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Accueil de "Diverses lettres envoyées"

 

Vous êtes ici sur la page consacrée à

dissuasion, prévention, sécurité, surveillance (police nationale et/ou municipale)

à travers la copie du courrierIn (variante de courriel) envoyé par M. Laury Granier

 

Fondateur de Lorimage/Lauriemage.

pour

Monsieur Bernard Letouchy

à

Monsieur le Ministre de l’Intérieur Monsieur de Villepin,

 

Copie envoyée pour information au Président de la République, Monsieur Jacques Chirac, au Premier Ministre Monsieur Jean-Pierre Raffarin, au Président du Sénat Monsieur Alain Poncelet, au Président de l’Assemblée Nationale Jean-Louis Debré, au Préfet de Police de Paris, au Maire de Paris Monsieur Bertrand Delanoé ainsi que publication prévue rapidement sur le site Internet de Lorimage (cette propre page-ci Internet).

 

Objet : demande de participation du Ministère de l’Intérieur à des tests pour parfaire la sécurité préventive (pour plus de dissuasion donc) en ville ou en banlieue (description du procédé envisagé en détail dans cette lettre), demande de soutien auprès des autorités compétentes et esquisse d’un budget à prévoir à cet effet.

 

Paris, vendredi 22 avril 2005,

 

Permettez-moi de vous écrire car nous avons trouvé une solution pour améliorer la sécurité y compris peut-être de façon préventive car cela devrait dissuader de commettre de nombreux méfaits de toutes sortes.

 

Il s’agit de l’utilisation d’un outil non violent en adéquation avec notre époque et qui plus est, tous comptes faits peu onéreux pour l’État, lui faisant peut-être même à terme faire des économies sur d’autres plans. Non seulement, cela devrait dissuader les malandrins d’agir mais cela pourrait apporter la preuve qu’ils ont commis des actes « répréhensibles » également d’un point de vu juridique contre l’État ou des particuliers ou même des représentants de l’ordre, en étant pris sur le fait (la trace de leur action serait conservée dans un but pour l’instant strictement informatif).

 

Cette idée va dans le sens de celle qui est déjà mise en œuvre dans la plupart des espaces publics. Elle la complète simplement sur un nouvel aspect, celui de la proximité et pour une action plus efficace de prévention et de dissuasion: c’est en utilisant un petit caméscope (en différé) ou un vidéophone (relié en direct à un disque dur d’assez grande capacité sur un ordinateur situé à distance qui enregistrera la communication vidéo-phonique) placé au sommet d’un casque spécial, (assemblage que nous avons fabriqué tout spécialement pour cela et que nous tenons à votre disposition si vous le souhaitez pour vous le montrer) qu’une Unité Mobile de Prévention et de Sécurité équipée de la sorte pourra, en roller, ou véhiculé d’une manière plus classique (en vélo, ou en moto, ou même à pied) « cueillir » éventuellement sur le fait un éventuel malandrin ou prévenir en donnant aux citoyens dans les rues un sentiments de sécurité plus accrue.

 

Cela peut aussi simplement être le cas en se promenant à pied (ou en faisant des rondes) avec ce nouveau casque sur la tête offrant aux deux membres antérieurs toute la liberté d’action habituelle, une sorte de casque à plumes dont le plumeau, au lieu d’être fait de plumes, sera cette petite caméra miniature ou ce vidéophone avec laquelle le représentant ou agent de l’ordre si possible assermenté (cela serait souhaitable) pourra ainsi mieux dissuader ceux qui cherchent à atteindre à la sûreté de l’État ou plus simplement  à celle des particuliers (notamment dans les banlieues qui posent problèmes lors des interpellations ou en ville). On le sait, c’est connu et prouvé, les gens qui se savent observés et enregistrés font beaucoup plus attention à leur comportement et c’est pourquoi les lieux publics sont sous surveillance vidéo à peu près constante. Si chacune des brigades d’interventions mobiles en roller de trois à quatre personnes sont dotées de ce système, nous sommes certains  et nous espérons que la sécurité s’accroîtra grandement dans les lieux où cela sera mis en œuvre.

 

Nous vous écrivons pour vous proposer de nous aider à poursuivre l’expérience sur cet autre chapitre et nous permettre d’effectuer plusieurs tests sur trois mois, l’un à Paris, l’autre en proche banlieue et un troisième dans une ville dite sensible.

 

Nous vous écrivons aussi pour vous demander d’intervenir, si vous le jugez utile (et si vous le préférez à la mise à notre disposition des forces - les plus propices à cela - placées sous votre autorité directe que vous pensez pouvoir céder pour l’expérience pendant les trois mois à Paris), au près du maire de Paris et du préfet de police de la capitale (et des chefs de police municipaux sous l’autorité des commissariats) pour qu’ils veuillent bien mettre à notre disposition, de leur côté, en concertation avec vous et celles-ci (là où il y a des points sensibles) l’une et/ou l’autre des brigades d’intervention de proximité mobile (qui circulent déjà en roller dans la ville de Paris dans le cadre des A.R.P.P. (Association Roller Police Parisienne – dépendant de la Police Nationale) – car nous nous proposons de faire cela dans un premier temps par ce biais des rollers plutôt que par un autre biais) pour effectuer des tests que nous espérons conclusifs sur cette nouvelle approche de la sécurité. (Le mieux serait le plus grand nombre de brigades possibles évidemment constituées d’agents de surveillance de la voie publique dans le cadre des municipalités utilisant déjà des rollers ou n’en utilisant pas encore que nous pourrions former dans ce but.. Ce projet peut s’inscrire dans le cadre du plan de renforcement des rôles de la police municipale).

 

Si vous pensez particulièrement à une banlieue sensible (qui pose problème) ou vous aimeriez avoir de meilleurs résultats et à une ville problématique (où des brigades en roller opèrent déjà), nous pourrions, si vous le désirez et avec l’aide des commissariats locaux responsables qui contrôlent cela, essayer, par des rondes équipées de la sorte, de voir si cela porte des fruits que de surveiller les quartiers sensibles de cette façon nouvelle qui nous paraît plus dissuasive que sans cet outillage.

 

A l’issue d’une période de trois mois probatoire à Paris, de trois mois probatoire en banlieue sensible et de trois mois probatoire dans une ville, nous nous proposons de vous rédiger un rapport pour vous dire si oui ou non ce système peut-être efficace dans l’avenir comme nous le prévoyons. Nous pouvons aussi tenter de mettre en œuvre le tout d’un seul coup dans les trois lieux à la fois si chacun d’eux dispose déjà d’une unité de surveillance en roller ou en vélo (une unité à vélo de plusieurs cyclistes pourrait faire l’affaire si ces différents lieux ne possèdent pas encore d’unité de surveillance équipée de vigiles faisant leur ronde en rollers).

 

Bien sûr, cette idée représente un coût : le coût de l’équipement des dites personnes en matériel (casques spéciaux mis au point, vis spéciales, commandes à faire, caméras numériques de surveillance et/ou vidéophonie en direct (coût des communications), cassettes ou pellicules vidéos, dvd pour l’archivage, graveur de dvd, disques durs + ordinateurs pour cela et techniciens informatiquesà ce sujet d’ailleurs nous proposons il nous semble judicieusement de faire le test des deux façons simultanément, l’une complétant l’autre : premièrement une moitié de chaque brigade de trois vigiles se déplaçant en roller équipée de caméras enregistrant - en cas de troubles - sur cassettes  visibles en différée et l’autre moitié de la seconde façon, par l’intermédiaire de vidéophones reliés à un ordinateur équipé du matériel indispensable pour garder la trace des enregistrements en direct).

 

Il y a aussi avec ce coût du matériel le coût du travail, celui de M. Bernard Letouchy parfaitement formé pour cela. Il est à la fois un grand sportif (ancien enseignant de tennis et de rollers) ayant suivi en vue de cette reconversion récemment des formations et des stages sur la Sécurité. Il se propose de suivre l’opération et les petites brigades équipées ainsi en se plaçant lui-même sous l’autorité des différents commissaires que vous voudrez bien lui indiquer pour diriger les opérations de concert avec les responsables de ces petites unités mobiles de vigiles en roller.

 

Lorimage vous facturera son travail mais si vous préférez, lui offrir un statut précis en créant éventuellement un poste pour lui ou si vous disposez de crédits pour le rémunérer directement à travers le compte de votre Ministère en le plaçant sous votre autorité, vous avez bien sûr le choix.

 

Dans ce cas, vous voudrez bien lui accorder le salaire qu’il mérite déjà grandement à nos yeux par le nombre de ses compétences et sa polyvalence avérées que nous lui connaissons: x francs net par mois (l’équivalent en euros) sans les charges (il faudrait prendre en considération ce salaire sur 5 mois de travail pour les seuls trois mois de tests à Paris, en comptant pour cela 2 mois supplémentaires – un mois de préparation pour mettre tout cela en œuvre et 1 mois pour faire part des résultats –  ou alors sur 8 ou 11 mois – cela, si vous souhaitez prendre en compte, en plus, les mois de l’opération « test en banlieue » et dans une ville de province).

 

Quant à moi, permettez-moi, compte tenu de ma situation assez particulière et de l’originalité de ce concept conçu par moi au sein même de Lorimage et de ma responsabilité personnelle engagée envers celle-ci sur de très nombreux autres plans différents de vous demander de me considérer comme un simple auteur - ce que je suis d’ailleurs de façon permanente ou comme un architecte en me versant pour cela des droits d’auteurs auxquels je peux prétendre naturellement et que je mérite et qui seront de 'x' % du coût général des dépenses, matériel et salaires compris à ajouter en supplément au coût total de l’opération, une fois l’addition de tous les coûts effectués pour lesquels nous nous permettons de vous demander d’ors et déjà s’il vous plaît l’avance que vous voudrez bien nous accorder.

 

Nous la déduirons d’ailleurs dans le devis que nous effectuerons précisément dès que nous saurons justement combien de personnes il faudra équiper en matériel. Ces personnes bien sûr demeureront sous votre houlette, placées sous celles de différents responsables au sein des préfectures ou commissariats que vous voudrez bien informer en nous disant lesquels, soit sous l’autorité du maire de Paris, suivi de loin assez régulièrement par moi-même qui ferai le point avec M. Letouchy et vous tiendrai au courant.

 

Merci de me verser aussi sous la forme d’un salaire ce que j’estime vous me devez pour le nombre d’heures pour lesquelles j’ai déjà travaillé personnellement sur ce dossier étant qualifié au plus haut niveau comme je le suis.

 

En ce qui concerne ce salaire je vous demande de me faire une proposition (pour plus de 50 heures déjà investies personnellement dans la réalisation de ce concept ici même et pour la réalisation précise du modèle du casques que j’ai testé moi-même, donc déjà fonctionnel).

 

C’est à vous, monsieur le Ministre, ici de choisir, à votre guise, ce qui vous paraît le plus judicieux, l’un ou l’autre cas de figure (5 mois, 8 mois ou 11 mois – l’un et/ou l’autre des tests à procéder que vous souhaiterai mettre en oeuvre). Monsieur Bernard Letouchy dont j’ai vérifié moi-même les compétences étant prêt à s’investir à fond dans ce sens.

 

Bien que nous répugnons totalement à la délation nous estimons malgré cela que la sécurité des citoyens vaut bien l’utilisation de ces méthodes non violentes essentiellement préventives et dissuasives qui devraient opérer sur de nombreux esprits ou sujets, futurs malandrins pickpocket ou autres bandits cherchant à le devenir.

 

L’idée que l’on puisse les surprendre à l’œuvre là où les plaintes sont nombreuses devrait faire baisser sensiblement le taux des infractions commises. L’image de la police finalement équipées de cette façon devrait paraître beaucoup moins agressive à tous le monde, beaucoup moins « mauvaise » et enfin on devrait aboutir progressivement à l’idée que l’État est vraiment du bon côté, ayant enfin trouvé les moyens de refuser toujours, dans la mesure du possible, de s’abaisser à utiliser des armes à feu contre les personnes qui, momentanément en crise dans leur vie personnelles ou professionnelles se sont dégradées et se comportent à contre sens de ce qu’elles sont censées devoir, en étant devenues hostiles envers la Vie elle-même, envers leur entourage, et quelque fois même envers l’État et ses représentants.

 

Nous pensons aussi qu’il serait de bon aloi de prévenir la population au préalable en faisant une petite campagne d’information locale, voire même médiatique à ce sujet pour ne pas être incorrect vis-à-vis des citoyens en les prenant au dépourvu. Évidemment nous aurons à cœur de montrer que les forces en jeu ne dérogeront pas à la loi et aux droits des citoyens et qu’il s’agit essentiellement de prévention, de dissuasion, de sécurité à mettre en fait sur le même plan que de simples appels téléphoniques ; une nouvelle technique civile au service de la sécurité et des citoyens. Cette campagne aura aussi un coût et nous sommes prêts à la mettre en œuvre en collaboration avec les services concernés de votre ministère auxquels vous voudrez bien avoir l’amabilité de nous introduire en donnant, s’il vous plaît, les consignes qu’il faut pour nous faciliter le travail.

 

Par ailleurs, nous pensons même qu’interpellées, verbalisées et se sachant filmées en direct ou en différé les personnes auront à cœur de jouer plus calmement, plus sereinement leur rôle et accepterons la force publique qui n’aura même plus besoin à terme d’utiliser le bâton ou la menace d’armes dangereuses contre le corps lui-même des citoyens, quelque fois révoltés de façon légitime y compris des malandrins. L’usage de la photo et de la vidéo étant suffisamment répandu de nos jours pour que ceux qui n’ont rien à se reprocher soit évidemment tout sourire.

 

Dans ce cas nous prévoyons même plus tard, si les tests sont concluant, et que l’opération devait se généraliser, après votre consentement et votre approbation, d’adjoindre une extension sous la forme d’une cellule à créer sur le chapitre de la communication, pour rendre, sans être démagogique pour autant, l’image de la police enfin plus humaine, plus amicale voire même plus « fraternelle » aux yeux de la population surveillée de la sorte : un service spécial (cette cellule) sera créer pour offrir aux citoyens qui se seront montrés coopératifs, à ceux qui le souhaiteront donc, quand ils en feront la demande, une copie des rushs où ils ont momentanément figurés dans ces vidéos promenades sécuritaires (qui pourraient servir de souvenirs) effectués par ses rondes.

 

C’est par éthique et en conscience donc que cette mesure nous est dictée dans la mesure où l’État doit avoir à cœur de protéger tous les citoyens y compris ceux qui ont momentanément oublié qu’ils sont responsables de l’État en cherchant par bêtise et/ou inimitié envers lui (à qui ils doivent tout pourtant), ou simplement par inconscience, à contrevenir aux lois.

 

Si le malandrin est toujours coupable de chercher à vouloir blesser par la force des agents de l’État (en utilisant des armes offensantes qui mettent en danger son entourage), l’État, en utilisant pour se défendre des armes comparables à celles qu’utilise le malandrin ou plus dangereuses encore contre le corps de ces malandrins rend évidemment toujours négatif l’image même de l’État et peut pousser certains malandrins à plus de révolte encore (d’où alors escalade de la violence).

 

Or l’État doit veiller à éviter cela par tous les moyens et comme il est, par essence, plus intelligent que l’individu puisqu’il est sensé être la somme de toutes les intelligences bienveillantes ou des énergies de bonne volonté dont il dispose, tout en disposant aussi des moyens financiers que les malandrins n’ont jamais, il peut toujours éviter de se rendre coupable de maladresse de cet ordre – mais bien sûr il faut que l’État soit bien servi.  D’autre part on peut dire que de la sorte l’État ne s’abaissant plus à des actes de violence physique pour réprimer, il suit ainsi la légitimité de sa mission qui est celle d’assurer la santé de tous les individus y compris des plus turbulents.

 

En ayant des représentants de la force publique équipés d’outils enfin véritablement non-violents comme ceux que nous avons mis au point nous sommes sûrs que l’État devrait tirer un grand bénéfice de se retournement de situation en sa faveur car, à terme, l’usage de la force, de la contrainte physique ne devrait même plus être nécessaire pour faire régner l’ordre : les individus se sachant filmés en vidéo faisant évidemment preuve d’autodiscipline ne pourront que respecter la Loi, ne serait-ce que pour laisser des traces d’eux-mêmes à peu près convenables pour les générations à venir (si comme nous le pensons il est indispensable de penser des aujourd’hui à conserver ces bandes comme des témoignages de notre époque, archivées qu’elles pourraient être à la Police Nationale ou à la Mairie de Paris qui serait de ce fait un jour considérés comme des sortes de « producteurs délégués par l’État » et peut-être aussi de potentiels distributeur dans le cadre ultérieur d’études spécifiques dont les résultas seraient vouées à être un jour, qui sait, diffusées).

 

De plus s’ils cherchent à faire usage de la force contre des représentants de l’ordre enfin équipés d’armes non-violentes, ils risqueront évidemment beaucoup plus gros qu’avant car ils s’attaqueront à des personnes faisant preuve de bonne volonté ayant été envoyées sur la voie publique avec des missions de surveillance, de prévention et de dissuasion, qui peuvent prendre la forme des rondes habituelles des îlotiers pour éviter des tapages, des stationnements gênants, pour assister et secourir en cas de besoin, quelque fois même informer publiquement. C’est pourquoi nous sommes certains que la violence envers les représentants de l’ordre devrait à terme de cette façon descendre d’un bon cran y compris si nous parvenons à bien communiquer, à bien nous faire entendre sur ce chapitre de nos concitoyens.

 

Nous sommes persuadés que même si la preuve par l’image ne constitue pas encore tout à fait, dans la loi, de facto, paradoxalement encore (car on le sait il y a des raisons valables pour cela), une preuve tangible (par exemple on peut trafiquer une image et faire dire à une image ce que l’on veut) pour le commun des mortels, l’outil caméra au service de l’ordre public, sous la bannière d’un uniforme, qui plus est (éventuellement d’un représentant de l’ordre assermenté) de souple mobilité comme peut l’être un vigile se déplaçant en roller, sera toujours évidemment dissuasif. Si même il s’agit de casseurs qui cherchent à endommager la caméra elle-même ou l’outil de travail (le vidéophone) en le cassant, en le brisant, la preuve par l’image du bris de la caméra pourrait jouer dans la mesure où nous pourrions alors dire aussi, par les représentants de la Loi vis-à-vis de ces casseurs, qu’il y a eu, en plus de leur refus d’obtempérer ou leur infraction, détérioration du matériel public (le leur donc qu’ils devront le cas échéant rembourser sur leurs économie s’ils devaient persister par des comportement par trop outrancier à défier l’ordre public), l’image du bris de la caméra ayant été enregistrée d’une façon ou d’une autre, confortant le témoignage des autres membres de l’équipe chargée de la sécurité, à ce moment là.

 

Bref, même si la Loi traîne encore de ce côté, en retard qu’elle est un peu sur la technologie et les amendements nécessaires à faire prendre aux députés pour que ces nouveaux outils au service de l’ordre public soit réellement pris en compte en étant petit à petit enfin considérés de plein droit comme peut l’être la parole elle-même d’un officier assermenté, les images de ces outils - caméras ou webcams, vidéophones - étant prises finalement véritablement en considération comme de véritables preuves tangibles contre ceux qui troublent l’ordre, nous croyons que ce serait tout à fait dommageable que de ne pas essayer, par ce biais, plus intimidant, d’obliger ceux qui cherchent à contrevenir aux lois et attentent à l’ordre public de se conduire avec le respect dû envers ceux qui tentent modestement, avec de la bonne volonté, de faire régner cet ordre qui permet finalement à tous de vivre bon an mal an dans des conditions tous comptes faits assez acceptables voire même par certains aspects remarquables car elles ne sont pas celles des temps préhistoriques incivils.

 

Merci beaucoup d’avance de comprendre l’esprit qui anime ce projet qui nous semble urgent de mettre en œuvre et de nous dire si vous nous soutenez et surtout de quelle façon.

 

Nous sommes ouverts, bien sûr, aux propositions qui vous viendront à l’esprit personnellement pour mener à bien sa réussite.

 

Merci aussi de nous promettre de nous donner les moyens financiers pour mettre en œuvre rapidement cela et de nous faire, par conséquent, une commande officielle de ces tests que nous vous proposons.

 

Nous vous ferons parvenir le montant des frais auxquels nous allons devoir faire face, si vous voulez bien, quand, après avoir reçu votre feu vert nous aurons pris les contacts nécessaires avec les commissariats ou les préfectures que vous nous indiquerez ou avec les personnes de la mairie de Paris, le cas échéant en leur montrant votre ordre de mission pour que nous puissions réellement déterminer le nombre des personnes qui seront partantes, disponibles ou mises à notre disposition à cette fins par leurs responsables.

 

Nous pensons qu’il serait préférable que vous exigiez de la part des instances que vous voudrez bien nous indiquer la plus grande disponibilité possible d’éléments car ainsi nous serons, nous l’espérons, en mesure, plus facilement de déterminer réellement ou pas de la quantité de baisse de la petite délinquance urbaine, grâce au concours de ce nombre le plus important possible de personnes à l’œuvre, équipée de la sorte : cela devrait se répercuter sensiblement, nous l’espérons du moins, dans les statistiques au bout de quelques mois.  

 

En nous tenant à votre disposition pour des éclaircissements éventuels que vous pourriez souhaiter obtenir, veuillez agréer, Monsieur le Ministre de l’Intérieur, mes salutations reconnaissantes les plus respectueuses.

 

Laury Granier

 

Le 25 juin 2005, j'ajoute pour la question financière ce lien vers un autre courrierIn à monsieur le premier Ministre Dominique de Villepin

 

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Voyez, SVP, ici une vidéo qui est vraiment instructive pour comprendre à quel prix de souffrance animale la fourrure existe encore de nos jours. Cela dépend de vous de faire cesser ce massacre

 

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