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Contre-Plongée

 journal du cinéma l’Odyssée, oct-nov 1999,

Points de vue sur 

La momie à mi-mots 

 Carolyn Carlson (danseuse étoile et chorégraphe étoile), 

 Jean Rouch (cinéaste), 

 Jean-Paul Rappeneau (cinéaste), 

 Bertrand Tavernier (cinéaste), 

 Jean Gili (professeur de cinéma à la Sorbonne et critique de cinéma), 

 Claude Beylie (professeur de Cinéma et critique de cinéma) 

 Patrick Brion (historien du cinéma, présentateur du cinéma de minuit sur FR3)

 

"Je remercie Laury Granier pour ce film étrange et poétique. Il est important qu’il soit vu, en particulier dans les mondes privés de clarté (underground), car il offre ce qui nous est si nécessaire aujourd’hui : la lumière et l’optimisme". (Carolyn Carlson).

 

"Avec un enthousiasme exemplaire, Laury Granier s’est lancé à l’assaut de la forteresse Cinéma. Tel l’Enchanteur Merlin menant à l’Aventure les Chevaliers de la Table Ronde il réussit à surmonter tous les sortilèges, à contourner les pièges innombrables de la production cinématographique, à convaincre l’une des plus grandes danseuses de notre temps d’entrer dans son jeu "à mi-mots " ; elle sortira de cette expérience tonifiée par ce bain de Jouvence. Laury Granier a inventé le montage en course d’obstacles : ‘l’effet de saute’". (Jean Rouch).

 

"Pasolini parlait d’un cinéma de poésie qu’il opposait au cinéma de prose. Poésie. Elle est partout dans La momie à mi-mots, et d’abord dans la bousculade des images, le crépitement du montage. Paris se transforme en un Brocéliande dont Carolyn Carlson serait la fée Viviane. Le film ne ressemble à aucun autre d’aujourd’hui, et c’est pourquoi il me plaît, il me touche". (Jean-Paul Rappeneau)

 

"C’est une œuvre extrêmement personnelle où je retrouve beaucoup des engagements, des convictions, des recherches de Laury Granier. Il y a un certain nombre de trouvailles plastiques, une manière d’explorer le rythme des images, de le casser, de le distendre. Je pense que ce film devrait toucher pas mal de spectateurs". (Bertrand Tavernier)

 

"Laury Granier a affronté avec succès les problèmes du tournage et surtout du montage, le travaillant sans cesse, quitte à couper dans la chair vive de plans séquences soudain ramenés à de simples successions de plans courts ". (Jean Gili, professeur de Cinéma à la Sorbonne, critique de cinéma).

 

"L’énorme Chimère de Laury Granier a enfin vu le jour et il convient de l’en féliciter. Cela nous ramène à l’âge d’or de ‘l’avant-garde’, dans les années 25, quand le cinéma était encore un artisanat, aux mains des poètes. La momie à mi-mots pourrait d’ailleurs porter en sous-titre, par référence à Jean Cocteau : ‘Le chant d’un poète’". (Claude Beylie, professeur de Cinéma à la Sorbonne, critique de Cinéma).

 

" Que le spectateur ne s’attende pas à voir un film commun, fondé sur des dialogues, mais une œuvre plastique, musicale et dansée. Ce film est un ovni dans la cinématographie d’aujourd’hui. Pour l’historien que je suis, il a su retrouver l’intensité des montages de certains films muets de l’époque d’Eisenstein". (Entretien avec Patrick Brion, historien du cinéma, présentateur du Cinéma de Minuit sur FR3).

 

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Révision : 09 novembre 2018