spectacles / mises en scène
qui éloignent l’être humain de la possibilité
d’aimer avec un grand A -(et
avec cela de connaître
agapè),
ce qui, nous l’avons démontré, abouti par
exemple à devenir en toute logique végétarien et
non-violent, ce qui est la solution alternative
élégante par excellence pour retrouver la
cohérence de son esprit -(en
adéquation avec celui de nos plus lointains
ancêtres qui ne se nourrissaient que de fruits
des arbres)- dans un monde aussi
contrasté, à cause d’extrémismes qui sont à
l’origine de raisonnement subjectifs et non
totalement objectifs ayant tenu compte de
nombreux paramètres y compris économiques, ce
qu’on obtient une fois devenu l’un des bouddhas
-(un éveillé parce
qu’il a accès à la conscience, voire mieux –
mais plus
difficile à comprendre
- au Saint-Esprit).
En effet, pour la question de l’alimentation, il
y a comme extrémiste la position des végans qui
refusent de comprendre qu’on a le droit de boire
du lait, des yaourts, d’utiliser du beurre, de
manger des fromages et/ou manger des œufs qui
sont les produits offerts par des animaux utiles
-(pacifiques et
inoffensifs qui, à mesure qu’ils offrent tant
aux êtres humains, gagnent des points pour leur
future réincarnation en l’un ou l’autre des
êtres humains)- en échange de leur(s)
protection(s) -(quasiment
contractuelle : en effet, une sorte de contrat
tacite, de l’ordre du social mais aussi de
l’écologie, autorise le fermier à obtenir de
sces -(ses +
ces = sces)-
animaux ces matières premières dont ces animaux
[sous la
gouverne du paysan-fermier]
sont les auteurs. Ce dernier les élève du mieux
qu’il peut, c’est-à-dire humainement [et
pourquoi pas en leur faisant entendre dans les
étables ou/et dans les poulaillers de la musique
classique à certaines heures])-
à la ferme par des êtres humains soucieux du
bien-être de ces animaux -[des fermes].
J’ai pu vérifier sur
moi-même cobaye de l’expérience et démontrer aux
yeux de tous qu’on peut, au bout de quelques
années, devenir, en étant végétarien, l’un des
bouddhas -(pour
éviter, entre autres, en mangeant / consommant
des animaux d’être en conscience tenu pour
responsable de la souffrance animale de ces
animaux pacifiques et inoffensifs),
c’est-à-dire en ne mangeant pas/plus d’animaux
pacifiques et inoffensifs, dont certains
poissons proposés sur les marchés font aussi
partie.
L’extrémiste des
végans a cependant du positif en mettant
l’accent -(en rendant sensible)- sur des
injustices dont certains animaux pacifiques et
inoffensifs sont encore victimes, à cause d’une
surexploitation -(élevage intensif)- pour
obtenir les produits qu’ils offrent aux êtres
humains omnivores.
Être végétarien
permet aussi d’œuvrer pour la cause animale de
manière à faire en sorte que les animaux
pacifiques et inoffensifs soient protégés, en
essayant de leur offrir une vie plus agréable,
d’autant qu’ils sont si généreux, donc sans
jamais se permettre de les maltraiter, voire de
les tuer pour les manger, ce qui est
effectivement indigne -[des
êtres humains civilisés qui disposent des
nombreuses solutions alternatives élégantes
végétariennes pour l’éviter], ni cohérent
avec la notion de Sacré-Cœur, voire de tous ceux
d’entre les êtres humains qui jour après jour
essaient de devenir bons / meilleurs -(soit
l’inverse de méchant[s]), dans leur
existence, par conséquent tolérant avec tous
ceux qui ne sont pas encore végétariens, en
comprenant que c’est souvent à l’issue d’un très
long et souvent [très] difficile/pénible
parcours personnel -(étant
donné que cela doit être un choix
individuel mûrement réfléchi)- qui
va être à l’origine d’une progressive
métamorphose en l’un ou l’autre des adultes
homo
sapiens sapiens parachevés, au point de
conduire, dans certains SPÔK, à la longue, à
devenir l’un des bouddhas, en raison de ce
qu’avec cette alimentation végétarienne, on
perdra progressivement l’habitude d’appartenir à
ceux qui en s’autorisant à manger de la viande
et du poisson faussent les meilleurs
raisonnements car ils ont fait un compromis avec
tous ceux qui ont continué à faire le mal -(à se
conduire de façon impure vis-à-vis des animaux
pacifiques et inoffensifs), malgré les très
nombreuses solutions alternatives végétales et
l’existence de ces produits laitiers et/ou
ovipares -(d’œufs)-
qui offrent aux êtres humains, nous l’avons dit,
de très nombreuses solutions alternatives
élégantes à travers chacune des meilleurs
recettes pour de véritables délicieuses /
exquises / divines cuisines -(qui, on le
comprend aisément, donc en toute logique et
cohérence, ne peuvent pas être fondées sur la
souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs
-(ni sur celle des animaux prédateurs). Nous
rappelons pour rendre à César ce qui est à César
que c’est souvent grâce à Dieu – voire aux
actions des bouddhas et aux représentants des
religions intellectuellement admissibles quand
on souffre moins, voire pas ou/et si on évite de
faire souffrir les autres, dont les animaux
pacifiques et inoffensifs.
[16]
(l. a. i. p. i. s. – ce mot, à la réflexion
faite, ne doit plus s’écrire avec des
majuscules, comme celui de lapis -(l. a. p. i.
s.) que j’ai quelques fois déjà utilisé dans
d’autres de mes textes précédents) qui est
synonyme, voire le même)
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