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Au sujet du rétablissement de la vision du Paradis, quelques réflexions 

Par Laurie Granier d’ex-Atlantide Lang d’Ôz,

(CARE5)

 

Il faut se rendre à l’évidence : jamais Dieu (et encore moins l’Immense Architecte de l’Univers)[1] n’ont exigé que les peuples appartenant à cette planète (nommée localement par la plupart des autochtones la Terre) soient contraints à travailler huit heures par jour pour être rémunérés[2]. (Rappelons qu’autrefois c’était parfois plus de dix heures par jour et pas seulement huit heures – aussi il y a eu ce qu’on appelle un progrès qui a permis de dégager un peu plus de temps libre pour se reposer – cela a eu aussi pour conséquence l’allongement de la durée de la vie, car les gens sont moins vite[3] fatigués[4]).

 

Si l’argent[5] a été inventé comme monnaie d’échange[6], c’est qu’il s’est avéré, à partir d’un certain moment dans l’Histoire de l’Aventure Humaine (H. A. H.) nécessaire pour acheter des produits qui parfois nécessitent des transports de longue(s) durée(s), car ils proviennent de rRégions (pays au sens de nations) fort éloignées et nécessitent des peines parfois importantes pour arriver à destination, sur les marchés où ils sont proposés. On paye dans ces rRégions lointaines avec la monnaie qui est souhaitée[7] sur place (ce qui donne alors une forme de crédit à celui qui reçoit la somme d’argent, par exemple en dollars ou/et en euro, voire autrefois en francs suisses ou/et en livre-sterling - en fait dans l'une ou l'autre des monnaies qui prennent de la valeur (ont des probabilités de s'apprécier) sur le marché des changes, voire sur place dans la monnaie qui a cours légal: sur place[8]) parce que celui qui est payé a (en raison de ce que les transports coûtent – ne sont pas encore gratuits (à l’heure où j’écris ces lignes)) lui aussi des frais, c’est-à-dire des dépenses pour réaliser les produits qu’il propose à la vente (cela va du plus simple des produits, l’une ou l’autre des matières premières, aux plus sophistiqués qui ont requis la transformation de nombreuses matières premières pour être élaborés pour/à fonctionner – c’est-à-dire marcher pour ce qu’on escompte, c’est-à-dire souhaite, voire ce qui est clairement annoncé comme fonction de/à ce produit). Il demande à être payé pour, entre autres, se rembourser des dépenses effectuées pour réaliser des objets, ou/et des aliments (mais aussi d’autres biens(faits)) dont il peut se passer, parce qu’ils sont (dans certains SPOK) (par lui) produits en très grande quantité[9], par conséquent dont le surplus peut être proposé à l’exportation, sur le marché tant rRégional (local, national) qu’extérieur.

 

Bref on avait (autrefois – avant l’ère industrielle de la motorisation qui a réduit considérablement les temps de trajet pour franchir des distances) l’habitude de dire que « l’avenir appartenait à ceux qui se lèvent tôt ». C’est parce que cette phrase a été comprise et méditée, que petit à petit les gens ont pris l’habitude de se lever tôt, d’autant la quantité de travaux / peines que chacun d’entre eux se donnait pour bien élever leurs enfants. On le sait, tant qu’on n’a pas d’obligations (au sens de responsabilités) de ce type (élever ses enfants), il est possible (pour certains des plus chanceux) de faire plus ou moins la grasse matinée. Être responsable d’enfants contraint à devoir réfléchir à des tas de choses, d’autant plus si les enfants qu’on a n’ont pas encore accès à la conscience (ce qui se produit le plus souvent à/dès l'âge de raison), par conséquent ne pensent pas encore à tout ce qu’il convient de prévoir pour la journée du lendemain, voire pour passer des vacances pour se reposer et changer d’activités (ce qui est bon pour la santé, d’autant que cela ouvre sur d’autres sujets).

 

Or ce qui est dit à propos de se lever tôt est dans certains SPOK (situations précises, occasions, cas particuliers) vrai et dans d’autres SPOK faux.

 

Nous ne pouvons généraliser, car à ce sujet chacun se trouve à vivre une vie originale, bien à lui (elle). Chacun.e se trouve dans un contexte précis avec des atouts ou sans ces atouts de départ (chacun évolue pour trouver sa personnalité originale – en fait pour être fidèle à son âme, à ce qu'on a tiré comme enseignements de sa réincarnation précédente, c’est-à-dire aux expériences formatrices durant la réincarnation précédente, au résultat de ses connaissances, expériences, pensées sur la réalité, voire sur les rêves qui sont en liaison avec la partie inconsciente de chacun d’entre nous, si ces rêves et/ou cauchemars ne résultaient pas de l’usage de la salle des machines (semblable à celle dans Métropolis de Fritz Lang) par des personnes devenues plus ou moins inconscientes qui les fabriquent dans l’espoir de rendre toujours plus inconscients les sujets, leurs victimes, qu’ils essaient ainsi de pervertir, pour les éloigner de leurs devoirs en général (d'avance) familiaux (à moins d'une vocation à devenir célibataire), voire les intéresser à ce qui est faux, dépourvu d’amour véritable, par conséquent d’amour avec un grand A, ce que la condition de végétarien parfois offre, puisque celle-ci (cette condition de végétarien, voire de fructivore) permet un jour ou l'autre (car/mais dans certains SPOK cela peut prendre de nombreuses années) d’accéder à la conscience qui est avec la Vérité et l’hyperissimis…simissime Éthique à l’origine de chacun des développements intellectuels objectifs, c’est-à-dire ceux-là qui permettent de faire fonctionner, voire réparer des appareils momentanément en panne. En effet, si on tombe en panne c’est en remontant à la cause de la panne (en trouvant comment et pourquoi elle a eu lieu), qu’on pourra trouver, en général le plus souvent, les moyens de réparer celle-ci[10]. C’est donc la recherche de la Vérité qui permet de trouver les remèdes aux pannes, c’est-à-dire aux dysfonctionnements, voire à l’absence de logique ou/et à l’incohérence de certains propos).

 

Il ou elle est aussi localement le produit de l’évolution d’une famille (c’est-à-dire le résultat d’un père et d’une mère – et parfois aussi – dans les cas les plus difficiles à vivre - de parents seuls qui doivent assumer financièrement la situation de responsables d’enfants qui n’ont pas la présence de leur père tous les jours pour les élever et/ou les financer. Ce sont les familles mono-parentales[11]).

 

Pour subir les cadences imposées dans l’Industrie qui se répercutent dans le mode de vie de chacun, il faut qu’il y ait eu un problème, voire une habitude à se lever tôt pour se rendre au travail pour obtenir des CFPMD (crédits financiers propres et mérités de droit). Il faut aussi qu’il y ait eu des vérités relatives qui aient été à l’origine de ces décisions plus ou moins générales de se lever tôt (ces impératifs économiques). Ce sont par exemple les chiffres de l’Économie, ceux du chômage, ceux de la concurrence qui essaie de réaliser le même produit en le vendant moins cher -(parce qu’on a – à titre privé - par exemple réussi à le fabriquer en plus nombreuse quantité dans un pays – une des rRégions du globe - où la vie est moins chère, au sens où le niveau de vie est moins coûteux parce qu’il s’agit de pays en voie de développement, voire sous-développés)-, qui sont à l’origine de tous les efforts des travailleurs manuels. Ces efforts sont (on l’a cru) nécessaires en tout cas pour ceux qui aspirent à acheter des produits dont ils croient que ceux-ci les rendront plus heureux (voire qui faciliteront leurs activités). On a donc créé des besoins qui sont à l’origine de la nécessité de se lever tôt pour participer à la réalisation de ces besoins, parfois des objets, parfois des voyages, parfois des instruments au service des particuliers, parfois des divertissements, parfois des services, etc.

 

Nous avons pu vérifier cela du temps de notre scolarité durant lequel le réveil était à 7 heures du matin pour commencer la journée d’études en nous rendant à nos cours qui commençaient vers huit heures à huit heures et demi du matin, après une nuit de sommeil qui permettait de recharger les accus, de redonner de l’énergie après une longue journée d’études et de devoirs à rendre dans chacune des matières étudiées. (A l’époque nous entendions dire autour de nous que faire des études, ce n’était pas » travailler «, ce qui était un mot qui sous-entendait des gains financiers : travailler (pour obtenir de l’argent) était donc un verbe qui était très différent de celui d’étudier. Or avec le temps, en grandissant, nous avons pu remarquer qu’il y a des personnes qui ont continué à/d’étudier jusqu’à ce que leurs études leur apportent des rémunérations, soit de l’argent. Aussi cela signifie qu’à partir d’un certain stade (d’études) les études sont du travail qui conduit à des rémunérations en échange, car il faut aussi songer à rembourser ceux qui ont eu à payer ces études (en général la famille ou/et les parents). Il s’est donc agi d’investissements[12]  financiers[13]. On peut donc comprendre la reconnaissance des enfants qui se rendent compte de ce que leurs parents leur ont offert pour que ceux-ci soient à leur tour capables d’obtenir des rémunérations (des RFPMD - revenus financiers propres et mérités de droit) leur permettant à leur tour de proposer la même chose à leurs enfants, ceux de la génération suivante.

 

Encore une fois, cette vie-là de scolarité nous fut imposée par nos parents[14], voire avant eux nos grands-parents qui l’exigeaient de nous, parce que des programmes d’études devaient progressivement permettre dans un premier temps aux plus doués d’obtenir le baccalauréat, ce qui ouvre alors la possibilité de continuer à étudier, donc faire des études supérieures, ce qui permet alors (par exemple) d’enseigner à ceux qui débutent à l’Ecole, par conséquent qui permet de transmettre ce qu’on a appris, grâce à des professeurs des universités, voire des maîtres de conférences qui livrent les produits de leurs recherches à ceux qui se destinent à transmettre ces nouvelles connaissances, voire à ceux qui se destinent à continuer à étudier (pour, par exemple, être de ceux (parce qu'ils sont des chercheurs) qui vont trouver des solutions alternatives élégantes (SAE) aux problèmes qui se posent quotidiennement dans chacune des disciplines étudiées qui, on le sait, sont souvent des bibliothèques entières de savoirs ou/et connaissances de SPOK – situations précises, occasions, cas particuliers).

 

Mais nous nous rappelons que chaque matin le réveil était dur à supporter, nous avions envie de rester au lit, de continuer à nous reposer à cause de la difficulté qu’avait signifié à notre échelle la journée précédente, si on voulait continuer à faire partie de ceux qui progressent à/par l’Ecole. Jour après jour, nous accumulions quantité de connaissances à assimiler d’autant plus de toutes celles véhiculées par la radio et/ou la télévision (en noir et blanc) à laquelle certains d’entre nous avaient déjà accès. L’arrivée du week end n’était pas de trop (car certains établissements ont fini par proposer le week end le vendredi après-midi, ce qui permet de prendre le train pour rejoindre sa famille, parfois en ayant à voyager jusqu’à tard dans la soirée, sinon d'arriver en fin d'après-midi du vendredi)[15]. Pour nombreux d’entre nous, ce W.E. (week end) signifiait la possibilité d’avoir accès à d’autres activités, mais aussi à des divertissements. Le repos hebdomadaire était bien mérité, même si nombreux d’entre nous consacraient du temps à la religion et comprenaient que Dieu avait bien fait de se reposer le septième jour de la Création. De cette manière chacun d’entre nous a pu penser – en étant bénéficiaires du week end – qu’ils étaient un peu comme Dieu qui se repose le septième jour[16]. Mais nous comprenions aussi que nous avions de la chance d’avoir deux jours de vacances : le week end complet pour le dépenser/consacrer après tant de difficultés surmontées durant la semaine, à des divertissements ou/et des activités nommées hobbies (de loisirs).

 

Nous sommes donc nés dans une région du monde où des habitudes – probablement le fruit d’expériences nombreuses, voire des deux derniers millénaires, avaient été prises par notre entourage à se lever relativement tôt pour nous demander de rejoindre ces écoles ou lycées et recommencer, comme la veille, à étudier dans chacune des matières, et cela parce que nous avions à nous former, les uns et les autres à avoir des bases en commun (des connaissances/données en commun) avec ceux qui nous ont précédé dans l’obtention de diplômes certifiant que ces compétences étaient acquises / enregistrées, au point que nous pourrions les mettre, à notre tour, à la disposition de la société, le jour venu. C’est ainsi que les plus âgés d’entre nous aidaient les plus jeunes dans certaines des difficultés que ceux-ci rencontraient, au point de devenir un peu leurs professeurs quand ceux-ci n’arrivaient plus à résoudre leurs exercices /devoirs.

 

Mais nous devons reconnaître que c’est en bénéficiant de l’expérience de nos parents, voire d’amis de nos parents, que nous acceptions de fournir les efforts (parfois stoïques) pour reproduire ce qui avait été imposé à ces parents ou/et grands-parents comme peines pour réussir leurs respectives scolarités qui, nous le rappelaient-ils, ne donnaient pas lieu à des avantages financiers tout de suite, mais qui, parce qu’elles étaient suivies, contribuaient aux futurs salaires, voire futurs émoluments, voire à des revenus financiers propres et mérités de droit (RFPMD) que nous aurions, (qui de cette façon nous étaient comme promis) une fois qu’on aurait trouvé le métier (l'activité professionnelle) pour lequel ajouter/apporter sa force de travail, bénéficiant de toutes sortes de connaissances utiles apprises durant ces années de formations qui ont constituées, pour chacun d’entre nous tous, des investissements financiers parfois fort importants (par exemple en temps[17] - ce qui permet d’évaluer en CFPMD le taux / prix de l’heure de travail) que nos respectives familles assumaient, en ayant tous à se sacrifier (financièrement) pour celui ou celle d’entre nous ayant le plus de difficultés scolaires.

 

Il était tacitement compréhensible aussi (comme pour la plupart de nos ancêtres avant nous) qu’il y avait aussi (pour tous) un enjeu matrimonial[18] ou plutôt la perspective d'alliances matrimoniales qui contraignai(en)t à supporter toutes ces formations qui avaient pour but de nous faire trouver une voie rémunérée financièrement parlant, de manière à assurer à notre tour l’indépendance financière de chacun d’entre nous, une fois au service de la profession finalement trouvée.

 

Tout cela est advenu bien sûr en raison de la loi de la quantité sur fond de continuelles concurrences avec les autres enfants de notre génération, mais aussi avec la concurrence de ceux qui nous précédaient (qui étaient plus âgés et avancés dans le même parcours des études que nous aurions à notre tour à comprendre comme eux, voire à notre manière – certains d’entre nous ayant institué un rapport original avec les connaissances enseignées).

 

Mais encore une fois Dieu (voire le Grand Architecte de l’Univers) ne s’étaient (que je sache) exprimés pour nous contraindre à de telles (infernales – au sens de difficiles cadences) journées d’études, pas plus que cela n’a été imposé aux ouvriers ou/et aux travailleurs de toutes sortes (ces journées non stop de travaux). Dans certains SPOK, ce sont des gens qui ont prétendu parler au nom de Dieu (donc des personnes censées avoir accédé à leur/la conscience) qui ont proposé ces études, ce genre d’existence aux travailleurs pour leur apporter les rémunérations dont ils avaient besoin pour (sur)vivre, puisque chacune des choses qu’ils désiraient comportait encore un prix, coûtait. Ce prix pour être déterminé (conçu) dépendait de plusieurs facteurs (paramètres) étudiés en vérité, dont celui des répercussions du prix des transports touchant à tous les niveaux de nos sociétés, donc y compris les acteurs ayant participé à la réalisation de ce bienfait. Aussi il ne faut pas avoir fait Polytechnique(s) ni Normal Sup. pour comprendre que plus le prix de revient est important (plus il y a eut de dépenses faites pour réaliser un produit commercial), le prix du produit final sera élevé et moins on aura de client(s) (ce qui limite alors la production), si on est ainsi contraint (à cause des dépenses liées aux transports) de limiter la quantité d’un bien (d'un produit) réalisé. Mais on comprendra aussi que si on produit en nombreuse quantité un bien, plus il est possible de le proposer moins cher, d’autant plus que nous sommes encore à l’époque où chacun est plus ou moins contraint de travailler huit heures par jour (ce qui permet – en cumulant les heures de chacun – d’abattre avec l'ensemble des collègues plus de travail). Ne travailler que ce dont on se sent capable (donc en réduisant fraternellement le temps de travail de chacun des ouvriers au stricte minimum dont ils se sentent capables - je pense ici au film Dionysos de Jean Rouch - n’est possible que si la valeur de la monnaie dans la zone en question est élevée, car elle garantie alors le pouvoir d’achat, ce qui permet alors de travailler beaucoup moins de temps de manière à être moins payé (car la monnaie a pris beaucoup de valeur, ce qui rend tous les achats sans exception moins chers / onéreux/ coûteux). En effet avec moins de rémunération en RFPMD – revenus financiers propres et mérités de droit – on peut alors acheter plus (ce qui est intéressant, voire permet à terme -(une fois que le prix du baril de pétrole sera à son prix plancher maximum de un centime de dollar le baril pour qu'enfin toutes les monnaies puissent valoir leur plus réelle valeur, par exemple fondues dans la monnaie mondiale de l'Ôz, la MÔz)- de travailler beaucoup moins, par conséquent de devenir millionnaires (même ceux qui aujourd'hui encore mendient) facilement (puisque tous les prix baisseront, même s’il faudra embaucher plus de gens (puisque beaucoup d’ouvriers étant en réalité payés beaucoup plus qu’autrefois vont vite comprendre qu’ils n’ont plus à travailler autant d’heures, ce qui permettra de résorber le chômage, puisqu’on pourra proposer aux chômeurs les heures de travail (de ces collègues satisfaits de leurs conditions de travail / paiement) en moins de ces ouvriers ayant enfin gagné (grâce à la monnaie ayant augmenté sa valeur), du pouvoir d’achat, au point de retrouver du temps pour se divertir, voire étudier, voire agrandir son logis – les sollicitations de produits superflus ne manquant pas et étant proposés à des prix qui auront répercuté la baisse du prix du baril de pétrole pour être proposés moins chers / onéreux/ coûteux, en assurant ainsi le plein emploi parce que les quantités produites seront à la hausse étant donné que les prix de ces biens de consommation auront baissé).  

 

Alors comment faire pour réaliser un monde où chacun de nous pourrait ne pas être obligé à travailler sans pour autant faire augmenter les prix, voire en voyant baisser les prix ?

 

Rien de plus aisé : pour cela il faut (et je le demande depuis 1977) baisser le prix du baril de pétrole de manière à ce que tous les prix baissent en proportion de cette baisse. C’est ainsi aussi que tous pourront travailler le temps qu’ils veulent offrir aux autres en échange de ce que chacun apporte comme temps de travail qui peut continuer à être rémunéré à un prix intéressant d’autant plus de la production de ces produits en grande quantité, parce qu’il y a enfin l’accroissement du pouvoir d’achat parce que tous les prix auront baissé, ce qui résoudra la crise économique, parce qu’on pourra proposer du travail à tous les chômeurs parce qu’on pourra de nouveau produire en grande quantité parce que la demande de superflu augmentera (en effet aujourd'hui les biens de première nécessité peuvent être acquis par ceux qui reçoivent les allocations des plus pauvres, alors que si les prix baissent, cette classe sociale pourrait elle aussi avoir accès à d'autres biens de consommation). En effet, la crise économique due à l’augmentation du prix du baril de pétrole n’a plus permis qu’à très peu de personnes d’acquérir du superflu, c’est-à-dire ce qui n’est pas indispensable comme les biens de première nécessité. Chacun a dû faire attention à ses dépenses, parce que chacun des prix des produits augmentait en proportion de la hausse du prix du baril de pétrole, (donc en raison de la loi des conséquences qui est synonyme de la loi des répercussions) ce qui a constitué un frein-à-main tiré de plus en plus fort sur toute l’Economie, au point que de nombreux pays ont dû s’endetter d’une manière inimaginable et sacrilège envers les droits des générations à venir de vivre sans obligation de travailler, parce que (re)devenus végétariens, par conséquent comme à l’époque où nos ancêtres les plus éloignés voyaient tout autour d’eux la magnifiquissimis…simissime vision du Paradis. En effet, l’être humain n’avait pas encore eu à forger des armes pour se défendre, voire pour chasser -(comme cela a été le cas après le problème de la TGC – très grande catastrophe - avec l’invention de la mort par cette entité – aujourd’hui morte depuis 2005 - n’ayant même pas de corps, mais étant dans la haine la plus noire et hideuse : satan)- dans les régions autres que celles de l’Équateur où il a commencé à s’aventurer plus ou moins prudemment en découvrant qu’il avait de constants besoins, à cause de l’existence des saisons, ce qui a progressivement contraint l’être humain -(n’ayant plus accès à la salle des machines – ne sachant même pas qu’elle existait)- à devoir s’ingénier. 

 

Pourtant, ces enfants qui n’ont pas pu aller jusqu’au bout de leurs respectives formations intellectuelles et ont quitté l’École tôt, vers seize ans – voire certains plus tôt encore, vers quatorze ans – ont recherché du travail pour être rémunérés, parce qu’ils avaient parfois trouvé la femme de leur vie avec laquelle ils entendaient constituer une famille (vivre ensemble, avoir des enfants). C’est donc les besoins économiques (financiers) qui ont poussé de nombreux adolescents à quitter l’Ecole (avant terme) pour avoir à servir dans les occupations / activités de travaux divers qui se sont présentés à eux, avec un nombre d’heures de travail à fournir de manière parfois à n’obtenir que le Smig, voire pour certains plus que le Smig, s’ils n’étaient plus des débutants en ayant fait l’acquisition de compétences, voire en se spécialisant.

 

C’est que nous sommes tous nés dans une époque qui est le résultat de nombreuses choses qui sont elles-aussi le résultat de très nombreuses pensées de tous ceux qui ont essayé de donner les meilleurs avis, à travers leurs respectives œuvres et expériences, mais aussi parce que ces personnes ont été payées pour donner ces conseils les meilleurs, parce qu’ils avaient été élevés pour discerner le bien du mal, par conséquent être de bon conseil.

 

Et cela avait abouti à la situation qui était la nôtre avec autant de gens dans le monde étudiant, donc à priori capables de comprendre, voire de rechercher la Vérité, voire les vérités relatives les plus justes.

 

Et parmi elles, il y avait cette question concernant le rythme de vie que chacun s’imposait pour pouvoir continuer ses études, progresser. Ici chacun a vécu un peu différemment sa vie, mais il est à noter que les emplois du temps de chacun d’entre nous étaient très remplis, voire moins remplis que d’autres. Il s’agissait d’heures que nous consacrions à des matières dont nous avions l’intention de comprendre les paramètres qui les constituaient. Bien que certains d’entre nous trouvaient du temps pour aller au cinéma, au théâtre, au concert – bref pour se divertir, ils n’étaient pas dupes : il s’agissait encore d’études sous des formes audio-visuelles plus accomplies, comme si les études qu’on avait faites avaient permis à certains d’entre nous de proposer des spectacles qui parlaient de leurs découvertes et de leurs progressions dans leurs recherches.

 

Tous ces spectacles ou/et ces œuvres d’art ont été possibles aussi parce que les responsables de ceux-ci se sont levés tôt pour les réaliser, en s’imposant parfois des peines difficiles à surmonter pour réussir à organiser ces heures de loisirs pour les spectateurs.

 

Aussi la plupart d’entre nous – en raison du nombre de sollicitations extérieures – a continué à se lever tôt, parce que chacun d’entre nous a des activités rémunérées qui leur offrent la possibilité d’avoir des heures pour se divertir, voire se reposer en ayant des activités culturelles qui sont nécessaires au meilleur équilibre de leur vie active.

 

Pourtant quand on restaurera la vision (mythique) d’Atlantide (Ôz, le Paradis, l’Eden, Schtroumpf, Arcadie, etc. - des synonymes) petit à petit on pourra se lever moins tôt, car cette vision admirabilissimis…ssmissime n’a pas empêché nos ancêtres qui vivaient avec, de dormir.

Cette sublimissimis…simissime beauté (de l’art à l’état pur) a permis très longtemps à nos ancêtres (qui l’avaient continuellement autour d’eux et sur eux comme décor) de dormir car il n’y avait pas le soucis de ne plus avoir de quoi manger. Aussi, ils s’endormaient confiants en se laissant aller à l’inconscience, mais au sens positif de ce mot qui est aussi celui de l’innocence.  

Depuis la salle des machines des rêves étaient réalisés pour ces dormeurs et ces rêves n’avaient rien de mal, parce qu’ils étaient fabriqués en vérité, par des amis ou/et des connaissances sympathiques. 



[1] Nous pouvons vérifier que toutes les écritures sacrées proviennent de personnes (souvent anonymes) ayant eu accès à l’éveil (de la conscience) à l’illumination (par cette conscience), bref à l’état de bouddha. Ce sont ces personnes qui ont, au cours des derniers millénaires, fait parler Dieu, parce qu’elles avaient chacune découvert la sécurité qui existe dans chaque homme et chaque femme pour accéder aux connaissances du sacré, soit de découvrir les mystères de la Création, en sortant de la condition LAPIS (strictement laïque, uniquement athée, profane, souvent de celle des ignorants, et parfois même sans le vouloir - voire en le voulant - avec préméditation de sacrilège, au bon comme au mauvais sens de ces cinq mots). C’est effectivement la métamorphose – une des caractéristiques donnée(s) comme possibilité(s) aux êtres humains (qui en général la connaisse depuis l’âge de bébé, car ils continuent à grandir en se modifiant, en changeant à cause de toutes les interactions qui se produisent à partir de leur naissance) – celle que j’ai eu à démontrer qui existe réellement – qui permet d’accéder au monde de Dieu, voire de l’Architecte de l’Univers et de connaître grâce aux extrapolations à partir des principales données de la réalité leur projet, c’est-à-dire le but (les objectifs) de la Création sur le plan local, mais aussi celui de chacune des composantes de l’Univers. Aussi ce sont les personnes qui ont eu accès à la connaissance divine qui à partir de leurs expériences ont cherché à conseiller le mieux possible leurs contemporains, d’autant que ces personnes (pour la plupart) avaient charge d’âme, en raison de ce qu’elles étaient mariées et avaient fondé des familles, ce qui fait alors connaître des besoins, voire permet alors de mieux comprendre ce qu’il est nécessaire de mettre en place socialement parlant, ne serait-ce que pour assurer la sécurité de chacun des membres de la société (ce besoin de sécurité est une constante qu’on retrouve dans la plupart des sociétés organisées – on comprend que les principaux responsables puissent collaborer entre eux en ayant accès aux règles du Droit interRégional (ex-international)). Aussi il n’a pas été rare que des textes sacrés aient été écrits par ces personnes ayant des responsabilités familiales, voire à cause de cela aient à jouer localement un rôle (+ ou - important). De grandes figures sont alors apparues suivant les époques. Ces personnes étaient parvenues à comprendre ce que pouvait être Dieu. Elle l’ont fait parler dans des textes dans lesquels il était question de plus de justice (comme de réparer des sacrilèges/péchés commis), mais aussi des droits de chacun des êtres humains y compris ceux des LAPIS (strictement laïcs, uniquement athées, profanes, souvent ignorants et parfois sacrilèges, donc au SNPM – au sens négatif et positif de ces cinq mots) qu’ils ont respecté tant que ceux-ci ne sont pas devenus nuisibles à ceux qui dans cette condition d’êtres humains ayant eu accès à la conscience qui recherchent la vérité, voire leur âme (qu’ils auraient perdu, en s’agrégeant à tous les LAPIS inconscients (au SNM – au sens négatif de ce mot) ou/et demeurés adolescents (au SNM).

[2] Cela signifie que la vie nous a été donnée parce que nous avions le droit à cette vie au Paradis, le droit de vivre et d’avoir accès aux matières premières qui composent la Création pour nous en servir librement aux fins que nous aurions trouvé bonnes pour la société des êtres humains avec laquelle nous partageons les mêmes codes car d’une façon ou d’une autre nous commerçons entre nous tous. Ces matières premières sont souvent nécessaires ou/et utiles pour réaliser des produits de première nécessité, ce qui est une activité de certains êtres humains qui ont le désir de s’occuper pour être utiles à leurs proches, voire dans certains SPOK (situations particulières, occasions, cas précis) à la société toute entière. En effet, les journées ont vingt-quatre heures et il convient de meubler quotidiennement les temps de vie qui existent après tous ceux consacrés au sommeil (voire ceux consacrés à la sexualité intime) c’est pourquoi chacun d’entre nous s’est petit à petit révélé utile dans/pour exercer des activités (professionnelles), d’autant plus que chacun d’entre nous a besoin de revenus financiers propres et mérités de droit (RFPMD) pour survivre en raison des dépenses (même minimales, celles de première nécessité) que quotidiennement il/elle a à assumer. Nous avons fait remarquer dans un autre de nos textes que chacun ayant le droit de vivre sa vie, cela signifie que chacun a le droit d’accéder à un revenu minimum pour assurer sa survie (la monnaie, les finances sont une réalité qui nous concerne tous. Cela permet au moins, avec une allocation ou/et une subvention - voire une prestation sociale -, de survivre décemment, voire de se former pour exercer une ou plusieurs activités bénévoles ou/et rémunérées (car pour la plupart d’entre nous ce Minimum Mondial de Solidarité ou/et de sécurité (https://www.facebook.com/groups/1699136193661990 ne suffit pas) dès la naissance. En effet, si c’est bien à l’Etat qu’incombe de battre monnaie, il s’agit d’un droit qui ne peut avoir le droit d’exister que si des sommes d’argent sont pour ce projet étatique équitablement partagées/proposées (comme à chaque nouveau tour au Monopoli) à chacun d’entre nous qui doit aussi disposer d’un minimum pour se loger (ce que les responsables des logements sociaux proposent aux bénéficiaires de ces allocations sociales). Il est donc compréhensible que ce minimum vital ne pourra s’obtenir dès la naissance -(que si le prix du baril de pétrole – une matière première indispensable pour tous – baisse. Voir ici https://www.facebook.com/groups/1624235357863902/)- de chacun des enfants qu’à la condition que les dépenses effectuées ne le soient que pour demeurer ou/et devenir végétariens (la grande mutation, comme je l’ai démontré en m’utilisant comme cobaye, afin de retrouver grâce à cette alimentation des plus saines ce qui est indispensable à chacun : la cohérence du cerveau, le coeur en liaison avec la conscience), puisque nous avons compris qu’il ne sera possible de restituer progressivement (selon un emploi du temps très précis (en suivant le calendrier que j’ai proposé dans la note de bas de page n°9 dans mon texte intitulé de façon provisoire « le fou … »)) la vision du Paradis qu’à la seule condition d’effectuer collectivement cette mutation d’omnivores que nous étions devenus (à cause des migrations de nos ancêtres les plus éloignés après la très grande catastrophe (la TGC)– la scission ou/et la division entre nous tous au début de l’aventure humaine, A. H. qui a été à l’origine de nos différentes espèces (ethnies), selon les espaces géographiques occupés). Ce MMS (Minimum Mondial de Solidarité et …) en végétariens, ce qui était la condition originelle de vie de nos ancêtres les plus éloignés quand la vision du Paradis se voyait constemment partout (tout autour – mais aussi sur les corps) avant cette TGC (la très grande catastrophe), voire autrement dit/vu (« le déluge », qui peut aussi se comprendre comme une métaphore de la Seconde Guerre mondiale) donc avant le problème, qui a contraint à petit à petit créer sur toute la Terre l’ensemble des religions pour que les responsables de celles-ci puissent organiser la vie publique avant que la plupart des Etats ne deviennent laïcs, au bon sens de ce mot qui signifie tolérance envers chacune des religions considérées chacune comme une forme/sorte de catégorie en liaison avec ce qui est sacré et ses corollaires, soit pour certains du moins ce qui est du domaine de Dieu, voire de l’I. Ô. (Immense Architecte de l’Univers) pour ceux qui ont la tête dans les étoiles. En effet, il est normal que des gens qui refusent de faire le mal, voire d’être complices de ceux qui continuent à faire le mal, malgré l’existence des solutions alternatives élégantes, aient effectivement le droit de vivre et soient même subventionnés financièrement parlant, en obtenant le droit dès la naissance de disposer d’un revenu mensuel qui sera dans un premier temps géré par leurs parents, tant que ces enfants n’auront pas appris à gérer eux-mêmes le budget dont ils disposeront, celui-ci permettant de faire des économies pour payer les biens de première nécessité, mais aussi le droit de se divertir à des activités culturelles d’autant plus si ils y participent. En effet, il n’est pas normal (logique) que ce droit de vivre qui a été reconnu dernièrement officiellement par les principales institutions n’ait pas encore engendré en toute logique partout ce droit de disposer de ce minimum mondial de solidarité végétarien et ce logement minimal, car si l’argent (la monnaie) existe, cela signifie qu’il doit contribuer à faciliter la vie de chacun (qui sommes tous handicapés par l’absence de la vision du Paradis), non à la rendre plus difficile, non à obliger les uns ou les autres à se prostituer (origine de nombreuses maladies) pour en obtenir. Si tous ont reconnu que le système capitaliste est le meilleur des systèmes économiques, c’est parce que ceux qui sont des capitalistes investissent (à travers les banques) les économies de chacun d’entre nous dans des entreprises qu’ils jugent plus ou moins profitables à plus ou moins long-terme parce qu’elles sont à l’origine de la transformation des matières premières en biens de consommation (parfois un élément de prospérité), ce qui permet d’offrir des activités rémunérées en RFPMD (revenus financiers propres et mérités de droit) aux uns et aux autres, qui pourront s’ajouter à ce Minimum Mondial Végétarien de Solidarité (ce qui alors permet de travailler le nombre d’heures qu’on peut offrir à l’entreprise en question – chacun selon ses réelles possibilités physiques (psychiques) et  ou/et ses temps libres). Il faut aussi comprendre que chacune des personnes est plurielle parce qu’elle est plusieurs états différents, parce qu’elle a aussi le droit au changement, selon la progression de son existence. C’est d’ailleurs déjà le cas pour tous ceux qui disposent sur Internet d’un site. On pénètre alors dans un territoire qui appartient à l’auteur de ce site (comme quand on entre chez quelqu’un – on est alors en territoire étranger, même si c’est chez un ami et on le sait, parfois il y a plusieurs facettes positives chez un ami). On prend alors connaissance de tout ce qui a été publié d’original qui caractérise le site qui est aussi des superficies virtuelles – comme des territoires, au point que j’avais donné la solution alternative élégante pour résoudre le conflit palestinien et israélien : que les palestiniens disséminés dans le monde créent sur Internet un Etat (virtuel) palestinien à partir de chacun de leurs sites personnels, en les connectant entre eux (voire en recréant virtuellement sur Internet les lieux qu’ils habitent, si ils en sont les propriétaires, voire aussi les locataires (ceux-ci, on le sait, ont aussi des droits) . Ce qui peut aussi être fait par chacun des peuples ayant en commun une langue ou/et un dialecte.       

[3] Rien à voir pourtant avec l’époque où le Paradis existait, où nous vivions tous en Atlantide, quand nos ancêtres ne mourraient pas ni n’avaient de maladie(s), qu’aucune des armes n’existait car nos ancêtres vivaient dans une région de cette planète où on pouvait continuellement vivre nus (le climat était à la bonne température  toute l’année) et dans laquelle on se nourrissait des fruits des arbres d’autant plus facilement que tous volaient sans même avoir besoin d’ailes, par la seule volonté (un peu comme en apesanteur, par exemple, dans la Station Orbitale Internationale – S.O.I.), pour la nécessité d’atteindre un fruit situé sur une branche d’arbre haut-placée. Bref nous avions les capacités que Dracula a conservé puisqu’il vole et peut se rendre invisible comme cela a été le cas en 2005, comme je l’ai autre part déjà raconté. Cette région dans laquelle vivaient nos ancêtres avant le problème (qui a déclenché l’histoire de l’aventure humaine : HAH) est probablement située de nos jours au Sahara, mais du côté de la ligne équatoriale où il n’y avait (comme c’est toujours le cas) qu’une seule saison toute l’année. Personne n’avait songé à s’éloigner de cette région où les arbres nous nourrissaient de leurs fruits (aussi je fais ici le pari que ces autres régions vers lesquelles il y a eu les migrations ultérieures ont été créées en tant que des sécurités à la Création, de manière à s’il y avait un problème pouvoir petit à petit canoniquement (légitimement) le résoudre, grâce à ces autres régions si différentes de la zone équatoriale où pendant des millénaires nos ancêtres avaient vécu sur le plan alimentaire en fructivores et cela même s’ils disposaient dans leurs mâchoires de canines, la trace de réincarnations précédentes dont ils étaient parvenus à s’affranchir au point d’appartenir enfin à l’espèce humaine, alors très proche d'une des races de l'espèce des singes).

Là où nos ancêtres vivaient, il y avait dans le ciel le spectacle constant des nuages, des « merveilleux nuages » qui permettaient continuellement d’imaginer à partir des formes qu’ils prenaient (les formes que prennent les nuages permettent d’exercer l’activité cérébrale de l’imagination, par conséquent d’exercer son intelligence, ce qui est indispensable à/pour l’entretien de la conscience et de l’enthousiasme - nuageothérapie oblige). Mais en plus de ces formes extraordinaires, il y avait continuellement la vision du Paradis, c’est-à-dire celle d’Atlantide ou/et d’Ôz, bref de l’Eden ou de Schtroumpf (des synonymes), celle qui m’est apparue en 1995, se révélant sur tous les murs à première vue uniformément d’une seule teinte, quand on m’a fait (avec l’intervention de l’Architecte de l’Univers) l’empereur suivant mon père qui est dans l’ordre chronologique l’empereur suivant napoléon premier, puis adolph hitler.

Pendant un bref instant, qui a duré au moins cinq secondes, j’ai vu cette vision (mythique) apparaître (se révéler) – elle n’était alors plus mythique et encore moins une utopie, mais la réalité elle-même (et croyez-moi je ne dormais pas, je ne l’ai pas rêvée) - sur le mur que je regardais depuis la fenêtre de la chambre où se trouvent (dans l’invisible) emboités l’un dans l’autre les sarcophages de napoléon premier et adolph hitler (mais probablement aussi ceux des empereurs précédents, empilés en poupées russes) et vraisemblablement aussi celui de mon père avec lequel je n’ai plus formé qu’Un seul. La vision du Paradis enfin retrouvé est effectivement la beauté à l’état pure, c’est une beauté sublimissimis…simissime (et encore ici je minimise par rapport à ce qu’il m’a été donné de découvrir, car en réalité, il n’y a pas de mots assez justes pour nous donner une idée de cette merveilleuse beauté, bonté et bienfaisance mais aussi charité et compassion à l’état pur (il faut comprendre que cette beauté divinissimis...simissime existait tous les jours, à toutes les heures, du temps où le Paradis existait – c’est pourquoi nos ancêtres qui vivaient en Atlantide ne mourraient pas, assurés qu’ils étaient qu’ils étaient bel et bien nés au Paradis). Peut-être certaines œuvres d’art, quand elles arrivent à nous enthousiasmer totalement sont dignes d’être comparées à cette vision du Paradis que j’ai eu la chance de voir avant que celle-ci ne me soit retirée, donc que cette vision d’Atlantide (et de ses synonymes) ait disparu. Au jour où j’écris ce texte, il a fallu plus de vingt années de recherches et de textes écrits par mes soins pour comprendre ce qui avait pu se passer dans l’histoire de l’aventure humaine (A. H.). On lira donc ces textes que j’ai publiés sur Internet en tant que lettres envoyées aux présidents de la république française et aux papes et/ou cardinal Vingt-Trois, mais aussi au docteur Koechlin comme au président Macron.

On le sait l’apparition de la mythique Atlantide sur toutes les parois et tous les sols (mais aussi sur tous les corps) n’est advenue que parce que devenu inconscient, je m’étais alors dans ma tête menti à moi-même en ayant une pensée qui a sans doute fait plaisir à ceux qui ont alors actionné le TGV (très grand variateur) relié probablement au cerveau de chacun des êtres humains, ce qui a permis de voir se révéler (apparaître) cette vision (mythique) d’Atlantide (du Paradis). Mais après avoir ainsi pensé cette chose mensongère, comme je le fais d’habitude à propos de tout ce que j’entends ou on me dit ou/et que j’écris, je me suis imposé, par honnêteté intellectuelle, le doute (ne serait-ce que pour me donner la possibilité d’intellectuellement vérifier si ce que j’avais pensé pouvait être vrai) qui a été alors salvateur, car c’est parce que j’ai eu cette honnêteté de remettre en cause la pensée qu’alors inconscient (ne le sachant pas) j’avais eu, que la vision du Paradis a disparu (si elle avait persisté il est probable qu'il y aurait eu de nombreux accidents), laissant la place à l’habituelle ambiance d’« inquiétante étrangeté » de la réalité, ce qui allait me causer bien des problèmes pendant les dix ans qui ont suivi car j’ai alors essayé par mes efforts les plus difficiles à faire en peinture de faire apparaître de nouveau cette vision du Paradis. Cela a donné la série des tableaux-partitions de Laury Aime (qu’on peut découvrir en vidéo sur Internet) pour le piano-peint de Michèle Finck que j’ai presqu’entièrement décoré (il manque encore à faire les parties latérales – ce que je ferai le jour venu). Elle était alors ma fiancée jusqu’à ma rupture de fiançailles en 2005, quand j’ai appris que j’avais eu une amnésie d’une autre fiancée, Christine Lang (et que Michèle le savait). Mais j’ai alors créé – de 1995 à 2005 - des œuvres qui témoignent de ma volonté de (re)trouver la Vérité (qui l’était à l’occasion de chacune des traces de peinture posée avec une très grande difficulté, d’autant que je ne me savais pas devenu par moment un menteur), ce qui finalement s’est produit en 2005, en découvrant par la même occasion qu’il y a dans chacun des êtres humains une sorte de sécurité : par les efforts physiques et psychiques constants, on peut retrouver (si perdus) sa conscience et son âme d’origine (donc l’originalité de sa personnalité en général influencée par ce que la conscience a discerné comme le meilleur). C’est alors que je me suis découvert un bouddha (un éveillé, un illuminé par cette conscience et mon âme peu à peu, à mesure que j’ai avancé dans mon auto-psychanalyse, retrouvée :). C’est alors aussi que j’avais commencé une auto-psychanalyse qui a permis l’intervention directement dans ma tête de mon père accompagné d’une personne qu’il m’a présenté en tant que Dieu, en fait cela me faisait me souvenir avec joie de ce qui s’était passé en 1977 quand déjà, une première fois (avant mon amnésie qui dura vingt-sept années + plus de dix ans de soins auto-psychanalytiques à partir du moment où on me rappela ce fait majeur de ma fiancée de 1977), j’avais fait la connaissance de ce « Dieu » quand (la mémoire me revint) j’avais eu à prendre en dictée la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale que j’ai transmise à mon père, au fur et à mesure, parce que j’étais alors apparu immense dans le ciel, constitué de nuages, évoquant d’avance le futur qui attendait chacun d’entre nous tous situés alors vingt-sept ans avant l’époque d’où mon double d’avance intervenait, ce qui avait permis de faire/créer (pas seulement de le nommer) mon père empereur, successeur de napoléon premier et d’adolph hitler, parce que j’avais pris connaissance de ce fait en 1995, alors qu’on m’avait révélé l’immensissimiss…imissime beauté  d’Atlantide, soit d’Ôz vers lequel, j’espère nous nous dirigeons enfin vers cette vision du Paradis nous étant peu à peu restituée selon le calendrier que j’ai proposé.  Ce qui est sûr et certain c’est que c’est la beauté (la vraie beauté) qui peut soigner les uns et/ou les autres (comme dans les meilleurs œuvres de théâtre où les conclusions sont spirituelles et belles, par le truchement de la catharsis). La vraie beauté est incompatible avec la méchanceté (qui est à l’origine des destructions, du mal), voire ce qui est sale ou/et vulgaire. Aussi dans le monde qui est à l’heure où j’écris ce texte encore privé de la vision réelle du Paradis, ce qui est laid, infesté de microbes, dans la tête faux (donc impur) ne peut pas être vrai. En effet, la pensée que j’ai eu qui a fait disparaître la vision d’Ôz retrouvée, était la vérité et a permis de nous faire découvrir que ceux qui ont hérité du TGV (le très grand variateur) sont devenus des menteurs, puisqu’ils ont rétabli la vision d’Atlantide (celle du Paradis) à l’occasion d’une pensée mensongère que, souffrant, torturé, je m'étais abaissé à avoir. Cela signifie que ceux qui ont hérité de ce TGV sont tous, à partir d’un certain moment dans leur histoire individuelle (personnelle), devenus menteurs, par conséquent qu’ils feraient bien de faire des psychanalyses, voire pour ceux qui ont le plus étudié parmi eux, des auto-psychanalyses, voire des vidéo-auto-psychanalyses pour retrouver le moment où chacun d’entre eux a été trompé, au point de devenir l’un ou l’autre des menteurs, appartenant au groupe des menteurs qui considèrent que la salle des machines d’Atlantide est « cosa nostra » (à eux : « cosa loro »). Hélas chacune de ces personnes a aussi cru possible croire dans satan (qui a été, au cours des siècles, la personne de l’empereur). Or nous avons pu vérifier sur nous même premièrement qu'un satan de la sorte est un amnésique et un ignorant (comme j’ai eu à le démontrer en m’utilisant comme cobaye) et deuxièmement en 2005 nous avons constaté que l’entité satan est morte (c’était un visage de femme et non d’homme) quand par hasard, à l’occasion d’une promenade digestive, je suis allé au jardin du Luxembourg et que j’ai découvert la hideur de la haine noire prisonnière de l’épaisseur de la glace dans le bassin du Luxembourg. Il s’agissait d’une entité qui n’avait même pas de corps qui était dans l’épaisseur de cette glace une sorte de gigantesque masque de femme dans la haine noire et qui avait été comme pétrifiée par le froid cet hiver-là. Cette haine est probablement la cause de tous les problèmes, voire des moments où chacun de ceux qui ont cru au diable sont devenus des menteurs, voire ont formé une sorte de groupe luttant contre cette notion de Dieu que de nombreuses religions ont pourtant essayé de célébrer du mieux qu’elles ont pu (d’autant plus qu’elle est illustrée et confirmée par cette magnifiquissimis…simissime beauté du décor (quand est actionné le variateur liée à cette vision), voire d’autres ont seulement approché. Je rappelle ici que l’une de ces religions a affirmé que Dieu avait fait l’être humain à Son image, par conséquent avec la sécurité qui était dans Dieu pour réussir à retrouver son âme, voire sa conscience et l’accès à la pleine lumière de la véritable connaissance, par conséquent à la Vérité (cela étant valable pour chacune des personnes s’étant éloignée de cette notion de Dieu qui a effectivement à voir avec la vision admirabilissimis…simissime du Paradis retrouvé, celle qu’on nous a montré au moins cinq secondes en 1995 au moment où je devins le dernier empereur. Cela signifie que cette beauté qui a disparu au moment où j’ai émis le doute était apparue parce que souffrant et amnésique de nombreux éléments essentiels de mon existence passée, je m’étais mis (en inconscient) à mentir-vrai, au point que ceux qui écoutaient mon cerveau penser ont cru alors pouvoir rétablir la vision du Paradis, parce qu’ils croyaient eux aussi (probablement sincèrement) que ce que j’avais pensé pouvait être vrai. Or comme j’ai eu par la suite à le démontrer dans mes divers écrits, c’est le contraire qui est vrai car ce que j’avais alors pensé était la pensée d’une personne ne sachant pas qu’elle avait en partie perdu sa conscience, à cause d’amnésie et d’ignorance -(ce que j’avais eu à démontrer une première fois entre mes deux ans et mes quatorze ans – mais aussi de l’oubli de ma première fiancée Christine ... Lang)- qui sont, comme je l’ai démontré, à l’origine de la maladie de (la) satanite, soit celle de croire que la mort serait créatrice, ce qui est totalement faux. Elle ne l’est que de larmes et de maux, que de maladies et de désespoirs, elle ne l’est que de mensonges, par conséquent à l’origine de chacun des microbes ou/et des virus, voire de chacune des malformations génétiques, bref la « créatrice » de tous les problèmes et malheurs que chacun d’entre nous avons. Voilà ce dont était « l’auteure » la satan (ce masque de la haine d’une femme envers tous y compris Dieu) : de toutes les misères et méchancetés, bref de tous les malheurs : des détestables « créations » qui sont au contraire des destructions, par conséquent de ce qui a mené à la mort génération après générations les uns et les autres, de ce qui a été à l’origine de toutes les réincarnations tragiquissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes et etc. et cela pour chacun de ceux qui ont préféré croire à des mensonges, voire à des vérités incomplètes de manière inconsciente, c’est-à-dire en ayant perdu quelques-unes des facultés essentielles qu’on peut (comme j’ai eu à le démontrer de l’âge de quatorze ans à l’âge de quarante-deux ans) retrouver grâce à cette sécurité qui existe dans chacun des êtres humains pour raisonner enfin plus justement (d’une façon plus cohérente – cela évite alors de devenir, hélas, l’un des fous dont l’inconscience – au SNM – au sens négatif de ce mot (et non au SPM – au sens positif de ce mot) - est l’origine), voire pour comprendre en prenant le temps de l’analyse -(si possible écrite car on peut mieux se corriger, rectifier, s’auto-censurer, se contraindre à douter avant d’affirmer, etc.)- chacun des problèmes en vérité sur toutes ses facettes.      

[4] Mais si chacun pouvait travailler quand il en a envie, voire seulement une heure par jour (pour être rémunéré supplémentairement au revenu minimum végétarien qui donne aussi le droit à un logement de 14 mètres (voir ici les textes publiés sur Face book dans les groupes que j’ai créé à ce sujet : https://www.facebook.com/groups/1699136193661990) carrés en ville), est-ce que cela ne serait pas mieux ? Personnellement je crois possible (au sens de viable économiquement) une telle existence et cela depuis 1977, au moment de mon intervention à travers Espace et Temps, c’est-à-dire au moment où mon double intervenait du ciel à partir / (depuis les) / des années 2005. Si on avait obéi à ce que je demandai sur place en 1977, cela ferait belle lurette que chacun d’entre nous serait millionnaire, à travailler aux choses dont il est capable (car le pouvoir d’achat de chacun de ceux qui sont payés, serait devenu plus important, voire immense). En effet, le pétrole était à moi à plus d’un titre : futur empereur -(mais qui l’était déjà, puisque j’intervenais du futur avant même d’y être, tant je suis vrai (et sans erreur, même si à première vue j’en fais du point de vue de ceux qui ont des préjugés, voire qui n’analysent que superficiellement les choses sans tenir compte des innombrables paramètres auxquels, par contre, ma situation de bouddha (d’éveillé) ayant eu accès à la conscience me contraint de tenir compte), ayant fait la démonstration que la vérité préexiste et qu’il convient d’avoir à la rechercher pour la retrouver)- bouddha (eanmeailleur) et découvreur de plus de 50% des réserves de pétrole depuis 1982 géolocalisées  par mes soins (les coordonnées transmises depuis 2010 à travers Espace et Temps, au cours de la Nouvelle Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale qui commença en 2005 synchrone avec 1977). Aussi ceux qui ont monté le prix du baril de pétrole sont ceux qui ont saboté la Création (ils obtiendront, s’ils ne s’amendent pas avant leur véritable mort, des réincarnations en proportion d’avec les conséquences de leurs péchés – en tant que sacrilèges envers les lois du Commerce dont ils sont constemment à bénéficier pour tous les autres produits - sur tous les autres chapitres) en recherchant ainsi artificiellement à rendre injuste cette Création : en créant artificiellement (à cause de ces augmentations du prix du baril de pétrole) l’enfer sur Terre (la misère et la pauvreté) alors que si on m’avait obéi, la Paradis aurait existé pour tous du jour au lendemain, d’autant qu’avec l’apparition de l’anneau immaculé à mon doigts des pères de famille, j’attendais des enfants de ma fiancée Christine … Lang, mais aussi, (nous en étions avertis depuis le Ciel), de Michèle Finck, c’est pourquoi j’avais l’autorisation du Ciel de constituer deux familles, d’autant que j’avais les moyens, en raison de tout ce que mon double d’avance dans le futur, du ciel, a transmis comme renseignements précieux au cours de l’Hyper Méga Dictée pour (par sécurité) permettre de créer notre époque à partir de 2005 (où tout recommençait), si on ne m’obéissait pas sur place. Je rappelle que pour la moindre des malhonnêtetés intellectuelles ceux qui les créent obtiennent des problèmes psychiques, c’est-à-dire des dysfonctionnements dans leurs neurones et synapses, ce qui peut mener progressivement à l’inconscience (soit à l’état de fou au SNM – au sens négatif de ce mot – sous-entendu : et non au sens positif). C’est ça qui a fini par créer la haine noire de la face (la figure, un masque de deux mètres carrés) de la reine de la nuit qui en réalité était satan, soit en réalité une chose qui n’existe pas -(c’était comme une très épaisse fumée, voire comme la tête démesurée d’un fantôme noir)-, n’a pas de consistance (parce que n’a pas de corps) étant donné que la Création (et on en a la preuve grâce à la vision d’Ôz) a été belle et bien faite, même en ayant d’avance prévu le pire pour nous conduire à ce cas de figure canonique (de la Création) – légitime -, c’est pourquoi nous avons pu comprendre petit à petit que toutes les zones situées hors de la ligne équatoriale (où vivaient nos ancêtres du temps où était partout visible Atlantide – le Paradis, Ôz) ont été créées par sécurité, de même que les étoiles et les galaxies (pour qu’on réussisse – comme projet, à plus ou moins long terme pour l’aventure humaine (A. H.)- à trouver le moyen de rejoindre d’autres planètes, elles aussi habitées), pour le cas échéant il faudrait l’intervention de peuples en avance sur nous, parce que dans leurs systèmes solaires, ce qui est arrivé sur Terre ne leur ai pas arrivé (il n’y a pas eu là-bas de maladie de satanite, soit celle dont est responsable l’ignorance et l’amnésie et leurs corollaires qui rendent souvent sans cœur), au point qu’il est probablement vraisemblable que ces systèmes solaires dans lesquels ces extra-terrestres vivent leur permettent de rejoindre plus rapidement que la vitesse de la lumière (ce que j’ai démontré est possible en intervenant en 1967 et 1977 depuis l’année 2005, synchrone avec 1967 et 1977) d’autres systèmes solaires (soit en anticipant, voire d’avance), c’est-à-dire des planètes où ils sont en relation avec les formes de vie qui se sont là-bas développées. C’est la raison pour laquelle il est aussi probable que sur Terre nous ayons petit à petit découvert chacune des solutions alternatives élégantes à toutes celles qui contraignaient à pécher par rapport à l’origine de la Création où je rappelle que nos ancêtres les plus éloignés (qui vivaient alors au Paradis) étaient fructivores (mangeurs de fruits des arbres et/ou des plantes: et c’est pour cela qu’ils ne commettaient aucun péchés, comme cela doit-être le cas dans l’une ou l’autre des planètes habitées dans l’une ou l’autre des galaxies où il n’y a jamais eu de satanite, soit autrement vu les tentations d’adolescence (au SNM – au sens négatif de ce mot et non positif dans d’autres SPOK – situations précises, occasions, cas particuliers) pour cause d’amnésie et d’ignorance, voire d’autres raisons (causes) – comme j’ai eu à le démontrer en m’utilisant moi-même comme cobaye).   

[5] (au sens de la Monnaie)

[6] En raison de la rareté de ce métal qui l’est dans des proportions bien moindre que l’or qui a lui aussi (en son temps) servi dans/pour le Commerce au point qu’on peut convertir en poids d’or (ou d’argent) les sommes / richesses dont on dispose. Il s’agit donc de métaux qu’on peut vendre ou/et acheter. Leurs valeurs obéissent aux lois des marchés, c’est-à-dire à l’Offre et à la Demande liés aux quantités disponibles.

[7] Pour cela il existe des bureaux de change à la disposition des marchands (mais aussi des touristes de passage qui n’ont pas encore pensé à disposer -(à avoir sur eux pour les paiements)- par exemple, d’une carte bleue Visa).

[8] En l’absence pour l'instant (en 2018) de la Monnaie Universelle de l’Ôz qui est la monnaie mondiale (garantissant que l’ensemble des rRégions – ex-nations – peuvent recourir au Droit, en liaison avec les chambres de Commerce InterRégionales (au sens d’internationales) pour régler leurs différends, ce qui évite les guerres, car des juges interRégionaux (internationaux) formés dans cette spécialité donneront (en cas de litige(s)) leurs verdicts, grâce à l’indépendance de la Justice et à la recherche de la Vérité dans chacun des SPOK (situations précises, occasions, cas particuliers).

[9] Cela est théoriquement possible pour chacun des bienfaits (sauf certains originaux qui ne sont que rarissimis…simissimes, car des pièces uniques, non reproductibles à l’identique (cela concerne surtout le marché de l’Art) mais en réalité dépend du pouvoir d’achat des peuples de cette planète. Ce pouvoir d’achat s’il est grand permet d’acheter de nombreuses choses, voire de ne se priver de rien dans cette civilisation de la consommation (à la fois une bonne chose mais aussi, sur d’autres points, une chose condamnable -(réprimeandable, voire inadmissible)-, car elle engendre des enfants-gâtés)  qui n’est possible (au sens positif de celle-ci) que si le pouvoir d’achat de la monnaie locale est fort. Cela signifie que la valeur de la monnaie dans laquelle on a été payé est forte sur le plan internationale car la monnaie en question s’apprécie (prend de la valeur). Mais il y a un inconvénient à ce que cette monnaie d’échange soit trop forte parce que dans certains cas (voire SPOK, donc,) cela freine le commerce extérieur du pays qui a cette monnaie ayant une grande valeur parce que les pays dans lesquels la monnaie locale qu’ils utilisent a moins de valeur, risquent d’avoir à s’endetter pour acheter le produit qui provient du pays où la monnaie/devise a beaucoup de valeur (ces pays plus pauvres auront des difficultés pour acheter le produit dont le prix résulte des dépenses faites pour le produire en grande quantité afin de baisser au maximum le prix de ce produit pour le rendre attractif sur les marchés des pays qui disposent de crédits financiers (CFPMD – crédits financiers propres et mérités de droit) dans la monnaie du vendeur du produit. Aussi cela risque de freiner le nombre de ces exportations parce que le pouvoir d’achat des rRégions où les monnaies ont moins de valeur est moindre. Ce qui signifie que des pays industriels – voire les pays les plus riches (parce leurs monnaies a une forte valeur – un pouvoir d’achat plus important que les autres pays) ne peuvent que très difficilement atteindre (avec leurs produits réalisés chez eux) ces pays moins développés, voire en voie de développement, et/ou considérés comme des pays pauvres (cela réduit donc le nombre des marchés où proposer à la vente ces produits provenant des pays développés où le niveau de vie est plus élevé qu’ailleurs. D’où l’intérêt de la monnaie mondiale de l’Ôz  (la MÔz) comme a représenté la Monnaie Unique de l’Euro dans laquelle la livre-sterling ferait bien de se fondre, en gardant néanmoins cette livre-sterling pour le Commonwealth (dans lequel pourrait aussi circuler l’Euro). C’est bien cette Monnaie Unique de l’Euro (la MUE), cette devise en commun dans chacune des rRégions de l’Union Européenne qui a permis l’apparition de prix semblables pour le même article/produit dans toutes ces rRégions et cela en particulier pour les articles/produits de première nécessité comme pour d’autres produits qui sont proposés dans/sur chacun des marchés de ces rRégions (anciennes nations qui ont pour objectif de se fédérer puisqu’elles sont situées les unes et les autres, grâce aux transports motorisés, à des distances aussi courtes, voire plus courtes que celles qu’il y avait entre les cantons de la Confédération Helvétique du temps où les transports des marchandises (mais aussi des personnes) se faisaient à cheval ou/et en voiture attelées – aussi on peut dire toutes proportions gardées sur le plan des transports, que l’Union Européenne est formée de grands cantons et qu’Elle est comme la construction d’une nouvelle Confédération Helvétique). Cela a permis aux industriels de réaliser leurs produits en grande quantité et pas seulement pour un marché national au sens de local ou/et régional. C’est pour cela que la monnaie de l’Euro s’est appréciée (au sens où elle a pris de la valeur depuis sa création) parce que cela signifie que la guerre froide est terminée, par conséquent que la paix permet de donner le temps de réaliser ces nouveaux produits à terme peut-être même indispensables à tous. Mais tous ont remarqué que le pouvoir d’achat a diminué parce que le prix du baril de pétrole a augmenté, au point en 2014 qu’il (ce prix du baril de pétrole) a failli faire exploser le soleil étant donné que les plus pauvres avaient toujours moins (au sens où ils ne pouvaient acheter que toujours moins de choses pour la même somme de revenus et cela à cause de l’inflation, ce qui fait baisser le pouvoir d’achat d’une monnaie), parce que les prix à l’intérieur de la zone euro augmentaient, par conséquent concernaient des produits qui étaient vendus aux plus riches qui seuls pouvaient les acquérir (cela a réduit le nombres d’acheteurs, ce qui signifie que cela ne permet pas d’embaucher pour réaliser ces produits en plus grande quantité (puisqu'il y a diminution de la valeur de la monnaie et baisse du pouvoir d'achat), par conséquent qu’il y a crise économique à cause de la limitation de la production à cause de la crainte des produits invendus, ne trouvant plus de débouchés commerciaux), ces produits ne trouvant pas de marchés à l’extérieur de la zone Euro, voire seulement dans d’autres pays riches (c’est-à-dire dont la valeur de la monnaie est importante au point de favoriser le transport de ces produits pour qu’ils trouvent des acheteurs parmi les plus riches/fortunés). Cela signifie que les plus pauvres dans cette zone Euro, voire dans l’Union Européenne, n’ont pas pu acheter ces produits (parfois du superflu, ce qui rend quelques fois la vie plus heureuse à vivre). D’où le mécontentement général qui est compréhensible. Si le prix du pétrole avait au contraire baissé (ce qui s’est un peu produit à la suite de mes lettres aux papes (http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm) et aux présidents de la république française - http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm), cela aurait permis une baisse des prix de tous ces produits destinés aux happy few, par conséquent la possibilité enfin d'en augmenter le nombre produit, de les vendre (voire de les offrir - au sens de donner) aux plus pauvres et en prime d’assister à la fin du chômage, parce que le frein à main (tiré au maximum) - qu’a constitué la hausse du prix du baril de pétrole sur toute l’Economie - aurait été levé. Aussi le pouvoir d’achat serait revenu partout pour favoriser cette civilisation de la consommation et des nouveautés, parce qu’on aurait enfin pu produire plus, en étant assurés d’avance que l’entreprise ayant produit l’article en question aurait trouvé des débouchés commerciaux, c’est-à-dire des marchés (y compris dans les pays en voie de développement, voire dans les pays les plus pauvres aussi). 

[10] C’est la même chose grâce à la psychanalyse, voire à l’auto-psychanalyse, si on appartient aux gens les plus scolarisés, voire à la vidéo auto-psychanalyse, pour ceux qui voudront revenir en arrière pour analyser et corriger ces enregistrements, donc approfondir ces psychanalyses, voire les rendre publiques sur You tube ou sur leur(s) site(s) personnel(s) pour bénéficier des lumières de ceux qui s’intéresseraient à ce SPOK. Donc en ayant ainsi la possibilité de dialogues peut-être féconds : d’avancer vers la guérison (le bon rétablissement de cette conscience qui est à géométrie variable puisqu'elle concerne tous les êtres animés qui ont constemment à choisir le bien au lieu du mal, elle est faible chez les animaux prédateurs qui à cause de cela sont égoïstes (ne pensent par instinct) qu'à satisfaire leurs besoins, parfois même au détriment d'autres animaux qui appartenant à d'autres espèces sont rarement respectés) - et plus importante chez les animaux pacifiques et inoffensifs dont chaque être humain est censé appartenir, à l'exception de ceux qui ont perdu plus ou moins cette conscience comme ils ont plus ou moins perdu leur âme, par conséquent la faculté de raisonner juste (logiquement), ce qui peut, hélas, en rendre quelques-uns néfastes (nuisibles), au lieu du contraire pour tous ceux qui ont su conserver cette conscience et/ou leur respective âme /esprit).

[11] Il est probable qu’il y ait de nombreuses différences entre chacune de ces familles. Cela est un sujet de réflexion que nous n’approfondirons pas ici.

[12] (de la part de ces parents étant parfois aidés financièrement par l’Etat)

[13] (c’est-à-dire de sommes versées pour faciliter les études de ces enfants, ces sommes ayant été amputées des revenus des parents n’ayant pas pu les consacrer à autre chose (à cette occasion les parents ont acquis des mérites, s’humanisent car c'est sur RFPMD - revenus financiers propres et mérités de droit- qu'ils élèvent leurs enfants)

[14] (qui en cela obéissaient à la loi qui exige que les enfants soient scolarisés de manière à ce qu’ils puissent être au courant et comprendre par eux-mêmes tout ce que les plus scolarisés leur diront pour les conseiller durant leur vie – c’est pour cela qu’il convient de savoir lire et écrire, voire compter au moins élémentairement, voire plus que cela, si on a été scolarisé au-delà de l’Ecole Primaire : ce qu’il faut acquérir c’est la compréhension des mêmes codes)

[15] Cela signifie que chacun d’entre nous sait que le week end est une réalité qui commence le vendredi soir ou/et parfois dès l'après-midi du vendredi et s’achève le lundi matin (c'est ainsi qu'il est parfois possible de prendre un train tôt le lundi matin pour se rendre au travail, ce qui a ainsi fait durer le week end au maximum). Cela est l’objectif à plus ou moins long-terme pour restituer la vision du Paradis à l’échelle planétaire le week end. En effet, nous serions tous heureux de vivre chacun les week end au Paradis, un remède pour assurer la santé de tous entourés de la très véritable beauté qui est aussi ce qu’on appelle la très sublime beauté et cela serait bon et bienfaisant d’en faire profiter tout le monde (ceux dans la salle des machines qui accepteront de mettre en œuvre le programme de restitution de la vision d’Atlantide vont gagner des points et auront alors de moins pénibles réincarnations quand ils auront à ne plus faire semblant de mourir, mais à mourir réellement). Mais ce ne sera que par étapes que nous pourrons arriver à vivre ce bonheur. C’est-à-dire de retrouver la vision (mythique) du Paradis deux jours entiers par semaine pour tous. En effet, il faudra de nombreuses années pour réussir à proposer vingt-quatre heures de Paradis par semaine, car j’ai pu vérifier en 1995, lorsqu’on m’a fait empereur, que cinq secondes de cette à l'infini plus qu'admirabilissimis…simissime beauté suffisent amplement pour avoir envie de changer, voire de participer un peu plus par ses travaux à la bonne marche de la société qui est une civilisation constituée de plusieurs civilisations différentes enfin inter-connectées. Nous rappelons que ces civilisations ont été fondées et organisées au départ (sont nées) grâce à des personnalités bien précises qui ont, à chaque fois, (en raison d’une métamorphose personnelle s’étant opérée à partir d’un moment donné au cours de leur respective existence) fondé des croyances et/ou des vérités relatives pour permettre aux membres de leurs familles, voire aux différentes sociétés de retrouver le chemin de la Vérité dans un décor où la vision d’Atlantide (d’Ôz, de l’Eden, du Paradis, de Schtroumpf, etc. des synonymes) n’existait plus, ceux-ci n’étant pas au courant de ce que j’ai eu à découvrir en 1995 quand, depuis la salle des machines, on m’a montré cette vision du Paradis qui se révéla sur toutes les parois uniformément crépies de la même teinte, soit une des activités faciles à faire – qu’on donne à réaliser sur un chantier à ceux qui ne sont pas scolarisés (ou qui l'ont été le moins) mais qui savent facilement apprendre à rouler un rouleau dans un pot de peinture pour badigeonner d’une façon égale une surface en général plane, de manière à cacher / recouvrir la couche de plâtre qui a été mise sur les matériaux de construction (brique, etc.) de la même manière, c’est-à-dire sans rechercher à représenter quelque chose, ce qui est l’œuvre de l’artiste peintre, soit celui qui a étudié (souvent de longues années) avant de le devenir (et avec cela, capable de représenter !). Les fonds et les sols sont confiés à réaliser aux ouvriers du bâtiment qui obéissent ici à une personne qui a appris à lire les plans d’architecture, soit des choses précises, parfois difficiles à mettre en œuvre. On le sait, Ses Altesses Impériales Eeanmeailleurs Ses Saintetés Satana(na!)nas les Lordissimis…simissimes (S. A. I. E. S. S. S.  L.) Le Corbusier est aussi un artiste-peintre, voire un artiste sculpteur et cela signifie de nombreuses études et formations diverses avant de devenir architecte-bouddha (un éveillé, illuminé par la conscience retrouvée en soi), capable de faire un bâtiment original qui ne soit pas inscensé, mais au contraire qui génère du sens, de la vraie lumière, des facilités, à ceux qui l’utiliseront. Cela signifie que nous n’avons pas le droit de rétablir la vision du Paradis d’une façon inconsciente, c’est-à-dire comme cela est advenu durant les cinq secondes en 1995, quand on me fit l’empereur suivant mon père et que d’un seul coup, il y a eu sur tous les murs et les sols, mais aussi sur les corps la révélation de cette vision plus qu'admirabilissimis…simissime. Aussi cela signifie que nous avons le devoir de préserver chacune des cultures, chacune des différences de chacun.e, mais aussi toutes les heures de formation(s) de chacun.e à l’un(.e) ou l’autre des métiers (professions) qui demeureront des contraintes utiles quotidiennement pendant la semaine (y compris pour organiser la ou les journées dans lesquelles la vision du Paradis sera restituée), même si nous parvenons un jour à proposer vingt-quatre heures (de suite), voire sur deux jours (il vaudrait mieux), la drogue de cette vision d’Atlantide (du Paradis) probablement capable de soigner sur de nombreux points essentiels chacun d’entre nous, puisqu’il s’agit de la vision du Paradis (Ôz, Atlantide, etc.). Pour arriver à douze heures par semaine (deux fois 6 heures), il va falloir s’organiser à l’échelle planétaire pour être capable de vivre durant ces heures d’immensissimis…simissime  beauté qui concerneront tous les décors, mais aussi chacune des choses les plus anodines. C’est la raison pour laquelle il faut commencer, en prévenant de cela les responsables du monde entier (qui auront à leur tour à prévenir chacun des habitants des rRégions (pays, nation) qu’ils gouvernent) du rétablissement de la médecine des médecines -(la vision d’Ôz, ce qui permettait autrefois, quand cette vision du Paradis était partout, d’être confiant(s) envers le Créateur ou/et la Créatrice)- que cette beauté représente car elle ne sera rétablie – pour commencer – au cours d’une des années prochaines que deux fois cinq minutes (à midi et à minuit) quatre fois par an, c’est-à-dire deux fois tous les début ou fin de trimestre(s), si après le premier essai, on a la certitude que cela n’a fait que du bien à tous de revoir cette plus qu'admirabilissimis…simissime beauté. En effet, cela doit constituer une forme de soin général et ne pas être à l’origine d’accidents, voire de blessés ou/et de morts. Cela doit donner l’espoir que cela sera possible deux fois cinq minutes, quatre fois par an, l’année suivante avant d’avoir à augmenter cela deux fois cinq minutes une fois par mois, ce qui pourrait ensuite permettre (si nous obtenons de bons résultats) à deux fois cinq minutes (une fois à midi et une fois à minuit) une fois par semaine avant de passer l’année suivante à dix minutes deux fois par semaine, soit quatre fois cinq minutes, à l’occasion d’une journée une fois par semaine, toutes les six heures de cette journée (du week end) où la vision du Paradis sera restaurée avant que l’année suivante, cela soit dix minutes quatre fois par semaine, à l’occasion de la même journée, voire sur deux journées (le samedi et/ou le dimanche), si nous recherchons à ce que la vision du Paradis puisse être rétablie progressivement, de cinq minutes en cinq minutes ajoutées au cours du week end. Cela signifie ce rétablissement à l’échelle mondiale, ce qui veut dire qu’il faudra apprendre à conduire des automobiles et/ou des camions (voire des ambulances) avec la vision d’Ôz rétablie continuellement et être à nos diverses activités (elles sont nombreuses et concernent tous les âges) sans être gênés par cette plus qu'admirabilissimis…simissime beauté et si possible en meilleur santé grâce à elle. De toute manière, il faut commencer à tester ce rétablissement au moins durant une journée deux fois cinq minutes une fois à midi et une fois le soir à minuit (pour les peuples de l’hémisphère Sud qui auront le rétablissement de la vision du Paradis à minuit quand dans le nord c'est à midi que cela aura été et à midi, quand cela aura été restauré à minuit dans l'hémisphère nord) et pour cela organiser à l’échelle mondiale ce rétablissement de la vision Christine Floreance Michèle et Laurie Granier d’ex-Atlantide Finck Loewy Lang d’Ôz, bref la vision du Schtroumpf, voire celle d’Atlantide (Arcadie) rétablie par des approximations successives en ayant à préparer durant l’année cet accroissement du temps durant lequel la vision du Paradis sera vue (car nous pourrons après chacune des fois, analyser la situation de manière à mieux prévenir l’ensemble des habitants de cette planète qui étant à ces instants de restitutions de la vision du Paradis à des activités différentes, cour(en)t le danger / risque de rencontrer des problèmes qu’il sera bien de recenser pour apporter des solutions élégantes de manière à ce que la prochaine fois où la restitution de la vision du Paradis sera mise en route, tous sachant à temps comment éviter c/les problèmes qui se sont posés la fois précédente à ceux qui auront eu l’amabilité de les partager avec les organisateurs du retour raisonné de la vision du Paradis. Le mieux serait avant la première fois où le Paradis sera montré à ces deux occasions (midi et minuit) de constituer un forum sur Internet pour qu'on ait à se poser toutes les questions, en devançant les éventuels problèmes qui pourraient se poser (ils sont nombreux par exemple sur le plan de la Santé - cela concerne par exemple les ambulances qui ont à transporter les malades - comment fera-t-on avec cette vision du Paradis partout? Cela concerne les avions qui doivent atterrir durant ces heures-là - comment feront-ils avec les pistes d'atterrissage où apparaîtra la vision d'Atlantide y compris dans les nuages? etc.). Faire une liste des problèmes (de chaque SPOK - situation précise, occasion, cas particulier) de manière à y répondre d'avance en trouvant des solutions alternatives élégantes à ces problèmes par la réflexion commune à toutes les bonnes volontés pour devancer ces situations qui apparaîtraient à chacun comme problématiques, (devant poser des difficultés), en ayant tous à penser d'avance (par activité(s) professionnelle(s)) mais aussi individuellement à n'importe quel âge et sur n'importe laquelle des latitudes-longitudes à comment les résoudre y compris avant de commencer à rétablir ces deux fois cinq minutes de restitution de la vision du Très Saint Paradis (T. S. P.) - Ôz, Atlantide, Arcadie, etc. . 

[16] (cela peut être interpréter comme un conseil, dans la Bible, de manière à justifier l’existence du sabbat, à confirmer la nécessité et/ou la possibilité du repos hebdomadaire)

[17]  Chacun d’entre nous a appris que « le temps c’est de l’argent ». En effet, cela est le cas dans le monde du travail, car il y a certaines des activités qui durant ces heures de travail génèrent des revenus. Et cela par exemple pour ceux qui suivent les cours à la Bourse et investissent leurs gains, voire les économies de chacun placées dans les banques. Mais on le sait aussi pour n’importe lequel des patrons de bar : c’est durant le temps où le client s’installe dans ce bar que le patron, parce qu’il sert la commande qui lui a été faite, réalise un petit bénéfice à/vec (avec/à) chaque nouveau client. Ces bénéfices s’ajoutent les uns aux autres au point que le patron du bar bien placé, malgré les dépenses qu’il a, gagne des revenus, voire réalise des économies (peut-être aussi dans l’espoir de les voir investir dans une autre affaire). Aussi quand ce bar est mal placé (situé), qu’il n’a pas suffisemment de clients, le patron de ce bar perd de l’argent, voire devra fermer son établissement en raison de faillite, c’est-à-dire d’un commerce qui ne rapporte pas assez de manière à rembourser les dépenses (charges qui pèsent sur ce patron), toutes les dépenses faites pour proposer des produits frais aux clients.

[18] Ici, nous devons la prise de conscience de ces mariages alors virtuels -(quand nous étions enfants et que nous y pensions)- au fait que chacun des enfants, en observant leurs parents -(voire leurs grands-parents et/ou arrières grands-parents)-, par mimétisme, ont pensé qu’ils avaient eux aussi à trouver leur fiancé, soit aussi -(en dehors de la relation spirituelle qui s’instaure entre les futurs fiancés)- une complémentarité sexuelle, comme visiblement -(et publiquement)- l’avaient trouvé ces parents avant eux. Aussi pour chacun des enfants ces formations scolaires devaient aboutir à la possibilité de se marier dès qu’ils trouveraient les financements, c’est-à-dire une/des activité(s) rémunérée(s) suffisemment pour leur permettre d’assumer toutes les dépenses à faire dans le futur couple dont ils étaient pour l’instant éloignés – du moins tant qu’ils n’auraient pas les moyens financiers pour pouvoir offrir à un jeune homme ou/et une jeune fille les financements nécessaires pour garantir la vie à deux, voire à plus de deux, si l’optique du mariage est/était celui d’avoir à son tour à constituer une famille par l’attente d’u/n (du / d’un) troisième terme : l’enfant, fruit de l’amour de ce couple, de l’un pour l’autre ! Peu d’enfants ont pensé demeurer des célibataires, parce qu’ils avaient le modèle de leurs parents ou grands-parents mariés. Ce n’est que parce que le divorce est devenu un droit que certains enfants ont pensé qu’eux aussi pourraient courir le risque une fois devenus adultes de divorcer, voire de se séparer, comme quand cela s’est produit dans certaines familles. Il faut rappeler que le mariage, en raison des enfants et de l’absence de contraceptifs, était une union pour toujours -(ce qui a son aspect cauchemardesque sans Amour – avec un grand A - tandis que c’est le rêve s’il y a amour avec une grand A, en admettant que cet amour dure (pour) toujours – d’où ici qu’on comprend qu’entre futurs fiancés, on ait à traverser une période plus ou moins longue d’essais de vie en couple pour vérifier qu’on ne va pas se tromper de partenaire quand cette union libre débouchera sur un/le mariage – c’est aussi cela qui peut justifier la nécessité d'explorer l’union libre). Donc qu’on n’avait pas le droit de se séparer et cela parce qu’on était les auteurs des enfants nés. Commettre une infidélité vis-à-vis de son conjoint, c’était comme ne plus reconnaître la moitié de son fils ou de sa fille, bref de ses enfants qui étaient/sont eux aussi trahis, puisqu’il y a/vait (a ; avait) une séparation en cours entre leurs parents qui étaient / sont allés voir ailleurs. On comprend ici les religions hostiles au droit au divorce, car obtenir un enfant après un mariage, c’était avoir créé réellement une union à partir de personnes qui s’étaient / se sont considérées par amour comme complémentaires l’une de l’autre, au point de rendre publique cette complémentarité dans la réalisation d’un mariage. En effet, pour l’enfant né d’un mariage, voire d’un couple en union libre, les parents sont unis grâce à eux -(les enfants)- qui représentent l’anneau de mariage ou/et le SPOK -(situations précises, occasions, cas particuliers)- d’union libre. C’est pourquoi en général les enfants nés de pareils unions garantissent la pérennité du couple, parce qu’ils ont raison de croire qu’ils sont nés en raison de l’amour de leurs parents (de l’un pour l’autre et réciproquement). Que le père s’intéresse à une autre femme que leur mère, le père devient une sorte de traître qui ne respecte pas la preuve d’amour que sa femme lui a donné en mettant au monde leur/son enfant. Aussi, il est alors compréhensible que les familles de divorcés, voire de séparés deviennent des nids à problèmes, les enfants étant alors écartelés entre leur père et leur mère à qui ils apportent amour et corollaires. Il n’est pas rare non plus que ces enfants culpabilisent, au point de croire que c’est de leur faute que le couple de leurs parents se soit séparé. Tout cela a des conséquences sociales importantes dans chacun des contextes familiaux où le mariage est remis en question. Mais il convient de penser au mariage avec la vision d’Atlantide, d’Ôz, du Paradis, de l’Eden, de Schtroumpf, d'Arcadie – bref des synonymes. Car il est probable que quand la vision du Paradis était continuellement autour de chacun de nos ancêtres les plus éloignés qui vivaient nus dans les arbres et les prés de/dans la zone équatoriale, l’institution du mariage n’existait pas. Ce n’est que petit à petit, au fur et à mesure de la création des religions (donc bien après la disparition de la vision d’Ôz (du Paradis, d’Atlantide, etc.) et parce que la vision du Paradis n'existait plus, que le mariage -(puis la tradition de l’anneau de mariage)- est apparu comme une solution élégante, tant que la vision d’Atlantide, d’Ôz, etc. ne serait pas rétablie. En effet, quand la vision du Paradis sera enfin restituée/rétablie régulièrement à/pour tous, une fois par semaine (par exemple, pour commencer par semaine le jour du Dimanche), on peut même aller jusqu’à penser que le mariage ne sera plus autant une obligation (ce qui est déjà le cas pour de nombreux couples dans de nombreux SPOK) puisqu’une fois que le prix du pétrole aura baissé au point de rendre chacun des habitants de cette planète enfin de vrais millionnaires (même tous ceux qui actuellement meandient - mendient), la seule véritable richesse (bienfaisante médecine rassurante) pour chacun d’entre nous tous sera ce moment hebdomadaire régulier d’absolue beauté qui se révèlera partout autour de nous – mais aussi sur nos corps et le corps des animaux pacifiques et inoffensifs (et que – ce moment de beauté - chacun voudra conserver comme souvenir de ces moments durant lesquels Atlantide (le Paradis, Arcadie, etc.) sera à nouveau visible, en tournant une vidéo, voire en faisant des photos et des films de Cinéma pour partager ces images dans lesquelles le Paradis sera/aura été visible, ce partage durant les temps de divertissements dans les journées de la semaine où il n’y aura plus la vision sacrée du Paradis), un partage sur Internet durant les temps de l’année où pour répondre aux contraintes toutes les activités doivent fonctionner, ce qui justifie qu'on sera tous obligés de ne plus voir de manière ininterrompue la vision Granier d’ex-Atlantide Lang d’Ôz, soit cette plus qu'admirabilissimis…simissime vision d’Atlantide, de Schtroumpf, d'Arcadie, etc., car on sera tous contraint de/à reprendre chacune de nos activités (qui laisseront enfin du temps pour les divertissements, étant donné que chacun d’entre nous – en raison du pouvoir d’achat de la monnaie rétablie à l’échelle mondiale, la MUÔz (Monnaie Universelle de l'Ôz) - pourra travailler dans l’optique de gagner en s’auto-disciplinant des CFPMD (crédits financiers propres et mérités de droit) le temps qu’il voudra, voire pourra offrir à la collectivité comme à un employeur dans le secteur privé). A ces heures-là sans la vision d’Atlantide (du Paradis), ce n’est plus que sur Internet, sur chacun des sites perso, voire sur face book, qu’on pourra voir la vision d’Ôz (donc en reproduction, mais plus dans la réalité comme cela aura été le SPOK durant le week end – cependant il sera vite possible, grâce à la photo et à la vidéo, de découvrir par ce truchement assez rapidement tous les lieux les plus intéressants à – dans le futur - découvrir (peut-être dans la réalité) en nous y rendant (physiquement), parce que la vision d’Atlantide les a rendu admirabilissimis…simissimes (ce qui signifie infiniment admirabilissimes). Il faut comprendre que cela va donner lieu à une autre forme de tourisme, car de même que les agences de voyages proposent des images en couleur des destinations (voire des vidéos), il va y avoir des images de ces destinations, avec la révélation de la vision d’Atlantide (soit celle du Très Saint-Paradis), ce qui probablement va engendrer d’autres destinations (par exemple celle des gorges de torrents, ou/et de paysages aux nombreux rochers : les sentiers bordant les mers, les tunnels creusés dans les rochers, les routes le long de murs de rochers ayant été dynamités par exemple dans les anciens tunnels comme dans les cavernes, les îles rocheuses, etc.), à cause de l’incroyable beauté qui s’est révélée à l’un ou l’autre des photographes ou/et vidéastes amateurs qui en ont fait part sur leur site perso ou/et sur leur page face-book avec les points de géolocalisations (ce seront ici les nouvelles destinations ayant à voir avec toutes celles que la Nature offrira avec cette vision du paradis rétablie). Ces lieux extrêmement beaux à découvrir peuvent être simplement des paysages, voire des lieux où il y a des rochers. Les lieux où les vagues des mers battent seront aussi intéressants, car ils le sont déjà (y compris photographiquement) sans la vision du Paradis. A fortiori avec. Aussi nous aurons des gens qui à chacune des fois où on restituera la vision d’Atlantide (du Paradis, d’Ôz) auront rejoint ces destinations les plus admirables à voir avec la vision Granier d’ex-Atlantide Lang d’Ôz retrouvée (celle du Paradis). Ceux-ci étant libres de la photographier et/ou vidéographier ou pas. On comprend donc que le problème de la très grande catastrophe (la TGC) qui a eu lieu il y a des millions d’années (avec la disparition de la vision d’Ôz) s’est résolue par une Création qui offre enfin des possibilités infiniment plus intéressantes (en raison de leurs variétés, à cause des nombreuses latitudes et longitudes qui n’étaient pas aussi facilement (re)joignables du temps où nos ancêtres vivaient constemment au Paradis, avant la TGC – très grande catastrophe) d’autant que nous sommes arrivés à l’époque des découvertes cosmiques (des autres planètes) ce qui augure que la recherche en sciences permette un jour plus facilement de rejoindre les exo-planètes habitables (ce qui n’était pas le SPOK – la situation précise, l’occasion, le cas particuliers – du temps où ces ancêtres étaient confinés (avec la vision du Paradis) dans la seule zone équatoriale quand ces ancêtres ne se nourrissaient que des fruits des arbres – il est cependant probable que la salle des machines ait été élaborée par des extra-terrestres pour, par exemple, permettre à certains de ces ancêtres de faire les morts (de se reposer) pendant des périodes plus ou moins longues, puisque ces ancêtres (avant la TGC – très grande catastrophe) étaient éternels – c’était donc avant l’invention de la mort – il y a donc, dans cette salle des machines des instruments qui permettent de conserver ceux qui en avaient assez de vivre et qui demandaient un sommeil plus long, comme pour les tortues ou/et les ours, une sorte d’hibernation. Et il y avait ces machines pour créer artificiellement ces morts (qui étaient des formes d'hibernations), de même que d’autres machines sont à l’origine des rêves, ce qui incombait aux adultes ayant accès à la salle des machines de réaliser). Aussi malgré la parenthèse (plutôt longue) où la mort a existé, en raison de satan -(qui est morte – cette ignoble haine noire - depuis l’hiver 2005)- en synchrone avec 1967 et 1977, la Création, grâce à la construction des diverses civilisations sur des bases à l’origine souvent religieuses, va en définitive fonctionner d’une façon encore plus admirabilissimis…simissime, à partir du moment où on va progressivement restituer, chaque année, un peu plus la vision d’Ôz (du Paradis) puisqu’entre temps ont été inventées autant de langues (de cultures) et de bienfaits par l’ensemble des bouddhas qui depuis des millénaires n’ont pas cessé de se réincarner pour réussir, le jour venu, à restituer à/pour tous cette vision mythique d’Atlantide, au service de la Vie et non de la mort (qui a effectivement été une terrifiante parenthèse ayant touché tous les habitants de cette planète – située dans la galaxie de la Voie Lactée). Il faut comprendre que ce qui s’est passé sur cette planète durant l’Aventure Humaine (A. H.) pendant environ deux à trois millions d’années est le résultat des erreurs que satan s’est ingénié -(par haine – une maladie bien précise qui a les causes habituelles – que j’ai démontrées - de l’amnésie et de l’ignorance, entre autres)- avec les siens à commettre, en accusant mensongèrement Dieu – soit ici l’Immense Architecte de l’Univers - I. Ô. (I. A. U.)– d’en être le responsable. Ce sont tous les mensonges (faussetés), erreurs et fautes (de chacun d’entre nous) qui ont été à l’origine de la disparition de la vision d’Atlantide dans le passé fort lointain, au point que cela a initié l’Aventure Humaine (A. H.) mais aussi les processus de désertification. Ce sont les pires mensonges d’adolph hitler, de staline et de mao tsé tung, de kadhafi et compagnie, comme ceux d’autres criminels contre l’humanité qui ont abouti, par répercussions dans le passé -(cela s’est passé beaucoup plus rapidement qu’à la vitesse de la lumière)- à faire disparaître la vision du Paradis, au point de créer chacun des déserts sur cette planète, parce que nos ancêtres -(qui étaient fructivores)- par curiosité -(voire pour se défendre de ceux qui avaient rejoint ceux qui détenaient la salle des machines)- sont allés au-delà des limites qui alors constituaient la zone vivable du Paradis, en s’aventurant avec des armes pour se défendre, mais aussi pour commencer à chasser des animaux pacifiques et inoffensifs, puisqu’ils n’y avait plus seulement  des arbres fruitiers dans ces régions nouvellement explorées, des zones tropicales et celles plus au nord ou au Sud dites les zones tempérées où il n'y a pas seulement deux saisons, mais quatre. Or ces ancêtres ont chassé des animaux pacifiques et inoffensifs, herbivores de surcroit -(ne faisant pas de mal à une mouche)- ce qui a constitué un des plus gravissimis…simissime péchés !  Evidemment s’ils se sont permis de tels crimes, c’est qu’ils avaient faim et qu’ils étaient sortis de la zone où les arbres fruitiers étaient, avant le processus de désertification, en abondance. Ces fruits ont donc continué à nourrir ceux qui étaient restés dans cette zone équatoriale, cependant que le mal avait commencé à avoir lieu d’une façon plus importante dans les zones tropicales, ce qui s’est confirmé ensuite quand les descendants de ces êtres humains qui chassaient ont rejoint nos zones dites tempérées, parce qu’elles ont quatre saisons, de froides l’hiver pour être chaudes l’été. Ces migrations de chasseurs-pêcheurs ont confirmé l’existence du très grand variateur (le TGV) car plus les descendants de ces chasseurs sont montés vers le nord, plus ils ont connu le froid et moins ils ont connu les saisons tempérées du Printemps et de l’Automne, bien qu’il y ait (parait-il) un été dans les zones polaires où on a à subir alors des froids de moindre importance. Mais il est probable que ceux qui en chassant (pour manger) ont rejoint les pôles n’étaient plus au courant de l’existence des régions moins froides, comme celles de la Freance (France) et encore moins froides comme celles des régions équatoriales. En effet, la télévision n’existait pas encore et les informations mettaient beaucoup de temps à être connues. Mais à notre époque, il parait que les lapons ont la télévision et/ou Internet (ou pourraient techniquement en disposer), par conséquent sont / seront au courant de l’existence de zones (régions) moins froides, plus clémentes, tempérées comme aussi des zones tropicales dans lesquelles la saison sèche alterne de la saison humide. Il vont donc apprendre qu’ils sont les descendants de ceux qui ont voulu manger le plus de viande, au point de se perdre dans ce grand nord pour continuellement chasser ou pêcher (ce qui a, en réalité, représenté d’autres crimes – c’est-à-dire des péchés pour nos ancêtres les plus éloignés (qui vivaient alors éternellement au Paradis), puisque pour pécher, il est nécessaire (avec une canne à pêche) de tromper le poisson qu’on va pécher, grâce à l’asticot qu’on a mis sur l’hameçon (en oubliant qu’on est en train de faire souffrir cet asticot, qu’on tue ainsi, voire qu’on torture ainsi – donc on a doublement fait le mal puisque pour pêcher on a trompé l’asticot, pour tuer/pêcher le poisson trop confiant -(qui appartient lui aussi aux différentes étapes / phases de réincarnation)- mais aussi trop gourmand) – or autrefois, quand nos ancêtres vivaient tous en Atlantide – c’est-à-dire au Paradis avec le plus que fabuleusissimis…simissime décor autour d’eux (mais aussi sur eux (donc comme tatoués), personne ne s’autorisait à tromper les animaux pacifiques et inoffensifs, dont les poissons faisaient partie – il est probable que ces ancêtres nageaient dans la mer ou dans les lacs et rivières ou fleuves et qu’ils vivaient en très bon entente avec les poissons – c’est alors que la plus que très belle vision d’Atlantide – Ôz, du Paradis se justifiait, car l’être humain n’était que vertu, bonté, comme le sont encore de nos jours la plupart des bébés ou/et des enfants patients).              

 

              


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Révision : 01 août 2024