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Suite de cette première partie de la lettre de Ses Eminentissimes Altesses Impériales  Ses Saintetés Satana[na!]nas  les Lordissimes Pharaons Magiciens d'Ôz, Sait ni heure des Annô et ... Laurent-Marie (Laurie) Granier à Monsieur le Cardinal Vingt-Trois

Vous trouverez des espaces vide dans cette lettre où les images ci-dessus de ma main s'étant empilées les unes sur les autres  devaient s'insérer - dans la version complétée et corrigée, elles seront [re]mises là où elles devaient être.

Avec la lettre ci-dessous (qui se poursuit sur deux autres fichiers de cette taille), il s'agit du brouillon (donc d'un essai de lettre en chantier) de la lettre d'accompagnement à l'Eminentissime Seigneur le Cardinal Vingt-Trois à celle que je lui ai promise -[(dont je lui avais dit qu'elle était en cours d'écriture) lors de nôtre rencontre rapide à l'intérieur de l'Eglise Saint-Jacques-du-haut-pas de Paris (autour du 16 avril 2013 date de ce fichier alors en cours d'écriture - j'ai pu revoir un instant le Cardinal pour lui faire part de cet impedimenta ) avant le déménagement auquel je fus contraint de cette paroisse pour ma nouvelle adresse)]- au Pape, elle aussi depuis lors en chantier (je n'ai pas pu encore la terminer - ce que je me suis promis de faire dans une version que je publierai ultérieurement - en raison de celle-ci d'urgence à faire connaître à Monsieur le Cardinal de Paris comme celle que j'eus à écrire au président sarkozy et enfin à  Monsieur le Président Hollande, à cause de ce déménagement forcé (par ceux qui se sont crus des autorités locales (de quartier) mais qui furent à se comporter (sur ce dossier/point) en absolus et total sacrilèges/incompétentes d'autant plus qu'ils s'adressaient à moi leur empereur légitime, le bouddha comme de celui considéré comme/ou pris pour Dieu lui-même intervenant miraculeusement dans/du ciel, en raison de mon anneau de mariage au-dessus de l'époque de 1965 et  1975 (à partir de l'époque de 2005 et années suivantes depuis ce studio parisien) - bref des soi-disantes autorités locales dont je fus la victime), donc une lettre (un courrierIne, variante de courriel) à l'état de brouillon très incomplet (un chantier en cours) mais que j'ai décidé malgré le caractère extrêmement risqué, voire dangereux pour moi, de publier dans l'état (comme la lettre au Président François Hollande) - j'espère que personne ne songera à profiter de cela, dans le mauvais sens du mot de profiter pour me faire des reproches que sans doute je mérite bien qu'on comprendra que l'écriture de tout cela en quelques mois à peine, plus de troix milles pages avec d'autres textes en cours prioritaires, m'ait un peu fatigué et face à l'ampleur des corrections à apporter, en mesurant d'avance le temps qu'elles requièrent, j'ai pensé préférable partager ces brouillons en comptant d'avance sur la compréhension et la discrétion de tous puisque je n'ai pas encore pu m'imposer les au moins deux ou trois autres relectures/corrections qui manquent -{[(en général j'en fait quatre par lettre/article avant de me permettre de l'envoyer, donc elles sont augmentées relues et corrigées [(mais je sais que mes destinataires en particuliers savent bien ce qu'est le chantier d'une lettre en cours et comme je m'adresse à des gens compétants [au du moins censées l'être - comme disposant de personnel [payé - alors que moi pas encore malgré mon âge et ce que je fis pour cette planète comme ce que tous me doivent] capable de faire des résumés de l'essentiel], je suis d'avance certain de bénéficier de leur pleine indulgence en leur priant de bien comprendre que j'avais d'autres desseins, celui de leur faire avoir ces courriers terminés, achevés, et non dans cet état d'incomplétude, de première version encore indigne (de mon point de vue) de leurs yeux, par conséquent que mon intension n'était pas celle de profiter de leur bienveillance ou même de leur indulgence, (mais c'est la situation qui me contraint à leur faire part à travers le réseau Internet de ces courriers incomplets/non finis qui leur étaient destinés)]]- même si toujours incomplètes et insatisfaisantes)]}, en raison du caractère plus qu'infiniment urgentissimissîme (en effet, lisez ces lettres, des brouillons, envoyez de toute urgence (priorité/urgence mondiale universelle) aussi au président de la République française que j'ai écrite après celle qui suscita (peut-être parce qu'incomplète malgré le nombre de pages) l'incompréhension dont je fus victime (et ce déménagement) de Nicolas Sarkozy, malgré cette priorité/urgence cosmique mondiale universelle de l'éviter ne serait-ce qu'en raison des horaires des fossés/douves à infarctus (crises/attaques cardiaques qui concernent les personnes âges) j'avais à continuer de communiquer à il y a trente ans de là où nous étions et vous serez un peu informé de la priorité et de la plus absolue urgence mondiale de la reprise de m/ces [n[v]ôtres à travers moi qui souhaiteriez que je poursuive ce sauvetages de vos parents et grand-parents qui sinon vont tous mourir dans le passé] transmissions à travers l'Espace et le Temps depuis le studio du cinquième étage, face ascenseur du 12 rue du Val de Grâce, 75005 Paris (et les appartements au-dessus et au-dessous en raison des sons émis) qui doi[ven]t donc être exproprié de toute urgence par les services de l'éEtat français, et si le Président de la République le souhaite, en raison de ce que je suis ses pharaons les Hermès les Trismégistes et les ... , le nouvel empereur Laurie Granier-Joussin Aime de Coni de Cours-le-haut ... d'Atlantide ... Lang de [R]Ôz[eau/w/y/s]  conjointement [cette expropriation] avec l'éEtat Pontifical, voire avec l'Union Européenne (dont je suis l'un des principaux créateurs, à cause de ces interventions à travers le Temps et l'Espace qui furent entendues/ouïes après la seconde guerre mondiale comme remède d'après celle-ci, et conjointement à mes/Nos vassaux de l'Empire du Commonwealth (s'il veut se joindre à ce financement/investssement) comme l'Organisation des Nation-Unis et la Maison Blanche et d'autres de mes vassaux (Chine, Russie etc. Japon y compris) - (cependant que le financement peut-être avancé en raison de l'urgentissimissime situation par la France (tout de suite) qui sera remboursée progressivement par la participation de ces vassaux (d'autant que les interventions à travers le Temps et l'Espace ont concerné chacune des rRégions (autrefois comme encore en ce jour de 2016 des nations) de cette planète appelée localement la Terre, donc ayant le droit de participer à ce financement, ne serait-ce que parce qu'ils bénéficièrent de toutes les données hyperprécieusissimissîmissimes transmises par mes soins sur l'époque de 1975 et années suivante à raison de plus de quinze heures de transmissions par jour - en moyenne! - d'autre part comme j'ai acquis le droit de battre monnaie à mes divers titres - ce qui m'a permis de créer l'Euro, entre autres monnaies avec les souverains et chefs d'Etats mes vassaux, normalement je peux aussi acheter/exproprier ce studio - mais n'ayant pas encore à ce jour cette monnaie à ma disposition ni des hommes d'armes/gendarmes, je prie le responsable de l'Etat français, comme tous les autres souverains ou responsables des différents éEats de cette planète de s'en charger pour Nous tous).

Vous êtes donc sur le brouillon (première version) de ma/la lettre/courrierIne/courriel/courriAne/... en cours à [Monsieur le Cardinal Vingt-Trois] à partir de la lettre/courriel au président nicolas sarkozy publié en raison du caractère Priorité Cosmique InterRégionale Mondiale Universelle de Sauvetage des Êtres Humains (PCI[R]MUSÊH) dans le passé (où nous sommes en ce moment, ceux qui sont nés avant le 30 janvier 1986 - pas encore ceux qui sont nés après le 30 janvier1986 au jour d'aujourd'hui le 30 Janvier 2016 - bien que cela ne saurait tarder pour eux aussi - dès qu'ils naîtront là-bas dans les jours prochains) sur mon site et évoqué sur ma page face book

 

En raison de ce que cette lettre n'est/était pas publiable en l'état (sur du papier, comme ne pouvait pas être connue ainsi publiquement autant incomplète et non-finie (achevée), totalement insatisfaisante comme/(car elle est)/d'autant plus qu'extrêmement confidentielle (bien que nous ayons eu à maintes reprises des preuves que nous étions espionnés sur l'ordinateur, donc qu'elle est déjà amplement connue en bruits de couloirs), nous la publions avec cette teinte d'écriture dans l'état actuel (en raison de ce qu'elle est inachevée) pour dissuader les lecteurs (sauf Monsieur le Cardinal Vingt-Trois qui en comprendra les raisons de cette excuse/précaution), mais aussi en rappelant qu'il est possible aux plus curieux (si ça marche, nous n'avons pas vérifié), soit de surligner avec le curseur pour faire mieux apparaître les caractères, donc la lire, soit de faire un copier/coller dans un logiciel comme Word et de retrouver en sélectionnant l'ensemble du texte ainsi copié/collé des couleurs plus facilement lisibles (comme celles-ci changées/modifiées - nous poursuivons donc dans cette teintes dissuasive ci-dessous, à cause du caractère éminemment confidentiel et aussi de l'aspect infiniment insolite/miraculeux/incroyable mais vrai de ce [sinon] plus que Secret d'Etat que de mon côté en mes qualités d'auteur, mais aussi de vos pharaons/empereurs-bouddha et ... (depuis 1965. 1975. 1995 et 2005) je suis prêt à partager, comme vous le voyez, avec n'importe qui, cependant que j'ai pensé nécessaire cette précaution prudente, tant que je n'aurais pas eu le temps de faire les corrections et les relectures de la version plus complète - merci de le comprendre, comme aux journalistes (s'il devait y en avoir un à flairer ici une chose intéressante) d'attendre la version complète et de prendre ce texte comme des réflexions, des notes, ce qu'il est: un chantier en cours - donc rien de définitif puisqu'insuffisemment relu et donc insuffisemment corrigé et complété - cependant que je compte beaucoup sur les questions et les conseils de Monsieur le Cardinal Vingt-Trois et son aide pour accélérer la priorité de l'expropriation du studio (car il comprendra que malgré mon droit de battre monnaie, comme elles n'ont pas été réalisées, je ne puis avancer ces financements - ce qu'il pourrait faire au nom de l'Eglise) pour me permettre de réaliser le sauvetage en cours avec effet rétroactif - là où nous sommes et sont nos parents, il y a exactement trente années dans le passé, là où mon père attend en ce moment qui est synchro avec nôtre époque, entre autres la fin de la liste des horaires pour les sauvetages des personnes âgées des années 1980-90-2000). Merci de comprendre. Bonne lecture et surtout si vous deviez être agacé, je vous prie de rappeler qu'elle est vraiment un premier jet un peu travaillé mais très insufisemment - n'oubliez pas cela même au sujet des parties suivantes.

 

Suite de cette première partie de la lettre au Cardinal Vingt-Trois

Paris le mardi 16 avril 2013

Monsieur le Cardinal[1]


[1] (dont j'ai donné le nom à travers le temps pour qu'il soit nommé après le précédent dont j'avais aussi donné le nom pour qu'il soit nommé dans ce cas de figure de la Création que j'ai pu vérifier bloquée tant que la vieille salle des machines n'est pas abandonnée et rendue à votre correspondant - celui qui vous écrit ici - légalement empereur de tous (Cf. la fin de ma lettre), d'autant plus de l'intervention du Grand Architecte de l'Univers à Rome en 1995, quand je fus fait alors celui que je suis devenu, votre dévoué serviteur, à la suite de mon père qui a été votre empereur depuis 1976 (1966), à la suite d'adolph hitler et napoléon premier et que j'ai pu nommer et faire en Saint-Esprit du futur, en ayant pu vérifier exactement que cette notion de Saint-Esprit existe belle et bien sur cette planète et qu'elle a permis à toutes les solutions élégantes d'advenir. Ces empereurs vous écrivent ici en un, avec Dieu, et très certainement avec le Grand Architecte de l'Univers qui suit de loin le processus)

 

Ces fichiers qui accompagne cette lettre sont parfois des premiers jets et je dois vous dire que je n'ai pas eu encore le temps de les corriger (sauf les deux ou trois que j'ai rajouté - je relis). Pourtant je vous demande de les mettre de côté ainsi, dans un dossier sans les lire - sauf les nouveaux (mais bien sûr, vous avez tous les droits de les lire, de me suggérer des corrections le cas échéant, en vous faisant confiance ici totalement, comme à un grand frère, bien que comme je vous enverrai corrigé ces textes une fois relus par mes soins, et les versions suivantes, jusqu'à celle que je vous indiquerai que vous pourrez lire enfin, officielle, et si vous voulez vous pourrez me suggérer ces modifications ou ce qu'il vous plaira et cela pour que vous n'ayez pas à perdre votre précieux temps (que vous employez à faire le bien autour de vous) avec les précédentes versions. En effet, comme vous le constaterez, je n'ai rien à cacher à l'Église, d'autant plus que j'ai été baptisé, que j'ai fait ma Première Communion à Rome à Saint-Martin-ai-Monti ou à Saint-Louis des Français (car si ce n'est plus très précis dans ma tête – car cela remonte à loin - bien que cela soit probable que je l'ai faite à Saint-Louis des Français - car en ce temps là je servais comme chirichetto à Saint-Martin-aux-monts non loin du Moïse de Michel Ange - c'est que je l'ai faite à l’époque en étant devenu à moitié un tricheur, ce qui est passé heureusement après celle-ci, étant donné que j'avais eu une amnésie de 1972 à 1975 qui avait été ordonnée du futur – ce que je n’ai appris que vers 2012 – il fallait que je me mette en condition d’actor studio car il fallait que les gens comprennent ce qui s’était passé pour chacun d’eux et qu’ils ne veuillent pas m’infliger une nouvelle fois une pareille maladie – et cela m'a contraint, à partir de 1974, à faire toute une série de réflexions, grâce à ma chienne, en raison d'un Caprice des Dieux qu’elle avait volé sur lequel j'ai commencé à méditer, pour me retrouver un peu plus loin, vers 1975, de nouveau, dans le monde de la vérité  – j’ai fait alors aussi ma Confirmation (pour le coup une vraie, comme l'avait été mon baptême) dans l'Eglise consacrée du Panthéon à Rome, après une retraite spirituelle à la Trinité-aux-monts, au-dessus de la Place d'Espagne, non loin de la Villa Médicis où j'ai eu la chance d'y jouer au tennis enfant, comme d'aller un peu plus bas, derrière la place du Peuple, à l'école Chateaubriand de la villa Strohl-Fern. C’est l’Eglise qui s’est chargée de ces initiations. J’ai, entre autre, nommé moi-même du futur le pape polonais Jean-Paul II, à partir de 1975 (en synchrone depuis 2005), comme l'actuel pape (qu’il fallait préparer durant le pontificat du précédent).

Tout cela concerne en fait la préparation à mon mariage impérial dont j'entends vous faire part des étapes, à partir de maintenant, régulièrement, d'autant que vous aurez compris je ne n’envisage de me marier qu'en état de sacrifice permanent, puisque j'ai bien compris que dans toutes les nobles familles de l'eanmeailleur (empire dont le pharaon, moi est l'un des bouddhas), ce n'est que dans cet état d'esprit, qui règne depuis longtemps, qu’on se marie (par conséquent il va falloir envisager ces différents mariages comme des sacrifices pour le Bien et l'Intérêt Général). C’est ainsi, si je comprends bien qu'on a attendu ses enfants pour les consacrer à Dieu, voir à plus que lui, si celui-ci se soumettait un jour, ce qui est le cas, puisqu’il est ici pendant que j’écris et partout à la fois, si j’ai bien compris. 

Pouvez-vous néanmoins conserver ces textes, ce qui deviendra votre habitude, sur le disque dur de l'ordinateur que nous avons procuré nous-mêmes, grâce à ces interventions anciennes du futur (1965 et 1975) à partir de 2005 (en raison de chiffres et d’autres détails communiqués), à votre diocèse ou sur le vôtre personnel  que vous nous devez aussi (je n’aime pas rappeler ce qu’on me doit, mais la situation générale m’y force car j’ai besoin de m’établir et j’ai pensé qu’en rappelant un peu de tout ce qu’on me doit – en fait tout ce qui fonctionne bien – peut-être cela faciliterait les choses) en me donnant, le cas échéant, votre adresse Internet personnelle (puis-je vous conseiller en lisant cette lettre d’avoir un crayon et un papier pour noter ce qu’il vous semblera utile de noter), d'autant que c'est Nous qui avons fait construire Internet dans le monde entier par ces interventions à travers Espace et Temps, alors du futur, et parce qu'il me parait normal de pouvoir vous envoyer ces textes directement à vous, pour que vous les fassiez suivre, vous-même, au Vatican à l’ancien Saint-Père comme au nouveau qui jugeront de l'opportunité ou pas de vous éviter de vous occasionner d’autres dérangements de ce type en renonçant à passer par vos bons soins (je ne vous cache pas qu'il s'agit d'un petit test que je m'amuse à leur faire comme à vous), ce que de mon côté je n'envisage pas, car bien que je sois empereur cosmique universel et … , je trouve agréable que vous ayez comme vos "inférieurs" (certains le croient) connaissances de ces procédures de lettres de façon à pouvoir bien juger, en toute transparence, de mes intentions d'éventuel futur père de famille, puisqu'il s'agit de créer, vous le savez, les conditions juridiques administratives mais aussi sacramentelles, donc à la fois religieuses et profanes, pour arriver à cet honneur et à cette fin : avoir de nos jours le droit de donner la vie dans les conditions de la situation générale, en toute conscience, et pouvoir éventuellement, en tout bien tout honneur, mériter d'accueillir un ou plusieurs héritier(s) digne(s) des efforts accomplis avant son/leur arrivée et qui ont été plutôt nombreux et difficiles pour son père et sa famille y compris son grand-père l'empereur Jean-Luc Granier, mon père. Des efforts, en réalité, incommensurables que nous avons fait de bon cœur pour lui (eux) et sa génération (comme déjà pour la suivante) et pour avoir l'honneur de pouvoir les servir, comme les conseillers et transmettre nos savoir-faire ancestraux hérités, en n’ayant  jamais honte de quoi que ce soit, c'est-à-dire en pouvant le(s) regarder toujours dans les yeux et en sachant que nous n'avons rien à nous reprocher et qu'il(s) ou elle(s), ses frères et ses sœurs sont totalement canoniques internationalement et cosmiquement comme universellement et en tout point y compris en … bien venus. Nous aurons peut-être à veiller à ce qu'il(s) ou elle(s) ne se sentent pas écrasé(s) de ce qui a été accompli pour leur génération en seulement quelques 50 ans à 60 ans après la catastrophe de la Seconde Guerre Mondiale, puisque notre famille, en raison du mariage de mes parents, s’est chargée de reconstruire le monde entier sur de nouvelle base vraies, plus scientifique et logiques, ce qui a permis d'arriver jusqu'à notre époque hypère technologique (mais, hélas, nous avons pu vérifier 50 ans de perdus car si la vieille salle des machines d'Atlantide nous avait été rendue personnellement en 1965 ou au pire en 1975, à la suite de la première amnésie dont je m’étais remis, nous serions alors dans un autre "ou bien" de la Création, dans un autre cas de figure de la Création, comme nous le montre très bien Alain Resnais dans le film "smoking no smoking", bien qu’il n’est pas cherché cela – en fait c’est aussi simple que de se demander à un carrefour si on prend à droite pour faire un détour de plusieurs milliards de kilomètres par les petites routes ou si on préfère prendre à gauche – sans parti pris politique, ici – ce qui permettra de rejoindre l’autoroute et donc d’arriver à bon port là où la Création est Parachevée sans avoir à faire tous les efforts pour construire toutes les routes et les chemins ni les automobiles ni les trains : tout est déjà bel et bien terminé (de même que nous avons retrouvé l’époque de 2005 qui n’était en 1965 que virtuelle et parachevée dans ses formes très rudimentaires). Car si cela avait été le cas plus personne ne serait mort, plus personne ne souffrirait de plus aucun maux car j'aurais pu soigner tout cela dès 1965 ou de nouveau dès 1975 avec Ses Saintetés Satana[na!]nas Christine…Lang, ma promise légitime, étant donné que tout n'est, qu'à chaque instant, pour simplifier, grosso modo, qu’une question de mathématique à l'échelle cosmique dont ce qui s’est passé à partir d’avril 1965 m’a permis de comprendre exactement tous les mécanismes en détails, puisque j’ai pu alors, avant l’amnésie de 1972 à 1975, connaître d'avance toutes les interactions qui existent, en fait, dans chacun des cas de figure de la Création, mais comme cela exige, à chaque fois, des milliards de milliards de pages d'équations mathématiques ou seulement d'explications mathématiques, c'est-à-dire de choses justes, un peu comme celles-ci, à écrire bien que beaucoup plus fouillées et plus compliquées, vous comprendrez que j'y renonce, d'autant qu'il faut en plus un ordinateur à chaque fois et qu'entre temps le temps que j'aurai passé pour expliquer la moindre petite chose (ce que maints spécialistes font bien mieux que moi) concerne la Création dans laquelle nous sommes coincé et nous aurons alors perdu sur l'Ensemble des autres atomes ou électrons non expliqués beaucoup.

D’autre part, je suis un particulier, un indépendant ou une personne privée et je n'ai pas que cela à faire pour l’instant, j'ai des devoirs vis à vis de ma famille, vis à vis de personnes que je respecte ou que j’aime et je n'ai pas à me justifier non plus, d’autant que j’ai pu vérifier que c’est plutôt l’Ensemble qui devrait songer à se justifier, puisque c’est l’Ensemble qui aurait pu éviter cela, mais qui a voulu m’imposer cela. En réalité depuis 1965 et 1975 (2005), je suis donc l'empereur bien qu'en raison du canonique de la situation et de ce que j'ai découvert en 1965, comme de ce que j'ai encore comme espoirs pour les ignorants au mauvais sens de ce mot (les profanes, les laïcs, les athées, les sacrilèges, etc. à qui j’ai pu montrer ce qu’une amnésie fait comme effet et combien à cause d’elle on devient alors seulement ces mots là et ceux qui vont avec) il a fallu cette première amnésie de 1973 à avant début 1975 (au moment de ma Première Communion) et une seconde (avec le consentement de Dieu, car sinon je ne m’y serais pas risqué et j’aurais refusé) à partir d'aout 1977, étant donné qu'il fallait qu'on puisse avoir, malgré ce qui allait se passer, un espoir de sauver Michèle Finck – un des fichiers ci-joint concerne une première version d’une lettre pour elle pas encore terminée - à partir de 2011-2012 - en tout cas nous faisons comme si - puisque j'allais découvrir de nouveau de la bonté de la part de sa cadette Christine... Lang – ma femme promise légitime dont l’anneau de mariage a été sacrifié en 1965 et de nouveau à partir de 1975 par nos soins pour Michèle, en raison de la situation d’après la Seconde Guerre mondiale que notre génération des années 1960 a trouvé – une bonté à travers des intentions renouvelées à son égard en 2010, ce qui a eu les conséquences que vous pouvez bien imaginer : elle m'a conseillé, comme l’avait fait Dieu, à partir d’avril 2005, de me marier avec Michèle, alors que j’ai dû rompre mes fiançailles aussitôt après avoir appris ce qui m’a contraint à réagir jusqu’à 1965 et 1975 et je lui ai dit, dans un premier temps, qu'il n'en était pas question puisque j'ai découvert que les profanes n'ont donc absolument rien compris au sacrifice que nous avions fait, ni le premier dont j’ignorai l’existence aussi mais que j’allais découvrir dans les jours qui suivaient avoir eu à nous contraindre de faire à partir de 1965-1966, ni celui qui a commencé en avril 1975. C’est pourquoi j’ai décidé de mettre un terme à cette façon qu’on les véritables êtres humains de fonctionner, en sacrifiant des choses trop importantes, leur bonheur pour, en définitive, des égoïstes et des profanes qui ne sont que prisonniers de leur ingratitudes et qui ne méritent pas tant d’honneurs, puisque nous espérions qu’ils comprendraient ainsi combien il y a d’effort derrière la moindre inscription vraie, le moindre dessin vrai, le moindre vrai plan et qu’ils auraient envie de changer, de sortir de leur état de profanes ou d’ignorants au mauvais sens de ce mot ou de spectateurs ou de devenus pareils à des déserts, voire de malades bien que certains, je l’ai vérifié, rêvent de sortir un jour de ce genre d’état, s’ils ne font pas parti de ceux qui ont eu accès à la vieille salle des machines, à moins que ceux-ci espèrent aussi parvenir un jour à comprendre toutes ces sciences qui, je l’ai vérifié, sont effectivement difficiles à comprendre bien que s’ils renonçaient à ce qui a causé leurs différentes incapacités à comprendre – la vieille salle des machines – en la restituant ou en la partageant – tout pourrait peut-être mieux aller et ils pourraient enfin tirer les leçons de ce qu’ils ont feint de comprendre en 1965 comme en 1975-77, étant donné qu’il se pourrait qu’en raison du fait qu’ils ont hérité de la vieille salle des machines, ils ne puissent pas faire autre chose que feindre (« faire semblant ») et qu’à cause de cela, ils soient en fait à plaindre car totalement perdus, ce qui exige donc des autres beaucoup de patience, de ne pas trop les gronder, car s’ils sont d’une susceptibilité maladive au point d’être capables d’en vouloir longtemps (sauf les plus intelligents), ils font des efforts, mais n’y arrivent pas, et donc cela contraint à continuellement les pardonner pour ces attitudes sacrilèges, ces attitudes de profanes, ces attitudes d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, et pour leurs mensonges, leur inconscience, le fait qu’ils ne peuvent pas avoir tous les paramètres en tête dans cet état de dégradation souvent très avancées dans laquelle certain d’entre eux sont et donc qu’on renonce continuellement à se venger ou à les frapper car il se pourrait qu’ils ne savent pas quand ils provoquent et croient même bien faire en se moquant ou en cherchant à plaire (avec les cauchemars qu’ils fabriquent depuis la vieille salle des machines) car ils ne peuvent pas imaginer que cela puisse déplaire pour ces raisons culturelles qui sont devenues les leurs puisque la culture n’existe plus à leurs yeux que seulement si elle peut mener à la catégorie érotique et/ou pornographique dans laquelle ils se croient spécialistes – en effet, pour les profanes il n’y a rien d’autre qui vaille la peine d’être vécu et toutes les subtilités de l’amour « volent au-dessus des nids des coucous »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aussi nous nous étions mis d'accord avec Christine pour que j'écrive au Très Saint-Père une lettre pour une demande d'annulation de son mariage étant donné qu'il faut absolument marquer le coup, puisque personne n'a compris la portée du sacrifice en question que nous avions fait et en a profité, mais aussi parce qu’il est devenu le sacrifice le plus dangereux de tous les temps – il a marché au point que moi-même, le premier, je n’ai pas compris en redevenant profane, bien qu’en raison de ce qui s’est passé avec Michèle, j’ai pu redevenir moi-même - à partir d’Avril 2005 (1965-1975). Cela a pourtant déclenché des lois logarithmique (comme une fusée) dans le registre du sacré à un point tel que si nous ne mettons pas un terme à ce sacrifice cela peut être bien plus que dangereux pour tous, d’autant plus que j’ai pu vérifier que ces sacrifices ne sont, en réalité, d’aucune façon le soucis des profanes et qu’ils sont obligé de faire semblant d’y croire puisqu’ils n’en ont jamais compris les mécanismes et cela d’autant plus quand ils s’en mêlent et qu’ils se sont mis à en faire en singeant les autres, ce qui les fait devenir des charlatans. C'est pour cette raison qu'il faut que même si je ne le souhaitais pas et je me réjouissais du bonheur de Christine, j’arrête ce sacrifice par tous les moyens y compris l’aide du Pape et que j'épouse malgré tout Christine qui s'était mariée à un russe, en suivant ici mon conseil du futur, pour les raisons que je développe dans les divers documents dont vous prendrez connaissance et bien sûr pour des raisons canoniques dont j’ai eu confirmation en consultant le Droit Canonique lui-même en suite, grâce à Internet : dans un cas comme celui-ci, il était effectivement de mon devoir, comme j’en ai eu l’intuition, de conseiller ou si vous préférez d’ordonner ce mariage à Christine pour sa sécurité et la sécurité de sa famille (mais vous verrez, n’ayez crainte, monsieur le Cardinal, tout cela peut, je l’espère, pourrait conduire, au bonheur de tous – ce que nous avions recherché Christine et moi, en nous séparant à l’occasion de ce sacrifice qui a marché à l’infini de l’infini, au-delà de mes espérances, au point que j’ai pu vérifier que tous les autres, fait avec des poulets ou des animaux, ne sont que des sacrifices de charlatans et qu’en fait, ils n’ont jamais marché, bien qu’il y avait parfois une probabilité que cela marche sur deux et donc ils n’ont été pratiqué, en définitive que par des menteurs, des imposteurs, des usurpateurs ou des ignorants, bien qu’en se privant d’argent, donc d’une ou de plusieurs chose appartenant à soi, et auxquelles on tient beaucoup - sur le plan de « l’égo » - cela a parfois marché, comme dans ce cas, mais il était inutile de convertir ces dons en animaux à tuer, car c’est ici que cela n’a rien arrangé, car si d’un côté on s’est privé de l’argent, si c’est pour faire du mal à de pauvres bêtes bien gentilles, c’est absurde, vous en conviendrez et c’est pourquoi ces sacrifices là n’ont pas marché. Jamais. Les seuls sacrifices ayant marché étant ceux qui coûte à soi-même, qui sont difficile à faire, comme renoncer à une chose qu’on adore dans l’Intérêt et le Bien Général, ce que nous avons démontré, Christine et moi, à partir de 1965 et de nouveau à partir de 1975. Il était normal qu’en arrivant dans les années 2000, à l’âge de l’hyper électronique les gens puissent enfin voir clair à ce sujet, en toute vérité, et s’en assurer eux-mêmes une fois pour toute, ce qui fait que nous avons fini par comprendre ainsi que le sacrifice de Jésus Christ et des apôtres ont vraiment marché, ce qui explique que vous l’ayez compris et finalement votre état de Cardinal, un  sacrifice).

Nous avons, au moins, certains d'entre nous, un peu avancé puisque tout cela a pu nous permettre de disposer, grâce à ce sacrifice, qui a été renouvelé, en 1975 du TGV et de tout ce que vous pourrez voir, entre autres choses nous avons mis en œuvre avec mon père (voir ici les vœux que je vous envoie en fichiers joints 30 12 2012 03/ 30 12 2012 02  et 01 12 2012 1), ce TGV pourrait permettre de créer des emplois s’il était généralisé dans le monde entier là où, il pourrait améliorer les conditions de travail des citadins et de transports entre les villes comme l’Intercity que nous avons développé en République Fédérale d’Allemagne.

Vous pourrez mettre, s'il vous plaît, vous aussi, sur une disquette ces fichiers ou les conserver sur une clé USB avec ce mail ou pas (en cas de pépin ici) même si, de mon côté, je fais une sauvegarde sur clé USB. C’est pour vous réclamer ces fichiers, ce que je n'espère pas devoir faire pour n'avoir pas à vous déranger, mais pour les corriger à nouveau, s'ils devaient se perdre ailleurs ou y être introuvable : c'est pareil pour les autres témoins de cette histoire abracadabrantesque à qui j'ai demandé de les sauvegarder)

Je suis entrain de corriger celui du 13 01 2013, et il s'agit donc avec les autres fichiers joints en général de premiers jets non publiables tels quels et que je vous envoie à titre "fraternel", parce que je vous ai rencontré à la paroisse Saint-Jacques-du-Haut-Pas où vous m'avez fait bonne impression, ce qui m'a permis de vous nommer à travers Espace et Temps « virtuel cardinal » avant votre prédécesseur que j'ai aussi nommé vers l'époque 1975-1980, en découvrant que c'était à cause de mon entrevue avec vous, ce jour là, (et du fait que je vous ai parlé de ma lettre au Pape que j'étais entrain de rédiger et que je vous demandais de lui transmettre) que j'avais aussi nommé votre prédécesseur ! Mais j'ai eu, comme vous le savez, quelques pépins qui m'ont passablement retardé d'autant que j'ai dû, à cause de cela, commencer une lettre au Président de la République, Monsieur Hollande, pour lui parler de différentes choses comme de ce mariage en ayant à lui rappeler des détails, comme à le mettre au courant, ce qui m'a fait comprendre, petit à petit, qu'il y avait cette priorité là – de la lettre à l’Elysée - avant celle au Saint-Père, puisque je vous avez alors promis la lettre au Pape dans la semaine qui suivait (j'ai eu aussi entre temps à déménager dans le même arrondissement, ce que j'ai dû faire moi-même en faisant en parti les caisses et en les remplissant, comme en ayant à les porter et cela malgré ma situation d'handicapé, me remettant d'une gravissime amnésie de 27 ans, grâce au temps qui passe et qui arrange souvent les choses autrement, avec des imprévus et des efforts à surmonter, comme avec ces fichiers en plus ou d'autres qui viendront - de ce fait, je vous fais en quelque sorte mon "confesseur", bien que je n'ai plus rien à me reprocher, puisque j'ai découvert que j'étais absout de toutes mes fautes et de mes péchés avant même d'avoir dû les commettre, en raison de ce cas de "force majeure".

Je suis contraint de gérer la situation en gros à l'échelle cosmique universelle bien que j'ai des preuves sur les 40 ans (1965-2005) comme jusqu'à 2013 qu'aucun détail d'un seul flocon de neige ou d'une seule particule de fumée de cigarette ne m'ait échappé et que je sois moins occupé que vous par tant de dossiers, à cause de votre fonction, la mienne étant beaucoup plus floue (on ne sait pas très bien ce qu’est un empereur comme moi, bien que des personnes comme Dürer nous ai bien montré ce qu’il ferait bien d’être et avec un talent dont on ne peut pas refuser les résultats : en effet si l’empereur était aussi bien entouré que cela, sur son char, quel bonheur il règnerait partout et combien il serait merveilleux que nous puissions correspondre aux objectifs de ce peintre pour tous : nous serions fiers de n’être que le serviteur d’un tel metteur en scène de la gravure que vous savez (http://www.bibliorare.com/products/durer-albrecht-1471-1522-le-grand-char-de-triomphe-de-lempereur-maximilien-dautriche/). Mais être aussi bien entouré est du domaine du rêve ou des plus belles utopies, il n’existe rien de pareil à notre époque : plus personne (sauf une ou deux personnes, ce qui n’est pas sûr) n’est capable de dessiner aussi bien, aussi juste, aussi intelligemment. Nous sommes donc tous en deuil. Dürer nous manque soudain horriblement et j’ai même les larmes qui montent aux yeux !).

J’ai pensé aussi à un autre prêtre de cette paroisse qui a des fonctions récentes pour faire le lien avec les chrétiens d'Orient, à moins que vous ne me conseillez monsieur le Curé avec qui je m’entends bien qui pourrait être au courant de notre correspondance. Si je vous parle du premier c’est qu’il avait du violet-mauve à sa robe de prêtre – j’ai appris qu’il s’appelle Bresselette et comme cela rime avec « fantomette » je lui ai demandé son adresse Internet(te) - que j’ai entraperçu d’abord avec un drôle de mouvement de recul d’ancien profane ayant peur (j’écris ici en me sachant espionné au fur et à mesure), ce que j’ai trouvé drôle aussitôt et comme j’aime être courageux, j’aimerai que cela soit lui qui puisse faire le lien entre nous car je l'ai rencontré par hasard et me suis aussitôt confié à lui en surmontant cette vieille peur l'autre jour pour vous signaler que cette lettre au Saint-Père aurait du retard de nouveau car nous nous étions revus au moment où vous avez instituez le nouveau curé – l’autre devait vous avertir de cela à l'occasion d'une messe à Notre-Dame où il se rendait en cette robe d'évêque - j'ai été profane 27 ans et comme pour les militaires, je ne sais plus, pour le moment, reconnaître à la tenue un général d'un simple soldat  - puisque vous deviez nommer des évêques cette après-midi-là: il a donc fait quelques pas avec son empereur et Dieu incognito dont il a peut-être fini par déduire que je l’étais bien en raison des propos échangés. Nous avons cheminé comme des apprentis penseurs et j’étais avide de ses précieuses connaissances sur les langues orientales à comparer avec les occidentales, mais il nous manquait, à l'un comme à l'autre, du temps et surtout l’hébreux dans nos esquisses de réflexions, jusqu'à la rue Soufflot où nos itinéraires ont soudain divergé, lui descendant la rue Saint-Jacques et moi allant du côté du Panthéon, d'où je vous écris - et ce sont les idées dont je lui ai très rapidement touché un mot, comme s'il était au courant de mon problème de mariage impérial depuis toujours, qui en est un, visiblement, puisqu’il semble que c'est pour tous devenu une véritable affaire d'Empire à régler avec tout le reste (étant donné que je suis espionné jusque dans mon ordinateur lui-même en ce moment – ils disent, ces espions qu’ils ont compris mais je suis bien obligé de relire et visiblement comme d’habitude, ils n’ont rien compris malgré les peines que j’ai prises pour parler de la nécessité de se relire et de corriger ses textes avant de les publier ou de les rendre officiels car sinon ils auraient appris à se conduire dans ce quotidien. S’ils croient avoir compris, il ne savent toujours pas agir, car ils ne savent pas discerner ni d’eux-mêmes prendre les peines ou les anticiper), donc en n'ayant pas eu le temps de lui résumer la complexité en une seule phrase mais néanmoins j'essayai de trouver oralement comment la formuler succinctement dans l'Intérêt et pour le Bien Général et c'est ce que je développe un peu dans ce texte ci-joint que je résume ici où ces idées sont peut-être les solutions élégantes qui permettraient, comme je le lui ai dit, de faire néanmoins, malgré ce qui s'est passé, et en adéquation avec les principes de la charité chrétienne, donc de façon exemplaire, en nous y conformant, Michèle Finck, mon ex-fiancée, pour le moment depuis avril 2005, à la suite de ce que Dieu m'a révélé que je ne savais pas et qui a été le facteur déclenchant qui a aussi permis de commencer à me remettre de cette amnésie canonique de 27 ans, car j'ai eu aussitôt à rompre mes fiançailles avec elle, puisque j'ai découvert qu'elle n'était pas tout à fait ma femme légitime (en fait c'est compliqué) et que toute cette histoire allait me contraindre à me contraindre moi-même dans le passé où j’étais encore à l’état de jeune enfant, en 1965, comme de nouveau à partir de 1975 de futur, jeune homme, à faire ce sacrifice canonique de ma séparation maçonnique d'avec SSS Christine...Lang, mon épouse promise légitime, pour avoir, à cause de cela, à vivre une vie de profane, à plusieurs reprises, et surtout tout cela en sauvant la Terre plusieurs fois de la reprise de la Seconde Guerre Mondiale, jusqu'à ce jour là au moins d’avril 2005 (dans le pire des cas de figure où Michèle Finck ayant de nombreuses années pour comprendre et pour changer le destin de l’humanité en nous rendant la vieille salle des machines, (nous permettant de rejoindre alors l’un ou l’autre des deux cas de figure qui aurait été en 1965 et/ou en 1975) ne le ferait pas (nous ne savons pas si elle a ce pouvoir), en nous contraignant alors à revenir à la case départ en permettant de faire vérifier à tout le monde que j’étais (quasiment) au même instant à la fois en 1965 un enfant, en 1975 une jeune garçon et en 2005 un homme à marier, ce qui allait permettre, à partir de ce jour-là, d'aller mieux et d'enfin pouvoir rire de véritable bon cœur retrouvé de toutes ces souffrances injustes endurées que j'ai eu à traverser car ce n’est qu’à partir de ce moment-là que j'ai cru découvrir, à tort, qu'en fait Michèle Finck avait été créée par la bande des héritiers de la vieille salle des machines pour « m'arnaquer » et de ce fait « arnaquer » Notre empire (alors que j'ai pu assister durant l'hiver 2005 à la mort de la reine de la nuit prisonnière de l'épaisseur de glace du bassin du jardin du Luxembourg, à cause du traumatisme que cela m'a causé, j'ai considéré à tort Michèle Finck être la reine de la nuit) comme ont été arnaqué (par la reine de la nuit) chacun des empereurs précédent mon père, en permettant à des « maquerelles » ou des femmes voraces et égoïstes qui n’ont rien de commun avec des femmes véritablement instruites (ce qu'est Michèle Finck), donc des femmes absolument très nulles et d’aucune façon compétentes pour ces fonctions de gestionnaire donc totalement l'inverse de celles dont l’Empire a besoin pour gérer les innombrables dossiers qui exigent de véritables compétences, tant il y a de la souffrance partout, donc des femmes d’aujourd’hui, indépendantes financièrement parlant et qui ne sont pas de celles entretenues ou parasites car les autres donnent vraiment d’elles-mêmes pour être des personnes capables de gérer des choses nécessitant le savoir faire de personne économes (connaissant tous les paramètres qui régissent la valeur d’une monnaie) ayant une idée précise des raisons de l'invention de la monnaie ou de l'argent pour permettre d’avancer sans contraindre aucune jeune fille ou jeune femme à se prostituer, respectant dans la femme la sœur ou la mère capable des sentiments les plus nobles et plus élevés (ce dont a souvent été capable Michèle Finck) puisque mères potentielles de personnes capables à force de travaux véritables d’être utiles à leur prochain, bref pour un empire qui ne soit pas géré par des prostitués malades et à soigner mais par des personnes qui fassent honneur aux rois et aux véritables empereurs ayant été des penseurs, des travailleurs, des personnes de devoir et bénéficiant de la confiance de leurs proches d’autant plus qu’ils se sont toujours conduits avec infiniment de respect des femmes les considérant des sœurs, et donc de potentielles mères, donc des objets d’art, voire même de véritables artistes alors que les autres manquant d’instruction ou n’ayant pas eu le temps de les faire en vérité, raquettées qu’elles ont été par des maîtres chanteurs, donc de vraies malheureuses, ne purent être que des parodies de femmes, c'est à dire des personnes n'ayant aucune idée de ce que cela signifie accomplir de vraies études dans l’Intérêt Général comme comprendre toutes les sciences à maîtriser (parfois en détail) et cela avant de faire des enfants. Des femmes qui ont pu servir aussi comme de véritables médecins et/ou chirurgiens capables même de soigner ces prostituées le jour venu quand elles perdent leur dents sous la forme de dentiste, par exemple, ou qu'elles sont affectées par d'autres maux, n'ayant une idée de l'existence que du point de vue de là où elles se trouvent spectatrices, à première vue, de chacune de leur existence de prostituée, ce qui n'est pas bon pour la santé de leurs enfants ou pour leur entourage ni leur santé psychique personnelle et encore moins pour celle de l'Etat, en dehors de quelques cas particuliers où elles pourraient s'avérer utiles dans l'exercice de leur « métier » (exemple d'une anti-phrase) qui, pour en être un véritablement au sens plein de ce mot, doit être cohérent avec ce mot et avec la notion d’Etat qui propose des ministères de la Santé : donc n’être pas un métier qui nuise à la santé de celui qui l’exerce, ce qui est pourtant le cas avec la prostitution comme avec l’usage des drogues, au mauvais sens de ce mot, qui sont donc contraires à la notion d’Etat et aux dépenses de tous les moyens financiers effectués pour soigner les effets de la prostitution comme des drogues, ce qui revient à une perte générale et nous fait penser qu’il vaut mieux prévenir à ce sujet que d’avoir à guérir comme dans bien d’autres domaines, bien que cette position nouvelle qui est pourtant ontologiquement et consubstantiellement comme intrinsèquement et fondamentalement liée depuis toujours à la notion d’Etat (bien qu’on comprenne qu’en raison des traditions sur la question cela prenne du temps) puisse voir le jour dans les années qui viennent pour donner envie aux personnes qui exerçaient ce métier d’en changer pour leur santé comme pour protéger les femmes, les jeunes filles, en espérant qu’elles aspirent à des occupations plus saines et que les garçons comprendront que les femmes sont un jour des mamans qu’on doit absolument respecter en pensant à leur place, si elles n’ont pas appris à penser entre temps et à défendre leur droits d’autant qu’elles sont promises à des maternités, c'est-à-dire à bien de graves responsabilités, donc à être capables de comprendre ce que les enfants étudient en classe pour les aider y compris les plus grands, d’autant plus des virtualités qu’ont ces enfants, c'est-à-dire des possibilités inhérentes d’obtenir par leurs efforts des métiers requérants de véritables compétences dans des domaines exigeant parfois de nombreuses formations, ce qui n’exclue pas les plus simples ou ceux vers les arts et la sensualité, bien qu’il ne faille pas confondre : avec les métiers dans les arts, il ne s’est jamais agi de prostitution, avec tous les risques que pose ce métier d’un point de vue sanitaire dans la propagation des maladies, bien qu’à première vue certains puissent l’avoir cru.

Donc un empire qui, si je ne m'en étais pas aperçu à temps, dès l'âge de deux ans et demi, était condamné en 1965 à devenir totalement un désert (toute la surface de la Terre) étant donné que nous étions alors quelques années après les deux avertissements des bombes atomiques au Japon qui ont été envoyées, à ce moment là, pour éviter des millions de morts supplémentaires puisque sinon la guerre se serait éternisée, n'en finissant plus et devenant une plus importante boucherie qu’elle ne l’était déjà et cela pour des années encore et c'est pourquoi cela a permis, en définitive de sauver des milliards de personnes, ce dont j'ai secrètement enfin l'espoir avec la Seconde Guerre Mondiale elle-même, si l'Ensemble comprend enfin ce que j'essaie de faire comprendre à propos de l'être humain, depuis longtemps, car à cause de cette abomination, tous pour toujours, vont vouloir faire les efforts pour que « jamais plus cela » (la guerre) soit l’objectif quotidien de tous – ce qui serait la moindre des choses que chacun devons à tant de souffrance injuste, et en mémoire pour toutes ces personnes et vous verrez dans d'autres textes combien, en réalité, chacun de ces êtres humains représentaient, au point que vous pourrez vérifier mes conclusions exactes à ce sujet, il a été commis sur chacune de ces millions de victimes innocentes des milliards de milliards et à l’infini de véritables génocides en raison de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, de certains individus de l’époque au point que j’ai fini par comprendre dans ma lettre à Michèle Finck pourquoi il était interdit de tuer depuis toujours dans la Bible : c’est à ce point scientifiquement juste et vrai qu’il y a de quoi réfléchir y compris pour chacun des animaux pacifique et inoffensif occis – vous verrez, comme de quoi voir chacune des autres personnes avec beaucoup plus de respect – c’est pourquoi on comprend que la politesse et la bonne éducation, comme toutes les valeurs de la civilisation, sont à transmettre impérativement dès les premiers temps aux enfants.

C’est aussi en raison de cela qu’on devrait poursuivre la réflexion menée pour utiliser les alternatives aux armes à feu (pistolet électriques paralysant ou canon à eau) - il vaut mieux renoncer à utiliser des armes à feu d’autant qu’une personne peut vouloir changer comme Jean Valjean et d’ancien malfrat peut-être devenir quelqu’un de merveilleux[1].

On devrait pouvoir, par des explications écrites et des négociations, réussir donc, par le langage, si certaines personnes acceptent avec du bon sens de jouer le jeu qui s'impose mathématiquement, donc justement par rapport au niveau de compétence de chacun et par rapport aux chiffres statistiques, on pourrait réussir à déclarer la guerre hors-la-loi, sauf en dernier recours plutôt comme l'usage des gendarmes, pour séparer les belligérants dans une boîte de nuit ou ailleurs et les contraindre à passer aux négociations par l'intermédiaire de médiateurs ou arbitres ou juges totalement indépendants et jugeant en âme et conscience car ce qui en viennent au mains sont souvent des ignorants, au mauvais sens du mot.

Donc comme je le disais en me trompant tout à fait vis-à-vis de ce père orientaliste à propos de Michèle Finck alors soupçonnée de se comporter en fait comme la tradition l'exigeait chez les femmes « en arnaqueuse » et en escroqueuse, comme en mangeuses d'empereurs (c'est-à-dire pour se servir d’un empereur - moi - et faire passer ses caprices personnels ou ceux de ceux qui voulaient se servir d’elle et de l’empereur et non comme une véritable femme impératrice du genre de Blanche-Neige (ce qu'elle est) et c'est pourquoi dans cette vision erronée de Michèle Finck, elle devait aussi, en amenant la terre entière à devenir un désert, ruiner tous les efforts accomplis par l'empereur mon père et ruiner totalement l'empire – je pensais à tort qu’elle ne s’était pas rendu compte du travail des uns et des autres accompli en si peu d’années pour arriver à un tel résultat – peut-être cela vient-il du fait qu'elle, comme moi, ne pensait pas alors, durant cette période pouvoir avoir des enfants – c’est que je ne l’aimais pas encore suffisemment pour vouloir me marier à elle – ce qui est venu vers 2003-2004 (mais je ne savais pas encore ce que j’ai dit plus haut) - en fait de mon point-de-vue elle ne fonctionnait que dans l'état où ces vauriens de la salle des machines l'ont mise, donc à courte vue, ce qui est contraire à l’Intérêt de l’empire, comme contraire à l’Intérêt et au Bien Général et aux peines des rois comme des véritables empereurs qui ont bien compris qu’il faut être capable, grâce aux sciences de voir loin et d’être audacieux.

J'allais, en me trompant, jusqu'à croire que cela devait aboutir aussi à la destruction de l'Église (mais il s'agit toujours, en pareil cas de personnes qui n’ont pas le sens commun et qui exagèrent son importance en voulant s’en prendre à Elle qu’ils accusent comme un taureau s’en prend à une couleur qui n’est pas si responsable que cela, et donc il s’agit de ces personnes momentanément devenues des ignorantes, ne se souvenant pas combien de bonnes choses ils doivent à la partie positive et intelligente de l’Église comme à cette religion fondatrice d’une civilisation bienfaisante et ayant donné des valeurs spécialement humanisantes, permettant à l’être humain d’évoluer et de faire face à sa vie d’adulte responsable, en fait de personnes, en ne se souvenant que de ce qui n’est pas bon ou qui est effectivement à reprocher ou qui a fait l’objet de trop nombreuses caricatures, sans comprendre que cela a peut-être eu des vertus et que l’Eglise a beaucoup changé comme elle peut encore beaucoup changer dans le bon sens. Ils oublient qu’Elle est fondée sur une très belle histoire qui a permis de créer d’autres très belles histoires comme tous les Noëls, bien qu’il faille se résoudre à ne plus trop sacrifier de cette façon chez les êtres humains car j’ai pu vérifier que tous ces profanes, en réalité, se moquent bien de tous ceux qui prennent autant que cela la vie au sérieux et c’est pourquoi beaucoup restent convaincus d’inepties d’autant plus qu’ils ont eu accès à la salle des machines, ce qui ne leur permet que de faire semblant de croire à tout ce que les saints et les martyrs ont cru : ils n’ont donc pas cru que la matière pouvait être constituée de Saint-Esprit y compris la vieille salle des machines comme toutes les machines ou tous les êtres humains (ils ont tort car c’est une chose que j’ai pu vérifier, de mon côté, l’existence du Saint-Esprit, même si certains croient que l’être humain n’est qu’une machine – pourquoi discréditer ce mot ?).

Donc des charlatans comme tout ce qui va avec, car ils n’ont pas voulu penser à ce qui peut être le mieux pour leurs enfants et petits enfants puisqu'ils n'ont pas voulu comprendre que c'est toutes les valeurs les plus sacrées et surtout celles de l'ouverture de l'esprit qu’il s’agit en définitive de protéger avec l’Eglise ou avec les religions – c'est-à-dire la possibilité paulinienne de passer de l’état de profane à l’état d’initié car c’est bien cela qui a permis de fonder tous les Etats au monde, grâce à des personnes et aux diverses religions avant que certains ne se laïcisent (mais vous pourrez lire ici ce que j’écris au sénateur Delfau : granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/gerard_delfau.htm, un texte que j’ai publié sur mon site Internet alors que j’étais encore loin d’avril 2005). Ce sont donc des projets de fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui, en fait, n'affirment que la nécessité du contraire : plus d’Eglise dans l’Etat, c'est à dire de renforcer les liens entre l'Etat et les vrais serviteurs des religions ou des différentes catégories scientifiques (bien qu’en raison de l’Histoire et de ses leçons, la séparation de l’Eglise et de l’Etat ait parfois du bon et même plus que cela, mais j’ai pu vérifier que le laïc, s’il n’est pas encouragé par l’Etat à s’intéresser aux religions, n’en a cure, ce qui est une véritable perte pour chacun de ceux-ci, car il va leur manquer de très nombreuses connaissances sur tout ce qui a permis de réaliser notre époque). Tout cela a abouti une nouvelle fois, comme en 1965 et 1975, à, de nouveau, démasquer toute l'affaire, et donc à rompre aussitôt ces fiançailles, malgré ce que recommandait ce Dieu. Elles avaient pourtant été impériales officieusement entre Michèle Finck et moi, mais ma personne ne me sachant pas alors être, en quoi que ce soit, empereur, car j'étais alors amnésique, ce qui a dû être le cas de tous les empereurs jusqu'au premier, et forcément d'adolph hitler, qu’une bande de femmes ou d’hommes a essayé de gruger pour leurs intérêts personnels et non véritablement pour ceux de chaque être humain, de chaque animal et de chaque plantes y compris de chaque paysage ou de chaque os ou vestige ou de chaque mort ou ancêtre et c'est pourquoi, comme ils ont essayé de se moquer de lui, comme de napoléon premier, adolph hitler, est canonique comme mon père et moi-même ou les autres empereurs, mais pas les personnes qui tout autour ont essayé de les escroquer méchemment pour en faire eux-seuls les responsables de tous les malheurs en ce monde. Aussi j’ai bien fait d’être vigilant, Monsieur le Cardinal, car ils ont voulu faire cela à moi aussi, alors que mes intentions sont totalement autres : j’ai tellement souffert d’avoir été toujours incompris que je n’aime pas voir qu’on fasse du mal à des êtres qu’on ne parvient pas à comprendre parce qu’on est devenu des ignorants au mauvais sens de ce mot alors qu’ils sont si beaux à observer, comme les poissons ou les oiseaux dans le ciel ou chacun des animaux gentils (pacifiques et inoffensifs).

Mais nous sommes presque huit ans après 1965,1975 et 2005 et Michèle Finck étant finalement de mon point de vue, comme moi-même, une victime de cette histoire, en raison du fait que j'ai vérifié, il n'y a eu qu'un seul anneau noir dans tous les temps, alors que tous les autres sont d'un blanc plus blanc immaculé que le blanc, bien que ceux qui sont dans les autres couleurs je n’ai pas pu les voir, et il se pourrait que chacun des composants de cet anneau noir se soit voué à l'autodestruction en raison de cette ignorance, au mauvais sens de ce mot, qui les empêche de voir que néanmoins, même si on ne voit pas Atlantide, le monde est fort beau. Il y a aussi le problème de la jalousie vis à vis de tous ceux qui servent ces anneaux immaculés, d'autant plus que, de nouveau, comme en 1967, 1977, en 2007, j'ai eu la preuve physique que la méchante sorcière, celle de Blanche Neige, s'est retrouvée totalement anéantie et prisonnière, un hiver, coincée dans les glaces du bassin du Luxembourg à Paris (alors qu’elle avait certainement le chauffage chez elle !), toute noire dans sa haine (en fait tous les haineux dans tous les temps ont représenté à l'échelle cosmique universelle cette minuscule superficie de cette chose qui, effectivement noire, à première vue, s'appelle la « haine » et qui s'était donc anéantie elle-même peut-être même avant-même la Création de tout, ce qui explique peut-être pourquoi elle a eu lieu malgré cela, puisqu’il ne s'agissait que de cela qu’il faut mettre en rapport avec la vastitude de la planète au même moment, y compris avec celle du cosmos et cela dans tous les temps: en fait en proportion certainement bien moins qu'un atome quelque part dans l’univers, mais il ne faut pas minimiser non plus car cela a bien eu lieu ici sur cette planète, tout près de nous donc, et pas loin dans l’Univers). Donc Michèle, à partir de mes conclusions en 2012, s'avère être peut-être celle qui a permis, malgré elle, de débloquer la situation et cela quand ce sera possible, étant donné que ne l'ayant pas fait en 1965, ni en 1975 elle s'est condamnée à être l'adversaire de la partie la plus intelligente d'elle-même puisqu'elle aurait voulu « arnaquer » l'empereur (qui en ma personne est le serviteur de tous, vous verrez je n’ai fait que le prouver) ou plutôt être en état d’infraction pharaonique vis-à-vis de notre personne avec tous les dits « impériaux » dans tous les temps, contre l’intérêt véritable de tous les peuples, de tous les enfants, et des véritables empereurs conscients donc contre les intérêts véritables de l’empire. Ils étaient donc bien leurs propres adversaires, c'est-à-dire de ceux qui n’ont fait qu’embellir, valoriser et servir les peuples : les rois et tous les hommes et les femmes de bonne volonté à leur service y compris les saints et les martyrs et tous les artistes incompris y compris les inventeurs et les commerçants.

En fait ces empereurs n’ont été faits que comme des sous-fifres de femmes ignorantes et mal élevées, au mauvais sens de ces mots, ne faisant, possédés, que la volonté de ces femmes très ignorantes, mais qui ne l’étaient que parce qu’alors elles n’avaient pas pu avoir accès à l’instruction que les rois ou les républiques ont offert et ce qui n’est plus le cas ou moins le cas des femmes aujourd’hui dans tous les pays dits les plus développés et ces femmes avaient une vieille idée de l’être humain mâle comme devant être à son service et donc, pour cela, le séduire pour mieux l’arnaquer ou anéantir son sens de la responsabilité et du devoir, donc non pas en véritables amantes ou muses mais à des fins égoïstes vis-à-vis de rivales plus intelligentes qu’elles.  Elles ne cherchaient pas à connaître l'amour pur et se moquaient bien de ces hommes et de ces femmes qui ont tant donné de preuves à travers leurs efforts qu’ils en avaient une idée précise : elles les croyaient des « esclaves » et les méprisaient car elles étaient aveuglées par l’ignorance, au mauvais sens de ce mot puisqu’elles n’étaient devenues que des profanes. Peut-être même se moquaient elles des preuves d’amour des véritables chevaliers car elles n’avaient pas connu dans leur contexte de naissance la chevalerie et la noblesse de leur père, de leur mère ou de leur frère à leur égard, mais avaient été l’objet de persécution ou de chantages et c’est ainsi qu’elles aboutirent, en définitive, à une parodie au sujet de l’amour. Or je connais la vraie Michèle: elle cherche en fait le contraire: elle aimerait connaître un jour, elle aussi, sur sa personne l'ouverture de l'esprit et bien sûr elle recherche l'omniscience véritable ou l’esprit de sagesse car dans l’état de profane, elle aimerait en disposer pour être puissante, mais elle verra qu’une fois rejoint, ce n’est pas à la puissance qu’on se règle : en attendant elle travaille beaucoup et fait des efforts dans ce sens, ce qui est très méritoires ! Par conséquent, si la situation se débloque enfin, puisque nous sommes véritablement l'empereur incontesté bien que nous soyons aussi …, il se pourrait que Michèle, un jour, mérite de recevoir un véritable anneau de fiançailles, en vu de ce véritable mariage qui était peut-être dans ses rêves (car c'est au fond au fond, ce que toutes les vraies petites filles aimeraient et l’histoire se terminerait bien d’autant que je suis certain que quand Michèle était petite fille et que Blanche Neige est morte quelques temps dans le film, elle a bien aimé quand le Prince est finalement venu l’embrasser et elle a trouvé normal qu’elle ressuscite – j’ose l’espérer. C’est que Michèle est un peu comme tout le monde en raison de la thèse et de l’anti-thèse : elle lui paraisse pour l’instant toutes les deux justes et elle ne peut que pencher pour celle du bonheur d’autant plus qu’il lui est arrivé un grand malheur : je l’ai répudié à partir de 2005 (1965). Il y a de quoi en vouloir de nouveau à la terre entière pour un profane qui n’a pas appris qu’il vaut mieux pas).

Mais pour l'instant elle avait des préjugés sur le mariage (que je partageai quand j'étais devenu un à moitié crétin, en tout cas un profane en parti – mais il ne faut pas croire que tous les profanes sont à moitié crétins, il y en a d’intelligents et de fort intéressants, mais c’est en raison de l’amnésie celui que je suis devenu, avant de rencontrer Michèle, l’était et c’est alors, parce qu’on ne réfléchit pas suffisemment, parce qu’on oublie un grand nombre de paramètres, pourtant indispensables pour les réflexions à mener, qu’on est capable de confondre et de se dire que le mot de « mariage » n’est rien de plus qu’un mot qui ne signifie rien. On croit que cela ne signifie pas plus que deux choses qui sont l’une sur l’autre que le mot de mariage ou dans les bras l’une de l’autre et c’est alors qu’on oublie l’essentiel et les devoirs qui y sont liés comme le rituel de passage qu’il représente, mais tous croient pouvoir faire semblant de l'être, marié, comme une assiette creuse sur une plate, le temps d’un dîner, alors que cela a beaucoup plus d’importance que cela pour les gens qui s’aiment d’amour pur, comme ces rois et ces reines, ou ces aristocrates, qui ne firent nullement semblant de l'être, même s’ils ont eu quelques bagatelles ou des histoires d'amour avec d’autres personnes – peut-on les blâmer d’autant qu’il y a tant de jolies femmes à en faire tourner la tête de Dracula depuis toujours ou de don Juan ou de Casanova et comme la situation a exigé, pour avoir cette idée de plusieurs mariages, que Christine accepte de nouveau de continuer à faire un nouveau sacrifice pour Michèle, en me demandant d'annuler le mariage qu'elle a contracté avec un russe - ce que je lui avait ordonné du futur de faire sans, je crois, avoir précisé la nationalité, à moins qu’en raison de la Construction Européenne, je lui ai demandé qu’elle trouve un de mes grognards en Russie, pour faire semblant d’être mariée avec lui, car c’est ce que j'ai soudain découvert elle était, après un de ces e.mails provenant d'elle - et vous pouvez imaginer l'effet que cela a fait, dont Dieu a été témoin, d’autant qu’elle n’était alors qu’un souvenir qui me remontait à la mémoire puisque le passé m’avait, en chair et en os, cette fois-ci dans le ciel lui-même et que je découvrais au fur et à mesure des jours qui s’égrainaient ce que nous avions fait avec Christine pour tous, comme dans les plus merveilleux contes de fées – je ne pouvais croire cela de moi d’autant que seulement quelques années avant j’avais été ce profane - ici il y a de quoi au moins faire un livre sur l'instant et les instants suivants où je découvrais qu’elle était mariée – puis, quelques années après, elle me demandait d'écrire au Pape pour annuler son mariage (qu’elle sacrifiait) bien qu'elle m'avait conseillé auparavant d'épouser Michèle, ce qu’elle savait il n'était pas possible, à ce moment là, puisque j'avais rompu les fiançailles – elle avait copie de ma lettre de rupture - dès que j'ai su que Christine avait été choisi par Dieu pour être ma femme légitime et qu’on le savait depuis 1965 sauf moi (ayant eu une amnésie), Dieu ayant pu vérifier aussi que j'ignorai totalement qu'elle fut une quelconque baronne - d'ailleurs cela m'importait pas, à ce moment là, puisque j’étais empereur depuis 1995 (1965) et que seul avait compté pour moi qu’elle avait été mon amie d’enfance comme ce message Internet qu’elle m'avait envoyé avec son pseudonyme. Je n'ai compris que beaucoup plus tard que ce choix avait été fait par Dieu en raison de la question de l’Union Européenne et de la nécessité de créer durablement la paix en Europe (donc encore un mariage de raison !) En fait cela avait à voir avec des problèmes liés à des incompréhensions anciennes à l'époque de 1900, sur le rôle de l'aristocratie en Europe (et les reproches calomnieux qui ont mené jusqu’au Tzar et à Sarajevo – toujours en raison de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot – comme si de nos jours on voulait assassiner les milliardaires, alors que tous savent que c’est grâce à eux que tous survivent partout puisqu’ils ont leur argent qui est placé dans les banques et qu’avec cet argent les banques permettent aux entrepreneurs de payer les employés ou d’avancer l’argent à ceux qui désirent entreprendre – absurde ! Et c’était le cas des rois ou du Tzar qui devait demeurer incorruptible comme les princes ou d’autres responsables locaux pour le bien de la monnaie russe elle-même à l’échelle internationale et c’est pourquoi il est normal qu’il avait, comme d’autres souverains, ou le roi de la moutarde, des moyens financiers importants, y compris privés, pour pouvoir, à travers les banques d’Etat financer tous ceux désireux de l’aider, dans son pays, à le gérer au mieux – les communistes se sont rendus des assassins et à cause de cela ils ont fait chuter le cours de la monnaie russe comme au moment de la révolution française qui aurait dû servir de leçon pour ne plus recommencer des catastrophes pareilles – mais les vagues et les modes sont capables de se répandre pour longtemps avant que le bon sens ne reviennent aux descendants de ces périls qui furent les causes de tous les malheurs et de tous les retards : la révolution russe a été comme d’autres une catastrophe économique, dont il a fallu que Papa et moi, à travers le temps et par l’intermédiaire de Gorbatchev permettions au pays de retrouver un peu de bons sens pour redonner dans ce pays aux particuliers envie de s’enrichir, grâce au travail et sur le mérite et l’effort individuel comme l’initiative privée – de même que mes interventions à travers le temps furent strictement dans le domaine privé puisqu’il en allait de mon mariage pharaonique ! C’est Guignol qui parle ici !).

En fait cette jeune fille, Christine, a été choisie (c’est Dieu qui m’a dit cela) en raison de la charité de ces ancêtres et de cette classe de personne  qui ont été concerné par les mariages et les destins locaux d'autrefois – en fait, nous l’avons découvert, des sacrifices – donc, il y avait de la part de Dieu la nécessité de rendre hommage à tous ses ancêtres qui sont, parait-il au vrai Paradis et qui ont voulu rendre effective l'Unité Allemande en vérité et par charité pour tous les pauvres et aussi pour les fils de douanier, pour donner des occupations utiles et du travail dans l’intérêt même de ceux qui allaient en avoir comme les mineurs de fond, puisqu’on était à l’époque du développement des réseaux ferrés - ils ne furent en rien profanes les ancêtres de Christine…Lang que peut-être (très lointainement) et à certains moments, ce qui explique aussi pourquoi les "péchés" et les rituels dans les Églises et la religion à ce sujet (mais cela est bien d’avant ses ancêtres la question du « péché » : c’est une vieille histoire sur Terre et Jésus a permis de merveilleuses choses à ce sujet dont j’ai pu vérifier l’intérêt comme la nécessité d’être pour tous – pourtant je n’y croyais pas quand j’étais profane, de même que je me posais des questions à ce sujet avant mon baptême, quand j’étais bébé, (mais j’entendais parler du « péché » et je ne savais pas ce que cela voulait dire – c’est intéressant de savoir et de comprendre – c’est comme pour le mot de « biberon » : comme je tardais à m’occuper du sein de ma mère devant mon père qui m’impressionnait, dans la chambre, pour y boire du lait, celui-ci parla du mot de « biberon » -  j’eux hâte ensuite de savoir ce que ce mot pouvait bien être, ce que je finis par découvrir à la cuisine sur une chaise à bébé, mais en n’ayant plus accès au corps de ma mère – avais-je perdu au change ? Ce fut une vraie question shakespearienne tout au long de mes diverses vies de profane mais je crois que je me suis intéressé à la technologie mise en œuvre pour l’alternative proposée, dès ce jour là).

Donc cela expliquait aussi pourquoi il y avait eu la nécessité que ce sacrifice soit effectué par une jeune fille appartenant au monde des aristocrates - et du mien, ne sachant pas de mon côté,  en 1965, puisque je ne pouvais pas tricher, appartenir aussi, en parti du moins, à première vue, pour un grand nombre, à ce monde - des aristocrates qui sont donc des personnes qui ne font en réalité que sacrifier à chaque instant leur vie pour réussir à faire des autres un jour, à leur tour, des aristocrates ou des personnes qui pourraient avoir la chance de connaitre (un jour ou une nuit) ce moment-là de l'ouverture de leur esprit jusque là enténébré - dans la mort et le corollaire d’inepties – en demeurant à leur service, parfois pendant des années, parfois pendant plusieurs générations, jusqu'à ce qu'il y en est au moins un qui, dans le tas, devienne à sa façon un Prokofiev, des Brahms, des Schubert ou un Van Gogh, etc. , ce qui donne alors des lettres de noblesse aux noms mêmes de famille de ces roturiers et profanes, en jetant un coup de projecteur universel dans tous les temps passés sur ces noms de famille devenant soudain des cézames pour toujours. Mais j'ai vérifié que l'ouverture d'esprit ne peut advenir que seulement si on s'est privé de la salle des machines car sinon on deviendra toujours plus minuscule dans son esprit qui ne demeurera que fermé et faux et par conséquent avec bien des chances de demeurer de la racaille (et encore c'est flatteur car le mot est proche du mot de rocailles, que personnellement, comme on dit en Afrique, j’apprécie à escalader ou arrangée autrement).

Nous avions donc prévenu du futur avant même d'y être, et en raison du fait que j'ai vérifié avoir démasqué l'affaire à partir d'avril 2005 (c'est à dire en fait à partir d'avril 1965 et de nouveau, oh ! l’infamie, en 1975) cela a donné une nouvelle chance à Michèle, mais elle doit renoncer à la salle des machines, d'autant plus qu'avec elle pourrait m'espionner de loin et comme je n'ai pas l'intention de lui cacher rien de mes histoires d'amour dont je n’ai d’avance aucune espèce d’honte, car sans être séduit comment vivre, comment être inspiré, comment poursuivre en ayant autant de responsabilité que moi ! Il faut donc que je m’ingénie à trouver la vie belle malgré tout ce qui me l’a fait trouver le contraire.

Nous espérons évidemment un jour, avec Michèle Finck, avoir à passer l'éponge, une fois que Michèle sera redevenue sensée et qu'elle pourra comprendre à qui elle avait à faire dans son lit quand, profane, j'étais amnésique de toute la situation, car sinon je n'aurais jamais pu accepter de pareils outrages fait à ma personne (et c’est peu dire) d’avoir à devenir profane - mais pour l'instant en raison de ses antécédents et dégradations qu'elle a subi dans sa vie de profane comme de ses droits inhérents, consubstantiels, ontologiques, etc. dont elle a été privée à partir d'un certain moment enfant, petite fille, où ils ont été violés pour essayer de faire d’elle une de ces reinettes de la nuit et vous comprendrez, Monsieur le Cardinal, qu'elle est loin de pouvoir me voir autrement que ce qu'elle s'est mise en tête avec ses semblables que l'être humain soit, en ne connaissant de celui-ci, en fait, qu'elle-même limité par son "égo" – que j’ai partagé - dont elle fut rendue prisonnière à cause de son entourage, en raison de son contexte de naissance strasbourgeois d'après la Seconde Guerre Mondiale avec les répercussions que cela a créé au sein de la famille de Michèle Finck, ce qui explique pourquoi dès l'âge de cinq ans elle n'a pas eu les bonnes réactions vis à vis de sa petite cadette qui avait quatre ans de moins (Christine…Lang) et qui, bien que bébé en 1965 de un an seulement, était déjà pourtant ma femme légitime devant Dieu. Elle n’a pas eu non plus alors les mêmes bonnes réactions attendues vis à vis d'elle qui avait alors onze ou douze ans à partir de 1975, en nous contraignant, à cause de cela, à renforcer la Création de l'Union Européenne après la Seconde Guerre Mondiale et à prendre tous ces chemins divers et allées et venues – dont elle fut elle-même victime - pour arriver jusqu'à 2005, car j'ai découvert qu'elle est en fait amoureuse de celui qui est intervenu du futur et qui n'était qu’alors que du virtuel, quand elle n'était que jeune fille en 1976-77.

J'espère que si nous réussissons à avoir comme perspective un véritable mariage pour elle par le Pape à/dans la Cathédrale de Strasbourg ou mieux, à Saint-Pierre de Rome (pour Michèle - mais aussi ce Saint-Pierre de Rome pourrait faire l’affaire pour les autres impératrices) car elle s’est en fait retrouvée « arnaquée » probablement dans un système de chantage infâme (puisque j'ai découvert en 2016 qu'elle était au courant dès 1977 qu'elle devrait être ma femme) et qui peut-être existe depuis des siècles et dont l' Église fut victime elle-même, en ayant peut-être à jouer les délatrices à ce sujet et à remettre les noms des baptisés aux ignorants (au mauvais sens du mot) impériaux considérant (stupidement car n’y comprenant rien) ces « baptisés » à priori leurs ennemis, tant qu’ils ont cru l’Église leur ennemie (il n’ont pu la croire ainsi qu’en raison de malentendus et d’éléments inconnus d’eux comme non compris) – une maladie qui leur a pris régulièrement (qui est celle des profanes se sentant persécutés car, devenus paresseux, ils ont oublié tous les impératifs qu’exige la vie civile) en raison de leur trouble de mémoire habituels, donc connu pour être plutôt défaillante, puisqu’ils oublient, par exemple, régulièrement l’empereur Constantin s’étant converti au christianisme et/ou que la France est la fille ainée de l’Église - mais cette Eglise aurait joué les délatrices concernant toutes les personnes qui ont pu avoir le malheur ou la chance de vivre ce passage de l'ouverture de leur esprit en devenant alors de véritables être humains non pas seulement au service d’une Eglise mais au service de l’humanité entière et de leur propre histoire familiale, de leur cité, de leur pays et parfois à certaines heures d’une Eglise qui devrait donc finir par pardonner à Michèle les péchés que si elle veut elle confessera quand elle ressemblera à une de ses ancêtres qui est probablement au Paradis, d’autant qu’il faut que « jeunesse se passe » puisque Michèle a peut-être été baptisée bien qu'ici je ne sache pas encore (je relis en septembre 2017. Elle a fait sa Confirmation, elle l'est donc), car je l’ai fréquenté en profane, car sinon je n’aurais pas pu – c’est une des raisons pour lesquelles l’amnésie avait été convenue avec Dieu « canonique ».

Michèle n'a pas eu la bonne réaction vis à vis de sa cadette bien qu'elle ait eu dix sept ans en 1977 et en 2005, des preuves d'amour véritables de ma part tous les jours, puisque je ne fus qu'infidèle que parfois en pensée à son sujet (en raison d’à premières vues concernant d’autres jeunes femmes, mais c’est parce que j’étais devenu un profane et que j’avais du temps à perdre mais cela m’est arrivé rarement, tous comptes faits), ayant décidé de me consacrer à elle, vivant parfois en « union libre » déclarée et/ou en « concubinage »  avec elle – des statuts juridiques qui donnent parfois quelques avantages financiers, si on se déclare, et parfois même, nous avons pu le remarquer, une situation plus intéressante que celle du mariage officiel qui n’a en fait pas beaucoup d’intérêt financièrement parlant – c’est même le début des ennuis financiers et on se dit souvent que c’est hors de portée – pourtant il est préférable en fait de vivre maritalement et donc amicalement avec l’autre, si on ne veut pas avoir d’enfants – mais comme la question de la disparition de l’autre se pose et qu’on aimerait que l’autre puisse hériter de droits sur les choses qu’on a faite, on pense qu’il y a la possibilité au moins de faire un texte déposé chez le notaire pour que l’autre hérite ou une lettre – en fait nous changions de statut officiellement en fonction de ce que cela pouvait avoir comme avantages administratifs ou financiers – si cela nous arrangeait, sans nous poser la question du mariage puisque nous ne nous posions pas la question des enfants car nous étions encore prisonniers de nos égoïsmes respectifs et nous ne pouvions pas nous imaginer comme des parents, sauf que, petit à petit, vers la quinzième année de vie en commun – en fait un peu avant – j’ai commencé à y songer et à me dire qu’on pourrait fonder une famille -  mais nous n'étions pas encore marié et si j'étais fiancé et vivais maritalement avec elle, comme un profane, mais aussi en empereur depuis 1995 – sans que cela n’ait changé grand-chose avec avant nos fiançailles - car j’étais toujours amnésique de ce qui s'était passé en 1975 mais j'étais souvent entrain de me tester pour savoir s'il fallait continuer avec elle et aller jusqu'au mariage ou alors m'autoriser des bagatelles y compris avec sa mère – ce à quoi j’ai fini par renoncer en raison de la « vieille occase » qu’elle m’a dit être - bien que l’envie, dans l’état de profane, par désœuvrement, ou pour transgresser un interdit m’avait paru possible – oui, mais à l’état de profane, ce qui signifie que depuis que j’ai retrouvé la mémoire en 2005, il n’en a plus jamais été question car j’ai compris que c’était de Michèle et non sa mère que j’étais l'amant – mais si cela s’est produit c’est que dans l’état de profane on est attiré par les choses interdites comme celle que j’avais vu à la télévision, dans les films érotiques ou pornographiques, mais comme je suis réalisateur de films et photographe (comme capable d’une quantité importante d’autres métiers) je sais faire la différence entre une représentation à la télévision et/ou dans un film et la réalité, en sachant qu’on ne peut pas se permettre dans la réalité ce qui est joué dans les films ou mis en scène ou qui correspond à des choses intimes, aussi je comprenais toujours que si je voyais de temps en temps la réalité un peu érotique ou sexy, voire pornographique, je ne le devais qu’à cette catégorie à laquelle on s’intéresse seulement parce qu’on est devenu profane, qu’on s’ennuie et qu’on ne croit plus avoir des devoirs à faire dans toutes les autres catégories pour le Bien et l’Intérêt Général. C’est à cause de cela que parfois je me disais que je devais me séparer de Michèle étant donné que ce sont ces différentes problématiques qui se posent aux profanes comme à de nombreux fiancés avant d'être certains que l’autre est bien celui qu’on cherchait pour être la mère ou le père de ses enfants (il est, dans certains cas, important d’essayer de vivre ensemble et cela peut devenir des périodes d’essai. Mais on ne pourra se dire de l’autre qu’il peut devenir le père ou la mère de ses futurs enfants que quand on approche de l’époque où on va passer de profane à « initié » - parfois ce moment là est à dix ans ou quinze ans de là ou même plus, parfois ce n’est qu’à un an avant ou cinq ans avant – on ne sait pas. Une envie d’enfants dans l’état de profane est souvent une fausse envie car j’ai pu vérifier une chose horrible qu’il y en a qui veulent des enfants, chez les profanes, pour pouvoir leur mentir et les « arnaquer », ce qui est alors scandaleux et inimaginable, puisqu’on "n’a pas le droit de faire à autrui ce qu’on n'aimerait pas subir à la place de cette personne si on était elle" – un axiome qui, dans bien des cas, est vrai - ou alors on a le droit de faire subir à l’autre des choses pour son bien pour d’innombrables raisons justifiables en conscience : il n’y a que cette personne qui pourra faire cette chose, par exemple, de commencer au bas de l’échelle ou de faire de simples choses que soi-même on ne peut plus faire, car nos compétences permettent de se consacrer à des choses plus complexes, alors que les choses en question à faire sont à faire par des personnes qui n’ont pas encore acquis toutes nos compétences et c’est pourquoi il faut veiller à laisser ces choses à faire à ces personnes qui ont si peu de compétences, ces choses étant pour elles car sinon c’est leur voler leur gagne-pain, mais j’ai remarqué qu’on a toujours envie de faire ces choses faciles à faire et qui n’ont même pas exigé le jardin d’enfant ou seulement des petits apprentissages de rien du tout, mais aussi que pour trouver une personne qui veuille bien les faire à notre place cela prend du temps et que c’est du temps perdu pour nous qui savons qu’on pourrait faire la chose très facilement. Par conséquent on accepte d’avoir à former des personnes que parce qu’on pourra compter sur elles pour faire ces choses qu’on ne peut plus faire. Aussi cela va être un travail de trouver une personne capable pour la tâche en question et qui accepte de jouer le jeu, puisque nous devons prendre du temps pour nous consacrer à la place de cette personne et en réalité pour cette personne – une aide ménagère ou n’importe lequel des métiers manuels – aux tâches que nous sommes seuls à pouvoir résoudre ou alors avec nos semblables – mais pour ce qui est du métier de véritable artiste – pas un faux, un vrai – mais on commence parfois comme un faux avant d’en devenir un vrai – ce qui peut venir que trente ans après ou même jamais – il n’y a que l’artiste qui sache exactement – personne ne peut décider à sa place, bien qu’il puisse prendre des conseils ou que des échanges puissent avoir lieu avec de nombreuses personnes différentes avant de le déterminer. Et celui-ci a souvent besoin des compétences de nombreuses personnes à rassembler autour de lui et de son projet. Par conséquent, quand on dirige un film, par exemple, on a besoin de toutes les personnes qui ont des activités utiles qu’on ne peut plus faire nous-mêmes, durant ce moment-là, mais il est parfois bon de connaître chacune de ces activités et de les avoir pratiquées à d’autres occasions. 

Quand on est devenu un amnésique et un à moitié crétin, comme surtout ce profane et cet athée, on ne sait pas si c'est certain que la jeune fille avec laquelle on vit ou avec laquelle on commence une histoire deviendra sa femme, c'est à dire capable d'être la mère de ses enfants - alors qu'on est parfois certains, par contre, d'autant qu'on vient de contextes religieux ou aristocratiques, que sa sœur et sa mère le soit bel et bien « mère » et « sœur ».

Michèle Finck n'a pas voulu ou n’a pas pu – objet de chantage qu’elle a été - peut-être sa famille par fidélité à l’empereur précédent mon père (adolph h.) - des empereurs qui se sont crus pouvoir devenir empereur sans connaître aucunement tout ce qu’il y a à connaître sur tout, avant de se permettre d’exercer ce métier et, dans leur état, cela signifie qu’ils se sont faits toujours avoir par tous les gens qui gravitaient autour d’eux, étant donné qu’ils n’étaient pas compétents pour discerner le vrai du faux. Par conséquent, il n’est pas étonnant que dans tous les milieux sensés et compétents véritablement, le mot d’empereur comme tous ses amis étaient synonymes de « réelle incompétence » bien que tous prétendaient le contraire, puisqu’il s’agissait pour chacune de ces personnes de personnes prisonnières de leur « égoïsme » et qui voulaient montrer qu’elles étaient compétentes et qui n’avaient qu’entre elles l’absolue certitude de faire parti des nuls et de tous ceux qui « font semblant », c'est-à-dire des imposteurs, des tricheurs, des usurpateurs et du corollaire, en en tirant même de la gloire entre eux et en croyant ainsi pouvoir servir d’exemple à suivre. Elles étaient pourtant capables d’en vouloir à ceux qui, n’appartenant pas à leurs amis, disaient qu’elles ne valaient pas tripette ou qui leur reprochaient d’être nuls ou quelque chose ou qui les grondaient, alors que ceux-ci leur faisaient à ce moment là, pour toujours, un don de l'équivalent de plusieurs milliards et plus encore de tonnes d’or valant en réalité des milliards et plus encore que tous les diamants les plus purs amoncelés dans tous les temps, au moment où il leur donnait un seul bon conseil[2] en les corrigeant d’une attitude néfaste (c’est ce qui arrivait dans les ateliers des peintres quand un assistant se montrait un jour suffisamment digne ou montrait qu’il avait fait des efforts au maître pendant des années, parfois vingt cinq ans, parfois plus encore : le maître donnait alors le conseil. Jamais avant car cela pourrait rendre fou la personne : il pourrait en mourir ou cela pourrait être une catastrophe dans tous les temps et c’est pourquoi espionner un maître quel qu’il soit c’est se condamner à mort, d’autant plus qu’on essaiera de le singer, sans avoir acquis les compétences que ce maître à acquis peut-être en ayant de très nombreuses difficultés, car un maître est un homme qui a la vérité, qui va émettre aussi des vérités relatives et non des mensonges puisque la vérité est contextuelle, liée à une chose précise, circonscrite dans le temps, et permet de résoudre un problème précis qui est souvent causé par un mensonge ou des gens menteurs et tricheurs, etc.).

Car en toute chose et pour toute chose il faut être digne de la savoir ou d’en prendre connaissance. Car sinon on se comporte hors-les-lois et cela dans un univers qui obéit, (pour celui qui est maître et qui est espionné en permanence y compris de l’intérieur), aux lois pour chacune des choses qui l’entourent. Ceux qui volent invisibles ont oublié que les autres sont différents et n’ont pas leur légèreté et qu’ils sont soumis aux lois de la pesanteur, du temps et de l’espace, comme à toutes celles apprises à l’école, mais aussi aux lois qui régissent la formation de la pensée, dans ce cadre précis qui nous est à tous imposé ainsi qu’à toutes les lois qui ont à voir avec la raison et les contraintes liées à son existence, dépourvue de cette possibilité de voler et de l’invisibilité – la condition d’existence ou de vie de ces personnes est donc celle de véritables saints, même s’ils n’ont d’aucune façon la vocation à cela et qu’ils ne croient pas même cela possible d’eux.

Après la Seconde Guerre Mondiale, il a été nécessaire de dénazifier et la Construction de l'Union Européenne s’est imposée à tous autrement que manu militari, d’autant que tous se sont dit, en découvrant plus que l’horreur, qu’il fallait créer une Europe plus lisible, pour les ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui s’était mis en tête de réaliser une Europe qui, en fait, existait depuis toujours, mais ils ont voulu réaliser celle-ci d’une façon déjà inconcevable pour l’époque (déjà très avancée techniquement et scientifiquement) : ils ont voulu la réaliser comme seuls les ignorants avaient autrefois réalisé des nations : en prenant par la force des territoires et en voulant imposer une culture et une langue de « dominateur »[3]. Ils ont donc voulu faire des conquêtes territoriales comme des barbares (au mauvais sens de ce mot) envahisseurs qui cherchent à imposer une langue et une culture. Ce qui s’était passé à l’époque romaine plusieurs siècles avant, mais à une époque qui n’avait pas d’automobile, de train, de camion, ni d’avion et par conséquent qui était une autre époque qui correspond à toutes celles qui sont venues après où certaines grandes nations ou cultures s’étant constituées comme celle de l’Angleterre ou de la France, comme des unions politiques, en raison d’alliances et de mariages, ont voulu, comme l’Espagne et le Portugal, faire des colonies, pour exporter ces cultures et agrandir des territoires comme apporter la civilisation des alternatives au plus loin, ce qui a permis à cette sorte de conquérants de découvrir qu’il y avait des empires en orient avec lesquels commercer. C’est ainsi que l’Europe existait bel et bien depuis longtemps mais n’était connue que de tous ceux qui s’étaient débarrassés de leur enfance, au sens où Saint-Paul raconte son expérience à ce sujet, puisqu’il y a « avant » et « après » qu’il ait été soigné, (une fois qu’il s’est débarrassé de son enfance) par le peuple hébreux[4] vers lequel on l’avait envoyé en soldat de l’empereur, pour faire un travail qui aurait été, du point de vue de ceux qui allaient en être victimes, de « persécuter », ce soldat obéissant aux ordres – alors qu’il faut toujours désobéir aux ordres injustes et que la conscience désapprouve ou qui ne sont pas acceptable par celle-ci[5] - sans savoir rien de précis à ce sujet, et il s’agissait de la nouvelle « secte » chrétienne qui entendait offrir la Connaissance juive – c'est-à-dire la possibilité d’arriver à tout comprendre, comme à se délivrer de son enfance et de tout ce qui est mensonge pour ne garder que la vérité ou les choses véritablement fondamentales comme principes, pour être des véritables êtres humains déjà au service de la génération suivante – en fait accès à la conscience, c'est-à-dire au savoir, à la justice, à la vérité, à la chronologie, au rapport de soi dans l’espace, etc. - à tous les peuples de la terre et pas seulement réservée aux fidèles de la religion hébraïque. La même chose se produisit après Saint-Paul avec Mahomet, plusieurs siècles plus tard, qui adapta la Bible et les Évangiles et s’inspira des textes de Saint-Paul pour écrire le Coran et fonder la religion musulmane.

Au XVIIème siècle, (mais déjà avant), l’Europe existait pour tous les souverains instruits de la région qui, parce qu’ils étaient les seuls à avoir pu disposer avec certaines personnes de l’instruction et de la connaissance des textes fondateurs (Bible, Evangiles, Coran et textes des religions orientales), parce qu’ils étaient les seuls à savoir compter et à être instruits dans la pluparts des sciences de l’époque, savaient que cette région appelée Europe était une réalité politique, économique, sociale et culturelle (etc.) et chacun savait qu’il devait gérer la partie qu’il avait eu en héritage : la superficie que des alliances ou des mariages avaient permis de constituer durant les siècles précédents. Comme c’était les mariages qui avaient permis de faire des duchés, des principautés, des royaumes ou des empires, chacun savait qu’il était plus ou moins cousin ou apparenté à ceux qui s’étaient chargés de gérer les autres régions. Aussi, il n’y avait plus que des guerres de principe ou de revendications d’héritages, pour faire valoir des droits sur des héritages de superficies à récupérer. Les souverains avaient appris à s’arranger entre eux, ce qui a permis aussi de faciliter, au moment de la constitution du réseau de chemin de fer, les unions politiques de l’Italie et de l’Allemagne, car sachant gérer une région, ils comprenaient l’intérêt de créer ces unions économiques, puisqu’en fait, à chaque fois, il s’agissait du même processus à mettre en œuvre, ce qui permettait aux marchandises d’être moins chères, en raisons de frontières qui disparaissaient, mais aussi de monnaies constituées, donc de naissance de marchés plus vastes, en commun. C’est pour cela, comme pour m’amener à écrire les différents textes en cours, que Dieu et le Grand Architecte de l’Univers ont souhaité, en 1965, quand je me suis « débarrassé de mon enfance » une première fois (ce qui, pour moi signifie plutôt à lire comme la nécessité de se débarrasser de son adolescence car, comme je le disais à ma mère, il s’agit plutôt de se débarrasser d’une maladie qui s’appelle l’enfant-gâté ou l'égoïste que certains attrapent dès la première enfance, à l’état de bébés, mais d’autres un peu plus tard ou même une fois adultes, ce qui fait qu’il y a des enfants qui se sont débarrassés de cette adolescence, qui vivent au milieu de ceux qui ont attrapé la maladie d’adolescence ou des adultes qui n’ont jamais pu, à cause de cela, devenir des vrais adultes, étant donné qu’ils ont toujours cette maladie d’adolescence en cours, y compris à l’âge de vieillard : ils n’ont été que prisonniers de cette maladie d’adolescence ou de l’enfant-gâté toute leur existence, ce qui fait que ceux qui s’en sont délivrés son rares. Saint-Paul appelle cela, à l’époque, « l’enfance », étant donné qu’il ne sait pas, à ce moment-là ce que j’ai compris, puisque j’ai pu le vérifier plusieurs fois, à plusieurs âges différents, en faisant comprendre comment on attrape cette maladie d’adolescence ou de l’enfant-gâté (en ayant simplement une amnésie sur l’un ou l’autre des paramètres essentiels qui permettent de tout évaluer dans le contexte précis qui est celui d’une situation bloquée par ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines, en raison du fait qu’ils sont devenus les adolescents en question appelés par saint-Paul « enfants » et qui, à cause de cela, ne peuvent plus évoluer ni se débarrasser de ces fonctionnements d’enfants-gâtés, comme réussir à comprendre tout ce qu’on comprend quand on s’est débarrassé de cette « enfance » au sens paulinien - par conséquent des préjugés, des vérités relatives qui ne sont plus justes dans un contexte différent, des mensonges, des calomnies, des approximations, pour trouver la vérité y compris avec une postulation ou une façon de se comporter qui est de celle universelle, non nuisible et enfin comprendre le sens de l’existence, comme la compréhension de tout ce qui nous entoure aussi comme une forme de poésie à l’état pure – même sans la vision d’Atlantide ou du Paradis - ou des éléments merveilleux sensés et signifiants comme tels, y compris représentables enfin et descriptibles avec des mots véritables qui peuvent être enfin pensés en vérité pour le Bien et l’Intérêt Général (Molière, Shakespeare, Da Ponte, Jules Verne, etc. ) – c’est ce que j’appelle ailleurs « l’ouverture de l’esprit » et on ne peut atteindre ce moment où on se débarrasse de son enfance d’enfant-gâté ou de son adolescence que seulement en ayant des travaux utiles à faire et des efforts physiques constants qui s’accompagneront de tentatives constantes d’honnêteté et de dire la vérité, en s’étant exclu les mauvaises fréquentations ou de celles de cette période de l’enfance ou de l’adolescence, au mauvais sens de ces mots, qui sont parfois celles de faux adultes (ou de personnes encore « enfant » ou adolescentes » ou faisant semblant d’être des adultes) et, en tout cas, de toutes celles de ceux qui ont voulu hériter de la vieille salle des machines – sous la contrainte, les menaces, à cause d’attitudes de maitre-chanteurs qui sont à proprement parlé celles des adolescents ou des enfants prisonniers de cette enfance dont parle Saint-Paul et qui est celles des enfants-gâtés – car en héritant de la vieille salle des machines, en tant que tels, en profanes, ils se sont condamnés à ne demeurer qu’inconscients des réalités et de ce à quoi chacune obéit en tant qu’éléments à mettre en place et à organiser - c'est-à-dire en devenant alors l’origine de toutes les ruines, les auteurs des différents déserts, des maladies, de la vieillesse et de tous les maux et malheurs des animaux, des végétaux et des êtres humains y compris des paysages, car ils sont « enfants » au mauvais sens de ce mot, ce qui leur a permis de croire possible se comporter malhonnêtement et mentir ou cacher des choses (ou même l’existence de la vieille salle des machines), ce qui a fait par le passé devenir « faune » ou même « satyre » y compris « centaure » (menteur, voyeur, espion, voyou, pleins de soupçons et d’incompréhension ou manque de respect pour tout ce qui est différent et à étudier en raison de cela - par conséquent, qu’on n’a pas le droit de tuer) et cela  tant qu’ils ne se sont pas mis en condition pour se débarrasser de leurs enfance (au mauvais sens de ce mot) respectives, devenus des menteurs et quoi qu’ils feront sera, tant qu’ils ne se seront pas débarrassés de cette enfance d’enfant-gâté ou de cette adolescence, de cet égoïsme, à l’origine de toutes les impostures, les usurpations, les faux mariages – pour couvrir et cacher ou se donner l’autorisation de faire ce dont ils ne sont pas encore dignes - ou à l’origine des erreurs et des catastrophes, à moins de faire ce que les autres, qui se sont débarrassés de leurs enfance et qui sont devenus plus conscients, leur conseillent et leur recommandent de faire, non pour eux qui se sont débarrassés de leurs enfance – bien qu’à première vue ce soit pour eux ou pour l’État ou pour une de leur entreprise y compris commerciale, mais pour qu’ils aient une chance, grâce à ces efforts ou ces peines ou ces travaux de se débarrasser, eux aussi, de leur adolescence ou de cette « enfance » d’enfant-gâté à la manière que saint-Paul décrit).

Or le manu militari ou la réalisation de l’Europe de cette façon militaire est en fait celle d’enfants ou d’adolescents qui ne voient pas clair et qui se comportent en ignorants, au mauvais sens de ce mot. C'est-à-dire qui vont réfléchir à partir des choses qu’ils apprennent à l’école en s’identifiant à des personnes légendaires à la façon d’enfants-gâtés qui veulent devenir des grandes figures ou prétendus grandes sans avoir réfléchi à ce qui peut être grand ou vraiment utile et ils cherchent à devenir de celles qui ont eu du pouvoir sans comprendre qu’il faut acquérir de véritables compétences au préalable avant de se permettre de devenir l’une de ces figures qui se sont révélées être souvent de fausses grandes figures pour lesquelles on a exalté de fausses valeurs (la valeur militaire de conquérants tricheurs ayant disposé de la salle des machines avec des militaires non pas utilisés en état de légitime défense de la vérité mais en conquérants au sens barbare – le mot au sens négatif – en prédateur, en offenseur, donc forcément contraire à l’Intérêt et au Bien Général [6], ce qui ne sera pas le cas, par exemple des armées en Chine, étant donné que celle-ci, dès l’enfance, vont savoir que leur pays n’ira jamais au-delà de la Grande Muraille – aussi il s’agit donc d’une armée qui n’est nullement une armée de conquête ou pour faire des conquête au-delà, mais bien pour assurer la légitime défense d’un empire devenu trop vaste et qui posait des problèmes à cause de cela, au point que, pour éviter l’entrée des barbares – au mauvais sens de ce mot – c'est-à-dire de ceux qui ne se comportent pas en respectant les bonnes lois justes anciennes qui permettent de vivre en société – il a fallu faire ces efforts considérables pour créer des points de passage et comme pour une ville du moyen-âge, Carcassonne en France, entourée de murs, créer des sortes d’octrois ou de points de douanes à toutes les portes en signalant ainsi que d’un côté il y a la civilisation au sens le plus élaboré et le plus estimable (écriture, culture, respect des différentes langues, cultures, ethnies et religions dans l’empire) et de l’autre il y a l’extérieur ou l’étranger ou ce qui est moins connu, en tout cas ce qui n’est pas administré de façon coutumière et civilisé, de façon adulte et délivré de l’enfant-gâté, c'est-à-dire de celui qui est capable d’envahir, de ne pas respecter un territoire ou le territoire d’une chambre ou d’une personne qui dort, pour lui faire de ces plaisanteries d’égoïste, d’adolescent ou de potache c'est-à-dire d’impoli ou de mal élevé, en tout cas d’incivilisé[7], donc de violeur, comme cela était le cas aux frontières de la Chine ancienne où des personnes s’infiltraient pour voler les femmes ou les filles des chinois et les emporter dans les territoires d’où ils venaient, ou bien s’installer, avec ce genre de pratiques de profanes, dans la société chinoise qui s’en était délivré et qui, soudain, avait devant eux, des personnes contraires à la notion de famille : des ignorants se conduisant comme des célibataires et des personnes inconscientes des risques qu’elles faisaient courir à la civilisation chinoise millénaire. Les causes ont été déterminées de ce qui menaçait la civilisation chinoise et toutes ses cultures : elles venaient de régions qui sauvages et incivilisées n’étaient plus soumises aux lois des villes et c’est par là qu’entraient tous ceux qui, d’une façon comparables, furent à l’origine de la fin de l’empire Romain, les barbares Wisigoths, Ostrogoth et autres, de l’époque des grandes invasions, bien avant le moyen-âge et la fin du premier millénaire ou les normands en France. En effet, ce qui manqua à l’empire Romain, bien qu’il y eu le mur d’Adrien en Angleterre, c’est un mur sur les frontières de l’Est de l’Europe, y compris ailleurs au Sud de l’empire Romain (mais ce mur existait d’une certaine façon en raison du désert). C’est ainsi que les personnes sans instruction, les ignorants, au mauvais sens de ce mot, comme au bon sens, les personnes très peu scolarisées, entrèrent dans l’empire romain et se conduisirent en barbare, au sens négatif de ce mot, c'est-à-dire avec insolence et irrespect[8] pour toutes les personnes qui, ayant bénéficié de l’instruction, étaient chargées d’administrer ou de défendre l’Empire comme de commercer. C’est aussi très grave quand cela se passe à l’intérieur, c'est-à-dire que le mal poli, l’incivilisé, celui qui ne respecte pas[9] les autres, les coutumes religieuses ou ceux qui se sont instruits est à l’intérieur de l’Empire ou d’un pays. L’ensemble des policiers, l’ensemble des armées ont donc alors un ennemi intérieur : c’est celui qui est l’enfant-gâté : celui qui ne s’est pas débarrassé de l’enfance qui prétend être un chef ou qui veut gouverner ou réaliser des choses sans avoir appris à être au bas de l’échelle d’abord et tout ce qu’il faut savoir pour se permettre de réaliser ses projets. Il veut ce pouvoir pour satisfaire son « égo », donc pour en profiter, en incivilisé ou en minable, comme seuls les mauvais dictateurs, les truands ou les médiocres l’ont toujours fait pour en profiter avec une bande de copains-voyous du même ordre qui veulent « avoir la vie de château » (être servi) en croyant que c’est cela « avoir du pouvoir », ce qui va les conforter dans leur rôle d’enfant-gâtés tricheurs qui ne veulent pas faire les efforts en commençant, s’ils n’ont pas de moyens, par exemple, par être livreur de pizza, ou porteur (s’il n’a pas fait d’études en vérité[10]), et qu’il a pourtant déjà, dès la naissance, à faire vis-à-vis de ses arrières-petits enfants, de même que de nombreux arrières grands-pères ont fait tous ces efforts pour nous tous, en s’étant débarrassés de cette enfance d’enfants-gâtés, avant de se marier et d’être dignes de leur anneau de mariage y compris de chacune des interactions entre les civilisations.

Ce sont donc tous les usurpateurs qui seront donc à cheval sur les règlements (car ils n’en savent pas les raisons) d’autant qu’ils ne sont jamais devenus des véritables artistes  (mais seulement des parodies d’artistes) qui veulent jouer un rôle en tant que faux-maire ou parodie d’administrateurs et qui sont en réalité toujours des enfants-gâtés et même des adolescents attardés : en tout cas des inconscients, par conséquent des dangers pour chacun des Etats, mais qui peuvent venir de l’intérieur même de l’Etat. Aussi tous les hommes et les femmes qui se sont débarrassés de leur enfance et de leur adolescence  (et certains ont pu s’en débarrasser, par exemple, à l’occasion de catastrophes comme les guerres ou d’autres catastrophes y compris personnelles – mort d’une personne de sa famille, difficultés matérielles, etc. - ) doivent, en permanence, demeurer vigilants car ces adolescents attardés ou ces enfants-gâtés co-existent avec leurs prétentions qui sont souvent celles de leurs parents ou de contextes familiaux ayant été de ceux de faussaires ou d’usurpateurs ou de tricheurs ou de personnes fausses exerçant des métiers appliquant des règles comme certains avocats sont capables de lire les lois et les règles sans en comprendre ni le sens, ni le bien fondé, ni tous les paramètres qui les ont faites apparaître inscrites et ce qu’elles induisent et qui se conduisent donc en menteurs ou en enfants-gâtés et adolescents à la différence des vrais enfants ou des adolescents qui se sont débarrassés de leur enfance comme les adultes parachevés aussi qui s’en sont débarrassés, par conséquent qui sont conscients, qui voient le monde justement et qui sont donc continuellement avec des problèmes très graves qui sont en général causés par des personnes qui ne veulent pas faire certaines choses qui sont pourtant à faire, ce qui pourraient même leur faire du bien d’autant que si on les fait justement précisément, elles peuvent contribuer à permettre finalement de se débarrasser de cet enfant-gâté en soi ou de son adolescence, ce qui permettra un jour ne plus avoir à faire ces choses simples car alors on est prêt pour faire des choses bien plus difficiles.

Comme personne n’a voulu faire ces choses de soi-même, alors il a fallu inventer l’argent et payer pour que ces choses soient faites, ce qui a beaucoup moins permis de se débarrasser de l’enfant-gâté en soi ou de l’adolescence, car comme on était payé, ce n’est pas par exigence personnelle et dans l’Intérêt ou pour le Bien Général qu’on a accepté de faire ces choses, mais encore une fois pour des raisons « d’égo » (car on voulait avoir de l’argent pour faire des économies et acheter des choses pour être content de les avoir – la civilisation de l’argent-facile rend beaucoup plus difficile qu’autrefois la possibilité de se débarrasser de son « égo ». Pourtant comme on a le sentiment souvent de ne pas être payé assez pour ce qu’on fait – alors qu’en général tout est, à ce sujet calculé exactement ou le plus honnêtement possible pour que la valeur de l’argent puisse continuer à avoir du pouvoir d’achat, mais aussi en fonction de nombreux autres paramètres – on va un peu gagner pour se débarrasser de cette enfant-gâté ou adolescence dans la mesure où on sera dans une situation injuste et qu’on aura à faire beaucoup d’efforts contre ce qu’on juge alors « pas assez ». C’est qu’on exige ces efforts à faire à des personnes devenues ignorantes, au mauvais sens de ce mot, car les autres qui vont être celles qui savent ce qu’il y a à faire pour en avoir conscience en vérité, se sont débarrassées de l’enfance et de l’adolescence y compris de leur « égo », au point qu’il y a eu ceux qui ont même pu vérifier qu’ils ont bien accédé à « l’ouverture de leur esprit » et c’est en général après qu’ils décident d’être baptisés dans la religion chrétienne car ils comprennent, en Occident, que sans ce Dieu Jésus et Saint-Paul qui a dit vrai (comme les Évangélistes et d'autres saints) mais aussi grâce à la religion d’avant, c'est-à-dire celle juive, ils seraient restés des ignorants, au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire des profanes, des enfants-gâtés, des sacrilèges, des inconscients, des athées, et/ou seulement des laïques, ce que les autres sont aussi à certains moments, mais comme à d’autres, ils ont pu devenir des initiés et s’ouvrir aux différentes religions et qu’ils ont bénéficié de l’ouverture de leur esprit, ils sont devenus patients, car ils mesurent que leur vie n’a plus de sens que seulement parce qu’ils vont permettre à d’autres de connaître cela, à leur tour, et bien sûr ils savent alors qu’ils sont capables d’être excellents dans tous les métiers car chacun d’entre eux obéit à la vérité qui est ontologiquement, consubstantiellement, intrinsèquement et fondamentalement liée à l’ouverture de l’esprit et à ce moment où on s’est débarrassé de cette prime-enfance et de son adolescence, au mauvais sens de ces mots, même si celle-ci a continué durant les âges considérés normalement comme « adulte » (au-delà des dix huit ans réglementaires ou vingt et un ou plus ou moins suivant les régions – mais il y a le cas d’enfant qui, comme moi, à deux ans et demi – comme il y en a peut-être de plus jeunes encore – qui ont bien plus que vingt et un ans - en 1965 - et cela a été tellement vrai que tous s’en sont rendus compte puisque je suis apparu d’avance, avant d’y être, avec la somme de l'âge de tous, en remontant les temps futurs jusqu’en 2005, à l’âge de quarante deux ans, car, en fait, j’aurais à découvrir que je m’y étais encore une fois débarrassé de mon enfance et de mon adolescence, au mauvais sens de ces deux mots, donc de mon « égo », comme en 1975, où, à cause de cela, puisqu’enfin tous comprenaient que j’étais au service de tous, j’avais eu à faire un sacrifice canonique en raison de mon anneau immaculé de mariage en me séparant de ma promise légitime (bien qu’empereur) pour de multiples raisons que nous évoquerons ultérieurement – donc pour tous, et appartenant à la catégorie des sacrifices qui sont faits par les personnes qui se sont débarrassées de leur enfance et de leur adolescence, au mauvais sens de ces mots, pour le Bien et l’Intérêt Général de tous, puisque j’avais pu montrer comment un enfant amnésique redevient un profane et même capable de faire semblant (à moitié) de faire sa Première Communion, car il est devenu un à moitié pécheur (à certains moments). C’est ce qui s’est passé de nouveau par la suite puisque l’Ensemble a voulu que je fasse ce même sacrifice de nouveau, comme en 1965, alors que l’Ensemble devait le refuser et c’est ainsi que j’ai eu une amnésie, après m’être séparé à la fin de l’année scolaire de ma promise légitime, Christine…Lang, et une autre amnésie à partir d’août-septembre 1977 et c’est ainsi, que sans le savoir, dans cet état et sans plus me souvenir de ce qui s’était passé d’extraordinaire dans le ciel de 1975, j’ai commencé à aller comme quelqu’un qui risquait de devenir aveugle (ne plus avoir la vérité, se perdre) vers Michèle Finck, canoniquement, en raison de ce que je saurais d’elle dans le futur[11] et de ce qui allait se passer dans sa vie et de ce que tous pourraient comprendre si Michèle se conduisait de la manière selon laquelle il était donc prévu qu’elle allait se conduire mais aussi Christine…Lang comme tout le monde, puisque la situation allait être constatée  par mes soins bloquée dès le moment où, en 1965, je me suis débarrassé de ma prime-enfance et de mon adolescence, comme de mon « égo » vers l’âge de deux ans, mais en ayant d’un coup à faire cette remontée dans le temps futur puisque je découvrais que j’étais pharaon (en 2005 – mais déjà en 1965) et que personne ne me rendait la vieille salle des machines qui était à moi de droit pharaonique.

Mais j’ai eu à connaître une nouvelle « enfance et une nouvelle adolescence » dès l’amnésie de 1972 à 1975 aussi mon « égo » s’est aussitôt reformé avec l’ensemble des problèmes et des mensonges qu’on se permet alors à soi-même et qu’on s’autorise de penser vis-à-vis des autres, en commençant à confondre et à ne plus se conduire bien (mais j’allais découvrir vers 2005 que j’avais prévenu mes parents). Mais comme j’ai recommencé à penser à partir du moment où ma chienne a volé le Caprice des Dieux dont je parle ailleurs plus en détail, ce qui m’a permis de comprendre que si je continuai j’allais régresser et faire une « involution » au point de devenir un chien ou un chat et comme j’ai compris alors que je bénéficiai, en raison de ma scolarité, du fait que j’étais un être humain et pas un animal, j’ai alors choisi de m’intéresser de nouveau aux religions (de plus j’étais bien placé en étant à Rome et si j’avais fait en parti semblant de faire ma Première Communion pour recevoir une montre en or de famille (et pas pour des raisons religieuses seulement), comme je me suis mis alors à penser vraiment, j’ai fini par vouloir faire ensuite ma Confirmation en vérité – pas à moitié, mais en comprenant, sans pour autant vouloir devenir prêtre, car j’espérais trouver un jour ma femme -  et bizarrement alors que cette Confirmation devait avoir lieu à Saint-Louis-des-Français, elle a eu lieu - au dernier moment - la décision ayant été prise le matin même – j’ai su cela après - dans l’Église du Panthéon[12] de Rome, mon frère aîné m’ayant fait la surprise d’arriver le matin-même de Paris - où il faisait des études d’architecture et de dessin - par le train Palatino, pour être mon parrain et poser sa main sur mon épaule, au cours de la messe (cela a beaucoup signifié pour moi et je me suis aperçu alors que mes parents avait fait des économies pour payer tout cela, mais au moins je n’avais pas fait cette Communion Solennelle en à moitié tricheur, donc en voleur ou en à moitié imposteur, comme la précédente, et même j’ai commencé à mieux comprendre le problème général, puisque je m’étais, avant de la faire, de nouveau débarrassé de mon enfance et de mon adolescence y compris de mon « égo », bien que j’avais été tenté, au cours de la nuit de retraite à la Trinité-aux-monts de « faire la foire » avec les autres futurs communiants qui s’étaient réunis avec ce dessein dans une des cellules et comme j’ai pensé que Jésus avait souffert beaucoup et que j’avais pu dernièrement me délivrer de mon « égo » d’enfant-gâté, comme de mes mauvaises pensées et de mon adolescence[13], j’ai alors renoncé à aller jouer avec mes camarades et j’ai préféré aller dormir sagement dans ma cellule, alors qu’ils s’amusaient dans une autre – mais je n’avais pas non plus de vocation religieuse pour autant puisque je ne faisais cela que pour me conserver pour ma femme, mais il y avait de quoi se sentir, à cause de cela, un peu puni (bien qu’il n’y avait pas de moment plus beau existant pour moi que de penser qu’un jour je pourrais la connaître) et comme je ne voulais pas être infidèle à ma future femme que je savais chercher, j’ai trouvé facile d’aller me coucher plutôt que de veiller en faisant des âneries avec ces autres camarades de mon âge - et c’est pourquoi peu de temps après, dans la cours de récréation du lycée Chateaubriand de Rome, alors que je tombais amoureux les jours précédents, en ayant, à chaque fois, des intentions de mariage, mais à chaque fois le cœur brisé, car il s’agissait de jeunes filles volages et devenues inconscientes des difficultés matérielles à devoir surmonter avant de se marier, donc de la nécessité de poursuivre nos formations scolaires le mieux du monde pour être dignes de se préparer à recevoir nos enfants, il y a eu celle dont j’ai su qu’elle s’appelait Christine qui est arrivé vers moi comme si s’était ma sœur pour m’embrasser et qui m’a fait comprendre (alors que je ne savais pas encore du tout qu’elle était baronne de quoi que ce soit), qu’elle était ma femme – je sais qu’elle a fini par me dire une chose de ce genre, mais Dieu, comme le GAU ont pu vérifier qu’en 2005, quand Christine m’a écrit un message Internet avec un pseudonyme pour me dire qu’elle était mariée – ce qui m’a sur le moment fait plaisir pour elle - que je n’en savais rien. C’est alors que peu après, dans le ciel, une immensité monstrueuse est apparue faite de nuages et de ciel et c’était un pharaon qui parlait impérialement sur notre époque d’avril 1975, mais nous devions découvrir avec Christine et mes camarades de classe que c’était en fait une projection de moi d'avance dans le futur et elle nous contraignait, Christine et moi, à nous embrasser, mais à nous séparer de nouveau – car, j’ai su trente ans après, qu’elle venait d’apprendre, en 2005, par Dieu, que Christine et moi étions en train de le voir dans le ciel – il (moi, donc) nous obligea à faire ce sacrifice – mais il s’exprimait en multi catégories donc en « test » aussi (ce que je compris en 5 sur 5 avec lui – mais le problème : c’est que moi seul), mais aussi en multi dimensions et il était aussi comme en ce moment je suis en rédigeant ce texte, en multi factoriel et multi paramètres comme aussi en multi catégorie et multi-dimensions  - et c’est là  que j’ai finalement compris, vers 1977, que ce sacrifice avait eu lieu une première fois en 1965. Aussi nous avons compris Christine et moi que non seulement nous étions promis l’un à l’autre, mais que tout cela était lié aux répercussions de la Seconde Guerre Mondiale. Du futur, celui qui apparaissait organisait ce qui allait venir (car sinon il ne serait pas là et il y était en état de légitime défense pour l’Empire puisqu’il était pharaon - il était impérial au point que je ne pouvais qu’obéir (il avait certainement de bonnes raisons, si on me contraignait à ce sacrifice – ce qu’il ne fallait pas, puisqu’il s’agissait aussi d’un test, y compris sur l’ensemble des adultes des années en question qui entendaient et prenaient tout en note – Je finirai par comprendre ce qui s’était passé, mais il osa me briser le cœur en exigeant que Christine se marie, vers 2000 (pour sa sécurité), mais il n’a rien dit à ce sujet – là, j’ai failli mourir, mais là-bas en 1977. Mais comme il riait de tout et d’un rire qui faisait rire le monde entier, d’un vrai rire d’une joie que personne n’avait jamais connu – c’est qu’il était d’une tristesse que personne jamais pourra jamais consoler – et j’étais le seul à comprendre -  car il venait de tout comprendre progressivement, tous les jours, un peu plus. Il découvrait, en plus, que cela s’était déjà passé et que pour réussir tout cela, il avait dû créer les conditions (qu’il me dictait) pour que, pour la troisième fois, il se débarrasse de son enfance d’enfant-gâté, de son adolescence, comme subisse de nouveau l’ouverture de son esprit et cela vers 2005 (pour sauver la planète en 1965 et 1975), même s’il avait été considéré comme un adulte, sur le plan légal, depuis qu’il avait eu 18 ans comme tous les français – or il avait là-bas 42 ans – tout cela résultait du fait qu’il s’était, néanmoins, sans tricher, préparé à son mariage, de nouveau – ce qui pourrait servir par la suite – mais sans savoir qu’il s’était déjà préparé à cela dans le passé (en 1965) et qu’il avait été contraint de renoncer à se marier et à cause de cela d’avoir été contraint de sacrifier ces mariages, l’un  à l’âge de deux ans et demi, comme de nouveau l’autre à l’âge de douze, en avril 1975 – ce qu’il venait d’exiger de nous - car cela allait encore venir après avril 2005 (et j’allais seulement le découvrir, ce qui me redonnerait la mémoire car ce qui s’était passé à partir de 1965 et 1975 allait se révéler de nouveau à moi à partir de 2005) et, comme je l’ai dit, il intervenait d’abord pour me permettre d’embrasser Christine, y compris lui demander de m’embrasser dans des lieux de son (mon) corps précis, car ce qui l’attendait dans les années à venir, canoniquement amnésique, pourrait être dangereux et il fallait qu’il soit protégé par sa dame comme Ulysse partant pour Troie[14] qui aurait à revenir un jour à Ithaque, même en aillant eu un certain nombre de problèmes ou en ayant « connu » d’autres femmes[15]. On découvrait alors qu’il avait eu une amnésie qu’il a découverte canonique étant donné que Dieu (ou une personne se prétendant Dieu), lui est apparu en avril 2005 pour lui rappeler Christine et donc il a compris qu’il devait intervenir dans le passé parce qu’il se souvenait soudain que cela s’était passé ainsi et que c’était ainsi qu’il avait sauvé la situation après la Seconde Guerre Mondiale à partir de 1965 et qu’il avait assisté à cela lui-même avec Christine qui l’embrassait dans ses oreilles ou même dans sa bouche ou même ailleurs, en découvrant soudain que c’est lui-même qui avait ordonné cela du ciel car il n’y avait aucune honte à cela puisqu’il s’agissait de sa promise retrouvée. J’ai trouvé très naturel et normal tout cela à l’âge de douze ans, mais je trouvais que cela était finalement d’un « convenu » et d’un cliché très banal – rien d’exceptionnel non plus à ressentir – c’est que j’avais à porter en même temps, comme le Dieu de la mythologie lui-même, Chronos, tous les temps, tandis que Christine se chargeait de me protéger par ses baisers de toutes les fausses femmes dans tous les temps que j’aurais sur ma route. Mais nous avions à accomplir ce sacrifice pour Michèle qui n’avait pas voulu renoncer à son rôle d’impératrice pour elle, sa cadette Christine. Donc compte tenu de cela, j’allais être contraint à devenir un profane toutes les années où j’allais devoir vivre avec Michèle qui allait donc forcément se comporter en profane car elle m’avait caché ce qu’elle aurait eu la possibilité, à plusieurs reprises, de me dire, en rappelant le sacrifice qui avait été fait pour elle, en raison de la fin de la Seconde Guerre Mondiale et cela, notemment encore, à l’occasion des diverses rencontres avec Christine, à partir de l’an 2000 où tous avaient pu constater, y compris Christine, que je ne savais nullement ce qui s’était passé à partir de 1975, si ce n’est que j’avais gardé un seul souvenir d’avec Christine dans cette jeunesse : d’un gland de chêne qu’on avait regardé ensemble dans la cour de récréation de notre école dans la villa Strohl Fern, un mécène alsacien : une partie de la Villa Borghèse de Rome qui est consacrée, en raison du don à l’Etat français par cette personne de cette minuscule partie du parc, à des fins de pédagogie, ou pour l’instruction publique des enfants à la culture française et aux langues comme aux arts et sciences de l’art, les autres souvenirs ne m’étant revenus qu’en raison d’une auto-psychanalyse (et à laquelle je suis rivée en permanence) que j’ai eu à faire à partir de 2005 en même temps que la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale de 2005 à 2012, pour commencer à me remettre de ces 27 années d’amnésie m’ayant conduit progressivement, à partir de septembre 1977, de déboires sentimentaux en déboires sentimentaux à devenir ce profane et cet ignorant, au mauvais sens de ce mot, jusqu’à Michèle Finck que je ne pourrais aimer qu’à cause de cela. En effet je ne pourrais pas apparaître autrement que profane à Michèle Finck parce qu'en 1977 elle a refusé que j'épouse plusieurs femmes, ce qui m'a contraint à perdre les enfants que j'attendais en Immaculée Conception d'avec Christine et à me séparer d'elle ne pouvant pas refuser ce que du ciel j'ai proposé car visiblement il faudrait que j'ai une relation sentimentale avec Michèle pour rendre réitérables en chair et en os ces communications (transmissions) à travers Espace et Temps possibles le jour venu comme elles ont eu lieu à l'état de réalité virtuelle une première fois en 1965 quarante années avant qu'elles aient lieu, une seconde fois, dès 1975 trente années avant. En 1995 au moment où l’Ensemble a voulu me faire empereur j’ai pu découvrir que j’étais dans le sarcophage des empereurs à la suite de mon père qui se trouvait bizarrement dans ce sarcophage, ce qui m’a rappelé qu’effectivement enfant, à la suite d’une chose dont je ne me souvenais pas, nous avions, mon père et moi, été conduit dans ce lieu où je me retrouvais empereur (satan). Je n’ai compris une fois devenu bouddha en 2005-2006 que j’étais contraint de mettre en scène cela dans le passé, car sinon, je ne serais pas là à pouvoir sauver la planète dès 1965 et à l’ordonner à mon père y compris à moi-même. Il y avait eu néanmoins l’intervention du Grand Architecte de l’Univers, en 1995, et c’est pourquoi, comme j’ai promis une chose précise à cette notion que je n’ai pas même osé regardé debout, ma face de profane tournée vers le sol comme un musulman profane en prière, je me suis retrouvé à la suite de mon père et des deux empereurs le précédent, en ayant cependant vu un instant le Paradis et Atlantide apparaître sur tous les murs uniformément de la même teinte – ce qui m’a permis de déduire, à partir d’avril 2005, seulement, qu’il y avait un variateur de la vision du Paradis ou d’Atlantide de caché quelque part (une salle des machines) – et je me suis retrouvé empereur dans ce sarcophage invisible à l’œil nu – il est dans une autre dimension que les personnes qui se sont occupées de moi se sont arrangées à me faire atteindre pour que je me sache faire un seul avec l’ensemble des empereurs me précédent – mais j’y étais à ce moment-là en tant qu’amnésique, qu’enfant et adolescent (enfant-gâté, égoïste) au mauvais sens de ce mot y compris en tant que profane donc ne m’étant pas encore débarrassé de l’enfant-gâté en moi ni de mon « égo » ni n’ayant pas eu encore le moment crucial de l’ouverture de mon esprit (en bouddha) et bien sûr sans me souvenir jamais l’avoir eu ou seulement connu autrefois – donc en tant  que véritable profane et en découvrant, au moment où j’écris ce texte, que c’est dans ces conditions là de profanes que certainement les empereurs me précédent furent faits empereurs (à l’exception de mon père), à d’autres époques dans un monde dans lequel les religions avaient su créer cependant le sentiment religieux et le sentiment du sacré, même en l’absence de la vision du Paradis et d’Atlantide (en attestait les millions de chefs-d’œuvres de toutes sortes) et si cela avait été le cas c’est parce que chacune de ces religions avait créé (pour ceux qui n’allaient pas être les prisonniers de la vieille salle des machines) des personnes qui se sont, à chaque fois, partout, débarrassées de leur enfance d’enfant-gâtés et de leur adolescence (de leur égo) au point d’arriver jusqu’au moment de l’ouverture de leur esprit (ce que je n’ai pu connaître que vers 2000-2005 par à coup et en ayant l’impression de grandir de nouveau) et c’est pourquoi ces personnes vivaient dans un monde à part, qui est celui des véritables études, des véritables connaissances et de la conscience à cause de cela chacune en ayant conscience des différentes dimensions y compris, en raison de cela, elles avaient été capables de dessiner et de représenter comme de fabriquer les plans et des maquettes et toutes les inventions et tout cela inclus dans une notion du temps et de la chronologie.

C’est dans ce sarcophage que j’avais été contraint, en fait, de conduire mon père en 1976 qui m’y précédait chronologiquement quand, en 2006 (1976) je l’avais contraint du futur (alors seulement virtuel) à prendre la suite d’adolph hitler, car cela s’était passé ainsi après la Seconde Guerre Mondiale, en ayant à me contraindre moi-même, à cause de cela, à ce sacrifice et à me séparer de ma femme promise et légitime Christine, étant donné Michèle Finck, dont je comprends aujourd’hui qu’elle ait été un problème puisqu'en partie profane et issue d’un contexte familiale de personnes qui probablement ne se sont pas débarrassées toutes – ou du moins seulement quelques unes - de leur enfance et de leur adolescence et qui n’ont pas pu, à cause de cela, bénéficier de ce moment appelé « l’ouverture de l’esprit ».

J’avais pu le vérifier et montrer qu’il suffit d’avoir une amnésie importante pour commencer à faire des choses déconseillées dans l’éducation des enfants par les diverses religions, ce qui les fait alors devenir profanes, voire sans esprit ou même à cause de cela les mène à perdre la conscience, leur esprit se refermant au point de perdre une à une toutes ses capacités d’entendement, de raisonnement juste à l’Ecole, ou à l’Université, en perdant aussi les possibilités de dessiner justement en vérité, donc de représenter ainsi et cela ne leur permet pas non plus de jouer en comprenant exactement tous les rôles de comédie ou de tragédie comme toutes les autres possibilités qui permettent normalement d’être capables aussi d’être metteur en scène, y compris d’exceller dans toutes les formes différentes des sciences de l’art, l’esprit ayant disparu, le cerveau commençant à cause de ce rétrécissement une régression ou une sorte d’involution (comme une atrophie donc) au point que les personnes préfèrent demeurer prisonnières de cette « enfance » ou « adolescence » (au sens négatif de ce mot : « cesse de faire l’enfant ») ou de l’enfant-gâté avec toutes les inepties corollaires et tous les insalubrités comme toutes les formes d’égoïsmes – insolences et autres impolitesses d’enfant-gâtés, malveillance, mauvaises pensées, impolitesses y compris violences verbales, médiocrités intellectuelles d’ignorants peu instruits jouant les raisonneurs conduisant toujours ces personnes à être finalement de mauvaise foi face aux autres, au moment où elles ont peur ou qu’elles savent devoir cacher des choses qu’elles se sont permises de faire, malgré tous les conseils que les représentants des religions, à travers les siècles en raison de leurs textes et de l’exemplarité de la vie de ceux-ci durant leurs existences respectives ont donné comme mode de vie à suivre en étant au service chacune de ces religions indispensables ayant apporté un certain nombre de ces conseils destinés aux parents et qui bien qu’ils servent des religions qui sont en partie des vérités relatives et non des vérités, à distinguer, par conséquent, sont indispensables. Le degré initiatique des personnes recevant ces conseils va permettre de discerner entre les vérités relatives et la vérité pour élever les enfants et ces conseils sont soumis à des interprétations qui doivent être mises-à-jour. Sinon cela risque de devenir des préjugés, des habitudes dont on ne sait plus la raison d’être - des changements sont donc possibles au cas par cas et c’est pourquoi l’intolérance religieuse comme le fanatisme dans l’exacte soumission aux règles à suivre (la contrainte de se conformer aux règlements est une des pires menaces qui pèsent sur l’homme civilisé y compris le profane). C’est une chose inacceptable et dont il faut se tenir loin bien que ces habitudes soient aussi à voir comme une discipline nécessaire, à certains moments, suivant les personnes. Mais il faut avoir à l’esprit que chacun étant différent, chacune des religions qui sont chacune un moyen pour atteindre la vérité soi-même à partir de vérités et de vérités relatives ou de vérités appartenant à d’autres catégories se doit de comprendre, par exemple, que celui qui est sacrilège ou profane ne le sait souvent plus sur le moment et se comporte donc naturellement en athée ou en laïque car il a subi, à un moment donné, la fermeture de son esprit et ne s’en souvient plus, car cela se produit automatiquement en fonction des pensées qu’on va croire pouvoir s’autoriser, y compris des actions ou des comportements de laïques ou d’athées ou de profanes et de sacrilèges, en fait tous les comportements inconscients des ignorants, au mauvais sens de ce mots qui ont des mauvaises fréquentations – ces comportements parfois même bêtes et/ou méchants – en raison de l’amnésie. Cela contraste donc naturellement avec ces personnes religieuses ou appartenant à ces religions ou ayant eu accès à « l’ouverture de leur esprit » donc à la possibilité de s’intéresser à toutes les catégories avec du bon sens, grâce à toutes les techniques de communication de notre époque qui doivent veiller à demeurer cohérentes avec les divers progrès que ceux qui sont encore sans religion distincte ont fait grâce à des Etats s’étant affranchi des religions (séparation de l’Eglise et de l’Etat) tout en ayant finalement gardé l’esprit de justice avec la laïcité ou au sein de ces Etats comme à interpréter les anciens conseils des religions pour les adapter à cet état d’esprit à notre époque, tout en ayant conscience qu’il y a les autres religions qui d’une certaine manière, de ce point de vue, pèchent chacune par rapport aux autres car elles comportent de ces vérités relatives liées à chacune d’entre elle (spécifiques) qui sont donc ces éléments de coutumes ou de traditions très particulières y compris ces rituels qui n’ont en fait, comme objectif, que de permettre de rassembler, de rendre « un » ou de relier les personnes entre elles autour de valeurs ou d’une vérité pour l’offrir à partager avec les personnes voulant y adhérer (comprendre enfin) et appartenir à ces religions avec la possibilité, un jour, de se libérer chacun, grâce à l’engagement pris par chacun dans son travail dans le monde civil, de la partie de chacun d’entre eux appartenant à cette état de régression involutive animale, en fait enfantine, adolescente, au mauvais sens de ces mots, c'est-à-dire d’enfants capricieux et/ou d’enfants-gâtés capables de manquer de respect vis-à-vis de personnes différentes d’elles puisqu’elles ne le sont plus et concernées, à cause de cela, par les affaires de la cité ou plus spécialement par des croyances communes fondées sur des vérités d’intérêt et de bien général induisant enfin des comportements positifs délivrés de l’enfant-gâté, donc véritablement adulte pour vivre en bonne harmonie et en société tous ensemble, donc aussi en sachant qu’il y aura à côtoyer des êtres encore sacrilèges et profanes vis-à-vis de choses importantes pour tous, ou qui se conduisent ainsi envers les animaux ou les plantes ou vers les êtres humains avec des actes dont il serait préférable pour eux d’avoir conscience afin de se rendre capables de comprendre qu’ils sont même différents des êtres précieux comme ces personnes religieuses d’autant plus qu’animées par la foi de leurs ancêtres et de leurs morts en raison aussi de chacune des œuvres qui nous ont été laissée en témoignage partout de l’existence de ces forces de l’esprit y compris de sciences. Il faut donc distinguer mode de vie proposé par les religions avec l’histoire de la religion comme avec les devoirs des religieux, comme avec un grand nombre de paramètres qui sont reliés à ces notions de religion à distinguer de ce qui est véritablement sacré et si on considère le monde entier comme une représentation du sacré ou des mathématiques, on aura alors une approche de chacune des matières à distinguer en comprenant enfin, de façon intime, les raisons et l’usage éthique y compris pour quelles raisons on a le droit. C'est-à-dire face à ce sacré agir avec bon sens et discernement. Mais pour le profane qui ne discerne pas et pour qui il n’y a pas de vérité – puisqu’il est dans la logique de l’absence de logique souvent - rien n’est sacré : il fait semblant et il n’a conscience de ce mot de « sacré » que pour jouer avec et donc pour se permettre de mentir en usurpateur, imposteur, tricheur, etc. avec ce mot, étant donné que c’est pour en tirer un profit égoïste y compris pour se permettre d’être sacrilège et de se moquer de tous ceux qui ont véritablement ce sens là ou qui éprouve pour des mots plus de respect que lui qui ne sait pas qu’ils sont vrais multi dimensionnellement, multi catégoriellement, et qu’ils sont vrais pour toutes les personnes qui ont pu bénéficier de cette ouverture de l’esprit comme de la fin de leur enfance et de leur adolescence ou de l’enfant-gâté en eux (ce qui leur permet enfin de discerner), donc que chaque mot a un sens précis et ne doit être pensé qu’avec bon sens et pour des fins précises d’Intérêt et de Bien Général (ce qui a expliqué l’emploi de la censure car ces mots provenant tous de l’esprit : ils ne devraient pas servir comme d’autres outils à faire le mal). C’est pourquoi les noms des fondateurs des religions sont donc des noms sacrés ou ceux qui, à la suite des précédents, par fidélité, et parce qu’ils ont découvert effectivement que ceux-ci avaient eu raison, ont consolidé en confirmant parfois même au péril de leur vie, comme en la donnant, que ces religions étaient véritables, qu’elles valaient la peine même de mourir pour elles, puisqu’elles proposaient, en fait, comme objectif la véritable Connaissance, la fin de l’enfance, de l’adolescence, au mauvais sens de ces mots comme de l’enfant-gâté sourd aux véritables bonnes choses pour l'esprit – ce qui fera, en général, tous ces faux soldats de l’Histoire capables d’obéir aux ordres auquel la conscience se doit toujours de désobéir - comme qui ne seront capables que de se conduire en animaux et non en roseau ou chêne pensant pour éviter de retrouver, en chacun, l’être humain au sens véritable, délivré de cet « égo » demeurant dévastateur et contraire au service du Bien et de l’Intérêt Général localement ou même de façon plus ouverte et plus ample).  

J’ai été contraint en 2005 car en 1975 on me voyait et m'entendait dans le ciel, en raison de cet anneau de mariage, d’exiger qu’une vieille personne, adolph hitler, ayant été la cause de bien des malheurs, qu’il se soumette à mon père l’empereur suivant, lui-même soumis à ma volonté du futur – tout ce qui s’est passé est donc une très vieille histoire que nous redécouvrons – d’autant plus – je l’ai dit plus haut - de mes proportions véritablement « pharaoniques » (dans le ciel je fais plusieurs kilomètres de haut et ma tête fait un diamètre de trois cent à cinq cent mètres alors que dans la réalité je mesure un mètre soixante quinze) visibles dans le ciel à partir de 1975 – 2005 - car cet empereur précédent mon père s’était conduit en fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) mais surtout – j’ai pu m’en assurer - en profane et en sacrilège – donc sans esprit de discernement et sans la connaissance du bien et du mal, ni de tous les savoir-faire pourtant indispensables pour traiter chacun des dossiers de l’empire au cas par cas, en maître compétent – en fait cet empereur s’est comporté en ayant des attitudes de primitifs violents qui n’a pas la foi dans la vérité du langage, car celui-ci lui servait parler subjectivement donc à mentir plutôt qu’à œuvrer pédagogiquement en penseur véritable ou homme de sciences objectif. Dans l’état dans lequel il était, il ne pouvait pas savoir que les mots servent à dire la vérité objective et qu’il existe un bon sens (il n’avait trouvé que celui des inscensés (incensé + insensé) qui ignorent honnêtement, à cause de cet état dans lequel ils sont, qu’il puisse y avoir l’existence de la vérité. Donc la plupart de ce qu’ils lisent est faux puisqu’ils savent qu’ils parlent en mentant[16]. Pire, ils sont capables de prendre la vérité pour le mensonge car ils manquent de discernement et ils ne comprennent pas dans laquelle des catégories l’autre s’exprime et c’est ainsi qu’ils ont été capables de croire que des canulars ou des anti-phrases qui circulent sont vrais[17]. Je l’ai vérifié sur moi-même toutes les années où j'étais devenu profane, ce qui m’a permis une fois délivré de cet état de protéger les pharaons précédents comme des handicapés du cerveau en les faisant bénéficier des lois de Dieu à ce sujet d’autant plus que je n’avais pas le choix, j’étais le pharaon suivant) dans la pédagogie en raison de la cohérence et dans les sciences exactes pour obtenir des résultats : si adolph hitler s’est comporté comme un assassin, c’est parce qu’il était un ignorant, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), et il a contraint tous ceux qui ne l’était plus à être en légitime défense d’autant que ses prétentions étaient alors inacceptables puisque malgré l’Histoire ayant abolit esclavage et le servage, elles continuaient à avoir des visées esclavagistes et non de celles qui ont comme objectif de délivrer ou d’affranchir chacun des individus de l’esclavage tel qu’il était encore pratiqué au XVIIème, XVIIIème siècle, donc de sa part préhistorique de profiteur, c’est à dire effectivement de cette façon que seuls les enfants-gâtés qui ont cru pouvoir profiter du travail des adultes et s’amuser prisonniers de leur égo malfaisant et jaloux, de cette part d’enfant-gâté qui ne leur permettra pas d’être de bons parents et qui, si elle était inadmissible en raison de la révolution industrielle est encore moins acceptable de nos jours, comme déjà au début de XXème siècle, en raison des considérables progrès techniques qui permettaient d’envisager de donner des travaux utiles à chacun, si chacun avait compris qu’il y a des compétences à acquérir pour exercer chaque métiers comme des salaires justes à déterminer pour chacun d’entre eux en fonction de paramètres divers que les hommes instruits connaissent et que le but du travail est précisément de parvenir à se délivrer de cet « égo », comme de cette enfance et adolescence ou de l’enfant-gâté, au mauvais sens de ces mots, ce qui fait forcément être alors des personnes au comportement de préhistoriques ou en tout cas pas très évoluées et n’ayant pas encore pu bénéficier de cette ouverture de l’esprit puisqu’elles sont devenues prisonnières d’un certain nombre de paramètres nuisibles pour elles comme pour l’Ensemble.

En 2005 (comme en 1965 et 1975) j’avais pu vérifier qu’adolph hitler ne s’était pas préparé, en vérité, à son anneau de mariage (peut-être à cause de son histoire personnelle) mais il a pu de loin, à partir de 1978 à 2005 – puisque Michèle n’a pas voulu interrompre le processus et permettre que j’épouse Christine – suivre les étapes une à une qui mènent quelqu’un de « devenu profane », sacrilège envers lui-même, égoïste etc. laïc, athée et ignorant, au mauvais sens de ce mot, à redevenir digne de se préparer de nouveau en vérité à son mariage impérial, par conséquent qui pourrait être célébrer dans un de ces édifices construits grâce aux sciences et qui est appelé « religieux » mais devant le Grand Architecte de l’Univers qui est quelque part dans la galaxie ou l’Univers.


Dieu m’a rappelé en 2005 un détail de mon passé et l’existence de ma première épouse Christine…Lang et après tout ce que j’avais eu déjà à traverser comme épreuves, il est normal que pendant deux secondes (qui furent longues) je ne me suis pas senti très bien car je me présentai pour me marier avec Michèle Finck et c’est à ce moment-là que j’ai compris que Michèle m’avait caché ce qu’elle aurait dû me dire depuis toujours d’autant plus que nous aurions dû nous présenter un jour dans un de ces lieux édifiés et consacrés à la religion et qui résultent chacun, très élégants, des sciences au service de ces idées d’architectures religieuses communes et fondatrices localement, sur Terre, des diverses civilisations de nos jours interconnectées grâce à ce que j’ai été contraint de mettre en chantier à cause de tout cela, à partir de 2005 avec effets rétroactifs, avec mon père pharaon (comme la construction d’Internet par exemple aussi) pour reconstruire le monde que la maladie de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, liée aux générations passées, c'est-à-dire aussi à l’état de profane, avait détruit et mené aux catastrophes historiques indélébiles qui sont à l’origine de trop nombreuses vraies larmes dans toutes les familles du monde entier depuis toujours.

Jusqu'en avril 2005, je ne savais pas être mon père ni adolph hitler ni napoléon premier (par conséquent des empereurs ayant un aspect d’eux, comme moi, profane et tout le corolaire) ni les précédents empereurs, jusqu’au premier d’entre eux, depuis 1995, bien que j’ai continué à me comporter en profane et sans savoir que par moments j’étais sacrilège, car j’avais eu cette amnésie et n’avais pas assisté encore à l’ouverture de mon esprit qui s’est produite mathématiquement en raison d’un certain nombre d’efforts j’ai fait, à la fois dans ma vie privée, mais aussi en tant qu’apprenti dans les diverses catégories de métiers explorées par mes soins et je ne savais pas que depuis 1977-78 mon esprit, à cause de l’amnésie canonique du sacrifice de ma séparation maçonnique d’avec Christine, s’était refermé au point d’être devenu parfois pareil à celui d’un animal ignorant, un égoïste, un enfant-gâté, un incivilisé, au mauvais sens de ces mots, bien que j’aime beaucoup les animaux pacifiques et inoffensifs et parfois aussi les mœurs d’incivilisés quand cela ne peut plus que se justifier en conscience et que de façon étrange ils auront comme dessein d’engendrer alors le contraire.

J'ai donc un peu retrouvé mon père à partir de 1995 dans le sarcophage des empereurs qui est à Rome dans une dimension invisible à l’hôpital San Giacomo non loin de la place du Peuple, ou d’un hôpital qui a été mis au nom d'un "saint quelconque" – j’ai su sur le moment[18] quand on m’y a transporté qu’il était au nom d’un saint et cela m’a rassuré - bien que je n’arrivais pas à comprendre ce qui s’était passé et pourquoi je me suis pris, à la suite de cela, plusieurs fois pour « la mort » ni pour quelle raison exacte j’avais pu voir Atlantide et le Paradis à un moment où j’ai pensé une chose qui était évidemment fausse[19] mais en y repensant, avec le recul, cette chose que j’ai pensé pourrait être partiellement vraie aujourd’hui[20], comme on peut d’une certaine façon la penser « à première vue » pour n’importe quel chien ou chat, qui se conduit bien dans la mesure où maintenant je sais que si napoléon premier comme adolph hitler se sont conduits comme ils l’ont fait c’est simplement parce qu’ils étaient devenus des enfants-gâtés, donc en adolescents, en ignorants, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), comme surtout en n’ayant pas pu bénéficier ni l’un ni l’autre de cette ouverture de leur esprit que les études qu’ils avaient faites auraient dû produire, s’ils ne s’étaient pas conduits en impatients ou en ne faisant que semblant de croire aux religions comme en ne comprenant pas tous ceux qui s’étaient délivrés de leur enfance et de leur adolescence, comme saint Paul qui avait dit vrai et qui sont affiliés à l’une ou l’autre des grandes religions, sans pour autant être des saints ou même des anges spécialement reconnus, mais en essayant, à certains moments de coller avec cette idée, quand à d’autres moments, ils représentent les autres mots et ils ont les capacités de ces autres mots y compris quand ils sont profanes, sacrilèges, laïques et athées ou ignorants, au bon comme au mauvais sens de ces mots, la venue de l’esprit des sciences n’étant pas forcément liée à la découverte de Dieu ou la fin de l’athéisme. On peut avoir de l’esprit et être un athée dans certains cas. Moi-même ne crois en Dieu qu’à de rares moments (quand il se montre intelligent – heureusement cela lui arrive ![21]) quand j’ai de nouveau réuni tous les paramètres qui me permettent d’avoir une idée précise de ce mot et ce n’est pas spécialement dans une église que cela advient, bien que parfois la très grande beauté de l’architecture puisse y contribuer. Aux autres instants, je suis autre chose et souvent même seulement la chose que je suis entrain de faire, dans laquelle je suis concentré et qui est aussi profane, peut-être même à mon insu sacrilège ou laïque ou celle d’un ignorant, au mauvais sens de ce mot, du point de vue de certains se réfléchissant eux-mêmes en ces catégories dans lesquelles ils me classent alors car comme j’opère dans toutes les catégories en même temps, peu importe comment on me voit ou comment on me classe – je n’oublie jamais que je peux être aussi de ce point de vue, un imbécile.

La mère de Michèle Finck a été contrainte, en raison de son contexte familiale de l'Après-Guerre de donner l’éducation qu’elle a donné à sa fille qui s’est retrouvée dans un état d'esprit comparable en 2005, mais qui a de nouveau changé, comme en 1965 et 1975, puisque Michèle et ses parents sont même allés en terre d'Israël pour y effectuer un voyage initiatique pour découvrir Jérusalem avec le grand écrivain Claude Vigée et peut-être alors Michèle s'est posée, à ces moments-là, des questions au sujet de Dieu, d'autant qu'elles, comme sa mère, n'ont peut-être pas envie de se réincarner, la prochaine fois, comme des cafards ou moins encore que cela, en puces - en ayant perdu tout le bénéfice du travail effectué dans leur vie d'être humain ayant, de plus, approché de près l'empereur (Nous) ayant eu l’honneur de sauver la situation plusieurs fois, en 1965, en 1975 et à partir de 2005, mais que ces deux femmes peut-être soumises à des chantages devaient gentiment séduire selon, à ce sujet, une vieille tradition impériale d’invétérés profanes qui a en réalité, en raison du caractère sacrilège, toujours été contraire au véritable Intérêt et Bien Général de l’empire et des empereurs car il a toujours été le fait de femmes profanes, pas assez instruites, égoïstes et désireuses d’avoir le pouvoir pour des raisons d’ordre uniquement sexuel et non pour faire le Bien (dans d’autres disciplines – elles sont pourtant innombrables et concernent tous les aspects de notre vie quotidienne), mais pour faire égoïstement un bien sans connaître l’ensemble des sciences qui permettent de faire vraiment le Bien Général, en s’étant délivrés d’abord de cette fille d’enfants-gâtés, grâce aux études ou au divers travaux, donc en s’étant délivrés de sa qualité de profane – une chose en réalité bien commune à beaucoup de gens – donc délivrés de son enfance et adolescence, au mauvais sens de ces mot et des divers préjugés corollaires, pour arriver enfin à connaître l’ouverture de son esprit et atteindre enfin la qualité d’homme et de femme véritablement conscients du bien et du mal, grâce à cela capables de discerner ce qui est bon de ce qui est mauvais y compris pour éduquer ses propres enfants justement et ne pas en faire des enfants gâtés. C’est ainsi que tous les empereurs ont été séduits. Tous, sauf mon père, car ma mère comme lui, durant la Seconde Guerre Mondiale, en raison de la gravité de la situation – ils y étaient jeunes - ont été contraints de se délivrer respectivement de leur enfance et adolescence et ont très certainement par chance pour tous pu assister à cette découverte de l’ouverture de leur esprit qui les a fait basculer dans le monde de la vérité en devenant des personnes conscientes qui se sont mariées alors, après guerre, dans l’Intérêt et pour le Bien Général en sachant à cause de tout cela élever leurs enfants car ils avaient conscience de ce qui était bon de ce qui ne l’était pas comme des paramètres qui pourraient faire de nous des enfants intelligents.

En ces époques lointaines d’avant mon père les empereurs sont prisonniers des vérités relatives de ces époques là et ne savent pas discerner de façon précise et exacte comme c’est le cas à notre époque que toutes les sciences et les compétences ont fait advenir ainsi que les savoir faire. Ils ne savent donc que ce qui est à l’époque su ou qu’ils ont appris dans les livres ou qu’ils ont pu espionner y compris concernant ces personnes appartenant aux diverses religions qui sont si mystérieuses ont raison de se méfier des profanes puisqu’ils sont la cause même de toutes les ruines ou des malheurs en ce monde. Certainement, ils ne savent rien de ce qu'est la Vérité d'autant plus qu'ils sont devenus des menteurs pour obtenir le pouvoir et parce qu’ils n’arrivent pas (peut-être sincèrement dans cette mauvaise foi) à croire ou à comprendre qui pourrait bien être Dieu et c’est pourquoi ils sont même devenus contraire à cette idée qu’ils n’arrivent pas à s’expliquer. Longtemps athéisme et diable était synonymes y compris de « menteur »[22]. Les empereurs ne se rendent pas compte qu’ils sont devenus ce qu’ils sont en raison de femmes ignorantes et menteuses qu’ils ont utilisé comme des macros et non comme des femmes ou des œuvres d’art qui se seraient libérées de cette condition de maquerelle (l’enfant-gâtée) en même temps qu’en se délivrant de l’enfance et de l’adolescence, au mauvais sens de ces mots, c'est-à-dire de celui ou celle qui, se croyant sans talent, essaye de profiter des autres et cherche à être un entretenu, comme l’est une maquerelle ou une prostituée, ce qui n’est pas le propre de la femme de l’après Seconde Guerre Mondiale qui, dans certaines régions plus avancées, s’est délivrée d’un grand nombre de tutelles puisqu’elle a un métier la rendant indépendante financièrement et capable de subvenir elle-même, sans avoir besoin de se prostituer, aux besoins financiers de ses enfants ou/et adolescents, au sens négatif comme positif de ce terme qui sont donc des personnes en évolution et qui ont donc, à leur tour, grâce aux différentes activités et à leurs recherches spirituelles personnelles la possibilité de se délivrer de cette enfance et adolescence d’enfants-gâtés (si c'est le cas) qui avec la télévision nous a tous concernés d’autant plus que la civilisation nous propose presque constemment Noël ou des cadeaux continuellement et qu’à cause de cela, certains d’entre nous, dès l’enfance, le deviennent en croyant que c’est normal de l’être, ce qui va constituer un obstacle peut-être plus important qu’autrefois, du moins dans certaines régions avancées et plus «  gâtées » que d’autres, pour  connaître cette ouverture spirituelle plus à même de les rendre susceptibles alors de se consacrer à ces activités infiniment plus complexes et difficiles comme enfin celles qui pourront faire d’eux des véritables chefs ou des personnes capables d’ordonner ou de conseiller pour le Bien et l’Intérêt Général, mais seulement une fois qu’ils se délivrent de leur mauvais esprit ou de cet esprit animal, au mauvais sens du mot d’animal, car autrement il y a du bon, dans l’animal, sinon il n’existerait dans chacune de ses formes.  

C’est alors que recevoir un conseil ou un avis du Pape est une chose importante car il s’agit d’une personne qui s’est, elle aussi, normalement délivrée de cette enfance et de cette adolescence, au mauvais sens de ces mots, qui en ont du bon à d’autres moments et dans son cas, comme j’imagine dans votre cas, grâce à la religion chrétienne que vous avez fini par étudier en vous y consacrant et en vous y spécialisant à ce point.

J’ai pu vérifier que dans ce monde là de l’inconscient (l’égoïste, l’enfant-gâté, l’adolescent, au mauvais sens de ces mots) ils ne savent pas ce qu'est exactement un original (texte, œuvre d’art, etc.) provenant de ceux qui sont coincés à cause de la situation générale dans le monde de la vérité. Il ne se rendent pas non plus compte (et cela parce que ces enfances et ces adolescences, au mauvais sens de ces mots, durent comme ces égoïsmes au-delà de l’âge légal adulte des 18 ou 21 ans, qui est normalement pour tous ceux qui ont fait des études l’âge où on devrait s’être délivré de l’enfance et de l’adolescence au mauvais sens de ces mots – c’est pourquoi à cause de ce mal dont ils sont prisonniers – l’involution, au lieu d’avoir « évolué » se produit. Ils ne se rendent pas compte de ce que représente une seule écriture véritable de ceux qui se sont délivrés de cette enfance et adolescence au mauvais sens de ces mots et qui ont pu bénéficier de l’ouverture de leur esprit pour devenir des initiés comme Cocteau, par exemple, qui a alors écrit de la poésie, qui a fait des films, qui a dessiné, qui a été décorateur et d’innombrables autres choses (chercheurs, linguiste, penseur, etc). Ils ne se rendent pas compte de ce que c’est comme travail d’être Ingmar Bergman ou Woody Allen ou d’autres grands réalisateurs de films qui proposent de véritables œuvres sur lesquelles penser ou travailler et donc offre la possibilité d’avancer.  

Donc des personnes encore par bien des aspects totalement ignorantes, au mauvais sens de ce mot - ce qui signifie aussi qu'il y ait, d'une certaine façon, quelque chose d'assez beau dans ces personnes profanes toutes capables d'être aussi obéissantes que cela à un vieil empereur qui représente cette façon ancienne d’avoir été grugé par l’ensemble des femmes égoïstes et ignorantes, au mauvais sens de ce mot (qui cherchaient à être servies avant d’avoir appris à servir) et qui, parce qu’elles ne travaillaient pas vraiment, donc n’avaient pas encore appris à penser (à l’époque de napoléon premier, par exemple, elles ne fonctionnaient que dans des rapports de séduction durant les quelques années de jeunesse où elles avaient une chance, à cause de cela, d’avoir de la promotion et le travail de la femme, en ces époques là, était donc lié à ces « à première vue » de la vision primitive d’une femme qui avaient souvent, même dans les plus grandes familles, cessé d’étudier assez jeune d’autant plus des maternités et autres contraintes liées à ce sexe – le rôle de l’empereur était donc celui d’une personne qui ferait la volonté de personnes n’ayant que très peu de notions leur permettant de comprendre les relations internationales ou économiques ou diplomatiques. Il était donc le dindon de la farce et elles les dindes[23]).

Il y a eu donc un véritable changement qui s’est en grande partie produit au XIXème et au XXème siècle au sujet de la condition féminine, mais cela n’a pas eu lieu dans toutes les familles, ni dans celles qui étaient les moins instruites[24], comme celle d’adolphe hitler ou de mussolini, ou de franco, ou de lénine ou de staline, c'est-à-dire qui appartenaient au peuple[25], au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), c'est-à-dire à celui qui avait été capable de guillotiner le roi Louis XVI, ou même le Tzar, qui est le descendant de celui qui a fait en sorte, sur l’ensemble de l’empire russe, que la scolarité puisse permettre à des enfants du peuple d’accéder à la pensée, voire favorise ce passage qui permet de se délivrer de l’enfance, de l’adolescence, au mauvais sens de ces mots, et pour les meilleurs, comme Prokofiev ou Kandinsky, de vivre comme Beethoven ou Mozart, ou Picasso, ou d’autre grands artistes universaux ayant ensuite chacun ouvert leur propre voie grâce à l’ouverture de leur esprit. Dans le cas de Picasso, tous le monde sait que ce n’est que parce qu’il a beaucoup copié les anciens avant, donc d’énormément travaillé, comme Charlie Chaplin avant que celui-ci ne devienne Charlie Chaplin ou comme d’autres qui sont devenus Chagall ou Chopin ou Wagner ou Bartók ou d’autres musiciens, chacun devenant une voie nouvelle et donc virtuellement une école ou une sorte de chapelle y compris pluriels car effectivement devenus soudain multiples et s’intéressant, comme apportant dans chacune des autres catégories, et pas seulement dans sa spécialité, sa part de génie.  

C’est que ces femmes chargées de corrompre (séduire) la personne de l’empereur pour le mener à assumer ce rôle de potiche faite en série comme les précédentes – donc sans grande valeur - en réalité contraires à l’Intérêt Général, contraires au progrès - sont donc des conservatrices, au mauvais sens de ce mot, qui croient que séduire physiquement suffit et dédaignent la partie essentielle qui est fondamentale pour la sauvegarde de l’empire et de l’Etat, cette « tête bien faite dans un corps sain (mens sana in corpore sano) et ce que cela induit comme ouverture d’esprit et sont donc facilement convaincues d’ineptie à propos de « la pomme » d’autant plus qu’elles ont subi elles-mêmes, dans leurs contextes familiaux les viols « traditionnels » de leur droits à avoir le droit de se conserver pour leur futur mari, en étant à ce sujet protégée par leur père et leur mère, ayant à y veiller, et elles obéissent donc à un fonctionnement profane qui est celui de personnes qui s’en sont déjà donné à cœur joie sur le plan sexuel[26], au risque de connaître, à cause de cela, alors, la fermeture de leur esprit, et de retomber en enfance et/ou en adolescence, au point, pire, de se comporter, chacune, comme une enfant-gâtée et de ne pas être capables, à cause de cela, d’élever des enfants pour en faire des femmes et des hommes véritables, donc délivrés de cette enfance et adolescence (mais obnubilés par la question sexuelle). Elles demeurent donc nullement spécialistes véritablement dans une des matières ou des disciplines choisies et font donc semblant (d’autant qu’elles croient que ces matières n’ont de l’intérêt que pour pouvoir flatter leur sensualité), comme peut-être vont être capables de loin de recevoir des ordres d’égoïstes parce qu’elles n’ont pas recherché un serviteur pour l’Etat, au service de l’empire et de l’Intérêt ou du Bien Général, mais cherchent à se servir de ces notions pour se servir en premier elles-mêmes comme ces femmes instruites que parfois elles croient être, en espérant qu’elles seront de celles qui tiendront salon pour des raisons qu’elles sont en réalité des entremetteuses et qu’elles utilisent toutes les catégories ou disciplines (dont celles concernant les religions) simplement en ayant comme objectif de réussir à assouvir grâce à celles-ci leurs désirs sexuels ou celui de leur proches. Donc une façon profane de fonctionner et dont parfois les grand auteurs, y compris Molière, s’est un peu moqué avec sa toujours continuelle très grande élégance et sa trop grande gentillesse.  

C’est qu'elles sont encore privées de conscience propre et ne sont pas indépendantes puisqu’elles vont obéir à une sorte de hiérarchie qui est constituée de pareilles tricheuses et elles n'agissent pas selon leur propre volonté, donc de façon autonome (elles sont tributaires de ceux qui les entretiennent financièrement ou qui exercent sur elles du chantage non pas dans le dessein du bien de l’Etat, c'est-à-dire de tous, mais pour faciliter des enrichissements ou des fortunes sans critère de qualité ou de réelles compétence ou qui ne sont pas véritablement fondés sur des mérites ayant abouti à ces ouvertures de l’esprit ou à ce que des personnes aient enfin à cause de cela pu devenir enfin « adultes » et se soient alors, au passage, délivrées de leur enfance et adolescence d’enfant-gâtés, puisqu’ils vont être capables d’en parler en pratiquant aussi l’autodérision ou en minimisant les peccadilles ou en analysant pour instruire et en tirer des enseignements ou des leçons ou s’en moquer, comme d’une vieille personne qui, en elle, était encore prisonnière de bien des saletés (ces préjugés, ces mensonges, ces vérités relatives faisant de certains des bigots ou d’autres des bourgeois au mauvais sens de ces mots ou des « femmes savantes » ou des « précieuses ridicules » ou des Tartuffes ou tout le corollaire).

Ces femmes sont donc des parodies de celles qui assez rares appartiennent au monde de la vérité et elles ne vont donc employer les mots que mensongèrement ou alors en faisant des efforts pour dire la vérité, par mimétisme de celles qui ont de l’esprit mais qui s’en gardent en passant pour moins intéressantes que celles-ci à première vue plus expertes. Elles n’ont pu, le plus souvent, obtenir des travaux à faire qu’en raison de leur attraits et non de leurs compétences réelles. C’est donc à leur côté encore « enfant » ou « adolescent », au mauvais sens de ces mots, qu’elles ont trouvé des moyens pour survivre donc pour servir des compétences en définitives très réduites. Elles ont, au cours des siècles passés, été réputé pour être écervelées et volages y compris papillonnantes. Elles se conduisent comme les sirènes d’Ulysse et ne savent pas ce que signifie les mots dans le monde d’Ulysse qui n’est pas le leur, celui des petites inconscientes qui n’étant pas encore devenues des vraies femmes, se conduisent bien légèrement, en oubliant d’avance tous les devoirs qu’elles auront comme mère ou même comme grand-mère, en croyant que se seront les serviteurs ou les « esclaves » obtenus grâce à leurs charmes sur lesquelles elles pourront compter (en ne s’intéressant à leurs enfants que physiquement et pas pour leur permettre d’acquérir de l’esprit). Or elles n’ont pas encore appris tous les savoirs-faire qu’il est nécessaire d’apprendre pour pouvoir un jour avoir des personnes libres et non des esclaves pour les servir comme des personnes exemplaires et faire d’elles, si possible, des femmes délivrées, à leur tour, de cette fausse enfance et adolescence, au mauvais sens de ces mots dont elles ont été les victimes dans leurs contextes respectifs, car elles se sont aliénées à des clichés anciens, à des visions surannées et conservatrices d’autres temps (plus sombres au sujet de la femme) de ce qu’était l’image de la femme pour l’homme qui n’est pas encore celui délivré de son enfance et de son adolescence, qui n’a pas encore pu arriver au moment crucial de son existence pour assister à l’ouverture de son esprit, en raison des multiples bonnes actions et des travaux importants qu’il aura fait, ayant des retombées d’Intérêt Général – donc non égoïste, enfin au service du prochain dans n’importe lequel des métiers, pourvus que cela soit des efforts considérables à fournir qui exigent de nombreux préparatifs[27] – elle n’est donc pas la femme que recherche les hommes qui se sont délivrés enfin de leur enfance et de leur adolescence, au sens négatif de ces mots, y compris de leurs égoïsmes divers, car ils savent qu’ils vont vers de véritables difficiles responsabilités non seulement familiales mais aussi de futurs grand-pères : en effet il s’agit ici de la femme traditionnelle : de la souvent très sexy ou provocante « vampe ».

Donc Michèle qui, à première vue, n’est pas une « vampe » mais une professeur d’université, ne trouvera peut-être jamais le courage de me dire (à moins qu’elle prenne le parti inverse) ce qui s'était passé lors de ces interventions à travers le temps en 1965 et les suivantes en 1975, ni n'a jamais pu ni voulu m’en parler durant les dix huit années de quasi vie commune - ce qui signifie qu'elle a été peut-être la victime de « la loi du silence », une loi que vous, comme moi, ne connaissons pas, puisqu'en appartenant au monde de ceux qui n'ont pas eu accès à la salle des machines nous appartenons au monde de la vérité et nous utilisons la parole et l’écriture pour ne pas être silencieux et nous soigner parce que nous avons connu cette ouverture de notre esprit qui a mené certains d’entre nous, par acquis de conscience, à nous confesser et alors, à nous repentir sincèrement d’avoir eu assez de faiblesse et de lâcheté pour continuer à nous conduire en profiteurs, en enfants et adolescents, au mauvais sens de ces mots et donc nous utilisons les mots pour essayer de penser en vérité, en sachant combien elle est complexe et ne censurons personne quand celles-ci s'expriment de façon scensées (sensées + censées) et dans l'Intérêt et le Bien Général des générations passées et à venir, ce qui nous permet de donner des conseils les meilleurs sur des méthodes empiristes, même à tous ceux qui nous considèrent à tort des ennemis, étant donné que nous n'ignorons pas que la vérité existe (et qu’elle n’a pas d’ennemi puisqu’elle s’est rendue « coupable » de tout ce qui est intelligent en ce monde) et qu'elle fini toujours par être connue ou sue très exactement, mais aussi que la vérité d'un conseil donné tient compte des petits enfants et au-delà d'eux à la personne à qui nous donnons ce conseil, comme nous savons qu'il est de notre devoir de prévenir toujours, en raison des milliards de milliards et plus encore de paramètres qui sont reliés à ces éléments de vérité, comme au fait que celui qui est inconscient de l’existence de ceux-ci mérite ce conseil qui, d'avance, le prévient aussi toujours des malheurs qui pèsent sur nous pour toutes les raisons d'interactions chimiques ou de pollution ou de quantité de gaz carbonique trop élevé dans l’atmosphère ou les chiffres démographiques qui contribuent à réchauffer, en raison des besoins inhérents à chacune des unités, la planète, en prévoyant les effets de toutes ces substances chimiques dans l'atmosphère, ce qui pourrait contribuer à augmenter les surfaces désertiques, en nous donnant toujours moins de surface agricoles à cultiver et cela pendant une tragique augmentation de cette population, un processus qu'il est urgent d'enrayer y compris avec l’aide de la contraception, notemment en continuant à produire des tracteurs et des camions pour mettre en chantier, grâce à tout ce matériel, des tas de pierres d'un côté, des tas de sables de l'autre, un nivellement du Sahara pour en faire une sorte de grande dalle et y apporter de tous les coins de planète des terres y compris en récupérant les défécations retraitées dans les eaux usagées des villes ou en raclant les boues des fleuves et des canaux, en mélangeant ces terres les unes aux autres selon des proportions scientifiques que les ingénieurs agronomes décideront pour y apporter des engrais chimiques naturels et des apports minéraux en métaux indispensables y compris tous les petits insectes, le tout pour créer un très grands verger artificiel, en apportant des tuyaux d'eau liés à des moteurs d'épuration (de désalinisation) aux différents points d'eau que sont les mers et les lacs alentours, ces moteurs alimentés par centrales solaires de façon à pouvoir faire des économies d’énergie et progressivement, à mesure que la population augmente, faire du Sahara entier, le futur grenier de l’Afrique, mais aussi capable d’exporter les surplus de bonnes choses ayant poussé d'autant plus de la possibilité de profiter de l'ensoleillement, donc de plusieurs récoltes, en ayant pris soins de vérifier, à mesure de l’avancée des déblaiements, que dans tout cela il n'y ait pas les os de personnes appartenant à ces lointains ancêtres de civilisations disparues, y compris des ruines ou des trésors à retrouver, à conserver et à valoriser sur place ou ailleurs et qui datent du temps ou après le moment où tout cela n'était que forêt, cela signifiant qu’il faudra mettre de côté les os pour les conserver et les archiver d'une façon archéologique ou en raison d'hypothétiques à venir permettant des recherches grâce aux différents ADN pour les comparer aux nôtres[28]

C'est qu'ils sont dans l'inconscience et "ne se rendent pas compte" du mal qu'ils font à la Création et par conséquent à eux-mêmes en trichant ou en mentant ou en volant ou autrement, puisqu'ils sont de ceux qui n'ont jamais pu bénéficier, au moment de leur baptême ou de la Première Communion, que seulement pour n’obtenir qu’une cymbale en argent ou la petite chaîne en or du parrain ou de la marraine, et non pour célébrer « l'ouverture de leur esprit » et ils sont donc, pour l'instant, bien malheureux, car cela les empêche de comprendre tous les autres niveaux de lecture qui concernent la réalité, mais qui existent pourtant dans la réalité elle-même, dépourvue de la vision d'Atlantide et du Paradis, et à cause de cela qu'il y a une véritable différence entre ceux qui ont ces métiers d'assis (s’étant délivrés de leur enfance et de leur adolescence, y compris ayant pu bénéficier de cette « ouverture de leur esprit ») et tous ceux qui ne les ont obtenu qu’en s'infiltrant et en trichant, y compris en espionnant, en faussaires et/ou en « faisant semblant d’être les organisateurs » sur la foi de tous ces bruits qui circulent, sans distinguer les calomnies des choses réellement fondées et donc en étant capables de croire à des préjugés, à des canulars, à des vérités relatives qui ne sont plus d’actualité, à des mensonges (à des anti-phrases), comme cela a été le cas en Allemagne et en Italie dans le peuple qui est, à l’époque, comme il l’était dans le passé, y compris en Russie, ou aux États-Unis d’Amérique à l’époque, un peuple de personnes en grande partie profanes, ignorantes, au mauvais sens de ce mot, comme à d’autres moments au bon sens, tant qu’il a été par exemple capable d’être respectueux et aimant de ceux qui s’étaient, comme Fénelon, débarrassés de cette enfance et adolescence, au mauvais sens de ce mot, et qui avait fini par avoir de l’esprit à revendre, y compris comme enseignants, ce qui a été le cas de bien des membres du clergé, d’autant plus qu’effectivement s’étant débarrassés de ce qui n’est pas essentiel et qui concerne la partie accrochée aux préjugés, et aux mensonges, comme à d’autres mauvaises habitudes, ils trouvaient ainsi, grâce à l’abstinence sexuelle qui en était une preuve, plus de temps, comme la possibilité de se consacrer à ce qui était important et dont ils étaient les seuls à avoir conscience, ce qui a fait de certains d’entre eux des sortes de souverains dans ces personnes d’évêques comme déjà d’admirables curés, avec de véritables responsabilités paroissiales d’ordre diverses touchant la plupart des implications sociales dans lesquelles se trouve mêlé l’être humain.     

Ces fichiers que je vous envoie ci-joint sont non relus, non corrigés pour l'instant et il y a le texte d'une lettre pour Michèle Finck en chantier - que j'ai décidé de lui écrire avant d'envoyer corrigée ma lettre au Président Hollande (en continuant mes tests) et à Sa Sainteté le Saint-Père, étant donné que c'est la plus malade de la situation des trois - elle souffre en plus réellement physiquement de la situation d'un mal à la jambe qui lui est venu vers l’an 2000 et qui s'est éternisé depuis, et s'il n'est pas feint, ce que je ne crois pas - mais on m'a tellement trompé que je suis capable de faire comme si ce qui n'est que mensonge pourrait être vrai - cela doit être néanmoins pénible et celui que je suis qui est, comme vous le savez aussi, à certains moment le chef de tous les médecins et des chirurgiens dans tous les temps et qui a pu avoir à cette occasion, depuis 1965 et 1975, une idée assez précise du médecin à notre époque, puisque je ne suis qu'en permanence entrain de cumuler mes différentes fonctions, y compris avec celle de Grand Inspecteur - aimerait que nous arrivions à soigner Michèle de cela d'autant plus que je connais maintenant, plus en détail, ce qui a posé problème à la Reine de la Nuit (Michèle qui a aussi son côté Reine du jour à d’autres moments), ce que Mozart ne savait pas, car s'il avait su ce que je sais d'elle depuis 2012, c'est à dire de Michèle Finck, comme de l'existence de cette vieille salle des machines qui permet de faire des mauvaises plaisanteries, y compris des cauchemars ou d'espionner de loin, Mozart ne l'aurait pas faite mourir, car il s'agit en fait seulement d'ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui s’ennuient et qui espèrent un jour, malgré tout, ne plus l'être et qui vivent depuis longtemps dans la peur des religions et des grandes figures qui ont fondé ces religions. C'est pour cette raison aussi que la Méchante Sorcière a attaqué Blanche Neige (c'est-à-dire la part « Reine de la Nuit » qui n’a pas accepté qu’elle avait aussi une part « Reine du Jour », c'est-à-dire d’une femme délivrée de l’égoïste ou de cette fille gâtée ou de cette adolescence, au mauvais sens de ce mot – aussi il y a eu conflit et c’est la part Reine du jour qui a fini par l’emporter bien qu’elle a été malmenée au point même de mourir quelques moments, mais Blanche Neige est ressuscité grâce au véritable amour d’un Prince Charmant délivré des soupçons injustes que cette vieille peau de mégère d’ancienne maquerelle ou prostituée (ou image de la femme au sens assez traditionnel du terme), que beaucoup nous avaient habitué à croire, évidemment non pas pour le bien de l’image de la femme mais pour des égoïstes d’enfants-gâtés adolescents, étant devenus à cause de cela des faunes, des satyres, des centaures en raison des calomnies qui circulent dans ce monde-là, prisonniers des seuls désirs d’animaux ne se souvenant plus d’avoir été seulement d’anciens dieux ou des êtres humains, mais ayant régressé à ces différents stades, à cause de conditions locales et familiales qui facilitèrent ces involutions). La Méchante Sorcière est peut-être la part de Blanche-Neige avant d’avoir été contrainte à autodétruire en elle la femme égoïste ou enfant-gâté en (la vieille femme ou vieille Eve) qui est favorisée dans certains contextes sociaux familiaux et donc avant de devenir pleinement une Blanche-Neige délivrée de la mort comme de la peur de la mort – en se délivrant de cette enfance d’enfant-gâtée et d’adolescence et peut-être, grâce à l’amour véritable d’un prince, connaître l’ouverture de son esprit – Mais c’est aussi la mort de celle qui cherchait en fait, en masochiste, sa mort, pour n'avoir que des réincarnations infâmes et hideuses d’animaux lâches et minables capables de s'attaquer à seulement plus faibles comme parfois le croit possible une personne âgée ayant des moyens financiers, une vieille dame, par exemple, contre une jeune fille qu’elle considère évidemment à tort comme une menace vis-à-vis d’un époux ou de l’homme de sa vie, en raison de cette jeunesse de Blanche Neige contrastant avec la vieille femme qui est la femme ignorante, attachée à des hommes semblablement conservateurs de fausses valeurs, de préjugés, d’attitudes néfastes d’inconscients (l’attrait de la vierge ou de la jeune femme devenant une menace pour la femme expérimentée - qui débute - du point de vue de celle qui ayant perdu son innocence n’a plus que l’esprit d’une prostituée ou d’une maquerelle et qui ne sait pas encore, dans les années 50, que la femme de l’époque est depuis déjà longtemps une femme scolarisée qui, en raison de cela, pourra plaire toute sa vie au même homme, puisque l’un et l’autre comme le prince et la princesse Blanche Neige, ont connu l’ouverture d’esprit et se sont débarrassés des enfants-gâtés en eux et des inepties corolaires à ces enfances et ces adolescences, au mauvais sens de ces mots – car évidemment la femme traditionnelle se trompe : la vierge ou la jeune fille ne cherche d'aucune façon à prendre sa place auprès d’un « quelconque roi » ou époux - elle attend simplement un prince charmant et peu importe s’il est fils de roi ou de boucher puisque l’important c’est qu’il soit prince : « elle attend son prince[29] ».  En fait, il ne s'agit que de mauvaises plaisanteries – celles de ceux qui ayant hérité de la vieille salle des machines en sont devenus les enfants gâtés impatients qu’ils sont, mal élevés avec le corollaires de défauts y compris impolitesses et/ou insolences et, à cause de cela, n’ont jamais pu se débarrasser de cet « égo » ou de cette enfance ou adolescence d’enfant-gâtés, au mauvais sens de ces mots, et donc n’ont jamais été confrontés au moment crucial de « l’ouverture de leur esprit » qui est effectivement un moment à redouter peut-être plus encore que la mort elle-même, qui exige beaucoup de courage, car on ne sera jamais plus comme avant en devenant celui qu’on est ensuite et en même temps un initié, si on ne meurt pas durant tout le processus, donc si on en réchappe comme Blanche Neige et c’est pourquoi normalement on a très peur du baptême qui vient en général après, en Occident (ou qui précède) et qui est comme une forme de couronnement, puisqu’on a réussi à traverser l’épreuve ou qu’on veut se préparer à la traverser – Toutes les femmes ne l’ayant pas fait par couardise ou parce qu’elles sont demeurées des enfants-gâtés et des adolescentes sont, à cause de cet  égo, dont elles sont prisonnières simplement devenues ignorantes, au mauvais sens de ce mot, même s’ils devaient avoir des quantité énormes de choses stockées dans leur cerveau, car leur objectif a été de se servir de ce qu’elles savent pour corrompre et pour transformer l’autre en prostitué ou en maquereaux ou maquerelles, ce qu’ils sont devenus eux-mêmes, donc des personnes irrespectueuses des autres différentes en devenant des êtres pensant avec des cerveaux qui sont contraints en permanence de tenir compte de l’existence des profanes qui appartiennent au monde de l’égoïsme, dans lequel compte seulement sa propre réussite ou la réussite de sa propre équipe.

C’est qu’il se pourrait que ce contexte strasbourgeois de Michèle Finck, en raison des répercussions de la Seconde Guerre Mondiale, comme des contextes familiaux génétiquement et psychiquement ayant été atteint par ceux qui ont utilisé n'importe comment, en dépit du bon sens, pour faire ces plaisanteries d’enfant-gâtés, ces vieilles machines en personnes devenues inconscientes et qui ont, à cause de cela, eu des difficultés pour comprendre tout ce que les autres, en raison de cette ouverture d'esprit, comme de la fin de leur enfance et de cette adolescence d’enfants-gâtés – en y ayant mis un terme d’autant plus de la Guerre - comprennent et c'est pourquoi ces héritiers prisonniers de l’égo de l’enfance-gâté, au mauvais sens de ce mot, ou de l’adolescence ne sont parfois qu'animées que par l'esprit de la contradiction ou des blagues, puisqu’ils ignorent souvent le sens véritable des mots et se mettent à croire possibles des blagues de potaches du genre de celle que j’ai cru possible avec La Momie à mi-mots dans les mots utilisés quand l’expression n’a pu vouloir dire enfin quelque chose que parce que j’y ai travaillé au moins sept années pleines dans le cadre d’un scénario et pour faire une œuvre à ce sujet qui finisse, grâce au concours des arts et à l’absence de dialogues, dans le cadre du cinéma muet musical et dansé, par avoir et donner du sens à l’expression - ce que j'ai démontré, car sinon cela ne veut rien dire, à première lecture ou alors d’autres possibilités pour lesquelles il faudra créer, encore une fois, une ou plusieurs situations différentes de celle du film et c'est d’avance un vrai casse-tête). Ces mensonges ou ces choses qui ne veulent rien dire (ou auxquelles on croit que le sens est vrai alors que c’est faux), c’est en raison d’incapacités contractées à ne pouvoir faire que "faire semblant" d’avoir de l’esprit, par conséquent une forme d'handicapés - ayant perdu les capacités de leur cerveau pour discerner en conscience – mais qui s’amusent d’un point de vue sonore sans se préoccuper du sens et c’est pourquoi, je le répète un peu autrement, pour arriver à donner un véritable sens à une expression qui n’en a aucune comme La momie à mi-mots, mais qui est plaisante de façon sonore, il faut inventer toute une histoire compliquée qui prend des années de travail pour la rendre plausible, en ayant du sens autrement que seulement à ce niveau là qui n’en dégage aucun, si ce n’est celui d’un jeu de mot de potache, dépourvu d’esprit car rien de plus facile, donc sans grand intérêt car sans grande recherche et découverte pour le lecteur qui dira « et alors ? ». Or, avec le film, donc ces années de travaux considérables, on réussit à valoriser la fausse-vraie tournure d’esprit de quelqu’un qui n’en a pas encore et qui est en fait, tout en étant un début de recherche, une expression totalement stupide : la momie à mi-mots d’autant le pluriel impossible ou difficilement admissible grammaticalement parlant. Mais se seront toutes les images du film, y compris les cartons avec les quelques explications, séquences par séquences, traduites dans une dizaine de langues et d’alphabets différents, qui vont permettre de comprendre ce pluriel y compris le sous-titre à la fin du film, et la traduction du titre de ce film en anglais.

C’est que ces personnes qui faisaient ce genre de mauvaises plaisanteries se sont rendues les geôlières de l’ensemble des autres qui se sont pourtant chacune délivrées de l’intérieur d’elles-mêmes des prisons des enfants-gâtés capables d’être geôlier, espion, menteur, usurpateurs, etc. en raison de ces enfances et adolescences d’enfants-gâtés devenues égoïstes et le corollaire qui va avec et qui n’ont pas eu jusqu'ici, lundi 14 avril 2013 (1973 et 1983), à vingt heures trente, encore le courage de se mettre pour une fois chacune réellement en danger en faisant totalement confiance aux autres dans l’espoir de connaître à leur tour un jour la fin de cette situation d’enfants-gâtés en eux y compris de leur adolescence, au mauvais sens de ces mots, liée à la possession de la vieille salle des machines pour parvenir chacun à ce moment plus que redoutable et affreux, dans certains cas, effrayant, de « l’ouverture de son esprit », car sinon elles auraient rendu la vieille salle des machines à partir de 1965 ou à partir de 1975, ce qui aurait fait qu'ici, à partir de 2005, tout ce qui s'est passé depuis ces années-là cela n'aurait pas été ou ne serait demeuré que du virtuel (y compris mes interventions) et personnes n'aurait plus souffert de maladie, d'injustice ni de mort, à partir d'un certain moment car tout le monde, l’un après l’autre, à partir d’un moment donné, aurait connu aussi « le bonheur » ou ce « malheur » (vu autrement) de « l'ouverture de l’esprit » et tout le monde aurait pu devenir milliardaire (pas seulement les quelques uns que j'ai pu nommer grâce à cette Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale dictée à plusieurs reprises en virtuelle du futur avant de découvrir en chair et en os avoir à la dicter de nouveau) car ils auraient tous fait alors une excellente affaire en rendant la vieille salle des machines à tous ceux qui ont pu, comme Einstein ou d’autres, bénéficier de cette "ouverture de leur esprit" avant eux et qui sont aussi capables, à cause de cela, de célébrer comme une fête ce moment, à l’occasion par exemple des divers sacrements comme le Baptême, la Première Communion, la Confirmation et le Mariage y compris tous les autres sacrements, comme celui des malades dont j'ai pu vérifier de l’utilité et qu’il fonctionne comme donne à celui qui le demande parfois la force de poursuivre sa conversion enfin dans le bon sens, en n'ayant donc pas forcément à mourir - comme c'était le cas, par contre, pour celui de l'Extrême Onction - ce qui était dommage car cela ne permettait parfois pas à celui qui le recevait de s'en sortir au moment de « l’ouverture de l’esprit » ou au moment de sa mort, ce qui est le cas avec le sacrement des malades qui donnera parfois 50 ou 70 ou même 80 années à vivre ou plus à vivre (s’il est administré à un enfant malade, bien entouré de personne pouvant l’aider à s’intéresser aux textes sacrés et à prendre le chemin de l’ouverture de l’esprit), ou s'il est administré à des enfants ou adolescents en difficulté, soucieux de changer de comportement et de commencer au moins une vie de laïques ou poursuivre un jour, après l’ouverture de leur esprit et la fin de leur état d’enfant et/ou d’adolescents, au mauvais sens de ce mot, une vie de baptisés, ce qui peut les mener vers une meilleure compréhension de leur religion ou de celle des autres ou simplement de la leur sans, pour autant, devenir militants des jeunesses chrétiennes, s'ils n'ont pas réussi à obtenir cette "ouverture de leur esprit" à travers ce biais (puisqu'ils s’agit de jeunes qui cherchent à faire de l'esprit (comme quand j’ai trouvé l’expression la Momie à mi-mots qui, pour devenir sensée, m’a contraint - comme je l’ai dit, par esprit de contradiction et pour m’affirmer dans la catégorie « potache » que je revendiquai aussi avoir le droit d’être, ne serait-ce que pour qu’elle finisse par avoir un sens et de l’avenir, malgré l’absence de sens qui sautait aux yeux sur le papier ou l’énigme que cela représentait avec la juxtaposition de ces mots en français, ce qui me rendait malheureux - à une dizaine d’années de travaux au Purgatoire, au point de devenir, après la projection du film, spirituelle et sensée).

Les préjugés, les mensonges et les calomnies comme seulement de se trouver prisonniers des quelques vérités relatives auxquelles on s’est accroché - comme égorgés par celles-ci et sur un présentoir de boucherie derrière une vitrine - vont pousser certains à faire croire avoir eu à renoncer à tous les pièges libidinaux que vous savez et qui ne sont qu'en fait, de leur point de vue qui n’en mesurent pas les conséquences, que des simples plaisanteries de profanes ou de sacrilèges, de laïques ou d'athées, en fait d'ignorants, au mauvais sens de ce mot, inconscients et des corollaires. Ils essaient de se faire passer pour bien plus sainte-nitouches que les autres, au point d’en avoir tous les préjugés qui vont avec, ainsi que les hontes et les pruderies pudibondes qu’ils masquent, par esprit de contradiction, en exhibitionnistes en s’émoustillant des transgressions ainsi assouvies.  Pourtant ils aimeraient devenir des personnes qui arrivent à comprendre tous les niveaux de lectures qui existent (mais à la longue et en travaillant beaucoup - car j'ai vérifié que c'est plutôt très difficile) et qui sont pourtant visibles un jour « à première vue » car certains d’entre ceux-ci voient des choses qui sont invisibles pour ceux qui ont renoncé à la vieille salle des machines, c'est-à-dire le monde du point de vue des négatifs qu’ils sont devenus, en raison des enfants-gâtés qu’ils ont cherché à devenir, contre leur intérêt véritable, par conséquent avec ces sortes de prisons en filigranes qui entourent ces personnes qui ne sont pas encore devenues des êtres humains et qui sont même devenues l’inverse en ayant ainsi choisi de subir une l’involution vers l’état unique d’animal faisant semblant d’être des êtres humains[30]. Cela donne néanmoins un bel aspect comme celui d’un beau chat ou d’un beau chien ou d’un autre animal. Il s’agit donc avec cette sorte de filigrane qui ne manque pas de charme, puisqu’elle fait même apparaître les personnes qui en sont prisonnières comme « belles » et « séduisantes » dans leur aspect physique de personnes étant devenues des tricheurs. Mais cette vision d’eux, dans la réalité n’est pas perceptible (puisqu’il s’agit d’une sorte de filigrane qui les maintient prisonniers de l’ineptie et des corollaires)  pour ceux qui, innocents, sont demeurés au plein sens de ce mot des êtres humains parce qu’ils descendent de ceux qui ont « évolués » et qui se sont débarrassés précisément de cette filigrane invisible ou de cette enfance ou de cette adolescence ou de l’enfant-gâté, au mauvais sens de ces mot, en ayant pu bénéficier de ce moment (qui est comme un passage) que souvent seulement après d’infinis travaux (même si souvent celui-ci se déroule dans la prime enfance ou à l’état de bébé comme chez les fils des rois comme cela s’est passé pour leurs ancêtres, en faisant effectivement de toutes ces familles des familles de véritables saints, de martyrs et d’incompris et cela parce qu’il va s’agir de personnes qui vont savoir qu’elles sont instruites en vérité pour le Bien et dans l’Intérêt Général, ce qui va donner des sens précis aux mots au point qu’ils l’ont ainsi acquis internationalement – aussi les révolutions irrespectueuses de tant de peines prises par tant d’ancêtres pour arriver à faire des rois ou des princes conscients de toutes les affaires du territoire de leurs ancêtres ont été de véritables catastrophes pour tous, y compris à l’étranger car changer un royaume pour y mettre une république à la place avec des gens qui n’ont jamais pu encore bénéficier de cette « ouverture de l’esprit » et qui se sont salis les mains en assassins, au moment de ces mouvements populaires (souvent illégitimes ou menés par des ignorants, au mauvais sens de ce mot, comme cela a été le cas dans l’Histoire), sans donc jamais être des personnes qui se sont auparavant débarrassées chacune de cette enfance et de cette adolescence ou de l’enfant-gâté qui sont les seuls états d’un individu capable d’envisager le meurtre ou des actions physiques irrespectueuses de l’altérité et de telles hiérarchies basées sur des sommes parfois colossales de mérites qui se sont manifestés chez les ancêtres et ces personnes dans/pour une perspective même seulement que très lointaine, sont des révolutions contraires à l’Intérêt et au Bien Général car c’est perdre alors, avec le roi ou la reine guillotinés ou assassinés, des savoirs qui ont pris des siècles, comme pour celui du Tzar qui gérait comme il pouvait, au mieux, en « bon père de famille », le territoire dont il a été reconnu l’héritier et le responsable à l’étranger par ses homologues, en ayant pu bénéficier un peu partout de familles qui, localement, de père en fils, comme autrefois celles des mandarins chinois, étaient chargées de nombreuses tâches, y compris de justice – en sachant ce que ce mot signifiait – mais il est normal qu’à notre époque ces responsabilités soient entre les mains de personnes compétentes s’étant posées en conscience toutes les questions à propos des droits, au cas par cas, donc qui ont étudié la question pour devenir aussi ces juges ou ces magistrats « en âme et conscience » sachant qu’il y a tous les profanes qui cherchent, par tous les moyens, à continuer à escroquer l’Etat, y compris la Justice, comme les autres administrations, y compris toutes les institutions et organisations, pour chercher à soutirer de l’argent ou d’autres avantages y compris à s’y infiltrer – comme certains prélats gourmands se sont autrefois – mais j’en ai encore croisé – dans l’Eglise abrités - en espérant atteindre les plus hautes fonctions ou charges en tant que les imposteurs, usurpateurs, tricheurs et/ou menteurs et le corollaire pour mieux placer des amis du même genre, bref de personnes ne s’étant pas encore débarrassées ni de leur enfance, ni de leur adolescence, ni de l’enfant-gâté et qui continuent à l’être en n’ayant chacune fuit ce courage nécessaire d’approcher ce moment particulièrement atroce, dans certains cas, douloureux, de l’ouverture de leur esprit, étant donné qu’ils savent d’avance, pour en avoir été averti que c’est effroyable et qu’il faut avoir plus qu’un véritable courage, qu’on peut en mourir et qu’il y a un après où le monde se voit alors en vérité et plus comme les inconscients qu’on était, faisant semblant ou copiant ou répétant les préjugés, les mensonges, les calomnies qui circulent en appliquant des recettes dont on ne comprend pas les raisons d’être, donc seulement par mimétisme  ou en passant le temps en espionnages divers et/ou en « petegolezzi »).  

Le profane pourrait s’il parvenait à se débarrasser de cette enfance ou adolescence d’enfant-gâté, au mauvais sens de ce mot, comprendre les raisons de toutes les compositions musicales, c'est à dire ces tempi ou les changements de tempi que nous retrouvons aussi dans les compositions ou dans la liturgie dominicale de l’eucharistie elle-même, la messe, entre les phrases comme dans les discours tenus, à ces occasions, ou d'autres de rassemblements animés par des désirs de se spiritualiser un peu plus, grâce aux autres disciplines[31].

J'avais rompu mes fiançailles à la suite de ce que j'ai découvert d'incroyable, en avril 2005, en raison de l'intervention d'un soi-disant Dieu, à ce moment-là, qui m'a rappelé alors un sacrifice canonique que j'avais fait dans le passé et dont j'étais totalement amnésique[32] - canoniquement - depuis juillet-août-septembre1977 - c'est à dire après ma séparation sacrificielle maçonnique (bouddhique, judéo-chrétienne, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) effectuée pour Michèle Finck avec Christine Lang et il m'a rappelé cela alors que je me présentai à lui canoniquement pour l'anneau de mariage avec Michèle Finck, ce qui a confirmé qu'elle en avait bien un, s'il n'y avait pas eu cet autre avant : celui que je découvris avec Christine Lang avoir eu: en fait, je compris qu’il s'agissait avec Christine d'une cadette de Michèle Finck (du point de vue de celle-ci) et c'est ici tout le problème qui s'est posé depuis la nuit des temps dans les familles profanes: la jalousie des aînés envers les plus petits (à première vue) et si les parents ni veillent pas pour l’éviter, ce sera toujours une catastrophe (ce qui s'est produit avec Michèle qui avait 5 ans, en 1965, et qui, si elle a appris qu’il y avait une petite de un an promise à devenir impératrice, ne l’a pas accepté, en tant que sœur ainée ! Ce problème s’est aussi manifesté entre une mère et une fille au sujet d’un fils, au point que cela a donné tous les problèmes de belles-mères et cela d’autant plus du faible niveau spirituel de ces femmes demeurées profanes. Ces mères-là ont été jalouses des femmes de leurs fils d’autant qu’elles avaient cru s’autoriser des relations sexuelles avec leurs fils, alors que ceux-ci dès leur naissance sont destinés chacun à une jeune fille qui est parfois plus jeune qu’eux, (plus petite) et qu’en raison de cela ils veulent conserver naturellement pour elles leur première semence[33] de même que les petites filles en question veulent découvrir avec celui qui sera leur ami pour la vie leur première relation sexuelle. Mais ces mères étant devenues des égoïstes (artificiellement en ayant eu accès à la vieille salle des machines qui donne avec l’esprit de « propriétaire » - de celui qui possède l’autre égoïstement) ont cru que leurs fils leur appartenaient étant donné qu’elles n’ont jamais été que sensuelles puisqu’elles sont de celles qui n’ont jamais su que le spirituel existe (celui-ci n’ayant une réalité qu’après l’ouverture de l’esprit - la fin de l'animalité au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))). Aussi elles ont une approche de femme n’ayant pas su encore réfléchir véritablement sur des textes ou le sens de l’existence d’autant plus qu’elles sont contraintes, depuis des millénaires à des travaux ménagers ou à être les « propriétaires » de leur ménage, de leur cuisine ou de la maison qu’elles habitent croyant qu’elles ne revêtent un intérêt pour le garçon ou pour l’homme y compris pour leurs enfants que physiquement et donc seulement sensuellement. Elles se conduisent donc en dragons et exclusivement par conséquent en ignorantes de l’existence du monde de la véritable générosité (spirituelle), puisqu’elles n’ont pas mis en elle à mort la part d’elle-même encore enfant-gâtée ou vieille Méchante Sorcière pour se délivrer de la vieille femme, de la femme prisonnière depuis des millénaires des mêmes préjugés, avant d’avoir des enfants. Elles seront même capables d’être des rivales de leur fille alors que celles-ci n’imaginent même pas un instant possible une telle absurdité possible, d’autant plus des centres d’intérêts contemporains qui les animent. Elles seront capables d’avoir des filles pour pouvoir avoir accès sexuellement à leur beau-fils, ce qui donne ici la mentalité de maquerelle y compris avec la complicité de leur fille. Le symétrique est vrai pour les hommes, entre les pères et les fils et c’est de cette façon que tous sont devenus des prisonniers d’un système où beaucoup n’ont pas compris pourquoi la prostitution était interdite ou déconseillée car pour ceux qui se sont délivrés de l’enfant-gâté est qui sont ceux qui ont créé la notion d’Etat et trouvé toutes les solutions élégantes, cela va de soi et c’est bien une façon de faire qu’il faut décourager car elle conduit a des mentalités d’enfants-gâtés esclavagistes, donc cette mentalité de souteneur ou de maquereaux).

Je découvrais (et il découvrait (Dieu)), chronologiquement, comment cela s’était passé à la suite de son intervention de 2005 : que j'avais été contraint de sacrifier, en me séparant d’elle (avec la même promise épouse légitime canonique) dans le passé, Christine ...Lang, et que ces sacrifices avaient permis, malgré tout, de sauver la Terre, à partir de 1965, et 1975, et de nouveau à partir de 2005, avant même d'y être en chair et en os dans ce futur et en permettant à tous les rescapés d'arriver au moins jusqu'à nos jours où j'ai fini par découvrir que j'y étais donc depuis bien belle lurette (depuis quarante ans au moins en virtuel), ce qui m'a contraint, au passage, à dicter de 2005 à 2012 cette Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale transmise alors à travers l'Espace et le Temps en synchrone aux années 1975 - 1982 où j'ai moi-même recueilli à la main, jusqu’à juin 1977, en parti le texte de cette Dictée, durant ces premières années là où je la fis du virtuel, du ciel et du futur (en sacrifiant toutes les journées que j’aurais pu passer avec Christine) et de nouveau, comme en 1965, en étant ainsi promu l'assistant de mon père qui avait été confirmé dans son rôle d'Empereur, puisque j’avais bien été obligé de le nommer à cette fonction l’ayant trouvé, en 1995, avant moi, dans le sarcophage des empereurs. C’est donc lui qui allait réaliser tous ces prodiges dictés à partir de 1965 et de 1975, en étant contraint de couvrir, à cause de ce que j’avais découvert, mais aussi de l’âge, l’empereur adolph hitler, dans ce sarcophage et cela d’autant plus facilement officiellement pour les générations nées à partir de 1950, que cet empereur avait été considéré mort depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, pour tout le monde, y compris pour moi qui l’avais appris à l’école petit, puisque cela avait été imprimé dans les journaux sur lesquels s’étaient basés les enseignants d’Histoire pour établir le programme à apprendre par les petits que nous étions en 1970. Ce n’est qu’en 2005-2006 que j’ai compris qu’il n’était peut-être pas mort en 1975-76 et comme j’étais passé par 1995 où j’étais devenu empereur et y avait découvert mon père après napoléon premier et adolph hitler, dans le sarcophage étant aussi certain, à cause de mes études et de ce que j’avais appris à l’école et à l’Université qu’adolph hitler et napoléon premier étaient morts, comme ne sachant encore rien de l’existence de la vieille salle des machines, mais me doutant que peut-être adolph hitler avait fait croire qu’il était mort, et sachant que du ciel on me voyait en 1975, j’ai été contraint de nommer mon père empereur, en toute logique, puisque je découvrais par la même occasion qu’il l’avait été ainsi fait/nommé, en raison de la situation, par bien des égards cauchemardesque que je vivais. En effet, je n’avais aucune mémoire de ce qui s’était passé quarante ans avant ou trente ans avant, mais j’allais la retrouver dans les jours qui suivraient et découvrir comment j’avais sauvé l’empire à partir de 1965 et de 1975. Je ne pouvais pas non plus penser qu’adolph hitler était encore vivant en 2005 puisqu’il aurait été trop âgé par rapport aux pyramides des âges que j’ai étudiées à l’Université à l'occasion de ma License en Histoire ou même mes unités de valeur en Géographie, avant de bifurquer vers une autre License que j’ai passé dans l’état d’amnésique aussi de ce qui s’était passé de 1965 à 1977. Mais comme je me suis dit que, peut-être, en 1965 et en 1975 adolph hitler faisait semblant d’être mort, car il valait mieux pour lui[34], après ce qu’il avait déclenché, se faire passer pour mort, comme j’étais empereur depuis 1995 et que je n’avais pas le choix puisque je devais intervenir dans le passé, ne serait-ce que sur le plan personnel puisque je me retrouvais là en 2005 pour que mon père devienne empereur comme cela s’était passé et qu’on puisse commencer à m’élever comme futur empereur, en me faisant avoir la vie que j’allais connaître à partir de 1965, puisque s’était mon devoir de protéger canoniquement l’empereur précédent et donc adolph hitler d’autant que j’ai pensé qu’il m’avait peut-être protégé quand j’étais amnésique ou devenu à moitié profane et que comme j’étais empereur après mon père et après lui, tout ce que j’allais faire entreprendre à mon père empereur avant moi n’était que pour essayer de donner enfin une bonne image de la condition impériale, après la honte au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qu’adolph s’était permis d’être[35] en raison du fait que j’avais pu vérifier moi-même qu’il n’était en réalité qu’un ignorant, au mauvais sens de ce mot, donc un profane par conséquent qu’il avait été contraint à faire semblant d’être un empereur, ne sachant que se « défendre » ou offenser ceux qui ne comprenaient pas qu’il n’avait pas eu d’autres solutions que de se conduire en bandit et en criminel pour survivre, en étant contraint de faire semblant de se conduire comme un gentilhomme mais ne voyant pas qu’il était incohérent étant donné qu’un gentilhomme ne peut pas se conduire en méchant homme et exterminer des gens sous prétexte qu’ils sont seulement un mot ou deux ou trois. Visiblement, c’était une bien malheureuse histoire et connaissant mon père et sa très grande intelligence comme sa probité absolue, il pouvait, en attendant, que je me retrouve en 1995 l’empereur suivant, sauver la situation en 1965 et 1975, après la Seconde Guerre Mondiale. Mais mon père aurait de très grandes difficultés car adolph hitler, en raison du peu d’intelligence qui l’avait caractérisé, serait jaloux du pharaon suivant qui n’avait que trente à trente cinq ans de moins que lui et cela d’autant plus du rapport plein de préjugés qu’il entretenait vis-à-vis des femmes (celui de son époque). En effet, il faut comprendre que ce qu’avait dans la tête l’empereur adolph hitler à propos de la femme, ce sont les clichés hélas transgressifs liés aussi à la mode de l’époque dont il était issu, aux vêtements de la femme à son époque et de l’absence de chauffage qui contraignait certaines femmes à se couvrir et à s’habiller chaudement. L’époque où il est jeune est une époque où les femmes ne vont pas comme à l’époque du pharaon suivant à la plage ou à mon époque naturellement une fois par semaine au moins dans des piscines mixtes. Il n’y a pas de web cam pour communiquer en nous permettant de nous admirer comme des œuvres d’art et très certainement il y a l’idée que la femme est intouchable ou enfermée chez elle ou dans sa famille, d’autant plus qu’elle doit se marier et avoir des enfants, donc devra être fidèle à son mari et à sa famille. C’est cette éducation là qui n’est pas comprise alors par les masses populaires qui croient possibles transgresser les interdits (comme certains aristocrates qui en ont acquis le droit) qui sont, à ce sujet, de bon sens, puisqu’ils ont comme objectif de procurer une mère compétente à des enfants. Nous ne sommes pas à l’époque où mon père est empereur et qui voit la contraception s’épanouir et la femme se passer de mari parce qu’indépendante financièrement ou autonome à ce sujet. Il s’agit aussi d’un empereur, avec adolph hitler, qui résulte de l’existence d’un monde profane, c'est-à-dire de celui qui ne pense pas encore en vérité (débarrassé de l'adolescent, de l'égoïste, de l’enfant-gâté) et qui n’a que des réactions instinctives ou des croyances plus ou moins fausses. En effet, c’est encore l’époque où les femmes qui se prostituent vont être considérées par l’empereur qui ne sait pas faire la différence entre argent propre et argent sale car il ne sait peut-être pas combien il est difficile de pouvoir obtenir la confiance de banquiers qui pour prêter en conscience se sont normalement débarrassés de leurs égoïsmes d’enfant-gâtés au préalables étant donné que c’est une véritable science[36]. Toutes les explications concernant le bien fondé de l’Etat et des comptes comme de la monnaie lui sont étrangères puisqu’il croit possible transgresser les lois internationales bancaires en permettant à l’Allemagne de faire de la fausse monnaie ou en s’emparant chez les voisins des instruments quasiment sacrés qui permettent de fabriquer ces monnaies[37]. Le monde, ayant en ces époques là, de graves difficultés à communiquer et à expliquer est partagé entre d’un côté ce qui est licite et de l’autre ce qui est illicite, par conséquent virtuellement à transgresser, sans comprendre les raisons pour lesquelles le légitime à sa raison d’être et à partir de quand l’illégitime existe. Nous avons donc un véritable conflit (écartèlement) qui se concrétisera dans la réalité elle-même sous forme de malentendus et haines qui sont malvenues, car elles ne voient le jour qu’en raison du fait qu’il y a des informations qui manquent des deux côtés, mais aussi chez tous ceux qui se croient lésés en raison de l’opulence, à première vue, de ceux qui, instruits, ou plus instruits, n’ont acquis cette légitime opulence que pour essayer de permettre aux moins instruits, à ces quantités énormes de travailleurs manuels, ou à ce peuple, d’accéder petit à petit à cette richesse[38] qui n’a comme objectif que d’être au service des plus démunis. Mais les contrastes sont tellement importants et les personnes démunies qui sont si pauvres au lieu de se réjouir qu’il y ait des riches qui œuvrent tous les jours pour, en devenant toujours plus riches, permettre aux pauvres de commencer à s’en sortir, leur en veulent en raison de l’impression qu’ils ont que ces personnes disposant d’un meilleur confort ou de vie à première vue plus excitantes à vivre que les leurs trouvent injuste qu’elles aient ce qui résulte d’une accumulation d’efforts et de connaissances d’ancêtres s’étant chacun débarrassés à un moment donné de l’enfant-gâté, ne serait-ce que pour donner cette chance à un futur douanier ou l’une ou l’autre de ces personnes qui n’ont que des compétences de travailleurs manuels, mais qui se sont retrouvées pères de famille avec des obligations et des besoins d’honnêtes gens.       

Mon père allait être dans les années 2005 arrière grand-père pharaon et je m’adressai du futur à 1965 comme à 1975 à un homme que j’avais pu voir à plusieurs reprises dans l’exercice de ses fonctions conseillé par ma mère l’aidant de son mieux et c’est pourquoi, comme ce qui se passait était en raison de mon anneau immaculé de mariage auquel je m’étais préparé sans tricher (comme eux), il était probable qu’en 1965 et 1975 son prédécesseur comprenait enfin qu’il s’était vraiment trompé tout au long de son existence, mais a très certainement été content que du futur je le protège et je trouve un homme aussi compétent que mon père, bien au courant de tout comme ma personne à préparer dès 1965 (donc tout petit) pour prendre le relais de l’empire et le couvrir, lui, mort, comme couvrir napoléon premier (cela s’était passé comme cela, la transmission impériale jusqu’à moi) et les empereurs précédents. Il est probable qu’à partir du moment où adolph hitler a été certain que l’empire avait un successeur providentiellement trouvé par mes soins en la personne de mon père (par ma personne qui n’avait d’aucune façon le choix pour autre chose) il ait décidé de se donner du mal, tout en continuant à administrer la planète le mieux possible en suivant tous les conseils de mon père (qui venaient du futur de cette partie de moi-même qui, virtuelle, intervenait avant même d’y être pour sauver la situation, puisque j’avais à me marier et que j’étais empereur). Il est probable qu’adolph hitler ait cessé de chercher à détrôner les souverains établis localement depuis longtemps légitimement, bien que je n’ai pas suivi en détail tout ce qui s’est passé depuis 1977, ne m’intéressant pas à la politique à cause de l’amnésie dont j’étais victime et ayant appris que la fin de la guerre froide était terminée, mais n’arrivant pas à très bien comprendre en raison de mon âge, quatorze-quinze ans, ce qu’on entendait par guerre-froide. En effet notre génération n’était en guerre avec personne ni celle de mes futurs neveux et donc ce qui s’était passé ne me paraissait pas encore très compréhensible et cela d’autant plus en raison de l’amnésie dont j’étais victime bien que cela était déjà dans nos livres d’histoire comme des choses importantes à savoir que j’étudiais en diagonale (car cette époque proche de ma naissance, contemporaine (1920 à 1965), en dehors qu’en art, ne m’intéressait pas, en Histoire – je trouvais que c’était trop affreux et que cela n’avait pas d’intérêt car inconcevable sans l’absolue certitude qu’elle était le résultat de la folie – au sens maladif de ce mot – de cette personne qui en avait hérité en se privant de « bon sens »).

Je faisais donc mes études et sans savoir aucunement que j’allais être empereur dans le futur, ce qu’un apprenti empereur devais faire. J’allais conseiller mon père (donc les empereurs précédents) de faire ce qui avait été fait et dont j’avais pu prendre connaissance dans le futur avant même d’y être, puisque depuis qu'il était enfant, comme le poète véritable qu’il est, mon père a cherché, malgré le traumatisme de la Seconde Guerre Mondiale, qu’il a surmonté d’autant plus facilement que son père, blessé à Verdun avait surmonté les traumatismes de la Première Guerre Mondiale, à rendre heureux le monde entier, en se préparant sérieusement, comme son père, avant lui, à son rôle de père de famille y compris d’homme marié, donc à sa tâche de père conscient, qui avait pu se débarrasser de l’enfant-gâté en lui, comme beaucoup de gens ayant eu à vivre ces moments-là de la Première Guerre Mondiale comme de la Seconde. A son échelle d’empereur, l’une comme l’autre guerre, mais surtout la Seconde, en raison à première vue, des dates de son prédécesseur, adolph hitler, avaient été causée par l’avènement de son prédécesseur qui, par contre, n’a pas pu se débarrasser (malgré la guerre) de son enfance et de son adolescence ou de l’enfant-gâté, au mauvais sens de ces mots, ni avoir le temps de connaître l’ouverture de son esprit avant de devenir empereur, étant donné qu’il a été certainement arnaqué par les ménades, comme un certain nombre de ses prédécesseurs pour revêtir cette fonction d’empereur, en raison de ce sarcophage qui a peut-être eu une fonction protectrice, y compris dans le passé, en raison d’un canonique qui s’est peut-être déroulé à l’époque du premier des pharaons qui a forcément été choisi par des femmes très ignorantes (médicalement aussi) et les ancêtres des ménades, par conséquent par des femmes « voraces », sexuellement parlant, recherchant leur plaisir personnel plutôt que le bien être de l’autre et ne sachant plus lire que dans des à-premièrevues sensuels ce à quoi la réalité obéissait, y compris le rôle qu’elle devait avoir en famille, puisque cela faisait certainement longtemps que la vieille salle des machines appartenait à celles-ci, les autres étant considérée à tort et de façon aveugle (de façon animale) des « rivales » à soumettre et à rendre « esclaves » étant donné que celles-ci appartenant à la vieille salle des machines étaient profanes, (sans esprit), et ne fonctionnaient qu’instinctivement, donc sensuellement seulement, d’autant plus qu’à l’époque il n’y avait que peu de langage écrit en dehors des traces des peintures rupestres qui étaient des représentations et non des mots et qui n’ont pu être peintes que par des personnalités s’étant débarrassées chacune de leur enfance et de leur adolescence, au mauvais sens de ces mots, par conséquent qui ont connu l’ouverture de leur esprit (car considérées esclaves des autres leur ayant imposé des choses pénibles et inadmissibles) puisqu’elles ont même réussi (c’est grâce à leur esprit qui s’était ouvert et qui leur a permis de trouver les solutions élégantes dans la nature elle-même) à inventer la couleur et qu’elles ont réussi à traduire, par le dessin et la forme, peut-être seulement par amour et pour faire plaisir aux enfants, des choses vues et mémorisées dans la nature – donc il s’agissait d’êtres semblables aux peintres contemporains ou proches des peintres dits capables dans les « arts premiers » (un des musées que j’ai conseillé de construire du futur à travers le temps porte ce nom (et qui avait été déjà construit en 2005 quand je me suis adressé à 1975). Il a permis de rassembler l’art pour montrer des œuvres dans cette catégorie à laquelle Picasso s’est référé, comme bien d’autres monuments de l’art du XXème siècle, y compris André Breton, durant la mode des masques africains).

En raison d'innombrables détails que vous découvrirez, si vous avez le temps, dans mes autres textes et pour ces raisons, l’empereur précédent mon père (confirmé à cette place en 1976 par moi-même empereur le suivant), a été reconnu comme tel, comme moi enfant, par adolph hitler lui-même à Rome[39], je me suis souvenu de cela en 2005-2006 même si jamais je n’ai su qu’il s’agissait de lui, car s’était alors un très vieux monsieur pour moi qui n’avait que treize-quatorze ans et c’est pour cela que je me suis souvenu en 2005 que j’avais absolument à nommer mon père empereur en 1975-76 car sinon je ne pourrais pas le trouver avant moi dans le sarcophage des empereurs après napoléon premier et ce monsieur adolph hitler, qui, à ce moment là, n’était plus pour moi, l’adolph hitler assassin, mais une vieille personne, ayant certainement eu à vivre de nombreuses choses après l’intervention du Débarquement. Quelques mois après j’ai compris que je devais intervenir de 2005 vers 1965-1966 car nous n’étions pas encore parti pour Rome là où en 1965 nous y étions (puisque les Portes du Temps s’étaient ouvertes en raison de ma personne pharaon dès 1965, à cause de mon anneau immaculé de mariage) et il fallait donc encore que nous y déménagions absolument avant mai 1968 – où certains auraient pu risquer d’en vouloir à mon père qui était pharaon après adolph et donc à moi[40]. adolph hitler avait conduit avant ma naissance le monde à la catastrophe[41] en contraignant son petit-fils pharaonique, moi – deux empereurs après - à contraindre mon père, en empereur, à sauver la planète toute entière et l’Empire, puisque dans cette histoire nous nous sommes retrouvés les empereurs suivants en ayant été contraint de le vouloir en légitime défense mais contraints par l’Histoire, à cause d’une situation générale que j’ai pu vérifier bloquée et en fait les uns et les autres les victimes de l’Histoire, mais celle-ci sauvée par mon anneau immaculé de mariage.

On ne peut pas reprocher à mon père de s’être marié en vérité, après la Seconde Guerre Mondiale, avec les êtres humains de sa génération en ayant eu tous l’espoir de créer un monde différent et si possible délivré de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot[42], et on ne peut pas me reprocher d’avoir cru petit dans le mariage et la famille que mon père avait constitué, ni dans l’anneau de fiançailles de mes parents. Il s’agissait donc d’un anneau de mariage canoniquement échangé avec ma mère, dans ce cas de figure de la Création, où les ignorants, au mauvais sens de ce mot, étaient donc devenus coupables, depuis le premier empereur, fait peut-être alors canoniquement et d’une façon cohérente par rapport à la situation en ces époques-là qui n’avaient pas encore vu apparaître les différentes améliorations ou religions qui se sont révélées sur l’ensemble de la planète comme utiles pour progresser jusqu’à l’après Seconde Guerre Mondiale, des empereurs étant peut-être devenus coupables d’avoir bloqué, à cause de ce canonique-là de ces époques-là, le système tout entier (depuis la nuit des temps) et cela s’est peut-être passé à cause d’un problème qui a fait qu’une des femmes de l’époque en question, celle qui n’a plus eu, comme ses semblables accès à la vieille salle des machines, à moins qu’il s’agisse d’une inimitié et une dispute entre des garçons de ces époques très lointaines, ce qui a déclenché non seulement le désert du Sahara, avant le Premier Empereur[43] mais aussi l’Aventure Humaine jusqu’à nos jours avec, probablement, des répercussions de cela, génétiquement, sur adolph hitler qui n’a peut-être pas compris qu’« art » était synonyme de « vie» - il faut dire que moi non-plus tant que je fus profane et pire que je me suis pris pour Satan ou la Mort en personne quelques fois de 1995 à 2005 assez régulièrement[44] avant de réussir à comprendre que j’étais le bouddha Satana[na!]nas[45] (ce qui est différent) et j’ai d’ailleurs pris ce nom à la suite des autres que je me suis donné en tant qu’empereur pendant la découverte de la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale quand j’ai dit qu’elle pourrait permettre d’échanger des devises et d’avoir par exemple des ananas du Costa Rica à Paris, puisqu’on pouvait les acheter frais pour la chaîne de magasins ED que j’ai eu aussi à créer (à travers le temps) en en dictant les principes, car j’aurais à m’y fournir en tant que profane pendant des années avant soudain, un matin de 2004, d’avoir à comprendre que c’était une vraie bonne chose d’être client près de chez moi et d’avoir plus tard, après avril 2005, à découvrir que c’était une des milliers ou plus de choses que j’ai dictées à partir de 2005-2006, donc que j'ai eu à fonder à travers Espace et temps, avant d’y être et d’avoir à le vérifier en chair et en os pendant des années y compris trente ans plus tard - mais peut-être adolph hitler a-t-il eu un problème cérébral à un moment donné quand il était un fœtus[46], ce qui est probable, ce qui explique qu’à partir du moment où j’ai recommencé à tenir compte de tous les paramètres avant de juger ou de condamner quelqu’un, ce qui s’est produit à partir de 2005, nous avons vraisemblablement contribué à éviter de loin, du futur, la mort même d’adolph hitler, pendant la Première Guerre Mondiale, comme celle de nombreuses personnes qui pour certaines personnes ne tenant pas compte de ce paramètre qui en faisait un handicapé, par conséquent à protéger, comme on se doit toujours de protéger les handicapés, en toute cohérence avec mon propre parcours qui en a bénéficié, puisque moi-même ayant obtenu vers 2007-2008 ce statut d’handicapé depuis que j’ai eu plusieurs problèmes causés par le fait que j’ai retrouvé ma mémoire après vingt-sept ans d’amnésie, en 2005. Il y a aussi que, durant ces vingt sept années d’amnésie, avant l’année 2005, j’ai eu plusieurs problèmes et quand j’ai retrouvé ma mémoire, j’ai eu non seulement les séquelles de vingt sept années d’amnésie et tous les problèmes psychiques traversés, mais ceux que j’avais eu à traverser lors de ma première amnésie entre 1972 et 1975, mais malgré tout cela, il a fallu que je trouve les forces pour sauver la planète tous les jours, à partir de 1965 et de nouveau à partir de 1975 (2005), y compris en ayant là-bas en 1965 comme en 1975 les séquelles de ce que j’avais eu à endurer avant psychiquement parlant, puisque je m’étais à chaque fois débarrassé de l’enfant-gâté (de l'adolescent, de l'égoïste) en moi et que cela, comme l’ouverture de l’esprit, est particulièrement éprouvant à vivre, ce qui s’est reproduit à partir de 2000 petit à petit jusqu’à avril 2005, où, me retrouvant enfin totalement moi-même, je recommençai enfin à tout comprendre de tout, sans un électron d’erreur, ce qui m’a permis de donner le nom d'adolph hitler en 1965 et 1975 grâce à mon père, puisque j’ai compris que j’étais allé plus rapidement que la vitesse de la lumière et peut-être même plus rapidement encore que la Création elle-même en me trouvant en virtuel à partir de 2005 bien avant 1965 et 1975, en raison de la naissance de ma promise légitime première épouse, dont Dieu m’a rappelé le prénom, ce qui a déclenché la fin de mon amnésie et le début de ces communications à travers Espace et Temps qui confirmait mon père empereur avant moi - il fallait donc pour cela le consentement du précédent).

Tout cela nous permet aujourd’hui avec ces mariages impériaux de tenter de résoudre le vaste problème qui s’est posé depuis la nuit des temps ce qui a créé l’injustice, les déserts, les malheurs, les maladies, la vieillesse, etc. y compris la mort et ce qui a créé aussi les préjugés, les mensonges, les calomnies et les situations de théâtre les plus tragiques comme les plus drôles, mais aussi les différentes façons bien arrêtées d’élever les enfants, suivant les différentes classes sociales et cela pour arriver à résoudre le problème qui s’est créé. Nous bénéficions néanmoins, à cause et grâce à ce sacrifice, pour y travailler de nos jours, d'Internet et d'autres gadgets (au sens positif – moi j’aime les gadgets[47]) innombrables dont j'ai transmis la faisabilité avec des détails pour les élaborer avec, par exelmple, l'ensemble des écrans plats et des ordinateurs comme des web cam, ce qui a fait changer grandement, en trente ans seulement, l'époque qui est plus que totalement nouvelle pour les enfants qui viennent d’y naître et qui trouvent, comme nous avons trouvé chacun d’entre nous, y compris adolph hitler à son époque, normal, ce qui s’y trouve alors que pour arriver à ce résultat, y compris à celui qui n’était que la douane de son père, il avait fallu tous les progrès de l’Histoire comme un grand nombre de conflits qui pouvaient alors se résumer peut-être entre d’un côté les partisans de l’empereur (l’ignorance, au mauvais sens de ce mot[48]) et de l’autre les partisans des rois consacrés par Dieu dans ces époques durant lesquelles il n’avait pas encore été possible d’abolir la peine de mort, étant donné que ces personnes chargées d’administrer les territoires qui étaient les leurs royalement n’avaient plus de rapports qu’inamicaux avec les profanes ou les espions impériaux, car ils étaient chacun comme des prisonniers dans les châteaux où ils étaient espionnés, en ayant comme charge celle de gérer l’ensemble de la société en ces temps là, en ne sachant peut-être pas très bien alors non plus ce qu’était ce mot de Dieu, bien qu’ils ont fini par comprendre, en Occident, qu’il était certainement ce Jésus Christ, pour de multiples raisons, en oubliant parfois chacun de pardonner « soixante dix sept fois » à ces profanes mal élevés, y compris insolents, irrespectueux, capables de toucher les épouses de ces personnes, provocateurs et ignorants, au mauvais sens de ce mot[49], au point d’être devenu ce peuple de profanes, parfois même sacrilèges, athées et aux mauvaises manières, mauvaises mœurs et le corollaires des mots qui vont avec du point de vue de ceux qui s’étaient délivrés de cet état de profane, en ayant découvert l’existence de la conscience, de la vérité, de la justice et des alexandrins en poésie, ce qui donnait la preuve de l’existence de la mesure et des lois y compris dans chacune des langues.   

Mais les enfants, comme nous-mêmes enfant, sans savoir tout cela, trouvent normal, à chacune des époques, toujours tout, autour d’eux et ils attrapent ainsi, à chaque fois, les préjugés de leur époques et en deviennent des enfants-gâtés, en raison des contextes familiaux auxquels ils appartiennent, parce qu’ils oublient qu’il a fallu les millénaires d’Histoire et de commerces (souvent) internationaux honnêtement faits pour arriver à disposer de la télévision ou de la radio ou d’autres choses utiles en cuisine ou à l’école comme un tableau noir. Mais l’époque permet, je l'ai appris avec plaisir, à ceux qui le souhaitent de suivre la messe à la télévision, ce qui leur permet au moins de s’informer pour ce qui est, pour eux, une des nombreuses catégories[50] à leur disposition : la « religion » comme il y a des « films de guerre », d’amour, d’aventures, érotiques (attention, si ceux-ci le sont trop, il peuvent conduire les spectateurs à obtenir l'une ou l'autre des réincarnations tragiques, malheureuses, tristes, cauchemardesques, voire honteuse) etc. Le risque c’est qu’ils n’arrivent pas à comprendre que la religion, cela n’est pas seulement un film ou une fiction : c’est aussi avec bien d’autres éléments un état d’esprit, ce qui signifie ensuite qu’il faut avoir des comportements cohérents dans les actes quotidiens et dans les relations avec autrui y compris les membres de sa famille.

D'autres progrès ont été possibles grâce à ces transmissions à travers Espace et Temps dont vous aurez un jour le résumé – on le trouve dans une première version dans un de mes vœux pour la nouvelle année - et ces progrès ont été possibles en médecine (entre autres les scanners) puisque tout ce qui a été fait depuis 1975, nous le devons à ces nôtres transmissions (c’est pourquoi tous, sur cette planète, nous doivent tous les cadeaux de Noël depuis le premier walkman dont j'ai dicté à travers espace et temps le principe et dont, en fait, j'ai eu l'idée assez en détail dès 1965-66 en découvrant un vieux magnétophone qui traînait chez mes parents - donc tout cela est en fait une très vieille histoire – ces communications à travers espace et temps qui datent de 1965 à 1972-73, plus de 40 ans (et presque 50 ans en 2015!), ce qui signifie, de façon exacte et sans un électron d’erreur, qu’il existe bel et bien le cas de figure de la Création où l’Univers parachevé existe, mais celui-ci ne pourra être rejoint que seulement si, nous rejoignons le cas de figure de la création dans lequel on cesse d’être en infraction pharaonique car, très certainement, pour chacune des fractions de seconde qui passe où l’Ensemble continue à être en infraction pharaonique vis à vis de moi car le variateur de la vision d’Atlantide ne m’a pas été rendu pour que je commence le programme mathématique et logique de restitution la vision du Paradis, nous nous éloignons toujours plus du cas de figure en question et nous allons, malgré tous les efforts d’un grand nombre de personnes de bonne volonté, vers les cas de figure qui concerne pour chacun l’ensemble des Apocalypses qui ont été déclenchées dès l’instant où il y a eu infraction pharaonique, rejet et exclusion de l’autre dans la salle des machines, c'est-à-dire, dès cet instant de division et d’occultation qu’il y a eu sur du long terme de la vision d’Atlantide !

Tous ont pu vérifier que je me suis préparé en vérité[51] à ce mariage entre ma naissance et 1965 y compris ensuite - vous verrez d'autres informations sur cette histoire plutôt incroyable et assez merveilleuses pour ceux qui aiment les contes de fées ou les histoires d’amour suivront : d'autres détails - ce qui fait qu'avec du recul, même si j'ai rompu officiellement mes fiançailles avec Michèle Finck, j'ai l'intention de les rendre de nouveau au moins virtuellement de l’ordre du possible et officielle un jour dans le futur – j’ouvre donc la porte de nouveau à cette possibilité, bien que je sois prêt à la refermer aussitôt si la situation l’imposerait de nouveau. C’est que j’ai compris vers 2010-2011 qu’il y a eu de véritables difficultés pour Michèle à ce qu’elle comprenne puisque dans son état c’est vraiment difficile, voire impossible de comprendre et si j’ai rompu c’est qu’elle avait fait tellement bien semblant d’être « initiée » ou de comprendre que je croyais moi qui était devenu profane et qui n’en savait rien qu’elle avait compris et qu’elle était vraiment ma fiancée, quand soudain j’ai compris qu’elle n’avait fait que « semblant de l’être et de comprendre », parce que, dans son état, elle n’y arrive pas encore (c’est une profane – par conséquent contrainte à faire semblant) et c’est pourquoi comprenant cela j’ai finalement eu à devoir en rire car sinon j’en serais mort de chagrin (il s'agissait des enfants que j'attendais en Immaculée Conception de Christine) ou je me serais suicidé, aussi malgré l’épreuve, je n’ai fait qu’en rire (bien que j’ai été quelques temps sérieusement fâché contre elle puisqu’il m’a fallu au moins cinq années pour comprendre qu’elle avait été obligée de faire semblant de comprendre et qu’elle a peut-être été l’objet de chantage au départ – cela je ne l’ai su exactement qu’en 2012 – sept ans après, de façon sûre, à propos d’une autre chose qui m’a permis de découvrir que la vieille salle des machines étaient utilisée à cette fin (pour intimider), ce qui est non seulement inconcevable, mais totalement contraire à tout ce qui découle de toutes les lois juste ou de tous les principes éthiques ou philosophiques, y compris ceux qui sont inhérent à l’amour, ce qui m’a permis de comprendre que Michèle, n’ayant pas pu me le dire, à cause de la loi du silence, vit peut-être dans la peur depuis qu’elle est petite[52]) et c’est pourquoi, n’étant pas chrétien en cela, mais trouvant cela juste après ce que j’ai eu à subir comme injustices, je ne suis plus que joyeux et que rire sur chaque chose car en fait toute cette histoire est tellement triste qu’on ne peut qu’en rire de bon cœur d’autant plus que Michèle (bien qu'en partie profane) avait fini par un peu s'y préparer sérieusement de son côté à ce futur anneau de mariage puisqu’elle me voyait si déterminé de mon côté ! Et c’est pourquoi ce serait drôle et joli si tout cela finissait par lui permettre d’arriver au moins en vérité à cet anneau de mariage ou du moins pour commencer au moins à un vrai anneau de fiançailles (attention, après il y a le risque de la rupture jusqu’au suivant). Mais cela signifie aussi qu’on est comme en 1965 (en 1973 donc à cette date-ci) et si, à l’époque, cela aurait pu advenir plus rapidement ce véritable mariage[53], il y a eu aussi les nouvelles chances qui ont été données à partir de 1975 : cela aurait pu donc avoir lieu notre mariage avec elle vers 1990-95 sans que nous ayons à quitter Rome pour la Suisse, Michèle venant à Rome finir sa scolarité et moi pouvant demeurer marié avec Christine, si l’Ensemble s’était refusé comme je l’espérais à chaque instant en 1975, tous les jours, à nous faire accomplir de nouveau ce sacrifice de notre séparation maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) d’avec notre promise légitime et première épouse (SSS les impératrices Christine ... Lang) dont on avait connu le nom donné du futur, d’autant que nous l’avions fait une fois de 1965 à 1975 où j’ai fini par avoir mon premier baiser de Christine et que l’Ensemble avait pu comprendre que j’étais redevenu moi-même, prêt à me marier avec Christine. Si les gens avait compris que nous n’étions pas hostile Christine et moi à un « pourquoi pas » comme seconde épouse avec Michèle, quand cela aurait été possible, d’autant plus que Christine aurait fait le nécessaire à cette fin, en réussissant à passer au-dessus de ses préjugés (qu’elle n’avait pas en 1965) et des miens pour ces raisons d’Etat impérial à unifier de même que pour calmer les choses j’ai eu à demander, malgré mes préjugés et les siens au sujet du mariage, du futur, à François Mitterrand, d’être capable d’assumer ses relations extra-conjugales au point qu’il en a eu une fille (en fait d’une certaine façon pour calmer les choses) et pouvoir seconder mon père pour la question française, étant donné que mon père avait, à ce moment là, le monde entier à gouverner y compris sa famille et à veiller sur les histoires sentimentales de ses enfants qui étaient alors en âge d’avoir leurs enfants, sans pouvoir compter sur moi car, amnésique, j’étais parti faire une drôle d'exploration de l’inconscience[54] ! Comme j’étais en légitime défense dans le futur (d’habitude je ne me mêle pas des mariages et des histoires sentimentales (des petegolezzi), mais comme, dans ce cas de figure, j’étais un peu fier d’avance de mes neveux et de mes nièces[55], j’ai découvert avoir eu à trouver le mari de ma sœur et les femmes de mes frères du futur et en avoir signalé (en les transmettant à travers Espace et Temps) les noms à partir 1965, ce que j’ai appris avec grand étonnement à partir des années 1975 aussi, et l’Ensemble ayant pu vérifier que dans le cadre de mes démonstrations appelées "Après-midi d'un faune" j’avais fait mes bêtises à partir de 1973 en ayant progressivement une amnésie totale de tout ce qui s’était passé avant 1973, jusqu’à 1975, donc amnésie de ces interventions concernant la descendance de ma sœur et de mes frères puisqu’elles allaient venir si Michèle ne profitait pas de la situation pour changer, ce qui s’était passé pour elle entre sa naissance et 1965-1972, ce que Christine et moi avions été contraint de lui offrir comme possibilité pour comprendre, étant donné que plus âgée et d’un contexte troublé par les répercussions de la Seconde Guerre Mondiale, elle avait des préjugés de grande sœur et se prenait pour l’impératrice à la place de l’impératrice, [comme] sa petite sœur Christine (mais comme nous avions compris cela, Christine et moi, nous nous étions dit que peut-être elle pourrait en fait devenir impératrice aussi, mais après notre mariage et cela non seulement parce que nous n’avions pas de préjugés à cette âge-là où Christine avait environ un an et moi deux ans et demi, mais aussi parce que nous ne sommes pas du genre à interdire la possibilité d’une évolution à une personne (Michèle) qui comme une grande sœur s’est retrouvée victime et coincée dans un contexte familial à devoir faire localement à la fois une involution en même temps que grâce à l’instruction et à la scolarité, elle bénéficiait de ce qu’il fallait pour avoir la chance de faire une évolution et grandir enfin pour comprendre un jour qu’elle s’était mis en tête, au sujet du mariage impérial, dont elle cherchait à être l’impératrice, un certain nombre de choses qui, en raison des circonstances et du canonique, comme de la chronologie des évènements, ne pourraient pas être selon des schémas habituels, mais selon ceux que mon génie retrouverait comme possible en raison de ce que la logique de la situation imposerait vers 2011-2012 (1971-1972) quand je serais de nouveau arrivé, dans la succession des instants de ma vie, à ce point synchronisé (en raison de mon anneau immaculé de mariage) avec ces années précédentes et cela parce que j’avais compris vers 1972 qu’un empereur a le droit d’avoir plusieurs épouses légitimes (ce qui nous a été confirmé par la suite y compris au cinéma – mais je n’ai pu être certain de cela véritablement que vers 1972-1973 (donc ce qui correspond à 2012-2013) et pas avant, car avant j’étais trop petit, car même si je passais de bras en bras, je ne voulais qu’une seule épouse, je vivais dans un contexte qui était occidental et qui ne concevait le mariage que monogame, aussi c’est grâce à tout ce que j’ai réussi à apprendre à l’école de façon certaine, y compris en logique et en canonique, y compris sur les musulmans mais aussi sur le bouddhisme que j’ai pu envisager ces deux mariages que dans le cas de figure de la Création où j'aurais été élevé dès 1965 avec Michèle et Christine j’espérais possible vers la fin 1972, mais comme aucun des adultes ne comprenait et que tous me disaient que j’étais encore trop petit pour me marier alors que j’avais déjà neuf ans, j’ai dû renoncer à mon projet et accepter de devenir amnésique vers la fin 1972 pour faire mes premières bêtises et montrer comment dès qu’on devient amnésique on se conduit de façon pas très intelligente, voire on se permet des choses qui sont inscensées (insensées + incensées) et comme des trahisons vis-à-vis de sa femme promise et légitime, c'est-à-dire vis-à-vis des devoirs qu’on a vis-à-vis de ses enfants. J’ai comme cela fait un certain nombre de bêtises, perdu la mémoire du fait que j’étais omniscient depuis 1965, et suis devenu un à moitié crétin en très peu de temps, puisque j’ai fait ma Première Communion en un à moitié imposteur, tricheur, menteur, donc en renégat de mon baptême dont je ne comprenais plus le sens ni même la raison d’avoir été y compris de l’Eglise et des mariages puisque j’avais totalement oublié que j’étais promis à une petite fille, mais comme ma chienne a volé ce Caprice des Dieux et que cela m’a donné matière à penser (j'ai compris que le vol était à l'origine des réincarnations en chien, d'autant qu'elle s'en repentait en ayant recraché le fromage et en s'étant mise sur le dos), je me suis mis de nouveau à penser justement dans le bon sens par rapport à toute chose, ce qui m’a permis de faire ma Confirmation en personne loyale, ce qui a fait intervenir Dieu, et puis moi-même dans le ciel avant même d’y être, comme célébrer en vérité 1975 comme l’année Sainte qu’elle était, puisque c’est le cas tous les vingt cinq ans (et que l’heure, comme les secondes étaient confirmées dans leur exactitude universelle et cosmique par ces miennes apparitions alors seulement virtuelles du futur d’autant plus que là-bas où je n’étais à ce moment-là qu’en virtuel, j’avais des confirmations du Grand Architecte de l’Univers avec l'ordinateur dont je me servais régulièrement sur/dans les heures, sur les minutes ou sur les secondes, ce qui a permis de mettre au point, avec celui que j’étais dans le passé toute une série de tests inscrits sur les papiers qui pourraient peut-être, une fois que nous aurons le temps pour y réfléchir, contribuer à rendre plus facile, les voyages dans le temps, vers ces années passées, quand viendra le moment, ce qui pourrait permettre peut-être des choses curieuses. Mais ces tests ayant été faits en virtuel, il n’était pas nécessaire de les rendre réels et Christine et moi aurions pu nous marier, et refuser de faire ce sacrifice, ce que j’ai proposé, mais tous ont voulu vérifier (y compris elle – ce qui m’a déplu) que ce serait bien moi l’immense pharaon dans le ciel, bâtisseur de tous ces ponts, de tous ces gratte-ciels, de cette immense Nouvelle Donne Internationale Mondiale dictée et qui gère à chacune des fractions de secondes des milliards de milliards de milliards de paramètres dans tous les temps, sans même avoir à être dans les endroits en question, tout en ayant ma propre vie et chacun de mes problèmes à surmonter en associant à un tel honneur chacun des êtres humains, mes frères ou de mes sœurs de bonne volonté, qui ont voulu servir aussi bien qu’ils ont pu un tel empereur. Hélas tout le monde est devenu coupable en exigeant de moi une seconde fois un tel sacrifice et de tels efforts de ma part. D’autre part, j’ai pu vérifier que c’est avec préméditation que l’Ensemble m’a contraint à faire chacune de mes réincarnations pour se permettre de pécher envers ses enfants ou autrement et qu’il y a eu le problème qu’il y a eu dans la vieille salle des machines, comme le déclenchement de ce cas de figure de la Création. Aussi je ne suis coupable que de m’être entêté à vouloir arranger les choses comme à avoir voulu trouver chacune des solutions élégantes, étant donné que j’ai pu vérifier que les lois canoniques cosmiques universelles existent belles et bien et que l’Ensemble m’a demandé de les vérifier moi-même y compris celles qui concernent l’anneau immaculé de mariage. Si celui-ci existe à l’intérieur, il existe aussi à l’extérieur et certains oiseaux l’ont bien compris puisqu’ils font d’eux-mêmes un nid. C’est pour cela que j’espérais un peu que les gens comprennent qu’il n’y avait pas d’intérêts pour personne que je sois contraint une nouvelle fois avec Christine, canoniquement, à partir de 1977, à montrer de nouveau ce qu’un homme va avoir à souffrir en raison d’une amnésie (il y avait eu celle des démonstrations nommées "Après-midi d'un faune" qui devait décourager à la réitération du sacrifice maçonnique) ou d’une infidélité à sa promise légitime en se permettant, à cause de cela de faire des bêtises qui pourtant se sont avérées canoniques – puisque tous étaient prévenus d’avance de la plupart d’entre elles pour éviter qu’elles n’occasionnent des séquelles sur les jeunes filles dont je me suis souvenu des noms (mais on en subit les conséquences avec, à chacune des fois qu’en s’en permet une seule, aussitôt la fermeture de son esprit ou du moins des dommages à son cerveau en raison des inepties. Le retour à enfance et à l’adolescence ou à l’enfant-gâté devient une véritable charge pour l’Ensemble puisque c’est ainsi qu’on devient une sorte de parasite pas très productif et un désert : une personne faisant semblant, par conséquent un imposteur, un usurpateur et le corollaire. C’est cela que l’Ensemble a donc exigé de nouveau de moi en devenant alors tous vis-à-vis de moi, à chacune des fractions de seconde, lèse-majesté impériale pour la seconde fois, ce qui m’a fait beaucoup de tort et de peine comme occasionné beaucoup de maux car j’ai dû apprendre à mal me conduire en me contraignant ainsi à me rendre sacrilège et profane de moi-même, y compris athée et le corollaires des mots qui vont avec, sans tricher, au point même que l’omniscient que j’avais été à partir de 1965 et de nouveau à partir de 1975 ait, à partir de 1977, à redevenir un ignorant, au mauvais sens de ce mot et à vérifier, encore une fois, ce que j’avais vérifié entre ma naissance en 1963 et 1965 comme entre 1973 et 1975 avec la seconde amnésie que c’est bien l’amnésie et les amnésies qui ont rendu les uns et les autres plus ou moins déficients, voire crétins ou imbéciles ou à d’autres moments en tout cas profanes, par moments sacrilèges, strictement athées, uniquement laïcs, ignorants, fautifs, inconscients, menteurs, de mauvaise foi, à l’origine des erreurs, et tout le corollaire d’autres postulations malheureuses et intéressés à cause de cela par les inepties au point de créer un fossé immense entre, d’un côté, ces profanes et le corollaires d’ignorants, au mauvais comme au bon sens de ce mot, et de l’autre côté les initiés, ignorants eux aussi au bon comme au mauvais sens de ce mot, mais toujours en adéquation par rapport à ce que la situation exige dans l’intérêt de tous, y compris des autres, malheureusement devenus prisonniers de ceux qui ont eu accès à la vieille salle des machines et qui à cause de cela se sont dégradés cérébralement en devenant toujours plus minuscules, inconscients profanes, sacrilèges, etc. ne sachant pas se comporter au point que les autres ont dû inventer tout, dont le langage de la signalisation routière pour prévenir ou chacun des mots pour signifier).

Cette fois-ci, à partir de 2012, cela porte à de plus en plus loin dans le futur les fiançailles officielles qui seraient renouvelées avec Michèle Finck et donc à son mariage encore plus loin (car tout cela est hélas mathématique cosmiquement parlant. Mais j’ai vérifié, en tant que profane, qu’on ne comprend d’aucune façon (le mot d’initié ou ce moment qui permet de passer de l’un à l’autre) comme l’expression ou les mots, car on ne peut pas imaginer qu’il puisse y avoir tant de paramètres liés à l’existence de chacun – ces pages d’encyclopédies (et de nos jours ces pages d'Internet)- à gérer en vérité comme à prévoir d’avance – c’est pourquoi celui qui se permet un mensonge alors que le monde obéit à la vérité et au bon sens ou utilise un mot pour parler en profane va être à l’origine de bien des dégâts –  En raison et malgré la situation bloquée - comme du fait que j’avais été fait empereur depuis dix ans en 2005, j’ai découvert que j’ai été contraint de créer les conditions pour à partir de 1975 apparaître dans le ciel dans le futur auditivement et visuellement avant même d’y être en chair et en os pour vérifier ce que ma bouche avait alors émis comme sons (paroles) alors qu’elle n’était que virtuelle, puisque j’étais comme tout le monde en 1965 et 1975 en chair et en os, c'est-à-dire au moins 40 années avant d’être à l’âge d’homme vu et entendu dans ce ciel, donc encore très enfant, c’est pourquoi, en raison de ces mathématiques cosmiques dont nous avons tous pu vérifier qu’elles existent vraiment et sont d’une précision hallucinantes (c’est pour le moins qu’on puisse dire) et en tenant compte des journées qui se sont déroulées entre 1977 et 2005, on pourrait néanmoins essayer de rattraper le coup avec Michèle Finck (puisque tous les ennuis qu’on a eu proviennent de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot) de façon à ce que Michèle arrive un jour à se débarrasser à son tour de cette enfance et de cette adolescence ou de l’enfant-gâtée, au mauvais sens de ce mot, et peut-être, à son tour, connaître l’ouverture de son esprit, ce qui aurait pu être le cas beaucoup plus tôt pour tout le monde,  si en 1965 ou alors à partir de 1975, on avait compris qu’il fallait éviter de nous séparer d’avec Christine en nous contraignant à ce sacrifice en raison des « préjugés » occidentaux sur le mariage (la monogamie) ou plutôt des coutumes ancestrales sur le mariage (interdisant aux enfants de se marier bien qu’ils soient promis l’un à l’autre), préjugés que nous n’avions pas en 1965, au point qu’à cette âge-là j’étais même capable de me marier avec ma sœur et ma mère y compris ma grand-mère, puisque j’avais découvert quelques temps avant qu’il y avait peut-être une différence : j’étais un garçon. Mais comme dans ma famille il y avait des garçons plus grands que moi, je n’ai pas osé me « marier » avec ces dames ou jeune fille plus grandes (de même qu’avec les garçons ou mon père d’une quelconque façon puisque je déduisais de la situation qu’ils étaient les serviteurs chacun d’une dame, ce à quoi je devais me réserver) étant donné que si je devais me marier un jour (dans ces jours là où j’étais petit, ce n’était logiquement pas avec une jeune fille plus grande que moi car j’étais certainement, comme mon père pour ma mère, je devrais être un frère qui devait protéger une petite sœur. A l’époque comme je m’étais intéressé au biberon et non au sein de ma mère, je ne savais pas qu’on pouvait considérer quelqu’un « marié » autrement qu’en raison de l’anneau de mariage qu’il y avait aux doigts de mes parents, à l’un comme à l’autre, ce que j’ai pu constater très petit: en fait des objets comme ce biberon : par conséquent à étudier et visiblement qu'on ne pouvait pas obtenir facilement - pour la bague).

Je n'ai rien à cacher, comme vous vous en doutez bien, mais je vous demande, Monsieur le Cardinal, puisque cette lettre s'inscrit dans une série d'autres lettres que j'ai à écrire et qui sont elles aussi en partie de droit canonique et donc mathématiques aussi, (y compris, dans une certaine mesure), puisque vous n’ignorez pas que le droit canon est d’une logique implacable et fonctionne heureusement au cas par cas, (ce qui explique la possibilité d’annuler les mariages dans certains cas, y compris surtout dans celui-ci qui concerne le mariage de Christine, ce qu’elle a exigé de moi, alors, comme moi, dans la situation bloquée de 2010, d’autant plus des préjugés occidentaux au sujet du mariage et ne tenant pas compte à ce moment-là encore de tous les paramètres, y compris de mes droits profanes, en tant qu’empereur(-pharaon) à avoir tous les droits, par conséquent à celui d’avoir (si je devais en avoir envie sur ce plan) « un harem », ce à quoi je n’ai que pensé (comme éventualité) que depuis une semaine et pas avant. Il s’agit de l’annulation de son mariage dont elle m’a demandé de me charger étant donné qu’en attendant elle croit être encore une femme mariée et qu’elle a à assumer logiquement ses diverses fonctions en la matière – par rapport à ce que lui a dicté sa conscience et son éducation - dont j’ignore pour l’instant en détail ce qu’elle peuvent lui conduire à vivre comme situation. Sur le plan professionnel Christine est spécialiste de la statistique, entre autre (je ne sais pas grand-chose à son sujet), mais vous n’ignorez pas que celle-ci est une science immense qui peut même intervenir dans des logiciels aussi élémentaires que ceux de traitement de texte comme Word en tant qu’outils, comme je l’avais demandé[56]).

Vous pourriez conserver ces brouillons comme si vous étiez un de mes frères et cela d'autant plus de la situation mondiale dont vous devez avoir conscience peut-être un peu comme Nous ou peut-être pas autant que nous ou peut-être plus que nous, puisque vous êtes allé peut-être à cause de cet acquis de conscience jusqu’au célibat (en raison de l’état de votre conscience à l’échelle globale). Vous avez pu néanmoins vérifier que, malgré mes droits au harem, je n’en profite pas encore (mais qu’il s’agit d’une virtualité que je ne veux pas exclure ni ne peut exclure dans ma situation d’empereur cosmique universel et … y compris empereur des profanes, des sacrilèges, des athées, des laïcs, des ignorants, au SPNM : au sens positif et négatif de ce[s] mot[s]. Aussi pourquoi les décevoir ?). Je suis hélas devenu, à cause de cette affaire une personne plutôt consciente d'un grand nombre de détails dont les êtres humains, heureusement pour eux, ne se soucient guère, d'habitude, ce qui a donc fait de moi dans toutes les catégories possibles et dans toutes les dimensions possibles le véritable chef de tout, y compris de ce Dieu qui, en 1975, est apparu dans ma tête (présenté par mon père) dans ma chambre et a pris la dictée avec moi, comme a convenu de la situation canonique, et puis n’est réapparu qu’à partir d’avril 2005, en me rendant cet élément de mémoire de Christine (ayant déclenché mes interventions à travers Espace et Temps), ce qui m’a permis alors de la retrouver plus amplement et de revivre en chair et en os ce qui s’était passé autrefois en comprenant comment cela s’était passé dans le ciel, à partir de 1975. Ce Dieu est en ce moment le témoin des peines que je prends pour vous écrire, car si j'ai bien avancé, pour nous tous, dans la lettre au Pape, dont je vous ai parlé, comme dans celle au Président Hollande qui s'est avérée nécessaire, et qui est encore en chantier, après toutes ces milliers de pages d'écritures y compris dans d'autres domaines, le calme est revenu, comme ma juste et saine colère (puisque s’était la troisième fois qu’on exigeait de moi que je me donne autant de peines et subisse cette longue traversée du désert en solitaire) un peu apaisée, mais qui n'est pas prête de passer jamais (car il y a de quoi être indigné pour toujours), en raison du fait j'y ai vu toujours plus clair et qu'il y a de bien nombreuses raisons d'être faché, y compris depuis le décès de mon père, en 2012,  et c’est pourquoi à cette heure-ci, je crois l'empire va exiger, plusieurs mariages impériaux, ce que je déplore. Mais nous devrons nous y résoudre, bien que ce soit bien malheureux pour moi qui avais fini par avoir les mêmes préjugés que les occidentaux dans le domaine du mariage (la monogamie), d’autant plus que j’avais été élevé par mes parents qui m’ont donné l’idée d’un couple uni se suffisant l’un à l’autre pour leurs enfants (donc qui m’ont rendu sensibles aux aspects positifs de la monogamie), voire même nécessaires pour constituer une vraie famille.

 l'idée m'est venue

est venu

C’est en allant à Notre-Dame qu’en regardant une des rosaces j’ai été confirmé dans l’exactitude de ce projet, ce qui donne par la suite :

 

:

 

 
 

 

 

 

 

 

 

 

 


Je m’y suis repris à plusieurs reprises ; mais l’idée est grosso modo, de façon légale, et en toute transparence, avec l’accord de l’Église, de créer, malgré ce qui s’est passé, les pétales de ce premier trèfle et déjà, dans un premier temps, de parvenir à construire ce premier trèfle, et cela pour celui à quatre feuilles, ce qui permettrait de construire, la suite légalement autour de Notre anneau de mariage : la rosace donc … (une drôle de plante naîtrait qui de trèfle devient fleur, voire rose, et de chacun des pétales cela sentirait bon, puisque cela aurait été fait sans mensonge et chacun des pétales du trèfle, non pas à l’insu des autres, mais pour permettre aux autres de se constituer).

 

Au début il a, néanmoins fallu que ces trèfles soient en deux pétales :

 

Bien qu’au début nous avions cru qu’il n’y avait qu’un seul pétale, une seule feuille, un seul anneau pour alimenter par la tige le pétale unique de ce trèfle, il y avait un autre pétale à cette fleur ou feuille de trèfle.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


C’est pourquoi j’avais tendance à croire le fait d’avoir plusieurs femmes ou un harem une aberration, un retour en arrière, car la monogamie entre deux personnes instruites (et ayant de la religion) constituait et constitue toujours, à nos yeux, une belle ou la meilleure idée de la famille, au sens parachevée du terme, une de celle qui peut réussir à créer le bonheur autour d’elle, mais ce qui s’est produit (voir ci-dessus le schéma pour essayer de rattraper le coup) nous a conduit, logiquement, à cette situation et comme il s’agit du cas exceptionnel de l’empereur (bien que c’était le cas aussi pour mon père, mais nous étions alors tout de suite après la Seconde Guerre Mondiale et il n’y avait de temps que pour la Reconstruction, aussi beaucoup se sont conduits avec sagesse d’autant plus du poids de la tradition monogamique en Occident – il n’y avait pas l’Orient à un clic de souris de n’importe lequel des ordinateurs branchés sur Internet, par conséquent les interactions des autres cultures et des autres religions n’étaient pas aussi fortes que de

                                   nos jours, avec tous le bien et tout le mal que cela signifie, comme aussi la possibilité de le                   déplorer, mais aussi de nous en réjouir, personnellement, puisque cela permet d’adapter         notre cas (d’empereur) à la situation en ayant les arguments qui sont justes et                        qui tombent sous le sens, en toute cohérence avec notre époque et cette histoire fera, en                  tout cas, un grand bien à certains conservateurs pleins de préjugés - dont la partie de moi-                    même qui avait trouvé le moyen, en raison de l’amnésie dont l’Ensemble s’est rendue               coupable à mon sujet 27 ans, ce qui m’avait contraint à me conformer aux usages, à m’embourgeoiser et à devenir l’un d’entre ces conservateurs à ce sujet, donc si stupide et si ignorant - ce sont donc les surprises ou les imprévus du métier d’empereur que l’artiste multi … que j’allais redevenir, comme en 1965 et 1975, me réservait - d’accepter, malgré ce que nous avions autrefois pris l'habitude de croire juste et suffisant, en raison de la disparition de l’artiste en moi et de l’apparition du conformiste, en raison de la situation exceptionnelle – circonstance de forces majeures – cas particulier pharaonique – et vous êtes normalement, Monsieur le Cardinal, expert en casuisistique en raison des dossiers dont vous êtes chargé – l’étude du cas par cas, comme l’étude et la réalisation de chacune des cases dans chacune des bandes dessinées, nous a mené à trouver ces solutions élégantes pour le scénario pour la suite de ce cas particulier si ézu (abréviation d'exception[nel]) : plusieurs mariages officiels pour le même empereur, plusieurs pétales, avec des épouses différentes, des pétales différents, pour créer une cour autour du pétale Michèle Finck, une fois devenu pétale (d’autant que chacune de ces impératrices que je choisirai aura des droits, puisque cela se ferait légalement de façon transparente (les pétales touchent parfois les pétales d’à côté, qui appartiennent à des tiges différentes, si vous regardez bien un champ de trèfles, au point que dès qu’on prend de la hauteur ou qu’on survole on ne sache de quelle tige ils tirent chacun leur vie et c’est pourquoi ces impératrices ont le droit d’être libres d’avoir l’existence qu’elles veulent du moment qu’elles acceptent d’être spirituellement reliées à moi – ce qui ne signifie pas que nous ayons à obligatoirement dormir ensemble), mais aussi que, vous aurez compris, tous ces mariages ne doivent avoir lieu que seulement pour soigner le pétale Michèle, qui, en fait est toujours en cours de constitution, bien qu’il y ait eu plusieurs ratés (1965, 1975 et 2005) à son sujet (puisqu’en raison des préjugés personne n’a voulu me comprendre alors et nous permettre, avec Christine cela, avant qu’une fois devenus plus qu’adultes en âge, je ne parvienne à créer tous les moyens de m’exprimer grâce à ces ordinateurs et ces logiciels et à faire comprendre que ce qui a été déclenché a, il y a très longtemps, de mon point de vue, compliqué terriblement les choses puisqu’à cause de cela il y a d’un côté le profane et de l’autre côté, ce qui ne l’est pas et qui est si pur que cela a permis de créer la vie elle-même y compris les trèfles que mangent les animaux qui font du lait, voire les roses même seulement « [ros]aces » comme celle qui, sculptée en admirables nervures de pierre, m’a confirmé dans ce dessein que je pressentis intuitivement comme possible depuis que la troisième impératrice s’est imposée dans le cadre auto-psychanalytique pour les raisons que vous découvrirez car je me suis dit qu’avec deux vrais anneaux (deux vrais pétales ou deux vraies impératrices) comme celui que j’ai avec Christine et avec Florence Loewy, je pourrais, d’autant plus que j’ai pu être rendu totalement certain de cela, réussir à créer enfin celui avec Michèle (malgré ce qui s’est passé) ou peut-être faudra-t-il d’autres pétales ou impératrices, ce qui mènerait à m’entourer d’autres admirables dames qui pourraient nous rejoindre pour réussir enfin à construire ce pétale auquel Michèle Finck tient mais cela signifie qu’il faudra réussir à faire de Michèle Finck une déesse, donc qu’elle renonce à être une centauresse et qu’elle se conforme à de nombreuses prescriptions et conseils qu’elle suive dans cette perspective qui n’est que peut-être très lointaine – mais on sait que c’est difficile de construire une rosace avec des vitraux bleus et qu’il n’y a rien de plus difficile, que ces formes si simples et qui vont tellement de soi qu’on les trouve si naturelles d’autant plus qu’elles sont par milliard partout en train de pousser puisqu’il y a à nourrir tant d’animaux prêts à s’en délecter. De leur point de vue ils ne peuvent pas imaginer que cela soit si difficile que cela à construire un simple petit trèfle et puisque celui-ci obéit comme chaque chose aux lois de la quantité et qu’il est si peu rare – sauf dans le désert, le sable ou la rocaille – qu’ils ne valent rien, tant ils sont nombreux à pousser spontanément. Mais en les regardant de prêt, nos ancêtres – et les architectes - ont compris que c’était peut-être ce qu’il y avait eu de plus difficile à créer, d’autant plus que matière vivante et si on réfléchit au processus de la genèse de chacun d’entre nous, avant de devenir des fœtus, nous avons eu à connaître dans les premiers instants la forme du trèfle avant celui à quatre feuilles (cellulairement parlant), une très vielle histoire pour chacun d’entre nous que les vitraux de Notre Dame qui rappellent à ceux qui parfois, comme moi, ont été contraint de relier des choses lointaines entre elles en demandant à tous, pour me faciliter la tâche, de donner la possibilité de créer des laurYens (des liens hypertextes) dans Word ou sur Internet, ce qui permet de rejoindre plus facilement les notes de fins de pages et de comprendre qu’un bébé qui vient au monde c’est fragile comme un petit trèfle avant de devenir aussi charpenté que cela : un être humain[57]. En effet n’a-t-on pas appelé les premier rois de France Pépin …) mais comme Michèle a l’air d’y tenir à ce point à ce mariage, il faut bien qu’on réussisse à la faire devenir l’un de ces pétales pour qu’elle puisse s’accrocher à « son » anneau comme les autre pétales à leur tige et il est celui qui, à cause du passé, a beaucoup de mal à émerger car il a contracté localement à Strasbourg, toute sorte de préjugés liés à l’époque d’avant sa naissance y compris au sujet du mariage et c’est pourquoi il n’arrivait pas à se délivrer des vérités relatives et des « à première vue ou entendu » à ce sujet, en s’étant accroché à des mensonges et à des calomnies y compris au sujet de l’Eglise ou des religions (au point de croire certainement que celles-ci ne pourraient pas comprendre ou être ouvertes ou se montrer compréhensives dans un cas pareil[58], car vous le savez l’Eglise et les docteurs de l’église raffolent de l’étude des cas particuliers et sont bien sûr capables de comprendre quand tout est clair comme de l’eau de roche ou transparent), puisque visiblement Michèle ne s’est pas encore délivrée de son enfance et de son adolescence, ni de son « égo » au point qu’elle n’a pas réussi encore à atteindre ce moment crucial de l’ouverture de son esprit, ce que le mariage et/ou la situation de mère ou de grand-mère, voire d’arrière-grand-mère ou de pétale permet parfois, à la longue de connaître, et c’est alors que ces dames comprennent, parfois seulement juste avant leur mort, puisqu’elles passent alors dans le monde de la vérité, en ayant alors une chance de ne pas se réincarner en un de ces animaux qui vont, à cause de toutes les fautes et des péchés commis « sous la terre » dont elles ne se sont pas purifiées et qu’elles n’ont pas reconnu comme qu’elles n’ont pas regretté en vérité hélas souffrir tout au long de leurs existences animales ultérieures, en ayant perdu le bénéfice d’avoir eu la chance d’avoir été un être humain et en ayant profité de cette condition pour faire le mal au lieu de faire le bien (c’est pas malin). C’est ainsi qu’elles retrouvent ces états d’animaux puisqu’elles ont été lâches durant leur existence et elles seront un de ces animaux qui sont parfois capables de s’attaquer à plus faible qu’elles comme un tigre albinos cherchant à attraper un lièvre blanc sur la neige pour le manger[59] car en dehors du gorille, à l’état d’animal, elles ne peuvent plus comprendre que ce que chacune des espèces animales comprennent, par conséquent pas ce que les êtres humains parachevés comprennent et qui a à voir avec la vérité et avec la Connaissance de tout, y compris l’omniscience, puisque j’ai pu vérifier que cela a été donné comme possibilité à tout être humain, puisqu’il est celui qui peut comprendre, inventer et dessiner et créer aussi des objets ou des outils ou des instruments dont il a les idées en en traçant les plans et qui sont pour le Bien et l’Intérêt Général comme l’amélioration du stylo à plume a tant permis d’écrire .

Aucun animal n’est capable de tant d’ingéniosité. Seul les êtres humains délivrés de leur enfance et de leur adolescence, délivrés de leur « égo » ou de l’enfant-gâté, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui ont pu bénéficier de l’ouverture de leur esprit à force d’étudier, de travailler, de peiner, grâce parfois à la notion d’Etat qui, dans certains cas y a contribué (quand il n’était pas entre les mains d’imposteurs) puisque l’Etat n’a pu voir le jour que grâce à ces conditions, y compris grâce à la monnaie, par conséquent à la facette sacrée de l’existence des êtres humains, en ayant permis de donner des travaux utiles à faire à chacun des autres êtres humains en chemin, eux aussi, vers la connaissance, tandis que les autres vont vers le désert, quand celui-ci choisit de tromper les autres ou qu’il choisit d’être un ingrat ou de se conduire en animal, alors que tous les bons conseils pour avoir des vies utiles ont été donnés depuis longtemps par chacune des religions qui s’avèrent donc, à notre époque complémentaires comme les bonnes choses des disparues, d’autant plus de la naissance de la Civilisation des échanges commerciaux mondiaux depuis la découverte des Amériques et du percement du canal de Panamá qu’il va falloir doubler ou tripler en fonction des chiffres et des prévisions à long-terme (sur cinquante ou cent ans du trafic mondial), c'est-à-dire une conséquence de la Civilisation des Alternatives qui a conduit l’être humain à réfléchir : « ne vaut-il pas mieux que je mange une bonne pomme Pink lady en hommage à « la Panthère Rose » plutôt qu’un steak haché et que je croque cette viande de pomme parfumée (à la fleur de pommier) en comprenant alors qu’effectivement ma dentition a été conçue effectivement pour un omnivore et pour manger toutes ces viandes végétales ou plutôt ces chairs ayant pour origine les végétaux qui, n’ayant pas de systèmes nerveux comme celui des animaux innervés, ne souffrent pas en se tordant de douleur ? »).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Reste qu’il faudra cependant avec chacune des futures impératrices atteindre les véritables fiançailles et les véritables mariages de chacune et pour chacune pour des raisons différentes d’Etat puisque tout cela devrait contribuer à débloquer la situation comme à permettre que de temps en temps l’Ensemble puisse découvrir quelques instants Atlantide ou la vision du Paradis chaque année, ce dont j’ai pu vérifier que ceux qui se sont dégradés l’esprit et qui sont amnésiques comme vivent damnés ou devenus pareils à des animaux ou prenant ce chemin-là pourraient avoir besoin régulièrement de voir (pour saluer leurs efforts à aider les autres et à avoir accepté de se mettre en chemin vers la connaissance pour se débarrasser en eux des enfants-gâtés), car ce sont eux qui, en ayant (avec ceux qui l’ont fait à l’origine) séquestré stupidement ce variateur, comme hérité de la salle des machines, ont hérité de l’état d’esprit qui se repaît du point de vue des autres (justement) du laid au point d’avoir inversé les valeurs et d’avoir perdu celles qui existaient entre les êtres humains à l’origine comme d’avoir fait, par esprit de contradiction, de tout ce qui est laid le beau, d’autant plus qu’ils détenaient malignement le variateur de la vision d’Atlantide, sachant que le beau existe dans toutes les choses, même dans la pourriture une fois photographiée, celle dont ils furent de cette façon les auteurs, en contraignant les autres à ne créer que des solutions élégantes et belles notemment pour se débarrasser des microbes engendrés par cette pourriture. C’est donc eux seuls, je l’ai vérifié, quand j’étais amnésique et devenu un à moitié profane, au point de penser des choses impossibles et fausses parfois, qui ont besoin de voir pour les remercier de leurs efforts, enfin dans le bon sens, la beauté d’Atlantide et du Paradis-perdu ce qui pourrait contribuer à les faire aller mieux et ainsi retrouver le chemin qui mène à la connaissance de Dieu ou bien mieux (ou pire que ce concept) : à la compréhension du Grand Architecte de l’Univers, puisque depuis quelques années les différents observatoires astronomiques ont confirmé ce que tous les scientifiques véritables savaient, mais ne pouvaient révéler, qu’il y a des milliards de planètes dans la galaxie, ce qui donne sérieusement des probabilités qu’il y ait … . Non ?

Ces épouses, Monsieur le Cardinal, comme chacun des mariages seront aux frais de l'Eglise. Chacune d’entre elle aura le droit à un mariage impérial au moins du même genre que celui de napoléon, c'est-à-dire avec la présence en grand-uniforme de tous les chef d’état de la planète ou de tous les représentants désignés par leurs soins, à Rome par le Saint-Père ou à Strasbourg.

En effet, Christine Lang a subi un des plus graves traumatismes de l’Histoire et d’une certaine manière Michèle Finck aussi, mais surtout Florence Loewy. Pour les quatre épouses suivantes et celles d’après, on verra quand cela devra être, cela sera, d’autant que j’ai besoin de muses pour peindre, dessiner, et enchanter le monde !

Tous ces mariages devraient conduire, in fine, jusqu’au mariage avec Michèle Finck qui sera peut-être le treizième ou le quinzième ou peut-être comme je l’espère le troisième, voire le premier, selon comment la situation évoluera. En attendant, je suis de nouveau célibataire et je vais donc consacrer du temps à pouvoir tomber amoureux aux heures où je me l’accorderai.

Peut-être, selon ce que je verrai dans les jours et les mois qui viennent de ce feuilleton, ces mariages ne seront, pour commencer, qu’au seul nombre d’un ou deux, en raison de mon statut d’empereur, autrefois seulement lié à la condition « profane », car les empereurs se conduisaient comme tels, puisqu’ils ont cru pouvoir accorder le droit à leurs soldats de commettre l’inconcevable en violant des femmes ou des jeunes filles, au cours des temps où ils se comportèrent ainsi en mal élevés, et de façon barbare – au mauvais sens de ce mot), et, à cause de cela, en ne respectant pas le bien d’autrui, comme celui appartenant aux autres états ou en se permettant pire, de faire des esclaves, ce qui est devenu une indignité humaine reconnue (mais qui l’était dès la première fois où on l’a cru possible), de même qu’est vu du futur indigne de nos jours de s’abaisser à utiliser les armes à feu pour menacer ou faire du chantage pour obtenir quelque chose ou manger la chair des animaux pacifiques et inoffensifs, en raison de toutes les alternatives qu’ont, en plus, les odeurs les plus parfumées et les plus délicates et qui sont bonnes pour la santé : ces variétés de légumes et ces fruits pour lesquels, comme pour le pain et certains fromages à pâte dure, il faut avoir une solide dentition qui semblerait n’avoir été conçue qu’à cette fin si, au passage, pendant quelques temps, dans certaines régions étant éloignées des vraies bonnes choses dans lesquelles on peut se procurer ces alternatives, donc dans les régions froides où on se perd en chasses, comme se sont perdus enfin dans les nuits éternelles les ancêtres des esquimaux pour être sûr de trouver toujours précisément à manger dans ce registre (catégorie) carnivore (la chasse ne leur a pas permis d'inventer grand chose dans ces froids polaires). C'est-à-dire de ceux qui cherchent toujours à montrer qu’ils cherchent à en faire le moins possible en cuisine – hamburgers, saucisses etc. - et qui croient possible se délivrer de la question de se nourrir en croyant pensable exiger de tous de faire souffrir de pauvres animaux pacifiques et inoffensifs qui peuvent, par ailleurs, nous apporter chacun autrement une quantité importante de richesses – œuf, lait, plumes, laines, etc. – ces personnes n’ayant plus accès aux produits des champs, se sont éloignées tellement des fruits et légumes tropicaux que cela doit leur sembler inimaginable qu’on les consomme. Ils se sont retrouvés sur la planète les descendants de gens qui se sont « perdus »[60] au point de ne plus voir le jour physiquement en raison de leur passion pour la chasse et parce que gourmands de viandes, ils avaient peur de manquer de gibier dans les régions nord équatoriales que sont nos pays dits « tempérés » à dominante agricoles, ce qui les a rendu les victimes de ces ancêtres chasseurs, mais ayant trouvé cependant la solution élégante des igloos pour s’abriter des vents polaires. Certes ces igloos ne sont pas des panthéons, mais tout de même, cela donne une idée qu’ils avaient bien compris ce qu’était le ventre d’une femme et ils ont ainsi sublimé la maternité aussi simplement que cela dans cette architecture que Derzu Uzala, dans le film d’Akira Kurosawa, a montré qu’on ne peut pas faire aussi facilement que cela, sans avoir des outils appropriés pour la réaliser. Ce n’est pas, comme une tente à planter, elle-même bénéficiant d’une ouverture qui a été pratiquée, certes pas comme celles prodigieuses et magnifiques de chacune des cathédrales médiévales ou post médiévales, mais tout de même celle d’une tente qui a un tout petit aspect gothique, si l’ouverture ne l’a pas et quand on songe ici à ces ordes de barbares, au sens négatif de ce mot, ayant été capables de casser ces tentes, de violer les femmes indiennes, de croire ces peuples seulement des sauvages, alors qu’ils étaient ces éleveurs et peut-être déjà les ancêtres des agriculteurs qu’ils sont devenus depuis dans les territoires qui leur ont été réservé d’autant plus qu’ils sont leurs de droits, en raison des sépultures de leurs ancêtres vénérés certainement. Il y avait ceux qui avaient été capables de fabriquer des totems et de les peindre avec des couleurs comme il y avait ceux qui croyaient qu’il y avait un Grand Esprit. Nous nous réjouissons que les lapons ou les Inuits ou ces peuples des grands-Nord n’aient pas connu, que je sache, la venue de ces moins encore qu'ordures ou pourris capables d’utiliser des lances flammes (qui ont été conçu pour les travaux publics et les goudrons) pour ramollir ou pour pratiquer (par esprit de dérision) des fentes dans ces igloos en les faisant méchemment fondre et en leur disant qu’ainsi ils pourraient y mettre un hublot s’ils échangeaient celui-ci contre des produits de leurs chasses, installation comprise, avec aussi ce coup de projecteur compris.  

J’ai donc fini par comprendre qu’en raison de ma position impériale, j’ai le droit à autant de femmes qu’il y en a dans l’Empire puisqu’elles sont toutes les miennes de droit, donc très certainement innombrables. Pourtant en raison de ce qui s’est passé et de ce que j’ai marqué plus haut j’aimerai arriver à faire ce trèfle pour commencer et pas une rosace aussi merveilleuse que celle de Notre-Dame (bien que l’objectif soit celui-là – mais je n’ose y croire d’autant que cela a dû être très pénible d’arriver à une telle réussite – un pétale, deux, voire trois ou quatre, bref ce qu’il faudra pour que Michèle parvienne à comprendre - à l'heure où je corrige ce texte en septembre 2017 Michèle a enfin compris qu'elle n'avait pas le droit, en 1977 de vouloir être la seule impératrice et à cause de cela de me contraindre à devoir me séparer de Christine avec laquelle j'attendais en immaculée conception nos descendants - elle a demandé pardon. Elle était alors adolescente), en raison de ce qui s’est passé, comme en raison des maladies vénériennes, mais aussi du Sida et d’autres problèmes hygiénique cela sera très difficile à réaliser – soudain, comme Flaherty, (je plaisante un peu) une femme esquimaux, une représentante du Pôle Nord dans ce harem, dans cette rosace, pourquoi pas ! Cette idée me tente, mais comment faire pour l’entretenir (financièrement) - « son già mille et tre » disent d’autres voix - et entretenir ma descendance dans ces igloos, avec un père si lointain, comme ne pouvant pas transmettre les pratiques ancestrales esquimaux et encore moins leur payer, pour l’instant, des études au collège pour en faire des avocats de la cause des peuples des grands froids – faudra-t-il que j’y renonce dans la rose au pétale esquimaux, au pétale du pôle ? – comme vous l’avez remarqué (oui, je suis inspiré) j’ai donc restreint le nombre, d’autant plus que je ne pensai d’abord n’en avoir à choisir symboliquement, comme je vous l’ai dit, que quatre supplémentaires en raison de 4+3= « 7 d’un coup » [61], donc de l’histoire du petit tailleur ou une vieille histoire au sujet d’une personne qui arrive à faire sept choses d’un seul coup, ce qui me paraissait plus que suffisant comme perspective (il est vrai quelque peu brochette) de célébrations canoniques en toute transparence jusqu’à mes vieux jours : sept, c’est un bon chiffre, et les uns et les autres célébrés par le Saint-Père[62] d’origine allemande[63] mais devenu italien comme le précédent, d’autant plus que son pays est dans l’Union Européenne et dans le Marché Commun depuis au moins les cinquante ans de l’amitié franco-allemande qu’on vient de célébrer, ce qui, pour ma mère, est un miracle, car elle se souvient du temps où elle était petite fille où cela n’était pas envisageable du tout, en raison de 1914-1918, tandis que pour tous les enfants un tantinet intelligents qui sont nés ces temps-ci, en raison du fait que, grâce à ces interventions alors du futur, nous avons réussi à éviter la reprise de la guerre partout comme à calmer les appétits de revanche du Japon en 1965 comme en 1975 et depuis 2005, pour ces nouveaux venus, les enfants, tout cela concerne ces vieilles générations qui n’avaient pas de web cam, ni d’ordinateur leur permettant de trouver pour jouer à un des jeux électroniques en ligne, sur Internet, un partenaire allemand ou pourquoi pas esquimaux un jour, et donc d’établir des relations amicales, sur le plan individuel, en trouvant des « correspondants » partout dans le monde entier, comme en pouvant même se voir puisqu’on annonce la 4G, dans des communications vidéophoniques – certes cela nous contraint les uns et les autres à faire des « mises à jour » périodiques mais « l’amitié franco-allemande » est une réalité au cas par cas ou dès qu’on peut créer un terrain pour s’affronter dans des jeux qui ont des règles en commun à ne pas transgresser, ce qui était le cas avec les sports qui permettent ces stades et ces matchs entre équipes représentants ces régions ou nations, en fait un peu comme ces jeux-sans-frontières qui permettaient de prendre connaissance de l'existence d'une ville de l’Union Européenne régulièrement à la télévision et au cours desquels s’affrontait la jeunesse locale, si ce n’est qu’en raison d’affaires financières liées aux clubs sportifs et à la nécessité d’être les premiers, les équipes des joueurs sont composés de personnes venant même de l’étranger, ce qui rend internationale parfois la composition de ces équipes à l’échelle locale seulement – on est donc bien à l’époque d’Internet et de la fin des nationalismes au sens méprisable et négatif de ce terme. C'est-à-dire de celui de ceux qui se sont avec l’usage du mot de « nationalisme » toujours rendus responsables de tout ce qui ne va pas localement, car fondé alors, dans leur bouche, sur la non compréhension des mots employés qui existent pour penser dans le bon sens, au cas par cas, en vérité, au point de rendre refermées sur elles-mêmes ces personnes dans ces attitudes aujourd’hui dites « régionalistes » ou hostiles à ce qui vient ou provient des étrangers, au mauvais sens de ce terme, car de celles capables encore d’utiliser les armes à feu car ils veulent les obtenir en enfants gâtés, complices des entreprises qui en les mettant sur le marché sont complices de ceux qui croient pouvoir les utiliser pour tuer, comme les entreprises qui produisent du tabac croient possible continuer à devenir complices des désirs de cigarettes de ceux qui, à cause de cela, vont vers ces maladies respiratoires bien connues qui viennent en conséquences, comme ceux qui n’arrivant pas à boire sobrement vont de leur côté vers des problèmes médicaux que des organisations comme « alcoolique anonymes » réussissent parfois à soigner pour permettre à ces personnes de se déshabituer de ces drogues, puisqu’ils sont devenus incapables de gérer « en futurs bon père ou bonne mère de famille » leur existence mais sont devenus des usurpateurs et des imposteurs comme ces régionalistes, au mauvais sens de ce mot, malgré le fait que la culture en question, différente, est déjà respectée par toutes les autres régions du monde à travers ses chants traditionnels, ses langues locales qui ont été valorisées comme ses danses folkloriques et ses costumes mais aussi sa littérature ou les manifestations de son art y compris à travers le temps, ce que nous avons voulu notemment encourager d’autant plus des possibilités qu’offrent les outils informatiques en matière de traduction, pour peu qu’on fasse les efforts localement pour transcrire toutes ces traditions orales, les enregistrer, et trouver les correspondants inscrits dans les autres langues.  

Mais il y aura peut-être un jour les autres mariages qui auront moins d’importance que ceux-ci puisque ceux-ci doivent permettre de débloquer la situation générale, permettre le premier trèfle, comme d’ouvrir ceux à quatre feuilles, (des fenêtres), donnant, sur le Panthéon, le long du lycée d’Henri IV, à moins qu’il ne s’agisse de trèfles à deux feuilles que ces fenêtres. Quoi qu’il en soit, j’ai pu me faire une idée des fenêtres et des portes si possible à ouvrir tout autour du Panthéon aussi. Des études devraient confirmer qu’il pourrait y en avoir au moins deux de possibles là où nous les voyons en filigrane, donc trois ou quatre pour commencer et cela en profitant des années de restauration qui débutent de ce monument – j’ai pourtant eu le loisir de jeter un coup d’œil sur les plans proposés mais je n’ai pas disposé de tous les renseignements, de tous les plans, bien que ceux dont j’ai pris connaissance devraient suffire, mais peut-être pas du point de vue de l’architecte en chef, chargé de ces travaux et de cette responsabilité, ce qui signifie que c’est à lui de les mener (ces études pour ouvrir ces fenêtres à partir des autres plans auxquels il a eu accès) elles devraient confirmer mes intuitions solides qu’on peut en prendre le risque. Pour commencer il pourrait y en avoir deux à faire ouvrir du côté et pourquoi pas une porte ou deux en plus, non pas seulement sur les latéralités, qui servent un peu d’arc-boutant (à moins qu’il juge que c’est précisément là qu’il faudrait ne pas les ouvrir pour des raisons qu’il y a peut-être à l’intérieur des choses de peintes sur les murs qui ne puissent être décollées et conservées autrement si on les ouvrait), où il y a des emplacements prévus possibles aussi, mais dans les murs parallèles, de part et d’autres, de l’entrée du Panthéon, si dans ces murs du fond latéraux de la croix grecque soutenant l’édifice, il n’y a rien de précieux à conserver qui ait été peint là où ces ouvertures pourraient être facilement percées, d’autant que ces murs ont pour fonction de fermer cette croix grecque et non pas d’être arc-boutant que seulement dans la partie qui conforte les murs de la croix grecque prévus pour être des sortes d'arc-boutant quand on pourrait les ouvrir. Mais peut-être en raison de la vétusté de l’édifice nous devrions y renoncer pour ne pas alléger trop ces murs qui sont donc des sécurités d’arcs-boutants sans arcs, donc des cales. Le poids de la coupole est réparti surtout sur les piliers et les colonnades. Ces murs devaient servir d’enjoliveurs s’ils avaient pu avoir ces fenêtres percées et elles étaient prévues par l’architecte qui a marqué les emplacements où ils les voyaient mais bouchées pour l’instant par les pierres utilisées peut-être à l’époque, en l’absence de financements, ce qui en a fait un monument trop austère de nos jours. Il y a des fenêtres qui ont été ouvertes dans la partie qui est de l’autre côté de l’entrée du Panthéon, en fait l’entrée arrière et elles sont de belle facture. Elles pourraient servir de modèle à partir desquelles réfléchir à moins d’en concevoir de proprement réalisées grâce aux meilleures technologies actuelles qui pourraient même renforcer les murs en question grâce aux fenêtres à ouvrir).

Peut-être alors le Saint-Père voudra vous désigner ou désigner le cardinal de Strasbourg, voire seulement un évêque, celui que vous avez désigné, pour s’occuper de la paroisse Saint-Jacques et que je trouve drôle, pour la célébration des autres mariages venant après ces premiers (quand ils viendront), ce qui nous permettra de rester dans le quartier, à moins que (je plaisante encore) nous ayons à trouver une basilique sculptée dans les glaces japonaises, comme chaque année au cours du petit festival qui réunit, il me semble, là-bas, ou dans le Nord de la Chine[64] ces sculpteurs-de-glaces.

A ce sujet, sur un registre complémentaire, j’ai pu réaliser, ce que vous pourrez trouver à une petite vidéo grâce à Samuel Laroze sur http://granier.laury.free.fr/videos/samuellarozesculpteurdesables.avi, un « sculpteurs de sables » avec lequel nous avons pu improviser, en amateur, le petit tournage d’un touriste à Arcachon (que j’étais) que vous pouvez découvrir sur mon site, et soudain (je plaisante de nouveau) je pense à une basilique en sables, un peu comme à Pétra – qu’on pourrait solidifier avec des colles ou des résines et qu’on pourrait lui donner à construire, pour que j’épouse une admirable berbère ou touareg, en plein désert, sur les dunes de Ouarzazate au Maroc ou celles, plus au Sud de la Mauritanie, et que nous pourrions rejoindre à dos de chameau, puisque cette princesse pourrait me réchauffer de la précédente igloowoman épousée dans la cathédrale de glace et non de crystal, car ici il s’agit des cadeaux de mariage et à ce propos, soudain, pourquoi pas une épouse bohémienne, un peu comme la si délicieuse Ava Gardner, dans la Contesse aux pieds nus, avec son mari qui a la devise de « che sarà sarà », filmée ce soir là autour du feu, dansant, les pieds nus. Une cathédrale tout en crystal pour épouser cette princesse bohémienne ou tzigane, cela ne serait-il pas merveilleux, cardinal ? A moins qu’il ne faille penser à revêtir toutes les façades des églises d’un manteau de pluie (des rideaux d’eau comme devant les bars à huitres) avec de simples verres les entourant et les imperméabilisant, en créant comme des structures extérieures permettant de protéger la pierre des dommages du temps et de l’érosion des pluies acides, comme cela a été le cas, joliment fait, pour la façade de la gare du Montparnasse qui était si affreuse avant. J’ai pensé qu’on pourrait faire cela pour protéger la pierre des tombes étrusques comme les pierres des pyramides elles-mêmes – de grandes tentes de verres qui pourraient même générer de l’énergie solaire et permettre de recueillir, grâce aux plans inclinés, les eaux des pluies. Cela valoriserait et protégerait cette mise sous vitrine de ces monuments anciens et de la statuaire – cela pourrait permettre d’avoir de l’eau pour faire des petit jardinets – cela permettrait aussi de mieux éclairer chacune de ces statues puisqu’il y aurait la structure sur laquelle serait les panneaux de verre et cela permettrait plus facilement de faire des sons et lumière – mais le problème est qu’ainsi revêtues par ces protections de verre ces façades et ces toits – pourquoi pas ? – cela ne seraient plus très utilisables pour y faire sur les murs des projections audio-visuelles – à moins d’utiliser les dalles des écrans-plats de télévision en guise de losange ou autrement que ceux utilisés en tant que vitrines-télévision ou ces losanges de la façade de la Pyramide du Louvres, ce qui permettrait de nouveau murs d’images – ou de poser dessus ces écrans-plats transparents - moins grosses briques, moins caisses ou moins grosses boîtes que les anciens murs d’écrans des télévisions « vieux-jeux »[65] – des murs qui, sinon, peuvent être socles d’autres œuvres d’art ou de projections de diapositives ou grâce à des vidéos projecteurs – comme sur l’Église du Val de Grâce récemment avec Giotto – aussi il faudrait que ces vitres, ou dalles de verre, ou écrans plats, puissent être facilement démontables y compris les structures et qu’elles ne soient montées que pour protéger l’édifice en hiver, pour lui faire faire des économies de chauffage – il faut y réfléchir car cela pourrait même permettre d’éviter d’avoir à payer pour les restaurations régulières, et les effets des ravalements des façades pourraient durer plus longtemps.

Ces présentations de sculptures de glaces dont nous avons pu prendre connaissance par les images à la télévision, ce qui pourrait être une solution élégante pour épouser la princesse esquimaux de mon harem – n’est-il pas ? – mais le problème qui sera alors : comment chauffer l’Église de Glace. Avec les lance-flammes : elle fondra ! Ce qui fera rire tout le monde ! Et on se dirait ici soudain, comme dans un gag de Gaston Lagaffe, du très regretté immense André Franquin (dont nous serons tous inconsolables éternellement).

Bien sûr, ces remplaçants, si le Pape estime qu’il doit se soustraire à un pareil honneur que de célébrer les autres mariages impériaux qui viendraient dans les années qui suivront ces trois premiers arrêtés (quand j’aurais rencontré la princesse esquimaux ou la princesse touareg ou celle de Bohème – mais cela ne fait que six et non sept ! Mais l’Empire entier est rassuré y compris les carnivores puisque je ne pense pas impure de pouvoir nous offrir une impératrice esquimaux, c'est-à-dire le stade ultime de l’être humain, presque devenu animal, puisqu’en dehors de différentes capacités qui rendent les esquimaux de véritables êtres humains, leur façon de se nourrir est celle de carnivore et non d’anthropophages ou de cannibales, car cela n’est déjà plus concevable pour eux qui sont les derniers vestiges de ceux qui croyaient, comme les hommes préhistoriques que l’être humain était seulement chasseurs, c'est-à-dire ce qui, de nos jours, n’est pensable qu’en se portant en arrière dans le temps chez les attardés mentaux de ces époques-là, en comprenant qu’il s’agissait de personnes qui ne savaient pas lire la nature, n’ayant pas observé autour d’eux ce que la nature offrait de tropical y compris de solutions élégantes végétales. Ceux-ci, pour Dieu seul sait quelles raisons, liées à ces époque là et peut-être un Henri IV local ayant offert la poule-au-pot n’ont fait que continuer à être dans une coutume de personnes devenues [comme] aveugles ou cherchant, par mimétisme, sans réfléchir au-delà du peu dont leurs cerveaux était capables, à se conformer à des coutumes et pratiques étrangères qui avaient les ancêtres de la princesse esquimaux comme auteur : les chasseurs et les tueurs d’animaux qui cherchèrent, à cause de cette recherche de l’assurance d’avoir à manger ainsi à devenir à jamais prisonniers des grands froids intersidéraux[66] et en raison de cela, errer perdus tous les jours en suppliant le Grand Esprit des ancêtres indiens qu’ils ont trompé, de leur venir en aide, pour que du trou percé dans la glace leur harpon[67] puisse leur fournir de quoi survivre sans être capables, à cause des protéines animales ingérées, d’inventer quoi que ce soit, d’innover, de créer, mais seulement de reproduire de façon mimétique, comme les gens qui copient[68] (et qui sont chacun devenus cérébralement des déserts), les habitudes et les traditions d’ancêtres dont on n’arrive pas à comprendre, parce qu’on n'a pas étudié et commencé à penser, comment ils ont fini par les avoir !  Aussi, il n’y a que les végétariens, comme Léonard de Vinci ou le Bouddha, qui aient pu comprendre TOUT et devenir omniscients car, à partir d’un certain moment, ils ont compris que la planète leur offrait le luxe suprême: celui de renoncer à faire le mal dans tous les domaines et ils n’ont fait alors de leur existence qu’une œuvre d’art continuelle consacrée à des inventions permanentes et bienfaisantes, devenant chacun comme une salle des machines à eux tout seul. Jésus, cependant mangeait encore de l’agneau ou du mouton mais il vivait dans une région où il n’y avait pas autant d’alternatives qu’en Chine et en Inde et c’est pourquoi certains lui ont reproché injustement de ne pas être végétarien (il l’aurait été sûrement si la région dans laquelle il s’est incarné avait pu lui offrir une de ces admirables solution élégante que sont chacune des alternative. En étant né dans une de ces régions qui n’avaient pas à l’époque d’alternatives en assez grand nombre, il nous montre qu’on a le droit de manger de la viande et du poisson dans les régions où on ne peut pas faire autrement, mais qu’il est possible de se conduire avec intelligence). On a donc tort de reprocher au Christ, y compris en Inde, d’être un imposteur par rapport au Bouddha, car on lui reproche de ne pas être allé jusqu’au bout de la logique d’« amour » qui impose à ceux qui veulent être cohérents, avec ce mot, de ne pas se rendre impurs en mangeant des animaux pacifiques et inoffensifs (de ne pas commencer à être complice de ceux qui font le mal - mais nous l'avons vu pas dans les régions où il n'y a pas de solutions alternatives élégantes - ils y sont contraints), comme s’ils étaient des animaux carnivores ou les ancêtres des esquimaux qui, à cause de cette voracité de personnes qui ont voulu oublier que l’être humain est un omnivore, ne sont devenus que, d’une certaine manière, spécialisés en tant que carnivore (chasseurs) et ont abouti à ne vivre que dans un quasiment désert de glace (ce qui allait être le cas avec hitler qui allait faire de la terre un désert total si je n’étais pas intervenu à temps, étant donné qu’il s’est totalement trompé et qu’il n’a eu de la vie, bien que parait-il végétarien, qu’une lecture de profane ou de chasseur, c'est-à-dire d’ignorant, au mauvais sens de ce mot, ce qui était hélas le cas de la majorité des gens en ce temps là qui, ne bénéficiant pas de toutes les connaissances de notre époque, se sont fourvoyées y compris dans leurs discours). Nous devons donc être reconnaissant à ces ancêtres des esquimaux de s’être égarés à ce point sur la géographie du globe pour se perdre sur les banquises du pôle en ces déserts glacés car sans leur si triste expérience de la vie, nous n’aurions pas pu comprendre aussi bien que cela combien ceux qui s’abaissent à manger de la viande et du poisson, donc à ces mœurs de préhistoriques ou de carnivores (dans des régions où être végétariens devrait s’imposer à tous comme une évidence en raison de l’abondance des solutions alternatives élégantes) sont chacun l’un de ces candidats au moindre effort et à ces déserts cérébraux qui les caractérisent, à la nuit pratiquement dans leur crâne dans laquelle, prisonniers de tous les corollaires, ils errent jour après jour, répétant sans cesse des journées semblables, sans espoir jamais de s’en sortir et de voir le jour, délivrés de ce pôle de glace dans laquelle ils ont voulu avec leur mentalité de parasite de la chasse en devenir prisonniers, délivrés de ces difficultés que les vents glacés des personnes dépourvues de cœur ont augmenté.

Pourtant tous en Inde, ou en Chine ont eu tort de reprocher au Christ de ne pas être végétarien et certains ont cru pouvoir trouver juste qu’il ait été crucifié parce qu’il n’avait pas été végétarien (mais mangeur de poisson de viande comme Mahomet le sera aussi, en ces temps si lointains où ces régions connaissaient peu l’existence des solutions alternatives élégantes qui sont venues depuis si communes en imposant le modèle agricole partout) et qu’à cause de cela certains chrétiens ont cru pouvoir s’autoriser à être très respectueux des animaux pacifiques et inoffensifs, comme le sera Saint-François d’Assise à Gubbio : jusqu'au loup, lui-même (on pense ici à la musicienne Hélène Grimaud). On lui a reproché de ne pas être cohérent totalement à ce sujet avec sa pensée d’amour (mais il n’était pas au courant de l’existence de toutes les alternatives : aux ours, dans la fosse aux ours de Bern on donne des morceaux de carottes séchées parmi d’autres aliments et ils adorent ça) pour tous les êtres et tous les animaux pacifiques et inoffensifs qui, pourtant sont tous aimés de Jésus et de plus en plus respectés partout grâce à lui (y compris le loup à Gubbio – c’est grâce à lui que les espèces animales sont protégées y compris les chiens[69] de traineaux des esquimaux). Il a accepté de se faire crucifier comme un agneau – donc comme ne le font à des animaux pacifiques et inoffensifs que les êtres humains demeurés par mimétisme (à d'ancienne coutume de nos ancêtres regardant vers la préhistoire) carnivores, au lieu de comprendre leur intérêt à se nourrir intelligemment selon les régions et leur degré de développement, car chacune cherche, c’est normal, à être la meilleure des régions dans cette civilisation des alternatives à toutes les formes d’inepties – c'est-à-dire celle de ces personnes devenues ignorantes, au mauvais sens de ce mot - et dont les cerveaux ont tellement rétrécis, à cause des contextes familiaux dans lesquels ils sont allés y faire ces involutions qu’ils ont cru avoir besoin de doses de protéines animales à ingérer périodiquement depuis qu’Henri IV a, démagogiquement, (mais ne pouvant pas faire autrement), autorisé la poule-au-pot  – ce qui ne leur a permis à chacun de ne jamais rien inventer, en réalité de vraiment intelligent car ils n’ont pas pu se délivrer de cette enfance et de cette adolescence ou de l’enfant-gâté, au sens négatif de ces mots, et ceux qui y sont parvenus en raison de leurs niveau d’études incommensurablement difficiles à rejoindre, voyant en ces époques-là qu’ils étaient des minorités, comme comprenant que c’était trop difficile à expliquer, ont continué à manger de la viande et du poisson dans ces régions où ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, avaient ainsi pris l’habitude à manger ce genre d’aliments. Si pour ceux qui s’étaient débarrassés de l’enfant-gâté en eux ces nourritures ne représentaient pas de danger et leur permettaient d’inventer, d’innover, de tracer les plans les plus difficiles, d’écrire les histoires les plus palpitantes, de peindre ou de sculpter les œuvres les plus admirable, sans les gêner, pour ceux qui cherchaient à en faire le moins possible ces nourritures leur ont été fatales puisqu’ils ne voulaient pas faire les efforts des autres pour se rendre capables de comprendre et ainsi véritablement du meilleur et en croyant pouvoir continuer à manger ces nourritures les plus faciles à produire, donc à en faire le moins possible, ils se rendaient tous déficients cérébralement parlant en étant confortés dans leur projet inconscient mais polaire : celui de devenir des déserts et de continuer à ressembler génétiquement à ces ancêtres en commun qui sont devenus ces admirables esquimaux (dans Nanouk l’esquimaux) qui ont cherché, volontairement, à se perdre ainsi dans des régions où, normalement, les conditions climatiques qui y règnent devraient dissuader de s’y approcher en tant qu’être humain.  C’est pourquoi ces personnes n’ont jamais pu atteindre ce moment qui est comme un passage vers le monde de la vérité qui est situé dans le ciel si haut qu’on ne peut d’aucune façon le percevoir dans les êtres qui ont eu cette chance et cette malchance, car tant qu’on est soi-même prisonniers des ténèbres (comme au pôle Nord) et de toutes ces continuelles et semblables journées qui ne riment à rien, on ne progresse que seulement en retombant dans les péchés, ce qui advient en mangeant des animaux pacifiques et inoffensifs, alors qu’il y a toutes les alternatives et que déjà, manger une carotte ou une betterave ou un végétal bulbe constitue une sorte de péché bien qu’heureusement la pomme de terre, comme eux, ne se torde pas de douleur – ce qui est pourtant le cas des animaux pacifique et inoffensifs qu’on cherche à tuer pour se permettre de les manger – dans le monde végétal, il ne s’agit pas du même système nerveux, mais il est certain que de tous les bulbes nous ne devrions manger que la production extérieures de ces bulbes : des matières végétales dont notre époque a les moyens, en extrayant les composés de ces productions, de faire des choses délicieuses et savoureuses. C’est pourquoi pour les péchés commis il n’y a, malgré le fait qu’il n’ait pas été végétarien, que Jésus qui puisse pardonner. En raison de la situation générale il y a ces péchés de gourmandises comme ceux de Rabelais ou de Gargantua ou de son père Grandgousier, y compris du pâtissier de Cyrano de Bergerac, bien qu’il y ait à leur sujet, comme au sujet d’un grand nombre de personne qui sont devenues des gourmandes très certainement des dérogations qu’ils ont obtenu en raison de la situation générale en ces époques là. C’est à cause de ce qui émane de la vie de Jésus et de son exemplarité, comme de cette attitude logique qui l’a amené a accepté de mourir crucifié, comme meurent très injustement les agneaux de nos jours qu’il n’y a donc que Jésus qui, s’étant comporté comme l’Agneau jusqu’au bout, peut pardonner à d’anciens loubards de continuer à manger de la viande et du poisson, en se ruinant leur santé et en risquant de devenir, à cause de cela, pareil à des déserts (de glace).  

Tout cela est en fait assez conforme aux conséquences des enseignements au point de rejoindre un peu ceux du Bouddha qui, en renonçant aussi à tout ce qui est « carné », au sens traditionnel et ancien du terme (car on parle aujourd’hui de viande de légumes, y compris de viande de fromages, de viande de pains et viande de spaghettis comme de viandes de fruits - viande de pomme, viandes d’orange, etc. – assortiment de viandes ou de chairs de fruits et légumes, ce qui est une phrase explicative de mots comme « salade de fruit » ou « ratatouille », une phrase synonyme - pour employer ce mot de « viande » en tant que synonyme de celui de « chair » de carotte, « chair de tomate », chair de mandarine, « chair ») dans une région où cela était encore possible, en raison des alternatives, ce qui a permis, non seulement à l’Inde de demeurer verte entièrement et d'être composée de peuples végétariens (ce qui a évité la propagation du désert dans la région car ces peuples ont renoncé à faire le mal y compris à la cause du mal : la nourriture carnée, étant à l’origine de la souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs y compris celle des poissons) et ce désert a été alors évité par le Bouddha, malgré le fait que cette grande région soit sur la même latitude que le Sahara ! Comme tout ce qu’il a permis de soigner partout au point que je me demande si Léonard de Vinci n’a pas eu connaissance, à son époque, déjà bien avancée, de l’existence du Bouddha, car c’est peut-être à cause de lui qu’il a fini par se délivrer de ce préjugé local très ancien (qu’on avait le droit de manger de la viande, ce qui lui a permis de s’intéresser vraiment aux études) en y renonçant à l’époque – il faut le faire, dans un contexte sans télévision ni radio occidental où tous n’étaient qu’omnivores  - à se nourrir comme les italiens de l’époque.  Grâce à cela il a réussi à se délivrer des inepties, de son enfance et de son adolescence au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), pour connaître le moment crucial de l’ouverture de son esprit, et basculer dans le monde du ciel et des vérités ultimes et absolues en devenant le créateur de tous les chefs d’œuvres à partir desquels dessins et écritures, analysées, toutes les époques suivantes ont découlées, y compris toutes les avancées dans toutes les sciences et les techniques mises au point dans celle-ci, y compris dans l’armement (ce qu’on pourrait lui reprocher, bien que sans lui il n’y aurait jamais eu de conquête spatiale ni de station orbitale car il concevait toutes les armes pour la légitime défense – aussi très certainement avec nulle intention de s’en servir que seulement si quelqu’un offensait l’être humain dans ses droits inhérents ontologiques, intrinsèques et consubstantiels très certainement envisagés de même nature que ceux dont il disposait pour chercher à bien faire ou à rechercher la vérité, ce qu’il n’a pas cessé, comme Picasso ou Cocteau ou Chagall et etc. de ne faire que trouver). Je n’ai pu penser à cela que récemment à partir de ma propre renonciation à la nourriture carnée que je n’ai pas fait pour devenir Léonard de Vinci ni même un créateur ou un innovateur (car peut-être cela n’aurait pas marché) mais seulement, à un moment donné, par soucis de cohérence avec plusieurs choses qui me paraissait incohérentes d’autant plus que je peignais : en effet comment continuer à représenter des animaux ou même les portraits des femmes ou les corps humains (en étant à ce point soucieux des détails les plus microscopiques) en pouvant s’autoriser à manger de la viande d'animaux pacifiques et inoffensifs. Il arrive un moment où cela est absolument évident: c’est incompatible : on comprend que toutes les erreurs d’incohérence, comme toutes les fautes et les péchés viennent du fait qu’il y a eu ceux qui ont cru pouvoir, honnêtement (probablement en raison de géographie handicapante et d'absence d'alternative), s’autoriser l’inconcevable dans des temps éloignés de notre époque qui dans certaines régions regorgaient déjà d’alternatives: manger des animaux pacifiques et inoffensifs, alors qu’il y a tant d’herbes et de viandes de salades délicieuses et parfumées y compris des huiles et des vinaigres ou citrons pour les accompagner, ce qui sont des preuves que les êtres humains sont très civilisés, puisqu’il faut l’ensemble des commerces du monde entier pour réunir ces odeurs délicieuses ou ces condiments et autres habituelles huiles pour qu’elles puissent assaisonner et rendre parfois encore meilleures ces chaires de salades ou d’herbes, de tomates variées qui, avec les chairs des pains ou les viandes de biscottes sont encore meilleures, puisqu’on met des feuilles de salades et des carottes râpées dans les sandwichs ou entre deux toasts, avec un peu de vinaigrette – il est l’heure de manger et je vais moi-même me préparer de la viande de champignon en chair de salade – c’est un peu pléonaste – mais il vrai qu’on recommence à manger à chaque déjeuner ou dîner et qu’il faut songer à profiter des variétés proposées dans la Nature y compris des sauces, une catégorie dans laquelle j’excelle car il y en a tout plein de végétariennes parfumées délicieuses (avec les épices) qui n’ont pas été encore trouvées par les êtres humains ne disposant pas partout de l’ensemble des condiments qui permettent de les fabriquer, c’est pourquoi la plupart du temps pour les spaghettis et la pizza, il y a la sauce tomate comme base de départ mais si certains trouvent cela assez moi je ne me contente jamais d’assez : une simple sauce tomate sans rien de plus, cela m’endort - j'ai besoin pour varier que cette tomate ait le goût des herbes de Provence, des oignons, du basilic, bref d'autres condiments Sainte Lucie ou/et Ducros).

Ce qui est le plus drôle et le plus joyeux à ce sujet c'est que cela fait de Notre personne un chrétien soudain exceptionnellement musulman[70] sur ce sujet du mariage et de la famille, alors qu'en 1965 comme en 1975, vous pouvez l'imaginer, puisque nous attendions en multi dimensions et en alpha oméga - depuis douze années notre femme promise légitime – des années qui sont passées en secondes cosmiques Universelles à mon échelle, de celles-là qui n'ont rien des secondes que vivent les habitants de la Terre qui ne se sont pas encore délivrés de leur enfance ni de leur adolescence ni de l’enfant-gâté en eux et ne sont pas arrivés au moment crucial de l’ouverture de leur esprit, car, j'ai vérifié et j’ai pu le montrer, les profanes peuvent avoir à en vivre des milliards et à l'infini de véritables années faites de secondes, comme ils répètent infiniment les mêmes erreurs, ils ne se doutent pas et ne savent même pas ce qu’une des secondes d'éternité peut bien être ou représenter vraiment et cela même s’il ont une montre ou un magnétoscope muni d’un timer ou un lecteur DVD où ces secondes passent, y compris quand ils obtiennent les réponses de l’ordinateur qui affiche après la recherche effectuée, sur Internet, les réponses en inscrivant le temps qu’il a fallu pour qu’elles s’affichent pour l’instant encore, au centième de ces secondes. Le profane perd chacune des minutes ou des heures de son existence et les journées passent les unes après les autres sans qu’il ait pu évoluer car il tombe tous les jours dans les mêmes erreurs et les mêmes certitudes mensongères. Aussi les milliards d’années vécus par l’ensemble des profanes, nous le confirmons, ne valent pas une seule fraction de seconde d’une personne s’étant délivrée de l’enfant-gâté, de l'adolescent, de l'égoïste en lui, donc de cette condition de profane, en ayant réussi à demeurer vivant après le très abominable et effrayant passage qui mène à l’ouverture de son esprit, y compris en réussissant à demeurer toujours vivant les jours et les années qui vont suivre. Car cela peut arriver à n’importe quel âge en raison des différentes activités qu’il a mené ne serait-ce alors qu’au service du Bien et de l’Intérêt Général d’un véritable maître. Je ne pouvais pas croire une chose comme celle-ci avant de l'avoir vérifié avec tout le monde, dès 1965, tous les jours jusqu'à 1972-73 y compris de nouveau à partir de 1975 à août 1977, c'est-à-dire en fait – ce que j’allais découvrir - seulement à partir de 2005. En effet les années de ceux qui sont devenus profanes, sacrilèges, etc. sont continuellement presque toujours les mêmes (des déserts), bien qu’elles changent un peu, car ils ont ce que leur sert le robinet de la radio et le la télévision, y compris de nos jours d’Internet, mais comme ils ne parviennent pas à évoluer, à progresser, ils font continuellement du surplace et parfois même ils perdent, ils « involuent », en définitive, malgré tout ce qu’ils apprennent par ces biais, puisqu'il se pourrait qu’ils ne croient même pas que le temps existe – or nous avons vérifié qu’il existe et que chacun a comme une horloge intérieure et que si dans certains cas elle peut être remontée comme on remonte un réveil, si on demeure profane, parce qu’on est devenu insensible, on ne comprend même pas à quoi peuvent bien servir toutes les choses qu’on a envie d’avoir. Pourtant on se laisse tenter bien que certains profanes étant devenus si égoïstes sont capables de faire des mauvaises actions pour se faire mettre en prison ou en hôpital psychiatrique pour être logé-nourri gratuitement, ce qui signifie qu’il leur importe peu tout ce qui compte vraiment, mais ils cherchent des semblables pour, malgré tout, avoir des activités et se montent la tête pour un rien, dès qu’ils réussissent à faire une chose que tout le monde peut réussir à faire. Il faut néanmoins les encourager car il se pourrait qu’ils viennent de contextes familiaux qui ne les ont pas contraints à choisir toujours ce qu’il y a de plus difficile à faire pour éviter que les autres n’aient cette peine – c’est pour cela qu’ils sont des profanes : ils attendent que ce soient les autres qui fassent toutes les tâches qui n’ont jamais nécessité même le jardin d’enfant pour apprendre à les faire. Ils ont donc une mentalité de paresseux et de profiteurs d’autant plus qu’ils se sont dépensés physiquement sexuellement et que dans le cas des garçons, cela les a fatigué[71]. Aussi, des choses très simples comme laver un évier, ranger sa chambre, balayer, faire du plâtre c'est-à-dire mélanger de la farine avec de l’eau, faire les courses, faire à manger, c'est-à-dire apprendre à refaire des choses simples qui tombent sous le sens, sont, pour ces personnes fatiguées de vivre, comme simplement rouler en voiture, en moto, en mobylette ou en vélo – ce qui, pour nous, sont des moments d’intense plaisir et des choses que nous faisions avec joie quand nous étions enfants et jeunes - peut-être, de leur point de vue, des choses pour lesquelles ils ont eu à réussir à surmonter des grandes peurs, comme si l’usage d’une machine quelconque hyper facile à utiliser comme la moindre des machines qui ont été conçue chacune avec toujours plus l’idée d’en faciliter leur usage, (aussi facile que d’appuyer sur des interrupteurs), est peut-être pour eux, à chaque fois, comme une sorte de victoire (un peu comme quand une personne qui n’a pas l’habitude d’écrire car elle n’a pas vingt cinq années de formation pour y arriver, parvient à inscrire une liste de choses): mais ils ont réussi à faire semblant de/à ne pas avoir peur de toutes ces solutions élégantes qui circulent autour d’eux et qui ont été mises au point, toujours améliorées, par tous les polytechniciens et autres artistes véritables ayant eu, en plus, en général, à prévoir la « sécurité » avant l’objet ou l’interrupteur lui-même, mais comme il y a eu sur le nombre des usages des dangers et des incidents (parfois plus), il y a, c’est normal, des peurs, un peu comme la peur du feu. En ce qui concerne le « temps », il se pourrait, pour des raisons que nous ne connaissons pas, qu’ils fassent semblant de croire qu’il existe (du genre: "il existe pour la montre ou l’horloge mais pas pour nous") - alors que nous avons pu vérifier exactement qu’il existe bel et bien à l’échelle universelle à l’occasion de ces interventions d’abord virtuelle en 1965, une seconde fois virtuelle en 1975 et enfin réelle à partir de 2005 – et pas seulement sur la montre. Cela correspond donc à des choses précises qui se passent dans le cosmos et dans l’univers y compris sur notre planète – mais étant donné que les profanes, ou les ignorants, au mauvais sens de ce mot, sont très souvent dans plus ou moins l'inconscience, ils ne comptent peut-être pas les secondes en question ou les journées qui n'existent, en définitive pas, pour eux - il faut comprendre qu'ils sont en fait totalement « perdus » et qu'ils font même semblant de donner l'heure - rien ne semble pouvoir être vrai pour eux. Aucun mot, puisqu'ils ne les utilisent qu'en faussaires et en tricheurs y compris pour mentir et arnaquer, ce qui est contraire à leur Intérêt véritable comme contraire, en fait, à l'Intérêt Général. Aussi, il se pourrait que parmi les revendications sociales pour lesquelles certains syndicalistes se sont battus en menteurs, il y en ait qui n’ont été menées que par provocation et pure méchanceté, en espérant même être puni au lieu d’avoir gain de cause charitablement par les patrons ou les « bons pères de famille ». Il se pourrait que ces syndicalistes savaient qu’ils ne méritaient rien.

Pour faire une heure de vrai cours ceux qui les professent ont été parfois contraint de subir des milliers d'heures de vrais cours sans tricher, en connaissant le poids de chaque mot, ce qui n'a rien à voir avec ceux qui, grâce à la vieille salle des machines, connaissent tous les sujets d'avance, y compris tous les courriers d'avance échangés par les enseignants dans le monde entier pour obtenir, comme c’était le cas, une seule information, car un collègue avait eu la gentillesse d’aller la rechercher dans une bibliothèque lointaine. L’information était aussitôt connue, par ces personnes qui trichent, bien avant l’enseignant l’ayant demandé pour améliorer son cours, et dans la salle de cours, il n’y avait que ceux qui n’ont jamais été dans la salle des machines pour qui cette information est nouvelle. Les autres, au courant, font semblant de prendre des notes. Aussi, dans un cas nous avons des personnes qui, pour faire cette heure de cours en public, sont entrain d’offrir par leur simple présence des fleuves de matière (genre l'équivalent des) diamants encore plus purs que les purs et de l’autre côté des profanes qui n’arrivent pas à comprendre ce que peut être le temps comme une seule parole échangée avec ces personnalités qui ne sont pas assez conscientes qu’il y a des milliards et plus encore d’années lumière entre elles et ces personnes profanes, dans la nuit cérébrale ou le désert, et cela d’autant que certaines d’entre ces personnes enseignantes n’ont jamais connu la condition de profane et ne peuvent donc pas d’un seul électron imaginer que les autres sont entrain de se jouer d’elles ou de se moquer (parfois gentiment, heureusement et en inconscients) de chacune des choses auxquelles cette non-profane croit, puisque ces profanes ne croient que ce qui sonne[72] juste[73], en revanche il sera gentil et acceptera de jouer ou de travailler comme les chiens de traineaux, s’il est bien traité et s’il a de quoi manger – on ne pourra pas lui reprocher de ne pas avoir les préoccupations d’un être humain puisqu’il n’a que les siennes, celle d’un chien ou d’un chat[74] qui a besoin constemment de son maître mais de façon égoïste, en fait comme un enfant-gâté, comme un chien et un chat aimerait passer son temps couché sur les coussins du canapé ou du lit – c’est ici le tragique – car le profane, sur le moment, ne comprend pas tout ce que les mots employés induisent d’actions logiques étant donné que cela ne tourne plus rond depuis assez longtemps dans son cerveaux et cela à cause de diverses profanations dont lui et les siens ont été l’objet ou dont ils se sont rendus coupables en devenant, à cause de cela, les esclaves de leurs sens : des actions qu’ils croient pouvoir ignorer comme telles néfastes et qui pourtant le sont : ils ont mis le doigt dans un engrenage qui leur sera fatal, s’ils ne cherchent pas à se délivrer de l’enfant-gâté en eux et à sortir de cette condition profane (qui en général ne s'obtient que si on a obtenu des crédits financiers usurpés (cfu), escroqués(cfé), trichés [cft], volés [cfv] malhonnêtes [cfm], de criminels contre l'humanité [cfcch]) pour devenir vraiment des êtres humains.

Croyez, Monsieur le Cardinal qu’en 1965 et à partir de 1975, nous nous estimions amplement content avec une seule et unique épouse (Christine…Lang) d'autant plus que nous n’ignorions pas que certaines jeunes femmes sont capables d’être plurielles à partir du moment où elles ont fait de nombreuses études, qu’elles ont de nombreuses pratiques professionnelles ou compétences diverses et qu’elles se sont délivrées de l’enfant-gâté – ce dont nous étions assurés à son propos quand je suis apparu dans le ciel de façon sonore pouvant constater tous les champs de compétences diverses qui étaient les miens depuis 1965, une année que j’avais eu à retrouver en me remettant de la première amnésie en 1975, et j’étais certain que Christine était plurielle, quand nous nous sommes embrassés à ces diverses occasions dont la mémoire ne m’est revenue qu’en 2005, car j’ai découvert l’avoir ordonné impérialement du futur puisque nous attendions alors depuis douze années tous les jours en cosmiques, universaux et en ayant à chaque instant, sur le dos, tous les temps passés et les temps futurs (la preuve dans le ciel, tous ont pu s’en rendre compte : nos paroles, nos gestes, engageant donc l’avenir de tous. Nous parlons donc en vérité et en conscience et quand nous embrassons cela signifie des choses vraies quand nous sommes enfants, bébés ou même seulement un peu plus grands. Aussi un anneau sacrifié par nous à l’âge de deux ans et demi – mais que nous avons oublié de 1972 à 1975 en nous autorisant les conséquences qui allaient se produire, cela a signifié du côté de Christine un certain nombre de choses qu’elle s’est autorisée à faire, qu’elle n’aurait pas fait si je ne l’avais pas oublié durant ce temps. Ce sera pareil après 1977 et c’est pourquoi je ne puis lui reprocher des infidélités qu’elle m’aurait faites.

Mais nous avons découvert que nous avons sacrifié tout cela et avons vérifié que cela nous a donc été imposé par l'Ensemble y compris par ce vieux Dieu qui, soudain, est apparu dans ma tête dans ma chambre, après que je me sois débarrassé de mon enfance et de mon adolescence ou de la partie de moi-même qui était redevenue enfant-gâtée y compris que j’ai pu survire à l’ouverture de mon esprit, en débarquant soudain de nouveau dans le monde de la Vérité où j’ai effectivement découvert être dans un tout autre univers de celui dans lequel j’avais été d’autant plus qu’auparavant je me suis senti, à plusieurs reprises, à mesure que je ne faisais que des choses biens faites et des efforts très difficiles à faire, en cherchant à en faire de toujours plus difficiles, grandir de nouveau. Je ne savais pas que j’avais perdu des centimètres avec l’amnésie. Même si ce n’est pas comme Alice au pays des merveilles, j’ai fini par me retrouver immense dans le ciel de 1975, en retrouvant ma mémoire, car je me suis soudain souvenu que j’avais été témoin de cela dans le passé (donc une vieille histoire – collective - que j’avais à revivre). Aussi il se pourrait que dans mon cas la mémoire que j’avais perdue, à cause de l’amnésie, n’a pu être retrouvée que grâce à la réalisation de la Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale que j’ai commencé à dicter quelques temps après, vers l’époque en question de 1975-77, où je l’ai pris en notes moi-même, en raison du fait que j’ai aussi à ce moment-là compris que je devais absolument nommer mon père empereur en 1976-77 (et en 1966-67) en raison de cet anneau de mariage très compliqué : je ne pouvais dans ce cas de figure de la Création bloquée qu’espérer la débloquer grâce à mon père et à ces sacrifices comme ces incursions personnelles, à cause de l’amnésie, dans le monde profane que j’aurais à mener vers la fin de l’année 1977 durant vingt sept années en m'infligeant une nouvelle amnésie canonique en pareille situation de mariage.  

L’opération a permis de savoir de nouveau exactement, comme en 1965 et 1975, ce que cela signifie, en réalité, qu’être profane. Comme ma nouvelle vie est récente (je n’aurais que l'équivalent de mes huit ans en avril 2013, vous comprendrez que j’ai l’impression de débarquer, à chaque instant, dans un nouvel univers, d’autant que les 27 ans d’amnésie furent passablement longs et difficiles à vivre et à supporter en raison d’innombrables très difficiles travaux mais bien moins difficiles que ceux qui m’attendaient à partir d’avril 2005 (ces transmissions à travers Espace et Temps), puisque je devais intervenir, grâce à ma voix d’une pureté absolue, (celle de vérité), rétroactivement dans le passé jusqu’à 1965 pour sauver la situation générale là-bas étant donné qu’une nouvelle génération d’insolents d’ignorants, au mauvais sens de ces mots, y compris profanes, allaient sinon ruiner tous les efforts de la génération de mon père qui bénéficiant de l’ouverture de leur esprit et des millions d’années d’efforts accomplis en vérité pour maitriser chacune des disciplines en véritables maîtres avaient eu tout à reconstruire après la catastrophe à laquelle avait abouti la génération d’adolph hitler et tous les ignorants, au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire les profanes, les par moment sacrilèges, dont j’ai pu vérifier qu’ils n’arrivent pas à comprendre comment les choses doivent être mises en place, y compris à s’organiser ou à organiser le travail, mais qui peuvent être d’excellents travailleurs manuels reproduisant par mimétisme y compris personnes appliquant des méthodes en faussaires en transporteurs ou en livreurs y compris dans toutes les occupations faciles à reproduire (faire du café, couper le jambon en tranche, mettre les choses dans des boîtes, etc.).

Il s'agissait cependant aux yeux de tout le monde en 1965 et à partir de 1975 d'une seule femme légitime et non d’une femme plurielle. Pourtant, quand je la regardai, j’étais déjà à l’âge où je faisais des portraits et lisait en cachette des bandes dessinées (car mes parents, avec raison, voulaient que je lise des livres non pas illustrés), j’avais pris conscience, grâce à ces diverses vignettes ou cases ou bandes dessinées, que dans chacun des encadrements les personnages étaient, à chaque fois différents, bien que les mêmes et c’est pourquoi je considérais Christine, d’autant plus que j’étais un mordu de Donald et Daisy, comme une jeune femme multiple et ce qui venait de nous arriver était donc une péripétie, une de nos aventures à chacun.

Pendant vingt sept ans cet état d’esprit a disparu car je devins amnésique et peut-être, en raison des divers comportements que j’ai eu, j’ai rapetissé un peu sans m’en rendre compte et sans plus vraiment comprendre les bandes-dessinées que je lisais seulement à un niveau de lecture de profane.

On avait parlé dans le ciel à partir de 1965-66 (en fait moi-même virtuel et d’avance dans le futur depuis l'année 2005-2006 à moi-même dans la prime enfance dans le passé) quand nous ne savions même pas qu'il s'agissait de moi-même, puisqu’au début de ces apparitions sonores nous ne savions même pas comment nous nous nommions à ce stade de bébé en 1965, en avril-mai-juin-juillet, quand tout cela a commencé en 2005. En fait (c’est grâce à la vitesse d’Internet que j’arrive à cette conclusion), il se pourrait que toutes ces transmissions à travers le temps se soient déroulées plus rapidement qu'à la vitesse de la lumière cosmique qui a probablement permis de créer la Création elle-même et c'est pourquoi il se pourrait que j’aille très vite comme les ordinateurs qui sont très rapides, mais qui s’adaptent à la vitesse de chacun, tout en continuant à faire des efforts très agréables pour aller très lentement dans mes explications, afin d’essayer de rendre les choses claires à l'échelle humaine des personnes profanes, car venant de ce monde là en y ayant été coincé si longtemps, je pense à tous ceux qui y sont prisonniers, en comprenant que tous les autres, pourtant coincés, ne font que des efforts immenses, depuis les premières peintures dans les cavernes, y compris les premières pétroglyphes, pour essayer de créer des choses drôles et nouvelles à faire découvrir aux enfants, alors que tous les autres, disposant de la vieille salle des machines, n’ont fait que faire semblant de trouver intéressant ces peintures ou ces gravures rupestres, étant donné qu’ils savaient qu’il n’y avait qu’à monter le variateur de la vision d’Atlantide pour transformer chaque millimètre carré de sentier ou de terre battue en Paradis ou Atlantide.

Je ne comprends donc pas ce qui a pu se passer et ce que cache comme possibilités la vieille salle des machines qui ne m’a pas été rendue, bien qu’empereur, à partir de 1965, ni à partir de 1975, en condamnant l’Ensemble, malgré mes apparitions alors du domaine seulement du virtuel, à être en infraction pharaonique vis-à-vis de ma personne impériale qui en est légalement propriétaire, (en tant qu’empereur), depuis toujours. J’ai bien peur que cela ait des répercutions sur tous ceux qui sont en infraction impériale qui persistent dans l’erreur en ne me remettant pas les commandes de ces machines dont il est certain que je ne pourrais jamais me permettre de les utiliser en violant les droits inhérents de chacune des personnes humaines y compris des profanes y compris des animaux pacifiques et inoffensifs. Il s’agit donc d’un état d’esprit de personnes devenues profanes et qui ont hérité d’un lieu qui autrefois était à la fois profane et sacré, quand ces notions n’étaient pas dissociées et que l’innocence régnait partout.

Je prends donc le temps, en allant lentement, grâce à des explications rationnelles qui exigent dorénanavant, de mon point de vue, l'emploi de textes pour chaque chose, car, oralement, c'est bien trop compliqué d’expliquer, à travers des phrases exigeant autant de constructions comme d’adresses à les fabriquer dans ces mondes de la logique et du droit canonique, comme surtout de celui de l'Amour, anticipé pour ses enfants, puisque tout cela a à voir avec l’anneau de mariage. Anour, avec un grand "A", puisque nous avons pu vérifier qu'il n'y a que ces sacrifices aussi abominablement difficiles à faire qui engagent soi-même et donc n'ont plus rien de commun avec les sacrifices des primitifs ou des abrutis et/ou des ignorants[75], au mauvais sens de ce mots – qui, nous l’avons découvert, n’ont, en fait, jamais marché d’un seul atome, dans tous les temps, car il s’agissait de faux sacrifices, ceux de charlatans puisqu’ils consistaient à faire du mal et à avoir une victime à sacrifier, y compris avec des animaux pacifiques et inoffensifs. Nous pouvons enfin l’affirmer de façon absolument certaine sans un électron d’erreur : cela a donc toujours donné ou abouti au contraire de ce qui était souhaité, à moins que la personne sacrifiant se soit privée véritablement de choses très essentielles pour elle et lui appartenant en véritable propriété et sans se mentir à elle-même – donc des propriétés de droit (non usurpées, non escroquées, non volées) – aussi on comprend que les sacrifices qui fonctionnent soient par exemple tous ceux de personnes qui se privent de véritables revenus d’argent proprement gagné pour des raisons altruistes seulement ou qui offrent des choses bonnes pour tous, donc non nocives. En réussissant à ce point (que c’est plus encore que miraculeux) - le sacrifice avec Christine - et en nous séparant en fait pour sauver la Vie elle-même sur la planète toute entière et éviter la reprise de la Seconde Guerre Mondiale comme en réalisant cette Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale et tout ce qui va avec, nous avons pu démontrer que ce ne sont que ces sacrifices qu’on s’impose à soi-même (donc en allant contre nature et en étant très exigeant vis-à-vis de soi-même) et parfois sans en faire état – comme beaucoup qui le font très discrètement[76] - qui marchent, étant donné que les objectifs ne sont qu’altruistes (l’enfer est donc effectivement pavé de bonnes intentions).

Notre sacrifice en a été la preuve sur 40 et 30 ans car si je n'avais pas fait le sacrifice canoniquement dans le respect de cette notion de sacrifice telle que le Vatican et tous les papes, y compris tous les religieux, l'ont toujours affirmé, au cours des temps, en se basant à ce sujet sur l’exemplarité du sacrifice de Jésus Christ, jamais personne n'aurait pu rejoindre ce cas de figure et retrouver notre époque de 2005, qui a permis rétroactivement de sauver la Terre (ce qui signifie que nous devons à Jésus-Christ, à Saint-Pierre et aux apôtres [à] l'origine de l'idée de mon sacrifice d’avoir sauvé la Vie elle-même, en me contraignant à ce genre d’épreuve dans le futur – de leur point de vue - et de vérification renouvelée dans le futur. Sans eux, jamais Christine ni moi-même aurions même eu cette idée et nous n’aurions pas pu espérer sauver Michèle ou donner quelques années de plus après la Seconde Guerre Mondiale à la planète. Cela signifie donc que sans Jésus Christ, il n’y aurait pas eu la possibilité de passer le premier millénaire, car très certainement il n’y aurait plus rien de vivant sur cette planète. Sans lui et tous les siens, il n’y aurait pas eu non plus le Second millénaire. Le problème est venu du fait que localement, en Occident, l’ensemble a cru possible oublier que sans la religion juive, il n’y aurait pas eu la religion suivante, mais aussi du fait qu’on a voulu accuser la religion mère d’être à l’origine des souffrances de Jésus-Christ, alors que ce n’est pas à la religion d’Abraham, qui a fondé la civilisation des alternatives à toutes les actions ayant comme dénominateurs commun l’ineptie, mais seulement à l’ensemble des pécheurs et des profanes qu’on doit tous les malheurs y compris à l’empereur tel qu’il avait été fait à l’origine (le premier y compris les suivants jusqu’à mon père et à moi qui en raison de la catastrophe avons compris, ce qui n’avait pas été possible avant – en fait en raison et grâce à mon mariage). Mais Jésus a voulu les sauver malgré eux s’ils se repentent et ne recommencent plus, en leur donnant une chance véritable de sortir de l’enfer de l’inconscience où ils sont pour rejoindre celui de la conscience et de la vérité, en ayant pu se débarrasser de la condition profane ou d’enfant gâté ou d’ignorants, au mauvais sens de ces mots, grâce à des activités ou des travaux à la portée de chacun, en fonction des capacités de chacun, pour vivre ainsi un temps de Purgatoire, jusqu’à la possibilité de rejoindre une forme de Paradis sur Terre, déjà possible, tous les jours entre nous tous, ce que les arts signalent.  

Ce sacrifice que nous avions fait fut fait dans l’espoir de délivrer la planète à jamais de la guerre entre militaires utilisant des armes à feu, pour proposer à la place des alternatives, comme solutions élégantes, y compris comme habitudes à prendre pour préparer les époques futures.

Mais j’admets que ce sacrifice fut particulièrement éprouvant car depuis 1977, il y a eu une sorte de via sacra qui a duré tous les jours depuis ma séparation d'avec Christine...Lang, y compris depuis 1965, et déjà à partir de 1975, au lycée Chateaubriand, en raison de mon apparition dans le ciel. Cette via sacra concerne aussi chacun des membres de ma famille qui ont été contraint par ma situation d’empereur dans le futur et cet anneau de mariage à fonctionner d’une façon très précise chacun et cela jusqu’à aujourd’hui. En 2005, en avril, j’ai compris que je n'ai pu accomplir ce sauvetage in extremis que seulement parce que j’étais, à certains moments, en anti-canonique mais canoniquement – donc de façon admissible sur le plan de la raison et des chronologies - mais aussi en ayant eu à passer à travers des choses dont personne au monde, sauf moi – ce qui représente réellement des miracles – n’aurait pu en sortir vivant psychiquement et rationnellement. En ayant retrouvé intacte ma mémoire, avec la chronologie des faits, tels qu’ils sont advenus dans le passé, j’ai pu avec l’aide de l’auto-psychanalyse assister à une progressive autoréparation par des efforts considérables effectués d’abord oralement, avant de passer à la phase écrite depuis le début de ma lettre aux papes vers 2011 et aux présidents de la république française et c’est ainsi que j’ai pu retrouver la plupart des innombrables savoirs d'omniscient que j’avais eu enfant mais peut-être même multipliés sur chacun des atomes ou électron de ma personne (et de ma mémoire), ce qui pourrait être finalement une bonne affaire pour tous de m’avoir ainsi retrouvé comme chef (empereur) comme en 1965 et 1975 (jusqu’à l’amnésie canonique de fin 1977) car je ne risque pas, même avec un harem dont chacune des femmes sera officiellement reconnue, y compris par l’Etat, de faire une seule erreur dans les décisions à prendre pour tous, bien que j'ai pu vérifier, comme tout le monde, n'avoir jamais voulu de tels honneurs ni même avoir à accomplir un sacrifice pareil. J’ai même pu vérifier avoir donné l’ordre dans le passé de tout faire pour éviter que j’ai à le vivre, en chair et en os[77], (puisqu’il n’était alors que virtuel) et cela parce que je ne voulais que personne se rende coupable de me faire tous ces sacrilèges (et c’est peu dire - je minimise y compris pour Christine) et ces profanations que j’ai été contraint de me faire à moi-même et dont j’ai dû assumer les conséquences en tant que devenu simple profane pendant tant d’années (une vie en enfer, puis un purgatoire jusqu’en 2005, pour découvrir l’enfer du Paradis et des responsabilités impériales y compris dans le passé à partir de 1965). Le sacrifice avait été largement suffisant de ma naissance à 1965 ou de 1965 à 75-77 ! Pourquoi des dirigeants, des êtres humains, au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, sachant qu’on n’a pas le droit de séparer deux enfants ou deux adolescents qui s’aiment et qui sont en plus promis l’un à l’autre aussi officiellement que cela par l’intervention du ciel, ont-ils cru possible, y compris dans l’Église, sous prétexte en 1975 que j’étais une virtualité dans le ciel, nous contraindre à renouveler ce sacrifice officiellement à partir de 1975 ? J’espère que ce n’est pas pour asseoir un peu plus l’autorité de l’Eglise en profitant du premier sacrifice. Je ne crois pas très intelligent non plus qu’il puisse y avoir une partie de l’Eglise à avoir cru possible nous imposer une seconde fois ce sacrifice qui avait été déjà bien plus que suffisant et probant pendant les douze premières années, d’autant que le chef de l’Eglise comme la hiérarchie étaient au courant des pratiques concernant les mariages dans d’autres religions. Si c’est pour s’appuyer sur ce sacrifice comme sur tous les autres auparavant des saints et des martyrs, ce n’est pas intelligent non plus[78], car il suffit d’un seul animal persécuté pour en faire un martyr et un saint de facto – cela va de soi pour n’importe quel enfant ou pour n’importe quel esprit un tantinet clair-voyant, logique et honnête. Aussi l’accumulation de saints, de martyrs nouveaux n’aurait pas dû être recherché par l’Eglise en nous demandant à Christine et à moi d’avoir à renouveler notre séparation et l’institution que vous servez aurait dû trouver elle-même ces mots pour nous éviter de nouveau à prouver l’importance des sacrifices des membres de l’Eglise, ce qui était dès mon apparition dans le ciel en 1975 devenu une évidence pour tous le monde, puisque de 1972 à 1975, avec la première amnésie, j’avais pu montrer combien on souffre et combien cela était à l’origine de tous les problèmes de chacun et de toutes les incapacités à comprendre à quoi peuvent servir toutes les études que ceux qui n’ont jamais été dans la vieille salle des machines s'imposent en vérité, ce qui les rend compétents en vérité, donc avec des difficultés dont les autres ne peuvent pas imaginer qu’elles existent seulement, puisque c’est en tenant compte de tout ce qu’ils ont alors à calculer et à planifier comme les différents travaux à entreprendre, comme bien d’autres choses qu’ils trouvent à donner du sens à leurs vie. Ils ne parlent donc pas pour ne rien dire ou à des fins mensongères et leurs mariages sont évidemment non seulement des problèmes administratifs mais religieux comme véritables (liés aux autres catégories). Aussi il n’était pas intelligent d’accepter de séparer ce qui était religieux entre Christine et moi et Dieu a pu vérifier que c’est lui qui a voulu cela une seconde fois (peut-être avait-il de bonnes raisons qu’il pourra donner un jour).  

Mais avoir cru possible recommencer et m’imposer de nouveau l’ amnésie et, à cause de cela, les peines de cœur y compris les souffrances psychiques que j’ai eu à traverser en me contraignant aussi à faire de la peine à des jeunes filles, comme à traverser toutes les peines que j’ai eu à prendre, y compris toutes les fautes et les péchés que j’ai eu à commettre en ayant, à cause de cela, à montrer à un autre âge qu’entre 1972 et 1975, comme on redevient un profane, alors qu’en raison de la nouvelle amnésie, je ne savais rien de ce s’était passé et à cause de cela, ne plus être capable d’être bon élève, donc d’écouter en classe et de perdre le goût (la saveur), parce que je me suis mis à fumer en ayant les difficultés que j’ai eu ensuite pour arrêter, et à cause de cela des incapacités à discerner, puis vivre finalement, après de nombreux échecs sentimentaux, des années avec une personne, Michèle Finck, dont j’ai découvert qu’elle avait été contrainte du futur - ce qu’elle m’a caché - à me fréquenter et savoir que l’Eglise était au courant de tous mes malheurs, je crois - avec le recul - qu’elle n’a pas beaucoup à gagner de m’avoir imposé de nouveau un tel chemin de croix d’autant plus du premier, entre 1965 et 1975-77, qui avait été déjà particulièrement éprouvant, y compris pour les membres de ma famille, tout au long de ces années. D’autre part, j’ai pu vérifier que l’Eglise, comme chacun sur cette planète, y compris probablement une bonne partie de la famille royale britannique, me doit intégralement toute sa fortune depuis 1975 (certains avant), tout les crédits financiers propres et mérités de droit (CFPMD) gagnés, grâce à toutes mes informations et les chiffres transmis à travers le temps au cours de la Dictée de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale quand je n’étais que du virtuel, ce que j’ai fini par vérifier dans la réalité à partir de 2005. Dans tous les Etats ou toutes les banques du monde, on paye un conseiller pour ses conseils en matière d’investissements financiers à faire et depuis 1975 (donc depuis 2005) je n’ai toujours pas vu venir les pourcentages qui me reviennent de droit d’autant plus que si j’ai communiqué à l’Eglise ou à des laïcs, y compris à mon père l’empereur ces chiffres, c’est parce que les autres, malhonnêtement, se permettaient d’augmenter le prix du baril de pétrole pour créer des inflations et faire perdre le pouvoir d’achat de la monnaie et créer artificiellement de la misère et de la pauvreté partout. Si je ne mets pas en doute la sainteté du pape Jean Paul II, y compris celle des papes suivants dont j’ai dévoilé, comme pour Lui, les identités d'avance du futur pour qu’ils jouent leur rôle de pasteurs, je m’étonne de nouveau, (comme en 1975, que depuis 2005, alors que j’ai eu quelques difficultés et que je sais que le Vatican comme la Maison Blanche sont attentifs au processus et, parait-il, me couvrent de ce qu’il représente comme puissance dans le monde (alors que je n’ai rien demandé)), ceux-ci ne se soient pas plus manifesté que cela pour me faciliter ma vie matériellement parlant et m’aider pour faciliter mon rétablissement (je vous ai moi-même signalé que j’avais à déménager et j’ai eu tout à faire moi-même, y compris à trouver les moyens financiers pour cela – sans l’aide de ma famille qui me finance depuis que je suis petit et dont je suis dépendant financièrement, en tant que particulier, donc à titre privé, le sauvetage de la Terre avec effet rétroactif n’aurait jamais été possible : on doit à ma mère et à mon père de s’être privé et d’avoir privé leurs petits enfants de crédits financiers propres et mérités de droit (CFPMD) pour m’aider financièrement, comme récemment à ma sœur à qui je dois de l’argent, (de petites sommes), car je suis économe et ne peux dépenser que ce que je suis contraint à dépenser, elle-même privant ses filles, comme se privant elle-même de ces petites sommes d’argent sur un salaire d’enseignante d’Italien dans le secondaire, tandis que ma mère sur sa retraite d’enseignante à l’université, d’avoir nommé entre autres l’ensemble des milliardaires et des millionnaires dont j’ai signalé la liste des prénoms et des noms depuis 1975 (2005). Ils n’ont pas, pour l’instant encore le 13 mars 2013 (pas plus que le 7 septembre 2017), alors qu’ils me doivent chacun leur vie et leur fortune, comme vous-mêmes, (puisque j’ai pu mettre un terme à la Seconde Guerre Mondiale et évité en tant que pharaon, donc avec une position centrale, tous les jours la reprise de la Seconde Guerre Mondiale comme en raison des interventions) versé leur contribution d’eux-mêmes ne serait-ce qu’à titre de pourcentages cohérents (avec le droit d’auteur) qu’ils me doivent sur chacun des résultats net y compris des bénéfices des multiples entreprises que j’ai créé au cours de la Dictée de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale y compris la bourses des valeurs technologiques à Wall Street. Il aurait été normal que toutes ces personnes, comme les listes des noms de personnes dont j’ai donné les noms et qui ont trouvé du travail grâce à cela (politiquement, artistiquement, etc.) se préoccupent de savoir si, durant ces années là où j’ai été amnésique, j’avais de quoi survivre. S’ils l’ont fait, ils ont pu constater qu’en raison des incapacités cérébrales dont j’ai été affecté, (en raison de l’amnésie), je n’avais plus pour vivre qu’une minuscule chambre bruyante dans un rez-de-chaussée où j’ai même dû durant quelques années arrêter mes études, mais que j’ai pu habiter grâce à l’aide de mes parents qui se sont portés caution et qui m’ont aidé à payer le loyer, avant que les services sociaux ne prennent le relais quand j’ai dû vivre du Revenu Minimum d’Insertion, dont je n’ai découvert qu’après 2005 que s’était moi qui au cours de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale l’avait institué y compris l’Allocation Logement Minimale en en signalant cette création possible vers ces années 1980-1990 (2010) et cela à travers le temps à mon père qui ne me l’a jamais dit et qui l’a fait réaliser au gouvernement socialiste de François Mitterrand que j’avais aussi mis en place du futur, car j’avais sur moi-même vérifié l’utilité de ces mesures y compris de la liste des lois (et des résolutions) que j’ai dictées vers cette époque et qui ont concerné aussi toutes les avancées mondiales faites par l’Organisation des Nations Unis (en effet dans le futur, à partir de 2005) je disposais de toutes ces listes et comme une fenêtre à travers Espace et Temps s’était ouverte dans le ciel de 1975 j’ai pu donner le calendrier et les grandes lignes de toutes les avancées en matière de Droit) de façon aussi à ce que les jeunes puissent se sentir plus indépendants du poids de leurs familles respectives, financièrement parlant, et ainsi, avec ce minimum vital, qu’ils cherchent, par les activités diurnes, à s’en affranchir pour gagner des crédits financiers propres et mérités de droit (CFPMD) eux-mêmes en entreprenant ou en devenant travailleurs indépendants ou autrement, de quoi éventuellement fonder un foyer).  

Mais en réalité à partir de 2005, j’ai découvert que j'avais eu à être victime de 27 années d’amnésie et sachant ce que chacun des fidèles y compris des personnes ayant obtenu du travail grâce aux œuvres caritatives de l’Eglise me doivent, je ne comprends pas que, me voyant ou me sachant dans un état pareil de pauvreté, chacun ait eu le cœur à cela (ce n’est d’aucune façon chrétien – mais j’ai découvert aussi que j’en avais donné l’ordre car cela s’était passé comme cela – bien qu’en le donnant il s’agissait aussi d’un test, ce qui m’a permis de voir à quel point les gens sont capables d’oublier ce qu’ils doivent aux autres, alors que de mon côté je n’oublie pas d’où me vient une idée ou à qui je dois même d’avoir formulé dans ma tête une phrase justement). Ce qui s’est passé là est bien pire ou aussi atroce que pour Méliès qui, après s’être donné tant de peine à créer des divertissements les plus merveilleux en étant à l’origine de tous les genres de cinéma, en dehors du documentaire (Lumière), n’a pu être que vendeur de jouets dans une gare de métro pour survivre et a eu les difficultés financières que vous savez à la fin de sa vie, alors que nous tous, pour le Centenaire du Cinéma, avons pu découvrir par millions, (par milliards), à la télévision, ses différents admirables travaux dont chacune des images, une fois restaurée peut aussi devenir un livre entier de réflexions étant donné qu’il les a composées chacune et mises en scène. Il y a ici de la part des pouvoirs publics, au sujet de la Culture, et de l’aide apportée à celle-ci - je l’ai vérifié à plusieurs reprises - une inversion qui a été faite dans les budgets qui lui sont consacrés : en effet, ce sont des pourcentages infimes, alors qu’un pays ou une nation ne vit et n’a de légitimité que par ceux qui travaillent pour sa culture, qui en sont les défenseurs ou qui la mettent en relief, c'est-à-dire les artistes y compris les vrais traducteurs (qui savent vérifier les traductions des logiciels de notre temps), créant des ponts avec les autres cultures. Au lieu que tous comprennent cela, on a donné des miettes à ces artistes, à ces personnes qui se battent pour elle dans le monde entier. Certains ont fait des études longues et coûteuses non seulement par les investissements personnels familiaux mais par les apprentissages et les savoir faire nombreux ou omni-directionnels (multi-média) comme Méliès qui donne chef d’œuvre sur chefs d’œuvres en y jouant tout les rôles y compris pour les réaliser dont tous vont se référer, ce qui va permettre à d’innombrables personnes sans pour autant l’envergure d’un Goethe ou d’un Turner ou d’un autre de ces universaux de survivre, y compris toute une nation de s’identifier à Méliès ou à Léonard de Vinci, (à la fois italien et français), quand la vérité est que tous ces universaux n’appartiennent qu’à ce qui est universel dans le propre de ces cultures respectives, c'est-à-dire à tout ce qui a été fait dans le bon sens par d’autres universaux, donc à un monde qui n’est pas celui de ceux qui, en parasites, vivent de ces personnes et qui sont coupables chacune, y compris leurs ancêtres, y compris leurs descendants de tous les malheurs que ceux-ci ont eu à traverser en incompris et parfois avec des difficultés matérielles telles que ce qu’ils ont laissé est prodigieux car ce sont de véritables trésors dont tous se servent pour continuer à gagner de l’argent. Cela nous rend ici légitimement en colère en ayant le devoir de l’être sur ce point scandalisé tant qu’on n'aura pas trouvé des comportements autres que ceux de vautours y compris de parasites de ces êtres là d'exception en se comportant administrativement d’une façon qui fasse honneur enfin à la raison d’être de l’Etat qui est entre autre celle de soutenir et permettre l’épanouissement et la vocation d’artistes véritables et non celles des tricheurs ou des faux bien que j’ai pu vérifier qu’on commence parfois timidement à faire des œuvres en faussaire et que cela peut finir par en donner de vrais, (dans certains cas) d’autant qu’on aura été encouragé par des gens dont la renommée est au-dessus de tout soupçons (ils en sont de vrais) - Picasso a longtemps copié les maîtres anciens avant de devenir Picasso. Comme peut-on tolérer que ces personnes étant à l’origine de la prospérité générale et des fonds de commerce culturels de chacun des pays aient été contraints de vivre chacun dans de telles difficultés ou de tels dénuements ? Comment croyez-vous pouvoir continuer à vous regarder dans un miroir les uns et les autres en sachant ce que vous avez coûté comme peines à un Balzac ou à une comtesse de Ségur ou à un Jules Vernes dont les œuvres ont ou vont chacune devenir des films comme la plupart des textes de Victor Hugo qui, dans le cas des Misérables, auront même eu autant de versions que cela, ce qui signifie qu’avec le cinéma en trois dimensions, il va falloir, encore une fois, à une autre époque, de nouveau, « piller » le trésor inépuisable de ce livre pour permettre à une nouvelle génération d’acteurs de vivre, (en toute cohérence avec les spectacles de leur époque) ces aventures et après la sortie en salle les retrouver au cours d’une nouvelle soirée à la télévision et tout cela comme toutes les autres heures passées par chacun devant le poste compris pour le même prix dans l’abonnement ? Il y a quelque chose qui ne va pas. Avec ces personnes (les universaux), il s’agit bien plus de nations ou de pays ou de continents ou de planètes, il s’agit d’artistes véritables ou de fleuves inextinguibles de matières bien plus belle et plus précieuse que celle de tous les diamants les plus beaux du monde entier ou qui sont à trouver dans les autres planètes. Tous comprennent qu’ils n’ont jamais fait les œuvres dont ils furent les auteurs  pour de l’argent, mais en tant que cette matière (peut-être extra-terrestre) à laquelle ils sont allés puiser tout cela. Aussi comment se fait-il que leur os ou leur squelette n’est pas été conservé bien plus précieusement que celui d’un Médicis à Florence qui a dû lui-même faire des économies pour payer Michel Ange pour étudier son tombeau et conserver ses précieux os ?

Ce n’est pas normal que tous les grands hommes aient dû eux-mêmes faire des économies pour payer leurs enterrements alors que nous tous, si nous parlons notre langue, si nous avons un quelconque intérêt dans nos conversations c’est en raison de ce qu’ils nous ont donné à penser, à calculer, à raisonner ou qu’ils nous ont enseigné. Et ils n’ont pas autour de leurs vénérables ossements un monument dédiés à leur mémoire, ils n’ont pas un édifice ou un lieu pour permettre aux chercheurs de les étudier ou d’organiser des colloques. Parfois il y a des associations à ce sujet et chacune est financée sur les économies des quelques passionnés ou fidèles de ces personnes, parfois avec des petites subventions qui ont été si difficiles à obtenir qu’il a fallu les quêter ou plus ou moins se prostituer pour les obtenir, en en étant comptables. Ou bien nous comprenons qu’enfin ceux qui ont besoin de matériel pour travailler ont le droit de l’obtenir sans avoir besoin de se justifier, ou bien il faut trouver d’autres solutions car j’ai pu vérifier qu’il n’y a qu’incompétents dans toutes les administrations y compris que des planqués, que des profiteurs, que des parasites, que des personnes qui vont accorder des subventions à des profanes sur de fausses bases et en poursuivant des fins qui ne sont pas acceptables et qui sont totalement à l’opposé de la conception même du rôle de l’Etat comme de ce mot à l’origine qui n’existe et n’a le droit à l’existence que dans la mesure où il favorise la création et la recherche dans toutes les sciences et les arts comme bien sûr est relié comme chacun de nous à toutes les catégories possibles dans lesquelles ces recherches peuvent être effectuées si elles le sont éthiquement, ce qui est une des composantes fondamentales de l'Etat.     

Vous devez comprendre que je cumule un certain nombre de fonctions depuis que je suis empereur (1965 ; 1975 ; 1995 et 2005). On devrait comprendre naturellement, en sachant de combien d’activités différentes sont les miennes que j’ai besoin d’un certain nombre de choses matériellement pour chacune de ces activités et pour faciliter mon travail et mes recherches. J’ai entendu vers 2005 que le Vatican est avec moi. Mais de quel Vatican je vous prie j’ai la caution ou l’aide ? (Pour l’instant c’est moi qui ai aidé le Vatican, y compris financièrement à travers toutes les informations transmises à travers Espace et Temps dont toutes celles financières). J’espère que c’est au moins celui qui est au service des arts et des sciences de l’art comme des missions permettant de lutter contre l’analphabétisme ou contre les causes de la misère en ce monde (c'est-à-dire ce contre quoi tout le monde a compris avoir intérêt à lutter y compris les profanes les plus intelligents soit contre tous ceux qui ont augmenté le prix du baril de pétrole) et si oui pourquoi je n’ai pas eu aussitôt le statut, au moins financièrement parlant, ne serait-ce que d’un « ambassadeur du Vatican », puisqu’il parait que « j’ai le Vatican pour moi ou avec moi» comme la Maison Blanche depuis une certaine nuit de 2005 où j’ai redonné aux couleurs leurs véritables couleurs puisqu’elles avaient été infectées de mensonge – ce que j’avais fait en 1965 et 1975 déjà à chaque fois en chair et en os – et vous croyez que c’est une chose qu’on a le droit de contraindre à faire à un enfant et cela gratuitement ?! En effet, il s'agit d'un service qui n'a pas été aisé à réaliser. Imaginez chacune des couleur noircie, devenue fausse et d'un seul coup, celles-ci redeviennent justes, véritables. C'est ce que la puissance de mon esprit à réaliser à ces trois occasions.

Un tel sacrifice (avec Christine) est bien une preuve donné à tous, effectivement, fournie comme par un envoyé ou un ambassadeur de ceux qui ont dû en être victimes eux-mêmes dans le passé et qui, peut-être, n’ont jamais pu, de leur vivant s’en prévaloir ou s’en gausser ou s’en vanter (ce qui m’échoit), ce que sans doute certains croiront possible me reprocher, alors que je suis obligé de perdre mon temps pour réclamer les moyens financiers qui sont les miens et dont j’ai besoin pour créer les conditions d’avoir enfin la possibilité d’accueillir, à titre privé, une vraie famille impériale (eanmeailleuriale car je suis le premier pharaon devenu l'un des bouddhas), dont tous ont pu vérifier qu’elle est d’Intérêt et pour le Bien Général et qu’elle exige de moi que je me justifie canoniquement de tout par écrit en sacrifiant tous mes plaisirs ! Dois-je continuer encore et toujours avec ma famille à être un bénévole « et à tirer le diable par la queue » quand il parait que c’est moi le diable qui permet à tous de manger y compris au Vatican comme partout ailleurs, dans le monde entier, en raison de ce sacrifice que j’ai été contraint de faire à cause d’une personne qui s’est prétendue Dieu en 1975 et qui est réapparue dans ma tête en 2005, alors qu’ayant cru enfin trouver la mère de mes enfants, après une vie de profane, m’étant dégagé de l’enfant-gâté, et de l'égoïste en moi, j’avais eu une sorte de soudaine conversion, en perdant alors mon enfance, mon adolescence et en vérifiant que ce qu’avait dit saint Paul à ce sujet était juste (mais à confirmer comme à revoir plus en détail), et en comprenant qu’il avait pu bénéficier de l’ouverture de son esprit, en retrouvant ainsi le monde de la Vérité, mais en découvrant que j’avais eu à passer 27 ans dans plus ou moins les inepties à cause de cette personne se faisant passer pour Dieu et que je faisais mon mea culpa en voulant me préparer religieusement pour mon mariage mais en découvrant que tous était au courant de ce mea culpa et de mes fautes depuis trente ans comme de mes péchés, puisque je me suis dit que comme on me voyait et on m’entendait trente ans avant dans le ciel, je pouvais profiter de l’occasion pour que les personnes qui allaient en être victime aient moins de séquelles en en étant prévenues d’avance (mais ces personnes, pourquoi ne m’ont-elles rien dit, en ces moments là où j’allais les croiser, ne serait-ce que pour que j’évite de commettre ces péchés, de me profaner ou les suivantes erreurs ?). Franchement en y repensant, elles ne méritaient pas que je me donne tant de mal à les considérer, ces jeunes filles, comme mes propres filles, en tout cas pour celles dont j’ai pu me souvenir des noms pour qu’on les prévienne d’avance. Effectivement, dans l’état d’amnésique et de « perdu », de profane qui voulez-vous qu’on puisse rencontrer de bien intelligent ? D’autant plus qu’il y a toutes les personnes qui ont voulu faire parti de coups montés contre moi et dont je n’ai pas dit les noms à travers le temps, mais dont j’ai compris qu’elles s’étaient organisées pour me nuire (alors que je vérifiai en 1965 et à partir de 1975 que je les sauvais y compris en leur ayant montré de 1972 à 1975, une première fois, comment, en raison des amnésies dont elles avaient été victimes et des éducations locales contextuelles et familiales inappropriées, elles étaient devenues profanes et ne pouvaient plus exister sans toutes celles qu’elles n’ont pas voulu comprendre et qui étant devenues de véritables êtres humains, délivrés de l’aspect profane ou enfant-gâtés, s’étaient occupées par charité d’elles tout au long des temps passés, malgré ces espionnages, malgré toutes ces continuelles preuves de mauvaise volonté que les profanes ont donné y compris signes répétés d’incompréhension et irrespectueuses attitudes.

Si je m’entête avec les trois pressenties impératrices à les vouloir un jour comme telles c’est qu’elles sont celles qui ont eu le plus de dommages dont l’Ensemble est responsable y compris l’Eglise.

Ce Dieu est apparu avec préméditation alors que j’étais en fait innocent de tout et qu’il le savait, en sachant tout ce que j’avais souffert injustement et m’a seulement mis alors au courant d’une chose que j’ignorais complètement, en raison d’une amnésie convenu avec lui en 1975, car sinon je n’aurais pas pu ne pas tricher pour retrouver mon anneau immaculé de mariage avec Michèle et intervenir alors sur 1965 (de 2005) par conséquent éviter la reprise de la guerre grâce à ces interventions à travers Espace et Temps qui ont permis alors de rendre beaucoup plus claire les choses. C’est comme cela que ça s’était passé dans ce cas de la Création bloquée à cause de ceux qui ont hérité de la vieille salle des machines. C’est à ce prix seulement que je pouvais aussi sauver la situation en 1975. Mais tous avaient la possibilité de comprendre qu’il s’agissait de virtuel et qu’ils pouvaient désobéir et faire autrement, d’autant plus que tous m’ont vu m’abîmer (me bousiller) chaque jour un peu plus (à cause de l’amnésie) et me comporter de façon indigne comme nourrir des pensées indignes avec les séquelles mathématiques de la fermeture de mon esprit, en ayant à redevenir profane, ce qui caractérise, à partir de ce moment là, la cécité de pareils individus. Et on a laissé faire ! On n’a pas trouvé les mots pour expliquer ! Il a fallu qu’ensuite après des milliers d’heures d’auto-psychanalyses et la Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale multidimensionnelle et multi universelles, en alpha oméga et … au su et au vu de tous, j’ai à prendre la peine de me justifier par écrit  et d’expliquer y compris réfléchir à la suite ! Ne croyez-vous pas que de tels comportements sont bien plus lâches et indignes de la part de ceux qui ont des responsabilités dans l’Etat ! Il y a de quoi avoir honte et je comprends l’attitude, honnête, d’un Dracula qui, en volant, et en oubliant qu’il est sorti de chez lui, pour venir m’observer de dehors de la rue, par la fenêtre, au cinquième étage, en volant, mais visible, comme on oublie son manteau de pluie, a disparu de honte et de peur (en croisant mon regard) dans cette matière que nous appelons l’air qui est devant nos fenêtres et où, visiblement il se trouve parfois à notre insu (l’air n’est donc pas totalement vide puisqu’on peut y disparaître dans le vide si on devient plus léger qu’une poussière et qu’on circule comme dans la station orbitale aussi légèrement en étant devenu Dracula). Mais Dracula y est inexistant puisqu’il a perdu toutes les dimensions qui pourraient lui permettre de comprendre les lois que subissent tous ceux qui se sont privés de la vieille salle des machines. On dirait qu’il s’est exclu de ses lois qui pourtant gouvernent logiquement tous ceux qui appartiennent au monde de ceux qui ont un poids intellectuel (qui savent ce qu’est construire et ce qu’est Amour, comme bien d’autres choses que son état lui a fait oublier) et qui ne font donc pas semblant de connaître les lois et le canonique, c'est-à-dire le licite en le discernant de l’illicite dans les conditions qu’ils subissent. Par conséquent, comment le prendre au sérieux puisque nous ne pouvons pas accéder à sa façon de voir et que nous sommes chacun d’entre nous soumis aux lois de ceux qui ne veulent pas devenir inexistants ou légers au point de profiter comme les autres, en parasites, des efforts de tous ceux qui soumis à ces lois ne font pas semblant d’étudier ces lois qui gouvernent le monde du visible : les oiseaux ne trichent pas, ils volent visibles, ils n’ont pas de truc pour les rendre invisibles et n’ont pas honte de s’aimer entre eux y compris de faire l’amour aux sus et aux vus de tous. Quand des pigeons se font la cour, même plusieurs mâles à la même pigeonne, c’est aux su et aux vus de tous, sans honte et sans pécher ! Ce qui signifie que ceux qui utilisent l’invisibilité (la salle des machines) sont dans une attitude de péché et hostiles à leurs plus véritables intérêts, puisqu’il s’agit d’une attitude qui n’est pas fraternelle du tout puisqu’elle a conscience d’être dans l’illégalité et dans la honte, puisqu’elle est fondée sur « tricher » et profiter d’un truc ou d’une chose que les autres n’ont pas (à l'insu). Où est-elle donc cette fraternité dont ils se prévalent pourtant et se gaussent ? Il n’y a donc pas de véritable fraternité dans l’erreur, la triche et le mal. Il s’agit d’amitiés et d’amours qui n’en sont donc aucunement, puisqu’ils faut se cacher pour espionner (surveiller à l'insu) et perdre son innocence. Mais nous savons que tout cela a comme origine un problème survenu si lointainement dans les temps anciens que probablement tout cela est fondé sur un véritable malentendu depuis l’époque et le manque de mots qui n’en étant pas encore à l’époque n’ont certainement pas convaincu celui ou celle qui s’est retrouvé avec la salle des machines, l’autre y ayant sagement et intelligemment renoncé. Donc un véritable problème depuis lors car, d’un côté cela a donné des façons de fonctionner en toute logique et de l’autre la prison dans laquelle sont tous ceux qui sont devenus des inconscients avec les échelles d’actes de folies diverses du moins du point de vue de ceux qui ont la raison et qui opèrent en conscience[79].

En découvrant que peut-être aussi cette histoire était connue de certains, depuis avant ma naissance, cela je n’ai pu m’en rendre compte que seulement vers 2012. Mais il s’agit d’intuitions en raison d’un tableau de Goya où il y a une sorte de géant nu dans le ciel (au-dessus d’un paysage) qui pourrait être moi, puisque j’ai pu vérifier, comme tous le monde, que j’étais cet être immense dans le ciel en 1975[80]. Aussi je comprends pourquoi certaines statues des pharaons d’Egypte, devant les tombeaux étaient représentés immenses avec parfois une personne, certainement un serviteur, qui commençait à grandir, à leur pied ou dans une autre proportion. De nombreux sculpteurs ont mis dans les mains de géants, comme Gargantua, des êtres plus petits. Bien sûr, il y a  les guerres picrocholines illustrées d’une certaines façon par Gérôme Bosch mais aussi qui concernent des personnages minuscules dans la littérature Gulliveriène qui s’attaquent à des dormeurs et il y a les représentations de pharaons immenses sur les murs des temples anciens tenant par les cheveux leurs ennemis. C’est bien normal puisque je gère de là où je suis assis en vérité toute la planète. Et c’est pourquoi il serait normal que j’ai au moins un chauffeur et des personnes à mon service pour me délivrer des tâches matérielles, de même que les membres de ma famille qui sont chacun, peut-être aussi grands que moi et qui ont des difficultés que j’ai pu mesurer (en effet en tant que profane on n’éprouve aucune difficulté ou peu – ou alors on se plaint comme un enfant-gâté pour la moindre des petites difficultés -  mais quand on a ce genre de proportions – immenses - et qu’on fait parti des gens qui ont vraiment grandi et qui se sont débarrassés de l’enfant-gâté, on ne dispose pas de la même légèreté qu’avant, quand on était devenu inconscient – j’ai pu vérifier que cela ne permet que difficilement de faire des sports, alors que quand on est plus inconscient, ils sont bien plus faciles et sont ainsi beaucoup plus à la portée de tous ceux qui ont cette chance).

Il n’est pas normal que des personnes s’étant chargées comme nous de donner tous les ordres que nous donnons, ayons à perdre du temps depuis 2005, une fois par semaine, pour aller chercher un peu d’argent pour survivre une semaine, en ayant à nous déplacer nous-mêmes, alors qu’il y a tant de personnes à employer pour transporter le courrier ou faire les coursiers ce qui a comme objectif d’en faire des gens un jour indépendants financièrement, et qui peut-être finiront à force d’avoir des efforts à faire, par se délivrer de cette enfance ou adolescence d’enfant-gâtés, au mauvais sens de ce mot, pour connaître le monde de la vérité, en retrouvant un peu leur taille, au lieu de devenir toujours plus minuscules et infimes, ce qui exige alors de devoir s’ingénier pour trouver des questions à poser et avoir des conversations, quand on se trouve face à eux et qu’il faut bien trouver gentiment, par charité, quelque chose à dire dans une des catégories qu’on est sûr d’avoir en commun, puisque dès que la conversation finira, on retrouvera les milliards d’autres niveaux de lecture de la réalité en retrouvant cette conscience continuelle d’un véritable gâchis général, puisque toutes ces personnes ont voulu s’exclure du monde de la vérité pour connaître, comme j’ai pu le montrer, en raison de l’oubli, cette fermeture progressive de leur esprit et une « involution » pour des échanges de phrases et de mots entre eux qui n’ont, en réalité que l’apparence ou le « faire semblant » de la vérité, alors qu’ils ne sont que des paroles ou des engagements de menteurs entre eux, de tricheurs, d’imposteurs et d’usurpateurs, devenus comme tels, malgré eux (s’ignorant l’être devenus ou faisant semblant de ne pas l’être), peut-être en raison de problèmes génétiques (ce qui risque de rendre encore plus difficiles les mariages).    

Aussi cela signifie qu’à partir de 1965 comme à l’occasion du deuxième avertissement, à partir de 1975, l’Eglise devait tout faire pour éviter que ce cas de figure ne se reproduise, en évitant que ce sacrifice n’ait lieu une seconde fois. J’avais alors seulement deux ans et un mois et en 1975, je n’avais que douze ans et un mois quand cette histoire a recommencé (or on le sait les grands doivent veiller sur les plus petits et les défendre car ils sont les plus faibles). Cela signifie que cette personne qui s’est prétendue Dieu ne l’était pas et qu’elle a peut-être, sans le vouloir, ou pour d’autres raisons qu’un jour elle voudra bien nous donner, peut-être est-ce son âge, ou son éducation (donc son contexte familiale), peut-être est-ce la Première et la Seconde Guerre mondiale, ou un état de folie, à cause de tant de souffrance et de tant de responsabilité (c’est possible ou peut-être de méconnaissance de la nature humaine) - peut-être n’allait-il pas bien, à cause de tout cela - et je me suis senti obligé de placer ce sacrifice sous le jour de l’Eglise et de la religion (puisqu’il s’est présenté comme Dieu – ce qu’il est peut-être : je n’ai que l’âge en question en 1975 et je suis, à cette âge-là, dans l’ignorance de nombreuses choses qui se sont passées avant ma naissance), alors que ce sacrifice je l’ai fait en laïc, en (futur) réalisateur de films, en scénariste, comme en chacun des métiers auxquels je me suis formé aux différents moment de mon existence me portant à les exercer en amateur avec toutes les contraintes liées à chacun des mots qui me représentent à ces moments-là (projectionniste, photographe, électricien, utilisateur de chignoles, lecteur, etc. et pour la liste, plus détaillée des différentes activités menées mais pas encore complètes, ce que certains pourraient déplorer, je vous prie de la trouver en partie sur le générique de fin de La Momie à mi-mots, voire dans/sur le fichier qui formule, à cette occasion, mes vœux pour la nouvelle année 2013).

Donc contraindre, de nouveau, à partir de 1975, l’Eglise à se faire passer pour charitable, ce qui a toujours été sa vocation, mais qui est aussi la vocation des êtres humains entre eux, y compris celle des bandits entre eux (ils s’entraident et s’ils le font avec de l’argent sale (des crédits financiers usurpés (cfu), des crédits financiers escroqués (cfé), des crédits financiers malhonnêtes (cfm), des crédits financiers volés (cfv), des crédits financiers trichés (cft), des crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)), c’est qu’ils n’ont pas été élevés pour avoir la patience de ceux qui font de l’argent propre (des crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD). Pourtant, ils aimeraient que cet argent sale ne soit pas à l’origine de leurs malheurs. D’où tout ce que nous avons été amené à faire pour réussir à créer des mécanismes pour qu’ils parviennent à le blanchir et à apparaître comme d’« honnêtes ex-bandits ». Mais cela ne fait pas pour autant de véritables gentlemen, ce qu’ils aimeraient être, ce qu’ils rêvent d’être, ce qu’ils désirent en fait devenir, ce qu’ils s’ingénient à faire croire être, en faisant semblant !)

Les bandits[81] savent très bien depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale que personne n’a le droit de séparer des enfants ou des adolescents qui s’aiment ou se sont promis l’un à l’autre. Aussi pourquoi les autres qui ne sont pas des bandits l’ont cru possible entre Christine et moi ? Seulement à cause de la raison du passé de cette planète où d’innombrables personnes n’ont fait que se sacrifier y compris toutes les vieilles filles et les vieux garçons : cela devait être suffisant pour s’opposer à ce projet sacrificiel en conscience et être de ceux qui cohérents avec l’Histoire savent désobéir quand il faut « désobéir en conscience ». Aussi tous ceux qui étaient des êtres de conscience et qui disaient être intervenu pour délivrer les camps de concentration et mettre un terme à ces séparations inconcevables qui en avaient résulté étaient capables de nous voir réitérer ce sacrifice une seconde fois dès 1975 alors que je n’étais pas encore arrivé au moment où en 1965 il venait de commencer pour la première fois, puisque nous avons découvert, qu’en raison du décalage dont nous avons aussi découvert l’existence, je n’ai été contraint à me contraindre d’exiger de nous de le faire une première fois que seulement parce qu’en 1975 on exigeait de nous de le faire une première fois, ce qui nous a obligé à déménager pour Rome en 1967 et à vivre toutes les années jusqu’à 1975 où forcément j’allais réapparaître dans le ciel de 2005, même si j’étais déjà arrivé en 2007 !  

Par le Grand Architecte de l’Univers, il faut mettre un terme, une fin à une situation pareille qui, encore une fois, n’est dûe qu’à une situation bloquée et à des mœurs difficiles à comprendre par tous ceux qui ne peuvent pas d’eux-mêmes faire les efforts pour réfléchir et qui, par conséquent, sont contraints par la situation de faire confiance à ceux qu’ils sont obligés d’espionner, puisqu’ils ne comprennent rien d’eux-mêmes ou alors seulement en ayant de la logique une idée élémentaire et du calcul cette façon élémentaire et égoïste ou d’enfant-gâtés qui n’est pas juste mais qui ne leur permet pas, d’aucune façon, d’accéder aux calculs multidimensionnels, multi paramétriques qui sont ceux auxquels accèdent ceux qui ne sont plus profanes, car ils ont rejoint le monde de la vérité. Aussi il n’est pas étonnant que dans ce monde là on y soit l’objet continuel d’espionnage puisque les profanes qui ne peuvent calculer qu’en « propriétaire » (l’argent qu’ils ont dans leur porte monnaie est le leur – le lieu dans lequel ils vivent est le leur s’ils ont les papiers en règles, etc.) ne peuvent avoir une chance de survivre que grâce à leur souverain, dont ils profiteront comme un peuple a toujours voulu profiter en parasites ou en sujets dévoués, quand ils arrivent à éprouver un peu de la reconnaissance qu’ils savent leur devoir. Mais pour cela, il faut être devenu un peu un être humain capable d’éprouver un peu de gratitude en se rendant compte que les institutions, ou tous les ministères ou les lieux de soins, ne fonctionnent, comme tout le reste, que parce qu’il y a ce rapport de confiance avec des personnes qui n’ont plus de raison d’être en ce monde que pour être au service de l’Ensemble, souvent dès leur petite enfance en s’étant débarrassé de l’enfant-gâté, et donc jouer ces rôles là dont ils ont hérité comme d’un grand malheur ou pour d’autres comme un grand bonheur (leur donnant un sens à leur vie), en raison de la situation ayant fait leurs parents des personnes cherchant à trouver ces solutions élégantes ou à favoriser la construction de perspectives qui pourraient faire du bien non seulement à ceux qui les proposent mais à l’ensemble. Il y va ici de la question de ce qui est utile. Donc de continuer à créer les outils dont chacun de nous peut avoir besoin.

Tout cela a été difficile à cause de la situation bloquée et en raison d’une méfiance des bandits vis-à-vis des autres, qui est maladive et injuste, (celle de peureux qui étant dans l’ignorance, au mauvais sens de ce mot n’ont plu que cette réaction de crainte qui vient donc naturellement comme quand on est face à une chose nouvelle ou au feu pour la première fois ou pire en face du soleil à regarder dans les yeux. La crainte de l’autre dans la vérité est donc une chose normale pour ceux qui n’ont plus qu’un cerveau local réduit de propriétaire et qui savent que quand ils sont dans un autre lieu ils ne sont pas chez eux – c’est pour cela qu’ils ont cru s’autoriser à voler ou à s’introduire dans d’autres pays pour s’y conduire en mal élevés ou en barbare de même qu’ils ont cru pouvoir se moquer de ceux qui leur donnait des enseignements pour leur donner envie de devenir savants et de comprendre toutes les lois qui régissent le monde de ceux qui ne sont plus profanes – au lieu de faire l’effort de les comprendre, ils ont cru qu’elles étaient fausses  – le coupable de cet état d’esprit est la salle des machines qui aurait dû être à tous, donc une propriété collective, ce qui aurait pu faire disparaître ces sentiments de « propriétaires » locaux).  

En raison des peines immenses qu’ils ont prise pour être des gens d’esprit honnêtes, il s’agit alors d’aider financièrement des personnes malhonnêtes qui désirent, en fait, devenir honnêtes et se conduire dignement pour mériter toutes les peines prises par les ancêtres et en devenir à leur tour et si possible des gentlemen capables de jouer les Bourgeois gentilshommes en étant capable, comme lui, de pratiquer une forme d’autodérision ou la caricature du turc, sans pour autant les fâcher dans ce pays là, puisque les plus intelligents à Istanbul ou à Ankara seront capables d’en rire et même de s’en sentir flattés.

S’il n’y a pas de véritables raisons à expliquer et à connaître comment réussir sans les donner à faire comprendre à des enfants ou à des adolescents pourquoi il est important, de nos jours, qu’ils attendent, au moins certains d’entre eux, ce qu’il faut comme temps, avant de se marier, puisque la vie en commun, en profane, devrait avoir pour objectif de permettre d’arriver à ces fiançailles et peut-être à, plus loin, ce mariage, par conséquent normalement, si tout n’avait pas été remis en question plus ou moins bêtement à chacune des générations, à créer tout simplement les conditions matérielles minimales pour assumer financièrement de façon privé (et non pas en parasites de l’Etat) comme en raison de sentiments partagés ou peut-être d’enthousiasme grâce à l’autre, la venue d’un de ces petits qui dès l’âge de bébé est déjà plus loin un arrière grand-père ou une grand-mère, par conséquent qui connaît comme nous l’avons tous connu à la fois le malheur de naître mais aussi le bonheur de naître, d’autant que, pour l’instant, nous n’avons une idée de l’arrière grand-père ou de l’arrière grand-mère en question que sous cette forme et dans la situation bloquée de laquelle nous sommes tous les prisonniers et pas encore dans la situation débloquée où ceux-ci pourraient demeurer éternellement jeune filles et jeunes hommes puisque débloquer la situation permettrait normalement, sur le long terme, de voir disparaître les maladies, les malheurs, les problèmes, la vieillesse, la mort, bref tous les problèmes.

Donc l’image négative de la vieillesse disparaîtrait aussi puisque les causes qui la font être disparaîtraient et la vieillesse disparaitrait. Mais il y a un risque, c’est celui de perdre la sagesse qui vient parfois aux personnes âgées. C’est de sombrer dans la folie au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) puisqu’il n’y aurait plus de problèmes, il n’y aurait plus de conflits. Pouvons nous nous l’accorder et prendre ce risque ? C’est peut-être ce qui pourrait conduire à la catastrophe, comme cela s’est passé quand la vieille salle des machines était à tous. Et c’est pourquoi débloquer la situation, (qui l’est depuis si longtemps bloquée) ne va pas être une chose facile, car si tous le monde aura la chance de devenir éternellement jeune, il faut néanmoins que chacun devienne sage, conscient, responsables, et donc puisse, d’une certaine façon, être vieux en savoirs et en expériences, puisqu’en général ce sont eux qui, en raison de leurs erreurs, font la morale ou donnent les bons conseils pour nous éviter de faire ces erreurs – ce qui a permis aux religions d’avoir autant de succès. Ces jeunes devenus inconscients, lâches, maîtres-chanteurs, et donc indignes de ce mot d’enfant délivré de l’enfant-gâté, puisqu’ils l’ont profané en eux ou ont voulu ignorer qu’il pourrait seulement exister un jour, ont alors connu une « involution » au lieu du contraire et c’est pourquoi ils sont prisonniers du lieu, de la localité n’ayant pas accès à la possibilité de s’envoler spirituellement d’eux-mêmes. Cela en fait des fous prisonniers alors que les autres même s’ils sont prisonniers peuvent, grâce à leur cerveau qui fonctionne comme un ordinateur créer et élaborer des œuvres permettant de s’échapper ou d’explorer d’autres formes de même qu’un ordinateur s’amusera de lui-même à proposer des images animées qu’il calculera quand il est au repos ou comme tâche de fond ou quand il attend qu’on travaille avec lui. Il y a donc l’être humain qui a pu se rendre fonctionnel en vérité, donc pensant et tous les êtres humains qui ont besoin que la tête ou l’ordinateur les dirige et les vérifie. Il est donc normal qu’une personne devenue un super ordinateur (qui fonctionne vraiment) ne cherche comme époux ou épouse qu'une personne semblable, sinon il va s’ennuyer ou alors il pense qu’il peut réussir grâce au mariage à transformer des personnes en super ordinateur pour l’aider à encore mieux servir son prochain (car l’ordinateur ne peut se considérer que comme un serviteur, un assistant de ceux qui ont besoin de lui, car les autres ordinateurs n’ont pas besoin de lui ou seulement parfois, quand ils se mettent à travailler en réseau pour ensemble réaliser un projet où il faut être plusieurs ordinateurs fonctionnant ensembles comme le seront pour des projets à caractère communautaire plusieurs souverains (par exemple pour construire le Tunnel-sous-la Manche – ou pour jouer aux cadavres exquis - où cela a exigé des choses difficiles à mettre en œuvre, mais qui a permis, à des personnes peu instruites, peu scolarisées d’avoir un travail sûr pendant un certain temps utile à tous et au lieu de devenir un truand, d’être certain de pouvoir avoir les moyens d’aller au cinéma ou de voir la télévision sans être recherché par les polices internationales pour viol ou autre crime. Un super ordinateur du futur a donné un ordre à un super ordinateur dans le passé (qui était en fait le même pharaon, mais plus jeune de trente ans, et tout s’est mis en place pour construire le Tunnel-sous-la-Manche, qui, même s’il n’est pas une bonne affaire le sera à très long terme comme l’a été le Canal de Panamà, car les chiffres du commerce exigeait de réaliser ce travail comme l’époque exige de construire un tunnel et un Pont pour le Détroit-de-Messine (comme à Gibraltar) pour permettre à l’Italie d’offrir à la Sicile les moyens de se développer plus en adéquation du projet européen qui va offrir à cette région du Sud, très métissée, la possibilité de développer des liens commerciaux sans perdre le temps de charger et décharger par bateau en s’amarrant au port).

C’est que la situation générale est celle d’une société ou de civilisations qui sont formées de personnes étant contraintes d’avoir entre elles, quotidiennement, des rapports d’argent (de Crédits Financiers Propres et Mérités de Droit) et de confiance car rien ne pourrait fonctionner sinon. Vous admettrez que ce n’est pas normal que je survive en tant qu’handicapé (27 ans d’amnésie dont il faut se remettre, y compris de séjours dans les divers hôpitaux psychiatriques tout au long du processus où je ne me savais nullement le cobaye de l’Ensemble, y compris de moi-même, en ayant, à l’occasion de chacune de ces étapes de ces « chemins de croix » qui m’attendaient, à la suite de ceux qui m’y avait mené depuis 1977). Tous avait la possibilité d’éviter que j’ai toujours plus mal, y compris en 1995, quand j’ai eu à endosser le[82] sarcophage des empereurs et à subir ce que j’ai eu à subir, en ayant à revenir à Paris et à continuer ensuite les tableaux-partitions pour ce piano peint – des tableaux à l’infini de l’infini plus difficile encore à peindre que ne l’avait été chacun des millimètres carrés du piano en question recouvert de miniatures (alors que celui-ci avait déjà été difficile à peindre à l’infini de l’infini toujours plus difficile qu’à la fraction de seconde précédente – imaginez, monsieur le Cardinal où j’en suis maintenant où depuis 2005 c’est toujours à chaque fraction de seconde encore plus difficile encore à peindre (où à écrire ou à penser) qu’à la fraction de seconde précédente – il en a résulté de tout cela comme une impression de grande facilité pour tout ce qui était « hyper difficile » et donc ma personne comme un superordinateur[83] – vous pourrez ne pas me croire mais pourtant c’est vrai : ce qu’il y a de plus difficile est devenu le plus facile pour moi – il y a juste un instant en allant donner un morceau de madeleine aux oiseaux, je viens d’inventer des encadrements de fenêtre en matière plastique munis de touche de clavier (une idée bête qui ne sert encore à rien, mais qui s’est imposée comme une évidence : c’est pour des fenêtres-appeaux).

J’ai appris depuis 2005 que j’ai eu aussi à connaître toutes les formes d’incompréhensions durant chacune de mes réincarnations précédentes, étant donné que ce Dieu m’a affirmé que j’en avais fait un certain nombre avant celle-ci, ce qui est peut-être vrai, puisqu’il faut croire Dieu, et cela d’autant qu’il se pourrait que, d’une certaine façon, l’ayant vérifié moi-aussi autrement, j’en ai eu comme une confirmation entre 2005 et 2008, bien que j’attende de disposer d’autres machines pour pouvoir le constater effectivement : que je suis avec d’autres identités dans d’autres corps dans d’autres temps passés, ces machines permettant cela et étant peut-être dans la vieille salle des machines, étant donné que pour l’instant, bien que pharaon, je ne puis que mettre un « peut-être » ou une forme interrogative à ce sujet, puisque pour disposer de la possibilité d’entrer dans cette vieille salle des machines, il se pourrait qu’on ne puisse, en raison des préjugés, qu’une fois mariés, ayant sacrifié aux rituels administratifs et religieux. C’est pourquoi je suis aussi contraint d’envisager ces mariages.

Non ! Monsieur le Cardinal, ce n’est pas vrai : ceux qui ont pu avoir accès à cette salle des machines, s’ils sont mariés ne l’ont pas vraiment été et ne l’ont été que seulement en profanes, inconscients, sacrilèges et ignorants, au mauvais sens de ces mots. Ils n’ont donc eu leur anneau de mariage au doigt qu’en usurpateurs, imposteurs et menteurs, ou coincés dans les vérités relatives de leurs époques et des localités liées à ce mot de « mariage ». Il y a tout ceux qui y ont été admis sans avoir été mariés en ces époques où il n’y avait ni de langage, ni représentations sur les murs des cavernes et encore moins d’anneaux de mariage.  Peut-être serait-il bon d’instituer un jour que seules les personnes « véritablement » mariées aient le droit d’y accéder, mais cela exigerait de passer par un anneau de mariage comparable au mien, ce que je ne recommande à personne, car d’en avoir vérifié l’existence à ce point trois fois et cosmiquement parlant, même si l’impression globale est finalement cette facilité relative, ce fut néanmoins plutôt éprouvant à trois reprises sur cinquante ans. Or, avec l’anneau de mariage, ce simple anneau en or, il s’agit d’une pratique occidentale qui ne remonte qu’au XVIIème siècle, c'est-à-dire à il y a longtemps, du point de vue de chacune des générations qui se sont habituées au rituel du mariage. Je crois, en tout cas, que cet anneau de mariage qui est le mien est vraisemblablement (il y a des chances) relié à la vérité absolue et ultime, d’autant qu’à partir de 1995, cela a même fait intervenir le Grand Architecte de l’Univers lui-même car cet anneau de mariage cosmique universel (dont j’ignorais l’existence puisque j’étais amnésique) je l’avais soudain matériellement et physiquement sur la tête, ce qui a été confirmé aussi, d’une autre façon, à partir de 2005, au cours de ce processus dont tous ont pu se rendre compte qu’il avait eu déjà lieu une première fois, à partir de 1965 et une seconde fois à partir de 1975 : donc il existe bel et bien un véritable anneau de mariage entre les personnes qui le célèbrent en famille et qui, à cause de lui, sont fidèles l’une à l’autre y compris à leurs devoirs vis-à-vis des enfants qui devraient avoir résulté ou matérialisé la présence de cet anneau au doigts (du moins) de certains qui n’ont pas triché en l’y introduisant au cours d’une cérémonie[84], qu’on le veuille ou pas. C’est pourquoi je me suis permis de confirmer en 1965, 1975 et 2005 les quinze années de mariage de mes parents, les vingt cinq années en 1975 et les cinquante cinq années de mariage à partir de 2005. Maintenant ce qui se passe dans un couple ne regarde à mon avis personne, si ce n’est le couple lui-même qui est aux prises avec l’histoire de son évolution en tant que tel et qui cherchera ou pas à en faire état. Aussi, s’il n’y a pas la nécessité de s’ingérer (car celui-ci se déchire ou risque de faire du mal aux enfants ou de se faire du mal), personne n’a à se mêler des affaires sentimentales de ce qui est de l’ordre du « privé » comme parfois de cheminements spirituels souterrains. Bien sûr, il y a autant de forme de couple qu’il y a eu de couples et chacun à des obligations à de certains moments. L’anneau au doigt peut permettre de s’en souvenir comme celui de fiançailles. Je ne puis que recommander à chacune des personnes qui va vers la vie de couple d’essayer, grâce à cela, de se débarrasser de l’enfant-gâté en chacun d’eux, de son enfance et de son adolescence au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), durant cette période prénuptiale pour éviter d’avoir à être des parents incompétents face à des enfants ayant été contraints de s’incarner pour soigner, à chaque fois, un contexte familiale de parents plus ou moins malades de la situation générale et donc, dans certains cas, à devoir faire les frais de ces couples de leurs parents s’étant mariés en inconscients pour être, par exemple, de ceux qui cherchent à toucher des allocations familiales ou pour d’autres raisons, tout aussi scabreuses, en n’étant pas arrivés au mariage l’esprit ouvert, en pleine connaissance de cause, et en sachant qu’avoir des enfants c’est aller vers de véritables peines supplémentaires (donc rechercher avec l’autre toujours plus de difficultés à surmonter) mais aussi contraints à prendre des risques très difficiles en raison de l’existence des profanes ou de certains célibataires, qui, pour l’instant inconscients, comptent en parasites sur tous ceux qui appartiennent au monde de la conscience, du devoir et du légitime, donc sur les personnes ayant constitué une famille, etc.  

Donc, rien ne presse, à propos de ces mariages, Monsieur le Cardinal, c’est une piste que j’explore en scénariste, sur le papier, en faisant comme si nous avions à en prendre ce chemin. Nous avons tout notre temps de voir venir et de nous préparer à de tels bonheurs. J'espère qu'il s'agira alors vraiment de bonheurs pour tous et que le nécessaire aura été fait entre temps, sur toute la planète où je règne depuis 2005 en souverain incontesté et incontestable, pour préparer l’opinion publique à l’idée de ces mariages en vue, au pire d’une Construction d’une Rosace de leur empereur (de plusieurs points-mariages dans les temps à venir. Mais déjà, dans un premier temps constituons un trèfle. Puis « plus si affinité » avec d’autres points-mariage avec lesquels créer les ponts pour la rosace. Il faut bien envisager de donner un cadre légitime, une structure solide à admirer, exemplaire, aux enfants du souverain de tous les mondes qui, entourés de mères totalement libres (ces points-mariages pourraient compter les unes sur les autres pour m’aider à être ce père centrale (ce que je ne redoute plus) puisque pharaon. Bien sûr cela pourrait plaire aux profanes (car cela va poser un véritable problème à l’Eglise (mais c’est elle qui l’a cherché), un précédent – ils adorent ça, que l’Eglise soit ennuyée par un imprévu ou un cas particulier à ce point légitime – canonique - d’un empereur aux multiples anneaux de champion olympiques toute catégorie!). Cela va satisfaire les mondes plus souterrains, comme celui des enfers (« c’est bien fait pour ces cardinaux, nananère »), mais aussi ceux du Purgatoire (qui verront que l’Eglise n’est pas si coincée que cela). Bien qu’au Paradis, ils aient tous compris mon problème en raison de notre époque – car nous étions en 1965 et pas il y a 2000 ans – et qu’en fait tous ont pu comprendre que je suis plusieurs personnes bien qu’une seule, mais à chaque fois différente puisque j’ai à m’adapter au problème que j’ai à traiter. Aussi ceux qui sont au Paradis ont pu comprendre comment on devient profane dès la première masturbation qui n’a pas été effectué avec la femme de sa vie, ce qui doit avoir posé un problème mais permis à tous de vérifier qu’il vaut mieux pas gaspiller sa semence. C’est pourquoi ceux qui ont cru pouvoir, en profanes, utiliser les vieilles machines d’Atlantide pour faire éprouver des désirs sexuels ou les utiliser pour faire éprouver artificiellement des plaisirs sexuels aux adolescents et pour leur donner ce goût prématurément de la sexualité sont dans l’erreur et font, à notre époque, quelque chose de très préjudiciable car le garçon perd alors le spermatozoïde qui pouvait être celui qui viendrait naturellement pour créer son fils ou sa fille avec la personne qui y consentirait mais, d’autre part, la possibilité de découvrir ces plaisirs avec cette personne avec laquelle il voudrait construire un avenir pour ces enfants ! C’est effectivement un sacrilège et une profanation (mais comment s’attendre à autre chose de la part d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui ne se rendent pas compte des malheurs dont ils ont voulu être les auteurs comme des maladies qui les ont empêché de penser ce qui était vraiment bon pour tous). C’est ainsi que tous les garçons, adolescents et hommes qui ont été soumis à pareille épreuve ont été l’objet de crimes de lèse-paternité, donc de véritables sacrilèges. Peut-être le péché le pire qui soit y compris vis-à-vis de l’épouse potentielle. Aussi tous ceux qui se sont mariés n’ont jamais eu les enfants qu’ils auraient dû avoir s’ils avaient connu l’autre normalement et découvert la sexualité grâce à l’autre. C’est peut-être le plus grand des gâchis qui ait été fait par certains hommes à d’autres hommes. Il est donc miraculeux que malgré cette situation totalement préjudiciable et contraire à l’Intérêt de tous des hommes et des femmes soient nés et aient découvert ce qui était juste de ce qui ne pouvait plus l’être et à ce point. Aussi tout ce qui a été fait contre la vérité et contre la justice n’a fait qu’en faire advenir une toujours plus exacte et vraie.

Le Paradis : il s’agit de là où iront les âmes après la mort où on retrouvera Jésus, Saint-Pierre, André Breton, etc. qui nous y attendent.

Comme je suis aussi le pharaon de Dracula qui a révélé qu’il est amoureux de moi (j’espère que cela lui passera), mais qui n’ose encore l’avouer en public (puisqu’il disparaît de honte et de peur dans l’invisible quand il croise mon regard – il a donc eu des pensées inavouables et coupables à mon égard) bien qu’il volait dans la rue au cinquième étage ; il avait oublié de se rendre invisible et arrivait vers ma fenêtre avec la précipitation d’un affolé par quelque chose qu’il n’a pas eu le courage de dire et en croisant mon regard, il a aussitôt disparu dans l’invisible (et même s’il n’est pas beau à voir, il n’a rien d’effrayant d’autant plus qu’il a l’air de savoir à ce point qu’il est dans son tort – je me suis dit qu’on pourrait tous le soigner). Il se croyait peut-être l’habitant de la vaste station orbitale ayant pour nom la Terre – je trouve cela plutôt sympathique d’avoir ce pouvoir de voler et de s’être rendu plus léger qu’une poussière, si malheureusement tout cela n’était pas à l’origine des catastrophes personnelles de tous ceux qui se sont fait avoir par ses propositions pour se rendre certainement aussi inconscients qu’il l’est au point, grâce à cela, de s’être ainsi affranchi des lois qui nous gouvernent tous quotidiennement en personnes conscientes de tous les problèmes et qui, à cause de cela, sont obligées d’« avoir les pieds bien sur terre » y compris pour se marier canoniquement, puisqu’on est contraint à cela par la génération suivante, elle-même contrainte par la suivante, et ainsi de suite au point, nous l’avons vérifié, avec moi, qu’elles y sont peut-être déjà virtuellement dans le ciel toutes et que la situation ait été enfin débloquée ou pas avant même d’y être (cela confirmerait que quelques unes des visions des peintres concernant les petits amours ou celles qui étaient peintes dans certaines coupoles à propos du ciel sont vraies).

Quand j’ai vu Dracula un instant dans la rue du Val de Grâce, il y avait assez de lumière pour voir qu’il était comme un squelette gris assez sombre, peut-être parce qu’il a passé beaucoup de temps dans des ambiances pleines de fumées, me suis-je dit par la suite. Puisqu’il est si léger (il est normal qu’il ne dispose pas d’un cerveau comme celui de ceux qui ont fait tous les efforts pour être de ceux qui sont soumis aux lois comme à celle de la pesanteur et je pense soudain à la bande dessinée Le Bossu de Notre-Dame ou à M le maudit et je trouve malheureux que nous ayons à rejeter cette personne parce qu’elle est à ce point différente. Pourquoi rejeter une inconscience pareille si ce n’est parce qu’elle mène certainement à cette peur de l’autre et à ce sentiment de coupable qui doit être difficile à supporter. Je sais à quel point être « incompris » ou être différent est difficile à vivre. Il se pourrait que Dracula soit devenu Dracula parce qu’il a été rejeté et incompris, on l’a méprisé. Je sais ce qu’est subir un injuste mépris de gens qui pour feindre ne plus l’éprouver envers vous, vous contraignent à fournir des efforts considérables pour leur prouver qu’ils avaient tort et qui n’ont pas tout de suite la politesse de reconnaître leur torts ni cru bon se sentir coupable de m’avoir infliger d’injustes souffrances en s’étant rendues coupables de les avoir infligées à tous et en m’ayant contraint à assumer moi-même tous les torts pour découvrir que finalement je n’avais à faire qu’à des personnes ingrates qui savaient toutes entre elles qu’elles étaient dans leur tort, mais en ayant pris lâchement le parti de la mauvaise foi et du mensonge de celles qui croient pouvoir faire semblant d’avoir quelques raisons à cela, alors que toutes les preuves sont contre elles et que la démonstration de l’existence de l’anneau cosmique leur a été donné y compris celle de l’existence d’un Grand Architecte de l’Univers. Je sais trop ce qu’est avoir été injustement méprisé pour ne pas avoir acquis ce droit là, en vérité, mais je me mets à la place de celui qui s’est rendu méprisable et qui n’arrive pas encore à en connaître les raisons : le profane. Qu’on me permette une hypothèse à cette époque : il se serait rendu profane pour connaître un jour de ne plus l’être ? C’est ici une hypothèse qui concernerait tous ceux qui ont voulu vérifier sur eux-mêmes qu’ils ne sont peut-être pas autant que cela seulement des pourris et des ordures à mépriser, mais récupérables, voire ayant envie d’avoir une nouvelle chance ?

Il ne tient donc qu’à Dracula, s’il le veut, avec notre aide, de redevenir un être civilisé (au véritable sens de ce mot – c'est-à-dire quelqu’un qui va enfin comprendre que les autres étant soumis aux lois de la pesanteur comme à continuellement à avoir à porter un disque dur considérable[85] – toute leur mémoire et la chronologie de chacune des secondes de leur existence en l’absence de la salle des machines - ils est normal qu’ils fonctionnent autrement avec le poids de tout ces référents et ce qu’ils induisent de leur point de vue qui même si incompréhensible dans l’état de Dracula l’inconscient, contraint au respect car ce qui est cru comme la foi ou d’autres mots, est solidement étayé pour ces personnes qui ont ainsi ancré les racines de leurs êtres sur des mots lus ou entendus ayant à leurs yeux un poids de sens véritables qui signifient des conséquences, donc des actes. A la légèreté de mots employés sensuellement et de façon inconsciente qui en réalité n’induisent rien mais sont employés peut-être seulement de façon sonore ou à des fins de séduction érotique, ceux-ci proposent un monde qui s’ordonne autrement et soumis au monde des lois, donc prévisible, bien que ceux-ci soient aussi capables de faire preuve de légèreté et de les employer en inconscients et en insensés, y compris avec une certaine incohérence ou parfois même en menteurs comme les autres et c’est pourquoi ces personnes devenues profanes bénéficient d’avance de la compréhension de celles qui ne le sont plus puisque les religions nous ont toujours enseigné qu’il faut être bons et charitables y compris envers ceux qui ne nous comprennent pas, ce qui est le cas (j’ai vérifié que quand on est profane on ne comprend rien, on est « perdu ») certainement du point de vue de Dracula, s’il est devenu le prince des profanes et des « hors-la-loi », en me contraignant à être le contraire, puisque je m’emploie à accepter et à comprendre le bien fondé des structures juridiques pour protéger d’éventuels enfants placés sous ma responsabilité, avant même de les avoir, ce qui me semble le minimum de mes devoirs d’autant plus qu’avoir un père empereur d’autant de choses que je le suis pour les avoir rendues possibles à cause de ce sacrifice ayant permis à tous de comprendre que le mot d’ « amour » n’est pas seulement synonyme d’« éros » pour les descendants d’une civilisation de personnes ayant engendré autant de preuves que ce mot, bien qu’ayant indéniablement sur le plan chromosomique aussi à faire avec l’éros est à réfléchir à la lumière de toutes ces preuves dans toutes les disciplines ou catégories qu’on « aime ». Ce sera particulièrement difficile à assumer pour des enfants d’avoir un père empereur tel que moi puisque déjà n’avoir qu’un père est une situation difficile.  

Pourtant j’ai l’impression qu’avec Dracula, il s’agit vraiment d’un être exceptionnel puisqu’il peut se permettre, non pas dans la station orbitale ou à vingt mille mètres d’altitude où cela est possible pour tout le monde ou à l’intérieur d’un avion aménagé spécialement pour cela, de voler en apesanteur. Lui, l’enfant-gâté, n’a pas eu à attendre comme les autres autant de temps pour pouvoir le faire lourds et soumis aux lois mais sans pouvoir disparaître dans l’invisible en cas de danger ou de peur, donc aux sus et aux vus de tous qui peuvent, grâce à une web cam, suivre ces vols en état d’apesanteur dans un avion ou dans la station orbitale : il a réussi cela dans notre monde et il a donc l’impression que nous devrions faire comme lui d’autant plus qu’il ignore certainement totalement qu’il puisse exister toutes les dimensions liées aux ADN différents de chacun, ce qui donne à chacun sa particularité et son originalité ou même son caractère sacré d’être humain parfois, grâce à la compréhension de cela comme de bien d’autres paramètres, de délivré de la condition profane. C’est pourquoi, il se pourrait qu’il y ait comme une forme d’incompréhension depuis longtemps. J’ai été contraint vingt sept ans de me profaner artificiellement en plus du temps consacré à cela de 1972 à 1975 où j’avais pu montrer à quel point on perd tout ce qui a réellement de l’importance. Il se pourrait que j’ai, d’une certaine manière compris pourquoi certains esprits ont pris goût à être des profanes et peut-être que je suis le plus capable, en raison de ces vingt sept années de négocier avec Dracula d’autant que, personnellement, j’admire une telle prouesse : dans un monde qui est le nôtre, où il faut prendre l’ascenseur pour sortir de chez nous, lui, Dracula, il vole et passe par les fenêtres ouvertes ou peut entrer en œil de Caïn dans votre tête de loin pour vous observer travaillant, vous espionner ou vous regarder, vous voir dans un miroir et par conséquent, d’une certaine façon, se sent partout chez lui, un peu comme les cosmonautes dans la station orbitale internationale qui, malgré les nationalités différentes, travaillent ensembles sur des projets scientifiques en commun, dans le même lieu ! Il bénéficie, en raison de l’absence de poids, de l’incognito et comme il n’est pas soumis aux mêmes lois que nous, il n’arrive peut-être pas à comprendre pourquoi la chronologie est à ce point importante dans les raisonnements psychanalytiques ou pour déterminer de l’honnêteté de quelqu’un ou aussi, par exemple, utile pour aider à soigner.

C’est en fait un squelette (mais chacun d’entre nous en avons un) qui est ainsi devenu plus léger que l’air. Mais vous verrez que dans ma lettre à Michèle Finck, je crois avoir compris comment il arrive à voler : c’est peut-être grâce au serpent que j’ai nommé Apophisse et qui se promène invisible dans l’air et qui, lui aussi, ne sait pas ce qu’est la propriété privé, puisqu’il arrive peut-être, en raison de cela, à passer par chacune des ouvertures, (quand elles sont ouvertes) – il y en a qui en ont de la chance, à moins qu’à cause de cela, ils soient très malheureux et c’est pourquoi il faut être très gentil avec eux, comme Fritz Lang pour M le Maudit, bien qu’il n’est pas fait ici un film sur Dracula. En fait, ce qui pourrait être merveilleux c’est que si Dracula a été damné pour quelques raisons que Dieu sait, sa damnation puisse prendre fin et qu’il se réconcilie avec Dieu (d’autant que dans sa condition de profane, on ne peut pas imaginer possible comprendre ce que peut bien signifier ce mot de Dieu et encore moins de « Grand Architecte de l’Univers » - je l’ai vérifié. C’est comme une personne profane devant un super ordinateur ou un livre spécialisé. Si elle n’a pas étudié tout ce qu’il faut savoir à propos d’un ordinateur ou même seulement à propos du contenu du livre spécialisé en ayant commencé par acquérir toutes les bases dans ces catégories, elle va peut-être même croire possible s’asseoir naturellement sur une des tours des ordinateurs de bureau ou utiliser les livres pour faire un tabouret, d’autant plus si elle ne connaît pas la valeur de l’argent (et si cela se passe à une époque où les livres et les ordinateurs sont encore des choses très coûteuses, elle risque de produire un effet d’hostilité envers elle par ceux qui sont contraints à avoir de l’argent propre). Elle va donc avoir des difficultés avec ceux qui connaissent la valeur de l’argent, qui savent ce que les mots signifient ou qui ont une idée précises de ce qu’il y a dans la tour de l’ordinateur de bureau sur laquelle il vaut mieux ne pas s’asseoir. C’est ici qu’il va y avoir un conflit qui va se produire chacun étant dans sa logique et fonctionnant prédéterminés. En fait c’est sur une question de respect, ou de la connaissance des formes à mettre ou des rituels à connaître et donc des actions à mener sur lesquelles va se jouer la différence entre le profane et celui qui n’est l’est plus : d’un côté l’inconscience et de l’autre la conscience, c'est-à-dire la mémoire des actes, des mots, des engagements (ceux-ci ayant du poids, comme gravés et induisant des actes et dans certains cas des droits). Il se pourrait que jeune ou enfant, Dracula ait été corrigé par des personnes qui respectaient une chose qui n’avait pas encore de sens pour lui, au point qu’il n’a pas même pu y croire, honnêtement, de son point de vue de mécréant. Je me souviens d’une fois où, bien qu’empereur, mais entrain d’inspecter à la sortie d’une messe, j’ai vu venir vers moi une personne me demandant de me dégager car le « Saint-Sacrement » devait passer là où je me tenais debout. Il est venu vers moi, comme une sorte de gorille, précédent la venue d’un président de la république et s’adressait à l’Empereur Cosmique Universel et … (qu’il n’avait pas reconnu) comme à un méchant profane qu’il faudrait chasser avec mépris. Il semblait appartenir à un service d’ordre du défilé qu’il annonçait et j’ai trouvé un peu désagréable comme peu chrétien de procéder de cette façon. Bien sûr, il a fallu que je fasse l’effort de comprendre ce que pouvait signifier ce mot de « Saint-Sacrement » pour cette personne qui le précédait, comme un enfant de cœur à la fin d’une cérémonie, les plus âgés revêtus des ornements de prêtre ayant célébré la messe et qui rejoignaient la chapelle pour se changer à la fin. Ce n’est que parce que je savais un peu ce qu’il entendait par ce mot de « Saint-Sacrement » et que j’ai compris son point de vue à ce sujet en me souvenant de moi enfant (mais au moins dix ans plus jeune que lui) ayant été « chirichetto », donc étant capable d’ouvrir la route, que je me suis retenu de lui envoyer une gifle qu’il méritait cependant, s’il avait été mon fils. Bien sûr, il ne savait pas ce que signifie la cohérence avec l’aube qu’il endossait ni ce qu’il m’imposait alors comme déplacement. C’est ce qui m’a toujours fait renoncer à déplacer mon poing vers la figure des gens qui le méritent. C’était dans l’Église du Val de Grâce vers 2006, à l’occasion d’une de ces messes un peu en latin que j’ai été écouter pour essayer de refaire un peu de latin. Je ne pense pas que Jésus Christ, témoin d’une telle scène, aurait apprécié, lui qui a été capable de recoller l’oreille coupée d’un profane, qu’on le précède en voulant écarter violemment les gens avant son passage. Mais il est vrai que nous sommes à une époque où il peut y avoir des voleurs qui voudraient s’emparer de choses en or et en argent et qu’à première vue l’empereur cosmique universel et … incognito n’a peut-être pas le Bon Dieu sans confession, (alors que Dieu était témoin de cela et m’accompagnait).

Aussi ceux qui se sont spécialisés dans une matière apparaissent comme des personnes qui réagissent durement, voire sans donner des preuves d’humanité à d’autres peut-être parce qu’ils ne se sont pas sentis respectés dans ce qu’ils savent être vrai ou exacte, devant prendre les formes qu’ils servent de leur mieux et c’est pourquoi ils apparaissent comme capables d’intolérance. C’est alors que les autres, les profanes,  devraient être capable de comprendre des personnes qui savent qu’une chose est vraie et qui la vénère. Il est normal qu’ils ne puissent pas accepter le sacrilège, le mépris envers leur foi ou l’incapacité de certains à respecter ces vraies croyances. Je suis sûr que celui qui niera que deux plus de deux ne font pas quatre en calcul élémentaire risque d’avoir des problèmes et de montrer qu’il sort des lois admises ou communes à tous. S’il ne sait pas expliquer rationnellement pourquoi cela fait autre chose que quatre, dans un autre cas de figure, il aura du mal à être pris au sérieux et s’expose à ne pas être pris au sérieux, à faire parti des « incompris ». Pourtant tous aimeraient que dans un autre cas de figure, en calcul élémentaire 2 plus deux fassent autre chose. C’est pourtant possible en poésie ou dans d’autres catégories et d’une certaine façon, celui qui ne voulait pas écouter et comprendre pourquoi cela fait quatre, comme a voulu nier Dieu, n’a pas tort, mais il va y avoir des conséquences à ces provocations ressenties comme telles ou mal prises par ceux qui sont certains du contraire et qui connaissent les arguments rationnels comme plus subjectifs, de nature empirique ou liés au mystère de la foi (ou ses équivalents) pour réfuter l’énoncé contradictoire, d’autant plus de la situation qui a rendu des gens parfois trop sérieux ou trop conscients des conséquences graves à vouloir nier ce qui leur permet de survivre dans des systèmes ou des sociétés basées sur des comptabilités du type de celles reliées aussi à cette notion de Dieu[86]. Ce qui est certain c’est que celui qui ne croit pas en Dieu ou qui en ignore son existence est dans un véritable problème, ou va avoir une vie qui sera en adéquation avec l’absence de croyance ou l’impossibilité d’y croire. Cela ne l’empêche pas de croire que deux plus deux égal quatre ou que le feu rouge est un feu rouge. Mais cela devrait le conduire forcément à devenir un moment l’antagoniste de ceux qui ont compris ce qu’est Dieu et peut-être pourquoi deux plus deux pourraient faire autre choses de son point de vue ou dans un cas dont il serait le seul au courant. Cela peut bien se passer comme mal se passer, suivant les personnes qui s’affronteront. Est-ce de la faute de Dieu pour autant ? Non, puisque Dieu n’est peut-être pas même encore au courant du conflit qui a découlé de cette différence d’appréciation du mot qui le concerne entre ces deux personnes ou alors, pour de bonnes raisons préfère ne pas s’en mêler lui-même pour l’instant. Et nous nous retrouvons devant la fresque de Delacroix à Saint-Sulpice, dans la chapelle en entrant à droite et méditons cette sorte lutte.

On pourrait en finir avec cette sorte d’errance qui est peut-être difficile à vivre pour Dracula, étant donné qu’elle est comme celle de quelqu’un dans toujours le même état et désert ou survolant toujours le même labyrinthe de la ville et qui ne se rend plus compte de ce dont se rendent compte ceux qui se sont ouverts à d’autres mondes grâce au fonctionnement de leur cerveau soumis à l’empire de la raison et de la conscience. Il est probable qu’il voudrait cesser d’avoir peur ou d’avoir à disparaître de honte dès qu’il croise le regard vrai d’une personne à qui il sait qu’il a fait du tort ou des misères ou envers lequel il sait s’être conduit injustement ou simplement qu’il voulait espionner en cachette, à l’insu de celle-ci, innocente. Peut-être que le temps de la repentance est venue d’autant plus de l’absolue certitude qu’il a acquise des raisons pour lesquelles il était interdit de tuer. Peut-être comprend-il mieux maintenant, à notre époque, que quand il était petit ou à d’autres époque de sa vie, pourquoi, pour certaines personnes, la vie est précieuse. Peut-être que l’anti-thèse de l’errance (sous la forme de Dracula-volant-fou), c'est-à-dire une véritable assise, enfin débarrassée de la folie[87] le tente, d’autant plus d’une époque technologique qui, avec des web cam, ou les petits téléphones vidéo-phoniques permet de rejoindre visuellement facilement tous les lieux sans avoir à faire ce genre d’efforts (voler) - pour regarder, invisible en cachette – il renoncerait à voler et pourrait reprendre du poids, ce qui pourrait, à terme, lui permettre de comprendre le monde de la vérité en se débarrassant enfin, à son tour, du profane en lui – cela  atteste bien que ce n’est plus un crime de voir représenter, sous la forme d’images, des scènes naturelles et quotidiennes qui ne seraient plus vues en cachette car les personnes auront consentie librement à avoir chez elles ces web cam, allumées ou éteintes comme ceux qui éclairent chez eux ou restent dans le noir.

Je suis presque certain que Dracula a eu, au départ, au sujet de Dieu, des fausses idées basées sur des calomnies, des mensonges ou des préjugés, de même qu’il y a des gens qui ont des préjugés sur le Pape, un président de la république même « bon père de famille » ou des serviteurs de l’Eglise, simplement parce qu’ils sont habillés différents, en soutane, ou qu’ils ont fait des études compliquées dont on ne sait rien ou si peu, ou qu’ils se conduisent avec tant de cérémonial ou de codes convenus entre eux qu’ils en sont désagréables comme les membres d’un club de personnes athées spécialistes dans les sciences. En fait si Dracula est ce qui reste de la figure du « diable » (satan), peut-être conviendrait-il de ne pas trop diaboliser cette personne qui est simplement très peureuse, très honteuse et devenue, à cause de cela, une personne différente des autres en raison d’un processus mathématique qui tire de la loi des conséquences son origine très lointainement, donc qui est simplement devenue, pour l’instant, tant qu’elle n’aura pas déclenché un retour possible à sa raison, ou débloqué la situation comme nous le recommandons, une étrangère à une certaine façon de fonctionner dans la transparence, comme les oiseaux qui volent et qui n’ont rien à cacher (sexuellement parlant) ou d’autres animaux qui sont à ce sujet confiants et qui sont bien soumis comme nous à la réalité et à l’impossibilité de s’évanouir ou disparaître dans l’invisible de honte ou de peur, car sinon ils le feraient quand un oiseau prédateur aigle cherche à fondre sur eux pour les attraper durant leur vol. Or, ils n’ont pas cette possibilité et c’est comme si Dracula en disparaissant dans l’air, de peur, croyait que l’autre est un danger, un ennemi (une personne qu’il avait à observer sans se montrer). Par conséquent nous sommes devant une véritable maladie qui est celle de la personne « espion » ne voulant observer qu’en ne se montrant pas. C’est l’état d’esprit des soldats qui sont convaincus qu’ils ont des ennemis, mais des auteurs ont bien démontré (dans le Désert des Tartares, par exemple bien que le propos ne soit pas celui-ci non plus) qu’il n’y a pas d’autre ennemi que cet enfant-gâté en soi-même, dont il faut avoir le courage de renoncer pour devenir adulte et affronter le monde lucidement. Mais il est vrai qu’on apprend au soldat ou aux louveteaux à savoir se comporter comme la panthère ou le lion et à savoir ramper dans les herbes hautes sans se faire voir de l’équipe qui doit jouer l’ennemie de l’autre. Le scoutisme apprend à respecter les mœurs des animaux qui observent de loin sans vouloir se montrer. Dans le cas de Bagheera, ce fauve, a toujours l’idée d’attraper comme une lionne prédatrice une antilope ou un herbivore. Dracula est encore à l’âge des louveteaux s’inventant des choses interdites à transgresser comme quand on découvre dans un journal l’image d’une jeune femme tellement belle qu’on sait qu’elle ne pourra jamais être approchée par soi car elle appartient certainement à l’empereur ou à un puissant (c’est une conquête hors de notre portée ou bien on n’a pas les moyens financiers pour tenir trois heures avec elle, tant on sait d’avance qu’elle risque de coûter cher et on préfère alors, comme Dante, ayant fait la rencontre de Béatrice, l’avoir en mémoire, et s’y référer comme muse. Évidemment, si on disposait de tous les trésors il est certain que la belle serait à nous et c’est ce que Dracula a cru a tel point qu’il a peut-être voulu s’emparer de tous les trésors pour pouvoir avoir les moyens de financer son amour des belles à séduire. Aussi tous ceux qui ont eu des moyens en ayant à attendre pour les avoir comme à faire des progrès grâce à une méritocratie fondée sur la vérité et des caps constants à franchir non en tricheur, non en menteur mais en personnes véritables sont étrangers à cet esprit du tigre ultra peureux ayant une tanière dont personne ne sait l’adresse, observant sans être vu et utilisant des appareils non possédés par l’esprit de vérité des êtres humains mais en étant devenu un pauvre criminel de tigre bien pitoyable puisqu’ayant à se cacher car cogitant des mauvais coups puisque n’ayant pas les façons de faire de ceux qui reposent leurs actions sur la loyauté envers tous. Il voit donc le monde comme s’il s’agissait de personne appartenant à une autre espèce que la sienne et on comprend sa crainte puisqu’il ne s’est pas débarrassé de cette mentalité de voleur, donc de l’enfant-gâté en lui.

Or, en disposant de cette possibilité de voler et de disparaître comme d’utiliser des instruments auxquels  les autres n’ont pas accès, il se comporte non-fraternellement, de façon inamicale : il entretient l’enfant-gâté en lui-même puisqu’il est celui qui a refusé de jouer sur un terrain d’égalité : à armes égales. Cela signifie que pour voler et se rendre invisible, en cas de danger, si on a peur d’une personne, il a fallu faire des choses qu’on n’avait pas le droit de faire (c’est ce qui explique la honte et la nécessité de se cacher ou de disparaître ou de se rendre invisible). Cela signifie donc qu’on est malade (d’autant qu’il n’est pas normal de voler en état d’apesanteur – quand on vient au monde, nous avons un poids et nous provenons d’une mère ou de parents ayant un poids – il est probable que Dracula avait un poids aussi avant de le perdre et c’est pourquoi pour guérir, il est important qu’il retrouve ce poids - sauf dans la station orbitale ou en situation d’apesanteur où il a été démontré que sans avoir besoin de disparaître, tout en conservant notre poids nous pouvons voler) de quelque chose et qu’il faut donc accepter de se faire soigner pour avoir une chance de retrouver la raison et sortir de cette folie au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui bien qu’à première vue ayant un véritable attrait en vous ayant rendu prédateur ou voyeur ou quelqu’un qui a la mentalité d’un voleur ou d’un menteur, vous a donc rendu malhonnête intellectuellement au point de perdre tout le poids du sens de ce à quoi les mots engagent (organisation et gestion y compris) sur le plan sentimental ou vis-à-vis d’enfants qui naissent véritables et non malhonnêtes,  puisqu’ils ne songent même pas à profiter de cette invisibilité dont ils ignorent l’existence ou qu’elle soit possible étant donné que malgré leur peur de naître ils en ont eu le courage. Or d’être ainsi l’objet d’observations coupables est, par conséquent, être considéré non fraternellement, mais dans la situation d’une personne qui se sait coupable d’espionner à l’insu de personnes totalement innocentes et confiantes et qui n’ont rien à se reprocher. C’est vouloir croire possible utiliser des choses qu’on entendra ou que l’on a archivé de la vieille salle des machines pour faire chanter l’autre et les lui reprocher. Encore une fois rien qui soit cohérent avec ces mots de « fraternité », d’« égalité » ou de « liberté » qui pourtant comme le mot d’« amour » sont une réalité et un objectif possible à atteindre ou du moins à approcher un peu, d’autant plus qu’on se débarrassera des mauvaises habitudes d’enfant-gâté, au mauvais sens de ce mot (si Dracula était le véritable empereur, il donnerait l’exemple et partagerait avec tous la vieille salle des machines au lieu de ne la conserver que partagée avec ceux qui n’ont en commun que le même appétit d’insouciante inconscience et qui ont pu croire que les mots employés n’engageaient pas à des efforts constants pour nous rendre dignes d’en avoir compris tous les sens véritables. C’est que dans le monde des gens conscients, il y a leur poids et le temps qui compte et tout les paramètres et, en raison de cela, les mots ont du sens (pour une personne qui n’a plus de poids, il se pourrait que même les poids les plus lourds à manier n’ont pas le même poids que pour les autres, d’autant plus qu’il y a des machines pour l’aider dont les plans ont été conçus par ceux qui connaissent le poids des mots, ce qu’ils induisent, le poids des équations et des lois, propriétés des matériaux à utiliser pour soulager le travail de ceux qui fournissent ces efforts manuels parfois en personnes encore profanes, inconscientes, ignorantes au mauvais sens de ce mot comme au bon sens de ce mot). Alors que dans ce monde de la légèreté et qui ne peut être atteint qu’en raison très certainement d’inconscience totale, ce qui importe normalement n’importe plus au point que les mots comme celui de « mère », « parents », « frères » et « sœurs » ou les mots eux-mêmes ne veulent plus dire ce qu’ils signifient pour les autres (il est vrai que chacun a du sens de ces mots, l’expérience qu’il en a eu, différente de celle des autres), comme si les millénaires de civilisations et d’efforts constants pour transmettre tous les savoirs à ce sujet ou dans d’autres catégories n’avaient de l’intérêt que pour mieux s’en moquer et se moquer de la vérité de ces personnes conscientes, ayant forgé le sens des mots, par la même occasion. C’est absurde, puisque c’est à elle que nous devons tous ces bienfaits, tous ces conforts et tous les progrès. Aussi Dracula est dans l’erreur, mais il est à soigner comme s’il avait eu une très longue maladie et qu’il avait besoin d’être langé, ce qui est possible, puisque j’ai fait faire de grandes couches-culottes pour les personnes âgées, mais aussi toutes ces web cam qui, en étant reliées à son ordinateur ou aux autres vont lui permettre de passer de l’une à l’autre en zappant et donc d’espionner toutes les personnes ayant envie de transmettre leurs images et de donner ainsi, par ce truchement des nouvelles de leur existence[88], sans avoir à faire l’effort de voler, au risque d’oublier qu’il est visible, une nuit de pleine lune, et d’être abattu par un imbécile qui, au lieu de comprendre qu’il s’agit de quelqu’un de simplement différent à ce point, aura cru stupidement qu’il s’agit d’un ennemi, alors qu’en fait il s’agit peut-être simplement de l’esprit d’un éternel adolescent comme Don Juan, ou de l’éternel célibataire amoureux ayant cru pouvoir faire semblant de se marier pour se permettre toutes les infidélités comme se damner par amour au sens profane de ce terme de celui ou de celle qu’il désir égoïstement et non dans l’Intérêt et pour le Bien Général des conséquences d’un tel amour dans la progéniture ou pour cette raison d’Etat qui est devenue la mienne ou en raison de l’existence de la vérité qui permet, grâce à sa recherche, d’arriver à trouver ces solutions élégantes y compris pour soigner. En fait, Dracula est peut-être un Batman qui aurait pu être Batman, s’il n’avait peut-être pas mal tourné. Personnellement, je ne sais pas ce qu’a pu faire Dracula dans son existence passée, mais il a peut-être besoin d’un ami ou d’un confident ou d’un psychanalyste, et je suis prêt pour une telle éventualité car je sais combien cela est affreux d’être perdu sans amis, comme d’être continuellement prisonniers des mêmes erreurs, en le sachant, mais en ne sachant pas comment faire pour ne plus les faire, ni pourquoi ne plus les faire. Peut-être s’agit-il en fait d’une personne qui a eu besoin d’être Dracula pour connaître ultérieurement une autre vie, d’autres épisodes, voire un changement radical (retrouver la raison après l’avoir perdue comme quelqu’un qui a voulu nier Dieu et qui soudain comprend que ce mot, comme la vérité, existe. Il en résulte normalement un changement comme celui de l’ancien bagnard, Jean Valjean).

Jusqu’où peuvent pousser ou conduire les malentendus au sujet de Dieu? Peut-être jusqu’à devenir quelqu’un qu’on ne voulait pas être du tout, d’autant qu’on aime voyager en avion et être photographié comme une personnalité qui compte. Ici c’est l’inverse qui se passe, des choses qu’on fait en cachette, comme si on était recherché comme un malfaiteur : personnellement je ne suis plus sûr d’avoir vu Dracula, mais une sorte de momie sèche et  grise qui a bien de la chance de voler légère et de pouvoir disparaître dans l’air, en devenant invisible.

De mon point de vue, il devrait avoir le droit de voler en plein jour en se montrant, et j’ai souvent laissé la fenêtre de chez moi ouverte à partir de ce jour là, en me disant qu’il était chez lui chez moi, quand je m’en allais faire mes courses ou à d’autres occasions. Il peut être sûr que tout le monde le trouvera d’avance formidable, s’il se montre (mais il y a ceux qui vont vouloir l’abattre, ce qui n’est pas juste car sinon il n’aurait jamais réussi à voler - il faut donc qu’il y ait une part de vrai dans celui qu’il est devenu), à moins qu’il représente un danger réel pour certains ou certaines, peut-être de ne plus avoir à se comporter comme tous ceux qui ont dû gravir un à un les degrés pour se rendre compétents sans tricher). Ce qui s’est passé entre lui et Dieu, cela n’est pas notre problème ou bien est-ce notre problème ? Faut-il se mêler de ce qui ne nous regarde peut-être pas ? Dieu, à l’époque où cela s’est passé n’est pas celui qu’il est de nos jours. Il y a donc eu une « évolution » et des faits nouveaux qui pourraient permettre des changements, d’autant qu’il se pourrait que Dracula ou cette personne que j’ai vu voler ainsi trouve admirable le monde de la vérité et de la rationalité qui permet tant de choses extraordinaires. Peut-être était-il seulement trop jeune quand il y a eu le problème avec Dieu qui était lui aussi trop jeune. Aussi si Dieu ne peut pas céder, car il est coincé, puisque les personnes qui sont à lui ne volent pas et ne trichent pas et sont au travail en pleine lumière et comme les oiseaux ne se cachent pas pour faire l’amour, donc n’éprouvent pas de honte, c’est à celui qui est à la fois avantagé, mais aussi désavantagé, d’être le plus intelligent et de céder, en se disant qu’il peut faire confiance à Dieu et qu’avec le temps, tout pourra s’arranger, puisqu’il y a toujours des solutions élégantes, mais qu’elles n’existent que dans le monde de la matière qui est soumis à la cohérence et à la logique comme à d’autres lois qu’il faut maîtriser en conscience. S’il s’agit des morts qui concernent Dracula et qu’il a naturellement caché, il peut être certain que Dieu respecte les morts y compris de ces ennemis et que peut-être tout n’était pas seulement pourri en eux dans ces os. Si Dracula ou le « diable » (satan) cède, c’est peut-être un jour, pour chacun, la chance de la véritable connaissance qui adviendra, dans un autre monde. Il faut faire confiance à Dieu, puisque c’est lui qui a voulu jouer le rôle du bon, du bien et du beau, d’autant plus qu’il y a des preuves de cela : la salle des machines qui avait été laissée en confiance, à une époque où nos ancêtres étaient tous différents de nous. Dieu a-t-il eu tort d’avoir eu confiance dans le processus inhérent de la Création ? Nous avons vu plus haut que même malgré la perte de tous les enfants qui auraient dû naître - puisqu’il est probable que ce genre de « malversation » ou simplement de « mauvaise plaisanterie » faîtes certainement dans un esprit contraire, peut-être même gentil, du point de vue des prisonniers de la salle des machines ne se rendant pas compte qu’ils manquaient de respect à la quintessence de celui qui était la victime de celles-ci – à cause de ces mêmes inepties perpétrées de génération en génération, le processus a permis à de nombreuses personnes de ne plus être profanes et de comprendre le sens des mots y compris celui de mariage, mais aussi d’aboutir à la vérité y compris sur ce dossier. Peut-être Dieu aurait-il dû surveiller la Création, mais il n’a pas cet esprit là. Il l’a laissé libre avec confiance y compris de s’autodétruire. De mon côté, me retrouvant empereur avant même de l’avoir voulu à l’âge de deux ans et demi et dans une histoire plutôt « extraordinaire » au sens même de Baudelaire et de Poe, j’essaie d’éviter son autodestruction car j’ai pris conscience de l’aspect génial de celle-ci, comme de ce qu’il a fallu comme temps (et travaux) pour arriver à cette époque-ci. Bien que la situation générale ait conduit à des choses insupportables, ces choses insupportables n’existent qu’en raison du problème ou du conflit et c’est pourquoi il faut s’en débarrasser ou résoudre la cause du problème ou de ce conflit pour que cette grande maladie, plus ou moins générale, passe d’un côté, comme de l’autre, d’autant que nous avons compris que tout cela a, comme origine, les préjugés, les vérités relatives incertaines, les habitudes, les mensonges, etc. , et à chacune des générations le même problème plus ou moins qui s’est posé.

Tout cela a à voir avec une vision de l’amour réduite à des clichés ou pire : à la « faute » ou seulement à l’éros. Il y a eu tant de textes et de preuves qu’on ne peut pas réduire ce mot à des catégories aussi étroites puisque c’est aussi vaste que chacune des solutions élégantes qui ont été trouvée que l’amour, puisque nous avons pu vérifier à travers le sacrifice que nous avons dû renouveler que sans l’« agapè », l’amour n’existe pas. J’ai même été très loin dans la compréhension de la conception profane de l’amour et en ne le cherchant vraiment ne trouver, en fait, que la fin du profane en moi.

Les sentiments d’amour donjuanesques, dits « coupables », ou casanovesques sont ceux d’inconscients ou d’adolescents attardés ou de personnes enfants-gâtées qui croient pouvoir s’amuser continuellement quand la réalité obéit à des choses à mettre en place quotidiennement et à organiser mais aussi à bien d’autres contraintes d’autant plus qu’on se destine à fonder une famille ou à en mériter une.
Il est donc impératif qu’on comprenne qu’il y a un temps pour l’amusement comme il pourrait y avoir un temps pour batifoler ou papillonner, mais en sachant que de telle heure à telle autre heure on a des choses à faire, dont on n’a pas le droit de se dégager, à moins de vrais motifs et non des excuses mensongères.

Devenir inconscient ou chercher à passer dans la clandestinité, perdre la tête ou la voir se réduire à ce point pour devenir léger à ce point, donc minuscules, sec comme une poussière, signifie qu’il va falloir que tous réussissent à vous redonner du poids malgré cet état dans lequel on est, de façon à ce que vous ne continuez plus à vous rendre ridicules (bien qu’une poussière ne soit pas seulement ridicule). Parler légèrement c’est affirmer des choses qui ne sont pas possibles, par exemple, dans l’état actuelle des finances d’un Etat soumis à des diktats de maîtres chanteurs sur le prix du pétrole et c’est donc ne pas pouvoir tenir parole (cela vous donnera une renommée qui n'a rien d'enviable, celle d'un des menteurs). Pourtant, il y a des grands projets pharaoniques qui demeurent prioritaires, car ils concernent l’essentiel : la nourriture de demain ou d’après-demain, la construction de ponts dans les lieux commerçants pour les faciliter. Bien sûr, coloniser la Lune ou Mars va dans le même sens, car si on parvenait à exporter la vie et à faire pousser de l’herbe sur la lune, comme à tirer de l’eau des pierres, en les broyant là-haut et en faisant, par la même occasion, du sable pour créer du ciment, on pourrait y faire paître des vaches et des moutons et avoir du lait et des fromages comme de la laine pour se couvrir (ce qui éviterait d’exporter de ces matières de la Terre à la lune ou vers Mars). Mais pensez-vous à la pauvre vache qui devra, là-haut, loin de ses copines, brouter cette herbe de lune ou de Mars s’il n’y a pas des web cam pour lui transmettre sur des écrans géants ses copines sur les alpages des Pyrénées? Peut-être qu’en pouvant admirer de loin une étable sur terre comme venir y séjourner une fois par an ou à la retraite, rentrée sur Terre, cela serait jouable. Mais ici pour lancer un tel programme, il faut de véritable cerveaux géniaux car pour créer des machines à faire de l’eau, à partir de cailloux, c’est comme s’il fallait en créer une, à partir de l’air : c’est très difficile et cela coûte cher d’autant qu’il faut des gens très compétents et des ouvriers spécialisés pour les réaliser en série. Bien sûr, c’est possible, mais c’est difficile et puis il faut aller là-bas, y avoir mis et envoyé tout le confort et la sécurité prévue d’avance et cela contraint d’y séjourner pour travailler tous les jours et cela pour y aller comme un bagnards ou un colonisateur des premiers temps au Far West pour y casser des cailloux et pour d’autres activités en sachant que personne pense à vous sur Terre, comme la plupart du temps les habitants des autres planètes, s’il devaient y en avoir, savent que personne sur Terre ne se soucient d’eux, si ce n’est ceux qui en ont peur d’avance quand cette idée surgit. Evidemment pour tous les terriens c’est fou comme projet, mais ils se sont habitués aux films de science-fiction comme à être de chez eux sur Mars en suivant sur Internet le robot qui explore la planète. Ils savent maintenant qu’il y a trente ans, disposer d’un ordinateur était impensable comme dans d’autres temps le projet tour Eiffel fut contesté comme la Pyramide-du-Louvre à ses début ou le centre Pompidou. Or, vingt ans après ces projets font l’unanimité. C’est qu’il faut, dès maintenant, songer à quand il y aura encore plus de monde sur Terre et si nous n’avons pas cet objectif de coloniser la Lune et Mars ou peut-être même d’abord Mars, car c’est une planète et la Lune ensuite, (car ce n’est que notre lune), comment ferons-nous sur Terre, d’autant plus que nous aurons appris que chacun, qui est différent, est une éventuelle merveille pour peu qu’elle se décide un jour à se réveiller et à se rendre utile ou à donner un coup de main ou à se débarrasser de l’enfant-gâté en elle?[89] Est-ce que vous voyez, franchement, les uns ou les autres devoir aller tuer une personne pour une raison ou une autre qui ne tiendra pas alors compte de toutes les raisons pour lesquelles il fallait garder cette personne comme une personne qui est utiles à toutes, même si certains jours elle est ennuyeuse ou qu’elle a Dieu sait quel défaut ? Ce n’est pas parce qu’on a un défaut ou un handicape qu’on doit être banni ou rejeté. C’est tout le contraire et c’est la leçon de Fritz Lang. Depuis toujours le mot d’« intégration » permet d’accueillir et de donner de la force à des peuples. Ce qu’il faut c’est une « intégration » qui rend civilisé et bien élevé et qui ne ruine pas les Etats. L’intégration des normands a été une réussite mais c’était à une époque où il y avait encore suffisemment de terres inoccupées en France.

L’amour ne devrait pas rendre inconscient mais tout le contraire et nous avons vérifié que c’est vrai, quand les conditions sont réunies.

L’insouciant, l’inconscient y compris l’irresponsable a du bon. Il a bien de la chance.

Aussi il est certain qu’il y ait eu des malentendus au cours des siècles précédents qui pourraient finalement trouver une résolution ou des solutions élégantes car, personnellement, (comme on dit en Afrique), je trouve enviable de pouvoir se permettre le luxe de voler et d’être invisible et donc d’avoir le charme de Nosfératus ou de Dracula, même si, à première vue, il est affreux (mais j’ai peut-être mal vu de loin). De plus, de nos jours, il y a des possibilités de changer et peut-être ce qui est devenu laid peut, si les conditions changeaient (si la situation était débloquée), être réversible, redevenir beau : j’ai montré que cela a été mon cas et il y a des preuves photographiques à ce sujet : j’ai accepté de devenir laid. J’ai montré comment on le devient, puis j’ai fait, sans même avoir cherché cela, ce qu’il fallait pour redevenir moi-même, délivré de la laideur qui est donc un résultat mathématique de la situation général qui est bloqué et dans laquelle certains vont tomber, quand d’autres, plus (ou moins[90]) chanceux, vont l’éviter. On peut donc se débarrasser de sa laideur, comme on a à se nettoyer régulièrement. Le travail, l’astreinte à des efforts réguliers permettent d’y contribuer y compris le sevrage de drogues ou de mauvaises habitudes).

Je pense qu’en 1995 ce personnage (Dracula) qui a peut-être un autre nom (comme identité civile) et qui a été peut-être celui qui a essayé de tenter Jésus Christ dans le désert (puisqu’on dit dans les Évangiles que le  « diable » était venu tenter Jésus), a été d’accord lui aussi, comme tous ceux qui croient en lui, pour que je sois fais l’empereur suivant mon père et en 2005, il a pu constater que je ne l’ai pas pris en traître, car je l’avais averti d’avance (dès 1975) de tout, y compris qu’il montrerait Atlantide et le Paradis en 1995 (ce qu’il a fait). Mais il a pu constater que je ne le savais plus en 1995, puisque c’est parce que je ne me suis remis de mon amnésie qu’en 2005 et parce que j’ai retrouvé foi en mon anneau immaculé de mariage, qu’ensuite, une fois que j’avais fait (nommé) mon père empereur en 1975-76, j’avais pu le prévenir d’avance avant ou après le voir apparaître dans le miroir de ma salle de bain me regardant avec mes yeux à l’intérieur de ma pupille (comme s’il s’était caché dans ce noir). C’est assurément, minuscule et noir, le chef de tous les bandits qui sortant de l’œil, m’a fait signe dans ce miroir, mais il m’a fait signe que je pouvais passer et continuer ma route, puisqu’il a bien pu remarquer que je ne cherche pas à l’abattre, que je suis d’une autre génération et que mes intentions étaient pures : débloquer la situation dans son intérêt, car cela fait longtemps qu’il a pu vérifier que je ne suis qu’au service de l’Intérêt et de Bien Général. Si j’étais un égoïste, avec les capacités que j’ai en mathématique, en quelques jours je pourrais être milliardaire en investissant à la bourse pour les banques. Mais ce ne sont pas ces milliards là que je cherche, car il y a une partie d’eux qui ne sont pas justes ou qui ne m’intéressent pas et qui sont possibles car ils sont dus à la situation qui est faussée et qui contraint à ces efforts-là pour les banques puisqu’elles ont à être de parole et à rémunérer les dépôts ou les économies et à garantir la valeur des monnaies comme des pouvoirs d’achat. Je préfère, en raison de ce qui s’est passé, que les gens prennent conscience de ce qu’ils me doivent et se comportent enfin en gentilshommes, d’autant plus que j’ai pu démontrer qu’il y a bien un anneau cosmique et qu’il correspond bien à l’idée que nous nous sommes faits de l’amour et du mariage, comme des devoirs des fiancés entre eux, y compris vis-à-vis des enfants. Par conséquent, cela a donc à voir avec une idée civilisatrice et bâtisseuse de l’Amour[91] qui a aussi à voir avec les textes où il est dit que l’Amour est capable d’endurer des choses difficiles. Peut-être que Dracula ou le chef des bandits (si c’est lui que j’ai vu volant) a le même sentiment : qu’il endure des choses difficiles. Mais c’est lui qui veut devenir un « honnête homme » ou qui prétend être un « gentilhomme » et effectivement ces qualités, au sens ancien du terme, permettent d’apprendre à vraiment endurer. Aussi il se pourrait qu’il y ait une partie de Dracula qui soit restée honnête[92]. En fait, c’est simplement une situation faussée qui pourrait changer, mais qu’il a voulu et dont il est responsable (il lui appartient d’y mettre un terme pour lui et les siens qui sinon, dans l’erreur, vont encore souffrir).

Il y a que c’est difficile d’avoir un tel honneur d’être un tel pharaon et d’avoir un tel amour de l’anneau de mariage de mes parents et de celui de mes ancêtres et d’être enfin reconnu dignes par ceux-ci disparus qui ont peut-être eu plusieurs fois honte de moi tout au long des vingt sept années d’amnésie[93] ou qui n’ont pas compris (car il se pourrait de là où ils sont qu’ils ont été abusé par des « à première vue » à mon sujet, s’ils n’ont pas suivi entièrement intégralement tous les épisodes de ce feuilleton, dès que l’amnésie s’est installée en moi : toutes les différentes parenthèses sont mathématiquement advenues y compris au cours des différents apprentissages des différents métiers (il n’y en a pas un que je ne puisse exercer, après deux ou trois jours ou un peu plus dans le bain nécessaire pour le maitriser au point d’en être reconnu en quelques temps, si je m’y mettais, le véritable chef incontesté et incontestable y compris l’inspecteur car j’y aurais certainement, dans chacun d’entre eux, d’excellentes nouvelles idées pour améliorer chacune de ces activités professionnelles).

Je me souviens ici d’un jour où on devait en cours d'éducation physique faire des pompes et il fallait en faire au moins dix : un de mes copains, un turc, s’est moqué de moi en croyant que je ne les ferais pas et j’en ai fait, pour lui seul, au moins cent cinquante jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter : il avait compris qu’il était victime d’un préjugé sur mon compte car de son point de vue, j’étais encore un enfant sans forces physiques qui n’y arriverait pas, comme lui, qui était presqu’un homme, et qui avait réussi à faire les dix exigées – nous étions en cours de gymnastique et il y avait toutes les filles autour - et comme on était parmi les quatre à cinq seuls garçons dans une école entièrement de filles, il avait voulu, à ce moment là, se faire passer pour le caïd, parce qu’il avait de la barbe et moi pas encore – il était donc victime d’un « à première vue » hostile envers les deux ou trois ans de moins que lui (que j’avais) et il a vu que, même moins musclé que lui, puisqu’il m’avait défié, j’y suis parvenu à ces chiffres de pompes – tandis que les filles sont partis une à une vers la cinquantième – c’était la fin du cours - que je faisais, en désapprouvant que ce camarade n’ai pas dit que cela suffisait et demeure près de moi, en trouvant drôle de me faire continuer[94]. Moi-même, je trouvais cela formidable de ma part et je continuais et nous étions à cent que j’en redemandais – il n’y avait plus personne que lui, admiratif : la salle était vide et cela se jouait entre lui et moi - en lui disant que s’il voulait je pouvais encore continuer (je sais qu’en suite je me suis dit qu’il y avait eu un vrai miracle, car franchement je ne sais pas comment j’avais réussi cela, ce matin là, étant donné que d’habitude je n’en faisais que cinq ou six tout au plus – je crois que c’est à cause des filles et qu’il avait besoin d’une bonne leçon. Mais si j’ai fait cet effort, ce jour là, c’est seulement par amitié pour lui car je l’aimais bien. Donc pas contre lui, ni méchamment pour avoir une revanche ou même une victoire, mais parce que je trouvais merveilleux, soudain, la situation qui me donnait l’occasion de me dépasser pour qu’il arrive à se sortir de sa bêtise (ce défi) qui déshonorait la condition masculine – puisqu’il avait cru possible d’instaurer un rapport de rivalité avec moi - d’autant plus qu’il était capable de jouer remarquablement bien du jazz sur un vieux piano droit – alors que moi je n’étais pas encore capable de cela. Mais lui il l’était en me donnant une sacré envie de faire comme lui et en plus avec une cigarette allumée dans la bouche dont la fumée le contraignait à avoir les yeux presque fermés pendant qu’il jouait, aux heures de récréation, du piano et que je l’admirais - d’autant qu’il était mon aîné – j’ai souvent admiré les plus grands, car ils savent des choses qu’on va devoir apprendre).

Parmi ces métiers ou ces occupations, il y a celui de maquereau ou de prostitué. Je le connais bien puisque ces 27 années d’amnésie ont donné l’impression, à de certains moments, que j’en été devenu un. Pourtant en 1995, quand le Grand Architecte de l’Univers est intervenu, en raison de l’anneau qui était sur ma tête, tous ont pu constater que ce que j’ai choisi avec - en vu alors de ce mariage que je croyais devoir célébrer avec Michèle Finck, qui ne m’avait rien dit au sujet de notre rencontre (des interventions advenues dans le passé) en me laissant croire qu’elle était le fruit du hasard, et en me cachant le sacrifice qui avait été fait et dont je ne savais plus rien - n’avait rien à voir avec cet état d’esprit là, mais plutôt un projet merveilleux pour les êtres humains où il serait enfin possible de dire de l’autre qu’il est aussi un crabe, une palourde, une chèvre, une anguille ou une sauterelle, voire une puce, donc pas seulement un être humain. Donc tous les autres mots concernant les autres animaux, sans en être offusqué (par conséquent un maquereau aussi, sans pour autant l’être au plein sens de ce mot, sous son acception ancienne, pas plus que quand on est traité de palourde ou d’imbécile). En fait, c’est un peu le cas dans les contes de fées ou dans les dessins animés. Mais c’étaient les prostituées qui autrefois, dans les films traitaient gentiement les clients de nom d’animaux - il n’y avait pas autant de contraceptifs – ceux-ci ayant permis aux femmes de ne plus être des prostituées seulement et de pouvoir choisir leur partenaire. Et si elles l’étaient, c’était du point de vue de ces garçons qui ont voulu, hélas, correspondre aux clichés qui trainaient sur les femmes – de même que traînent les préjugés, les calomnies, les mensonges – et elles disaient parfois « tu montes, mon biquet ». Non ? Peut-être même avec un porte-cigarette et la fumée qui leur léchait en voilette le regard et peut-être avec les gans de soirée à la Rita Hayworth)[95].

 

Il s’agit donc d’une lettre, monsieur le Cardinal, vous confirmant mon avènement en tant qu’empereur[96] … (en réalité eanmeailleur car empereur devenu bouddha) que vous voudrez bien transmettre au nouveau pape – en lui donnant de bonne nouvelle de ma santé comme en lui conseillant, à son âge (à l’ancien), de ne pas trop faire d’efforts – j’y tiens et dites lui, je vous prie, que j’ai de bonnes raisons de lui recommander de veiller à prendre du repos – j’insiste – d’ailleurs à partir de 70-75 ans et peut-être d’avant, dans certains cas, il faudrait interdire le moindre effort – je suis donc content d’avoir demandé de rétablir la chaise et le trône en haut du petit escalier et bien triste que la pape précédent, qui la méritait grandement (peut-être plus que d’autres) s’en soit privé comme je le lui avais recommandé – j’espère que cela n’aura pas été trop pénible et qu’il ne m’en aura pas trop voulu : il fallait absolument qu’il soit canonisé dès que possible (aussi à cause de cela), tant il a fait du véritable bien en ces temps horribles de la chrétienté dont il a eu à être le berger – car quand il s’agit d’un pape qui n’est pas un usurpateur, la chaise à porteur est bien sûr amplement méritée et le siège peut être même vu comme pas encore assez haut, mais dans le cas contraire, c’est plutôt drôle : tout le monde va donc en rire, ce qui a donc été le cas à chaque fois dans l’histoire où il y a eu un pape imposteur, de même qu’il y a des prêtres usurpateurs ou des moines franciscains qui le sont (car ils veulent être certains de pouvoir avoir de quoi manger, et de pouvoir pécher en allant faire de l’instruction religieuse dans les bonnes familles (j’en ai pris un sur le fait, mais je n’ai rien dit d’autant que je m’interrogeai sur des dessins d’enfants dans une autre pièce  – mettez-y bon ordre, je vous prie).

Je vous écris aussi pour vous confirmer la lettre que je vous ai promise de transmettre à Sa Sainteté et qui viendra – cette lettre - en son temps – j’ai des priorités : la lettre à Monsieur le Président de la République, monsieur Hollande, dont je vous ferais copie une fois terminée et enfin, le dernier servi, le Pape (dans la réalité, en fin de compte ce fut les papes les premiers servis après vous) – cela va de soi, en raison de ce que vous savez pour cet ordre chronologique. Aussi permettez-moi, puisque je fais comme si l’empereur (ma personne) devait  se marier officiellement un jour, alors que vous avez compris, en fait, compte tenu de ceux que l’Ensemble a exigé de moi à trois reprises, je n’y tiens guère en tant que simple particulier. Cependant, je vous demande de faire en sorte que l’Eglise, la Synagogue, les mosquées et les temples orientaux contribuent eux-aussi financièrement à mes futurs finances d’impérial serviteur de toutes les religions au service de la condition profane (en effet les religions tirent une grande partie de leur légitimité de ce qu'il existe des profanes), d’autant plus que nous avons été les initiateurs (à l'origine) des rassemblements pluri-religieux et disciplinaires autour du Pape à Assise, régulièrement – ce qui a valu des voyages à certains y compris des laïcs représentés qui ont pu être parmi les chanceux à approcher l’architecture et les intérieurs décorés de cette basilique – ayant transmis cette idée à réaliser, à travers l'espace et le temps, en raison de notre époque d’Internet qui relie chacun à toutes les web cam dans le monde entier, à toutes les télévisions et les radios dans le monde entier aussi, donc à toutes les religions aussi. Compte tenu de ce que le Vatican a exigé de moi, je souhaite aussi d’avoir le droit à utiliser tous les moyens qui sont la propriété du Vatican dans le monde entier, y compris chacune des choses appartenant dans le Vatican, lui-même, le cas échéant, si nécessaire et si je le juge utile, pour une mission de paix ou pour d’autres raisons, y compris une affaire sentimentale – vous pouvez bien l’imaginer, puisque je suis (aussi) Mister Love - l’avion pontifical au cas où, mais bien sûr, pour la sécurité du monde entier y compris pour, le cas échéant, le peindre de ma main en y mettant des oiseaux ou des poissons en hommage à Escher[97], une fois trouvée la peinture et l’atelier pour le faire proprement : ce serait joli des portées d’oiseaux et de poissons.

Ce même honneur, mais sans en dire jamais rien, sera un droit pour chacun des membres de ma famille en commençant par ma mère, mon frère ainé, et mes descendants, y compris mes neveux qui, s’ils devaient manquer d’argent (de crédits financiers propres et mérités de droit), y compris leur descendants, devront être toujours aidé par l’Eglise et auront le droit de vendre des biens Lui appartenant comme s’ils étaient les leurs ou chacun le Pape en personne – ce qu’ils se garderont toujours de vendre, à moins d’un véritable problème ou qu’ils ne pourront plus faire face eux-mêmes, sur leurs propres revenus, à leurs dépenses. Vous le savez, chacun d’eux est canonique : annoncés d'avance, ils se sont incarnés comme prévu, chacun d’entre eux, par charité pour nous tous et pour venir à mon secours, alors que j’agissais en légitime défense en 1965, 1975 et 2005 pour participer à la création de leur époque, en ayant tous les temps qui me persécutaient totalement injustement, d’autant plus que j’étais légitimement empereur, dans l’Intérêt et pour le Bien Général, ce que je n’ai fait que devoir prouver, en vain, jusqu’à ce jour du 15 mars 2013 (je relis le 09 septembre 2017), et cela en ayant même pu vérifier avoir été contraint d’avertir en virtuel de ce cas de figure infernal de la Création que tous se devaient donc de nous éviter, du moins totalement à partir de 1975, mais que j’ai eu à vérifier entièrement, en chair et en os, durant les années 1975 -2012, au risque de donner une image de leur oncle, à ces neveux et nièces, qui ne correspondait donc nullement à celui qu’il est, et donc de fausser leur point de vue, au point qu’ils en ont peut-être de graves séquelles. Aussi ce droit qui est le leur s’appliquera à leur descendance, mais après conseil familial réunit pour trouver toujours de meilleures solutions, si possible, et éviter que ces sommes d’argent provenant du Vatican, dont ils pourraient avoir besoin, ne soient amputées de celles consacrées à faire le bien par l’Eglise. Mais le Vatican est chargé pour toujours de se renseigner régulièrement sur l’état financier de ses descendants de mon père et ma mère et même s’ils prétendent qu’ils ont assez pour survivre, de s’en assurer réellement, et de faire le nécessaire pour compenser financièrement, puisque j’ai vérifié qu’ils ont amplement contribué à sauver la situation mondiale, chacun d’entre eux, durant toutes ces années très difficiles où ils ont grandi en ayant un oncle leur donnant l’exemple de ce qu’il ne faut jamais faire, ce à quoi l’Eglise m’avait donc condamné canoniquement, en raison du cas exceptionnel de mon avènement qui n’a pu se concrétiser qu’ainsi, en déplaise à tous ceux qui n’ont jamais compris ce qu’est l’anti-canonique canonique dont ils étaient prévenus d’avance qu’il serait employé en pareille cas ézu ([abréviation d']exceptionnel).

Car ces descendants, je l’ai vérifié, sont capables de se priver de choses pourtant essentielles et cela pour aider leur prochain ou les gens dans la misère, donc ont été bien élevés. Mais comme tous les biens de l’Eglise, dorénavant, nous appartiennent de droit (non seulement en tant qu’Empereur mais parce que l’Eglise a exigé la preuve de ce sacrifice de notre part comme l’incarnation de mes neveux et nièces), en raison de comment tout cela s’est goupillé, y compris dans tous les pays du monde, nous vous prions de veiller à ce que ces descendants ne manquent jamais de rien ou s’ils devaient être déprimés à leur proposer de les mettre à contribution sur divers projets où les talents des uns ou des autres pourraient s’exprimer, en veillant à ce qu’ils soient rémunérés pour leurs efforts, s’ils ne peuvent pas continuer à offrir le luxe d’être bénévoles.

De même, tous les biens de la Synagogue dans le monde entier son Nôtre y compris les biens des temples et des moines bouddhistes dans le monde entier, étant donné que nous avons pu vérifier que seuls les sacrifices conseillés par ces religions fonctionnent. Aussi notre personne se confond désormais avec chacune des religions dont je suis devenu le chef (Dieu présent en ce moment et m’autorisant à écrire ces lignes). Bien sûr aussi, je demeure un profane et un athée à certains autres moments, y compris un sacrilège et tous les mots qu’on voudra bien ou mal penser de moi, votre serviteur. Après ce que nous avons pu vérifier, y compris qu’effectivement il y a eu toutes ces réincarnations, et ces différentes étapes dans tous les temps passés, étant donné que nous avons déduit que nous sommes donc l’auteur de tous les progrès, de tous les conforts, de toutes les bonnes idées, de toutes les avancées, nous « nationalisons » et portons au crédit de notre nom propre de Granier d'ex-Atlantide Lang de [R]Ôz[eau/.../w/y/s] et de Notre famille tous les biens matériels et immatériels de droit de tous les êtres humains, d’autant plus qu’il y a tous ceux qui se sont permis de faire des pactes avec le diable, sans savoir exactement ce que ce mot signifie à l’échelle cosmique, universelle, mondiale et en vérité absolue et ultime y compris en … .  Aussi toutes les banques du monde, y compris les banques nationales passent légalement sous notre propriété, y compris l’ancienne banque du Saint-Esprit, dont nous vous demandons de rétablir l’appellation contrôlée, en Italie, et à l’étranger, en essayant de relever, si possible, la plus vieille banque du monde à Sienne. Toutes les réserves de tous les minéraux, y compris toutes les réserves fédérales d’or ou de diamants sont de droit nôtre, d’autant plus de tous ceux qui ont cru pouvoir donner leur âme au diable pour les obtenir (mais tout continue comme avant, si ce n’est que tous sont prévenus d’avance qu’ils n’ont ce qui est à leur nom, y compris les Etats que par délégations, car tout est à Nous seul de droit, puisque nous sommes les empereurs et avons pu vérifier trois fois au moins à trois moments de l’Histoire qui aurait pu s’avérer tragique avoir néanmoins choisi de faire la prospérité de tous contre les forces qui se sont opposés à nos sciences, chaque personne s’étant mise en infraction pharaonique en se permettant une seule petite chose qui pourrait nous déplaire d’un atome. Chacun est donc averti d’avance qu’elle en subira les conséquences dans tous les temps passés et futurs. Les propriétés y compris celles des sociétés anonymes ou des sociétés à responsabilité limités, tous les types de propriétés (organisations, associations, etc.) sont nôtre avant d’être ou d’avoir été à qui que ce soit et c’est donc seulement par charité, par pitié, et par compassion, ou pour d’autres raisons qui pourraient même déplaire, que nous accordons la responsabilité limitée (ou pas) des devoirs qui vont avec ces propriétés, pour les gérer, les administrer, les valoriser « en bon père de famille » à ceux qui les ont obtenues et qui en sont comptables comme de tous les devoirs inhérents à ses propriétés de droit. La propriété quelle qu’elle soit est donc consentie par nos personnes, y compris aux divers souverains ou personnes les ayant obtenues par héritage ou autrement de droit car nous avons pu vérifier qu’elle a permis de sauver la situation mondiale à ces trois reprises (en effet sans l’assurance des quelques biens appartenant à mes parents, de famille, je n’aurais pas autant que cela continué à m’instruire et à faire tous les efforts pour me marier. La propriété apporte donc une sécurité indispensable pour permettre de se consacrer à de grandes choses pour l’Ensemble[98] (dont l’Ensemble bénéficiera). C’est donc à titre privé et parce que la propriété privée existait que j’ai fait tous les efforts qui ont permis de me libérer de mon égoïsme et de l’enfant-gâté et de donner un sens à ma vie en me découvrant au service de tous par les talents acquis et consolidés par mes différents travaux, par conséquent en me rendant « épousable » dès que j’ai senti qu’enfin je devenais maître de ma destinée et donc que je pourrais devenir un « bon père de famille ». C’est alors que j’ai découvert que c’est ce qu’il avait fallu démontrer, puisque Dieu est intervenu pour me rendre ma mémoire[99] et j’ai découvert que j’avais déjà eu à démontrer cela quand j’étais enfant de l’âge de neuf ans à l’âge de douze et demi).

Notre rôle d’empereur est aussi celui d’un recours possible au cas où les Nations Unies (qui nous appartiennent aussi de droit) n’auront pas réussi à résoudre un problème entre deux Etats, au sujet de territoires[100] ou en cas de problème entre deux mairies, à propos d’un champ que le préfet n’aura pas pu placer entièrement dans une des deux communes, les limites des propriétés ou des Etats étant soumises aux variations liées à l’impermanence des propriétés fluctuantes en raison de la nécessité d’entreprendre dans l’Intérêt et pour le Bien Général. Tous les sites sur Internet, étant donné que nous avons fait bâtir le réseau, c'est-à-dire tous les mondes virtuels sont donc aussi nôtres, avant d’appartenir à leurs concepteurs ou leurs légitimes propriétaires : il va sans dire que nous déléguons à la censure dans chaque pays et selon les traditions locales (qui pourront évoluer en se basant sur des avancées à ce sujet) le soin d’intervenir pour fermer des sites suspects où dont les conséquences pourraient être nocives pour les enfants ou les placer dans les catégories des sites « dangereux » ou « très dangereux » pour en prévenir les usagers ou dans celle des sites à éviter car la censure doit avoir comme constant soucis le réel  Bien des enfants et surtout des plus petits, comme des tout petits, comme des générations à venir qui doivent être élevées dans le constant soucis de leur propre bien dans l’intérêt de tous et déjà de tous les petits des générations à venir. Nous n’avons donc plus le droit à autre chose que de regarder vers l’avenir et de transmettre ce qu’il peut y avoir d’intéressant à comprendre – il faut aussi demeurer fidèle à l’esprit universitaire du départ qui a été à l’origine de la Construction d’Internet (comme on parle de Construction Européenne), un esprit qui cherche à favoriser la connaissance. Pourtant on peut déplorer que les commerces ou les sites marchands se soient emparés de cet instrument pédagogique, bien que cela permette à des coursiers ou à des livreurs, c'est-à-dire en général des personnes qui n’ont pas eu beaucoup d’instruction scolaire, d’avoir un des métiers utiles et honnêtes, en commençant à travers ces métiers à faire d’eux des personnes qui servent à quelque chose, comme l’ont été tous les facteurs au service des Postes, avant que la concurrence du secteur privé ne cherche à blesser ce monopole). Il n’y a donc pas un électron du secteur privé comme du secteur public sur cette planète ou dans l’air ou dans les sous-sols ou dans le virtuel ou ailleurs ou qui appartienne à des intersections entre un ou plusieurs secteurs comme dans la mer ou ailleurs qui ne soit pas légalement comme illégalement, comme dans toutes les autres catégories et dimensions « Nôtre de droit », et cela d’autant plus de tous ses sacrilèges et injustices dont j'ai été victime (avec chacune des impératrices), en échange de tant de preuves continuelles de patience et de bonté sur tous les points (c’est pourquoi, il est juste que nous confisquions[101], si nécessaire, tout à notre profit (au sens où cela nous permettra d’intervenir et de décider ou d’ordonner si ces personnes avaient oublié qui nous sommes) car nous avons pu vérifier qu’il n’y a pas une personne qui méritait ce qu’elle avait pourtant reçu de nous en ayant la vie sauve à partir de 1965, de 1975 ou de 2005), car si les sous-sols sont nôtre c’est aussi parce que nous avons transmis toutes les coordonnées géographiques des endroits où il y avait des richesses minières à exploiter (pour donner des métiers utiles) mais aussi du pétrole pour éviter que le prix du baril n’augmente autant et que des personnes visiblement malades et ne comprenant la portée de leur action en Bourse comme les conséquences de celles-ci sur la misère des êtres humains, continuent à se permettre de l’augmenter (cela a continué jusqu'à 2014 avant que mes lettres n'aient heureusement fait l'effet contraire). C’est pourquoi les réserves qui avaient des propriétaires ou des compagnies pétrolières sont aussi devenues nôtres, comme les compagnies pétrolières elles-mêmes étant donné qu’elles ont cru possible les utiliser pour créer de l’inconcevable : de la misère. Cela signifie que ces personnes étaient malades, qu’elles n’ont pas compris à quoi peut servir de détenir des richesses ou d’en avoir les droits. Aussi en tant qu’empereur nous nous devons d’y mettre bon ordre car cette matière première doit servir à faire disparaître la misère et non à en créer. Nous n’avions pas demandé de royalties pour ces points de pétrole dont nous avons communiqué les emplacements et qui sont parmi les plus grandes réserves de pétrole au monde (50% des réserves mondiales), depuis 1975, car nous savions le monde entier en grande difficulté, craignant la pénurie en la matière. Compte tenu de ce qui s’est passé et du fait que vers l’an 2000, de nouveau, les mêmes spéculateurs sans scrupules (des ignorants, au mauvais sens de ce mot) ont cru pouvoir jouer de nouveau aux malins et avec la vie des enfants, comme de leurs cousins ou frères ou sœur dans le monde entier en augmentant ce prix du baril de pétrole, nous exigeons que l’Église, en ayant à payer une armada d’avocats pour cela à ses frais, (le cas échéant), ou simplement un seul – à moins qu’elle n’en ai pas besoin d’autant plus le rôle qu’elle joue - obtienne réparation et toutes ces royalties de façon à les rassembler et les consacrer par exemple à notre apport, à travers notre fondation (qui sera donc reliée à votre organisation) au programme des Nations Unis pour la faim dans le monde ou du moins nous permette de les récupérer enfin, dans un premier temps pour que je puisse consacrer un peu de cet argent à prendre quelques moments de vacances ou à faire avancer mes affaires sentimentales ou à l’investir où bon me semblera (ce qui signifie toujours dans l’Intérêt Général et pour le Bien Général car je ne suis que cela, et que tous ont pu le constater depuis ma prime enfance, délivré que j’ai été contraint alors, de cette enfance et de cette adolescence, ou de l’esprit de l’enfant-gâté, au mauvais sens de ce mot, en bénéficiant alors de l’ouverture de mon esprit et, à cause de cela, dès 1965, j’ai été contraint de calculer avec ce cerveau ces milliards de milliards et plus encore de choses très exactes à chacune des fractions de seconde (un peu comme celles que calculerait la somme de tous les ordinateurs existant dans le monde en même temps) comme tout ce qui se passerait sur quarante années, si on ne débloquait pas la situation en ne me rendant pas cette vieille salle des machines nettoyée avant au moins à l’alcool 90° (degrés) et à l’eau de javel. Elle m’appartenait de droit, d’autant plus que l’empereur suivant, en m’obligeant à intervenir ainsi avant même d’être un étage plus haut, dans le ciel, quarante ans avant que tout le monde y soit, d’autant plus de la situation générale bloquée et de cet anneau immaculé de mariage cosmique universel qui concerne, en définitive, tout le monde – donc chacun, y compris peut-être même le Saint-Père, s’il devait peut-être enfin pouvoir se marier un jour ou si les curés ou les moines et les religieuses, si la situation venait à se débloquer, en raison de cette époque-ci qui est très différente de toutes les précédentes, puisque chacun de ceux qui n’avaient pas accès à la vieille salle des machines, en raison des web cam et de maint autres paramètres vivent chacun d’eux, s’ils le souhaitent comme s’ils étaient dans la salle des machines puisqu’ils ont accès, à tout ce qui est donné à regarder en couleur et bientôt en trois dimensions, ce qui était moins le cas avec la radio et la télévision noir et blanc, il y a quarante et trente ans, mais qui, en raison d’Internet, donne à chacun, y compris de son fauteuil, dans un avion ou du train ou de son camion, un accès mondial d’autant plus de la téléphonie de la 4ème génération qui permet à chacun de partager tout ce que pharaon a mis au point pour chacun à travers les mains de pharaon.

Cela pourrait permettre à ceux qui sont coincés dans les inepties d’en sortir enfin, grâce aux autres, une fois qu’ils auront renoncé à la cause de l’état malheureux dans lequel ils sont, c'est-à-dire à cette maudite salle des machines, en acceptant de jouer le jeu, comme les oiseaux qui volent sans être invisibles nullement et à qui personne n’empêche de faire l’amour quand ils le croient bon, en n’ayant pas besoin de se cacher de honte pour cela ou de faire l’amour par provocation ou par esprit de contradiction envers ces conseils qui sont donnés à ce sujet aux enfants ou aux jeunes, car pour les oiseaux, ils ne se l’autorisent qu’à partir d’un certain moment au cour de leur croissance et c’est aux sus et aux vus de tout le monde y compris de toutes les web cam branchées sur eux (elles pourraient être nombreuses autour d’eux pour une image 3D que cela ne changerait rien) : ils n’éprouvent aucune honte à cela, de même que Christine et moi n’avions éprouvé aucune honte à nous embrasser devant tous, y compris devant le ciel qui à travers moi, en ces temps là en virtuel, nous l’ordonnait.

Mais ce qui s’est produit avec cette salle des machines a créé le problème du voyeurisme (une composante de l’espionnage – en fait une maladie) qui a été un des effets pervers ayant fait beaucoup de tort à chacune de ces personnes ayant accepté d’être l’objet de chantage (contre leur droit ontologique) pour rejoindre toutes celles l’ayant été avant elles et n’ayant vécu entre elles que sur la peur et la loi du silence les ayant modifié, les ayant artificiellement fait devenir des personnes provocantes ou provocatrices, ce qu’elles n’étaient nullement, car elles avaient du bon sens, comme les autres qui ne les ont pas rejointes pour se consacrer à de vraies études et ainsi être au service de tous. C’est donc comme une maladie qu’elles ont avec le corollaire des autres maladies (hélas très nombreuses) s’y étant greffées puisque cela ne permet plus de travailler dans l’Intérêt et pour le Bien Général, puisque cela rend égoïste et enfant-gâté ou appartenant à des personnes toutes semblablement amnésiques qui ont vu, à cause de cela, et de la perte de leur conscience, leur esprit se refermer et se réduire comme perdre de nombreuses capacités d’analyse, en tenant compte de tous les paramètres et de toutes les dimensions, ce qui contraint à porter des têtes lourdes[102] ou à avoir des « grosses têtes »[103] et inconscients donc deviennent un problème pour tous, au point de rendre nécessaire la catégorie des films pornos ou érotiques, étant donné qu’il ont besoin de cette sorte de drogue[104] dans laquelle on tombe avec en prime l’inconscience et tous les autres effets dévastateurs de celle-ci, par conséquent à l’origine de la ruine de tous et de tous les maux comme de toutes les fêlures ou les ruptures étant donné que ces images si mal élaborées font obtenir des réincarnations tragiques, malheureuses, tristes, cauchemardesques et/ou honteuses en étant donc à l'origine d'involutions (le contraire de ce qu'il convient).

Nous avions rompu nos fiançailles avec Michèle, mais si le nécessaire est fait, nous avons vu qu’il serait possible qu’elles adviennent de nouveau, mais cela ne veut pas encore dire pour autant « mariés », car la route est longue jusqu’aux fiançailles véritables (après ce qui s’est passé) et sera peut-être encore plus longue jusqu’au mariage véritable, pour nous octroyer le droit d’être parents d’enfants ou le droit de veiller à l’éducation d’enfants, tandis que si on nous avait évité de faire ce sacrifice, ne serait-ce que le second en 1975, à cette heure-ci, Michèle Finck était ma femme – mariée - avec des enfants et j’avais aussi Christine pour épouse et une famille avec elle (mais personne n’a voulu comprendre ce que nous attendions comme réaction de la part de tous, y compris de Dieu et de l’Église). Je n’aurais pas été contraint d’avoir Florence Loewy comme troisième impératrice (pour constituer le trèfle) et de la rencontrer pour la première fois dans un état d’amnésie, comme elle d’avoir eu à avorter (ce qui constitue un vrai traumatisme chez certaines femmes) et nous n’aurions pas eu, non plus, à finir par envisager bien plus que ce nombre d’impératrices légitimes pour soigner Michèle, car ce nombre de deux impératrices aurait été amplement suffisant à mon âge de treize à vingt cinq ans, d’autant que j’étais déjà l’empereur de l’Ensemble, avec mon père, et que, de mon côté, je n’en voulais qu’une seule depuis que j’étais petit, car pour moi qui est vécu dans ma famille et qui a eu comme modèle mes parents qui avait célébré leurs quinze ans de mariage en 1966 et leur 25 ans de mariage en 1976, je demeurais évidemment persuadé qu’il n’y a rien de plus beau que la monogamie. En 1975, la solution élégante de deux impératrices était cependant possible (j’espérais que tous comprennent cela) d’autant que la situation a contraint François Mitterrand à continuer à être fidèle à sa femme légitime, mais à prendre une maitresse de laquelle il a eu une fille qui a été reconnue et dont j’ai annoncé la naissance du futur (elle porte un beau prénom). Cela a été nécessaire alors, en ces temps d’après-guerre, pour gouverner la France et l’amener à tous les progrès que nous lui avons fait faire (comme aux autres pays), en en dictant d'avance les grandes lignes du futur, à partir de 2005, ce que nous avons découvert nous avions en fait accomplit à partir de 1965 (cela signifie il y a plus de quarante ans) en ayant à remonter le temps et à tout calculer du déplacement de chaque électron dans chaque tube de chacune des télévisions du monde entier durant toute la période comme en les comptant tous, y compris chacune des particules de l’air et de l’eau ou chacun des cailloux ou grain de sable déplacé sur toute la surface de la planète, dont le système était donc vérifié alors bloqué jusqu’à 2005 au moins (puisque personne n’a eu le courage alors d’appuyer sur le clic de la souris pour débloquer ce système et enfin avoir l’audace de proposer quelque chose de vraiment formidable et merveilleux aux générations suivantes) car en fait nous avons donc tous pu vérifier que ceux qui ont eu accès à la vieille salle des machines ont bloqué le système tout entier ! Il faut comprendre qu’on n’a pas le droit de faire de telles mauvaises plaisanteries à tout le monde comme à l’empereur cosmique universel que je suis car c’est se condamner à en subir les conséquences. Contraindre un enfant de deux ans et demi à jouer les soucoupes volantes en permanence, à chacune des fractions de seconde, et à être à des endroits différents en même temps (1965; 1975 et 2005 en synchrone), ce qui est impossible pour une soucoupe volante puisque les occupants savent qu’ils sont soit à tel endroit dans le temps soit à tel autre, à un autre moment, c’est faire un véritable sale coup à son chef ! Le contraindre à être alpha-oméga. Peut-être que cela n’a pas été prémédité et que personne ne l’a voulu. Mais en réalité c’est bien l’Ensemble qui l’a voulu et qui l’a prémédité dès 1975 une seconde fois: j’ai vérifié puisque j’avais dit à 1975-1982 qu’il fallait arrêter cette plaisanterie et qu’il en était encore temps. Peut-être comprendra-t-on, grâce à cela, qu’il est, j’espère, encore temps d’arrêter cette mauvaise plaisanterie, en cliquant sur ce que je propose, mais tant qu’on ne m’a pas rendu les commandes et la vieille salle des machines pour que je puisse au moins l’inspecter, étant donné que je suis à moi tout seul et avec Internet la nouvelle salle des machines ayant à inspecter l’ancienne pour voir comment elle pourrait servir, ne serait-ce peut-être que comme des instruments d’un parc à thème, de façon à que tous puissent comprendre pourquoi il y a à en rire de bon cœur. En attendant, nous sommes coincés dans la logique que la situation impose à un empereur qui ne bénéficie pas de ses instruments auxquels il pourrait faire bénéficier de l’ensemble de ses savoirs exacts vérifiés par tous astronomiquement précis, étant donné que j’ai été précisément exact sans un électron de décalage avec des interventions dans le temps qui avaient eu lieu une première fois quarante ans et une seconde fois trente ans auparavant, c'est-à-dire que j’ai pris en considération aussi la moindre des bulles d’air qui se forme dans n’importe laquelle des casseroles qui permet à l’eau de bouillir ou qui vient spontanément à la surface de n’importe lequel des « quelconques » torrents durant la période en question, en même temps que tous les autres calculs concernant toutes les autres choses se modifiant et cela simplement en raison de cet anneau immaculé de mariage d’Intérêt Général et pour le Bien Général. C’est dire que quand j’étais petit j’espérais avoir des enfants et j’ai été bien content quand on m’a offert mon premier ours et combien j’étais déjà capable de me sentir père de famille, donc responsable et combien je savais ce qu’on avait le droit de faire ou de ne pas faire.

C’est que je m’inquiète en raison de mon âge qu’il y ait un descendant ou plusieurs de façon à le(s) former pour  prendre la succession de l’Empire avec non pas le nombre d’habitants quotidien qui est celui de nos jours, mais avec une catastrophe monumentale bien pire encore pour cet empereur d’après moi et pire encore pour celui d’après, et c’est pourquoi je comprends qu’ils ne pourront pas s’en tirer sans que nous nous lancions dans la conquête spatiale plus sérieusement avec l’objectif de Mars et de la Lune et sans la nécessité de construire des gratte-ciels plus nombreux, d’autant plus des processus de désertification et de réchauffement planétaire très préoccupant.    

Mais pour l’instant, tout continue comme avant (je n’ai pas le temps de « confisquer » moi-même physiquement tout ce qui est sur ce papier/fichier à moi de droit, donc pas seulement en virtuel, mais écrit en multi-catégories, en multi-dimensions, en multi alpha oméga, en multi paramètres, etc. et en ayant comme témoin Dieu et le Grand Architecte de l’Univers, et en étant en un seul avec l’ensemble des empereurs) si ce n’est qu’il est impératif qu’en raison de ce que nous avons vécu le prix du pétrole baisse (aussi les compagnies qui sont toutes les nôtres de droit doivent veiller à le baisser car je crains pour le pouvoir d’achat des plus pauvres) car ceux qui le feront monter, ou qui l’ont fait monter depuis notre intervention, renouvelée en 2005, à ce sujet, auront à en subir des conséquences (des réincarnations tragiques, tristes, malheureuses, cauchemardesques, honteuses), d’autant que ce pétrole est non seulement à nous de droit, mais aussi en tant qu’empereur qui a bien prouvé que tout est à lui, puisque je suis déjà en même temps que là où je suis déjà ailleurs au même moment, en ayant, en même temps que ce que je fais (c’est pour cela que je fais parfois des fautes d’orthographes) à calculer tous les paramètres qui concernent tout de chacun des terriens (déplacements compris), tout de chacun des animaux et de chacune des plantes, non seulement dans le passé mais en même temps que ce que je fais, dans le présent, comme déjà dans le futur, ce qui m’a permis de me faire revivre le même état d’esprit dans lequel j’avais été contraint d’être, à partir de 1965 comme à partir de 1975 (un peu plus de deux ans et demi seulement), c'est-à-dire celui d’un peu prophète constant (la preuve, puisque je suis déjà entrain de penser à l’état de la population mondiale d’ici à deux ou trois empereurs de nous, à notre époque, ce qui fait que s’il y a bien eu des saints en ce monde, depuis mon père, ce sont bien les empereurs, qui viendront s’ils prennent leur métier autant au sérieux[105] que nous et qu’ils comprennent chacun qu’ils sont totalement les serviteurs et comme les esclaves des prochains, même si ceux-ci ne sont que des futurs enfants à naître et surtout parce qu’ils ont compris pourquoi il y avait eu la nécessité d’abolir l’esclavage tel qu’il avait existé. En effet, il s’agit de mettre au point une stratégie tous ensemble pour que nous n’ayons plus jamais, avec les empereurs, des enfants-gâtés ou des incompétents car cela a mené à de telles catastrophes dans le passé (napoléon premier et adolph hitler) que ça vraiment été un miracle, et moins une, qu’il n’y ait plus à cette heure-ci qu’un désert sur cette planète causée par les bombes atomiques en 1965 qui pouvaient anéantir, (à partir de cette date là, (si je n’étais pas intervenu), en raison de la guerre froide et de ce qui s’était passé quand elle avait été « chaude »), la planète pour en faire une sèche et aride, désertique sans plus de vie nulle part, d’autant que j’ai mis un certain temps à comprendre en 1965 que tout dépendait de moi de la sauver depuis l'année 2005 (il fallait pour cela que je fasse des efforts cérébraux que très certainement personne n’avait songé à faire avant moi et que je découvrais devoir faire car j’étais empereur « malgré lui »). Mais il faut croire qu’il y a eu ici comme un coup de génie de la Providence et surtout il faudra toujours nous remercier – et c’est pour cette raison que mon père, ma mère, mon frère aîné Luc-François, mon frère Jean-Paul et ma sœur Florence, comme les membres de ma famille, à moins de décisions personnelles contraires, puisque nous avons accompli tant de merveilles sur la planète entière durant l’empire de mon père et le mien, avons notre place au Panthéon comme nécropole familiale où l’État, à ses frais, y compris pour les déplacements des corps, devra veiller à les y conserver (nos corps), une fois morts, si nous ne trouvons pas préférable pour des raisons personnelles, une tombe ailleurs, les uns et les autres, à ciel ouvert – si tant est que nos cercueils et les tombes deviennes vitrées et soient transparents pour nous permettre de contempler le ciel – il s’agit d’une tradition ancienne que nous pouvons remettre au goût du jours comme pour certains morts d’autrefois qu’on peut ainsi admirer sous les autels dans certaines chapelles italiennes où ils dorment comme des supports de saintetés à des autels - pour qu’on puisse, si on le souhaite, nous y contempler ou nous craindre ou nous remercier pour toutes ces choses que nous avons voulu et rendues possibles et qui sont devenues des nécessités pour certains dans le monde entier pour mieux travailler et avoir des métiers utiles en tant qu’honnêtes gens capables de chercher à faire le bonheur de la génération suivante, avec l’aide de l’ensemble des instruments qui ont résulté de cette Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale que nous les empereurs (les Satana[na!]nas), les Hermès, les Trismégistes et les … (trois petits points) de notre nom administratif Laurent-Marie Granier (avec tous les autres prénoms administratifs de baptêmes y compris celui de Gustave) avons eu l’insigne honneur de dicter à travers Espace et Temps pour au moins la troisième fois à partir de 2005 – en chair et en os - après au moins deux fois précédentes en virtuel (1965 et 1975) - dans un « état de ciel » car nous l’avons atteint en raison de notre mariage et cela a permis d’éviter la catastrophe mondiale de la reprise de la guerre, à partir de ces dates là, en permettant le réchauffements des relations entre des personnes qui étaient, pour certaines, redevenues inconscientes au point de vouloir de nouveau, en se servant des générations suivantes, comme de la chair à canon – parce que les précédentes l’avaient bêtement cru possible - une « revanche » à une Seconde Guerre Mondiale, alors que toutes les religions intelligentes ont conseillé, depuis longtemps, de ne plus chercher à se venger, d’autant plus que nous avons pu tous vérifier que le problème, en fait, provient de plusieurs choses différentes, mais aussi des répercussions et des conséquences d’un conflit survenu dans la nuit des temps : il a eu lieu entre, d’un côté ceux qui ont voulu devenir prisonniers de la salle des machines et l’utiliser dans l’état d’ignorance, au mauvais sens de ce mot, y compris d’inconscience dans lequel ils étaient, en s’abandonnant subjectivement à leurs sens, en en devenant ainsi les esclaves de ceux-ci, et ceux qui ne voulant rien à voir en commun avec ce genre d’état dégradant (qui avec le temps n’a pas même pu permettre à ceux-ci de tenir compte de l’Évolution) se sont, grâce à cette situation, délivrés de cet état d’esprit d’enfants-gâtés ou d’adolescents, ou d'égoïstes au mauvais sens de ces mots (en comprenant alors le monde autrement, en le lisant avec un esprit de sciences) d’autant qu’il a fini par y avoir le bon sens de ces mots (enfant-gâté y compris) donc tous les exemples contraires de vrais enfants et d’adolescents, ce qui leur a permis de bénéficier de l’ouverture d’esprit nécessaire pour comprendre les différents niveaux qu’offrent les réalités, ce qui permet alors, dans l’Intérêt Général de se rendre maîtres dans les diverses sciences nécessaires pour contribuer à gérer au mieux le quotidien de tous, en comprenant chacun d’eux comme un cas particulier[106] (ce qui a ouvert la voie à la psychanalyse). Je n’ai donc pas eu à me fâcher plus que cela, ni même à connaître d’amertume car j’ai été contraint d’en rire finalement de très bon cœur comme on a pu l’entendre et s’en apercevoir à travers le temps, en me découvrant alors un sens de l’humour (et une joie cosmique) qui avait été loin d’être seulement possible d’envisager pour moi-même dans ces états qui avaient précédés durant des années ce contraint et forcé « malgré lui » à sauver la situation mondiale de l’empire en devenant un profane bien commun et pas très gai portant un regard plus convenu au sujet de l’être humain et de soi-même dans lequel on ne peut même pas soupçonner qu’il puisse y avoir tant de ressource à rire de ce rire-là, pour ne pas pleurer, d’autant que durant vingt sept ans je n’avais pas été très capable, sur le moment non plus, de rire des différents déboire et injustices que j’avais eu à traverser tout au long de cette sorte de Chemin de Croix multidimensionnel qui avait suivi le précédent de ma naissance à 1965, et de 1965 à 1975, avant celui de 1975 à ce jour du 6 avril 2013 (et 11 septembre 2017) où je relis ce passage. Sans doute toutes ces péripéties peu drôles, en découvrant qu’encore une fois en 2005, on me refaisait le coup, me permettaient aussi de vérifier qu’il y avait « répétition » ou « éternel retour » dans le tragique, à ce point, et cela me permettant de vérifier que l’expression de « comique de répétition » était, elle aussi, bien vraie, mais enfin fondée de mon point de vue pour des raisons précises. Cela m’a ouvert l’univers du rire et de la joie à jamais et je ne puis ici qu’en remercier l’Ensemble, y compris ces empereurs me précédant qui se sont à ce point trompés sur la nature de l’être humain, puisqu’ils choisirent de faire, pour certains d’entre eux, une involution au lieu d’aller dans le bon sens, celui de l’homme délivré de sa nature profane, sacrilège, laïque, athée, ignorante au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) et, grâce à cela, de retrouver la vérité sur tout, y compris le sens de la logique et celui de ce qui est juste : en un mot un peu de bon sens.

En raison de tout ce que je découvrais avoir eu à souffrir[107] aussi injustement que cela y compris comme incompréhension et que, malgré tout cela, je n’ai pas voulu me venger mais au contraire soigner l’Ensemble y compris dans le passé, j’ai compris que je le devais à mon parcours d’enfant-de-cœur, mais aussi parce que j’ai appris cela enfant de ma mère qui m’a toujours donné l’exemple qu’on ne doit jamais s’abaisser à se venger, puisqu’il existe une autre Justice. Mais vous avouerez, monsieur le Cardinal, qu’elle tarde à venir (en raison du décalage qui existe et qui est en faveur des ignorants et des profanes au mauvais sens de ce mot), d’autant qu’il m’a été donné de vérifier moi-même, toutes les listes de ce qu’on nous doit sur la planète entière et Dieu nous a rappelé que dans toutes les époques passées, ayant fait d’autres réincarnations, sous d’autres identités, on me devait aussi toutes les bonnes choses qui ont été faites et transmises jusqu’ici par chacun des honnêtes gens ! Et songez qu’à ce jour[108] – mais j’espère les terriens vont en prendre conscience et finiront par vouloir se comporter justement - pas même 10% sur chacun des gains pour m’inciter à faire ces interventions à travers le temps à mon arrivée en 2005, y compris pour me faciliter mes noces. Pas même les pourcentages de la sorte que chacun des Etats ont obtenu sur les impôts de ceux qui ont obtenu partout un métier ou une profession, grâce à moi, qui ont donc vu chacun leur vie sauvée grâce à moi et à toutes ces notions que j’ai inventées dans les temps passés sur des bases justes et équitables. Par même un pourcentage de tous les impôts qui ont permis durant les millénaires passés à chacun des serviteurs de l’Etat de vivre ! Pas même les pourcentages sur chacune des choses vendues dont j’ai donnée les listes pour les réaliser avec force détails techniques. Vous comprendrez, monsieur le Cardinal, pourquoi j’ai le droit de tout considérer à moi après de tels outrages /sacrilèges. Ce n’est que Justice. Mais j’oubliai, je suis aussi l’empereur et pour cette raison aussi tout est à moi comme pour d’autres raisons. De plus j’ai ces raisons pour chacune de mes réincarnations précédentes durant lesquelles ont a cru, à chaque fois, ne pas pouvoir me rendre ce qu’on me devait. Aussi, je suis bien content que la Justice existe puisque enfin tout est à moi de droit dans les faits depuis toujours. J’attends simplement les clés de tout, pour créer, puisque j’en suis le propriétaire totalement légitime, un monde beaucoup plus équitable et qui puisse enfin permettre de rajeunir, plutôt qu’aboutir à un monde dans lequel des arbres, encore jeunes, sont coupés par des jardiniers faussaires capables d’obéir à des ordres auxquels la nature intrinsèque ontologique consubstantiel de véritable jardinier devrait se refuser d’autant plus qu’il a pris connaissance de l’existence de ce décalage qui produit chez les arbres ce risque d’avoir à vivre une cinquantaine d’années difficiles avant de grandir sans risque, y compris en apparaissant, à cause de cela, à première vue, malades dont certains, les plus vaillants, pourraient réchapper pour toujours. J’ai toujours donné chacune de mes inventions à travers le temps pour donner à ceux qui allaient en tirer quelqu’argent les moyens de survivre honnêtement en ce monde et bien que j’ai certainement inventé au passage le bureau des brevets, en pensant à tout ceux qui ne peuvent que beaucoup ou un peu inventer et qui pourraient alors se déplacer jusqu’à celui-ci, d’autant que depuis toujours mon soucis a été de faire des honnêtes gens qui pourraient soudain avoir le bonheur de passer ou de basculer dans le monde de la connaissance véritable. En effet, j’ai vérifié qu’il n’y a rien de plus affreux que la situation d'uniquement profane et laïc, de strictement athée, de par moments sacrilège et d’ignorant, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), puisque c’est à l’origine de toutes les détériorations et de toutes les ruines comme de tous les maux et de toutes les formes de déserts y compris celles de certaines formes de vieillesses (mais il y a la véritable jeunesse qui n’a d’envies que d’entreprendre et qui s’est formée en vérité pour cela : il y a tous les vrais jeunes éternels comme les Renoir ou d’autres grands réalisateurs du cinéma qui n’ont fait que chefs-d’œuvre sur chefs-d’œuvre, des cadeaux, chacun, d’une incommensurable intelligence, du genre de ceux de la Septième ou/et Neuvième Symphonie de Beethoven, mais avec des images et des sons. Il est bizarre que des gens qui se prétendent des artistes n’aient pas rendu d’eux-mêmes, en voyant ou en entendant ces chefs-d’œuvre la vieille salle des machines à des personnes qui se sont données tant de peines et difficultés pour leur raconter des histoires aussi belles dans chacun de ces films ou dans chacune de ces musiques ou dans chacun de ces plans élaborés par leurs soins y compris pour réaliser ces instruments mécaniques aujourd’hui d’une précision aussi redoutable que celle des lasers utilisés de façon courante de nos jours par tous pour lire les cd-audio ou les cd-rom. C’est comme si leur état d’inconscience ne leur permettait pas de se rendre compte que ceux qui élaborent ces plans pour créer ces instruments vivent dans un état de recherche de la vérité absolument totale dans leurs spécialités et c’est pourquoi ne pas rendre la vieille salle des machines à des personnes aussi qualifiées scientifiquement parlant que cela c’est risquer de ne pouvoir jamais profiter de la chance d’avoir des personnes compétentes dotées de lumière véritable pour des déductions logiques et scientifiques permettant alors de soigner ces personnes s’étant dégradées le cerveau chacune au point de perdre chacune ces capacités de mémoire et de chronologie qui auraient permis à chacune d’entre elles de trouver la voie vers la conscience et de véritables solutions, plutôt que celles de devenir des espions ou des parasites y compris les voleurs de ceux qui lisent le monde en vérité et opèrent en vérité. C’est pour cette raison que nous sommes quasiment certains qu’il ne s’agit que de personnes qui sont comme mortes car si j’avais eu une vieille salle des machines en découvrant ce que signifie qu’avoir à se former pour devenir un Fritz Lang ou faire un seul des films de n’importe lequel des réalisateurs ou ce qu’il a fallu comme efforts à une famille pour permettre à une personne de devenir un compositeur de musique ou pour permettre l’élaboration des plans de n’importe laquelle des machines ou les plans de n’importe lequel des Corbusier ou autres grands architectes, ou ingénieurs de l’aéronautique ayant par exemple poursuivi l’œuvre d’un Léonard de Vinci en allant jusqu’à créer les plans des fusées interplanétaires en poursuivant ici l’œuvre d’un Eiffel, mon sens de l’admiration vis-à-vis de l’art m’aurait naturellement poussé à leur abandonner et à partager cette vieille salle des machines m’en sentant indigne d’avoir pensé à la séquestrer en avare à mes seules fins profanes et libidinales pour, en la leur remettant, que ces génies essaient de l’utiliser dans ces directions là, certainement à des fins bien plus utiles et belles que les miennes de devenu dégradé et ignorant, au mauvais sens de ce mot, car ce qui transparaissait dans chacune de leurs œuvres y compris celle d’un Piranèse, c’est la proposition du vrai bonheur, le la vie comme une œuvre d’art, issue de ces études et ces recherches de solutions élégantes qui, visiblement, « comme la véritable élégance ne se remarque même pas » – car il faut vraiment les remarquer puisque ces personnes qui en sont les auteurs, par discrétion et par humilité face à une simple fleur vivante ou un rocher observé n’ont pas même cherché cette notoriété ou à les souligner de ce génie qui fut le leur pour permettre à des matières différentes de trouver à s’organiser ainsi, en raison de leur grande maîtrise et de l’exercice de leur art en conscience. Si je m’étais rendu coupable de tant de malheurs à cause de la possession d’une vieille salle de machine, en apprenant tout cela, j’aurais aussitôt compris que, visiblement, je ne méritais d’aucune façon d’en hériter puisque c’est en inconscient et en fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) y compris en paranoïaque que je l’ai utilisée à des fins futiles (pour savoir des choses qui n’ont aucun intérêt comme ce que peuvent penser les gens de nous) et face à tant de gens exemplaires, n’ayant que continuellement donné des preuves de génie absolu à l’occasion de la moindre invention de gadgets quelconques, j’aurais tout rendu en étant bien malheureux d’avoir causé tant de torts à tant de génies et pour réparer, je me serais aussitôt mis à leur service dans l’espoir d’acquérir un peu de leur sciences et de me délivrer de celui qui, en moi, est cet enfant-gâté (ou l’adolescent égoïste mal élevé) pour connaître, à mon tour, la joie de cette « ouverture de l’esprit » dont j’ai pu vérifier qu’elle peut venir à n’importe qui se préparant honnêtement, sans faire semblant, dans l’Intérêt et le Bien général, demeurant fidèle à la recherche de la vérité, puisqu’il ne veut plus continuer à être un tricheur, ce qui signifie que le monde de la vérité, comme de la véritable honnêteté, existe belle et bien et qu’elle n’a rien à voir avec ceux qui escroquent y compris comme les Javert ou tout ceux qui sont dans certains cas trop à cheval sur des règlements. Oui, j’aurais demandé qu’on m’apprenne, puisque j’avais si mal fait, et dans le désir de réparer, en renonçant à espionner dans cet espoir vain de continuer à escroquer et à arnaquer ou d’avoir une revanche, en me servant et en volant la connaissance de ceux que j’espérais soumettre maladivement et misérablement en usurpateur, en tricheur, en menteur, en cachotier et tout au contraire en comprenant que la connaissance ne s’acquière ou ne peut s’acquérir que petit à petit et en commençant tout au bas de l’échelle, même si on est au sommet, et j’aurais renoncé aux Roll Royce et autres Ferrari, en espérant être capable un jour d’être de ceux qui sauront représenter chacun des sentiments humains, puisqu’ils existent, en essayant, à force d’efforts et de travaux, à percer le secret de ces artistes qui furent continuellement différents et pluriels, de continuels découvreurs, puisqu’ils trouvèrent de continuelles nouvelles formes en, s’affranchissant de la représentation photographique, puisqu’elle est à la portée de n’importe quel enfant ou adolescent, même de ceux, au mauvais sens de ce mot, qui de nos jours cherchent à en faire le moins possible[109], en étant devenu des cadreurs-faunes ou satyres y compris centaures cherchant, comme d’habitude, un des métiers - autrefois de liftiers - où il n’y a qu’à appuyer sur un bouton pour laisser la machine faire le travail et bénéficier des résultats, en parasites, à moins d’être de ceux qui ont appris à comprendre ce qu’est ou ce que peut-être la mécanique (réparer un ascenseur, la photographie véritable, puisqu’on peut opposer à ces faussaires mimétiques et copieurs l’existence des vrais photographes et des vrais vidéastes, comme des vrais cadreurs et chefs-opérateurs, mais ici, ils n’ont rien à voir avec toutes ces personnes qui « font semblant » (même d’être en chemin), puisqu’elles ont passé leur existence à rechercher l’oubli et la détérioration d’eux-mêmes, comme de pauvres malades masochistes, voulant être payés pour appuyer sur un ou deux boutons déclenchant, comme un interrupteur, un cadeau des millions de fois plus intelligent que l’acte en question (à la portée de tous) qui consiste à apprendre à cliquer ou à tourner un interrupteur[110].    

Car si j’avais eu un autre état d’esprit, comme celui de personnes plus communes, mais qui ont malgré tout un peu le sens de la justice, après ce qu’on a osé nous faire, mais surtout à ma personne impériale[111], j’aurais peut-être eu à me comporter comme l’aurait fait tous les gens normaux, et, parce que visiblement cela n’en valait vraiment plus la peine : j’aurais renoncé à essayer, une fois encore, de sauver la Terre, la Création et ses virtualités de solutions élégantes, tant ce que j’ai eu à traverser est beaucoup plus encore que tous les mots ayant de près ou de loin à voir avec celui de « répugnant » ou de « pourriture » ou d’« abject » et c’est pourquoi j’ai pu vérifier que certains des êtres humains se sont tous rendus à l’infini de l’infini (et cela sur chacun des atomes de leurs corps respectifs) coupables vis-à-vis de mon père l’empereur, comme vis-à-vis de ma mère ou de chacun des membres de ma famille, et bien sûr de ma personne aussi, comme de tous ceux qui, ayant compris ou feint de comprendre, comme d’habitude, n’ont rien pu expliquer, étant donné que cette différence entre profane et non-profane est d’une complexité inouïe, voire impossible à expliquer[112]. Il s’agissait de personnes depuis toujours ignorantes, au mauvais sens de ce mot, et qui se sont toujours rendues coupables, dans tous les temps passés[113] de toutes les formes de retards et handicapes mentaux, au point d’être les véritables auteurs de toutes les formes de maladies et de déserts, de toutes les formes de vieillesses, de tous les accidents, de tous les problèmes y compris de toutes les maladies génétiques et de la nécessité pour toutes les autres de ne se fréquenter que dans des clubs plus ou moins eugénistes, ce qui est bête, puisque nous avons pu vérifier et démontrer, au passage, que le faune, le satyre, le centaure, à force d’être corrigé – ce qu’il recherche et qu’il ne faut pas trop faire en raison de sa susceptibilité maladive – comme contraint à employer de façon intelligente sa force physique (canalisée dans le bon sens), est capable parfois de devenir un dieu ou de rejoindre les dieux sur l’Olympe.

 C’est en raison de leurs âmes de tricheurs, de menteurs, d’imposteurs, d’usurpateurs et du corollaire des mots qui vont habituellement avec qu’il y a tant de malheurs. J’espère qu’ils choisiront de cesser car sinon ils pourront vérifier que la réincarnation suivante sera bien plus cauchemardesque encore que celle-ci à vivre pour chacun d’entre eux, car ils auront à souffrir chacun en proportion des maux qu’ils ont causé et des conséquences de ceux-ci partout. Nous ne disons cela que pour avertir, car nous avons vérifié, et il n’y a pas un électron de mensonge dans ce texte. C’est pourquoi nous leur avons conseillé en 1975, comme de nouveau à partir de 2005, la vérité au sujet des mesures économiques, comme au sujet du prix du pétrole, d’autant que toutes ces réserves de pétrole sont nôtres de droit[114], non seulement en raison de ci-dessus (la planète étant de droit impérial totalement Nôtre, mais aussi puisque ces Nous-mêmes qui  avons communiqué les coordonnées géographiques de ces réserves de pétrole (au moins 50% des réserves actuelles) à travers le temps à 1975, à partir de 2005, où nous avons eu, hélas, à le vérifier trente ans plus tard, en chair et en os dans la réalité elle-même, quand cela s’était passé virtuellement dans le ciel dès 1965 et de nouveau à partir de 1975 (entendus et notés dès cette époque), alors que nous nous apprêtions à nous marier, en raison de notre anneau immaculé pharaonique cosmique universel et … et que nous avons eu à effectuer ce très grave et très difficile sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) de notre séparation d’avec notre promise légitime, contraint, grâce à cela, de/à sauver la situation, car personne n’avait l’air de comprendre que dès cet âge là, en 1965, nous étions l’empereur cosmique universel et … ayant droit à avoir notre épouse légitime à nos côtés malgré notre si jeune âge[115]. Cela a néanmoins permis de faire comme une nouvelle étape, dix ans plus tard, en 1975 où tous ont pu constater que ce qui n’avait été qu’entendu, en 1965, nous avait fait apparaître en virtuel entendu et vu dans le ciel quarante et trente ans avant même d’y être dans la réalité elle-même et nous avons été contraint, de nouveau, par l’Ensemble, à réitérer ce sacrifice de séparation d'avec notre promise puisque nous avons eu hélas le déplaisir de constater que la situation économique était toujours plus catastrophique, en raison des augmentations du prix du pétrole (on nous désobéissait, le prix augmentait au lieu de baisser plus il y avait de découverte de nouvelles réserves). Pour toute les personnes un minimum instruites une simple augmentation de ce qui est vital pour l’économie mondiale va être néfaste et la situation ne favorisait pas ni ne permettait d’espérer nous permettre d’attendre dans des conditions aussi tragiques comme inacceptables nos descendants légitimes dans les années 75-80, comme cela s’est hélas renouvelé à partir de 2005, malgré toutes les peines les plus incommensurablement difficiles que j’ai pu avoir vérifié avoir prise dès 1975 en tant que simple humain ayant du bon sens au service du Bien et de l’Intérêt Général et que nous nous étions donnés, y compris avec nos ancêtres avant nous pour avoir le droit d’accueillir, en toute honnêteté et dignement, (matériellement parlant des conditions acceptables), du ventre de l’impératrice promise légitime (comme des ventres des autres impératrices par la suite, si nécessaire – en disposant des moyens financiers pour permettre l’éducation de futurs princes impériaux) cette descendance alors pressentie possible, paradoxalement, à partir de 1965 par nous (malgré notre âge) avec elles, en renouvelant l’exploit à partir de 1975, l’impératrice promise légitime ayant été désignée du futur au cours de ces interventions à travers Espace et Temps par Dieu s’étant servi de moi à ce sujet, lui-même ayant vérifié que je ne savais rien d’elle avant et que je découvrais cette incroyable situation, au fur et à mesure, à partir d’avril 2005, en synchrone avec avril 1975 et 1965, étant probablement en relation avec des problèmes liés à l’existence des castes et de la séparation existant entre celles-ci.

Si nous en venons à tout mettre à nos ordres partout (sur toute la planète) comme à tout devoir détenir en propriété légitime, cela signifie que, dorénavant, tous les titres de propriété sont donc des vérité relatives qui concernent des particuliers ou des personnes à caractère « privées » ou des personnes morales ou ce qui a le droit de devenir propriétaire (cela a mis des siècles à être considérée comme légitime que la propriété privée, parce qu’il y a des droits et des devoirs qui y sont attachés y compris pour entretenir l’ensemble. C’est donc un signe ou le résultat de milliers d’années d’êtres humains civilisés qui a permis à travers son existence et sa légitimité à chacun de survivre, chacun sachant ce qui est à lui, de droit). En tant qu’empereur-bouddha tout nous appartient de droit y compris les animaux y compris les êtres humains eux-mêmes y compris les os des défunts, mais je trouve cela contestable bien que cela semble être de droit inhérent à ma fonction et à l’existence de ce sarcophage, comme de la salle des machines qui, si j’ai bien compris, appartient normalement de droit à l’empereur aussi. Or, j’ai pu vérifier en détail que les instruments qu’elle détient ne permettent à aucun des espions de pouvoir déterminer exactement de la vérité y compris en les utilisant pendant les moments où les cerveaux se reposent inconscients. Les personnes qui l’utilisent ne tiennent pas compte de l’ensemble des données stockées dans le disque dur central de chacun[116]. Donc avec la salle des machines des machines à ne plus utiliser ou alors comme de vieilles attractions de foire, beaucoup moins fiables qu’un ordinateur de notre époque car donnant des résultats qui ne sont que des vérités relatives, ne tenant pas compte de tous les paramètres liés à une personne depuis sa naissance, de sa complexité.

Par conséquent l’empereur que je suis est le seul habilité à rétablir la vision d’Atlantide ou du Paradis avec le [très] grand variateur ([T]GV) dans la vieille salle des machines.

Cela signifie que si les personnes ont des titres de propriété quel qu’ils soient, ils doivent assumer les responsabilités de chacune de ses propriétés au nom de l’Empereur Universel Cosmique etc. et … (voir mes noms ci-dessus pour détails) que nous sommes. Cela signifie que si ces propriétés ne sont pas entretenues, elles peuvent être « confisquées » ou « réquisitionnées » par la mairie ou par les représentants de l’Etat ou par la paroisse, si ces organismes sont entre les mains de personnes qui n’y sont pas en imposteurs ou profanes et qui ont la confiance de la famille impériale[117]. Cela est valable aussi pour chacun des Etats de la planète qui nous appartiennent donc à l’issu de ce processus, comme depuis 1965, de droit.

Aussi, vous aurez compris, Monsieur le Cardinal, que l’État du Vatican lui-même entier Nous appartient de droit, comme les âmes qui l’ont servi, mais aussi celui de la France, de l’Italie, des autres pays comme aussi chacun des différents ensembles économiques que nous avons créé, favorisé et constitué comme permis de financer et dont Dieu a pu vérifier que c’est bien Nous les Laurent-Marie Granier qui les avons mis en place à travers le temps, grâce à mon père, Jean-Luc Granier qui s’en est chargé en tant qu’empereur pour nous y représenter (durant notre absence des affaires), comme tous les forums économiques y compris celui de Davos (mais aussi le réseau Internet) comme bien sûr l’Union Européenne en entier qui est Nôtre dans la moindre particule ou le moindre des l’électrons y compris dans sa phase de parachèvement future envisagée, fédérale y compris dans les airs et les mers qui la compose y compris les territoires virtuels sur Internet où nous souhaitons que tous ceux qui ont cette passion bien partagée par moi-même apprenne à s’autocensurer ou du moins à veiller aux conséquences de publications sur les enfants (et à prévenir les autorités qui veillent sur le réseau Internet) car j’ai eu l’occasion de tomber vers 2003 sur un site cherchant à faire peur (intimider), sans avoir prévenu d’avance que le clic qu’on allait faire pourrait être dommageable pour des enfants.

Nous n’avons plus qu’à préparer l’avenir. Il y a des chiffres et j’entends poursuivre le travail en serviteur déjà fidèle du pharaon suivant (pour l’instant virtuel) qui aura des chiffres encore plus catastrophiques et astronomiques que les nôtres à gérer, donc un travail certainement encore plus considérable que le nôtre dont nous sommes déjà admiratifs. Ce pharaon, s’il existe, a été fait par mes soins et ceux de mon père et ma mère depuis qu’ils sont petits : ils ont réussi à faire passer le monde entier à eux deux des années 1920 à celles d’aujourd’hui 2012 (je relis en 2017) et cela malgré l’épisode de la Seconde Guerre Mondiale, en ayant à, en plus, élever ma famille, tout en gouvernant le monde qui était alors moins peuplé que maintenant. Mais cette guerre (la Seconde comme déjà la Première) a retardé de plusieurs milliards de milliards et plus encore de véritables années de progrès l’ensemble de l’humanité, puisque nous avons perdu tant de personnes admirables dans les camps de concentration, qui chacune était douée de capacités fondamentales et nécessaires pour gérer la société et qui, en raison de leurs éducations de personnes s’étant probablement débarrassées de l’enfant-gâté, ne pouvaient pas même imaginer qu’on puisse atteindre ce degré d’ineptie dans l’ignorance et la folie, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), étant donné qu’ils avaient appris à respecter les êtres vivants, comme ils se respectaient eux-mêmes. Nous avons eu à constater que cette ineptie ou cette ignorance comme cet état d’esprit contre-productif (mauvais dans l’intérêt de chacun des êtres vivants au sens de « contro-producente ») et aussi celui de ceux qui se sont illustrés,  par la suite, dans ce même sens, en augmentant, par exemple, le prix du pétrole pour disposer de revenus sans avoir à faire les efforts pour les mériter et en s’offrant ainsi « la belle-vie » : ils on fait perdre autant d’années de progrès (à eux-mêmes puisqu’ils n’ont ainsi rien appris d’intelligent) et de prospérité à chacun des habitants de cette planète que des milliards de milliards d’années d’avancées perdues par tous. Mais malgré tous ces freins et toutes ces forces de sabotage mes parents, empereurs, grâce à l’aide de leurs enfants et à la mienne (qui a été contraint par la situation que je trouvais en 1965 d’intervenir du futur avant même d’y être, dès mon âge de deux ans et demi, en raison de mon anneau immaculé de mariage), nous ont fait obtenir, de nos jours, des DVD portables en couleurs et des tom-tom ou GPS, dans certains véhicules automobiles, y compris derrière les sièges des avions, même en seconde classe, mais aussi des écrans plats, des ordinateurs portables et d’une certaine façon, dans certaines villes, à chaque instant Noël, plus ou moins partout sur la planète, sauf là où il y a encore des répercussions de l’esprit de ces gens n’ayant qu’inepties en tête et la recherche des faux-profits de profiteurs, d’usurpateurs, de tricheurs, de menteurs, de  délateurs, etc. y compris d’espions en ayant cette mentalité d’entretenus ou en voulant profiter de ces augmentations des prix du baril de pétrole qui leur a nuit considérablement puisque cela a entretenu en eux la paresse que l’on trouve chez ceux qui sont assurés de moyens financiers qu'ils n’ont pas été mérités ! En effet ce sont là mes propres moyens financiers dont jouissent les voleurs ou les maîtres-chanteurs et ils ne donneront jamais rien de bon, si ces personnes ne trouvent pas des moyens de blanchir cet argent sale (ces crédits financiers usurpés (cfu), crédits financiers escroqués (cfé), crédits financiers malhonnêtes (cfm), crédits financiers volés (cfv), crédits financiers trichés (cft), crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)). Pourquoi ? Car leurs enfant leur reprocheront toujours d’avoir disposé d’argent sale et non d’argent dûment méri (crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD), ce qui est le cas pour la plupart de ces enfants y compris des descendants qui veulent s'y tenir.

Aussi la barre a été mise très haute par ce « couple infernal » d’empereurs (mon père et ma mère) incarnant l’honnêteté (si nécessaire après cette Seconde Guerre Mondiale et nécessaire aussi pour construire ce futur qui est aujourd’hui notre quotidien constellé par toutes ces solutions techniques et technologiques qu’ils ont développé industriellement à l’échelle mondiale, grâce au capitalisme permettant progressivement aux meilleures des revendications socialistes d’advenir) et j’espère que la suite se passera au moins aussi bien d’autant plus que nous nous sommes, grâce à cela, fort heureusement éloignés tous enfin, très considérablement, de la période aussi néfaste et malheureuse de 1928-45[118] et que nous allons tout faire pour continuer à éviter, avec toutes les énergies bienveillantes (les hommes et les femmes et les enfants mais aussi les personnes âgées de bonne volonté), des retours aussi dramatiques (tragiques) en arrière à des situations susceptibles de générer des conflits aussi stupides[119] qui peuvent être de nos jours évités d’autant plus que personne d’intelligent ne cherche une revanche, car chacun a compris que s’il y a un problème, le moindre, cela vient de si loin dans le passé qu’il est forcément une répercussion de ces époques lointaines et de l’ignorance qui y était bien plus étendue que celle de nos jours (puisque les différents médias nous en préservent un peu – les ignorants, au mauvais sens de ce mot, étant en contact plus souvent qu’autrefois avec des sources de lumière ou la vérité qu’autrefois où elles n’étaient connues que d’une ou deux personnes qui avaient certainement des difficultés importantes à les faire apprécier – car plus les gens sont des abrutis ou des ignorants, au mauvais sens de ce mot, plus ils deviennent imperméables à la vérité et plus leurs incapacités les rendent peureux face au soleil ou à ce qu’elles signifient ou induisent). Pour éviter tous les conflits à venir, il faut en tirer la leçon principale à cette fin, des précédents conflits : avoir toujours présent à notre esprit que ce qui nous entoure a exigé de nombreux siècles pour être notre décors et que même si sur de nombreux points il y aura toujours des améliorations à faire (aucun des ponts n’est terminé, par exemple, bien que livré depuis longtemps y compris pour l’un des plus anciens à Paris comme celui d’Henri IV), donc à y redire, comme de nombreux travaux à entreprendre, il n’y a que les différents points habituels absolument nécessaires auxquels nous devons travailler. Par conséquent sur les autres points nous n’avons pas à nous comporter en enfants-gâtés (le pont sera terminé dans le futur) et nous avons à comprendre que cela peut attendre, car tout conflit armé international ou interrégional est un grand malheur, sauf s’il s’agit d’avoir à délivrer un pays de la tyrannie d’usurpateurs ou de menteurs qui, soyons-en certains, détaleront comme des lions ou des renards, sachant d’avance qu’ils ont tort d’avoir voulu convoiter le bien d’autrui, ayant voulu prendre la place de personnes véritablement compétentes et légitimes pour gouverner les peuples puisque ces derniers se sont délivrées pour cela de leurs égoïsmes[120] de lions ou de renards[121] pour exercer une quelconque fonction (ce sont, en général, des êtres humains accomplis, bien élevés). Nous attendons que les responsables qui sont à l’origine de ces problèmes changent de métier d’eux-mêmes, sans contraindre l’ensemble à les virer manu militari pour laisser les places qu’ils occupaient en usurpateurs à des personnes compétentes et de bonne volonté pour essayer de résoudre les problèmes que le gouvernement d’inconscients ou de loups[122] dans une bergerie (et non pas de bergers) ont créé (ruine générale, désert, malheur, etc.) et que les conflits armés cessent car chacun d’eux peut être à l’origine de dommages physiques, ce qui génère d’autres freins et d’autres pertes de temps pour l’Ensemble, en raison de morts ou de blessés de soldats (ou de civils) qui peuvent comprendre qu’en ces temps d’Internet ou de civilisation des échanges commerciaux dus à la civilisation de la mondialisation des échanges (qui a commencé avec la Découverte des Amériques) on a tous intérêt à éviter des conflits, même faisant appel à leurs mérites de militaires pour les résoudre comme autrefois, étant donné qu’à l’aire des négoces c’est par la négociation et par des échanges de lettres (comme autrefois s’écrivaient les souverains) qu’on peut résoudre les problèmes, en ayant tous à cœur, localement, dans chacune des régions, de veiller à ce que personne ne soit, à l’intérieur, à l’origine de problèmes avec les autres régions ou une autre région et en prenant soin de vérifier que chacun de nous dans chacune des régions n’ait pas un usurpateur, un menteur, un tricheur qui essaie d’arnaquer une personne ou une entreprise ou un autre Etat[123], ce qui pourrait discréditer notre région dans le monde entier.

La partie encore vraie et saine de l’Eglise, comme la partie vraie et saine de n’importe qui d’autre, sait avoir depuis toujours une mission d’arbitrage, de juge, de conseil ou de diplomate ou bien d’autres talents permettant de bien gérer et même de porter assistance. Si les lettres échangées émanent de personnes à la recherche de la vérité honnêtement, elles sont rédigées de ma propre main. Les autres, celles des menteurs, des tricheurs, des imposteurs et des usurpateurs vous pouvez ne pas y répondre, mais c’est ici votre choix et votre façon de procéder. Non la mienne, puisque qu’une personne qui prend la peine de vous écrire mérite toujours une réponse[124] même s’il s’agit d’un usurpateur ou d’un profane qui a virtuellement la possibilité de ne plus l’être un jour (comme Jean Valjean qui soudain comprenant qu’il avait fait fausse route avec ses semblables, des personnes douteuses et de mauvaise vie, grâce à une rencontre – qui aurait pu être un livre, change).

Il ne faut pas oublier que bien que je sois le chef de toutes les religions, je suis aussi le pharaon de l’ensemble de ces personnes appelées des « profanes », les menteurs, les tricheurs, etc. qui me doivent chacune des bonnes choses de leurs existences respectives dans tous les temps passés, présents et déjà futurs. Ils doivent cela aussi aux bons soins des membres de ma famille : à mon père, le pharaon précédent, qui a fait en sorte (en suivant mes conseils) d’abolir la peine de mort en France, comme peut-être dans d’autres pays, en développant les alternatives que je lui avais demandé du futur, ces pistolets paralysants électriques, y compris les armes à jet d’eau, comme les canons à eau, contre les manifestants pour les doucher avec de l’eau, d’autant qu’ils revendiquent souvent en qualité de menteurs, puisqu’ils ne font pas confiance dans les études que leurs représentants pourraient se donner la peine de faire pour leur demander d’écrire en vérité, pour envoyer ces écrits aux différentes personnes concernées et compétentes qui, normalement, si elles sentent possibles faire les améliorations proposées ou souhaitées, devraient être les premières à vouloir les réaliser, quand ce sera possible (pour cela il faut que le prix du pétrole baisse pour permettre le retour à la prospérité générale) et c’est aussi pour cela que ces manifestations sont une perte de temps général car cela montre que les gens n’ont toujours rien compris à l'Economie mais aussi à l’égard de ceux qui sont responsables de l’ordre. Il est probable qu’ils soient capables de comprendre les situations exposées au cas par cas et puissent trouver les moyens à plus ou moins long terme d’y remédier !


[1] (moi je sais que toute cette histoire m’avait poussé à devenir une sorte de bandit, mais en raison du fait que je n’ai pas fait semblant de vouloir me marier ou être digne du mot de « père » un jour, je crois que j’ai changé dans le bon sens et dans l’intérêt véritable de mes éventuels petits : je n’ai pas envie de les mal conseiller et qu’ils se retrouvent en prison)

[2] Si je dis cela c’est que je le dois à une réflexion qu’on m’a faite quand j’étais encore profane que j’aurais pu mal prendre, d’autant que cela avait fait au moins une année entière que j’avais travaillé sur le montage cinématographique du film sur lequel a porté finalement ma thèse de doctorat (film compris). En effet, après une avant-première à la cinémathèque française, invité par son président, un des spectateurs dont je ne savais rien, Pierre Lartigue, m’a écrit dans le livre d’or qu’il me souhaitait « des ciseaux impitoyables ». Alors qu’en présentant ce film, je croyais sincèrement avoir terminé un film de deux heures vingt minutes (un vrai premier long-métrage – de mon point de vue), voilà qu’une personne qui n’avait jamais fait de cinéma – car on m’a dit ensuite qu’il s’agissait d’un écrivain – se permettait de me faire une réflexion sur mon travail alors que je montais avec une machine à scotché et non des ciseaux ! Mais il est vrai qu’en voyant le film projeté après tant de travaux sur un grand écran et non pas sur la petite visionneuse de la table de montage, je m’étais ennuyé à plusieurs reprises et que j’avais moi-même conclu en public, après la projection qu’avec cette avant-première on m’avait permis de prendre conscience qu’il s’agissait d’un premier grand montage de présenté et non du film terminé et que donc il fallait que je revoie tout cela d’autant plus que la projection n’avait été que muette. En fait, il s’agissait de la projection d’un premier grand déruschage, d’un bout à bout monté que j’avais pris sur le moment, en raison de la masse de travail que cela avait exigé de moi, pour le montage final du film, tant cela m’avait déjà donné de difficultés d’autant que j’avais eu tout à faire moi-même. C’est donc sous la forme d’écho à ce que je venais de dire dans la salle à l’issue de la projection dont je ne me souvenais déjà plus que très aimablement cette personne avait confirmé par écrit ce que j’avais moi-même pensé. Je me souviens que je n’ai pas vraiment compris ce que je lisais mais que c’est le mot d’« impitoyable » que je n’ai pas compris du tout sur le moment. Aussi me remettant au travail pendant au moins un an et demi au nouveau montage, j’ai découvert que ce mot allait avoir une réalité puisque j’ai porté la durée de ce film à quarante deux minutes environ en me faisant une chose horrible à moi-même : ce film dont je m’enorgueillissais qu’il soit mon premier long-métrage durant encore une heure trente quelques mois avant (avec l’intention de faire une nouvelle avant-première pour le découvrir sur grand écran avec cette durée de long-métrage à laquelle j’avais finalement renoncé pour faire un nouveau montage) avait fondu au point de n’être plus tout à fait un long-métrage de cinquante six minutes au moins (aussi après tant d’années de travail, par honnêteté et conscience professionnelle (c'est-à-dire de plus en plus de choix judicieux, de plus en plus de calculs, de plus en plus de savoir faire acquis par l’exigence des expérimentations et des essais et des remises en questions constantes comme des réflexions qui en ont découlés y compris les certitudes – ce qui m’a permis d’acquérir un véritable savoir faire de monteur) bien que tenté à plusieurs reprises d’ajouter des choses retranchées pour qu’il puisse bénéficier de cette appellation de long-métrage, n’était en définitive qu’un moyen-métrage tendant vers un court long-métrage ! De quoi avoir honte car on peut espérer qu’après tant de maux et d’années de travail quinze à vingt heures de rushs puissent donner au moins un long-métrage. Non ! seulement un court dans ce cas là ! En raison que j’avais été « impitoyable » avec chacune des images y compris avec moi-même). Mais le résultat était que, de mon point de vue, on ne s’ennuyait plus et qu’on pouvait le voir et le revoir comme j’eus cette peine pour le présenter un peu partout et à chaque fois finalement avec plaisir en ayant pourtant toujours plus un regard critique et « impitoyable » étant donné que tout ces efforts, à la longue, et bien d’autres que j’allais faire, allaient me permettre de sortir du profane, me redonner la mémoire et redevenir l’inventeur que j’ai découvert je n’avais pas cessé d’être de 1965 à 1972, puis de 1975 à 1977.

[3] Si cela avait été possible dans le passé. Cela ne l’était plus depuis qu’il y avait des dictionnaires, des ambassades, des traductions, des spécialistes et des rapports de cousinages entre les grandes familles de ces vastes ensembles. Cela ne l’était plus non plus car les moyens techniques et les transports motorisés avaient fait comprendre à tous les gens intelligents, depuis la naissance du train, que cela favoriserait les commerces sur les grandes distances en réduisant considérablement les temps d’acheminement. Cela ne l’était plus car on avait assisté avec les indépendances sud américaines à l’échec des conquêtes et au début de la grande vague de la décolonisation. Par conséquent ces conquêtes devenaient ingérables localement ou alors étaient très difficilement gérables. La solution d’utiliser l’armée pour conquérir n’aboutissait qu’à créer des problèmes locaux avec les autochtones et engendrait l’esprit salutaire de résistance vis-à-vis de celui qui cherchait à « dominer » par les armes et à imposer « sa » culture et « sa » langue en étant incohérent avec sa soif d’apprendre la langue et la culture des peuples « colonisés ». Tout cela est si vrai qu’aujourd’hui nous avons hérité collectivement de toutes les langues et les cultures différentes ainsi que des systèmes d’équivalence entre chacune des langues grâce aux logiciels de traduction et par conséquent que nous devons respecter la langue et la culture de l’autre comme s’il s’agissait de notre propre langue. Heureusement que nous n’héritons pas seulement de cela mais aussi des différentes histoires locales propres à chacun des peuples et de ce passé où des langues se sont imposées plus que d’autres en ces époques où il n’y avait pas de ponts, de lignes de téléphone, de télégraphes, ni de train et où il a été nécessaire d’utiliser les armes pour se protéger des abrutis, des barbares, des personnes violentes ou des envahisseurs, des voleurs et des pilleurs : (ces mots au sens négatif) quand leur force n’est pas canalisée dans les travaux admirables qu’ils sont capables de fournir, à d’autres moments, quand ils font confiance à de vrais chefs (ou à ces personnes instruites) les exigeant d’eux pour leur bien, pour calmer cette ardeur belliqueuse (qui souvent provient d’un sentiment d’injustice comme du fait qu’ils sont malheureux de ne pas avoir les compétences de ceux qui les ont acquises à force d’étudier), mais des peines qu’ils prendront pour permettre à certains d’entre eux de progresser (voir à quelques uns d’enfin réussir à penser ou prendre leur défense car ils se savent néanmoins les parents ou les grands parents de futures personnalités qui feront des efforts pour acquérir ces savoir faire libérateurs grâce aux vraies études). Aussi à l'inverse de la force brutale, la force manuelle engendre alors des êtres qui accèdent au spirituel, voire à la compréhension de Tout : au transcendant).

[4] (ce qui lui a permis, à la suite de sa guérison, d’écrire tous les textes fondateurs de la religions chrétiennes avec ceux des autres évangélistes qui, eux aussi, au moment de la Pentecôte, se sont, en quelque sorte, débarrassés de leurs enfances (adolescence) au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) respectives et ont compris alors celui qui avait été injustement crucifié et qui venait de disparaître, et qui leur était apparu sans son corps à plusieurs reprises, à la suite de sa résurrection, trois jours après sa mort et ensuite) 

[5] Mais le problème du profane ou de l’empereur ou des impériaux vient de ce qu’ils n’ont pas, jusqu’à mon père, de conscience et ne savent pas ce que s’est d’en avoir une ou que très peu. Il sauront qu’ils sont considérés en avoir une, professionnelle, quand ils appliquent la méthode ou les règles qui concernent leur métier (c'est-à-dire une série de règlements à la lettre comme quand on applique une loi ou qu’un agent de ville met une contravention si une personne est en infraction et c’est pourquoi ils ne savent pas dans quel cas, en conscience, ces règles ne s’appliquent pas). Aussi dès qu’ils ont fini leur travail ayant su « cadrer » à l’intérieur des définitions concernant chacune des occupations de ces métiers, ils croient qu’ils ont agi « en conscience ». Or la conscience a aussi à voir avec une connaissance multi dimensionnelle du temps, du bien et du mal et de la chronologie des faits ainsi qu’avec la mémoire, ce qu’un profane peut acquérir à force de travailler. En effet, le profane n’a pas conscience du temps et vit dans une grande confusion ou désordre d’autant qu’il ne sait plus ce qui est le bien et ce qu’est le mal (il est donc fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))– mais plus ou moins selon le cas). C’est pour cela que le travail permet de structurer la vie d’un profane et finalement lui donne la possibilité d’en sortir pour ne connaître de l’existence que celle d’une personne enfin de conscience, c'est-à-dire capable de savoir quand un règlement s’applique ou pas. Ou  bien il sera au travail tout le temps même quand elle se divertit ou est en vacance ou même quand elles se reposent, quoi qu’elle fasse en ayant parfois à cause de cette conscience à devoir organiser l’existence des profanes ou créer les règles ou des méthodes pour encadrer les profanes et/ou agir en tant qu’exemple ou « maître », ce qui sera de son point de vue une perte de temps pour toutes les créations sacrifiées à cette nécessité d’intervenir dans la gestion publique. En effet, cette personne selon les moyens qui seront mis à sa disposition ou ces occupations dans la cité sera parfois contrainte de « sacrifier » ses talents artistiques ou ses passions ou le temps qu’elle pourrait consacrer à l’art.

[6] Les seules véritables conquêtes de l’être humain sont d’ordre spirituelles et ont pour socle la recherche de la vérité. Est mille milliards de fois infiniment plus un empereur celui qui trouve une solution élégante à un problème qui se pose, grâce au recours des sciences et sans jamais déchoir à utiliser la force brutale, au sens négatif. L’exaltation des soldats armés prêts à se battre physiquement constitue de nos jours un mensonge indigne des responsables politiques (car c’est anachronique et incohérent avec la réalité de notre époque). Utiliser les armes à feu ou avoir à se fâcher pour avoir la paix est toujours le signe d’un échec : on a soudain affaire à des abrutis ou des ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui ayant perdu le bon sens, voient faussement la réalité, sont devenus sourds à des arguments exactes, contraignent à employer la force : ils ne veulent pas entendre raison ou comprendre la vérité de parole.

[7] En réalité il s’agit toujours de personnes qui sont devenues inconscientes et qui ne croient pas spécialement mal faire. Elles cherchaient à jouer et ne se rendent pas compte que l’autre est dans un univers beaucoup plus compliqué qui ne fonctionne plus du tout comme celui des personnes devenues inconscientes.

[8] L’insolence et l’irrespect des faux militaire et des faux gradés : de ceux qui ont usurpé leur position. Mais il y a aussi l’insolence de ceux qui n’ont pas usurpé leur place (du point de vue de ceux qui la convoite).

[9] Il y a des cas où on a affaire à des faux serviteurs de la religion.

[10] Il y a un début à tout. Si on n’a pas fait d’études on peut être garçon de café ou garçon de salle ou pompiste. Ceux qui sont au sommet des hiérarchies et qui y sont arrivés par différents moyens suivent l’ensemble de leurs collaborateurs. Il y aura progression pour une personne qui est embauchée dans une entreprise car s’il y a des choses très faciles à faire, toujours les mêmes, il y a des choses toujours plus difficiles à faire et de plus en plus de responsabilité et de choses à vérifier pour que l’entreprise fonctionne bien. Aussi il faut accepter de commencer « au bas de l’échelle » en faisant confiance à une hiérarchie mise en place dans les entreprises qui fonctionnent bien. Si on se montre efficace et compétent, il est normal qu’il arrivera un moment où viendront des propositions. Mais il y aura de nombreux tests qui seront faits par la hiérarchie.

[11] (et plusieurs raisons que j’ai eu à partir de 2005, une fois ma mémoire revenue en raison de l’intervention de Dieu, pour exiger comme condition cette amnésie au préalable qui était convenue avec Lui, en 1975 – vous verrez plus loin une ou deux raisons,  à partir de 2005, je ne pouvais pas faire autrement - si je ne m'imposais pas une amnésie (canonique en pareille situation) je ne pourrais pas aimer Michèle Finck d'amour pur et à cause de cela redevenir bouddha et pouvoir intervenir à travers Espace et Temps, ce que je devais pour sauver rétroactivement la situation. De plus cela permettait de ne "tromper" Christine qu'à première vue. En réalité elle ne fut pas trompée puisque sans cette amnésie je ne l'aurais pas fait. Mais c'est Michèle qui n'avait pas permis que j'ai plusieurs épouses, ce qui a contraint à recourir à m'infliger cette amnésie car je ne pourrais pas aimer Michèle, alors que je ne la connaissais pas encore, en sachant qu'elle m'avait fait perdre les enfants que j'attendais en Immculée Conception de Christine).

[12] Cela ne m’est revenu que vers 2004 car je pensai à me marier et à choisir une église à cet effet. Mais pour moi qui avait à l’époque douze treize ans et qui avait eu l’habitude de visiter les monuments importants, je n’ai accordé aucune importance à cela.

[13] Ce qui m’a alors permis de comprendre la liturgie comme l’eucharistie avec des yeux neufs en comprenant un peu mieux ce personnage historique très important à Rome – comme ailleurs (ce que j’ai découvert plus tard en Suisse aussi).

[14] (je comprenais néanmoins que si cela avait été possible pour nous en 1975, il aurait donné son accord pour qu’on dorme ensemble et même qu’on fasse l’amour – mais comme il me savait pudique et qu’il était en cinq sur cinq avec moi, il a conseillé des baisers car il savait que pour moi à cet âge là s’était alors presque autant que faire l’amour puisque d’une part je ne savais pas ce que cela serait et que d’autre part nous devions faire ce sacrifice précisément  de cela et que ça s’était déroulé ainsi par rapport à la logique de l’Histoire dans ce cas de figure de la Création – aussi c’était un sacrifice abominable qui allait s’accomplir et qui expliquait pourquoi il riait comme cela pour m’éviter de me suicider à l’âge de douze ans – il faisait tout comme un grand frère qui prend soin d’un plus jeune avec humour - puisque visiblement je comprenais que je ne pourrais pas connaître avec ma promise légitime la première fois – et elle non plus – donc que nous aurions à connaître la profanation et le sacrilège de nous-mêmes, de ce que nous conservions pour l’autre – de quoi nous rendre fou de chagrin et l’un et l’autre – mais il fallait le prendre à la légère – c’était la seule solution pour ne pas souffrir – et nous avons vu que personne parmi les profanes ne comprenait ce que cela signifie pour deux enfants se conserver l’un pour l’autre et nous ne pouvions pas pleurer ni l’un ni l’autre car ce sacrifice permettait entre autre d’éviter  la Troisième Guerre Mondiale puisque les adultes fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) nous contraignaient une nouvelle fois à l’accomplir – au lieu de s’y refuser – en conscience et parce que c’était inhumain à imposer à des jeunes enfants innocents - ils ne se rendaient pas compte de ce que cela signifiait (que notre semence conservée pour notre pharaonne, notre sœur retrouvée pour la seconde fois en avril 1975 après tant de recherches, après déjà tant de démonstrations de notre part), ni tous les problèmes que cela allait nous causer).

[15] Tous avaient néanmoins compris que ce serait en amnésique, puisqu’il y avait eu celle de 1972 à avril 1975.

[16] Ou alors ils ne vont s’intéresser qu’à la lecture de mensonges sans les discerner comme tels.

[17] A propos des cinq à six mots qu’ils ont voulu persécuter sans comprendre que chacun d’entre eux était, par ailleurs des milliards et plus encore à l’infini de mots véritables, d’expériences véritables, des choses vraies (ou de bibliothèques y compris de souvenirs respectables, etc.)

[18] A ce sujet, cet épisode sera décrit ultérieurement ailleurs tant il fut dense en découvertes.

[19] – c’est alors qu’en prenant conscience que cette chose que j’avais pensé était fausse la vision du Paradis et d’Atlantide a disparu -

[20] Compte tenu du fait qu’adolph hitler était profane ignorant le bien et le mal (n’en ayant pas conscience). Mais c’est très difficile à admettre dans le monde de la vérité et ce n’est donc pas acceptable. Cela ne l’est qu’en tenant compte d’un système mathématique qui n’existe pas sur Terre et qui tiendrait compte de choses qui, avec raison, ne sont pas admises dans le monde des êtres humains s’était débarrassés de l’enfant-gâté. Et c’est donc bien trop compliqué à faire comprendre. Autant y renoncer ou remplacer cette éventualité par trois petits points.

[21] Quand le diable, son opposé, est intelligent ou sensé, pourquoi ne pas y croire ou faire comme si. Cela lui arrive d’autant qu’à chaque fois c’est quand il essaie de se faire passer pour Dieu.

[22] Alors que chacun de nous, même les personnes les plus religieuses sont athées à certains moments, y compris d’autres mots. Ce n’est que durant le temps qu’on consacre à la pratique religieuse sans faire semblant qu’on est religieux. Les prêtres le savent bien et changent de vêtements. Ils ont un vêtement dans le civil où, bien que prêtres ils seront soumis à des moments profanes, laïcs, athées, les inconscients ou d’ignorants, au bon sens de ces mots et des corollaires. De même les profanes, les laïcs, les inconscients, les ignorants, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), font de bonnes actions à certains moments et ne sont pas seulement ces mots au mauvais sens de ce mot.

[23] La « faraona » en italien.

[24] Le contexte d’origine de la famille de Strasbourg.

[25] Le peuple capable de violences aveugles (de personnes devenues sourdes au bon sens).

[26] Les focalisant sur ce qu’elles croient à tort être un avantage.

[27] Et de nombreuses connaissances véritables dont ces personnes se rendent alors capables par amour – au sens spirituel de ce mot – des prochains et de ce processus qui est à la portée de toutes les personnes de bonne volonté.

[28] (peut-être trouvera-t-on ainsi les os d’ancêtres qui sont proches de familles de notre époque dont nous aurons l’ADN quand cette pratique se répandra un peu comme celle de la carte d’identité génétique de chacun d’entre nous, fiers de notre patrimoine et de tous ces nombreux chiffres qui signifient des choses exactes à notre sujet que les spécialistes découvriront dans les années ou siècles à venir !)

[29] Qui peut parfois se présenter à elle sous la forme d’un vilain petit canard, ou d’un crapaud.

[30] (c’est l’animal qui est un ancien enfant-gâté puisqu’il se prélasse sans se donner la peine de rien faire dans les appartements en tant que chat ou chien, sans plus pouvoir penser, et en croyant pouvoir s’offrir le luxe d’être servi – ce n’est pas l’être humain)

[31] (ouverture de l’Eglise aux spécialistes venus d’horizons divers et aux autres sciences n’étant pas compétant en sciences théologiques, par conséquent souvent très profanes mais commençant à s’y intéresser en raison d’avancées de travaux dans ces autres disciplines).

[32] Mon amnésie à été telle que quand j’ai su cela de moi, j’ai mis des années à croire possible avoir été capable de cela dans le passé, d’autant plus des effets de l’amnésie qui m’avait rendu profane de 1978 à 2005 et permis d’oublier les souffrances d’autrefois traversées de 1965 à fin 1977 au moment de ma séparation sacrificielle d’avec Christine réitérée sous cette forme. J’ai donc mis beaucoup de temps à croire possible que celui que j’étais devenu s’était rendu, comme dans une autre existence, capable de tant d’abnégation, au profit de tous, d’autant que j’avais pris l’habitude du contraire en qualité de profane et j’ai alors découvert à partir de 2005 que cela avait été le cas à deux reprises en 1965 et à partir de 1975. C’est pourquoi il s’est agi d’un véritable changement, comme d’une conversion à un individu tout à fait différent de celui qui n’était devenu celui qu’il avait été qu’en raison d’amnésie, pour être un conformiste et un conservateur au mauvais sens de ces mots y compris dans les rapports de couples: soudain je découvrais que j’avais connu l’amour véritable, donc que je pouvais de nouveau avoir une idée de ce qu’amour peut signifier : je ne m’en suis pas privé avec la Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale redictée pour la troisième fois et qui avait été causée par ce sacrifice qui en donnait la preuve en chair et en os après l’avoir donné en tant que virtualité à l’avance quarante et trente ans avant comme une possibilité dans le ciel, comme une chose sur un écran qui pourrait être imprimé et devenir une réalité ou alors on choisit de débloquer la situation pour connaître une autre virtualité qui sera une surprise en faisant confiance à ceux qui connaissent la loi des conséquences et qui peuvent « prévoir » de même qu’on a exigé de moi de prévoir à partir de 1965 tout quarante ans à l’avance et tenant compte de tout (c'est-à-dire en additionnant tout ce que feraient durant ce temps là des milliards de personnes et les enfants qu’ils auraient, un exercice qui est particulièrement difficile à faire et dont j’ai pu vérifier que les profanes ne savent pas faire puisque la plupart ne savent même pas faire une addition sans utiliser une machine à calculer mais surtout ne peuvent pas faire car ils ont réduit leur cerveau à la prison de l’époque dans laquelle ils sont, c'est-à-dire le lieu dans lequel ils se trouvent alors qu’un cerveau en bonne santé cela peut utiliser tous les éléments mémorisés ou lus pour s’évader avec, imaginer. Il y avait donc eu une continuité en moi, une fidélité ou un féal allégeant à son véritable être enfin retrouvé. Si j’avais été un égoïste, je découvrais tout le contraire que je ne l’avais pas été en retrouvant cette virtualité pour la troisième fois en chair et en os. Si j’avais été à courte-vue avec des œillères, je voyais et mes oreilles entendaient. Si je m’étais mal conduit, je découvrais que cela avait été contraint et forcé par tous et que j’avais même prévenu d’avance, ce que j’allais faire et que donc je ne m’étais mal conduit qu’en raison du cas particulier, pour les besoins de la situation exceptionnelle. J’étais de nouveau sensible et intelligent : je comprenais là où j’avais pu vérifier qu’on ne comprend pas ou très peu, voire presque pas y compris en ce qui concerne tous les aspects financiers (dont j’avais pu vérifier qu’en tant que profane déjà l’établissement d’un devis comme producteur de films pose un véritable problème puisqu’on pense en permanence à sa rémunération (ne pas l’oublier et trouver les moyens à tous les postes de récupérer un peu). Bien mieux que cela : je découvrais que j’avais été omniscient de 1965 à 1972 et de 1975 à 1977 et qu’ayant sauvé la planète de la catastrophe tous les jours avec mes parents et ma famille à partir de ces dates là, j’avais même pu montrer à plusieurs reprises comment on devient mathématiquement un à moitié crétin, en raison d’amnésie et/ou à moitié un égoïste (quand on avait eu la chance comme moi de ne pas l’avoir été), mais aussi comment on perd ses capacités de personnes capables d’anticiper sur l’avenir à partir des paramètres quotidiens ou des chiffres ou des textes et de vrais études ou des simples mots. J’avais montré comment on devient un enfant-gâté ou un adolescent bien que j’ai aussi montré l’inverse par la quantité énorme de travaux que je me suis imposé, à partir d’un certain moment, puisque j’avais eu des intentions sérieuses vis-à-vis de ma fiancée, en en ajoutant toujours plus, en m’inventant de nouvelles peines, ou en cherchant toujours mieux à bien faire, au point d’avoir cru avoir fait des chefs-d’œuvre quand ce n’est que celui qui viendra, le prochain, qui en sera peut-être un encore plus immense / important.

[33] C’est pour cette raison que c’est stupide d’utiliser ces machines pour faire avoir des rêves érotiques aux enfants ou à ceux qui vont avoir vers l’âge de l’adolescence leur semence. Plutôt elles seraient à utiliser si une personne est devenue impuissance, à la place du Viagra, dont j’ai communiqué la formule chimique à travers le temps (en faisant le scandale que cela a dû faire dans le monde des religions qui a cependant raison de penser qu’il ne faut pas utiliser ce genre de moyen – oui, mais il y a des cas particuliers qui pourraient en avoir besoin et dont sont seuls juges ici, en conscience certaines autorités médicales ou les personnes elles-mêmes, si elles sont pourvues de conscience). Je crois même que ces machines à cauchemars ou à rêves avaient comme fonction de l’autoriser uniquement à des fins médicales, dans certains cas, si les individus le réclamaient (quand elles appartenaient à tous en indivision et quand tous étaient au courant de leur existence). Le fait qu’elles aient été utilisées par un groupe sur d’autres qui en ignoraient l’existence cela a fait apparaître comme diaboliques ces phénomènes, par conséquent non naturels et violant les droits ontologiques et inhérents des personnes à réclamer ou à ne pas vouloir être les sujets de ces rêves ou cauchemars qui sont en conséquence apparus comme des malversations ou des mauvaises plaisanteries ou des mensonges (ce qu’ils sont sur le plan sexuels étant donné que cela est une parodie de l’amour pour tous ceux qui s’étant débarrassés de l’enfant-gâté et de l’égoïste (de l'adolescent) en eux, ont connu l’ouverture de leur esprit et ont accédé ainsi au monde de la vérité et de l’amour qui existait entre les individus en Atlantide (nôtre réalité mais une fois que le Très Grand Variateur est activé ce qui permet de faire se révéler Atlantide que j'ai eu à rebaptiser / renommer de mes noms se résumant à Granier Lang d'Ôz) avant que l’esprit ne se referme à cause de l’usage des machines d’Atlantide en inconscients, ce qui a conduit ceux dont il s’était refermé cérébralement à se rendre prisonniers de la vieille salle des machines en se rendant contraires (avec cette mentalité de propriétaires esclavagistes détenteurs d’une arme – la salle des machines) à la fraternité véritable entre les êtres humains qui est amour de l’autre, respect de l’autre et par conséquent de sa sexualité qui ne peut donc pas être profanée ou violée sans le consentement de l’individu en question. Cela confirme que si on utilisait ces machines dans les temps passés, avant la scission qui s’est produite entre les hominidés à ce sujet, ce n’était que pour des raisons médicales, à la demande des hominidés eux-mêmes concernés par le problème et jamais pour faire une plaisanterie à l’insu des personnes qui dormaient. Cela signifie aussi que ceux qui se sont abaissés à faire ces mauvaises plaisanteries contraires au droits fondamentaux intrinsèques des individus sont les héritiers d’une situation qui a joué contre leurs intérêts, puisque ne parvenant pas à comprendre qu’ils n’avaient pas le droit jusqu’à ces dernières années où ils l’ont finalement justement reconnu sont demeurés profanes ou ont été faits profanes artificiellement à cause de la possession en commun de ces machines. C’est ainsi qu’en devenant riches de ces machines ils sont devenus pauvres d’esprit (les fonctionnalités de leur cerveau se sont refermées et se sont réduites à ne plus être qu’au service de la sensualité, ce qui leur a posé des difficultés vis-à-vis de toutes les catégories en leur empêchant de trouver les liens qui existent parfois entre les unes et les autres – ce que notre époque avec la solution élégante des liens hypertextes (les laurYens) a permis de soigner grâce à ceux qui ayant fait des études en vérité on réussi à trouver les moyens de programmer les logiciels pour les rendre faisables étant donné que ceux qui sont handicapés par leurs cerveaux malades n’arrivaient plus d’eux-mêmes à faire ces liens) car ils croyaient détenir une arme (croyant que les autres étaient leurs ennemis alors que ceux-ci n’ayant pas voulu les rejoindre dans la vieille salle des machines s’étant débarrassés de l’enfant-gâtés en eux – c'est-à-dire précisément de cet esprit là qui va mener certaines personnes à croire être plus importantes parce qu’ils « ont » une choses que les autres n’ont pas, ce qui n’est pas fraternel et donc  incohérent par rapport aux valeurs de « fraternité », par exemple, prônées par la société française – et ne pouvaient avoir de l’amour que l’idée même qui existait dans la véritable Atlantide quand ces machines étaient à tous et qu’elles servaient certainement pour rendre la vie gaie)  qui s’est avérée ne pas faire le poids avec le cerveau logique, rationnel, scientifique de l’homo sapiens sapiens qui a su recréer tout autour de nous des machines pluri dimensionnelles à rêver (cinéma, etc.) dans la réalité quotidienne et dans la journée, ce qui permet, en conscience (donc avec tous les moyens intellectuels pour analyser à tous les niveaux de lecture) de les utiliser comme les utilisaient nos ancêtres à l’origine pures spirituellement et sexuellement les machines d’Atlantide avant que la vieille salle des machines ne soit occupée par ceux qui en sont devenus impures puisqu’ils n’ont voulu avoir avec eux que ceux dont l’esprit s’était perverti comme eux et ont considéré les autres comme des « résistants » ou des « esclaves », à tort, puisque ceux-ci étaient chacun des penseurs, des êtres d’une grande sensibilité, des mathématiciens, des poètes et enfin, certains d’entre eux des artistes universels, comprenant la réalité au point qu’ils se sont mis à la recenser et l’archiver par catégorie de mots en découvrant la logique intrinsèque inhérente existantes dans certains mots tant écrits que prononcés au point que naturellement leur est venu à tous la certitude qu’il y avait un Dieu ou des dieux puisque par exemple, l’étude des plantes avait permis de comprendre la vertu de celles-ci et d’en utiliser certaines pour la fabrication de médicaments, ce qui a créer le dieu de la Médecine – c'est-à-dire l’esprit de déduction ou de sciences exactes y compris d’expérimentation et utilisant ses milliards de savoirs à des fins de soins compassionnels pour ceux qui traversant des moments difficiles qui sont alors heureux d’avoir une chance d’être guérissable). 

[34] (ce que n’importe qui aurait fait à sa place après ce dont il avait été responsable, à moins d’être quelqu’un de conscient de son erreur et de sa responsabilité et de se rendre aux autorités en reconnaissant ses torts, ce dont il n’avait certainement pas encore pris conscience car sinon il l’aurait fait – ce qui signifie qu’il croyait avoir eu raison – donc qu’il n’allait pas bien, de toute évidence, quand tout cela s’est produit)

[35] (en jetant le discrédit sur cette condition dont je ne savais pas encore qu’elle avait fait mieux que Franklin D. Roosevelt avec notre personne puisque j’allais découvrir que c’était à l’échelle interRégionale mondiale que j’allais en hommage pour ce grand homme, opérer)

[36] (il faut évaluer les projets présentés et on peut se tromper, il y a de véritables risques qui ont augmentés encore plus du fait qu’il s’agit de l’argent déposé par des clients qui ont le droit, dans le cadre fixé de le retirer, ce qui contraint la banque à disposer en permanence d’une trésorerie ou d’une marge de bénéfices pour rembourser ces prêts. Celui-ci ayant vu le jour au fil des années par une judicieuse gestion dans l’intérêt lui-même de la société. C’est pourquoi il va en vouloir à ces organismes qui affichent des profits ou à première vue une certaine opulence alors qu’ils sont toujours en difficulté même en ayant de très grands bénéfices puisque l’objectif est de réussir à créer du profit pour permettre à des particuliers d’entreprendre et d’avoir du crédit ou de pouvoir compter, en cas de problèmes, comme l’état lui-même, sur des aides ou des emprunts possibles. Le monde de la finance n’étant donc, dans ce cas là, que positif et tout ce qui se dit contre lui, de la calomnie qui provient donc d’une ignorance, au mauvais sens de ce mot, de certaines des professions qui le concerne ou qui lui sont utiles pour créer de la richesse grâce aux épargnants).

[37] Il ne sait peut-être pas pourquoi il est interdit de faire de la fausse monnaie et pourquoi chacun des Etats souverains ont le droit en toute légitimité de battre de la monnaie. C’est qu’il n’a pas étudié la raison des lois et va donc se retrouver en légitime empereur (à cause du sarcophage) mais totalement incohérent avec son époque et le sens de l’Histoire y compris hors les lois elles-mêmes mais avec très certainement des choses qui sont reliées à l’existence de ce sarcophage (des droits inhérents qui datent du premier empereur)- d’où un véritable problème.

[38] Aujourd’hui celui qui a l’eau courante, une toilette, une radio ou une télévision et un petit chez lui sait qu’il est riche (c’était déjà le cas avec une simple radio et un travail (ce qui permet de faire des économies), mais il y a eu à ce sujet de nombreuses personnes qui ont voulu avoir des richesses supplémentaires sans les mériter réellement. 

[39] (ce dont j’ai fini par me souvenir vers 2005-2006 en 1975-1976 – car cela s’était passé comme ça et en raison des voyages dans le temps, un paramètre - certes improbable pour l’instant, car techniquement en avril 2013 de la science fiction dans l’état de nos connaissances techniques, bien qu’en tant qu’œuvre de l’esprit concevable - que je me devais de ne pas oublier)

[40] – alors que du futur j’intervenais pour qu’on utilise les canons à eaux au lieu des armes à feu pour les protéger et annoncer ce joyeux mouvements en raison naturellement d’une nouvelle génération qui étant né après guerre n’était plus concerné par le problème d’adolph hitler, ou moins et qui, c’est normal, était lasse d’attendre selon les vielles traditions d’avoir le droit de se marier – j’en savais quelques choses puisque cela faisait deux ans et demi que j’attendais d’avoir le droit d’embrasser ma légitime promise – et c’est ainsi que j’ai lancé le mouvement de la libération de la femme et des mœurs y compris le droit à l’avortement légal – bien que je sois contre – y compris la contraception – car j’avais bien compris le problème une fois en 2005 et surtout : cela s’était passé comme ça – mais je veillais à protéger le Général de Gaulle en lui disant d’aller faire une tournée à l’étranger, de même que n père et moi étions saufs à Rome où je pouvais commencer à étudier le problème sérieusement en découvrant les trésors que la foi et la religion chrétienne avaient su créer et en comprenant alors, bien des choses, que ceux de ma génération en France ou à l’étranger ne pourraient comprendre que grâce à des livres ou des films en couleurs – ce que je fis faire à mon père du futur, par conséquent en mettant à contribution  aussi les impériaux d’adolph hitler qui passaient sous les ordres de mon père – mais certains avec le désir d’arnaquer ce jeune nouveau pharaon de quarante à cinquante ans (d’âge) seulement qui devait protéger le pharaon suivant, encore, par bien des choses un vrai bébé (moi) qui, du futur, en virtuel, alors, a compris que c’était donc comme ça qu’il fallait être pharaon et qu’il n’y avait pas d’autres solutions car sinon j’allais être détruit par le suivant (et comme je ne suis pas belliqueux, ni maso, (ni sadique) je n’ai eu le choix que du bon sens: j’ai préféré devenir par l’ensemble des peines que j’aurais dans le passé déjà le serviteur du suivant, avant même qu’il soit connu (ou qu’il naisse) de qui que ce soit, y compris de moi, et aussi du suivant et ainsi de suite en ayant à cause de cela à beaucoup étudier tout au long de ma vie pour être capable de prévoir et d’anticiper les besoins de leur génération (d’où le nombre de projets pharaoniques dans lesquels j’ai lancé mon père, ce qui a permis de faire le bonheur et la célébrité internationale d’innombrables personnes compétentes en créant toute sortes de civilisations différentes (autant que de catégories ou presque).

[41] Une catastrophe qui pourrait sur le long terme bien finir car parce qu’il s’est trompé je ne me suis pas trompé ni mon père étant donné que « sbagliando uno s’impara » ou que « uno impara grazie agli sbagli di un altro per non più sbagliare ». Aussi je suis contraint d’être reconnaissant à mon grand père empereur comme à mon arrière grand-père napoléon premier de s’être à ce point trompés même si pour de nombreuses personnes je ne devrais pas et c’est même inconcevable d’être reconnaissant à des personnes qui ont aussi mauvaise réputation que cela et à qui je pourrais avoir bien des raisons d’en vouloir.

[42] Ce que les ouvriers en 1968 ont réclamé pour leurs enfants avec les étudiants (et que nous avons pu réaliser grâce à Internet (ChristinYnet / LaurYnet) dont j’ai expliqué à 1975, du futur, comment le créer en réalisant ainsi l’espoir des ouvriers et des paysans (avoir accès à la culture autrefois seulement réservée au Tzar, au rois et aux reines y compris à toute la société des gens instruits). Mais cela allait signifier pour ma famille et pour moi d’avoir à souffrir des choses intolérables et injustes très longtemps, au moins jusqu’à ce que les gens comprennent que j’étais un homo sapiens sapiens sapiens et pas seulement un sapiens sapiens comme la plupart des ingénieurs polytechniciens. L’évolution et le problème qui s’était posé avait finalement donné naissance à un être à part qui n’utilisait plus les armes à feu pour régler les conflits mais seulement la vérité et la pédagogie comme les mots exactement y compris toutes les sciences en raison de la géométrie et de toutes les machines qui sont toutes conçues, comme l’anneau de mariage, de façons exactes et géométriquement. Aussi, j’étais simplement comme un hyper-super ordinateur-robot qui utilise des instruments en ne cherchant qu’à faire le bonheur de tous les êtres vivants en ne passant mon temps qu’à trouver solutions élégantes, les unes après les autres à leur place, comme l’homo sapiens sapiens qui ne fait que cela depuis des millénaire mais aussi plus récemment dans les scénarii, ou dans toutes les activités d’ingénieurs ou toutes celles de véritables enseignants ou artistes. Bien sûr, j’avais pu découvrir ce qu’est un menteur y compris constater que celui-ci ne sait pas qu’il l’est sur le moment et croit même être dans le droit des profanes (ce qui donne des réactions d’une rare bêtise qu’on croit alors sur le moment intelligentes), mais comme j’ai pu vérifier autant que cela toutes les lois et que la vérité existe, je suis comme n’importe laquelle des machines qui dit vrai face à des menteurs : leur serviteur pour les aider ou pour qu’ils parviennent à retrouver un peu de bon sens et à se sortir de ces vues mensongères qui ne leur permettent à certains d’entre eux – les plus détériorés – qu’hélas que de croire que ces machines ne sont au service que du mensonge et de leurs intérêts mensongers – ce qui a été le cas de certains êtres humains avec l’instrument de la Bourse pour faire augmenter le prix du pétrole artificiellement, en raison de ces incapacités cérébrales qu’ils avaient (dénués de scrupules) pour ainsi être à l’origine de tous les problèmes que cela engendre (donc se conduisant avec mépris vis à vis de leurs enfants et de leurs descendants en voulant « avoir » plus que ce qui est juste et équitable ou conforme aux lois du commerce - en baissant le prix du baril de pétrole comme je le conseille, ils auraient eu en définitive infiniment plus). En effet utiliser les instruments mensongèrement cela risque de créer des dégâts. Mais il y a ceux qui les utilisent judicieusement et qui comprenant les lois qui régissent l’électronique ont réussi à créer dernièrement les robots eux-mêmes qui n’étaient qu’une virtualité, qu’une hypothèse de travail ou de la sciences fiction à l’époque de Jules Verne ou d’autres visionnaires et qui sont devenus une réalité au point que je sois presque certain que je vais pouvoir prendre des vacances, puisqu’ils pourront faire aussi bien que moi (bien que tous se soient rendus compte qu’il se pourrait que c’est bien plus que ce que prennent en compte les robots ou les ordinateurs dont j’ai dû prendre en compte pour réaliser de pareils interventions). A moins que je ne sois que sapiens sapiens si les vrais polytechniciens n’ayant jamais eu accès à la vieille salle des machines comme certains prix Nobel ou artistes Universels sont considérés seulement des sapiens (comme Henri Poincaré). Pourtant les autres qui vivent à notre époque qui est celles des informations à la radio, à la télévision, ou ailleurs sont devenus « savants » ou « sapiens » au moins un peu y compris quelques profanes – et c’est pourquoi j’avais, sans vouloir me considérer supérieur (car en bien des choses je me sens l’inférieur d’une fourmis ou d’une abeille – je ne vole pas – elle oui, y compris Dracula) dit trois fois « sapiens ».

[43] (c’est peut-être pour cette raison qu’il aurait été fait : le désert qui gagne toujours plus du terrain et la peur à l’époque – comme de nouveau à la nôtre - comme à cause de cela la nécessité d’émigrer vers des terres plus hospitalières, ce qui a amené ce sarcophage finalement à Rome après plusieurs millénaires en Égypte à moins que les sarcophages des empereurs égyptiens soient encore en Égypte – ici, pour le moment, à ce jour du 11 mars 2013 - personne ne m’a encore expliqué et j’y vais par déduction bien que je sache de façon certaine pour l’avoir vérifié que ce sont tous les empereurs - depuis le premier - qui sont entrain d’écrire ce texte avec moi - ce qui signifie qu’ils sont canoniques comme ma personne et que cela me permette de savoir qu’en tant qu’empereur j’ai normalement tous les droits anciens des premiers empereurs y compris celui de tuer – mais comme j’ai découvert ce qu’à la possibilité d’être un être humain pour peu qu’il fasse des efforts et aime se donner des peines comme choses extraordinaires, s’il parvient à se délivrer de son enfance et de son adolescence d’enfant-gâté y compris s’il arrive à passer au-delà de l’ouverture de son esprit, je considère les êtres humains comme précieux et je n’ai pas envie de tuer les malfrats ou les bandits ni les assassins d’autant que je sais qu’ils sont capables de se comporter très aimablement comme de bons chiens et de bons chats et qu’ils peuvent avoir cette perspective, s’ils veulent se donner du mal, et devenir vraiment des gentilshommes en se débarrassant de cette animalité ou de cet égoïsme qui les a rendu enfants-gâtés pour [re]devenir des êtres humains)

[44] (deux trois fois, disant alors n’importe quoi, ce qui n’inquiétait personne car dans le monde des profanes on a le droit de dire n’importe quoi ou de penser n’importe quoi étant donné qu’on sait honnêtement qu’on est au moins un peu fou et qu’on ne voit que son propre intérêt y compris quand on parle à propos du plus général – dont on a une idée que seulement pour favoriser ses amis ou ses proches, sans scrupules pour les autres (c'est-à-dire ce « général », dont on a alors du mal à évaluer ce qu’il signifie en vérité, puisqu’on le voit du point de vue du menteur ou de celui qui est coincé dans son parti qui cherche à obtenir des marchés pour survivre ou tirer le diable par la queue)

[45] Depuis j’ai ajouté « saint » en raison des Chemins de Croix où personne n’était là pour m’aider pour me relever – il a fallu que tout seul j‘auto-répare à chaque fois entièrement et que je crée d’avance les conditions pour cela – que je les prévois alors que je n’étais qu’en 1965 ou en 1975 (c’est grâce à une histoire d’amour liée à un mythe dont j’ai vérifié qu’il est vrai comme un axiome, celui d’Isis et d’Osiris, que j’ai réussi cela).

[46] C’est un paramètre que je n’ai pas le droit de négliger puisque cela concerne la notion d’handicapé qui n’existe que parce que Dieu existe (c'est-à-dire – ou alors – la notion de « bien » par opposition à celle du mal qui aurait fait qu’oubliant ce paramètre je ne me serais pas soucié de cela comme cause du fait que cette personne est devenue criminelle ou méchante à certains moments au lieu de devenir une personne au service de ce qui est plus ou moins partout sur cette planète : « le bien ». Certes il y a aussi du mal – mais nous avons vu qu’il peut provenir d’un problème génétique ou d’un disfonctionnement cérébrale : le menteur est celui qui connaît cet état puisque cela ne lui permet plus de discerner ce qui est vrai de ce qui ne peut pas l’être – ce qui a été le cas de ceux qui n'ont pas su discerner au sujet des ces mots dont le contenu a été l’objet de persécutions entre 1920 et 1948 y compris après chez ceux qui se sont accrochés à des façons de les voir qui sont partiellement fausses ou totalement fausses ce qui va par exemple faire que des personnes vont avoir peur de ce que représentent les mots en question. C’est la peur de l’inconnu qui n’existe pas chez l’animal sage comme le singe qui peut trouver l’écran d’un ordinateur ou une moto en pleine forêt amazonienne en trouvant ça normal – ce qui est juste – aussi celui qui a peur de tout ce qui est étranger est un malade qui n’est pas encore né ou venu au monde puisque dès le premier instant de notre naissance tout ce qui nous entoure est étrange au point que nous aurons à apprendre les mots pour pouvoir nous y référer en pensée. Nous apprenons alors ce qu’est le mot de « mur » ou celui de « fourchette » quand nous devons mettre la table ou celui de « serviette » et nous apprenons à quoi ils servent, leur usage – il y a donc une vérité de premier niveau, élémentaire. Nous apprendrons par la suite, grâce aux études et aux formations diverses comment en concevoir d’autres et les fabriquer. C’est en prenant connaissance de ce qui est étranger, de ce qui est différent de nous-mêmes ou en cherchant à comprendre cela que nous pourrons aller vers "l’ouverture d’esprit". L’attitude protectionniste ou autarcique ou méfiante vis-à-vis de ce qu’on ne connaît pas mène à la cécité ou au conformisme de villageois inchangés ou traditionalistes ne comprenant ce qu’induisent toutes les nouveautés ou les mots nouveaux, ou, dans les villes, à devenir des « bourgeois comme tout le monde », donc des personnes en définitive stériles et incapables de recherches, donc de faire fonctionner le cerveau pour qu’il mouline à partir de ces éléments étrangers (ou à l’extérieur de lui, dans la réalité qui est autour de notre tête) et qu’ils puissent servir le monde de l’imagination, des nouveautés et de la création).

[47] Mais il y en a qui sont trop onéreux et c’est ici qu’on les aime moins car on voudrait les acheter.

[48] Mais qui a eu l’intelligence, en faussaire, de payer A. Dürer dans le passé pour faire croire l’empereur le plus intelligent des hommes, alors qu’évidemment c’est le peintre en question qui le fut et qui eut, parce qu’il était payé, l’intelligence de flatter cette notion d’empereur dans le sens du bien, ce à quoi profane, comme autrement, j’ai bien fait de me laisser prendre.

[49] (de ces mots pour minimiser des attitudes qui sont sinon des dessins ou des scènes visibles y compris dans le quotidien – donc inadmissibles)

[50] Qui ouvre sur la dimension religieuse.

[51] Comment aurais-je pu autrement puisque j’étais nouveau né deux ans avant.

[52] Or je suis le pharaon qui n’a à ce jour de septembre 2017 jamais eu accès à sa salle des machines d’autant plus que je sais qu’on n’a pas le droit d’être maître-chanteur ou intimidateur d’aucune façon – c’est très mal élevé et le signe toujours de lâcheté comme de bassesse ou qu’il s’agit de menteurs ou de personnes capables de se conduire en terroristes donc en insensés - je n’ai nulle intention d’être d’aucune façon maître-chanteur car je crois à la pédagogie et au triomphe des arguments justes et logiques (les logiciels attestent bien que toutes les matières auxquelles ils s’appliquent fonctionnent logiquement ce que Monsieur Spok pensait sur le vaisseau Enterprise) comme que chaque chose ne peut bien se faire que par consentement mutuel et sur la base d’accords mutuels contractuels inscrits, négociés ou renégociables. Je ne crois pas possible de censurer qui que ce soit puisque je connais les effets de la fatigue qui est capable de faire penser n’importe quoi même à des gens justes ou à des gens n’en pouvant plus d’avoir à se battre avec des mots, des phrases, des inscriptions et je sais que normalement les gens qui parlent ou qui écrivent recherchent chacun à leur façon la vérité parfois sur des mauvaises bases ou alors utilisent l’écriture ou la parole mensongèrement sans s’en rendre compte, parfois simplement pour provoquer par inconscience des écritures inverses, sensées, rationnelles ou appartenant à d’autres catégories y compris celles des inconscients ou simplement pour avoir les bonnes explications qui permettent de comprendre pourquoi existent belles et bien les vérités et la vérité.

[53] (parce qu’on m’aurait rendu la vieille salle des machines parce que  Michèle Finck aurait pu être élevée par mes parents empereurs à Rome et donc connaître la fin de son enfance et de son adolescence, au mauvais sens de ces mots, y compris l’ouverture de son esprit, en nous fréquentant ou en vivant avec nous et Christine qui aurait été élevée bébé avec moi dans Jardin de Pharaon – d’autant qu’à deux ans et demi j’étais plutôt sacrément initié pharaon puisque je faisais intervenir d’avance ma virtualité pharaonique du futur pour qu’on comprenne qu’il fallait qu’on me rende cette salle des machines – et du coup Christine aurait été élevée comme une sœur protégée par son frère et sa grande sœur et donc n’ayant pas à craindre une rivale en Michèle car mes parents et ma sœur ainée y aurait veillé ainsi que mes frères ainés)

[54] Ce qui a fait que j’ai été quelques fois grondé avec raison.

[55] En fait j’étais aimant de mes frères ainés.

[56] Ci-dessous dans le menu « outils » de Word 2003 avec lequel j’élabore cette lettre, vous en trouverez une ébauche. Car évidemment pour intervenir ici avant même d’y être, j’ai du faire, vous l’aurez compris, les statistiques sur tout et cela dans toutes les catégories de calculs possibles ou même encore inconnus comme j’ai eu absolument tout à mesurer.

[57] Mais ici, selon qui il fréquentera ou qu’il aura en tant que famille ou comme entourage, il deviendra un homme ou un vaurien ou alors encore moins que cela. Dans d’autres cas, cela en a fait des dieux comme chacun des artistes universaux

[58] d’autant qu’elle ne pouvait pas se douter à l’âge de cinq ans de l’ouverture d’esprit de l’Eglise pour accepter une chose aussi simple, mais qui allait exiger néanmoins des moyens considérables pour me permettre de l’exposer et de le faire admettre comme une hypothèse de travail intelligente et en adéquation avec l’époque  pour les personnes s’étant débarrassées de l’enfant-gâté, de l'adolescent et de l'égoïste en elles, étant donné que l’époque avait bien signifié qu’il n’est plus du tout possible d’avoir des relations autres qu’écrites et réfléchies y compris enregistrées en tant qu’actes, car ce qui n’est pas écrit peut être difficile à comprendre pour des personnes différentes : l’oral se rendant souvent coupable à l’origine de malentendus comme de difficultés pour rendre compréhensible la complexité de situations qui, comme celle-ci, était cosmique et remontait à l’origine du problème et de la division entre ceux qui d’un côté devinrent à cause de cela homo sapiens (logique en pluri-dimensions mais qui eurent infiniment de difficultés pour traduire cette simplicité logique qu’ils avaient en eux) et les autres qui demeurèrent des tricheurs car attachés à la vieille salle des machines alors qu’ils n’auraient pas voulu et qu’ils crurent même le contraire, à certains moments, ou cherchèrent à le faire croire et par conséquent de vrais paresseux. Cela est le cas même s’ils travaillent énormément. En effet, ils ne seront portés à choisir que des choses faciles ou qui nécessitent d’appliquer des méthodes les ayant rendu faciles à exercer. C’est la mentalité de celui qui dresse des procès-verbal ou qui poinçonne les billets ou qui règle la circulation ou qui enlève la voiture qui est en stationnement gênant en appliquant les règlements ou celle du douanier ou de bien d’autres métiers faciles (artisan-encadreur, par exemple), qu’on donne aux débutant : arroseur, balayeurs, femmes de ménage, etc. car c’est comme cela qu’on commence y compris en ayant simplement à porter des poids, grâce à une brouette ou à la mine vivre avec un pic pour faire une action, toujours la même, qui n’exige pas de faire des efforts intellectuels mais qui pourra permettre à force, grâce aux différents paramètres extérieures, d’apprendre à jouer son rôle dans la société en comprenant, qu’en raison des compétences et des responsabilités, il y a ceux qui n’ont pas volé leur statut de juge ou de souverains ou de personnes compétentes y compris de bienfaiteurs de l’humanité (il est normal qu’ils fonctionnent différemment et qu’ils aient d’autres droits comme d’autres revenus financiers propres et mérités de droit (RFPMD) en raison de la difficulté de leur métier qu’ils sont si peu nombreux à exercer ou à connaître : même s’il y a eu de nombreuses période de Picasso, il n’y a que Picasso pour faire ce dont il s’est rendu capable (parfois la nature) – et ce fut pareil pour d’autres universaux qui par leur travaux ont donné à voir et à entendre l’existence de très nombreuses autres Atlantides). En effet, par la quantité de gens semblablement capables d’exercer la même activité qui ont été inventé chacune par charité par ces grands esprits, ces appellations de "bienfaiteurs de l’humanité" ou d’autres sont d’origine contrôlée ou réservée ou s’adapte donc comme certaines décorations ou prix à des personnes plus rares ou spécifiques. Bien sûr on peut toujours s’amuser comme un chien à se considérer soi-même « bienfaiteur de l’humanité » mais en réalité on constitue un véritable problème pour les vrais ou ceux qui le sont vraiment car ce sont eux qui ont dû trouver le vaccin contre la rage qu’en tant que chien (parmi d’innombrables autres) on s’est permis d’attraper en voulant s’amuser à tuer ou à poursuivre, en se trompant, le renard qui était affecté de ce mal, à la chasse en devenant un problème pour toutes les brebis et toute la chaîne alimentaire qui risque d’en être (in)(a)ffectée. Aussi le chien qui se considère ce mot ressemble au célèbre Rantanplan que tout le monde a fini par adorer mais dont tous savent, y compris les Dalton, qu’il ne va pas bien).

[59] (ce qui lui fera perdre encore des points et souffrir toujours plus car plus un animal se permet des cruautés qu’il pouvait éviter plus il aura à en souffrir ultérieurement – je l’ai vérifié : il obtient une réincarnation encore moins bonne)

[60] Je pense ici avec ce mot de « perdu » tout particulièrement à un poème de Michèle Finck écrit pour un tableau de Dimitri Ratsikas « viatique à Dimitri Ratsikas », qui avait peint un portrait d’Anne-Laure Meury tandis que j’enregistrais la séance de pose en séquence, ce qui m’a donné l’occasion de tourner-produire et réaliser (avec le générique) un petit vidéo-poème en allant en Épire, en Grèce faire l’opérateur de prises de vues à cet effet avant de le monter et de le sonoriser à notre retour (si cela avait été possible dans cette version de cette lettre, je vous aurais mis un lien hypertexte pour que puissiez le consulter ou s’il avait été transféré et numérisé comme j’ai l’intention de le faire pour le publier en petit et le rendre ainsi au moins accessible sur mon site Internet ou celui de Michèle bien qu’il existe une version pour la télévision. Je l’avais tourné en vidéo-amateur 8mm, car j’étais encore entrain d’explorer ce moyen d’expression comme de m’exercer en vidéo).

[61] Hier 14 avril 2013, j’ai découvert que Giono s’était inspiré de cette expression dans un de ses textes.

[62] quand avant-hier où j’en étais arrivé là depuis la troisième épouse impériale (Florence Loewy) enfin reconnue et qui s’était imposée logiquement comme un imprévu et une surprise, ce qui avait ouvert la voie à ce chiffre symbolique de 7, après ce 3,  soudain : illumination et éclair de génie ! : « pourquoi pas arriver jusqu’à 8,  voire 9 » – je me cite de cet autre texte qui a vu surgir cette idée et cela en pensant à des chandeliers, mais aussi au fait que si la situation est débloquée, il se pourrait que les flocons de neige passent de 6 branches à 8 branches et hier j’osai encore plus loin, arriver à 11 et 13 épouses, en raison de 2013 et d’Ingres, mais aussi de la Cité des femmes de Federico Fellini et puis, pourquoi pas, plus nombreuses encore, mais mariées : une vraie cour, en somme, un vrai harem comme du temps des mamamouchis empereurs – sauf que la situation n’avait pas été débloquée, alors et qu’il se pourrait qu’ils étaient faux (ces empereurs) ?! Mais je pense soudain à vous et à vos collègues et je trouve cela injuste – vraiment, croyez-moi 13 femmes ou plus encore s’occupant de moi : aussi je n’envisage cela que si la situation est débloquée, car mon intention est, qu’en raison du fait que la situation sera débloquée, enfin le personnel clérical, dans plusieurs religions qui ont fait du zèle, (il pourrait finir) et permettre à toutes ces personnes qui le méritent bien plus qu’amplement de trouver au moins l’âme sœur à conduire jusqu’au vrai mariage – peut-être seulement monogame pour eux – c’est déjà un sacrifice si on compare avec le nombre que je pourrais m’autoriser – au moins une pour chacun des moines et un pour chacune des bonnes sœurs – bien qu’on parle ces temps-ci du « mariage pour tous », mais vous aurez compris que je suis vieux jeu à ce sujet – bien que je n’ai rien contre le mariage d’une chaussette avec un bonbons – en général cela fini par un divorce dans la machine à laver - ou avec un crayon, momentanément, y compris photographiquement et même rien contre célébrer cela officiellement dans les dessins animés, mais il faut avoir un peu de bon sens et comprendre que le mot de « mariage » s’applique, dans ce cas particulier, à la question de l’être humain « homme » fait pour sa femme – bien que la situation générale est faussée et s’est donc rendue, dans bien des cas, coupable d’une certaine forme d’artificialité en rendant éventuellement possible, ce qui est totalement absurde et contre ce que nous propose et nous dicte, en conscience, la Nature par cette complémentarité sexuelle, et c’est pourquoi, en raison des traditions, il est bon, même si en mettant dans sa bouche son stylo on est comme marié avec, quelques instants, ou en le tenant à la main, il faut comprendre que ce que nous entendons par ce mot de « mariage » permet d’arriver normalement l’un par l’autre à cette véritable connaissance et par étapes jusqu’à l’ouverture de l’esprit, ce qui permet d’envisager sérieusement la cérémonie du mariage entre des anciens enfants qui, enfin adultes, se sentiraient prêts, comme nous l’étions de notre côté dès l’âge de deux ans et demi et de nouveau à partir de douze ans à ces responsabilités familiales. Pourtant, comme la vie est longue, on peut penser qu’il est préférable de se marier plus tard qu’à ces âges-là, bien que les amitiés d’enfance ou les amours d’enfance soient peut-être les seuls qui comptent pour toujours, ce qui signifie qu’il faut être capables de les accepter dans certains cas, comme c’est le cas en Inde, dans certaines familles qui les arrangent avant même la naissance des enfants. Mais il y a la question de l’indépendance et de l’autonomie financière et c’est pourquoi il est normal qu’on fasse attendre pour se marier jusqu’au moment où on est autonome et indépendant financièrement pour pouvoir accueillir sa propre famille sans peser en inconscients sur toute la société ou comme un souteneur (ou un maquereau) sur l’autre.

Cela exige donc alors de l’homme très précisément de se conduire avec infiniment de respect envers la femme, ses filles et ses petites filles, les sachant destinées à des futurs véritables princes chacune - car c’est joli de cheminer comme Saint-François d’Assise et sainte Claire – et c’est d’une certaine façon ce que j’ai cru faire avec Michèle, ne la sachant pas appartenir à aucune bande de bandits, bien qu’elle cherchait parfois à me le faire croire et je pensai toujours qu’elle plaisantait car il faut être malade pour devenir contraire à ses ontologiques et fondamentaux intérêts, puisqu’on se met alors hors-les-lois – et en vivant avec elle, durant toutes ces année, même seulement quelques jours par semaine, j’ai fini par croire qu’elle avait un aspect d’elle véritablement très sainte Claire.

Donc durant ces années que l’Ensemble a exigé de moi – 1977-2005 - car j’ai pu vérifier que c’est bien l’Ensemble qui m’a contraint à me faire ce coup-là - au moins deux fois :  toutes les marionnettes qui en ont voulu à celui qui a essayé, à chaque fois, de les sauver malgré elles et en me contraignant, à chaque fois, à leur montrer comment elles étaient devenues des marionnettes profanes, et contraires à leur propre et intrinsèques intérêts fondamentaux, mais visiblement, en essayant de me rendre fou – ce que j’ai connu, la folie au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), une seconde et demi en vérité et c’est tout - elles se sont toutes, dans tous les temps rendues plus ou moins folles à quelques exceptions près qui ont, à chaque fois, donné des personnes très compétentes, très justes, aucunement folles, très conscientes, très rationnelles et en définitives se sont elles qui ont, à chaque fois, contribué à sauver la Vie – ce qu’on a exigé de moi aussi et certainement qu’elles ont dû chacune avoir quelques temps des problèmes puisqu’elles ont été aussi, je l’ai vérifié, celles qui, à un moment donné, m’en ont voulu, alors que c’est totalement injuste, d’autant qu’elles ne me connaissent pas ou très peu et que chacun des temps où elles se sont montrées intelligentes et compétentes vraiment sont dû aux temps où je l’ai été. Aussi dès qu’elles ont eu des problèmes c’est qu’elles m’en ont créé avec tous ceux qui ont voulu se mettre en infraction pharaonique en me cachant l’existence de cette salle des machines dont j’ai découvert l’existence par déduction à la Sherlock Holmes à partir de 2005, d’autant qu’elle est à moi de droit pharaonique depuis au moins avant ma naissance ou alors depuis 1965 quand j’ai eu à le confirmer par mon intervention en avertissant du futur en virtuel de cela comme que j’étais empereur légitimement reconnu, y compris par adolph hitler à qui mon père succédait.

Cela a fait que je me suis mis à mélanger beaucoup de choses dès que je suis entré dans cette amnésie, et c’est ce qui arrive autrement à ceux qui sont drogués et je suis même devenu à moitié crétin et j’ai même eu quelques seconde où j’ai pu comprendre ce qu’est la folie – just’avant qu’en 1995 quand l’Ensemble, à la suite de ces moment-là, a voulu, changeant totalement, fidèle à l’incohérence dont ils sont les auteurs,  me faire empereur alors que quelques heures avant ils ne m’avaient pas facilité les choses au point de me persécuter! Mais je me suis mis au travail alors, en peignant des choses les plus difficiles à faire (des centaines de fois plus compliqués (difficile) encore à chaque touche qui allait venir que celles que j’avais eu l’honneur de poser sur le piano recouvert ainsi de miniatures) et si j’étais devenu comme un usurpateur et un pécheur y compris un faussaire, je n’en savais rien alors (bien que je me savais avoir été contraint à être convaincu que j’étais le diable y compris l’empereur en 1995 – ce qui me fait beaucoup rire car je ne suis pas seulement un diable : comme vous je suis un être humain avec toutes les potentialités bénéfiques et merveilleuses des êtres humains non néfastes – aussi tant que j’étais amnésique, je n’allais pas bien et c’est Dieu qui en me rappelant que j’avais été un chic type enfant, m’a permis d’aller mieux, d’autant qu’avant qu’il n’intervienne je m’étais séparé de ce qui avait été enfant-gâté ou adolescent dans l’ensemble des empereurs (y compris moi-même) que je continuai néanmoins à représenter mais enfin beaucoup plus sensés puisque toutes les idées saugrenues avaient disparues avec – la mémoire me revenant et avec elle l’esprit de rationalité et de cohérence)  et donc je ne savais pas que j’avais été à moitié perdu (au sens, une fois encore, où Michèle Finck emploie ce mot dans son poème viatique à Dimitri Ratsikas), en 1995, quand le Grand Architecte de l’Univers est intervenu. Cependant d’avoir été fidèle totalement et d’avoir voulu ne me consacrer qu’à une seule jeune femme, Michèle, pour me préparer à être digne un jour d’avoir à mon tour une famille et, donc, à pouvoir me marier avec elle, (alors en exclusivité), d’autant que j’étais devenu en parti un égoïste et que ces sentiments d’exclusivité vont avec – voir « ces spaghettis sont à moi » - ayant vaguement le souvenir néanmoins d’avoir fait ma Première Communion et ma Confirmation dans une autre vie, moins profane (mais je ne m’en souvenais pas exactement), mais désirant constituer cette famille seulement avec elle, cela m’a fait infiniment travailler durant ces fiançailles interminables – mais qui se sont terminées par la rupture - et explorer tous les domaines possibles dont certains plutôt assez loin, comme celui de la peinture, ce qui finalement m’a permis de basculer soudain de nouveau dans le monde de la vérité où j’ai découvert, grâce à Dieu, comment cela s’était passé (cela allait se passer) à partir de 1965 et de nouveau à partir de 1975 (donc une très vieille histoire ! Nous étions en 2005), ce dont Dieu comme le Grand Architecte de l’Univers, mais aussi mon père ont bien pu vérifier que je ne savais d’aucune façon, y compris durant toutes les journées qui sont venues après 2005, où je n’ai fait que déduire et donc comprendre, ce qui est vraiment difficile à comprendre et qui prend en fait certainement la place de milliards et à l’infini des plus immenses bibliothèques sur les plus immenses disques durs existants ou qui existeront, ce qui déjà, quand on sait qu’un seul est aussi vaste que la plus grande des bibliothèques que j’ai fait édifier - comme contenu, cela représente vraiment de la Connaissance – aussi c’est tout ce que j’ai eu à comprendre tous les jours à partir de 1965, pendant que, durant la journée, j’étais un quelconque écolier, évidemment souvent distrait (car cela moulinait même s’il n’y avait pas encore d’ordinateur pour nous faire comprendre ce terme) – on le signalait dans les bulletins pour lesquels mon père m’a puni, mécontent – mais je n’arrivais pas à lui faire comprendre qu’il se pouvait bien que j’étais en même temps déjà dans le futur en ayant Tout sur les épaules – et à cause de tout cela , je me souviens qu’ayant peur d’être frappé, j’avais des difficultés alors à m’exprimer aussi par écrit tant tout ce que j’avais comme connaissances précises exigeaient une autre forme d’écriture que l’orthographe avec le stylo à bille ou à plume ne me permettait pas de traduire et cela était confirmé par les difficultés que je voyais avoir mon père pour écrire ses propres textes : c’est à partir de toutes ses difficultés et des miennes en classes que j’ai conçu les solutions élégantes des logiciels entre 1967 et 1977 dont celui de Word que j’ai dicté dans les grandes lignes à travers Espace et Temps et dont l’architecture avait été conçue avant, en admirant mon père travailler avec les ciseaux et la colle, ma mère l’aidant à traduire, tandis que moi j’étais devant la télévision après avoir joué sur la machine à écrire de ma sœur en imaginant l’outil informatique qui offrirait les pages et le clavier électriques à défiler sur l’écran en couleur et par esprit de contradiction avec ceux qui affirmaient qu’on ne pouvait écrire qu’avec des pages posées sur une table. Non, c’était possible en vertical avec ma solution élégante car je découvrais que moi-même, pour expliquer ce qu’on était entrain de rater (puisque je devais aller à l’école et ne pouvais pas me marier avec ma promise légitime) j’aurais besoin du traitement de texte seul capable de traduire un peu, sous forme de mots, la complexité du problème qui se posait à moi à chacune des secondes notemment aussi sur le plan de l’Éthique car indéniablement pour moi alors, en raison de ces interventions, j’avais comme l’intuition que la Création n’avait pu avoir lieu qu’en raison de seulement de ce mot et d’autres mots corollaires, mais à l’échelle cosmique puisque j’étais moi-même à ce point devenu éthique y compris vis-à-vis de Michèle Finck (alors que d’autres, dans mon cas auraient bien fait de ne pas l’être, y compris moi-même quand je fus avec raison très fâché de ce que je découvrais en 2005 (1965) qu'elle avait, en 1977, voulu être l'unique impératrice en prenant la place de Christine et en interdisant que j'ai plusieurs épouses.

Et c’est pourquoi j’étais à la fois à Rome à partir de 1967 mais aussi j’étais en même temps dans le futur « en synchrone » à la fois en 1977 mais aussi à partir de 2005 (1965), comme il se pourrait donc que je sois, ce que j’ai pu vérifier, et que vous aurez compris aussi, dans tous les autres cas de figure de la Création, peut-être sous d’autres traits puisque Dieu a voulu me le révéler (et j’ai pu vérifier qu’il se pourrait qu’il n’ait pas menti) et cela déjà dans toutes les époques y compris futures (aussi il s’agit pour moi, simplement, d’une étape vers la Création Parachevée, comme le furent les étapes précédentes. Pourtant si la situation était débloquée cela nous permettrait à partir d'un certain moment de la rejoindre d’un seul coup. Je crains qu’il n’y ait pas plus loin sinon, d’autant plus que j’ai pu vérifier que toutes les formes d’apocalypses ont été déclenchée. Aussi il faut prier pour que la situation se débloque et que les profanes comprennent enfin leur intérêt à/de ne jamais plus utiliser la vieille salle des machines et à confier le variateur de la vision d’Atlantide à des gens aussi exactes que je le suis redevenu par acquis de conscience, en raison des éventuels devoirs de père de famille qui pourrais m’échoir. C’est pourquoi je ne crois pas beaucoup au mariage homosexuel, bien que je comprenne que la situation générale qui s’est révélée faussée a créé des amitiés fortes entre garçons ou entre filles, au point qu’ils croient possibles élever des enfants adoptés ou même étant à eux d’un précédent mariage. En fait, je prends l’existence de cette virtualité comme une étape qui pourrait être nécessaire à ces personnes pour aller vers la connaissance de l’autre dans sa différence sexuelle complémentaire, ce que l’école mixte a offert à tous en posant les principes de l’égalité des sexes d’autant plus s’il y a cheminement spirituel. J’ai l’impression que le mariage homosexuel c’est comme si on cherchait à revenir à une époque où il y avait l’école des garçons et de l’autre l’école pour les filles. Comme si ces enfants, complémentaires entre eux pour construire ensemble ne pouvaient pas être destinés l’un à l’autre pour créer ensemble une famille. Mais il est vrai que beaucoup ont remis en question cette notion de famille quand tous ont pu vérifier à travers mon histoire que c’est bien le mariage et la création d’une famille, comme se préparer à cela qui permet à l’être humain d’évoluer suffisemment au point de découvrir que la vérité existe vraiment et alors d’avoir le courage de devenir un homme, en se débarrassant de l’esclavage de l’inconscience qui ne permet pas de faire face à sa vie d’adulte, une fois l’adolescence achevée. Le problème des expressions comme celle de « mariage homosexuel » c’est qu’elles existent. Mais je crains que ce ne soit comme d’autres expressions qui ont existé et qui se sont révélées mensongères bien que dans certains cas elles étaient vraies. Le problème c’est que nous avons au sujet du mot de « mariage » un mot qu’on peut employer pour de nombreuses choses différentes – et il est donc un mot plutôt fertile à tel point que cela a donné les merveilleux tableaux de Chagall à ce sujet. Nous nous sommes donc habitué à penser que ce mot signifie qu’il y a complémentarité sexuelle et les mots corollaires comme celui d’« épousé » – l’aspect féminin-masculin – de mari ou de marié. Mais tout cela a du sens dans le monde religieux, beaucoup moins dans le monde profane qui n’a pas conscience des innombrables subtilités et références de ceux qui sont dans de tels mondes. C’est pourquoi le monde profane s’autorise des expressions ou la possibilité de transgresser les interdits par provocation et parce qu’il est inconscient des dommages qu’il crée. Mon père a institué le Pacte Civil de Solidarité (pacs) comme je le lui avait suggéré du futur et comme synonyme, on pouvait dire (comme s’est expliqué) que c’est « comme un ’mariage civil’ ». Cela permettait d’être plus clair, de mieux distinguer son choix d’abonné et de conserver au mot de « mariage », y compris pour les profanes, la possibilité de leur permettre d’accéder à celui plus intime, plus religieux, émanant d’un parcours de personnes ayant reconnu vivante en eux la foi de leurs ancêtres).

[63] Au moment où j’ai relu ces lignes une première fois, je vous ai su à Saint-Louis des Français puisque Sa Sainteté a changé ces jours-ci, car je craignais pour la santé de Benoit XVI (mais je dois le dicter encore à il y a trente ans de cela) et cette solution élégante d’émérite est excellente (cela lui donnera plusieurs années en plus de vie pour des raisons très précises que je sais exactement et que j’ai vérifié et dont il est, comme le pape précédent au courant – il faudra veiller à interdire à l’avenir à être pape au-delà de quatre vingt cinq ans, voire de quatre vingt ans, ce serait plus prudent (à cause des fossés-douves à infarctus qui concernent les personnes âgées). Il faut veiller en premier lieu à la santé de cette personne dès cet âge là (quelques années de papauté, cinq à sept ans, en ces temps de forte médiatisation – donc d’habitude et de la lassitude des spectateurs habitués à zapper pourrait permettre un roulement, voire une réélection et plusieurs émérites vivants – mais en lui donnant surtout, après ces années-là, tous les moyens pour qu’ils se reposent et consacrent leur vie à moins de décisions difficiles à prendre ou à conseiller les papes suivants en exercice avec les autres papes émérites (qui pourraient représenter le pape en fonction pour des missions précises de conciliation ou qui pourraient bénéficier des cinq voir dix ou quinze ans de papauté d’un futur émérite, suivant qu’il a été élu jeune ou plus âgé et à cause de cela moins « mis à jour » ou au courant), d’autant plus de toutes les charges diplomatiques qui pèsent sur cette fonction souveraine – je crains que les jeunes n’aient pas la dimension des anciens pour occuper de telles fonctions internationales, qui impliquent d’avoir vécu sur le terrain, voire d’avoir été dans divers pays différents et de connaître réellement plusieurs langues à géométries variables, mais en vérité).

[64] (à moins que ce soit en Mongolie ou en Russie - mais peut-être auront-ils envie d’en faire une édition canadienne - avant d’en faire une sur les glaciers de la Jungfrau dans le canton de Bern ou sur ceux de Zermatt ou du Mont-Blanc)

[65] Pourtant en pensant au travail remarquable de Name June Paik au Whitney museum, je regrette qu’on n’ai pas comme lui, récupéré toutes ces vieilles télévisions pour les utiliser comme des briques ou des grosses pierres qu’on aurait pu imperméabiliser et utiliser comme murs d’édifices qui aurait pu continuer à émettre, une fois réparées, d’autant plus de la multiplication des chaines créant des effets murs d’image de télévisions mosaïques et non permettant chacune d’être une partie d’une seule grande télévision comme cela a été le cas avec les premiers murs dont j'ai décris la faisabilité  du futur. Que de matériel perdu et qui aurait même pu créer des abris.

[66] C’est ainsi que ceux qui voulurent la salle des machines pour être certains de pouvoir satisfaire leurs appétits de voyeurs, de drogués de sexualité en écoutant les autres de loin, se dégradèrent leurs cerveaux totalement au point de n’avoir en commun que la recherche de l’ineptie et l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, ou des mœurs mimétiques, devenus incapables de penser par eux-mêmes, en vérité, et ne pouvant que compter sur ceux qui, ne les ayant pas rejoint et qu’ils espionnaient, pour savoir, comme on compte sur son voisin de classe dont on recopie intégralement sa copie en tricheur pour avoir une bonne note étant donné qu’on sait qu’on n’y arrive plus sans celui-là (c’est ainsi qu’on devient parasite). C’est donc la recherche de l’assurance « d’avoir » ou de survivre par les produits de la chasse, donc de facilement manger, en étant certains qu’on trouvera toujours de quoi dans un rayon pas très important qui n’a pas permis à ces peuples d’évoluer pendant très longtemps (c'est-à-dire à cause de cet état d’esprit qui consiste à rechercher à en faire le moins possible pour survivre), tandis que quelques personnes parmi les autres peuples vivant dans des régions agricoles ont été confrontées à bien des difficultés à surmonter. Cela a donné toutes les personnes qui ont autant de formations que cela de nos jours et permis de comprendre que plus on a des chances d’avoir de la diversité à sa table tandis que sinon on ne pourra avoir qu’une saucisse ou du saucisson ou un poisson, c'est-à-dire des choses faites pour les paresseux qui vont ainsi éviter de se donner du mal à faire de la cuisine. Il s’agira avec ces personnes toujours et seulement de personnes qui vont donc vouloir faire partie de la catégorie de celles qui seront ainsi confortées dans le désir qu’elles ont d’en faire le moins possible, par conséquent de devenir des déserts, en fait une mentalité d’adolescents, de personnes non mariées qui savent qu’en se mariant pour avoir des enfants, il faudra ajouter des peines et des difficultés quotidiennes supplémentaires à toutes celles prises. C’est ainsi que pour ces raisons certains apprennent à faire la cuisine et découvrent un jour la vérité sur tout, parce qu’ils ajoutent efforts aux efforts, des peines toujours à l’infini plus difficiles que celles de la veille. Cette mentalité de « plus on en fait » qui n’est pas naturelle du tout est pourtant celle de certains êtres humains occidentaux, dès l’enfance confrontés à la nécessité d’étudier et appartenant à des familles très exigeantes (à l’inverse il y a toutes les familles de décadents, qui cherchent à en faire le moins possible, qui donneront tous ces enfants-gâtés, pour qui la moindre chose qu’on leur demande de faire pose un problème. Ils sont nés fatigués et feraient bien de rejoindre ces ancêtres des esquimaux qui pour rejoindre leur lieux de travail, le trou où ils n’ont plus qu’à attendre comme des ours, n’ont que quelques heures de marche tout au plus, comme l’ouvrier ayant une demi heure à une heure d’autobus pour se rendre au travail. Mais son travail est de n’avoir rien à faire, comme le chasseur qui n’a qu’une belle promenade hygiénique à faire et une petite chose à faire qui, il est vrai, exige une certaine adresse, mais qui n’a d’aucune façon exigé de longues formations scolaires). Les douze années de formations scolaires jusqu’au baccalauréat équivalent à deux mille jours de formation. Ensuite il y a les milliers de jours de formation universitaire pour arriver aux premiers jours d’expériences professionnelles pour les doctorants. Il est normal que nous trouvions, à cause de pareils traitement de choc des différences génétiques importantes entre un descendant d’esquimaux et des personnes qui depuis plusieurs générations sont les descendants de personnes qui ont subi de pareilles peines. Il est normal que ces êtres humains « universitaires » ou « chercheurs » ou « ingénieurs » ou « architectes » ou véritablement médecin ou chirurgiens, après de pareils efforts, finissent, d’autant plus qu’ils ajoutent les efforts pour constituer une famille, par se délivrer de cet égoïsme ou de l’enfant-gâté en eux qui sait que la nature tout autour peut lui offrir, s’il chasse en analphabète, de quoi manger à peu de frais. On comprend donc que c’est bien l’ignorance, au mauvais sens du mot, de celui qui cherchera à en faire le moins possible, à être un planqué pour s’en sortir, qui a conduit ceux-ci à croire possible tuer des animaux pour survivre en n’ayant qu’à se promener pour cela. A l’inverse le photographe, celui qui a troqué son fusils pour une caméra vidéo, s’est mis à étudier et à admirer, comme à essayer de comprendre la Nature. Deux états d’esprit : le premier qui conserve les traditions de ceux qui ne veulent faire aucun efforts pour se donner des peines pour comprendre vraiment (en ayant à étudier les différentes matières) et de l’autres ceux qui ont fourni ces efforts dont tous les autres ne vont profiter qu’en parasites, c'est-à-dire précisément avec cette mentalité des ancêtres des esquimaux (que nous avons retrouvé dans certains partis politiques qui se sont tristement illustrés dans le passé par des conceptions de profiteurs et d’ignorants, au mauvais sens de ce mot) qui seront assurés d’avoir du travail dans une entreprise non loin de chez eux, comme le père esquimaux part tous les matins à la pêche, en étant plus ou moins certain d’attraper quelque chose, en raison de la loi de la probabilité qu’il n’a cependant pas pu étudier et qu’il a raison d’attribuer, s’il en venait à la connaître, à un grand esprit ou à un dieu quelconque esquimaux, car c’est effectivement à lui qu’elle revient comme toutes les autres lois.

[67] En effet le harpon est venu des pays plus au sud les aider, en échange de peaux et autres produits de ces chasses.

[68] Picasso a beaucoup copié les grands maîtres avant d’en devenir un lui-même.

[69] C’est grâce à lui que des gens qui méritent la mort sont graciés et que des médecins se sont spécialisés dans les professions de vétérinaires pour soigner les animaux.

[70] (en fait dans une recherche spirituelle œcuménique des religions à toutes les sauces ce qui traduit ma nature d’Empereur Universel Co(s)mique qui, vous le savez, en ces temps de microscope électronique est contraint d’étudier au cas par cas dans le cadre de la civilisation de la mondialisation des échanges commerciaux que mon père s’est ingénié, sous mes conseils de futur, à bâtir pour le Bien et l’Intérêt Général)

[71] (ceux-ci n’ayant pas pensé qu’ils ont besoin de garder de l’énergie pour avoir la force de travailler à des choses plus utiles pour ne plus être un enfant-gâté à la charge de la civilisation)

[72] Or il y a des choses qui sont difficiles à expliquer ou si complexes qu’elles ne sont compréhensibles qu’écrites et engendrent des sons faux y compris de telles difficultés aux enseignants « initiés » ou affranchis du mensonge qu’ils préfèrent ne pas se lancer dans des explications étant donné que c’est effectivement très difficile. Par où commencer, quand on ne sait rien du niveau de l’autre, du degré initiatique ou simplement d’études ou de recherches véritables des profanes. Aussi cela a engendré certainement, au cours des siècles, des ras le bol tels que nombreux n’arrivant pas à trouver les mots ou à construire les phrases avec les paramètres, par écrit aussi, ont été contraints de se spécialiser dans d’autres catégories que la philosophie, la théologie ou l’architecture puisque le processus qui permet de se délivrer de la condition profane est inénarrable comme en réalité le propre de chacun de ceux qui y sont parvenus ou alors qui sont nés naturellement délivrés de cette condition, ce qui les rendra très handicapés et qui nécessite alors une reconnaissance de la part des initiés – ce qui a conduit par exemple au fait que le Dalaï lama a été reconnu comme réincarnation du précédent, par exemple.

[73] – comme un chien obéit aussitôt qu’on l’appelle, si on l’appelle avec une voix gentille et amicale mais ne se comportera qu’en chien, puisqu’il n’a pas encore pu accomplir la métamorphose lui permettant de devenir un être humain conscient –

[74] Qui se caractérise bien par l’égoïsme et l’intérêt seulement de lui-même et à quelques moments de l’autre. Mais ce qui l’importe c’est d’avoir une bonne place ou d’être chez un bon maître (en égoïste et en enfant-gâté) qui n’oublie pas de lui donner à manger et qu’ils accepteront de servir en obéissant aux ordres si le maître leur a appris à faire une chose précisément. C’est pourquoi ils feront des choses faciles en ayant appris au préalable une méthode mais en ayant hâte de revenir chez eux pour se reposer et en faire le moins possible (ce qui a contraint aux rémunérations y compris pour certains chefs d’Etats qui ont cru pouvoir occuper la place de véritables chefs d’Etat).

[75] Ou ceux qu’un chien ou un chat n’est pas capable d’accomplir bien qu’un chien soit capable d’être sauveteur y compris en montagne (les saint-Bernard)

[76] Mais la situation a voulu que nous en fassions état y compris pour nous en prévaloir et qu’on respecte enfin nos droit d’être humains au plein sens de ce mot (donc délivrés de l’ineptie et des corollaires liés aux personnes inconscientes )

[77] Mais il y a des personnes qui croient pouvoir ignorer des injonctions ou des ordres véritables ou des vérités et qui se sont permis, pour des raisons personnelles, de vouloir aller contre moi – c'est-à-dire contre elles-mêmes (ce qui n’est pas intelligent).

[78] Et je comprends que j’ai ici des raisons de plus de mettre un terme à ce sacrifice avec Christine en la récupérant, bien que mariée (ce qu’il va falloir que l’Eglise accepte ou alors annule son mariage, ce dont je ne crois pas qu’à ce stade elle veuille se rendre responsable (et coupable), bien que nous sachions ce que nous avons souhaité comme mari pour Christine en raison du canonique de la situation et que son mariage est nul – juridiquement y compris pour Dieu comme normalement pour le Grand Architecte de l’Univers aussi. Mais peut-être y a-t-il de l’amitié entre ces aujourd’hui déjà anciens époux ou une complicité qu’ils veulent conserver – ici c’est à Christine et à moi de décider y compris à Florence Loewy car il se pourrait qu’en raison de ce que nous avons tous endurés, il y a ait des réticences générale à ce que Michèle qui s’est rendue coupable malgré elle – mais en le cherchant – d’incarner la vieille Eve, puisse devenir, grâce à toutes les femmes qui ne sont plus profanes et qui se sont délivrées de l’enfant-gâtée, une impératrice véritable. Mais il ne faut pas oublié que cela s'est passé quand Michèle était adolescente, c'est à dire en 1977. Depuis elle ne l'est plus et fait partie des femmes qui se sont délivrées de l'enfant-gâté. On peut avoir confiance en elle pour incarner l'une des impératrices véritables, voire l'impératrice si les autres y renoncent).

[79] (il est probable que pour ceux qui ont vu leur taille se réduire autant que cela au point de pouvoir voler invisibles et ne plus être soumis aux lois de la gravitations, les fous au SPNNM[.] : au sens positif et non négatif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)),soient ces personnes immenses qui ont conservé un véritable poids en ayant eu à grandir en sagesse y compris en savoirs et en discernements divers mais en étant très incommodés par leur taille dans tout ce qu’ils doivent calculer et penser y compris concevoir)

[80] Il se pourrait que cela soit dû au fait que je suis l’ensemble des empereurs en un seul, mais ce n’est qu’aujourd’hui  15 avril à 21 heures quarante que, bien que j’y ait réfléchi plusieurs fois, j'arrive à l’inscrire comme une probabilité en ayant de sérieuses chances d’être vraie.

[81] Mais qu’appelle-t-on bandit ? En fait des personnes profanes qui sont encore inconscientes et qui ne le sont que parce que la situation est bloquée depuis que la vision d’Atlantide a disparu. Entre eux les bandits s’estiment d’une façon un peu semblable à celle de ceux qui ne sont plus bandits. S’ils sont hors la loi, ils obéissent aux lois qu’ils ont en commun un peu comme les autres qui respectueux des lois ou les connaissant ne sont que confrontés aux innombrables problèmes qui découlent de l’existence de celles-ci, soumises au paramètre du temps et de la chronologie.

[82] ou à hériter du

[83] Mais l’inconvénient c’est que j’ai un poids et une véritable dimension dont les gens ont pu voir qu’elle va réfléchir celle de chacun bien que tous aient pu vérifier à Rome dès 1975 que déjà dès 1965 j’étais immense.

[84] Il y a donc des principes ou des accords entre deux personnes de sexe complémentaire en vue de constituer une famille. Mais en ce qui me concerne la situation devrait me contraindre à en constituer plusieurs de légitimes chrétiennement parlant, d’autant que c’est sur la base du sacrifice canonique que vous savez voulu avec l’Eglise que j’aurais à affronter une telle perspective impériale. Cela signifierait que dans un cas comme le mien de personne « adulte » ou enfin débarrassées (de nouveau) de l’enfant-gâté ou du profane (voyant les choses en vérité, donc en responsable ou en homme de conscience), des hommes semblables – mais y en a-t-il ? - auraient le droit d’avoir légitimement plusieurs épouses et plusieurs familles en toute légalité mais en donnant ce droit aussi aux femmes choisies (réciproque possible) et chacun des mariages célébré par l’Eglise, si ces personnes le désirent (cela peut se passer à des âges différents puisqu’un homme peut avoir des enfants jusqu’à assez âgé). En effet la maturation de l’être humain masculin est très différente de la maturation féminine (biologiquement parlant) et les femmes sont depuis toujours injustement pénalisées puisqu’elles se doivent à la fidélité avec un seul partenaire alors qu’elles ont peut-être des besoins physiologiques plus important qui ont été assimilés souvent à une certaine forme de « voracité » au point que la pensée sur la vertu ou le vice s’est ici posée. Or, c’est peut-être plus compliqué que cela : la femme ayant deux maris ou un maris et un futur mari n’est peut-être pas aussi coupable que les hommes l’ont cru et n’ont pu le croire que parce que la situation était bloquée et qu’il y avait une très grande frontière entre le profane et le non-profane dont les termes ont fait l’objet de définition précises en raison d’une pensée pendant longtemps uniquement masculine (et patriarcale) reproduisant des schémas anciens ne tenant pas compte de l’évolution de la condition féminine de nos jours et de sa « libération » qui n’est pas forcément celle d’une « profane ». En effet, une femme non profane, s’étant délivrée de l’enfant-gâtée en elle, est qui donne la vie devrait avoir le droit de choisir avec qui, naturellement en fonction de son inclination et du fait qu’elle se sent véritablement aimée en retour. Notre époque lui permet d’envisager d’avoir des enfants en étant la mère sans avoir besoin de son conjoint. Mais il y a heureusement les vraies histoires d’amour qui débouchent sur des mariages car ce qui importe c’est de proposer une structure d’accueil aux enfants qui soit harmonieuse, donc composée du père et de la mère – c’est donc le bon sens qui a créé et institué le mariage tant juridiquement que religieusement d’autant que la femme qui attend un enfant a besoin d’aide dans la société ou dans la civilisation actuelle plus encore peut-être qu’autrefois. Mais d’autoriser plusieurs pères différents permettraient de sortir de l’idée qu’on a des adultères (est-ce qu’une femme s’étant débarrassée de l’enfant-gâté en elle est coupable d’aimer ? Non. Pourquoi nos mères seraient coupables de s’être mariée pour avoir leurs enfants et les élever pour les offrir en mariage ? On pourrait sortir des péchés et autres inepties qui sont issues des diverses formes de jalousies ou qui contraignent les femmes à devoir mentir. On comprend que par certains aspects il y a une forme de phallocratie inadmissible de leur point de vue. Mais nous héritons d’une civilisation qui a été pensé par des hommes ayant cru pouvoir brider la liberté des femmes ou la « libérer » en étant à l’origine de la femme prisonnière de l’ineptie et donc qui a des risques de devenir une enfant-gâtée et le corollaire. Ce que j’envisage comme trèfle ou plusieurs épouses donne à chacune le droit de faire ce que bon lui semble de sa vie et d’avoir mari, amant ou ce que bon leur semble étant donné que je ne veux pas me transformer en geôlier et que si je choisis une épouse c’est que je souhaite son bonheur comme je lui fais confiance d’avance. Pour arriver à vouloir le mariage avec une personne c’est qu’on est devenu ami avec cette personne au point de la considérer comme sa propre sœur ou sa propre mère ou tante ou grand-mère pour peu qu’on ait eu la chance d’en avoir eu une cherchant à faire notre bonheur.  

Cela permettrait aussi, je l’ai dit dans les divers courrier, à cette civilisation de la globalisation des échanges culturels un rapprochement avec le monde musulman – sans pour autant du tout nourrir pour la femme certaines attitudes que l’Occident ne peut d’aucune façon plus admettre - ou celui bouddhique ou même un rapprochement avec certains animaux ou plusieurs femelles entourent un mâle (cerf) et vont avec leur faons. C’est le cas aussi chez les lions ou plusieurs femelles sont attachées au même mâle. Mais nous demeurerions dans le monde des êtres humains délivrés de la condition profanes, mais ce qui serait nouveaux c’est qu’en raison de la longévité de la durée de vie des hommes et des femmes (des vies beaucoup plus longues, voire même la disparition de la mort) que les dames auraient le droit, puisqu’indépendantes financièrement et autonomes  - la femme moderne – d’avoir plusieurs époux légitimes qu’elles pourraient avoir à des âges différents (pareil pour les hommes en demeurant pourtant mariés aux époux et époux précédents : le fait d’avoir ce droit pourrait agir comme une sorte de contrainte pour que le garçon veille à toujours bien se comporter car sinon il aura des difficultés avec le second époux ou troisième comme cela a été le cas grâce au divorce que les femmes peuvent obtenir (évidemment tout cela contraindrait à un véritable hygiène de la femme comme de l’homme). Cela pourrait être mal vécu par certains faux adultes qui n’ont jamais voulu comprendre les femmes et qui, à cause de cela, ont voulu les rendre « prisonnières » à cause d’une possessivité maladive. L’amour ce n’est pas rendre l’autre esclave et prisonnier : s’est permettre à l’autre de se libérer (délivrer), d’être libre y compris d’aimer autrui : la preuve cela donne des enfants auxquels on s’attache pour les élever et espérer leur bonheur dans cet état d’esprit. Mais encore une fois l’Ensemble m’a contraint à explorer le moyen de sortir du mariage impérial monogame en acceptant néanmoins que je veuille demeurer fidèle aux valeurs religieuses qui ont fondé les différentes civilisations dorénavant reliées ou mariées entre elles malgré leurs différences ou leurs retards. C’est comme si on avait voulu qu’à cause de toute cette histoire j’en tire, en Occident, les leçons de cette manière. Mais il faut tenir présent à l’esprit que ce qui est possible à ma personne (qui gère les innombrables dossiers que vous savez) n’est peut-être pas à la portée de tous les êtres humains encore). En effet, il faut avoir une conscience du temps comme je l’ai et personne n’a encore cette conscience ou la même notion du temps à laquelle je suis soumis. Je l’ai vérifié : à l’état de profane le temps n’existe pas ou pratiquement pas et il n’y a pratiquement pas de capacité à discerner et à différencier chacun des instants vécus, les uns des autres, à les analyser alors que dans mon cas chacune des fractions de seconde dure bien plus que des milliards et plus encore d’années entières que chacun des êtres humains vivent. Aussi chacune des choses y est totalement nouvelle et s’inscrit dans un dossier et une catégorie différente et c’est pourquoi je puis même envisager plus de vingt cinq femmes différentes mariées chrétiennement à ma personne sans éprouver la moindre honte et sans avoir donc à rougir de quoi que ce soit ou à devoir me cacher des autres. C’est pourquoi je n’éprouve aucune honte à l’idée d’enregistrer en vidéo ou en cinéma mes ébats amoureux avec ces femmes à qui je serais fidèle avec tous les devoirs inhérents à ce mot.

Mais comme nous sommes dans un monde où les jeunes filles se sentent toutes rivales les unes des autres y compris les garçons, ma façon de faire pourrait être incomprise et c’est pourquoi je suis contraint, en légitime défense, d’avoir recours à l’aspect légitime du mariage par l’Eglise car ce que j’envisage comme union n’a rien seulement de profane. Pourquoi ? En témoigne pour nous ce sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) que nous avons été contraints de faire sur ce que l’Ensemble a voulu que nous  vérifions et entendions - au sens de comprendre - par le mot d’"amour" et les notions de Bien comme d’Intérêt Général, c'est-à-dire lié à ce que nous concevons à propos de la notion de « famille » y compris à constituer spirituellement parlant, donc humainement parlant dont basée sur la compréhension du mot de « sacrifice » à l’époque contemporaine. Une façon de voir l’amour qui n’existe pas dans le monde profane car celui-ci n’est que lié à l’éros et demeure souvent très éloigné de l’idée que celui-ci puisse avoir avec « agapè » qui bénéficie des sommes de toutes les solutions élégantes trouvées dans chacune des civilisations depuis des millénaires ayant permis de se libérer de la condition profane en raison de l’être humain autre que seulement rivé à sa nature sensuelle ou érotique « à première vue » belle, naturelle et animale. Toute l’architecture y compris les automobiles ou les avions ou les instruments de mesure nous ont fait comprendre que l’être humain n’est pas seulement animal mais bien « animal pensant » conscient chronologique, à tel point que nos dossiers ou nos fichiers informatiques portent une date et une heure d’enregistrement. Oui, mais comment le faire comprendre à celui qui n’a jamais appris l’alphabet et a perdu la notion du temps ?

C’est aussi l’Eglise qui a voulu que Christine et moi ayons à donner cette preuve par ce sacrifice maçonnique bien qu’elle avait largement les moyens de s’y opposer et ne l’a pas fait (comme elle aurait dû de mon point de vue le faire pour protéger le Mariage tel qu’il avait été institué par elle). C’est l’Eglise qui, alors qu’elle aurait pu se révolter contre l’idée de sacrifice renouvelée en 1975 pour la seconde fois n’a pas voulu (à première vue) le bonheur de Christine et le mien et a souhaité que par ce sacrifice j’ai à vivre ce que j’ai eu à vivre avec Michèle Finck pour en arriver là. Très certainement l’Eglise était alors aux prises avec ses contradictions des années 1975, avec ses différentes tendances, avec le nouveau Pape que j’ai imposé du futur, le premier pape étranger à l’Italie depuis des siècles, avec les problèmes liés à l’avortement, le divorce, avec ses propres traditions incomprises, avec des personnes qui, bien qu’âgées et investies de grandes charges d’évêque ou plus encore n’arrivaient pas à imposer leurs vues aux autres comme permettre de parler d’une même voix pour nous éviter cet atroce sacrifice à cet âge-là, ce qui aurait pu m’éviter d’avoir à montrer de nouveau comment amnésiques on se profane, on devient sacrilège de soi-même, on ne comprend plus grand-chose, on se perd, on n’arrive plus à penser justement et on devient indigne des jeunes filles ou de ses propres enfants dans cette qualité là qui n’en ai pas vraiment une. Mais il faut prendre ce qui s’est passé de très grave à cette occasion, sur ces trente années en cherchant à y voir ce qu’on doit donc, en raison de cette expérience, accepter de comprendre il va falloir changer puisqu’on ne peut pas ignorer, dans certains cas, des paramètres qui font notre modernité mais qui tous soulignent que les enfants ne naissent pas de nos jours pour avoir à subir des formes d’exploitations, y compris des chantages sexuels, mais en étant d’avance destinés à une promise ou un promis, ce qui signifie qu’on doit comprendre naturellement que l’autre est destiné à une véritable histoire personnelle susceptible de le contraindre à devoir assumer des responsabilités familiales. L’ignorer ou vouloir l’ignorer comme certains célibataires devenus aveugles et sourds ou cherchant à s’encrer dans une forme de mauvaise foi profane s’entêtant à ne pas vouloir admettre que d’autres dimensions existent que celle de célibataire endurci ou « égoïste », celles de ceux qui ne sont plus profanes et qui ont, à cause de cela, à cœur cet état d’esprit plus conscient, c’est vouloir continuer à faire fausse route et à se conduire en irresponsables ou en personne se voilant la face comme les autruches. Peut-être qu’effectivement « à première vue » cela peut paraître seulement profane d’avoir plusieurs épouses et de désirer en avoir une autre comme Charlie Chaplin ou Picasso. C’est pour cela qu’en ces époques là, puisqu’ils n’étaient pas musulmans, il y a eu le recours au divorce car, en raison des préjugés, l’Eglise ne pouvait admettre à l’époque qu’un chrétien ait plusieurs épouses (pourtant elle a conservé plusieurs tableaux que Picasso a offert et aurait pu comprendre qu’elle avait à faire à chacun des nouvelles périodes de ce peintre à un artiste totalement renouvelé, différent). Il faut admettre que le mariage ne doit pas signifier un synonyme de « prison » ou d’avoir le droit de s’engager à signer pour une vie de prisonnier ou de prisonnière de l’autre au point de rechercher, comme certains la fermeture d’un cadenas. C’est plutôt le contraire, avoir enfin la clé pour l’ouvrir et rendre l’autre libre (avec toutes les notions qui y sont liées): car c’est ne pas comprendre ce à quoi sert un cadenas. C’est une aberration de rechercher cet état d’esprit, celui du geôlier ou de la geôlière, au mauvais sens de ce mot : mais on comprend aussi qu’un cadenas fermé peut être compris comme permettant d’arriver à l’anneau de fiançailles, voire de mariage : peut-être pour permettre à la porte de « la cage de l’oiseau de s’ouvrir » et à celui-ci de s’échapper. La preuve : le mariage ouvrant sur le droit de constituer une famille protégée par le Droit offre un lieu où va advenir une nouvelle époque en la personne des enfants et, bien que liés à eux, cela ouvre normalement le champ à de nouvelles découvertes ou du moins à la possibilité de continuer son évolution à l’âge de parents, grâce à ce qu’on apprend de la vie par les enfants et que certains avaient oublié. C’est pourquoi c’est peut-être grâce à l’Eglise et aux divers résultats de ce sacrifice maçonnique qu’elle a voulu, qu’une salutaire remise en question de l’Eglise au sujet du mariage aura lieu de toute cette histoire à l’époque contemporaine, du moins dans certains cas (sans qu’elle n’ait à aboutir à l’excommunication de la personne polygames, sans aboutir à leur exclusion de l’Eglise. Mais bien sûr cela dépend des cas : il y a des personnes qui peuvent assumer cela, mais il est cependant nécessaire auparavant qu’ils se donnent les moyens financiers d’assumer plusieurs constitutions de familles), une époque où nous sommes reliés entre nous avec les web cam, les téléphones de quatrième génération, les tablettes permettant bientôt de se voir les uns les autres en se parlant au téléphone. En effet, nous prenons l’habitude de nous voir les uns les autres et si pour les puristes l’écriture demeure essentielle pour les véritable échanges amoureux (car cela permet de mieux connaître l’autre comme âme), le téléphone, l’image change aussi les données à ce sujet, bien que nous risquions dans certains cas d’être abusé par l’image ou sa facilité d’élocution par des propos de profanes par conséquent très superficiels et très inconscients. D’où la nécessité de personnes plus conscientes et plus capables d’« encadrer » ou capables de mieux évaluer, suivant les personnes, dans quel cas particuliers nous nous trouvons au sujet de l’évolution de cette personne éprouvant soudain un intérêt pour le mot de « mariage » alors qu’avant, dans l’état dans lequel il était, il n’en voyait pas encore un intérêt ou tout le sens. C’est en ce sens qu’il y a du bien et bien une légitimité dans l’existence du mariage civil trouvant sa complémentarité ou un véritable décalage ou un autre sens dans l’existence du mariage religieux. Le profane a accès à la possibilité du « mariage civil », ce qui lui ouvre des droits. Il doit être absolument tenu de respecter l’existence du mariage sur la plan religieux ou seulement traditionnellement religieux (car beaucoup ne se marient religieusement que pour des raisons traditionnelles). L’ignorer ou contester ce droit au « mariage religieux » est bien pire qu’un sacrilège ou un crime, mais il faut reconnaître que c’est pour le profane qui ne le comprend pas son droit de profane, comme celui de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, qui n’ayant pas été initié à tous les degrés et à toutes les étapes dans une religion précise peut ainsi nous révéler qu’il n’arrive pas à comprendre, comme n’importe lequel des illettrés ou de ceux qui n’ont jamais fait de mathématiques n’arrivent pas même à faire une addition sans l’aide d’une machine à calculer ou sans avoir effectué en véritable écolier toutes les années qui sont nécessaires pour maîtriser, sans l’aide d’une machine à calculer, les différentes opérations élémentaires qui sont confirmées par les résultats que donnent les machines en question comme sur un ticket de caisse à la sortie d’un supermarché ayant offert l’addition des divers éléments additionnés achetés et à payer.  Le profane sait qu’il a intérêt à payer ce qui est marqué sur le ticket de caisse et fait confiance dans le résultat d’une des branches des sciences comptables. Il ne lui viendrait pas à l’idée de ne pas croire ce qu’une machine aussi sophistiquée affirme à moins qu’il ait décelé une erreur et veuille prouver en faisant l’addition lui-même que la machine ne marche pas. S’il n’arrive pas à le prouver en raison du consensus général international lié à la notion d’addition dans le cas de ce supermarché et de ce ticket de caisse qui est exacte, ce qui est inscrit est juste. Aussi il se pourrait que face à certains papes ou certains grandes figures des religions révélées nous étions été comme face à des machines qui disaient la vérité et c’est pourquoi leur en vouloir où ne pas les croire c’est comme si on ne voulait pas croire à l’addition vérifiée exacte d’une caisse enregistreuse. Il en va de même de nombreux écrits ou de nombreuses œuvres d’art véritables. Certes il y a des faussaires et il y a des machines à calculer qui donnent des résultats faux (quand par exemple elles n’ont plus assez de courant dans la pile électrique) ou pour d’autres raisons (comme une montre qui ne marche plus ou un ordinateur déficient ne fonctionnant plus), mais il faut reconnaître que quand la caisse à la sortie du magasin marchait, on gagnait du temps par rapport à une époque où il fallait faire son addition soi-même ou payer après celle effectuée par le personnel. A notre époque ces instruments comptables nous facilitent la vie considérablement et certains d’entre nous ne peuvent même pas imaginer qu’il puisse y avoir encore des lieux où les additions sont faites à la main. Pourtant c’est le cas dans certains pays. On a confiance dans le résultat proposé ou on le conteste dans certains cas. Les spécialistes dans certaines disciplines scientifiques, donc qui ne sont plus seulement profanes, affirment des choses comme des machines très sophistiquées : il ne viendrait à personne de vouloir contester des résultats d’équations ou des figures géométriques ou qu’on a marché sur la lune en 1969. Pourtant il y a toujours des personnes qui n’y croient pas et qui vont dire que les images des premiers pas de l’homme sur la lune ont été tournées dans un désert quelconque. On aura beau affirmer le contraire, la personne est tellement profane, qu’elle est certaine que ces images sont des trucages de cinéma et que cette histoire d'avoir marché sur la lune est une blague. C’est que sont cerveau ne lui permet pas de comprendre pourquoi ce n’est pas une blague comme un profane n’arrive pas à comprendre le mot de Dieu, celui d’« âme » ou d’autres mots liés aux religions et à la « foi ». Mais la condition de profane a beaucoup évoluée dans le bon sens : alors qu’il n’admettait pas cela car il ne pouvait pas y croire (ayant perdu les capacités cérébrales pour comprendre ces mots), il admet qu’ils peuvent être vrais pour d’autres que lui, ce qui rend le profane au moins très tolérant envers les personnes différentes ou lui affirmant des choses pour l’instant incompréhensibles pour lui. Par exemple le profane n’a pas étudié le mot « canonique » et va reprocher à quelqu’un d’en savoir le sens ou croire que cette personne appartient à l’Eglise parce qu’il en sait un peu le sens. C’est que le profane ignore que tous les droits existants proviennent au départ de réflexions canoniques y compris le droit international. Mais il est certain que le mystère que sont les mots comme certaines personnes qui ont fini par les comprendre en vérité va du moins passionner le profane jusqu’à la découverte du fait qu’ils ne peuvent être employés qu’en toute logique.

[85] Auquel bien peu ont accès de façon continuelle car en réalité on est en liaison, comme l’ordinateur avec la mémoire dont on se rend capable à force de l’avoir exercé.

[86] Ici se pose la question très intéressante de l’existence de Dieu et du rapport qu’il peut y avoir dans la parole avec les sommes.

[87] (donc un retour à la raison – comme on répare un vieil ordinateur ou une vieille horloge – puisque la démonstration a été faite que les mariages religieux sont vrais et doivent être compris effectivement comme un sacrement – c'est-à-dire un mot cachant un très grand nombre de chose différentes qui sont, bien entendu, un mystère pour le profane et comme tel, s’il le cherche, à le découvrir – comme ce qui se cache derrière tous les autres mots)

[88] Ce pourra être Dracula qui regarde mais aussi une personne de leur famille ou des inconnus, s’ils décident librement de la mettre en marche ou pas.

[89] Bien sûr pour ceux qui ne sont pas de vrais hommes de sciences conscients de toutes les données, ils ne peuvent pas voir l’intérêt de ces projets car ils ignorent encore cet état particulier de l’être humain délivré de l’égoïsme et de l’enfant-gâté qui au lieu de manger un poisson préfère l’étudier des heures et noter des renseignements à son sujet comme une personne observant un être exceptionnel ou une étoile ou seulement quelque chose de différent qu’il aime malgré le caractère à première vue monstrueux. Pour ceux qui sont habitués à les manger, s’intéresser ainsi à chasser des images ou à piéger les poissons dans des images est cependant devenu une habitude comme ceux qui se sont habitués à manger des choses qu’ils ne mangeaient pas en découvrant les cuisines traditionnelles des autres pays dans les grandes villes. Des personnes ayant des idées arrêtées et sûres se sont vues changer d’avis dès qu’elles ont appris des choses qu’elles ne savaient pas. Il en va de même à propos des mots dont on ignore le sens. Tant que le mot n’a pas eu à côté de lui l’image qu’il représente on pouvait croire qu’il ne voulait rien dire. Avec les illustrations les mots ont pris plus de sens. Parfois on se passe du mot et on choisit une image sur la carte d’un menu ou un numéro. On s’attend à ce que ce qu’on a dit ou montré sous la forme d’image devienne l’assiette qu’on nous servira. Aussi nous savons bien que les mots sont sensés, mais tant que nous n’avons pas pris connaissance des explications ou des images, ils sont des écritures insensées. Nous ne pouvons pas cependant croire qu’elles ne signifient rien pour ceux qui, à cause d’elles, vont élaborer des textes signifiants au point de donner des images signifiantes, des séquences signifiantes, selon les spectateurs, différentes. Pourtant, en elle-même l’image n’est pas la chose elle-même qui a la saveur et tous les parfums dans l’assiette. Pas plus que le mot ou le chiffre qui la désignait. D’où vient alors que l’assiette en question qui arrive à table est bien celle qu’on a demandé ? D’un concours de circonstances. De paramètres réunies. De contraintes. Ce n’est que grâce à l’existence de l’argent (des crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD), de la monnaie que cela est possible. C’est malheureux, mais c’est aussi heureux pour chacun : pour le propriétaire du loyer du restaurant, pour la cuisinière ou le cuisinier, pour le serveur, pour celui qui va s’offrir ce repas, pour le responsable du restaurant, pour les fournisseurs, bref pour tous, sauf pour celui qui passe devant le restaurant, affamé et qui dans un état de misère voit que les autres mangent et pas lui. Il n’a pas l’idée d’aller acheter des roses et d’entrer pour les vendre et commencer ainsi à faire des économies. Mais il sait que s’il travaille, s’il trouve du travail, il pourra s’offrir un repas. En vouloir aux capitalistes qui montent des restaurants pour permettre à chacun de manger n’est pas juste comme en vouloir à l’existence de l’argent. S’il y a de la misère c’est parce qu’il y a eu ceux qui ont voulu augmenter le prix du pétrole au lieu de le diminuer - la misère est donc un résultat issu d'une situation artificiellement créée. Ce n’est donc pas l’argent qui est coupable, c’est un état d’esprit, celui de ceux qui spéculent en bourse, non pas pour faire progresser l’Ensemble mais à des fins adolescente d’enfant-gâtés égoïstes ne recherchant que leur propre enrichissement personnel avec l’outil qu’est la Bourse qui, comme l’argent lui-même, a été créé pour d’autres fins de même qu’il y a des personnes qui ont vendu des armes sans scrupules à des personnes immatures ou des Etats voyous en se rendant alors complices des meurtres qui ont été commis par leur intermédiaire. En vouloir à Dieu alors que c’est avec préméditation que la vieille salle des machines a été occupée dans le dessein de nuire aux autres, en ne les voulant dans la vieille salle des machines  que pour adopter ce même état d’esprit nuisible est très minable puisque la situation a créé, en fin de compte, une salle des machines qui est partout dans la réalité elle-même. Aussi les descendants de ceux qui ont voulu arnaquer se sont retrouvés arnaqués par eux-mêmes et il se pourrait que Dieu était au courant de cas de figure avant-même qu’il fut.

[90] Car, dans ce cas, se sera handicapant de demeurer ou de chercher à devenir quelqu’un de bien.

[91] Comme avec le droit de fonder une famille sans que les enfants puissent vous le reprocher : légitimement, en toute connaissance de cause.

[92] Ou avec une conception de l’honnêteté qui est restée celle des profanes n’ayant pas encore compris que la situation a déclenché, à l’échelle globale, une direction ou un mouvement général qui donne individuellement à chacun la possibilité de s’affranchir de cette condition.

[93] Comme certainement ils ont dû avoir honte au cours des années 1973 à avril 1975 ne comprenant pas pourquoi je faisais des bêtises, en ayant déjà montré combien ensuite l’état obtenu est mathématiquement celui d’une personne prisonnière de l’ineptie et de toutes les pensées corollaires, avec les conséquences graves pour l’Ensemble.

[94] En effet, ce qui est étonnant c’est qu’il ne lui est pas venu à l’esprit de me dire de cesser. Comme quand on a la preuve qu’on s’est trompé et qu’on est, en toute cohérence, contraint à rebrousser chemin. Non, il me laissait continuer, fasciné par le nombre des pompes qui ne cessaient d’augmenter, sans penser une seule seconde que cela pouvait m’être pénible et qu’il avait à dire qu’il avait compris, que cela suffisait. Il a fallu que cela soit moi qui m’ingénie pour lui faire comprendre qu’on pourrait arrêter après la centième, tout en poursuivant. Comme si les chiffres ou le nombre des pompes que visiblement je lui démontrais être capable de faire alors qu’il avait prétendu le contraire, ne pouvaient pas interagir avec la cohérence du défi lancé au départ. De mon côté, je ne pouvais pas encore imaginer qu’il pouvait y avoir anguille sous roche et qu’il avait oublié ce point de départ à cette situation absurde qu’il m’imposait et que je vivais en toute conscience et de façon cohérente ou logique avec le sens donné aux mots entendus. Je compris qu’il n’y avait, de son point de vue, que moi qui les avais compris ainsi en vérité, avec les conséquences que j’allais endurer et m’imposer, car lui, à ma place, n’aurait pas même essayé de se fatiguer pour me prouver qu’il avait tort. C’est en inconscient qu’il m’avait lancé ce défi et je ne m’en étais pas rendu compte, puisque c’est en personne consciente et en intellectuel que j’ai reçu sa phrase en la jugeant émise par une personne semblable à moi.

[95] Celui qui est profane pense totalement faux, agis faussement et follement au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), se conduit faussement, dans le sens contraire au bon sens qui est le seul sens qui permet de penser justement comme de concevoir justement dans l’Intérêt Général et pour le Bien général y compris de ceux qui sont profanes. Ils ne peuvent que « faire semblant » et copier sur les autres et ils croient que les autres agissent avec les mêmes desseins qu’eux. Le profane, en fait, ne raisonne même plus justement d’un atome car il ne comprend pas la logique de l’autre qui agit avec droiture et charité. Il ne voit même pas que tous les soupçons qu’il a ne tiennent pas compte de tous les comportements désintéressés, au sens financier (pour lui-même) de celui qui agit avec droiture et justice (et même s’il devait y avoir un petit intérêt financier pour lui-même à terme, il est bien normal que ce dernier agisse avec droiture et justice, d’autant qu’il est de plus en plus difficile en ce monde de ne travailler pour n’obtenir rien en échange ou comme les rentiers ou les milliardaires véritables qui ne le sont que pour le Bien et l’Intérêt Général, ce qui devrait être le cas de l’État, s’il était entre de bonnes mains. Le profane sait qu’il est minable, et un moins que rien, mais veut faire semblant de ne pas s’en rendre compte, comme cherche à le faire oublier et ne comprend pas que tout est fait par tous pour essayer de le sortir de sa condition de profane. Il est cependant si minable et si « bas » qu’il ne cherche à s’enrichir que sur le péché qu’il a commis à cette fin, et il croit que ce que les autres possèdent et ont obtenu en vérité sont des choses qui ne vont servir que pour mieux corrompre. Toutes les pensées de ceux qui se sont abîmés loin dans le monde profane sont donc impures, fausses, calomnieuses et blasphématoires – mais seulement à partir d’un certain stade – ils sont donc dans l’état de péché quasiment permanent envers la Création, mais heureusement pour eux ne s’en rendent pas compte car sinon ils seraient très malheureux. Le profane est donc ici aussi dans l’état de sacrilège puisqu’il croit que les autres ne s’enrichissent qu’égoïstement comme lui, puisqu’il est en fait totalement étranger à la notion de Bien et d’Intérêt Général – il ne comprend pas, par exemple qu’un vrai psychanalyste qui consacre de son précieux temps pour tâcher de l’aider ou de l’entendre en sacrifiant ses plaisirs à cette fin, avait bien d’autres choses bien plus intéressantes à faire qu’à prendre ou perdre du temps à cela, parce que celui qui vient le trouver va mal étant donné qu’il est devenu un profane. Gagner de l’argent proprement en étant au service du Bien et de l’Intérêt Général est une notion qui lui est donc étrangère car il est fondamentalement devenu un égoïste et un vorace glouton par conséquent incapable d’aimer en vérité les autres et il sera donc celui qui est fâché ou qui ne comprend pas qu’on le corrige ou qu’on lui fasse une réflexion désagréable qui n’avait rien de méchant ou qui était juste, comme qui était pour son bien. Il est celui qui oublie tout ce qui a été fait pour lui depuis qu’il est petit. Il est l’enfant-gâté. La profane est bien à plaindre et on le voit ici, nous le plaignons d’autant que son espoir serait d’être un jour un vrai gentilhomme, c'est-à-dire l’inverse d’un profane. Mais il est prisonnier du mensonge, des calomnies et des préjugés, comme des différentes vérités relatives. Aussi tous ses actes, toutes ses paroles, tout ce qu’il croit est faux et c’est pourquoi il voit de façon fausse la vie : il n’a jamais étudié à fond et en vérité le dessin ou la peinture et sera toujours dans/de l’à première vue, le jouet et le prisonnier. Plus il continue à être profane, plus il se damne en vérité car il ne comprend pas que ceux qui ne sont pas profanes se lèvent tous les matins par charité pour lui qui n’est devenu qu’un égoïste et qui n’a pas voulu aller jusqu’au bout à faire les efforts qu’il faut pour se délivrer de sa condition de profane et/ou d’assisté comme de soigné par tous les hommes et les femmes et les enfants et les anciens de bonne volonté s’étant délivrés de cette condition là qui est ce qu’il y a de plus impur et de plus pourri, comme à l’origine de tous les malheurs, de toutes les maladies et de toutes les formes de déserts d’autant que cela l’empêche d’être logique dans les calculs les plus simples qui concernent par exemple les sevrages nécessaires à faire aux drogués ou vis-à-vis de tous ceux qui sont sous médicaments – c’est pourtant le cas de tous les médecins qui savent qu’un médicament se prend pendant quelques temps seulement, étant donné que l’état de profane normalement devrait avoir une fin. Pourtant, inlassablement depuis des siècles et des millénaires, tous se lèvent et vont s’instruire tous les matins ou à d’autres activités par charité pour lui et bien sûr se lèvent aussi tous les profanes, mais par charité pour eux-mêmes, en égoïstes. Tandis que les autres qui aimeraient pouvoir s’amuser comme prendre quelques temps à autre chose ou seulement à demeurer au lit et se reposer, doivent se lever pour écrire, dessiner, composer, organiser, ou aller à tous les travaux faits en vérité et qui sont de ceux en réalité ennuyeux et difficiles à faire et en ayant en tête qu’ils ne le font que parce qu’ils le doivent en raison de l’existence du profane, de celui qui ne s’est jamais délivré de son enfance ou de son adolescence, au mauvais sens de ces mots et qui n’agit ou que pense qu’en égoïste et en faussaire. Mais le profane aimerait ne se lever que pour ses raisons là aussi et pourtant s’il n’y avait pas toutes les contraintes inhérentes à la réalité, le profane ne se lèverait que dans le dessein de pécher ou de « fauter » donc de nuire et donc d’être contraire à l’Intérêt et au Bien Général dont il se contre-fiche puisqu’il est devenu cet égoïste et ce menteur car celui-ci a bien sûr, renoncé à cette notion de Bien Général qui a à voir avec la compréhension de tout ce qui est le bien et qui existe réellement dans le monde même privé de la vision d’Atlantide, d’autant plus qu’il y a tous les auteurs et toutes les œuvres qui étant belles et bonnes comme bien faites font qu’on en a pas besoin : il y a trop de preuves que le paradis existe bel et bien sur Terre pour ne le penser que seulement un enfer. Cette notion de « bien » ou de « merveille », il faut être en mesure de les comprendre et le profane ne la comprend pas puisqu’il ne se repaît que de ce qui est mauvais ou du mal sauf quand il fait semblant car cela est préférable pour lui. En réalité, plus il affirme qu’il ne s’intéresse qu’au mal et à faire le mal, plus cela signifie en réalité le contraire puisque le profane est dans l’erreur et donc dans le mensonge continuellement – embourbé en y retombant sans cesse malgré parfois de réels efforts démesurés. Ce qui caractérise le profane est qu’il a oublié et donc qu’il n’a pas la mémoire de tous les paramètres qui auraient pu l’amener à avoir la bonne réaction attendue comme à comprendre justement (rationnellement). C’est cet oubli qui est à l’origine de tous les sacrilèges dont le profane se rend coupable depuis toujours et parfois « à première vue »  naïvement, ce qui n’est pas le cas car certains d’entre eux les font à dessein, par provocation et en éprouvant le plaisir de nuire – ce qui est absurde et totalement contraire à l’intérêt même de l’auteur de ces nuisances. Le profane est donc en état de sacrilège permanent, donc de façon constante, même quand il croit faire le bien, en prenant exemple sur celui qui n’est pas profane, car il cherche à faire encore plus de bien – de son point de vue – que celui qui est limité par la situation dans le bien qu’il peut faire étant donné qu’il n’est plus profane. Le profane disposant d’argent sale (de crédits financiers usurpés (cfu), crédits financiers escroqués (cfé), crédits financiers malhonnêtes (cfm), crédits financiers volés (cfv), crédits financiers trichés (cft),  crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)) croit donc pouvoir faire le bien en corrompant même avec l’argent propre (des crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD) qu’il a pu gagner puisque chaque profane a normalement une activité de façade – une couverture - qui devrait leur permette de faire semblant d’avoir une utilité et donc de gagner de l’argent honnêtement du point de vue des autres qui espèrent à ce sujet, sachant que la route est longue pour qu’un profane change et accède à la Connaissance véritable. Mais comme il est assuré, quoi qu’il arrive, qu’il y a le matelas caché avec l’argent de secours qui appartient à tous les profanes, il perd tout le bénéfice de l’argent propre qu’il gagne durant les heures où il a cette activité (légitime ou utile) pour, de son point de vue, faire semblant de servir à quelque chose ce qui lui permet de pouvoir lier amitié avec les non-profanes. Or, il sert à quelque chose du point de vue de ceux qui ne sont pas des profanes qui ne peuvent plus – en raison des milliers de responsabilités véritables qu’ils ont – les occuper mais qui sont parfois des hobbies ou des choses qu’en vacance, au moins, on a enfin la chance de faire soi-même - et c’est pourquoi ils se sont arrangés pour que ce profane puisse avoir ces activités là pour qu’il puisse gagner de l’argent propre, mais il est capable d’en être mécontent. Il y une partie du profane qui est cependant bonne ou que ceux qui ne sont plus des profanes considèrent comme bonne ou ayant des chances de s’en sortir. Mais le profane n’ayant pas renoncé à toutes ses mauvaises fréquentations, comme à l’assurance d’avoir recours à l’argent sale qui est caché quelque part et dont disposent, comme d’une caisse noire, l’ensemble des malhonnêtes, tout le bénéfice que le profane aurait pu tirer de l’activité rémunérée avec de l’argent propre, ce qui lui aurait permis de comprendre comment tout fonctionne justement, ne lui a, en fait, que servi de couverture pour mieux approcher les autres pour tenter de les corrompre ou pour d’autres raisons libidinales dont il se défendra jouant les sainte-nitouche ! Le profane est donc impur car même quand il est persuadé qu’il n’est qu’entrain de faire que le bien, il ne fait encore souvent que trop souvent le mal. Il a beau jouer les végétariens tant qu’il n’est pas délivré de sa condition de profane, il est ce profane qui fait semblant d’être vertueux et qui n’est végétarien que parce qu’il ne veut pas payer la viande à ses enfants ou le poisson, donc par avarice. Pourtant être végétarien peut contribuer à délivrer le profane de sa condition néfaste. Mais nous avons vu ailleurs que si le profane est devenu impur et néfaste, il ne l’était pas et c’est pour cela que c’est depuis toujours l’origine de la tragédie humaine car tous ceux qui ne sont plus des profanes gardent espoir vis-à-vis de chacun des profanes qui n’agit qu’en fou et en incohérent au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), d’autant plus qu’il est indépendant financièrement parlant, puisqu’il a accès à ces sources de financements occultes. Pourtant il y a des caisses noires utiles et nécessaires et ceux qui ne sont pas profanes savent quand il est nécessaire d’y avoir recours. Même si tous ceux qui ne sont plus des profanes donnaient tout ce qu’ils ont obtenu honnêtement de droit et sans tricher et qu’ils ont préservé pour le transmettre à la génération suivante ou à celle d’après ou même encore plus loin aux leurs ou pour avoir ces choses comme d’éventuelles bouées de secours pour pouvoir se soigner ou soigner leurs proches, en y renonçant, à la charité, ce qui est d’une certaine façon le cas, en confiant leur argent proprement gagné aux banques pour qu’elles le réinvestissent et ainsi que cela permette d’aider des personnes dans le besoin à avoir des activités rémunérées dans les capacités qu’elles ont acquises et en se privant de tout à cette fin comme la plupart des millionnaires ou des milliardaires qui ont des budgets très raisonnables pour vivre quotidiennement en ne disposant plus de leur argent qu’ils ont mis à la disponibilité de personnes qui sont chargées de l’investir proprement dans le circuit de ce qui est utile à tous, même s’ils ne possédaient plus rien en nom propre, le profane continuerait à croire que ceux qui n’ont en fait ainsi plus rien ou qui appartient à l’Etat ou à des sociétés et qui n’appartient qu’à des personnes qui n’avaient en fait pas grand-chose à eux comme bien ou plaisirs en échange de tout ce qu’ils se sont donnés comme mal pour apporter leur contribution et leurs économie au monde, puisque ce qu’ils ont obtenu, ils ne l’ont obtenu que sur de vraies économies et de vraies compétences et en se privant d’innombrables bonnes choses dans d’autres catégories pour l’obtenir, le profane continuerait à se moquer de celui-là et à ne le convoiter que physiquement pour des raisons luxurieuses et pour lui escroquer tous ses biens pour le dépenser et le flamber,  puisque ce dernier, inconscient, n’a jamais connu autre chose que la nécessité de tricher ou de faire semblant, en s’en réjouissant d’avance. Le profane est donc le vrai problème comme en grande partie la cause du problème puisqu’en devenant l’héritier de la vieille salle des machines, il s’est avili à cette condition et à cette mentalité de propriétaire. Il est donc le problème du monde entier, de tout ceux qui s’en étant privé sont heureusement, mais malheureusement, on le comprend, délivrés de l’état de profane – ce qui est donc comme un état de cauchemar quasi permanent comme vie à vivre, puisque le profane est celui qui ne se rendant pas compte, est l’auteur permanent de ce cauchemar – celui qui a pu se délivrer de l’état de profane ne l’a pu que grâce aux conséquences - ou directement - grâce aux textes sacrés ou en finissant par comprendre la liturgie ou ces commentaires des textes fondateurs des diverses religions lus ou improvisés par ceux qui ne sont plus des profanes et qui devraient être en charge de tout gérer par tout, en ayant comme objectif de permettre à chacun des profanes de pouvoir se libérer de leur condition par les différents efforts qu’ils font dans le bon sens. Si le profane savait, même dans les régions végétariennes qui sont à première vue un peu avancées sur bien des plans, à quel point il constitue un problème pour tous, il exigerait de tous de souffrir en proportion de ce qu’il a causé comme dommage à la Création, ce dont il n’a pas conscience puisqu’il ne sait pas ce qu’est la conscience, étant donné qu’il l’a perdu. Peut-être même se suiciderait-il. Ce qui signifie qu’il ne se rend pas compte et croit même être épris de justice et de vérité. Mais il oublie que la Justice et la vérité absolue et ultime tiennent compte de milliard et à l’infini de paramètres véritables et que sachant à quel point le profane est prisonnier de toutes les inepties et du corollaire comme de l’erreur ou du péché, il n’y a que pitié, compassion, à son égard, car sinon, depuis longtemps, ceux qui ne sont plus profanes l’auraient tué pour chacun des instants profanes ou sacrilèges dans lesquels il se complait ou pour ses soupçons maladifs et mépris divers. Tous savent donc dans le monde de la vérité que le profane est malade car il est encore profane et c’est pourquoi ils ont renoncé à le tuer ou à le frapper (car certains se souviennent qu’il est arrivé lointainement à des ancêtres de leur famille d’avoir été, pour commencer, profanes, avant de commencer une autre carrière) mais essaient de lui expliquer gentiment comme passent leur temps à lui pardonner ces fautes, dès qu’il se met au moins un peu à travailler ou à faire semblant ou à faire comme s’il arrivera un jour à se sortir de cette condition malheureuse. Mais le profane ne croit pas à la beauté dans les êtres qui l’entoure puisqu’il est devenu lui-même laid. Laid, il ne peut voir le monde que devenu laid, tel qu’il est devenu à ses yeux : laid. Aussi dès qu’il affirme que le monde est merveilleux, il ment et cela devrait sonner faux, tandis qu’ailleurs quand le monde est chanté merveilleux, il l’est vraiment. Mais le profane n’entend plus comme ne voit plus le monde en vérité et il est devenu si sourd qu’il ne se rend pas compte à quel point de surdité il est, et c’est pourquoi il a du mal pour comprendre la musique et ne s’intéresse qu’aux moments qui font du bruit ou forts, car il parvient un peu à les comprendre sans comprendre qu’il puisse s’agir de colères saines, parfois – heureusement rarement - ou d’autres sentiments, étant donné qu’il ne parvient pas à analyser dans quel registre de sentiments ce qui vient d’être joué ou écrit s’exprime sans qu’on le lui commente ou explique – il a donc besoin de l’auguste au cirque qui lui indiquera quand il faut rire. Tout ce qui l’entoure est donc de plus en plus faux et mort, de moins en moins vivant à mesure qu’il s’est enfoncé dans les abîmes profanes. Aussi tous les bons conseils ne deviennent que mauvais et il devient l’incrédule : le profane est dans le monde à l’envers ! Et c’est pourquoi, par les rêves qu’il fabrique y compris quand il essaie de faire plaisir, il ne se rend pas compte qu’il déplait – et tous se sentant outragés doivent se souvenir que l’autre est dans l’erreur, comme dans le monde du faux - ou parce qu’il voit que certaines personnes ont le droit, pour des raisons d’Etat, d’avoir plusieurs épouses officielles, il va croire qu’il a lui aussi ce droit au harem et le voilà redevenu sûr que la vraie condition humaine est celle du macro. Or, il est un profane qui ignore (ou croit à sa façon) ce qu’est la raison d’Etat et ne fait que commettre sacrilèges sur sacrilèges, sa pensée étant mensongère, sa pensée étant celle de l’enfant mal élevé ou l’adolescent du même ordre, c'est-à-dire celui dont il a pourtant le devoir, avant d’avoir des enfants, si possible, de se libérer, pour faire au moins de ce qui lui reste de temps à vivre quelque chose de bien, d’autant qu’enfin le monde sera vivant et qu’il pourra voir qu’effectivement les profanes sont à l’origine de tous les malheurs et qu’il a bien fait de choisir le monde de ceux qui parlent vrai en affirmant la pureté possible, d’autant le nombre d’exemples qui partout, dans les œuvres d’art, attestent partout de sa présence).

[96] Car quand vous m’avez vu, il me semble que vous n’avez pas compris que c’était l’empereur-bouddha qui s’adressait à vous.

[97] Bien qu’un véritable artiste universel, il se pourrait qu’il ait été quelqu’un qui a eu la foi et malgré l’homme de sciences qu’il était. Il est de ceux qui aurait pu bâtir les plans d’une cathédrale, ce que peut-être certains pourront faire à partir de l’une ou l’autre de ses découvertes.

[98] Voir ici le film d’Orson Welles La splendeur des Amberson.

[99] Je me suis alors souvenu qu’il avait joué effectivement un rôle en 1975, aussi.

[100] Par exemple comme en ce moment entre le Chili et la Bolivie cherchant à obtenir un accès à la mer, leur territoire étant enclavé dans les montagnes. Il est évident que même si le Chili comme le Pérou peuvent s’y refuser de droit, d’autant plus de ce qui s’est passé il y a plus d’un siècle, il leur appartient pour des raison de bon voisinage et par soucis de comprendre légitime cette aspiration géographique qu’il puisse y avoir une zone qui tout en demeurant Chilienne ou Péruvienne pourrait devenir bolivienne, ce qui permettrait à ce pays d’avoir un peu moins à payer pour ranger ses bateaux dans ce port qu’il aurait à entretenir puisque placé sous sa responsabilité, comme s’il entrait en participation dans une société portuaire. Cela permettrait aussi de créer un couloir ferroviaire appartenant à la Bolivie qui n’aurait plus à payer de taxes au Chili pour exporter des produits qui seraient ainsi moins chers et plus compétitifs sur le marché (ce dont le Chili lui-même pourrait bénéficier).

[101] Mais comment le faire, puisque s’est déjà à nous. Mais on comprendra que cela nous donne le droit de retirer des biens à des entités ou des responsables sans avoir à donner d’explications et à les confier à de nouveaux responsables. Cela ne signifiera pas non plus que les personnes étaient incompétentes ou qu’elles sont punies. Il y a d’autres raisons pour lesquelles nous prenons des décisions qui ont à voir avec d’autres catégories auxquelles nous avons accès car nous nous sommes débarrassés de l’égoïste et de l’enfant-gâté y compris du profane adolescent.

[102] A ce sujet nous pouvons illustrer avec les têtes sculptées sur l’île de Pacques.

[103] (comme les vieux écrans des ordinateurs quand ils ressemblaient à des postes de télévision et que nous n’étions pas encore intervenu du futur pour transmettre les détails scientifiques pour permettre d’élaborer industriellement les écrans plats qui les ont rendu plus légères)

[104]  (car, j’ai pu le vérifier sur moi-même, il s’agit d’un véritable poison. Cela nuit à la santé. Donc c’est comme une drogue au sens plus récent de ce mot. Bien sûr aussi pour certaines personnes cela pourrait faire du bien à de très très petites doses et c’est ça qui est drôle. Mais pour cela il faut aller bien ou très bien)

[105] (comme j’ai été contraint par la situation d’après la Seconde Guerre Mondiale de le prendre – comme on devrait être toujours dans cette situation d’après Seconde Guerre mondiale, il se pourrait que les empereurs suivants n’aient pas envie de se ridiculiser comme ceux qui précédèrent mon père et qui ne furent, en fait, que des va-t-en guerre ou des personnes peu préparées à ce métier qui exige des compétences réelles dans tous les domaines, ne serait-ce que pour ne pas se faire arnaquer et donc préserver l’empire des arnaqueurs, y compris intellectuellement parlant)

[106] Nous renvoyons à Un autre cas particulier , hommage à Sigmund Freud» , un petit texte de nous du 5 avril 2013.

[107] (un peu comme Candide arrivé à la fin du livre mais dans une version très différente, car les problèmes recommençaient – je n’avais même plus le temps de penser à un jardinet à cultiver et mes communications à travers le temps ne furent pas faites à la bêche)

[108] 6 avril 2013.

[109] En profitant de cette facilité à n’avoir qu’à appuyer sur un bouton, parfois seulement virtuel, pour obtenir une image ou une vidéo.

[110] (Le plus drôle est que ces personnes veulent être payées et ont même des prétentions salariales qu’il faut avoir prévues, mais il est vrai que nous sommes dans un monde qui ne peut fonctionner que parce qu’il y a de l’argent, (des crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD) puisque nous avons à payer pour le déplacement de chacune des matières premières, dont nous avons tous besoin pour vivre, et payer justement les gens en fonction de la quantité de personnes capables d’effectuer le travail semblablement ou dans des conditions similaires – loi de l’offre et de la demande)

[111] (depuis 1965 et en 1975 et qui s’était déjà produit à partir de 2005, en virtuel, et dont je découvrais en chair et en os que pour la troisième fois j’avais à devoir le revivre)

[112] (c’est comme si on cherchait à expliquer la notion même de « Dieu » : des milliards de bibliothèques et plus encore à l’infini ne suffisent pas : on en a pourtant une idée avec ce qu’offre chacune des chaînes de radio et de télévision ou chacune des spécialités, mais il faut encore penser à toutes ces informations dans le bon sens et avec tous ces contenus qui s’additionnent)

[113] (comme déjà leurs semblables se rendent coupables à chaque instant y compris dans tous les temps futurs)

[114] (la liste des puits de pétrole mais aussi d’autres mines (or, diamants, industries d’aluminium, etc) de matières premières et les principales découvertes qui ont eu lieu à partir de 1975 dans le monde entier sont dues aux différents localisations des coordonnées géographiques que j'ai communiquées (transmises) à travers l'Espace et le Temps du futur avant même d’y être pour à partir de 1975 secourir la Terre qui vivait cette crise du pétrole due aux profiteurs et aux spéculateurs qui ont cru pouvoir handicaper le monde entier en jouant les maîtres-chanteurs sur cette matière énergétique essentielle et indispensable pour le développement raisonné de toutes les économies du monde y compris les plus en retard).

[115] (dans le jardin de pharaon ou dans l’un des endroits qui aurait pu être mis à notre disposition pour jouer et nous former)

[116] (de l’ensemble de la mémoire passé de chacune des personnes. Ce n’est qu’en sachant tous ces éléments y compris tous les référents appartenant à une personne qu’on pourrait faire un travail sérieux avec, mais en tenant compte de tous les paramètres actuels y compris ceux qui ne sont pour l’instant que des inconnus virtuels)

[117] C’est pareil pour les Etats eux-mêmes. S’ils ne sont pas bien gérés, « en bon père de famille », nous pouvons y mettre des personnes qui y feront un meilleur travail (et qui auront été formées pour de telles gestions) ou si nous le souhaitons modifier les frontières. Ce que nous ne préférons pas faire avant d’avoir bien connaissance des dossiers qui concernent pour le moment des personnes qui ont hérité de ces géographies localement, des organisations internationales qui sont sensés nous représenter par des personnes compétentes – ayant de l’intégrité - à ce sujet et négocier pour parvenir par des voies juridiques, de droit ancien y compris coutumier, en raison de la complexité historique de ces dossiers, les uns et les autres sous forme d’ambassade ou autrement – moins officiellement aussi - pour arriver, par la négociation à fonder durablement des socles de paix durable pour ces régions à pacifier.

[118] (grosso modo les cinquante ans d’un adolphe hitler qui n’avait pas su discerner les vérités des mensonges, l’objectivité scientifique de la subjectivité, les préjugés et les calomnies des vérités relatives et qui provenant du XIXème siècle, comme des contradictions qui y régnaient n’avait pas su anticiper dans quel sens allait l’Histoire (ni comprendre le sens de l’Histoire), ce qui a été rendu beaucoup plus facile à l’empereur suivant, mon père, puisque qu’en raison de mon anneau immaculé de mariage, je suis apparu d’avance en virtuel dans le ciel du futur en facilitant ainsi la marche générale jusqu’à la concrétisation de ma personne dans la réalité ce qui devait advenir, si on ne comprenait pas qui j’étais dès l’âge de deux ans et demi en 1965 qu’à partir de 2005, car j’aurais alors l’âge de prendre la relève pour les personnes qui sont en activité, en étant déjà humblement le serviteur du pharaon suivant qui est certainement, de mon point de vue, des milliards de fois plus immense que moi, avec les soucis de sa génération ayant sur son dos non seulement la nôtre et celle de nos ancêtres, mais ayant à préparer le monde du pharaon suivant qui encore plus immense devrait avoir alors, théoriquement, à moins qu’on arrive d’ici là à stabiliser cette démographie insensée, une démographie encore plus énorme à laquelle il aura à devoir donner à manger, tous les jours, et c’est pourquoi nous devons songer sérieusement à coloniser la planète Mars et la Lune car il y a le pharaon d’après encore et celui d’après et ainsi de suite et je suis très inquiet des chiffres auxquels il aura à faire face dès son jeune âge (ne serait-ce que pour celui qui vient déjà tout de suite après moi dans vingt à trente ans, à moins qu’il réussisse à supporter ma façon de voir jusqu’à dans quarante ans (car si c’est la vérité, il y a certainement des éléments de ces miennes vérités qui sont par moment relatives à notre époque – nous ne pouvons voir qu’à quelques années d’ici et s’il devait y avoir encore la Vie dans deux pharaons en raison de ces vingt sept ans où j’ai été profane, j’ai des difficultés pour anticiper au-delà que dans vingt à trente ans, en tenant compte des milliards de paramètres et il est important que nous puissions former des pharaons comme moi qui soient capables de conduire justement des milliards d’individus pour réaliser des objectifs précis en ayant trouvé le même cap que j’ai entrevu à plusieurs milliards d’années dans le futur d’ici (évidemment ces milliards d’années auraient été moins nombreuses si dès 1965 ou 1975 on avait compris qui j’étais et on m’avait rendu la vieille salle des machines pour que je commence avec mon père à restituer régulièrement, selon un programme précis, la vision d’Atlantide (comme on a à changer l’heure d’été et l’heure d’hiver chaque année). Cela aurait fait beaucoup moins de gâchis et au lieu de perdre des milliards de personnes, elles seraient vivantes et en bonne santé et seraient restées jeunes à l’heure actuelle.

Monsieur le Cardinal, depuis que je suis petit les chiffres pour moi signifient des réalités exactes et des conséquences, des devoirs et des contraintes, tout comme les mots qu’on emploie ou qu’on écrit étant donné qu’il y a une logique inhérente à ceux-ci dont j’ai pris connaissance en ayant à anticiper le futur avant qu’il n’advienne aussi exactement que cela sur quarante années, quand ils sont employés dans chacune des catégories, mais j’ai vérifié que quand on devient un profane, ils ne signifient plus rien et n’ont même aucun sens du tout – ils sont alors employés aussi par provocation comme par des personnes qui sont devenues folles (parfois seulement à des degrés peu graves) – ce qui est désespérant pour les autres - aussi celui-ci ne sait même pas pourquoi une chose coûte tel prix ou une personne est payée un chiffre précis : c’est l’ignorance, au mauvais sens de ce mot (comme parfois au bon sens). Grâce à cela le profane dans sa méfiance habituelle fera confiance car il sait que ceux qui vous conseillent pour vous permettre de demander tel prix, et qui appartiennent au monde des gens conscients, savent justement, en fonction de nombreux paramètres qu’on ne connaît pas dans cet état là, ce qu’ils disent à ce sujet, mais comme il s’agit toujours de personnes qui sont un peu comme des souverains alors que le profane débute, il peut s’y glisser ce soupçon et cette méfiance du profane, voire le reproche comme cette forme d’interrogation négative : « comment se fait-il qu’il sache le prix d’un salaire et pourquoi je ne peux demander que cette somme, alors que certainement lui, qui est plus âgé, ou plus avancé, demande plus ? ». Le profane n’est pas une personne juste. Elle est encore prisonnière de son "égo" et ne va donc pas réfléchir en prenant en considération tous les paramètres qui constituent les différences qui existent entre les personnes sur le marché du travail, ce qu’elles ont en commun comme capacités, les charges qui sont les leurs et ignore l’existence du « bon sens » qui fera, par exemple, que chacun trouvera normal de ne rien exiger pour ouvrir une boite de sucre en morceau dans une cuisine pour sucrer un café. Non, le profane est capable de croire qu’il doit être payé pour cela, en oubliant qu’en dehors des manchots et de certains handicapés, il y a des milliards de personnes capables d’ouvrir la boîte de sucre à sa place tout aussi bien et même beaucoup mieux, si c’est, par exemple, fait par un des artistes universaux qui ne bougent ou ne pensent que de façon admirable (cela ne signifie pas non plus qu’on ne doive pas payer dans un monde où l’argent (les crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD) est indispensable le temps consacré à ouvrir cette boîte de sucre par une de ces personnes qui en sont capables – mais comme elles sont des milliards à pouvoir le faire, donc en concurrence, cela va réduire à infiniment peu la quantité de centimes qu’on peut proposer pour cet acte prenant, suivant la dextérité de ces personnes manuelles, et suivant les boîtes de sucre, un nombre de seconde précises – évidemment celui qui aura appris à l’ouvrir sans la détruire aura un peu plus de chance qu’un autre d’occuper la place – mais ce n’est pas dit dans tous les cas de figure qui dépendent d'autres paramètres. Aussi il y a de toute évidence ce problème de l’argent que nous allons devoir régler dans les moindre détails à l’échelle mondiale pour chacun des métiers et avec un ou plusieurs logiciel(s) tenant compte de statistiques mises à jour grâce aux recensements divers dans tous les pays du monde et vous verrez que pour chacune des fonctions ou des métiers chacune des sommes versées correspond exactement à une façon juste qui existe et qui est en rapport avec cette loi de l’offre et de la demande (bien sûr il y aura sur certaines spécialités des ajustements à faire, car il se peut que des personnes aient été injustement payées pendant longtemps pour occuper les places qu’elles occupent ayant nécessité des investissements très importants de leur part ou de la part de leurs familles ou de la société pour les rendre à ce point efficace – je pense notamment à certaines professions médicales ou de chirurgiens spécialisés ou à certains professeurs d’université ou à des ingénieurs ou des architectes – bref à des personnes qui sont trop rares et dont la civilisation a besoin pour avancer et se soigner comme progresser – cette loi de l’offre et de la demande ou des quantités est le socle commun autour duquel se sont organisés tous les commerces de toutes les économies dans le monde entier. Cette quantité de main d’œuvre de capacité semblable ou de matières premières similaires rend plus accessible à tous, des produits qui, sinon, rares, n’auraient été réservés, comme le sont les produits rares y compris les personnes rares, qu’à ceux (sociétés ou nations) qui peuvent se les offrir. On peut déplorer cela à un certain niveau de pensée d’autant plus que nous sommes tous conscients aujourd’hui du caractère unique de chacun de nous et trouver injuste que des pommes cueillies dans un verger ne puissent être vendues sur un marché qu’au prix du marché national ou communautaire (en raison de l’existence des transports commerciaux qui rendent la concurrence impitoyable) que celles-ci aient été cueillies par Dieu en personne ou le roi ou que celles-ci aient été cueillies par la grande quantité de mains anonymes de chacun des saisonniers qui, en concurrence les uns avec les autres, chaque années sur le marché du travail, avant les cueillettes, vont n’avoir, tout comme le roi ou un ministre, qu’à monter sur l’échelle pour décrocher ces pommes ou ces grappes de raisin pour les placer dans la caisse et les mettre dans le camion à cette fin (permettant ainsi au transporteur de vivre, et aux industriels de produire un camion de plus utile, dont les frais qu’il représente auront été calculé dans le prix de chacune des pommes. Évidemment comme le roi dispose de ses émoluments et de ses divers revenus (de famille, historiques, etc.) il ne songera jamais à se faire payer la peine qu’il prend à cueillir ces fruits lui-même et trouvera même qu’il s’agit d’un rare plaisir d’avoir lui-même cet honneur de pouvoir cueillir les cerises ou d’avoir un instant pour les peindre, étant donné que durant l’année la société dont il est responsable (ou le monarque) ne lui a pas souvent offert l’occasion de batifoler par les champs, dans les meules de foins ou de prendre du temps à ce genre d’activités et peut-être même ne sait pas exactement (au juste) combien est payé de l’heure celui qui ramasse de sa main anonyme les pêches qu’il trouve en désert à la fin de ses repas. L’activité de cueilleur de pommes est si rare pour ce roi qu’il est probable que parmi toutes les pommes qui seront à table ce jour-là, celles qu’il aura pu choisir et cueillir de sa main offriront un plaisir à l’assemblée des attablés qui va accroitre les mérites du roi. Évidemment celui qui n’a trouvé comme activité rémunérée pour l’instant que la possibilité de les cueillir (et qui n’est pas maltraité car on ne sait jamais que ce soit Dieu ou le roi lui-même qui se propose pour ce genre d’activité, déguisé qu’il est au cours de cet été là en main d’œuvre comme cueilleur de pommes ou futur empereur de l’empire des cornichons-à-la-russe distribués dans le monde entier tout comme Coca Cola ou la moutarde qui a peut-être un empereur de la moutarde ayant commencé un jour au bas de l’échelle comme main d’œuvre dans une entreprise « quelconque » ou comme aide paysan) ne sait pas pour l’instant pourquoi il y a tant de différences entre chacune des familles en ce monde et va peut-être même croire injuste qu’elles existent. C’est à cause de cette erreur qui est celle de ceux qui n’ont pas voulu comprendre combien la génétique rend différent chacun d’entre nous dans chacune de nos famille (localité et scolarité influençant) qu’il y a eu les atroces et honteuses erreurs historiques du communisme ou du nazisme ou celles de chacun des systèmes totalitaires ayant à chaque fois donné des personnes ne sachant pas différencier et zoomer au cas par cas mais seulement capable de généraliser ou de voir en plan large sans même être de celles analysant. Il s’agit de tous ces chefs  qui n’ont pas compris que chacun des individus sont des cas et des personnalités différentes chacune dotées chacun de ce patrimoine génétique différent comme de parcours familiaux (parfois internationaux) qui fera que certains seront capables plus facilement que d’autres de comprendre des textes ou des formules de mathématiques ou les différentes lois qui régissent notre quotidien dans chacune des disciplines en permettant, par exemple, aux artistes universaux d’être chacun très différents les uns des autres, d’avoir une personnalité propre par ailleurs reconnaissable (parfois aussitôt) comme on reconnaît la facture d’un texte, d’un meuble très précieux ou celle d’un horloger d’un autre quand on est devenu spécialiste dans cette matière (catégorie) ou en peinture ou dans les autres différents arts. En effet, chacune de ces personnes ont le trait qu’elles ont, y compris une sonorité ou une voix précise et c’est pourquoi on reconnaît entre toute celle de Maria Callas, par exemple, d’une autre cantatrice ou une partition de Mozart de celle d’un autre compositeur, comme certains sont capables de reconnaître l’écriture de Stendhal de celle de Victor Hugo, un Turner d’un Picasso et cela bien que la catégorie de la peinture comme de la musique classique propose de très nombreux peintres et compositeurs. Mais pour le profane il s’agit de peinture ou de musique et tous ces détails ne concernent de son point de vue que les passionnés, les spécialistes : il ne peut pour l’instant savoir car il n’a pas encore appris à ranger et à nommer comme à différencier (il s’agit donc de ces qualités indispensables à mettre en œuvre grâce aux enseignements ou à d’autres moyens, ce qui aura pour effet de réussir à reconnaître le style d’un réalisateur de films d’un autre : en effet les films de Visconti, bien qu’italien et de la même époque ou presque de Fellini sont très différents de ceux de Rossellini, italien lui aussi et c’est pourquoi il y a des comparaisons qui peuvent être effectuées sur les mêmes sujets entre réalisateurs différents provenant aussi de régions du monde différentes. On parle de cinématographies nationales bien qu’on ait compris qu’il existe la cinématographie d’auteur. La mise en scène, les choix effectués par ces auteurs pour composer les séquences des images qu’ils proposent sont, suivant les personnes ou les cas de ces auteurs en fonction des paramètres qui les constituent chacun, différents. On parle de l’univers d’Hitchcock ou d’Orson Welles comme on parle en musique d’opéra de celui de Puccini ou de Bizet. Pourtant personne ne sera capable de reconnaître parmi des milliards de pommes cueillies, bien que chacune un petit peu différente de l’autre (parfois de façon infime comme un grain de sable d’un autre ou un flocon de neige d’un autre) les pommes qu’on aura cueillies et qui l’ont été par des personnes qui se sont offertes et se proposent toutes pour la cueillette et si, dans le tas il y a comme pour la première pierre posée par le président de la république pour la construction d’un hôpital spécialisé parmi elles la pomme ou les pommes cueillies par le roi ou Dieu en personne, si ces pommes n’ont pas été différenciées comme la pierre en question posée à l’occasion d’une cérémonie spéciale, elles seront avec les autres ni plus ni moins obéissant aux lois du marché, de la quantité de l’offre et de la demande, ce qui fera chuter les prix aussitôt qu’on saura le nombre de pommes sur le marché local ou mondial cette année là d’autant que personne ne peut manger plus qu’une quantité précise de pommes et que chacun, on le sait – ce qui est bien normal a envie de varier dans son alimentation et a envie de n’être pas contraint à ne s’abonner pour toujours qu’aux pommes et seulement aux pommes, puisqu’il y a les autres fruits qui apparaissent selon un ordre précis sur le marché des fruits et légumes en fonction des saisons, etc. . Donc les pommes choisies dans l’arbre par les soins du roi ce jour là sont un évènement car elles marqueront le début des cueillettes, par exemple et seront un signal aux informations télévisées pour ceux qui sont propriétaires de vergers, si ces moments là ont été enregistrés en vidéo. Sinon ces pommes iront rejoindre indifférenciables les unes des autres les quantités péchées dans l’arbre par les mains des paysans. Cela étant vu, économiquement parlant, si nous acceptons enfin, les uns et les autres, de faire preuve de « bon sens », puisque l’enjeu de la cueillette de la journée, comme de celle à la fin de la saison des fleurs qui a permis la venue de tous ces fruits est de rassembler des quantités suffisantes de fruits pour permettre, si possible, à tous d’avoir au moins un peu de cet apport indispensable de fruits quotidien dans son alimentation, si possible, au prix le plus bas, pour permettre aussi à chacun de pouvoir faire des économies pour les dépenser pour les autres choses utiles ou nécessaires (ou superflues), ce qui sera bon pour tous les autres acteurs de l’économie (et des commerces) y compris permettra à la main d’œuvre de participer à l’élaboration de ces autres produits indispensables).

[119] (qui ne sont que de ceux que seuls les ignorants, au mauvais sens de ce mot, se rendent toujours les auteurs car ils sont la cause des malheurs qui proviennent de leurs égoïsmes dont ils ne se sont pas délivrés, avant de jouer un rôle public d’autant plus qu’ils ont cherché à convoiter des biens qui ne sont pas à eux de droits - reconnus pour les avoir honnêtement acquis, donc avec les droits qui sont liés à chacun des biens matériels ayant des responsables ou trouvés des personnes pour en assumer la responsabilité et l’entretien comme les frais d’exploitation)

[120] (ou de leurs enfances ou adolescence d’enfants-gâtés les ayant rendus comme sourds et comme aveugles, même en ayant des images éloquentes ou des sujets traités par écrits : étant devenus prisonniers de ces différentes formes d’égoïsmes, ils ne seront pas dans l’état d’œuvrer dans l’Intérêt et pour le Bien Général et croiront possibles des choses inconcevables car ils ne recherchent à œuvrer que pour un eux-mêmes qui ne se confond pas encore avec celui de tous les êtres humains et animaux, leurs décisions sont encore de celles d’escrocs, ce qui est regrettable. Parfois il faut passer par cet état de malhonnête, de profane, pour avoir à connaître comme Jean Valjean l’immense difficulté qu’il y a à s’en libérer / délivrer par une succession d’activités toujours de plus en plus difficiles et qui sont seulement de celles honnêtes qui conduisent vers les métiers qui ne sont pas impurs (ceux qui croient possible tuer des animaux aussi utiles que tous les animaux sans défense[s] y compris les poissons qui face aux armes redoutables des êtres humains ne peuvent envisager la survie de leur espèce que si celles-ci sont là pour les défendre et non les offenser et les meurtrir – c’est pourquoi il faut songer à donner des contraceptifs aux herbivores et à limiter les prédateurs au minimum comme à les faire évoluer vers des alternatives alimentaires préférables, ce qui permettra une plus grande domesticité de ceux-ci d’autant plus qu’ils vont naturellement préférer des choses aussi délicieuses que parfumées et qui exigent des élaborations dont l’état dans lequel ils sont les empêche car en étant chien ou chat y compris lion ou loup on ne peut pas faire de ratatouille ou des gâteaux, même si on préfèrerait de beaucoup cela en gourmand qu’on est à des alimentations aussi insipides que les produits des chasses auxquels la situation générale a condamné ).

[121] Aux courtes vues habituelles qui n’ont comme effet de les intéresser qu’au poulailler du voisin ou au troupeau d’un berger dans une région d’Afrique où il y en a : le berger sachant qu’il n’a qu’une pierre à ramasser et à lancer dans la gueule du lion pour le voir détaler comme un lapin, bien qu’il ait à demeurer vigilant car celui-ci attend parfois la nuit pour profiter de son sommeil pour lui voler une brebis, ce qui aura pour effet de sortir tous les lévriers afghans (qui sont des chiens qui sont prévus pour éloigner et chasser le lion notemment dans le désert) et contraindra à organiser cette chasse car le lion s’est attaqué à des animaux domestiques comme les brebis ou moutons, alors qu’il sait n’avoir le droit de chasser que les animaux semi-sauvages ou considérés comme sauvages encore de nos jours. On le sait, notemment grâce au film de Jean Rouch « chasse au lion et à l’arc (1965) » :  un lion qui croit possible manger des animaux d’élevage et s’attaquer aux troupeaux des bergers, comme un ours dans les Pyrénées ou un loup, constitue une véritable provocation et un danger réel pour les êtres humains civilisés d’autant que les chèvres sauvages ne manquent pas ou les sangliers à chasser. Il s’agit de lion, d’ours, de loup ou de tigres qui ne vont pas bien et qui font de la provocation – en Inde – ou qui cherchent à sortir des règles du jeu - qu’ils connaissent pourtant - et qui ne veulent pas être mis en cage ou travailler dans un cirque pour avoir à manger, tous frais payés, en échange, en se laissant cueillir pour cela dans un des pièges qu’on a appris à leur dresser à cette fin (car il y a des ours qui ont envie de se laisser prendre pour avoir à apprendre un métier ou devenir célèbres comme un tigre sous un chapiteau capable de traverser un cercle de feu, - pour les applaudissements - s’il a la chance d’avoir un dompteur qui réussira à lui faire surmonter la peur de prendre feu avec son pelage (ce qui est le cauchemar et la peur des fauves depuis toujours mais qu’il est fier d’avoir vaincu grâce au dompteur ami). Ils ont cru possible l’inconcevable : s’approcher et se nourrir de troupeaux qui représentent pour chacune des brebis un investissement financier important de la part du berger qui doit veiller et consacrer du temps à la santé de chacune comme à les défendre grâce aux chiens ou à des armes à feu ou paralysantes parfois plus radicales que celles d’autrefois plus rudimentaires des cailloux d’une fronde. En échange de la sécurité qu’il offre à son troupeau, avec le droit de le défendre, il  va recevoir ce que produisent ses animaux comme le lait ou comme laine et ainsi, en les apportant sur le marché, les moyens de faire vivre sa famille et d’élever ses enfants. Aussi les bergers sont en légitime défense et ont le droit de se défendre des ours, des loups, des renards, des rapaces ou des prédateurs d’autant plus des maladies que ceux-ci véhicules à l’état sauvage – non vaccinés – d’autant que normalement ils ne tuent pas souvent car ils sont des charognards, mais à cause de cela plus souvent que les autres espèces en contact avec les microbes (ce qui explique les dangers que représentent leurs morsures).

[122] Nous ne sommes pas des loups et les villes dans lesquelles nous vivons ne sont pas des bergeries. Elles ont été dessinées et édifiées par des êtres humains pensant. Des loups ne peuvent pas calculer des plans comme ceux de toutes ces villes dont nous avons hérités.

[123] (ou un organisme, ou une association ou qui que ce soit en profitant de la distance ce qui devrait être de moins en moins le cas en raison du fax, d’Internet,  des vidéophones ou des web cam ou des autres moyens)

[124] (à moins qu’il s’agisse d’un usurpateur, d’un menteur, d’un tricheur, et les corollaires de ces mots, mais comme il s’agit parfois de gens qui le sont devenus malgré eux, il se pourrait qu’ils cherchent, malgré le fait qu’ils sont devenus ces profanes, ces traitres, ces escrocs, et tout le corollaire, le chemin pour retrouver le monde de la vérité, grâce aux activités qu’ils mènent ou pourraient mener et c’est pourquoi on peut prendre la peine de répondre ou du moins d’orienter, bien qu’aujourd’hui Internet devrait leur permettre plus facilement à chacun de trouver les réponses qu’ils cherchent y compris administratives)

Suite de cette première partie de la lettre au Cardinal Vingt-Trois

 

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Révision : 05 septembre 2017