Au sujet
du rétablissement de la vision du Paradis, quelques réflexions
Par Laurie
Granier d’ex-Atlantide Lang d’Ôz,
(CARE5)
Il faut se rendre à
l’évidence : jamais Dieu (et encore moins l’Immense Architecte de l’Univers)[1]
n’ont exigé que les peuples appartenant à cette planète (nommée localement par
la plupart des autochtones la Terre) soient contraints à travailler huit heures
par jour pour être rémunérés[2].
(Rappelons qu’autrefois c’était parfois plus de dix heures par jour et pas
seulement huit heures – aussi il y a eu ce qu’on appelle un progrès qui a permis
de dégager un peu plus de temps libre pour se reposer – cela a eu aussi pour
conséquence l’allongement de la durée de la vie, car les gens sont moins vite[3]
fatigués[4]).
Si l’argent[5]
a été inventé comme monnaie d’échange[6],
c’est qu’il s’est avéré, à partir d’un certain moment dans l’Histoire de
l’Aventure Humaine (H. A. H.) nécessaire pour acheter des produits qui parfois
nécessitent des transports de longue(s) durée(s), car ils proviennent de
rRégions (pays au sens de nations) fort éloignées et nécessitent des peines
parfois importantes pour arriver à destination, sur les marchés où ils sont
proposés. On paye dans ces rRégions lointaines avec la monnaie qui est souhaitée[7]
sur place
(ce qui donne alors une forme de crédit à celui qui reçoit la somme d’argent,
par exemple en dollars ou/et en euro, voire autrefois en francs suisses ou/et en
livre-sterling - en fait dans l'une ou l'autre des monnaies qui prennent de la
valeur (ont des probabilités de s'apprécier) sur le marché des changes, voire
sur place dans la monnaie qui a cours légal:
sur place[8])
parce que celui qui est payé a (en raison de ce que les transports coûtent – ne
sont pas encore gratuits (à l’heure où j’écris ces lignes)) lui aussi des frais,
c’est-à-dire des dépenses pour réaliser les produits qu’il propose à la vente
(cela va du plus simple des produits, l’une ou l’autre des matières premières,
aux plus sophistiqués qui ont requis la transformation de nombreuses matières
premières pour être élaborés pour/à fonctionner – c’est-à-dire marcher pour ce
qu’on escompte, c’est-à-dire souhaite, voire ce qui est clairement annoncé comme
fonction de/à ce produit). Il demande à être payé pour, entre autres, se
rembourser des dépenses effectuées pour réaliser des objets, ou/et des aliments
(mais aussi d’autres biens(faits)) dont il peut se passer, parce qu’ils sont
(dans certains SPOK) (par lui) produits en très grande quantité[9],
par conséquent dont le surplus peut être proposé à l’exportation, sur le marché
tant rRégional (local, national) qu’extérieur.
Bref on avait (autrefois –
avant l’ère industrielle de la motorisation qui a réduit considérablement les
temps de trajet pour franchir des distances) l’habitude de dire que « l’avenir appartenait
à ceux qui se lèvent tôt ». C’est parce que cette phrase a été comprise et
méditée, que petit à petit les gens ont pris l’habitude de se lever tôt,
d’autant la quantité de travaux / peines que chacun d’entre eux se donnait pour
bien élever leurs enfants. On le sait, tant qu’on n’a pas d’obligations (au sens
de responsabilités) de ce type (élever ses enfants), il est possible (pour certains des plus
chanceux) de faire plus ou moins la grasse matinée. Être responsable d’enfants contraint à
devoir réfléchir à des tas de choses, d’autant plus si les enfants qu’on a n’ont
pas encore accès à la conscience (ce qui se produit le plus souvent à/dès l'âge
de raison), par conséquent ne pensent pas encore à tout ce
qu’il convient de prévoir pour la journée du lendemain, voire pour passer des
vacances pour se reposer et changer d’activités (ce qui est bon pour la santé,
d’autant que cela ouvre sur d’autres sujets).
Or ce qui est dit à propos de
se lever tôt est dans certains SPOK (situations précises, occasions, cas
particuliers) vrai et dans d’autres SPOK faux.
Nous ne pouvons généraliser,
car à ce sujet chacun se trouve à vivre une vie originale, bien à lui (elle).
Chacun.e se trouve dans un contexte précis avec des atouts ou sans ces atouts de
départ (chacun évolue pour trouver sa personnalité originale – en fait pour être
fidèle à son âme, à ce qu'on a tiré comme enseignements de sa réincarnation
précédente, c’est-à-dire aux expériences formatrices durant la réincarnation
précédente, au résultat de ses connaissances, expériences,
pensées sur la réalité, voire sur les rêves qui sont en liaison avec la partie
inconsciente de chacun d’entre nous, si ces rêves et/ou cauchemars ne
résultaient pas de l’usage de la salle des machines (semblable à celle dans
Métropolis de Fritz Lang) par des
personnes devenues plus ou moins inconscientes qui les fabriquent dans l’espoir de rendre
toujours plus inconscients les sujets, leurs victimes, qu’ils essaient ainsi de pervertir, pour les éloigner de
leurs devoirs en général (d'avance) familiaux (à moins d'une vocation à devenir
célibataire), voire les intéresser à ce qui est faux, dépourvu d’amour
véritable, par conséquent d’amour avec un grand A, ce que la condition de
végétarien parfois offre, puisque celle-ci (cette condition de végétarien, voire
de fructivore) permet un jour ou l'autre (car/mais dans certains SPOK cela peut
prendre de nombreuses années) d’accéder à la conscience qui est avec la Vérité et
l’hyperissimis…simissime Éthique à l’origine de chacun des développements
intellectuels objectifs, c’est-à-dire ceux-là qui permettent de faire
fonctionner, voire réparer des appareils momentanément en panne. En effet, si on
tombe en panne c’est en remontant à la cause de la panne (en trouvant comment
et pourquoi elle a eu lieu), qu’on pourra trouver, en général le plus souvent, les moyens de réparer celle-ci[10].
C’est donc la recherche de la Vérité qui permet de trouver les remèdes aux
pannes, c’est-à-dire aux dysfonctionnements, voire à l’absence de logique ou/et
à l’incohérence de certains propos).
Il ou elle est aussi localement
le produit de l’évolution d’une famille (c’est-à-dire le résultat d’un père et
d’une mère – et parfois aussi – dans les cas les plus difficiles à vivre - de
parents seuls qui doivent assumer financièrement la situation de responsables
d’enfants qui n’ont pas la présence de leur père tous les jours pour les élever
et/ou les financer. Ce sont les familles mono-parentales[11]).
Pour subir les cadences
imposées dans l’Industrie qui se répercutent dans le mode de vie de chacun, il
faut qu’il y ait eu un problème, voire une habitude à se lever tôt pour se
rendre au travail pour obtenir des CFPMD (crédits financiers propres et mérités
de droit). Il faut aussi qu’il y ait eu des vérités relatives qui aient
été à l’origine de ces décisions plus ou moins générales de se lever tôt (ces
impératifs économiques). Ce sont par exemple les chiffres de l’Économie, ceux du
chômage, ceux de la concurrence qui essaie de réaliser le même produit en le
vendant moins cher -(parce qu’on a – à titre privé - par exemple réussi à le
fabriquer en plus nombreuse quantité dans un pays – une des rRégions du globe -
où la vie est moins chère, au sens où le niveau de vie est moins coûteux parce
qu’il s’agit de pays en voie de développement, voire sous-développés)-, qui sont
à l’origine de tous les efforts des travailleurs manuels. Ces efforts sont (on
l’a cru) nécessaires en tout cas pour ceux qui aspirent à acheter des produits
dont ils croient que ceux-ci les rendront plus heureux (voire qui faciliteront
leurs activités). On a donc créé des besoins qui sont à l’origine de la
nécessité de se lever tôt pour participer à la réalisation de ces besoins,
parfois des objets, parfois des voyages, parfois des instruments au service des
particuliers, parfois des divertissements, parfois des services, etc.
Nous avons pu vérifier cela du
temps de notre scolarité durant lequel le réveil était à 7 heures du matin pour
commencer la journée d’études en nous rendant à nos cours qui commençaient vers
huit heures à huit heures et demi du matin, après une nuit de sommeil qui
permettait de recharger les accus, de redonner de l’énergie après une longue
journée d’études et de devoirs à rendre dans chacune des matières étudiées. (A
l’époque nous entendions dire autour de nous que faire des études, ce n’était
pas » travailler «, ce qui était un mot qui sous-entendait des gains
financiers : travailler (pour obtenir de l’argent) était donc un verbe qui était
très différent de celui d’étudier. Or avec le temps, en grandissant, nous avons
pu remarquer qu’il y a des personnes qui ont continué à/d’étudier jusqu’à ce que
leurs études leur apportent des rémunérations, soit de l’argent. Aussi cela
signifie qu’à partir d’un certain stade (d’études) les études sont du travail
qui conduit à des rémunérations en échange, car il faut aussi songer à
rembourser ceux qui ont eu à payer ces études (en général la famille ou/et les
parents). Il s’est donc agi d’investissements[12]
financiers[13].
On peut donc comprendre la reconnaissance des enfants qui se rendent compte de
ce que leurs parents leur ont offert pour que ceux-ci soient à leur tour
capables d’obtenir des rémunérations (des RFPMD - revenus financiers propres et
mérités de droit) leur permettant à leur tour de proposer la même chose à leurs
enfants, ceux de la génération suivante.
Encore une fois, cette vie-là
de scolarité nous fut imposée par nos parents[14],
voire avant eux nos grands-parents qui l’exigeaient de nous, parce que des
programmes d’études devaient progressivement permettre dans un premier temps aux
plus doués d’obtenir le baccalauréat, ce qui ouvre alors la possibilité de
continuer à étudier, donc faire des études supérieures, ce qui permet alors (par
exemple) d’enseigner à ceux qui débutent à l’Ecole, par conséquent qui permet de
transmettre ce qu’on a appris, grâce à des professeurs des universités, voire des
maîtres de conférences qui livrent les produits de leurs recherches à ceux qui
se destinent à transmettre ces nouvelles connaissances, voire à ceux qui se
destinent à continuer à étudier (pour, par exemple, être de ceux (parce qu'ils
sont des chercheurs) qui vont
trouver des solutions alternatives élégantes (SAE) aux problèmes qui se posent
quotidiennement dans chacune des disciplines étudiées qui, on le sait, sont
souvent des bibliothèques entières de savoirs ou/et connaissances de SPOK –
situations précises, occasions, cas particuliers).
Mais nous nous rappelons que
chaque matin le réveil était dur à supporter, nous avions envie de rester au
lit, de continuer à nous reposer à cause de la difficulté qu’avait signifié à
notre échelle la journée précédente, si on voulait continuer à faire partie de
ceux qui progressent à/par l’Ecole. Jour après jour, nous accumulions quantité de
connaissances à assimiler d’autant plus de toutes celles véhiculées par la radio
et/ou la télévision (en noir et blanc) à laquelle certains d’entre nous avaient
déjà accès. L’arrivée du week end
n’était pas de trop (car certains établissements ont fini par proposer le
week end le vendredi après-midi, ce
qui permet de prendre le train pour rejoindre sa famille, parfois en ayant à
voyager jusqu’à tard dans la soirée, sinon d'arriver en fin d'après-midi du
vendredi)[15].
Pour nombreux d’entre nous, ce W.E. (week end) signifiait la possibilité d’avoir accès à
d’autres activités, mais aussi à des divertissements. Le repos hebdomadaire
était bien mérité, même si nombreux d’entre nous consacraient du temps à la
religion et comprenaient que Dieu avait bien fait de se reposer le septième jour
de la Création. De cette manière chacun d’entre nous a pu penser – en étant
bénéficiaires du week end – qu’ils
étaient un peu comme Dieu qui se repose le septième jour[16].
Mais nous comprenions aussi que nous avions de la chance d’avoir deux jours de
vacances : le week end complet pour
le dépenser/consacrer après tant de difficultés surmontées durant la semaine, à des
divertissements ou/et des activités nommées
hobbies (de loisirs).
Nous sommes donc nés dans une
région du monde où des habitudes – probablement le fruit d’expériences
nombreuses, voire des deux derniers millénaires, avaient été prises par notre
entourage à se lever relativement tôt pour nous demander de rejoindre ces écoles
ou lycées et recommencer, comme la veille, à étudier dans chacune des matières,
et cela parce que nous avions à nous former, les uns et les autres à avoir des
bases en commun (des connaissances/données en commun) avec ceux qui nous ont
précédé dans l’obtention de diplômes certifiant que ces compétences étaient
acquises / enregistrées, au point que nous pourrions les mettre, à notre tour, à
la disposition de la société, le jour venu. C’est ainsi que les plus âgés
d’entre nous aidaient les plus jeunes dans certaines des difficultés que ceux-ci
rencontraient, au point de devenir un peu leurs professeurs quand ceux-ci
n’arrivaient plus à résoudre leurs exercices /devoirs.
Mais nous devons reconnaître
que c’est en bénéficiant de l’expérience de nos parents, voire d’amis de nos
parents, que nous acceptions de fournir les efforts (parfois stoïques) pour
reproduire ce qui avait été imposé à ces parents ou/et grands-parents comme
peines pour réussir leurs respectives scolarités qui, nous le rappelaient-ils,
ne donnaient pas lieu à des avantages financiers tout de suite, mais qui, parce
qu’elles étaient suivies, contribuaient aux futurs salaires, voire futurs
émoluments, voire à des revenus financiers propres et mérités de droit (RFPMD)
que nous aurions, (qui de cette façon nous étaient comme promis) une fois qu’on
aurait trouvé le métier (l'activité professionnelle) pour lequel ajouter/apporter sa force de travail,
bénéficiant de toutes sortes de connaissances utiles apprises durant ces années
de formations qui ont constituées, pour chacun d’entre nous tous, des
investissements financiers parfois fort importants (par exemple en temps[17]
- ce qui permet d’évaluer en CFPMD le taux / prix de l’heure de
travail) que nos respectives familles assumaient, en ayant tous à se sacrifier
(financièrement) pour celui ou celle d’entre nous ayant le plus de difficultés
scolaires.
Il était tacitement
compréhensible aussi (comme pour la plupart de nos ancêtres avant nous) qu’il y
avait aussi (pour tous) un enjeu matrimonial[18]
ou plutôt la perspective d'alliances matrimoniales qui contraignai(en)t à supporter toutes ces
formations qui avaient pour but de nous faire trouver une voie rémunérée
financièrement parlant, de manière à assurer à notre tour l’indépendance
financière de chacun d’entre nous, une fois au service de la profession finalement
trouvée.
Tout cela est advenu bien sûr
en raison de la loi de la quantité sur fond de continuelles concurrences avec
les autres enfants de notre génération, mais aussi avec la concurrence de ceux
qui nous précédaient (qui étaient plus âgés et avancés dans le même parcours des
études que nous aurions à notre tour à comprendre comme eux, voire à notre
manière – certains d’entre nous ayant institué un rapport original avec les
connaissances enseignées).
Mais encore une fois Dieu
(voire le Grand Architecte de l’Univers) ne s’étaient (que je sache) exprimés
pour nous contraindre à de telles (infernales – au sens de difficiles cadences)
journées d’études, pas plus que cela n’a été imposé aux ouvriers ou/et aux
travailleurs de toutes sortes (ces journées
non stop de travaux). Dans certains
SPOK, ce sont des gens qui ont prétendu parler au nom de Dieu (donc des
personnes censées avoir accédé à leur/la conscience) qui ont proposé
ces études, ce genre d’existence aux travailleurs pour leur apporter les
rémunérations dont ils avaient besoin pour (sur)vivre, puisque chacune des choses
qu’ils désiraient comportait encore un prix, coûtait. Ce prix pour être déterminé (conçu)
dépendait de plusieurs facteurs (paramètres) étudiés en vérité, dont celui des
répercussions du prix des transports touchant à tous les niveaux de nos
sociétés, donc y compris les
acteurs ayant participé à la réalisation de ce bienfait. Aussi il ne faut pas
avoir fait Polytechnique(s) ni Normal Sup. pour comprendre que plus le prix de
revient est important (plus il y a eut de dépenses faites pour réaliser un
produit commercial), le prix du produit final sera élevé et moins on aura de
client(s) (ce qui limite alors la production), si on est ainsi contraint (à cause des dépenses liées aux transports)
de limiter la quantité d’un bien (d'un produit) réalisé. Mais on comprendra aussi que si on
produit en nombreuse quantité un bien, plus il est possible de le proposer
moins cher, d’autant plus que nous sommes encore à l’époque où chacun est plus
ou moins contraint de travailler huit heures par jour (ce qui permet – en
cumulant les heures de chacun – d’abattre avec l'ensemble des collègues plus de travail). Ne travailler que ce
dont on se sent capable (donc en réduisant fraternellement le temps de travail de chacun des
ouvriers au stricte minimum dont ils se sentent capables - je pense ici au film
Dionysos de Jean Rouch - n’est possible que si la valeur de la monnaie dans la zone en question
est élevée, car elle garantie alors le pouvoir d’achat, ce qui permet alors de
travailler beaucoup moins de temps de manière à être moins payé (car la monnaie
a pris beaucoup de valeur, ce qui rend tous les achats sans exception moins
chers / onéreux/ coûteux). En effet avec
moins de rémunération en RFPMD – revenus financiers propres et mérités de droit
– on peut alors acheter plus (ce qui est intéressant, voire permet à terme -(une
fois que le prix du baril de pétrole sera à son prix plancher maximum de un
centime de dollar le baril pour qu'enfin toutes les monnaies puissent valoir
leur plus réelle valeur, par exemple fondues dans la monnaie mondiale de l'Ôz,
la MÔz)- de travailler
beaucoup moins, par conséquent de devenir millionnaires (même ceux qui
aujourd'hui encore mendient) facilement (puisque tous les prix
baisseront, même s’il faudra embaucher plus de gens (puisque beaucoup d’ouvriers
étant en réalité payés beaucoup plus qu’autrefois vont vite comprendre qu’ils n’ont plus
à travailler autant d’heures, ce qui permettra de résorber le chômage, puisqu’on
pourra proposer aux chômeurs les heures de travail (de ces collègues satisfaits
de leurs conditions de travail / paiement) en moins de ces ouvriers
ayant enfin gagné (grâce à la monnaie ayant augmenté sa valeur), du pouvoir d’achat, au point de retrouver du temps pour se
divertir, voire étudier, voire agrandir son logis – les sollicitations de
produits superflus ne manquant pas et étant proposés à des prix qui auront
répercuté la baisse du prix du baril de pétrole pour être proposés moins chers /
onéreux/ coûteux, en assurant ainsi le plein emploi parce que les quantités
produites seront à la hausse étant donné que les prix de ces biens de
consommation auront baissé).
Alors comment faire pour
réaliser un monde où chacun de nous pourrait ne pas être obligé à
travailler sans pour autant faire augmenter les prix, voire en voyant baisser
les prix ?
Rien de plus aisé : pour cela
il faut (et je le demande depuis 1977) baisser le prix du baril de pétrole de manière à ce que tous les prix
baissent en proportion de cette baisse. C’est ainsi aussi que tous pourront
travailler le temps qu’ils veulent offrir aux autres en échange de ce que chacun
apporte comme temps de travail qui peut continuer à être rémunéré à un prix
intéressant d’autant plus de la production de ces produits en grande quantité,
parce qu’il y a enfin l’accroissement du pouvoir d’achat parce que tous les prix
auront baissé, ce qui résoudra la crise économique, parce qu’on pourra proposer du travail
à tous les chômeurs parce qu’on pourra de nouveau produire en grande quantité
parce que la demande de superflu augmentera (en effet aujourd'hui les biens de
première nécessité peuvent être acquis par ceux qui reçoivent les allocations
des plus pauvres, alors que si les prix baissent, cette classe sociale pourrait
elle aussi avoir accès à d'autres biens de consommation). En effet, la crise économique due à
l’augmentation du prix du baril de pétrole n’a plus permis qu’à très peu de
personnes d’acquérir du superflu, c’est-à-dire ce qui n’est pas indispensable
comme les biens de première nécessité. Chacun a dû faire attention à ses
dépenses, parce que chacun des prix des produits augmentait en proportion de la
hausse du prix du baril de pétrole, (donc en raison de la loi des conséquences
qui est synonyme de la loi des répercussions) ce qui a constitué un frein-à-main
tiré de plus en plus fort sur toute l’Economie, au point que de nombreux pays
ont dû s’endetter d’une manière inimaginable et sacrilège envers les droits des
générations à venir de vivre sans obligation de travailler, parce que (re)devenus
végétariens, par conséquent comme à l’époque où nos ancêtres les plus éloignés
voyaient tout autour d’eux la magnifiquissimis…simissime vision du Paradis. En
effet, l’être humain n’avait pas encore eu à forger des armes pour se défendre,
voire pour chasser -(comme cela a été le cas après le problème de la TGC – très
grande catastrophe - avec l’invention de la mort par cette entité – aujourd’hui
morte depuis 2005 - n’ayant même pas de corps, mais étant dans la haine la plus
noire et hideuse : satan)- dans les régions autres que celles de l’Équateur où il
a commencé à s’aventurer plus ou moins prudemment en découvrant qu’il avait de
constants besoins, à cause de l’existence des saisons, ce qui a progressivement
contraint l’être humain -(n’ayant plus accès à la salle des machines – ne sachant
même pas qu’elle existait)- à devoir s’ingénier.
Pourtant, ces enfants qui n’ont
pas pu aller jusqu’au bout de leurs respectives formations intellectuelles et
ont quitté l’École tôt, vers seize ans – voire certains plus tôt encore, vers
quatorze ans – ont recherché du travail pour être rémunérés, parce qu’ils
avaient parfois trouvé la femme de leur vie avec laquelle ils entendaient
constituer une famille (vivre ensemble, avoir des enfants). C’est donc les
besoins économiques (financiers) qui ont poussé de nombreux adolescents à
quitter l’Ecole (avant terme) pour avoir à servir dans les occupations /
activités de travaux divers qui se sont présentés à eux, avec un nombre d’heures
de travail à fournir de manière parfois à n’obtenir
que le Smig, voire pour certains plus que le Smig, s’ils n’étaient plus des
débutants en ayant fait l’acquisition de compétences, voire en se spécialisant.
C’est que nous sommes tous nés
dans une époque qui est le résultat de nombreuses choses qui sont elles-aussi le
résultat de très nombreuses pensées de tous ceux qui ont essayé de donner les
meilleurs avis, à travers leurs respectives œuvres et expériences, mais aussi
parce que ces personnes ont été payées pour donner ces conseils les meilleurs,
parce qu’ils avaient été élevés pour discerner le bien du mal, par conséquent
être de bon conseil.
Et cela avait abouti à la
situation qui était la nôtre avec autant de gens dans le monde étudiant, donc à
priori capables de comprendre, voire de rechercher la Vérité, voire les vérités
relatives les plus justes.
Et parmi elles, il y avait
cette question concernant le rythme de vie que chacun s’imposait pour pouvoir
continuer ses études, progresser. Ici chacun a vécu un peu différemment sa vie,
mais il est à noter que les emplois du temps de chacun d’entre nous étaient très
remplis, voire moins remplis que d’autres. Il s’agissait d’heures que nous
consacrions à des matières dont nous avions l’intention de comprendre les
paramètres qui les constituaient. Bien que certains d’entre nous trouvaient du
temps pour aller au cinéma, au théâtre, au concert – bref pour se divertir, ils
n’étaient pas dupes : il s’agissait encore d’études sous des formes
audio-visuelles plus accomplies, comme si les études qu’on avait faites avaient
permis à certains d’entre nous de proposer des spectacles qui parlaient de leurs
découvertes et de leurs progressions dans leurs recherches.
Tous ces spectacles ou/et ces
œuvres d’art ont été possibles aussi parce que les responsables de ceux-ci se
sont levés tôt pour les réaliser, en s’imposant parfois des peines difficiles à
surmonter pour réussir à organiser ces heures de loisirs pour les spectateurs.
Aussi la plupart d’entre nous –
en raison du nombre de sollicitations extérieures – a continué à se lever tôt,
parce que chacun d’entre nous a des activités rémunérées qui leur offrent la
possibilité d’avoir des heures pour se divertir, voire se reposer en ayant des
activités culturelles qui sont nécessaires au meilleur équilibre de leur vie
active.
Pourtant quand on restaurera la
vision (mythique) d’Atlantide (Ôz, le
Paradis, l’Eden, Schtroumpf, Arcadie, etc. - des synonymes) petit à petit on pourra se lever
moins tôt, car cette vision admirabilissimis…ssmissime n’a pas empêché nos
ancêtres qui vivaient avec, de dormir.
Cette sublimissimis…simissime
beauté (de l’art à l’état pur) a permis très longtemps à nos ancêtres (qui
l’avaient continuellement autour d’eux et sur eux comme décor) de dormir car il n’y avait
pas le soucis de ne plus avoir de quoi manger. Aussi, ils s’endormaient
confiants en se laissant aller à l’inconscience, mais au sens positif de ce mot
qui est aussi celui de l’innocence.
Depuis la salle des machines
des rêves étaient réalisés pour ces dormeurs et ces rêves n’avaient rien de mal,
parce qu’ils étaient fabriqués en vérité, par des amis ou/et des connaissances
sympathiques.
[1] Nous
pouvons vérifier que toutes les écritures
sacrées proviennent de personnes (souvent
anonymes) ayant eu accès à l’éveil (de la
conscience) à l’illumination (par cette
conscience), bref à l’état de bouddha. Ce sont
ces personnes qui ont, au cours des derniers
millénaires, fait parler Dieu, parce qu’elles
avaient chacune découvert la sécurité qui existe
dans chaque homme et chaque femme pour accéder
aux connaissances du sacré, soit de découvrir
les mystères de la Création, en sortant de la
condition LAPIS (strictement
laïque,
uniquement
athée,
profane,
souvent de celle des
ignorants,
et parfois même sans le vouloir - voire en le
voulant - avec
préméditation de
sacrilège,
au bon comme au mauvais sens de ces cinq mots).
C’est effectivement la métamorphose – une des
caractéristiques donnée(s) comme possibilité(s)
aux êtres humains (qui en général la connaisse
depuis l’âge de bébé, car ils continuent à
grandir en se modifiant, en changeant à cause de
toutes les interactions qui se produisent à
partir de leur naissance) – celle que j’ai eu à
démontrer qui existe réellement – qui permet
d’accéder au monde de Dieu, voire de
l’Architecte de l’Univers et de connaître grâce
aux extrapolations à partir des principales
données de la réalité leur projet, c’est-à-dire le
but (les objectifs) de la Création sur le plan
local, mais aussi celui de chacune des
composantes de l’Univers. Aussi ce sont les
personnes qui ont eu accès à la connaissance
divine qui à partir de leurs expériences ont
cherché à conseiller le mieux possible leurs
contemporains, d’autant que ces personnes (pour
la plupart) avaient charge d’âme, en raison de
ce qu’elles étaient mariées et avaient fondé des
familles, ce qui fait alors connaître des
besoins, voire permet alors de mieux comprendre
ce qu’il est nécessaire de mettre en place
socialement parlant, ne serait-ce que pour
assurer la sécurité de chacun des membres de la
société (ce besoin de sécurité est une constante
qu’on retrouve dans la plupart des sociétés
organisées – on comprend que les principaux
responsables puissent collaborer entre eux en
ayant accès aux règles du Droit interRégional
(ex-international)). Aussi il n’a pas été rare
que des textes sacrés aient été écrits par ces
personnes ayant des responsabilités familiales,
voire à cause de cela aient à jouer localement
un rôle (+ ou - important). De grandes figures
sont alors apparues suivant les époques. Ces
personnes étaient parvenues à comprendre ce que
pouvait être Dieu. Elle l’ont fait parler dans
des textes dans lesquels il était question de
plus de justice (comme de réparer des
sacrilèges/péchés commis), mais aussi des droits
de chacun des êtres humains y compris ceux des
LAPIS (strictement
laïcs,
uniquement
athées,
profanes,
souvent
ignorants et parfois
sacrilèges,
donc au SNPM – au sens négatif et positif de ces
cinq mots) qu’ils ont respecté tant que ceux-ci
ne sont pas devenus nuisibles à ceux qui dans
cette condition d’êtres humains ayant eu accès à
la conscience qui recherchent la vérité, voire
leur âme (qu’ils auraient perdu, en s’agrégeant
à tous les LAPIS inconscients (au SNM – au sens
négatif de ce mot) ou/et demeurés adolescents
(au SNM).
[2] Cela
signifie que la vie nous a été donnée parce que
nous avions le droit à cette vie au Paradis, le droit de
vivre et d’avoir accès aux matières premières
qui composent la Création pour nous en servir
librement aux fins que nous aurions trouvé
bonnes pour la société des êtres humains avec
laquelle nous partageons les mêmes codes car
d’une façon ou d’une autre nous commerçons entre
nous tous. Ces matières premières sont souvent
nécessaires ou/et utiles pour réaliser des
produits de première nécessité, ce qui est une
activité de certains êtres humains qui ont le
désir de s’occuper pour être utiles à leurs
proches, voire dans certains SPOK (situations
particulières, occasions, cas précis) à la
société toute entière. En effet, les journées
ont vingt-quatre heures et il convient de
meubler quotidiennement les temps de vie qui
existent après tous ceux consacrés au sommeil
(voire ceux consacrés à la sexualité intime)
c’est pourquoi chacun d’entre nous s’est petit à
petit révélé utile dans/pour exercer des
activités (professionnelles), d’autant plus que chacun d’entre nous
a besoin de revenus financiers propres et
mérités de droit (RFPMD) pour survivre en raison des
dépenses (même minimales, celles de première
nécessité) que quotidiennement il/elle a à assumer.
Nous avons fait remarquer dans un autre de nos
textes que chacun ayant le droit de vivre sa
vie, cela signifie que chacun a le droit
d’accéder à un revenu minimum pour assurer sa
survie (la monnaie, les finances
sont une réalité qui nous concerne tous. Cela
permet au moins, avec une allocation ou/et une
subvention - voire une prestation sociale -, de survivre décemment, voire de
se former pour exercer une ou plusieurs
activités bénévoles ou/et rémunérées (car pour
la plupart d’entre nous ce
Minimum Mondial de Solidarité ou/et de
sécurité (https://www.facebook.com/groups/1699136193661990
ne suffit pas) dès la naissance. En effet, si
c’est bien à l’Etat qu’incombe de battre
monnaie, il s’agit d’un droit qui ne peut avoir
le droit d’exister que si des sommes d’argent
sont pour ce projet étatique équitablement
partagées/proposées (comme à chaque nouveau tour au
Monopoli) à chacun
d’entre nous qui doit aussi disposer d’un
minimum pour se loger (ce que les responsables
des logements sociaux proposent aux
bénéficiaires de ces allocations sociales). Il est donc
compréhensible que ce minimum vital ne pourra
s’obtenir dès la naissance -(que si
le prix du baril de pétrole – une matière
première indispensable pour tous – baisse.
Voir ici
https://www.facebook.com/groups/1624235357863902/)-
de chacun des enfants qu’à la condition que les
dépenses effectuées ne le soient que pour
demeurer ou/et devenir végétariens (la grande
mutation, comme je l’ai démontré en m’utilisant
comme cobaye, afin de retrouver grâce à cette
alimentation des plus saines ce qui est
indispensable à chacun : la cohérence du cerveau,
le coeur
en liaison avec la conscience), puisque nous
avons compris qu’il ne sera possible de
restituer progressivement (selon un emploi du
temps très précis (en suivant le calendrier que
j’ai proposé dans la note de bas de page n°9
dans mon texte intitulé de façon provisoire « le
fou … »)) la vision du Paradis qu’à la seule
condition d’effectuer collectivement cette
mutation d’omnivores que nous étions devenus (à
cause des migrations de nos ancêtres les plus
éloignés après la
très
grande
catastrophe
(la TGC)– la scission ou/et la division entre nous tous
au début de l’aventure humaine, A. H. qui a été
à l’origine de nos différentes espèces
(ethnies), selon les espaces géographiques
occupés). Ce MMS (Minimum Mondial de Solidarité
et …) en végétariens, ce qui était la condition
originelle de vie de nos ancêtres les plus
éloignés quand la vision du Paradis se voyait constemment partout (tout autour – mais aussi
sur les corps) avant cette TGC (la très grande
catastrophe), voire autrement dit/vu (« le
déluge », qui peut aussi se comprendre comme une
métaphore de la Seconde Guerre mondiale) donc
avant le problème, qui a contraint à petit à
petit créer sur toute la Terre l’ensemble des
religions pour que les responsables de celles-ci
puissent organiser la vie publique avant que la
plupart des Etats ne deviennent laïcs, au bon
sens de ce mot qui signifie tolérance envers
chacune des religions considérées chacune comme
une forme/sorte de catégorie en liaison avec ce
qui est sacré et ses corollaires, soit pour
certains du moins ce qui est du domaine de Dieu,
voire de l’I. Ô. (Immense Architecte de
l’Univers) pour ceux qui ont la tête dans les
étoiles. En effet, il est normal que des gens
qui refusent de faire le mal, voire d’être
complices de ceux qui continuent à faire le mal,
malgré l’existence des solutions alternatives
élégantes, aient effectivement le droit de vivre
et soient même subventionnés financièrement
parlant, en obtenant le droit dès la naissance
de disposer d’un revenu mensuel qui sera dans un
premier temps géré par leurs parents, tant que
ces enfants n’auront pas appris à gérer
eux-mêmes le budget dont ils disposeront,
celui-ci permettant de faire des économies pour
payer les biens de première nécessité, mais
aussi le droit de se divertir à des activités
culturelles d’autant plus si ils y participent.
En effet, il n’est pas normal (logique) que ce
droit de vivre qui a été reconnu dernièrement
officiellement par les principales institutions
n’ait pas encore engendré en toute logique
partout ce droit de disposer de ce minimum
mondial de solidarité végétarien et ce logement
minimal, car si l’argent (la monnaie) existe, cela signifie
qu’il doit contribuer à faciliter la vie de
chacun (qui sommes tous handicapés par l’absence
de la vision du Paradis), non à la rendre plus
difficile, non à obliger les uns ou les autres à
se prostituer (origine de nombreuses maladies)
pour en obtenir. Si tous ont reconnu que le
système capitaliste est le meilleur des systèmes
économiques, c’est parce que ceux qui sont des
capitalistes investissent (à travers les
banques) les économies de chacun d’entre nous
dans des entreprises qu’ils jugent plus ou moins
profitables à plus ou moins long-terme parce
qu’elles sont à l’origine de la transformation
des matières premières en biens de consommation
(parfois un élément de prospérité), ce qui
permet d’offrir des activités rémunérées en
RFPMD (revenus financiers propres et mérités de
droit) aux uns
et aux autres, qui pourront s’ajouter à ce
Minimum Mondial Végétarien de Solidarité (ce qui
alors permet de travailler le nombre d’heures
qu’on peut offrir à l’entreprise en question –
chacun selon ses réelles possibilités physiques
(psychiques) et ou/et ses
temps libres). Il faut aussi comprendre que
chacune des personnes est plurielle parce
qu’elle est plusieurs états différents, parce
qu’elle a aussi le droit au changement, selon la
progression de son existence. C’est d’ailleurs
déjà le cas pour tous ceux qui disposent sur
Internet d’un site. On pénètre alors dans un
territoire qui appartient à l’auteur de ce site
(comme quand on entre chez quelqu’un – on est
alors en territoire étranger, même si c’est chez
un ami et on le sait, parfois il y a plusieurs
facettes positives chez un ami). On prend alors
connaissance de tout ce qui a été publié
d’original qui caractérise le site qui est aussi
des superficies virtuelles – comme des
territoires, au point que j’avais donné la
solution alternative élégante pour résoudre le
conflit palestinien et israélien : que les
palestiniens disséminés dans le monde créent sur
Internet un Etat (virtuel) palestinien à partir
de chacun de leurs sites personnels, en les
connectant entre eux (voire en recréant
virtuellement sur Internet les lieux qu’ils
habitent, si ils en sont les propriétaires,
voire aussi les locataires (ceux-ci, on le sait,
ont aussi des droits) . Ce qui peut aussi être
fait par chacun des peuples ayant en commun une
langue ou/et un dialecte.
[3] Rien à
voir pourtant avec l’époque où le Paradis
existait, où nous vivions tous en Atlantide,
quand nos ancêtres ne mourraient pas ni
n’avaient de maladie(s), qu’aucune des armes
n’existait car nos ancêtres vivaient dans une
région de cette planète où on pouvait
continuellement vivre nus (le climat était à la
bonne température
toute l’année) et dans laquelle on se
nourrissait des fruits des arbres d’autant plus
facilement que tous volaient sans même avoir
besoin d’ailes, par la seule volonté (un peu
comme en apesanteur, par exemple, dans la
Station Orbitale Internationale – S.O.I.), pour
la nécessité d’atteindre un fruit situé sur une
branche d’arbre haut-placée. Bref nous avions
les capacités que Dracula a conservé puisqu’il
vole et peut se rendre invisible comme cela a
été le cas en 2005, comme je l’ai autre part
déjà raconté. Cette région dans laquelle
vivaient nos ancêtres avant le problème (qui a
déclenché l’histoire de l’aventure humaine :
HAH) est probablement située de nos jours au
Sahara, mais du côté de la ligne équatoriale où
il n’y avait (comme c’est toujours le cas)
qu’une seule saison toute l’année. Personne
n’avait songé à s’éloigner de cette région où
les arbres nous nourrissaient de leurs fruits
(aussi je fais ici le pari que ces autres
régions vers lesquelles il y a eu les migrations
ultérieures ont été créées en tant que des
sécurités à la Création, de manière à s’il y
avait un problème pouvoir petit à petit
canoniquement (légitimement) le résoudre, grâce
à ces autres régions si différentes de la zone
équatoriale où pendant des millénaires nos
ancêtres avaient vécu sur le plan alimentaire
en fructivores et cela même s’ils disposaient
dans leurs mâchoires de canines, la trace de
réincarnations précédentes dont ils étaient
parvenus à s’affranchir au point d’appartenir
enfin à l’espèce humaine, alors très proche d'une
des races de l'espèce des singes).
Là où nos ancêtres vivaient, il y avait dans le
ciel le spectacle constant des nuages, des
« merveilleux nuages » qui permettaient
continuellement d’imaginer à partir des formes
qu’ils prenaient (les formes que prennent les
nuages permettent d’exercer l’activité cérébrale
de l’imagination, par conséquent d’exercer son
intelligence, ce qui est indispensable à/pour
l’entretien de la conscience et de
l’enthousiasme - nuageothérapie oblige). Mais en plus de ces formes
extraordinaires, il y avait continuellement la
vision du Paradis, c’est-à-dire celle
d’Atlantide ou/et d’Ôz,
bref de l’Eden ou de
Schtroumpf (des synonymes), celle qui m’est
apparue en 1995, se révélant sur tous les murs à
première vue uniformément d’une seule teinte,
quand on m’a fait (avec l’intervention de
l’Architecte de l’Univers) l’empereur suivant
mon père qui est dans l’ordre chronologique
l’empereur suivant napoléon premier, puis adolph
hitler.
Pendant un bref instant, qui a duré au moins
cinq secondes, j’ai vu cette vision (mythique)
apparaître (se révéler) – elle n’était alors
plus mythique et encore moins une utopie, mais la réalité elle-même (et
croyez-moi je ne dormais pas, je ne l’ai pas
rêvée) - sur le mur que je regardais depuis la
fenêtre de la chambre où se trouvent (dans
l’invisible) emboités l’un dans l’autre les
sarcophages de napoléon premier et adolph hitler
(mais probablement aussi ceux des empereurs
précédents, empilés en poupées russes) et
vraisemblablement aussi celui de mon père avec
lequel je n’ai plus formé qu’Un seul. La vision
du Paradis enfin retrouvé est effectivement la
beauté à l’état pure, c’est une beauté
sublimissimis…simissime (et encore ici je
minimise par rapport à ce qu’il m’a été donné de
découvrir, car en réalité, il n’y a pas de mots
assez justes pour nous donner une idée de cette
merveilleuse beauté, bonté et bienfaisance mais
aussi charité et compassion à l’état pur (il faut comprendre
que cette beauté divinissimis...simissime existait tous les jours, à
toutes les heures, du temps où le Paradis
existait – c’est pourquoi nos ancêtres qui
vivaient en Atlantide ne mourraient pas, assurés
qu’ils étaient qu’ils étaient bel et bien nés au
Paradis). Peut-être certaines œuvres d’art,
quand elles arrivent à nous enthousiasmer
totalement sont dignes d’être comparées à cette
vision du Paradis que j’ai eu la chance de voir
avant que celle-ci ne me soit retirée, donc que
cette vision d’Atlantide (et de ses synonymes)
ait disparu. Au jour où j’écris ce texte, il a
fallu plus de vingt années de recherches et de
textes écrits par mes soins pour comprendre ce
qui avait pu se passer dans l’histoire de
l’aventure humaine (A. H.). On lira donc ces
textes que j’ai publiés sur Internet en tant que
lettres envoyées aux présidents de la république
française et
aux papes et/ou
cardinal
Vingt-Trois, mais aussi au
docteur Koechlin
comme
au président Macron.
On le sait l’apparition de la mythique Atlantide
sur toutes les parois et tous les sols (mais
aussi sur tous les corps) n’est
advenue que parce que devenu inconscient, je
m’étais alors dans ma tête menti à moi-même en
ayant une pensée qui a sans doute fait plaisir à
ceux qui ont alors actionné le TGV (très grand
variateur) relié probablement au cerveau de
chacun des êtres humains, ce qui a permis de
voir se révéler (apparaître) cette vision
(mythique) d’Atlantide (du Paradis). Mais après
avoir ainsi pensé cette chose mensongère, comme
je le fais d’habitude à propos de tout ce que
j’entends ou on me dit ou/et que j’écris, je me
suis imposé, par honnêteté intellectuelle, le
doute (ne serait-ce que pour me donner la
possibilité d’intellectuellement vérifier si ce
que j’avais pensé pouvait être vrai) qui a été
alors salvateur, car c’est parce que j’ai eu
cette honnêteté de remettre en cause la pensée
qu’alors inconscient (ne le sachant pas) j’avais
eu, que la vision du Paradis a disparu (si elle
avait persisté il est probable qu'il y aurait eu
de nombreux accidents), laissant
la place à l’habituelle ambiance d’« inquiétante
étrangeté » de la réalité, ce qui allait me
causer bien des problèmes pendant les dix ans
qui ont suivi car j’ai alors essayé par mes
efforts les plus difficiles à faire en peinture
de faire apparaître de nouveau cette vision du
Paradis. Cela a donné la série des
tableaux-partitions de Laury Aime (qu’on peut
découvrir en vidéo sur Internet) pour le
piano-peint de Michèle Finck que j’ai
presqu’entièrement décoré (il manque encore à
faire les parties latérales – ce que je ferai le
jour venu). Elle était alors ma fiancée jusqu’à
ma rupture de fiançailles en 2005, quand j’ai
appris que j’avais eu une amnésie d’une autre
fiancée, Christine Lang (et que Michèle le
savait). Mais j’ai alors créé – de 1995 à 2005 -
des œuvres qui témoignent de ma volonté de
(re)trouver la Vérité (qui l’était à l’occasion
de chacune des traces de peinture posée avec une
très grande difficulté, d’autant que je ne me
savais pas devenu par moment un menteur), ce qui
finalement s’est produit en 2005, en découvrant
par la même occasion qu’il y a dans chacun des
êtres humains une sorte de sécurité : par les
efforts physiques et psychiques constants, on
peut retrouver (si perdus) sa conscience et son
âme d’origine (donc l’originalité de sa
personnalité en général influencée par ce que la
conscience a discerné comme le meilleur). C’est
alors que je me suis découvert un bouddha (un
éveillé, un illuminé par cette conscience et mon
âme peu à peu, à mesure que j’ai avancé dans mon
auto-psychanalyse, retrouvée :). C’est alors
aussi que j’avais commencé une auto-psychanalyse
qui a permis l’intervention directement dans ma
tête de mon père accompagné d’une personne qu’il
m’a présenté en tant que Dieu, en fait cela me
faisait me souvenir avec joie de ce qui s’était
passé en 1977 quand déjà, une première fois
(avant mon amnésie qui dura vingt-sept années +
plus de dix ans de soins auto-psychanalytiques à
partir du moment où on me rappela ce fait majeur
de ma fiancée de 1977), j’avais fait la
connaissance de ce « Dieu » quand (la mémoire me
revint) j’avais eu à prendre en dictée la
Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale que j’ai
transmise à mon père, au fur et à mesure, parce
que j’étais alors apparu immense dans le ciel,
constitué de nuages, évoquant d’avance le futur
qui attendait chacun d’entre nous tous situés
alors vingt-sept ans avant l’époque d’où mon
double d’avance intervenait, ce qui avait permis
de faire/créer (pas seulement de le nommer) mon
père empereur, successeur de napoléon premier et
d’adolph hitler, parce que j’avais pris
connaissance de ce fait en 1995, alors qu’on
m’avait révélé l’immensissimiss…imissime beauté
d’Atlantide, soit d’Ôz
vers lequel, j’espère nous nous dirigeons enfin
vers
cette vision du Paradis nous étant peu à peu
restituée selon le calendrier que j’ai proposé.
Ce qui est sûr et certain c’est que c’est
la beauté (la vraie beauté) qui peut soigner les
uns et/ou les autres (comme dans les meilleurs
œuvres de théâtre où les conclusions sont
spirituelles et belles, par le truchement de la
catharsis). La vraie beauté est incompatible
avec la méchanceté (qui est à l’origine des
destructions, du mal), voire ce qui est sale
ou/et vulgaire. Aussi dans le monde qui est à
l’heure où j’écris ce texte encore privé de la
vision réelle du Paradis, ce qui est laid,
infesté de microbes, dans la tête faux (donc
impur) ne peut pas être vrai. En effet, la
pensée que j’ai eu qui a fait disparaître la
vision d’Ôz
retrouvée, était la vérité et a permis de nous
faire découvrir que ceux qui ont hérité du TGV
(le très grand variateur) sont devenus des
menteurs, puisqu’ils ont rétabli la vision
d’Atlantide (celle du Paradis) à l’occasion
d’une pensée mensongère que, souffrant, torturé, je
m'étais abaissé à avoir.
Cela signifie que ceux qui ont hérité de ce TGV
sont tous, à partir d’un certain moment dans
leur histoire individuelle (personnelle),
devenus menteurs, par conséquent qu’ils feraient
bien de faire des psychanalyses, voire pour ceux
qui ont le plus étudié parmi eux, des
auto-psychanalyses, voire des
vidéo-auto-psychanalyses pour retrouver le
moment où chacun d’entre eux a été trompé, au
point de devenir l’un ou l’autre des menteurs,
appartenant au groupe des menteurs qui
considèrent que la salle des machines
d’Atlantide est « cosa
nostra » (à eux : « cosa
loro »). Hélas chacune de ces personnes a
aussi cru possible croire dans satan (qui a été,
au cours des siècles, la personne de
l’empereur). Or nous avons pu vérifier sur nous
même premièrement qu'un satan de la sorte est un amnésique et un
ignorant (comme j’ai eu à le démontrer en
m’utilisant comme cobaye) et deuxièmement en
2005 nous avons constaté que l’entité satan est
morte (c’était un visage de femme et non
d’homme) quand par hasard, à l’occasion d’une
promenade digestive, je suis allé au jardin du
Luxembourg et que j’ai découvert la hideur de la
haine noire prisonnière de l’épaisseur de la
glace dans le bassin du Luxembourg. Il
s’agissait d’une entité qui n’avait même pas de
corps qui était dans l’épaisseur de cette glace
une sorte de gigantesque masque de femme dans la
haine noire et qui avait été comme pétrifiée par
le froid cet hiver-là. Cette haine est
probablement la cause de tous les problèmes,
voire des moments où chacun de ceux qui ont cru
au diable sont devenus des menteurs, voire ont
formé une sorte de groupe luttant contre cette
notion de Dieu que de nombreuses religions ont
pourtant essayé de célébrer du mieux qu’elles
ont pu (d’autant plus qu’elle est illustrée et
confirmée par cette magnifiquissimis…simissime
beauté du décor (quand est actionné le variateur
liée à cette vision), voire d’autres ont
seulement approché. Je rappelle ici que l’une de
ces religions a affirmé que Dieu avait fait
l’être humain à Son image, par conséquent avec
la sécurité qui était dans Dieu pour réussir à
retrouver son âme, voire sa conscience et
l’accès à la pleine lumière de la véritable
connaissance, par conséquent à la Vérité (cela
étant valable pour chacune des personnes s’étant
éloignée de cette notion de Dieu qui a
effectivement à voir avec la vision
admirabilissimis…simissime du Paradis retrouvé,
celle qu’on nous a montré au moins cinq secondes
en 1995 au moment où je devins le dernier
empereur. Cela signifie que cette beauté qui a
disparu au moment où j’ai émis le doute était
apparue parce que souffrant et amnésique de
nombreux éléments essentiels de mon existence
passée, je m’étais mis (en inconscient) à
mentir-vrai, au point que ceux qui écoutaient
mon cerveau penser ont cru alors pouvoir
rétablir la vision du Paradis, parce qu’ils
croyaient eux aussi (probablement sincèrement)
que ce que j’avais pensé pouvait être vrai. Or comme
j’ai eu par la suite à le démontrer dans mes
divers écrits, c’est le contraire qui est vrai
car ce que j’avais alors pensé était la pensée
d’une personne ne sachant pas qu’elle avait en
partie perdu sa conscience, à cause d’amnésie et
d’ignorance -(ce que j’avais eu à démontrer une
première fois entre mes deux ans et mes quatorze
ans – mais aussi de l’oubli de ma première
fiancée Christine ... Lang)- qui sont, comme je l’ai
démontré, à l’origine de la maladie de (la) satanite, soit celle de croire que la mort
serait créatrice, ce qui est totalement faux.
Elle ne l’est que de larmes et de maux, que de
maladies et de désespoirs, elle ne l’est que de
mensonges, par conséquent à l’origine de chacun
des microbes ou/et des virus, voire de chacune
des malformations génétiques, bref la
« créatrice » de tous les problèmes et malheurs
que chacun d’entre nous avons. Voilà ce dont
était « l’auteure » la satan (ce masque de la
haine d’une femme envers tous y compris Dieu) :
de toutes les misères et méchancetés, bref de
tous les malheurs : des détestables
« créations » qui sont au contraire des
destructions, par conséquent de ce qui a mené à
la mort génération après générations les uns et
les autres, de ce qui a été à l’origine de
toutes les réincarnations
tragiquissimis…simissimes,
tristissimis…simissimes,
cauchemardesquissimis…simissimes,
malheureusissimis…simissimes et etc. et cela
pour chacun de ceux qui ont préféré croire à des
mensonges, voire à des vérités incomplètes de
manière inconsciente, c’est-à-dire en ayant
perdu quelques-unes des facultés essentielles
qu’on peut (comme j’ai eu à le démontrer de
l’âge de quatorze ans à l’âge de quarante-deux
ans) retrouver grâce à cette sécurité qui existe
dans chacun des êtres humains pour raisonner
enfin plus justement (d’une façon plus cohérente
– cela évite alors de devenir, hélas, l’un des
fous dont l’inconscience – au SNM – au sens
négatif de ce mot (et non au SPM – au sens
positif de ce mot) - est l’origine), voire pour
comprendre en prenant le temps de l’analyse -(si
possible écrite car on peut mieux se corriger,
rectifier, s’auto-censurer, se contraindre à
douter avant d’affirmer, etc.)- chacun des
problèmes en vérité sur toutes ses facettes.
[4] Mais si
chacun pouvait travailler quand il en a envie,
voire seulement une heure par jour (pour être
rémunéré supplémentairement
au revenu minimum végétarien qui donne aussi
le droit à un logement de 14 mètres (voir ici
les textes publiés sur Face book dans les
groupes que j’ai créé à ce sujet :
https://www.facebook.com/groups/1699136193661990)
carrés en ville), est-ce que cela ne serait pas
mieux ? Personnellement je crois possible (au
sens de viable économiquement) une telle
existence et cela depuis 1977, au moment de mon
intervention à travers Espace et Temps,
c’est-à-dire au moment où mon double intervenait
du ciel à partir / (depuis les) / des années
2005. Si on avait obéi à ce que je demandai sur
place en 1977, cela ferait belle lurette que
chacun d’entre nous serait millionnaire, à
travailler aux choses dont il est capable (car
le pouvoir d’achat de chacun de ceux qui sont
payés, serait devenu plus important, voire immense).
En effet, le pétrole était à moi à plus d’un
titre : futur empereur -(mais qui l’était déjà,
puisque j’intervenais du futur avant même d’y
être, tant je suis vrai (et sans erreur, même si
à première vue j’en fais du point de vue de ceux
qui ont des préjugés, voire qui n’analysent que
superficiellement les choses sans tenir compte
des innombrables paramètres auxquels, par
contre, ma situation de bouddha (d’éveillé)
ayant eu accès à la conscience me contraint de
tenir compte), ayant fait la démonstration que
la vérité préexiste et qu’il convient d’avoir à
la rechercher pour la retrouver)- bouddha
(eanmeailleur) et découvreur de plus de 50% des
réserves de pétrole depuis 1982 géolocalisées par mes soins
(les coordonnées transmises depuis 2010 à travers Espace et
Temps, au cours de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale
qui commença en 2005 synchrone avec 1977). Aussi ceux qui ont
monté le prix du baril de pétrole sont ceux qui
ont saboté la Création (ils obtiendront, s’ils
ne s’amendent pas avant leur véritable mort, des
réincarnations en proportion d’avec les
conséquences de leurs péchés – en tant que
sacrilèges envers les lois du Commerce dont ils
sont constemment à bénéficier pour tous les
autres produits - sur tous les autres chapitres) en recherchant ainsi
artificiellement à rendre injuste cette
Création : en créant artificiellement (à cause
de ces augmentations du prix du baril de
pétrole) l’enfer sur Terre (la misère et la
pauvreté) alors que si on m’avait obéi, la
Paradis aurait existé pour tous du jour au
lendemain, d’autant qu’avec l’apparition de
l’anneau immaculé à mon doigts des pères de
famille, j’attendais des enfants de ma fiancée
Christine … Lang, mais aussi, (nous en étions
avertis depuis le Ciel), de Michèle Finck, c’est
pourquoi j’avais l’autorisation du Ciel de
constituer deux familles, d’autant que j’avais
les moyens, en raison de tout ce que mon double
d’avance dans le futur, du ciel, a transmis
comme renseignements précieux au cours de
l’Hyper Méga Dictée pour (par sécurité)
permettre de créer notre époque à partir de 2005
(où tout recommençait), si on ne m’obéissait pas
sur place. Je rappelle que pour la moindre des
malhonnêtetés intellectuelles ceux qui les
créent obtiennent des problèmes psychiques,
c’est-à-dire des dysfonctionnements dans leurs
neurones et synapses, ce qui peut mener
progressivement à l’inconscience (soit à l’état
de fou au SNM – au sens négatif de ce mot –
sous-entendu : et non au sens positif). C’est ça
qui a fini par créer la haine noire de la face
(la figure, un masque de deux mètres carrés) de
la reine de la nuit qui en réalité était satan,
soit en réalité une chose qui n’existe pas
-(c’était comme une très épaisse fumée, voire
comme la tête démesurée d’un fantôme noir)-, n’a
pas de consistance (parce que n’a pas de corps)
étant donné que la Création (et on en a la
preuve grâce à la vision d’Ôz)
a été belle et bien faite, même en ayant
d’avance prévu le pire pour nous conduire à ce
cas de figure canonique (de la Création) –
légitime -, c’est pourquoi nous avons pu
comprendre petit à petit que toutes les zones
situées hors de la ligne équatoriale (où
vivaient nos ancêtres du temps où était partout
visible Atlantide – le Paradis, Ôz)
ont été créées par sécurité, de même que les
étoiles et les galaxies (pour qu’on réussisse –
comme projet, à plus ou moins long terme pour
l’aventure humaine (A. H.)- à trouver le moyen
de rejoindre d’autres planètes, elles aussi
habitées), pour le cas échéant il faudrait
l’intervention de peuples en avance sur nous,
parce que dans leurs systèmes solaires, ce qui
est arrivé sur Terre ne leur ai pas arrivé (il
n’y a pas eu là-bas de maladie de satanite, soit
celle dont est responsable l’ignorance et
l’amnésie et leurs corollaires qui rendent
souvent sans cœur), au point qu’il est
probablement vraisemblable que ces systèmes
solaires dans lesquels ces extra-terrestres
vivent leur permettent de rejoindre plus
rapidement que la vitesse de la lumière (ce que
j’ai démontré est possible en intervenant en
1967 et 1977 depuis l’année 2005, synchrone avec
1967 et 1977) d’autres systèmes solaires (soit
en anticipant, voire d’avance), c’est-à-dire des
planètes où ils sont en relation avec les formes
de vie qui se sont là-bas développées. C’est la
raison pour laquelle il est aussi probable que
sur Terre nous ayons petit à petit découvert
chacune des solutions alternatives élégantes à
toutes celles qui contraignaient à pécher par
rapport à l’origine de la Création où je
rappelle que nos ancêtres les plus éloignés (qui
vivaient alors au Paradis) étaient fructivores
(mangeurs de fruits des arbres et/ou des
plantes: et c’est pour cela qu’ils ne
commettaient aucun péchés, comme cela doit-être
le cas dans l’une ou l’autre des planètes
habitées dans l’une ou l’autre des galaxies où
il n’y a jamais eu de satanite, soit autrement
vu les tentations d’adolescence (au SNM – au
sens négatif de ce mot et non positif dans
d’autres SPOK – situations précises, occasions,
cas particuliers) pour cause d’amnésie et
d’ignorance, voire d’autres raisons (causes) –
comme j’ai eu à le démontrer en m’utilisant
moi-même comme cobaye).
[5] (au sens
de la Monnaie)
[6] En raison
de la rareté de ce métal qui l’est dans des
proportions bien moindre que l’or qui a lui
aussi (en son temps) servi dans/pour le Commerce
au point qu’on peut convertir en poids d’or (ou
d’argent) les sommes / richesses dont on
dispose. Il s’agit donc de métaux qu’on peut
vendre ou/et acheter. Leurs valeurs obéissent
aux lois des marchés, c’est-à-dire à l’Offre et
à la Demande liés aux quantités disponibles.
[7] Pour cela
il existe des bureaux de change à la disposition
des marchands (mais aussi des touristes de
passage qui n’ont pas encore pensé à disposer -(à
avoir sur eux pour les paiements)- par exemple, d’une carte
bleue
Visa).
[8] En
l’absence pour l'instant (en 2018) de la Monnaie Universelle de l’Ôz
qui est la monnaie mondiale (garantissant que
l’ensemble des rRégions – ex-nations – peuvent
recourir au Droit, en liaison avec les chambres
de Commerce InterRégionales (au sens
d’internationales) pour régler leurs différends,
ce qui évite les guerres, car des juges
interRégionaux (internationaux) formés dans
cette spécialité donneront (en cas de litige(s))
leurs verdicts, grâce à l’indépendance de la
Justice et à la recherche de la Vérité dans
chacun des SPOK (situations précises, occasions,
cas particuliers).
[9] Cela est
théoriquement possible pour chacun des bienfaits
(sauf certains originaux qui ne sont que
rarissimis…simissimes, car des pièces uniques,
non reproductibles à l’identique (cela concerne
surtout le marché de l’Art) mais en réalité
dépend du pouvoir d’achat des peuples de cette
planète. Ce pouvoir d’achat s’il est grand
permet d’acheter de nombreuses choses, voire de
ne se priver de rien dans cette civilisation de
la consommation (à la fois une bonne chose mais
aussi, sur d’autres points, une chose condamnable
-(réprimeandable, voire inadmissible)-, car elle
engendre des enfants-gâtés)
qui n’est possible (au sens positif de
celle-ci) que si le pouvoir d’achat de la
monnaie locale est fort. Cela signifie que la
valeur de la monnaie dans laquelle on a été payé
est forte sur le plan internationale car la
monnaie en question s’apprécie (prend de la
valeur). Mais il y a un inconvénient à ce que
cette monnaie d’échange soit trop forte parce
que dans certains cas (voire SPOK, donc,) cela freine
le commerce extérieur du pays qui a cette
monnaie ayant une grande valeur parce que les
pays dans lesquels la monnaie locale qu’ils
utilisent a moins de valeur, risquent d’avoir à
s’endetter pour acheter le produit qui provient
du pays où la monnaie/devise a beaucoup de
valeur (ces pays plus pauvres auront des
difficultés pour acheter le produit dont le prix
résulte des dépenses faites pour le produire en
grande quantité afin de baisser au maximum le
prix de ce produit pour le rendre attractif sur
les marchés des pays qui disposent de crédits
financiers (CFPMD – crédits financiers propres
et mérités de droit) dans la monnaie du vendeur
du produit. Aussi cela risque de freiner le
nombre de ces exportations parce que le pouvoir
d’achat des rRégions où les monnaies ont moins
de valeur est moindre. Ce qui signifie que des
pays industriels – voire les pays les plus
riches (parce leurs monnaies a une forte valeur
– un pouvoir d’achat plus important que les
autres pays) ne peuvent que très difficilement
atteindre (avec leurs produits réalisés chez eux) ces pays moins
développés, voire en voie de développement,
et/ou considérés comme des pays pauvres (cela
réduit donc le nombre des marchés où proposer à
la vente ces produits provenant des pays
développés où le niveau de vie est plus élevé
qu’ailleurs. D’où l’intérêt de la monnaie
mondiale de l’Ôz
(la MÔz)
comme a représenté la Monnaie Unique de l’Euro
dans laquelle la livre-sterling ferait bien de
se fondre, en gardant néanmoins cette
livre-sterling pour le Commonwealth (dans lequel
pourrait aussi circuler l’Euro). C’est bien
cette Monnaie Unique de l’Euro (la MUE), cette
devise en commun dans chacune des rRégions de
l’Union Européenne qui a permis l’apparition de
prix semblables pour le même article/produit
dans toutes ces rRégions et cela en particulier
pour les articles/produits de première nécessité
comme pour d’autres produits qui sont proposés
dans/sur chacun des marchés de ces rRégions
(anciennes nations qui ont pour objectif de se
fédérer puisqu’elles sont situées les unes et
les autres, grâce aux transports motorisés, à
des distances aussi courtes, voire plus courtes
que celles qu’il y avait entre les cantons de la
Confédération Helvétique du temps où les
transports des marchandises (mais aussi des
personnes) se faisaient à cheval ou/et en
voiture attelées – aussi on peut dire toutes
proportions gardées sur le plan des transports,
que l’Union Européenne est formée de grands
cantons et qu’Elle est comme la construction
d’une nouvelle Confédération Helvétique). Cela a
permis aux industriels de réaliser leurs
produits en grande quantité et pas seulement
pour un marché national au sens de local ou/et
régional. C’est pour cela que la monnaie de
l’Euro s’est appréciée (au sens où elle a pris
de la valeur depuis sa création) parce que cela
signifie que la guerre froide est terminée, par
conséquent que la paix permet de donner le temps
de réaliser ces nouveaux produits à terme
peut-être même indispensables à tous. Mais tous ont remarqué
que le pouvoir d’achat a diminué parce que le
prix du baril de pétrole a augmenté, au point en
2014 qu’il (ce prix du baril de pétrole) a failli faire exploser le soleil
étant donné que les plus pauvres avaient
toujours moins (au sens où ils ne pouvaient
acheter que toujours moins de choses pour la
même somme de revenus et cela à cause de
l’inflation, ce qui fait baisser le pouvoir
d’achat d’une monnaie), parce que les prix à
l’intérieur de la zone euro augmentaient, par
conséquent concernaient des produits qui étaient
vendus aux plus riches qui seuls pouvaient les
acquérir (cela a réduit le nombres d’acheteurs,
ce qui signifie que cela ne permet pas
d’embaucher pour réaliser ces produits en plus
grande quantité (puisqu'il y a diminution de la
valeur de la monnaie et baisse du pouvoir
d'achat), par conséquent qu’il y a crise
économique à cause de la limitation de la
production à cause de la crainte des produits
invendus, ne trouvant plus de débouchés
commerciaux), ces produits ne trouvant pas de
marchés à l’extérieur de la zone Euro, voire
seulement dans d’autres pays riches
(c’est-à-dire dont la valeur de la monnaie est
importante au point de favoriser le transport de
ces produits pour qu’ils trouvent des acheteurs
parmi les plus riches/fortunés). Cela signifie
que les plus pauvres dans cette zone Euro, voire
dans l’Union Européenne, n’ont pas pu acheter ces
produits (parfois du superflu, ce qui rend
quelques fois la vie plus heureuse à vivre). D’où le
mécontentement général qui est compréhensible.
Si le prix du pétrole avait au contraire baissé
(ce qui s’est un peu produit à la suite de
mes lettres aux papes
(http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm)
et
aux présidents de la république française -
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm),
cela aurait permis une baisse des prix de tous
ces produits destinés aux
happy few,
par conséquent la possibilité enfin d'en
augmenter le nombre produit, de les
vendre (voire de les offrir - au sens de donner) aux plus pauvres et en prime d’assister à
la fin du chômage, parce que le frein à main
(tiré au maximum) - qu’a constitué la hausse du
prix du baril de pétrole sur toute l’Economie -
aurait été levé. Aussi le pouvoir d’achat serait
revenu partout pour favoriser cette civilisation
de la consommation et des nouveautés, parce
qu’on aurait enfin pu produire plus, en étant
assurés d’avance que l’entreprise ayant produit
l’article en question aurait trouvé des
débouchés commerciaux, c’est-à-dire des marchés
(y compris dans les pays en voie de
développement, voire dans les pays les plus
pauvres aussi).
[10]
C’est la même chose grâce à la psychanalyse,
voire à l’auto-psychanalyse, si on appartient
aux gens les plus scolarisés, voire à la vidéo
auto-psychanalyse, pour ceux qui voudront
revenir en arrière pour analyser et corriger ces
enregistrements, donc approfondir ces
psychanalyses, voire les rendre publiques sur
You tube ou sur leur(s) site(s)
personnel(s) pour bénéficier des lumières de
ceux qui s’intéresseraient à ce SPOK. Donc en
ayant ainsi la possibilité de dialogues
peut-être féconds : d’avancer vers la guérison
(le bon rétablissement de cette conscience qui
est à géométrie variable puisqu'elle concerne
tous les êtres animés qui ont constemment à
choisir le bien au lieu du mal, elle est faible
chez les animaux prédateurs qui à cause de cela
sont égoïstes (ne pensent par instinct) qu'à
satisfaire leurs besoins, parfois même au
détriment d'autres animaux qui appartenant à
d'autres espèces sont rarement respectés) - et
plus importante chez les animaux pacifiques et
inoffensifs dont chaque être humain est censé
appartenir, à l'exception de ceux qui ont perdu
plus ou moins cette conscience comme ils ont
plus ou moins perdu leur âme, par conséquent la
faculté de raisonner juste (logiquement), ce qui
peut, hélas, en rendre quelques-uns néfastes
(nuisibles), au lieu du contraire pour tous ceux
qui ont su conserver cette conscience et/ou leur
respective âme /esprit).
[11] Il est
probable qu’il y ait de nombreuses différences
entre chacune de ces familles. Cela est un sujet
de réflexion que nous n’approfondirons pas ici.
[12] (de la
part de ces parents étant parfois aidés
financièrement par l’Etat)
[13]
(c’est-à-dire de sommes versées pour faciliter
les études de ces enfants, ces sommes ayant été
amputées des revenus des parents n’ayant pas pu
les consacrer à autre chose (à cette occasion
les parents ont acquis des mérites,
s’humanisent car c'est sur RFPMD - revenus
financiers propres et mérités de droit- qu'ils
élèvent leurs enfants)
[14] (qui en
cela obéissaient à la loi qui exige que les
enfants soient scolarisés de manière à ce qu’ils
puissent être au courant et comprendre par
eux-mêmes tout ce que les plus scolarisés leur
diront pour les conseiller durant leur vie –
c’est pour cela qu’il convient de savoir lire et
écrire, voire compter au moins élémentairement,
voire plus que cela, si on a été scolarisé
au-delà de l’Ecole Primaire : ce qu’il faut
acquérir c’est la compréhension des mêmes codes)
[15] Cela
signifie que chacun d’entre nous sait que le
week end
est une réalité qui commence le vendredi soir
ou/et parfois dès l'après-midi du vendredi et
s’achève le lundi matin (c'est ainsi qu'il est
parfois possible
de prendre un train tôt le lundi matin pour se
rendre au travail, ce qui a ainsi fait durer le
week end
au maximum). Cela est l’objectif à plus ou moins
long-terme pour restituer la vision du Paradis à
l’échelle planétaire le week end. En effet, nous serions tous
heureux de vivre chacun les
week end
au Paradis, un remède pour assurer la santé de
tous entourés de la très
véritable beauté qui est aussi ce qu’on appelle
la très sublime beauté et cela serait bon et
bienfaisant d’en faire profiter tout le monde
(ceux dans la salle des machines qui accepteront
de mettre en œuvre le programme de restitution
de la vision d’Atlantide vont gagner des points
et auront alors de moins pénibles réincarnations
quand ils auront à ne plus faire semblant de mourir,
mais à mourir réellement). Mais ce ne sera que
par étapes que nous pourrons arriver à vivre ce
bonheur. C’est-à-dire de retrouver la vision
(mythique) du Paradis deux jours entiers par
semaine pour tous. En effet, il faudra de
nombreuses années pour réussir à proposer
vingt-quatre heures de Paradis par semaine, car
j’ai pu vérifier en 1995, lorsqu’on m’a fait
empereur, que cinq secondes de cette à l'infini
plus qu'admirabilissimis…simissime beauté suffisent
amplement pour avoir envie de changer, voire de
participer un peu plus par ses travaux à la
bonne marche de la société qui est une
civilisation constituée de plusieurs
civilisations différentes enfin
inter-connectées. Nous rappelons que ces
civilisations ont été fondées et organisées au
départ (sont nées) grâce à des personnalités
bien précises qui ont, à chaque fois, (en raison
d’une métamorphose personnelle s’étant opérée à
partir d’un moment donné au cours de leur
respective existence) fondé des croyances et/ou
des vérités relatives pour permettre aux membres
de leurs familles, voire aux différentes
sociétés de retrouver le chemin de la Vérité
dans un décor où la vision d’Atlantide (d’Ôz,
de l’Eden, du Paradis, de Schtroumpf, etc. des
synonymes) n’existait plus, ceux-ci n’étant pas
au courant de ce que j’ai eu à découvrir en 1995
quand, depuis la salle des machines, on m’a
montré cette vision du Paradis qui se révéla sur
toutes les parois uniformément crépies de la
même teinte, soit une des activités faciles à
faire – qu’on donne à réaliser sur un chantier à
ceux qui ne sont pas scolarisés (ou qui l'ont
été
le moins) mais qui savent facilement apprendre à
rouler un rouleau dans un pot de peinture pour
badigeonner d’une façon égale une surface en
général plane, de manière à cacher / recouvrir la couche de
plâtre qui a été mise sur les matériaux de
construction (brique, etc.) de la même manière,
c’est-à-dire sans rechercher à représenter
quelque chose, ce qui est l’œuvre de l’artiste
peintre, soit celui qui a étudié (souvent de
longues années) avant de le devenir (et avec
cela, capable de représenter !). Les fonds et
les sols sont confiés à réaliser aux ouvriers du
bâtiment qui obéissent ici à une personne qui a
appris à lire les plans d’architecture, soit des
choses précises, parfois difficiles à mettre en
œuvre. On le sait, Ses Altesses Impériales Eeanmeailleurs Ses Saintetés Satana(na!)nas les
Lordissimis…simissimes (S. A. I. E. S. S. S. L.) Le Corbusier
est aussi un artiste-peintre, voire un artiste
sculpteur et cela signifie de nombreuses études
et formations diverses avant de devenir
architecte-bouddha (un éveillé, illuminé par la
conscience retrouvée en soi), capable de faire un bâtiment
original qui ne soit pas inscensé, mais au
contraire qui génère du sens, de la vraie
lumière, des facilités, à ceux qui
l’utiliseront. Cela signifie que nous n’avons
pas le droit de rétablir la vision du Paradis
d’une façon inconsciente, c’est-à-dire comme
cela est advenu durant les cinq secondes en 1995,
quand on me fit l’empereur suivant mon père et
que d’un seul coup, il y a eu sur tous les murs
et les sols, mais aussi sur les corps la révélation de
cette vision plus qu'admirabilissimis…simissime. Aussi
cela signifie que nous avons le devoir de
préserver chacune des cultures, chacune des
différences de chacun.e, mais aussi toutes les
heures de formation(s) de chacun.e à l’un(.e) ou
l’autre des métiers (professions) qui demeureront
des contraintes utiles
quotidiennement pendant la semaine (y compris
pour organiser la ou les journées dans
lesquelles la vision du Paradis sera restituée),
même si nous parvenons un jour à proposer
vingt-quatre heures (de suite), voire sur deux
jours (il vaudrait mieux), la drogue de cette
vision d’Atlantide (du Paradis) probablement capable de
soigner sur de nombreux points essentiels chacun d’entre nous, puisqu’il s’agit de
la vision du Paradis (Ôz,
Atlantide, etc.). Pour arriver à douze heures
par semaine (deux fois 6 heures), il va falloir
s’organiser à l’échelle planétaire pour être
capable de vivre durant ces heures
d’immensissimis…simissime
beauté qui concerneront tous les décors,
mais aussi chacune des choses les plus anodines.
C’est la raison pour laquelle il faut commencer,
en prévenant de cela les responsables du monde
entier (qui auront à leur tour à prévenir chacun
des habitants des rRégions (pays, nation) qu’ils
gouvernent) du rétablissement de la médecine des
médecines -(la vision d’Ôz,
ce qui permettait autrefois, quand cette vision
du Paradis était partout, d’être confiant(s)
envers le Créateur ou/et la Créatrice)- que cette beauté représente
car elle ne sera rétablie – pour commencer – au
cours d’une des années prochaines que deux fois
cinq minutes (à midi et à minuit) quatre fois
par an, c’est-à-dire deux fois tous les début ou
fin de trimestre(s), si après le premier essai, on a la certitude que cela n’a
fait que du bien à tous de revoir cette plus qu'admirabilissimis…simissime beauté. En effet,
cela doit constituer une forme de soin général
et ne pas être à l’origine d’accidents, voire de
blessés ou/et de morts. Cela doit donner
l’espoir que cela sera possible deux fois cinq
minutes, quatre fois par an, l’année suivante
avant d’avoir à augmenter cela deux fois cinq
minutes une fois par mois, ce qui pourrait
ensuite permettre (si nous obtenons de bons
résultats) à deux fois cinq minutes (une fois à
midi et une fois à minuit) une fois par semaine
avant de passer l’année suivante à dix minutes
deux fois par semaine, soit quatre fois cinq
minutes, à l’occasion d’une journée une fois par
semaine, toutes les six heures de cette journée
(du
week
end) où la vision du Paradis sera restaurée
avant que l’année suivante, cela soit dix minutes
quatre fois par semaine, à l’occasion de la même
journée, voire sur deux journées (le samedi
et/ou le dimanche), si nous
recherchons à ce que la vision du Paradis puisse
être rétablie progressivement, de cinq minutes
en cinq minutes ajoutées au cours du week end.
Cela signifie ce rétablissement à l’échelle
mondiale, ce qui veut dire qu’il faudra apprendre
à conduire des automobiles et/ou des camions
(voire des ambulances) avec la vision d’Ôz
rétablie continuellement et être à nos diverses
activités (elles sont nombreuses et concernent
tous les âges) sans être gênés par cette plus
qu'admirabilissimis…simissime beauté et si possible
en meilleur santé grâce à elle. De toute manière,
il faut commencer à tester ce rétablissement au
moins durant une journée deux fois cinq minutes
une fois à midi et une fois le soir à minuit
(pour les peuples de l’hémisphère Sud qui auront
le rétablissement de la vision du Paradis à
minuit quand dans le nord c'est à midi que cela
aura été et à midi, quand cela aura été restauré
à minuit dans l'hémisphère nord) et pour
cela organiser à l’échelle mondiale ce
rétablissement de la vision Christine Floreance
Michèle et Laurie Granier d’ex-Atlantide Finck
Loewy Lang d’Ôz,
bref la vision du
Schtroumpf, voire celle d’Atlantide
(Arcadie) rétablie
par des approximations successives en ayant à
préparer durant l’année cet accroissement du
temps durant lequel la vision du Paradis sera
vue (car nous pourrons après chacune des fois,
analyser la situation de manière à mieux
prévenir l’ensemble des habitants de cette
planète qui étant à ces instants de restitutions
de la vision du Paradis à des activités
différentes, cour(en)t le danger / risque de
rencontrer des problèmes qu’il sera bien de
recenser pour apporter des solutions élégantes
de manière à ce que la prochaine fois où la
restitution de la vision du Paradis sera mise en
route, tous sachant à temps
comment éviter c/les problèmes qui se sont posés
la fois précédente à ceux qui auront eu
l’amabilité de les partager avec les
organisateurs du retour raisonné de la vision du
Paradis. Le mieux serait avant la première fois
où le Paradis sera montré à ces deux occasions
(midi et minuit) de constituer un forum sur
Internet pour qu'on ait à se poser toutes les
questions, en devançant les éventuels problèmes
qui pourraient se poser (ils sont nombreux par
exemple sur le plan de la Santé - cela concerne
par exemple les ambulances qui ont à transporter
les malades - comment fera-t-on avec cette
vision du Paradis partout? Cela concerne les
avions qui doivent atterrir durant ces heures-là
- comment feront-ils avec les pistes
d'atterrissage où apparaîtra la vision
d'Atlantide y compris dans les nuages? etc.).
Faire une liste des problèmes (de chaque SPOK -
situation précise, occasion, cas particulier) de
manière à y répondre d'avance en trouvant des
solutions alternatives élégantes à ces problèmes par la
réflexion commune à toutes les bonnes volontés
pour devancer ces situations qui apparaîtraient
à chacun comme problématiques, (devant poser des
difficultés), en ayant tous à penser d'avance
(par activité(s) professionnelle(s)) mais aussi
individuellement à n'importe quel âge et sur
n'importe laquelle des latitudes-longitudes à
comment les résoudre y compris avant de commencer à rétablir
ces deux fois cinq minutes de restitution de la
vision du Très Saint Paradis (T. S. P.) - Ôz,
Atlantide, Arcadie, etc. .
[16] (cela
peut être interpréter comme un conseil, dans la
Bible, de manière à justifier l’existence du
sabbat, à confirmer la nécessité et/ou la
possibilité du repos hebdomadaire)
[17]
Chacun d’entre nous a appris que « le
temps c’est de l’argent ». En effet, cela est le
cas dans le monde du travail, car il y a
certaines des activités qui durant ces heures de
travail génèrent des revenus. Et cela par
exemple pour ceux qui suivent les cours à la
Bourse et investissent leurs gains, voire les
économies de chacun placées dans les banques.
Mais on le sait aussi pour n’importe lequel des
patrons de bar : c’est durant le temps où le
client s’installe dans ce bar que le patron,
parce qu’il sert la commande qui lui a été
faite, réalise un petit bénéfice à/vec (avec/à)
chaque nouveau client. Ces bénéfices s’ajoutent
les uns aux autres au point que le patron du bar
bien placé, malgré les dépenses qu’il a, gagne
des revenus, voire réalise des économies
(peut-être aussi dans l’espoir de les voir investir
dans une autre affaire). Aussi quand ce bar est
mal placé (situé), qu’il n’a pas suffisemment de
clients, le patron de ce bar perd de l’argent,
voire devra fermer son établissement en raison
de faillite, c’est-à-dire d’un commerce qui ne
rapporte pas assez de manière à rembourser les
dépenses (charges qui pèsent sur ce patron),
toutes les dépenses faites pour proposer des
produits frais aux clients.
[18] Ici, nous devons la prise de conscience de ces mariages alors virtuels -(quand nous étions enfants et que nous y pensions)- au fait que chacun des enfants, en observant leurs parents -(voire leurs grands-parents et/ou arrières grands-parents)-, par mimétisme, ont pensé qu’ils avaient eux aussi à trouver leur fiancé, soit aussi -(en dehors de la relation spirituelle qui s’instaure entre les futurs fiancés)- une complémentarité sexuelle, comme visiblement -(et publiquement)- l’avaient trouvé ces parents avant eux. Aussi pour chacun des enfants ces formations scolaires devaient aboutir à la possibilité de se marier dès qu’ils trouveraient les financements, c’est-à-dire une/des activité(s) rémunérée(s) suffisemment pour leur permettre d’assumer toutes les dépenses à faire dans le futur couple dont ils étaient pour l’instant éloignés – du moins tant qu’ils n’auraient pas les moyens financiers pour pouvoir offrir à un jeune homme ou/et une jeune fille les financements nécessaires pour garantir la vie à deux, voire à plus de deux, si l’optique du mariage est/était celui d’avoir à son tour à constituer une famille par l’attente d’u/n (du / d’un) troisième terme : l’enfant, fruit de l’amour de ce couple, de l’un pour l’autre ! Peu d’enfants ont pensé demeurer des célibataires, parce qu’ils avaient le modèle de leurs parents ou grands-parents mariés. Ce n’est que parce que le divorce est devenu un droit que certains enfants ont pensé qu’eux aussi pourraient courir le risque une fois devenus adultes de divorcer, voire de se séparer, comme quand cela s’est produit dans certaines familles. Il faut rappeler que le mariage, en raison des enfants et de l’absence de contraceptifs, était une union pour toujours -(ce qui a son aspect cauchemardesque sans Amour – avec un grand A - tandis que c’est le rêve s’il y a amour avec une grand A, en admettant que cet amour dure (pour) toujours – d’où ici qu’on comprend qu’entre futurs fiancés, on ait à traverser une période plus ou moins longue d’essais de vie en couple pour vérifier qu’on ne va pas se tromper de partenaire quand cette union libre débouchera sur un/le mariage – c’est aussi cela qui peut justifier la nécessité d'explorer l’union libre). Donc qu’on n’avait pas le droit de se séparer et cela parce qu’on était les auteurs des enfants nés. Commettre une infidélité vis-à-vis de son conjoint, c’était comme ne plus reconnaître la moitié de son fils ou de sa fille, bref de ses enfants qui étaient/sont eux aussi trahis, puisqu’il y a/vait (a ; avait) une séparation en cours entre leurs parents qui étaient / sont allés voir ailleurs. On comprend ici les religions hostiles au droit au divorce, car obtenir un enfant après un mariage, c’était avoir créé réellement une union à partir de personnes qui s’étaient / se sont considérées par amour comme complémentaires l’une de l’autre, au point de rendre publique cette complémentarité dans la réalisation d’un mariage. En effet, pour l’enfant né d’un mariage, voire d’un couple en union libre, les parents sont unis grâce à eux -(les enfants)- qui représentent l’anneau de mariage ou/et le SPOK -(situations précises, occasions, cas particuliers)- d’union libre. C’est pourquoi en général les enfants nés de pareils unions garantissent la pérennité du couple, parce qu’ils ont raison de croire qu’ils sont nés en raison de l’amour de leurs parents (de l’un pour l’autre et réciproquement). Que le père s’intéresse à une autre femme que leur mère, le père devient une sorte de traître qui ne respecte pas la preuve d’amour que sa femme lui a donné en mettant au monde leur/son enfant. Aussi, il est alors compréhensible que les familles de divorcés, voire de séparés deviennent des nids à problèmes, les enfants étant alors écartelés entre leur père et leur mère à qui ils apportent amour et corollaires. Il n’est pas rare non plus que ces enfants culpabilisent, au point de croire que c’est de leur faute que le couple de leurs parents se soit séparé. Tout cela a des conséquences sociales importantes dans chacun des contextes familiaux où le mariage est remis en question. Mais il convient de penser au mariage avec la vision d’Atlantide, d’Ôz, du Paradis, de l’Eden, de Schtroumpf, d'Arcadie – bref des synonymes. Car il est probable que quand la vision du Paradis était continuellement autour de chacun de nos ancêtres les plus éloignés qui vivaient nus dans les arbres et les prés de/dans la zone équatoriale, l’institution du mariage n’existait pas. Ce n’est que petit à petit, au fur et à mesure de la création des religions (donc bien après la disparition de la vision d’Ôz (du Paradis, d’Atlantide, etc.) et parce que la vision du Paradis n'existait plus, que le mariage -(puis la tradition de l’anneau de mariage)- est apparu comme une solution élégante, tant que la vision d’Atlantide, d’Ôz, etc. ne serait pas rétablie. En effet, quand la vision du Paradis sera enfin restituée/rétablie régulièrement à/pour tous, une fois par semaine (par exemple, pour commencer par semaine le jour du Dimanche), on peut même aller jusqu’à penser que le mariage ne sera plus autant une obligation (ce qui est déjà le cas pour de nombreux couples dans de nombreux SPOK) puisqu’une fois que le prix du pétrole aura baissé au point de rendre chacun des habitants de cette planète enfin de vrais millionnaires (même tous ceux qui actuellement meandient - mendient), la seule véritable richesse (bienfaisante médecine rassurante) pour chacun d’entre nous tous sera ce moment hebdomadaire régulier d’absolue beauté qui se révèlera partout autour de nous – mais aussi sur nos corps et le corps des animaux pacifiques et inoffensifs (et que – ce moment de beauté - chacun voudra conserver comme souvenir de ces moments durant lesquels Atlantide (le Paradis, Arcadie, etc.) sera à nouveau visible, en tournant une vidéo, voire en faisant des photos et des films de Cinéma pour partager ces images dans lesquelles le Paradis sera/aura été visible, ce partage durant les temps de divertissements dans les journées de la semaine où il n’y aura plus la vision sacrée du Paradis), un partage sur Internet durant les temps de l’année où pour répondre aux contraintes toutes les activités doivent fonctionner, ce qui justifie qu'on sera tous obligés de ne plus voir de manière ininterrompue la vision Granier d’ex-Atlantide Lang d’Ôz, soit cette plus qu'admirabilissimis…simissime vision d’Atlantide, de Schtroumpf, d'Arcadie, etc., car on sera tous contraint de/à reprendre chacune de nos activités (qui laisseront enfin du temps pour les divertissements, étant donné que chacun d’entre nous – en raison du pouvoir d’achat de la monnaie rétablie à l’échelle mondiale, la MUÔz (Monnaie Universelle de l'Ôz) - pourra travailler dans l’optique de gagner en s’auto-disciplinant des CFPMD (crédits financiers propres et mérités de droit) le temps qu’il voudra, voire pourra offrir à la collectivité comme à un employeur dans le secteur privé). A ces heures-là sans la vision d’Atlantide (du Paradis), ce n’est plus que sur Internet, sur chacun des sites perso, voire sur face book, qu’on pourra voir la vision d’Ôz (donc en reproduction, mais plus dans la réalité comme cela aura été le SPOK durant le week end – cependant il sera vite possible, grâce à la photo et à la vidéo, de découvrir par ce truchement assez rapidement tous les lieux les plus intéressants à – dans le futur - découvrir (peut-être dans la réalité) en nous y rendant (physiquement), parce que la vision d’Atlantide les a rendu admirabilissimis…simissimes (ce qui signifie infiniment admirabilissimes). Il faut comprendre que cela va donner lieu à une autre forme de tourisme, car de même que les agences de voyages proposent des images en couleur des destinations (voire des vidéos), il va y avoir des images de ces destinations, avec la révélation de la vision d’Atlantide (soit celle du Très Saint-Paradis), ce qui probablement va engendrer d’autres destinations (par exemple celle des gorges de torrents, ou/et de paysages aux nombreux rochers : les sentiers bordant les mers, les tunnels creusés dans les rochers, les routes le long de murs de rochers ayant été dynamités par exemple dans les anciens tunnels comme dans les cavernes, les îles rocheuses, etc.), à cause de l’incroyable beauté qui s’est révélée à l’un ou l’autre des photographes ou/et vidéastes amateurs qui en ont fait part sur leur site perso ou/et sur leur page face-book avec les points de géolocalisations (ce seront ici les nouvelles destinations ayant à voir avec toutes celles que la Nature offrira avec cette vision du paradis rétablie). Ces lieux extrêmement beaux à découvrir peuvent être simplement des paysages, voire des lieux où il y a des rochers. Les lieux où les vagues des mers battent seront aussi intéressants, car ils le sont déjà (y compris photographiquement) sans la vision du Paradis. A fortiori avec. Aussi nous aurons des gens qui à chacune des fois où on restituera la vision d’Atlantide (du Paradis, d’Ôz) auront rejoint ces destinations les plus admirables à voir avec la vision Granier d’ex-Atlantide Lang d’Ôz retrouvée (celle du Paradis). Ceux-ci étant libres de la photographier et/ou vidéographier ou pas. On comprend donc que le problème de la très grande catastrophe (la TGC) qui a eu lieu il y a des millions d’années (avec la disparition de la vision d’Ôz) s’est résolue par une Création qui offre enfin des possibilités infiniment plus intéressantes (en raison de leurs variétés, à cause des nombreuses latitudes et longitudes qui n’étaient pas aussi facilement (re)joignables du temps où nos ancêtres vivaient constemment au Paradis, avant la TGC – très grande catastrophe) d’autant que nous sommes arrivés à l’époque des découvertes cosmiques (des autres planètes) ce qui augure que la recherche en sciences permette un jour plus facilement de rejoindre les exo-planètes habitables (ce qui n’était pas le SPOK – la situation précise, l’occasion, le cas particuliers – du temps où ces ancêtres étaient confinés (avec la vision du Paradis) dans la seule zone équatoriale quand ces ancêtres ne se nourrissaient que des fruits des arbres – il est cependant probable que la salle des machines ait été élaborée par des extra-terrestres pour, par exemple, permettre à certains de ces ancêtres de faire les morts (de se reposer) pendant des périodes plus ou moins longues, puisque ces ancêtres (avant la TGC – très grande catastrophe) étaient éternels – c’était donc avant l’invention de la mort – il y a donc, dans cette salle des machines des instruments qui permettent de conserver ceux qui en avaient assez de vivre et qui demandaient un sommeil plus long, comme pour les tortues ou/et les ours, une sorte d’hibernation. Et il y avait ces machines pour créer artificiellement ces morts (qui étaient des formes d'hibernations), de même que d’autres machines sont à l’origine des rêves, ce qui incombait aux adultes ayant accès à la salle des machines de réaliser). Aussi malgré la parenthèse (plutôt longue) où la mort a existé, en raison de satan -(qui est morte – cette ignoble haine noire - depuis l’hiver 2005)- en synchrone avec 1967 et 1977, la Création, grâce à la construction des diverses civilisations sur des bases à l’origine souvent religieuses, va en définitive fonctionner d’une façon encore plus admirabilissimis…simissime, à partir du moment où on va progressivement restituer, chaque année, un peu plus la vision d’Ôz (du Paradis) puisqu’entre temps ont été inventées autant de langues (de cultures) et de bienfaits par l’ensemble des bouddhas qui depuis des millénaires n’ont pas cessé de se réincarner pour réussir, le jour venu, à restituer à/pour tous cette vision mythique d’Atlantide, au service de la Vie et non de la mort (qui a effectivement été une terrifiante parenthèse ayant touché tous les habitants de cette planète – située dans la galaxie de la Voie Lactée). Il faut comprendre que ce qui s’est passé sur cette planète durant l’Aventure Humaine (A. H.) pendant environ deux à trois millions d’années est le résultat des erreurs que satan s’est ingénié -(par haine – une maladie bien précise qui a les causes habituelles – que j’ai démontrées - de l’amnésie et de l’ignorance, entre autres)- avec les siens à commettre, en accusant mensongèrement Dieu – soit ici l’Immense Architecte de l’Univers - I. Ô. (I. A. U.)– d’en être le responsable. Ce sont tous les mensonges (faussetés), erreurs et fautes (de chacun d’entre nous) qui ont été à l’origine de la disparition de la vision d’Atlantide dans le passé fort lointain, au point que cela a initié l’Aventure Humaine (A. H.) mais aussi les processus de désertification. Ce sont les pires mensonges d’adolph hitler, de staline et de mao tsé tung, de kadhafi et compagnie, comme ceux d’autres criminels contre l’humanité qui ont abouti, par répercussions dans le passé -(cela s’est passé beaucoup plus rapidement qu’à la vitesse de la lumière)- à faire disparaître la vision du Paradis, au point de créer chacun des déserts sur cette planète, parce que nos ancêtres -(qui étaient fructivores)- par curiosité -(voire pour se défendre de ceux qui avaient rejoint ceux qui détenaient la salle des machines)- sont allés au-delà des limites qui alors constituaient la zone vivable du Paradis, en s’aventurant avec des armes pour se défendre, mais aussi pour commencer à chasser des animaux pacifiques et inoffensifs, puisqu’ils n’y avait plus seulement des arbres fruitiers dans ces régions nouvellement explorées, des zones tropicales et celles plus au nord ou au Sud dites les zones tempérées où il n'y a pas seulement deux saisons, mais quatre. Or ces ancêtres ont chassé des animaux pacifiques et inoffensifs, herbivores de surcroit -(ne faisant pas de mal à une mouche)- ce qui a constitué un des plus gravissimis…simissime péchés ! Evidemment s’ils se sont permis de tels crimes, c’est qu’ils avaient faim et qu’ils étaient sortis de la zone où les arbres fruitiers étaient, avant le processus de désertification, en abondance. Ces fruits ont donc continué à nourrir ceux qui étaient restés dans cette zone équatoriale, cependant que le mal avait commencé à avoir lieu d’une façon plus importante dans les zones tropicales, ce qui s’est confirmé ensuite quand les descendants de ces êtres humains qui chassaient ont rejoint nos zones dites tempérées, parce qu’elles ont quatre saisons, de froides l’hiver pour être chaudes l’été. Ces migrations de chasseurs-pêcheurs ont confirmé l’existence du très grand variateur (le TGV) car plus les descendants de ces chasseurs sont montés vers le nord, plus ils ont connu le froid et moins ils ont connu les saisons tempérées du Printemps et de l’Automne, bien qu’il y ait (parait-il) un été dans les zones polaires où on a à subir alors des froids de moindre importance. Mais il est probable que ceux qui en chassant (pour manger) ont rejoint les pôles n’étaient plus au courant de l’existence des régions moins froides, comme celles de la Freance (France) et encore moins froides comme celles des régions équatoriales. En effet, la télévision n’existait pas encore et les informations mettaient beaucoup de temps à être connues. Mais à notre époque, il parait que les lapons ont la télévision et/ou Internet (ou pourraient techniquement en disposer), par conséquent sont / seront au courant de l’existence de zones (régions) moins froides, plus clémentes, tempérées comme aussi des zones tropicales dans lesquelles la saison sèche alterne de la saison humide. Il vont donc apprendre qu’ils sont les descendants de ceux qui ont voulu manger le plus de viande, au point de se perdre dans ce grand nord pour continuellement chasser ou pêcher (ce qui a, en réalité, représenté d’autres crimes – c’est-à-dire des péchés pour nos ancêtres les plus éloignés (qui vivaient alors éternellement au Paradis), puisque pour pécher, il est nécessaire (avec une canne à pêche) de tromper le poisson qu’on va pécher, grâce à l’asticot qu’on a mis sur l’hameçon (en oubliant qu’on est en train de faire souffrir cet asticot, qu’on tue ainsi, voire qu’on torture ainsi – donc on a doublement fait le mal puisque pour pêcher on a trompé l’asticot, pour tuer/pêcher le poisson trop confiant -(qui appartient lui aussi aux différentes étapes / phases de réincarnation)- mais aussi trop gourmand) – or autrefois, quand nos ancêtres vivaient tous en Atlantide – c’est-à-dire au Paradis avec le plus que fabuleusissimis…simissime décor autour d’eux (mais aussi sur eux (donc comme tatoués), personne ne s’autorisait à tromper les animaux pacifiques et inoffensifs, dont les poissons faisaient partie – il est probable que ces ancêtres nageaient dans la mer ou dans les lacs et rivières ou fleuves et qu’ils vivaient en très bon entente avec les poissons – c’est alors que la plus que très belle vision d’Atlantide – Ôz, du Paradis se justifiait, car l’être humain n’était que vertu, bonté, comme le sont encore de nos jours la plupart des bébés ou/et des enfants patients).