-(également à d'autres sujets que celui ci-dessous)-
CARÉ9[1] de la part de votre voisin Laurent-Marie Granier …
Logeant l’appartement 49, 5ème étage,
20 rue de l’Ecole Polytechnique,
75005 Paris
laurentmariegranier@gmail.com Paris, le Samedi-dimanche-lundi 27/28/29 Mars 2021,
Objet : Avant de voter pour ou contre la « réhabilitation » de l’immeuble, me permettre de vous conseiller de tout cœur[2] de compter le nombre de pas que vous aurez à faire pour rejoindre les W. C. -(dans les nouveaux plans)- et cela si vous êtes pour les travaux, de manière à vérifier que vous n’allez pas être victime[s][3], une fois âgés[4], de ce que vous aurez à chaque fois que vous vous rendrez dans la salle d’eau des pas en plus[5] pour rejoindre les W. C. , ce lavabo et la douche, alors que dans l’état actuel de l’emplacement de l’arrivée d’eau et de l’évacuation des eaux, celles-ci se faisant là où l’architecte responsable de la conception de notre immeuble a placé -(à l’endroit où il fallait)- cette arrivée d’eau[6] pour précisément nous éviter ces pas en plus[7] à faire / peiner / fournir pour rejoindre ces W. C. , ce lavabo et cette douche[8], ce qui aura, hélas, infiniment hélas, des probabilités de vous rendre la vie encore plus difficile -(voire à moyen terme cauchemardesque)- qu’elle est, si l’équipe des architectes actuels s’en-tête à placer les W. C., ce lavabo et cette douche, là où sur les plans ils les veulent / souhaitent[9].
Mes chers voisins,
Permettez-moi de vous écrire au sujet de la perspective de notre immeuble à être « réhabilité » après le vote durant lequel nous nous prononcerons pour ou contre les travaux envisagés qui, pour être, nous contraindront à être relogés, et, si j’ai bien compris, de six mois à trois ans –(en fait nous avons été amenés à comprendre -[grâce à SOliHA]- que ce sera au moins trois ans, plutôt que six mois comme nous l’avions au départ compris et cela parce qu’il paraît que ces six mois c’est pour donner le temps -[qu’il faut attendre]- par cage d’escalier et empilement à traiter, donc l’un après l’autre, ce qui -[se]- ferait en tout -[en]- trois ans).
Dans le dernier courrier envoyé par SOliHA, j’ai pu constater qu’il y avait erreur sur le nombre de mètres carrés dans lesquels je suis censé habiter. Ils ont été grandement surestimés, mais ce n’est pas pour ça que je vous écris car dans ce SPOK[10] -(cas)- je ne demande pas, pour l’instant, à la rétablir[11] / la réparer -(cette erreur). Mais surtout j’ai pu prendre connaissance d’un fait tragique pour tous : la quasi totale disparition du cagibi / placard[12] qui, dans mon cas[13], deviendra les W. C. , le lieu du lavabo et de la douche -(sur les derniers plans que Paris-Habitat nous a communiqués).
Dans un précédent courrier[14] à madame la Maire du Cinquième[15] j’ai dit à quel point l’invention du cagibi / placard a été une avancée importante dans l’histoire de l’habitat social -(H. H. S.)- mais aussi dans l’histoire de l’architecture -(H. A.). Tels que proposés dans les nouveaux plans[16] ces W. C. , ce lavabo et cette douche occupant la place qui est réservée à ce cagibi / placard constituent avec ce sacrilège -(de la disparition du cagibi / placard)- un autre problème très important auquel les architectes n’ont pas songé : pour une personne âgée et/ou un.e handicapé.e, mais aussi pour chacun d’entre nous, cela contraint, dans le deux pièces que j’occupe, de dix à douze pas en plus -(+, donc supplémentaires)- à faire à l’aller comme au retour -(ce qui fait vingt à vingt-quatre)- et quelques pas supplémentaires pour rejoindre ces W. C. , ou ce lavabo et/ou cette douche à partie de l’entrée à cette salle d’eau !
J’ai dit à l’un ou l’autre d’entre vous »« dix-sept pas de plus[17] »« car je me suis mis dans la peau de cette personne âgée marchant avec un déambulateur -(ce qui est arrivé à une personne de mon entourage)- avec des pas plus courts que les miens. En réalité, il faut compter de dix à douze pas de plus[18] pour atteindre la porte de ces nouveaux W. C. , lavabo et douche situés à droite tout de suite après l’entrée dans l’appartement! C’est donc pour une personne handicapée par la vieillesse et dont l’empan des pas serait plus court, que cela pourrait faire de quinze à vingt-cinq -(petits - voire trente)- pas en plus, un paramètre pluriel auquel n’a pas pensé, hélas infiniment hélas, l’équipe actuelle des architectes. Un paramètre cependant fondamental, essentiel, donc à prendre en considération d’autant plus la catégorie d’habitat -[-à-caractère-]- social de notre résidence dans lequel s[er]ont/ont été amenés à vivre des handicapés et/ou des personnes âgées.
Aussi, mon devoir -(par acquis de conscience)- a été de signaler aux responsables de Paris-Habitat qu’à cause de cela[19] on ne pouvait plus faire les travaux proposés dans ces plans. Qu’il fallait y renoncer en leur expliquant oh combien l’architecte de départ[20] avait très bien fait de choisir l’emplacement toujours très heureusement d’actualité / juste de l’arrivée de l’eau et de l’évacuation de l’eau -(ce que dans une rénovation d’immeuble on peut, si cela s’avère nécessaire, changer à l’identique - mais neuf - voire avec de plus gros tuyaux -(je l’ai dit plus haut), en des temps relativement courts, étage par étage -(sans avoir à tout casser des plafonds et sols où passent ce tuyau et cette colonne). Un travail de plomberie sans avoir à contraindre les locataires à déménager. Cependant cela exige que tous les soirs – après les travaux - l’eau soit, au contraire de ce qui est annoncé, rétablie et qu’on procède autrement pour cette rénovation / réhabilitation sur ce point important).
J’ai ensuite pensé à chacun de vous habitant dans les autres empilements d’appartements plus ou moins différents du mien et je me suis demandé si pour vous aussi les plans qu’on vous a proposés portent les W. C. , le lavabo et la douche à aussi loin que ça, c’est-à-dire à vous contraindre à de nombreux pas en plus pour les rejoindre -(ces W. C. , ce lavabo et cette douche), soit au moins cinq fois par jour : un aller et un retour.
Aussi je vous prie de faire ce que j’ai fait chez moi pour déterminer avec précision combien de pas en plus vous aurez à faire au moins cinq fois par jour -(à l’aller et au retour)- pour rejoindre le nouvel emplacement de ces W. C. , de ce lavabo et de cette douche.
C’est simple : vous vous mettez dans votre appartement sur le point le plus éloigné des W. C. à l’emplacement actuel où ils sont et vous comptez le nombre de pas -(pas très amples, de grandeur moyenne)- que vous faites pour arriver à l’entrée des W. C. -(chez moi cela a donné quinze pas normaux d’une personne mesurant un mètre soixante-quinze). Puis vous déterminez sur les nouveaux plans l’endroit qui sera le plus éloigné des W. C. que les architectes de Paris-Habitat ont choisi de changer de place et vous comptez, chez vous, le nombre de pas pour atteindre ces W. C. -(chez moi, [un appartement tout en longueur[21]], cela a donné de vingt-cinq à vingt-sept pas pour rejoindre l’entrée de ces nouveaux W. C., lavabo et douche au bout du couloir à l’entrée de l’appartement –[qu’il faut alors rejoindre, une fois entré dans ces W. C.-lavabo-et-douche, un à un avec plus ou moins quelques pas de plus -(+)]), ce qui est considérable -(25 à 27 pas d’une personne à considérer » sénior «, ce qui n’est pas encore mon cas). Donc une différence de dix à douze pas de plus à faire – ce qui n’est pas un problème quand on est jeune, mais ce qui peut devenir un problème une fois âgé / [+] plus vieux, donc sénior). Vous saurez ainsi exactement le nombre de pas -[en plus]- que vous aurez à faire -[en plus !]- à chaque fois que vous vous rendrez au W. C. -(vous pourrez les additionner, ces pas, pour savoir combien vous aurez à marcher dans l’appartement chaque jour pour satisfaire vos besoins naturels / hygiéniques), une fois que vous serez âgés, mais déjà cela -(si vous ne l’êtes pas encore -[âgé(s)])- après ces éventuels -(mais dans ces conditions improbables :)- travaux et cela à l’aller comme au retour au minimum de cinq fois par jour -(une fois par jour au moins pour vos excréments en provenance de vos intestins et au moins de trois à cinq fois par jours pour ceux en provenance – plus liquides - de vos reins et au moins une à trois fois par jour pour vous laver les mains et les dents, et au moins une à trois fois par semaine pour vous doucher ! Ce qui fait donc plus des cinq fois annoncés estimés plus haut, en ayant alors minimisé).
Si le nombre de pas est de beaucoup supérieur -(dès trois à cinq pas de plus. Attention ! Pensez à des petits pas -[: une fois, vous, plus âgé(s) que vous ne l’êtes -(ces pas sont plus courts que ceux quand vous étiez plus jeune, soit maintenant)])- à ceux que vous avez à faire dans l’état actuel de la configuration de votre appartement, vous saurez que cela ne sera jamais une bonne affaire que de donner votre accord pour changer de place l’emplacement de vos W. C. , votre lavabo et votre douche et cela d’autant plus de la grande perte de surfaces pour ranger -(en perdant l’espace de rangement de votre placard / cagibi –[c’est comme ça que cela se présente chez moi]– mais j’ai conscience que cela peut être différent pour chez vous[22] et c’est pourquoi je vous écris et cela d’autant plus que j’ai appris que pour certains, actuellement, il faut traverser la cuisine pour rejoindre les W. C. , la douche et/ou le lavabo, une idée qui finalement[23] n’est pas si mauvaise qu’on cherche à la faire croire être, car cela permet / justifie un peu plus encore la nécessité d’un double évier dans la cuisine, l’un d’eux étant à considérer dans la cuisine comme un lavabo au sortir des W. C. ou/et de la douche ainsi placés après avoir traversé la cuisine[24].
Quand vous aurez à vous prononcer pour les travaux ou contre, je vous prie que vous ayez bien en tête qu’après les travaux, une fois réintégré[s] votre domicile, vous aurez autant de pas en plus au moins cinq fois par jour chacun[25] à l’aller comme au retour pour rejoindre ces W. C. , ce lavabo et cette douche, (soit ce qui compte / conte de merveilleux car, hélas, infiniment hélas, il a existé un temps dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- où il n’y avait pas de W.C. ni de lavabo ni de douche dans les appartements / grottes / troglodytes -(ce qu’il convient d’avoir toujours présent à l’esprit en en étant reconnaissant envers tous ceux qui, en ingénieurs, voire architectes et autres médecins et etc. ont permis[26] d’améliorer ainsi grandement les choses y compris, bien sûr, avec le cagibi / placard si utile / nécessaire, si absolument essentiel !).
En vous remerciant de m’avoir compris, je ne peux que vous conseiller d’opter pour une rénovation -(comme j’ai eu la chance d’en bénéficier[27] avant de m’installer comme votre voisin en 2013, en trouvant parfait l’appartement)- et de refuser cette « réhabilitation »[28] si depuis la chambre / séjour / entrée -(voire le lieu où vous séjournez le plus)- voire le lieu le plus lointain des W. C. , du lavabo et de la douche, vous aurez, (dans les -[nouveaux]- plans proposés devenus –[hélas , infiniment hélas[29]], réalité, plus[30] de pas -(soit plus –[+]- d’efforts à fournir, ce qui n’est pas juste pour des personnes âgées et/ou handicapées)- pour rejoindre ces W. C. , ce lavabo et cette douche -(c’est donc ce qu’il convient d’avoir – avec une bonne partie de la note de bas de page n° 11 - en tête comme paramètres pour juger ou non du bien-fondé de cette « réhabilitation »).
En vous remerciant de votre attention, permettez-moi de faire parvenir aux hommes mes salutations et sentiments distingués et les plus respectueux aux femmes,
Laurent-Marie Granier … d’Ôz.
[1] Acronyme
de » Corrigé,
augmenté,
abrégé, relu, [ré]élaboré
« neuf fois.
[2] -(bénévolement
dans/pour le plus grand/meilleur bien et Intérêt Général)-
[3] (si vous habitez dans
le même appartement)
[4] -(si vous n’en faites
pas déjà partie -[des personnes âgées])-
[5] Supplémentaires.
[6] -(mais aussi cette
évacuation de l’eau)-
[7] Ce trajet.
[8] -(en général en
choisissant -[dans les anciens plans -(tels qu’ils sont de nos jours)]– pour
ces éléments -[W. C. , lavabo, douche]– un lieu à peu près central des
appartements)
[9] -(dans les plans qu’ils ont arrêtés avec
Paris-Habitat et nous ont transmis récemment, sans encore / à l’heure actuelle
du lundi 29 Mars, tenir compte de nos conclusions objectives)
[10] -(situation précise,
occasion,
cas particulier car ici
c de cas et p de
particulier = k de SPOK)-
[11] -(la superficie. En
effet cela peut arriver à tous d’être à un moment ou un autre dans
l’approximatif et non le précis ou/et l’exactissime,
soit la vérité, voire seulement des vérités relatives. C’est d’ailleurs le
propre de l’homme d’être assez souvent dans l’approximatif, du moins tant qu’il
ne dispose pas des mesures exactes et/ou de la vérité
-[relative, parfois à géométrie(s) variable(s) selon les
paramètres que l’on prend en compte ou pas]- sur
un plan ou un autre. Cependant que là je me suis dit « bizarre »).
[12] Les nouveaux plans en proposent un tout petit et
mettent à la place de ce cagibi / placard l’arrivée d’eau et l’évacuation de
cette eau, et donc les W. C. , le lavabo
et la douche, se situant ainsi dès l’entrée de l’appartement, là où dans ce
cagibi, on peut y trouver rangé le caddie
des courses, les affaires d’hiver l’été et celles d’été l’hiver -(donc une
sorte de petit grenier)- et d’autres choses fort utiles à conserver –(d’autant plus si on vit avec des enfants –[et leurs jouets]- dans
cet appartement), et à ranger périodiquement dans ce cagibi -(et non à la
cave)- des vêtements -(cela peut faire une petite penderie pour les sécher,
etc.)- comme une planche à repasser et son fer,
la/les couettes et autres draps ou/et matelas roulé d’appoint, lieu plus frais
que la cuisine pour y conserver des fruits plus longtemps sans avoir à les
mettre au frigidaire. Donc un espace de rangement, là où il a été aussi
judicieusement placé, bien utile qui, hélas infiniment hélas, disparaîtrait
-(si on se prononce au vote pour les travaux)- alors que si
bien situé, dès les premiers pas, à l’entrée de l’appartement. Normalement,
suite à mes différentes missives, très précises, Paris-Habitat aurait dû
aussitôt renoncer aux travaux de réhabilitation au profit de plus simples travaux,
ceux de rénovation -(y compris des
lieux en commun)- au cas par cas -(ce qui ne contraindra pas à déménager au
minimum trois ans) : dans mes lettres, j’ai expliqué que chacun des points
que les architectes souhaitent améliorer n’exige en définitive que peu de temps
-(de une à deux semaines par appartement peinture et linoléum changé compris)- aux
ouvriers et au maître d’œuvre dans chacun des appartements, donc que cela peut
se faire sans avoir à contraindre / forcer les locataires à déménager pour la
mise en œuvre des travaux de rénovation:
- si on y tient autant que cela pour, en définitive, faire de
petites économies de gaz avec le chauffe-eau, changer les fenêtres, en ayant
pris soin de les préparer neuves à l’atelier, exige une journée de travail par
fenêtre pour retirer celles qui ne sont pas totalement étanches -(et qui laissent passer un
filet d’air, bien que des fenêtres hi-tech !)- dans les
coins en bas. Une fois changées les fenêtres plus la peine d’augmenter
l’épaisseur des murs à côté de ces fenêtres comme on nous a dit vouloir le
faire : l’humidité venait du filet d’air -[de
sécurité ! -(vous lirez plus bas dans cette note
de bas de page et saurez pourquoi)].
- Ajouter un ventilateur ou/et un aspirateur d’odeur dans les W.
C. -(puisqu’on
a décidé dans certains des appartements déjà rénovés – comme le mien - de
remonter la cloison de séparation des W. C. du lavabo et de la douche d’où
provenait l’air depuis l’espèce de hublot-lucarne qui s’y trouve rendant la
douche agréable, mais ce qui a rendu les W. C. un lieu fermé où l’air n’est que
rarement changé -(si la porte de ces W. C. reste close, voire ouverte vers
l’air du couloir non directement relié à une arrivée d’air, donc assez / plutôt
éloigné des points d’arrivée d’air que sont les fenêtres de la chambre, du séjour
et de la cuisine, l’air ayant donc dû transiter par ces espaces avant d’atteindre
le couloir) : au maximum une journée de
travail par appartement.
- Si on y tient autant que ça, changer la porte d’entrée de
l’appartement -(une après-midi ou une matinée de
travail car celle-ci -[la porte d’entrée]- comme les fenêtres préparées dans
l’atelier du menuisier métallique aluminium et etc.
-[après
être venu prendre les mesures exactes pour réaliser cette porte]-
plus résistante au feu : coupe-feu).
- Le chauffe-eau à gaz -(le mien
ayant été changé au début des années 2010, vers 2013, au cours de la rénovation
de mon appartement ayant été réalisée de main de maître avant que je m’y
installe, fonctionne très bien, c’est un Leblanc)-
le changer pour un plus performant n’exige pas plus
d’une journée à un spécialiste plombier et les radiateurs liés à ce chauffe-eau,
(ceux de chez moi), plutôt minces ne sont évidemment pas à changer. Ils
fonctionnent parfaitement car ils ont été changés, eux aussi, lors de la
dernière rénovation, cependant que si Paris-Habitat le souhaite autant que cela
-(pour nous les avoir montrés encore plus hi-tech-gadgets dans l’appartement témoin), on peut y
adjoindre des variateurs d’intensités plus précis -(ce qui permettra quand on
n’est plus dans une des deux pièces -(donc quand on la quitte), de baisser le
chauffage en nous rendant dans la cuisine ou dans la chambre, ce dont il faut
prendre l’habitude pour réaliser des économies de chauffage. Et pour cela
pourquoi pas une sorte de variateur mural -(comme celui qui déjà permet de
changer globalement, de façon générale le nombre de degré du chauffage et qui s’appelle
un thermostat), à la sortie de la chambre, du séjour, de la cuisine et de la
douche, sur le mur à côté de l’interrupteur de la lumière, pour, lorsqu’on
rejoint une autre pièce, donc qu’on sort de cette pièce, avoir la possibilité
de baisser ou de monter -(quand on y rentre),
l’intensité de chaleur de/avec ce variateur qui serait à la sortie de la pièce -[donc]-
ainsi relié précisément à celui -(de variateur)- du radiateur, voire le jour venu
à un logiciel de l’ordinateur ou/et du
smart-phone).
- L’aspirateur d’odeurs
-(qu’on nous a montré dans la cuisine de l’appartement
témoin)- dans la cuisine n’exige pas non plus
qu’on déménage pour le poser : on prend rendez-vous pour qu’on l’installe à
une heure dite, en profitant du trou d’évacuation de l’air du chauffe-eau,
voire d’un autre orifice à créer.
- Et l’étanchéité des murs est assurée par le changement des fenêtres -(voire, parait-il, par les travaux qu’on veut faire
à l’extérieur sur des échafaudages pour l’augmenter -[cette étanchéité]- depuis
l’extérieur, sur les façades)- pour celles qui
ne laissent pas/plus passer d’air du tout, donc bien plus hermétiquement closes
/ fermées que celles actuelles -(mais qui doivent être faîtes en métal et/ou
plastique rigide comme celles dont la plupart des locataires de l’immeuble
disposent déjà –[comme c’est le SPOK pour moi]-
pour éviter qu’on coupe le bois de nos forêts, la
solution alternative élégante étant, bien sûr, celle que propose déjà depuis
longtemps la Menuiserie Métallique Aluminium et Plastique Rigide
hi-tech et
etc. –[à laquelle les êtres humains ont mis autant de millénaires que ça pour
en bénéficier! Aussi s’il n’y avait pas ce petit filet d’air -(qui
durant l’hiver pénètre
pour renouveler hyper-discrètement –[au point
que l’avoir découvert relève du prodige / miracle]- l’air
de la chambre, du séjour, et de la cuisine. Ici la fenêtre a été plus
ouvertement –[au sens de franchement]–
percée d’un cercle pour faire passer dans une sorte de
tamis / filtre posé sur la vitre l’air d’une façon plus visible –[et
admissible]- car en cuisine)- à faire disparaître pour réaliser des économies de gaz,
en fait, on n’aurait pas besoin de changer les fenêtres qui sont en réalité
-(avec ce filet d’air ténu de sécurité)- absolument géniales -(au point de
s’être ingénié autant que cela fut pour créer / calculer la quantité de ce
filet d’air ténu à ce stade non gênant -(et cela même si on a placé son lit
comme je l’ai fait sous la fenêtre le long du radiateur). Aussi ne pas les
changer, ces fenêtres, permet de préserver les arbres des
forêts si nécessaires pour notre respiration : c’est bien connu : la
plupart des arbres absorbent le CO2
et
rejettent l’oxygène dont nous bénéficions.
Bien que nous ayons à reconnaître qu’il est vrai que cela a fait, à la longue,
un petit peu augmenter la facture de gaz, cependant que nous sommes sûrs que
même fermées l’air des pièces, comme dans la cuisine, est de façon si discrète
et soucieuse de notre bien-être, renouvelé à notre insu, discrètement,
continuellement. Cela évite d’avoir à aérer tous les matins / jour, ce qui
fait alors brutalement baisser la température globale de l’appartement, ce qui
met en marche le thermostat qui fait alors chauffer le chauffe-eau, ce qui
occasionne une nouvelle dépense de quantité de gaz importante, y compris une
fois la fenêtre fermée et cela pour réchauffer les pièces ayant été ainsi aérées
d’une façon plus visible, moins discrète qu’avec le filet d’air ténu, à notre
insu – aussi elle n’est pas aussi sûre que cela, en définitif, cette économie
de gaz). Donc si on continue à y tenir autant que cela à l’hermétiquement clos,
changer les fenêtres fera à la longue réaliser à chacun de très petites
économies en chauffage -(surtout pour ceux qui
n’aèrent pas)- ce à quoi je ne m’oppose pas -(cependant que l’air ne sera pas
renouvelé quasi automatiquement de façon continue[l] aussi imperceptiblement et
discrètement que c’est le SPOK/ cas … en nous évitant d’avoir quotidiennement à
aérer)- car l’état actuel de ces fenêtres laisse
entrer dans les chambres ce petit filet d’air froid l’hiver, ce que le
radiateur sous chacune de ces fenêtres chauffe aussitôt puisque l’air froid de
l’hiver pénètre au-dessus de ces radiateurs -(dans les pièces).
Il n’y aurait donc en fait à déménager -(si le vote est en majorité
pour les travaux)- qu’uniquement parce que l’équipe des architectes actuels
souhaitent de façon sacrilège envers l’originalité de la configuration des
appartements dont nous sommes locataires -(des exemples
de solutions alternatives élégantes mises en œuvre dans / pour un habitat à
vocation social de grande qualité)- tout changer
-(et perdre ainsi ce qui est le caractéristique de nos logements sociaux)- en
changeant de place en sacrilège[s] -(y compris
envers la mémoire de l’architecte-auteur de cet immeuble -[si bien pensé /
conçu]), le point d’arrivée et d’évacuation de
l’eau qu’il a su déterminer une fois pour toute
-(ce qui signifie au mieux)- en conscience -(soit ce qui permet d’être
responsable, car on est dans le vrai du vrai – ce que je suis),
ce qui, en y renonçant et en les laissant -(ces points
cruciaux de l’eau)- au centre de l’appartement, pourrait si on devait y tenir -(alors qu’ils fonctionnent à merveille – [un jour le
W. C. chez moi était vraiment très bouchés. En y versant plusieurs fois
de l’eau bouillante, j’ai pu le déboucher : tout est revenu dans l’ordre])- être changé
petit-à-petit, appartement après appartement -(si on regarde bien les tuyaux,
c’est d’ailleurs prévu pour/comme ça de les changer -[sans avoir à les changer
de place], appartement après appartement, ce qui évite de tout casser pour
sortir ces -[morceaux de]- tuyaux et/ou -[morceaux de]- colonnes et permet de
changer ces tuyaux au cours des deux -(ou plus, ?)- journées de travail
que les ouvriers y consacreront par appartement, sans nous contraindre à
déménager et en rétablissant tous les soirs, si possible, après les travaux de
ce changement des -[morceaux de]- tuyaux de l’arrivée de
l’eau -(qui est
chez moi en très bon état, par conséquent n’a pas à être changé dans l’immédiat
à moins qu’on veuille le faire en anticipant sur l’avenir très lointain – celui
où ce tuyau aurait fini par rouiller, ce qui ne peut jamais advenir -(à
moins d’une bombe ou d’un feu ayant mis l’immeuble en ruine)-
d’autant plus qu’on classera comme je l’ai demandé cet
immeuble
comme Historique au Patrimoine, comme représentatif d’un exemple d’immeubles des
années Trente à vocation sociale :
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/immeuble_historique_05032021.html
-(ce qui est important pour les étudiants en [a]Architecture), par conséquent sur lequel on aura à
veiller précisément et entre autre[s] sur la bonne santé / à l’entretien de ces
tuyaux ou/et colonnes – qu’on peut, une fois par an, nettoyer / ramoner, voire
savonner à/de l’intérieur en y introduisant de façon endoscopique une brosse-de-ramoneur
spécialement conçue pour nettoyer les tuyaux ou/et colonne d’évacuation de l’eau
à l’aide d’un petit retour vidéo muni d’une petite lampe -(genre celles qui
sont sur certains modèles de smartphone)-
pour nettoyer l’intérieur de ces tubes
de la colonne d’évacuation)- et
de
l’évacuation en les laissant à la place d’origine
-(qui, si on y tient, pourrait peut-être être, [sans la changer de place]- la
colonne d’évacuation, un peu plus large –[pour éviter de se boucher]-, bien
qu’ils soient dans l’état actuel -(comme celui de l’évier et de la douche)- toujours
du diamètre -[minimum]- réglementaire -(ce qui signifie qu’elles pourraient
être, par sécurité, les parties de la colonne d’évacuation de l’eau, plus gros
-(large), cependant qu’étant probablement depuis l’origine de ce diamètre –
cela ayant fonctionné jusqu’à nos jours malgré qu’il fut une fois ou l’autre
bouché, nous pouvons le garder ainsi à moins qu’on ne profite des travaux de
rénovation / réhabilitation pour en mettre une -(de colonne)- au même endroit
et d’un diamètre plus gros / grand –(ce qui s’est révélé, à la longue, ne pas
être nécessaire – cependant que dans les immeubles plus récents, soit ceux
qu’on bâtit de nos jours -[vendus]- neufs à peine construits, voire en cours de
construction -(notemment grâce à l’appartement
témoin), permettez-moi de vous conseiller de les réaliser -[même si ces
nouveaux immeubles sont plus petits que la taille de notre immeuble], avec une
colonne d’évacuation de l’eau d’un diamètre plus important – voire pouvant
aller jusqu’au double, donc de la prévoir plus grosse / large cette colonne
comme l’arrivée de l’eau par/avec/et son tuyau. Cela pourrait permettre à la
partie qui évacue en début de tuyau-colonne la cuvette des W. C. d’être d’un
diamètre plus large aussi, ce qui éviterait qu’ils ne se bouchent).
[13] Ou » SPOK «, celui des appartements liés à
l’empilement de ceux-ci au-dessous et au-dessus de l’appartement n°49 où je
vis, lui aussi soumis à pareil traitement.
[14]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/florence_berthout_02.htm
[15] http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/florence_berthout.htm
[16] J’en parle aussi à notre voisin Monsieur Fabrice
Didier : voir :
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/fabrice_didier_07032021.html
[17] -(car je ne me
souvenais pas exactement ayant eu mille choses à faire depuis le moment où
j’avais eu à les compter -(ces pas). C’est l’une des causes des réponses
approximatives le nombre de choses que nous ayons à traiter / réaliser)-
[18] -(pour une personne qui
n’est pas handicapée des jambes et qui mesure un mètre soixante-quinze cm)-
[19] -(ces nombres de pas en
plus à faire à l’aller -(comme au retour)- pour rejoindre l’entrée des W. C.
dans chacun des appartements de mon empilement)-
[20] -(celui qui a dessiné
et construit cet immeuble dont il a été longtemps considéré comme responsable)-
[21] On comprend que le cagibi / placard ait été mis
à l’entrée -(car si on
ne quitte pas son appartement c’est l’endroit où on ne se rend pas souvent
durant la journée : une sorte de mini grenier au fin fond de l’appartement :
à sa sortie)- car l’entrée est au bout du
couloir, l’endroit le plus éloigné du lit matrimonial dessiné dans la chambre
du fond où je m’occupe. Ce qui fait que si les travaux ont lieu, je vais avoir
au lieu de quinze pas continuellement à faire au moins ces vingt-sept pas -(au
lieu à l’heure actuelle de quinze)- plusieurs fois par jour et une fois âgé
cela court le danger des probabilités à être trente cinq à quarante pas sans
compter ceux à l’intérieur de la salle d’eau pour rejoindre plus spécialement
le W. C. , le lavabo et la douche non/plus aérés naturellement ni éclairée par
la lumière naturelle du soleil (comme c’est le SPOK/ cas … actuellement grâce à
l’espèce de lucarne-hublot carré[e] conçue pour ça) – ainsi les W.C. le lavabo
et la douche seront dans un espace tout sombre / fermé : le cagibi, perdu
et transformé, avec une partie de la cuisine à cette effet de salle d’eau, avec
toutes ses superficies de rangement en moins / perdues elles aussi : un cauchemar
qui nous contraindra à devoir nous séparer de beaucoup de choses auxquelles
nous tenions puisque nous n’aurons plus cet espace de rangement si essentiel :
fondamental, fécond, si absolument nécessaire et utile) !
[22] -(je n’ai pas encore
consulté les plans qui vous ont été à vous autres proposés dans des empilements
différents du mien en nombre de pièces – mais j’ai une petite idée depuis que
j’ai visité l’appartement témoin et l’appartement au-dessus qui n’avait pas été
rénové pour nous faciliter la comparaison et pour nous faire évidemment
préférer l’appartement témoin en nous forçant ainsi -[un peu/beaucoup]- la main)-
[23] -(si on y pense pour en
rechercher les avantages qu’elle offre et non seulement les inconvénients)-
[24] -(ce qui ferait donc
gagner l’espace du lavabo -[à ne plus avoir à poser], l’évier de la cuisine
faisant lavabo. Donc un espace tout bien compté à première[s] vue[s] en plus de
gagné, cependant que la cuisine est devenue un lieu de passage. Pourquoi
pas ? Dans le cas d’un.e
célibataire ? Elle est bien –[cette cuisine]-
dans le deux pièces que j’occupe, le lieux où je m’habille pour sortir –[car il
n’y a pas assez de place dans le couloir]- et quand je fais à manger, il est
rare que j’ai à me vêtir, si ce n’est pour aller de toute urgence acheter un
ingrédient qui me manque. Cependant qu’à partir de ce moment, je ne suis plus
celui qui fai[sai]t à
manger, mais celui qui doit aller faire des courses …)
[25] -(mais j’ai eu des
personnes me disant qu’ils s’y rendaient au moins dix fois par jour !
Aussi quelle[s] peine[s] ce sera supplémentairement à celles qui sont déjà les
leurs)-
[26] -[comme je crois ici
nous essayons de le faire en ne prenant préférablement pas le risque / danger
d’y toucher ou/et de changer les plans actuels car la situation actuelle est le
résultat d’une pensée au départ des plus justes et bonnes, celle d’un
architecte quelque peu visionnaire / prophète ayant été contraint par son
métier de se projeter dans l’avenir]–
[27] -[à un moment pénible
et difficile de mon existence]-
[28] -(qui, vous l’avez
compris, pourrait pour chacun de nous, voire seulement quelques-uns –[ce qui
est déjà trop]- tourner au véritable -[continuel / jusqu’à ce que mort s’en
suive]- cauchemar d’autant plus de l’augmentation de ce que nous aurons à
dépenser tous les mois en plus)-
[29] -(si vous ne vous y
opposez pas comme moi de façon préférable pour tous, mais surtout pour les locataires
au-dessus et au-dessous de mon appartement, ces appartements construits -[à l’exception de celui du premier étage dans l’empilement
qui concerne le deux pièces ou je vis], sur le même
modèle)-
[30] -(au sens de +)-