Copie pour information[s] à Monsieur le Président de
Paris-Habitat, Monsieur Eric Pliez et à Monsieur le
Directeur Général de Paris-Habitat, Monsieur Stéphane Dauphin
Paris, Samedi 20 février 2021
Objet : Rénovation -(et non réhabilitation)-
de la résidence Carmes-Polytechnique =(suite de mon précédent courrier adressé à
Madame M. B; , apporté autour du 10/13 février par mes soins à vos respectives
attentions, 21 bis, Rue Claude Bernard, 75 005 Paris).
Bonjour M. B; ,
Merci de votre réponse et de faire en
sorte qu’on abandonne l’idée d’une réhabilitation au profit, comme je l'ai
recommandé, de suffisantes rénovations au cas par cas, soit logement par
logement, ce qui permettra de conserver les plans originaux exemplaires comme
lieux où il fait bon vivre -[dignement]- depuis les années Trente, mais aussi
pour continuer à nous renseigner concrètement sur la notion d’Architecture
Sociale dans ces Années 30 à travers le cas particulier de cette résidence
Carmes-Polytechnique en plein Paris -(qui pourra le jour venu, entrer, en
raison de son arche de briques au-dessus de l’Impasse des Bœufs, mais aussi des
plans originaux des appartements, des paliers et des escaliers admirables, -[être
inscrite]- dans les listes du Patrimoine National, et cela telle que cette
résidence est heureusement encore à cette heure-ci, état qu’elle doit conserver
pour la postérité : les générations à venir pourront ainsi se rendre mieux
compte de ce qu’étaient les habitations sociales -[d’]- autrefois – ce qui
pourrait leur permettre de mieux faire).
-
By the way, et en sautant du coq à l’âne, j’ai
lu avant-hier soir à ma fiancée dans le deuxième tome des Mémoires
d’Outre-Tombe de Ses Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimes
Princes François René de Chateaubriand, aux environs de la page 500 de
l’édition de la Bibliothèque de la Pléiade 1976, que notre grand auteur -(dont une partie des cendres
sont évidemment promises au Panthéon)- avait été en relation épistolaire avec
un Garde des Sceaux nommé Barthe.
C’est pour plus de précision, si vous voulez le vérifier pour des raisons
familiales ou/et généalogiques, voire pour votre plaisir, p.567, livre 36,
chap.8, quatrième partie, second volume, édition 4ème trimestre
1976, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade).
Il est donc question d’un ministre de la
Justice appelé Barthe sans s à la fin de son nom, comme le vôtre.
Si vous êtes directement ou indirectement de
sa descendance, votre échelle n’est pas aussi humble que vous [ne] le faites
croire. En tout cas cette information à votre sujet pourrait amplement vous
permettre de vous adresser directement au Président et au Directeur Général de Paris-Habitat et cela d’autant plus que
depuis l’autre jour vous m’avez dans vos relations.
Merci de comprendre qu’il est important de
dire à ces responsables que l’augmentation dont vous avez été chargée de faire
part aux locataires mettra probablement beaucoup de locataires dans de
véritables embarras / gênes / difficultés financier.e.s
très important.e.s -(même si la somme semble à
certains aussi petite, voire insignifiante alors que convertie en francs, c’est
plus de cent cinquante francs d’augmentation par mois pour un deux pièces)- au
point que ces responsables comprennent qu’il est plus sage, en ce qui concerne
cette résidence située dans le 5ème arrondissement de Paris, de renoncer
à ces travaux de « réhabilitation » -(sacrilèges envers des plans historiques
d’origine aussi bien pensés / pesés)- qu’ils ont cru possibles faire sur les
plans qui nous ont été présentés, en faisant – j’exagère un peu - comme " table rase » ou presque du
passé -(bien
que cela peut se résumer à ne conserver finalement que la façade et nous
l’espérons pour eux, les admirables escaliers et paliers – rien ne nous ayant
été dit pour nous rassurer à ce sujet des parties communes)- dans
ces plans pour cette « réhabilitation » proposée, alors qu’une rénovation au cas par cas -(c’est à
dire logement par logement), est plus qu’amplement suffisante -(sans
contraindre personne à déménager autant de temps et en utilisant chacun à son
tour un des logements vides pour, au besoin, y déménager très provisoirement
peu de temps : durant les travaux de ces rénovations
-(ce qui ne contraint pas à changer de place l’arrivée d’eau et son
évacuation)- si
on devait renoncer à les faire en occupant une des chambres pour y mettre
l’ensemble des meubles de toutes les autres chambres / pièces et les étagères
du couloir, en attendant la rénovation de ces autres parties ainsi vidées dans
une des chambres, afin qu’une fois rénovées on puisse facilement remettre ces
meubles ou étagères en place dans ces chambres rénovées pour que les ouvriers /
maçons rénovent à son tour la chambre utilisée comme momentanément un débarras
-[durant la rénovation des autres chambres]- devenue à son tour vide).
Des travaux de rénovation qui sont
réalisés en une semaine à quinze jours, voire au pire en trois semaines -(si
préparés au préalable en atelier : le changement de la porte, la
chaudière, la pose des radiateurs nouveaux et le chauffe-eau, voire les
fenêtres – ce qui veut dire qu’on veut nous faire déménager au moins six mois –
si ce n’est plus / ce qui ne se peut - pour uniquement changer de place
l’arrivée d’eau et l’évacuation qui sont tels qu’ils sont excellemment placés
là où ils sont avec les W. C., la douche et le lavabo comme l’évier et la
machine à laver et le chauffe-eau pour ne pas contraindre les personnes âgées à
devoir faire plus de trente pas à l’aller comme au retour pour rejoindre ces W.
C. -(plusieurs fois par jour)- et trente pour revenir d’où ils étaient / sont partis.
D’où l’absurde et le sacrilège envers les plans de l’architecte d’origine en
déplaçant cette arrivée de l’eau et cette colonne d’évacuation de l’eau, ce qui
rend scandaleux, voire matière à souffrances et/ou à peines injustes -(celles
de ces personnes âgées dans les logements de l’empilement ainsi modifié)- les
plans nouvellement proposés n’ayant pas tenu compte de ce que l’emplacement de
l’arrivée d’eau et de la colonne d’évacuation est là où ils sont le seul point
possible pour rendre vivable ces appartements en évitant de contraindre les
personnes âgées à faire autant de pas pour rejoindre les W. C. là où ils ne doivent
être sous aucun prétexte car il s’agit du cagibi qu’on utilise grandement toute
l’année en venant des courses au marché Maubert,
voire comme une grande armoire à rangement[s])- pour les appartements de plus de deux
pièces, mais en se montrant enfin ainsi, en se contentant d’une rénovation -(et
non de réhabilitation), plus respectueux de l’esprit de l’architecte d'origine
qui a déterminé d’une manière sacrée le meilleur des emplacements possibles
pour justement l’arrivée de l’eau et son évacuation autour desquels points
s’articule l’agencement des volumes des espaces habitables -(les chambres
/ pièces)- couronnés, cerise sur le gâteau, à l’entrée par le cagibis / placard
absolument indispensable comme surface -[discrète]- de rangements pour toutes
les saisons y compris du caddie pour
les courses.
Salutations respectueuses et
reconnaissantes de tout ce que vous pourrez faire en votre pouvoir à SOLIHA pour
qu’on ne commette pas l’irréparable et nous
éviter dans l’état ces pertes inestimables, donc pour que nous puissions
conserver les plans actuels pour continuer à y bien vivre comme d’habitude mais
aussi, vous l’avez compris, pour conserver des plans pour au besoin illustrer/témoigner
-(dans les Ecoles d’Architecture ou/et pour le Tourisme
Culturel)- la notion sacrée d’Architecture Sociale, par l’exemple bien vivant
de cette résidence dans le futur à visiter conservée -(d’autant plus de mes
dessins sur les murs -[un peu comme à Lascaux mais différemment], mais ici de De Media Patata - https://www.youtube.com/watch?v=g5N7YNyuHd0)-.
Ces plans tels qu’ils sont aujourd’hui doivent
demeurer sans les modifier aucunement. A ce propos permettez-moi de signaler
que parmi les plans, il y a celui « d’origine de la construction « qui
a été modifié lors de la rénovation en tel que mon appartement se trouve / est
actuellement. Dans les documents transmis dernièrement par courrier, ils ne
sont donc pas ceux qui correspondent à la réalité. Celle-ci ayant été modifiée
par cette vue de l’esprit de celui qui s’est chargé des rénovations -(entreprise à laquelle on pourrait faire appel et vous
pouvez vérifier en venant chez moi que j’ai deux éviers et non un comme c’était
autrefois le cas. Les éviers sont sous la fenêtre de la cuisine et non en rouge
sur le côté et il n’y a pas de porte d’ouverte pour passer dans la cuisine
depuis ma douche donnant sur le séjour dont j’ai fait ma chambre à coucher
puisqu’elle était si proche de cette douche et de ce lavabo, il n’y a plus de
passage non plus entre ma chambre à coucher et là où j’ai mis mon bureau :
l’ancienne chambre). Dans ces plans remis, il n’y a donc pas les plans tels
qu’est actuellement l’appartement comme on me l’a fait croire. Dans les plans
transmis il y a le plan modifié comme proposition tel que deviendrait
cet appartement une fois « réhabilité » et cela ne se peut comme
je l’ai écrit à plusieurs reprises en raison de l’éloignement des W. C. et de
la douche et du lavabo -(mis à l’entrée de l’appartement)- ce qui contraint les
personnes âgées à faire au moins trente pas à l’aller comme au retour au lieu d’en
faire quinze au grand maximum comme c’est le cas aujourd’hui là où sont placés
ces W. C. et cette douche de manière quasi centrale – donc un gain de temps et
de fatigues qui sont moindres comme c’est heureusement le cas aujourd’hui !).
En nous contentant de rénovations comme
cela a été le cas pour moi avant mon installation en 2013 -(ce qui a un peu
modifié les plans d’origine)- quand je n’ai rien trouvé à redire, les
locataires de ces immeubles se trouveront aussi bien que nous nous sommes tous
trouvés -(d’autant plus du modèle de linoléum de très bon goût choisi pour la
cuisine, le couloir, les W. C. , le bureau de mon appartement)- dans les
appartements rénovés comme celui de la résidence Carmes-Polytechnique dans
lequel vous nous avez reçus : admirable car justement rénové !
Les appartements rénovés seront amplement
suffisants pour des personnes en difficulté[s] -(espérons-le
pour chacun de ces locataires, momentanées, ce qui permet d’aspirer à mieux comme
appartement[s] ailleurs, le jour venu. Par exemple en raison de progrès
personnels financiers réalisés / obtenus pour gravir l’échelle sociale enfin
avec plus de moyens financiers propres et mérités de droit -(M. F. P. M. D.)- ce qui permet
alors de se loger ailleurs comme tout le monde et non plus chez les
« pauvres » qui sont évidemment à aider, cependant qu’il ne faut pas
exagérer non plus : ils ont, tel que se sera rénové, un abri de très
grande qualité -(sans avoir à devoir trop peiner pour rejoindre plusieurs fois
par jour les W. C., ce qui est à la longue fatigant surtout s’il s’agit d’une
personne âgée)- où se sentir sûrs, protégés comme d’avoir été compris dans leur
détresse causée par tous ceux qui ont augmenté le prix du baril de pétrole au
lieu de le baisser pour faire advenir un monde où la majorité des produits de
première nécessité y compris des logements y compris ceux de vacances auraient
été proposés gratuitement comme je l’ai dit dès 1977, les prix étant ce qu’ils
sont sur tous les chapitres -(donc dans / pour toutes les catégories de
produits)- en raison des seules répercutions
du prix de ce pétrole sur l’ensemble des coûts / prix / dépenses).
Laurent-Marie
Granier ... d'Ôz