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Lettre à Monsieur le Président de Paris-Habitat, Monsieur Eric Pliez,

 13 Février 2021

et à  Monsieur le Directeur Général, Monsieur Stéphane Dauphin,

aux bons soins de Monsieur T., Madame L. W-S. , M. B. de S et S. L.

 

 En guise d'introduction : 

 

 

Copie du mail introductif ci-dessous envoyé le 10 février 2021 vers vingt heures à M. B.:

 

 

à Monsieur Eric Pliez, Président de Paris Habitat et à Monsieur Stéphane Dauphin, Directeur Général de Paris-Habitat, 

21 bis Rue Claude Bernard, 75005 Paris 

-(Merci à Madame S; L; et à M. B. d’avoir la gentillesse de leur transmettre personnellement la version papier - par précaution je suis allé moi-même la remettre au gardien du siège social de Paris-Habitat):

 

Bonjour M. B. de chez S. , 

 

Comme promis les informations que vous attendiez avec des précisions qui pourraient intéresser Soliha et les responsables de Paris-Habitat auxquels je vous prie d’avoir la gentillesse de leur transmettre copie -(de cet e.mail in extenso)- en réponse et remerciements à leur réponse DDR2/MT/EC/1  05CA/013 -(signée M. T. et L. W.-S.)- du 16 décembre 2020 pour qu’ils se rendent compte de ce qu’ils risquent de faire perdre à tous en voulant « réhabiliter » de cette façon -(faisant presqu'entièrement "table rase du passé" - donc drastique et en réalité tragique)- que j’ai déjà fortement déconseillée, au lieu, comme je le propose, conseille, demande et recommande -(parce que j’en ai heureusement bénéficié moi-même avant mon arrivée 20 rue de l’Ecole Polytechnique)- de se contenter de façon[s] plus sage[s], plus prudente[s], plus réaliste[s] -(y compris financièrement en ces temps de très grande crise économique)- et surtout plus respectueuse[s] de l’Histoire de l’Architecture, d’admirables rénovation[s] au cas par cas, modernisantes, plus justes / actuelles, ce qui permettrait de rester fidèles à la conception d’origine -(c’est à dire de départ)- de ces habitations, illustrant, avec le recul, de nos jours et d’avance avec un recul encore plus important -(en se projetant dans l’avenir), tels que sont ces appartements et la notion importante, voire fondamentale, chère aux Monuments Historique et/ou à la Conservation du Patrimoine, d’exemples d'immeubles dans Paris -(parisiens)- à Caractère Social qu’il est nécessaire / juste et de notre devoir de préserver / conserver intégralement comme ils ont été conçus comme exemples vivants à donner à visiter aux architectes des générations à venir en nous contraignant à respecter les plans initiaux sans trop y toucher -(bien qu’on puisse effectivement moderniser l’intérieur de ces espaces / volumes en les respectant tels quels à l’occasion de ces rénovations au cas par cas, n’impliquant donc aucun changement[s] des plans initiaux -(ni des points "centres générateurs » / fondamentaux de l’eau à partir desquels, arrêtés, l’architecte de ces immeubles a œuvré -[tout ayant découlé ici-(dans ce cas)- de cette difficile trouvaille à déterminer])- et sans causer l’obligation de la perte de temps générale en déménagements plus ou moins lointains -(de l’ensemble des locataires)- vous avez dit trois ans, mais de quelques heures de travaux -(voire, au pire, pour changer périodiquement le lino[léum] et repeindre les murs, le cas échéant, en ayant à déménager chacun à son tour dans l’un ou l’autre des appartements gardés vides à cette fin dans le même empilement le temps de cet éventuel entretien)- en ayant fait le nécessaire en amont dans les ateliers des différents corps de métier concernés qui n’ont plus, (comme pour la nouvelle chaudière et les radiateurs déjà prêts), qu’à poser au cours d’une journée de travail ces éléments nouveaux à, si besoin est, périodiquement changer / moderniser comme par exemple, (vous lirez s’il vous plait), des joints plus importants dans l’encadrement des fenêtres, voire sur le montant de la fenêtre, de manière à augmenter ainsi l’isolation thermique, sans avoir à faire plus)- dans la façon si originale que cette Architecture Sociale a, heureusement, encore de nos jours comme exemples possibles à offrir, à la résidence Carmes-Polytechnique.

 

Avec mes remerciements pour le temps que vous aurez la gentillesse de nous consacrer, veuillez agréer, Madame ou/et mademoiselle (?) B. et Madame S. L. , mes sentiments les plus respectueux.

 

Laurent-Marie Granier

Eanmeailleurs d’Ôz.

Objet de la lettre qui suit :

 

La lettre qui suit a été écrite en réponse à la demande de précision concernant l’origine et le montant de mes revenus -(pour comprendre ainsi pourquoi l’augmentation du loyer, en cas de travaux votés, représentera pour moi une somme trop importante à l’aune de ce qu’il me reste pour vivre tous les mois, une fois les frais de premières nécessités payés), mais aussi après la visite de l’appartement-témoin qui a été présenté au-dessous d’un appartement de la même surface -(donc dans le même empilement)- présenté dans l’état actuel -(les locataire[s] n’y vivant plus et l’ayant rendu vidé ainsi à Paris-Habitat comme celui qui fut choisi pour être au-dessous transformé en appartement-témoin)- sans avoir été au préalable rénové -(pour donner ainsi, s’il l’avait été, un plus véritable choix pour la comparaison)- ce qui a rendu difficile la comparaison avec l’appartement-témoin -(qui, dans l’état de flambant neuf, a probablement séduit beaucoup plus que de raison, en bénéficiant précisément de ce trop grand contraste / écart ainsi créé artificiellement entre ce flambant neuf qu’il représente par rapport à la vétusté de l’appartement du dessus, délabré, dans l’état d’abandon et même pas encore rénové, ce qui aurait alors facilité la plus juste comparaison que les responsables de cette opération disaient rechercher à l’occasion de la présentation de l’appartement-témoin.

L’appartement d’origine avait donc dans l’état où il nous a été donné de le visiter -(avant la découverte de l’appartement témoin)- pour objectif, quand nous aurions découvert l’appartement-témoin, de nous dégoûter de la superficie d’origine dans l’état actuel de l’agencement des volumes pourtant extrêmement et admirablement pensés / agencés -(quand on remonte visiter cet appartement -[après avoir pris connaissance des volumes traités dans l’appartement-témoin]- et qu’on l’imagine rénové –[et non réhabilité]- et bénéficiant des diverses nouveautés vues dans l’appartement témoin)- à l’origine par l‘architecte de ces immeubles de la résidence Carmes-Polytechnique à vocation sociale.

                                                                                                                                                                         

 

 

                                                                                                                                                                                   Paris le lundi 8 février 2021

 

 

Madame, mademoiselle ?

 

Merci de transmettre la copie de cette lettre au Président d’Habitat -(qui après l’avoir lu comprendra qu’il faut cesser de jeter l’argent par les fenêtres – cela ne fait qu’une majorité de gens gâtés, ingrats, mal polis et etc.).

 

Sans avoir de nécessité à plus de recherche[s], je puis vous communiquer de façon détaillée le montant de mes revenus, ce que vous m’avez demandé de vous faire connaître : 

 

 

AAH: Allocation Adulte Handicapé: 900,00 € mensuel, annuel: 10 800,00 €

Allocation maintien à domicile:        107,47 € mensuel, annuel:   1 289,64 €

Allocation logement:                        259,73 € mensuel, annuel:   3 116,76 Solidarité logement:                           50,23 € mensuel, annuel:          602,76 

 

Total mensuel:                           1 317,43 €                    annuel:15 809,16 €

 

Vous n’êtes pas sans savoir les dépenses mensuelles qui me concernent: Loyer, Charges Locatives, Assurance Appartement, Télécom et Internet, Électricité, Gaz, Assurance Médicale -(Mutuelle), Financement de la Mesure de Protection de Curatelle -(ce sont là, dans mon cas, nous les reconnaissons, des dépenses de première[s] nécessité[s])- et sur l’ensemble de ces revenus établir une petite marge auquel je n’ai pas vraiment accès, économisée par sécurité par le curateur -(probablement pour financer ma mort – cela présume que celui qui fait l’objet d’une curatelle est bête au point de ne pas savoir qu’il a à faire des économies pour ce moment. Cette » marge « est donc contestable sur ce point, bien qu’heureusement prudente pour les crédits financiers propres et mérités de droit publics – C.F.P.M.D.P. – » les deniers publics «)- dont je tiens les informations ci-dessus à mon sujet.

 

Une fois toutes les dépenses de première[s] nécessité[s] –(ci-dessus la liste)- effectuées, je n’ai pour mes dépenses personnelles -(ce qu’on appelle « argent de vie » ou » pour vivre «)- que, depuis peu, 160 euros par semaine -(quand je n’avais que 125 -(et même il m’est arrivé en 2013, alors que j’avais rendu dans le passé de nombreuses personnes très riches, d’avoir bien moins que cela)- avant d’en avoir 145 euros -[en réduisant la dite » marge « ci-dessus]- jusqu’au jour où j’ai pu bénéficier -[récemment, depuis 2020]- en plus, -[de]- l’allocation maintien à domicile –[voir ci-dessus son montant], ce qui a permis de passer non sans mal à 160 euros par semaine pour ma nourriture et les frais qui concernent hebdomadairement l’entretien du deux pièces où je vis de la Charité publique en raison de ma situation reconnue d’handicapé –[donc, en moyenne, 140 euros par semaine pour manger et boire en, heureusement pour tous, végétarien – ce qui permet de faire de petites économies], mais aussi ces 140 euros et les vingt supplémentaires pour, en économisant dessus, me vêtir, me chausser, réaliser avec des cartes mémoires -[à financer là-dedans -(ces 160 euros)]- des images, comme périodiquement assurer le renouvellement de mes  appareils caméscopes pour partager des photos et des vidéos de recherches expérimentales ou d’autres ordres ou/et sujets

N. B. : suite après le paragraphe suivant :

 

-[que, quand je trouve le temps, je publie sur Internet]. Aussi il y en a beaucoup que je n’ai pas encore publiées mais qu’il faudra, quand je les aurais transmises à mes héritiers, soit pour le moment mes nièces et neveux, voire l’Etat ou/et la Mairie de mon arrondissement s’ils devaient les refuser. Ces images valent chacune la peine -[au point de permettre, en raison de leur quantité, de créer une fondation / organisation / association à mon nom]- d’autant que ces images seront un témoignage de mes nombreuses préoccupations esthétiques quotidiennes car elles seront à parler d’un »« certain regard »«, le mien, dans chaque époque très différent de tous les autres, d’autant plus que j’ai essayé, [à l’occasion de cette réincarnation]- pendant des années, de rétablir la Vision du Paradis ou/et d’Ôz et les autres quasi synonymes, Eden, Atlantide, etc. qui a disparu depuis la très grande catastrophe qui a eu lieu il y a des millions d’années, en créant des antagonistes/mes plus ou moins tragiques, dramatiques et/ou féconds,

 

comme des œuvres peintes ou/et dessinées –[tout cela représente des frais à caractère privé -(de provenance privée)- à l’origine sacrés, ces coûts / dépenses financières précis y compris en informatiques –(disques durs externes, mais aussi papiers photo à imprimer, donc encres à régulièrement devoir changer / payer, appareils photo et ou vidéo qui, hors garantie, sont à –[dans l’un ou l’autre de ces cas]- parfois devoir réparer, occasionnant comme les autres achats des déplacements –[et des frais imprévus qui ne tombent jamais bien], toiles vierges à acheter, couleurs –[des pastels à l’huile à acheter périodiquement]- et dont il faut, comme pour le papier, avancer la dépense du moins en l’absence de vente[s] des œuvres réalisées y compris pour stocker ces œuvres), comme périodiquement l’achat d'une paire de chaussure annuelle. Donc toutes ces dépenses et d’autres dont j’ai, à cette heure-ci, probablement oubliées qu’elles sont, périodiquement, sur/avec les vingt euros par semaine d’économisés –(d’autant plus que végétarien, ce qui facilite ces économies)- depuis, heureusement, cette allocation supplémentaire dont j’espère continuer à bénéficier cette année et les années prochaines car sinon je ne dispose que de l’argent pour me nourrir en végétarien et pas beaucoup plus, sauf quand j’arrive une fois de temps en temps à économiser sur la nourriture et les autres frais de vie : éponges, sacs poubelle, dentifrice, savon, recharges pour le balais hippie et le seau pharaon, laver à la mains la vaisselle pour ne pas avoir à acheter un lave-vaiselle[s] –(ce qui n’est pas très utile pour, pour l’instant et depuis 2005, une personne vivant la majorité du temps seule)- mais avoir à payer pour le savon du lave-linge qui m’a été offert par ma mère. Grâce à cette somme je peux parfois imprimer des photos sélectionnées et les mettre dans des albums -(que j’ai à payer avec les coins pour fixer les images, autocollants)- parmi toutes celles que j’ai faites -(en moyenne de cinquante à cent par jour sans compter les séquences vidéos et cela depuis mon arrivée au 20 de la rue de l’Ecole Polytechnique)- comme les cheesOmeletArt -(vous pouvez en trouver une ou deux sur Internet)- ou/et les vidéo-nuages diaporama de la série R. Donc il s’agit avec ces vingt euros -(toutes les semaines)- que j’économise de mon argent pour vivre et d’avoir des activités utiles à tous -(c’est à dire pour m’occuper, quand je ne souffre pas excessivement, à des activités bonnes pour l’esprit. Je veille alors à pouvoir financer ces heures de labeurs : du thé régulièrement ou/et du café, voire du chocolat pour les moments fastueux. Cela sont des petits coûts qui s’accumulent et ne doivent pas dépasser tous comptes faits ces vingt euros par semaine –[qui servent aussi petit à petit à faire les économies pour m’habiller et me chausser et acheter des instruments dont j’ai besoin pour mes recherches audio-visuelles]. Bien sûr je ne peux jamais aller au cinéma alors que j’en suis entre autre Docteur à la Sorbonne –[Paris I]- où je l’ai trop peu enseigné –[car m’attendait l’année 2005 où je me découvrirai immense dans le ciel des années 1977 et années suivantes et où j’aurai fort à faire pour le Bien et l’Intérêt Général en profitant de ce que ces époques sont l’Espace et le Temps synchrones entre elles], je ne peux pas / plus -[financièrement]- aller –[et cela déjà depuis longtemps]- au Théâtre, ni à l’Opéra, ce qui serait indispensable pour m’instruire et progresser dans la connaissance de choses essentielles à/pour mes activités et/ou recherches afin de poursuivre avec ma personne la construction d’un esprit libre ayant à réfléchir aussi et entre autres sur le Cinéma –[notemment avec l’écriture de mes premiers scénarii]- et proposer à des producteurs des films à réaliser à partir de ces scénarii. Je ne peux pas –[financièrement]- aller écouter sur place un concert ou/et un opéra. Je ne peux pas aller aux expositions payantes alors que je suis peintre et dans l’avenir sculpteurs et chanteur dans une chorale, etc. . Je ne peux pas voyager – tant que ma fortune ne sera pas faite - alors que j’ai été, entre autres, dans les années 1980 le réalisateur d’un petit documentaire d’amateur en Super 8 de 26 minutes Le Mexique des Campesinos que j’ai financé moi-même avec l’aide de ma famille –[mes parents, père et mère]: je pourrais ramener de ces voyages des sujets intéressants et/ou insolites à monter et réaliser pour les partager. Bref, je suis pauvre). Je sais donc ce que c’est que d’être pauvre -(ce qui est très important / utile / primordial, notemment avant de se marier pour attendre ou/et adopter des enfants –[donc chercher à aider, si l’enfant sans proches parents ou/et entourages, donc moins bien loti que tous ceux qui naissent au sein d’une famille légitime, en raison de l’obtention du sacrement du mariage. Il est difficile que quelqu’un qui n’a pas connu la pauvreté parvienne à la richesse en toute honnêteté -(bien que j’espère naturellement que cela soit possible aux fils des plus riches, pour continuer à l’être justement et/ou charitablement. Mais qu’on ne s’attende jamais à de la gratitude, celle-ci n’est pas le propre de l’être humain, sauf dans certains SPOK – voir plus loin pour le sens de cet acronyme exceptionnel – si civilisé). En raison de la réduction du pouvoir d’achat depuis le choc pétrolier, je ne peux plus aller dans un des restaurants végétariens de Paris pour m’éviter une fois de temps en temps d’avoir, comme je le/la fais, la cuisine tous les jours à faire, voire d’avance pour la semaine. Cependant après treize années sans télévision, j’ai enfin la possibilité de la revoir -(j’ai, grâce à mes économies, pu acheter un écran plat), ce qui est, souvent, merveilleux d’autant plus qu’elle est en couleur et qu’elle bénéficie, comme mon ordinateur -(qui m’a été offert par ma fiancée), de cet écran plat -(s’étant, grâce aux lois de la meilleure gouvernance industrielle et commerciale même en temps de crise économique, démocratisés -[malgré les augmentations du prix du baril de pétrole – en raison qu’ils sont moins chers à transporter que les télévisions d’autrefois]- au sens où ils -(ces écrans plats)- sont accessibles financièrement même pour ceux qui sont handicapés, voire démunis). Aussi, si ce n’est à cause des souffrances que j’endure à cause des effets secondaires d’un médicament qu’il faudra dare-dare supprimer, je ne me plains pas, sachant d’autres personnes beaucoup plus en difficulté que moi qui, cependant, avait trouvé en 1977, (par très saint [a]Amour des plus véritables pour ma fiancée S. A. I. S. S. S. S. L. P. Christine … Lang, »« pour ne point la nommer »« -[expression étrange qui provient probablement d’une personne s’étant crue contrainte par la situation de.à mentir])- la solution alternative élégante radicale et exactissimissimissime –[soit la plus juste]- pour éradiquer sur l’heure toute la pauvreté et la misère matérielle dans le monde entier : c’est que j’étais alors très véritablement amoureux –[de cette Promise et je le suis toujours de cette –(encore)- par bien des aspects jeune femme]- car depuis au moins dix ans –depuis l’âge de mes quatre ans - je savais que j’attendais mes enfants d’elle ! Je voulais la rassurer en lui disant qu’avec ma solution alternative élégante du pétrole à bas coût –[nous offrant, entre autres, (la possibilité)- de réaliser les énergies alternatives propres à moindre coût]- aucun de nos descendants et des enfants de ces générations à venir n’auraient plus jamais des problèmes d’argent / matériels. C’est que j’avais trouvé la cause –[l’origine]- de ce qui n’allait pas justement dans le Système. Aussi avec l’origine –[la cause]- de la grande majorité des malheurs, maladies, difficultés, etc. j’avais dans les temps qui ont suivi mathématiquement / logiquement trouvé le remède : il fallait pour que tout remarche sans misère et pauvreté matérielle absolument baisser le prix du baril de pétrole et le porter dans un premier temps à un centime de dollar le baril et tout irait merveilleusement pour tout le monde –[les dettes des États pouvant être, entre autres, enfin payées, soldées, remboursées !]).

 

En effet, il suffisait, au cours de cette première étape, de porter le prix du baril de pétrole à un centime, puis en raison du miracle économique qui en résultait mathématiquement[1] et/ou très logiquement[2] de le porter -(ce prix du baril de pérole)- à 0,01 centime de dollar le baril sans pour autant avoir à faire mieux encore : 0,000 1 centime de dollar le baril, ce que j’ai finalement proposé depuis ces dernières années comme un des objectifs à atteindre en même temps qu’on fera périodiquement réapparaître, en finançant les énergies propres à bas coût, la Vision du Paradis, soit celle d’Ôz, d’Atlantide, et des autres quasi synonymes, donc d’etc. ). 

 

Aussi pour payer / financer l’augmentation du loyer mensuel après les travaux que vous avez dit vous -[ne]- ferez -[que]- si vous obtenez l’accord des locataires et pour lesquels si c’est oui, il faudrait que chacun des locataires de cet immeuble déménage, si j’ai bien compris, de 2021 à au moins 2024, (ce qui est énormément de temps, en réalité beaucoup trop longtemps, même si vous arrivez à réduire ce temps à six mois comme vous l’avez aussi laissé entendre. Six mois dont personnellement je doute que cela soit le temps minimum à avoir à déménager en raison des nuisances sonores par les travaux réalisés, comme vous nous l’avez dévoilé, empilement après empilement -(au lieu de les faire en même temps tous les empilements confondus), ce que vous m’avez dit sera avec l’augmentation du loyer ou/et des charges, autour de vingt à vingt-cinq euros et cela signifiera que j’aurais à payer cette somme sur la petite subvention récemment obtenue -(par mon assistante sociale)- et qui me sert beaucoup -(dans la mesure où elle serait renouvelée et sur laquelle je vais devoir renoncer à environ sept ou 8 euros d’économies par semaine –[donc cela, toutes les quatre semaines, fait  environ: 8 x 4 = 24 euros sur les quatre-vingt euros que je fais comme économie[s] par mois et cela pour financer un café par jour, voire une fois par semaine un chocolat et les économies pour toutes mes autres dépenses -(voir plus haut)- pour produire et diffuser par Internet gratuitement l’accès à mes œuvres transformées en photos-vidéos à partir des originaux -(ce qui occasionne régulièrement des dépenses pour des disques durs externes où archiver mes documents / photos / vidéos qu’en raison de la crise économique depuis le début du choc pétrolier en 1973, je ne peux plus photographier / réaliser avec de la pellicule y compris mes vidéos car je ne puis accéder pour l’instant -(à moins de trouver des producteurs à cette fin)- qu’à la réalisation de/en vidéo amateur et non avec du matériel film, ce auquel je suis en droit d’accéder comme responsabilités, compte tenu de mes divers essais cinématographiques dont celui de La Momie à Mi-Mots -(que vous pourrez découvrir gratuitement sur You tube en vidéo) alors que j’ai tourné cela en 16 mm et que c’est pour le Cinéma, sorti en salle de Cinéma dans les années 1995-2000 en 35 mm)- donc vous comprenez que j’aurais à financer sur ces douze seuls euros qui me restent par semaine le renouvellement périodique de mes vêtements et les différentes matières premières que j’utilise pour mes différentes recherches artistiques et/ou informatiques -(ce qui nécessite, je l’ai dit, par an de nombreux disques durs externes), alors que j’aimerai tourner de chez moi, en Omnimax, tout spécialement et entre autres, mes »Vidéo-Nuages-Diaporama de la série R « et suivantes pour la Géode comme réaliser en 35 millimètres les CheesOmeletArt et autres scénarii.

N. B. : suite après le paragraphe suivant :

 

-(ce qui me contraint à ces économies de bout de chandelle. Aussi, une fois payée cette augmentation de loyer, il me restera – si je continue à recevoir l’allocation en question – ce qui exigera que mon assistante sociale refasse la demande - douze euros d’économies par semaine –[pour financer toutes mes autres dépenses -(dont les économies pour m’habiller et me chausser)- et économiser pour acheter ma paire de chaussure annuelle, changer mes vêtements, économiser pour acheter une nouvelle paire de draps, voire une serviette de toilette et les disques durs externes où je dois stocker mes images et cela si, par chance, je continue à obtenir cette subvention qu’il faut que mon assistante sociale – qui l’a obtenue pour moi -  redemande donc périodiquement – ce qui risque de lui occasionner une gêne pour les autres actions qu’elle considèrera plus urgentes / prioritaires])-

 

 

Une fois ces huit euros par semaine à dépenser en plus de mon loyer actuel avec les charges et cela si vous faites les travaux de réhabilitation alors que je n’ai donné mon accord que pour des rénovations au cas par cas, étant donné que j’ai pu vérifier en m’y installant et en vivant dans les lieux depuis 2013, que c’était amplement suffisant pour cet immeuble à vocation sociale, exemple de l’Architecture Sociale des années 30 et à cause des oiseaux et autres nus que j’ai dessinés / peints / décorés / etc. -(au moins cinquante années de recherches diverses et de labeurs et toutes mes réincarnations passées pour parvenir à de tels traits)- sur les murs du deux pièces dont je dispose, munis d’une cuisine, d’une douche, d’un lavabo et d’un cagibi-placard, cet appartement et cet immeuble ainsi valorisé par ces décorations au pastel, sera, le jour venu, en raison aussi de son intérêt dans/pour l’Histoire de l’Architecture Sociale, classé au Patrimoine -(national)- historique et à conserver dans l’état -(y compris ma porte d’entrée – même si on veut la changer pour une plus conforme à/pour la sécurité en matière d’incendies, une coupe-feu, ce à quoi je ne dis pas non -(mais ce qui ne nécessite aucunement d’avoir à déménager pour un pareil élément à, si on veut, changer et qui se réalise chez le menuisier puis requiert une demi-heure à une heure, voire un peu plus pour être posé.

 

En fait, si on comprend bien ce qui se passe, il ne faut déménager qu’uniquement à cause du changement inutile de l’emplacement pour l’arrivée d’eau et son évacuation, ce qui contraint à beaucoup plus de travaux et à cause de ceux-ci ainsi devenus plus importants et casse-têtes, à déménager ! Hors j’ai pu vérifier, en conservant les cheminées qu’on peut remettre à une occasion ou une autre en fonction au lieu de les vouloir détruire – c’est plaisant un feu de brindilles de bois pour manger des pomme-de-terre sous la cendre avec du bon vin - les espaces, tels qu’ils sont, ne doivent pas être modifiés, notemment en se gardant de changer les fenêtres -(pour croire ainsi mieux plaire aux Monuments Historiques)- qui sont admirablement ingénieuses d’étanchéité en PVC et double-vitrage. Donc à ne surtout pas changer pour les mêmes avec en plus cet encadrement de bois -(mais si on tient tant que cela à les changer pour des plus étanches, ces fenêtres sont préparées chez le menuisier ou le marchand de fenêtres et puis une fois prêtes posées, les trois, durant une journée ou deux ou trois, quelques heures, ce qui n’exige pas non plus le déménagement du locataire et ce qui se fait en programmant l’intervention de concert avec le locataire, le jour où celui-ci aura à prévoir son déplacement pour laisser travailler ces ouvriers chez lui. Mais encore une fois, comme il s’agit du même type de fenêtre déjà très imperméables au sens d’étanches -(qui ne laissent passer que très peu d’air, par conséquent qui ne font dépenser que peu en chauffage, bien qu’il est/soit vrai qu’on puisse les vouloir encore plus étanches, par conséquent à changer, mais permettez-moi de vous redire que cela ne contraint nullement à devoir déménager pour ce faire. Les fenêtres vues dans l’appartement témoin sont telles plus étanches ? Ce sont les mêmes simplement encadrées différemment de bois - (sont-elles réellement plus étanches ? Et un menuisier ou un faiseur de ce type de fenêtres – le spécialiste de cette marque de fenêtre - ne peut-il pas, en sortant ces fenêtres de leur encadrement, les rendre plus simplement plus étanches en augmentant la taille / épaisseur des deux joints tout autour ? Voire, sinon, en ayant simplement à changer le cadre de la fenêtre avec son  joint rendu plus épais, car tel qu’il est laisse, il est vrai, passer un tout petit peu d’air froid en hiver mais heureusement au-dessus des radiateurs ce qui le rend vite tiède une fois mélangé à celui brassé par le radiateur ?). Les fenêtres dont l’encadrement serait en bois ne sont pas nécessaires car telles qu’elles sont en PVC elles sont déjà très efficaces / étanches -(cependant que nous vous disons qu’elles pourraient l’être beaucoup plus en augmentant la taille et l’épaisseur des deux joints du pourtour de ces fenêtres au point que cela pourrait rendre plus difficile de les ouvrir et les fermer car telles qu’elles le sont actuellement aussi aisément qu’elles le sont, c’est comme s’il n’y avait pas de joints, au point qu’on comprenne pourquoi un peu d’air rentre dans les chambres)- et hyper hi-tech –(et nous font bénéficier des avancées techniques de notre époque qui, en rendant plus important les joints dans l’encadrement de ces fenêtres les rendra totalement étanches sans pour autant avoir à les changer pour les mêmes en bois où le problème du joint, soit de l’étanchéité maximale pourrait se reposer, tandis qu’avec celles qui sont en place, on sait qu’il n’y a qu’à augmenter l’épaisseur et la hauteur de ces joints d’encadrement et de bord du cadre de la fenêtre pour arriver à proposer une plus grande étanchéité, voire totale, en quelques heures de poses de ces nouveaux joints au domicile).

 

Si on tient autant que cela à changer le chauffe-eau dans les appartements anciens qui ne disposent pas comme dans le mien d’une admirable chaudière Leblanc, cela peut se faire en une journée de travail y compris le changement des radiateurs et, encore une fois, cela peut se faire au cas par cas, dans le cadre d’une rénovation, pour les appartements qui ne disposent pas, comme le mien, de cette admirable chaudière Leblanc récente -(de 2013)-. Ce qui se fait dans le cadre d’une rénovation et au pire en une ou deux journées de travail -(voire moins, car ces nouvelles chaudières comme ces radiateurs sont livrés prêts à l’emploi et simplement à poser, c’est-à-dire à raccorder aux différents tuyaux qui existent déjà. Par conséquent un travail de plombier qualifié sans avoir à contraindre pour autant le locataire à déménager. A un autre moment on peut, de la même manière – en ayant tout préparé d’avance à l’atelier, s’occuper d’augmenter un peu l’étanchéité d’une ou l’autre des parois, si cela s’avère nécessaire entre les fenêtres -(mais celles-ci, dans mon cas, sont une par espace cloisonné en chambre / pièce et si les joints des fenêtres telles qu’elles sont sont changés pour des plus épais et/ou plus longs enfin plus importants il n’y a plus de rentrées d’air froid l’hiver, car cela sera alors l’étanchéité maximale au point de permettre de réaliser des économies en chauffage). C’est la même chose pour le système pour renouveler automatiquement l’air en cuisine -(ce n’est pas une chose qui nécessite un déménagement du locataire car cela peut être posé en une ou deux journées de travail en se servant de l’actuelle tube de cheminée de la chaudière / chauffe-eau actuelle).

 

Ce ne sont donc que les modifications des espaces et des cloisons à cause du changement de la place des W. C., du lavabo et de la douche qui requièrent plus de temps de travail, voire de casser les sols si on ne dispose pas d’une machine pour vriller et trouer les sols afin de faire passer ces conduites d’eau autre part et donc, si on n’y arrive pas en une seule journée à chacun des étages de contraindre le locataire à déménager d’autant la modification totale de l’espace des pièces. Or je vous ai démontré / prouvé que tels que sont conçus ces espaces, (tels qu’ils sont placés), parce que l’arrivée de l’eau et l’évacuation de l’eau ont été admirablement placés  / situés de façon sacrés -(car cela fait qu’on a de ce fait aussi pensé d’avance aux déplacements des personnes âgées pour rejoindre les W. C. plus facilement), il ne faut sous aucun prétexte changer ou modifier les volumes / espaces actuels en ayant tous à devoir sacrifier le si indispensable et très utile cagibi / placard pour y mettre dedans éloigné de chacune des pièces, la douche, le lavabo et les waters, ce qui fait, en ayant autant que cela de pas à faire pour rejoindre ces toilettes, perdre cet espace indispensable de rangement, en faisant perdre dans mon cas, qui plus est, un évier double en cuisine et dans le cas de l’appartement témoin modifie considérablement les volumes des pièces d’origine au point de rendre incohérent les espaces habitables avec l’époque de la façade, ce qui n’est pas nécessaire, ce changement de décors de théâtre, étant donné qu’une simple rénovation suffit amplement / largement).

 

Il faudra trouver où l’entreposer, ma porte, dans le lot, telle qu’elle est, pour la conserver. C’est un moment important dans l’Histoire des Portes mais aussi de l’histoire de l’Eanmeailleurs d’Ôz.  Porte que j’ai décorée d’un des De Media Patata car avec moi ce n’est pas n’importe qui qui a œuvré artistiquement à l’intérieur de ces murs : C’est entre autres réalisations à mon actif, l’inventeur de l’eanmeailleurs -(en raison de mes qualités et de mon œuvre -[entre autres contre les préjugés -(y compris en matière de cuisine)]), d’avance la possibilité de donner, quand j’aurais à disparaître, à faire au moins une plaque sur le mur extérieur de l’immeuble, à mon identité -(belle consolation : on est parfois connu post-mortem quand on a fait partie des injustement traités / considérés)- ce qui aura pour conséquences de drainer un peu plus de tourisme au Panthéon et comme bonus aux happy few de découvrir chez moi -(qu’il faudra un jour reproduire à l’identique dans l’un des appartements de l’empilement en raison de ce que trop de gens respirant dans un même endroit risquent de détériorer les dessins / pastels originaux -[de]- sur les murs. Mais aussi, plus simplement, (ces touristes qui apparaissent déjà de temps en temps dans l’Impasse des Bœufs)- en raison de l’originalité de la construction de cet immeuble pour une meilleure connaissance de l’architecte qui l’a conçu -(au fait comment s’appelle-t-il ce génie méconnu qui a servi aussi noblement le social ? N’a-t-il pas construit ailleurs d’autres merveilles à découvrir ?). Il est effectivement admirable dans les détails qui caractérisent son architecture / oeuvre en la rendant originale y compris pour avoir déterminé le point pour l’arrivée de l’eau comme celui de l’évacuation -(du coup les waters et la douche sont admirablement placés comme l’évier et le chauffe-eau. Les changer de place -(comme modifier le point d’arrivée de l’eau et l’évacuation)- est un non sens [a]Architectural au point d’être très véritablement sacrilège, voire scandaleux y compris crime de lèse-majesté en [a]Architecture vis-à-vis de ces très bons -(au sens de très justement trouvés), emplacements de ces tubes / colonnes pour les eaux à ce jour, heureusement, encore en fonction. Je veux dire qu’ils sont bien là où ils sont et qu’il convient que Dieu nous garde d’y toucher car ceux qui le feront malgré mes avertissements risquent fort -(il y a un bon nombre de probabilité que cela soit)- d’obtenir une réincarnation malheureusissimissimissime, tristissimissimissime, tragiquissimissimissime, cauchemardesquissimissimissime et etc. en ayant cru pouvoir détruire, malgré mes avertissements, les représentations sacrées et/ou profanes dessinées de ma main sur les murs de ce deux pièces où je loge.

 

Je vous prie de lire ci-dessous ma lettre au président et au directeur d’Habitat, voir à madame la maire du Cinquième arrondissement. Vous comprendrez mieux pourquoi je parle de sacrilège quand il faudra -(si l’accord est obtenu pour effectuer les travaux de « réhabilitation » au lieu de nous contenter de rénovations au K par K plus respectueuses de l’[a]Architecture mise en œuvre), alors qu’on sera un jour âgé, (sur/dans les nouveaux plans proposés pour cette « réhabilitation »)- avoir à faire au moins quinze pas de plus -(de personne âgée)- à l’aller -(et quinze au retour)- pour se rendre périodiquement -(quotidiennement plusieurs fois par jour)- aux waters -(expérience que j’ai menée chez moi à partir de/sur ces nouveaux plans proposés)- alors que dans la configuration actuelle on en fait tout au plus quinze à l’aller comme au retour -(donc trente à quarante de moins de ce que vous envisagez à la fin de ce que vous appelez une réhabilitation. Une réhabilitation ça consiste à respecter les plans initiaux quand ceux-ci sont autant de qualité -(comme c’est notre cas) et qu’on comprend pourquoi les volumes des espaces ont été conçus comme il le sont s’articulant autour des points d’arrivée et d’évacuation de l’eau, ce qui mène à périodiquement de respectueuses rénovations, d’avance reconnaissantes envers les plans d’origine -(ayant exigé de nombreuses réflexions pour arriver finalement à les arrêter comme ils le furent avant les travaux de construction sous la houlette de l’architecte-auteur de départ et cela pour ne pas dénaturer son travail par de plus coûteux travaux contraignants à devoir déménager l’ensemble des locataires de 2021 à 2023 ! Alors que des rénovations au K par K ne prennent que beaucoup moins de temps, d’autant plus qu’on pourra déménager dans un des appartements vide de l’immeuble avec ses effets en attendant que soit terminée cette rénovation, ce qui signifie remise à neuf d’espaces conçus historiquement le mieux du monde possible à partir du volume des espaces vides dont disposait l’architecte de départ), ce qui est donc amplement suffisant -(les plans d’origine étant ainsi admirablement conçus pour nous éviter ces efforts -(trente à quarante pas de personne âgée à chaque fois, donc plusieurs fois par jour, ce qui, à la longue, fait des kilomètres de temps perdus)- inutiles en plus d’autant qu’on perdrait l’espace indispensable de rangement du cagibi / placard pour ces toilettes – salle douche).

L’effort alors exigé est quasiment doublé, ce qui rendra tôt ou tard cauchemardesque la vie de la personne âgée -(aussi on n’a pas le droit de faire une chose pareille à des personnes qui se sont données du mal pour améliorer les choses et nous rendre le monde plus facile à vivre : c’est régresser à une situation où c’était plus difficile de vivre -(et dans laquelle on trouvait les W. C. près de son paliers)- en mettant les W. C. à l’entrée de l’appartement, par conséquent c’est, dans ce SPOK -(nous y voilà : acronyme exceptionnel de situation précise, occasion, cas particulier, car ici c de » cas « et p de » particulier « = k de SPOK)- sacrilège de changer de place les waters et la place de la douche comme du lavabo -(et celle de l’évier de la cuisine – un autre sacrilège car il ne peut pas être mieux placé qu’il ne l’est actuellement, double, sous la fenêtre dont on bénéficie de l’éclairage pour laver la vaisselle et cuisiner)- puisque cela contraindra au bas mot la personne âgée à faire trente pas de plus -(à chaque fois qu’elle devra aller et revenir des toilettes ou/et de la douche ou/et du lavabo réalisés à l’entrée de l’appartement dans l’espace du cagibi / placard –[donc sans fenêtre ni aération naturelle, ce qui est pourtant le cas de la douche et du lavabo actuellement placés avec une sorte de hublot / lucarne qui sert à aérer]), du nombre de pas -(de quinze à vingt pas d’ampan moyen, voire courts)- qu’elle fait déjà pour se rendre aux waters où ils sont encore actuellement -(pour le moment)- judicieusement placés : Absurde ! Scandaleux ! Ignoble ! Etc. Ces nouveaux plans sont le fruit d’une imagination d’immatures en plus véritable [a]Architecture. De personnes qui, dans ce cas/SPOK, n’ont pas pensé pas au paramètre des locataires / habitants plus âgé[e]s -(et cela alors qu’il s’agit d’architecture sociale ! Donc censée tenir compte de ce genre d’handicape)- et à leurs difficultés de bouger dues à leur grand âge : c’est pourquoi ils -(ces nouveaux plans de « réhabilitation » - [lire ici avec tout le ton ironique que ces guillemets indiquent / précisent]- sont sacrilèges en Vérité, ce qui signifie autrement dit par » acquis de conscience « -(attention ici il ne s’agit pas des mêmes guillemets que plus haut et qui sont de ceux à lire ironiquement), par conséquent en ayant accès à la Connaissance / Vérité dans la plupart des matières / disciplines / dont celle d’[a]Architecture. Donc à ce qu’il vaut mieux -[dans notre cas, pour notre résidence,  il convient de respecter le lieu sacré trouvé par l’architecte-auteur pour l’arrivée et l’évacuation de l’eau, soit l’emplacement actuel qui est celui qu’il fallait trouver / prévoir sur plans dans tous les virtuellement possibles que la superficie de ces appartements offraient avant d’avoir à y songer. En choisissant quasiment central dans tous les appartements liés à l’empilement de celui où je loge, cela permet aux personnes âgées –[comme aux enfants mais aussi aux adultes]- de ne pas être contraintes à ces trente à quarante -[petits] pas supplémentaires -[quand on est âgé, on appartient parfois à ceux qui sont obligés de faire des petits pas, d’autant que l’on appartiendrait à des handicapés des jambes ou/et des pieds. D’où qu’il soit heureux dans la situation actuelle d’avoir de moins nombreux pas à fournir. C’est bien donc ce qu’il convenait de prévoir en trouvant l’emplacement pour l’arrivée et l’évacuation de l’eau – ce qui fut fait en trouvant judicieusement l’emplacement actuel de l’eau pour les W. C. et la douche qu’il ne faut sous aucun prétextes changer de place. Cette dernière, la douche, dans mon appartenant, donnant sur une petite lucarne qui sert pour aérer l’espace du lavabo et de la douche -(et qui servait autrefois pour aérer les W. C. quand la cloison entre le lavabo et les W. C. était seulement haute à moitié derrière le lavabo et les W. C. , ce que j’ai découvert est encore le cas dans l’appartement de départ -(de celui aujourd’hui témoin)- que j’ai visité et qu’il aurait fallu présenter rénové et non dans cet état de détérioration d’abandonné non rénové. Cela aurait permis aux locataires les moins architecte[s] de comprendre qu’une fois seulement rénovée la même superficie -(dans le même empilement)- ayant servi pour réaliser l’appartement témoin -(du même empilement), était/sera admirable sans avoir à effectuer ces travaux de « réhabilitation ». Non, on a choisi de nous montrer un appartement laissé à l’abandon, non rénové -(par conséquent cela explique l’enthousiasme de certains en découvrant l’appartement témoin. Enthousiasme causé par le très/trop grand contraste qui est naît de la très grande différence qui existe entre un appartement abandonné depuis l’absence du locataire et celui « réhabilité » où on comprend pourquoi la colonne d’évacuation d’eau comme le tuyau d’arrivée d’eau y est située là où ils le sont en raison d’où se trouvent actuellement les waters, la douche et le lavabo ayant accès à l’éclairage naturel – et non mis dans un cagibi-placard sans lumière naturelle comme ce serait le cas pour mon appartement et tous ceux de mon empilement – donc situés au-dessus et au-dessous de chez moi). Aussi beaucoup de locataires ont été victimes de la différence avec l’aspect remis à neuf « réhabilité » de l’appartement témoin que j’ai pu visiter ces jours-ci car il y a effectivement à premières-vues un contraste important qui apparaît en défaveur de l’appartement tel qu’il est aujourd’hui à rénover et cette façon de faire n’est pas des plus honnête[s] car c’est proposer d’un côté un lieu détérioré -(abandonné à l’occasion du départ d’un locataire, donc ayant beaucoup servi)- à comparer avec du flambant neuf -(dans lequel on n’a pas hésité à détruire le cagibi-placard pourtant si utile et nécessaire et à changer de place l’arrivée et l’évacuation de l’eau)- alors qu’en rénovant l’appartement au-dessus de l’appartement témoin, on aurait alors plus véritablement donné le choix, en donnant une chance à/de nous contenter tous de la rénovation -(plus respectueuse de l’architecture d’origine témoignant de toute une époque, sans la détruire)- tant cette rénovation -(comme elle a eu lieu chez moi avant que je n’occupe ce deux pièces)- aurait été faite en respectant les plans initiaux, soit l’esprit de l’auteur-architecte en rénovant l’appartement au-dessus de l’appartement témoin : il y a dans cet appartement d’origine, soit celui qui existe actuellement, une fenêtre et les W. C. en bénéficient, grâce à la cloison coupée à moitié -(de cette lumière naturelle). Cette cloison à moitié : une solution ingénieuse d’époque -[bien sûr à conserver pour illustrer l’Histoire de l’Architecture, en faisant classer l’immeuble]- pour garantir l’aération de façon très originale et simple -(ce qu’il a fallu s’ingénier à penser). Chez moi les W. C. sont placés très justement pour me permettre facilement d’aller et revenir des W. C. avec au maximum de quatorze à quinze pas d’empan moyen à ma taille de jambes -(je mesure autour d’un mètre soixante-quinze)- pour rejoindre ces W. C., ce qui signifie que l’architecte a tenu compte, en trouvant le lieu idéal où placer l’arrivée d’eau et l’évacuation, de ce paramètre des personnes âgées -(ce qui a à voir en toute cohérence avec le caractère social respecté de la finalité de ces appartements)- pour choisir les points cruciaux de l’arrivée et de l’évacuation de l’eau ! Il les a donc déterminés de façon sacrée, donc en conscience. Dieu soit loué. Cependant avec la rénovation effectuée chez moi j’ai pu dernièrement comprendre qu’on avait fait disparaître l’idée de la moitié de la cloison de séparation entre l’espace où se situe la douche et celui des W. C. comme c’est le cas pour / dans l’appartement abandonné au-dessus de l’appartement témoin que j’ai visité et dans un premier mouvement en raison du contraste avec celui au-dessus, trouvé à première[s] vues réussi, sauf que je suis revenu visiter l’appartement au-dessus après la découverte de l’appartement témoin, donc j’ai retrouvé celui abandonné et non rénové et j’ai pu me rendre compte qu’une fois rénové, il serait parfait -(comme celui que j’ai trouvé avec le mien en m’y installant en 2013 après la rénovation dont il avait fait les frais)- conserverait l’esprit de l’époque qui était admirable en matière d’Architecture Sociale -(par certains détails un peu classique), par conséquent qu’en dehors d’une rénovation il ne fallait pas toucher aux volumes tels qu’ils sont placés. En effet, faites rénover l’appartement qui se trouve au-dessus de l’appartement témoin et donnez-le à visiter, puis présentez l’appartement témoin flambant neuf, puis faites visiter de nouveau l’appartement au-dessus rénové -(donc comme flambant neuf dans les années Trente. Ce qui ajoute du charme, celui de l’époque, [comme si vous entriez à notre époque dans une automobile rénovée de l’époque]), vous découvrirez combien rationnel, juste et classique -(au bon sens de ce mot qui peut en avoir du négatif dans d’autres SPOK)- est cet appartement rénové avec son cagibi/placard très réaliste -(de son très utile et nécessaire volume de rangement)- à côté de la cuisine –[pour y mettre, entre autres trottinettes ou/et vélos pliant, le caddie facilement, une fois les courses faites et rangées dans la cuisine ou dans ce placard]- de la dimension qu’il a, si indispensablement utile / nécessaire – donc, bien sûr, à ne pas s’autoriser à le réduire dans ses dimensions fonctionnelles).

 

Comme je l’ai rappelé, avec ces immeubles, il s’agit d’exemples d’Architecture Sociale des années 1930 -(ce qui signifie qu’il ne faut pas toucher à cet immeuble en raison des enseignements qu’on peut en tirer en matière d’[a]Architecture sociale, voire d’[a]Architecture tout court en raison de l’atmosphère qu’ils offrent une fois rénovés pour comprendre les solutions alternatives élégantes architecturales trouvées à l’époque -[de]- admirables -(y compris dans l’appartement non rénové qu’on nous a donné à comparer avec l’appartement témoin)- d’autant plus que très simples -(c’est un bon sujet de cours pour les écoles d’[a]Architecture, voire un sujet de déplacement[s] pédagogique[s] à faire -(car de nos jours cela est rare une demi-cloison pour permettre de profiter de l’aération naturelle d’une fenêtre ou de la lucarne du coin douche et lavabo, au point que s’il n’y avait pas mes dessins sur la cloison derrière mes W. C., dans l’appartement que j’occupe et qu’on m’a livré admirablement rénové avec la cloison entière qui sépare depuis cette rénovation les W. C. du coin lavabo, on pourrait, pour retrouver l’esprit d’origine, couper de nouveau en deux cette cloison pour bénéficier dans les W. C. de l’air provenant de la lucarne dans le mur de la douche, donc rétablir l’idée -(les/des plans)- de départ, la rénovation ayant choisi de remonter cette cloison jusqu’en haut -(ce qui m’a permis de dessiner dessus et ce qui m’a permis de mettre un miroir au-dessus du lavabo)- car pour comprendre l’[a]Architecture, il est nécessaire de se rendre sur place, pas seulement de voir des films – voire des documentaires, mais de vivre, si possible, dans les différents habitats  / espaces -(qu’on souhaite réhabiliter : on se rend ainsi mieux compte de comment a pensé l’architecte de départ pour obtenir le résultat de ces lieux de vie)- car il s’agit au moins d’espaces tridimensionnels. Vivre dans un de ces espaces devenus appartements jusqu’à comprendre comment ils se structurent c’est une des possibilités qu’offrent aussi en prime/bonus -(en raison de leur âge)- les appartements de cette résidence Carmes / Polytechnique aux étudiants en [a]Architecture du futur car en matière d’architecture moderne ou/et contemporaine, il faut avoir bien compris l’architecture du passé pour réussir à proposer de l’original au point parfois, comme c’est le SPOK ici, d’avoir à défendre des architectures anciennes, heureusement pas encore devenues des ruines, même si parfois ces dernières -[ne]- seraient -[que]- romantiques à souhait).

 

J’espère qu’à la lecture de ces informations vous comprendrez combien cette augmentation du loyer pèsera très lourdement sur mon budget -(d’autant qu’on ne me renouvellerait pas cette dernière allocation – ce que je ne cesse de craindre et si c’est le cas, je ne vais pas avoir suffisemment de quoi me nourrir et me blanchir), par conséquent que je devrai renoncer à bien des choses utiles pour le/un meilleur Bien et Intérêt Général, si vous vous entêtez, contre mon  gré, avec / chez Habitat, à ces travaux de « réhabilitation » au lieu de ceux plus raisonnables de rénovation, malgré les peines que j’ai prises aux investissements de mes explications -(par lettres dont vous trouverez copie ci-dessous à la fin, bénévolement – ce qui a occasionné l’arrêt de mes autres sujets / travaux / recherches)- pourtant très claires pour les limiter à beaucoup plus raisonnable -(cf. les lettres ci-dessous sont fondées sur des années de recherches et expériences architecturales diverses y compris à l’occasion de mes précédentes réincarnations durant lesquelles il est très probable que j’ai souvent exercé en tant qu’architecte en chef -(ce qui expliquerait pourquoi, dans cette réincarnation avant d’être considéré handicapé -(à cause de mes problèmes cardiaques et d’autres choses qu’on saura ailleurs)- moi metteur-en-scène, à l’intérieur de décors choisis, en étant producteur / réalisateur de films / vidéos). D’autre part proposer à des personnes ayant des problèmes financiers -(comme c’est le SPOK pour l’instant pour moi et probablement celui des autres occupants en raison de la vocation de cet habitat social – cependant que je garde espoir que ma situation s’améliore, donc de changer de condition)- des appartements « derniers cris » dans ces façades en brique[s] c’est ne pas comprendre que ces gadgets / nouveautés existent d’abord pour des gens qui n’ont pas volé leur fortune. Aussi proposer autant à première[s]-vue[s] luxueux – derniers cris - comme c’est le cas à première[s] vue[s] avec l’appartement témoin où tout est changé au point de ne rien respecter de l’architecture de départ, soit l’Histoire de l’aArchitecture, c’est essayer, en jetant l’argent par les fenêtres – soit de façon sacrilège vis-à-vis des plus justes MFPMD -(moyens financiers propres et mérités de droit)- à moins d’en avoir obtenu le droit de Dieu - de standardiser -(au sens de démocratiser)- des canons derniers cris pour ne plus faire la différence entre riches et pauvres, soit mettre tous les œufs dans le même panier de la cosi detta Première Classe.

La Première Classe ça se mérite. Il est bon qu’on y accède pour des raisons qu’on la mérite par d’innombrables efforts vous ayant permis d’y accéder par acquis de conscience, en comprenant alors pourquoi le Système est admirable, fondé sur ces échelons qui ont permis, en l’absence de la Vision du Paradis, d’édifier nos diverses civilisations, bien qu’il soit juste, quand nous reverrons tous le Paradis -(y compris je l’espère les non-voyants)- et quand il sera visible partout autour de nous et sur nous -(y compris dans les cabanes ou/et les grottes troglodytes et/ou appartements populaires, soit de seconde classe, voire de troisième ou/et pire d’énième)- qu’alors, d’une certaine façon, nous nous croyons partout chez nous – ce qui -[ne]- sera possible en fin de comptes, vingt-quatre années après avoir initié le Rétablissement de la Vision d’Ôz qu’une heure toutes les cinq heures -(ce qui contraindra l’Ensemble à respecter la propriété privée et les lois les plus justes du monde privé de cette Vision, car c’est ce monde du légitime qui a permis, petit à petit, d’arriver à l’époque dans laquelle on  restaurera / rétablira / restituera cette Vision légendaire / mythique / admirabilissime / paradisiaque d’Ôz, soit celle du Paradis Retrouvé d’avant la très grande catastrophe il y a des millions d’années l’ayant fait disparaître).  

Mais tant que n’est pas rétablie la Vision d’Ôz -(et de ses quasi synonymes de Paradis, Éden, Arcadie, Atlantide, etc.)- il est très/trop prématuré, voire imprudent de faire ces « améliorations » à l’origine de la dénaturation des intérieurs ayant cependant le cachet qu’ils ont, parfois admirable, dans ces immeubles qui ne sont pas non plus en pierre de taille. A vouloir établir ces travaux à tout prix, c’est chercher à faire croire aux habitants de ces immeubles qu’il n’y a pas de pauvreté matérielle dans le monde -(ce qui aurait été le cas depuis 1977 si on m’avait obéi et baissé le prix du baril de pétrole à 0,01 centime de dollar). Ceux-ci, les pauvres du monde entier, financièrement parlant, aimeraient bien avoir les appartements tels qu’ils sont actuellement dans ces logements sociaux une fois -[seulement et pas plus remis en cause]- » rénovés « ou tels qu’ils sont à l’état d’abandon -(contentons-nous donc, je vous prie, avec prudence, d’une rénovation et renonçons tous à cette réhabilitation sacrilège car non respectueuse de l’esprit de toute une époque – les années vingt / trente - devenues de nos jours intéressantes -(une référence pédagogique)- en matière de logements sociaux ayant pris par exemple les formes de ces intérieurs desquels je vous écris dans cet immeuble de la résidence Carmes / Polytechnique en cause), en conservant l’emplacement des points d’eau anciens –(en nous contentant de rénover les parties communes et les plus vieux appartements, c’est aux fils apparents, sur les plafonds des paliers des escaliers, etc. qu’il convient de remédier y compris en cachant, par sécurité, les tubes du gaz devenus apparents en raison de ce qu’on saura dans mes lettres ci-dessous jointes). Les plus démunis s’en contenteraient avec joie sachant qu’il est normal que les riches aient à-premières-vues plus cossu. Cependant cet à-première[s]-vue[s] qui nous a été proposé avec l’appartement témoin à première[s]-vue[s] admirable était précisément sacrilège vis-à-vis de la compréhension -(par l’architecte de ces immeubles)- du caractère sacré de l’eau : c’est pourquoi il s’est ingénié à déterminer les points les meilleurs par empilement à traiter pour l’arrivée de cette eau pure jusqu’aux étages et son évacuation par la colonne des eaux usées elle aussi excellemment placée avant d’avoir à « structurer » / imaginer -(composer sur plan)- ces immeubles. Ce qui n’est pas chose aisée à déterminer car tout va changer à partir de ce choix fondamental -(on l’a vu avec les propositions de les placer autrement par Habitat)- c’est là la difficulté, d’autant, à premières-vues, l’embarras du choix ! Ici -(dans ce SPOK)- il n’y a pas à remettre en cause le travail de cet architecte de départ -(dont on aimerait connaître l’identité)- qui était excellent et autant soucieux qu’il le fut du bien des plus démunis à l’aune de différents détails qui prouvent qu’il n’a pas volé ses honoraires et/ou RFPMD -(revenus financiers propres et mérités de droit à partir des plans fournis : L’immeuble, rien que pour ses escaliers, et les murs de ces escaliers en quasi gravier mériterait d’être classé). A son époque ce qui était proposé par ses soins c’était ce qu’il y avait très probablement de meilleur malgré les àpremières-vue[s] « pauvreté » des matériaux utilisés comme à premières-vues récupérés -(sol dans l’entrée du 20 rue de l’Ecole Polytechnique avec ces tessons récupérés de céramiques brisées comme en patchwork façon mosaïques de très grands carreaux de différentes formes – devenus des clichés depuis S. E. A. I. S. S. S. L. P. Antoni Gaudi). On offrait aussi, alors, une forme de première classe -(que nous ferions bien de conserver dans l’état même si, de nos jours, ces appartements une fois rénovés donnent effectivement l’impression d’être de seconde classe -(mais en ayant une atmosphère originale / mystérieuse). Or il faut comprendre que dans les Années Trente ils étaient, avec l’exemple de ces immeubles, d’une seconde classe admirable qui avoisinait de près la première classe ; ce qu’on comprend parfaitement une fois rénovés ces appartements au point de se sentir aussi bien que dans une automobile populaire de l’époque). Et comme nous l’avons heureusement fait pour l’Orient-Express -(parait-il remis en fonction ces derniers temps)- en le remettant à neuf, c’est précisément ce qu’il convient de faire au cas par cas, donc SPOK par SPOK -(en voyant plus loin : en tenant compte du tourisme culturel et de les conserver rénovés dans l’état d’esprit de l’architecte à l’origine de ces bienfaits visiblement héritiers aussi dans leur élaboration de l’époque classique)- pour chacun des appartements de la résidence en respectant ainsi l’architecture originale et la configuration actuelle des appartements de ces immeubles -(dont il convient, donc, j’insiste, de les rénover régulièrement un par un -[comme ce fut le SPOK avant mon installation]- en oubliant tout à fait cette « réhabilitation » en définitive, tout bien pesé, hélas, infiniment hélas, sacrilège d’une plus vivante mémoire architecturale du passé qu’il est de notre devoir de ne pas trahir). Ainsi rénovés, même en faisant monter la demi-cloison -(entre les W. C. et la douche)- jusqu’en haut, nous conservons une grande partie de l’esprit d’une époque en matière de logements sociaux -(qui pourront servir de décors pour des films dont l’ambiance se situe dans les années 1930, voire ensuite), ce qui n’empêche pas d’en construire de nouveaux -(ce qui est constemment le SPOK)- avec autant de gadgets hi-tech –(qu’on peut, il est vrai, pour la plupart, facilement installer dans le cadre d’une rénovation ne nécessitant par une réhabilitation qui n’en est pas une vraie infiniment respectueuse des emplacements des volumes des chambres, de la cuisine, des WC, de la douche et du lavabo tels qu’ils ont été placé / pensé par l’auteur)- et en cela pour respecter la tradition des meilleurs architectes recherchant le mieux à offrir, si possible, aux déshérités -(cependant qu’il ne faut pas exagérer car cela devient injuste pour les riches n’ayant pas usurpé leur fortune). Aussi on comprendra dans dix ou vingt ans, voire plus, que conserver un vieux logement -(en le rénovant régulièrement – c’est à dire en le soignant sans le changer de tout au tout comme le propose cette « réhabilitation » sacrilège de l’héritage du XIXème siècle et début vingtième)- c’est autant merveilleux que de rouler de nos jours -[certains jours]- avec une vieille Bugatti ou même seulement une 2CV ou/et une Fiat 500 d’origine, cependant qu’il est normal que ces dernières soient entretenues, rénovées périodiquement elles aussi et que les nouvelles Fiat 500 soient aujourd’hui proposées électriques et bénéficient ainsi du dernier-cri plus respectueux de l’Environnement tout en demeurant des utilitaires au standing populaire : au départ véhicule conçu charitablement pour les plus nécessiteux désireux, c’est normal, d’accéder eux aussi, à leur tour, au monde des solutions élégantes alternatives mécaniques et/ou technologiques plus reposantes au point de nous éviter de faire de plus grands efforts physiques, donc étant à l’origine d’une aide dont il est souhaitable qu’elle concerne enfin tous pour éviter de nous trop fatiguer physiquement – de nous user).      

 

Pourquoi voulez-vous faire d’une 2CV une Porche ? C’est absurde. Bien sûr j’exagère car cela n’est pas tout à fait cela, mais on entre dans ces immeubles comme dans un des premiers prototypes de 2CV et avec cette « réhabilitation » on devrait habiter, si le vote favorable aux travaux advient, comme dans une sorte de Porsche -(ce qui est un peu ridicule comme projet : qui cherche-t-on à tromper / berner en faisant ainsi disparaître à l’intérieur des appartements de ces immeubles le cachet d’antan en modifiant tous les espaces de départ et leur fonctionnalité ?)- sans jamais qu’elle le soit à cause de sa carrosserie, c’est-à-dire avec ses structures et sa façade. Réhabilité : plus rien à l’intérieur des appartements à voir avec l’ambiance des origines -(causée par la disposition originale des chambres, de la cuisine, des toilettes-douche et W. C.). Sacrilège en architecture : on n’a pas même conservé la place des volumes d’origine : ce n’est plus la 2CV dans laquelle on croyait entrer : la banquette arrière a été supprimée y compris le coffre -(soit le cagibi / placard. Il n’y a plus de place pour toutes les étagères et pour mettre de côté les affaires d’hiver durant l’été comme les affaires d’été durant l’hiver. J’exagère : c’est devenu un coupé sport au lieu d’être, si j’ose dire, une sorte de berline -(populaire si tant est que ces berlines le furent -[jamais]- un jour, accessibles à la seconde classe ! Peut-être vendues d’occasion ou de/en troisième main). L’intérieur est devenu incohérent avec l’extérieur. C’est dénaturer l’esprit d’une époque sur laquelle voudrait se substituer la nôtre en changeant -(à trop grands frais, mais aussi à trop bon compte -[car on fait l’économie d’une façade à entièrement repenser / reconstruire])- pire, de façon sacrilège, changer de place l’emplacement de l’arrivée d’eau et de son évacuation, ce qui est une fois encore irrespectueux des plans arrêtés -(mais il vaut mieux voir cela que la destruction totale de l’immeuble en perdant ses façades qui, heureusement, se voient encore à l’extérieur, notemment avec l’arche originale donnant dans l’impasse des Bœufs : époque soucieuse de proposer avec cœur la meilleure architecture sociale possible, grâce au matériau des briques -(moins onéreux que la pierre de taille)- et celui –[de matériau]- utilisé pour les paliers et les escaliers, les murs et les espaces de logement -(sociaux)- sont tels qu’ils sont admirables / édifiants pour nous parler d’une époque précise -(la joie de pouvoir voyager dans le temps grâce à l’[a]Architecture et ses infinies diversités). Ce qu’il nous appartient donc de défendre c’est l’esprit de l’architecte qui s’est chargé de la construction de cet immeuble en respectant les solutions élégantes qu’il a eu le bonheur de trouver dans l’emplacement des espaces proposés par/dans ces appartements vides dans lesquels le lieu d’arrivée de l’eau et la colonne d’évacuation sont placés là où ils sont le plus justement possible, au point, qu’après mûres réflexions, et en ayant vu l’appartement témoin -(à première vue seulement de qualité –[bien de notre époque standardisée dans/pour sces -(ses + ces = sces)- canons de confort qu’on ferait bien de proposer dans des logements neufs pour être en adéquation avec notre époque et pas obligatoirement dans des logements anciens qui risquent de perdre ainsi leur cachet -[originalité]- bien de leur époque – (mais j’ai dit plus haut combien intégrer une grande partie de ceux-ci –[chauffe-eau, radiateurs, porte d’entrée, etc.]-  est facile à l’occasion en se contentant d’une rénovation)- en perdant, qui plus est, hélas, infiniment hélas, les capacités de volume de rangement[s] d’un cagibi / placard très utile, fondamentales – (voir mes lettres ci-dessous ci-jointes où je dis pourquoi – le placard proposé n’est plus qu’une petite armoire murale où ne pas grand-chose entreposer : où mettre les affaires qui s’y trouvent ? Dans la cave ? Elle est pleine à ras-bord de choses qui vont dans les caves et non des choses qui vont dans un cagibi / placard).

J’ai compris que cet immeuble, dans l’état où il est, est tel qu’il est, une source de renseignements historiques importante pour tous les étudiants -(cinéastes y compris qui parfois cherchent des décors d’époque pour tourner des films historiques ou ayant trait au social -(par exemple, le jour venu, au sujet de ma vie)-  et qui soudain, avec ces nouveaux intérieurs d’immeubles « réhabilités » de nos jours, ne trouveront plus comment on y vivait, donc comment ils servaient, fonctionnaient, étaient perçus par ses occupants / locataires)- sireux de prendre connaissance de l’évolution de l’[a]Architecture avec ces solutions alternatives élégantes proposées : il faut y être réellement -(dans l’intérieur d’antan), pour comprendre ce qui se découvrait dans les appartements de cette résidence, au point de mieux apprécier l’architecture du XIX ème siècle, dont ces immeubles sont par certains côtés issus -(à relier aux plus vivants exemples, s’il nous en reste à découvrir –[donc si on a songé à en conserver pour instruire les générations futures]).

 

Salutations respectueuses,

 

Vos dévoués serviteurs

 

Laurent-Marie Granier … d’Ôz.

 

N. B. : Aussi avec un budget aussi juste vous  comprendrez aisément que je ne peux pas pour le moment me permettre de fonder une famille, donc d’avoir des enfants car je ne dispose avec ce budget que, pour l’instant, à peine de quoi financer ma survie personnelle -(ni même financer une affaire amoureuse car de nouveau fiancé. Chance ou mal chance ?). J’ai à peine de quoi survivre dignement sans avoir à mendier –[ce qui aurait pu être, cette dignité pour tous les pauvres et les misérables si, au lieu d’augmenter le prix du baril de pétrole à partir de 1973, on l’avait, au contraire diminué comme je l’ai demandé à partir de 1977 en remontant à la cause de tous les dysfonctionnements : le prix du pétrole infiniment trop élevé à l’origine de toutes les inflations, des pertes / réductions de pouvoir d’achat, de la baisse du niveau de vie, de toutes les formes de chômage, des difficultés économiques de tous, etc. y compris pour les milliardaires étant donné qu’il n’y a plus qu’un trop petit marché puisque le pouvoir d’achat a autant diminué au point d’avoir été pour de trop nombreuses personne la fin de la Société de Consommation qui du temps du pétrole moins cher garantissait l’emploi – les produits fabriqués ne trouvant plus suffisemment de client[s] amenaient les faillites et la renonciation à les fabriquer / suivre et c’est ainsi que ceux qui ont augmenté -(au lieu de baisser)- le prix du baril de pétrole ont été la cause même de l’existence de la pauvreté et de la misère matérielle / financière dans le monde entier). Il faut bien que j’ai, en temps qu’handicapé, à occuper mon temps et si je dispose de ces douze euros par semaine -(y compris pour avoir de quoi payer la quête à la messe -(deux à trois euros par semaine)- comme donner un pourboire d’un euro à un euro et demi à la personne de Franprix qui me livre chaque semaine -(en raison depuis 2007 de mes problèmes cardiaques qui participent au fait que je suis handicapé), mais aussi en ayant à donner une pièce de dix centimes à chaque mendiant qui croise mon chemin. Si j’arrive à m’en tirer financièrement tout juste -(grâce à cette dernière allocation)- c’est parce que je suis végétarien et que, comme S. A. I. S. S. S. L. P. D. Léonard de Vinci, je ne coûte pas grand-chose à la Société en respectant en toute cohérence avec le mot d’Amour, les A. P. I. -(animaux pacifiques et inoffensifs ou/et APIQH –[animaux pacifiques et inoffensifs herbivores quadrupèdes –(et autres » poules aux œuf d’or «)])- parce que je suis un être humain ayant eu accès à la conscience -(grâce à ce choix plus cohérent pour notre alimentation), soit à la Vérité et non pas seulement un animal, par conséquent que je puis penser en me servant de ma tête illuminée par cette conscience / intelligence pour contribuer de mon mieux au siècle et à, si possible, la préservation des anciens - (ce que nous devons donc aux plans d’origine des immeubles de la résidence Carmes / Polytechnique, admirables de justesse tels qu’ils sont, car simples comme bon sens)-  par mes différentes œuvres et recherches qui, vous le verrez, sont aussi d’Intérêt Général y compris les plus à première-vue[s] profanes : femme-oiseau nue représentée de profil, donc avec son sein généreux mais pointu, dans la douche, là où on cherche, en proposant de détruire en Tartufe cette silhouette, à faire un passage pour rejoindre la cuisine alors que ces dessins appartiennent au Patrimoine de l’Humanité -(voire pourraient sur le long terme financer les déficits que représente l’entreprise Habitat et quand j’aurai disparu, en raison de la mise en valeur et conservation de ces dessins / décorations dans cet appartement, une occasion de visite[s] originale[s] pour tous ceux qui affectionnent le tourisme culturel / historique, etc. .

 

Permettez-moi de vous rappeler que vous pouvez consulter ou demander à lire aux destinataires des courriers dans lesquels j’évoque aussi, ce dont nous avons un peu parlé : les parties communes de ces immeubles – comme les appartements - à rénover -(et non à réhabiliter car ils le seront en se contentant de la rénovation très respectueuse de l’architecture d’origine / de départ)  :

 

http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/roger_madec_paris_habitat_02.htm

 

http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/stephane_dauphin.htm

 

http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/florence_berthout.htm

 



[1] -(je ne vais pas entrer dans les détails, faites-moi confiance, je sais de quoi je parle : je suis le fils, entre autres, d’un diplomate Conseiller Financier d’Ambassade très véritable poète -[comptant ses rimes plus ou moins riches venues à son esprit en conscience])-

[2] -(en vérité c’est assez complexe ce qui advient alors, mais comme avant de la proposer j’ai tout analysé -(les interactions)- logique[ment], ce que je vous écris et propose ici comme remède est alors la plus belle Vérité en Sciences Économiques -(ce pour quoi elles existent ces sciences : cela permet de prodiguer les meilleurs conseils et cette solution alternative élégante la plus originale / simple pour éradiquer à jamais pauvreté et misère matérielle partout)- qui se produit par conséquence[s], soit mathématiquement merveilleusement)-

 

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Annexe[s]:

 

Bonjour M. -[B.], 

 

J’ai découvert que sur le fichier Word que je vous ai envoyé j’avais mis un s à votre nom et vous prie de m’excuser. J’en suis désolé. C’est que j’ai confondu avec l’écrivain Roland Barthes dont j’aime beaucoup l’œuvre -(notamment Mythologie). Aussi, n’ayant pas comparé avec votre nom sur l’adresse Internet au moment où j’ai eu à nommer le fichier de mon texte que je vous ai adressé dans le message précédent celui-ci, j’ai commis l’erreur. J’espère que vous ne m’en avez pas trop voulu -(de vous avoir autant anoblie)- et vous prie d’agréer, en vous remerciant de votre compréhension, mes sentiment les plus respectueux.

 

Laurie Granier.

 

P. S. : J’espère que vous me direz en réponse à ce message que vous avez eu la gentillesse de transmettre, comme je vous l’avais demandé, la copie du message précédent en question -(celui que j’ai bien adressé à M. B. mais qui porte par erreur le s à votre nom sur le nom du fichier Word -[.doc]- joint)- que vous avez reçu, aux principaux responsables d’Habitat -(au président et au directeur). Merci de me répondre à ce sujet car si vous ne l’avez pas fait, vous qui avez certainement leurs coordonnées mail personnelles ou qui savez comment vous les procurer à Soliha, il va falloir sinon que je m’en charge moi-même d’urgence par la voie Postale ce que j’aurais aimé -(pour ne pas nuire à l'environnement -[papier[s] = arbres malmenés, donc à ne pas trop utiliser)- éviter, en comptant sur vous pour le faire par e.mail - ce que j’espère vous me confirmerez avoir fait).

 

J’ai appris que le Président d’Habitat n’est plus M. Couderc auquel, à travers vous, j’avais adressé la copie de mon message à votre attention, mais Monsieur Éric Pliez. Pouvez-vous avoir la gentillesse de rectifier et de lui envoyer ainsi qu’à Monsieur Stéphane Dauphin, le directeur d’Habitat, la copie de mon mail précédent -(soit le texte ci-dessus), comme je vous l’avais demandé en me tenant au courant. Merci d’avance.

Si vous ne voulez pas faire suivre la copie de mon message précédent comme je vous l’ai demandé, je vous prie de me le dire aussi, voire d’avoir l’amabilité de m’envoyer dans votre réponse l’adresse e.mail de Paris-Habitat si vous pouvez l’obtenir facilement pour que je puisse moi-même -(une fois que vous me l’aurez faite parvenir)- envoyer la copie de mon texte à l’un et l'autre de ces principaux responsables non par la Poste mais par e.mail. Merci donc de m’aider d’une façon ou d’une autre.  

 


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