CARE10/10 titre provisoire :
Un
couple inter-galaxien ; Un Cheveux sur la Langue
Ecrire est un.e travail /
occupation de l’esprit -[charitable]. Mais, bien sûr, pas seulement.
(Au passage, permettez-moi de
penser / réfléchir / dire -[que -(l’expression)] » bien
sûr « est une indication pour la tonalité à utiliser à la relecture
de ce qui suit –[cela confirme ce qui précède et
c’est la vérité des sons exprimé.e.s qui constitue(nt) la proposition »
bien sûr « qui confirme d’avance aussi ce qui va suivre quasiment à cent
pour cent]. On le remarque, avec ce genre
d’indication[s] un texte s’écrit comme une partition avec de-ci, de-là des
indications de son, comme celle de » bien sûr «. C’est que celui qui écrit
est aussi une voix intérieure originale et souvent d’une grande honnêteté car
serviteur de la Vérité qui est en relation avec d’innombrables paramètres et
tout cela donne le son du lecteur qui doit chercher à retrouver le son
intérieur de la pensée de l’écrivain qui change d’état selon son propos, ses
CARE, parfois des plus complexes, ce qui le rend parfois objectif, c’est-à-dire
au service de l’objectivité – recherche de la vérité oblige - qui est en
relation avec la conscience, cette lumière intérieure virginale qui déterminera
la nature des propos : s’ils sont de ceux véritables ou au contraire
mensongers ou d’autres sortes, voire de ceux à l’opposé : inconscients et dont
on doit se servir pour éclairer encore mieux son/sces -(ses + ces = sces)-
propos – la/les conclusion[s], soit ce qui sera juste en conscience de penser /
croire sur le[s] sujets traité[s]. Puisqu’on découvre alors la conclusion, il y
avait donc une finalité à l’invention des caractères de l’abécédaire occidental
dont nous nous servons ici et c’est en conscience une bonne chose comme
peut l’être l’outil,/: une machine ou/et une arme
défensive. » Bien sûr « [c’]est comme
l’indication allegro ma non troppo qu’on trouvera sur la partition,
voire adagio ou vivace et cela permet au lecteur de comprendre qu’il s’agit d’une
évidence aussi –(avec)- ce qui suit]. Et nous venons d’en créer une autre
d’indication pour faciliter la lecture avec cette virgule qui doit être lue
aussi comme un/le deux points de l’évidence ou/et de l’égalité de la comparaison.
Par bien des égards les textes écrits jusqu’à notre époque sans l'aide des
ordinateurs ressemblent aux
partitions de chants grégoriens par rapport à toutes les partitions qui
suivirent de plus en plus précises et complexes avec les croches et doubles
croches, les demi-tons des dièzes, des choeurs, etc.).
Cela signifie que ceux qui
disent qu’ils ne travaillent pas parce qu’ils écrivent ne présentent pas les
choses justement comme ceux qui disent qu’ils ne travaillent pas -[non plus]-
parce qu’ils dessinent ou/et qu’ils sculptent ou alors qu’ils ne travaillent
pas parce qu’ils composent de la musique, voire qu’ils en jouent. Des verbes -(jouer,
composer, peindre, etc.)- signifiant des réalités et des états d’esprit qui
pouvaient être opposés à celui du verbe » travailler «. Mais
n’avons-nous pas entendu ces personnes à d’autres moments dire que le morceau
qu’elles étudiaient n’avait pas été assez travaillé ou/et le dessin pour
l’instant -[encore]- une ébauche ou une esquisse, rien d’achevé, de travaillé -[plus]-
à fond?
Pourquoi en est-on arrivé à
cette incohérence y compris pour des metteurs-en-scène parlant du jeu des
acteurs et non du travail de l’acteur ?
Ces personnes ayant la parole
ignoraient-elles l’existence des synonymes ? Ou avaient-elles envie,
(voire nécessité), de minimiser l’immense difficulté de leur[s] activité[s] des
plus laborieuse[s] au sens de compétences
-(celle[s] d’écrire)- difficile ?
Au cours de ma vie, j’ai
découvert que c’est particulièrement pénible pour une âme devenue inconsciente
de comprendre que ces mots soient synonymes alors qu’à première-entendu celui
ou celle qui les emploie a pensé / choisi de les opposer. Ecrire, dans ce
cas-là -(le travail charitable d’écrivain)- est quasiment un travail
impossible.
C’est le SPOK -(acronyme de situation
précise, occasion, cas particulier[s] -[car ici c de cas + p de particulier = k de SPOK])-
pour les personnes les plus conscientes, cette
complication.
Comment commencer un texte,
voire comment commencer un scénario de fiction ?
Pourquoi ?
-
C’est ici la note d’intention./:/,
[E]elle est censée répondre / réfléchir d’avance à ce pourquoi.
Pour une âme consciente, il y
a hélas l’embarras du choix -[des sujets]- et c’est précisément dangereux
d’être continuellement comme engagé dans un carrefour qui voit apparaître
des choix, comme [à] celui de la Place de l’Etoile, à Paris. En cette promenade
/ récréation / errance confiante[s] en ville en automobile ou mobylette, une
fois approché le maxi-carrefour, laquelle des avenues prendre / choisir ?
La déterminer au cours du premier tour sur -[la]- place
-(si on la connaît de nom, en ayant pour cela rejoint et longé le trottoir du
rond-point au centre de cette place sur lequel est bâti l’Arc de Triomphe), pour ne pas la manquer à l’occasion du deuxième
passage / tour, si on ne fait pas parti des as du volant, voire de ceux qui ont
-(plus prudents)- su préparer leur itinéraire, ce qui, à l’heure actuelle, avec
la géo-localisation par satellite / satellitaire est devenu un jeu d’enfant
pour ceux qui connaissent d’avance le terme de leur destination, ce qui empêche
d’improviser un trajet plus délassant car pour le plaisir d’admirer la ville
qu’on habite à différent[s] titre[s] selon les jours : on opposera ici
promenade pour le plaisir à un trajet pour se rendre au travail et on fait bien
de le faire parce qu’on peut être touriste de la ville / cité dans laquelle on
vit. Bien sûr, ce n’est pas pareil qu’être chauffeur de taxi. Travail, le
trajet ? Ou vacance[s] ? C’est donc que la notion de difficile ou au
contraire de facile sont indissociablement liées à cette notion de travail, ou
a-t-on cru au contraire de récréation[s] / vacance[s] / plaisir[s] comme
si le déplacement au cours d’un trajet pouvait être pénible, comme si toutes
ces façons de faire à l’origine d’œuvres d’art ne l’étaient aucunement,
malaisées / -(ardues), autant que peut l’être un/du travail ?
Au préalable, il est
nécessaire de savoir où va l’histoire de ce scénario : le but avant de
prendre la route du tissage des mots à inscrire pour arriver à cette fin :
le lieu de rendez-vous : arrivé[e].s ?
J’ai commencé tout ceci avec
en tête une idée originale : j’ai imaginé que tout était déjà fini,
parachevé -(ce qui, en réalité est probablement impossible puisqu’en
théorie y a toujours plus loin si la fin n’est pas dans deux minutes): que nous
avions partout, sur chacune des planètes habitables de systèmes solaires -(du
genre du nôtre sur Terre dans cette partie de la galaxie où nous vivons), les
moyens matériels de rejoindre chacune de ces planètes ou/et stations orbitales
en position pour permettre aux êtres humains de se retrouver malgré les années-lumière
qui les séparent.
C’est ici mon point de
départ : une histoire d’amour qui aura lieu dans plusieurs milliers
d’années loin de l’année 2022.
Oui, dans le futur, il y a des
moyens de communication intergalactique[s] qui permettent à des personnes qui
s’aiment de se retrouver par exemple à mi-chemin dans une galaxie dans laquelle
il y a un système solaire avec une planète équipée pour offrir de bonnes conditions
pour se retrouver.
Ils n’étaient pas encore morts
tous les deux.
Cela faisait longtemps.
Leurs corps répondaient de
nouveau au point qu’ils s’éveillaient du long sommeil qui les avait concernés.
Jeunes comme tous les matins
après avoir bien dormi.
Pendant ce sommeil, durant le
voyage, leur âme respective avait quitté le corps qui avait été le sien, mort
de sommeil.
Durant les journées qu’ils
avaient l’un et l’autre vécues, ils avaient appris à avoir un très grand respect
des corps qu’ils habitaient depuis déjà longtemps.
Une fois qu’ils seraient mort,
ils savaient qu’ils auraient une nouvelle réincarnation qui les attendait
mathématiquement, dès après leur mort car de leur vivant ils s’étaient rendus
compte qu’il y avait eu l’un à cause de l’autre une métamorphose -[qui s’était
opérée]- en eux : à leur contact mutuel : ils avaient l’un et l’autre
changé mais ils le savaient et l’avaient appelé de leurs vœux en s’étant
rappelé la phrase de Rilke » wolle
die Wandlung « que tu as traduite, Michèle, par » veuille la
métamorphose « -(au sens de changement).
Les mérites qu’ils avaient
acquis durant leur existence allaient entrer en jeu pour ces réincarnations
dans une époque précise de l’histoire
de l’aventure humaine -(H. A. H.), voire ailleurs ?
En ce qui me concerne il va
s’agir du premier texte / scénario de sciences fixion / fiction -(il vaut mieux, car sinon, à la Raymond Devos, la
première personne du pluriel du verbe » fixer « : » nous
fixions «.
Cela signifie / prouve qu’on
doit apprendre l’orthographe. Nous en avons la preuve : on ne peut pas
écrire n’importe comment car sinon on risque de confondre et générer du sens
incompréhensible -(illogique, incohérent), voire dans le meilleur des cas,
surréaliste, cependant qu’on est en droit de se demander le rapport qu’il
pourrait y avoir entre » fiction « dans le mot de » sciences-fiction
« et » fixion[s] « à partir du verbe » fixer «, c’est alors
qu’on pourra éclairer l’un par l’autre les mots -(: » nous fixions des
fictions / [au sens d’histoires] « et je pense au -[produit]- fixatif du labo-photo,
une fois passé dans ce produit, la photo cesse de poursuivre sa révélation au
sens de se développer sur le papier spécial et elle se fixe définitivement au
moment du contact entre ce produit et le côté où l’image est apparue dans le
bac du/au -[produit]- révélateur. On l’utilise donc pour arrêter le processus
du révélateur après un passage très rapide – quelques secondes - par la cuve de
l’eau, de manière à ce que ce produit du fixatif sinon ne devienne pas
inefficace)- ayant
en définitive même sonorité, cependant qu’ils diffèrent à l’écriture pour nous
indiquer ce que ces mots ont comme sens / définission qu’on sait devoir écrire »
définition « et non définission, le » t «, dans ce cas, on
le voit, valant -(dans un jeu du genre -[du] scrabble)- deux » s « puisqu’il se prononce alors comme s’il y
avait deux » s « - une chose à retenir / intéressante au point qu’en vertu
de cela on devrait pouvoir écrire logiquement le mot » inssérétansse «.
Avec le logiciel Word on procède par » insertion « là où il faut
inscrire des précisions réprimandables et cela peut aussi intensifier les
propos : insérétance. Par conséquent on découvre que parfois deux s = un
c)- que je vais tenter d’écrire.
S’il n’avait pas un autre titre,
il pourrait s’intituler » Week-end de Deux Inter-galaxiens «.
Trouver un titre dès le
départ, ça peut aider à trouver l’eau de son moulin.
Autre titre : ?
J’ai été chauffer la tasse de
thé -(du vrai, du meilleurs. Vendu à l’ancienne, chez
le marchand d’épices et de thé[s] d’un marché de Noël dans mon quartier).
Je bois une gorgée que je
savoure -(en pensant à Cavour qui avec une cédille …)- et je remarque qu’il a
un peu refroidi, ce qui me donne à choisir entre retourner le [ré]chauffer à la
cuisine ou continuer à le boire ainsi ? J’ai posé la tasse sur le petit
meuble, genre table-de-chevet, à proximité du lit sur lequel j’écris en me
servant de l’ordinateur portable dont j’ai hérité de ma mère.
Je vais finalement choisir de
réchauffer ce thé, ce qui va me contraindre à poser le Vaio -(c’est le nom du modèle de l’ordi de la marque Sony)- pour
retourner avec la tasse à la cuisine et la mettre dans le four à micro-ondes
trente secondes car je veux boire du thé chaud et si possible à la bonne
température -(pour ne pas me brûler).
Je n’ai pourtant rien contre -(n’avoir rien
contre signifie au contraire qu’il pourrait y avoir des fois où on
pourrait avoir des paramètres / choses contre, donc en quelque somme des arguments négatifs, soit ici la preuve
qu’on a la liberté de croire, voire -[de]- se servir de ces paramètres pour
discréditer, soit changer / modifier la valeur d’un mot représentant un
ensemble de choses)- le thé froid, non plus. Je me souviens qu’enfant
j’ai pensé qu’on pourrait le préparer et le vendre en bouteille -(car avant de
partir en voiture pour les excursions familiales hebdomadaires du week end maman ou/et papa remplissaient
un thermos de thé -[à la capacité familiale de
six à sept personnes -(pour la journée)]- qu’on pouvait boire dans un gobelet en
plastique qu’on dévissait d’au-dessus du bouchon –[autre visse à desserrer])- et
quelques temps après j’avais remarqué qu’effectivement il existait déjà sous
cette forme dans le Commerce. Cela avait été une bonne idée -(ayant
probablement offert un travail archi facile et utile à de nombreuses personnes.
J’étais fier de moi : un gain de temps : plus nécessaire de le
préparer nous-même –[si ce n’est pour faire des économies], à moins de vouloir
un goût bien particulier –[au sens de différent de ceux les plus habituels]-
qui n’était pas proposé dans ces préparations industrielles : le thé
maison – hand made – artisanal,
confidentiel -[ayant encore de beaux jours
devant lui – ne serait-ce qu’ainsi dans un thermos pour faire des économies], cérémoniel, sacré).
Où est donc passé mon
histoire ?
Durant ces considérations,
j’ai mis entre-parenthèses mon histoire pour ces réflexions à partir de
souvenirs et j’étais concentré dans celles-ci tandis que j’oubliai mon scénario
de science-fiction.
Légèreté de l’être ?
(Ce n’est qu’au moment du CARE6 – acronyme de corrigé,
augmentation, abrégé, relecture et [ré]élaboration
six fois - que j’ai pensé à Kundera et son « insoutenable légèreté de l’être », pas avant.
Comme quoi une personne peut être soupçonnée injustement d’avoir emprunté une
expression ou un mot à un auteur alors que le rapprochement des mots en
question lui est venu sans -[y]- avoir pensé -[à cet auteur]- mais parce que
c’était bien de quoi il s’agissait, par conséquent dont cette personne aura
raison de dire en être elle-même les auteurs, ce qui explique pourquoi elle a
jugé bon, au cours de la rédaction des CARE suivants de ne pas mettre des
guillemets puisqu’innocente elle n’y avait pas pensé, cependant comme elle y
pense de nouveau à la huitième relecture – soit au huitième CARE – elle
s’interroge une autre fois : pour ou ne pas mettre les guillemets à
l’expression car en relisant et corrigeant la cinquième fois :
« c’est bizarre cela me rappelle quelque chose, mais quoi ? ». Et
comme rien ne venait je me suis dit : on verra au prochain CARE : il
manquait tout simplement le terme » insoutenable « à
l’expression » légéreté de l’être « et retrouvant ce titre du
livre parcouru durant l’été 1984 chez mes parents à Bern, je me suis de nouveau
posé la question de savoir si c’était effectivement » insoutenable
« ou pas la légèreté de l’être, pour conclure que cela probablement dépend
des situations en cause au point que certaines d’entre elles rendent léger par
conséquent ce qui peut se comprendre / entendre inconscient -(l’inconscience
rend léger car il manque à l’esprit des paramètres concernant la réalité. Cela
a à voir avec l’ignorance, soit l’oubli de ces paramètres qui, quand on les a à
l’esprit, rendent plus graves, (donne du poids à la réalité)- puisqu’on
l’analyse en conscience, soit en liaison possible avec ces paramètres dont,
dans le tas, tous ceux anti-thétiques). Mais ici un mot me donne à réfléchir,
celui de cette ville où j’ai vécu en Suisse, la capitale fédérale, Bern, là où
bien vite, en 1978, j’eus à perdre canoniquement la mémoire de Christine … Lang
et pour méditer sur les mots je l’ai rapproché du mot anglais de born qui signifie » né « et je me
dis que c’est comme si le » e « de Bern qu’on utilise dans
l’expression » drapeau-en-Bern « soit signifiant porter un deuil -(le
contraire de la naissance)- était en français à cause de ce o de born une forme, ce e, qui indique une
rupture dans l’anneau du o, et avec Bern, par conséquent, quelque chose qui a à
voir avec la mort -(: effectivement on retrouve ce o dans le mot » mort
«), de deuil, ce qui avait été le cas fin 1977 quand je dus oublier que
j’étais marié avec Christine universellement -(car j’attendais des enfants
d’elle à cause de l’apparition de l’anneau immatériel immaculé lumineux -(à mon
doigt des femmes et des hommes très véritablement mariés)- pour elle. Son
anneau coïncidait donc avec le tien -(ce qui nous avait été communiqué du
futur, le ciel), donc avec tout ce qu’il avait fallu mettre en œuvre pour le
voir apparaître pour elle -(comme enfin pour le tien). J’avais eu ordre de me
préparer pour te rencontrer canoniquement par rapport à la situation, Michèle,
qui aux dires de l’immensité que j’étais devenu dans le ciel de Rome en
1977 avait un anneau immaculé immatériel lumineux en 2005 avec toi.
Bern
is born - » Bern est née « ou alors l’expression » born in Bern ‘to die’ « né à Bern « pour mourir » ? En tout cas
endeuillé à Bern -(de la perte de ma descendance d’avec Christine dont je suis
aimé. Mais le pire allait être de ne pas/plus le savoir : cette amnésie
qu’il avait fallu que je m’ingénie à contracter pour pouvoir avoir une histoire
avec Michèle qui serait à l’origine d’une nouvelle apparition de l’anneau
immatériel immaculé lumineux, mais cette fois pour elle pas avant 2005). Mais
dans le mot de Bern on peut découvrir dans la réalité une fosse aux ours -(bear en anglais)- en bas après le pont
de l’accès à la vieille ville, et on sait, à cause de ceux-ci, les ours, qu’il
y a une lecture potache possible du nom de la ville écrite bearn qui peut s’écrire » bêrn «, soit comme Bern se prononce
quand on ne lit pas bearn à
l’anglaise. Ce qui est intéressant est ce ear
de bear prononcé » êr « en français -(non loin de beurre)-
et » ir « en anglais qu’on retrouve dans le mot de Shakespeare :
ear, (chèqspir)- ce qui n’est pas si
loin du birn allemand du mot de pera en italien, soit la poire quand ce ê - » e « + accent
circonflexe devient effectivement, vu de plus loin, pour quelques-uns au moins,
un » i «).
Pas seulement : le poids
de la matière : des conditions à créer pour avancer.
Tant que celles-ci n’existent
pas sur une planète, on ne peut créer, c’est-à-dire réfléchir et se projeter
dans l’avenir à notre époque grâce à l’apprentissage du scénario -(ce que j’ai
obtenu comme maîtrise à l’Université de Paris I-Sorbonne à l’Institut d’Art et
Archéologie dans les années 1985-1986 : précisément une maîtrise en
scénario –[au cours de cette année scolaire Anticythère et FARNESE CINEMA]- après la
licence en Animation Culturelle et Sociale –[option Cinéma]- ce qui a été
confirmé à l’échelle universelle au moment des communications / transmissions
dans le ciel à partir de l’année 2005 quand je me suis adressé aux années 1967
et à celles à partir de 1977 –[qui me voyaient et m’entendaient à Rome, dans le
Ciel, immense]. Cet intitulé de Licence existe très réellement puisque l’ayant
obtenue, cela nous a permis d’intervenir à travers Espace et Temps pour animer
culturellement –[et socialement]- l’époque de la fin de mon enfance à partir de
ma naissance en 1963, puis à partir de mes quatre ans en 1967 et enfin à partir
de mes quatorze ans au terme de mes secondes Démonstrations en 1977 ayant
prouvé la nécessité du respect de la plupart des vérités relatives de chacune
des religions intellectuellement admissibles une fois retrouvée la
conscience ; c’est d’accéder à la conscience qui va permettre de retrouver
la plupart des raisons qui concernent les vérités relatives en vigueur, voire
qui font l’objet de contestation[s] que le droit, voire le devoir de douter
génère).
Mon D.E.A. en adaptation
scénaristique pourrait me faciliter la lecture et [la] scénarisation de l’un ou
l‘autre des -[livres d’]Azimov. Mais si j’ai pris connaissance
de son existence en tant que, parait-il pape éternel de la science-fiction, je
n’en ai pas encore lu -(du Azimov)- à cette date de décembre 2022.
J’ai envie sur cette matière
de procéder à ma façon sans subir les influences des maîtres du genre car je
souhaite aborder cette matière à partir de l’expérience que j’en ai eu à ma
naissance, puis quatre ans après en 1967 en synchrone avec 1977 et 2005, comme
nous avons tous pu le vérifier dans la réalité qui, à mon sujet, est apparue -[aussi
comme]- une sorte d’immersion dans de la science-fiction, cette dernière
consubstancielle de notre réalité.
J’ai avalé plusieurs gorgées
de thé et j’ai fini la tasse : en réalithé - celle-ci – pour être un peu
plus précis, un deux-tiers de mug.
Je médite sur la fin de
l’histoire que je sais appartenir au genre d’Asimov sans avoir lu une ligne de
cette personne pour laquelle j’ai éprouvé beaucoup d’intérêt et de sympathie en
découvrant avec toi Michèle un documentaire à son sujet sur Arte il y a
quelques semaines.
Je viens de prendre dans ma
main droite par sa anse le deux-tiers-de-mug
-(se prononce maug, voire mog[ue])- pour regarder s’il
ne reste pas encore le reste d’une gorgée de thé à boire.
Visiblement j’avais un instant
oublié que j’avais posé cette tasse sur la table après l’avoir constathée vide.
Etrange cette mémoire qui vous
joue ainsi des tours.
C’est comme si j’étais mu par
un autre que moi-même qui sait que s’il me fait constather qu’il n’y a plus de
thé, cette petite étape va jouer pour me faire me lever et porther ce mug jusqu’à la cuisine pour faire
bouillir de l’eau de manière à pouvoir en verser sur l’œuf-de-thé en métal avec
des trous à l’intérieur de la tasse pour, en le bougeant dans l’eau chaude,
diluer l’essence de ce thé une fois infusé dans cet œuf -(un petit récipient
dans lequel mettre le thé achethé en vrac chez les marchands d’épice[s] et de
thé[s] de l’un des marchés de Noël qui sous des sortes de tentes-abris blanches,
un peu parasol et imperméable plastifié, proposent leurs marchandises boulevard
saint-Michel ou/et boulevard saint-Germain durant toutes les semaines qui
précèdent cette fête traditionnelle).
Vais-je ou ne vais-je pas
retourner à la cuisine ? (En relisant, j’ai envie d’ajouther » neige
ou neige-pas « à retourner ... -[n’ai-je ou n’ai-je pas …]- plutôt que
vais-je ou ne vais-je pas … - Bizarre, serais-je autant sensible que cela aux
sons ?)
N’ai-je pas intérêt à apporter
dans ma chambre la bouilloire électrique de manière à évither ces incessants
va-et-vient à la cuisine où la bouilloire électrique a remplacé le samovar des
écrivains polonais ou/et russes -(ça me
va un samovar – potache ! – et c’est bien dans le style Momie à mi-mots.
Il est probable que l’inventeur du samovar avait appris la langue française. Il
a rendu russe l’expression » ça me va « et cela a donné samovar).
C’est que j’ai enfin retrouvé
le goût du thé que j’avais gouthé il y a de nombreuses années. Je l’ai trouvé
tellement satisfaisant que je suis retourné chez le vendeur de ce thé[s] et
d’épices pour en achether en une seule fois pour vingt euros, de manière à en
avoir pour plus longtemps et pouvoir te le donner à goûther -(au sens de savourer)-,
du moins testher, Michèle.
Sans les conditions rassemblées
pour penser et médither, point de scénario. Pas même un film.
Nous avons à honnêtement
constather que ces conditions pour écrire existent enfin dans l’histoire de l’aventure humaine -[H. A.
H.]- avec l’aide d’un ordinateur portable équipé du logiciel Word -(et je ne suis pas peu fier de ce
qu’on me le doive en très grande partie puisque j’ai eu à décrire dans le cadre
de la très grande dicthée -[T. G.
D.]- à travers espace et temps au-dessus des années 1977 -(à partir des années
2005, du ciel)- ce que ce logiciel de Word
serait -(comment se présenterait Word,
quelles fonctionnalithés il offrirait – comment il marcherait car je savais quand
l’année viendrait que j’en aurais besoin pour rédiger la
partie écrite (de ma thèse) de doctorat comportant comme partie
principale la production et réalisation de La Momie à mi-mots
pendant les années où je vivrai comme marié : du moins en union libre,
soit une sorte de concubinage avec toi, Michèle).
Je vais remettre de l’eau
chaude dans cette tasse de thé.
Avoir la possibilithé de boire
du thé chaud périodiquement est aussi, nous l’avons dit, de l’ordre du rituel
cérémoniel et pas seulement de l’habituel -(au sens négatif de ce mot qui en a
du positif dans d’autres SPOK) : une tradition.
Changer les feuilles de thé
séchées en ouvrant l’œuf de métal -(ce qui donne l’occasion de respirer par le
nez à l’intérieur le thé séché)- est un moment où on doit peser le pour et le
contre pour déterminer la première des quantithés de thé à placer dans l’une
des moitiés vides de l’œuf-à-thé[s], ce qu’on peut facilement faire à la petite
cuillère. Mais il y en aura toujours qui pour obtenir beaucoup plus d’essence
de thé vont vouloir remplir / bourrer à égalité les deux parties de l’œuf en
croyant ainsi [d’]avoir évithé de le vider sinon à
l’occasion des une ou deux fois suivantes et d’avoir amélioré le rendement en
ayant obtenu ainsi une plus grande quantithé d’essence de thé.
Le théléphone sonne. Je vais
répondre. Un temps
-(une heure est passée) :
C’éthé toi, Michèle de retour
de ton déjeuner avec la fille d’une de thés anciennes enseignantes que tu m’as
dit, hélas, à compther parmi les disparus.
Nous avons parlé de ce que la
majorithé des psychiatres vont obtenir comme réincarnations de requin[s] parce
qu’ils n’ont pas encore la -[plus]- juste attitude, puisqu’au lieu de se
réjouir de ce qu’une personne se soit sevrée de[s] neuroleptiques, ils sont
incapables d’imaginer cette personne ayant retrouvé la raison au point qu’elle
n’ait évidemment plus nullement besoin des neuroleptiques et par conséquent
comprendre qu’ils doivent avoir comme principal soucis de sevrer dès la première prise maximale de 25 mg de Risperdal ou de
Xeplion chaque malade des neuroleptiques aux effets secondaires indésirables
les plus malheureux -(dévastateurs au sens qu’ils sont à l’origine de
telles souffrances insuportabilissimis…simissimes que nous comprenons qu’en
raison de ces souffrances dont ils ont été à l’origine, il est bien
naturellement normale de supprimer à
jamais ce type de « médicaments » puisque si ils ne les
suppriment pas tous ceux de près ou de loin concernés par les neuroleptiques
-(à l’exception des patients ayant été abusés au point d’être les victimes de
ces souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes dès 25 mg à quelques
exceptions près)- obtiendront ces réincarnations de requin[s], voire au mieux
de crocodile[s], bref de personnes « bien intelligentes » -(peut-être
avec un peu de chance obtiendront-elles celles de dragon du Comodo).
Ici la personne qui ne
comprendra pas que l’expression mise entre-guillemets, en raison du contexte,
doit être lue avec toute l’ironie que signalent ces guillemets 4 et 7 placés de
part et d’autres, avant et après, [de] l’expression -(ces guillemets donc étant
des indications sonores -[pour le ton à mettre en raison du contexte qui
précède et qui signifie le contraire : qu’elles sont les moins
intelligentes d’entre toutes])- aussi, obtiendra une ignoblissimis…simissime
réincarnation car elle n’aura pas compris le ton qu’il fallait trouver /
mettre, soit ce que ces guillemets mis ainsi signifient plus réellement. Ces
guillemets ainsi positionnés cela a aussi à voir avec les accents qui nous
donnent -[à la lecture]- le son à émettre). C’est tout simplement parce qu’ils
ont abusé de la confiance de ceux auxquels ils ont prescrit ces neuroleptiques
aux effets secondaires indésirables insupportab[i]lissimis...sissimes dès la
première prise de 25 mg -(qui normalement devrait être l’unique –[voire
normalement proposée à 5 mg – ce qui est déjà trop / beaucoup trop !]. Il
est effectivement bien normal que celui qui fait souffrir une personne en
prescrivant des neuroleptiques à des doses supérieures -(au-dessus / plus
importantes)- de 25 mg –(Risperdal tous les quinze jours quand pour
Xeplion le même dosage de 25 mg est à prendre une première fois pour quatre
semaines avant de réduire de moitié ou alors de passer à cette dernière
occasion/dose à toutes les cinq semaines et cinq semaines après à cette dose de
25 mg toutes les six semaines et ainsi de suite à toutes les sept semaines
avant, lors de la huitième semaine de diminuer la dose de moitié mais -[de
nouveau] toutes les quatre semaines pour passer au bout de quatre semaines à
toutes les cinq semaines à cette demi-dose de 12,5 mg -(ce qui a été le cas une
première fois toutes les quatre semaines avant toutes les cinq semaines, soit
la moitié de la dose de 25 mg ensuite toutes les six semaines pour passer à
cette dose de 12,5 mg toutes les sept semaines mais pour passer à 6,25 mg, la
moitié, de nouveau toutes les quatre semaines -(puisqu’on aurait du passer à
12,5 toutes les huit semaines, ce qui est 6,25 mg toutes les quatre semaines,
puis à cette occasion de la quatrième semaine on attendra une semaine de plus
avant de la reprendre toutes les six semaines puis toutes les sept semaines à
6,25 mg et enfin à 3,125 mg toute les quatre semaines -(car on devait passer à
toutes les huit semaines)- et enfin toutes les cinq semaines, puis -[toutes]-
les six semaines et après toutes les sept semaines à 1,5625 mg toutes les
quatre semaines, si on n’a pas décidé -(ce qui est toujours possible depuis la
première dose)- de mettre un terme au sevrage, ce qui fera que la fois suivante
ce sera toutes les cinq semaines ce dosage minimal, de manière à poursuivre
-[à]- toutes les six semaines et enfin la fois suivante à toutes les sept
semaines pour que cela puisse advenir à toutes les huit semaines, soit 0,78125
toutes les 4, 5, 6, 7 semaines ce qui permettra une fois encore de réduire de
moitié et/pour obtenir un dosage de 0,390625 toutes les quatre semaines de
manière à passer à cette dose toutes les cinq semaines pour passer à toutes les
six semaines et enfin à toutes les sept semaines pour passer à toutes les
quatre semaines au dosage moitié moins fort de 0,1953125, -(0,2 mg)- soit ce
que fort logiquement nous arrondi[e]rons à 0,1 mg toutes les quatre semaines
pour passer à toutes les cinq, puis 6 et 7 semaines et enfin arrêter / terminer
le sevrage – il est bouclé - quand il faudra passer à toutes les huit semaines[1]]- obtienne ces malheurs pour son âme
car il pouvait éviter ces souffrances atrocississimis...simissimes, soit
insuportabilissimis…simissimes -(et croyez-moi je n’exagère pas, voire malgré
l’usage de ce superlatif absolu je minimise tant c’est hyperisimissimis...simissime[ment]
insupportab[i]lissimis...simissime à chaque seconde de l’existence dès la dose
de 50 mg, les psychiatres l’ayant prescrit au-delà de 25 mg, autorisé pour le
pire des cas une seule fois quinze jours -(pour le Risperdal et toutes les 4
semaines pour le Xeplion)- et /mais pas plus ayant ainsi obtenu pour leur
respective âme -(comme celle des pharmaciens et des infirmiers leurs complices
comme les industriels ayant fabriqué ces poisons la plus néfaste des
réincarnations à venir -(s’ils ne s’en repentent pas le plus sincèrement du
monde en réparant y compris financièrement auprès de celui ou de celle qu’ils
ont ainsi abusé -(plus qu’infiniment)- martyrisé : torturé, le personnel
des Etats étant devenus complices, eux aussi, des plus grands malheurs causés à
des êtres humains. On comprend aisément que l’infaillibilité de ceux qui
représentent l’Etat ne devrait pas être utilisée comme certitude / maxime car
malheureusement l’Etat et ses serviteurs psychiatres, en prescrivant à ces
dosages au-dessus de 25 mg, (ce que nous avons vérifié sur nous-mêmes avant
ces conclusions sur ces produits en disant ici ce qui est au maximum -[du
maximum]- possible comme dosage avec les indications de fréquence[s])- étant le
plus grand maximum possible à humainement supporter, sont devenus coupables
d’avoir causé des souffrances atrocissimis…simissimes -(alors que chacun des
responsables des Etats les plus en avance spirituellement ont -(avec la peine
de mort interdite)- justement interdit, toute forme de torture)- et en vérité
pas permises d’une seule molécule ou/et atome, l’Etat et ses serviteurs
coupables à jamais de médications impossibles en conscience à prescrire)- quoi
qu’ils aient fait de bien, car la prescription au-delà d’une seule fois à 25 mg
-(au très grand maximum pour le Risperdal et le Xeplion comme son équivalent
Aldol)- est acte de sacrilège / barbarie total[e] envers la partie encore la
plus saine des patients -(dont ils ont ainsi, par ces prescriptions au-delà de
25 mg abusé la confiance en prescrivant ces « médicaments » -[en fait
des poisons administrés sans possibilité de recours à tous ceux hospitalisés à
la demande d’un tiers – ce qui est coincer d’autres innocents et les torturer
ignoblement en profitant de leur ingénuité / confiance])- qui ne pourra se sortir
de la momentanée schizophrénie –(car c’est ce qu’on a cru pouvoir prescrire
pour soigner de cette maladie dont on a cru être la cause -[de ces momentanés
dysfonctionnement[s] et/ou troubles psychiques])- qu’en pratiquant consciemment une
psychanalyse ou/et auto-psychanalyse -(ici cette dernière si elle appartient
aux végétariens depuis plus d’une année, de manière à pouvoir, par la parole et
la réflexion comme l’étude des souvenirs remonter jusqu’au moment où, à la
suite d’un malentendu -(cela peut être à l’occasion d’un film pris en cours de
route – il manquera des éléments d’où les malentendus possibles - ou à une
autre occasion), elle a -(sans s’en rendre compte)- évolué vers le mensonge au
lieu au contraire de poursuivre sa route au service de la Vérithé ou/et celle
des vérithés relatives -(souvent, il est vrai, extrêmement complexes)- quand
elles ne sont pas plus heureusement des plus simples.
Nous parlons aussi d’Isaac
Asimov – tu t’es souvenu de son prénom et nous promettons de lire un de ses
ouvrages traduit[s] en français tant nous avons fini par avoir de la
considération pour lui à cause du documentaire sur Arthé nous avons vu ensemble
lors de ton dernier passage à Paris.
En fait, je m’aperçois que je
t’écris une lettre. Ce scénario que je vais tenter d’écrire à partir de notre
histoire est une lettre qui t’est adressée.
Alors comment nous y
prendre ?
Il est impératif que ça se
termine bien.
Toi et moi nous avons renoué
avec les histoires qui se terminent bien. Nous avons compris que celles qui se
terminent mal sont néfastes, peuvent être à l’origine de ces malentendus, voire
préjugés.
Avec La Momie à mi-mots
nous avons donné le la de la finalité des œuvres cinématographiques auxquelles
nous voulons que la réalithé ressemble.
Malgré toute la première
partie du film où Carolyn Carlson est comme persécuthée, La Momie à mi-mots
se termine plutôt bien : fin des nationalithés qu’il ne faut pas confondre
avec les nationalithés -(donc c’est au sens
négatif de ce mot de nationalithé que les enfants se sont débarrassés des
drapeaux de toutes les régions du monde mais, au fond, ils continuent à exister
ou/et représenther les régions du monde)- pour
des embarcations différentes, autonomes et/ou jouissant d’une relative
indépendance.
En fait la génération qui
vient se débarasse de ses origines nationales -(les drapeaux coulent au fond du
bassin, derrière la fontaine Carpeaux). Ils appartiennent au passé
(ces drapeaux nationalistes -[au sens négatif de
ce mot de nationalisme qui dans d’autres SPOK est positif comme peut l’être
aussi le -(mot de)- régionalisme]- coulent, vont
tapisser le fond du bassin, ils vont être underwater
comme on dit underground). Les
enfants en avaient hérithé mais en raison de la mondialisation des échanges
commerciaux et culturels, comme de la création de la monnaie de l’Ôz mais aussi
en raison de la résurrection de la momie
-(Carolyn Carlson, la Danse, la fontaine Carpeaux)- ils
suivent cette fée dans/vers un univers où la Danse
-(mais aussi la musique et les arts -[dont la sculpture et probablement le
chant]- mais aussi la peinture, celle qui a recouvert les deux cerfs-volants)- a/ont une
très grande importance, voire à terme, toute l’importance qu’elle/ils mérite[nt].
La » joueuse de
flûte « qu’est devenue Carolyn Carlson sans flûte les entraîne vers
un avenir mystérieux où ces nationalismes sont déjà loin derrière eux car ils ont
laissé la place à ces bâteaux -(naviguant) sans
pavillon[s]. L’ironie du sort c’est dans le bassin octogonal du jardin du
Luxembourg que cela a lieu : chacun des bâteaux qu’on peut louer à la
demi-heure, voire au quart-d’heure, portent depuis quelques temps après le
tournage de La Momie à mi-mots chacun
le drapeau d’un des pays de notre planète et naviguent sur les eaux de ce
bassin devant le Sénat -(et on comprend ici que ces drapeaux au-dessus des
voiles, au sommet du mât de ces petits bâteaux, sont logiques avec la fonction
actuelle du palais Médicis représentant la France. Les bâteaux que nous avons
utilisés dans » La Momie à mi-mots
« portaient les lettres de l’alphabet – avec eux un véritable abécédaire
de poètes voguait - et on avait pu lire en passant sur une première
voile » e « suivi du mot » bo « -(qu’on entrevoit
moins d’une seconde)- comme voir le » z « en difficulthé -(dans
une situation critique sous le torrent en provenance du bassin supérieur de la
fontaine Carpeaux).
En fait on avait assisthé à
des conflits intercatégorie[l]s et ces catégories c’était ces nationalismes au
sens négatif de ce mot qui en aura toujours du positif sur d’autres aspects /
points que ceux où ces conflits sont négatifs.
C’est pourquoi dans le ciel on
continuera à avoir de la considération pour ces régionalismes qui se remarquent
au fond du bassin à tapisser de couleurs -(ce fond) car avec ces régions du
monde symbolisées par les couleurs de leurs drapeaux et ces signes sur ces
drapeaux, nous avons là l’histoire
de l’aventure humaine -(H.A.H.)- qui, durant de nombreux siècles, s’est déroulée
à cause de l’existence des racines géographiques différentes de la plupart de
nos respectifs ancêtres pour mener jusqu’à nous.
Pour la Paix dont nous
jouissons enfin, il y a eu nécessithé de traverser de nombreux conflits
internationaux mais l’étude des arts dans chacune des régions de notre planète
et les réalisations des œuvres d’art y compris en littérature sont à l’origine
d’une prise de conscience salutaire : en fait cela dépend de chacun, en
liaison avec des ensembles / catégories.
C’est que la catégorie science-fiction
nous contraint à nous projeter dans le futur, donc à voir d’avance : voire
à être prophète.
J’ai pu démontrer en 1967 et
en 1977 qu’il était possible d’apparaître d’avance en 2005 dans le ciel de ces
deux époques de 1967 et 1977.
Cela nous avons tous pu le
vérifier à partir de 2005 quand une autre fois, mais cette fois-ci en chair et
en os, tout s’est reproduit exactement comment cela s’était passé en 1967 et
1977 -(sauf que cette fois-ci nous étions en 2005 et plus en 1967 et
1977 ; enfin nous avons compris comment cela s’était passé quand nous
étions en 67 et 77).
Aussi en 1967 c’est bien
l’irruption de la science-fiction dans notre réalité quotidienne qui s’est
produite pour tous ceux qui ont eu la chance, comme en 1977, de me voir et de
m’entendre immense dans le ciel -(et cela s’est alors produit au-dessus de Rome
alors que nous avons découvert que cela se passait en vérithé à Paris dans le
studio que mes parents avaient loué pour nous, 12 bis rue du Val de Grâce, à
partir de 2005 ! Incroyable mais vrai !).
Cela signifie que le genre
qu’est la science-fiction est en fait une dimension de notre réalité.
Mais pour exister à ce point
où j’ai eu l’honneur de le démontrer, cette science-fiction de la réalité
s’appuie sur plusieurs paramètres très importants, voire fondamentaux.
Premièrement cela repose sur
le sacrement du mariage dont l’anneau immaculé immatériel lumineux -[qui]- apparait
au doigt annulaire de l’être humain homme / garçon. Cela permet de comprendre
la différence entre la condition profane et la condition sacrée que les religions
à travers leurs responsables célèbrent notemment avec l’institution des
sacrements distribués / proposés à des personnes méritantes au cours de leur
parcours spirituel personnel. Elles en font la demande quand elles le sentent.
La condition de prêtre ou/et
de serviteur(s) des religions est une condition sacrée que celles-ci célèbrent
Dieu ou pas -(d’autant qu’il paraitrait que Dieu n’existe pas pour certains
bouddhistes – alors comment ce fait-il que la conscience existe ? Comment
se l’expliquent-ils ?).
Il s’agit une fois qu’on a
acquis la conscience d’œuvrer pour conseiller tous ceux qui ne parviennent pas
à comprendre ces notions et nécessithé(s) religieuse(s), de l’étude des
religions.
C’est dans le ciel des années 1967,
puis de 1977 que j’apparais immense -(mesurant environ six mille cinq cent
mètres de hauteur dans le ciel de Rome et là où en fait cela se déroule pour
apparaître en 1967 et en 1977, c’est 2005, (là où j’apparais de façon sonore en
1967 c’est 2005 aussi)– comment est-ce possible ?
C’est à cause d’une histoire
d’amour avec/pour plusieurs femmes pour lesquelles est apparu -(pour chacune)-
à un moment différent un anneau immaculé immatériel lumineux à mon doigt
annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés. C’est donc à
cause du sacrement du mariage et c’est son obtention -(de m’en être rendu
digne)- qui en est la cause, car avec la restauration de la conscience en
moi, j’ai soudain eu accès aux dimensions sacrées de l’existence ! Cela
signifie que je n’ai pas triché de moins encore d’un photon ou/et de moins
encore d’un neutrino tout du long de ces troisièmes démonstrations -(de 1977 à
2005 !).
A partir de 2005, on me
redonne la mémoire de Christine .. Lang. Tout change
alors pour moi ; tout mon parcours depuis 1977 prend un sens différent et
effectivement je me souviens de 1977 à Rome et de l’anneau immatériel immaculé
lumineux qui est apparu pour Titine à mon doigt annulaire des hommes et des
femmes les plus véritablement mariés. C’est tellement vrai qu’il me faudra
m’ingénier pour l’oublier complètement, pour que cet anneau réapparaisse en 2005
pour toi, Michèle, avec laquelle nous comprenons alors que je suis donc marié
dans le ciel comme je le suis avec Christine qui finira par comprendre que j’ai
pu / je n’ai pu sauver cette planète [qu’]à cause de l’anneau que j’ai vu
apparaître à mon doigt pour elle en / depuis 1977, cependant que si on
nous contraint au sacrifice de séparation -(ce que tous devaient salutairement
pour tous refuser), j’ai le devoir de l’oublier jusqu’en 2005 où tout [v]a
recommencé[r] comme en 1967 et 1977, mais enfin à partir du cas de figure de la
Création où nous sommes en 2005).
Quand nous étions en 1967
-(j’avais alors quatre ans)- à Paris avec mes parents et mes frères et ma sœur.
Pour obéir à la voix céleste que tous à Paris nous avons entendu en 1967, nous
partions pour Rome où je devais aller à l’école mais aussi faire de nombreuses
découvertes artistiques tant mes parents avaient la passion des arts, ce qui
nous a mené à de très nombreuses découvertes effectivement
admirabilissimis...simissimes à tel point qu’avec chacune il était évidemment
impossible de croire que l’être humain pouvait être/devenir un escroc, un
menteur et/ou un tricheur. En un mot un » salaud «. Ceux qui le croient de
l’être humain ne vont pas bien dans leur tête au point qu’on puisse croire que
pour voir les choses ainsi il est probable qu’ils sont / soient eux-mêmes devenus
des salauds. Ceux-ci l’étant devenu, ils croient que tous ont fait ce choix
dont ils sont prisonniers au point de modifier la manière de se
comporter : certains en sont devenus méchant[s] alors qu’on ne naît pas
méchant. Tout au contraire : on naît bon, adorables, mais c’est l’absence
de la Vision du Paradis -(autour de nous)- qui peut conduire certains d’entre
nous à devenir méchant[s], cela advient en raison de malentendus, à partir
d’une chose ou/et une autre. Il y a plusieurs causes à cela mais ce qui est
certain c’est que de ne pas voir autour de nous le Paradis -(Ôz)- d’avant la très grande catastrophe,
est un des paramètres qui à la longue peut rendre méchant, voire pécheur. Les
péchés ont donc des origines -(des causes). C’est la situation bloquée qui a
été à l’origine des péchés comme de tout le reste. Tout ce qui nous entoure
résulte de la situation bloquée et pour une grande majorité d’entre nous ce
n’est pas si mal puisqu’il y a tous ceux qui croient avoir le droit de faire
des enfants alors qu’il existe tous les moyens contraceptifs pour éviter d’en
mettre au monde, ce qui est choisi par tous ceux qui n’aime pas vivre, voire
tous ceux qui ne supporte pas la constitution de famille en liaison avec le
sacrement du mariage et ses anneaux d’or-18 carat achetés avec des RFPMD –(acronyme
de revenus financiers propres et mérités de droit)- comme avant lui l’anneau de fiançaille(s), une tradition
-(qui est une étape importante dans la vie d’un couple voulant fonder une
dynastie, voire voulant œuvrer au service de la Vérité et/ou des vérités
relatives à transmettre – dont la génération qui vient va devoir hériter en
raison des possibles les plus beaux / féconds ce que les plus véritables
artistes ont prouvé à chacune des époques en créant à partir de leurs
découvertes spirituelles des civilisations et leurs décors, des mouvements,
c’est-à-dire des catégories).
L’art le plus véritable – soit
le plus juste – est affaire d’honnêteté absolue : de vérithé – le mariage
est aussi affaire de vérithé[s] relatives mais aussi d’un autre type. De celles-là
universelles et celle-ci, la vérité, est souvent des plus complexe[s] mais
certainement au service de la cohérence retrouvée grâce aux étapes sacrées
nuptiales des fiançailles officielles, comme finalement du mariage qui, nous
l’avons vu , apparait dans la réalité au bout d’un certain temps de vie en
commun à l’état de profane avec la présence de l’anneau immaculé immatériel
lumineux -(une sorte de feu vert vers/pour la célébration officielle de ce
mariage, ce qui n’est nullement une obligation, si ce n’est sur le plan
administratif sous certaines latitudes. Avec la célébration officielle du
mariage tant à la mairie qu’à l’Eglise, il y aura quelques points qui changent,
qui vont changer la vie / l’existence).
La Vision du Paradis ayant
disparu depuis longtemps, elle ne pourra être retrouvée par l’Ensemble que
grâce à une histoire d’amour. La nôtre, Michèle, qui coïncide avec toutes
celles les plus belles, car elles sont celles qui nous font découvrir un
éventail de directions sentimentales très originales.
Cela me rappelle celle de
Woody Allen quand il met en scène les robots parce qu’il se réveille de son
état de mort -(dans le futur où presque tout a bien sûr changé). Woody Allen et
la science-fiction, c’est une voie de recherche[s] possible[s] pour aborder cet
immense auteur / artiste.
Quand on accède à l’amour
qu’on comprend éprouver en vérithé pour l’autre, on accède à la Vérit[h]é et
avec cette conscience tout devient à la fois simple mais aussi beaucoup plus
complexe qu’on ne le croyait en étant moins conscient.
Le mariage comme sacrement
comporte plusieurs aspects dont celui qui mène à s’imaginer dans le futur avec
les enfants qu’on avait des difficultés à imaginer attendre !
Il y a eu modification au sens
de transformation et métamorphose durant toute la période laïque soit ce qui
pourrait être synonyme d’adolescence.
C’est avec toi ce que nous
avions à démontrer par les divers changements par lesquels notre histoire sur
la Carte du Tendre nous a fait passer.
Nous sommes amenés en raison
de l’existence de ce sacrement qui fait revêtir [à] l’épousée des vêtements
blancs / immaculées de la mariée qui ne forme plus qu’un avec Marie, la mère de
Jésus à l’état de laïc -(donc par certains aspects d’adolescent)- à des
changements importants de notre manière de voir et ou entendre pour petit à
petit être / devenir capables de nous projeter dans le futur, tant notre future
condition de parents est grave en représentant autant de responsabilit[h]é[s]
dont nous avons eu des aperçus à travers les activithés que nous avons explorées.
Cette notion de responsabilité
ne fait qu’un avec la conscience. C’est la sécurithé de l’acquis-de-conscience
qui fait de nous des responsables, des prophètes et en raison de cela de
véritables artistes -(car nous savons alors extrapoler au point d’apprendre,
avec des scénarii à raconther des histoires dont certaines concernent la
catégorie de la science-fiction -[nous l’avons dit : la réalithé qui nous
entoure peut être vue comme un effet de la science-fiction. Celle-ci, cette
catégorie, existe donc véritablement : tout ce qui nous a, à chaque
génération, entouré comme preuves du progrès et de l’évolution fut causé par la
science-fiction qui avant de devenir une science à notre époque se présentait
par des/les prophéties de certains personnes, des auteurs et parfois de très
véritables artistes).
A l’origine il y avait
l’univers peuplé de galaxies dont chacune des planètes gravitait autour de son
étoile / soleil qui étaient donc d’une certaine façon en relation avec toutes
les autres sans exception -(en effet, la nuit, si nous regardons le ciel,
il s’allume des lumières des étoiles et des galaxies, les lumières
scintillantes étant celles des systèmes solaires avec leur plus ou moins
nombreuses planètes)- et cela
en liaison avec, pour chaque point, tous les moments concernant ces points,
soit ceux-ci plus ou moins accessibles dès leur manifestation / présence /
apparition.
Et de là la facilité de/à
comprendre qu’une personne née dans la galaxie Untelle doit pouvoir facilement
rencontrer une autre personne née dans une autre galaxie peut-être même
distante de plusieurs millions d’années-lumière -(ici tout cela, à première
vue[s] parait impossible). Aussi il est aisément compréhensible que ces deux
personnes faites l’une pour l’autre sont extrêmement différentes à cause des
éducations différentes [qu’]elles ont reçues. Tout
cela est donc lié aux croyances des uns et des autres -(d’où le problème qui
s’est continuellement posé de la religion : qu’est-ce qui est sacré ?
qu’est-ce qui est profane ? Comment se comporther ? Créer des
ensembles où il y a des certitudes en commun ? Qu’est-ce qui est
étranger ? Etc. , etc.).
Mais comment ces deux
personnes destinées l’une à l’autre peuvent-elles se retrouver ?
Sans machine[s] spécialement
conçue[s] pour rendre possibles le rapprochement de ces deux personnes, ces
deux personnes s’ignoreront et peut-être même passeront l’une à côté de l’autre
sans -[se]- reconnaître avoir été faites l’une pour l’autre !
Quand toi et moi nous avons pu
nous rendre compte -(toi à Strasbourg et moi à Paris)- combien cela a été
difficile de découvrir que nous avions la confirmation de l’Univers en entier
-(passé, présent et futur, voire d’autres dimensions avec)- pour devenir mari
et femme, nous pouvons aisément comprendre combien cela sera difficile, dans
quelques milliers d’années, le mariage d’une personne appartenant à l’une ou
l’autre des exoplanètes avec une autre appartenant à celles d’une autre
galaxie ! (Mais tout cela est difficilement crédible puisque les distances
se comptent en années-lumière : la lumière du soleil mettant environ huit
minutes à nous parvenir ce qui a permis de comprendre à quelles distances sont
les autres corps célestes).
Cependant ce mariage se fera
car pour que l’anneau apparaisse il faut que ces personnes attendent des
enfants et ces enfants métissés au paroxysme du métis, soit cosmiquement,
attendent eux aussi des enfants -(c’est le virtuel au sens de probable qui les
concerne, voire c’est potentiellement le SPOK). Du moins doivent retrouver
l’âme sœur -(soit ce qui a été à l’origine du mariage de leurs parents, voire
de la vie en couple tantôt sur la planète du père tantôt sur la planète de la
princesse).
Mais pour en arriver là,
combien de générations vont devoir étudier des choses compliquées à comprendre
pour rendre possible des voyages dans le temps et l’espace -(ce dont nous
avons un aperçu, enfant, dès les premières tentatives pour nous déplacer, la
télévision aidant)!
Bien sûr avec le couple qu’ils
forment, l’univers va y gagner quelques enfants pour lesquels tout doit être
prêt, à cause, à leur tour, de leurs respectives histoires d’amour originales -(qui
allaient de soi, donc facilement prédictibles)- au point que dans tous les
systèmes solaires habitables un ministère intergalactique a été créé pour
faciliter les démarches de personnes qui par bien des aspects se sont conduites
par amour comme des extra-terrestre(s). La dimension extra-terrestre existe
belle et bien -(elle confirme la dimension science-fiction) : c’est une
réalité.
C’est que leur mariage est des
plus compliqués à mettre en œuvre par les anciens entourés de leurs
petits-enfants.
C’est que ce mariage
inter-galactique confirme tous les mariages dans tous les temps et devrait facilither
la résurrection de nombreuses personnes qui ont éthé très très admirables -(et
c’est peu dire)- quand elles étaient vivantes, du moins à certains
moments.
Toi et moi nous nous sommes
posés la question de l’intérêt que peut revêtir cette résurrection.
Nous avons conclu que si c’est
pour avoir à de nouveau souffrir cela n’est pas intéressant. Et forcément ces
personnes qui, de leur vivant, voulaient ressuscither auront à souffrir ne
serait-ce que de ne pas trouver autour d’elles les personnes qu’elles aimaient,
c’est-à-dire leur entourage et en voyant comment à notre époque nous
fonctionnons dans certaines occasions, nous avons, quelques-uns d’entre nous,
acquis la certitude que si cela advient, cela sera des problèmes considérables
cependant « qu’ils se sont endormis dans l’espérance de la
résurrection », répéthée cette proposition-expression, la veux-tu la
voilà, à l’occasion de chacune des messes chez/par les chrétiens qui ont fait
l’objet de nombreuses études par les partisans des autres religions -(n’ayant
pas pour autant ces croyances chrétiennes).
Tu as écrit lucide qu’on avait
peine à imaginer que les corps qui prenaient le soleil là où nous allions à la
plage durant les éthés, une fois morts ressuscitent et cela nous a facilité
l’anti-thèse : l’absence de résurrection.
Un scénario de science-fiction ?
(Est-ce que celui de La Momie à
mi-mots ne l’était pas ?) . Oui
mais lequel ? Pourquoi ? Quels sont les ingrédients à cette fin
? Où les trouver ? Dans quelles situations ? Et si nous prenions
appui sur notre histoire ? Comment la présenther ? Quelle serait la
fin ? La finalithé ?
On peut commencer par un
mariage et établir un flash-back qui va nous renseigner sur les diverses étapes
ayant mené le couple à se décider à choisir une des églises comme décors pour
la célébration de ce mariage.
Et sur le plan architectural
nous avons l’embarras du choix. Cela pourrait-être à Rome, à Saint-Pierre mais
aussi cela peut être dans la cathédrale de Strasbourg ou à Paris à Notre-Dame
-(à cause que je suis empereur et toi l’impératrice, mais le bouddhahs, qui est
celui qui fait de ma fonction d’empereur celle de premier eanmeailleurs de l’histoire de l’aventure humaine, ne
veut pas causer de dérangements aux responsables de ces édifices religieux pour
confirmer de manière sociale, c’est-à-dire officiellement, notre mariage -(qui
peut aussi se produire dans l’Eglise de saint-Etienne-du-Mont, la paroisse où
je vis à Paris, donc près de chez moi, par conséquent dont je dépends, voire
pour certains esprits cherchant noise : » qui dépend de moi «)- depuis
le moment où, en 2005, j’ai vu apparaître pour toi l’anneau immatériel immaculé
lumineux car nous comprenons que cela fait longtemps que nous sommes mariés
étant donné que l’apparition de l’anneau pour toi Michèle en 2005 nous renvoie
à celui que j’ai obtenu pour Christine en 1977 après dix années de
démonstrations s’étant terminées par une seconde -(ou vu autrement)- troisième
métamorphose en bouddhahs. Il s’agit du même anneau que celui que j’ai aussi
obtenu en 1967 à l’âge de quatre ans pour toutes les deux -(Christine et toi
âgées respectivement de trois et sept ans)- comme je l’avais obtenu dans les premiers
jours de ma naissance -(probablement alors pour ma mère et ma sœur aînée). Cependant
qu’à ce sujet je dois reconnaître que c’est par déduction qu’il semble qu’il
ait apparu car pour dire la vérithé à propos de cet anneau-là précis, je ne
m’en souviens plus, pas plus que celui de 1967 quand j’étais âgé de quatre ans
-(bien que j’ai fini par me rappeler les interventions du futur qui m’avaient
concerné)- mais dont parfois je crois me souvenir. Il faut que cela soit
clair : ce sont les anneaux immaculés immatériels lumineux de 1977 et 2005
dont je me souviens parfaitement et comme je les ai bien en mémoire -(celui de
2005 bien sûr encore mieux que celui de 1977 car il est apparu, après avoir
éteint la lumière, dans l’entrée du studio, au 32 rue Pierre Nicole)- cela m’a
fait déduire, en raison d’autres paramètres très importants concernant ce qui
s’est passé, qu’en 1967 et 1963 il y a eu aussi l’apparition de cet anneau -(en
raison des transmissions advenues à partir de 2005). En effet, il y a eu des
moments qui se sont reproduits très exactement et de manière synchrone comme
l’ouverture du sol dans le studio où j’habithai 12 bis rue du Val de Grâce en
2005 avec la venue dans cette trappe, jusqu’à mon nez, provenant du haut dans
une autre dimension, d’un immense serpent, mais aussi cette ouverture du sol
avait eu lieu au même moment en 1968-69 à Rome confirmant le synchrone de
chacune des périodes. Comme bien des choses se sont déroulées de manière
synchrones pour la période de ma naissance jusqu’à celle de mes 4 ans en 1967
et puis celle-ci synchrone avec la période de 1967 à 1977, à son tour synchrone
avec celle à partir de 2005, les années vécues de 1977 à 2005 étant synchrones
avec celles de 2005 à nos jours, je puis déduire que les anneaux immaculés
immatériels lumineux sont apparus à mes petits doigts De bébé dans les jours
qui ont suivi ma naissance mais aussi ceux à partir de mes quatre ans, donc
vers 1968-69).
Comment rendre ça, ces idées -(étapes - ce synopsis. [Mais en est-t-il
un ?])- au cinéma et déjà dans le/un
scénario ?
Mais tu te souviens du
merveilleux au moment de la naissance de Jeanne, de Laurent la fille de
Catherine, quand nous sommes allés à l’hôpital où elle avait accouché de ce
bébé. Je th’ai dit qu’en m’approchant de [la] bébé dans son landeau, j’avais vu
immaculé immatériel et lumineux au-dessus de la thête de Jeanne, en assez
petit, le Pape allemand Benoit XVI qui tenait une sorte de batte de base-ball,
comme un bâton de Sganarelle ou/et Guignol qui éthait prêt à me taper si je
m’approchai un peu plus de l’enfant. Or, tu le sais, je n’avais aucune
intention[s] mauvaise[s] d’aucune sorte à tel point que je me considérai
offensé. Mais il est vrai qu’à cette heure-là, je n’éthais pas encore redevenu
bouddhahs et par conséquent que nous nous étions donné rendez-vous avec
Catherine dans la situation, tous les deux, de profane[s], ce bébé, ces
jours-là de quelques heures après sa naissance encore dans un état de sacralité
puisqu’elle avait eu une sorte de nécessithé à recourir à l’apparition de cette
sorte d’effigie immaculée de la figure du pape -(en fait une sorte de statuette
vivante de quinze à vingt-cinq centimètres de haut, tridimensionnelle et/mais
animée, déterminée à prothéger le bébé par la force avec ce gourdin brandit
comme un avertissement menaçant qui signifiait » tu ne
t’approcheras pas plus de cet enfant sinon je me déchaîne et te frappe « et
cela mesurant si petit ! Quel courage ce pape). Mais cela avait éthé
bizarre et comme c’éthait la première fois que j’assisthai à une chose aussi
extraordinaire : l’apparition de ce pape au-dessus de la tête de cette
nouveau-née couchée -(alors qu’il éthait évident que ce bébé ne connaissait pas
ce pape non plus)- me parut très bizarre et inexplicable comme ce fut le cas
pour l’anneau immaculé etc. y compris quand cela s’est produit à Rome en 1995
dans les journées où, parait-il -(au dire de personne m’ayant croisé), j’avais
un anneau au-dessus de ma tête au moment de l’intervention de celui qui se
faisait passer pour l’architecte de l’univers.
Je m’aperçois qu’il y a de
l’image dans ces réflexions préliminaires annexes du scénario qui nous reste à
écrire et qui nous donnera du mal à être réalisé car sans l’existence des
effets spéciaux nous n’y parviendrons pas -(mais laissez-moi considérer qu’en
nous relisant ces images ainsi décrites à travers les mots de ce texte créent
en nous les images en question –[elles réapparaissent en les évoquant, les mots
employés avec justesse recréent en nous ce qu’il y a d’inscrit et cela signifie
que notre tête recrée ce qui est décrit comme une réalité virtuelle. Nous
sommes donc de l’autre côté du miroir et nous disposons avec notre tête d’une
sorte d’ordinateur qui opère tandis que nous écrivons sur plusieurs niveaux y
compris celui de l’illustration, le tout en liaison avec notre mémoire
photographique et si nous pensons ainsi, en pluri-dimensions c’est qu’à partir
de 2005 nous nous sommes débarassés en nous des ténèbres, de tout ce qui nous
empêchait de/à comprendre, ce qui a donné l’apparition de l’anneau immaculé au
doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés – aussi
nous avons vécu la preuve de l’existence de cette sécurité qui existe dans
l’être humain de pouvoir devenir un bouddhahs, soit un
éveillé-par-acquis-de-conscience, la condition préalable pour appartenir aux
êtres humains adultes parachevés des très/plus véritables artistes prophètes,
donc potentiellement auteurs de créations de textes ou/et réalisation
appartenant au registre – à la catégorie - de la science-fiction).
[1] Ce programme concerne donc le Xeplion 25 mg qui est administré toutes les quatre semaines. Pour ce qui est du Risperdal 25 mg qu’on administre toutes les deux semaines, il faut obligatoirement faire la même chose : mais sur deux fois moins de temps : 1ère prise = 25 mg toutes les deux semaines ; 2ème prise = 25 mg toutes les trois semaines : 3ème prise 25 mg = toutes les quatre semaines ; 4ème prise = 18,75 mg -(un quart en moins) toutes les deux semaines, puis la fois suivante, la 5ème prise, = 18,75 toutes les trois semaines et la fois suivante 12,5 toutes les quatre semaines quand la fois suivante c’est 6,25 toutes les deux semaines, puis la fois suivante toutes les trois semaines, puis la fois suivante, la quatrième semaine on passe à 3,125 -(arrondi à 3 mg)- toutes les deux semaines, puis toutes les trois semaines et à la quatrième semaine, deux fois moins de nouveau, ce qui signifie toutes les deux semaines 1,5625 mg -(1,5 mg)- de Risperdal toutes les deux semaines qu’on arrondira à 1,5 mg, puis toutes les trois semaines, puis la fois suivante toutes les quatre semaines, on passera à 0,78125 -(qu’on aura arrondi à 0,75 mg)- toutes les deux semaines et puis toutes les trois semaines pour passer à 0,25 mg toutes les 4 semaines pour passer à 0,15 toutes les deux semaines puis toutes les trois semaines et cela pour terminer le sevrage la quatrième semaine avec une dose de 0,0625 mg toutes les deux semaines (qu’on arrondira à 0,05 mg)- puis toutes les trois semaines et enfin le patient totalement guéri -(n’ayant plus jamais besoin de ce médicament dès la quatrième semaine.
N. B. : il est possible de répéter jusqu’à trois fois consécutivement chaque prise pour réaliser un sevrage beaucoup plus long dans certains cas nécessaire. Si le patient est pris de craintes ou de peur de voir baisser son traitement, il est possible de revenir à la dose précédente, voire la précédente encore et de la répéter deux fois ou trois fois de manière à rassurer le patient que l’on doit pourtant « encadrer » / conseiller au sens d’accompagner vers la fin du traitement de sevrage absolument vital pour que ce patient guérisse grâce à la psychanalyse -(ou l’auto-psychanalyse)- qui lui sera conseillée, voire qui doit être obligatoire car il n’y a que par la parole qu’il pourra guérir véritablement ce qui est impossible avec des dosages de Xeplion ou/et Risperdal qui par leur administration créent la condition de malade du patient qui ne peut guérir qu’en poursuivant sa psychanalyse, voire son auto-psychanalyse -(s’il est végétarien depuis au moins quelques mois –[trois à six mois]. En effet, qu’on se le dise, il n’y a -(n’y aura)- pas/jamais de guérison possible -([pour tous les troubles psychiques] - c’est-à-dire de retour à la la cohérence -[absolue, soit à la plus véritable honnêteté, soit -[à]- la justesse ou plus véritable justice]- comme à la Vérité et aux vérités relatives logiques)- sans être devenu végétarien -(qu’on se le dise – cela a été vérifié par moi-même qui me suis inoculé de l’âge de mes deux-trois ans à trente ans ans la manière de manger occidentale dans le contexte familial de mes parents).
Ci-dessous en nota bene suite qu'on peut aussi trouver comme un texte autonome / [à lui seul]- ici.
Nota bene
à/de la note d’intention autour de l’écriture d’un scénario de film à partir de
certaines des idées développées dans les courriers et/ou articles mais aussi
images (peintures, sculptures, photographies, films et vidéographies)-
dont je fus les auteurs.
Bonjour,
Dans
le cadre de mes études axées réalisation de films / vidéos, je crois de
mon devoir de nous intéresser à la science-fiction d’autant plus de ce qui nous
est arrivé d’exceptionnel depuis ma naissance en 1963 et des différentes
interventions célestes qui se sont [re]produites /
manifestées de mon vivant, vérifiées à partir de 1967, 1977 et 2005.
Ici,
le 18 octobre 2022 -(je CARE[1] de 6 à 15 les 28-29
décembre 2022), nous mesurons mieux comment tout cela s’est produit car nous bénéfiçons d’une relative distance plus
importante qu’alors -(quand cela s’est produit):
nous avons toujours plus de recul bien que nous sachions à chaque seconde que
tout découle de ce qui s’est produit / m’est arrivé, notre situation étant des
plus complexes mais à devoir nous comporter, dans la mesure du possible, en
conséquence[s].
L’intervention
à travers espace et temps a donc fini par être vérifiée, moi vivant, à partir
de 1967 -(j’y avais quatre ans). Elle a eu lieu en
même temps que celle vérifiée moi vivant en/de 1977 et 2005, synchrones
elles-aussi (tout cela me fit devenir grand inspecteur).
Chacune de ces dates vit se reproduire ces
communications à travers le temps et l’espace qui d’une part se sont d’abord
déroulées en virtuel quand, à partir de 2005, elles se manifestèrent dans la
réalité elle-même comme cela s’était déroulé en 1967 et 1977 et/mais pour ainsi
dire enfin » en chair et en os «, tandis qu’elles – permettez-moi de
le répéter tant ce fut extraordinaire – [n’]avaient été -[que]- virtuelles du
point-de-vue des années 1967 et 1977 où nous -[y]- étions alors « en
chair et en os »!
C’est
ici difficile à comprendre, voire » incroyable mais
vrai « : il y a eu l’intervention de 1967 à Paris où je n’avais alors
que quatre ans -(et ces interventions ne
s’étaient produites qu’à partir –[que depuis les]- des années 2005 dans
lesquelles d’avance –[visiblement]- j’avais quarante deux
ans)- et ce que j’entendais alors dans mon corps
d’enfant, donc » en chair et en os «, se déroulait en même temps en
1977, toujours à partir de 2005, mais alors dans la réalité depuis l’année 1967
et les suivantes depuis, vues de là-bas, sous la forme de virtualités,
cependant qu’en 1977, comme en 2005, pour s’être produites, cela n’était advenu
ou/et n’allait advenir que sous forme de virtualité[s]. Cela signifiait que je
pourrais y être une autre fois -(il s’agissait
d’avenir virtuel au sens de cas de figure possible, soit d’un cas de figure de
la création, au sens où Alain Resnais le démontre possible dans les films Smoking, No smoking avec la notion de » ou bien «), mais
cette fois en chair et en os, donc dans la réalité.
Je
vous le dis : » incroyable mais vrai « car c’est bien ainsi que
cela s’est déroulé – (que tous les malheurs les pires de l’univers me
foudroient ou s’abattent sur ma personne si je mens ici d’un électron, voire
encore moins : d’un photon[2] ! Mais si je dis la
vérité que la Création réussisse totalement à ses meilleurs créateurs /
contributeurs et évidemment dans tout ce qu’elle a de beau, bon et
bienfaisant).
C’est
bien cela qui est difficile à comprendre et à croire : que ces
interventions célestes se soient / se sont déroulées en même temps dans ces
trois époques dont nous avons pu vérifier qu’elles sont, en ce qui me concerne,
totalement synchrones entre elles -(moi personne/age
pivot au sens de central de la Création, puisque très véritable empereur, mais
premier pharaon de l’histoire de l’aventure humaine -(H.A.H.)- à avoir découvert qu’il existait pour les
non-violents comme moi une sorte de sécurité dans l’être humain qui permet,
grâce aux religions -(ou aux textes et enseignements et/ou rituels religieux et
etc. et …)-, à l’être humain qui se repend sincérement
de ses péchés –(commis du temps de son inconscience -(qui d’habitude coïncide
avec l’adolescence – dans certains cas celle-ci ne se terminant pas), en
comprenant pourquoi ils constituent des formes de sacrilège[s], par conséquent
difficilement admissible[s])- d’accéder à la bouddhéité, soit à l’état de
bouddha, donc ce qui est synonyme -(et veut dire)-
[d’]éveillé-par-acquis-de-conscience.
Par
exemple, cette sécurité pour l’être humain se met en fonction si on a été élevé
chrétiennement et qu’on appartient à ceux qui ont eu la chance d’avoir
réellement la foi au point d’agir dans l’existence de manière charitable y
compris en élevant leur progéniture car il y a adéquation dans les
comportements et jugements avec les effets des enseignements religieux qui
causent des façons de se comporter des plus charitables au point qu’on a eu
conscience de cela en résumant ces attitudes par le mot d’humainement non loin
de la notion d’humanisme. Chrétien est alors synonyme de comportements humains
les meilleurs, et, si possible, les plus charitables, voire compassionnels
-(qui n’est donc pas seulement l’apanage du bouddhisme, soit la manière d’être
caractéristique du bouddhisme – ces bouddhistes comme ces chrétiens ou/et
d’autres religieux n’ont pas le monopole du cœur, cela peut concerner aussi
l’un ou l’autre des profanes, voire des pécheurs y compris ceux qui ignorent
qu’ils sont en réalité en chemin vers -[le contraire de ce qu’ils donnent
comme impression,]: la révélation), et je suppose, en raison de cela, que cette
religion ou cette conscience chrétienne est probablement accessible à tous les
anciens fidèles des autres religions intellectuellement admissibles une fois la
conscience » chaussée « -(faisant de l’être humain conscient un
être humain « animal pensant », capable de concevoir les
meilleures choses)- au point de croire que celles-ci -(ces religions)- trouvent
leur justification en raison même qu’elles représentent une sorte de garantie,
voire de pont, pour rassurer tous ceux qui, grâce à la découverte de cette
conscience, accèdent enfin à la vérité et, par conséquences, à la compréhension
du sacré sous toutes ses formes (car tout cela a en vue comme objectif une mutation qui pour certains sera vue
comme une grande mutation, ce qui peut être juste de
penser à ce sujet si elle prend de l’ampleur voire effectivement se généralise
à tout le genre humain, ce qui permettra d’accéder à une autre ère en sortant
de la cinquième ère durant laquelle le
Rétablissement raisonné de la Vision d’Ôz
est possible une heure toutes les cinq heures mais à la seule condition
d’atteindre cet objectif dès Noël 2023 par un sevrage inversé -(soit la prise
périodique d’une sorte de drogue et/ou du poison de la beauté)- en
vingt-quatre années en commençant par deux fois cinq minutes, la première année
à midi et la seconde fois à minuit -(heure de Paris), soit la prise raisonnée
par approximations successives de la vision d’Atlantide, autre nom quasi
synonyme de Paradis, d’Ôz
ou/et Arcadie, voire du mot de schtroumf –
soit ce dernier le synonyme de truc ou/et machin-chouette
donc de tous les mots, soit bien sûr y compris Ôz
ou/et Walhalla, et etc. d’où la possibilité d’appeler Ôz
et le Paradis : Schtroumpf).
Car
c’est bien impossible à croire ce qui s’est produit à mon sujet, quand on est
logique ou qu’on essaie d’être cohérent -(cela signifie qu’il y a des
explications possibles une fois qu’on trouvera les paramètres qui sont entrés
en jeu pour nous faire assister à ces événements incroyables pour tous ceux qui
fonctionnent grâce à une logique qui de toute évidence, ne tient pas compte des
paramètres rendant possible une telle réalité parcequ’on
ne les connait pas encore, ce qui donne une réalité avec ces paramètres en
moins, alors que nous sommes tous certains qu’ils existent très réellement
-(puisque cela fut comme cela a été le mieux décrit)- au point d’avoir rendu
possible ce qui, pour ceux qui ne connaissent pas ces paramètres, est
impossible au point de rendre toutes la situation incroyable -(voire à cause de
cela inexplicable, c’est-à-dire sans explication[s] plausibles, logiques,
justes car cohérentes ! En effet, comment est-il possible d’être au moins –[car nous allons découvrir qu’il y a aussi d’autres fois
ayant précédé avant ma naissance et au moment de ma naissance en 1963])- à trois
endroits dans l’espace-temps en même temps –(1967-1977 et 2005, années au
cours desquelles j’ai respectivement quatre ans, quatorze ans et quarante-deux
ans au[x] même[s] moment[s] universel/aux)? Et il est grandement probable que
cela concerne aussi mes premiers jours en 1963. C’est pourtant ce dont j’ai été
victime, soit ce qui m’est arrivé au[x] su[s] et aux vu[es] de tous mais c’est
très compliqué, très extraordinaire, très difficile à croire -(mais
surtout à comprendre)- même pour tous ceux qui fonctionnent rationellement
et/ou scientifiquement !
En
effet, j’avais mon corps d’enfant de quatre ans quand cela s’est produit dans
mon souvenir la première fois -(qui en réalité a des chances d’être finalement
la seconde, au sens de deuxième)- pour moi à Paris, ces communications
extra-terrestres -(on peut aussi les voir ainsi d’autant plus de l’inexplicable
pour l’instant encore inexpliqué malgré diverses tentatives dévellopées
par mes soins dans d’autres de mes textes y compris dans mes lettres aux
présidents de la République française, et tout spécialement -[à]-
François Hollande comme à celle
aux papes Benoît et François – l’être humain sachant jouer tous les
rôles il peut donc se prendre le cas échéant pour le personnage d’un E. T. – voire du robot dans I. A., autre merveille de Sir Steven
Spielberg)- et j’avais un corps d’un enfant de quatorze ans quand cela s’est
reproduit à Rome, [mais]- avec la vision et l’audition de ma personne immense
dans le ciel : je mesurai alors près de six mille cinq cents mètres de
hauteur en étant, de notre point-de-vue d’alors, une virtualité au-dessus de la
ville de Rome, en 1977, ce qui – ce dont nous fûmes témoin[s]- ne se [re]produirait dans la réalité que ving-sept
ans plus tard, à partir de 2005 qui de là où nous étions en 1977 était une
virtualité d’une époque venue à notre secours en raison de l’apparition /
l’obtention de l’anneau immaculé immatériel lumineux qui était apparu à mon
doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés, ce qui
s’était produit pour moi quelques secondes dans un endroit sombre -(en 1977, à la sortie du labo-photo :)-
de l’appartement dans lequel je résidais, confirmant que j’étais dans un
processus matrimonial des plus unique[s] / vrais et à cause de cet immatériel
immaculé et lumineux très probablement
sacré[s] mais jusqu’alors à mon insu, [pourtant]- universel dans chacun de ces espaces-temps concernant notre personne ayant pu vérifier
comme donner à comprendre que sans religions ou/et accès aux dimensions sacrées
de l’existence -(dès la prime enfance par l’obtention en préalable de la
conscience dès l’âge de raison), il est impossible / difficile de se marier
comme un honnête-homme (:gentleman, même à l’âge de quatre ans et bien sûr à
quatorze ans l’honnêteté est/sera la condition sine qua non, voire le présuposé –[au sens de
paramètre de base au sens de (la) condition]- du
mariage), par conséquent d’avoir accès aux responsabilités éducatives
concernant un être de chair et d’os, un enfant, résultant d’échanges dus à la
fréquentation d’une promise, voire de plusieurs -(dont, dans mon cas, on
connaissait les identités avant que j’ai à faire leur connaissance)- attendant
chacune des enfants de moi ayant confirmé avec cet anneau immatériel immaculé
lumineux leurs intentions sérieuses de s’incarner en se servant de nos corps et
de nos patrimoines génétiques différents pour ce faire.
[1] Acronyme de corrige,
abrège, augmente, relis, [ré]élabore
/ peut se dire /s’écrire CÔRE (pas seulement CARE).
[2] Le mensonge est une chose que je ne sais pas
utiliser, donc étrangère à ma personne. J’en ai donné un aperçu comme la preuve
à l’occasion de ces communications à travers espace et temps qui se sont
reproduites en raison de ce que nous nous sommes aperçus que la Vérité au
service de laquelle je suis pré-existe, donc existe d’avance, ce qui s’est
déroulé aux diverses dates que l’on sait et si cela s’est [re]produit c’est
parce que précisément la Vérité pré-existe / est toujours la même. Aussi je ne
me permets que très rarement de mentir -(en ayant alors une raison valable de
le faire, donc je ne puis le faire que d’une manière canonique / juste, qui, si
elle était connue, nous confirmerait que cela concerne les meilleurs intérêts
du BIG – bien et intérêt
général qui du coup rejoint le mien au sens de
coïncide avec le mien. Il y a donc des situations qui autorisent en conscience
de/le devoir -[de]- recourir au mensonge comme toutes celles où on se retrouve
en légitime défense).
"Dieu (Allah), God", Pharaons-Empereurs-Bouddhah alpha-oméga Hermès Trismégiste et :..: