L’eanmeailleur de [R]Ôz[eau/… /w/y/s]
Grand Architecte de l’Univers
20 rue de l’Ecole Polytechnique, 75 005 Paris
Tel : 01 56 81 96 50, 09 50 93 81 25
à Ses altesses impériales ses saintetés satana[na!]nas
les dames eanmeailleuse Michèle Finck
Paris le vendredi 8 septembre 2017
Ma chère Michèle (à propos du début de ton livre : Connaissance
par les larmes, éditions Arfuyen) :
Chocs de poèmes dont les phrases retracent des états par lesquels tu es passée
et au fur et à mesure les découvrir (même s’il s’agit de réflexions sur les
larmes causées par des douleurs profondes) paradoxalement comme on est censé
déguster des gâteaux ou des friandises, voire des bijoux à admirer dans une
vitrine, celle du livre et de ses pages la renouvelant poème après poème, larmes
après larmes. (On peut voir chacun des poèmes comme des larmes qui s’écoulent
sur une joue, la page, depuis le titre de chacun des poèmes, l’œil. Comme il y
en a un de poème par page, quand on a le livre ouvert, cela donne deux titres,
donc deux yeux avec – de loin – les mots : avec chacune des lettres, autant de
larmes !).
C’est dès le début, avec » Paix « que je prends le parti de t’écrire en
comprenant grâce à mes souffrances un peu des tiennes.
Je te livre mes premières impressions sans pour l’instant aller plus loin
que » Paix «.
J’ai découvert la présentation de tes espaces-sanglots en plus, mis dans tes
vers à partir de blancs supplémentaires comme s’il s’agissait d’espace de temps
en plus pour laisser couler ces larmes dont tu dis avoir perdu la clé dans » A
la perte « dont le premier vers s’adresse probablement à moi. Je ne te cacherai
pas qu’en écrivant cela, ici, je me sens inondé de larmes qui n’arrivent pas,
non plus, à trouver une sortie car je m’en empêche pour éviter, (seul, sans toi
pour en être témoin, voire pour pouvoir les embrasser si elles t’inspirent), de
tomber dans le pathos.
Une phrase pourtant m’est venue en tête, celle que depuis que nous avons renoué,
je te répète souvent : » notre séparation est une tragédie « (a été une
tragédie). Elle est réellement dans le registre de la souffrance et des larmes.
L’emploi de l’imparfait » était doux « à propos » du lobe de mon oreille
« encadré par ces deux moments d’espace signalés comme si en musique on
utilisait une note blanche (si on devait considérer les espaces habituels entre
les mots comme ceux que pourraient représenter une note de musique noire et le
mot inscrit constitué de lettres/notes croches) donne à comprendre la nécessité
de ce temps en plus à marquer avant » dans ma bouche « pour laisser passer le
spasme du sanglot / regret.
Il y a avec cet imparfait suivi de cet espace en plus de silence (ou de larmes)
l’évocation d’un manque (cela me rappelle celui de « j’aimais ton rire,
charmante Elvire », dans la chanson « Les
loups sont entrés dans Paris »
de
Serge Reggiani) qui trouvera comme une confirmation dans » Paix «, le poème
suivant qui donne peut-être une clé, en songeant à tous ceux qui, malgré la
souffrance qu’ils ont éprouvé tout au long de leur existence, se sont interdits
d’aller se noyer dans ce lac profond qui » calme ou apaise «. Ils ont continué à
produire » au bord « des œuvres d’art comme les tiennes, toujours
vivantes.
Oui, Michèle, notre séparation a été une tragédie comme l’avait été celle avec
Christine : c’est même de mon point de vue la naissance de la tragédie.
Nous sommes deux à » porter cet amour comme une plaie
qui ne pourrit pas «. Plaie vivante.
Tragique.
Douloureuse. Nous éprouvons
le cruel manque de l’autre, aimé.
Déjà la lecture de ces quelques pages m’émeut au point de comprendre grâce au
titre de ton livre que je serais, de ton point de vue, dans » la
connaissance « car dans la compréhension de l’autre dans ses détresses, grâce à
ces larmes qui me viennent en te lisant causées par mon empathie en songeant à
nous et à ces points de passage sur les pages où ces larmes s’écoulent presque
invisibles (grâce à ta disposition originale des mots dans tes vers).
Tu oses une comparaison admirable, celle du » foutre des étoiles « comme si la
lumière était due aux éjections » infrasonores « (pourtant entendues) de sperme
de l’aimé. Souvenirs. Sans doute, nous nous l’étions dit tout deux : larmes et
spermes sont-ils à rapprocher comme manière complémentaires de pleurer, sauf que
dans le cas du sperme cela devrait procurer joie et bonheur comme en de
certaines journées avec la lumière du soleil, nôtre étoile.
Je reviens en arrière : » A la douleur «. Je t’ai dit au téléphone (en médecin)
ce que je crois d’une manière objective avoir été cet » éclat plus coupant que
les autres qui est resté planté dans ma jambe gauche «.
C’est probablement un effet de ce que nous vivions de profane et/ou de par
moments sacrilège envers Amour. Tout cela ayant commencé en 1977 quand tu as
refusé, adolescente, alors que nous ne nous connaissions pas encore que j’ai
plusieurs épouses en voulant être la seule, en contraignant alors que je me
sépare de Christine pour n’être aimée que toi seule, ce qui m’a contraint à
m’imposer (en pareille situation) une amnésie canonique car comment, sinon,
après cela, parvenir à t’aimer d’amour pur, ce qui était obligatoire puisque
j’intervenais/viendrai du ciel? Impossible, mais pourtant c’était obligé pour
que trente ans plus loin je puisse de nouveau intervenir à travers Espace et
Temps (comme cela s’était passé d’avance, grâce à cette avant-première virtuelle
dans le ciel de 1975) et sauver rétroactivement cette planète en imposant, en
ces années d’après la Seconde Guerre mondiale (1965 ; 1975), mon père comme
empereur. C’était bien la voix de Vérité, d’Amour qui était intervenue. Il
fallait bien, malgré ces incursions dans le profane (le par moment sacrilège,
l’uniquement laïc, le strictement athée, l’ignorance au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))) que nous finissions
par connaître Amour !
Savoir la cause c’est faciliter les soins, voire soigner car on peut plus
facilement trouver le remède une fois qu’on sait d’où un mal est venu, voire
découvrir qu’on est en voie de guérison. Rechercher les causes c’est essayer de
trouver des réponses aux pourquoi ? Voir déjà guérir à moitié. Cet » éclat plus
coupant que les autres … « c’est probablement mes comportements inconscients et
profanes, voire par moment sacrilèges (strictement athées, uniquement laïcs,
d’ignorant au SNNPM[.]) attirés alors par ce qui n’est pas amour avec un grand
A. Aujourd’hui je m’accuse. Mais il faut comprendre : dans les années qui ont
suivi 1977, jamais tu n’aurais pu (en toute cohérence avec la chronologie de
notre histoire liée à la nécessité de ces interventions salvatrices
fondamentales à travers Espace et Temps) me connaître délivré : déjà bouddha à
cause de ce dont tu avais voulu être responsable en imposant une seule épouse.
Empereur-bouddha (eanmeailleur) je ne pouvais l’être que comme un résultat, (ce
qui avait été au cours des avant-premières célestes de 1965 et 1975) par
conséquent à partir d’une date clé, ce qui allait être 2005 avec la Dictée
Pharaonique de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale. Jusqu’à là tu me
connais profane (par moment sacrilège, etc.). Aussi rassure-toi, celui qui
l’était ne l’est plus. Il y a donc de quoi guérir ta jambe puisque la cause de
ton mal s’est évanouie (» l’écharde de violon « a été enlevé, a disparu). Pour
arriver à l’amour avec un grand A, l’amour pur avec toi, celui qui a été à
l’origine des interventions à travers espace et temps dès qu’on m’a redonné la
mémoire de Christine, il fallait que je puisse te devoir ma transformation, la
métamorphose qui s’était opérée, comme j’avais dû ma seconde métamorphose en
bouddha en partie à Christine (en 1975).
Et voilà la raison de tes maux à la jambe : je devais te fréquenter devenu
profane et amnésique parce que j’avais perdu à cause de toi Christine et mes
descendants de Christine.
Et voilà la raison de la disparition de tes maux de jambe : le profane (»
l’écharde de violon, le bracelet de ronces « ), le quelque fois sacrilège à mon
insu, le strictement athée, l’uniquement laïc, l’ignorant (au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ces mots [dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)])
en moi devai[en]t disparaître (ensembles) à partir de 2005.
Depuis tu as remercié de connaître un peu de » la douleur du monde «, ce qui te
rend profonde comme tous ceux qui ont conscience d’être
handicapés.
» Heureux
nous l’avons été par
éclats.
Chaque éclat de bonheur était
coupant
Comme du verre. «
Oui, Michèle ce qui s’est passé a été dangereux tant qu’il y avait, (à cause de
l’amnésie que j’avais été contraint de m’infliger pour pouvoir te fréquenter
[sinon j’aurais été infidèle à Christine] et surtout ces transmissions à travers
Espace et Temps n’auraient pas pu avoir lieu – or elles étaient fondamentales
parce qu’à partir de 2005 l’empereur est le bouddha de 1965 et 1975 en synchrone
avec le redevenu bouddha en 2005), le profane, le par moment sacrilège,
l’uniquement laïc, le strictement athée, l’ignorant au SNNPM[.] en moi à tes
côtés. Or comme tu t’en es rendu compte, très vite, j’ai recherché l’amour pur
(Amour) envers toi pour m’autoriser le jour venu à te demander en mariage. Il y
a eu, durant toutes les années partagées ensemble un combat que j’ai eu
spirituellement à devoir mener pour ne plus être un menteur en amour : donc ne
plus être un profane, un par moment sacrilège, un uniquement laïc, un
strictement athée, un ignorant au SNNPM[.]). Cela a donné ce soucis de cohérence
que tu sais qui me fit devenir végétarien car » aimer « devait, entre nous,
sonner vrai / juste (on ne peut pas dire qu’on aime quelqu’un ou un animal si on
devient complice de ceux qui tuent des êtres pacifiques et inoffensifs. C’est
incohérent – d’où, que si on le dis, au contraire, cela soit l’origine de la
folie au SNNPM[.]). Tu le sais : amour pour nous faire nous comporter de manière
logique (sans plus de » court-circuit «) et en toute cohérence avec ce mot
d’amour à l’origine d’une des religions fondamentales qui conseille d’aimer
l’autre et de pardonner (« jusqu’à soixante-dix sept fois ») ce qui est
comprendre qu’il s’agit, avec le christianisme, d’ultra stoïcisme ou de la
religion des hyper-stoïques. En effet, impossible d’être sous la gouverne
d’amour vis-à-vis de l’être aimé (en général pacifique et inoffensif) sans être
en toute cohérence et logique celui qui s’interdit de faire du mal aux êtres
pacifiques et inoffensifs. Une question de logique (à retrouver) que ma relation
avec toi a déterminé fondamentale : la cohérence logique (: parce que je t’aime,
je ne peux plus être le complice de ceux qui font du mal aux animaux pacifiques
et inoffensifs qui représentent la meilleure partie de toi puisqu’on ne peut
aimer que ce qui est bon dans l’autre). C’est pourquoi pour en arriver là, il
est probable que nous avions la recherche du bonheur ensemble comme objectif. Il
y avait à notre insu un projet qui s’est peu à peu concrétisé par l’apparition
de l’anneau immaculé à mon doigt annulaire peu après être devenu l’un des
bouddhas. (Le même anneau immaculé qui était apparu à mon doigt en 1975 avec
Christine, celui relié probablement à l’aîné de nos enfants). Je n’ai pas triché
en voulant t’aimer comme ma femme au point que » poésie « est » traire
les ténèbres «
(p. 15). En effet, c’est à partir du vide en soi, voire de ce qui est (ou a été)
encore obscur (tout ce qui est du domaine animal au SPNM : au sens positif et
négatif de ces mots) qu’on fait œuvre à force de réfléchir sur des » éclats «
(des espace-temps). Je me souviens de toi à la plage avec les carnets sur
lesquels tu réfléchissais, en écrivant tes poèmes, en les raturant, en C. A. R.
E. (correction, abréviation, augmentation, élaboration) avec » patience « (p.
14) avant de me les confier au secrétaire (moi) pour les recopier à l’ordi.
Ce qui s’est passé pour moi à partir de 2005 c’est une résurrection en phénix de
ma véritable personnalité de bouddha. En effet, j’ai pu assister à l’intérieur
de mon crâne à la disparition de celui qui en moi n’allait pas bien (le vieil
homme) puisqu’il se conduisait en profane, en par moment sacrilège, en
uniquement laïc, en strictement athée, en ignorant au SNNPM[.]. Il avait pris
naissance causé par l’amnésie obligatoire pour parvenir à t’aimer (malgré ce qui
s’était passé en 1975-77) et ainsi arriver à ces journées de 2005 où après mon
déménagement de la rue Pierre Nicole à la rue du Val de Grâce, j’aurais à
apprendre (l’anneau immaculé étant apparu de nouveau à mon doigt d’homme marié,
alors que sur le point de me marier avec toi), l’existence de Christine dans le
passé, ce qui a déclenché (parce que soudain je me suis souvenu qu’en 1975 je
m’étais effectivement vu et entendu, immense, dans le ciel) les interventions
salvatrices à travers Espace et Temps car ayant eu, grâce à mes efforts de
peintre, à renaître à moi-même en phénix en me séparant de cette partie malade
(le profane, le par moment sacrilège, l’uniquement laïc, le strictement athée,
l’ignorant au SNNPM[.]) de ma personne qui l’avait été à cause de la nécessaire
et canonique amnésie de Christine et de ces transmissions à travers Espace et
Temps, parce qu’en 1977 tu avais voulu, encore adolescente, être l’unique
impératrice, en me contraignant à me séparer de Christine dont je t’ai dit que
malgré notre âge d’enfant, je m’étais mis en tête (sans doute influencé par les
effets de la religion chrétienne à Rome et de mes cours de sciences naturelles)
que j’attendais d’elle des enfants en Immaculée Conception. D’où la tragédie de
la genèse de notre relation : je ne pourrais venir à toi que comme profane
puisque ton choix, alors d’adolescente, avait été un choix égoïste, voire
d’enfant-gâté, donc de profane d’autant que tu espérais, inconsciente (du mal
que tu venais de faire), c’est normal, être aimée. Sans l’amnésie de Christine
et de mon anneau immaculé avec elle – donc de mes enfants – impossible. Et bien
sûr dans cet état de profane dans lequel il me faudrait être, cela serait long
d’arriver à éprouver pour toi de véritables sentiments d’Amour. Ce qui advînt
totalement en 2005 – d’où l’apparition de l’anneau immaculé (probablement aussi
un signe, avant sa naissance, de notre aîné) à l’occasion d’une des journées de
déménagement de la rue Pierre Nicole à la rue du Val de Grâce.
Les tableaux-partitions que j’ai » patiemment « peints après la décoration de
ton piano (un piano consacré, devenu sacré par la peinture – chacune des touches
de couleur appartenant déjà au monde de la vérité adamantine première et
dernière) ont permis après ma métamorphose en l’un des bouddhas à ce processus
de phénix d’advenir, au point que cela confirme la comparaison qui court au
sujet que certains d’entre les êtres humains auraient donné naissance [comme] à
un vieil homme en soi, (vieil homme évidemment au SNNPM[.] : au sens négatif et
non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), celui qui est parfois, parce que
seulement le résultat du profane, du par moment sacrilège, de l’uniquement laïc,
du strictement athée, de l’ignorant, au SNNPM[.] devenu un démon au SNNPM[.]: et
avant que cela ne soit trop tard (car sinon ce sera une réincarnation tragique,
triste, malheureuse, cauchemardesque, honteuse) à la nécessité de s’en sevrer,
de le faire disparaître, de se rénover, de ressusciter dépouillé / libéré de son
existence qui a été mensongère. Mais pour s’en assurer, il faut attendre d’avoir
dans sa tête la preuve qu’on l’a très réellement évacué (qu’on s’en est séparé /
libéré / qu’il est mort) au point qu’on comprend alors qu’il ne s’agissait pas
avec lui de notre véritable être, mais de celui aliéné aux inepties, aux
ténèbres, à la mort au SNNPM[.]. Avec la preuve, on est allé jusqu’au bout de la
mue. On est enfin redevenu soi-même, un être adulte parachevé, un des bouddhas
et comme dit Claude Vigée » hors de l’agonie, vaincue «.
Tu as pu remarquer dans mes travaux de miniatures combien moi aussi, comme toi,
j’ai eu recours (y compris durant la réalisation de
La Momie à mi-mots)
à la patience.
Avec le titre « soif » tu es à éclairer
une sorte d’haïku d’une façon originale en me donnant à penser aux nuages et
même à mon apparition dans le ciel quand j’ai eu à transmettre à raison de
quinze heures par jour à travers Espace et Temps la Dictée Pharaonique de la
Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale aux années 1975 et suivantes quand je la
dictai d’avance en synchrone à partir des années 2005. Dans le ciel j’étais
immense » vêtu seulement de vent « et probablement comme moi (ayant en même
temps trente ans de moins), les gens étaient dans » la soif «
de cet étrange poésie (ambiance /
situation). Comme tout ce qui nous entoure existe et à la fois n’existe plus,
(puisque nous sommes soumis au Temps) il faut comprendre qu’on peut considérer
que rien n’existe et qu’on est effectivement dans le ciel » vêtu de vent « même
si on habite à-premièrevue un intérieur. Cela est devenu vrai pour moi depuis
que je me suis assuré qu’on m’a vu et entendu dans le ciel, ce qui signifie que
le décor qui nous entoure est le ciel de l’époque qui nous précède. Ce décor est
donc à première vue du vide comme l’est le ciel dans lequel nous habiterons dans
trente ans
vêtus de vent
comme dans ces séquences de
La Momie à mi-mots
où ce vent est rendu perceptible par les effets trouvés.
Très beau pour commencer ce poème au titre » Chœur (Bouche fermée) « ainsi
imprimé. Effectivement ce que tu dis au sujet des larmes traduisant les
émotions, les sentiments est vrai même pour qui croit que Dieu n’existe pas (le
profane, le par moment sacrilège, le strictement athée, l’uniquement laïc,
l’ignorant au SNNPM[.]). La disposition est comme d’une écriture asiatique avec
une série d’idéogrammes au point de nous prouver que la phrase occidentale que
tu as forgée est universelle (elle est aussi orientale en même temps que d’ici).
J’ai souvent pensé que les textes où l’écriture est verticale (avec des
idéogrammes) ressemblent à des rideaux de larmes de pluie. Ainsi présentée cette
phrase aux nombreuses majuscules introduisant des vers si courts pourraient être
animée. On verrait que chaque ligne (courte, un mot) devient la suivante, comme
avec ces lettres des gens sur les marches d’un escalier roulant (escalator). Les
larmes tombent comme des idéogrammes que cette phrase constituée de mots
occidentaux célèbre. C’est peut-être la » bouche fermée « du chœur qui a
contraint à aller à la ligne après chaque mot murmuré comme si il était
interdit/impossible de croire en Dieu.
Enfin, avant le titre du chapitre, » court-circuit «, ce qui peut être à
l’origine de larmes, (cela donne le noir avant de rétablir la lumière avec/sur
la boîte à fusibles) le vers de Marina Tsvétaïeva comme » si les larmes étaient
la plus belle des Muses « ! Donc inspiraient. Cela rappelle la chanson » Sarah
« de
Georges Moustaki,
créée par Serge
Reggiani en 1967
« (…)
[Lorsque la nuit
Nous réunit
Son corps, ses mains
S'offrent aux miens]
Et c'est son cœur
Couvert de pleurs (larmes)
Et de blessures
Qui me rassure ».
Dans » Hors « je note la vision surréaliste qui est un tableau à elle toute
seule de » l’écharde de violon (probablement provenant du violon tiré à la
laisse dans les rues de New York par Name June Paik) fichée dans l’os « pour
parler de ta douleur à la jambe comme avec cette idée du » bracelets de ronces «
à l’aune du » diapason de la douleur «. Je crois que cette écharde comme ces
ronces vont disparaître de ta jambe puisque la cause de ces maux a elle-même
disparu : le mauvais esprit (le profane, le par moment sacrilège, le strictement
athée, l’uniquement laïc, l’ignorant, au SNNPM[.]).
Enfin pour terminer par une note d’humour une fois » tombée hors des larmes « ne
plus s’interroger entre deux sanglots
pour savoir » si on est vivante ou
morte « , ce qui résout la nécessité de se suicider (Paix) car on sait » faire
la planche « sur ce lac ou en haute mer. Il y a de l’espoir !
Découverte de » Fille de la faille « avec » Court-circuit « : admirable,
d’autant qu’une faille peut être effectivement provoquée par un court-circuit.
On retrouve cette faille et ce court-circuit dans la disposition dans la page
avec cette ligne de pointillés qui marque à la fois » la faille « et à la fois
le résultat du » court-circuit «, à l’origine d’une zone frontière entre le
poète enfant et le poète victime.
Ces pointillés nous les avons depuis le début du poème lus par groupe de trois
(dans chacun des paragraphes) à plusieurs reprises, au point qu’il est probable
qu’il y ait autant de point de suspension dans ces trois paragraphes que dans
cette ligne de points ayant séparé le poème en deux parties dont la seconde
comporte aussi autant de point de suspension que pour marquer cette séparation,
cette faille ou ce qui reste comme situation après un court-circuit.
Au début, la poétesse elle-même se souvient de moments de l’enfance associés aux
pleurs et ses propos sont universaux car on sait qu’elle parle de chacun de nous
enfant à travers sa propre expérience des larmes, à tel point qu’on peut croire
que ces points de suspension soient l’équivalent de l’espace en plus
précédemment utilisé dans les poèmes déjà évoqués (ils nous laissent nous
émouvoir et rejoindre encore mieux la genèse de la pensée du poète). Mais il y a
une chose importante que nous ne savions pas d’elle : elle pleurait, enfant,
pour » se sentir proche de Dieu «. Depuis nous nous souvenons que nous avons
autrefois pensé que dès qu’il y a pleurs d’enfant, cela signifie larmes de Dieu,
que Dieu est malheureux si un enfant pleure. Voire que Dieu est constitué de ce
qui est aussi sensible que des enfants.
Trois petits paragraphes consacrés au rapport de l’enfance aux larmes avant le
traumatisme d’un corps qui » ne produit plus de larmes « à cause d’avoir trop eu
à souffrir. Pourtant s’interroge
Michèle Finck antithétique, (faisant l’avocat du diable) :
les larmes ne serait-ce qu’une momerie ? au SNNPM[.] : au sens négatif et
non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) ce qui contraste avec le vers
ritournelle « Les larmes faisaient luir / bruiner / tressaillir / tinter ses
cils très doux » et on pense au portrait de Michèle Finck, petite fille, avec
l’ours, en photo, sur une piste de ski avec son frère et sa mère. Elle porte un
passe-montagne (cagoule). Ses yeux, ses cils sont-ils ceux de la Vierge Marie
elle-même enfant, (ceux du bouddha m’a-t-elle dit. Pourquoi pas ?) ou ceux d’une
personne insensible qui ne peut déjà plus pleurer?
Mais il va y avoir plus qu’un traumatisme en raison de ce » court-circuit « et
il s’agit du système lacrymal du poète qui, on l’espère pour elle,
momentanément, ne fonctionnera plus et elle se demande pourquoi, recherche la
cause. Est-ce », toujours antithétiquement l’horreur des pisse-larmes « (des
pleureuses précédemment admirablement évoquées, maintenant l’objet de l’ironie,
voire de mépris), "la nausée de la naphtaline des larmes" (les larmes moquées
associées à la sensiblerie, voire à l'hypocrisie de certaines personnes âgées)
qui en serait la cause à cet âge adulte du poète (ces idées, moi le lecteur, je
ne puis les partager parce que je pars du principe que pleurer est une chose
difficile qui signifie qu’une personne est capable de savoir ce qu’est la
tristesse, ce que sont les choses douloureuses, donc qu’une personne est
sensible, ce que le poète a reconnu dans l’évocation de son enfance jusqu’à
créer un beau parallèle entre poète et pleureuse), ou le tarissement de ses
larmes est-ce en raison probablement de cette autre raison que Michèle évoque :
une cruelle injustice à l’origine d’une souffrance qui » l’a tordue et jetée à
terre « (on peut aussi penser que cela lui a paru si injuste qu’elle n’a plus
voulu s’humilier à pleurer), mais aussi, s’inquiète-t-elle comme si ce que le
poète a souffert avait détraqué son système lacrymale, au point de ne plus lui
permettre d’exprimer sa douleur, sa sensibilité par les larmes (cela est si
triste qu’on en pleurerait).
Cela, on le verra, va néanmoins jusqu’à aboutir à la nécessité de partir en
quête de larmes parce qu’on n’arrive plus à pleurer (en craignant d’être devenue
insensible, par conséquent de manquer d’humanité), d’une certaine façon le
projet du recueil de poème. Pourtant savoir qu’on a le droit de pleurer, qu’il y
a des choses tristes en ce monde qui donnent le droit de pleurer à n’importe
quel âge, nous rappelle Michèle Finck est – elle s’en doute par ses
questionnements - fondamental. Celui qui n’est plus capable de pleurer (on pense
ici à son vers » est perdu qui n’a plus de pleurs pour un son mort « ) à
l’occasion de ces causes à l’origine, dans d’autres cas, de vraies larmes n’est
plus un être humain au plein sens de cette expression qui est à l’origine des
êtres sensibles, de la sensibilité, c’est-à-dire de la première partie de son
poème liée à l’enfance, avant la faille ou le court-circuit qui fera vivre
l’incapacité de pleurer » comme une malédiction «.
«… Ne te crois plus digne du nom d’être humain … » (ici on pense à » Orange
Mécanique « au héros (un anti-héros) qui est face à des images d’horreur et qui
ne pleure pas – et c’est justement le projet pour soigner cette personne devenue
insensible : qu’elle parvienne à pleurer, à s’émouvoir. Pourtant les images ne
manquent pas pour que cette personne y parvienne et le programme de soin sera
une réussite au point qu’elle est hélas, à la suite de cette cure, devenue trop
sensible, et il n’y a plus alors « de nausée de la naphtaline des larmes, ni
horreur des pisse-larmes » - la compassion – ce qui est le propre de l’être
humain adulte parachevé est revenue comme sentiment éprouvé par cet homme qui
dans la première partie du film était devenu insensible, criminel, comme un
boucher ou un pécheur. En effet » qui n’a pas de larmes a-t-il encore un visage
? « et c’est, nous dit Kubrick, en général l’adolescent, l’enfant-gâté,
l’égoïste, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans
d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances,
points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K
.))
« … Es hantée par les yeux en pleurs : seuls vrais ? … » un vers qui nous
renvoie de nouveau dans » Orange Mécanique « à l’image d’une petite fille au
milieu de décombres, les yeux en larmes, elle pleure. Ce sont effectivement les
seuls vrais yeux (par comparaison et pour contraster avec les yeux du voyeur) et
le spectateur normalement pleure avec cette fillette s’il n’est pas devenu l’un
de ceux insensibles, mort à la vérité de ces images de documents d’archives qui
permettent de compatir tant elles évoquent la souffrance insupportable, à
l’origine de la nausée envers ceux qui croient possibles continuer à faire du
mal aux êtres pacifiques et inoffensifs.
La poétesse, avant d’émettre sa prière à exaucer, trouve (peut-être ?) la
solution à son mal :
partir "en quête de larmes (dont être enfin le jeu) : seul coup de fouet vers la
connaissance ? … ».
Sur un autre plan, il est à souligner la proximité de » fille « et de » faille
«, le titre de cette première partie, au point qu’on pourrait évoquer la lettre
« v » qui résulte de cette » faille « à cause de la femme, de la » fille «. On
retrouve la lettre ‘ f ‘dans ‘fille’ et ‘femme’ comme dans ‘faille’ ou ‘feu’.
C’est avec » court-circuit « se souvenir de ce qui est fondamental dans
l’être humain : cette sensibilité à l’origine de toutes les œuvres d’art
véritables comme ce poème. C’est grâce à une faille qu’on va avoir, de plus
près, l’équivalent d’un ‘v’, lettre qu’on retrouve dans le mot de ‘vulve’,
‘vagin’. La faille est souvent une ouverture issue d’un cataclysme local. Il y a
bien eu catastrophe naturelle avant l’apparition d’une faille, ce qui peut se
penser au sujet d’une fille. Le sexe d’une fille est une faille qui peut se voir
avec la pointe du triangle d’un « vé » comme fin de faille, ce qui constitue une
des syllabes de Yahvé qui effectivement évoque par ce ‘v’ la faille au sens de
féminité, ce qui est considéré comme sensible parce que normalement prompt aux
larmes au point, effectivement d’avoir créé l’activité de pleureuse pour, avec
le poète, » envelopper la douleur de tous «
… » larmes faisaient tinter ses cils très doux «
Oui, des larmes me sont venues dès après le titre de « à celle qui chancelle »,
dès les trois premières propositions introduites par les points de suspension
dans lesquelles la suite du poème est déjà là parce que le pronom personnel ou
le sujet sont en début de proposition absents
comme si c’était toujours le chœur (bouche fermée) qui essayait de dire le
poème.
J’ai, avec « vécurent en cordée » tout de suite compris la métaphore et se sont
superposés par-dessus les admirables dessins d’Hergé dans »Tintin au Tibet «,
ceux quand il y a une cordée dans ces montagnes.
Les trois petits points (les points de suspension) pour commencer, je les ai vu
comme les larmes du poète qui a des difficultés (absence du pronom personnel ou
du sujet que le lecteur doit déduire) ce qui est à l’origine de l’empathie du
lecteur pour lire cette métaphore du premier souvenir concernant ce couple qui
est décrit, de nouveau après d’autres points de suspension, comme fertile : «…
encapuchonnés de neige et de songes … » (en effet, il pourrait s’agir d’un
couple qui a des rêves à réaliser). Pour cette métaphore d’alpiniste, l’auteur
choisit la saison de l’hiver (du froid qui nécessitait le passe-montagne de la
photo de toi que tu m’as envoyée) et précise qu’ils sont « suspendus au-dessus
du précipice qu’est la vie ».
C’est ici que comprenant qu’il s’agissait de nous deux au-dessus, j’ai pleuré
étant donné ce que cette phrase dit et depuis 2005 ce que je ressens
continuellement qu’est la vie dont j’ai compris, pour m’être découvert en
synchrone dans le ciel des années 1975, que nous tenons par miracle
continuellement marchant et vivant dans le ciel avec autour de nous ce
précipice, comme si nous étions des équilibristes tenant sur un fil qui plus est
lui aussi invisible.
Oui j’ai pleuré d’autant que cela parlait de notre couple et je t’ai appelée
pour laisser un autre message après celui sur « court-circuit » dont le poème
m’avait déjà mis en larmes tant les questions posées et la prière, mais aussi
les souvenirs des pleurs d’enfants m’avaient touché et semblé un vrai projet à
réaliser, tant je compatissais à ta détresse de ne plus avoir de larmes.
Mais celles-ci ne me manquaient pas à moi et vinrent à moi par centaines (signe
d’une bonne santé et d’une humanité bien vivante), en sanglots (au point de ne
faire plus qu’un avec ces points de suspension qui en disent longs) dès la
relecture des points de suspension avant « … Vécurent en cordée … » (l’un pour
l’autre, l’autre pour l’un) et de nouveau ces sanglots me traversèrent en
songeant à notre passé ainsi résumé métaphoriquement après ce passé simple
(»vécurent«) qui me renvoyait bien à notre vie passée ensemble et aux nouveaux
points de suspension situés avant « … suspendus au-dessus du précipice qu’est la
vie …» ce qui signifie que je relisais à peine (en survolant) « … encapuchonnés
de neige et de songes … » l’ayant intégré dans ma lecture sans y prêter plus
d’attention (alors que l'élément émouvant) et plus je relisais ce début de poème
avec le titre « Celle qui chancelle » plus je pleurais en songeant d’avance que
cela pouvait finir tragiquement que cette perte tienne d’équilibre.
Je te téléphonai pour me mettre en pleurs à nu devant ton oreille en
enregistrant un message qui aurait des probabilité d’être pris sur le vif malgré
le temps de l’annonce précédent le fait qu’on peut déposer un message (ce qui
faisait perdre du temps pour enregistrer ces preuves par les larmes) dans lequel
je disais entre les larmes que je t’aimais, que je t’aimais et cela dans une
série de sanglots tout en répétant que tu avais tout compris comme moi au sujet
du « précipice qu’est la vie » sur lequel nous sommes » suspendus « par miracle,
ce qui est vrai depuis que j’ai pu le vérifier dans le ciel avec tout ce qui
nous entoure qui déjà n’est plus, au point que sur un certain niveau de réalité
il n’y a déjà plus rien (peut-être des ruines, peut-être notre décor conservé –
qui sait ? – oui, mais jusqu’à quelle époque dans le futur?) et que c’est aussi
pour ça qu’on a pu me voir trente ans avant que j’y sois dans ce ciel, immense,
entouré par ce rien dans le ciel probablement parce qu’on m’a mis dans le
sarcophage des empereurs et que celui qu’on a mis dans ce sarcophage est devenu
bouddha, la lumière étant entrée dans la nuit, ce qui m’a fait éclairer de
l’intérieur ce sarcophage, mon squelette et ma chair, au point que je sois de
nouveau vu d’avance dans le ciel dans trente ans toujours entouré de rien, de
ciel, de précipices, alors que là-bas c’est probablement le décor que nous
avons, comme ici, autour de nous – (étrange qu’un être humain se voit d’avance
constitué de nuages et pas notre décor! La matière être-humain s’aperçoit
d’avance tandis que la matière décor non, la différence entre ce qui est vivant
être-humain et ce qui est vivant avec le décor est importante pour ce début du
secret que j'ai percé du ciel. Probablement une question de température, voire
de matière : la matière animale a plus de probabilité de s’apercevoir dans le
ciel que la matière pierre ou celle qui sert à nos habitations) sauf que le
nôtre (de décor) a vécu jusqu’à là-bas, donc est soumis comme nous aux lois du
Temps et de l’Espace.
Aussi j’ai constemment conscience d’être au ciel sur l’époque précédente pouvant
me voir ou m’apercevoir en lévitation sur ce précipice du ciel. D’où la raison
de mes larmes en comprenant à quel point tu avais vu juste et en me répétant
cette phrase sans craindre, en pleurant, le ridicule, de la partager avec toi en
la rel/disant sur ton répondeur, en pensant même que quand tu les écouterais
avec ces pleurs tu serais émue au point peut-être de pleurer, mais tu sais ce
qui est advenu de ce message : j’ai voulu le réécouter avant de te le laisser et
j’ai fait une fausse-manipe en appuyant sur le bouton ‘effacer’ au lieu du bon,
ce qui a mis fin à ces larmes et à ce message que j’ai eu à reproduire ensuite,
traumatisé par la perte du message et ne pouvant plus autant pleurer ; il fut
alors différent (alors que la perte du message aurait pu être un motif
supplémentaire pour pleurer : à mon tour plus de larmes, mais un sentiment de
cruelle injustice. Pourquoi donc n’avais-je pas écouté pour savoir le bon
chiffre pour réécouter le message? Voilà ce qui me préoccupa – maintenant je
sais : je pleurais encore, aussi je n’ai pas prêté attention aux indications
finales post-message qui rappellent les choix qu’on a avant de raccrocher et
j’ai un peu inconscient d’avoir tant pleuré appuyé au hasard croyant, à tort,
que le chiffre 2 était celui qui permettrait de réécouter le message. J'ai
compris que je faisais une bêtise, mais c’était trop tard, manque de chance
c’était celui qui effaçait !– j’ai pensé ensuite qu’on pourrait peut-être en
demandant aux télécom le faire retrouver même si à-premier-entendu effacé, mais
évidemment cela demanderait des recherches, des explications et on se heurterait
probablement à tous ceux qui diront que c’est impossible – d’avance, à cette
idée sans être sûr d’aboutir à un résultat, de fatigue j’ai laissé tomber alors
que je suis certain que ce message aurait permis que tu pleures à ton tour,
voire de joie en me sentant si sensible à ta poésie) car ce qui m’avait fait
pleurer était tes mots qui rappelaient ce qu’avait été la vie de notre couple
dans cette métaphore » en cordée « qui plaira aussi à Nicolas Michelin. Ce n’est
qu’ensuite après t’avoir laissé un message que j’ai lu la suite de « celle qui
chancelle », compris dans la phrase suivante que tu parlais de la corde,
elle-même métaphore de toutes les étapes » tailladées « qui avaient été les
nôtres et celle des autres membres de cette cordée (nos parents, nos frères et
sœur, nos neveux et nièces, nos amis).
Enfin d’autres larmes me vinrent quand tu évoquas tes divers sauvetages à
l’occasion de ces « gouffres » ou ces crevasses métaphores (correspondances) de
tous les moments où je fus attiré (parce que pas totalement moi-même) par les
poisons audio-visuels que tu sais, ne me sachant pas amnésique de ce qui s’était
déroulé en 1975 quand j’étais apparu d’avance dans le ciel pour dicter la
Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale à l’occasion de notre Hyper Méga Dictée
Pharaonique Salvatrice Providentielle Miraculeuse Maçonnique Corne d’Abondance
Multicatégorielle Multidimentionelle à travers Espace et Temps (donc à travers
ce précipice).
Si à « mégots jumeaux, cramés, à jamais disjoints … » j’ai pleuré, en songeant
au moment où tu l’avais écrit en en étant sûr, le fait que nous ayons renoué m’a
redonné l’espoir de faire mentir cette phrase, de réparer cette cigarette coupée
(visiblement elle tenait au moins par un peu de papier et tu as, en définitive,
mal vu, elle n’a pas été encore fumée – il n’y a qu’à la recoller avec encore un
peu de papier avant de la fumer) et j’ai pleuré de nouveau d’autant toujours
l’absence du pronom personnel à la phrase suivante et à celle d’après : » …
voulut en finir … avec le reste dérisoire, de corde rêche … «.
Je t’imaginai seule sans moi dans la détresse et la peine de m’avoir perdu,
voulant en finir et cela me fait une fois de plus avoir les larmes qui montent à
mes yeux.
Je découvre en raison de ma souffrance d’avoir eu à revivre la séparation de
1977 avec Christine que je ne me suis pas rendu compte que tu pouvais avoir
souffert de l’absence de nouvelles et de cette rupture de fiançailles, quand
j’ai appris l’existence de Christine, ce qui a ravivé ce qu’elle avait été pour
moi et de l’obligation de nous séparer en 1977 (ce qui m’avait fait infiniment
mal – ce qui s’est reproduit en 2007). En effet, la souffrance qui fut la tienne
a dû être, comme la mienne, insupportable, et cela après tant de sauvetages par
tes bons conseils déjà maternels – en tout cas de fiancée, d’amie de cordée,
voire de guide pour éviter ces crevasses, ces gouffres, ces malheurs, ce qui a
permis en 2005 (en même temps que mes efforts de peintre depuis les miniatures
qui ont précédé la décoration de ton piano) ma métamorphose en l’un des
bouddhas.
Et déjà, tu le remarqueras, j’avais oublié que tu m’avais caché pendant dix-sept
ans ma séparation d’avec Christine.
Ensuite j’ai lu ton extrapolation à mon sujet et mes toiles et ton souvenir des
étoiles phosphorescentes, » la pluie d’or au-dessus de Danae… « quand je venais
à Strasbourg.
Enfin je lis et comprends ta projection réaliste: nous n’aurions fait dans ce
théâtre d’ombre que « … Trois p’tits tours et puis s’en vont … » (à l’aune de
l’échelle du temps de la Terre qu’apparemment avec celle de l’éternité tu
mesures et anticipes une fois que le temps a passé, devenue plus âgée).
Puis viennent ces points de suspension qui partagent le poème en deux comme pour
« court-circuit », pour marquer la faille ou/et le court-circuit avant la
conclusion à ce poème qui était alors dans l’ignorance que nous nous serions
retrouvé (nouveau coup de Théâtre), ce qui va modifier cette conclusion : ni
l’un ni l’autre ne deviendra fou et la poésie enfin sera nécessaire (aux deux),
puisque la corde fut coupée pour que l’un et l’autre devenions chacun si
possible autant guide de haute montagne que l’autre et passions une autre corde
entre nous, celle de la chance d’un nouveau modèle, plus souple, bénéficiant de
l’expérience malheureuse où la précédente a lâché, donc probablement plus
solide, incassable.
Michèle, je devais en partie te devoir d’être redevenu l’un des bouddhas (ce qui
était la condition sine qua non pour que ces émissions à travers Espace et Temps
aient lieu parce que tu ferais cette erreur d’adolescente – celle de m’interdire
d’avoir plusieurs épouses alors que fiancé à Christine) et maintenant je te dois
la vie avec ces nouveaux espoirs que tu me donnes d’autant que Christine ne m’a
pas attendu (comme j’avais eu l'espoir un long moment en 1977 qu’elle ferait, en
étant au courant de tout avant, depuis 1975-1977) et n’a peut-être pas fait
semblant de se marier avec cette personne russe que je lui avais conseillé pour
canoniquement la protéger durant les années de l’Hyper Méga Dictée Pharaonique
(dont le début correspond à la dangereuse mort de la reine de la nuit) durant
lesquelles je l’ai attendue en vain avant qu’elle me donne le feu vert pour
demander l’annulation de son mariage mais en m’ayant auparavant demandé de
t’épouser, ce qui a compliqué ma lettre aux papes et celle aux présidents de la
république comme confirmé que j’avais (dans l’autre cas de figure de la
Création, [à partir de 1975-77] qui aurait marché, si nous n’avions pas été
contraint de nous séparer), plusieurs épouses.
Pourquoi donc serais-je à l’origine de ton exclusion de ma/notre vie ? Nous
avons eu entre nous aussi un anneau immaculé. J’ai cru que c’était le même que
celui de Christine, du moins qu’il correspondait et me suis à moitié trompé. Il
y a bien eu un anneau immaculé entre nous deux.
En sortant de l’hôpital, je t’ai téléphoné pour te pardonner, en raison de
l’existence de la religion chrétienne qui vaut mieux, certaine fois, que
l’absence de religion et cela en pensant sur le long terme à l’aune de mes
responsabilités pharaoniques de bouddha et d’empereur, donc d’eanmeailleur.
Ce que tu as choisi en 1977 fut adolescent, ce que je peux comprendre et qui est
par bien des aspects naturel car inconscient, le choix d’une jeune fille qui n’a
pas encore appris à se mettre à la place de l’autre, fiancé d’une autre jeune
fille (Christine).
Comment continuer à t’en vouloir après tant de temps qui plus est séparés et en
ayant pris conscience que notre séparation t’avait autant fait souffrir (au
point de ne plus réussir à pleurer) ? Impossible. Je n’aurais pas pleuré si
notre souffrance à tous deux et notre couple m’avaient été indifférent et je
n’aurais pas autant que cela évoqué dans les lettres aux papes et aux présidents
de la république la possibilité de nous marier malgré ce qui s’était passé et
les droits de Christine à être la première épouse.
Cette omission qui fut la tienne (des droits d’une plus petite que toi) est
celle que continuellement la plupart d’entre nous, plus ou moins conscients,
avons envers nos prochains. C’est celle de la jeune fille profane qui ne croit
pas qu’il existe de chasse gardée ou qu’un jeune homme se réserve à une jeune
fille au point de lui proposer l’exclusivité, voire à la musulmane avec la
seconde épouse ou/et la troisième, etc. (ce qui n’exclut jamais le devoir de
fidélité envers la première).
Si nous savions l’étendue de la détresse de chacun d’entre nous et nos
manquements à nos devoirs vis-à-vis de chacun, nous comprendrions mieux pourquoi
certains d’entre nous avons continuellement les uns avec les autres des griefs,
des rancunes, des mécontentements. Or la religion chrétienne conseille de
pardonner, de ne plus en vouloir, voire de ne pas en vouloir, ce qui est, je le
vérifie, salvateur y compris dans le cas ézu (exceptionnel) de nôtre histoire si
complexe. Et oui, les uns et les autres nous péchons sans même nous en rendre
compte, les uns vis-à-vis des autres par légèreté en de nombreuses occasions et
souvent en sacrilèges, à notre insu. C’est pourquoi à la messe nous nous
repentons pour toutes les fois où nous péchons malgré nous, à nôtre insu, comme
pour toutes les fois où nous avons péché plus conscient de l’avoir fait (par
exemple quand nous sommes traîtres envers une personne ou que nous l’oublions
alors que nous nous sommes engagés vis-à-vis d’elle).
Je t’écris ici pour te dire que je m’engage de nouveau à t’être fidèle- [(mais
tu as compris depuis 2005 il n’y a pas eu le temps de rechercher d’autres femmes
– de te faire une infidélité : avec Christine cela n’a jamais été une infidélité
à ton sujet, puisqu’elle avait dès 1975-77 l’antériorité en tant que ma première
femme /sœur /amie / épouse / promise et l’amnésie que j’ai dû m’ingénier à
contracter s’était pour m’autoriser – uniquement ainsi – à lui être infidèle
avec toi (puisque tu avais voulu être la seule impératrice) car j’étais assuré
d’avance avec les communications à travers Espace et Temps qu’on me redonnerait
à partir de 2005 ma mémoire d’elle, ce qui permettrait alors ces transmissions
salvatrices. Aussi tu as pu comprendre que je suis quelqu’un d’hyper fidèle
puisque pour m’éviter une infidélité à ma première épouse (amie / fiancée /
promise / etc.), Christine, j’ai préféré subir l’amnésie et tous les malheurs
qui en ont découlé de manière à ce qu’une fois qu’on me redonnerait ma mémoire
Christine puisse constater que je ne l’avais pas trompé et toi en comprenant
alors, constater que non plus je ne t’ai pas trompé [il était important que j’ai
cette amnésie de Christine pour que je puisse t’aimer d’Amour – (ce qui serait
nécessaire pour que je redevienne l’un des bouddhas pour que je puisse
intervenir à travers Espace et Temps) - sans savoir comment tu avais pris la
place de Christine puisqu’à de nombreuses reprises tu as mérité cette place et
mon amour] puisque nôtre histoire d’amour a permis que je redevienne moi-même,
par conséquent, le jour venu, avec la mémoire de Christine comme fiancée, amie,
sœur, épouse mais aussi totalement libre de me vouloir ou de ne plus me vouloir
(il s’agit – en fait comme toi maintenant - de la promise première épouse)
tandis que j’avais à devoir assumer ma relation avec toi une fois que je saurais
combien Christine avait compté. Il est normal en 2005 que ma première réaction
ait été la rupture de nos fiançailles puisque je ne savais pas durant tout le
temps qu’elles ont duré que j’avais été engagé avec Christine et que tu me
l’avais caché)]- pour que tu ne souffres plus ce que cette séparation t’a fait
souffrir en croyant que la corde entre nous était coupée à jamais, que les deux
mégots (de la même cigarette) étaient à jamais disjoints parce que cramés, déjà
achevé[e]s. Le couteau qui avait tranché notre relation était – tu as raison –
sur certains aspects de sa lame, préhistorique (« venu des grottes de l’os ») :
encore profane, sacrilège, n’ayant pas intégré ces conseils de la religion
chrétienne et c’est pourquoi pendant de nombreuses années d’autant plus que
j’avais la Méga Dictée comme priorité universelle à dicter, nous avons été
convaincu qu’après ce qui s’était passé, nous devions nous séparer. Ce n’est que
maintenant où j’ai cessé ces émissions à travers Espace et Temps et que j’ai
fini d’écrire mes lettres officielles pour annoncer la contrainte de dérogations
le cas échéant où Christine voudrait m’épouser (en même temps que toi ou après
toi ou avant toi – en raison de ses droits et ceux de Florence Loewy) que j’ai
pu penser à trouver du temps pour te pardonner, mais aussi pour te demander
pardon (à la place des coupables) étant donné que j’ai bien pu vérifier qu’en
réalité tu es, comme moi, victime de la situation d’une complexité inouïe à
cause de ces communications à travers Espace et Temps qui a à l’origine pour
auteur celui qui en 1975 m’a été (dans ma tête) présenté par mon père comme
étant Dieu qui en me redonnant la mémoire de Christine a été à l’origine de la
nécessité de transmettre à travers Espace et Temps, parce que j’ai soudain
découvert qu’on me voyait dans l’époque de 1975-77 au-dessus du lycée
Chateaubriand de Rome et que si je ne le faisais pas, en 1965 je ne partais pas
pour Rome où je devais nommer en Saint-Esprit mon père empereur avant de l’être
moi-même à partir de 1995. J’étais coincé à devoir émettre ces transmissions
pharaoniques à travers Espace et Temps dont Christine a été témoin avec les
élèves du Lycée, les habitants de Rome et du Vatican, les touristes de passages
et François Mitterrand venu tout spécialement s’en assurer lui-même puisque
j’avais annoncé du ciel en 1975 qu’il serait président en 1981.
Mais j’ai essayé de comprendre de nouveau cette religion chrétienne, en allant à
partir de 2005, malgré des différends avec l’Eglise, plusieurs fois entendre les
Évangiles et les textes sacrés comme j’avais pu dès 1967, à Rome, devenir
chrétien en allant hebdomadairement à l’Eglise entendre ces lectures et les
commentaires des prêtres au cours de leurs homélies, ce qui m’a fait revenir
après cette longue période avec toi profane dans le sein de l’Eglise, malgré le
fait qu’elle soit coupable de ne pas être intervenue auprès de toi en 1977 pour
te dire que j’avais le droit (canonique) à plusieurs épouses car le futur
empereur devenu bouddha et (je suis revenu aussi) malgré le fait que l’Eglise a
voulu (elle ne l’a pas empêché comme elle aurait dû en raison de la nubilité de
Christine) la réitération du sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien,
ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des
religions intellectuellement admissibles, ni aux membres des catégories
‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’,
‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) de séparation
entre Christine et moi qui avait déjà duré dix ans en 1975 !
Il y a donc à voir d’un côté les erreurs de l’Eglise et de l’autre ce qui est
positif avec/dans l’Eglise de même qu’on distingue Jésus-Christ de l’Eglise et
les moments positifs de n’importe laquelle des personnes d’une autre.
Il y a que cette Eglise propose en nous conseillant de pardonner (d’être
charitable les uns avec les autres) ce qui même du point de vue du bouddha que
je suis n’est pas naturel, voire impossible, mais qui est ce qui va permettre de
supporter les autres imparfaits comme on l’est soi-même à un niveau ou à un
autre, voire comme je le dis, parce qu’handicapés (http://granier.laury.free.fr/divers_ecrits/handicape.htm)
sur un point ou un autre.
Je t’embrasse en te saluant à l’indienne,
Laurie Granier d’ex-Atlantide Lang de [R]Ôz[eau/…/w/y/s]