Accueil DE
OReillettes des téléphones portables Captant LA RADIO
Des quilles, des diabolos, des balles lumineuse, bilboquet lumineux, pour pouvoir jongler la nuit.
Aujourd’hui 30 septembre 2004, en me promenant dans mon quartier et en entendant le feu rouge parler et donner le nom du carrefour, en priant d’attendre à haute voix pour passer, alors qu’il n’y avait pas de non-voyants autour de moi (ce feu rouge répétait comme un perroquet, « veuillez attendre » ou quelque chose comme ça) j’ai pensé que l’on pourrait peut-être améliorer le système avec un peu de bonne volonté pour éviter d’enquiquiner les voyants par le cauchemar de ces sons trop élevés, dénaturant le calme de certains carrefours paisibles, ou déjà trop bruyants par ailleurs au passage des voitures. Qui plus est, je ne vois par pourquoi la très grandes majorité des voyants devrait subir cet enfer acoustique qui à l’approche de ces lieux de passages piétons nous empêche de communiquer entre nous ou nous agresse. J’ai pensé que ce n’était pas juste que l’infirmité des non voyants pénalise les voyants de cette sorte et j’ai conçu il me semble une amélioration notable à ce nécessaire concept de créer des repères acoustique pour les non-voyants, qui j’espère pourra être réalisé dès que possible.
À l’heure actuelle les non-voyants qui se déplacent dans nos rues possèdent pour certains d’entre eux, peut-être même en possèdent-ils tous ?, des téléphones portables dont ils se servent. J’ai pensé, que depuis que je porte une oreillette sans fil reliée à mon téléphone, que ces non-voyants pourraient être équipée d’une oreillette de la sorte pour pouvoir percevoir les indications concernant ces passages piétons qui semblent leur être utiles. Celle-ci leur permettrait non seulement de téléphoner lorsqu’ils le souhaitent ou recevoir des appels mais aussi lorsqu’il marchent dans nos rues sans utiliser leur téléphone portable d’avoir constamment à leur disposition un canal qui pourrait recevoir une fréquence leur permettant de recevoir les informations de la cité qui leur sont de première utilité comme les feux rouges (passages piétons) ou encore d’autres comme des indications du nom des rues (pour éviter qu’ils ne se perdent en route) ou encore toute sorte d’autres indications que l’on voudra ou jugera utile de leur prodiguer en consultant pour cela leur représentant. Enfin inaudibles aux voyants ces indications audibles seules aux non-voyants devrait favoriser leur déambulations dans les rues de nos cités et la paix de nos oreilles. Il suffirait d’inclure une sorte de fréquence, des ondes radios très courtes (dans un champ d’action de faible importance) que la personne non-voyante pourrait entendre de façon très précise à mesure qu’elle s’approche des bornes, des feux, enseignes, des monuments, etc. je ne sais si un tel programme existe mais je le crois assez facile à réaliser car un projet de cette nature non seulement offrirait des travaux très utiles à la collectivité mais serait de nature à nous montrer solidaire d’un handicap aussi important que celui de la cécité.
Bien sûr nous pouvons aussi envisager par ailleurs une amélioration de ces oreillettes téléphoniques en permettant à ceux qui les utilisent déjà, lorsqu’ils ne sont pas en communication de recevoir par exemple ces même information mais aussi la radio FM, soit en mono, soit en stéréo (si cette oreillette devait en comporter une seconde couplée à la première pour ce faire).
Évidemment cette amélioration, des oreillettes téléphonique pour les non-voyants est en lien étroit avec l’aménagement de nos citées, de nos villes et/ou de nos routes. Ils pourrait en fait êtres un service agréable également pour certains voyants désireux de savoir où ils sont quand ils marchent, dans la mesure où en se promenant ils pourraient recevoir ainsi des informations par ce canal, non seulement sur le carrefour, mais aussi sur des lieux, des magasins, des routes ou des rues ou des places, des impasses même dont ils souhaiteraient connaître le nom et que ce système pourrait leur rappeler. Évidemment aussi une telle fréquence pourrait être utile aux touristes qui en se promenant, pourraient de cette sorte, comme ils le font lors de certaines visites d’expositions ou sur les bateaux mouches, recevoir des informations succinctes, dans leur langue ou pour commencer seulement en français, dans le cadre ou non de ce programme destiné à favoriser la démarche des non-voyants de nos cités.
Je dois dire ici que je suis heureux d’utiliser ce téléphone avec oreillette dont j’avais eu l’idée enfant en jouant au jardin dans la mesure où il permet enfin que les sourds ne soient plus considérés comme des malentendants ou soient pénaliser par la nécessité qu’ils ont de disposer d’un appareil acoustique. J’avais un ami qui avait un tel appareil enfant et je sais qu’il souffrait de cette différence avec les autres enfants. En effet je m’étais alors inquiété de cette différence entre le bien entendant et le malentendant causé par l’existence ou pas de cette prothèse auditive que le malentendant doit avoir absolument sur l’oreille pour percevoir la fréquence des sons autour de lui. J’ai alors pensé que si on pouvait un jour réaliser des téléphone portable sans fil, en améliorant ainsi le concept des talkies-walkies dont nous nous servions enfant envisageable à l’heure de la miniaturisation électronique qui avait commencé et des premières montres à quartz, il serait possible de créer cette oreillette téléphonique en utilisant la technologie employée pour les malentendant et en créant ainsi pour ceux qui ont la chance de pouvoir entendre des oreillettes d’une nature assez semblables qui de ce fait ne se distinguerait que fort difficilement de celles utilisées par les mal entendants. Je profite ici de ce petit texte pour remercier le plus cordialement possibles toutes les entreprises de la planète monde qui ont rendu un tel rêve possible et en leur proposant un nouveau défi : améliorer le concept dans les deux nouvelles directions que je viens de formuler ci-dessus : réception des ondes radios indicatives d’informations routières et citadines provenant des bornes pour les malvoyants (de même que pour ceux qui souhaiteront l’utiliser chez les voyants), possibilité de capter les ondes des radios FM par le biais de ces seuls oreillettes utilisées pour l’instant en relation étroite avec le téléphone portable qui pourrait servir de radio.
N.B. : Bien sûr si tout cela devait être réalisé, à des fins commerciales, comme je pense que cela est aussi possible, j'espère que la ou les personnes qui souhaiteront le faire auront naturellement l'honnêteté de reconnaître qu'il se sont inspirés de mon idée, que je suis à l'origine de l’invention de ce concept nouveau dont elle se sera inspiré, et je serais heureux que le plus honnêtement du monde, si elle devait dégager des profits grâce à ce modèle ou des modèles dérivés de cette, ces innovation (s), ils puissent m’être reversés sous la simple forme de droits d'auteur ou de royalties (auquel toute personne à droit en pareil cas) et dont elle voudra bien déterminer un juste pourcentage (un montant semblable à celui que l'on verse d'habitude liés aux innovations, aux inventions,aux brevets, etc..)
Nous pouvons aussi le déterminer contractuellement ensemble, si vous souhaiter réaliser et commercialiser cette (ces) innovations.
Confiant, je compte donc sur l’honnêteté naturelle des lecteurs intéressés pour me contacter au besoin et décider ensemble de la marche à suivre ou pour me reverser, ce qu’en leur âme et conscience, ils sauront me devoir, si la réalisation de ce modèle ou de ses dérivés devait générer du profit ou la création d'une entreprise.
Permettez-moi d’ajouter ici une autre invention dont j’ai eu l’idée aujourd’hui, le plus naturellement du monde et qui a surgi avec la fulgurance de l’idée (sans avoir pour ma part fait des recherches pour savoir si celle-ci a déjà été réalisée ou pas, n’ayant pas eu le temps de le faire). Mais peu après avoir eu la première idée (exposée ci-dessus concernant l’amélioration de la condition de vie des non-voyants que j’ai eu, comme je l’ai déjà dit, à cause de la situation intolérable actuellement du trop grand bruit occasionné à l’approche des passages piétons et solutionné de la façon actuelle qui n’est pas du tout satisfaisante, voire traumatisante acoustiquement pour les voyant, qui savent, par la signalétique habituellement admise et comprise quand ils doivent ou non traverser), j’ai eu, en vidéographiant quelques jongleurs qui s’exerçaient au Luxembourg, une autre idée qui concerne des améliorations possibles à effectuer dans les quilles ou les boules utilisées pour la jonglerie. J’ai en effet pensé aux époques futures qui viendront peut-être où il sera possible aux jeunes jongleurs de librement venir jongler dans un parc et de s’exercer avec des quilles comme en plein jours, j’ai pensé que l’on pourrait réaliser des quilles ou des balles lumineuses se rechargeant électriquement de façon autonome par la poussée et le moulinet qu’elles effectuent avant de retomber dans les mains des jongleurs qui les rattrape et les relance aussitôt. Et cela je l’ai pensé grâce à l’existence des yoyos qui déjà offrent de telles lumières s’allumant par la poussée vers le bas qui offre aussi de la lumière à la remontée, ou grâce aux patins à roulettes dont certaines roues brillent de petits feux colorés. J’ai pensé aussi que cela pourrait être réalisé en utilisant une sorte de dynamo intérieure à la balle ou à la quille lancée en l’air de façon à produire dans un mouvement pendulaire comme celui utilisé dans l’horlogerie ou pour certain jouet d’enfant l’énergie nécessaire à l’illumination intérieure de l’objet qui est lancé en l’air de la sorte. Ce sera donc le jongleur qui avec l’énergie de ces bras en action qui permettra à l’objet lancé et virevoltant dans le vide de s’éclairer soudainement pendant une bonne partie du trajet effectué. Je pense ici qu’il serait souhaitable d’envisager un petit accumulateur d’électricité petit à petit alimenté par le trop plein d’énergie ainsi créée par les nombreuses voltiges et offrant encore de la lumière à la quille une fois que celle-ci aura fini ses trajets, restant dans la main ou même qu’elle sera retombée par terre, comme il advient souvent lors des entraînements à cette sorte de sport d’adresse. Bien sûr il est à prévoir que cette luminosité de l’instrument « quille » ne pourra vraiment être utilisée de façon pleinement satisfaisante que par de très bons amateurs (confirmés ou pas) de cet excellent et si admirable exercice de patience et de concentration qu’implique la maîtrise des nombreuses et différentes figures de jongleries avec ces quilles, balles diabolo, qui pourraient eux aussi devenir lumineux, mais aussi avec des objet de toute forme et de toute nature qui pourraient ainsi être utilisé, la nuit tombée dans nos parcs ou nos jardins, dans les rues de nos cités par les jeunes et les moins jeunes adeptes de cet équilibre de l’esprit que représente la capacité de savoir jongler et créant ainsi un peu de poésie dans le « cirque » quotidien de nos existence respective. Bien sûr, sous le chapiteau, sur la scène d’un théâtre, de tels instruments lumineux pourraient s’avérer sympathiques une fois éteints les projecteurs.