Message
envoyé à Jean sur/avec facebook le 18 Nov 2020 car je ne suis pas parvenu à le
lui envoyer avec Linkedin, c’est pour lui annoncer le texte qui suit quand je
l’aurais CARE 14.
Cher
Jean,
Bonsoir,
j'espère que tout va bien pour toi.
Comme
promis je vais t'envoyer le texte auquel je pensai en guise de pièce jointe à
un second message que je compte t'envoyer depuis mon adresse e.mail sur ton
adresse e.mail. En fait un texte que j'ai écrit -(depuis que nous nous sommes
croisés rue Soufflot)- pour l'occasion et que je dois relire et corriger une
fois encore ce soir et demain.
Merci
de comprendre que je serai plus sûr de t'envoyer ce texte sur ton adresse
e.mail car ici je ne suis parvenu qu'après de grandes difficultés et je
commence seulement à découvrir depuis quelques minutes -(j'ai eu du mal à
m'inscrire et à te trouver - j'ai dû m'y reprendre -[à]- plusieurs fois)-
Linkedin, ce dont j'ai pris connaissance en passant par ton site -([tous] mes
compliments!)- pour rechercher comment t'écrire comme nous l'avions convenu et
je passe par ici parce que je ne veux pas te déranger au/par téléphone pour te
demander ton/cette adresse e.mail.
Par
sécurité pour ce texte je ne veux pas utiliser cette messagerie (car c'est ici
mon premier message avec et ne suis pas sûr que tu vas le recevoir. C'est que,
novice, je ne suis pas encore très sûr de réussir à t'envoyer le texte en
question par cette voie comme que tu recevras ce message. Aussi je préfère que
tu me donnes ton adresse e.mail. Merci de comprendre.
Alors
peux-tu avoir la gentillesse de m'envoyer ton adresse e.mail à
laurentmariegranier@gmail.com pour que je te fasse avoir ce texte quand il sera
au point.
Merci.
Laurie.
CARE
14
Pa
Bien
cher Jean,
J’ai
été de nouveau très heureux de te croiser rue Soufflot, et récemment encore
chez la marchande de légumes, donc de te retrouver dans notre quartier[1]
et comme promis, je t’envoie pour ton Noël quelques informations me concernant
qui pourraient[2] t’être
utiles dans l’espoir qu’après lecture tu veuilles m’aider à changer quelques
points importants / fondamentaux[3]
pour faciliter les travaux des générations à venir
qui
bénéficieraient enfin de ma solution alternative élégante toutes les cinq
heures de la Vision d’une heure de[4]
très saint paradis[5].
D’abord
les cadeaux -(que tu pourras garder pour la fin)- pour te remercier de
tout cœur du temps que tu pourras consacrer à ce texte que tu lis: un rappel
d’un film déjà ancien que j’ai scénarisé, produit, réalisé, distribué, cadré,
monté, mis-en-scène, etc. enfin accessibles à tous sur Internet, au point que, s’il te plaît toujours[6]
tu pourrais le faire connaître à tes relations les plus chères -(en leur
envoyant le laurYen[7] suivant:
https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk
vers l’intégralité de ce film à découvrir et/ou à
revoir totalement gratuit -(malgré les coûts qu’il a représenté)- depuis que
j’ai eu l’honneur[8] de le
publier moi-même sur You tube) : il s’agit de La
Momie à Mi-Mots[9] -(sortie en salle en 1996), voire que
tu pourrais faire découvrir ainsi à tes relations et bien sûr à ta femme Lucie
-(que je salue -[avec Michèle qui se joint à moi, car elle se souvient de nous
à Tourrettes-sur-Loup)- à qui nous en avons[10]
parlé, voire à ta fille
et à ses amis -(c’est aussi un film pour les enfants).
Puis
te donner des nouvelles plus récentes avec cette série de pastels signés par l’un ou/et
l’autre de mes pseudonymes[11]
-(ils sont plus récents
que
la série des tableaux-partitions[12]
pour le piano peint de Michèle -(Finck).
Ce
sont des recherches picturales, faites en parallèle de mes vidéo-nuages-diaporamas[13]
qui ont débouchées sur bien des découvertes dont la vidéo suivante traite un
peu car le début est une vidéOrangeArt[14]
-(à, si possible, regarder le plus loin
possible de l’écran, si tu agrandis la fenêtre You tube pour découvrir le contenu de cette vidéo sur la surface
entière de ton écran ou alors, (ce qui est
préférable pour ne pas trop devoir s’éloigner de l’écran)- pour découvrir cette vidéo, en réduisant la fenêtre You tube à un format de petite taille
sur ton écran. Cela crée ainsi une forme de distance nécessaire pour, avec ce
recul artificiellement obtenu ainsi, voir globalement les représentations qui
sont révélées et qui prouvent sur ce point aussi l’existence du très saint
paradis, soit celui d’avant la très grande catastrophe qui a été aussi à
l’origine de bien des scissions[15]
dans[16]
le genre humain, cependant qu’elles furent à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -[H. A.
H.] – ce qui n’est pas rien à l’aune de la quantité de solutions alternatives élégantes -(S.A.É.)- apparues pour nous
désennuyer en attendant que la paix universelle revienne, cependant que nous
avons perdu depuis ce jour-là la vision du très
saint paradis[17],
soit celle d’Ôz[18]
qui nous a été dévoilé[e] cinq secondes en 1995. Peut-être ne l’as-tu pas vue,
car ce jour-là, à cette heure-là, tu dormais comme beaucoup d’autres, cependant
cette Vision est apparue à mes yeux et j’ai donc pu constater que le variateur
de la vision du très saint paradis que j’appelle T.G.V. -(très grand variateur)- fonctionne toujours, du
moins a fonctionné en 1995 cinq secondes ce qui m’a permis de me faire une idée
précise du très saint paradis : [en vérité]- admirabilissimis…simissime,
vraiment divinissimis…simissime et c’est très peu dire tant c’est très
véritablement beau et, bien sûr, plus que cela. Si tu veux, tu
apprendras ailleurs[19]
-(dans ma
lettre aux Papes[20]
et aux
Présidents de la République française, voire celle au
Cardinal Vingt-Trois[21]
- dont je te mets aussi les laurYens plus bas
- en chantier[s])- pourquoi
cette
vision du très saint paradis a disparu[22]
au bout de cinq secondes).
Cette
videOrangeArt est suivie d’un de mes
premiers butterArt pour réaliser une
de mes cheesOmelettArt -(donc une
vidéo expérimentale pour essayer de dévoiler / partager / prouver que la vision
du très-saint-paradis[23]
existe
toujours au moins à mi-mots
-(comme en filigrane). Elle est
là dans des choses de tous les jours, parfois même les plus simples,
comme peut être une / cette simple orange pelée
-(en la peaufinant à cette fin de la contempler en vidéo, ce qui augmente un
peu la réalité, tout juste ce qu’il faut pour nous émerveiller une fois de plus
sur un des éléments -[de la Création]– qui nous avait échappé à nos yeux de
tous les autres jours. Oui, il apparait dans l’Histoire de l’Art[24]
que j’ai été le premier dans l’Histoire de la Photographie[25]
à faire cette découverte sur certaines variétés d’orange[s], au point, depuis
lors, en me soumettant à la loi de la Quantité et de la Rareté, d’envisager
cela d’une manière plus industrielle[26]
pour que ça[27] ne soit
plus si rare, mais en continuant pour le moment ces découvertes de façon
artisanale –[après ma découverte de la première vidéOrangeArt originale]- bref,
d’en avoir tourné une série que j’entends devoir / avoir à partager le jour
venu avec qui voudra).
Ici une autre
vidéOrangeArt[28]
entièrement consacrée à une seule et même orange pelée / peaufinée -(néanmoins en images, il y en a vingt-cinq par
seconde de cette orange aux représentations ôziennes – relatives au plus véritable Magicien d’Ôz, [une de mes casquettes depuis 2005],
ou ce que je m’efforce d’être dans l’idée que j’ai de ce magicien d’Ôz[29]).
Une avant-première de cette série de vidéOranges -[sur des oranges
pelées]- que j’ai encore à publier[30].
Pour
cette vidéo, il convient aussi, pour voir apparaître l/ces représentations
sacrées -(il a fallu pour
les découvrir qu’à partir de 2005 je [re]devienne
–[comme en 1967 et à partir de 1977 -(une seule année dans les deux cas)]- un éveillé par acquis de conscience, soit un bouddhahs
pour faire la découverte / m’intéresser à la révélation de ces représentations
Ôziennes, ce qui permet de les
regarder à l’intérieur de la fenêtre You
Tube sans agrandir en entier la surface de cette vidéo comme quand on
clique en bas à droite -[du cadre contenant l’image]- sur la croix -(à moins, au contraire qu’en cliquant
dessus tu aies déployé les images de la
vidéo d’un seul coup sur la totalité de l’écran et qu’à cause de cela, pour
voir ces représentations, il faudra te mettre le plus loin possible de
l’écran), par conséquent en réduisant à une
taille plus petite cette fenêtre You tube
sur l’écran de l’ordi et ainsi découvrir cette vidéo en petit comme si on
bénéficiait d’un plus grand recul –[ou de regarder cette vidéOrangeArt sur l’écran
d’un smart phone. Ce qui est une
méthode pour créer le recul qui est, en pareil cas, nécessaire / juste de
s’imposer]-, ce qui permet alors de mieux distinguer les
représentations ôziennes du paradis
un petit peu plus retrouvé sur ce point).
Permets-moi
aussi de te conseiller d’utiliser la fonction » pause « quand tu
voudras[31]
car
même si l’image tourne sur elle-même, et cela à l’une des vitesses
proposées, les représentations -(quelques fois figuratives)- se révèlent plus
certainement à l’esprit si, avec l’aide de l’arrêt sur image, on prend le temps
de les voir apparaître le plus souvent dans la dimension macroscopique -(qui
nécessite, au préalable, un certain temps d’adaptation et/ou d’observations
pour la rejoindre et alors voir plus clairement[32]
se dessiner ces représentations originales)- en utilisant la solution alternative élégante[33]
de la pause.
Si,
au contraire, tu tiens à regarder ces séquences déployées en entier sur ton
écran, permets-moi encore une fois de te conseiller / rappeler -(surtout pour
les séquences de ma vidéo sur l’eanmeailleurs, une recette végétarienne promise
à de l’avenir)- de te mettre le plus loin possible de ton écran, car si tu es
trop près de l’écran, tu ne verras pas grand-chose de ces
représentations pourtant « incroyables mais vraies » en raison
de la distance à partir de laquelle on peut les apprécier, parce que ces à-première-vue
abstractions ne se révèlent qu’alors -(avec la distance)- des éléments de
figurations parfois significatifs.
Le
mieux est donc, tout/s compte[s] fait[s], au contraire, une fois clioqué[34]
-(je voulais écrire » cliqué)- dessus –(sur le laurYen[35])-
pour réduire la fenêtre You tube à l’intérieur de ton écran, voire de regarder ces
séquences au format de la fenêtre You
tube quand elle s’ouvre par défaut comme / quand elle apparaît après avoir
cliqué sur le laurYen qui y mène).
Pour
voir apparaître les représentations Ôziennes -(soit celles du très
saint-paradis d’avant la très grande catastrophe, soit celles qu’on peut
considérer être
d’Artlantide[36]
© retrouvée du moins ainsi en partie, voire avec ses sortes de
synonymes : Ôz, Eden, Arcadie,
et bien sûr Schroumpfs, etc. . Il
faut être sur le qui-vive et regarder dans les détails. Soudain quand on voit
apparaître ces -(l’une ou l’autre)- représentations -(parfois
anthropomorphiques)- naturelles, il conviendra d’utiliser la fonction »
pause « pour en profiter le maximum, non plus en tant que vidéo archivant,
mais en tant que photo – arrêt-sur-image oblige.
Si
tu as du temps comme contemplatif, je te propose la découverte d’une de mes
recettes végétariennes -(dont je suis l’auteur avec l’aide du Saint-Esprit),
celle de l’eanmeailleurs[37]
dont tu trouveras la recette ici[38].
Enfin
je te propose un ou deux laurYens[39]
concernant mes écrits -(un peu longs tant ce qui s’est passé fut exceptionnel –
tu trouveras une sorte de résumé ici dans ma lettre à Macron[40]
en 2017. Elle est peu
CARÉ[41]
donc corrigée, etc. car elle date des jours proches de mon ultime
hospitalisation en avril 2017, quand j’étais alors plus que martyrisé par les
médicaments. En l’ayant relue -(sans la corriger car elle est publiée en
l’état)- ce n’est pas trente ans
mais[42]
c’est, en étant plus précis,
vingt-sept ans
-(ce qui est par moment déjà inscrit car j’ai, à l’époque de la publication de
cette lettre sur mon site, un peu CARÉ
ce message)- et mes interventions à
travers Espace et Temps ne furent pas à partir de 2005 vers les années 1965 et
suivantes mais à partir de 2005 vers les années 1967 et suivantes et vers 1977
et suivantes -(il faudra
donc un jour que je CARÉ/corrige, etc., systématiquement mes textes pour donner
plus exactement les dates qui, dans le passé, sont/furent synchrones avec 2005
et les années qui suivirent. Cela je l’ai peu à peu déterminé avec plus
d’exactitude plus, à partir de 2013 et 2017, mon auto-psychanalyse avançait, en
même temps que le sevrage définitif des neuroleptiques qu’on m’avait contraint
et forcé de prendre).
Cette
lettre à M. le Président de la République Emmanuel Macron résume ce qui s’est
passé pour nous tous entre 2005 et 2013 -(soit à partir de 1967 et années
suivantes et à partir de 1977 et années suivantes quand je suis apparu
acoustiquement –[dans les années 1967 et suivantes]- et enfin vu et entendu
immense dans le ciel de Rome 1977 –[au moins
trois mille mètres de haut, voire sur un autre plan dix mille mètres de hauteur
et constitué de nuages]- et années suivantes alors que j’intervenais d’avance
depuis les années 2005 et suivantes).
Je
cherche à publier ces textes » incroyables mais vrais « pour l’instant,
tu le verras en toute transparence et amitié, soit en toute confiance, à l’état de brouillon -(par conséquent non relus
suffisemment car depuis ma sortie de l’hôpital en mai 2017, j’ai pris
l’habitude de ne publier que ce qui est CARÉ au moins neuf fois -(corrigé, augmenté, relu, etc,)-
tant j’ai le soucis de clarté et de transparence). Il s’agit de ma
lettre aux Papes (dont le Pape émérite) et de celle aux
Présidents de la République. Il y a aussi la
lettre au Cardinal Vingt-Trois – tout cela pourrait devenir le
scénario d’un de mes prochains films pour lequel je recherche un/des
producteurs y compris pour produire l’adaptation de cette extraordinaire
expérience à l’écran à partir de ces textes et d’autres encore qui attendent
d’être publiés au moins sur Internet.
Il
y a aussi, à cause du choc pétrolier, des considérations économiques dont j’ai
fait part à ces hommes publics -(ci-dessus)- parce qu’en 2014 nous courrions
vers la fin de la Création, soit vers une forme d’apocalypse tant le prix du
pétrole était devenu inabordable -(à plus de cent onze dollars). C’est à partir
de cette date, alors que j’écrivais ces lettres aux présidents de la République
et aux Papes -(dont celui émérite)- que tout en les écrivant j’ai peu à peu
découvert avoir réussi, par ces considérations économiques véritables les plus
exactes, à faire enfin baisser le prix du baril de pétrole -(car à plus de 111 dollars le baril le soleil menaçait
d’imploser, voire autrement d’exploser, voire les deux en même temps, étant
donné les
répercussions[43]
qu’ont
ces augmentations des prix du baril de pétrole sur l’ensemble des
prix dont, hélas, celui des produits de premières nécessités, ce qui est -(ces
augmentations du prix du pétrole depuis 1973)- donc l’origine[44]
de la misère et de la pauvreté matérielle en ce monde. C’est pourquoi
quand j’ai diagnostiqué cela vers 1977 alors qu’apparaissait -[dans le ciel de
Rome][45]
une extension de ma personne[46],
j’ai alors proposé le remède[47]
pour sortir de la crise: il était impératif pour se sentir mieux en commençant
à améliorer la situation matérielle de chacun d’entre nous sans exception de
baisser le prix du baril de pétrole à un centime de dollar le baril, voire à
mieux encore : 0,01 centimes de dollar le baril -(alors qu’au
même moment, dans le ciel, j’allais entre autres dicter à moi-même vingt-sept
ans plus jeune la géolocalisation de plus de 50 % des réserves actuelles de
pétrole)- pour redonner du pouvoir d’achat au dollar et offrir à tous sans
exception la gratuité sur tous les produits de première nécessité, mais aussi
sur la plupart des superflus en ayant pour effet de résorber le chômage et en
faisant disparaître la pauvreté et la misère matérielle de toute la surface de
notre planète dans l’heure suivante cet important / vital ajustement économique[48]
qui aurait aussi pour conséquences de faciliter la Civilisation de la
Mondialisation des Échanges que nous étions entrain de continuer à bâtir).
En effet tu comprendras
aisément -(tu sais ça toi depuis longtemps, bien sûr)- que chacun des prix
existant en ce monde est conditionné par le prix du baril de pétrole et -(donc)-
par le montant des dépenses pour transporter toutes les matières premières,
secondes, troisièmes et énièmes prises en compte pour calvuler, pardon
calculer, les prix de revient de ces produits qui sont souvent des produits
bénéficiant d’étapes pour les assembler à partir de ces matières premières
transformées en matières secondes, ou/et troisièmes, voire septièmes, voire énièmes, ce qui permet
/ légitimise -(au sens de rendre légitime)- de donner une taxe de valeur
ajoutée à chacun des produits après chacune des étapes, d’autant plus
importantes que ces produits ne seraient pas éthiques à 100%, voire qu’ils sont
à l’origine de problèmes -(tabac, viande animale provenant d’A.P.I. – animaux pacifiques et inoffensifs
-[herbivores quadrupèdes (APIQH)], poissons sans dents, volaille, alcools, etc.
).
En
effet le prix de n’importe quel objet industriel ou artisanal, c’est ce qu’il
coûte à réaliser, son prix de revient, divisé par le nombre
d’exemplaires[49]
dont
on est certain qu’ils seront vendus
-(ce qui est particulièrement difficile à prophétiser / prévoir[50]
de façon certaine dans ce contexte de crise économique et de concurrence très
grande[51],
bien que sur le plan des Arts et sciences de l’Art comme la Peinture et
l’Écriture, etc. , c’est-à-dire de la Pensée l’artiste soit, théoriquement,
seul à peindre / écrire ainsi[52]),
ce
qui signifie des coûts qui,
pour être ceux qu’ils sont, ont exigé les dépenses des patrons des entreprises
pour payer chacun des intervenants ouvriers, cadres, commerciaux, etc. qui[53]
sont à ce point vitaux et demandent naturellement à être payés -(car ils
ont des dépenses à faire pour [sur]vivre)- pour pouvoir acheter ce dont ils ont
besoin pour vivre -(chacun étant payé à la mesure de ses
responsabilités et en fonction de l’offre et de la quantité des êtres humains
aussi compétents -[sur le marché du travail]— pour honorer[54]
ces responsabilités)- à différents titres -(professionnel ou/et pour des raisons
particulières, privées, voire autre[s] condition[s] : artiste à leurs
heures, etc.), soit pour acheter des produits
qui, [chacun], ont/a nécessité de prendre en compte le prix des transports pour
les acheminer partout où il y a Demande.
Or
l’augmentation du prix du baril de pétrole se répercute sur chacun des prix,
même des produits les plus demandés, donc finalement produits en très grande
quantité -(comme tous ceux de première nécessité), ce qui fait parfois un peu
baisser les prix de ces produits pour en faire profiter le consommateur -(les
demandeurs)- qui ainsi bénéficie[nt] de
cette très grande quantité produite -(qui, parce qu’elle est toujours la même
-(comme des photocopies), voire pour d’autres raisons de grossiste, peut être
proposée en fin de compte, moins chère,
onéreuse, coûteuse[55],
ce qui fait donc, dans
certains
SPOK[56]
baisser les
prix de ces produits, mais seulement jusqu’au prix minimal
qu’ils atteignent -(car ils ne peuvent pas baisser plus bas à cause de toutes
les dépenses pour les transporter et les réaliser[57]
car ils sont le résultat de toutes les dépenses et des économies des patrons
pour les produire, soit du prix de revient le plus bas pour les élaborer -[ces
produits], même déclinés / produits en immense quantité -(Attention ! De
l’être trop peut être à l’origine de braderie, en raison des coûts pour les stocker
qui en augmentent le prix et de la Demande qui n’a pas été au rendez-vous de
l’Offre)- ce qui permet d’arriver ainsi au prix plancher. Cependant que si nous
n’étions pas dans un contexte de crise économique depuis 1973 –[le choc
pétrolier]- ces produits pourraient être fabriqués en plus grande quantité
encore car dans le contexte actuel, il y a un moment où ils ne trouvent plus
d’acheteurs, étant donné que le pouvoir d’achat a diminué à cause de la hausse
du prix du baril de pétrole et à cause de cela le niveau de vie aussi. Ce sont
bien ces points / facteurs -(Niveau de Vie et Pouvoir d’Achat)- qui déterminent
le nombre de ceux qui pourront s’offrir les produits en question. Aussi il y a
ce prix plancher pour une chose neuve qui ne pourra qu’extrêmement rarement
voir son prix baisser plus bas
N.
B. : Suite après le paragraphe ci-dessous :
–[(sauf
dans le cas particulier de braderie et/ou de vraies soldes ou/et quand ces
produits sont, par exemple, proposés en seconde main, voire en troisième main,
etc. , ce qui n’est plus bénéficier d’une chose neuve, d’un produit neuf – ce
qui devrait être un droit, ne serait-ce que par hygiène. Mais la crise
économique mondiale -(à cause de la hausse du
prix du baril de pétrole étant
à l’origine de la perte du pouvoir d’achat et de la plupart des autres
calamités, dont la baisse du niveau de vie et de nombreuses maladies), a été à l’origine du développement de ces solutions alternatives élégantes
-(S. A. É.)- des délocalisations des entreprises et des seconde-main, voire
troisième-main, etc. , des pis-aller cependant qui permettent à certains de
finalement accéder aux produits -[de leurs rêves]- qu’ils convoitaient ou/et
espéraient avoir, cependant que ces derniers ne seront pas neufs, ce qui peut
être considéré -[par certains du moins dans le
plus ou moins à-peu-près-vrai/faux. Ici c’est, tu le sais, selon les paramètres
dont on veut honnêtement ou pas tenir compte]- comme
une très véritable perte)]-
et qui est à ce prix
parce que celui qui en est responsable -(qui l’a produit et proposé sur les
marchés)- a réussi à le fabriquer le moins cher possible, parce qu’il a, par
exemple, pour cela délocalisé son entreprise de fabrication vers/dans des
rRégions -(nations)- où le niveau de vie est beaucoup plus faible que dans les
pays considérés plus développés -(ce qui est une des raisons du chômage pas
seulement dans ces pays dits » industrialisés « ou plus »
riches » qui composent le G7). Et chacune des dépenses faite[s] a/ont pour
origine le prix des transports -(qui fluctue en fonction du prix du baril de
pétrole)- et quelques autres dépenses -(de choses qui, qu’on le veuille ou non,
dépendent en fait elles aussi, [hélas pour la
grande majorité d’entre elles – sauf, à-première-vue[s] seulement, les produits
gratuits] - du prix du baril de pétrole.
Cependant
qu’une chose gratuite est dans les détails
N.
B. : Suite après le petit paragraphe ci-dessous :
-(je
le sais et l’ai prouvé / vérifié avec La
Momie à Mi-Mots[58]
comme avec les vidéos que je produis, réalise et publie et etc. depuis sur
Internet, comme mes photos sur Instagram
visibles à lauriegranier[59])-
dépendante elle aussi -(pour être réalisée – ce qui exige des dépenses en
amont comme en aval)- de revenus financiers propres et mérités de droit – RFPMD
– ce qui, dans mon cas, a été possible grâce à la fortune de mes parents qui
devinrent malgré eux, dans les faits, comme des co-producteurs, alors qu’en
réalité de tout cœur donateurs n’attendant, financièrement parlant, aucune
contre-partie[s] en échange. Cela a donc été produit grâce au réinvestissement
dans ces œuvres -(avec l’argent de ma famille,
voire le soutien financier indirecte de ma fiancée Michèle)- d’une partie des allocations du revenu minimum d’insertion
N. B. : Suite après le paragraphe ci-dessous :
-(RMI)
-(apportée en contribution et obtenue parce que nous avons fait –[avec
l’assistante sociale]- comme si il s’agissait, avec moi produisant, réalisant
et distribuant ce film écrit et storyboardé,
de sortes de stages et/ou formes d’apprentissages pour obtenir, grâce au
résultat, la maîtrise des différentes compétences nécessaires pour exercer mon
futur métier de producteur réalisateur distributeur, etc. de films au sein de Lorimage – société que j’ai eu alors à
fonder pour réaliser La Momie à Mi-Mots
grâce à une subvention de départ du G. R. E. C.[60]
me rendant, après avoir sélectionné mon scénario, « seul responsable
administratif, financier et artistique », etc. de ce film.
Depuis
les années 2010 alors que la priorité pour nous tous depuis 2005 était mes
interventions quotidiennes à travers Espace et Temps, j’ai été contraint -(par
manque de temps et de moyens pour m’y consacrer et parce que je n’ai pas trouvé
d’associé)- de clore / fermer Lorimage,
cependant qu’en modifiant un peu son site en le faisant devenir mon site perso,
j’ai continué, quand j’ai le temps, à faire un peu vivre ce nom)-
N.
B. : ce qui suit ci-dessous est la suite d’avant le début du paragraphe
ci-dessus.
et l’aide au logement,
voire ensuite celui -(de revenu)- de Solidarité Active, et enfin depuis 2013,
les subventions d’Adulte Handicapé –[A. H.])- (par conséquent apportés, ces moyens financiers propres et mérités de droit –[M.F.P.M.D.]- en tant que part production et distribution,
donc financièrement estimables -[au sens d’évaluables])- tout cela bien entendu
pour être les bouts de chandelle que ces MFPMD représentent dépendant du prix
du baril de pétrole, y compris la plupart des éléments pour réaliser cette œuvre
N. B. : Suite après les deux paragraphes ci-dessous :
-(en
fait celle-ci est -[tous comptes faits]- souvent une matière énième –[soit un nombre entier dépendant de comment on
compte, soit de ce qu’on prend en compte / considération comme étape[s] de
transformation, métamorphose du produit]- qui
sur d’autres plans –[dans d’autres conditions]- pourra devenir logiquement
-[c’est-à-dire de manière cohérente]- une matière première. Aussi on comprend
que l’élaboration d’un texte ou/et d’un film ou/et d’une œuvre d’Art, comme
d’autres produits représente une organisation –[au sens d’assemblage]- de
différentes matières premières pour qu’elles deviennent une matière seconde, ou
troisième, voire énième si on apporte à cette fin de les réunir –[assembler]-
plus ou moins de nombreuses autres matières premières ou/et secondes ou/et
troisième, voire plus : énièmes aux précédentes
-(nous l’avons vu dans l’exemple de l’automobile équipée d’une radio et d’un
lecteur DVD)- matières premières –[pour un texte se seront
les mots qu’on va employer qui sont cette matière première –(alors que certains
mots sont seulement sous cet angle des matières secondes, voire troisièmes
–[par exemple, au départ la mat[ière] première du mot français »
mathématique « est en fait, au départ, la matière sonore du hiéroglyphe
égyptien -(Maât[61]),
qui devient en grec une matière seconde -(et, de fil[s] en aiguille[s], de
nouveau une matière première)- avec le mot μαθηματικός -(mathêmatikós)- dans lequel il apparait -(presque le même, à
un » â « près)- deux fois et
qui, aux dires du Wiktionnaire
signifie » initié « - provenant du mot » mathêma « [non loin du mot » baptême «]-
(μάθημα, « qui
signifie »
leçon «, » savoir « -(la plus véritable connaissance
dépendant de la vérité, soit de l’accès à la conscience en soi : la
lumière). En latin la matière troisième -(et, de fil en aiguille, de nouveau
une matière première) : mathematicus -(qui signifie -[toujours dans/avec le
Wiktionnaire]- » qui aime apprendre
« ce qui n’est pas loin de la notion » d’initier à « car sans
apprentissage[s] -(divers), sans initiation[s] comment continuer à apprendre,
savoir, rechercher la Vérité ? Les
leçons sont donc indispensables), avant
d’être la matière quatrième -(elle aussi de fil en aiguille, de nouveau une
matière première)- du mot » mathématique « en français -(autrement
dit » calcul « ou pour reprendre la définition du
Wiktionnaire » qui a trait aux sciences mathématiques «, soit
aux sciences exactes). Donc au départ un mot et un son » maât « ayant donné du sens en
égyptien désignant des perspectives sacrées
-(qu’on comprend être liées aux notions «» d’équité, de paix, de vérité et
de justice «», finalement liées de nos jours, dans de nombreuses langues
employant à peu de choses près les sons de ce mot de »mathématique
«, comme synonyme de vrai, exacte, juste, scientifique cependant que
toutes ces vérités exactes, vraies ne le sont souvent que relativement -(des
vérités relatives)- mais en liaison avec ces
notions d’initiation / apprentissage aux meilleurs calculs)- en raison de ce que signifie Maât -(cependant il nous
manque de savoir d’où vient cette matière première / sonore de Maât, de quel
idiome ou dialecte local de l’Egypte antique, à quel moment cela apparaît dans
l’histoire de l’aventure humaine -(H. A.
H.)- et finalement de quel auteur génial ? Aussi ce mot et cette matière
sonore de » maât « n’est pas seulement une matière première, mais
peut être considérée déjà à l’origine une matière énième avant d’avoir signifié
en égyptien ce sur quoi se fonde à mi-mots -(au
sens » d’entre les lignes «)- le sens de ce mot de » mathématique
« dans la Grèce ancienne -(où le sens de cette syllabe égyptienne
s’enrichit du point de vue d’un égyptien car en devant la notion d’initié cela
confirme qu’on doit être initié pour servir l’équité, la paix, la vérité et la
justice -(d’où le sacrement du baptême à cet effet). Enfin qu’il s’agit avec
ces dérivés de maât -(dans lesquels cette syllabe est comme répétée deux fois –
mathématiquement - comme pour confirmer que ces notions d’équité, de vérité,
etc. existent très véritablement pour rassurer comme pour enjoindre à apprendre
des leçons pour y parvenir, ce qui sera le point de vue de cette égyptien en
entendant ce son durant l’empire romain et enfin en France encore à notre
époque employé –(il y a eu ici continuation sonore, fidélité à ce son de maât,
au point d’être employé par deux fois dans le même mot -(mathématique)-
et d’en avoir ainsi renforcé et confirmé le sens tout au long des
millénaires pour nous parler de vérité et donc, par extension,
d’exactitude ! Comme une perspective, un conseil » aimer apprendre
« mais aussi avant un cours, une conférence, un projet : la
démonstration de ce qui est préférable de choisir par ipposition
-(ipposition ?), pardon opposition à son contraire : le mensonge,
(qui est souvent à l’origine du désordre)- le désordre, (qui est souvent
l’origine du chaos)- le chaos, etc. Le sens du mot » maât « s’étant
approfondi jusqu’à revêtir les très nombreux aspects ou/et spécialités et/ou
usages de cette science des mathématiques à notre époque : plusieurs univers de sciences
distinctes, avec de très
nombreuses choses différentes reliées à ce mot, ce son et cette plume de maât,
synonyme de vérité)].
Pour
un film ce sont chacun des plans tournés qui sont les/des matières premières -(constituées au sens de construites, élaborées,
prises / données / obtenues –(grâce à la mise en scène – une organisation de
l’espace à partir d’éléments distincts - pour un film)- au cours du tournage.
Un tournage sert donc à fabriquer à partir des images et des sons de la matière
première pour le montage et la réalisation d’un film -(ou/et d’une vidéo)- qui
peut aussi dépendre de la matière énième d’un commentaire -(un texte élaboré de nombreuses fois donc CARÉ -[acronyme
de corrigé, augmenté, relu, résumé [ré]élaboré]- le nombre
de fois qu’on jugera nécessaire avant de le lire / réciter, enregistrer)- ou d’un dialogue, etc. mais aussi de la matière énième
d’une musique -(chacune des notes sur les
portées interprétée étant avec les instruments -(parfois des matières énièmes
devenu[e]s matières premières)- et les musiciens et le chef d’orchestre -(si il
y a)- la matière première)- qui une fois écrite
ou/et improvisée, du moins interprétée et enregistrée est une autre matière
première du montage – si ce film devait avoir à recourir à l’accompagnement
musical ou/et celui du commentaire et/ou des bruitages, [d’autres matières
premières pouvant devenir matières énièmes, si nombreux -(les bruits à
mixer)])- qui, ces -(en réalité)- matières
énièmes -(ces matières premières d’images), une fois montées en [con]séquences
-(lire ici le mot » séquence « et puis le mot de » conséquence «
pour y réfléchir)- deviennent des matières secondes ou plus. Le film étant en
général, à cause du nombre de plans / séquences à être considéré une matière énième,
[comme peut l’être le contenu d’un tableau, d’une mosaïque, d’une sculpture,
d’une chorégraphie, d’un édifice original, etc.]- cependant ces matières
énièmes redeviennent de la matière première -(au sens de sujet)- de «» la
matière à penser «» ou à discuter -(voire de citations : les phrases,
comme les portées de notes en musique, comme les images, sont des matières
premières qui peuvent, par exemple, devenir l’objet de citations), voire la
matière première d’un moment plus ou moins agréable à vivre, voire la matière première
de tous les objets ou images dérivées -(au sens de » découlant [de]
«)- de ce film. Cela synifie, pardon signifie paradoxalement que dans
certains SPOK, matière première, matière seconde, matière troisième, etc.,
voire matière énième sont/seraient quasi synonymes -(au point que le chiffre 1
serait/est égal à deux, trois, quatre, etc. et à [l’]infini moins un, car énième exprime
toujours un nombre entier précis différent selon le produit : un plus ou
moins grand conglomérat
de matières différentes) !
N.
B. : suite de la fin du troisième paragraphe ci-dessus :
finalement offerte
gratuitement sur Internet sans attendre de contre-partie[s] autre[s] que
devenir un des aspects de « ma carte de visite », soit qu’on
considère son auteur compétant dans les différents domaines qu’il a dû
maîtriser pour arriver à produire, mettre-en-scène, … , tourner, monter,
réaliser, distribuer et/ou diffuser cette œuvre,
étant donné que pour la produire il a
fallu obtenir des subventions et/ou de l’aide en nature -(contre remerciements
au générique), ce qui, durant son élaboration comme après, fait consommer des
produits de premières nécessité -(dont les prix dépendent du prix du baril de
pétrole), procure des peines pour s’instruire à les formuler ces demandes de
subventions, par conséquent exige de se nourrir et à se loger jusqu’à ce moment-là
où on fera la demande de ces subventions ou/et crédits financiers propres et mérités de droit –
CFPMD. En réalité pour permettre à toutes les matières
-(accessoires comme personnel et/ou acteur, etc.)- dont
on va avoir besoin, d’être acquises / payées
-(car ces personnes qui les constituent doivent bien trouver de quoi vivre
durant ces moments où ils apportent leurs concours, savoir-faire / compétence
et cela même si certaines d’entre elles ont joué leur rôle bénévolement, donc
l’ont apporté comme un investissement personnel, ce qui peut être évalué
–[financièrement]- comme apport[s] –[ce que je fis dans une lettre à Ses
Altesses Impériales Ses Saintetés Sata[na!]nas les Sérénissimis…simissimes Princesses Carolyn
Carlson dans les années 2010 et suivantes]. Voire comme des à-valoir, si le
film rencontrait un succès commercial)- en
raison de ce qu’il faut dépenser du pétrole pour les acheminer / livrer -(ou
permettre à des tiers d’intervenir, ce qui représentera encore des dépenses de
pétrole, en réalité pour la moindre des choses / dépenses à faire, la grande
majorité de ces éléments est dépendant de chacune des hausses -(comme des
baisses)- du prix du baril de pétrole !).
Toutes
les hausses ou des baisses des prix ont pour origine le prix des transports et
avant lui le prix du baril de pétrole et c’est pareil pour le prix des
compétences car pour les obtenir il a fallu ici aussi des investissements, soit
ceux de l’Etat –[(qui, pour exister pleinement
ne le peut qu’en vertu du droit de la famille, c’est-à-dire des droits des
êtres humains, ce qui était considéré les Droits de l’Homme et qui est aussi,
bien sûr, le droit de la femme et de chacun des enfants dont le droit à la vie
privée a été, comme pour les adultes, reconnu officiellement dans la Confédération
de l’Union Européenne –[C. U. E.]- ces dernières années, ce
qui signifie que chacun d’entre ces enfants et des adultes ont, dès leur
respective naissance, le droit d’accès à des financements leur permettant
d’avoir de quoi vivre sainement[62]
. En effet les RFPMD -(revenus financiers propres et mérités de droit)- n’ont pas été inventés pour que
l’homme exploite l’homme, mais comme une solution alternative élégantes aux
échanges de produits et/ou compétences et cela pour permettre d’avoir au moins
de quoi survivre en tant qu’acheteur des biens de première nécessité, si on
choisit de se nourrir en végétariens en s’interdisant ainsi de faire du mal aux
A. P. I. -[animaux pacifiques et inoffensifs]- et en buvant -(de l’alcool)- sobrement de manière à
apporter son concours sainement, par exemple à l’une ou l’autre des
entreprises, en échange d’autres RFPMD)]- soit
d’une famille exemplaire -(sur son budget de fonctionnement)- la Sainte Famille
pour, par exemple, payer les transports de ceux qui enseignent ces compétences,
mais aussi plus simplement acheter les fournitures scolaires et/ou
universitaires -(les livres, cahiers, stylos, ordinateurs, écrans de
télévisions, spectacles, films -(tous les contenus
de ces biens culturels ne sont réalisables que parce qu’on a à payer
honnêtement les prix des transports de chacune des choses / talents, etc. qui y
concourent / les composent / constituent)- alimentation,
et boisson y compris).
C’est
qu’il faut songer à se rembourser -(voire rembourser ceux qui nous ont confié
leurs économies)- pour les investissements faits et cela sur la quantité, soit
le nombre d’exemplaires du modèle / produit[s], favriqué[s], pardon
fabriqué[s].
Tu
sais, cher Jean, bien sûr tout cela comme moi par cœur, car c’est facile à
comprendre et si tu le sais c’est parce que tu as comme moi accès à t/la
conscience ce que tu as pu dénicher en toi grâce à tes études de Philosophie,
voire en réalité bien avant -(tes études de
Philosophie, puis de Sciences Économiques t’ont permis de confirmer l’existence
de cette conscience tout du long des siècles car sinon il n’y aurait pas eu de
représentations d’A. P. I. à Lascaux), vers
l’âge de tes quatorze ans, voire d’une façon intuitive plus petit.
C’est,
je ne t’apprends rien -(mais je dois l’inscrire ici pour que tu me vérifies),
ce qui a poussé à la délocalisation des entreprises dans ce contexte de choc
pétrolier depuis 1973 pour bénéficier de salaires moins chers à payer -(en raison du niveau de vie local, ce qui a permis
d’un peu plus développer ces pays considérés « en voie de
développement »)- et du coup obtenir des
prix de revient à première[s] vue[s] moins importants / chers / onéreux / coûteux
N.
B. : La suite après le paragraphe ci-dessous :
–[(là
aussi je sais que tu sais, mais il y a les espions qui doivent parvenir à
comprendre en toute logique que nous disons vrai dans le plus véritable Intérêt
et Bien Général. Ils –[certains d’entre eux]- ne peuvent cependant comprendre.
J’ai vérifié sur moi-même de 1978 à 2005 comme je l’avais vérifié de 1967 à
1977 quand je fus l’un d’entre eux, donc un des laipis
–[acronyme d’uniquement laïcs,
strictement athées, ignorants, profanes, inconscients,
sans le savoir, voire en le sachant, sacrilèges,
au sens négatif de ces six mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK]– mais pas seulement –[puisque j’avais été bouddhahs
comme tout le monde en ayant à me donner la peine de naître –(en 1963)- mais
aussi de nouveau en 1967 et une autre fois en 1977]- que
par nos yeux, par notre pensée, par nos créations, par nos inventions tant
qu’ils n’ont pas / plus accès à leur conscience. Et comme pour l’instant ils
n’y ont pas accès, ils ne peuvent que faire semblant de comprendre –[voire si c’est très clair comprendre un peu, voire
pour les plus intelligents d’entre eux se dire qu’il y a intérêt à faire au
moins semblant de comprendre, au point pour les moins intelligents d’entre eux
de « feindre d’en être les organisateurs »]. Je
l’ai vérifié en cobaye de moi-même et de tous: même les choses les plus
claires ou simples pour nous, certains d’entre eux ne parviennent pas/plus à
les comprendre, même avec toute leur bonne volonté ! Aussi cela signifie
qu’à force de pécher / mentir / faire semblant, ceux-là se sont détériorés les
liens entre les synapses et les neurones au point, hélas, mille fois hélas, que
ces connexions ne marchent plus –[voire d’avoir
leur cerveau prêt pour leur réincarnation suivante : une condition de
détérioré qui n’a plus rien de commun avec l’être humain idéal], d’où que ceux-là lisent sans parvenir à comprendre
–[même parfois, devant eux, les choses les plus claires]. Ils sont donc
–[comme]- en enfer alors que nous intervenons de notre nirvana, puisque nous
avons eu, à force de labeur[s], enfin de nouveau accès à cette sécurité vérifiée -[qui existe au moins jusqu’à l’âge de quarante-deux
ans]- pourtant pour chacun, soit à cette
conscience en nous et finalement pour les plus têtus d’entre nous à rechercher
la Vérité, à la compréhension de ce que pourrait être le Saint-Esprit)]-
N.
B. : La suite du paragraphe avant celui ci-dessous :
pour, dans un marché
concurrentiel, proposer moins cher / onéreux / coûteux que le concurrent et en
faire profiter le nombre croissant des consommateurs
-(des bienfaits du capitalisme qui fait du client le roi, par conséquent qui
est, à première vue du moins, du point de vue de ces consommateurs –[mais aussi
des producteurs, les plus véritables patrons], au service du Bien et de
l’Intérêt Général)- de ces produits fabriqués à
l’étranger
N.
B. : La suite après les quatre paragraphes ci-dessous :
1/-(par
exemple dans les pays en voie de développement, voire sous-développés, du
Tiers-Monde. Les économies ainsi réalisées servent
–[quand elles ne sont pas réinvesties dans la modernisation de l’entreprise
ou/et dans d’autres entreprises / affaires nécessaires / utiles à développer]- en partie comme garanties pour payer le transport de
ces biens de consommations de premières nécessités ou/et superflus si le prix
de ce transport devait augmenter, cependant qu’il a fallu payer, dans ces pays
en voie de développement dans lesquels certaines des entreprises européennes
ont été délocalisées, le transport de tous les produits de première nécessité
pour nourrir les ouvriers, les cadres, les responsables des entreprises –[ce qui a un peu augmenté le niveau de vie de ces
pays]- ainsi créées grâce aux exportateurs /
grossistes qui ont été financièrement intéressés à ces délocalisations -(cependant
qu’ils ont eu à payer le prix du transport qui a augmenté en proportion de
l’augmentation du prix du baril de pétrole). La création de ces entreprises
délocalisées a signifié payer des salaires, voire des pourcentages, moins
importants que ceux qu’il aurait fallu régler dans notre région de France en
Europe où le niveau de vie est plus important –[par conséquent à l’origine de
salaires minimum plus élevés -(que dans d’autres régions du monde plus
pauvres)- dont la dépense se répercute sur le prix de vente de l’article,
(salaires)- déterminant en temps normal mais surtout en situation de crise
économique depuis 1973, pour certains produits à ce prix de revient excessif ne
permettant pas/plus, à partir d’un certain moment, de les produire en quantité
suffisante pour amortir la hausse des dépenses -(voir -[ne permettant plus]- de
faire des bénéfices [des économies – soit une des raisons pour accepter un
travail car plus on en fait plus on aura de quoi faire plaisir autour de soi
comme à soi-même]), ce qui en temps normal permet de les réinvestir, dans
l’Intérêt et le Bien Général, par conséquent l’économie capitaliste, au bon
sens de ce mot qui, dans d’autres SPOK, en a[urait] du négatif. Mais comment
-(économiquement)- faire autrement ? En baissant le prix du baril de
pétrole en le portant peu à peu à 0,0001 centime de dollar le baril – alors les
temps de la prospérité générale adviendront)- car le prix de revient de la
production de ces produits est en France ou dans l’Union Européenne plus
important que fabriqués dans ces pays économiquement retardés, (en voie de
développement ou/et sous-développés : le tiers monde). C’est là qu’on
trouve une main d’œuvre importante en nombre donc en concurrence, par
conséquent meilleur marché, ce qui a pu finalement, malgré la crise, maintenir
sur le marché français et/ou celui de l’Union Européenne le prix de vente de
certains produits -(de première nécessité ou/et superflus)- ce qui a aussi
évité la disparition de ces produits du marché français et/ou européen, en leur
permettant, malgré la crise -(depuis 1973), de trouver un débouché commercial
d’acheteurs qu’ils n’auraient plus trouvés si ces articles avaient continué à
être produits en France, le prix de revient et de vente de ces produits made in France devenus trop élevés,
chers, onéreux, coûteux –(d’où qu’on comprenne
l’absolue nécessité de poursuivre économiquement la Mondialisation des
Echanges, au sens de l’interRégionalisation du commerce, donc au sens ancien
d’Internationalisation du commerce), ce qui a
entrainé -(parce que le prix de vente augmentait
à mesure que le prix du baril de pétrole augmentait), une
baisse de la Demande au point, à cause de ces quantités en moins demandées
-(baisse de la production), de ne plus permettre la fabrication de ce produit
sur le sol français
N.
B. : La suite après le paragraphe ci-dessous :
2/-(donc
cette baisse de la Demande -[est dans nos régions développées]- à l’origine de
la fermeture de ces entreprises, donc -[est la cause]- du chômage et de la
nécessité, (pour continuer à vivre de l’un ou/et
l’autre de ces produits en tant que firme ou/et patron détenteur de brevet[s]),
de délocaliser la fabrication de ces produits /
articles ne parvenant à trouver des acheteurs en nombre suffisant pour être
rentables qu’à partir d’un certain prix de vente
-(si le pouvoir d’achat du pays acheteur persiste / dure car si il baisse cela
peut être à l’origine de catastrophes économiques pour tous les pays
exportateurs vers cette région du monde qui ne pourront survivre qu’en exportant
vers un nombre plus important de pays)- qui,
pour être proposé et/ou maintenu, contraint à la fabrication d’au-moins une
quantité précise plus importante
en nombre -(pour éviter de vendre à perte
et ainsi / pour cela proposer un prix plus bas), ce
qui ne peut se produire que si la main d’œuvre est meilleur marché, ce qui
n’est possible que dans les pays en voie de développement, voire
sous-développés car le niveau de vie y est depuis 1977 comme en 2020 moins
important)-
3/ Je rappelle qu’il s’agit de produits qui
ne peuvent être rentables qu’à partir d’un seuil
élevé de quantités vendues (donc -[plus]- nombreuses) – d’où que l’on comprenne
combien est vital pour l’Économie la valeur de la monnaie : son pouvoir
d’achat et le calcul du niveau de vie de chacune des rRégions -(nations).
4/
Dans les pays développés importateurs de pétrole : plus le prix du baril
de pétrole augmentait plus en réalité et dans les faits le pouvoir d’achat a
baissé, car la valeur de la monnaie était de moins en moins élevée / forte plus
le prix du pétrole et la dette ont augmenté, en causant au passage l’inflation
se répercutant sur le pouvoir d’achat de la monnaie]).
N.
B. : suite de la fin du cinquième paragraphe ci-dessus :
Aussi c’est cette
différence salariale -(entre les salaires des
pays développés et ceux des pays sous-développés, voire en voie de
développement)- qui permet de proposer moins
cher, coûteux, onéreux certains produits sur les marchés, car le coût de la
vie, dans ces rRégions du globe moins économiquement développées y est moins
chère / onéreuse / coûteuse, ce qui attire les patrons de l’Union Européenne et
de la Suisse, voire ceux des Etats-Unis ou/et de Grande-Bretagne, voire
allemands, italiens, chinois, russes et/ou japonais
-(bref, en général, du G7 et des autres pays développés importateurs de
pétrole)- pour réaliser ces délocalisations des
entreprises, afin de faire bénéficier au bout de la chaîne des intermédiaires
-(de la vente)- le client de ces/leurs calculs
-(à l’origine d’économies se répercutant sur leurs produits à vendre)- qui, en temps de crise, permirent à quelques-uns de
plus -(à cause de/u prix séduisant[s])- d’accéder à ces marchandises / biens de
consommation -(qui sinon, produits dans les pays
développés auraient été trop chers, onéreux, coûteux, donc plus difficiles à
acheter, voire impossible à acquérir), cependant
que cette situation est à l’origine du chômage dans ces rRégions les plus
économiquement développées -(donc nous coûtent à tous sur un/cet autre
plan): ce n’est pas/plus intéressant de produire français, car le produit
revient moins cher / onéreux / coûteux, ailleurs, même en le faisant venir -(en
le transportant)- de[puis] l’étranger et ce n’est donc qu’à première vue, comme
le croyait l’ami Laurent, que cette baisse du pouvoir d’achat n’est pas à cause
du prix du pétrole, puisqu’il faut les transporter -(ces produits)- depuis ces
lieux délocalisés où ils sont réalisés jusqu’à ces différents marchés –(et que
malgré cette dépense de transport, ils demeurent financièrement abordables pour
quelques-uns et non pour tous, ce qui aurait-été le SPOK plus le prix du baril
de pétrole aurait été bas). S’ils sont effectivement financièrement abordables
-(ces prix pour quelques-uns)- ce n’est pas, bien sûr, ainsi présenté, à cause
du prix de transport qui a augmenté par conséquent qui, parce qu’il est compté,
détermine le prix de vente, mais à cause -[dans ces rRégions -(pays)- du
monde]- des économies faites sur les autres points de la production de ces
produits comme celui des salaires ou/et des charges patronales et/ou de
sécurité sociale, etc. . Aussi c’est, tout compte fait, bien l’addition des
prix des transports -(de toutes les matières premières et/ou énièmes
vers ces pays où sont réalisés ces produits)- qui
détermine aussi, avec le prix du transport jusqu’aux lieux de vente, le prix
final de ces produits -(avec les autres coûts, eux aussi déterminés ce qu’ils
sont en raison des répercutions du prix du baril de pétrole sur chacun de ces
postes / points à financer: alimentation, loyers, vêtements, loisirs,
études des enfants, etc. du
personnel : des cadres, des dirigeants des entreprises, bref les coûts
soit les dépenses, ainsi que toutes celles pour bâtir ces usines / lieux
professionnels de production dont chacun des éléments construit a exigé des
dépenses de transport de matières premières et autres, donc des coûts évalués
avec les dépenses de tous les concernés pour s’alimenter y compris en boissons
pour bien travailler – ces dernières dépenses dépendant[es], elles aussi, bien
sûr, comme les autres, du prix des transports). En réalité, il n’y a pas une
dépense qui est/soit faite pour payer ces travailleurs qui ne l’est pas pour
payer les dérivés du pétrole qui sont nécessaires pour acheminer tous les
produits consommés / utilisés par ces travailleurs et/ou cadres et/ou
dirigeants n’importe où les employeurs-responsables établissent leur comptoir /
entreprise. Aussi d’un côté on croit qu’on ne doit pas incriminer le prix du
baril de pétrole -(Laurent), pour la situation de crise économique
cauchemardesque que nous subissons depuis 1973, quand, en creusant le sujet un
peu plus, on s’aperçoit que c’est bien lui - le prix du baril de pétrole - en
défibitive, pardon, en définitive – qui est aussi à l’origine du niveau de vie
à première-vue intéressant -(pour le consommateur en fin de parcours /
courses)- que ces pays en voie de développement offrent comme perspectives
d’investissements aux délocalisateurs d’entreprises -(car le prix du baril
de pétrole, en ayant augmenté, s’est répercuté dans les pays importateurs de
pétrole, sur tous les prix des matières premières, secondes, troisièmes, etc.
énièmes comme sur tous les autres prix dont dépendent pour leur quotidien
chacun des acteurs de la production et réalisation de ces produits dans ces
pays dits développés ou ailleurs, au point, à cause de l’inflation qui en
découle et de la baisse du pouvoir d’achat résultante -(causées par
ces augmentations du prix du baril de pétrole se répercutant sur la plupart des
prix qui en ayant ainsi à augmenter deviennent -(ces prix)- peu à peu
inabordables au point, ces ventes, de devenir limitées en nombre car à partir
d’un certain montant elles ne trouvent plus d’acheteurs à cause de la réduction
du pouvoir d’achat et de la paupérisation causée directement et indirectement
par les augmentations du prix du baril de pétrole puisqu’elles sont -(ces
augmentations)- localement à l’origine de l’augmentation de tous les
prix : en réalité chacun –[de ces prix]- des répercussions et conséquences
du prix du baril de pétrole)- de contraindre à
ces délocalisations pour bénéficier du faible niveau de vie de ces rRégions
-(nations)- et des prix les plus bas sur la plupart des points); cependant
cette situation est à l’origine de la pauvreté et de la misère matérielle dans
les pays développés importateurs de pétrole comme dans les autres pays en
voie de développement ou sous-développés importateurs de pétrole : aussi c’est
donc bien le prix du baril de pétrole trop onéreux et non à son prix le plus bas -(ce que nous avions mon père, ma famille et moi
conseillé en toute connaissance de cause[s] de 1973 à 1977)- qui est, avec la haine envers les gens au service de
la plus véritable vérité -(les gens de sciences exactes raisonnant de manière
cohérente et juste), la cause de la grande majorité des malheurs et des
calamités. Une fois trouvée aussi exactement la cause de la plupart de nos
malheurs, il est aisé de trouver le premier remède comme je l’avais fait en
1977 -(et de nouveau à partir
de 2014)- en demandant dans un premier temps de mettre le prix du
baril de pétrole à un centime de dollar le baril, voire à cent fois
moins : 0,01 centime, voire à dix mille fois moins : 0, 0001 centime
de dollar le baril, ce qui redonnera un pouvoir d’achat beaucoup plus important
au dollar, à l’euro, et aux autres monnaies dont la devise de l’Ôz, la monnaie interRégionale
-(au sens d’Internationale)- couronnant, dans tous les pays, la mondialisation
des échanges -(M. É.).
Donc
on peut croire que si les prix baissent, la prospérité reviendra pour tous et
pour faire baisser les prix, il est vital que le prix du baril de pétrole soit,
pour commencer, proposé à un centime de dollar le baril
-(ce qui, pour les plus véritables enfants – [ce
qui compte en ce monde, la cohérence vis-à-vis du monde de la prime enfance,
soit l’avenir de tous] - représentent le début
d’une somme importante d’autant plus du pouvoir d’achat qu’aura ce centime de
dollar parce qu’il permettra d’acheter un baril de pétrole, ce qui signifie que
ce centime de dollar -(parce que le prix du
baril de pétrole a baissé à un centime de dollar)- vaudra
alors au moins de cent à mille fois plus qu’il ne valait en 2014, car le prix
du baril de pétrole à un centime de dollar sera à l’origine d’un réajustement
général de toutes les valeurs marchandes, dont évidemment celle des monnaies)- et puis en constatant que tout va pour le mieux
partout dans le monde entier, car il sera alors théoriquement[63]
possible -(à l’aune du prix du baril de pétrole
en 2014 à plus de cent-onze dollars le baril – son prix maximum alors atteint)-
d’acheter un produit valant onze mille dollars à
un seul dollar -(tant la
valeur du dollar aura augmenté -[en pouvoir d’achat], par conséquent pourra
être de nouveau proposé –[comme autrefois le
Napoléon]- en liquidités en or pur, les dollars
–[comme les autres monnaies ayant le plus de valeur, (les monnaies ayant
peu/moins de valeur elles aussi verrons augmenter leur valeur)- sur les marchés des changes s’apprécieront y
compris sous la forme de la future monnaie mondiale de l’Ôz[64], la MÔz].
Alors constatant ce miracle économique -(qui n’est rien d’autre que le fruit de calculs
rigoureux et logiques à partir de l’analyse des interactions économiques des
prix de tous les produits ayant répercuté fort honnêtement –[les plus
véritables patrons ne sont qu’honnêteté]- la baisse du prix du baril de
pétrole, aboutissant à ce qu’il vaut mieux pour tous -[avec
ce prix du baril de pétrole à un centime de dollar le baril], nous fera assister alors à la disparition à jamais de
la pauvreté et la misère matérielle dans le monde entier -[)]-tous voudront baisser ce prix du baril de pétrole à
0,01 centimes le baril de pétrole pour avoir au moins cent fois plus de pouvoir
d’achat, soit acheter un dollar –[oui, un seul dollar !]- ce qui vaut en
2014 un million cent mille $ -[dollars], ce qui fait alors de chacun, payé ce
qu’il continuera à être payé –[s’il souhaite
continuer à travailler dans la filière où il travaille]- de véritables millionnaires, voire des milliardaires
si le prix du baril de pétrole est proposé encore moins cher / onéreux /
coûteux à 0,0001 centime de dollar le baril, au point de donner enfin le choix
à chacun de travailler quand cela lui sera possible -(lui chante, en nous
libérant tous des cadences infernales qui n’ont certainement jamais été voulues
par Dieu -(soit en conscience par la conscience). En effet, cette entité
-(Dieu), si elle existe, (voire existe dans le futur le plus lointain)- en
raison de la quantité de matières premières qui la constitue -(ce qui a eu le malheur de rendre cupide certains,
à cause de cela devenus malhonnêtes – ce qui est un temps pouvant déboucher un
jour ou l’autre, voire dans les secondes qui viennent, sur le contraire,
l’honnêteté)- n’a certainement pas créé la
Création pour contraindre les gens à souffrir ces cadences infernales -(voir ici quelques extraits de Les Temps Modernes de Ses Éminences Impériales Ses Saintetés
Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes Charlie Chaplin)- et des angoisses aussi traumatisantes de la peur du
lendemain, mais au contraire pour libérer l’être humain, grâce à cette sécurité
qu’il a placé dans chacun des êtres humains pour avoir accès à la conscience -(soit au Ciel -[le Nirvana], ce que j’ai eu à
démontrer / vérifier en cobaye volontaire entre 1977 et 2005 après l’avoir
démontré une première fois entre 1967 et 1977), soit
à la compréhension de tout, par
conséquent aussi / par ailleurs, avec, entre autre[s], la vérité en Sciences
Économiques, la compréhension du bien et du mal -(comme de la raison des lois
les plus justes – ce qui prouve alors que l’expression » nul n’est censé
ignorer les lois « est une proposition vraie, cependant que j’ai pu
vérifier que ce n’est tout à fait vrai que pour ceux qui ont -[eu]- accès à la
conscience, les autres, les laipis, s’étant hélas, infiniment hélas, mis
hors-les-lois et à cause de cela d’une certaine façon hors-jeu[x] -(en dehors
des leurs -[jeux]- peu appréciés de tous car souvent le fait de terroristes),
aussi pour ces laipis comment les savoir / connaître -[ces lois]-
autrement qu’en faisant semblant et/ou en imitant ceux qui incarnent cette
honneteté ? Uniquement en faisant le nécessaire pour tâcher de [re]devenir un
pur esprit -(ce qui, on le sait, à
l’inconvénient de parfois déboucher sur des Tartufe, des bigots), ce que nous
étions chacun d’entre nous lors de nos respectives naissances, cependant que
nous ne savions pas encore parler et/ou écrire, ce qui nous rendait sages et/ou
patients –(ce que nous n’avons pu être qu’en
raison de la réincarnation précédente en l’un ou l’autre des animaux pacifiques inoffensifs herbivores quadrupèdes –[les A.P.I.Q.H.]- qui ont à apprendre, au cours de
leur existence, la patience)- et ne permettait
pas à nos responsables de nous considérer encore comme de tels esprits, ce qui n’est possible, une fois
être humain, qu’avec l’aide des différentes catégories / matières / disciplines
et des religions intellectuellement admissibles. Or pour un laipis les
représentants de ces dernières mentent puisque ces laipis ne croient ni en Dieu
ni dans l’Etat, ni dans l’Economie ni dans la Vérité, etc. , en se comportant
en strictement laïcs, athées, inconscients, voire en profanes,
en ignorants, en sacrilèges -(acronyme de laipis), au
sens négatif et positif de ces six mots ! Aussi cela signifie qu’il existe
-[comme]- un véritable gouffre immensissimis…simissime entre d’un côté les
croyants et de l’autre les non-croyants, -(le
sacré et le profane, ce qui peut se traduire comme une sorte de très large
fleuve ou un lac, voire un estuaire dont les rives sont très éloignées l’une de
l’autre au point que pour les traverser, donc passer de l’autre côté sans
l’aide d’une sorte de bâteau ou/et d’un pont
–[d’où importance du génie humain, de ceux qui sont capables de réaliser de
telles solutions alternatives élégantes grâce aux sciences], ou sans l’aide d’autres gadgets, il est impossible d’atteindre
cette autre rive, donc de passer du monde des laipis au monde de tous ceux qui
ont la foi, soit les croyants en l’une ou l’autre des religions
intellectuellement admissibles –[du point de vue de tous ceux qui sont
–(devenus)- croyants et qui agissent en conséquence à certaines heures quand à
d’autres, il leur arrive d’être comme les autres, des laipis, soit à/de ne
pas/plus croire que ces religions auxquelles ils sont attachés sont/soient
intellectuellement admissibles, se souvenant d’avoir été laipis dans d’autres
vies –[ce qui fut à d’autres moments, d’autres jours si leur réincarnation
présente n’est pas la suite de celle d’un APIQH], avant de fournir tous les
efforts ayant été à l’origine de leur métamorphose / conversion en
croyant(s)]). Et que ceux-ci croient être
honnêtes quand ils disent qu’il n’y a pas de vérité[s] -(ils sont alors
cérébralement dans l’oubli d’une partie ou de toutes les vérités relatives sur
chacun des points qui concoure[nt] à leur permettre
– [en l’absence de
la vision très sacrée retrouvée du très saint paradis d’avant la très grande
catastrophe]- de vivre : des
paramètres essentiels, scientifiques, des vérités par conséquent exactes et/ou
relativement vraies). Cependant dans le monde de la Vérité et des vérités
relatives qui existent en raison des multiples connexions / liaisons entre les
différents paramètres reliés au cas par cas les uns aux autres, parfois même
avec des aspects hiérarchiques -(ce qui signifie
/ induit des sortes de priorités à rapprocher / à choisir / à privilégier / à
agencer pour exprimer ce qui est vrai, hélas souvent extrêmement complexe, soit
– j’ai vérifié – difficilement possible -[voire impossible]- à dire oralement, ce
qui contraint à passer obligatoirement par l’écrit et l’aide d’illustration[s],
voire de maquette[s] et ou documents audiovisuels), on
sait que celle-ci, la vérité, existe belle et bien objectivement, par
conséquent exactement et logiquement sur tous les points sans exception et on
ne ment pas quand on est de ceux qui s’expliquent naturellement les causes de
chacune des lois, (le cerveau dégagé de saleté,
parce qu’on a fini par appartenir à tous ceux qui ont acquis/accès -[à]- la/eur
conscience), voire -[on ne ment pas]- non plus
quand on ne veut plus fréquenter des laipis pour éviter salutairement de se
salir l’âme - et cela même dans un monde privé à cette heure-ci du 05 Décembre
2020 de la vision du très saint paradis, ce qui contraint en toute logique à
des façons de faire bien précises en toute logique avec la situation – dont, du
point de vue de l’Eglise du Saint-Esprit, à l’administration des sacrements -(par sécurité pour tous, mais surtout pour les
enfants dont il est important / vital -[pour l’ensemble]- de préserver
l’innocence le plus longtemps possible puisqu’elle est consubstantielle à la
Création), dont celui du Mariage, essentiel pour
rassurer les enfants à venir -(il est aisé de comprendre que s’il nous était
donné de revoir – comme je le propose dans le
programme de restitution de la vision d’Ôz
– au bout de vingt-quatre années une heure toutes les cinq heures le très saint
paradis, soit Ôz, etc., l’ensemble
des sacrements proposés par l’Église seraient alors remis en cause, car la plus
que merveilleuse beauté d’Ôz, soit
celle du très saint-paradis, rassurerait quotidiennement quatre fois par jour
une heure entière tout le monde[65]
sans exception -(des bébés aux personnes les plus âgées)- qui serai[en]t toutes
les cinq heures riches en commun de la certitude que la Création est beauté,
bonté, bienfaisance, en un mot fécondes merveilles, par conséquent
périodiquement -(toutes les cinq heures)- soigné[s], nos doutes ayant disparu,
ce que les très véritables artistes, soit tous ceux qui ont accès à leur/la
conscience, ne cessent de faire/proposer en attendant ce jour où ils pourraient
être régulièrement aidés par la révélation du très saint Paradis -(Ôz, etc.)- qui sublimera toutes les
œuvres de l’Esprit.
Or
la religion Catholique est-ce une religion intellectuellement admissible ?
-
Oui, bien sûr, pour tous ceux qui ont réussi à en comprendre les paramètres –
j’ai vérifié en en faisant/vivant honnêtement l’antithèse – alors extrêmement
difficiles à comprendre -(mais moins pour tous
ceux ayant accès à leur conscience qui fonctionne / existe aussi pour faciliter
les comparaisons)- d’autant que tout provient de
textes qu’il convient de comprendre entre les lignes, à mi-mot[s], et
qu’il faudrait mettre à jour en leur faisant bénéficier des paramètres y
compris économiques de notre époque des échanges commerciaux, en raison des
divers progrès -(dont ceux techniques,
technologiques, mécaniques, robotiques, bref scientifiques)- accomplis, donc les expliquer en n’omettant pas le
paramètre chronologique, au sens d’historique –(la vie quotidienne à l’époque
de la genèse de ces textes sacrés est alors sans information[s] -(si ce ne sont
précisément ces bonnes ou moins bonnes nouvelles, étant à l’origine même des
futures informations quotidiennes mesurant la santé des entreprises à la radio
et/ou à la télévision, dans les livres aux illustrations en couleur, voire de
nos jours sur Internet, ce qui a des conséquences)- étant donné que les écrire
-(ces Evangiles), comme les textes antécédents de la Bible et les autres textes
sacrés pouvait être dangereux, à cause de tous ceux, laipis, qui s’en
moquaient, voire persécutaient méchemment, (soit
en strictement laïcs, uniquement athées, ignorants, profanes, inconscients et parfois sans même s’en
rendre compte – donc par omissions de paramètres, en sacrilèges)- quelques-uns de ceux
qui y croyaient.
-
Non, pour certains des laipis. Or je puis l’affirmer objectivement, mais aussi
de façon multi-catégorielle, et multi-dimentionnelle, soit à l’aune de toutes
les catégories à ma connaissance de bouddhahs -(soit d’éveillé par acquis de
conscience), mais aussi d’empereur, soit d’eanmeailleurs, donc en vérité
absolue : la religion catholique c’est une religion intellectuellement
admissible[66]
du moins sur les points
essentiels qui la fonde -(le pardon, l’interdiction de tuer –[sauf en légitime
défense], les vertus, l’amour du prochain, etc.)- et tout ce qu’ils induisent.
Cette religion, comme les autres religions, devrai[en]t cependant périodiquement
se contraindre à faire des mises-à-jour, ne serait-ce qu’à cause de l’évolution
des vérités relatives des autres religions, des autres catégories à l’origine
de disciplines différentes, voire complémentaires - tandis
que les religions qui croient s’autoriser à tuer des animaux pacifiques et inoffensifs -(les A. P. I.)- pour les
manger ne sont plus, à notre époque, intellectuellement admissibles, cohérentes
avec les progrès advenus pour proposer sur/dans les marchés des solutions
alternatives élégantes alimentaires végétariennes. Aussi cela veut dire qu’une
partie de la religion Catholique qui s’autorise encore
-(malgré l’existence de l’hindouisme et du bouddhisme, ce qui aurait dû être à
l’origine d’une mise-à-jour, donc à prendre en compte – ce que, parait-il,
certains ordres catholiques ont néanmoins fait)- à
manger des animaux pacifiques inoffensifs quadrupède herbivores-(les A. P. I. Q. H.)- alors
qu’il y a de proposées sur les marchés quantités de solutions alternatives élégantes -(S. A. É.)- végétariennes
-[sacrées]- comme les religions qui autorisent à boire des alcools -(culte de
Bacchus ou/et de Dionysos), ne sont, à notre époque, plus intellectuellement
admissibles, car elles manquent alors de cohérence avec le mot d’Amour -(qui
est pourtant le centre générateur sur lequel cette religion catholique s’appuie
/ est fondée et on comprend aisément qu’Amour puisse mener non seulement à
respecter le prochain mais à respecter les animaux pacifiques et inoffensifs,
ce qui est cohérent avec le mot » aimer «). Ce qui signifie que cette
religion catholique n’est, sur ces points, pas/plus totalement cohérente avec,
si j’ose dire en laipis, son fonds de commerce,
N.
B. La suite après le paragraphe suivant ci-dessous
-(mieux
dit : ce qui la fonde :), l’amour du prochain
-(ce prochain pouvant être, bien sûr, (c’est logique)- l’un ou l’autre des
animaux pacifiques et inoffensifs et cela parce qu’ils ne font pas le mal, se
l’interdisent pour obtenir une meilleure réincarnation en ayant en perspective,
en fin de parcours la réincarnation en être humain, soit celle de ceux qui
accèdent - normalement dès la naissance - à la conscience, par conséquent à la
possibilité de concevoir, penser et panser c’est-à-dire soigner d’une façon ou
d’une autre, les plus véritables médecins que sont aussi les ingénieurs, les
architectes, etc. , les réalisateurs de films et ou vidéo d’essais ou/et
recherche, mais aussi de divertissement qui est une autre façon de soigner), ne pas faire aux autres ce qu’on ne voudrait pas subir
soi-même, reconnaître sa dette envers les animaux pacifiques et inoffensifs
-(les API)- auxquels nous devons quelques-unes des meilleures matières
premières -[culinaires]- et/ou moments de notre alimentation -(utilisation des
œufs, du beurre, de la crème, du fromage, des yaourt, etc. grâce au lait
produits par ces herbivores y compris dans les pâtisseries),
ne va pas encore jusqu’au
bout de cette notion d’amour qui signifie respect et/voire divinisation des animaux pacifiques et inoffensifs
(A. P. I.), donc comme si cette religion
du Catolicismen’, pardon du Catholicisme n’avait pas pu évoluer, n’avait pas,
dans ce contexte de la mondialisation
des échanges commerciaux -(M. É. C.)- et des plus bienfaisants métissages, comme
certains membres de la religion musulmane et/ou juive non plus, fait de
mise-à-jour, malgré tous les paramètres orientaux de l’hindouisme ou/et du
bouddhisme tibétain qui, en s’interdisant de manger les animaux pacifiques et inoffensifs -(MEC), vont de manière
logique et cohérente jusqu’au bout de l’Amour, donc sont/agissent/mangent – ce
qui est essentiel pour la meilleure santé
en toute cohérence avec ce mot central de l’[a]Amour -(car
l’expression »« qui aime bien châtie bien »« n’est -[en
grande partie, voire totalement]- pas/plus recevable ; l’amour, le plus
véritable amour, pardonne si l’autre promet de ne plus jamais recommencer.
Aussi l’amour devrait être incompatible avec la notion de châtiment -(soit ce qui se vérifie avec l’abolition de la
peine de mort –[ce qui devrait décider tous les
meurtriers à s’interdire le meurtre puisque l’Etat lui-même s’interdit de
recourir à cette peine de mort ayant compris que ceux qui sont des laipis n’ont
pas/plus -[encore]- accès à la conscience, puisqu’ils se sont comportés autant
que cela en inconscients), en toute cohérence
avec l’interdiction de tuer et du droit à la vie -[privée]). Aimer l’autre c’est rechercher à ce qu’il ne souffre
plus. Le châtier pour le faire souffrir ne peut pas arranger les choses, sauf
peut-être avec un masochiste. Mais il s’agit comme du sadisme de maladies du
point de vue du centre générateur du plus véritable Amour –(celui, éminemment spirituel de Jésus-Christ qui trouve le
moyen, si nous nous repentons sincèrement de nos fautes et péchés, de nous
faire pardonner à travers lui-même par Dieu !), par
conséquent à ne pas encourager en châtiant ces victimes car ce qu’il faut
espérer c’est que ce masochiste ou/et ce sadisme cesse à jamais de l’être pour,
de façon infiniment préférable, rechercher cette sécurité dans l’être humain
qui permet, parce qu’on se repent très véritablement, d’accéder à la
connaissance, soit à la conscience pour amener, dans un second temps, voire un
énième temps, à la connaissance du Saint-Esprit, voire comprendre pourquoi le
Saint Sacrement est-il saint, ne serait-ce que par l’objet étonnant et
admirable qu’il est dans certains SPOK, fruit de la lumière du Saint-Esprit en
conscience dans ce monde aux très nombreux contrastes étant à l’origine des
difficultés à pouvoir y croire). Cependant à l’heure actuelle, nous devons
reconnaître en toute honnêteté qu’il y a un petit pourcentage du Christianisme
et du Catholicisme qui est intellectuellement inadmissible -(pas encore assez
mûr)- et cela pour les catholiques les plus critiques ou/et impitoyables avec
eux-mêmes, ce qui est probablement le cas aussi de/dans la plupart des autres
religions sur certains / d’autres points. Aussi la vérité des religions sont en
grandes parties formées de vérités relatives : elles se complètent les
unes les autre sur certains points pour nous permettre de découvrir la divinité
en nous-mêmes une fois obtenue cette conscience, soit le jour venu, en nous, la
découverte de cette sécurité qui est heureusement dans chacun des êtres humains -(qui, par conséquent, doit rechercher le
changement, la métamorphose)- pour lui donner
une chance de rejoindre sur terre le Ciel, soit le Nirvana, même en l’absence
de la vision du très-saint-paradis, soit celle d’Ôz, d’A[r]tlantide -(Artlantide / Atlantide), ou des synonymes
Arcadie, Eden, Schtroumpf, etc., en
réalité comme chacun des arts, des métaphores d’une réalité
admirabilissimis…simissime qui existait au départ pour tous, soit
celle
que nous cherchons à rétablir[67] :
la vision d’Ôz -(du très saint
paradis et/ou Eden, etc. pour tous à la fin du processus de restitution de
cette vision depuis la salle des machines sur vingt-quatre années, une heure toutes
les cinq heures du/de très saint paradis – le -[T. S. P.]- retrouvé par tous
les rescapés, sauf hélas, infiniment hélas, les non-voyants -(pour les autres,
la très grande majorité des catégories sociales disposant de la vue, au début
du processus de restitution de la vision très sacrée du très saint paradis,
soit d’Ôz, cela commencera par deux
fois cinq minutes le 24[68]
avril 2022 -(voire 2021 si les choses
s’accélèrent pour nous tous et que mon
programme est adopté par monsieur le président de la République
française et le Pape à qui je l’ai fait parvenir), une
fois à midi et une fois à minuit, heure de Pareandre
-(appellation synonyme pour Paris avec celle de Mareandre et les autres dont je
parle ailleurs : Pamareandre, Mapareandre, etc.)- car
la vision de ce TSP est réellement divinissimis…simissime,
admirabilissimis…simissime, merveilleusissimis…simissime,
exquissimis…simissime, bienfaisantissimis…simissime, soignantissimis…simissime
et etc., donc pourra soigner, comme la beauté dans la plupart des matières l’a
toujours fait, et comme peut le faire sur un autre plan notre/ma recette végétarienne
qui porte aussi comme moi le désignant -(nom)- [d’]eanmeailleurs[69]
-(que j’ai rcjinée, pardon cuisinée une autre fois il y a quelques jours. Aussi
tu es bienvenu à la goûter ces jours-ci – je puis t’en apporter trois portions
à cette fin dans une barquette alimentaire plastique)- parce que nous avons pu
vérifier -(et démontrer de 1967 à 1977 et de
1977 à 2005)- sur nous-mêmes cobaye que l’être
humain est aussi capable du meilleur -(et non du pire)- donc de/du merveilleux,
de/du divin, d’admirable, etc., donc au départ n’est jamais un salaud -(puisque
pour s’incarner en être humain, s’il n’est pas une réincarnation d’un être
humain des temps passés, il a dû vivre au préalable une réincarnation dans le
corps de l’un des A. P. I. qui nous sont à tous, sous une forme ou une autre -(parfois même seulement dans un documentaire ou un
film animalier)- si utiles quotidiennement, donc
pas seulement pour ceux qui sont devenus carnivores
-(à cause de l’histoire de l’aventure humaine -[A.H.A.]- dans la région de leur incarnation, donc
localement), mais pour tous ceux qui aspirent à
consommer une nourriture végétarienne plus salutaire en adhéquation, pardon,
adéquation, (soit en toute cohérence)- avec ce à quoi aspirent de mieux les
êtres humains les meilleurs, voire les plus véritables, comme le sont les plus
véritables [a]Artistes -(comme, par exemple, S.
E. A. I. S. S. S. L. P. Léonard de Vinci, cet immensisimis…simissime génie, à
l’origine de la poursuite du développement de la Renaissance -[en France], qui
était végétarien – ce qui signifie que déjà, à son époque, on pouvait trouver
-(en tout cas en Italie et en France), suffisemment de produits – fruits,
légumes, produits dérivés du lait, céréales, épices, etc. - pour poursuivre son
chemin en végétarien)- au service de
l’[a]Amour).
C’est
qu’à 111 dollars le baril de pétrole cela signifie que ce pétrole -(qui, en théorie, appartient –[comme la salle des
machines]- à toute l’humanité –[et
qui m’appartient au titre de bouddhahs et à celui d’empereur –(soit
d’eanmeailleurs, mais aussi, avec mon père, les premiers empereurs de l’histoire de l’aventure humaine
–[A.H.A.]- à s’être doté de conscience, soit, en ce qui me concerne en m’étant
métamorphosé en bouddhahs à ma naissance en 1963 mais aussi une autre fois en
1967 et en 1977 comme de nouveau à partir de 2005 -(ces dates synchrones entre
elles), soit en un éveillé par acquis de conscience], comme
à celui – toujours moi - qui a dicté aux années 1977 et suivantes, du ciel, la
géolocalisation de plus de 50% des réserves actuelles de pétrole)- devait être, (en raison
de cette quantité de pétrole que j’ai apportée sur les marchés dans les années
1980), proposé au moins, pour commencer -(à aller dans le bon sens), deux fois moins cher / coûteux / onéreux, ce qui n’a
malheureusement pas été le cas -(si tu regardes
/ cherches » la progression du prix du baril de pétrole entre 1977 et
2014 «, tu verras que ce prix du baril de pétrole n’a grosso modo, dans ses grandes lignes, fait qu’augmenter -[le prix
de ce brut], sauf à partir de 2014, à cause de mes écrits espionnés -(ma
lettre aux papes[70]
et celle aux
présidents de la République, dont Hollande[71])- il a
enfin commencé à baisser. Fasse Tout que ça continue au moins jusqu’à 0,01
centime de dollar le baril)- et ce qui, au
contraire, aurait fait baisser tous les prix au moins deux fois moins chers /
onéreux / coûteux, au point de commencer de manière significative
-(significativement)- à résorber le chômage comme commencer à nous donner enfin
les moyens pour payer les dettes accumulées, mais aussi commencer à offrir un
pouvoir d’achat près de deux fois plus important, mais aussi preuves à l’appui
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous :
-( :
la situation ainsi créée avec la tendance à la baisse des prix de chacun des
produits de consommation le démontrant, étant donné que la grande majorité des
patrons sont des honnêtes-gens et qu’ils ne font, à travers les produits
fabriqués et vendus, qu’essayer de se rembourser des coûts-de-revient des produits
fabriqués, les bénéfices étant à considérer, en fait, comme une sorte de
sécurité pour eux-mêmes, leur[s] entreprise[s], [ceux qui dépendent de ces
patrons / responsables]– et leurs familles
–[c’est normal -[juste]- puisque l’initiative pour monter ces industries ou/et
artisanats vient de ces patrons et qu’ils y ont travaillé -[parfois, voire
continuellement]- à de hauts niveaux de responsabilité])- souvent à l’origine de ces bienfaits, y compris quang,
pardon quand ils les réinvestissent)-
de décider les dirigeants
de l’OPEP de continuer, d’eux-mêmes, à baisser le prix du baril de pétrole,
pour continuer à vivre ce miracle économique, vers un/ce centime de dollar le
baril, toutes les monnaies retrouvant chaque jour un plus fort pouvoir d’achat,
dont celle des Etats-Unis d’Amérique
N.
B. : Suite après les sept paragraphes suivants ci-dessous :
1/
–[(car plus le prix du pétrole vaudra ce centime de
dollar le baril, plus ce centime de dollar finira de/à/par valoir –[à un
centime de dollar le baril de pétrole]- au moins cent centimes de dollars de
2014, si ce n’est plus encore, soit un dollar comme un euro ou d’autres devises
qui de jour en jour s’apprécieront,[72]
-(ce qui est tout compte[s] fait[s] une très bonne affaire pour l’OPEP –[dans un contexte, qui plus est, où le pouvoir
d’achat grandit en proportion de la baisse du prix du baril de pétrole]- un excellent bon prix / un prix correct, honnête pour
un baril de pétrole -(vendu à un centime de
dollar, mais ce centime de dollar valant alors au moins de un à dix dollars,
voire plus. Ici c’est peut-être / normalement si les choses se passent bien une
très belle surprise pour tous), même si ce centime de dollar ne
vaut qu’un seul dollar -(mais dans un contexte
où le pouvoir d’achat a augmenté considérablement pour ce dollar)- pas dix -(comme cela pourrait être en définitive le
SPOK). Aussi si c’est mille centimes que cela vaut, soit dix dollars, c’est un
pouvoir d’achat beaucoup plus important encore auquel nous aurons droit.
111 $ -(le
prix du baril de pétrole aux alentours de 2011-12) = 11 100 cents de $.
Mais à 1 cent le baril de pétrole c’est théoriquement chaque prix
11 100 fois moins cher / onéreux / coûteux -(donc 11 100
fois moins pour tous les produits sans exception et cela si on conserve les
cadences infernales actuelles).
111 $ = 1 110 000 cents de $ à 0,01 cent de $ le baril de pétrole -(donc 1 110 000 fois moins
pour tous les produits sans exception et cela si on conserve partout les
cadences infernales actuelles).
111 $ = 111 000 000 cents de $ à 0,000 1 cent le baril de pétrole -(donc 111
000 000 [cent onze millions]- fois moins cher pour tous les produits sans
exception et cela si on conserve les cadences actuelles).
5/ A un cent
le baril de pétrole Brent, un dollar -(sa valeur étant devenue au moins cent
fois plus), si ce n’est le cent de
dollar vaut au moins 111$ -(le prix arrondi du baril de pétrole à son prix
maximum autour de 2011)-,
A 0,01 cent le baril de pétrole, un dollar, si ce n’est le cent de $, vaut
11 100 dollars,
A 0,0001 cent de dollar le baril de pétrole, un dollar, si ce n’est le cent
de $ vaut 1 110 000 dollars -(de quoi retrouver pour tous, avec la monnaie de
l’Ôz les plus véritables valeurs de
chacune des monnaies et leur pouvoir d’achat démultiplié).
6/
Ce centime de dollar verra son pouvoir d’achat démultiplié comme celui du
dollar lui-même, théoriquement -(à un centime de dollar le baril de pétrole)-
ce dollar vaudra donc au moins environ 111 dollars de 2011-12, mais en réalité
si le prix du baril de pétrole est porté à 0,01 centime de dollar le baril, le
dollar aura au moins le pouvoir d’achat de onze mille cent dollars
-(11 100)- de 2011.
Et
si le prix du pétrole est porté à 0,000 1 centimes de dollar le baril, le
dollar -(et les autres monnaies)- vaudra / aura au moins le pouvoir d’achat de un
million cent dix mille -(1 110 000)- dollars.
7 :
Donc ce dollar -(dans cet exemple, le prix du baril de pétrole étant toujours à
un centime de dollar)- au moins
l’équivalent de cent onze dollars mais avec un nouveau pouvoir d’achat démultiplié, d’où le
très grand intérêt, l’immense intérêt des pays
producteurs de pétrole -(les P.P.P.)- de baisser le plus rapidement possible le
prix du pétrole, pour continuer la tendance du baril de pétrole à la baisse
depuis 2012 vers ce centime de dollar le baril)],
(N. B. : suite de sept paragraphes ci-dessus) :
mais aussi la monnaie de
l’Euro qu’avec mon père -(et sa génération)- nous avons voulu créer, comme je
souhaite créer pour la génération des enfants de ta fille, voire celle d’après,
celle de tes petits enfants, la monnaie de l’Ôz[73],
-(elle ne serait pas « unique » car les autres monnaies – locales –
pourraient continuer à circuler, cependant que pour ceux qui sont concernés par
le commerce interRégional – soit autrefois dit » international « –
(la mondialisation des échanges commerciaux – MEC aidant) - cette monnaie de l’Ôz que nous proposons pourra être un
instrument de Paix, ce qui est fondamental / essentiel pour créer la prospérité,
(N. B. : suite après le paragraphe ci-dessous) :
« la
guerre n’étant jamais une bonne affaire » sauf à première[s] vue[s] pour
les marchands de canons et le personnel médical, voire rapporte à quelques
autres professions de sous-traitants -(mais il
ne s’agit pas ici de rapports éthiques en absolu –[même si pour certains ces
armes, comme ces soins, seraient ceux de la légitime défense], soit ce qu’on
peut conseiller être le mieux pour chacun des membres de la condition humaine.
C’est pourquoi la guerre est toujours une mauvaise affaire pour tous sans
exception, par conséquent –[sur cet autre plan]- même pour les marchands de
canon[s] et les militaires qui auraient pu sinon au lieu de ça être en
vacances, voire devenir peintres, poètes, écrivains, chanteurs, danseurs,
réalisateurs de films, philosophes, etc. voire producteurs, ou/et médecins,
architectes, bref en temps de Paix à servir leurs prochains dans des
professions moins brutales -[plus]- utiles, car bienfaisantes)- dont le personnel, une fois les guerres militaires
hors les lois, pourra s’adonner à d’autres professions ou/et solutions
alternatives élégantes de professions plus enrichissantes pour l’esprit -[à
l’origine de progrès spirituels plus féconds]. Soit la raison d’être de la
Création, cet accès possible à la conscience, comme une virtualité en chacun de
nous)-
à
l’échelle planétaire -(car de même que l’Euro nous évite la guerre
entre les rRégions membres de la -[future]- Confédération de l’Union
Européenne, (la C. U. E.), l’Ôz nous
l’évitera à tous et celle-ci –[la guerre évitée]- à l’échelle planétaire, au
profit du Commerce International des biens de première nécessité, voire du
superflu, en définitive grâce à la monnaie de
l’Ôz[74] circulant
enfin dans le même village –[les temps pour
parcourir les distances ayant été à ce point raccourcis / réduits notemment
avec l’Aviation Commercial], ce qui est
essentiel pour l’Économie de chacune des rRégions -[au sens de nations]- du
globe, la prospérité étant
enfin possible / réalisable pour tous sans exception[75], d’autant
plus que la valeur du dollar sera celle indiquée plus haut et cela
en fonction du prix du baril de pétrole[76] qui
progressivement baissera pour redonner à tous du pouvoir d’achat y
compris à l’Ôz[77]
et il sera enfin possible de rembourser les dettes de chacun des pays y compris
toutes celles des pays les plus riches qui sont très importantes /
immenses, mais aussi, bien sûr, les dettes des pays / rRégions les plus pauvres
– ce qui contraindra, jusqu’au moment où seront payées ces dettes, à l’Ensemble
de ne pas faire semblant de travailler, par conséquent encore quelques temps
aux cadences infernales actuelles – du moins jusqu’à ce que toutes les dettes
soient payées / remboursées pour que chaque rRégions [re]devienne une/des
bonne[s] affaire[s], notemment grâce à l’énergie solaire et à l’hydrogène pour
des transports non polluants, soit les énergies propres).
En d’autres termes, pour
payer les logements et les repas respectifs, les
êtres humains ont, -(en attendant cette baisse
du prix du baril de pétrole qui changera tout enfin dans le bon sens car de
grandes quantités de produits seront plus ou moins gratuits selon si le prix du
baril de pétrole sera un centime de dollar le baril, 0,01 centime de dollar le
baril ou 0,0001 centime de dollar le baril)- besoin
de revenus financiers propres et mérités de droit -(acronyme de RFPMD)- ce que peut être un minimum universel
y compris pour un logement minimal dès la naissance[78] -(en
raison et en toute cohérence avec le droit à la vie privée –[ce qui reconnait implicitement le droit à la vie
pour tous/chacun]- ce qui a été reconnu par
l’ONU depuis maintenant plusieurs années). Ce droit à avoir des moyens financiers propres et mérités de droit -(les acronymes CFPMD –
[crédits] / MFPMD / RFPMD -[revenus]- pour le mot de » l’argent
«, mis-à-jour par nos soins)- est donc lui
aussi implicite et/mais ne pourra être qu’à certaines conditions dont celle de
-[ne]- se nourrir qu’en végétarien et de boire très modérément –(genre une
bouteille de cidre, voire de bon vin par semaine et par tête et de n’avoir le
droit qu’à deux enfants, si on appartient à ceux qui ne disposent pas de crédits financiers propres et mérités de droit suffisants -(autre variante acronyme pour cette notion
d’argent : des CFPMD)- en raison de travaux / professions donnant lieu à
rémunération[s].
Une
fois le prix du baril de pétrole à un centime de dollar, on constate que
le dollar, l’euro, la livre sterling, le yen, etc. -(les
monnaies des pays du G7)- comme toutes les autres sans exception se sont
appréciées -(leur valeur augmente car les difficultés disparaissent petit à
petit toutes y compris les malheurs et certaines maladies comme aussi tous les
malhonnêtes qui redeviennent progressivement honnêtes)- sur les marchés -(places financières)- et que le pouvoir d’achat
revient au galop et qu’effectivement une chose / un produit qui était vendu[e]
onze mille dollars est proposée à un dollar, ce qui permet d’augmenter la
production de chacun des produits, car ici la demande augmentera -(le plein
emploi règnera)- en proportion de l’offre qu’il est enfin possible d’obtenir
parce qu’on pourra employer les chômeurs en raison de ce pouvoir d’achat revenu
et qui a autant augmenté parce que le prix du baril de pétrole est de plus en
plus bas ! Ce pouvoir d’achat adviendra / reviendra proportionnellement à la
baisse du prix du baril de pétrole et évidemment plus ce prix du baril sera
faible plus ce pouvoir d’achat augmentera en proportion partout -(car tous les
prix de tous les transports de tous les produits dépendant des transports
baisseront en proportion de cette baisse du prix du baril de pétrole).
C’est
la
condition sine qua non pour restaurer
la vision très sacrée d’Atlantide[79],
soit celles d’Ôz, de l’Eden, du très
saint paradis, de Schtroumpf et
d’autres synonymes comme Arcadie, etc. , bien que chacun de ces synonymes du
très saint paradis sont/aient à proposer ce paradis un peu différemment de ce
qu’il y a, en fait, comme sublimissimis…simissime beauté au Paradis -(il a
suffi de cinq secondes en 1995 pour m’en convaincre : c’est en effet la
vision d’Ôz
archidivinissimis…simissime).
Le revenu universel y
compris l’allocation pour le logement minimal[80] -(dans chacune des capitales des rRégions / pays
de la planète, 14 mètres carrés, salle de bain et kitchenette comprise – ce qui
signifie que ces studios peuvent être deux à trois fois plus grands en d’autres
villes moins importantes que les capitale[s])- ne
peut être délivré / compté / proposé qu’en monnaie d’Ôz pour l’instant la monnaie de calcul -(comme l’Ecu l’a été avant
l’Euro)- pour tous ceux maniant les CFPMD
-(banquiers, états, commerçants internationaux, etc.)- soit
interRégionaux –[ce qu’il vaut mieux dire qu’Internationaux – tu sais
pourquoi : danger de montée localement des nationalismes, au sens négatif
de ce mot de nationalisme qui en a heureusement du positif dans d’autres SPOK –
(situations précises, occasions, cas particuliers, car ici, dans cet acronyme d’exception, c de cas et p de particuliers = K -[de SPOK])]. Mais attention, il ne faudrait pas
assister à la montée de rRégionalismes, au sens négatif de ce mot qui en a,
nous venons de le voir, heureusement du positif y compris dans ces autres
SPOK).
Le
droit de travailler ou/et de ne pas travailler étant reconnu pour tous,
cependant il ne sera effectif qu’une fois toutes les dettes remboursées, ce qui
devrait aller plus vite qu’on ne le pense à 0,01 centime de dollar le baril,
voire encore plus vite à 0,000 1 centime de dollar le baril.
A
un centime de dollar le baril, tous les prix des denrées de première[s]
nécessité[s] et ces logements sont proposés gratuitement à tous, au point qu’à
un centime de dollar le baril -(en prenant pour
appui l’année 2011, quand
le prix du baril Brent de pétrole était aux environs de 111 dollars le baril,
soit onze mille centimes -[11 000 cent])- chaque
chose / produit valant onze mille cent dollars -(11 100 $)- ne vaut plus
qu’un dollar ! Et à 0,01 centime de dollar le baril chaque chose / produit
valant un million cent dix mille dollars -(1 110 000 $)- ne vaut plus
qu’un dollar, tandis qu’à 0, 000 1 centime de dollar le baril chaque chose /
produit valant cent onze millions de dollars -(111 000 000 $)- vaut
un dollar ! (Mais je décourage d’avoir à en venir à cette extrémité car pour
d’autres raisons que je ne veux pas trop dévoiler ou/et développer –(qui seraient d’ordre morales comme pour éviter de
faire trop d’enfants gâtés, ce qui serait alors général), il serait préférable, voire beaucoup plus prudent de
s’en tenir à 0,01 centime de dollar le baril, voire plus simplement à un
centime de dollar le baril, cependant qu’à 0,000 1 centime de dollar le baril,
on peut aller plus vite en besogne pour rembourser ces immensissimissimissimes
dettes. Aussi, tous comptes faits, j’encourage à choisir cette dernière solution
que j’ai trouvée, cher Jean, en t’écrivant ici et que j’avais plus qu’entrevue
dès 2013 sans la ôzer / la permettre
en raison d’éthique et respect envers nos ancêtres les plus dignes de respect).
En
effet cela sera à l’origine de la disparition à jamais de la misère et de la
pauvreté matérielle dans le monde entier, dans l’heure qui suivra l’annonce du
prix du baril de pétrole à 0,01 centimes de dollar le baril, mais il est à
prévoir qu’un grand nombre de personnes voudra profiter de la situation pour ne
plus jamais travailler et devenir uniquement consommateur -(ce qui peut être vu
comme une sorte de métier ou/et activité, notemment avec les économies qui leur
restent ayant pris autant de valeur). Aussi plus il y aura des profiteurs -(au sens anciens où l’on voyait les choses ainsi en
considérant les fainéants alors que ce mot est, haléas, pardon hélas une forme
d’activité, celle d’activité en grande majorité négative), moins le pouvoir d’achat de la monnaie sera
-(localement)- élevé. Aussi il est à prévoir qu’à un centime de dollar le baril
ce n’est pas onze mille dollars qui vaudront un dollar, mais seulement cent
fois moins que ça, voire mille fois moins que ça -(hélas, infiniment hélas
– cependant que c’est le droit de chacun d’avoir la vie qu’il voudra, voire de
se comporter en parasite pour obtenir une fois mort la réincarnation de
prédateur / parasite qu’il cherche à obtenir ainsi d’une façon, on peut le
dire, asociale -(au sens où autrefois les
sociétés contribuaient grandement au développement des civilisations dans leurs
aspects les plus positifs)- puisque ces
personnes croiront possible ne plus travailler pour gagner
« honnêtement » leur vie et prétendront que consommer plus ou moins
gratuitement c’est travailler / voire une forme de travail – ce qui est vrai).
Aussi c’est cent onze dollars -(111 dollars)- de 2011 -(au moment où le pétrole
était proposé au prix démentiel maximal ayant failli faire exploser le soleil),
voire seulement 11 dollars, s’ils sont aussi nombreux que cela les parasites
laipis -(acronyme d’uniquement laïcs,
strictement athées, ignorants, profanes, inconscients, sacrilèges au sens négatif et positif
de ces six mots).
A
0,01 centime de dollar le baril, si nous continuons comme c’est le SPOK, cela
signifie que chacune des choses / produits à 1 million cent mille dollars de
2011-12 -(toujours au moment où le baril de
pétrole était aux environs de 111 dollars)- ne valent plus qu’un dollar. De
même que pour un centime de dollar le baril, il est à prévoir que seront très
nombreux tous ceux qui ne veulent plus travailler du tout et ne se comporter
qu’en consommateurs parasites –(ce qui est aussi le cas de ceux qui travaillent
le plus, mais en n’étant pas parasites, ce qui serait une caractéristique de
plus de certains des laipis). Aussi il est à prévoir cent fois moins de pouvoir
d’achat, voire au pire mille fois moins de valeur pour le dollar comme pouvoir
d’achat, soit dans le premier cas onze mille dollars pour un dollar, voire dans
le second cas mille dollars -[pour un dollar]- comme pouvoir d’achat !
D’où
pour l’Intérêt et le Bien Général d’aller au prix du baril de pétrole à 0,01
centime de dollar et non au prix du baril à un centime de dollar!
Voire
de l’intérêt d’aller à 0,000 1 centime de dollar le baril de brut, ce qui
donnerait, -(sur la base du paragraphe précédent la phrase ci-dessus), à ce
prix du baril de pétrole cent onze mille dollars le pouvoir d’achat d’un
dollar, voire au mieux -(s’il n’y a pas de consommateurs parasites)- un million
cent onze mille dollars pour le prix -(la valeur – comme pouvoir d’achat)- d’un
dollar ! (Cependant cette valeur sera
moindre et proportionnelle au nombre des gens qui souhaiteront travailler ou
pas. Nous l’avons vu, se seront l’ensemble des parasites qui feront baisser le
pouvoir d’achat en proportion de leur nombre comme c’est le SPOK à un centime
de dollar le baril, mais aussi à 0,01 centime de dollar le baril. A fortiori à
0,0001 centime de dollar le baril de pétrole). Aussi dans ce SPOK, avec les
parasites, le dollar court le danger de
ne valoir plus que cent mille dollars de 2011, voire dans le pire cas de figure
mille dollars, soit pas grand-chose, cependant que si les parasites refusent de
l’être, alors nous pourrons plus rapidement rembourser les dettes et avoir un
pouvoir d’achat d’au moins dix mille dollars, voire celui de cent mille dollars
pour un dollar, ce qui n’est pas rien / à dédaigner.
Et
cela pour permettre la transition au tout électrique, mais aussi aux
automobiles à hydrogène, voire, si c’est possible, l’aviation à hydrogène ainsi
que la navigation pour, sur le long terme, cesser de polluer et sauver la
planète à temps y compris de la désertification qui est causée par l’effet de
serre dû à la consommation excessive des énergies fossiles -(pétrole et
charbon, etc.)- mais aussi au trop grand nombre d’animaux élevés pour leur
viande -(ils sont en nombre si élevé à l’origine de l’excessif taux de gaz
carbonique et d’autres problèmes concernant les végétaux – c’est à cause d’eux
que la désertification augmente), par conséquent ce projet dans la perspective
d’une génération vers 2100 -(si possible avant,
ce serait beaucoup mieux pour tous)- qui sera,
en Occident -(et dans les pays dits à tort ou à
raison » développés «), comme c’est le cas
déjà dans les pays pauvres –(à cause de la
pauvreté, du sous-développement, du manque de MFPMD), voire en » voie de
développement «, devenue, dès sa -(cette génération)- naissance, voire sa
conception, végétarienne -(ce qui est la seule perspective possible pour sauver
notre planète, voire pour exporter la vie et ses bienfaits sur d’autres
planètes une fois qu’on aura trouvé comment aller, sans danger, des millions,
voire des milliards de fois plus vite que la vitesse de la lumière. Ce qu’il
faut savoir c’est que nous ne pourrons y parvenir qu’uniquement végétariens, ce
qui, je l’ai démontré de 1967 à 1977 et de 1977 à 2005 permet, car inoffensifs
et de façon continuelle en légitime défense, l’accès à cette sécurité dans
l’être humain qu’est la conscience, soit de devenir un éveillé par acquis de
conscience, soit un bouddha, ce qui est toujours à l’origine de toutes les
découvertes les plus merveilleuses, par conséquent nous aurons alors de très
nombreux inventeurs et découvreurs éveillés
par acquis de conscience -[É.A.C]- proposant des solutions alternatives élégantes -(S. A. É.)- puisqu’elles ne
peuvent advenir qu’une fois découverte en soi la conscience, donc par ceux qui
sont alors capables de compter en multidimention[s])- au point que les
meilleures inventions -(toutes celles qui nous font rêver)- qui sont de nos
jours encore de l’ordre de la sciences fiction -(au point, cela l’a été
longtemps, de devenir synonymes d’impossible)- seront très probablement enfin
possibles / découvertes).
C’est, cher Jean, qu’en l’absence des énergies fluvial
motrices, estuaires motrices, marées motrices -(à l’exception du prototype de
1966 situé en France dans l’estuaire de la Rance), canaux motrices, et
l’insuffisance du parc des éoliennes, par exemple ancrées le long de la route
des ouragans en Atlantique et le long de la route des typhons dans l’Océan
Pacifique, la moindre des choses créées par les
êtres humains qui, en ce monde,
dépend du prix du baril de pétrole, car si tu y songes / penses, tu comprendras
facilement que pour chacune des choses que nous mangeons, il fallut la
transporter jusqu’au point de retrait où nous l’avons chacun trouvée / achetée,
voire sinon acheminée jusqu’à nos demeures respectives par la Poste ou d’autres
moyens, la facture que nous payons aux responsables des pays producteurs de
pétrole n’étant, en réalité, que pour payer la consommation directe et/ou
indirecte de pétrole de chacun des intervenants dans le processus de
transformation / fabrication qui, pour advenir, est à l’origine des achats de
ces matières énergétiques, mais aussi des choses et/ou les denrées alimentaires
pour vivre -(eux, les auteurs, les patrons et
les personnes dont ils sont responsables, ce qui coûte en transport pour
chacune des catégories où ces éléments recherchés figurent et ce qui, à cause
de cela, est répercuté sur le prix de revient au final de chacun des prix)- à chacun des niveaux où il se situe dans la chaîne des
intervenants depuis l’origine du produits -(soit l’idée de ce produit. Soit ce
qui est à l’origine, légitimise -(rend légitime)- le Droit d’Auteur -(puisqu’eux aussi, les auteurs, ont, comme les plus
véritables artistes, le droit et/ou devoir de vivre –[donc de dépenser]- pour chercher et innover
dans les meilleures conditions, voire au moins si possible dans de bonnes
conditions), par conséquent un pourcentage sur
la vente des exemplaires du modèle, donc de cette idée, en échange de RFPMD -(revenus financiers propres et mérités de droit)- pour ces auteurs parce que
celui-ci doit bien trouver les MFPMD -(moyens financiers propres et mérités de droit)- pour vivre lui aussi et
payer le transport de chacune des choses nécessaires pour lui permettre de
financer avec sa vie celle des personnes dont il est responsable / qui
dépendent de lui/elle - car chacun de ces intermédiaires depuis le premier
auteur de l’idée a des frais / dépenses à faire pour participer à la genèse -(l’idée, le prototype, le scénario, etc.)- comme à l’élaboration plus en détail du produit qu’une
fois fabriqué / terminé le fabricant propose sur le[s] marché[s] -(ce qui sera à l’origine de frais nouveaux, soit
même si à notre époque il le peut présenter sur Internet, il y a tous les frais
de transport[s] pour trouver les intermédiaires qui veulent se charger de
proposer ce[s] produit[s] à la vente et qui ont, eux aussi, le droit de vivre,
par conséquent des frais comme tous ceux qui sont à l’origine des produits –[alimentaires, de logement, et autres]- dont ils ont quotidiennement besoin eux et leur
famille, soit encore et toujours des frais de transports à tous les niveaux de
la chaîne, donc de chacun des maillons de/avec ces intervenants qui facturent
ainsi leurs différentes dépenses sous forme d’honoraires ou autrement-dit,
salaires, émùoluements, pardon : émoluments, etc., bref selon la catégorie
de leurs interventions). Et ce sont pour chacun
toutes des dépenses de transport y compris pour chacun des travailleurs
intellectuels à l’origine ou au service de l’idée, mais aussi tous les
travailleurs manuels qui ont besoin d’acheter ce qu’ils doivent manger comme
payer / louer l’endroit où ils doivent vivre –
N.
B. : suite après le paragraphe ci-dessous
(et
pour avoir été bâtis, il a fallu dépenser tous les frais de transport pour
nourrir et loger le personnel adéquat –[mais aussi tous ceux pour faire pousser
tous les produits agricoles]- et acheter les
matériaux de construction, par conséquent payer les transports des matières
premières –[et tous les frais –(de transport et
de nourriture, ce qui est du transport vu en détail)- de ceux qui les ont
semées et/ou transformées]- ou/et secondes,
voire énièmes n’écessaires, pardon nécessaires, à la construction de cet
habitat),
mais aussi payer tous les
produits vitaux, soit de/ceux de première[s] nécessité[s] comme le gaz,
l’électricité, internet -(des frais de transport
des tuyaux, des fils, des instruments pour les mettre en chantier avec des
personnes plus ou moins qualifiées dont il a fallu payer tous les frais des
transports comme tous ceux pour fabriquer chacun de ces instruments), les fruits et légumes, les fromages, la boisson, mais
aussi les diverses assurances, -(qui
sont au prix où elles sont en raison que les patrons de ces assurances
répercutent -[comme les autres patrons]- toutes les dépenses -[les coûts-de-revient]- qu’ils
ont pour proposer ces services sur la quantité de clients possibles / virtuels
/ prévus –[y compris dans un contexte de crise économique dans laquelle la
concurrence constitue un handicap important pour tous
-(sauf pour l’acheteur qui en bénéficie, cela étant une des raisons d’être du
capitalisme) – ce qui contraint à estimer au
plus juste, donc à évaluer plus cher le produit finalement à vendre -(en raison
qu’en ce contexte de crise économique le marché s’est réduit –[les débouchés pour ce[s] produit[s] sont
moindres]: les chances de vendre ce produit baisse plus le pouvoir d’achat se
réduit / diminue parce que le prix du baril de pétrole a augmenté, au point que
la vente de ce produit est toujours plus risqué et peut même être à l’origine
d’une faillite ou/et du retrait de ce service / produit du marché, car il y a
hausse du prix de ce produit qui répercute dans son prix toutes les hausses des
prix des matières premières et des autres dépenses à faire, leur prix causé /
déterminé par la hausse du prix du baril de pétrole -(se répercutant sur le
prix de chacun des produits commerciaux nécessaires à dépenser / acheter pour
réaliser ces produits). Aussi il convient à mesure de ces hausses du prix de
revient de prévoir de moins en moins de clients
–(donc ce produit, en fait, à cause de la crise économique, finalement réservé
pour les/aux happy few, alors qu’au
départ il pouvait être pour tous et donc participer à une situation générale de
plein emploi, voire -[la situation]- y tendant fortement)- étant donné que plus il y a de clients -(donc plus la
Demande est grande)- plus le nombre d’exemplaires permet
-(d’autant plus qu’on délocalisera l’entreprise vers des pays sous-développés,
voire en voie de développement où à niveau de vie moindre, donc dans lesquels
la masse salariale des emplois proposés est moins élevée), de réduire le coût-de-revient
-(par exemple on le comprend aisément chez tous les marchands qui proposent des
photocopies à prix dégressifs, à mesure qu’on a à en faire un plus grand
nombre, un peu comme pour le prix des huitres offertes treize, voire quatorze
ou quinze, plus il y a de douzaines d’achetées. Cela a ici à voir avec la
notion de grossiste qui accepte de baisser ses prix -(pour le[s] détaillant[s]
/ acheteurs)- plus la quantité de leur Demande est importante et cela si
l’Offre du producteur et de ce grossiste le permet)- de
certains produits mais en
temps de crise économique
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous
-(soit
de pouvoir d’achat ayant diminué en proportion et en conséquence, soit en
répercutions du prix du baril de pétrole étant excessivement trop onéreux, au
point, plus il augmente, de devenir l’un des freins de/à toute l’Économie car
historiquement il s’agit, avec cette énergie du pétrole, de ce qui fonde -(soit
ce sur quoi se base)- la plupart des transports commerciaux, soit avec cette
notion de transport, l’élément premier, la matière première à la source du
développement de toute l’Économie -[ce – (ce transport) – planétaire, bref sur
quoi est fondé toutes les économies des différentes civilisations de nos jours
interconnectées car interdépendantes commercialement parlant car, en réalité,
complémentaires malgré la concurrence entre elles sur certains points], bref
sur quoi se fonde l’Economie car ce transport est à l’origine des importations
et exportations éthiques -(soit intellectuellement justes), soit ce qui est à
l’origine de la diversité ou/et des choix ainsi plus variés des consommateurs
comme de l’accès aux produits de première nécessité grâce aux échanges
commerciaux : transports obligent).
le nombre de potentiels
acheteurs diminue
N.
B. : Suite après les deux paragraphes suivants ci-dessous
(parce
que ce produit n’était pas/plus de ceux les plus essentiels, soit de première
nécessité, en devenant de ceux dits » superflus «. Il s’agit de comprendre en temps de
crise économique que les moins biens lotis se concentrent sur l’achat des biens
de première nécessité car il y a moins de CFPMD -(crédits financiers propres et mérités de droit)- pour
les produits / biens superflus
car il y a réduction du pouvoir d’achat –(ce qui est l’effet du prix du
baril de pétrole : le frein-à-main tiré sur l’Economie).
-[(à
l’origine du sentiment d’inégalité mais ce qui sera un droit -[ce superflu]-
une fois le pouvoir d’achat rétabli en raison du prix du baril de pétrole,
comme nous le demand[i]ons, porté au contraire, vers le minimum pour calmer et
soigner tous les esprits -(en les délivrant à jamais, tous sans exception, des
préoccupations / problèmes financièr•e•s. Soit pour commencer, à un centime de
dollar le baril. Puis constatant, comme nous l’avons anticipé et
promis[81]
que
la plupart des choses va/vont pour le mieux dans le monde entier - car elles s’améliorent à 0,01 centime de dollar
le baril et enfin constatant qu’un plus grand pourcentage de choses va encore
une fois beaucoup mieux pour tous sans exception à 0,000 1 centime de dollar le
baril, cela permettra un encore plus grand
confort retrouvé par tous matériellement parlant et/comme/donc de rétablir plus
facilement / aisément,
en
suivant notre programme, la vision du très saint paradis d’avant la très grande
catastrophe[82]
à l’origine, dans l’histoire de l’aventure humaine
-(l’HAH)- de l’existence de satan -(qui, j’ai eu à le démontrer, ne fut satan qu’en
raison de la haine qui l’a
possédé[83]
et de l’amnésie d’un grand nombre de paramètres essentiels pour vivre en
société en tant qu’êtres humains adultes et/ou responsables), soit
le premier des empereurs, ce qui, avec moi, le dernier des empereurs, est la fin de satan car je suis le rpemier,
pardon le premier empereur de l’histoire
de l’acenture -(ha ! ha !), encore par don, de l’aventure humaine –[H. A.
H. : histoire de l’aventure humaine]- à être devenu un
éveillé par acquis de conscience, soit un bouddhahs, ce qui, avec empereur,
a donné ce mot d’» eanmeailleurs « que j’ai conçu, par conséquent même si
empereur l’inverse de satan -(puisqu’un des éveillés
par acquis de conscience), soit l’eanmeailleurs !)]-
N.B. :
Suite de la fin du paragraphe avant les deux paragraphes précédents
ci-dessus :
donc
ne trouve que toujours moins de clients, le marché se
réduisant plus le pouvoir d’achat diminue, ce qui est le cas dès que le prix du
transport augmente à cause du prix de la matière première de ce transport, le
pétrole, dont le prix est beaucoup trop élevé, onéreux, cher, coûteux, voire
avait augmenté au lieu d’être le moins élevé possible pour faciliter l’Economie
mondiale, soit ce qui est le remède que nous avions proposé avec mon père empereur -(il occupait alors les fonctions de Conseiller
Financier d’Ambassade à Rome, Italie, en ayant été nommé pour cette fonction
comme pour celle d’empereur à l’occasion de mon apparition auditive sur la
ville de Paris en 1967
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous
-(mais
ma mère, entre autres Professeur à l’Université, m’a dit
-[un peu avant les années 2015 et suivantes]- qu’on
m’avait entendu bien avant ma naissance, dans les années d’après-guerre, donner
dans le ciel des instructions pour faciliter son mariage, soit le mariage de
mes parents puisque j’annonçai d’avance que si les choses continuaient à mal se
passer dans ces année-là, j’allais devoir m’incarner en elle de mon père –[dont j’avais dévoilé publiquement l’identité comme
la sienne]- après la naissance de mes frères et
sœurs pour, entre autre[s], faire des Démonstrations sur la nécessité, dans
l’éducation des enfants, [dans leurs programmes éducatifs]- de les initier aux
diverses religions)-
et auditive et visuelle à
partir de 1977 au-dessus de la ville de Rome, moi immense dans Ciel -(mesurant entre trois mille à dix mille mètres
d’altitude / de haut, constitué de nuages)- et
cette nomination de mon père empereur par l’opération du Saint-Esprit, en
raison de ces interventions divines à travers Espace et Temps du dernier-né de
ses enfants, moi, qui était censé me marier une première fois en 1967 -(à l’âge
de quatre ans)- et sinon aux alentours
de 1977 et années suivantes ou alors si cela n’avait pas pu se faire à
partir de 2005 et années suivantes, parce qu’était apparu de nouveau -(comme en
1967 et 1977)- à mon doigt annulaire des enfants et des hommes et des femmes
les plus véritablement mariés, un anneau -[de mariage]- immatériel immaculé et,
de notre point de vue de 1967 et 1977, d’avance dans le futur des années 2005
et suivantes -(années se déroulant exactement en
même temps que les années 1967 et suivantes -[où
cet anneau était déjà apparu une première fois, probablement en raison de
l’amour que je ressentais pour ma sœur plus âgée que moi de sept années et pour
ma mère qui attendait des enfants après moi, ce qu’elle a cru devoir sacrifier
pour se consacrer à l’éducation de ses enfants et à aider mon père dans ses
différentes fonctions, mais cet anneau immatériel immaculé qui était apparu à
mon doigt annulaire l’était -(en 1967)- déjà pour S. A. I. S. S. S. S. P.
Michèle Finck et pour S. A. I. S. S. S. S. P. Christine …Lang dont j’avais dû
donner / transmettre les identités], mais aussi
1977 et suivantes où ce fut la seconde fois où cet anneau immatériel et
immaculé apparut à mon doigt –[cette fois-ci à première-vue uniquement pour S.
A. I. S. S. S. S. P. Christine …Lang], ce qui confirmait l’existence de tous
les plus véritables mariages)- où cet anneau
était pour S. A. I. S. S. S. S. P. Michèle Finck car j’étais chronologiquement
empereur après mon père, mais en même temps que lui, dès / à partir de 1995,
cependant qu’aux alentours de 2010, j’ai compris que l’empereur que j’étais
était [re]devenu bouddhahs, soit éveillé par acquis de conscience, ce qui
signifiait le mot d’eanmeailleurs que j’eus à créer pour cette exception dans
l’histoire des empereurs, car c’était à ma connaissance la première fois dans
l’histoire de l’aventure humaine -(H. A.
H.)- qu’un empereur était devenu bouddhahs. Soit un pharaon-bouddha, donc le
bouddhahs les eanmeailleurs d’Ôz)-
N. B. : Suite d’environ trois
paragraphes ci-dessus -(rechercher même nombre de lettres en rouge) :
pour faire baisser tous
les prix et de ce fait assurer de nouveau le plein emploi en raison d’un
pouvoir d’achat pour tous revenus plus que décuplé, voire centuplé, voire plus
encore, ce qui donne avvès, pardon accès à tous au superflu, soit même à des
matières énièmes, voire redevenues premières sur un autre plan -(comme, par exemple, appartement / maison à la
campagne, à la mer, à la montagne, en ville pour tous / chacun ; ce qui,
entre parenthèses, assurera le plein emploi)- et
qui sont, en temps de crise, réservées aux happy
few, cependant qu’avec ce nouveau pouvoir d’achat enfin démocratisé[es][84]
-(ces choses considérées à tort ou à raison superflues), à la portée de toutes
les bourses puisque la crise est résolue parce que le pouvoir d’achat est enfin
fraternellement rétabli
N.
B. : Suite après les cinq paragraphes suivants ci-dessous
1/-(aussi
cela signifie que la misère et la pauvreté matérielle n’ont existé qu’en raison
de causes artificielles
N.
B. : Suite après les trois paragraphes suivants ci-dessous
2/1/-[ce
qui signifie qu’une fois trouvées ces causes de la pauvreté et de la misère matérielle
comme je les avais déterminées avec S. A. I. S. S. S. S. P. Christine … Lang
exactement, on devait suivre le remède prescrit par mes soins de [re]devenu
éveillé et amoureux de Christine, par acquis de conscience
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous
3/2/1/-(même
si je n’avais, à vue d’œil, que quatorze ans – cependant que dans le ciel où,
en avant-première, j’étais apparu en virtuel en même temps, j’en avais déjà au
moins quarante-deux, en ayant prouvé qu’une apparition virtuelle, soit une
virtualité, peut donc toujours se prévoir et qu’il y a donc un décalage qui
existe entre la virtualité et la réalité de cette virtualité, ce décalage
pouvant être plus ou moins grand -(1967, 1977, synchrones avec 2005 – donc dans
mon cas deux décalages au moins l’un de trente-sept ans et l’autre de
vingt-sept ans, si ce n’est trois avec mon apparition sonore entendue dans les
années d’après la Seconde Guerre Mondiale, voire encore plus important, ce
décalage, avec les années où on m’a pris pour l’Être Suprême, alors
qu’évidemment dans ce SPOK -(situation précise, etc.)- aussi – comme dans celui
de l’après-guerre - pas encore né !)- et par conséquent permettre de faire
les meilleurs choix d’Intérêt et pour le Bien Général puisque grâce à la virtualité,
soit l’anticipation -(qui ont censées advenir dans le Ciel, soit dans le futur,
trente-sept -[à partir de 1967]- et une autre fois vingt-sept ans -[à partir de
1977]- plus tard), soit la vérification que le possible est prévu d’avance, ce
qui fait qu’on n’est pas obligé de réaliser le cas de figure où cette
virtualité -(au sens d’anticipation)- a lieu dans le ciel, mais un autre »
ou bien « -(au sens rénaisien du terme)- de la Création, comme l’a
démontré dans ses films Smoking ;
No smoking, S. A. I. S. S. S. L. P.
Alain Resnais, ce que moi vingt-sept ans de moins –[en1977]- que moi -(avec
vingt-sept ans de plus, en 2005)- attendions que les adultes des années 1977
comprennent et choisissent de faire, puisqu’ils étaient prévenus d’avance de
manière virtuelle de la plupart des catastrophes qu’il y aurait s’ils
s’entêtaient à vouloir prendre ce chemin -(où tout se [re]produirait comme cela
venait de se passer avec les points noirs signalés d’avance -(pour qu’ils
soient évités comme je le demandai, souhaitai, suppliai par acquis de
conscience en 1977)- qui allaient advenir mathématiquement s’ils choisissaient
de prendre le chemin qui nous mènerait en 2005, et ainsi de nouveau à la case
départ -(comme en 1967 et à partir de 1977 synchrones avec 2005) – ce qui était
possible d’éviter en faisant ma volonté de 1977 pour réaliser un
autre » ou bien « de la Création qui avait entièrement ma
préférence en 1977 comme de nouveau en 2017 quand je m’en suis enfin souvenu de
l’avoir proposé en 1977 à Christine, à Michèle et à ma mère -(et mon père)- par
conséquent de permettre mes deux mariages avec mes promises Christine et Michèle (ce qui permettait aussi à mon frère aîné de dix ans
plus âgé que moi de se marier avec S. A. I. S. S. S. S. P. Katriona Munth dont
il attendait les enfants)- étant donné que
j’avais eu pour chacune apparu à mon doigt annulaire des gens mariés un anneau
immatériel immaculé, dont le dernier avec Michèle étant apparu à partir de
2005, à l’occasion de mon déménagement de la rue Pierre Nicole pour la rue du
Val de Grâce, ce qui avait été à l’origine de ces Transmissions /
Communications à travers Espace et Temps avec 1967 et une autre fois dès 1977
et cela depuis les années 2005 et suivantes)-
4/3/
et d’homme véritablement
marié, par conséquent soucieux à l’avance du bien matériel de mes descenfdanys,
pardon » descendants « et de tous leurs amis, donc de leur
génération, en très véritable » bon père de famille «],
5/
par conséquent en raison
d’erreurs diverses pour conduire l’Economie planétaire sans une saine vision
d’ensemble et de toutes les interactions – ce qu’une fois devenu bouddhahs
j’ai, au contraire, pu)-
parce qu’enfin le plein
emploi est devenu une réalité pour assurer la Demande qui augmente et qui est
satisfaite par l’Offre), soit à tenir compte d’un contexte où la vente de ce
produit ne pourra se proposer qu’en une quantité restreinte, soit en nombre
réduit qui cependant doit être au moins d’un minimum d’exemplaires pour rendre
financièrement l’opération -(la vente)- possible / faisable / réalisable /
viable car ces produits ont le prix qu’ils ont parce que ces patrons, fort
honnêtement, répercutent le prix de revient de ce service dû aux énergies
nécessaires pour l’élaboration de ce[s] produit[s] avec tous les autres frais /
dépenses -(à première vue inscrites / marquées / considérées / estimées comme
autre chose que du pétrole, quand chacune de ces autres choses à vendre -(parce
que produites / fabriquées), n’atteignent le prix qu’elles ont qu’en raison
qu’elles dépendent toutes des coûts des dépenses de transport que ces
responsables ont à payer à chacune des étapes de leurs transformations donc des
achats nécessaires -(aux différents intermédiaires et/ou sous-traitants)- pour
réussir à produire et proposer, en raison de la loi de la Quantité et de la
Rareté, soit autrement vue celle de l’Offre et de la Demande dans / sur un
marché très souvent la proie de la concurrence
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant ci-dessous
-(ce
dont bénéficie chaque client. Il n’y a que les monopoles qui peuvent parfois
être une mauvaise affaire pour les acheteurs –[soit les consommateurs]- et cela
nous avons tous pu le vérifier lors de ces augmentations concertées –[une forme de racket despotique / tyrannique de
maîtres-chanteurs par conséquent inadmissible ce chantage, car c’est non
fraternel et cela dans une société qui essaie de bâtir, (en proposant les prix
les plus bas possibles), depuis longtemps, malgré les différences, le
contraire : la vraie Fraternité. D’où une situation incohérente pour tous
mais la découverte de l’origine – de l’une des causes – avec cette haine –(qui
est l’origine de ce racket)- de tous les problèmes, comme de l’impossibilité de
voir advenir cette Fraternité entre les membres des différentes rRégions – au sens ancien de nation - du monde]- du prix du baril de pétrole par les pays de l’OPEP
constitués en monopole, ce qui a, à partir de 1973, été à l’origine de toutes
les difficultés financières dans le monde entier et de la hausse des prix, par
conséquent l’origine de la pauvreté et de la misère matérielle causée par cette
sorte de frein –[ce monopole de l’OPEP]- continuellement tiré de plus en plus
fort –[jusqu’à 2014 où il a failli lâcher en
faisant exploser le soleil]- sur l’ensemble des
dépenses des acteurs de l’Économie –[industriels, paysans, commerçants,
services, fonctionnaires, sportifs, artistes, enseignants et autres catégories
socio-professionnelles, etc. étant tous / chacun dépendant directement et
indirectement, d’une façon ou d’une autre, à
chacun des niveaux où ils sont, du prix des transport]- et cela malgré
la Sherman Anti-Trust Act du 2
juillet 1890, le point de départ de la loi américaine capitaliste contre les
monopoles, donc interdisant / déconseillant les situations de monopoles –[ce qui est donc sacrilège pour les plus véritables
capitalistes industriels ou/et artisans et/ou commerçants ou/et ce qui démontre
qu’il n’y avait pas plus socialiste et paternaliste -(au bon sens de ces deux
mots qui sont négatifs dans d’autres SPOK)- que les plus véritables capitalistes
américains et/ou/soit tous les bons pères de famille puisqu’ils avaient
découvert là où le capitalisme pourrait être dangereux / pécher / être injuste
/ capable de voler au sens d’escroquer / racketer, donc se comporter contre
l’intérêt particulier des citoyens consommateurs, soit le client qui est dans
ces pays capitalistes roi, soit ce qui vaut beaucoup mieux que de n’être rien
comme en raison de cela ne pas avoir de droit[s]. Les droits des consommateurs
existent, ils s’inspirent / résultent / sont fondés / sont une conséquence des
Droits de l’Homme, soit celui des êtres humains pacifiques et inoffensifs /
voire étant contraints de se comporter justement en légitime défense. Et si
c’est le cas/SPOK, c’est parce que ce client est censé avoir obtenu pour vivre,
en échange de ce dont il est capable / maîtrise / est compétent des crédits financiers propres et mérités de droit – des CFPMD – ou/et allocations diverses parce que, bien sûr,
sans travail / activité il n’a pas le droit d’être malhonnête]- pour le très grand bienfait des consommateurs).
Et cela, par exemple
aussi pour n’importe lequel des enseignants qui doit songer à payer les
mensualités de son loyer comme des autres frais qui, seulement à première vue,
n’ont pas de rapport avec le prix du pétrole, alors qu’évidemment ils ne sont
au prix proposé qu’uniquement parce que pour construire ce logement il a fallu
payer pour transporter chaque sac de ciment, chaque élément[s][85]
utilisé pour le construire -(les matières premières étant au départ la plupart
gratuites, offertes par la Création -(Dieu, le Saint-Esprit, etc.)- mais
devenant un prix parce qu’il y a eu des frais de pétrole -[par exemple]- pour
en dessiner les plans et pour trouver ces matières premières, les exploiter,
donc un prix de revient -(qui sera à répercuter
évalué grâce à la loi de la rareté et de la quantité)- pour
obtenir leur valeur de vente sur les marchés, puisqu’il y a à payer les
ouvriers qui les extraient, ceux-ci ayant des frais de transport y compris pour
ceux effectués pour se nourrir et/ou satisfaire certains de ses/leurs besoins
-(donc se divertir aussi, avoir du temps pour s’aérer et s’occuper de ses
enfants)- chaque aliments[86]
-(comme ces divertissements étant le résultat de tous les frais de transport de
toutes les marchandises pour les réaliser)- ayant
à être transporté[s] à proximité du lieu d’habitation et/ou de travail, soit
avec les à-côtés, dont les moments de vacances nécessaires -(eux aussi ayant des coûts liés aux prix des
transports)- pour régulièrement se reposer, donc
des frais fixes étant à prendre en compte pour le prix de revient de ces
matières premières ou secondes ou troisièmes, etc. ou énièmes y compris pour
acheter les instruments pour les extraire, ce qui est encore une fois depuis leur[s]
conception[s] jusqu’à leur[s] usage[s] des dépenses de transport pour réaliser
chacun de ces outils et payer les différents savoir-faire -(les études de ceux
qui en ont eu les idées pour les réaliser)- de ceux qui les ont élaborés,
eux-mêmes ayant à payer tous les transports de toutes les choses dont ils ont
besoin -(qui sont nécessaires)- pour décemment vivre
-(soit ce qu’ils consomment pour travailler, avancer, trouver en eux, grâce au
travail, la sécurité de l’accès à leur/la conscience)- y
compris pour nourrir leur famille et/ou aller se reposer en vacances, ce qui
coûte, pas seulement au locataire ou à l’hôtelier mais au propriétaire ayant à
entretenir le bien immobilier étant à l’origine de dépenses diverses pour
l’entretenir et le louer et payer les divers impôts -(comme -[se]- rembourser
de l’investissement sur le nombre de locations dans un lapse de temps précis,
donc des devoirs de propriétaires), chacune de ces dépenses participant au prix
de revient qui, encore une fois, dépend du prix de transport de tout ce qui est
nécessaire pour exercer cette activité professionnelle de ce type de service et
payer le reste des matières premières nécessaires à l’élaboration de ces
habitations, etc. donc parce qu’il s’agit, avec le logement, d’une matière énième -(du résultat de plusieurs savoir-faire – ce qui a un coût - se complétant pour devenir un
nouveau point de départ une fois élaboré / terminé : un produit de
l’addition d’étapes d’élaborations diverses ayant toutes eu des prix de
transports à payer : en fait dépendant entièrement des additions -(de
l’accumulation)- des divers coûts des transports au départ de chacun des biens
de consommation), qui est le résultat de
transports de matières premières, secondes, troisièmes, etc. comme sont par
exemple les câbles électriques -(en général du cuivre au départ – donc une
matière première par exemple transformée en fils : une matière seconde.
Une fois enrobée de plastique : une matière troisième, pour donner en fin
de parcours, par exemple, autrement vu, la prise électrique d’un variateur[87]
que le maçon ou l’électricien montera / collera / posera parfois avec
des visses
N.
B. : suite plus bas, après le paragraphe ci-dessous.
-(une
autre matière seconde, à partir de la matière première du fer, voire en cuivre
elles aussi). Il y a eu valeur ajoutée par le travail[88]
de transformation -(qui ne peut avoir lieu sans
avoir à payer toutes les dépenses pour les réaliser[89]
par conséquent tous les produits de première nécessité pour que les
ouvriers et leurs respectives famille aient de quoi manger et s’abriter, se
divertir quand c’est possible, etc. donc/bref de quoi vivre)- pour transporter ce fer et/ou ce cuivre là où il
deviendra visses qui sont fabriquées en séries, de différents modèles et à un
nombre d’exemplaires précis pour être distribuées
-(ce qui implique de nouveaux frais de transport, donc de pétrole)- vers les magasins ou/et les sites où elles sont
proposées à la vente au prix où elles le sont[90]
bénéficient de la quantité, soit du nombre d’exemplaire[s] du modèle de
ces visses réalisées. Donc pour ceux qui sont le moins démunis le prix où elles
sont est souvent, à premièrevue[s] -[à première vue]- pas cher / coûteux,
onéreux[91]
car il y a concurrence dans ce domaine aussi -[ce dont, nous le
rappelons, le citoyen consommateur[92]
bénéficie – donc grâce aux commerces concurrentiels capitalistes]- mais en
étant tenu sur cette quantité proposée à la vente de rembourser sur le plus ou
moins long-terme[93] le prix
de revient, soit toutes les dépenses faites pour les élaborer et les vendre)-
N. B. : Ci-dessous, suite de ce qui précède,
un paragraphe plus haut :
à/sur la
paroi,
une matière quatrième, voire cinquième si on compte d’autres étapes nécessaires
à l’élaboration de cette prise électrique de variateur, soit dans un autre
exemple le fruit de matières premières, voire secondes, ou troisièmes, s’il
s’agit de cloisons préfabriquées, etc.
Pour
une automobile, il s’agit d’un produit issu de matières énièmes -(tant il y a
de transformations de nombreuses matières premières ayant dû être élaborées et
transformées[94]), au
point de devenir, grâce au modèle de cette automobile elle-même, unifiées. Et
c’est ainsi[95] qu’à
partir d’un certain stade on peut considérer, ce modèle d’automobile ou ce
véhicule public, (voire privé)-[96]
une matière première -(par exemple pour les ambulances nécessaires ou/et les
autobus ou/et les trains, ou/et les camions, bicyclette, vélomoteurs, mais
aussi les avions, etc -(sans lesquels pas de transport possible. Par conséquent
on dira -(par exemple dans un devis)- de ces matières que nous savons être
énièmes qu’elles sont la matière première des transports publics ou du secteur
privé pour lesquels ils ont été élaborés, donc qu’il s’agit de la matière
première qui permet de donner aux chauffeurs de taxi / conducteurs /
ambulanciers / pilote et autres, une activité, un travail, puisqu’il est
nécessaire de produire ces béhicules, pardon véhicules pour offrir cette
possibilité d’activité ou/et métier de transporteurs, ce à quoi on a recours et
qui est, en raison des prix de revient de ces emplois à l’origine du prix du
transport -(par exemple en calculant d’avance qu’il faudra amortir la dépense
de ces véhicules et autres Manitou, sur un nombre d’années précis[es], comme
c’est le cas pour les avions ou/et les navires de commerce ou de tourisme, tous
ces moyens de transport ayant, pour avoir vu le jour, coûté le transport de
chacune des parties -(matières premières)- qui les constitue[nt], mais aussi
le[s] coût[s] des ouvriers -(qui doivent être nourris pour avoir de l’énergie
pour travailler, ce qui engendre d’autres frais de transport -(reportés dans
chacune des denrées, comme les coûts de ceux qui les ont produit eux aussi
ayant toutes leurs dépenses à faire pour livrer à temps leur[s] produit[s]),
d’où à l’échelle planétaire la consommation quotidienne de pétrole, donc non
seulement de tous les pays industrialisés mais aussi de ceux qui le sont le
moins -(comme de ceux dans les régions les plus froides qui ont besoin de se
chauffer – autres dépenses de pétrole qu’il faudra reporter sur le prix de
revient du/des produits et/ou services proposés. Donc, en fait, toutes ces
dépenses pour payer des dépenses de
transport -(ce sur quoi une grande partie de l’Économie est fondée)- qui
entrent en considération pour faciliter et/ou rendre possibles certains
travaux, ce qui détermine au cas par cas, nous l’avons dit, le prix de
revient d’un produit quel qu’il soit, y compris sous forme de simples services,
ce qui est un synonyme de produits. Aussi tous les produits et/ou services sont
liés aux divers coûts des transports –(de la
chaîne des étapes de fabrication depuis l’idée de départ, elle aussi ayant
nécessité des frais de transport avant d’advenir : dont tous ceux pour
bâtir le logement et se nourrir durant tous les apprentissages et/ou travaux au
préalable), ces derniers étant aussi liés au
prix des transports nécessaires pour les élaborer par un cercle d’intervenants,
eux-mêmes, à leur tour, dépendants de prix de transports -(celui des choses,
produits, outils, nourritures, abris dont ils ont besoin pour travailler), au
point qu’en définitive ce que l’on paie n’est que coûts de transports de choses
ou/et produits ou/et services ou/et etc. plus ou moins géniaux, ces derniers,
les génies, soit les ingénieurs, architectes, etc. ayant eux aussi des coûts de
revient qui sont dûs à l’origine aux coûts des transports de tout ce dont ils
ont besoin pour élaborer leurs idées, les traduire en explications et dessins
ou/et illustrations pour les réaliser, par exemple pour commencer, sous forme
de plan[s], scénarii, soins, etc. car si le coût des transports n’existait pas
ou était très faible
N.
B. : Suite après le paragraphe ci-dessous :
-(voire
était proposé à un cent de dollar le baril, voire à 0,01 cent de dollar le
baril, voire encore mieux à 0,0001 centime de dollar le baril, ils ne
demanderaient pas ce qu’ils exigent comme efforts / travaux ce 7 Décembre 2020
comme prix / tarif car toutes les dépenses de chacune des matières premières à
travailler seraient respectivement onze mille cent fois –[11 100]- moins
chères, un million cent dix mille fois –[1 110 000]- moins coûteuses
et/ou cent-onze millions –[111 000 000]- de fois moins onéreuses
qu’en 2011 quand le prix du baril de pétrole étant monté à cent onze dollars -(le prix de chacune de ces matières premières dont
il faut se rembourser sur l’ensemble des ventes des produits et services,
etc.)- étant en général très aimablement calculé
sur plusieurs clients pour ne pas faire peser la totalité des revenus et des
dépenses sur un seul client),
parce que nous serions
tous en train de vivre au Paradis, soit à Granier … d’Ôz, il est probable que les prix étant devenus si faibles, tous
travailleraient gratuitement étant donné la prodigieuse valeur -(pouvoir
d’achat)- de la monnaie obtenue en raison des répercussions de ces baisses du
prix du transport sur chacun des prix / tarif des articles / produits / choses.
En effet avec un tel pouvoir d’achat du dollar -(à un cent le prix du baril de
pétrole), il en faudrait beaucoup moins pour se loger, mais encore beaucoup
moins à 0,01 centimes de dollar le baril, comme encore moins à 0,000 1 centimes
de dollar le baril – et cela bien sûr encore moins si les parasites – dont nous
avons parlé plus haut - cessent de l’être. Aussi j’ai calculé qu’à un centime
de dollar le baril une femme de ménage continuant à être payée quinze dollars
de l’heure, soit mille cinq cent centimes de dollars, aurait un pouvoir
d’achat, avec ces mille cinq centimes -(soit 15$, soit 1 500 centimes), de
onze mille cent fois plus -(11 100 +), ce qui signifie qu’elle aurait un
pouvoir d’achat de 1 665 dollars -(mille six cent soixante-cinq dollars)-
de 2011 -(en admettant qu’on continue les cadences infernales d’aujourd’hui, ce
qui bien sûr sera à ce prix-là le baril de pétrole impossible, les gens
disposant d’un pouvoir d’achat aussi important voulant, c’est normal et logique,
travailler beaucoup moins. Cela, nous l’avons vu, fera perdre du pouvoir
d’achat car en travaillant dix fois moins de temps, le pouvoir d’achat de ces
quinze dollars ne sera plus que de 166, 5 dollars et en travaillant cent fois
moins de 16,65 dollars, soit un peu plus des quinze dollars de départ, mais en ayant cent fois moins de peines,
ce qui rend la vie beaucoup plus
agréable à vivre. On comprend ici que depuis mon idée de cela en 1977,
parce qu’on n’a pas voulu m’écouter et m’obéir
–(ce qui est toujours une catastrophe parce que je suis bouddhahs, soit un des
éveillés par acquis de conscience, donc qu’une fois que j’étudie un problème
j’ai la vérité pour le résoudre au mieux), nous ayons tous eu à travailler
au moins cent fois plus que la normale -(voir que ce qui était prévu
dans un autre » ou bien « de la Création dans lequel on aurait fait
ma volonté au service du Bien et de l’Intérêt Général), soit de ce qui aurait été le mieux pour la santé comme sur d’autres
points : travailler cent fois moins ! Cela aurait, par exemple,
permis dans une situation de confort plus grand – général - pour tous, de
partager le travail !).
Mais
à 0,01 centimes de dollar le baril le pouvoir d’achat de ces quinze dollars de
l’heure d’une femme de ménage est de cent soixante six mille cinq cents dollars
-(166 500 $)- de 2011 -(on comprend ici que c’est l’Intérêt Général et le Bien
Général de tous y compris des PPP -[pays producteurs de pétrole]- car cela veut
dire qu’on pourrait aisément travailler dix mille fois moins ou alors on se
contera de travailler cent fois moins, mais en ayant un pouvoir d’achat de cent
fois plus ces 16,65 dollars, soit mille six cent soixante cinq dollars -(1 665 $)- pour une heure de
ménage -(ce qui est vraiment une très bonne chose pour tous) !
Mais
à 0,0001 centime de dollars le baril, soit de nouveau cent fois plus
qu’au-dessus mais cent fois moins cher / coûteux / onéreux tout ce qui est
produit et à vendre, ces quinze dollars sont -(ont un pouvoir d’achat de)-
seize million six cent cinquante mille dollars de 2011
-(16 650 000 $)- que le pouvoir d’achat de
quinze dollars d’une heure de ménage - et cela si les parasites, les escrocs,
les voleurs, les laipis, etc. -(ces derniers mots au sens négatif et non au
sens positif qu’ils peuvent revêtir dans d’autres SPOK)- ont enfin compris
qu’ils doivent cesser de l’être, par conséquent qu’ils ont à travailler quand
cela leur chantera -(au moins une heure de temps en temps pour être payés un
tel pouvoir d’achat et pour que la nouvelle valeur de la monnaie ne baisse pas
de tout ce qu’elle a gagné grâce au fait que le prix du baril de pétrole est
des plus bas possible à 0,000 1 centime de dollar le baril !
Aussi
si à 0,000 1 cent de dollar le baril cette femme de ménage a le choix de
travailler cent fois moins encore qu’à 0,01 centime de dollar le baril qui
offrait le choix de travailler dix mille fois moins qu’à un centime de dollar
le baril, cela signifie maintenant qu’elle a le choix de travailler un million
de fois moins encore -(ce qui est probable qu’elle ne voudra pas car une
année comporte 8 760 heures à vivre aussi cela signifie travailler un million
de fois moins : donc 0,00876 d’une heure soit en divisant par soixante
minutes -(pour une heure) : 0,5256 d’une heure, soit autrement vu à peu
près la moitié d’une heure, soit une demi-heure pour disposer d’un tel pouvoir
d’achat ! Cela dit, il est probable que cette femme de ménage voudra
travailler plus qu’une demi-heure par an -(pour s’offrir un appartement en
ville, une maison à la campagne, une à la mer, l’autre à la montagne, un
bateau, une ou plusieurs automobile, etc. ), mais peut aussi à force de ménages
ayant ce pouvoir d’achat, vouloir devenir rentière ou exercer d’autres
activités -(elle aura le temps y compris de s’instruire), ce qui nous éloigne
du sujet, mais qui est possible, étant donné qu’on voudra chacun avec ce
pouvoir d’achat aménager au mieux son temps de travail ou/et d’activités
rémunérées).
Une
fois encore, ce qui compte c’est de connaître le pouvoir d’achat des quinze dollars
de l’heure, (le prix du baril de dollar à 0,000 1 centime de dollar)- et c’est
seize millions six cent cinquante mille dollars de 2011
-(16 650 000 $). On comprend ici que c’est l’Intérêt Général et le Bien Général
de tous y compris tout particulièrement de tous les membres des PPP -[pays
producteurs de pétrole] !
Mais
je le rappelle aussi, en raison de tous ceux qui ne veulent pas participer,
voire ne veulent se comporter qu’en consommateurs profiteurs parasites -(au
sens négatif de ces mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK), ce pouvoir
d’achat ne pourra être longtemps maintenu pour ces quinze dollars car il faut
toujours prévoir le pire et comprendre qu’à 0,000 1 centime de dollar le baril,
le pouvoir d’achat sera en définitive -(à cause de ces tricheurs, de tous ceux
qui veulent escroquer, mentir, profiter, etc. [au sens négatif de ces mots qui
en ont du positif dans d’autres SPOK]- de dix mille fois moins, soit de 1665 $
Aussi
une fois encore -(comme je l’avais fait/dit autre part)- je déconseille de
porter ce prix du baril de pétrole encore cent fois plus bas à, par exemple, à
0,000 001 centime de dollar le baril, voire à encore moins cher comme 0,000 000
01 centime de dollar le baril car c’est au prix de 0,01 centime de dollar le
baril mais aussi à 0,000 1 centime de dollar le baril que nous garantissons la
pérennité du Commerce comme la possibilité de négocier tous les projets
importants.
Cependant
si on y tient, donc si le prix du baril de pétrole descend plus bas que 0,000 1
centime de dollars le baril, je ne m’y oppose plus, chacun des êtres humains
sans exception ayant le droit de devenir ainsi rapidement millionnaires
-(cependant que je crains qu’à partir d’un certain seuil de baisse du prix du
baril de pétrole le pouvoir d’achat décline / diminue en raison de ce que nous
courrons tous, à ce stade-là, comme danger : celui de ne vouloir d’aucune
façon travailler / produire / créer de véritables richesses – ce qui est
difficile car certains peuvent croire honnêtement qu’en ayant aucune activité,
si ce n’est celle d’être confortablement allongé sur un lit, voire étant en
train de lire ou faire une photo, voire faire n’importe quoi d’autre, voire en
ayant à s’occuper de leurs enfants ou à regarder la télévision, ils
travaillent. Hélas si cela est effectivement vrai pour quelques-uns d’entre
nous, cela est faux pour d’autres, mais ce qui est certain c’est
qu’en baissant le prix du pétrole[97]
comme je le recommande depuis 1973 -(avec tous les gens les plus honnêtes et
scientifiques au sens de logiques et cohérents en matière d’Économie)- nous
pourrons en Ôz, la monnaie mondiale[98]
payer assez rapidement toutes les dettes accumulées des pays riches comme des
plus pauvres mais aussi financer le revenu universel
mondial dès la naissance ainsi que le logement minimal[99],
soit ce qui confirmera effectivement que chacun a le droit à la vie -[privée]).
Mais
on le comprend aisément nous courons le danger que la situation devienne
ingérable / impossible à vivre puisqu’au bout d’une heure de travail de femme
de ménage, celle-ci disposerait dans le premier cas de 166 500 $ -(cent
soixante-six mille cinq cents dollars de pouvoir d’achat)- et dans le second de
16 650 000 $ -(seize millions six cent cinquante mille dollars)- ce qui
signifie que tous sans exception, y compris tous les mendiants seraient /
deviendraient, dès les quinze premiers dollars obtenus, millionnaires !).
On constatera alors qu’il faut peu d’heures de travail à ce niveau de
compétences pour pouvoir s’acheter un appartement dans une capitale, un autre
dans une ville de villégiature, une maison de campagne, un appartement à la mer
et un autre à la montagne et avoir de quoi les entretenir comme les moyens
mécaniques de les rejoindre en vacance ou pour d’autres raisons. Ce programme
de bienfaits matériels était pourtant mon objectif pour chacun d’entre nous
tous dans l’autre » ou bien « de la Création qui comme en 1967
[re]commençait en 1977, si on avait accepté de baisser le prix du baril de
pétrole comme nous ne faisions que le demander -(avec tous les plus véritables
économistes)- et si on avait accepté que j’épouse mes deux promises, l’une dans
les années 1980 et l’autre après, dans les années 1990
–(ce
qui aurait permis et faciliter la restitution[100]
de la vision du très saint paradis, soit Ôz)-
donc pour fonder deux familles dont nous attendions les enfants car nous avions
été mis au courant par mon apparition au-dessus de Rome 1977 -(d’avance cela du
futur, dans le ciel)- de l’anneau immaculé immatériel apparu à mon doigt
annulaire -(des êtres humains les plus véritablement mariés)- pour Michèle,
comme cela avait déjà été le cas pour Michèle et pour Christine en 1967 et
1977).
Aussi
nous sommes là avec le prix du baril de pétrole à l’une des origines mêmes,
c’est-à-dire à l’une des causes, de tout ce qui ne va pas sur cette planète
-(ce qui, de plus – nous l’avons vérifié en 1967
et 1977, avec mes apparitions dans l’avenir –
soit dans le ciel, à partir de 2005 – rétroactives
- a eu des effets
rétroactifs), ce que j’avais dit à ma fiancée S. A. I. S. S. S. S. P. Christine
… Lang en 1977 quand j’étais apparu dans le ciel de Rome démesurément grand et
d’avance en virtuel depuis -(ce qui se révèlera / s’est révélé)- les années 2005 et suivantes que je n’ai pu
rejoindre dans la réalité en 1977 que vingt-sept ans après -(ces apparitions),
en chair et en os, soit à partir de 2005 en apparaissant ainsi en ante prima visuelle y compris sonore, en
raison de/u choc pétrolier -(depuis 1973)- qui empêchait tous les êtres les
plus conscients de se marier pour attendre leurs enfants, étant donné que la
situation devenait ainsi infernales pour tous, les pays sans pétrole rackettés
par des laipis
N.
B. : Suite après le paragraphe suivant :
-(qui
faisaient croire qu’ils avaient de la religion et/ou des connaissances en
Sciences Économiques – peut-être, mais bien pauvres ! Pas de celles les
plus véritables et au service du meilleur Intérêt et Bien Général. Il
s’agissait donc de connaissances de personnes à courtes vues, voire des
semblants de connaissance, par conséquent rien de véritablement bon pour tous y
compris pour eux-mêmes car il s’agissait de connaissances d’égoïstes, voire de
méchants et ou d’ingrats, etc. bref de connaissances de laipis ne cherchant pas
la vérité, soit celles d’inconscients de toutes les interactions économiques en
jeu),
soit
des sacrilèges et/ou criminels contre l’humanité qui,
en ignorant -(par incompétence commerciale)- cette quantité d’interactions
économiques qui sont en jeu pour fixer les prix, augmentaient
systématiquement le prix du pétrole à mesure que les prix répercutaient les
hausses précédentes du prix du baril de pétrole sur chacun des produits y
compris de première nécessité. C’est ainsi qu’étant -(ces laipis)- de plus en
plus nombreux à vivre sur les revenus du pétrole, les prix répercutant les
hausses du prix du baril de pétrole, les vendeurs des barils de pétrole -(au lieu de comprendre comment l’[é]Economie
fonctionne exactement à l’échelle planétaire
-[et qu’ils étaient avec leurs prétentions financières à l’origine de ces
augmentations des prix, soit ces inflations]- et
donc de baisser le prix du baril de pétrole pour que tous les prix de leurs
produits importés ou/et fabriqués localement dans leur tTégion, pardon rRégion
baissent de manière à pouvoir augmenter la demande de ces produits bénéficiant
et répercutant ces baisses du prix du baril de pétrole, ce qui aurait fait
advenir le plein emploi partout), augmentaient
le prix du baril de pétrole malgré le fait qu’en apparaissant dans le ciel
depuis le futur, j’ai géo-localisé et transmis plus de la moitié des réserves
actuelles -(en indiquant pour chacune de ces
réserves le nom des compagnies habilitées à les exploiter pour éviter ici des
bagarres), ce qui aurait dû faire baisser le
prix du pétrole -(malgré l’augmentation de la population)- depuis les années
1980 en raison de tout ce que j’ai annoncé comme énergies alternatives propres
à mettre en chantier pour les développer -(ce que le prix du baril de pétrole
au moins deux fois moins cher / coûteux / onéreux pouvait financer, voire
aurait pu – comme on l’a vu, encore mieux, financer à un centime de dollar le
baril, voire vraiment beaucoup mieux à
0,01 cent de dollar le baril, voire beaucoup beaucoup mieux encore à 0,000 1
centime de dollar le baril !).
Parce
qu’à quatorze ans amoureux fou -(au sens positif de ce mot qui en a dans
d’autres SPOK du négatif)- ce que je lui cachai - de Christine -[enfin
retrouvée après l’ensemble de mes précédentes réincarnations durant lesquelles
je l’avais cherchée partout, dans toutes les femmes rencontrées], j’avais
discerné la cause -(l’origine)- de la plupart de tous les dysfonctionnements et
N. B. : Suite après le paragraphe
ci-dessous
-(le
prix – c’est ici une moyenne faite à partir de
plusieurs sources et celle de ma mémoire - au moins sept cent -[700]- fois trop
élevé. Il était en 1977 autour / aux environs de 7 dollars alors qu’en 1973
autour de trois dollars - du baril de pétrole
qui, dès le départ / début, en ayant été proposé autour de cinquante centime,
voire à un dollar le baril, l’avait donc été cinquante fois, voire cent fois
trop cher / onéreux / coûteux. Cependant qu’on peut le comprendre : pour
l’extraire il y avait la nécessité d’investissements importants, tandis que la
Demande, alors, était beaucoup moins importante dans les années 1860 et rares
étaient ceux qui pouvaient prévoir que le pétrole allait devenir autant vital /
central dans/pour la vie économique de toutes les rRégions du monde, ce qu’on
ne comprendra qu’autour du début du XXème siècle, avec la demande en automobiles qui
augmentait !),
j’avais aussi trouvé,
quelques secondes après, le remède : il
était impératif, vital, de baisser drastiquement le prix du baril de pétrole et au moins pour commencer, de le
proposer à un centime de dollar le baril, voire, en raison des
quelques résultats optimum / optimi / ottimi
-(en italien ici)- obtenus -(bien que peu
importants à ce prix de un centime de dollar le baril, malgré la hausse de
toutes les valeurs monétaires – donc du pouvoir d’achat - au point que le
centime de dollar vaudrait de-ci de-là probablement autour de un dollar –[ce
qui serait plus rapidement et sûrement le cas en allant vers 0,01 dollar le
baril])-, avec une légère augmentation du pouvoir d’achat –(même si on remarque alors que si on va plus loin,
il va être enfin possible de rembourser non seulement l’intérêt de la dette
mais aussi, le jour venu la dette elle-même entière de tous les pays – ce qui
rendra – du moins au début - plus faible cette augmentation du pouvoir d’achat,
cependant que cela redonnerait de la confiance à tous les investisseurs sur
toutes les places financières)- un peu plus
important à ce centime de dollar le baril de pétrole, le début de la fin de la
crise économique mondiale d’autant que très logiquement, forts de ces premiers
résultats économiques encourageants, on continuerait sur la lancée à poursuivre
cette baisse du prix du baril de pétrole vers 0,01 centimes de dollar le
baril et, en suite, à encore moins cher / onéreux / coûteux vers 0,000 1
centime de dollar le baril !
En
1977 celui qui intervenait dans le ciel –[moi
d’avance, en virtuel, en raison de la loi des conséquences anticipées jusqu’aux
années 2005 d’où j’étais apparu virtuel au-dessus des années 1977 mais aussi en
1967]- a géolocalisé plus de 50 % des réserves
de pétrole actuelles, ce que j’ai découvert avoir effectivement fait entre les
années 2005 et 2013 -(ce qui s’est produit en synchro de 1977 à 1985 dans le
ciel de Rome), étant donné que je n’ai pas pu avant 2005, soit en même temps
l’année 1967 et 1977, car j’ai dû quitter, à partir de juin 1977, Rome avec mes
parents pour Bern en Suisse où mon père, bien que nommé empereur fut affecté en
tant que Conseiller Financier de l’Ambassade de France en Suisse -(pour réaliser, entre autres, la Confédération de l’Union Européenne -[C. U.
E.], et la Monnaie Unique Européenne -[M. U. E.]- de manière à éviter à l’Europe et au monde
de nouveaux conflits armés), comme j’eus à
l’annoncer du Ciel -(depuis les années 2005 et suivantes anticipées)- aux
années 1967 et 1977 et suivantes accompagné de tous mes avertissements -(comme
cela avait été le cas pour les années 1967 et suivantes où j’avais fait nommer
mon père Conseiller Financier de l’Ambassade de France à Rome où, du ciel,
j’avais aussi nommé le père de Laurent Burin-des-Roziers, ambassadeur à Rome,
mais aussi S. A. I. S. S. S. L. P. Balthus à la Villa Médicis et ces
nominations avec les quantités d’informations vitales de la Nouvelle Nouvelle
Donne InterRégionale -(au sens ancien d’Internationale)- Mondiale j’eus
l’honneur de faire/conduire dans le ciel de 1967 et 1977 à partir des années
2005 et suivantes synchrones avec 1967 et suivantes et 1977 et années suivantes
pour créer, grâce à ces informations / données / avertissements, l’époque de
2005 et années suivantes, où j’aurais à revenir cette fois-ci en chair et en os -(car nous avions été avertis à au moins deux
reprises à partir de 1967 et à partir de 1977 par ces interventions à travers Espace
et Temps), grâce à la génération de nos parents
respectifs et du travail de nos frères aînés, s’appuyant sur la génération de
leurs enfants, voire depuis quelques années sur celle de ta fille que nous
cherchons à rendre heureuse à partir de toutes les prouesses technologiques
découvertes à partir des informations que j’ai transmises comme faisables /
réalisables aux années 1977 et suivantes, mais aussi quelques-unes d’entre
elles dès 1967 -(par exemple la réalisation du Concorde, mais aussi l’annonce d’avance
du ciel que le projet de l’homme marchant sur la lune avait été un réel succès
– ce qui rassurerait le Président Kennedy quand il aurait à le proposer).
La
cause du montant de chacun des prix c’est le prix du transport de chacune des
matières premières, secondes, troisièmes , etc. -(on peut aller jusqu’à
dire que dans certains SPOK trois étapes pour réaliser le produit donne une
matière troisième surtout si l’étape précédente offre un débouché commercial à
la matière seconde, la matière troisième servant alors de matière première à
une matière quatrième et ainsi de suite, voire dans le cas de produits plus
complexes -(comme peut l’être, par exemple, une
fusée Ariane et, nous l’avons vu pour l’un ou l’autre des véhicules automobiles
et etc.)- matière énième -(qui devient la matière première pour transporter les
satellites à placer en orbite, comme la Station
Orbitale InterRégionale -(au sens d’Internationale :
-[S.O.I.])- ces satellites devenant la matière première des services qu’ils
nous rendent, cependant qu’ils sont suffisemment complexes pour être considérés
matière énième)- à partir d’un très grand nombre
de matières premières à rassembler pour créer le produits en question parfois /
souvent de plus en plus complexes, à mesure des étapes de ses transformations,
cependant que pour que cela soit, ce prix du service rendu, il ne peut l’être
qu’uniquement parce qu’il y a eu à payer le transport de chacune des choses
-(matières premières, employées)- nécessaire[s] à l’intermédiaire et/ou
interlocuteur commercial qu’il soit grossiste ou/et détaillant, qu’il travaille
économiquement depuis chez lui ou/et qu’il ait des frais de fonctionnement de
bureau et/ou d’atelier de fabrication, voire, à cause de cela, des salariés -(qui tous ont des frais qui n’existent qu’en
raison du prix du baril de pétrole[101]
–(qui détermine depuis au moins la fin de la Seconde
Guerre Mondiale le prix de la nourriture, comme de la grande majorité du reste
– des autres prix - comme autrefois le prix du foin et de l’avoine)- comme autrefois on en avait avec le prix du fourrage
et avec les dépenses pour entretenir les chevaux mais aussi les moyens de
locomotion de ces époques aujourd’hui très lointaines de la génération des
années 2005 : charrettes et/ou carrosses)- pour
arriver à proposer sur le marché ses produits -(en définitive d’autres frais
dont nous avons vu qu’ils sont ceux qu’ils sont parce qu’ils répercutent le
prix du baril de pétrole qui a donc constitué le frein-à-main tiré de plus en
plus fort -[au point qu’autour de 2014 cela a
failli faire exploser le soleil – le frein-à-main, comme celui d’une 4L, ayant
failli lâcher / exploser], sur l’Économie
planétaire !).
Aussi
cela explique que la plupart des compétences est/sont en réalité -(malgré le
prix qu’elles ont -[comme :])- offertes par ceux qui sont, dans la chaîne
des intervenants, ces intermédiaires interlocuteurs auteurs, à l’origine des
produits / inventions / innovations. En effet les formations très coûteuses,
onéreuses, chères qu’ont été les tiennes ou/et la mienne, c’est en réalité
possible au sein d’une famille -(donc des
investissements privés, familiaux, particuliers même si quelques-uns, [une
partie d’entre eux], peuvent être considérés l’ayant été avec l’aide de
l’Etat : école, lycée, universités et ou grandes écoles, etc. pour nos
formations)- ayant donné le goût de l’étude, (soit de la recherche des vérités relatives, voire
plus que cela, absolues, dans chacune des catégories, [dans chacun des
domaines])- à ses enfants, mais cela n’a été
possible – les éducations que nous avons reçues – qu’en raison du transport des
marchandises destinées à quotidiennement nous nourrir y compris sur le plan
intellectuel, (spirituel)- pour devenir ce que nous sommes capables, à notre
tour, d’expliquer clairement, en véritables médecins chirurgiens dans/pour
l’Intérêt et pour le Bien Général, en dévoilant les causes des divers
dysfonctionnements économiques et donc toutes celles à l’origine de la pauvreté
et la misère matréielle, pardon matérielle
-(cette
pauvreté et cette misère matérielle n’ont pu, nous l’avons démontré, apparaître
qu’artificiellement -(par erreur humaine, ce qui signifie que si on avait
choisi plus naturellement, c’est-à-dire fraternellement, un prix du pétrole
plus bas, cette misère et cette pauvreté matérielle et cette haine ne seraient
pas/jamais advenues -(y compris rétroactivement, car il est probable que ce fut
le même problème du temps du foin et de l’avoine, les paysans refusant de les
produire / cultiver pour les offrir gratuitement, voire en baissant drastiquement
le prix)- car c’est en définitive à cause de l’appât de gains à première vue
faciles et sûrs -(au sens de certains y compris à moyen terme, en raison de la
quantité rassurante de ces réserves de pétrole)- bourgeois -(au sens négatif de
ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK), donc égoïstes et/ou non
fraternels, ceux – nous l’avons vérifié sur nous-mêmes en son temps - de
personnes ayant -[comme]- des œillères, car si on avait -(au lieu de un
dollar)- proposé le premier baril de pétrole à un centime de dollar -(ce que
nous avons compris on fit croire que cela était impossible en raison, au
départ, du coût-de-revient de ce baril de pétrole, cependant qu’on le sait, à
ce tarif, ces coûts-de-revient ont été vite amortis par la quantité de pétrole
vendu -(aussi c’est alors qu’on aurait dû très
honnêtement en faire profiter tous : la société, voire la civilisation, et
baisser -[une fois amorties les principales dépenses]- ce prix du pétrole
puisqu’on a fini par voir -(entre 1973 et 1977 – voire avant) qu’il se
répercutait dans tous les autres prix-de-revient touchant[s] chacune des
distinctes marchandises sans exception. Aussi il est indéniable qu’il y a eu
sur le plan commercial sacrilège[s] lié[s] à la malhonnêteté de quelques-uns
des producteurs de pétrole qui se sont gardés de baisser leur prix, croyant que
parce qu’à première vue ils obtenaient ce qu’ils soutiraient aussi facilement,
ils avaient tous de quoi très bien vivre, sans vouloir faire l’effort de
comprendre que tous les prix sans exception qu’on leur proposait pour les
choses qu’ils convoitaient sur le marché -(et qu’ils avaient à honorer en tant
que dépenses)- étaient aux prix qu’ils /-[où ils]- étaient parce que la
conséquence -(les répercussions)- de ce prix du baril de pétrole qu’ils
exigeaient avec autant d’exagération / prétention de marge[s] de profits,
au sens négatif de ce mot qui est positif dans d’autres SPOK), au point qu’on crut, à ces prix de départ
« calculés » -(mais non honnêtement)- « scientifiquement »
-(à lire dans la plupart des SPOK ironiquement ces mots entre guillemets), donc
sans conscience que l’exploitation du pétrole était une très bonne affaire -(d’où ruées vers ce qui devînt l’or noir) – ce qui, au prix où il fut vendu, fut, en réalité à
l’échelle planétaire, sur d’autres plans -(ceux
qui comptaient pour tous les hommes et les femmes de cœur, donc à un autre
niveau de considération[s])- globalement en
fin[s] de compte[s] une très mauvaise affaire ne pouvant devenir, en vérité,
cette véritable bonne affaire pour tous qu’uniquement si le prix du baril de
pétrole avait été proposé plus fraternellement, voire symboliquement -(donc pour des raisons de favoriser / d’établir /
de consolider durablement la pérennité du Commerce, l’un des plus importants
moteurs de l’Économie, avec l’Agriculture, les Transports, la Culture, etc.)- dès les années 1870 et suivantes -[comme maintenu
ensuite]- à un centime de dollar le baril. Mais le mal a été fait, grandement à
tous et à notre époque nous ne pourrons nous en sortir que si le prix du baril
de pétrole est proposé au moins à 0,000 1 cent de dollars le baril, voire
encore plus bas),
Si le prix du baril de pétrole avait été à
l’origine -(dans les années 1860)- proposé à un centime de dollar cela
aurait été la fin de la pauvreté et de la misère
matérielle dès les années 1900 -(d’où pas de révolutions russes et pas de
guerre de 1914-1918, donc pas la suivantes non plus), voire bien avant, en
raison de ce qu’il n’y aurait pas eu de guerres et que cela aurait été à
l’origine de cet autre » ou bien « de la Création qui existe, mais dont
nous nous sommes de plus en plus éloignés parce que ce prix du baril a été
proposé plus cher / onéreux / coûteux que ce centime de dollar -(S. E. A. I. S.
S. S. L. P. Picsou le sait depuis le début de sa fortune). Mais il est certain
que dans cet autre » ou bien « de la Création dans lequel le prix du
baril de pétrole est / était d’un centime de dollar, nous aurions depuis
longtemps, à un moindre coût, développé les énergies alternatives élégantes propres -(É. A. É. P.)- et cela n’aurait pas coûté trop cher /
onéreux, voire très peu, voire même aurait été gratuit –(au sens où chacun y
aurait participé dans la mesure de ses possibilités, voire étant payé avec des
monnaies ayant un pouvoir d’achat spectaculaire / beaucoup plus important
/ grand). Aussi c’est au départ, au moment de la découverte de ce pétrole qu’il
y a eu des erreurs d’évaluation -(de calcul – à
moins d’avoir cherché à intéresser financièrement des personnes à la recherche
d’activités utiles pour le développement du moteur à explosion dont on a alors
pressenti l’importance -[qu’il allait avoir, au détriment des S.A.É. du moteur
à hydrogène ou/et électrique])- du meilleur prix
à donner pour ce baril de pétrole qui sera proposé en réalité beaucoup trop
cher / coûteux / onéreux, même à « seulement » un dollar le baril -(en fait alors cent fois trop cher / onéreux /
coûteux car s’il avait été cent fois moins, la misère et la pauvreté
mùatérielle, pardon matérielle disparaissaient alors aussitôt, ce qui n’aurait
pas abouti aux guerres de 1870, 1914 et 1939. Donc, comme je disais, nous
serions dans un/cet autre » ou bien « de la Création, au sens de
cet » ou bien « qu’a démontré S. A. I. S. S. S. L. P. Alain
Resnais avec la réalisation de ses deux films Smoking ; No smoking.
Nous serions alors dans cet » ou bien « de la Création que j’essaie
de toutes mes forces de rejoindre et cela d’autant plus facilement quand on
aura grandement baissé le prix du baril de pétrole : il s’agit
du » ou bien « de la Création qui aurait permis de retrouver
/ restaurer la vision du très saint paradis -(d’avant la très grande
catastrophe, il y a des millions d’années), dans les années 1920 pour la
naissance de mon père et de ma mère -(et des frères et des sœurs de mes parents
que le » ou bien « de la Création dans lequel nous sommes
ne leur a pas permis d’avoir).
Mais ces hausses du prix du baril de pétrole
ont été à l’origine de chacune des
augmentations des prix, malgré qu’on a[it] tous continuellement bénéficié de la
loi de la Quantité et de la Rareté appliquée par les plus véritables patrons,
ce qui a permis, (malgré la situation de crisissimis…simissime économique
désastreusissimis…simissime due au choc pétrolier de 1973), la tendance à la
baisse des prix de la plupart des produits industriels et/ou artisanaux vitaux
en raison, (malgré la perte du pouvoir d’achat
des monnaies –[à cause de l’augmentation du prix du baril de pétrole]- et du
niveau de vie –[par la restriction des marchés à cause de cette perte du
pouvoir d’achat])- de ce qu’ils furent produits
– ces biens de première nécessité - en très grande quantité, au point, à un
moment donné, parce que le prix du baril de pétrole augmentait, d’atteindre
pour chacun d’entre eux un/le prix minimal
-(obtenu en produisant le produit de façon délocalisée dans les pays les moins
avancés -[économiquement], donc ayant, parce qu’inflation[s] et perte du
pouvoir d’achat, des niveaux de vie beaucoup plus bas)- qui, si le prix du pétrole avait baissé –(au lieu d’augmenter)-
comme nous continuons et continueront à demander, auraient été -(ces biens de
consommation)- proposés gratuitement ou, selon le cas, quasiment gratuitement
en assurant ainsi le plein emploi –(dans le monde entier !)- parce qu’un
grand nombre de produits considérés du superflu, voire de luxe, l’auraient été
eux aussi -(gratuits, voire pour d’autres, les plus onéreux, quasiment
gratuits).
Parce
que nous sommes de ceux, rares, qui ont peu à peu, par approximation[s]
successive[s] retrouvé la mémoire par acquis de conscience, voire au moment où
nous pensons et nous exprimons avec le Saint-Esprit sur nous, cela nous permet
effectivement de comprendre -(donc d’expliquer)- parce que nous avons une fois
encore retrouvé les causes
de la plupart les dysfonctionnements -(en plus
véritable Économie - celle-ci étant aussi véritable car elle est très
réellement une science exacte de raisonnements justes –[comme les nôtres ici]-
au service de l’Intérêt et du Bien général)- ce
qui est la condition sine qua non
pour proposer, à partir de cette cause retrouvée, [soit cette origine de la
plupart de ces dysfonctionnements et malheurs], les remèdes -(qui, nous le soulignons une fois encore, ne
peuvent voir le jour – ces remèdes - qu’uniquement quand la cause est trouvée /
certaine / sûre, ce qui est le SPOK/le cas particulier)- que nous [re]trouvons une fois encore -(comme ce fut le cas de 1973 à 1977)- en conscience, avec l’aide du Saint-Esprit, soit de
Dieu dans le futur déjà sur nous, puisque ce que nous proposons -(quand le prix du baril de pétrole sera à un
centime de dollar le baril et ensuite moins que ça, voire encore beaucoup moins
que ça à 0,0001 centime de dollar et peut-être, nous l’avons inscrit, moins
onéreux encore : 0, 000 001, voire moins que cela : 0, 000 000
01 centime de dollar)- permettra une aire de
prospérité sans fin si, enfin, on fait ce que nous demandons / exigeons à nos
divers titres -(empereur, bouddhahs donc eanmeailleurs, mais aussi parce que la
plupart d’entre nous, nous avons vérifié que c’était bien nous/moi dans le ciel
à partir de 1977 et la précédente fois en 1967. En effet nous intervenions à
travers Espace et Temps en multi-dimensions, donc aussi en géolocalisateur -(celui qui a transmis aux années 1977 et suivantes
depuis les années 2005 et suivantes synchrones la géolocalisation)- plus de cinquante pour cent des réserves actuelles de
pétrole, par conséquent qui Lui / m’appartiennent à ce titre comme aux
précédents et cela parce que nous avons pu vérifier très exactement -(en
extrapolant d’avance)- que ce ne sera que quand le prix du baril de pétrole
sera mis / porté à ce centime de dollar disneyen, voire mieux encore à 0,01
centime de dollar, voire encore mieux encore à 0, 000 1 centime de dollar
-(voire aux prix inscrits plus haut : 0, 000 001 cent de dollar,
voire moins que cela : 0, 000 000 01 centime de dollar)- qu’en
minimisant pour nous créer de merveilleuses surprises, tout [re]commencera
enfin à marcher / fonctionner plus justement sur cette planète pour
[pou]voir enfin le rétablissement de la vision très sacrée du très saint
paradis sur la base de ces programmes
-(il y en a deux, si tu cliques sur le laurYen précédant cette parenthèse.
Celui des deux qui a ma préférence, parce qu’il serait le mieux / plus juste,
est dans une des notes de fin de page. Mais j’ai laissé le premier
-[programme]- qui permet de mieux comprendre le raisonnement et pourquoi je
l’ai creusé dans cette note de bas de page pour aboutir à cette seconde
solution alternative élégante mathématique)- proposés
par tes dévoués serviteurs les eanmeailleurs de
[R]Ôz[eau/…/w/y/s] -(nom de votre
eanmeailleurs -[système solaire, univers[102]]), et pour abréger eanmeailleurs -(ce qui veut dire empereur + bouddhahs, mais aussi cette
recette de cuisine végétarienne sacrée que j’ai eu l’honneur de créer
– voire la même que je t’ai signalée avec un laurYen[103]
au début de cette missive)- d’Ôz.
En
te remerciant de tout mon cœur pour t’être donné la peine de lire ce texte très
imparfait -(car CARÉ14 – acronyme de corrigé,
abrégé, augmenté, relu, [ré]élaboré autour de 14 fois et non
plus – d’où que je me promets dans le futur de le CARE[r] d’autres fois),
j’espère que nous pourrons bâtir pour tes petits enfants ce monde où la
majorité des choses seront enfin très réellement offertes en nous donnant enfin
à tous la possibilité de voir une heure de très saint paradis, soit Ôz toutes les cinq heures, vingt-quatre
années après la première année où il nous sera donné à tous, pour commencer, de
voir deux fois cinq minutes le très saint paradis, au cours de la journée d’un
24 avril d’une des années qui viennent -(à cette heure-ci le 8 Décembre 2020,
je ne sais pas encore quand – car cela dépend des accords que nous aurons pour
cela avec tous ceux qui ont accès à la salle des machines qui doivent nous dire
quand ils seront prêts pour/à restituer la vision du très saint paradis -(celle
qu’il m’a été donné d’admirer cinq secondes à l’échelle universelle en 1995)-
d’avant la très grande catastrophe dans l’Intérêt et pour le Bien Général en
ayant enfin compris que les études scolaires et/ou autres efforts physiques
-(quand ils sont bien faits)- permettent d’atteindre un jour ou l’autre la
vérité multidimensionnelle sur chaque point, ce que nous leur souhaitons d’un
jour connaître à leur tour par acquis de conscience, soit cette sécurité que
j’ai démontré de ma naissance en 1963 à 1967, de 1967 à 1977, de 1977 à 2005 et
de 2005 à 2020 existe dans chacun des êtres humains et que nous devons aux
religions intellectuellement admissibles aux prises avec les laipis, d’autant plus
qu’Elles seront mises-à-jour dans cette optique bienfaisante / grandiose /
admirable de faire ainsi la lumière en soi).
En
te remerciant, cher Jean, d’avoir lu ce texte, je te souhaite ainsi qu’à Lucie
et ta fille un peu à l’avance de très belles fêtes de fin d’année, un très
joyeux Noël et une très belle, bonne, bienfaisante et féconde années 2021 en
espérant que tu veuilles bien m’aider à rétablir la vision très sacrée d’Ôz en même temps que m’aider à faire
baisser le prix du baril de pétrole -(si, comme je l’espère, j’ai réussi à te
convaincre en tant qu’économiste, [donc avec ton soutien de spécialiste], ce
que j’espère tu me dir)- pour que ce soit finalement Noël tous les jours pour
tous.
Laurie.
[1] -(je n’habite pas très loin de chez toi à mon
adresse du 20, rue de l’Ecole Polytechnique)-
[2] / pourront
[3] -(dans le bon sens)-
[4] Ou » du « T. S. P. .
[5]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm
[6] -[je crois tu as eu, si je ne m’abuse, en son
temps, plaisir à le voir / regarder]-
[7] –[mot créé pour abréger l’expression » lien
hypertexte «]
[8] Dans la version / CARÉ précédent[e] j’avais
écrit : » l[’]/e [b]onheur «. Puis dans ce CARE -(acronyme pour correction, augmentation, abrégé, relecture, [ré]élaboration, je
décide de mettre cette trouvaille / pensée en note[s] de bas de page.
[10] Ou av[i]ons -(parlé).
[15] / malheurs -(mais aussi, vu autrement, à
d’autres moments » bonheurs «)
[16] Ou » pour «.
[17] Le T. S. P. .
[18] Et ses quasi synonymes : Arcadie, Eden,
Atlantide, Schtroumpf, …
[20]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/papes_001.htm
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/president_hollande_01.htm
[22]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm
[23] -(d’avant la très grande catastrophe survenue
sur cette planète il y a plusieurs millions d’années, hélas, infiniment hélas,
probablement en raison d’effets rétroactifs liés à la Seconde Guerre Mondiale)-
[24] -[H. A.]-
[25] H. Ph. ou/et H. F. .
[26] -(TV Nuages oblige[ra])-
[27] Diminutif de » cela « que je m’interdis de
répéter dans ce SPOK –(acronyme qui fait exception au sens de » qui est
une exception « pour situation précise, occasion, cas particulier, car ici c de » cas « et p de » particulier « = k de SPOK).
[29] Ici est à remarquer qu’Ôz porte un accent circonflexe et un z en italique. Il s’agit donc d’un autre Magicien d’Oz que celui qu’on connait grâce au Cinéma ou par
d’autre voies.
[30] -(ce sera, quand viendra le moment. De ma part
une vidéOrange © sur Internet pour chacun des prochains Noël).
[31] -(pour regarder, en prenant le temps, les
merveilleux détails signifiants des représentations par moment féériques)-
[32] Ou (… plus)- certainement surgir -(ces rep..).
[33] -(peut se lire » çaest « alors que
s’écrit S. A. É.)-
[34] -(pardon pour ce lapsus typographique que, s’il
te plait, tu permettras de conserver pour faire sourire la postérité).
[35] laurYen = lien hypertexte
[36] [Pardon ! je laisse ! c’est trop
beau ! un lapsus typographique pareil !, Encore un alors que je
croyais avoir tapé » Atlantide « ! J’ajoute : © - en
sachant que c’est parce que je t’ai écrit que j’ai, en tant qu’auteur, ce
nouveau néologisme à mon crédit. En le mettant ainsi comme le précédent un
tiers à ton crédit]-
[39] Pour » lien[s] hypertexte «.
[41] -(acronyme pour corriger, augmenter, abréger, relire, [ré]élaboré – s’écrit toujours en majuscule
comme sa variante CAÔRÉ – le ô pour » ôgmenter «, variante possible d’»
augmenter «)-
[42] -(mon auto-psychanalyse ayant avancé au point de
me permettre de retrouver plus précisément la date)-
[43] -[sur chacun des membres / acteurs les plus
honnêtes des économies rRégionales -(nationales)]-
[44] -(la cause – je spécifie plus particulièrement
pour les espions de ce texte car évidemment je sais que tu sais qu’»
origine « est synonyme de » cause «)-
[45] Je l’ai déjà dit mais c’est si extraordinaire
que je m’autorise à le rappeler / répéter en minimisant : -(mesurant au
moins trois mille mètres de hauteur et alors entièrement constitué de nuages)-
[46] Ou (une extension)- de moi-même (, j’ai … )
[47] -(que j’ai trouvé peu après ce diagnostic
exacte)-
[48] -(c’est pour ne rien te cacher que j’étais
amoureux de Christine et qu’elle m’avait embrassé sur la bouche plusieurs
fois : c’est certain elle était ma promise retrouvée : Dans ce
bonheur qui était le nôtre, il est certain que nous attendions l’un de l’autre
des enfants et que c’était eux, à travers notre très véritable amour l’un de
l’autre, qui avaient trouvé le remède pour rendre financièrement possible le
jour venu notre union plus que sacrée d’autant que confirmée / bénie du Ciel et
pour cela ayant vu apparaître un anneau immatériel immaculé à mon doigt
annulaire des hommes les plus véritablement mariés)-
[49] -(la loi de la Quantité et de la Rareté entrant
ici en considération, celle que je prends en considération pour mes
vidéo-nuages-diaporamas et mes vidéOrangeArt, mais aussi autres œuvres quand
elles deviennent artisanales, faites sur le même modèle, même si je sais cela
va dépendre aussi de la Demande que mon offre de départ)-
[50] Ou » prédire «.
[51] Ou/et » importante «.
[52] De la différence de l’industrie et de l’artisanat -(qui reproduit à partir de prototype[s] ayant à
l’origine de très véritables Auteur[s])- de
l’Art qui propose des originaux -(œuvres uniques qui en étant reproduites d’une
façon ou d’une autre appartiennent alors, à travers ces reproductions, à
l’Artisanat et/ou l’Industrie, bénéficiant des travaux / recherches du
très/plus véritable artiste / concepteur / auteur).
[53] -(c’est normal dans un monde où les CFPMD –[crédit financiers propres et mérités de droit] – la nouvelle appellation mise à jour de l’argent)-
[54] Ou (pour) » être au niveau
de « (ces responsabilités)
[55] Autre acronyme faisant exception : Ch. O. C
au lieu de C. O. C. , donc pour faire ici un peu d’esprit potache.
[56] SPOK -(situations précises, occasions, cas particuliers car ici, avec cet acronyme d’exception, c de cas et p de particuliers = K de SPOK)
[57] -(en définitives si on y pense bien :
d’autres dépenses de transport : celles de chacun des intervenants [dans
le processus de fabrication]- qui ont à se nourrir à leur tour, ce qui n’est
possible, dans l’état actuel des choses
-(27 Novembre 2020), qu’en ayant eu à payer d’autres frais de transports, ceux
pour acheminer chacun des ingrédients intervenant pour se nourrir, donc des
frais dans ce secteur de l’alimentation dont nous dépendons tous. Ces frais
étant, en définitive, l’addition de tous ceux –
du producteur paysan agriculteur aux responsables de la vente de ces produits
au marché dans les villes et villages ou dans d’autres lieux de vente - de transport -(dont l’amortissement du prix des véhicules de transport sur
plusieurs années d’utilisation).
Ces outils de transport pour avoir été fabriqués ont nécessité, eux
aussi, les frais de transport de tous les intervenants à n’importe lequel des
degrés / maillons de la chaîne de[s] responsabilité[s] de l’entreprise pour les
réaliser et cela pour se nourrir et travailler à leur élaboration –(à tous les
niveaux de la chaîne). Il est à noter / comprendre que chaque budget
-(professionnel ou à caractère privé)-
comporte une ligne de compte[s] consacrée aux frais de transport[s]
virtuels -(qui pourraient être, par exemple,
pour passer un week-end ailleurs que
chez soi)- ou/et réels –(ceux pour rejoindre
le[s] lieu[x] de travail, donc ceux qui sont professionnels et cela pas
seulement dans le secteur de l’alimentation mais pour tous les secteurs
d’activité, ce qui signifie que chacun d’entre nous facture ou est payé pour, à
son tour, payer le prix du transport de chaque chose dont il a besoin, ces
choses, produits, service, etc. étant à l’origine de frais de transport
d’autres choses, produits et services et ainsi de suite au point que le prix de
chacune des choses, produits et services ne soit en réalité finalement des
frais de transport maquillés / présentés sous la forme d’autres mots). Je
rappelle que de nos jours encore -(28 Novembre 2020)- le prix du transport de
chacun des intervenants pour la réalisation de l’objet -(produit ou/et
service)- en question quel qu’il soit est répercuté sur le prix de vente du
produit, service, chose, etc. que cela soit un bien[fait] intellectuel ou une
nécessité d’un autre ordre -(catégorie).
Aussi on arrive aisément à comprendre que chacun d’entre nous, par
les prix que nous avons à payer,
(cela est vrai aussi pour les serviteurs de chacun des Etats, donc
travaillant dans l’administration. Cette personne est aussi un potentiel
acheteur, donc vue comme un potentiel payeur)- finance
des frais de transport que tous les intervenants ont pour réaliser la chose, le
produit et/ou le service à payer -(sauf quand ils sont gratuits).
En effet la plupart de chacun d’entre nous, avant Internet et les
vidéophones, nous avions de plus nombreux déplacements à faire et cela aussi du
temps des chevaux et charrettes où le problème était le même : il fallait
payer tous ceux qui s’occupaient des moyens de locomotion / transport qui
représentaient des coûts fixes -(soumis au
pouvoir d’achat de la valeur de la monnaie en cours, mais aussi à l’inflation)-
pour chacun, car il fallait nourrir les animaux -(ce qui représentait des dépenses : des
frais de différent types dont tous ceux de transport tandis que les autres, les
frais de nourriture, par exemple, étaient vus comme tels alors qu’en creusant
bien, ils sont ce qu’ils sont parce qu’il a fallu transporter cette nourriture
et ses ingrédients comme payer tous les éléments pour réaliser cette
nourriture, en réalité, si on y réfléchit, d’autres frais de transport, comme
ceux du paysan et de sa famille ayant besoin pour travailler en plus de sa ferme -(ayant généré à différents niveaux, c’est-à-dire
sur différents plans des frais de transport pour être bâtie avec une série
d’éléments appelés matières premières qui pour exister en tant que telles ont
représentées elles aussi les frais de transport, pour se nourrir, s’habiller,
se loger pour tous les responsables intervenant[s] à cette construction, ces
frais étant ceux qu’ils sont parce qu’ils répercutent chacun sur le prix, à
leur tour, des frais de transport)- au moins d’une charrette pour rejoindre
son champ -(et pour transporter le résultat de
ce qu’il avait planté / fait pousser : les produits de son champ, à la
ferme, puis pour les préparer à celui qui se chargera de les vendre au marché,
si ce n’est pas ce paysan lui-même qui s’en charge), cette
charrette pourvue de l’animal
-(comme les produits des champs)- ayant chacun
le prix qu’il[s] a/ont parce qu’il a fallu payer les frais de transport de tous
ceux qui les ont mis en œuvre avec des matériaux divers, eux aussi à l’origine
transportés, donc ayant généré des frais de transport y compris pour ceux qui
ont produit ces matières premières ayant, eux aussi, chacun, des frais de
logement, d’autres pour se nourrir et pour se vêtir, voire d’autres sortes
encore –(par exemple pour se divertir, prendre
des vacances, etc.)- et pour fabriquer ces
éléments. Nous avons compris que ces frais de nourriture comme pour se loger
comme ceux pour s’habiller, travailler –
ne serait-ce que les instruments utilisés à cette fin – sont en réalité encore
une fois au prix où ils sont des frais de transport –(tous ceux des ouvriers,
des cadres et des responsables, patrons ou autres de l’entreprise s’étant
chargée de les produire pour les proposer parfois sur le marché comme solutions
alternatives élégantes facilitant le travail y compris grâce aux résidences
secondaires qui représentent elles aussi pour être créées des dépenses de
transport à tous les niveaux de leur élaboration)- et ces frais n’existeraient
pas s’il n’y avait pas à répercuter dans la liste des dépenses d’une entreprise
-(ou/et d’un particulier)- ces frais de transport pour calculer le
prix-de-revient de chacun de ces points)- qui
nous aidaient -(en
échange. On comprend sur ce point ici aussi que la Nature, la vie entre les
êtres humains n’existent que si on accepte le jeu de donnant donnant, soit
celui des échanges devenus au fil de l’histoire commerciaux). Abriter ces
animaux ou/et les moyens de transport, en prendre soin représentaient d’autres
frais / dépenses, mais aussi celles pour fabriquer les charrettes,
char-à-bancs, etc. , mais aussi les chars-à-foin. Celui-ci ayant, (comme l’avoine, et d’autres herbes données à
manger à ces animaux), un coût qu’on répercutait
à cause du prix de revient dans le prix de vente de l’animal et de cette
charrette -(qui, pour être réalisée, avait engendré, elle aussi, des dépenses
de transport de différents ordres : celles de chacun des ouvriers
participant à la réaliser, soit du personnel des menuisiers qui, lui aussi,
pour produire, devait manger, par conséquent participer au paiement des frais
de transport de la nourriture venue jusqu’à lui, mais aussi de ceux qui la
cuisine -(d’autres frais de transport amortis avec/dans le prix du contenu des
plats de nourriture proposés ayant le prix qu’ils ont sur la quantité produite,
à cause du prix de transport non seulement des ingrédients mais aussi de ceux
qui, compétant[s]
N. B. : suite après les quatorze paragraphes
suivants ci-dessous
1/ –[ces compétences ayant été acquises en ayant dû débourser des
frais de transports de tous ceux qui les enseignent d’une façon ou d’une autre
ayant, par le prix qu’elles ont, à se rembourser des dépenses de transport des
différents composants de ces enseignements -(s’appuyant
parfois sur des livres, et d’autres points).
2/ (J’ouvre une parenthèse: Pour qu’un livre, un texte puissent être
écrits, il faut au départ disposer de moyens
financiers propres et mérités de droit – MFPMD – qu’on doit avancer pour
payer son budget qui comporte à payer les dépenses personnelles, soit ce qu’on
appelle » l’argent de vie « pour acheter la nourriture et la boisson
comme les autres choses dont on aurait nécessairement besoin comme par exemple
les vêtements, etc. . En fait des frais de transport pour réaliser cette
nourriture et ces boissons comme des frais de transport pour qu’ils parviennent
plus ou moins à proximité de l’habitation pour les acheter, ceux-ci ayant exigé
des transporteurs et des producteurs de cette nourriture et ces boissons un
budget du même ordre, c’est-à-dire comportant des frais de nourriture et de
boisson, donc nous l’avons compris une fois de plus des frais de transport
-(dont on doit se rembourser)- mais aussi ce qui vient et qu’on nomme les frais
de vêtements donc pour s’habiller.
3/ Pour ces vêtements d’autres frais de transport -(en général celui
du coton ou de la laine, etc.)- pour les réaliser
-(ils sont parfois teintés ce qui représente des frais supplémentaires, dont
tous ceux de transport de chacun des intervenants en tant que teinturier[s]), mais aussi pour ceux qui les élaborent à différents
niveaux de compétence[s] et qui ont, eux aussi, chacun, un budget de dépenses
personnelles –(mais aussi professionnelles)- à faire du même genre que celui de
l’auteur de ce livre. C’est pourquoi un livre est, comme un vêtement, appelé un
produit, une chose, un bien -(parfois de première nécessité)- un moyen, un
service -(s’il devait appartenir à ceux qui rendent service comme par exemple
un livre de recettes de cuisine ou/et un mode d’emploi). Mais revenons à cette
notion de budget personnel –(nous ne parlerons
pas en détail du budget professionnel, car cela dépendrait de chacune des
professions spécifiques, bien qu’ils comportent eux aussi des -[dépenses]-
constantes comme dans le budget personnel -(qu’on retrouve un peu partout le
même)- et comme ce dernier une colonne des dépenses et une colonne des
recettes. La plupart des dépenses qu’on fera dans ce cadre-là du budget
professionnel concernent, si on cherche bien, en réalité, à l’origine des
dépenses de transport des produits dont on a besoin pour travailler -(soit tous
ceux qu’on va transformer). En fait les heures durant lesquelles on travaille à
des activités manuelles ou/et intellectuelles servent, quand elles sont payées
professionnellement, à payer d’une manière ou d’une autre des frais de
transport de[s] matières premières qu’on va avoir à transformer, mais aussi les
dépenses de nourriture, de boisson, etc. qui nous le verrons représentent des frais
de transport (y compris à l’origine pour les cultiver). Sont sur différents
points des dépenses indirectes de pétrole les frais d’électricité, d’Internet,
des assurances, de loyer[s], etc. car derrière ces mots, il y a des personnes
qui travaillent parce qu’elles ont à payer elles aussi toutes les dépenses de
transport en liaison avec chacun de leurs besoins tant professionnels que de
manière privée, personnelle)- qui nous concerne
en grande majorité tous. Il y a d’autres choses utiles et nécessaires à
dépenser pour vivre de manière civilisée -(ce qu’on appelle les biens de
première[s] nécessité[s]): le lit, la table sur laquelle poser les couverts,
les chaises, les étagères, etc. bref ce qu’on appelle des dépenses de
logement : si j’ose dire en étant peut-être pour certain Précieuse Ridicule : les vêtements de
l’intérieur d’un lieu de vie -(tout ce qui va habiller un intérieur, le décor
-[qui nous entoure]). Nous rappelons que pour exister ce logement a été mis en
chantier par de nombreux intervenants à des stades différents qui ont, pour
vivre, chacun un budget de dépenses personnelles à effectuer en fonction des revenus financiers propres et mérités de droit -(RFPMD)- dont ils disposent –(ceux-ci étant ceux qu’ils sont
en raison de l’Offre et de la Demande, mais aussi de la Quantité et de la
Rareté). Ce budget de dépenses personnelles qu’ont ces membres de la catégorie
socio-professionnelle du bâtiment est du même genre, à quelques différences
près, [donc en gros], que celui du futur locataire de l’appartement –[studio,
deux ou plusieurs autres pièces]- de l’immeuble -(ou autre lieu d’habitation)-
construit et qui pour l’être -(construit)- a été à l’origine de tous les frais
de transport des matières premières nécessaires à son édification comme les frais
de transports de chacun des ouvriers, cadres, responsables, promoteurs
immobilier et/ou architecte[s] et/ou etc., ceux-ci ayant eu chacun d’entre eux
des dépenses semblables -(ces constantes qui ont
donc à voir avec les biens / dépenses de première nécessité)- à faire comme le futur locataire ou propriétaire du
logement en question. En réfléchissant plus profondément sur chacun des points
-(constantes)- d’un budget personnel -(et non professionnel), à caractère
privé, on comprend que pour se permettre les dépenses en question, rien ne
serait possible sans la colonne concernant les revenus -(qui dépend de la
profession ou du statut que l’on a). En effet, sans RFPMD (revenus financiers propres et mérités de droit)- pas
de DFPMD -(dépenses financières propres et méritées de droit).
4/ Le budget de n’importe qui comporte -(s’il n’est pas celui d’un
propriétaire de son logement ou une personne dépourvue de MFPMD –[moyens financiers propres et mérités de droit]), un loyer à payer. Celui-ci est destiné à rembourser les
dépenses avancées par le propriétaire ou/et le promoteur immobilier pour
construire ce logement, voire une fois remboursé lui permettre de tirer, une
fois les dépenses d’entretien faites, un bénéfice du bien qui est à lui de
droit car il fut/a été payé avec des CFPMD -(crédits financiers …).
Par conséquent il a permis au promoteur immobilier de rembourser ce que les
banques lui ont avancé -(voire une partie de ses économies investies dans la
construction de ces logements). Le promoteur immobilier, comme l’architecte,
comme chacun des ouvriers a, comme leur respectif conjoint(e), lui aussi un
budget d’ordre privé avec d’un côté les dépenses et de l’autre les revenus
-(c’est la même chose pour le producteur d’un film ou/et pour un armateur qui,
par exemple, construit des bateaux de croisière[s] ou/et des pétroliers. Leur
budget professionnel comme leur budget à caractère privé se ressemblent). Mais
on va peu à peu comprendre que pour que chacun des points à dépenser coûte ces
dépenses inscrites, c’est parce qu’il y a pour chacun de ces points des
dépenses de transport -(liées au prix du baril
de pétrole qui en augmentant fait augmenter tous les prix -[puisque le prix du
transport de chaque chose est à l’origine des prix], donc celui du film, celui
du bateau, celui de l’immeuble ou/et de la pyramide à élever / construire)- au point qu’on comprenne que si on est contraint de
disposer de revenus, ce n’est en réalité que pour payer le prix des transports
de toutes les choses, produits, articles, services, biens, etc. qui pour être
au prix qu’ils [s]ont ne le sont que parce qu’ils répercutent les divers prix
des transports -(donc du baril de pétrole)- entrant en ligne de compte de
chacun des points des budgets tant professionnels que tous ceux à caractère privé,
donc pour payer le prix de revient de ces produits, moyens, articles, biens,
etc. soit celui -(le prix de revient)- dont on cherche à se rembourser en en
donnant un prix en comptant pour cela différents paramètres dont les divers
temps employés / investis à des niveaux de compétence[s] différentes -(ayant
exigées plus ou moins d’investissement[s] pour les exercer).
5/ Il y a donc la résidence principale, voire son prix d’achat -[si on devait compter en devenir propriétaire pour,
par exemple, transmettre cette résidence principale], voire
il y a dans cette époque aux nombreuses automobiles et moyens de transport
divers, les résidences secondaires -(donc au pluriel si elles sont plus
qu’une). En investissant dans l’une d’elles c’est -[comme]- un placement qui
pourra servir si besoin est à un/des ayant-droit[s] dans le besoin, voire à
soi-même si on devait l’être -(dans le besoin -[financier]), voire pour
disposer ainsi d’un capital -(ce bien immobilier)- qu’on pourra, si on le
souhaite, mettre en location -(ce qui signifie
que pendant le temps du bail on ne pourra plus l’habiter soi-même, donc -[on ne
pourra plus]- en profiter au sens positif de ce mot qui en a du négatif dans
d’autres SPOK), voire au contraire où on pourra
se rendre pour changer d’air, voire changer de décor durant les vacances, ce
qui est donc bien une résidence secondaire).
6/ En fait ce qu’il faut faire c’est décomposer les mots de ce budget -(auquel la grande majorité d’entre nous qui en est
bénéficiaire est soumis)- et voir ce qu’il y a
derrière ces mots ou /et points
budgétisés (faisant l’objet d’un budget). De quoi ils sont faits eux-mêmes ces
budgets comme dépenses et revenus. Ce qu’ils cachent comme réalité, elle aussi
décomposée et cela même de façon gigogne -(comme une série de cercueils égyptiens mis les uns dans les autres dans un
sarcophage, soit une réalité renvoyant, décomposée à son tour, à une autre
réalité dont elle est tributaire et ainsi de suite jusqu’à l’origine. On
découvrira que chacun des intervenants pour une chose ou une autre, reporte sur
le prix de ce produit, (service, chose, bien, article, moyen, etc.)- des frais
de transport -(qui sont donc à l’origine du prix final, public, de ces
produits), car la grande majorité de ces intervenants a les mêmes types / genre
de dépenses à faire : il s’agit pour tous des dépenses personnelles de
nourriture, de boisson, mais aussi des frais pour s’habiller – (surtout dans
les régions tempérées ou/et plus froides que les nôtres), donc encore une fois
avec ces vêtements de[s] frais de transport
-(celui des matières premières, mais il y a les autres indirectes qui sont, par
exemple, les frais de nourriture dont le prix dépend aussi des dépenses de
transport)- et/mais ces frais de transport sont
inscrits sous d’autres appellations / titres -(qui les contiennent, donc dans
un des pourcentages des dépenses de différents types qu’ils représentent)-
parce qu’ils concernent à première vue en grande majorité –(soit à un pourcentage de plus de cinquante pour cent cette
chose désignée par ce mot/titre)- d’autres
points que ceux à proprement parlé du transport
– c’est que le mot utilisé pour parler de cette dépense à première vue
différente du point » transport « dans ce budget est un condensé
de différents éléments -(dont le prix des transports)-
pour qu’il existe et donc ce transport et son
-[éventuel]- prix est compté dans ce mot sans apparaître dans la désignation
finale de ce point inscrit -[non décomposé]- en l’un des titres dans la
rubrique » Dépense «. Par exemple on dira pour ces différents points
de ce budget » argent de vie « et ce n’est qu’à la
réflexion faite qu’on comprendra que ce titre -(» argent de vie «)- inclut les
dépenses en/de » vêtements « et cela parce qu’il y a un des titres qui
porte le mot de » logement « et un autre » assurance « -(par
conséquent n’étant pas comptés ces deux derniers à titre » d’argent de vie
« dont on comprendra qu’il contient aussi toutes les dépenses de
nourriture et/ou de boisson, etc. sans voir que ce que ces trois mots ont
en commun -(y compris avec d’autres mots désignant des produits)- est, pour
chacun, le prix du transport qui est donc à l’origine de l’existence de ces mots -(un mot est le plus souvent un condensé, une sorte
de résultat : un résumé de nombreuses choses. Il sert à beaucoup de choses
/ phrases différentes, peut être mis en liaison avec tous les autres mots pour
donner « » matière à penser « ». Les moteurs de
recherche internet ou le scrabble le
prouvent)- on va oublier que ces trois mots
-(vêtement, logement, assurance)- et d’autres du budget ont en commun pour être
toutes les dépenses de transport en liaison avec chacun des éléments qui les
constituent -(comme si le mot désignant fascinait au point d’exclure la
réflexion à son sujet. Soit tout ce qu’il contient de bon ou/et d’étapes pour
représenter : on dira « le train », on verra l’image d’un train
sans voir ce qu’il signifie comme étapes de travaux pour être le modèle qu’il
est pour lequel il a fallu payer tous les frais de transport dont il a été à
l’origine avant d’être ce » train « et c’est la même chose pour
chacun des autres objets sans exception : ils ont tous nécessité des frais
de transport soit directement soit indirectement à travers d’autres frais, ceux
de la nourriture et de la boisson elles aussi transportées comme chacun des
travailleurs –(manuels et/ou intellectuels –
normalement ces derniers à l’origine des solutions les plus justes, dont les
mots utilisés pour -[les]- désigner)- nécessaires
à leur avènement en un plus grand nombre que le prototype)- pour être ce qu’ils
représentent en terme de coûts / dépense)- dans
ces budgets comme celui de » vêtements «. Pour les fabriquer il y a à tous
les stades des frais de transport [pour ces vêtements]. C’est pareil pour les
frais de » logement « -(qui fait l’objet d’un
point particulier, dissocié -[dans le budget])- pour
édifier ces futurs loyers ou propriétés à la source des dépenses d’assurance,
de téléphone, d’électricité, d’Internet, de gaz, d’impôts -(pour ceux qui y
sont soumis), de dépenses personnelles à titre » d’argent de vie
« -(chaussures, téléphone mobile, ordinateur, télévision, etc.)- en même
temps que des frais concernant ce qu’on appelle le capital circulant -(par
exemple des ampoules électriques à changer dans l’année, soit des produits qui
ont des durées de vie limitées -(courtes : tube de dentifrice, eau de
Cologne -[à moins de la conserver plus d’un an], savons divers -[idem pour
eux], etc. comme, dans certains cas, les draps ou un matelas -(ce qui n’est plus considéré du capital circulant
en raison de ce qu’ils sont censés durer plus d’une année, sauf cas
exceptionnel au cours duquel, facture d’achat à l’appui, ce matelas et ces
draps seraient à changer dans l’année de son achat)- à
changer. Mais il y a les machines à laver-le-linge ou/et la vaisselle
considérées elles aussi -(y compris leur[s] éventuelle[s] réparation[s])- des
dépenses personnelles de » CMPFD de vie « -(pour » argent de vie
«)- à prendre d’avance en compte –(ce qui
contraint à économiser pour pouvoir s’offrir ces services)- comme les dépenses en personnel -(à prendre en
considération à divers titres, parfois quand on est devenu trop âgé, voire
qu’on n’a pas le temps de faire du ménage ou/et la cuisine en raison d’autres
activités plus rémunératrices / rémunérées ou/et exigeant en échange de CFPMD
nos lumières de spécialiste, soit des compétences originales plus rares au
point de pouvoir payer ce personnel), des économies notemment à faire pour
changer périodiquement de machine-à-laver le linge ou la vaisselle ou/et
d’appareil de photo[s] ou/et caméscope, mais aussi, au bout de quelques années,
pour ce qui y tiennent, de modèle d’automobile, etc.).
Avec quelques-uns de ces mots précédents, il s’agit des points principaux de ce
budget de base -[dans un des pays dits » développé «]- qui, en réalité,
concernent les Dépenses dans ce budget, mais c’est pareil pour les
Revenus : ils sont ceux qu’ils sont pour nous permettre de payer ces dépenses incontournables –(dont il est pour le moment, tant que le prix du
pétrole sera aussi excessivement cher, onéreux, coûteux, impossible d’obtenir
la gratuité)- que nous avons tous en grande
majorité à faire -(en tant que dépenses de premières nécessités)- et qui sont
ce qu’elles sont en raison de la répercussion des coûts des transports qui
affecte[nt] toute la chaîne des intervenants
-(ayant chacun d’eux un budget comportant à peu près les mêmes éléments /
points à respecter / honorer)- pour proposer au
prix indiqué le produit ou bien le moyen de première nécessité ou/et de
consommation -(concernant parfois le superflu)- en question ou/et service[s]
additionnés les uns aux autres à tel point qu’on pourrait mettre à chacun de
ces produits à l’étiquette faisant état du prix à payer
-(en noir sur fond blanc ou en blanc sur fond noir, voire en couleurs arc-en-ciel
qu’on trouve parfois par terre dans une flaque d’eau près d’une pompe à
essence), le symbole d’un puits de pétrole suivi
des deux points -(:)- puis le chiffre du prix : c’est qu’en réalité pour
chacun des produits vendus à un prix ou à un autre, il s’agit -(en grande
majorité)- pour que chacun des produits ait leur prix, de celui du transport,
donc à l’origine du prix du baril de pétrole et cela même si on vous certifie
que vous n’avez pas à payer la livraison. Le 30 Novembre 2020 le prix de chaque
article c’est encore, en grande majorité, le prix du transport de chacun des
éléments qui le constitue. Donc ce produit, cette chose, ce bien, ou/et ce
service, ce moyen, ce véhicule, cet appartement etc. est au prix où il est
en raison du prix excessif du pétrole, « vous dis-je » ! -(en
raison de « le poumon vous dis-je »).
7/ Dans le budget des dépenses que la grande majorité d’entre nous
avons à payer, il y a parfois les charges locatives, mais surtout l’assurance
du logement -(celle-ci est au prix où elle est en fonction du prix de revient
de cette assurance divisé sur le nombre d’assurés attendus / escomptés qui, par
leur souscription financière, permettent aux employés de cette assurance de
payer chacun d’entre eux chacun des éléments des dépenses de leur budget -(leurs dépenses de première nécessité avec
quelques-unes considérées à tort ou à raison du superflu)- qui comportent tous les frais de transport affectant
directement ou/et indirectement chacun des acteurs -(au service de ces
éléments)- de tout ce qu’ils ont eux aussi à dépenser pour vivre, en même temps
que cela permet d’intervenir financièrement en tant qu’assurance sur les points
reconnus assurés. En réalité et très objectivement, il s’agit indirectement
de[s] frais de transport de tous ceux qui représentent ces coûts dans ces
budgets, soit en réalité des frais de transport de/pour chacun de ces points et
c’est pareil pour la taxe d’habitation -(il faut songer à payer tous ceux qui
doivent l’encaisser et/ou la demander, ce qui représente le budget de cette
administration. Soit des coûts du même genre : un budget comparable), les
télécom -(ceux qui y travaillent ont eux aussi des dépenses semblables), les
autres assurances -(idem), les impôts -(idem), les dépenses de personnels
-(idem) et les charges diverses -(idem), le téléphone mobile -(idem),
l’électricité -(idem), le gaz -(idem), Internet -(idem), ces mots inscrits
au titre des dépenses de ces budgets concernant chacun des responsables et/ou
travailleurs -(employés)- ayant ces différentes catégories de dépenses à faire,
honorer -(il faut comprendre que derrière chacun de ces mots qui concernent les
dépenses dans les budgets, il y a des personnes qui vont en vivre et qui ont,
elles aussi, un budget à respecter). Aussi le prix du transport et le prix du
baril de pétrole sont ainsi inclus dans d’autres mots ayant à première vue
seulement rien en commun, voire un tout autre sens dans cette liste de dépenses
diverses, particulières et/ou précises. Quand on analyse les résultats de la
décomposition des mots en question en terme d’employés, on comprend à travers
eux et tous ceux dont leurs activités dépendent, qu’ils le sont -(dépendants)-
de prix ou dépenses de transport -(donc de pétrole). Donc toutes les dépenses
de chacun des budgets des employés liés à ces mots sont en réalité à répercuter
le prix du baril de pétrole car ces dépenses et/ou ces activités seront au prix
qu’elles coûtent en frais de transport -(soit de pétrole)- de la même façon que
ces points représentent des dépenses de première nécessité pour n’importe
lesquelles des personnes. En réalité en décomposant, il s’agit des frais de
transport reportés, donc du prix du baril de pétrole, sous d’autres
à-première-vues appellations.
8/ Cependant qu’il existe aussi dans quelques-uns de ces budgets qui
nous concernent presque tous des économies à se contraindre -(à réaliser)- car
elles sont destinées pour/à s’offrir ce qui est considéré à tort ou à raison le
superflu de tous les plus ou moins possibles à-côtés
-(y compris pour les membres de la famille dont on est, avec le conjoint,
responsables juridique, administratif et financier)- et
nous avons bien compris et fait remarquer que pour chacun de ces points -(du
budget), il a fallu payer les frais de transports de tous les éléments entrant en
jeu -(en ligne de compte), d’où le prix de ce superflu ou/et de ces à-côtés
répercutant le prix du baril de pétrole, celui du raffinage qui dépend de ce
prix initial du baril de pétrole -(chacune de ces étapes de transformation de
la matière première du pétrole, en matière seconde de pétrole -(essence,
gasoil, etc, , à leur tour matière première)- vont déterminer financièrement
l’étape du transport et son prix qui lui aussi, évidemment, dépend du prix
initial du baril de pétrole, comme des prix de l’étape du raffinage. On
comprend donc que plus le prix du pétrole est bas, moins le prix du transport
est élevé, ce qui se répercutant sur chacun des produits en fait baisser le[s]
prix -(au point qu’il serait possible, moins le baril de pétrole sera cher, coûteux,
onéreux, de créer ce qu’on appelle[ra] » Miracle Economique de la
Prospérité « pour tous et pour toujours -(cependant qu’il ne sera possible
qu’en suivant mes indications une fois toutes les dettes remboursées, par
conséquent d’une sorte de contrat social en raison de dangers que nous avons
tous à nous éviter et ce qu’il convient de prévenir grâce aux solutions alternatives
élégantes -[S. A, E.]- d’engagements
personnels particuliers de contraintes très précises en échange de la
disparition des insupportables inquiétudes financières).
9/ Les divers frais de l’auteur de ce livre font l’objet d’un
budget. Le temps consacré à l’écriture de ce livre est considéré -[comme]- des
investissements –(dont l’auteur ou/et les ayant
droit espère[nt] le jour venu se rembourser sur la quantité d’exemplaires
vendue[s]). Ils sont d’une nature comparable pour l’éditeur qui
les paie sur la quantité de titres différents -[de son catalogue]- proposés à
la vente par sa maison d’édition -(à notre
époque une société, une organisation, voire une Eurl, une institution, voire
une adresse Internet)- au prix qu’ils ont, en
raison du prix de revient du nombre d’exemplaires sur lequel cet éditeur
compte, en espérant vendre ces exemplaires dans un lapse de temps précis. Si ce
nombre d’exemplaires dépend de la notoriété d’un auteur, voire du sujet traité,
il dépend aussi du pouvoir d’achat en cours : plus ce dernier est limité,
faible -(ce qui a des causes diverses dont celle
du prix du baril de pétrole quasi
infiniment trop cher, coûteux, onéreux), moins
il y aura d’exemplaires vendus –(les invendus
représentant à la longue des dépenses trop importantes pour les conserver, car
il convient d’avoir de la place pour ces invendus, ce qui représente des frais
de location d’espace à cet effet d’en prendre soin, tant qu’ils sont / seront
encore à vendre, voire les frais de propriétaire ayant à les stocker /
entreposer -(et nous avons vu que le prix d’un
espace, le loyer, dépend des différents prix de transport à chaque niveau -[de
l’apprenti au promoteur immobilier en passant par l’architecte et les
ouvriers]- mais aussi des matières premières à transporter pour bâtir cette
propriété -[ce qui signifie responsable. Soit des frais de transport de
différentes sortes pour se nourrir, s’habiller, travailler, etc.]- ou/et
location)– ce qui explique pourquoi, au bout
d’un certain temps où ces livres continuent à être invendus, on préférera les
mettre au pilon ou ce qui aurait pu être à première vue beaucoup mieux
vu : les donner / offrir à ceux qui souhaitent les lire et/ou les conserver,
une fois devenus quasiment –(car offrir représente une sorte de travail, du
moins un investissement)- gratuits à cause de ces frais de stockage qui
incitent à s’en débarrasser en les mettant au pilon, car ici un problème s’est
posé et c’est celui de ceux qui n’achèteront plus le nouveau livre, parce
qu’ils savent qu’en attendant, ils pourraient l’obtenir gratuitement dans
quelques années, au moment où les invendus représentent une trop forte dépense
de stockage pour l’éditeur, par conséquent des pertes financières. Ce qui
explique pourquoi l’éditeur a choisi de les détruire plutôt que de les offrir /
donner et bien sûr comme pour d’autres types d’invendus, cela fait mal au cœur
à tous, cependant qu’on comprend ainsi que l’éditeur est dans son droit de les
mettre au pilon et que nous avions tort de croire qu’il ferait mieux de les
offrir –(ce que certains éditeurs peuvent malgré tout choisir de faire -[ou
s’offrir comme luxe, ne serait-ce que pour faire de la publicité pour leur
enseigne et les titres des nouveautés que leur maison d’édition propose à la
vente. Un pari très risqué car cela va signifier qu’ils se réservent
l’amortissement de leurs diverses dépenses éditoriales dans un lapse précis de
temps et une fois passé ce temps, offrir les ouvrages qui leur restent, soit
ceux qui seraient devenus des invendus en représentant même s’ils sont vendus
au compte-goutte trop de frais ou/et dépenses de stockage]). Mais encore une
fois le prix du livre dépend lui aussi, (comme la majorité des choses,
articles, produits, services, biens et moyens, etc.)- du prix du baril de
pétrole ; il suffit que celui-ci soit mis pour commencer à un centime de
dollar le baril, voire à mieux encore 0,01 centime de dollar le baril, voire à
encore cent fois mieux à 0,0001 centime de dollar le baril pour que chacun des
édieurs, pardon édinteurs, pardon éditeurs offre quasiment gratuitement le
livre dès sa première publication à tous ceux qui souhaiteraient le lire et
certains, à cause de cela, le conserver. Le prix du livre comme de la plupart
des autres articles, produits, choses et/ou services, etc. n’étant au prix où
il est qu’en raison du prix de revient de chacun de ces biens qui, en réalité,
sur la majorité des points concernant les dépenses à effectuer, dépend à
l’origine du prix du baril de pétrole. Aussi si le prix de revient de notre
livre baisse parce que peu à peu les prix des transports, du chauffage, etc. -(le prix des autres articles, -[choses, moyens,
produits, etc.]- baisse aussi puisque chacun d’eux répercute sur la quantité
produite -[de ces biens]- la baisse du prix du baril de pétrole en deçà d’un
centime de dollar le baril, en réalité ce qui aurait dû être le prix maximum du
pétrole pour être à l’origine de la fin de la pauvreté et de la misère
matérielle dans le monde entier)- baissent,
alors le prix du produit, article, livre ou/et service, etc. baissera en
proportion de la baisse -(ce qui permet à
l’artisan ou/et à l’industriel, voire au vendeur, d’augmenter la production du
nombre d’exemplaires pour satisfaire l’augmentation de la Demande –[qui résulte, dans cet exemple, de cette baisse du
prix de ce livre]- de manière à la satisfaire -(le pouvoir d’achat sur tous les produits revenant
à partir du moment où le prix du baril de pétrole est de un dollar à un centime
de dollar le baril)- par la quantité de
l’Offre : la production), d’abord à
quelques centimes quand le prix du baril de pétrole sera à un centime de dollar –(ce centime de dollar valant en raison de la baisse
du prix du baril de pétrole -[à un centime de dollar]- au moins un dollar -(si
ce n’est plus – [c’est ici une surprise qu’on aura tous l’honneur de découvrir
dans la réalité quand nous serons à ce prix du baril de pétrole à un centime de
dollar le baril]), soit cent fois plus de
pouvoir d’achat qu’il ne valait au début de 2014, puis à encore moins quand le
prix du baril de pétrole sera encore plus bas -(à 0,01 centime de dollar le
baril)- et que le centime de dollar aura au moins un pouvoir d’achat de cent
dollars, enfin encore moins quand le centime de dollar aura un pouvoir d’achat
de cent mille fois plus, ce qui sera le SPOK à 0,0001 centime de dollar le
baril).
10/ Plus ce pouvoir d’achat est grand plus il y a de
chance[s] de vendre le livre. L’imprimeur aussi a des frais de transport, de
chauffage et etc. à payer : les siens
N. B. : Suite après le paragraphe
ci-dessous ; au douzième.
11/ -(comme pour l’auteur ou quiconque
-[sauf là où les MFPMD -(la nouvelle appellation de l’argent)- ne circulent
pas, soit le monde non civilisé] : nourriture,
logement -(loyer ou propriété), vêtements, Internet, électricité, gaz,
assurances, etc.)-
12/
sur tous les
plans -(y compris ceux du nombre de personne dont il est responsable, soit des frais à caractère
privé –[ceux le concernant comme les membres de la famille dont il est
responsable], soit ceux à caractère public -(professionnels avec
les dépenses de son personnel), mais aussi ceux
de papier, de l’encre, les frais pour réaliser la couverture du livre, de
location ou d’achat d’espace pour vendre ses livres –(indirectement des frais
de transport), etc. . L’éditeur aura les frais de communication[s], de
publicité pour faire part de ce nouveau titre
-(par exemple en l’envoyant gratuitement aux critiques concernés –[ce qui représente des investissements et des
frais, en définitive de transport – donc de pétrole - à avancer -(sur les économies des bénéfices ou/et parfois des
emprunts)- et que cet éditeur espère rembourser
sur la quantité d’exemplaires vendus, d’autant plus qu’on parlera en bien de l’ouvrage]-
dans ce SPOK : « Ce n’était pas des
investissements en vain ! »). Il s’agit
donc des frais pour la réalisation d’un livre et celui qui fabrique le papier a
lui aussi, comme l’imprimeur et l’édiyteur, pardon l’éditeur, des frais de
nourriture, de vêtement, de logement, etc. y compris ceux -(les frais)- des
ouvriers -(ce qui représente aussi des dépenses
de nourriture –[donc des frais de transport pour l’acheminer -(cette
nourriture), donc de pétrole]), de vêtements –(des frais de transport des matières premières, des
frais de nourriture –[donc de transport, par conséquent de pétrole]- pour
élaborer les métiers à tisser –[eux aussi composés de matières premières
transformées ayant représentées des coûts financiers de nourriture pour les
extraire et les réaliser, donc de transport des employés à cette fin - soit la
nourriture des employés -(d’autres frais de transport du même ordre que les
précédents)- pour réaliser ces vêtements, donc des dépenses de pétrole), de logement – (des
dépenses de transport de[s] matières premières et le transport des ouvriers
ayant à les construire, donc de[s] dépenses de nourriture et des à-côtés qui
pour être exigent des frais de transport donc de pétrole)- et avec ceux -(les frais)- des familles des ouvriers
et celle[s] des collaborateurs -(d’autres frais
de nourriture qui est proposée au prix où elle est car elle répercute tous les
prix des transports de chacun des intervenants depuis le premier producteur
comme la nourriture que chacun d’entre eux consomme, qui, nous l’avons vu[e],
coûte le prix des transports pour l’acheminer). Il
y a aussi à compter les dépenses relatives à/de la famille dont chacun de ces
intervenants dans le processus de la publication de ce livre est responsable
-(donc des frais professiobbels, parfon, pardon de nature professionnels et des
frais à caractère privé –[ceux, je le répète,
pour vivre et faire vivre la famille dont on est, jusqu’à la majorité de chacun
des membres qui la composent, responsable administratif, financier et
juridique, parce qu’on en est, avec le/la conjoint[e] l’un des deux créateurs /
auteurs]- et nous avons bien fait remarquer que
tous les frais sont dûs au[x] report[s] des dépenses de transport et de
chauffage -(encore du transport au sens
de » frais de transport «), donc des frais
de pétrole, de chacun des intervenant[s] -(étant
plus ou moins soumis chacun aux mêmes types de frais)- pour
réaliser les éléments du produit » livre «. Donc en définitive des frais
de transport et de chauffage (encore du
transport et en général d’un dérivé de pétrole)- car
ces auteurs, imprimeurs et éditeurs ont comme le paysan avec d’autres frais des
frais de chauffage et de nourriture -(et nous
avons vu que leur prix dépendait du prix du baril de pétrole et de celui des
transports –[ceux-ci dépendant aussi –(à tous
les niveaux de l’élaboration / la fabrication du véhicule)– du prix des transports des articles à rassembler ou/et
à forger, donc du prix du baril de pétrole], de
loyer[s] -(nous avons vu que le prix de ces loyers dépend [in]directement des
prix du transport de la plupart des éléments de construction donc du prix du
baril de pétrole. Il a aussi fallu au préalable acheter ces lieux bâtis dont on
va exiger un loyer –(ceux qui ont bâti / bâtissent ces lieux sont soumis à des
dépenses pour vivre à la fois sur le plan professionnel -(frais des matières premières
transportées – frais de toute sorte occasionnés pour l’apprentissage)- mais
aussi sur le plan plus particulièrement privé dont toutes celles de nourriture,
de vêtement, de loyer, d’assurance, d’électricité, etc. à l’origine de frais de
transport. (Je rappelle que pour fabriquer de l’électricité il y a, comme pour
la réalisation d’une automobile ou d’un livre ou de la très grande majorité des
produits et/ou objets des dépenses de transport). Ces lieux édifiés n’ayant pu
l’être sans l’acheminement des matières premières pour les bâtir -(des frais de
transport), ce qui représente aussi des frais de nourriture -(donc de nouveau des dépenses de transport, par
conséquent celles-ci dépendant du prix du baril de pétrole)- des participants pour le transport de ces matières
premières du secteur du Bâtiment, mais aussi les frais de transport de chacun
des ouvriers participant à l’édification de l’immeuble qui, après achat des
appartements par un ou des propriétaires, sera, si possible, loué). Frais de
vêtements -(nous avons vu que cela concerne indirectement des frais de
nourriture -[donc de transport]- et d’acheminement -[d’autres frais de
transport, donc de pétrole]- de ceux qui travaillent dans ce secteur de
l’habillement). Frais d’assurance -(nous avons vu qu’il faudra payer le
transport des divers employés dont ceux qui constatent ou vérifient comme leur
donner de quoi se nourrir, ce qui, nous l’avons vu, représente d’autres frais
de transport, donc de pétrole). Enfin les frais de transport à proprement parler
-(donc des frais de pétrole), de l’imprimeur et de sa famille, de l’éditeur et
de sa faille, pardon famille, de l’auteur et de sa famille. Ceux du faiseur de
papier, le papetier et de sa famille, des intermédiaires commerciaux et de leur
respective famille. Les transports vers les lieux de vente, les librairies
-(frais de nourriture et de transport de la matière première de ces libraires,
les livres. Ils ont aussi les frais de transport de leur famille, mais aussi
des frais de transport indirecte puisqu’ils doivent comme les autres se
nourrir, se loger, s’éclairer, se déplacer, s’assurer, etc. et payer leurs
employés qui eux aussi ont des frais de transport de différent ordre, chacun,
nous l’avons vu plus ou moins directement lié à ces frais de transport d’une
façon ou d’une autre pour chacune des dépenses). Il y a des à-côtés
-(qui pour être ce qu’ils sont au prix où ils sont proposés ont engendré des
frais de transport, donc de pétrole)- pour se
divertir -(ou se reposer en se consacrant à d’autres activités, soit par
exemple un ou plusieurs hobbies
engendrant des frais de transport des matières qu’on utilise pour ces hobbies, ce qui sont d’autres frais de
nourriture, de vêtement, de loyer, etc. , de tous ceux qui interviennent d’une
façon ou d’une autre -(directement ou indirectement)- pour permettre la
réalisation de ces hobbies et/ou divertissements parfois culturels). Tous ces
frais sont à payer et ils ne sont aux prix où ils sont proposés qu’en raison
qu’ils répercutent les frais de transport à tous les niveaux y compris depuis
l’apprentissage, soit le débutant -(l’écolier)- jusqu’à l’état de
professionnel. L’écolier représente des frais de transport comme les livres
dont il a besoin pour progresser. L’école a nécessité les frais de transport
des matières premières pour l’édifier, ceux des ouvriers et des différents
intervenants -(des corps de métier dont le maître d’œuvre et/ou l’architecte)-
qui ont eu à se nourrir eux et leur famille à partir de ce qu’ils étaient
rémunérés. Cette école a, comme la grande majorité des institutions et/ou
organismes, etc. , dans nos latitudes et longitudes, des frais de chauffage,
d’entretien –(par exemple chaque années le toit
à vérifier et à consolider : d’autres dépenses de transport : celles
des ardoises à changer, ce qui occasionne les frais de nourriture des
intervenants sur cette toiture comme de ceux qui ont taillé les ardoises à
changer et nous avons constaté que ce sont des frais de transport, les
tailleurs d’ardoises ayant comme les membres de leur famille à se nourrir, ce
que nous avons compris il s’agit de frais de transport), de fonctionnement dont le directeur de l’établissement
se préoccupe. Les enseignants pour devenir ce qu’ils sont ont eu à investir en
frais de nourriture et de boisson durant toutes leurs études avant d’avoir de
quoi payer la plupart de leurs dépenses qui nous l’avons vu sont toutes, d’une
manière ou d’une autre, à répercuter le prix du baril de pétrole. Les élèves
ont des dépenses à faire pour se nourrir tous les jours, ce qui représente comme
pour les enseignants des sortes d’investissements mais aussi des frais de
transport du contenus scolaires et bientôt universitaires quand il y aura après
le bac spécialisation[s] qui pour advenir requière[nt] d’autres investissements
du même ordre soit des dépenses de transport de tous les biens consommés / utilisés à cette fin). Si nous portons en
ville ou dans une ferme les yeux sur chacune des choses qui nous entoure nous
comprenons que la grande majorité des choses réalisées par les êtres humains
ont fait l’objet de transport. Le livre avec le papier dont il est composé
comme avec l’encre utilisée pour imprimer ses mots a pour fonction de
transporter les informations d’un texte, des données. Peuvent-elles toutes être
exactes -(vraies)- dans un monde où coexistent sacré et profane ?
13/ De nos jours l’accessibilité aux diverses données est possible
avec un ordinateur au point d’offrir à plus ou moins moyen terme cette
possibilité d’accès à la grande majorité des textes existants autrefois -(comme
de nos jours encore)- sous forme de livres et/ou publications. Accéder aux
outils informatiques de traduction[s] rend compréhensible les textes des autres
langues / cultures. Mais Internet à première vue ne voulait pas dire »
transport d’information[s] «, cependant que c’est le SPOK en même temps que de
nombreuses autres facilités -(Wikipédia, Wiktionnaire)- logiciels dont la
vidéoconférence. Pour avoir accès à Internet un abonnement mensuel est à payer
et on dispose alors d’une sorte de boîte qui permet ce prodige. Le prix de cet
abonnement à Internet est dû à l’addition de différentes dépenses dont toutes
celles de transport : les déplacements des ingénieurs qui se sont formés
dès l’Ecole à ces compétences admirables pour réaliser les différents instruments
qui permettent à leur personnel d’établir ces connexions de différents types.
Ces ingénieurs ont eu des dépenses à faire et nous avons vu que chacune d’entre
ces dépenses sont liées directement et/ou indirectement aux prix du transport
comme celles de leur personnel. Transport de la nourriture et de la boisson qui
nécessite au départ de ces matières premières d’autres transports de
nourritures et de boisson des producteurs de ces nourritures et boissons comme
nécessitent des dépenses de logement ce qui est d’autres frais de transport
pour les bâtir par du personnel qui lui aussi doit manger, être logé et diverti
à d’autres heures –(que celles durant lesquelles ils travaillent) :
d’autres frais de transport sous forme de nourriture et d’autres logements, assurances,
électricité, gaz, téléphone, et dépenses personnelles de vêtements et
chaussures -(chacun de ces mots signifiant » frais de transport « [pour se nourrir, pour s’habiller, pour se
chauffer]- de tous ceux qui travaillent dans
chacun de ces secteurs). Rappelons au passage que les frais de vacances ou/et
de tourisme sont des frais de transport pour tous ceux qui recherchent le
dépaysement. Le tourisme y compris culturel ce sont des dépenses de nourriture
et de logement -(hôtels, pensions, etc.) qui dépendent l’une comme l’autre de
frais de transport.
14/ Sans le transport des différents éléments / instruments qui
permettent la connexion nous serions restés à l’époque dans laquelle le
courrier est [trans]porté jusqu’à nos respectives boîtes-aux-lettres. Tous les
éléments qui composent un ordinateur sont fabriqués, c’est-à-dire transportés
sous forme de matières premières étant à transformer -(parfois par des
sous-traitants), à travailler. Elle devient une des parties de ce tout qu’est
un ordinateur, soit le produit d’un assemblage de pièces scientifiquement
élaborées pour fonctionner ensembles à des fins de faciliter des recherches à
partir de mots et ou de chiffres, (voire dans le futur d’images et de
sons : on pourra avec une mesure de notes retrouver toutes les musiques
qui ont utilisé cette mesure de notes comme depuis quelques années on peut
retrouver les textes qui utilisent tel mot ou/et tel chiffre. On pourra à
partir d’un détail d’une photo de peinture retrouver toutes les images
archivées sur Internet qui s’approchent de ce détail).
Ces lettres -(et ces chiffres)- proviennent dans chacune des langues
ou/et cultures d’époques anciennes plus ou moins lointaines où ils furent créés
de manière sacrée en raison de cette sécurité qui existe dans l’être humain
pour accéder à sa conscience. C’est ainsi, de manière sacrée, que ces lettres
et ces chiffres furent transmis comme chacune des langues maternelles, dans nos
régions, en raison du sacrement du mariage qui de nos jours peut être laïc. Y
aurait-il une forme de laïcité sacrée ? Qui alors pouvait imaginer que ces
simples signes de nos abécédaires respectifs donneraient tant de différents
prodiges ? Ces derniers ne furent possibles qu’en raison, à l’Ecole, de la
recherche de la vérité qui est logique et cohérence dans chacune des
disciplines, catégories et/ou religions à mettre à jour régulièrement, si
possible avec des méthodes de comparatistes.
N. B. : Suite des quatorze paragraphes ci-dessus:
les cuisinent),
mais aussi des objets utilisés pour se nourrir qui doivent être produits, donc
comportant des frais de nourriture de tous ceux qui les réalisent, donc en
définitive d’autres frais de transport –(tous ceux pour acheminer les
différents ingrédients pour réaliser ces recettes comme pour produire ces
matières premières destinées à être, suivant le cas, transformées en matière
seconde, troisième, quatrième ou énième), de même que les lieux dans lesquels
se loger ou/et manger, générant eux-aussi des frais de transport et de
nourriture de tous ceux qui les ont bâtis qui avaient eux-aussi d’autres
dépenses à faire, celle de vêtement[s] et de chaussures -(en définitive
d’autres frais de transport)- mais aussi d’autres natures –(frais pour se
divertir, frais d’assurances, etc.). Ces dépenses ont à l’origine, pour ceux
plus particulièrement concernés par ces points, d’autres frais de nourriture,
de logement, d’habillement, etc. , donc de transport. Les frais de nourriture,
ceux de logement[s], l’habillement, etc. nous l’avons vu comprenant chacun des
frais de transport répartis dans le prix final sur les quantités, [soit le
nombre d’exemplaire[s]]- produites -[à vendre]).
Pour devenir mondiale -(ce qu’elle est de nos jours)- la civilisation de la mondialisation des échanges
-(C. M. É.)- ne l’est peu à peu devenue que grâce à plusieurs innovations
importantes dont, (je ne t’apprends rien)- celle de la roue et plus tard du
pneu -(ces produits ont -[dans cette époque des transports payants]- des coûts
bien réels pour être produits et c’est encore une fois le prix de
l’acheminement des différents matériaux nécessaires qu’on compte, au point
qu’on puisse considérer comme matériaux tous les intervenants nécessaires pour
la réalisation industrielle de ces roues et/ou de ces pneus. La main d’œuvre
pourtant composée d’âmes chacune différente va coûter des frais de transport
-[aux patrons]- mais aussi tous les autres frais qu’elle représente –[sur
d’autres points ou/et lignes de compte], ceux-ci étant des frais de transport,
notemment pour réaliser les habitations de cette main d’œuvre, et ces frais de
transport de la nourriture que nous avons notés plus haut, comme tous les frais
des divertissements, culturels y compris).
Dans chacune des catégories des choses qui nous entourent, parce que
ces choses sont désignées par des mots distincts qui permettent de les nommer
différentes, il y a eu – même si certains d’entre nous avons obtenu ces
choses gratuitement ou/et offertes, voire proposées de seconde main, troisième
main, etc. , voire sinon neuves - des frais de
transport à compter / comptabiliser : chacune de ces quantités de
propositions / choses / produits, etc. qui nous entoure[nt] -(que nous avons
devant nous at autour de nous)- et/ou de services que nous pouvons atteindre,
(voire ces choses plus lointaines : celles que nous rencontrons quand nous
sortons des lieux où respectivement nous logeons, donc, par exemple, dans la
rue, ou bien plus loin : dans les magasins, ou alors quand nous nous
trouvons dans un avion, un bateau, un train ou en voiture, la plupart des
choses sur lesquelles nous posons les yeux, donc
que nous regardons plus ou moins attentivement, a
nécessité des dépenses de transport pour nous apparaître telle qu’elle est
comme résultat finalement nommée / appelée, voire numérotée, en tout cas
entrant dans une des catégories. Il n’y a que dans le monde sauvage, dans la
Nature, qu’on trouvera des paysages et/ou des arbres n’ayant pas nécessité de
frais de transport de la part des êtres humains mais le vent, les insectes
et/ou les oiseaux qui se sont chargés de transporter les graines afin qu’elles
germent. Aussi ce sont les arbres plantés par des jardiniers ou/et des
cultivateurs ou/et par les responsables des Eaux et Forêts qui ont nécessité
des frais de transport depuis les pépiniéristes qui ont eu, comme les précédents,
des frais de transport -(sous différents types,
soit dans différentes catégories – nous comprenons alors que la plupart des
mots que nous utilisons a un aspect financier lié directement ou indirectement
aux frais de transport : même si nous cherchons un mot avec un moteur de
recherche comme par exemple Google,
si nous n’avons pas payé l’abonnement à un fournisseur d’accès Internet ou/et
l’abonnement de téléphonie mobile, nous ne pouvons pas en trouver le sens, à
moins de disposer d’un dictionnaire, ce qui a coûté des investissements
financiers de la part des auteurs, des éditeurs comme des imprimeurs, mais
aussi de la part de l’acheteur)- de divers types
à payer pour développer
leur activité. Dans ces paysages, dès qu’il y a intervention humaine d’une
façon ou d’une autre, il y a eu des frais de transport pour meubler -(au sens
de civiliser – apporter la civilisation)- ces vues. Toutes les maisons, les
ponts, les bâtiments administratifs et les lieux sacrés
-(comme peuvent l’être les temples ou/et les églises ou/et les mosquées, etc.)-
ont été à l’origine d’investissements financiers
-(en moyens financiers propres et mérités de droit – MFPMD ou investissements
financiers propres et mérités de droit – IFPMD)- de diverses sortes pour
acheminer les divers éléments ou/et matières premières nécessaires à
l’élaboration de ces constructions et/ou lieux de culte.
On comprend aisément que pour la plupart des activités humaines c’est
l’addition des frais de transport divers -[comme de ce personnel plus ou moins
qualifié]- qui a fait que tel ou tel autre véhicule soit proposé au prix où il
l’est. Il s’agit donc, avec/dans le prix de chacun des produits, services,
ou/et choses, de reports de l’ensemble des prix de transport -(qui touchent
chacun d’entre nous sur des lignes de compte appartenant à des catégories à
première vues différentes intitulées par/de ces mots désignant, dans le budget,
l’une ou/et l’autre des facettes des dépenses à effectuer pour rendre
accessibles ces produits sur le plan financier. Connaître ces points et les
valeurs qu’ils représentent c’est pouvoir prévoir les frais, s’ils devaient
être avancés financièrement, donc le montant des emprunts à faire –[d’où qu’on
comprenne la nécessité pour chacun de faire des économies en crédits financiers propres et mérités de droit – C.F.P.M.D. car ce sont ces économies qui permettent aux
banques de prêter à ceux qui veulent entreprendre et fabriquer des biens de
consommation comme des biens –(parce que très utiles, devenus)- de première
nécessité]). A moins de marcher comme un piéton ou un alpiniste, voire un
porteur sans autre véhicule que lui/soi-même, il est, à l’heure actuelle du 3
Décembre 2020, encore impossible de se déplacer physiquement sans avoir de quoi
payer le déplacement, donc le moyen de transport –(avec le téléphone c’est la
voix que nous transportons à un endroit précis, avec Internet nous pouvons
transporter notre voix et notre image. Les vidéoconférences ou/et vidéophones
peuvent nous éviter des déplacements physiques devenus inutiles comme cela a
été le cas pour de nombreuses lettres au sens de courriers au début du
Téléphone : pour des choses précises, il suffisait de téléphoner :
inutile d’écrire). Mais avec le prix du baril de pétrole qui augmente, on
comprend facilement que le prix de chaque produit, comme celui du véhicule
qu’on aura à utiliser ait un coût en augmentation. Ce véhicule avant d’être
-(si j’ose dire en chair et en os, donc dans la réalité matérielle)- est d’abord
virtuel donc sous une autre forme celle de l’idée, fruit de la recherche.
Vient le moment de rendre concrète cette idée, donc de l’évaluation des coûts.
Cela est présenté dans un budget aux multiples entrées / points / lignes de
compte qui n’oublient aucune des dépenses à effectuer avant de réaliser cette
idée à travers le produit et son aspect commercial. Et c’est alors qu’on croit
à première vue que ce véhicule ou cet objet ou ce produit n’est pas -(ne
représente pas)- seulement du transport car on additionne ce qui a été
décomposé en mots ou en points ayant les valeurs des dépenses qu’ils représenteront, dont les prix de toutes les
matières premières à assembler. Or si on creuse un peu chacun des intitulés du
devis -(budget), on s’aperçoit qu’il a la valeur qu’il a sur chacun des points
en raison qu’il reporte les frais de transport dont sont tributaires les
personnes et les objets concernés par ces mots.
En réalité, avec le nom de ces choses qu’on a mis dans cette liste
d’intitulés de dépenses nécessaires pour réaliser le produit, la chose, le
service, etc., on a oublié que tous les intermédiaires qui vont rendre possible
cette matière seconde, voire troisième, voire quatrième, etc., voire énième
n’ont pu le devenir qu’en raison d’autres frais de transport –(donc, en
simplifiant, des dépenses effectuées pour payer le carburant ayant, depuis le
début du siècle dernier, petit à petit remplacé le foin ou l’avoine d’autrefois
et si c’est le cas c’est parce que nous aimons gagner du temps grâce à la
vitesse, mais aussi le confort de ces véhicules élaborés nous transportant,
ceux-ci ne pouvant être que parce que chacun des éléments qui les compose a été
transporté plus rapidement dans le lieux où il est assemblé. Ce que coûte ce
lieu c’est du transport. Ce que coûte chacune des matières premières c’est du
transport. Ce que coûte chacune des compétences nécessaires, ce sont
indirectement -(comme pour les loyers et les vêtements)- des frais de transport
y compris pour l’intelligence des responsables à laquelle on a recours. Si le
prix de ces compétences dépend de la loi de la quantité et de la rareté, elle
dépend aussi des formations suivies, soit des études faites et ces études
représentent des frais de transport -(sur plusieurs points : nourriture
boissons comprises, logements, vêtements, heures consacrées aux études, etc. à
n’importe lequel des niveaux de celles-ci, que ces frais de transport soient
directement et/ou indirectement ceux de l’enseignant ou ceux de celui qui
apprend. Ils s’ajoutent donc comme des investissements privés / personnels
qu’il a fallu payer, avancer. Par conséquent il a fallu se nourrir -(d’autres
frais de transport nous l’avons dit), se loger –(nous l’avons vu, d’autres
frais de transport comme ceux pour se vêtir, se chausser et se divertir :
chaque chose vue sur scène ou au cinéma représentant de près ou de loin,
directement ou/et indirectement des coûts de transport en plus de celui à
proprement parlé du transport. [Les différentes compétences n’ont pu être
acquises sans dépenses de transport, même si on a étudié chez soi, sans bouger
ou grâce à des manuels -(ceux-ci n’ayant pu être créés sans les frais de
transport ou de mise en ligne sur Internet -(dont nous avons dit qu’il ne
pourrait exister sans dépenses de transport. Le scanner utilisé pour mettre en ligne le manuel ayant représenté
plusieurs genres de frais de transport directes et indirectes)]. Celui des
matériaux, celui des éléments du décor, (celui de la construction du Théâtre
ou/et de cet espace scénique)- celui des costumes, et celui de chacun des
participants qui ont des frais de logement, soit, nous le soulignons, d’autres
frais de transport sous une autre forme : le logement : un résultat
de divers transports).
Tous les temps nécessaires pour apprendre à devenir intelligent /
compétent -(ce qui signifie savoir expliquer, savoir diriger, savoir acheter,
savoir vendre, savoir conduire, créer, etc. dans une ou plusieurs spécialités)-
sont indirectement du transport –(il a fallu avoir accès à ce savoir comme
rendre accessible ce savoir : d’autres frais de transport pour des
personnes précises étant soumises aux mêmes impératifs / dépenses). Une partie
de ces frais des temps consacrés à ces apprentissages, parce qu’ils
représentent des investissements, doivent être remboursés petit à petit sous
une forme ou une autre car ils ont été réels, ce qui signifie qu’ils ont été
payés, avancés avec des crédits / moyens / revenus financiers propres et mérités de droit – des
CFPMD / MFPMD / RFPMD). Le transport existe, est une réalité, parce que l’être
humain, dès ses premiers pas, passe son existence à se transporter lui-même
d’objectif en objectif, de peine en peine. La notion de transport est donc
intrinsèquement (consubstantiellement)- liée à l’être humain. Mais n’est-on pas
capable de nous transporter dans nos souvenirs, dans nos lectures, par le biais
des images et des sons ?
La société telle qu’on la connaît est composée de personnes plus ou
moins compétentes dans chacun des domaines nécessaires pour/à la création de
chacune des choses qui nous entoure[nt], dont certains d’entre nous ont
particulièrement besoin aux différents âges de l’existence. Il y a des gens
plus formés que d’autres, plus compétents que d’autres. Chacune des compétences
a pris plus ou moins de temps -(et avec ces temps en heures, il s’agit
d’investissements de la part de ceux qui ont pris ces peines pour devenir ainsi
compétent[s], donc pouvant servir, être utiles dans des domaines précis,
particuliers, différents).
Tous ceux qui en vivent -(donc sur le plan professionnel et/ou
privé)- [de leurs compétences]- ont à payer, eux-aussi, des frais de transport,
notemment pour leur nourriture -(qui a été transportée jusqu’au point de vente
où ils l’achètent -(des frais de transport). Cela peut être au marché, s’ils
ont chez eux à faire la cuisine. Il la revende –[cette nourriture]-
transformée / cuisinée / prête à l’emploi par l’intermédiaire de
restaurant ou/et brasserie, crêperie, etc. , pizzeria, cantine, etc. et/ou ils
l’achètent déjà prête chez le traiteur -(qui a, comme les précédents
responsables des commerces d’alimentation, toutes ses dépenses à faire pour
être en mesure de vivre de son activité). Ces différentes directions liées à la
distribution de nourriture ont tous coûté l’apprentissage d’autres compétences,
soit d’autres frais de nourriture, d’autres frais de transport, mais aussi des
frais de logement, comme d’autres encore sur d’autres points essentiels au sens
d’indispensables : vêtements et chaussures pour, si possible, mieux vivre
-(plus confortablement, plus hygiéniquement). Ces différents facteurs de
dépenses financières les faisant bénéficier de[s] millénaires de civilisation
en échange de leur[s] apport[s], soit leur[s] contribution[s) par l’entremise
de ces compétences : de la valeur ajoutée aux différents produits,
services, et choses en cours de fabrication. (Tant que nous sommes dans le
monde des transactions financières capitalistes, soit celui qui heureusement
permet / autorise des profits, soit des bénéfices –[ce qui offre la possibilité
de nourrir une famille qui compte sur vous et/ou de faire des économies – nous
avons vu de celles dont les banquiers vont se servir pour financer les
entreprises leur paraissant de bonnes affaires, voire éthiques)], la taxe à la
valeur ajoutée est légitime : un devoir puisque le produit n’est pas donné
-(offert)- mais à vendre sans états d’âme, c’est-à-dire sans s’être assuré, au
préalable, qu’il est de ceux éthiques. Plus le produit est de ceux éthiques
moins cette taxe à la valeur ajoutée est/sera importante -(financièrement).
C’est pareil pour les autres intervenants, souvent considérés des
intermédiaires dans la chaine des transformations jusqu’à tous ceux qui sont à
l’origine de l’idée de la chose, du produit, du service, les auteurs. Tous
dépendent des matières premières pour élaborer cette offre. Ces matières
premières, secondes, troisièmes, etc. ou énièmes sont achetées, transformées,
assemblées et [re]vendues pour rembourser des dépenses dont les frais de
transport de chacun des intervenants -(et ceux-ci doivent se nourrir, se loger,
etc., donc avoir de quoi vivre, ce que nous avons reconnu représente des frais
de transport pour acheminer cette nourriture, réaliser ces logements y compris
le superflu. C’est à payer tant qu’il faudra payer le prix du pétrole et les
coûts de son raffinage qui dépendent eux-aussi, à l’origine, du prix du baril
de pétrole puisque ce coût du baril de pétrole se répercute dans la plupart des
domaines de l’Économie et sur une grande majorité des produits qui doivent être
transportés, biens et services de même que le coût du foin ou de l’avoine se
répercutait autrefois sur le coût –(et finalement la vente)- de la grande
manjorité, pardon majorité des produits et services à transporter.
Les coûts de tout ce qui est nécessaire pour se nourrir, se loger,
se divertir -(en vacance[s] ou le week
end, voire à d’autres moments, de fêtes, etc.)- dépendent des frais de
transport, nous l’avons dit, mais aussi de ce qui est indispensable pour se vêtir
-(: d’autres frais de transport : ceux de tous ceux qui travaillent à cela
dans le crénau de la couture, et qui doivent, eux aussi, c’est naturel et
juste, se nourrir, se loger, se chausser, s’assurer, etc. pour être en mesure
de réaliser ces vêtements dans ce qu’on a d’abord -(historiquement)- considéré
l’artisanat de l’habillement (ou de la couture)- et enfin appelé l’industrie de
l’habillement. Les tissus à élaborer ou/et ceux déjà élaborés nécessitent ici
aussi des niveaux de compétences plus ou moins rares qui sont tributaires
-(dépendent)- de frais de transport[s] divers dont celui des éléments qui
composent chacun de ces vêtements, les matières premières -(des tissus ou/et
dentelles, de fils, de bouton, etc.)- soumises, comme chacun des intervenants
dans la chaîne de production de ces biens de première[s] nécessité[s] ou/et
superflus, à des frais de transport dont tous ceux de la nourriture nécessaire
quotidiennement pour tous ceux qui plus ou moins compétents travaillent chacun
à son échelon de responsabilité[s] dans ce secteur de l’habillement, soit celui
de la couture, que cela soit de manière artisanale, industrielle ou/et sinon
dans le secteur de la haute couture. Ici comme il va s’agir de pièces de
vêtements plus ou moins uniques, donc rares, le prix qu’elles coûtent ne peut
pas être amorti par la quantité d’exemplaires et c’est pourquoi celles-ci sont
plus chères / coûteuses / onéreuses car dites rares, comme les originaux
d’œuvres d’art soumis elles/eux aussi à la loi de la Quantité et de la Rareté
comme à celle de l’Offre et de la Demande. Le couturier de luxe -(soit celui de
haute-couture)- est soumis à des frais plus ou moins importants dans son
activité et c’est son adresse à diriger son entreprise – les calculs qu’il
suivra entre les recettes et les dépenses -(dont son temps de travail et celui
de son équipe) - qui le libère -(au sens de rembourse)- de ces frais, ce qui ne
peut qu’advenir que sur la quantité de modèles originaux qu’on lui commande de
créer : des pièce-unique dont, avec son équipe, il a cousu entre elles des
matières premières de divers tissu[s] présentés de façon originale à partir de
ses dessins et mesures, ce qui devrait lui permettre de payer ainsi qu’à sa
famille les dépenses de nourriture, de logement, de vêtement, etc. d’assurance,
d’enseigne et personnel, en fait un peu comme un costumier travaillant pour le
théâtre ou/et le cinéma, et/ou la vidéo.
Pour récapituler on comprend que pour exercer une activité
financièrement rétribuée chacun ait d’abord à trouver de quoi se loger, se
nourrir, s’habiller, etc. ce qui, nous l’avons vu, représente des
investissements en frais directs et indirects de transport –(pour débuter une
activité de ce type c’est difficilement possible sans l’aide financière de
producteurs, ou les moyens financiers propres et mérités de droit -(MFPMD)- provenant de sa
famille, d’amis ou d’une banque). Ici, comme plus haut, pour se nourrir ou/et
pour se vêtir, il s’agit de frais de transport -(de ceux qui travaillent dans
ce secteur du Bâtiment, de l’alimentation, de la couture, etc.)- indirects. Ils
ont eux aussi chacun des frais de transport pour se nourrir, pour se vêtir,
pour se loger, pour se divertir comme pour fabriquer les instruments qu’ils
vont utiliser pour bâtir -(travailler), mais aussi, comme les autres, ils ont
des frais sur le plan privé comme sur le plan professionnel qui dépendent
toudeux -(tout deux)- directement ou indirectement des frais de transports
-(reportés sur le prix-de-revient de chacun des produits à vendre).
Si on y réfléchit mieux, la plupart des activités
-(professionnelles)- humaines du Vingtième siècle comme des siècles précédents
ont des frais de transport à reporter dans le prix de revient de ce qui est
proposé en achénge, pardon, en échange de ces services, produits, etc. , au
point qu’on comprenne que le prix de chacun des produits quel qu’il[s] soi[en]t
n’est finalement, tous comptes faits, que des dépenses concernant le transport
-(déguisées / nommées sous la forme d’autres/des noms ou/et points ou/et
ligne[s] ou/et intitulés de ces produits -(dépenses ou achats)- dans les
comptes et budgets.
Comme Toinette martelant « le poumon, le poumon,
vous-dis-je » (dans Le Malade
Imaginaire de S. A. I. S. S. S. L. P. Molière), nous disons et répétons une
des causes -(origines)- de tous les maux : » le prix quasi infiniment excessif du baril de
pétrole, « » vous dis-je « », soit ce prix du pétrole qui
détermine, parce que reporté en tant que dépense se répercutant aussi sur le
prix des autres sources / formes d’énergie fossiles et autres y compris celui
de chacune des énergies propres, chacun des comptables / patrons de chacune des
entreprises reportant / répercutant honnêtement le prix des transports de
chacun des éléments -(matière première, seconde,
troisième, etc. énième. Elles n’ont pu être ce qu’elles sont sans les dépenses
de transport dépensées pour les réaliser)- à
devoir rassembler d’une façon ou d’une autre pour réaliser par transformation
et assemblage le produit ou/et le service, et/ou la chose, et/ou etc. à vendre
/ proposer.
Par exemple prenons une pâtisserie : elle est le résultat de
l’assemblage de matières premières diverses ainsi transformées, par un
savoir-faire -(nous avons dit à quel point il a été coûteux en frais de
transports de divers types, directes et indirectes)- dans un gâteau ou alors
prenons une automobile : elle est un assemblage de matières premières ou
secondes, troisièmes, voire énièmes avant d’être vendue avec une radio ou/et un
lecteur de CD audio ou/et DVD qui, eux aussi, pour être produits, sont le
résultat de matières premières, secondes, troisièmes, etc. pour devenir
finalement ces matières premières énièmes qui seront ajoutées en tant que
-(devenue alors)- matière première dans l’automobile -(à son tour matière
énième)- en question. Aussi nous l’avons remarqué dans cet exemple de cette
radio ou lecteur CD ou DVD, un produit complexe à élaborer au point de devenir
en raison de cette complexité -(comme peut l’être un avion, un soumarin, une
fusée, voire la station orbitale interRégionale –[au sens d’autrefois Internationale]- [la S. O.
I.], un musée)- des matières énièmes et ces matières énièmes peuvent, sur
d’autres plans, en grande majorité, devenir, à leur tour, matière première).
Le personnel médical -(comme celui
appartenant à chacune des autres catégories socio-professionnelles)- au service -(en interaction[s])- les unes des autres
et du Bien et de l’Intérêt Général, ayant à payer comme à compter les frais de
transport de chaque chose les concernant -(entrant en ligne[s] de compte)- à la
fois sur le plan professionnel mais aussi sur le plan de la vie privée, soit
sur le plan familial, sentimental, religieux, des divertissements, etc. , en
fait sur tous les plans sans exception -(chacun de ceux-ci –[ces plans]-
étant donc relié[s] à des dépenses de transport plus ou moins élevées, directes
et/ou indirectes qu’il faut / convient /
en conscience, donc honnêtement, de comptabiliser / considérer / reporter /
additionner / tenir compte, etc. pour être en mesure de les payer -(ces
dépenses de transport)- en échange du bien produit en plus ou moins grand
nombre. A l’origine ce nombre, soit cette quantité, dépend du prix du baril de
pétrole
N. B. : Suite après le paragraphe suivant
ci-dessous :
-(comme autrefois du prix du foin et le prix de l’entretien des
équidés et autres animaux de trait. Leur production dépendant, comme l’ensemble
des véhicules élaborés pour ces chevaux, -(ânes, mulets, bœufs), des prix de
toutes les dépenses qu’avaient à payer les éleveurs et les constructeurs de ces
moyens de locomotion. Il s’agissait -[comme à notre époque]- de reporter sur le
prix de vente de la quantité de ces biens professionnels produits, les dépenses
de première nécessité auxquelles, avec les employés, on avait à faire face.
Celles-ci sont du même ordre que de nos jours où le foin et l’avoine sont
devenus l’essence ou/et le gasoil, etc. : des frais de nourriture, des frais de
logement, les vêtements, se chausser, et quelques-à-côté -(comme autrefois le
bois pour se chauffer l’hiver, etc.)- et de nos jours l’électricité, le gaz,
Internet, l’eau courante, etc. -(assurance maladie, assurance logement) voire
si possible des économies pour avoir petit à petit accès à la propriété -(quand
cela fut politiquement favorisé), ce qui était d’une façon un peu différente le
SPOK autrefois. Chacun de ces éléments -(en fait à peu près tous)- engendrent
des frais directes et/ou indirectes de transport –(à tous les concernés par
chacun de ces produits dont les prix étaient eux aussi reportés sur le prix de
vente au détail, voire sur ceux établis pour/ à des grossistes à un prix
meilleur marché, car l’intermédiaire du producteur avant le détaillant)-
et du moyen de
transport dont le prix de chacun des éléments à assembler / construire -(matières premières, secondes, etc., énièmes)- dépend des répercussions du prix du pétrole sur chacun
de ces éléments, dont tous ceux du transport : des véhicules acheminant
les divers types de produits pour se nourrir, des divers frais de transport concernant
l’élaboration du logement, et des frais de chacun des participants pour
élaborer ces moyens de transport ce qui leur permet, en échange, d’obtenir de
quoi vivre sur le plan financier car pour l’instant le 4 Décembre 2020
globalement peu de choses sont données / offertes / gratuites. Mais cela sera
possible de plus en plus car plus le prix du pétrole sera bas plus le
nombre -[d’exemplaire(s)]- pourra être grand -(élevé)- et proposé[s] ainsi de
moins en moins cher / coûteux / onéreux -(comme le prix dégressif des
photocopies plus on a à en faire ou la vente d’huitres quatorze à quinze à la
douzaine si on achète au moins dix douzaines d’huîtres, ce qui signifie au
moins vingt huîtres à la douzaine pour une commande de cent douzaine
d’huîtres). A l’inverse, plus le prix du baril de pétrole monte, moins on peut
produire de quantité du produit – [d’autant que
la Demande baisse car il y a dans les pays qui importent le pétrole, soit qui
dépendent des pays producteurs de pétrole -(les P.P.P.), en conséquence[s] sur le marché, réduction
du pouvoir d’achat, inflation, niveau de vie général qui baisse, pauvreté et
misère matérielle qui augmentent avec leurs cortèges habituels de
maux, donc de grandes quantités de calamités qui vont avec, dont certains
malheurs -[par exemple familiaux]- et nombreuses maladies. Cela étant
directement et/ou indirectement dû au prix du pétrole étant à plus de un
centime de dollar le baril le prix, ce qu’il aurait dû conserver comme prix
maximal en n’augmentant jamais au-delà de ce centime]- en
question car il devient -(pour la grande majorité des produits)- de plus en
plus cher, coûteux, onéreux, la production de ce bien se réduisant de plus en
plus car devenant limitée par la Demande se réduisant à mesure des difficultés
financières contraignant les uns et les autres de plus en plus aux biens de
première nécessité et de moins en moins aux biens considérés à tort ou à raison
superflus. Le prix du baril de pétrole à la hausse agissant comme un
frein-à-main tiré de plus en plus fort –[ce qui
a failli faire exploser le soleil aux alentours de 2014 quand ce prix du baril
de pétriole, pardon pétrole était au-dessus de 111 dollar !!!]- sur l’Économie au point d’être la cause, (soit
l’origine même)- de toutes les formes de pauvreté[s] et/ou misère[s]
-[matérielles]- en ce monde ; » le prix quasi infiniment excessif du baril de pétrole, « vous
dis-je ! »« au-delà d’un centime de dollar le baril et comme il
s’agit très réellement de la cause de toute cette pauvreté et misère
matérielle, nous avions, au cours de l’année 1977, un temps après, proposé en
toute cohérence et logique le remède : dans un premier temps la baisse du
prix du baril de pétrole de sept dollar à un centime de dollar le baril pour
que la Prospérité advienne enfin sans fin pour tous sans exception car de même
que le prix du foin et/ou l’avoine avec le prix des véhicules utilisés
déterminaient / fondaient l’Économie dans les siècles précédents, soit le prix
des produits, des services et etc. , de même le prix du baril de pétrole a déterminé
la/en très grande majorité de l’Économie de la seconde moitié du XXème
siècle ; voire toute l’Economie jusqu’à ce jour, le 4 décembre 2020.
Il est donc aisé de comprendre que plus on baissera le prix du baril
de pétrole, moins le prix des transports sera coûteux, onéreux, cher, (mais
aussi moins seront chers, onéreux, coûteux les véhicules, au point que les
patrons pourront non seulement baisser les prix -(car ils pourront produire une
plus grande quantité d’exemplaires pour satisfaire la Demande qui augmentera en
raison du pouvoir d’achat progressivement revenu, voire dans un second temps
décuplant, voire dans un autre temps, après, au moins centuplant), mais aussi,
comme nous l’avons anticipé plus haut, au point même de les offrir puisque le prix
de la noyrriture, pardon nourriture et donc le prix pour se loger comme pour se
divertir, comme tous les autres prix nécessaires pour -[si possible bien]-
vivre, baisseront en proportion de la baisse du prix du baril de pétrole au-dessous de un centime de
dollar le baril, soit si possible pour faire advenir ce second temps à 0,01
centime de dollar le baril, voire encore mieux pour le troisième temps à encore
moins : 0,0001 centimes de dollar le baril).
Donc ces prix modifiant grandement les lignes de compte habituées
depuis les années 1970 à la situation de crise économique qui peu à peu
disparaîtrait car le prix de revient d’un article ou/et d’un produit ou/et d’un
service, ou/et d’une chose, etc. baisserait parce qu’on n’aurait plus à
répercuter sur tous les produits directement ou/et indirectement le prix du
baril de pétrole y compris sur le prix du raffinage de ce pétrole.
C’est que comme autrefois avec les paysans qui refusaient de
produire gratuitement le foin et les autres herbes pour nourrir les animaux de
trait, nous avons la plupart d’entre nous été la proie de maîtres chanteurs /
racketteurs -(l’étant devenus en raison de ce
qu’ils ont voulu, dans leurs calculs, égoïstement ignorer de façon locale les
conséquences de leurs prétentions financières et de quoi étaient faits les plus
véritables commerces -(comment, en réalité et dans les détails fonctionne
l’Économie), soit de la somme des interactions plus ou moins commerciales)- qui en augmentant le prix du baril de pétrole sont la
cause, soit l’origine de ce frein à main tiré
-(quand le pétrole est à la hausse)- de plus en
plus fort -(ce qui signifie logiquement qu’au
contraire, à partir de un centime de dollar le baril de pétrole -[le prix
maximal de ce pétrole], en allant vers 0,01 centime de dollar le baril, voire à
0,0001 centime de dollar le baril, il y a tout le contraire de ce
freinàmain -(frein à main): un prix du baril de pétrole accélérateur de
l’Économie : cette Prospérité enfin possible pour tous au
rendez-vous : plus de pauvreté et misère matérielle)-, sur la production de toutes les avancées économiques
-(cependant que j’ai pu déterminer dans d’autres de mes textes qu’en fait nous
n’avons pas autant que cela avancé depuis 1977 -(malgré la Nouvelle Nouvelle
Donne InterRégionale – au sens d’Internationale - Mondiale de 1977 à 1985 soit
en synchrone de 2005 à 2013 d’où j’étais intervenu d’avance en 1967 et 1977)-
au point qu’il est probable que nous sommes tous -[dans]- une sorte de navire
qui n’a pas encore quitté son port d’attache, les moteurs ayant cependant été
poussés au maximum -(au point que ces moteurs – le soleil – a continuellement
failli imploser et/ou exploser à cause de ce que le prix du baril de pétrole a
dépassé avant 2014 les 111 dollars, ce qui a été l’origine de la très grande
pauvreté et/ou misère matérielle nous handicapant tous -(y compris les
milliardaires) ! (Le soleil ne pouvant luire dans le ciel qu’en raison de ce
qu’honnêteté, justice, bonté, sainteté, bien, beau, amour, conscience, etc.
existent réellement dans l’Univers). Soit onze mille centime de dollar, soit
onze mille fois trop onéreux / cher / coûteux que le prix maximum du pétrole
qui ne pouvait être que celui d’un centime de dollar le baril pour faire
disparaître la misère et la pauvreté matérielle dès le début du XXème siècle
-(il était alors, ce prix du baril aux alentours de un dollar -(sur d’autres
sources un peu plus, ce qui était donc au moins cent fois trop cher / onéreux /
coûteux, ayant ainsi à ce prix freiné l’Économie mondiale, car cela se répercutait
sur le prix des véhicules eux aussi vendus au moins cent fois plus cher /
onéreux / coûteux -[lorsque la situation était :]- à un dollar le baril
que sinon -(la situation avec la valeur du pétrole)- à un centime de dollar le
baril et quand le pétrole fut à trois dollars le baril, il était trois cent
fois trop onéreux, coûteux, cher, comme ce fut le cas vers 1977 où à sept
dollars il était sept cent fois trop cher / coûteux / onéreux -(d’où que
dans les manuels d’Histoire ou ailleurs l’expression » le choc pétrolier
de 1973 « est très véritable pour parler de la plus que catastrophique crise économique
-(C.C.É)- qui depuis lors, hélas infiniment hélas, a duré jusqu’à aujourd’hui 4
décembre 2020, malgré mes lettres au Président de la Répunlique, pardon République
française et celle au Pape, à partir desquelles le prix du baril de pétrole a
commencé à baisser, mais à ce jour de loin insuffisemment -(pas
suffisemment): chaque jour nous tous éloignés du prix maximal du baril de
pétrole à un centime de dollar, étant en réalité un véritable cauchemar pour
tous sans exception -(car un autre monde – un autre » ou bien « de la
Création était, à partir de Juin 1977, possible, infiniment plus merveilleux)-
et bien sûr pour les racketteurs, soit les maîtres chanteurs, c’est-à-dire tous
ceux sous couvert de l’organisation
des pays exportateurs de pétrole
-(O.P.E.P.)- qui, au mépris -(en sacrilège[s])- de l’existence de la loi
anti-trust, ont fixé le prix de vente du pétrole en ne voulant pas suivre nos
conseils éclairés et inspirés -(par le plus véritable amour et Intérêt et Bien
Général car il y avait eu démonstrations de 1967 à 1977 concernant la sécurité
qui existe dans l’être humain pour accéder à la conscience, soit à l’état de
Vérité, possible en raison de l’existence des religions intellectuellement
admissibles –(voire logiquement compréhensibles
une fois la conscience acquise)- et très véritables mariages en perspective)-, et n’ont pas voulu nous obéir en 1977 -(nous, avec mon père, les souverains
pharaons-bouddhahs eanmeailleurs Granier … d’Ôz)- ce qui leur fera obtenir les
plus tristissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes,
cauchemardesquissimis…simissimes, malheureusissimis…simissimes,
horrib[i]lissimis…simissimes, et etc. réincarnations ainsi qu’à tous ceux qui
leur furent de près ou de loin complice[s] car en rackettant de la sorte les
membres des pays ne disposant pas d’assez de pétrole, ils obtinrent, entre
autres, la hausse continuelle de la majorité des prix -(sauf exceptions qui
furent dûes à des génies)- et pour acheter ces produits -(ils obtinrent ainsi)-
des revenus/moyens/crédits/… financiers sales -(malhonnêtes :
les r.f.s. / m.f.s. / c.f.s. – ne s’écrivent jamais en majuscule :
r.f.m. / m.f.m. / c.f.m / ... ), soit ce qu’on appelait de » l’argent sale
« avant la dénomination de l’argent propre en revenus financiers propres et mérités de droit, R. F.
P. M. D.) !
Si les producteurs de pétrole nous avaient fait, pour
« leur » pétrole un
prix -(quand j’ai dicté les sites des nouvelles réserves de pétrole
en les géo-localisant dans les années 1983 synchrones avec les années 2008 et
suivantes avec effets rétroactifs dans les années 1983 en constatant dans les
années 2010 et suivantes qu’en raison de l’augmentation de la quantité de deux
fois plus de réserves de pétrole, le prix du baril de pétrole aurait dû baisser
à deux fois moins cher / onéreux / coûteux dès les années 1985 et suivantes), ces « dirigeants » des pays producteurs et
exportateurs de pétrole auraient alors compris leur plus véritable Intérêt -(rejoignant l’Intérêt Général : la fin de la
pauvreté et la misère matérielle dans le monde entier)- en portant alors le prix du brut d’abord à ce centime de dollar le
baril –(soit le prix maximal -[et ce qui aurait
redonné du pouvoir d’achat au dollar – tous comptes faits]- honnêtement à proposer), puis forts de l’expérience
heureuse du résultat obtenu mathématiquement en toute logique et cohérence pour
tous en portant ce prix du baril à 0,01 centime de dollar, voire -(une fois de
plus à cause des résultats vraiment significatifs et très heureux)- dans un
troisième temps à 0,0001 centime de dollar le baril).
Aucun capitaine de ce navire n’ayant encore demandé de détacher les
amarres pour nous aventurer vers le grand large
-(enfin commencer le voyage en ayant à quitter le port très lentement, soit en
essayant de dépenser de moins en moins de pétrole, si ce n’est celui dont nous
avons besoin pour forger les énergies propres –[dont j’avais transmis les
principales caractéristiques techniques aux années 1977 et suivantes]- bénéficiant de ce prix du baril
de pétrole à moins de un centime, ce qui les aurait données quasiment
gratuites). Aussi cela explique la pollution
comme l’effet de serre : Nous avons consommé – donc fait beaucoup de feu
pour presque rien, puisque ce qui seul importait à tous les honnêtes gens, (soit normalement la raison d’être des gens qui
n’ont pas triché avec leur anneau de mariage : que la misère et la
pauvreté matérielle disparaissent grâce à leurs talents -(compétences) et
engagement mutuel en confiance et en toute transparence. Ils se sont aussi
mariés pour ça en toute honnêteté, étant donné les sujets d’inquiétudes qui ne
manquent pas et qu’ils ont d’avance pour que leurs enfants n’aient jamais à
souffrir de la pauvreté ou/et misère : la moindre des perspectives, le
moindre des projets de société ou/et de civilisation à/pour notre époque et
pour celles qui viendront : le moindre des objectifs valable / juste
: la raison d’être)- n’a pu advenir de 1973 à
nos jours en 2020 -(à cause du choc pétrolier) : Tant que le prix du baril
de pétrole sera au-dessus d’un centime de dollar le baril, la pauvreté et la
misère matérielle ne pourra pas disparaître, tandis que si le prix du baril est
mis au-dessous de ce prix maximum de un centime de dollar le baril,
rationnellement et en toute logique et cohérence tout ne peut que bien / mieux
se passer pour tous.
On remarque que c’est bien la montée du prix du baril de
pétrole qui est la cause de l’inflation, donc en conséquence de la perte de
pouvoir d’achat à mesure des hausses du prix du baril, et donc aussi de la
pauvreté et de la misère matérielle en ce monde, car cette inflation existe à
cause de l’augmentation de la majorité des prix en proportion de ces
augmentations du prix du baril de pétrole, donc répercutant ce prix du baril de
pétrole, en raison que chacun d’entre nous tous avons à reporter ces coûts des
transports dans le prix-de-revient de chacun des produits -(dont nous avons
besoin ou que nous produisons)- inscrits dans la colonne des dépenses pour les
choses / produits que nous élaborons chacun pour d’une façon ou d’une autre,
directement ou indirectement, avoir l’impression d’être à notre compte
-(l’élaboration de site Internet personnels va dans ce sens)– libres -(ce que,
bien sûr, on ne peut être / devenir un jour intellectuellement que par acquis
de conscience)- dans ces prisons de contraintes financières déterminantes au
point que si le prix du baril de pétrole était mis au-delà de 0, 00 …01 centime
de dollar le baril un autre monde -(un
autre » ou bien « de la Création)- serait
théoriquement enfin possible, celui dans lequel chacun de nous serait dès la
naissance ou/et la conception payé pour consommer -(un revenu universel
minimum comme un logement minimal est donc possible dès la naissance pour tous,
dès que le prix du baril de pétrole sera à 0, 0001 cent de dollar le baril)-
l’un ou l’autre des produits proposés / donnés, puisque les compétences de
chacun seraient apportées / offertes
gratuitement étant donné que plus personne n’aurait à payer grand-chose
pour le transport. En effet une fois le prix du transport à quasiment zéro -(il est vital qu’il continue à être vendu et non
donné, ce pétrole, donc effectivement payé 0,0001 centime de dollar le baril,
car tous les calculs des prix-de-revient de tous les produits et les services
se fondent, (sont comme indexés)- sur le prix du baril de pétroele, pardon
pétrole, puisque ces prix -(des produits ou/et des services)- répercutent
chacune des hausses. Aussi il est sûr et certain qu’à plus ou moins court
terme, ces prix répercuteront les baisses du prix du baril de pétrole)- ce qui continuerait à coûter serait la compétence qui
s’acquière et ceux qui la recherche pour eux et les leurs n’auraient plus à
payer pour se nourrir, se loger, se vêtir, se divertir, s’informer, etc. -(à
cause de la chute générale des prix sur ces points de première nécessité),
étant donné que l’ensemble des intervenants sans exception n’aurai[en]t presque
plus de frais de transport à payer -(donc plus aucun report[s] de ces frais de
transport dans le prix de revient des produits et/ou des services, mais aussi
pour le transport des matériaux de construction, soit les matières premières
beaucoup moins chères, onéreuses coûteuses, donc le prix des logements comme
des vêtements et pour se chausser si bas qu’ils seraient donnés / offerts comme
d’autres biens de première nécessité), ce qui ferait que l’être humain serait
enfin totalement libre de ne plus exiger quoi que ce soit en échange de sa/ses
compétence/s : un autre » ou bien « de la Création verrait
ainsi le jour, cela serait le monde de presque tout-est-gratuit -(puisque le
prix du baril de pétrole serait, malgré tout, maintenu à 0, 0001 centime de
dollar le baril –[ce qui garantira à ce prix-là les commerces – ce qui
garantira le Commerce car ce qui devait coûter un milliard de dollars de 2014
ne coûtera plus grand-chose : pourra être acquis avec peu de dollars,
aussi sera à la portée de toutes les bourses y compris celle des mendiants). Il
s’agira malgré tout d’un monde dans lequel on aurait à payer symboliquement
pour la compétence cependant que comme ces compétences n’auraient plus rien
coûté financièrement parlant -(le transport de
tous les éléments ou/et matières premières quasiment gratuits)- on trouvera dommage d’avoir à facturer puisque tous
les produits à utiliser, donc autrefois à payer –[donc à dépenser]- seraient
quasiment gratuits -(ou à payer en centime[s] d’Ôz). Aussi il est très
probable que chacun se considèrerait autrement qu’il se considère de nos jours
d’autant plus que tout cela permettrait de voir réapparaître enfin le très
saint paradis, soit Ôz, Atlantide,
l’Eden, Schtroumpf d’avant la très
grande catastrophe)! Car si on réfléchit aux énergies propres elles ont le prix
qu’elles ont en raison du report de toutes les dépenses pour les réaliser, ce
qui signifie qu’elles ont un prix-de-revient comme n’importe lequel des
produits et services, et etc.. Si le prix du pétrole baisse, le prix de revient
de ces énergies propres baisse en proportion -(ce qui les rend toujours plus
facilement accessibles). Aussi pour répondre à la Demande qui augmentera on
peut alors en produire beaucoup plus au point que si le prix du baril de
pétrole est à 0,000 1 centime de dollar le baril, la réalisation de ces
énergies propres, comme la pose de celle-ci, ne coûtent plus que fort peu, ce
qui une fois de plus permet d’en produire beaucoup plus et de sauver plus
rapidement la situation générale -(par exemple en équipant tous les déserts de
panneaux solaires placés en haut de mâts très hauts -(pour créer une serre
au-dessous de ces panneaux grâce au compostage de nos déchets de fruits et
légumes et autres feuilles d’Automne en bâtissant des usines de désalinisation
de l’eau de mer pour créer au bout des canalisations et des tuyaux une
irrigation goutte-à-goutte si nécessaire pour faire pousser des fruits et
légumes dans/sous cette serre sous ces panneaux solaires qui peuvent être montés
en éoliennes – pour, à l’occasion, avec ces pales solaires profiter aussi de
l’énergie des vents du désert – pas seulement de notre soleil)- et des
éoliennes en mer sur la route des ouragans et/ou des typhons).
[60]
Groupe
de recherche et d’essai cinématographique.
[61] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma%C3%A2t
[63] -(pratiquement ce sera une autre paire de manche
car hélas il existera encore de nombreux malhonnêtes qui voudront profiter de
la situation, ce qui va donc limiter ce plus grand pouvoir d’achat du dollar et
des autres monnaies dont la MÔz. Mais la situation sera meilleure pour tous car la
pauvreté et la misère matérielle éradiquée à jamais)-
[65] Y compris certains/les animaux.
[66] -(cependant elle ne l’est pas sur certains
points précis où elle s’est conduite de façon incohérente par rapport à ce qui
la fonde, l’amour du prochain et -[de]- s’interdire de tuer -(les guerres de
religion, la révocation de l’édit de Nantes, etc. sont des comportements
sacrilèges envers le plus véritable catholicisme, donc qui ne sont pas conforme
avec la religion de l’amour du prochain qui est, on le comprend aisément
logiquement, à l’origine de la tolérance de points de vues différents de ceux
des catholiques, parce qu’ils proviennent de pensées conscientes qui n’ont pas
encore atteint le niveau de compréhension de l’articularité -(à partir de
s’articuler, de comment s’articule)-
[de]- la réalité sacrée des catholiques. Ce qu’on n’a pas le droit de
contraindre / d’imposer -[à comprendre]- par la force et/ou la brutalité qui
est elle aussi en contradiction avec la plus véritable religion catholique.
Seule la patience, une vertu à la portée de tous, nous permet d’attendre les
plus véritables conversions)-
[67]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm
[68] Le 24 avril soit quatre jours avant
l’anniversaire de la naissance de mon père, notre précédent empereur.
[79]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm
[81] –(en intervenant à travers Espace et Temps, je
rappelle que nous avons demandé d’élaborer les ordinateurs à partir des plans
que nous avons dictés / transmis pour montrer que la plupart de ces ordinateurs
sont capables d’anticiper nos requêtes –[de même qu’on écrit un texte en se
contraignant à anticiper sur les points qui ne seraient pas suffisemment
clairs]- et pour bien faire comprendre que les êtres humains dits éveillés
–[ayant accès à la conscience], soit les bouddhas, sont capables d’anticiper,
notemment aussi en Sciences Economiques, à partir des données dont ils ont
connaissance)-
[82]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm
[83] -[cette haine ayant été constatée par mes soins de/en grand inspecteur empereur-bouddhahs, soit d’eanmeailleurs -(car elle rodait à mon insu autour de moi
l’empereur prenant la suite de mon père depuis/en 1995), morte à jamais, prisonnière,
avec son incommensurab[i]lissimis…simissime et horriblissimis…simissime hideur
des plus noire, de l’épaisseur de la glace dans
le bassin du Jardin du Luxembourg à Paris durant l’hiver 2005. Elle mesurait
-(en exagérant un peu)- en tout, tout au plus, à l’échelle de l’Univers -(ce
qui est un comble), seulement -(voilà la cause de tous les problèmes et
visiblement cette chose n’avait, au cours des millénaires, que bluffé)- deux
mètres carrés sur cinq à dix centimètres d’épaisseur
-(voire moins que cela, mais je ne veux pas ici minimiser tant il s’agit d’une
chose qui s’est, dans l’histoire de
l’aventure humaine, conduite effroyablement car elle a été à l’origine de tous
les crimes et/ou incompréhensions -(des choses les plus véritables ou/et
souhaitables connaître), malheurs, tragédies, guerres, épidémies, maladies,
etc. et dont le vrai Dieu n’a jamais pu être l’auteur puisqu’Il est aussi Jésus
Christ ou/et Mahomet, et les bouddhas, etc. soit le contraire de la haine
la plus noire : la lumière, l’immaculé, la vérité, la bonté, l’Amour, des
merveilles, etc. . D’ailleurs la vision du très saint paradis qu’on nous a
dévoilé -[en 1995]- cinq secondes le prouve / confirme bien tant ce qu’on nous
a alors montré est au contraire de cette entité de la haine, donc
incommensurablement beau, bon, bienfaisant, fécond, admirabilissimis…simissime,
en fait divinissimis…simissime, merveilleusissimis…simissime, etc.). Une entité qui n’était qu’une face noire de femme haineuse -(sans même de corps !)- si on peut considérer
cela une femme, noire de cette
haine qu’elle représentait / dont elle était constituée -(qui avait dû être
avant cette sorte de fossilisation que je constatai dans l’épaisseur de la
glace de cet hiver 2005-2006, une sorte de vent très mauvais qui s’était
manifesté –[venant d’ailleurs : d’une dimension existante
sous le bassin du jardin du Luxembourg et avait essayé de traverser l’épaisseur
de l’eau au moment où cette glace se formait]- essayant de voler au-dessus de l’eau de
ce bassin qui, en gelant, l’a capturée avec son excessivissimis…simissime
méchanceté)- prisonnière dans/de l’épaisseur de cette glace -(mais dont j’ai pu déterminer que la cause était
bien celle de l’ignorance et de la bêtise d’une laipis, au
sens négatif de ces derniers mots qui en ont du positif dans d’autres SPOK), découverte par hasard lors d’une de mes promenades /
inspections digestives après déjeuner]-
[84] Cette désignation féminin-pluriel entre-crochets
signifie que cela s’accorde -(exceptionnellement)- aussi à ce qui suit et pas
seulement avec ce qui venait avant rendant le mot masculin-singulier.
[85] Pour » chacun des éléments «, d’où le
pluriel et parce qu’on en voit plusieurs après avoir pensé » chaque «,
cependant que la suite : » utilisé « redevient singulier.
[86] Idem qu’au-dessus.
[87] -(appelons-là par ce qui la désigne : prise
électrique ou variateur: le langage ayant la propriété de nous donner à
tous ceux qui savent l’utiliser en sacré, soit en vérité, la possibilité de
résumer des quantités de données / informations / labeurs divers à
l’essentiel : en un ou plusieurs mots et dans d’autres pays en un ou
plusieurs idéogrammes, et dans les temps anciens un ou plusieurs hiéroglyphes,
etc.)-
[88] –[souvent nécessaire pour des étapes
d’élaboration / de fabrication]-
[89] [d’où la nécessité des banques
et des banquiers (qui eux aussi, pour être à
même de calculer -[et les autres services qu’ils proposent]- doivent avoir été
formés -(ce qui a été à l’origine de coûts de transport de tout ce qui a été
nécessaire financièrement pour les élever et les rendre compétents – aussi on comprend qu’il y
a à l’origine des différences d’investissements selon l’activité, soit le
métier – ce qui signifie qu’il y a une sorte de hiérarchie entre les métiers
-[des plus faciles aux plus difficile(s)]- donc pour tous ceux qui d’un côté
ont exigé de très nombreuses heures de formations diverses -(médecins,
architectes, ingénieurs, metteur-en-scène, professeurs d’Université, etc.)- et
les autres : tous ceux qui s’apprennent plus facilement, par conséquent
qui ont beaucoup moins exigé de temps d’apprentissage[s], soit des
investissements, donc en moins grandes quantités. Ceux-ci étant en général
supportés par une famille précise en particulier, donc juridiquement, de façon
privée – (la notion
de » privé « on le sait existe en absolue –[par exemple dans
l’expression propriété privée - ce qui ouvre à des droits mais aussi à des
obligations / contraintes]. Pourtant il s’agit au départ de façon privée,
individuelle, de l’auteur d’une idée, voire d’une ou plusieurs capacités /
compétence[s] à rassembler, au point qu’on puisse comprendre qu’elle[s]
est/sont à l’origine d’entreprises particulières -(sociétés
personnelles / privée : EURL – le capital de cette société étant une seule
personne ayant plusieurs compétences à différents niveaux, par exemple
facilitées par les logiciels ou à des savoir-faire)-, mais
aussi de droits y compris celui d’obtenir une rentabilité à partir de ces
investissements effectués, ne serait-ce que par devoir de rembourser ces
investissements). Ils ont des frais nombreux causés par le prix du
pétrole, puisqu’il s’agit ici aussi de choses transportées comme le sont la
grande majorité des abris ou/et des lieux où on travaille ou/et où on vit – à
l’exception des troglodytes et/ou des cavernes, des habitats naturels proposés
au départ gratuitement, cependant qu’à notre époque, il n’y a pas grand monde
pour rechercher à les habiter, même s’il parait qu’en les [re]mettant en valeur
… – soit en dépensant pour tous les transports qui l’ont pu à tous les niveaux
de ces réhabilitations, cela a plus de succès qu’on imagine)],
[90] -(répercutant -[de nouveau]- à son tour à cette
étape toutes les dépenses du commerçant sur la quantité de produits ou/et
modèles à vendre)-
[91] –[cependant qu’il faut avoir des CFPMD pour se
permettre de les acheter -(comme cela a été nécessaire pour les fabriquer)- car
sinon c’est impossible]-
[92] -(ce que nous sommes chacun d’entre nous - aussi
on comprend ici que les êtres humains n’appartiennent pas seulement à leur pays
ou à leur religion d’origine mais appartiennent aussi à la catégorie
interRégionale des consommateurs, par conséquent appartiennent à cette
catégorie du Commerce qui les concerne tous -(acheteurs et/ou vendeurs), des
catégories qui sont, depuis déjà longtemps, devenues interRégionales, soit le
nouveau terme pour exprimer le mot d’» internationale «.
[93] –(ce qu’il va falloir compter et évaluer
d’avance – plus c’est long plus cela se répercutera sur le prix de vente ainsi
à la hausse aussi sur ce point parce que durant tout ce temps d’attente il y a
des frais à devoir financer – soit, entre autres, ceux de stockage, de vitrine,
de loyer, des employés à payer, donc en définitive des frais du pétrole
nécessaires à permettre de vivre à cette entreprise durant cette attente)-
[94] –[souvent par des sous-traitants – notemment,
par exemple, dans certaines entreprises, pour les éléments des fauteuils aux
appui-têtes, la radio, etc.]
[95] -(malgré la quantité de matières premières
diverses transformées que ce véhicule représente)-
[96] -(s’il s’agit de l’entreprise d’un particulier
devenu patron)-
[100]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/pape_francois_et_emanuel_macron_processus.htm
[101] Le Travail n’aurait pas/plus de coût[s] s’il n’y
avait plus les frais de transport -(causés par le prix du baril de pétrole),
voire au pire un coût symbolique. Le travail ne coûterait plus grand-chose si
le prix du baril de pétrole était à 0,000 1 centime de dollar. Nous pouvons sur
ce point anticiper en prédisant sans aucune chance de nous tromper qu’il y a de
grandes probabilités que les compétences seraient offertes par tous, soit
chacun. Aussi cela pourrait pour certains conservateurs -(au sens négatif de ce
mot qui en a du positif dans d’autres SPOK comme celui des »
conservateur-progressistes «)- changer les choses dangereusement -(ce qui
serait une bonne base pour créer une autre civilisation, voire poursuivre la
nôtre dans cette direction, ce qui permettrait plus facilement Le
Rétablissement de la Vision du Très Saint Paradis).
[102] L’univers a un nom : l’Eanmeailleurs … d’Ôz –(soit une vérité relative ayant déjà
d’autres sens : une recette
végétarienne et deuxièmement un empereur éveillé par acquis de
conscience, soit dans ce cas un bouddha qui s’écrit -[un]- » bouddhahs «,
soit un eanmeailleurs.
C’est le cas, cette vérité relative, comme de la plupart des mots
désignant.
En effet à partir d’une certaine distance d’éloignement une chose -(le contenu d’un mot, la réalité de ce qu’il
représente)- devient un point dans un ensemble
d’autres points plus ou moins différents -(à cause du plan d’ensemble
-[photographique soit
qu’on peut photographier comme autrefois on dessinait au point, par la
réflexion, d’analyser]- dans lequel ce point
s’insère, s’inscrit).
Aussi ce que le mot choisi représente devient un point cependant
qu’au contraire en s’approchant en macroscopie, voire mieux encore au
microscope, les matières qui composent ce point sont en plus grande quantité -(ce point n’était pas seulement un point), comportent de nombreux détails, ce qui signifie que la
vérité est à géométrie variable et change selon la distance où se trouve celui
qui analyse / regarde ce point. De plus près
-(en zoomant ou en macroscopie, voire en microscopie)- ce
point est un nombre important d’autres points / pixels
–(ceux qui réalisaient des mosaïques l’avaient bien compris)- représentant[s] et ce sont ces représentations et le
corollaire d’autres choses encore -(sur d’autres plans)- que les mots essaient
de résumer, de condenser, de réduire en matière à language[s] : mots,
(avec les images 3D de nos souvenirs ou/et de nos créations mentales d’homo sapiens, avec les sons, les odeurs
et saveurs, le toucher etc.)- la matière première de la pensée : des
référents -(ce qu’on acquière par l’expérience mémorisée – en mémoire). Celui
qui n’est pas conscient de cela, (ce qu’on découvre parmi des myriades d’autres
choses une fois qu’on a accès à la conscience), aura bien des difficultés pour
comprendre -[vos dévoués serviteurs]- l’Eanmeailleurs … -[d’Ôz] : l’univers).
[103] Une sorte de diminutif, laurYen. Donc pour condenser -(réduire à moins de lettres à écrire) : LaurYen un/pour/= » lien hypertexte « ; laurYen : lien hypertexte.
"Dieu (Allah), God", Pharaons-Empereurs-Bouddhah alpha-oméga Hermès Trismégiste et :..: