-(également à d'autres sujets que celui ci-dessous)-
CARE 13
Cher
François Martineau,
Suite à mon entretien de
ce matin, merci de transmettre à Madame la Docteure Hortense Boulanger -(qui
attend ce document dont je lui ai parlé pour établir une attestation dans
laquelle elle confirme que je suis bien concerné par ces formes d'aides à
déménager dans le cas où on ne tiendrait pas compte de tout ce que j’ai signalé
-(voir
les différentes lettres :)- à Paris-Habitat - propriétaire de
l’immeuble où je vis - pour leur éviter une -[trop coûteuse]- réhabilitation
-(en milieu vide)- de mon immeuble au profit d’une plus simple et plus modeste réhabilitation-rénovation
-(ce dont j’ai déjà en partie bénéficié en 2013 avant mon installation et que
je conseille à tous les autres locataires de périodiquement bénéficier -(tant
cela a été pour moi parfait), en préférant cette » rénovation « périodique
à cette stricto sensu « réhabilitation »
qui nous contraindrait tous à déménager trois ans pour ces » appartements
relais « dont, à l’heure actuelle, nous ne savons pas où ils seront situés
ni combien ils seront grands et s’ils pourront contenir ce que, parait-il nous
aurons à déménager -(cave y comprises), et tout ce qui nous attend comme
difficultés y compris pour trouver localement de quoi nous nourrir dans le
quartier où sera ce logement qui doit correspondre à celui que nous avons,
etc.)-
ce qui ne nécessitera pas de déménager pour laisser vides
les appartements à réhabiliter -(il peuvent l’être comme je l’ai écrit au cours
d’une simple rénovation, pendant laquelle le locataire reste dans son
appartement et prend acte des rendez-vous proposés par les divers responsables
des corps de métier coordonnés par l’architecte responsable des travaux pour
effectuer les diverses améliorations qui ont été proposées -(dans un minimum de
temps) -[à l’exception de celle – « d’amélioration » - du changement de salle d’eau et W. C qui ne
doit pas être faite, sous aucun prétexte
car j’ai démontré que c’est placer cette salle d’eau et ces W. C. beaucoup plus
loin qu’ils ne le sont -(ce qui est à la longue impossible à vivre pour une
personne âgée), ce qui est par-dessus le marché faire perdre une très grande
quantité d’espaces pour ranger, en perdant le cagibi-placard autant utile et
indispensable qu’il l'est continuellement).
Comme à l’heure actuelle
le vote des locataires pour effectuer des travaux ou pas n’a pas été encore
annulé pour nous proposer des plans plus satisfaisants -(mon
texte ci-dessous[1]
étant récent)-
voire au mieux pour nous
contenter de cette rénovation, si ce vote devait avoir lieu et être positif, (ce
qui serait cauchemardesque et très difficile pour moi), voilà qu’il faudra
recourir à l’aide proposée ci-dessous - dans les deux documents ci-dessous -(ceux
dont j’ai parlés ce matin à H. B.)- pour m’aider à déménager - soit la raison
pour laquelle madame la doctoresse Hortense Boulanger, voire avec Madame Abdoul,
auront à confirmer que sans ces aides, il me serait impossible de déménager dans
l’état de souffrance qui est en ce moment le mien et cette demande de/pour
m’aider, (comme cela est mentionné ci-dessous), auprès de Madame Marion Bauché et/ou Madame Florence Moreau que je prie de joindre
pour me donner rendez-vous le cas échéant si nous nous dirigeons vers le vote
et la réalisation des travaux).
Evidemment
dans le cas d’une simple rénovation -(ce que nous avons finalement demandé - en
démontrant pourquoi - à la place de la réhabilitation, il ne sera pas
nécessaire de déménager, mais il convient de prévoir le pire -(soit le cas de
figure dans lequel nous aurions à déménager)- soit la réalisation de ces
travaux contre notre gré malgré que nous ayons pris toutes les peines pour
conclure objectivement en vérité qu’il est de loin préférable pour tous de ne pas faire ces travaux de « réhabilitation » en
raison de ce qu’on n’a pas le droit de contraindre une personne âgée, (mais
déjà moi à l’âge des cinquante-huit ans que j'ai)- à fournir autant d'efforts
supplémentaires à tous ceux que je me donne la peine quotidiennement pour
rejoindre les W. C. tels qu’ils sont placés - de là où est la table où j’écris,
huit de mes pas à l’entrée de ces W. C. .
Dans l’immédiat, je
crois que Madame la Docteure Hortense Boulanger peut aussi confirmer qu'augmenter
de douze petit pas supplémentaires au quinze qu’il est nécessaire d’accomplir
pour se rendre au W. C. du point le plus éloigné de l’appartement
-(ce qui, sur le plan, correspond à la sortie d’un lit matrimonial placé dans
le séjour)-
que j’occupe ne lui semble
pas une bonne chose -(car à la longue cela
signifie des kilomètres de trajets et temps perdus –[qu’on a pas le droit d’infliger
car ce n’est pas du tout le cas actuellement]- pour chacun des habitants des
appartements situés dans l’empilement qui est le mien)-
et
cela surtout quand je serai plus âgé.
Si il est une chose qui
convient de faire selon les SPOK -(acronyme de situations précises, occasions, cas particuliers -[car ici c de cas
et p de particuliers = K de SPOK])- en
aArchitecture c’est bien celle de réduire autant que
possible le trajet d’une personne âgée jusqu’à ces W. C. et/ou salle d'eau -(là
où il est souvent utile et nécessaire de se rendre souvent au cours d’une
journée, mais aussi le soir pour se laver les dents ou à d’autres moments pour
se doucher). L’augmenter de douze pas, c’est contraindre une personne âgée par
exemple handicapée -(dans ce type de logements sociaux
c’est courant), avec déambulateur, à faire peut-être jusqu’à vingt-cinq tout
petits pas de plus -(et pas seulement douze ou huit autrement vus car ceux
d’une personne ayant de quinze à cinquante ans - [et oui!, sur certains plans/points
la vérité est relative, et elle l’est aussi en fonction de l’âge! Un des
paramètres qui la concerne]), alors qu’on pouvait éviter de changer l’arrivée
d’eau et la colonne d'évacuation d’eau qui telles qu’elles sont placées ne
contraignent qu’au grand maximum qu'à quinze de mes pas de l’endroit le plus
éloigné de l'appartement, l’architecte qui a dessiné les plans de cet immeuble
dont il a été longtemps responsable, ayant magnifiquement placé, de façon
presque centrale cette arrivée d’eau et cette colonne d’évacuation de l’eau, ce
qui doit -(parce que tel que c’est, c’est intouchable,
indémodable, juste, exacte en conscience, parfait : tout bien compté)-
dans
ce SPOK
nous
éviter à tous la réhabilitation de l’immeuble au profit d’une plus simple rénovation qui, comme
je l’ai écrit une fois de plus ici peut se faire comme si c’était une
réhabilitation, mais sans contraindre aucun des locataires à déménager (lire: http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/voisins_29032021.html
car on ne se permettra pas de toucher à cette arrivée d’eau ni à cette colonne
d’évacuation qui sont là où ils sont à l’emplacement parfait pour permettre à
tout le monde d’y converger simplement avec le minimum de trajet à faire)-
pour
laisser les appartements -[en milieu]- vide, nous a-t-on confirmé uniquement
parce que les architectes souhaitaient
-(avant mes courriers / e.mails / textes)-
proposer
-(en sacrilèges envers la mémoire de l’architecte auteur de cet immeuble)-
de
tout autres appartements en déplaçant cette colonne d’évacuation et ce tuyau
d’arrivée d’eau qui, comme je l’ai démontré, n’ont aucunement à être déplacés
car excellemment placés on ne peut mieux là où ils le sont -(ce qui ne
contraint donc plus à la réhabilitation, mais si on y tient à une rénovation
puisque les travaux peuvent se faire sur chacun des points l’un après l’autre en
un minimum de temps qui n’excède pas deux jours pour chaque point -(voire de
nombreux points une seule journée)- avec les locataires présents dans leurs
appartements – ce qui évitera à Paris-Habitat les frais pour assumer ces
déménagements pendant trois ans avec les réenménagements
-(les déménagements pour retrouver / revenir dans nos appartements une fois « réhabibilités » - [on comprend ici une fois encore ces
guillemets dans le sens 4 qu’ils ont qui rend le mot à lire ironiquement])- et
cela pour aboutir à une « réhabilitation » qui est -(donc)- très très loin d’être satisfaisante et/ou incontestable : tout
au contraire : qui serait le cauchemar de toutes les personnes ayant à
vivre dans les appartements situés dans mon empilement, ce qu’il convient
évidemment d’éviter par tous les moyens à notre disposition, les plans d’origine
se révélant avoir été parfaitement conçus).
Merci donc, cher
François, de transmettre la copie de ce e.mail à madame la
doctoresse Hortense Boulanger qui saura quoi faire.
Laurent-Marie Granier
[1]
-[voir le
laurYen - se dit, plus court, pour »lien hypertexte«]-