Suite de cette première partie de la lettre de Ses Eminentissimes Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimes Pharaons Magiciens d'Ôz, Sait ni heure des Annô et ... Laurent-Marie (Laurie) Granier à Monsieur le Cardinal Vingt-Trois
Vous trouverez des espaces vide dans cette lettre où les images ci-dessus de ma main s'étant empilées les unes sur les autres devaient s'insérer - dans la version complétée et corrigée, elles seront [re]mises là où elles devaient être.
Avec la lettre ci-dessous (qui se poursuit sur deux autres fichiers de cette taille), il s'agit du brouillon (donc d'un essai de lettre en chantier) de la lettre d'accompagnement à l'Eminentissime Seigneur le Cardinal Vingt-Trois à celle que je lui ai promise -[(dont je lui avais dit qu'elle était en cours d'écriture) lors de nôtre rencontre rapide à l'intérieur de l'Eglise Saint-Jacques-du-haut-pas de Paris (autour du 16 avril 2013 date de ce fichier alors en cours d'écriture - j'ai pu revoir un instant le Cardinal pour lui faire part de cet impedimenta ) avant le déménagement auquel je fus contraint de cette paroisse pour ma nouvelle adresse)]- au Pape, elle aussi depuis lors en chantier (je n'ai pas pu encore la terminer - ce que je me suis promis de faire dans une version que je publierai ultérieurement - en raison de celle-ci d'urgence à faire connaître à Monsieur le Cardinal de Paris comme celle que j'eus à écrire au président sarkozy et enfin à Monsieur le Président Hollande, à cause de ce déménagement forcé (par ceux qui se sont crus des autorités locales (de quartier) mais qui furent à se comporter (sur ce dossier/point) en absolus et total sacrilèges/incompétentes d'autant plus qu'ils s'adressaient à moi leur empereur légitime, le bouddha comme de celui considéré comme/ou pris pour Dieu lui-même intervenant miraculeusement dans/du ciel, en raison de mon anneau de mariage au-dessus de l'époque de 1965 et 1975 (à partir de l'époque de 2005 et années suivantes depuis ce studio parisien) - bref des soi-disantes autorités locales dont je fus la victime), donc une lettre (un courrierIne, variante de courriel) à l'état de brouillon très incomplet (un chantier en cours) mais que j'ai décidé malgré le caractère extrêmement risqué, voire dangereux pour moi, de publier dans l'état (comme la lettre au Président François Hollande) - j'espère que personne ne songera à profiter de cela, dans le mauvais sens du mot de profiter pour me faire des reproches que sans doute je mérite bien qu'on comprendra que l'écriture de tout cela en quelques mois à peine, plus de troix milles pages avec d'autres textes en cours prioritaires, m'ait un peu fatigué et face à l'ampleur des corrections à apporter, en mesurant d'avance le temps qu'elles requièrent, j'ai pensé préférable partager ces brouillons en comptant d'avance sur la compréhension et la discrétion de tous puisque je n'ai pas encore pu m'imposer les au moins deux ou trois autres relectures/corrections qui manquent -{[(en général j'en fait quatre par lettre/article avant de me permettre de l'envoyer, donc elles sont augmentées relues et corrigées [(mais je sais que mes destinataires en particuliers savent bien ce qu'est le chantier d'une lettre en cours et comme je m'adresse à des gens compétants [au du moins censées l'être - comme disposant de personnel [payé - alors que moi pas encore malgré mon âge et ce que je fis pour cette planète comme ce que tous me doivent] capable de faire des résumés de l'essentiel], je suis d'avance certain de bénéficier de leur pleine indulgence en leur priant de bien comprendre que j'avais d'autres desseins, celui de leur faire avoir ces courriers terminés, achevés, et non dans cet état d'incomplétude, de première version encore indigne (de mon point de vue) de leurs yeux, par conséquent que mon intension n'était pas celle de profiter de leur bienveillance ou même de leur indulgence, (mais c'est la situation qui me contraint à leur faire part à travers le réseau Internet de ces courriers incomplets/non finis qui leur étaient destinés)]]- même si toujours incomplètes et insatisfaisantes)]}, en raison du caractère plus qu'infiniment urgentissimissîme (en effet, lisez ces lettres, des brouillons, envoyez de toute urgence (priorité/urgence mondiale universelle) aussi au président de la République française que j'ai écrite après celle qui suscita (peut-être parce qu'incomplète malgré le nombre de pages) l'incompréhension dont je fus victime (et ce déménagement) de Nicolas Sarkozy, malgré cette priorité/urgence cosmique mondiale universelle de l'éviter ne serait-ce qu'en raison des horaires des fossés/douves à infarctus (crises/attaques cardiaques qui concernent les personnes âges) j'avais à continuer de communiquer à il y a trente ans de là où nous étions et vous serez un peu informé de la priorité et de la plus absolue urgence mondiale de la reprise de m/ces [n[v]ôtres à travers moi qui souhaiteriez que je poursuive ce sauvetages de vos parents et grand-parents qui sinon vont tous mourir dans le passé] transmissions à travers l'Espace et le Temps depuis le studio du cinquième étage, face ascenseur du 12 rue du Val de Grâce, 75005 Paris (et les appartements au-dessus et au-dessous en raison des sons émis) qui doi[ven]t donc être exproprié de toute urgence par les services de l'éEtat français, et si le Président de la République le souhaite, en raison de ce que je suis ses pharaons les Hermès les Trismégistes et les ... , le nouvel empereur Laurie Granier-Joussin Aime de Coni de Cours-le-haut ... d'Atlantide ... Lang de [R]Ôz[eau/w/y/s] conjointement [cette expropriation] avec l'éEtat Pontifical, voire avec l'Union Européenne (dont je suis l'un des principaux créateurs, à cause de ces interventions à travers le Temps et l'Espace qui furent entendues/ouïes après la seconde guerre mondiale comme remède d'après celle-ci, et conjointement à mes/Nos vassaux de l'Empire du Commonwealth (s'il veut se joindre à ce financement/investssement) comme l'Organisation des Nation-Unis et la Maison Blanche et d'autres de mes vassaux (Chine, Russie etc. Japon y compris) - (cependant que le financement peut-être avancé en raison de l'urgentissimissime situation par la France (tout de suite) qui sera remboursée progressivement par la participation de ces vassaux (d'autant que les interventions à travers le Temps et l'Espace ont concerné chacune des rRégions (autrefois comme encore en ce jour de 2016 des nations) de cette planète appelée localement la Terre, donc ayant le droit de participer à ce financement, ne serait-ce que parce qu'ils bénéficièrent de toutes les données hyperprécieusissimissîmissimes transmises par mes soins sur l'époque de 1975 et années suivante à raison de plus de quinze heures de transmissions par jour - en moyenne! - d'autre part comme j'ai acquis le droit de battre monnaie à mes divers titres - ce qui m'a permis de créer l'Euro, entre autres monnaies avec les souverains et chefs d'Etats mes vassaux, normalement je peux aussi acheter/exproprier ce studio - mais n'ayant pas encore à ce jour cette monnaie à ma disposition ni des hommes d'armes/gendarmes, je prie le responsable de l'Etat français, comme tous les autres souverains ou responsables des différents éEats de cette planète de s'en charger pour Nous tous).
Vous êtes donc sur le brouillon (première version) de ma/la lettre/courrierIne/courriel/courriAne/... en cours à [Monsieur le Cardinal Vingt-Trois] à partir de la lettre/courriel au président nicolas sarkozy publié en raison du caractère Priorité Cosmique InterRégionale Mondiale Universelle de Sauvetage des Êtres Humains (PCI[R]MUSÊH) dans le passé (où nous sommes en ce moment, ceux qui sont nés avant le 30 janvier 1986 - pas encore ceux qui sont nés après le 30 janvier1986 au jour d'aujourd'hui le 30 Janvier 2016 - bien que cela ne saurait tarder pour eux aussi - dès qu'ils naîtront là-bas dans les jours prochains) sur mon site et évoqué sur ma page face book
Suite de cette première partie de la lettre au Cardinal Vingt-Trois
Paris le mardi 16 avril 2013
Monsieur le Cardinal[1].
[1]
(dont j'ai donné le nom à travers le temps pour
qu'il soit nommé après le précédent dont j'avais
aussi donné le nom pour qu'il soit nommé dans ce
cas de figure de
Ces fichiers qui accompagne cette lettre sont parfois des premiers jets et je
dois vous dire que je n'ai pas eu encore le temps de les corriger (sauf les deux
ou trois que j'ai rajouté - je relis). Pourtant je vous demande de les mettre de
côté ainsi, dans un dossier sans les lire - sauf les nouveaux (mais bien sûr,
vous avez tous les droits de les lire, de me suggérer des corrections le cas
échéant, en vous faisant confiance ici totalement, comme à un grand frère, bien
que comme je vous enverrai corrigé ces textes une fois relus par mes soins, et
les versions suivantes, jusqu'à celle que je vous indiquerai que vous pourrez
lire enfin, officielle, et si vous voulez vous pourrez me suggérer ces
modifications ou ce qu'il vous plaira et cela pour que vous n'ayez pas à perdre
votre précieux temps (que vous employez à faire le bien autour de vous) avec les
précédentes versions. En effet, comme vous le constaterez, je n'ai rien à cacher
à l'Église, d'autant plus que j'ai été baptisé, que j'ai fait ma Première
Communion à Rome à Saint-Martin-ai-Monti ou à Saint-Louis des Français (car si
ce n'est plus très précis dans ma tête – car cela remonte à loin - bien que cela
soit probable que je l'ai faite à Saint-Louis des Français - car en ce temps là
je servais comme chirichetto à
Saint-Martin-aux-monts non loin du Moïse de Michel Ange - c'est que je l'ai
faite à l’époque en étant devenu à moitié un tricheur, ce qui est passé
heureusement après celle-ci, étant donné que j'avais eu une amnésie de 1972 à
1975 qui avait été ordonnée du futur – ce que je n’ai appris que vers 2012 – il
fallait que je me mette en condition d’actor
studio car il fallait que les gens comprennent ce qui s’était passé pour
chacun d’eux et qu’ils ne veuillent pas m’infliger une nouvelle fois une pareille
maladie – et cela m'a contraint, à partir de 1974, à faire toute une série de
réflexions, grâce à ma chienne, en raison d'un Caprice des Dieux qu’elle avait
volé sur lequel j'ai commencé à méditer, pour me retrouver un peu plus loin,
vers 1975, de
nouveau, dans le monde de la vérité – j’ai fait alors aussi ma
Confirmation (pour le coup une vraie, comme l'avait été mon baptême) dans
l'Eglise consacrée du Panthéon à Rome, après une retraite spirituelle à
Tout cela concerne en fait la préparation à mon mariage impérial dont j'entends
vous faire part des étapes, à partir de maintenant, régulièrement, d'autant que
vous aurez compris je ne n’envisage de me marier qu'en état de sacrifice
permanent, puisque j'ai bien compris que dans toutes les nobles familles de
l'eanmeailleur (empire dont le pharaon, moi est l'un des bouddhas), ce n'est que dans cet état d'esprit, qui règne depuis longtemps, qu’on
se marie (par conséquent il va falloir envisager ces différents mariages comme
des sacrifices pour le Bien et l'Intérêt Général). C’est ainsi, si je comprends
bien qu'on a attendu ses enfants pour les consacrer à Dieu, voir à plus que lui,
si celui-ci se soumettait un jour, ce qui est le cas, puisqu’il est ici pendant
que j’écris et partout à la fois, si j’ai bien compris.
Pouvez-vous néanmoins conserver ces textes, ce qui deviendra votre habitude, sur
le disque dur de l'ordinateur que nous avons procuré nous-mêmes, grâce à ces
interventions anciennes du futur (1965 et 1975) à partir de 2005 (en raison de
chiffres et d’autres détails communiqués), à votre diocèse ou sur le vôtre
personnel que vous nous devez aussi (je n’aime pas rappeler ce qu’on me
doit, mais la situation générale m’y force car j’ai besoin de m’établir et j’ai
pensé qu’en rappelant un peu de tout ce qu’on me doit – en fait tout ce qui
fonctionne bien – peut-être cela faciliterait les choses) en me donnant, le cas
échéant, votre adresse Internet personnelle (puis-je vous conseiller en lisant
cette lettre d’avoir un crayon et un papier pour noter ce qu’il vous semblera
utile de noter), d'autant que c'est Nous qui avons fait construire Internet dans
le monde entier par ces interventions à travers Espace et Temps, alors du futur, et parce qu'il me parait normal
de pouvoir vous envoyer ces textes directement à vous, pour que vous les fassiez
suivre, vous-même, au Vatican à l’ancien Saint-Père comme au nouveau qui
jugeront de l'opportunité ou pas de vous éviter de vous occasionner d’autres
dérangements de ce type en renonçant à passer par vos bons soins (je ne vous
cache pas qu'il s'agit d'un petit test que je m'amuse à leur faire comme à
vous), ce que de mon côté je n'envisage pas, car bien que je sois empereur
cosmique universel et … , je trouve agréable que vous ayez comme vos
"inférieurs" (certains le croient) connaissances de ces procédures de lettres de
façon à pouvoir bien juger, en toute transparence, de mes intentions d'éventuel
futur père de famille, puisqu'il s'agit de créer, vous le savez, les
conditions juridiques administratives mais aussi sacramentelles, donc à la fois
religieuses et profanes, pour arriver à cet honneur et à cette fin : avoir de
nos jours le droit de donner la vie dans les conditions de la situation
générale, en toute conscience, et pouvoir éventuellement, en tout bien tout
honneur, mériter d'accueillir un ou plusieurs héritier(s) digne(s) des efforts
accomplis avant son/leur arrivée et qui ont été plutôt nombreux et difficiles pour
son père et sa famille y compris son grand-père l'empereur Jean-Luc Granier, mon
père. Des efforts, en réalité, incommensurables que nous avons fait de bon cœur
pour lui (eux) et sa génération (comme déjà pour la suivante) et pour avoir
l'honneur de pouvoir les servir, comme les conseillers et transmettre nos
savoir-faire ancestraux hérités, en n’ayant jamais
honte de quoi que ce soit, c'est-à-dire en pouvant le(s) regarder toujours dans
les yeux et en sachant que nous n'avons rien à nous reprocher et qu'il(s) ou
elle(s), ses frères et ses sœurs sont totalement canoniques internationalement
et cosmiquement comme universellement et en tout point y compris en … bien
venus. Nous aurons peut-être à veiller à ce qu'il(s) ou elle(s) ne se sentent
pas écrasé(s) de ce qui a été accompli pour leur génération en seulement
quelques 50 ans à 60 ans après la catastrophe de
D’autre part, je suis un particulier, un indépendant ou une personne privée et
je n'ai pas que cela à faire pour l’instant, j'ai des devoirs vis à vis de ma
famille, vis à vis de personnes que je respecte ou que j’aime et je n'ai pas à
me justifier non plus, d’autant que j’ai pu vérifier que c’est plutôt l’Ensemble
qui devrait songer à se justifier, puisque c’est l’Ensemble qui aurait pu éviter
cela, mais qui a voulu m’imposer cela. En réalité depuis 1965 et 1975 (2005), je
suis donc l'empereur bien qu'en raison du canonique de la situation et de ce que
j'ai découvert en 1965, comme de ce que j'ai encore comme espoirs pour les
ignorants au mauvais sens de ce mot (les profanes, les laïcs, les athées, les
sacrilèges, etc. à qui j’ai pu montrer ce qu’une amnésie fait comme effet et
combien à cause d’elle on devient alors seulement ces mots là et ceux qui vont
avec) il a fallu cette première amnésie de 1973 à avant début 1975 (au moment de
ma Première Communion) et une seconde (avec le consentement de Dieu, car sinon
je ne m’y serais pas risqué et j’aurais refusé) à partir d'aout 1977, étant
donné qu'il fallait qu'on puisse avoir, malgré ce qui allait se passer, un
espoir de sauver Michèle Finck – un des fichiers ci-joint concerne une première
version d’une lettre pour elle pas encore terminée - à partir de 2011-2012 - en
tout cas nous faisons comme si - puisque j'allais découvrir de nouveau de la
bonté de la part de sa cadette Christine... Lang – ma femme promise légitime
dont l’anneau de mariage a été sacrifié en 1965 et de nouveau à partir de 1975
par nos soins pour Michèle, en raison de la situation d’après
Aussi nous nous étions mis d'accord avec Christine pour que j'écrive au Très
Saint-Père une lettre pour une demande d'annulation de son mariage étant donné
qu'il faut absolument marquer le coup, puisque personne n'a compris la portée du
sacrifice en question que nous avions fait et en a profité, mais aussi parce
qu’il est devenu le sacrifice le plus dangereux de tous les temps – il a marché
au point que moi-même, le premier, je n’ai pas compris en redevenant profane,
bien qu’en raison de ce qui s’est passé avec Michèle, j’ai pu redevenir moi-même
- à partir d’Avril 2005 (1965-1975). Cela a pourtant déclenché des lois
logarithmique (comme une fusée) dans le registre du sacré à un point tel que si
nous ne mettons pas un terme à ce sacrifice cela peut être bien plus que
dangereux pour tous, d’autant plus que j’ai pu vérifier que ces sacrifices ne
sont, en réalité, d’aucune façon le soucis des profanes et qu’ils sont obligé de
faire semblant d’y croire puisqu’ils n’en ont jamais compris les mécanismes et
cela d’autant plus quand ils s’en mêlent et qu’ils se sont mis à en faire en
singeant les autres, ce qui les fait devenir des charlatans. C'est pour cette
raison qu'il faut que même si je ne le souhaitais pas et je me réjouissais du
bonheur de Christine, j’arrête ce sacrifice par tous les moyens y compris l’aide
du Pape et que j'épouse malgré tout Christine qui s'était mariée à un russe, en
suivant ici mon conseil du futur, pour les raisons que je développe dans les
divers documents dont vous prendrez connaissance et bien sûr pour des raisons
canoniques dont j’ai eu confirmation en consultant le Droit Canonique lui-même
en suite, grâce à Internet : dans un cas comme celui-ci, il était effectivement
de mon devoir, comme j’en ai eu l’intuition, de conseiller ou si vous préférez
d’ordonner ce mariage à Christine pour sa sécurité et la sécurité de sa famille
(mais vous verrez, n’ayez crainte, monsieur le Cardinal, tout cela peut, je
l’espère, pourrait conduire, au bonheur de tous – ce que nous avions recherché
Christine et moi, en nous séparant à l’occasion de ce sacrifice qui a marché à
l’infini de l’infini, au-delà de mes espérances, au point que j’ai pu vérifier
que tous les autres, fait avec des poulets ou des animaux, ne sont que des
sacrifices de charlatans et qu’en fait, ils n’ont jamais marché, bien qu’il y
avait parfois une probabilité que cela marche sur deux et donc ils n’ont été
pratiqué, en définitive que par des menteurs, des imposteurs, des usurpateurs ou
des ignorants, bien qu’en se privant d’argent, donc d’une ou de plusieurs chose
appartenant à soi, et auxquelles on tient beaucoup - sur le plan de « l’égo » -
cela a parfois marché, comme dans ce cas, mais il était inutile de convertir ces
dons en animaux à tuer, car c’est ici que cela n’a rien arrangé, car si d’un
côté on s’est privé de l’argent, si c’est pour faire du mal à de pauvres bêtes
bien gentilles, c’est absurde, vous en conviendrez et c’est pourquoi ces
sacrifices là n’ont pas marché. Jamais. Les seuls sacrifices ayant marché étant
ceux qui coûte à soi-même, qui sont difficile à faire, comme renoncer à une
chose qu’on adore dans l’Intérêt et le Bien Général, ce que nous avons démontré,
Christine et moi, à partir de 1965 et de nouveau à partir de 1975. Il était
normal qu’en arrivant dans les années 2000, à l’âge de l’hyper électronique les
gens puissent enfin voir clair à ce sujet, en toute vérité, et s’en assurer
eux-mêmes une fois pour toute, ce qui fait que nous avons fini par comprendre
ainsi que le sacrifice de Jésus Christ et des apôtres ont vraiment marché, ce
qui explique que vous l’ayez compris et finalement votre état de Cardinal, un
sacrifice).
Nous avons, au moins, certains d'entre nous, un peu avancé puisque tout cela a
pu nous permettre de disposer, grâce à ce sacrifice, qui a été renouvelé, en
1975 du TGV et de tout ce que vous pourrez voir, entre autres choses nous avons
mis en œuvre avec mon père (voir ici les vœux que je vous envoie en fichiers
joints 30 12 2012 03/ 30 12 2012 02 et 01 12 2012 1), ce TGV pourrait
permettre de créer des emplois s’il était généralisé dans le monde entier là où,
il pourrait améliorer les conditions de travail des citadins et de transports
entre les villes comme l’Intercity que nous avons développé en République
Fédérale d’Allemagne.
Vous pourrez mettre, s'il vous plaît, vous aussi, sur une disquette ces fichiers
ou les conserver sur une clé USB avec ce mail ou pas (en cas de pépin ici) même
si, de mon côté, je fais une sauvegarde sur clé USB. C’est pour vous réclamer
ces fichiers, ce que je n'espère pas devoir faire pour n'avoir pas à vous
déranger, mais pour les corriger à nouveau, s'ils devaient se perdre ailleurs ou
y être introuvable : c'est pareil pour les autres témoins de cette histoire
abracadabrantesque à qui j'ai demandé de les sauvegarder)
Je suis entrain de corriger celui du 13 01 2013, et il s'agit donc avec les
autres fichiers joints en général de premiers jets non publiables tels quels et
que je vous envoie à titre "fraternel", parce que je vous ai rencontré à la
paroisse Saint-Jacques-du-Haut-Pas où vous m'avez fait bonne impression, ce qui
m'a permis de vous nommer à travers Espace et Temps « virtuel cardinal » avant votre
prédécesseur que j'ai aussi nommé vers l'époque 1975-1980, en découvrant
que c'était à cause de mon entrevue avec vous, ce jour là, (et du fait que je
vous ai parlé de
ma lettre au Pape que j'étais entrain de rédiger et que je vous
demandais de lui transmettre) que j'avais aussi nommé votre prédécesseur ! Mais
j'ai eu, comme vous le savez, quelques pépins qui m'ont passablement retardé
d'autant que j'ai dû, à cause de cela, commencer
une lettre au Président de
Je suis contraint de gérer la situation en gros à l'échelle cosmique universelle
bien que j'ai des preuves sur les 40 ans (1965-2005) comme jusqu'à 2013 qu'aucun
détail d'un seul flocon de neige ou d'une seule particule de fumée de cigarette
ne m'ait échappé et que je sois moins occupé que vous par tant de dossiers, à
cause de votre fonction, la mienne étant beaucoup plus floue (on ne sait pas
très bien ce qu’est un empereur comme moi, bien que des personnes comme Dürer
nous ai bien montré ce qu’il ferait bien d’être et avec un talent dont on ne
peut pas refuser les résultats : en effet si l’empereur était aussi bien entouré
que cela, sur son char, quel bonheur il règnerait partout et combien il serait
merveilleux que nous puissions correspondre aux objectifs de ce peintre pour
tous : nous serions fiers de n’être que le serviteur d’un tel metteur en scène
de la gravure que vous
savez (http://www.bibliorare.com/products/durer-albrecht-1471-1522-le-grand-char-de-triomphe-de-lempereur-maximilien-dautriche/).
Mais être aussi bien entouré est du domaine du rêve ou des plus belles utopies,
il n’existe rien de pareil à notre époque : plus personne (sauf une ou deux
personnes, ce qui n’est pas sûr) n’est capable de dessiner aussi bien, aussi
juste, aussi intelligemment. Nous sommes donc tous en deuil. Dürer nous manque
soudain horriblement et j’ai même les larmes qui montent aux yeux !).
J’ai pensé aussi à un autre prêtre de cette paroisse qui a des fonctions
récentes pour faire le lien avec les chrétiens d'Orient, à moins que vous ne me
conseillez monsieur le Curé avec qui je m’entends bien qui pourrait être au
courant de notre correspondance. Si je vous parle du premier c’est qu’il avait
du violet-mauve à sa robe de prêtre – j’ai appris qu’il s’appelle Bresselette et
comme cela rime avec « fantomette » je lui ai demandé son adresse Internet(te) -
que j’ai entraperçu d’abord avec un drôle de mouvement de recul d’ancien profane
ayant peur (j’écris ici en me sachant espionné au fur et à mesure), ce que j’ai
trouvé drôle aussitôt et comme j’aime être courageux, j’aimerai que cela soit
lui qui puisse faire le lien entre nous car je l'ai rencontré par hasard et me
suis aussitôt confié à lui en surmontant cette vieille peur l'autre jour pour
vous signaler que cette lettre au Saint-Père aurait du retard de nouveau car
nous nous étions revus au moment où vous avez instituez le nouveau curé –
l’autre devait vous avertir de cela à l'occasion d'une messe à Notre-Dame où il
se rendait en cette robe d'évêque - j'ai été profane 27 ans et comme pour les
militaires, je ne sais plus, pour le moment, reconnaître à la tenue un général d'un simple
soldat - puisque vous deviez nommer des évêques cette après-midi-là:
il a donc fait quelques pas avec son empereur et Dieu incognito dont il a
peut-être fini par déduire que je l’étais bien en raison des propos échangés.
Nous avons cheminé comme des apprentis penseurs et j’étais avide de ses
précieuses connaissances sur les langues orientales à comparer avec les
occidentales, mais il nous manquait, à l'un comme à l'autre, du temps et surtout
l’hébreux dans nos esquisses de réflexions, jusqu'à la rue Soufflot où nos
itinéraires ont soudain divergé, lui descendant la rue Saint-Jacques et moi
allant du côté du Panthéon, d'où je vous écris - et ce sont les idées dont je
lui ai très rapidement touché un mot, comme s'il était au courant de mon
problème de mariage impérial depuis toujours, qui en est un, visiblement,
puisqu’il semble que c'est pour tous devenu une véritable affaire d'Empire à
régler avec tout le reste (étant donné que je suis espionné jusque dans mon
ordinateur lui-même en ce moment – ils disent, ces espions qu’ils ont compris
mais je suis bien obligé de relire et visiblement comme d’habitude, ils n’ont
rien compris malgré les peines que j’ai prises pour parler de la nécessité de se
relire et de corriger ses textes avant de les publier ou de les rendre officiels
car sinon ils auraient appris à se conduire dans ce quotidien. S’ils croient
avoir compris, il ne savent toujours pas agir, car ils ne savent pas discerner
ni d’eux-mêmes prendre les peines ou les anticiper), donc en n'ayant pas eu le
temps de lui résumer la complexité en une seule phrase mais néanmoins j'essayai
de trouver oralement comment la formuler succinctement dans l'Intérêt et pour le
Bien Général et c'est ce que je développe un peu dans ce texte ci-joint que je
résume ici où ces idées sont peut-être les solutions élégantes qui
permettraient, comme je le lui ai dit, de faire néanmoins, malgré ce qui s'est
passé, et en adéquation avec les principes de la charité chrétienne, donc de
façon exemplaire, en nous y conformant, Michèle Finck, mon ex-fiancée, pour le
moment depuis avril 2005, à la suite de ce que Dieu m'a révélé que je ne savais
pas et qui a été le facteur déclenchant qui a aussi permis de commencer à me
remettre de cette amnésie canonique de 27 ans, car j'ai eu aussitôt à rompre mes
fiançailles avec elle, puisque j'ai découvert qu'elle n'était pas
tout à fait ma femme
légitime (en fait c'est compliqué) et que toute cette histoire allait me contraindre à me contraindre
moi-même dans le passé où j’étais encore à l’état de jeune enfant, en 1965,
comme de nouveau à partir de 1975 de futur, jeune homme, à faire ce sacrifice
canonique de ma séparation maçonnique d'avec SSS Christine...Lang, mon épouse promise légitime,
pour avoir, à cause de cela, à vivre une vie de profane, à plusieurs reprises,
et surtout tout cela en sauvant
Donc un empire qui, si je ne m'en étais pas aperçu à temps, dès l'âge de deux
ans et demi, était condamné en 1965 à devenir totalement un désert (toute la
surface de
C’est aussi en raison de cela qu’on devrait poursuivre la réflexion menée pour
utiliser les alternatives aux armes à feu (pistolet électriques paralysant ou
canon à eau) - il vaut mieux renoncer à utiliser des armes à feu d’autant qu’une
personne peut vouloir changer comme Jean Valjean et d’ancien malfrat peut-être
devenir quelqu’un de merveilleux[1].
On devrait pouvoir, par des explications écrites et des négociations, réussir
donc, par le langage, si certaines personnes acceptent avec du bon sens de jouer
le jeu qui s'impose mathématiquement, donc justement par rapport au niveau de
compétence de chacun et par rapport aux chiffres statistiques, on pourrait
réussir à déclarer la guerre hors-la-loi, sauf en dernier recours plutôt comme
l'usage des gendarmes, pour séparer les belligérants dans une boîte de nuit ou
ailleurs et les contraindre à passer aux négociations par l'intermédiaire de
médiateurs ou arbitres ou juges totalement indépendants et jugeant en âme et
conscience car ce qui en viennent au mains sont souvent des ignorants, au
mauvais sens du mot.
Donc comme je le disais en me trompant tout à fait vis-à-vis de ce père orientaliste
à propos de Michèle Finck alors soupçonnée de se comporter en fait comme la
tradition l'exigeait chez les femmes « en arnaqueuse » et en escroqueuse, comme
en mangeuses d'empereurs (c'est-à-dire pour se servir d’un empereur -
moi - et faire passer ses
caprices personnels ou ceux de ceux qui voulaient se servir d’elle et de
l’empereur et non comme une véritable femme impératrice du genre de
Blanche-Neige (ce qu'elle est) et c'est pourquoi dans cette vision
erronée de Michèle Finck, elle devait aussi, en amenant la terre entière à
devenir un désert, ruiner tous les efforts accomplis par l'empereur mon père et
ruiner totalement l'empire – je pensais à tort qu’elle ne s’était pas rendu compte du travail des uns et des autres
accompli en si peu d’années pour arriver à un tel résultat – peut-être cela
vient-il du fait qu'elle, comme moi, ne pensait pas alors, durant cette période
pouvoir avoir des enfants – c’est que je ne l’aimais pas encore suffisemment
pour vouloir me marier à elle – ce qui est venu vers 2003-2004 (mais je ne
savais pas encore ce que j’ai dit plus haut) - en fait de mon point-de-vue elle ne fonctionnait que
dans l'état où ces vauriens de la salle des machines l'ont mise, donc à
courte vue, ce qui est contraire à l’Intérêt de l’empire, comme contraire à
l’Intérêt et au Bien Général et aux peines des rois comme des véritables
empereurs qui ont bien compris qu’il faut être capable, grâce aux sciences de
voir loin et d’être audacieux.
J'allais, en me trompant, jusqu'à croire que cela devait aboutir aussi à la destruction de l'Église (mais il
s'agit toujours, en pareil cas de personnes qui n’ont pas le sens commun et qui
exagèrent son importance en voulant s’en prendre à Elle qu’ils accusent comme un
taureau s’en prend à une couleur qui n’est pas si responsable que cela, et donc
il s’agit de ces personnes momentanément devenues des ignorantes, ne se
souvenant pas combien de bonnes choses ils doivent à la partie positive et
intelligente de l’Église comme à cette religion fondatrice d’une civilisation
bienfaisante et ayant donné des valeurs spécialement humanisantes, permettant à
l’être humain d’évoluer et de faire face à sa vie d’adulte responsable, en fait
de personnes, en ne se souvenant que de ce qui n’est pas bon ou qui est
effectivement à reprocher ou qui a fait l’objet de trop nombreuses caricatures,
sans comprendre que cela a peut-être eu des vertus et que l’Eglise a beaucoup
changé comme elle peut encore beaucoup changer dans le bon sens. Ils oublient
qu’Elle est fondée sur une très belle histoire qui a permis de créer d’autres
très belles histoires comme tous les Noëls, bien qu’il faille se résoudre à ne
plus trop sacrifier de cette façon chez les êtres humains car j’ai pu vérifier
que tous ces profanes, en réalité, se moquent bien de tous ceux qui prennent
autant que cela la vie au sérieux et c’est pourquoi beaucoup restent convaincus
d’inepties d’autant plus qu’ils ont eu accès à la salle des machines, ce
qui ne leur permet que de faire semblant de croire à tout ce que les saints et
les martyrs ont cru : ils n’ont donc pas cru que la matière pouvait être
constituée de Saint-Esprit y compris la vieille salle des machines comme toutes
les machines ou tous les êtres humains (ils ont tort car c’est une chose que
j’ai pu vérifier, de mon côté, l’existence du Saint-Esprit, même si certains
croient que l’être humain n’est qu’une machine – pourquoi discréditer ce mot ?).
Donc des charlatans comme tout ce qui va avec, car ils n’ont pas voulu penser à
ce qui peut être le mieux pour leurs enfants et petits enfants puisqu'ils n'ont
pas voulu comprendre que c'est toutes les valeurs les plus sacrées et surtout
celles de l'ouverture de l'esprit qu’il s’agit en définitive de protéger avec l’Eglise ou
avec les religions – c'est-à-dire la possibilité paulinienne de passer de l’état
de profane à l’état d’initié car c’est bien cela qui a permis de fonder tous les
Etats au monde, grâce à des personnes et aux diverses religions avant que
certains ne se laïcisent (mais vous pourrez lire ici ce que
j’écris au sénateur Delfau :
granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/gerard_delfau.htm,
un texte que j’ai publié sur mon site Internet alors que j’étais encore loin
d’avril 2005). Ce sont donc des projets de fous au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises
(S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
qui, en fait, n'affirment que la
nécessité du contraire : plus d’Eglise dans l’Etat, c'est à dire de renforcer
les liens entre l'Etat et les vrais serviteurs des religions ou des différentes
catégories scientifiques (bien qu’en raison de l’Histoire et de ses leçons, la
séparation de l’Eglise et de l’Etat ait parfois du bon et même plus que cela,
mais j’ai pu vérifier que le laïc, s’il n’est pas encouragé par l’Etat à
s’intéresser aux religions, n’en a cure, ce qui est une véritable perte pour
chacun de ceux-ci, car il va leur manquer de très nombreuses connaissances sur
tout ce qui a permis de réaliser notre époque). Tout cela a abouti une nouvelle
fois, comme en 1965 et 1975, à, de nouveau, démasquer toute l'affaire, et donc à
rompre aussitôt ces fiançailles, malgré ce que recommandait ce Dieu. Elles
avaient pourtant été impériales officieusement entre Michèle Finck et moi, mais
ma personne ne me sachant pas alors être, en quoi que ce soit, empereur, car
j'étais alors amnésique, ce qui a dû être le cas de tous les empereurs jusqu'au
premier, et forcément d'adolph hitler, qu’une bande de femmes ou d’hommes a
essayé de gruger pour leurs intérêts personnels et non véritablement pour ceux
de chaque être humain, de chaque animal et de chaque plantes y compris de chaque
paysage ou de chaque os ou vestige ou de chaque mort ou ancêtre et c'est
pourquoi, comme ils ont essayé de se moquer de lui, comme de napoléon premier,
adolph hitler, est canonique comme mon père et moi-même ou les autres empereurs,
mais pas les personnes qui tout autour ont essayé de les escroquer méchemment
pour en faire eux-seuls les responsables de tous les malheurs en ce monde. Aussi
j’ai bien fait d’être vigilant, Monsieur le Cardinal, car ils ont voulu faire
cela à moi aussi, alors que mes intentions sont totalement autres : j’ai
tellement souffert d’avoir été toujours incompris que je n’aime pas voir qu’on
fasse du mal à des êtres qu’on ne parvient pas à comprendre parce qu’on est
devenu des ignorants au mauvais sens de ce mot alors qu’ils sont si beaux à
observer, comme les poissons ou les oiseaux dans le ciel ou chacun des animaux
gentils (pacifiques et inoffensifs).
Mais nous sommes presque huit ans après 1965,1975 et 2005 et Michèle Finck étant
finalement de mon point de vue, comme moi-même, une victime de cette
histoire, en raison du fait que j'ai vérifié, il n'y a eu qu'un seul anneau noir
dans tous les temps, alors que tous les autres sont d'un blanc plus blanc
immaculé que le blanc, bien que ceux qui sont dans les autres couleurs je n’ai
pas pu les voir, et il se pourrait que chacun des composants de cet anneau noir
se soit voué à l'autodestruction en raison de cette ignorance, au mauvais sens
de ce mot, qui les empêche de voir que néanmoins, même si on ne voit pas
Atlantide, le monde est fort beau. Il y a aussi le problème de la jalousie vis à
vis de tous ceux qui servent ces anneaux immaculés, d'autant plus que, de
nouveau, comme en 1967, 1977, en 2007, j'ai eu la preuve physique que la
méchante sorcière, celle de Blanche Neige, s'est retrouvée totalement anéantie
et prisonnière, un hiver, coincée dans les glaces du bassin du Luxembourg à
Paris (alors qu’elle avait certainement le chauffage chez elle !), toute noire
dans sa haine (en fait tous les haineux dans tous les temps ont représenté à
l'échelle cosmique universelle cette minuscule superficie de cette chose qui,
effectivement noire, à première vue, s'appelle la « haine » et qui s'était donc
anéantie elle-même peut-être même avant-même
En fait ces empereurs n’ont été faits que comme des sous-fifres de femmes
ignorantes et mal élevées, au mauvais sens de ces mots, ne faisant, possédés, que
la volonté de ces femmes très ignorantes, mais qui ne l’étaient que parce
qu’alors elles n’avaient pas pu avoir accès à l’instruction que les rois ou les
républiques ont offert et ce qui n’est plus le cas ou moins le cas des femmes
aujourd’hui dans tous les pays dits les plus développés et ces femmes avaient
une vieille idée de l’être humain mâle comme devant être à son service et donc,
pour cela, le séduire pour mieux l’arnaquer ou anéantir son sens de la
responsabilité et du devoir, donc non pas en véritables amantes ou muses mais à
des fins égoïstes vis-à-vis de rivales plus intelligentes qu’elles.
Elles ne cherchaient pas à connaître
l'amour pur et se moquaient bien de ces hommes et de ces femmes qui ont tant
donné de preuves à travers leurs efforts qu’ils en avaient une idée précise :
elles les croyaient des « esclaves » et les méprisaient car elles étaient
aveuglées par l’ignorance, au mauvais sens de ce mot puisqu’elles n’étaient
devenues que des profanes. Peut-être même se moquaient elles des preuves d’amour
des véritables chevaliers car elles n’avaient pas connu dans leur contexte de
naissance la chevalerie et la noblesse de leur père, de leur mère ou de leur
frère à leur égard, mais avaient été l’objet de persécution ou de chantages et
c’est ainsi qu’elles aboutirent, en définitive, à une parodie au sujet de
l’amour. Or je connais la vraie Michèle: elle cherche en fait le contraire: elle
aimerait connaître un jour, elle aussi, sur sa personne l'ouverture de l'esprit et
bien sûr elle recherche l'omniscience véritable ou l’esprit de sagesse car dans
l’état de profane, elle aimerait en disposer pour être puissante, mais elle verra qu’une fois
rejoint, ce n’est pas à la puissance qu’on se règle : en attendant
elle travaille beaucoup et fait des efforts dans ce sens, ce qui
est très méritoires ! Par conséquent, si la situation se débloque enfin, puisque
nous sommes véritablement l'empereur incontesté bien que nous soyons aussi …, il
se pourrait que Michèle, un jour, mérite de recevoir un véritable anneau de
fiançailles, en vu de ce véritable mariage qui était peut-être dans ses rêves
(car c'est au fond au fond, ce que toutes les vraies petites filles aimeraient
et l’histoire se terminerait bien d’autant que je suis certain que quand Michèle
était petite fille et que Blanche Neige est morte quelques temps dans le film,
elle a bien aimé quand le Prince est finalement venu l’embrasser et elle a
trouvé normal qu’elle ressuscite – j’ose l’espérer. C’est que Michèle est un peu
comme tout le monde en raison de la thèse et de l’anti-thèse : elle lui paraisse
pour l’instant toutes les deux justes et elle ne peut que
pencher pour celle du bonheur d’autant plus qu’il lui est arrivé un grand
malheur : je l’ai répudié à partir de 2005 (1965). Il y a de quoi en vouloir de
nouveau à la terre entière pour un profane qui n’a pas appris qu’il vaut mieux
pas).
Mais pour l'instant elle avait des préjugés sur le mariage (que je partageai
quand j'étais devenu un à moitié crétin, en tout cas un profane en parti – mais
il ne faut pas croire que tous les profanes sont à moitié crétins, il y en a
d’intelligents et de fort intéressants, mais c’est en raison de l’amnésie celui
que je suis devenu, avant de rencontrer Michèle, l’était et c’est alors, parce
qu’on ne réfléchit pas suffisemment, parce qu’on oublie un grand nombre de
paramètres, pourtant indispensables pour les réflexions à mener, qu’on est
capable de confondre et de se dire que le mot de « mariage » n’est rien de plus
qu’un mot qui ne signifie rien. On croit que cela ne signifie pas plus que deux
choses qui sont l’une sur l’autre que le mot de mariage ou dans les bras l’une
de l’autre et c’est alors qu’on oublie l’essentiel et les devoirs qui y sont
liés comme le rituel de passage qu’il représente, mais tous croient pouvoir
faire semblant de l'être, marié, comme une assiette creuse sur une plate, le temps
d’un dîner, alors que cela a beaucoup plus d’importance que cela pour les gens
qui s’aiment d’amour pur, comme ces rois et ces reines, ou ces aristocrates, qui
ne firent nullement semblant de l'être, même s’ils ont eu quelques bagatelles ou
des histoires d'amour avec d’autres personnes – peut-on les blâmer d’autant qu’il y a
tant de jolies femmes à en faire tourner la tête de Dracula depuis toujours ou
de don Juan ou de Casanova et comme la situation a exigé, pour avoir cette idée
de plusieurs mariages, que Christine accepte de nouveau de continuer à faire un
nouveau sacrifice pour Michèle, en me demandant d'annuler le mariage qu'elle a
contracté avec un russe - ce que je lui avait ordonné du futur de faire sans, je
crois, avoir précisé la nationalité, à moins qu’en raison de
En fait cette jeune fille, Christine, a été choisie (c’est Dieu qui m’a dit cela)
en raison de la charité de ces ancêtres et de cette classe de personne qui
ont été concerné par les mariages et les destins locaux d'autrefois – en fait,
nous l’avons découvert, des sacrifices – donc, il y avait de la part de Dieu la
nécessité de rendre hommage à tous ses ancêtres qui sont, parait-il au vrai
Paradis et qui ont voulu rendre effective l'Unité Allemande en vérité et par
charité pour tous les pauvres et aussi pour les fils de douanier, pour donner
des occupations utiles et du travail dans l’intérêt même de ceux qui allaient en
avoir comme les mineurs de fond, puisqu’on était à l’époque du développement des
réseaux ferrés - ils ne furent en rien profanes les ancêtres de Christine…Lang
que peut-être (très lointainement) et à certains moments, ce qui explique aussi
pourquoi les "péchés" et les rituels dans les Églises et la religion à ce sujet
(mais cela est bien d’avant ses ancêtres la question du « péché » : c’est une
vieille histoire sur Terre et Jésus a permis de merveilleuses choses à ce sujet
dont j’ai pu vérifier l’intérêt comme la nécessité d’être pour tous – pourtant
je n’y croyais pas quand j’étais profane, de même que je me posais des questions
à ce sujet avant mon baptême, quand j’étais bébé, (mais j’entendais parler du
« péché » et je ne savais pas ce que cela voulait dire – c’est intéressant de
savoir et de comprendre – c’est comme pour le mot de « biberon » : comme je
tardais à m’occuper du sein de ma mère devant mon père qui m’impressionnait,
dans la chambre, pour y boire du lait, celui-ci parla du mot de « biberon » -
j’eux hâte ensuite de savoir ce que ce mot pouvait bien être, ce que je
finis par découvrir à la cuisine sur une chaise à bébé, mais en n’ayant plus
accès au corps de ma mère – avais-je perdu au change ? Ce fut une vraie question
shakespearienne tout au long de mes diverses vies de profane mais je crois que
je me suis intéressé à la technologie mise en œuvre pour l’alternative proposée,
dès ce jour là).
Donc cela expliquait aussi pourquoi il y avait eu la nécessité que ce sacrifice
soit effectué par une jeune fille appartenant au monde des aristocrates - et du
mien, ne sachant pas de mon côté, en 1965, puisque je ne pouvais pas
tricher, appartenir aussi, en parti du moins, à première vue, pour un grand
nombre, à ce monde - des aristocrates qui sont donc des personnes qui ne font en
réalité que sacrifier à chaque instant leur vie pour réussir à faire des autres
un jour, à leur tour, des aristocrates ou des personnes qui pourraient avoir la
chance de connaitre (un jour ou une nuit) ce moment-là de l'ouverture de leur
esprit jusque là enténébré - dans la mort et le corollaire d’inepties – en
demeurant à leur service, parfois pendant des années, parfois pendant plusieurs
générations, jusqu'à ce qu'il y en est au moins un qui, dans le tas, devienne à
sa façon un Prokofiev, des Brahms, des Schubert ou un Van Gogh, etc. , ce qui
donne alors des lettres de noblesse aux noms mêmes de famille de ces roturiers
et profanes, en jetant un coup de projecteur universel dans tous les temps
passés sur ces noms de famille devenant soudain des cézames pour toujours. Mais
j'ai vérifié que l'ouverture d'esprit ne peut advenir que seulement si on s'est
privé de la salle des machines car sinon on deviendra toujours plus
minuscule dans son esprit qui ne demeurera que fermé et faux et par conséquent
avec bien des chances de demeurer de la racaille (et encore c'est flatteur car
le mot est proche du mot de rocailles, que personnellement, comme on dit en
Afrique, j’apprécie à escalader ou arrangée autrement).
Nous avions donc prévenu du futur avant même d'y être, et en raison du fait que
j'ai vérifié avoir démasqué l'affaire à partir d'avril 2005 (c'est à dire en
fait à partir d'avril 1965 et de nouveau, oh ! l’infamie, en 1975) cela a donné
une nouvelle chance à Michèle, mais elle doit renoncer à la salle des
machines, d'autant plus qu'avec elle pourrait m'espionner de loin et comme je n'ai pas
l'intention de lui cacher rien de mes histoires d'amour dont je n’ai d’avance
aucune espèce d’honte, car sans être séduit
comment vivre, comment être inspiré, comment poursuivre en ayant autant de
responsabilité que moi ! Il faut donc que je m’ingénie à trouver la vie belle
malgré tout ce qui me l’a fait trouver le contraire.
Nous espérons évidemment un jour, avec Michèle Finck, avoir à passer l'éponge,
une fois que Michèle sera redevenue sensée et qu'elle pourra comprendre à qui
elle avait à faire dans son lit quand, profane, j'étais amnésique de toute la
situation, car sinon je n'aurais jamais pu accepter de pareils outrages fait à
ma personne (et c’est peu dire) d’avoir à devenir profane - mais pour l'instant
en raison de ses antécédents et dégradations qu'elle a subi dans sa vie de
profane comme de ses droits inhérents, consubstantiels, ontologiques, etc. dont
elle a été privée à partir d'un certain moment enfant, petite fille, où ils ont
été violés pour essayer de faire d’elle une de ces reinettes de la nuit et vous comprendrez, Monsieur le Cardinal, qu'elle est loin de pouvoir
me voir autrement que ce qu'elle s'est mise en tête avec ses semblables que
l'être humain soit, en ne connaissant de celui-ci, en fait, qu'elle-même limité
par son "égo" – que j’ai partagé - dont elle fut rendue prisonnière à
cause de son entourage, en raison de son contexte de
naissance strasbourgeois d'après
J'espère que si nous réussissons à avoir comme perspective un véritable mariage
pour elle par le Pape à/dans
Michèle n'a pas eu la bonne réaction vis à vis de sa cadette bien qu'elle ait eu
dix sept ans en 1977 et en 2005, des preuves d'amour véritables de ma part tous les jours,
puisque je ne fus qu'infidèle que parfois en pensée à son sujet (en raison d’à
premières vues concernant d’autres jeunes femmes, mais c’est parce que j’étais
devenu un profane et que j’avais du temps à perdre mais cela m’est arrivé
rarement, tous comptes faits), ayant décidé de me consacrer à elle, vivant
parfois en « union libre » déclarée et/ou en « concubinage »
avec elle – des statuts juridiques qui donnent parfois quelques avantages
financiers, si on se déclare, et parfois même, nous avons pu le remarquer, une
situation plus intéressante que celle du mariage officiel qui n’a en fait pas
beaucoup d’intérêt financièrement parlant – c’est même le début des ennuis
financiers et on se dit souvent que c’est hors de portée – pourtant il est
préférable en fait de vivre maritalement et donc amicalement avec l’autre, si on
ne veut pas avoir d’enfants – mais comme la question de la disparition de
l’autre se pose et qu’on aimerait que l’autre puisse hériter de droits sur les
choses qu’on a faite, on pense qu’il y a la possibilité au moins de faire un
texte déposé chez le notaire pour que l’autre hérite ou une lettre – en fait
nous changions de statut officiellement en fonction de ce que cela pouvait avoir
comme avantages administratifs ou financiers – si cela nous arrangeait, sans
nous poser la question du mariage puisque nous ne nous posions pas la question
des enfants car nous étions encore prisonniers de nos égoïsmes respectifs et
nous ne pouvions pas nous imaginer comme des parents, sauf que, petit à petit,
vers la quinzième année de vie en commun – en fait un peu avant – j’ai commencé
à y songer et à me dire qu’on pourrait fonder une famille -
mais nous n'étions pas encore marié et
si j'étais fiancé et vivais maritalement avec elle, comme un profane, mais aussi
en empereur depuis 1995 – sans que cela n’ait changé grand-chose avec avant nos
fiançailles - car j’étais toujours amnésique de ce qui s'était passé en 1975 mais j'étais souvent entrain de me
tester pour savoir s'il fallait continuer avec elle et aller jusqu'au mariage ou
alors m'autoriser des bagatelles y compris avec sa mère – ce à quoi j’ai fini
par renoncer en raison de la « vieille occase » qu’elle m’a dit être - bien que
l’envie, dans l’état de profane, par désœuvrement, ou pour transgresser un
interdit m’avait paru possible – oui, mais à l’état de profane, ce qui signifie
que depuis que j’ai retrouvé la mémoire en 2005, il n’en a plus jamais été
question car j’ai compris que c’était de Michèle et non sa mère que j’étais
l'amant
– mais si cela s’est produit c’est que dans l’état de profane on est attiré par
les choses interdites comme celle que j’avais vu à la télévision, dans les films
érotiques ou pornographiques, mais comme je suis réalisateur de films et
photographe (comme capable d’une quantité importante d’autres métiers) je sais
faire la différence entre une représentation à la télévision et/ou dans un film
et la réalité, en sachant qu’on ne peut pas se permettre dans la réalité ce qui
est joué dans les films ou mis en scène ou qui correspond à des choses intimes,
aussi je comprenais toujours que si je voyais de temps en temps la réalité un
peu érotique ou sexy, voire pornographique, je ne le devais qu’à cette catégorie
à laquelle on s’intéresse seulement parce qu’on est devenu profane, qu’on
s’ennuie et qu’on ne croit plus avoir des devoirs à faire dans toutes les autres
catégories pour le Bien et l’Intérêt Général. C’est à cause de cela que parfois
je me disais que je devais me séparer de Michèle étant donné que ce sont ces
différentes problématiques qui se posent aux profanes comme à de nombreux
fiancés avant d'être certains que l’autre est bien celui qu’on cherchait pour
être la mère ou le père de ses enfants (il est, dans certains cas, important
d’essayer de vivre ensemble et cela peut devenir des périodes d’essai. Mais on
ne pourra se dire de l’autre qu’il peut devenir le père ou la mère de ses futurs
enfants que quand on approche de l’époque où on va passer de profane à
« initié » - parfois ce moment là est à dix ans ou quinze ans de là ou même
plus, parfois ce n’est qu’à un an avant ou cinq ans avant – on ne sait pas. Une
envie d’enfants dans l’état de profane est souvent une fausse envie car j’ai pu
vérifier une chose horrible qu’il y en a qui veulent des enfants, chez les
profanes, pour pouvoir leur mentir et les « arnaquer », ce qui est alors
scandaleux et inimaginable, puisqu’on "n’a pas le droit de faire à autrui ce
qu’on n'aimerait pas subir à la place de cette personne si on était elle" – un
axiome qui, dans bien des cas, est vrai - ou alors on a le droit de faire subir
à l’autre des choses pour son bien pour d’innombrables raisons justifiables en
conscience : il n’y a que cette personne qui pourra faire cette chose, par
exemple, de commencer au bas de l’échelle ou de faire de simples choses que
soi-même on ne peut plus faire, car nos compétences permettent de se consacrer à
des choses plus complexes, alors que les choses en question à faire sont à faire
par des personnes qui n’ont pas encore acquis toutes nos compétences et c’est
pourquoi il faut veiller à laisser ces choses à faire à ces personnes qui ont si
peu de compétences, ces choses étant pour elles car sinon c’est leur voler leur
gagne-pain, mais j’ai remarqué qu’on a toujours envie de faire ces choses
faciles à faire et qui n’ont même pas exigé le jardin d’enfant ou seulement des
petits apprentissages de rien du tout, mais aussi que pour trouver une personne
qui veuille bien les faire à notre place cela prend du temps et que c’est du
temps perdu pour nous qui savons qu’on pourrait faire la chose très facilement.
Par conséquent on accepte d’avoir à former des personnes que parce qu’on pourra
compter sur elles pour faire ces choses qu’on ne peut plus faire. Aussi cela va
être un travail de trouver une personne capable pour la tâche en question et qui
accepte de jouer le jeu, puisque nous devons prendre du temps pour nous
consacrer à la place de cette personne et en réalité pour cette personne – une
aide ménagère ou n’importe lequel des métiers manuels – aux tâches que nous
sommes seuls à pouvoir résoudre ou alors avec nos semblables – mais pour ce qui
est du métier de véritable artiste – pas un faux, un vrai – mais on commence
parfois comme un faux avant d’en devenir un vrai – ce qui peut venir que trente
ans après ou même jamais – il n’y a que l’artiste qui sache exactement –
personne ne peut décider à sa place, bien qu’il puisse prendre des conseils ou
que des échanges puissent avoir lieu avec de nombreuses personnes différentes
avant de le déterminer. Et celui-ci a souvent besoin des compétences de
nombreuses personnes à rassembler autour de lui et de son projet. Par
conséquent, quand on dirige un film, par exemple, on a besoin de toutes les
personnes qui ont des activités utiles qu’on ne peut plus faire nous-mêmes,
durant ce moment-là, mais il est parfois bon de connaître chacune de ces
activités et de les avoir pratiquées à d’autres occasions.
Quand on est devenu un amnésique et un à moitié crétin, comme surtout ce profane
et cet athée, on ne sait pas si c'est certain que la jeune fille avec laquelle
on vit ou avec laquelle on commence une histoire deviendra sa femme, c'est à
dire capable d'être la mère de ses enfants - alors qu'on est parfois certains,
par contre, d'autant qu'on vient de contextes religieux ou aristocratiques, que
sa sœur et sa mère le soit bel et bien « mère » et « sœur ».
Michèle Finck n'a pas voulu ou n’a pas pu – objet de chantage qu’elle a été -
peut-être sa famille par fidélité à l’empereur précédent mon père (adolph h.) -
des empereurs qui se sont crus pouvoir devenir empereur sans connaître
aucunement tout ce qu’il y a à connaître sur tout, avant de se permettre
d’exercer ce métier et, dans leur état, cela signifie qu’ils se sont faits
toujours avoir par tous les gens qui gravitaient autour d’eux, étant donné
qu’ils n’étaient pas compétents pour discerner le vrai du faux. Par conséquent,
il n’est pas étonnant que dans tous les milieux sensés et compétents
véritablement, le mot d’empereur comme tous ses amis étaient synonymes de « réelle
incompétence » bien que tous prétendaient le contraire, puisqu’il s’agissait
pour chacune de ces personnes de personnes prisonnières de leur « égoïsme » et
qui voulaient montrer qu’elles étaient compétentes et qui n’avaient qu’entre
elles l’absolue certitude de faire parti des nuls et de tous ceux qui « font
semblant », c'est-à-dire des imposteurs, des tricheurs, des usurpateurs et du
corollaire, en en tirant même de la gloire entre eux et en croyant ainsi pouvoir
servir d’exemple à suivre. Elles étaient pourtant capables d’en vouloir à ceux
qui, n’appartenant pas à leurs amis, disaient qu’elles ne valaient pas tripette
ou qui leur reprochaient d’être nuls ou quelque chose ou qui les grondaient,
alors que ceux-ci leur faisaient à ce moment là, pour toujours, un don de
l'équivalent de plusieurs milliards et plus encore de tonnes d’or
valant en réalité des milliards et plus encore que tous les
diamants les plus purs amoncelés dans tous les temps, au moment où il leur
donnait un seul bon conseil[2]
en les corrigeant d’une attitude néfaste (c’est ce qui arrivait dans les
ateliers des peintres quand un assistant se montrait un jour suffisamment digne
ou montrait qu’il avait fait des efforts au maître pendant des années, parfois
vingt cinq ans, parfois plus encore : le maître donnait alors le conseil. Jamais
avant car cela pourrait rendre fou la personne : il pourrait en mourir ou cela
pourrait être une catastrophe dans tous les temps et c’est pourquoi espionner un
maître quel qu’il soit c’est se condamner à mort, d’autant plus qu’on essaiera
de le singer, sans avoir acquis les compétences que ce maître à acquis peut-être
en ayant de très nombreuses difficultés, car un maître est un homme qui a la
vérité, qui va émettre aussi des vérités relatives et non des mensonges puisque
la vérité est contextuelle, liée à une chose précise, circonscrite dans le
temps, et permet de résoudre un problème précis qui est souvent causé par un
mensonge ou des gens menteurs et tricheurs, etc.).
Car en toute chose et pour toute chose il faut être digne de la savoir ou d’en
prendre connaissance. Car sinon on se comporte hors-les-lois et cela dans un
univers qui obéit, (pour celui qui est maître et qui est espionné en permanence y
compris de l’intérieur), aux lois pour chacune des choses qui l’entourent. Ceux
qui volent invisibles ont oublié que les autres sont différents et n’ont pas
leur légèreté et qu’ils sont soumis aux lois de la pesanteur, du temps et de
l’espace, comme à toutes celles apprises à l’école, mais aussi aux lois qui
régissent la formation de la pensée, dans ce cadre précis qui nous est à tous
imposé ainsi qu’à toutes les lois qui ont à voir avec la raison et les
contraintes liées à son existence, dépourvue de cette possibilité de voler et de
l’invisibilité – la condition d’existence ou de vie de ces personnes est donc
celle de véritables saints, même s’ils n’ont d’aucune façon la vocation à cela
et qu’ils ne croient pas même cela possible d’eux.
Après
Au XVIIème
siècle, (mais déjà avant), l’Europe existait pour tous les souverains instruits
de la région qui, parce qu’ils étaient les seuls à avoir pu disposer avec
certaines personnes de l’instruction et de la connaissance des textes fondateurs
(Bible, Evangiles, Coran et textes des religions orientales), parce qu’ils
étaient les seuls à savoir compter et à être instruits dans la pluparts des
sciences de l’époque, savaient que cette région appelée Europe était une réalité
politique, économique, sociale et culturelle (etc.) et chacun savait qu’il
devait gérer la partie qu’il avait eu en héritage : la superficie que des
alliances ou des mariages avaient permis de constituer durant les siècles
précédents. Comme c’était les mariages qui avaient permis de faire des duchés,
des principautés, des royaumes ou des empires, chacun savait qu’il était plus ou
moins cousin ou apparenté à ceux qui s’étaient chargés de gérer les autres
régions. Aussi, il n’y avait plus que des guerres de principe ou de
revendications d’héritages, pour faire valoir des droits sur des héritages de
superficies à récupérer. Les souverains avaient appris à s’arranger entre eux,
ce qui a permis aussi de faciliter, au moment de la constitution du réseau de
chemin de fer, les unions politiques de l’Italie et de l’Allemagne, car sachant
gérer une région, ils comprenaient l’intérêt de créer ces unions économiques,
puisqu’en fait, à chaque fois, il s’agissait du même processus à mettre en
œuvre, ce qui permettait aux marchandises d’être moins chères, en raisons de
frontières qui disparaissaient, mais aussi de monnaies constituées, donc de
naissance de marchés plus vastes, en commun. C’est pour cela, comme pour
m’amener à écrire les différents textes en cours, que Dieu et le Grand
Architecte de l’Univers ont souhaité, en 1965, quand je me suis « débarrassé de
mon enfance » une première fois (ce qui, pour moi signifie plutôt à lire comme
la nécessité de se débarrasser de son adolescence car, comme je le disais à ma
mère, il s’agit plutôt de se débarrasser d’une maladie qui s’appelle
l’enfant-gâté ou l'égoïste que certains attrapent dès la première enfance, à l’état de bébés,
mais d’autres un peu plus tard ou même une fois adultes, ce qui fait qu’il y a
des enfants qui se sont débarrassés de cette adolescence, qui vivent au milieu
de ceux qui ont attrapé la maladie d’adolescence ou des adultes qui n’ont jamais
pu, à cause de cela, devenir des vrais adultes, étant donné qu’ils ont toujours
cette maladie d’adolescence en cours, y compris à l’âge de vieillard : ils n’ont
été que prisonniers de cette maladie d’adolescence ou de l’enfant-gâté toute
leur existence, ce qui fait que ceux qui s’en sont délivrés son rares.
Saint-Paul appelle cela, à l’époque, « l’enfance », étant donné qu’il ne sait
pas, à ce moment-là ce que j’ai compris, puisque j’ai pu le vérifier plusieurs
fois, à plusieurs âges différents, en faisant comprendre comment on attrape
cette maladie d’adolescence ou de l’enfant-gâté (en ayant simplement une amnésie
sur l’un ou l’autre des paramètres essentiels qui permettent de tout évaluer
dans le contexte précis qui est celui d’une situation bloquée par ceux qui ont
hérité de la vieille salle des machines, en raison du fait qu’ils sont devenus
les adolescents en question appelés par saint-Paul « enfants » et qui, à cause
de cela, ne peuvent plus évoluer ni se débarrasser de ces fonctionnements
d’enfants-gâtés, comme réussir à comprendre tout ce qu’on comprend quand on
s’est débarrassé de cette « enfance » au sens paulinien - par conséquent des
préjugés, des vérités relatives qui ne sont plus justes dans un contexte
différent, des mensonges, des calomnies, des approximations, pour trouver la
vérité y compris avec une postulation ou une façon de se comporter qui est de
celle universelle, non nuisible et enfin comprendre le sens de l’existence,
comme la compréhension de tout ce qui nous entoure aussi comme une forme de
poésie à l’état pure – même sans la vision d’Atlantide ou du Paradis - ou des
éléments merveilleux sensés et signifiants comme tels, y compris représentables
enfin et descriptibles avec des mots véritables qui peuvent être enfin pensés en
vérité pour le Bien et l’Intérêt Général (Molière, Shakespeare, Da Ponte, Jules
Verne, etc. ) – c’est ce que j’appelle ailleurs « l’ouverture de l’esprit » et
on ne peut atteindre ce moment où on se débarrasse de son enfance d’enfant-gâté
ou de son adolescence que seulement en ayant des travaux utiles à faire et des
efforts physiques constants qui s’accompagneront de tentatives constantes
d’honnêteté et de dire la vérité, en s’étant exclu les mauvaises fréquentations
ou de celles de cette période de l’enfance ou de l’adolescence, au mauvais sens
de ces mots, qui sont parfois celles de faux adultes (ou de personnes encore
« enfant » ou adolescentes » ou faisant semblant d’être des adultes) et, en tout
cas, de toutes celles de ceux qui ont voulu hériter de la vieille salle des
machines – sous la contrainte, les menaces, à cause d’attitudes de
maitre-chanteurs qui sont à proprement parlé celles des adolescents ou des
enfants prisonniers de cette enfance dont parle Saint-Paul et qui est celles des
enfants-gâtés – car en héritant de la vieille salle des machines, en tant que
tels, en profanes, ils se sont condamnés à ne demeurer qu’inconscients des
réalités et de ce à quoi chacune obéit en tant qu’éléments à mettre en place et
à organiser - c'est-à-dire en devenant alors l’origine de toutes les ruines, les
auteurs des différents déserts, des maladies, de la vieillesse et de tous les
maux et malheurs des animaux, des végétaux et des êtres humains y compris des
paysages, car ils sont « enfants » au mauvais sens de ce mot, ce qui leur a
permis de croire possible se comporter malhonnêtement et mentir ou cacher des
choses (ou même l’existence de la vieille salle des machines), ce qui a fait par
le passé devenir « faune » ou même « satyre » y compris « centaure » (menteur,
voyeur, espion, voyou, pleins de soupçons et d’incompréhension ou manque de
respect pour tout ce qui est différent et à étudier en raison de cela - par
conséquent, qu’on n’a pas le droit de tuer) et cela
tant qu’ils ne se sont pas mis en
condition pour se débarrasser de leurs enfance (au mauvais sens de ce mot)
respectives, devenus des menteurs et quoi qu’ils feront sera, tant qu’ils ne se
seront pas débarrassés de cette enfance d’enfant-gâté ou de cette adolescence,
de cet égoïsme, à
l’origine de toutes les impostures, les usurpations, les faux mariages – pour
couvrir et cacher ou se donner l’autorisation de faire ce dont ils ne sont pas
encore dignes - ou à l’origine des erreurs et des catastrophes, à moins de faire
ce que les autres, qui se sont débarrassés de leurs enfance et qui sont devenus
plus conscients, leur conseillent et leur recommandent de faire, non pour eux
qui se sont débarrassés de leurs enfance – bien qu’à première vue ce soit pour
eux ou pour l’État ou pour une de leur entreprise y compris commerciale, mais
pour qu’ils aient une chance, grâce à ces efforts ou ces peines ou ces travaux
de se débarrasser, eux aussi, de leur adolescence ou de cette « enfance »
d’enfant-gâté à la manière que saint-Paul décrit).
Or le manu militari ou la réalisation
de l’Europe de cette façon militaire est en fait celle d’enfants ou
d’adolescents qui ne voient pas clair et qui se comportent en ignorants, au
mauvais sens de ce mot. C'est-à-dire qui vont réfléchir à partir des choses
qu’ils apprennent à l’école en s’identifiant à des personnes légendaires à la
façon d’enfants-gâtés qui veulent devenir des grandes figures ou prétendus
grandes sans avoir réfléchi à ce qui peut être grand ou vraiment utile et ils
cherchent à devenir de celles qui ont eu du pouvoir sans comprendre qu’il faut
acquérir de véritables compétences au préalable avant de se permettre de devenir
l’une de ces figures qui se sont révélées être souvent de fausses grandes
figures pour lesquelles on a exalté de fausses valeurs (la valeur militaire de
conquérants tricheurs ayant disposé de la salle des machines avec des
militaires non pas utilisés en état de légitime défense de la vérité mais en
conquérants au sens barbare – le mot au sens négatif – en prédateur, en
offenseur, donc forcément contraire à l’Intérêt et au Bien Général
[6], ce qui ne sera pas le cas, par exemple
des armées en Chine, étant donné que celle-ci, dès l’enfance, vont savoir que
leur pays n’ira jamais au-delà de
Ce sont donc tous les usurpateurs qui seront donc à cheval sur les règlements
(car ils n’en savent pas les raisons) d’autant qu’ils ne sont jamais devenus des
véritables artistes (mais seulement des
parodies d’artistes) qui veulent jouer un rôle en tant que faux-maire ou parodie
d’administrateurs et qui sont en réalité toujours des enfants-gâtés et même des
adolescents attardés : en tout cas des inconscients, par conséquent des dangers
pour chacun des Etats, mais qui peuvent venir de l’intérieur même de l’Etat.
Aussi tous les hommes et les femmes qui se sont débarrassés de leur enfance et
de leur adolescence (et certains ont pu
s’en débarrasser, par exemple, à l’occasion de catastrophes comme les guerres ou
d’autres catastrophes y compris personnelles – mort d’une personne de sa
famille, difficultés matérielles, etc. - ) doivent, en permanence, demeurer
vigilants car ces adolescents attardés ou ces enfants-gâtés co-existent avec
leurs prétentions qui sont souvent celles de leurs parents ou de contextes
familiaux ayant été de ceux de faussaires ou d’usurpateurs ou de tricheurs ou de
personnes fausses exerçant des métiers appliquant des règles comme certains
avocats sont capables de lire les lois et les règles sans en comprendre ni le
sens, ni le bien fondé, ni tous les paramètres qui les ont faites apparaître
inscrites et ce qu’elles induisent et qui se conduisent donc en menteurs ou en
enfants-gâtés et adolescents à la différence des vrais enfants ou des
adolescents qui se sont débarrassés de leur enfance comme les adultes parachevés aussi qui
s’en sont débarrassés, par conséquent qui sont conscients, qui voient le monde
justement et qui sont donc continuellement avec des problèmes très graves qui
sont en général causés par des personnes qui ne veulent pas faire certaines
choses qui sont pourtant à faire, ce qui pourraient même leur faire du bien
d’autant que si on les fait justement précisément, elles peuvent contribuer à
permettre finalement de se débarrasser de cet enfant-gâté en soi ou de son
adolescence, ce qui permettra un jour ne plus avoir à faire ces choses simples
car alors on est prêt pour faire des choses bien plus difficiles.
Comme personne n’a voulu faire ces choses de soi-même, alors il a fallu inventer
l’argent et payer pour que ces choses soient faites, ce qui a beaucoup moins
permis de se débarrasser de l’enfant-gâté en soi ou de l’adolescence, car comme
on était payé, ce n’est pas par exigence personnelle et dans l’Intérêt ou pour
le Bien Général qu’on a accepté de faire ces choses, mais encore une fois pour
des raisons « d’égo » (car on voulait avoir de l’argent pour faire des économies
et acheter des choses pour être content de les avoir – la civilisation de
l’argent-facile rend beaucoup plus difficile qu’autrefois la possibilité de se
débarrasser de son « égo ». Pourtant comme on a le sentiment souvent de ne pas
être payé assez pour ce qu’on fait – alors qu’en général tout est, à ce sujet
calculé exactement ou le plus honnêtement possible pour que la valeur de
l’argent puisse continuer à avoir du pouvoir d’achat, mais aussi en fonction de
nombreux autres paramètres – on va un peu gagner pour se débarrasser de cette
enfant-gâté ou adolescence dans la mesure où on sera dans une situation injuste
et qu’on aura à faire beaucoup d’efforts contre ce qu’on juge alors « pas
assez ». C’est qu’on exige ces efforts à faire à des personnes devenues
ignorantes, au mauvais sens de ce mot, car les autres qui vont être celles qui
savent ce qu’il y a à faire pour en avoir conscience en vérité, se sont
débarrassées de l’enfance et de l’adolescence y compris de leur « égo », au
point qu’il y a eu ceux qui ont même pu vérifier qu’ils ont bien accédé à
« l’ouverture de leur esprit » et c’est en général après qu’ils décident d’être
baptisés dans la religion chrétienne car ils comprennent, en Occident, que sans
ce Dieu Jésus et Saint-Paul qui a dit vrai (comme les Évangélistes et d'autres
saints) mais aussi
grâce à la religion d’avant, c'est-à-dire celle juive, ils seraient restés des
ignorants, au mauvais sens de ce mot, c'est-à-dire des profanes, des
enfants-gâtés, des sacrilèges, des inconscients, des athées, et/ou seulement des
laïques, ce que les autres sont aussi à certains moments, mais comme à d’autres,
ils ont pu devenir des initiés et s’ouvrir aux différentes religions et qu’ils
ont bénéficié de l’ouverture de leur esprit, ils sont devenus patients, car ils
mesurent que leur vie n’a plus de sens que seulement parce qu’ils vont permettre
à d’autres de connaître cela, à leur tour, et bien sûr ils savent alors qu’ils
sont capables d’être excellents dans tous les métiers car chacun d’entre eux
obéit à la vérité qui est ontologiquement, consubstantiellement, intrinsèquement
et fondamentalement liée à l’ouverture de l’esprit et à ce moment où on s’est
débarrassé de cette prime-enfance et de son adolescence, au mauvais sens de ces
mots, même si celle-ci a continué durant les âges considérés normalement comme
« adulte » (au-delà des dix huit ans réglementaires ou vingt et un ou plus ou
moins suivant les régions – mais il y a le cas d’enfant qui, comme moi, à deux
ans et demi – comme il y en a peut-être de plus jeunes encore – qui ont bien
plus que vingt et un ans - en 1965 - et cela a été tellement vrai que tous s’en
sont rendus compte puisque je suis apparu d’avance, avant d’y être, avec la
somme de l'âge de tous, en remontant les temps futurs jusqu’en 2005, à l’âge de
quarante deux ans, car, en fait, j’aurais à découvrir que je m’y étais encore
une fois débarrassé de mon enfance et de mon adolescence, au mauvais sens de ces
deux mots, donc de mon « égo », comme en 1975, où, à cause de cela, puisqu’enfin
tous comprenaient que j’étais au service de tous, j’avais eu à faire un
sacrifice canonique en raison de mon anneau immaculé de mariage en me séparant de ma
promise légitime (bien qu’empereur) pour de multiples raisons que nous
évoquerons ultérieurement – donc pour tous, et appartenant à la catégorie des
sacrifices qui sont faits par les personnes qui se sont débarrassées de leur
enfance et de leur adolescence, au mauvais sens de ces mots, pour le Bien et
l’Intérêt Général de tous, puisque j’avais pu montrer comment un enfant
amnésique redevient un profane et même capable de faire semblant (à moitié) de
faire sa Première Communion, car il est devenu un à moitié pécheur (à certains
moments). C’est ce qui s’est passé de nouveau par la suite puisque l’Ensemble a
voulu que je fasse ce même sacrifice de nouveau, comme en 1965, alors que
l’Ensemble devait le refuser et c’est ainsi que j’ai eu une amnésie, après
m’être séparé à la fin de l’année scolaire de ma promise légitime,
Christine…Lang, et une autre amnésie à partir d’août-septembre 1977 et c’est
ainsi, que sans le savoir, dans cet état et sans plus me souvenir de ce qui
s’était passé d’extraordinaire dans le ciel de 1975, j’ai commencé à aller comme
quelqu’un qui risquait de devenir aveugle (ne plus avoir la vérité, se perdre)
vers Michèle Finck, canoniquement, en raison de ce que je saurais d’elle dans le
futur[11]
et de ce qui allait se passer dans sa vie et de ce que tous pourraient
comprendre si Michèle se conduisait de la manière selon laquelle il était donc
prévu qu’elle allait se conduire mais aussi Christine…Lang comme tout le monde,
puisque la situation allait être constatée par mes soins
bloquée
dès le moment
où, en 1965, je me suis débarrassé de ma prime-enfance et de mon adolescence,
comme de mon « égo » vers l’âge de deux ans, mais en ayant d’un coup à faire
cette remontée dans le temps futur puisque je découvrais que j’étais pharaon (en
2005 – mais déjà en 1965) et que personne ne me rendait la vieille salle des
machines qui était à moi de droit pharaonique.
Mais j’ai eu à connaître une nouvelle « enfance et une nouvelle adolescence »
dès l’amnésie de 1972 à 1975 aussi mon « égo » s’est aussitôt reformé avec
l’ensemble des problèmes et des mensonges qu’on se permet alors à soi-même et
qu’on s’autorise de penser vis-à-vis des autres, en commençant à confondre et à
ne plus se conduire bien (mais j’allais découvrir vers 2005 que j’avais prévenu
mes parents). Mais comme j’ai recommencé à penser à partir du moment où ma
chienne a volé le Caprice des Dieux
dont je parle ailleurs plus en détail, ce qui m’a permis de comprendre que si je
continuai j’allais régresser et faire une « involution » au point de devenir un
chien ou un chat et comme j’ai compris alors que je bénéficiai, en raison de ma
scolarité, du fait que j’étais un être humain et pas un animal, j’ai alors
choisi de m’intéresser de nouveau aux religions (de plus j’étais bien placé en
étant à Rome et si j’avais fait en parti semblant de faire ma Première Communion
pour recevoir une montre en or de famille (et pas pour des raisons religieuses
seulement), comme je me suis mis alors à penser vraiment, j’ai fini par vouloir
faire ensuite ma Confirmation en vérité – pas à moitié, mais en comprenant, sans
pour autant vouloir devenir prêtre, car j’espérais trouver un jour ma femme -
et bizarrement alors que cette Confirmation devait avoir lieu à
Saint-Louis-des-Français, elle a eu lieu - au dernier moment
- la décision ayant été prise le matin même – j’ai su cela après - dans l’Église
du Panthéon[12]
de Rome, mon frère aîné m’ayant fait la surprise d’arriver le matin-même de
Paris - où il faisait des études d’architecture et de dessin - par le train
Palatino, pour être mon parrain et
poser sa main sur mon épaule, au cours de la messe (cela a beaucoup signifié
pour moi et je me suis aperçu alors que mes parents avait fait des économies
pour payer tout cela, mais au moins je n’avais pas fait cette Communion
Solennelle en à moitié tricheur, donc en voleur ou en à moitié imposteur, comme
la précédente, et même j’ai commencé à mieux comprendre le problème général,
puisque je m’étais, avant de la faire, de nouveau débarrassé de mon enfance et
de mon adolescence y compris de mon « égo », bien que j’avais été tenté, au
cours de la nuit de retraite à
C’est dans ce sarcophage que j’avais été contraint, en fait, de conduire mon
père en 1976 qui m’y précédait chronologiquement quand, en 2006 (1976) je l’avais
contraint du futur (alors seulement virtuel) à prendre la suite d’adolph hitler, car cela s’était passé ainsi après
J’avais pu le vérifier et montrer qu’il suffit d’avoir une amnésie importante
pour commencer à faire des choses déconseillées dans l’éducation des enfants par
les diverses religions, ce qui les fait alors devenir profanes, voire sans
esprit ou même à cause de cela les mène à perdre la conscience, leur esprit se
refermant au point de perdre une à une toutes ses capacités d’entendement, de
raisonnement juste à l’Ecole, ou à l’Université, en perdant aussi les
possibilités de dessiner justement en vérité, donc de représenter ainsi et cela
ne leur permet pas non plus de jouer en comprenant exactement tous les rôles de
comédie ou de tragédie comme toutes les autres possibilités qui permettent
normalement d’être capables aussi d’être metteur en scène, y compris d’exceller
dans toutes les formes différentes des sciences de l’art, l’esprit ayant
disparu, le cerveau commençant à cause de ce rétrécissement une régression ou
une sorte d’involution (comme une atrophie donc) au point que les personnes
préfèrent demeurer prisonnières de cette « enfance » ou « adolescence » (au sens
négatif de ce mot : « cesse de faire l’enfant ») ou de l’enfant-gâté avec toutes
les inepties corollaires et tous les insalubrités comme toutes les formes
d’égoïsmes – insolences et autres impolitesses d’enfant-gâtés, malveillance,
mauvaises pensées, impolitesses y compris violences verbales, médiocrités
intellectuelles d’ignorants peu instruits jouant les raisonneurs conduisant
toujours ces personnes à être finalement de mauvaise foi face aux autres, au
moment où elles ont peur ou qu’elles savent devoir cacher des choses qu’elles se
sont permises de faire, malgré tous les conseils que les représentants des
religions, à travers les siècles en raison de leurs textes et de l’exemplarité
de la vie de ceux-ci durant leurs existences respectives ont donné comme mode de
vie à suivre en étant au service chacune de ces religions indispensables ayant
apporté un certain nombre de ces conseils destinés aux parents et qui bien
qu’ils servent des religions qui sont en partie des vérités relatives et non des
vérités, à distinguer, par conséquent, sont indispensables. Le degré initiatique
des personnes recevant ces conseils va permettre de discerner entre les vérités
relatives et la vérité pour élever les enfants et ces conseils sont soumis à des
interprétations qui doivent être mises-à-jour. Sinon cela risque de devenir des
préjugés, des habitudes dont on ne sait plus la raison d’être - des changements
sont donc possibles au cas par cas et c’est pourquoi l’intolérance religieuse
comme le fanatisme dans l’exacte soumission aux règles à suivre (la contrainte
de se conformer aux règlements est une des pires menaces qui pèsent sur l’homme
civilisé y compris le profane). C’est une chose inacceptable et dont il faut se
tenir loin bien que ces habitudes soient aussi à voir comme une discipline
nécessaire, à certains moments, suivant les personnes. Mais il faut avoir à
l’esprit que chacun étant différent, chacune des religions qui sont chacune un
moyen pour atteindre la vérité soi-même à partir de vérités et de vérités
relatives ou de vérités appartenant à d’autres catégories se doit de comprendre,
par exemple, que celui qui est sacrilège ou profane ne le sait souvent plus sur
le moment et se comporte donc naturellement en athée ou en laïque car il a subi,
à un moment donné, la fermeture de son esprit et ne s’en souvient plus, car cela
se produit automatiquement en fonction des pensées qu’on va croire pouvoir
s’autoriser, y compris des actions ou des comportements de laïques ou d’athées
ou de profanes et de sacrilèges, en fait tous les comportements inconscients des
ignorants, au mauvais sens de ce mots qui ont des mauvaises fréquentations – ces
comportements parfois même bêtes et/ou méchants – en raison de l’amnésie. Cela
contraste donc naturellement avec ces personnes religieuses ou appartenant à ces
religions ou ayant eu accès à « l’ouverture de leur esprit » donc à la
possibilité de s’intéresser à toutes les catégories avec du bon sens, grâce à
toutes les techniques de communication de notre époque qui doivent veiller à
demeurer cohérentes avec les divers progrès que ceux qui sont encore sans
religion distincte ont fait grâce à des Etats s’étant affranchi des religions
(séparation de l’Eglise et de l’Etat) tout en ayant finalement gardé l’esprit de
justice avec la laïcité ou au sein de ces Etats comme à interpréter les anciens
conseils des religions pour les adapter à cet état d’esprit à notre époque, tout
en ayant conscience qu’il y a les autres religions qui d’une certaine manière,
de ce point de vue, pèchent chacune par rapport aux autres car elles comportent
de ces vérités relatives liées à chacune d’entre elle (spécifiques) qui sont
donc ces éléments de coutumes ou de traditions très particulières y compris ces
rituels qui n’ont en fait, comme objectif, que de permettre de rassembler, de
rendre « un » ou de relier les personnes entre elles autour de valeurs ou d’une
vérité pour l’offrir à partager avec les personnes voulant y adhérer (comprendre
enfin) et appartenir à ces religions avec la possibilité, un jour, de se libérer
chacun, grâce à l’engagement pris par chacun dans son travail dans le monde
civil, de la partie de chacun d’entre eux appartenant à cette état de régression
involutive animale, en fait enfantine, adolescente, au mauvais sens de ces mots,
c'est-à-dire d’enfants capricieux et/ou d’enfants-gâtés capables de manquer de
respect vis-à-vis de personnes différentes d’elles puisqu’elles ne le sont plus
et concernées, à cause de cela, par les affaires de la cité ou plus spécialement
par des croyances communes fondées sur des vérités d’intérêt et de bien général
induisant enfin des comportements positifs délivrés de l’enfant-gâté, donc
véritablement adulte pour vivre en bonne harmonie et en société tous ensemble,
donc aussi en sachant qu’il y aura à côtoyer des êtres encore sacrilèges et
profanes vis-à-vis de choses importantes pour tous, ou qui se conduisent ainsi
envers les animaux ou les plantes ou vers les êtres humains avec des actes dont
il serait préférable pour eux d’avoir conscience afin de se rendre capables de
comprendre qu’ils sont même différents des êtres précieux comme ces personnes
religieuses d’autant plus qu’animées par la foi de leurs ancêtres et de leurs
morts en raison aussi de chacune des œuvres qui nous ont été laissée en
témoignage partout de l’existence de ces forces de l’esprit y compris de
sciences. Il faut donc distinguer mode de vie proposé par les religions avec
l’histoire de la religion comme avec les devoirs des religieux, comme avec un
grand nombre de paramètres qui sont reliés à ces notions de religion à
distinguer de ce qui est véritablement sacré et si on considère le monde entier
comme une représentation du sacré ou des mathématiques, on aura alors une
approche de chacune des matières à distinguer en comprenant enfin, de façon
intime, les raisons et l’usage éthique y compris pour quelles raisons on a le
droit. C'est-à-dire face à ce sacré agir avec bon sens et discernement. Mais
pour le profane qui ne discerne pas et pour qui il n’y a pas de vérité –
puisqu’il est dans la logique de l’absence de logique souvent - rien n’est
sacré : il fait semblant et il n’a conscience de ce mot de « sacré » que pour
jouer avec et donc pour se permettre de mentir en usurpateur, imposteur,
tricheur, etc. avec ce mot, étant donné que c’est pour en tirer un profit
égoïste y compris pour se permettre d’être sacrilège et de se moquer de tous
ceux qui ont véritablement ce sens là ou qui éprouve pour des mots plus de
respect que lui qui ne sait pas qu’ils sont vrais multi dimensionnellement,
multi catégoriellement, et qu’ils sont vrais pour toutes les personnes qui ont
pu bénéficier de cette ouverture de l’esprit comme de la fin de leur enfance et
de leur adolescence ou de l’enfant-gâté en eux (ce qui leur permet enfin de
discerner), donc que chaque mot a un sens précis et ne doit être pensé qu’avec
bon sens et pour des fins précises d’Intérêt et de Bien Général (ce qui a
expliqué l’emploi de la censure car ces mots provenant tous de l’esprit : ils ne
devraient pas servir comme d’autres outils à faire le mal). C’est pourquoi les
noms des fondateurs des religions sont donc des noms sacrés ou ceux qui, à la
suite des précédents, par fidélité, et parce qu’ils ont découvert effectivement
que ceux-ci avaient eu raison, ont consolidé en confirmant parfois même au péril
de leur vie, comme en la donnant, que ces religions étaient véritables, qu’elles
valaient la peine même de mourir pour elles, puisqu’elles proposaient, en fait,
comme objectif la véritable Connaissance, la fin de l’enfance, de l’adolescence,
au mauvais sens de ces mots comme de l’enfant-gâté sourd aux véritables bonnes
choses pour l'esprit – ce qui fera, en général, tous ces faux soldats de l’Histoire capables
d’obéir aux ordres auquel la conscience se doit toujours de désobéir - comme qui
ne seront capables que de se conduire en
animaux et non en roseau ou chêne pensant pour éviter de retrouver, en chacun,
l’être humain au sens véritable, délivré de cet « égo » demeurant dévastateur et
contraire au service du Bien et de l’Intérêt Général localement ou même de façon
plus ouverte et plus ample).
J’ai été contraint en 2005 car en 1975 on me voyait et m'entendait dans le ciel, en raison de
cet anneau de mariage, d’exiger qu’une vieille personne, adolph hitler, ayant
été la cause de bien des malheurs, qu’il se soumette à mon père l’empereur
suivant, lui-même soumis à ma volonté du futur – tout ce qui s’est passé est
donc une très vieille histoire que nous redécouvrons – d’autant plus – je l’ai
dit plus haut - de mes proportions véritablement « pharaoniques »
(dans le ciel je fais plusieurs kilomètres de haut et ma tête fait un diamètre
de trois cent à cinq cent mètres alors que dans la réalité je mesure un mètre
soixante quinze) visibles dans le ciel à partir de 1975 – 2005 -
car cet empereur précédent mon père s’était conduit en fou
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))
mais surtout – j’ai pu m’en assurer - en profane et en sacrilège
– donc sans esprit de discernement et sans la connaissance du bien et du mal, ni
de tous les savoir-faire pourtant indispensables pour traiter chacun des
dossiers de l’empire au cas par cas, en maître compétent – en fait cet empereur
s’est comporté en ayant des attitudes de primitifs violents qui n’a pas la foi
dans la vérité du langage, car celui-ci lui servait parler subjectivement donc à mentir plutôt qu’à œuvrer
pédagogiquement en penseur véritable ou homme de sciences objectif. Dans l’état dans
lequel il était, il ne pouvait pas savoir que les mots servent à dire la vérité
objective et qu’il existe un bon sens (il n’avait trouvé que celui des inscensés
(incensé + insensé) qui
ignorent honnêtement, à cause de cet état dans lequel ils sont, qu’il puisse y
avoir l’existence de la vérité. Donc la plupart de ce qu’ils lisent est faux puisqu’ils savent
qu’ils parlent en mentant[16].
Pire, ils sont capables de prendre la vérité pour le mensonge car ils manquent
de discernement et ils ne comprennent pas dans laquelle des catégories l’autre
s’exprime et c’est ainsi qu’ils ont été capables de croire que des canulars ou
des anti-phrases qui
circulent sont vrais[17].
Je l’ai vérifié sur moi-même toutes les années où j'étais devenu profane, ce
qui m’a permis une fois délivré de cet état de protéger les pharaons précédents
comme des handicapés du cerveau en les faisant bénéficier des lois de Dieu à ce
sujet d’autant plus que je n’avais pas le choix, j’étais le pharaon suivant)
dans la pédagogie en raison de la cohérence et dans les sciences exactes pour
obtenir des résultats : si adolph hitler s’est comporté comme un assassin,
c’est parce qu’il était un ignorant,
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)),
et il a contraint tous
ceux qui ne l’était plus à être en légitime défense d’autant que ses prétentions
étaient alors inacceptables puisque malgré l’Histoire ayant abolit esclavage et
le servage, elles continuaient à avoir des visées esclavagistes et non de celles
qui ont comme objectif de délivrer ou d’affranchir chacun des individus de
l’esclavage tel qu’il était encore pratiqué au XVIIème, XVIIIème
siècle, donc de sa part préhistorique de profiteur, c’est à dire effectivement
de cette façon que seuls les enfants-gâtés qui ont cru pouvoir profiter du
travail des adultes et s’amuser prisonniers de leur égo malfaisant et jaloux, de
cette part d’enfant-gâté qui ne leur permettra pas d’être de bons parents et
qui, si elle était inadmissible en raison de la révolution industrielle est
encore moins acceptable de nos jours, comme déjà au début de XXème
siècle, en raison des considérables progrès techniques qui permettaient
d’envisager de donner des travaux utiles à chacun, si chacun avait compris qu’il
y a des compétences à acquérir pour exercer chaque métiers comme des salaires
justes à déterminer pour chacun d’entre eux en fonction de paramètres divers que
les hommes instruits connaissent et que le but du travail est précisément de
parvenir à se délivrer de cet « égo », comme de cette enfance et adolescence ou
de l’enfant-gâté, au mauvais sens de ces mots, ce qui fait forcément être alors
des personnes au comportement de préhistoriques ou en tout cas pas très évoluées
et n’ayant pas encore pu bénéficier de cette ouverture de l’esprit puisqu’elles
sont devenues prisonnières d’un certain nombre de paramètres nuisibles pour
elles comme pour l’Ensemble.
En 2005 (comme en 1965 et 1975) j’avais pu vérifier qu’adolph hitler ne s’était
pas préparé, en vérité, à son anneau de mariage (peut-être à cause de son
histoire personnelle) mais il a pu de loin, à partir de 1978 à 2005 – puisque
Michèle n’a pas voulu interrompre le processus et permettre que j’épouse
Christine – suivre les étapes une à une qui mènent quelqu’un de « devenu
profane », sacrilège envers lui-même, égoïste etc. laïc, athée et ignorant, au
mauvais sens de ce mot, à redevenir digne de se préparer de nouveau en vérité à
son mariage impérial, par conséquent qui pourrait être célébrer dans un de ces
édifices construits grâce aux sciences et qui est appelé « religieux » mais
devant le Grand Architecte de l’Univers qui est quelque part dans la galaxie ou
l’Univers.
Dieu m’a rappelé en 2005 un détail de mon passé et l’existence de ma première épouse
Christine…Lang et après tout ce que j’avais eu déjà à traverser comme épreuves,
il est normal que pendant deux secondes (qui furent longues) je ne me suis pas
senti très bien car je me présentai pour me marier avec Michèle Finck et c’est à
ce moment-là que j’ai compris que Michèle m’avait caché ce qu’elle aurait dû me
dire depuis toujours d’autant plus que nous aurions dû nous présenter un jour
dans un de ces lieux édifiés et consacrés à la religion et qui résultent chacun,
très élégants, des sciences au service de ces idées d’architectures religieuses
communes et fondatrices localement, sur Terre, des diverses civilisations de nos
jours interconnectées grâce à ce que j’ai été contraint de mettre en chantier à
cause de tout cela, à partir de 2005 avec effets rétroactifs, avec mon père pharaon
(comme la construction d’Internet par exemple aussi) pour reconstruire le monde
que la maladie de l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, liée aux générations
passées, c'est-à-dire aussi à l’état de profane, avait détruit et mené aux
catastrophes historiques indélébiles qui sont à l’origine de trop nombreuses
vraies larmes dans toutes les familles du monde entier depuis toujours.
Jusqu'en avril 2005, je ne savais pas être mon père ni adolph hitler ni napoléon
premier (par
conséquent des empereurs ayant un aspect d’eux, comme moi, profane et tout le
corolaire) ni les précédents empereurs, jusqu’au premier d’entre eux, depuis 1995, bien que j’ai continué à me comporter en profane et
sans savoir que par moments j’étais sacrilège, car j’avais eu cette amnésie et n’avais pas
assisté encore à l’ouverture de mon esprit qui s’est produite mathématiquement en
raison d’un certain nombre d’efforts j’ai fait, à la fois dans ma vie privée,
mais aussi en tant qu’apprenti dans les diverses catégories de métiers explorées
par mes soins et je ne savais pas que depuis 1977-78 mon esprit, à cause de
l’amnésie canonique du sacrifice de ma séparation maçonnique d’avec Christine, s’était
refermé au point d’être devenu parfois pareil à celui d’un animal
ignorant, un égoïste, un enfant-gâté, un incivilisé,
au mauvais sens de ces mots, bien que j’aime beaucoup les animaux pacifiques et
inoffensifs et parfois
aussi les mœurs d’incivilisés quand cela ne peut plus que se justifier en
conscience et que de façon étrange ils auront comme dessein d’engendrer alors le
contraire.
J'ai donc un peu retrouvé mon père à partir de 1995 dans le sarcophage des
empereurs qui est à Rome dans une dimension invisible à l’hôpital San Giacomo
non loin de la place du Peuple, ou d’un hôpital qui a été mis au nom d'un "saint
quelconque" – j’ai su sur le moment[18]
quand on m’y a transporté qu’il était au nom d’un saint et cela m’a rassuré -
bien que je n’arrivais pas à comprendre ce qui s’était passé et pourquoi je me
suis pris, à la suite de cela, plusieurs fois pour « la mort » ni pour quelle
raison exacte j’avais pu voir Atlantide et le Paradis à un moment où j’ai pensé
une chose qui était évidemment fausse[19]
mais en y repensant, avec le recul, cette chose que j’ai pensé pourrait être
partiellement vraie aujourd’hui[20],
comme on peut d’une certaine façon la penser « à première vue » pour n’importe
quel chien ou chat, qui se conduit bien dans la mesure où maintenant je sais que si
napoléon
premier comme adolph hitler se sont conduits comme ils l’ont fait c’est
simplement parce qu’ils étaient devenus des enfants-gâtés, donc en adolescents,
en ignorants,
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s]
mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)),
comme
surtout en n’ayant pas pu bénéficier ni l’un ni l’autre de cette ouverture de
leur esprit que les études qu’ils avaient faites auraient dû produire, s’ils ne
s’étaient pas conduits en impatients ou en ne faisant que semblant de croire aux
religions comme en ne comprenant pas tous ceux qui s’étaient délivrés de leur
enfance et de leur adolescence, comme saint Paul qui avait dit vrai et qui sont
affiliés à l’une ou l’autre des grandes religions, sans pour autant être des
saints ou même des anges spécialement reconnus, mais en essayant, à certains
moments de coller avec cette idée, quand à d’autres moments, ils représentent
les autres mots et ils ont les capacités de ces autres mots y compris quand ils
sont profanes, sacrilèges, laïques et athées ou ignorants, au bon comme au
mauvais sens de ces mots, la venue de l’esprit des sciences n’étant pas
forcément liée à la découverte de Dieu ou la fin de l’athéisme. On peut avoir de
l’esprit et être un athée dans certains cas. Moi-même ne crois en Dieu qu’à de
rares moments (quand il se montre intelligent – heureusement cela lui arrive ![21])
quand j’ai de nouveau réuni tous les paramètres qui me permettent d’avoir une
idée précise de ce mot et ce n’est pas spécialement dans une église que cela
advient, bien que parfois la très grande beauté de l’architecture puisse y
contribuer. Aux autres instants, je suis autre chose et souvent même seulement
la chose que je suis entrain de faire, dans laquelle je suis concentré et qui
est aussi profane, peut-être même à mon insu sacrilège ou laïque ou celle d’un ignorant, au
mauvais sens de ce mot, du point de vue de certains se réfléchissant eux-mêmes
en ces catégories dans lesquelles ils me classent alors car comme j’opère dans
toutes les catégories en même temps, peu importe comment on me voit ou comment
on me classe – je n’oublie jamais que je peux être aussi de ce point de vue, un
imbécile.
La mère de Michèle Finck a été contrainte, en raison de son contexte familiale
de l'Après-Guerre de donner l’éducation qu’elle a donné à sa fille qui s’est
retrouvée dans un état d'esprit comparable en 2005, mais qui a de
nouveau changé, comme en 1965 et 1975, puisque Michèle et ses parents sont même
allés en terre d'Israël pour y effectuer un voyage initiatique pour découvrir
Jérusalem avec le grand écrivain Claude Vigée et peut-être alors Michèle s'est
posée, à ces moments-là, des questions au sujet de Dieu, d'autant qu'elles,
comme sa mère, n'ont peut-être pas envie de se réincarner, la prochaine fois,
comme des cafards ou moins encore que cela, en puces - en ayant perdu tout le
bénéfice du travail effectué dans leur vie d'être humain ayant, de plus,
approché de près l'empereur (Nous) ayant eu l’honneur de sauver la situation
plusieurs fois, en 1965, en 1975 et à partir de 2005, mais que ces deux femmes
peut-être soumises à des chantages devaient gentiment séduire selon, à ce sujet, une vieille
tradition impériale d’invétérés
profanes qui a en réalité, en raison du caractère sacrilège, toujours été
contraire au véritable Intérêt et Bien Général de l’empire et des empereurs car
il a toujours été le fait de femmes profanes, pas assez instruites, égoïstes et
désireuses d’avoir le pouvoir pour des raisons d’ordre uniquement sexuel et
non pour faire le Bien (dans d’autres disciplines – elles sont pourtant
innombrables et concernent tous les aspects de notre vie quotidienne), mais pour
faire égoïstement un bien sans connaître l’ensemble des sciences qui permettent
de faire vraiment le Bien Général, en s’étant délivrés d’abord de cette fille
d’enfants-gâtés, grâce aux études ou au divers travaux, donc en s’étant délivrés
de sa qualité de profane – une chose en réalité bien commune à beaucoup de gens
– donc délivrés de son enfance et adolescence, au mauvais sens de ces mot et des
divers préjugés corollaires, pour arriver enfin à connaître l’ouverture de son
esprit et atteindre enfin la qualité d’homme et de femme véritablement
conscients du bien et du mal, grâce à cela capables de discerner ce qui est bon
de ce qui est mauvais y compris pour éduquer ses propres enfants justement et ne
pas en faire des enfants gâtés. C’est ainsi que tous les empereurs ont été
séduits. Tous, sauf mon père, car ma mère comme lui, durant
En ces époques lointaines d’avant mon père les empereurs sont prisonniers des
vérités relatives de ces époques là et ne savent pas discerner de façon
précise et exacte comme c’est le cas à notre époque que toutes les sciences et
les compétences ont fait advenir ainsi que les savoir faire. Ils ne savent donc
que ce qui est à l’époque su ou qu’ils ont appris dans les livres ou qu’ils ont
pu espionner y compris concernant ces personnes appartenant aux diverses
religions qui sont si mystérieuses ont raison de se méfier des profanes
puisqu’ils sont la cause même de toutes les ruines ou des malheurs en ce monde.
Certainement, ils ne savent rien de ce qu'est
C’est alors que recevoir un conseil ou un avis du Pape est une chose importante
car il s’agit d’une personne qui s’est, elle aussi, normalement délivrée de cette enfance et
de cette adolescence, au mauvais sens de ces mots, qui en ont du bon à d’autres
moments et dans son cas, comme j’imagine dans votre cas, grâce à la religion
chrétienne que vous avez fini par étudier en vous y consacrant et en vous y
spécialisant à ce point.
J’ai pu vérifier que dans ce monde là de l’inconscient (l’égoïste,
l’enfant-gâté, l’adolescent, au mauvais sens de ces mots) ils ne savent pas ce
qu'est exactement un original (texte, œuvre d’art, etc.) provenant de ceux qui
sont coincés à cause de la situation générale dans le monde de la vérité. Il ne
se rendent pas non plus compte (et cela parce que ces enfances et ces
adolescences, au mauvais sens de ces mots, durent comme ces égoïsmes au-delà de
l’âge légal adulte des 18 ou 21 ans, qui est normalement pour tous ceux qui ont
fait des études l’âge où on devrait s’être délivré de l’enfance et de
l’adolescence au mauvais sens de ces mots – c’est pourquoi à cause de ce mal dont
ils sont prisonniers – l’involution, au lieu d’avoir « évolué » se produit. Ils
ne se rendent pas compte de ce que représente une seule écriture véritable de
ceux qui se sont délivrés de cette enfance et adolescence au mauvais sens de ces
mots et qui ont pu bénéficier de l’ouverture de leur esprit pour devenir des
initiés comme Cocteau, par exemple, qui a alors écrit de la poésie, qui a fait
des films, qui a dessiné, qui a été décorateur et d’innombrables autres choses
(chercheurs, linguiste, penseur, etc). Ils ne se rendent pas compte de ce que
c’est comme travail d’être Ingmar Bergman ou Woody Allen ou d’autres grands
réalisateurs de films qui proposent de véritables œuvres sur lesquelles penser
ou travailler et donc offre la possibilité d’avancer.
Donc des personnes encore par bien des aspects totalement ignorantes, au mauvais
sens de ce mot - ce qui signifie aussi qu'il y ait, d'une certaine façon,
quelque chose d'assez beau dans ces personnes profanes toutes capables d'être
aussi obéissantes que cela à un vieil empereur qui représente cette façon
ancienne d’avoir été grugé par l’ensemble des femmes égoïstes et ignorantes, au
mauvais sens de ce mot (qui cherchaient à être servies avant d’avoir appris à
servir) et qui, parce qu’elles ne travaillaient pas vraiment, donc n’avaient pas
encore appris à penser (à l’époque de napoléon premier, par exemple, elles ne
fonctionnaient que dans des rapports de séduction durant les quelques années de
jeunesse où elles avaient une chance, à cause de cela, d’avoir de la promotion
et le travail de la femme, en ces époques là, était donc lié à ces « à première
vue » de la vision primitive d’une femme qui avaient souvent, même dans les plus
grandes familles, cessé d’étudier assez jeune d’autant plus des maternités et
autres contraintes liées à ce sexe – le rôle de l’empereur était donc celui
d’une personne qui ferait la volonté de personnes n’ayant que très peu de
notions leur permettant de comprendre les relations internationales ou
économiques ou diplomatiques. Il était donc le dindon de la farce et elles les
dindes[23]).
Il y a eu donc un véritable changement qui s’est en grande partie produit au XIXème
et au XXème siècle au sujet de la condition féminine, mais cela n’a
pas eu lieu dans toutes les familles, ni dans celles qui étaient les moins
instruites[24],
comme celle d’adolphe hitler ou de mussolini, ou de franco, ou de lénine ou de
staline, c'est-à-dire qui appartenaient au peuple[25],
au SNNPM[.] :
au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), c'est-à-dire à celui qui avait été capable de
guillotiner le roi Louis XVI, ou même le Tzar, qui est le descendant de celui
qui a fait en sorte, sur l’ensemble de l’empire russe, que la scolarité puisse
permettre à des enfants du peuple d’accéder à la pensée, voire favorise ce
passage qui permet de se délivrer de l’enfance, de l’adolescence, au mauvais
sens de ces mots, et pour les meilleurs, comme Prokofiev ou Kandinsky, de vivre
comme Beethoven ou Mozart, ou Picasso, ou d’autre grands artistes universaux
ayant ensuite chacun ouvert leur propre voie grâce à l’ouverture de leur esprit.
Dans le cas de Picasso, tous le monde sait que ce n’est que parce qu’il a
beaucoup copié les anciens avant, donc d’énormément travaillé, comme Charlie
Chaplin avant que celui-ci ne devienne Charlie Chaplin ou comme d’autres qui
sont devenus Chagall ou Chopin ou Wagner ou Bartók ou d’autres musiciens, chacun
devenant une voie nouvelle et donc virtuellement une école ou une sorte de
chapelle y compris pluriels car effectivement devenus soudain multiples et
s’intéressant, comme apportant dans chacune des autres catégories, et pas
seulement dans sa spécialité, sa part de génie.
C’est que ces femmes chargées de corrompre (séduire) la personne de l’empereur pour le
mener à assumer ce rôle de potiche faite en série comme les précédentes – donc
sans grande valeur - en réalité contraires à l’Intérêt Général, contraires au
progrès - sont donc des conservatrices, au mauvais sens de ce mot, qui croient
que séduire physiquement suffit et dédaignent la partie essentielle qui est
fondamentale pour la sauvegarde de l’empire et de l’Etat, cette « tête bien
faite dans un corps sain (mens sana in
corpore sano) et ce que cela induit comme ouverture d’esprit et sont donc
facilement convaincues d’ineptie à propos de « la pomme » d’autant plus qu’elles
ont subi elles-mêmes, dans leurs contextes familiaux les viols « traditionnels »
de leur droits à avoir le droit de se conserver pour leur futur mari, en étant à
ce sujet protégée par leur père et leur mère, ayant à y veiller, et elles
obéissent donc à un fonctionnement profane qui est celui de personnes qui s’en
sont déjà donné à cœur joie sur le plan sexuel[26],
au risque de connaître, à cause de cela, alors, la fermeture de leur esprit, et
de retomber en enfance et/ou en adolescence, au point, pire, de se comporter,
chacune, comme une enfant-gâtée et de ne pas être capables, à cause de cela,
d’élever des enfants pour en faire des femmes et des hommes véritables, donc
délivrés de cette enfance et adolescence (mais obnubilés par la question
sexuelle). Elles demeurent donc nullement spécialistes véritablement dans une
des matières ou des disciplines choisies et font donc semblant (d’autant
qu’elles croient que ces matières n’ont de l’intérêt que pour pouvoir flatter
leur sensualité), comme peut-être vont être capables de loin de recevoir des
ordres d’égoïstes parce qu’elles n’ont pas recherché un serviteur pour l’Etat,
au service de l’empire et de l’Intérêt ou du Bien Général, mais cherchent à se
servir de ces notions pour se servir en premier elles-mêmes comme ces femmes
instruites que parfois elles croient être, en espérant qu’elles seront de celles
qui tiendront salon pour des raisons qu’elles sont en réalité des entremetteuses
et qu’elles utilisent toutes les catégories ou disciplines (dont celles
concernant les religions) simplement en ayant comme objectif de réussir à
assouvir grâce à celles-ci leurs désirs sexuels ou celui de leur proches. Donc
une façon profane de fonctionner et dont parfois les grand auteurs, y compris
Molière, s’est un peu moqué avec sa toujours continuelle très grande élégance et
sa trop grande gentillesse.
C’est qu'elles sont encore privées de conscience propre et ne sont pas
indépendantes puisqu’elles vont obéir à une sorte de hiérarchie qui est
constituée de pareilles tricheuses et elles n'agissent pas selon leur propre
volonté, donc de façon autonome (elles sont tributaires de ceux qui les
entretiennent financièrement ou qui exercent sur elles du chantage non pas dans
le dessein du bien de l’Etat, c'est-à-dire de tous, mais pour faciliter des
enrichissements ou des fortunes sans critère de qualité ou de réelles compétence
ou qui ne sont pas véritablement fondés sur des mérites ayant abouti à ces
ouvertures de l’esprit ou à ce que des personnes aient enfin à cause de cela pu
devenir enfin « adultes » et se soient alors, au passage, délivrées de leur
enfance et adolescence d’enfant-gâtés, puisqu’ils vont être capables d’en parler
en pratiquant aussi l’autodérision ou en minimisant les peccadilles ou en
analysant pour instruire et en tirer des enseignements ou des leçons ou s’en
moquer, comme d’une vieille personne qui, en elle, était encore prisonnière de
bien des saletés (ces préjugés, ces mensonges, ces vérités relatives faisant de
certains des bigots ou d’autres des bourgeois au mauvais sens de ces mots ou des
« femmes savantes » ou des « précieuses ridicules » ou des
Tartuffes ou tout le corollaire).
Ces femmes sont donc des parodies de celles qui assez rares appartiennent au
monde de la vérité et elles ne vont donc employer les mots que mensongèrement ou
alors en faisant des efforts pour dire la vérité, par mimétisme de celles qui
ont de l’esprit mais qui s’en gardent en passant pour moins intéressantes que
celles-ci à première vue plus expertes. Elles n’ont pu, le plus souvent, obtenir
des travaux à faire qu’en raison de leur attraits et non de leurs compétences
réelles. C’est donc à leur côté encore « enfant » ou « adolescent », au mauvais
sens de ces mots, qu’elles ont trouvé des moyens pour survivre donc pour servir
des compétences en définitives très réduites. Elles ont, au cours des siècles
passés, été réputé pour être écervelées et volages y compris papillonnantes.
Elles se conduisent comme les sirènes d’Ulysse et ne savent pas ce que signifie
les mots dans le monde d’Ulysse qui n’est pas le leur, celui des petites
inconscientes qui n’étant pas encore devenues des vraies femmes, se conduisent
bien légèrement, en oubliant d’avance tous les devoirs qu’elles auront comme
mère ou même comme grand-mère, en croyant que se seront les serviteurs ou les
« esclaves » obtenus grâce à leurs charmes sur lesquelles elles pourront compter
(en ne s’intéressant à leurs enfants que physiquement et pas pour leur permettre
d’acquérir de l’esprit). Or elles n’ont pas encore appris tous les savoirs-faire
qu’il est nécessaire d’apprendre pour pouvoir un jour avoir des personnes libres
et non des esclaves pour les servir comme des personnes exemplaires et faire
d’elles, si possible, des femmes délivrées, à leur tour, de cette fausse enfance
et adolescence, au mauvais sens de ces mots dont elles ont été les victimes dans
leurs contextes respectifs, car elles se sont aliénées à des clichés anciens, à
des visions surannées et conservatrices d’autres temps (plus sombres au sujet de
la femme) de ce qu’était l’image de la femme pour l’homme qui n’est pas encore
celui délivré de son enfance et de son adolescence, qui n’a pas encore pu
arriver au moment crucial de son existence pour assister à l’ouverture de son
esprit, en raison des multiples bonnes actions et des travaux importants qu’il
aura fait, ayant des retombées d’Intérêt Général – donc non égoïste, enfin au
service du prochain dans n’importe lequel des métiers, pourvus que cela soit des
efforts considérables à fournir qui exigent de nombreux préparatifs[27]
– elle n’est donc pas la femme que recherche les hommes qui se sont délivrés
enfin de leur enfance et de leur adolescence, au sens négatif de ces mots, y
compris de leurs égoïsmes divers, car ils savent qu’ils vont vers de véritables
difficiles responsabilités non seulement familiales mais aussi de futurs grand-pères : en effet il s’agit ici de la femme traditionnelle : de la souvent
très sexy ou provocante « vampe ».
Donc Michèle qui, à première vue, n’est pas une « vampe » mais une professeur
d’université, ne trouvera peut-être jamais le courage de me dire (à moins
qu’elle prenne le parti inverse) ce qui s'était passé lors de ces interventions
à travers le temps en 1965 et les suivantes en 1975, ni n'a jamais pu ni voulu
m’en parler durant les dix huit années de quasi vie commune - ce qui signifie
qu'elle a été peut-être la victime de « la loi du silence », une loi que vous,
comme moi, ne connaissons pas, puisqu'en appartenant au monde de ceux qui n'ont
pas eu accès à la salle des machines nous appartenons au monde de la vérité et nous utilisons la parole et l’écriture
pour ne pas être silencieux et nous soigner parce que nous avons connu cette ouverture de notre esprit qui a
mené certains d’entre nous, par acquis de conscience, à nous confesser et alors,
à nous repentir sincèrement d’avoir eu assez de faiblesse et de lâcheté pour
continuer à nous conduire en profiteurs, en enfants et adolescents, au mauvais
sens de ces mots et donc nous utilisons les mots pour essayer de penser en
vérité, en sachant combien elle est complexe et ne censurons personne quand
celles-ci s'expriment de façon scensées (sensées + censées) et dans l'Intérêt et le Bien Général des
générations passées et à venir, ce qui nous permet de donner des conseils les
meilleurs sur des méthodes empiristes, même à tous ceux qui nous considèrent à
tort des ennemis, étant donné que nous n'ignorons pas que la vérité existe (et
qu’elle n’a pas d’ennemi puisqu’elle s’est rendue « coupable » de tout ce qui
est intelligent en ce monde) et qu'elle fini toujours par être connue ou sue très
exactement, mais aussi que la vérité d'un conseil donné tient compte des petits
enfants et au-delà d'eux à la personne à qui nous donnons ce conseil, comme nous
savons qu'il est de notre devoir de prévenir toujours, en raison des milliards
de milliards et plus encore de paramètres qui sont reliés à ces éléments de
vérité, comme au fait que celui qui est inconscient de l’existence de ceux-ci
mérite ce conseil qui, d'avance, le prévient aussi toujours des malheurs qui
pèsent sur nous pour toutes les raisons d'interactions chimiques ou de pollution
ou de quantité de gaz carbonique trop élevé dans l’atmosphère ou les chiffres
démographiques qui contribuent à réchauffer, en raison des besoins inhérents à
chacune des unités, la planète, en prévoyant les effets de toutes ces substances
chimiques dans l'atmosphère, ce qui pourrait contribuer à augmenter les surfaces
désertiques, en nous donnant toujours moins de surface agricoles à cultiver et
cela pendant une tragique augmentation de cette population, un processus qu'il
est urgent d'enrayer y compris avec l’aide de la contraception, notemment en
continuant à produire des tracteurs et des camions pour mettre en chantier,
grâce à tout ce matériel, des tas de pierres d'un côté, des tas de sables de
l'autre, un nivellement du Sahara pour en faire une sorte de grande dalle et y
apporter de tous les coins de planète des terres y compris en récupérant les
défécations retraitées dans les eaux usagées des villes ou en raclant les boues
des fleuves et des canaux, en mélangeant ces terres les unes aux autres selon
des proportions scientifiques que les ingénieurs agronomes décideront pour y
apporter des engrais chimiques naturels et des apports minéraux en métaux
indispensables y compris tous les petits insectes, le tout pour créer un très
grands verger artificiel, en apportant des tuyaux d'eau liés à des moteurs
d'épuration (de désalinisation) aux différents points d'eau que sont les mers et les lacs alentours,
ces moteurs alimentés par centrales solaires de façon à pouvoir faire des
économies d’énergie et progressivement, à mesure que la population augmente,
faire du Sahara entier, le futur grenier de l’Afrique, mais aussi capable
d’exporter les surplus de bonnes choses ayant poussé d'autant plus de la
possibilité de profiter de l'ensoleillement, donc de plusieurs récoltes, en
ayant pris soins de vérifier, à mesure de l’avancée des déblaiements, que dans
tout cela il n'y ait pas les os de personnes appartenant à ces lointains
ancêtres de civilisations disparues, y compris des ruines ou des trésors à
retrouver, à conserver et à valoriser sur place ou ailleurs et qui datent du
temps ou après le moment où tout cela n'était que forêt, cela signifiant qu’il
faudra mettre de côté les os pour les conserver et les archiver d'une façon
archéologique ou en raison d'hypothétiques à venir permettant des recherches
grâce aux différents ADN pour les comparer aux nôtres[28].
C'est qu'ils sont dans l'inconscience et "ne se rendent pas compte" du mal
qu'ils font à
Ces fichiers que je vous envoie ci-joint sont non relus, non corrigés pour
l'instant et il y a le texte d'une lettre pour Michèle Finck en
chantier - que j'ai décidé de lui écrire avant d'envoyer corrigée ma lettre au
Président Hollande (en continuant mes tests) et à Sa Sainteté le Saint-Père,
étant donné que c'est la plus malade de la situation des trois - elle souffre en
plus réellement physiquement de la situation d'un mal à la jambe qui lui est
venu vers l’an 2000 et qui s'est éternisé depuis, et s'il n'est pas feint, ce
que je ne crois pas - mais on m'a tellement trompé que je suis capable de faire
comme si ce qui n'est que mensonge pourrait être vrai - cela doit être
néanmoins pénible et celui que je suis qui est, comme vous le savez aussi, à
certains moment le chef de tous les médecins et des chirurgiens dans tous les
temps et qui a pu avoir à cette occasion, depuis 1965 et 1975, une idée assez
précise du médecin à notre époque, puisque je ne suis qu'en permanence entrain
de cumuler mes différentes fonctions, y compris avec celle de Grand Inspecteur -
aimerait que nous arrivions à soigner Michèle de cela d'autant plus que je connais maintenant, plus
en détail, ce qui a posé problème à
C’est qu’il se pourrait que ce contexte strasbourgeois de Michèle Finck, en
raison des répercussions de
C’est que ces personnes qui faisaient ce genre de mauvaises plaisanteries se
sont rendues les geôlières de l’ensemble des autres qui se sont pourtant chacune
délivrées de l’intérieur d’elles-mêmes des prisons des enfants-gâtés capables
d’être geôlier, espion, menteur, usurpateurs, etc. en raison de ces enfances et
adolescences d’enfants-gâtés devenues égoïstes et le corollaire qui va avec et
qui n’ont pas eu jusqu'ici, lundi 14 avril 2013 (1973 et 1983), à vingt heures
trente, encore le courage de se mettre pour une fois chacune réellement en
danger en faisant totalement confiance aux autres dans l’espoir de connaître à
leur tour un jour la fin de cette situation d’enfants-gâtés en eux y compris de
leur adolescence, au mauvais sens de ces mots, liée à la possession de la
vieille salle des machines pour parvenir chacun à ce moment plus que redoutable
et affreux, dans certains cas, effrayant, de « l’ouverture de son esprit », car
sinon elles auraient rendu la vieille salle des machines à partir de 1965 ou à
partir de 1975, ce qui aurait fait qu'ici, à partir de 2005, tout ce qui s'est
passé depuis ces années-là cela n'aurait pas été ou ne serait demeuré que du
virtuel (y compris mes interventions) et personnes n'aurait plus souffert de
maladie, d'injustice ni de mort, à partir d'un certain moment car tout le monde,
l’un après l’autre, à partir d’un moment donné, aurait connu aussi « le
bonheur » ou ce « malheur » (vu autrement) de « l'ouverture de l’esprit » et tout le monde
aurait pu devenir milliardaire (pas seulement les quelques uns que j'ai pu
nommer
grâce à cette Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale dictée à plusieurs
reprises en virtuelle du futur avant de découvrir en chair et en os avoir à la
dicter de nouveau) car ils auraient tous fait alors une excellente affaire en
rendant la vieille salle des machines à tous ceux qui ont pu, comme Einstein ou
d’autres, bénéficier de cette "ouverture de leur esprit" avant eux et qui sont
aussi capables, à cause de cela, de célébrer comme une fête ce moment, à
l’occasion par exemple des divers sacrements comme le Baptême,
Les préjugés, les mensonges et les calomnies comme seulement de se trouver
prisonniers des quelques vérités relatives auxquelles on s’est accroché - comme
égorgés par celles-ci et sur un présentoir de boucherie derrière une vitrine -
vont pousser certains à faire croire avoir eu à renoncer à tous les pièges
libidinaux que vous savez et qui ne sont qu'en fait, de leur point de vue qui
n’en mesurent pas les conséquences, que des simples plaisanteries de profanes ou
de sacrilèges, de laïques ou d'athées, en fait d'ignorants, au mauvais sens de
ce mot, inconscients et des corollaires. Ils essaient de se faire passer pour
bien plus sainte-nitouches que les autres, au point d’en avoir tous les préjugés
qui vont avec, ainsi que les hontes et les pruderies pudibondes qu’ils masquent,
par esprit de contradiction, en exhibitionnistes en s’émoustillant des
transgressions ainsi assouvies.
Pourtant ils aimeraient devenir des personnes qui arrivent à comprendre tous les
niveaux de lectures qui existent (mais à la longue et en travaillant beaucoup -
car j'ai vérifié que c'est plutôt très difficile) et qui sont pourtant visibles
un jour « à première vue » car certains d’entre ceux-ci voient des choses qui
sont invisibles pour ceux qui ont renoncé à la vieille salle des machines,
c'est-à-dire le monde du point de vue des négatifs qu’ils sont devenus, en
raison des enfants-gâtés qu’ils ont cherché à devenir, contre leur intérêt
véritable, par conséquent avec ces sortes de prisons en filigranes qui entourent
ces personnes qui ne sont pas encore devenues des êtres humains et qui sont même
devenues l’inverse en ayant ainsi choisi de subir une l’involution vers l’état
unique d’animal faisant semblant d’être des êtres humains[30].
Cela donne néanmoins un bel aspect comme celui d’un beau chat ou d’un beau chien
ou d’un autre animal. Il s’agit donc avec cette sorte de filigrane qui ne manque
pas de charme, puisqu’elle fait même apparaître les personnes qui en sont
prisonnières comme « belles » et « séduisantes » dans leur aspect physique de
personnes étant devenues des tricheurs. Mais cette vision d’eux, dans la réalité
n’est pas perceptible (puisqu’il s’agit d’une sorte de filigrane qui les
maintient prisonniers de l’ineptie et des corollaires)
pour ceux qui, innocents, sont demeurés
au plein sens de ce mot des êtres humains parce qu’ils descendent de ceux qui
ont « évolués » et qui se sont débarrassés précisément de cette filigrane
invisible ou de cette enfance ou de cette adolescence ou de l’enfant-gâté, au
mauvais sens de ces mot, en ayant pu bénéficier de ce moment (qui est comme un
passage) que souvent seulement après d’infinis travaux (même si souvent celui-ci
se déroule dans la prime enfance ou à l’état de bébé comme chez les fils des
rois comme cela s’est passé pour leurs ancêtres, en faisant effectivement de
toutes ces familles des familles de véritables saints, de martyrs et d’incompris
et cela parce qu’il va s’agir de personnes qui vont savoir qu’elles sont
instruites en vérité pour le Bien et dans l’Intérêt Général, ce qui va donner
des sens précis aux mots au point qu’ils l’ont ainsi acquis internationalement –
aussi les révolutions irrespectueuses de tant de peines prises par tant
d’ancêtres pour arriver à faire des rois ou des princes conscients de toutes les
affaires du territoire de leurs ancêtres ont été de véritables catastrophes pour
tous, y compris à l’étranger car changer un royaume pour y mettre une république
à la place avec des gens qui n’ont jamais pu encore bénéficier de cette
« ouverture de l’esprit » et qui se sont salis les mains en assassins, au moment
de ces mouvements populaires (souvent illégitimes ou menés par des ignorants, au
mauvais sens de ce mot, comme cela a été le cas dans l’Histoire), sans donc
jamais être des personnes qui se sont auparavant débarrassées chacune de cette
enfance et de cette adolescence ou de l’enfant-gâté qui sont les seuls états
d’un individu capable d’envisager le meurtre ou des actions physiques
irrespectueuses de l’altérité et de telles hiérarchies basées sur des sommes
parfois colossales de mérites qui se sont manifestés chez les ancêtres et ces
personnes dans/pour une perspective même seulement que très lointaine, sont des
révolutions contraires à l’Intérêt et au Bien Général car c’est perdre alors,
avec le roi ou la reine guillotinés ou assassinés, des savoirs qui ont pris des
siècles, comme pour celui du Tzar qui gérait comme il pouvait, au mieux, en
« bon père de famille », le territoire dont il a été reconnu l’héritier et le
responsable à l’étranger par ses homologues, en ayant pu bénéficier un peu
partout de familles qui, localement, de père en fils, comme autrefois celles des
mandarins chinois, étaient chargées de
nombreuses tâches, y compris de justice – en sachant ce que ce mot signifiait –
mais il est normal qu’à notre époque ces responsabilités soient entre les mains
de personnes compétentes s’étant posées en conscience toutes les questions à
propos des droits, au cas par cas, donc qui ont étudié la question pour devenir
aussi ces juges ou ces magistrats « en âme et conscience » sachant qu’il y a
tous les profanes qui cherchent, par tous les moyens, à continuer à escroquer
l’Etat, y compris
Le profane pourrait s’il parvenait à se débarrasser de cette enfance ou
adolescence d’enfant-gâté, au mauvais sens de ce mot, comprendre les raisons de
toutes les compositions musicales, c'est à dire ces
tempi ou les changements de
tempi que nous retrouvons aussi dans
les compositions ou dans la liturgie dominicale de l’eucharistie elle-même, la
messe, entre les phrases comme dans les discours tenus, à ces occasions, ou
d'autres de rassemblements animés par des désirs de se spiritualiser un peu
plus, grâce aux autres disciplines[31].
J'avais rompu mes fiançailles à la suite de ce que j'ai découvert d'incroyable,
en avril 2005, en raison de l'intervention d'un soi-disant Dieu, à ce moment-là, qui m'a
rappelé alors un sacrifice canonique que j'avais fait dans le passé et dont
j'étais totalement amnésique[32]
- canoniquement - depuis juillet-août-septembre1977 - c'est à dire après ma
séparation sacrificielle maçonnique
(bouddhique, judéo-chrétienne, ne déplaisant pas aux responsables de la religion
musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres
des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’,
strictement ‘athées’, ‘ignorants’
au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots)
effectuée pour Michèle Finck avec Christine Lang et il
m'a rappelé cela alors que je me présentai à lui canoniquement pour l'anneau de
mariage avec Michèle Finck, ce qui a confirmé qu'elle en avait bien un, s'il n'y
avait pas eu cet autre avant : celui que je découvris avec Christine Lang avoir
eu: en fait, je compris qu’il s'agissait avec Christine d'une cadette de Michèle
Finck (du point de vue de celle-ci) et c'est ici tout le problème qui s'est posé
depuis la nuit des temps dans les familles profanes: la jalousie des aînés
envers les plus petits (à première vue) et si les parents ni veillent pas pour
l’éviter, ce sera toujours une catastrophe (ce qui s'est produit avec Michèle
qui avait 5 ans, en 1965, et qui, si elle a appris qu’il y avait une petite de
un an promise à devenir impératrice, ne l’a pas accepté, en tant que sœur ainée
! Ce problème s’est aussi manifesté entre une mère et une fille au sujet d’un
fils, au point que cela a donné tous les problèmes de belles-mères et cela
d’autant plus du faible niveau spirituel de ces femmes demeurées profanes. Ces
mères-là ont été jalouses des femmes de leurs fils d’autant qu’elles avaient cru
s’autoriser des relations sexuelles avec leurs fils, alors que ceux-ci dès leur
naissance sont destinés chacun à une jeune fille qui est parfois plus jeune
qu’eux, (plus petite) et qu’en raison de cela ils veulent conserver naturellement
pour elles leur première semence[33]
de même que les petites filles en question veulent découvrir avec celui qui sera
leur ami pour la vie leur première relation sexuelle. Mais ces mères étant
devenues des égoïstes (artificiellement en ayant eu accès à la vieille salle des
machines qui donne avec l’esprit de « propriétaire » - de celui qui possède
l’autre égoïstement) ont cru que leurs fils leur appartenaient étant donné
qu’elles n’ont jamais été que sensuelles puisqu’elles sont de celles qui n’ont
jamais su que le spirituel existe (celui-ci n’ayant une réalité qu’après
l’ouverture de l’esprit - la fin de l'animalité
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))).
Aussi elles ont une approche de femme n’ayant pas su encore réfléchir
véritablement sur des textes ou le sens de l’existence d’autant plus qu’elles
sont contraintes, depuis des millénaires à des travaux ménagers ou à être les
« propriétaires » de leur ménage, de leur cuisine ou de la maison qu’elles
habitent croyant qu’elles ne revêtent un intérêt pour le garçon ou pour l’homme
y compris pour leurs enfants que physiquement et donc seulement sensuellement.
Elles se conduisent donc en dragons et exclusivement par conséquent en
ignorantes de l’existence du monde de la véritable générosité (spirituelle),
puisqu’elles n’ont pas mis en elle à mort la part d’elle-même encore
enfant-gâtée ou vieille Méchante Sorcière pour se délivrer de la vieille femme,
de la femme prisonnière depuis des millénaires des mêmes préjugés, avant d’avoir
des enfants. Elles seront même capables d’être des rivales de leur fille alors
que celles-ci n’imaginent même pas un instant possible une telle absurdité
possible, d’autant plus des centres d’intérêts contemporains qui les animent.
Elles seront capables d’avoir des filles pour pouvoir avoir accès sexuellement à
leur beau-fils, ce qui donne ici la mentalité de maquerelle y compris avec la
complicité de leur fille. Le symétrique est vrai pour les hommes, entre les
pères et les fils et c’est de cette façon que tous sont devenus des prisonniers
d’un système où beaucoup n’ont pas compris pourquoi la prostitution était
interdite ou déconseillée car pour ceux qui se sont délivrés de l’enfant-gâté
est qui sont ceux qui ont créé la notion d’Etat et trouvé toutes les solutions
élégantes, cela va de soi et c’est bien une façon de faire qu’il faut décourager
car elle conduit a des mentalités d’enfants-gâtés esclavagistes, donc cette
mentalité de souteneur ou de maquereaux).
Je découvrais (et il découvrait (Dieu)), chronologiquement, comment cela s’était
passé à la suite de son intervention de 2005 : que j'avais été contraint
de sacrifier, en me séparant d’elle (avec la même promise épouse légitime
canonique) dans le passé, Christine ...Lang, et que ces sacrifices avaient
permis, malgré tout, de sauver
Mon père allait être dans les années 2005 arrière grand-père pharaon et je
m’adressai du futur à 1965 comme à 1975 à un homme que j’avais pu voir à
plusieurs reprises dans l’exercice de ses fonctions conseillé par ma mère
l’aidant de son mieux et c’est pourquoi, comme ce qui se passait était en raison
de mon anneau immaculé de mariage auquel je m’étais préparé sans tricher (comme eux), il
était probable qu’en 1965 et 1975 son prédécesseur comprenait enfin qu’il
s’était vraiment trompé tout au long de son existence, mais a très certainement
été content que du futur je le protège et je trouve un homme aussi compétent que
mon père, bien au courant de tout comme ma personne à
préparer dès 1965 (donc tout petit) pour prendre le relais de l’empire et le
couvrir, lui, mort, comme couvrir napoléon premier (cela s’était passé comme
cela, la transmission impériale jusqu’à moi) et les empereurs précédents. Il est
probable qu’à partir du moment où adolph hitler a été certain que l’empire avait un
successeur providentiellement trouvé par mes soins en la personne de mon père
(par ma personne qui n’avait d’aucune façon le choix pour autre chose) il ait
décidé de se donner du mal, tout en continuant à administrer la planète le mieux
possible en suivant tous les conseils de mon père (qui venaient du futur de
cette partie de moi-même qui, virtuelle, intervenait avant même d’y être pour
sauver la situation, puisque j’avais à me marier et que j’étais empereur). Il
est probable qu’adolph hitler ait cessé de chercher à détrôner les souverains
établis localement depuis longtemps légitimement, bien que je n’ai pas suivi en
détail tout ce qui s’est passé depuis 1977, ne m’intéressant pas à la politique
à cause de l’amnésie dont j’étais victime et ayant appris que la fin de la
guerre froide était terminée, mais n’arrivant pas à très bien comprendre en
raison de mon âge, quatorze-quinze ans, ce qu’on entendait par guerre-froide. En
effet notre génération n’était en guerre avec personne ni celle de mes futurs
neveux et donc ce qui s’était passé ne me paraissait pas encore très
compréhensible et cela d’autant plus en raison de l’amnésie dont j’étais victime
bien que cela était déjà dans nos livres d’histoire comme des choses importantes
à savoir que j’étudiais en diagonale (car cette époque proche de ma naissance,
contemporaine (1920 à 1965), en dehors qu’en art, ne m’intéressait pas, en
Histoire – je trouvais que c’était trop affreux et que cela n’avait pas
d’intérêt car inconcevable sans l’absolue certitude qu’elle était le résultat de
la folie – au sens maladif de ce mot – de cette personne qui en avait hérité en
se privant de « bon sens »).
Je faisais donc mes études et sans savoir aucunement que j’allais être empereur
dans le futur, ce qu’un apprenti empereur devais faire. J’allais conseiller mon
père (donc les empereurs précédents) de faire ce qui avait été fait et dont
j’avais pu prendre connaissance dans le futur avant même d’y être, puisque
depuis qu'il était enfant, comme le poète véritable qu’il est, mon père a
cherché, malgré le traumatisme de
En raison d'innombrables détails que vous découvrirez, si vous avez le temps,
dans mes autres textes et pour ces raisons, l’empereur précédent mon père
(confirmé à cette place en 1976 par moi-même empereur le suivant), a été reconnu
comme tel, comme moi enfant, par adolph hitler lui-même à Rome[39],
je me suis souvenu de cela en 2005-2006 même si jamais je n’ai su qu’il
s’agissait de lui, car s’était alors un très vieux monsieur pour moi qui n’avait
que treize-quatorze ans et c’est pour cela que je me suis souvenu en 2005 que
j’avais absolument à nommer mon père empereur en 1975-76 car sinon je ne
pourrais pas le trouver avant moi dans le sarcophage des empereurs après
napoléon premier et ce monsieur adolph hitler, qui, à ce moment là, n’était plus
pour moi, l’adolph hitler assassin, mais une vieille personne, ayant
certainement eu à vivre de nombreuses choses après l’intervention du
Débarquement. Quelques mois après j’ai compris que je devais intervenir de 2005
vers 1965-1966 car nous n’étions pas encore parti pour Rome là où en 1965 nous y étions
(puisque les Portes du Temps s’étaient ouvertes en raison de ma personne pharaon
dès 1965, à cause de mon anneau immaculé de mariage) et il fallait donc encore que nous y déménagions
absolument avant mai 1968 – où certains auraient pu risquer d’en vouloir à mon
père qui était pharaon après adolph et donc à moi[40].
adolph hitler avait conduit avant ma naissance le monde à la catastrophe[41]
en contraignant son petit-fils pharaonique, moi – deux empereurs après - à
contraindre mon père, en empereur, à sauver la planète toute entière et
l’Empire, puisque dans cette histoire nous nous sommes retrouvés les empereurs
suivants en ayant été contraint de le vouloir en légitime défense mais contraints par l’Histoire, à cause d’une
situation générale que j’ai pu vérifier bloquée et en fait les uns et les autres les
victimes de l’Histoire, mais celle-ci sauvée par mon anneau immaculé de mariage.
On ne peut pas reprocher à mon père de s’être marié en vérité, après
Tout cela nous permet aujourd’hui avec ces mariages impériaux de tenter de
résoudre le vaste problème qui s’est posé depuis la nuit des temps ce qui a créé
l’injustice, les déserts, les malheurs, les maladies, la vieillesse, etc. y
compris la mort et ce qui a créé aussi les préjugés, les mensonges, les
calomnies et les situations de théâtre les plus tragiques comme les plus
drôles, mais aussi les différentes façons bien arrêtées d’élever les enfants,
suivant les différentes classes sociales et cela pour arriver à résoudre le
problème qui s’est créé. Nous bénéficions néanmoins, à cause et grâce à ce
sacrifice, pour y travailler de nos jours, d'Internet et d'autres gadgets (au
sens positif – moi j’aime les gadgets[47])
innombrables dont j'ai transmis la faisabilité avec des détails pour les
élaborer avec, par exelmple, l'ensemble des écrans plats et des ordinateurs comme des
web cam, ce qui a fait changer
grandement, en trente ans seulement, l'époque qui est plus que totalement
nouvelle pour les enfants qui viennent d’y naître et qui trouvent, comme nous
avons trouvé chacun d’entre nous, y compris adolph hitler à son époque, normal,
ce qui s’y trouve alors que pour arriver à ce résultat, y compris à celui qui
n’était que la douane de son père, il avait fallu tous les progrès de l’Histoire
comme un grand nombre de conflits qui pouvaient alors se résumer peut-être entre
d’un côté les partisans de l’empereur (l’ignorance, au mauvais sens de ce mot[48])
et de l’autre les partisans des rois consacrés par Dieu dans ces époques durant
lesquelles il n’avait pas encore été possible d’abolir la peine de mort, étant donné
que ces personnes chargées d’administrer les territoires qui étaient les leurs
royalement n’avaient plus de rapports qu’inamicaux avec les profanes ou les
espions impériaux, car ils étaient chacun comme des prisonniers dans les
châteaux où ils étaient espionnés, en ayant comme charge celle de gérer l’ensemble de
la société en ces temps là, en ne sachant peut-être pas très bien alors non plus
ce qu’était ce mot de Dieu, bien qu’ils ont fini par comprendre, en Occident,
qu’il était certainement ce Jésus Christ, pour de multiples raisons, en oubliant
parfois chacun de pardonner « soixante dix sept fois » à ces profanes mal
élevés, y compris insolents, irrespectueux, capables de toucher les épouses de
ces personnes, provocateurs et ignorants, au mauvais sens de ce mot[49],
au point d’être devenu ce peuple de profanes, parfois même sacrilèges, athées et
aux mauvaises manières, mauvaises mœurs et le corollaires des mots qui vont avec
du point de vue de ceux qui s’étaient délivrés de cet état de profane, en ayant
découvert l’existence de la conscience, de la vérité, de la justice et des
alexandrins en poésie, ce qui donnait la preuve de l’existence de la mesure et
des lois y compris dans chacune des langues.
Mais les enfants, comme nous-mêmes enfant, sans savoir tout cela, trouvent
normal, à chacune des époques, toujours tout, autour d’eux et ils attrapent
ainsi, à chaque fois, les préjugés de leur époques et en deviennent des
enfants-gâtés, en raison des contextes familiaux auxquels ils appartiennent,
parce qu’ils oublient qu’il a fallu les millénaires d’Histoire et de commerces
(souvent) internationaux honnêtement faits pour arriver à disposer de la télévision ou de
la radio ou d’autres choses utiles en cuisine ou à l’école comme un tableau
noir. Mais l’époque permet, je l'ai appris avec plaisir, à ceux qui le
souhaitent de suivre la messe à la télévision, ce qui leur permet au moins de
s’informer pour ce qui est, pour eux, une des nombreuses catégories[50] à
leur disposition : la « religion » comme il y a des « films de guerre »,
d’amour, d’aventures, érotiques (attention, si ceux-ci le sont trop, il peuvent
conduire les spectateurs à obtenir l'une ou l'autre des réincarnations
tragiques, malheureuses, tristes, cauchemardesques, voire honteuse) etc. Le risque c’est qu’ils n’arrivent pas à
comprendre que la religion, cela n’est pas seulement un film ou une fiction :
c’est aussi avec bien d’autres éléments un état d’esprit, ce qui signifie
ensuite qu’il faut avoir des comportements cohérents dans les actes quotidiens
et dans les relations avec autrui y compris les membres de sa famille.
D'autres progrès ont été possibles grâce à ces transmissions à travers
Espace et Temps dont vous aurez un jour le
résumé – on le trouve dans une première version dans un de mes vœux pour la
nouvelle année - et ces progrès ont été possibles en
médecine (entre autres les scanners) puisque tout ce qui a été fait depuis 1975, nous le devons à ces
nôtres transmissions (c’est pourquoi tous, sur cette planète, nous doivent tous les cadeaux de
Noël depuis le premier walkman dont
j'ai dicté à travers espace et temps le principe et dont, en fait, j'ai eu l'idée assez
en détail dès 1965-66 en découvrant un vieux magnétophone qui traînait chez mes
parents - donc tout cela est en fait une très vieille histoire – ces
communications à travers espace et temps qui datent de 1965 à 1972-73, plus de 40 ans
(et presque 50 ans en 2015!), ce qui signifie, de façon exacte et sans un électron
d’erreur, qu’il existe bel et bien le cas de figure de
Tous ont pu vérifier que je me suis préparé en vérité[51]
à ce mariage entre ma naissance et 1965 y compris ensuite - vous verrez d'autres
informations sur cette histoire plutôt incroyable et assez merveilleuses pour
ceux qui aiment les contes de fées ou les histoires d’amour suivront : d'autres
détails - ce qui fait qu'avec du recul, même si j'ai rompu officiellement mes
fiançailles avec Michèle Finck, j'ai l'intention de les rendre de nouveau au
moins virtuellement de l’ordre du possible et officielle un jour dans le futur –
j’ouvre donc la porte de nouveau à cette possibilité, bien que je sois prêt à la
refermer aussitôt si la situation l’imposerait de nouveau. C’est que j’ai
compris vers 2010-2011 qu’il y a eu de véritables difficultés pour Michèle à ce
qu’elle comprenne puisque dans son état c’est vraiment difficile, voire
impossible de comprendre et si j’ai rompu c’est qu’elle avait fait tellement
bien semblant d’être « initiée » ou de comprendre que je croyais moi qui était
devenu profane et qui n’en savait rien qu’elle avait compris et qu’elle était
vraiment ma fiancée, quand soudain j’ai compris qu’elle n’avait fait que
« semblant de l’être et de comprendre », parce que, dans son état, elle n’y
arrive pas encore (c’est une profane – par conséquent contrainte à faire
semblant) et c’est pourquoi comprenant cela j’ai finalement eu à devoir en rire
car sinon j’en serais mort de chagrin (il s'agissait des enfants que j'attendais
en Immaculée Conception de Christine) ou je me serais suicidé, aussi malgré
l’épreuve, je n’ai fait qu’en rire (bien que j’ai été quelques temps
sérieusement fâché contre elle puisqu’il m’a fallu au moins cinq années pour
comprendre qu’elle avait été obligée de faire semblant de comprendre et qu’elle
a peut-être été l’objet de chantage au départ – cela je ne l’ai su exactement qu’en 2012 –
sept ans après, de façon sûre, à propos d’une autre chose qui m’a permis de
découvrir que la vieille salle des machines étaient utilisée à cette fin (pour
intimider), ce qui
est non seulement inconcevable, mais totalement contraire à tout ce qui découle
de toutes les lois juste ou de tous les principes éthiques ou philosophiques, y
compris ceux qui sont inhérent à l’amour, ce qui m’a permis de comprendre que
Michèle, n’ayant pas pu me le dire, à cause de la loi du silence, vit peut-être
dans la peur depuis qu’elle est petite[52])
et c’est pourquoi, n’étant pas chrétien en cela, mais trouvant cela juste après
ce que j’ai eu à subir comme injustices, je ne suis plus que joyeux et que rire
sur chaque chose car en fait toute cette histoire est tellement triste qu’on ne
peut qu’en rire de bon cœur d’autant plus que Michèle (bien qu'en partie profane) avait
fini par un peu s'y préparer sérieusement de son côté à ce futur anneau de
mariage puisqu’elle me voyait si déterminé de mon côté ! Et c’est pourquoi ce
serait drôle et joli si tout cela finissait par lui permettre d’arriver au moins
en vérité à cet anneau de mariage ou du moins pour commencer au moins à un vrai
anneau de fiançailles (attention, après il y a le risque de la rupture
jusqu’au suivant). Mais cela signifie aussi qu’on est comme en 1965
(en 1973 donc à cette date-ci) et si, à l’époque, cela aurait pu advenir plus
rapidement ce véritable mariage[53],
il y a eu aussi les nouvelles chances qui ont été données à partir de 1975 : cela
aurait pu donc avoir lieu notre mariage avec elle vers 1990-95 sans que nous
ayons à quitter Rome pour
Cette fois-ci, à partir de 2012, cela porte à de plus en plus loin dans le futur
les fiançailles officielles qui seraient renouvelées avec Michèle Finck et donc
à son mariage encore plus loin (car tout cela est hélas mathématique
cosmiquement parlant. Mais j’ai vérifié, en tant que profane, qu’on ne comprend
d’aucune façon (le mot d’initié ou ce moment qui permet de passer de l’un à
l’autre) comme l’expression ou les mots, car on ne peut pas imaginer qu’il
puisse y avoir tant de paramètres liés à l’existence de chacun – ces pages
d’encyclopédies (et de nos jours ces pages d'Internet)- à gérer en vérité comme
à prévoir d’avance – c’est pourquoi celui qui se permet un mensonge alors que le
monde obéit à la vérité et au bon sens ou utilise un mot pour parler en profane
va être à l’origine de bien des dégâts – En raison et malgré la situation bloquée - comme
du fait que j’avais été fait empereur depuis dix ans en 2005, j’ai découvert que j’ai été contraint
de créer les conditions pour à partir de 1975 apparaître dans le ciel dans le futur
auditivement et visuellement avant même d’y être en chair et en os pour vérifier ce que ma
bouche avait alors émis comme sons (paroles) alors qu’elle n’était que virtuelle, puisque
j’étais comme tout le monde en 1965 et 1975 en chair et en os, c'est-à-dire
au moins 40 années
avant d’être à l’âge d’homme vu et entendu dans ce ciel, donc encore très enfant, c’est pourquoi, en raison de
ces mathématiques cosmiques dont nous avons tous pu vérifier qu’elles existent
vraiment et sont d’une précision hallucinantes (c’est pour le moins qu’on puisse
dire) et en tenant compte des journées qui se sont déroulées entre 1977 et 2005,
on pourrait néanmoins essayer de rattraper le coup avec Michèle Finck (puisque
tous les ennuis qu’on a eu proviennent de l’ignorance, au mauvais sens de ce
mot) de façon à ce que Michèle arrive un jour à se débarrasser à son tour de cette
enfance et de cette adolescence ou de l’enfant-gâtée, au mauvais sens de ce mot,
et peut-être, à son tour, connaître l’ouverture de son esprit, ce qui aurait pu
être le cas beaucoup plus tôt pour tout le monde,
si en 1965 ou alors à partir de 1975, on
avait compris qu’il fallait éviter de nous séparer d’avec Christine en nous
contraignant à ce sacrifice en raison des « préjugés » occidentaux sur le
mariage (la monogamie) ou plutôt des coutumes ancestrales sur le mariage (interdisant aux
enfants de se marier bien qu’ils soient promis l’un à l’autre), préjugés que
nous n’avions pas en 1965, au point qu’à cette âge-là j’étais même capable de me
marier avec ma sœur et ma mère y compris ma grand-mère, puisque j’avais
découvert quelques temps avant qu’il y avait peut-être une différence : j’étais
un garçon. Mais comme dans ma famille il y avait des garçons plus grands que moi, je n’ai pas
osé me « marier » avec ces dames ou jeune fille plus grandes (de même qu’avec
les garçons ou mon père d’une quelconque façon puisque je déduisais de la
situation qu’ils étaient les serviteurs chacun d’une dame, ce à quoi je devais
me réserver) étant donné que si je
devais me marier un jour (dans ces jours là où j’étais petit, ce n’était
logiquement pas avec une jeune fille plus grande que moi car j’étais certainement, comme mon
père pour ma mère, je devrais être un frère qui devait protéger une petite sœur. A l’époque
comme je m’étais intéressé au biberon et non au sein de ma mère, je ne savais
pas qu’on pouvait considérer quelqu’un « marié » autrement qu’en raison de
l’anneau de mariage qu’il y avait aux doigts de mes parents, à l’un comme à
l’autre, ce que j’ai pu constater très petit: en fait des objets comme ce
biberon : par conséquent à étudier et visiblement qu'on ne pouvait pas
obtenir facilement - pour la bague).
Je n'ai rien à cacher, comme vous vous en doutez bien, mais je vous demande,
Monsieur le Cardinal, puisque cette lettre s'inscrit dans une série d'autres
lettres que j'ai à écrire et qui sont elles aussi en partie de droit canonique
et donc mathématiques aussi, (y compris, dans une certaine mesure), puisque vous
n’ignorez pas que le droit canon est d’une logique implacable et fonctionne
heureusement au cas par cas, (ce qui explique la possibilité d’annuler les
mariages dans certains cas, y compris surtout dans celui-ci qui concerne le
mariage de Christine, ce qu’elle a exigé de moi, alors, comme moi, dans la
situation bloquée de 2010, d’autant plus des préjugés occidentaux au sujet du
mariage et ne tenant pas compte à ce moment-là encore de tous les paramètres, y
compris de mes droits profanes, en tant qu’empereur(-pharaon) à avoir tous les
droits, par conséquent à celui d’avoir (si je devais en avoir envie sur ce plan)
« un harem », ce à quoi je n’ai que pensé (comme éventualité) que depuis une semaine et pas avant.
Il s’agit de l’annulation de son mariage dont elle m’a demandé de me charger étant donné qu’en
attendant elle croit être encore une femme mariée et qu’elle a à assumer logiquement
ses diverses fonctions en la matière – par rapport à ce que lui a dicté sa
conscience et son éducation - dont j’ignore pour l’instant en détail ce qu’elle
peuvent lui conduire à vivre comme situation. Sur le plan professionnel
Christine est spécialiste de la statistique, entre autre (je ne sais pas
grand-chose à son sujet), mais vous n’ignorez pas que celle-ci est une science
immense qui peut même intervenir dans des logiciels aussi élémentaires que ceux
de traitement de texte comme Word en
tant qu’outils, comme je l’avais demandé[56]).
Vous pourriez conserver ces brouillons comme si vous étiez un de mes frères et
cela d'autant plus de la situation mondiale dont vous devez avoir conscience
peut-être un peu comme Nous ou peut-être pas autant que nous ou peut-être plus
que nous, puisque vous êtes allé peut-être à cause de cet acquis de conscience
jusqu’au célibat (en raison de l’état de votre conscience à l’échelle globale).
Vous avez pu néanmoins vérifier que, malgré mes droits au harem, je n’en profite
pas encore (mais qu’il s’agit d’une virtualité que je ne veux pas exclure ni ne
peut exclure dans ma situation d’empereur cosmique universel et … y compris
empereur des profanes, des sacrilèges, des athées, des laïcs, des ignorants, au
SPNM : au sens positif et négatif de ce[s] mot[s]. Aussi pourquoi les décevoir ?).
Je suis hélas devenu, à cause de cette affaire une personne plutôt consciente d'un grand nombre de
détails dont les êtres humains, heureusement pour eux, ne se soucient guère,
d'habitude, ce qui a donc fait de moi dans toutes les catégories possibles et
dans toutes les dimensions possibles le véritable chef de tout, y compris de ce
Dieu qui, en 1975, est apparu dans ma tête (présenté par mon père) dans ma chambre et a pris la dictée avec moi,
comme a convenu de la situation canonique, et puis n’est réapparu qu’à partir
d’avril 2005, en me rendant cet élément de mémoire de Christine (ayant déclenché
mes interventions à travers Espace et Temps), ce qui m’a permis alors de
la retrouver plus amplement et de revivre en chair et en os ce qui s’était passé
autrefois en comprenant comment cela s’était passé dans le ciel, à partir de
1975. Ce Dieu est en ce moment le témoin des peines que je prends pour vous
écrire, car si j'ai bien avancé, pour nous tous, dans
la lettre au Pape, dont je
vous ai parlé, comme dans
celle au Président Hollande qui s'est avérée
nécessaire, et qui est encore en chantier, après toutes ces milliers de pages
d'écritures y compris dans d'autres domaines, le calme est revenu, comme ma
juste et saine colère (puisque s’était la troisième fois qu’on exigeait de moi
que je me donne autant de peines et subisse cette longue traversée du désert
en solitaire) un peu apaisée, mais qui n'est pas prête de passer jamais (car il
y a de quoi être indigné pour toujours), en raison du fait j'y ai vu toujours
plus clair et qu'il y a de bien nombreuses raisons d'être faché, y compris
depuis le décès de mon père, en 2012, et c’est pourquoi à cette
heure-ci, je crois l'empire va exiger,
plusieurs mariages impériaux, ce que je déplore. Mais nous devrons nous y
résoudre, bien que ce soit bien malheureux pour moi qui avais fini par avoir les
mêmes préjugés que les occidentaux dans le domaine du mariage (la monogamie), d’autant plus que
j’avais été élevé par mes parents qui m’ont donné l’idée d’un couple uni se
suffisant l’un à l’autre pour leurs enfants (donc qui m’ont rendu sensibles aux
aspects positifs de la monogamie), voire même nécessaires pour constituer une
vraie famille.
C’est en allant à Notre-Dame qu’en regardant une des rosaces j’ai été confirmé dans l’exactitude de ce projet, ce qui donne par la suite : : :
Je m’y suis repris à plusieurs reprises ; mais l’idée est grosso modo, de façon légale, et en toute transparence, avec l’accord de l’Église, de créer, malgré ce qui s’est passé, les pétales de ce premier trèfle et déjà, dans un premier temps, de parvenir à construire ce premier trèfle, et cela pour celui à quatre feuilles, ce qui permettrait de construire, la suite légalement autour de Notre anneau de mariage : la rosace donc … (une drôle de plante naîtrait qui de trèfle devient fleur, voire rose, et de chacun des pétales cela sentirait bon, puisque cela aurait été fait sans mensonge et chacun des pétales du trèfle, non pas à l’insu des autres, mais pour permettre aux autres de se constituer).
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C’est pourquoi j’avais tendance à croire le fait d’avoir plusieurs femmes ou un
harem une aberration, un retour en arrière, car la monogamie entre deux
personnes instruites (et ayant de la religion) constituait et constitue
toujours, à nos yeux, une belle ou la meilleure idée de la famille, au sens
parachevée du terme, une de celle qui peut réussir à créer le bonheur autour
d’elle, mais ce qui s’est produit (voir ci-dessus le schéma pour essayer de
rattraper le coup) nous a conduit, logiquement, à cette situation et comme il
s’agit du cas exceptionnel de l’empereur (bien que c’était le cas aussi pour mon
père, mais nous étions alors tout de suite après
nos jours, avec tous le
bien et tout le mal que cela signifie, comme aussi la possibilité de le
déplorer, mais aussi de nous en réjouir, personnellement, puisque cela permet
d’adapter notre cas (d’empereur) à la situation en ayant les arguments qui sont
justes et qui tombent sous le sens, en toute cohérence avec notre époque et
cette histoire fera, en tout cas, un grand bien à certains conservateurs pleins
de préjugés - dont la partie de moi- même qui avait trouvé le moyen, en raison de
l’amnésie dont l’Ensemble s’est rendue coupable à mon sujet 27 ans, ce qui
m’avait contraint à me conformer aux usages, à m’embourgeoiser et à devenir l’un
d’entre ces conservateurs à ce sujet, donc si stupide et si ignorant - ce sont
donc les surprises ou les imprévus du métier d’empereur que l’artiste multi …
que j’allais redevenir, comme en 1965 et 1975, me réservait - d’accepter, malgré
ce que nous avions autrefois pris l'habitude de croire juste et suffisant, en
raison de la disparition de l’artiste en moi et de l’apparition du conformiste,
en raison de la situation exceptionnelle – circonstance de forces majeures – cas
particulier pharaonique – et vous êtes normalement, Monsieur le Cardinal, expert
en casuisistique en raison des dossiers dont vous êtes chargé –
l’étude du cas par cas, comme l’étude et la réalisation de chacune des cases
dans chacune des bandes dessinées, nous a mené à trouver ces solutions élégantes
pour le scénario pour la suite de ce cas particulier si ézu (abréviation d'exception[nel]) : plusieurs
mariages officiels pour le même empereur, plusieurs pétales, avec des épouses
différentes, des pétales différents, pour créer une cour autour du pétale
Michèle Finck, une fois devenu pétale (d’autant que chacune de ces impératrices
que je choisirai aura des droits, puisque cela se ferait légalement de façon
transparente (les pétales touchent parfois les pétales d’à côté, qui
appartiennent à des tiges différentes, si vous regardez bien un champ de
trèfles, au point que dès qu’on prend de la hauteur ou qu’on survole on ne sache
de quelle tige ils tirent chacun leur vie et c’est pourquoi ces impératrices ont le
droit d’être libres d’avoir l’existence qu’elles veulent du moment qu’elles
acceptent d’être spirituellement reliées à moi – ce qui ne signifie pas que nous
ayons à obligatoirement dormir ensemble), mais aussi que, vous aurez compris,
tous ces mariages ne doivent avoir lieu que seulement pour soigner le pétale
Michèle, qui, en fait est toujours en cours de constitution, bien qu’il y ait eu
plusieurs ratés (1965, 1975 et 2005) à son sujet (puisqu’en raison des préjugés
personne n’a voulu me comprendre alors et nous permettre, avec Christine cela,
avant qu’une fois devenus plus qu’adultes en âge, je ne parvienne à créer tous
les moyens de m’exprimer grâce à ces ordinateurs et ces logiciels et à faire
comprendre que ce qui a été déclenché a,
il y a très longtemps, de mon point de vue,
compliqué terriblement les choses puisqu’à cause de cela il y a d’un côté le
profane et de l’autre côté, ce qui ne l’est pas et qui est si pur que cela a
permis de créer la vie elle-même y compris les trèfles que mangent les animaux
qui font du lait, voire les roses même seulement « [ros]aces » comme celle qui,
sculptée en admirables nervures de pierre, m’a confirmé dans ce dessein que je
pressentis intuitivement comme possible depuis que la troisième impératrice
s’est imposée dans le cadre auto-psychanalytique pour les raisons que vous
découvrirez car je me suis dit qu’avec deux vrais anneaux (deux vrais pétales ou
deux vraies impératrices) comme celui que j’ai avec Christine et avec Florence
Loewy, je pourrais, d’autant plus que j’ai pu être rendu totalement certain de
cela, réussir à créer enfin celui avec Michèle (malgré ce qui s’est passé) ou
peut-être faudra-t-il d’autres pétales ou impératrices, ce qui mènerait à
m’entourer d’autres admirables dames qui pourraient nous rejoindre pour réussir
enfin à construire ce pétale auquel Michèle Finck tient mais cela signifie qu’il faudra réussir à faire de
Michèle Finck une déesse, donc qu’elle renonce à être une centauresse et qu’elle
se conforme à de nombreuses prescriptions et conseils qu’elle suive dans cette
perspective qui n’est que peut-être très lointaine – mais on sait que c’est
difficile de construire une rosace avec des vitraux bleus et qu’il n’y a rien de
plus difficile, que ces formes si simples et qui vont tellement de soi qu’on les
trouve si naturelles d’autant plus qu’elles sont par milliard partout en train de pousser puisqu’il y a à nourrir tant d’animaux prêts
à s’en délecter. De leur point de vue ils ne peuvent pas imaginer que cela soit
si difficile que cela à construire un simple petit trèfle et puisque celui-ci
obéit comme chaque chose aux lois de la quantité et qu’il est si peu rare – sauf
dans le désert, le sable ou la rocaille – qu’ils ne valent rien, tant ils sont
nombreux à pousser spontanément. Mais en les regardant de prêt, nos ancêtres –
et les architectes - ont compris que c’était peut-être ce qu’il y avait eu de
plus difficile à créer, d’autant plus que matière vivante et si on réfléchit au
processus de la genèse de chacun d’entre nous, avant de devenir des fœtus, nous
avons eu à connaître dans les premiers instants la forme du trèfle avant celui à
quatre feuilles (cellulairement parlant), une très vielle histoire pour chacun
d’entre nous que les vitraux de Notre Dame qui rappellent à ceux qui parfois,
comme moi, ont été contraint de relier des choses lointaines entre elles en
demandant à tous, pour me faciliter la tâche, de donner la possibilité de créer
des laurYens (des liens hypertextes) dans Word ou
sur Internet, ce qui permet de rejoindre plus facilement les notes de fins de
pages et de comprendre qu’un bébé qui vient au monde c’est fragile comme un
petit trèfle avant de devenir aussi charpenté que cela : un être humain[57].
En effet n’a-t-on pas appelé les premier rois de France Pépin …) mais comme
Michèle a l’air d’y tenir à ce point à ce mariage, il faut bien qu’on réussisse
à la faire devenir l’un de ces pétales pour qu’elle puisse s’accrocher à « son »
anneau comme les autre pétales à leur tige et il est celui qui, à cause du
passé, a beaucoup de mal à émerger car il a contracté localement à Strasbourg,
toute sorte de préjugés liés à l’époque d’avant sa naissance y compris au sujet
du mariage et c’est pourquoi il n’arrivait pas à se délivrer des vérités
relatives et des « à première vue ou entendu » à ce sujet, en s’étant accroché à
des mensonges et à des calomnies y compris au sujet de l’Eglise ou des religions
(au point de croire certainement que celles-ci ne pourraient pas comprendre ou
être ouvertes ou se montrer compréhensives dans un cas pareil[58],
car vous le savez l’Eglise et les docteurs de l’église raffolent de l’étude des
cas particuliers et sont bien sûr capables de comprendre quand tout est clair
comme de l’eau de roche ou transparent), puisque visiblement Michèle ne s’est
pas encore délivrée de son enfance et de son adolescence, ni de son « égo » au
point qu’elle n’a pas réussi encore à atteindre ce moment crucial de l’ouverture
de son esprit, ce que le mariage et/ou la situation de mère ou de grand-mère,
voire d’arrière-grand-mère ou de pétale permet parfois, à la longue de
connaître, et c’est alors que ces dames comprennent, parfois seulement juste
avant leur mort, puisqu’elles passent alors dans le monde de la vérité, en ayant
alors une chance de ne pas se réincarner en un de ces animaux qui vont, à cause
de toutes les fautes et des péchés commis « sous la terre » dont elles ne se
sont pas purifiées et qu’elles n’ont pas reconnu comme qu’elles n’ont pas
regretté en vérité hélas souffrir tout au long de leurs existences animales
ultérieures, en ayant perdu le bénéfice d’avoir eu la chance d’avoir été un être
humain et en ayant profité de cette condition pour faire le mal au lieu de faire
le bien (c’est pas malin). C’est ainsi qu’elles retrouvent ces états d’animaux
puisqu’elles ont été lâches durant leur existence et elles seront un de ces
animaux qui sont parfois capables de s’attaquer à plus faible qu’elles comme un
tigre albinos cherchant à attraper un lièvre blanc sur la neige pour le manger[59]
car en dehors du gorille, à l’état d’animal, elles ne peuvent plus comprendre
que ce que chacune des espèces animales comprennent, par conséquent pas ce que
les êtres humains parachevés comprennent et qui a à voir avec la vérité et avec
Aucun
animal n’est capable de tant d’ingéniosité. Seul les êtres humains délivrés de
leur enfance et de leur adolescence, délivrés de leur « égo » ou de
l’enfant-gâté, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) qui ont pu bénéficier de l’ouverture de leur esprit à force
d’étudier, de travailler, de peiner, grâce parfois à la notion d’Etat qui, dans
certains cas y a contribué (quand il n’était pas entre les mains d’imposteurs)
puisque l’Etat n’a pu voir le jour que grâce à ces conditions, y compris grâce à
la monnaie, par conséquent à la facette sacrée de l’existence des êtres humains,
en ayant permis de donner des travaux utiles à faire à chacun des autres êtres
humains en chemin, eux aussi, vers la connaissance, tandis que les autres vont
vers le désert, quand celui-ci choisit de tromper les autres ou qu’il choisit
d’être un ingrat ou de se conduire en animal, alors que tous les bons conseils
pour avoir des vies utiles ont été donnés depuis longtemps par chacune des
religions qui s’avèrent donc, à notre époque complémentaires comme les bonnes
choses des disparues, d’autant plus de la naissance de
Reste qu’il faudra cependant avec chacune des futures impératrices atteindre les
véritables fiançailles et les véritables mariages de chacune et pour chacune
pour des raisons différentes d’Etat puisque tout cela devrait contribuer à
débloquer la situation comme à permettre que de temps en temps l’Ensemble puisse
découvrir quelques instants Atlantide ou la vision du Paradis chaque année, ce
dont j’ai pu vérifier que ceux qui se sont dégradés l’esprit et qui sont
amnésiques comme vivent damnés ou devenus pareils à des animaux ou prenant ce
chemin-là pourraient avoir besoin régulièrement de voir (pour saluer leurs
efforts à aider les autres et à avoir accepté de se mettre en chemin vers la
connaissance pour se débarrasser en eux des enfants-gâtés), car ce sont eux qui,
en ayant (avec ceux qui l’ont fait à l’origine) séquestré stupidement ce
variateur, comme hérité de la salle des machines, ont hérité de l’état
d’esprit qui se repaît du point de vue des autres (justement) du laid au
point d’avoir inversé les valeurs et d’avoir perdu celles qui existaient entre
les êtres humains à l’origine comme d’avoir fait, par esprit de contradiction,
de tout ce qui est laid le beau, d’autant plus qu’ils détenaient malignement le
variateur de la vision d’Atlantide, sachant que le beau existe dans toutes les
choses, même dans la pourriture une fois photographiée, celle dont ils furent de cette façon les auteurs, en
contraignant les autres à ne créer que des solutions élégantes et belles notemment pour se débarrasser des microbes engendrés par cette
pourriture. C’est donc
eux seuls, je l’ai vérifié, quand j’étais amnésique et devenu un à
moitié profane, au point de penser des choses impossibles et
fausses parfois, qui ont besoin de voir pour les remercier de leurs efforts,
enfin dans le bon sens, la beauté d’Atlantide et du Paradis-perdu ce qui
pourrait contribuer à les faire aller mieux et ainsi retrouver le chemin qui
mène à la connaissance de Dieu ou bien mieux (ou pire que ce concept) : à la
compréhension du Grand Architecte de l’Univers, puisque depuis quelques années
les différents observatoires astronomiques ont confirmé ce que tous les
scientifiques véritables savaient, mais ne pouvaient révéler, qu’il y a des
milliards de planètes dans la galaxie, ce qui donne sérieusement des
probabilités qu’il y ait … . Non ?
Ces épouses, Monsieur le Cardinal, comme chacun des mariages seront aux frais de
l'Eglise. Chacune d’entre elle aura le droit à un mariage impérial au moins du même genre
que celui de napoléon, c'est-à-dire avec la présence en grand-uniforme
de tous les chef d’état de la planète ou de tous les représentants désignés par
leurs soins, à Rome par le Saint-Père ou à Strasbourg.
En effet, Christine Lang a subi un des plus graves traumatismes de l’Histoire et
d’une certaine manière Michèle Finck aussi, mais surtout Florence Loewy. Pour
les quatre épouses suivantes et celles d’après, on verra quand cela devra être,
cela sera, d’autant que j’ai besoin de muses pour peindre, dessiner, et
enchanter le monde !
Tous ces mariages devraient conduire, in fine, jusqu’au mariage avec Michèle
Finck qui sera peut-être le treizième ou le quinzième ou peut-être comme je
l’espère le troisième, voire le premier, selon comment la situation évoluera. En
attendant, je suis de nouveau célibataire et je vais donc consacrer du temps à
pouvoir tomber amoureux aux heures où je me l’accorderai.
Peut-être, selon ce que je verrai dans les jours et les mois qui viennent de ce
feuilleton, ces mariages ne seront, pour commencer, qu’au seul nombre d’un ou
deux, en raison de mon statut d’empereur, autrefois seulement lié à la condition
« profane », car les empereurs se conduisaient comme tels, puisqu’ils ont cru
pouvoir accorder le droit à leurs soldats de commettre l’inconcevable en violant
des femmes ou des jeunes filles, au cours des temps où ils se comportèrent ainsi
en mal élevés, et de façon barbare – au mauvais sens de ce mot), et, à cause de
cela, en ne respectant pas le bien d’autrui, comme celui appartenant aux autres
états ou en se permettant pire, de faire des esclaves, ce qui est devenu une
indignité humaine reconnue (mais qui l’était dès la première fois où on l’a cru
possible), de même qu’est vu du futur indigne de nos jours de s’abaisser à
utiliser les armes à feu pour menacer ou faire du chantage pour obtenir quelque
chose ou manger la chair des animaux pacifiques et inoffensifs, en raison de toutes les alternatives
qu’ont, en plus, les odeurs les plus parfumées et les plus délicates et qui sont
bonnes pour la santé : ces variétés de légumes et ces fruits pour lesquels,
comme pour le pain et certains fromages à pâte dure, il faut avoir une solide
dentition qui semblerait n’avoir été conçue qu’à cette fin si, au passage,
pendant quelques temps, dans certaines régions étant éloignées des vraies bonnes
choses dans lesquelles on peut se procurer ces alternatives, donc dans les
régions froides où on se perd en chasses, comme se sont perdus enfin dans les
nuits éternelles les ancêtres des esquimaux pour être sûr de trouver toujours
précisément à manger dans ce registre (catégorie) carnivore (la chasse ne leur a
pas permis d'inventer grand chose dans ces froids polaires). C'est-à-dire de
ceux qui cherchent toujours à montrer qu’ils cherchent à en faire le moins
possible en cuisine – hamburgers, saucisses etc. - et qui croient possible se
délivrer de la question de se nourrir en croyant pensable exiger de tous de
faire souffrir de pauvres animaux pacifiques et inoffensifs qui peuvent, par ailleurs, nous apporter
chacun autrement une quantité importante de richesses – œuf, lait, plumes,
laines, etc. – ces personnes n’ayant plus accès aux produits des champs, se sont
éloignées tellement des fruits et légumes tropicaux que cela doit leur sembler
inimaginable qu’on les consomme. Ils se sont retrouvés
sur la planète
les descendants de gens qui se sont « perdus »[60]
au point de ne plus voir le jour physiquement en raison de leur passion pour la
chasse et parce que gourmands de viandes, ils avaient peur de manquer de gibier
dans les régions nord équatoriales que sont nos pays dits « tempérés » à
dominante agricoles, ce qui les a rendu les victimes de ces ancêtres chasseurs,
mais ayant trouvé cependant la solution élégante des igloos pour s’abriter des
vents polaires. Certes ces igloos ne sont pas des panthéons, mais tout de même,
cela donne une idée qu’ils avaient bien compris ce qu’était le ventre d’une
femme et ils ont ainsi sublimé la maternité aussi simplement que cela dans cette
architecture que Derzu Uzala, dans le
film d’Akira Kurosawa, a montré qu’on ne peut pas faire aussi facilement que
cela, sans avoir des outils appropriés pour la réaliser. Ce n’est pas, comme une
tente à planter, elle-même bénéficiant d’une ouverture qui a été pratiquée,
certes pas comme celles prodigieuses et magnifiques de chacune des cathédrales
médiévales ou post médiévales, mais tout de même celle d’une tente qui a un tout
petit aspect gothique, si l’ouverture ne l’a pas et quand on songe ici à ces ordes de barbares, au sens négatif de ce mot, ayant été capables de casser ces
tentes, de violer les femmes indiennes, de croire ces peuples seulement des
sauvages, alors qu’ils étaient ces éleveurs et peut-être déjà les ancêtres des
agriculteurs qu’ils sont devenus depuis dans les territoires qui leur ont été
réservé d’autant plus qu’ils sont leurs de droits, en raison des sépultures de
leurs ancêtres vénérés certainement. Il y avait ceux qui avaient été capables de
fabriquer des totems et de les peindre avec des couleurs comme il y avait ceux
qui croyaient qu’il y avait un Grand Esprit. Nous nous réjouissons que les
lapons ou les Inuits ou ces peuples des grands-Nord n’aient pas connu, que je
sache, la venue de ces moins encore qu'ordures ou pourris capables d’utiliser des lances flammes
(qui ont été conçu pour les travaux publics et les goudrons) pour ramollir ou
pour pratiquer (par esprit de dérision) des fentes dans ces igloos en les faisant
méchemment
fondre et en leur disant qu’ainsi ils pourraient y mettre un hublot
s’ils échangeaient celui-ci contre des produits de leurs chasses, installation
comprise, avec aussi ce coup de projecteur compris.
J’ai donc fini par comprendre qu’en raison de ma position impériale, j’ai le
droit à autant de femmes qu’il y en a dans l’Empire puisqu’elles sont toutes les
miennes de droit, donc très certainement innombrables. Pourtant en raison de ce
qui s’est passé et de ce que j’ai marqué plus haut j’aimerai arriver à faire ce
trèfle pour commencer et pas une rosace aussi merveilleuse que celle de
Notre-Dame (bien que l’objectif soit celui-là – mais je n’ose y croire d’autant
que cela a dû être très pénible d’arriver à une telle réussite – un pétale,
deux, voire trois ou quatre, bref ce qu’il faudra pour que Michèle parvienne à
comprendre - à l'heure où je corrige ce texte en septembre 2017 Michèle a enfin
compris qu'elle n'avait pas le droit, en 1977 de vouloir être la seule
impératrice et à cause de cela de me contraindre à devoir me séparer de
Christine avec laquelle j'attendais en immaculée conception nos descendants -
elle a demandé pardon. Elle était alors adolescente), en raison de ce qui s’est passé, comme en raison des maladies
vénériennes, mais aussi du Sida et d’autres problèmes hygiénique cela sera très
difficile à réaliser – soudain, comme Flaherty, (je plaisante un peu) une femme esquimaux, une
représentante du Pôle Nord dans ce harem, dans cette rosace, pourquoi pas !
Cette idée me tente, mais comment faire pour l’entretenir (financièrement) -
« son già mille et tre » disent d’autres voix - et entretenir ma descendance
dans ces igloos, avec un père si lointain, comme ne pouvant pas transmettre les
pratiques ancestrales esquimaux et encore moins leur payer, pour l’instant, des
études au collège pour en faire des avocats de la cause des peuples des grands
froids – faudra-t-il que j’y renonce dans la rose au pétale esquimaux, au pétale
du pôle ? – comme vous l’avez remarqué (oui, je suis inspiré) j’ai donc
restreint le nombre, d’autant plus que je ne pensai d’abord n’en avoir à choisir
symboliquement, comme je vous l’ai dit, que quatre supplémentaires en raison de
4+3= « 7
d’un coup »
[61], donc de
l’histoire du petit tailleur ou une
vieille histoire au sujet d’une personne qui arrive à faire sept choses d’un
seul coup, ce qui me paraissait plus que suffisant comme perspective (il est
vrai quelque peu brochette) de célébrations canoniques en toute transparence
jusqu’à mes vieux jours : sept, c’est un bon chiffre, et les uns et les autres
célébrés par le Saint-Père[62]
d’origine allemande[63]
mais devenu italien comme le précédent, d’autant plus que son pays est dans
l’Union Européenne et dans le Marché Commun depuis au moins les cinquante ans de
l’amitié franco-allemande qu’on vient de célébrer, ce qui, pour ma mère, est un
miracle, car elle se souvient du temps où elle était petite fille où cela
n’était pas envisageable du tout, en raison de 1914-1918, tandis que pour tous
les enfants un tantinet intelligents qui sont nés ces temps-ci, en raison du
fait que, grâce à ces interventions alors du futur, nous avons réussi à éviter
la reprise de la guerre partout comme à calmer les appétits de revanche du Japon
en 1965 comme en 1975 et depuis 2005, pour ces nouveaux venus, les enfants, tout
cela concerne ces vieilles générations qui n’avaient pas de
web cam, ni d’ordinateur leur
permettant de trouver pour jouer à un des jeux électroniques en ligne, sur
Internet, un partenaire allemand ou pourquoi pas esquimaux un jour, et donc
d’établir des relations amicales, sur le plan individuel, en trouvant des
« correspondants » partout dans le monde entier, comme en pouvant même se voir
puisqu’on annonce la 4G, dans des communications vidéophoniques – certes cela
nous contraint les uns et les autres à faire des « mises à jour » périodiques
mais « l’amitié franco-allemande » est une réalité au cas par cas ou dès qu’on
peut créer un terrain pour s’affronter dans des jeux qui ont des règles en
commun à ne pas transgresser, ce qui était le cas avec les sports qui permettent
ces stades et ces matchs entre équipes représentants ces régions ou nations, en
fait un peu comme ces jeux-sans-frontières qui permettaient de prendre
connaissance de l'existence d'une ville de l’Union Européenne régulièrement à la télévision et
au cours desquels s’affrontait la jeunesse locale, si ce n’est qu’en raison
d’affaires financières liées aux clubs sportifs et à la nécessité d’être les
premiers, les équipes des joueurs sont composés de personnes venant même de
l’étranger, ce qui rend internationale parfois la composition de ces équipes à
l’échelle locale seulement – on est donc bien à l’époque d’Internet et de la fin
des nationalismes au sens méprisable et négatif de ce terme.
C'est-à-dire de
celui de ceux qui se sont avec l’usage du mot de « nationalisme » toujours
rendus responsables de tout ce qui ne va pas localement, car fondé alors, dans
leur bouche, sur la non compréhension des mots employés qui existent pour penser
dans le bon sens, au cas par cas, en vérité, au point de rendre refermées sur
elles-mêmes ces personnes dans ces attitudes aujourd’hui dites « régionalistes »
ou hostiles à ce qui vient ou provient des étrangers, au mauvais sens de ce
terme, car de celles capables encore d’utiliser les armes à feu car ils veulent
les obtenir en enfants gâtés, complices des entreprises qui en les mettant sur
le marché sont complices de ceux qui croient pouvoir les utiliser pour
tuer, comme les entreprises qui produisent du tabac croient possible continuer à
devenir complices des désirs de cigarettes de ceux qui, à cause de cela, vont
vers ces maladies respiratoires bien connues qui viennent en conséquences, comme
ceux qui n’arrivant pas à boire sobrement vont de leur côté vers des problèmes
médicaux que des organisations comme « alcoolique anonymes » réussissent parfois
à soigner pour permettre à ces personnes de se déshabituer de ces drogues,
puisqu’ils sont devenus incapables de gérer « en futurs bon père ou bonne mère
de famille » leur existence mais sont devenus des usurpateurs et des imposteurs
comme ces régionalistes, au mauvais sens de ce mot, malgré le fait que la
culture en question, différente, est déjà respectée par toutes les autres
régions du monde à travers ses chants traditionnels, ses langues locales qui ont
été valorisées comme ses danses folkloriques et ses costumes mais aussi sa
littérature ou les manifestations de son art y compris à travers le temps, ce
que nous avons voulu notemment encourager d’autant plus des possibilités
qu’offrent les outils informatiques en matière de traduction, pour peu qu’on
fasse les efforts localement pour transcrire toutes ces traditions orales, les
enregistrer, et trouver les correspondants inscrits dans les autres langues.
Mais il y aura peut-être un jour les autres mariages qui auront moins
d’importance que ceux-ci puisque ceux-ci doivent permettre de débloquer la
situation générale, permettre le premier trèfle, comme d’ouvrir ceux à quatre
feuilles, (des fenêtres), donnant, sur le Panthéon, le long du lycée d’Henri IV,
à moins qu’il ne s’agisse de trèfles à deux feuilles que ces fenêtres. Quoi
qu’il en soit, j’ai pu me faire une idée des fenêtres et des portes si possible à ouvrir
tout autour du Panthéon aussi. Des études devraient confirmer qu’il
pourrait y en avoir au moins deux de possibles là où nous les voyons en
filigrane, donc
trois ou quatre pour commencer et cela en profitant des années de restauration
qui débutent de ce monument – j’ai pourtant eu le loisir de jeter un coup d’œil
sur les plans proposés mais je n’ai pas disposé de tous les renseignements, de
tous les plans, bien que ceux dont j’ai pris connaissance devraient suffire,
mais peut-être pas du point de vue de l’architecte en chef, chargé de ces
travaux et de cette responsabilité, ce qui signifie que c’est à lui de les mener
(ces études pour ouvrir ces fenêtres à partir des autres plans auxquels il a eu
accès) elles devraient confirmer mes intuitions solides qu’on peut en prendre le
risque. Pour commencer il pourrait y en avoir deux à faire ouvrir du côté et
pourquoi pas une porte ou deux en plus, non pas seulement sur les latéralités,
qui servent un peu d’arc-boutant (à moins qu’il juge que c’est précisément là
qu’il faudrait ne pas les ouvrir pour des raisons qu’il y a peut-être à
l’intérieur des choses de peintes sur les murs qui ne puissent être décollées et conservées
autrement si on les ouvrait), où il y a des emplacements prévus possibles aussi,
mais dans les murs parallèles, de part et d’autres, de l’entrée du Panthéon, si
dans ces murs du fond latéraux de la croix grecque soutenant l’édifice, il n’y a
rien de précieux à conserver qui ait été peint là où ces ouvertures pourraient
être facilement percées, d’autant que ces murs ont pour fonction de fermer cette
croix grecque et non pas d’être arc-boutant que seulement dans la partie qui
conforte les murs de la croix grecque prévus pour être des sortes d'arc-boutant quand on
pourrait les ouvrir. Mais peut-être en raison de la vétusté de l’édifice nous
devrions y renoncer pour ne pas alléger trop ces murs qui sont donc des
sécurités d’arcs-boutants sans arcs, donc des cales. Le poids de la coupole est
réparti surtout sur les piliers et les colonnades. Ces murs devaient servir
d’enjoliveurs s’ils avaient pu avoir ces fenêtres percées et elles étaient
prévues par l’architecte qui a marqué les emplacements où ils les voyaient mais
bouchées pour l’instant par les pierres utilisées peut-être à l’époque, en
l’absence de financements, ce qui en a fait un monument trop austère de nos
jours. Il y a des fenêtres qui ont été ouvertes dans la partie qui est de
l’autre côté de l’entrée du Panthéon, en fait l’entrée arrière et elles sont de
belle facture. Elles pourraient servir de modèle à partir desquelles réfléchir à
moins d’en concevoir de proprement réalisées grâce aux meilleures technologies
actuelles qui pourraient même renforcer les murs en question grâce aux fenêtres
à ouvrir).
Peut-être alors le Saint-Père voudra vous désigner ou désigner le cardinal de
Strasbourg, voire seulement un évêque, celui que vous avez désigné, pour
s’occuper de la paroisse Saint-Jacques et que je trouve drôle, pour la
célébration des autres mariages venant après ces premiers (quand ils viendront),
ce qui nous permettra de rester dans le quartier, à moins que (je plaisante
encore) nous ayons à
trouver une basilique sculptée dans les glaces japonaises, comme chaque année au
cours du petit festival qui réunit, il me semble, là-bas, ou dans le Nord de la
Chine[64]
ces sculpteurs-de-glaces.
A ce sujet, sur un registre complémentaire, j’ai pu réaliser, ce que vous
pourrez trouver à
une petite vidéo grâce à Samuel Laroze
sur http://granier.laury.free.fr/videos/samuellarozesculpteurdesables.avi, un
« sculpteurs de sables » avec lequel nous avons pu improviser, en amateur, le
petit tournage d’un touriste à Arcachon (que j’étais) que vous pouvez découvrir
sur mon site, et soudain (je plaisante de nouveau) je pense à une basilique en sables, un peu comme à
Pétra – qu’on pourrait solidifier avec des colles ou des résines et qu’on
pourrait lui donner à construire, pour que j’épouse une admirable berbère ou
touareg, en plein désert, sur les dunes de Ouarzazate au Maroc ou celles, plus
au Sud de
Ces présentations de sculptures de glaces dont nous avons pu prendre
connaissance par les images à la télévision, ce qui pourrait être une solution
élégante pour épouser la princesse esquimaux de mon harem – n’est-il pas ? –
mais le problème qui sera alors : comment chauffer l’Église de Glace. Avec les
lance-flammes : elle fondra ! Ce qui fera rire tout le monde ! Et on se dirait
ici soudain, comme dans un gag de Gaston Lagaffe, du très regretté immense André
Franquin (dont nous serons tous inconsolables éternellement).
Bien sûr, ces remplaçants, si le Pape estime qu’il doit se soustraire à un
pareil honneur que de célébrer les autres mariages impériaux qui viendraient
dans les années qui suivront ces trois premiers arrêtés (quand j’aurais
rencontré la princesse esquimaux ou la princesse touareg ou celle de Bohème –
mais cela ne fait que six et non sept ! Mais l’Empire entier est rassuré y
compris les carnivores puisque je ne pense pas impure de pouvoir nous offrir une
impératrice esquimaux, c'est-à-dire le stade ultime de l’être humain, presque
devenu animal, puisqu’en dehors de différentes capacités qui rendent les
esquimaux de véritables êtres humains, leur façon de se nourrir est celle de
carnivore et non d’anthropophages ou de cannibales, car cela n’est déjà plus
concevable pour eux qui sont les derniers vestiges de ceux qui croyaient, comme
les hommes préhistoriques que l’être humain était seulement chasseurs,
c'est-à-dire ce qui, de nos jours, n’est pensable qu’en se portant en arrière
dans le temps chez les attardés mentaux de ces époques-là, en comprenant qu’il
s’agissait de personnes qui ne savaient pas lire la nature, n’ayant pas observé
autour d’eux ce que la nature offrait de tropical y compris de solutions
élégantes végétales. Ceux-ci, pour Dieu seul sait quelles raisons, liées à ces
époque là et peut-être un Henri IV local ayant offert la poule-au-pot n’ont fait
que continuer à être dans une coutume de personnes devenues [comme] aveugles ou
cherchant, par mimétisme, sans réfléchir au-delà du peu dont leurs cerveaux
était capables, à se conformer à des coutumes et pratiques étrangères qui
avaient les ancêtres de la princesse esquimaux comme auteur : les chasseurs et
les tueurs d’animaux qui cherchèrent, à cause de cette recherche de l’assurance
d’avoir à manger ainsi à devenir à jamais prisonniers des grands froids
intersidéraux[66]
et en raison de cela, errer perdus tous les jours en suppliant le Grand Esprit
des ancêtres indiens qu’ils ont trompé, de leur venir en aide, pour que du trou
percé dans la glace leur harpon[67]
puisse leur fournir de quoi survivre sans être capables, à cause des protéines
animales ingérées, d’inventer quoi que ce soit, d’innover, de créer, mais
seulement de reproduire de façon mimétique, comme les gens qui copient[68]
(et qui sont chacun devenus
cérébralement
des déserts), les habitudes et les
traditions d’ancêtres dont on n’arrive pas à comprendre, parce qu’on n'a pas
étudié et commencé à penser, comment ils ont fini par les avoir !
Aussi, il n’y a que les végétariens,
comme Léonard de Vinci ou le Bouddha, qui aient pu comprendre TOUT et devenir
omniscients car, à partir d’un certain moment, ils ont compris que la planète
leur offrait le luxe suprême: celui de renoncer à faire le mal dans tous les
domaines et ils n’ont fait alors de leur existence qu’une œuvre d’art
continuelle consacrée à des inventions permanentes et bienfaisantes, devenant
chacun comme une salle des machines à eux tout seul. Jésus, cependant mangeait
encore de l’agneau ou du mouton mais il vivait dans une région où il n’y avait
pas autant d’alternatives qu’en Chine et en Inde et c’est pourquoi certains lui
ont reproché injustement de ne pas être végétarien (il l’aurait été sûrement si
la région dans laquelle il s’est incarné avait pu lui offrir une de ces
admirables solution élégante que sont chacune des alternative. En étant né dans
une de ces régions qui n’avaient pas à l’époque d’alternatives en assez grand
nombre, il nous montre qu’on a le droit de manger de la viande et du poisson
dans les régions où on ne peut pas faire autrement, mais qu’il est possible de
se conduire avec intelligence). On a donc tort de reprocher au Christ, y compris
en Inde, d’être un imposteur par rapport au Bouddha, car on lui reproche de ne
pas être allé jusqu’au bout de la logique d’« amour » qui impose à ceux qui
veulent être cohérents, avec ce mot, de ne pas se rendre impurs en mangeant des
animaux pacifiques et inoffensifs (de ne pas commencer à être complice de ceux
qui font le mal - mais nous l'avons vu pas dans les régions où il n'y a pas de
solutions alternatives élégantes - ils y sont contraints), comme s’ils étaient
des animaux carnivores ou les ancêtres des esquimaux qui, à cause de cette
voracité de personnes qui ont voulu oublier que l’être humain est un omnivore,
ne sont devenus que, d’une certaine manière,
spécialisés en tant que carnivore (chasseurs) et ont abouti à ne vivre que dans
un quasiment désert de glace (ce qui allait être le cas avec hitler qui allait
faire de la terre un désert total si je n’étais pas intervenu à temps, étant
donné qu’il s’est totalement trompé et qu’il n’a eu de la vie, bien que
parait-il végétarien, qu’une lecture de
profane ou de chasseur, c'est-à-dire d’ignorant, au mauvais sens de ce mot, ce
qui était hélas le cas de la majorité des gens en ce temps là qui, ne
bénéficiant pas de toutes les connaissances de notre époque, se sont fourvoyées
y compris dans leurs discours). Nous devons donc être reconnaissant à ces
ancêtres des esquimaux de s’être égarés à ce point sur la géographie du globe
pour se perdre sur les banquises du pôle en ces déserts glacés car sans leur si
triste expérience de la vie, nous n’aurions pas pu comprendre aussi bien que
cela combien ceux qui s’abaissent à manger de la viande et du poisson, donc à
ces mœurs de préhistoriques ou de carnivores (dans des régions où être
végétariens devrait s’imposer à tous comme une évidence en raison de l’abondance
des solutions alternatives élégantes) sont chacun l’un de ces candidats au moindre effort et à ces
déserts cérébraux qui les caractérisent, à la nuit pratiquement dans leur crâne
dans laquelle, prisonniers de tous les corollaires, ils errent jour après jour,
répétant sans cesse des journées semblables, sans espoir jamais de s’en sortir
et de voir le jour, délivrés de ce pôle de glace dans laquelle ils ont voulu
avec leur mentalité de parasite de la chasse en devenir prisonniers, délivrés de ces
difficultés que les vents glacés des personnes dépourvues de cœur ont augmenté.
Pourtant tous en Inde, ou en Chine ont eu tort de reprocher au Christ de ne pas
être végétarien et certains ont cru pouvoir trouver juste qu’il ait été
crucifié parce qu’il n’avait pas été végétarien (mais mangeur de poisson de
viande comme Mahomet le sera aussi, en ces temps si lointains où ces régions
connaissaient peu l’existence des solutions alternatives élégantes qui sont venues depuis si
communes en imposant le modèle agricole partout) et qu’à cause de cela certains
chrétiens ont cru pouvoir s’autoriser à être très respectueux des animaux
pacifiques et inoffensifs, comme
le sera Saint-François d’Assise à Gubbio : jusqu'au loup, lui-même (on
pense ici à la musicienne Hélène Grimaud). On lui a reproché
de ne pas être cohérent totalement à ce sujet avec sa pensée d’amour (mais il
n’était pas au courant de l’existence de toutes les alternatives : aux ours,
dans la fosse aux ours de Bern on donne des morceaux de carottes séchées parmi
d’autres aliments et ils adorent ça) pour tous les êtres et tous les animaux
pacifiques et inoffensifs qui, pourtant sont tous aimés de Jésus et de plus en plus respectés partout
grâce à lui (y compris le loup à Gubbio – c’est grâce à lui que les espèces
animales sont protégées y compris les chiens[69]
de traineaux des esquimaux). Il a accepté de se faire crucifier comme un agneau
– donc comme ne le font à des animaux pacifiques et inoffensifs que les êtres humains demeurés
par mimétisme (à d'ancienne coutume de nos
ancêtres regardant vers la préhistoire)
carnivores, au lieu de comprendre leur intérêt à se nourrir intelligemment
selon les régions et leur degré de développement, car chacune cherche, c’est
normal, à être la meilleure des régions dans cette civilisation des alternatives à toutes
les formes d’inepties – c'est-à-dire celle de ces personnes devenues ignorantes, au
mauvais sens de ce mot - et dont les cerveaux ont tellement rétrécis, à cause
des contextes familiaux dans lesquels ils sont allés y faire ces involutions
qu’ils ont cru avoir besoin de doses de protéines animales à ingérer
périodiquement depuis qu’Henri IV a, démagogiquement, (mais ne pouvant pas faire
autrement), autorisé la poule-au-pot – ce
qui ne leur a permis à chacun de ne jamais rien inventer, en réalité de vraiment
intelligent car ils n’ont pas pu se délivrer de cette enfance et de cette
adolescence ou de l’enfant-gâté, au sens négatif de ces mots, et ceux qui y sont
parvenus en raison de leurs niveau d’études incommensurablement difficiles à
rejoindre, voyant en ces époques-là qu’ils étaient des minorités, comme
comprenant que c’était trop difficile à expliquer, ont continué à manger de la
viande et du poisson dans ces régions où ces ignorants, au mauvais sens de ce
mot, avaient ainsi pris l’habitude à manger ce genre d’aliments. Si pour ceux
qui s’étaient débarrassés de l’enfant-gâté en eux ces nourritures ne
représentaient pas de danger et leur permettaient d’inventer, d’innover, de
tracer les plans les plus difficiles, d’écrire les histoires les plus
palpitantes, de peindre ou de sculpter les œuvres les plus admirable, sans les
gêner, pour ceux qui cherchaient à en faire le moins possible ces nourritures
leur ont été fatales puisqu’ils ne voulaient pas faire les efforts des autres
pour se rendre capables de comprendre et ainsi véritablement du meilleur et en
croyant pouvoir continuer à manger ces nourritures les plus faciles à produire,
donc à en faire le moins possible, ils se rendaient tous déficients cérébralement parlant en étant confortés dans leur projet inconscient mais
polaire : celui de devenir des déserts et de continuer à ressembler
génétiquement à ces ancêtres en commun qui sont devenus ces admirables esquimaux
(dans Nanouk l’esquimaux) qui ont
cherché, volontairement, à se perdre ainsi dans des régions où, normalement, les
conditions climatiques qui y règnent devraient dissuader de s’y approcher en
tant qu’être humain. C’est pourquoi ces
personnes n’ont jamais pu atteindre ce moment qui est comme un passage vers le
monde de la vérité qui est situé dans le ciel si haut qu’on ne peut d’aucune
façon le percevoir dans les êtres qui ont eu cette chance et cette malchance,
car tant qu’on est soi-même prisonniers des ténèbres (comme au pôle Nord) et de
toutes ces continuelles et semblables journées qui ne riment à rien, on ne
progresse que seulement en retombant dans les péchés, ce qui advient en mangeant
des animaux pacifiques et inoffensifs, alors qu’il y a toutes les alternatives et que déjà, manger une
carotte ou une betterave ou un végétal bulbe constitue une sorte de péché bien
qu’heureusement la pomme de terre, comme eux, ne se torde pas de douleur – ce qui est
pourtant le cas des animaux pacifique et inoffensifs qu’on cherche à tuer pour se permettre de les manger
– dans le monde végétal, il ne s’agit pas du même système nerveux, mais il est certain que de tous les
bulbes nous ne devrions manger que la production extérieures de ces bulbes : des matières
végétales dont notre époque a les moyens, en extrayant les composés de ces
productions, de faire des choses délicieuses et
savoureuses. C’est pourquoi pour les péchés commis il n’y a, malgré le fait
qu’il n’ait pas été végétarien, que Jésus qui puisse pardonner. En raison de la
situation générale il y a ces péchés de gourmandises comme ceux de Rabelais ou
de Gargantua ou de son père Grandgousier, y compris du pâtissier de Cyrano de
Bergerac, bien qu’il y ait à leur sujet, comme au sujet d’un grand nombre de
personne qui sont devenues des gourmandes très certainement des dérogations
qu’ils ont obtenu en raison de la situation générale en ces époques là. C’est à
cause de ce qui émane de la vie de Jésus et de son exemplarité, comme de cette
attitude logique qui l’a amené a accepté de mourir crucifié, comme meurent très
injustement les agneaux de nos jours qu’il n’y a donc que Jésus qui, s’étant
comporté comme l’Agneau jusqu’au bout, peut pardonner à d’anciens loubards de
continuer à manger de la viande et du poisson, en se ruinant leur santé et en
risquant de devenir, à cause de cela, pareil à des déserts (de glace).
Tout cela est en fait assez conforme aux conséquences des enseignements au point
de rejoindre un peu ceux du Bouddha qui, en renonçant aussi à tout ce qui est
« carné », au sens traditionnel et ancien du terme (car on parle aujourd’hui de
viande de légumes, y compris de viande de fromages, de viande de pains et viande
de spaghettis comme de viandes de fruits - viande de pomme, viandes d’orange,
etc. – assortiment de viandes ou de chairs de fruits et légumes, ce qui est une
phrase explicative de mots comme « salade de fruit » ou « ratatouille », une
phrase synonyme - pour employer ce mot de « viande » en tant que synonyme de
celui de « chair » de carotte, « chair de tomate », chair de mandarine,
« chair ») dans une région où cela était encore possible, en raison des
alternatives, ce qui a permis, non seulement à l’Inde de demeurer verte
entièrement et d'être composée de peuples végétariens (ce qui a évité la propagation
du désert dans la région car ces peuples ont renoncé à faire le mal y compris à
la cause du mal : la nourriture carnée, étant à l’origine de la souffrance des
animaux pacifiques et inoffensifs y
compris celle des poissons) et ce désert a été alors évité par le Bouddha,
malgré le fait que cette grande région soit sur la même latitude que le
Sahara ! Comme tout ce qu’il a permis de soigner partout au point que je me
demande si Léonard de Vinci n’a pas eu connaissance, à son époque, déjà bien
avancée, de l’existence du Bouddha, car c’est peut-être à cause de lui qu’il a
fini par se délivrer de ce préjugé local très ancien (qu’on avait le droit de
manger de la viande, ce qui lui a permis de s’intéresser vraiment aux études) en
y renonçant à l’époque – il faut le faire, dans un contexte sans télévision ni
radio occidental où tous n’étaient qu’omnivores
- à se nourrir comme les italiens de l’époque.
Grâce à cela il a réussi à se délivrer
des inepties, de son enfance et de son adolescence au SNNPM[.] : au sens négatif
et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), pour connaître le moment
crucial de l’ouverture de son esprit, et basculer dans le monde du ciel et des
vérités ultimes et absolues en devenant le créateur de tous les chefs d’œuvres à
partir desquels dessins et écritures, analysées, toutes les époques suivantes
ont découlées, y compris toutes les avancées dans toutes les sciences et les
techniques mises au point dans celle-ci, y compris dans l’armement (ce qu’on
pourrait lui reprocher, bien que sans lui il n’y aurait jamais eu de conquête
spatiale ni de station orbitale car il concevait toutes les armes pour la
légitime défense – aussi très certainement avec nulle intention de s’en servir
que seulement si quelqu’un offensait l’être humain dans ses droits inhérents
ontologiques, intrinsèques et consubstantiels très certainement envisagés de
même nature que ceux dont il disposait pour chercher à bien faire ou à
rechercher la vérité, ce qu’il n’a pas cessé, comme Picasso ou Cocteau ou
Chagall et etc. de ne faire que trouver). Je n’ai pu penser à cela que récemment
à partir de ma propre renonciation à la nourriture carnée que je n’ai pas fait
pour devenir Léonard de Vinci ni même un créateur ou un innovateur (car
peut-être cela n’aurait pas marché) mais seulement, à un moment donné, par
soucis de cohérence avec plusieurs choses qui me paraissait incohérentes
d’autant plus que je peignais : en effet comment continuer à représenter des
animaux ou même les portraits des femmes ou les corps humains (en étant à ce
point soucieux des détails les plus microscopiques) en pouvant s’autoriser à
manger de la viande d'animaux pacifiques et inoffensifs. Il arrive un moment où cela est absolument évident:
c’est incompatible : on comprend que toutes les erreurs d’incohérence, comme
toutes les fautes et les péchés viennent du fait qu’il y a eu ceux qui ont cru
pouvoir, honnêtement (probablement en raison de géographie handicapante et
d'absence d'alternative), s’autoriser l’inconcevable dans des temps éloignés de
notre époque qui dans certaines régions regorgaient déjà d’alternatives: manger des animaux
pacifiques et inoffensifs, alors qu’il
y a tant d’herbes et de viandes de salades délicieuses et parfumées y compris
des huiles et des vinaigres ou citrons pour les accompagner, ce qui sont des
preuves que les êtres humains sont très civilisés, puisqu’il faut l’ensemble des
commerces du monde entier pour réunir ces odeurs délicieuses ou ces condiments
et autres habituelles huiles pour qu’elles puissent assaisonner et rendre
parfois encore meilleures ces chaires de salades ou d’herbes, de tomates variées
qui, avec les chairs des pains ou les viandes de biscottes sont encore
meilleures, puisqu’on met des feuilles de salades et des carottes râpées dans
les sandwichs ou entre deux toasts, avec un peu de vinaigrette – il est l’heure
de manger et je vais moi-même me préparer de la viande de champignon en chair de
salade – c’est un peu pléonaste – mais il vrai qu’on recommence à manger à
chaque déjeuner ou dîner et qu’il faut songer à profiter des variétés proposées
dans
Ce qui est le plus drôle et le plus joyeux à ce sujet c'est que cela fait
de Notre personne un chrétien soudain exceptionnellement musulman[70]
sur ce sujet du mariage et de la famille, alors qu'en 1965 comme en 1975, vous
pouvez l'imaginer, puisque nous attendions en multi dimensions et en alpha oméga
- depuis douze années notre femme
promise légitime – des années qui sont passées en secondes cosmiques
Universelles à mon échelle, de celles-là qui n'ont rien des secondes que vivent
les habitants de
Pour faire une heure de vrai cours ceux qui les professent ont été
parfois contraint de
subir des milliers d'heures de vrais cours sans tricher, en
connaissant le poids de chaque mot, ce qui n'a rien à voir avec ceux qui, grâce
à la vieille salle des machines, connaissent tous les sujets d'avance, y compris
tous les courriers d'avance échangés par les enseignants dans le monde entier
pour obtenir, comme c’était le cas, une seule information, car un collègue avait
eu la gentillesse d’aller la rechercher dans une bibliothèque lointaine.
L’information était aussitôt connue, par ces personnes qui trichent, bien avant
l’enseignant l’ayant demandé pour améliorer son cours, et dans la salle de
cours, il n’y avait que ceux qui n’ont jamais été dans la salle des
machines pour qui cette information est nouvelle. Les autres, au courant, font semblant de
prendre des notes. Aussi, dans un cas nous avons des personnes qui, pour faire
cette heure de cours en public, sont entrain d’offrir par leur simple présence
des fleuves de matière (genre l'équivalent des) diamants encore plus purs que les purs et de l’autre
côté des profanes qui n’arrivent pas à comprendre ce que peut être le temps
comme une seule parole échangée avec ces personnalités qui ne sont pas assez
conscientes qu’il y a des milliards et plus encore d’années lumière entre elles
et ces personnes profanes, dans la nuit cérébrale ou le désert, et cela d’autant
que certaines d’entre ces personnes enseignantes n’ont jamais connu la condition
de profane et ne peuvent donc pas d’un seul électron imaginer que les autres
sont entrain de se jouer d’elles ou de se moquer (parfois gentiment,
heureusement et en inconscients) de chacune des choses auxquelles cette
non-profane croit, puisque ces profanes ne croient que ce qui sonne[72]
juste[73],
en revanche il sera gentil et acceptera de jouer ou de travailler comme les
chiens de traineaux, s’il est bien traité et s’il a de quoi manger – on ne
pourra pas lui reprocher de ne pas avoir les préoccupations d’un être humain
puisqu’il n’a que les siennes, celle d’un chien ou d’un chat[74]
qui a besoin constemment de son maître mais de façon égoïste, en fait comme un
enfant-gâté, comme un chien et un chat aimerait passer son temps couché sur les
coussins du canapé ou du lit – c’est ici le tragique – car le profane, sur le
moment, ne comprend pas tout ce que les mots employés induisent d’actions
logiques étant donné que cela ne tourne plus rond depuis assez longtemps dans
son cerveaux et cela à cause de diverses profanations dont lui et les siens ont
été l’objet ou dont ils se sont rendus coupables en devenant, à cause de cela,
les esclaves de leurs sens : des actions qu’ils croient pouvoir ignorer comme
telles néfastes et qui pourtant le sont : ils ont mis le doigt dans un engrenage
qui leur sera fatal, s’ils ne cherchent pas à se délivrer de l’enfant-gâté en
eux et à sortir de cette condition profane (qui en général ne s'obtient que si
on a obtenu des crédits financiers usurpés (cfu), escroqués(cfé), trichés [cft],
volés [cfv] malhonnêtes [cfm], de criminels contre l'humanité [cfcch]) pour devenir vraiment des êtres
humains.
Croyez, Monsieur le Cardinal qu’en 1965 et à partir de 1975, nous nous estimions
amplement content avec une seule et unique épouse (Christine…Lang) d'autant plus
que nous n’ignorions pas que certaines jeunes femmes sont capables d’être
plurielles à partir du moment où elles ont fait de nombreuses études, qu’elles
ont de nombreuses pratiques professionnelles ou compétences diverses et qu’elles
se sont délivrées de l’enfant-gâté – ce dont nous étions assurés à son propos
quand je suis apparu dans le ciel de façon sonore pouvant constater tous les
champs de compétences diverses qui étaient les miens depuis 1965, une année que
j’avais eu à retrouver en me remettant de la première amnésie en 1975, et
j’étais certain que Christine était plurielle, quand nous nous sommes embrassés
à ces diverses occasions dont la mémoire ne m’est revenue qu’en 2005,
car j’ai découvert l’avoir ordonné impérialement du futur puisque nous
attendions alors depuis douze années tous les jours en cosmiques, universaux et
en ayant à chaque instant, sur le dos, tous les temps passés et les temps futurs
(la preuve dans le ciel, tous ont pu s’en rendre compte : nos paroles, nos
gestes, engageant donc l’avenir de tous. Nous parlons donc en vérité et en
conscience et quand nous embrassons cela signifie des choses vraies quand nous
sommes enfants, bébés ou même seulement un peu plus grands. Aussi un anneau
sacrifié par nous à l’âge de deux ans et demi – mais que nous avons oublié de
1972 à 1975 en nous autorisant les conséquences qui allaient se produire, cela a
signifié du côté de Christine un certain nombre de choses qu’elle s’est
autorisée à faire, qu’elle n’aurait pas fait si je ne l’avais pas oublié durant
ce temps. Ce sera pareil après 1977 et c’est pourquoi je ne puis lui reprocher
des infidélités qu’elle m’aurait faites.
Mais nous avons découvert que nous avons sacrifié tout cela et avons vérifié que
cela nous a donc été imposé par l'Ensemble y compris par ce vieux Dieu qui,
soudain, est apparu dans ma tête dans ma chambre, après que je me sois débarrassé de mon
enfance et de mon adolescence ou de la partie de moi-même qui était redevenue
enfant-gâtée y compris que j’ai pu survire à l’ouverture de mon esprit, en
débarquant soudain de nouveau dans le monde de la Vérité où j’ai effectivement
découvert être dans un tout autre univers de celui dans lequel j’avais été
d’autant plus qu’auparavant je me suis senti, à plusieurs reprises, à mesure que
je ne faisais que des choses biens faites et des efforts très difficiles à
faire, en cherchant à en faire de toujours plus difficiles, grandir de nouveau.
Je ne savais pas que j’avais perdu des centimètres avec l’amnésie. Même si ce
n’est pas comme Alice au pays des
merveilles, j’ai fini par me retrouver immense dans le ciel de 1975, en
retrouvant ma mémoire, car je me suis soudain souvenu que j’avais été témoin de
cela dans le passé (donc une vieille histoire – collective - que j’avais à
revivre). Aussi il se pourrait que dans mon cas la mémoire que j’avais perdue, à
cause de l’amnésie, n’a pu être retrouvée que grâce à la réalisation de
L’opération a permis de savoir de nouveau exactement, comme en 1965 et 1975, ce
que cela signifie, en réalité, qu’être profane. Comme ma nouvelle vie est
récente (je n’aurais que l'équivalent de mes huit ans en avril 2013, vous comprendrez que j’ai
l’impression de débarquer, à chaque instant, dans un nouvel univers, d’autant
que les 27 ans d’amnésie furent passablement longs et difficiles à vivre et à
supporter en raison d’innombrables très difficiles travaux mais bien moins
difficiles que ceux qui m’attendaient à partir d’avril 2005 (ces transmissions à
travers Espace et Temps), puisque je devais
intervenir, grâce à ma voix d’une pureté absolue, (celle de vérité), rétroactivement dans le passé
jusqu’à 1965 pour sauver la situation générale là-bas étant donné qu’une
nouvelle génération d’insolents d’ignorants, au mauvais sens de ces mots, y
compris profanes, allaient sinon ruiner tous les efforts de la génération de mon père
qui bénéficiant de l’ouverture de leur esprit et des millions d’années d’efforts
accomplis en vérité pour maitriser chacune des disciplines en véritables maîtres
avaient eu tout à reconstruire après la catastrophe à laquelle avait abouti la
génération d’adolph hitler et tous les ignorants, au mauvais sens de ce mot,
c'est-à-dire les profanes, les par moment sacrilèges, dont j’ai pu vérifier qu’ils n’arrivent pas à
comprendre comment les choses doivent être mises en place, y compris à
s’organiser ou à organiser le travail, mais qui peuvent être d’excellents
travailleurs manuels reproduisant par mimétisme y compris personnes appliquant des méthodes en faussaires
en transporteurs ou en livreurs y compris dans toutes les occupations faciles à
reproduire (faire du café, couper le jambon en tranche, mettre les choses dans
des boîtes, etc.).
Il s'agissait cependant aux yeux de tout le monde en 1965 et à partir de 1975
d'une seule femme légitime et non d’une femme plurielle. Pourtant, quand je la
regardai, j’étais déjà à l’âge où je faisais des portraits et lisait en cachette
des bandes dessinées (car mes parents, avec raison, voulaient que je lise des
livres non pas illustrés), j’avais pris conscience, grâce à ces diverses
vignettes ou cases ou bandes dessinées, que dans chacun des encadrements les
personnages étaient, à chaque fois différents, bien que les mêmes et c’est
pourquoi je considérais Christine, d’autant plus que j’étais un mordu de Donald
et Daisy, comme une jeune femme multiple et ce qui venait de nous arriver était
donc une péripétie, une de nos aventures à chacun.
Pendant vingt sept ans cet état d’esprit a disparu car je devins amnésique et
peut-être, en raison des divers comportements que j’ai eu, j’ai rapetissé un peu
sans m’en rendre compte et sans plus vraiment comprendre les bandes-dessinées
que je lisais seulement à un niveau de lecture de profane.
On avait parlé dans le ciel à partir de 1965-66 (en fait moi-même virtuel et
d’avance dans le futur depuis l'année 2005-2006 à moi-même dans la prime enfance dans le passé) quand
nous ne savions même pas qu'il s'agissait de moi-même, puisqu’au début de ces
apparitions sonores nous ne savions même pas comment nous nous nommions à ce
stade de bébé en 1965, en avril-mai-juin-juillet, quand tout cela a commencé en
2005. En fait (c’est grâce à la vitesse d’Internet que j’arrive à cette
conclusion), il se pourrait que toutes ces transmissions à travers le temps se
soient déroulées plus rapidement qu'à la vitesse de la lumière cosmique qui a
probablement permis de créer
Je ne comprends donc pas ce qui a pu se passer et ce que cache comme
possibilités la vieille salle des machines qui ne m’a pas été rendue, bien
qu’empereur, à partir de 1965, ni à partir de 1975, en condamnant l’Ensemble,
malgré mes apparitions alors du domaine seulement du virtuel, à être en
infraction pharaonique vis-à-vis de ma personne impériale qui en est légalement
propriétaire, (en tant qu’empereur), depuis toujours. J’ai bien peur que cela
ait des répercutions sur tous ceux qui sont en infraction impériale qui
persistent dans l’erreur en ne me remettant pas les commandes de ces machines
dont il est certain que je ne pourrais jamais me permettre de les utiliser en
violant les droits inhérents de chacune des personnes humaines y compris des profanes
y compris des animaux pacifiques et inoffensifs. Il s’agit donc d’un état d’esprit de personnes
devenues profanes et qui ont hérité d’un lieu qui autrefois était à la fois
profane et sacré, quand ces notions n’étaient pas dissociées et que l’innocence
régnait partout.
Je prends donc le temps, en allant lentement, grâce à des explications
rationnelles qui exigent dorénanavant, de mon point de vue, l'emploi de textes
pour chaque chose, car, oralement, c'est bien trop compliqué d’expliquer, à
travers des phrases exigeant autant de constructions comme d’adresses à les
fabriquer dans ces mondes de la logique et du droit canonique, comme surtout de
celui de l'Amour, anticipé pour ses enfants, puisque tout cela a à voir avec
l’anneau de mariage. Anour, avec un grand "A", puisque nous avons pu vérifier
qu'il n'y a que ces sacrifices aussi abominablement difficiles à faire qui
engagent soi-même et donc n'ont plus rien de commun avec les sacrifices des
primitifs ou des abrutis et/ou des ignorants[75],
au mauvais sens de ce mots – qui, nous l’avons découvert, n’ont, en fait, jamais
marché d’un seul atome, dans tous les temps, car il s’agissait de faux
sacrifices, ceux de charlatans puisqu’ils consistaient à faire du mal et à avoir
une victime à sacrifier, y compris avec des animaux pacifiques et inoffensifs. Nous pouvons enfin l’affirmer de
façon absolument certaine sans un électron d’erreur : cela a donc toujours donné
ou abouti au contraire de ce qui était souhaité, à moins que la personne
sacrifiant se soit privée véritablement de choses très essentielles pour elle et
lui appartenant en véritable propriété et sans se mentir à elle-même – donc des
propriétés de droit (non usurpées, non escroquées, non volées) – aussi on comprend que les sacrifices qui fonctionnent
soient par exemple tous ceux de personnes qui se privent de véritables revenus
d’argent proprement gagné pour des raisons altruistes seulement ou qui offrent
des choses bonnes pour tous, donc non nocives. En réussissant à ce point (que
c’est plus encore que miraculeux) - le sacrifice avec Christine - et en nous
séparant en fait pour sauver
Notre sacrifice en a été la preuve sur 40 et 30 ans car si je n'avais pas fait
le sacrifice canoniquement dans le respect de cette notion de sacrifice telle
que le Vatican et tous les papes, y compris tous les religieux, l'ont toujours
affirmé, au cours des temps, en se basant à ce sujet sur l’exemplarité du
sacrifice de Jésus Christ, jamais personne n'aurait pu rejoindre ce cas de
figure et retrouver notre époque de 2005, qui a permis rétroactivement de sauver
Ce sacrifice que nous avions fait fut fait dans l’espoir de délivrer la planète
à jamais de la guerre entre militaires utilisant des armes à feu, pour proposer
à la place des alternatives, comme solutions élégantes, y compris comme
habitudes à prendre pour préparer les époques futures.
Mais j’admets que ce sacrifice fut particulièrement éprouvant car depuis 1977,
il y a eu une sorte de via sacra qui
a duré tous les jours depuis ma séparation d'avec Christine...Lang, y compris
depuis 1965, et déjà à partir de 1975, au lycée Chateaubriand, en raison de mon
apparition dans le ciel. Cette via sacra
concerne aussi chacun des membres de ma famille qui ont été contraint par ma
situation d’empereur dans le futur et cet anneau de mariage à fonctionner d’une
façon très précise chacun et cela jusqu’à aujourd’hui. En 2005, en avril, j’ai
compris que je n'ai pu accomplir ce sauvetage
in extremis que seulement parce que
j’étais, à certains moments, en anti-canonique mais canoniquement – donc de
façon admissible sur le plan de la raison et des chronologies - mais aussi en
ayant eu à passer à travers des choses dont personne au monde, sauf moi – ce qui
représente réellement des miracles – n’aurait pu en sortir vivant psychiquement
et rationnellement. En ayant retrouvé intacte ma mémoire, avec la chronologie
des faits, tels qu’ils sont advenus dans le passé, j’ai pu avec l’aide de
l’auto-psychanalyse assister à une progressive autoréparation par des efforts
considérables effectués d’abord oralement, avant de passer à la phase écrite
depuis le début de
ma lettre aux
papes vers 2011
et
aux présidents de la république française
et c’est ainsi que j’ai pu
retrouver la plupart des innombrables savoirs d'omniscient que j’avais eu enfant mais
peut-être même multipliés sur chacun des atomes ou
électron de ma personne (et de ma mémoire), ce qui pourrait être finalement une bonne affaire pour tous de
m’avoir ainsi retrouvé comme chef (empereur) comme en 1965 et 1975 (jusqu’à
l’amnésie canonique de fin 1977) car je ne risque pas, même avec un harem dont chacune des
femmes sera officiellement reconnue, y compris par l’Etat, de faire une seule
erreur dans les décisions à prendre pour tous, bien que j'ai pu vérifier, comme
tout le monde, n'avoir jamais voulu de tels honneurs ni même avoir à accomplir
un sacrifice pareil. J’ai même pu vérifier avoir donné l’ordre dans le passé de
tout faire pour éviter que j’ai à le vivre, en chair et en os[77],
(puisqu’il n’était alors que virtuel) et cela parce que je ne voulais que
personne se rende coupable de me faire tous ces sacrilèges (et
c’est peu dire - je minimise y compris pour Christine) et ces profanations que j’ai été contraint de me
faire à moi-même et dont j’ai dû assumer les conséquences en tant que devenu
simple profane pendant tant d’années (une vie en enfer, puis un purgatoire
jusqu’en 2005, pour découvrir l’enfer du Paradis et des responsabilités
impériales y compris dans le passé à partir de 1965). Le sacrifice avait été
largement suffisant de ma naissance à 1965 ou de 1965 à 75-77 ! Pourquoi des
dirigeants, des êtres humains, au lendemain de
Mais avoir cru possible recommencer et m’imposer de nouveau l’ amnésie et, à
cause de cela, les peines de cœur y compris les souffrances psychiques que j’ai
eu à traverser en me contraignant aussi à faire de la peine à des jeunes filles,
comme à traverser toutes les peines que j’ai eu à prendre, y compris toutes les
fautes et les péchés que j’ai eu à commettre en ayant, à cause de cela, à
montrer à un autre âge qu’entre 1972 et 1975, comme on redevient un profane,
alors qu’en raison de la nouvelle amnésie, je ne savais rien de ce s’était passé
et à cause de cela, ne plus être capable d’être bon élève, donc d’écouter en
classe et de
perdre le goût (la saveur), parce que je me suis mis à fumer en ayant les difficultés que
j’ai eu ensuite pour arrêter, et à cause de cela des incapacités à discerner,
puis vivre finalement, après de nombreux échecs sentimentaux, des années avec
une personne, Michèle Finck, dont j’ai découvert qu’elle avait été contrainte du futur - ce qu’elle m’a
caché - à me fréquenter et savoir que l’Eglise était au courant de tous mes
malheurs, je crois - avec le recul - qu’elle n’a pas beaucoup à gagner de
m’avoir imposé de nouveau un tel chemin de croix d’autant plus du premier, entre
1965 et 1975-77, qui avait été déjà particulièrement éprouvant, y compris pour
les
membres de ma famille, tout au long de ces années. D’autre part, j’ai pu
vérifier que l’Eglise, comme chacun sur cette planète, y compris probablement
une bonne partie de la famille
royale britannique, me doit intégralement toute sa fortune depuis 1975 (certains
avant), tout les crédits financiers propres et mérités de droit (CFPMD) gagnés, grâce à toutes mes informations et les
chiffres transmis à travers le temps au cours de la Dictée de la Nouvelle Donne
InterRégionale Mondiale quand je n’étais que du
virtuel, ce que j’ai fini par vérifier dans la réalité à partir de 2005. Dans tous les Etats ou
toutes les banques du monde, on paye un conseiller pour ses conseils en matière
d’investissements financiers à faire et depuis 1975 (donc depuis 2005) je n’ai
toujours pas vu venir les pourcentages qui me reviennent de droit d’autant plus
que si j’ai communiqué à l’Eglise ou à des laïcs, y compris à mon père
l’empereur ces chiffres, c’est parce que les autres, malhonnêtement, se
permettaient d’augmenter le prix du baril de pétrole pour créer des inflations et faire
perdre le pouvoir d’achat de la monnaie et créer artificiellement de la misère
et de la pauvreté partout. Si je ne
mets pas en doute la sainteté du pape Jean Paul II, y compris celle des papes
suivants dont j’ai dévoilé, comme pour Lui, les identités d'avance du futur pour qu’ils jouent leur rôle de
pasteurs, je m’étonne de nouveau, (comme en 1975, que depuis 2005, alors que j’ai
eu quelques difficultés et que je sais que le Vatican comme
Mais en réalité à partir de 2005, j’ai découvert que j'avais eu à être victime
de 27 années
d’amnésie et sachant ce que chacun des fidèles y compris des personnes ayant
obtenu du travail grâce aux œuvres caritatives de l’Eglise me doivent, je ne
comprends pas que, me voyant ou me sachant dans un état pareil de pauvreté, chacun
ait eu le cœur à cela (ce n’est d’aucune façon chrétien – mais j’ai découvert
aussi que j’en avais donné l’ordre car cela s’était passé comme cela – bien
qu’en le donnant il s’agissait aussi d’un test, ce qui m’a permis de voir à quel
point les gens sont capables d’oublier ce qu’ils doivent aux autres, alors que
de mon côté
je n’oublie pas d’où me vient une idée ou à qui je dois même d’avoir formulé
dans ma tête une phrase justement). Ce qui s’est passé là est bien pire ou aussi
atroce que pour Méliès qui, après s’être donné tant de peine à créer des
divertissements les plus merveilleux en étant à l’origine de tous les genres de
cinéma, en dehors du documentaire (Lumière), n’a pu être que vendeur de jouets dans une
gare de métro pour survivre et a eu les difficultés financières que vous savez à
la fin de sa vie, alors que nous tous, pour le Centenaire du Cinéma, avons pu
découvrir par millions, (par milliards), à la télévision, ses différents
admirables travaux dont chacune des images, une fois restaurée peut aussi devenir
un
livre entier de réflexions étant donné qu’il les a composées chacune et mises en
scène. Il y a ici de la part des pouvoirs publics, au sujet de
Ce n’est pas normal que tous les grands hommes aient dû eux-mêmes faire des
économies pour payer leurs enterrements alors que nous tous, si nous parlons
notre langue, si nous avons un quelconque intérêt dans nos conversations c’est
en raison de ce qu’ils nous ont donné à penser, à calculer, à raisonner ou
qu’ils nous ont enseigné. Et ils n’ont pas autour de leurs vénérables ossements
un monument dédiés à leur mémoire, ils n’ont pas un édifice ou un lieu pour
permettre aux chercheurs de les étudier ou d’organiser des colloques. Parfois il
y a des associations à ce sujet et chacune est financée sur les économies des
quelques passionnés ou fidèles de ces personnes, parfois avec des petites
subventions qui ont été si difficiles à obtenir qu’il a fallu les quêter ou plus
ou moins se prostituer pour les obtenir, en en étant comptables. Ou bien nous
comprenons qu’enfin ceux qui ont besoin de matériel pour travailler ont le droit
de l’obtenir sans avoir besoin de se justifier, ou bien il faut trouver d’autres
solutions car j’ai pu vérifier qu’il n’y a qu’incompétents dans toutes les
administrations y compris que des planqués, que des profiteurs, que des
parasites, que des personnes qui vont accorder des subventions à des profanes
sur de fausses bases et en poursuivant des fins qui ne sont pas acceptables et
qui sont totalement à l’opposé de la conception même du rôle de l’Etat comme de
ce mot à l’origine qui n’existe et n’a le droit à l’existence que dans la mesure
où il favorise la création et la recherche dans toutes les sciences et les arts
comme bien sûr est relié comme chacun de nous à toutes les catégories possibles
dans lesquelles ces recherches peuvent être effectuées si elles le sont
éthiquement, ce qui est une des composantes fondamentales de l'Etat.
Vous devez comprendre que je cumule un certain nombre de fonctions depuis que je
suis empereur (1965 ; 1975 ; 1995 et 2005). On devrait comprendre naturellement,
en sachant de combien d’activités différentes sont les miennes que j’ai besoin
d’un certain nombre de choses matériellement pour chacune de ces activités et pour faciliter mon
travail et mes recherches. J’ai entendu vers 2005 que le Vatican est avec
moi. Mais de quel Vatican je vous prie j’ai la caution ou l’aide ? (Pour
l’instant c’est moi qui ai aidé le Vatican, y compris financièrement à travers
toutes les informations transmises à travers Espace et Temps dont toutes celles
financières). J’espère
que c’est au moins celui qui est au service des arts et des sciences de l’art
comme des missions permettant de lutter contre l’analphabétisme ou contre les
causes de la misère en ce monde (c'est-à-dire ce contre quoi tout le monde a
compris avoir intérêt à lutter y compris les profanes les plus intelligents soit
contre tous ceux qui ont augmenté le prix du baril de pétrole) et
si oui pourquoi je n’ai pas eu aussitôt le statut, au moins financièrement
parlant, ne serait-ce que d’un « ambassadeur du Vatican », puisqu’il parait que
« j’ai le Vatican pour moi ou avec moi» comme la Maison Blanche depuis une certaine nuit de 2005 où j’ai redonné aux
couleurs leurs véritables couleurs puisqu’elles avaient été infectées de mensonge
– ce que j’avais fait en 1965 et 1975 déjà à chaque fois en chair et en os – et
vous croyez que c’est une chose qu’on a le droit de contraindre à faire à un
enfant et cela gratuitement ?! En effet, il s'agit d'un service qui n'a pas
été aisé à réaliser. Imaginez chacune des couleur noircie, devenue fausse et
d'un seul coup, celles-ci redeviennent justes, véritables. C'est ce que la
puissance de mon esprit à réaliser à ces trois occasions.
Un tel sacrifice (avec Christine) est bien une preuve donné à tous,
effectivement, fournie comme par un envoyé ou un ambassadeur de ceux qui ont dû
en être victimes eux-mêmes dans le passé et qui, peut-être, n’ont jamais pu, de
leur vivant s’en prévaloir ou s’en gausser ou s’en vanter (ce qui m’échoit), ce
que sans doute certains croiront possible me reprocher, alors que je suis obligé
de perdre mon temps pour réclamer les moyens financiers qui sont les miens et
dont j’ai besoin pour créer les conditions d’avoir enfin la possibilité
d’accueillir, à titre privé, une vraie famille impériale (eanmeailleuriale car
je suis le premier pharaon devenu l'un des bouddhas), dont tous ont pu
vérifier qu’elle est d’Intérêt et pour le Bien Général et qu’elle exige de moi
que je me justifie canoniquement de tout par écrit en sacrifiant tous mes
plaisirs ! Dois-je continuer encore et toujours avec ma famille à être un
bénévole « et à tirer le diable par la queue » quand il parait que c’est moi le
diable qui permet à tous de manger y compris au
Vatican comme partout ailleurs, dans le monde entier, en raison de ce sacrifice
que j’ai été contraint de faire à cause d’une personne qui s’est prétendue Dieu
en 1975 et qui est réapparue dans ma tête en 2005, alors qu’ayant cru enfin trouver la mère
de mes enfants, après une vie de profane, m’étant dégagé de l’enfant-gâté, et de
l'égoïste en
moi, j’avais eu une sorte de soudaine conversion, en perdant alors mon enfance,
mon adolescence et en vérifiant que ce qu’avait dit saint Paul à ce sujet était
juste (mais à confirmer comme à revoir plus en détail), et en comprenant qu’il
avait pu bénéficier de l’ouverture de son esprit, en retrouvant ainsi le monde
de
Si je m’entête avec les trois pressenties impératrices à les vouloir un jour
comme telles c’est qu’elles sont celles qui ont eu le plus de dommages dont
l’Ensemble est responsable y compris l’Eglise.
Ce Dieu est apparu avec préméditation alors que j’étais en fait innocent de tout
et qu’il le savait, en sachant tout ce que j’avais souffert injustement et m’a
seulement mis alors au courant d’une chose que j’ignorais complètement, en
raison d’une amnésie convenu avec lui en 1975, car sinon je n’aurais pas pu ne
pas tricher pour retrouver mon anneau immaculé de mariage avec Michèle et intervenir
alors sur 1965 (de 2005) par conséquent éviter la reprise de la guerre grâce à
ces interventions à travers Espace et Temps qui ont permis alors de rendre beaucoup plus claire les
choses. C’est comme cela que ça s’était passé dans ce cas de
En découvrant que peut-être aussi cette histoire était connue de certains,
depuis avant ma naissance, cela je n’ai pu m’en rendre compte que seulement vers
2012. Mais il s’agit d’intuitions en raison d’un tableau de Goya où il y a une
sorte de géant nu dans le ciel (au-dessus d’un paysage) qui pourrait être moi,
puisque j’ai pu vérifier, comme tous le monde, que j’étais cet être immense dans
le ciel en 1975[80].
Aussi je comprends pourquoi certaines statues des pharaons d’Egypte, devant les
tombeaux étaient représentés immenses avec parfois une personne, certainement un
serviteur, qui commençait à grandir, à leur pied ou dans une autre proportion.
De nombreux sculpteurs ont mis dans les mains de géants, comme Gargantua, des
êtres plus petits. Bien sûr, il y a les
guerres picrocholines illustrées d’une certaines façon par Gérôme Bosch mais
aussi qui concernent des personnages minuscules dans la littérature Gulliveriène
qui s’attaquent à des dormeurs et il y a les représentations de pharaons
immenses sur les murs des temples anciens tenant par les cheveux leurs ennemis.
C’est bien normal puisque je gère de là où je suis assis en vérité toute la
planète. Et c’est pourquoi il serait normal que j’ai au moins un chauffeur et
des personnes à mon service pour me délivrer des tâches matérielles, de même que
les membres de ma famille qui sont chacun, peut-être aussi grands que moi et qui
ont des difficultés que j’ai pu mesurer (en effet en tant que profane on
n’éprouve aucune difficulté ou peu – ou alors on se plaint comme un enfant-gâté
pour la moindre des petites difficultés -
mais quand on a ce genre de proportions – immenses - et qu’on fait parti
des gens qui ont vraiment grandi et qui se sont débarrassés de l’enfant-gâté, on
ne dispose pas de la même légèreté qu’avant, quand on était devenu inconscient –
j’ai pu vérifier que cela ne permet que difficilement de faire des sports, alors
que quand on est plus inconscient, ils sont bien plus faciles et sont ainsi
beaucoup plus à la portée de tous ceux qui ont cette chance).
Il n’est pas normal que des personnes s’étant chargées comme nous de donner tous
les ordres que nous donnons, ayons à perdre du temps depuis 2005, une fois par
semaine, pour aller chercher un peu d’argent pour survivre une semaine, en ayant
à nous déplacer nous-mêmes, alors qu’il y a tant de personnes à employer pour
transporter le courrier ou faire les coursiers ce qui a comme objectif d’en faire
des gens un jour indépendants financièrement, et qui peut-être finiront à force
d’avoir des efforts à faire, par se délivrer de cette enfance ou adolescence
d’enfant-gâtés, au mauvais sens de ce mot, pour connaître le monde de la vérité,
en retrouvant un peu leur taille, au lieu de devenir toujours plus minuscules et
infimes, ce qui exige alors de devoir s’ingénier pour trouver des questions à
poser et avoir des conversations, quand on se trouve face à eux et qu’il faut
bien trouver gentiment, par charité, quelque chose à dire dans une des
catégories qu’on est sûr d’avoir en commun, puisque dès que la conversation
finira, on retrouvera les milliards d’autres niveaux de lecture de la réalité en
retrouvant cette conscience continuelle d’un véritable gâchis général, puisque
toutes ces personnes ont voulu s’exclure du monde de la vérité pour connaître,
comme j’ai pu le montrer, en raison de l’oubli, cette fermeture progressive de
leur esprit et une « involution » pour des échanges de phrases et de mots entre
eux qui n’ont, en réalité que l’apparence ou le « faire semblant » de la vérité,
alors qu’ils ne sont que des paroles ou des engagements de menteurs entre eux,
de tricheurs, d’imposteurs et d’usurpateurs, devenus comme tels, malgré eux
(s’ignorant l’être devenus ou faisant semblant de ne pas l’être), peut-être en
raison de problèmes génétiques (ce qui risque de rendre encore plus difficiles
les mariages).
Aussi cela signifie qu’à partir de 1965 comme à l’occasion du deuxième
avertissement, à partir de 1975, l’Eglise devait tout faire pour éviter que ce
cas de figure ne se reproduise, en évitant que ce sacrifice n’ait lieu une
seconde fois. J’avais alors seulement deux ans et un mois et en 1975, je n’avais
que douze ans et un mois quand cette histoire a recommencé (or on le sait les
grands doivent veiller sur les plus petits et les défendre car ils sont les plus
faibles). Cela signifie que cette personne qui s’est prétendue Dieu ne l’était
pas et qu’elle a peut-être, sans le vouloir, ou pour d’autres raisons qu’un jour
elle voudra bien nous donner, peut-être est-ce son âge, ou son éducation (donc
son contexte familiale), peut-être est-ce
Donc contraindre, de nouveau, à partir de 1975, l’Eglise à se faire passer pour
charitable, ce qui a toujours été sa vocation, mais qui est aussi la vocation
des êtres humains entre eux, y compris celle des bandits entre eux (ils
s’entraident et s’ils le font avec de l’argent sale (des crédits financiers
usurpés (cfu), des crédits financiers escroqués (cfé), des crédits financiers
malhonnêtes (cfm), des crédits financiers volés (cfv), des crédits financiers
trichés (cft), des crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)), c’est qu’ils n’ont pas été
élevés pour avoir la patience de ceux qui font de l’argent propre (des crédits
financiers propres et mérités de droit - CFPMD). Pourtant, ils
aimeraient que cet argent sale ne soit pas à l’origine de leurs malheurs. D’où
tout ce que nous avons été amené à faire pour réussir à créer des mécanismes
pour qu’ils parviennent à le blanchir et à apparaître comme d’« honnêtes
ex-bandits ». Mais cela ne fait pas pour autant de véritables gentlemen, ce
qu’ils aimeraient être, ce qu’ils rêvent d’être, ce qu’ils désirent en fait
devenir, ce qu’ils s’ingénient à faire croire être, en faisant semblant !)
Les bandits[81]
savent très bien depuis la fin de
Par le Grand Architecte de l’Univers, il faut mettre un terme, une fin à une
situation pareille qui, encore une fois, n’est dûe qu’à une situation bloquée et à
des mœurs difficiles à comprendre par tous ceux qui ne peuvent pas d’eux-mêmes
faire les efforts pour réfléchir et qui, par conséquent, sont contraints par la
situation de faire confiance à ceux qu’ils sont obligés d’espionner, puisqu’ils
ne comprennent rien d’eux-mêmes ou alors seulement en ayant de la logique une
idée élémentaire et du calcul cette façon élémentaire et égoïste ou
d’enfant-gâtés qui n’est pas juste mais qui ne leur permet pas, d’aucune façon,
d’accéder aux calculs multidimensionnels, multi paramétriques qui sont ceux
auxquels accèdent ceux qui ne sont plus profanes, car ils ont rejoint le monde
de la vérité. Aussi il n’est pas étonnant que dans ce monde là on y soit l’objet
continuel d’espionnage puisque les profanes qui ne peuvent calculer qu’en
« propriétaire » (l’argent qu’ils ont dans leur porte monnaie est le leur – le
lieu dans lequel ils vivent est le leur s’ils ont les papiers en règles, etc.)
ne peuvent avoir une chance de survivre que grâce à leur souverain, dont ils
profiteront comme un peuple a toujours voulu profiter en parasites ou en sujets
dévoués, quand ils arrivent à éprouver un peu de la reconnaissance qu’ils savent
leur devoir. Mais pour cela, il faut être devenu un peu un être humain capable
d’éprouver un peu de gratitude en se rendant compte que les institutions, ou
tous les ministères ou les lieux de soins, ne fonctionnent, comme tout le reste,
que parce qu’il y a ce rapport de confiance avec des personnes qui n’ont plus de
raison d’être en ce monde que pour être au service de l’Ensemble, souvent dès
leur petite enfance en s’étant débarrassé de l’enfant-gâté, et donc jouer ces
rôles là dont ils ont hérité comme d’un grand malheur ou pour d’autres comme un
grand bonheur (leur donnant un sens à leur vie), en raison de la situation ayant
fait leurs parents des personnes cherchant à trouver ces solutions élégantes ou
à favoriser la construction de perspectives qui pourraient faire du bien non
seulement à ceux qui les proposent mais à l’ensemble. Il y va ici de la question
de ce qui est utile. Donc de continuer à créer les outils dont chacun de
nous peut avoir besoin.
Tout cela a été difficile à cause de la situation bloquée et en raison d’une
méfiance des bandits vis-à-vis des autres, qui est maladive et injuste, (celle
de peureux qui étant dans l’ignorance, au mauvais sens de ce mot n’ont plu que
cette réaction de crainte qui vient donc naturellement comme quand on est face à
une chose nouvelle ou au feu pour la première fois ou pire en face du soleil à
regarder dans les yeux. La crainte de l’autre dans la vérité est donc une chose
normale pour ceux qui n’ont plus qu’un cerveau local réduit de propriétaire et
qui savent que quand ils sont dans un autre lieu ils ne sont pas chez eux –
c’est pour cela qu’ils ont cru s’autoriser à voler ou à s’introduire dans
d’autres pays pour s’y conduire en mal élevés ou en barbare de même qu’ils ont
cru pouvoir se moquer de ceux qui leur donnait des enseignements pour leur
donner envie de devenir savants et de comprendre toutes les lois qui régissent
le monde de ceux qui ne sont plus profanes – au lieu de faire l’effort de les
comprendre, ils ont cru qu’elles étaient fausses
– le coupable de cet état d’esprit est la salle des machines qui
aurait dû être à tous, donc une propriété collective, ce qui aurait pu faire
disparaître ces sentiments de « propriétaires » locaux).
En raison des peines immenses qu’ils ont prise pour être des gens d’esprit
honnêtes, il s’agit alors d’aider financièrement des personnes malhonnêtes qui
désirent, en fait, devenir honnêtes et se conduire dignement pour mériter toutes
les peines prises par les ancêtres et en devenir à leur tour et si possible des
gentlemen capables de jouer les
Bourgeois gentilshommes en étant
capable, comme lui, de pratiquer une forme d’autodérision ou la caricature du
turc, sans pour autant les fâcher dans ce pays là, puisque les plus intelligents
à Istanbul ou à Ankara seront capables d’en rire et même de s’en sentir flattés.
S’il n’y a pas de véritables raisons à expliquer et à connaître comment réussir
sans les donner à faire comprendre à des enfants ou à des adolescents pourquoi
il est important, de nos jours, qu’ils attendent, au moins certains d’entre eux,
ce qu’il faut comme temps, avant de se marier, puisque la vie en commun, en
profane, devrait avoir pour objectif de permettre d’arriver à ces fiançailles et
peut-être à, plus loin, ce mariage, par conséquent normalement, si tout n’avait
pas été remis en question plus ou moins bêtement à chacune des générations, à
créer tout simplement les conditions matérielles minimales pour assumer
financièrement de façon privé (et non pas en parasites de l’Etat) comme en
raison de sentiments partagés ou peut-être d’enthousiasme grâce à l’autre, la
venue d’un de ces petits qui dès l’âge de bébé est déjà plus loin un arrière
grand-père ou une grand-mère, par conséquent qui connaît comme nous l’avons tous
connu à la fois le malheur de naître mais aussi le bonheur de naître, d’autant
que, pour l’instant, nous n’avons une idée de l’arrière grand-père ou de
l’arrière grand-mère en question que sous cette forme et dans la situation
bloquée de laquelle nous sommes tous les prisonniers et pas encore dans la
situation débloquée où ceux-ci pourraient demeurer éternellement jeune filles et
jeunes hommes puisque débloquer la situation permettrait normalement, sur le
long terme, de voir disparaître les maladies, les malheurs, les problèmes, la
vieillesse, la mort, bref tous les problèmes.
Donc l’image négative de la vieillesse disparaîtrait aussi puisque les causes
qui la font être disparaîtraient et la vieillesse disparaitrait. Mais il y a un
risque, c’est celui de perdre la sagesse qui vient parfois aux personnes âgées.
C’est de sombrer dans la folie au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de
ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) puisqu’il n’y aurait plus de problèmes, il n’y
aurait plus de conflits. Pouvons nous nous l’accorder et prendre ce risque ?
C’est peut-être ce qui pourrait conduire à la catastrophe, comme cela s’est
passé quand la vieille salle des machines était à tous. Et c’est pourquoi
débloquer la situation, (qui l’est depuis si longtemps bloquée) ne va pas être
une chose facile, car si tous le monde aura la chance de devenir éternellement
jeune, il faut néanmoins que chacun devienne sage, conscient, responsables, et
donc puisse, d’une certaine façon, être vieux en savoirs et en expériences,
puisqu’en général ce sont eux qui, en raison de leurs erreurs, font la morale ou
donnent les bons conseils pour nous éviter de faire ces erreurs – ce qui a
permis aux religions d’avoir autant de succès. Ces jeunes devenus inconscients,
lâches, maîtres-chanteurs, et donc indignes de ce mot d’enfant délivré de
l’enfant-gâté, puisqu’ils l’ont profané en eux ou ont voulu ignorer qu’il
pourrait seulement exister un jour, ont alors connu une « involution » au lieu
du contraire et c’est pourquoi ils sont prisonniers du lieu, de la localité
n’ayant pas accès à la possibilité de s’envoler spirituellement d’eux-mêmes.
Cela en fait des fous prisonniers alors que les autres même s’ils sont
prisonniers peuvent, grâce à leur cerveau qui fonctionne comme un ordinateur
créer et élaborer des œuvres permettant de s’échapper ou d’explorer d’autres
formes de même qu’un ordinateur s’amusera de lui-même à proposer des images
animées qu’il calculera quand il est au repos ou comme tâche de fond ou quand il
attend qu’on travaille avec lui. Il y a donc l’être humain qui a pu se rendre
fonctionnel en vérité, donc pensant et tous les êtres humains qui ont besoin que
la tête ou l’ordinateur les dirige et les vérifie. Il est donc normal qu’une
personne devenue un super ordinateur (qui fonctionne vraiment) ne cherche comme
époux ou épouse qu'une personne semblable, sinon il va s’ennuyer ou alors il pense
qu’il peut réussir grâce au mariage à transformer des personnes en super
ordinateur pour l’aider à encore mieux servir son prochain (car l’ordinateur ne
peut se considérer que comme un serviteur, un assistant de ceux qui ont besoin
de lui, car les autres ordinateurs n’ont pas besoin de lui ou seulement parfois,
quand ils se mettent à travailler en réseau pour ensemble réaliser un projet où
il faut être plusieurs ordinateurs fonctionnant ensembles comme le seront pour
des projets à caractère communautaire plusieurs souverains (par exemple pour
construire le Tunnel-sous-
C’est que la situation générale est celle d’une société ou de civilisations qui
sont formées de personnes étant contraintes d’avoir entre elles,
quotidiennement, des rapports d’argent (de Crédits Financiers Propres et Mérités
de Droit) et de confiance car rien ne pourrait
fonctionner sinon. Vous admettrez que ce n’est pas normal que je survive en tant
qu’handicapé (27 ans d’amnésie dont il faut se remettre, y compris de séjours
dans les divers hôpitaux psychiatriques tout au long du processus où je ne me
savais nullement le cobaye de l’Ensemble, y compris de moi-même, en ayant, à
l’occasion de chacune de ces étapes de ces « chemins de croix » qui
m’attendaient, à la suite de ceux qui m’y avait mené depuis 1977). Tous avait la
possibilité d’éviter que j’ai toujours plus mal, y compris en 1995, quand j’ai
eu à endosser le[82]
sarcophage des empereurs et à subir ce que j’ai eu à subir, en ayant à revenir à
Paris et à continuer ensuite les tableaux-partitions pour ce piano peint – des
tableaux à l’infini de l’infini plus difficile encore à peindre que ne l’avait
été chacun des millimètres carrés du piano en question recouvert de miniatures
(alors que celui-ci avait déjà été difficile à peindre à l’infini de l’infini
toujours plus difficile qu’à la fraction de seconde précédente – imaginez,
monsieur le Cardinal où j’en suis maintenant où depuis 2005 c’est toujours à
chaque fraction de seconde encore plus difficile encore à peindre (où à écrire
ou à penser) qu’à la fraction de seconde précédente – il en a résulté de tout
cela comme une impression de grande facilité pour tout ce qui était « hyper
difficile » et donc ma personne comme un superordinateur[83]
– vous pourrez ne pas me croire mais pourtant c’est vrai : ce qu’il y a de plus
difficile est devenu le plus facile pour moi – il y a juste un instant en allant
donner un morceau de madeleine aux oiseaux, je viens d’inventer des encadrements
de fenêtre en matière plastique munis de touche de clavier (une idée bête qui ne
sert encore à rien, mais qui s’est imposée comme une évidence : c’est pour des
fenêtres-appeaux).
J’ai appris depuis 2005 que j’ai eu aussi à connaître toutes les formes
d’incompréhensions durant chacune de mes réincarnations précédentes, étant donné
que ce Dieu m’a affirmé que j’en avais fait un certain nombre avant celle-ci, ce
qui est peut-être vrai, puisqu’il faut croire Dieu, et cela d’autant qu’il se
pourrait que, d’une certaine façon, l’ayant vérifié moi-aussi autrement, j’en ai
eu comme une confirmation entre 2005 et 2008, bien que j’attende de disposer
d’autres machines pour pouvoir le constater effectivement : que je suis avec
d’autres identités dans d’autres corps dans d’autres temps passés, ces machines
permettant cela et étant peut-être dans la vieille salle des machines, étant
donné que pour l’instant, bien que pharaon, je ne puis que mettre un
« peut-être » ou une forme interrogative à ce sujet, puisque pour disposer de la
possibilité d’entrer dans cette vieille salle des machines, il se pourrait qu’on
ne puisse, en raison des préjugés, qu’une fois mariés, ayant sacrifié aux
rituels administratifs et religieux. C’est pourquoi je suis aussi contraint
d’envisager ces mariages.
Non ! Monsieur le Cardinal, ce n’est pas vrai : ceux qui ont pu avoir accès à
cette salle des machines, s’ils sont mariés ne l’ont pas vraiment été et ne
l’ont été que seulement en profanes, inconscients, sacrilèges et ignorants, au
mauvais sens de ces mots. Ils n’ont donc eu leur anneau de mariage au doigt
qu’en usurpateurs, imposteurs et menteurs, ou coincés dans les vérités relatives
de leurs époques et des localités liées à ce mot de « mariage ». Il y a tout
ceux qui y ont été admis sans avoir été mariés en ces époques où il n’y avait ni
de langage, ni représentations sur les murs des cavernes et encore moins
d’anneaux de mariage. Peut-être
serait-il bon d’instituer un jour que seules les personnes « véritablement »
mariées aient le droit d’y accéder, mais cela exigerait de passer par un anneau
de mariage comparable au mien, ce que je ne recommande à personne, car d’en
avoir vérifié l’existence à ce point trois fois et cosmiquement parlant, même si
l’impression globale est finalement cette facilité relative, ce fut néanmoins
plutôt éprouvant à trois reprises sur cinquante ans. Or, avec l’anneau de
mariage, ce simple anneau en or, il s’agit d’une pratique occidentale qui ne
remonte qu’au XVIIème siècle, c'est-à-dire à il y a longtemps, du
point de vue de chacune des générations qui se sont habituées au rituel du
mariage. Je crois, en tout cas, que cet anneau de mariage qui est le mien est
vraisemblablement (il y a des chances) relié à la vérité absolue et ultime,
d’autant qu’à partir de 1995, cela a même fait intervenir le Grand Architecte de
l’Univers lui-même car cet anneau de mariage cosmique universel (dont j’ignorais
l’existence puisque j’étais amnésique) je l’avais soudain matériellement et
physiquement sur la tête, ce qui a été confirmé aussi, d’une autre façon, à
partir de 2005, au cours de ce processus dont tous ont pu se rendre compte qu’il
avait eu déjà lieu une première fois, à partir de 1965 et une seconde fois à
partir de 1975 : donc il existe bel et bien un véritable anneau de mariage entre
les personnes qui le célèbrent en famille et qui, à cause de lui, sont fidèles
l’une à l’autre y compris à leurs devoirs vis-à-vis des enfants qui devraient
avoir résulté ou matérialisé la présence de cet anneau au doigts (du moins) de
certains qui n’ont pas triché en l’y introduisant au cours d’une cérémonie[84],
qu’on le veuille ou pas. C’est pourquoi je me suis permis de confirmer en 1965,
1975 et 2005 les quinze années de mariage de mes parents, les vingt cinq années
en 1975 et les cinquante cinq années de mariage à partir de 2005. Maintenant ce
qui se passe dans un couple ne regarde à mon avis personne, si ce n’est le
couple lui-même qui est aux prises avec l’histoire de son évolution en tant que
tel et qui cherchera ou pas à en faire état. Aussi, s’il n’y a pas la nécessité
de s’ingérer (car celui-ci se déchire ou risque de faire du mal aux enfants ou
de se faire du mal), personne n’a à se mêler des affaires sentimentales de ce
qui est de l’ordre du « privé » comme parfois de cheminements spirituels
souterrains. Bien sûr, il y a autant de forme de couple qu’il y a eu de couples
et chacun à des obligations à de certains moments. L’anneau au doigt peut
permettre de s’en souvenir comme celui de fiançailles. Je ne puis que
recommander à chacune des personnes qui va vers la vie de couple d’essayer,
grâce à cela, de se débarrasser de l’enfant-gâté en chacun d’eux, de son enfance
et de son adolescence
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)), durant cette période
prénuptiale pour éviter d’avoir à être des parents incompétents face à des
enfants ayant été contraints de s’incarner pour soigner, à chaque fois, un
contexte familiale de parents plus ou moins malades de la situation générale et
donc, dans certains cas, à devoir faire les frais de ces couples de leurs
parents s’étant mariés en inconscients pour être, par exemple, de ceux qui
cherchent à toucher des allocations familiales ou pour d’autres raisons, tout
aussi scabreuses, en n’étant pas arrivés au mariage l’esprit ouvert, en pleine
connaissance de cause, et en sachant qu’avoir des enfants c’est aller vers de
véritables peines supplémentaires (donc rechercher avec l’autre toujours plus de
difficultés à surmonter) mais aussi contraints à prendre des risques très
difficiles en raison de l’existence des profanes ou de certains célibataires,
qui, pour l’instant inconscients, comptent en parasites sur tous ceux qui
appartiennent au monde de la conscience, du devoir et du légitime, donc sur les
personnes ayant constitué une famille, etc.
Donc, rien ne presse, à propos de ces mariages, Monsieur le Cardinal, c’est une
piste que j’explore en scénariste, sur le papier, en faisant comme si nous
avions à en prendre ce chemin. Nous avons tout notre temps de voir venir et de
nous préparer à de tels bonheurs. J'espère qu'il s'agira alors vraiment de
bonheurs pour tous et que le nécessaire aura été fait entre temps, sur toute la
planète où je règne depuis 2005 en souverain incontesté et incontestable, pour
préparer l’opinion publique à l’idée de ces mariages en vue, au pire d’une
Construction d’une Rosace de leur empereur (de plusieurs points-mariages dans
les temps à venir. Mais déjà, dans un premier temps constituons un trèfle. Puis
« plus si affinité » avec d’autres points-mariage avec lesquels créer les ponts
pour la rosace. Il faut bien envisager de donner un cadre légitime, une
structure solide à admirer, exemplaire, aux enfants du souverain de tous les
mondes qui, entourés de mères totalement libres (ces points-mariages pourraient
compter les unes sur les autres pour m’aider à être ce père centrale (ce que je
ne redoute plus) puisque pharaon. Bien sûr cela pourrait plaire aux profanes
(car cela va poser un véritable problème à l’Eglise (mais c’est elle qui l’a
cherché), un précédent – ils adorent ça, que l’Eglise soit ennuyée par un
imprévu ou un cas particulier à ce point légitime – canonique - d’un empereur
aux multiples anneaux de champion olympiques toute catégorie!). Cela va
satisfaire les mondes plus souterrains, comme celui des enfers (« c’est bien
fait pour ces cardinaux, nananère »),
mais aussi ceux du Purgatoire (qui verront que l’Eglise n’est pas si coincée que
cela). Bien qu’au Paradis, ils aient tous compris mon problème en raison de
notre époque – car nous étions en 1965 et pas il y a 2000 ans – et qu’en fait
tous ont pu comprendre que je suis plusieurs personnes bien qu’une seule, mais à
chaque fois différente puisque j’ai à m’adapter au problème que j’ai à traiter.
Aussi ceux qui sont au Paradis ont pu comprendre comment on devient profane dès
la première masturbation qui n’a pas été effectué avec la femme de sa vie, ce
qui doit avoir posé un problème mais permis à tous de vérifier qu’il vaut mieux
pas gaspiller sa semence. C’est pourquoi ceux qui ont cru pouvoir, en profanes,
utiliser les vieilles machines d’Atlantide pour faire éprouver des désirs
sexuels ou les utiliser pour faire éprouver artificiellement des plaisirs
sexuels aux adolescents et pour leur donner ce goût prématurément de la
sexualité sont dans l’erreur et font, à notre époque, quelque chose de très
préjudiciable car le garçon perd alors le spermatozoïde qui pouvait être celui
qui viendrait naturellement pour créer son fils ou sa fille avec la personne qui
y consentirait mais, d’autre part, la possibilité de découvrir ces plaisirs avec
cette personne avec laquelle il voudrait construire un avenir pour ces enfants !
C’est effectivement un sacrilège et une profanation (mais comment s’attendre à
autre chose de la part d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui ne se rendent
pas compte des malheurs dont ils ont voulu être les auteurs comme des maladies
qui les ont empêché de penser ce qui était vraiment bon pour tous). C’est ainsi
que tous les garçons, adolescents et hommes qui ont été soumis à pareille
épreuve ont été l’objet de crimes de lèse-paternité, donc de véritables
sacrilèges. Peut-être le péché le pire qui soit y compris vis-à-vis de l’épouse
potentielle. Aussi tous ceux qui se sont mariés n’ont jamais eu les enfants
qu’ils auraient dû avoir s’ils avaient connu l’autre normalement et découvert
la sexualité grâce à l’autre. C’est peut-être le plus grand des gâchis qui ait
été fait par certains hommes à d’autres hommes. Il est donc miraculeux que
malgré cette situation totalement préjudiciable et contraire à l’Intérêt de tous
des hommes et des femmes soient nés et aient découvert ce qui était juste de ce
qui ne pouvait plus l’être et à ce point. Aussi tout ce qui a été fait contre la
vérité et contre la justice n’a fait qu’en faire advenir une toujours plus
exacte et vraie.
Le Paradis : il s’agit de là où iront les âmes après la mort où on retrouvera
Jésus, Saint-Pierre, André Breton, etc. qui nous y attendent.
Comme je suis aussi le pharaon de Dracula qui a révélé qu’il est amoureux de moi
(j’espère que cela lui passera), mais qui n’ose encore l’avouer en public
(puisqu’il disparaît de honte et de peur dans l’invisible quand il croise mon
regard – il a donc eu des pensées inavouables et coupables à mon égard) bien
qu’il volait dans la rue au cinquième étage ; il avait oublié de se rendre
invisible et arrivait vers ma fenêtre avec la précipitation d’un affolé par
quelque chose qu’il n’a pas eu le courage de dire et en croisant mon regard, il
a aussitôt disparu dans l’invisible (et même s’il n’est pas beau à voir, il n’a
rien d’effrayant d’autant plus qu’il a l’air de savoir à ce point qu’il est dans
son tort – je me suis dit qu’on pourrait tous le soigner). Il se croyait
peut-être l’habitant de la vaste station orbitale ayant pour nom
Quand j’ai vu Dracula un instant dans la rue du Val de Grâce, il y avait assez
de lumière pour voir qu’il était comme un squelette gris assez sombre, peut-être
parce qu’il a passé beaucoup de temps dans des ambiances pleines de fumées, me
suis-je dit par la suite. Puisqu’il est si léger (il est normal qu’il ne dispose
pas d’un cerveau comme celui de ceux qui ont fait tous les efforts pour être de
ceux qui sont soumis aux lois comme à celle de la pesanteur et je pense soudain
à la bande dessinée Le Bossu de
Notre-Dame ou à M le maudit et je
trouve malheureux que nous ayons à rejeter cette personne parce qu’elle est à ce
point différente. Pourquoi rejeter une inconscience pareille si ce n’est parce
qu’elle mène certainement à cette peur de l’autre et à ce sentiment de coupable
qui doit être difficile à supporter. Je sais à quel point être « incompris » ou
être différent est difficile à vivre. Il se pourrait que Dracula soit devenu
Dracula parce qu’il a été rejeté et incompris, on l’a méprisé. Je sais ce qu’est
subir un injuste mépris de gens qui pour feindre ne plus l’éprouver envers vous,
vous contraignent à fournir des efforts considérables pour leur prouver qu’ils
avaient tort et qui n’ont pas tout de suite la politesse de reconnaître leur
torts ni cru bon se sentir coupable de m’avoir infliger d’injustes souffrances
en s’étant rendues coupables de les avoir infligées à tous et en m’ayant
contraint à assumer moi-même tous les torts pour découvrir que finalement je
n’avais à faire qu’à des personnes ingrates qui savaient toutes entre elles
qu’elles étaient dans leur tort, mais en ayant pris lâchement le parti de la
mauvaise foi et du mensonge de celles qui croient pouvoir faire semblant d’avoir
quelques raisons à cela, alors que toutes les preuves sont contre elles et que la
démonstration de l’existence de l’anneau cosmique leur a été donné y compris
celle de l’existence d’un Grand Architecte de l’Univers. Je sais trop ce qu’est
avoir été injustement méprisé pour ne pas avoir acquis ce droit là, en vérité,
mais je me mets à la place de celui qui s’est rendu méprisable et qui n’arrive
pas encore à en connaître les raisons : le profane. Qu’on me permette une
hypothèse à cette époque : il se serait rendu profane pour connaître un jour de
ne plus l’être ? C’est ici une hypothèse qui concernerait tous ceux qui ont
voulu vérifier sur eux-mêmes qu’ils ne sont peut-être pas autant que cela
seulement des pourris et des ordures à mépriser, mais récupérables, voire ayant
envie d’avoir une nouvelle chance ?
Il ne tient donc qu’à Dracula, s’il le veut, avec notre aide, de redevenir un
être civilisé (au véritable sens de ce mot – c'est-à-dire quelqu’un qui va enfin
comprendre que les autres étant soumis aux lois de la pesanteur comme à
continuellement à avoir à porter un disque dur considérable[85]
– toute leur mémoire et la chronologie de chacune des secondes de leur existence
en l’absence de la salle des machines - ils est normal qu’ils fonctionnent
autrement avec le poids de tout ces référents et ce qu’ils induisent de leur
point de vue qui même si incompréhensible dans l’état de Dracula l’inconscient,
contraint au respect car ce qui est cru comme la foi ou d’autres mots, est
solidement étayé pour ces personnes qui ont ainsi ancré les racines de leurs
êtres sur des mots lus ou entendus ayant à leurs yeux un poids de sens
véritables qui signifient des conséquences, donc des actes. A la légèreté de
mots employés sensuellement et de façon inconsciente qui en réalité n’induisent
rien mais sont employés peut-être seulement de façon sonore ou à des fins de
séduction érotique, ceux-ci proposent un monde qui s’ordonne autrement et soumis
au monde des lois, donc prévisible, bien que ceux-ci soient aussi capables de
faire preuve de légèreté et de les employer en inconscients et en insensés, y
compris avec une certaine incohérence ou parfois même en menteurs comme les
autres et c’est pourquoi ces personnes devenues profanes bénéficient d’avance de
la compréhension de celles qui ne le sont plus puisque les religions nous ont
toujours enseigné qu’il faut être bons et charitables y compris envers ceux qui
ne nous comprennent pas, ce qui est le cas (j’ai vérifié que quand on est
profane on ne comprend rien, on est « perdu ») certainement du point de vue de
Dracula, s’il est devenu le prince des profanes et des « hors-la-loi », en me
contraignant à être le contraire, puisque je m’emploie à accepter et à
comprendre le bien fondé des structures juridiques pour protéger d’éventuels enfants placés sous ma responsabilité,
avant même de les avoir, ce qui me semble le minimum de mes devoirs d’autant
plus qu’avoir un père empereur d’autant de choses que je le suis pour les avoir
rendues possibles à cause de ce sacrifice ayant permis à tous de comprendre que
le mot d’ « amour » n’est pas seulement synonyme d’« éros » pour les descendants
d’une civilisation de personnes ayant engendré autant de preuves que ce mot,
bien qu’ayant indéniablement sur le plan chromosomique aussi à faire avec l’éros
est à réfléchir à la lumière de toutes ces preuves dans toutes les disciplines
ou catégories qu’on « aime ». Ce sera particulièrement difficile à assumer pour
des enfants d’avoir un père empereur tel que moi puisque déjà n’avoir qu’un père
est une situation difficile.
Pourtant j’ai l’impression qu’avec Dracula, il s’agit vraiment d’un être
exceptionnel puisqu’il peut se permettre, non pas dans la station orbitale ou à
vingt mille mètres d’altitude où cela est possible pour tout le monde ou à
l’intérieur d’un avion aménagé spécialement pour cela, de voler en apesanteur.
Lui, l’enfant-gâté, n’a pas eu à attendre comme les autres autant de temps pour
pouvoir le faire lourds et soumis aux lois mais sans pouvoir disparaître dans
l’invisible en cas de danger ou de peur, donc aux sus et aux vus de tous qui
peuvent, grâce à une web cam, suivre
ces vols en état d’apesanteur dans un avion ou dans la station orbitale : il a
réussi cela dans notre monde et il a donc l’impression que nous devrions faire
comme lui d’autant plus qu’il ignore certainement totalement qu’il puisse
exister toutes les dimensions liées aux ADN différents de chacun, ce qui donne à
chacun sa particularité et son originalité ou même son caractère sacré d’être
humain parfois, grâce à la compréhension de cela comme de bien d’autres
paramètres, de délivré de la condition profane. C’est pourquoi, il se pourrait
qu’il y ait comme une forme d’incompréhension depuis longtemps. J’ai été
contraint vingt sept ans de me profaner artificiellement en plus du temps
consacré à cela de 1972 à 1975 où j’avais pu montrer à quel point on perd tout
ce qui a réellement de l’importance. Il se pourrait que j’ai, d’une certaine
manière compris pourquoi certains esprits ont pris goût à être des profanes et
peut-être que je suis le plus capable, en raison de ces vingt sept années de
négocier avec Dracula d’autant que, personnellement, j’admire une telle
prouesse : dans un monde qui est le nôtre, où il faut prendre l’ascenseur pour
sortir de chez nous, lui, Dracula, il vole et passe par les fenêtres ouvertes ou
peut entrer en œil de Caïn dans votre tête de loin pour vous observer travaillant, vous
espionner ou vous regarder, vous voir dans un miroir et par conséquent, d’une
certaine façon, se sent partout chez lui, un peu comme les cosmonautes dans la
station orbitale internationale qui, malgré les nationalités différentes,
travaillent ensembles sur des projets scientifiques en commun, dans le même lieu
! Il bénéficie, en raison de l’absence de poids, de l’incognito
et comme il n’est pas soumis aux mêmes lois que nous, il n’arrive peut-être pas
à comprendre pourquoi la chronologie est à ce point importante dans les
raisonnements psychanalytiques ou pour déterminer de l’honnêteté de quelqu’un ou
aussi, par exemple, utile pour aider à soigner.
C’est en fait un squelette (mais chacun d’entre nous en avons un) qui est ainsi
devenu plus léger que l’air. Mais vous verrez que dans ma lettre à Michèle
Finck, je crois avoir compris comment il arrive à voler : c’est peut-être grâce
au serpent que j’ai nommé Apophisse et qui se promène invisible dans l’air et
qui, lui aussi, ne sait pas ce qu’est la propriété privé, puisqu’il arrive
peut-être, en raison de cela, à passer par chacune des ouvertures, (quand elles
sont ouvertes) – il y en a qui en ont de la chance, à moins qu’à cause de cela,
ils soient très malheureux et c’est pourquoi il faut être très gentil avec
eux, comme Fritz Lang pour M le Maudit,
bien qu’il n’est pas fait ici un film sur
Dracula. En fait, ce qui pourrait être merveilleux c’est que si Dracula a
été damné pour quelques raisons que Dieu sait, sa damnation puisse prendre fin
et qu’il se réconcilie avec Dieu (d’autant que dans sa condition de profane, on
ne peut pas imaginer possible comprendre ce que peut bien signifier ce mot de
Dieu et encore moins de « Grand Architecte de l’Univers » - je l’ai vérifié.
C’est comme une personne profane devant un super ordinateur ou un livre
spécialisé. Si elle n’a pas étudié tout ce qu’il faut savoir à propos d’un
ordinateur ou même seulement à propos du contenu du livre spécialisé en ayant
commencé par acquérir toutes les bases dans ces catégories, elle va peut-être
même croire possible s’asseoir naturellement sur une des tours des ordinateurs
de bureau ou utiliser les livres pour faire un tabouret, d’autant plus si elle
ne connaît pas la valeur de l’argent (et si cela se passe à une époque où les
livres et les ordinateurs sont encore des choses très coûteuses, elle risque de
produire un effet d’hostilité envers elle par ceux qui sont contraints à avoir
de l’argent propre). Elle va donc avoir des difficultés avec ceux qui
connaissent la valeur de l’argent, qui savent ce que les mots signifient ou qui
ont une idée précises de ce qu’il y a dans la tour de l’ordinateur de bureau sur
laquelle il vaut mieux ne pas s’asseoir. C’est ici qu’il va y avoir un conflit
qui va se produire chacun étant dans sa logique et fonctionnant prédéterminés.
En fait c’est sur une question de respect, ou de la connaissance des formes à
mettre ou des rituels à connaître et donc des actions à mener sur lesquelles va
se jouer la différence entre le profane et celui qui n’est l’est plus : d’un
côté l’inconscience et de l’autre la conscience, c'est-à-dire la mémoire des
actes, des mots, des engagements (ceux-ci ayant du poids, comme gravés et
induisant des actes et dans certains cas des droits). Il se pourrait que jeune
ou enfant, Dracula ait été corrigé par des personnes qui respectaient une chose
qui n’avait pas encore de sens pour lui, au point qu’il n’a pas même pu y
croire, honnêtement, de son point de vue de mécréant. Je me souviens d’une fois
où, bien qu’empereur, mais entrain d’inspecter à la sortie d’une messe, j’ai vu
venir vers moi une personne me demandant de me dégager car le
« Saint-Sacrement » devait passer là où je me tenais debout. Il est venu vers
moi, comme une sorte de gorille, précédent la venue d’un président de la
république et s’adressait à l’Empereur Cosmique Universel et … (qu’il n’avait
pas reconnu) comme à un méchant profane qu’il faudrait chasser avec mépris. Il
semblait appartenir à un service d’ordre du défilé qu’il annonçait et j’ai
trouvé un peu désagréable comme peu chrétien de procéder de cette façon. Bien
sûr, il a fallu que je fasse l’effort de comprendre ce que pouvait signifier ce
mot de « Saint-Sacrement » pour cette personne qui le précédait, comme un enfant
de cœur à la fin d’une cérémonie, les plus âgés revêtus des ornements de prêtre
ayant célébré la messe et qui rejoignaient la chapelle pour se changer à la fin.
Ce n’est que parce que je savais un peu ce qu’il entendait par ce mot de
« Saint-Sacrement » et que j’ai compris son point de vue à ce sujet en me
souvenant de moi enfant (mais au moins dix ans plus jeune que lui) ayant été « chirichetto »,
donc étant capable d’ouvrir la route, que je me suis retenu de lui envoyer une
gifle qu’il méritait cependant, s’il avait été mon fils. Bien sûr, il ne savait
pas ce que signifie la cohérence avec l’aube qu’il endossait ni ce qu’il
m’imposait alors comme déplacement. C’est ce qui m’a toujours fait renoncer à
déplacer mon poing vers la figure des gens qui le méritent. C’était dans
l’Église du Val de Grâce vers 2006, à l’occasion d’une de ces messes un peu en
latin que j’ai été écouter pour essayer de refaire un peu de latin. Je ne pense
pas que Jésus Christ, témoin d’une telle scène, aurait apprécié, lui qui a été
capable de recoller l’oreille coupée d’un profane, qu’on le précède en voulant
écarter violemment les gens avant son passage. Mais il est vrai que nous sommes
à une époque où il peut y avoir des voleurs qui voudraient s’emparer de choses
en or et en argent et qu’à première vue l’empereur cosmique universel et …
incognito n’a peut-être pas le Bon Dieu sans confession, (alors que Dieu était
témoin de cela et m’accompagnait).
Aussi ceux qui se sont spécialisés dans une matière apparaissent comme des
personnes qui réagissent durement, voire sans donner des preuves d’humanité à
d’autres peut-être parce qu’ils ne se sont pas sentis respectés dans ce qu’ils
savent être vrai ou exacte, devant prendre les formes qu’ils servent de leur
mieux et c’est pourquoi ils apparaissent comme capables d’intolérance. C’est
alors que les autres, les profanes, devraient
être capable de comprendre des personnes qui savent qu’une chose est vraie et
qui la vénère. Il est normal qu’ils ne puissent pas accepter le sacrilège, le
mépris envers leur foi ou l’incapacité de certains à respecter ces vraies
croyances. Je suis sûr que celui qui niera que deux plus de deux ne font pas
quatre en calcul élémentaire risque d’avoir des problèmes et de montrer qu’il
sort des lois admises ou communes à tous. S’il ne sait pas expliquer
rationnellement pourquoi cela fait autre chose que quatre, dans un autre cas de
figure, il aura du mal à être pris au sérieux et s’expose à ne pas être pris au
sérieux, à faire parti des « incompris ». Pourtant tous aimeraient que dans un
autre cas de figure, en calcul élémentaire 2 plus deux fassent autre chose.
C’est pourtant possible en poésie ou dans d’autres catégories et d’une certaine
façon, celui qui ne voulait pas écouter et comprendre pourquoi cela fait quatre,
comme a voulu nier Dieu, n’a pas tort, mais il va y avoir des conséquences à ces
provocations ressenties comme telles ou mal prises par ceux qui sont certains du
contraire et qui connaissent les arguments rationnels comme plus subjectifs, de
nature empirique ou liés au mystère de la foi (ou ses équivalents) pour réfuter
l’énoncé contradictoire, d’autant plus de la situation qui a rendu des gens
parfois trop sérieux ou trop conscients des conséquences graves à vouloir nier
ce qui leur permet de survivre dans des systèmes ou des sociétés basées sur des
comptabilités du type de celles reliées aussi à cette notion de Dieu[86].
Ce qui est certain c’est que celui qui ne croit pas en Dieu ou qui en ignore
son existence est dans un véritable problème, ou va avoir une vie qui sera en
adéquation avec l’absence de croyance ou l’impossibilité d’y croire. Cela ne
l’empêche pas de croire que deux plus deux égal quatre ou que le feu rouge est
un feu rouge. Mais cela devrait le conduire forcément à devenir un moment
l’antagoniste de ceux qui ont compris ce qu’est Dieu et peut-être pourquoi deux
plus deux pourraient faire autre choses de son point de vue ou dans un cas dont
il serait le seul au courant. Cela peut bien se passer comme mal se passer,
suivant les personnes qui s’affronteront. Est-ce de la faute de Dieu pour
autant ? Non, puisque Dieu n’est peut-être pas même encore au courant du conflit
qui a découlé de cette différence d’appréciation du mot qui le concerne entre
ces deux personnes ou alors, pour de bonnes raisons préfère ne pas s’en mêler
lui-même pour l’instant. Et nous nous retrouvons devant la fresque de Delacroix
à Saint-Sulpice, dans la chapelle en entrant à droite et méditons cette sorte
lutte.
On pourrait en finir avec cette sorte d’errance qui est peut-être difficile à
vivre pour Dracula, étant donné qu’elle est comme celle de quelqu’un dans
toujours le même état et désert ou survolant toujours le même labyrinthe de la
ville et qui ne se rend plus compte de ce dont se rendent compte ceux qui se
sont ouverts à d’autres mondes grâce au fonctionnement de leur cerveau soumis à
l’empire de la raison et de la conscience. Il est probable qu’il voudrait cesser
d’avoir peur ou d’avoir à disparaître de honte dès qu’il croise le regard vrai
d’une personne à qui il sait qu’il a fait du tort ou des misères ou envers
lequel il sait s’être conduit injustement ou simplement qu’il voulait espionner
en cachette, à l’insu de celle-ci, innocente. Peut-être que le temps
de la repentance est venue d’autant plus de l’absolue certitude qu’il a acquise
des raisons pour lesquelles il était interdit de tuer. Peut-être comprend-il
mieux maintenant, à notre époque, que quand il était petit ou à d’autres époque
de sa vie, pourquoi, pour certaines personnes, la vie est précieuse. Peut-être
que l’anti-thèse de l’errance (sous la forme de Dracula-volant-fou),
c'est-à-dire une véritable assise, enfin débarrassée de la folie[87]
le tente, d’autant plus d’une époque technologique qui, avec des
web cam, ou les petits téléphones
vidéo-phoniques permet de rejoindre visuellement facilement tous les lieux sans
avoir à faire ce genre d’efforts (voler) - pour regarder, invisible en cachette
– il renoncerait à voler et pourrait reprendre du poids, ce qui pourrait, à
terme, lui permettre de comprendre le monde de la vérité en se débarrassant
enfin, à son tour, du profane en lui – cela atteste
bien que ce n’est plus un crime de voir représenter, sous la forme d’images, des
scènes naturelles et quotidiennes qui ne seraient plus vues en cachette car les
personnes auront consentie librement à avoir chez elles ces
web cam, allumées ou éteintes comme
ceux qui éclairent chez eux ou restent dans le noir.
Je suis presque certain que Dracula a eu, au départ, au sujet de Dieu, des
fausses idées basées sur des calomnies, des mensonges ou des préjugés, de même
qu’il y a des gens qui ont des préjugés sur le Pape, un président de la
république même « bon père de famille » ou des serviteurs de l’Eglise,
simplement parce qu’ils sont habillés différents, en soutane, ou qu’ils ont fait
des études compliquées dont on ne sait rien ou si peu, ou qu’ils se conduisent
avec tant de cérémonial ou de codes convenus entre eux qu’ils en sont
désagréables comme les membres d’un club de personnes athées spécialistes dans
les sciences. En fait si Dracula est ce qui reste de la figure du « diable »
(satan),
peut-être conviendrait-il de ne pas trop diaboliser cette personne qui est
simplement très peureuse, très honteuse et devenue, à cause de cela, une
personne différente des autres en raison d’un processus mathématique qui tire de
la loi des conséquences son origine très lointainement, donc qui est simplement
devenue, pour l’instant, tant qu’elle n’aura pas déclenché un retour possible à
sa raison, ou débloqué la situation comme nous le recommandons, une étrangère à
une certaine façon de fonctionner dans la transparence, comme les oiseaux qui
volent et qui n’ont rien à cacher (sexuellement parlant) ou d’autres animaux qui
sont à ce sujet confiants et qui sont bien soumis comme nous à la réalité et à
l’impossibilité de s’évanouir ou disparaître dans l’invisible de honte ou de
peur, car sinon ils le feraient quand un oiseau prédateur aigle cherche à fondre
sur eux pour les attraper durant leur vol. Or, ils n’ont pas cette possibilité
et c’est comme si Dracula en disparaissant dans l’air, de peur, croyait que
l’autre est un danger, un ennemi (une personne qu’il avait à observer sans se
montrer). Par conséquent nous sommes devant une véritable maladie qui est celle
de la personne « espion » ne voulant observer qu’en ne se montrant pas. C’est
l’état d’esprit des soldats qui sont convaincus qu’ils ont des ennemis, mais des
auteurs ont bien démontré (dans le Désert
des Tartares, par exemple bien que le propos ne soit pas celui-ci non plus)
qu’il n’y a pas d’autre ennemi que cet enfant-gâté en soi-même, dont il faut
avoir le courage de renoncer pour devenir adulte et affronter le monde
lucidement. Mais il est vrai qu’on apprend au soldat ou aux louveteaux à savoir
se comporter comme la panthère ou le lion et à savoir ramper dans les herbes
hautes sans se faire voir de l’équipe qui doit jouer l’ennemie de l’autre. Le
scoutisme apprend à respecter les mœurs des animaux qui observent de loin sans
vouloir se montrer. Dans le cas de Bagheera, ce fauve, a toujours l’idée
d’attraper comme une lionne prédatrice une antilope ou un herbivore. Dracula est
encore à l’âge des louveteaux s’inventant des choses interdites à transgresser
comme quand on découvre dans un journal l’image d’une jeune femme tellement
belle qu’on sait qu’elle ne pourra jamais être approchée par soi car elle
appartient certainement à l’empereur ou à un puissant (c’est une conquête hors
de notre portée ou bien on n’a pas les moyens financiers pour tenir trois heures
avec elle, tant on sait d’avance qu’elle risque de coûter cher et on préfère
alors, comme Dante, ayant fait la rencontre de Béatrice, l’avoir en mémoire, et
s’y référer comme muse. Évidemment, si on disposait de tous les trésors il est
certain que la belle serait à nous et c’est ce que Dracula a cru a tel point
qu’il a peut-être voulu s’emparer de tous les trésors pour pouvoir avoir les
moyens de financer son amour des belles à séduire. Aussi tous ceux qui ont eu
des moyens en ayant à attendre pour les avoir comme à faire des progrès grâce à
une méritocratie fondée sur la vérité et des caps constants à franchir non en
tricheur, non en menteur mais en personnes véritables sont étrangers à cet
esprit du tigre ultra peureux ayant une tanière dont personne ne sait l’adresse,
observant sans être vu et utilisant des appareils non possédés par l’esprit de
vérité des êtres humains mais en étant devenu un pauvre criminel de tigre bien
pitoyable puisqu’ayant à se cacher car cogitant des mauvais coups puisque
n’ayant pas les façons de faire de ceux qui reposent leurs actions sur la
loyauté envers tous. Il voit donc le monde comme s’il s’agissait de personne
appartenant à une autre espèce que la sienne et on comprend sa crainte puisqu’il
ne s’est pas débarrassé de cette mentalité de voleur, donc de l’enfant-gâté en
lui.
Or, en disposant de cette possibilité de voler et de disparaître comme
d’utiliser des instruments auxquels
les autres n’ont pas accès, il se comporte non-fraternellement, de façon
inamicale : il entretient l’enfant-gâté en lui-même puisqu’il est celui qui a
refusé de jouer sur un terrain d’égalité : à armes égales. Cela signifie que
pour voler et se rendre invisible, en cas de danger, si on a peur d’une
personne, il a fallu faire des choses qu’on n’avait pas le droit de faire (c’est
ce qui explique la honte et la nécessité de se cacher ou de disparaître ou de se
rendre invisible). Cela signifie donc qu’on est malade (d’autant qu’il n’est pas
normal de voler en état d’apesanteur – quand on vient au monde, nous avons un
poids et nous provenons d’une mère ou de parents ayant un poids – il est
probable que Dracula avait un poids aussi avant de le perdre et c’est pourquoi
pour guérir, il est important qu’il retrouve ce poids - sauf dans la station
orbitale ou en situation d’apesanteur où il a été démontré que sans avoir besoin
de disparaître, tout en conservant notre poids nous pouvons voler) de quelque
chose et qu’il faut donc accepter de se faire soigner pour avoir une chance de
retrouver la raison et
sortir de cette folie
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô.
K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
qui bien qu’à première vue ayant un
véritable attrait en vous ayant rendu prédateur ou voyeur ou quelqu’un qui a la
mentalité d’un voleur ou d’un menteur, vous a donc rendu malhonnête
intellectuellement au point de perdre tout le poids du sens de ce à quoi les
mots engagent (organisation et gestion y compris) sur le plan sentimental ou
vis-à-vis d’enfants qui naissent véritables et non malhonnêtes,
puisqu’ils ne songent même pas à
profiter de cette invisibilité dont ils ignorent l’existence ou qu’elle soit
possible étant donné que malgré leur peur de naître ils en ont eu le courage. Or
d’être ainsi l’objet d’observations coupables est, par conséquent, être
considéré non fraternellement, mais dans la situation d’une personne qui se sait
coupable d’espionner à l’insu de personnes totalement innocentes et confiantes
et qui n’ont rien à se reprocher. C’est vouloir croire possible utiliser des
choses qu’on entendra ou que l’on a archivé de la vieille salle des machines
pour faire chanter l’autre et les lui reprocher. Encore une fois rien qui soit
cohérent avec ces mots de « fraternité », d’« égalité » ou de « liberté » qui
pourtant comme le mot d’« amour » sont une réalité et un objectif possible à
atteindre ou du moins à approcher un peu, d’autant plus qu’on se débarrassera
des mauvaises habitudes d’enfant-gâté, au mauvais sens de ce mot (si Dracula
était le véritable empereur, il donnerait l’exemple et partagerait avec tous la
vieille salle des machines au lieu de ne la conserver que partagée avec ceux qui
n’ont en commun que le même appétit d’insouciante inconscience et qui ont pu
croire que les mots employés n’engageaient pas à des efforts constants pour nous
rendre dignes d’en avoir compris tous les sens véritables. C’est que dans le
monde des gens conscients, il y a leur poids et le temps qui compte et tout les
paramètres et, en raison de cela, les mots ont du sens (pour une personne qui
n’a plus de poids, il se pourrait que même les poids les plus lourds à manier
n’ont pas le même poids que pour les autres, d’autant plus qu’il y a des
machines pour l’aider dont les plans ont été conçus par ceux qui connaissent le
poids des mots, ce qu’ils induisent, le poids des équations et des lois,
propriétés des matériaux à utiliser pour soulager le travail de ceux qui
fournissent ces efforts manuels parfois en personnes encore profanes,
inconscientes, ignorantes au mauvais sens de ce mot comme au bon sens de ce
mot). Alors que dans ce monde de la légèreté et qui ne peut être atteint qu’en
raison très certainement d’inconscience totale, ce qui importe normalement
n’importe plus au point que les mots comme celui de « mère », « parents »,
« frères » et « sœurs » ou les mots eux-mêmes ne veulent plus dire ce qu’ils
signifient pour les autres (il est vrai que chacun a du sens de ces mots,
l’expérience qu’il en a eu, différente de celle des autres), comme si les
millénaires de civilisations et d’efforts constants pour transmettre tous les
savoirs à ce sujet ou dans d’autres catégories n’avaient de l’intérêt que pour
mieux s’en moquer et se moquer de la vérité de ces personnes conscientes, ayant
forgé le sens des mots, par la même occasion. C’est absurde, puisque c’est à
elle que nous devons tous ces bienfaits, tous ces conforts et tous les progrès.
Aussi Dracula est dans l’erreur, mais il est à soigner comme s’il avait eu une
très longue maladie et qu’il avait besoin d’être langé, ce qui est possible,
puisque j’ai fait faire de grandes couches-culottes pour les personnes âgées,
mais aussi toutes ces web cam qui, en
étant reliées à son ordinateur ou aux autres vont lui permettre de passer de
l’une à l’autre en zappant et donc d’espionner toutes les personnes ayant envie
de transmettre leurs images et de donner ainsi, par ce truchement des nouvelles
de leur existence[88],
sans avoir à faire l’effort de voler, au risque d’oublier qu’il est visible, une
nuit de pleine lune, et d’être abattu par un imbécile qui, au lieu de comprendre
qu’il s’agit de quelqu’un de simplement différent à ce point, aura cru
stupidement qu’il s’agit d’un ennemi, alors qu’en fait il s’agit peut-être
simplement de l’esprit d’un éternel adolescent comme Don Juan, ou de l’éternel
célibataire amoureux ayant cru pouvoir faire semblant de se marier pour se
permettre toutes les infidélités comme se damner par amour au sens profane de ce
terme de celui ou de celle qu’il désir égoïstement et non dans l’Intérêt et pour
le Bien Général des conséquences d’un tel amour dans la progéniture ou pour
cette raison d’Etat qui est devenue la mienne ou en raison de l’existence de la
vérité qui permet, grâce à sa recherche, d’arriver à trouver ces solutions
élégantes y compris pour soigner. En fait, Dracula est peut-être un Batman qui
aurait pu être Batman, s’il n’avait peut-être pas mal tourné. Personnellement,
je ne sais pas ce qu’a pu faire Dracula dans son existence passée, mais il a
peut-être besoin d’un ami ou d’un confident ou d’un psychanalyste, et je suis
prêt pour une telle éventualité car je sais combien cela est affreux d’être
perdu sans amis, comme d’être continuellement prisonniers des mêmes erreurs, en
le sachant, mais en ne sachant pas comment faire pour ne plus les faire, ni
pourquoi ne plus les faire. Peut-être s’agit-il en fait d’une personne qui a eu
besoin d’être Dracula pour connaître ultérieurement une autre vie, d’autres
épisodes, voire un changement radical (retrouver la raison après l’avoir perdue
comme quelqu’un qui a voulu nier Dieu et qui soudain comprend que ce mot, comme
la vérité, existe. Il en résulte normalement un changement comme celui de
l’ancien bagnard, Jean Valjean).
Jusqu’où peuvent pousser ou conduire les malentendus au sujet de Dieu? Peut-être
jusqu’à devenir quelqu’un qu’on ne voulait pas être du tout, d’autant qu’on aime
voyager en avion et être photographié comme une personnalité qui compte. Ici
c’est l’inverse qui se passe, des choses qu’on fait en cachette, comme si on
était recherché comme un malfaiteur : personnellement je ne suis plus sûr d’avoir
vu Dracula, mais une sorte de momie sèche et grise
qui a bien de la chance de voler légère et de pouvoir disparaître dans l’air, en
devenant invisible.
De mon point de vue, il devrait avoir le droit de voler en plein jour en se
montrant, et j’ai souvent laissé la fenêtre de chez moi ouverte à partir de ce
jour là, en me disant qu’il était chez lui chez moi, quand je m’en allais faire
mes courses ou à d’autres occasions. Il peut être sûr que tout le monde le
trouvera d’avance formidable, s’il se montre (mais il y a ceux qui vont vouloir
l’abattre, ce qui n’est pas juste car sinon il n’aurait jamais réussi à voler -
il faut donc qu’il y ait une part de vrai dans celui qu’il est devenu), à moins
qu’il représente un danger réel pour certains ou certaines, peut-être de ne plus
avoir à se comporter comme tous ceux qui ont dû gravir un à un les degrés pour
se rendre compétents sans tricher). Ce qui s’est passé entre lui et Dieu, cela
n’est pas notre problème ou bien est-ce notre problème ? Faut-il se mêler de ce
qui ne nous regarde peut-être pas ? Dieu, à l’époque où cela s’est passé n’est
pas celui qu’il est de nos jours. Il y a donc eu une « évolution » et des faits
nouveaux qui pourraient permettre des changements, d’autant qu’il se pourrait
que Dracula ou cette personne que j’ai vu voler ainsi trouve admirable le monde
de la vérité et de la rationalité qui permet tant de choses extraordinaires.
Peut-être était-il seulement trop jeune quand il y a eu le problème avec Dieu
qui était lui aussi trop jeune. Aussi si Dieu ne peut pas céder, car il est
coincé, puisque les personnes qui sont à lui ne volent pas et ne trichent pas et
sont au travail en pleine lumière et comme les oiseaux ne se cachent pas pour
faire l’amour, donc n’éprouvent pas de honte, c’est à celui qui est à la fois
avantagé, mais aussi désavantagé, d’être le plus intelligent et de céder, en se
disant qu’il peut faire confiance à Dieu et qu’avec le temps, tout pourra
s’arranger, puisqu’il y a toujours des solutions élégantes, mais qu’elles
n’existent que dans le monde de la matière qui est soumis à la cohérence et à la
logique comme à d’autres lois qu’il faut maîtriser en conscience. S’il s’agit
des morts qui concernent Dracula et qu’il a naturellement caché, il peut être
certain que Dieu respecte les morts y compris de ces ennemis et que peut-être
tout n’était pas seulement pourri en eux dans ces os. Si Dracula ou le
« diable » (satan) cède, c’est peut-être un jour, pour chacun, la chance de la véritable
connaissance qui adviendra, dans un autre monde. Il faut faire confiance à Dieu,
puisque c’est lui qui a voulu jouer le rôle du bon, du bien et du beau, d’autant
plus qu’il y a des preuves de cela : la salle des machines qui avait été laissée
en confiance, à une époque où nos ancêtres étaient tous différents de nous. Dieu
a-t-il eu tort d’avoir eu confiance dans le processus inhérent de
Tout cela a à voir avec une vision de l’amour réduite à des clichés ou pire : à
la « faute » ou seulement à l’éros. Il y a eu tant de textes et de preuves qu’on
ne peut pas réduire ce mot à des catégories aussi étroites puisque c’est aussi
vaste que chacune des solutions élégantes qui ont été trouvée que l’amour,
puisque nous avons pu vérifier à travers le sacrifice que nous avons dû
renouveler que sans l’« agapè », l’amour n’existe pas. J’ai même été très loin
dans la compréhension de la conception profane de l’amour et en ne le cherchant vraiment ne trouver,
en fait,
que la fin du profane en moi.
Les sentiments d’amour donjuanesques, dits « coupables », ou casanovesques sont
ceux d’inconscients ou d’adolescents attardés ou de personnes enfants-gâtées qui
croient pouvoir s’amuser continuellement quand la réalité obéit à des choses à
mettre en place quotidiennement et à organiser mais aussi à bien d’autres
contraintes d’autant plus qu’on se destine à fonder une famille ou à en mériter
une.
Il est donc impératif qu’on comprenne qu’il y a un temps pour l’amusement comme
il pourrait y avoir un temps pour batifoler ou papillonner, mais en sachant que
de telle heure à telle autre heure on a des choses à faire, dont on n’a pas le
droit de se dégager, à moins de vrais motifs et non des excuses mensongères.
Devenir inconscient ou chercher à passer dans la clandestinité, perdre la tête
ou la voir se réduire à ce point pour devenir léger à ce point, donc minuscules,
sec comme une poussière, signifie qu’il va falloir que tous réussissent à vous
redonner du poids malgré cet état dans lequel on est, de façon à ce que vous ne
continuez plus à vous rendre ridicules (bien qu’une poussière ne soit pas
seulement ridicule). Parler légèrement c’est affirmer des choses qui ne sont pas
possibles, par exemple, dans l’état actuelle des finances d’un Etat soumis à des
diktats de maîtres chanteurs sur le prix du pétrole et c’est donc ne pas pouvoir
tenir parole (cela vous donnera une renommée qui n'a rien d'enviable, celle d'un
des menteurs). Pourtant, il y a des grands projets pharaoniques qui demeurent
prioritaires, car ils concernent l’essentiel : la nourriture de demain ou
d’après-demain, la construction de ponts dans les lieux commerçants pour les
faciliter. Bien sûr, coloniser
L’amour ne devrait pas rendre inconscient mais tout le contraire et nous avons
vérifié que c’est vrai, quand les conditions sont réunies.
L’insouciant, l’inconscient y compris l’irresponsable a du bon. Il a bien de la
chance.
Aussi il est certain qu’il y ait eu des malentendus au cours des siècles
précédents qui pourraient finalement trouver une résolution ou des solutions
élégantes car, personnellement, (comme on dit en Afrique), je trouve enviable de
pouvoir se permettre le luxe de voler et d’être invisible et donc d’avoir le
charme de Nosfératus ou de Dracula, même si, à première vue, il est affreux
(mais j’ai peut-être mal vu de loin). De plus, de nos jours, il y a des
possibilités de changer et peut-être ce qui est devenu laid peut, si les
conditions changeaient (si la situation était débloquée), être réversible,
redevenir beau : j’ai montré que cela a été mon cas et il y a des preuves
photographiques à ce
sujet : j’ai accepté de devenir laid. J’ai montré comment on le devient, puis
j’ai fait, sans même avoir cherché cela, ce qu’il fallait pour redevenir
moi-même, délivré de la laideur qui est donc un résultat mathématique de la
situation général qui est bloqué et dans laquelle certains vont tomber, quand
d’autres, plus (ou moins[90])
chanceux, vont l’éviter. On peut donc se débarrasser de sa laideur, comme on a à
se nettoyer régulièrement. Le travail, l’astreinte à des efforts réguliers
permettent d’y contribuer y compris le sevrage de drogues ou de mauvaises
habitudes).
Je pense qu’en 1995 ce personnage (Dracula) qui a peut-être un autre nom (comme
identité civile) et qui a été peut-être celui qui a essayé de tenter Jésus
Christ dans le désert (puisqu’on dit dans les Évangiles que le
« diable » était venu tenter Jésus), a
été d’accord lui aussi, comme tous ceux qui croient en lui, pour que je sois
fais l’empereur suivant mon père et en 2005, il a pu constater que je ne l’ai
pas pris en traître, car je l’avais averti d’avance (dès 1975) de tout, y compris qu’il
montrerait Atlantide et le Paradis en 1995 (ce qu’il a fait). Mais il a pu
constater que je ne le savais plus en 1995, puisque c’est parce que je ne me suis
remis de mon amnésie qu’en 2005 et parce que j’ai retrouvé foi en mon anneau
immaculé de
mariage, qu’ensuite, une fois que j’avais fait (nommé) mon père empereur en 1975-76,
j’avais pu le prévenir d’avance avant ou après le voir apparaître dans le miroir
de ma salle de bain me regardant avec mes yeux à l’intérieur de ma pupille
(comme s’il s’était caché dans ce noir). C’est assurément, minuscule et noir, le
chef de tous les bandits qui sortant de l’œil, m’a fait signe dans ce miroir,
mais il m’a fait signe que je pouvais passer et continuer ma route, puisqu’il a
bien pu remarquer que je ne cherche pas à l’abattre, que je suis d’une autre
génération et que mes intentions étaient pures : débloquer la situation dans son
intérêt, car cela fait longtemps qu’il a pu vérifier que je ne suis qu’au
service de l’Intérêt et de Bien Général. Si j’étais un égoïste, avec les
capacités que j’ai en mathématique, en quelques jours je pourrais être
milliardaire en investissant à la bourse pour les banques. Mais ce ne sont pas
ces milliards là que je cherche, car il y a une partie d’eux qui ne sont pas
justes ou qui ne m’intéressent pas et qui sont possibles car ils sont dus à la
situation qui est faussée et qui contraint à ces efforts-là pour les banques
puisqu’elles ont à être de parole et à rémunérer les dépôts ou les économies et
à garantir la valeur des monnaies comme des pouvoirs d’achat. Je préfère, en
raison de ce qui s’est passé, que les gens prennent conscience de ce qu’ils me
doivent et se comportent enfin en gentilshommes, d’autant plus que j’ai pu
démontrer qu’il y a bien un anneau cosmique et qu’il correspond bien à l’idée
que nous nous sommes faits de l’amour et du mariage, comme des devoirs des
fiancés entre eux, y compris vis-à-vis des enfants. Par conséquent, cela a donc
à voir avec une idée civilisatrice et bâtisseuse de l’Amour[91]
qui a aussi à voir avec les textes où il est dit que l’Amour est capable
d’endurer des choses difficiles. Peut-être que Dracula ou le chef des bandits
(si c’est lui que j’ai vu volant) a le même sentiment : qu’il endure des choses
difficiles. Mais c’est lui qui veut devenir un « honnête homme » ou qui prétend
être un « gentilhomme » et effectivement ces qualités, au sens ancien du terme,
permettent d’apprendre à vraiment endurer. Aussi il se pourrait qu’il y ait une
partie de Dracula qui soit restée honnête[92].
En fait, c’est simplement une situation faussée qui pourrait changer, mais qu’il
a voulu et dont il est responsable (il lui appartient d’y mettre un terme pour
lui et les siens qui sinon, dans l’erreur, vont encore souffrir).
Il y a que c’est difficile d’avoir un tel honneur d’être un tel pharaon et
d’avoir un tel amour de l’anneau de mariage de mes parents et de celui de mes
ancêtres et d’être enfin reconnu dignes par ceux-ci disparus qui ont peut-être
eu plusieurs fois honte de moi tout au long des vingt sept années d’amnésie[93]
ou qui n’ont pas compris (car il se pourrait de là où ils sont qu’ils ont été
abusé par des « à première vue » à mon sujet, s’ils n’ont pas suivi entièrement
intégralement tous les épisodes de ce feuilleton, dès que l’amnésie s’est
installée en moi : toutes les différentes parenthèses sont mathématiquement
advenues y compris au cours des différents apprentissages des différents métiers
(il n’y en a pas un que je ne puisse exercer, après deux ou trois jours ou un
peu plus dans le bain nécessaire pour le maitriser au point d’en être reconnu en
quelques temps, si je m’y mettais, le véritable chef incontesté et incontestable
y compris l’inspecteur car j’y aurais certainement, dans chacun d’entre eux,
d’excellentes nouvelles idées pour améliorer chacune de ces activités
professionnelles).
Je me souviens ici d’un jour où on devait en cours
d'éducation physique faire des pompes et il fallait en
faire au moins dix : un de mes copains, un turc, s’est moqué de moi en croyant
que je ne les ferais pas et j’en ai fait, pour lui seul, au moins cent cinquante
jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter : il avait compris qu’il était victime d’un
préjugé sur mon compte car de son point de vue, j’étais encore un enfant sans
forces physiques qui n’y arriverait pas, comme lui, qui était presqu’un homme,
et qui avait réussi à faire les dix exigées – nous étions en cours de gymnastique
et il y avait toutes les filles autour - et comme on était parmi les quatre à
cinq seuls garçons dans une école entièrement de filles, il avait voulu, à ce
moment là, se faire passer pour le caïd, parce qu’il avait de la barbe et moi
pas encore – il était donc victime d’un « à première vue » hostile envers les
deux ou trois ans de moins que lui (que j’avais) et il a vu que, même moins
musclé que lui, puisqu’il m’avait défié, j’y suis parvenu à ces chiffres de
pompes – tandis que les filles sont partis une à une vers la cinquantième –
c’était la fin du cours - que je faisais, en désapprouvant que ce camarade n’ai
pas dit que cela suffisait et demeure près de moi, en trouvant drôle de me faire
continuer[94].
Moi-même, je trouvais cela formidable de ma part et je continuais et nous étions
à cent que j’en redemandais – il n’y avait plus personne que lui, admiratif : la
salle était vide et cela se jouait entre lui et moi - en lui disant que s’il
voulait je pouvais encore continuer (je sais qu’en suite je me suis dit qu’il y
avait eu un vrai miracle, car franchement je ne sais pas comment j’avais réussi
cela, ce matin là, étant donné que d’habitude je n’en faisais que cinq ou six
tout au plus – je crois que c’est à cause des filles et qu’il avait besoin d’une
bonne leçon. Mais si j’ai fait cet effort, ce jour là, c’est seulement par
amitié pour lui car je l’aimais bien. Donc pas contre lui, ni méchamment pour
avoir une revanche ou même une victoire, mais parce que je trouvais merveilleux,
soudain, la situation qui me donnait l’occasion de me dépasser pour qu’il arrive
à se sortir de sa bêtise (ce défi) qui déshonorait la condition masculine –
puisqu’il avait cru possible d’instaurer un rapport de rivalité avec moi -
d’autant plus qu’il était capable de jouer remarquablement bien du jazz sur un
vieux piano droit – alors que moi je n’étais pas encore capable de cela. Mais
lui il l’était en me donnant une sacré envie de faire comme lui et en plus avec
une cigarette allumée dans la bouche dont la fumée le contraignait à avoir les
yeux presque fermés pendant qu’il jouait, aux heures de récréation, du piano et
que je l’admirais - d’autant qu’il était mon aîné – j’ai souvent admiré les plus
grands, car ils savent des choses qu’on va devoir apprendre).
Parmi ces métiers ou ces occupations, il y a celui de maquereau ou de prostitué.
Je le connais bien puisque ces 27 années d’amnésie ont donné l’impression, à de
certains moments, que j’en été devenu un. Pourtant en 1995, quand le Grand
Architecte de l’Univers est intervenu, en raison de l’anneau qui était sur ma
tête, tous ont pu constater que ce que j’ai choisi avec - en vu alors de ce
mariage que je croyais devoir célébrer avec Michèle Finck, qui ne m’avait rien
dit au sujet de notre rencontre (des interventions advenues dans le passé) en me
laissant croire qu’elle était le fruit du hasard, et en me cachant le sacrifice
qui avait été fait et dont je ne savais plus rien - n’avait rien à voir avec cet
état d’esprit là, mais plutôt un projet merveilleux pour les êtres humains où il
serait enfin possible de dire de l’autre qu’il est aussi un crabe, une palourde,
une chèvre, une anguille ou une sauterelle, voire une puce, donc pas seulement
un être humain. Donc tous les autres mots concernant les autres animaux, sans en
être offusqué (par conséquent un maquereau aussi, sans pour autant l’être au
plein sens de ce mot, sous son acception ancienne, pas plus que quand on est
traité de palourde ou d’imbécile). En fait, c’est un peu le cas dans les contes
de fées ou dans les dessins animés. Mais c’étaient les prostituées qui
autrefois, dans les films traitaient gentiement les clients de nom d’animaux -
il n’y avait pas autant de
contraceptifs – ceux-ci ayant permis aux femmes de ne plus être des prostituées
seulement et de pouvoir choisir leur partenaire. Et si elles l’étaient, c’était
du point de vue de ces garçons qui ont voulu, hélas, correspondre aux clichés
qui trainaient sur les femmes – de même que traînent les préjugés, les
calomnies, les mensonges – et elles disaient parfois « tu montes, mon biquet ».
Non ? Peut-être même avec un porte-cigarette et la fumée qui leur léchait en
voilette le regard et peut-être avec les gans de soirée à
Il s’agit donc d’une lettre, monsieur le Cardinal, vous confirmant mon avènement
en tant qu’empereur[96]
… (en réalité eanmeailleur car empereur devenu bouddha) que vous voudrez bien transmettre au nouveau pape – en lui donnant de bonne
nouvelle de ma santé comme en lui conseillant, à son âge (à l’ancien), de ne pas
trop faire d’efforts – j’y tiens et dites lui, je vous prie, que j’ai de bonnes
raisons de lui recommander de veiller à prendre du repos – j’insiste –
d’ailleurs à partir de 70-75 ans et peut-être d’avant, dans certains cas, il
faudrait interdire le moindre effort – je suis donc content d’avoir demandé de
rétablir la chaise et le trône en haut du petit escalier et bien triste que la
pape précédent, qui la méritait grandement (peut-être plus que d’autres) s’en
soit privé comme je le lui avais recommandé – j’espère que cela n’aura pas été
trop pénible et qu’il ne m’en aura pas trop voulu : il fallait absolument qu’il
soit canonisé dès que possible (aussi à cause de cela), tant il a fait du
véritable bien en ces temps horribles de la chrétienté dont il a eu à être le
berger – car quand il s’agit d’un pape qui n’est pas un usurpateur, la chaise à
porteur est bien sûr amplement méritée et le siège peut être même vu comme pas
encore assez haut, mais dans le cas contraire, c’est plutôt drôle : tout le
monde va donc en rire, ce qui a donc été le cas à chaque fois dans l’histoire où
il y a eu un pape imposteur, de même qu’il y a des prêtres usurpateurs ou des
moines franciscains qui le sont (car ils veulent être certains de pouvoir avoir
de quoi manger, et de pouvoir pécher en allant faire de l’instruction religieuse
dans les bonnes familles (j’en ai pris un sur le fait, mais je n’ai rien dit
d’autant que je m’interrogeai sur des dessins d’enfants dans une autre pièce
– mettez-y bon ordre, je vous prie).
Je vous écris aussi pour vous confirmer la lettre que je
vous ai promise de transmettre à Sa Sainteté et qui viendra – cette lettre - en
son temps – j’ai des priorités : la lettre
à Monsieur
le Président de
Ce même honneur, mais sans en dire jamais rien, sera un droit pour chacun des
membres de ma famille en commençant par ma mère, mon frère ainé, et mes
descendants, y compris mes neveux qui, s’ils devaient manquer d’argent (de
crédits financiers propres et mérités de droit), y
compris leur descendants, devront être toujours aidé par l’Eglise et auront le
droit de vendre des biens Lui appartenant comme s’ils étaient les leurs ou
chacun le Pape en personne – ce qu’ils se garderont toujours de vendre, à moins
d’un véritable problème ou qu’ils ne pourront plus faire face eux-mêmes, sur
leurs propres revenus, à leurs dépenses. Vous le savez, chacun d’eux est
canonique : annoncés d'avance, ils se sont incarnés comme prévu, chacun d’entre eux, par charité
pour nous tous et pour venir à mon secours, alors que j’agissais en légitime
défense en 1965, 1975 et 2005 pour participer à la création de leur époque, en
ayant tous les temps qui me persécutaient totalement injustement, d’autant plus
que j’étais légitimement empereur, dans l’Intérêt et pour le Bien Général, ce
que je n’ai fait que devoir prouver, en vain, jusqu’à ce jour du 15 mars 2013
(je relis le 09 septembre 2017),
et cela en ayant même pu vérifier avoir été contraint d’avertir en virtuel de ce
cas de figure infernal de la Création que tous se devaient donc de nous éviter, du moins
totalement à partir de 1975, mais que j’ai eu à vérifier entièrement, en chair
et en os, durant les années 1975 -2012, au risque de donner une image de leur
oncle, à ces neveux et nièces, qui ne correspondait donc nullement à celui qu’il
est, et donc de fausser leur point de vue, au point qu’ils en ont peut-être de
graves séquelles. Aussi ce droit qui est le leur s’appliquera à leur
descendance, mais après conseil familial réunit pour trouver toujours de
meilleures solutions, si possible, et éviter que ces sommes d’argent provenant
du Vatican, dont ils pourraient avoir besoin, ne soient amputées de celles
consacrées à faire le bien par l’Eglise. Mais le Vatican est chargé pour
toujours de se renseigner régulièrement sur l’état financier de ses descendants
de mon père et ma mère et même s’ils prétendent qu’ils ont assez pour survivre, de s’en assurer
réellement, et de faire le nécessaire pour compenser financièrement, puisque
j’ai vérifié qu’ils ont amplement contribué à sauver la situation mondiale,
chacun d’entre eux, durant toutes ces années très difficiles où ils ont grandi
en ayant un oncle leur donnant l’exemple de ce qu’il ne faut jamais faire, ce à
quoi l’Eglise m’avait donc condamné canoniquement, en raison du cas exceptionnel
de mon avènement qui n’a pu se concrétiser qu’ainsi, en déplaise à tous ceux qui
n’ont jamais compris ce qu’est l’anti-canonique canonique dont ils étaient
prévenus d’avance qu’il serait employé en pareille cas ézu ([abréviation
d']exceptionnel).
Car ces descendants, je l’ai vérifié, sont capables de se priver de choses
pourtant essentielles et cela pour aider leur prochain ou les gens dans la
misère, donc ont été bien élevés. Mais comme tous les biens de l’Eglise,
dorénavant, nous appartiennent de droit (non seulement en tant qu’Empereur mais
parce que l’Eglise a exigé la preuve de ce sacrifice de notre part comme
l’incarnation de mes neveux et nièces), en raison de comment tout cela s’est
goupillé, y compris dans tous les pays du monde, nous vous prions de veiller à
ce que ces descendants ne manquent jamais de rien ou s’ils devaient être
déprimés à leur proposer de les mettre à contribution sur divers projets où les
talents des uns ou des autres pourraient s’exprimer, en veillant à ce qu’ils
soient rémunérés pour leurs efforts, s’ils ne peuvent pas continuer à offrir le
luxe d’être bénévoles.
De même, tous les biens de
Notre rôle d’empereur est aussi celui d’un recours possible au cas où les
Nations Unies (qui nous appartiennent aussi de droit) n’auront pas réussi à
résoudre un problème entre deux Etats, au sujet de territoires[100]
ou en cas de problème entre deux mairies, à propos d’un champ que le préfet
n’aura pas pu placer entièrement dans une des deux communes, les limites des
propriétés ou des Etats étant soumises aux variations liées à l’impermanence des
propriétés fluctuantes en raison de la nécessité d’entreprendre dans l’Intérêt
et pour le Bien Général. Tous les sites sur Internet, étant donné que nous avons
fait bâtir le réseau, c'est-à-dire tous les mondes virtuels sont donc aussi
nôtres, avant d’appartenir à leurs concepteurs ou leurs légitimes
propriétaires : il va sans dire que nous déléguons à la censure dans chaque pays
et selon les traditions locales (qui pourront évoluer en se basant sur des
avancées à ce sujet) le soin d’intervenir pour fermer des sites suspects où dont
les conséquences pourraient être nocives pour les enfants ou les placer dans les
catégories des sites « dangereux » ou « très dangereux » pour en prévenir les
usagers ou dans celle des sites à éviter car la censure doit avoir comme
constant soucis le réel Bien des
enfants et surtout des plus petits, comme des tout petits, comme des générations
à venir qui doivent être élevées dans le constant soucis de leur propre bien
dans l’intérêt de tous et déjà de tous les petits des générations à venir. Nous
n’avons donc plus le droit à autre chose que de regarder vers l’avenir et de
transmettre ce qu’il peut y avoir d’intéressant à comprendre – il faut aussi
demeurer fidèle à l’esprit universitaire du départ qui a été à l’origine de
Cela pourrait permettre à ceux qui sont coincés dans les inepties d’en sortir
enfin, grâce aux autres, une fois qu’ils auront renoncé à la cause de l’état
malheureux dans lequel ils sont, c'est-à-dire à cette maudite salle des
machines, en acceptant de jouer le jeu, comme les oiseaux qui volent sans être
invisibles nullement et à qui personne n’empêche de faire l’amour quand ils le
croient bon, en n’ayant pas besoin de se cacher de honte pour cela ou de faire
l’amour par provocation ou par esprit de contradiction envers ces conseils qui
sont donnés à ce sujet aux enfants ou aux jeunes, car pour les oiseaux, ils ne
se l’autorisent qu’à partir d’un certain moment au cour de leur croissance et
c’est aux sus et aux vus de tout le monde y compris de toutes les
web cam branchées sur eux (elles
pourraient être nombreuses autour d’eux pour une image 3D que cela ne changerait
rien) : ils n’éprouvent aucune honte à cela, de même que Christine et moi
n’avions éprouvé aucune honte à nous embrasser devant tous, y compris devant le
ciel qui à travers moi, en ces temps là en virtuel, nous l’ordonnait.
Mais ce qui s’est produit avec cette salle des machines a créé le problème du
voyeurisme (une composante de l’espionnage – en fait une maladie) qui a été un
des effets pervers ayant fait beaucoup de tort à chacune de ces personnes ayant
accepté d’être l’objet de chantage (contre leur droit ontologique) pour
rejoindre toutes celles l’ayant été avant elles et n’ayant vécu entre elles que
sur la peur et la loi du silence les ayant modifié, les ayant artificiellement
fait devenir des personnes provocantes ou provocatrices, ce qu’elles n’étaient
nullement, car elles avaient du bon sens, comme les autres qui ne les ont pas
rejointes pour se consacrer à de vraies études et ainsi être au service de tous.
C’est donc comme une maladie qu’elles ont avec le corollaire des autres maladies
(hélas très nombreuses) s’y étant greffées puisque cela ne permet plus de
travailler dans l’Intérêt et pour le Bien Général, puisque cela rend égoïste et
enfant-gâté ou appartenant à des personnes toutes semblablement amnésiques qui
ont vu, à cause de cela, et de la perte de leur conscience, leur esprit se
refermer et se réduire comme perdre de nombreuses capacités d’analyse, en tenant
compte de tous les paramètres et de toutes les dimensions, ce qui contraint à
porter des têtes lourdes[102]
ou à avoir des « grosses têtes »[103]
et inconscients donc deviennent un problème pour tous, au point de rendre
nécessaire la catégorie des films pornos ou érotiques, étant donné qu’il ont
besoin de cette sorte de drogue[104]
dans laquelle on tombe avec en prime l’inconscience et tous les autres effets
dévastateurs de celle-ci, par conséquent à l’origine de la ruine de tous et de
tous les maux comme de toutes les fêlures ou les ruptures étant donné que ces
images si mal élaborées font obtenir des réincarnations tragiques, malheureuses,
tristes, cauchemardesques et/ou honteuses en étant donc à l'origine
d'involutions (le contraire de ce qu'il convient).
Nous avions rompu nos fiançailles avec Michèle, mais si le nécessaire est fait,
nous avons vu qu’il serait possible qu’elles adviennent de nouveau, mais cela ne
veut pas encore dire pour autant « mariés », car la route est longue jusqu’aux
fiançailles véritables (après ce qui s’est passé) et sera peut-être encore plus
longue jusqu’au mariage véritable, pour nous octroyer le droit d’être parents
d’enfants ou le droit de veiller à l’éducation d’enfants, tandis que si on nous
avait évité de faire ce sacrifice, ne serait-ce que le second en 1975, à cette
heure-ci, Michèle Finck était ma femme – mariée - avec des enfants et j’avais
aussi Christine pour épouse et une famille avec elle (mais personne n’a voulu
comprendre ce que nous attendions comme réaction de la part de tous, y compris
de Dieu et de l’Église). Je n’aurais pas été contraint d’avoir Florence Loewy comme
troisième impératrice (pour constituer le trèfle) et de la rencontrer pour la
première fois dans un état d’amnésie, comme elle d’avoir eu à avorter (ce qui
constitue un vrai traumatisme chez certaines femmes) et nous n’aurions pas eu,
non plus, à finir par envisager bien plus que ce nombre d’impératrices légitimes
pour soigner Michèle, car ce nombre de deux impératrices aurait été amplement
suffisant à mon âge de treize à vingt cinq ans, d’autant que j’étais déjà
l’empereur de l’Ensemble, avec mon père, et que, de mon côté, je n’en voulais
qu’une seule depuis que j’étais petit, car pour moi qui est vécu dans ma famille
et qui a eu comme modèle mes parents qui avait célébré leurs quinze ans de
mariage en 1966 et leur 25 ans de mariage en 1976, je demeurais évidemment
persuadé qu’il n’y a rien de plus beau que la monogamie. En 1975, la solution
élégante de deux impératrices était cependant possible (j’espérais que tous
comprennent cela) d’autant que la situation a contraint François Mitterrand à
continuer à être fidèle à sa femme légitime, mais à prendre une maitresse de
laquelle il a eu une fille qui a été reconnue et dont j’ai annoncé la naissance
du futur (elle porte un beau prénom). Cela a été nécessaire alors, en ces temps
d’après-guerre, pour gouverner
C’est que je m’inquiète en raison de mon âge qu’il y ait un descendant ou
plusieurs de façon à le(s) former pour prendre
la succession de l’Empire avec non pas le nombre d’habitants quotidien qui est
celui de nos jours, mais avec une catastrophe monumentale bien pire encore pour
cet empereur d’après moi et pire encore pour celui d’après, et c’est pourquoi je
comprends qu’ils ne pourront pas s’en tirer sans que nous nous lancions dans la
conquête spatiale plus sérieusement avec l’objectif de Mars et de
Mais pour l’instant, tout continue comme avant (je n’ai pas le temps de
« confisquer » moi-même physiquement tout ce qui est sur ce papier/fichier à moi de
droit, donc pas seulement en virtuel, mais écrit en multi-catégories, en
multi-dimensions, en multi alpha oméga, en multi paramètres, etc. et en ayant
comme témoin Dieu et le Grand Architecte de l’Univers, et en étant en un seul
avec l’ensemble des empereurs) si ce n’est qu’il est impératif qu’en raison de
ce que nous avons vécu le prix du pétrole baisse (aussi les compagnies qui sont
toutes les nôtres de droit doivent veiller à le baisser car je crains pour le
pouvoir d’achat des plus pauvres) car ceux qui le feront monter, ou qui l’ont
fait monter depuis notre intervention, renouvelée en 2005, à ce sujet, auront à
en subir des conséquences (des réincarnations tragiques, tristes, malheureuses,
cauchemardesques, honteuses), d’autant que ce pétrole est non seulement à nous de
droit, mais aussi en tant qu’empereur qui a bien prouvé que tout est à lui,
puisque je suis déjà en même temps que là où je suis déjà ailleurs au même
moment, en ayant, en même temps que ce que je fais (c’est pour cela que je fais
parfois des fautes d’orthographes) à calculer tous les paramètres qui concernent
tout de chacun des terriens (déplacements compris), tout de chacun des animaux
et de chacune des plantes, non seulement dans le passé mais en même temps que ce
que je fais, dans le présent, comme déjà dans le futur, ce qui m’a permis de me
faire revivre le même état d’esprit dans lequel j’avais été contraint d’être, à
partir de 1965 comme à partir de 1975 (un peu plus de deux ans et demi
seulement), c'est-à-dire celui d’un peu prophète constant (la preuve, puisque je
suis déjà entrain de penser à l’état de la population mondiale d’ici à deux ou
trois empereurs de nous, à notre époque, ce qui fait que s’il y a bien eu des
saints en ce monde, depuis mon père, ce sont bien les empereurs, qui viendront
s’ils prennent leur métier autant au sérieux[105]
que nous
et qu’ils comprennent chacun qu’ils sont totalement les serviteurs et comme les
esclaves des prochains, même si ceux-ci ne sont que des futurs enfants à naître
et surtout parce qu’ils ont compris pourquoi il y avait eu la nécessité d’abolir
l’esclavage tel qu’il avait existé. En effet, il s’agit de mettre au point une
stratégie tous ensemble pour que nous n’ayons plus jamais, avec les empereurs,
des enfants-gâtés ou des incompétents car cela a mené à de telles catastrophes
dans le passé (napoléon premier et adolph hitler) que ça vraiment été un
miracle, et moins une, qu’il n’y ait plus à cette heure-ci qu’un désert sur
cette planète causée par les bombes atomiques en 1965 qui pouvaient anéantir, (à
partir de cette date là, (si je n’étais pas intervenu), en raison de la guerre
froide et de ce qui s’était passé quand elle avait été « chaude »), la planète pour
en faire une sèche et aride, désertique sans plus de vie nulle part, d’autant que
j’ai mis un certain temps à comprendre en 1965 que tout dépendait de moi de la
sauver depuis l'année 2005 (il fallait pour cela que je fasse des efforts cérébraux que très
certainement personne n’avait songé à faire avant moi et que je découvrais
devoir faire car j’étais empereur « malgré lui »). Mais il faut croire qu’il y a
eu ici comme un coup de génie de
En raison de tout ce que je découvrais avoir eu à souffrir[107]
aussi injustement que cela y compris comme incompréhension et que, malgré tout
cela, je n’ai pas voulu me venger mais au contraire soigner l’Ensemble y compris
dans le passé, j’ai compris que je le devais à mon parcours d’enfant-de-cœur,
mais aussi parce que j’ai appris cela enfant de ma mère qui m’a toujours donné
l’exemple qu’on ne doit jamais s’abaisser à se venger, puisqu’il existe une
autre Justice. Mais vous avouerez, monsieur le Cardinal, qu’elle tarde à venir
(en raison du décalage qui existe et qui est en faveur des ignorants et des
profanes au mauvais sens de ce mot), d’autant qu’il m’a été donné de vérifier
moi-même, toutes les listes de ce qu’on nous doit sur la planète entière et Dieu
nous a rappelé que dans toutes les époques passées, ayant fait d’autres
réincarnations, sous d’autres identités, on me devait aussi toutes les bonnes
choses qui ont été faites et transmises jusqu’ici par chacun des honnêtes gens !
Et songez qu’à ce jour[108]
– mais j’espère les terriens vont en prendre conscience et finiront par vouloir
se comporter justement - pas même 10% sur chacun des gains pour m’inciter à
faire ces interventions à travers le temps à mon arrivée en 2005, y compris pour
me faciliter mes noces. Pas même les pourcentages de la sorte que chacun des
Etats ont obtenu sur les impôts de ceux qui ont obtenu partout un métier ou une
profession, grâce à moi, qui ont donc vu chacun leur vie sauvée grâce à moi et à
toutes ces notions que j’ai inventées dans les temps passés sur des bases justes
et équitables. Par même un pourcentage de tous les impôts qui ont permis durant
les millénaires passés à chacun des serviteurs de l’Etat de vivre ! Pas même les
pourcentages sur chacune des choses vendues dont j’ai donnée les listes pour les
réaliser avec force détails techniques. Vous comprendrez, monsieur le Cardinal,
pourquoi j’ai le droit de tout considérer à moi après de tels outrages
/sacrilèges. Ce n’est
que Justice. Mais j’oubliai, je suis aussi l’empereur et pour cette raison aussi
tout est à moi comme pour d’autres raisons. De plus j’ai ces raisons pour
chacune de mes réincarnations précédentes durant lesquelles ont a cru, à chaque
fois, ne pas pouvoir me rendre ce qu’on me devait. Aussi, je suis bien content
que
Car si j’avais eu un autre état d’esprit, comme celui de personnes plus
communes, mais qui ont malgré tout un peu le sens de la justice, après ce qu’on
a osé nous faire, mais surtout à ma personne impériale[111],
j’aurais peut-être eu à me comporter comme l’aurait fait tous les gens normaux,
et, parce que visiblement cela n’en valait vraiment plus la peine : j’aurais
renoncé à essayer, une fois encore, de sauver
C’est en raison de leurs âmes de
tricheurs, de menteurs, d’imposteurs, d’usurpateurs et du corollaire des mots
qui vont habituellement avec qu’il y a tant de malheurs. J’espère qu’ils
choisiront de cesser car sinon ils pourront vérifier que la réincarnation
suivante sera bien plus cauchemardesque encore que celle-ci à vivre pour chacun
d’entre eux, car ils auront à souffrir chacun en proportion des maux qu’ils ont
causé et des conséquences de ceux-ci partout. Nous ne disons cela que pour
avertir, car nous avons vérifié, et il n’y a pas un électron de mensonge dans ce
texte. C’est pourquoi nous leur avons conseillé en 1975, comme de nouveau à
partir de 2005, la vérité au sujet des mesures économiques, comme au sujet du
prix du pétrole, d’autant que toutes ces réserves de pétrole sont nôtres de
droit[114],
non seulement en raison de ci-dessus (la planète étant de droit impérial
totalement Nôtre, mais aussi puisque ces Nous-mêmes qui avons communiqué les
coordonnées géographiques de ces réserves de pétrole (au moins 50% des réserves
actuelles) à travers le temps à 1975, à partir de 2005, où nous
avons eu, hélas, à le vérifier trente ans plus tard, en chair et en os dans la
réalité elle-même, quand cela s’était passé virtuellement dans le ciel dès 1965
et de nouveau à partir de 1975 (entendus et notés dès cette époque), alors que nous nous apprêtions à nous marier, en
raison de notre anneau immaculé pharaonique cosmique universel et … et que nous avons eu
à effectuer ce très grave et très difficile sacrifice
maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la
religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux
membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’,
strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens
positif et négatif de ces cinq mots)
de notre séparation d’avec
notre promise légitime, contraint, grâce à cela, de/à sauver la situation, car
personne n’avait l’air de comprendre que dès cet âge là, en 1965, nous étions
l’empereur cosmique universel et … ayant droit à avoir notre épouse légitime à
nos côtés malgré notre si jeune âge[115].
Cela a néanmoins permis de faire comme une nouvelle étape, dix ans plus tard, en
1975 où tous ont pu constater que ce qui n’avait été qu’entendu, en 1965, nous
avait fait apparaître en virtuel entendu et vu dans le ciel quarante et trente
ans avant même d’y être dans la
réalité elle-même et nous avons été contraint, de nouveau, par l’Ensemble, à
réitérer ce sacrifice de séparation d'avec notre promise puisque nous avons eu
hélas le déplaisir de constater que la situation économique était toujours plus
catastrophique, en raison des augmentations du prix du pétrole (on nous
désobéissait, le prix augmentait au lieu de baisser plus il y avait de
découverte de nouvelles réserves). Pour toute les personnes un minimum instruites une simple
augmentation de ce qui est vital pour l’économie mondiale va être néfaste et la
situation ne favorisait pas ni ne permettait d’espérer nous permettre d’attendre
dans des conditions aussi tragiques comme inacceptables nos descendants
légitimes dans les années 75-80, comme cela s’est hélas renouvelé à partir de
2005, malgré toutes les peines les plus incommensurablement difficiles que j’ai
pu avoir vérifié avoir prise dès 1975 en tant que simple humain ayant du bon sens au
service du Bien et de l’Intérêt Général et que nous nous étions donnés, y compris avec nos ancêtres avant nous pour
avoir le droit d’accueillir, en toute honnêteté et dignement, (matériellement
parlant des conditions acceptables), du ventre de l’impératrice promise légitime
(comme des ventres des autres impératrices par la suite, si nécessaire – en
disposant des moyens financiers pour permettre l’éducation de futurs princes
impériaux) cette descendance alors pressentie possible, paradoxalement, à partir
de 1965 par nous (malgré notre âge) avec elles, en renouvelant l’exploit à
partir de 1975, l’impératrice promise légitime ayant été désignée du futur au
cours de ces interventions à travers Espace et Temps par
Dieu s’étant servi de moi à ce sujet, lui-même ayant vérifié que je ne savais
rien d’elle avant et que je découvrais cette incroyable situation, au fur et à
mesure, à partir d’avril 2005, en synchrone avec avril 1975 et 1965, étant
probablement en relation avec des problèmes liés à
l’existence des castes et de la séparation existant entre celles-ci.
Si nous en venons à tout mettre à nos ordres partout (sur toute la planète)
comme à tout devoir détenir en propriété légitime, cela signifie que,
dorénavant, tous les titres de propriété sont donc des vérité relatives qui
concernent des particuliers ou des personnes à caractère « privées » ou des
personnes morales ou ce qui a le droit de devenir propriétaire (cela a mis des
siècles à être considérée comme légitime que la propriété privée, parce qu’il y
a des droits et des devoirs qui y sont attachés y compris pour entretenir
l’ensemble. C’est donc un signe ou le résultat de milliers d’années d’êtres
humains civilisés qui a permis à travers son existence et sa légitimité à chacun
de survivre, chacun sachant ce qui est à lui, de droit). En tant qu’empereur-bouddha
tout nous appartient de droit y compris les animaux y compris les êtres humains
eux-mêmes y compris les os des défunts, mais je trouve cela contestable bien que
cela semble être de droit inhérent à ma fonction et à l’existence de ce
sarcophage, comme de la salle des machines qui, si j’ai bien compris, appartient
normalement de droit à l’empereur aussi. Or, j’ai pu vérifier en détail que les
instruments qu’elle détient ne permettent à aucun des espions de pouvoir
déterminer exactement de la vérité y compris en les utilisant pendant les
moments où les cerveaux se reposent inconscients. Les personnes qui l’utilisent
ne tiennent pas compte de l’ensemble des données stockées dans le disque dur
central de chacun[116].
Donc avec la salle des machines des machines à ne plus utiliser ou alors comme de vieilles attractions de
foire, beaucoup moins fiables qu’un ordinateur de notre époque car donnant des
résultats qui ne sont que des vérités relatives, ne tenant pas compte de tous
les paramètres liés à une personne depuis sa naissance, de sa complexité.
Par conséquent l’empereur que je suis est le seul habilité à rétablir la vision d’Atlantide
ou du Paradis avec le [très] grand variateur ([T]GV) dans la vieille salle des machines.
Cela signifie que si les personnes ont des titres de propriété quel qu’ils
soient, ils doivent assumer les responsabilités de chacune de ses propriétés au
nom de l’Empereur Universel Cosmique etc. et … (voir mes noms ci-dessus pour
détails) que nous sommes. Cela signifie que si ces propriétés ne sont pas
entretenues, elles peuvent être « confisquées » ou « réquisitionnées » par la
mairie ou par les représentants de l’Etat ou par la paroisse, si ces organismes
sont entre les mains de personnes qui n’y sont pas en imposteurs ou profanes et
qui ont la confiance de la famille impériale[117].
Cela est valable aussi pour chacun des Etats de la planète qui nous
appartiennent donc à l’issu de ce processus, comme depuis 1965, de droit.
Aussi, vous aurez compris, Monsieur le Cardinal, que l’État du Vatican lui-même
entier Nous appartient de droit, comme les âmes qui l’ont servi, mais aussi
celui de
Nous n’avons plus qu’à préparer l’avenir. Il y a des chiffres et j’entends
poursuivre le travail en serviteur déjà fidèle du pharaon suivant (pour
l’instant virtuel) qui aura des chiffres encore plus catastrophiques et
astronomiques que les nôtres à gérer, donc un travail certainement encore plus
considérable que le nôtre dont nous sommes déjà admiratifs. Ce pharaon, s’il
existe, a été fait par mes soins et ceux de mon père et ma mère depuis qu’ils
sont petits : ils ont réussi à faire passer le monde entier à eux deux des
années 1920 à celles d’aujourd’hui 2012 (je relis en 2017) et cela malgré l’épisode de
Aussi la barre a été mise très haute par ce « couple infernal » d’empereurs (mon
père et ma mère) incarnant l’honnêteté (si nécessaire après cette Seconde Guerre
Mondiale et nécessaire aussi pour construire ce futur qui est aujourd’hui notre
quotidien constellé par toutes ces solutions techniques et technologiques qu’ils
ont développé industriellement à l’échelle mondiale, grâce au capitalisme
permettant progressivement aux meilleures des revendications socialistes
d’advenir) et j’espère que la suite se
passera au moins aussi bien d’autant plus que nous nous sommes, grâce à cela,
fort heureusement éloignés tous enfin, très considérablement, de la période
aussi néfaste et malheureuse de 1928-45[118]
et que nous allons tout faire pour continuer à éviter, avec toutes les énergies
bienveillantes (les hommes et les femmes et les enfants mais aussi les personnes
âgées de bonne volonté), des retours aussi dramatiques (tragiques) en arrière à des
situations susceptibles de générer des conflits aussi stupides[119]
qui peuvent être de nos jours évités d’autant plus que personne d’intelligent ne
cherche une revanche, car chacun a compris que s’il y a un problème, le moindre,
cela vient de si loin dans le passé qu’il est forcément une répercussion de ces
époques lointaines et de l’ignorance qui y était bien plus étendue que celle de
nos jours (puisque les différents médias nous en préservent un peu – les
ignorants, au mauvais sens de ce mot, étant en contact plus souvent qu’autrefois
avec des sources de lumière ou la vérité qu’autrefois où elles n’étaient connues
que d’une ou deux personnes qui avaient certainement des difficultés importantes
à les faire apprécier – car plus les gens sont des abrutis ou des ignorants, au
mauvais sens de ce mot, plus ils deviennent imperméables à la vérité et plus
leurs incapacités les rendent peureux face au soleil ou à ce qu’elles signifient
ou induisent). Pour éviter tous les conflits à venir, il faut en tirer la leçon
principale à cette fin, des précédents conflits : avoir toujours présent à notre
esprit que ce qui nous entoure a exigé de nombreux siècles pour être notre
décors et que même si sur de nombreux points il y aura toujours des
améliorations à faire (aucun des ponts n’est terminé, par exemple, bien que
livré depuis longtemps y compris pour l’un des plus anciens à Paris comme celui
d’Henri IV), donc à y redire, comme de nombreux travaux à entreprendre, il n’y a
que les différents points habituels absolument nécessaires auxquels nous devons
travailler. Par conséquent sur les autres points nous n’avons pas à nous
comporter en enfants-gâtés (le pont sera terminé dans le futur) et nous avons à
comprendre que cela peut attendre, car tout conflit armé international ou
interrégional est un grand malheur, sauf s’il s’agit d’avoir à délivrer un pays
de la tyrannie d’usurpateurs ou de menteurs qui, soyons-en certains, détaleront
comme des lions ou des renards, sachant d’avance qu’ils ont tort d’avoir voulu
convoiter le bien d’autrui, ayant voulu prendre la place de personnes
véritablement compétentes et légitimes pour gouverner les peuples puisque ces
derniers se sont délivrées pour cela de leurs égoïsmes[120]
de lions ou de renards[121]
pour exercer une quelconque fonction (ce sont, en général, des êtres humains
accomplis, bien élevés). Nous attendons que les responsables qui sont à
l’origine de ces problèmes changent de métier d’eux-mêmes, sans contraindre
l’ensemble à les virer manu militari
pour laisser les places qu’ils occupaient en usurpateurs à des personnes
compétentes et de bonne volonté pour essayer de résoudre les problèmes que le
gouvernement d’inconscients ou de loups[122]
dans une bergerie (et non pas de bergers) ont créé (ruine générale, désert,
malheur, etc.) et que les conflits armés cessent car chacun d’eux peut être à
l’origine de dommages physiques, ce qui génère d’autres freins et d’autres
pertes de temps pour l’Ensemble, en raison de morts ou de blessés de soldats (ou
de civils) qui peuvent comprendre qu’en ces temps d’Internet ou de civilisation
des échanges commerciaux dus à la civilisation de la mondialisation des échanges
(qui a commencé avec
La partie encore vraie et saine de l’Eglise, comme la partie vraie et saine de
n’importe qui d’autre, sait avoir depuis toujours une mission d’arbitrage, de
juge, de conseil ou de diplomate ou bien d’autres talents permettant de bien
gérer et même de porter assistance. Si les lettres échangées émanent de
personnes à la recherche de la vérité honnêtement, elles sont rédigées de ma
propre main. Les autres, celles des menteurs, des tricheurs, des imposteurs et
des usurpateurs vous pouvez ne pas y répondre, mais c’est ici votre choix et
votre façon de procéder. Non la mienne, puisque qu’une personne qui prend la
peine de vous écrire mérite toujours une réponse[124]
même s’il s’agit d’un usurpateur ou d’un profane qui a virtuellement la
possibilité de ne plus l’être un jour (comme Jean Valjean qui soudain comprenant
qu’il avait fait fausse route avec ses semblables, des personnes douteuses et de
mauvaise vie, grâce à une rencontre – qui aurait pu être un livre, change).
Il ne faut pas oublier que bien que je sois le chef de toutes les religions, je
suis aussi le pharaon de l’ensemble de ces personnes appelées des « profanes »,
les menteurs, les tricheurs, etc. qui me doivent chacune des bonnes choses de
leurs existences respectives dans tous les temps passés, présents et déjà
futurs. Ils doivent cela aussi aux bons soins des membres de ma famille : à mon
père, le pharaon précédent, qui a fait en sorte (en suivant mes conseils)
d’abolir la peine de mort en France, comme peut-être dans d’autres pays, en
développant les alternatives que je lui avais demandé du futur, ces pistolets
paralysants électriques, y compris les armes à jet d’eau, comme les canons à
eau, contre les manifestants pour les doucher avec de l’eau, d’autant qu’ils
revendiquent souvent en qualité de menteurs, puisqu’ils ne font pas confiance
dans les études que leurs représentants pourraient se donner la peine de faire
pour leur demander d’écrire en vérité, pour envoyer ces écrits aux différentes
personnes concernées et compétentes qui, normalement, si elles sentent possibles
faire les améliorations proposées ou souhaitées, devraient être les premières à
vouloir les réaliser, quand ce sera possible (pour cela il faut que le prix du
pétrole baisse pour permettre le retour à la prospérité générale) et c’est aussi
pour cela que ces manifestations sont une perte de temps général car cela montre
que les gens n’ont toujours rien compris à l'Economie mais aussi à l’égard de ceux qui sont responsables
de l’ordre. Il est probable qu’ils soient capables de comprendre les situations
exposées au cas par cas et puissent trouver les moyens à plus ou moins long
terme d’y remédier !
[1]
(moi je sais que toute cette histoire m’avait
poussé à devenir une sorte de bandit, mais en
raison du fait que je n’ai pas fait semblant de
vouloir me marier ou être digne du mot de
« père » un jour, je crois que j’ai changé dans
le bon sens et dans l’intérêt véritable de mes
éventuels petits : je n’ai pas envie de les mal
conseiller et qu’ils se retrouvent en prison)
[2]
Si je dis cela c’est que je le dois à une
réflexion qu’on m’a faite quand j’étais encore
profane que j’aurais pu mal prendre, d’autant
que cela avait fait au moins une année entière
que j’avais travaillé sur le montage
cinématographique du film sur lequel a porté
finalement ma thèse de doctorat (film compris). En effet, après
une avant-première à la cinémathèque française,
invité par son président, un des spectateurs
dont je ne savais rien, Pierre Lartigue, m’a
écrit dans le livre d’or qu’il me souhaitait
« des ciseaux impitoyables ». Alors qu’en
présentant ce film, je croyais sincèrement avoir
terminé un film de deux heures vingt minutes (un
vrai premier long-métrage – de mon point de
vue), voilà qu’une personne qui n’avait jamais
fait de cinéma – car on m’a dit ensuite qu’il
s’agissait d’un écrivain – se permettait de me
faire une réflexion sur mon travail alors que je
montais avec une machine à scotché et non des
ciseaux ! Mais il est vrai qu’en voyant le film
projeté après tant de travaux sur un grand écran
et non pas sur la petite visionneuse de la table
de montage, je m’étais ennuyé à plusieurs
reprises et que j’avais moi-même conclu en
public, après la projection qu’avec cette
avant-première on m’avait permis de prendre
conscience qu’il s’agissait d’un premier grand
montage de présenté et non du film terminé et
que donc il fallait que je revoie tout cela
d’autant plus que la projection n’avait été que
muette. En fait, il s’agissait de la projection
d’un premier grand déruschage, d’un bout à bout
monté que j’avais pris sur le moment, en raison
de la masse de travail que cela avait exigé de
moi, pour le montage final du film, tant cela
m’avait déjà donné de difficultés d’autant que
j’avais eu tout à faire moi-même. C’est donc
sous la forme d’écho à ce que je venais de dire
dans la salle à l’issue de la projection dont je
ne me souvenais déjà plus que très aimablement
cette personne avait confirmé par écrit ce que
j’avais moi-même pensé. Je me souviens que je
n’ai pas vraiment compris ce que je lisais mais
que c’est le mot d’« impitoyable » que je n’ai
pas compris du tout sur le moment. Aussi me
remettant au travail pendant au moins un an et
demi au nouveau montage, j’ai découvert que ce
mot allait avoir une réalité puisque j’ai porté
la durée de ce film à quarante deux minutes
environ en me faisant une chose horrible à
moi-même : ce film dont je m’enorgueillissais
qu’il soit mon premier long-métrage durant
encore une heure trente quelques mois avant
(avec l’intention de faire une nouvelle
avant-première pour le découvrir sur grand écran
avec cette durée de long-métrage à laquelle
j’avais finalement renoncé pour faire un nouveau
montage) avait fondu au point de n’être plus
tout à fait un long-métrage de cinquante six
minutes au moins (aussi après tant d’années de
travail, par honnêteté et conscience
professionnelle (c'est-à-dire de plus en plus de
choix judicieux, de plus en plus de calculs, de
plus en plus de savoir faire acquis par
l’exigence des expérimentations et des essais et
des remises en questions constantes comme des
réflexions qui en ont découlés y compris les
certitudes – ce qui m’a permis d’acquérir un
véritable savoir faire de monteur) bien que
tenté à plusieurs reprises d’ajouter des choses
retranchées pour qu’il puisse bénéficier de
cette appellation de long-métrage, n’était en
définitive qu’un moyen-métrage tendant vers un
court long-métrage ! De quoi avoir honte car on
peut espérer qu’après tant de maux et d’années
de travail quinze à vingt heures de rushs
puissent donner au moins un long-métrage. Non !
seulement un court dans ce cas là ! En raison
que j’avais été « impitoyable » avec chacune des
images y compris avec moi-même). Mais le
résultat était que, de mon point de vue, on ne
s’ennuyait plus et qu’on pouvait le voir et le
revoir comme j’eus cette peine pour le présenter
un peu partout et à chaque fois finalement avec
plaisir en ayant pourtant toujours plus un
regard critique et « impitoyable » étant donné
que tout ces efforts, à la longue, et bien
d’autres que j’allais faire, allaient me
permettre de sortir du profane, me redonner la
mémoire et redevenir l’inventeur que j’ai
découvert je n’avais pas cessé d’être de 1965 à
1972, puis de 1975 à 1977.
[3]
Si cela avait été possible dans le passé. Cela
ne l’était plus depuis qu’il y avait des
dictionnaires, des ambassades, des traductions,
des spécialistes et des rapports de cousinages
entre les grandes familles de ces vastes
ensembles. Cela ne l’était plus non plus car les
moyens techniques et les transports motorisés
avaient fait comprendre à tous les gens
intelligents, depuis la naissance du train, que
cela favoriserait les commerces sur les grandes
distances en réduisant considérablement les
temps d’acheminement. Cela ne l’était plus car
on avait assisté avec les indépendances sud
américaines à l’échec des conquêtes et au début
de la grande vague de la décolonisation. Par
conséquent ces conquêtes devenaient ingérables
localement ou alors étaient très difficilement
gérables. La solution d’utiliser l’armée pour
conquérir n’aboutissait qu’à créer des problèmes
locaux avec les autochtones et engendrait
l’esprit salutaire de résistance vis-à-vis de
celui qui cherchait à « dominer » par les armes
et à imposer « sa » culture et « sa » langue en
étant incohérent avec sa soif d’apprendre la
langue et la culture des peuples « colonisés ».
Tout cela est si vrai qu’aujourd’hui nous avons
hérité collectivement de toutes les langues et
les cultures différentes ainsi que des systèmes
d’équivalence entre chacune des langues grâce
aux logiciels de traduction et par conséquent
que nous devons respecter la langue et la
culture de l’autre comme s’il s’agissait de
notre propre langue. Heureusement que nous
n’héritons pas seulement de cela mais aussi des
différentes histoires locales propres à chacun
des peuples et de ce passé où des langues se
sont imposées plus que d’autres en ces époques
où il n’y avait pas de ponts, de lignes de
téléphone, de télégraphes, ni de train et où il
a été nécessaire d’utiliser les armes pour se
protéger des abrutis, des barbares, des
personnes violentes ou des envahisseurs, des
voleurs et des pilleurs : (ces mots au sens
négatif) quand leur force n’est pas canalisée
dans les travaux admirables qu’ils sont capables
de fournir, à d’autres moments, quand ils font
confiance à de vrais chefs (ou à ces personnes
instruites) les exigeant d’eux pour leur bien,
pour calmer cette ardeur belliqueuse (qui
souvent provient d’un sentiment d’injustice
comme du fait qu’ils sont malheureux de ne pas
avoir les compétences de ceux qui les ont
acquises à force d’étudier), mais des peines
qu’ils prendront pour permettre à certains
d’entre eux de progresser (voir à quelques uns
d’enfin réussir à penser ou prendre leur défense
car ils se savent néanmoins les parents ou les
grands parents de futures personnalités qui
feront des efforts pour acquérir ces savoir
faire libérateurs grâce aux vraies études).
Aussi à l'inverse de la force brutale, la force manuelle
engendre alors des êtres qui accèdent au
spirituel, voire à la compréhension de Tout : au
transcendant).
[4]
(ce qui lui a permis, à la suite de sa guérison,
d’écrire tous les textes fondateurs de la
religions chrétiennes avec ceux des autres
évangélistes qui, eux aussi, au moment de
[5]
Mais le problème du profane ou de l’empereur ou
des impériaux vient de ce qu’ils n’ont pas,
jusqu’à mon père, de conscience et ne savent pas
ce que s’est d’en avoir une ou que très peu. Il
sauront qu’ils sont considérés en avoir une,
professionnelle, quand ils appliquent la méthode
ou les règles qui concernent leur métier
(c'est-à-dire une série de règlements à la
lettre comme quand on applique une loi ou qu’un
agent de ville met une contravention si une
personne est en infraction et c’est pourquoi ils
ne savent pas dans quel cas, en conscience, ces règles ne
s’appliquent pas). Aussi dès
qu’ils ont fini leur travail ayant su « cadrer »
à l’intérieur des définitions concernant chacune
des occupations de ces métiers, ils croient
qu’ils ont agi « en conscience ». Or la
conscience a aussi à voir avec une connaissance
multi dimensionnelle du temps, du bien et du mal
et de la chronologie des faits ainsi qu’avec la
mémoire, ce qu’un profane peut acquérir à force
de travailler. En effet, le profane n’a pas
conscience du temps et vit dans une grande
confusion ou désordre d’autant qu’il ne sait
plus ce qui est le bien et ce qu’est le mal (il
est donc fou au
SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce
mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances,
points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))– mais plus ou moins selon le cas). C’est pour cela que le travail permet de
structurer la vie d’un profane et finalement lui
donne la possibilité d’en sortir pour ne
connaître de l’existence que celle d’une
personne enfin de conscience, c'est-à-dire
capable de savoir quand un règlement s’applique
ou pas. Ou
bien il sera au travail tout le temps
même quand elle se divertit ou est en vacance ou
même quand elles se reposent, quoi qu’elle fasse
en ayant parfois à cause de cette conscience à
devoir organiser l’existence des profanes ou
créer les règles ou des méthodes pour encadrer
les profanes et/ou agir en tant qu’exemple ou
« maître », ce qui sera de son point de vue une
perte de temps pour toutes les créations
sacrifiées à cette nécessité d’intervenir dans
la gestion publique. En effet, cette personne
selon les moyens qui seront mis à sa disposition
ou ces occupations dans la cité sera parfois
contrainte de « sacrifier » ses talents
artistiques ou ses passions ou le temps qu’elle
pourrait consacrer à l’art.
[6]
Les seules véritables conquêtes de l’être humain
sont d’ordre spirituelles et ont pour socle la
recherche de la vérité. Est mille milliards de
fois infiniment plus un empereur celui qui trouve une
solution élégante à un problème qui se pose,
grâce au recours des sciences et sans jamais
déchoir à utiliser la force brutale, au sens
négatif. L’exaltation des soldats armés prêts à
se battre physiquement constitue de nos jours un
mensonge indigne des responsables politiques
(car c’est anachronique et incohérent avec la
réalité de notre époque). Utiliser les armes à
feu ou avoir à se fâcher pour avoir la paix est
toujours le signe d’un échec : on a soudain
affaire à des abrutis ou des ignorants, au
mauvais sens de ce mot, qui ayant perdu le bon
sens, voient faussement la réalité, sont devenus
sourds à des arguments exactes, contraignent à
employer la force : ils ne veulent pas entendre
raison ou comprendre la vérité de parole.
[7]
En réalité il s’agit toujours de personnes qui
sont devenues inconscientes et qui ne croient
pas spécialement mal faire. Elles cherchaient à
jouer et ne se rendent pas compte que l’autre
est dans un univers beaucoup plus compliqué qui
ne fonctionne plus du tout comme celui des
personnes devenues inconscientes.
[8]
L’insolence et l’irrespect des faux militaire et
des faux gradés : de ceux qui ont usurpé leur
position. Mais il y a aussi l’insolence de ceux
qui n’ont pas usurpé leur place (du point de vue
de ceux qui la convoite).
[9]
Il y a des cas où on a affaire à des faux
serviteurs de la religion.
[10]
Il y a un début à tout. Si on n’a pas fait
d’études on peut être garçon de café ou garçon
de salle ou pompiste. Ceux qui sont au sommet
des hiérarchies et qui y sont arrivés par
différents moyens suivent l’ensemble de leurs
collaborateurs. Il y aura progression pour une
personne qui est embauchée dans une entreprise
car s’il y a des choses très faciles à faire,
toujours les mêmes, il y a des choses toujours
plus difficiles à faire et de plus en plus de
responsabilité et de choses à vérifier pour que
l’entreprise fonctionne bien. Aussi il faut
accepter de commencer « au bas de l’échelle » en
faisant confiance à une hiérarchie mise en place
dans les entreprises qui fonctionnent bien. Si
on se montre efficace et compétent, il est normal
qu’il arrivera un moment où viendront des
propositions. Mais il y aura de nombreux tests
qui seront faits par la hiérarchie.
[11]
(et plusieurs raisons que j’ai eu à partir de
2005, une fois ma mémoire revenue en raison de
l’intervention de Dieu, pour exiger comme
condition cette amnésie au préalable qui était
convenue avec Lui, en 1975 – vous verrez plus
loin une ou deux raisons,
à partir de 2005, je ne pouvais pas faire
autrement - si je ne m'imposais pas une amnésie
(canonique en pareille situation) je ne pourrais
pas aimer Michèle Finck d'amour pur et à cause
de cela redevenir bouddha et pouvoir intervenir
à travers Espace et Temps, ce que je devais pour
sauver rétroactivement la situation. De plus
cela permettait de ne "tromper" Christine qu'à
première vue. En réalité elle ne fut pas trompée
puisque sans cette amnésie je ne l'aurais pas
fait. Mais c'est Michèle qui n'avait pas permis
que j'ai plusieurs épouses, ce qui a contraint à
recourir à m'infliger cette amnésie car je ne
pourrais pas aimer Michèle, alors que je ne la
connaissais pas encore, en sachant qu'elle
m'avait fait perdre les enfants que j'attendais
en Immculée Conception de Christine)
[12]
Cela ne m’est revenu que vers 2004 car je pensai
à me marier et à choisir une église à cet effet.
Mais pour moi qui avait à l’époque douze treize
ans et qui avait eu l’habitude de visiter les
monuments importants, je n’ai accordé aucune
importance à cela.
[13]
Ce qui m’a alors permis de comprendre la
liturgie comme l’eucharistie avec des yeux neufs
en comprenant un peu mieux ce personnage
historique très important à Rome – comme
ailleurs (ce que j’ai découvert plus tard en
Suisse aussi).
[14]
(je comprenais néanmoins que si cela avait été
possible pour nous en 1975, il aurait donné son
accord pour qu’on dorme ensemble et même qu’on
fasse l’amour – mais comme il me savait pudique
et qu’il était en cinq sur cinq avec moi, il a
conseillé des baisers car il savait que pour moi
à cet âge là s’était alors presque autant que
faire l’amour puisque d’une part je ne savais
pas ce que cela serait et que d’autre part nous
devions faire ce sacrifice précisément
de cela et que ça s’était déroulé ainsi
par rapport à la logique de l’Histoire dans ce
cas de figure de
[15]
Tous avaient néanmoins compris que ce serait en
amnésique, puisqu’il y avait eu celle de 1972 à
avril 1975.
[16]
Ou alors ils ne vont s’intéresser qu’à la
lecture de mensonges sans les discerner comme
tels.
[17]
A propos des cinq à six mots qu’ils ont voulu
persécuter sans comprendre que chacun d’entre
eux était, par ailleurs des milliards et plus encore à l’infini
de mots véritables, d’expériences véritables,
des choses vraies (ou de bibliothèques y compris
de souvenirs respectables, etc.)
[18]
A ce sujet, cet épisode sera décrit
ultérieurement ailleurs tant il fut dense en
découvertes.
[19]
– c’est alors qu’en prenant conscience que cette
chose que j’avais pensé était fausse la vision
du Paradis et d’Atlantide a disparu -
[20]
Compte tenu du fait qu’adolph hitler était
profane ignorant le bien et le mal (n’en ayant
pas conscience). Mais c’est très difficile à
admettre dans le monde de la vérité et ce n’est
donc pas acceptable. Cela ne l’est qu’en tenant
compte d’un système mathématique qui n’existe
pas sur Terre et qui tiendrait compte de choses
qui, avec raison, ne sont pas admises dans le
monde des êtres humains s’était débarrassés de
l’enfant-gâté. Et c’est donc bien trop compliqué
à faire comprendre. Autant y renoncer ou
remplacer cette éventualité par trois petits
points.
[21]
Quand le diable, son opposé, est intelligent ou
sensé, pourquoi ne pas y croire ou faire comme
si. Cela lui arrive d’autant qu’à chaque fois
c’est quand il essaie de se faire passer pour
Dieu.
[22]
Alors que chacun de nous, même les personnes les
plus religieuses sont athées à certains moments,
y compris d’autres mots. Ce n’est que durant le
temps qu’on consacre à la pratique religieuse
sans faire semblant qu’on est religieux. Les
prêtres le savent bien et changent de vêtements.
Ils ont un vêtement dans le civil où, bien que
prêtres ils seront soumis à des moments
profanes, laïcs, athées, les inconscients ou
d’ignorants, au bon sens de ces mots et des
corollaires. De même les profanes, les laïcs,
les inconscients, les ignorants,
au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans
d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)), font de bonnes actions à certains
moments et ne sont pas seulement ces mots au
mauvais sens de ce mot.
[23]
La « faraona » en italien.
[24]
Le contexte d’origine de la famille de
Strasbourg.
[25]
Le peuple capable de violences aveugles (de
personnes devenues sourdes au bon sens).
[26]
Les focalisant sur ce qu’elles croient à tort
être un avantage.
[27]
Et de nombreuses connaissances véritables dont
ces personnes se rendent alors capables par
amour – au sens spirituel de ce mot – des
prochains et de ce processus qui est à la portée
de toutes les personnes de bonne volonté.
[28]
(peut-être trouvera-t-on ainsi les os d’ancêtres
qui sont proches de familles de notre époque
dont nous aurons l’ADN quand cette pratique se
répandra un peu comme celle de la carte
d’identité génétique de chacun d’entre nous,
fiers de notre patrimoine et de tous ces
nombreux chiffres qui signifient des choses
exactes à notre sujet que les spécialistes
découvriront dans les années ou siècles à
venir !)
[29]
Qui peut parfois se présenter à elle sous la
forme d’un vilain petit canard, ou d’un crapaud.
[30]
(c’est l’animal qui est un ancien enfant-gâté
puisqu’il se prélasse sans se donner la peine de
rien faire dans les appartements en tant que
chat ou chien, sans plus pouvoir penser, et en
croyant pouvoir s’offrir le luxe d’être servi –
ce n’est pas l’être humain)
[31]
(ouverture de l’Eglise aux spécialistes venus
d’horizons divers et aux autres sciences n’étant
pas compétant en sciences théologiques, par
conséquent souvent très profanes mais commençant
à s’y intéresser en raison d’avancées de travaux
dans ces autres disciplines).
[32]
Mon amnésie à été telle que quand j’ai su cela
de moi, j’ai mis des années à croire possible
avoir été capable de cela dans le passé,
d’autant plus des effets de l’amnésie qui
m’avait rendu profane de 1978 à 2005 et permis
d’oublier les souffrances d’autrefois traversées
de 1965 à fin 1977 au moment de ma séparation
sacrificielle d’avec Christine réitérée sous
cette forme. J’ai donc mis beaucoup de temps à
croire possible que celui que j’étais devenu
s’était rendu, comme dans une autre existence,
capable de tant d’abnégation, au profit de tous,
d’autant que j’avais pris l’habitude du
contraire en qualité de profane et j’ai alors
découvert à partir de 2005 que cela avait été le
cas à deux reprises en 1965 et à partir de 1975.
C’est pourquoi il s’est agi d’un véritable
changement, comme d’une conversion à un individu
tout à fait différent de celui qui n’était
devenu celui qu’il avait été qu’en raison
d’amnésie, pour être un conformiste et un
conservateur au mauvais sens de ces mots y
compris dans les rapports de couples: soudain je
découvrais que j’avais connu l’amour véritable,
donc que je pouvais de nouveau avoir une idée de
ce qu’amour peut signifier : je ne m’en suis pas
privé avec
[33]
C’est pour cette raison que c’est stupide
d’utiliser ces machines pour faire avoir des
rêves érotiques aux enfants ou à ceux qui vont
avoir vers l’âge de l’adolescence leur semence.
Plutôt elles seraient à utiliser si une personne
est devenue impuissance, à la place du Viagra,
dont j’ai communiqué la formule chimique à
travers le temps (en faisant le scandale que
cela a dû faire dans le monde des religions qui
a cependant raison de penser qu’il ne faut pas
utiliser ce genre de moyen – oui, mais il y a
des cas particuliers qui pourraient en avoir besoin et dont
sont seuls juges ici, en conscience certaines
autorités médicales ou les personnes elles-mêmes,
si elles sont pourvues de conscience). Je crois
même que ces machines à cauchemars ou à rêves
avaient comme fonction de l’autoriser uniquement
à des fins médicales, dans certains cas, si les
individus le réclamaient (quand elles
appartenaient à tous en indivision et quand tous
étaient au courant de leur existence). Le fait
qu’elles aient été utilisées par un groupe sur
d’autres qui en ignoraient l’existence cela a
fait apparaître comme diaboliques ces
phénomènes, par conséquent non naturels et
violant les droits ontologiques et inhérents des
personnes à réclamer ou à ne pas vouloir être
les sujets de ces rêves ou cauchemars qui sont
en conséquence apparus comme des malversations
ou des mauvaises plaisanteries ou des mensonges
(ce qu’ils sont sur le plan sexuels étant donné
que cela est une parodie de l’amour pour tous
ceux qui s’étant débarrassés de l’enfant-gâté et
de l’égoïste (de l'adolescent) en eux, ont connu l’ouverture de
leur esprit et ont accédé ainsi au monde de la
vérité et de l’amour qui existait entre les
individus en Atlantide (nôtre réalité mais une
fois que le Très Grand Variateur est activé ce
qui permet de faire se révéler Atlantide que
j'ai eu à rebaptiser / renommer de mes noms se
résumant à Granier Lang d'Ôz) avant que l’esprit ne se
referme à cause de l’usage des machines
d’Atlantide en inconscients, ce qui a conduit
ceux dont il s’était refermé cérébralement à se
rendre prisonniers de la vieille salle des
machines en se rendant contraires (avec cette
mentalité de propriétaires esclavagistes
détenteurs d’une arme – la salle des machines) à
la fraternité véritable entre les êtres humains
qui est amour de l’autre, respect de l’autre et
par conséquent de sa sexualité qui ne peut donc
pas être profanée ou violée sans le consentement
de l’individu en question. Cela confirme que si
on utilisait ces machines dans les temps passés,
avant la scission qui s’est produite entre les
hominidés à ce sujet, ce n’était que pour des
raisons médicales, à la demande des hominidés
eux-mêmes concernés par le problème et jamais
pour faire une plaisanterie à l’insu des
personnes qui dormaient. Cela signifie aussi que
ceux qui se sont abaissés à faire ces mauvaises
plaisanteries contraires au droits fondamentaux
intrinsèques des individus sont les héritiers
d’une situation qui a joué contre leurs intérêts,
puisque ne parvenant pas à comprendre qu’ils
n’avaient pas le droit jusqu’à ces dernières
années où ils l’ont finalement justement reconnu
sont demeurés profanes ou ont été faits profanes
artificiellement à cause de la possession en
commun de ces machines. C’est ainsi qu’en
devenant riches de ces machines ils sont devenus
pauvres d’esprit (les fonctionnalités de leur
cerveau se sont refermées et se sont réduites à
ne plus être qu’au service de la sensualité, ce
qui leur a posé des difficultés vis-à-vis de
toutes les catégories en leur empêchant de
trouver les liens qui existent parfois entre les
unes et les autres – ce que notre époque avec la
solution élégante des liens hypertextes (les
laurYens) a permis
de soigner grâce à ceux qui ayant fait des
études en vérité on réussi à trouver les moyens
de programmer les logiciels pour les rendre
faisables étant donné que ceux qui sont
handicapés par leurs cerveaux malades
n’arrivaient plus d’eux-mêmes à faire ces liens)
car ils croyaient détenir une arme (croyant que
les autres étaient leurs ennemis alors que
ceux-ci n’ayant pas voulu les rejoindre dans la
vieille salle des machines s’étant débarrassés
de l’enfant-gâtés en eux – c'est-à-dire
précisément de cet esprit là qui va mener
certaines personnes à croire être plus
importantes parce qu’ils « ont » une choses que
les autres n’ont pas, ce qui n’est pas fraternel
et donc
incohérent par rapport aux valeurs de
« fraternité », par exemple, prônées par la
société française – et ne pouvaient avoir de l’amour
que l’idée même qui existait dans la véritable
Atlantide quand ces machines étaient à tous et
qu’elles servaient certainement pour rendre la
vie gaie)
qui s’est avérée ne pas faire le poids
avec le cerveau logique, rationnel, scientifique
de l’homo
sapiens sapiens qui a su recréer tout autour
de nous des machines pluri dimensionnelles à
rêver (cinéma, etc.) dans la réalité quotidienne
et dans la journée, ce qui permet, en conscience
(donc avec tous les moyens intellectuels pour
analyser à tous les niveaux de lecture) de les
utiliser comme les utilisaient nos ancêtres à
l’origine pures spirituellement et sexuellement
les machines d’Atlantide avant que la vieille
salle des machines ne soit occupée par ceux qui
en sont devenus impures puisqu’ils n’ont voulu
avoir avec eux que ceux dont l’esprit s’était
perverti comme eux et ont considéré les autres
comme des « résistants » ou des « esclaves », à
tort, puisque ceux-ci étaient chacun des
penseurs, des êtres d’une grande
sensibilité, des mathématiciens, des poètes et
enfin, certains d’entre eux des artistes
universels, comprenant la réalité au point
qu’ils se sont mis à la recenser et l’archiver
par catégorie de mots en découvrant la logique
intrinsèque inhérente existantes dans certains
mots tant écrits que prononcés au point que
naturellement leur est venu à tous la certitude
qu’il y avait un Dieu ou des dieux puisque par
exemple, l’étude des plantes avait permis de
comprendre la vertu de celles-ci et d’en
utiliser certaines pour la fabrication de
médicaments, ce qui a créer le dieu de
[34]
(ce que n’importe qui aurait fait à sa place
après ce dont il avait été responsable, à moins
d’être quelqu’un de conscient de son erreur et
de sa responsabilité et de se rendre aux
autorités en reconnaissant ses torts, ce dont il
n’avait certainement pas encore pris conscience
car sinon il l’aurait fait – ce qui signifie
qu’il croyait avoir eu raison – donc qu’il
n’allait pas bien, de toute évidence, quand tout
cela s’est produit)
[35]
(en jetant le discrédit sur cette condition dont
je ne savais pas encore qu’elle avait fait mieux
que Franklin D. Roosevelt avec notre personne
puisque j’allais découvrir que c’était à
l’échelle interRégionale mondiale que j’allais en hommage pour
ce grand homme, opérer)
[36]
(il faut évaluer les projets présentés et on
peut se tromper, il y a de véritables risques
qui ont augmentés encore plus du fait qu’il
s’agit de l’argent déposé par des clients qui
ont le droit, dans le cadre fixé de le retirer,
ce qui contraint la banque à disposer en
permanence d’une trésorerie ou d’une marge de
bénéfices pour rembourser ces prêts. Celui-ci
ayant vu le jour au fil des années par une
judicieuse gestion dans l’intérêt lui-même de la
société. C’est pourquoi il va en vouloir à ces
organismes qui affichent des profits ou à
première vue une certaine opulence alors qu’ils
sont toujours en difficulté même en ayant de
très grands bénéfices puisque l’objectif est de
réussir à créer du profit pour permettre à des
particuliers d’entreprendre et d’avoir du crédit
ou de pouvoir compter, en cas de problèmes,
comme l’état lui-même, sur des aides ou des
emprunts possibles. Le monde de la finance
n’étant donc, dans ce cas là, que positif et
tout ce qui se dit contre lui, de la calomnie
qui provient donc d’une ignorance, au mauvais
sens de ce mot, de certaines des professions qui
le concerne ou qui lui sont utiles pour créer de
la richesse grâce aux épargnants).
[37]
Il ne sait peut-être pas pourquoi il est
interdit de faire de la fausse monnaie et
pourquoi chacun des Etats souverains ont le
droit en toute légitimité de battre de la
monnaie. C’est qu’il n’a pas étudié la raison
des lois et va donc se retrouver en légitime
empereur (à cause du sarcophage) mais totalement
incohérent avec son époque et le sens de
l’Histoire y compris hors les lois elles-mêmes
mais avec très certainement des choses qui sont
reliées à l’existence de ce sarcophage (des
droits inhérents qui datent du premier
empereur)- d’où un véritable problème.
[38]
Aujourd’hui celui qui a l’eau courante, une
toilette, une radio ou une télévision et un
petit chez lui sait qu’il est riche (c’était
déjà le cas avec une simple radio et un travail
(ce qui permet de faire des économies), mais il
y a eu à ce sujet de nombreuses personnes qui
ont voulu avoir des richesses supplémentaires
sans les mériter réellement.
[39]
(ce dont j’ai fini par me souvenir vers
2005-2006 en 1975-1976 – car cela s’était passé
comme ça et en raison des voyages dans le temps,
un paramètre - certes improbable pour l’instant,
car techniquement en avril 2013 de la science
fiction dans l’état de nos connaissances
techniques, bien qu’en tant qu’œuvre de l’esprit
concevable - que je me devais de ne pas oublier)
[40]
– alors que du futur j’intervenais pour qu’on
utilise les canons à eaux au lieu des armes à
feu pour les protéger et annoncer ce joyeux
mouvements en raison naturellement d’une nouvelle
génération qui étant né après guerre n’était
plus concerné par le problème d’adolph hitler,
ou moins et qui, c’est normal, était lasse
d’attendre selon les vielles traditions d’avoir
le droit de se marier – j’en savais quelques
choses puisque cela faisait deux ans et demi que
j’attendais d’avoir le droit d’embrasser ma
légitime promise – et c’est ainsi que j’ai lancé
le mouvement de la libération de la femme et des
mœurs y compris le droit à l’avortement légal –
bien que je sois contre – y compris la
contraception – car j’avais bien compris le
problème une fois en 2005 et surtout : cela
s’était passé comme ça – mais je veillais à
protéger le Général de Gaulle en lui disant
d’aller faire une tournée à l’étranger, de même
que n père et moi étions saufs à Rome où je
pouvais commencer à étudier le problème
sérieusement en découvrant les trésors que la
foi et la religion chrétienne avaient su créer
et en comprenant alors, bien des choses, que
ceux de ma génération en France ou à l’étranger
ne pourraient comprendre que grâce à des livres
ou des films en couleurs – ce que je fis faire à
mon père du futur, par conséquent en mettant à
contribution
aussi les impériaux d’adolph hitler qui
passaient sous les ordres de mon père – mais
certains avec le désir d’arnaquer ce jeune
nouveau pharaon de quarante à cinquante ans
(d’âge) seulement qui devait protéger le pharaon
suivant, encore, par bien des choses un vrai
bébé (moi) qui, du futur, en virtuel, alors, a
compris que c’était donc comme ça qu’il fallait
être pharaon et qu’il n’y avait pas d’autres
solutions car sinon j’allais être détruit par le
suivant (et comme je ne suis pas belliqueux, ni
maso, (ni sadique) je n’ai eu le choix que du
bon sens: j’ai préféré devenir par l’ensemble
des peines que j’aurais dans le passé déjà le
serviteur du suivant, avant même qu’il soit
connu (ou qu’il naisse) de qui que ce soit, y
compris de moi, et aussi du suivant et ainsi de
suite en ayant à cause de cela à beaucoup
étudier tout au long de ma vie pour être capable
de prévoir et d’anticiper les besoins de leur
génération (d’où le nombre de projets
pharaoniques dans lesquels j’ai lancé mon père,
ce qui a permis de faire le bonheur et la
célébrité internationale d’innombrables
personnes compétentes en créant toute sortes de
civilisations différentes (autant que de
catégories ou presque).
[41]
Une catastrophe qui pourrait sur le long terme
bien finir car parce qu’il s’est trompé je ne me
suis pas trompé ni mon père étant donné que « sbagliando
uno s’impara » ou que « uno impara grazie agli
sbagli di un altro per non più sbagliare ».
Aussi je suis contraint d’être reconnaissant à
mon grand père empereur comme à mon arrière
grand-père napoléon premier de s’être à ce point
trompés même si pour de nombreuses personnes je
ne devrais pas et c’est même inconcevable d’être
reconnaissant à des personnes qui ont aussi
mauvaise réputation que cela et à qui je
pourrais avoir bien des raisons d’en vouloir.
[42]
Ce que les ouvriers en 1968 ont réclamé pour
leurs enfants avec les étudiants (et que nous
avons pu réaliser grâce à Internet (ChristinYnet
/ LaurYnet) dont j’ai
expliqué à 1975, du futur, comment le créer
en réalisant ainsi l’espoir des ouvriers et des
paysans (avoir accès à la culture autrefois
seulement réservée au Tzar, au rois et aux
reines y compris à toute la société des gens
instruits). Mais cela allait signifier pour ma
famille et pour moi d’avoir à souffrir des
choses intolérables et injustes très longtemps,
au moins jusqu’à ce que les gens comprennent que
j’étais un homo
sapiens
sapiens sapiens et pas seulement un
sapiens
sapiens comme la plupart des ingénieurs
polytechniciens. L’évolution et le problème qui
s’était posé avait finalement donné naissance à
un être à part qui n’utilisait plus les armes à
feu pour régler les conflits mais seulement la
vérité et la pédagogie comme les mots exactement
y compris toutes les sciences en raison de la
géométrie et de toutes les machines qui sont
toutes conçues, comme l’anneau de mariage, de
façons exactes et géométriquement. Aussi,
j’étais simplement comme un hyper-super
ordinateur-robot qui utilise des instruments en
ne cherchant qu’à faire le bonheur de tous les
êtres vivants en ne passant mon temps qu’à
trouver solutions élégantes, les unes après les
autres à leur place, comme l’homo
sapiens sapiens qui ne fait que cela depuis
des millénaire mais aussi plus récemment dans
les scénarii, ou dans toutes les activités
d’ingénieurs ou toutes celles de véritables
enseignants ou artistes. Bien sûr, j’avais pu
découvrir ce qu’est un menteur y compris
constater que celui-ci ne sait pas qu’il l’est
sur le moment et croit même être dans le droit
des profanes (ce qui donne des réactions d’une
rare bêtise qu’on croit alors sur le moment
intelligentes), mais comme j’ai pu vérifier
autant que cela toutes les lois et que la vérité
existe, je suis comme n’importe laquelle des
machines qui dit vrai face à des menteurs : leur
serviteur pour les aider ou pour qu’ils
parviennent à retrouver un peu de bon sens et à
se sortir de ces vues mensongères qui ne leur
permettent à certains d’entre eux – les plus
détériorés – qu’hélas que de croire que ces
machines ne sont au service que du mensonge et
de leurs intérêts mensongers – ce qui a été le
cas de certains êtres humains avec l’instrument
de
[43]
(c’est peut-être pour cette raison qu’il aurait
été fait : le désert qui gagne toujours plus du
terrain et la peur à l’époque – comme de nouveau
à la nôtre - comme à cause de cela la nécessité
d’émigrer vers des terres plus hospitalières, ce
qui a amené ce sarcophage finalement à Rome
après plusieurs millénaires en Égypte à moins
que les sarcophages des empereurs égyptiens
soient encore en Égypte – ici, pour le moment, à
ce jour du 11 mars 2013 - personne ne m’a encore
expliqué et j’y vais par déduction bien que je
sache de façon certaine pour l’avoir vérifié que
ce sont tous les empereurs - depuis le premier -
qui sont entrain d’écrire ce texte avec moi - ce
qui signifie qu’ils sont canoniques comme ma
personne et que cela me permette de savoir qu’en
tant qu’empereur j’ai normalement tous les
droits anciens des premiers empereurs y compris
celui de tuer – mais comme j’ai découvert ce
qu’à la possibilité d’être un être humain pour
peu qu’il fasse des efforts et aime se donner
des peines comme choses extraordinaires, s’il
parvient à se délivrer de son enfance et de son
adolescence d’enfant-gâté y compris s’il arrive
à passer au-delà de l’ouverture de son esprit,
je considère les êtres humains comme précieux et
je n’ai pas envie de tuer les malfrats ou les
bandits ni les assassins d’autant que je sais
qu’ils sont capables de se comporter très
aimablement comme de bons chiens et de bons
chats et qu’ils peuvent avoir cette
perspective, s’ils veulent se donner du mal, et
devenir vraiment des gentilshommes en se
débarrassant de cette animalité ou de cet
égoïsme qui les a rendu enfants-gâtés pour [re]devenir
des êtres humains)
[44]
(deux trois fois, disant alors n’importe quoi,
ce qui n’inquiétait personne car dans le monde
des profanes on a le droit de dire n’importe
quoi ou de penser n’importe quoi étant donné
qu’on sait honnêtement qu’on est au moins un peu
fou et qu’on ne voit que son propre intérêt y
compris quand on parle à propos du plus général
– dont on a une idée que seulement pour
favoriser ses amis ou ses proches, sans
scrupules pour les autres (c'est-à-dire ce
« général », dont on a alors du mal à évaluer ce
qu’il signifie en vérité, puisqu’on le voit du
point de vue du menteur ou de celui qui est
coincé dans son parti qui cherche à obtenir des
marchés pour survivre ou tirer le diable par la
queue)
[45]
Depuis j’ai ajouté « saint » en raison des
Chemins de Croix où personne n’était là pour
m’aider pour me relever – il a fallu que tout
seul j‘auto-répare à chaque fois entièrement et
que je crée d’avance les conditions pour cela –
que je les prévois alors que je n’étais qu’en
1965 ou en 1975 (c’est grâce à une histoire
d’amour liée à un mythe dont j’ai vérifié qu’il
est vrai comme un axiome, celui d’Isis et
d’Osiris, que j’ai réussi cela).
[46]
C’est un paramètre que je n’ai pas le droit de
négliger puisque cela concerne la notion
d’handicapé qui n’existe que parce que Dieu
existe (c'est-à-dire – ou alors – la notion de
« bien » par opposition à celle du mal qui
aurait fait qu’oubliant ce paramètre je ne me
serais pas soucié de cela comme cause du fait
que cette personne est devenue criminelle ou
méchante à certains moments au lieu de devenir
une personne au service de ce qui est plus ou
moins partout sur cette planète : « le bien ».
Certes il y a aussi du mal – mais nous avons vu
qu’il peut provenir d’un problème génétique ou
d’un disfonctionnement cérébrale : le menteur
est celui qui connaît cet état puisque cela ne
lui permet plus de discerner ce qui est vrai de
ce qui ne peut pas l’être – ce qui a été le cas
de ceux qui n'ont pas su discerner au sujet des ces mots dont le contenu a été
l’objet de persécutions entre 1920 et 1948 y
compris après chez ceux qui se sont accrochés à
des façons de les voir qui sont partiellement
fausses ou totalement fausses ce qui va par
exemple faire que des personnes vont avoir peur
de ce que représentent les mots en question.
C’est la peur de l’inconnu qui n’existe pas chez
l’animal sage comme le singe qui peut trouver
l’écran d’un ordinateur ou une moto en pleine
forêt amazonienne en trouvant ça normal – ce qui
est juste – aussi celui qui a peur de tout ce
qui est étranger est un malade qui n’est pas
encore né ou venu au monde puisque dès le
premier instant de notre naissance tout ce qui
nous entoure est étrange au point que nous
aurons à apprendre les mots pour pouvoir nous y
référer en pensée. Nous apprenons alors ce
qu’est le mot de « mur » ou celui de
« fourchette » quand nous devons mettre la table
ou celui de « serviette » et nous apprenons à
quoi ils servent, leur usage – il y a donc une
vérité de premier niveau, élémentaire. Nous
apprendrons par la suite, grâce aux études et
aux formations diverses comment en concevoir
d’autres et les fabriquer. C’est en prenant
connaissance de ce qui est étranger, de ce qui
est différent de nous-mêmes ou en cherchant à
comprendre cela que nous pourrons aller vers "l’ouverture d’esprit". L’attitude
protectionniste ou autarcique ou méfiante
vis-à-vis de ce qu’on ne connaît pas mène à la
cécité ou au conformisme de villageois inchangés
ou traditionalistes ne comprenant ce
qu’induisent toutes les nouveautés ou les mots
nouveaux, ou, dans les villes, à devenir des
« bourgeois comme tout le monde », donc des
personnes en définitive stériles et incapables
de recherches, donc de faire fonctionner le
cerveau pour qu’il mouline à partir de ces
éléments étrangers (ou à l’extérieur de lui,
dans la réalité qui est autour de notre tête) et
qu’ils puissent servir le monde de
l’imagination, des nouveautés et de la
création).
[47]
Mais il y en a qui sont trop onéreux et c’est
ici qu’on les aime moins car on voudrait les
acheter.
[48]
Mais qui a eu l’intelligence, en faussaire, de
payer A. Dürer dans le passé pour faire croire
l’empereur le plus intelligent des hommes, alors
qu’évidemment c’est le peintre en question qui
le fut et qui eut, parce qu’il était payé,
l’intelligence de flatter cette notion
d’empereur dans le sens du bien, ce à quoi
profane, comme autrement, j’ai bien fait de me
laisser prendre.
[49]
(de ces mots pour minimiser des attitudes qui
sont sinon des dessins ou des scènes visibles y
compris dans le quotidien – donc inadmissibles)
[50]
Qui ouvre sur la dimension religieuse.
[51]
Comment aurais-je pu autrement puisque j’étais
nouveau né deux ans avant.
[52]
Or je suis le pharaon qui n’a à ce jour de
septembre 2017 jamais eu accès à
sa salle des machines d’autant plus que je sais
qu’on n’a pas le droit d’être maître-chanteur
ou intimidateur d’aucune façon – c’est très mal élevé et le
signe toujours de lâcheté comme de bassesse ou
qu’il s’agit de menteurs ou de personnes
capables de se conduire en terroristes donc en
insensés - je n’ai nulle intention d’être
d’aucune façon maître-chanteur car je crois à la
pédagogie et au triomphe des arguments justes et
logiques (les logiciels attestent bien que
toutes les matières auxquelles ils s’appliquent
fonctionnent logiquement ce que
Monsieur Spok
pensait sur le vaisseau Enterprise) comme que
chaque chose ne peut bien se faire que par
consentement mutuel et sur la base d’accords
mutuels contractuels inscrits, négociés ou
renégociables. Je ne crois pas possible de
censurer qui que ce soit puisque je connais les
effets de la fatigue qui est capable de faire
penser n’importe quoi même à des gens justes ou
à des gens n’en pouvant plus d’avoir à se battre
avec des mots, des phrases, des inscriptions et
je sais que normalement les gens qui parlent ou
qui écrivent recherchent chacun à leur façon la
vérité parfois sur des mauvaises bases ou alors
utilisent l’écriture ou la parole mensongèrement
sans s’en rendre compte, parfois simplement pour
provoquer par inconscience des écritures
inverses, sensées, rationnelles ou appartenant à
d’autres catégories y compris celles des
inconscients ou simplement pour avoir les bonnes
explications qui permettent de comprendre
pourquoi existent belles et bien les vérités et
la vérité.
[53]
(parce qu’on m’aurait rendu la vieille salle des
machines parce que
Michèle Finck aurait pu être élevée par
mes parents empereurs à Rome et donc connaître
la fin de son enfance et de son adolescence, au
mauvais sens de ces mots, y compris l’ouverture
de son esprit, en nous fréquentant ou en vivant
avec nous et Christine qui aurait été élevée
bébé avec moi dans Jardin de Pharaon – d’autant
qu’à deux ans et demi j’étais plutôt sacrément
initié pharaon puisque je faisais intervenir
d’avance ma virtualité pharaonique du futur pour qu’on
comprenne qu’il fallait qu’on me rende cette
salle des machines – et du coup Christine aurait
été élevée comme une sœur protégée par son frère
et sa grande sœur et donc n’ayant pas à craindre
une rivale en Michèle car mes parents et ma sœur
ainée y aurait veillé ainsi que mes frères
ainés)
[54]
Ce qui a fait que j’ai été quelques fois grondé
avec raison.
[55]
En fait j’étais aimant de mes frères ainés.
[56]
Ci-dessous dans le menu « outils » de Word 2003
avec lequel j’élabore cette lettre, vous en
trouverez une ébauche. Car évidemment pour
intervenir ici avant même d’y être, j’ai du
faire, vous l’aurez compris, les statistiques
sur tout et cela dans toutes les catégories de
calculs possibles ou même encore inconnus
comme j’ai eu absolument tout à mesurer.
[57]
Mais ici, selon qui il fréquentera ou qu’il aura
en tant que famille ou comme entourage, il
deviendra un homme ou un vaurien ou alors encore
moins que cela. Dans d’autres cas, cela en a
fait des dieux comme chacun des artistes
universaux
[58]
d’autant qu’elle ne pouvait pas se douter à
l’âge de cinq ans de l’ouverture d’esprit de
l’Eglise pour accepter une chose aussi simple,
mais qui allait exiger néanmoins des moyens
considérables pour me permettre de l’exposer et
de le faire admettre comme une hypothèse de
travail intelligente et en adéquation avec
l’époque
pour les personnes s’étant débarrassées
de l’enfant-gâté, de l'adolescent et de
l'égoïste en elles, étant donné que
l’époque avait bien signifié qu’il n’est plus du
tout possible d’avoir des relations autres
qu’écrites et réfléchies y compris enregistrées
en tant qu’actes, car ce qui n’est pas écrit
peut être difficile à comprendre pour des
personnes différentes : l’oral se rendant
souvent coupable à l’origine de malentendus
comme de difficultés pour rendre compréhensible
la complexité de situations qui, comme celle-ci,
était cosmique et remontait à l’origine du
problème et de la division entre ceux qui d’un
côté devinrent à cause de cela
homo
sapiens (logique en pluri-dimensions mais
qui eurent infiniment de difficultés pour
traduire cette simplicité logique qu’ils avaient
en eux) et les autres qui demeurèrent des
tricheurs car attachés à la vieille salle des
machines alors qu’ils n’auraient pas voulu et
qu’ils crurent même le contraire, à certains
moments, ou cherchèrent à le faire croire et par
conséquent de vrais paresseux. Cela est le cas
même s’ils travaillent énormément. En effet, ils
ne seront portés à choisir que des choses
faciles ou qui nécessitent d’appliquer des
méthodes les ayant rendu faciles à exercer.
C’est la mentalité de celui qui dresse des
procès-verbal ou qui poinçonne les billets ou
qui règle la circulation ou qui enlève la
voiture qui est en stationnement gênant en
appliquant les règlements ou celle du douanier ou
de bien d’autres métiers faciles
(artisan-encadreur, par exemple), qu’on donne
aux débutant : arroseur, balayeurs, femmes de
ménage, etc. car c’est comme cela qu’on commence
y compris en ayant simplement à porter des poids,
grâce à une brouette ou à la mine vivre avec un
pic pour faire une action, toujours la même, qui
n’exige pas de faire des efforts intellectuels
mais qui pourra permettre à force, grâce aux
différents paramètres extérieures, d’apprendre
à jouer son rôle dans la société en comprenant,
qu’en raison des compétences et des
responsabilités, il y a ceux qui n’ont pas volé
leur statut de juge ou de souverains ou de
personnes compétentes y compris de bienfaiteurs
de l’humanité (il est normal qu’ils fonctionnent
différemment et qu’ils aient d’autres droits
comme d’autres revenus financiers propres et
mérités de droit (RFPMD) en raison de la
difficulté de leur métier qu’ils sont si peu
nombreux à exercer ou à connaître : même s’il y
a eu de nombreuses période de Picasso, il n’y a
que Picasso pour faire ce dont il s’est rendu
capable (parfois la nature) – et ce fut pareil pour d’autres
universaux qui par leur travaux ont donné à voir
et à entendre l’existence de très nombreuses
autres Atlantides). En effet, par la quantité de
gens semblablement capables d’exercer la même
activité qui ont été inventé chacune par charité
par ces grands esprits, ces appellations de "bienfaiteurs de l’humanité" ou d’autres sont
d’origine contrôlée ou réservée ou s’adapte donc
comme certaines décorations ou prix à des
personnes plus rares ou spécifiques. Bien sûr on
peut toujours s’amuser comme un chien à se
considérer soi-même « bienfaiteur de
l’humanité » mais en réalité on constitue un
véritable problème pour les vrais ou ceux qui le
sont vraiment car ce sont eux qui ont dû trouver
le vaccin contre la rage qu’en tant que chien
(parmi d’innombrables autres) on s’est permis
d’attraper en voulant s’amuser à tuer ou à
poursuivre, en se trompant, le renard qui était
affecté de ce mal, à la chasse en devenant un
problème pour toutes les brebis et toute la
chaîne alimentaire qui risque d’en être (in)(a)ffectée.
Aussi le chien qui se considère ce mot ressemble
au célèbre Rantanplan que tout le monde a fini
par adorer mais dont tous savent, y compris les
Dalton, qu’il ne va pas bien).
[59]
(ce qui lui fera perdre encore des points et
souffrir toujours plus car plus un animal se
permet des cruautés qu’il pouvait éviter plus il
aura à en souffrir ultérieurement – je l’ai
vérifié : il obtient une réincarnation encore
moins bonne)
[60]
Je pense ici avec ce mot de « perdu » tout
particulièrement à un poème de Michèle Finck
écrit pour un tableau de Dimitri Ratsikas
« viatique à Dimitri Ratsikas », qui avait peint
un portrait d’Anne-Laure Meury tandis que
j’enregistrais la séance de pose en séquence, ce
qui m’a donné l’occasion de tourner-produire et
réaliser (avec le générique) un petit
vidéo-poème en allant en Épire, en Grèce faire l’opérateur de prises de vues à cet
effet avant de le monter et de le sonoriser à
notre retour (si cela avait été possible dans
cette version de cette lettre, je vous aurais
mis un lien hypertexte pour que puissiez le
consulter ou s’il avait été transféré et
numérisé comme j’ai l’intention de le faire pour
le publier en petit et le rendre ainsi au moins
accessible sur mon site Internet ou celui
de Michèle bien qu’il existe une version pour la
télévision. Je l’avais tourné en vidéo-amateur
8mm, car j’étais encore entrain d’explorer ce
moyen d’expression comme de m’exercer en vidéo).
[61]
Hier 14 avril 2013, j’ai découvert que Giono
s’était inspiré de cette expression dans un de
ses textes.
[62]
quand avant-hier où j’en étais arrivé là depuis
la troisième épouse impériale (Florence Loewy)
enfin reconnue et qui s’était imposée
logiquement comme un imprévu et une surprise, ce
qui avait ouvert la voie à ce chiffre symbolique
de 7, après ce 3,
soudain : illumination et éclair de
génie ! : « pourquoi pas arriver jusqu’à 8,
voire 9 » – je me cite de cet autre texte
qui a vu surgir cette idée et cela en pensant à
des chandeliers, mais aussi au fait que si la
situation est débloquée, il se pourrait que les
flocons de neige passent de 6 branches à 8
branches et hier j’osai encore plus loin,
arriver à 11 et 13 épouses, en raison de 2013 et
d’Ingres, mais aussi de
Cela exige donc alors de l’homme très précisément de se conduire avec infiniment de respect envers la femme, ses filles et ses petites filles, les sachant destinées à des futurs véritables princes chacune - car c’est joli de cheminer comme Saint-François d’Assise et sainte Claire – et c’est d’une certaine façon ce que j’ai cru faire avec Michèle, ne la sachant pas appartenir à aucune bande de bandits, bien qu’elle cherchait parfois à me le faire croire et je pensai toujours qu’elle plaisantait car il faut être malade pour devenir contraire à ses ontologiques et fondamentaux intérêts, puisqu’on se met alors hors-les-lois – et en vivant avec elle, durant toutes ces année, même seulement quelques jours par semaine, j’ai fini par croire qu’elle avait un aspect d’elle véritablement très sainte Claire.
Donc durant ces
années que l’Ensemble a exigé de moi – 1977-2005
- car j’ai pu vérifier que c’est bien l’Ensemble
qui m’a contraint à me faire ce coup-là - au
moins deux fois :
toutes les marionnettes qui en ont voulu
à celui qui a essayé, à chaque fois, de les
sauver malgré elles et en me contraignant, à
chaque fois, à leur montrer comment elles
étaient devenues des marionnettes profanes, et
contraires à leur propre et intrinsèques
intérêts fondamentaux, mais visiblement, en
essayant de me rendre fou – ce que j’ai connu,
la folie au SNNPM[.] : au sens négatif et non
positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K.
(situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)),
une seconde et demi en vérité et c’est tout -
elles se sont toutes, dans tous les temps
rendues plus ou moins folles à quelques
exceptions près qui ont, à chaque fois, donné
des personnes très compétentes, très justes,
aucunement folles, très conscientes, très
rationnelles et en définitives se sont elles qui
ont, à chaque fois, contribué à sauver
Cela a fait que je
me suis mis à mélanger beaucoup de choses dès
que je suis entré dans cette amnésie, et c’est
ce qui arrive autrement à ceux qui sont drogués
et je suis même devenu à moitié crétin et j’ai même
eu quelques seconde où j’ai pu comprendre ce
qu’est la folie – just’avant qu’en 1995 quand
l’Ensemble, à la suite de ces moment-là, a
voulu, changeant totalement, fidèle à
l’incohérence dont ils sont les auteurs,
me faire empereur alors que quelques
heures avant ils ne m’avaient pas facilité les
choses au point de me persécuter! Mais je me suis mis au travail alors,
en peignant des choses les plus difficiles à
faire (des centaines de fois plus compliqués
(difficile)
encore à chaque touche qui allait venir que
celles que j’avais eu l’honneur de poser sur le
piano recouvert ainsi de miniatures) et si
j’étais devenu comme un usurpateur et un pécheur
y compris un faussaire, je n’en savais rien
alors (bien que je me savais avoir été contraint à
être convaincu que j’étais le diable y compris
l’empereur en 1995 – ce qui me fait beaucoup rire car je ne suis pas
seulement un diable : comme vous je suis un être
humain avec toutes les potentialités bénéfiques
et merveilleuses des êtres humains non néfastes
– aussi tant que j’étais amnésique, je n’allais
pas bien et c’est Dieu qui en me rappelant que
j’avais été un chic type enfant, m’a permis
d’aller mieux, d’autant qu’avant qu’il n’intervienne
je m’étais séparé de ce qui avait été
enfant-gâté ou adolescent dans l’ensemble des
empereurs (y compris moi-même) que je continuai
néanmoins à représenter mais enfin beaucoup plus
sensés puisque toutes les idées saugrenues
avaient disparues avec – la mémoire me revenant
et avec elle l’esprit de rationalité et de
cohérence)
et donc je ne savais pas que j’avais été
à moitié perdu (au sens, une fois encore, où
Michèle Finck emploie ce mot dans son
poème viatique à Dimitri Ratsikas), en 1995, quand le Grand Architecte de
l’Univers est intervenu. Cependant d’avoir été
fidèle totalement et d’avoir voulu ne me
consacrer qu’à une seule jeune femme, Michèle, pour me préparer à être digne un jour
d’avoir à mon tour une famille et, donc, à
pouvoir me marier avec elle, (alors en
exclusivité), d’autant que j’étais devenu en
parti un égoïste et que ces sentiments
d’exclusivité vont avec – voir « ces spaghettis sont
à moi » - ayant vaguement le souvenir néanmoins
d’avoir fait ma Première Communion et ma
Confirmation dans une autre vie, moins profane
(mais je ne m’en souvenais pas exactement), mais
désirant constituer cette famille seulement avec
elle, cela m’a fait infiniment travailler durant
ces fiançailles interminables – mais qui se sont
terminées par la rupture - et explorer tous les
domaines possibles dont certains plutôt assez
loin, comme celui de la peinture, ce qui
finalement m’a permis de basculer soudain de
nouveau dans le monde de la vérité où j’ai
découvert, grâce à Dieu, comment cela s’était
passé (cela allait se passer) à partir de 1965
et de nouveau à partir de 1975 (donc une très
vieille histoire ! Nous étions en 2005), ce
dont Dieu comme le Grand Architecte de
l’Univers, mais aussi mon père ont bien pu
vérifier que je ne savais d’aucune façon, y
compris durant toutes les journées qui sont
venues après 2005, où je n’ai fait que déduire
et donc comprendre, ce qui est vraiment
difficile à comprendre et qui prend en fait
certainement la place de milliards et à
l’infini des plus immenses bibliothèques sur les
plus immenses disques durs existants ou qui
existeront, ce qui déjà, quand on sait qu’un
seul est aussi vaste que la plus grande des
bibliothèques que j’ai fait édifier - comme
contenu, cela représente vraiment de
Et c’est pourquoi
j’étais à la fois à Rome à partir de 1967 mais
aussi j’étais en même temps dans le futur « en
synchrone » à la fois en 1977 mais aussi à
partir de 2005 (1965), comme il se pourrait donc
que je sois, ce que j’ai pu vérifier, et que
vous aurez compris aussi, dans tous les autres
cas de figure de
[63]
Au moment où j’ai relu ces lignes une première
fois, je vous ai su à Saint-Louis des Français
puisque Sa Sainteté a changé ces jours-ci, car
je craignais pour la santé de Benoit XVI (mais
je dois le dicter encore à il y a trente ans de
cela) et cette solution élégante d’émérite est
excellente (cela lui donnera plusieurs années en
plus de vie pour des raisons très précises que
je sais exactement et que j’ai vérifié et dont
il est, comme le pape précédent au courant – il
faudra veiller à interdire à l’avenir à être
pape au-delà de quatre vingt cinq ans, voire de
quatre vingt ans, ce serait plus prudent (à
cause des
fossés-douves à infarctus qui concernent les
personnes âgées). Il
faut veiller en premier lieu à la santé de cette
personne dès cet âge là (quelques années de
papauté, cinq à sept ans, en ces temps de forte
médiatisation – donc d’habitude et de la
lassitude des spectateurs habitués à zapper
pourrait permettre un roulement, voire une
réélection et plusieurs émérites vivants – mais
en lui donnant surtout, après ces années-là,
tous les moyens pour qu’ils se reposent et
consacrent leur vie à moins de décisions
difficiles à prendre ou à conseiller les papes
suivants en exercice avec les autres papes
émérites (qui pourraient représenter le pape en
fonction pour des missions précises de
conciliation ou qui pourraient bénéficier des
cinq voir dix ou quinze ans de papauté d’un
futur émérite, suivant qu’il a été élu jeune ou
plus âgé et à cause de cela moins « mis à jour »
ou au courant), d’autant plus de toutes les
charges diplomatiques qui pèsent sur cette
fonction souveraine – je crains que les jeunes
n’aient pas la dimension des anciens pour
occuper de telles fonctions internationales, qui
impliquent d’avoir vécu sur le terrain, voire
d’avoir été dans divers pays différents et de
connaître réellement plusieurs langues à
géométries variables, mais en vérité).
[64]
(à moins que ce soit en Mongolie ou en Russie -
mais peut-être auront-ils envie d’en faire une
édition canadienne - avant d’en faire une sur
les glaciers de
[65]
Pourtant en pensant au travail remarquable de
Name June Paik au Whitney museum, je regrette
qu’on n’ai pas comme lui, récupéré toutes ces
vieilles télévisions pour les utiliser comme des
briques ou des grosses pierres qu’on aurait pu
imperméabiliser et utiliser comme murs
d’édifices qui aurait pu continuer à émettre,
une fois réparées, d’autant plus de la
multiplication des chaines créant des effets
murs d’image de télévisions mosaïques et non
permettant chacune d’être une partie d’une seule
grande télévision comme cela a été le cas avec
les premiers murs dont j'ai décris la
faisabilité
du futur. Que de matériel perdu et qui aurait
même pu créer des abris.
[66]
C’est ainsi que ceux qui voulurent la salle des
machines pour être certains de pouvoir
satisfaire leurs appétits de voyeurs, de drogués
de sexualité en écoutant les autres de loin, se
dégradèrent leurs cerveaux totalement au point
de n’avoir en commun que la recherche de
l’ineptie et l’ignorance, au mauvais sens de ce
mot, ou des mœurs mimétiques, devenus incapables
de penser par eux-mêmes, en vérité, et ne
pouvant que compter sur ceux qui, ne les ayant
pas rejoint et qu’ils espionnaient, pour savoir,
comme on compte sur son voisin de classe dont on
recopie intégralement sa copie en tricheur pour
avoir une bonne note étant donné qu’on sait
qu’on n’y arrive plus sans celui-là (c’est ainsi
qu’on devient parasite). C’est donc la recherche
de l’assurance « d’avoir » ou de survivre par
les produits de la chasse, donc de facilement
manger, en étant certains qu’on trouvera
toujours de quoi dans un rayon pas très
important qui n’a pas permis à ces peuples
d’évoluer pendant très longtemps (c'est-à-dire à
cause de cet état d’esprit qui consiste à
rechercher à en faire le moins possible pour
survivre), tandis que quelques personnes parmi
les autres peuples vivant dans des régions
agricoles ont été confrontées à bien des
difficultés à surmonter. Cela a donné toutes les
personnes qui ont autant de formations que cela
de nos jours et permis de comprendre que plus on a des chances d’avoir de la
diversité à sa table tandis que sinon on ne
pourra avoir qu’une saucisse ou du saucisson ou
un poisson, c'est-à-dire des choses faites pour
les paresseux qui vont ainsi éviter de se donner
du mal à faire de la cuisine. Il s’agira avec
ces personnes toujours et seulement de personnes
qui vont donc vouloir faire partie de la
catégorie de celles qui seront ainsi confortées
dans le désir qu’elles ont d’en faire le moins
possible, par conséquent de devenir des déserts,
en fait une mentalité d’adolescents, de
personnes non mariées qui savent qu’en se
mariant pour avoir des enfants, il faudra
ajouter des peines et des difficultés
quotidiennes supplémentaires à toutes celles
prises. C’est ainsi que pour ces raisons
certains apprennent à faire la cuisine et
découvrent un jour la vérité sur tout, parce
qu’ils ajoutent efforts aux efforts, des peines
toujours à l’infini plus difficiles que celles
de la veille. Cette mentalité de « plus on en
fait » qui n’est pas naturelle du tout est
pourtant celle de certains êtres humains
occidentaux, dès l’enfance confrontés à la
nécessité d’étudier et appartenant à des
familles très exigeantes (à l’inverse il y a
toutes les familles de décadents, qui cherchent
à en faire le moins possible, qui donneront tous
ces enfants-gâtés, pour qui la moindre chose
qu’on leur demande de faire pose un problème.
Ils sont nés fatigués et feraient bien de
rejoindre ces ancêtres des esquimaux qui pour
rejoindre leur lieux de travail, le trou où ils
n’ont plus qu’à attendre comme des ours, n’ont
que quelques heures de marche tout au plus,
comme l’ouvrier ayant une demi heure à une heure
d’autobus pour se rendre au travail. Mais son
travail est de n’avoir rien à faire, comme le
chasseur qui n’a qu’une belle promenade
hygiénique à faire et une petite chose à faire
qui, il est vrai, exige une certaine adresse,
mais qui n’a d’aucune façon exigé de longues
formations scolaires). Les douze années de
formations scolaires jusqu’au baccalauréat
équivalent à deux mille jours de formation.
Ensuite il y a les milliers de jours de
formation universitaire pour arriver aux
premiers jours d’expériences professionnelles
pour les doctorants. Il est normal que nous
trouvions, à cause de pareils traitement de choc
des différences génétiques importantes entre un
descendant d’esquimaux et des personnes qui
depuis plusieurs générations sont les
descendants de personnes qui ont subi de
pareilles peines. Il est normal que ces êtres
humains « universitaires » ou « chercheurs » ou
« ingénieurs » ou « architectes » ou
véritablement médecin ou chirurgiens, après de
pareils efforts, finissent, d’autant plus qu’ils
ajoutent les efforts pour constituer une
famille, par se délivrer de cet égoïsme ou de
l’enfant-gâté en eux qui sait que la nature tout
autour peut lui offrir, s’il chasse en
analphabète, de quoi manger à peu de frais. On
comprend donc que c’est bien l’ignorance, au
mauvais sens du mot, de celui qui cherchera à en
faire le moins possible, à être un planqué pour
s’en sortir, qui a conduit ceux-ci à croire
possible tuer des animaux pour survivre en
n’ayant qu’à se promener pour cela. A l’inverse
le photographe, celui qui a troqué son fusils
pour une caméra vidéo, s’est mis à étudier et à
admirer, comme à essayer de comprendre
[67]
En effet le harpon est venu des pays plus au sud
les aider, en échange de peaux et autres
produits de ces chasses.
[68]
Picasso a beaucoup copié les grands maîtres
avant d’en devenir un lui-même.
[69]
C’est grâce à lui que des gens qui méritent la
mort sont graciés et que des médecins se sont
spécialisés dans les professions de vétérinaires
pour soigner les animaux.
[70]
(en fait dans une recherche spirituelle
œcuménique des religions à toutes les sauces ce
qui traduit ma nature d’Empereur Universel Co(s)mique
qui, vous le savez, en ces temps de microscope
électronique est contraint d’étudier au cas par
cas dans le cadre de la civilisation de la
mondialisation des échanges commerciaux que mon
père s’est ingénié, sous mes conseils de futur,
à bâtir pour le Bien et l’Intérêt Général)
[71]
(ceux-ci n’ayant pas pensé qu’ils ont besoin de
garder de l’énergie pour avoir la force de
travailler à des choses plus utiles pour ne plus
être un enfant-gâté à la charge de la
civilisation)
[72]
Or il y a des choses qui sont difficiles à
expliquer ou si complexes qu’elles ne sont
compréhensibles qu’écrites et engendrent des
sons faux y compris de telles difficultés aux
enseignants « initiés » ou affranchis du
mensonge qu’ils préfèrent ne pas se lancer dans
des explications étant donné que c’est
effectivement très difficile. Par où commencer,
quand on ne sait rien du niveau de l’autre, du
degré initiatique ou simplement d’études ou de
recherches véritables des profanes. Aussi cela a
engendré certainement, au cours des siècles, des
ras le bol tels que nombreux n’arrivant pas à
trouver les mots ou à construire les phrases
avec les paramètres, par écrit aussi, ont été
contraints de se spécialiser dans d’autres
catégories que la philosophie, la théologie ou
l’architecture puisque le processus qui permet
de se délivrer de la condition profane est
inénarrable comme en réalité le propre de chacun
de ceux qui y sont parvenus ou alors qui sont
nés naturellement délivrés de cette condition,
ce qui les rendra très handicapés et qui
nécessite alors une reconnaissance de la part
des initiés – ce qui a conduit par exemple au
fait que le Dalaï lama a été reconnu comme
réincarnation du précédent, par exemple.
[73]
– comme un chien obéit aussitôt qu’on l’appelle,
si on l’appelle avec une voix gentille et
amicale mais ne se comportera qu’en chien, puisqu’il n’a pas encore pu accomplir la
métamorphose lui permettant de devenir un être
humain conscient –
[74]
Qui se caractérise bien par l’égoïsme et
l’intérêt seulement de lui-même et à quelques
moments de l’autre. Mais ce qui l’importe c’est
d’avoir une bonne place ou d’être chez un bon
maître (en égoïste et en enfant-gâté) qui
n’oublie pas de lui donner à manger et qu’ils
accepteront de servir en obéissant aux ordres si
le maître leur a appris à faire une chose
précisément. C’est pourquoi ils feront des
choses faciles en ayant appris au préalable une
méthode mais en ayant hâte de revenir chez eux
pour se reposer et en faire le moins possible
(ce qui a contraint aux rémunérations y compris
pour certains chefs d’Etats qui ont cru pouvoir
occuper la place de véritables chefs d’Etat).
[75]
Ou ceux qu’un chien ou un chat n’est pas capable
d’accomplir bien qu’un chien soit capable d’être
sauveteur y compris en montagne (les
saint-Bernard)
[76]
Mais la situation a voulu que nous en fassions
état y compris pour nous en prévaloir et qu’on
respecte enfin nos droit d’être humains au plein
sens de ce mot (donc délivrés de l’ineptie et
des corollaires liés aux personnes inconscientes
)
[77]
Mais il y a des personnes qui croient pouvoir
ignorer des injonctions ou des ordres véritables
ou des vérités et qui se sont permis, pour des
raisons personnelles, de vouloir aller contre
moi – c'est-à-dire contre elles-mêmes (ce qui
n’est pas intelligent).
[78]
Et je comprends que j’ai ici des raisons de plus
de mettre un terme à ce sacrifice avec Christine
en la récupérant, bien que mariée (ce qu’il va
falloir que l’Eglise accepte ou alors annule son
mariage, ce dont je ne crois pas qu’à ce stade
elle veuille se rendre responsable (et
coupable), bien que nous sachions ce que nous
avons souhaité comme mari pour Christine en
raison du canonique de la situation et que son
mariage est nul – juridiquement y compris pour
Dieu comme normalement pour le Grand Architecte
de l’Univers aussi. Mais peut-être y a-t-il de
l’amitié entre ces aujourd’hui déjà anciens
époux ou une complicité qu’ils veulent conserver
– ici c’est à Christine et à moi de décider y
compris à Florence Loewy car il se pourrait
qu’en raison de ce que nous avons tous endurés,
il y a ait des réticences générale à ce que
Michèle qui s’est rendue coupable malgré elle –
mais en le cherchant – d’incarner la vieille
Eve, puisse devenir, grâce à toutes les femmes
qui ne sont plus profanes et qui se sont
délivrées de l’enfant-gâtée, une impératrice
véritable. Mais il ne faut pas oublié que cela
s'est passé quand Michèle était adolescente,
c'est à dire en 1977. Depuis elle ne l'est plus
et fait partie des femmes qui se sont délivrées
de l'enfant-gâté. On peut avoir confiance en
elle pour incarner l'une des impératrices
véritables, voire l'impératrice si les autres y
renoncent).
[79]
(il est probable que pour ceux qui ont vu leur
taille se réduire autant que cela au point de
pouvoir voler invisibles et ne plus être soumis
aux lois de la gravitations, les fous
au SPNNM[.] : au sens
positif et non négatif de ce mot (dans d’autres
S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.),
occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)),soient ces
personnes immenses qui ont conservé un véritable
poids en ayant eu à grandir en sagesse y compris
en savoirs et en discernements divers mais en
étant très incommodés par leur taille dans tout
ce qu’ils doivent calculer et penser y compris
concevoir)
[80]
Il se pourrait que cela soit dû au fait que je
suis l’ensemble des empereurs en un seul, mais
ce n’est qu’aujourd’hui
15 avril à 21 heures quarante que, bien
que j’y ait réfléchi plusieurs fois, j'arrive à
l’inscrire comme une probabilité en ayant de
sérieuses chances d’être vraie.
[81]
Mais qu’appelle-t-on bandit ? En fait des
personnes profanes qui sont encore inconscientes
et qui ne le sont que parce que la situation est
bloquée depuis que la vision d’Atlantide a
disparu. Entre eux les bandits s’estiment d’une
façon un peu semblable à celle de ceux qui ne
sont plus bandits. S’ils sont hors la loi, ils
obéissent aux lois qu’ils ont en commun un peu
comme les autres qui respectueux des lois ou les
connaissant ne sont que confrontés aux
innombrables problèmes qui découlent de
l’existence de celles-ci, soumises au paramètre
du temps et de la chronologie.
[82]
ou à hériter du
[83]
Mais l’inconvénient c’est que j’ai un poids et
une véritable dimension dont les gens ont pu
voir qu’elle va réfléchir celle de chacun bien
que tous aient pu vérifier à Rome dès 1975 que
déjà dès 1965 j’étais immense.
[84]
Il y a donc des principes ou des accords entre
deux personnes de sexe complémentaire en vue de
constituer une famille. Mais en ce qui me
concerne la situation devrait me contraindre à
en constituer plusieurs de légitimes
chrétiennement parlant, d’autant que c’est sur
la base du sacrifice canonique que vous savez
voulu avec l’Eglise que j’aurais à affronter une
telle perspective impériale. Cela signifierait
que dans un cas comme le mien de personne
« adulte » ou enfin débarrassées (de nouveau) de
l’enfant-gâté ou du profane (voyant les choses
en vérité, donc en responsable ou en homme de
conscience), des hommes semblables – mais y en
a-t-il ? - auraient le droit d’avoir
légitimement plusieurs épouses et plusieurs
familles en toute légalité mais en donnant ce
droit aussi aux femmes choisies (réciproque
possible) et chacun des mariages célébré par l’Eglise, si ces
personnes le désirent (cela peut se passer à des
âges différents puisqu’un homme peut avoir des
enfants jusqu’à assez âgé). En effet la
maturation de l’être humain masculin est très
différente de la maturation féminine
(biologiquement parlant) et les femmes sont
depuis toujours injustement pénalisées
puisqu’elles se doivent à la fidélité avec un
seul partenaire alors qu’elles ont peut-être des
besoins physiologiques plus important qui ont
été assimilés souvent à une certaine forme de
« voracité » au point que la pensée sur la vertu
ou le vice s’est ici posée. Or, c’est peut-être
plus compliqué que cela : la femme ayant deux
maris ou un maris et un futur mari n’est
peut-être pas aussi coupable que les hommes
l’ont cru et n’ont pu le croire que parce que la
situation était bloquée et qu’il y avait une
très grande frontière entre le profane et le
non-profane dont les termes ont fait l’objet de
définition précises en raison d’une pensée
pendant longtemps uniquement masculine (et
patriarcale) reproduisant des schémas anciens ne
tenant pas compte de l’évolution de la condition
féminine de nos jours et de sa « libération »
qui n’est pas forcément celle d’une « profane ».
En effet, une femme non profane, s’étant
délivrée de l’enfant-gâtée en elle, est qui
donne la vie devrait avoir le droit de choisir
avec qui, naturellement en fonction de son
inclination et du fait qu’elle se sent
véritablement aimée en retour. Notre époque lui
permet d’envisager d’avoir des enfants en étant
la mère sans avoir besoin de son conjoint. Mais
il y a heureusement les vraies histoires d’amour
qui débouchent sur des mariages car ce qui
importe c’est de proposer une structure
d’accueil aux enfants qui soit harmonieuse, donc
composée du père et de la mère – c’est donc le
bon sens qui a créé et institué le mariage tant
juridiquement que religieusement d’autant que la
femme qui attend un enfant a besoin d’aide dans
la société ou dans la civilisation actuelle plus
encore peut-être qu’autrefois. Mais d’autoriser
plusieurs pères différents permettraient de
sortir de l’idée qu’on a des adultères (est-ce
qu’une femme s’étant débarrassée de
l’enfant-gâté en elle est coupable d’aimer ?
Non. Pourquoi nos mères seraient coupables de
s’être mariée pour avoir leurs enfants et les
élever pour les offrir en mariage ? On pourrait
sortir des péchés et autres inepties qui sont
issues des diverses formes de jalousies ou qui
contraignent les femmes à devoir mentir. On
comprend que par certains aspects il y a une
forme de phallocratie inadmissible de leur point
de vue. Mais nous héritons d’une civilisation
qui a été pensé par des hommes ayant cru pouvoir
brider la liberté des femmes ou la « libérer »
en étant à l’origine de la femme prisonnière de
l’ineptie et donc qui a des risques de devenir
une enfant-gâtée et le corollaire. Ce que
j’envisage comme trèfle ou plusieurs épouses
donne à chacune le droit de faire ce que bon lui
semble de sa vie et d’avoir mari, amant ou ce
que bon leur semble étant donné que je ne veux
pas me transformer en geôlier et que si je
choisis une épouse c’est que je souhaite son
bonheur comme je lui fais confiance d’avance.
Pour arriver à vouloir le mariage avec une
personne c’est qu’on est devenu ami avec cette
personne au point de la considérer comme sa
propre sœur ou sa propre mère ou tante ou
grand-mère pour peu qu’on ait eu la chance d’en
avoir eu une cherchant à faire notre bonheur.
Cela permettrait
aussi, je l’ai dit dans les divers courrier, à
cette civilisation de la globalisation des
échanges culturels un rapprochement avec le
monde musulman – sans pour autant du tout
nourrir pour la femme certaines attitudes que
l’Occident ne peut d’aucune façon plus admettre
- ou celui bouddhique ou même un rapprochement
avec certains animaux ou plusieurs femelles
entourent un mâle (cerf) et vont avec leur
faons. C’est le cas aussi chez les lions ou
plusieurs femelles sont attachées au même mâle.
Mais nous demeurerions dans le monde des êtres
humains délivrés de la condition profanes, mais
ce qui serait nouveaux c’est qu’en raison de la
longévité de la durée de vie des hommes et des
femmes (des vies beaucoup plus longues, voire
même la disparition de la mort) que les dames
auraient le droit, puisqu’indépendantes
financièrement et autonomes
- la femme moderne – d’avoir plusieurs
époux légitimes qu’elles pourraient avoir à des
âges différents (pareil pour les hommes en
demeurant pourtant mariés aux époux et époux
précédents : le fait d’avoir ce droit pourrait
agir comme une sorte de contrainte pour que le
garçon veille à toujours bien se comporter car
sinon il aura des difficultés avec le second
époux ou troisième comme cela a été le cas grâce
au divorce que les femmes peuvent obtenir
(évidemment tout cela contraindrait à un
véritable hygiène de la femme comme de l’homme).
Cela pourrait être mal vécu par certains faux
adultes qui n’ont jamais voulu comprendre les
femmes et qui, à cause de cela, ont voulu les
rendre « prisonnières » à cause d’une
possessivité maladive. L’amour ce n’est pas
rendre l’autre esclave et prisonnier : s’est
permettre à l’autre de se libérer (délivrer), d’être libre
y compris d’aimer autrui : la preuve cela donne
des enfants auxquels on s’attache pour les
élever et espérer leur bonheur dans cet état
d’esprit. Mais encore une fois l’Ensemble m’a
contraint à explorer le moyen de sortir du
mariage impérial monogame en acceptant néanmoins
que je veuille demeurer fidèle aux valeurs
religieuses qui ont fondé les différentes
civilisations dorénavant reliées ou mariées
entre elles malgré leurs différences ou leurs
retards. C’est comme si on avait voulu qu’à
cause de toute cette histoire j’en tire, en
Occident, les
leçons de cette manière. Mais il
faut tenir présent à l’esprit que ce qui est
possible à ma personne (qui gère les
innombrables dossiers que vous savez) n’est
peut-être pas à la portée de tous les êtres
humains encore). En effet, il faut avoir une
conscience du temps comme je l’ai et personne
n’a encore cette conscience ou la même notion du
temps à laquelle je suis soumis. Je l’ai
vérifié : à l’état de profane le temps n’existe
pas ou pratiquement pas et il n’y a pratiquement
pas de capacité à discerner et à différencier
chacun des instants vécus, les uns des autres, à
les analyser alors que dans mon cas chacune des
fractions de seconde dure bien plus que des
milliards et plus
encore d’années entières que chacun des êtres
humains vivent. Aussi chacune des choses y est
totalement nouvelle et s’inscrit dans un dossier
et une catégorie différente et c’est pourquoi je
puis même envisager plus de vingt cinq femmes
différentes mariées chrétiennement à ma personne
sans éprouver la moindre honte et sans avoir
donc à rougir de quoi que ce soit ou à devoir me
cacher des autres. C’est pourquoi je n’éprouve
aucune honte à l’idée d’enregistrer en vidéo ou
en cinéma mes ébats amoureux avec ces femmes à
qui je serais fidèle avec tous les devoirs
inhérents à ce mot.
Mais comme nous
sommes dans un monde où les jeunes filles se
sentent toutes rivales les unes des autres y
compris les garçons, ma façon de faire pourrait
être incomprise et c’est pourquoi je suis
contraint, en légitime défense, d’avoir recours
à l’aspect légitime du mariage par l’Eglise car
ce que j’envisage comme union n’a rien seulement
de profane. Pourquoi ? En témoigne pour nous ce
sacrifice
maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne
déplaisant pas aux responsables de la religion
musulmane ni à ceux des religions
intellectuellement admissibles ni aux membres
des catégories ‘profanes’, par moment
‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement
‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens
positif et négatif de ces cinq mots) que nous avons été contraints de faire
sur ce que l’Ensemble a voulu que nous
vérifions et entendions - au sens de
comprendre - par le mot d’"amour" et les
notions de Bien comme d’Intérêt Général,
c'est-à-dire lié à ce que nous concevons à
propos de la notion de « famille » y compris à
constituer spirituellement parlant, donc
humainement parlant dont basée sur la
compréhension du mot de « sacrifice » à l’époque
contemporaine. Une façon de voir l’amour qui
n’existe pas dans le monde profane car celui-ci
n’est que lié à l’éros et demeure souvent très
éloigné de l’idée que celui-ci puisse avoir avec
« agapè » qui bénéficie des sommes de toutes les
solutions élégantes trouvées dans chacune des
civilisations depuis des millénaires ayant
permis de se libérer de la condition profane en
raison de l’être humain autre que seulement rivé
à sa nature sensuelle ou érotique « à première
vue » belle, naturelle et animale. Toute
l’architecture y compris les automobiles ou les
avions ou les instruments de mesure nous ont
fait comprendre que l’être humain n’est pas
seulement animal mais bien « animal pensant »
conscient chronologique, à tel point que nos
dossiers ou nos fichiers informatiques portent
une date et une heure d’enregistrement. Oui,
mais comment le faire comprendre à celui qui n’a
jamais appris l’alphabet et a perdu la notion du
temps ?
C’est aussi
l’Eglise qui a voulu que Christine et moi ayons
à donner cette preuve par ce sacrifice
maçonnique bien
qu’elle avait largement les moyens de s’y
opposer et ne l’a pas fait (comme elle aurait dû
de mon point de vue le faire pour protéger le
Mariage tel qu’il avait été institué par elle).
C’est l’Eglise qui, alors qu’elle aurait pu se
révolter contre l’idée de sacrifice renouvelée
en 1975 pour la seconde fois n’a pas voulu (à
première vue) le bonheur de Christine et le mien
et a souhaité que par ce sacrifice j’ai à vivre
ce que j’ai eu à vivre avec Michèle Finck pour
en arriver là. Très certainement l’Eglise était
alors aux prises avec ses contradictions des
années 1975, avec ses différentes tendances,
avec le nouveau Pape que j’ai imposé du futur,
le premier pape étranger à l’Italie depuis des
siècles, avec les problèmes liés à l’avortement,
le divorce, avec ses propres traditions
incomprises, avec des personnes qui, bien
qu’âgées et investies de grandes charges
d’évêque ou plus encore n’arrivaient pas à
imposer leurs vues aux autres comme permettre de
parler d’une même voix pour nous éviter cet
atroce sacrifice à cet âge-là, ce qui aurait pu
m’éviter d’avoir à montrer de nouveau comment
amnésiques on se profane, on devient sacrilège
de soi-même, on ne comprend plus grand-chose, on
se perd, on n’arrive plus à penser justement et
on devient indigne des jeunes filles ou de ses
propres enfants dans cette qualité là qui n’en
ai pas vraiment une. Mais il faut prendre ce qui
s’est passé de très grave à cette occasion, sur
ces trente années en cherchant à y voir ce qu’on
doit donc, en raison de cette expérience,
accepter de comprendre il va falloir changer
puisqu’on ne peut pas ignorer, dans certains
cas, des paramètres qui font notre modernité
mais qui tous soulignent que les enfants ne
naissent pas de nos jours pour avoir à subir des
formes d’exploitations, y compris des chantages
sexuels, mais en étant d’avance destinés à une
promise ou un promis, ce qui signifie qu’on doit
comprendre naturellement que l’autre est destiné
à une véritable histoire personnelle susceptible
de le contraindre à devoir assumer des
responsabilités familiales. L’ignorer ou vouloir
l’ignorer comme certains célibataires devenus
aveugles et sourds ou cherchant à s’encrer dans
une forme de mauvaise foi profane s’entêtant à
ne pas vouloir admettre que d’autres dimensions
existent que celle de célibataire endurci ou
« égoïste », celles de ceux qui ne sont plus
profanes et qui ont, à cause de cela, à cœur cet
état d’esprit plus conscient, c’est vouloir
continuer à faire fausse route et à se conduire
en irresponsables ou en personne se voilant la
face comme les autruches. Peut-être
qu’effectivement « à première vue » cela peut
paraître seulement profane d’avoir plusieurs
épouses et de désirer en avoir une autre comme
Charlie Chaplin ou Picasso. C’est pour cela
qu’en ces époques là, puisqu’ils n’étaient pas
musulmans, il y a eu le recours au divorce car,
en raison des préjugés, l’Eglise ne pouvait
admettre à l’époque qu’un chrétien ait plusieurs
épouses (pourtant elle a conservé plusieurs
tableaux que Picasso a offert et aurait pu
comprendre qu’elle avait à faire à chacun des
nouvelles périodes de ce peintre à un artiste
totalement renouvelé, différent). Il faut
admettre que le mariage ne doit pas signifier un
synonyme de « prison » ou d’avoir le droit de
s’engager à signer pour une vie de prisonnier ou
de prisonnière de l’autre au point de
rechercher, comme certains la fermeture d’un
cadenas. C’est plutôt le contraire, avoir enfin
la clé pour l’ouvrir et rendre l’autre
libre (avec toutes les notions qui y sont
liées): car c’est ne pas comprendre ce à quoi
sert un cadenas. C’est une aberration de
rechercher cet état d’esprit, celui du geôlier
ou de la geôlière, au mauvais sens de ce mot :
mais on comprend aussi qu’un cadenas fermé peut
être compris comme permettant d’arriver à
l’anneau de fiançailles, voire de mariage :
peut-être pour permettre à la porte de « la cage
de l’oiseau de s’ouvrir » et à celui-ci de
s’échapper. La preuve : le mariage ouvrant sur
le droit de constituer une famille protégée par
le Droit offre un lieu où va advenir une
nouvelle époque en la personne des enfants et,
bien que liés à eux, cela ouvre normalement le
champ à de nouvelles découvertes ou du moins à
la possibilité de continuer son évolution à
l’âge de parents, grâce à ce qu’on apprend de la
vie par les enfants et que certains avaient
oublié. C’est pourquoi c’est peut-être grâce à
l’Eglise et aux divers résultats de ce sacrifice
maçonnique
qu’elle a voulu, qu’une salutaire remise en
question de l’Eglise au sujet du mariage aura
lieu de toute cette histoire à l’époque
contemporaine, du moins dans certains cas (sans
qu’elle n’ait à aboutir à l’excommunication de
la personne polygames, sans aboutir à leur
exclusion de l’Eglise. Mais bien sûr cela dépend
des cas : il y a des personnes qui peuvent
assumer cela, mais il est cependant nécessaire
auparavant qu’ils se donnent les moyens
financiers d’assumer plusieurs constitutions de
familles), une époque où nous sommes reliés
entre nous avec les
web cam,
les téléphones de quatrième génération, les
tablettes permettant bientôt de se voir les uns
les autres en se parlant au téléphone. En effet,
nous prenons l’habitude de nous voir les uns les
autres et si pour les puristes l’écriture
demeure essentielle pour les véritable échanges
amoureux (car cela permet de mieux connaître
l’autre comme âme), le téléphone, l’image change
aussi les données à ce sujet, bien que nous
risquions dans certains cas d’être abusé par
l’image ou sa facilité d’élocution par des
propos de profanes par conséquent très
superficiels et très inconscients. D’où la
nécessité de personnes plus conscientes et plus
capables d’« encadrer » ou capables de mieux
évaluer, suivant les personnes, dans quel cas
particuliers nous nous trouvons au sujet de
l’évolution de cette personne éprouvant soudain
un intérêt pour le mot de « mariage » alors
qu’avant, dans l’état dans lequel il était, il
n’en voyait pas encore un intérêt ou tout le
sens. C’est en ce sens qu’il y a du bien et bien
une légitimité dans l’existence du mariage civil
trouvant sa complémentarité ou un véritable
décalage ou un autre sens dans l’existence du
mariage religieux. Le profane a accès à la
possibilité du « mariage civil », ce qui lui
ouvre des droits. Il doit être absolument tenu
de respecter l’existence du mariage sur la plan
religieux ou seulement traditionnellement
religieux (car beaucoup ne se marient
religieusement que pour des raisons
traditionnelles). L’ignorer ou contester ce
droit au « mariage religieux » est bien pire
qu’un sacrilège ou un crime, mais il faut
reconnaître que c’est pour le profane qui ne le
comprend pas son droit de profane, comme celui
de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, qui
n’ayant pas été initié à tous les degrés et à
toutes les étapes dans une religion précise peut
ainsi nous révéler qu’il n’arrive pas à
comprendre, comme n’importe lequel des illettrés
ou de ceux qui n’ont jamais fait de
mathématiques n’arrivent pas même à faire une
addition sans l’aide d’une machine à calculer ou
sans avoir effectué en véritable écolier toutes
les années qui sont nécessaires pour maîtriser,
sans l’aide d’une machine à calculer, les
différentes opérations élémentaires qui sont
confirmées par les résultats que donnent les
machines en question comme sur un ticket de
caisse à la sortie d’un supermarché ayant offert
l’addition des divers éléments additionnés
achetés et à payer.
Le profane sait qu’il a intérêt à payer
ce qui est marqué sur le ticket de caisse et
fait confiance dans le résultat d’une des
branches des sciences comptables. Il ne lui
viendrait pas à l’idée de ne pas croire ce
qu’une machine aussi sophistiquée affirme à
moins qu’il ait décelé une erreur et veuille
prouver en faisant l’addition lui-même que la
machine ne marche pas. S’il n’arrive pas à le
prouver en raison du consensus général
international lié à la notion d’addition dans le
cas de ce supermarché et de ce ticket de caisse
qui est exacte, ce qui est inscrit est juste.
Aussi il se pourrait que face à certains papes
ou certains grandes figures des religions
révélées nous étions été comme face à des
machines qui disaient la vérité et c’est
pourquoi leur en vouloir où ne pas les croire
c’est comme si on ne voulait pas croire à
l’addition vérifiée exacte d’une caisse
enregistreuse. Il en va de même de nombreux
écrits ou de nombreuses œuvres d’art véritables.
Certes il y a des faussaires et il y a des
machines à calculer qui donnent des résultats
faux (quand par exemple elles n’ont plus assez
de courant dans la pile
électrique) ou pour d’autres raisons (comme une
montre qui ne marche plus ou un ordinateur
déficient ne fonctionnant plus), mais il faut
reconnaître que quand la caisse à la sortie du
magasin marchait, on gagnait du temps par rapport
à une époque où il fallait faire son addition
soi-même ou payer après celle effectuée par le
personnel. A notre époque ces instruments
comptables nous facilitent la vie
considérablement et certains d’entre nous ne
peuvent même pas imaginer qu’il puisse y avoir
encore des lieux où les additions sont faites à
la main. Pourtant c’est le cas dans certains
pays. On a confiance dans le résultat proposé ou
on le conteste dans certains cas. Les
spécialistes dans certaines disciplines
scientifiques, donc qui ne sont plus seulement
profanes, affirment des choses comme des
machines très sophistiquées : il ne viendrait à
personne de vouloir contester des résultats
d’équations ou des figures géométriques ou qu’on
a marché sur la lune en 1969. Pourtant il y
a toujours des personnes qui n’y croient pas et
qui vont dire que les images des premiers pas de
l’homme sur la lune ont été tournées dans un
désert quelconque. On aura beau affirmer le
contraire, la personne est tellement profane,
qu’elle est certaine que ces images sont des
trucages de cinéma et que cette histoire d'avoir
marché sur la lune est une
blague. C’est que sont cerveau ne lui permet pas
de comprendre pourquoi ce n’est pas une blague
comme un profane n’arrive pas à comprendre le
mot de Dieu, celui d’« âme » ou d’autres mots
liés aux religions et à la « foi ». Mais la
condition de profane a beaucoup évoluée dans le
bon sens : alors qu’il n’admettait pas cela car
il ne pouvait pas y croire (ayant perdu les
capacités cérébrales pour comprendre ces mots),
il admet qu’ils peuvent être vrais pour d’autres
que lui, ce qui rend le profane au moins très
tolérant envers les personnes différentes ou lui
affirmant des choses pour l’instant
incompréhensibles pour lui. Par exemple le
profane n’a pas étudié le mot « canonique » et
va reprocher à quelqu’un d’en savoir le sens ou
croire que cette personne appartient à l’Eglise
parce qu’il en sait un peu le sens. C’est que le
profane ignore que tous les droits existants
proviennent au départ de réflexions canoniques y
compris le droit international. Mais il est
certain que le mystère que sont les mots comme
certaines personnes qui ont fini par les
comprendre en vérité va du moins passionner le
profane jusqu’à la découverte du fait qu’ils ne
peuvent être employés qu’en toute logique.
[85]
Auquel bien peu ont accès de façon continuelle
car en réalité on est en liaison, comme
l’ordinateur avec la mémoire dont on se rend
capable à force de l’avoir exercé.
[86]
Ici se pose la question très intéressante de
l’existence de Dieu et du rapport qu’il peut y
avoir dans la parole avec les sommes.
[87]
(donc un retour à la raison – comme on répare un
vieil ordinateur ou une vieille horloge –
puisque la démonstration a été faite que les
mariages religieux sont vrais et doivent être
compris effectivement comme un sacrement –
c'est-à-dire un mot cachant un très grand nombre
de chose différentes qui sont, bien entendu, un
mystère pour le profane et comme tel, s’il le
cherche, à le découvrir – comme ce qui se cache
derrière tous les autres mots)
[88]
Ce pourra être Dracula qui regarde mais aussi
une personne de leur famille ou des inconnus,
s’ils décident librement de la mettre en marche
ou pas.
[89]
Bien sûr pour ceux qui ne sont pas de vrais
hommes de sciences conscients de toutes les
données, ils ne peuvent pas voir l’intérêt de
ces projets car ils ignorent encore cet état
particulier de l’être humain délivré de
l’égoïsme et de l’enfant-gâté qui au lieu de
manger un poisson préfère l’étudier des heures
et noter des renseignements à son sujet comme
une personne observant un être exceptionnel ou
une étoile ou seulement quelque chose de
différent qu’il aime malgré le caractère à
première vue monstrueux. Pour ceux qui sont
habitués à les manger, s’intéresser ainsi à
chasser des images ou à piéger les poissons dans
des images est cependant devenu une habitude
comme ceux qui se sont habitués à manger des
choses qu’ils ne mangeaient pas en découvrant
les cuisines traditionnelles des autres pays
dans les grandes villes. Des personnes ayant des
idées arrêtées et sûres se sont vues changer
d’avis dès qu’elles ont appris des choses
qu’elles ne savaient pas. Il en va de même à
propos des mots dont on ignore le sens. Tant que
le mot n’a pas eu à côté de lui l’image qu’il
représente on pouvait croire qu’il ne voulait
rien dire. Avec les illustrations les mots ont
pris plus de sens. Parfois on se passe du mot et
on choisit une image sur la carte d’un menu ou
un numéro. On s’attend à ce que ce qu’on a dit
ou montré sous la forme d’image devienne
l’assiette qu’on nous servira. Aussi nous savons
bien que les mots sont sensés, mais tant que nous
n’avons pas pris connaissance des explications
ou des images, ils sont des écritures insensées.
Nous ne pouvons pas cependant croire qu’elles ne
signifient rien pour ceux qui, à cause d’elles,
vont élaborer des textes signifiants au point de
donner des images signifiantes, des séquences
signifiantes, selon les spectateurs,
différentes. Pourtant, en elle-même l’image
n’est pas la chose elle-même qui a la saveur et
tous les parfums dans l’assiette. Pas plus que
le mot ou le chiffre qui la désignait. D’où
vient alors que l’assiette en question qui
arrive à table est bien celle qu’on a demandé ?
D’un concours de circonstances. De paramètres
réunies. De contraintes. Ce n’est que grâce à
l’existence de l’argent
(des crédits financiers
propres et mérités de droit - CFPMD), de la monnaie que cela
est possible. C’est malheureux, mais c’est aussi
heureux pour chacun : pour le propriétaire du
loyer du restaurant, pour la cuisinière ou le
cuisinier, pour le serveur, pour celui qui va
s’offrir ce repas, pour le responsable du
restaurant, pour les fournisseurs, bref pour
tous, sauf pour celui qui passe devant le
restaurant, affamé et qui dans un état de misère
voit que les autres mangent et pas lui. Il n’a
pas l’idée d’aller acheter des roses et d’entrer
pour les vendre et commencer ainsi à faire des
économies. Mais il sait que s’il travaille, s’il
trouve du travail, il pourra s’offrir un repas.
En vouloir aux capitalistes qui montent des
restaurants pour permettre à chacun de manger
n’est pas juste comme en vouloir à l’existence
de l’argent. S’il y a de la misère c’est parce
qu’il y a eu ceux qui ont voulu augmenter le
prix du pétrole au lieu de le diminuer - la
misère est donc un résultat issu d'une situation
artificiellement créée. Ce n’est
donc pas l’argent qui est coupable, c’est un
état d’esprit, celui de ceux qui spéculent en
bourse, non pas pour faire progresser l’Ensemble
mais à des fins adolescente d’enfant-gâtés égoïstes ne
recherchant que leur propre enrichissement
personnel avec l’outil qu’est
[90]
Car, dans ce cas, se sera handicapant de
demeurer ou de chercher à devenir quelqu’un de
bien.
[91]
Comme avec le droit de fonder une famille sans
que les enfants puissent vous le reprocher :
légitimement, en toute connaissance de cause.
[92]
Ou avec une conception de l’honnêteté qui est
restée celle des profanes n’ayant pas encore
compris que la situation a déclenché, à
l’échelle globale, une direction ou un mouvement
général qui donne individuellement à chacun la
possibilité de s’affranchir de cette condition.
[93]
Comme certainement ils ont dû avoir honte au
cours des années 1973 à avril 1975 ne comprenant
pas pourquoi je faisais des bêtises, en ayant
déjà montré combien ensuite l’état obtenu est
mathématiquement celui d’une personne
prisonnière de l’ineptie et de toutes les
pensées corollaires, avec les conséquences
graves pour l’Ensemble.
[94]
En effet, ce qui est étonnant c’est qu’il ne lui
est pas venu à l’esprit de me dire de cesser.
Comme quand on a la preuve qu’on s’est trompé et
qu’on est, en toute cohérence, contraint à
rebrousser chemin. Non, il me laissait
continuer, fasciné par le nombre des pompes qui
ne cessaient d’augmenter, sans penser une seule
seconde que cela pouvait m’être pénible et qu’il
avait à dire qu’il avait compris, que cela
suffisait. Il a fallu que cela soit moi qui
m’ingénie pour lui faire comprendre qu’on
pourrait arrêter après la centième, tout en
poursuivant. Comme si les chiffres ou le nombre
des pompes que visiblement je lui démontrais
être capable de faire alors qu’il avait prétendu
le contraire, ne pouvaient pas interagir avec la
cohérence du défi lancé au départ. De mon côté,
je ne pouvais pas encore imaginer qu’il pouvait
y avoir anguille sous roche et qu’il avait
oublié ce point de départ à cette situation
absurde qu’il m’imposait et que je vivais en
toute conscience et de façon cohérente ou
logique avec le sens donné aux mots entendus. Je
compris qu’il n’y avait, de son point de vue,
que moi qui les avais compris ainsi en vérité,
avec les conséquences que j’allais endurer et
m’imposer, car lui, à ma place, n’aurait pas
même essayé de se fatiguer pour me prouver qu’il
avait tort. C’est en inconscient qu’il m’avait
lancé ce défi et je ne m’en étais pas rendu
compte, puisque c’est en personne consciente et
en intellectuel que j’ai reçu sa phrase en la
jugeant émise par une personne semblable à moi.
[95]
Celui qui est profane pense totalement faux,
agis faussement et follement
au SNNPM[.] : au
sens négatif et non positif de ces mots (dans
d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)), se conduit
faussement, dans le sens contraire au bon sens
qui est le seul sens qui permet de penser
justement comme de concevoir justement dans
l’Intérêt Général et pour le Bien général y
compris de ceux qui sont profanes. Ils ne
peuvent que « faire semblant » et copier sur les
autres et ils croient que les autres agissent
avec les mêmes desseins qu’eux. Le profane, en
fait, ne raisonne même plus justement d’un atome
car il ne comprend pas la logique de l’autre qui
agit avec droiture et charité. Il ne voit même
pas que tous les soupçons qu’il a ne tiennent
pas compte de tous les comportements
désintéressés, au sens financier (pour lui-même)
de celui qui agit avec droiture et justice (et
même s’il devait y avoir un petit intérêt
financier pour lui-même à terme, il est bien
normal que ce dernier agisse avec droiture et
justice, d’autant qu’il est de plus en plus
difficile en ce monde de ne travailler pour
n’obtenir rien en échange ou comme les rentiers
ou les milliardaires véritables qui ne le sont
que pour le Bien et l’Intérêt Général, ce qui
devrait être le cas de l’État, s’il était entre
de bonnes mains. Le profane sait qu’il est
minable, et un moins que rien, mais veut faire
semblant de ne pas s’en rendre compte, comme
cherche à le faire oublier et ne comprend pas
que tout est fait par tous pour essayer de le
sortir de sa condition de profane. Il est
cependant si minable et si « bas » qu’il ne
cherche à s’enrichir que sur le péché qu’il a
commis à cette fin, et il croit que ce que les
autres possèdent et ont obtenu en vérité sont
des choses qui ne vont servir que pour mieux
corrompre. Toutes les pensées de ceux qui se
sont abîmés loin dans le monde profane sont donc
impures, fausses, calomnieuses et
blasphématoires – mais seulement à partir d’un
certain stade – ils sont donc dans l’état de
péché quasiment permanent envers
[96]
Car quand vous m’avez vu, il me semble que vous
n’avez pas compris que c’était l’empereur-bouddha qui
s’adressait à vous.
[97]
Bien qu’un véritable artiste universel, il se
pourrait qu’il ait été quelqu’un qui a eu la foi
et malgré l’homme de sciences qu’il était. Il
est de ceux qui aurait pu bâtir les plans d’une
cathédrale, ce que peut-être certains pourront
faire à partir de l’une ou l’autre de ses
découvertes.
[98]
Voir ici le film d’Orson Welles
La
splendeur des Amberson.
[99]
Je me suis alors souvenu qu’il avait joué
effectivement un rôle en 1975, aussi.
[100]
Par exemple comme en ce moment entre le Chili et
[101]
Mais comment le faire, puisque s’est déjà à
nous. Mais on comprendra que cela nous donne le
droit de retirer des biens à des entités ou des
responsables sans avoir à donner d’explications
et à les confier à de nouveaux responsables.
Cela ne signifiera pas non plus que les
personnes étaient incompétentes ou qu’elles sont
punies. Il y a d’autres raisons pour lesquelles
nous prenons des décisions qui ont à voir avec
d’autres catégories auxquelles nous avons accès
car nous nous sommes débarrassés de l’égoïste et
de l’enfant-gâté y compris du profane adolescent.
[102]
A ce sujet nous pouvons illustrer avec les têtes
sculptées sur l’île de Pacques.
[103]
(comme les vieux écrans des ordinateurs quand
ils ressemblaient à des postes de télévision et
que nous n’étions pas encore intervenu du futur
pour transmettre les détails scientifiques pour
permettre d’élaborer industriellement les écrans
plats qui les ont rendu plus légères)
[104]
(car, j’ai pu le vérifier sur moi-même,
il s’agit d’un véritable poison. Cela nuit à la
santé. Donc c’est comme une drogue au sens plus
récent de ce mot. Bien sûr aussi pour certaines
personnes cela pourrait faire du bien à de très
très petites doses et c’est ça qui est drôle.
Mais pour cela il faut aller bien ou très bien)
[105]
(comme j’ai été contraint par la situation
d’après
[106]
Nous renvoyons à Un
autre cas particulier , hommage à Sigmund
Freud» , un petit texte de nous du 5 avril 2013.
[107]
(un peu comme Candide arrivé à la fin du livre
mais dans une version très différente, car les
problèmes recommençaient – je n’avais même plus
le temps de penser à un jardinet à cultiver et
mes communications à travers le temps ne furent
pas faites à la bêche)
[108]
6 avril 2013.
[109]
En profitant de cette facilité à n’avoir qu’à
appuyer sur un bouton, parfois seulement
virtuel, pour obtenir une image ou une vidéo.
[110]
(Le plus drôle est que ces personnes veulent
être payées et ont même des prétentions
salariales qu’il faut avoir prévues, mais il est
vrai que nous sommes dans un monde qui ne peut
fonctionner que parce qu’il y a de l’argent,
(des crédits
financiers propres et mérités de droit - CFPMD)
puisque nous avons à payer pour le déplacement
de chacune des matières premières, dont nous
avons tous besoin pour vivre, et payer justement
les gens en fonction de la quantité de personnes
capables d’effectuer le travail semblablement ou
dans des conditions similaires – loi de l’offre
et de la demande)
[111]
(depuis 1965 et en 1975 et qui s’était déjà
produit à partir de 2005, en virtuel, et dont je
découvrais en chair et en os que pour la
troisième fois j’avais à devoir le revivre)
[112]
(c’est comme si on cherchait à expliquer la
notion même de « Dieu » : des milliards de
bibliothèques et plus encore à l’infini ne
suffisent pas : on en a pourtant une idée avec
ce qu’offre chacune des chaînes de radio et de
télévision ou chacune des spécialités, mais il
faut encore penser à toutes ces
informations dans le bon sens et avec tous ces
contenus qui s’additionnent)
[113]
(comme déjà leurs semblables se rendent
coupables à chaque instant y compris dans tous
les temps futurs)
[114]
(la liste des puits de pétrole mais aussi
d’autres mines (or, diamants, industries
d’aluminium, etc) de matières premières et les
principales découvertes qui ont eu lieu à partir
de 1975 dans le monde entier sont dues aux
différents localisations des coordonnées
géographiques que j'ai communiquées (transmises)
à travers l'Espace et le Temps du futur avant
même d’y être pour
à partir de 1975 secourir
[115]
(dans le jardin de pharaon ou dans l’un des
endroits qui aurait pu être mis à notre
disposition pour jouer et nous former)
[116]
(de l’ensemble de la mémoire passé de chacune
des personnes. Ce n’est qu’en sachant tous ces
éléments y compris tous les référents
appartenant à une personne qu’on pourrait faire
un travail sérieux avec, mais en tenant compte
de tous les paramètres actuels y compris ceux
qui ne sont pour l’instant que des inconnus
virtuels)
[117]
C’est pareil pour les Etats eux-mêmes. S’ils ne
sont pas bien gérés, « en bon père de famille »,
nous pouvons y mettre des personnes qui y feront
un meilleur travail (et qui auront été formées
pour de telles gestions) ou si nous le
souhaitons modifier les frontières. Ce que nous
ne préférons pas faire avant d’avoir bien
connaissance des dossiers qui concernent pour le
moment des personnes qui ont hérité de ces
géographies localement, des organisations
internationales qui sont sensés nous représenter
par des personnes compétentes – ayant de
l’intégrité - à ce sujet et négocier pour
parvenir par des voies juridiques, de droit
ancien y compris coutumier, en raison de la
complexité historique de ces dossiers, les uns
et les autres sous forme d’ambassade ou
autrement – moins officiellement aussi - pour
arriver, par la négociation à fonder durablement
des socles de paix durable pour ces régions à
pacifier.
[118]
(grosso
modo les cinquante ans d’un adolphe hitler
qui n’avait pas su discerner les vérités des
mensonges, l’objectivité scientifique de la
subjectivité, les préjugés et les calomnies des
vérités relatives et qui provenant du XIXème
siècle, comme des contradictions qui y régnaient
n’avait pas su anticiper dans quel sens allait
l’Histoire (ni comprendre le sens de
l’Histoire), ce qui a été rendu beaucoup plus
facile à l’empereur suivant, mon père, puisque
qu’en raison de mon anneau immaculé de mariage, je suis
apparu d’avance en virtuel dans le ciel du futur
en facilitant ainsi la marche générale jusqu’à
la concrétisation de ma personne dans la réalité
ce qui devait advenir, si on ne comprenait pas
qui j’étais dès l’âge de deux ans et demi en
1965 qu’à partir de 2005, car j’aurais alors
l’âge de prendre la relève pour les personnes
qui sont en activité, en étant déjà humblement
le serviteur du pharaon suivant qui est
certainement, de mon point de vue, des milliards
de fois plus immense que moi, avec les soucis de
sa génération ayant sur son dos non seulement la
nôtre et celle de nos ancêtres, mais ayant à
préparer le monde du pharaon suivant qui encore
plus immense devrait avoir alors, théoriquement,
à moins qu’on arrive d’ici là à stabiliser cette
démographie insensée, une démographie encore
plus énorme à laquelle il aura à devoir donner à
manger, tous les jours, et c’est pourquoi nous
devons songer sérieusement à coloniser la
planète Mars et
Monsieur le
Cardinal, depuis que je suis petit les chiffres
pour moi signifient des réalités exactes et des
conséquences, des devoirs et des contraintes,
tout comme les mots qu’on emploie ou qu’on écrit
étant donné qu’il y a une logique inhérente à
ceux-ci dont j’ai pris connaissance en ayant à
anticiper le futur avant qu’il n’advienne aussi
exactement que cela sur quarante années, quand
ils sont employés dans chacune des catégories,
mais j’ai vérifié que quand on devient un
profane, ils ne signifient plus rien et n’ont
même aucun sens du tout – ils sont alors
employés aussi par provocation comme par des
personnes qui sont devenues folles (parfois
seulement à des degrés peu graves) – ce qui est
désespérant pour les autres - aussi celui-ci ne
sait même pas pourquoi une chose coûte tel prix
ou une personne est payée un chiffre précis :
c’est l’ignorance, au mauvais sens de ce mot
(comme parfois au bon sens). Grâce à cela le
profane dans sa méfiance habituelle fera
confiance car il sait que ceux qui vous
conseillent pour vous permettre de demander tel
prix, et qui appartiennent au monde des gens
conscients, savent justement, en fonction de
nombreux paramètres qu’on ne connaît pas dans
cet état là, ce qu’ils disent à ce sujet, mais
comme il s’agit toujours de personnes qui sont
un peu comme des souverains alors que le profane
débute, il peut s’y glisser ce soupçon et cette
méfiance du profane, voire le reproche comme
cette forme d’interrogation négative : « comment
se fait-il qu’il sache le prix d’un salaire et
pourquoi je ne peux demander que cette somme,
alors que certainement lui, qui est plus âgé, ou
plus avancé, demande plus ? ». Le profane n’est
pas une personne juste. Elle est encore
prisonnière de son "égo" et ne va donc pas
réfléchir en prenant en considération tous les
paramètres qui constituent les différences qui
existent entre les personnes sur le marché du
travail, ce qu’elles ont en commun comme
capacités, les charges qui sont les leurs et
ignore l’existence du « bon sens » qui fera, par
exemple, que chacun trouvera normal de ne rien
exiger pour ouvrir une boite de sucre en morceau
dans une cuisine pour sucrer un café. Non, le
profane est capable de croire qu’il doit être
payé pour cela, en oubliant qu’en dehors des
manchots et de certains handicapés, il y a des
milliards de personnes capables d’ouvrir la
boîte de sucre à sa place tout aussi bien et
même beaucoup mieux, si c’est, par exemple, fait
par un des artistes universaux qui ne bougent ou
ne pensent que de façon admirable (cela ne
signifie pas non plus qu’on ne doive pas payer
dans un monde où l’argent (les crédits
financiers propres et mérités de droit - CFPMD) est indispensable le
temps consacré à ouvrir cette boîte de sucre par
une de ces personnes qui en sont capables – mais
comme elles sont des milliards à pouvoir le
faire, donc en concurrence, cela va réduire à
infiniment peu la quantité de centimes qu’on
peut proposer pour cet acte prenant, suivant la
dextérité de ces personnes manuelles, et suivant
les boîtes de sucre, un nombre de seconde
précises – évidemment celui qui aura appris à
l’ouvrir sans la détruire aura un peu plus de
chance qu’un autre d’occuper la place – mais ce
n’est pas dit dans tous les cas de figure qui
dépendent d'autres paramètres. Aussi
il y a de toute évidence ce problème de l’argent
que nous allons devoir régler dans les moindre
détails à l’échelle mondiale pour chacun des
métiers et avec un ou plusieurs logiciel(s)
tenant compte de statistiques mises à jour grâce
aux recensements divers dans tous les pays du
monde et vous verrez que pour chacune des
fonctions ou des métiers chacune des sommes
versées correspond exactement à une façon juste
qui existe et qui est en rapport avec cette loi
de l’offre et de la demande (bien sûr il y aura
sur certaines spécialités des ajustements à
faire, car il se peut que des personnes aient
été injustement payées pendant longtemps pour
occuper les places qu’elles occupent ayant
nécessité des investissements très importants de
leur part ou de la part de leurs familles ou de
la société pour les rendre à ce point efficace –
je pense notamment à certaines professions
médicales ou de chirurgiens spécialisés ou à
certains professeurs d’université ou à des
ingénieurs ou des architectes – bref à des
personnes qui sont trop rares et dont la
civilisation a besoin pour avancer et se soigner
comme progresser – cette loi de l’offre et de la
demande ou des quantités est le socle commun
autour duquel se sont organisés tous les
commerces de toutes les économies dans le monde
entier. Cette quantité de main d’œuvre de
capacité semblable ou de matières premières
similaires rend plus accessible à tous, des
produits qui, sinon, rares, n’auraient été
réservés, comme le sont les produits rares y
compris les personnes rares, qu’à ceux (sociétés
ou nations) qui peuvent se les offrir. On peut
déplorer cela à un certain niveau de pensée
d’autant plus que nous sommes tous conscients
aujourd’hui du caractère unique de chacun de
nous et trouver injuste que des pommes cueillies
dans un verger ne puissent être vendues sur un
marché qu’au prix du marché national ou
communautaire (en raison de l’existence des
transports commerciaux qui rendent la
concurrence impitoyable) que celles-ci aient été
cueillies par Dieu en personne ou le roi ou que
celles-ci aient été cueillies par la grande
quantité de mains anonymes de chacun des
saisonniers qui, en concurrence les uns avec les
autres, chaque années sur le marché du travail,
avant les cueillettes, vont n’avoir, tout comme
le roi ou un ministre, qu’à monter sur l’échelle
pour décrocher ces pommes ou ces grappes de
raisin pour les placer dans la caisse et les
mettre dans le camion à cette fin (permettant
ainsi au transporteur de vivre, et aux
industriels de produire un camion de plus utile,
dont les frais qu’il représente auront été
calculé dans le prix de chacune des pommes.
Évidemment comme le roi dispose de ses
émoluments et de ses divers revenus (de famille,
historiques, etc.) il ne songera jamais à se
faire payer la peine qu’il prend à cueillir ces
fruits lui-même et trouvera même qu’il s’agit
d’un rare plaisir d’avoir lui-même cet honneur
de pouvoir cueillir les cerises ou d’avoir un
instant pour les peindre, étant donné que durant
l’année la société dont il est responsable (ou
le monarque) ne lui a pas souvent offert
l’occasion de batifoler par les champs, dans les
meules de foins ou de prendre du temps à ce
genre d’activités et peut-être même ne sait pas
exactement (au juste) combien est payé de
l’heure celui qui ramasse de sa main anonyme les
pêches qu’il trouve en désert à la fin de ses repas.
L’activité de cueilleur de pommes est si rare
pour ce roi qu’il est probable que parmi toutes
les pommes qui seront à table ce jour-là, celles
qu’il aura pu choisir et cueillir de sa main
offriront un plaisir à l’assemblée des attablés
qui va accroitre les mérites du roi. Évidemment
celui qui n’a trouvé comme activité rémunérée
pour l’instant que la possibilité de les
cueillir (et qui n’est pas maltraité car on ne
sait jamais que ce soit Dieu ou le roi lui-même
qui se propose pour ce genre d’activité, déguisé
qu’il est au cours de cet été là en main d’œuvre
comme cueilleur de pommes ou futur empereur de
l’empire des cornichons-à-la-russe distribués
dans le monde entier tout comme Coca Cola ou la
moutarde qui a peut-être un empereur de la
moutarde ayant commencé un jour au bas de
l’échelle comme main d’œuvre dans une entreprise
« quelconque » ou comme aide paysan) ne sait pas
pour l’instant pourquoi il y a tant de
différences entre chacune des familles en ce
monde et va peut-être même croire injuste
qu’elles existent. C’est à cause de cette erreur
qui est celle de ceux qui n’ont pas voulu
comprendre combien la génétique rend différent
chacun d’entre nous dans chacune de nos famille
(localité et scolarité influençant) qu’il y a eu
les atroces et honteuses erreurs historiques du
communisme ou du nazisme ou celles de chacun des
systèmes totalitaires ayant à chaque fois donné
des personnes ne sachant pas différencier et
zoomer au cas par cas mais seulement capable de
généraliser ou de voir en plan large sans même
être de celles analysant. Il s’agit de tous ces
chefs
qui n’ont pas compris que chacun des
individus sont des cas et des personnalités
différentes chacune dotées chacun de ce
patrimoine génétique différent comme de parcours
familiaux (parfois internationaux) qui fera que
certains seront capables plus facilement que
d’autres de comprendre des textes ou des
formules de mathématiques ou les différentes
lois qui régissent notre quotidien dans chacune
des disciplines en permettant, par exemple, aux
artistes universaux d’être chacun très
différents les uns des autres, d’avoir une
personnalité propre par ailleurs reconnaissable
(parfois aussitôt) comme on reconnaît la facture
d’un texte, d’un meuble très précieux ou celle
d’un horloger d’un autre quand on est devenu
spécialiste dans cette matière (catégorie) ou en
peinture ou dans les autres différents arts. En
effet, chacune de ces personnes ont le trait
qu’elles ont, y compris une sonorité ou une voix
précise et c’est pourquoi on reconnaît entre
toute celle de Maria Callas, par exemple, d’une
autre cantatrice ou une partition de Mozart de
celle d’un autre compositeur, comme certains
sont capables de reconnaître l’écriture de
Stendhal de celle de Victor Hugo, un Turner d’un
Picasso et cela bien que la catégorie de la
peinture comme de la musique classique propose
de très nombreux peintres et compositeurs. Mais
pour le profane il s’agit de peinture ou de
musique et tous ces détails ne concernent de son
point de vue que les passionnés, les
spécialistes : il ne peut pour l’instant savoir
car il n’a pas encore appris à ranger et à
nommer comme à différencier (il s’agit donc de
ces qualités indispensables à mettre en œuvre
grâce aux enseignements ou à d’autres moyens, ce
qui aura pour effet de réussir à reconnaître le
style d’un réalisateur de films d’un autre : en
effet les films de Visconti, bien qu’italien et
de la même époque ou presque de Fellini sont
très différents de ceux de Rossellini, italien
lui aussi et c’est pourquoi il y a des
comparaisons qui peuvent être effectuées sur les
mêmes sujets entre réalisateurs différents
provenant aussi de régions du monde différentes.
On parle de cinématographies nationales bien
qu’on ait compris qu’il existe la
cinématographie d’auteur. La mise en scène, les
choix effectués par ces auteurs pour composer
les séquences des images qu’ils proposent sont,
suivant les personnes ou les cas de ces auteurs
en fonction des paramètres qui les constituent
chacun, différents. On parle de l’univers
d’Hitchcock ou d’Orson Welles comme on parle en
musique d’opéra de celui de Puccini ou de Bizet.
Pourtant personne ne sera capable de reconnaître
parmi des milliards de pommes cueillies, bien
que chacune un petit peu différente de l’autre
(parfois de façon infime comme un grain de sable
d’un autre ou un flocon de neige d’un autre) les
pommes qu’on aura cueillies et qui l’ont été par
des personnes qui se sont offertes et se
proposent toutes pour la cueillette et si, dans
le tas il y a comme pour la première pierre
posée par le président de la république pour la
construction d’un hôpital spécialisé parmi elles
la pomme ou les pommes cueillies par le roi ou
Dieu en personne, si ces pommes n’ont pas été
différenciées comme la pierre en question posée
à l’occasion d’une cérémonie spéciale, elles
seront avec les autres ni plus ni moins
obéissant aux lois du marché, de la quantité de
l’offre et de la demande, ce qui fera chuter les
prix aussitôt qu’on saura le nombre de pommes
sur le marché local ou mondial cette année là
d’autant que personne ne peut manger plus qu’une
quantité précise de pommes et que chacun, on le
sait – ce qui est bien normal a envie de varier
dans son alimentation et a envie de n’être pas
contraint à ne s’abonner pour toujours qu’aux
pommes et seulement aux pommes, puisqu’il y a
les autres fruits qui apparaissent selon un
ordre précis sur le marché des fruits et légumes
en fonction des saisons, etc. . Donc les pommes
choisies dans l’arbre par les soins du roi ce
jour là sont un évènement car elles marqueront
le début des cueillettes, par exemple et seront
un signal aux informations télévisées pour ceux
qui sont propriétaires de vergers, si ces
moments là ont été enregistrés en vidéo. Sinon
ces pommes iront rejoindre indifférenciables
les unes des autres les quantités péchées dans
l’arbre par les mains des paysans. Cela étant
vu, économiquement parlant, si nous acceptons
enfin, les uns et les autres, de faire preuve de
« bon sens », puisque l’enjeu de la cueillette
de la journée, comme de celle à la fin de la
saison des fleurs qui a permis la venue de tous
ces fruits est de rassembler des quantités
suffisantes de fruits pour permettre, si
possible, à tous d’avoir au moins un peu de cet
apport indispensable de fruits quotidien dans
son alimentation, si possible, au prix le plus
bas, pour permettre aussi à chacun de pouvoir
faire des économies pour les dépenser pour les
autres choses utiles ou nécessaires (ou
superflues), ce qui sera bon pour tous les
autres acteurs de l’économie (et des commerces)
y compris permettra à la main d’œuvre de
participer à l’élaboration de ces autres
produits indispensables).
[119]
(qui ne sont que de ceux que seuls les
ignorants, au mauvais sens de ce mot, se rendent
toujours les auteurs car ils sont la cause des
malheurs qui proviennent de leurs égoïsmes dont
ils ne se sont pas délivrés, avant de jouer un
rôle public d’autant plus qu’ils ont cherché à
convoiter des biens qui ne sont pas à eux de
droits - reconnus pour les avoir honnêtement
acquis, donc avec les droits qui sont liés à
chacun des biens matériels ayant des
responsables ou trouvés des personnes pour en
assumer la responsabilité et l’entretien comme
les frais d’exploitation)
[120]
(ou de leurs enfances ou adolescence
d’enfants-gâtés les ayant rendus comme sourds et
comme aveugles, même en ayant des images
éloquentes ou des sujets traités par écrits :
étant devenus prisonniers de ces différentes
formes d’égoïsmes, ils ne seront pas dans l’état
d’œuvrer dans l’Intérêt et pour le Bien Général
et croiront possibles des choses inconcevables
car ils ne recherchent à œuvrer que pour un
eux-mêmes qui ne se confond pas encore avec
celui de tous les êtres humains et animaux,
leurs décisions sont encore de celles d’escrocs,
ce qui est regrettable. Parfois il faut passer
par cet état de malhonnête, de profane, pour
avoir à connaître comme Jean Valjean l’immense
difficulté qu’il y a à s’en libérer / délivrer par une
succession d’activités toujours de plus en plus
difficiles et qui sont seulement de celles
honnêtes qui conduisent vers les métiers qui ne
sont pas impurs (ceux qui croient possible tuer
des animaux aussi utiles que tous les animaux
sans défense[s] y compris les poissons qui face
aux armes redoutables des êtres humains ne
peuvent envisager la survie de leur espèce que
si celles-ci sont là pour les défendre et non
les offenser et les meurtrir – c’est pourquoi il
faut songer à donner des contraceptifs aux
herbivores et à limiter les prédateurs au
minimum comme à les faire évoluer vers des
alternatives alimentaires préférables, ce qui
permettra une plus grande domesticité de ceux-ci
d’autant plus qu’ils vont naturellement préférer
des choses aussi délicieuses que parfumées et
qui exigent des élaborations dont l’état dans
lequel ils sont les empêche car en étant chien
ou chat y compris lion ou loup on ne peut pas
faire de ratatouille ou des gâteaux, même si on
préfèrerait de beaucoup cela en gourmand qu’on
est à des alimentations aussi insipides que les
produits des chasses auxquels la situation
générale a condamné ).
[121]
Aux courtes vues habituelles qui n’ont comme
effet de les intéresser qu’au poulailler du
voisin ou au troupeau d’un berger dans une
région d’Afrique où il y en a : le berger
sachant qu’il n’a qu’une pierre à ramasser et à
lancer dans la gueule du lion pour le voir
détaler comme un lapin, bien qu’il ait à
demeurer vigilant car celui-ci attend parfois la
nuit pour profiter de son sommeil pour lui voler
une brebis, ce qui aura pour effet de sortir
tous les lévriers afghans (qui sont des chiens
qui sont prévus pour éloigner et chasser le lion
notemment dans le désert) et contraindra à
organiser cette chasse car le lion s’est attaqué
à des animaux domestiques comme les brebis ou
moutons, alors qu’il sait n’avoir le droit de
chasser que les animaux semi-sauvages ou
considérés comme sauvages encore de nos jours.
On le sait, notemment grâce au film de Jean
Rouch « chasse au lion et à l’arc (1965) » :
un lion qui croit possible manger des
animaux d’élevage et s’attaquer aux troupeaux
des bergers, comme un ours dans les Pyrénées ou
un loup, constitue une véritable provocation et
un danger réel pour les êtres humains civilisés
d’autant que les chèvres sauvages ne manquent
pas ou les sangliers à chasser. Il s’agit de
lion, d’ours, de loup ou de tigres qui ne vont
pas bien et qui font de la provocation – en Inde
– ou qui cherchent à sortir des règles du jeu -
qu’ils connaissent pourtant - et qui ne veulent
pas être mis en cage ou travailler dans un
cirque pour avoir à manger, tous frais payés, en
échange, en se laissant cueillir pour cela dans
un des pièges qu’on a appris à leur dresser à
cette fin (car il y a des ours qui ont envie de
se laisser prendre pour avoir à apprendre un
métier ou devenir célèbres comme un tigre sous
un chapiteau capable de traverser un cercle de
feu, - pour les applaudissements - s’il a la
chance d’avoir un dompteur qui réussira à lui
faire surmonter la peur de prendre feu avec son
pelage (ce qui est le cauchemar et la peur des
fauves depuis toujours mais qu’il est fier
d’avoir vaincu grâce au dompteur ami). Ils ont
cru possible l’inconcevable : s’approcher et se
nourrir de troupeaux qui représentent pour
chacune des brebis un investissement financier
important de la part du berger qui doit veiller
et consacrer du temps à la santé de chacune
comme à les défendre grâce aux chiens ou à des
armes à feu ou paralysantes parfois plus
radicales que celles d’autrefois plus
rudimentaires des cailloux d’une fronde. En
échange de la sécurité qu’il offre à son
troupeau, avec le droit de le défendre, il
va recevoir ce que produisent ses animaux
comme le lait ou comme laine et ainsi, en les
apportant sur le marché, les moyens de faire
vivre sa famille et d’élever ses enfants. Aussi
les bergers sont en légitime défense et ont le
droit de se défendre des ours, des loups, des
renards, des rapaces ou des prédateurs d’autant
plus des maladies que ceux-ci véhicules à l’état
sauvage – non vaccinés – d’autant que
normalement ils ne tuent pas souvent car ils
sont des charognards, mais à cause de cela plus
souvent que les autres espèces en contact avec
les microbes (ce qui explique les dangers que
représentent leurs morsures).
[122]
Nous ne sommes pas des loups et les villes dans
lesquelles nous vivons ne sont pas des
bergeries. Elles ont été dessinées et édifiées
par des êtres humains pensant. Des loups ne
peuvent pas calculer des plans comme ceux de
toutes ces villes dont nous avons hérités.
[123]
(ou un organisme, ou une association ou qui que
ce soit en profitant de la distance ce qui
devrait être de moins en moins le cas en raison
du fax, d’Internet,
des vidéophones ou des
web cam
ou des autres moyens)
[124]
(à moins qu’il s’agisse d’un usurpateur, d’un
menteur, d’un tricheur, et les corollaires de
ces mots, mais comme il s’agit parfois de gens
qui le sont devenus malgré eux, il se pourrait
qu’ils cherchent, malgré le fait qu’ils sont
devenus ces profanes, ces traitres, ces escrocs,
et tout le corollaire, le chemin pour retrouver
le monde de la vérité, grâce aux activités
qu’ils mènent ou pourraient mener et c’est
pourquoi on peut prendre la peine de répondre ou
du moins d’orienter, bien qu’aujourd’hui
Internet devrait leur permettre plus facilement
à chacun de trouver les réponses qu’ils
cherchent y compris administratives)
Suite de cette première partie de la lettre au Cardinal Vingt-Trois
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