Le fou, ...
par Laurie (Laurent-Marie) Granier (d'ex-Atlantide Lang d'Ôz)
(CARE4)
Le fou, c’est celui qui est dans l’amnésie de paramètres indispensables
(importants) concernant le/un/des sujet(s). C’est à cause de cela l’ignorant au
SNM (au sens négatif de ce mot et non positif dans d’autres SPOK (situations
précises, occasions, cas particuliers)
D’où les réponses/dires de fou(s) qui circulent sur certains propos (il s'agit
de fausses informations).
C’est donc le manque d’informations (les paramètres) qui constituent un terrain
fertile pour des réponses qui s’avèrent subjectives – soit le plus souvent
celles des inconscients ou/et des fous (ce qui est parfois synonyme), voire de
certains adolescents au SNM (au sens négatif de ces mots et non au sens positif
- au SP - dans d’autres SPOK (situations précises, occasions, cas particuliers).
Les paramètres, c’est-à-dire les informations (souvent complexes (autour)) d’un
sujet sont aujourd’hui plus facilement (re)joignables, au sens d’atteignables,
car on peut y avoir accès, par exemple, par Internet (ce qui n’était pas le SPOK
autrefois – Evidemment, il faudra attendre l’époque où tous les écrits, mais
aussi tous les documents audio-visuels seront numérisés, ce qui facilitera un
peu les recherches depuis n’importe lequel des ordinateurs dotés de logiciel
genre Word (ce qui facilite les CAREI
– corrections, augmentations ou texte à
abréger, relectures, résumés,
élaboration, etc. : illustrations, …- ou CARE4 quand cela est
corrigé, augmenté,
abrégé, relu, élaboré quatre fois). Mais il n’est pas certain que cela fera
gagner du temps, en raison de la quantité de documents qu’on aura alors à notre
disposition sur le sujet sur lequel réfléchir à son tour pour l’éclairer, grâce
à sa propre expérience acquise, donc de son point-de-vues.
La mémoire
de chacun d’entre nous est plus ou moins en bon état, et cela selon notre façon
de nous nourrir (et de boire)[1]
et c’est pourquoi cette numérisation des textes (comme des documents
audio-visuels) est indispensable, car il s’agit de référents dont on peut
signaler des moments (des instants[2])
des parties, en les rendant accessibles par des notes de bas de pages ou/et de
fin de textes (avec l’espoir qu’un jour chacune de ces notes de bas/fin de page
permette d’atteindre le texte en question cité[3])
et on comprend ici qu’il n’y a plus que les propos écrits (avec ces notes de bas
de pages, voire dans d’autres SPOK de fin de texte) qui peuvent constituer pour
les gens (à la recherche de la Vérité sur un sujet – celle-ci souvent complexe à
déterminer, voire difficile à exprimer/dire/écrire), de solides appuis, quand les propos développés dans les textes ne
sont pas mensongers[4].
De plus il
convient – en raison du temps qui passe (et des nouvelles données) – de faire
des mises-à-jour[5],
d’autant plus des progrès accomplis grâce aux diverses technologies.
C’est pourquoi, prenons un exemple, en raison de l’existence des contraceptifs,
la question de l’inceste (Œdipe) représente, de nos jours, beaucoup moins un
danger qu’autrefois, quand ces contraceptifs et/ou préservatifs n’existaient pas
et qu’on risquait gros pour les fœtus (qui courraient le danger des probabilités
de malformations
génétiques, en raison de rapports sexuels consanguins -
https://fr.wikipedia.org/wiki/Consanguinit%C3%A9). Aussi l’inceste (en
s’interdisant de procréer) pourrait très bien exister (sans ici trop pécher)
comme cela était le SPOK quand nos plus lointains ancêtres vivaient
continuellement immergés dans le décor du Paradis (Ôz),
l’Eden, Atlantide, Schtroumpf , etc.
, quand il n’était pas nécessaires de se marier pour procréer et qu’en
définitive ces ancêtres appartenaient à la même famille, descendaient
d’individus qui s’étaient unis dans cette même famille (parce qu’on ne cherchait
pas ailleurs qu'autour de soi-même, dans ses proches, les relations sexuelles).
Ce qui est
certain c’est qu’aujourd’hui cet inceste (rendu plus hygiénique grâce aux
préservatifs et aux contraceptifs) ne doit en rien être une obligation, d’autant
que tous les parents savent[6]
que les alliances ou/et mariages concernent depuis longtemps sur de nombreux
points en commun, voire où on diverge (de position) le rapprochement de deux
individus provenant de familles différentes (non apparentées, au sens où
l’interdiction de se marier à l’intérieur d’une même famille était conseillé
/recommandé, parce que c’était à l’origine de problèmes de (maladies) génétiques
dues à la consanguinité – d’où, dans le film
Peau d’âne, la vérité relative (à
l'époque) de la
marraine (la fée) qui chante à sa filleule en définitive ce conseil instructif:
« mon enfant, on n’épouse pas ses parents …»[7]
par l’admirable et adorable Delphine Seyrig[8]).
Aussi les temps sont murs – en raison de tous les paramètres actuels - pour le
rétablissement de la vision sacrée du Paradis, car la génération qui est dans
les langes, si elle devait souhaiter des relations sexuelles avec leurs parents
ne fera rien de mal, si les parents à l’âge de la puberté de leurs enfants se
prémunissent de contraceptifs et évitent ainsi des conséquences malheureuses sur
le plan génétique (s'il devait naître un enfant de ces relations sexuelles
incestueuses). En
réalité cela concernait les femmes ménopausées qui, peut-être, ne comprenaient
pas pourquoi leurs fils ne les honoraient point.
Evidemment
quand ces relations incestueuses existaient, cela n’était pas crié sur les
toits, car il y avait à ce sujet tabou, considération de péché par certains habitués
à/de la tradition interdisant les relations sexuelles entre les membres d’une
même famille. Aussi ce qui se produisait alors était à cacher, d’autant plus des
probabilités de catastrophes (malformations) génétiques sur les enfants nés de telles unions
(quand ces relations ont eu lieu avant la ménopause), en l’absence de la vision
du Paradis (d’Ôz, d'Arcadie,
d'Atlantide, etc.).
Donc on comprend ici pourquoi la nécessité de se cacher (de commettre ces
incestes à l’insu de tous – voire d’utiliser le mensonge pour cela et à cause de
cela de se considérer dans une forme de péché, puisqu’on ne pourra pas le clamer
sur tous les toits[9]).
Mais les
temps ont changé, les sciences ont fait des progrès immenses, et rendues à
première vue moins dangereuses ces relations sexuelles (sous contraceptifs et/ou
préservatifs), à l’intérieur d’une même famille[10].
Celles-ci
peuvent advenir entre une sœur et un frère, sans pour autant pécher, à moins de
considérer que le sperme dépensé à l’occasion de ces relations sexuelles (sous
contraceptifs et/ou préservatifs) contenait la virtualité des enfants qui
devaient naître de la femme qui est/sera la mère des enfants de ce frère[11].
Aussi en dépensant ce sperme avant d’avoir trouvé la mère de ses enfants, le
garçon qui a une relation sexuelle avec sa sœur ou avec sa mère, voire avec son
père, est dans le meurtre des enfants qu’il était censé avoir (attendre), par exemple en
découvrant la sexualité (ici l’Amour) avec sa fiancée (appartenant à[12]
une famille non apparentée de façon proche). Aussi sur ce plan-là, il y a péché, parce que les
relations sexuelles dans/avec sa propre famille (comme quand on se masturbe en
cachette) sont à l’origine du meurtre de la descendance prévue avec une personne
venant d’un autre contexte familial (une complémentarité), si le garçon s’était réservé pour sa/cette
jeune-femme[13]
(ou/et femme).
Aussi il y a un véritable problème ici qui est en liaison avec les différents
niveaux de vérités relatives. Que faire? D’autant que se réserver pour la femme
qui sera celle qui portera son enfant peut, pour un garçon, prendre beaucoup de
temps d’autant plus si l’enfant à naître se trouve dans les premières tentatives
de faire l’amour (pour le garçon s’étant réservé pour cette jeune fille ou/et
femme – ce qui a été le cas, parait-il de mon père et ma mère, réciproquement,
puisqu’ils étaient d’une époque (sans contraceptifs très efficaces et sans
préservatifs de qualité) où il était d’usage de se marier avant de s’autoriser à
faire l’amour avec sa fiancée).
Le problème est ici difficilement soluble ou/et solutionable (pour lequel on
peut trouver une solution alternative élégante). Pour ces garçons l’inceste
ou/et les relations sexuelles familiales demeureront des péchés car il s’agit
(pour eux – mais on peut le comprendre aisément – ils ne sont pas dans l’erreur)
de gâchis de semeance(s) et de la perte des enfants qu’ils auraient dû avoir
(qui étaient virtuels) s’ils avaient conservé cette semeance (semence) pour la mère de
leurs enfants avec laquelle il y a un projet de construction d’une famille, par
conséquent l’attente d’enfants qui sont eux aussi (à leur tour) potentiellement
(virtuellement) mariés (ou en couple) et eux aussi à leur tour dans le temps,
probablement créateurs chacun d’une nouvelle famille.
Certains
considèreront ces enfants qui refusent les relations sexuelles avec les membres
de leur famille comme extrémistes, puisqu’ils conservent par éthique leur
semence pour la personne avec laquelle ils entendent bâtir une famille, un
projet familial[14]
qui les oblige à construire leur avenir avec maturité dès l’enfance.
Evidemment on comprend très bien cela dans un monde privé de la vision du
Paradis.
Mais dans un monde où la vision du Paradis serait ré(é)tablie, cela peut moins
choquer ces enfants qui auraient donc des relations sexuelles avec des enfants
de leur âge, voire avec les membres de leurs respectives familles (cependant
qu’ils perdront les enfants qu’ils devaient avoir en étant moins pressés de
connaître ce que signifie physiquement faire l’amour – ils auront aussi moins de
possibilités d’accéder aux raisonnements en conscience, voire à la connaissance
des spiritualités qui se sont probablement chacune posées ces questions en les
résolvant souvent par la nécessité de recourir à l’abstinence pour préserver
l’essentiel qui est cet accès à la conscience, ce qui évite de se conduire en
fou – au sens négatif de ce mot qui dans d’autres SPOK existe aussi au sens positif).
En effet, quand le Paradis existait partout autour de nos ancêtres les plus
éloignés (mais aussi sur le corps de ces ancêtres) qui vivaient nus dans la bande équatoriale et se nourrissaient des
fruits des arbres, il n’y avait pas de problèmes génétiques avec les enfants qui
naissaient probablement d’unions incestueuses (la question ne se posait même pas
– et nous nous devons de ne pas oublier qu’entre temps, il y a eu l’édification
de nombreuses civilisations et/ou cultures qui se sont créées partout (sans la
vision du Paradis) et avec ces constructions, petit à petit l’évolution des
êtres humains provenant de migrations et qui se sont adaptés aux régions concernées, donc
aux géographies, l’éloignement les uns des autres, à une époque sans grands
moyens de transport, ayant été à l’origine de la différentiation (de la
modification) des langues donnant naissance à ces différentes cultures, le fait
de personnalités – d’individus bien précis dont les communautés ont profité).
Cela n’empêchait pas des unions avec d’autres personnes qui appartenaient au
départ à la même ethnie depuis toujours de la même ascendance, celle de ceux qui
vivaient constemment avec le Paradis bien visible, mais par bien des aspects (sur de nombreux
plans) animaux pacifiques et inoffensifs (donc animaux probablement au SPM – au
sens positif de ce mot), donc de ceux-là qui ne faisaient rien de mal
(probablement tous dotés du même type de conscience), tant le décor autour d’eux
(qui révélait l’existence du plus que merveilleux Paradis sur chaque chose y
compris sur les corps)
était de nature à ne créer (comme lui-même attestait de son existence – et c’est
peu dire :) le bien (le mal, avant l’impératif de ces migrations, n’étant pas
encore apparu, ce qui n’a pu advenir qu’à partir d’un certain moment dans
l’Espace-Temps – probablement ce mal est la cause du réchauffement planétaire
qui a fait apparaître les déserts dans des régions autrefois fertiles en
contraignant ainsi à migrer). C’est ce mal qui a fini par donner le premier des empereurs
et la liste des suivants jusqu’à moi qui, par chance, à force de me préparer sans
tricher du mieux que j’ai pu pour mon mariage, suis (re)devenu bouddha et parce
qu’empereur-bouddhah (Ha !Ha !) le berger de l’histoire de l'aventure humaine en
cours! A. H. A.).
Mais ici on parle d’un monde qui a existé avant le problème de la TGC (la très
grande catastrophe). Ensuite, avec la disparition de la vision du Paradis, a
commencé l’histoire de l’aventure humaine (H. A. H.) et, hélas, petit à petit
les maladies ont vu le jour et notemment toutes celles dues à la consanguinité
(ce qui a contraint – quand on est devenu sûr que cette consanguinité était bien la cause), les uns
et les autres, par prudence et en prévision du pire, à rechercher hors du cercle
familiale, chaussure à son pied (le conjoint, la conjointe - ceci est ce qui se
produit normalement de nos jours probablement à l'exception des contextes
d'ignorants, au SNPM - au sens négatif et positif de ce mot).
Maintenant si on dissocie faire l’amour (pour en tirer plaisir) et faire l’amour
pour procréer (comme dans certaines familles où l’usage des contraceptifs
représente encore le péché ou alors comme dans les familles qui utilisent ces
contraceptifs, sans y voir de péché – ce qui pour éviter une trop importante
croissance démographique est confirmé), nous sommes dans l’embarras pour nous
prononcer sur les rapports sexuels, en l’absence de la vision du Paradis, comme
avec le retour de la vision d’Atlantide, d’Ôz,
de l’Eden, d'Arcadie, de Schtroumpf, etc.
D’autre part il y a aussi la notion de rapports sexués hygiéniques (ce qui est
encore un autre plan / sujet – niveau de vérité relative, mais qui semble
concerner beaucoup de gens). A ce sujet les robots pourraient représenter une
façon de résoudre ce problème pour tous ceux qui ne croient pas possible
attendre / connaître / rechercher la personne humaine de leurs rêves (on le
sait, grâce à Fellini dans Casanova,
Casanova finit par tomber très amoureux d’une femme automate – au point,
peut-être, de la considérer comme la plus belle de ses aventures). Mais ici il
ne faut pas oublier que Casanova n’est pas un modèle de vertu et qu’il est connu
pour se faire dominer par son inconscience qui lui autorise souvent des choses
que la conscience, pour des raisons précises (des paramètres indispensables
constemment en mémoire), refuse (désapprouve). Mais il
s’agit de la conscience sans la vision du Paradis qui est probablement
différente de la conscience avec la vision du Paradis rétablie (en partie, au
moins un jour par semaine !). Celle-ci pourrait changer à ce sujet d’autant la
quantité de gens seuls qui n’ont pas accès aux relations physiques hygiéniques.
De toute manière, ces rapports sexués « hygiéniques » ne sont – en général – pas
fertiles, soit féconds en naissance d’enfants à élever (auxquels transmettre des
connaissances instructives, voire les bonnes manières pour rechercher des
savoirs indispensables à tous). Il s’agit de rapports sexuels égoïstes – de gens
qui ne cherchent pas à construire avec une personne de l’autre sexe – donc
pas spécialement complémentaires – une histoire d’amour ou/et qui ne veulent pas attendre des
enfant(s) à élever (cela concerne aussi toutes les personnes seules ou/et
âgées). Ces rapports dits hygiéniques sont cependant une nécessité pour tous
ceux qui n’ont pas la vocation de stoïques, soit en cela qui ressemblent à ces
garçons qui préfèrent se conserver (conserver leur semeance) uniquement pour la mère de
leurs enfants / descendance (vue autrement comme ascendance) et qui refuseront à
l’intérieur de leur famille, avec les membres de cette famille, des rapports
sexués.
[1]
Un sujet traité par une personne qui n’a jamais
bu d’alcool, -(voire qui n’a bu parfois que du
cidre ou/et de la bière (et encore cela pas plus
qu’une fois par semaine – ce qui n’est pas
boire, ni dangereux pour la santé car c’est
boire très sobrement de l’alcool, par exemple
les seuls jours de fête)-, sera traité
différemment que par une personne ayant bu
régulièrement du vin -(et/ou des alcools, ce qui
modifie plus ou moins l’état de conscience)-, et
sera différemment traité par une personne
n’ayant jamais bu d’alcool -(voire très peu,
juste pour essayer et encore, cela, il y a plus
d’un mois avant de traiter le sujet en question). Aussi se pose la question de boire
de l’alcool ou de ne pas en boire -(certains
métiers peuvent s’exercer en ayant bu un peu
d’alcool aux repas, tandis que d’autres, comme
celui des médecins ne l’autorise que fort
rarement (voire pas du tout)-. Les arguments pour
ne pas en boire ont pour socle (se fondent sur)
les enfants -(on le sait les enfants n’ont pas le
droit de boire de l’alcool (mais peuvent, par
exemple y goûter sans danger à l’occasion d’une
fête d’autant que l’alcool, dans certains SPOK
peut être vu comme une sorte de médecine (donc
de médicament). Pour ces enfants, en général, on
trouvera des sodas, voire des eaux minérales
pétillantes, voire des jus de fruits (ils vont à
l’école et ont besoin de toutes leurs facultés
intellectuelles pour comprendre les divers
enseignements)-. Quand on écrit, il ne faut
jamais oublier qu’on s’adresse aussi aux enfants
-(en effet, un texte véritable doit pouvoir être
lu aussi par des enfants – il faut donc
continuellement veiller à la compréhension de ce
texte par les plus petits, voire les moins
instruits - d'où la nécessité d'apprendre à
écrire avec clarté, ce qui contraint à plusieurs
C. A. R. E. - corrections,
augmentations, relectures,
résumés, élaborations
-, par conséquent (qu’)il
y a la responsabilité de l’auteur d’engagée
(aussi il est recommandé d’écrire comme quand à
l’école nous avions des rédactions et/ou des
dissertations à faire et qu'on nous conseillait
/ donnait quatre fois le temps de la rédaction
pour nous relire (donc pour remettre au moins un
CARE3). En effet cela paraissait
normal de ne pas avoir bu de l’alcool avant de
s’exprimer sur un sujet, donc d’être (encore)
sain de corps et d’esprit, de ne pas être sous
l’influence d’une drogue non plus, voire de ne
pas avoir fumé). C’est pareil pour ceux qui
traitent un sujet en étant de ceux qui sont
devenus végétariens. Le sujet sera traité
différemment de ceux qui sont omnivores, voire
uniquement carnivores, comme les descendants des
chasseurs qui se sont autrefois perdus dans les
vastes territoires du grand nord, parce que ces
ancêtres ne voulaient pas entendre parler de
nourritures agricoles (en effet, ils étaient
fils ou filles de chasseurs, voire d’éleveurs de
bétail, ce qui sur les marchés leur rapportait
financièrement de quoi survivre aisément). Ce sont donc les
paramètres qui font la spécificité (au sens
d’originalité) de nos existences respectives,
nos bonnes ou/et mauvaises habitudes - nos
traditions locales, régionales ou/et rRégionales
(au sens de nationales) - qui
influent (influencent) la manière de voir et les
prises de décision(s) des uns ou/et des autres. C’est pourquoi on ne peut
que rarement généraliser : chacun des êtres
humains est différent, à cause de ses choix de
vie (voire du contexte familial dont il hérite,
la tradition, par exemple au sujet/sur le plan de
l’alimentation). C’est aussi le contexte
familial auquel on appartient et le nombre de
vérités relatives, voire de vérités, voire de
mensonges auxquels on a dû faire face, voire
qu’on a, sans les discuter (les critiquer au
sens d’analyser) intégré, qui sont constitutifs
de chacune des personnalités différentes. D’où dans le cas
contraire (quand on a trouvé les arguments les
plus justes pour s’en défaire) l’extrême
difficulté de se supporter les uns les autres,
au point que chacun (la plupart) éprouve(nt), à
partir d’un certain âge, la nécessité de
s’éloigner de la famille d’origine, voire au
contraire d’y rester tant on partage les
points-de-vues de ses parents ou/et de ses
frères et sœurs. On le sait, c’est l’Ecole qui
peut être à l’origine de l’ouverture d’esprit,
voire l’Université, si l’école a échoué (de
notre temps, il y a aussi avec des spectacles,
des concerts, des opéras, des chorégraphies, des
expositions (de peinture et de sculpture) – bref
des activités culturelles - certaines émissions
de radio, de télévision, voire des informations
et/ou les vidéos
sur Internet qui peuvent y contribuer). Cette
ouverture de l’esprit est donc conditionnée par
les enseignements reçus / compris, ce qui peut
avoir lieu au sein même de familles lettrées,
dont les deux parents ont eu avant leur mariage
ou/et pendant leurs fiançailles accès l’un et
l’autre à la conscience, ce qui facilitera
l’accession à ce bien fait dans l’être humain
aux enfants de pareils couples (d’où les
différences de chacun des enfants selon le
contexte de départ - enfants de parents très
conscients différents des enfants de parents en
partie inconscients - cela handicape les uns et
les autres). Aussi, nous devons
comprendre qu’il peut y avoir sur un sujet de
très nombreux point-de-vues différents, à cause
des connaissances (des référents) et des
expériences que chacun a en tête. De plus, il y
a les habitudes prises par chacun à cause des
vérités relatives dont on est constitué, quand
on n’a pas encore accès soi-même à la Vérité qui
est selon les sujets plus ou moins complexes, notemment à cause des progrès techniques et/ou
technologiques (ou/et autres). Il conviendra de
lire les données d’un sujet traité en étant
continuellement à la recherche des dangers dont
certaines affirmations (ne tenant pas compte de
certains SPOK) sont porteuses. D’où l’extrême
difficulté que représente croire, par exemple
dans l’une ou l’autre des religions (comme il y
en a plusieurs, la position du laïc tolérant, voire de la
personne méfiante peut se comprendre bien que
c’est cette diversité qui soit intéressante
(enrichissante) si les responsables de ces
religions se sont donnés la peine de faire de
continuelles mises-à-jour – avec les religions
chacun se trouve comme dans une fromagerie
française (bien achalandée) avec des fromages
plus ou moins différents les uns des autres,
bien que chacun original (d'appellation
controlée), ce qui encourage à
petit à petit (à force de revenir dans cette
fromagerie) les essayer chacun d’entre eux pour
rechercher celui qui va obtenir la préférence
(le suffrage), voire auquel on s’abonnera la
prochaine fois, si on ne veut pas appartenir à
ceux qui vont continuer à en acquérir de
plusieurs sortes pour garnir leur plateau – c’est-à-dire qui considèrent
les religions et l’histoire des religions comme
complémentaires les unes des autres – ceux-ci,
chez eux, ne conçoivent pas l’existence sans un
plateau de fromages très différents qui se
marient bien avec des
pains de différentes sortes et qui vont très
bien avec – il parait – des vins de qualité). Pour
continuer à croire à une religion, il ne faut
pas oublier ce qu’elle a fait à l’origine comme
bien (ce qu’elle a soigné comme maladies – en
l’absence de la vision du Paradis): les
arguments de certains auteurs en faveur de cette
religion à laquelle on devra, par exemple, de
nombreux progrès, grâce à l’instruction qu’elle
a su développer, voire les objectifs qu’elle
poursuit sur le plan économique et social, voire InterRégional (international).
[2]
J’avais écris instancs – je me relis et
rectifie mais conserve ce lapsus typographique
pour y réfléchir le jour venu.
[3]
C’était une idée que j’ai eu au cours de la
conclusion
de ma thèse de doctorat
(http://granier.laury.free.fr/la_momie_a_mi_mots/la_these/sommaire.htm),
celle-ci (l’idée), que les notes de bas de page
permettent de rejoindre les ouvrages cités,
voire directement les pages d’où la citation /
le référent est extrait. Pour cela il faudrait
pouvoir accéder aux textes cités comme des pages
actives qui permettent d’y placer des signets
reliés aux références de la note de bas de page
du texte qu’on rédige (soit la note de bas/fin
de page) qui, en cliquant dessus, mènerait
directement sur la référence. Cela peut aussi
permettre de retrouver le contexte auquel
l’auteur.e que l’on cite a pensé et cela
permettrait, dans certains cas, de mieux
relativiser, voire d’encore mieux étayer par cet
argument les différents niveaux de vérités du
texte qu’on rédige.
[4]
Mais voilà le problème. Quand sont-ils
mensongers et quand ne le sont-ils pas ? Quand
la teneur d’un texte dépend souvent de l’époque
où il a été rédigé et des paramètres
constitutifs (pris en compte par)/ de l’auteur.
Le point de vue d’un empereur -(fils d'un
empereur ayant été formé à l'Ecole des Sciences
Politiques et docteur en Droit et d'une
impératrice professeure des Université)- ayant accédé à la
bouddhéité -(c’est-à-dire à la conscience, par
conséquent à la recherche du véritable Bien
Général, voire à l’Intérêt Général)-, n’est pas le
même de celui d’un empereur sur bien des aspects
encore inconscient, voire ressemblant à beaucoup
de gens encore sur la plupart des points
inconscients -(voire ne disposant pas des
meilleures informations)-, voire qui se sont
autorisés à boire de
l’alcool non modérément ou/et à se droguer– par
conséquent ne se rendent plus compte des impératifs
qui pèsent sur chacun. Pour cela il est probable
que ces « empereurs » avant le pharaon
Jean-Luc Granier de Saint-Gervais-sur-Mare et de
Paris aient eu accès à des
sommes d’argent escroquées et non de l’argent
fruit de réels mérites : les crédits
financiers
propres et mérités de
droit – CFPMD –. Aussi ceux
qui ont accès aux cfu – crédits financiers usurpés, cff – faux –
cfv – volés – cfé – escroqués – cft – trichés et
etc. (les synonymes de cfi - illégitimes)
ne peuvent plus se rendre compte de ce
que représentent comme efforts les
gains/crédits/revenus des CFPMD (crédits
financiers
propres et mérités de
droit), par conséquent
parlent en inconscients, parce qu’ils ont
(re)cherché à fuir les bienfaits intellectuels
de cette conscience permettant d’accéder au bien
ou probablement, en l’absence de cette
conscience, au mal). Or, l’accès à la conscience
permet de conseiller le mieux possible sur les
sujets à traiter. C’est donc en conscience que
les décisions doivent être prises. Il vaut mieux
pour tous. Par conséquent ces décisions à
prendre ne sont pas faciles (puisqu’elles ont au
préalable requis d’avoir accès à la conscience,
soit autrement vu au spirituel, au SPM – au sens
positif de ce mot). C’est comme toutes les
décisions qui sont prises par les ingénieurs
pour améliorer des mécanismes, des machines et
les rendre plus efficaces. On le doit à leur
accès à la conscience qui les aide à déterminer
le vrai du faux, qui leur permet, par étape
-(c’est à dire parfois par approximations successives, de
vivre des parenthèses de recherches)-, de
réaliser ces améliorations.
[5]
Misàjour – pluriel : misàjour(s).
[6]
En général pour l’avoir vécu eux-mêmes en
s’étant tenus à l’écart de ce genre de
tentation, mais aussi parce que chacun des
enfants représente naturellement (comme cela a
été le cas de/pour chacun d’entre nous tous), en
extrapolant, une virtualité (au sens de
possibilité) de mariage quand il atteint l’âge
où il/elle croi(en)t pouvoir se marier (ce qui
dépend – -(en raison de l’augmentation du prix du
baril de pétrole – donc du renchérissement de la
vie, à cause de la perte du pouvoir d’achat, du
chômage, et des dettes accumulées par les Etats)-,
-
des moyens financiers dont ces enfants (jeunes)
disposeraient pour fonder une famille). Il est
certain que dans un monde où le prix du baril de
pétrole serait à son prix plancher maximum d'un centime
de dollar le baril, voire son prix le plus bas
de 0,01 centime de dollar
le baril -(et cela parce qu’à cent dix dollars le
baril en 2014 tous les coûts pour l’extraction
de cette matière première sont remboursés en
quelques jours d’exploitation de la nouvelle
réserve de pétrole)-, l’impératif économique ne
pèserait plus sur les couples ni sur les famille
à l’échelle universelle car toutes les dettes
pourraient être remboursées, mais aussi le prix
de chacun des produits n’existerait que pour les
produits valant un million et cent mille
dollars, cela quand le prix du baril de pétrole,
en 2014 valait cent onze dollars, soit un
million et cent mille fois plus du prix qu’il
aurait été normal d’exiger (0,01 centime - le
prix le plus bas) pour
ce baril de pétrole de manière à voir
apparaître/se révéler plus rapidement le
Paradis. En effet, à ce prix de 0,01 centime de
dollar le baril
(https://www.facebook.com/groups/1624235357863902/)
le pouvoir d’achat de ce 0, 01 centime de dollar
le baril est au moins d’un dollar dix centimes,
voire autrement vu de cent dix dollars, car la
valeur du dollar, à mesure de la baisse du prix
du baril de pétrole s’apprécierait et
reprendrait (comme toutes les autres monnaies
des pays les plus développés) de la valeur en
proportion de cette baisse du prix du pétrole,
au point qu’il est possible de penser qu’un
dollar pourrait finalement permettre d’acheter
l’équivalent (sous forme de produit(s)) d’un
million cent mille dollars ! Il n’y aurait donc
que les produits valant plus d’un million cent
mille dollars à payer plus qu’un dollar. Cela
signifierait aussi que le prix d’un objet valant
cent dix mille dollars vaudrait dix centimes de
dollar et que le prix d’un objet à onze mille
dollars, vaudrait un centime de dollars, ce qui
signifie que le prix d’un produit à mille cent
dollars vaudrait 0,1 centime de dollars parce
que le prix d’un produit à cent onze dollars
vaudrait enfin 0, 01 centime de dollar. Toutes
les économies de chacun des pays renaitraient de
leurs cendres une fois les dettes remboursées,
car ce prix du baril à 0,01 centime de dollar
assurerait la naissance d’un nouveau monde, le
plein emploi si on le souhaite, mais aussi
d’être employé(s) quand on le pourra réellement
(voudra) et cela pourrait financer la
restitution de la vision du Paradis, en assurant
dès la naissance de chacun des enfants un
minimum végétarien universel et un habitat
minimum
(https://www.facebook.com/groups/1699136193661990/),
comme d’accélérer la création de la Monnaie
(Universelle) de l’Ôz
(https://www.facebook.com/groups/1569624886686071/),
la MÔz.
[7]
(l’inverse aurait été – était – scandaleux
(serait – pour certains aujourd’hui -
scandaleux) :
my heart
(au sens de
my body)
belongs to daddy)
[8]
La marraine – le parrain - est en général un.e
ami.e de la mère d’un enfant à baptiser, voire
du père. Elle /il appartien(nen)t donc à la
génération des parents, voire des
grands-parents, si ceux-ci sont suffisemment
jeunes. Il s’agit de personnes qui se chargent,
en l’absence des parents, de l’éducation du / de
la filleul.e. Elle/il (le parrain) ne peut
désirer que le bonheur de cette filleul.e, par
conséquent s’interdit les relation(s)
sexuelle(s) avec ce/cette filleul.e la/le
sachant probablement destiné.e à son futur mari,
sa future femme (par conséquent à l’origine
d’une famille qui constitue dès l’âge de bébé
une virtualité, c’est-à-dire une possibilité
ou/et une issue), de même que chaque enfant
peut-être vu comme une (future) personne âgée.
Ceci dans le monde privé de la vision
d’Atlantide, du Paradis, d’Ôz,
etc.
Dans un monde où la vision du Très Saint
Paradis serait revenue, c’est différent,
d’autant l’existence des contraceptifs ou/et
préservatifs. Mais ce qui est certain, c’est que
ces relations sexuelles avec une marraine ou/et
un parrain (appartenant à/de la même famille)
doivent s’interdire de procréer (de donner
naissance à un enfant) en raison des problèmes
de consanguinité qui parait-il ont été à
l’origine de malformations génétiques. Il n’est
pas interdit d’éprouver des sentiments
particuliers (originaux) à l’égard de sa
marraine, voire de son parrain (d’autant plus
qu’ils ne font pas partie de la même famille).
Cependant il ne faut pas oublier le rôle que
doit jouer un pareil personnage : celui de
tuteur, à la mort d’une mère, ou à la mort d’un
père (s’il s’agit du parrain), ce qui signifie
pour la famille de l’enfant ainsi marrainé
(ou/et parrainé) conserver cette amitié au moins
tout le long du temps où l’enfant éprouve le
besoin de voir régulièrement sa marraine ou/et
son parrain (avec leaquel.le (lequel, laquelle,
lesquels)
on entretien parfois des relations de
confidence(s), ce qui se produit aussi durant
les époques où on ne dispose pas encore de RFPMD
– revenus financiers propres et mérités de
droit. Dans certains cas, cela n’est pas un
plaisir pour l’enfant, mais un devoir, comme
c’est aussi le cas pour cette marraine ou/et ce
parrain qui néanmoins chez les chrétiens
constituent des sécurités pour un couple qui,
par exemple n’ont pas de frères et sœurs, sont
fils et fille unique (comme mon père et ma
mère), donc sans tantes ou/et oncles pour l’es enfant.s (l’enfant, les enfants).
[9]
Cela ressemble aussi aux photos qu’on ne peut
pas montrer n’importe où, voire qu’on doit tenir
cachées. On les nomme pornographiques quand
c’est le cas. Longtemps il a été préférable de
ne pas les avoir à la portée de tout le monde.
Les gens qui les assument en ne les cachant pas
sont parfois plus honnêtes que ceux qui les
cachent, voire n’en veulent aucune chez eux
(parfois des Tartuffe). Cela peut avoir une
raison valable qui est due au fait que les
femmes et/ou les hommes qui posent nus (ou
déguisés) dans ces photos ont été payés pour
cela, ne l’ont pas fait gratuitement ou/et pour
peu de CFPMD quand ils ont posé chez/pour des
artistes. Il ne s’agit pas des photos ou de la
vidéo d’un couple de gens qui s’aiment à la vie,
à la mort (entre lesquels des sentiments sont
nés solides, réciproques, voire avec des projets
qui ont été réalisés ensemble) – donc qui sont
dans un processus intime de construction d’une
famille (ce qui signifie un jour ou l’autre
publique). Il s’agit de photos qui recherchent à
créer artificiellement par leurs entremises des
sensations érotiques, comme les rêves ou/et
cauchemars érotiques. L’amour, avec un grand A,
est souvent (le grand) absent de ces images à
vocation érotiques, voire pornographiques. En
l’absence de la vision d’Atlantide ou/et du
Paradis, ces images peuvent être (pour certains)
à l’origine de péchés (puisqu’elles ont parfois
été publiées pour inciter à pécher, pour aller
dans le sens de ceux qui cherchent à pécher)
pour ceux qui les consomment, voire
d’informations concernant un des aspects de
l’amour qui, s’il devient ainsi une habitude,
sera à l’origine de l’involution de tous ceux
qui ont participé à la création de ces images,
par conséquent qui concourent à obtenir pour
eux-mêmes une réincarnation tragiquissimis…simissime,
malheureusissimis…simissime,
tristissimis…simissime,
cauchemardesquissimis…simissime, etc. en l’un ou
l’autre des animaux prédateurs, voire impurs. En
effet, la consommation (trop) importante
d’images pornographiques met un frein aux
progrès qu’on faisait, dès la prime enfance,
pour essayer de comprendre les diverses
dimensions sacrées de l’existence, voire de la
Création – cela transforme en inconscient(s)
(c’est-à-dire en individus qui peu à peu perdent
leur conscience, au point de penser/dire des
âneries, parce que la consommation -(excessive,
voire peu importantes dans d’autres cas –
parfois il suffit de peu)- de ces images leur
font oublier de quoi est faite la réalité, à
quoi elle obéit -(au Paradis, certainement pas
aux cochonneries ou/et escroqueries
intellectuelles). Ces personnes oublient
qu’elles pourraient jouer un rôle pour améliorer
les choses – peut-être pensent-elles,
lorsqu’elles posent ainsi qu’elles concourent à
rendre plus sexy le monde, par conséquent moins
austère, ce qui peut être le cas dans certains
SPOK – mais ce qui est certain c’est que de
regarder de telles images fait courir des
dangers de perte de conscience, par conséquent
peut être à l’origine de la modification des
meilleurs raisonnements – à la longue. J’ai pu
vérifier (et le démontrer) sur moi-même, la
perte de conscience rend aliéné – autre que
soi-même – le masque de cette autre personne
cherche à prendre le contrôle de s/la personnalité
– la perte de l’identité de départ n’est pas
rare). Cependant on peut imaginer au grand jour
des relations sexuelles avec la personne dont on
est aimé (et qu’on apprécie avec réciprocité de
sentiments), comme les ont peintes de grands
peintres ou/et de grands sculpteurs, voire les
auraient photographiées de grands photographes,
voire vidéastes ou/et cinéastes. Ici cela change
tout, il s’agit d’images dont l’Amour (avec un
grand A) est l’auteur/responsable (la nudité
-(comme dans
l’Origine
de la Vie
ou la
photo de Serge Gainsbourg avec Jane Birkin nus
faisant l'amour)- est à première vue sublimée grâce
à la très docte analyse du peintre (ses tracés),
devient matière à étude car c’est à travers elle
la délivrance d’un message, d’une vérité
incontestable comme dans
Les
Demoiselles d’Avignon de Ses Éminences
Altesses Impériales Eanmeailleuriales Ses
Saintetés Satana(na!)nas les
lordissimis…simissimes Pablo
Picasso). Si les appareils photos et les caméras
existent, cela signifie que tout (la moindre
chose) a le droit d’être regardé(e) par ce
truchement photographique, vidéographique, film
de cinéma,
cependant il ne faut pas oublier, en l’absence
de la vision du Paradis, les droits d’auteurs,
ce qui est un autre plan qui existe parce que
nos civilisations sont commerciales (ne peuvent
pas fonctionner – en l’absence de la vision du
Paradis) sans CFPMD (crédits financiers propres
et mérités de droit). Seule la vision du Paradis
(ce qui s’est heureusement produit cinq secondes
en 1995) offerte gratuitement à tous sans
exception -(à moins qu'on juge certains indignes
de la regarder - cela pourrait donc devenir une
peine infligée par la Justice: interdire de
découvrir quand il est restitué le décor du
Paradis)- pourrait permettre
de changer progressivement les choses et cela à
terme du processus de restauration de cette
vision plus qu'admirabilissimis…simissime. Mais ce n’est
pas sans danger pour tous, bien que cette
vision, si belle (et c’est peu dire) autorise
d’avance (le temps où elle existe) les moments
les plus merveilleux à vivre -(même en ayant vu
cette vision seulement cinq secondes cela peut
suffire pour aller mieux – je l’ai vécu et
démontré)- : enfin arrivés au Paradis (au point
que j’ai ensuite régulièrement trouvé des
preuves photographiques et vidéo de l’existence de celui-ci
même sans que la vision d'Ôz ait été
rétablie). Cependant
en raison de tous les impératifs quotidiens de
chacun, et en raison du développement de nos
civilisations interconnectées -(le résultat de
millions d’années de développements
(changements, liaisons, etc.) et de travaux)- et
en état de fonctionnement (c’est-à-dire étant
dans des processus de complémentarité grâce aux
échanges), cela ne pourra jamais excéder -(à
terme, dans un premier temps)- vingt-quatre
heures par semaine -(sur deux jours avec une
alternance de six heures sans -(la vision d’Ôz)-
toutes les six heures avec), car chacun de nous
doit gagner des CFPMD en raison des charges
financières qui pèsent sur lui/elle et les
malades doivent pouvoir continuer à être soignés
-(par conséquent contraignent comme toutes les
activités de solutions alternatives élégantes à
devoir travailler durant les cinq jours par
semaine où la vision du Paradis n’existera plus
– soit quand on redeviendra civilisés)- comme les
enfants à être élevés. Cette vision du Paradis
-(d’Ôz
et de ces synonymes)- peut être aussi rétablie autrement
qu'avec toutes les heures regroupées le
week end,
par exemple le mercredi et le dimanche, deux
fois six heures, à midi et à minuit pour le
Dimanche, et à six heures du matin et à dix-huit heures
pour le mercredi, cela de manière à garantir les
horaires sans la vision d’Ôz
-(soit les heures où chacun d’entre nous avons
des occupations, des travaux à mener)- tout en
offrant aux deux hémisphères -(le nord et le Sud)-
la même durée de vision du Paradis, en créant au
milieu de la semaine une sorte de
week end
avec cette journée de sublimissimis…simissime
beauté annonçant la suivante, quatre jours
après, précédée du samedi où nombreux sont à
l'avoir comme jour de congé hebdomadaire. Je rappelle que pour arriver à cela de
nombreuses étapes sont nécessaires, puisqu’on
partira de deux fois cinq minutes au cours d’une
journée à l’occasion d’une des années
prochaines. Je rappelle aussi que ce sera
l’occasion pour ceux qui font de la photo et de
la vidéo, voire du cinéma d’utiliser leur
appareil pour enregistrer durant ces cinq
minutes tout ce qui les entoure, de manière à
publier cela, le jour venu, sur Internet, (ce
qui augmentera leurs mérites) par conséquent, ce
qui permettra de trouver en images, durant
l’année, les effets de la restauration de la
vision d’Ôz
(d’Atlantide, du Paradis, etc.) dans des contextes
différents (sous des latitudes et longitudes
différentes). Année après année (en augmentant
le temps de cinq minutes en cinq minutes, nous
arriverons à montrer le Paradis quatre fois par
an, deux fois par trimestres dix minutes à midi
et à minuit, avant de proposer cela une fois par
mois un quart d’heure, deux fois : à midi et à
minuit et enfin poursuivre la logique de cette
prise de la drogue -(en fait une sorte de
merveilleux médicament)- de cette plus qu'immensissimis…simissime beauté qui soignera de
très nombreuses personnes, car elles seront
rassurées en étant ainsi régulièrement témoin(s)
que le Paradis est retrouvé plusieurs millions
d’années après sa disparition locale -(ce qui
avait donné, entre autres, naissance aux
différents arts sacrés, qui seront une fois de
plus confirmés comme les solutions alternatives
élégantes à la disparition du Paradis, rôles que
reprendront ces arts dès qu’après ces prises
régulières de la drogue de la vision plus que sublimissimis…simissime d’Atlantide, on
reviendra à la situation qui est à ce jour du
mercredi 19 décembre 2018 quotidiennement la
nôtre, sans la vision du Paradis, d’Ôz, de
l’Eden, d’Atlantide, d'Arcadie, etc., cependant
qu’intérieurement et extérieurement, nous nous
conduisons comme si nous étions déjà au Paradis,
puisque nous raisonnons logiquement et de
manière cohérente – en Vérité donc dans
l’Intérêt Général et pour le Bien Général, dans/pour
cette élaboration de programme de l’inverse d’un
sevrage -(la prise progressive d'une sorte de
drogue: la vision du Très Saint Paradis)- avec la progressive restitution de la
vision du Paradis – ce qui devrait faire cesser
les guerres, l’essentiel étant de réussir à nous
offrir périodiquement à tous cette merveilleuse beauté – ce qui
fera gagner des points à ceux qui l’avaient
cachée. En effet, au lieu d'obtenir les plus
tragiques et malheureuses réincarnations après
leur mort véritable, ils obtiendront beaucoup
moins de malheurs, parce qu'ils auront contribué
à faire plaisir et à soigner de très nombreuses
personnes à l'occasion des heures de
rétablissement de la vision du Très Saint
Paradis - dans lequel ils auront probablement un
rôle important à jouer, ce qui leur fera gagner
d'autres mérites).
[10]
D’où, malgré ces progrès, le danger de commettre
des incestes à l’intérieur de ces familles.
[11]
Il ne faut pas oublier non plus que les êtres
humains que nous sommes aujourd’hui ont commencé à exister
(évoluer) à
partir du moment où la vision du Paradis a
disparu. Ce fut le début de l’aventure humaine
(A. H.) et cela a pris beaucoup de temps que
cette métamorphose en être pensant (calculant)
dans/pour le Véritable Intérêt Général (V. I.
G.) ou pour le Bien Général (B. G.).
Nous devons à chacun de ces changements, à
chacune de ces humanisations, comme à chacune
des catégories au SPM (au sens positif de ce mot
et non négatif dans d’autres SPOK) les petits
progrès des êtres humains, voire dans d’autres
SPOK, les plus grandes avancées. Cela serait
probablement la fin de l’Evolution (donc la fin
des progrès) (ici au SPM) si on rétablit la
vision du Paradis au terme du processus de
restitution de celle-ci au-delà du maximum de deux
jours par semaine, car il faut veiller à ce que
tous les jours -(y compris ceux-là où le Paradis
sera visible partout autour de nous tous et sur
chacun de nous)- tout
fonctionne pour tous – donc à tous les niveaux
(ce qui nécessite des gens bien conscients (des
bouddhas) – ayant eu accès à la conscience à
l’origine des différents progrès individuels en
donnant accès à la compréhension de/s
(l’)Univers). Le rétablissement progressif de la
vision du Paradis ne peut se produire que peu à
peu sur un nombre d’années plus ou moins
important selon qu’on choisisse la prise de ce
médicament -(la sublime beauté de ces révélations
sur notre décor quotidien)- rapidement ou par
prudence en prenant le temps -(ce qui peut être
une erreur, du point de vue des nouvelles
générations – on le comprend aisément -
impatientes de découvrir le Très Saint Paradis et qui seront plus facilement
capables de s’adapter à la restauration de la
vision du Paradis que les plus âgées, tout en
continuant à comprendre les matières scolaires à
étudier pour être dignes des ancêtres qui n’ont
pas eu la chance de voir le Paradis pendant de
très nombreux millénaires, mais qui ont permis –
grâce à leurs travaux – que les solutions
alternatives élégantes à sa disparition soient
connues de tous ceux qui, en raison de cela, se
sont assez souvent crus au Paradis, en ayant à
étudier ces différentes matières/disciplines, voire à se
spécialiser dans l’une ou l’autre, voire si
possible dans
chacune).
[12]
Issue d’une famille …
[13]
La disparition de la vision d’Atlantide (d’Ôz,
etc.)
est advenue à cause d’une répercussion (dans le
passé très lointain) de ce qui s’est passé
d’atroce, en utilisant la salle des machines
soudain d’une manière inconsciente – par
conséquent par des gens privés de conscience
ou/et l’ayant en partie perdue (n’obéissant plus qu’à
l’arbitraire, voire à leur subjectivité, par
conséquent en menteurs par rapport à l’analyse
objective des SPOK – situations précises,
occasions, cas particuliers). Petit à petit,
chacune des civilisations (au sens aussi de
religions) a été confrontée au problème du mariage, ce qui
rendait publique des sentiments, voire des
calculs, parce qu’on établissait une liaison,
une alliance -(impliquant la constance, à cause d’une
descendance souhaitée, recherchée)- avec une
personne du sexe complémentaire. Quand la vision
du Paradis était continuellement le lot
quotidien de nos ancêtres les plus éloignés -(qui
vivaient éternellement)- il n’y avait
probablement pas d’institution du mariage,
puisque chacun de nous vivait dans ses arbres
fruitiers, mais il est probable que la notion
d’espace vital existait en étant connue de façon
innée, reconnue comme une nécessité -(je rappelle
qu’en architecture cet espace vital est résolu
grâce aux maisons à étages, voire les
gratte-ciels)- à
mesure que les enfants grandissaient -(ils
devaient chercher ailleurs des lieux où trouver
de quoi se nourrir, voire pour vivre auprès
d’une personne choisie – l’étude de la vie des
singes vivant dans les forêts et se nourrissant
des fruits des arbres est à ce sujet riche en
observations qui nous renseignent sur les
comportements de ces ancêtres des êtres humains
– ces singes ont continué à vivre – même sans
voir le Paradis de la même manière que leurs
plus lointains ancêtres – ce qui est important
de connaître / savoir est de quoi ils se
nourrissent pour retrouver, grâce à eux,
quelques-uns des composants les meilleurs pour
la santé de l’alimentation
des origines).
[14] Il convient de comprendre cela dès la petite enfance -(les adultes devant avoir du respect pour tous ces enfants qui s’abstiennent de relations sexuelles parce qu’ils ne veulent pas trahir (au sens de tromper) leur moitié)-, voire l’enfance avec des cours d’Ecole concernant l’appareil reproducteur (la reproduction humaine). Aussi l’enfant comprend, grâce aux sciences naturelles, ce qu’il représente comme virtualités -(au sens de potentialité)- et comme complémentarité avec son époux ou/et son épouse -(c’est selon selon). Evidemment toutes les autres matières scolaires sont la possibilité d’étudier des sujets qui, à terme, permettent de penser et de construire avec les futurs dialogues, mais aussi les futures recherches par des approfondissements de celles-ci. C’est qu’il y a beaucoup de gens à bord, par conséquent beaucoup de point-de-vue dont tous ceux incomplets ou/et faux qui sont à l’origine des erreurs ou/et des fautes, comme les péchés. C’est pour cela que l’enseignement des religions, de leurs différences, sont des matières complémentaires essentielles aux études scientifiques de/en biologie. Mais nous vivons l’époque des études par catégories -(disciplines ou /et matières)- ce qui empêche tous ceux qui n’ont pas encore accompli de métamorphoses en bouddhas -(c’est à dire en éveillés ou/et en ceux qui ont accès à leur/la conscience)- d’établir des sortes de ponts -(au sens de créer des liens)- entre ces disciplines / matières /catégories. Étudier l’appareil génital sans l’étude des religions, par conséquent l’étude des disciplines qui ont permis à de nombreuses personnes d’accéder à la compréhension des éléments sacrés de nos existences (notemment grâce à l'institution du mariage), c’est ne pas rechercher à ouvrir les enfants aux dimensions spirituelles qui contribuent grandement à la compréhension du véritable amour: l'Amour.