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Le Mexique des campesinos (avec la participation de don Pablo) (env. 440 Mo soit env. 26 minutes)
réalisation de Laury Granier
images de Laury Granier; assistant Guillaume de Dinechin Victor Gayol et Laury Granier; montage de Marcantonio Lucidi et Laury Granier; réalisation sonore d'Antoine de la Vernhe et de Laury Granier. Musique tirées de Verdi (le réquiem), Schubert, César Franck, Una Ramos, Rachmaninoff. Voix d'Emmanuelle Noguès sur un commentaire de Laury Granier.
Remerciements à Christian Xatrex, Emily Harvey, Heron Raymondo Garcia, Jaime Marsial, Luis Prieto, Mirella Pucci, Olga et Jose Luis Martinez Ruiz, Omar et Lilia Fonseca, Véronique Godard, la Société du Cinéma et de l'Audiovisuel et le Ministère de l'Archéologie du Mexique. Production Ireul Raynarg (un de mes pseudonymes)
N. B. : Nous vous conseillons pour visionner cette réalisation de réduire à un format carte postale la fenêtre du Windows Média Player (voir à la fin de la page les conseils dans ce cas) pour PC ou du Windows Media Player pour Mac pour bénéficier d'une meilleure qualité de visionnage.
Il serait préférable aussi de disposer aussi au moins d'une connexion de type ADSL pour télécharger le film plus rapidement.
Informations complémentaires au sujet de cet essai de documentaire d'un débutant:
Le Mexique des Campesinos est un essai de débutant pour un documentaire amateur de Laury Granier à partir d'images tournées en Super 8. Il dure 26 minutes à 18 im. /s. et le tournage a été effectué durant l'été 1983. Deux projections auront lieu une fois monté à l'ancienne Société des Cinéastes Amateurs (rebaptisée Société du Cinéma et de l'Audiovisuel) et il sera sélectionné au festival Franco-québécois 1983. (Voir le catalogue du Festival Franco-québécois 1983).
J'ai réalisé ce transfert numérisé en vidéo mini DV à partir d'un original Super 8 tourné et projeté à 18 im./s. sur un écran en le cadrant et en tournant dans ce format vidéo cette projection pour réaliser cette copie qui a, à cause de cela, un côté vieillot: un peu comme une des premières bandes Lumière, à certains moments en raison du décalage entre ce super 8 et la vidéo. En tout cas pour le générique de début et de fin c'est devenu quasiment illisible (et c'est pourquoi j'ai recopié les informations ci-dessus). J'ai été bien content de découvrir que la copie du film en super 8 était encore bonne à projeter malgré le triste état des génériques de début et de fin.
C'est avec ce premier court métrage que je commence ma carrière de débutant dans l'audiovisuel (des images animées amateur) en raison de ma passion pour l'image sous toutes ses formes bien que depuis que je suis petit je me suis d'abord intéressé à la photo: j'ai commencé dès l'âge de six ans à faire mes premières photos à une époque, dans les années 1970 où il n'y avait pas encore de téléphones mobiles permettant de faire des photos ou des petites vidéos et de les envoyer par téléphone. Je n'ai pu utiliser une caméra super 8 que vers l'âge de douze à treize ans pour la première fois, avec l'un de mes frères aînés qui faisait aussi de la photo, et je me souviens que nous étions limité dans la durée des prises de vue en raison des sortes de recharges mises au point d'env. trois minutes de film comme durée à tourner.
C'est au Pérou, à l'occasion de l'obtention d'une bourse de voyage qui m'engageait à faire des conférences sur ce voyage en contre parti du voyage, à mon retour, que j'ai pu faire de nombreuses diapositives à cette fin et que j'ai essayé de nouveau de faire des images super 8 avec cette petite caméra d'amateur. Deux ans plus tard, avec mon camarade du lycée français de Rome, Marcantonio Lucidi (que j'avais retrouvé à Paris après mon baccalauréat et dont le père avait été le monteur d'un des films d'Orson Welles), j'ai essayé de faire un montage avec ces images super 8 ramenées du Pérou. Résultat mon tout premier montage de moins d'une minute d'images que j'avais intitulé "le visage péruvien". Il est resté un tout petit court-métrage que je me suis promis de sonoriser un jour, si possible pour l'offrir et le faire découvrir ici parmi les autres. Ce petit montage m'avait permis de me rendre compte des erreurs à ne pas faire en tournant avant de partir, deux ans après ce voyage au Pérou, en 1983, durant l'été, pour le Mexique, cet ancien camarade de classe attendant mon retour pour m'aider à monter les images que j'allais récolter de ce séjour d'étudiant étant donné que j'ai voulu inscrire cette démarche audiovisuelle personnelle autoproduite dans le cadre de mes études universitaires puisque je préparais alors une License d'histoire à l'Université de Paris I-Sorbonne et que j'avais bien aimé passer les examens obligatoires en géographie pour avoir le droit d'enseigner l'histoire. Cette matière m'avait rendu sensible à la question de l'agriculture. C'est pourquoi je suis parti au Mexique à la recherche d'un paysan pour illustrer, dans les années 1980, le fait qu'il y avait encore, malgré l'industrialisation de l'agriculture dans nos pays développés utilisant des tracteurs ou des machines agricoles spéciales, des façons encore traditionnelles très anciennes et très belles de cultiver la terre, ce qui pourrait donner une idée de ce que signifiait pour les économistes l'expression "pays sous développé " ou "en voie de développement" ce qui n'est pas le cas pour les esthètes qui ont bien le droit de préférer la beauté d'un labourage à l'ancienne (tout en déplorant peut-être le rentabilité d'un champ qui ne bénéficie pas de l'efficacité des moyens contemporains).
Le film Le Mexique des campesinos commence par une très succincte histoire du Mexique après un levé de soleil sur la pyramide aztèque de Teotihuacan (ce qui m'a valu une autorisation difficile à obtenir du ministre concerné: j'ai dû lui expliquer, dans son bureau, que je voulais créer un accéléré du soleil se levant sur place pour qu'en quelques secondes on puisse assister à cela. Mais il devait nous permettre de tourner à l'aurore donc d'organiser le tournage durant la fin de la nuit dans le site archéologique spécialement bien gardé de nuit) et c'est grâce à des peintures ou des fresques murales qu'on prend connaissance de ces moments d'histoire. Puis on s'attarde un peu sur la ville, le lieu d'arrivée des paysans qui parfois ne pourront trouver qu'un bidonville pour commencer leur vie citadine. Enfin on remonte à la source: le paysan et la terre cultivée encore comme autrefois dans nos contrées avec des bœufs ou des taureaux de labour.
A mon retour à Paris nous avons pu monter, grâce à l'aide de l'association loi 1901, SCA (l'ancienne Société des Cinéastes Amateurs devenue la Société du Cinéma et de l'Audiovisuel) le film avec une simple visionneuse super 8 et une colleuse à base de scotches perforés spéciaux et nous avons terminé le montage de cet essai de documentaire libre et original en profitant du chutier spécial super 8 que l'association avait mis à notre disposition pour dérusher et classer les prise pour les monter. C'est aussi dans la salle de projection de la SCA que nous avons organisé la première du film qui sera sélectionné au cours de l'année au festival franco-québécois super 8 de Paris organisé au Centre Culturel québécois.
Une fois le film monté muet (nous avions renoncé à prendre le son durant le tournage), la réalisation sonore a exigé plusieurs mois de travail durant ma troisième année universitaire, celle de ma licence en histoire. C'est avec les soins très précis de l'architecte Antoine de la Vernhe et de son magnéto quatre pistes - c'est un passionné de sons - que nous avons eu à recréer un à un les sons et les bruitages y compris à mixer de façon originale des musiques classiques pour créer les ambiances sonores des différentes parties en les mêlant avec ces bruitages reconstitués et le commentaire. Pour cela nous avons enregistré quelques uns de ces bruitages recréés pour l'occasion. C'est ainsi, par exemple, que les sons qui concernent les enfants dans le bidonville sont, en réalité, enregistrés par mes soins dans la cours de récréation du Collège Sévigné dans le cinquième arrondissement. Et je m'aperçois ici que j'ai oublié de remercier, au générique de cette tentative de documentaire par le débutant que j'étais alors, le proviseur de ce collège qui m'avait donné très aimablement l'autorisation pour cela. C'est donc ici que nous réparons cet oubli).
Pour la projection en super 8 il est nécessaire de disposer d'un magnéto à deux pistes genre Révox pour faire démarrer de façon synchronisée le magnéto avec le projecteur super 8: le mixage, en même temps que le film, à partir d'un endroit précis que j'avais marqué et noté en 1983-1984 sur la copie du film comme sur la bande son. Mais pour cette version "carte postale" sur Internet ou sur le web, j'ai procédé autrement car sinon j'aurais eu le bruit du projecteur tout le temps ce qui aurait risqué de faire disparaître une bonne partie des sons de la réalisation sonore particulièrement soignée et c'est pourquoi j'ai fait une copie comme un fichier son de l'ensemble du mixage enregistré sur cette bande son deux pistes (de celles qui étaient autrefois, comme de nos jours encore, lisibles par un magnéto à bandes Révox). Une fois obtenu mon fichier son, j'ai tourné en vidéo mini DV la prise de vue de la copie vidéo en enregistrant le bruit du projecteur aussi et en faisant ainsi le transfert numérisé des images d'après la version originale du Mexique des Campesinos (de super 8 sur la bande mini-DV) que j'ai transféré une autre fois pour obtenir un fichier vidéo avec ses sons et cela par l'intermédiaire d'un ordinateur qui a ainsi "capturé" la vidéo. Je n'ai plus eu qu'à supprimer l'enregistrement des bruits du projecteur et à retrouver la synchro avec le fichier son avec l'aide du logiciel Windows Movie Maker en déployant le fichier des sons précédemment transférés sur l'ordinateur et en posant ce fichier "importé" sur la time line où il s'est déployé à la place de l'enregistrement des bruits du projecteur supprimés. C'est ainsi que j'ai pu découvrir le film super 8 tourné, monté et projeté en 1983-84 entièrement numérisé et sonorisé grâce au lecteur Windows Media Player de la version de Windows XP en réduisant la fenêtre au format plus ou moins carte-postale, étant donné que j'ai limité à env. 440 Mo ce fichier images et sons pour qu'il ne soit pas trop long à télécharger pour les spectateurs, ce qui en a limité la qualité: en effet, il y a, par exemple, une grande différence avec les couleurs de la version super 8 originale qui est bien plus colorée que cette version vidéo (c'est l'un des reproches qu'on peut faire à ce transfert).
Depuis que cette copie vidéo est prête un problème nouveau s'est posé à nous au sujet des musiques que j'ai choisi d'utiliser pour accompagner ces images en les empruntant, à l'époque, à des disques disponibles et publiés autour de 1983-1984 ou avant. Tout d'abord je ne suis pas sûr d'avoir utilisé des musiques de tous ces compositeurs signalés et d'autre part je souhaiterai avec la certitude de retrouver les noms de ceux que j'ai effectivement utilisé retrouver les références des œuvres originales utilisées. En effet étant donné la durée du générique et du peu de moyens financiers dont je disposais pour réaliser cet essai de film documentaire et ce générique (qui est dans un triste état), je n'ai pas cru bon alors me permettre d'allonger le générique de fin par ces détails que j'aurais dû marquer et c'est pourquoi sont regroupés pour l'instant les noms des compositeurs utilisés sur un seul panonceau. Ce qu'il manque pour chacun d'eux ce sont ces détails concernant les noms des œuvres utilisées et les références des disques et des éditeurs dans la mesure où les inscrire pourrait permettre à des spectateurs qui les ont appréciées ici de retrouver ces œuvres. Peut-être sont elles devenues entre temps des compact disques et c'est pourquoi je lance ici un appel à ceux qui seront déjà capables de reconnaître ces œuvres, voire les références des emprunts que j'ai fait à l'époque et d'avoir la gentillesse de m'envoyer ces indications en question à l'adresse internet granier.laury@free.fr pour que je puisse au moins les publier sur cette page au fur et à mesure où ces œuvres seront reconnues comme leur provenance.
Permettez-moi d'insister: il faut bien comprendre que c'est un film de débutant autoproduit avec mes économies et que je ne pouvais pas imaginer, à ce moment là, que je pourrais ainsi le proposer, de cette façon, moins de trente ans après à la disposition de qui le voudra sur Internet en le rendant public. Heureusement aussi qu'il est accessible gratuitement. Retrouver ces références ou ces informations au sujet de ces musiques reste un de mes soucis et de mes regrets de ne pas les avoir retrouvées avant de publier cette page car mes images ont beaucoup gagné grâce à ces musiques que je me souviens avoir choisies après de nombreux essais avec d'autres en concurrence.
Cela serait chic de retrouver petit à petit ces informations concernant ces musiques d'autant plus que j'ai bien conscience qu'elles représentent des efforts considérables de la part de nombreux musiciens et chefs d'orchestres (sans parler ici déjà des efforts des compositeurs dont les noms sont heureusement inscrits dans le panonceau en question y compris en haut de cette page, en n'étant pas sûr, par exemple, d'avoir utilisé du Schubert).
Le Mexique des campesinos (avec la participation de don Pablo) (env. 440 Mo soit env. 26 minutes)
Réalisation de Laury Granier
Pour visionner les séquences proposées avec extensions .avi ou le film en vidéo (fichier .avi aussi) vous pouvez, par exemple, utiliser sur un PC le lecteur Windows Média Player : Window Media Player (Mac)
Conseils au sujet du téléchargement dans ce cas (si vous ne disposez pas d'un autre lecteur de média et que vous avez eu des difficultés pour ouvrir ces fichiers): Permettez-nous de vous rappeler la marche à suivre une fois que vous avez téléchargé un des fichiers vidéo ci-dessous, ou provenant d'ailleurs, pour le découvrir avec Windows Media Player, sur PC. Ce fichier vidéo est enregistré dans "Mes documents" dans le dossier "Downloads". Pour le lire avec le Windows Media Player il faut copier ce fichier et/ou le déplacer en le faisant passer en glissant-déposer dans le dossier "Mes vidéos" qui se trouve aussi dans le dossier "Mes documents". Aussi pour faire cela facilement, il est nécessaire de disposer de deux fenêtres ouvertes en même temps avec le dossier "Mes documents" comme titre pour les deux fenêtres, donc le même. L'une d'elle peut être ouverte directement et facilement en cliquant sur "démarrer" puis sur "Mes documents". Pour la seconde des fenêtres indispensables, ouvrir le "Poste de Travail" après avoir cliquer sur "démarrer" et double-cliquer sur le disque C: et vous voyez apparaître une fenêtre réduite qui est proposée avec les divers dossiers qui sont dans le disque C: , vous devez double-cliquer sur le dossier "Documents and Settings" puis de nouveau vous double-cliquez sur le dossier qui porte le nom que vous lui avez donné et dans lequel vous savez qu'il y a le dossier "Mes documents". Vous disposez donc alors de deux fenêtres avec "Mes documents" comme titre. Ces deux fenêtres sont indispensables pour déplacer la vidéo téléchargée du dossier "Downloads" à celui de "Mes vidéos" soit en le copiant, soit en le glissant et en l'y déposant et vous trouverez aussi dans le dossier "Downloads" l'ensemble des téléchargements effectués de séquences vidéo. Vous trouverez le contenu de celui intitulé "Mes vidéos" dans l'autre fenêtre et vous y mettez le ou les fichier(s) en provenance de la fenêtre "Downloads". En fait ce qu'il fallait savoir c'est qu'il faut disposer au moins d'une autre fenêtre ouverte semblable à celle qu'on fait apparaître très facilement en cliquant sur "Mes documents" dans laquelle vous avez au moins les deux dossiers qui nous préoccupent (le dossier "Dounloads" et le dossier "Mes vidéos") pour pouvoir faire passer le fichier qui a été téléchargé par défaut dans le dossier "Dowloads" au dossier "Mes Vidéos" car c'est ici le problème qui était à résoudre étant donné qu'une fois qu'on double-clique sur le dossier "Dowloads" et qu'il s'ouvre cela occupe alors toute la place de la fenêtre dont il provient, la précédente, celle intitulée "Mes documents" dans laquelle se trouve effectivement ce dossier "Downloads" mais aussi l'autre dont on a besoin ouvert, celui intitulé "Mes vidéos" et c'est pourquoi nous vous conseillons alors de disposer au moins de ces deux fenêtres ouvertes, les mêmes, avec pour chacune le contenu des dossiers afférés à "Mes documents", ce qui est possible en suivant nos conseils ci-dessus. Et c'est ainsi que vous aurez la première des fenêtres ouvertes sur "Downloads" et la seconde ouverte présentant le contenu du dossier "Mes vidéos". Vous pourrez aisément faire passer de l'une à l'autre des fenêtres le(s) fichier(s) vidéo téléchargé, ce qui vous permettra de trouver le fichier vidéo téléchargé dans le lecteur Windows Media Player en cliquant en haut à l'extrême gauche sous la flèche sur une mini-icône qui représente d'habitude deux notes de musique et qui se déploie pour qu'on puisse choisir, dans ce cas, "vidéo" au lieu de "musique" ou des autres propositions, puis toujours en haut à gauche, dans l'onglet "bibliothèque", à la suite de la mini-icône, choisir "toutes les vidéos" et cela a pour effet de proposer toutes les vidéos par ordre alphabétique qui sont archivées dans le dossier "Mes vidéos": l'ensemble des vidéos rangées, les unes sous les autres alphabétiquement avec une petite image choisie par défaut pour présenter chacune d'entre elles: il s'agit donc de celles que vous aviez téléchargées d'une façon ou d'une autre et dont celles qui nous occupent ici qui étaient dans "Downloads". Elles sont maintenant dans "Mes vidéos" qui est donc relié à ce petit onglet "bibliothèque" du lecteur Windows Media Player. Pourtant. une fois le fichier .avi dans le dossier "Mes vidéos" il devient un fichier qui est marqué sans sa durée: on y verra inscrit "zéro seconde" comme durée de ce fichier, mais on peut le lancer avec le lecteur Windows Média Player, mais une fois ce lecteur mis en route avec un de ces fichiers provenant du dossier "Dounloads", on ne pourra plus (comme pour les autres vidéos mises directement dans le dossier "Mes vidéos" comme par exemple par l'intermédiaire d'un caméscope), avoir la possibilité de faire avancer le curseur habituelle sous le cadre en parallèle sous l'écran sur la ligne de temps ce qui d'habitude permet de se déplacer où on veut à l'intérieur de la vidéo téléchargée. En effet, pour ce curseur, la vidéo en question ne dure plus que zéro seconde et il ne bouge plus sur la ligne de temps ou, si on clic dessus, remet au début le fichier vidéo provenant du dossier Downloads et qui est depuis son déplacement dans le dossier "Mes vidéos".
N. B. : D'autre part nous vous conseillons pour visionner cette réalisation de réduire la fenêtre du Windows Média Player pour PC ou du Windows Media Player pour Mac pour bénéficier d'une meilleure qualité de visionnage. Donc ces images à découvrir de préférence au format carte postale ou l'écran légèrement plus grand.
Il serait préférable aussi de disposer aussi au moins d'une connexion de type ADSL pour télécharger la copie vidéo de ce film plus rapidement