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de "Lettres à des personnalités"
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Notre réponse
est écrites en bleu (aux réponses en noir de Monsieur Philippe
Couderc).
copie du quatrième mail:
Objet :
ultime réponse au mail de mardi 11 février 2003 18:10
Monsieur,
J'espère encore une fois vous ramener à la raison et à la juste conscience professionnelle qui est en jeu ici et qui s'impose, avant d'agir en conséquence. Veuillez alors, s'il vous plaît, lire ce mail attentivement et honnêtement.
Ce travail rendu est inacceptable et nous sommes tout à fait en droit de le constater et de le trouver comme tel. Nous sommes en droit d'accepter ou de rejeter votre travail, car toute autre société dans notre cas ne pourrait payer qu'un travail irréprochable.
Mais si vous êtes prêt à subir toutes les conséquences de votre mauvaise foi et de votre mensonge ci-dessous (car nous avons, pour notre part, pris l'habitude de ne jamais nous abaisser à mentir et nous savons fort bien ce que nous nous sommes dits par téléphone) et cela malgré la peine que j'ai prise dans mes différents courriers, pour vous éclairer le plus précisément sur les flagrants défauts de votre travail (que vous avez pu constater vous même et qui seront vérifiables et vérifiés par qui de droit pour que nous parvenions à un travail vraiment satisfaisant), je suis prêt à vous régler votre chèque, que vous semblez préférer à votre réputation et à votre honneur.
Veuillez, s'il vous plait, encore une fois me donner votre réponse sur ce point et je vous conseille avant de la formuler d'y réfléchir en prenant tout le temps nécessaire, car elle pourrait risquer de se retourner contre vous.
Il s'agit, pour ma part et pour notre société, de vous donner ici une nouvelle chance et un nouveau délai de réflexion (pour bien réfléchir - ce qui va malheureusement occasionner pour nous un retard imprévu): ce qui est une preuve nouvelle de notre courtoisie opposée à votre mauvaise foi.
Permettez-moi de vous rappeler la situation: vous êtes une entreprise qui a livré un travail non conforme. Vous en avez été averti par nos mails successifs et vous avez pu vous-même le constater en vérifiant vos erreurs sur les cd, après le travail accompli. Ce travail ne correspond pas aux accords et aux règles que vous avez édictés dans votre propre documentation et que nous avons suivie à la lettre.
Nous vous rappelons une nouvelle fois que vous n'avez pas remis en cause nos fichiers établis en conformité avec vos indications lors de leur réception à Réverbération et lors de l'ouverture de ces fichiers sur vos machines, étape nécessaire que vous avez sans doute franchie pour vérifier, de votre côté, comme il se doit en pareil cas, que nous répondions très précisément à votre demande avant de commencer votre travail de duplication.
Je n'ai rien à vous prouver pour l'instant et ma parole suffit amplement - elle s'est fondée sur des constatations très précises, au millimètre près, dont nous avons amplement discouru dans les courriers précédents.
Votre mémoire semble vous jouer des tours et doit être défaillante en ce qui concerne notre conversation téléphonique, mais il est vrai que vous aviez beaucoup de travail pendant ces fêtes, notre conversation a pu vous échapper.
Ne cherchez plus à me défier, alors que j'essaie tout simplement de vous permettre de regagner ma confiance. De toutes façons vous savez bien que cette conversation téléphonique est tout à fait secondaire puisque le résultat de votre travail comporte de trop nombreuses erreurs.
Je vous rappelle donc une nouvelle fois que non seulement je suis le fondateur de la société Lorimage, mais que je suis également le maître d'oeuvre du travail dont nous vous avons confié la duplication. Vis à vis de mon commanditaire (qui me fait confiance sur la base de ma réputation liée à mon travail irréprochable) qui est au courant de notre différent (il avait pris connaissance de la maquette dont je vous ai envoyé une copie avec les cd-rom et pour laquelle il a donné son assentiment de réalisation) il ne m'est pas possible de lui livrer dignement le restant des cd en l'état. Nous en sommes réduits pour l'instant à offrir ces cd car nous ne pouvons à priori pas les vendre dans l'état. Il est, et vous en conviendrez j'espère, précisément de mon devoir (comme je l'ai toujours fait en pareil cas et comme le ferait n'importe quel responsable consciencieux d'un travail vérifié qui ne correspond pas à ce qui est convenu) de vous faire recommencer à vos frais ce premier échec malheureux (où se sont glissées les erreurs de taille que vous savez) jusqu'à l'obtention de la pleine satisfaction de ce qui a été convenu.
Mais si vous ne souhaitez vraiment pas assumer votre responsabilité et refaire ce travail à vos frais, dîtes-le nous maintenant franchement. Vous risquez d'en subir les nombreuses conséquences. Si vous vous montrez être incapable d'être à la hauteur de vos propres exigences, ce sera donc quelqu'un d'autre à qui nous confierons à l'avenir la duplication en un plus grand nombre d'exemplaires, des cd-rom et des dvd-rom liés aux films que nous produisons. Nous ne pouvons travailler qu'avec une société qui fait un travail irréprochable, ce qui n'est hélas pas votre cas.
Comme dit plus haut, si vous restez sur vos positions et si vous souhaitez votre chèque, il suffit de me le dire encore une fois, en votre âme et conscience et tout bien pesé, et vous aurez votre chèque dans les meilleurs délais, n'ayez crainte!
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Révision : 01 août 2003