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                                                                                                                                                                                                          Paris le 31 Mai 2021,

 

Titre provisoire: lettre réponse à Thierry Fontenay -(version CARE 9 de la précédente CARE 8 -(je réponds point par point rappelé)- à propos de mon choix d'être lactovovégétarien (c) -(copie envoyée à Dominique Bernardi).

Bien Cher Thierry et Dominique, 

 

Le texte de la Genèse date.

Il date probablement d’une date très précise dans l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- qui est chaque jour que nous vivons toujours plus loin de ce moment où ce texte de la Genèse a été révélé à l’humanité en raison de l’accès à la conscience d’une personnalité qui ayant appris à écrire, le formula[1] plus ou moins tel qu’il est parvenu jusqu’à nous. Comme cet écrivain était à l’époque l’un des seuls à avoir eu accès à cette sécurité qui existe pourtant dans tout être humain pour retrouver la conscience en soi, soit avec elle la connaissance du Bien et du mal, il a essayé d’expliquer à sa manière des choses très difficiles à comprendre et cela a don –(en raison de l’époque et des dangers qui -[y]- existaient)– le[s] contenu[s] de ces phrases qui sont depuis devenues, (certaines parmi elles), des vérités relatives -(en raison de paramètres contextuels mais aussi en l’absence de[s] vérités qui ont été ensuite découvertes sur de nombreux points -(dans les siècles suivants), voire ailleurs sur la planète, les conditions –(soit le contexte)– différentes ayant fait éclore d’autres textes, d’autres explications ou/et métaphores -(socles d’autres formes de religions), soit d’autres vérités relatives[2], bien sûr, permettant d’approcher la Vérité qui est souvent constituée d’une addition de vérités relatives -(toujours vraies), mais aussi de méfiance[s] envers celles-ci -(les vérités relatives)- au sens où ces dernières sont mises en doute -(le doute étant souvent fécond), soit doivent être remises en question à la lueur de découvertes y compris scientifiques qui sont les causes régulières des mises-à-jour d’autant plus qu’on est soucieux de cohérence à partir de postulats de départ[3].

Cependant être cohérent avec Amour et Justice mais aussi avec la situation de réchauffement planétaire dû[e], entre autres -[causes[4]], à la démographie qui augmente -(malgré les contraceptifs)- entrainant la constitution toujours plus nombreuse d’élevages à des fins bouchères, remet à notre époque en question notre façon de nous nourrir d’autant plus que nous voulons prouver que nous avons du cœur –(ce qui est souhaitable et juste notemment pour les enfants des générations à venir en toute cohérence avec ce que cherchent les religions à développer de meilleur dans l’être humain)-  pour tous les animaux pacifiques et inoffensifs, les A. P.I. ,  dont nous sommes censés faire partis en toute cohérence avec le fait que nous avons reconnu à l’être humain la faculté de penser -(avec cœur), soit celle de s’ingénier à trouver / [re]chercher les solutions alternatives élégantes qui nous entoureront, soit les merveilles dont nous sommes – certains d’entre nous – capables et donc reconnaissants à Dieu d’en avoir pu être les auteurs en, par exemple, le Lui prouvant par nos chants, nos musiques et enfin nos autres œuvres d’art, elles-mêmes parfois des preuves indubitables du génie de certains d’entre nous.

 

Pour les héritiers -(de ces textes anciens)- les plus honnêtes -(intellectuellement)- dont nous essayons de faire partie, il est probable qu’il n’y a pas eu, au cours de l’Histoire, de suffisantes mises-à-jour tenant compte des divers/nombreux paramètres dont nous avons de nos jours connaissance. Mais nous avons raison de respecter ces textes très anciens qui ont été fondateurs / fondamentaux, soit ceux qui permettent d’expliquer notre situation à partir de ces sources dont nous sommes, du moins en partie, les conséquences. En effet nous devons un très grand nombre de progrès à tous ceux qui se sont montrés croyants / reconnaissants de ces manières originales d’expliquer la Création -(dans les conditions dans lesquelles on se trouvait alors).

 

Donc en ces périodes / temps anciens, tu me fais remarquer qu’on a pu croire que l’être humain -(Adam et/comme Ève)- était[5] des créations de Dieu les ayant créées omnivores.

 

Or nous savons que les armes pour chasser et pour se défendre ont fini par apparaître après la disparition de la Vision du Paradis, soit l’élément déclencheur de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.).

 

 

Je te cite : « Premier point, les animaux !

Dieu nous a créé omnivore (et pas herbivore), il est donc licite au titre de notre religion de manger de la viande animale.

Ceci est clairement exprimé dans la Genèse.

Jésus lui-même ne s’est pas privé de manger du poisson et, à minima, de l’agneau -(la Pâques juive) ».

 

Maintenant permets-moi de te répondre à propos de ce texte que tu cites, la Genèse :

 

Tu le sais, il convient -[honnêtement]- de ne pas oublier que les espèces des êtres humains différentes qui composent l’humanité sont le fruit d’une très lente évolution -(accompagnée / soutenue par, localement, des croyances et/ou religions qui se sont formées / -(sont apparues)- par opposition avec l’inconscience comme aussi sur d’autres points, à l’inverse, avec la conscience. Ces religions sont, en général, constituées autour de vérités incontestables d’éléments de vérités relatives -(des histoires)- permettant d’accéder, le jour venu, à cette sécurité dans l’être humain nommée conscience, à l’origine de la découverte dans la plupart des catégories de toutes les vérités scientifiquement exactes. Et si tout ce qui nous entoure est à ce point compréhensible, c’est parce que ces diverses religions intellectuellement admissibles une fois qu’on a accès à la conscience, nous ont permis à l’étape suivante d’accéder au sacré, ce qui est l’opposé du sacrilège et/ou du péché, soit de ce que nous avons à éviter[6] d’autant plus de la condition de laipis[7].

 

Mais une fois accédé à la conscience, celui qui a écrit / marqué / inscrit cette explication à première[s]-vue[s] plausible à propos de l’origine des êtres humains -(et du droit qu’ils auraient sur le règne animal)- ne détenait pas, à son époque, tous les résultats scientifiques aujourd’hui aussi facilement accessibles, soit ce dont nous bénéficions de nos jours notemment grâce aux autoroutes de l’information, aux médias et Internet. Depuis l’apparition de ces textes très anciens de nombreuses découvertes ont vu le jour et ont montré qu’il y a eu, après la disparition de la Vision du Paradis -(en raison de ceux de nos ancêtres les plus éloignés  qui ont voulu être ceux qui possédaient l’accès à la salle des machines), une très lente évolution qui s’est doublée / accompagnée, à cause du réchauffement planétaire, d’une migration des populations vers les pôles ; l’humanité ayant petit-à-petit quitté le Paradis qui se trouvait à l’origine dans les régions équatoriales.

 

Aussi » Adam et Eve « c’est une explication[8] qui est métaphorique, voire symbolique : cela cherche à souligner que pour exprimer la réalité -(qui entoure l’auteur de ces textes sacrés), ces écrits bénéficient de quelques temps après l’invention de l’écriture[9] -(je veux dire que ces textes, quand ils sont écrits, sont un résultat : une somme dans un contexte où, probablement, on ne sait rien de l’existence de la salle des machines).

 

Cette histoire d’Adam et Ève, c’est une belle histoire. Comme un conte de fée qui évoque d’une certaine façon la notion de complémentarité réciproque à l’intérieur du premier couple de l’Histoire[10], soit celui qui s’autorise la forme ancienne du mariage, soit la prise de conscience de l’être humain au sein de la Création dont à l’époque où c’est écrit, en l’absence d’informations scientifiques[11] -(exactes)- cela permet d’avancer une sorte d’explication pour le mystère de l’apparition de l’être humain[12] -(devenu capable d’écrire, de penser, de comprendre, de transmettre y compris par le dessin : longtemps avant le début de l’Écriture on trouve des grottes / cavernes[13] avec des représentations animales –[qui n’ont été possibles[14] ainsi décorées qu’uniquement par ceux qui ont eu accès à la conscience[15]], puis des formes de flèches[16], voire les premiers plans d’architecture dessinés[17]).

 

Résumer la progressive évolution de l’être humain sur des millions d’années -(d’évolution[s] et)- de progrès à l’histoire d’Adam et Ève chassés du Paradis[18] c’est ne pas tenir compte de toutes les découvertes faites au sujet de cette évolution qui, à partir d’un certain moment, probablement avant le premier pharaon, donne naissance aux écritures sacrées -(qu’on distingue de nos jours, [mais cela fait déjà longtemps], des écritures profanes).

 

Aussi sans ces informations concernant l’évolution de l’être humain constatée et prouvée par la transformation de la boîte crânienne à celle dont disposent de nos jours les homo sapiens sapiens, cela donne une sorte de légende, de conte, de très belles histoires qui ont pour finalité de nous rassurer sur nos ancêtres les plus lointains -(qui sont -[peut-être aussi]- à voir dans l’avenir), soit ceux qui ont réussi à transmettre l’Ecriture qui, comme l’oralité, permet la transmission de vérités relatives sur des points précis -(en excluant alors en partie les autres), les différents sujets ou/et explications relatives parfois comme celle-ci d’Adam et Ève, en partie rassurante[19] si les choses s’étaient ainsi passées pour s’expliquer pourquoi nous avons à nous donner autant de peines[20].

 

A notre époque, nous devons faire la différence entre les vérités relatives -(il convient de savoir dans quelles catégories elles se situent)- et celles scientifiquement exactes au point de l’être universellement, voire pour toujours : ces vérités par la médiation des définitions des mots continuent à être toujours vraies dans le futur, comme elles l’ont été dans le passé. Par exemples : un » pont « est aussi un passage entre deux rives. Une télévision est un appareil qui propose dans l’Audio-visuel des images et des sons émis de plus ou moins lointain. Une omelette peut se faire -[facilement]- avec deux œufs et du fromage râpé. Un livre est un amas de feuilles sur lesquelles sont inscrites imprimées les phrases. Comme une table peut être souvent une planche de bois contreplaquée préfabriquée posée sur des tréteaux. Etc. etc. En réalité il y a peu de définitions proposées aux mots recherchés dans les dictionnaires qui ne donnent pas le sens logique -(par conséquent admissible)- du mot qu’on recherche. On s’aperçoit vite qu’un dictionnaire contient de très nombreuses réalités / vérités relatives et quelques-unes appartenant à la catégorie d’universellement admises d’autant plus que ces mots –(des virtualités à l’intérieur du crâne)- trouvent des équivalents dans d’autres langues. Mais nous sommes la génération qui a appris à l’École à faire des anti-thèses : en raison du doute -[souvent/parfois]- salvateur / fécond, soit à ne pas croire à tout ce qui est dit, écrit, pensé, voire à croire le contraire -(nous l’avons vu plus haut avec, [pour certains], notre » sacrilège « de l’histoire inversée d’Adam et Eve)- grâce à ce doute -(que nous avons dans certains SPOK le devoir de nous imposer)- y compris vis-à-vis des explications religieuses –(de quoi seraient-elles aussi les métaphores ? C’est ce qui importe de comprendre / de s’expliquer, grâce aux écrits qui, de nos jours, avec le logiciel Word, permettent d’approcher de beaucoup plus près ces vérités relatives, voire la Vérité[21]).

 

Cela signifie que nous nous imposons de manière la plus honnête possible de croire le contraire des phrases qui paraissent à première[s] lecture[s] / vues vraies à 100 % -(y compris comme cette dernière. Cependant on s’apercevra bien vite que le contraire est faux –[comme pour le sacrilège de l’histoire d’Adam et Eve], par conséquent que d’y/en douter n’avait ici aucun intérêt : une perte de temps. Penser le contraire de tout ce qu’on entend peut être dangereux et mener à la bêtise car heureusement beaucoup de choses exprimées sont vraies ou relativement vraies ce qui signifie aussi en partie fausse[22]).

 

Cependant, nous le savons bien, nous devons nous imposer, grâce à nos capacités d’imagination et de réflexion, une distance par rapport à ce qui est marqué / écrit et cela d’autant plus que nous avons compris que les mots, utilisés par certains, sont capables de mentir, voire considérer une vérité relative seulement vraie à un pourcentage précis. Gardons-nous toujours de généraliser[23].

 

Aussi notre époque a permis de détecter -(grâce aux études statistiques et aux autres sciences)- des vérités plus ou moins fiables dont toutes celles qui circulent voilées ou/et métaphoriques.         

 

Si Dieu existe nous devons prendre en considération qu’il existe des peuples végétariens grâce à Bouddha, soit l’Eveillé-par-acquis-de conscience qui a conseillé le mieux -(pour le meilleur Intérêt et Bien Général)- qu’il ait pu, ceux qui voulurent devenir ses semblables dans les temps les plus lointains, dans une zone géographique donnée sur quasiment la même latitude que le Sahara, l’Inde, mais qui n’est pas devenue un désert -(parce qu’il a été interdit de faire du mal aux vaches considérées, à cause de leurs différents apports -[leur utilité]-, des animaux sacrés). Cette région procure encore à l’heure actuelle des ingrédients végétariens -(comme celles des épices)- quotidiennement matin-midi et soir - à un très grand nombre de personnes ne faisant pas/plus de mal aux A. P. I. [K][24].

C’est te dire combien d’êtres humains ont choisi le bien, le bon, le beau plutôt que le mal et en s’imposant ce genre d’alimentation, ils se sont comportés du côté des justes / gentils, soit ce que recommande les plus véritables chrétiens car qu’est-ce-que le choix du Christ pour nous tous sinon le choix du beau, du bon et du bienfaisant étant donné qu’ils permettent, par de sincères repentances, de retrouver sa plus véritable âme / identité si, par malheur, elle devait avoir été perdue à un moment donné de nos respectives routes (par l’une ou/et l’autre aliénation, hélas possible[s]).

 

Je te cite : « Dieu nous a créé omnivore -(et pas herbivore), il est donc licite au titre de notre religion de manger de la viande animale.

Ceci est clairement exprimé dans la Genèse.

Jésus lui-même ne s’est pas privé de manger du poisson et , à minima, de l’agneau (la Pâques juive) ».

 

Ma réponse : il est à première-vues vrai que nous ne sommes pas herbivore mais aussi, parce qu’omnivores, saladovores[25], ce qui est proche de l’herbivore[26] notemment avec les fines herbes -(utilisées, par exemple, pour accommoder les viandes mais aussi la pizza et les sauces tomates)- et herbes fraîches que nous utilisons pour donner du goût par exemple à l’eanmeailleurs[27] -(j’utilise du persil, du basilic, du coriandre, de l’estragon, de la ciboulette, de l’aneth, etc. ). Ces herbes donnent de la saveur et parfument les ingrédients culinaires végétariens que nous utilisons pour nous nourrir ainsi.

A New-York quand j’ai été invité par l’O. N. U. pour y projeter La Momie à mi-mots ainsi qu’à l’Antholopgie Film Archive, j’ai pu boire du jus d’herbe verte proposé dans un café ayant en vitrine un carré de ces herbes vertes qui poussaient éclairées par le soleil et cela est très énergétique -(n’oublions pas que c’est de cette herbe que les bovidés broutent, ce qui les rend physiquement si forts[28] et les vaches productrices de lait[s] à l’origine des très nombreux produits dérivés laitiers[29]). J’ajoute que plusieurs fois, j’ai vu ma chienne manger de l’herbe. Cela signifie qu’il convient de trouver -(en étudiant l’alimentation des herbivores)- les variétés de celles-ci qui seraient comestibles et broyables[30] pour en tirer les substantifiques sèves[31] et jus énergisant[s]. Cependant tu as à première[s]-vues raison : comme l’être humain a été, selon toi, créé omnivore, il peut manger / boire de l’herbe. Qu’est-ce que le pain sinon au départ une sorte d’herbe -(de céréale), le blé, ayant permis de faire de la farine ? Aussi que tu le veuilles ou pas, l’être humain dépend de nombreuses plantes / végétaux dont les herbes fraîches qui permettent aussi, comme certaines fleurs, de parfumer. Mais ce qui est vrai c’est que l’être humain ne peut plus brouter au sens de ruminer[32] : il se tient debout et ne peut pas beaucoup baisser son cou[33].

 

Il a été effectivement prouvé que -(dans nos pays occidentaux)- nous soyons omnivore, au point pour certains d’entre nous -(qui se sont perdus du côté du pôle Nord), tant leur soif de manger de la viande a été importante, de se tromper car ils ont cru que l’être humain ne devait manger que de la viande. Cependant à ce sujet nous devons avoir toujours très honnêtement présent à l’esprit l’anti-thèse révolutionnaire[34] puisqu’il a été pendant plusieurs millénaires prouvé en Orient que l’être humain est végétarien comme le sont par exemple les indouistes, certains bouddhistes et en occident les plus géniaux d’entre nous, comme ce fut le cas pour S. A. I. S. S. S. L. P. Léonard de Vinci, ayant donné le » la « en la matière.

 

Aussi les ovo-lacto-végétariens occidentaux savent que s’il n’y a rien d’autre à manger que de la viande et du poisson, les voilà à s’en nourrir eux aussi étant donné qu’ils ne sont pas bête[s] au point de se laisser mourir et/mais qu’ils savent que pour être devenus végétariens dans la famille dans laquelle ils sont nés, il a fallu au préalable qu’une métamorphose advienne : un changement radical se soit produit dans l’un de leurs ancêtres ayant su imposer aux membres de sa famille l’alimentation végétarienne et cela en occident malgré les traditions locales qui poussent à se nourrir d’A. P. I. par l’intermédiaire des charcuteries et autres boucheries. Aussi dans ces contextes familiaux devenus différents, on respecte beaucoup tous ceux qui continuent à consommer de la viande et du poisson, parce qu’on n’ignore pas combien cela fut difficile de changer d’alimentation[35] et [36], combien cela fut difficile de comprendre que l’être humain était avant la très grande catastrophe -(qui a été vue métaphoriquement comme le Déluge)- fructivore : il se nourrissait de fruits, vivait donc de la production des arbres et des végétaux -(peut-être logeait dans les arbres au même titre que dans les cavernes).

 

En effet, avant la très grande catastrophe[37] à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.)- avec d’un côté ceux qui ont eu accès à la salle des machines et de l’autre tous ceux qui n’en savaient rien, l’être humain vivait, au commencement, nu, dans les zones équatoriales de notre planète[38] recouverte d’arbres fruitiers de toutes les sortes et très probablement, dans cette région où il vivait, il n’y avait pas encore d’animaux prédateurs[39].

 

Aussi il y avait quelques A. P. I. qui étaient des réincarnations en voie de devenir, à leur tour, parce qu’ils avaient été utiles, l’un ou l’autre des êtres humains qui n’avaient pas encore trouvé le moyen de communiquer avec l’écriture. Il a fallu attendre très longtemps pour que des peintures rupestres naisse l’écriture cunéiforme, celles des hiéroglyphes ou/et des idéogrammes et enfin les différents alphabets.

 

Longtemps, sans la Vision du Paradis, de l’Eden, et des quasi synonymes d’Arcadie, Atlantide, Ôz, etc.[40] cela a signifié localement que des vérités longtemps incontestables -(comme celle du fait qu’on croyait que l’être humain était de tout temps omnivore[41])- ont été admises comme telles : incontestables jusqu’au moment où notre champ -[de connaissances]- s’est élargi et que nous avons appris que depuis des millénaires des peuples orientaux prouvaient quotidiennement que l’être humain n’était / ne pouvait être que végétarien en raison des enseignements de bouddha[42].

 

Et de découvrir cela comme S. E. A. I. S. S. S. L. P.[43] Léonard de Vinci qui a tout remis en question au point qu’on a compris que la question de ce que l’être humain soit omnivore ou ovo-lacto-végétarien n’était pas poser le problème justement car en fait ces réponses dépendent d’une autre science humaine : celle de la Géographie et de la quantité de fruits et légumes différents poussant dans une contrée[44] donnée, celle-ci devenant toujours plus grande en raison du développement politique lié aux progrès effectués en matière de transport[s], soit ce qui permet l’acheminement des différentes nourritures.

 

Je m’explique : plus les marchés se sont agrandis à l’échelle de confédérations -(soit quasiment de manière continentale), plus il y a eu, dans la seconde moitié du Vingtième siècle, de variétés de fruits et légumes qui sont apparus sur ces marchés, en offrant avec ces fruits ces alternatives végétales comme solution[s] élégante[s] de remplacement à toutes celles que la chasse et à première-vue la solution alternative élégante de l’élevage offrait en consolidant l’idée -(devenue un préjugé :)- que l’être humain était omnivore. Cependant plus il se gavait de viande animale plus les réincarnations en animaux prédateurs augmentaient et plus l’homme pratiquait l’élevage à des fins bouchères plus la sécheresse et le réchauffement planétaire étaient à l’origine des différents déserts.

 

Mais pour comprendre cela il faut avoir un minimum étudié à l’Ecole et/ou à l’Université, voire faire partie de tous ceux qui sont devenus des éveillés-par-acquis-de-conscience, soit des personnes qui, avant d’affirmer une des vérités relatives auxquels ils ont été amenés à croire, ont vérifié qu’ils ne profèrent pas des mensonges d’autant plus qu’ils savent combien la vérité est complexe car elle résulte de très nombreux paramètres, mais aussi de l’accumulation des siècles, soit du facteur historique -(qui tient compte de l’histoire des peuplements[45], soit des migrations).

 

Alors on dira en occident que Dieu a créé l’être humain omnivore tandis que les croyants bouddhistes savent que si Dieu existe -(ce à quoi la plupart d’entre eux ne croient pas)- Il ne peut avoir créé l’être humain qu’avec la finalité qu’il soit/devienne végétarien comme Bouddha -(puisque ses enseignements sont la source d’inépuisables richesses[46]).

Deux vérités relatives -(d’un côté omnivore et de l’autre ovo-lacto-végétarien)- qui sont / apparaissent à première[s] vue[s} à l’opposé l’une de l’autre[47] si ce n’est que, depuis de nombreux siècles en occident, on propose de nombreux légumes, des pâtes, du pain, des salades, des noix et/ou pois chiche / lentilles, des variétés de fromages, des gâteaux ou/et des pâtisseries et enfin des fruits.

 

Aussi cela confirme que l’être humain est comme tu le penses omnivore car sont aussi proposés -(par exemple pour un repas de noces comme celui que nous venons de décrire), des fruits de mer, du poisson, des viandes d’A.P.I.[48] !

 

Ce n’est que dans les pays ovo-lacto-végétariens que ces denrées de fruits de mer, de poissons et de viandes d’A. P. I. ne sont plus proposées à table et cela parce qu’il y a cohérence d’êtres humains au plus réel service du Sacré-Cœur[49] et de la plus véritable Justice car les bouddhas[50] savent depuis longtemps que l’être humain n’est pas seulement devenu mauvais en raison de divers malentendus, mais est au départ bon, comme le sont / deviennent[51] la majorité des enfants bien élevés. En fait comme nous l’avons tous été avant, (certains d’entre nous), de mal tourner à cause des divers choix que nous avons eu à faire dont celui d’une alimentation carnée dans les pays occidentaux n’ayant pas encore fait la mise-à-jour que firent autrefois tous les êtres humains dans ces régions -[si]- lointaines orientales.

 

Sauf que depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale, de nos jours ces régions sont pour les touristes comme pour les marchands d’affaires à seulement quelques heures d’avion de nos régions occidentales et nos régions occidentales sont enfin au pied-du-mur et/comme confrontées à des choix fondamentaux à faire d’urgence -(si on veut éviter un trop grand réchauffement climatique dû à l’effet de serre), étant donné que sinon de continuer autant à pratiquer l’élevage cela va augmenter la taille des superficies de déserts de façon énorme / importante -(la démographie augmente comme aussi la quantité des déserts. Cette démographie[52] en hausse[53] participe du réchauffement planétaire). Aussi on découvre qu’on a cru à la solution alternative élégante de l’élevage en se trompant en partie car ceux qui ont raison depuis toujours à propos de la meilleure alimentation pour l’être humain sont tous ceux qui se sont conformés aux meilleurs choix de Bouddha en la matière, soit des choix d’une personne ayant eu accès[54] à la conscience. Bouddha n’a pas menti. Il a dit la vérité. L’homme véritable, soit l’homo sapiens sapiens n’ayant pas d’autre finalité que de poursuivre en éveillé-par-acquis-de-conscience et en ovo-lacto-végétarien à tel point qu’en occident cela a été confirmé depuis de nombreux siècles par S. E. A. I. S. S. S. L. P. Léonard de Vinci ! 

 

Aussi il n’y a que ceux qui n’ont pas assez fait de mise-à-jour en tenant compte de paramètres importants qui vont continuer à croire à la vérité relative -(qui a eu son temps[55])- que Dieu aurait fait l’homme omnivore -(le fait que l’état d’ovo-lacto-végétarien existe prouve que Dieu – si c’est Dieu qui a créé l’Univers – a, à partir d’un certain moment, grâce au bouddha, créé l’être humain ovo-lacto-végétarien -(et/mais omnivore par sécurité : du genre : pour tous ceux qui ne voulant pas devenir sédentaire préfèreraient continuer à chasser en allant, par exemple, se perdre au pôle Nord dans les solitudes glacées plutôt qu’apprendre à cultiver son potager).

 

Oui, par sécurité s’il devait se trouver le jour venu sur des glaciers en montagne[56] ou/et du côté des pôles[57] pour ne pas mourir de faim l’homme peut alors chasser. Oui l’homme est omnivore dans ces cas-là extrêmes, tandis que partout ailleurs que dans ces froids -(où on risuqe de se perdre), là où poussent les végétaux légumes et fruits mais aussi céréales pour le pain et les pâtes[58] mais aussi l’élevage à des fins de produits lactés, l’être humain est évidemment ovo-lacto-végétarien.

 

Il ne faut donc pas confondre une sécurité -(la possibilité de manger de tout de l’omnivore)- avec la réalité. Bien entendu, nous le savons, au sens propre, au premier niveau de lecture, (non au sens figuré)- on ne peut heureusement pas manger physiquement des métaux, du bois, des objets en plastique dur, des pierres, du verre -(car s’est coupant)- et quantité d’autres produits -(ce qui prouve qu’on ne peut pas manger de tout -(même si des morceaux de charbon sucré existe dans les marchés de Noël à Rome, place Navone), par conséquent que l’être humain n’est pas tout-à-fait omnivore, au point qu’on comprenne qu’on a exagéré en le croyant tel, car on voit bien qu’on ne peut pas manger tout ce qui va à la poubelle[59], voire les os très durs non plus ni même les coquilles d’œufs donc que cela signifie que l’être humain n’est pas omnivore -(comme nous l’entendons : omni signifiant de tout)- de tout ce qui l’entoure car pour manger des murs, il faudrait qu’ils soient, comme dans les meilleurs contes, en chocolat ou dans d’autres sortes de sucreries, car pour manger des fils électriques, il faudrait que ceux-ci soient des spaghettis -(à la sauce tomate ou au beurre).

 

L’être humain, on le voit bien, n’est pas – présenté ainsi, un omnivore -(celui qui mange de tout). Il est limité dans ce qu’il peut avaler -(physiquement)- par ce qu’il peut broyer par sa mâchoire munies de dents.

 

Il ne peut mâcher le cuivre qui est dans ces fils électriques car la consistance de ces fils à mâcher abîmerait ses dents, de même qu’il ne peut pas manger -(au sens propre)- des piles ou/et des ampoules ou/et son téléphone mobile ou/et des morceaux d’une automobile ou/et d’un train ou/et d’un avion[60].

 

Il y a donc bien évidemment ainsi l’assurance que l’être humain n’est pas du tout omnivore car il ne peut pas manger -(dans le premier sens de ce mot)- physiquement son pantalon de velours, des draps de coton, des chandails en laine, des moteurs, des livres bien qu’au sens figuré, parce qu’il consomme des livres par les lectures qu’il en fait, on pourra dire par extension de sens qu’il mange des livres comme il mange des films, soit des produits audiovisuels dont il a besoin pour cultiver son esprit / avancer / progresser en savoir[s] et/ou connaissance[s].

 

Aussi on emploie rarement cette dernière métaphore qui concerne surtout les gens d’esprit cherchant à étendre le sens des mots qu’ils emploient d’une façon précise sur un plan plus global et dans ce SPOK l’homme serait omnivore car il est un consommateur de tout ce qui nous entoure -(des nécessités)- qui ne sont pas seulement des produits pour satisfaire les besoins de son estomac.

 

Donc tout cela pour te répondre sur « Dieu a fait l’homme omnivore ».

 

Ma réponse : Visiblement cela est en esprit vrai d’une façon exacte -(sauf pour les produits dont l’être humain ne peut se nourrir ni physiquement ni en esprit)- dans une région donnée à une époque donnée ne tenant pas encore compte de toutes les informations et de tous les paramètres dont nous avons par honnêteté à tenir compte de nos jours pour être dans le vrai.

 

Mais nous pouvons affirmer que » l’homme a été fait omnivore « -(bien qu’il ne puisse s’alimenter de poisons[61] sans en subir de graves conséquences)- comme une vérité relative, soit une vérité relativement vraie dans un contexte précis d’une région de notre planète à un moment précis dans lequel existent visiblement les aliments d’origine végétal, soit les fruits et légumes ou/et olives et lentilles, les pâtes à pain, à pizza, les salades, les champignons et les fromages, les gâteaux qui ne peuvent être fabriqués qu’en raison de ce qu’on dispose de beurre, de crème et œufs et confitures et miel, etc. Le fait qu’on a trouvé – tous comptes faits / tout compte fait – autant de légumes et de fruits prouve que si Dieu existe il a fait l’être humain ovo-lacto-végétarien (la pèche, la chasse et l’élevage appartenant à une époque antérieure, préhistorique dans laquelle on n’avait pas encore trouvé rassemblées dans un même magasin comme de nos jours Carrefour ou/et Franprix toutes ces solutions alternatives élégantes végétales. Par conséquent cela signifie que Dieu a fait en sorte de petit à petit dévoiler les produits de Son jardin -(à l’échelle terrestre)- en même temps qu’il a donné la possibilité de faire des échanges commerciaux, soit de l’import-export de ces produits végétaux pour aboutir à ma recette de l’eanmeailleurs, une des solutions alternatives élégantes de plus à toutes celles déjà existantes qui prouvent que l’être humain est/doit être ovo-lacto-végétarien.

 

    

Je te cite de nouveau : « il est donc licite au titre de notre religion de manger de la viande animale.

Ceci est clairement exprimé dans la Genèse.

Jésus lui-même ne s’est pas privé de manger du poisson et, à minima, de l’agneau -(la Pâques juive) ».

 

Je te répond[s] : Oui ce que tu en tires comme conclusion est à première vue juste parce que tu veux continuer à croire malgré tout ce qui t’a prouvé le contraire que l’homme est omnivore -(voire mangeur de poisons[62])- et t’attache à des vieilleries de vérités relatives de/à ces temps aujourd’hui très très lointains de notre époque. Il faut faire la mise-à-jour, Thierry : être de notre/ton époque. Si celui qui a écrit ces livres admirables vivaient à notre époque, il aurait ouvert les yeux dans un hypermarché ou simplement sur les étals d’un marché traditionnel à Paris, voire dans une autre ville et énumérant les solutions alternatives élégantes végétales auxquelles nous avons accès grâce au Commerce, parlerait/écrirait comme moi et revoierait sa copie. Mais comme toi nous aimons et respectons ces textes fondateurs, bien qu’il convienne en conscience de les mettre à jour -(de bien nombreux progrès ont été accomplis par les êtres humains dans toutes les disciplines y compris celle en cuisine du nombre de recettes végétariennes)- avec pour » centre générateur « le cœur couplé à la conscience de manière à faire comprendre que depuis trois mille ans ces progrès ont été tels qu’il est aujourd’hui possible en cuisine de ne jamais faire le mal d’aucune façon ni à l’un des A. P. I. ni même, bien sûr aux A. P. .

 

Aussi  sur la base d’une chose qui, nous l’avons vu, n’est pas si exacte que cela et dépend de nombreux facteurs, tu en tires la conclusion qui t’arrange bien car tu n’es pas encore prêt à devenir ovo-lacto-végétarien[63], soit à te priver -(comme j’eus à le faire par soucis de cohérence avec le mot d’Amour[64])- des à première-goût (seulement) « délicieuses » nourritures rabelaisiennes des charcuteries, des viandes, des coquillages et/ou poisson, etc. comme le à-première[s]-vue[s] délicieux gigot d’agneau ou/et jambon à l’os -(ou cru), etc. .

 

Si je dis » à-premièrevues « c’est que c’est parce qu’on nous a habitué dans nos régions -(dès que nous fûmes en âge de manger de la viande -[avec notre dentition renouvelée])- à ces saveurs du saumon, de pâtés, etc. et que nous avons cru que c’était bon. Moi-même j’adorais le tartare -(soit la viande hachée crue avec un doigt de Whisky – j’en donnai la recette). Et je te comprends bien, sauf qu’à partir d’un certain moment donné j’ai compris que toutes ces viandes des API, mais aussi ce saumon fumé, ces saucissons hongrois pour lesquels on se damnerait volontiers, ne permettaient pas d’être cohérents avec l’aspiration que j’avais à aimer en vérité, soit d’Amour, ma fiancée. En réalité toutes ces habitudes que j’avais prises dans ma famille à manger de la viande, du poisson, etc. s’avéraient des obstacles / impedimenti [65] à la possibilité d’aimer en vérité ma fiancée. Pire cela ne satisfaisait que mon égoïsme. Je n’étais pas encore devenu un éveillé-par-acquis-de-conscience mais je me suis dit que c’était le dernier poulet que je mangeai ce jour-là où ce fut le cas avant un cours de tennis avec mon enseignant Bernard Letouchy. Si gagner mes balles de tennis contre lui n’était possible que parce que j’avais mangé un demi-poulet, qu’elle pouvait bien être ces petites victoires, si ce n’est de celles d’une personne dopée, qui triche avec la Vérité qui est [a]Amour[66] !

 

Amour a le droit de tuer un poulet pour le manger quand il n’y a pas autre chose[67] à manger !

 

Mais évidemment si les S. A. É.[68] existent il ne faut pas tuer un A. P. I.[69] cela va de soi et de cette façon on ne fait plus le mal, voire on n’est plus complice de ceux qui croient s’autoriser encore à le faire sous prétexte que « Dieu aurait fait l’homme omnivore » (ce Dieu-là, de cette époque là n’existe plus de nos jours : il a fait la mise à jour à force de nous faire découvrir toutes les S. A. É. ovo-lacto-végétariennes). Et si cela n’était qu’en raison d’une sécurité ayant à voir avec l’histoire de l’aventure humaine dont Dieu savait d’avance que l’être humain devrait passer par l’état de chasseur, voire d’éleveur pour fuir les régions où la sécheresse et le désert auraient à se former parce qu’en réalité il est interdit justement de faire du mal aux A. P.I. ? Car avant la scission entre les êtres humains -(entre ceux qui furent du côté du diable –[soit de l’empereur]- et de l’autre tous ceux qui furent du côté de Dieu), personne ne songeait possible faire du mal aux A. P. I. ! Il n’y avait pas encore d’armes pour se défendre et encore moins pour chasser et pêcher.

 

Ce n’est que longtemps après la scission que certains de nos ancêtres les plus lointains ont eu l’idée d’utiliser les cailloux comme armes pour se défendre, d’autres comme pierre pour fabriquer des flèches pour se protéger / défendre des animaux prédateurs, mais aussi pour tuer le gibier des A. P. I. en ayant pris cet exemple des A. P.[70]! Soit -(peut-être sans même le savoir)- pour offenser Dieu qui n’a évidemment jamais voulu le moindre mal aux A. P. I.  -(évidemment)- puisqu’il s’agit des réincarnations par lesquels nous devons passer en tant qu’herbivores quadrupèdes[71] pour obtenir le droit, après notre mort en tant que tels, de nous réincarner en être humain sapiens sapiens, soit normalement des fructivores, voire à partir d’un certain moment donné dans l’histoire de l’aventure humaine -(H.A.H.)- en ovo-lacto-végétariens, ce qu’à bien entendu compris le Bouddha.

 

Enfin tu évoques la Genèse. Et si la Genèse disait les choses d’une façon codée ? Mystérieuse ? Si en ces temps où existe le conflit entre Dieu et satan, il fallait s’exprimer par écrit d’une telle façon que seuls les initiés pourraient comprendre à mi-mots ou si tu préfères entre les lignes ?

Il y a, parait-il, des gens qui passent beaucoup de temps à étudier une seule des phrases de la Bible. Il est vrai que par moment celle-ci se contredit -(Dieu propose à Abraham le bouc à sacrifier à la place de son fils Jacob et pourtant Dieu a interdit à Moïse de tuer[72], par conséquent aux sacrifices des animaux d’être), voire à certains moments semble à première[s]-vue[s][73] manquer de cohérence.

 

N’y-a-t-il pas à être prudent dans ces époques-là où elle[74] fut petit à petit composée ?

 

N’est-ce pas alors très dangereux de vivre ?

 

Et est-ce que le couple d’Adam et Eve n’est pas à comprendre comme à venir, en raison de connaissance retrouvée l’un par l’autre : entre deux fiancés cherchant amour avec un grand A ?

 

Tu vois ce n’est pas si simple.

 

Je te cite : « Jésus lui-même ne s’est pas privé de manger du poisson et , à minima, de l’agneau (la Pâques juive) ».

 

Je te répond[s] : effectivement  Jésus, il y a deux mille ans, vit dans une région où on est encore « omnivore » -(et pas encore ovo-lacto-végétariens car, là où il se trouve, on ne sait que très/fort peu du Bouddha, voire rien du tout et puis les voies de communications sont parcourues par des caravanes lentes qui commercent[75] : le marché des boîtes-de-conserve[76] n’existe bien évidemment pas[77] : on ne trouve pas sur les marchés ce qu’on trouve de nos jours. Jésus est donc le fruit du lieu -[et]- de son époque et de tous les impedimenti/a qui la constituent et s’il mange du poisson c’est aussi parce que son meilleur ami, Pierre, est, avec d’autres de ses disciples pêcheur[s].

Il veut les faire devenir « pêcheurs d’hommes » pour leur annoncer la Bonne Nouvelle : il sera le remède pour ceux qui ont péché et s’en repentent sincèrement. Il a adopté les coutumes de ses parents et mange effectivement l’agneau pascal de la Pâques Juive[78], événement précisément qu’Il célèbre avant d’être arrêté avant Son procès et Sa  crucifixion qui le fera / rendra Agneau-de-Dieu capable d’enlever, au sens de »« retirer le péché du monde »« ! C’est grâce à Sa bonté -(comme celle d’un agneau)- qui le mène à accepter de mourir pour tous, qu’il réussit à sauver des péchés l’humanité croyante. En tout cas tous ceux qui se repentiront en Vérité : qui cesseront de pécher et qui chercheront à servir le monde de la Vérité qui est – on le voit bien – amour avec un grand A -( : Amour, car cela conduit à des extrémités » incroyables mais vraies « : capable[s] de se sacrifier pour sauver les autres et sans même se défendre physiquement, voire même en recollant l’oreille coupée d’un soldat ayant obéi aux ordres au lieu de désobéir -(par acquis de conscience). Ce qui n’est pas encore le cas car ce soldat n’obéit aux ordres que parce qu’il n’a pas encore accès à la conscience, ce que normalement les donneurs d’ordres sont censés eux avoir -(obtenu en eux)- pour ne donner que des ordres justes, soit ceux auxquels il convient d’obéir ! Mais comment le savoir quand on n’a pas accès à la conscience en soi ? C’est bien le problème qui a concerné l’empereur qui ne savait pas ce qui était plus juste de ce qui ne l’était pas, voire croyait le savoir en raison des préjugés : de ce que la coutume avait fini à tort ou à raison par considérer comme juste. C’est pourquoi il est rare que l’empereur soit un penseur au sens d’un intellectuel ayant eu accès à la conscience, soit à la connaissance du plus véritable Bien du mal, d’autant plus qu’il fonctionnera de façon subjective et non objective, (voire multi-catégoriellement et/ou multidimentionellement)- comme le Bouddha, l’étant devenu, Bouddha, comme cela semble avoir été le SPOK pour Moïse et d’autres prophètes après Lui, en trouvant en Lui-même le chemin qui mène à cette sécurité qui, dans l’être humain, est l’acquis de conscience[79] -(ce qui permet aussi d’être prophète car on est alors capable d’anticiper, soit de prévoir en raison de la loi de cause[s] à effet[s] qu’on maîtrise).

 

Non ce n’est pas le cas. Ce soldat à l’oreille coupée –(comme -[pour]- van Gogh)– a obéit à des ordres auxquels normalement il aurait dû désobéir -(s’il avait[80] eu connaissance en détail du dossier). Jésus comprend qu’il s’agit d’une personne en partie irresponsable – qui de plus croit faire son métier et lui recolle son oreille d’un geste -(voire évite que l’oreille ne soit coupée en s’opposant à celui de ses disciples qui voulait trancher cette oreille -[qu’on dira ensuite avoir été tranchée]).

 

Jésus sait que s’il avait été à la place de ce soldat, il aurait fait ce que ce soldat a cru bon de faire sans état d’âme car ce soldat, pour faire ce qu’il fait, est payé -(il a peut-être une famille à nourrir)- pour maintenir l’ordre. Il n’est donc que complice du donneur d’ordre -(il  n’est pas entièrement coupable).

 

En tout cas Jésus appartient à une civilisation qui, localement, depuis longtemps, mange des poissons et des viandes d’A. P. I. -(dont celle de l’agneau)- en tant que solutions alternatives -(qu’on croit alors élégantes)- pour vivre dans une société constructive / bâtisseuse parce qu’il n’y a pas[81] encore de solutions alternatives élégantes de remplacement[s]. Mais nous sommes loin de la cause du conflit entre d’une part satan -(ayant accès à la salle des machines et de l’autre côté Dieu et ses partisans n’y ayant pas accès, ce qui a été à l’origine d’inversement[s] proportionnel[s][82]). Jésus sait que la route sera longue pour que son Dieu triomphe et que celle-ci passe par la non-violence : d’un geste il évite que l’oreille ne tombe et de ce fait que la bagarre commence. Il sait et démontre que la victoire sera dans l’exercice de la non-violence et en offrant aussitôt son autre joue à ses bourreaux, parce que plus ceux-ci s’acharneront contre Lui, plus ces derniers -(ne le comprenant pas)- vont obtenir[83] des réincarnations malheureusissimis…simissimes, cauchemardesquissimis…simissmes, tristisimissimis…simissimes, tragiquissimis…simissimes et etc. , parce qu’ils ont quitté le genre humain en ne voulant avoir avec tous ceux privés de la salle des machines que des relations d’envahisseurs militaires persuadés qu’ils dominent -(par leurs armes)- ces peuples -[de l’empire romain].

 

Il n’a pas choisi l’agneau pascal à partager en disant qu’il s’agit de Son corps et qu’on peut Le manger, mais la solution alternative élégante du Pain pour faire comme si on partage ainsi Son corps[84] mais aussi le vin si possible rouge de la couleur qui est presque la même que celle du sang. Proposition géniale -(issue d’une comparaison, soit de la notion » comme «)- dans laquelle la viande d’A. P. I. est absente mais remplacée par la solution alternative élégante du pain -(une invention de l’un ou l’autre des éveilléparakideconscience. Le Christ, Lui, a [donc] effectué une -[sorte de]- mise-à-jour : Il est bien de son époque où depuis déjà longtemps le pain peut remédier à la faim et parfois même remplacer la viande des A. P. I.)- mise en [s]Cène à l’occasion de chacune des eucharisties -(messes)- quand le repentir de ceux qui ont péché est sincère, le miracle advient : on est alors libéré / nettoyé des péchés qu’on a commis -(mais il faut, pour cela que le repentir soit véritable de la même façon qu’une personne ferait l’aveu de ses crimes / fautes et s’en repentirait véritablement).

La messe s’articule autour de la mémoire de la célébration de ce repas pascal -[d’adieu]- d’un maître qui n’ignore pas -(voire comprend intuitivement, voire plus que cela)- que manger de l’agneau déplaît à Dieu ou aux très véritables enfants, puisqu’il s’agit d’un animal qui ne fait pas de mal à une mouche : un A. P. I. [K]. Cependant Jésus se sait coincé dans l’Histoire de son temps. Il sait que les êtres humains mangeant de l’agneau pascal pèchent en s’autorisant cela au lieu, par exemple, de manger des animaux carnivores, mais Il a bien compris le Sacrifice d’Abraham quand Dieu arrête le geste contre le fils Isaac et propose le bouc -(comme par hasard, là, tout près, prit dans le buisson)- à sacrifier à la place, en donnant alors l’impression à Abraham qu’il est légitime de faire de l’élevage de mouton / brebis ou/et A. P. I. H. Q. à cette époque-là de l’H. A. H.[85] dans laquelle depuis longtemps a été trouvée cette à-premièrevue[s] solution alternative élégante de l’élevage, les gens de l’époque ne comprenant pas pourquoi le réchauffement planétaire augmente les superficies en désert -(ce qui pousse / contraint à migrer)- parce qu’il y a trop de bétail élevé à cette fin d’en manger les composantes car depuis Moïse, les êtres humains sapiens sapiens savent qu’on n’a pas le droit de tuer, ce que bouddha a, de son côté, en extrême Orient, confirmé en fondant le végétarisme qui renoue donc avec l’époque où les ancêtres les plus lointains des êtres humains de l’époque de Jésus Christ et du Bouddha -(comme des prophètes)- ne se nourrissaient que de fruits des arbres dans lesquels, pareils à des singes, (si ce n’est pas dans les cavernes)- ils vivaient sans se permettre de tuer le moindre animal, mais en voyant autour d’eux le décor du Paradis / Ôz soit celui que je demande de rétablir en suivant mon Programme pour le Rétablissement de la Vision d’Ôz,  soit du Paradis pour qu’il nous soit restituer à tous au bout de vingt-quatre années, une heure toutes les cinq heures -(voire la note 14 du laurYen[86] précédent pour de plus amples détails).

 

Bien sûr Jésus et ses disciples ne péchaient pas quand il partagèrent la Pâque juive en mangeant du poisson et l’agneau Pascal et cela selon les critères de l’époque qui ne bénéficiait pas comme la nôtre de toutes les -(S. A. É.)- solutions élégantes alternatives culinaires qui à mesure qu’elles augmentent en nombre, nous font très facilement et aimablement comprendre que  nous pourrions enfin tous nous comporter d’une façon beaucoup plus cohérente avec le mot d’Amour que nous recherchons, en nous passant petit à petit de ces aliments carnés -(viandes, poissons, cuisses de grenouille[s], escargot[s], fruits de mer, saucissons et jambons, etc.)- parce qu’effectivement si la mort existe encore en ce monde -(il fallait en trouver la cause[87]:)- c’est parce que nous ne nous comportons plus comme quand elle n’existait pas à l’époque de nos ancêtres les plus lointains, soit ceux de l’époque où le Paradis -(Ôz, etc. : les autres quasi synonymes ici : Eden, Arlantide, etc,)- se voyait partout autour de chacun de nos ancêtres, mais aussi sur eux. Époque où l’innocence régnait parce que jamais il venait à l’esprit à personne de tuer l’un des A. P. I. ou des insectes -(pour s’en nourrir). Pour cela il a fallu que disparaisse la Vision d’Ôz, soit celle du Paradis, ce qui a été le point de départ de l’histoire de l’aventure humaine qui a mené jusqu’à nos jours en nous confirmant qu’il y a toujours plus de solutions alternatives élégantes végétales -(S. A. É. V.)- délicieusissimis…simissimes, soit divinissimis…simissimes pour nous éviter de répandre le sang des A. P. I. et retrouver cette innocence dans laquelle nos ancêtres les plus éloignés étaient avant que la très grande catastrophe ne se produise au point que cela a fini par donner le premier des pharaons -(soit le premier des satan[s], ce qui n’a pas été facile à gérer[88] la bêtise de tous les enfants gâtés finalement, à la fin du Vingtième siècle, gavés de pâtés, saumons fumés, rôtis, jambons à l’os, beefsteak à la Florentine, etc. , soit de gens n’ayant à cause de cela que, le plus souvent, péchés en tête au lieu de plus salutairement se les interdire plus justement ne serait-ce que pour plaire à Dieu qui, nous en sommes sûr, n’apprécie pas qu’on se moque de celui, -(Jésus), qui s’est comporté comme l’Agneau de Dieu en tendant l’autre joue pour permettre, grâce à son injustissimis…simissime crucifixion, aux êtres humains[89] de retrouver le chemin du beau, du bon et de la bienfaisance).    

 

 

Je te cite : « Le problème qui se pose n’est pas de savoir si nous devons ou pas manger de la viande, mais comment ! Et si pour en manger, toujours trop, nous avons tous les droits, y compris de torturer des animaux ou de risquer la disparition d’espèces animales (c’est le cas des poissons).

 

Permets-moi de te répondre que le problème de manger ou pas de la viande se pose à chacun des instants -(dans les pays qui se le sont autorisé[90] )- ne serait-ce que parce que de grandes régions de notre planète sont habitées par des végétariens qui, parce qu’ils le sont depuis très longtemps -(l’époque des enseignements de Bouddha)- donnent l’exemple qu’il est juste de considérer l’être humain comme un ovolactovégétarien -(étant à l’occasion – selon le SPOK – capable le cas échéant d’être -(par sécurité)- omnivore, cependant que cela est le cas dans des situations précises qui si elles se sont historiquement modifiées dans le sens oriental –[en raison des solutions alternatives élégantes proposées / trouvées / apparues]- se doivent honnêtement de faire une/la mise-à-jour-ovo-lacto-végétarienne[91]).

 

Hélas oui -(comment -[manger de la viande] ?)- de ton point de vue[s] justement scandalisé par le sacrilège des poussins -(m’as-tu dit). Je te comprends mais comme je te l’ai dit, j’ai vérifié que le problème qui se pose est celui de cesser de réchauffer la planète en ayant à élever autant d’animaux à des fins de boucherie et/ou poissonnerie ou/et charcuterie. Mais tu es dans le juste quand tu dis que pour manger ces A. P. I. certains d’entre nous s’accordent tous les droits y compris celui de les torturer -(tu le sais la torture a été interdite et cela a été inscrit, parait-il, dans la Constitution, ce qui signifie que cette torture est évidemment aussi interdite à l’encontre des A. P. I. comme j’espère le sera la vivisection. Bien évidemment la disparition des animaux de la catégorie des A. P. I. , si cela était le cas, serait une chose très grave, tandis que la disparition des A. P. -(animaux prédateurs)- n’est pas une chose très grave car de même qu’ils sont apparus à un moment donné dans l’Histoire -(et pas avant – quand le Paradis se voyait)- de même ils peuvent disparaître du jour au lendemain sans que cela ne soit un problème trop difficile à gérer. On trouvera toujours de la main d’œuvre pour administrer une sorte de pilule aux A. P. I. pour éviter l’explosion démographique de ceux-ci quand ils ne seront plus chassés par les A. P. -(animaux prédateurs)- : une activité quasiment sportive : toujours au grand air en contact avec les A. P. I. [K].  

 

Je te cite : « Si personnellement je trouve acceptable, légitime et même essentiel de manger de la viande ou du poisson, je suis choqué par les pratiques de l’industrie agro-alimentaire, il est anormal de broyer des poussins vivants et anormal d’élever des poulets comme certains le font.

Je trouve aussi que la surpêche et l’élevage intensif de poissons (juste pour que nos poissonniers puissent présenter des étals surchargés, dont une partie non négligeable part à la poubelle !!!) est une faute grave, voir un péché ! »

 

Je te répond[s] : On a effectivement longtemps cru – peut-être avec Dieu[92] lui-même d’accord – qu’on avait le droit -(en réalité il s’agit d’une tolérance)- de manger des A. P. I.[93] au point que certains d’entre nous ont été jusqu’à trouver essentiel d’en manger -(cela –[trop manger de viande et/ou de poisson]- je t’en avertis, sera à l’origine de réincarnations en A. P. , voire en réincarnations en A. P. I.[94] car en s’autorisant à manger autant d’A.[95] on régresse cérébralement : on involue. Or la  Création et l’H. A. H.  sont l’histoire d’une évolution, du/des progrès de l’homme[96] de manière à lui permettre de retrouver la conscience, voire mieux – avec ou sans l’aide des religions, le Saint-Esprit).

 

Ce que tu me dis de certaines pratiques de l’industrie agro-alimentaire est scandaleux car criminel contre la plus véritable humanité[97] : broyer des poussins vivants comme élever les poulets comme j’ai effectivement vu -(par exemple dans Pane e Cioccolata[98] mais aussi dans un documentaire de ces dernières années sur l’élevage des poules[99], etc.)- que certains se l’autorisent ainsi est inacceptable / intolérable car c’est de la plus impure maltraitance et c’est sacrilège avec/de la notion d’œuf[s][100]. D’accord avec toi pour considérer sacrilège celui commis envers les poissons. C’est inadmissible d’autant plus que tu n’ignores pas que le Christ a longtemps été représenté par le signe d’un poisson. Mieux vaut donc se passer de poisson que de les élever ainsi en batterie -(mais je n’ai aucun mérite étant donné que je suis ovolactovégétarien depuis les années 90, par conséquent que je ne mange plus, non plus, de poisson[s]. Aussi sur ces points je ne puis qu’aller dans ton sens).

 

 

Je te cite : « Je milite même activement pour que l’on arrête de massacrer les requins, parce qu’ils ont une sale gueule et une sale réputation (alors que, par an, ils tuent nettement moins de monde que les moustiques).

 

Ce que tu m’apprends sur les moustiques est intéressant. De mon côté je n’ai pas une passion pour les requins qui, parait-il, sont moins dangereux qu’on -[ne]- le croyait au temps de Cousteau et de ses magnifiques expériences. Je ne crois pas les requins, -(les vautours de la mer)- si nécessaires que cela dans les mers. N’en mangeant pas, ni ne voulant y goûter, parce que je suis ovo-lacto-végétarien[101], je crois que l’on n’a en réalité nul besoin d’eux. S’il y a des gens qui croient possible les chasser pour en manger les ailerons c’est leur affaire -(je me souviens que j’ai longtemps autrefois mangé du spada que je trouvai aussi excellent qu’un beefsteak – c’est un poisson qu’on chasse[102] / pêche dans le sud de l’Italie notemment en Sicile. Je trouvai facile de le cuisiner et très bon, mais c’était quand j’étais encore carnivore / omnivore -(ce que j’ai été de ma naissance en 1963 à la fin des années 80, soit presque trente ans). Mais depuis que je suis végétarien, je suis obligé d’être tolérant avec ces poissons requins qui, parait-il, se conduisent en mer comme les vautours sur terre, donc des vautours marins : en mangeant les restes de poissons morts. Aussi si, dans l’immédiat, tu veux ne pas les exterminer, ils pourraient être domestiqués / domptés pour nous aider à construire les cités sous-marines et cela s’ils veulent regagner des points puisqu’ils savent ne pas avoir le droit de s’attaquer aux êtres humains aimables ne recherchant pas spécialement la mort de ces requins / orques / baleines. Les combats entre orques et requins m’indiffèrent. Que le plus noble des deux gagne -(s’il n’est pas entrain de tricher)- et ne nous empêche jamais de nous baigner dans les eaux des mers -(souvent bien plus qu’admirables et utiles).   

 

Je me permets de te signaler 5/5 qu’il existe depuis longtemps un produit miracle contre les moustiques : cela se branche électriquement et la très petite tablette imbibée d’un produit repoussant ces insectes diffuse toute la nuit, voire durant le jour aussi, un produit miracle 5/5 qui éloigne ces moustiques sans les tuer -(dès qu’ils sentent ce produit ils s’en vont –[ce produit provient de l’élevage d’une fleur répulsive / repoussant des moustiques]). Après, une fois de nouveau dans la nature, c’est une affaire que, comme tu sais, règlent les hirondelles et les araignées.

 

 

Je te cite : « Comme tu le vois le sujet m’intéresse. Il devrait tous nous préoccuper car qui maltraite les animaux par simple avidité (marge, bénéfice net, cours de la bourse, etc…) maltraitera inévitablement, si il en a l’occasion ou si il y a intérêt, les autres hommes de la même façon.

Voilà le fond de ma pensée, pour que ce soit clair.

Pour aller plus loin, je pense que le véganisme (une idéologique « woke » de plus, provenant d’outre-atlantique, sans nuance, dogmatique, sectaire et très souvent violente) est  une belle connerie ! Batie sur un mensonge » incontestable ».

 

Ma réponse : Ce que tu dis est hélas vrai. Il y a effectivement des probabilités certaines pour que des gens qui ne respectent pas les A. P. I. ne respectent pas aussi les autres animaux et pour des raisons d’avidité soient capables de faire du mal aux êtres humains, voire ne les conseillent pas au mieux.

Et tu as raison en ce qui concerne les végan[e]s[103] car ils donnent l’apparence de ne pas avoir réfléchi en conscience. Je crois qu’ils n’ont pas encore réussi à s’expliquer le monde justement -(c’est-à-dire très exactement)- en tenant compte de tous les paramètres -(ils en ont certainement oublié l’un ou l’autre dans leurs raisonnements – peut-être subjectifs -(et non objectifs)- pour en arriver à cette extrémité / façon de se nourrir)- comme de la chronologie la plus juste / vraie -(l’Histoire)- de nos rapports et interdépendance[s][104].  En fait, pour eux, c’est comme si il n’y avait rien de bon chez les animaux -(ce qui n’est pas vrai pour les A. P. I., voire API[K] et cela est aussi vrai pour certains A. P. ). C’est comme si à ces véganes il leur manquait la faculté de raisonner plus justement / honnêtement. Sur ce que j’en ai appris à leur sujet -(à cette heure-ci fort peu)- je ne vois pas où ils pourraient avoir raison de ne pas manger de cheesOmeletArts[105] ou de boire du lait. Boycotter tous les produits animaux c’est ne pas reconnaître les interactions bénéfiques entre les êtres humains et les animaux pacifiques et inoffensifs -(étape obligée de réincarnation celle des A. P. I.)- ni que nos ancêtres les plus éloignés n’ont dû leur salut qu’en élevant les animaux dans des fermes ou en les accompagnant en tant que berger dans les alpages pour, avec le lait de ces APIK, faire d’excellentissimis…simissimes fromages entre autre[s] pour des sandwichs dont le pain est à base de farine de châtaigne! Mais en ces temps-là -(à contrario de notre époque qui résulte d’observations scientifiques rigoureuses), on ne pouvait que difficilement comprendre l’impact environnemental de l’élevage à des fins de boucherie -(on ne voyait pas encore le rapport que l’élevage à des fins bouchères et charcutières -[de les conduire aux abattoirs]– pouvait avoir avec la désertification en raison de la trop grande quantité de gaz à effet de serre produits par ces APIK. Aussi on comprend que les personnes de ces bergers se repentant sincèrement de leurs péchés aient été pardonné[e]s grâce au Christ.    

 


Je te cite : Deuxième point, l’adresse e-mail du choeur !

Elle est réservée exclusivement à la publication d’informations concernant le choeur lui-même, éventuellement le chant choral ou la musique.

Et à rien d’autre.

Sinon, ce serait vite le bazar ».

 

Ma réponse : Oui, bien sûr et mille excuses/pardons.

 

 

Je te cite « Si tu veux communiquer ton avis sur ce sujet, n’hésite pas à créer un Google groupe sur le sujet et à inviter qui tu souhaites, ce sera plus simple et plus efficace ».

 

Merci pour ta suggestion que je vais essayer de suivre. Je ne sais pas encore faire cela mais je crois que je vais trouver, grâce à cette idée, comment faire.

 

 

Amitiés,

 

Laurie

 

 

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[1] Ce texte de la Genèse.

[2] Il est vital de comprendre la distinction entre vérités relatives et la Vérité. Les vérités relatives sont liées à des catégories précises -(dont on peut parfois se passer selon les sujets)- qui concernent, par exemple, des traditions mais aussi les sciences comme les arts »« matières pour/à penser »« et à agir. Ces vérités relatives peuvent être l’origine de[s] préjugés, voire de[s] comportement[s] habitudinaires -(découlant de ces traditions). La vérité -(qui, selon les sujets dépend de plus ou moins nombreuses vérités relatives, soit de paramètres), on le remarquera, est tributaire de la sécurité en l’être humain à l’origine de l’acquis de conscience -(aboutissement et préalable fondamental qui permet de distinguer le Bien du mal, ce qui est juste de ce qui ne l’est pas y compris par déduction remonter jusqu’aux causes de la situation dans laquelle on se trouve -(la très grande catastrophe il y a des millions d’années), ce qui permet alors –[une fois la/les/ces cause(s) établie(s)]- de trouver le plus véritable / exact remède). Il convient de distinguer clairement la vérité -(mais aussi les vérités relatives)- du mensonge ou/et des mensonges relatifs, voire mieux ou pire des omissions, dans chacune des situations précises.

Par exemple -(pour prouver que la vérité existe)- on vous dira que tel jour à telle heure vous ne serez pas à une adresse précise où vous êtes d’habitude car on le sait, vous l’avez dit, vous avez un rendez-vous ce jour-là à cette heure-là ailleurs. Aussi on a dit la vérité même si la personne qui s’est adressée à vous pour ce rendez-vous serait devenue une menteuse. Vous savez que ce que vous avez entendu à votre sujet est vrai. [Et non plus]- il n’y aura personne pour recevoir la personne qui souhaite vous rencontrer ce jour-là. Ce qu’on vous a dit est donc la vérité mais c’est aussi en même temps une vérité relative car si vous n’êtes pas à cette adresse ce jour-là à cette heure-là c’est que c’est relatif au fait que vous avez accepté un autre rendez-vous -(que vous ne voulez- [pas]- changer). Aussi la vérité de votre présence oui ou non dépend[ait] du/des paramètre[s] du rendez-vous. La vérité est donc relative / circonstancielle et non pas seulement une vérité absolue. La vérité n’est donc possible que si l’ensemble des vérités relatives qui constituent cette vérité est/sont entièrement et/ou universellement vraies et non pas seulement relativement exactes / justes / vraies. Ce qui signifie pour la personne qui voulait vous rencontrer à cette heure-là que vous pouvez peut-être, en trouvant d’autres arguments, convaincre la personne avec laquelle vous avez rendez-vous de changer de date votre rendez-vous pour permettre de vous voir le jour en question. On comprend donc que la Vérité dans ce SPOK –(acronyme de situation[s] précise[s], occasions, cas particuliers -[car ici c de cas et p de particulier = k de SPOK])- est modifiable selon le relatif des paramètres l’instituant comme une réalité.

Autre exemple : après de nombreuses heures de réflexions diverses vous choisissez en votre âme et conscience de vous faire baptiser Chrétien Catholique. Vous aurez donc droit à la cérémonie du sacrement du Baptême qui, sacrement, est une réalité / vérité relative au/du Christianisme : la célébration du souvenir du Baptême du Christ par Saint-Jean Baptiste. Vous allez donc être baptisé chrétien catholique mais est-ce que vous êtes chrétien catholique pour autant ? Oui si cette cérémonie vous change dans votre façon d’être et vous fait partager l’opinion des responsables catholiques -(la hiérarchie des prêtres jusqu’au Pape, voire l’opinion de Jésus Christ Lui-même en la matière). Non, si vous continuez à vous conduire et penser en laipis -(soit acronyme de strictement laïc, uniquement athée, inconscient, profane, ignorant et sacrilège au sens négatif de ces six mots qui en ont du positif dans d’autres situations précises / SPOK). En devenant chrétien vous considérez l’existence selon les vérités relatives des chrétiens catholiques qui sont / représentent peut-être la Vérité sur un point ou l’autre, voire ce qui est tout bien pesé le mieux de croire dans l’Intérêt et pour le Bien Général mais en sachant que cette vérité des chrétiens catholiques à un sujet quelconque n’est pas entendue / comprise ainsi par les laipis qui peuvent aller jusqu’à croire que ces vérités auxquelles vous croyez sont uniquement relatives de la perspective catholique chrétienne, voire de leur point-de-vue des mensonges. C’est ici ce qu’il y a de tragique et sera à l’origine de conflits comme de l’incompréhension des laipis selon le sujet, au point qu’ils croiront qu’il n’y a pas de vérité[s] concernant le sujet en cause. Et si c’est le cas c’est probablement parce que d’un côté on n’est pas au courant de ce que normalement les choix catholiques chrétiens adviennent / sont fondés sur la notion de Sacré-Cœur, celui-ci étant considéré comme la source de toutes vérité[s]. Evidemment si le laipis ne se fonde pas sur la vérité relative chrétienne du Cœur mais croit qu’il n’y a que méchanceté[s] en ce monde entre les uns et les autres -(du genre » l’homme est un loup pour l’homme «), nous obtenons un autre résultat, une autre vérité -(relative de/à cette base / vue de l’esprit différente)- comme solution. Aussi nous découvrons que les traditions comme la vérité sur chacun des sujets dépend de ce qu’on va privilégier comme filtre / paramètre, voire condition ou/et sentiment de départ -(comme le cœur). Celui qui analysera / verra le sujet à traiter dans la haine ou/et méchanceté ne peut pas comprendre la position / réponse de ceux qui croient à l’amour avec un grand A à construire entre les espèces humaines, par conséquent à cause de cela s’interdisent de manger les A. P. I. [k]. Être ovo-lacto-végétarien signifie comprendre avec son plus véritable cœur que les animaux pacifiques et inoffensifs ont, comme les enfants et les êtres humains, des droits, d’autant plus qu’ils appartiennent aux catégories des animaux pacifiques et inoffensifs -(aussi il est parfaitement injuste de les persécuter, voire pire : de les manger car le plus véritable être humain sapiens sapiens n’est pas/jamais un loup pour l’homme et/ou pour l’animal pacifique et inoffensif, ce qui est normalement la plus réelle condition humaine). Aussi, naturellement, on fera le choix de protéger les A. P. I. car cela paraîtra juste et cohérent avec l’amour qu’on veut / doit ressentir pour celle qu’on affirme honnêtement aimer -(et vis-versa pour celui qu’elle cherchera à aimer, donc la réciproque étant vraie même si on sait qu’il peut y avoir des hauts et des bas en plus véritable [a]Amour)- en tant que fiancée, voire en tant que sœur et/ou mère, voire en tant qu’épouse ou avec laquelle on vit en union libre peut-être dans la perspective d’une union encore plus sacrée -(si on veut/souhaite attendre avec elle des enfants). 

Autre exemple sur un sujet qui sera un peu plus compliqué -(complexe)- à analyser:  si nous vivons depuis 1973 une crise économique des plus importantes / tragiques de l’histoire de l’aventure humaine, c’est parce que les responsables des rRéions -(au sens de nations)- constitutives de  O. P. E. P. ont, au lieu de baisser ce prix, augmenté jusqu’à 2011 le prix du baril de pétrole, ce qui a eu pour effet de constituer un frein-à-main de plus en plus tiré au maximum sur/pour/à l’Économie -(planétaire)- car il a fallu constemment, tout au long de ces années, répercuter ces augmentations dans le prix de revient de chacune des marchandises, ce qui a été à l’origine des inflations et par conséquent de la baisse du pouvoir d’achat comme de la valeur de la monnaie par rapport à la valeur des autres monnaies, par conséquent des difficultés économiques de chacun -(y compris celles des milliardaires). Aussi en trouvant très exactement la cause de la pauvreté et la misère matérielle dans ce monde -(soit l’augmentation du prix du baril de pétrole)- comme certaine sans un électron d’erreur dans tous les temps parce que c’est la Vérité -(il s’agit de l’incapacité de quelques-uns des responsables de l’OPEP à comprendre comment fonctionne très réellement, soit très véritablement, l’Économie mondiale –[comme celle de chacune des rRégions / nations mais aussi de chacun des êtres humains, voire des patrons d’entreprise(s)]- et pas seulement la vérité relative), nous trouvons le remède : il faut impérativement baisser -(le prix du baril de pétrole)- au maximum du minimum, soit à 0,01 centime de dollar le baril, soit encore plus -(mais pas plus)- à 0, 0001 centime de dollar le baril pour débloquer le frein-à-main tiré avec une très grande violence illégale -(soit, en conscience pas possible : pas juste) sur l’Economie, ce qui aura pour effet de redonner du pouvoir d’achat à chacune des monnaies, donc [d’]augmenter la valeur de cette monnaie et ainsi ce qui offre la possibilité de relancer la machine économique mondiale, car ainsi le chômage disparaîtra en redonnant de la valeur aux monnaies du Dollar et de l’Euro comme à la Livre Sterling et au Franc Suisse, mais aussi à chacune des autres monnaies locales rRégionales -(au sens de régions mais aussi d’internationales). Une fois à un centime de dollar le baril la situation économique mondiale -(S. É. M.)- commencera à aller un peu mieux car la valeur de la monnaie, c’est-à-dire son pouvoir d’achat, sera beaucoup plus important -(augmentera en proportion de la baisse du prix du baril de pétrole)- et permettra aux gens de ne travailler que quand ils le sentent possible et non contraints et forcés par la situation de crise économique qui n’a que trop peu permis l’épargne, tous -(à l’exception de ceux qui ont augmenté le prix du baril de pétrole)- étant aculés à ne dépenser que le stricte minimum possible -(soit à disposer ainsi uniquement des biens de première[s] nécessité[s] et à devoir se passer du superflu, soit de ce qui rend parfois / souvent la vie plus agréable), ce qui ne permet plus les bienfaits de la Civilisation de la Consommation, donc de diversifier la production avec des nouveautés qui trouvent normalement – si le prix du baril de pétrole baisse aux stades indiqués plus haut - leur marché, étant donné que fort peu -(au sens de pas assez)- disposent du minimum vital, par conséquent ont de réelles difficultés pour économiser / vivre. Cette analyse de la situation économique -[A. S. É.]- dont nous avons tous été victimes depuis 1973 est la Vérité même si des milliards de milliards et plus encore de personnes prétendraient le contraire : En disant que l’augmentation du prix du baril de pétrole n’affecte pas l’Économie, ces personnes mentent parce qu’il existe belle et bien la Vérité en micro comme en macro Sciences Économiques et pas seulement des vérités relatives qui en omettent d’autres sous la forme de paramètres qui, heureusement ne sont pas oubliés dans ce que nous proposons de mieux pour tous : un prix de baril de pétrole étant porté peu à peu symboliquement à 0,0001 centime de dollar le baril -(ce qui permet de garantir la pérennité du Commerce –[car à ce prix ce n’est tout-de-même pas tout gratuit], par exemple pour réaliser des projets pharaoniques, ce qui permettra entre autre[s] de payer progressivement toutes les dettes accumulées du temps de l’augmentation du prix du baril de pétrole, mais en réalité déjà depuis Napoléon Premier, si ce n’est en réalité depuis longtemps avant lui.

[3] -(par exemple les acquis -[sociaux]- difficilement remis en cause tant ils paraissent justes / utiles / indispensables)

[4] dont celle de l’élevage à des fins de boucherie, charcuterie, etc. et de la pollution de l’air par une trop grande consommation de pétrole

[5] ou étai[en]t, vu autrement, accordé avec ce qui est dans la parenthèse : (Adam et/comme Ève).

[6] Ici il convient de savoir faire la différence entre la nature des péchés. Il y en a de différentes sortes et cela va des plus grands / graves aux moins importants. Il y a aussi tous ceux qui pour des personnes ayant accédé à la conscience le sont moins, voire ne le sont plus, tandis qu’ils le sont pour des catégories de personnes n’ayant pas pu se hausser aussi haut. Ces derniers vont prétendre / assurer qu’il y a péché alors qu’il n’y a, en réalité, qu’inconscience, voire ignorance au sens négatif et positif de ces deux mots. De même que la conscience existe, une fois obtenue en nous-mêmes -(illuminés par elle), on est aussi contraint d’admettre qu’il y a des aspects positifs de / à l’inconscience, par conséquent que celle-ci -(la conscience)- existe au sens positif de ce mot et donne, dans certaines situations, à première[s]-vue[s] des sortes de droit[s].

 

Il arrive que celui qui agit de manière inconsciente ne sait pas qu’il pèche. Aussi il croit possible agir alors qu’en réalité comme en toute conscience et lucidité, il ne pouvait pas se permettre ce qu’il a fait et qu’il n’a pu faire qu’en raison d’oubli de plus ou moins nombreux paramètres. Si la conscience est la porte d’accès à la mémoire -(qui sera petit à petit retrouvée, par exemple grâce au travail psychanalytique), l’inconscience – je l’ai démontré – est très souvent absence de mémoire, voire est le produit -(ce qui résulte)- de la perte de -[la]- mémoire -[de paramètres vitaux]. D’où le/un très grave problème pour les êtres humains ayant accès à la conscience et ainsi à la compréhension du sacré, voire de ce que peut bien être le Saint-Esprit -(la Pentecôte). Ils ont face à eux les laipis qui pour être devenus ce qu’ils sont n’ont pu le devenir que parce qu’ils ont perdu plus ou moins leur mémoire, voire sont dans l’absence de connaissances des paramètres dont il convenait de tenir compte avant les décisions qu’ils ont prises. On pèche donc -(ce qui signifie qu’on se trompe)- par les aspects négatifs des mots signifiant[s] l’acronyme -[de]- laipis -(laïcité, athéisme, ignorance, situation de profane, inconscience et de façon sacrilège), ce qu’on devient parce qu’on a perdu la mémoire de paramètres indispensables / fondamentaux car à l’origine du processus des progrès civilisationnels : des vérités relatives, voire une plus juste vérité un instant oubliée par inconscience au profit d’une situation -(qui s’avèrera)- mensongère du point de vue d’une précédente plus juste / vraie / meilleure / préférable car d’Intérêt et pour le Bien Général. Cependant nous devons honnêtement reconnaître que sans une part d’inconscience la vie serait invivable, ce qui signifie qu’il y a dans certaines situations / SPOK au mot de laipis du positif.

[7] -(acronyme de laïc, athée, ignorant, profane, inconscient, sacrilège au sens négatif de ces six mots, hélas, infiniment hélas qui sont pour certains une réalité)

[8] Dans notre lecture de la Bible, on peut penser aussi que cette explication concerne notre futur : que nous allons vers la réalisation d’un nouvel Adam et une nouvelle Êve qui rétablirons la Vision du Paradis avec/pour leurs enfants, eux aussi se considérant de nouveaux Adam et de nouvelles Ève.

[9] -(il ne faut pas oublier qu’il y a tous les temps qui précèdent cette invention de l’Écriture, comme il y a eu finalement tous les temps après la naissance de l’Écriture ayant été à l’origine des textes sacrés -(dont les cunéiformes)- notemment ceux qui sont rassemblés dans la Bible cherchant à donner des explications et prouvant par la succession des livres ou/et chapitres qu’il y a bien une histoire qui nous concerne tous. La Bible invente les textes historiques, mais aussi s’appuie sur des faits réels à une époque où il n’y a pas encore d’Archéologie, ni d’études de l’habitat avant l’apparition de l’Architecture -(soit le temps des cavernes prévues pour abriter Adam et Ève, le Paradis présent autour d’eux. Aussi nul besoin de dessiner sur les parois, sauf que la vision du Paradis a disparu et que ceux qui n’ont pas rejoint tous ceux qui ont accès à la salle des machines vont apprendre à dessiner / représenter par conséquent traduire la réalité à travers leurs peintures / créations –(ils découvrent qu’ils peuvent s’abstraire du réel par l’imagination, soit passer de l’autre côté du miroir, devenir des êtres dotés de virtualité[s]). Pour cela ils ont accédé en eux à la Vérité grâce à l’acquis de conscience, une/la sécurité de l’être humain qu’ils découvrent exister en eux, les premiers surpris). Aussi il y a eu toute une période où les êtres humains sans écriture vivaient tant bien que mal jusqu’à l’époque où ils surent confectionner leur habitat et des armes à partir de dessins, de mesures, d’échelles. Mais cela s’est passé après la scission, soit à partir du moment où un groupe de nos ancêtres les plus éloignés n’ont plus accès à la salle des machines et ne savent même pas qu’elle existe. Cependant persécutés par ceux qui y ont accès et à cause de cela ils sont contraints de s’ingénier au point d’accéder en eux, parfois sans même s’en rendre compte, à cette sécuri –[qui existe dans chacun des êtres humains n’ayant pas rejoint ceux qui ont accès à la salle des machines, ayant à cause de cela à s’ingénier pour trouver la vérité avec l’aide de cette conscience en eux-mêmes, une surprise quand elle advient / apparaît, d’autant plus qu’ils n’en savaient rien : cela change tout au point qu’on comprend tous ceux qui disaient « ils avaient des yeux mais il ne voyaient pas, ils avaient des oreilles mais n’entendaient pas, etc. »]- de la conscience, ce qui leur permet de comprendre le monde notemment grâce aux diverses formes d’écriture[s] qu’ils vont apprendre à maîtriser).

[10] -(celui que tous les enfants vont espérer, en grandissant, devenir / obtenir en trouvant le/la partenaire idéal[e] / chaussure à son pied)

[11] -(par exemple le carbone 14 datateur -[qui permet de dater]- n’a pas été encore mis au point comme de très nombreux autres instruments -[mis-au-point par les ingénieurs, soit, en général, des personnes ayant eu accès à la conscience]- avec lesquels nous avons appris à vivre)-

[12] Parce que le mystère reste entier comme pour la poule : « qu’est-ce qui est avant ? L’œuf ou la poule ? ». C’est pareil pour l’être humain : qui est avant le premier être humain ? L’enfant ou la mère de l’enfant ? Voire le père ? Et comment sans mère ? Par conséquent il faut bien que la mère ait été faite pour l’homme, qu’elle l’épouse, soit la contrempreinte -(comme ce qui est concave peut parfois contenir ce qui est convexe si cela s’ajuste bien) ! Comme à l’époque on n’a pas une idée précise des temps géologiques immenses qui présentent la Création en successions de périodes de centaines de milliers d’années, voire millions d’années s’étant suivies en tant qu’ères préhistoriques -(ce qui résulte des études scientifiques et rigoureuses de nos derniers siècles ayant ainsi prouvé la notion de très lente évolution minérale, végétale, animale, humaine, etc. -[notemment à travers les fossiles]), comme on ne s’explique pas encore ces évolutions, bien qu’on voit bien que la pensée permet de s’expliquer les causes des effets, on a recours à Dieu -(ça arrange tout le monde)- qui serait le Père de la Création -(en fait c’est un très joli conte de fée auquel il est parfois bon de continuer à croire car de cette façon Dieu devient une/la métaphore de la Vérité et de la Conscience qui fonctionne en toute logique et cohérence avec l’imagination, soit avec les choix de départ. De toute façon ce qui est important pour tous de comprendre, c’est que celui ou celle qui écrit la Genèse, pour l’écrire a/ont -[lui/elle]- recours à la conscience et comme il/elle a/ont vérifié que cette conscience -(une sécurité dans l’être humain)- existe, il/elle a/ont le droit -(en l’absence de données scientifiques)- de créer un Créateur puisqu’il/elle vérifie[nt] sur soi/eux-même[s] qu’en écrivant ce qu’il/elle écrit, cela est une création et à première-vue fonctionne comme explication, paraît vrai, peut être plausible pour ceux qui pour l’instant n’ont pas encore accès à la conscience -(et qui ne parviennent pas à s’expliquer la vie / le monde, etc.)- mais aussi pour ceux qui ont accès à cette conscience en eux –(comme les bouddhas : des éveillés-par-acquis-de-conscience). Cette invention de Dieu, ce n’est donc pas pour les tromper mais au contraire pour les rassurer : une métaphore d’à peu près tout -(sauf, bien entendu, de son contraire satan, le mal pour lequel on trouve des causes, soit des explications : tout ce qui y mène par opposition à tout ce qui mène au Bien, reflet de la Création pour tous ceux qui ont rejoint l’état de Ciel par acquis de conscience). De toute manière, se disent-ils nous avons pu vérifier sur nous-mêmes que nous avons fini par avoir conscience du Bien et du mal dans chacune des situations / circonstances. Cela signifie qu’il y a un problème que nous allons tenter d’expliquer d’une façon à premier-entendu plausible. Ceux qui n’y croiront pas ne pourront pas accéder à la conscience, par conséquent s’expliquer cette notion de Dieu. Ils seront comme nous avant que nous ayons eu accès à notre conscience : ce seront donc les laipis -(acronyme de laïc, athées, inconscients, profanes, ignorants, sacrilèges, au sens négatif de ces six mots qui en ont fort heureusement du positif dans d’autres SPOK -(situations précises, occasions, cas particulier -[car ici c de cas et p de particulier = k de SPOK])- et cela parce que nous avons pu vérifier sur nous-mêmes qu’il y a tous les temps où nous n’avions pas encore conscience d’être dotés d’une conscience, par conséquent cela signifie qu’on doit forcément -(qu’on le veuille ou non)- passer par une période laipis, qu’on a aussi appelée par d’autres mots dont celui qui concernera certains adolescents -(donc le mot d’» adolescence « – ce qui peut advenir entre la naissance et l’âge de raison -(de quatre [précoces]- à sept ans), ou bien entre quatre ans et quatorze ans, voire sinon pour les plus tardifs de quatorze à quarante-deux ans, voire être encore ainsi adolescent plus tard encore comme, heureusement, au contraire l’état d’adulte-par-acquis-de-conscience peut advenir durant chacune de ces périodes, soit de la naissance à quatre ou sept ans, etc. , voire de quatorze ans à plus âgé), avant d’accéder finalement à l’éveil-par-acquis-de-conscience, ce qui permet d’accéder à la connaissance des différentes formes de sacré[s], voire de croire en l’existence de Dieu, voire au contraire ne pas y croire comme l’un des premiers bouddhas, cependant qu’on sera au moins certain d’une chose sûre : que la conscience peut/doit se manifester dans/à l’être humain, ce qui [lui] permet de distinguer / différencier le Bien du mal, par conséquent ce qui est juste de ce qui ne l’est pas, etc. voire conseiller le mieux, par exemple fraternellement -(ce mot alors signifiant quelque chose), etc. : bref de créer parfois même en pluri-dimensions les choses qu’on a cru les plus indispensables dont les œuvres d’art, ce qui est nécessaire comme solutions alternatives élégantes durant les temps où nous sommes privés de la Vision du Paradis / Ôz).       

[13] –[les premiers habitats naturellement créés  par Dieu – bonté céleste ! - pour abriter / accueillir les premiers A. P. I. , dont les êtres humains]-

[14] -(je l’ai vérifié et démontré avec/sur moi-même)–

[15] –(ce qui peut être le cas pour une personne devenue inconsciente grâce à une/sa belle : j’ai démontré vrai le conte de La Belle et la Bête: la plus juste destinée de l’être humain, soit une des raisons d’être, est celle de l’accès à la conscience –[cette sécurité dans l’être humain], par plus véritable [a]Amour par conséquent à la connaissance de ce qui est sacré)

[16] -(indiquant parfois par leur place sur les animaux représentés comment il convient de chasser. Il est probable que cela ne soit pas les mêmes mains qui ont peint les animaux et celles qui ont gravé/inscrit ces flèches, à moins que par sécurité ce soit le peintre de ces animaux qui ait cru possible marquer cela ainsi)

[17] Rappelons que toutes ces périodes, même si elles concernent des personnes qui accèdent à la conscience sont encore très loin de la nôtre et des informations scientifiques / exactes / précises que nous détenons en sciences humaines, et/ou mathématiques et/ou électroniques, etc. La Géographie nous renseigne sur la diversité de peuplement des régions au nord comme au sud de l’Équateur et sur les coutumes / traditions locales mais aussi les instruments qu’on y a fabriqués y compris en Musique, donc au sujet des arts locaux qui, grâce à la mondialisation des échanges, s[er]ont connus de tous. L’astronomie a pu démontrer / vérifier que le scintillement des étoiles signale l’existence / la présence de systèmes planétaires comme autour de notre soleil -(dont nous pouvons de nos jours suivre l’activité et ses splendeurs sur Internet).

[18] Mais cela a le mérite de nous rappeler l’existence du Paradis, soit ce qui doit être notre objectif de retrouver -(la Vision d’Ôz). Il est ici dit clairement que ce paradis a autrefois existé pour Adam et Ève, voire était prévu pour leurs enfants. Aussi ce qu’il convient de faire durant Le Rétablissement de la Vision d’Ôz sur vingt-quatre ans est de rechercher parmi les enfants les futures nouvelles Ève-Isis-Marie-… et Adam-Osiris-Jésus-… à moins de se contenter de moi en tant que nouvel Adam et de mes fiancées Michèle et Christine -(avec ma nièce Oriane)- en tant que nouvelles Ève-Isis-Saintes-Vierges Marie. 

[19] Du moins il s’agit d’une explication, d’une façon métaphorique de voir, ce qui est déjà cela et cela concerne des temps préhistoriques très lointains -(mais déjà civilisés puisqu’il y a intervention de l’ange – Dieu comme Adam et Eve ou Osiris et Isis ou/et Seth ne sont pas seul)- mais peut-être aussi, autrement vus, à venir : chaque être humain homme bien portant a été à un moment donné de son existence Horus, voire Osiris. Chaque être humain femme bien portante Isis ou/et Eve ou/et la sainte Vierge, mais aussi Seth ou/et le serpent, soit satan.

[20] Tel que c’est inscrit nous comprenons que notre mère et notre père furent pour chacun d’entre nous Eve et Adam, voire Isis et Osiris. Qu’ils ont désobéi à Dieu, ce qui explique qu’ils aient à travailler pour subvenir aux besoins de leur[s] famille[s]. Mais nous pouvons aussi comprendre le contraire : qu’ils ont en réalité obéi à Dieu qui, en interdisant le fruit de l’arbre de la connaissance, l’a en réalité conseillé à mi-mots à Ève/Isis -(car nous ne savons pas sur quel ton a été formulée cette interdiction. Avec la Bible, à moins de me tromper, nous sommes avant les indications de tons qu’on trouve inscrits dans les livrets des pièces de théâtre)- peut-être plus sensible aux sons qu’Adam / Osiris et c’est alors que le Paradis est apparu. Un ange arrive non pour chasser Adam et Ève mais au contraire pour réintégrer Adam et Ève au Paradis, soudain dévoilé grâce aux conseils du serpent qui a peut-être dit à Ève de ne surtout pas manger de ces pommes -(car il en est la preuve vivante : il en sait quelque chose !). C’est ici faire l’antithèse de la première lecture -(à première[s] vue[s]), ce qui nous paraît enfin possible à notre époque dans laquelle on nous a enseigné à la faire sur de très nombreux sujets -(voire en toute[s] occasion[s]). Impossible de vivre sans travailler -(au sens d’avoir une ou plusieurs activités)- ce qui confirmerait que le serpent a raison de ne pas conseiller les pommes -(après tout c’est son arbre ; ce sont ses fruits). Donc il n’est pas un menteur. Mais voilà qu’il n’a pas songé aux conséquences : la perte de l’innocence pour Ève/Isis et Adam/Osiris. On a longtemps cru qu’avec la Connaissance, il y a la perte de l’innocence, voire au contraire l’innocence retrouvée -(si on prend le parti inverse) : le serpent ne pourrait pas s’adresser à Ève et être compris d’elle -(qui en réalité serait Adam – en raison des contraires)- pour ne pas le tenter, voire lui dire la vérité «  tu as parfaitement raison de vouloir manger de ce fruit autorisé / permis / conseillé -(le seul qu’il convient de manger comme l’a [dé]conseillé Dieu)- et d’en proposer à Eve/Isis ».

Evidemment ce que nous venons de dire, ce n’est pas ce qui est à l’origine inscrit : C’est quasiment le contraire mais c’est ce qu’il fallait aussi comprendre -(du point de vue[s] du serpent qui est sûr d’être Dieu, Dieu apparaissant alors comme le diable ! Mais si c’était bien comme c’est présenté qui est ce qu’il faut comprendre en toute innocence ? Si le premier niveau de lecture, tel que c’est inscrit qui est la vérité, l’antithèse -(le contraire)- est fausse / mensongère. De toute façon ce qu’il ne faut pas oublier c’est que c’est écrit dans une époque très lointaine de la nôtre, mais une époque où l’écriture existe déjà -(probablement depuis longtemps): cela fait longtemps que cette écriture a permis de véhiculer des histoires -(et les inscriptions ne sont faites pour tromper). Aussi nous sommes à cette époque-là de la Genèse très loin de la très grande catastrophe -(t.g.c.)- dont il se pourrait qu’on ne sache plus rien -(bien qu’on réfléchira sur la notion de déluge, un synonyme de la tgc – [très grande catastrophe]), sauf que le grand serpent existe et on cherche des explications à cela, donc pourquoi ? Cela signifie peut-être qu’autrefois les êtres humains parlaient avec les animaux puisque dans l’histoire de départ, Ève parle avec le serpent. Reste à savoir dans quelle langue ? Mystère. Est-ce cette langue qu’on a traduite en signe ou une autre précédente ? On s’aperçoit que chacune des langues a fini par être traduite par écrit dans un système ou un autre. On s’aperçoit que si c’est le cas c’est que partout il y a ceux qui accèdent à la conscience -(qui permet de trouver ces équivalences), c’est-à-dire qui découvrent cette sécurité en eux-mêmes, ce qui leur permet de comprendre la réalité par le truchement des inscriptions -[et/ou équivalences]- en liaison avec leur imagination. Quand on invente le papier, longtemps après le[s] parchemin[s], cela fait longtemps qu’on est loin de la très grande catastrophe à l’origine de l’histoire de l’aventure humaine -(H. A. H.). Une solution alternative élégante -(S. A. É.)- de plus à toutes celles qui existent dans la plupart des domaines ayant peu à peu vus le jour depuis la tgc. Et l’humanité -(composée de nombreuses différences)- continue à poursuivre sa route vers d’autres solutions alternatives élégantes en raison de tous ceux qui, un jour ou l’autre, ont, à leur tour, accès à cette sécurité qui est dans l’être humain : soit l’accès à cette conscience qui, une fois ayant pris place dans l’être humain, contraint tous ceux qui y ont eu accès à comprendre qu’avant d’en bénéficier ils appartenaient aux laipis, soit à ceux qui sont encore dans les ténèbres ou, si on préfère, dans le plus ou moins grand mensonge. C’est donc que tout cela mène à la question du mal : Qu’est-ce que le mal, se disent tous ceux qui en sont sortis -(grâce à cette sécurité qu’ils ont trouvé en eux-mêmes de l’accès à la conscience, première grande étape avant d’accéder au Saint-Esprit)- et la réponse n’est pas longue à venir de la part de ces éveillés-par-aquis-de-conscience, soit ce qui signifie bouddhas : à l’origine une/des conséquence[s] d’une ou/et plusieurs cause[s] et c’est pourquoi l’un d’entre eux a écrit / trouvé / créé l’histoire d’Adam et Ève pour expliquer la situation de chacun d’entre nous ayant quotidiennement à peiner. Sauf que les choses sont bien faites puisqu’il y a en dormant la possibilité de se reposer. Aussi nous ne pouvons pas dire que nous soyons uniquement damnés puisqu’il existe aussi d’autres moments agréables à vivre comme se reposer. Étrangement celui qui rédige ces textes sacrés -(par ce qu’ils sont inscrits par acquis de conscience dans un monde où sont, hélas, encore très nombreux tous ceux qui ont perdu leur conscience)- s’aperçoit qu’il y a des fruits que portent les arbres et que ces fruits sont bons à manger. Le mot de » fruit[s] « est central et constitue la solution alternative élégante -(S. A. É.)- céleste à la chasse et/ou la pêche car on pourrait se nourrir uniquement de fruits si on n’avait pas découvert le sens figuré du mot de » fruit «  qui, par exemple, peut être appliqué -(au sens d’utilisé)- pour les enfants qu’Eve/Isis/Marie aura, mais aussi pour la production d’autres végétaux au point que le blé parait un des fruits différents que nous offre la Terre. La farine comme les produits lactés sont des fruits : D’une part du blé et/ou des céréales et d’autre part des animaux herbivores. Le mot de » fruit « est la preuve que nous sommes tous nés au paradis car si nous étions nés aux enfers il n’y aurait pas de fruit[s], soit des aliments délicieux qui n’exigent aucunement que nous fassions le mal aux animaux pacifiques et/ou inoffensifs [herbivores] -(A. P. I. H.). Mais nous dit la Genèse -(écrite en ces époques très lointaines avant les Evangiles)- il y a dans le Paradis un arbre dont les fruits sont défendus -(comme pour Blanche-Neige : une pomme empoisonnée !). Aussi, il s’agit -(avec cette histoire d’Adam et Eve – comme pour celle d’Osiris et d’Isis)- d’un avertissement très réel qu’il faut lire à la lettre en renonçant à l’anti-thèse -(alors on ne pouvait pas être aussi pervers)- sacrilège que j’ai faite plus haut. Celui qui a écrit cette histoire a pensé qu’il était de son devoir -(peut-être de futur père de famille)- d’avertir que dans ce paradis dans lequel nous avons grandi il y a un animal – le serpent -(mais cela pourrait être, [l’histoire mise-à-jour à notre époque] - un requin ou/et une orque)- qui dit des mensonges au point de conseiller de manger un fruit –(dont visiblement il s’est nourri)- qui, de son point-de-vue, permet d’obtenir la connaissance. Or cet animal -(qui n’est plus un être humain depuis longtemps car il est la réincarnation d’une personne qui peut-être était, au départ, un véritable prince), ment : c’est en fait de connaissance[s] de la bêtise qu’il s’agit -(et non de la plus véritable connaissance)- et, on le sait, on peut en mourir de la bêtise. C’est cela la cause du mal : la bêtise, soit l’absence d’intelligence. Comment devenons-nous bête[s], comment obtenons-nous des réincarnations animales ? En mangeant les fruits de l’arbre interdit -(par tous les serviteurs de Dieu). Aussi on comprend que Dieu a averti Adam et Ève en disant -(s’Il l’a employé)- le mot de « connaissanc» -(« arbre de la connaissance », ce qui peut-être fut dit par le serpent)- sur un ton ironique -(Michèle Finck a consacré une grande partie de sa vie à la question du son en Poésie et en Littérature. Elle juge cela essentiel, central. C’est, pour elle, et de très nombreux musiciens-compositeurs, ce qui permet de déterminer la Vérité. Le son tandis que moi je crois que ce sont les raisonnements exactes, logiques qui permettent / offrent la Vérité. Aussi il nous appartient, en lisant les textes sacrés comme celui de la Genèse, de retrouver les sons employés par les personnes qui parlent dans ces textes car c’est seulement ainsi que nous pouvons mieux comprendre de quoi au juste il est question). Dieu dit à Adam et Ève que les fruits du malus -(soit l’arbre où se trouve alors la réincarnation d’un ancien prince, satan, en serpent)- est pour le serpent, l’arbre de la connaissance, parce que ce serpent est certain de la détenir grâce à ces fruits dont il tente Ève qui, malgré l’avis éclairé de Dieu à ce sujet -(l’avis paternel), en propose à Adam qui en acceptant d’en manger perd son innocence, soit ce qu’il avait comme Ève probablement de plus précieux. Le Paradis dans lequel ils vivaient l’un et l’autre disparaît -(ce qui fut le cas avec la Vision d’Ôz)- et un ange -(serviteur de Dieu – ce qui signifie qu’il y a eu d’autres Adam dans l’histoire de l’aventure humaine avant Adam, des hommes et des femmes très réellement obéissant.e.s à Dieu n’ayant jamais transgressé l’interdit de Dieu qui continuent à Le servir)- apparaît et les chasse du Paradis -(le Paradis, Ôz, dans lequel ils sont nés disparaît à mesure qu’Adam et Ève s’éloignent -(par la désobéissance)- de Dieu parce qu’ils ont cru les conseils du serpent-menteur.  Une fois de plus nous revenons à la cause, soit à l’origine de chacune des réincarnations animales : de nombreux Adam et Ève ont cru le serpent au lieu de croire Dieu les avertissant en conscience. Soit -(avec la croyance dans ce serpent)- l’origine de toutes les tragédies. En réalité satan -(sous la forme de ce serpent)- propose à Adam et Ève de devenir, une fois morts, un des animaux de « sa » création, soit ce qui arrivera une fois nourris de ces fruits – (qui sont des conseils / tentations) – de devenir à son image, soit d’involuer / régresser intellectuellement, ce qui est/sera, à force d’inconscience[s], le chemin pour, après la mort d’Adam et Eve, des réincarnations animales au lieu, au contraire de ressembler à Dieu qui a pourtant fait l’être humain à son image -(en le dotant de la conscience), et qui plus est en ayant créé -(notemment avec Jésus-Christ – ici beaucoup plus tard dans l’histoire de l’aventure humaine, donc en se rapprochant de notre temps / époque)- la sécurité qui permet à l’être humain, voire très véritablement repentant, de retrouver la conscience, soit l’état d’éveillé-par-acquis-de-conscience, ce qui signifie bouddha[s]. Aussi cela signifie que si les repentirs sont sincères et/ou très véritables, l’être humain homme ou/et l’être humain femme peut se sauver et finir par retrouver Dieu en lui/elle/eux par la réapparition de la/cette conscience, soit ce qu’il faut évidemment [re]chercher de toutes ses forces pour retrouver enfin sa part d’ange, en fuyant ainsi sa part d’animalité -(au sens négatif de ce mot qui en a, heureusement, du positif dans d’autres SPOK car sinon il n’y aurait qu’une seule espèce d’animal. Or il y a de nombreuses espèces d’animaux, ce qui signifie qu’il y a plus ou moins coupable, soit qu’il y a plus ou moins dégradé[s]. C’est ainsi qu’on comprend pourquoi, s’il n’avait interdit de tuer, il y a[urait] un Dieu qui, au moment du sacrifice de Jacob, autorise à manger les animaux, la Création étant confiée à l’être humain ayant accès à la conscience, soit ce qui permet entre autre[s] des précisions astronomiques et de trouver la vérité sur tous les points si on se garde de faire du/le mal). Agir en laipis, c’est-à-dire en étant devenu un inconscient –(soit une personne qui n’a plus accès à sa conscience)- est l’origine de tous les maux comme du mal. Ce qu’il faut comprendre c’est que le fruit défendu c’est ce qui donne l’oubli -(au sens d’amnésie)- parce qu’inconscient on oublie les conseils les plus justes / sages. Eve -(quand elle s’adresse au serpent – [c’est elle qui est venue le trouver, voire le serpent ayant anticipé sur sa venue car il se trouve sur une branche de l’arbre portant les fruits déconseillés -  (ce qui signifie que c’était prévu par le serpent. A-t-il accès aux rêves d’Eve pour lui avoir conseillé de s’approcher de l’arbre interdit? Dans ce cas-là il a profité d’un avantage dont ne savait rien Eve et a donc triché)])- est amnésique des -[meilleurs]- conseils de Dieu. Nous avons démontré de ma naissance à mes quatre ans, de mes quatre ans en 1967 à mes quatorze ans en 1977 et de mes quatorze ans à mes quarante-deux ans en 2005 que c’est bien l’absence de mémoire -(notemment des sacrements obtenus chez/avec les Catholiques-Chrétiens)- qui conduira un petit enfant -(oubliant son Baptême), un enfant -(oubliant sa Première Communion)- enfin un jeune homme et un homme -(oubliant sa des détails importants de sa Confirmation, comme le lien qu’il avait avec Jésus Christ)- qui est à l’origine de nombreuses erreurs et péchés dont on peut fort heureusement être blanchi par la plus véritable repentance quand on se rapproche du sacrement du Mariage qu’on ne devrait recevoir / obtenir en son âme qu’une fois obtenue / retrouvée sa/la conscience car si on a autant besoin de celle-ci une fois mariés c’est qu’on doit devenir un père de famille -(soit la personne – le nouvel Adam / Osiris –[ayant retrouvé grâce à Ève / Isis le chemin du Paradis]- qui va avoir la responsabilité d’élever –[avec sa femme Ève/Isis des enfants], soit pour chacun Horus : l’enfant Jésus. En effet devenir père signifie une grande responsabilité et celle-ci est d’autant plus grande qu’il y a tant de moyens de perdre la conscience, par conséquent des dangers très réels pour les enfants de perdre les valeurs / avancées à l’origine du maintien, voire du possible retour de la conscience). 

[21] Un mot devient vrai dès que deux personnes ou plus -(ce qu’il vaut mieux)- croient à sa définition [satisfaisante]- et l’adopte -(d’abord en rappelant à chaque fois ce qu’il signifie).

[22] Ici c’est – je l’ai dit ailleurs – une affaire de pourcentage[s]. Ce qu’il convient de croire vrai est ce qui est à plus de 50 % vrai dans ce qu’on entend et qui circule. Est faux ce qui est à plus de cinquante pour cent, voire plus encore, faux.

[23] Ce qui pourrait être compris comme une généralisation, par conséquent à ce dont nous devions nous garder, cependant que ce n’est pas toujours juste car il y a des généralisations qui sont à plus de cinquante pour cent objectivement / scientifiquement vraies. Elles méritent donc comme celle-ci, dans cette note-de bas-de-page d’être connues.

[24] -(animaux pacifiques et inoffensifs dont les herbivores quadrupèdes -[car ici h + q = k de API(K)])

[25] Mangeurs de salade[s].

[26] Mangeur d’herbes. Je rappelle qu’omnivore peut vouloir dire » mangeur de tout «.

[27] Par exemple : https://youtu.be/OauwY0zSBsA.

[28] -[depuis de nombreux siècles les bœufs tirent l’araire grâce à l’énergie contenue dans ce qu’ils ont brouté]-

[29] ou lactés

[30] -(avec un instrument qui remplace le processus de rumination chez le bovidé et qui permet de tirer les » substantifiques « sèves des herbes déterminées, grâce à ce processus pour extraire cette boisson, buvables, [une fois le liquide ainsi tiré de ces herbes -[(par exemple)- de pâturage])-

[31] Ce qu’il fallait comprendre et qui était dit à mi-mot[s] dans »« substantifique[s] moelle[s] »«. 

[32] Bien qu’on puisse croire que le travail de l’estomac, une sorte de poche -(sac), permettrait de ruminer en nous durant une des phases de notre digestion, cependant que cela n’est pas à la manière des vaches qui ruminent grâce à une première poche, la panse, avant que les herbes broutées et ruminées n’atteignent les autres sacs de leur estomac.

[33] -(comme les girafes qui vont cueillir les feuilles des arbres. Il est probable qu’il y ait certaines de ces feuilles qu’elles choisissent qui seraient aussi comestibles pour l’être humain puisque tu le crois omnivore, voire certaines feuilles de plantes dont se nourrissent les singes et d’autres lémuriens)

[34] -(qu’il convient en toute logique et cohérence de considérer pour chacun de nous comme l’origine d’une mise-à-jour nécessaire et évidente à s’imposer)-

[35] -(parfois en raison de la condition d’anorexique)

[36] -(de condition[s])

[37] -(la tgc – [cela ne peut/doit s’écrire qu’en minuscule])-

[38] Donc dans ce qui est devenu, à force d’élevage à des fins de boucherie, le désert du Sahara.

[39] Les animaux prédateurs sont apparus petit à petit progressivement -(chronologiquement). Ce sont, comme les autres animaux, des réincarnations d’âmes devenues plus ou moins voraces / avides, égoïstes : en proportion des vices qu’elles ont eues au cours de la réincarnation en être humain, voire du mal qu’elles se sont autorisées en tant qu’autres espèces.

[40] et si on le souhaite pour être de notre époque -(donc en ayant fait ici une mise-à-jour :)- Schtroumpf. Ce mot est synonyme des mots précédent[s] et a l’effet de machin-truc-chouette, ce qui effectivement dit la chose qu’on se représentait par d’autres mots -(comme ci-dessus : Ôz, Atlantide, Eden, …)- dont on veut parler en en pensant le sens par l’intermédiaire de ce mot, donc que l’on choisit plus précisément comme vocable d’origine -(traduisant / remplaçant ce mot de schtroumpf, soit les mots de Paradis, Arcadie, etc..)

[41] On a découvert que s’il l’a été c’est par sécurité.

[42] -(soit l’équivalent de Dieu ou plutôt ce qui signifie un éveillé-par-acquis-de-conscience –[ce qui est la sécurité que Dieu a mis à Sa Création], soit ce qui met l’être humain dans la connaissance du Bien et du mal, mais aussi du projet divin).

[43] Ses Éminences Altesses Impériales Ses Saintetés Satana[na!]nas les Lordissimis…simissimes Princes …

[44] ou » territoire « … .

[45] Plusieurs paramètres jouent pour cela, dont bien sûr de façon principale / première la quantité de nourriture[s] plus ou moins facile d’accès. Cela dépend donc de la qualité / richesse des sols et au temps de l’Élevage des pâturages. Dès qu’il y aura de trop nombreux herbivores ces pâturages se transforment peu à peu en désert ! Nous pouvons l’observer dans l’Union Européenne avec des terres comme celles de la Grèce, du sud de l’Italie et de l’Espagne. L’avancée de la désertification monte peu à peu vers le Nord depuis celle de l’Afrique saharienne.

[46] Ce qu’il doit au fait qu’il est devenu ovo-lacto-végétarien.

[47] -(on les oppose alors que pour une grande partie des occidentaux à table – voir ici le déroulement des repas proposés dans les restaurants - elles se complètent, cependant qu’en dehors des restaurants végétariens indiens et/ou tibétains, etc. et des crêperies, la viande animale, poissons et fruits de mer et homards y compris, occupent de nos jours encore le devant de la scène)-

[48] Acronyme d’animaux pacifiques et inoffensifs

[49] De l’Amour avec un grand a : Amour qui, entre autre[s] caractéristiques artistiques ne supporte pas les divers types de souffrance[s] animale[s] -(touchant aussi le genre humain): une question de cohérence.

[50] -(soit les éveillés-par-acquis-de-conscience)-

[51] -(d’autant plus qu’ils seraient / seront bien élevés)-

[52] Des consommateurs et/ou futurs consommateurs produisant du CO2 qui entre en compte dans les différents paramètres constitutifs du réchauffement planétaire -(dont celui d’un trop grand nombre d’élevage d’ A. P. I. [K.] à des fins de boucheries et assimilés commerces). Aussi on le voit bien, on ne pourra pas continuer comme ça très longtemps car plus la démographie augmente plus la consommation est importante plus le réchauffement planétaire s’intensifie. Il convient donc dans les pays du genre occidental de recourir à la solution alternative élégante -(sur plusieurs générations)- de la grande mutation -(G. M.)- en ovo-lacto-végétariens, soit celle qu’ont anticipée / prévue -(en raison de la loi des conséquences –[remontées jusqu’à l’origine des mimétismes les plus heureux])- le[s] bouddha[s] en adéquation avec l’amour éprouvé avec reconnaissance envers les A. P. I. , soit dans la majorité des cas des réincarnations précédentes celle en être humain.

[53] – en nos temps de contraception cela signifie que ceux qui font des enfants le choisissent librement -(personne ne leur impose d’attendre des enfants. S’ils le souhaitent ils peuvent ne pas en avoir mais cela signifie que ceux qui font des enfants estiment donc positivement l’existence / la vie, au point de proposer à leurs enfants de vivre. Cela signifie que malgré la disparition de la Vision du Paradis / d’Ôz les futurs parents trouvent juste l’existence avec l’ensemble des difficultés qu’elle représente. Par conséquent si la Vie devait avoir un Dieu comme créateur, celui-ci aurait eu raison de créer la Vie et son opposé, satan, tort de s’y être opposé à ce point si méchemment. Tous l’ayant reconnu unanimement. Sauf tous ceux qui ont trop souffert. Mais ils ne font/faisaient pas la majorité)-

[54] -(en raison de la sécurité qui existe dans chacun des êtres humains)-

[55] C’est ce qui caractérise une vérité relative -(elle est liée avec d’autres paramètres à un temps et à une géographie précise, ou/et à une quantité de temps dans l’Histoire. Ce qui signifie que ces vérités relatives ne seront peut-être pas pour toujours vraies. Ainsi, par exemple, les noms de lieux peuvent changer car »« vérité en de ça des Pyrénées est erreur au-delà »«, c’est pareil en ce qui concerne le mariage. Il y a le statut de concubin ou/et de l’union libre au préalable, mais aussi le droit d’avoir plusieurs épouses -(quand on est de ceux qui disposent des moyens financiers légitimes pour se permettre cela avec les dépenses à assumer pour élever le nombre d’enfants qui visiblement a des probabilités d’être plus importants que dans un couple monogame. Mais il y a aussi le mariage monogame qui est à respecter d’autant plus qu’il est un sacrement proposé par l’Eglise, les protestants et les juifs. Chez les bouddhistes le mariage est l’état naturel d’une relation entre un homme et une femme qui s’aiment -(donc cela a à voir avec l’union libre ou/et le concubinage). Aussi nous le constatons il n’y a pas à première-vue de vérité[s] pour la question du mariage -(en dehors de ce que cela signifie en général que deux personnes de sexe complémentaires s’apprécient)- car cela dépend d’une relation à caractère privée -(chacun ici fait comme il sent / croit pouvoir). Certes cette relation est celle d’un homme et d’une femme dont la relation évolue pour accueillir des enfants, d’où la nécessité de se marier pour rassurer les enfants qu’ils ont bien été voulus / souhaités / recherchés : qu’ils ne sont pas issus de viol[s] mais d’un consentement mutuel de deux personnes amoureuses / s’aimant / complémentaires tirant son origine de l’amour qu’on éprouve mutuellement avec à la clé l’objectif de la construction d’une famille – (ce qui dans certains SPOK n’est pas obligatoire non plus). Si le mariage est un sacrement pour certains, on le voit bien le mariage est une vérité relative liée à une position à ce sujet dans la pratique d’une ou plusieurs religions, voire à une législation imposant sur ce sujet sa façon de voir -(pour faciliter la gestion au sens de l’administration des relations entre les hommes et les femmes à cause des droits des enfants étant la concrétisation / manifestation d’un rapprochement important entre cette femme et cet homme -[en la création de ces enfants]). De façon générale les vérités sont relatives à l’accession ou pas de chacun d’entre nous à plus ou moins de/la conscience, soit à plus ou moins l’état d’éveillé -(d’illuminé)- par acquis-de-conscience, soit le préalable bouddhique de la métamorphose d’un individu à la condition de bouddha -(soit d’éveillé-par-acquis-de-conscience)- n’appartenant plus aux laipis -(si ce n’est dans les souvenirs qu’on aura de cette adolescence ou laipisserie ©).

[56] Pour illustrer on le voit bien avec S. Éminences A. I. S. S. S. L. P. Charlie Chaplin dans La Ruée vers l’or quand les deux personnages dans un refuge de haute montagne partagent à manger une semelle des chaussures de Charlot.

[57] -(lieux où on peut chasser l’ours ou/et le phoque)-

[58] -(qui ne seraient pas le produit de la farine de châtaigne sacrée)-

[59] -(bien qu’on puisse la recycler d’une façon ou d’une autre)

[60] Cependant que dans le cadre de dessins animés, ou d’histoires tout cela peut être proposé de façon surréaliste d’autant plus qu’un être humain, on le sait, est un consommateur de ces matières premières ou/et seconde, troisièmes et énièmes, voire imaginaires.

[61] Reste à déterminer quels sont les poisons et quand ceux-ci le sont car nous savons que pour vacciner au sens de sérum à administrer on utilise un peu du poison dont on souhaite délivrer une personne risquant avec ce produit la mort. On découvrira que de nombreuses choses qui nous entourent peuvent être vues en tant que poisons dans certaines conditions à déterminer -(pour ce faire).

[62] Les protéines animales et non celles provenant des végétaux ou autres produits -(lait, etc.). C’est tellement vrai qu’on en obtient les réincarnations animales au lieu d’une réincarnation en être humain ou/et bouddha !

[63] Soit anciennement ce qu’on appelait un végétarien.

[64] -[que je voulais éprouver pour ma fiancée -(du vrai Amour)]-

[65] Ou impedimenta en français, le i étant la marque du pluriel en italien : par exemple : spaghetti.

[66] Cependant on peut ici croire que c’est Amour qui procure du poulet à manger comme les autres victuailles carnées d’animaux tués. Mais n’y aurait-il pas un plus véritable Amour en se les interdisant ? ça est la question à laquelle j’ai, en toute cohérence avec les religions les plus avancées, fini par répondre oui, ce qui, plusieurs années après, alors qu’empereur depuis 1995 m’a transformé / métamorphosé en bouddhahs -(s’écrit avec un h de plus, ce bouddha-là, quand il s’agit de l’empereur qui subit cette métamorphose, ce qui a été mon cas).

[67] D’autres S. A. É. _(solutions alternatives élégantes).

[68] -(acronyme de solutions alternatives élégantes)-

[69] -(acronyme d’animal pacifique et inoffensif)-

[70] -(acronyme d’animaux prédateurs)-

[71] -(H + Q = K)

[72] C’est que cela a lieu dans des temps différents. Il y a donc un Dieu qui change à mesure de la progression de l’H. A. H. , donc qui progresse avec le Temps, voire qui compose selon à qui il s’adresse, voire qui teste en attendant que celui à qui il s’adresse fasse le meilleur choix. Dieu est donc en métamorphose, voire le produit d’une métamorphose de la conscience à l’intérieur de vérités relatives liées à une Géographie et Histoire données.

[73] ou » àpremièrevues «.

[74] La Bible.

[75] Aussi c’est par ce biais que Jésus aurait eu des informations au sujet de Bouddha et ses propositions orientales d’ovo-lacto-végétarien, au point que cela l’aurait déterminé à prendre le pain -(et non de la viande de mouton ou d’agneau)- pour ersatz de Son corps et le vin comme ersatz de Son sang -(s’il avait su, à notre époque où hélas l’alcoolisme est encore trop important, peut-être aurait-il choisi un jus de fruit, voire du jus de raisin ou d’oranges sanguines à proposer en guise d’ersatz).

[76] ou boîtedeconserve[s].

[77] C’est durant la période napoléonienne, en Angleterre, qu’on trouve enfin le moyen de les ouvrir -(un des facteurs / paramètres de la victoire anglaise de Waterloo).

[78] Cependant, nous l’avons dit, qu’Il prend au cours du repas de la Cène le pain -(et non la viande d’agneau)- comme S. A. É. -(ersatz)- pour son corps bientôt sacrifié et dont il faudra se souvenir qu’Il l’offre à partager pour qu’on se repente -(en rémission)- des péchés! En choisissant le Pain -(et non la viande d’A. P. I.)- Jésus montre qu’Il a fait une mise-à-jour -(qu’Il est bien d’une époque qui considère le pain comme une SAÉ à la viande, qu’Il est capable d’une comparaison à-premièrevue impossible – celle de Son corps avec le Pain). Mais ce Pain, ne le mange-t-on pas comme si c’était de la viande ? Le temps des sandwichs viendra. Il l’anticipe. C’est le fruit sacré du travail des hommes : celui de l’Agriculture -[sédentaire]. Cela ressemble donc à une proposition ovolactovégétarienne avant-la-lettre -(avanlalettre) !

[79] akideconscience / acquideconscience -(Ici c de acqui + q de acqui = k de akideconscience).

[80] L’a-t-elle été ou ne l’a-t-elle pas été (coupée) ? En fait même si elle ne l’a pas été -(coupée), on peut dire qu’elle l’a été car ce qui compte c’est le geste de Jésus arrêtant son disciple dans l’acte de la trancher, donc pour éviter que cela dégénère en bagarre -(que la situation s’envenime). 

[81] -(à l’époque les trains réfrigérés  ou/et camions  ou/et avion ou/et bateaux réfrigérés n’existent pas encore)-

[82] Au point, cet inversement proportionnel d’être à l’origine de la chasteté -(au sens d’absence de relations physiques / sexuelles)- d’un certain nombre de membres du clergé de certaines des religions intellectuellement admissibles une fois après avoir bénéficié de cette sécurité de l’acquis-de-conscience -(akideconscience)- qui permet seulement alors de les déterminer comme telles, par conséquent d’une certaine façon de certifier / garantir / homologuer / entériner  la religion catholique chrétienne comme possible / juste / admissible / acceptable / légitime comme la religion juive, musulmane, bouddhiste, indouiste, etc.)-

[83] Je sais, j’ai dit plus haut que Jésus n’a peut-être pas eu connaissance du travail de Bouddha en Orient. Mais je crois qu’avec Jésus, il s’agit en réalité d’une personne qui a eu accès en Lui-même à la conscience -(donc qui a bénéficié – peut-être à son insu -(il ne s’en souvient plus, cela s’est peut-être passé quand il était petit)- de l’akideconscience). Aussi il s’agit d’un-éveillé-par-acquis-de-conscience (éveilléparakideconscience), soit ce qu’on appelle en Orient un/des bouddhas ce qui permet d’obtenir la vérité -(du moins les vérités relatives)- sur ce qui nous entoure : on comprend alors que les animaux sont des réincarnations -(cela se voit, ce qui n’était pas le SPOK quand on était laipis, soit avec des yeux qui ne voient pas encore très réellement : »« ils ont des yeux mais ne voient pas, des oreilles mais n’écoutent pas, etc. »«. Autorise-moi s’il te plait à rappeler que laipis est l’acronyme de -[uniquement] laïc, [strictement]- athée, plus ou moins ignorant au sens négatif de ce mot qui dans d’autres SPOK est positif, profane, plus ou moins inconscient, et plus ou moins sacrilège, au sens positif et négatif de ces six mots).

[84] -(dans l’idée d’un vieux reste de paganisme dont des peuplades pas encore entièrement civilisées seraient encore le jouet et qui, dans l’un ou l’autre des éléments qui les composent voudraient croire possible s’autoriser à être anthropophages ou/et cannibales -(soit une façon des plus lointainement préhistorique[s] de se comporter). L’objectif étant de faire croire / proposer à ceux qui se nourriront de ce Pain -[représentant le corps de Jésus Christ], qu’ils pourront Le rejoindre au Ciel où Il se trouve)-

[85] Acronyme pour histoire de l’aventure humaine.

[86] laurYen pour » lien hypertexte « ; plus court.

[87] pour parvenir enfin à nous l’éviter

[88] -(cette très grande bêtise de ceux qui cherchent à régner dans l’esprit de conquête par la force des armes et la méchanceté, voire la haine)

[89] -(dont le[s] repentir[s] serai[en]t vrai[s])-

[90] -[de manger de la viande provenant des A. P. I.].

[91] une/la #misàjourovolactovégétarienne.

[92] Il faut comprendre que Dieu est -[une notion]- en progrès en miroir de l’être humain -[qui progresse(rait)], donc en évolution selon le SPOK. Il est forcé de s’adapter à chacune des personnalités qui -[en]- a son idée -[à son sujet], voire pas du tout / aucunement / voire trop peu : allant jusqu’à Lui nier -(comme les athées des laipis)- le droit d’exister -(par exemple quand les A. P. I. sont torturés ou/et massacrés, voire quand une personne souffre)– ce qui ne se peut car Il est l’auteur contre lequel, hélas infiniment hélas sans avoir même cherché à Le connaître -(voire comprendre), satan[e] et ses sbires se sont malheureusement tragiquement injustement [et] méchemment acharnés.

[93] -(donc pas seulement des A. P. qu’on avait effectivement le droit de chasser y compris pour défendre les A. P. I. , soit les troupeaux de[s] bergers)-

[94] –(à trop grandes doses -[de viandes -(chairs animales, dont celles des A. P. I.)]- cela fait effectivement involuer / régresser vers les réincarnations précédentes de toutes celles en êtres humains, soit celles obtenues parce qu’on s’est bien comporté en tant qu’A. P. ou/et qu’A. P. I., voire APIK)-

[95] -(en gras ce A parce qu’acronyme d’A. P. I. et/ ou d’A.P.I.K. ou/et APIK)-

[96] bien évidemment au sens d’être humain : donc femmes, hommes, enfants, personnes âgées, etc.

[97] -(quand celle-ci d’humanité s’écrit avec H majuscule : Humanité)

[98] le titre du film traduit en français : Pain et Chocolat

[99] On le trouvera en cherchant bien.

[100] -(que nous célébrons à Pâques notemment avec ceux en chocolat)

[101] -(aussi je ne mange pas de viande animale des A. P. I. mais aussi des A. P.)-

[102] Si je dis » chasse « c’est parce que sa pèche est originale : cela se fait depuis la proue d’un bâteau spécial. C’est particulièrement éprouvant, physiquement parlant. 

[103] S’il devait être de ceux qui ne supportent aucun animaux et/ou produits en provenance des animaux. Nous ne pouvons d’aucune façon les exterminer d’autant que nous avons besoin de ces A. P. I. -(vaches, brebis, chèvres, etc.)- pour diversifier notre nourriture d’ovolactovégétarien[s] -(autrefois omnivore[s] mais ayant évolué / progressé en faisant une mise-à-jour en tenant compte de notre époque de la mondialisation des échanges -(depuis plusieurs siècles)- produit des progrès / avancées des époques précédentes dont celles créées par Bouddha, soit un éveillé-par-acquis-de-conscience)- mais aussi parce que les A. P. I. sont des réincarnations d’âmes en chemin vers celle d’être humain, sur Terre la finalité de la Création étant compréhensible en tous points une fois que les êtres humains ont accès à la sécurité que constitue la conscience finalement [re]trouvée en eux-mêmes -[l’akideconscience ©]-  pour devenir à leur tour des éveillésparacquideconscience ©, soit des bouddhas.

[104] -(contrat tacite que nous avons avec les animaux)

[105] ou https://www.facebook.com/laurentmarie.granier/videos/129294802588936. A regarder avec une image de, si possible, 7 cm x 3,5 cm et à cinquante à soixante-dix centimètres de l’écran. Si c’est le double : 14 cm x 7 cm augmentez du double la distance de l’écran et ainsi de suite.

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La lettre ci-dessus a été suivie de la suivante ci-dessous le 5 Juin 2021:

Bonjour à tous les deux,

 

Effectivement je viens de trouver les partitions dont je te remercie -(je n’avais pas consulté ma boîte e.mail avant l’heure de me rendre pour vous rejoindre à la chorale),

 

Bonne semaine,

 

Laurie

 

Je vais transférer celle -(de partition)- en PDF sur ma tablette.

 

Pour ce qui est de http://granier.laury.free.fr/lettres_a_des_personnalites/thierry_fontenay_31052021.html, -(soit la lettre précédente ci-dessus)- effectivement, ton idée est bonne: le texte est disponible pour qu’un éditeur s’en empare pour le publier tel quel en chair et en os sur du papier en réponse à chacune de tes phrases -(ce qui m’a pris au moins dix jours à raison d’une moyenne de dix heures par jour)- et se serait -(si tu trouves l’éditeur, voire si nous le trouvons, en le proposant en attendant à lire ainsi -(gratuitement)- avant cet honneur de l’avoir imprimé sur du papier)- sur des pages d’un petit livre où serait mentionné ton identi -(exemple de titres : » En réponse à Thierry Fontenay sur la question que pose en conscience le choix possible végétarien pour se nourrir " ou bien »  en réponse à Thierry Fontenay: cohérence avec le coeur: le choix végétarien « ou bien » Avec Thierry Fontenay, début de dialogue sur le choix d'une société plus cohérente avec la notion très chrétienne de coeur -[les chrétiens, heureusement  n’en ont pas le monopole, bien que l’existence de l’église du Sacré Coeur pourrait nous le donner, justement, à croire]- par une mise-à-jour de nos habitudes occidentales pour les générations à venir -[la notre étant impossible à changer: l’habitude de manger carné étant prise par certains d’entre nous depuis trop longtemps pour changer «], etc. -[pour d’autres titres])- ayant pour but de faire une mise-à-jour pour les occidentaux sur le problème que pose avoir plus véritablement du coeur vis à vis des animaux pacifiques et inoffensifs -(les A. P. I. - dont bien sûr nous faisons aussi partie -(et pas seulement des A. P.  - animaux prédateurs)-pour l’instant traités comme ils le sont à cause de l’insatiable voracité de certains soi-disant êtres humains, [ces A. P. I.]- pour l’instant malheureux, donc pas encore happy -(API - Ha! Ha! - Pis: A. P. I. [K])- alors que nous régalant sur bien d’autres nombreux points sur lesquelles ils gagnent tant, qu’à leur mort ils obtiennent le droit de se réincarner en bébé d’êtres humains - ce qui signifie que l’être humain a pour objectif de demeurer au moins l’un ou l’autre des A. P. I. et d’aucune façon un animal prédateur, ce qu’il obtient comme réincarnation quand il involue, soit le contraire d’évoluer, donc qu’il s’éloigne de la possibilité de progresser sur des points aussi fondamentaux que le meilleur choix de son alimentation, tant il mange trop d’A. P. I. - tu le soulignais justement en disant qu’en Occident on mange trop de viande en en mangeant tous les jours, voire jusqu’à trois fois par semaine).

 

A plus -(excuse-moi, si je réponds longuement c’est que ce n’est pas une chose qu’on peut traiter à la légère: il y a trop d’âmes en jeu et il est urgent de faire en sorte qu’elles souffrent, si possible, le moins possible dans la réincarnation suivante -(qui se prépare pour tous dès aujourd’hui). Salut).

 

Ici ce qui suit -[est plus spécialement]- pour Dominique. 

 

Si tu le souhaites comme moi, on pourrait peut-être l’une ou l’autre fois se promener ensemble car moi aussi je dois me promener régulièrement et comme tu habites non loin, cela pourrait nous permettre de faire à l’une ou l’autre des reprises où nous nous verrions pour marcher ensemble -(par exemple autour du jardin du Luxembourg - c’est en général ma promenade)- plus ample connaissance. Mais bien sûr durant ce temps tu ne pourrais plus jouer avec le jeu que tu m’as présenté et qui te régale sur ton téléphone mobile, ce qui pourrait te manquer grandement. Aussi c’est une proposition que tu as bien sûr le droit de refuser sans que je t’en veuille d’aucune façon -(d’autant que je comprends très bien que tu pourrais préférer marcher seul car l’autre, l’accompagnateur, peut devenir rapidement un problème -(car un tout autre être, provenant d’une histoire très différente, ce qui permet -entre autre - une éclairage différent et enrichissant de la réalité).

 

Salutations, (si tu es d’accord pour qu’on fasse un essai à l’heure de ton choix -(si je peux me libérer - c’est en général avant de dîner que je me promène - je dois être rentré pour 21 heures), on peut se joindre par téléphone : 01 56 81 96 50 / 09 50 93 81 25 et sur mon mobile -(que je ne consulte que très rarement mais que normalement j’ai continuellement sur moi) : 07 67 06 67 91).

 

Laurie.


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