Disparaître de honte et de peur dans l’invisible en s’étant laissé un moment
apercevoir (en croisant mon regard), vers 2005, alors qu’on vole devant ma
fenêtre où il venait me voir dormir, rue du Val de Grâce : c’est ce qui
attendait « frère[1]
Dracula » qui freinant dans l’air, après le virage de l’angle de la rue Pierre
Nicole d’où il provenait, me voyant les yeux ouverts, l’admirant voler au
cinquième étage devant ma fenêtre, arrivait au train d’une sorte de squelette
sec, hyper léger, volant rapidement en direction de ma fenêtre. Pour Dieu seul
sait quelles raisons, il avait oublié de se rendre invisible en prenant ce
virage, ce qui fait que s’apercevant que je le voyais et que je ne dormais pas,
il disparut dans cet état d’esprit que je déterminai donc être celui de celui
qui a eu peur, de celui qui a honte et qui se sait coupable, me laissant
cependant très malheureux de n’avoir pas eu le temps de l’inviter à déjeuner
pour essayer l’une ou l’autre de mes nouvelles délicieuses nouvelles sauces
végétariennes pour spaghettis, cohérentes avec notre époque depuis des
millénaires agricole, mais aussi en raison des importations-exportations
d’alternatives à toutes ces viandes ou poissons qui rendent, je l’ai vérifié -
comme Léonard de Vinci déjà à son époque[2]
- bien moins fournie en alternatives que la nôtre - avec une alimentation qui
est donc la meilleure pour parvenir à une bonne santé (l’augmentation des durées
de vie l’atteste) et parvenir à penser, à créer en vérité pour le Bien et
l’Intérêt Général - mais les gens s’accrochent toujours aux préjugés d’époques
anciennes ou conservent souvent longtemps les mauvaises habitudes[3]
bien que les circonstances démographiques ou de réchauffements planétaires
exigent ces changements - car au lieu de faire, par mimétisme, comme ceux qui
sont les plus intelligents, ils préfèrent copier ou se mettre les doigts dans le
nez, comme ceux qui sont les plus bêtes et qui n’ont pas encore compris, par
exemple, que tout ce que rejette le corps n’est pas bon pour le corps humain -
pourtant il y a tant de protéines végétales que les microscopes ont pu
déterminer dans la nature – c’est pour cela que nos cousins les singes n’ont pas
chassé et sont devenus parfois aussi forts et grands que les orangs-outangs et
les gorilles ou les pandas qui se nourrissent presqu’exclusivement de variétés
de bambous – ces végétaux qui remplacent avantageusement toutes les protéines
d’origine carnées en ayant, en même temps, le mérite de nous éviter de nous
rendre complices de la souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs qui sont, à d’autres moments,
adorables et qui déjà nous sont si utiles pour ces autres raisons évoquées
(lait, œufs ou poils de laine, etc.). C’est pourquoi j’étais déçu : Dracula
soudain avait disparu alors que sa direction était bien de venir me trouver à ma
fenêtre, car il s’était tenu en lévitation volant dans l’air devant ma fenêtre -
ce qui est, à première vue, enviable, mais qui ne l’est peut-être pas de son
point de vue, pour des raisons que nous ne savons pas, car sinon il n’aurait pas
cherché ainsi à disparaître (ou à me rejoindre), ce qui signifie qu’il comptait
m’espionner de loin (derrière la fenêtre) – c’est un véritable épisode pour une nouvelle ou continuer
ce feuilleton de fictions diverses qui lui sont consacrées) et n’avait pas pu se
rendre compte, par lui-même, qu’il y a des choses parfumées et délicieuses qui
peuvent donner ces variétés de sauces alternatives – j’en ai mis quelques unes
sur le marché qui ont du succès, mais il y en a des centaines d’autres possibles
- qui peuvent accompagner toutes les variétés de pattes, de pains ou de pizzas,
de riz ou de crêpes y compris d’haricots. Je m’en voulais qu’il ait pu remarquer
que je l’avais aperçu car, ce matin là, je n’aurais pas dû ouvrir les yeux aussi
grands et
lui faire peur ainsi (car ce qu’il a vécu a dû être du même genre que ce
qu’éprouve quelqu’un en retard ou pressé qui fonce en voiture à l’occasion d’un
virage (pris dans un cas semblable) mais qui découvre qu’entre temps un mur a
été dressé devant lui, après ce virage : je ne pensais pas que mon regard avait
un tel pouvoir et le voilà freinant et disparaissant aussitôt dans l’air). C’est
en croisant mon regard que cet étrange mal être l’a pris. Mais je n’avais pas
fait exprès, j’étais seulement entrain de me réveiller, à ce moment là, ne
pouvant pas même imaginer que de tels choses avaient lieu sur cette planète (car
je n’avais jamais voulu croire possible que le mythe de Dracula pouvait
correspondre à quelque chose de vrai dans la réalité. Pour moi c’était des
histoires, comme celle de Nosfératus : des histoires pour faire peur et rien de
vrai car quand on les entend petits et qu’on sait qu’on a du poids, on sait bien
que c’est impossible de voler. Donc ce sont des histoires à moins qu’on
parvienne un jour à s’expliquer pourquoi une personne est devenue à ce point
légère. Je n’aurais jamais cru possible que ces histoires destinées à nous faire
peur enfant cachaient l’inverse : l’énorme peur de Dracula – en effet, car sinon
il se montrerait constemment – je n’aurais jamais pu croire que l’inconscience
chez quelqu’un pouvait permettre à cette personne de rétrécir à ce point et, au
lieu de grandir comme tous les bébés, devenir toujours plus infimes au point de
ne plus rien peser et de voler). Peut-être n’était-ce pas encore le jour où je
pourrais lui faire goûter l’une ou l’autre de ces délicieuses sauces où il n’y
a, plus besoin en rien, en les cuisinant, de continuer à faire le mal d’aucune
façon ou à se rendre complice de ceux qui croient pouvoir hotter la vie d’êtres
animaux pacifiques et inoffensifs que tous les véritables scientifiques n’aiment qu’étudier vivants. Elles sont
parfumées et bien plus savoureuses encore que d’avoir toujours ces autres
sauces, habituelles, qui accompagnent, insipides, les viandes ou les poissons,
car faites elles-mêmes souvent de déchets de viandes, de ceux qu’on donne, par
pitié, aux chiens et aux chats. C’est ainsi qu’il pourrait comprendre qu’il
aurait intérêt, en raison de l’époque qui a totalement changée - ne serait-ce
que pour être cohérent avec celle-ci - à faire semblant au moins d’adopter un
nouveau style de vie, plus en adéquation avec celui que l’ensemble des
paramètres concernant cette époque-ci, exigent – car sinon, nous assisterons –
peut-être seulement dans des dessins animés ou des fictions - à des personnes
qui vont en venir, très logiquement, par manger, physiquement parlant, leurs
ordinateurs ou leurs tablettes ou même, les futurs
robots, permettant pourtant de beaucoup mieux comprendre
combien l’être humain, dessiné par Léonard de Vinci, est bien autre chose que de
la chair-à-croquer, puisqu’il permet d’élaborer les plans de ces instruments qui
s’inspirent chacun de l’analyse de la complexité humaine ou de certains animaux
utiles dont l’organisation biologique est aussi merveilleuse que cela, ce qui
étaient déjà bien visible dans les pelles mécaniques, marteaux piqueurs ou grues
élaborés par ces dessins et réalisés comme instruments de travail et donnés à
ces quantités de personnes qui, sur le marché du travail, posent un problème
depuis toujours puisqu’ils ont – on le comprend – ces difficultés pour écrire et
pour compter ou comprendre la géométrie, au point d’être innombrables dans ce
cas comme toutes les personnes qui ne sont plus capables d’autre chose que de se
proposer pour faire du ménage ou de la cuisine ou comme main d’œuvre pour
cueillir des fruits et légumes, bien qu’il existe des machines mises au point
pour vendanger. Elles sont donc des personnes « manuelles » qui pourront servir
à fabriquer des machines ou des robots dont elles-mêmes pourront avoir besoin un
jour, d’autant que dans le futur, il est probable qu’il va y avoir encore la
nécessité de changer de traditions pour faire une ou plusieurs mise à jour
(selon les régions et des critères qui se préciseront) et adopter à ce moment
là, là-bas, des façons nouvelles, encore plus juste, et toujours plus cohérentes
avec l’époque qui sera et qui devrait se révéler, si mes calculs sont justes,
bien moins « méchante » que celle-ci qui est, il faut le reconnaître, et ne pas
se voiler la face, encore très excessivement sacrilège et profane, par exemple
envers tous les végétaux à bulbes envers lesquels nous avons ici aussi une
attitude totalement incohérente, profane, sacrilège, de « pécheurs » et en cela
tous de véritables vampires et en totale incohérence par rapport à l’attitude
que nous avons adopté depuis longtemps qui est celle d’offrir des fleurs en pot.
Pourquoi donc Dracula a pu voler et non les autres qui sont de véritables
criminels vis-à-vis des plantes-bulbes et qui se conduisent, par conséquent, de
façon inadmissible car incohérentes et contraires avec le Bien et l’Intérêt
Général, puisque d’un côté elles vendent des fleurs en pots ou des plantes en
pot (bonzaï y compris) pour vanter le mérite de leurs parfums durant plus
longtemps en pot, ce qui permet de comparer les plus belles femmes aux plus
belles fleurs, et de l’autre nous nous permettons les meurtres abominables de
tous les légumes bulbes à différencier des céréales (comme à ne pas confondre) –
car au lieu de manger ce que ces légumes bulbes produisent de délicieux dans
leurs feuilles nous continuons à nous conduire de façon irrespectueuse et
inadmissible envers la vie, en entretenant une ambigüité qui n’est pas à la
gloire des êtres humains (ces feuilles ou ces substances produites par ces
bulbes sont donc à analyser plus en détail, ne serait-ce que pour comprendre ici
un peu mieux l’exemplaire alimentation des singes ou des herbivores, en prenant
peut-être exemple sur ces espèces qui, bien que sans défense, ont réussi à
échapper à tous les prédateurs et à devenir aussi utiles que cela aux êtres
humains, notemment dans les fermes. Par notre façon de nous alimenter en
primitifs, nous empêchons à ces plantes de nous nourrir de leurs fruits ou des
substances que nous pourrions obtenir à travers leurs feuilles, en préservant
leur vie et en la protégeant et c’est pourquoi nous continuons – certain même
sans le vouloir - à faire le mal, alors que nous pouvions ne plus le faire[4].
Aussi Dracula peut être sûr qu’il pourra continuer à voler ne serait-ce que
parce qu’il continue à manger de simples frittes ou des chipses, ce qui
constitue des meurtres véritables (s’il devait vouloir continuer à revendiquer
le droit à cette tradition de criminels), des profanations et des sacrilèges
envers
En raison de cela mais aussi des web cam
comme des téléphones 4G, à force de ne plus se rendre complice des souffrances
infligées injustement aux animaux (et aux êtres humains, à cause de cela)
pacifiques et inoffensifs, le
comte Dracula et ceux qui l’avaient rejoint pourraient, peu à peu, se sortir de
la prison des inepties desquelles ils étaient les esclaves (qui avaient comme
d’habitude et depuis toujours pour origine les préjugés, certains clichés sur
lesquels on avait pas encore pu suffisemment penser ou les vérités appartenant à
des époques encore très mensongères dans les habitudes ou traditions, sur
certains points qui ont créé des incohérences et à cause de cela des hypocrisies
notables, dont surtout celle-là de l’alimentation, en raison de l’histoire des
peuplements de ces régions occidentales[7]
en ces époques très lointaines où nos ancêtres communs, mais aussi les peuples,
étaient encore composés de quelques chasseurs remontant à ces habitudes (pour
eux-mêmes) encore plus[8]
lointaines[9]
ces clichés ou ces traditions, non mises à jour, consistaient à croire qu’il est
bien de faire le mal, ce qui est totalement absurde et évidemment nuisible à
soi-même - chacun sachant qu’il est préférable de faire les bonnes choses :
faire le mal cela rend bête et stupide et totalement le contraire à son propre
intérêt ou à l’Intérêt Général (contro-producente)[10]
comme de toutes les preuves que nous ont donné toutes les sciences et les arts
qu’il existe bel et bien un bon sens (ou du bon sens en ce monde) et que
celui-ci est bien plus possible grâce à une alimentation végétarienne (à ne pas
confondre avec végétalienne) si on n’a pas de trop grands efforts physiques à
faire ou si on remplace la quantité de protéines animales par l’équivalent
provenant du règne végétal. Cela était le cas quand la vieille salle des
machines appartenait à tout le monde, car nos ancêtres ignoraient le mal en ces
temps-là où ils étaient végétariens, fructivores, herbivores, mais ils n’étaient
pas encore devenus boulangers, pâtissiers, faiseurs de fromages et de yaourts au
fruits y compris mangeurs de légumes et fruits cuits, voyageurs de commerce,
écrivains, architectes, ingénieurs, etc., grâce à cela, puisque pour cela il a
fallu réussir à vaincre la peur du feu et l’ineptie elle-même de tous les
dégradés et les profanes, comme de ceux qui ne savent pas qu’il existe d’autres
formes de comptabilités possibles que celles élémentaires dont déjà ils ont du
mal à se sortir[11]
mais qui sont demeurés souvent élémentaires, dans leurs apprentissages divers y
compris des calculs. En effet, j’ai pu vérifier, que le profane doit être
contraint à apprendre à calculer : il n’arrive pas à visualiser en lui des
calculs globaux. Pourtant ses calculs seront toujours de ceux où il réussira à
avoir une part du gâteau ce qui est aussi le cas pour ceux qui ne le sont plus
mais seulement pour permettre à ce profane d’avoir accès légitimement à cette
part de gâteau qu’on sait lui revenir de droit ou qu’il aurait le droit de
revendiquer comme « à lui ».
En fait, tout compte fait, peut-être un bien gentil vampire, ce Dracula, en
définitive, puisqu’il est capable de comprendre ce qui est juste et vrai, si les
explications sont scensées (censée + sensée = scensée) et logiques d’autant plus que je suis, comme je l’ai
déjà dit, aussi son souverain y compris celui de tous les grognards (les
profanes, les sacrilèges, les athées, les ignorants au mauvais sens de ce mot –
ils ont pu voir que je les comprends bien et combien on se croit, en réalité,
très intelligent, alors qu’en réalité on est totalement « perdu » ou de la
parodie d’artistes, puisqu’on est encore des égoïstes et sur bien des points un
tricheur[12]
et comme je suis l’empereur du premier des pharaons je suis bien contraint, par
la situation, d’être celui qui protège tous les corps des pharaons avant moi,
par conséquent mon père, adolph hitler, napoléon premier et les précédents
jusqu’au premier des pharaons qui sont donc, de mon point de vue, y compris je
pense du point de vue de l’Eglise, « canoniques », même s’il y en a qui furent
contre l’Eglise. Pourquoi ? Car j’ai pu sauver la planète et les diverses
religions grâce et paradoxalement au sarcophage des empereurs en les considérant
chacune du point de vue profane des empereurs comme de simples catégories
indispensables qui sont devenues de véritables richesses, tout comme chacun des
mots dans chacune des langues.
Tout cela parce que j’ai pris à l’âge de deux ans et trois mois mon mariage au
sérieux et me suis cru obligé de me marier pour fonder à mon tour une famille
mais en accord avec la cohérence de mon époque dont on m’a alors contraint à prendre en considération tous les
paramètres au point d’anticiper le futur par une remontée du temps et de tous
les paramètres étant reliés à chaque chose. J’ai donc eu loisir d’analyser bien
des choses pour ce mariage né aussi de la logique de la situation découlant de
ce sauvetage de
Mais je crains que cela n’ait donné une situation qui ne pourra se libérer ou se
débloquer qu’en raison de plusieurs mariages chrétiens, renouant en cela avec
des traditions impériales chinoises – bouddhistes – ou, en d’autres temps, avec
un rapprochement possible du monde musulman, comme finalement avec la notion de
« harem » ou de plusieurs femmes « légitimes », au pluriel, mais appartenant à
notre époque contemporaine post-«libération de la femme »: une surprise que mes
préjugés occidentaux et chrétiens m’ont, dans un premier temps fait refuser
(avoir plusieurs femmes légitimes) : je répugnai totalement à cette idée, mais
elle s’est imposée[13]
– peut-être trouverez-vous les arguments pour m’en dissuader bien que ce soit
assez conforme avec une façon artiste d’éviter une vie bourgeoise, au mauvais
sens de ce mot. Cette perspective pourrait consolider la paix entre les
différents mondes dans l’empire (le monde des êtres humains encore animaux ou
profanes, le monde des êtres humains-êtres humains) et comme c’est ce qui compte
pour moi (la paix entre les profanes et les initiés) je vais étudier
sérieusement avec les impératrices concernées cette virtualité pour le Bien
Général).
Chacun de ces mariages distincts serait célébré par l’Église (peut-être avec un
représentant de chacune des religions) et s’il y a parmi les épouses une
bouddhique, une profane, une musulmane, l’Église aura à néanmoins accepter de
faire la cérémonie, comme à accepter que j’épouse cette musulmane en futur
musulman (mais pas en mamamouchi caricatural pour autant, mais en empereur de
tous les musulmans – or, quand j’étais profane et amnésique, je ne me suis pas
toujours conduit d’une façon très respectueuses de la qualité de « musulmane »
que ces jeunes filles que j’ai un peu séduite étaient : j’étais profane et ne
comprenais plus rien à ce galimatias-là).
Cette perspective permettrait entre temps de préparer l'opinion au sujet de
plusieurs mariages chrétiens de l'empereur et déjà de nous préparer à l’un des
trois premiers mariages ou du moins au premier[14]
que je vais vivre tout de suite, maritalement, avec cette impératrice : nous
serons mariés sans pour autant avoir à partager autre chose que des messages
Internet pendant longtemps – il faut comprendre que je dois me remettre de 27
ans d’amnésie(s) à l’issue desquelles années Dieu m’a infligé un véritable
traumatisme, que j’ai compris comme nécessaire, puisqu’il permettait de sauver
la planète Terre dans les temps passés, au moins jusqu’à nos jours, mais j’avais
en échange à devoir connaître la vie de profane et à souffrir des avilissements,
des humiliations, de sacrilèges tout à fait indignes de ma condition et de ma fidélité
naturelle à mon premier anneau immaculé – j’ai néanmoins accepté, puisque cela devait
conduire à avril 2005 et à permettre au monde entier de comprendre, à ce
moment-là, ce que les empereurs suivants comprendront plus facilement, grâce au
corpus de ces textes qui résultent
des conséquence de l’empereur qui en la personne d’adolph hitler a cru pouvoir
s’offrir le luxe de déraisonner - pour minimiser ici – à ce point, à partir de
1920 (ou avant ou après) et en étant victime des apparences et des « à premières
vue », puisqu’il a cru que c’était
Ce temps devrait me donner du temps, puisqu'aucune des fiancées n'a eu encore un
anneau de fiançailles véritable[15]
provenant de ma part, d’y consacrer des études, des dessins avec chacune –
d’autre part je n’ai pas encore reçu les moyens financiers qu’on me doit – en
effet, on me doit des émoluments et les honoraires d’empereur depuis 1965, comme
ceux de haut-fonctionnaire ou de fonctionnaire hors classe (pour le moins),
d’autant que je le suis en même temps trois fois au moins à chaque fois – aussi
les recevoir, ne serait-ce qu’une seule fois, sera trois fois moins que ce qu’on
me doit[16]
pour chacune des fois d’avoir eu trois fois, au moins en virtuel, et enfin en
chair et en os, à ce que je renouvelle moi-même cette Nouvelle Donne
InterRégionale (Internationale) Mondiale du ciel, comme dans la réalité, en ayant
prévenu d’avance, deux fois en virtuel et enfin en chair et en os (puisqu’on m’y
a obligé, contre mon gré – d’autant que j’ai toujours dit au cours de ces
différentes fois en virtuel qu’une fois suffisait en 1965 ou à la limite deux
fois (avec celle de 1975), mais surtout pas trois fois – vous voyez, encore une fois, je ne tenais
pas à ce qu’on me doive autant que cela et plusieurs fois ces émoluments et
autres sommes) – aussi on me doit au moins trois fois les honoraires et
émoluments d’empereur universel, cosmique, etc. et puis tout ce qu’on me doit
pour trois fois les dommages psychiques et collatéraux y compris les séquelles.
On me doit aussi les pourcentages sur l’ensemble de la création de toutes les
entreprises que j’ai été contraint de créer dans le monde entier pour permettre
le développement économique mondial[17].
On me doit ces pourcentages pour toutes les autres choses que j’ai ainsi pu
mettre en œuvre (Cf la liste dont le Vatican a une copie et ceux concernant les
quelques unes des choses que j’ai réalisées dans la liste que mes vœux de 2013
récapitulent un peu – mais il y manquait la liste de toutes les entreprises
d’informatique et d’électronique y compris la bourse elle-même du Nasdaq des
valeurs dans ce créneau « technologique » à New York comme les autres bourses en
Russie et en Chine ou en Pologne et ailleurs que j’ai ouverte – il manquait
d’autres points). Je crois que je devrais être en mesure avec tout ce qu’on me
doit, par ailleurs, comme pourcentage sur les autres plans, en raison de toutes
mes transmissions à titre privé comme pour favoriser à titre public toute sorte
d’activités, à travers le temps, (y compris la fortune entière du Vatican, comme
bien d’autres fortunes et entreprises créées dans le monde entier dont le
Vatican a les listes), ces pourcentages que tous savent, non seulement me devoir
sur les bénéfices (sur chacune des années fiscales depuis 1975, au moins) mais
aussi sur les droits d’auteurs (car j’ai communiqué la liste des réalisateurs de
films des trente ans qui allaient venir), mais aussi sur les impôts que tous les
pays (qui ont eu la vie sauve grâce à ces miennes interventions) ont exigé de
tous les salariés et de toutes les entreprises qui ont eu, comme les pauvres, la
vie sauve, grâce à notre sacrifice
maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la
religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux
membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’,
strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens
positif et négatif de ces cinq mots)
de séparation avec Christine et en échange pour nous tous
ces différents dommages que nous avons eu à encaisser et cela depuis 1965, 1975
et à partir de 2005, sur toutes les journées de nos existences respectives. Il
va de soi que toutes ces sommes appartiennent déjà à
Donc des sommes d’argent qui devraient être mises à ma disposition (sur le plan
privé) et que je trouve bien malheureux d’avoir à devoir réclamer avec force
détails d’autant qu’on me les devait depuis longtemps (déjà à partir d’avril
1965 puisque j’ai eu tous les jours à devoir gouverner la planète de là où
j’étais et à la sauver dans les temps passés et futurs – et que tout le monde a
pu le vérifier y compris depuis avril 2005, en renouvelant l’exploit pour la
troisième fois au moins) pour réaliser ces miennes ambitions à ce sujet et
croyez-moi d’aucune façon en enfant-gâté car celui qui m’envierait ici serait
bien l’imbécile de toujours qu’il était avant d’arriver à m’envier, car si je
pouvais et si c’était possible je serai bien heureux qu’il prenne ma place : je
la lui cède volontiers d’avance de tout cœur – or dès qu’il sera à ma place, je
serai forcément ailleurs, là où il devrait être et comme il n’est
malheureusement pas l’empereur et que je suis malheureusement l’empereur
(certains peut-être finiront par penser « heureusement » - mais c’est moi qui
pense « malheureusement » car je sais ce que cela m’a coûté - ne serait-ce qu’en
raison de l’existence des écrans plats couleurs, quand dans le passé on a pensé
cela de mon père – qu’il l’était - pour la généralisation des télévisions en
noir et blanc, puis en couleurs avec magnétoscope et télécommande – ce que j’ai
rendu possible par ce sacrifice maçonnique - y compris pour les ordinateurs portables, les
fax ou d’autres solutions élégantes, mon père ayant permis de les développer et
de les financer à l’échelle mondiale en développant comme je le lui criais /
disais du
futur « la banque » et les organismes bancaires à l’échelle planétaire : en
effet, sans des structures qui financent de façon raisonnées, on ne peut rien
entreprendre avec une chance de réussite). Aussi cette personne constatera que
n’ayant pas l’ensemble de mes formations ni l’ensemble de mes centaines de
réincarnations à son actif – ce dont m’a assurer Dieu - il ne dispose pas de ma
spécificité et donc de mes compétences extraordinaires en matière de sciences et
de sciences de l’art, comme dans tous les autres domaines y compris médicaux et
qu’il ne pourra pas prendre la place des pharaons les Hermès les Trismégistes
(les Satana[na!]nas) et les … puisqu’il ne sera jamais où je me trouve en
conscience (déjà ailleurs même si présent devant la personne) et en canonique et
en … (c'est-à-dire en créateur, inventeur, innovateur et dans l’ensemble des
autres mots qui me caractérisent et dont je suis plus que docteur dans chacune
des catégories et cela à chaque fois à l’occasion de chacune des activités à
laquelle je consacre du temps (oui, hélas "j’ai lu tous les livres" y compris ceux
qui manquent), sauf qu’il faut, à chaque fois, que je prenne le temps de me
consacrer à cette spécialité et donc comme un ascenseur intérieur pour rejoindre
toutes les facultés que j’aurais à employer et qui entreront en jeu pour être
acceptables à mes yeux à un niveau qui ne me fera pas honte dans le métier qui
est alors le mien – ce qui fait qu’il est bien normal qu’on ne sache pas qui je
suis puisque je suis toujours, à chaque instant un autre totalement différent et
cela sur chacun des caractères que j’écris (ou que je frappe sur le clavier –
ici, just’avant ici, ce « r » de « clavier », par exemple) comme à chaque fois
que je parle ou que je pense ou que je cherche un mot ou que je fais le moindre
trait, réinventant jusqu’à la notion elle-même du premier trait dans chacun
d’eux, comme les mots eux-mêmes que j’emploie – mais que ceux qui veulent
prendre la place de l’empereur lèvent le doigt – Tous ! Je vous en prie je m’en
vais, si vous le voulez bien, prendre un de vos sièges – « Alors de quoi est-il
question, comment vous allez-vous y prendre à ma place ? »
C’est bizarre monsieur le Cardinal, il n’y en a plus un seul à ma place
puisqu’il n’y a pas une seule de ces personnes qui sache ce qu’est la vérité
absolue et ultime : aucun d’entre eux n’est donc capable d’être Nous, étant
donné qu’aucun n’a pris physiquement nos peines et notre parcours ni sait être à
notre place. Aucun de ces envieux ne peut donc bien longtemps nous jalouser
sérieusement étant donné que chacun sait qu’ils sont totalement incapables de
juger en vérité de tout exactement sans une seule erreur possible sur chacun des
dossiers : la preuve c’est bien nous qui, alors qu’adolph hitler était l’homme à
abattre par tous, en 1965, l’avons protégé et lui avons trouvé un protecteur en
la personne de notre père, puisqu’en débarquant en avril 2005, en virtuel, comme
en avril 1965 et avril 1975, où les même inepties circulaient sur le compte
d’adolph hitler, nous l’avons protégé avec les lois de Dieu lui-même, comme
l’handicapé et le dindon de la farce que nous avions compris qu’il avait été
fait par ceux qui avaient intérêt à lui faire porter le chapeau (il n’avait été
conseillé que par des menteurs, des tricheurs, des mauvais esprits étant
capables de comparaisons oiseuses et des personnes irrespectueuses des personnes
âgées comme des bébés ou des enfants, puisqu’elles ont cru possible les déporter
ou même les tuer, comme on tue et déporte de nos jours les animaux pour la
boucherie ou même des bulbes-légumes – inadmissible – bien que croyez-moi, je ne
mette nullement sur le même plan être-humain, ses virtualités positives, et
animaux pacifiques et inoffensifs ou bulbes-légumes – il ne faut pas confondre d’autant plus que les
derniers ne se tordent pas de souffrance « à première vue » quand on les croque
crus, ce qui rend donc pensable leur exploitation / usage). Il avait donc été rendu fou[20]
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif
de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))
et ici c’est un mot pour minimiser ce fou qu’il s’était cru permettre d’être
en tant qu’empereur totalement incohérent, en raison de son état de fou,
puisqu’il cherchait à incarner la loi en étant totalement hors-les-lois (ce qui
est inconcevable et inacceptable. Les rois n’étaient pas des assassins et
n’avaient été contraints à prononcer la peine de mort (comme les responsables
des républiques) qu’en croyant, en toute bonne foi, de leur devoir de protéger
les citoyens (comme les bergers ont à protéger les brebis des animaux voraces)
en ayant à assurer leurs droits comme à faire respecter les lois et à veiller à
la continuité de l’Etat y compris à sa transmission – mais on peut comprendre
que dans l’état de profane – le fils d’un simple douanier ayant certainement
obtenu ce métier de douanier par la compassion de ceux qui lui offrir la place, puisqu’il s’agissait de l’état du
père d’un enfant, donc par charité – qu’adolph hitler n’ait rien compris sur ce
qu’est et se doit d’être un empereur[21]
et cela d’autant plus qu’il y avait eu à subir
Vous comprendrez, monsieur le Cardinal, je dois me remettre et je crois que je
n’aurais pas de milliards de milliards et plus encore d’années faites de jours
et de secondes d’existences pour me remettre de tous ces sacrilèges envers moi
comme de toutes ces profanations que l’Ensemble, y compris Dieu,
ont cru possible nous contraindre de nous imposer à nous-mêmes pour sauver
Mais
il parait que les mariages arrangent les choses, bien que j‘ai, à la longue, et
en raison de l’Histoire, le droit d’être sceptique pour toujours à ce sujet et
que d’une certaine façon je ne crois plus au mariage, si ce n’est que pour
certaines raisons valables et indispensables du point de vue de certains enfants
(avec mes nombreuses impératrices légitimes, nous verrons bien ce que j’attends
d’éventuels héritiers ou qui voudraient devenir empereurs : c’est une fonction
qu’on ne peut que dorénavant mériter absolument, depuis que mon père l’a occupée
après celui qui est la répercussion (le réceptacle peut-être, voire l’auteur) de
l’invention de la folie au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
elle-même dans tous les temps passés :
adolphe hitler.
Ailleurs, j’ai cru, en me trompant, qu’il en était l’auteur. En fait, il est
celui qui a centralisé, cristallisé les répercussions de la folie dans tous les
temps passés et qui en est devenu son porte-parole quelques temps, avec les
effets qui n’ont pas mis que peu d’ombres un peu partout dans l’Histoire).
Mais n’ayant pas encore eu l’honneur de telles expériences[22],
que seulement en spectateur au sujet de mariages qui ne furent pas les miens –
dont je n’étais pas le marié – ceux-ci - mes mariages officiels - ne sont donc
pas pour tout de suite ni pour demain le 23[23]
mars (car il est passé la minuit de 3 minutes – je sais la note de fin de page a
été écrite à la relecture - nous étions enfin le 6 février 1973, 1983 et 2013)
d'autant que je ne dispose pas encore de revenus – mais ils vont venir - pour
pouvoir offrir déjà, dans un premier temps - ces bagues de fiançailles aux trois
premières élues – puisque nous avons pu vérifier que ces mots sons vrais en
absolu, étant donné que je les ai vraiment rompue, depuis 2005, mes fiançailles,
pour le moment, avec Michèle Finck (je relis en 2017, en septembre: il y a
depuis le mois d'avril-mai un nouveau rapprochement avec Michèle). Donc de vraies bagues de fiançailles à
celles qui sont concernées par cette histoire dont, de nouveau, Michèle, qui
peut-être voudra rendre entre temps, quand elle le jugera, à ma mère, la bague
qu’elle a mis de côté sur sa table depuis avril-mai 2005, au moment de la
rupture et qui est une bague de famille (c’est une de mes grandes tantes, fille
d’un architecte de la ville de Coni, une ville non loin de Turin, qui l’a
dessinée elle-même à l’époque y compris mesurée et fait faire conformément à ses
dessins par un bijoutier de la ville).
Mais j’ai pu visualiser en moi pour Michèle Finck une bague de fiançailles
beaucoup mieux[24]
qu’il va falloir que je dessine en choisissant les pierres précieuses de couleur
et faisant les plans pour tailler chacune d’elle à cet effet. Il faudra que je
trouve un artisan capable de la réaliser (en série), ce qui sera une autre
affaire et je comprendrais peut-être un peu mieux ma grande tante y compris sa
précision. Mais peut-être aurez-vous envie de proposer une sainte bague
appartenant à l’Église à Michèle Finck pour ces fiançailles
[25]
comme autrefois sœur Gabrielle à Saint Joseph de Cluny, quand j’étais petit, m’a
remis mon premier crucifix[26]
après quelques bons points que j’avais pris l’habitude de gagner, car j’écrivais
très joliment mes « o », au jardin d’enfant italien, et cette sœur trouvant cela
bien joli, m’avait demandé d’aller me reposer, car je faisais du zèle, et alors
que mes camarades n’en était qu’à une ligne avec difficulté, j’en avais fait
trois à cinq pages pages (j’étais dans ce jardin d’enfant italien en Grand
Inspecteur, malgré mes quatre ans et demi. Elle me proposa de me reposer dans un
lit où sous les couvertures j’y découvrais une sorte de corps anonyme. Je
n’ai pas trouvé cela à mon goût comme plaisanterie : je n’avais nulle envie de
tatouer de « o » les fesses de ce qui était peut-être une bonne sœur qui, avec
sa complice dans la classe, n’avaient pas compris que, pour moi, ce « o » avait
à voir avec mon propre anneau de fiançailles ou de mariage, avec ma fiancée légitime : effectivement,
en y repensant ici, ils étaient nombreux ces anneaux de fiançailles. J’ai
toujours trouvé ce genre de façon de faire incohérentes de la part de nonnes qui
savent pourtant que chaque garçon, comme chaque petite fille, doivent parvenir
un jour à se fiancer et à se marier: alors comment expliquez-vous qu’il puisse y
en avoir qui, sachant que les fiançailles sont une chose si sérieuse (elles sont
parfois devenues bonnes sœurs après des ruptures de fiançailles) y compris le
mariage, puissent croire pouvoir dormir ou même se reposer dans le même lit avec
un enfant qui a été choisi dans une classe parce qu’il médite ou s’enchante en
traçant des lettres et qu’il fait de son mieux, en intellectuel, y compris en
dessinateur[27],
donc j’étais entrain d’apprendre à écrire en homme de science[28]
désireux d’apprendre à encore mieux écrire et cela au mieux du mieux du mieux
possible et encore mieux à la lettre suivante – comme un bûcheron cherche encore
mieux à scier - pour être digne d’avoir eu la chance d’avoir un crayon de papier
(ou une scie) et un cahier pour apprendre à m’exercer à ce moyen non-violent qui
permet avec un peu de patience de s’exprimer en vérité et que l’on nomme
« écriture »[29]
puisqu’au moment où je faisais ces « o » je pensais aussi à d’innombrables
choses[30]
mais aussi que je faisais ces efforts pour apprendre ces lettres de l’alphabet
car j’espérais avoir à écrire à mes futures femmes en tant qu’empereur[31]
et que j’étais donc aussi dans une autre époque qui dépendait de ce que ce « o »
soit tracé le plus exactement et le plus justement possible pour le Bien et
l’Intérêt Général des plus pauvres – puisque ma mère et mon père m’ont fait
comprendre qu’ils avaient été élevés dans ce même état d’esprit dont ils nous
faisaient hériter et qu’ils avaient consenti à faire tous leurs efforts tout au
long de leurs vie que seulement pour être utiles aux autres en vérité, ce que je
trouvais naturellement, à cet âge-là, le seul état d’esprit donnant un sens et
une légitimité à l’existence (y compris au mariage) y compris à avoir envie de
construire une maison pour y accueillir ses enfants car il était aussi celui de
Saint-Martin (la paroisse romaine dont dépendait notre habitation dans ce
quartier) qui est capable de donner
parce qu’il a suffisamment pour lui un peu d’un tissu qu’il va, par charité,
croire avoir en trop à ce moment-là, pour celui qui, pour de nombreuses raisons,
est devenu une ruine ou même s’est rangé, par ignorance, au mauvais sens de ce
mot, du côté du diable, parce qu’il est devenu menteur et qu’il ne voit pas
justement le monde tel qu’il est, mais tel que son état de menteur le lui a fait
croire en ne le lui rendant plus lisible et en ne le faisant plus que parler
comme seuls les inconscients et les profanes le peuvent ou s’expriment : dans
l’erreur – mais ne s’en rendant pas compte – c’est pour cela qu’on écoute pas
les profanes normalement et qu’ils n’ont pas voix au chapitre – mais ils le
prennent mal car ils se sentent exclus ou comme des pestiférés ou des incompris
et ils sont d’une susceptibilité maladive – d’où les complexes et … - et cela
parce qu’ils ne peuvent pas tenir compte dans l’état où ils se sont mis –
dégradés qu’ils sont devenus - de ces milliards et plus encore de paramètres
dont ceux qui se sont débarrassés de leur état d’enfant-gâtés tiennent alors
compte puisqu’ils ne sont plus profanes. C’est pourquoi les profanes n’ont plus
que leur état d’égoïste et de devenus menteurs qui leur suggèrent ces erreurs,
c'est-à-dire compte tenu de cet état de tricheur et de menteur et etc. qui leur
colle à la peau ou auquel ils sont aliénés – par conséquent je n’étais plus un
profane depuis deux ans et j’avais la chance comme la malchance d’avoir à
m’instruire et à apprendre à écrire en ayant compris que cela pourrait me
permettre d’être de quelque secours pour les nécessiteux quand cela serait le
moment et que mes talents pourraient aider à juguler les inflations ou gérer
toutes les économies du monde entier, comme je le faisais avec mon père depuis
1965, qui nous tenait mes frères et ma sœur au courant de tout et cela d’autant
plus que j’allais être admis à les rejoindre pour « manger à la table des
grands » étant donné ses responsabilités à l’ambassade de France où il avait été
envoyé pour rejoindre son poste d’empereur qui allait forcément venir, puisqu’il
était contraint à cela du futur par moi-même dans le ciel l’ayant découvert à
partir de 1995 avant moi dans le sarcophage des empereurs me précédant et que
j’allais apparaître à ce sujet à Rome vers avril 1975 depuis l'année 2005 où je n’y étais
alors, (c’est logique), qu’en virtuel et que depuis avril 1965 (puisqu’en raison
de tout cela, nous avons découvert que la situation générale à l’échelle
cosmique est bloquée sur cette planète appelée Terre dans un réseau de causes à
effets et donc de conséquences qui remontent à une scission entre deux groupes
d’hominidés : l’un ayant hérité d’une vieille salle des machines par quelqu’un
ayant, à cause de cela, créé l’exclusion et l’inconscience, l’état de profane y
compris tous les problèmes aux autres (qui ne le sont plus) puisque ces premiers ont
voulu devenir des voyeurs et des espions ou des délateurs, à première vue, en se
servant de ces vieilles machines).
Ce qui a été cru possible ce jour-là par ces nonnes en exigeant de moi de me
reposer en raison de mes « i » ou d’autres lettres précédemment tracées par
pages entières, en me proposant de rejoindre une parfaite inconnue pour
m’étendre près d’elle et lui servir de bouillote, alors qu’elle avait peut-être
des microbes sur elle, est un scandale, de mon point de vue alors d’enfant, pour
l’Église entière, d’autant que j’étais dans ce jardin d’enfant romain, en Grand
Inspecteur et que pour une institution, l’Eglise, chargée de célébrer les
mariages ou même de dire des messes à l’occasion de fiançailles, je trouvais
qu’il y avait matière à incohérence et que ces bonnes sœurs à qui j’ai eu
affaire ce jour là, étaient de celles qui s’étaient certainement infiltrées pour
avoir en échange de ces vagues occupations pédagogiques, en s’occupant des
petits, des avantages, en profitant du zèle ou de preuves d’amour, cette
constante d’efforts investis dans l’écriture de ma part, qui étaient, en
réalité, peut-être même à considérer comme des péchés et des sacrilèges
vis-à-vis des futures jeunes femmes officielles ou qui seraient des fiancées de
ces petits garçons, y compris de leurs descendance, d’autant que c’est elles et non moi
qui avait fait vœu de chasteté (il s’agit là de « perversité » et c’est
proprement inadmissible pour des femmes qui supplient d’être délivrées des
tentations – j’avais la preuve, à l’âge de 4 ans, dans ce zèle à tracer ces
anneaux gris sur les pages de mon cahier, avec ce crayon, qu’il y a dans
l’Église des personnes qui ne vont pas bien. Mais peut-être s’agissait-il d’un
test sur ma personne, car quelques temps après, sœur Gabrielle, une des rares
sœurs françaises dans ce couvent italien, m’offrait ce crucifix argenté : cette
bonne sœur ou ce corps allongé n’avait rien exigé de moi et avait fait le mort.
J’ai attendu bien sagement en ayant mon dos contre son dos et en regrettant mon
cahier que je voulais couvrir de milliers d’autres « o », trouvant regrettable
et inacceptable d’avoir été interrompu car le « o » suivant aurait été des
millions de fois encore plus joliment écrit (tant j’avais hâte à retrouver ma
promise légitime) que le précédent étant donné que j’avais décidé de rafler tous
les bons points à tous ces petits camarades romains qui, effectivement, m’ont vu
les gagner les uns après les autres et avoir même droit à mes premières images
d’abord en noir et blanc et puis « en couleurs » ! Jusqu’au jour, où, dans un
couloir, à l’insu de tous, car on ne voulait plus que je fasse des jaloux, j’ai
eu le droit à ce crucifix en laiton ou en fer : une chose horrible (car il
n’était pas en or) que j’ai cependant trouvé admirable car il y avait sûrement,
dans le détail, un « o » ou un « i » ou un « t » qui avait permis de le fabriquer,
ce qu’évidement la sainte sœur Gabrielle ne pouvait pas imaginer que je voyais,
ne voyant plus, depuis le jour en question des « o » ou des « i », le monde, y
compris les gens, et les animaux qu’en homme de science exacte et à tous les
niveaux de lecture y compris évidement en tant qu’architecte : je devais en
avoir l’explication des années après, en raison d’un piano droit que j’ai
recouvert de « o » de couleur, ce qui a fini par me délivrer pour la troisième
fois du profane en moi que je ne savais pas avoir dû redevenir, pour faire, en
fin de compte, à l’occasion de cette réincarnation-ci, des milliards de fois bien mieux que cet illustre inconnu (pour
certains) du nom de Jésus Christ, mais en ce qui me concerne, non pas en fils de
Dieu du tout, mais en simple fils de mes parents et en homme de sciences
exactes, ayant en plus, prévenu d’avance (y compris de ma naissance), ce que j’allais découvrir hélas, en
raison de mon honnêteté totale, trop tard : bien après, puisque l’état de
profane m’a offert une amnésie carabinée, comme m’a présenté cette histoire avec
les bonnes sœurs de l’époque sur un jour nouveau que je ne soupçonnais pas
possible, alors, du point de vue profane où on trouve cela normal, voire on n’y
trouve aucun mal).
Mais tout cela peu finir d'un moment à l'autre interrompu comme d'habitude
par cette épée de Damoclès dont m’a rappelé l’existence Dieu et qui pèse sur
chacun de nous tous, à cause de l'une ou l'autre des apocalypses qui - j'ai
vérifié - ont toutes été déclenchées en raison du fait qu'il semble qu’il y ait
eu un véritable problème entre Dracula ou adolph hitler (?) – je ne sais – à
mon avis il s’agit de deux personnes différentes) et cette notion de Dieu qui -
j’ai vérifié aussi - est fort difficile à comprendre d’autant qu’elle est
historiquement plutôt multiple et à de multiples inconnues - quand on est
profane et cela doit être la même chose et peut-être bien pire encore – ou mieux
– pour le Grand Architecte de l’Univers. Aussi on comprend que ceux qui n’y ont
rien compris y aient renoncé et même ont voulu nier cette réalité ou même cru
possible se prendre pour ces mots sans jamais les avoir étudié à fond ni avoir
compris que si ce sont effectivement des réalités
- comme celle du Grand Architecte de
l’Univers - cela signifie au moins des milliards et à l’infini de milliards et plus encore de calculs faits exactement
sur chacune des particules comme peut-être aussi de celles qui n’existent pas et
cela dans tous les temps. Pourtant le Grand Architecte de l’Univers s’est
manifesté à plusieurs reprises durant le processus 1965 à 2013 – aujourd’hui à
mon sujet – à des moments cruciaux - en m’utilisant à cette fin et Michèle Finck
a pu vérifier que ces mots de « Grand Architecte de l’Univers » sont bien
intervenus à l’occasion de cet anneau de mariage qui la concernait en ces
moments-là. Pourtant, si nous avons une idée de ce que ces mots peuvent
signifier ensemble comme milliards de calculs y compris pour une autre espèce
que celle des êtres humains sur une autre planète, nous devons reconnaître
humblement que ces mots demeurent de véritables énigmes, chacun, bien que chacun
ayons certainement la possibilité d’imaginer, à partir de ce que vous vivons, ce
qu’ils pourraient être.
En fait, nous avons eu entre Dieu et son opposé un problème causé par une
véritable ignorance, au mauvais sens de ce mot, de l’un-l’autre et il se
pourrait qu'ils ne connaissent ni l'un ni l'autre ces très nombreux paramètres
qui leur manquaient certainement chacun au sujet de l’autre, en ces époques
lointaines, durant lesquelles il y a eu des conflits entre eux, par
intermédiaires, et durant lesquels ces notions étaient alors beaucoup plus
floues qu’elles ne le sont de nos jours. L'un, à cause de sa trop grande
ignorance, au mauvais sens de ce mot, d’un certain nombre de sciences qu’il ne
pouvait pas comprendre, d’autant qu’il disposait de la vieille salle des
machines en devenus enfant-gâté et inconscient (alors que les plans de chacune
des machines existante dans le monde diurne sont élaborés en conscience),
l’autre à l’inverse en raison du fait qu’étant Dieu, il doit avoir des
difficultés pour comprendre les gens qui sont totalement ignorants de la vérité
et qui s’autorisent des licences dans les catégories qui mènent au mensonge ou
aux préjugés. Le problème vient aussi de ce que celui qui a disposé de ces
vieilles machines n’a pu les utiliser que dans cet état de devenu inconscient
(ne disposant que de très peu d’éléments exactes sur la vérité) donc, d’une
certaine façon comme quelqu’un qui ne les méritait pas (ou en enfant-gâté) donc
qui n’a pas joué le jeu pour en disposer légitimement aux yeux de tous les
hommes de sciences véritable par conséquent en égoïste et en cherchant, à cause
de cela, à croire possible « arnaquer » les autres ou même les utiliser pour les
asservir, ce qui n’a jamais été l’esprit qui régnait entre tous, quand la
vieille salle des machines appartenait à tous et qu’elle permettait de voir
Atlantide. C’est pourquoi de croire pouvoir les utiliser pour asservir ne peut
pas être l’état d’esprit humain véritablement fraternel, puisque l’être humain
a, en raison de la situation qui s’est créée la possibilité de choisir librement
– bien que contraint par l’existence – qui est celle qu’elle est, à cause de
l’accumulation des siècles et des relations de causes à effets – par conséquent
bien plus confortable qu’auparavant. C’est par consentement intime, privé qu’on
va accepter de servir une personne ou un projet ou quoi que ce soit (c’est ainsi
qu’on devrait se marier de nos jours et que cela est signifié dans le Droit :
« un consentement mutuel » est au préalable nécessaire sans avoir été l’objet de
pressions extérieures – donc libre et en conscience – ce qui donne le droit de
ne pas se présenter le jour de son mariage, y compris devant le Pape, le cas
échéant : personne ne peut forcer qui que ce soit à se marier sauf pour protéger
la personne en question ou en légitime défense ou pour des raisons valables que
vous n’ignorez pas en raison de ce qui a été pensé et médité comme sorte
d’amendements ou nuances canoniques - voire pour protéger les enfants).
Donc pour des raisons d’intérêt personnel, privé, intime ou par « consentement
mutuel » comme pour les fiançailles et les mariages. C’est pourquoi il faut
avoir eu un consentement de la part de celui qui dort pour être ainsi durant le
sommeil l’objet de rêves ou de cauchemars artificiellement proposés de loin et
de nature à éloigner la personne de ses devoirs de futur adulte conscient y
compris responsable de la constitution d’une famille. C’est pourquoi l’esclavage
sexuel ou les formes d’esclavages passées, qui ont fini par être abolies,
étaient de véritables aberrations et donc totalement incompatibles avec la
cohérence de ces époques sur le plan religieux ou même inconcevables, sauf qu’on
peut comprendre que, comme il s’agissait de personnes n’ayant aucune forme
d’instruction, au sens de scolarité au départ, il s’agissait donc de personne à
« élever » et à amener à devenir civilisées. Donc l’esclavage avait aussi comme
dessein ou objectif de permettre d’acquérir des savoir-faire, d’employer des
personnes n’ayant rien à faire à des activités utiles : une main d’œuvre ne
sachant pas quoi faire et ayant à avoir des responsabilités familiales, donc à
apprendre à être utile pour peu que ces personnes aient à approcher toutes
celles provenant des contrées considérées comme plus civilisées. Il s’agissait
de peuples totalement dépourvus de moyens techniques et ils pouvaient
représenter en soi des menaces pour la civilisation, s’ils se comportaient comme
d’autres l’avaient fait avant eux au cours des grandes invasions ; en sauvages,
en barbares envahisseurs, au mauvais sens de ces mots, en voleurs et en
personnes capables de violences envers ces peuples civilisés, étant élevés au
contact d’œuvres d’art et d’une religion proposant d’aimer son prochain comme
soi-même, ce qui est difficile, quand il s’agit de personnes totalement
différentes de soi à ce point. On comprend qu’il valait mieux encore pour eux
qu’ils soient réduits en esclavage, car au moins ils auraient, par charité, un
abris, une activité, et de quoi manger et seraient assurés d’avoir quelque
utilité quand ils deviendraient vieux. Les acheteurs de ces esclaves
- qui étaient de la main d’œuvre (de
futurs travailleurs manuels) - avaient été contraints de faire des efforts et
des investissements financiers pour donner à ces personnes des occupations
utiles (mais cela avait de très mauvais aspects, un côté inadmissible déjà à
cette époque pour les esprits les plus clairvoyants et désireux d’honnêteté
comme d’être au service de la vérité, une époque où nous savons que c’est à
celui qui a le plus de compétences de faire les efforts pour expliquer à celui
qui est totalement dans l’ignorance et qui ne peut pas même imaginer ce que
c’est que de savoir en vérité : l’inconscient ou le profane ont bien de la
chance, mais c’est la chance de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, celui qui
est devenu le fou, l’incohérent, l’inconscient, l’irresponsable, celui qui est
capable de se profaner ou de commettre des sacrilèges ou des crimes de
lèse-majesté, sans s’en rendre compte et sans que cela lui fasse quelque chose
quand on le lui reproche, celui qui pèse comme chacun de ses congénères sur tous
les initiés et cela depuis la nuit des temps : celui qui est devant des œuvres
d’art qui sont bien plus que l'équivalent de fleuves de diamants plus purs encore que tous
les diamants les plus purs et qui ne s’en aperçoit pas, pour qui cela n’a
peut-être pas d’intérêt, qui ne les comprend pas, qui n’arrive pas à les
percevoir, à les entendre comme telles, à les voir comme telles et qui est juste
devenu une sorte d’abruti d’ennui, en tant qu’enfant-gâté, car son cerveau ne
fonctionne pas encore, n’étant pas vraiment né, puisqu’il n’a voulu se farcir la
tête que d’inepties le lui ayant fait rétrécir à ce point pour le rendre
prisonnier d’une sorte de filet invisible qui n’appartient pas à la personne, ce
qui signifie alors qu’elle est possédée par une sorte d’individu qui n’étant pas
lui-même est comme un malfaisant en lui, ce qui signifie qu’il s’agit bien d’une
aliénation et qu’il n’est donc pas la personne en elle-même, mais cette
aliénation d’elle-même ayant pris plaisir à mal faire, comme à devenir
profiteur, par exemple – d’où l’enfant-gâté mu de loin par « ses semblables ses
frères »).
Mais il y a l’ensemble des abus de maîtres qui ne méritaient pas de telles aides
et la civilisation a connu
Qui pouvait bien être ce Dieu alors qu’il y en avait eu tant auxquels toujours
la même bande faisait semblant de croire, ce qui m'a permis de protéger – Dieu
étant d’accord – en tant que fou et qu’handicapé au
SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s]
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)) celui qui - j’ai pu le
vérifier - est devenu le chef des profanes dans les années 30 – pour le moins
qu’on puisse dire – adolphe hitler – qui a pu ainsi bénéficier des lois justes
de Dieu le concernant – donc, vous devez comprendre que j’ai contraint Dieu
(handicapé par la situation générale) à protéger celui qui est considéré comme
le diable, car Dieu – qui n’est plus un profane – handicapé par la situation sur
cette planète - se doit de protéger ceux qui sont
handicapés – c’est pour cela
que les profanes étaient protégés par le Tzar ou les rois ou les prêtres, bien
que ces personnalités devaient aussi veiller à se défendre des profanes comme à
les contraindre à avoir des occupations utiles à tous[32]
et c’est pourquoi j’ai été contraint de faire/nommer mon père
empereur-en-Saint-Esprit, avec le Vatican apportant sa caution et protégeant ma
famille, en raison du sacrifice
maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la
religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux
membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’,
strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens
positif et négatif de ces cinq mots)
que Christine Lang
et moi nous apprêtions à faire (pour Michèle Finck), étant donné qu'en 1975
comme déjà en 1965, adolphe hitler n’a évidemment plus du tout l'âge d'être pris
au sérieux[33]
nullement par qui que ce soit car il est trop âgé et déjà plus du tout dans le
coup, d’autant plus qu’il se pourrait qu’il se soit trompé dès l’enfance, ou du
moins adolescent ou jeune adulte comme tout du long, mais en fait comme
quelqu’un qui, parce qu’il est profane et fou
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s]
mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)),
au
paroxysme du concevable est, avec ses semblables, à l’époque, handicapé pour
s’exercer à penser exactement convenablement et véritablement justement - donc
en vérité sur chaque dossier au cas par cas. Mais il est certain qu’il ne se
rend pas compte qu’il se trompe et qu’il parle en menteur et en usurpateur[34] :
c’est bien ici que tous se rendent compte qu’il est malade mais qu’il ne s’en
rend pas compte[35]
– c’est pour cela qu’il faut le considérer comme un fou et un handicapé,
d’autant que j’ai pu vérifier qu’on ne se rend pas compte quand on est devenu un
menteur qu’on l’est, d’autant plus si on a du succès : on croit même être de
bonne foi, alors qu’on est entrain de répéter des mensonges ou des choses qu’on
ne peut d’aucune façon dire, car il s’agit de préjugés, de calomnies ou de
mensonges ou de vérités relatives qui circulent et non de la vérité – mais la
vie est faite de toutes ces choses contradictoires et contrastées y compris des
héritages des époques lointaines qui elles mêmes ont fait l’objet d’un constant
écartèlement entre vérité et mensonge – d’autant plus des niveaux ou des
catégories de vérité, ce qui complique grandement). En 1965, il y a ceux qui
sont des jeunes entre l’âge de cinq ans
(je fais partie d’eux) et l’âge de vingt cinq et compte tenu de ce qui s’est
passé, comme de ce qui a été découverte en Allemagne, après
Les manifestations ont malheureusement souvent été orchestrées pour créer ces
désordres et donner aux forces de l’ordre des raisons d’intervenir de façon à
leur permettre de sélectionner parmi les soldats les plus capables d’obéir aux
ordres auxquels normalement, sauf dans certains cas, il vaut mieux toujours désobéir,
y compris en ayant à démissionner le cas échant (quand les ordres donnés sont
injustes), car on a montré alors, dans le cas contraire, qu’on est capable de
devenir un assassin de ses frères travailleurs, émigrés ou simplement ouvriers
ou qui appartiennent à n’importe laquelle des classes sociales ayant manifesté, ceux-ci n’ayant pas pu trouver d’autres moyens pour
parvenir à obtenir les progrès souhaités. Mais il y a des cas où il faut être
capable de défendre le gouvernement qui est normalement au service de tous, et
c’est pourquoi il y a eu des abus et les soldats qui ont cru pouvoir faire de
zèle en s’autorisant à frapper bien plus qu’en « légitime défense » ceux qu’ils
ont fait passer pour des provocateurs ou des agitateurs ou qui, de leurs point
de vue (de personnes dans le mensonge, ayant des préjugés, ou se basant sur des
calomnies) exagéraient, ayant besoin de boucs émissaires. C’est ici un problème
qui se pose sur le terrain, au cours des manifestations et cela dépend de la
bravoure des forces de l’ordre. Tous ne sont pas courageux et bien qu’armés de
boucliers ou de jets d’eau très puissants ont, peut-être, peur, d’autant qu’ils
ont choisi ce métier pour être protégé par l’État – j’ai fait renforcer leurs
vêtements pour qu’ils puissent encaisser les coups – ils sont payés pour cela -
et survivre en échange d’entrainements et d’heures consacrées à ces exercices
pour ces cas échéants. Ils ont choisi ces métiers soit par vocation, soit par
lâcheté – ce qui n’est pas incompatible - ou en croyant impossible d’exercer
d’autres métiers plus courageux ou parce que ces métiers sont accessibles à ceux
qui font de la musculation[37]
– c’est à l’occasion des manifestations ou des désordres qu’on peut déterminer
sur qui compter et ces personnes voulant augmenter ce dont elles disposent pour
vivre, sont donc capables du pire comme du meilleur. L’idéal serait d’avoir à se
passer de ces personnes, mais pour peu qu’il y ait un gouvernement de gens
honnêtes, justes et vraies, celles-ci sont capables de se montrer
indispensables, d’autant qu’elles comprennent alors qu’elles pourront se
racheter d’avoir cru possible d’obéir à ce à quoi elles devaient absolument
désobéir, donc à ces équipes précédentes qui, s’étant infiltrées dans l’Etat,
ont proposé en véritables voyous et inconscients, à un pays, durant une période
qui sera toujours la ruine du pays en question à l’échelle internationale –
puisqu’il ne s’agit alors que d’égoïstes et d’incapables ou d’enfants-gâtés qui
cherchent eux seuls à s’enrichir sur le dos des autres comme seuls les gens
ignorants, au mauvais sens de ces mots le recherchent – avec eux la prospérité
est interrompu – c’est fini - car au lieu que chacun, dans le monde entier,
puisse recevoir au moins 1000 chacun, il ne recevra que 0, 000 000 000 0001% de
cela et encore c’est ici exagéré, car ce qu’ils recherchent toujours c’est leur
profit personnel et à se servir de l’Etat pour le ruiner de l’intérieur et
transformer tout ce qui est vraiment
De tout temps, les avocats sont là pour exposer les plaintes de personnes
s’estimant lésées et si on a recourt aux services de ces personnes pour faire
les demandes que des patrons n’arrivent pas à honorer, cela est amplement
préférable à l’usage de la grève qui fait perdre à l’Ensemble, y compris aux
travailleurs eux-mêmes, des millions de dollars par jour. Ces pertes peuvent
être évitées grâce à des textes, des explications, des revendications et de
l’autre côté des explications pour faire comprendre pour quelles raisons ce sera
possible un jour de réaliser ces revendications, si c’est possible alors de
tenir de vraies promesses.
L’usage des affrontements physiques entre travailleurs manuels et patronat ou
(normalement) « initiés » cela fait aussi perdre de l’argent car il faut
entretenir des policiers spéciaux (une milice) qui pourraient être employé[e]s à
des travaux manuels ou à d’autres activités bien plus productives et rentables
pour tous que d’avoir à réprimer pour le patronat ou pour obtenir de l’ordre. De
nos jours, il s’agit de personnes qui peuvent comprendre les vraies explications
et ce qui a toujours été poursuivi comme objectif par n’importe lequel des Etats
(mais aussi des initiés) depuis que ces notions furent fondatrices comme ont
permis de créer chacune des branches administratives du service public :
permettre un bon fonctionnement à un ensemble de membres d’une même communauté
culturelle, linguistique ou territoriale ayant à entretenir des rapports divers
avec des ensembles équivalents d’Etats analogues confrontés à des problèmes
similaires, ou différents, en raison de diverses avancées, (géographies,
histoires ou cultures différentes) c’est possible aujourd’hui (avec ce que j’ai
créé du futur avant même d’y être) pour avoir à le vérifier avec tous : Internet.
Aussi il est normal de respecter l’autre autant que soi-même et de ne pas se
permettre de faire à autrui, à un autre état (Etat), ce dont on ne voudrait pas que
notre état (Etat) soit victime ou nous-mêmes et ces pourquoi le nazisme n’était
qu’affirmations mensongères.
Il est ontologique, consubstantiel, de nécessité intrinsèque, fondamental, de
respecter la langue, la culture, la différence historique de la région voisine
ou de l’autre région qui, forcément devrait disposer de ce même état d’esprit
envers nous en se considérant elle-même comme notre propre région, car
partenaire, mais avec l’ensemble des différences fondamentalement enrichissantes
qui constituent des histoires locales appartenant à la fondation de ces Etats ou
ces régions différentes qui, en réalité, l’ont chacune été, dans le même esprit
que le nôtre, mais en s’étant constituées avec des paramètres locaux propres et
différents qui sont ceux dont chacune des autres régions va devoir prendre
connaissance à travers ceux qui se sont spécialisés dans notre région au sujet
de ces composantes (étrangères) forcément différentes dans les détails et qu’il
est de notre devoir de respecter - variantes dans le droit, les coutumes, les
traditions – de même qu’il y a des différences très importantes dans les détails
entre chacun des habitants d’un même immeuble provenant d’histoires familiales
différentes et de façons de vivre chacune différente en fonction des
spécialisations ou des métiers de chacun, chacune des régions ou des Etats ou
des départements est différent – c’est cette variété qui est curieuse comme
quand, dans une librairie, on se voit proposer des livres dans chacune des
catégories[38]
- à l’heure du tourisme, d’Internet ou de Wikipedia, l’encyclopédie en plusieurs
langues, chacune des régions voisines l’une de l’autre, mais aussi des plus
distantes devrait voir se généraliser ce même état d’esprit que nous avons eu
dès nos enfances vis-à-vis de notre région ou des autres régions (« tutto il
mondo è paese » : le monde entier est un – seul - pays).
Or, quand nous étudions la notion de pays à l’Université, en histoire et
géographie, c’est beaucoup de choses très différentes[39].
Si nous reconnaissons cela à
Il en fait une question de respect de la différence (ce droit de disposer de
moyens financiers provenant par n’importe lequel des moyens) et de l’autre comme
d’une région qui a la possibilité, comme la nôtre, de collaborer sur certains
sujets, sur certains plans, en partenaires libre de consentir ou de refuser. Il
est par conséquent normal que chacune des armées de chacune des régions
reconnues constituées historiquement soit légitime parce qu’elle est chargée d’assurer la « légitime défense » de chacune des régions. Mais si
chacune des régions comprend finalement qu’il n’y a pas d’ennemi, que cette
partie de soi-même d’enfant-gâté, dans l’erreur, et que l’autre, différent, peut
devenir un partenaire complémentaire pour permettre le développement de sa
propre économie, comme de la nôtre, en acceptant des rapports de symétrique
réciprocité, alors on devrait pouvoir réduire le nombre de soldats employés à
attendre de défendre des régions qui normalement, à travers ces personnes
s’étant débarrassées de l’enfant-gâté en elles, ont compris chacune qu’elles
n’ont plus du tout à utiliser les soldats pour s’envahir l’une l’autre (ou
provoquer les réactions de la région voisine ou d’une autre[40])
pour vérifier alors que la réaction aura été celle d’un pays qui aura régressé
intellectuellement parlant, car au lieu de minimiser et de comprendre que le
pays qui provoque est contraint de le faire en raison de soldats faisant parti
de ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, capables d’obéir à un ordre auquel
il faut toujours désobéir, (celui d’aller provoquer quelqu’un à l’étranger ou
bien un étranger - un simple voisin), ceux-ci, en obéissant, se rendent
coupables d’un incident diplomatique et contraignent les armées ou les forces de
l’ordre à intervenir automatiquement, ce qui fait monter (bêtement) localement
des sentiments d’hostilité contre la région qui s’est rendue coupable des
provocations (mais ce n’est peut-être pas le chef de l’Etat de cette région qui
est responsable car c’est toujours en raison du problème de toujours : celui de
ces gens devenus des ignorants, au mauvais sens de ce mot – avec le cortège de
préjugés et de corollaires qui les rend, par exemple, des contradicteurs ou
capables de semer le désordre là où règne une atmosphère studieuse – c’est donc
simplement par esprit de contradiction, car quand c’est eux qui sont chargés de
mettre de l’ordre, ils sont capables de le faire mieux que les autres et
peut-être même plus efficacement, car ils ne sont pas embarrassés par les
milliards et plus encore de paramètres (ou de scrupules) qui contraignent les
autres à être si aimables, sauf, pour ces avant-derniers, quand la mesure est
comble. Ils sont donc capables d’accepter de faire les provocations qu’on leur a
suggérées à des personnes totalement différentes d’elles (un bébé fauve à un
hérisson) dont ils ne perçoivent plus les différences, puisqu’ils se sont abusés
par les effets de leur état de malade d’inconscience (ils ont été victimes de la
perte des paramètres qui permettent de construire durablement leur vie). Ces
provocations sont donc parfois seulement motivées par leur curiosité juvénile –
au mauvais sens de ce mot – comme, nous l’avons dit - celle de certains
adorables bébés fauves qui croient possibles jouer avec un hérisson, jusqu’au
moment où ils ont si mal aux pattes ou au nez qu’ils déguerpissent affolés en se
jurant à soi-même de ne jamais plus approcher ces petits animaux piquants,
pourtant si utiles pour l’environnement (cela arrive aussi aux chats ou aux
petites chiens avec des gros crapauds et les plus intelligents renoncent très
vite à embêter cet animal. Les autres, les plus primitifs, les moins
intelligents, les moins développés, continuent jusqu’à avoir si mal au nez
qu’eux aussi jurent, in petto, ou
instinctivement, pour toujours - ils ont la preuve que l’expérience s’avère
parfois utile – elle leur servira de leçon - de ne plus fréquenter les hérissons
ou les crapauds).
Le rôle de la diplomatie est parfois, quand ce n’est pas le contraire, celui qui
consiste à minimiser un casus belli
(car il est préférable de se faire des amis), même si celui-ci a fait de
nombreux morts car sinon cela risquerait d’être une nouvelle guerre et une perte
de temps et d’argent comme de soldats avec les risques que courent la population
civile (les animaux, les paysages défigurés par la guerre, donc des pertes très
importantes – « la guerre n’étant jamais une bonne affaire » - mieux vaut
dépenser des millions de fois plus pour avoir la paix que de dépenser beaucoup
moins en faisant des morts ou des blessés). On comprend qu’il soit préférable
d’éviter les conflits en utilisant toutes les ressources qu’offre l’instruction,
la pédagogie ou les artistes véritables (metteurs en scène confirmés
internationalement, par exemple, pour avoir la paix y compris diplomates ou
envoyés spéciaux) et même si on a
été victime, de répondre de façon si possible non violente, ce qui est le cas
depuis toujours ou presque par toutes les personnes confrontées aux menteurs, aux
tricheurs[41],
etc. (bien qu’on soit cependant en légitime défense, d’autant plus de
provocations irrespectueuses ou insolentes – mais on le sait ces personnes ne
sont pas encore en condition de comprendre : elles se sont profanées ou devenues
sacrilèges et le corolaire « et ne se rendent pas compte », voire croient bien
faire ou même faire plaisir – aussi il n’y a plus qu’à sourire ou à rire y
compris des « tentations de saint-Antoine » admirablement célébrés par Gustave
Flaubert[42])
jusqu’à obtenir gain de cause et réparations (financières) pour les divers
préjudices ou dommages y compris collatéraux et cela au risque d’attendre des
années, d’avoir à revendiquer longtemps pour faire valoir ces droits qui sont
pourtant intrinsèques et ontologiquement les mêmes que ceux que les tricheurs
ont, s’ils devaient avoir été victime et s’ils se comportent de bonne foi et en
toute cohérence car ce qui est juste, bon et bien pour un seul, en vérité, sera
bon, bien et juste pour tous (nous avons pu le vérifier avec
La rémunération obtenue en raison de la profession qu’on exerce rend libre. Ne
pas rémunérer une personne c’est l’exploiter. D’une certaine façon, le
communisme tel qu’il s’est manifesté en se montrant hostile aux rémunérations du
patronat (et en voulant l’abolir comme ne pas comprendre la différence entre
celui qui travaille de la tête – A. I.
Soljenitsyne, par exemple, ou les Eisenstein, les Malevitch[46]
- et ceux qui ne sont que travailleurs manuels ou entrain de « faire semblant »
d’être des personnes pensantes - n’ayant pas compris la différence qui existe
entre chacune des personnes, ne serait-ce que génétiquement, a voulu créer une
société d’esclaves, puisqu’il a cherché à faire disparaître ces différences
entre les compétences intrinsèquement liées à des contextes familiaux différents
entre chacune des personnes. Ces personnes qui ne sont plus profanes sont
indispensables car elles vont permettre à des personnes de chercher à faire le
mieux possible et à sortir de cette condition détestable qui est celle de
l’ignorant, au mauvais sens de ce mot : le profane, le par moment
sacrilège, l'uniquement laïc, le strictement athée.
Comme à leur permettre cette
indépendance financière salutaire pour assurer sa propre autonomie. Tous y
gagnent.
Créer une société d’esclaves ou de gens tous semblables cela ne permet aucune
innovation, aucune nouveauté, et s’il n’avait pas heureusement été prouvé que
chacun dispose d’un patrimoine génétique différent depuis, on aurait pu
s’abaisser à croire qu’il n’y avait pas de différence entre chacun. C’est hélas
ou heureusement ce qui existe entre gens menteurs ou qui recherchent en commun
la médiocrité et qui vont se croire plus compétents que des personnes qui le
sont, d’autant qu’elles ne sont plus profanes. Une société qui détruit l’esprit
de concurrence entre les individus ne permet aucune grande chose. Plus personne
ne cherche à se surpasser pour les autres ni pour les siens ni pour lui-même :
il n’y a plus de champion (il n’y a plus d’Eiffel et tant d’autres architectes
comme Gaudi, plus de créateurs, etc.) et la société risque de ne plus être
capable de trouver les solutions élégantes pour construire des ponts originaux ou des
architectures nouvelles comme de ne plus savoir choisir parmi toutes celles
proposées celle qui, pour de véritables bonnes raisons doit être mise en place
(celles-ci ayant à voir avec des paramètres qui concernent les différents
concurrents y compris leur état d’avancement dans les degrés initiatiques). Il y
a donc une façon de voir l’être humain, le rôle de la famille dans la société,
son propre rôle (de père ou de mère), la responsabilité de l’Ensemble dans
l’éducation (si on n’apprend pas, dans certains cas, à bien semer avec une main
verte on ne récoltera rien de bon), donc une société dirigée dans une toute
autre optique, puisqu’au lieu de faire des enfants-gâtés ou seulement des
enfants assistés et servis, on va faire de chacun des serviteurs, au bon sens de
ce mot. En fait, des êtres efficaces, entreprenants, capables aussi, dans
d’autres cas, d’organiser de très grandes choses pour peu qu’elles acquièrent
les connaissances et les expériences et finalement la confiance de ceux qui,
souvent, moins courageux, moins ambitieux, préfèrent avoir un bon chef ou
simplement s’abriter derrière des guides de haute-montagne[47]
ou celui qui connaît son métier dans la caravane qu’il doit mener d’Est en Ouest
comme au temps de la colonisation du Far
West.
Comme il n’est pas possible d’accepter qu’on nous tue, on ne peut donc pas se
permettre de tuer – cela serait incohérent et montrerait que nous ne sommes plus
logique, que nous tournons mal ou avons mal tourné. Un royaume ou
L’être humain sait donc intuitivement, même s’il l’a oublié, qu’il ne peut pas
« se permettre de faire à autrui des choses qu’il n’aurait pas aimé lui-même
subir à la place de l’autre dans le même rôle ». Il n’aurait donc pas aimé être
la victime ou l’esclave ou être à la place de la victime et c’est pourquoi les
droits des patrons de ceux qui avaient des esclaves étaient des droits
mensongers et faux car ils n’étaient pas le droit de « frères ». Ils étaient en
contradiction avec la notion de « fraternité ». Être le frère de quelqu’un c’est
essayer de faire en sorte qu’il devienne un exemple car soi-même on essaie
d’être un exemple pour lui ou on fait le mieux possible, comme un père ou une
mère pour un fils ou une fille. Par conséquent, avec ces droits, il s’agissait
de pseudo-droits et non de droits, mais aussi d’usurpation de droits, donc
ontologiquement « faux » y compris par essence et donc inacceptables par qui que
ce soit dans tous les temps y compris à l’origine (donc depuis toujours), quand
le premier esclave fut fait en tant que tel – donc avec l’esclavage, tel qu’il
fut pratiqué, comme avec ses différentes formes, il s’agit d’une sorte de
maladie provoquée par la situation générale sur un fond commun de personnes
encore ignorantes, au mauvais sens de ce mot, ou qui n’arrivent pas très bien à
voir clair à ce sujet, car cette mauvaise habitude a été prise depuis fort
longtemps. Il s’agissait donc d’un préjugé, d’une calomnieuse façon de voir
l’être humain, d’une certitude mensongère dont le point de départ remonte à une
erreur ou plusieurs erreurs. Pour que l’esclavage ainsi pratiqué disparaisse
enfin définitivement comme une des maladies qui doivent disparaître (mais qui
sont comme elles fondées sur des certitudes mensongères ou des préjugés) cela a
exigé d’une part
Si l’esclavage sexuel a existé cela ne révèle, à chaque fois, que de
l’inconscience des différents acteurs en question concernés qui n’ont pas voulu
réfléchir à temps aux conséquences néfastes de leurs actions sur la santé
psychique des personnes en cause comme à eux-mêmes ni à leur futur : à quand ils
seront âgés. Si moi-même je peux me considérer esclave de mon travail ou de
chacune de mes activités d’empereur, ou
de ma famille ou bien de celles de réalisateurs de film, de peintre ou esclave
de chacun de mes devoirs ou vis-à-vis de chacun des métiers ou des sciences que
je sers de mon mieux, il s’agit d’un esclavage consenti qui rend libre et je ne
cours pas le risque d’aliéner la liberté de personne ou moi-même de devenir
l’aliéné d’une personne à qui je dois régulièrement remettre l’argent de
« passes », ni même le risque d’être soumis à la volonté de cette personne qui
ne cherche pas fraternellement mon bien, ma liberté ou mon autonomie mais à
m’assujettir, au mauvais sens de ce mot, à me priver de mes droits, donc de ce
fait à me rendre, si femme, prisonnière. Il ne cherche pas réellement mon bonheur et mon
indépendance financière en me proposant des activités qui pourraient développer
mes compétences. Il ne cherche pas ma liberté au sens où ce mot permet d’avoir
aussi les droits de choisir et d’être choisi, des droit d’être aimé ou de vivre
un amour ou de construire une relation d’amour monogamique pour un destin en
commun et pour évoluer ou progresser dans la recherche de la vérité. Il ne
cherche pas à me respecter puisqu’au lieu de connaître l’Amour, je vais être
« salie » par des substances provenant de l’intimité sexuelle de personnes
différentes au lieu de choisir l’intimité d’une personne que j’aimerai et
s’étant réservée à moi. Je vais donc être profanée au lieu de connaître le
bonheur de construire avec une personne qui a besoin de moi et qui sera comme un
frère et ne vais connaître que des étrangers qui n’ont cure de me savoir
heureuse ou épanouie : des égoïstes, des profanes n’ayant pas le respect de la
femme, de la mère, de la sœur et qui n’aiment pas. Aussi j’ai été abusée par une
personne n’ayant pas d’hygiène dans la tête puisqu’il a cru pouvoir me donner à
n’importe qui en m’exposant à recevoir des cellules non pas donnée par amour
mais pour des raisons vulgaires et seulement érotiques. J’ai été l’objet de
maltraitance. On ne m’a pas respectée comme ayant le droit de construire avec
une seule personne choisie et qui m’a choisi.
Si nous sommes prisonniers ou d’une certaine façon esclaves de nos activités
d’assis, de penseurs, d’intellectuels ou de personnes exerçant des professions
libérales ou de nos savoir-faire d’amateurs ou de professionnels, c’est pour
nous permettre d’être indépendants et autonomes financièrement pour être libres
d’accepter ou de refuser, de choisir ou de ne pas choisir, de prendre parti ou
d’être sans parti, etc. donc d’une certaine façon comme le pensait Jean-Jacques
Rousseau dans le Contrat Social. Il y
a donc cette liberté qui est en réalité une forme d’esclavage au sens où la
série télévisée britannique appelée « le prisonnier » l’entend, mais il s’agira
alors d’un esclavage ou d’une liberté qui est soumis(e) à des lois injustes,
comme à un autre moment est fondé(e) sur le respect des libertés et le droit à
la différence, comme sur le droit de disposer de son corps et de sa sexualité
librement[49].
La condition d’esclave n’est donc pas celle possible pour un être humain (pour
qui que ce soit) que seulement si le contexte dans lequel cela a lieu est malade
de cette très ancienne maladie à avoir cru possible l’inconcevable
intellectuellement, mais que la situation générale bloquée avait créée :
« l’esclavagisme », comme il y a eu d’autres maladies très graves qui ont menacé
chacune des civilisations des alternatives post-abrahamiques à toutes les
inepties que sont précisément chacune
des formes d’égoïsmes qui se sont manifestées sous toutes les formes de
voracités, ce qui a mené – c’est ici le plus grave - les personnes les moins
intelligentes à l’anthropophagie, aux sacrifices humains de charlatans, à toutes
les gourmandises de chairs animales qui découlent, en fait, de toutes les formes
de mensonge comme l’esclavagisme lui-même[50]
et qui expriment partout des preuves manifestes d’individus insensibles, devenus
inconscients et surtout incohérents par rapport à tous les vrais objectifs de
chacun des Etats ayant la santé physique et psychique de chacun de ses membres
comme objectif et devoir, y compris la santé des animaux des fermes dont les
êtres humains dépendent (œufs, beurre, fromages, yaourt, laine, peau de l’animal
une fois mort, etc. – d’avoir cru pouvoir se permettre d’avoir la viande des
animaux alors qu’ils nous offrent déjà autant – d’autant plus de tous les
animaux sauvages que certains croient pouvoir continuer à chasser - sont des
preuves supplémentaires de la cécité de certains êtres humains dans certaines
régions – cela a conduit quelques uns de nos ancêtres jusqu’à se perdre pour
toujours dans des chasses qui les ont menées au pôle Nord, ce qui n’a pas
beaucoup permis leur développement intellectuel (avant l’arrivée de l’école dans
ces régions-là) – c’est depuis peu que ces peuples proposent aussi de
l’artisanat - ce qu’en revanche l’agriculture a permis partout – il s’agit de
ces peuples anciens de primitifs qui se sont perdus comme quelques germains dans
ce Nord, car ils n’ont pas su comprendre ni lire la nature – c’est pour cela
qu’ils ont fini par errer à jamais et se perdre à ce point, dans ces froids
polaires comme se sont perdus – dans leur tête - tous ceux qui n’ont plus voulu
vivre autrement que de chasses ou de viandes - et qui en voulant ressembler à
ces animaux carnivores (au lieu des plus intelligents, les autres) et à première
vue les plus forts – les lions, les chiens et d’une certaine façon les chats –
ont en fait voulu ressembler aux animaux qui sont donc connu pour leurs lâchetés
et leurs peurs et qui, par héritage génétique, croient avoir le droit de
s’attaquer à plus faibles qu’eux, physiquement, ce qui n’est pas pensable entre
les êtres humains civilisés qui ont compris[51]
qu’handicapés dès l’enfance, comme durant toute leur vie, par d’innombrables
problèmes et contraintes à surmonter, ils ont à protéger les plus faibles et les
handicapés (y compris ce qui n’arrivent pas à penser ou qui sont pour le moment
profanes) et grâce aux sciences à résoudre les problèmes des handicapés (les
menteurs et les méchants sont des handicapés puisque leur cerveau est tellement
devenu pourri qu’ils sont comme certains profanes ou sacrilèges ou ignorants, au
mauvais sens de ces termes, à protéger contre eux-mêmes et c’est pourquoi tous
les autres les préviennent toujours. Les accidentés ou les personnes malades
sont momentanément handicapés et c’est pourquoi des
solutions élégantes à ces divers types
d’handicapes sont mises en œuvre comme d’une autre manière le téléphone a permis
de communiquer avec
des personnes handicapées comme tous les êtres humains par
les distances permettant de créer cette sorte de béquille ou de solution
élégante pour résoudre ce problème à ce sujet, comme l’ascenseur[52]
nous évite d’avoir à souffrir de porter à monter,
handicapés que nous sommes à
ces moments là, ou l’évier a permis de se sortir de l’handicape d’avoir à aller
à la rivière pour laver la vaisselle (d’autres prétendront que cela n’en était
pas un): les êtres humains ont pu « progresser » grâce à tous les véritables
chercheurs que sont toutes les personnes qui dessinent en vérité (font les plans
de ces mécanismes) ou qui pensent en vérité, c'est-à-dire qui appartiennent à un
monde qu’on ne peut atteindre qu’en s’étant extirpé du monde du mensonge par
d’innombrables efforts dans tous les domaines y compris physiques.
Monsieur le Cardinal, vous y verrez, j’espère, un peu plus clair d’autant plus de ce que j’y ai découvert ce que
chacune des personnes est matériellement, c'est-à-dire biologiquement parlant,
et donc je comprends qu’on la considère sur le plan médical ou en sciences
naturelles comme des milliards et plus encore de
cellules vivantes chacune différente (et qui seront à différencier), chacune
jouant un rôle bien précis dans l’organisation de l’ensemble du corps, sans
parler de chacune des milliards de milliards et plus encore de cellules qui
circulent dans le sang (aussi nous nous sommes « habitués » à voir de l’autre
une seule chose alors qu’il est au moins tant que cela et de plus, chacun, une
énigme – ce qui explique que l’être humain soit normalement, pour tous les
initiés, une chose à l’infini de l’infini précieuse et d’une complexité infinie
comme inouïe – on comprend ici l’intérêt pour la psychanalyse et son rôle de
plus en plus important[54]
et beaucoup mieux qu’autrefois les raisons de l’interdiction de tuer que nous
ferions mieux d’étendre au monde animal sans défense – les animaux pacifiques et
inoffensifs des fermes
qui protégées sont normalement défendues par le chien du renard ou du loup y
compris des lions, ce qui lui fait gagner des points puisqu’il collabore aussi
pour mieux garder les brebis et les moutons ou d’autres troupeaux et les
défendre en étant le complice des bergers, des êtres humains courageux à
l’occasion des attaques lâches des animaux couards dans ces alpages. Il vaut
mieux respecter physiquement tout individu être humain ayant des possibilités
d’évoluer d’autant plus s’il se prive de la vieille salle des machines (car
sinon c’est l’inverse qui l’attend, une « involution » vers le satyre et le
centaure et donc vers l’état de menteur qui n’est donc pas un état très
intéressant pour lui-même, comme résultat, puisqu’il s’infléchira vers l’état
d’animal (donc vers des réincarnations dans ces animaux soumis aux instincts et
limités en conscience) qui ont perdu une à une toutes leurs facultés de celles
qui permettent d'appartenir aux êtres humains utiles à tous (véritables créateurs,
calculateurs, dessinateurs, etc.) mais pour les voir remplacer par celles qui
recherchent leur propre perte, à être mis à l’écart de la société humaine et
classés comme dangereux, malfaisants et /ou nocifs alors qu’ils avaient, nous
l’avons vu, toutes les capacités pour le contraire).
Il y a ceux qui comprennent et ceux qui ne comprennent pas, d'un côté les
laïques, les profanes, les sacrilèges, les athées et les ignorants, au mauvais
sens de ces mots (et j’ai vérifié qu’ils sont effectivement des prisonniers des
mécanismes « involutionnistes » les menant vers ces diverses formes d’animalités
diamétralement opposées à l’ évolution vers l’être humain plus initié ou du
moins délivré de la condition profane) et de l'autre côté les gens devenus
initiés ou nés d’initiés qui se sont préparés religieusement à servir la vérité
et ce que la situation permet canoniquement de faire ou de ne pas faire, parfois
en raison de leurs ancêtres qui initiés à ce que la situation exigeait le leur
ont transmis pour leur permettre de poursuivre ces évolutions distinctes en
êtres humains devenus conscients, comme ayant, bien sûr, toutes les autres
qualités qu'ils passent d’habitude sous silence, en raison de leur trop grande
modestie, tandis que les autres continuent à ne faire que du surplace et même à
régresser en ces animaux lâches et peureux que sont tous ceux qui espionnent
grâce à la vieille salle des machines qui les maintient chacun dans l’état d'ignorants, au mauvais sens de ce mot et surtout les esclaves de leur
sensualité. En effet, en ayant été faits prisonniers ceux-ci n'ont pu faire
que le contraire d'une évolution: une involution et se sont révélés chacun
contraires à l'Intérêt et au Bien Général fondamental de chacun d’entre eux, en
contraignant les autres, les initiés (ceux qui sont devenus de véritables êtres
humains) à contraindre, à gérer, à calculer, etc. Il se peut que ce soit en
devenus en quelque sorte des « esclaves » puisqu’en espionnant, ils cherchent
peut-être à maîtriser des connaissances que les autres détiennent pour essayer
le leur plaire, en se rendant utiles, puisqu’ils cherchent quelque chose à faire
de leur journée (alors pourquoi pas espionner puisqu’on se croit et se sait à
jamais « nuls » comme incapables de devenir l’un de ces êtres humains
véritablement le produit de contextes familiaux ou le mot « d’évolution » est
une réalité et non de ceux qui, en renonçant aux efforts sont du côté
de « l’involution » et décadents. Cela n’est évidemment pas la bonne solution
puisque cela ne permettra pas à des cerveaux devenus menteurs de penser
justement que seulement comme des perroquets pour jouer les initiés, alors qu’on
fait parti des profanes, des sacrilèges (en espionnant) et des autres catégories
corolaires devenues malades d’une situation générale qu’il serait urgent de
débloquer[55]
pour ces profanes, pour ceux qui sont devenus des menteurs, des tricheurs, des
usurpateurs, à cause de cet état de prisonniers ou « d’esclaves » de toutes les
formes d’inepties recherchées car l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, l’a
entretenu. Pourtant c’est possible car les diverses civilisations des
alternatives ont créé le « voyeurisme légal » ou « l’espionnage légal » grâce à
toutes les web cam ou caméras de
surveillance reliées à Internet. Aussi celui qui s’exposera nu chez lui ou même
entrain d’avoir des relations amoureuses n’est plus considéré seulement comme
relatif à de « l’exhibitionnisme » ou une personne cherchant à satisfaire des
voyeurs ou une personne de « mauvaise vie », mais est libre de le faire pour
toutes autres raisons que toutes les catégories d’espions ne connaissent pas).
Ces personnes prisonnières des mécanismes involutionnistes que l’état de voyeur
(au mauvais sens de ce mot) procure en espionnant une personne cherchaient
peut-être à les avoir comme interlocuteurs ou peut-être comme commanditaires.
Avec Internet et les web cam ou avec
les réseaux sociaux c’est facilité et c’est moins nocif car il s’agit de
personnes qui ont choisi de dévoiler leur vie et de se donner en spectacle comme
à l’occasion d’une émission de télé-réalité, au cours de laquelle les
spectateurs n’avaient pas la possibilité d’intervenir. Avec Internet, il y a
enfin la possibilité d’interagir et de créer des dialogues, donc de se faire des
amitiés ou des relations en se présentant[56],
non plus à l’état de fantômes inexistants espionnants sans identité définie
(anonymes) donc de celles avec lesquelles construire de véritables dialogues,
correspondances, voire amitiés, mais de celles qui se savent entrain de
transgresser un interdit ou d’être devenues voyeurs ou espions, donc en
situation de « péché » ou de lèse-majesté des autres. C’est sur ce point qu’il
est urgent de changer les comportements puisque c’est cela qui va transformer
ces personnes en l’ombre d’elles-mêmes et c’est pourquoi les
web cam généralisées dans les
appartements ou les bureaux de toutes ces personnes initiées, appartenant au
monde de la vérité, pourraient éviter à tous ces devenus voyeurs, au mauvais
sens de ce terme, un très grand nombre de dégâts qui les attendent sinon. Il est
certain que pour réussir à rendre la situation capable de satisfaire leur
curiosité malsaine, y compris en installant des
web cam
waterproof au-dessus des douches ou
ailleurs, y compris s’il le faut au fond de la cuvette des WC, avec vision
nocturne, pour qu’ils puissent avoir le « bonheur » de se faire chier dessus –
permettez-moi cette seule / unique vulgarité[57]
- puisqu’ils sont devenus des reluqueurs à
cause de la maladie dont ils souffrent, il faudra qu’ils apprennent à poser et
installer eux-mêmes ces web-cam
partout et qu’ils acceptent de réaliser de nouvelles cuvettes à poser, qui, par
la même occasion, éviteront d’utiliser le papier hygiénique – puisqu’on finira
par pouvoir se laver le derrière et le devant (retransmis comme
la grande bouffe sur Internet) car
cette cuvette fera tout en un, (y compris bidet) - ce qui serait appréciable et
indispensable comme alternative à la situation actuelle (en raison des tonnes de
papier (hygiénique) que cela constitue à chaque instant comme pollution mondiale). Nous
sommes persuadés qu’à plus ou moins long terme le regard malade de ces personnes
devrait finir par changer, y compris leur comportement, d’autant que dans le
monde des initiés cela n’a jamais posé problème que la nudité[58],
y compris toutes les défécations comme tant d’autres choses, à première vue,
sexys ou même érotiques (on les classe ou range dans ces catégories et on sait à
quoi s’en tenir). Peut-être que le faune ou le satyre y compris le centaure
ainsi satisfait (puisqu’il aura pu zyeuter en étant à de multiples endroits de
la cuvette ou de la douche relié par web
cam à ce qu’il croyait interdit d’admirer – autour du pot et dans le pot –
vingt cinq petites web cam 3D –
j’exagère à dessein - peuvent être disposées comme autant de petites lampes LED
dans chaque cuvette des WC au moins pour ces enfants-gâtés du voyeurisme – et
cela devrait peut-être ainsi finir par passer que cette maladie ! - se dira
qu’il est temps de cesser de se comporter en enfant-gâté et finira par
s’intéresser tout autant vraiment aux autres catégories, en les considérant
enfin peut-être plus « interdites » (de façon cliché) que celles-là devenues à
ce point commune (par conséquent sans rareté, ayant perdu son caractère
précieux, intime, ou même cette idée de la pudeur que la situation générale
avait su pourtant engendrer comme un droit inaliénable – et c’est pourquoi il
doit le demeurer pour tout ceux qui ne se sentiront pas capables d’aller vers
tant d’obscénité, à première vue, mais qui, devenue à ce point commune devrait
passer inaperçue aux esprits toujours désireux de s’intéresser à ce qui est plus
rare en raison de la loi habituelle sur la quantité et l’offre, l’ineptie étant
devenue une denrée dont la quantité est si importante (qu’elle ne vaut toujours
plus rien d’autant plus de cette offre) qu’elle n’a plus l’intérêt qu’elle
pouvait avoir dans les familles qui s’en était délivrée) car beaucoup moins
communément accessibles que celles qui ont ruiné leur cerveau pour en être les
prisonniers, puisqu’elles leur était défendues, au point, à cause de cela, et
par esprit de contradiction des plus primitifs de les rendre pourris et
mensongers y compris profanes et sacrilèges puisqu’espionnant en personnes
devenues inconscientes, au point de perdre la cohérence ou le sens de la
chronologie et de rejoindre l’énorme quantité de gens totalement « perdus »
(en général ceux qui le sont ont accès à des financements escroqués, usurpés).
Donc cela permettrait à ces personnes, comme à ceux qui sont des initiés,
d’espionner ou de devenir « voyeurs », en conscience, et non plus en seulement
inconscients (mais c’est déjà le cas avec la possibilité de s’abonner à
Play boy ou aux revues du même genre,
mais cela serait gratuit car c’est en surfant sur le
web qu’on pourrait choisir l’un des
points de vue d’une des web cam dans
la cuvette des water, autour de la douche ou de la baignoire ou placées dans les chambres
des particuliers, ceux-ci sachant que des yeux anonymes peuvent être là autour
d’eux ou ne pas être, donc naturellement chez eux, en public ou en privé sans
plus faire la différence, les « voyeurs » sachant qu’ils ont le droit, seraient
de ce fait peut-être soignés. Cela pourrait avoir des bons effets sur la
génération suivante ou celle d’après qui pourrait, de ce fait, moins perdre le
sens de la logique, indispensable dans l’existence, car pour l’instant d'un côté
on a conscience et on comprend tout et cela est particulièrement handicapant car
on fait parti des gens rares (et probablement parfois incompris à cause de cela) et de l'autre, on
s'est abandonné à l'inconscience, avec toutes les conséquences gravissimes (ici
pour résumer ce qui est infiniment plus complexe dans les détails, au cas par
cas) ce qui est handicapant aussi d’autant qu’on est alors parti pour connaître
plus ou moins les différents degrés de la folie (folie douce à plus importante)
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce
mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))
.
Mais revenons à toutes ces réjouissances de mariages qui, comme vous le
découvrez ici, pourraient être repoussées sans nous presser, d'autant que je ne
vous cache pas, qu'en réalité, je n'ai, en fait, peut-être plus envie de me marier (c’est mon côté Misanthrope
dont vous pouvez être certain qu’il a de sérieuses raisons d’être, un socle
bien réel en raison de tout ce que j’ai découvert de profondément abjecte dont
j’ai dû accepter trois fois au moins d’être la victime de ma naissance à 1965,
de 1965 une nouvelle fois à 1975 et enfin de 1975 à nos jours (trois fois
chacune des fois et cela tous les jours) pour sauver
Je suis contraint par ce que le canonique exige en pareil cas, c'est à dire
d'une façon exacte et logique, juste et sensée de mettre en scène ce qui peut
être acceptable d’envisager dans ce cas de figure de
Mais nos mariages multiples ne se peuvent qu'en ayant l'autorisation officielle de les
réaliser sur le plan religieux et cela, il va de soi, pour l'Empire, d’autant
que nous avons pu vérifier, plusieurs fois, l’absolue nécessité des religions
officielles pour permettre de devenir "initiés". Donc toutes ces
religions sont nécessaires, y compris pour les enfants de chacun des pays[61]
car la situation doit être absolument débloquée[62].
Les autres sacrifices du même genre (que ceux qui sont durs pour soi-même),
comme celui que nous avons été contraint de faire maçonnique
(bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion
musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres
des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’,
strictement ‘athées’, ‘ignorants’
au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) avec
Christine
Lang, ne sont pas non plus compris par les profanes qui continuent à avoir
l’état d’esprit de vautours et/ou profiteurs ingrats – même si ces sacrifices
fonctionnent.
Ils sont pourtant de ceux que seuls les initiés ont toujours pratiqués, mais ils
sont inhumains du point de vue profane (y compris peuvent paraître à première-vu masochistes,
ce qu'ils ne sont pas). Cela a conduit à
une logique industrielle qui est devenue inacceptable et génératrice
d’enfants-gâtés, ce qui est contraire au Bien et à l’Intérêt Général. Par
conséquent, il serait souhaitable de cesser ce genre de sacrifice qui , nous
l’avons vu, sont pourtant les seuls à marcher, puisqu’il s’agit de sacrifices
véritablement généreux dans l’Intérêt et pour le Bien Général, alors que tous
les autres n’avaient comme fins que des intérêts égoïstes et c’est pourquoi ce
furent tous des sacrifices de charlatans qui n’ont, en réalité, jamais bien marché dans aucune des
époques passées (et futures) et s’ils marchaient, c’était qu’il y avait une
chance sur quelques unes que ce qui était dit en menteur, tricheur, usurpateur, charlatan
marche comme projet ayant engendré le sacrifice en question qui était pratiqué
par ces ignorants, au mauvais sens de ce mot.
Il faut donc mettre un terme au sacrifice maçonnique que Christine et moi avons fait car il
a déclenché à l’échelle impériale (la mienne, cosmique universelle) un
logarithme tel, dans le registre du sacré, qui est véritablement aussi
important, depuis avril 2005 (1965 et 1975) que la totalité de la planète vue
comme une fusée décollant toute entière dans la seule catégorie de
l’hyper-ultra-super sacré, mais à cette échelle pharaonique (puisque ce
sacrifice a été vérifié par les empereurs me précédant comme ayant marché, comme
d’avance par l’Ensemble qui en était au courant depuis avril 1965 et avril 1975).
Nous devons donc la prospérité mondiale, malgré tous les éléments encore
contraires et toutes les tentatives de sabotages (avec les augmentations du prix
du pétrole des années 1970 ou 2000-2010 ralentissant l’ensemble des économies
mondiale) à ce sacrifice et ceux du même genre pratiqués par la population de
façon plus discrète : la civilisation de la technologie, l’ère technologique et
informatique comme numérique entière a été dû à un sacrifice (technologique) qui
a même permis d’avertir à l’avance que le résultat de ce sacrifice serait
positif - sauf ma personne n’en sachant rien qui a dû subir les effets d’une
amnésie pour rendre possible l’opération (canoniquement, conformément aux lois
déclenchées par ceux qui ont voulu se rendre prisonniers de la vieille salle des
machines pour espionner et devenir ainsi totalement incapables de rien
comprendre dans ces mathématiques cosmiques comprises des seuls grands initiés).
Mais l’avantage (ou l’inconvénient) de ce sacrifice va nous permettre de nous
procurer autant d’impératrices (légitimement) que la situation l'exigera et cela
le plus légalement possible - par conséquent chacune envisagée reconnue aussi
par l'Eglise officiellement (qui a fini par bien me connaître, en sachant que je
ne transgresse en rien mes droits, y compris ceux d’empereurs liés à la vieille
conception profane, sacrilège, par conséquent ce non canonique de l’empereur –
tout devrait donc enfin rentrer dans l’ordre pour le mieux – du point de vue du
conflit qui en avait découlé entre profane et religieux).
Donc au moins sept impératrices et non trois seulement ou quatre comme
perspective pour commencer et à constituer ce harem des temps nouveaux (où
chacune des impératrices aura bien sûr tous les droits d’avoir un deuxième mari
officiel y compris une famille et si elles le souhaitent des amants puisqu’elles
devraient accepter de ne rien avoir à cacher comme moi-même – grâce aux
web cam , mais en raison de
l’existence de la pudeur, en ayant le droit de faire part de ce qui est intime,
privé à l’Ensemble, ou bien de s’y refuser – y compris moi-même – c’est suivant
comment on sent : si on sera bon acteur ou trop fatigué par des journées
exténuantes qui ne donneront strictement aucun plaisir à ceux qui veulent
zyeuter ou jouer les voyeurs, en profanes ou pour d’autres raisons – ce qui
devrait permettre de réaliser un site Internet avec des annonceurs qui seront
bien content de pouvoir verser leur contribution financière aux maisons
impériales qui s’occuperont, à l’occasion, de partager cette somme avec
l’impératrice concernée pour Dieu sait quelle œuvre de charité ou quels
investissements à faire, ce qui revient au même, puisqu’il faut être de ceux qui
les font à bon escient, pour le Bien et l’Intérêt Général (impératifs
humanitaires obligent).
Et ces sept impératrices comme dans l'histoire du petit tailleur – « sept d'un
coup » - mais comme nous voulons débloquer la situation, nous n'hésiterions pas
à huit, voire neuf, voire 11 ou treize impératrices (on est en 2013 et ce
chiffre vous le savez, Monsieur le Cardinal vous savez pourquoi, porte malheur),
aussi peut-être faut-il penser à quinze impératrices, voire plus encore (je
relis en septembre 2017 en vérifiant que ce que j'ai écris ici est de la théorie
- en réalité à cette heure-ci, il y a que je me suis réconcilié avec Michèle
Finck, que nous avons renoué après lui avoir pardonné d'avoir voulu être
l'unique impératrice en ayant rendu impossible en 1977 plusieurs épouses. A' ce
stade beaucoup des nombreuses impératrices paraissent inutiles - car Michèle
Finck est à elle seule de nombreuses impératrices - bien qu'en théorie possibles
aussi je laisse ces inscriptions en prévenant de leur danger pour la monogamie
qui a le droit d'exister ce qu'en définitive Michèle Finck a défendu) de
mariées officiellement avec l’empereur et parmi elles pourquoi pas une belle et
jeune novice[63]
avec fiançailles officielles et etc. (ici, j'interromps – même à la relecture
cela s’est passé, Cardinal – une fois encore – cela venait de l’ordinateur
espion : j'ai entendu un "t'es con"[64].
Bien sûr, c’est impossible, il s’agit d’une fiction ou de science-fiction : une
telle chose est « improbable » et ce qui es incroyable c’est que le son de voix
était celui de Michèle Finck et c'est donc vous dire que je ne me trompais pas
d'un iota dans cette histoire, dès
1965, et seulement à l’âge de deux ans et demi, quand tout cela a commencé, et
que, malgré moi, je devins à ce point un « initié » ayant à intervenir en tant
qu’empereur, avant même d’y être, du futur, car c’est bien elle qui a, (car elle
a), à l’époque, deux ans et demi de plus que moi – et forcément déjà, comme
certaines grandes sœurs élevés dans certains contextes, des préjugés y compris
sur Dieu (des vérités relatives en partie fausses) ou du moins elle confondrait
certainement comme beaucoup d’autres personnes les mots : celui d’"Eglise" et
de "Dieu" (car elle est ignorante, à cet âge-là des très nombreuses catégories
liées à chacun de ces mots, comme aussi le nombre de textes et peut-être aussi
de l’existence du « droit canonique » qui a fondé tous les droits y compris
laïques) au point de ne pas croire possible qu’un petit frère (ce qu’elle a
peut-être cru que j’étais même si j’appartenais à une autre famille,
génétiquement et spirituellement différente que la sienne) empereur de deux ans et demi
plus jeune qu’elle puisse être marié / promis à plusieurs impératrices (elle a l’âge de cinq ans en
1965) dont une plus jeune sur laquelle, en grand frère, il a à veiller d’autant
qu’elle est prisonnière de la situation que lui offre sa maman et son papa à
Strasbourg, qui sont mariés, mais ne sont pas empereurs-bouddha, (que je sache), donc
n’ont pas les droits profanes que j’ai (en ne l’étant plus dès cet âge là) en
raison du premier empereur qui était certainement à plusieurs femmes, sans même
être marié – elle n’a pas réussi à réfléchir sur cette notion de « canonique » –
de ce qui est autorisé à l’empereur – et elle s’est fait des idées à partir de
ce qu’elle a vu ou qu’on lui a dit petite fille localement dans ce contexte ou
qu’elle a entendu « à première vue » à l’Eglise (sans penser qu’il peut y avoir
des cas particuliers ou l’Eglise déroge quand le dossier est bien ficelé
canoniquement parlant). Aussi il n’est pas certain qu’elle sache
exactement ce qu’est ou pourrait être Dieu (pour moi Dieu c’est Jésus Christ
mais aussi le Bouddha, mais aussi la partie intelligente de Mahomet et
l’ensemble des très grands artistes universaux qui y ont réfléchi ou qui ont
célébré / découvert cette notion) - car je l'ai entendu hier aussi ce "t'es con" à ce moment là - qui est
bien normal comme mot, à mon sujet, d’autant plus que je suis un descendant d'un
arrière grand-père architecte de la ville de Coni[65]
dans le Piémont en Italie – il faut savoir ce qu’est un « con » du point de vue
des sciences naturelles y compris connaître l’étymologie concernant ce mot qui
est peut être entré dans les composants pour créer ce nom de ville dans ce coin
du Piémont – il y a un dialecte localement qui est d’une région frontalière avec
Attention cela a été fait contre mon gré (cet espionnage) et je n’ai été en rien
prévenu d’avance. Je n’avais pas mis une
web cam à mes frais qui l’autorise en me donnant des droits à disposer des
revenus (virtuel) de mon image générée en tant qu’émission de télé-réalité me
présentant entrain d’écrire ! C’est moi le chef absolu sur la planète entière et
je n’ai jamais donné mon accord écrit à ce sujet, signé de ma main, ni que ces
espionnages soient tournés envers moi ni envers qui que ce soit – d’ailleurs ce
ne sont nullement des méthodes que j’approuve ou que je peux seulement d’une
fraction de seconde tolérer de qui que ce soit, en raison même de notre époque,
comme de la vérification de ce décalage qui donne au moins une bonne quarantaine
d’années (à une trentaine seulement) pour nous permettre de vérifier qu’une
personne cherche vraiment à persister dans l’erreur, le mensonge, et tout ce qui
est contraire à son bien, comme à l’Intérêt Général, d’autant qu’il a pu avoir
des preuves que les mots induisent des vérités et des actes pour ceux qui ont
des traditions en communs – de nombreuses personnes de 1968 n’ont compris qu’en
2008 que la plupart de ce à quoi elles avaient cru jeunes était faux et n’ont pas cessé,
à partir de ce moment là de le reconnaître honnêtement publiquement partout :
c’est ainsi que tous les révolutionnaires communistes ou d’autres révolutions
d’assassins l’ont toujours fait, car en devenant des parents et des grands
parents, ils comprennent qu’ils n’avaient pas le droit au meurtre et que le
capitalisme et les hommes et les femmes mariés en vérité, ou les souverains,
prévoyaient leurs besoins (en ayant l’extrême politesse de ne pas leur dire
qu’ils étaient des ignorants, au mauvais sens de ce mot ou de leur faire peser
les immenses efforts faits pour être de ceux conscients de tout ce qu’il fallait
faire) – mais c’est trop tard, jeunes, ils ont cru pouvoir se permettre d’être
aussi minables et calomnier ou mentir au sujet des personnes ayant les pieds sur
terre et qui disaient la vérité. C’est trop tard : ils ont ce sang sur les mains
et ils voient toutes les représentations concernant les êtres humains qui les
célèbrent chacun comme ayant la possibilité de devenir une œuvre d’art. Comment
y parviendront-ils avec tant de fausses pensées en eux, tant d’attitudes et
d’actions mensongères à leur actif: ils ne comprennent alors, s’ils sont un tout
petit peu honnêtes avec eux-mêmes, qu’ils ne méritaient rien et qu’ils n’ont
plus le droit de vivre dans un monde où il n’y avait que des preuves de
non-violence et de possibilités d’arriver, par la pensée, à se déterminer au
mieux et le plus justement possible.
Mais j’ai l’impression que ces personnes croyaient travailler pour moi en
espionnant : attention, je ne fonctionne pas comme cela : je n’ai pas la
mentalité d’un délateur ou d’un espion (d’un maître-chanteur) ou de ceux-là qui
fonctionnent encore comme il y a des milliers d’années, prisonniers de la
vieille salle des machines qu’ils ont utilisés en « voyeurs » (ou « à première
vue » et « à première entendu » - je sais trop ce qu’un à première vue cache) et
tout ce qui découle de ce genre de mentalité. Je suis empereur de mondes qui ont
la recherche de la vérité pour objectif et cela en conscience (avec toutes les
nuances et les plans ou les niveaux que cela signifie) durant les heures où on
ne sommeille pas, le sommeil étant consacré au repos et d’aucune façon pour
l’utiliser à faire des choses contre l’intérêt de ces objectifs pour lesquels il
vaille la peine de vivre d’autant qu’on ne savait rien de l’existence d’une
vieille salle des machines et que tous les Etats du monde entier tirent leur
légitimité sur la vérité, le droit, et d’autres notions philosophiquement
établies depuis longtemps qui ne laissent pas de place à la tricherie ou à la
mauvaise foi. A première vue, je suis une personne instruite qui fonctionne en
utilisant les instruments[66],
en toute cohérence avec son époque, et je sais qu’il y a l’au-delà des
apparences, comme les milliards de milliards et plus encore de paramètres dont
l’être humain instruit est composé, avant de se permettre de le juger – donc
présumé innocent – donc cela peut concerner n’importe qui dans la vieille salle
des machines (ayant été abusé) et ne comprenant pas qu’elle agit en infraction
avec tout ce qui découle logiquement de tous les paramètres qui composent le
monde diurne qui n’existe qu’en raison des créations des forces de l’esprit
ayant appris aux êtres humains à sculpter la matière et à lui donner des formes.
Si c’est le cas ce n’est pas intelligent de persister dans l’erreur en cet état
d’infraction pharaonique comme d’avoir cru pouvoir s’autoriser à espionner
l’empereur (bouddha) lui-même comme n’importe qui d’autres (pour mon compte, en plus
(puisque la vieille salle des machines est mienne de droit, c’est
indescriptiblement inacceptable comme inconcevable : sans ma permission !)
puisque je l’ai découvert par déduction en 2005 – on m’avait toujours caché
cela, ce qui signifie qu’on a osé m’espionner ou espionner par le passé des gens
qui n’étaient pas au courant de l’existence d’une telle vieille salle des
machines. Donc qu’on a osé tricher avec le mot de « fraternité » (qui signifie
aussi « confiance ») et en raison de ce qu’on savait ou dont on était au
courant, de cette façon, concernant par exemple les sentiments des enfants ou
des jeunes : agir ainsi, avec préméditation, en approchant ces personnes ou en
leur offrant de réaliser leurs souhaits (qu’on a espionné dans leur cerveau)
pour pouvoir devenir les amis (faux) de cette personne ou gagner l’amitié de ces
personnes, peut-être pour le plaisir d’intriguer, etc. Cela est absolument
inadmissible et totalement indigne : c’est fausser la donne et c’est plus
répugnant que répugnant. Aussi cela signifierait que les batailles ont eu lieu
en trichant et que les plans du Débarquement était connus, ce qui explique les
bunkers[67] !
Ce n’est pas la façon des êtres humains véritables de concevoir les
affrontements[68]
ou les combats ou la liberté que de piper le jeu pour arnaquer des personnes qui
savent ce qu’est la liberté, le devoir, la justice, le vrai, et tout ce que le
travail fait en vérité peut offrir de bon aux êtres humains. Un empire fliqué
n’est pas un empire, c’est un goulag
ou une caserne avec des pseudos supérieurs (des usurpateurs et des imposteurs)
et ceux qui espèrent monter en grade – ce qui signifie alors le contraire : ils
sont toujours moins qu’avant – ces gens n’ont donc jamais eu aucun intérêt et
cela dans n’importe laquelle des familles ou des entreprises ou ailleurs (ce
sont des gens à vomir qui sont capables d’assister à la pendaison d’un homme de
peau noire à une époque où circulaient à leur égard des calomnies, des
mensonges, des vérités relatives, etc. en se faisant photographier devant en
souriant (il y a photo à ce sujet). Sous prétexte que ces personnes se savaient
« blanches » elles croyaient pouvoir se réjouir de la pendaison de ce qu’elles
ne croyaient qu’un mot « esclave » (sans en connaître toute la vérité et toutes
les virtualités) : abjecte ! Il est bien normal que ces personnes aient eu
ensuite des réincarnations en proportion de la saleté de leur âme. Je ne crois
pas qu’on puisse continuer à pouvoir se regarder une seule fraction de seconde
dans un miroir en sachant que cette façon de faire a pu se produire dans le
passé sur cette planète et que c’est à cause de cela qu’il y a eu espionnages et
contrespionnages divers et tant de pertes de temps par l’Ensemble et cela
d’autant plus que la plupart des innovations des derniers siècles découlent des
dessins du végétarien Léonard de Vinci qui les a laissé non pas pour que cela
engendre des guerres, mais, en toute confiance, pour que les hommes qui
méritaient d’en hériter assurent la paix et la prospérité dans le monde entier,
avec ce qui en découlerait (ce qui a fini par se passer parce que j’ai compris
en 2005).
Ces personnes qui espionnent ainsi n’ont donc aucunement le droit de le faire et devraient chacune se mettre aux arrêts de rigueur comme se dénoncer publiquement à toutes les polices ou toutes les gendarmeries (en pratiquant une autocritique impitoyable envers elles-mêmes) pour avoir seulement cru possible que l’empereur cosmique universel et … que je suis, qui est un homme de sciences exactes, et qui l’a prouvé de mille et une façons plusieurs fois à partir de 1965, de 1975 et de 2005, en prévenant d’avance, pourrait s’abaisser ou s’avilir à admettre des façons de faire aussi malhonnêtes qui signifient que ses grognards (ou son personnel) croient possible de s’ingérer dans la vie sentimentale ou professionnelle des enfants ou de chacune des personnes ayant fait l’objet d’un quelconque intérêt par l’une de ces personnes prisonnières de mondes souterrains et composés d’inconscients, on ne sait comment, ni par qui recrutées. Si j’étais elles, en sachant qu’elles me doivent chacune leurs vie à trois reprises au moins depuis 1965 sur autant de temps, comme tout le bien qu’elles savent chacune que j’ai fait malgré ce que j’ai reçu en retour, je commencerais à écrire pour rechercher exactement ce qui s’est passé dans mon existence qui m’a fait devenir ce lâche et cet individu malfaisant, contre mon intérêt, l’intérêt des miens et celui de l’Ensemble, car il est évident que je n’étais pas nuisible au départ (aucun enfant ne l’est) et que pour le devenir, j’ai dû avoir quelques mauvaises fréquentations de mal élevés qui sont à l’origine du fait que j’ai, comme mes prédécesseurs, cru pouvoir jeter ce genre de discrédit sur la personne de l’empereur ou sur ces empereurs s’étant avilis à croire pouvoir se permettre de fonctionner de cette façon, en trichant et donc inamicalement et non fraternellement vis-à-vis de personnes qui, à cause de ces façons de faire, ont dû réellement faire de véritables sacrifices tout au long de leurs existences qui n’auraient pas dû être et qui étaient injustes vis-à-vis de leurs droits. Il y a donc une chose absolument certaine c’est que tous ceux qui ont osé espionner les autres de cette façon, au cours des siècles, se sont comportés en « anti-fraternels » envers des êtres qui eux savaient ce que ces mots signifiaient en vérité, y compris le mot « d’ami », de « fiancé » ou « d’époux », de « marié » et tous les autres ! Il n’y a qu’un seul sentiment possible : l’indignation et le corollaire et à jamais (y compris la colère)! On ne peut qu’éprouver du mépris pour autant de bassesse. On ne peut qu’être révolté en songeant à tous les morts ou à tous ceux qui furent ainsi observés et espionnés de loin, sans en savoir jamais rien. C’est bien pire que cela : soudain on ne voit plus que l’ensemble des cours d’eau, des lacs et des mers comme tous les éléments qui composent le monde entier que comme matières écœurées, outragées, l'objet de sacrilèges par tant de comportements de gens prisonniers de l’ineptie. Avoir cru possible cacher l’existence de ces instruments à d’autres personnes et se faire passer pour « frères » ou « amis » après tous les écrits de ces philosophes, après toutes ces lois, ces Constitutions, ces livres, ce qui découle des œuvres intelligentes, ces œuvres de théâtre, d’Opéra, ces films au cinéma et ne pas comprendre que ce qui découle de tout cela (de tout ce qui est digne d’intérêt ou crédible avec du « bon sens », en tenant compte des devoirs qu’on a de transmission aux enfants) n’a rien à voir avec de tels comportements qui ne peuvent avoir court que chez seuls les ignorants, au sens le plus abject de ce mot, c'est-à-dire celui qui est capable d’éprouver de la jalousie au point d’avoir à payer des espions pour garder sa femme, ce qui s’explique néanmoins fort bien quand on comprend que ceux qui espionnent sont de cette catégorie des « reluqueurs » - passez-moi, je vous prie, l’expression - ou des « voyeurs » qui en raison de cela ne pourront jamais connaître « amour » ni avec un petit « a » et encore moins avec un grand, puisqu’ils se sont mis ainsi dans les conditions les plus misérables, les plus abjectes, les plus profanes, les plus sordides, les plus indignes de l’être humain, les plus à vomir dans ces cuvettes de WC qui munis de web cam pourront satisfaire ces malades de l’observation de parodie ayant de ces plaisirs qui en sont de faux donc n’en sont pas et qui ne sont nés ou qu’ils n’ont pu éprouver qu’en raison d’une situation faussée à la base. Mais nous avons vu que ces web cam pourraient peut-être contribuer à rétablir la situation y compris la téléphonie 4G, comme nous avons bien compris que nous avons le droit d'envisager le mariage pour rire ou alors d'une façon qui ressemblerait à la gravure d'Albrecht Dürer concernant le char de l'empereur, chacune des femmes représentant l'une des vertus, ce que la Vierge Marie rassemble à elle seule. C'est bien ce que je pense à propos des espions, tant qu'ils ne sont pas pair, ils vont interpréter dans le degré dans lequel ils sont. C'est alors l'origine des commérages de bas étage et de toutes les médisances et calomnies d'autant que ces personnes n'imaginent pas que des propos peuvent avoir été écrits par provocation, voire pour rire, voire comme point de départ pour une plus véritable réflexion. Aussi quand on entend la pensée de ces espions comme cela a été le cas, on se rend compte qu'il s'agit de gens naïf au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui n'ont pas le sens de la plaisanterie.
Si encore s’était à des fins psychanalytiques intelligentes, mais les moments
qu’ils ont espionné de la personne en question et non tous les moments clés dont
on a besoin pour se faire une idée véritable d’une personne (à croire que s'ils
les connaissent ils n'ont toujours pas une idée juste de la personne espionnée), ne leur servent à
rien puisqu’ils n’ont pas le cerveau conscient qu’il est nécessaire d’avoir
pour, à partir de ces moments, se faire une réelle idée de la personne
espionnée, sur un plan qui pourrait les honorer. Peut-être n’ont-ils eu ainsi,
par le passé, que les moments qu’ils jugeaient dangereux pour eux et comme ils étaient dans l’erreur, car ce sont des
ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui n’ont pas pris compte de tout (la
vérité c’est de savoir prendre compte de tout !) de la personne analysée, ils n’ont fait que des erreurs
monumentales - comme les ancêtres qui leur avaient transmis ces gadgets - dans
les décisions qu’ils ont prises alors – comme les nonnes de plus haut -
puisqu’ils se fiaient aux fonctionnements de ces machines ayant été conçues pour
une toute autre époque dans laquelle personne encore ne fonctionnait
rationnellement et chronologiquement ni n'avait accès au langage (à la pensée
par les mots). Ces personnes-espionnes n’avaient plus du
tout en mémoire tout ce qui est pris en compte de nos jours dans le monde de
ceux qui le gèrent et qui est rationnel et chronologique, mais qui obéit aussi à
d’innombrables autres paramètres. Celui qu’ils espionnaient avait
chronologiquement fait le Bien et servait l’Intérêt Général, depuis son enfance,
mais soudain devenait suspect aux yeux de ceux qui se sont profanés, dégradés,
qui se sont rendus incapables de comprendre tout ce monde qu’ils ne peuvent plus
que regarder – je l’ai vérifié et j’ai montré comment - qu’avec des yeux de
malades, d’incompétents, de menteurs, d’ignorants ou de faussaires, mais aussi
de tricheurs et des corollaires liés à ces termes !
Sans doute n’ont-ils utilisé ce système d’espionnage que dans l’idée de faire
chanter et envers les « grands hommes », c'est-à-dire tous ceux qui sont des
« initiés » et qui ont étudié Dieu assez pour se dépouiller chacun de
l’enfant-gâté ou de l’adolescent qui est capable de se laisser entrainer à
accomplir des actions néfastes, contre son propre intérêt ou l’intérêt de tous,
par amitié pour des vauriens qui, n’ayant pas de maître ou de père ou de tuteur
ou d’objectifs d’Intérêt Général, sont capables de se profaner, de perdre la
raison, comme de croire possible rejoindre des personnes qui, en espionnant de
cette façon, et non en observant en tant que véritable être humain et/ou homme
de sciences et de conscience, se sont condamnés à ne connaître chacun d’eux que
des cycles infernales de réincarnations animales les plus malheureux les uns que
les autres. Ce n’est donc vraiment pas une bonne idée d’avoir cru possible cela
sur leur propre empereur et qu’ils savaient, pour en avoir été prévenu d’avance,
Grand Inspecteur, et si j’étais l’une d’entre ces personnes, avertie par ce
texte, je prendrais mes jambes à mon cou pour fuir à jamais la fréquentation de
ces amis, plus que douteux, ayant cherché à faire mon malheur, alors que
l’empereur cherche le contraire, malgré ce qui normalement, s’il n’avait pas un
peu de religion, après ce qu’il a eu à endurer, devrait être l’attitude adéquate
liée à un juste pour le moins mépris (en raison de la troisième fois, au moins
une de trop), et quitter ce qui est devenu la cause de tous les malheurs depuis
des milliers d’années (cette vieille salle des machines).
Il y en a qui ont cru pouvoir envier ou désirer avoir la vie d’un chat ou d’un
chien ou d’un autre animal dans une autre vie. Il n’y a pas plus malheureux
qu’un animal quel qu’il soit, puisqu’il a la nostalgie de ne pas être un être
humain véritable, c'est-à-dire des milliards de milliards et plus encore de
possibilités différentes en tant qu’être humain, de réflexions ou d’inventions
intelligentes sur chacune des choses regardées, dans la mesure où celui-ci a
renoncé à l’aspect néfaste de son animalité – il y a donc un aspect positif au
petit pourcentage sexué – qu’on retrouve dans le génome - de l’être humain
« animal pensant », à ne pas confondre avec le néfaste : il faut donc réussir à
rejoindre celui-ci et abandonner l’autre – par conséquent ce que j’écris ici,
avant de vous l’envoyer, n’est pas à espionner et même si vous le receviez (si
je devais me décider à vous l’envoyer car travaillé assez pour être digne de vos
yeux et de la fonction que vous représentez) c’est destiné à vous – chacun a le
droit d’écrire ce qu’il croit possible ou de s’inventer comme moi des scénarii
dont j’espère même certains de l’ordre « improbable », mais chacun sait qu’il a
une conscience et qu’il ne peut pas se permettre de dire ce qui n’est juste ou
vrai – celui qui a perdu sa conscience est forcément dans le faux et espionner
(quand on est devenu soi-même faux et égoïste ou jaloux ou dans un état qui est
forcément un effet d’une situation faussée) quelqu’un qui est devenu semblable,
c’est forcément s’exposer à ne toujours rien comprendre, car il vaut mieux –
c’est évident - attendre de lire un livre publié ou le texte d’une lettre relue,
corrigée et publiée, au grand jour, que de perdre du temps (en tant qu’espion) à
la connaître alors qu’elle n’est qu’en chantier ou un premier jet et avec l’état
d’esprit de l’espion prisonnier d’un système hiérarchique qui fonctionne
certainement sur le chantage ou cette « loi du silence » si contraire à toutes
les expressions artistiques qui de toutes parts attestent que la vérité existe
et qu’on a le droit de la rechercher. C’est pourquoi je ne [me] permets pas que
mon personnel de grognards perde son temps à cela et n’ait pas la patience
d’attendre que les textes soient publiés pour les contester ou pour correspondre
avec les auteurs s’ils devaient ne pas comprendre ou ne pas agréer certaines
phrases, ce qui est un droit mais qui exige au préalable le respect de ces
auteurs qui ne sont plus profanes ou qui sont spécialistes dans des catégories
dans lesquelles cette condition d’espion les fait encore moins que débuter
puisqu’avoir le droit d’assister à un cours ou à une conférence qui réunit le
savoir de maîtres ne fait pas de nous des espions mais des écoliers ou des
étudiants initiés au partage de ces savoirs ou à la recherche de la vérité dans
cette matière. Je n’ai pas la vision de mon empire ainsi (à devoir encourager
cet esprit d’espion, nuisible) et je ne crois pas qu’un seul des enfants venant
au monde n’a cru un seul instant arriver dans un empire fliqué où il sera
l’objet d’espionnage. S’il existe effectivement la possibilité d’utiliser une
salle des machines qui était commune (et donc de tous et à tous), s’était pour
des raisons de sécurité commune, de tous – y compris ce variateur de la vision
d’Atlantide – cela va de soi - et non pour créer des inimitiés entre des
groupes, les uns au détriment des autres. Il est donc logique que celui des deux
groupes qui a cru possible une chose aussi inconcevable se soit fait le plus de
tort à lui-même, car la fraternité ou l’amour c’est transparent, cela ne
dissimule rien à l’autre, cela pense pour le Bien et l’Intérêt Général, cela ne
cache pas une vieille salle des machines, cela ne cache pas à ses semblables un
variateur de la vision d’Atlantide, cela ne reluque pas, cela n’est pas
« voyeur » et ne fait pas du chantage pour obtenir une amitié ou plus en
échange. Avec Internet, il est possible d’apprendre à préparer ce qu’on entend
partager comme idée. Depuis que j’ai retrouvé la mémoire et que je me suis
déterminé à mettre un terme à ce sacrifice inhumain qui a, néanmoins apporté la
prospérité à toute la planète, je tiens au courant en toute transparence des
personnes qui comptent (croire pouvoir être de celles-là en s’infiltrant par
Internet ou par d’autres moyens dans l’ordinateur de quelqu’un ou dans sa tête,
constitue une violation de domicile « privé ». Jusqu’à preuve du contraire la
tête de quelqu’un appartient bien, comme son corps, à une personne qui a un état
civil (donc un « particulier » une personne qui bénéficie de l’existence des
droits – il y a le droit qui concerne la propriété privée – on ne peut pénétrer
chez quelqu’un qu’en ayant un mandat par exemple pour une perquisition). Ceux
qui espionnent n’ont donc pas le droit, sans l’accord de l’intéressé de
s’ingérer dans les affaires sentimentales ou professionnelles ou familiales de
cette personne qui ne les a pas sollicité (ou sans avoir pu vérifier de la
légitimité de tout cela) et encore moins dans le sommeil des petits (enfants) qui, à ces
âges là, en ont grandement besoin pour se reposer car ils ont à grandir, ce
qui est fatiguant d’autant qu’ils vont, chacun, avoir des programmes difficiles
(de leur point de vue d’écolier) pour réussir à maîtriser la parole, la pensée,
le calcul, etc. : des choses utiles, des bienfaits.
Ce texte est sous la forme de notes « privées » ou comme une simple hypothèse de
travail : donc rien d’officiel encore, tant que vous ne l’avez pas reçu (et que
vous n’en avez pas fait état), en ayant bien sûr le droit de n’en faire
aucunement état à d’autres personnes – bien que l’envoyant à la fonction que
vous représentez – celle de cardinal - vous savez ce que vous devez faire : vous
devez en référer, si vous le jugez utile, à vos supérieurs et/ou peut-être
confesseur, le pape lui-même, mais aussi à Dieu (mais Dieu est ici qui l’écrit
avec moi), et peut-être à l’empereur-bouddha si vous lui faites confiance - c'est-à-dire
encore Nous !
J’en déduis donc qu’il ne devrait pas y avoir une seule décision de prise par
qui que se soit qui ait du pouvoir dans le monde entier dont je ne doive être
tenue au courant – or je n’ai pas même un bureau et une administration pour
l’instant, ce qui n’est pas normal et comme il s’agit d’une situation
d’infraction impériale de tous vis-à-vis de moi, il y a les conséquences
mathématiques : tous meurent partout, car tous les chefs d’état sont aussi en
infraction, y compris le Pape, et cela depuis 1965 ou 1975 comme depuis 2005,
avec effet rétroactif dans tous les temps passés et cela pour la moindre
décision qui exigeait qu’on me demande avant la permission (cela comportait déjà
de l’intérêt puisque tous auraient pu bénéficier de mes capacités d’anticipation
ou de calcul y compris de lecture. Ne m’ayant pas consulté et ayant cru se
passer de mes conseils chacun demeure en infraction pharaonique. Celui qui
s’appelle Dieu s’est soumis lui-même à ma personne, depuis avril 2005, en
m’ayant appris et dévoilé l’existence de ma femme légitime d'autrefois, alors que je me
préparais pour épouser une autre et qu’il a bien pu vérifier, (comme mon père), que je
ne savais rien de celle dont il m’annonçait à ce moment-là l’existence comme
promise (j'avais bien eu une amnésie), ce qui a déclenché le souvenir d’une récréation
trente ans auparavant où je me suis vu apparaître dans le ciel alors que j’étais
avec tous mes camarades de classes dans la cours.
A partir de ce souvenir qui me confirma le caractère exceptionnel de ce qui
m'arrivait j'ai commencé à transmettre l'Hyper Méga Dictée Pharaonique
Salvatrice Providentielle Miraculeuse Maçonnique Multicatégorielle
Multidimentionnelle Corne d'abondance à travers Espace et Temps de la Nouvelle
Donne InterRégionale Mondiale.
Il a pu vérifié que ce n’est nullement le statut de baronne qui m’a fait l’accepter comme promise, puisque je ne l’ai su que bien après avoir rompu mes fiançailles avec Michèle et cela bien après m’avoir contraint, dans le passé, trente ans avant, à me faire embrasser par cette jeune fille qui, pour Dieu et pour moi, ne s’est appelé que Christine …Lang que jusqu’au moment où j’ai compris que c’est aussi pour des raisons politiques et historiques et de Construction Européenne que Dieu l’avait voulu pour moi « baronne », dès 1965, y compris pour que je n’ai pas trop à me sentir mal d’avoir découvert soudain, en 2005, que Michèle Finck m’avait tout caché de ce qu’elle n’aurait pas dû cacher et que j’ai découvert à ce moment-là, grâce à Dieu: il est bien normal que chacun soit puni mathématiquement pour toujours, même si je ne le veux pas, la mort est donc partout pour des raisons logiques : on a essayé d’arnaquer l’empereur cosmique universel et … , non seulement dès sa naissance, en ne montrant pas Atlantide, mais à partir de 1965, tous les jours (en exigeant de lui qu’il patiente), jusqu’à ce jour du 9 avril 2013 (ce qui est encore le cas le 13 septembre 2017) au moins en ne lui donnant pas les moyens de décider[69] ! Ne peuvent évidemment pas décider à ma place ces personnes, sans avoir eu ma confiance et ce n’est pas parce qu’on l’a qu’on peut se permettre de prendre des décisions importantes pour l’empire sans m’en référer. De même qu’on n’a pas le droit d’espionner qui que se soit sans mon ordre – ce que je ne donnerai jamais à aucune personne s’étant dégradée l’esprit au point de devenir aussi profane ou alors en sachant que je ne lirai jamais rien venant de cette personne, ni jamais ne pourrais prendre en considération ou au sérieux aucun résultats de ses espionnages, puisqu’il est de mèche avec celui qui est espionné. On a cependant le droit d’espionner les profanes : ce sont eux qui sont à l’origine de tous les malheurs dans le monde entier, ce sont eux qui sont nuisibles et qui mentent. Ce sont eux qui sont dans l’erreur. Ce sont eux qui causent tous les problèmes et tous les vieillissements, comme toutes les formes de déserts intellectuels. Ce sont eux qui espionnent en faisant les petits saints ou en jouant les anges ou qui exigent des milliards d’heures d’études à toutes les autres personnes pour arriver à leur faire un dessin qu’il seront capables de reconnaître (comprendre), en sachant que cela montre telle chose ou telle autre de vrai, comme, par exemple, un mot compréhensible désigne la « sortie » et que la porte en question dessinée est bien la « sortie » (ce qu’il y a écrit dessus). C’est eux qui ne vont pas bien et qui sont capables de faire des choses interdites ou déconseillées ou qui ne savent pas quand les autres ont le droit de s’autoriser à les faire, même anti-canoniquement, puisque nous avons pu, hélas, le vérifier pendant ces vingt sept ans d’amnésie, à l’occasion de ce sacrifice maçonnique renouvelé avec ma promise légitime. C’est eux qui ne savent pas que dès 2005, cette première promise légitime devait normalement commencer à entamer aussitôt des procédures de divorce, au moins vers 2008-2010 et s’ils ne le lui ont pas proposé à ce moment là, ils se sont démasqués comme les incompétents qu’ils sont en montrant qu’ils sont bien ces ignorants et ces hors la loi, puisqu’ils ignorent les mécanismes liés au monde de la conscience, c'est-à-dire de toutes les mesures exactes et la logique inhérente aux situations étant en relation avec le Droit ou le canonique (en fait la « logique de la situation » et ce qu’elle exige en conscience comme en en étant dépourvu). Pourtant ils contraignent l’empereur lui-même (Nous) à prendre toutes les peines du monde à ce sujet, en raison de ce qui est canonique dans une situation pareille[70] pour poursuivre l’instruction d’un dossier qui est à chaque instant d’une complexité aussi grande que l’univers entier à chacune des fractions de seconde et cela dans tous les temps. Et c’est eux, les soi-disant serviteurs de l’empereur, qui sont devenus coupables de cette « lèse majesté » impériale durant toutes ces années où ils étaient en infraction et à se conduire en profanes, en sacrilèges, en menteurs, en tricheurs, en violeurs de vie privée, etc. ! Donc en faisant honte à tous les empereurs jusqu’au premier (puisqu’il s’est avéré que la notion d’empereur était un coup monté par des escrocs pour se permettre d’escroquer (ou permettre à un groupe de femme d’avoir de l’ascendance sur des hommes au détriment d’autres), mais en ayant pour cela à escroquer plus que tout le monde leur propre-chef, pour essayer de faire de lui un porc – en le poussant dans cette direction pourtant néfaste pour tous puisque cela rend peu propice à gouverner avec intelligence – ici pour minimiser - mais aussi le plus amnésique et/ou le plus inconscient de tous (en en faisant un handicapé à vie) et pouvoir se permettre en toute impunité, ce qui n’est pas possible ou seulement acceptable d’aucune façon, d’autant plus que l’empereur devenait ainsi le plus ignorant de tous, ne sachant plus qu’il n’y a pas une seule chose qui puisse fonctionner – même seulement entre deux cellules - que seulement en raison de milliards et plus encore de paramètres sur chacun des atomes ou non atome et que tout cela est régit par de nombreuses lois[71] exactes – l’empereur (ou Dracula - ?) devenant « inconscient » de cela (ou ignorant cela), comme ne voulant pas croire qu’il puisse y avoir des lois et devenait à cause de cette ineptie aussitôt l’ennemi de lui-même en essayant de faire croire le contraire : un usurpateur.
On pourrait croire que mon idée de nombreuses épouses pourrait être néfaste à la
personne de l'empereur au point d'être à l'origine d'une réincarnation en porc.
C'est ne pas comprendre que je suis devenu bouddha, par conséquent que je fais
attention à éviter cela, les épouses, si elles devaient l'être, étant choisies
pour d'autres raisons que sexuelles.
L’empereur des années 30 avait donc été amené à escroquer d’une façon ou d’une
autre toute l’humanité (d’autant plus qu’il utilisait des armes pour provoquer
la partie adverse, en croyant possible de se comporter en personne de mauvaise
foi, ignorante de toutes les lois justes) mais se sont ses grognards,
prisonniers chacun de leur état d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui
avaient cherché, à travers lui, à se faire autoriser ce qu’ils recherchaient,
qui n’était en réalité, à chaque fois, que le contraire de leur intérêt
véritable : des choses qui ne feraient nullement d’eux des êtres responsables et
conscients, des êtres auxquels on peut accorder un véritable crédit, en tant que
père de famille ou grand-père, donc ils œuvraient contre l’intérêt véritable de
leurs enfants, puisqu’ils n’ont voulu être que réduits à des égoïstes, ayant des
pulsions d’égoïstes et des comportements d’ignorants, au mauvais sens de ce mot,
ou d’enfants-gâtés en se servant, par exemple, des inventions des gens
instruits, des gens de sciences, à ces fins, alors qu’elles avaient été créée à
d’autres fins, pour faire de chacun de ces ignorants, au mauvais sens de ce mot,
des personnes ayant une chance, par leurs activités, d’accéder à
Aussi ceux qui ont cru possible choisir des empereurs n’ont alors que fait du
tort à l’Ensemble étant donné qu’ils ont choisi celui qui n’est pas un frère,
puisqu’il est capable de se comporter de façon incohérente et inamicale avec son
prochain, c'est-à-dire sans fraternité véritable, donc avec une mentalité de
voleur ou de violeur, en menteur, en tricheur, etc. et sans respect de la
personne humaine comme une œuvre d’art. Sans fraternité, cela signifie : sans
être capable de comprendre l’autre et en oubliant ses devoirs de frères (ou de
père, c'est-à-dire sa responsabilité dans l’éducation de celui qui dépend de
soi) mais cela signifie aussi en étant capable de faire des choses en cachette
ou des choses interdites dont on pourrait avoir honte devant ses frères ou ses
sœurs, donc contraires au Bien et l’Intérêt général.
Ces personnes font alors semblant que c’est cette notion de fraternité qu’ils servent alors
qu’ils ne servent que des intérêts d’individus devenus égoïstes ou aspirant à
avoir ‘la vie de château’ sans la mériter et sans avoir compris ce que cette
expression signifiait. Donc ils servent cette notion en devenus malfaisants. Non
en personnes bienfaisantes mais en profiteurs et en usurpateurs. Ils ont tenté
ainsi d’escroquer un par un tous les empereurs depuis le premier, en les ayant
certainement rendu chacun plus ridicules que les précédents ou que les suivants
et cela pour s’enrichir matériellement et non spirituellement. C’est ainsi
qu’ils n’ont pu avoir que des fréquentations intéressées (au mauvais sens de ce
mot) en reprochant à ceux qui ont de l’argent d’en avoir eu honnêtement alors
que ceux-ci ne l’avait obtenu que pour permettre à tous d’en avoir un minimum,
l’ayant obtenu non en profanes, non en trichant, mais en sachant ce qu’est
travailler en vérité, ou en sachant ce qu’est un centime, donc en conscience !
Hélas dans le monde du mensonge l’argent, ayant été escroqué, ces personnes
croient qu’elles peuvent tout se permettre et n’ont pas le sens de la réalité.
La cohérence de l’époque devrait interdire à toute personne ne disposant pas de
moyens financiers pour survivre d’avoir des enfants. Avoir des enfants sans
avoir assuré d’abord pour soi-même les moyens de survivre matériellement ne
devrait pas être toléré de personne. En effet, c’est dans l’état actuel du monde
et de la réalité une preuve d’inconscience de la part de celui qui s’autorise
cela : il montre qu’il cherche à escroquer les autres en comptant sur des aides
ou des notions aussi providentielles que celle de l’Etat ou des notions
synonymes pour, en parasites, survivre de subventions avec ses enfants. C’est
que nous sommes à l’époque des diverses contraceptions autorisées et ceux qui ne
se l’imposent pas, en comprenant qu’ils ne disposent pas des moyens suffisants
pour s’offrir le luxe d’avoir des enfants, devraient naturellement avoir la
décence de se passer d’enfanter. Il est évident pour n’importe quel ignorant ou
inconscient qu’il est nécessaire de disposer de moyens financiers propres et
mérités de droit (MFPMD) pour pouvoir
élever un enfant. Alors comment est-il possible que des parents puissent à ce
point s’injurier ou s’insulter eux-mêmes y compris leur descendance en faisant
des enfants sans avoir au préalable les moyens financiers de les élever, de les
entretenir, au moins jusqu’à l’âge légal où ils sont tenus de le faire ? Ne pas
avoir compris cela dans les temps passés – dans lesquels il existait déjà des
formes de contraceptions sans pour autant avoir à avorter - en croyant avoir le
droit de s’autoriser à faire des enfants à des femmes comme l’ont cru les
soldats de l’empereur ou d’autres « conquérants », c’est ne pas se respecter
soi-même en tant que soldat puisqu’on ne respecte pas son fils ou sa fille,
puisqu’on va lui causer des difficultés très grandes, comme à leur mère, étant
donné qu’avec inconscience on les a engendré, en comptant sur la bienfaisance et
la charité de l’Ensemble, donc avec cette mentalité d’usurpateurs, en
profiteurs, en égoïstes, en escrocs, par conséquent en personnes contraires à
l’Intérêt et au Bien Général (ces pères et mères là sont donc à considérer comme
des individus dont l’humanité entière devrait avoir honte y compris leurs
enfants et les descendants de ceux-ci : ils font peser sur tous les hommes et
les femmes honnêtes ou de bonne volonté, s’étant affranchi de l’enfant-gâté en
eux, l’éducation des enfants qu’ils ont mis au monde en inconscients. Une prise
de conscience dès les petites classes de cela devrait être obligatoire partout
sans pour autant culpabiliser les enfants nés de pareils calculs ou absence de
calculs intelligents, mais en les rendant conscients qu’ils n’ont pas à se
permettre à leur tour, une fois en âge d’avoir des enfants de cette façon, ce
que leurs parents se sont permis, en étant en cela contraires aux intérêts
véritables de ces enfants : en s’avérant être leurs ennemis – mais en
prétendant, bien sûr, le contraire et en leur donnant l’exemple d’escrocs, ce
qu’ils risquent de croire possible ou que leurs semblables sont, en devenant
l’origine même des malheurs, de la misère, et de toutes les formes de désert ou
maladies.
Ce sont ces parents qui ne sauront pas non plus « élever » leurs enfants et qui
vont compter sur les autres. Ils escroquent ainsi le roi, la reine, le tzar, le
prêtre ou toutes les personnes de bonne volonté qui se sont dévouées en maîtres,
(c'est-à-dire en fait en sorte d’esclaves), à faire de leurs mieux, car elles sont
de celles qui ont étudié en vérité et qui, par conséquent, sont dotées de cette
conscience qui ne les font agir que de façon probe et dans l’Intérêt et pour le
Bien de tous, y compris de tous les envieux, les jaloux ou des ignorants au
mauvais sens de ces mots, qui ont des probabilités d’être issus de ces contextes
de personnes encore écervelées ayant cru pouvoir s’autoriser à avoir des enfants
(alors qu’elles ne bénéficiaient pas encore des conditions adéquates pour en
assurer l’éducation) en escroquant ainsi l’Etat donc la meilleure partie
d’elles-mêmes, quand celui-ci est entre de bonnes mains). C'est que nous ne
vivons pas à une époque sans Etat, sans civilisation, sans devoirs, sans
contraintes ce qui peut alors être l'origine de la naissance d'enfants
naturellement dans les temps préhistoriques. Il faut comprendre que ces
contraintes impliquent de ne pas pouvoir s'autoriser d'avoir des enfants sans
être au préalable assurés des financements pour les élever dans la société.
En raisons de tous les problèmes qui se sont passés et de mes Grandes
Inspections en tant qu’empereur (mais pas seulement – c’est pourquoi après mon
nom vous trouvez souvent ces trois petits points : … - ce qui signifie de
réelles compétences dans tous les autres domaines – chacune pour le plus grand
bien de tous - car j’ai une infinité d’autres casquettes dont Dieu a la mémoire
y compris le Grand Architecte de l’Univers) que j’ai dû renouveler à plusieurs
reprises de 1963 à 1965, de 1965 à 1975 et de 1975 à nos jours, j’en conclu que
les dirigeants me sachant empereur depuis au plus tard 1995, n’ayant pas eu mes
ordres ou obtenu mon accord, sont donc partout en infraction impériale ou
infraction pharaonique, tout comme chacun des êtres humains dans tous les temps
vis-à-vis de la personne de l’empereur et de ma personne, depuis 1965 et 1975
(puisque la vieille salle devait m’être rendue à chacune de ces occasions pour
que je puisse l’inspecter en tant que moi-même étant la nouvelle salle des
machines, d’autant plus que dès 1965 j’avais pu faire comprendre, en faisant
intervenir ma virtualité dans le futur, quarante ans après d'avance, que je calculai à
chacune des fractions de seconde des milliards de milliards de milliards et à
l’infini de paramètres – les ordinateurs de notre époque nous ont habitué à cela
- sur chacune des fractions de seconde concernant chacun des atomes dans tous le
cosmos et plus rapidement bien sûr que la vitesse de la lumière puisque j’étais
quarante avant dans une époque qui n’existait pas encore de là où je n’avais que
deux ans et demi et cela en tenant compte de tous les temps liés à chacune des
choses, comme à n’importe lequel des ordinateurs, dans tous les temps – aussi il
était de l’Intérêt Général de me remettre cette vieille salle des machines pour
que j’en inspecte les possibilités pour que je puisse essayer de voir comment
elle pourrait servir de façon enfin exacte et pour rendre, si possible, les
gens, chacun, au lieu de « détériorés » à cause d’elle, le contraire : restaurés
ou réparés ou en voie de l’être. C’était une chance alors possible y compris à
partir de 1975. Ceux qui la détenaient en ont décidé alors autrement en voulant
persister dans l’erreur et dans l’état d’infraction pharaonique, donc infiniment
contre leurs Intérêts fondamentaux. A cette heure-ci, le 29 Mars 2013 (1973 et
1983) (je relis le 13 septembre 2017) m’en étant passé presque cinquante ans, je ne la réclame même plus et même
si on me l’offrait avec toutes les richesses de tous les univers, compte tenu de
ce que cela a causé, je ne la veux plus. J’avais bien pu remarquer, dès 1965,
qu’il y avait une grande partie de la population qui avait perdu sa conscience -
elle ne comprenaient pas que nous étions à une tout autre époque, qui était
déjà un peu celle des technologies - entre autres - qui n’obéit évidemment plus
du tout à des façons anciennes de fonctionner.
En ne me rendant pas « ma » salle des machines – celle du petit pharaon que
j’étais - ils étaient chacun d’entre eux tenus personnellement comme
responsables et comptables sur leur propre âme des dégâts et des conséquences
qu’une telle attitude engendrerait : ils se rendaient chacun personnellement
responsables de tous les dysfonctionnements, de tous les malheurs, de tous les
problèmes. Chacune des responsabilités qu’ils ont voulu prendre d’une façon ou
d’une autre publiquement à un quelconque titre, en croyant possible continuer à
tricher, allait avoir des conséquences gravissimes sur chacun d’entre eux –
j’essayai de leur éviter cela, d’autant que j’ai pu me rendre compte que c’est
rétroactif. Mais cela est valable dans tous les temps y compris d’avance sur les
temps futurs. Aussi à chacune des fractions de seconde, ils ont voulu augmenter
le poids de leurs fautes (et de leur culpabilité) logarythmiquement, chacun
d’entre eux, en demeurant en infraction pharaonique. Cela a à voir avec la
maladie du « masochisme » dont ils sont les auteurs. Ayant créé cette maladie
(comme toutes les autres – nous avons évoqué celle de l’esclavage, au passage),
ils cherchent donc à être puni et à souffrir d’avoir cru possible utiliser cette
vieille salle des machines pour faire des personnes intellectuellement
inconsistantes, faussaires et devenues menteuses (nulles ou usurpatrices) comme
le corollaire des autres tares, au lieu, parce qu’ils en disposaient, de donner
des preuves d’intelligence, en la mettant à la disposition de tous les hommes et
les femmes de vérité ou recherchant celle-ci dans chacune des catégories où ils
se concentraient, en donnant à tous l’exemple d’êtres travaillant en conscience.
Il s’agit de toutes ces personnes, qui, comme Pasteur, Marie Curie ou l’abbé
Pierre, ont réussi à se débarrasser de leur enfance d’enfants-gâtés, adolescente
et égoïste
ou de ces âges de faux adultes (pas encore devenus adultes), donc au mauvais
sens de ces mots, pour se consacrer à chacun de ces travaux effectués en
conscience et en donnant continuellement tant de preuve de bonne volonté à
travers chacun des succès parfois couronnés officiellement par de grands prix
dans les différentes sciences, à chaque fois des avancées qui sous la forme de
celles des temps passés (du XVIIIème et XIXème siècle) ont
permis toutes les améliorations du XXème siècle. C’est comme si ces
personnes en ne rendant pas la vieille salle des machines aux hommes de sciences
exactes s’insultaient eux-mêmes et la vieille salle des machines en permanence,
puisqu’ils n’ont pas compris que ces personnes détenant la connaissance des lois
pourraient l’utiliser d’une façon certainement toute à l’honneur des sciences
qui ont permis tant de progrès depuis ces immensités ou Freud, mais déjà depuis
Léonard de Vinci et tant d’autres bien avant. En ne rendant pas cette vieille
salle des machines, ils ont insulté l’esprit des sciences et la vérité, mais
aussi la logique et toutes les formes de mathématiques qui existent et dont
j’avais donné la preuve à partir d’avril 1965 (1975 et 2005) qu’elles existaient
sans avoir besoin de recourir à cette vieille salle des machines qui, je l’ai
vérifié, ne tient pas compte de tout les paramètres liés à l’être humain depuis
sa conception fœtale jusqu’au jour ou à la nuit où elle est utilisée sur
l’individu en question, en violant de nos jours (par rapport à tout ce qui
découle des lois justes), ses droits ontologiques, intrinsèques, consubstantiels
et fondamentaux. Mais peut-être voulaient-ils vérifier qu’effectivement certains
êtres humains sont capables de tant de prodiges pour sauver
Une première chance leur a été donné de rendre la vieille salle des machines à
partir de 1965, en leur faisant comprendre à partir de 1973 pourquoi ils sont
devenus hostiles au Bien et à l’Intérêt Général, à partir du moment où chacun
d’entre eux, enfant, a été la victime d’une amnésie. En 1975, il y a eu le
second avertissement à ce sujet avec mes suppliques du futur, dans le ciel,
avant même d’y être, de ne pas me contraindre à devoir recommencer à montrer
comment on se dégrade mathématiquement en devenant alors le contraire de celui
qu’on voulait devenir et cela conséquentiellement (en conséquence), à partir d’une amnésie ou en
s’autorisant, à cause de cela, à faire ce que l’ensemble des religions ont
pourtant depuis longtemps conseillé de ne pas se permettre de faire : « gâcher
sa semence », une notion à méditer
depuis les premiers temps de l’agriculture et qui va de soi.
De 1977 à 2005 à chacun des instants où leur pharaon (Nous) allait à cause de
ces sacrilèges à avoir à connaître malheurs sur malheurs et à se rendre ridicule comme le
plus misérable et minable des individus (du moins à mes yeux) ce que je n’ai
cependant pas pu ne pas hésiter à faire étant donné ce cas particulier dans
lequel l’Ensemble m’a rendu prisonnier, puisque je n’avais pas le choix, en
2005, pour en intervenant sauver la planète rétroactivement à partir de 1965 et 1975, en raison de l’anneau
immaculé de mariage salvateur qui n’a pu exister qu’en raison du sacrifice de
Christine que l’Ensemble m’a contraint à faire, à partir de 1965, avec cette promise
légitime, en exigeant de nous, malgré ce qu’avait donné l’expérience de 1972 à
1975 et ce premier avertissement, ce second sacrifice qui allait exiger vingt
sept années d’amnésie supplémentaire de ma part, avec les séquelles de la
première amnésie de 1972 à 1975 qui n’étaient pas encore soignés : j’ai pu
néanmoins sauver une fois encore la planète
in extremis, en intervenant pour la
troisième fois à partir de 2005, non plus en virtuel, mais cette fois-ci en chair et en os, en
montrant bien à tout le monde que la situation générale à l’échelle planétaire
est véritablement bloquée puisque de façon quasiment automatique nous nous
retrouvons, une fois de plus, dans le même cas de figure, comme en 1965 et 1975
où l’Ensemble devait me remettre la vieille salle des machines, puisque j’en
suis le propriétaire légitime étant donné que je suis pharaon de l’Ensemble.
C’est donc bien l’état d’infraction pharaonique vis-à-vis de ma personne et de
ma femme légitime qui nous a causé bien des soucis. C’est bien parce qu’on a
tardé autant à comprendre qu’à l’âge de deux ans et demi j’avais le droit de me
marier et de choisir avec ma femme d’autres femmes pour lui permettre d’être
impératrice et donc de veiller au bien être de toutes les personnes âgées comme
de toutes les petites filles dans le monde entier en se formant à des niveaux de
compétence extrême dans toutes les sciences comme son pharaon de « promis » que
j’étais qui a fait de nous tous des personnes même si mariées, plutôt lointaines
de leur époux ou épouse, étant donné que j’ai été contraint, dans ce cas, en
raison de tant d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, d’être éloigné de ma
promise légitime de chacune de ces fractions de seconde là, d’autant plus
éloigné que j’étais amnésique. Mais je n’avais pas le choix car sinon, en raison
des personnes âgées totalement prisonnières de l’ineptie, nous allions droit à
Rendre la vieille salle des machines à ceux qui se sont débarrassés de l’état de
profane pourrait produire l’effet d’un rajeunissement des personnes âgées et des
enfants y compris ceux qui sont entre ces âges.
Mais la distance qu’il y a maintenant entre l’impératrice promise légitime et
l’empereur (moi) est devenu bien plus pharaonique que toutes les distances
existantes (bien que nous ayons eu quelques début d’échanges épistolaires par
messagerie Internet - en 2017 il y a un mieux, nous avons renoué avec l'une des
impératrices, Michèle Finck). Je vais donc avoir à faire comme si ce n’était pas la fin,
malgré cette distance bien plus pharaonique que toutes les distances existantes,
l’Ensemble s’étant rendu coupable – j’ai vérifié – qu’elle y soit entre
l’empereur et l’impératrice ! Or s’il y a la moindre distance existante entre
ces deux entités et c’est le malheur partout y compris dans tous les temps
passés et futurs (cela n’a vraiment pas été intelligent d’avoir voulu cette état
des choses à trois reprises. L’Ensemble est donc coupable envers ce couple
impérial puisque l’Ensemble avait à l’éviter et pouvait l’éviter : les malheurs
en découlent).
Or dans ce cas de figure de
Pourtant en raison de chronologie en ce qui concerne cette histoire et
l’empereur, pour l’instant, je n’ai pas d’autres possibilité que faire comme si
nous réussissions, grâce à l’impératrice[75]
prévue et reconnue, à rendre Michèle Finck, à son tour, impératrice véritable,
quoi qu’elle est pu faire de profane (c'est-à-dire ce que j’espérais faire
d’elle en 1965 et de nouveau en 1975, si l’Ensemble m’avait facilité la tâche et
rendu la vieille salle des machines, comme le variateur de la vision
d’Atlantide, car il s’agissait, en raison de ces perspectives de concorde
impériale, déjà
de restituer la vision d’Atlantide à l’échelle mondiale, ce que,
bien sûr, nous étions déjà très capables de faire avec l’aide de la génération
de 1920, 30 ou 40 y compris celle de 1950).
Mais l’Ensemble, dans ce cas de figure, a voulu continuer à pécher contre le
Bien et contre l’Intérêt Général en se rendant à chacune des fractions de
seconde, qui passait, toujours plus en infraction pharaonique, en état de
pécheur constant vis-à-vis de moi, l’empereur et vis-à-vis de l’impératrice,
d’autant qu’on m’a contraint à redevenir profane si longtemps alors que je ne
l’étais plus et que j’en avais donné des signes aussi étonnants ! C’est bien sûr
plus par inconscience et ignorance, au mauvais sens de ce mot, qu’autrement,
même si j’ai pu vérifier que cela s’est produit avec préméditation, ce qui est
une preuve de plus de très grande bêtise (recherchée par l’Ensemble) au paroxysme
de l’imaginable - bien sûr il y avait quelques personnes qui comprenaient, mais
comme c’est si complexe à comprendre, ayant, comme toujours, tant de choses à
faire chacune et se heurtant à toutes leurs difficultés, elles ont dû renoncer à
tenter d’expliquer d’autant plus que les profanes ne peuvent vraiment pas
comprendre : ils se sont détruits dans leur cerveau toutes les possibilités pour
se permettre de comprendre et ne peuvent que « faire semblant » de comprendre,
ce qui n’arrange rien car on aboutit alors à des choses aussi habituelles que
celles de prix Nobel ou professeurs de mathématiques ou des lois expliquées à
des salles de cours dans lesquelles il n’y a pas une des personnes qui s’y
trouve qui ne fasse pas semblant de comprendre. Cela fait que l’enseignant ou le
professeur s’adresse à des ignorants, au SPNM : au
sens positif et négatif de ce mot, (avec l’espoir, cependant qu’il y en ait un
ou deux qui le soit,
au bon sens de ce mot). En fait nous nous trouvons comme Léonard de Vinci
faisant des recherches que personne alors ne peut encore comprendre et ce fut
hélas le problème de tout ces hommes et ces femmes remarquables, leurs vie ayant
été très certainement celles d’incompris et donc d’handicapés par tous ceux qui
profitent quotidiennement par tout ce qui a été mis au point dans les temps
anciens par d’autres incompris, d’autres handicapés, d’autres génies, d’autres
personnes de connaissance véritables. C’est pourquoi, il serait normal que la
vieille salle des machines soit rendues à ces personnes de véritable sciences
qui sont si productives de solutions élégantes comme très honnêtes dans leurs
recherches et cela permettrait enfin que tout puisse changer dans le bon sens
pour tous, car ils sont les seuls à pouvoir rendre intelligent quelqu’un qui est
devenu profane. Non pas que les profanes soient dépourvus d’intelligence, mais
qu’ils puissent finir par l’utiliser dans tous les sens sauf dans celui qui ne
mène nulle part ou à la catastrophe : l’avilissement du profane dans toutes les
inepties qui deviennent inhérentes à sa condition !
Apparemment ces personnes ont fait ces choix contraires à l’intérêt de leurs enfants, d’eux-mêmes comme de leurs ancêtres car ils vivent dans la peur de la vieille salle des machines elles-mêmes, la sachant d’origine extra-terrestre. Cela signifie que depuis le commencement (l’occupation de la vieille salle des machines) ceux qui l’ont occupé vivent donc dans la peur et la culpabilité totale, se sachant chacun en infraction vis-à-vis de ceux qu’ils ont espionnés en s’en servant. Là où cela devient le plus grave, c’est quand ils se sont retrouvés en infraction devant l’empereur (mon père d’abord) qui devant ma personne qui leur a dit la vérité, dès 1965, et qui les avait même prévenu d’avance, par honnêteté, de chacun des moments importants vers lesquels ils allaient, y compris qu’ils allaient montrer Atlantide en 1995, ce qui s’est effectivement passé exactement comme ils le savaient d’avance, prévenus mais aussi par d’autres choses justes comme de cesser d’augmenter le prix du pétrole. Aussi ils avaient, à ce moment là, encore une chance d’éviter de faire souffrir des milliards de personnes mais aussi leur empereur le long du Chemin de Croix qui allait être le nôtre, l’un des pires calvaires que jamais personne de scensé (= sensé + censé) ne pourrait décemment imposer (ou faire supporter) ou faire endurer à un être humain (mais bien sûr ils ne peuvent même pas comprendre ce que signifie que ma personne, puisque pour tous ma condition n’est pas même imaginable car sinon ils se seraient ingéniés à m’éviter d’avoir à peiner ne serait-ce que d’un pas à faire[76], quand on sait ce qu’il signifie à mon échelle – l’ensemble ayant vu la taille que j’ai dans le ciel avant même que j’y sois (environ sept à dix kilomètres de haut, avec une tête d'environ trois cent cinquante à cinq cent mètres de diamètres) – à cause de cela j’ai dû même apprendre à nager dans ces conditions et à faire des efforts qui étaient réellement inimaginables puisqu’il n’y a pas une personne dans tous les temps qui puisse arriver à porter ce qu’il porte ou à se conduire sans avoir un accident ou à tracer une ligne droite, ou à éviter un accident qui ne le puisse que seulement grâce à ma personne qui porte l’Ensemble à chaque instant.
L’infraction pharaonique, depuis avril 1965, s’est alors transformée à mon égard
en formes variées de « sadisme », une autre des maladies dont les auteurs sont
les personnes coincées dans la vieille salle des machines. Ce sadisme a été
augmenté par le fait qu’étant devenu amnésique et m’ignorant espionné, je me
suis autorisé à penser tout ce que j’ai pu penser de désagréable en ne me
censurant en rien puisque je ne pouvais même pas imaginer qu’on puisse
m’espionner d’une façon quelconque – je n’avais pas le choix, je ne savais plus
rien de l’existence de cette vieille salle des machines et j’étais amnésique de
ma promise légitime comme de ce qui s’était passé à partir de 1965 et 1975 : je
devais donc en payer les conséquences car j’allais connaître les conditions qui
mènent à devenir en parti un inconscient ou quelqu’un qui va transgresser les
bons conseils. Aussi sachant ce que l’état d’amnésique me faisait devenir (autre
que celui que j’étais) ce que j’offrais de moi était faux – comme ce qu’offre
d’eux tous les profanes - et ceux qui ont cru ce qu’ils m’entendaient penser ou
dire ou faire dans ces états là n’ont voulu s’abuser qu’eux-mêmes dans ce jeu
sadique et si peu intelligent (sadisme est synonyme de « manque d’intelligence »
aussi) qui n’avait d’aucune façon aucun intérêt, puisque une personne n’ayant
pas d’amnésie au sujet de l’existence de cette vieille salle des machines ne va
pas s’avilir à devenir profane : pour penser ou dire ou faire tout ce que je me
suis permis, cela ne pouvait être que parce que je devenais profane sans
tricher, comme n’importe qui qui l’est devenu, par conséquent, ayant des chances
de devenir aussi bête un jour que ces espions s’étant rendus prisonniers de ces
instruments puisqu’il s’avère qu’ils n’ont rien compris à la première amnésie de
1972 à avril 1975 ni à celle qui a commencé fin 1977 et qui était la condition
pour que j’accepte ce sacrifice que j’avais passé avec Dieu, en espérant que
tous interviendraient pour m’éviter de continuer à m’abimer en tant que profane.
Non, j’eus à me rendre ridicule et à en subir les conséquences et ceux qui ont
espionné n’ont rien compris des dommages que l’Ensemble me causait puisqu’ils
sont étranger au monde des véritables sentiments étant donné qu’ils sont devenus
des voyeurs : ils ne peuvent pas comprendre le monde de l’« agapè » et ne
s’intéresse qu’à l’éros en faisant semblant de s’intéresser à toutes les autres
catégories qui leurs servent dont de tremplins érotiques ! Par conséquent en
avril 2005, alors que je revenais à mon anneau immaculé de mariage pour la troisième fois
(1965 et 1975) en raison d’amour véritable dont je vérifiais « qu’il était celui
qui tout meut », vous pouvez imaginer "l’effet bœuf" que j’allais avoir en
découvrant qu’on m’apprenait que j’avais deux fois sacrifié par amour et en
raison de l’existence de "l’agapè" (pour sauver la vie de/sur cette
planète) avec Christine (nos fiançailles, notre mariage et nos enfants) ! On
comprend que je n’ai pas apprécié qu’on m’ait caché cela jusqu’au moment où je
me présentais pour me marier et faisait mon autocritique. On comprend qu’en
découvrant la vérité, j’ai aussitôt rompu mes fiançailles avec Michèle qui était
au courant. On
comprend que j’ai été le premier surpris de découvrir que l’Ensemble me
contraignait pour la troisième fois à découvrir qu’il était parfaitement
abominable de me contraindre à exiger de moi-même de telles sacrilèges de
moi-même à partir de 1972 comme de la fin 1977 puisqu’en, revenant
mathématiquement pour la troisième fois à mon anneau de mariage, on me
contraignait à revivre tout ce qui m’avait contraint à le sacrifier pour sauver
la vie sur terre après
Aussi ce qui s’est passé est plus encore que minable, puisque je ne trichais
d’aucune façon en raison de la logique de la situation qui avait été imposée du
futur – car cela s’était passé comme cela et j’ai vérifié que je ne pouvais rien
changer en raison des interventions extra-terrestres dont je me devais de
prendre en considération comme paramètre – une situation dont je n’avais plus un
atome de mémoire qu’elle avait été ou qu’elle serait en commençant à la
découvrir à partir d’avril 2005, mais j’ai bien pu montrer comment on devient un
enfant-gâté y compris comment on perd son temps et comment on ne devient pas
très brillant à l’école – bref j’ai sacrifié toutes ces années qui, sur le plan
personnel, ont été une perte pour l'Ensemble.
En acceptant le sacrifice de cette séparation d’avec l’impératrice promise
légitime depuis 1965 (et en devant en exiger une autre – Michèle - à la place),
en exigeant le renouvellement de ce sacrifice depuis 1975-1977, en assistant
tous – ceux qui y ont accès - de cette vieille salle des machines en impassibles
spectateurs à l’ensemble des dégradations et à chacune de mes souffrances venues
mathématiquement de l’état d’amnésique, comme en assistant à cette période où
j’ai dû montrer comment à cause de toutes ces profanations on devient un
apprenti salaud, ce qui s’est progressivement (de même qu’entre 1972 et 1975)
passé – avant qu’un mouvement contraire ne s’impose de soi-même - cela a eu des
répercussions partout à chacune des fractions de seconde où j’allais donc devoir
canoniquement me mettre dans une situation que l’Ensemble sadiquement avait
exigé, en me contraignant à me faire à moi-même – donc à tous – subir les plus
grands torts et cela dès le début de l’amnésie qui devait m’amener à rencontrer
Michèle Finck de cette façon – puisque cela s’était passé ainsi – et celle-ci en
me cachant tout s’est donc comportée de façon sadique, (donc malade puisqu’elle
a voulu profiter de cette mienne amnésie et de ce qu’elle pouvait savoir de ce
que je pensais à son sujet alors que j’étais dans l’impossibilité même de croire
qu’on pouvait savoir d’une quelconque façon ce qu’une personne pense et dans
l’ignorance totale d’une quelconque salle des machines – elle a pu constater que
je n’ai pas fait semblant de me préparer à me marier avec elle après les
fiançailles qu’elle a orchestré – et nous savons que les causes de cette maladie
(le sadisme[77])
ont donc pour origine les répercussions de
Aussi Michèle devait comprendre un jour qu’elle-même, comme n’importe qui
« péchant », n’avait pu avoir le goût de pécher que seulement et uniquement
« artificiellement », donc d’une façon qui n’est pas naturelle, à cause d’une
amnésie (comme la mienne ou différente) - (ce qui signifie effectivement que
« pécher » n’est pour l’être humain accompli ou délivré de l’enfant-gâté
ou bien élevé, d’aucune façon naturel. Ce sont donc des habitudes de
profanes venues artificiellement à ceux-ci (comme n’importe laquelle des
mauvaises habitudes) et causées comme n’importe laquelle des maladies qui ont
chacune une origine, une cause. Le péché est un effet de la situation générale
bloquée (nous avions vu que l’esclavage ou l’enfant-gâté sont aussi des effets
de celle-ci) et comme c’est une sorte de drogue (l’esclavage aussi, etc.), il
est vital de s’en sevrer ou de se réformer car sinon on commence l’involution
dont nous avons parlé, au lieu d’avoir la chance de devenir un être humain au
plein sens de ce mot). Une première fois, entre 1972 et 1975, à l’état d’enfant,
j’avais pu montrer en m’utilisant moi-même comme cobaye, que c’est la mauvaise
éducation ou une éducation inappropriée qui est à l’origine des mauvaises
habitudes et des préjugés comme des attitudes mensongères mais aussi de
l’inconscience dont on va se montrer capables en contraignant tous les hommes et
les femmes conscients à intervenir de près ou de loin pour vous éviter le pire.
C’est en raison de cela qu’il y a quelques lois ou contraintes justes comme à
cause de cela qu’il y a la « bonne éducation ». La bonne éducation est
contestable mais le sera beaucoup moins une fois la situation débloquée car
logiquement elle changera et devrait être moins stricte, moins pénible ce qui
devrait plaire à tous ceux qui sont des mal élevés et des profanes. Pour
l’instant elle est aussi sévère que cela parce que la situation générale bloquée
l’a généré comme une nécessité pour tout gérer y compris la quantité de mal
élevés ou de profanes.
Ceux-ci ne savent pas faire la différence entre ce qui est officieux et ce qui
est officiel (puisqu’ils espionnent – c’est comme pour l’argent et la valeur
financière de chacune des choses puisqu’ils sont assurés d’avoir, quoi qu’il
leur arrive, de l’argent sale (des crédits
financiers usurpés (cfu), des crédits financiers escroqués (cfé), des crédits
financiers malhonnêtes (cfm), des crédits financiers volés (cfv), des crédits
financiers trichés (cft), des crédits financiers de criminels contre l’humanité
(cfcch))
(s’ils devaient manquer d’argent) – puisqu’ils
n’ont pas hésité dans le passé, pour cela, à « prostituer » leur sœur ou leur
frère. Ils n’ont donc pas le sens de la valeur des objets, ni de celle des êtres :
ils peuvent avoir devant eux un être exceptionnel ou une œuvre d’art
exceptionnelle et ne pas le (la) remarquer. Aussi ce qu’ils apprennent en classe
en littérature classique ou s’étant affranchie du caractère profane leur semble
artificiel).
Aussi on pourrait ici en conclure que l’argent ne sert à rien puisqu’ils font
chacun semblant d’en gagner honnêtement en occupant des places d’honnêtes gens
ou pour ressembler à ceux qui en gagnent honnêtement. Il y a de quoi désespérer
tous les honnêtes gens car, à cause de cela, ceux qui pourraient avoir une
chance de devenir véritablement honnêtes, parmi ces profanes, n’ont que
d’infinies difficultés supplémentaires à le devenir, voire ne pourront jamais le
devenir, puisqu’ils sont assurés de survivre ou d’avoir de l’argent par des
personnes devenues aussi malhonnêtes et/ou de mauvaise foi qu’elles.
D’autre part, quand on songe qu’en raison de cela, ils se croient permis d’avoir
des enfants, c’est à l’infini, sur chacun des atomes de leurs enfants, une
escroquerie qu’ils s’autorisent de/à faire. Il s’agit donc de péchés
supplémentaires. La saleté psychique qui en a découlé dans ces personnes touche
ici au paroxysme du possible comme du concevable : arnaquer leurs enfants. Ces
personnes sont donc totalement hostiles à elles-mêmes en se comportant ainsi
vis-à-vis de leurs enfants puisqu’elles ne vont pas être capables de les élever
que seulement mathématiquement en en faisant des sortes de maîtres chanteurs,
étant donné qu’elles mêmes le sont devenues et ont subi pareil outrage depuis
l’enfance de la part d’un entourage de personnes qui étaient indignes de tout
comme d’elles-mêmes quand elles étaient des enfants (certains sortis de l’état
d’enfants-gâtés, d’adolescent ou de profane au mauvais sens de ce mot). Ils
n’ont donc en fait dû consentir que contraints et forcés à devenir sadiques et
imposteurs y compris à pécher. Jamais aucun d’entre eux n’auraient accepté s’ils
avaient eu connaissance de leurs droits, dès la conception (ce que j’ai vérifié,
ils connaissaient chacun d’entre eux dès la conception, mais qu’ils ont choisi
d’oublier délibérément et avec préméditation pour se rendre coupables à l’infini
de l’infini sur chacun des atomes de leur personne, en étant de surcroit en
infraction pharaonique vis-à-vis des pharaons qui leur ont prouvé, en vérité,
qu’ils avaient bien ces droits, y compris celui de ne pas être l’objet de
chantages. Pourtant chacun d’eux a été violé dans ses propres droits. Cela fait
de ses devenus sadiques les masochistes qu’ils sont cette autre maladie dont
nous avons déjà dit qu’ils sont les auteurs. Chacun d’eux est donc en infraction
vis-à-vis de la femme ou de son mari légitime y compris de ses enfants. S’il n’y
avait pas l’humour chacun devrait normalement choisir de s’anéantir puisque la
situation s’avère donc faussée à ce point dans chacune des familles depuis le
commencement des civilisations).
Pourtant nous pourrions réussir à « rattraper le coup » ne serait-ce que pour
donner une chance aux générations futures. « Rattraper le coup » devrait
permettre de soigner Michèle Finck qui a donc été rendue artificiellement
celle qu'elle était durant les temps où à ses côtés j'étais profane, y compris désireuse de devenir une impératrice
(mais aussi avec des désirs bien légitimes d’en devenir une vraie)
qui ferait semblant de l’être (mais c’est – ce qui aurait pu nous arriver à
chacun d’entre nous - parce qu’elle s’est retrouvée coincée, petite fille, dans
un contexte local en question n’étant pas de ceux totalement conscients de
l’usage qu’on peut faire des sciences pour le grand bien de l’éducation des
enfants pour en faire ces futurs gestionnaires capables de résoudre tous les
problèmes de l’empire, en tenant compte des chiffres ou des paramètres
concernant aussi les compétences des uns et des autres, les initiés comme des
profanes – elle a donc été l’enjeu de chantages divers de familles ou depuis la
vieille salle des machines et elle a cru bon, petite fille, ou plus tard céder,
peut-être simplement par peur, comme chacun de ceux, qui ont cédé, en devenant
alors des égoïstes et des enfants-gâtés, et à ce sujet, ainsi, en se comportant
comme des sauvages ou des préhistoriques, primitifs et profanes, ne se rendant
pas compte de tout ce que l’époque exige, en toute cohérence, pour être digne,
par ailleurs et paradoxalement des millénaires d’efforts admirablement faits
pour le moindre des progrès y compris dans les sciences de l’art.
Les initiés à ces sciences sont donc devenus capables d’organiser nos vies
quotidiennes, en vérité, y compris la vie quotidienne des profanes, mais en
devenant handicapés pour chacune des choses matérielles ou manuelles à effectuer
puisque leurs cerveaux fonctionnant, en vérité, en conscience[79]
et qu’en raison des responsabilités qu’ils ont, ils n’ont plus le temps de
prendre du plaisir à réaliser ces choses manuelles à faire. C’est pourquoi tout
ce qui a pu se penser contre l’Etat et les serviteurs de l’Etat avait pour
origine des personnes devenues fausses, usurpatrices ou tricheuses, puisque ce
mot d’Etat est ontologiquement, consubstantiellement, intrinsèquement,
fondamentalement à l’origine positif comme s’est souvent montré capable d’offrir
les conditions de soigner, à travers des personnes remarquables à son service
bien qu’aussi au service de la sphère privée de leur existence, le plus
respectueusement possible les êtres humains d’une façon ou d’une autre. Les
serviteurs des Etats devraient avoir pour mission d’être d’abord au service du
public donc, théoriquement, enfin, à leur propre service. Mais comme partout des
personnes fausses ont essayé de s’infiltrer et de trahir l’idéal de l’Etat en
appuyant sur de calomnieuses conceptions cette notion d’Etat comme chacun des
corps de l’Etat cela fait l’objet de constants soupçons puisqu’il y a tant de
nombreux sons de cloches divergeant, au point qu’on se demande assez
régulièrement si l’Etat lui-même, ou n’importe lequel de ces grands corps sont
utiles à quelque chose, puisqu’il n’y a que menteurs, usurpateurs, tricheurs et
le corollaire qui y ont trouvé des places pour y « faire semblant » de
travailler et se conduire ainsi dans ces administrations à l’origine chacune
sacrées en profanes (alors que pourtant chacun des lieux a fait l’objet de plans
d’architecture, parfois complexes en diable, ce qui devrait normalement ne
permettre à aucun profane de s’infiltrer longtemps dans des lieux édifiés et
mesurés aussi justement que cela) de même que dans certaines des écoles sont
entrés des profanes pour y commencer des études qui devraient théoriquement
permettre à chacun de rejoindre rapidement les initiés dans chacune des
filières.
Ces profanes sont donc en permanence, en raison de leurs peurs, entrain
d’espionner car ils souhaitent en réalité être les premiers au courant pour
mieux être capable de « faire semblant » d’être au courant et de trouver tout ce
qu’ils espionnent normal puisqu’on trouve toujours normal ce qui est écrit sur
la copie du voisin qu’on copie avec admiration ou pas et en sachant qu’hélas on
ne pourra jamais avoir les connaissances de ce voisin tant qu’on copie,
puisqu’on triche et qu’on arnaque tout le monde. Mais pourtant le profane ou le
faussaire a besoin de la note pour passer dans l’année suivante, a besoin
d’argent pour vivre ou d’un métier honnête qui lui servira de « couverture » et
continuera à copier sans même essayer de comprendre (en définitive il aura vécu
une vie qui n’aura servi à rien, puisqu’il n’aura jamais réussi à comprendre ce
qu’il s’est pourtant ingénié à copier en le maquillant et en cherchant parfois à
présenter son travail un peu différemment ou parfois mieux que celui qu’il
copie. Il se pourrait qu’il y ait une partie d’eux qui désapprouve vraiment
d’être devenu des faussaires à ce point, d’autant que quand ils sont honnêtes ils
disent la vérité, qu’ils se savent nuls, ce qui désespère les autres qui disent
que c’est faux puisqu’au moins ils font semblant de faire un certain nombre de
choses honnêtement (et que cela compte). Il se pourrait que certains profanes
aspirent à ne plus « faire semblant ». Ils sont évidemment à encourager.
Mais ils se sont fait piéger par les préjugés et des coutumes traditionnelles de
personnes qui, mimétiques, en sont devenues dépourvues d’esprit au point que,
parce que la situation générale et sa logique me contraint à envisager plusieurs
impératrices rendues légitimes par ces éventuels mariages, certains d’entre eux
pensent que c’est don Juan ou le prince des pornographes qui, en ma personne, se
marie (ce qui n’est pas pour me déplaire, vous pouvez en être certain, si vous
me connaissez bien (peut-être une anti-phrase), d’autant que je demeure persuadé qu’il se pourrait qu’il est
possible de faire des choses ayant vraiment de l’intérêt en tant qu’œuvre d’art
dans ces catégories de l’érotisme ou du pornographisme – mais cela demande ici
d’y travailler à cette fin et peut-être en très grands artistes).
Comme quoi, l’Eglise va prendre un coup de jeune en m’autorisant de pareilles
noces et il n’y aura pas plus tolérante qu’elle (l’Eglise) dans ce cas
particulier au sujet de ce mariage pharaonique. Pourquoi ? Parce que dans ce cas
tout le monde a pu vérifier que je suis à chacun des instants qui passent de
nombreuses personnes différentes (c’est pour cela que je peux tout gérer et
m’occuper de n’importe lequel des problèmes qui concerne n’importe lequel des
êtres humains ou des Etats ou des régions ou des animaux si je dispose de toutes
les informations et si j’explore la question, c’est pour cela que je passe mon
temps à inventer des choses nouvelles dans chacune des catégories différentes.
Je suis vraiment multiple comme tous les universaux ont été multiples et je peux
avoir plusieurs femmes à cause de ce que la situation générale a généré à devoir
assumer) et c’est pourquoi en raison de cela, il est normal que je puisse avoir
des épouses différentes, d’autant plus que l’empereur est, traditionnellement,
le chef des profanes, c'est-à-dire des personnes qui n’ont jamais cru au mariage
et qui à cause de cela avaient des histoires avec de nombreuses femmes profanes.
Ces profanes étaient des inconscients et
ne savaient pas qu’ils pouvaient changer de statut en sortant de leur
statut de profane ou même à quoi leur vie pouvait bien servir en vérité (ce qui
a contraint les pouvoirs publics à faire un grand travail d’information au sujet
des droits que le mariage offre aux enfants nés légitimement de ces unions qui
résultent pourtant d’une situation faussée mais grâce à la contrainte du mariage
plus acceptable du point de vue des enfants qui ont des droits – les droits des
enfants - inhérents, ontologiques, consubstantiels, intrinsèques de même que
chacune des choses qui nous entoure a des droits et résulte des lois ou de
mesures ou de plans, donc de compétences et du génie de tout ceux qui ont été
copié à cause de cela par les profanes, les sacrilèges, les laïcs, les
ignorants, au mauvais sens de ces mots).
Personne n'est censé être au courant officiellement de ces mariages, mais il est
certain que les bruits courent dans le landernau des centaures, des satyres ou
des faunes, c'est-à-dire de tous les espions ou les profanes - alors qu’en
raison de cela, monsieur le Cardinal, je suis ici contraint de prendre la peine
de l’écrire car sinon ces personnes d’elles-mêmes ne seraient pas en mesure de
le déduire, rien n'est encore, vous pouvez bien l'imaginer « officiel » – il
s’agit des conséquences de ce sacrifice que l’Eglise et cette personne appelée
Dieu – dont je me suis effectivement souvenu en avril 2005, mais que mon
amnésie, à partir de la fin 1977, m’avait totalement fait oublier - m’ont
contraint à faire en 1965 et à renouveler en 1975-77 et que nous devons maintenant
assumer dans l’Intérêt et pour le Bien Général. La logique de la situation
devrait me contraindre à prendre pour épouse légitime plusieurs autres femmes
par la suite en plus des trois premières qui déjà m'ont posées un vrai problème
(au sens complexe et difficile de ce mot même pour moi) : vous n’ignorez pas les
préjugés des occidentaux sur la polygamie, ce qui a été confirmé, de longue
date, par les traditions ancestrales en la matière dans ma famille. Je suis bien
de cette région et la littérature vers laquelle j’ai incliné, comme ma culture
maternelle est celle de la monogamie. Aussi l’idée d’avoir plusieurs épouses
légitimes si elle ne s’était pas imposée d’elle-même en tant que
challenge pourrait revêtir une forme
de transgression (donc vous pouvez bien imaginer combien cela a dû m’être
pénible – c’est un mot faible - de surmonter mes aversions culturellement
établies à ce sujet et les préjugés qui s’étaient formés en moi – d’autant plus
de ces années où en amnésique j’étais devenu aussi profane que les autres - pour
arriver à passer par dessus et ainsi trouver la voie qui pourrait permettre de
retrouver l’unanimité perdue pour débloquer la situation (les profanes trouvent
normal d’avoir plusieurs histoires d’amour. C’est normal que Don Juan n’arrive
pas à se marier ou à se fixer car pour eux le mariage est une véritable
hypocrisie – effectivement, il pourrait paraître ainsi quand on est profane,
mais c’est qu’on n'est pas encore arrivé à penser qu’on va avoir des enfants de
l’autre ou même une descendance à cause de l’autre si différent, aussi les
amitiés entre sexes ou la vie en commun n’a pas encore de dessein[80]
– tout cela pour le profane célibataire est très loin de ses préoccupations y
compris de don Juan. Aussi le mariage n’a rien de naturel – ni de compréhensif
pour lui - puisqu’il est encore à l’âge où certains croient possible
papillonner : la condition normale pour ces personnes est de se sentir attirées,
à chaque instant, par une personne différente pour peu qu’elle revête à leurs
yeux un aspect sensuel. Ils ne sont pas difficiles étant donné que tout revêt
pour eux cet aspect sensuel : pas seulement l’homme ou la femme mais aussi les
animaux ou les objets. La vie n’est donc vécue qu’ainsi ce qui va contraindre
tous les autres à penser à leur place puisqu’avec cet état d’esprit on est
certes charmant ou même séduisant, mais on n’est plus capable de se rendre
compte des impératifs ou des devoirs. En effet, cela donne la mentalité de
l’esclavagiste qui va profiter de sa sensualité pour contraindre des personnes à
faire des choses pour lui, qu’il s’est rendu incapable de faire car il s’est
s'abandonner aux plaisirs uniquement sensuels et à la vie de don Juan qui profite
de tout ce que les hommes et les femmes de bonne volonté gèrent parce qu’elles
se doivent d’avoir des activités honnêtes étant donné les charges et les devoirs
qu’elles ont vis-à-vis de leurs enfants (en personnes ayant fondé des vraies
familles). Avec don Juan c’est la naissance du « macro », c'est-à-dire de la
mentalité du profiteur et de l’escroc, de l’immature, de celui qui contera sur
les autres pour élever ses enfants ! La constance dans les sentiments avec la
même personne – le propre de la monogamie - qui devrait pourtant leur permettre
d’aboutir normalement à des résultats, leur est devenue étrangère d’autant que
certains d’entre eux n’en ont jamais été témoin autour d’eux. Cette constance
leur est étrangère bien qu’ils soient constants l’espace d’un moment. Cela les
conduit toujours à oublier leurs devoirs et cela les mène toujours à devenir des
parents égoïstes puisqu’ils n’ont fait des enfants que dans cet état d’esprit
comme des enfants-gâtés encore prisonniers de l’égoïsme de ceux qui sont
devenus à cause de cela exclusivement sensuels et animaux[81]
en comptant sur le système et les autres, puisque cet état d’esprit, ils le
savent, ne permet aucunement d’élever des enfants (pour eux l’éducation relève
de l’école et non d’eux-mêmes – ils s’en débarrassent conformément à leur état
d’esprit, donc en faisant confiance aux professionnels, alors que normalement
l’éducation devrait relever d’abord d’une réflexion des parents sur la base des
leçons tirées des expériences millénaires en la matière. Ces personnes ayant eu
leurs enfants dans ces conditions exercent donc des contraintes d’enfants-gâtés
sur toutes celles de bonne volonté qui vont devoir se substituer à elles puisque
ces dernières n’ont pas voulu faire l’effort, avant d’avoir leurs enfants, de se
rendre capables d’en être digne pour en devenir les futurs éducateurs et/ou
formateurs et/ou maîtres, c'est-à-dire des exemples. De ce fait tous ces enfants
sont « arnaqués » – et c’est peu dire – par leurs contextes familiaux. Il n’est
pas étonnant que ces enfants soient demeurés longtemps des profanes répétant ou
voyant la vie comme leurs parents et n’ayant jamais pu, à cause de cela,
comprendre le monde de Dieu, comme celui de chacune des personnes de bonne
volonté partout à leurs service). Ceux-ci ne demeureront donc que des personnes
sensuelles qui rejoindront la quantité trop importante de personnes profanes
sourdes et fermées aux différentes formes d’amour autres que charnels. Tous les
amours spirituels leur seront mystérieux et les contraindront à faire semblant
de les croire possibles (voire ils n’y croiront pas). Cela les rend fermés ou
sourds à cette notion car n’en ayant pas encore fait l’expérience, ils n’ont de
l’amour que l’aspect profane sensuel et animal, incapables de comprendre ce mot
et ce qu’il engage autrement, bien que chacune des œuvres d’art (ou des œuvres
de l’esprit) y compris les diverses architectures religieuses, témoignent de
l’existence du spirituel: ils n’ont alors que le seul niveau de lecture profane
accessible, ce qui ne leur permet pas d’apprécier vraiment ce qui a été élaboré
pour eux par des personnes ayant eu accès à tous les autres états d’esprit y
compris aux sciences pour rendre possible ce qu’ils ne voient qu’avec des yeux
profanes. C’est pourquoi ils ne peuvent pas imaginer que les peines que je
prends pour réaliser légalement ces mariages puissent avoir d’autres desseins
que mes futures relations sensuelles avec ces impératrices alors qu’il n’est
nullement même certain qu’une fois marié je passe une seule minute dans un lit
avec chacune (car à l’heure actuelle compte tenu de ce que j’ai eu à vivre, je
sais que je vais en avoir pour des années à essayer de me remettre des
traumatismes nombreux que la condition de profane, artificiellement obtenue en
raison d’amnésie (comme pour chacun des profanes depuis la nuit des temps) m’a
causée comme dommages incommensurables, alors qu’en 1965 mais aussi à partir de
1975, j’avais celle commune à tous les initiés (mais en pensant que de tous ces
dommages, de tous ces sacrilèges commis envers ma personne, pourrait naître du
bien pour l’Ensemble ou permettre peut-être des changements dans le bon sens
chez des personnes qui étaient, sinon, condamnées aux pires des réincarnations
les plus abominables qui les attendaient sinon, est une suffisante belle chose
pour me donner la joie de vivre).
Ce n’est qu’à partir de 1970 (2010)[82]
que je suis arrivé à propos de mon mariage à trouver pareils solutions élégantes
en raison de la logique de cette situation nouvelle (pour la troisième fois)
alors que Dieu témoin, je me considérais véritablement coincé dans ma lettre au
Pape, puisque je n’avais alors pas d’autres solutions que celle d'annuler le
mariage de Christine...Lang (car il fallait absolument mettre un terme à ce
sacrifice inhumain incompréhensible par les profanes car relevant de
mathématiques cosmiques – c'est-à-dire liées aux milliards et plus encore de paramètres que l’Ensemble m’a contraint, tous les
jours, à calculer alors que j’étais en 1965 (ou en 1975) dans un endroit précis et que j’avais à me
concentrer, enfant, en plus, comme mes camarades, à mes devoirs d’enfant – vous
ne pouvez pas comprendre ce que cela a signifié pour moi, à chacun des instants,
comme supplice, d’autant que je ne voyais autour de moi que des personnes
totalement dans l’incompréhension de ce que cela peut signifier qu’avoir ainsi à
mouliner cérébralement comme un ordinateur du futur ayant à tenir compte de tout
dans tous les temps – comme je suis de nouveau obligé d’en tenir compte en ce
moment en vous écrivant. Mais j’ai pu découvrir que pour supporter un tel état
de difficultés, j’avais eu à faire auparavant une série d’efforts (qui allaient
venir – c’est paradoxale, je sais, mais c’est vérifié vrai) des plus difficiles
possibles inimaginables en ayant voulu, par amour au sens spirituel, peindre le
piano droit de Michèle Finck et un nombre important de tableaux qui sont devenus
des partitions abstraites – des tableaux-partitions – pour faire l’objet
d’interprétations ou d’improvisations dansées sur/avec ce piano peint ou un autre
quand j’étais entrain de me préparer (mais ne me sachant pas amnésique) à me
marier sérieusement un jour avec elle.
Aussi nous avons pu découvrir grâce à toute cette histoire comment nous avions
sauvé la planète Terre à partir de 1965, 75 et 2005. Cela nous a aussi permis de
redécouvrir de très très nombreuses choses exactes, pour la troisième fois, sur
le processus même de la vie des êtres humains y compris sur l’embryon (comme nous
avons eu la joie de redécouvrir le passage qui existe entre la vie profane et la
vie de personne débarrassée de l’enfant-gâté, l'adolescent, l'égoïste). Personne ne sait ce que j’ai été
amené à découvrir et à vérifier dans les détails à ce sujet, mais ce que je puis
vous confirmer c’est que, normalement, la position de l’Eglise ou d’autres
religions sur l’avortement est absolument juste et exacte, si les personnes qui
vont avoir l’enfant n’ont pas fait semblant de se marier (pour le Bien et
l’Intérêt Général) et sont chacune des initiées, donc appartenant aux personnes
de bonne volonté délivrées de l’enfant-gâtée en elles. Leurs enfants, leur vie
et la vie de leurs enfants devraient être sacrées
(pour tous)dès avant même leurs
respectives conceptions ou leur naissance. Par conséquent, chacun de
ces enfants devraient normalement bénéficier de considération et de protection
(j’ai vérifié qu’ils ne s’incarnent que seulement par charité pour l’Ensemble y
compris pour l’ensemble des profanes) puisque les autres sont des enfants nés de
profanes qui sont donc en chemin pour ne plus l’être, bien qu’ils soient les
enfants de personnes qui, si profanes, ont « fait semblant » de se marier (bien qu’elles
soient certaines, parfois même plus que les autres qu’elles se sont mariées, ce
qui est le plus drôle) ou qui ne se sont mariées que pour des raisons égoïstes
et en ayant comme objectif (quoi qu’ils s’en défendent – ce qui signifie le
contraire) d’arnaquer leurs enfants puisqu’ils comptent sur tous les enfants nés
des personnes étant chacune le résultat d’efforts, ô combien mesurés plus que
démesurés, pour être devenue de celles initiées ou bien simplement appelées de
bonne volonté ou maître en vérité dans l’une ou l’autre des disciplines ou
simplement de bon conseil.
A mon exigence de mettre un terme à notre sacrifice qui s’est révélé à ce point
incompris, Christine Lang (la première impératrice promise) s’était résolue à me
demander l’annulation de son mariage, bien que j'avais ordonné du futur son
mariage en 2007 (sur 1977), en raison du fait qu'il fallait absolument qu'elle
soit protégée, au moins à partir de 2005, par une personne qui jouerait mon rôle
à ses côtés (étant donné qu’elle est non seulement ma femme légitime, mais
mariée avec moi par Dieu qui a pu vérifier à ce sujet de nombreuses choses y
compris que j’ignorais totalement qu’elle fut
d’origine
aristocrate (cela je ne
l’ai appris qu’à un moment où Dieu l’a permis, ce qui prouve que c’est pour bien
d’autres raisons aussi qu’elle avait été choisie par Dieu pour être pressentie
en tant qu’impératrice légitime. Parmi ces raisons, j’ai compris qu’il y
l’Histoire de la création de
Mais certainement Dieu avait eu connaissance de la naissance de Christine pour
des raisons multiples et variées et justes que nous pouvons déduire. Tandis que
moi, vous pouvez imaginer, que tout ce que je venais de construire péniblement,
et c’est peu dire, avec Michèle Finck, s’était d’un seul coup écroulé – car
enfin j’allais comprendre dans les jours qui viendraient (en avril 2005) comment
tout s’était passé, à partir de la rupture de mes fiançailles avec Michèle
Finck, bien que Dieu me conseillait – mais je jugeais alors qu’il n’allait pas
bien et qu’il n’avait pas le sens de la réalité - alors de me marier avec elle
(ce qui était impossible, à ce moment là, puisque je commençai à être la victime
d’un des pires traumatismes sentimentaux qui, d’une seconde à l’autre, m’avait
révélé que Michèle Finck m’avait caché tout ce que j’allais effectivement
découvrir elle savait depuis 1965 et 1975 - ce qu’un fiancé amnésique ou un
futur mari, qui a prouvé continuellement qu’il ne cache rien à sa fiancée, ne
peut pas accepter – ce qu’elle avait pu vérifier, puisque j’ai déduit, à partir
de 2005, (peut-être à tort) qu’elle avait été continuellement tenue au courant de tout à mon sujet
puisque probablement disposant de l'accès à la vieille salle des machines). Mais le temps, et le recul,
ainsi que la distance par rapport aux évènements, comme la distance physique
d’avec les personnes (incriminées ou fautives de notre point de vue) - avec
lesquelles on a un problème - peut contribuer à bien arranger les choses
d’autant plus qu’on pourra disposer du temps pour analyser le plus justement
possible une situation qui, à chaud, sur le moment, pourrait conduire des
personnes sensibles à des actions regrettables, d’autant plus si elles
continuaient à être proches de ces personnes qui, en réalité, ont été menées à
mentir sur ces points précis pour des raisons diverses (peut-être parce qu’elles
n’étaient que profanes – c’est ainsi qu’on découvre qu’elles « faisaient
semblant d’être les organisatrices » puisqu’elles sont au courant de tout,
mais font toutes les erreurs qui finissent par les démasquer comme usurpatrices
ou tricheuses, etc.). Le temps et le recul peuvent faire apparaître ces
personnes de nouveau sympathiques (comme l’ensemble des profanes, des menteurs,
des tricheurs, sont à première vue sympathiques, puisqu’ils sont plus ou moins
inconscients donc plus ou moins fous[84]
au SPNM : au sens positif et négatif de ce
mot, voire, hélas, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s]
(dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))
En fait c’est parce que nous ne savions pas encore tout cela, à ce moment là, en
avril 2005, comme un très grand nombre d’autres paramètres qui allaient venir au
sujet de la situation, qu’à la lumière de ces nouveaux éléments apportés aux
dossiers, nous pouvons reconsidérer l’affaire, et l’ouvrir de nouveau, bien
qu’il ait été pourtant clos sur le moment, par cette rupture des fiançailles
avec Michèle, car cela découlait logiquement de la situation découverte (Dieu
avait beau avoir suggéré le mariage, c’était alors totalement impossible. Christine
ayant elle aussi suggéré le mariage avec Michèle en 2010, cela l’avait été
encore moins et avait même aussitôt abouti à la nécessité d’annuler le sien,
puisqu’en raison de tout ce que j’avais découvert, je comprenais devoir mettre un
terme à ce sacrifice maçonnique qui avait pour origine l’existence du « mariage » et de
l’anneau immaculé de mariage et qui a été déclenché et exigé par tous, parce que fait par
l’empereur et l’impératrice (réputé pour les empereurs précédents, avant mon
père, des profanes qui ont souvent fait semblant de croire aux dieux). Ce
sacrifice a donné naissance à des sortes de fusées invisibles – il s’agit en
fait pour schématisé de simples logarithmes – qui vont faire mathématiquement
faire exploser le soleil, voire même l’Univers entier d’autant plus de la
vérification absolue du caractère seulement éminemment sacrée de
Mettre un terme à ce sacrifice maçonnique
(bouddhique,
judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à
ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories
‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’,
‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de
ces cinq mots)
pour redonner une chance, en essayant de recréer
les conditions de 1965 ou de 1975 qui auraient pu nous permettre de rejoindre
cet univers où plus personne n’aurait eu à souffrir ni à mourir, puisque si on
m’avait alors rendu la vieille salle des machines et le variateur de la vision
d’Atlantide, nous aurions pu éviter tout cela avec Christine et Michèle, ainsi
qu’avec tous (nous étions encore enfants).
Si nous devions continuer ce sacrifice, il n’y aurait plus une seule chance pour
personne. Nous avons donc à cause de cela l’obligation de revenir sur ce
sacrifice : d’y mettre un terme, ce qui, pour les profanes, comme pour les
autres, signifiera un « happy end » (ce qui n’est pas vrai pour les initiés)
puisque pour les profanes se séparer d’une femme qui est la leur est devenu une
chose inconcevable, voire masochiste, en ayant oublié en parfaits incohérents,
fous et sadiques que de 1933 à la fin de la guerre, ils avaient cru cela
possible[85]
pour d’autres êtres humains qu’eux dont ils n’ont pas eu la curiosité de
découvrir les millions d’ouvrages ayant été fondateurs de chacune des
civilisations dont ils profitaient, n’ayant pas compris que dans l’unité ou le
point, il y a cette trinité et parfois plus et que cela donne un grand nombre de
figures géométriques qui en découlent sur chacun des points.
Aussi ils ne peuvent pas voir du sacré dans une séparation (bien que la nôtre
ait permis la poursuite de
Pourtant, il y a des séparations qui coûtent aux profanes : la séparation d’avec
une personne avec laquelle ils étaient heureux. Mais peut-être pas de quoi se
mettre à écrire les milliers de pages que j’ai été contraint à rédiger et me
contraindre à sauver
Mais ces larmes ont été converties en larmes de vrai rire car comment continuer
à vivre après avril 2005 sinon (en ayant vécu jour après jour 1965 et 1975 et en
ayant appris de Dieu que j’ai fait par le passé un certain nombre de
réincarnations – et elles seraient
chacune fondatrice et certainement ont contribuée à permettre qu’on arrive à
notre époque) en ayant appris tout ce que j’ai eu à y découvrir pour la
troisième fois (l’équivalent de milliards et plus
encore de bibliothèques aussi grande que la bibliothèque François Mitterrand -
que j'ai fait construire - remplies chacune des disques durs des plus
grandes capacités des savoirs que nous avons été contraint de traverser et de
prendre en compte tous pour, à chacune de ces fois, intervenir rétroactivement
pour éviter à la génération suivante de faire la même erreur que celle de leurs
pères et leurs grands-pères (vouloir se venger, par les armes, et à cause du
conflit qui en découlerait faire perdre à l’Ensemble des milliards et plus encore à l’infini de bibliothèques aussi achalandées de disques durs de
grande capacité (quand un seul contient l’équivalent du contenu d’une de ces
bibliothèques de livres physiques) un peu différente chacune, de savoirs et
occasionner ainsi des retards supplémentaires dans tous les projets intelligents
d’Intérêt Général (puisqu’il y a à reconstruire à chaque fois qu’il y a eu
conflit aboutissant à des ruines ou à des déserts, c'est-à-dire à ces pertes de
milliards de milliards et plus encore de bibliothèques en plus de toutes celles
que nous perdons tous à chaque instant qui sont infiniment plus nombreuses
encore – vraiment l’humanité est d’une inconscience très malheureuse et très
nocive pour elle-même – c’est le moins qu’on puisse dire).
Donc Dieu a pu comprendre les motifs pour lesquels j’ai voulu mettre un terme
définitif à ce sacrifice et c’est ainsi que Christine...Lang a exigé de moi que
je travaille à l'annulation de son mariage par le Saint-Père, ce qui allait
prendre la tournure qui finalement, ces jours-ci, est apparu celle qui a fait
surgir la troisième légitime épouse, elle aussi mathématiquement, étant donné
que toute cette histoire m’a ramené à des moments précis sur ce Chemin de Croix
de 27 années d’amnésie (sans parler de celui qui m’attendait à partir de 1965
tous les jours et celui à partir de 2005 – vous me direz que c’est normal les Chemins
de Croix, monsieur le Cardinal. Je vous répondrais que oui, mais pas en
multidimensionnel, multi catégoriel, multi alpha oméga, multi …, visibles et
audibles avant même d’y être et ayant à vivre ce qui n’avait été ainsi que du
virtuel et tout cela à cause d’un anneau immaculé de mariage pour une hypothétique
descendance en raison de l’existence de la conscience – vous comprendrez
pourquoi j’ai particulièrement de l’intérêt pour les profanes ou pour les chiens
et les chats, en me disant qu’ils ont bien de la chance comme les inconscients,
les fous
au SPNNM[.] : au sens positif et non négatif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô.
K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))
ou peut-être même Dracula : ils sont enviables).
Mais j'ai compris que sans m'en dire rien Florence Loewy s'était elle aussi
sacrifiée pour Michèle Finck, donc cela depuis peu, grâce à l’auto psychanalyse
auto réparatrice que je continue en même temps que j’avance dans le dossier
(vous en avez ici de certains moments), et cela a contraint celle-ci, comme vous
le verrez, à vivre en concubinage ou en union libre ou maritalement ou pacsée
( ?) ou autrement, car je ne crois pas qu’ils soient mariés légalement ni
civilement ni religieusement encore, avec une personne de laquelle elle a eu
deux enfants, que je considère depuis que j’ai eu très récemment – au cours de
ce mois précédent - à devoir reconnaître leur mère comme une des impératrices
qu’elle avait pu être, sans qu’alors je ne sache rien de l’empire ni même que
j’étais promis à un tel destin (j’étais amnésique). Donc une relation
d’adolescence, l’un et l’autre victime de la situation générale causée par
l’état de dégradation que les répercussions de
Les enfants de Florence Loewy sont de mon point de vue un peu devenus mes
propres enfants bien que je ne les ai qu’entrevus, dans l’état d’amnésique, par
conséquent d’inconscient et de profane dans lequel toute cette histoire m’avait
mené à devenir. Depuis les changements qui se sont opérés j’estime, par
conséquent, grandement, et avec admiration le père de ces enfants qui peut-être
un jour deviendra comme un frère.
Vous comprendrez que cela m'a porté à ne plus clore la porte, après la nouveauté
de ce chiffre de trois épouses, à d’autres supplémentaires d’autant plus qu’en
fait cela m’a, en fait, confirmé que j’ai bel et bien ce droit, en tant
qu’empereur, à toute les femmes qui sont normalement (du point de vue des
empereurs, quand ils étaient de ceux qui ne représentaient que la condition de
profanes, et qu’ils n’ont seulement joué que le rôle du diable, au sens où
celui-ci, mauvais, n’avait, en fait, que représenté l’ignorant, au mauvais sens
de ce mot, celui incapable de comprendre Dieu – j’ai vérifié qu’effectivement
qu’en tant que profane, on ne peut pas le comprendre sans être au moins obligé
de passer par une des religions officielles et le corollaire, ce qui exige
d’avoir un minimum d’instruction et de constance pour essayer de comprendre –
aussi il faut reconnaître que le profane dispose d’une honnêteté qui est celle
de celui qui est devenu menteur du point de vue de celui qui est initié au point
d’être de ceux pour qui Dieu est devenu d’une évidence qui touche à cette
« foi » qui est effectivement un mystère pour le profane. Aussi pour bien plus
ou moins que Dieu, le Grand Architecte de l’Univers – selon comment ils se
voient entre eux - on peut comprendre qu’on comprenne encore moins. Mais le G.
A. U. est néanmoins intervenu à plusieurs reprises tout au long de la dictée, à
travers le temps, (ce que j’avais signalé trente ans avant), y compris par un
très grand nombres de signes dans les heures, les minutes et les secondes de
l'horloge sur Internet qui n’ont pas encore d’explications scientifiques
pour moi, mais qui se sont produits régulièrement y compris très récemment, ce
qui ne nous fait pas douter du fait que l’évolution de ce qui se passe sur cette
planète, dans cette galaxie, ne soit pas l’objet d’attention très spéciale dans
les moindres détails y compris de chacun de ses électrons par cette notion de G.
A. U. que vous voudrez bien reconnaître, Monsieur le cardinal, comme le Pape,
puisque Dieu a pu, en ma présence, en vérifier l’existence : il y a donc bien
au-delà du Dieu (ce qui n’est pas incompatible) dans lequel vous croyez, en
raison très certainement de la cohérence de notre époque qui, avec la conquête
spatiale, a ouvert à la connaissance des profanes la notion de galaxie et
d’Univers, sur la plan scientifique, ce qui complique la situation).
Monsieur le Cardinal, la force des préjugés et des choses qui remontent à
d’autres époques est telle qu’avant d’être capable d’assumer pleinement ses
droits « ontologiques » - mais en réalité artificiels – car normalement il n’y
avait pas d’empereur quand la vieille salle des machines était à tout le monde,
par conséquent le monde était naturellement et fort heureusement sans chef, si
ce n’est la mère et la communauté des adultes qui apprenaient aux petits
(enfants), dans
l’état de nudité d’alors, à se débrouiller avec la nature environnante – il
faudra du temps. Chacun savait naturellement les lois, ses droits et il n’était
pas besoin, en ces temps là, où régnait une forme d’indifférenciation
de cérémonie particulière pour célébrer
les mariages de deux enfants qui s’aimaient « d’amour tendre ». Chacun faisait
ce qu’il y avait à faire pour aider tous les autres ou pour vivre lui-même et
personne ne songeait encore à tuer l’autre (personne ne songeait non plus à
faire des esclaves). Nous sommes donc un peu revenus à ce temps grâce à
l’abolition de l’esclavage et du servage (une maladie, comme bien d’autres nées
de la situation générale et des divers malentendus ou incompréhensions sur
l’être humain venus au cours de ces siècles, composés de beaucoup d’ignorants,
au mauvais sens de ce mot, en tout cas de tous ceux qui n’ont pas cherché à
penser en vérité et qui, au lieu de régner sagement, régnaient en abrutis ou en
personnes belliqueuses, c'est-à-dire en soldats, au mauvais sens de ce mot, qui
sont très souvent des ignorants (c'est-à-dire qui fonctionnent comme des
« planqués » ou des personnes qui ne cherchent pas à apprendre des
plus vrais métiers
et qui ont cherché à manger en s’infiltrant dans un de ces corps de l’armée, de
la police ou de la gendarmerie, non par vocation, comme les vrais soldats,
gendarmes ou policier ou des personnes exerçant ce métier de soldat pour de
vraies raisons, mais en faussaires et pour lâchement y trouver une sorte de
couverture officielle ou pour cacher leur passé ou des activités néfastes, comme
cela est un peu compréhensible dans Orange
Mécanique, bien que le propos de ce film du
réalisateur Stanley Kubrick soit tout autre).
Il faut souligner que l’esclavage qui a été aboli n’avait concerné que des
personnes n’ayant pas eu de scolarité et qui avait été fait parce qu’on avait
cru qu’elles n’avaient rien d’utile à faire dans l’Intérêt Général de leur
journée, là où, en ces temps là, on y avait pas encore vu, comme à notre époque,
grâce à l’honnêteté des recherches sur la vérité, des embryons de cultures
locale autochtones qui furent ethnographiquement étudiées par la suite. Aussi,
il s’agissait d’une façon de voir la main d’œuvre, à une époque donnée, où notre
façon de voir était certainement très rare et d’aucune façon compréhensible
comme parfois le sont encore, malgré la multitude de végétariens, cette pratique
alimentaire. Cette façon de voir la main d’œuvre, avec humanité et bon sens,
comme avec du respect pour la condition d’être humain même si profane ou
ignorant, au mauvais sens de ce mot, n’était pas encore celle que
Revenir à une situation créant des esclaves n’ayant pratiquement aucun des
droits que ceux que le déroulement et la progression de l’histoire avait fini
naturellement par leur offrir serait véritablement aller contre le sens de
l’Histoire : ce serait comme essayer de prendre une autoroute dont l’ensemble
des véhicules vont dans un sens, dans l’autre sens, et chercher à le faire en
moto, non pas sur la voie de secours, mais sur les deux ou trois voies
principales, de nuit (car de jour se serait difficile de ne pas se rendre compte
dans quel sens va la partie de l’autoroute où on est et on aurait eu une chance
de voir venir), en cette époque là, lointaine où on circulait encore très peu de
nuit sur ces axes routiers, et donc rouler droit vers l’accident qui est plus
que probable, puisqu’il y a de nos jours tous les camions et les chauffeurs de
camions du monde entier qui travaillent, salariés, et non en tant qu’esclaves
pour des entreprises privées, en étant payés. Ils roulent dans le sens où les
voies de l’autoroute ont été indiquées comme étant celles qu’avait
pris l’Histoire. Seuls de mauvais élèves ne comprenant strictement rien, ou
faisant semblant d’étudier en classe, pouvaient être capables de croire possible
de mener ainsi dans le sens contraire au bon sens indiqué par des panneaux
avertisseurs, le monde entier vers l’accident (en croyant le contraire) qui
était alors encore évitable mais qui a été inévitable puisque le chauffeur de la
moto, il y a deux empereurs de cela (en me comptant), adolph hitler, a voulu
profiter de la nuit pour encore mieux se tromper et rouler dans le sens
contraire (comme s’il avait voulu mener l’ensemble, dans une voie sans issue qui
menait inévitablement dans un mur, et cela malgré le fait qu’il en était prévenu
de tous les côtés, par ces personnes qui en le contredisant, l’insultait
peut-être de l’étranger, l’avertissait, lui disait la vérité. Mais ne comprenant
pas, il crut pouvoir les considérer ses ennemis alors qu’en lui disant de se
taire, on de ne pas faire ce qu’il avait l’intention de faire, c’était des
preuves d’amitié et même de très bons conseils à suivre qu’on lui disait, de
même qu’on est de nos jours prévenu qu’il vaut mieux être très préparés avant de
s’autoriser à prendre une autoroute, dans le sens contraire, en vélo, sans avoir
l’intention pour cela de rejoindre la bande d’arrêt d’urgence et en tenant
absolument à rouler avec son char impérial en plein jour au centre, contre le
sens des voies (ou de l’Histoire). Il est certain que si on prend l’autoroute à
un endroit où il y a peu de circulation (en rase campagne, loin d’une
agglomération) cela sera possible sans problème au moins quelques minutes, voire
plus, mais il y a des probabilités qu’on verra arriver en face, sur cette voie à
sens unique, des automobiles ou pire : des camions contre soi et son vélo, voire
sa moto ou le char impérial, d’où l’accident inévitable ou alors rejoindre à
temps la bande d’arrêt d’urgence et comprendre qu’il faut tourner et aller dans
l’autre sens pour reprendre la bonne direction). Ce qui est étonnant dans cette
métaphore, c’est que les allemands de l’époque, pour réussir économiquement dans
les années trente, ont voulu faire des autoroutes (en copiant celles des
américains) mais ils ne se sont pas aperçus qu’ils voulaient les construire pour
rouler, ou en roulant dans le sens contraire, pour lesquelles celles-ci avaient
été édifiées aux Etats-Unis et donc pour créer un énorme accident, et cela parce
qu’ils ont cru pouvoir ignorer chacune des différences génétiques, historiques
de chacune des personnes composant l’ensemble de chacune des sociétés humaines
et qu’ils ont cru pouvoir généraliser sur des bases infondées. En effet, on ne
peut jamais réduire l’ensemble des possibilités qui s’offrent à chacun des êtres
humains à ce genre de société excluant l’autre, parce que différent ou
incompréhensible, parce qu’il exprime une vérité qu’on ne parvient pas à saisir,
étant donné qu’on est « profane » dans celle-ci, c’est comme si on voulait
exclure tous les allemands, parce qu’on ne parle pas cette langue (ou parce
qu’ils se sont monumentalement trompés durant une période de l’Histoire) ou tous
les matheux, parce qu’on ne comprend rien dans cette matière, ou tous les
buveurs de cafés, parce qu’on n’aime que le thé. Il n’y a que l’enfant gâté, ou
l’adolescent, au mauvais sens de ces mots, qui sont capables d’exclure une chose
qu’ils ne connaissent pas ou sur lequel il n’ont pas assez réfléchi. Bien sûr,
il faut se garder de ce qui est nuisible et exclure des produits qui font du mal
à la santé, c’est pourquoi il y a des exclusions positives ou bénéfiques, comme
quand on a déterminé de façon certaine ce qui est mauvais pour sa santé ou pour
d’autres raisons. On se réforme alors et c’est pareil pour un état qui doit
accomplir des réformes pour ne pas s’anéantir ou une planète pour ne pas devenir
totalement désertique sinon (puisqu’on voit bien qu’il y a des causes ou du
moins des indices que celles-ci comporte ce risque en raison de la quantité
importante de déserts et de celle trouvée sur
Exclure l’autre, parce que différent (n’est certes pas un bon principe) devrait
nous mener chacun à exclure tous les
autres, car chacun est différent, à chacun des moments. Aussi ce n'est pas la
bonne solution. Ne pas comprendre que la
notion de chef ou de « maître » ne dépend que de savoir-faire, donc de
compétences véritables et de formations à acquérir, donc de progrès à faire, et
vouloir imposer des travaux manuels ou physiquement éprouvant à des personnes
génétiquement différentes qui portent de véritables cerveaux pensant (qui sont
de ceux qui se sont affranchis des travaux manuels répétitifs) et se sont investies
physiquement et intellectuellement dans des travaux qui requièrent ces réelles
compétences qui n’ont parfois été acquises que grâce à plusieurs générations
d’ancêtres pour permettre au moins à un des descendants de finir par être, par
exemple, le propriétaire légitime d’une pâtisserie familiale (ou d’une usine ou
d’une banque, ou d’un domaine viticole, ou etc.), c’est montrer à la terre
entière qu’on est plus bête qu’un âne. Reprocher que cette pâtisserie, pour des
raisons d’histoire interne, n’ait peut-être vu le jour, à l’origine, que parce
que le fondateur a été attentif à une ou l’autre phrase instructive provenant de
Par conséquent, on est encore loin de revoir Atlantide
(que j'ai eu à rebaptiser de mon nom de Granier ... Lang d'Ôz), Monsieur le Cardinal,
car une fois que j'avais réussi à surmonter le préjugé qui concerne le fait
d’avoir deux épouses[86]
c’est alors que j’ai compris que je pouvais y ajouter non seulement cette
troisième épouse (Florence Loewy) mais en fait, après, puisque le plus difficile
venait d’être fait[87]
(et parce que nous sommes arrivés à ce chiffre, à cause de tous ceux qui ont
exigé ce sacrifice contre notre gré) nous avons ajouté alors, avec humour,
quatre autres épouses virtuelles qui sont devenues alors possibles, en théorie,
et enfin (peut-être en raison de la succession des nombres premiers) après être
arrivé logiquement à 9, onze, treize à découvrir une des rosaces de Notre-Dame,
à vingt quatre (depuis nous pensons aux merveilles de certains plafonds arabes)
et puis enfin à toutes celles qui pourraient nous apparaître pouvoir être utiles
pour pacifier l’empire (et éviter des conflits)[88].
Bien sûr tout cela en théorie, car il faut pour que cela puisse advenir dans la
réalité pour être capable de surmonter ce que seuls peuvent réussir à faire les
grands acteurs sur la scène : cette habitude locale du mariage monogame. A ce
compte là, je retrouve ma situation d’empereur marié avec toutes les femmes du
monde entier, y compris les bonnes sœurs. Mais comme les chérubins ou les don
Juan ne sont pas appréciés des maris jaloux, je suis contraint de passer par des
voies officielles pour me marier, (pour éviter d’avoir des ennuis avec des
malades, qui pourraient être encore prisonniers des préjugés). D’autre part les
bonnes sœurs étant mariées avec Jésus Christ, je ne tiens pas à les lui prendre
(ses poules ou « cocottes » d’œufs de Pâques) bien que très nombreuses d’entre
elles aient eu du charme quand elles avaient des cheveux longs[89],
ce qu’elles conservent, d’une certaine façon avec leur long foulard ou tissu qui
cachent leurs cheveux (je crois qu’ici, nous sommes victimes du poids des
habitudes et de l’histoire, au sujet des cheveux. Ne croyez-vous pas, puisque
nous avons vérifié que l’essentiel est ailleurs? (Évidement cette phrase pour le
profane ne fait aucun doute, l’essentiel, pour lui est ailleurs que dans les
cheveux). D’autre part, j’ai compris que ces mariages ne vont avoir lieu qu’en
réalité seulement pour Michèle Finck qui est celles qui, en définitive, pose
depuis 1965 toujours le même problème : celui de la femme « profane » ou issue
de milieux profanes, ayant eu des problèmes avec la femme « initiée », sortie du
monde profane. Vous comprendrez qu’en raison de ce qui s’est passé, je caresse
l’espoir de faire, une véritable impératrice de
Michèle Finck. Quand ces personnes profanes sont attentives, elles
savent aussi se montrer respectueuses du mystère que celui qui est différent
d’eux revêt. Ils savent qu’ils ont intérêt à le considérer alors comme une
possible source d’enrichissement, puisqu’ils ont fini par comprendre, notemment
avec
Il y a donc indéniablement la tentation du bien ou de bien faire en ce monde[90]
et il ne faut voir l’appétit de chacun des profanes à devenir bons dans leur
travail qu’ils font que dans cette recherche légitime à faire parti un jour des
initiés, c'est-à-dire délivrés de cet état d’enfant-gâté ou d’adolescents
attardés, au mauvais sens de ce mot, voire de charognards. C’est donc souvent
plus par inconscience et maladresse et parce qu’ils sont devenus des égoïstes
incompétents qu’ils se sentent contraints de « bluffer », de mentir ou de
s’appuyer sur des choses qu’ils savent fausses, car ils cherchent à profiter du
fait qu’ils sont persuadés que ceux qui sont dans le monde de la vérité ne
savent pas ou ont oublié une chose, ce que ces derniers sont les premiers à
admettre, sauf quand ce n’est pas vrai, bien qu’à d’autres moment ils savent
que, dans la recherche de la vérité, il faut être prudent, car on peut avoir
oublié un paramètre ou deux, d’autant plus que cela se passe oralement et c’est
pourquoi quand on leur raconte un mensonge, ils sont capables de ne rien dire,
de ne pas le relever comme tel car pour l’instant ils n’ont pas encore eu le
temps de vérifier (ce qui donne à première vue l’avantage aux menteurs) - et
c’est pourquoi ces hommes de bonne volonté vont, avec considération, pour ceux
qui mentent, prendre les remarques fausses en compte, les considérer comme ayant
été affirmées comme vraies et se souvenir des auteurs les ayant affirmés en
menteurs, alors que celui qui a menti a déjà oublié qu’il a menti puisqu’il est
devenu inconscient et déjà irresponsable des conséquences qui en découleront
dont il ne se soucie pas, comme va croire possible s’en tirer, si on lui
reproche son mensonge, par un « je n’ai en fait cherché qu’à plaisanter »[91]
ou bien à présenter ces propos comme quelqu’un qui a appris à feindre pour
éviter de passer aux aveux ou être démasqué comme un imposteur – mais celui-ci
n’a pas cru devoir prendre au sérieux la vie, ni ne se souvient de toutes les
responsabilités à quoi elle contraint – peut-être n’ayant pas eu de bons maîtres
– et ce qui est étonnant ici, c’est que dans les jours ou les années qui
viennent la chose fausse est vérifiée comme telle, se révèle toujours comme
fausse, même si elle avait été prise pour de la vérité par tous sur le moment y
compris ceux qui sont de bonne foi – qui pour de nombreuses raisons n’ont pas
toujours le temps d’intervenir à temps et qui, souvent, craignent justement que
toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire –
tandis que quand une chose est dite fausse par ceux-ci qui sont dans le monde de
la vérité et qu’elle se révèle comme telle aussi, les profanes ne savent plus
les raisons ou le contexte qui, sur le moment, ont conduit cette personne à
mentir pour le Bien et l’Intérêt Général – aussi le menteur soupçonne l’homme
vrai d’être un menteur, quand il découvre qu’il a menti. Mais s’il devait
découvrir un jour les raisons véritables qui avait poussé cette personne vraie à
mentir[92],
il serait le premier à dire qu’il a bien fait. Aussi d’un côté il arrive qu’on
mente ou dissimule ou minimise pour le Bien et l’Intérêt Général ou pour éviter
que des gens n’aient peur parfois (en ayant à minimiser beaucoup plus encore),
et de l’autre aussi, mais c’est de façon égoïste, pour ne pas avoir peur
soi-même ou pour se défiler ou pour éviter d’avoir une chose à faire ou pour
mettre dans la tête de l’autre une chose fausse avec dessein de le tromper.
C’est pourquoi s’est avérée la nécessité de l’argent
(des crédits financiers propres et mérités de droit -
CFPMD) étant donné que sinon rien
ne serait fait avec ce genre d’état d’esprit qui est celui de ceux qui cherchent
à profiter des autres (ou à en faire le moins possible) comme à se défiler, donc
à tricher en comptant sur ceux qui, comprenant la situation, sont capables de
s’ajouter du travail, au point d’écrire milles pages, quand pour les autres cela
peut se régler en deux lignes – c’est qu’il arrive parfois qu’ils
trouvent le même résultat, sans avoir eu besoin d’écrire les milles pages –
c’est normal ils ont espionné celui qui a écrit les mille pages et trouvé le
résultat, donc celui qui s’est donné tout le mal et pendant ce temps là ont pu
se la couler douce ou s’occuper de faire avancer leurs affaire en ayant ainsi
pigeonné – de leur point de vue – celui qui, comme un génie enfermé en chambre,
arrive à démontrer un théorème ou trouver une loi juste et a pris, en sacrifiant
d’innombrables choses (que les autres s’autorisent) du temps pour tout cela –
c’est très injuste vis-à-vis de celui-là dont on profite de la bonté – cela ne
devrait pas être permis, d’autant plus que ceux qui ont le résultat ne se
souviennent pas des efforts de l’autre pour l’avoir obtenu et le lui vole ainsi
en se l’appropriant comme une chose évidente[93]
à eux – c’est cette mentalité qui a donc contraint à ce qu’il y ait de
l’argent entre les gens ou les peuples, car il est normal que celui qui fasse
tous les efforts pour trouver ces résultats, ou produire ou dessiner les plans
des améliorations à faire, puisse survivre avec sa famille d’autant que tous les
autres survivent seulement grâce à lui comme ingénieur ou peintre ou écrivain ou
poète (Léonard de Vinci, Michel-Ange, etc.), les autres ne s’intéressant
aucunement au bien être ou à la survie de celui qui est la tête pensante, le
maître ou celui qui enseigne. Aussi le véritable enseignant devrait disposer
d’argent (propre) pour survivre et enseigner à des personnes qui sont en grande
partie des ingrates puisqu’il s’agit de ceux qui, parce qu’ils sont ignorants
dans ces matières, l’ont contraint à faire des efforts importants pour se rendre
indépendant financièrement parlant, étant donné que ces étudiants (ou ces
élèves) n’auraient d’aucune façon veillé, d’eux-mêmes, à ce qu’il est de quoi
payer ses repas ou un logement ou d’autres facilités. L’argent est donc
nécessaire et n’a été inventé que parce qu’il y a des menteurs, des tricheurs,
des profiteurs, bref des gens inconscients qui ne voyant pas le monde vraiment
tel qu’il est (et à quoi il obéit comme interactions) seraient capables de
laisser mourir leur mère, leur père ou leurs frères et leur sœur (ou n’importe
qui) sans même se dire que, peut-être, ils doivent à cette personne âgée tous
les moments les plus beaux de leur existence (il y en a même qui parmi eux
pourraient trouver drôle d’avoir
dans la rue
à écraser Edison ou Marconi, alors
que sans ces personnalités, ils n’auraient jamais eu la chance d’entendre la
radio (et le corollaire de conséquences dans les communications) et ce n’est que quand on le leur rappelle qu’ils en conviennent comme
d’une évidence, alors qu’ils sont capables, en reprenant leur voiture ou leur
moto, de croire encore possible s’amuser à faire peur ou écraser une personne
qui, de leur point de vue, n’a pas respecté les signalisations routières pour
des raisons dont ils ne savent rien et croient même être dans leurs droit pour
l’écraser (c’est ici un certain état d’esprit alémanique que j’ai pu remarquer
en Suisse à plusieurs reprises et parfois en Italie ou en France)
alors qu’il se pourrait qu’il s’agisse
d’une personne qui a été amenée à traverser, alors que c’était interdit, pour
mille et une raisons valables, malgré l’interdiction, et qui plus est fait
partie des personnes qui ont permis ou vont permettre (car il peut s’agir
d’enfants en formation qui sont donc des virtualités) - comme n’importe quel
enfant pourrait se rendre auteur d’une invention capitale - à celle-ci d’advenir.
Ils croient drôles qu’un chien l’ai mordu ou que l’enfant se soit fait mal ou
ait des difficultés et au lieu de rire avec intelligence, vont avoir plaisir à
connaître ses difficultés ou même que l’autre, à qui ils doivent la photo, la
télévision, ou peut-être une très belle exposition de peinture ou des pièces de
théâtre ait eu ces difficultés ou ait été persécuté par d’autres vauriens (ou
des minables) comme ils ont cru, en ces époques là, pouvoir s’autoriser à le
faire sur un van Gogh ou avec des calomnies sur Picasso ou bien avant sur des
personnes comme Jésus ou ses collègues, comme autant de morsures ou d’injustices
comme celles qu’écope par exemple Jean-Paul Belmondo en tant qu’acteur et
cascadeur dans le film, l’Homme de Rio
ou d’autres personnes mises en difficulté par des personnes n’arrivant pas à
comprendre le point de vue de gens différents. Ces imbéciles se réjouiront par
exemple de dénuder ou d’humilier une personne ou qu’elle soit en difficulté
alors que l’enfant en question ou la personne est peut-être celle qui va
permettre à de nombreuses personnes de survivre (y compris à celles-ci). Vous
comprendrez que c’est inadmissible et que ce genre de plaisir ne peut être que
celui de personnes ayant acquis un état d’esprit malade puisqu’il est contraire
à leurs propres intérêts véritables. C’est donc cet état d’esprit profane qui
résulte de la situation qui était bloquée et de tous les malentendus.
Il s’agit donc de toutes ces personnes qui ne peuvent pas encore mesurer les
efforts que beaucoup de personnes ont fait au point de devenir différentes et à
cause de cela sont devenues, en vérité, les mots d’ingénieur, architecte ou
peintre ou juge ou roi ou d’autres fonctions qui, normalement ne peuvent
s’exercer qu’en conscience (et en vérité) comme les professions médicales (mais
hélas dans chacune de ces professions se sont infiltrés des charlatans, des
tricheurs, des menteurs, etc. , ce qui a contraint aux diplômes – comme pour
l’argent – mais il y a les faux monnayeurs et ceux qui ont eu des diplômes en
trichant (aussi), et parfois des personnes qui n’ont aucun diplômes (mais qui se
sont délivrées de l’enfant-gâté) sont plus capables que des personnes ayant des
diplômes, ce qui complique infiniment la situation. En général, ceux qui sont
très capables et qui n’ont pas de diplômes sont reconnus par leurs pairs qui
s’arrangeront pour lui donner le diplôme par équivalence, étant donné qu’il a
déjà un diplôme dans une autre matière – il est alors fait
doctor honoris causa ou obtient des
prix ou des reconnaissances. Avec les mensonges finalement découverts on
comprend qu’il s’agissait d’une excuse inventée sur le moment – rien de bien
grave - ou d’un canular ou d’une histoire fausse qui avait une raison d’être,
mais on s’inquiète que cette personne soit devenue sur ce point un menteur – peut-être
n’allait-elle pas bien à ce moment là et c’est alors que la personne qui avait
menti, s’il n’avait pas été déterminé sur le moment comme un menteur, se révèle
comme tel, démasquée, ce dont les menteurs en question n’ont peut-être cure, car
ils ont peut-être perdu à un moment donné, dans leur existence, leur sens de
l’honneur et avec le plaisir d’être considérés comme des personnes de bonne foi,
crédibles.
Même en ayant déterminé comme erronés, sur le moment, ces propos ou ceux de
personnes de mauvaise foi, ou n’ayant pas tenu compte des paramètres qui
auraient alors permis d’entendre la vérité, même s’il a le choix de traiter
l’autre en menteur, il préfère souvent « faire comme si » les remarques ou
l’histoire qu’il entend pouvaient être vraies, ne serait-ce que pour y réfléchir
avec plaisir, pour ne pas avoir à dire publiquement à l’autre qu’il est un
menteur, un tricheur, un usurpateur, etc. dans l’espoir, qu’avec beaucoup de
patience et de respect de la parole de cette autre personne, même si déterminée
inexacte ou fausse, la personne finira un jour par s’intéresser à la recherche
de la vérité – et à la vérité et pas seulement avec envie de l’utiliser pour
nuire intentionnellement avec préméditation, comme ces personnes affirment
cependant honnêtement qu’ils s’en servent (quand ils reconnaissent alors
périodiquement qu’ils sont « nuls », ce qui leur donne enfin une grande
considération de la part de tous. Cela a même contraint à créer une collection
de (modes d’emploi) « pour les nuls », étant donné que ceux qui sont dans le
monde de la vérité ne peuvent pas admettre qu’une personne se prétende comme
« nulle », puisqu’ils savent que ce n’est pas vrai et qu’elles n’est nulle
seulement qu’à de certains moments (ou tant qu’elle sera profane) dans certaines
catégories comme aux moments où elle ment, par exemple. Ils savent donc qu’elle
est capable, si elle apprend, de faire des choses utiles, au point de devenir un
jour réellement compétente en vérité et c’est pourquoi c’est très rare qu’elles
traitent de menteurs en public les personnes qui cependant mentent publiquement
ou même en tant que simples relations amicales (elles prennent comme principe
que l’autre a peut-être une bonne raison). Quand elles s’abaissent à traiter le
menteur de menteur, c’est qu’elles sont à bout, fatiguées de tout et de tous ces
mensonges qu’elles ont déterminé comme tels et/ou qu’elles ont perdu leur calme
ou leur patience (elles ont oublié que l’autre peut être présumé innocent).
Trop, c’est trop et elles se mettent en colère (mais cela ne dure jamais très
longtemps) ! C’est alors que celui qui a menti se réjouit d’avoir réussi à
produire la colère des « maîtres » et de se voir confirmé en tant que « nul » et
c’est alors que nous nous retrouvons un peu plus haut (sur cette invention du
masochisme) avec de nouveau « non, tu n’es pas seulement un nul, ne le croit que
là seulement où tu l’a été et tu sais très bien quand» et l’autre de dire
« qu’il l’est partout » depuis toujours, ce qui aboutit parfois à des pleurs.
Mais comme c’est encore un menteur (ou un profane), cela signifie aussi qu’il se
sait tout le contraire, ce qui va rendre la chose difficile à soigner, beaucoup
plus difficile, car en réalité l’autre est persuadé, à d’autres moments, qu’il
est le contraire – ce qui n’est pas mauvais en soi – mais quand s’est pensé par
un menteur, cela signifie le contraire et c’est pourquoi on s’inquiète, car la
dépression n’est pas loin et les larmes - comme plus haut - et même s’il admet
le plus honnêtement du monde qu’il a triché comme il n’a pas les bonnes
réactions qu’on doit alors avoir quand on l’admet, c’est qu’il triche encore
plus et qu’il dit peut-être qu’il n’a pas triché (pour l’autre qui est logique
comme quand il entend l’autre dire qu’il est nul) – il y a de quoi, pour ceux
qui sont dans la vérité, avoir de vrais problèmes – cela explique certains
cheveux blancs - ce qui va de nouveau réjouir celui qui en pose - le « nul » -
c’est bien la preuve alors pour tous les autres qu’il ne va toujours pas bien,
puisqu’il n’a pas la bonne réaction et c’est ainsi que se sont égrenés les
siècles et les millénaires, les uns ayant l’espoir que les autres vont finir par
avoir les bonnes réactions : en vain, sauf dans deux ou trois cas heureusement,
(ou peut-être plus), étant donné qu’il y a eu beaucoup de personnes vraies et
justes qui ont permis à tous de faire avancer le monde jusqu’ici, avec des
choses qui marchent vraiment, sauf quand elles deviennent nulles et qu’il faut
les jeter ou les donner à réparer. Quand cela arrive à des êtres humains, il
peut être intéressant pour lui de commencer à consulter un psychanalyste).
Je me suis dit que ces épouses pouvaient être, en définitive, plus nombreuses
que seulement trois – c’est vrai, c’est extraordinaire et je me répète, comme si
une partie de moi avait besoin d’en être encore convaincue, et c’est
certainement encore celle accrochée aux préjugés que ma vie m’a fait approcher
(connaître) et dont j’ai partagé les arrêtés, les normes, les conformismes (qui
se sont révélés mensongers dans mon cas), mais qui étaient de rigueur durant les
temps où j’ai été amnésique, ne pouvant encore me faire à cette idée ni même la
croire envisageable (mais en y songeant pour certains couples d’anciens
divorcés, je me dis que plutôt que commencer à se cacher « des choses
inavouables », cette façon de faire, transparente, qui est devenue la mienne, à
cause de la situation à laquelle l’Ensemble m’a confronté, aurait pu leur éviter
de nombreux problèmes, d’autant plus que, de nos jours, il y a des
femmes vraiment intéressantes avec lesquelles on a envie de se marier dès le
premier son de leur voix ou pour d’autres raisons (compétence, etc.) - ce dont
je dois tenir compte en tant qu'empereur – car il faut comprendre, monsieur le
Cardinal, comme il n’y avait qu’un seul sarcophage avec les empereurs empilés
les uns dans les autres, comme une poupées russes, il me semble que ce n’est pas
juste qu’il n’y ait jamais eu un sarcophage contenant une seule impératrice
« véritable », chacune ayant cru, par conséquent, pouvoir l’être (ou être
l’unique) - ce qui est absurde et impossible pour la légitime (ou la première
épouse) à moins qu’elle soit d’une époque « large d’idées » - l’empereur étant
un garçon, c'est-à-dire du point de vue des femmes autrefois (connaissant peu
l’être humain garçon ou homme et abusé par des préjugés à ce sujet), celui qu’on
va réussir à amener au lit pour « l’arnaquer » signifiant ou synonyme
d’« aimer», pour certaines de ces femmes qui, ainsi, ont réussi à escroquer les
enfants qu’elles ont eu, pour obtenir le confort qui allait avec en ces époques
où, c’était plus habituel que ce soit à l’homme de travailler pour nourrir sa
famille, puisque ces femmes s’étaient rendues indispensables en cuisine ou pour
le ménage, tradition et préjugés obligent – ce qui n’a jamais fait d’elles,
durant ces temps là que des femmes très peu instruites, puisque de telles tâches
garantissaient à vie un emploi ou à manger – en cuisine - le jardin d’enfant
n’était pas même requis).
Vous comprendrez une ligne inscrite plus haut, puisque nous sommes au courant de
cet état d’esprit qui régnait quand la femme n’était pas la femme instruite, la
femme indépendante financièrement, la femme autonome, la femme utile, la femme
véritablement artiste et qu’elle n’avait que ses appâts d’ignorante, au mauvais
sens de ce mot (comme au bons sens), pour intéresser son futur mari et lui
proposer de lui faire croire être pareil à une de ces véritables reines, saintes
et martyrs que la situation générale a pourtant plusieurs fois créé, mais qui
furent certainement capables d’accéder à ces fonctions que parce qu’elles
avaient été beaucoup mieux préparées à les occuper.
Vous comprendrez qu’en ayant plusieurs femmes légitimes, je pourrais avoir le
plaisir d’entendre des points de vue différents sur les dossiers qui nous
préoccuperont et qui sont déjà d’avance chacun de véritables tracas, puisqu’il
faudra trancher ou choisir le plus justement possible et en conscience, tout en
essayant d’être le moins pénible pour la condition de profanes qui, je l’ai
vérifié, est bien celle de ceux qui cherchent à en faire le moins possible et à
se défiler des responsabilités qui devraient pourtant être les leurs - du point
de vue de ceux qui savent que les mots en question qu’ils ont voulu utiliser au
point de s’en pourvoir en guise de métiers d’honnêtes-gens à exercer, par
exemple, mais cela pour couvrir l’ensemble de leurs activité profanes, parfois
illégales, (ou même illégitimes) et cela, vous le savez, avec des mots qui ne
signifient pas seulement qu’ils sont des mots privés de sens (pour « ceux qui
n’y entendent goute ») mais bien des choses bien plus nombreuses que celles
inscrites dans les définitions succinctes concernant ces activités. De nos
jours, grâce aux différents liens hypertextes, ils savent que, chacun des mots
qui sont utilisés pour définir les grandes lignes de leurs activités s’ouvre sur
d’autres mots et d’autres activités qu’il aurait été souhaitable savoir faire
dans le moindre détail avant de se permettre le luxe d’occuper ou de représenter
ces mots ou la place dans laquelle ils les font apparaître, chacun d’eux, en
fait, comme de vils usurpateurs, imposteurs, tricheurs, etc. , puisqu’ils sont
de ceux qui ont voulu se pourvoir d’un mot comme étiquette, sans en avoir
exploré tous les détails et toutes les charges de travaux, en menteurs ou en
personnes qui « font semblant », puisque les mots qu’ils utilisent ne sont pas
encore vivants pour eux, donc sont destinés à être profanés puisqu’avec, il ne
leur est pas encore possible de penser en vérité.
Durant mon amnésie, j’ai eu à vivre une situation anti-canonique canoniquement,
puisque nous avons finalement pu découvrir en 2005 qu’elle avait été mise au
point dès 1975 avec Dieu lui-même et que nous avions été contraints honnêtement
d’avertir d’avance les années 1975-82 de tout cela. Pourtant, ce qui s’est passé
durant vingt sept ans de 1977 à 2005 va me laisser des séquelles graves
(l’ensemble de mon auto destruction de 1977 à 1990 en étant victime, comme
chacun des profanes, depuis la nuit des temps de cette état d’amnésique, sans
lequel on ne peut devenir un profane, un sacrilège, un laïc, un athée, un
ignorant, au mauvais sens de ces mots, correspond, en simplifiant très
schématiquement, à une pente qui m’a mené (l’empereur cosmique universel et …) à
1995 (le moment où on m'a mis dans le sarcophage des empereurs), même si, à
partir de 1987-89, j’ai continué à faire des choses positives. Normalement,
depuis quelques temps, l’ensemble des profanes doivent enfin avoir compris que
s’ils sont devenus aussi tricheurs ou menteurs qu’ils le sont, y compris comme
leurs ancêtres et leurs enfants à ce sujet, ce n’est que seulement parce qu’ils
ont été atteint chacun d’amnésies ou d’effets d’amnésies de même nature. C’est
l’état obtenu à cause de ce type d’amnésie qui les a rendu pareil à des
fous
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô.
K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), puisqu’à cause de cela, ils n’ont jamais pu comprendre Dieu, les
religions ou bien d’autres catégories scolaires, puisqu’ils ne se sont
spécialisés alors, par esprit de contradiction, obtenu en prime, que dans ce qui
pourrait nuire à tout ce qu’ils ne pouvaient plus comprendre, mais que les
autres comprenaient (aussi dès qu’ils pouvaient bêtement faire une chose néfaste
pour eux-mêmes, ils étaient candidats). C’est ainsi – on peut le déplorer et
inscrire ici « malheureusement » - tous en conviendront - qu’ils se sont
éloignés chacun de la vérité, et qu’ils ont commencé chacun à se spécialiser
dans le mensonge et le corollaire de péchés, ce qui est véritablement criminel à
leur propre égard (envers eux) ! C’est ainsi que chacun d’entre eux est devenu
nuisible à soi-même. Nous avions déjà montré entre 1972 et 1975 comment un
enfant devenait un mal élevé, parce qu’il a une amnésie, perd la boussole, perd
le sens que peut avoir l’existence à cause d’une amnésie, même quand on
l’observe en vérité comme un cobaye. Nous déplorons et avons constaté avec
beaucoup d’inquiétude qu’ensuite, malgré cette démonstration (qui aurait dû
amplement suffire), nous ayons été contraints, par l’Ensemble, de montrer
comment, à un autre âge, un jeune homme, puis un homme, se perd, et comment
celui-ci, parce qu’il est une personne de qualité, vraie et honnête au fond
(comme normalement chacun de nous) retrouve le chemin de l’honnêteté véritable
qui se révèlera avoir permis, à partir d’avril 2005 de sauver
Donc nous découvrons que ce droit d’avoir plusieurs épouses est un droit
impérial que mon père l’empereur Jean-Luc Granier avait, (et dont je n’ai rien
su), et rien qu’à cette idée qu’il ait pu avoir une autre épouse que maman, il y
a en moi (d’autant plus des innombrables efforts faits pour vaincre mes
préjugés), l’idée que cela lui ait été possible, bien qu’en me plaçant du point
de vue de ma mère, par rapport à son époque et ce que je sais d’elle[94],
je ne puis l’accepter. Est-ce que ce sont des préjugés ou est-ce que c’est en
raison de l’anneau de mariage de mes parents, comme du mien avec ma légitime
depuis 1965 ? D’un autre côté, j’ai bien toujours eu enfant le sentiment que
chacune des femmes était ou pouvait être ma tante ou ma sœur et c’est pourquoi
je comprends que des jeunes garçons puissent avoir à propos de l’idée d’une mère
une idée plus vague.
Tandis que pour moi, il faudra que je me fasse à l’idée que chacune d'entre ces
futures impératrices pour l’instant virtuelles épouses (de l’ordre du probable
mais aussi de l’improbable) – vous voyez
à quel point j’y tiens - puissent avoir
un caractère sacré, donc délivré du profane qui est une dimension que je ne
renie pas puisqu’elle est en commun à tous, y compris au non-profanes. Pourtant
chacune des impératrices ou chacune des femmes a peut-être donné son âme au
diable, c'est à dire à l’empereur (encore moi) par conséquent, et sans être pour
autant mariée était déjà (ma) femme bien qu’à un ou d’autres que moi – une chose
que j’ai des difficulté à admettre puisqu’il n’y a pas si longtemps que cela je
ne pouvais pas envisager le mariage autrement que de façon monogame, bien qu’en
y repensant, après tout, pourquoi pas ? (Mais entre l’hypothèse de travail et
concrétiser cela dans la réalité, après ce dont l’Ensemble nous a contraint à
être la victime, c’est une chose pour laquelle vous comprendrez certainement,
qu’il soit en fait, pour y mettre un terme, beaucoup plus facile et enviable de
choisir d’entrer dans les ordres - la vie monacale – ce qui est, en fait, la
mienne depuis 2005 (1965 et 1975) en ayant eu non seulement à refaire en chaire
et en os mon auto-psychanalyse publique – dans le ciel, tout en ayant à faire
les courses, à me faire à manger, et à être en abstinence y compris de vacances
durant ces huit années, comme en travaillant en moyenne quinze heures – en
minimisant – par jour - dans cet état de multi-dimension, un peu spéciale qui me
rend visible et audible dans le ciel dans le passé.
Et vous comprendrez que si je vous écris aussi, c’est pour que vous vouliez bien
appuyer de votre côté, autant que faire ce peu, du poids de l’Eglise, ma demande
à Monsieur le Président de
Mon père devait donc devenir empereur et nous avions une voiture qu’il était
seul autorisé en tant que mon chauffeur particulier, lui l’empereur, aux très
nombreuses casquettes différentes, à conduire, à ma place, puisque malgré le
fait que je savais conduire dès l’âge de deux ans et demi comme je savais
prendre l’ascenseur tout seul, je n’avais pas, du point de vue de certains
adultes (à cheval sur des règlements qui pourtant s’adaptent au cas par cas)
l’âge requis et alors que tout ne fonctionnait que grâce à ma présence
(d’empereur cosmique universel et …), j’avais à l’époque, en plus de mes
activités scolaires, non seulement cette époque-ci déjà à gérer depuis là-bas, mais
l’ensemble des précédentes au mieux du possible, en n’ayant que ces moyens du
bord, extrêmement limités qu’on offre aux enfants, des moyens en réalité de
spartiates et d’enfants jouant aux indiens et aux
cow boys à d’autres heures, tout en
cherchant à éviter le pire de là où j’étais aux années futures (c’est ainsi
qu’on m’a retrouvé souvent dans mon lit endormi en position de poirier, en
tenant debout les pieds en l’air, et j’ai fini par comprendre récemment, que
même la nuit, je continuais à travailler et à « tenir le futur », car c’est
probablement de là-bas que j’ai été amené à peindre le piano droit, y compris
les tableaux-partitions (je faisais donc des efforts incommensurables (durant mes
nuits de sommeils) pour l’Ensemble au point qu’on me retrouvait parfois en pleine
nuit tenant en équilibre la tête à l’envers et les pieds en l’air – c’est ce
qu’on m’a dit car si je me souviens d’une seule fois, les autres fois mon
entourage avaient cœur de me coucher de nouveau normalement. Mais personne ne
voulait comprendre alors que le simple déplacement d’un seul de mes pas de petit
pharaon, s’il était l’objet d’un quelconque ennui (et Dieu sait si constemment
je n’ai eu que des problèmes en classe ou quand je faisais du vélo) bien que
difficile à faire dans mes dimensions pantagruéliques me
renseignait un peu sur les catastrophes mondiales du passé ou déjà du futur.
Aussi, vous comprendrez que ce nouveau déménagement que l’Ensemble a cru bon
m’infliger en étant tous devenus totalement inconscients comme cru pouvoir
exiger de moi (sans que je puisse obtenir ce dont j’ai besoin et sans personne
pour anticiper mes besoins – puisque personne n’a pensé que ma personne
impériale obéirait à des nécessités particulières, ce qui m’a contraint à
intervenir pour assurer du moins le minimum des besoins qui seraient les miens
en ayant à dicter, en légitime défense ces prouesses à accomplir car sinon il
est vraisemblable que je n’aurais jamais pu rejoindre la virtualité salvatrice
que j’avais été (en virtuel) et qui s’est révélée absolument indispensable non
seulement pour sauver la planète, mais pour me permettre de me soigner de ces
vingt sept ans d’amnésie sans lesquels je n’aurais pas pu réussir ce tour de
force – au sens véritablement cosmique et ayant peut-être à voir aussi avec
« l’éternel retour » lui-même). C’est particulièrement grave pour l’Ensemble de
ne pas comprendre qu’une personne comme moi, que chacun voit avec ses propres
yeux[95]
dans le ciel
et qui a prouvé à quel point elle est différente de toutes les autres[96]
comme qui a des milliers (pour minimiser d’inventions à son actif – ce qui
signifie qu’elle fait vivre des milliards de personnes tous les jours) soient
contrainte de perdre du temps à les rappeler ou à rappeler ce qu’on lui doit
pour obtenir ce minimum auquel tous savent qu’elle a légitimement droit, si
chacun devait être dans sa peau (puisque cela découle des lois) et c’est
pourquoi j’ai le sentiment que bien des personnes ne sont pas à leur place y
compris celles qui auraient dû, face à un tel évènement, faire en sorte que la
personne puisse trouver des moyens adéquats pour être à la mesure d’une telle
personnalité (de même que tous les chefs d’Etats sont assurés d’émoluments ou
chefs d’entreprises). Aussi ces personnes là au courant, comme tous ceux qui se
sont vus nommés du futurs et étaient même assurés d’avance d’être encore en vie
jusqu’en 2005-2008 ou même après, n’ont pas eu l’attitude que naturellement ont
doit avoir vis-à-vis de celui qui nous donne une nouvelle aussi rassurante (qui
va par exemple rassurer des personnes qui sinon pourraient être de celles qui
ont peur tous les jours étant donné qu’on ne sait pas ce qui peut arriver). Je
crois que rien que cela, sans parler du fait que chacune, depuis 1965, me
devrait sa vie et une partie de son salaire en raison de cette assurance que
tous ont eu qu’il n’y aurait pas de conflit nucléaire jusqu’à fin 2017, au
moins, aurait dû en tirer des conséquences pécuniairement, ne serait-ce qu’en
ayant le soucis de mon bien être matériel et celui de ma maison. Non, au lieu de
cela, l’Ensemble, totalement irresponsable (conscients comme les inconscients) a
voulu que ce sacrifice advienne dans la réalité et m’imposer autant de peine et
de souffrances d’autant plus injustes qu’ils n’avaient reçu que des preuves
d’amour et de considération même si l’ensemble dans tous les temps n’est qu’une
plage (et ici parce que je donne encore du poids et que j’exagère car il y a
tous ceux qui ne sont plus que de la poussière et qui suivent des courants d’air
(pourtant j’étudie la poussière, elle constitue une réalité et elle est parfois
utile dans certaines mises en scène / images). La question qui se pose alors pour chacune
de ces poussières, la plupart du temps invisible, car pour que ces grains de
poussière soient visibles ou se montrent il faut qu’il y ait les conditions pour
cela, est comme pour chacun des grains de sable, comment réussir à devenir un
véritable être humain ou un véritable artiste. Et croyez, monsieur le Cardinal,
que tout ce que nous mettons au point depuis des millénaires comme gadgets
aurait dû les aider à cela y compris toutes les occupations ou activités que
nous avons créé. Aussi, il est particulièrement réjouissant d’avoir eu tant de
grands hommes, mais qui sont souvent inconnus par chacun de ces grains de sables
ou de ces poussières qui de l’amas où elles se trouvent accumulées ou de la
plage croient, en raison de leur cerveau qui ne fonctionne plus, que ces
personnes qui sont ces créateurs ou ces maîtres leur ressemblent. En effet,
comme je le disais plus haut, ils ne peuvent plus voir le monde qui les entoure
qu’avec des yeux de poussières ou ceux de grains de sables – si ces deux choses
pouvaient avoir des yeux, ce qui n’est pas possible à moins que ces grains de
sables soient aussi des yeux (en Poésie, en image de synthèse) - ce qui est respecté par
ces créateurs tant que ces éléments ne sont plus gênants pour l’Ensemble et les
virtualités dont hélas aucun d’eux n’a conscience que seuls ceux qui sont
devenus des artistes universels).
Hors tous (ces pépins) comprennent qu’ils ne voient devant eux qu’eux-mêmes avec
ma personne (puisqu’ils sont incapables d’être à ma place ou de s’y mettre) et
tous comprennent que j’ai cette dimension qui à première vue sur place n’est pas visible mais qui a été
visible (est visible), il y a quarante et trente ans[97].
Aussi je vous prie de croire qu’en raison du caractère exceptionnel de celui que
je suis, je crains qu’en me créant de tels outrages (même de façon involontaire
et peut-être même pas avec le dessein de me nuire car sans avoir été capable de
se mettre dans ma situation, il se pourrait que ce qui m’est imposé comme peines
que j’ai depuis 1965 ne soient pas très intelligentes et qu’il y ait des
répercussions des moindres problèmes que j’ai et c’est pourquoi je vous prie de
faire en sorte que je puisse continuer à faire ce que je crois bon devoir faire
pour faciliter le travail des anciens dans la cuisine des années 1980 et 90,
voire 2000, si on me contraint, comme je le pense, par acquis de conscience
général, à vérifier intégralement ce cas de figure qui s’est produit en réalité,
il y a quarante et trente ans, mais cette fois-ci, avec tout le monde en chair
et en os – ce qui le confirme alors qu’il n’était que virtuel – et si vous avez
été tenu au courant de mes proportions dans le ciel par tous ceux qui en ont été
témoin à partir de 1975, tous les jours, à Rome, durant ces miennes
communications qui était alors virtuelles et en cette sorte de corne d’abondance
que je fus jusqu’à au moins 1982 – vous comprendrez qu’il serait souhaitable
pour tous qu’on commence enfin, en raison de mon âge – j’ai plusieurs milliards
d’années et peut-être plus encore – même si à première vue j’ai l’âge que les
gens me donne – à songer à me faciliter mon travail et mes mouvements - car,
comme je vous l’ai dit, depuis novembre 2012, j’ai déménagé, et en raison de
cela je me suis contraint au moins quelques mois à m’occuper un peu de la suite
à donner à ma vie privée après de telles découvertes – comme à réfléchir à la
suite à donner à tout cela. Vous comprendrez aussi que si bouger pour un
sumotori est difficile, celui que je suis, même si « à première vue »
pour certains n’est pas spécialement imposant, est, en réalité, aussi celui qui
permet, en ce moment, à tous les
sumotori des temps passés, ceux de notre époque et du futur, de
bouger les uns en ayant la victoire, les autres en ayant leur juste défaite,
comme les mouvements de bien d’autres personnes ayants d’autres activités – en
fait de tous – en tout cas, en ce moment, toutes celles d’il y a trente ans et
d’il y a quarante ans (dont ma personne elle-même qui, dans chacun des endroits
où elle est en ce moment, sur ces différents points, nous permet aussi à chacun
de « fonctionner »).
Bien sûr, je bouge facilement (de mon point de vue – mais si vous étiez à ma
place, dans mon corps, vous ne pourriez pas le supporter d’une seule fraction de
seconde, car ce n’est pas humainement acceptable. Mais en tant qu’empereur-bouddha
les Hermès les Trismégiste et les trois petits points
alors je suis forcé de le supporter pour le Bien et l’Intérêt Général – ce qui
est particulièrement injuste[98]
- mais, à la longue, je suis devenu très à l’aise dans mes mouvements comme
quand je l’étais déjà devenu il y a quarante cinq ans, à l’âge de cinq ans
(j’avais mis deux ans et demi pour me faire à cet état plutôt très différent de
la plupart des autres enfants, puisqu’il me faisait intervenir quarante années
après d’avance, en virtuel, tout en étant à première vue un enfant comme les
autres), à mon arrivée à Rome, mais je crois que cela soit néanmoins encore
discutable, suivant les moments (mais cela devrait s’améliorer dans les années à
venir – ce n’est qu’en raison de la proximité de ces points fœtales).
A l’époque j’avais exigé du futur une voiture pour mes déplacements – ceux de ma
famille le dimanche et pour mon père, car il fallait qu’il se rende à son
travail étant donné que travailler c’est bon pour la santé et à l’époque les
bureaux, loin des appartements, cela permettait, au moins, d’avoir une bonne
excuse pour quitter le domicile). Donc il me fallait une voiture car il était
important de visiter le Latium,
Dans l’état où j’étais, en arrivant à Rome, il a fallu du temps pour
que j’arrive à aller tout seul en autobus à l’École, en ayant quotidiennement à
traverser quatre fois par jour Rome (environ trente à quarante cinq minutes de
transport en commun) et en changeant d’autobus. Personne ne se doutait alors que
le moindre de mes mouvements avait une répercussion – moi non plus, car
j’ignorais alors être pourvu d’une telle taille dans ces autres dimensions
imperceptibles par ceux qui n’en ayant pas ne peuvent imaginer qu’il y a ceux
qui en sont pourvus – nous l’avons dit (j’ai toujours pourtant su, fidèle au
dicton, que les
battements d’ailes d’un papillon aperçu dans une ville au Japon, par exemple,
voulait dire quelque chose). Pensez : n’importe quel roi ou empereur a le droit
d’entretenir du personnel et a le droit à des facilités pour se déplacer, quand
il en a besoin, puisqu’il est au service du Bien et de l’Intérêt Général et je
n’ai que ce que la situation m’a réservé jusqu’ici (injustices) alors que tous
me doivent tant (c’est comme si monsieur Eastman ou d’autres grands hommes
n’avaient pas pu obtenir les moyens pour développer leurs projets d’Intérêt
Général, alors que si je regarde en arrière sur les trente ans passées, toutes
les constructions n’ont pu advenir que seulement grâce à cette histoire
fantastique, y compris la création d’Internet et des ordinateurs ou des
téléphones portables ou des GPS comme la station orbitale et tout cela en ayant
à souffrir avec mon frère si longtemps d’être parmi les plus pauvres et les plus
injustement traités (évidement, je n’ai pas pensé cela tant que j’étais profane
et amnésique car je ne savais pas encore ce qu’on me devait, mais depuis avril
2005 et surtout vers 2008, j’ai trouvé que ne voyant rien venir, j’avais le droit
de m’en plaindre et de réclamer mon dû comme ces émoluments et des dommages pour
les préjudices subits, y compris pour les impératrices y compris, dans une
certaine mesure, si c’est possible un jour, pour Michèle Finck. Mais il y a
d’autres personnes qui méritent d’être dédommagées pour de véritables préjudices
financiers et qui ont été outragés par l’ensemble comme mon frère ainé qui a été
contraint aussi de sacrifier, avec sa légitime épouse, sa famille, puisque
j’avais su enfant, qu’il était promis à la descendante du docteur Munthe comme
époux dans ce cadre de Construction de
Il serait donc normal que compte tenu aussi des dimensions dont tous ont pu
prendre connaissance, ne serait-ce que pour la sécurité générale, je puisse
avoir (ainsi que les personnes que je désignerai) au moins ces mêmes droits
matériels que ces personnalités de haut-rangs pour pouvoir me consacrer à mes
diverses recherches dont tous ont compris qu’elles portent sur d’innombrables
centre d’intérêt (ne suis-je pas empereur cosmique universel mondial
international, pléonastique parfois et … y compris le patron de la médecine,
(car bouddha) depuis que tous étaient au courant d’avance de mon avènement
trente ans au moins avant qu’il n’advienne, dans la réalité elle-même et n’ai-je
pas choisi comme Le Corbusier ou d’autres (Mohamed Ali) à partir d’un certain
moment ma nouvelle identité de pharaon
avec celle
d’Hermès Trismégiste et …
[100]? N’ai-je pas le droit au moins de
disposer, d’un train de vie qui pourrait permettre à des lieux de
connaître la vie (puisque je l’ai sauvée) en entendant des rires d’enfants ou en
ayant le droit de meubler des moments d’intimité avec l’une comme les autres des
impératrices choisies (voire celles qui pourraient avoir cette chance de devenir
chacune un point d’intérêt pour ces enfants à former ? D’autant plus que tous
ont pu vérifier qu’ils me doivent chacun leur existence et chacune des bonnes
choses dans cette existence là, y compris tout ce qui permet à chacun d’avoir de
quoi survivre (tous ayant compris qu’ils doivent leurs ennuis à ceux qui ont cru
pouvoir augmenter le prix du pétrole contre notre avis (médical) ? N’ai-je pas
acquis non seulement depuis 1965, mais de nouveau depuis 1975, à cause de ce
sacrifice le droit, avec ceux qui sont concernés, d’avoir des compensations
matérielles et n’ai-je pas le droit, à titre privé, de disposer enfin des
pourcentages de chacune des entreprises que j’ai créée (et Dieu sait si elles
sont nombreuses dans tous les domaines – il y a toutes celles en informatique,
toutes celles en robotique, toutes celles en astronautiques, mais aussi toutes
les lignes de train en Chine, en Afrique, ainsi que les autoroutes, etc.) grâce
à ces interventions me doivent, depuis 1975 ? N’ai-je pas non plus le droit pour
avoir enfin la paix, dans l’empire, de constituer, en toute cohérence, avec
notre époque et en connivence avec mes impératrices, une sorte de « cité
interdite » avec chacune des familles que je crois bon devoir constituer, avec
les différentes femmes que j’ai et j’aurais, reconnue comme pouvant chacune
accéder officiellement au rang d’impératrice, ce qui devrait leur offrir des
avantages internationalement, pour être en mesure de m’aider à élever dans la
génération suivante les enfants qui doivent être préparés à prendre le relais et
les rennes de l’empire quand je ne pourrais plus et qui devront être capables à
leur tour de veiller sur les os des ancêtres (de nos morts) comme préparer à
leur tour la génération suivante (tout en entretenant et en continuant à
valoriser de fidélité à tant de mémoire et de savoir faire, pour préparer celle
d’après et en ayant déjà à se préoccuper ainsi de suite de celle d’après, en
ayant à veiller à ce qu’aucun des savoir-faire ne se perde, car pour chacune des
choses perdue, (je dis bien chacune – et il s’en perd des millions à chacune des
fractions de seconde – c’est là le tragique) l’humanité a perdu des milliards de
milliards de milliards et plus encore et à l’infini de tonnes de diamants les
plus pures, ainsi que tous les pouvoirs d’achat qu’elles offraient chacune (de
quoi, pour chacun des êtres humains, faire qu’ils habitent et vivent des
milliards de milliards de fois mieux que la personne vivant dans le confort le
meilleur, à notre époque, et en disposant de tous les avantages – c’est en
minimisant beaucoup et sans mentir, la perte de chacun des êtres humains à
chacune des fractions de seconde, depuis que ceux-ci ont cru ne pas avoir à me
rendre la vieille salle des machines qui m’appartenait de droit depuis toujours
y compris à mon père dès son enfance – vous comprendrez pourquoi, il n’y a eu
que souffrance et injustice partout, puisque ce sont ces personnes-là qui, en se
mettant en infraction pharaonique, sont à l’origine de tous les malheurs
partout, alors que nonobstant cela partout avec ceux qui ont compris, j’essaie
de les éviter et de créer au moins un peu de bonheur et de choses intelligentes,
malgré les pertes bien plus astronomiques (que ce mot en question) dont chacune
de ces personnes a voulu se rendre coupable – il y a de quoi rire car c’est si
incompréhensible, si inconcevable et tellement contraire à l’Intérêt Général
qu’un absurde pareil et une telle source d’injustices nous paraît sérieusement à
devoir au moins être étudiée, puisqu’elle a même contraint a créer l’anneau de
mariage lui-même, au point que, dans mon cas d’empereur, cet anneau (précédé de
celui de fiançailles) sont devenus indispensables ou la condition
sine qua non pour donner une chance
aux enfants de notre époque et aux suivants d’avoir à vivre
leur vie) et n’aurais-je pas le droit, en raison de tout cela et de bien
nombreuses autres choses que j’ai faites, et que je n’ai pas eu le temps de
mentionner, d’offrir de pareilles commodités aux membres de ma famille, si
discrète et n’ayant jamais revendiqué ou demandé quelque chose – se contentant
de ce qu’ils avaient - alors que chacun s’est donné un mal considérable pour
Tous, en m’aidant de leur mieux à gérer la planète (et leur vie) pour qu’ils
puissent disposer à leurs âges respectifs qui exige à ce niveau de compétence au
moins ce minimum de confort d’autant plus que leur rang impérial, confirmé par
mes soins ici, a permis l’avènement de la paix et des bonnes solutions élégantes
que j’ai découvert avoir créé du futur avant même d’y être, en raison de ce
véritable anneau de mariage. N’auraient-ils pas le doit de disposer de moyens
plus confortables après tant d’injustices à leur égard comme du fait qu’ils se
sont, annoncés d'avance, incarnés par charité et compassion envers tous ?
Pensez, Monsieur le Cardinal, mon frère ainé qui est peintre miniaturiste bien
meilleur encore que moi des milliards de milliards de milliards et à l’infini de
fois (et tous savent que je n’ai pas démérité en la matière), a été contraint à
cause du processus engagé à travers le temps (auquel tous aurait dû se refuser à
partir de 1975) de monter sept étages à pieds tous les jours, peut-être parfois
plusieurs fois par jours, comme une personne n’ayant pas d’instruction et pour
lesquelles ce genre de peine est prévue faute de mieux – en raison de ceux qui,
augmentant le prix du pétrole, on créé toutes les dettes de tous les états, ce
qui a empêché que les femmes de ménage aient quatre pièces au moins et que leur
patron en ai quinze à vingt – ce qui leur aurait permis d’avoir au moins un
collègue à employer pour les aider – puisque ces chambres de bonnes leur était
réservées pour les loger décemment quand elles étaient au service d’une personne
disposant d’un appartement à une époque sans pétrole - et durant au moins
quarante années, alors que bien plus que bachelier dès son enfance (arrière
petit fils d’architecte lui aussi) et ayant fait plusieurs années d’Ecole
Spéciale d’Architecture et tous les tableaux et les dessins qu’il a fait, y
compris les œuvres de théâtre et les textes, mais aussi traductions et tout ce
qu’il a permis et fait bénévolement – et Dieu sait combien - sans jamais sans
prévaloir, sans jamais se plaindre – et il me disait, quand je m’en plaignais
pour lui et que je trouvais cela injuste – en ne sachant pas l’injustice que
tous m’infligeait alors en raison de l’amnésie canonique de ce qui s’était passé
en 1965 et à partir de 1975 - que « ce n’était pas grave » - ce qu’il vivait -
ou que « cela était normal de ne pas avoir de lunettes » pour lire ou, pendant
des mois de n’avoir qu’une paire dont le verre était fêlé – alors qu’il en avait
besoin pour dessiner ou travailler ou lire – alors qu’il s’est débrouillé avec
mon père pour permettre de faciliter la création de tous les lieux où, de nos
jours, on peut avoir une seconde paire de lunette gratuitement ou presque, si on
en achète une, en facilitant les crédits bancaires obtenus par les personnes qui
ont cherché à développer de tels magasins – est-ce que vous trouvez normal
qu’une personne qui a de tels talents et qui a permis tant de choses avec mon
père empereur n’ai pas même eu un lieu à lui (en sa propriété, à son nom) alors
que dès qu’il a un moment, il fait le plus immense des plus géniaux et généreux
des chef-d’œuvres possibles inimaginables ou qu’il ait été donné de faire dans
toute l’histoire de la Peinture et du dessin et des arts, ce que peu de
personnes ne voit, mais que j’ai fini par redécouvrir de façon absolument
certaine, depuis 1965 et de nouveau dès 1975, quand, à partir de 1972, j’ai eu
quelques doutes étant donné qu’en 1973-74 j’étais devenu un à moitié crétin,
puisque j’avais fait ce qu’on me demandait du futur en commençant à faire des
choses « qu’on n’a pas le droit de faire », ce qui a failli mal tourner, car
n’ayant pas triché, j’ai oublié totalement ma promise légitime dont j’ai
redécouvert vers 1976-77 que j’avais su qu’elle existait en 1966-67 en ayant
montré à tous, sur un enfant, les effets d’une amnésie (une avant-première de ce
que j'aurais à vivre à partir de 1977 jusqu'à 2005). Certes, pour qu’il ne
soit pas ennuyé par des parasites comme pour d’autres raisons, j’avais dit du
futur un peu de mal de mon frère, en multi dimension, et à travers le temps,
pour voir qui seraient ceux qui réussiraient à comprendre l’immensité du génie
qui réside dans le moindre des atomes posés par ses doigts (de fées) à chacune
de ses périodes ou à travers les styles ou autres instruments de chirurgie qu’il
utilise dans ses dessins, ses peintures ou ses textes – car depuis 1965, mon
frère Luc-François a fondé plusieurs façons de voir le monde complètement
nouvelle, qui n’existaient pas avant lui, bien plus intéressantes encore que
celles de Sengaï, page 63 du catalogue publié
Paris musées
Pavillon des arts, un moine Zen –
1750-1837, Traces d’encre 26 mai au
24 juillet 1994, musée des arts Idemitsu,
par exemple, qui pourtant avait fait preuve d’une imagination et d’un génie à
chacun de ses dessins hors du commun. Avec mon frère c’est, en plus, en
couleurs), mais personne ne comprend tout cela car pour comprendre si quelqu’un
a véritablement du talent, il faut être quelqu’un qui comprend le métier de
l’autre de l’intérieur (c’est pourquoi, en général, on ne peut être reconnu que
par des pairs – or la situation actuelle comme toujours ayant créé une grande
concurrence et la nécessité d’être poli avec tout le monde, on dit aussi du bien
de personnes qui ne sont que des débutants ou qui, pour l’instant, appliquent
des méthodes, mais n’ont encore pas vraiment d’originalité).
Qui a parcouru toutes les étapes pour être capable de discerner qui est un
véritable artiste ? Et il y a bien peu de gens qui ont fait tous les efforts
pour être de ceux qui vont se rendre compte de cela et l’ensemble passe devant
des chefs-d’œuvre absolus, comme on passe sans aucun intérêt devant des tonnes
de gravas ou de gravier ou d’autres matières premières, qui étant semblables à
elles-même (du même style) et donc peu rare (à cet endroit là) obéit alors aux
lois de la quantité, de l’offre et la demande, ce qui dévalue le produit et
rend, comme vous le savez, sans valeur, ou presque, des choses aussi communes
que le sable ou la rocaille, d’autant plus les infiniment trop immenses
quantités de désert qu’il y a sur cette planète. Les gens passent ainsi devant
les fruits et les légumes ou les fleurs ne leur accordant qu’un très faible
intérêt, puisque c’est ce qu’il y a de plus facile à obtenir (en raison du
nombre de pépins qu’il y a dans un concombre, par exemple, ou dans une courgette
ou un poivron) et qui pousse naturellement, en coûtant si peu comme
investissement de départ. C’est pourquoi, si un artiste a beaucoup produit au
cours de son existence, il y en a qui sont capables de le lui reprocher et de
prétendre qu’on en a trop vu d’Untel ou d’Unetelle et que c’est toujours pareil.
On entend parfois, mais heureusement de moins en moins « encore du Mozart ! ou
« encore du Bach par Glenn Gould ! » ou « encore du Van Gogh !» ou « encore du
Picasso ! » ou cet « encore » aussi à propos d’autres génies, alors que ces
personnes, à cause des difficultés qu’elles ont eu au cours de leurs existence
pour faire ces œuvres, n’ont pu faire que zéro virgule (des milliards et plus
encore de zéro suivent ici et cela longtemps presque jusqu'à l’infini), pour cent, de ce qu’elles
auraient aimé pouvoir produire et réaliser, y compris offrir au monde, ce qui a
été aussi le cas pour Léonard de Vinci. Imaginez donc dans quel état d’esprit
peuvent être ces personnes qui ne vont, avec tout leur génie, en raison de
toutes celles qui sont devenues des prisonnières de l’ineptie et du corollaire,
ne pouvoir faire que si peu, puisqu’il a fallu autant de temps que cela pour que
chacune réussisse à faire leur premier chef-d’œuvre, en se débarrassant en elles
de l’enfant-gâté, de l'adolescent, de l'égoïste, la condition [au] préalable nécessaire. Certes, il y a tous ceux
qui ont commencé très jeune, voire enfant ou très enfant et même s’ils arrivent
comme Yéhudi Menuhin à jouer du violon admirablement, jusqu’à plus de quatre
vingt dix ans, et comme Arthur Rubinstein à avoir enregistré tant de moments
permettant à tant de personne d’écouter ces moments si agréables, ils seront
bien malheureux, à la fin, de n’avoir pu pas même faire zéro, virgule autant de
zéro que plus haut après cette virgule et cela presque jusqu’à l’infini de choses qu’ils
auraient aimé faire y compris dans les autres arts qu’ils n’ont pu que peu
explorer car la plupart du temps, ils ont dû se spécialiser dans un des domaines
qui est déjà si vaste et ils ont à faire face à des ennuis matériels. C’est donc
très injuste ce qu’ils éprouvent d’autant que c’est sur l’ensemble de ces
artistes que le monde entier survit continuellement en parasite et cela d’autant
plus que la vision d’Atlantide a disparu, chacun proposant un autre univers
totalement différent et d’une richesse intérieure qui n’est pas seulement « à
première vue », par conséquent chacun de ces artistes offrent une alternative à
la disparition de cette seule façon de voir l’existence qui étant alors vue
semblablement partout, avec la vision du Paradis et qui n’a donc qu’un intérêt
très limité, voire aucun intérêt, puisque de la voir réapparaître empêcherait
peut-être, mais j’espère me tromper, à chacun de découvrir l’univers vu à
travers le prisme ou le filtre de chacun de ces artistes différents ayant
exploré chacun un monde totalement différent, au point que chacun des arts se
voit alors selon leur façon de voir [y compris] la réalité. Aussi
Autrefois il y avait François Ier qui avait été initié à découvrir
des talents et qui les recherchait pour les inciter et leur offrir les moyens de
poursuivre leurs œuvres. Maintenant où sont ces mécènes ? Il n’y a que des
parasites des artistes et des gens qui ne s’intéressent à eux que comme des
bonnes affaires, donc en futurs vautours ou en calculant qu’ils devront les
facilités matérielles de leurs existences respectives, en approchant ces
personnes pour, en les servant, se servir elles-mêmes et permettre ainsi à leurs
familles de survivre. C’est pourquoi il s’agit de personnes qui ne sont pas
capables de découvrir les vrais artistes (j’ai pu le voir en calomniant un peu
mon propre frère à travers le temps – pour qu’il puisse s’en rendre compte
lui-même et comprendre à quel point toutes ces personnes en dehors de deux ou
trois, qui sont dans le monde de l’art, ne sont pas à leur place ou qui, même
devant les objets produits par ces personnes artistes, ne pourront pas savoir
s’il s’agit d’œuvres d’art ou pas, ce qui, dans le cas de mon frère, l’a
contraint à monter ces escaliers, quelques années de trop, malgré les études
qu’il a d’au moins architecte comme son arrière-grand-père (et cela depuis sa
naissance), des savoirs qu’il a confirmé plus tard par son bac, ou ses études
d’architecture, de sculpture, de dessin ou de restauration à Rome où il a appris
à dessiner, sculpter, alors qu’il innovait à chacun des instants y compris quand
il écrivait. Mais comme il est d’une discrétion et d’une humilité qui n’est pas
acceptable ou même tolérable, et que j’ai pu, à partir de 2005, de nouveau réapercevoir très clairement à son sujet, malgré les années où je fus contraint
de me profaner, à cause de l’Ensemble, au point de me rendre sacrilège envers
tout ce qui est vrai, puisqu’il fallait que je puisse approcher Michèle Finck
(qui en voulant être l'unique impératrice m'avait contraint à devoir me séparer
de Christine de laquelle j'attendais ma descendance en Immaculée Conception,
aussi il ne fallait pas que Michèle puisse dans un premier temps, jusqu'à la
réitération des transmissions à travers Espace et Temps me connaître autrement
que profane) qui, dans son contexte de Strasbourg - de mon point de vue de
1975-77 - n’avait pas pu bénéficier de tous les efforts
faits par ses ancêtres, avant sa naissance, pour pouvoir se marier en vérité, et
lui permettre de comprendre les choses les plus difficiles à comprendre dans
toutes les disciplines artistiques (qui sautent aux yeux et aux oreilles de ceux
qui sont nés dans les contextes ayant fini par comprendre Dieu ou même bien plus
que Dieu), cela mérite réparation à son sujet, d’autant plus que j’étais
contraint, du futur, de dire cette chose fausse sur son compte, comme sur le
compte de mon beau-frère, pour qu’ils puissent avoir la paix durant toutes ces
années et pour qu’ils n’aient pas trop de succès, car cela aurait pu être grave
si jeune, y compris pour leurs enfants et pour moi qui allait être amnésique –
vous comprenez – et qui avait à me profaner : j’aurais eu du mal à m’en sortir.
De plus cela s’était passé ainsi. Leurs enfants n’auraient été fréquentés qu’en
raison de la notoriété des parents et il m’a semblé bien pour eux qu’ils n’aient
pas à connaître tout de suite cet handicape, d’autant qu’un grand nombre de gens
savaient qu’ils étaient les petits enfants le l’empereur mon père, y compris mes
neveux. Déjà, sans avoir beaucoup de succès ce que faisait l’un et l’autre (mon
frère et mon beau-frère) dans leurs travaux respectif était d’une telle beauté
et tellement génial que même devenu profane et à moitié imbécile, j’en étais
« baba » d’admiration à chaque fois ! Il fallait bien que je puisse avoir une
chance de redevenir normal, moi-même, ne serait-ce que pour eux et leur prouver
qu’ils ne s’étaient pas donné du mal pour rien (comme tous les plus grands
artistes). Je trouvais cependant totalement injuste tout du long, au cours de ces
années, qu’ils n’aient pas une meilleure presse que cela ou que tous ne
profitent pas plus de leurs immenses savoir-faire de génies incommensurables,
(ici en minimisant encore car ils sont mieux que cela). En fait, je découvre que j’ai du me donner toutes ces
difficultés jusqu’ici pour parvenir, peut-être, ces temps-ci, à effacer
ici-même, la calomnie que l’Ensemble m’a contraint à dire, dans ce cas
particulier, à leur sujet, à partir de 2005, sur l’époque d’il y a trente ans de
cela (sur les années 1975) car il fallait que tous un jour puissent se rendre
compte de ce que c’est qu’une calomnie qui circule sur le compte des plus grands
génies, peut-être chacun encore bien plus grands que le Grand Architecte de
l’Univers lui-même (en tout cas que celui qui a voulu s’appeler Dieu). Cela en
tout cas a eu un mérite certain, c’est que mon frère comme mon beau-frère savent
maintenant ce qu’ils avaient à savoir et qui concerne les êtres humains, comme
ils avaient pu déjà s’en rendre compte entre 1965 et 1975 – ce qui aurait dû
être largement et amplement suffisant (y compris pour moi), car ce que j’ai appris
ensuite sur certains êtres humains est tellement dégoûtant qu’on a effectivement
peine à croire que la beauté existe en ce monde.
[1]
Comme on a pu dire « frère loup ».
[2]
et c’est pourquoi depuis l’époque en question
les gens auraient dû comprendre qu’ils avaient,
avec cette exemple, celui d’une personne qui
s’alimentait justement puisque cela a donné tant
de solutions élégantes de sa main et en plus
dans l’Europe de l’époque.
[3]
(les plus stupides ou les moins intelligentes,
en croyant qu’ils le peuvent et il faut donc
avoir la patience qu’ils arrivent à comprendre
les raisons pour lesquelles ils doivent en
changer – ce qui leur permet d’évoluer par la
même occasion, de même que tous ceux qui ont
fini par comprendre l’intérêt d’avoir la lumière
électrique et le téléphone, chez eux y compris
l’eau courante)
[4]
(nous somme « pécheurs » aussi en tant
qu’agriculteurs, car nous commettons de
véritables meurtres, inacceptables et
hypocrites, envers les plantes à bulbes et/ou à
racines mais nous sommes ceux qui sommes
capables par ailleurs d’acheter des plantes ou des fleurs
très chères pour les offrir à une jeune femme ou
une jeune fille et célébrer la vie qui émane
d’elle en les offrant dans des jolis pots pour
les conserver le plus longtemps possible)
[5]
C’est pourquoi je crois que nous avons à faire
avec Dracula, d’autant que j’ai pu voir qu’il
n’est nullement dangereux et surtout très
craintif, à un phénomène exceptionnel : le cas
d’une personne qui a réussi à réduire son poids
intellectuel et physique au point de devenir une
nature capable de voler, en ayant eu la
simplicité de croire à des histoires impossibles
à croire (sur le plan rationnel), auxquelles la
raison de toutes les personnes sensées ne
peuvent pas croire. Il a peut-être cru que de
s’autoriser à faire des choses interdites ou à
transgresser les interdits lui permettrait de
voler et il y est arrivé ! Mais à notre époque
où les alternatives sont si nombreuses, il
aurait réussi à y arriver avec des betteraves et
des pommes-de-terre, tout aussi bien ! Car si
tous avaient été végétariens cela aurait
constitué des « péchés » plus que considérables
que de se permettre de les manger (des crimes
abominables !). C’est pourquoi il faut
relativiser la culpabilité de Dracula qui, ayant
perdu la tête et la logique, est devenu un
insensé et un fou au point de voler, peut-être
parce qu’il s’est permis de faire des choses qui
ne sont pas permises dans une société qui avait
autorisé l’inconcevable, au temps de la vraie
Atlantide : de manger de la viande et du poisson
(ce qui s’est passé en raison des déplacements
des peuples et de l’histoire du peuplement de la
planète qui s’est produit en conséquence de la
transformation en désert des zones premières de
peuplement, à cause de cette occupation de la
vieille salle des machines, à une époque où il
n’y avait pas encore de langues suffisement
précises et claires pour parvenir à faire
comprendre la catastrophique situation générale
qui s’était mise en place et perdurerait, car la
situation s’est éternisée de génération en
générations au point que la disparition de la
vision d’Atlantide si longtemps a eu pour effet
de tirer une sorte de signal d’alarme cosmique).
Si la viande et le poisson redevenaient
interdites, ne serait-ce que pour les raisons
inhérentes à cette menace démographiques
mondiales dont nous avons esquissé les
conséquences, puisqu’il faudrait que tous
puissent manger et que si nous continuons à
consommer ce que nous consommons en Occident la superficie de
plusieurs Terre seraient nécessaires, ce dont
nous ne disposons pas encore, nous aurons besoin
(pour éviter ce scénario catastrophe) de récupérer
les terres consacrées de nos jours pour
l’élevage ou pour le tabac, ce qui permettrait
déjà, dans un premier temps de nourrir plus de
personnes, mais exigera une mutation générale.
Dracula pourrait continuer à exister, s’il le
souhaite, car il serait cet esprit qui ne
comprend pas et qui veut rester fidèle à une
époque où on avait le droit de se singulariser
au point de transgresser les interdits et de
tuer des animaux quadrupèdes pacifiques et
inoffensifs et à cause de cela de manger de la viande
et de poisson, par conséquent de transgresser
ces nouveaux interdits – puisque cela serait de
nouveau interdit là où les alternatives le
permettent
(pour nous permettre de vivre à 15
milliards d’habitants, ensemble) - liés au
respect de
[6]
(mais je n’en ai jamais eu la preuve qu’il le
soit et je ne sais pas qui se cache sous son
identité. Ce sont peut-être des bruits qui
circulent sans fondement à son sujet. Pourtant
il vole très réellement dans les airs et je me demande si ce n’est pas par
autosuggestion qu’il y est arrivé, peut-être à
force de faire des choses interdites et
seulement le propre des « inconscients ». Mais
s’il avait su que manger des frittes ou des
betteraves suffisait pour cela, bien que cela
soit beaucoup moins grave, je suis sûr qu’il
n’aurait pas voulu faire pire)
[7]
(latitude et longitude ayant eu des incidences
ou/et qui ont provoqué des malentendus ou des
incompréhensions se traduisant par des attitudes
hypocrites ou incompréhensibles)
[8]
(sans disposer de l’instruction publique
obligatoire et demeurés particulièrement
ignorants, au mauvais sens de ce mot)
[9]
(bien que les paysans et les bergers, depuis
longtemps, s’étaient spécialisés dans
l’agriculture et pour l’élevage en assurant tous
les approvisionnements des villages, des villes
et des grandes agglomérations qui ont pu
embaucher ces anciens chasseurs puisqu’ils ont
préféré, la plupart, occuper des activités
citadines en devenant ouvriers ou servir à
quelque chose d’utile comme maçons ou apprendre
l’un ou l’autre des métiers de l’artisanat)
[10]
J’emploie ici un mot d’un des dialectes
européens, de la langue italienne de nouveau à
dessein ne le sachant plus approprié. Chacun des
mots des pays voisins, dans ce cadre de
Construction des États-Unis (rRégions-Unies) d’une Europe
fédérale ayant abandonné sa souveraineté sur les
points indispensables à ce dessein, sont devenus
les mots de sa propre langue maternelle
européenne, dont chacun découvre qu’elle est
faite de plusieurs dialectes. Les français,
comme les italiens ou les autres pays ont pu
découvrir, ces derniers temps, que cette langue
européenne est donc constituée, elle-même, des
très nombreux dialectes locaux et que chacune
des unités régionales ou pays (ou nations) avait
privilégié un de ces dialectes comme langues
fédérales à l’échelle nationale ou appartenant
aux différentes régions : anglais, allemand,
toscan en Italien, castillan pour l’Espagne,
etc. Ces dialectes locaux dominants en tant que
langues ayant cimenté chacune des régions de
l’Union européenne en tant que langue nationale
constituent toutes les langues maternelles des
petits européens d’aujourd’hui et cela d’autant
plus de l’aide à la traduction informatique.
Quelques uns se sentent naturellement
appartenir, dès les grandes classes et la
maîtrise d’une seconde ou troisième langue,
voire d’autres encore, dans ce monde
international comme se sent français l’alsacien
ou le breton ou le corse y compris européen car
il a eu la chance d’avoir une seconde langue à
apprendre à l’école (obligatoire). Pour bien
faire il en faudrait au moins quatre ou cinq,
mais estimons nous heureux qu’il y ait déjà tant
de personnes bilingues qui sachent toutes au
moins la langue anglaise et/ou espagnole (les
plus répandues y compris le français dans le
monde). Pourtant il y a le chinois et l’arabe ou
le japonais et le russe. Mais nous devons tenir
compte de toutes ces personnes qui n’ont pas pu
être autre chose que locales (n'ayant pas eu
d'intérêt pour l'extérieur de leur localité). Il est absolument
vital, comme pour les suisses, que ceux qui vont
à l’école apprennent selon le nombre d’années
scolaires effectuées les autres langues
cantonales. Je l’ai dit plus haut l’Union
Européenne même à cinquante pays avec de très
nombreuses langues différentes est, toute
proportion gardée relativement la même que
[11]
(puisqu’ils ont besoin de machines pour calculer
– ce qui est le cas pour aider à de certaines
occasions à des calculs précis)
[12]
(car on a accepté de l’argent sale pour devenir
ces prétendus artistes et on ne l’est pas devenu
avec de l’argent propre)
[13] À moins sinon d’exiger ce que, de façon primaire et très commune, j’ai un moment souhaité avec Christine, en travaillant naturellement à l’annulation de son mariage, une fois déterminé à mettre un terme à ce sacrifice inhumain, ce qui serait légitime et canonique de faire comme vous en prendrez connaissance plus en détail dans le texte de mes différentes futures missives, mais recherchant la loi du moindre effort et à expédier l’affaire en ne donnant plus de chance à Michèle, ce que Christine, par sa réaction – malgré ce qu’elle a été contraint de vivre – ne m’a pas conseillé. Mais j’ai mis un certain temps à comprendre ce point de vue de Christine et à essayer d’y œuvrer malgré la difficulté qu’elle a, sans le vouloir, réussi à me créer, car je dois aller contre l’idée de n’être que fidèle à une seule et unique femme, ce qui pour moi qui a été élevé dans l’idée de l’unique Isis m’apparaît très éprouvant car il faut que j’arrive dans les faits eux-mêmes à surmonter ces sortes de préjugés, bien qu’à l’écrit, comme dans les films, ou dans les livres, je sois très tolérant y compris vis-à-vis des profanes qui se permettent des partouzes ou autres folies d’inconscients
au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de
ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations
précises (S . P.), occasions, circonstances,
points, scènes, tableaux, paragraphes,
occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)). Donc vous comprendrez ici que
c’est sur le scénario qu’on est ici et que ce
n’est pas aussi facile que cela pour moi dans la
réalité. Peut-être y a-t-il ici quelque chose
que j’aurais à découvrir qui est lié à des
effets de la maternité ? C’est comme si il y
avait du possessif vérifié qui est lié au statut
de « fiancé », de « marié » et de « père de
famille ». Des choses auxquelles l’intellect se
refuse d’autant plus qu’il se situe déjà dans un
monde délivré de l’ineptie. Mais n’y en
aurait-il pas à vouloir croire possible être à
plusieurs femmes y compris à plusieurs
familles ? C’est ici la question des mariages
dans le monde musulman qui est posée à
l’empereur chrétien d’Occident, en ma personne.
Si d’un point de vue profane (dans lequel on
mélange tout et on est les premiers à être
accommodant, car on se sait hors la loi étant
donné qu’on y comprend plus rien, inconscient)
avoir plusieurs épouses est normal y compris
plusieurs amantes et maitresses cela pose
soudain de véritables problèmes. Mais j’ai vu
que pour Michèle cela n’en posait pas car elle
était prête du jour au lendemain à se marier
avec moi et Christine devant le Saint-Père
lui-même, aussitôt (les deux ensemble le même
jour!). Vous comprendrez combien on ne peut
être que passionné par ce genre de réactions qui
simplifient à ce point ce qui, je crois, non pas
en raison de préjugés, mais seulement des
conséquences sur la vie d’enfants à venir
confrontés à ce type de nouveau contexte
familiale pourrait poser problème et mérite au
moins réflexions : pour vous comme pour d’autres
personnes, (y compris pour l’Eglise) cela parait
naturellement impossible, ou scandaleux à
envisager, si ce n’est que véritablement le
résultat de propos d’une légèreté et d’une
inconscience
dangereuse. Mais il est vrai qu’on
pourrait le croire possible sur le moment quand
cela a été si gentiment proposé par Michèle
« comme évidemment allant de soi ». Ce n’est que
parce qu’on prend alors le temps de faire
intervenir la réflexion et la distance critique
y compris l’ensemble des expériences y compris
progressivement tous les paramètres connus y
compris inconnus y compris les conséquences
qu’on prévoit sur le long terme, y compris en
comparant d’avance ce qu’aurait à vivre un
enfant localement issu d’une telle union par
rapport à ceux qui n’en aurait pas bénéficié
qu’on trouve, malgré l’idée qu’elle représente
pour faire scandale – ce que je ne déteste pas
de faire quand cela se doit – l’idée
difficilement acceptable. Ce qui est le plus
drôle c’est qu’au moment où Michèle m’a proposé
cet arrangement, il n’y avait encore qu’un
trèfle à deux feuilles (seulement Christine et
elle) et non pas encore la troisième
impératrice ! Il y a ici comme une surenchère de
scandales qui, pour en éviter un, en a créé un
troisième, mais cette fois-ci légitimement
admissible. Évidemment pas les trois en même
temps, à moins que d’ici là nous ayons réussi à
accepter l’inconcevable que propose Michèle, mes
deux autres impératrices et moi. Et c’est bien
normal, par jeu, mais logiquement aussi que cela
m’ait fait penser quatre, sept, onze, et puis
vingt cinq ou du moins qu’il faudra peut-être
trouver une quatrième impératrice pour faire ce
trèfle à quatre feuilles (une chance peut-être
pour tous), légitimement fait et construit
canoniquement et juridiquement, sans cacher quoi
que ce soit à chacune de ces impératrices, pour
réussir enfin à ce que Michèle parvienne à
comprendre pourquoi il y a bague de fiançailles
donnée légitimement à partir d’un certain
moment, ce qui mène à partir d’un autre moment à
l’anneau de mariage (un jour précis déterminé,
arrêté, à orchestrer) avec chacune. Mais pour
cela il faudrait être capable de revenir sur ce
qui s’est passé et être capable de pardonner (le
14 septembre 2017, j'ai depuis plusieurs
semaines réussi, grâce à la religion chrétienne,
à pardonner à Michèle qui m'avait demandé de la
pardonner il y a quelques mois).
S’il n’y a pas tous les efforts de faits de la
part du profane pour se mettre en situation
d’être pardonné comment voulez-vous qu’on arrive
à cet anneau de fiançailles décerné peut-être
même « en même temps » ( !) à trois ou quatre
impératrices ? Mais celui qui est profane ne
voit pas où diable il a mal agi puisqu’il a pris
l’habitude d’être un enfant-gâté à ce point et
en prétendant alors même le contraire,
puisqu’« à première vue » c’est moi qui aurait
trois ou quatre impératrices légitimes et pas
lui ! Or si j’en arrive à la rosace
de vingt-quatre comme nombre
d’impératrices, c’est pour des raisons que
j’espère réussir à avoir la paix sur la planète
entière et cela n’a rien d’une partie de plaisir
(elles vont apprécier) que d’en envisager autant
(mais peut-être se complèteront-elles ?)
[14]
(ce qui ne signifie pas qu’on ne puisse pas
envisager l’idée d’un mariage avec « trois
grâces » en même temps)
[15]
(si ce n’est celle avec laquelle j’ai rompu mais
quand je le lui ai donné, je n’étais pas
redevenu moi-même encore, en raison de ma
fidélité à mon anneau de mariage)
[16]
Mais en relisant, je ne suis pas disposé, à
sacrifier les deux autres fois étant donné que
tout ce qu’on voudra me trouver nommé émolument
même au maximum du possible sera toujours
infiniment moins de ce qu’on me doit pour une
seule des secondes de ces interventions
cosmiques y compris pour d’autres moments que
j’ai consacré à l’Intérêt Général. Aussi même
s’il seront trois fois ce maximum là, cela
n’aura pas payer une seule seconde de ce que
j’ai dû endurer à partir de 1965 pour sauver
cette planète (sans parler de ce qu’on me doit
pour les réincarnations d’avant). Aussi j’ai
bien conscience que même si je suis la personne
la plus riche de
[17]
(en informatique et etc. en communiquant
d’avance les chiffres du nombre des employés à
ne pas excéder pour permettre un équilibre entre
concurrents et ainsi une concurrence raisonnée)
[18]
Comme je ne sais pas ce que s’est qu’avoir de
l’argent autant que cela, je n’ai pas eu l’idée
sur le moment d’offrir à ces dames les moyens de
vivre sans avoir à travailler. En effet, je ne
conçois pas cela possible pour l’instant (ne
disposant pas à ce jour des preuves que tout
cela est bien à moi y compris la vieille salle
des machines). Cette fortune n’a donc pas été
volée et n’est pas arrivée comme on gagne au
loto. Mais on me doit d’avoir communiqué les
chiffres des lotos avant qu’ils ne se
produisent, ce qui a permis à tous de vérifier
que la situation et belle et bien bloquée encore
le 06 avril 2013. En effet, j’ai pu comme cela
aussi communiquer trente ans avant des tiercés
ou quintés y compris des tirages spéciaux de loto
comme des listes de chiffres gagnant. C’est
étonnant comme les mathématiques à un certain
niveau, sont capables de permettre de prévoir
des choses d’avances à ce point et sur trente
années sans un électron d’erreur y compris les
montants des tickets de caisse ou le
déplacements de parapluies colorés dans la rue ou d’insectes
sur le rebord de la fenêtre alors qu'ils n’étaient pas encore nés comme mes neveux et
nièces. La situation était donc totalement
bloquée et elle m’a contraint à ce genre
d’intervention. Nous attendons qu’en raison du
fait que cela a été effectivement bien vérifié
dans l’Intérêt Général, les conditions soient
mises en place pour la débloquer et permettre à
de nombreuses personnes qui se sont exclues de
la notion du « beau » en vérité, d’avoir au
moins une chance, de tant en tant pour
commencer, grâce au programme ou logiciel de
restitution de la vision d’Atlantide de façon
cohérente de voir au moins une fois par an la
vision d’Atlantide dont nous avons pu vérifier
qu’elle est capable de faire du bien et pourrait
même redonner le moral à des personnes
handicapées y compris profanes ou qui se sont
exclues des véritables connaissances au point de
se détériorer autant que cela pour choisir
l’involution au lieu de grandir en intelligence
et en humanité.
[19]
(comme on utilise aujourd’hui Internet pour
rendre accessible les chinoises aux européens à
travers les sites marchands)
[20]
Même s’il ne s’agit de trois lettres, « fou »,
j’ai pu vérifier que cela est très important et
ce mot de « fou » a indéniablement une part de
droit d’auteurs dans les retards de milliards
d’années pris par l’Ensemble. Il y a d’autres
mots ayant plus de lettres qui ont fait l’objet
de persécutions injustes parce qu’on ne les
connaissait pas.
Cette incursion dans le monde profane
vingt sept ans (d’amnésie) m’a donné amplement
le loisir de pouvoir vérifier les mécanismes qui
se mettent en marche, en raison de la situation
bloquée et de l’écartèlement entre Dieu et le
monde profane, et qui peuvent mener certains à
devenir fous et donc prisonniers de cette état
néfaste pour eux et l’Ensemble. J’ai pu aussi
montrer cela en m’offrant moi-même (en raison de
sacrifice) en tant que cobaye et tous ceux qui
ont suivi mes péripéties (ou ce chemin de croix)
ont pu vérifier combien on perd alors les
facultés de raisonnement, comment on prend le
large avec sa conscience puisqu’on passe du
monde de la conscience à celui des inconscients
qui offre en « bonus » - ou serait-il plus juste
de dire « malus » - on se demande car il y a à
première vue un avantage à être inconscient -
une folie plus ou moins constante à des degrés
divers avec cette certitude d’avoir bien fait de
le devenir comme avec bonheur, ce qui est, avec
le recul, touchant et d’une naïveté
déconcertante puisqu’on est alors certain que
tous sont plus ou moins fous y compris les gens
les plus sensés, les plus logiques les plus
mathématiquement exactes (ils font peurs car on
les sait être dans la vérité) au point d’être
donc plus ou moins incohérents et effectivement
dans le mensonge suivant les moments d’une façon
qui est véritablement enviable une fois qu’on a
retrouvé le bon sens et le sens des réalités y
compris sa mémoire et les fonctionnement[s] de
personnes s’étant débarrassé de l’enfant gâté
ayant retrouvé le bon sens.
[21]
Mais il faut reconnaître qu’alors il n’y avait
pas non plus de mode d’emploi.
[22]
(marié officiellement – et j’ai pu vous avertir
que la première étape serait d’arriver à des
échanges réguliers de lettres avec ces miennes
épouses impératrices légitimes, tant ce qui
s’est passé me rend impossible à ce jour du 22
Mars 2012 encore, d’envisager la moindre
proximité physique avec un être humain de
n’importe quel sexe, fut-il beau comme Apollon
ou les
Trois Grâces de Botticelli ou plus belle
encore que la déesse Aphrodite en personne. Vous
pouvez vous faire une idée du traumatisme. Et le
pire c’est que ces profanes de leur salle des
machines ont cru pouvoir me faire plaisir en me
faisant des rêves ou cauchemars érotiques, ce
qui est bien la preuve qu’ils ne comprennent
rien du sacrifice que nous avons fait Christine
et moi en raison de l’existence de l’« Agapè »,
comme de tout ce qui en découle. Vous
comprendrez qu’il n’y avait plus que le rire
pour éviter le suicide et qu’il se pourrait que
ce rire ait été entendu jusqu’à l’époque de
Bergson, ou avant, dans tous les temps passés,
avant même que je n’ai à le vivre en chair et en
os (puisque cela s’est passé plusieurs fois en
virtuel), tant nous avons à faire, avec les
profanes, à des personnes qui « ne se rendent
réellement pas compte » et qui croient bien
faire, quand elles sont en train de commettre
les pires sacrilèges ou les pires profanations,
en toute bonne foi, de leurs point de vue de
personnes qui sont à des milliards de milliards
de milliards et plus encore de kilomètres (à des
années lumières) de la
vérité (et c’est peu dire). Par conséquent, vous
avez compris, il ne faut plus se mettre dans des
états de cénobites ou érémitiques ou dans des
couvents à expier, mais seulement rire du fait
qu’on est incompris par ces profanes car ils
n’ont véritablement absolument aucune idée de ce
que peut bien être le monde de la vérité ou des
choses logiques ou mathématiques, ni de ce
qu’est le monde de la conscience et ils ne font
alors que naturellement se tromper
continuellement avec les meilleures intentions
du monde, y compris celle de faire plaisir
(c’est pourquoi ils ont cru pouvoir envoyer ces
rêves – de leur point de vue – ces cauchemars
érotiques alors que ce sont des cauchemars et
non des rêves dans un cas pareil (ce qui est
évident pour vous ou toute personne sensée mais
visiblement pas pour eux qui, de plus se basent
sur les états antérieurs d’une personne
autrefois profane). Je me demande comment je
trouve encore la force à vouloir me marier
quand, normalement, après toutes ces
persécutions et martyrs (pour minimiser) on
envisage au minimum le couvent, comme Charles
Quint. Mais c’est précisément pour cela et parce
qu’il faut faire le contraire de ce que le bon
sens exigerait, dans un cas pareil, que vous me
trouvez disposé à « à première vue » constituer
même comme une sorte de harem – certes un peu
spécial, car il s’agit de femmes chacune mariée
religieusement et officiellement reconnue - et
d’un cas particulier ou spécial aussi - car pour
l’instant il n’a d’existence que sur le papier,
comme une hypothèse de travail, d’autant qu’il
est très peu dans les habitudes courantes –
qu’il remet en cause des traditions - mais qu’il
faut se faire à cette idée dans mon cas : il est
vrai je suis un véritable artiste universel qui
l’a bien plus que prouvé et de plus j’ai des
droits de pharaons donc pour le moins d’empereur
chinois y compris le droit des profanes et cette
histoire m’a donné l’occasion de revisiter
canoniquement, comme je l’ai dit plus haut, tous
les termes, les mots et les situations mais
aussi les mythes, l’étant devenu moi-même, en en
cherchant aussi toutes les virtualités possibles
originales – je me dis que je n’aurais peut-être
la paix qu’à ce prix – plusieurs femmes - et
d’autant plus si je mets des
web cam
partout. C’est que j’ose espérer que,
normalement, nous devrions arriver à un moment
donné où ils trouveront que cela n’a plus
d’intérêt que d’être voyeurs ou espions dans la
maison de l’empereur cosmique universel et … et
peut-être nous les retrouverons à rechercher
enfin le bien le plus précieux : la sagesse,
enfin simplement par esprit de contradiction
avec ces sales habitudes d’enfants-gâtés et de
voyeurs, pour enfin transgresser tous ces vrais
interdits qui touchent les enfant-gâtés à ce
sujet en s’offrant enfin le luxe de sortir des
clichés, des habituels préjugés et des
mensonges : de devenir intelligents à rechercher
l’état de vérité comme transgression ou seul
objectif ou seule fin à l’existence comme à
atteindre et qui vaille enfin la peine d’être
vécu pour ces menteurs, usurpateurs, tricheurs
devenus esclaves d’un inconscient toujours plus
ou moins le même et bien pauvre car n’ayant que
l’ineptie comme dieu et comme soucis, celui du
profane, de l’ignorant, au mauvais sens de ces
mots : mais une fois qu’ils en seront tous
délivrés, nous risquerons alors de devoir nous
réfugier, à notre tour, dans le mensonge, pour
changer. Mais ici il s’agit d’une utopie qui est
donc fort improbable).
[23]
Le 06 avril 2013, je relis en découvrant avoir
changé la date de cette note là, puisque je l’ai
relue aujourd’hui comme celle-ci (y compris le
14 septembre 2017).
[24]
(c’est normal nous sommes un peu moins d’un
siècle après et heureusement les savoir-faire
dans la matière ne se sont pas perdus et même
ont progressé sensiblement)
[25]
(nous devons nous remettre, comme envisager
cette perspective, ce qui signifie que nous
comptons sur le temps)
[26]
(depuis perdu plusieurs fois : vers 1973 et de
nouveau vers 1978 quand l’Ensemble m’a condamné
à recommencer une vie de profane)
[27]
(d’autant plus que je m’étais délivré de mon
enfance et de mon adolescence comme de
l’enfant-gâté en moi depuis 1965, au moins deux
ans avant d’entrer dans ce jardin d’enfant)
[28]
(puisque j’intervenais alors tous les jours du
futur quarante années plus tard et que tout le
Vatican était au courant y compris de la taille
démesurée de mon crâne dont atteste un très beau
buste sculpté par mon frère ainé à mon sujet à
cette époque là)
[29]
(de ce mot sont sorties toutes les solutions
techniques et technologiques sur toute la
planète y compris les commerces)
[30]
(des milliards dans cet état d’omniscience
d’autant plus de ces interventions du futurs)
[31]
(il y avait eu à mon sujet l’intervention du
futur dont j’avais encore trace puisque nous
n’étions pas encore en 1972, au moment de ma
première amnésie jusqu’à 1975)
[32]
(pour être logique avec lui-même – Dieu - est
handicapé par la situation)
[33]
(à cet âge là : aucun enfant ne peut croire une
personne âgée sérieusement et comme elle a l’âge
des grands-parents elle est toujours drôle en
tant que telle qu’elle ait été profane ou pas :
en fait ces personnes âgées sont aux yeux des
enfants des sortes de dinosaures préhistoriques
qui, à de rares exceptions près, ne comprennent
déjà plus les difficultés des enfants qui sont
de réels handicapés, sans parler de celles
auxquelles se heurtent les plus petits)
[34]
(bien qu’il le sache car il se sait entrain de
« faire semblant » et cela marche avec tous ceux
qui sont comme lui – ce qui lui importe c’est
l’effet qu’il fait sur les personnes qu’il
attire comme certaines « stars » font de
l’audience, non pas parce qu’elles incarnent la
vérité, mais simplement parce qu’elles ont du
succès et rassemblent des personnes semblables
autour d’elles : ce n’est pas la recherche de la
vérité ou la vérité qu’elles servent, mais leur
image ou leur « égo » qui se voit alors conforté
dans l’erreur, dans l’état d’enfant-gâté, à
moins qu’à force d’efforts importants et
constants « l’égo » en question vole enfin en
éclat. On trouve alors sa personnalité d’initié,
mais c’est un très long chemin et cela ne marche
que rarement si on a eu beaucoup de succès en
étant dans l’erreur. Il faut donc avoir des
petits succès en étant dans l’erreur et non des
grands succès en tant que menteur car le risque
est de continuer à en avoir en tant que
menteur : on ne pourra jamais ou alors encore
plus difficilement que déjà sans avoir été un
enfant-gâté être promu à « initié »)
[35]
Bien que tous croient possible se conduire alors
en fou et en malade en revendiquant le droit de
l’être, ce qui est contestable puisque c’est
être conscient qui permet de « fonctionner »
justement et non agir en « inconscient ».
[36]
sauf les ignorants, au mauvais sens de ce mot,
qui vont fatalement refaire les mêmes erreurs,
puisqu’il s’agit de ceux qui n’ont jamais voulu
faire l’effort de comprendre en vérité et qui
sont prisonniers du mensonge.
[37]
(dans d’autres cas, il a fallu mettre
régulièrement le feu pour permettre à des
pompiers d’exercer leur métier – ce qui n’est
évidemment plus acceptable et ne l’était déjà
pas, mais qui a permis de déterminer les bons
pompiers, les vrais pompiers des faux)
[38]
On comprend pourquoi Leporello tenait une liste
des femmes de Don Juan par pays car pour les
spectateurs initiés de l’époque cela signifiait
donc des choses précises que ces chiffres à
confronter à la nationalité de chacune de ces
femmes, tandis que pour don Juan, on n’est pas
sûr qu’il fasse la différence entre la catégorie
des maigres ou des « grassotte » ni même la
différence entre chacune des femmes (ou des
nationalités de celle-ci): ce qu’il aime c’est
s’amuser à séduire ce qui lui résiste, ce qu’il
n’arrive pas à obtenir : c’est bien un
enfant-gâté (« gia che spendo i miei danari io
moi voglio divertire » - on ne sait d’où vient
sa fortune et il s’agit de « sa » façon de voir
le « divertimento » non pas forcément celle que
partagent tous les êtres conscients. Cette façon
de vouloir prendre les femmes des autres ou la
promise de don Octavio est révoltante car il se
pourrait que don Octavio attende depuis des
années de pouvoir se marier – à l’époque dans
l’aristocratie ou même dans la bourgeoisie on ne
plaisantait pas avec l’honneur des jeunes filles
à marier. Nous sommes donc avec le personnage de
don Juan devant celui qui transgresse tous les
interdits de « bon sens » ou qui ont un sens
parce que s’étant avérés indispensables à
l’époque pour gérer la société et c’est pourquoi
nous éprouvons aussi de l’admiration pour cette
personne qui brave ainsi le « bon sens »
populaire né d’un mimétisme envers les mœurs
aristocratiques qui se sont imposées : la
question de la promise, la notion du promis dans
la littérature
(I
promessi sposi) mais aussi toutes les
figures de couples ou de fiancés célèbres dans
le théâtre y compris dans
[39]
(j’ai passé une License en histoire à Paris
I-Sorbonne autrefois et j’avais commencé une
maitrise avant de bifurquer vers l’Animation
Culturelle et Sociale - option cinéma - et enfin
rejoindre les Arts et les Sciences de l’art –
cinéma – télévision – audiovisuel - dans
lesquels j’ai obtenu mon doctorat pendant que je
devenais, par ailleurs, peintre, aussi y compris
scénariste)
[40]
(de toute façon une région dirigée par un
profane ou un menteur aura toujours les
réactions qui feront comprendre à tous les
initiés ou les êtres humains débarrassés de
l’enfant-gâté en eux que la région en question
va mourir puisqu’il n’y a plus qu’en majorité
qu’usurpateurs, ce qui est alors un danger pour
tous les autres usurpateurs qui risquent de
mourir aussi (à cause de celui-là qui « fait
semblant » et qui est leur chef). Il est du
devoir d’intervenir non pas pour les initiés,
mais pour les profanes ou les usurpateurs ou les
menteurs eux-mêmes qui, sinon, n’auront plus
jamais la possibilité d’accéder à l’initiation,
ou aux moyens qu’ils cherchent, en fait par tous
les moyens, en « faisant semblant », bien qu’à
d’autres moments, ils ne cherchent qu’à pécher,
qu’à avoir plaisir en faisant le mal, donc à se
conforter dans le statut d’enfants-gâtés,
c'est-à-dire en fait à s’autodétruire,
puisqu’ils oublient qu’ils espéraient
« comprendre », donc les raisons qui leur
faisait « faire semblant » : c’est alors qu’ils
ne sont plus capables de « faire semblant » de
se conduire en gentilshommes et qu’ils sont même
fiers de ne pas l’être du tout. Il est donc
urgent d’intervenir puisqu’ils réclament d’être
châtiés après plusieurs avertissements auxquels
ils sont demeurés sourds – ils ont alors perdu
le sens commun. Ceux qui font encore semblant
d’être des gentilshommes approuvent alors à
l’unisson et aurons avec eux tous ces soldats
qui vont être capables de donner les leçons que
méritent leurs collègues devenus assez mal
élevés pour être à ce point des mauvais exemples
pour les enfants – infréquentables – ou
revendiquer ce droit à la différence qui n’est
plus concevable pour personne, pas même pour eux
quand ils avaient un peu de bon sens – ce qu’ils
admettent dès qu’ils iront mieux – ou qu’ils
faisaient au moins semblant d’en avoir, ne
serait-ce que pour sauver les apparences, ce que
les vrais gentilshommes les ont toujours incité
à faire en en donnant l’exemple et c’est
pourquoi ces derniers s’arrangent toujours pour
leur permettre de mentir sans jamais le leur
signaler – mais le menteur a un défaut: il veut
profiter du fait qu’on lui permet de mentir ou
de se comporter de façon folle, puisque les
personnes qu’ils veut séduire le regardent avec
bienveillance et ainsi se sentant conforté, ment
de plus belle, d’autant que personne ne lui a
reproché ses mensonges que tous ont cependant
remarqué. Quand le menteur s’en aperçoit, il
commence alors à comprendre que les personnes
dont ils se moquaient étaient vraiment bonnes et
qu’il s’est rendus responsables personnellement
avec ses semblables de la mort de tous les
génies et de toutes ces personnes qui se sont
montrées admirables de patience à son égard
comme lui ont donné l’assurance qu’elles le
comprenaient. C’est alors qu’il comprend ce que
sont les gens polis et les vrais gentlemans :
des gens impitoyables avec eux-mêmes mais très
aimables et très compréhensifs vis-à-vis de tous
ceux qui sont dans l’erreur, d’autant plus que
c’est une chose très normale depuis longtemps de
croiser des gens dans l’erreur et qu’à partir
d’un certain âge, il est difficile de corriger
ou de faire remarquer à des personnes qu’elles
sont entrain de se tromper, elles pourraient mal
le prendre d’autant qu’elles n’ont plus
conscience d’être dans l’erreur ou la cause de
toutes les erreurs et qu’elles voient les
personnes qui ne sont plus dans l’erreur comme
mystérieuses ou exemplaires mais aussi un
mystère y compris comme des saintes. Pourtant
elles ne le sont pas étant donné qu’elles ont dû
si souvent renoncer à corriger tous ceux qui
étaient dans l’erreur car ils ne voulaient plus
être traité comme des écoliers et croyaient
pouvoir bénéficier des mêmes droits que ces
personnes justes et véritables ou adultes alors
qu’eux-mêmes ne sont pour l’instant que de la
parodie ou entrain de faire leur apprentissage
mais hélas parfois comme des caricatures, ce qui
va être à l’origine des préjugés et de bien de
futurs malentendus puisqu’elles ayant vu réagir
dans des cas semblables leurs exemplaires
maîtres sans avoir pu le devenir elles-mêmes
d’une certaine manière, elles vont reproduire
ces réactions qui s’avèreront celles
d’imposteurs et d’usurpateurs aux yeux de tous
ceux qui savent naturellement ce qui est vrai
sans avoir besoin d’en tirer spécialement une
grande gloire comme tous ceux qui ont fait
aussitôt les faux papiers qu’il fallait faire
durant
[41]
A cause de leur existence il est cependant
nécessaire de préparer la guerre pour avoir la
paix.
[42]
Un scénario admirable pourrait donner un film à
partir d’une adaptation. Mais rien ne remplacera
la lecture de ce texte éblouissant.
[43]
Il est certain qu’on pourrait ici ergoter mais
tout ce qui est exigé et qui sont des contraintes
sont donc des nécessités à mettre en œuvre.
[44]
(cela est aussi valable pour inscrire ces trois
petits points : en admettant qu’ils soient
pourvus d’une personnalité comme on peut croire
que certaines lettres de l’alphabet aient fini
par en avoir une en raison du nombre de fois
qu’elles se sont montrées chacune indispensable
– et les recherches sur Internet au sujet d’une
simple lettre le confirme – aucun des petits
points n’aimerait, puisqu’ils se savent chacun
destinés à être séparés l’un de l’autre pour
offrir cette forme des trois-petits-points, être
mis l’un sur l’autre car ils savent qu’il y a
des probabilités pour qu’on ne lise plus qu’il
s’agit de trois petits points mais d’un seul
point – ce qui est différent - et c’est pourquoi
chacun de ces petits points a intérêt à ce qu’on
ne lui fasse pas ce qu’il n’aimerait pas que son
voisin ou autrui, le troisième petit point
subisse, car sinon comment réaliser cette forme
des trois petits points ? C’est tiré par les
cheveux mais un « b » n’aime pas être un « m » :
on ne fait pas à autrui, même dans l’alphabet,
ce qu’on n’aimerait pas qu’on nous fit, si on
était par exemple un « z ». Y lire un « a » est
possible, bien sûr, cela devient un exercice de
style, mais tout le monde est au courant qu’on
est sur une équivalence nouvelle, ou qu’on a
changé le code de lecture, mais qu’au départ ce
« z » n’est pas ce « a »)
[45]
(il faut que je puisse penser à ma vie future et
la préparer dès l’enfance, dès que possible y
compris ma mort)
[46]
Du chapeau, du capital (de « capo » en italien –
« la tête » ou du « capitello » du
« chapiteau », élément indispensable pour porter
l’édifice, bien que cet élément, s’il est décoré
avec seulement des motifs végétaux – acanthes,
etc. - puisse être vu aussi
comme plus sensuel, d’autant plus qu’il
est placé au sommet de la colonne qui est comme
un élément de fossilisation des forces de vie
durcies dans ce mot indispensable qu’on retrouve
aussi dans l’expression « colonne vertébrale »
qui est bien nécessaire pour porter notre
« tête » - et nous sommes ici « da capo »,
c'est-à-dire au « début » ce cette note de fin
de page)
[47]
C’est le danger car cela fait des mentalités
d’employés et de l’autre, celles de patrons. Il
y a donc le risque de voir se reproduire la
société scolaire ou étudiante ou celle des
entreprises que nous connaissons dans nos
sociétés actuelles pourtant issues du
capitalisme-socialisme, avec des personnes qui
sont « encadrées » ou ont besoin d’encadrements,
de guides ou de chef. Celles d’assistés ou de
touristes groupés. Pourtant cet aspect
hiérarchisé -
militaire, voire pyramidal - vaut mieux
(même si détestable, par certains aspects, à
cause de ce qu’il révèle)
que des sociétés où plus rien ne
fonctionne car il n’y a plus d’initiative privée
ou particulière, plus d’intéressement au progrès
personnel grâce aux autres. En général, cette
nécessité du chef ou d’avoir un maître a pour
objectif de le devenir soi-même. On accepte un
maître dans l’espoir de comprendre un jour son
point de vue ou de faire comme lui. On le voit
bien dans de nombreuses entreprises où il y a
des apprentis, des débutants ou des ouvriers,
assez rapidement, on assiste à des désirs de
devenir ouvrier spécialisé, ou de monter dans la
hiérarchie en se rendant compétant. Aussi les
chefs ou les guides sont vus comme des appuis
pour ne pas se perdre et continuer à cheminer
justement, en acceptant de s’astreindre à une
discipline commune.
[48]
(handicape ou esclavage – des mots qui, nous
l’avons vu, malgré tout, nous concernent et sont
inhérents à un autre niveau de lecture, au
statut d’être humain " libre" et "non
handicapé" au sein d’une civilisation qui en
définit par la loi les principes en établissant
une sorte de vu-mètre ou de mesure à ce sujet
car, à partir d’un certain niveau de maladie, on
sera considéré pouvant avoir les droits
inhérents à ce statut d’handicapé – qu’on est de
façon général à un autre niveau, ne serait-ce
que parce qu’on ne vole pas ou qu’on ne dispose
pas d’autres bras et d’autres mains - en raison
de critères élaborés avec les responsables
médicaux. Aussi nous ne sommes plus des esclaves
au sens où on l’entendait, bien que parfois
chacun de nous appartienne au nom d’une famille,
mais nous y jouons à l’intérieur des rôles qui,
en théorie, ne devraient pas être ceux
d’esclaves, ou alors de personnes ayant
librement consentie – consentement mutuel - au
rôle de fils ou de fille ou de frère suivant que
nous nous trouvions dans ces maisons devant des
personnes qui peuvent nous définir alors par ces
mots, libre à elles de les avoir défini de
façon originale, personnelle, traditionnelle,
bourgeoise, ou avec d’autres desseins, libre à
elles d’avoir eu le temps de réfléchir sur ces
mots avant de pouvoir les dire en vérité ou en
menteurs ou en usurpateurs. En fait elles
n’auraient pas dû croire possible avoir une
autre « liberté » que de les comprendre en
vérité, mais en raison de la situation générale
comme de l’existence des ignorants ou des
profanes, au SNNPM[.] : au sens négatif et non
positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô.
K. (situations précises (S . P.), occasions,
circonstances, points, scènes, tableaux,
paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)), elles ont
cru pouvoir continuer à être, au sujet de ces
mots, « esclaves » des préjugés, des
calomnieuses ou mensongères possibilités de les
entendre tout en ayant cette « liberté »)
[49]
(« librement » ne doit pas être synonyme de
« stupidement », et cela devrait permettre de
choisir son partenaire par « consentement
mutuel » ou du moins contractuellement, mais
aussi pour d’autres raisons différentes - qui ne
regardent que les personnes en question et qui
peuvent être aussi des calculs dans l’Intérêt et
le Bien Général - ce qui s’est produit et
manifesté autrefois dans bien des mariages à la
fois concernant les commerçants, mais aussi à
l’occasion de la plupart des mariages
aristocratiques)
[50]
(car vouloir manger un animal c’est vouloir
« avoir » égoïstement ou en « vorace » comme
« avoir un esclave » ou « posséder un objet » –
les objets ou les êtres cela se mérite car sinon
on risque de les perdre ou de les casser. Les
objets comme les êtres n’ont pas été faits pour
qu’on les « ait », mais pour qu’on les « aime »
et qu’on les « libère » ou qu’on les mette en
valeur pour les donner à admirer. Sinon c’est
vouloir escroquer l’objet ou l’individu qu’on
« a »)
[51]
Que l’être humain n’est pas un animal seulement
mais surtout un être « instruit ». En effet sont
considérés comme les plus forts parmi les êtres
humains ce qui pensent justement ou trouvent les
solutions élégantes techniques ou technologiques
qui vont permettre à tous de bénéficier de plus
de confort et non ceux qui sont physiquement ou
manuellement compétents en raison du fait qu’ils
sont très rares alors que ces derniers sont
innombrables. Encore une fois la loi de l’offre
et de la demande, de la quantité et de la rareté
va permettre à tous de comprendre que celui qui
est vraiment « fort » est celui qui analyse ou
connaît un métier très bien (a beaucoup
d’expérience et peut former ou aider les autres
dans une discipline. Le problème dont ne sait
rien le profane, ou celui qui débute, c’est que
certaines disciplines pour être exercées par des
« fort compétents » ont exigé infiniment de
formations diverses pour les maîtriser. Aussi on
va se retrouver face à une personne « forte » et
parce qu’on est nul soi-même on croit que
celle-ci l’est autant que nous. Pour la personne
vraiment « forte » ou compétente le problème est
le même, mais inversé, elle croit l’autre tout
aussi virtuellement compétente qu’elle-même et
ne peut pas imaginer qu’elle a à faire à un
ignorant, au mauvais sens de ce mot, seulement.
Aussi ce qui se passe est étonnant : d’un côté
des gens prenant les autres pour des personnes
capables de comprendre et de l’autre des
personnes qui « font semblant » de comprendre
car elles ont perdu à peu près toutes les
capacités pour comprendre en raison du fait
qu’elles sont devenues faibles sur le plan
intellectuel ou rationnel ou très médiocres.
Mais elles ont peut-être compensé sur d’autres
plans dont celui de la « force » physique ou
sportive qui, bien canalisée comme le montre le
sport, permet de faire des personnes compétentes
au moins dans ces domaines.
[52]
Certes chacune de ces solutions élégantes est
difficile à mettre en œuvre et a nécessité des
prouesses de génie comme surtout des personnes
qui portent des têtes pensantes en plusieurs
dimensions pour élaborer toutes ces solutions
techniques du moins, dans un premier temps sur
le papier avec des mots et des descriptions
établies en vérité (et nous avons vu qu’il
s’agit d’êtres exceptionnels mais handicapés
dans leur quotidien car ils ne sont que pensée à
l’état pure – bien qu’ils feront toujours croire
le contraire pour ne pas complexer les autres),
certes chacune de ces solutions a l’air de
compliquer notre existence comme semblait
l’avoir compliqué les mots « d’informatique » ou
« d’électronique » ou de « mécanique » mais ce
n’est qu’à première vue.
[53]
Une forme d’asservissement qui libère.
[54]
À l’aulne de ce que je pensais de l’être humain
dès 1965 et à partir de 1975 et ce qu’a pu
représenter pour moi et pour Christine, de 1975
à 2012, notre
sacrifice y compris la perte de nos enfants.
[55]
Par exemple en reconnaissant les torts.
[56]
(les relations peuvent demeurer comme celles
qu’on entretien avec les auteurs de livres ou
ceux des films DVD, des relations avec des
personnes « derrière l’écran », qui ont donc des
vies autonomes et indépendantes de la nôtre, des
personnes qui sont donc des étrangers invités ou
qui pourront toujours demeurer « derrière
l’écran », des virtualités avec lesquelles
poursuivre des relations intellectuelles, des
cheminements comme l’ont fait certaines
personnes autrefois par écrit. Mais notre époque
plus luxueuse offre l’image et le son en plus.
C’est comme si au magazine ou au livre
d’autrefois qui nous offraient une image, un
mot, un portrait sur lequel méditer s’était
enfin ouvert une fenêtre sur cette réalité
encore plus vivante. Woody Allen dans
la Rose pourpre du
Caire nous montre qu’il est
possible de rejoindre une personne qui est sur
l’écran et avec Internet, sans avoir à se
déplacer on peut rejoindre ou retrouver des
personnes entrevues photographiées dans un
magazine ou qui ont figuré dans un film, au
point que les génériques des films pourraient
comporter les adresses de courriel et permettre,
si on fait un arrêt sur image, plus facilement
de se mettre en rapport avec le directeur de la
photo ou l’acteur pour lui proposer une nouvelle
intervention (on pourrait aller jusqu’à imaginer
que les pixels représentant la personne sur
l’écran soient en relation avec l’adresse
Internet ou le site de l’individu). Cela c’est
si on poussait la technique jusqu’au bout du
processus (avec la reconnaissance informatique
des individus) au point que par exemple pour
chacune des signatures ou des
copyright
concernant des images publiées y compris sur
Internet, on pourrait aussitôt rejoindre le site
de la personne (auteur) qui a photographié (ou
filmé en vidéo ou écrit) ou son adresse
Internet)
[57]
Je ne l’aurais jamais osé s’il n’y avait pas eu
Pierre Brunel pour évoquer Rimbaud et employer
le mot de « conchier » au cours d’une soutenance
de thèse à Nanterre : de son point de vue,
Arthur Rimbaud « conchiait … »
[58]
Si ce n’est que cela a engendré la « pudeur »
(qui n’est pas un mot vraiment compris par les
autres – dans tout ce qu’il a suscité comme
sentiments ou relations et inventions diverses,
dans son droit à être, mais seulement compris
très grossièrement et primitivement
(élémentairement) comme l’inverse d’« impudeur »
(ce qui n’est pas très bien compris non plus) et
ce qu’ils croient être normal en
exhibitionnistes et en « pécheurs » y compris en
provocateurs, et qu’ils proposent ainsi dès
qu’on veut leur inculquer ou leur proposer ces
notions de « pudeur » étrangères aux éducations
reçues car cela est en relation avec des façon
spirituelles et sensibles d’être et c’est à
partir d’elles qu’a été défini le mot de
« transgression » ce qui reste donc, d’une
certaine façon incompréhensible pour celui qui
est de façon permanente dans l’état en question.
Ils ne comprennent pas le sens exacte puisqu’il
n’y a pas un mot qui n’ait pas été le produit et
la manifestation du Saint-Esprit même avant même
que cette notion puisse être comprise et définie
comme effectivement fondatrice – et puisqu’il
s’agit de l’inverse d’« impudeur », ils veulent
« transgresser » par esprit de contradiction sa
réalité (ce qui produit le contraire pour les
autres) par tout ce qui est considéré
« profanations » ou « sacrilèges » ou
« transgression » ou « provocations » - en
enfants turbulents et préhistoriques qui
voudront par exemple se permettre un
strip-tease - de même que quand on ferme la
porte à clé à un chat, celui-ci croit qu’il y a
quelque chose à cacher (ou qu’il ne doit pas
savoir) et va miauler pour y entrer. Donc par
esprit de contradiction et d’ignorance, au
mauvais sens du mot, ils prennent le parti
inverse des gens sensés ou qui ont encore du bon
sens en devenant méfiant et plein de soupçons –
c’est ainsi qu’ils ont acquis cette mentalité
d’espion car ils n’ont peut-être pas compris
pourquoi en raison de la situation générale, des
différences d’âge, il y a des choses à cacher
(par pudeur) y compris dans les sentiments. Ils
seront ceux qui se couvriront de vêtements (au
maximum) pour jouer les pudiques, les vertueux
ou les saintes-nitouches et faire ainsi comme
les autres qui sont simplement couverts car
sensibles au froid et au chaud (sans comprendre
non plus la raison d’être – la cause - de cet
état d’esprit qui a engendré la « pudeur » -
différence entre le monde de l’esprit et le
monde profane qui l’a engendré - et oublient ce
qui a causé à l’origine ce problème de
« pudeur » ou d’ « impudeur » - les migrations
vers les pays froids et les différences de
patrimoines – l’absence de chauffage ou la
cheminée - et tous les préjugés élémentaires qui
vont avec, puisqu’ils n’ont pas encore l’esprit
formé, ni même bénéficié de l’ouverture d’esprit
qui permet à ceux qui sont sur ce point libéré –
quand ils le jugent utile ou faisable - de poser
facilement nus sans problème (ou de nager nus
dans la mer ou d’autres lieux) et comme ils ont
encore moins de conscience et errent donc dans
chacune de leurs existences comme des « perdus »
(dans le monde des vérités relatives, des
mensonges, des faux-vrais raisonnements, des
transgressions enfantines, des calomnies, etc.),
ils seront capables de regarder par le trou
d’une serrure ou de croire « exhibitionnistes »
ceux qui ne voient aucun mal à se relier à une
web cam
ou à être entrain de mettre en scène aux Folies-bergères pour qui il est évidemment normal
d’être moins vêtus dans certains cas, comme cela
a été le cas, avant le cinéma ou la photo de
charme pour tous les grands peintres ou grands
sculpteurs, puisque cela ne posait aucun
problème à l’esprit que sa propre nudité ou
celles des modèles et que cela plaisait dans un
monde où les solutions élégantes de chauffage
n’avait pas été encore posée partout. Comme ils
n’ont aucune forme de certitudes cela leur
permettra de dire « oui » à tout ce qui est dit
de façon certaine (au son), car celui qui en
raison de son état est contraint de « faire
semblant » de comprendre a compris, comme les
autres, que ce qu’il y a de plus intelligent à
faire est de dire « oui » à des personnes sûres
y compris à tout ce qu’il entend qu’il ne
comprend pas, ce qui lui permettra d’ajouter son
grain de sel avec un « mais » introductif de
l’argument qui pourrait infirmer, confirmer ou
contredire – de son point de vue de personne
n’ayant intérêt dans ce qu’il lit ou entend que
pour mieux faire connaître son point de vue
d’enfant-gâté – il a le droit d’exister - mais
sans tenir compte, au cours de cette réponse,
des très nombreux paramètres qui avaient permis
à son interlocuteur d’affirmer la phrase en
vérité et souvent de façon pudique qui de ce
fait se voit parfois contredite. En fait il se
pourrait qu’ils ne sachent pas qu’il existe une
nudité pudique ou une Création pudique (élégance
qui ne se voit pas) et qu’ils prennent pour de
l’impudicité ce qui pour de bien nombreux yeux
est aussi pudique que des galets nus, non encore
revêtus de peintures ou de
legs
en élasthanne les imperméabilisant un peu plus.
Il faut être malade pour voir des galets ou des
pierres polies comme autant de phénomènes
impudiques. C’est pourtant ce que leur état
d’esprit a modifié en eux et c’est pourquoi ils
verront une colonne autrement qu’elle ne l’est y
compris la tour Eiffel. Ils ne la verront que
seulement comme une réalité uniquement
« impudique » y compris le moindre des tuyaux.
De là à Tartuffe dès qu’ils voient une dune ou
une colline ou un volcan ou une montagne comme
« arrière-pays » dans les photos ou les peinture,
il n’y a qu’un pas et il les verra comme des
successions de seins « à cacher », des
tentations « inavouables ». C’est pourtant un
pas qu’ils ont franchit allègrement et en toute
inconscience en croyant que
[59]
(puisqu’irrespectueux de cette intimité de
l’autre et de son droit à la pudeur comme à la
« privacy »
qui, je l’ai vérifié, est difficile à comprendre
pour ceux qui esclaves de leurs passions voient
le monde en profane ou en enfant-gâté sans
pouvoir comprendre pourquoi la pudeur existe – y
compris dans les sentiments - et mélangera tout
au point de s’appuyer sur l’argument de la
nudité existante chez certains peuples pour
croire cela possible chez nous, alors qu’il
s’agit là, chez eux, d’un des premiers stades de la
civilisation)
[60]
(je me souviens encore comment il a réussi à
m’intéresser à ce mot techniquement dans les
constructions romaines que nous visitions dans
les ruines)
[61]
Des initiations aux diverses religions ayant
fondé les diverses civilisations aujourd’hui
reliées mais surtout aux religions
traditionnelles autochtones si celles-ci ont eu
l’intelligence d’évoluer ; de s’adapter à la
cohérence de l’époque.
[62]
Au passage je viens de savoir que les profanes
sont capables de reprocher aux occidentaux la
charité que ceux-ci leur font de se débarrasser
du matériel technologique en le vendant pour
trois fois rien, au poids, aux africains n’ayant
pas les moyens de s’en acheter du neuf et leur
reprochant de faire de l’Afrique un lieu de
déchets, alors que c’est à eux de s’organiser
pour éviter cela en se rendant capables de
recycler chacune des choses reçue – cela a exigé
en Occident de montrer comment on peut le faire
de façon industrielle et donc on pourrait éviter
d’avoir à faire les efforts pour leur apporter
par bateaux qu’il a fallu construire pour cela,
l’ensemble de ces objets dont certains d’entre
eux reprochent de ne pas être en état de marche,
alors qu’ils pourraient consulter par Internet
les modes d’emplois et faire des réparations de
fortune à partir de plusieurs modèles pour en
fabriquer un qui marcherait pour longtemps avec
des pièces détachés récupérées sur d’autres plus
ou moins semblables – avec un fer à souder si on
est de ceux qui s’y connaissent un peu ou s’y
intéressent, il y a moyen avec tout ce matériel
qui débarque quasiment gratuitement, d’apprendre
à être utiles, en Afrique, dans des métiers
d’avenir. Il y en a même capables de vouloir
faire des procès à des entreprises qui ont
peut-être financé ces transports de matériels
électriques, électroniques informatiques divers.
Je crois que se sont les dirigeants sur place
qui n’ont pas compris la chance qu’offrai[en]t
l’ensemble de ces efforts faits par tous les
occidentaux pour acheter régulièrement de
nouveaux modèles, en se débarrassant des anciens
qui peuvent ainsi avoir une chance d’une
nouvelle vie auprès de gens moins fortunés. Peut-être faudrait-il qu’ils
pensent à mieux accueillir ce
matériel par des personnes mieux formées et
mieux organisées y compris en prévoyant des
lieux appropriés pour ces ateliers et éviter que
les métaux ou produits chimiques ne soient
[à] l’origine de contaminations (c’est aux
gouvernements locaux qui ont accepté l’accueil
de ces sources de richesses de faire le
nécessaire et non aux gouvernements ou aux
entreprises ou aux particuliers qui changent de
matériel en faisant des efforts financiers
chacun au point de sacrifier des vieux modèles
ainsi et permettre à d’innombrables personnes de
survivre y compris les ports, des lieux d’accueil,
ou toute la filière de retraitement de vieux
matériel. Il serait donc peut-être opportun de
cesser de sacrifier autant de choses dans le
monde de la vérité pour les profanes, les
inconscients, les pauvres puisque c’est si mal
accueilli et même qu’on trouve des personnes –
enfant-gâtés - qui reprochent que ces choses ne
marchent plus, alors qu’il y a tant de choses à
récupérer y compris à réparer si on veut s’en
donner la peine et le plaisir en étant sûr de
créer de la valeur ajoutée et d’apprendre de bons
métier
[63]
Je suis sûr que j’ai affaire avec vous à un
homme d’esprit qui sait lire. J’ai pensé à
Federico Fellini mais aussi à Commencini et
pendant que j’écrivais la phrase je riais en
moi-même comme Chérubin.
[64]
Je relis et j’ai appris depuis qu’en japonais
cela signifie « bleu marine » le mot de [kon] –
ça tombe bien en raison du fond couleur choisi
pour le papier du brouillon de cette lettre – c’est donc
vrai, je le suis - ainsi dit dans l’invisible –
mais je ne crois pas possible l’existence de
voix : je ne suis pas Jeanne d’Arc, et elle
n’avait pas parlé dans
le Procès
de Dreyer de gens mal élevé, à ce sujet. Par
contre, je suis sûr que vous, au contraire,
croyez possible, comme elle, de tels prodiges :
entendre des voix d’autant que Fernandel aussi
nous montre bien qu’il entend Dieu lui parler
dans plusieurs films touchant et admirables, ce
qui signifierait qu’il y a un monde délivré de
la condition profane qui entend Dieu et un monde
qui est sourd à celui-ci – mais ici ce ne fut ni
l’un ni l’autre, mais l’ordinateur qui s’exprima
ainsi – à notre époque les ordinateurs parlent,
ils ont des hauts-parleurs et les gens parlent
en soliloquant dans la rue sans plus être traité de
fous car ils sont reliés à des mini-téléphones
sans fils à des oreillettes ou autrement. Mais
je vous assure que le haut-parleur était éteint.
Pour cette information sur le mot de « con » je
la dois à l’auteur Akira Mizubayashi qui vient
d’écrire
Une langue venue d’ailleurs dont vous me
permettrez de vous recommander la lecture : un
livre admirable.
[65]
Cuneo en italien dans le piémont.
[66]
Si j’ai connaissance d’un instrument ou si j’en
invente (et Dieu sait combien j’en ai inventé)
c’est pour les donner à fabriquer et permettre
ainsi à tous de les utiliser non pour être les
uniques à en disposer ou les réserver à un club
qui les utilisera pour nuire ou avec cette
mentalité d’espion cachotier s’étant permis de
faire des choses à mon insu (comme ceux qui
cherchent à voler des futurs brevets ou sources
de richesse pour un pays en faisant de
l’espionnage industriel et peut-être à cause de
cela agissant en maitres-chanteurs), étant
démasqué et ne s’étant même pas présenté ni
excusé pour de tels actes outrageant et les
déshonorant – en mal polis, sans savoirs-vivres
ni scrupules (d’autant qu’ils nous doivent déjà
tout ce qui est bon), c'est-à-dire avec cet état
d’esprit dénué de morale comme des spectateurs
n’étant plus capables de différencier ou de
discerner ce qui est « bien » ou « bon » du
« mal ». Pourtant il y a bien ce qui est « bon »
et qui provient donc d’une attitude morale car
sinon il n’y aurait que des choses mauvaises
c'est-à-dire dépourvues de morale (la morale
étant indispensable pour se conduire
honorablement), comme des ronces ou des orties
ou des animaux hostiles à l’être humain. On sait
que ce que rejette le corps n’est plus bon ou
moral pour le corps. Aussi pourquoi vouloir s’y
focaliser ? Pourquoi vouloir « zyeuter » en
cachette (ce qui a le droit d’être un secret de
fabrication d’autant plus qu’on donne toujours
le temps à celui qui est en cuisine de faire
tous les essais et toutes les erreurs y compris
pour tourner un grand nombre de prises avant de
choisir celle qu’il utilisera au montage ou de
proposer à des personnes une nouvelle recette –
il y a ceux qui pourtant ne voient pas
d’inconvénient à être observés ou filmés y
compris au cours de l’élaboration de leurs
œuvres mais ils ont accepté, comme Picasso, de
se faire filmer par H. G. Clouzot quand ils
étaient depuis longtemps devenus maîtres dans
leur art et qu’ils savaient offrir ce qu’il y
avait de mieux aux spectateurs – du respect des
spectateurs et de l’image – les milliers
d’heures d’apprentissages et de tentatives ou
d’essais avant de parvenir à tracer le trait en
question, en transparence, ils ne les ont
nullement imposé en télé-réalité ni avec une
web cam
filmant en continue toutes ces difficultés ou
tous les ratés ou tous les obstacles à surmonter
y compris tous les préjugés à vaincre en art et
sciences de l’art – ce qui l’a mené comme
première étape au cubisme – c’est d’un commun
accord et en consentement mutuel que ce film
s’est fait. La personne avoir obtenu la
permission et on ne parle plus alors
d’espionnage (mais de documentaire) alors que sinon on ne fait que
révéler qu’on fait parti des esprits les plus
minables puisqu’ils voudront être de ceux
capables d’intervenir à l’insu ou d’utiliser des
instruments dont l’autre n’est pas au courant
pour se faire passer pour des « sorciers » ou
des personnalités alors qu’on a espionné en
cachette pour les utiliser à contrario du bon
sens pour des commérages de bas étages en raison
des erreurs d’interprétation qu’on fera dans
l’état de dégradation cérébrale qui nous a fait
choisir de perdre ainsi le temps chargés de ces
espionnages (dans un monde où tout peut être
montré sans avoir à rougir de rien par les
moyens techniques mis à la disposition de tous)
car cela signifie que ces personnes ne le font
que pour des raisons qu’elles cherchent à
transgresser ce qui est de bon sens pour elles
de ne pas faire et d’avoir comme règles commune
d’hygiène d’existence en ayant donc préféré
faire partie des ignorantes, au mauvais sens de
ce mot : elles se sont donc avilies jusqu’à ces
activités de délateurs-espions en raison de
mensonges ou de leur incapacité à raisonner
(leur limite) ou du fait qu’elles ont cru l’être
humain mauvais comme elles au lieu de consacrer
leur existence à la recherche de la vérité qui
est d’une complexité inouïe comme liée au fait
qu’il faut avoir la patience d’attendre que les
documents soient publiques ou que de mon côté je
m’offre en spectacle, si le cœur m’en dit et si
je puis le juger d’une quelconque utilité y
compris à travers ces
web cam
ou comme je n’ai pas hésité naturellement à le
faire quand j’ai pris conscience qu’on me voyait
dans le ciel trente ans avant puisque Dieu m’en
a redonné la mémoire et que moi-même je m’en
suis souvenu pour avoir pu le vérifier moi-même
trente ans avant dans les bras de Christine, ma
promise impératrice que l’Ensemble, a exigé par
ce sacrifice que je quitte jusqu’à ce que
mémoire me revienne en raison d’un autre anneau
de mariage et qu’on constate qu’effectivement
j’étais aux différents endroits dans le temps en
même temps, ce qui signifie que j’ai été à
chacune des fraction de seconde une grande
quantité de personnes différentes se déplaçant
sur un axe du temps mais qu’il y a eu des
longues parenthèses profanes).
[67]
Les soldats protégés attendaient lâchement de
cette façon des hommes courageux ayant à
résister aux mensonges comme ayant eu à quitter
des milliers d’activités différentes dont chacun
étaient capables pour récupérer des lieux qui
n’étaient plus qu’entre les mains d’incompétents
ou ces personnes devenues menteuses et
criminelles y compris folles au point de cécité
absolue et/ou de croire possible tricher ainsi y
compris sur le plan militaire pour éprouver ce
fallacieux plaisir qu’il y aurait à tuer des
êtres humains ayant été trompés et à
transgresser un interdit qui non seulement a
fondé toutes les civilisations intelligentes –
"tu ne tueras pas" en contraignant à évoluer et à
trouver des alternatives, un interdit dont ils
avaient bénéficié pour vivre et pour avoir la
vie sauve comme avoir le droit à l’existence
même en tant que profanes ou que dégradés ou
ignorants au mauvais sens de ce mot, faisant
n’importe quoi avec les mots en tant
qu’inconscients ou fous ou en croyant possible
penser n’importe quoi avec eux (alors que le bon
sens existe) et cela au sein même d’une société
et au sein de civilisations ayant établi entre
elles des liens commerciaux depuis des siècles
mais en enfants-gâtés à cause de cela incapables
de voir que ce que proposait l’époque était déjà
beaucoup mieux que des milliers d’années
auparavant et qu’ils pouvaient donc avoir un peu
de patience pour attendre les nouveaux modèles y
compris accorder un peu de bon temps en
s’autorisant des temps de repos ou de vacances
comme le Front Populaire l’avait proposé au lieu
de contraindre en conservateurs à travailler de
façon inhumaine en continuant à exploiter.
[68]
Il y a des règles en sport et il y a toujours eu
des règles dans les combats et dans la guerre
(comme deux camps qui se donnent rendez-vous
pour se mesurer). Il y a des choses qu’on ne
peut pas se permettre de faire comme violer des
traités de neutralités pourtant signés et cela
pour continuer à offenser (non pas en « légitime
défense ») mais pour offenser des êtres humains
qu’on trouve normal d’attaquer par derrière en
se réjouissant de profiter ainsi lâchement de la
confiance, ce qui n’est pas concevable ni
fraternel, alors que ces personnes, ne s’en
doutant pas font face comme des sentinelles et
que ce genre de procédé leur est totalement
étranger.
[69]
J’ai pourtant de 2005 à 2012 décidé de tout ce
qui a construit notre époque depuis 1965 et 1975
en transmettant
[70]
(de ce qui obéit à la logique de la situation –
cela tombe bien puisque nous sommes celui qui
dans d’autres époques du passé avons inventé le
jeu des échecs, entre autre, ce qui signifie que
nous savons exactement ce qu’une situation comme
celle-ci qui est composée de milliards
d’individus interagissant entre eux doit devenir
et c’est pourquoi pour la moindre chose à
laquelle on ne nous obéit pas, il n’y aura que
des catastrophes partout, pour la moindre
irrégularité, pour la moindre infractions aux
lois que nous connaissons, chacun se fait alors
des dommages colossaux. Pourquoi nous
connaissons les lois, toutes ? Mais tout
simplement parce que tous ont pu constater que
nous avons eu à calculer tous ces milliards de
milliards de milliards et plus encore de
paramètres qui concernent chacun des électrons
sur quarante et trente ans et cela dans tous les
univers pour pouvoir intervenir du futur avant
même qu’il ne soit dans la réalité et pour
sauver la planète Terre à temps, avec effet
rétroactif, en faisant au passage cette Nouvelle
Nouvelle Donne Internationale Mondiale, en
raison de notre anneau immaculé de mariage qu’il est, je
crois, tout à fait inutile de qualifier de
« vrai » par opposition à ceux qui sont faux,
après tant de preuves renouvelées de la vérité
des mots et ce qu’ils induisent comme
conséquences. Aussi le mot de « mariage » comme
de « fiançailles » obéit exactement à des choses
d’une précision inouïe, ce qui signifie que tous
ceux qui ont fait semblant de se marier ou cru
pouvoir se moquer d’un seul atome de ceux qui se
sont mariés, en vérité, ou seulement fiancés (en
vérité) comme ont employé le moindre mot en
vérité, s’ils persistent dans ce genre
d’intention, en auront les conséquences atroces
et proportionnelles aux dégâts qu’ils ont causé,
même en tenant compte de tout ce qui est
d’avance une bonne affaire et qui concerne tous
les profanes, car c’est eux qui bénéficient du
décalage qui existe pour se donner le temps
d’essayer de réparer un peu le mal qu’ils ont
cru possible s’autoriser à faire, la situation
de profane étant donc enviable et fort enviée
par tous les initiés qui ont à souffrir depuis
des siècles et des millénaires d’une situation
qui n’est pas admissible, qui est celle de
personnes incomprises et bien plus que saintes
puisqu’elles ont à endurer autant de vulgarité
et grossièreté que cela : elles qui n’ont vu le
monde que de la plus belle des façons y compris
l’être humain et cela en ayant le sens de ce qui
est juste et sacré, comme de tout ce qui peut
permettre à travers les chef d’œuvres de grandir
ou d’élever l’être humain y compris celui qui
s’est avili ou qui est tombé, bien que la vision
d’Atlantide avait disparu, en créant autant
d’autres Atlantidéens qu’il y a de véritables
artistes ou de personnes s’étant extirpées de la
condition grossière des profanes ou des espions
ou de la mentalité des délateurs et corollaires
personnes fonctionnant « à première vue » et
n’ayant pas la patience de rassembler le maximum
d’informations pour la recherche de la vérité
mais de croire de vieilles machines qui ont été
conçues pour d’autres temps où la pensée n’était
pas encore capable de concevoir à partir d’un
environnement « naturel » mais de ne fonctionner
que limité à l’état animal au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans
d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .))).
[71]
(Parfois, il y a moins de lois que cela – c’est
selon – j’ai exagéré à dessein. Parfois il n’y a
qu’une loi ou deux, mais parfois beaucoup plus,
selon que nous ayons à zoomer ou à prendre notre
envol, en plans plus larges)
[72]
(ce qui est évidemment pour les profanes
impossible – j’ai vérifié : il n’arrivent
qu’avec des difficultés à appliquer des méthodes
ou des règles ou bien sont contraints d’avoir
recours aux machines qui calculent pour eux –
ils sont donc dans des véritables difficultés de
personnes quasiment préhistoriques, n’ayant pas
encore pu tirer les bénéfices de tout ce
qu’offre de merveilleux la civilisation pour
parvenir à penser ou calculer, ou écrire ou
dessiner en vérité – ils sont donc dans une
situation d’hostilité envers la partie la plus
intelligente d’eux-mêmes et à cause de cela
demeurent impurs)
[73]
(qui sont pour l’instant du virtuel,
c'est-à-dire du possible et qui ont été pourtant
représenté d’avance, comme de véritables petits
amours dénués de préjugés, dans certaines
fresques dans les coupoles ou sur des tableaux,
par tous les grands peintres véritables qui
n’ont peint que pour eux dans tous les temps
passés)
[75]
Et à la troisième Florence Loewy que je viens de
reconnaître, il y a peu.
[76]
Mais j’ai pu encore vérifié l’autre jour
incognito que des jeunes vauriens de grognards
venant vers moi sur le trottoir en « casseurs » ou roulant des mécaniques
n’imaginant pas qu’ils vont se trouver face à
une personne qui est leur pharaon et à qui ils
doivent tout le bien de cette époque-ci font
comme si je n’existais pas et ne voient
qu’eux-mêmes dans la personne qui vient vers eux
et comme je ne cherche pas la bagarre, je serai
le premier à leur céder le passage puisque je
vois bien qu’ils ne voient en moi que cet
eux-mêmes à qui ils ne voudront pas laisser le
passage à qui ils ne veulent pas donner signe de
politesse en étant devenus les inciviles qu’ils
sont. C’est bien la preuve qu’incognito je
continue à inspecter des gens qui sont comme des
morts et qui peuvent avoir devant eux l’une des
figures de la science la plus importante dans
tous les temps et ne pas être capable de la
reconnaître. Je pense que des personnes ayant
permis tous les grands progrès ont dû trouver
drôle car ils avaient de l’humour, mais triste de
constater que les gens ne savent pas discerner
(pourtant dans un monde où les médias leur ont
un peu appris à regarder).
[77]
Je me suis dit ensuite vers 2012 que ce sadisme
à mon égard n’aurait peut-être pas été si
Michèle avait pu comprendre qu’en 1975, comme on
ne me permettait pas d’avoir plusieurs épouse,
je n’avais pas d’autres choix d’aller vers elle
en étant amnésique de la première qui sinon, me
sachant son promis, n’aurait pas pu supporter de
me savoir à elle. De plus je n’avais pas le
choix quand cela m’a été ordonné du futur, à
chaud, après la soudaine découverte et avant que
le sacrifice ne débute en 1965 et soit renouvelé
en 1975. Il y avait donc des raisons pour
lesquelles Michèle s’était comportée comme elle
se comporta qui étaient peut-être dues au fait
qu’elle n’a pas compris ma conduite une fois que
j’ai commencé à devenir amnésique pour devenir
profane en raison de ce que je savais de la vie
sentimentale de Michèle qui me contraignait à
lui donner une chance mais en tant que profane,
donc comme elle d’aller vers l’amour véritable
(ces moments négatifs, moi, ne les ayant jamais perçus comme
tels, puisque j’avais fini par l’aimer en vérité
et de façon innocente, au point de retrouver cet
anneau de mariage, Dieu et ma mémoire). Aussi
c’est en 2012, (donc en 1972), que je me suis dit
qu’elle n’aurait certainement pas eu ces aspects
négatifs si
tout cela s’était passé différemment et si en
1965 ou 1975 on avait compris qu’un
empereur-pharaon (bouddha) cela peut avoir plusieurs
femmes. Mais les préjugés étaient tels, en ces
époques là, bien que j’attendais que tous
comprennent comme moi que c’était possible et
qu’on nous propose cela, qu’il a fallu
qu’involontairement, grâce à Christine et à sa
réaction en faveur de Michèle, malgré la rupture
de fiançailles d’avril-mai 2005, que je retrouve
la solution élégante que j’avais trouvé en 1972,
(en 2012 !), celle de plusieurs épouses.
Parfois ce sadisme venait du fait que
Michèle n’a pas pu connaître, avant 2017, le vrai pharaon que
je suis débarrassé à jamais de l’état
d’enfant-gâté. Elle l’a parfois (mais rarement) éprouvé envers
cet enfant-gâté que j’étais devenu et qui avait
bien des difficultés quand je l’ai rencontré au
point de ne plus très bien savoir ce qui était
juste et vrai de ce qui l’était moins. Mais cela
s’était passé ainsi (dans les correspondances de
temps avec les temps de la prime enfance) entre 1958 (avant sa
naissance) et 1965 pour elle enfant, ce qui
explique pourquoi ses parents avaient voulu
divorcer.
[78]
(puisqu’amnésique j’avais naturellement commencé
à pécher comme tous les profanes ou les devenus
profanes artificiellement une fois qu’ils ont
une amnésie, ce qui est la pente qu’ils
prennent, en croyant pouvoir s’autoriser à
pécher face à leurs descendants dont ils
oublient l’existence ou même qu’ils avaient
l’obligation de se former pour être digne d’eux.
C’est normal, ils sont amnésiques, ils ne savent
pas que leur vie avait un sens ou obéissait à
ces contraintes, ils pèchent alors et vont vers
des existences abominablement fausses chacun en
devenant des « perdus »)
[79]
(alors que celui des profanes s’est asséché en
devenant un cerveau de personnes capables de
faire semblant par mimétisme et par conséquent
de ne penser qu’en tricheur, même quand ils sont
sincères et qu’ils croient être vrais,
puisqu’ils font pareil que les autres ou même
parfois mieux que les autres sans être ces
autres : copier s’est voler, à moins que cela
soit fait pour réussir à devenir aussi bon que
son maître ou que ses maîtres copiés)
[80]
on est donc dans les temps qui précédent ou les
temps de l’approche et qui sont ceux durant
lesquels ces deux personnes vont peut-être se
fiancer ou même vivre ensemble à titre d’essai.
On va donc apprendre avec l’autre à vivre et
peut-être à construire
[81]
(par conséquent seulement capable de singer et
non d’être, seulement capables d’avoir mais
aucunement encore capable de donner,
c'est-à-dire de produire véritablement comme des
arbres de vraies nouveautés, de vrais plans, de
vraies solutions)
[82]
À titre indicatif, en réalité c’est plus
complexe que cela et c’est vers 1972 (2012)
comme je l’ai dit plus haut – mais il y a eu
plusieurs petits faits à partir de cette date là
qui sont entrés comme éléments de réflexions.
[83]
(ce que j’espérais mais en étant contraint de
tester l’Ensemble pour voir s’il y en avait un
qui, dans le tas avait tiré les leçons de
l’Histoire, bien qu’il faut dire que je n’avais
pas d’autres choix tout en ayant pu vérifier que
j’avais bien expliqué qu’il ne s’agissait alors
que d’une virtualité et que, par conséquent,
chacun, comme de nouveau depuis 2005, pouvait y
mettre un terme définitif et grâce à cela
débloquer la situation pour nous permettre tous
d’éviter les uns comme les autres sinon toutes
les souffrances qui nous attendent, y compris
les vieillissements et toutes les difficultés.
J’ai pu vérifier que j’ai essayé de tout faire
pour essayer de faire comprendre la différence
entre le virtuel et la réalité – bien sûr à
notre époque tout le monde comprend, sauf
toujours les mêmes ignorants « qui font
semblant » et grâce aux ordinateurs comme aux
jeux, on sait que le monde du virtuel cela
concerne des annonces ou des avertissements et
que parce que nous en sommes tenus au courant ou
avertis, cela nous donne un peu de temps pour
éviter si possible le pire. Aussi quand on parle
de désertification et de réchauffement
planétaire « mesuré » cela signifie aussi qu’il
faut prendre des décisions pour aller contre
d’autant plus que sans eau nous n’aurons plus de
quoi faire pousser ce dont nous avons besoin
pour nous alimenter à cause de la diminution des
espaces agricoles et d’une démographie
augmentant : de véritables soucis /
inquiétudes pharaoniques
qui le sont d’autant plus que je suis très
inquiet pour l’état de la planète à remettre au
pharaon suivant que j’essaye de servir de mon
mieux puisque nous avons eu à nous donner tout
ce mal pour sa génération et la suivante, si
tout n’est pas fini dans la fraction de
seconde qui vient (menace apocalyptique qui pèse
continuellement à chaque instant sur nous).
[84]
Or tous savent que c’est souvent le fou qu’on
préfère car il a l’attrait de l’insensé, de ce
qui n’est pas rationnellement compréhensible. On
préfère souvent l’animal (le chien ou le chat)
au roi, au Pape ou à Dieu ou à toutes les
personnes sensées – mystérieuses, suspectes -
qui s’occupent de vous avec conscience ou bonté.
On ignore alors ce que la partie visible du fou,
du chien ou du chat ou de l’animal cache de
véritablement hideux. Si on le savait, on ne se
ferait pas prier pour aimer l’être humain
véritable auquel on doit tout car l’apparente
beauté physique des animaux, leur aspect
admirable, cache véritablement, comme chez les
fous ou les profanes au SNNPM[.] : au sens
négatif et non positif de ces mots (dans
d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S .
P.), occasions, circonstances, points, scènes,
tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas
[particuliers] (K .)), une sorte d’enveloppe bien
plus hideuse que la laideur – qui empêche
l’animal d’être penseur, concepteur ou créateur
- de laquelle l’individu en question ou l’animal
est devenu prisonnier : c’est celle de l’enfant
gâté, ou de l’enfant ou de l’adolescent (de
l'égoïste) au
mauvais sens de ces mots, au point qu’on en est
devenu chat et chien ou d’autres animaux voraces,
c'est-à-dire des façons d’être qui ne sont pas
enviables, bien que souvent à-premièrevues très sympathiques et
à première vue belles et gentilles, une fois
bien nourri, ce qui fait que cela nous confirme
que nous faisons bien d’aimer observer et
soigner les animaux y compris les fous ou les
profanes en les conseillant ou en leur donnant
des occupations ou en espérant et attendant
leurs progrès – ce qui rend l’être humain
parfois nostalgique de l’état d’animal ou de
ceux qui agissent avec inconscience, voire folie
et bien sûr beaucoup trop bons avec ces
personnes qui craignent et redoutent l’être
humain
comme les véritables maîtres qui vous
donnent des travaux à faire, mais le savent
totalement indispensable puisque sans lui il n’y
a que maladie et mort et pas même l’espoir d’un
soin, par conséquent malheur y compris entre les
animaux)
[85]
(certes ils avaient cru cela possible en se
basant sur des mensonges qu’ils ont eu la
bassesse de croire comme des enfants capables de
croire à des canulars ou des enfants qui
n’essaient pas de croire ni de savoir pourquoi
la notion de saison est vraie ou de journée ou
de n’importe lequel des mots. C’est normal un
profane est une personne qui répète ce qu’elle
entend ou ce qui traîne sans comprendre et sans
encore penser en vérité sur ce qu’elle voit ou
entend et c’est pour cela qu’elle sera capable
de recopier les erreurs dans une copie sans les
discerner, par mimétisme. Elle véhicule dans sa
tête des calomnies, des mensonges, des vérités
relatives et des préjugés. Cela explique
pourquoi la notion de profane a toujours
concerné les enfants-gâtés ou les adolescents,
au mauvais sens de ce mot, puisque ce sont eux
et non les véritables enfants ou adolescents, au
bon sens de ce mot, qui posent problème au point
qu’on retrouve ces catégories de personnes même
chez les personnes âgées).
[86]
(Christine et Michèle, cette dernière ayant
acquis la possibilité d’être réhabilitée comme
épouse potentielle à la seule condition que
Christine – et moi - renoncions à l’annulation
de son mariage et devienne officiellement ma
femme, même si mariée)
[87]
(en ayant été contraint de surmonter les
préjugés liés à la monogamie dans notre cas ou
en ayant été contraint de réfléchir très en
détail à la logique inhérente à ce cas de figure
qui résultait de ce que la situation générale
nous avait imposé pour sauver la planète au
moins à trois reprises de 1965 à nos jours)
[88]
– à d’autres endroits sur le plafond – pouvant
former des trèfles à deux, à trois ou à plus de
feuilles en étant indépendantes de la figure
centrale à vingt quatre.
[89]
Ne croyez pas que j’ai des préjugés au sujet des
cheveux longs pour les jeunes filles et les
femmes : il y a des femmes aux cheveux courts
qui sont très belles aussi.
[90]
(et pas seulement celle de devenir moins encore
qu’un porc : un tigre ou un des animaux lâches
(qui comptent sur la mort des autres) au point de s’attaquer physiquement à plus
faibles qu’eux et qui finissent charognards car
ils le deviennent en raison d’une très grande
peur de l’existence)
[91]
(croyant que ce n’est pas grave comme quand les
autres qui sont dans la vérité s’autorisent en
parenté de plaisanterie à faire de l’esprit, ce
qui n’est pas pareil, mais qu’il vaut mieux ne
pas espionner en profane puisqu’alors on
s’expose aux conséquences habituelles et à
croire vrai ce qui est dit sur un registre ou
dans une catégorie qui évidemment ne l’était pas
ou même croire à des canulars répétés avec de
l’esprit ou en faisant de l’auto-dérision par
les juifs eux-mêmes à leur sujet)
[92]
(et n’a pas eu le temps de les exposer, car
peut-être il y a tant de raison que cela
prendrait des années)
[93]
C’est ainsi que par exemple chacun des mots qui
sont aujourd’hui devenus des outils de langage
ont eu de véritables auteurs et cela dans
chacune des langues. Ce n’est qu’assez récemment
qu’on a pensé à recenser au moins la date de
l’apparition d’un mot. Et ce n’est que
récemment, grâce à l’électronique qu’on a des
renseignements au sujet des photos (la marque de
l’appareil et d’autres détails). On n’a pas ces
données concernant les bandes audio
enregistrées. On ne sait pas à quelle entreprise
doivent aller les mérites de ces enregistrements
dont nous avons hérité.
[94]
– mais trop peu je sais de ma mère, j’ai été
vingt sept ans loin de ma maison comme une
personne étrangère à lui-même ayant aussi à
vérifier la parabole de
l’enfant
prodigue comme véritable fondatrice (en
1965, 1975 comme à partir de 2005)
[95]
(de ceux qui ne sont plus capables de voir que
l’autre peut être différent de celui qu’on est
devenu et qui à cause de cela vont croire que
l’autre nous ressemble)
[96]
(par conséquent voyant la réalité autrement ou
augmentée de la somme de mes connaissances et
des milliards de milliards et plus encore de
données vérifiées sur autant de temps y compris
anticipées – vous comprendrez que quand je lis
une choses ou voit un élément, ça mouline
naturellement au point que j’en vois aussitôt
les virtualités et ce qu’on pourrait en tirer
dans l’Intérêt Général à la fois profane comme
autrement, pour permettre d’offrir un bon
métier, ou plusieurs, à une de ces personnes qui
aspirent à ne plus être des profanes, mais qui
pour l’instant n’ont d’elles-mêmes aucune idée
de leur propre chef – puisqu’elles l’ont perdue,
leur tête, et ne sont plus que bonnes à
appliquer des méthodes mises au point depuis
longtemps ou à obéir aux ordres ou à rejoindre
la masse considérable de personnes « manuelles »
reproduisant par mimétisme
qui étant si importantes en nombre (obéissent à
la quantité de personnes qui s’offrent sur le
marché du travail et qui posent chacune, comme
les grains de sables, sur une plage, si
peu rares, toutes semblables, les mêmes
problèmes et bien que les aimant chacun (ces
grains de sables) nous n’avons pas le temps de
les différencier les uns des autres que
seulement quand je bénéficie d’un peu de temps
en vacance pour m’y intéresser en détail, y
compris si j’avais à ma disposition un
microscope électronique pour les analyser : ils
verront qu’ils se ressemblent tous, ces
travailleurs manuels comme se ressemblent tous
tous les menteurs ou les tricheurs ou les
usurpateurs ou les profanes, alors que tous les
artistes universels sont chacun uniques au point
qu’en véritables créateurs, ils ont permis de
créer tout ce qui permet à tous ces grains de
sables de survivre (la pelle, la brouette, etc.)
[97]
Aussi quand je dois laisser le passage à un
garnement ou à un mal poli, celui-ci qui se
montre alors malpoli commet un sacrilège. Mais
ceux-ci me rendent drôle le monde (de même que
j’ai appris à lire les pires cauchemars à un
autre niveau de lecture comme drôles d’autant
plus que ceux qui les ont faits révèlent en
voulant ainsi nuire qu’ils ont peur ou qu’ils
cherchent à faire plaisir, étant donné qu’ils
montrent qu’ils sont des ignorants, au mauvais
sens de ce mot, puisqu’ils ne savent pas tous
les niveaux de lectures ou toutes les catégories
qui sont liées au mot d’Amour n’ayant rien à
voir avec l’éros et la pornographie et tout le
corollaire) comme les personnes que j’inspecte
d’autant que je me souviens que quand j’étais un
de ces grains de sable, je croyais pouvoir
rouler des mécaniques ou que j’avais ce genre de
droits sur un trottoir (bien sûr je vérifie
constemment qu’en interdisant le port d’arme en
ville comme le duel, les ministres qui l’ont
décrété dans le passé, ont véritablement bien
fait, car il y aurait des raisons, à tout bout
de champ de tuer y compris des personnes
responsables « politiquement » et c’est pourquoi
je demeure convaincu de l’utilité des divers
apprentissages comme celui de l’écriture et de
la nécessité d’inculquer dans les éducations la
patience pour apprendre aux gens à négocier par
écrit comme utiliser les voies légales y compris
de recours. Mais cela exige des années d’études
et d’apprentissages divers pour réussir à être
juste en vérité et voir tous les aspects ou les
facettes d’un problème ou d’une phrase qu’on
croit pouvoir s’autoriser à dire ou à écrire
encore en tant que profane. Or le profane va
dire cette phrase sans savoir ce qu’elle pose
comme problèmes et agit donc sans se rendre
compte, comme un provocateur. Il ne se rend pas
compte que dans le monde de la vérité la simple
petite modification à une phrase dans un texte
officiel peut avoir des conséquences graves.
C’est pourquoi je comprends certains
conservateurs ou censeurs quand il y a pourtant
de nos jours à s’interroger constemment sur
celles-ci à l’aune de ce que les époques
changent ou apportent ou modifient, en raison
des mouvements et du caractère impermanent de
certaines choses relativement vraies.
[98]
Posez, je vous prie, la question à l’empereur du
Japon ou à la reine d’Angleterre ou à certaines
personnalités : elles ne peuvent plus faire
certaines choses, tandis que moi, comme
n’importe quel grognards, je continue, malgré la
personnalité centrale que je suis, à croire que
je peux descendre la poubelle, faire les
courses, jouer du tennis ou avoir d’autres
activités (sportives) y compris toutes les
promenades que je fais sans escortes ou à pieds
et cela comme quand j’étais petit ou à partir de
1975 (avec la taille qu’on sait que j’ai et dont
tous ont vu qu’elle existe dans le Ciel). Oui,
mais si je l’ai pu, cela s’est fait jusqu’à un
certain âge et comme ce cas de figure me
contraint à envisager sérieusement plusieurs
femmes (impératrices) pour des raisons d’Etat,
je vais donc avoir des transports à prendre pour
me rendre de l’une à l’autre certains jours en
attendant d’avoir, pour chacune un lieu décent
qui soit commun et si j’ai des enfants, il faut
bien que je puisse leur assurer à chacun les
moyens de se développer et de grandir (même en
ayant plusieurs mères – ce qui ne sera pas
mauvais) et tout cela, c’est évident, exige des
moyens matériels qui, s’ils ne sont pas réunis,
ne permettront à aucune de ces impératrices de
permettre de m’aider à faire que finalement
Michèle Finck, devienne une véritable
impératrice, ce
qu’elle souhaiterait et pourquoi elle s’est
peut-être même donné du mal. Vous comprendrez en
plus qu’avoir à réclamer, comme ne pas disposer
d’une administration ou de fonds propres, comme
d’un budget impérial, pour me permettre de
réaliser sur le plan privé ce que je crois
légitime me permettre en raison aussi de ce que
j’ai offert à tous, me paraît outrageant
(sacrilège) et du
plus mauvais goût de la part de tous, y compris
de tous ceux qui ont profité amplement de mes
largesses et de ces assurances et autres détails
que j’avais été amené à prodiguer d’avance du
futur. Si j’ai songé à eux, en me mettant à leur
place, et en sachant que cela leur ferait
plaisir d’être ainsi rassurés, en ayant cette
perspective sur les trente ans qui allaient leur
faire jouer un rôle, aucun (une ou deux
personnes) n’a pensé que je pourrais avoir en
échange des besoins, ni à me rassurer (ce qui
signifie qu’à quelques reprises, j’ai cru que
j’allais mourir et connu cette peur là, que
j’avais pourtant évité à des milliers de
personnes et eu vraiment à sacrifier beaucoup –
pas seulement ma famille qui n’a pas les
commodités qu’elle devrait avoir - mais aussi ma
sécurité matérielle puisque j’ai dû renoncer à
l’intelligence et à l’omniscience dans laquelle
j’étais de nouveau en 1975, pour la seconde
fois, à tous les métiers des mortels qui
apportent au moins de quoi survivre et suis
devenus l’une des personnes les plus handicapées
du monde même avec mon génie, voire à cause de
mon génie).
[99]
(car je devais être empereur un jour et il
fallait donc que j’ai en moi de véritables
connaissances, dont je sois sûres non pour les
avoir lues ou sues seulement dans les livres
d’école comme mes camarades français, mais pour
les avoir vérifiées aussi en Italie, en ayant
inspecté tous les endroits et en les ayant dans
ma mémoire – c’est ainsi que j’ai bien vu qu’il
existe le lieu de la civilisation étrusque –
maintenant il y a des films en couleur ou des
vidéos, mais à cette époque là, les images à la
télévision étaient en noir et blanc. Il était
important aussi que mon père qui allait être
empereur avant moi ait de véritables preuves de
l’existence de tout ce qu’il avait étudié dans
les livres « en chair et en os » dans la
réalité. C’était vital pour l’Empire. Aussi à
l’heure où je pense devoir élever une famille et
que je pense à la génération suivante, il est
important que nous puissions avoir les moyens
pour former l’esprit d’un futur empereur, car il
faut qu’il puisse avoir en lui ces référents
dont ses études lui confirmeront qu’ils ont joué
des rôles dans l’Histoire)
[100]
Etant donné que c’est produit mon troisième
avènement qui n’était qu’une virtualité annoncée
et entrevue
d’avance par tous dans le ciel quarante et trente ans
auparavant (puisque je préviens toujours
d’avance et comme on le voit, plusieurs fois).
En effet l’ignorant, au bon sens de ce mot, doit
être prévenu d’avance (ne serait-ce que pour
qu’il puisse se rappeler que l’autre avait été
honnête avec lui en l’ayant prévenu et qu’il
puisse vérifier qu’il n’y avait pas l’intention
de l’arnaquer, tandis que l’ignorant, au mauvais
sens de ce mot, j’ai pu vérifier que cela ne
sert à rien de le prévenir car de toute façon il
oubliera ou il continuera à ne pas chercher à
comprendre ou à vouloir faire les erreurs qui
sont néfastes – c’est du temps perdu)
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