Paris lundi 22 février 2021
Madame
la Maire,
Bonjour,
et permettez-moi de vous écrire de nouveau au sujet de la
« réhabilitation » de la résidence Carmes-Polytechnique où vous êtes
venue -(à la suite de quoi je vous ai écrit), pour vous dire qu’il vaudrait
bien mieux se contenter d’une rénovation
au cas par cas plutôt que « réhabiliter » d’un seul coup en
contraignant ainsi tous les locataires à déménager de « six mois à,
parait-il, (cauchemard :) trois
ans » !, en raison de ce que les plans des architectes de
Paris-Habitat modifient totalement l’arrivée de l’eau et l’évacuation de
celle-ci pour les placer -(alors que dès l’origine si bien placés)- à l’entrée des appartements, en étant alors
sacrilèges envers les plans d’origine de l’architecte qui, dans les années 30,
a été l’auteur de ces dispositions de ces appartements sociaux en ayant alors
trouvé les emplacements les meilleurs -(les plus adéquats)- qui soient possible[s] trouver -(en réalité
les seuls possibles)- en pareil SPOK[1]
- pour créer autour de ceux-ci les volumes des espaces habitables grâce à
l’indispensable cagibi -(que j’ai, dans les courriers précédents, appelé
placard). Ces pièces ou volumes, chambres cuisines et douches s’articulant -(ayant été ainsi placés)- autour de ces points d’eau
cruciaux.
Après
avoir étudié le[s] plan[s] -(que Paris-Habitat nous propose à la place)- et
l’appartement témoin, en raison des points qui vont suivre, j’ai l’honneur de
vous demander de nous aider pour protéger / inscrire aux Monuments ou/et
Immeubles Historiques -(Patrimoine National)- les immeubles et les plans
intérieurs d’origine de notre résidence tels qu’ils sont encore -(après les précédentes rénovations), le chantier
étant reporté, en raison du Covid 19, sine die à après le vote des locataires
pour donner leur accord ou non pour ces travaux de réhabilitation malgré
l’augmentation du loyer -(et/ou des charges)- qui en découlerait et avoir, si
d’accords, à déménager aussi longtemps pour ce faire, en ayant, à cause de
cela, à faire perdre à l’Ensemble ces intérieurs d’origine, soit d’exemplaires
espaces d’une Architecture Sociale d’une très grande qualité et originalité
provenant / hérités / celle / des années Trente)- à inscrire,
avec votre aide -[si]- précieuse, au Patrimoine National et/ou Monuments et
Immeubles Historiques car ces immeubles en brique -(ce qui revenait moins cher
que la pierre de taille)- sont attenants et au-dessus d’une arche elle aussi en
briques d’inspiration romane, située comme un petit tunnel / passage original
au-dessus de l’entrée de l’Impasse des Bœufs qui fait l’angle entre la rue des
Carmes et la rue de l’Ecole Polytechnique, mais aussi
parce que l’entrée de ces immeubles, dont le mien au 20 rue de l’École
Polytechnique, est originale comme les admirables escaliers et les paliers qui
sont eux aussi très originaux dans les matières qu’ils offrent et à cause de
cela des exemples à étudier dans les écoles d’Architecture concernant
l’Architecture Sociale de ces années Trente avec, vous vous en doutez, les
plans qui concernent l’intérieur des appartements qui s’articulent précisément
autour de l’arrivée de l’eau et de la colonne d’évacuation des eaux sales, mais
aussi autour d’une sorte de lucarne qui permet de ventiler -(au sens d’aérer)-
périodiquement l’espace de la douche là où elle est placée avec le lavabo et
autrefois, avant la dernière rénovation -(avant mon arrivée en 2013), les W. C.
quand le mur de séparation d’avec le lavabo et la douche était à moitié ouvert
-(comme c’est encore le cas au-dessus de l’appartement témoin dans
l’appartement de l’empilement où se trouve cet appartement-témoin qui permet
-(malgré qu’il n’ait pas été rénové au préalable)- de comparer avec
l’appartement témoin puisqu’il s’agit d’un appartement vide situé dans le même
empilement que l’appartement témoin. Une originalité ce demi-mur
-(cette demi-cloison)- pour profiter de l’aération du hublot carré hi-tech qui
apporte aussi de la lumière naturelle à cette douche, ce lavabo et autrefois au
W. C. -(au cours de la dernière rénovation, avant mon installation en 2013, ce
mur -(cette cloison)- a été remonté.e jusqu’au
plafond, ce qui a permis de mettre -(de l’autre côté)- un miroir au-dessus du
lavabo et de clore le W. C. qui, de ce fait, n’a plus d’aération -(ce qu’il
faudrait songer à recréer –[créer de nouveau]- d’une façon ou d’une autre,
voire électrique[ment], au cours de la rénovation
en renonçant à la « réhabilitation », c’est-à-dire en conservant
l’arrivée d’eau et l’évacuation tels qu’ils ont été déterminés judicieusement
en plaçant quasiment au centre ces W. C. ce qui permet de les rejoindre
facilement qu’on provienne de l’entrée ou de l’autre bout de l’appartement).
En
effet, l’arrivée de l’eau mais aussi son évacuation ont été placés au bon
endroit dans l’appartement -(et
pour tous les appartements similaires de l’empilement)- quasiment au centre
-(et cela si on voulait ultérieurement porter l’eau vers la chambre ou vers le
séjour pour y mettre par exemple un autre lavabo ou alimenter une bouilloire ou
installer un point d’eau comme une petite source à la Ses Éminences Altesses Impériales
Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes. Princes Jacques Tati)- avant
de procéder aux calculs nécessaires pour créer les différents volumes / espaces
de[s] chambre[s] ou/et séjour[s] habitables en amenant l’eau aux W. C. , de ce fait, je l’ai dit, quasiment centraux
dans l’appartement comme l’est aussi l’emplacement de la douche et le lavabo
qui sont derrière la cloison de la cuisine et celle du W. C. -(là où autrefois
il y avait un passage vers la cuisine), non loin des éviers de cette cuisine où
se trouve le chauffe-eau, ce qui alimente avec l’eau chaude pour l’eau du
robinet des éviers, la douche et le lavabo, les différents radiateurs.
Comme
je vous l’ai écrit le plan que je conserve à votre disposition est sacrilèges
pas seulement envers l’architecte de départ à l’origine de ces immeubles mais
aussi envers les personnes âgées qui doivent se rendre de trois à cinq fois
-(s’ils boivent, comme s’est recommandé pour avoir une bonne santé, beaucoup
d’eau)- par jour aux W. C. puisque si le[s] nouveau[x] plan[s] sont mis en
œuvre, ces personnes âgées devront marcher au moins quinze pas -(parfois avec
l’aide d’un déambulateur, ce qui est pénible mais vaut mieux que rien)- pour rejoindre
quotidiennement à ce rythme d’au moins trois à cinq aller-retour, le nouvel
emplacement des W. C. situé[s] alors dans le même espace que la douche et le
lavabo qui, dans cette proposition de nouveau plan, se trouvent donc placés
-(avec l’arrivée d’eau et la colonne d’évacuation de l’eau)- à l’entrée de
l’appartement dans l’actuel cagibi au lieux de rester là où ils sont
admirablement bien placés, de manière centrale, au point que ces W. C. centraux
contraignent au grand maximum à, tout au plus, une quinzaine de pas -(pour les
rejoindre tels qu’ils sont encore placés à cette heure-ci)- depuis
l’endroit le plus lointain de l’appartement !
Aussi
si on réalise le plan proposé, cela contraindra à quinze pas de plus à faire à
l’aller comme au retour -(donc trente en plus)- à/pour
ces personnes âgées !!! De quoi, en raison des difficultés liées au grand
âge, hâter le moment de la mise en maison de retraite, étant donné que cela
sera, ainsi à la longue, très fatiguant pour ces
personnes âgées de rejoindre là où se trouve actuellement le si nécessaire et si
utile cagibi, donc une sorte de grand placard-cagibi à l’entrée de
l’appartement que les architectes actuels de Paris – Habitat veulent
transformer en douche, coin lavabo et W. C. en détruisant cet espace de rangement
pourtant si utile et si bien placé à l’entrée de l’appartement pour, par
exemple, y mettre le caddie en
rentrant des courses au marché Maubert du coin ou/et
de chez Franprix mais aussi la trottinette ou/et vélo
pliant, comme aussi les affaires d’hiver en été et les affaires d’été en hiver,
et si en manque d’armoires, (comme c’est mon cas), les draps et vêtements à
changer et/ ou couettes d’été, voire un matelas gonflable pour recevoir un.e ami.e de passage, etc. . Un
espace très utile de rangement -(on peut au
besoin y mettre, par exemple, quelques fruits et légumes pas encore assez mûrs,
mais aussi les jeux ou affaires si on a à élever un enfant) - qui, dans le nouveau plan, ne fait plus que 0,7 m
avant l’entrée de la cuisine -(on ne pourra y
mettre qu’un ou deux balais et peut-être même pas -[ou à peine]- un seau vide)-
alors qu’il est actuellement beaucoup plus
spacieux, par conséquent permet beaucoup plus d’espace de rangement -(ce à quoi
il faut toujours penser car c’est au cours d’une vie indispensable). Soit une
perte très importante de surfaces de rangement, et l’espace douche et lavabo ne
sera plus aéré naturellement par la petite fenêtre hublot donnant sur la façade
dans l’impasse des Bœufs et cette douche, ce lavabo et ce W. C. -(ainsi mis
/placé en entrant dans l’appartement, totalement sans lumière naturelle ni
aération naturelle car ces éléments W. C. , lavabo et douche à la place de ce
cagibi dans le noir total, ce qui contraindra à constemment
l’éclairage artificiel, voire aussi à créer une bouche d’aération artificielle
-(ce que je demande dans le cadre d’une rénovation
pour les W. C. tels qu’ils sont actuellement placés)- car sinon les odeurs dès
l’accueil -(l’entrée)- ne seront pas, (vous imaginez aisément), des plus
agréables -(si le système trouvé devait tomber en panne) !
La
perte du placard / cagibi est une très grande perte de surface rangement. Cela
restreint de beaucoup les éléments utiles qu’actuellement nous pouvons
conserver à notre disposition ainsi en les y entreposant. C’est un peu comme
une cave mais moins loin, donc pour des choses dont on a plus souvent besoin. Un
grand progrès dans l’Histoire de l’Architecture -(que
la création de cagibis dans l’habitat social, ce qui évite d’avoir à acheter
une à deux, voire parfois trois armoires. Ce qui n’est pas négligeable comme
économie et place en plus à prévoir / combler. Et ce qui contraint les
menuisiers à proposer des armoires pas trop chères / coûteuses / onéreuses
puisqu’ils se savent être en concurrence de cette solution alternative élégante
architecturale des cagibis-placards). Il faudra donc jeter ces choses très
utiles -(qui sont
celles qu’on place en général dans plusieurs armoires ou buffets ou tout
spécialement dans ce genre de cagibi)- qui ont
pourtant aujourd’hui trouvées leur place. De même, la disparition de certaines
cloisons du couloir nous fait perdre les surfaces pour y placer en parallèle
des étagères que j’ai mises contre les cloisons de ce couloir qui, dans le[s]
nouveau[x] plan[s], disparaîtraient donc, hélas, infiniment hélas, en partie en
nous faisant autant perdre de[s] surfaces rangement[s].
Nous
en tenir à une rénovation -(la
rénovation oui, la réhabilitation non !)- c’est éviter d’avoir à
changer de place -(soit le plus gros et difficile du travail)- l’arrivée de
l’eau et la colonne d’évacuation de l’eau -(soit
ce qui serait à l’origine de l’obligation de tous -(les locataires)- déménager
durant les travaux pour permettre aux ouvriers de casser les sols et les
cloisons / murs pour démolir cette colonne d’évacuation et le tuyau d’arrivée
d’eau et les mettre du côté de l’entrée)- (tuyau
et colonne) qui sont pourtant placés très justement là où ils -[le]- sont actuellement,
au point qu’il est inutile de changer la place de la douche, du lavabo et des
W. C. -(ce qui permettrait d’éviter aux locataires de déménager).
Le
temps qu’il faudrait pour rénover permettrait de n’avoir -(dans le pire des
cas)- qu’à déménager chacun son tour dans l’un ou l’autre des appartements
vides, en libérant l’appartement à rénover -(quand cela sera le SPOK / cas
particulier)- avec ce qui nous a été proposé dans l’appartement-témoin à
changer et ce qui demande tout au plus quelques jours par appartement pour être
installé -(si on devait tenir autant que cela à changer ces éléments qui, chez moi, ont été installés neufs avant
mon arrivée en 2013, par conséquent qui fonctionnent toujours très bien car
relativement encore très neufs).
Il
s’agit, parait-il, du chauffe-eau qu’on nous propose plus hi-tech : une journée – en comptant
large -[à plusieurs]- tout au plus - à installer en le
raccordant aux tuyaux du chauffe-eau actuel.
Les
radiateurs -(ceux qui
existent marchent très bien avec le thermostat très exacte)- à première vue plus modernes -(ici aussi cela ne prend
pas longtemps et il est inutile de démanger les locataires pour mettre ces
nouveaux modèles de radiateur[s] à la place de ceux dont nous disposons
aujourd’hui qui sont actuellement très bons. Cependant qu’il se peut que dans
l’empilement où se trouve au cinquième étage mon appartement, la rénovation
-(dont j’ai bénéficié en 2013 avant mon installation), n’ai pas été faite et
qu’il faille donc la proposer à ces locataires. Ils pourraient donc changer de
chauffe-eau et de radiateurs -(pour ceux dont nous
avons pris connaissance dans l’appartement-témoin)- au cours d’une rénovation
qui prendrait alors un peu plus d’heures que celle qui serait nécessaire chez
moi. Franchement je ne vois pas où ni pourquoi ? Et une fois encore cette
rénovation n’exige de déménager tout au plus qu’une semaine dans le même
immeuble en ayant utilisé mon appartement comme appartement-témoin pour les
rénovations de cet empilement -(mais aussi donner aux autres locataires -(des autres empilements)- une idée du confort -(dont
j’ai bénéficié dès mon arrivée dans l’immeuble)- [aux
autres]- qui opteraient du coup pour une simple rénovation plutôt que la réhabilitation en comparant chez moi -(ou
le lieu –[rénové]- où nous avons été reçus et entendus par Paris-Habitat)- à l’appartement-témoin).
Une
semaine pour repeindre les murs et les plafonds comme changer le linoleum
espace après espace -(dans mon cas dans le séjour, la
chambre, la cuisine, le couloir, les W.C. et devant la douche – quoique je suis
très heureux du linoléum ayant été choisi / trouvé par les maçons qui se sont
chargés de préparer / rénover l’appartement avant mon installation : il
est, hors de ma chambre à coucher -(que j’ai mise dans le séjour), (ce
linoleum)- plus qu’admirable : beau / bon / bienfaisant. Aussi ces travaux
-(celui de peindre les murs et les plafonds sont inutiles chez moi car cela a
été rénové récemment, en 2013 et j’ai pu décorer ces murs et ces plafonds avec
des pastels comme une sorte de Lascaux des temps modernes, mais il se pourrait
que, chez les autres locataires de mon empilement, la rénovation dont j’ai
bénéficiée soit à faire sur le même modèle que chez moi où c’est en réalité quasiment
parfait, au point de pouvoir être érigé en tant qu’appartement témoin d’une
rénovation presque parfaitement réussi[t]e car il n’y a pas besoin de changer
la chaudière, ni les radiateurs, ni l’emplacement de la douche et du lavabo, ni
celui du W. C. que j’ai, comme dans l’espace douche et cuisine, décoré avec des
oiseaux et la silhouette d’une dame à tête d’oiseau, nue. Oiseaux sur lesquels
il ne faut pas peindre en blanc car ils résultent de mes nombreuses recherches
en tant qu’artiste-peintre -(ils pourraient le jour venu, si nous nous
ingénions à les conserver comme les précieux originaux qu’ils sont pas encore
coloriés -(donc ce qu’on pourra faire, entre
autres, d’après des photos de ces décorations profanes et sacrées mais aussi multidimensionnelles)-,
valoir, ces originaux, leur pesant d’or pour les
experts en art contemporain, les visiteurs et/ou touristes, comme pour les
amateurs de bandes dessinées : des originaux de l’un ou l’autre des moi très
différents par lesquels je suis momentanément passé – l’être humain conscient étant
une suite de temps / moments très différents qui se muent en souvenirs, sources
à partir de laquelle œuvrer).
Peut-être
au cours de cette rénovation faudra-t-il modifier les fenêtres -(en les rendant
plus hermétiques pour éviter des déperditions d’air)- cependant que j’ai
indiqué dans un précédent courrier ce qu’il conviendrait de faire aux joints
de/en caoutchouc : les augmenter ou/et les doubler en conservant les mêmes
fenêtres - pour les rendre plus hermétiques, ce qui serait amplement suffisant
pour atteindre les objectifs thermiques -(pour réaliser des économies de
chauffage)- et ce qui se préparant chez le menuisier ne prend pas beaucoup de
temps à changer – sur place – dans l’appartement - tout au plus une journée par
fenêtre -(en prévoyant le pire !).
La
porte d’entrée coupe-feu -(elle aussi est préparée en
atelier de menuiserie et ne demande que peu de temps pour être posée / changée
–[au grand maximum une demi-journée de travail]- ce qui n’oblige aucunement à
déménager)-.
Une
conduite d’aération pour les W. C. –(cela exige tout
au plus une journée de travail par appartement même s’il faudra probablement
faire un trou dans le sol + plafond, pour faire passer le conduit jusqu’au toit
de l’immeuble, en parallèle au tuyau d’arrivée de l’eau et à la colonne d’évacuation,
à moins d’une solution alternative élégante électrique -[désodorisante] (retirant
/ aspirant les odeurs).
Merci
donc d’avoir l’amabilité de vous associer avec moi en tant que la maire du
Cinquième Arrondissement -(et, je crois, de spécialiste d’art)- pour qu’on
inscrive au Patrimoine National -(ou là où vous jugerez le mieux / soit le plus
utile : Par exemple aux Monuments Historiques ?)- ces immeubles
autour de l’arche de la résidence Carmes – Polytechnique de Paris-Habitat comme
exemple d’une architecture sociale d’une très grande qualité et originalité sur
les nombreux points précis que je vous propose de redécouvrir avec moi -(donc
en ma présence)- quand vous voudrez y compris pour remarquer / voir mes pastels
que j’ai utilisés pour décorer les murs du deux pièces -[+ cuisine + cagibi +
W. C. + douche]- dans lequel je loge -(si vous voulez, ayez la gentillesse,
s’il vous plait, de bien vouloir me donner bien à l’avance le jour où vous me
ferez l’honneur de passer chez moi, de manière à ce que je vous fasse trouver
tout en ordre et puisse vous faire mieux comprendre ce que je vous ai
écrit. Bien que cela puisse se
comprendre à partir des plans ci-joints, mes œuvres en moins[2]).
Je
pense que nous aurons plus de chance avec les Monuments Historiques ou/et au Patrimoine
National -(Immeubles Historiques ou/et Exemplaires)- si c’est vous qui en tant que maire du Vème
arrondissement convaincue faites officiellement la demande -(le nécessaire grâce, par exemple, à un.e de vos collaborateurs.trices)-
plutôt que moi, artiste[3]
- peintre[4]
moins connu des administrations, grandement handicapé -(entre autres par ces problèmes
de cœur[5] qui paradoxalement
pourraient vous être utiles connaître pour le jour venu dans le détail).
Salutations
respectueuses et reconnaissantes.
Les
eanmeailleurs de [R]Ôz[e/a/u… w/y/s]
Vos
dévoués serviteurs,
Laurent-Marie Granier…
d’Ôz.
[1] -(situation précise, occasion, cas particulier car ici, dans cet acronyme
exceptionnel, c de cas et p de particulier = k de SPOK)