Accueil de "Diverses lettres envoyées"
Les
eanmeailleurs (pharaon-empêreur, :..: Hermès Trismégiste d’Ôz
Laurent-Marie Granier… d’ex-Atlantide … Lang de [R]Ôz[eau/…/w/y/s],
à
l’attention du Docteur Laura Crétu
Sainte Anne,
Service
du docteur J. L. Marcel,
Secteur 3,
1 rue
Cabanis,
Paris
75014
Paris le 02mai 2017
Madame, Docteur
[&] (note de fin de page
n° 1),
Découverte le 28 avril 2017 à
18 heures vingt, en consultant mon carnet d’injection -(que j’ai mis à jour à
l’instant suivant, parce que je n’avais pas trouvé le temps jusqu’à maintenant
pour/de le faire avant, en songeant néanmoins que dès que je trouverai un
moment, je le ferai)- en découvrant après ces calculs que je devais
effectivement venir au CMP autour du 4 avril 2017 pour l’injection -(rituelle
depuis bien plus d’une année)- de la demi-dose de Risperdal 0, 25, ce que
j’avais mentionné dans la lettre au Docteur Marcel (celle que j’avais eu à
écrire d’urgence pour préparer l’entretien qu’il m’avait proposé avec le docteur
Adham, en lui proposant de poursuivre le sevrage commencé, il y a environ quatre
ans avec le Docteur Koechlin -(je rappelle que c’est progressivement sur ce
nombre d’années que nous étions arrivé à ces espacements d’injection toutes les
sept semaine, en choisissant de fait le sevrage le plus long -(et non le plus )-
de manière à ne pas risquer le danger -(du point de vue du docteur K.)-
d’une rechute- avant nôtre rencontre le 22 mars 2017 avec lui et le docteur
Adham -(pour mémoire, de cette lettre ayant été remise par moi-même en main
propre au Dr Marcel. Permettez-moi d’en citer une phrase de cette missive
imprimée sur papier, bien que comme elle concerne ma santé -(de haute autorité
publique)- étant devenu depuis 1995 une personne historique à l’échelle
planétaire, je l’ai évidemment aussitôt rendue consultable -(au public), en
toute transparence, sur Internet: « avant nôtre rendez-vous du jeudi 16 mars, si
vous jugez toujours utile vôtre déplacement -(ce qu’à la lumière de cette lettre
vous comprendrez n’est pas/(plus) nécessaire, car nous pouvons, le Dr Adham et
moi, nous mettre -[facilement]- d’accord -(pour les dates des espacements de nos
entretiens) comme nous en avons -[déjà]- pris l’habitude, à la suite du départ
du docteur Koechlin »).
Enfin depuis quelques minutes,
j’ai enfin compris très exactement ce qui s’est passé le 4 avril 2017 au matin,
ce que sur le moment -(à peine réveillé par la sonnette à ma porte)- je n’ai
-(tombant des nues)- pas du tout compris, quand soudain j’ai trouvé, en ouvrant
la porte de mon logis -(à ce lever du lit – [j’avais travaillé jusqu’à tard
après minuit la veille et probablement on trouvera sur ma page face book
effectivement une publication - ce jour-là, voire plusieurs] – autant de monde
sur mon palier -(j’ai même cru alors – parce que je n’ai pas pensé que c’était
pour avoir manqué ma venue au CMP - que cela était à cause de ce que j’avais
publié)- avec le Dr Marcel et sa suite qui m’a alors dit qu’il était là, avec
tout ces gens, parce que je n’étais pas venu au centre pour mon entretien avec
le Dr Adham et qu’il attendait que je m’habille pour le suivre sur le champ au
CMP.
Je ne vous cache pas que j’ai
trouvé le procédé très discourtois d’autant plus qu’en mon fort intérieur
j’étais sûr que le jour où je devais me rendre au CMP n’était pas encore venu,
par conséquent qu’il y avait une erreur
Sur le moment j’ai compris
qu’il tenait à ce qu’à cette date, ce jour-là, j’accepte mon injection – bref
qu’il s’était une fois de plus, comme lors de nôtre dernier entretien avec lui
et le docteur Adham, hélas opposé à poursuivre dans l’immédiat, comme je le
demandais dans ma lettre, le sevrage et passer très logiquement, en toute
cohérence avec le récapitulatif chronologique que j’avais inscrit dans cette
lettre -(en le reportant d’après mon carnet d’injection), cette demi-dose de
Risperdal 0, 25 toutes les huit semaines, ce qui pourrait advenir ensuite (comme
cela avait été depuis toutes les deux semaines, trois semaines, quatre semaines,
cinq semaines et six semaines à trois reprises toutes les huit semaines de
manière à passer ensuite comme
après toutes les deux semaines, trois semaines, quatre semaines, cinq semaines
et six semaines, à cette demi-dose toutes les neuf semaines, ce qui devait
parachever le sevrage, voire permettre ¼ de dose toutes les dix semaines à la
suite de trois occurrences de cette demi-dose.
Cela pour rassurer le Dr
Koechlin si d’aventure elle continuait de loin à s’intéresser à mon cas en
devenant enfin capable, d’autant sa retraite, de proposer des sevrages avec les
médicaments.
En effet, j’ai découvert durant
cette période -(en qualité de Grand Inspecteur)- que malgré ce qu’elle
représentait au CMP et à Saint-Anne, elle n’était pas capable d’élaborer un
sevrage mathématique, ce qu’en patron des [m]Médecines -(celui qui devient l’un
des bouddhas est toujours le patron de la [m]Médecine)- je suis, moi, évidemment
capable pour n’importe lequel des médicaments -(ce qui tombe bien, parce que,
depuis qu’on m’a fait, en 1995, empereur de l’Ensemble, nous avons à rétablir la
mythique vision de l’ex-Atlantide disparue, celle que j’ai eu à rebaptiser /
renommer la vision SEAI SSS les eanmeailleurs © Christine et Laurie Granier …
d’ex-Atlantide … Lang de [R]Ôz[eau/…/w/y/s], et ce rétablissement d’une façon
inverse à celui d’un sevrage, un assevrage, en fait comme la nécessaire prise
collective d’un médicament de plus en plus nécessaire / utile / bon.
Par conséquent comme un
assevrage © (en m’autorisant , une fois de plus, en Thot lui-même – cet évident
néologisme pour le contraire d’un sevrage – en effet la [b]Beauté absolue qui a
été vue de/par tous en 1995 – ( on m’a contraint et forcé -(sans même mon avis)-
empereur) – au moins cinq secondes, peut-être à de plus fortes doses -(en temps
de vision)- à nôtre époque -(cela ne l’a sans doute pas été à ses début quand
les êtres humains étaient végétariens et que les armes de l’époque de la pierre
polie n’existaient pas encore)- dangereux et c’est pourquoi il faudra restituer
cette vision mythique collective selon une progression raisonnée
dans l’un ou l’autre des assevrages que
j’ai conçu – petit-à-petit (petiàpetit) © - il ne faut pas oublier que pendant
probablement au moins plus d’un million d’année elle a jusqu’à cette journée de
1995 disparue .
On devra donc procéder pour sa
restitution d’une façon logique et cohérente respectueuse -(en fait soucieuse de
mathématiques exactes d’avance), de chacun d’entre nous tous dans chacune des
activités et -[respectueuse]- des différences de chacun d’entre nous tous sur
toute la planète – aussi je ne suis pas dupe : ce qui est advenu à l’occasion de
ce sevrage progressif du Risperdal 0, 25 doit nous servir de leçon comprise
-(comme rassurante)- par toutes les autorités et les responsables actuels ayant
pu vérifier que chacun des divers assevrages que je propose est effectivement à
première vue possible (juste), bien qu’il conviendra de trouver le meilleur -(au
sens de plus sage – peut-être -(car cela a été le cas pour moi pour le sevrage
du Risperdal)- le plus long pour éviter que nous ayons tous à en pâtir)- de ces
programmes pour la restitution de cette vision mythique, sans pépins ou/et sinon
aux conséquences malheureuses, nous tous ayant comme principe salvateur de tous
le constant soucis de veiller à
la garantie la pérennité de nos savoir-faire -(savoirfaires ©)- à transmettre
aux nouvelles générations.
Découvrant sur cet autre niveau
de lecture pour en tirer la substantifique sève cela à propos de mon sevrage du
Risperdal, J’en ai parlé au Dr Koechlin et au Dr Adham : du grand [a]Art, dont
évidemment je suis devenu capable, à force de travaux du montages images de mon
film
La
Momie à mi-mots
[3]- ayant, (comme vous le savez
peut-être), reçu le premier prix Andreï Tarkovski pour la Création [a]Artistique
et le Langage Cinématographique -(ce qui peut se traduire comme expérimental en
langage cinématographique muet qui dépend des durées les plus exactes / justes
des plans, en cela comme la musique)- à un festival international de cinéma à
Buenos Aires -(Argentine)- qui est organisé par les plus grandes sommités
argentines en psychiatrie et psychanalyse).
Mais reprenons nôtre propos :
de mon point de vue -(à première vue erroné, en raison de ce que vous
comprendrez qui suit, le Dr Marcel n’avait pas à être le 4 Avril 2017, ce
matin-là, sur ce palier avec le Dr Adham et tout son / ce petit monde (car si
même j’avais raté mon entretien de la veille avec le Dr Adham cela ne méritait
qu’un appel téléphonique pour me rappeler ce rendez-vous de cet entretien
d’autant que j’ai pu vérifier que de mon point-de-vue, le 4 Avril était en
avance sur mon programme (en effet, si l’entretien passé du 16 Mars avait été
comme cela devait être le cas le 22 Mars et non comme cela avait été le 16 Mars
2017, l’injection devait être proposé (en rétablissant le calendrier au sujet de
cette depuis au moins neuf mois de trop habitude dans la semaine du 11 Avril
2017. Je me suis expliqué dans la première note de fion de page à ce sujet. En
effet, depuis au moins neuf mois j’aurais dû être à mon injection toutes les
huit semaines, et depuis six moins toutes les dix semaines, voire depuis trois
mois à un quart de la dose toutes les dix semaines, voir à ce moment-là ce quart
de dose toutes les onze semaines.
Mais ce matin du 4 Avril
j’avais « omis »- {[(comme le Dr Marcel -[qui n’a pas eu le temps de suivre ces
détails qui avait concerné son adjointe le Dr Koechlin]-
le prétendait) de venir en temps et en
heure au CMP pour mon entretien avec le Dr Adham -(en effet, j’avais confirmé à
l’infirmière qui s’est chargée de mon injection le 16 Mars qu’elle devait
proposer au Dr Adham la date que nous avions arrêté effectivement, je m’en
souviens maintenant, autour du 4 avril -(cela a dû être le 3 avril, vous
vérifierez)– sauf que ce matin-là, le 4 avril, en raison de mes innombrables
travaux en retard (à cause du Sacrifice (1963-65), de la contrainte par
l’Ensemble (qui n’avait pas compris qu’à la suite du Débarquement et de la
Libération celui-ci n’avait pas le droit de nous être imposé en Méga Sacrifice
(1965-1975-77), puis en Hyper-Méga Sacrifice (1975-77 à 2005) et enfin en
Hyperissime Mégaïssime Sacrifice -(depuis 2005- jusqu’à aujourd’hui premier mai
2017)- de séparation -(d’avec ma femme)- des sacrifices bouddhico
judéo-chrétiens ne déplaisant pas aux responsables de l’Islam ni à ceux des
autres religions intellectuellement admissibles, ni aux membres des catégories
profanes, voire par moments sacrilège, strictement laïcs et/ou athées, voire
ignorants au SPNM : au sens positif et négatif de ces mots), moi je n’avais pas
encore inscrit la date -(à cause de la masse de travaux en retard)- dans le
carnet d’injection -(ce que je ne pourrais retrouver précisément dans ma tête
qu’uniquement en consultant le calendrier de l’ordinateur pour la retrouver
facilement en la déduisant à partir du récent changement de programme parce que
j’avais eu à venir le 16 mars, au lieu du 22 mars comme cela normalement devait
continuer à être toutes les sept semaines et que j’avais courtoisement demandé
-(dans ma lettre aux Dr Marcel et Adham parce que cela était logique de
continuer avec la progression de ce sevrage qui hélas depuis plus d’un an
n’avançait guère, mais qui en se maintenant à toutes les sept semaines ne
risquait pas autant qu’en l’ayant changé d’une semaine en moins- cependant que
je vous ferais remarquer qu’il y avait eu refus et, hélas, menaces écrites (cela
m’a contraint à devoir rédiger la lettre du 2 mars au Dr Marcel – ce que je n’ai
pas apprécié -(étant le premier intéressé à en subir physiquement les
conséquence, donc me semble totalement injuste (et inacceptable d’autant plus de
la plus que haute autorité que je suis de [d]Droit – en mes diverses qualités et
titres qui plus est Grand Inspecteur et je vous le rappelle le patron lui-même
des polices et des plus véritables armées sans exception), à l’aune de ma
patience tout au long de ce sevrage depuis plus de trois ans – je le souligne en
le répétant, je n’ai pas compris (alors
que ces médecins n’ayant pas à devoir directement avoir à en subir
physiquement tous les désagréments des effets, l’intérêt de me menacer
-(en dehors de l’aspect absurde, voire qui appartiendrait à un genre de comique
inconnu – menacer le patron des patrons comme le patron de tous les chefs d’éEtat
sans exception, est – vous l’admettrez réellement totalement absurde – bien que
je vous l’accorde finalement drôle (puisque cela signifie qu’on contraint ce
patron à devoir se défendre en légitime défense (comme cela a été le S. P., Ô.
K. :la situation précise, l’occasion, l’occurrence, la circonstance, le point,
le plan, la séquence, (Ô), le cas -[particuliers] (K.)), au point de me rappeler
un jeune prêtre à Saint-Jacques du Haut-pas ayant cru possible lui- aussi pareil
sacrilège, alors qu’il était dans son tort et ne voulait pas le reconnaître – ce
qui n’est pas chrétien car quand on est dans son tort, il est préférable
d’aimablement, courtoisement le reconnaître ne serait-ce que pour s’éviter la
future réincarnation en âne, voire en moins que cela ; obtenue toujours en cas
contraire), d’autant que dès la première intervention du CMP j’avais accepté,
compassionnel, de jouer le jeu, parce que je savais le Dr Koechlin comme le Dr
Marcel et le Dr Adham manquant, pour l’instant encore d’un grand nombre
d’informations exactes -(complexes à mon sujet ézu – [abréviation
d’]’exception’)- à mon sujet, donc des informations détaillés que j’ai, dès
2006-7 pris la peine d’écrire dans mes lettres en cours de C. A. R. E. (©
correction, abrégé, augmentation, relectures, élaboration) aux papes et aux
présidents de la République française dans l’une ou l’autre de mes lettres
– mais dont
j’ai, en partie, publié les brouillons[4]
(en toute transparence vis-à-vis de ces miens serviteurs)- pour les instruire
sur mon cas particulier de redevenu bouddhas depuis le début, dans les années
2005 et suivantes, ceci au moment de mon déménagement de la rue du Val de Grâce
à la rue de l’Ecole Polytechnique ayant, hélas, agi d’une façon arbitraire,
contraire à mes droits, dans l’exercice de mes fonctions d’empereurs-bouddhas
-(vos eanmeaill[h]eurs)- ce qui m’a contraint -(à cause de ce que mon père m’a
restitué, en évoquant ma femme oubliée jusque-là en pareil S. P., Ô. K.
canoniquement, un élément fondamental de ma mémoire)- à communiquer à effet
rétroactif à travers Temps et Espace, vers les années 1965 et 1975 et suivantes,
car mon père, avait attendu 2005 et mon auto-psycanalyse à haute voix --(alors
que je ne savais plus que les murs ont des oreilles)- pour réapparaître
directement dans ma tête et me redonner un élément déterminant de mémoire, à la
suite de ma métamorphose en bouddha, grâce à la sécurité qui existe heureusement
dans chacun des êtres humains, préférant[s] être utiles en tant qu’êtres
humains, plutôt que devenir, en êtres humains involuant (le contraire
d’évoluant : régressant), handicapant pour tous, en raison d’erreurs (ou/et
péchés divers, voire parce que » perdus « -(j’ai en tête un poème de Michèle
Finck « Viatique [à Dimitri Ratsikas »]) , dans l’une ou l’autre des
réincarnations animales (animales), hélas, aux destins rarement glorieux ou/et
utiles pour l’[é]Economie générale -(sauf les animaux des fermes), donc des
destins plus que tragiquissimis…simissimes -(sans parler de la honte d’avoir
perdu » mains et doigts « servant à créer, utiles pour aider ses contemporains),
parce que s’étant par exemple conduits en trop voraces, trop gourmands de viande
et/ou chairs d’animaux pacifiques et inoffensifs, herbivores ou/et algovores
-(ces poissons sans dents, donc sans défense[s], qui broutent les algues,
cependant que pêchés et mangés par les êtres humains), bref ces mangeurs aux
appétits plus ou moins féroces -(à l’aune de conduite plus sobres et
respectueuses des ressources alimentaires communes car végétariennes – en cela
plus véritablement fraternels), s’étant conduits en égoïstes -(ce qui est
contraire à l’[i]Intérêt [g]Général © qui est fondé sur de plus vrais partages –
cette Fraternité fondatrice des plus véritables [é]Etats), au © SNNPM[.] : au
sens négatif et non positif de ce mot dans d’autres S. P., Ô. K. © – situation
précises – (S. P.) ©, occasions, circonstances, occurrences, points, plans,
scènes (Ô.) ©, cas [particuliers]-(K.) ©)]}- de venir à la date prévue et
inscrite au CMP -(mais – un détail important, pas encore inscrit dans mon carnet
d’injections)- car je comptais précisément ce matin-là -(en fait depuis la
veille au soir, je me l’étais promis pour: )
après mon petit déjeuner consulter ce carnet d’injection pour le mettre à jour
-(reporter la date que nous avions trouvée à partir du calendrier au mur dans la
salle de soin[s], dans laquelle la reproduction d’un dessin représentant
la Salute de la Sérénissime Venise a
pris finalement place sur l’autre mur à 90° de celui où figure le calendrier
facilitant l’inscription des dates de l’injection suivante)- et inscrire /
reporter la date de l’injection suivante que nous avions inscrite avec
l’infirmière dans mon dossier qu’elle conserve, puisque
c’est elle qui s’est chargée de me faire cette injection dans la petite
salle prévue à cet effet – date que je n’avais pas pu, sur le moment, reporter à
mon tour dans mon carnet à injection, à la suite de cette injection du 16 Mars
2017, - je le répète – détail important - six semaines après la précédente -(et
non sept semaines après, parce que j’avais dû me libérer pour la réunion
(l’entretien) voulue par le Dr Marcel et le Dr Adham, ce qui m’avait permis de
proposer le matin même, par téléphone, à l’accueil infirmier de sortir la boîte
de Risperdal du frigidaire à temps – une demi-heure avant - pour cette
injection, une semaine avant, parce que comme je devais venir pour cet
entretien, cela me ferait gagner un déplacement de faire cette injection une
semaine avant -(à ce stade des espacements dans ce sevrage, entre deux
injections, cela ne représentait plus aucun danger que de faire ainsi cette
injection une semaine avant, voire (pour mieux le comprendre si cela devait
être) une semaine après (d’autant que contrairement à tous les précédents
espacements qui se sont produits avec une semaine de plus, toutes les trois
occurrences à la même périodicité, cela ne comportait plus aucun danger, puisque
depuis plus d’un an toutes les sept semaines (en fait dès toutes les cinq
semaines – ce que je n’avais pas manqué d’écrire dans la lettre du 2 mars –
j’étais sevré (dès toutes les 4 semaines à cette demi dose – cela n’était plus –
de mon point de vue de patron des médecins – qu’une affaire de prudence).
Attention, déplacement
pharaonique officiel de ma personne redevenu bouddha Grand Inspecteur depuis le
début 2005, à la suite d’une métamorphose qui a été possible, en raison de la
série de mes tableaux-partitions -(donc de l’ensemble de mes travaux – ce qui
représente des investissements qu’on peut financièrement évaluer)- pour le piano
droit que j’ai décoré -(le piano de Dieu)- qui est, me semble-t-il pour
l’instant encore à Strasbourg – bien que j’ai demandé à Michèle Finck qu’il soit
remis à ma femme SAIE SSS les dames princesses impératrices Christine … Lang à
Genève, pour éviter sinon à Michèle Finck -(qui s’est en 1977 en-têté – malgré
ma proposition légitime de solution alternative élégante - à devenir l’assassin
de mes enfants – alors virtuels - attendus en Immaculée Conception d’avec SEAIE
SSS les dames princesses impératrices Christine … Lang depuis 1965 et à prendre
sa place)- la plus tragique des réincarnations)- officiel à mon échelle -(sans
un atome/photon d’erreur (même quand à première vue, pour certain, il y en
aurait une) - dans tous les univers et dans tous les temps)- car totalement en
conscience, ces déplacements depuis la rue de l’Ecole Polytechnique au CMP -(il
est vrai pas bien loin – cependant que vous n’ignorez pas que j’ai
eu l’ensemble des horaires des infarctus à inscrire
concernant les personnes âgées[5]
en relation avec mon cœur immaculé : je n’ai pas le droit de faire des
efforts physiques sollicitant mon cœur -(les distances dans cette situation
d’handicapé ne sont plus celles qu’un jeune homme en bonne santé parcourt
facilement – j’ai la cinquantaine passée et il faut monter, en végétarien –
(donc en ne disposant pas d’autant de forces physiques que ceux qui sont dopés
de protéines - la rue Valette jusqu’au
Panthéon puis faire le reste du chemin -(de plus je ne puis aucunement courir
non plus : continuellement attentif en plus de tous les autres paramètres
à m’éviter des palpitations à mon cœur auquel,
j’ai fini par comprendre est relié l’ensemble des cœurs des personnes âgées).
Pour récapituler (voire pour
faciliter la compréhension de cette nouvelle hospitalisation qui s’est révélée
elle aussi abusive -(depuis quand traite-t-on un gentilhomme de cette manière ?
Et qui plus est la Grande Maison – car je suis la Grande Maison elle-même et
vous êtes donc que vous le vouliez ou non chez moi et non chez vous ?)-
Je tiens à préciser /souligner que le 16 Mars, à la suite de mon
rendez-vous -(la réunion pour faire le point après la mise à la retraite du Dr
Koechlin)- avec le docteur Marcel et Adham, je pouvais aussi -(pour rassurer ces
médecins, en raison d’une plainte de voisinage – sur laquelle je me suis
expliqué dans la lettre du 2 Mars (donc une affaire réglée y compris avec le Dr
Adham à l’entretien précédent) que j’avais pris la peine d’écrire pour préparer
cette réunion (mais surtout pour nous éviter de passer dans le sevrage à six
semaines après plus d’un an à sept semaines) –
j’avais eu à intervenir, au cours d’un dimanche fin 2016 -(mais probablement pas
ce Dimanche en 1966 et/ou 76 où cela avait été entendu en synchrone, donc un
jour de la semaine)- une petite minute dans le passé -(en effet, depuis que je
suis à cette nouvelle adresse de la rue de l’Ecole Polytechnique et non à celle
de la rue du Val de Grâce je n’intervenais plus à travers Espace et Temps car
nous n’avons pas pu vérifier au-dessus de quelle époque et quel lieu dans le
ciel elle se situe / trouve -(j’ai cependant eu récemment l’idée que moi prenant
ma douche serait au-dessus de l’époque de Goya)- tandis que depuis la rue du Val
de Grâce nous savons très précisément dans le studio qu’il se situe au-dessus de
la ville de Rome et du Lycée Châteaubriand il y a exactement trente ans jour
pour hour, ce qui a donc rendu possible car s’était devenu un devoir – par
acquis de conscience et en raison
de mes titres (donc de mes responsabilités) – mes interventions à travers Espace
et Temps), en raison de la poursuite de mon auto-psychanalyse – après vingt-sept
années d’amnésie canonique en pareille situation (en 1965, mais aussi 1975),
plus que nécessaire, vitale pour retrouver mon identité de toujours)- revenu à
[la] demi-dose de Risperdal toutes les six semaines -(donc ce qui nous faisait
courir le risque de perdre le bénéfice momentanément de cette plus qu’année
entière de ces injections toutes les sept semaines)- étant donné que ces
médecins (le Dr Marcel et le Dr Adham n’avaient pas trouvé -(comme je le
souhaitais, un moment la semaine suivante -(ce qui aurait fait sept semaine et
non six, voire dans la semaine d’après -(ce qui aurait enfin permis, pour me
rencontrer, la progression de mon sevrage à toutes les huit semaines -(comme ils
le désiraient, j’avais, en attendant –[(d’autant plus des irrévérencieuses
menaces de polices totalement discourtoises et impolies, voire sacrilèges : de
la lèse-majesté -(ce que la plupart des patients honnête homme / femme est
-[normalement]- virtuellement possède comme droits - ce sur quoi j’ai préféré,
dans la lettre du 2 Mars m’abstenir de gloser)], de mon côté accepté cette date
pour l’entretien au bout de six semaines– donc abandonné ce qui m’avait fait
évoquer ce rendez-vous pour la semaine suivante -(en
cela fidèle à la durée des espacements
des injections: en effet ce rendez-vous que je préférais maintenu aurait
alors continué à coller avec les sept semaines du devenu habituel et lassant
traitement (étant donné que depuis plus d’un semestre j’attendais de passer à
l’injection toute les huit semaines – ce que j’avais souligné dans ma lettre du
2 Mars à ces médecins, car cela m’aurait évité de revenir -(à pied, non
véhiculé)- au CMP – tous étant au courant de
mes ratés cardiaques depuis ma publication des horaires à
infarctus – crises cardiaques (http://granier.laury.free.fr/sauvetage_personnes_agees/sauvetage_personnes_agees_04042015.htm)
que j’ai pris soin heureusement de noter, assurant ainsi divers sauvetages des
personnes âgées à chacune de ces occurrences (ce qu’on me devra : la vie à
chacune de ces occurrences).
C’est pour cela – mais aussi
parce que j’ai d’autres priorités à réaliser d’urgence relatifs à ma situation
d’homme marié à éclaircir sur le plan plus officiel, public, et je ne voulais
pas perdre du temps -(vous devez comprendre qu’il s’agit du temps de
l’[a]Architecte de l’Univers © : un temps qui est infiniment plus précieux que
le temps de n’importe lequel des chefs d’Etat, en raison des conséquences plus
ou moins continuellement géniales de chacun de mes travaux – donc de l’aspect
Trésor de l’Humanité – c’est-à-dire extrêmement précieux -(puisqu’il assure
entre autre avec chacune de mes innovations / inventions / découvertes autant
d’emplois rémunérés en Crédits-[/ Revenus / Moyens / Valeurs /… ]- Financiers
Propres et Mérités de Droit –[CFPMD]- (la nouvelle appellation contrôlée par ma
future Banque des Eanmeailleurs -(pharaon devenu l’un des bouddha)- d’Ôz
de l’argent propre -(l’ancienne façon de parler)- dans nVnos © [é]Etats)- pour
éviter à ceux qui les perçoivent des réincarnations malheureuses sinon, s’ils
ont accès aux crédits financiers faux ou/et de faussaires [cff], volés [cfv],
sacrilèges [cfs], usrpés [cfu], escroqués [cfé], malhonnêtes [cfm], trichés
[cft], voire de criminels contre l’humanité [cfcch])- de mon temps que je n’ai
pas le droit de perdre à uniquement assurer continuellement ma légitime défense
par lettre en rappelant aux uns et aux autres mes droits d’ézu -[abréviation
d’exception])- à aller deux fois de suite au CMP avec l’intervalle d’une semaine
seulement entre ces deux fois.
C’est pour cela que j’avais
proposé de regrouper cette réunion avec le docteur Adham et Marcel en même temps
que mon injection de la demi-dose 0, 25 de Risperdal toutes les sept semaines,
ce à quoi nous étions avec le Dr Koechlin péniblement arrivés – comme je l’ai
fait remarquer, à partir des carnets d’injection sur plus de trois années dont,
hélas, à ce rythme d’espacement entre chacune de ces injections toutes les sept
semaines plus d’une année entière – je garde à vôtre disposition ces carnets
dont j’ai pu recopier dans la lettre du 2 Mars -(que le Dr Marcel ni le Dr Adlam
n’avait avec eux lors de l’entretien qu’ils avaient autant que cela sollicité y
compris en exerçant des menaces alors que le problème de voisinage avait été
réglé et que qui plus est je continue à être dans l’exercice de mes fonctions
d’empereur-bouddha :..: avec le droit, si je le juge bon pour un oui ou un non,
voire moins que cela, une apostrophe, d’intervenir à travers Temps et Espace, ne
serait-ce que pour assurer rétroactivement mon existence et celle de ma famille
pour que nous puissions être ici à temps pour continuer à diriger cette planète
à tous les niveaux comme nous le faisons depuis 1965 et déjà d’avance dans le
futur)- les dates chronologiquement comme cela s’est déroulé dans la lettre au
docteur – à la demi-dose de Risperdal 0, 25 toutes les sept semaines, ce qui
signifiait – comme je vous l’ai dit – qu’en réalité, depuis cette demi-dose de
Risperdal 0, 25 toutes les cinq semaines, j’étais en réalité amplement sevré y
compris de ma dépendance à ce produit.
Avec le docteur Koechlin,
j’attendais à chacune des occurrences où je vins au CMP toutes les cinq semaines
qu’elles deviennent toutes les six semaines, mais surtout toutes les sept
semaines et que madame K. arrête le traitement
, bien que je lui avais dit -(j’ai donné le choix)- que par prudence nous
pouvions, si elle le souhaitait continuer
toutes les six semaines, voire sept semaines, voire plus : toutes les
huit semaines, voir les neuf semaines, avant d’arrêter définitivement ma
« dépendance » à ce produit en me déclarant en convalescence -(d’autant mon
problème cardiaque)- mais sans la béquille de cette injection de la demi-dose de
Risperdal 0, 25 !
C’est donc cette dernière
option que la doctoresse Madame Nicole K. avait donc choisi, bien que comme je
l’ai marqué dans la lettre du 2 Mars au docteurs Marcel et Adham, cela
s’éternisait de beaucoup trop à la dose de Risperdal 0, 25 toute les sept
semaines (bref que j’en avais assez qu’on ne soit pas déjà à cette dose toutes
les neuf semaines, voire dix semaines à un quart de celle-ci: en effet, quand on
regarde en détail sur ce carnet comment de la dose entière de Risperdal tous les
quinze jours, nous sommes arrivés à la demi-dose toutes les sept semaines, on
comprend, en feuilletant ces pages de ces carnets d’injection que c’est en
moyenne à partir de trois occurrences / fois, la demi-dose toutes les deux
semaines, que par palier de trois occurrences / injections dans des dosages
toujours moindre, car espacés de plus en plus d’une semaine supplémentaire, nous
sommes parvenus dans l’année précédant le départ à la retraite de docteur
Koechlin à la demi-dose de Risperdal toutes les sept semaines ! Ce que je
voudrais reprendre comme traitement, malgré l’épisode récent de cette
hospitalisation totalement absurde depuis le 4 Avril car si elle a été faite
dans la recherche de plaire à mes voisins elle n’est que devenu toujours plus
sacrilège envers l’Ensemble auquel vont mes services ce qui aurait dû conduire
les pouvoirs publics sachant que j’aurais à de nouveau intervenir depuis 2005 à
libérer la zone qui m’entoure de tous les voisins qui pourraient trouver
gênantes ces communications à travers Espace et Temps de ma voix de vérité
multidimentionnelle et multi-catégorielle et :..:
(de patron de la plus véritable franc-maçonnerie, ce qui a permis de
sauver avec effet rétroactif cette planète à partir de ces quatre points (1965 ;
1975 2005 et 2015 de Sain-Esprit dans l’Espace et le Temps en raison de la
naissance des petits enfants de l’empereur Jean-Luc Granier annoncés d’avance
comme [s]Sauveurs / Messies / etc. – bref comme j’avais eu à annoncer ma propre
naissance avant ma naissance en 1963 !).
Je crains fort que l’injection
du nouveau produit à la régularité proposée par le Dr Crétu nous fasse revenir
-(malgré l’infinie patience, à cause des différents martyrs que le Risperdal à
pleine dose engendrait, à une situation qui était celle d’il y a quatre ans et
dont patiemment avec l’aide du Dr. K., heureusement pour son âme, enfin complice
ici, j’avais réussi à me sortir d’autant plus des infinies souffrances physique
et psychologiques que le Risperdal, même à ces petites doses, (même de moitié),
procure dans les heures qui suivent l’injection.
C’est pourquoi je crois qu’il
serait préférable de reprendre le traitement avec la demi dose de Risperdal 0,
25 toutes les sept semaines -(voire toutes les six semaines si le docteur Marcel
devait y tenir absolument -(donc contre ma volonté de savant et mes empiriques
vérification dans l’hyper exact -(cobaye involontaire, malgré moi de cette
expérience) – ce qui serait me punir, alors qu’on le voit bien, je suis
totalement innocent, y compris vis-à-vis de voisins que j’aurais « gêné » -(dans
l’exercice de mes diverses fonctions et mes titres, je le répète, normalement,
si les autorités avaient été plus compétentes, elles auraient eu à anticiper la
situation dans laquelle je me trouverais dès 2005 et auraient eu avant que
celle-ci ne se reproduise à reloger tous ces voisins ailleurs, pour faciliter
ces miennes transmissions à travers Espace et Temps -(et si je n’ai pas songé à
le demander, c’est qu’en Grand Inspecteur les vérifiant, j’aurais à découvrir
que d’elles-mêmes elles n’ont pas songé à me faciliter mon travail -(par
conséquent elles sont fautives, voire se sont donc conduites en sacrilèges –
elles me devront des dédommagements pour chacune de ces hospitalisations que je
n’avais donc pas à subir), cette fois-ci en chair et en os et non plus comme à
l’occasion de la précédente fois, avec mon double d’avance dans le futur, donc
comme une virtualité, du point de vue des années 1965 et 1975 -(dates où je
redevins comme dans les journées de ma naissance bouddha-alpha-oméga, -[donc à
ces occasions évoquées dans ma lettre du 2 Mars au docteur Marcel, dans celle
aux papes et aux présidents de la république française -(comme au Cardinal
Vingt-Trois)- que j’ai à C. A. R. E., d’autant plus de cette seule fois -(pour
l’instant)- à ma nouvelle adresse de la rue de l’Ecole Polytechnique -(et non
plus à celle de la rue du Val de Grâce située au-dessus de Rome 1975 quand j’y
habite en 2005 en synchrone avec 1975), au cours de la journée en question, de
la nécessité que j’ai eu d’avoir à parler à haute voix de manière à ce qu’on
m’entende en synchrone avec nôtre époque ,dès l’année 1966, (pour les raisons
précisées dans cette lettre du 2 Mars 2017 dans les grandes lignes) – c’est à
cette transmissions que nous disposons depuis -(par exemple dans les magasins de
photocopies)- d’agrafeuses
électriques munies d’une sécurité.
A’ la suite de cette
transmission / communication à travers Espace et Temps, j’ai compris, en raison
de cette plainte m’ayant été transmise par le docteur Adham qu’il valait mieux
attendre pour poursuivre ces transmissions à travers Espace et Temps -(comme une
autorisation de tournage)- le feu vert des autorités de police -(en fait de la
Mairie du 5ème arrondissement de laquelle mon domicile principal
dépend). Or comme je suis -(car bouddha)- le très véritable patron de toutes les
polices et l’inspecteur lui-même de tous les inspecteurs de la police des
polices, vous comprendrez que j’ai le droit de me passer de ces démarches
difficiles à comprendre par les agents souvent pas suffisemment instruits ou/et
compétents. Mais si vous croyez qu’il le faut, je vous prie dans ce cas
d’effectuer les démarches en faisant une copie de toutes ces lettres pour la
police du Vème arrondissement de Paris de manière à ce qu’elle m’envoie une
autorisation sur papier que je pourrais
montrer à ces voisins s’ils devaient rechercher à de nouveau se plaindre de ce
qui a permis qu’ils disposent entre autres de répondeurs téléphonique et de tous
le prodiges techniques et technologiques dont j’ai été l’[a]Auteur depuis 1965
et 1975 sans oublier chacune des photos de Mars. Vous comprendrez ici combien ma
position est difficile à tenir et combien ces plaintes sont évidemment
irrecevables par les services de polices – or si ils les ont reçu et ont donné
une suite au point de vous importuner, ces services de polices sont coupables
envers leur patron et qui plus est vous les ayant prise en compte vous avez
également été sacrilège depuis le début envers vôtre très véritable patron.
Un dernier détail qu’il faut
aussi que vous compreniez -(ce qui confirmera une fois de plus l’expression »
tomber des nues « mais aussi que je suis un cas ézu -[différent de tous]–
cela concerne ma relation de -[devenu]- bouddha avec le Temps, la notion de
perspective, le court terme, voire en raison de celui-ci le long terme, la
seconde ou les yxes milliards d’années à
venir, la question de l’éternité)- que lorsque le Dr Marcel, accompagné du
docteur Adham et d’autres personnes ont sonné à la porte de chez-moi, rue de
l’Ecole Polytechnique, ce matin du 4 avril, en me réveillant -(j’avais eu ces
temps-là à entre autres travailler [à des lettres de [d]Droit canonique
concernant ma situation officielle d’empereur, mais aussi de bouddha, donc la
nouvelle appellation contrôlée par mes soins de Thôt d’eanmeailleur – elles
concernent aussi mes mariages -(ceux dans l’Intérêt Général -(annoncés du ciel
avant ma naissance)- et, depuis l’incompréhension totale dont j’ai fait, dès
1963, -(voire avant ma conception programmée par l’Ensemble)- l’objet, depuis,
les autres –[en admettant qu’il y en ait (des mariages), après ces traumatismes
sacrilèges et martyrisant[s] envers l’enfant que j’étais en 1965 et 1975], voire
à plus long terme, mes héritiers)- jusqu’à tard le soir précédent.
Aussi en ouvrant la porte je
n’ai évidemment pas compris pourquoi ces personnes d’habitudes au CMP, étant
donné que je comptais ce jour-là me pencher sur le dossier carnet d’injection
que je supposai donc seulement à renouveler
dans l’avenir et évidemment pas-même dépassé d’une seule heure ou d’une
journée (ce que je n’ai fini par enfin ne pouvoir vérifier qu’aujourd’hui -(d’où
que j’ai enfin compris pourquoi le Dr Marcel et le Dr Adham s’était cru dans
leur droit et la rédaction de cette lettre et ce qui signifie que durant toute
mon hospitalisation j’étais sûr quant à moi d’avoir respecté la chronologie de
mes rendez-vous déterminés / arrêtés au CMP.
Permettez-moi de vous rappeler
que chacune des personnes ayant un rendez-vous de la sorte peut pour des raisons
différentes le manquer en raison de l’un ou l’autre des problèmes à
quotidiennement devoir affronter/résoudre -(il faut comprendre que je n’ai plus
de secrétaire depuis ma séparation avec Michèle Finck début 2005 – par
conséquent que je peux être victime de mes horaires de travail étant donné que
je ne travaille que quand je le sens possible et c’est dernières années, depuis
2005, environ quinze heures par jours, ce qui ne me donne que peu de temps pour
des rendez-vous secondaires avec les effets de ce que ma situation
exceptionnelle de Sauveur -(Messie)- Grand Inspecteur, etc. a créé comme, hélas,
effets secondaires – par conséquent qui ne peuvent pas être pris en compte comme
prioritaires : mon travail, d’Intérêt Général, depuis mon enfance, -[(même quand
j’avais, enfant, à me rendre une fois par semaine à l’ambassade de France, au
Palais Farnèse, à Rome pour faire jouer le fils de l’ambassadeur de France
qu’en, réalité j’ai découvert depuis 2005 que j’avais eu à nommer du ciel, à la
place de mon père, (pour lui éviter des fanfaronnades, d’autant qu’il aurait à
être, à partir de 1975, confirmé par moi-même de nouveau en Saint-Esprit du
Ciel, comme l’empereur chronologiquement avant moi)], est plus important que
toute cette compassion qui peut-être la mienne envers des pseudos et
soi-disant[s] médecins qui n’ont pas été jusqu’au bout de leurs études les plus
précieuses pour eux-mêmes et l’Ensemble et par conséquent ne sont pas, à cause
de cela, encore comme j’ai eu à le prouver avec moi-même plusieurs fois comme
cobaye, l’un ou l’autre des très/plus véritables bouddhas, seuls habilités à
être considérés de l’appellation contrôlée de « médecins » ayant le droit à/de
prescrire des médicaments).
Pour moi alors ce matin-là
l’injection et le nouvel entretien -[(que j’avais demandé à l’infirmière à la
dernière occasion de communiquer au Dr Adham après l’heure de l’injection (qui
plus est ne sert qu’au Dr Adham qui, comme la précédente « médecin » égoïstement
croit avec ces entretiens possible prendre de mon temps à l’Ensemble, au lieu de
se montrer discrète, ce qui l’aurait rendu plus aimable et surtout plus
compréhensive vis-à-vis de mes travaux et/ou des priorités qu’ils ont sur ces,
hélas, de mon point-de-vue de patron des [m]Médecines © pertes considérables
de temps -(à l’aune de ce qu’un de mes
dessins / créations produit comme valeur ajouté, voire compeanse (c) comme
malheurs ou/et à l’aune de chacune de mes trouvailles ou/et innovations en Grand
Architecte de l’Univers, par conséquent entre autres d’[i]Ingénieur)– que
voulez-vous que ces rendez-vous, à moi, le bouddha-omniscient m’apportent -(donc
cela signifie qu’ils sont recherchés, voulus, imposés pour apporter quelque
chose au Dr Adham -(qui ne me payant pas pour cela m’escroque donc, me dérobe
les informations très véritables que je lui donne, donc se met dans son tort)-
et si elle reçoit une plainte, elle sait –(car j’ai eu à le lui rappeler)- avoir
le devoir de ne pas la prendre en compte, en raison de mes droits et de mes
titres non usurpés qui priment sur ceux des plaignants, d’autant que si je suis
amené à parler une fois ou l’autre à haute-voix chez moi -(ce qui est le droit
de chacun chez soi – qui puis-je si les murs n’ont pas été insonorisés par
Paris-Habitat, l’organisme locataire)- c’est en raison de ma convalescence et de
la poursuite de mon auto-psychanalyse, c’est-à-dire un travail difficile -(qui
exige des efforts de mémoire que je suis contraint à/de mener en raison du
handicap des vingt-sept années entière d’amnésie totale de ce qui s’était
produit à Rome dans le Ciel au moment de la confirmation – (en raison de la
confirmation de mon anneau immaculé de mariage avec ma femme S. E . A. I. E. SSS
les dames princesses impératrices Christine … Lang)
-
de mon père comme empereur avant moi, vingt-sept années d’amnésies
nécessaires pour que je parvienne à sauver, comme en 1965 et 1975, une
autre fois –{[(la dernière possible ayant une seule chance sur des
milliards de réussir), à partir de 2005, cette planète -(ayant des aspects
agréables sur certains points à ne pas omettre dans tous ceux qui nous l’ont
rendu odieuse, voire – pour reprendre la terminologie rouchienne -[ayant repris
la mienne -(de terminologie)- lors de mes interventions célestes]- de
contrastée)- de l’explosion du soleil -(à cause, hélas depuis 1860-70, (mais
encore plus en 1973), de l’infraction pharaonique des pays producteurs de
pétrole vis-à-vis d’une des lois /règles d’or les plus sacrées qui soit, celle
de la Quantité et de la Rareté, qui plus est quand j’ai eu à apporter -(alors
avec la virtualité de mon double intervenant d’avance du ciel)- au moins 50% des
réserves actuelles de pétroles – donc mien et donc majoritaire à l’OPEP, libre
d’exiger le prix maximum minimal de 0, 01 centime de dollar le baril -(qui à ce
prix-là est encore des milliards de milliards et plus encore de fois inamical
car infraternel -(non-fraternel), donc contraire aux piliers qui fondent le plus
véritable [é]Etat, celui de la Fraternité à l’origine du chapiteau qui l’orne de
la Santé)- d’autant les autres chiffres communiqués miraculeusement du ciel pour
rendre, dès 1977, au moins soixante-dix mille fois moins cher / onéreux /
coûteux tous les prix –[(et ainsi plus acceptables, au point de relancer
l’[é]Economie © et de voir disparaître le chômage, ce qui n’avait pu devenir le
fléau que cela était dans les années 1970 qu’uniquement en raison de cette
augmentation du prix du baril de pétrole qui avait donc occasionné une sorte de
frein à main qui dès 1973 a commencé à être -(par ces faux musulmans –frères)-
tiré de plus en plus, au point de plus ou moins paralyser l’Economie mondiale
comme je l’avais constaté durant mon audit à l’Ecole primaire, en proposant
après ce diagnostic dès 1975 le remède des remèdes : ce prix du baril de pétrole
au prix maximum minimal garantissant qui plus est la pérennité du Commerce et
cela d’autant plus de ce que ce pétrole nous appartient en plus de mes apports
des nouvelles réserves à tous mes titres)]- y compris ceux de centrales
solaires, voir pour financer comme je le souhaitais alors le Revenu Minimum
Végétarien de Solidarité et d’Insertion y compris pour le Minimum de Logement
dès la naissance de chacun, un ou/et plusieurs comptes différents à la Banque
-(l’une des avancées historiques majeures, à l’origine de chacun des progrès
depuis au moins cinq cent années)- de chacun des parents, ce qui devait éviter
dès 1977-80 toute forme de corruption et grâce à cela, soigner progressivement
toutes les maladies qui ne procèdent, hélas, en grande partie de cette
corruption)]}- sans pour autant, à partir de 1965-70, ne jamais trahir parmi mes
femmes la plus légitime d’entre celle-ci?
Vous le savez un souverain
approche les autres -(voire ne peut être approché que par ses pairs, donc ne
peut être approché de quasiment personne, sous peine que ceux qui l’approcheront
obtiendront le jour venu -(s’ils ont été d’un seul atome faux ou si leurs
motivations sont intéressées au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce
mot dans d’autres S. P., Ô. K. -[je vous rappelle qu’en raison de l’Angles, il y
a un décalage en la faveur des plus ignorants au SNNPM[.] : au sens négatif et
non positif de ce mot dans d’autres S. P., Ô. K., aussi ce n’est pas sur le
moment qu’ils souffriront, mais toujours exactement quelques années après le
forfait -(sacrilège) - en raison du fameux Angles – il est pluriel, mon père
s’est ingénié -(contre ma volonté)- peut-être -(qui sait ?,)- à son
insu pour l’assurer encore plus -(en croyant bien faire, voire en faisant
du zèle)- à nous contraindre à le reproduire dès 1965, 1975, 1995, 2005, … , au
lieu de se contenter d’un seul en 1945 -(1815), voir en 1955, après la naissance
de son fils aîné)- [sacrilèges]- qu’à leur insu ces profanes se sont autorisés.
Pour eux -(ce qui les attend en ayant autant recherché à avoir avant d’être – ce
qui avait pourtant été la question shakespearienne)- les plus tragiques malheurs
et réincarnations les plus tragiquissimis…simissimes, les plus malheureusissimis…simissimes,
les plus cauchemardesquissimis…simissimes, les plus tristissimissimis…simissimes,
les plus honteusissimis…simissimes,
les plus … à vivre)- aussi quand le 4 avril au matin (encore endormi), j’ai
ouvert la porte, j’étais sûr qu’il y avait probablement une erreur: que
l’entretien et l’injection adviendrait dans deux à trois semaines, voire -(parce
que je m’en étais soucié un instant la veille, une semaine -(si le temps avait
couru à cause des avancées de mes travaux) : aussi cela signifiait que, de mon
point-de-vue -(toujours de bonne foi), j’étais donc dans les temps -(et c’est
pourquoi j’ai eu à prévenir en ouvrant la porte -(parce que j’ai regardé dans
l’œilleton[6]
que si j’ouvrais la porte personne n’avait le droit d’entrer –(c’était en
désordre et j’étais en train, depuis quelques mois, de faire avec mes » teaArts
« -(une innovation créant un peu de désordre dans la cui-cuisine de de Media
Patata)- des expériences qui exigeaient ce désordre, d’autant des études
concernant la saleté, donc que les personnes qui y assistent n’aient aucun
préjugés – y compris d’hygiène -(et comme derrière la porte d’entrée, sur le
palier, j’avais pu apercevoir deux soi-disant médecins, j’ai préféré ne pas leur
permettre d’entrer pour éviter d’avance les conséquences qui proviendraient de
leurs analyses de ma situation avec probablement les préjugés en tête d’hygiène
sociale (ne tenant pas compte de ce que je suis avant tout un [a]Artiste très
véritable -(donc le médecin-des-âmes)- et
l’absence d’informations concernant ma nouvelle création, en hommage à la
période encres-de Chine de mon frère aîné)– je ne tenais pas -(sans petit
déjeuner qu’ils m’ont empêché, alors que dans mon droit, de prendre)- à devoir
me justifier, voire à ce que les personnes se fassent des idées fausses à partir
d’à premièrevues en ma défaveur)- d’autant plus que j’ai le droit à considérer
chez moi ex-territorialité -(ce qui est le cas
de facto -[à cause aussi de ce que
continuellement on me voit dans le passé dans le ciel]- et que j’ai dit, ce qui
signifie d’avance que chacun de ceux qui enfreindront cette situation
obtiendront pour leur respective âme la plus tragique des réincarnations –
j’étais donc dans mon droit et dans mon devoir, par charité pour ces venues non
suffisemment considérées /étudiées à l’avance (et sans avoir eu la courtoisie de
m’avertir ni même de me rappeler quand cela avait été le cas que l’heure de
l’injection, mais aussi de cet entretien avait été dépassé – ce qui aurait été
la moindre des choses – ces médecins disposent d’un secrétariat dans ce CMP que
j’ai été obligé d’avance (dès 1975-77 en dictant au cours de l’hyper méga dictée
pharaonique salvatrice miraculeuse, maçonnique providentielle corne
d’abondance :..: à travers Espace et Temps (HMDPSMPMCA/ET :..:, la DD[D]C:
Dictée Divine [Dictée] du Ciel) la faisabilité
au cours de la Nouvelle Donne Interrégionale Mondiale -(ils me doivent,
avec les ordinateurs, (et Internet), comme tout le reste -(on saura un jour
combien et toutes ces personnes seront dans la honte à jamais)- que j’ai eu à
dicter à raison d’une moyenne de douze heures par jours, malgré leurs
différentes obstructions à mon ancienne adresse chacune de leur activité ayant
généré leurs revenus en CFPMD)- de le dire pour prévenir le docteur Marcel qui
ne l’ayant pas cru en aura mathématiquement le jour venu -(à moins de réparer)-
les conséquences le jour de sa mort comme tous ceux qui très bêtement -(croyant
plus légitimement à sa parole qu’en la mienne)-
l’ont suivi à l’intérieur de chez moi, mon territoire d’Ôz, au/le ciel.
En fait, j’eus à découvrir ce
matin-là –[(encore une fois non averti d’avance de cette visite – c’est la
moindre des choses en pays civilisé d’avertir. Venir ainsi au domicile d’un
patient -(qui plus est de son chef)- ne se peut que si l’on a à faire à un
malfrat – or tous savent que je n’en suis aucunement car j’ai pris autant de
temps et de peines à dicter -[(par charité et compassion, bien que contraint et
forcé à cause de mon anneau immaculé de mariage étant apparu autour de mon doigt
annulaire –[celui des personnes véritablement mariées)- la Nouvelle Donne
Universelle Interrégionale Mondiale dans l’espoir que chacun pourrait ainsi
gagner des revenus financiers propres et mérités de droit (RFPMD) pour éviter
d’en devenir l’un d’eux -(malfrats)- et ainsi éviter les plus tragiquissimis…simissimes
réincarnations qui attendent chacun des malhonnêtes –(aussi je ne vous cacherai
pas que je n’ai pas apprécié cette méthode au point qu’il faudra pour le
traumatisme que cela représente -(causé)- me verser des dédommagements
financiers à l’aune de ce que j’ai eu à perdre (puisque ma sœur à été contrainte
par vos soins de s’occuper à ma place de ranger chez moi et a dû jeter des
choses si précieuses qu’il est probable qu’avec tout l’or et tous les diamants
de tous les univers jamais vous ne pourrez me rembourser de ces pertes
d’originaux prototypes à un seul exemplaires dessinés par mes soins – de plus
ceux qui ont « rangé » ont cru possible effacer en manipulant des portes, des
représentations de De Media Patata, l’oiseau emblème de l’eanmeaill[h]eur d’Ôz)-
si les responsables publiques au courant des bonnes manières veulent s’éviter
ces réincarnations pour avoir autorisé pareils nouveaux agissements sacrilèges
vis-à-vis de ma personne ou/et des choses m’appartenant car j’en suis
l’{a]Auteur)]- que ces deux ou trois semaines -(que je croyais venaient de
passer)- avaient été sept semaines ! – aussi je n’ai pas pu le croire, même si
le Dr Marcel et le Dr Adham me l’affirmait de cette manière violente et mon
incrédulité en raison même de ce que je prenais pour sacrilège bien que je
m’étais dit le matin même, quelques secondes avant que ça sonne, que j’avais à
vérifier en comptant le nombre de semaines depuis l’injection précédeante ©.
Je ne m’en suis donc aperçu,
pour avoir pu enfin le vérifier, qu’aujourd’hui -(c’est vous dire combien
je suis différent de n’importe lequel des êtres humains sans exception
qui travaille – probablement si tous éprouvait le même zèle que moi en
travaillant, personne ne songerait à se faire payer tous les mois) – tant j’ai
eu à travailler à la possibilité en toute légitimité (avec l’accord et
l’assistance de la police et de la mairie du cinquième) de recommencer à
intervenir depuis mon ancienne adresse de la rue du Val de Grâce en raison des
horaires des fossés douve à infarctus ayant à toucher dans le passé les
personnes âgées, au point que le temps, dans la réalité, est passé plus vite
-(alors que moi, hors du temps, en raison de mon handicap, de ces démarches et
priorités d’Intérêt Général à régler en même temps que ces miens mariages
pluriels -(y compris pour mes femmes – sous certaines conditions)- même si
chrétiens)].
En vous renouvelant mon souhait
de reprendre mon sevrage à la demi-dose de Risperdal 0, 25 grammes toutes les
sept semaines -(peut-être une nouvelle fois trois fois consécutives pour vous
rassurer, avant d’avoir à poursuivre le sevrage, en diminuant la dose, en
l’espaçant d’une semaine en plus, pour trois nouvelle fois consécutives et ainsi
de suite jusqu’à achèvement, veuillez agréer docteur, l’expression de mes
sentiments respectueux et mes remerciements pour l’hospitalisation imprévue dont
j’ai été victime.
Laurent-Marie Granier … de [R]Ôz[eau/
… /w/y/s]
vos eanmeailleurs
les Grands Architectes de l’Univers
(les G. Ô. . . = G. A. U.)
P. S. : Bien sûr, si vous le jugez utile, vous avez la
possibilité de faire une photocopie de cette lettre pour la remettre au docteur
Marcel et au Dr Adham de ma part.
Je vous en remercie d’avance.
Je vous rappelle que nous avons rendez-vous, à vôtre
demande, pour un entretien à 16 heures le 4 mai et le 18 mai 2017 à Sainte Anne.
Si vous avez lu cette lettre avant notre premier entretien,
probablement -(en apprenant un peu plus / mieux qui je suis, vous aurez à cœur
de m’éviter cette peine – ce dont je vous remercie d’avance), en confirmant
comme je vous le demande l’injection de la demi dose de Risperdal le 10 mai au
CMP comme prévu et mon rendez-vous avec le Dr Adham le 22 mai (après cette
parenthèse de cette hospitalisation dont j’ai pu enfin éclaircir le mystère et
ainsi me détraumatiser (car durant ces trois semaines j’ai réellement cru que
cela s’était produit de manière totalement arbitraire et uniquement sacrilège –
donc qu’elle était non fondée car mon intention n’avait jamais été de manquer ce
rendez-vous du 3 ou 4 avril au CMP ni d’échapper à la poursuite du sevrage
commencé avec le Dr Koechlin).
[1] Ci-joint
à l’adresse ci-après ma lettre du 2 Mars au Dr
Marcel et Adham que vous trouverez sur mon site
personnel à http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/jl_marcel.htm
avec les précédentes.
[2] On
comprendra plus loin que c’est parce que j’ai
pris depuis longtemps l’habitude de me rendre au
CMP toutes les sept semaines que j’ai alors cru
que ce jour n’était pas venu.
En effet, la fois précédente, lors de
l’entretien avec le Dr Marcel et le Dr Adham a
changé le rythme de mes venues au CMP d’une
semaine avant (toutes les sept semaines), car
par rapport au fois précédente, le rendez-vous,
malgré ma lettre pour nous éviter cette
modification dans la régularité de la
périodicité des injections, ayant été donné au
bout de six semaines, cela a créé un changement
que la régularité depuis plus d’un an, à toutes
les sept semaines n’a pas permis, à mon
organisme (habitué à cette régularité), de
prendre en considération.
J’ai donc compris tout à l’heure enfin pourquoi
la veille et l’avant-veille, mon corps
habitué à toutes les sept semaines -(et non
six)- avait cependant commencé -(car il avait
lui plus conscience que moi que nous étions
arrivés à environ sept semaines)- à me rendre
inquiet de ne pas rater le jour de ma périodique
venue au CMP. En effet, je m’étais promis la
veille – sachant ne pas avoir eu le temps depuis
cet entretien avec le Dr Adham et le Dr Marcel
pour cela – de faire le point sur mon carnet
d’injection et de compter les sept semaines pour
en inscrire la date (ce que je n’avais pas pu la
dernière fois au CMP)- car il m’était apparu
d’une façon intuitive que nous
commencions à être dans les eaux de ces sept
semaines accomplies depuis la dernière fois, qui
pour avoir été le 16 mars -(au lieu du 22)-
avait donc modifié d’une semaine -(en avance)-
la périodicité du jour de l’injection.
Aussi ce – par bien des égards (puisqu’il avait
fallu que je fasse l’investissement de cette
lettre dans l’espoir que les Dr Marcel et Adham
ne modifie cette périodicité -(ce qui a
finalement été car j’ai dû venir le 16 et non le
22 comme la régularité depuis plus d’un an à
toutes les sept semaines l’exigeait)- triste
épisode m’a permis de découvrir que mon corps
ayant pris l’habitude de l’injection de la
demi-dose de Risperdal 0, 25 grammes toutes les
sept semaines, n’avait probablement pas apprécié
que cette injection, à l’occasion de cet
entretien avec les deux médecins, ait eu lieu
-(heureusement exceptionnellement)- au bout de
six semaines.
C’est probablement -(parce que nous sommes
réglés sur des horloges biologiques précises,
comme parce que j’avais pris cette habitude de
venir toutes les sept semaines, la raison pour
laquelle je ne m’en faisait pas en pensant que
l’injection était pour la semaine suivante -(en
effet sept semaines après le 22 et non le 16
comme cela avait été)- portait l’injection à la
semaine suivante du 4 avril, vers le 11, mon
corps ayant pris ce pli -(voire se sentant en
manque du dosage)- à toutes les sept semaines
-(malgré ce changement épisodique dont il avait
été victime la fois précédente au bout de six
semaines (le 16 mars 2017), ce qui effectivement
– je l’ai vérifié – aurait dû me faire venir la
veille, le 3 avril, sept semaines après (ce qui
explique donc pourquoi j’ai trouvé ce monde
devant le palier de ma porte – peut-être parce
que l’ayant manqué cela avait peut-être causé
l’attente du Dr Adham au CMP – croyez que j’en
suis désolé – mais ce sont des choses qui arrive
– cela s’est passé déjà une fois pour d’autres
raison depuis qu’elle a pris la suite du Dr
Koechlin – je m’en était excuser : j’avais eu un
jour de retard pour l’injection parce que
j’avais eu à poursuivre un travail d’écriture
complexes chez moi sans consulter la date à
laquelle nous étions, en faisant alors passé le
jour de l’injection – mais le Dr Adham avait
compris – d’autant qu’elle peut bien comprendre
qu’à mon échelle je sois pris dans des travaux
tellement prenant que les horaires et le monde
soit contraint de s’adapter à mon emploi du
temps et bien sûr jamais à moi à devoir
m’adapter à ceux des autres – cependant que vous
pensez bien que j’essaie dans la mesure du
possible d’éviter ces désagrément – mais ma
fonction d’empereur et de bouddha, comme de
grand inspecteur mais aussi de Grand Architecte
et de Dieu pour les chrétiens et les juifs, donc
d’Allah pour les musulmans car bouddha me donne
le droit en raison des priorités que j’ai sur
les dossiers en retard de plus de cinquante
années à avoir moi-même des retards -(souvent
causés par des parenthèses imprévues auxquelles
je suis contraint)- dans bien des domaines
différents, voire à rayer des rendez-vous –
jamais personne n’a pensé avoir le droit de m’en
vouloir car ils peuvent bien imaginer combien
cela doit être pénible d’être à ma place – c’est
la raison pour laquelle j’avais tant insisté –
par cette lettre – à ce que l’injection du 22
mars me permette d’avoir par la même occasion de
ma venue au CMP l’entretien avec le Dr Marcel et
le Dr Adham – mais cela n’avait pas été possible
et j’avais eu à devoir accepter l’entretien pour
le 16 mars – aussi j’ai eu à déplacer
l’injection du 22 mars pour une semaine avant
car vous pouvez bien imaginer ce que signifie à
mon échelle pharaonique et divine un déplacement
de plus au CMP – si vous ne pouvez pas le
comprendre, je souhaite que vous le compreniez –
c’est infiniment plus grave en conséquence que
n’importe laquelle des guerre mondiale et bombes
atomiques qui serait déversées par millions sur
un point précis – aussi j’avais eu à vivre ce
déplacement – d’autant la peine que j’avais
prise à écrire cette lettre pour qu’il ne soit
pas – comme l’un des cauchemars les plus atroces
de mon existence) – en fait, je l’avais senti la
veille -(qu’il fallait que je me préoccupe du
jour de l’injection), sans me l’expliquer aussi
clairement, car j’avais eu à me dire de vérifier
la date de l’injection sur le carnet où ces
dates figurent – en général d’avance –
chronologiquement.
Vous comprendrez donc plus facilement pourquoi
j’ai très mal pris le fait de -[vous]- trouver
devant ma porte, sur le palier, le Dr Marcel et
le Dr Adham comme leur personnel, d’autant que
je croyais
-(dans ma tête pas encore réveillé et
sans petidéjeuner © (petit-déjeuner) - que
l’injection et le rendez-vous pour l’entretien
avec le Dr Adham n’était, au pire – même en les
voyant devant moi– que la semaine suivante !
Voire qu’il s’agissait d’un canular de très
mauvais goût.
Aussi cela explique pourquoi j’ai eu à prévenir
ces médecins de leurs futures réincarnations les
plus tragiques et les plus tristes et/ou
malheureuses parce que sacrilèges envers leur
bouddha, leur empereur, le Grand Architecte de
l’Univers, en un mot mes [d]Droits – y compris
celui d’avoir pour une raison ou une autre
valable – ce qu’on voit ici est le cas (d’autant
plus de la modification advenue dans la
périodicité de l’administration de l’injection
(du traitement convenu – et quand on saura
ailleurs pourquoi on comprendra aussi combien
cette erreur des médecins depuis 2005 a coûté à
l’Ensemble) - un retard – et d’autant plus du
peu de danger que représente à cette périodicité
de toutes les sept semaines, une semaine avant
ou une semaine après !).
[3]
-(https://www.youtube.com/watch?v=B5-6MekG9Nk)
[4]
http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/accueil_lettres_a_personnalites.htm
[5]
http://granier.laury.free.fr/sauvetage_personnes_agees/sauvetage_personnes_agees_04042015.htm
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Révision : 03 mai 2017