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Vous êtes sur la page consacrée à ce mélange exquis que peut être la

Banane aux champignons de Paris

ou Champignons à la banane

et sur la page consacrée à l'idée de

réutilisation des débris, enveloppes de fruits secs pour servir, une fois broyés, à une sorte de nouveau matériau permettant son usage avec l'aide de colles, comme une sorte de ciment ou de matière "plastique" organique écologique formable (à l'aide de moules)

 

Recette pour une personne: (cela peut se manger en entrée, ou comme "contours" au plat de résistance ("contour" est la traduction du mot "contorni", donc il s'agit de la francisation du mot italien "contorni" qui désigne en général les plats qui suivent le plat de résistance ou plat principal)

1 banane pas trop mure (mais c'est possible aussi avec une banane mûre dans une optique ou cela serait servi proche du "dessert").

5 à 6 (suivant la taille ou plus s'ils sont petits) champignons de Paris frais  (lavés, pelés, coupés en morceaux comme pour faire une salade de champignons)

1 demi citron par personne (jaune ou vert selon les goûts et les disponibilités) ou du vinaigre balsamique

(à mettre au dernier moment avant de servir pour éviter de "noircir les champignons et la banane)

+ huile d'olive (une cuillère à soupe dispersée harmonieusement sur l'ensemble de l'assiette) = sel (très modéremment pour ne pas gâter les saveurs).

On peut ajouter quelques pistaches une dizaine ou 5 ou 6 noix écossais.

Attention: Pour ceux qui utiliseront la recette ci-dessus à des fins commerciales, je les prie d'avoir l'honnêteté de citer mon nom et prénom d'auteur de cette recette et l'adresse de mon site Internet en copyright surtout s'ils proposent cette recette dans une carte comme possible plat de leur menu. Merci d'avance.

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A ce propos de noix ou pistaches ou de fruit sec en général

Je suis persuadé que les enveloppes, les coques ou les cosses, de ces fruits secs, noix ou des pistaches peuvent constituer un matériau dur phénoménal et très résistant à souhait, même brisées ou concassées comme elles peuvent l'être après l'ouverture de la noix grâce à l'usage d'un casse-noisette ou casse-noix ou comme le sont ces deux petites "barquettes-capsules" accueillant la graine de pistache.

On peut même imaginer rassembler tous ces débris de "coques" à la sorties des ateliers ou des usines qui fabriquent par exemple de l'huile (de l'huile de noix) et/ou conditionnent les paquets de pistaches ou noix écossais ou même dans le cadre des récupération d'ordures ménagères pour créer ainsi avec tous ces débris d'enveloppes ou de coques une sorte de matière organique très écologique servant à fabriquer par exemple des sortes de contreplaqués ou une alternative aux contreplaqués existants actuellement à partir de ce matériau extrêmement résistant (certainement plus encore que ne le sont certains contreplaqués actuels dont nous nous servons, donc permettant peut-être de supporter plus lourd au millimètre carré).

Matériau de récupération (coût égal à zéro, très peu coûteux ou presque) que l'on concassera ou écossera ou même réduira en sable plus ou moins finement à l'aide d'un broyeur afin de le lier pour donner la forme que l'on souhaitera. Cela peut aussi devenir une matière "plastique" au sens où elle pourra servir dans des moules pour prendre la forme qu'on voudra et être au besoin "sculptée".

On unifiera la matière première ainsi obtenue soit toute entière formée de coques de noix ou de coques de pistaches ou même mélangée entre les différentes coques provenant des différentes espèces de fruits secs en un dosage dont on aura expérimenté scientifiquement la juste et nécessaire proportion, l'utilité en matière de résistance (plus ou moins de coques de pistache ou de noix ou d'autres fruits secs en fonction de la résistance que l'on veut obtenir - je suis persuadé que les mélanges de différentes coques broyées provenant à la fois de noix, de pistache et d'autres fruits secs durs permettront une plus ou moins grande résistance mais cela est encore à prouver par quelques expériences) avec un liant ou une sorte de colle (un peu comme du ciment pour le sable) pour réaliser ces nouvelles sortes de planches que l'on pourra au besoin habiller de plastique comme les contreplaqués actuels qui sont encore assez fragiles et qui, suivant le poids qu'ils supportent risquent de se briser comme certaines étagères dans nos cuisines (il est vrai que cela dépend aussi de la qualité du contre-plaqué en plastique posé de part et d'autre de la sciure de bois rassemblée à l'intérieur de ces sortes de planches contreplaquées). Cela dans le cas où on veut pouvoir créer cette alternative aux planches actuelles en bois qui ne soit pas celles en aluminium dont j'ai déjà exprimée l'idée sur le site ailleurs ou même à celles qui sont réalisées à partir de la récupération de la sciure du bois.


halte aux tests cosmétiques
et autres tests sur les animaux!


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Révision : 16 juillet 2005