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La copie de mon courrierIn -(variante pour courrier Internet)- du 08 Novembre 2020 à Monsieur le Président de Paris-Habitat Monsieur Roger Madec et à Monsieur le Directeur Général de Paris-Habitat, Monsieur Stéphane Dauphin

 

Monsieur Laurent-Marie Granier

20 rue de l’Ecole Polytechnique

75 005 Paris 

laurentmariegranier@gmail.com

 

à 

 

Monsieur Roger Madec, président de Paris Habitat et à Monsieur Stéphane Dauphin, Directeur Général de Paris-Habitat, 21 bis Rue Claude Bernard, 75005 Paris, aux bons soins de madame Sabine Lemire, gardienne à Paris-Habitat:

 

Bonjour Sabine Lemire, (bonjour aux autres).

Je suis locataire au cinquième étage -(porte à droite en sortant de l'ascenseur)- au 20 rue de l’Ecole Polytechnique dont vous êtes la gardienne. 

J’ai essayé de joindre Paris-Habitat pour obtenir l’adresse e.mail du Directeur Général de Paris-Habitat, Monsieur Stéphane Dauphin pour lui envoyer d’urgence directement la lettre qui suit ci-dessous dans sa boîte mails -(voire, s’il vous plaît, avec la copie de ce message à votre attention), mais sans succès en raison d'un problème informatique affectant le réseau de Paris-Habitat, donc à résoudre / réparer par Paris-Habitat -(ce qui peut prendre du temps - aussi je vais imprimer la lettre ci-dessous et par sécurité l’envoyer aussi par la Poste aux destinataires indiqués), ce qui fait que pour faire parvenir le courrier ci-dessous au Directeur Général de Paris-Habitat, on m’a dit -(au numéro qu’on doit appeler « en attendant que les lignes de Paris-Habitat soient restaurées »)- que j’aurais plus de chance en passant par vous, madame Sabine Lemire, qui aurez la bonté de vous charger de faire parvenir par e.mails la copie de ce courriel urgent à l’adresse Internet que vous savez du Directeur Général de Paris-Habitat, Monsieur  Stéphane Dauphin -(ici c’est vous qui savez plus certainement que moi qui est actuellement en charge de la fonction de Directeur Général de Paris-Habitat à qui envoyer le mail suivant en en faisant une copie pour l’envoyer aussi au numéro un de Paris-Habitat, soit à l’adresse Internet du Président de Paris-Habitat, Monsieur Roger Madec). 

Merci donc, s’il vous plait, de me confirmer que c’est bien lui, Monsieur Stéphane Dauphin qui est bien actuellement le Directeur Général de Paris-Habitat pour que mon courriel lui parvienne par votre intermédiaire ou alors, s’il vous plaît, parvienne à son successeur -(si la responsabilité de cette fonction devait avoir entre temps changée)- à qui, s’il vous plaît, vous allez avoir la gentillesse d'envoyer la copie du courriel ci-dessous à moins que vous ayez aussi l’adresse e.mail du numéro 1 de Paris-Habitat -[qui serait autre -(nom et prénom)- que Monsieur Roger Madec]- pour lui envoyer copie de ce courrierIn -(variante de courriel).

 

A ce standard de remplacement, après s’être renseignée, la dame que j’ai eu au téléphone m’a dit que c’est vous qui aurez la gentillesse de transmettre au numéro1 de Paris-Habitat Monsieur Roger Madec et au Directeur Général Stéphane Dauphin le courriel entier ci-dessous -(avec la copie de ce message).

Merci aussi de me confirmer -(quand vous l’aurez fait / envoyé)- que vous l’avez envoyé à ces deux intéressés en vérifiant, s’il vous plaît, que la totalité du mail ci-dessous est bien arrivé à bon port à ce directeur général Stéphane Dauphin et/ou au numéro un -(1)- de Paris-Habitat, Monsieur Roger Madec.

Veuillez agréer, Madame Sabine Lemire, mes sentiments respectueux et reconnaissants - je n’oublie pas à cet effet que je dois vous voir dans la semaine pour ce que vous savez des photos à découvrir sur https://www.instagram.com/lauriegranier/?hl=fr -(N. B. : la plupart des images sont une fois agrandies à regarder de loin). Dites-moi, s’il vous plait, quand vous pourrez vous libérer à cette fin.

Laurent-Marie Granier

P. S. : J’aurais pu vous écrire plus simplement en marquant seulement » prière de faire suivre à qui de droit «  -(et vous auriez envoyé ce qui suit à M. Stéphane Dauphin, Directeur Général - voir à Monsieur Roger Madec, Président de Paris-Habitat, ce dont je vous aurais remercié mais je n’ai trouvé cette formule qu’une fois après m’être donné la peine d'écrire votre/ce message ci-dessus. Aussi veuillez m’excuser.

 

 

Paris le 8 Novembre 2020

 

Objet : Projet de réhabilitation de la résidence Carmes-Polytechnique dans le Cinquième arrondissement de Paris.

 

Bonjour Madame Sabine Lemire, bonjour Monsieur Roger Madec, président de Paris-Habitat et bonjour Stéphane Dauphin, Directeur Général de Paris-Habitat, 

 

Merci Madame Sabine Lemire de transmettre ce[t] e.mail / courriel d’urgence aux personnes concernées ci-dessus, vos responsables.

Permettez-moi de vous envoyer la copie de mes lettres / messages à Madame la Maire du Cinquième Arrondissement de Paris, Madame Florence Berthout, dont celle que je lui ai envoyée le 9 septembre 2019 que vous trouverez en fichier joint après le post-scriptum de la version de cette lettre envoyée par e.mail, aux bons soins de Madame Sabine Lemire, gardienne des logements Paris-Habitat du 20 rue de l’Ecole Polytechnique, Paris Cinquième où j’habite.

C’est à la suite des réunions que vous avez organisées avec l’aide des architectes -(que vous aviez chargés de présenter aux locataires les plans pour les diverses possibilités de réhabilitation de la résidence Carmes - Polytechnique dans le 5ème arrondissement), que j’estime, (avec toute mon expérience en architecture –[et Dieu sait combien elle est importante / grande dans mon cas qui suis, entre autres, docteur en Arts et Sciences de l’Art de l‘Université de Paris I-Sorbonne où j’ai même, dans les années 2000, un peu enseigné avant, à partir de 2005, de devenir handicapé par ma situation très exceptionnelle de premier eanmeailleurs -(soit de pharaon-bouddhahs)- de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)-, dont vous pouvez aussi prendre plus ample connaissance / informations dans/à travers mes lettres aux papes et aux présidents de la République française comme en résumé dans celle à Monsieur Emmanuel Macron mais aussi celle à vous, Monsieur Roger Madec, Président de Paris-Habitat : "http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/roger_madec_paris_habitat.htm ])- ne pas avoir à réhabiliter, si ce n’est proposer la rénovation des appartements où il n’y a plus de locataire[s] -(certains depuis longtemps), par conséquent cette rénovation pour les appartements actuellement vides.

En effet, quand je suis venu m’établir au 20 rue de l’Ecole Polytechnique en 2013 -(en raison de ce que je fus alors considéré par les psychiatres comme handicapé par ma situations, comme vous l’avez vu, plus qu’exceptionnelle, j’ai trouvé l’appartement 49 au cinquième étage où je vis actuellement admirablement rénové, au point de me dire, ces dernières années, à la vue des différentes solutions alternatives de plans proposés pour la réhabilitation de la résidence Carmes - Polytechnique, qu’il n’est pas nécessaire de procéder à une réhabilitation complète des immeubles, car la rénovation des appartements sans locataire[s] -[dans ce cas]- suffit amplement –(ce qui est aussi le cas de l’appartement utilisé rue des Carmes où nous avons été reçus plusieurs fois ; admirablement rénové avant de servir à ces réunions), étant donné que l’architecte qui, au départ, a signé ces immeubles, (vous le comprendrez dans la suite de cette lettre), les a admirablement conçus et excellemment bien faits/construits à partir de ses plans originaux qui, tout/s compte[s] fait[s], ne sont donc -[objectivement, soit rationnellement, donc de façon cohérente]- pas/plus à modifier pour ceux -(au moins deux variantes que vous comprendrez ici cauchemardesques à habiter / vivre pour des personnes âgées ou/et des handicapés)- qui ont été proposés à la place par le cabinet d'architecture que vous avez chargé de faire des propositions en/dans ce sens. 

Seuls les travaux dans les parties communes et le jardinet dans la cour où se trouvent les poubelles sont à entreprendre -(en tenant compte de mes remarques pour le sas d’entrée au 20 rue de l’Ecole Polytechnique et de la solution alternative élégante qu’en guise de remède j’ai alors émise / proposée : il n’y a qu’à déplacer les boîtes aux lettres le plus possible vers la porte d’entrée, même au-delà des marches après la porte d’entrée de l’immeuble, par conséquent jusqu’à la porte d’entrée ces boîtes aux lettres, donc au-dessus de ces marches aussi pour gagner de la place devant, du côté de l’ascenseur et ainsi placer, à la limite de ces boîtes aux lettres du côté de l’ascenseur, [une fois déplacées ces boîtes aux lettres dans le couloir d’entrée jusqu’à la porte d’entrée], cette seconde porte d’entrée, donc située après le sas d’entrée, par conséquent après des marches, la longueur de ce sas étant ainsi créée jusqu’à/par la limite des boîtes aux lettres côté ascenseur, en obtenant ainsi plus de place devant l’ascenseur, ce qui permettra enfin de s’y croiser sans danger en ayant chacun suffisemment d’espace, car sinon là où les architectes envisageaient de mettre la seconde porte d’entrée, celle du sas, cela n’allait pas du tout : le sas d’entrée étant ainsi beaucoup trop long, ce qui réduisait à beaucoup trop peu de place l’espace devant l’ascenseur, après la seconde porte d’entrée, celle du bout du sas d’entrée, où l’on doit pourtant trouver la place pour se croiser, voire pour y être avec le caddie des courses, voire pour parler en toute sécurité avec l’un ou l’autre des voisins qu’on a, à cet endroit, croisé, car il y a ceux qui descendent de l’escalier, voire qui l’emprunte pour atteindre / monter chez eux, quand il y a ceux qui sortent de l’ascenseur ou au contraire qui proviennent de la rue pour emprunter à leur tour cet ascenseur, mais aussi ceux qui se rendent dans la cour avec le sac de leurs ordures ménagères à jeter avec les bouteilles vides -(qui font, quand elles sont lâchées dans la poubelle spécialisée pour les objets de/en verre, un bruit fort important et désagréable qui résonne dans la cour intérieure de l’Impasse des Bœufs. Au point que pour remédier à ces nuisances sonores, il n’y a k -(qu’à)- permettre -(donner l’autorisation)- d’ouvrir le couvercle de la poubelle » spéciale verre «, ce qui offrirait de pouvoir déposer plus délicatement les bouteilles vides au lieu, comme c’est, hélas, toujours le cas, d’avoir à les lâcher une fois introduites / passées dans le trou au centre de ce couvercle -(pour l’instant rivé à la poubelle), ces bouteilles tombant alors de tout leur poids sur celles qui ont déjà été jetées, ce qui est la cause de ce boucan -(causé par le choc de bouteilles en verre vides, d’où comme l’impression d’écho à la longue insupportable)- à chacune des bouteilles jetée par les locataires du 20 rue de l’Ecole Polytechnique)- et qui ne doivent pas être incommodés par le trop peu d’espace qui restait après le sas d’entrée devant l’ascenseur, s’il devait y avoir quelqu’un à l’attendre), voire si vous le croyez absolument nécessaire mettre des portes coupe-feu -(ce qui ne nécessitera pas de déménagement[s] des locataires car ce sont des mesures à prendre pour préparer ces portes en menuiserie spécialisée, voire métallisée -(en ces temps de protection du bois des forêts), ce qui prend, après réalisation, au grand maximum une demi-heure par porte à poser/remplacer. Donc pas de déménagements -(et puis pour réaliser ces portes, si vous les voulez / y tenez absolument -(car, à mon avis, celles qui sont en place sont déjà bien bonnes, même si elles ne sont pas spécialement conçues comme coupe-feu – ce que, j’ai compris, rassurerait les plus timorés -[d’entre les locataires]- d’en bénéficier, donc ce qui peut mener les autres à vouloir sacrifier les portes actuelles pour, il est vrai, de plus sûres et/ou efficaces en cas de feu – par conséquent d’accord, OK, pour ces portes coupe-feu), inutile de s’adresser pour ce faire à une agence d’architecture -(on peut s’adresser directement à un menuisier-spécialisé en menuiserie de métaux -(métallique et alu)- pour éviter de les fabriquer en bois de manière à épargner nos forêts et surtout bénéficier de ce dont est capable la menuiserie métallique comme haute-technologie, soit des portes mises-à-jour, bien de notre époque géniale -(sur de nombreux points), grâce à la grande expérience de ces menuisiers métalliciens -[et alu]- bien de notre époque)-, à moins que vous y teniez pour des raisons que vous estimerez je n’aurais pas à savoir, à moins qu’au contraire vous ayez la gentillesse de me confirmer que c’est peut-être en raison qu’à première vue cela facilite, ces compétences rassurantes d’un architecte sur lesquelles s’appuyer / compter, au plus haut degré une des directions de l’administration de Paris-Habitat en passant ainsi par une sorte de sous-traitant, ce cabinet d’architecture ou/et responsable des travaux de/à Paris-Habitat ? Attention s’il se prononce mal, voire propose des travaux qu’il n’y avait pas à entreprendre -(en contraignant des personnes âgées à démanger autant de temps)- pour justifier ses honoraires, en abusant de votre confiance de responsable[s], il y a des probabilités désastreuses de réincarnations pour les âmes de chacun de ces « architectes » s’étant conduits en profiteurs, au sens négatif de ce mot qui en a du positif dans d’autres SPOK/cas).

Dans ces lettres -(à Madame la Maire) jointes, je développe les raisons pour lesquelles les plans qui ont été proposés concernant mon empilement -(à droite en sortant de l’ascenseur)- ne sont pas acceptables car il ne tiennent pas compte des difficultés des personnes âgées -(et handicapées)- à rejoindre les W. C. dont ces architectes -(que vous avez choisi à Paris-Habitat)- veulent, vous le verrez, de manière sacrilège, changer d’emplacement qui est pourtant pour l’instant – tel qu’il est - parfait -(avec l’arrivée et l'évacuation des eaux au seul bon/juste endroit de l’appartement)- presque au centre de l’appartement, du moins dans un peu plus du premier tiers de celui-ci.

En effet, ce serait sacrilège envers l’Architecture la plus véritable / la meilleure / la plus justement conçue de placer ces W. C. à l’entrée, à la place du placard -(qui est très utile là où il est, car après les courses au marché ou ailleurs, il offre l’emplacement idéal pour entreposer un vélo pliable, le caddie des courses et surtout les affaires d’hiver l’été et les affaires d’été, l’hiver! Mais aussi les draps, les serviettes de toilette, bref une sorte de penderie, mais aussi avec les étagères une superficie de rangement pour des livres, etc., un espace pour les outils et/ou l’échelle, ce qui n’est pas négligeable et qui permet aussi d’y mettre d’autres effets comme dans un petit grenier, etc. La perdre -(cette superficie de ce placard)- c’est perdre dans ce type d’appartement une place/surface indispensable à la meilleure des vies quotidiennes étalée sur l’année ; c’est, en réalité, rendre plus petit l’appartement parce qu’on a perdu tous ces espaces vitaux de rangement, soit l’équivalent du contenu d’une très grande armoire avec l’armoire elle-même. Au contraire, la conserver c’est disposer d’un bonus de place[s] vraiment très utile[s] / nécessaire[s] – que je sache personne n’a proposé de faire un loft avec chacun de ces appartements, ce qui ne serait que difficilement possible parce qu’on perdrait alors les cloisons de séparation de la cuisine avec la chambre à couche-(signalé dans les plans de départ comme le séjour ; les odeurs de cuisine y pénétrant)- et la cloison de la chambre -(devenue séjour)- comme celles -[de cloisons]- le long du couloir). 

Il s’agit donc avec ce placard -(dans lequel on peut y ranger aussi une table à repasser et son fer)- d’une superficie débarras / petit grenier qui est absolument essentielle / vitale. Une fois détruit ce placard où mettre ces affaires si utiles -[si nécessaires à d’autres moments]- et qui s’y trouvaient économisées / conservées / épargnées ? Il n’y a pas la place ailleurs, c’est trop petit et cela malgré les étagères que j’ai mises devant / le long de toutes les cloisons des deux chambres et des murs du couloir, au point qu’elles triplent ces cloisons -(voire qu’on pourrait se passer d’elles, si elles ne sont pas des murs porteurs et s’il n’y avait pas le problème des odeurs de la cuisine). Aussi détruire ce placard c’est sacrilège envers cette solution alternative élégante -(S. A. É.)- du placard qui a finalement été trouvée à un moment donné dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- en Architecture et qui est effectivement très utile / ingénieuse, au point d’être / de représenter un très réel confort supplémentaire important / essentiel / utile, nécessaire en faisant grandement la différence avec les lieux alternatifs qui en seraient dépourvus -[de ces placards] !

Mais je disais que d’utiliser ce placard pour y mettre les W. C. la douche et un lavabo n’est pas du tout une vue de l’esprit des plus  intelligentes -(mais/et/c’est une fausse bonne idée / induit dans l’erreur parce qu’on s’est appuyé alors sur le fait qu’on aurait à notre disposition pour se laver les mains un lavabo dès l’entrée – alors que durant l’hiver du moins on porte des gants qu’on retire là où on se change ou on pose les courses)- car une fois habitant au quotidien l’appartement pour rejoindre depuis la chambre ou le séjour ces W. C. situés à l’entrée de l’appartement, il faudra à une personne âgée, voire une personne handicapée, (ou votre locataire), marcher une moyenne de sept à huit mètres en/de plus du nombre de ceux qu’il a fallu se donner la peine de couvrir -(ce qui peut, à cet âge-là des probabilités de pas beaucoup plus petits/courts, et lents, représenter une quinzaine de petits pas en plus à l’aller comme au retour, soit une trentaine, ce qui à la longue fatigue et ce qui peut représenter une grande difficulté dans la vie de ces personnes âgées, voire représenter un handicap supplémentaire à celui de la vieillesse et du statut d’handicapé de ce locataire)-  pour rejoindre aujourd’hui dans l’état actuel les W. C. -(et cela si la cuvette de ces W. C. est mise à l’entrée de l’appartement, à la place de ce placard, au lieu de demeurer là où elle est, si j’ose dire » par défaut «, admirablement placée)- et ces sept à huit mètres -(environ une vingtaine de petits pas – ce qui est parfois le cas, ces petits pas, plus courts quand on devient une personne âgée : l’empan des pas a de fortes probabilités de se raccourcir quand une personne vieillit - à chaque fois que cette personne âgée, voire handicapée -(ayant heureusement encore longtemps à vivre sans devoir se servir de couches)- aura à rejoindre ces W. C. ou/et la douche !: (en anglais : Non sens !)

Pour l’instant il faut environ sept à huit mètres depuis mon bureau dans le séjour où je travaille au fond du couloir (dans ce qui était au départ considéré la chambre), 

env. six mètres depuis la chambre à coucher -(considérée normalement comme le séjour)- et env. quatre mètres cinquante, voire cinq -[mètres]- depuis le centre de la cuisine pour rejoindre la cuvette des W. C. où ces waters sont actuellement placés comme ils doivent le demeurer et, de ma chambre à coucher, soit du bout du lit, 2 à trois mètres pour rejoindre le lavabo et la douche. 

Aussi vous comprendrez que le W. C. ce lavabo et cette douche sont excellemment placés tels qu’ils le sont actuellement – j’ai vérifié - plans à l’appui :  On ne peut pas mieux faire que comme cet appartement a été conçu à l’origine ou/et a été rénové ainsi -(sauf en faisant ce que j’ai fait : en mettant la chambre à la place du séjour et le séjour à la place de la chambre -(pour avoir accès au lavabo et à la douche dans la chambre)– ce qui a certainement été pensé par l’auteur de cet immeuble comme solution alternative élégante possible avant de se décider, parce qu’en anticipant, il voyait bien que d’une façon majoritaire, donc à plus de cinquante pour cent, les locataires en feraient un séjour avec la possibilité de créer un passage directe vers la cuisine -(si vous me permettez, boulevard des odeurs !)- du temps où il n’y avait pas encore la cloison sur laquelle s’est greffé un radiateur pour le chauffage, (ce qui a permis de mettre un radiateur sur cette cloison à la place de ce passage et cela pour le plus grand bien du locataire car ainsi l’espace de la douche est toujours bien chaud. Bravo, bonne initiative et cela d’autant plus que si le passage était de nouveau fait/possible -(en perdant alors le chauffage de ce coin douche à moins de réaliser un radiateur waterproof © qu’on placerait sous le robinet de la douche), cela réduirait les dimensions de la cuisine de la superficie de la porte aujourd’hui fort heureusement cloison -(ce qui évite aux odeurs de cuisine de se propager dans le séjour -[ou la chambre]), ce qui permet, en l’absence de celle-ci -[cette porte]- une armoire à rangement devant cette cloison, comme je l’ai mise alors que de l’autre côté se trouve le radiateur tant soucieux de la meilleure des températures du coin douche et lavabo) ! Mais il y a une chose qu’on pourrait faire pour améliorer les choses dans les W. C. tels qu’ils sont placés c’est de mettre au-dessus de la cuvette et du récipient/réservoir de la chasse d’eau un petit lavabo spécial -(qu’on pourrait donner à fabriquer tout spécialement pour ce genre de situation où il n’y a pas du tout la place de mettre un lavabo sur les parois latérales. Il faudrait artisanalement créer, à partir de l’arrivée d’eau dans ces W. C., un emplacement pour un robinet à environ un mètre trente ou quarante du sol pour se laver les mains dans un lavabo d’un nouveau genre -(donc à faire fabriquer), même si, à première vue, plus haut placé que d’habitude, ce lavabo : le rebord frontal arrondi de un à trois centimètres à un mètre dix du sol. Aussi une fois rentré avec les courses avant de défaire les paquets, une fois retirés les gants, au lieu d’aller se laver les mains dans l’un des éviers de la cuisine -(alors devenue dans ce laps de temps en partie une toilette)- ou d’aller à celui qui est contigu dans la chambre -(soit originellement le séjour), on passe par les W. C. à deux ou trois pas de l’entrée de la cuisine, voire à quatre à six petits pas pour une personne âgée, dans lequel on trouve, au-dessus de la cuvette et du réservoir de l’eau, à un mètre dix du sol, sur cinquante cm de longueur -(entre  la colonne d’arrivée de l’eau et celle pour l’évacuation), ce petit lavabo d’un genre nouveau -(comme une planche inclinée sur quinze à vingt centimètres de hauteur et 30 cm de large donc comme une petite cuvette d’un genre nouveau car le devant est si possible sans rebords, au sens ou celui-ci sera arrondi sur un ou deux centimètres, voire trois -(il n’y en a que des latéraux -[de rebords]- voire un tout petit devant -(de un à trois centimètres arrondis)- qui ne doit pas empêcher / décourager d’introduire au-dessus dans/sur ce lavabo les mains, cependant qu’il y a un plan incliné peu profond -(de un centimètre – ce rebord du devant à une profondeur de quinze à vingt centimètres tout en bas – du côté du syphon. Ce lavabo, si on ne l’utilise pas, peut servir d’étagère : ce devant du lavabo en question rejoint au fond le siphon facilement raccordable avec l’aide d’un plombier à l’évacuation dans ce lieu des W. C. où se trouve précisément la colonne d’évacuation. Avec au-dessus de ce lavabo-étagère particulier / spécial, un robinet placé à environ un mètre trente ou quarante du sol pour, en l’ouvrant, se laver avec, si possible -(un petit espace savon est à prévoir sur le devant de ce lavabo à droite pour les droitiers à gauche pour les gauchers -[d’un genre nouveau, particulier]- et non, comme d’habitude, du côté du mur. Par conséquent placé à l’inverse que d’habitude, ce petit plan pour présenter le savon aux dimensions d’un peu plus que la taille d’un savon standard, soit placé devant, ce porte-savon, car on pourra aussi y poser à la place un flacon de savon)- du savon, les mains et cela d’autant plus qu’on aurait au préalable utilisé les W. C., voire avant d’avoir à les utiliser là où ces W. C se trouvent magnifiquement/merveilleusement placés -(cela évite aussi d’entrer dans le séjour ou la chambre -(c’est comme on voudra ici)- pour rejoindre le lavabo de l’espace douche. La mise en place de ce petit lavabo dans ces W. C. est, avec les outils modernes, de moins d’une demi-journée de travail, voire un peu plus de un à deux jours de travail, voire trois si on cherche à le raccorder à l’eau chaude, ce qui ne nécessite aucunement d’avoir à déménager, si Paris-Habitat décidait de le donner à peaufiner selon mon idée -(par exemple à l’entreprise Sbordoni dans la région du Latium autour de Rome, mais cela peut être fabriqué par n’importe lequel des fabricants de lavabos) - et poser pour améliorer l’hygiène de ces waters dont il ne faut pas changer la place dans les appartements liés à cet empilement).

Aussi ce qui a été proposé dans chacune des variantes des plans est pratiquement incensé -(incohérent avec la situation de vieillesse ou/et d’handicapé que sont la plupart des habitants des immeubles de cette résidence, conçus comme des logements sociaux): car il faudra ajouter ces sept à huit mètres en plus à chacune de ces distances ci-dessus pour rejoindre les W. C. et la douche ainsi placée / vue à l’entrée de l’appartement à la place du placard qui, cependant, est l’endroit idéal où mettre le caddie en revenant des courses après avoir rangé les achats dans la cuisine, voire tout ce qui est à entreposer périodiquement -(en hiver et en été)- comme je l’ai déjà dit, voire un vélo pliable ou/et une trottinette, une planche à roulette, si un enfant-neveu[x]/nièce[x] ou/et petit[s] neveu[s]/nièce[x] et ses amis devaient venir, etc. . Aussi cela signifie pour cette personne âgée, voire pour cet handicapé, ces quinze petits pas courts à faire en plus de ceux qu’il faut faire pour rejoindre actuellement ce W. C. et cette douche et ce lavabo grosso modo situés plus ou moins au centre de l’appartement -(plus précisément dans un peu plus du premier tiers de cet appartement), soit une quinzaine de petits pas courts -(car nous avons à faire dans ce SPOK/cas à des personnes âgées et non de celles qui font des grands pas, voire des enjambées)- depuis la chambre au fond du couloir, celle qui me sert de bureau, donc de séjour, une dizaine de pas en plus depuis la sortie de mon actuelle chambre à coucher -(conçue au départ comme le séjour)- jusqu’à l’entrée de ces nouveaux W. C., et huit petits pas courts pour sortir de la cuisine et rejoindre le W. C. 

En plaçant les W. C. le lavabo et la douche à l’entrée à la place du placard cela, (en nous faisant perdre l’espace de rangement de ce placard, nous l’avons souligné très grandement utile), nous donne trente petits pas d’une personne âgée ou/et d’un handicapé pour, depuis le bureau, (soit ce qui a été considéré au départ comme la/une chambre au bout du couloir), aller uriner ou encore plus de pas si cette personne devait être très/plus handicapée au lieu sinon d’une quinzaine de petits pas dans l’état actuel -(ce qui est donc beaucoup moins fatiguant, même si ce déplacement est à faire à l’aller et au retour et plusieurs fois par jour ! Donc tel que les W. C. se trouvent actuellement, c’est grosso modo deux fois moins de trajet pour cette personne âgée et/ou handicapée). Cela donne aussi, depuis l’actuelle chambre à coucher -(à la place de ce qui a été considéré comme le séjour)- depuis l’emplacement du lit le long de la fenêtre, environ vingt-cinq pas de personne âgée ou/et d’handicapée au lieu d’une dizaine actuellement pour rejoindre les W. C., là où ils -(les W. C.)- seraient et depuis l’évier de la cuisine, au moins vingt-deux pas, au lieu des quatre mètres -(en sortant de la cuisine donc environ huit petits pas de cette personne très âgée)- actuels. Vous comprenez aisément ici qu’il est préférable de ne rien changer des emplacements où se trouvent actuellement les W. C. et la douche car cette dernière est à quatre petits pas du lit et non à à-peu-près douze mètres -(soit environ vingt-cinq petits pas de cette personne âgée et handicapée, comme cela est proposé dans les nouveaux plans, la douche à la place du placard avec les W. C. et le lavabo, le tout sans fenêtre – ce qu’il n’est pas actuellement -[le cas]- car il y a au moins une sorte de hublot qui donne sur le dehors dans la douche, ce qui la rend plus agréable l’été), soit vingt-quatre petits pas pour une personne âgée ayant à se doucher -(y compris pour le retour à la chambre)!  

J’espère que vous comprendrez que pour une personne âgée et/ou un handicapé ce qui est proposé dans ces nouveaux plans n’est pas viable -(vivable). Et en plus cela contraint à déplacer la colonne d’arrivée de l’eau et celle d’évacuation de l’eau de la place à peu près centrale qu’elles occupent actuellement : Ces tuyaux ont été très judicieusement bien placés / vus – je me fais pour cela l’avocat de l’architecte de ces immeubles - tels qu’ils sont et doivent impérativement demeurer. Ils sont aussi à cet endroit -(dans l’appartement 49 - deux pièces que j’habite au cinquième étage au 20 de la rue de l’École Polytechnique, cinquième arrondissement de Paris - qui ayant été rénové en 2013 pour mon arrivée peut être considéré comme un appartement témoin de ceux qui sont comme celui-ci » deux pièces « à rénover dans l’empilement au-dessous et au-dessus du mien dont il est question)- de manière à rendre disponible, si on devait le souhaiter, la possibilité de raccorder de nouveaux tuyaux, soit en direction de la cuisine toute proche -(derrière la cloison de droite des W. C. où l’arrivée d’eau parvient et d’où la canalisation de l’évacuation part)- soit vers les deux pièces / chambres -(ce qui est d’une certaine façon déjà le cas, en ayant placé la douche et le lavabo tout proche de cette arrivée d’eau –[en réalité derrière la cloison des W. C., derrière la cuvette de ces W. C.]- et de la canalisation pour l’évacuation. Les canalisations d’évacuation de l’évier de la cuisine et de la douche rejoignent la canalisation centrale tandis que l’arrivée de l’eau est distribuée y compris par le chauffe-eau pour l’eau des deux éviers -(absolument nécessaires / vitaux tous les deux et non pas comme l’a proposé le cabinet d’architecture auquel vous avez fait appel : un seulement -(d’évier, ce qui rend impossible de cuisiner véritablement)- car les deux éviers sont absolument nécessaires pour pouvoir cuisiner dans cette petite cuisine en même temps que cela donne la possibilité d’entreposer, au fur et à mesure, les couverts et les casseroles sales -(ayant été à peine utilisé.e.s)- à laver dans l’un et/ou l’autre de ces deux éviers. De plus ces deux éviers sont devenus historiques dans l’histoire de l’art -[H. A.] : C’est avec ceux-ci que j’ai pu créer les premiers HYPERLINK "https://youtu.be/eJjOhDWzwSk"sinkArts – évier-à-art[HYPERLINK "https://youtu.be/eJjOhDWzwSk"s] au point de m’avoir donné l’idée de placer en permanence un point caméra à l’aplomb de chacun de ces éviers -(comme j’ai eu l’idée aussi de placer des points caméra au plafond au-dessus de chacun des feux/plaques électriques de la cuisinière, mais aussi de chacune des poubelles) – en même temps que la recette salutaire végétarienne de l’eanmeailleurs, un très véritable exquis et divin délice qu’on peut découvrir proposé sur You tube à mon nom de Laurent-Marie Granier). Aussi l’eau arrivant aux W. C. actuellement placés au sortir de ma chambre-à-coucher et de la cuisine, est distribuée dans la cuisine mais aussi vers la machine-à-laver-le-linge. La canalisation de l’évacuation de l’eau, en provenance des deux éviers et de la machinàlaverlelinge ©, donc provenant de la cuisine, est indispensable ainsi placée –[dans les nouveaux plans, il n’y a, hélas, infiniment hélas, plus qu’un seul unique évier sous la fenêtre de la cuisine -(la largeur de cette fenêtre et son emplacement ayant donné l’idée de mettre -(si justement)- au-dessous de celle-ci, ces deux éviers très/forts utiles pour mieux gérer les activités qui se déroulent à cuisiner et à laver quand c’est le moment, les couverts et les ustensiles qui se salissent ou venant de servir – ce qui, en disposant de deux éviers, est possible de faire en même temps, (cuisiner et salir), parce qu’il y a précisément pour cela deux éviers -(et non un seul)- pour gérer ce genre de situation quotidienne en cuisine. En ne plaçant qu’un seul évier cela va créer des impedimenta à la longue insupportablilissimis…simissimes -(constemment à devoir laver ce qui est à peine posé sale ou venant de servir, dans cet unique évier, au fur et à mesure qu’on le rempli car étant contraint continuellement à faire de la place pour, par exemple, avoir à verser dans une passoire les pâtes ou le riz, etc.), s’il n’y a plus qu’un seul évier. Au point qu’on devra renoncer à nos recherches de solutions alternatives élégantes de recettes. D’où, en fin de compte dans la cuisine que les nouveaux plans modifieraient, une perte considérable d’espace pour cuisiner dans les meilleures conditions et cela à cause de ces nouveaux plans faisant du placard -(situé après l’entrée de l’appartement)- les W. C., la douche et le lavabo. 

Ces toilette[s]-douche[s] et lavabo empiètent beaucoup sur la superficie de la cuisine actuelle qui en est proportionnellement réduite sur ces nouveaux plans où la cuisine ainsi modifiée y est dessinée beaucoup plus petite qu’elle n’est actuellement, en fait -(dans l’état actuelle)-juste comme il faut -(au minimum qu’elle est/soit ainsi avec ces deux éviers aussi indispensables), ce qui ne permet plus de créer dans la cuisine un espace avec table-à-manger et chaise -(qui est pourtant le minimum dont on a[it] besoin aussi pour cuisiner au moins deux fois par jour : Dans l’état actuelle la superficie de la cuisine est petite cependant que parva sed apta -(trad. : petite mais O.K.)- mais elle permet, avec ces deux éviers de faire de la cuisine et même des recherches comme de créer de[s] nouvelles recettes. Il y a eu un temps, à partir de 2013-14, où j’ai fait ces recherches de nouvelles recettes -(que j’ai écrites dans un cahier que je vais un de ces jours avoir à recopier et mettre sur mon site Internet)- au moins deux fois par jours, tandis que je continue à y manger trois fois par jour donc y compris au petit-déjeuner. Cette cuisine n’est plus équipée de lave-vaisselle -(ce qui a permis de mettre à la place un espace table et chaise pour y manger dessus et l’utiliser comme petit plan de travail pour cuisiner. Ces deux éviers sont ainsi qu’ils le sont actuellement -(mais aussi depuis 2013 quand je suis arrivé en tant que nouveau locataire), absolument nécessaires.

Ces deux éviers servent à laver au fur et à mesure de leur utilisation les assiettes sales, les couverts sales, les casseroles et poêles sales et en même temps qu’on dépose ces ustensiles de cuisine sales à laver dans l’un des éviers avec les couverts et les assiettes ayant servi, cela permet de disposer au fur et à mesure -(dans l’évier le moins encombré)- d’une arrivée d’eau pour continuer à laver les ingrédients dont on se sert pour préparer les plats à base de légumes et autres pâtes, donc -[cela permet]-d’accéder à de l’eau propre -(ce qui est nécessaire pour faire des spaghettis, des tagliatelle, d’autre genre de pâtes pour varier ; du riz, des pomme-de-terre, etc. car pour cela il faut remplir une casserole d’eau, ce qui, parfois contraint à rentrer celle-ci au moins un peu dans l’un des éviers et en général dans celui qui est le moins occupé / plein de choses à laver, voire vide pour que le récipient à faire bouillir se remplisse d’eau pendant qu’on profitera de ce temps pour continuer à faire à manger), pour préparer dans les casseroles libres et propres des aliments comme aussi laver la salade, donc même si l’un des deux éviers est occupé / plein par/de ces ustensiles de cuisine ayant servi. Donc ces deux éviers permettent de disposer constemment d’une sorte de sécurité au moins avec l’un des deux et cela même s’ils sont pleins de choses ayant servi à laver. En effet, on peut momentanément remplir en empilant de choses « sales » -(ayant servi)- l’un des éviers pour libérer celui dont on va avoir besoin pour laver la salade ou/et l’un des légumes et des fruits dont on doit se servir, ou y passer les pâtes et le riz, comme nous l’avons déjà dit, voire choisir de laver l’un ou l’autre des ustensiles de cuisine dont on aurait prioritairement besoin alors que déjà empilé[s] dans l’un des deux éviers. Donc ces deux éviers ne sont pas du luxe mais une réelle nécessité, (en fait un minimum de première nécessité) - pour cuisiner correctement et pour, par exemple, permettre au célibataire que je suis de manger correctement assis dans la cuisine devant cette petite table, ou s’il vient des relations, ailleurs dans l’appartement: dans la chambre ou/et dans le bureau en passant par le couloir pour ça (ce qui est parfait car cela évite aux odeurs de cuisine de se répandre dans cette chambre, voire dans ce séjour pour tous ceux qui l’ont conservé comme tel). Renoncer, comme je l’ai fait, au lave-vaisselle permet du coup de bénéficier de l’emplacement de cette machine-à-laver-la-vaisselle pour y mettre à la place une sorte de table -(du moins un plan de travail pour cuisiner, ce qui, nous l’avons vu, permet aussi de quotidiennement m’autoriser à manger en célibataire, la plupart du temps dans la cuisine ainsi agencée -(deux éviers cela vaut toujours mieux qu’un seul pour cuisiner et laver au fur et à mesure les affaires sales ayant servi, mais en ayant ainsi un peu plus de temps et de confort pour, si besoin est, différer le moment où on doit quotidiennement laver ces ustensiles de cuisine et autres couverts ayant servi, devenus sales, mais qui peuvent, en attendant, facilement s’empiler dans un des deux éviers de manière, (en laissant si possible l’un des deux éviers vide pour les laver), à organiser facilement ce lavage -[dans l’autre évier], voire dans celui qu’on a rempli d’eau chaude pour dégraisser au fur et à mesure ces ustensiles sales, ce qui est un confort indispensable / minimum pour se donner les moyens de cuisiner comme il faut, en pouvant ainsi mieux étaler dans le temps le fait de laver ces ustensiles de cuisine et ces couverts venant de servir, ce qui, par conséquent, on le comprend aisément, serait encore mieux avec trois éviers -(un ou deux consacrés aux ustensiles et etc. sales / ayant servi, empilés -[les uns après/sur les autres]- et le second ou/et le troisième toujours vide[s] pour les affaires courantes -(pour laver les ingrédients légumes et fruits et feuilles de salades, y remplir d’eau une des casseroles, etc. -[pâtes/ riz], voire avoir toujours de quoi laver un supplément d’ustensiles de cuisine -(même si déjà propre. Ce qu’on se donne souvent la peine de faire avant d’utiliser une casserole ou même des couverts : on les lave de nouveau alors qu’on les sait être propres)- en nous donnant ainsi plus de temps avant de laver cette vaisselle, voire la mettant à tremper dans de l’eau chaude dans ces un-ou-deux éviers). En attendan-(ces trois ou quatre éviers minimum – ce qui contraint à prévoir des cuisines plus grandes y compris pour les équiper de plusieurs poubelles pour réaliser le tri des ordures ménagères à/dès sa source de manière à participer à la création de compost pour l’Agriculture ou les parcs et jardins, voire pour lutter contre la désertification), c’est, pour un végétarien -(ce que je suis), donc -[pour]- une alimentation végétarienne, le minimum nécessaire de première nécessité : deux éviers -(car j’ai constemment beaucoup de légumes à laver et à utiliser pour les différentes recettes à préparer -(et si l’un des éviers est rempli d’ustensiles sales à laver, voire de ma dernière vaisselle qui reste encore à faire, celle du déjeuner, pas encore lavée, parce que je souhaite faire cette vaisselle avec celle du dîner ou d’après-dîner, voire le lendemain, je ne suis pas contraint à laver la vaisselle du déjeuner tout de suite après déjeuner, ce qui veut dire que je peux différer ma peine de laver ce que contient l’évier, voire les deux éviers -(ce qui rend la vie plus sympathique à vivre alors qu’avec un seul évier, il faut continuellement laver chaque ustensile qu’on y dépose pour libérer cet évier parce qu’on a aussi à laver la plupart des ingrédients à préparer à manger comme à les passer à l’eau -(cependant qu’il faut avoir présent à l’esprit que laisser -[reposer]- les choses salies dans au moins l’un des deux éviers rendra la vaisselle un peu plus difficile à faire, par conséquent exigera un peu plus d’eau chaude si, comme moi, on évite au maximum du possible d’utiliser les produits savonneux à vaisselle, étant donné qu’à notre époque on dispose enfin de la solution alternative élégante -(S. A. É.)- d’une eau hyper chaude grâce au chauffe-eau à gaz Leblanc, voire si c’est un jour possible d’encore mieux : de la vapeur d’eau bouillante -(comme depuis longtemps dans les bars et les restaurants, etc. pour faire bouillir l’eau dans une théière, avec le jet de vapeur hyper-chaude, ce qui permet entre autre[s] de faire bouillir le lait pour boire un chocolat et qui se trouve pour l’instant sur la machine à café. On peut songer, dans les cuisines de l’avenir, d’en équiper les éviers, de manière à mieux laver la vaisselle en utilisant le moins possible les produits savonneux, y compris pour dégraisser), ce qui est laver la vaisselle et les ustensiles de cuisine en étant soucieux de l’environnement, soit en agissant ainsi avec ce détergent -(la vapeur et/de l’eau brûlante)- par soucis écologique en utilisant le moins possible de produits à vaisselle). 

Certains vont ici dire que c’est plus hygiénique de procéder en ayant constemment à laver la vaisselle -(parce qu’ils sont, [pour les petites cuisines], pour un seul évier)- qui ainsi ne s’accumule pas. Ils ont à premières-vues –(seulement –[et pas à la réflexion faite – nous l’avons vu])- raison, mais / car connaissent-ils les difficultés de n’être qu’un seul à tout devoir faire en cuisine pour préparer ses repas -(en plus des autres travaux / peines qu’on s’inflige dans toutes les autres domaines ou/et compétences acquises)- y compris prendre en note vidéo ou/et photo les résultats et/ou les recherches gastronomiques, ce qui est l’un des intérêts de la vie puisqu’ » il faut bien manger pour vivre « et/mais aussi vivre pour manger végétarien –(en gourmand[s], dans ce cas licite[s], la gourmandise –[des végétariens]- même par l’Esprit-Saint !) ?

Le plan de travail -(qui pourrait être posé sur une machine à laver la vaisselle, si je devais finalement en utiliser une –[ce qui alors seulement peut permettre de penser qu’on peut se contenter d’un seul évier pour laver les ingrédients pour cuisiner, cependant, nous l’avons vu, cela sera un continuel stress que donc je déconseille, ne serait-ce que parce que nous devons nous offrir tous ce minimum d’aisance en cuisine -(les deux éviers)])- est donc faisable / réalisable même dans une si petite cuisine. 

En tout cas, pour l’instant le 5 Novembre 2020, je n’ai plus de lave-vaisselle et je crois pour l’instant n’en avoir pas besoin étant donné que je peux entreposer dans l’un des deux éviers la vaisselle à faire notemment pour réaliser ma recette de l’eanmeailleurs pour laquelle j’ai absolument besoin, comme dans le meilleur des ateliers de peintre de ces deux éviers. Dans les nouveaux plans proposés, l’espace cuisine est réduit au point qu’avec un seul évier et l’absence de table pour manger dans la cuisine, cela contraint à considérer la chambre d’à côté comme de nouveau celle du séjour pour y manger alors que j’en ai fait la chambre-à-coucher -(ce qui doit être permis à tous ceux qui habitent ces deux pièces de l’empilement où est situé mon appartement et donc proposé comme choix ou/et solution alternative élégante -(S. A. É)- possible parce que cette chambre -(anciennement le séjour)- est la plus proche des W. C. , ce qui est très utile la nuit si, âgé, on doit se réveiller pour y aller -(ces W. C. là où ils sont -[placés]- le sont donc excellemment -(parfaitement)- car beaucoup moins loin à rejoindre qu’à partir de la chambre au fond du couloir où j’ai fait mon bureau, c’est-à-dire mon séjour quand je ne suis pas à mes pastels dans ma chambre-à-coucher).  

La partie -(anciennement le placard)- des « nouveaux » W. C. -(ceux proposés dans les derniers plans de Paris Habitat)- avec la douche et le lavabo, empiète sur la cloison de l’espace cuisine. Il ne sera plus possible -(comme je le fais constemment quotidiennement trois fois par jour)- de manger en cuisine -(car dans ces nouveaux plans, il y a dans cette cuisine absence de table à/pour y manger)- tout en préparant à manger, ce que -(ces deux éviers)- dans les dimensions actuelles de la cuisine il ne faut surtout pas modifier au « profit » d’un seul comme c’est le cas sur les plans de la cuisine qui sera si les locataires de la résidence Carmes – Polytechnique votent pour la réalisation des travaux les contraignant à déménager, parait-il, au moins six mois. La cuisine, telle qu’elle est actuellement dans ce deux pièces, est, même si petite, parfaite / apte à permettre de cuisiner même des plats difficiles et longs à préparer -(elle peut même servir d’exemple / de modèle aux autres cuisines des deux pièces de l’empilement au-dessus et au-dessous de mon appartement -(situé au cinquième étage)- que vous voudriez « réhabiliter » -(or, j’ai vérifié, en dehors de craquelures à deux endroits sur le plafond, les unes dans le couloir et les autres dans la cuisine, près du tuyau d’évacuation de l’eau de mon voisin de dessus, il n’y a rien à réhabiliter car cet appartement est le résultat de l’admirable rénovation qui a précédé en 2013 mon installation / arrivée comme locataire de Paris-Habitat. Dans l’état actuel de la cuisine, je peux l’utiliser pour y faire des recherches culinaires, voire même de la cuisine savante -(j’y ai inventé plusieurs recettes, dont celle de l’eanmeailleurs, etc.)- mais aussi je peux la transformer en atelier dans lequel peindre -(étant donné que je n’ai pas encore les moyens financiers propres et mérités de droit -[MFPMD]- à l’heure actuelle du 7 nov. 2020, bien qu’artiste-peintre pour m’offrir à l’extérieur de chez moi un atelier et les toiles vierges -[comme la peinture nécessaire y compris pour y peindre, voire y sculpter des nu[e]s], en bénéficiant alors de ces deux éviers qui sont constemment nécessaires / utilisés -[car c’est ce qu’il vaut mieux offrir comme confort minimum pour cuisiner plus facilement, même en disposant d’un lave-vaisselle -(ce qui était mon cas quand je suis arrivé – cependant que j’ai eu à y renoncer pour mettre à la place la petite table qui me sert trois fois par jour pour y manger dessus, mais aussi pour couper les légumes et préparer mon petit-déjeuner, mon déjeuner et mon dîner). Avec un seul évier et un lave-vaisselle où/comment manger dans cette cuisine autrement que perpétuellement debout ? Cela devient une sorte de cauchemar quand, de plus, on n’a pas encore pris l’habitude de mettre les choses sales -(dont on vient de se servir)- au fur et à mesure dans le lave-vaisselle, car cela exige une autre gestion du temps des casseroles et assiettes / couverts utilisé.e.s -(qu’on se propose sinon de laver, quand viendra le moment, dans l’un des deux éviers où on peut les mettre à reposer -[en attendant de les laver], les uns sur les autres), mais aussi quand les couverts et assiettes sont sales - sont à laver dans l’évier. Comment avec un seul évier -(nous l’avons vu rapidement encombré), laver tous les légumes utilisés pour cuisiner le nouveau repas ? La nécessité d’au moins deux éviers par cuisine est tout à fait démontrée car sinon on sera continuellement à devoir laver les ustensiles de cuisine qui s’y trouvent les uns après les autres, par conséquent sans pouvoir les regrouper pour ce faire car il est nécessaire que ce seul évier soit/reste toujours vide pour y laver les légumes et la salade, voire certains fruits ou y verser dans une passoire les diverses pâtes et/ou riz et au besoin laver de nouveau les couverts et les assiettes dont on se sert pour cuisiner ou/et pour manger qu’il faut bien entreposer quelque part avant d’avoir à les laver –(autant les faire reposer dans un évier rempli d’eau chaude, ce qui prépare à les laver rapidement et plus facilement dans l’évier vide – la vie est longue autant se simplifier la vie par cette commodité minimale des deux éviers). 

Aussi mon conseil est de faire appel à l’entreprise qui s’est admirablement bien chargée de la rénovation de mon appartement avant que je -[ne]- m’y installe à mon arrivée en 2013. Cette entreprise, si elle existe toujours, se chargera excellemment de la rénovation au cas par cas de chacun des appartements depuis de longs mois vides -[de locataires, d’occupants légitimes – ce qui est une grande perte financière mais surtout est à l’origine de ce que certaines personnes dans le besoin, âgées et/ou handicapées n’ont pas trouvé à se loger alors que nous approchons une fois encore des grands froids de l’hiver], comme peut-être des travaux dans les parties communes de ces deux immeubles -(les seuls à devoir être effectivement réalisés), ce qui, si ces architectes auxquels vous avez fait appel estiment que c’est trop peu de travaux à fournir –(puisqu’ils ont dit que s’il y avait, en définitive pour eux, que ces travaux dans les parties communes à faire, ils refuseraient à/de les faire, voulant ainsi nous contraindre par cette menace d’un goût douteux à accepter leurs vues pour ces travaux de « réhabilitation » dont nous venons de démontrer qu’ils sont parfaitement inutiles et sacrilèges de lieux ayant été pensés / conçus admirables même s’ils ne comportent pas de sorties de secours)- par rapport à ce qu’ils souhaitaient réaliser, donc au besoin -(si le projet ne se fait pas)- disparaissent de la circulation, aussi ce projet concernant les parties communes peut être donné à faire à cette autre entreprise -(celle ayant assuré la rénovation de mon appartement quand il était vide avant que je m’y installe), voire à une autre entreprise qui, à partir des plans -(commandés et payés par Paris-Habitat qui en est propriétaire)- concernant les parties communes pourra œuvrer / les réaliser pour ces parties communes quand vous le souhaiterez. Et, bien sûr, cette -[nouvelle]- entreprise en se limitant aux travaux dans les parties communes s’abstiendra donc de modifier les plans des appartements des divers empilements qui, nous l’avons démontré, ne sont nullement à réhabiliter, étant donné qu’ils ont été merveilleusement conçus y compris pour des rénovations périodiques de grande qualité. Les nouveaux plans -(depuis au moins une année)- ont été faits, à premières-vues seulement -(mais pas à la réflexion faite), pour justifier aux yeux de Paris-Habitat de la nécessité d’avoir recours à l’aide de cette agence d’architecture et du coup se sentir obligé d’inventer avec eux -(pour être payés à quelque chose)- des travaux à faire allant jusqu’à la restructuration -(changer le point de l’arrivée de l’eau et celui de l’évacuation)- comme c’est hélas, infiniment hélas, le SPOK/cas particulier dans/pour cette résidence Carmes-Polytechnique, puisqu’en définitive ces travaux ne sont surtout pas à faire autres que ceux concernant les parties communes avec pour les immeubles la mise sous gaine / moulure des tuyaux et des fils dans l’escalier – soit les tuyaux du gaz qui sont apparus visibles dans l’escalier à la suite d’une intervention « d’ouvriers » ayant retiré les petites armoires dans lesquelles ces tuyaux passaient protégés et invisibles de manière à faire croire -(ainsi ôtés)- que les travaux dans ces immeubles seraient nécessaires –(ce qui a induit en erreur madame la Maire Florence Berthout qui l’a cru en toute innocence, piège dans lequel je serais tombé si je n’avais pas surpris moi-même ces « ouvriers », si j’ose dire, les mains dans le sac – ceux-ci probablement et bizarrement le faisant ainsi au grand jour au su et au vu de tous les locataires n’ont visiblement pas eu des scrupules de conscience : se sentant couverts, visiblement, ils obéissaient aux ordres de ceux qui désiraient faire cette « réhabilitation » au lieu de se contenter de la rénovation des appartements libres). Oui, dans ces parties communes avec la réalisation d’armoires métalliques -(pour remplacer ces armoires en bois cachant ces tuyaux et éviter l’usage du bois qu’il convient d’économiser le plus possible en l’utilisant de moins en moins souvent étant donné qu’hélas il se fait de plus en plus rare –[mais si on coupe quelques branches du bas en laissant l’arbre croître, il est possible de broyer ces branches de bois pour réaliser des contreplaqués de qualité, ce à quoi de préférence on recourra]- et que les superficies désertiques augmentent à cause du réchauffement planétaire à cause de l’élevage à des fins de boucherie, mais aussi à cause de la disparition des forêts qui assuraient partout localement les microclimats les meilleurs avec leur météo adéquate en raison de justes taux d’humidité créé)- pour soustraire ces tuyaux à la vue, si on appartient à ceux qui, en architecture, n’aiment pas l’admirable centre Pompidou qui nous a appris à aimer l’architecture des raffineries de pétrole -(voir pour cela Le Chant du Stirène)- voir affleurer les tuyaux de toute[s] sorte[s] au point de rendre inutile, si ce n’était pas pour la meilleure sécurité de l’immeuble en raison des robinets étant apparus, de cacher ces tuyaux et les fils -(qui courent le long des murs de la cage de l’escalier)- qui peuvent effectivement, en étant confiés à une autre entreprise -(si celle-ci de ces architectes continue à autant que cela à faire la fine bouche), être rassemblés dans/sous des plinthes). 

Monsieur le Directeur Général vous devez, je vous prie, renoncer complètement aux travaux de réhabilitation de la résidence Carmes-Polytechnique au profit de ceux plus simples et autrefois habituels de périodiques rénovations des appartements vides et de ceux qui concernent les parties communes -(ce qui peut se faire, nous l’avons vu, sans avoir pour cela à faire déménager tous les locataires et par l’entremise d’une autre agence d’architecture si celle à laquelle vous vous êtes adressée refuse de ne faire « que » ces travaux)- d’autant plus que les fenêtres dont nous bénéficions -(et cela paraît-il depuis avant 2013, donc ce qui est récemment en architecture)- ont bénéficié de la haute technologie d’une menuiserie métallique et plastique, ce qui fait qu’elles sont hi-tech -(bien que pour l’être complétement, du moins dans l’escalier, elles ne s’ouvrent pas encore commandées à distance, par exemple depuis la loge de la gardienne -(voire depuis un point qui serait situé au rez-de-chaussée), ce qui pourrait probablement être fait dans le futur sans avoir à perdre ces fenêtres et cela grâce à un système ingénieux de grooms électriques raccordés à un logiciel ayant à en gérer les ouvertures -(genre somfi)- avec un point caméra pour éviter de fermer ces fenêtres quand une personne est dans l’escalier), et dans leur élaboration profitant de tous les progrès de la civilisation pour être aussi faciles à manier / ouvrir / fermer et donc en vérité dans leur[s] complexité[s] admirabilissimissimes puisqu’en plus -(en bonus)- ces fenêtres assurent une totale étanchéité des murs où elles se trouvent, ce qui permet -(ces fenêtres)- dans les appartements, au chauffage -[avec l’aide des radiateurs discrets et plats]- de fonctionner parfaitement, sans déperdition de chaleur, donc de façon économique grâce au chauffeau -(chauffe-eau)- à gaz Leblanc qui fonctionnent à la perfection y compris pour l’eau chaude de la douche. De plus, il est facilement imaginable par extrapolation que ces fenêtres -(celles dans les appartements)- puissent devenir un jour en même temps que fenêtres des écrans plats de télévision tournés vers l’intérieur des chambres, ce qui les rendrait, avec les mouvements colorées des images animées comme des vitraux, la nuit, vues de l’extérieur, depuis les rues, du moins quand la « télé » serait allumée chez les particuliers.

Merci de comprendre que ces travaux de réhabilitation, malgré toute la bonne volonté que j’y ai mise pour -(du moins au début)- en défendre les perspectives, sont en réalité tout/s compte[s] faits tout-à-fait inutiles, en dehors de ceux traditionnels pour la rénovation -(au cas par cas)- des appartements -(mais cela concerne cette autre entreprise –[admirable, tant ces travaux ont été excellemment menés]- en relation avec la personne à Paris-Habitats ayant été chargée de les suivre)- vides, (ceux qui se sont libérés)- et qui attendent d’être rénovés pour être loués dare-dare aux gens en difficulté par les soins de Paris-Habitat, donc à des personnes dans la nécessité -(puisque c’est, à Paris-Habitat, la vocation de ces immeubles à caractère sociaux).

Pour comprendre, en architecture, il convient d’être capable de prévoir le pire en se mettant dans la peau d’une personne âgée ayant plusieurs fois par jour à se rendre -(d’autant que cette/ces personne.s âgée.s, homme ou femme, boira/ont du thé, ce qui a sur un certain point l’inconvénient d’être diurétique –(ce qui n’est pas un mal autrement vu, car ce n’est pas mauvais pour la santé d’uriner régulièrement, mais ce qui contraint à des déplacement réguliers aux toilettes – comme c’est le cas l’été -(parce qu’on boit beaucoup plus), ce qui contraint au moins durant cette période à boire plus de l’eau fraîche)- aux WC comme prendre, (surtout en été pour se rafraichir la peau), régulièrement une douche, chaque pas – dans certains SPOK -(acronyme qui fait exception de/pour situations précises, occasions, cas particuliers, car c de cas et p de particuliers ici donne K de SPOK)- étant toujours plus difficile à faire à mesure qu’on vieilli -(sauf pour ceux qui ont une vieillesse de jeunes – on le sait, des exceptions, soit dans ce SPOK/cas ce qui est à souhaiter pour tous). 

Imposer à ces personnes âgées continuellement ces, environ, sept à huit mètres supplémentaires, voire dix jusqu’à la douche -(à l’aller comme au retour des W. C.)- en plus de ceux -(en moyenne quinze petits pas)- à faire aujourd’hui pour rejoindre la cuvette des W. C. de n’importe lequel des autres espaces de l’appartement -(moins depuis la cuisine)- pour rejoindre là où cette cuvette a été placée si judicieusement, deviendrait une sorte de torture pour tous ceux qui ont connu l’état actuel -(en passant devant la cuvette où elle est encore à cette heure-ci, quand la porte de ces W. C. reste ouverte, on dira qu’il faut encore aller jusqu’à là-bas, tout au fond, à l’entrée, où cette cuvette des W. C. serait dans l’espace du placard actuel, ce qui serait le résultat des travaux -(s’il n’y avait pas plus salutairement, on le voit bien, à y renoncer)- et cette torture, pire ou moins : cet éternel regret, pour chacun des locataires de l’empilement où se situent ces deux pièces, si on fait ces travaux -(qui, vous le comprendrez aisément, ne sont donc pas à faire :) – cela n’est non plus pas aimable ni respectueux de la peine que j’aurai prise pour vous éclairer et vous éviter, en le démontrant, de commettre l’irrémédiable / irréparable. Donc des modifications qu’il est encore temps d’éviter à ces locataires en renonçant à ces W. C. douche et lavabo à l’entrée de l’appartement, à la place du placard, et ainsi en les laissant à la place où ils sont, ne pas toucher à l’arrivée d’eau et à son évacuation depuis ces appartements, donc pour les laisser là où ils se trouvent parfaitement, d’autant plus, pour les autres appartements de cet empilement, qu’ils auront été admirablement rénovés, (comme ce fut le SPOK en 2013 pour le deux pièces n°49 où je vis). 

Le grand âge doit pouvoir se passer / s’interdire des efforts inutiles -(qu’on pourrait dans ce SPOK/ cas … facilement lui éviter en ne changeant rien)- d’autant plus que la situation actuelle de l’arrivée de l’eau et de son évacuation depuis les W. C. est parfaitement censées, justes, bonnes telle que cela a été réalisé à partir des plans originels de l’architecte qui s’est chargé au départ -(à l’origine)- de la construction de ces immeubles. Aussi il ne faut d’aucune façon toucher aux infrastructures / services -(arrivée de l’eau et la colonne d’évacuation – là où ils sont, ils sont très bien placés)- de cette importance qui sont aussi génialement placé.e.s comme elles/ils le sont dans cet empilement où je vis au 20 rue de l’Ecole Polytechnique -(ce qui est donc probable aussi pour chacun des autres empilements que l’architecte d’origine a conçu comme avec le mien –[d’empilement]- aussi simplement et si justement)- pour n’importe laquelle des éventualités futures pour faire arriver l’eau –[voire l’évacuer autrement que grâce à un seau]- par exemple dans le séjour -[le bureau, dans mon cas]- ou dans ma chambre –[dans mon SPOK, l’ancien séjour]- dans lesquels on pourrait ainsi, si on le veut, le jour venu, ajouter un lavabo, voire un robinet pour apporter l’eau nécessaire à faire chauffer cette eau pour le thé directement dans la chambre où je travaille, voire en plus, une petite fontaine d’intérieur en circuit fermé pour méditer / contempler / etc. -(par exemple pour avoir autrement de l’eau fraîche pour le thé ainsi bouilli grâce à une bouilloire électrique des temps modernes dans le bureau – ce qui évitera, comme c’est encore aujourd’hui le cas, d’aller jusqu’à la cuisine pour ça, une vingtaine de petits pas à l’aller comme au retour à chaque mug ou tasse de thé !).

Merci de comprendre que cela serait sacrilège envers la mémoire de l’architecte auteur de ces immeubles de procéder autrement en se contraignant à plus ou moins tout casser pour obtenir à la place de la solution actuelle admirable -(parfaite, juste ce qu’il faut)- une situation de cauchemar –[pourtant c’était du rêve dans l’état actuel]- avec des difficultés continuelles de fatigues supplémentaires ainsi artificiellement imposées à ces personnes âgées contre la meilleure des raisons et/ou en toute cohérence architecturale pour le meilleur bien des locataires âgés ou/et handicapés et/ou visiteurs / amis / connaissances pour faire l/ses besoins et/ou périodiquement / quotidiennement se laver -[les mains]- -(ce qu’on peut très bien faire, en entrant toujours habillé en vêtement du dehors, avant de se déshabiller, dans l’un des éviers de la cuisine si on ne va pas dans le séjour, soit dans mon cas dans ma chambre à couche-[pour se changer – ce qu’on commence à faire devant la cuisine, voire pour mettre ses vêtements de sortie dans le placard]- donnant sur le lavabo)- en ayant, qui plus est, fait perdre, avec ce détournement de l’espace du placard en W. C. douche et lavabo, alors qu’on ne s’est pas encore changé -(des vêtements du dehors -[de sortie]- pour ceux du dedans)- une surface de rangement indispensable / essentielle / nécessaire car très utile à/pour chacun de ces locataires -(ce qui contraindra à jeter, voire à se passer de choses pourtant ayant été jugées ainsi -[avec ce placard]- indispensables à conserver !).

Aussi les travaux proposés par ce cabinet d’architecture auquel vous avez fait appel sont pour toujours absolument / vraiment inutiles, donc à s’interdireCe qu’il convient de mettre en chantier c’est de façon urgente la rénovation des appartements vides comme cela a été admirablement fait par l’entreprise à laquelle vous vous êtes adressée, donc que vous saurez retrouver car elle s’est chargée de cela avant mon installation en 2013, au cinquième étage, dans l’appartement 49 du 20 rue de l’Ecole Polytechnique et cela jusqu’aux choix admirablement judicieux des motifs représentés sur les deux différents linoléum au sol.

Un appartement duquel je vous écris et que, depuis mon arrivée, j’ai un peu décoré, comme un Lascaux-des-temps-moderne, d’oiseaux et d’animaux pacifiques et inoffensifs -(A. P. I.)- que j’ai donc mis plus de cinquante années à réussir à dessiner ainsi aussi bien que ça -(pour l’instant ils ne sont pas encore coloriés, il s’agit pour la plupart de leurs structures. On pourra les colorier ultérieurement à partir de photos en très haute définition, (voire prises à la chambre), qu’il va falloir prendre, ce qui permettra de préserver ces dessins de structures originelles originales de De Media Patata et proposer, à partir de ces dessins, d’autres variantes -(ils pourront aussi être animés, voire devenir des sculptures si on reporte exactement leurs proportions et etc.. C’est pourquoi les voir détruits sont des actes de barbarie[s] vandale[s] ignominieuse[s] soit des actes d’ignorant[s] -(au sens négatif de ce mot qui en détient du positif dans d’autres SPOK)- ce qui a des conséquences très grave[s] pour ceux qui croient possible détruire de pareilles œuvres – ils courent le danger d’obtenir après leur mort des réincarnations malheureusissimis…simissimes, tristissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes et cauchemardesquissimis…simissimes et etc. à vivre car ce sont de véritables péchés que ces destructions d’œuvres d’art sacrées ayant à premières vues l’air de profanes qu’ils ont cru pouvoir s’autoriser -[à détruire]- en enfants trop gâtés), d’autant plus que ces dessins pourraient servir par charité à la réalisation d’avions -(mais aussi de nombreux objets – voire seulement en plastique mou, cependant qu’il est possible de les réaliser dans des métaux précieux, voire comme des bijoux ou/et des broches toute[s] proportion[s] gardée[s])- ayant enfin la forme d’oiseaux -(ça fonctionne : ils donnent l’impression de réellement voler avec la position de leurs ailes amovibles -(pouvant les transformer peu à peu un peu plus en fusée[s] comme celle du Concorde, voire de mieux encore que cet avion mythique)- peut-être en raison de l’aspect géométrique et exacte qu’ils ont aussi même si à première-vues des dessins représentants des oiseaux en vol)– ils sont le fruit de traits d’un ancien ingénieur –[très probablement une de mes réincarnations précédente]- et les traits en question sont réellement admirab[i]lissimis…simissimes – les perdre ainsi avec préméditation par Paris-Habitat serait sacrilègissimis…simissime -(sans parler de la tristissimis…simissime renommée que votre organisme récolterait alors que vous en étiez avertis d’avoir à les protéger de toutes les manières possibles), voire constituerait une perte très importante pour le/du Patrimoine de l’Humanité). 

Si vous le souhaitez voyez vous-même : je puis vous les faire découvrir si vous me prévenez suffisamment à l’avance avant de venir -(nous pourrions prendre rendez-vous). Ce serait vraiment dommage qu’en « réhabilitant » l’immeuble nous perdions tous ces peintures murales -(dignes – dans l’avenir - d’être considérées comme les représentations d’une nouvelle civilisation)- qui sont d’ors-et-déjà si précieuses, notemment celles dans la douche, dans les W. C. et dans la cuisine, sans parler de celles dans le couloir, et dans ma chambre à coucher. Leur valeur – en raison de mon parcours exceptionnel – pourrait probablement un jour payer toutes les dettes du monde -(en raison de la vérité relative qui fuit de façon continuelle à chaque fraction de seconde à partir de chacun de ces traits hyper-exactes auxquels des web-cam pourraient être en permanence affectées / afférées – au-delà de tous les possibles miroirs), si l’accès à ces originaux ou/et à leurs copies faisait un jour le fruit / l’objet d’un accord avec Paris-Habitat propriétaire des murs, donc avec qui, peut-être, mes ayant-droit et moi-même aurions à les partager, même si ces œuvres continuent à m’appartenir de plein droit en tant que l’auteur de ces représentations sacrées ainsi qu’ils appartiennent à mes ayant-droit -(par conséquent ayant le droit de s’opposer à ces travaux pour conserver ces œuvres archi-sacrées, voire pour faire, le jour venu, en raison de ma notoriété une copie exacte de ces tracés d’oiseaux dans les autres deux pièces du même empilement -(ce qui permettrait de préserver les originaux par les copies à l’identique de ces représentations d’oiseaux et autres animaux pacifiques et inoffensifs -[A.P.I.]- (pour les touristes)- car, on le sait, il ne faut pas trop de visiteurs, ce qui peut à la longue nuire aux -[dessins]- originaux, voire aux copies aussi, à cause de ce que chacun de nous dégageons comme chaleur et humidité), par conséquent les deux pièces en question -(pour le tourisme potentiel / virtuel pour cette curiosité artistique située à deux pas de l’entrée du Panthéon et de Saint-Etienne-du Mont)- semblables / reconstituées avec votre accord / soutien pour y figurer à l’identique du mien -(mon deux pièces)- une fois reportés milimétriquement -(ces représentations d’oiseaux et autres animaux et de profil dame nue à bec d’oiseau, tatouée). J’en profite ici pour vous dire que si vous avez à peindre des murs dans l’un ou l’autre des immeubles de Paris-Habitat, voire dans la cage d’escalier du 20 rue de l’École Polytechnique, voire dans celle de la rue des Carmes, sur la bande de peinture claire -(qu’il faudrait repeindre en blanc, car elle est devenue grise)- qui est au-dessus du revêtement sombre le long des marches de l’escalier, je suis prêt à le faire avec des De Media Patata pour le prix que vous aurez la bonté de me communiquer vous compteriez investir). Quand je n’habiterai plus cet appartement -(ce qui peut-être ne sera jamais tant je m’y plais, mais qui sera si mes revenus financiers propres et mérités de droit -[R. F. P. M. D.]- la nouvelle appellation de l’argent, augmentent en me mettant alors plus à l’aise d’autant que mes médecins cesseront de me considérer handicapé)- vous pourrez permettre, avec mes De Media Patata décorés dans ces immeubles, voir seulement dans mon appartement -(dont ces décorations seraient reportées par vos soins dans les autres appartements de l’empilement)- au moins à une ou deux personnes de Paris-Habitat d’en vivre -(comme la gardienne Madame Sabine Lemire, ne serait-ce qu’en recevant les visiteurs, voire en vendant dans sa loge ou/et donnant des reproductions de ces oiseaux et autres animaux soumis au droit d’auteur)- n’ayant pour cela qu’à garder ces représentations d’oiseaux pour les montrer aux visiteurs -[des touristes]- avec ces à-côtés commerciaux -(carte postales, foulards, tee-shirt, etc.)- qui voudront les voir de plus près -(ce qui est très différent d’une reproduction dans un livre ou/et dans un fichier photo ordinateur et ce qui vaut le coup, malgré le déplacement et l’existence des reproductions photographiques déjà connues – d’autant plus du doit que ces touristes auraient de les photographier pour eux sans flash)- que seulement reproduits et/ou ayant – quand cela sera le moment - servi à des films d’animation de HYPERLINK "https://www.youtube.com/watch?v=g5N7YNyuHd0"De Media Patata. Pour l’instant c’est, avec ces De Media Patata existants élaborés au pastel, des étapes de recherches pour ce nouveau personnage qui s’est mis à parler pour la première fois assez récemment dans cet appartement dans lequel -(comme dans le précédent de 2005 à 2013 rue du Val de Grâce à Paris Cinquième)- j’ai, depuis mon arrivée en 2013, inventé de nombreuses choses au point qu’il pourra être, le jour venu, considéré patrimoine mondial de l’humanité pas seulement pour les De Media Patata et autres animaux et dame décorés mais pour tous les textes que j’y ai écrit, un peu comme l’appartement d’Arthur Rimbaud qu’on visite à Charleville-Mézièrs ou/et celui du poète Giacomo Léopardi, voire d’autres célébrités comme Léonard de Vinci au Clos Lucé, etc.).

 

Salutations distinguées et reconnaissantes,

 

Laurent- Marie Granier

P. S. : Ici la copie de ma lettre à Madame la Maire Florence Berthout du 4 au 12 juillet 2019 en fichier joint -(que vous trouverez imprimée ci-jointe)- suivie de la copie d’un autre message à son attention :

 

Chère Madame la Maire,

 

Permettez-moi de vous écrire pour vous dire que j’ai entendu dire jeudi dernier que la réunion du 13 septembre 2019 -(concernant la rénovation des immeubles de la rue des Carmes et du 20 rue de l’Ecole Polytechnique [dans le cinquième arrondissement], avait été annulée par Paris-Habitat -(cependant que je ne l’ai pas su par un responsable de la Mairie qui est, je crois, avec votre personne, à l’initiative de cette réunion).

Cela je l’ai entendu dire quand je me suis rendu jeudi dernier dans un des appartements de Paris-Habitat de la rue des Carmes à la réunion présentant les plans pour les travaux que souhaite mettre en oeuvre l’architecte de Paris-Habitat dans les parties communes -(en effet, l’une ou l’autre des propositions peuvent être envisageables sans pour autant réaliser les travaux ailleurs dans les immeubles -(à moins de réaliser ces derniers au cas par cas, comme je vous l’ai écrit dans mon dernier mail, c’est-à-dire de la même façon que j’ai, en 2013, trouvé entièrement/parfaitement rénové l’appartement que j’occupe depuis [comme a été parfaitement rénové l’appartement où Paris-Habitat convoque ses locataires pour des sortes « d’ateliers » où nous avons pu découvrir les plans des différents projets envisagés], cela n’ayant nullement nécessité les travaux démesurés [en contraignant les locataires à déménager durant la durée de ces travaux]- qui priveraient tous les appartements de placards -(malheureusement utilisés dans les projets proposés pour y mettre les W. C. , la douche et un lavabo, voire dans des variantes, une partie des cuisines, ce qui contraint à tout changer, voire à tout démolir pour évacuer les eaux, voire les amener, alors que c'est là, comme c’est en ce moment le SPOK (la situation précise, l’occasion, le cas particuliers [car ici c + p = k]) la bonne place -(trouvée par l’architecte de départ)- pour l’évacuation des eaux comme pour leur[s] arrivée[s]). 

Permettez-moi de vous rappeler que le placard est une invention architecturale géniale qui est vitale pour tous les appartements situés dans les zones tempérées de la planète, c’est-à-dire les zones comme les nôtres soumises à la succession des saisons: en effet dans ces régions, il faut continuellement trouver un endroit chez soi pour stocker les choses pour l’hiver en été, et en hiver les choses pour les saisons moins froides, sans parler qu’on peut y mettre les tables à repasser, les trottinettes [des enfants], voire des bicyclettes pliables, l’aspirateur, les caddies pour faire les courses, les couettes d’hiver, voire des fruits et légumes si la cuisine est trop petite, etc. . Le placard est donc un élément essentiel de l’habitat occidental. Le faire disparaître pour soi-disant "gagner de la place" est absurde, un non-sens architectural, une erreur, un mensonge, un véritable dommage pour le(s) futur(s) occupant(s) de tels appartements -(sans placards [de prévus dans ces lieux]). Bien sûr, il y a des cas particuliers où on peut se passer de placard(s) - par exemple dans les très grandes maisons ou/et appartement(s) dans lesquels une chambre entière, voire plusieurs peuvent faire office de placard(s) ou/et de grenier(s), voire de cave(s). 

Est-ce vrai que c’est bien vous ou/et Paris-Habitat qui avez annulé la réunion du 13? 

Avez-vous seulement été contactée pour que cette réunion à laquelle vous m’avez personnellement convié -(en vous étant aussi aimablement que ça déplacée vous-même jusqu’à chez moi pour mener votre enquête avant d’écrire la lettre -[dont vous m’avez fait parvenir une copie]- à un responsable de Paris-Habitat)-soit annulée?

Est-ce que ce n’est pas trop de vous demander d’avoir l’extrême gentillesse de me confirmer vous-même l’annulation de cette réunion du 13 septembre 2019 à laquelle j’avais aussi prévu de venir faire plus amplement votre connaissance?

En attendant si possible cette confirmation de votre part -(comme éventuellement la date d'une réunion qui, s’il vous plait, remplacera peut-être celle-ci), je vous prie d’accepter mes sentiments reconnaissants et les plus respectueux.

Laurent-Marie (dit Laurie) Granier -(locataire de l’appartement n°49 au cinquième étage au 20 rue de l’Ecole Polytechnique, 75005 Paris), eanmeailleurs.

P. S. : Je vous remercie pour les pavés que je vous avais signalés disparus près de l’église Saint-Jacques-du Haut-Pas en post scriptum dans mon dernier e.mail -(peut-être un peu long quoique précis et reconnaissant pour votre lettre au responsable de Paris-Habitat)- à votre attention. Très vite, d’autres, neufs, ont pris heureusement la place de ceux qui avaient été retirés par quelque(s) hurluberlu(s) ne pensant pas à la sécurité des gens sur le trottoir dans la proximité de l'église de Saint Jacques-du-Haut-Pas, ce qui s’était déjà produit une autre fois auparavant, ce que j’avais aussi signalé à la Mairie qui avait une fois de plus fait le nécessaire. Merci encore.


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