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Le fou, ...

 

par Laurie (Laurent-Marie) Granier (d'ex-Atlantide Lang d'Ôz)

 

(CARE4)

 

Le fou, c’est celui qui est dans l’amnésie de paramètres indispensables (importants) concernant le/un/des sujet(s). C’est à cause de cela l’ignorant au SNM (au sens négatif de ce mot et non positif dans d’autres SPOK (situations précises, occasions, cas particuliers)

D’où les réponses/dires de fou(s) qui circulent sur certains propos (il s'agit de fausses informations).

 

C’est donc le manque d’informations (les paramètres) qui constituent un terrain fertile pour des réponses qui s’avèrent subjectives – soit le plus souvent celles des inconscients ou/et des fous (ce qui est parfois synonyme), voire de certains adolescents au SNM (au sens négatif de ces mots et non au sens positif - au SP - dans d’autres SPOK (situations précises, occasions, cas particuliers).

 

Les paramètres, c’est-à-dire les informations (souvent complexes (autour)) d’un sujet sont aujourd’hui plus facilement (re)joignables, au sens d’atteignables, car on peut y avoir accès, par exemple, par Internet (ce qui n’était pas le SPOK autrefois – Evidemment, il faudra attendre l’époque où tous les écrits, mais aussi tous les documents audio-visuels seront numérisés, ce qui facilitera un peu les recherches depuis n’importe lequel des ordinateurs dotés de logiciel genre Word (ce qui facilite les CAREI – corrections, augmentations ou texte à abréger, relectures, résumés, élaboration, etc. : illustrations, …- ou CARE4 quand cela est corrigé, augmenté, abrégé, relu, élaboré quatre fois). Mais il n’est pas certain que cela fera gagner du temps, en raison de la quantité de documents qu’on aura alors à notre disposition sur le sujet sur lequel réfléchir à son tour pour l’éclairer, grâce à sa propre expérience acquise, donc de son point-de-vues.

 

La mémoire de chacun d’entre nous est plus ou moins en bon état, et cela selon notre façon de nous nourrir (et de boire)[1] et c’est pourquoi cette numérisation des textes (comme des documents audio-visuels) est indispensable, car il s’agit de référents dont on peut signaler des moments (des instants[2]) des parties, en les rendant accessibles par des notes de bas de pages ou/et de fin de textes (avec l’espoir qu’un jour chacune de ces notes de bas/fin de page permette d’atteindre le texte en question cité[3]) et on comprend ici qu’il n’y a plus que les propos écrits (avec ces notes de bas de pages, voire dans d’autres SPOK de fin de texte) qui peuvent constituer pour les gens (à la recherche de la Vérité sur un sujet – celle-ci souvent complexe à déterminer, voire difficile à exprimer/dire/écrire), de solides appuis, quand les propos développés dans les textes ne sont pas mensongers[4].

 

De plus il convient – en raison du temps qui passe (et des nouvelles données) – de faire des mises-à-jour[5], d’autant plus des progrès accomplis grâce aux diverses technologies.

C’est pourquoi, prenons un exemple, en raison de l’existence des contraceptifs, la question de l’inceste (Œdipe) représente, de nos jours, beaucoup moins un danger qu’autrefois, quand ces contraceptifs et/ou préservatifs n’existaient pas et qu’on risquait gros pour les fœtus (qui courraient le danger des probabilités de malformations génétiques, en raison de rapports sexuels consanguins - https://fr.wikipedia.org/wiki/Consanguinit%C3%A9). Aussi l’inceste (en s’interdisant de procréer) pourrait très bien exister (sans ici trop pécher) comme cela était le SPOK quand nos plus lointains ancêtres vivaient continuellement immergés dans le décor du Paradis (Ôz), l’Eden, Atlantide, Schtroumpf , etc. , quand il n’était pas nécessaires de se marier pour procréer et qu’en définitive ces ancêtres appartenaient à la même famille, descendaient d’individus qui s’étaient unis dans cette même famille (parce qu’on ne cherchait pas ailleurs qu'autour de soi-même, dans ses proches, les relations sexuelles).

Ce qui est certain c’est qu’aujourd’hui cet inceste (rendu plus hygiénique grâce aux préservatifs et aux contraceptifs) ne doit en rien être une obligation, d’autant que tous les parents savent[6] que les alliances ou/et mariages concernent depuis longtemps sur de nombreux points en commun, voire où on diverge (de position) le rapprochement de deux individus provenant de familles différentes (non apparentées, au sens où l’interdiction de se marier à l’intérieur d’une même famille était conseillé /recommandé, parce que c’était à l’origine de problèmes de (maladies) génétiques dues à la consanguinité – d’où, dans le film Peau d’âne, la vérité relative (à l'époque) de la marraine (la fée) qui chante à sa filleule en définitive ce conseil instructif: « mon enfant, on n’épouse pas ses parents …»[7] par l’admirable et adorable Delphine Seyrig[8]).

 

Aussi les temps sont murs – en raison de tous les paramètres actuels - pour le rétablissement de la vision sacrée du Paradis, car la génération qui est dans les langes, si elle devait souhaiter des relations sexuelles avec leurs parents ne fera rien de mal, si les parents à l’âge de la puberté de leurs enfants se prémunissent de contraceptifs et évitent ainsi des conséquences malheureuses sur le plan génétique (s'il devait naître un enfant de ces relations sexuelles incestueuses). En réalité cela concernait les femmes ménopausées qui, peut-être, ne comprenaient pas pourquoi leurs fils ne les honoraient point.

 

Evidemment quand ces relations incestueuses existaient, cela n’était pas crié sur les toits, car il y avait à ce sujet tabou, considération de péché par certains habitués à/de la tradition interdisant les relations sexuelles entre les membres d’une même famille. Aussi ce qui se produisait alors était à cacher, d’autant plus des probabilités de catastrophes (malformations) génétiques sur les enfants nés de telles unions (quand ces relations ont eu lieu avant la ménopause), en l’absence de la vision du Paradis (d’Ôz, d'Arcadie, d'Atlantide, etc.). Donc on comprend ici pourquoi la nécessité de se cacher (de commettre ces incestes à l’insu de tous – voire d’utiliser le mensonge pour cela et à cause de cela de se considérer dans une forme de péché, puisqu’on ne pourra pas le clamer sur tous les toits[9]).

 

Mais les temps ont changé, les sciences ont fait des progrès immenses, et rendues à première vue moins dangereuses ces relations sexuelles (sous contraceptifs et/ou préservatifs), à l’intérieur d’une même famille[10].

 

Celles-ci peuvent advenir entre une sœur et un frère, sans pour autant pécher, à moins de considérer que le sperme dépensé à l’occasion de ces relations sexuelles (sous contraceptifs et/ou préservatifs) contenait la virtualité des enfants qui devaient naître de la femme qui est/sera la mère des enfants de ce frère[11]. Aussi en dépensant ce sperme avant d’avoir trouvé la mère de ses enfants, le garçon qui a une relation sexuelle avec sa sœur ou avec sa mère, voire avec son père, est dans le meurtre des enfants qu’il était censé avoir (attendre), par exemple en découvrant la sexualité (ici l’Amour) avec sa fiancée (appartenant à[12] une famille non apparentée de façon proche). Aussi sur ce plan-là, il y a péché, parce que les relations sexuelles dans/avec sa propre famille (comme quand on se masturbe en cachette) sont à l’origine du meurtre de la descendance prévue avec une personne venant d’un autre contexte familial (une complémentarité), si le garçon s’était réservé pour sa/cette jeune-femme[13] (ou/et femme).

 

Aussi il y a un véritable problème ici qui est en liaison avec les différents niveaux de vérités relatives. Que faire? D’autant que se réserver pour la femme qui sera celle qui portera son enfant peut, pour un garçon, prendre beaucoup de temps d’autant plus si l’enfant à naître se trouve dans les premières tentatives de faire l’amour (pour le garçon s’étant réservé pour cette jeune fille ou/et femme – ce qui a été le cas, parait-il de mon père et ma mère, réciproquement, puisqu’ils étaient d’une époque (sans contraceptifs très efficaces et sans préservatifs de qualité) où il était d’usage de se marier avant de s’autoriser à faire l’amour avec sa fiancée).

 

Le problème est ici difficilement soluble ou/et solutionable (pour lequel on peut trouver une solution alternative élégante). Pour ces garçons l’inceste ou/et les relations sexuelles familiales demeureront des péchés car il s’agit (pour eux – mais on peut le comprendre aisément – ils ne sont pas dans l’erreur) de gâchis de semeance(s) et de la perte des enfants qu’ils auraient dû avoir (qui étaient virtuels) s’ils avaient conservé cette semeance (semence) pour la mère de leurs enfants avec laquelle il y a un projet de construction d’une famille, par conséquent l’attente d’enfants qui sont eux aussi (à leur tour) potentiellement (virtuellement) mariés (ou en couple) et eux aussi à leur tour dans le temps, probablement créateurs chacun d’une nouvelle famille.

 

Certains considèreront ces enfants qui refusent les relations sexuelles avec les membres de leur famille comme extrémistes, puisqu’ils conservent par éthique leur semence pour la personne avec laquelle ils entendent bâtir une famille, un projet familial[14] qui les oblige à construire leur avenir avec maturité dès l’enfance.

 

Evidemment on comprend très bien cela dans un monde privé de la vision du Paradis.

 

Mais dans un monde où la vision du Paradis serait ré(é)tablie, cela peut moins choquer ces enfants qui auraient donc des relations sexuelles avec des enfants de leur âge, voire avec les membres de leurs respectives familles (cependant qu’ils perdront les enfants qu’ils devaient avoir en étant moins pressés de connaître ce que signifie physiquement faire l’amour – ils auront aussi moins de possibilités d’accéder aux raisonnements en conscience, voire à la connaissance des spiritualités qui se sont probablement chacune posées ces questions en les résolvant souvent par la nécessité de recourir à l’abstinence pour préserver l’essentiel qui est cet accès à la conscience, ce qui évite de se conduire en fou – au sens négatif de ce mot qui dans d’autres SPOK existe aussi au sens positif).

 

En effet, quand le Paradis existait partout autour de nos ancêtres les plus éloignés (mais aussi sur le corps de ces ancêtres) qui vivaient nus dans la bande équatoriale et se nourrissaient des fruits des arbres, il n’y avait pas de problèmes génétiques avec les enfants qui naissaient probablement d’unions incestueuses (la question ne se posait même pas – et nous nous devons de ne pas oublier qu’entre temps, il y a eu l’édification de nombreuses civilisations et/ou cultures qui se sont créées partout (sans la vision du Paradis) et avec ces constructions, petit à petit l’évolution des êtres humains provenant de migrations et qui se sont adaptés aux régions concernées, donc aux géographies, l’éloignement les uns des autres, à une époque sans grands moyens de transport, ayant été à l’origine de la différentiation (de la modification) des langues donnant naissance à ces différentes cultures, le fait de personnalités – d’individus bien précis dont les communautés ont profité). Cela n’empêchait pas des unions avec d’autres personnes qui appartenaient au départ à la même ethnie depuis toujours de la même ascendance, celle de ceux qui vivaient constemment avec le Paradis bien visible, mais par bien des aspects (sur de nombreux plans) animaux pacifiques et inoffensifs (donc animaux probablement au SPM – au sens positif de ce mot), donc de ceux-là qui ne faisaient rien de mal (probablement tous dotés du même type de conscience), tant le décor autour d’eux (qui révélait l’existence du plus que merveilleux Paradis sur chaque chose y compris sur les corps) était de nature à ne créer (comme lui-même attestait de son existence – et c’est peu dire :) le bien (le mal, avant l’impératif de ces migrations, n’étant pas encore apparu, ce qui n’a pu advenir qu’à partir d’un certain moment dans l’Espace-Temps – probablement ce mal est la cause du réchauffement planétaire qui a fait apparaître les déserts dans des régions autrefois fertiles en contraignant ainsi à migrer). C’est ce mal qui a fini par donner le premier des empereurs et la liste des suivants jusqu’à moi qui, par chance, à force de me préparer sans tricher du mieux que j’ai pu pour mon mariage, suis (re)devenu bouddha et parce qu’empereur-bouddhah (Ha !Ha !) le berger de l’histoire de l'aventure humaine en cours! A. H. A.).  

 

Mais ici on parle d’un monde qui a existé avant le problème de la TGC (la très grande catastrophe). Ensuite, avec la disparition de la vision du Paradis, a commencé l’histoire de l’aventure humaine (H. A. H.) et, hélas, petit à petit les maladies ont vu le jour et notemment toutes celles dues à la consanguinité (ce qui a contraint – quand on est devenu sûr que cette consanguinité était bien la cause), les uns et les autres, par prudence et en prévision du pire, à rechercher hors du cercle familiale, chaussure à son pied (le conjoint, la conjointe - ceci est ce qui se produit normalement de nos jours probablement à l'exception des contextes d'ignorants, au SNPM - au sens négatif et positif de ce mot).

 

Maintenant si on dissocie faire l’amour (pour en tirer plaisir) et faire l’amour pour procréer (comme dans certaines familles où l’usage des contraceptifs représente encore le péché ou alors comme dans les familles qui utilisent ces contraceptifs, sans y voir de péché – ce qui pour éviter une trop importante croissance démographique est confirmé), nous sommes dans l’embarras pour nous prononcer sur les rapports sexuels, en l’absence de la vision du Paradis, comme avec le retour de la vision d’Atlantide, d’Ôz, de l’Eden, d'Arcadie, de Schtroumpf, etc.

 

D’autre part il y a aussi la notion de rapports sexués hygiéniques (ce qui est encore un autre plan / sujet – niveau de vérité relative, mais qui semble concerner beaucoup de gens). A ce sujet les robots pourraient représenter une façon de résoudre ce problème pour tous ceux qui ne croient pas possible attendre / connaître / rechercher la personne humaine de leurs rêves (on le sait, grâce à Fellini dans Casanova, Casanova finit par tomber très amoureux d’une femme automate – au point, peut-être, de la considérer comme la plus belle de ses aventures). Mais ici il ne faut pas oublier que Casanova n’est pas un modèle de vertu et qu’il est connu pour se faire dominer par son inconscience qui lui autorise souvent des choses que la conscience, pour des raisons précises (des paramètres indispensables constemment en mémoire), refuse (désapprouve). Mais il s’agit de la conscience sans la vision du Paradis qui est probablement différente de la conscience avec la vision du Paradis rétablie (en partie, au moins un jour par semaine !). Celle-ci pourrait changer à ce sujet d’autant la quantité de gens seuls qui n’ont pas accès aux relations physiques hygiéniques.

 

De toute manière, ces rapports sexués « hygiéniques » ne sont – en général – pas fertiles, soit féconds en naissance d’enfants à élever (auxquels transmettre des connaissances instructives, voire les bonnes manières pour rechercher des savoirs indispensables à tous). Il s’agit de rapports sexuels égoïstes – de gens qui ne cherchent pas à construire avec une personne de l’autre sexe – donc pas spécialement complémentaires – une histoire d’amour ou/et qui ne veulent pas attendre des enfant(s) à élever (cela concerne aussi toutes les personnes seules ou/et âgées). Ces rapports dits hygiéniques sont cependant une nécessité pour tous ceux qui n’ont pas la vocation de stoïques, soit en cela qui ressemblent à ces garçons qui préfèrent se conserver (conserver leur semeance) uniquement pour la mère de leurs enfants / descendance (vue autrement comme ascendance) et qui refuseront à l’intérieur de leur famille, avec les membres de cette famille, des rapports sexués.



[1] Un sujet traité par une personne qui n’a jamais bu d’alcool, -(voire qui n’a bu parfois que du cidre ou/et de la bière (et encore cela pas plus qu’une fois par semaine – ce qui n’est pas boire, ni dangereux pour la santé car c’est boire très sobrement de l’alcool, par exemple les seuls jours de fête)-, sera traité différemment que par une personne ayant bu régulièrement du vin -(et/ou des alcools, ce qui modifie plus ou moins l’état de conscience)-, et sera différemment traité par une personne n’ayant jamais bu d’alcool -(voire très peu, juste pour essayer et encore, cela, il y a plus d’un mois avant de traiter le sujet en question). Aussi se pose la question de boire de l’alcool ou de ne pas en boire -(certains métiers peuvent s’exercer en ayant bu un peu d’alcool aux repas, tandis que d’autres, comme celui des médecins ne l’autorise que fort rarement (voire pas du tout)-. Les arguments pour ne pas en boire ont pour socle (se fondent sur) les enfants -(on le sait les enfants n’ont pas le droit de boire de l’alcool (mais peuvent, par exemple y goûter sans danger à l’occasion d’une fête d’autant que l’alcool, dans certains SPOK peut être vu comme une sorte de médecine (donc de médicament). Pour ces enfants, en général, on trouvera des sodas, voire des eaux minérales pétillantes, voire des jus de fruits (ils vont à l’école et ont besoin de toutes leurs facultés intellectuelles pour comprendre les divers enseignements)-. Quand on écrit, il ne faut jamais oublier qu’on s’adresse aussi aux enfants -(en effet, un texte véritable doit pouvoir être lu aussi par des enfants – il faut donc continuellement veiller à la compréhension de ce texte par les plus petits, voire les moins instruits - d'où la nécessité d'apprendre à écrire avec clarté, ce qui contraint à plusieurs C. A. R. E. - corrections, augmentations, relectures, résumés, élaborations -, par conséquent (qu’)il y a la responsabilité de l’auteur d’engagée (aussi il est recommandé d’écrire comme quand à l’école nous avions des rédactions et/ou des dissertations à faire et qu'on nous conseillait / donnait quatre fois le temps de la rédaction pour nous relire (donc pour remettre au moins un CARE3). En effet cela paraissait normal de ne pas avoir bu de l’alcool avant de s’exprimer sur un sujet, donc d’être (encore) sain de corps et d’esprit, de ne pas être sous l’influence d’une drogue non plus, voire de ne pas avoir fumé). C’est pareil pour ceux qui traitent un sujet en étant de ceux qui sont devenus végétariens. Le sujet sera traité différemment de ceux qui sont omnivores, voire uniquement carnivores, comme les descendants des chasseurs qui se sont autrefois perdus dans les vastes territoires du grand nord, parce que ces ancêtres ne voulaient pas entendre parler de nourritures agricoles (en effet, ils étaient fils ou filles de chasseurs, voire d’éleveurs de bétail, ce qui sur les marchés leur rapportait financièrement de quoi survivre aisément). Ce sont donc les paramètres qui font la spécificité (au sens d’originalité) de nos existences respectives, nos bonnes ou/et mauvaises habitudes - nos traditions locales, régionales ou/et rRégionales (au sens de nationales) - qui influent (influencent) la manière de voir et les prises de décision(s) des uns ou/et des autres. C’est pourquoi on ne peut que rarement généraliser : chacun des êtres humains est différent, à cause de ses choix de vie (voire du contexte familial dont il hérite, la tradition, par exemple au sujet/sur le plan de l’alimentation). C’est aussi le contexte familial auquel on appartient et le nombre de vérités relatives, voire de vérités, voire de mensonges auxquels on a dû faire face, voire qu’on a, sans les discuter (les critiquer au sens d’analyser) intégré, qui sont constitutifs de chacune des personnalités différentes. D’où dans le cas contraire (quand on a trouvé les arguments les plus justes pour s’en défaire) l’extrême difficulté de se supporter les uns les autres, au point que chacun (la plupart) éprouve(nt), à partir d’un certain âge, la nécessité de s’éloigner de la famille d’origine, voire au contraire d’y rester tant on partage les points-de-vues de ses parents ou/et de ses frères et sœurs. On le sait, c’est l’Ecole qui peut être à l’origine de l’ouverture d’esprit, voire l’Université, si l’école a échoué (de notre temps, il y a aussi avec des spectacles, des concerts, des opéras, des chorégraphies, des expositions (de peinture et de sculpture) – bref des activités culturelles - certaines émissions de radio, de télévision, voire des informations et/ou les vidéos sur Internet qui peuvent y contribuer). Cette ouverture de l’esprit est donc conditionnée par les enseignements reçus / compris, ce qui peut avoir lieu au sein même de familles lettrées, dont les deux parents ont eu avant leur mariage ou/et pendant leurs fiançailles accès l’un et l’autre à la conscience, ce qui facilitera l’accession à ce bien fait dans l’être humain aux enfants de pareils couples (d’où les différences de chacun des enfants selon le contexte de départ - enfants de parents très conscients différents des enfants de parents en partie inconscients - cela handicape les uns et les autres). Aussi, nous devons comprendre qu’il peut y avoir sur un sujet de très nombreux point-de-vues différents, à cause des connaissances (des référents) et des expériences que chacun a en tête. De plus, il y a les habitudes prises par chacun à cause des vérités relatives dont on est constitué, quand on n’a pas encore accès soi-même à la Vérité qui est selon les sujets plus ou moins complexes, notemment à cause des progrès techniques et/ou technologiques (ou/et autres). Il conviendra de lire les données d’un sujet traité en étant continuellement à la recherche des dangers dont certaines affirmations (ne tenant pas compte de certains SPOK) sont porteuses. D’où l’extrême difficulté que représente croire, par exemple dans l’une ou l’autre des religions (comme il y en a plusieurs, la position du laïc tolérant, voire de la personne méfiante peut se comprendre bien que c’est cette diversité qui soit intéressante (enrichissante) si les responsables de ces religions se sont donnés la peine de faire de continuelles mises-à-jour – avec les religions chacun se trouve comme dans une fromagerie française (bien achalandée) avec des fromages plus ou moins différents les uns des autres, bien que chacun original (d'appellation controlée), ce qui encourage à petit à petit (à force de revenir dans cette fromagerie) les essayer chacun d’entre eux pour rechercher celui qui va obtenir la préférence (le suffrage), voire auquel on s’abonnera la prochaine fois, si on ne veut pas appartenir à ceux qui vont continuer à en acquérir de plusieurs sortes pour garnir leur plateau – c’est-à-dire qui considèrent les religions et l’histoire des religions comme complémentaires les unes des autres – ceux-ci, chez eux, ne conçoivent pas l’existence sans un plateau de fromages très différents qui se marient bien avec des pains de différentes sortes et qui vont très bien avec – il parait –  des vins de qualité). Pour continuer à croire à une religion, il ne faut pas oublier ce qu’elle a fait à l’origine comme bien (ce qu’elle a soigné comme maladies – en l’absence de la vision du Paradis): les arguments de certains auteurs en faveur de cette religion à laquelle on devra, par exemple, de nombreux progrès, grâce à l’instruction qu’elle a su développer, voire les objectifs qu’elle poursuit sur le plan économique et social, voire InterRégional (international).

[2] J’avais écris instancs – je me relis et rectifie mais conserve ce lapsus typographique pour y réfléchir le jour venu.

[3] C’était une idée que j’ai eu au cours de la conclusion de ma thèse de doctorat (http://granier.laury.free.fr/la_momie_a_mi_mots/la_these/sommaire.htm), celle-ci (l’idée), que les notes de bas de page permettent de rejoindre les ouvrages cités, voire directement les pages d’où la citation / le référent est extrait. Pour cela il faudrait pouvoir accéder aux textes cités comme des pages actives qui permettent d’y placer des signets reliés aux références de la note de bas de page du texte qu’on rédige (soit la note de bas/fin de page) qui, en cliquant dessus, mènerait directement sur la référence. Cela peut aussi permettre de retrouver le contexte auquel l’auteur.e que l’on cite a pensé et cela permettrait, dans certains cas, de mieux relativiser, voire d’encore mieux étayer par cet argument les différents niveaux de vérités du texte qu’on rédige.  

[4] Mais voilà le problème. Quand sont-ils mensongers et quand ne le sont-ils pas ? Quand la teneur d’un texte dépend souvent de l’époque où il a été rédigé et des paramètres constitutifs (pris en compte par)/ de l’auteur. Le point de vue d’un empereur -(fils d'un empereur ayant été formé à l'Ecole des Sciences Politiques et docteur en Droit et d'une impératrice professeure des Université)- ayant accédé à la bouddhéité -(c’est-à-dire à la conscience, par conséquent à la recherche du véritable Bien Général, voire à l’Intérêt Général)-, n’est pas le même de celui d’un empereur sur bien des aspects encore inconscient, voire ressemblant à beaucoup de gens encore sur la plupart des points inconscients -(voire ne disposant pas des meilleures informations)-, voire qui se sont autorisés à boire de l’alcool non modérément ou/et à se droguer– par conséquent ne se rendent plus compte des impératifs qui pèsent sur chacun. Pour cela il est probable que ces « empereurs » avant le pharaon Jean-Luc Granier de Saint-Gervais-sur-Mare et de Paris aient eu accès à des sommes d’argent escroquées et non de l’argent fruit de réels mérites : les crédits financiers propres et mérités de droit – CFPMD –. Aussi ceux qui ont accès aux cfu – crédits financiers usurpés, cff – faux – cfv – volés – cfé – escroqués – cft – trichés et etc. (les synonymes de cfi - illégitimes)  ne peuvent plus se rendre compte de ce que représentent comme efforts les gains/crédits/revenus des CFPMD (crédits financiers propres et mérités de droit), par conséquent parlent en inconscients, parce qu’ils ont (re)cherché à fuir les bienfaits intellectuels de cette conscience permettant d’accéder au bien ou probablement, en l’absence de cette conscience, au mal). Or, l’accès à la conscience permet de conseiller le mieux possible sur les sujets à traiter. C’est donc en conscience que les décisions doivent être prises. Il vaut mieux pour tous. Par conséquent ces décisions à prendre ne sont pas faciles (puisqu’elles ont au préalable requis d’avoir accès à la conscience, soit autrement vu au spirituel, au SPM – au sens positif de ce mot). C’est comme toutes les décisions qui sont prises par les ingénieurs pour améliorer des mécanismes, des machines et les rendre plus efficaces. On le doit à leur accès à la conscience qui les aide à déterminer le vrai du faux, qui leur permet, par étape -(c’est à dire parfois par approximations successives, de vivre des parenthèses de recherches)-, de réaliser ces améliorations.  

[5] Misàjour – pluriel : misàjour(s).

[6] En général pour l’avoir vécu eux-mêmes en s’étant tenus à l’écart de ce genre de tentation, mais aussi parce que chacun des enfants représente naturellement (comme cela a été le cas de/pour chacun d’entre nous tous), en extrapolant, une virtualité (au sens de possibilité) de mariage quand il atteint l’âge où il/elle croi(en)t pouvoir se marier (ce qui dépend – -(en raison de l’augmentation du prix du baril de pétrole – donc du renchérissement de la vie, à cause de la perte du pouvoir d’achat, du chômage, et des dettes accumulées par les Etats)-, - des moyens financiers dont ces enfants (jeunes) disposeraient pour fonder une famille). Il est certain que dans un monde où le prix du baril de pétrole serait à son prix plancher maximum d'un centime de dollar le baril, voire son prix le plus bas de 0,01 centime de dollar le baril -(et cela parce qu’à cent dix dollars le baril en 2014 tous les coûts pour l’extraction de cette matière première sont remboursés en quelques jours d’exploitation de la nouvelle réserve de pétrole)-, l’impératif économique ne pèserait plus sur les couples ni sur les famille à l’échelle universelle car toutes les dettes pourraient être remboursées, mais aussi le prix de chacun des produits n’existerait que pour les produits valant un million et cent mille dollars, cela quand le prix du baril de pétrole, en 2014 valait cent onze dollars, soit un million et cent mille fois plus du prix qu’il aurait été normal d’exiger (0,01 centime - le prix le plus bas) pour ce baril de pétrole de manière à voir apparaître/se révéler plus rapidement le Paradis. En effet, à ce prix de 0,01 centime de dollar le baril (https://www.facebook.com/groups/1624235357863902/) le pouvoir d’achat de ce 0, 01 centime de dollar le baril est au moins d’un dollar dix centimes, voire autrement vu de cent dix dollars, car la valeur du dollar, à mesure de la baisse du prix du baril de pétrole s’apprécierait et reprendrait (comme toutes les autres monnaies des pays les plus développés) de la valeur en proportion de cette baisse du prix du pétrole, au point qu’il est possible de penser qu’un dollar pourrait finalement permettre d’acheter l’équivalent (sous forme de produit(s)) d’un million cent mille dollars ! Il n’y aurait donc que les produits valant plus d’un million cent mille dollars à payer plus qu’un dollar. Cela signifierait aussi que le prix d’un objet valant cent dix mille dollars vaudrait dix centimes de dollar et que le prix d’un objet à onze mille dollars, vaudrait un centime de dollars, ce qui signifie que le prix d’un produit à mille cent dollars vaudrait 0,1 centime de dollars parce que le prix d’un produit à cent onze dollars vaudrait enfin 0, 01 centime de dollar. Toutes les économies de chacun des pays renaitraient de leurs cendres une fois les dettes remboursées, car ce prix du baril à 0,01 centime de dollar assurerait la naissance d’un nouveau monde, le plein emploi si on le souhaite, mais aussi d’être employé(s) quand on le pourra réellement (voudra) et cela pourrait financer la restitution de la vision du Paradis, en assurant dès la naissance de chacun des enfants un minimum végétarien universel et un habitat minimum (https://www.facebook.com/groups/1699136193661990/), comme d’accélérer la création de la Monnaie (Universelle) de l’Ôz (https://www.facebook.com/groups/1569624886686071/), la MÔz.

[7] (l’inverse aurait été – était – scandaleux (serait – pour certains aujourd’hui - scandaleux) : my heart (au sens de my body) belongs to daddy)

[8] La marraine – le parrain - est en général un.e ami.e de la mère d’un enfant à baptiser, voire du père. Elle /il appartien(nen)t donc à la génération des parents, voire des grands-parents, si ceux-ci sont suffisemment jeunes. Il s’agit de personnes qui se chargent, en l’absence des parents, de l’éducation du / de la filleul.e. Elle/il (le parrain) ne peut désirer que le bonheur de cette filleul.e, par conséquent s’interdit les relation(s) sexuelle(s) avec ce/cette filleul.e la/le sachant probablement destiné.e à son futur mari, sa future femme (par conséquent à l’origine d’une famille qui constitue dès l’âge de bébé une virtualité, c’est-à-dire une possibilité ou/et une issue), de même que chaque enfant peut-être vu comme une (future) personne âgée. Ceci dans le monde privé de la vision d’Atlantide, du Paradis, d’Ôz, etc.  Dans un monde où la vision du Très Saint Paradis serait revenue, c’est différent, d’autant l’existence des contraceptifs ou/et préservatifs. Mais ce qui est certain, c’est que ces relations sexuelles avec une marraine ou/et un parrain (appartenant à/de la même famille) doivent s’interdire de procréer (de donner naissance à un enfant) en raison des problèmes de consanguinité qui parait-il ont été à l’origine de malformations génétiques. Il n’est pas interdit d’éprouver des sentiments particuliers (originaux) à l’égard de sa marraine, voire de son parrain (d’autant plus qu’ils ne font pas partie de la même famille). Cependant il ne faut pas oublier le rôle que doit jouer un pareil personnage : celui de tuteur, à la mort d’une mère, ou à la mort d’un père (s’il s’agit du parrain), ce qui signifie pour la famille de l’enfant ainsi marrainé (ou/et parrainé) conserver cette amitié au moins tout le long du temps où l’enfant éprouve le besoin de voir régulièrement sa marraine ou/et son parrain (avec leaquel.le (lequel, laquelle, lesquels) on entretien parfois des relations de confidence(s), ce qui se produit aussi durant les époques où on ne dispose pas encore de RFPMD – revenus financiers propres et mérités de droit. Dans certains cas, cela n’est pas un plaisir pour l’enfant, mais un devoir, comme c’est aussi le cas pour cette marraine ou/et ce parrain qui néanmoins chez les chrétiens constituent des sécurités pour un couple qui, par exemple n’ont pas de frères et sœurs, sont fils et fille unique (comme mon père et ma mère), donc sans tantes ou/et oncles pour l’es enfant.s (l’enfant, les enfants).

[9] Cela ressemble aussi aux photos qu’on ne peut pas montrer n’importe où, voire qu’on doit tenir cachées. On les nomme pornographiques quand c’est le cas. Longtemps il a été préférable de ne pas les avoir à la portée de tout le monde. Les gens qui les assument en ne les cachant pas sont parfois plus honnêtes que ceux qui les cachent, voire n’en veulent aucune chez eux (parfois des Tartuffe). Cela peut avoir une raison valable qui est due au fait que les femmes et/ou les hommes qui posent nus (ou déguisés) dans ces photos ont été payés pour cela, ne l’ont pas fait gratuitement ou/et pour peu de CFPMD quand ils ont posé chez/pour des artistes. Il ne s’agit pas des photos ou de la vidéo d’un couple de gens qui s’aiment à la vie, à la mort (entre lesquels des sentiments sont nés solides, réciproques, voire avec des projets qui ont été réalisés ensemble) – donc qui sont dans un processus intime de construction d’une famille (ce qui signifie un jour ou l’autre publique). Il s’agit de photos qui recherchent à créer artificiellement par leurs entremises des sensations érotiques, comme les rêves ou/et cauchemars érotiques. L’amour, avec un grand A, est souvent (le grand) absent de ces images à vocation érotiques, voire pornographiques. En l’absence de la vision d’Atlantide ou/et du Paradis, ces images peuvent être (pour certains) à l’origine de péchés (puisqu’elles ont parfois été publiées pour inciter à pécher, pour aller dans le sens de ceux qui cherchent à pécher) pour ceux qui les consomment, voire d’informations concernant un des aspects de l’amour qui, s’il devient ainsi une habitude, sera à l’origine de l’involution de tous ceux qui ont participé à la création de ces images, par conséquent qui concourent à obtenir pour eux-mêmes une réincarnation tragiquissimis…simissime, malheureusissimis…simissime, tristissimis…simissime, cauchemardesquissimis…simissime, etc. en l’un ou l’autre des animaux prédateurs, voire impurs. En effet, la consommation (trop) importante d’images pornographiques met un frein aux progrès qu’on faisait, dès la prime enfance, pour essayer de comprendre les diverses dimensions sacrées de l’existence, voire de la Création – cela transforme en inconscient(s) (c’est-à-dire en individus qui peu à peu perdent leur conscience, au point de penser/dire des âneries, parce que la consommation -(excessive, voire peu importantes dans d’autres cas – parfois il suffit de peu)- de ces images leur font oublier de quoi est faite la réalité, à quoi elle obéit -(au Paradis, certainement pas aux cochonneries ou/et escroqueries intellectuelles). Ces personnes oublient qu’elles pourraient jouer un rôle pour améliorer les choses – peut-être pensent-elles, lorsqu’elles posent ainsi qu’elles concourent à rendre plus sexy le monde, par conséquent moins austère, ce qui peut être le cas dans certains SPOK – mais ce qui est certain c’est que de regarder de telles images fait courir des dangers de perte de conscience, par conséquent peut être à l’origine de la modification des meilleurs raisonnements – à la longue. J’ai pu vérifier (et le démontrer) sur moi-même, la perte de conscience rend aliéné – autre que soi-même – le masque de cette autre personne cherche à prendre le contrôle de s/la personnalité – la perte de l’identité de départ n’est pas rare). Cependant on peut imaginer au grand jour des relations sexuelles avec la personne dont on est aimé (et qu’on apprécie avec réciprocité de sentiments), comme les ont peintes de grands peintres ou/et de grands sculpteurs, voire les auraient photographiées de grands photographes, voire vidéastes ou/et cinéastes. Ici cela change tout, il s’agit d’images dont l’Amour (avec un grand A) est l’auteur/responsable (la nudité -(comme dans l’Origine de la Vie ou la photo de Serge Gainsbourg avec Jane Birkin nus faisant l'amour)- est à première vue sublimée grâce à la très docte analyse du peintre (ses tracés), devient matière à étude car c’est à travers elle la délivrance d’un message, d’une vérité incontestable comme dans Les Demoiselles d’Avignon de Ses Éminences Altesses Impériales Eanmeailleuriales Ses Saintetés Satana(na!)nas les lordissimis…simissimes Pablo Picasso). Si les appareils photos et les caméras existent, cela signifie que tout (la moindre chose) a le droit d’être regardé(e) par ce truchement photographique, vidéographique, film de cinéma, cependant il ne faut pas oublier, en l’absence de la vision du Paradis, les droits d’auteurs, ce qui est un autre plan qui existe parce que nos civilisations sont commerciales (ne peuvent pas fonctionner – en l’absence de la vision du Paradis) sans CFPMD (crédits financiers propres et mérités de droit). Seule la vision du Paradis (ce qui s’est heureusement produit cinq secondes en 1995) offerte gratuitement à tous sans exception -(à moins qu'on juge certains indignes de la regarder - cela pourrait donc devenir une peine infligée par la Justice: interdire de découvrir quand il est restitué le décor du Paradis)- pourrait permettre de changer progressivement les choses et cela à terme du processus de restauration de cette vision plus qu'admirabilissimis…simissime. Mais ce n’est pas sans danger pour tous, bien que cette vision, si belle (et c’est peu dire) autorise d’avance (le temps où elle existe) les moments les plus merveilleux à vivre -(même en ayant vu cette vision seulement cinq secondes cela peut suffire pour aller mieux – je l’ai vécu et démontré)- : enfin arrivés au Paradis (au point que j’ai ensuite régulièrement trouvé des preuves photographiques et vidéo de l’existence de celui-ci même sans que la vision d'Ôz ait été rétablie). Cependant en raison de tous les impératifs quotidiens de chacun, et en raison du développement de nos civilisations interconnectées -(le résultat de millions d’années de développements (changements, liaisons, etc.) et de travaux)- et en état de fonctionnement (c’est-à-dire étant dans des processus de complémentarité grâce aux échanges), cela ne pourra jamais excéder -(à terme, dans un premier temps)- vingt-quatre heures par semaine -(sur deux jours avec une alternance de six heures sans -(la vision d’Ôz)- toutes les six heures avec), car chacun de nous doit gagner des CFPMD en raison des charges financières qui pèsent sur lui/elle et les malades doivent pouvoir continuer à être soignés -(par conséquent contraignent comme toutes les activités de solutions alternatives élégantes à devoir travailler durant les cinq jours par semaine où la vision du Paradis n’existera plus – soit quand on redeviendra civilisés)- comme les enfants à être élevés. Cette vision du Paradis -(d’Ôz et de ces synonymes)- peut être aussi rétablie autrement qu'avec toutes les heures regroupées le week end, par exemple le mercredi et le dimanche, deux fois six heures, à midi et à minuit pour le Dimanche, et à six heures du matin et à dix-huit heures pour le mercredi, cela de manière à garantir les horaires sans la vision d’Ôz -(soit les heures où chacun d’entre nous avons des occupations, des travaux à mener)- tout en offrant aux deux hémisphères -(le nord et le Sud)- la même durée de vision du Paradis, en créant au milieu de la semaine une sorte de week end avec cette journée de sublimissimis…simissime beauté annonçant la suivante, quatre jours après, précédée du samedi où nombreux sont à l'avoir comme jour de congé hebdomadaire. Je rappelle que pour arriver à cela de nombreuses étapes sont nécessaires, puisqu’on partira de deux fois cinq minutes au cours d’une journée à l’occasion d’une des années prochaines. Je rappelle aussi que ce sera l’occasion pour ceux qui font de la photo et de la vidéo, voire du cinéma d’utiliser leur appareil pour enregistrer durant ces cinq minutes tout ce qui les entoure, de manière à publier cela, le jour venu, sur Internet, (ce qui augmentera leurs mérites) par conséquent, ce qui permettra de trouver en images, durant l’année, les effets de la restauration de la vision d’Ôz (d’Atlantide, du Paradis, etc.) dans des contextes différents (sous des latitudes et longitudes différentes). Année après année (en augmentant le temps de cinq minutes en cinq minutes, nous arriverons à montrer le Paradis quatre fois par an, deux fois par trimestres dix minutes à midi et à minuit, avant de proposer cela une fois par mois un quart d’heure, deux fois : à midi et à minuit et enfin poursuivre la logique de cette prise de la drogue -(en fait une sorte de merveilleux médicament)- de cette plus qu'immensissimis…simissime beauté qui soignera de très nombreuses personnes, car elles seront rassurées en étant ainsi régulièrement témoin(s) que le Paradis est retrouvé plusieurs millions d’années après sa disparition locale -(ce qui avait donné, entre autres, naissance aux différents arts sacrés, qui seront une fois de plus confirmés comme les solutions alternatives élégantes à la disparition du Paradis, rôles que reprendront ces arts dès qu’après ces prises régulières de la drogue de la vision plus que sublimissimis…simissime d’Atlantide, on reviendra à la situation qui est à ce jour du mercredi 19 décembre 2018 quotidiennement la nôtre, sans la vision du Paradis, d’Ôz, de l’Eden, d’Atlantide, d'Arcadie, etc., cependant qu’intérieurement et extérieurement, nous nous conduisons comme si nous étions déjà au Paradis, puisque nous raisonnons logiquement et de manière cohérente – en Vérité donc dans l’Intérêt Général et pour le Bien Général, dans/pour cette élaboration de programme de l’inverse d’un sevrage -(la prise progressive d'une sorte de drogue: la vision du Très Saint Paradis)- avec la progressive restitution de la vision du Paradis – ce qui devrait faire cesser les guerres, l’essentiel étant de réussir à nous offrir périodiquement à tous cette merveilleuse beauté – ce qui fera gagner des points à ceux qui l’avaient cachée. En effet, au lieu d'obtenir les plus tragiques et malheureuses réincarnations après leur mort véritable, ils obtiendront beaucoup moins de malheurs, parce qu'ils auront contribué à faire plaisir et à soigner de très nombreuses personnes à l'occasion des heures de rétablissement de la vision du Très Saint Paradis - dans lequel ils auront probablement un rôle important à jouer, ce qui leur fera gagner d'autres mérites).

[10] D’où, malgré ces progrès, le danger de commettre des incestes à l’intérieur de ces familles.

[11] Il ne faut pas oublier non plus que les êtres humains que nous sommes aujourd’hui ont commencé à exister (évoluer) à partir du moment où la vision du Paradis a disparu. Ce fut le début de l’aventure humaine (A. H.) et cela a pris beaucoup de temps que cette métamorphose en être pensant (calculant) dans/pour le Véritable Intérêt Général (V. I. G.) ou pour le Bien Général (B. G.). Nous devons à chacun de ces changements, à chacune de ces humanisations, comme à chacune des catégories au SPM (au sens positif de ce mot et non négatif dans d’autres SPOK) les petits progrès des êtres humains, voire dans d’autres SPOK, les plus grandes avancées. Cela serait probablement la fin de l’Evolution (donc la fin des progrès) (ici au SPM) si on rétablit la vision du Paradis au terme du processus de restitution de celle-ci au-delà du maximum de deux jours par semaine, car il faut veiller à ce que tous les jours -(y compris ceux-là où le Paradis sera visible partout autour de nous tous et sur chacun de nous)- tout fonctionne pour tous – donc à tous les niveaux (ce qui nécessite des gens bien conscients (des bouddhas) – ayant eu accès à la conscience à l’origine des différents progrès individuels en donnant accès à la compréhension de/s (l’)Univers). Le rétablissement progressif de la vision du Paradis ne peut se produire que peu à peu sur un nombre d’années plus ou moins important selon qu’on choisisse la prise de ce médicament -(la sublime beauté de ces révélations sur notre décor quotidien)- rapidement ou par prudence en prenant le temps -(ce qui peut être une erreur, du point de vue des nouvelles générations – on le comprend aisément - impatientes de découvrir le Très Saint Paradis et qui seront plus facilement capables de s’adapter à la restauration de la vision du Paradis que les plus âgées, tout en continuant à comprendre les matières scolaires à étudier pour être dignes des ancêtres qui n’ont pas eu la chance de voir le Paradis pendant de très nombreux millénaires, mais qui ont permis – grâce à leurs travaux – que les solutions alternatives élégantes à sa disparition soient connues de tous ceux qui, en raison de cela, se sont assez souvent crus au Paradis, en ayant à étudier ces différentes matières/disciplines, voire à se spécialiser dans l’une ou l’autre, voire si possible dans chacune).

[12] Issue d’une famille …

[13] La disparition de la vision d’Atlantide (d’Ôz, etc.) est advenue à cause d’une répercussion (dans le passé très lointain) de ce qui s’est passé d’atroce, en utilisant la salle des machines soudain d’une manière inconsciente – par conséquent par des gens privés de conscience ou/et l’ayant en partie perdue (n’obéissant plus qu’à l’arbitraire, voire à leur subjectivité, par conséquent en menteurs par rapport à l’analyse objective des SPOK – situations précises, occasions, cas particuliers). Petit à petit, chacune des civilisations (au sens aussi de religions) a été confrontée au problème du mariage, ce qui rendait publique des sentiments, voire des calculs, parce qu’on établissait une liaison, une alliance -(impliquant la constance, à cause d’une descendance souhaitée, recherchée)- avec une personne du sexe complémentaire. Quand la vision du Paradis était continuellement le lot quotidien de nos ancêtres les plus éloignés -(qui vivaient éternellement)- il n’y avait probablement pas d’institution du mariage, puisque chacun de nous vivait dans ses arbres fruitiers, mais il est probable que la notion d’espace vital existait en étant connue de façon innée, reconnue comme une nécessité -(je rappelle qu’en architecture cet espace vital est résolu grâce aux maisons à étages, voire les gratte-ciels)- à mesure que les enfants grandissaient -(ils devaient chercher ailleurs des lieux où trouver de quoi se nourrir, voire pour vivre auprès d’une personne choisie – l’étude de la vie des singes vivant dans les forêts et se nourrissant des fruits des arbres est à ce sujet riche en observations qui nous renseignent sur les comportements de ces ancêtres des êtres humains – ces singes ont continué à vivre – même sans voir le Paradis de la même manière que leurs plus lointains ancêtres – ce qui est important de connaître / savoir est de quoi ils se nourrissent pour retrouver, grâce à eux, quelques-uns des composants les meilleurs pour la santé de l’alimentation des origines).   

[14] Il convient de comprendre cela dès la petite enfance -(les adultes devant avoir du respect pour tous ces enfants qui s’abstiennent de relations sexuelles parce qu’ils ne veulent pas trahir (au sens de tromper) leur moitié)-, voire l’enfance avec des cours d’Ecole concernant l’appareil reproducteur (la reproduction humaine). Aussi l’enfant comprend, grâce aux sciences naturelles, ce qu’il représente comme virtualités -(au sens de potentialité)- et comme complémentarité avec son époux ou/et son épouse -(c’est selon selon). Evidemment toutes les autres matières scolaires sont la possibilité d’étudier des sujets qui, à terme, permettent de penser et de construire avec les futurs dialogues, mais aussi les futures recherches par des approfondissements de celles-ci. C’est qu’il y a beaucoup de gens à bord, par conséquent beaucoup de point-de-vue dont tous ceux incomplets ou/et faux qui sont à l’origine des erreurs ou/et des fautes, comme les péchés. C’est pour cela que l’enseignement des religions, de leurs différences, sont des matières complémentaires essentielles aux études scientifiques de/en biologie. Mais nous vivons l’époque des études par catégories -(disciplines ou /et matières)- ce qui empêche tous ceux qui n’ont pas encore accompli de métamorphoses en bouddhas -(c’est à dire en éveillés ou/et en ceux qui ont accès à leur/la conscience)- d’établir des sortes de ponts -(au sens de créer des liens)- entre ces disciplines / matières /catégories. Étudier l’appareil génital sans l’étude des religions, par conséquent l’étude des disciplines qui ont permis à de nombreuses personnes d’accéder à la compréhension des éléments sacrés de nos existences (notemment grâce à l'institution du mariage), c’est ne pas rechercher à ouvrir les enfants aux dimensions spirituelles qui contribuent grandement à la compréhension du véritable amour: l'Amour.