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CARE10/10  titre provisoire : Un couple inter-galaxien ; Un Cheveux sur la Langue

 

.(Préliminaires dans le désordre avant l"écriture d'un scénario arrosé de thé[s] - avec en bonus indications médicales de/en grand inspecteur eanmeailleurs éveillé par aquis de conscience et à suivre absolument concernant l'administration du risperdal et/ou du xeplion, comme en raison de cela logiquement de l'aldol et autres neuroleptiques, donc à interdire en raison des effets secondaires indésirables ou alors à prescrire mais aux seuls dosages indiqués dans ce texte au grand maximum du maximum et en s'engageant à élaborer un sevrage immédiat, si possible dès la première prise selon le calendrier proposé à suivre rigoureusement dans l'intérêt des médecins car sinon ils obtiendront une réincarnation animale pas jolie à voir)

Par Laurent-Marie Granier .. d"Ôz

Ecrire est un.e travail / occupation de l’esprit -[charitable]. Mais, bien sûr, pas seulement. 

(Au passage, permettez-moi de penser / réfléchir / dire -[que -(l’expression)] » bien sûr « est une indication pour la tonalité à utiliser à la relecture de ce qui suit –[cela confirme ce qui précède et c’est la vérité des sons exprimé.e.s qui constitue(nt) la proposition » bien sûr « qui confirme d’avance aussi ce qui va suivre quasiment à cent pour cent]. On le remarque, avec ce genre d’indication[s] un texte s’écrit comme une partition avec de-ci, de-là des indications de son, comme celle de » bien sûr «. C’est que celui qui écrit est aussi une voix intérieure originale et souvent d’une grande honnêteté car serviteur de la Vérité qui est en relation avec d’innombrables paramètres et tout cela donne le son du lecteur qui doit chercher à retrouver le son intérieur de la pensée de l’écrivain qui change d’état selon son propos, ses CARE, parfois des plus complexes, ce qui le rend parfois objectif, c’est-à-dire au service de l’objectivité – recherche de la vérité oblige - qui est en relation avec la conscience, cette lumière intérieure virginale qui déterminera la nature des propos : s’ils sont de ceux véritables ou au contraire mensongers ou d’autres sortes, voire de ceux à l’opposé : inconscients et dont on doit se servir pour éclairer encore mieux son/sces -(ses + ces = sces)- propos – la/les conclusion[s], soit ce qui sera juste en conscience de penser / croire sur le[s] sujets traité[s]. Puisqu’on découvre alors la conclusion, il y avait donc une finalité à l’invention des caractères de l’abécédaire occidental dont nous nous servons ici et c’est en conscience une bonne chose comme peut l’être l’outil,/: une machine ou/et une arme défensive. » Bien sûr «  [c’]est comme l’indication allegro ma non troppo qu’on trouvera sur la partition, voire adagio ou vivace et cela permet au lecteur de comprendre qu’il s’agit d’une évidence aussi –(avec)- ce qui suit]. Et nous venons d’en créer une autre d’indication pour faciliter la lecture avec cette virgule qui doit être lue aussi comme un/le deux points de l’évidence ou/et de l’égalité de la comparaison. Par bien des égards les textes écrits jusqu’à notre époque sans l'aide des ordinateurs ressemblent aux partitions de chants grégoriens par rapport à toutes les partitions qui suivirent de plus en plus précises et complexes avec les croches et doubles croches, les demi-tons des dièzes, des choeurs, etc.).

Cela signifie que ceux qui disent qu’ils ne travaillent pas parce qu’ils écrivent ne présentent pas les choses justement comme ceux qui disent qu’ils ne travaillent pas -[non plus]- parce qu’ils dessinent ou/et qu’ils sculptent ou alors qu’ils ne travaillent pas parce qu’ils composent de la musique, voire qu’ils en jouent. Des verbes -(jouer, composer, peindre, etc.)- signifiant des réalités et des états d’esprit qui pouvaient être opposés à celui du verbe » travailler «. Mais n’avons-nous pas entendu ces personnes à d’autres moments dire que le morceau qu’elles étudiaient n’avait pas été assez travaillé ou/et le dessin pour l’instant -[encore]- une ébauche ou une esquisse, rien d’achevé, de travaillé -[plus]- à fond?

Pourquoi en est-on arrivé à cette incohérence y compris pour des metteurs-en-scène parlant du jeu des acteurs et non du travail de l’acteur ?

Ces personnes ayant la parole ignoraient-elles l’existence des synonymes ? Ou avaient-elles envie, (voire nécessité), de minimiser l’immense difficulté de leur[s] activité[s] des plus laborieuse[s] au sens de compétences -(celle[s] d’écrire)- difficile ?

Au cours de ma vie, j’ai découvert que c’est particulièrement pénible pour une âme devenue inconsciente de comprendre que ces mots soient synonymes alors qu’à première-entendu celui ou celle qui les emploie a pensé / choisi de les opposer. Ecrire, dans ce cas-là -(le travail charitable d’écrivain)- est quasiment un travail impossible.

C’est le SPOK -(acronyme de situation précise, occasion, cas particulier[s] -[car ici c de cas + p de particulier = k de SPOK])- pour les personnes les plus conscientes, cette complication.

Comment commencer un texte, voire comment commencer un scénario de fiction ?

Pourquoi ?

-       C’est ici la note d’intention./:/, [E]elle est censée répondre / réfléchir d’avance à ce pourquoi.

Pour une âme consciente, il y a hélas l’embarras du choix -[des sujets]- et c’est précisément dangereux d’être continuellement comme engagé dans un carrefour qui voit apparaître des choix, comme [à] celui de la Place de l’Etoile, à Paris. En cette promenade / récréation / errance confiante[s] en ville en automobile ou mobylette, une fois approché le maxi-carrefour, laquelle des avenues prendre / choisir ? La déterminer au cours du premier tour sur -[la]- place -(si on la connaît de nom, en ayant pour cela rejoint et longé le trottoir du rond-point au centre de cette place sur lequel est bâti l’Arc de Triomphe), pour ne pas la manquer à l’occasion du deuxième passage / tour, si on ne fait pas parti des as du volant, voire de ceux qui ont -(plus prudents)- su préparer leur itinéraire, ce qui, à l’heure actuelle, avec la géo-localisation par satellite / satellitaire est devenu un jeu d’enfant pour ceux qui connaissent d’avance le terme de leur destination, ce qui empêche d’improviser un trajet plus délassant car pour le plaisir d’admirer la ville qu’on habite à différent[s] titre[s] selon les jours : on opposera ici promenade pour le plaisir à un trajet pour se rendre au travail et on fait bien de le faire parce qu’on peut être touriste de la ville / cité dans laquelle on vit. Bien sûr, ce n’est pas pareil qu’être chauffeur de taxi. Travail, le trajet ? Ou vacance[s] ? C’est donc que la notion de difficile ou au contraire de facile sont indissociablement liées à cette notion de travail, ou a-t-on cru au contraire de récréation[s] / vacance[s] / plaisir[s] comme si le déplacement au cours d’un trajet pouvait être pénible, comme si toutes ces façons de faire à l’origine d’œuvres d’art ne l’étaient aucunement, malaisées / -(ardues), autant que peut l’être un/du travail ? 

Au préalable, il est nécessaire de savoir où va l’histoire de ce scénario : le but avant de prendre la route du tissage des mots à inscrire pour arriver à cette fin : le lieu de rendez-vous : arrivé[e].s ?

J’ai commencé tout ceci avec en tête une idée originale : j’ai imaginé que tout était déjà fini, parachevé -(ce qui, en réalité est probablement impossible puisqu’en théorie y a toujours plus loin si la fin n’est pas dans deux minutes): que nous avions partout, sur chacune des planètes habitables de systèmes solaires -(du genre du nôtre sur Terre dans cette partie de la galaxie où nous vivons), les moyens matériels de rejoindre chacune de ces planètes ou/et stations orbitales en position pour permettre aux êtres humains de se retrouver malgré les années-lumière qui les séparent.

C’est ici mon point de départ : une histoire d’amour qui aura lieu dans plusieurs milliers d’années loin de l’année  2022.

Oui, dans le futur, il y a des moyens de communication intergalactique[s] qui permettent à des personnes qui s’aiment de se retrouver par exemple à mi-chemin dans une galaxie dans laquelle il y a un système solaire avec une planète équipée pour offrir de bonnes conditions pour se retrouver.  

Ils n’étaient pas encore morts tous les deux.

Cela faisait longtemps.

Leurs corps répondaient de nouveau au point qu’ils s’éveillaient du long sommeil qui les avait concernés.

Jeunes comme tous les matins après avoir bien dormi.

Pendant ce sommeil, durant le voyage, leur âme respective avait quitté le corps qui avait été le sien, mort de sommeil.

Durant les journées qu’ils avaient l’un et l’autre vécues, ils avaient appris à avoir un très grand respect des corps qu’ils habitaient depuis déjà longtemps.

Une fois qu’ils seraient mort, ils savaient qu’ils auraient une nouvelle réincarnation qui les attendait mathématiquement, dès après leur mort car de leur vivant ils s’étaient rendus compte qu’il y avait eu l’un à cause de l’autre une métamorphose -[qui s’était opérée]- en eux : à leur contact mutuel : ils avaient l’un et l’autre changé mais ils le savaient et l’avaient appelé de leurs vœux en s’étant rappelé la phrase de Rilke » wolle die Wandlung « que tu as traduite, Michèle, par » veuille la métamorphose « -(au sens de changement).

Les mérites qu’ils avaient acquis durant leur existence allaient entrer en jeu pour ces réincarnations dans une époque précise de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.), voire ailleurs ?

En ce qui me concerne il va s’agir du premier texte / scénario de sciences fixion / fiction -(il vaut mieux, car sinon, à la Raymond Devos, la première personne du pluriel du verbe » fixer « : » nous fixions «.

Cela signifie / prouve qu’on doit apprendre l’orthographe. Nous en avons la preuve : on ne peut pas écrire n’importe comment car sinon on risque de confondre et générer du sens incompréhensible -(illogique, incohérent), voire dans le meilleur des cas, surréaliste, cependant qu’on est en droit de se demander le rapport qu’il pourrait y avoir entre » fiction « dans le mot de » sciences-fiction « et » fixion[s] « à partir du verbe » fixer «, c’est alors qu’on pourra éclairer l’un par l’autre les mots -(: » nous fixions des fictions / [au sens d’histoires] « et je pense au -[produit]- fixatif du labo-photo, une fois passé dans ce produit, la photo cesse de poursuivre sa révélation au sens de se développer sur le papier spécial et elle se fixe définitivement au moment du contact entre ce produit et le côté où l’image est apparue dans le bac du/au -[produit]- révélateur. On l’utilise donc pour arrêter le processus du révélateur après un passage très rapide – quelques secondes - par la cuve de l’eau, de manière à ce que ce produit du fixatif sinon ne devienne pas inefficace)- ayant en définitive même sonorité, cependant qu’ils diffèrent à l’écriture pour nous indiquer ce que ces mots ont comme sens / définission qu’on sait devoir écrire » définition « et non définission, le » t «, dans ce cas, on le voit, valant -(dans un jeu du genre -[du] scrabble)- deux » s « puisqu’il se prononce alors comme s’il y avait deux » s « - une chose à retenir / intéressante au point qu’en vertu de cela on devrait pouvoir écrire logiquement le mot » inssérétansse «. Avec le logiciel Word on procède par » insertion « là où il faut inscrire des précisions réprimandables et cela peut aussi intensifier les propos : insérétance. Par conséquent on découvre que parfois deux s = un c)- que je vais tenter d’écrire.

S’il n’avait pas un autre titre, il pourrait s’intituler » Week-end de Deux Inter-galaxiens «.

Trouver un titre dès le départ, ça peut aider à trouver l’eau de son moulin.

Autre titre : ?

J’ai été chauffer la tasse de thé -(du vrai, du meilleurs. Vendu à l’ancienne, chez le marchand d’épices et de thé[s] d’un marché de Noël dans mon quartier).

Je bois une gorgée que je savoure -(en pensant à Cavour qui avec une cédille …)- et je remarque qu’il a un peu refroidi, ce qui me donne à choisir entre retourner le [ré]chauffer à la cuisine ou continuer à le boire ainsi ? J’ai posé la tasse sur le petit meuble, genre table-de-chevet, à proximité du lit sur lequel j’écris en me servant de l’ordinateur portable dont j’ai hérité de ma mère.

Je vais finalement choisir de réchauffer ce thé, ce qui va me contraindre à poser le Vaio -(c’est le nom du modèle de l’ordi de la marque Sony)- pour retourner avec la tasse à la cuisine et la mettre dans le four à micro-ondes trente secondes car je veux boire du thé chaud et si possible à la bonne température -(pour ne pas me brûler).

Je n’ai pourtant rien contre -(n’avoir rien contre signifie au contraire qu’il pourrait y avoir des fois où on pourrait avoir des paramètres / choses contre, donc  en quelque somme  des arguments négatifs, soit ici la preuve qu’on a la liberté de croire, voire -[de]- se servir de ces paramètres pour discréditer, soit changer / modifier la valeur d’un mot représentant un ensemble de choses)- le thé froid, non plus. Je me souviens qu’enfant j’ai pensé qu’on pourrait le préparer et le vendre en bouteille -(car avant de partir en voiture pour les excursions familiales hebdomadaires du week end maman ou/et papa remplissaient un thermos de thé -[à la capacité familiale de six à sept personnes -(pour la journée)]- qu’on pouvait boire dans un gobelet en plastique qu’on dévissait d’au-dessus du bouchon –[autre visse à desserrer])- et quelques temps après j’avais remarqué qu’effectivement il existait déjà sous cette forme dans le Commerce. Cela avait été une bonne idée -(ayant probablement offert un travail archi facile et utile à de nombreuses personnes. J’étais fier de moi : un gain de temps : plus nécessaire de le préparer nous-même –[si ce n’est pour faire des économies], à moins de vouloir un goût bien particulier –[au sens de différent de ceux les plus habituels]- qui n’était pas proposé dans ces préparations industrielles : le thé maison – hand made – artisanal, confidentiel -[ayant encore de beaux jours devant lui – ne serait-ce qu’ainsi dans un thermos pour faire des économies], cérémoniel, sacré).

Où est donc passé mon histoire ?

Durant ces considérations, j’ai mis entre-parenthèses mon histoire pour ces réflexions à partir de souvenirs et j’étais concentré dans celles-ci tandis que j’oubliai mon scénario de science-fiction.

Légèreté de l’être ?

(Ce n’est qu’au moment du CARE6 – acronyme de corrigé, augmentation, abrégé, relecture et []élaboration six fois - que j’ai pensé à Kundera et son «  insoutenable légèreté de l’être », pas avant. Comme quoi une personne peut être soupçonnée injustement d’avoir emprunté une expression ou un mot à un auteur alors que le rapprochement des mots en question lui est venu sans -[y]- avoir pensé -[à cet auteur]- mais parce que c’était bien de quoi il s’agissait, par conséquent dont cette personne aura raison de dire en être elle-même les auteurs, ce qui explique pourquoi elle a jugé bon, au cours de la rédaction des CARE suivants de ne pas mettre des guillemets puisqu’innocente elle n’y avait pas pensé, cependant comme elle y pense de nouveau à la huitième relecture – soit au huitième CARE – elle s’interroge une autre fois : pour ou ne pas mettre les guillemets à l’expression car en relisant et corrigeant la cinquième fois : « c’est bizarre cela me rappelle quelque chose, mais quoi ? ». Et comme rien ne venait je me suis dit : on verra au prochain CARE : il manquait tout simplement le terme » insoutenable « à l’expression » légéreté de l’être « et retrouvant ce titre du livre parcouru durant l’été 1984 chez mes parents à Bern, je me suis de nouveau posé la question de savoir si c’était effectivement » insoutenable « ou pas la légèreté de l’être, pour conclure que cela probablement dépend des situations en cause au point que certaines d’entre elles rendent léger par conséquent ce qui peut se comprendre / entendre inconscient -(l’inconscience rend léger car il manque à l’esprit des paramètres concernant la réalité. Cela a à voir avec l’ignorance, soit l’oubli de ces paramètres qui, quand on les a à l’esprit, rendent plus graves, (donne du poids à la réalité)- puisqu’on l’analyse en conscience, soit en liaison possible avec ces paramètres dont, dans le tas, tous ceux anti-thétiques). Mais ici un mot me donne à réfléchir, celui de cette ville où j’ai vécu en Suisse, la capitale fédérale, Bern, là où bien vite, en 1978, j’eus à perdre canoniquement la mémoire de Christine … Lang et pour méditer sur les mots je l’ai rapproché du mot anglais de born qui signifie » né « et je me dis que c’est comme si le » e « de Bern qu’on utilise dans l’expression » drapeau-en-Bern « soit signifiant porter un deuil -(le contraire de la naissance)- était en français à cause de ce o de born une forme, ce e, qui indique une rupture dans l’anneau du o, et avec Bern, par conséquent, quelque chose qui a à voir avec la mort -(: effectivement on retrouve ce o dans le mot » mort «), de deuil, ce qui avait été le cas fin 1977 quand je dus oublier que j’étais marié avec Christine universellement -(car j’attendais des enfants d’elle à cause de l’apparition de l’anneau immatériel immaculé lumineux -(à mon doigt des femmes et des hommes très véritablement mariés)- pour elle. Son anneau coïncidait donc avec le tien -(ce qui nous avait été communiqué du futur, le ciel), donc avec tout ce qu’il avait fallu mettre en œuvre pour le voir apparaître pour elle -(comme enfin pour le tien). J’avais eu ordre de me préparer pour te rencontrer canoniquement par rapport à la situation, Michèle, qui aux dires de l’immensité que j’étais devenu dans le ciel de Rome en 1977 avait un anneau immaculé immatériel lumineux en 2005 avec toi.

Bern is born - » Bern est née « ou alors l’expression » born in Bern ‘to die’ « né à Bern « pour mourir » ? En tout cas endeuillé à Bern -(de la perte de ma descendance d’avec Christine dont je suis aimé. Mais le pire allait être de ne pas/plus le savoir : cette amnésie qu’il avait fallu que je m’ingénie à contracter pour pouvoir avoir une histoire avec Michèle qui serait à l’origine d’une nouvelle apparition de l’anneau immatériel immaculé lumineux, mais cette fois pour elle pas avant 2005). Mais dans le mot de Bern on peut découvrir dans la réalité une fosse aux ours -(bear en anglais)- en bas après le pont de l’accès à la vieille ville, et on sait, à cause de ceux-ci, les ours, qu’il y a une lecture potache possible du nom de la ville écrite bearn qui peut s’écrire » bêrn «, soit comme Bern se prononce quand on ne lit pas bearn à l’anglaise. Ce qui est intéressant est ce ear de bear prononcé » êr « en français -(non loin de beurre)- et » ir « en anglais qu’on retrouve dans le mot de Shakespeare : ear, (chèqspir)- ce qui n’est pas si loin du birn allemand du mot de pera en italien, soit la poire quand ce ê - » e « + accent circonflexe devient effectivement, vu de plus loin, pour quelques-uns au moins, un » i «).

Pas seulement : le poids de la matière : des conditions à créer pour avancer.

Tant que celles-ci n’existent pas sur une planète, on ne peut créer, c’est-à-dire réfléchir et se projeter dans l’avenir à notre époque grâce à l’apprentissage du scénario -(ce que j’ai obtenu comme maîtrise à l’Université de Paris I-Sorbonne à l’Institut d’Art et Archéologie dans les années 1985-1986 : précisément une maîtrise en scénario –[au cours de cette année scolaire Anticythère et FARNESE CINEMA]- après la licence en Animation Culturelle et Sociale –[option Cinéma]- ce qui a été confirmé à l’échelle universelle au moment des communications / transmissions dans le ciel à partir de l’année 2005 quand je me suis adressé aux années 1967 et à celles à partir de 1977 –[qui me voyaient et m’entendaient à Rome, dans le Ciel, immense]. Cet intitulé de Licence existe très réellement puisque l’ayant obtenue, cela nous a permis d’intervenir à travers Espace et Temps pour animer culturellement –[et socialement]- l’époque de la fin de mon enfance à partir de ma naissance en 1963, puis à partir de mes quatre ans en 1967 et enfin à partir de mes quatorze ans au terme de mes secondes Démonstrations en 1977 ayant prouvé la nécessité du respect de la plupart des vérités relatives de chacune des religions intellectuellement admissibles une fois retrouvée la conscience ; c’est d’accéder à la conscience qui va permettre de retrouver la plupart des raisons qui concernent les vérités relatives en vigueur, voire qui font l’objet de contestation[s] que le droit, voire le devoir de douter génère).

Mon D.E.A. en adaptation scénaristique pourrait me faciliter la lecture et [la] scénarisation de l’un ou l‘autre des -[livres d’]Azimov. Mais si j’ai pris connaissance de son existence en tant que, parait-il pape éternel de la science-fiction, je n’en ai pas encore lu -(du Azimov)- à cette date de décembre 2022.

J’ai envie sur cette matière de procéder à ma façon sans subir les influences des maîtres du genre car je souhaite aborder cette matière à partir de l’expérience que j’en ai eu à ma naissance, puis quatre ans après en 1967 en synchrone avec 1977 et 2005, comme nous avons tous pu le vérifier dans la réalité qui, à mon sujet, est apparue -[aussi comme]- une sorte d’immersion dans de la science-fiction, cette dernière consubstancielle de notre réalité.

J’ai avalé plusieurs gorgées de thé et j’ai fini la tasse : en réalithé - celle-ci – pour être un peu plus précis, un deux-tiers de mug.

Je médite sur la fin de l’histoire que je sais appartenir au genre d’Asimov sans avoir lu une ligne de cette personne pour laquelle j’ai éprouvé beaucoup d’intérêt et de sympathie en découvrant avec toi Michèle un documentaire à son sujet sur Arte il y a quelques semaines.

Je viens de prendre dans ma main droite par sa anse le deux-tiers-de-mug -(se prononce maug, voire mog[ue])- pour regarder s’il ne reste pas encore le reste d’une gorgée de thé à boire.

Visiblement j’avais un instant oublié que j’avais posé cette tasse sur la table après l’avoir constathée vide.

Etrange cette mémoire qui vous joue ainsi des tours.

C’est comme si j’étais mu par un autre que moi-même qui sait que s’il me fait constather qu’il n’y a plus de thé, cette petite étape va jouer pour me faire me lever et porther ce mug jusqu’à la cuisine pour faire bouillir de l’eau de manière à pouvoir en verser sur l’œuf-de-thé en métal avec des trous à l’intérieur de la tasse pour, en le bougeant dans l’eau chaude, diluer l’essence de ce thé une fois infusé dans cet œuf -(un petit récipient dans lequel mettre le thé achethé en vrac chez les marchands d’épice[s] et de thé[s] de l’un des marchés de Noël qui sous des sortes de tentes-abris blanches, un peu parasol et imperméable plastifié, proposent leurs marchandises boulevard saint-Michel ou/et boulevard saint-Germain durant toutes les semaines qui précèdent cette fête traditionnelle).

Vais-je ou ne vais-je pas retourner à la cuisine ? (En relisant, j’ai envie d’ajouther » neige ou neige-pas « à retourner ... -[n’ai-je ou n’ai-je pas …]- plutôt que vais-je ou ne vais-je pas … - Bizarre, serais-je autant sensible que cela aux sons ?)

N’ai-je pas intérêt à apporter dans ma chambre la bouilloire électrique de manière à évither ces incessants va-et-vient à la cuisine où la bouilloire électrique a remplacé le samovar des écrivains polonais ou/et russes -(ça me va un samovar – potache ! – et c’est bien dans le style Momie à mi-mots. Il est probable que l’inventeur du samovar avait appris la langue française. Il a rendu russe l’expression » ça me va « et cela a donné samovar).

C’est que j’ai enfin retrouvé le goût du thé que j’avais gouthé il y a de nombreuses années. Je l’ai trouvé tellement satisfaisant que je suis retourné chez le vendeur de ce thé[s] et d’épices pour en achether en une seule fois pour vingt euros, de manière à en avoir pour plus longtemps et pouvoir te le donner à goûther -(au sens de savourer)-, du moins testher, Michèle.

Sans les conditions rassemblées pour penser et médither, point de scénario. Pas même un film.

Nous avons à honnêtement constather que ces conditions pour écrire existent enfin dans l’histoire de l’aventure humaine -[H. A. H.]- avec l’aide d’un ordinateur portable équipé du logiciel Word -(et je ne suis pas peu fier de ce qu’on me le doive en très grande partie puisque j’ai eu à décrire dans le cadre de la très grande dicthée -[T. G. D.]- à travers espace et temps au-dessus des années 1977 -(à partir des années 2005, du ciel)- ce que ce logiciel de Word serait -(comment se présenterait Word, quelles fonctionnalithés il offrirait – comment il marcherait car je savais quand l’année viendrait que j’en aurais besoin pour rédiger la partie écrite (de ma thèse) de doctorat comportant comme partie principale la production et réalisation de La Momie à mi-mots pendant les années où je vivrai comme marié : du moins en union libre, soit une sorte de concubinage avec toi, Michèle).

Je vais remettre de l’eau chaude dans cette tasse de thé.

Avoir la possibilithé de boire du thé chaud périodiquement est aussi, nous l’avons dit, de l’ordre du rituel cérémoniel et pas seulement de l’habituel -(au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK) : une tradition.

Changer les feuilles de thé séchées en ouvrant l’œuf de métal -(ce qui donne l’occasion de respirer par le nez à l’intérieur le thé séché)- est un moment où on doit peser le pour et le contre pour déterminer la première des quantithés de thé à placer dans l’une des moitiés vides de l’œuf-à-thé[s], ce qu’on peut facilement faire à la petite cuillère. Mais il y en aura toujours qui pour obtenir beaucoup plus d’essence de thé vont vouloir remplir / bourrer à égalité les deux parties de l’œuf en croyant ainsi [d’]avoir évithé de le vider sinon à l’occasion des une ou deux fois suivantes et d’avoir amélioré le rendement en ayant obtenu ainsi une plus grande quantithé d’essence de thé.

Le théléphone sonne. Je vais répondre. Un temps

-(une heure est passée) :

C’éthé toi, Michèle de retour de ton déjeuner avec la fille d’une de thés anciennes enseignantes que tu m’as dit, hélas, à compther parmi les disparus.

Nous avons parlé de ce que la majorithé des psychiatres vont obtenir comme réincarnations de requin[s] parce qu’ils n’ont pas encore la -[plus]- juste attitude, puisqu’au lieu de se réjouir de ce qu’une personne se soit sevrée de[s] neuroleptiques, ils sont incapables d’imaginer cette personne ayant retrouvé la raison au point qu’elle n’ait évidemment plus nullement besoin des neuroleptiques et par conséquent comprendre qu’ils doivent avoir comme principal soucis de sevrer dès la première prise maximale de 25 mg de Risperdal ou de Xeplion chaque malade des neuroleptiques aux effets secondaires indésirables les plus malheureux -(dévastateurs au sens qu’ils sont à l’origine de telles souffrances insuportabilissimis…simissimes que nous comprenons qu’en raison de ces souffrances dont ils ont été à l’origine, il est bien naturellement normale de supprimer à jamais ce type de « médicaments » puisque si ils ne les suppriment pas tous ceux de près ou de loin concernés par les neuroleptiques -(à l’exception des patients ayant été abusés au point d’être les victimes de ces souffrances insupportab[i]lissimis…simissimes dès 25 mg à quelques exceptions près)- obtiendront ces réincarnations de requin[s], voire au mieux de crocodile[s], bref de personnes « bien intelligentes » -(peut-être avec un peu de chance obtiendront-elles celles de dragon du Comodo).

Ici la personne qui ne comprendra pas que l’expression mise entre-guillemets, en raison du contexte, doit être lue avec toute l’ironie que signalent ces guillemets 4 et 7 placés de part et d’autres, avant et après, [de] l’expression -(ces guillemets donc étant des indications sonores -[pour le ton à mettre en raison du contexte qui précède et qui signifie le contraire : qu’elles sont les moins intelligentes d’entre toutes])- aussi, obtiendra une ignoblissimis…simissime réincarnation car elle n’aura pas compris le ton qu’il fallait trouver / mettre, soit ce que ces guillemets mis ainsi signifient plus réellement. Ces guillemets ainsi positionnés cela a aussi à voir avec les accents qui nous donnent -[à la lecture]- le son à émettre). C’est tout simplement parce qu’ils ont abusé de la confiance de ceux auxquels ils ont prescrit ces neuroleptiques aux effets secondaires indésirables insupportab[i]lissimis...sissimes dès la première prise de 25 mg -(qui normalement devrait être l’unique –[voire normalement proposée à 5 mg – ce qui est déjà trop / beaucoup trop !]. Il est effectivement bien normal que celui qui fait souffrir une personne en prescrivant des neuroleptiques à des doses supérieures -(au-dessus / plus importantes)- de 25 mg –(Risperdal tous les quinze jours quand pour Xeplion le même dosage de 25 mg est à prendre une première fois pour quatre semaines avant de réduire de moitié ou alors de passer à cette dernière occasion/dose à toutes les cinq semaines et cinq semaines après à cette dose de 25 mg toutes les six semaines et ainsi de suite à toutes les sept semaines avant, lors de la huitième semaine de diminuer la dose de moitié mais -[de nouveau] toutes les quatre semaines pour passer au bout de quatre semaines à toutes les cinq semaines à cette demi-dose de 12,5 mg -(ce qui a été le cas une première fois toutes les quatre semaines avant toutes les cinq semaines, soit la moitié de la dose de 25 mg ensuite toutes les six semaines pour passer à cette dose de 12,5 mg toutes les sept semaines mais pour passer à 6,25 mg, la moitié, de nouveau toutes les quatre semaines -(puisqu’on aurait du passer à 12,5 toutes les huit semaines, ce qui est 6,25 mg toutes les quatre semaines, puis à cette occasion de la quatrième semaine on attendra une semaine de plus avant de la reprendre toutes les six semaines puis toutes les sept semaines à 6,25 mg et enfin à 3,125 mg toute les quatre semaines -(car on devait passer à toutes les huit semaines)- et enfin toutes les cinq semaines, puis -[toutes]- les six semaines et après toutes les sept semaines à 1,5625 mg toutes les quatre semaines, si on n’a pas décidé -(ce qui est toujours possible depuis la première dose)- de mettre un terme au sevrage, ce qui fera que la fois suivante ce sera toutes les cinq semaines ce dosage minimal, de manière à poursuivre -[à]- toutes les six semaines et enfin la fois suivante à toutes les sept semaines pour que cela puisse advenir à toutes les huit semaines, soit 0,78125 toutes les 4, 5, 6, 7 semaines ce qui permettra une fois encore de réduire de moitié et/pour obtenir un dosage de 0,390625 toutes les quatre semaines de manière à passer à cette dose toutes les cinq semaines pour passer à toutes les six semaines et enfin à toutes les sept semaines pour passer à toutes les quatre semaines au dosage moitié moins fort de 0,1953125, -(0,2 mg)- soit ce que fort logiquement nous arrondi[e]rons à 0,1 mg toutes les quatre semaines pour passer à toutes les cinq, puis 6 et 7 semaines et enfin arrêter / terminer le sevrage – il est bouclé - quand il faudra passer à toutes les huit semaines[1]]- obtienne ces malheurs pour son âme car il pouvait éviter ces souffrances atrocississimis...simissimes, soit insuportabilissimis…simissimes -(et croyez-moi je n’exagère pas, voire malgré l’usage de ce superlatif absolu je minimise tant c’est hyperisimissimis...simissime[ment] insupportab[i]lissimis...simissime à chaque seconde de l’existence dès la dose de 50 mg, les psychiatres l’ayant prescrit au-delà de 25 mg, autorisé pour le pire des cas une seule fois quinze jours -(pour le Risperdal et toutes les 4 semaines pour le Xeplion)- et /mais pas plus ayant ainsi obtenu pour leur respective âme -(comme celle des pharmaciens et des infirmiers leurs complices comme les industriels ayant fabriqué ces poisons la plus néfaste des réincarnations à venir -(s’ils ne s’en repentent pas le plus sincèrement du monde en réparant y compris financièrement auprès de celui ou de celle qu’ils ont ainsi abusé -(plus qu’infiniment)- martyrisé : torturé, le personnel des Etats étant devenus complices, eux aussi, des plus grands malheurs causés à des êtres humains. On comprend aisément que l’infaillibilité de ceux qui représentent l’Etat ne devrait pas être utilisée comme certitude / maxime car malheureusement l’Etat et ses serviteurs psychiatres, en prescrivant à ces dosages au-dessus de 25 mg, (ce que nous avons vérifié sur nous-mêmes avant ces conclusions sur ces produits en disant ici ce qui est au maximum -[du maximum]- possible comme dosage avec les indications de fréquence[s])- étant le plus grand maximum possible à humainement supporter, sont devenus coupables d’avoir causé des souffrances atrocissimis…simissimes -(alors que chacun des responsables des Etats les plus en avance spirituellement ont -(avec la peine de mort interdite)- justement interdit, toute forme de torture)- et en vérité pas permises d’une seule molécule ou/et atome, l’Etat et ses serviteurs coupables à jamais de médications impossibles en conscience à prescrire)- quoi qu’ils aient fait de bien, car la prescription au-delà d’une seule fois à 25 mg -(au très grand maximum pour le Risperdal et le Xeplion comme son équivalent Aldol)- est acte de sacrilège / barbarie total[e] envers la partie encore la plus saine des patients -(dont ils ont ainsi, par ces prescriptions au-delà de 25 mg abusé la confiance en prescrivant ces « médicaments » -[en fait des poisons administrés sans possibilité de recours à tous ceux hospitalisés à la demande d’un tiers – ce qui est coincer d’autres innocents et les torturer ignoblement en profitant de leur ingénuité / confiance])- qui ne pourra se sortir de la momentanée schizophrénie –(car c’est ce qu’on a cru pouvoir prescrire pour soigner de cette maladie dont on a cru être la cause -[de ces momentanés dysfonctionnement[s] et/ou troubles psychiques])- qu’en pratiquant consciemment une psychanalyse ou/et auto-psychanalyse -(ici cette dernière si elle appartient aux végétariens depuis plus d’une année, de manière à pouvoir, par la parole et la réflexion comme l’étude des souvenirs remonter jusqu’au moment où, à la suite d’un malentendu -(cela peut être à l’occasion d’un film pris en cours de route – il manquera des éléments d’où les malentendus possibles - ou à une autre occasion), elle a -(sans s’en rendre compte)- évolué vers le mensonge au lieu au contraire de poursuivre sa route au service de la Vérithé ou/et celle des vérithés relatives -(souvent, il est vrai, extrêmement complexes)- quand elles ne sont pas plus heureusement des plus simples. 

Nous parlons aussi d’Isaac Asimov – tu t’es souvenu de son prénom et nous promettons de lire un de ses ouvrages traduit[s] en français tant nous avons fini par avoir de la considération pour lui à cause du documentaire sur Arthé nous avons vu ensemble lors de ton dernier passage à Paris.

En fait, je m’aperçois que je t’écris une lettre. Ce scénario que je vais tenter d’écrire à partir de notre histoire est une lettre qui t’est adressée.

Alors comment nous y prendre ?

Il est impératif que ça se termine bien.

Toi et moi nous avons renoué avec les histoires qui se terminent bien. Nous avons compris que celles qui se terminent mal sont néfastes, peuvent être à l’origine de ces malentendus, voire préjugés.

Avec La Momie à mi-mots nous avons donné le la de la finalité des œuvres cinématographiques auxquelles nous voulons que la réalithé ressemble.

Malgré toute la première partie du film où Carolyn Carlson est comme persécuthée, La Momie à mi-mots se termine plutôt bien : fin des nationalithés qu’il ne faut pas confondre avec les nationalithés -(donc c’est au sens négatif de ce mot de nationalithé que les enfants se sont débarrassés des drapeaux de toutes les régions du monde mais, au fond, ils continuent à exister ou/et représenther les régions du monde)- pour des embarcations différentes, autonomes et/ou jouissant d’une relative indépendance.

En fait la génération qui vient se débarasse de ses origines nationales -(les drapeaux coulent au fond du bassin, derrière la fontaine Carpeaux). Ils appartiennent au passé (ces drapeaux nationalistes -[au sens négatif de ce mot de nationalisme qui dans d’autres SPOK est positif comme peut l’être aussi le -(mot de)- régionalisme]- coulent, vont tapisser le fond du bassin, ils vont être underwater comme on dit underground). Les enfants en avaient hérithé mais en raison de la mondialisation des échanges commerciaux et culturels, comme de la création de la monnaie de l’Ôz mais aussi en raison de la résurrection de la momie -(Carolyn Carlson, la Danse, la fontaine Carpeaux)- ils suivent cette fée dans/vers un univers où la Danse -(mais aussi la musique et les arts -[dont la sculpture et probablement le chant]- mais aussi la peinture, celle qui a recouvert les deux cerfs-volants)- a/ont une très grande importance, voire à terme, toute l’importance qu’elle/ils mérite[nt].

 

La » joueuse de flûte « qu’est devenue Carolyn Carlson sans flûte les entraîne vers un avenir mystérieux où ces nationalismes sont déjà loin derrière eux car ils ont laissé la place à ces bâteaux -(naviguant) sans pavillon[s]. L’ironie du sort c’est dans le bassin octogonal du jardin du Luxembourg que cela a lieu : chacun des bâteaux qu’on peut louer à la demi-heure, voire au quart-d’heure, portent depuis quelques temps après le tournage de La Momie à mi-mots chacun le drapeau d’un des pays de notre planète et naviguent sur les eaux de ce bassin devant le Sénat -(et on comprend ici que ces drapeaux au-dessus des voiles, au sommet du mât de ces petits bâteaux, sont logiques avec la fonction actuelle du palais Médicis représentant la France. Les bâteaux que nous avons utilisés dans » La Momie à mi-mots « portaient les lettres de l’alphabet – avec eux un véritable abécédaire de poètes voguait - et on avait pu lire en passant sur une première voile » e « suivi du mot »  bo « -(qu’on entrevoit moins d’une seconde)- comme voir le » z « en difficulthé -(dans une situation critique sous le torrent en provenance du bassin supérieur de la fontaine Carpeaux).

En fait on avait assisthé à des conflits intercatégorie[l]s et ces catégories c’était ces nationalismes au sens négatif de ce mot qui en aura toujours du positif sur d’autres aspects / points que ceux où ces conflits sont négatifs.

C’est pourquoi dans le ciel on continuera à avoir de la considération pour ces régionalismes qui se remarquent au fond du bassin à tapisser de couleurs -(ce fond) car avec ces régions du monde symbolisées par les couleurs de leurs drapeaux et ces signes sur ces drapeaux, nous avons là l’histoire de l’aventure humaine -(H.A.H.)- qui, durant de nombreux siècles, s’est déroulée à cause de l’existence des racines géographiques différentes de la plupart de nos respectifs ancêtres pour mener jusqu’à nous.

Pour la Paix dont nous jouissons enfin, il y a eu nécessithé de traverser de nombreux conflits internationaux mais l’étude des arts dans chacune des régions de notre planète et les réalisations des œuvres d’art y compris en littérature sont à l’origine d’une prise de conscience salutaire : en fait cela dépend de chacun, en liaison avec des ensembles / catégories.

C’est que la catégorie science-fiction nous contraint à nous projeter dans le futur, donc à voir d’avance : voire à être prophète.

J’ai pu démontrer en 1967 et en 1977 qu’il était possible d’apparaître d’avance en 2005 dans le ciel de ces deux époques de 1967 et 1977.

Cela nous avons tous pu le vérifier à partir de 2005 quand une autre fois, mais cette fois-ci en chair et en os, tout s’est reproduit exactement comment cela s’était passé en 1967 et 1977 -(sauf que cette fois-ci nous étions en 2005 et plus en 1967 et 1977 ; enfin nous avons compris comment cela s’était passé quand nous étions en 67 et 77).

Aussi en 1967 c’est bien l’irruption de la science-fiction dans notre réalité quotidienne qui s’est produite pour tous ceux qui ont eu la chance, comme en 1977, de me voir et de m’entendre immense dans le ciel -(et cela s’est alors produit au-dessus de Rome alors que nous avons découvert que cela se passait en vérithé à Paris dans le studio que mes parents avaient loué pour nous, 12 bis rue du Val de Grâce, à partir de 2005 ! Incroyable mais vrai !).

Cela signifie que le genre qu’est la science-fiction est en fait une dimension de notre réalité.

Mais pour exister à ce point où j’ai eu l’honneur de le démontrer, cette science-fiction de la réalité s’appuie sur plusieurs paramètres très importants, voire fondamentaux.

Premièrement cela repose sur le sacrement du mariage dont l’anneau immaculé immatériel lumineux -[qui]- apparait au doigt annulaire de l’être humain homme / garçon. Cela permet de comprendre la différence entre la condition profane et la condition sacrée que les religions à travers leurs responsables célèbrent notemment avec l’institution des sacrements distribués / proposés à des personnes méritantes au cours de leur parcours spirituel personnel. Elles en font la demande quand elles le sentent.

La condition de prêtre ou/et de serviteur(s) des religions est une condition sacrée que celles-ci célèbrent Dieu ou pas -(d’autant qu’il paraitrait que Dieu n’existe pas pour certains bouddhistes – alors comment ce fait-il que la conscience existe ? Comment se l’expliquent-ils ?).

Il s’agit une fois qu’on a acquis la conscience d’œuvrer pour conseiller tous ceux qui ne parviennent pas à comprendre ces notions et nécessithé(s) religieuse(s), de l’étude des religions.

C’est dans le ciel des années 1967, puis de 1977 que j’apparais immense -(mesurant environ six mille cinq cent mètres de hauteur dans le ciel de Rome et là où en fait cela se déroule pour apparaître en 1967 et en 1977, c’est 2005, (là où j’apparais de façon sonore en 1967 c’est 2005 aussi)– comment est-ce possible ?

C’est à cause d’une histoire d’amour avec/pour plusieurs femmes pour lesquelles est apparu -(pour chacune)- à un moment différent un anneau immaculé immatériel lumineux à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés. C’est donc à cause du sacrement du mariage et c’est son obtention -(de m’en être rendu digne)- qui en est la cause, car avec la restauration de la conscience en moi, j’ai soudain eu accès aux dimensions sacrées de l’existence ! Cela signifie que je n’ai pas triché de moins encore d’un photon ou/et de moins encore d’un neutrino tout du long de ces troisièmes démonstrations -(de 1977 à 2005 !).

A partir de 2005, on me redonne la mémoire de Christine .. Lang. Tout change alors pour moi ; tout mon parcours depuis 1977 prend un sens différent et effectivement je me souviens de 1977 à Rome et de l’anneau immatériel immaculé lumineux qui est apparu pour Titine à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés. C’est tellement vrai qu’il me faudra m’ingénier pour l’oublier complètement, pour que cet anneau réapparaisse en 2005 pour toi, Michèle, avec laquelle nous comprenons alors que je suis donc marié dans le ciel comme je le suis avec Christine qui finira par comprendre que j’ai pu / je n’ai pu sauver cette planète [qu’]à cause de l’anneau que j’ai vu apparaître à mon doigt pour elle en / depuis 1977, cependant que si on nous contraint au sacrifice de séparation -(ce que tous devaient salutairement pour tous refuser), j’ai le devoir de l’oublier jusqu’en 2005 où tout [v]a recommencé[r] comme en 1967 et 1977, mais enfin à partir du cas de figure de la Création où nous sommes en 2005).

 

Quand nous étions en 1967 -(j’avais alors quatre ans)- à Paris avec mes parents et mes frères et ma sœur. Pour obéir à la voix céleste que tous à Paris nous avons entendu en 1967, nous partions pour Rome où je devais aller à l’école mais aussi faire de nombreuses découvertes artistiques tant mes parents avaient la passion des arts, ce qui nous a mené à de très nombreuses découvertes effectivement admirabilissimis...simissimes à tel point qu’avec chacune il était évidemment impossible de croire que l’être humain pouvait être/devenir un escroc, un menteur et/ou un tricheur. En un mot un » salaud «. Ceux qui le croient de l’être humain ne vont pas bien dans leur tête au point qu’on puisse croire que pour voir les choses ainsi il est probable qu’ils sont / soient eux-mêmes devenus des salauds. Ceux-ci l’étant devenu, ils croient que tous ont fait ce choix dont ils sont prisonniers au point de modifier la manière de se comporter : certains en sont devenus méchant[s] alors qu’on ne naît pas méchant. Tout au contraire : on naît bon, adorables, mais c’est l’absence de la Vision du Paradis -(autour de nous)- qui peut conduire certains d’entre nous à devenir méchant[s], cela advient en raison de malentendus, à partir d’une chose ou/et une autre. Il y a plusieurs causes à cela mais ce qui est certain c’est que de ne pas voir autour de nous le Paradis -(Ôz)- d’avant la très grande catastrophe, est un des paramètres qui à la longue peut rendre méchant, voire pécheur. Les péchés ont donc des origines -(des causes). C’est la situation bloquée qui a été à l’origine des péchés comme de tout le reste. Tout ce qui nous entoure résulte de la situation bloquée et pour une grande majorité d’entre nous ce n’est pas si mal puisqu’il y a tous ceux qui croient avoir le droit de faire des enfants alors qu’il existe tous les moyens contraceptifs pour éviter d’en mettre au monde, ce qui est choisi par tous ceux qui n’aime pas vivre, voire tous ceux qui ne supporte pas la constitution de famille en liaison avec le sacrement du mariage et ses anneaux d’or-18 carat achetés avec des RFPMD –(acronyme de revenus financiers propres et mérités de droit)- comme avant lui l’anneau de fiançaille(s), une tradition -(qui est une étape importante dans la vie d’un couple voulant fonder une dynastie, voire voulant œuvrer au service de la Vérité et/ou des vérités relatives à transmettre – dont la génération qui vient va devoir hériter en raison des possibles les plus beaux / féconds ce que les plus véritables artistes ont prouvé à chacune des époques en créant à partir de leurs découvertes spirituelles des civilisations et leurs décors, des mouvements, c’est-à-dire des catégories).

 

L’art le plus véritable – soit le plus juste – est affaire d’honnêteté absolue : de vérithé – le mariage est aussi affaire de vérithé[s] relatives mais aussi d’un autre type. De celles-là universelles et celle-ci, la vérité, est souvent des plus complexe[s] mais certainement au service de la cohérence retrouvée grâce aux étapes sacrées nuptiales des fiançailles officielles, comme finalement du mariage qui, nous l’avons vu , apparait dans la réalité au bout d’un certain temps de vie en commun à l’état de profane avec la présence de l’anneau immaculé immatériel lumineux -(une sorte de feu vert vers/pour la célébration officielle de ce mariage, ce qui n’est nullement une obligation, si ce n’est sur le plan administratif sous certaines latitudes. Avec la célébration officielle du mariage tant à la mairie qu’à l’Eglise, il y aura quelques points qui changent, qui vont changer la vie / l’existence).

La Vision du Paradis ayant disparu depuis longtemps, elle ne pourra être retrouvée par l’Ensemble que grâce à une histoire d’amour. La nôtre, Michèle, qui coïncide avec toutes celles les plus belles, car elles sont celles qui nous font découvrir un éventail de directions sentimentales très originales.

Cela me rappelle celle de Woody Allen quand il met en scène les robots parce qu’il se réveille de son état de mort -(dans le futur où presque tout a bien sûr changé). Woody Allen et la science-fiction, c’est une voie de recherche[s] possible[s] pour aborder cet immense auteur / artiste.

Quand on accède à l’amour qu’on comprend éprouver en vérithé pour l’autre, on accède à la Vérit[h]é et avec cette conscience tout devient à la fois simple mais aussi beaucoup plus complexe qu’on ne le croyait en étant moins conscient.

Le mariage comme sacrement comporte plusieurs aspects dont celui qui mène à s’imaginer dans le futur avec les enfants qu’on avait des difficultés à imaginer attendre !

Il y a eu modification au sens de transformation et métamorphose durant toute la période laïque soit ce qui pourrait être synonyme d’adolescence.

C’est avec toi ce que nous avions à démontrer par les divers changements par lesquels notre histoire sur la Carte du Tendre nous a fait passer.

Nous sommes amenés en raison de l’existence de ce sacrement qui fait revêtir [à] l’épousée des vêtements blancs / immaculées de la mariée qui ne forme plus qu’un avec Marie, la mère de Jésus à l’état de laïc -(donc par certains aspects d’adolescent)- à des changements importants de notre manière de voir et ou entendre pour petit à petit être / devenir capables de nous projeter dans le futur, tant notre future condition de parents est grave en représentant autant de responsabilit[h]é[s] dont nous avons eu des aperçus à travers les activithés que nous avons explorées.

Cette notion de responsabilité ne fait qu’un avec la conscience. C’est la sécurithé de l’acquis-de-conscience qui fait de nous des responsables, des prophètes et en raison de cela de véritables artistes -(car nous savons alors extrapoler au point d’apprendre, avec des scénarii à raconther des histoires dont certaines concernent la catégorie de la science-fiction -[nous l’avons dit : la réalithé qui nous entoure peut être vue comme un effet de la science-fiction. Celle-ci, cette catégorie, existe donc véritablement : tout ce qui nous a, à chaque génération, entouré comme preuves du progrès et de l’évolution fut causé par la science-fiction qui avant de devenir une science à notre époque se présentait par des/les prophéties de certains personnes, des auteurs et parfois de très véritables artistes).

A l’origine il y avait l’univers peuplé de galaxies dont chacune des planètes gravitait autour de son étoile / soleil qui étaient donc d’une certaine façon en relation avec toutes les autres sans exception -(en effet, la nuit, si nous regardons le ciel, il s’allume des lumières des étoiles et des galaxies, les lumières scintillantes étant celles des systèmes solaires avec leur plus ou moins nombreuses planètes)-  et cela en liaison avec, pour chaque point, tous les moments concernant ces points, soit ceux-ci plus ou moins accessibles dès leur manifestation / présence / apparition.

Et de là la facilité de/à comprendre qu’une personne née dans la galaxie Untelle doit pouvoir facilement rencontrer une autre personne née dans une autre galaxie peut-être même distante de plusieurs millions d’années-lumière -(ici tout cela, à première vue[s] parait impossible). Aussi il est aisément compréhensible que ces deux personnes faites l’une pour l’autre sont extrêmement différentes à cause des éducations différentes [qu’]elles ont reçues. Tout cela est donc lié aux croyances des uns et des autres -(d’où le problème qui s’est continuellement posé de la religion : qu’est-ce qui est sacré ? qu’est-ce qui est profane ? Comment se comporther ? Créer des ensembles où il y a des certitudes en commun ? Qu’est-ce qui est étranger ? Etc. , etc.).

Mais comment ces deux personnes destinées l’une à l’autre peuvent-elles se retrouver ?

Sans machine[s] spécialement conçue[s] pour rendre possibles le rapprochement de ces deux personnes, ces deux personnes s’ignoreront et peut-être même passeront l’une à côté de l’autre sans -[se]- reconnaître avoir été faites l’une pour l’autre !

Quand toi et moi nous avons pu nous rendre compte -(toi à Strasbourg et moi à Paris)- combien cela a été difficile de découvrir que nous avions la confirmation de l’Univers en entier -(passé, présent et futur, voire d’autres dimensions avec)- pour devenir mari et femme, nous pouvons aisément comprendre combien cela sera difficile, dans quelques milliers d’années, le mariage d’une personne appartenant à l’une ou l’autre des exoplanètes avec une autre appartenant à celles d’une autre galaxie ! (Mais tout cela est difficilement crédible puisque les distances se comptent en années-lumière : la lumière du soleil mettant environ huit minutes à nous parvenir ce qui a permis de comprendre à quelles distances sont les autres corps célestes).

Cependant ce mariage se fera car pour que l’anneau apparaisse il faut que ces personnes attendent des enfants et ces enfants métissés au paroxysme du métis, soit cosmiquement, attendent eux aussi des enfants -(c’est le virtuel au sens de probable qui les concerne, voire c’est potentiellement le SPOK). Du moins doivent retrouver l’âme sœur -(soit ce qui a été à l’origine du mariage de leurs parents, voire de la vie en couple tantôt sur la planète du père tantôt sur la planète de la princesse).

Mais pour en arriver là, combien de générations vont devoir étudier des choses compliquées à comprendre pour rendre possible des voyages dans le temps et l’espace -(ce dont nous avons un aperçu, enfant, dès les premières tentatives pour nous déplacer, la télévision aidant)!

Bien sûr avec le couple qu’ils forment, l’univers va y gagner quelques enfants pour lesquels tout doit être prêt, à cause, à leur tour, de leurs respectives histoires d’amour originales -(qui allaient de soi, donc facilement prédictibles)- au point que dans tous les systèmes solaires habitables un ministère intergalactique a été créé pour faciliter les démarches de personnes qui par bien des aspects se sont conduites par amour comme des extra-terrestre(s). La dimension extra-terrestre existe belle et bien -(elle confirme la dimension science-fiction) : c’est une réalité.

C’est que leur mariage est des plus compliqués à mettre en œuvre par les anciens entourés de leurs petits-enfants.

C’est que ce mariage inter-galactique confirme tous les mariages dans tous les temps et devrait facilither la résurrection de nombreuses personnes qui ont éthé très très admirables -(et c’est peu dire)- quand elles étaient vivantes, du moins à certains moments. 

Toi et moi nous nous sommes posés la question de l’intérêt que peut revêtir cette résurrection.

Nous avons conclu que si c’est pour avoir à de nouveau souffrir cela n’est pas intéressant. Et forcément ces personnes qui, de leur vivant, voulaient ressuscither auront à souffrir ne serait-ce que de ne pas trouver autour d’elles les personnes qu’elles aimaient, c’est-à-dire leur entourage et en voyant comment à notre époque nous fonctionnons dans certaines occasions, nous avons, quelques-uns d’entre nous, acquis la certitude que si cela advient, cela sera des problèmes considérables cependant « qu’ils se sont endormis dans l’espérance de la résurrection », répéthée cette proposition-expression, la veux-tu la voilà, à l’occasion de chacune des messes chez/par les chrétiens qui ont fait l’objet de nombreuses études par les partisans des autres religions -(n’ayant pas pour autant ces croyances chrétiennes).

Tu as écrit lucide qu’on avait peine à imaginer que les corps qui prenaient le soleil là où nous allions à la plage durant les éthés, une fois morts ressuscitent et cela nous a facilité l’anti-thèse : l’absence de résurrection.

Un scénario de science-fiction ? (Est-ce que celui de La Momie à mi-mots ne l’était pas ?) . Oui mais lequel ? Pourquoi ? Quels sont les ingrédients à cette fin ? Où les trouver ? Dans quelles situations ? Et si nous prenions appui sur notre histoire ? Comment la présenther ? Quelle serait la fin ? La finalithé ?

 

On peut commencer par un mariage et établir un flash-back qui va nous renseigner sur les diverses étapes ayant mené le couple à se décider à choisir une des églises comme décors pour la célébration de ce mariage.

Et sur le plan architectural nous avons l’embarras du choix. Cela pourrait-être à Rome, à Saint-Pierre mais aussi cela peut être dans la cathédrale de Strasbourg ou à Paris à Notre-Dame -(à cause que je suis empereur et toi l’impératrice, mais le bouddhahs, qui est celui qui fait de ma fonction d’empereur celle de premier eanmeailleurs de l’histoire de l’aventure humaine, ne veut pas causer de dérangements aux responsables de ces édifices religieux pour confirmer de manière sociale, c’est-à-dire officiellement, notre mariage -(qui peut aussi se produire dans l’Eglise de saint-Etienne-du-Mont, la paroisse où je vis à Paris, donc près de chez moi, par conséquent dont je dépends, voire pour certains esprits cherchant noise : » qui dépend de moi «)- depuis le moment où, en 2005, j’ai vu apparaître pour toi l’anneau immatériel immaculé lumineux car nous comprenons que cela fait longtemps que nous sommes mariés étant donné que l’apparition de l’anneau pour toi Michèle en 2005 nous renvoie à celui que j’ai obtenu pour Christine en 1977 après dix années de démonstrations s’étant terminées par une seconde -(ou vu autrement)- troisième métamorphose en bouddhahs. Il s’agit du même anneau que celui que j’ai aussi obtenu en 1967 à l’âge de quatre ans pour toutes les deux -(Christine et toi âgées respectivement de trois et sept ans)- comme je l’avais obtenu dans les premiers jours de ma naissance -(probablement alors pour ma mère et ma sœur aînée). Cependant qu’à ce sujet je dois reconnaître que c’est par déduction qu’il semble qu’il ait apparu car pour dire la vérithé à propos de cet anneau-là précis, je ne m’en souviens plus, pas plus que celui de 1967 quand j’étais âgé de quatre ans -(bien que j’ai fini par me rappeler les interventions du futur qui m’avaient concerné)- mais dont parfois je crois me souvenir. Il faut que cela soit clair : ce sont les anneaux immaculés immatériels lumineux de 1977 et 2005 dont je me souviens parfaitement et comme je les ai bien en mémoire -(celui de 2005 bien sûr encore mieux que celui de 1977 car il est apparu, après avoir éteint la lumière, dans l’entrée du studio, au 32 rue Pierre Nicole)- cela m’a fait déduire, en raison d’autres paramètres très importants concernant ce qui s’est passé, qu’en 1967 et 1963 il y a eu aussi l’apparition de cet anneau -(en raison des transmissions advenues à partir de 2005). En effet, il y a eu des moments qui se sont reproduits très exactement et de manière synchrone comme l’ouverture du sol dans le studio où j’habithai 12 bis rue du Val de Grâce en 2005 avec la venue dans cette trappe, jusqu’à mon nez, provenant du haut dans une autre dimension, d’un immense serpent, mais aussi cette ouverture du sol avait eu lieu au même moment en 1968-69 à Rome confirmant le synchrone de chacune des périodes. Comme bien des choses se sont déroulées de manière synchrones pour la période de ma naissance jusqu’à celle de mes 4 ans en 1967 et puis celle-ci synchrone avec la période de 1967 à 1977, à son tour synchrone avec celle à partir de 2005, les années vécues de 1977 à 2005 étant synchrones avec celles de 2005 à nos jours, je puis déduire que les anneaux immaculés immatériels lumineux sont apparus à mes petits doigts De bébé dans les jours qui ont suivi ma naissance mais aussi ceux à partir de mes quatre ans, donc vers 1968-69).

Comment rendre ça, ces idées -(étapes - ce synopsis. [Mais en est-t-il un ?])- au cinéma et déjà dans le/un scénario ?

Mais tu te souviens du merveilleux au moment de la naissance de Jeanne, de Laurent la fille de Catherine, quand nous sommes allés à l’hôpital où elle avait accouché de ce bébé. Je th’ai dit qu’en m’approchant de [la] bébé dans son landeau, j’avais vu immaculé immatériel et lumineux au-dessus de la thête de Jeanne, en assez petit, le Pape allemand Benoit XVI qui tenait une sorte de batte de base-ball, comme un bâton de Sganarelle ou/et Guignol qui éthait prêt à me taper si je m’approchai un peu plus de l’enfant. Or, tu le sais, je n’avais aucune intention[s] mauvaise[s] d’aucune sorte à tel point que je me considérai offensé. Mais il est vrai qu’à cette heure-là, je n’éthais pas encore redevenu bouddhahs et par conséquent que nous nous étions donné rendez-vous avec Catherine dans la situation, tous les deux, de profane[s], ce bébé, ces jours-là de quelques heures après sa naissance encore dans un état de sacralité puisqu’elle avait eu une sorte de nécessithé à recourir à l’apparition de cette sorte d’effigie immaculée de la figure du pape -(en fait une sorte de statuette vivante de quinze à vingt-cinq centimètres de haut, tridimensionnelle et/mais animée, déterminée à prothéger le bébé par la force avec ce gourdin brandit comme un avertissement menaçant qui signifiait » tu ne t’approcheras pas plus de cet enfant sinon je me déchaîne et te frappe « et cela mesurant si petit ! Quel courage ce pape). Mais cela avait éthé bizarre et comme c’éthait la première fois que j’assisthai à une chose aussi extraordinaire : l’apparition de ce pape au-dessus de la tête de cette nouveau-née couchée -(alors qu’il éthait évident que ce bébé ne connaissait pas ce pape non plus)- me parut très bizarre et inexplicable comme ce fut le cas pour l’anneau immaculé etc. y compris quand cela s’est produit à Rome en 1995 dans les journées où, parait-il -(au dire de personne m’ayant croisé), j’avais un anneau au-dessus de ma tête au moment de l’intervention de celui qui se faisait passer pour l’architecte de l’univers.

Je m’aperçois qu’il y a de l’image dans ces réflexions préliminaires annexes du scénario qui nous reste à écrire et qui nous donnera du mal à être réalisé car sans l’existence des effets spéciaux nous n’y parviendrons pas -(mais laissez-moi considérer qu’en nous relisant ces images ainsi décrites à travers les mots de ce texte créent en nous les images en question –[elles réapparaissent en les évoquant, les mots employés avec justesse recréent en nous ce qu’il y a d’inscrit et cela signifie que notre tête recrée ce qui est décrit comme une réalité virtuelle. Nous sommes donc de l’autre côté du miroir et nous disposons avec notre tête d’une sorte d’ordinateur qui opère tandis que nous écrivons sur plusieurs niveaux y compris celui de l’illustration, le tout en liaison avec notre mémoire photographique et si nous pensons ainsi, en pluri-dimensions c’est qu’à partir de 2005 nous nous sommes débarassés en nous des ténèbres, de tout ce qui nous empêchait de/à comprendre, ce qui a donné l’apparition de l’anneau immaculé au doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés – aussi nous avons vécu la preuve de l’existence de cette sécurité qui existe dans l’être humain de pouvoir devenir un bouddhahs, soit un éveillé-par-acquis-de-conscience, la condition préalable pour appartenir aux êtres humains adultes parachevés des très/plus véritables artistes prophètes, donc potentiellement auteurs de créations de textes ou/et réalisation appartenant au registre – à la catégorie - de la science-fiction).

 



[1] Ce programme concerne donc le Xeplion 25 mg qui est administré toutes les quatre semaines. Pour ce qui  est du Risperdal 25 mg qu’on administre toutes les deux semaines, il faut obligatoirement faire la même chose : mais sur deux fois moins de temps : 1ère prise = 25 mg toutes les deux semaines ; 2ème prise = 25 mg toutes les trois semaines : 3ème  prise 25 mg = toutes les quatre semaines ; 4ème prise = 18,75 mg -(un quart en moins) toutes les deux semaines, puis la fois  suivante, la 5ème prise, = 18,75 toutes les trois semaines et la fois suivante 12,5 toutes les quatre semaines quand la fois suivante c’est  6,25 toutes les deux semaines, puis la fois suivante toutes les trois semaines, puis la fois suivante, la quatrième semaine on passe à 3,125 -(arrondi à 3 mg)- toutes les deux semaines, puis toutes les trois semaines et à la quatrième semaine, deux fois moins de nouveau, ce qui signifie toutes les deux semaines 1,5625 mg -(1,5 mg)- de Risperdal toutes les deux semaines qu’on arrondira à 1,5 mg, puis toutes les trois semaines, puis la fois suivante toutes les quatre semaines, on passera à 0,78125 -(qu’on aura arrondi à 0,75 mg)- toutes les deux semaines et puis toutes les trois semaines pour passer à 0,25 mg toutes les 4 semaines pour passer à 0,15 toutes les deux semaines puis toutes les trois semaines et cela pour terminer le sevrage la quatrième semaine avec une dose de 0,0625 mg toutes les deux semaines (qu’on arrondira à 0,05 mg)- puis toutes les trois semaines et enfin le patient totalement guéri -(n’ayant plus jamais besoin de ce médicament dès la quatrième semaine.

 

N. B. : il est possible de répéter jusqu’à trois fois consécutivement chaque prise pour réaliser un sevrage beaucoup plus long dans certains cas nécessaire. Si le patient est pris de craintes ou de peur de voir baisser son traitement, il est possible de revenir à la dose précédente, voire la précédente encore et de la répéter deux fois ou trois fois de manière à rassurer le patient que l’on doit pourtant « encadrer » / conseiller au sens d’accompagner vers la fin du traitement de sevrage absolument vital pour que ce patient guérisse grâce à la psychanalyse -(ou l’auto-psychanalyse)- qui lui sera conseillée, voire qui doit être obligatoire car il n’y a que par la parole qu’il pourra guérir véritablement ce qui est impossible avec des dosages de Xeplion ou/et Risperdal qui par leur administration créent la condition de malade du patient qui ne peut guérir qu’en poursuivant sa psychanalyse, voire son auto-psychanalyse -(s’il est végétarien depuis au moins quelques mois –[trois à six mois]. En effet, qu’on se le dise, il n’y a -(n’y aura)- pas/jamais de guérison possible -([pour tous les troubles psychiques] - c’est-à-dire de retour à la la cohérence -[absolue, soit à la plus véritable honnêteté, soit -[à]- la justesse ou plus véritable justice]- comme à la Vérité et aux vérités relatives logiques)- sans être devenu végétarien -(qu’on se le dise – cela a été vérifié par moi-même qui me suis inoculé de l’âge de mes deux-trois ans à trente ans ans la manière de manger occidentale dans le contexte familial de mes parents).

 

 

                         

 

 

 

Ci-dessous en nota bene suite qu'on peut aussi trouver comme un texte autonome / [à lui seul]- ici.

 

Nota bene à/de la note d’intention autour de l’écriture d’un scénario de film à partir de certaines des idées développées dans les courriers et/ou articles mais aussi images (peintures, sculptures, photographies, films et vidéographies)- dont je fus les auteurs.

 

Bonjour,

Dans le cadre de mes études axées réalisation de films / vidéos, je crois de mon devoir de nous intéresser à la science-fiction d’autant plus de ce qui nous est arrivé d’exceptionnel depuis ma naissance en 1963 et des différentes interventions célestes qui se sont [re]produites / manifestées de mon vivant, vérifiées à partir de 1967, 1977 et 2005.

Ici, le 18 octobre 2022 -(je CARE[1] de 6 à 15 les 28-29 décembre 2022), nous mesurons mieux comment tout cela s’est produit car nous bénéfiçons d’une relative distance plus importante qu’alors -(quand cela s’est produit): nous avons toujours plus de recul bien que nous sachions à chaque seconde que tout découle de ce qui s’est produit / m’est arrivé, notre situation étant des plus complexes mais à devoir nous comporter, dans la mesure du possible, en conséquence[s].

L’intervention à travers espace et temps a donc fini par être vérifiée, moi vivant, à partir de 1967 -(j’y avais quatre ans). Elle a eu lieu en même temps que celle vérifiée moi vivant en/de 1977 et 2005, synchrones elles-aussi (tout cela me fit devenir grand inspecteur).

 Chacune de ces dates vit se reproduire ces communications à travers le temps et l’espace qui d’une part se sont d’abord déroulées en virtuel quand, à partir de 2005, elles se manifestèrent dans la réalité elle-même comme cela s’était déroulé en 1967 et 1977 et/mais pour ainsi dire enfin » en chair et en os «, tandis qu’elles – permettez-moi de le répéter tant ce fut extraordinaire – [n’]avaient été -[que]- virtuelles du point-de-vue des années 1967 et 1977 où nous -[y]- étions alors « en chair et en os »!

C’est ici difficile à comprendre, voire » incroyable mais vrai « : il y a eu l’intervention de 1967 à Paris où je n’avais alors que quatre ans -(et ces interventions ne s’étaient produites qu’à partir –[que depuis les]- des années 2005 dans lesquelles d’avance –[visiblement]- j’avais quarante deux ans)- et ce que j’entendais alors dans mon corps d’enfant, donc » en chair et en os «, se déroulait en même temps en 1977, toujours à partir de 2005, mais alors dans la réalité depuis l’année 1967 et les suivantes depuis, vues de là-bas, sous la forme de virtualités, cependant qu’en 1977, comme en 2005, pour s’être produites, cela n’était advenu ou/et n’allait advenir que sous forme de virtualité[s]. Cela signifiait que je pourrais y être une autre fois -(il s’agissait d’avenir virtuel au sens de cas de figure possible, soit d’un cas de figure de la création, au sens où Alain Resnais le démontre possible dans les films Smoking, No smoking avec la notion de » ou bien «), mais cette fois en chair et en os, donc dans la réalité.

Je vous le dis : » incroyable mais vrai « car c’est bien ainsi que cela s’est déroulé – (que tous les malheurs les pires de l’univers me foudroient ou s’abattent sur ma personne si je mens ici d’un électron, voire encore moins : d’un photon[2] ! Mais si je dis la vérité que la Création réussisse totalement à ses meilleurs créateurs / contributeurs et évidemment dans tout ce qu’elle a de beau, bon et bienfaisant).

C’est bien cela qui est difficile à comprendre et à croire : que ces interventions célestes se soient / se sont déroulées en même temps dans ces trois époques dont nous avons pu vérifier qu’elles sont, en ce qui me concerne, totalement synchrones entre elles -(moi personne/age pivot au sens de central de la Création, puisque très véritable empereur, mais premier pharaon de l’histoire de l’aventure humaine -(H.A.H.)- à avoir découvert qu’il existait pour les non-violents comme moi une sorte de sécurité dans l’être humain qui permet, grâce aux religions -(ou aux textes et enseignements et/ou rituels religieux et etc. et …)-, à l’être humain qui se repend sincérement de ses péchés –(commis du temps de son inconscience -(qui d’habitude coïncide avec l’adolescence – dans certains cas celle-ci ne se terminant pas), en comprenant pourquoi ils constituent des formes de sacrilège[s], par conséquent difficilement admissible[s])- d’accéder à la bouddhéité, soit à l’état de bouddha, donc ce qui est synonyme -(et veut dire)- [d’]éveillé-par-acquis-de-conscience.

Par exemple, cette sécurité pour l’être humain se met en fonction si on a été élevé chrétiennement et qu’on appartient à ceux qui ont eu la chance d’avoir réellement la foi au point d’agir dans l’existence de manière charitable y compris en élevant leur progéniture car il y a adéquation dans les comportements et jugements avec les effets des enseignements religieux qui causent des façons de se comporter des plus charitables au point qu’on a eu conscience de cela en résumant ces attitudes par le mot d’humainement non loin de la notion d’humanisme. Chrétien est alors synonyme de comportements humains les meilleurs, et, si possible, les plus charitables, voire compassionnels -(qui n’est donc pas seulement l’apanage du bouddhisme, soit la manière d’être caractéristique du bouddhisme – ces bouddhistes comme ces chrétiens ou/et d’autres religieux n’ont pas le monopole du cœur, cela peut concerner aussi l’un ou l’autre des profanes, voire des pécheurs y compris ceux qui ignorent qu’ils sont en réalité en chemin vers -[le contraire de ce qu’ils donnent comme impression,]: la révélation), et je suppose, en raison de cela, que cette religion ou cette conscience chrétienne est probablement accessible à tous les anciens fidèles des autres religions intellectuellement admissibles une fois la conscience » chaussée « -(faisant de l’être humain conscient un être humain « animal pensant », capable de concevoir les meilleures choses)- au point de croire que celles-ci -(ces religions)- trouvent leur justification en raison même qu’elles représentent une sorte de garantie, voire de pont, pour rassurer tous ceux qui, grâce à la découverte de cette conscience, accèdent enfin à la vérité et, par conséquences, à la compréhension du sacré sous toutes ses formes (car tout cela a en vue comme objectif une mutation qui pour certains sera vue comme une grande mutation, ce qui peut être juste de penser à ce sujet si elle prend de l’ampleur voire effectivement se généralise à tout le genre humain, ce qui permettra d’accéder à une autre ère en sortant de la cinquième ère durant laquelle le Rétablissement raisonné de la Vision d’Ôz est possible une heure toutes les cinq heures mais à la seule condition d’atteindre cet objectif dès Noël 2023 par un sevrage inversé -(soit la prise périodique d’une sorte de drogue et/ou du poison de la beauté)- en vingt-quatre années en commençant par deux fois cinq minutes, la première année à midi et la seconde fois à minuit -(heure de Paris), soit la prise raisonnée par approximations successives de la vision d’Atlantide, autre nom quasi synonyme de Paradis, d’Ôz ou/et Arcadie, voire du mot de schtroumf – soit ce dernier le synonyme de truc ou/et machin-chouette donc de tous les mots, soit bien sûr y compris Ôz ou/et Walhalla, et etc. d’où la possibilité d’appeler Ôz et le Paradis : Schtroumpf).

Car c’est bien impossible à croire ce qui s’est produit à mon sujet, quand on est logique ou qu’on essaie d’être cohérent -(cela signifie qu’il y a des explications possibles une fois qu’on trouvera les paramètres qui sont entrés en jeu pour nous faire assister à ces événements incroyables pour tous ceux qui fonctionnent grâce à une logique qui de toute évidence, ne tient pas compte des paramètres rendant possible une telle réalité parcequ’on ne les connait pas encore, ce qui donne une réalité avec ces paramètres en moins, alors que nous sommes tous certains qu’ils existent très réellement -(puisque cela fut comme cela a été le mieux décrit)- au point d’avoir rendu possible ce qui, pour ceux qui ne connaissent pas ces paramètres, est impossible au point de rendre toutes la situation incroyable -(voire à cause de cela inexplicable, c’est-à-dire sans explication[s] plausibles, logiques, justes car cohérentes ! En effet, comment est-il possible d’être au moins –[car nous allons découvrir qu’il y a aussi d’autres fois ayant précédé avant ma naissance et au moment de ma naissance en 1963])- à trois endroits dans l’espace-temps en même temps –(1967-1977 et 2005, années au cours desquelles j’ai respectivement quatre ans, quatorze ans et quarante-deux ans au[x] même[s] moment[s] universel/aux)? Et il est grandement probable que cela concerne aussi mes premiers jours en 1963. C’est pourtant ce dont j’ai été victime, soit ce qui m’est arrivé au[x] su[s] et aux vu[es] de tous mais c’est très compliqué, très extraordinaire, très difficile à croire -(mais surtout à comprendre)- même pour tous ceux qui fonctionnent rationellement et/ou scientifiquement !

En effet, j’avais mon corps d’enfant de quatre ans quand cela s’est produit dans mon souvenir la première fois -(qui en réalité a des chances d’être finalement la seconde, au sens de deuxième)- pour moi à Paris, ces communications extra-terrestres -(on peut aussi les voir ainsi d’autant plus de l’inexplicable pour l’instant encore inexpliqué malgré diverses tentatives dévellopées par mes soins dans d’autres de mes textes y compris dans mes lettres aux présidents de la République française, et tout spécialement -[à]- François Hollande comme à celle aux papes Benoît et François – l’être humain sachant jouer tous les rôles il peut donc se prendre le cas échéant pour le personnage d’un E. T. – voire du robot dans I. A., autre merveille de Sir Steven Spielberg)- et j’avais un corps d’un enfant de quatorze ans quand cela s’est reproduit à Rome, [mais]- avec la vision et l’audition de ma personne immense dans le ciel : je mesurai alors près de six mille cinq cents mètres de hauteur en étant, de notre point-de-vue d’alors, une virtualité au-dessus de la ville de Rome, en 1977, ce qui – ce dont nous fûmes témoin[s]- ne se [re]produirait dans la réalité que ving-sept ans plus tard, à partir de 2005 qui de là où nous étions en 1977 était une virtualité d’une époque venue à notre secours en raison de l’apparition / l’obtention de l’anneau immaculé immatériel lumineux qui était apparu à mon doigt annulaire des hommes et des femmes les plus véritablement mariés, ce qui s’était produit pour moi quelques secondes dans un endroit sombre  -(en 1977, à la sortie du labo-photo :)- de l’appartement dans lequel je résidais, confirmant que j’étais dans un processus matrimonial des plus unique[s] / vrais et à cause de cet immatériel immaculé et lumineux  très probablement sacré[s] mais jusqu’alors à mon insu, [pourtant]- universel dans chacun de ces espaces-temps concernant notre personne ayant pu vérifier comme donner à comprendre que sans religions ou/et accès aux dimensions sacrées de l’existence -(dès la prime enfance par l’obtention en préalable de la conscience dès l’âge de raison), il est impossible / difficile de se marier comme un honnête-homme (:gentleman, même à l’âge de quatre ans et bien sûr à quatorze ans l’honnêteté est/sera la condition sine qua non, voire le présuposé –[au sens de paramètre de base au sens de (la) condition]- du mariage), par conséquent d’avoir accès aux responsabilités éducatives concernant un être de chair et d’os, un enfant, résultant d’échanges dus à la fréquentation d’une promise, voire de plusieurs -(dont, dans mon cas, on connaissait les identités avant que j’ai à faire leur connaissance)- attendant chacune des enfants de moi ayant confirmé avec cet anneau immatériel immaculé lumineux leurs intentions sérieuses de s’incarner en se servant de nos corps et de nos patrimoines génétiques différents pour ce faire.

 

[1] Acronyme de corrige, abrège, augmente, relis, []élabore / peut se dire /s’écrire CÔRE (pas seulement CARE).  

[2] Le mensonge est une chose que je ne sais pas utiliser, donc étrangère à ma personne. J’en ai donné un aperçu comme la preuve à l’occasion de ces communications à travers espace et temps qui se sont reproduites en raison de ce que nous nous sommes aperçus que la Vérité au service de laquelle je suis pré-existe, donc existe d’avance, ce qui s’est déroulé aux diverses dates que l’on sait et si cela s’est [re]produit c’est parce que précisément la Vérité pré-existe / est toujours la même. Aussi je ne me permets que très rarement de mentir -(en ayant alors une raison valable de le faire, donc je ne puis le faire que d’une manière canonique / juste, qui, si elle était connue, nous confirmerait que cela concerne les meilleurs intérêts du BIG – bien et intérêt général qui du coup rejoint le mien au sens de coïncide avec le mien. Il y a donc des situations qui autorisent en conscience de/le devoir -[de]- recourir au mensonge comme toutes celles où on se retrouve en légitime défense).

 

 

 

 


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