Suite de cette seconde partie de la lettre de SEAI SSS les Lord. Pharaons Magiciens d'Ôz, Sait ni heure des Annô et ... Laurie Granier à Monseigneur le Cardinal Vingt-Trois

Disparaître de honte et de peur dans l’invisible en s’étant laissé un moment apercevoir (en croisant mon regard), vers 2005, alors qu’on vole devant ma fenêtre où il venait me voir dormir, rue du Val de Grâce : c’est ce qui attendait « frère[1] Dracula » qui freinant dans l’air, après le virage de l’angle de la rue Pierre Nicole d’où il provenait, me voyant les yeux ouverts, l’admirant voler au cinquième étage devant ma fenêtre, arrivait au train d’une sorte de squelette sec, hyper léger, volant rapidement en direction de ma fenêtre. Pour Dieu seul sait quelles raisons, il avait oublié de se rendre invisible en prenant ce virage, ce qui fait que s’apercevant que je le voyais et que je ne dormais pas, il disparut dans cet état d’esprit que je déterminai donc être celui de celui qui a eu peur, de celui qui a honte et qui se sait coupable, me laissant cependant très malheureux de n’avoir pas eu le temps de l’inviter à déjeuner pour essayer l’une ou l’autre de mes nouvelles délicieuses nouvelles sauces végétariennes pour spaghettis, cohérentes avec notre époque depuis des millénaires agricole, mais aussi en raison des importations-exportations d’alternatives à toutes ces viandes ou poissons qui rendent, je l’ai vérifié - comme Léonard de Vinci déjà à son époque[2] - bien moins fournie en alternatives que la nôtre - avec une alimentation qui est donc la meilleure pour parvenir à une bonne santé (l’augmentation des durées de vie l’atteste) et parvenir à penser, à créer en vérité pour le Bien et l’Intérêt Général - mais les gens s’accrochent toujours aux préjugés d’époques anciennes ou conservent souvent longtemps les mauvaises habitudes[3] bien que les circonstances démographiques ou de réchauffements planétaires exigent ces changements - car au lieu de faire, par mimétisme, comme ceux qui sont les plus intelligents, ils préfèrent copier ou se mettre les doigts dans le nez, comme ceux qui sont les plus bêtes et qui n’ont pas encore compris, par exemple, que tout ce que rejette le corps n’est pas bon pour le corps humain - pourtant il y a tant de protéines végétales que les microscopes ont pu déterminer dans la nature – c’est pour cela que nos cousins les singes n’ont pas chassé et sont devenus parfois aussi forts et grands que les orangs-outangs et les gorilles ou les pandas qui se nourrissent presqu’exclusivement de variétés de bambous – ces végétaux qui remplacent avantageusement toutes les protéines d’origine carnées en ayant, en même temps, le mérite de nous éviter de nous rendre complices de la souffrance des animaux pacifiques et inoffensifs qui sont, à d’autres moments, adorables et qui déjà nous sont si utiles pour ces autres raisons évoquées (lait, œufs ou poils de laine, etc.). C’est pourquoi j’étais déçu : Dracula soudain avait disparu alors que sa direction était bien de venir me trouver à ma fenêtre, car il s’était tenu en lévitation volant dans l’air devant ma fenêtre - ce qui est, à première vue, enviable, mais qui ne l’est peut-être pas de son point de vue, pour des raisons que nous ne savons pas, car sinon il n’aurait pas cherché ainsi à disparaître (ou à me rejoindre), ce qui signifie qu’il comptait m’espionner de loin (derrière la fenêtre) – c’est un véritable épisode pour une nouvelle ou continuer ce feuilleton de fictions diverses qui lui sont consacrées) et n’avait pas pu se rendre compte, par lui-même, qu’il y a des choses parfumées et délicieuses qui peuvent donner ces variétés de sauces alternatives – j’en ai mis quelques unes sur le marché qui ont du succès, mais il y en a des centaines d’autres possibles - qui peuvent accompagner toutes les variétés de pattes, de pains ou de pizzas, de riz ou de crêpes y compris d’haricots. Je m’en voulais qu’il ait pu remarquer que je l’avais aperçu car, ce matin là, je n’aurais pas dû ouvrir les yeux aussi grands et lui faire peur ainsi (car ce qu’il a vécu a dû être du même genre que ce qu’éprouve quelqu’un en retard ou pressé qui fonce en voiture à l’occasion d’un virage (pris dans un cas semblable) mais qui découvre qu’entre temps un mur a été dressé devant lui, après ce virage : je ne pensais pas que mon regard avait un tel pouvoir et le voilà freinant et disparaissant aussitôt dans l’air). C’est en croisant mon regard que cet étrange mal être l’a pris. Mais je n’avais pas fait exprès, j’étais seulement entrain de me réveiller, à ce moment là, ne pouvant pas même imaginer que de tels choses avaient lieu sur cette planète (car je n’avais jamais voulu croire possible que le mythe de Dracula pouvait correspondre à quelque chose de vrai dans la réalité. Pour moi c’était des histoires, comme celle de Nosfératus : des histoires pour faire peur et rien de vrai car quand on les entend petits et qu’on sait qu’on a du poids, on sait bien que c’est impossible de voler. Donc ce sont des histoires à moins qu’on parvienne un jour à s’expliquer pourquoi une personne est devenue à ce point légère. Je n’aurais jamais cru possible que ces histoires destinées à nous faire peur enfant cachaient l’inverse : l’énorme peur de Dracula – en effet, car sinon il se montrerait constemment – je n’aurais jamais pu croire que l’inconscience chez quelqu’un pouvait permettre à cette personne de rétrécir à ce point et, au lieu de grandir comme tous les bébés, devenir toujours plus infimes au point de ne plus rien peser et de voler). Peut-être n’était-ce pas encore le jour où je pourrais lui faire goûter l’une ou l’autre de ces délicieuses sauces où il n’y a, plus besoin en rien, en les cuisinant, de continuer à faire le mal d’aucune façon ou à se rendre complice de ceux qui croient pouvoir hotter la vie d’êtres animaux pacifiques et inoffensifs que tous les véritables scientifiques n’aiment qu’étudier vivants. Elles sont parfumées et bien plus savoureuses encore que d’avoir toujours ces autres sauces, habituelles, qui accompagnent, insipides, les viandes ou les poissons, car faites elles-mêmes souvent de déchets de viandes, de ceux qu’on donne, par pitié, aux chiens et aux chats. C’est ainsi qu’il pourrait comprendre qu’il aurait intérêt, en raison de l’époque qui a totalement changée - ne serait-ce que pour être cohérent avec celle-ci - à faire semblant au moins d’adopter un nouveau style de vie, plus en adéquation avec celui que l’ensemble des paramètres concernant cette époque-ci, exigent – car sinon, nous assisterons – peut-être seulement dans des dessins animés ou des fictions - à des personnes qui vont en venir, très logiquement, par manger, physiquement parlant, leurs ordinateurs ou leurs tablettes ou même, les futurs robots, permettant pourtant de beaucoup mieux comprendre combien l’être humain, dessiné par Léonard de Vinci, est bien autre chose que de la chair-à-croquer, puisqu’il permet d’élaborer les plans de ces instruments qui s’inspirent chacun de l’analyse de la complexité humaine ou de certains animaux utiles dont l’organisation biologique est aussi merveilleuse que cela, ce qui étaient déjà bien visible dans les pelles mécaniques, marteaux piqueurs ou grues élaborés par ces dessins et réalisés comme instruments de travail et donnés à ces quantités de personnes qui, sur le marché du travail, posent un problème depuis toujours puisqu’ils ont – on le comprend – ces difficultés pour écrire et pour compter ou comprendre la géométrie, au point d’être innombrables dans ce cas comme toutes les personnes qui ne sont plus capables d’autre chose que de se proposer pour faire du ménage ou de la cuisine ou comme main d’œuvre pour cueillir des fruits et légumes, bien qu’il existe des machines mises au point pour vendanger. Elles sont donc des personnes « manuelles » qui pourront servir à fabriquer des machines ou des robots dont elles-mêmes pourront avoir besoin un jour, d’autant que dans le futur, il est probable qu’il va y avoir encore la nécessité de changer de traditions pour faire une ou plusieurs mise à jour (selon les régions et des critères qui se préciseront) et adopter à ce moment là, là-bas, des façons nouvelles, encore plus juste, et toujours plus cohérentes avec l’époque qui sera et qui devrait se révéler, si mes calculs sont justes, bien moins « méchante » que celle-ci qui est, il faut le reconnaître, et ne pas se voiler la face, encore très excessivement sacrilège et profane, par exemple envers tous les végétaux à bulbes envers lesquels nous avons ici aussi une attitude totalement incohérente, profane, sacrilège, de « pécheurs » et en cela tous de véritables vampires et en totale incohérence par rapport à l’attitude que nous avons adopté depuis longtemps qui est celle d’offrir des fleurs en pot. Pourquoi donc Dracula a pu voler et non les autres qui sont de véritables criminels vis-à-vis des plantes-bulbes et qui se conduisent, par conséquent, de façon inadmissible car incohérentes et contraires avec le Bien et l’Intérêt Général, puisque d’un côté elles vendent des fleurs en pots ou des plantes en pot (bonzaï y compris) pour vanter le mérite de leurs parfums durant plus longtemps en pot, ce qui permet de comparer les plus belles femmes aux plus belles fleurs, et de l’autre nous nous permettons les meurtres abominables de tous les légumes bulbes à différencier des céréales (comme à ne pas confondre) – car au lieu de manger ce que ces légumes bulbes produisent de délicieux dans leurs feuilles nous continuons à nous conduire de façon irrespectueuse et inadmissible envers la vie, en entretenant une ambigüité qui n’est pas à la gloire des êtres humains (ces feuilles ou ces substances produites par ces bulbes sont donc à analyser plus en détail, ne serait-ce que pour comprendre ici un peu mieux l’exemplaire alimentation des singes ou des herbivores, en prenant peut-être exemple sur ces espèces qui, bien que sans défense, ont réussi à échapper à tous les prédateurs et à devenir aussi utiles que cela aux êtres humains, notemment dans les fermes. Par notre façon de nous alimenter en primitifs, nous empêchons à ces plantes de nous nourrir de leurs fruits ou des substances que nous pourrions obtenir à travers leurs feuilles, en préservant leur vie et en la protégeant et c’est pourquoi nous continuons – certain même sans le vouloir - à faire le mal, alors que nous pouvions ne plus le faire[4]. Aussi Dracula peut être sûr qu’il pourra continuer à voler ne serait-ce que parce qu’il continue à manger de simples frittes ou des chipses, ce qui constitue des meurtres véritables (s’il devait vouloir continuer à revendiquer le droit à cette tradition de criminels), des profanations et des sacrilèges envers la Vie à partir d’un certain niveau de lecture[5]. Mais cela est donc malheureux, car nous sommes certains que l’Ensemble aurait intérêt à cultiver ces pommes de terre d’une année sur l’autre pour cueillir les feuilles dans lesquelles, si on cherche bien, il devrait y avoir quelque chose de formidable à utiliser ou lyophiliser, puisque le bulbe est si bon cuit. Et il est donc bizarre que tous ceux qui mangent des pommes-de-terre ou des betteraves ne volent pas comme celui qu’on prétend meurtrier ou le diable : Dracula[6] y compris ceux qui mangent ces délicieuses viandes de betteraves cardinales (rouges) et qu’ils aient pu devenir ces êtres qui ont un poids les en empêchant. Il se pourrait qu’en raison de la situation générale ces criminels contre les pommes-de-terre et les betteraves ou les légumes [à] bulbes aient eu des dérogations étant donné que ces bulbes ne souffrent pas de la même manière que les animaux pacifiques et inoffensifs utilisés par les bouchers comme viande y compris les poissons : des organismes innervés ressentant la douleur par conséquent n’étant pas, c’est évident, à infliger (à moins d’être devenu malade pour les raisons qu’on sait aujourd’hui et de croire, à cause de cela, possible l’inconcevable pour toutes les personnes un minimum respectueuses de la vie dans l’autre, autant que dans lui-même et par conséquent d’avance soucieux d’éviter la souffrance de l’autre, même si seulement différent en tant qu’espèce, selon le bon vieux principe de croire possible pour tout le monde ce qui pourrait érigé en maxime universelle - de ce qu’on accompli ou pense - s’avèrerait une bonne affaire pour tous, y compris sur le long terme, voire peut être le moteur du véritable progrès ici et la possibilité ainsi de retrouver la véritable Atlantide perdue - dans laquelle on respectait ce qui était vivant comme le font les grands singes encore - comme l’Enlèvement d’Europe a permis à l’Union Européenne bientôt Fédérale d’advenir).

En raison de cela mais aussi des web cam comme des téléphones 4G, à force de ne plus se rendre complice des souffrances infligées injustement aux animaux (et aux êtres humains, à cause de cela) pacifiques et inoffensifs, le comte Dracula et ceux qui l’avaient rejoint pourraient, peu à peu, se sortir de la prison des inepties desquelles ils étaient les esclaves (qui avaient comme d’habitude et depuis toujours pour origine les préjugés, certains clichés sur lesquels on avait pas encore pu suffisemment penser ou les vérités appartenant à des époques encore très mensongères dans les habitudes ou traditions, sur certains points qui ont créé des incohérences et à cause de cela des hypocrisies notables, dont surtout celle-là de l’alimentation, en raison de l’histoire des peuplements de ces régions occidentales[7] en ces époques très lointaines où nos ancêtres communs, mais aussi les peuples, étaient encore composés de quelques chasseurs remontant à ces habitudes (pour eux-mêmes) encore plus[8] lointaines[9] ces clichés ou ces traditions, non mises à jour, consistaient à croire qu’il est bien de faire le mal, ce qui est totalement absurde et évidemment nuisible à soi-même - chacun sachant qu’il est préférable de faire les bonnes choses : faire le mal cela rend bête et stupide et totalement le contraire à son propre intérêt ou à l’Intérêt Général (contro-producente)[10] comme de toutes les preuves que nous ont donné toutes les sciences et les arts qu’il existe bel et bien un bon sens (ou du bon sens en ce monde) et que celui-ci est bien plus possible grâce à une alimentation végétarienne (à ne pas confondre avec végétalienne) si on n’a pas de trop grands efforts physiques à faire ou si on remplace la quantité de protéines animales par l’équivalent provenant du règne végétal. Cela était le cas quand la vieille salle des machines appartenait à tout le monde, car nos ancêtres ignoraient le mal en ces temps-là où ils étaient végétariens, fructivores, herbivores, mais ils n’étaient pas encore devenus boulangers, pâtissiers, faiseurs de fromages et de yaourts au fruits y compris mangeurs de légumes et fruits cuits, voyageurs de commerce, écrivains, architectes, ingénieurs, etc., grâce à cela, puisque pour cela il a fallu réussir à vaincre la peur du feu et l’ineptie elle-même de tous les dégradés et les profanes, comme de ceux qui ne savent pas qu’il existe d’autres formes de comptabilités possibles que celles élémentaires dont déjà ils ont du mal à se sortir[11] mais qui sont demeurés souvent élémentaires, dans leurs apprentissages divers y compris des calculs. En effet, j’ai pu vérifier, que le profane doit être contraint à apprendre à calculer : il n’arrive pas à visualiser en lui des calculs globaux. Pourtant ses calculs seront toujours de ceux où il réussira à avoir une part du gâteau ce qui est aussi le cas pour ceux qui ne le sont plus mais seulement pour permettre à ce profane d’avoir accès légitimement à cette part de gâteau qu’on sait lui revenir de droit ou qu’il aurait le droit de revendiquer comme « à lui ».

En fait, tout compte fait, peut-être un bien gentil vampire, ce Dracula, en définitive, puisqu’il est capable de comprendre ce qui est juste et vrai, si les explications sont scensées (censée + sensée = scensée) et logiques d’autant plus que je suis, comme je l’ai déjà dit, aussi son souverain y compris celui de tous les grognards (les profanes, les sacrilèges, les athées, les ignorants au mauvais sens de ce mot – ils ont pu voir que je les comprends bien et combien on se croit, en réalité, très intelligent, alors qu’en réalité on est totalement « perdu » ou de la parodie d’artistes, puisqu’on est encore des égoïstes et sur bien des points un tricheur[12] et comme je suis l’empereur du premier des pharaons je suis bien contraint, par la situation, d’être celui qui protège tous les corps des pharaons avant moi, par conséquent mon père, adolph hitler, napoléon premier et les précédents jusqu’au premier des pharaons qui sont donc, de mon point de vue, y compris je pense du point de vue de l’Eglise, « canoniques », même s’il y en a qui furent contre l’Eglise. Pourquoi ? Car j’ai pu sauver la planète et les diverses religions grâce et paradoxalement au sarcophage des empereurs en les considérant chacune du point de vue profane des empereurs comme de simples catégories indispensables qui sont devenues de véritables richesses, tout comme chacun des mots dans chacune des langues.

Tout cela parce que j’ai pris à l’âge de deux ans et trois mois mon mariage au sérieux et me suis cru obligé de me marier pour fonder à mon tour une famille mais en accord avec la cohérence de mon époque dont on m’a alors contraint à prendre en considération tous les paramètres au point d’anticiper le futur par une remontée du temps et de tous les paramètres étant reliés à chaque chose. J’ai donc eu loisir d’analyser bien des choses pour ce mariage né aussi de la logique de la situation découlant de ce sauvetage de la Terre in extemis , m’ayant contraint à ce sacrifice si long avec ma promise légitime en raison d’une autre qui pourrait donc le devenir ou qui aurait pu le devenir si elle ne m’avait pas caché (c’est pas de chance) le sacrifice de cette séparation, ce que mon état d’amnésique lui donnait cependant la chance de me révéler. Or, en raison de bien de nombreux paramètres, Michèle n’a pas cru bon devoir briser « la loi du silence » (que j’ai seulement découvert depuis 2012 comme une réalité car elle l’a admis) à laquelle elle s’était soumise de gré ou de force contre ses intérêts fondamentaux et ceux de l’Ensemble, en étant ainsi « contro-producente » : en effet, au lieu d’aboutir au mariage, elle a abouti à la rupture des fiançailles (en raison du fait que je proviens d’un contexte familial dans lequel le chantage n’existe pas et où pour chaque choses nous avions des explications et comprenions les « avertissements » que nos parents nous donnaient. Mais cela a eu le mérite qu’elle a pu vérifier qu’il y a un véritable anneau de fiançailles et un véritable anneau de mariage dans le monde de ceux qui ne sont plus profanes. Donc ce contro producente ne fut que le temps que nous arrivions à comprendre qu’il pouvait néanmoins avoir du bon et même devenir un jour le contraire pour tous ceux qui, ainsi, grâce à cette histoire, ont compris qu’on ne peut pas parler, dans certains milieux, à la légère, en employant des mots comme celui de « fiancé » ou de « marié » ou les autres mots sans en connaître le sens précis et ce à quoi ils engagent de juste par rapport à cette situation générale qui a produit d’un côté les profanes et de l’autre de nombreuses personnes délivrées de cette condition infâme, à moins de faire en sorte d’en sortir !

Mais je crains que cela n’ait donné une situation qui ne pourra se libérer ou se débloquer qu’en raison de plusieurs mariages chrétiens, renouant en cela avec des traditions impériales chinoises – bouddhistes – ou, en d’autres temps, avec un rapprochement possible du monde musulman, comme finalement avec la notion de « harem » ou de plusieurs femmes « légitimes », au pluriel, mais appartenant à notre époque contemporaine post-«libération de la femme »: une surprise que mes préjugés occidentaux et chrétiens m’ont, dans un premier temps fait refuser (avoir plusieurs femmes légitimes) : je répugnai totalement à cette idée, mais elle s’est imposée[13] – peut-être trouverez-vous les arguments pour m’en dissuader bien que ce soit assez conforme avec une façon artiste d’éviter une vie bourgeoise, au mauvais sens de ce mot. Cette perspective pourrait consolider la paix entre les différents mondes dans l’empire (le monde des êtres humains encore animaux ou profanes, le monde des êtres humains-êtres humains) et comme c’est ce qui compte pour moi (la paix entre les profanes et les initiés) je vais étudier sérieusement avec les impératrices concernées cette virtualité pour le Bien Général).

Chacun de ces mariages distincts serait célébré par l’Église (peut-être avec un représentant de chacune des religions) et s’il y a parmi les épouses une bouddhique, une profane, une musulmane, l’Église aura à néanmoins accepter de faire la cérémonie, comme à accepter que j’épouse cette musulmane en futur musulman (mais pas en mamamouchi caricatural pour autant, mais en empereur de tous les musulmans – or, quand j’étais profane et amnésique, je ne me suis pas toujours conduit d’une façon très respectueuses de la qualité de « musulmane » que ces jeunes filles que j’ai un peu séduite étaient : j’étais profane et ne comprenais plus rien à ce galimatias-là).

Cette perspective permettrait entre temps de préparer l'opinion au sujet de plusieurs mariages chrétiens de l'empereur et déjà de nous préparer à l’un des trois premiers mariages ou du moins au premier[14] que je vais vivre tout de suite, maritalement, avec cette impératrice : nous serons mariés sans pour autant avoir à partager autre chose que des messages Internet pendant longtemps – il faut comprendre que je dois me remettre de 27 ans d’amnésie(s) à l’issue desquelles années Dieu m’a infligé un véritable traumatisme, que j’ai compris comme nécessaire, puisqu’il permettait de sauver la planète Terre dans les temps passés, au moins jusqu’à nos jours, mais j’avais en échange à devoir connaître la vie de profane et à souffrir des avilissements, des humiliations, de sacrilèges tout à fait indignes de ma condition et de ma fidélité naturelle à mon premier anneau immaculé – j’ai néanmoins accepté, puisque cela devait conduire à avril 2005 et à permettre au monde entier de comprendre, à ce moment-là, ce que les empereurs suivants comprendront plus facilement, grâce au corpus de ces textes qui résultent des conséquence de l’empereur qui en la personne d’adolph hitler a cru pouvoir s’offrir le luxe de déraisonner - pour minimiser ici – à ce point, à partir de 1920 (ou avant ou après) et en étant victime des apparences et des « à premières vue », puisqu’il a cru que c’était la Mort qui avait inventé la vie – ce que j’ai pu vérifier n’est absolument pas vrai (lui aussi depuis 1965, 1975 et 2005), mais seulement crédible en qualité de profane et de devenu inconscient – car nous avons été contraints, en tant qu’empereurs suivant de faire ce sacrifice pour sauver la Vie elle-même – il se pourrait que ce soit cette notion de sacrifice lui-même, aussi inhumain et inconcevable que celui-ci, qui soit à l’origine de la préservation de la Vie – cet empereur, je l’ai vérifié, a cru sincèrement que s’était la Mort qui gouvernait l’Univers, mais il était dans son état de profane – il faut accepter le fait qu’il se soit trompé. Mais j’ai pu vérifier qu’il y a de quoi quand on est devenu un profane et un amnésique et qu’on oublie d’innombrables paramètres qui permettent de raisonner plus justement: on est tellement limité intellectuellement parlant et on dispose de tellement peu de facultés, comme de souvenirs de tous ces paramètres dont il faut pourtant tenir compte, qu’on a du mal à comprendre comment la Vie peut exister, sans avoir besoin de la Mort (une logique de primitif, élémentaire ou d’ignorant, au mauvais sens de ce mot), car il n’est nul besoin de Mort pour que la vie existe : l’existence de la Mort, comme des maladies, ou des déserts, et de toutes les autres catastrophes, accidents, etc. ne s’expliquant qu’en raison de l’existence de celui qui a cru (contre son propre Intérêt et l’Intérêt Général, comme contre le Bien Général) qu’il n’y avait que la Mort en ce monde et cela malgré l’existence de la Vie qu’il avait devant lui et tous les enseignements des religions qui depuis toujours pouvaient le préparer à comprendre qu’on avait dit la Vérité à ce sujet : il ne faut pas confondre. Mais j’ai pu vérifier que quand on est un profane, on n’arrive pas à comprendre ce que tous ceux qui ont la « foi » comprennent et on a beau expliquer, être clair, le profane – celui qui est prisonnier de son égoïsme et de l’enfant-gâté, de l'adolescent qu’il est devenu - est tellement accroché à tous les faux préjugés qu’il a dans le crâne et à ces mensonges ou à ces calomnies qu’il sera capable de chercher à manger dans un Mac Donald des hamburgers, s’il s’est habitué à n’être qu’américain, en plein Delhi, en qualité de touriste des États-Unis en Inde, de même qu’un alsacien recherchera une brasserie alsacienne à Paris ou un italien un restaurant italien en voyage en France ou un irlandais ou un anglais un pub ou un français au Japon un restaurant français ! Vous comprendrez que je ne puis, en raison de ce que cela signifie (27 années d’amnésie) - d’autant plus d’années de vie commune avec l’une des hypothétiques (ou potentielles) impératrices avec laquelle j’ai rompu mes fiançailles dès que j’ai appris l’existence de la première dont j’avais dû perdre la mémoire - tout de suite me remettre en ménage et cela même si ce « tout de suite » n’est que dans quelques années seulement, voire plus loin. Il faut comprendre que je suis choqué ou plutôt sous le choc d’une pareille histoire (aussi complexe).

Ce temps devrait me donner du temps, puisqu'aucune des fiancées n'a eu encore un anneau de fiançailles véritable[15] provenant de ma part, d’y consacrer des études, des dessins avec chacune – d’autre part je n’ai pas encore reçu les moyens financiers qu’on me doit – en effet, on me doit des émoluments et les honoraires d’empereur depuis 1965, comme ceux de haut-fonctionnaire ou de fonctionnaire hors classe (pour le moins), d’autant que je le suis en même temps trois fois au moins à chaque fois – aussi les recevoir, ne serait-ce qu’une seule fois, sera trois fois moins que ce qu’on me doit[16]  pour chacune des fois d’avoir eu trois fois, au moins en virtuel, et enfin en chair et en os, à ce que je renouvelle moi-même cette Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale du ciel, comme dans la réalité, en ayant prévenu d’avance, deux fois en virtuel et enfin en chair et en os (puisqu’on m’y a obligé, contre mon gré – d’autant que j’ai toujours dit au cours de ces différentes fois en virtuel qu’une fois suffisait en 1965 ou à la limite deux fois (avec celle de 1975), mais surtout pas trois fois – vous voyez, encore une fois, je ne tenais pas à ce qu’on me doive autant que cela et plusieurs fois ces émoluments et autres sommes) – aussi on me doit au moins trois fois les honoraires et émoluments d’empereur universel, cosmique, etc. et puis tout ce qu’on me doit pour trois fois les dommages psychiques et collatéraux y compris les séquelles. On me doit aussi les pourcentages sur l’ensemble de la création de toutes les entreprises que j’ai été contraint de créer dans le monde entier pour permettre le développement économique mondial[17]. On me doit ces pourcentages pour toutes les autres choses que j’ai ainsi pu mettre en œuvre (Cf la liste dont le Vatican a une copie et ceux concernant les quelques unes des choses que j’ai réalisées dans la liste que mes vœux de 2013 récapitulent un peu – mais il y manquait la liste de toutes les entreprises d’informatique et d’électronique y compris la bourse elle-même du Nasdaq des valeurs dans ce créneau « technologique » à New York comme les autres bourses en Russie et en Chine ou en Pologne et ailleurs que j’ai ouverte – il manquait d’autres points). Je crois que je devrais être en mesure avec tout ce qu’on me doit, par ailleurs, comme pourcentage sur les autres plans, en raison de toutes mes transmissions à titre privé comme pour favoriser à titre public toute sorte d’activités, à travers le temps, (y compris la fortune entière du Vatican, comme bien d’autres fortunes et entreprises créées dans le monde entier dont le Vatican a les listes), ces pourcentages que tous savent, non seulement me devoir sur les bénéfices (sur chacune des années fiscales depuis 1975, au moins) mais aussi sur les droits d’auteurs (car j’ai communiqué la liste des réalisateurs de films des trente ans qui allaient venir), mais aussi sur les impôts que tous les pays (qui ont eu la vie sauve grâce à ces miennes interventions) ont exigé de tous les salariés et de toutes les entreprises qui ont eu, comme les pauvres, la vie sauve, grâce à notre sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) de séparation avec Christine et en échange pour nous tous ces différents dommages que nous avons eu à encaisser et cela depuis 1965, 1975 et à partir de 2005, sur toutes les journées de nos existences respectives. Il va de soi que toutes ces sommes appartiennent déjà à la Fondation Trois Petits Points : … qui se consacrera à investir ces importants moyens financiers pour aider ceux qui cherchent à entreprendre et à se débrouiller un jour honnêtement, en ayant des projets d’Intérêt Général à lui soumettre dans les diverses catégories dont nous ferons part pour qu’ils obtiennent ces bourses ou financements divers. Mais je me réserve sur ces sommes, néanmoins, d’avoir enfin les moyens financiers minimum de financer au moins pour commencer ces nouvelles bagues et de quoi mener une vie me permettant d’avoir plusieurs épouses et peut-être plusieurs familles avec chacune d’elles d’autant plus qu’étant des femmes contemporaines[18], elles sont chacune indépendantes financièrement, ce qui me préservera de bien des soucis, y compris pour entretenir équitablement ces différentes familles mais me permettra d’y contribuer moi-même sans avoir à peser sur ces dames, par conséquent avec de l’argent propre (des crédits financiers propres et mérités de droit) qui n’a jamais eu le mensonge comme perspective d’avenir (impérialement et en prenant à ce sujet exemple sur mon père et ma mère) comme en espérant donner et partager ce goût de gagner de l’argent propre avec les enfants (puisque, vous voyez, ça devrait payer) qui nous entourerons, adoptés ou naturels ou spirituels ou qui voudront m’avoir pour père pour les conseiller au mieux, en assistant avec leur(s) mère(s), ces impératrices, plus spécialement concernées par leur évolution en tant que virtuels futurs grands-pères ou grand-mères handicapés d’avoir eu pour père l’Empereur Cosmique Universel, mais pour certains spectateurs, des privilégiés, en étant de ceux qui ont le droit d’approcher, à une bonne distance, canonique, notre personne qui, vous l’aurez compris était déjà à leur service dès mon plus jeune âge, tout comme mon père et ma famille, ayant contribué à sauver, à gérer, à enjoliver, à valoriser et à … la planète entière pour la remettre à l’un d’entre eux, si la mort devait nous contraindre à nous éclipser, à moins que la situation enfin débloquée ainsi permette enfin de nous passer du sommeil éternel et nous offre peut-être même la possibilité, en raison des progrès de la médecine, entre temps, de retrouver des personnes disparues, admirables, en tout point, et qui ont chacune d’elles laissé, avec la moindre de leur création ou de leur lettre écrite en vérité à la main, l'équivalent de fleuves inextinguibles de diamants mille milliards de fois plus purs (c’est pour cela qu’on conserve les archives ou les originaux) que chacun de ceux qui furent convoités en voleurs par ces personnes menteuses et usurpatrices (dont les écritures sont fausses mais aussi archivées) à l’origine de l’assèchement du lit des fleuves eux-mêmes et de tous les processus désertiques comme des maladies et qui n’arrivaient pas à remarquer que les prix proposés dans les vitrines pour ces pierres précieuses étaient ceux que la situation générale de l’époque exigeait pour se rembourser au moins un peu de tous les frais et de toutes les peines pour avoir acquis ces savoir faire et les proposer ainsi taillées et montées neuves sous forme de bague ou autrement derrière des vitrines payées en raisons de ces travaux (des vitrines que seuls les ignorants, au mauvais sens de ce mot, ou les casseurs, ont cru pouvoir s’autoriser, pour s’amuser à casser. Il y a des amusements qui n’en sont pas et qui ne sont pas admissibles d’autant qu’ils sont ceux qui s’appuient sur des façons mensongères de lire la réalité. Ces personnes croyaient peut-être que ces choses proposées à ces prix canoniques et qui toutes une fois vendues pourraient permettre de payer chacun de ceux qui a contribué à permettre de les réaliser, en les offrant si peu chères en raison des lois commerciales étaient proposées par des voleurs (on voit bien qu’ils n’ont jamais su ce qu’est le travail, ce qu’est un barbier, un artisan ou même un industriel, les frais auxquels il a à faire faire, la confiance des financeurs et des décideurs qu’il doit au préalable obtenir pour permettre à de la main d’œuvre de survivre. On voit bien que tout ce qui se disait alors n’était pas « réaliste » et peu respectueux de l’invention même du verre, cette solution élégante, ayant pourtant permis de réaliser ces vitrines grâce aux économies de personnes qui les investissaient elles-mêmes en cela sur le plan privé pour présenter le mieux possible au client[19]. On voit bien qu’il ne s’agissait que de petits voyous mal élevés et d’inconscients « ne se rendant pas compte » de combien chacune des choses avait exigé, en ces temps là, d’efforts. Des enfants-gâtés croyant qu’il est possible de faire marcher les planches à billets de banques volées : des voleurs et des menteurs mais surtout des ignorants, au mauvais sens de ce mot.  

Donc des sommes d’argent qui devraient être mises à ma disposition (sur le plan privé) et que je trouve bien malheureux d’avoir à devoir réclamer avec force détails d’autant qu’on me les devait depuis longtemps (déjà à partir d’avril 1965 puisque j’ai eu tous les jours à devoir gouverner la planète de là où j’étais et à la sauver dans les temps passés et futurs – et que tout le monde a pu le vérifier y compris depuis avril 2005, en renouvelant l’exploit pour la troisième fois au moins) pour réaliser ces miennes ambitions à ce sujet et croyez-moi d’aucune façon en enfant-gâté car celui qui m’envierait ici serait bien l’imbécile de toujours qu’il était avant d’arriver à m’envier, car si je pouvais et si c’était possible je serai bien heureux qu’il prenne ma place : je la lui cède volontiers d’avance de tout cœur – or dès qu’il sera à ma place, je serai forcément ailleurs, là où il devrait être et comme il n’est malheureusement pas l’empereur et que je suis malheureusement l’empereur (certains peut-être finiront par penser « heureusement » - mais c’est moi qui pense « malheureusement » car je sais ce que cela m’a coûté - ne serait-ce qu’en raison de l’existence des écrans plats couleurs, quand dans le passé on a pensé cela de mon père – qu’il l’était - pour la généralisation des télévisions en noir et blanc, puis en couleurs avec magnétoscope et télécommande – ce que j’ai rendu possible par ce sacrifice maçonnique - y compris pour les ordinateurs portables, les fax ou d’autres solutions élégantes, mon père ayant permis de les développer et de les financer à l’échelle mondiale en développant comme je le lui criais / disais du futur « la banque » et les organismes bancaires à l’échelle planétaire : en effet, sans des structures qui financent de façon raisonnées, on ne peut rien entreprendre avec une chance de réussite). Aussi cette personne constatera que n’ayant pas l’ensemble de mes formations ni l’ensemble de mes centaines de réincarnations à son actif – ce dont m’a assurer Dieu - il ne dispose pas de ma spécificité et donc de mes compétences extraordinaires en matière de sciences et de sciences de l’art, comme dans tous les autres domaines y compris médicaux et qu’il ne pourra pas prendre la place des pharaons les Hermès les Trismégistes (les Satana[na!]nas) et les … puisqu’il ne sera jamais où je me trouve en conscience (déjà ailleurs même si présent devant la personne) et en canonique et en … (c'est-à-dire en créateur, inventeur, innovateur et dans l’ensemble des autres mots qui me caractérisent et dont je suis plus que docteur dans chacune des catégories et cela à chaque fois à l’occasion de chacune des activités à laquelle je consacre du temps (oui, hélas "j’ai lu tous les livres" y compris ceux qui manquent), sauf qu’il faut, à chaque fois, que je prenne le temps de me consacrer à cette spécialité et donc comme un ascenseur intérieur pour rejoindre toutes les facultés que j’aurais à employer et qui entreront en jeu pour être acceptables à mes yeux à un niveau qui ne me fera pas honte dans le métier qui est alors le mien – ce qui fait qu’il est bien normal qu’on ne sache pas qui je suis puisque je suis toujours, à chaque instant un autre totalement différent et cela sur chacun des caractères que j’écris (ou que je frappe sur le clavier – ici, just’avant ici, ce « r » de « clavier », par exemple) comme à chaque fois que je parle ou que je pense ou que je cherche un mot ou que je fais le moindre trait, réinventant jusqu’à la notion elle-même du premier trait dans chacun d’eux, comme les mots eux-mêmes que j’emploie – mais que ceux qui veulent prendre la place de l’empereur lèvent le doigt – Tous ! Je vous en prie je m’en vais, si vous le voulez bien, prendre un de vos sièges – « Alors de quoi est-il question, comment vous allez-vous y prendre à ma place ? »   

C’est bizarre monsieur le Cardinal, il n’y en a plus un seul à ma place puisqu’il n’y a pas une seule de ces personnes qui sache ce qu’est la vérité absolue et ultime : aucun d’entre eux n’est donc capable d’être Nous, étant donné qu’aucun n’a pris physiquement nos peines et notre parcours ni sait être à notre place. Aucun de ces envieux ne peut donc bien longtemps nous jalouser sérieusement étant donné que chacun sait qu’ils sont totalement incapables de juger en vérité de tout exactement sans une seule erreur possible sur chacun des dossiers : la preuve c’est bien nous qui, alors qu’adolph hitler était l’homme à abattre par tous, en 1965, l’avons protégé et lui avons trouvé un protecteur en la personne de notre père, puisqu’en débarquant en avril 2005, en virtuel, comme en avril 1965 et avril 1975, où les même inepties circulaient sur le compte d’adolph hitler, nous l’avons protégé avec les lois de Dieu lui-même, comme l’handicapé et le dindon de la farce que nous avions compris qu’il avait été fait par ceux qui avaient intérêt à lui faire porter le chapeau (il n’avait été conseillé que par des menteurs, des tricheurs, des mauvais esprits étant capables de comparaisons oiseuses et des personnes irrespectueuses des personnes âgées comme des bébés ou des enfants, puisqu’elles ont cru possible les déporter ou même les tuer, comme on tue et déporte de nos jours les animaux pour la boucherie ou même des bulbes-légumes – inadmissible – bien que croyez-moi, je ne mette nullement sur le même plan être-humain, ses virtualités positives, et animaux pacifiques et inoffensifs ou bulbes-légumes – il ne faut pas confondre d’autant plus que les derniers ne se tordent pas de souffrance « à première vue » quand on les croque crus, ce qui rend donc pensable leur exploitation / usage). Il avait donc été rendu fou[20] au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) et ici c’est un mot pour minimiser ce fou qu’il s’était cru permettre d’être en tant qu’empereur totalement incohérent, en raison de son état de fou, puisqu’il cherchait à incarner la loi en étant totalement hors-les-lois (ce qui est inconcevable et inacceptable. Les rois n’étaient pas des assassins et n’avaient été contraints à prononcer la peine de mort (comme les responsables des républiques) qu’en croyant, en toute bonne foi, de leur devoir de protéger les citoyens (comme les bergers ont à protéger les brebis des animaux voraces) en ayant à assurer leurs droits comme à faire respecter les lois et à veiller à la continuité de l’Etat y compris à sa transmission – mais on peut comprendre que dans l’état de profane – le fils d’un simple douanier ayant certainement obtenu ce métier de douanier par la compassion de ceux qui lui offrir la place, puisqu’il s’agissait de l’état du père d’un enfant, donc par charité – qu’adolph hitler n’ait rien compris sur ce qu’est et se doit d’être un empereur[21] et cela d’autant plus qu’il y avait eu à subir la Première Guerre Mondiale et a cru possible, comme certains soldats traumatisés par la guerre à laquelle ils ont participé (le Viêt-Nam nous l’a prouvé ensuite) les comportements d’assassins, ceux que nous ont proposé les révolutions russes et bolcheviques qui s’étaient appuyées pour cela sans y réfléchir en profondeur, en parti, sur l’argument de la révolution française et le premier empire, mais aussi sur des livres d’économie (Marx) qui n’étaient déjà plus d’actualité puisqu’ils concernaient l’analyse de la société industrielle des premiers temps de la Révolution Industrielle et ne tenaient pas compte des paramètres ultérieurs. Ces révolutions n’avaient pas de légitimité puisqu’assassiner ou tuer est interdit (mais toléré en légitime défense, bien que déconseillé, sauf quand on ne peut pas faire autrement) et tuer les représentants (le roi et la reine, le tzar, etc.) de ceux qui sont chargés de la Justice et de protéger les peuples comme de faire régner les lois, pour prendre la place de ceux-ci est un non sens, puisque c’est pour vouloir faire régner grosso modo les mêmes lois qui interdisent de tuer : c’est totalement une preuve de folie, d’incohérence grave, voire symptomatique de réactions de personnes ignorantes, au mauvais sens de ce mot, qui ont renoncé à faire l’effort d’utiliser les moyens qu’offrent l’instruction pour faire valoir leurs droits, car ce qu’elles cherchent n’est pas à protéger l’État et à le défendre ou à défendre ses justes lois ou collaborer avec lui ou le servir, mais imposer un pouvoir d’égoïstes, de despotes, de tyrans, d’usurpateurs ou de tricheurs et de tout ce qui va avec, car leur action n’est pas fondée alors sur la recherche de la vérité ou la vérité (qui tient compte vraiment, à chaque instant, de milliards et plus encore de paramètres comme le moindre des ordinateurs assez performant), ce qui est le cas quand il s’agit de ceux qui, pour l’exercer, se sont au préalable débarrassés de leur état d’égoïstes, d’enfants-gâtés, d’usurpateurs, d’adolescents, pour devenir pleinement des adultes conscients parachevés, donc fonctionnant délivrés de leur inconscience qui était à l’origine de tous leurs malheurs et des malheurs de tous).

Vous comprendrez, monsieur le Cardinal, je dois me remettre et je crois que je n’aurais pas de milliards de milliards et plus encore d’années faites de jours et de secondes d’existences pour me remettre de tous ces sacrilèges envers moi comme de toutes ces profanations que l’Ensemble, y compris Dieu, ont cru possible nous contraindre de nous imposer à nous-mêmes pour sauver la Vie sur cette planète à plusieurs reprises (en 1965, en 1975 et à partir de 2005) et à me remettre de tant d’injustices à l’égard de Notre personne, donc pour me consoler. J’espère que ce qui s’est passé me donnera la force de retrouver mes façons de m’exprimer à travers des œuvres d’art en continuant à lutter pour venir en aide aux gens nécessiteux, aux animaux pacifiques et inoffensifs maltraités ou aux bulbes / racines de plantes qui sont l’objet d’injustices.

Mais il parait que les mariages arrangent les choses, bien que j‘ai, à la longue, et en raison de l’Histoire, le droit d’être sceptique pour toujours à ce sujet et que d’une certaine façon je ne crois plus au mariage, si ce n’est que pour certaines raisons valables et indispensables du point de vue de certains enfants (avec mes nombreuses impératrices légitimes, nous verrons bien ce que j’attends d’éventuels héritiers ou qui voudraient devenir empereurs : c’est une fonction qu’on ne peut que dorénavant mériter absolument, depuis que mon père l’a occupée après celui qui est la répercussion (le réceptacle peut-être, voire l’auteur) de l’invention de la folie au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) elle-même dans tous les temps passés : adolphe hitler. Ailleurs, j’ai cru, en me trompant, qu’il en était l’auteur. En fait, il est celui qui a centralisé, cristallisé les répercussions de la folie dans tous les temps passés et qui en est devenu son porte-parole quelques temps, avec les effets qui n’ont pas mis que peu d’ombres un peu partout dans l’Histoire).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mais n’ayant pas encore eu l’honneur de telles expériences[22], que seulement en spectateur au sujet de mariages qui ne furent pas les miens – dont je n’étais pas le marié – ceux-ci - mes mariages officiels - ne sont donc pas pour tout de suite ni pour demain le 23[23] mars (car il est passé la minuit de 3 minutes – je sais la note de fin de page a été écrite à la relecture - nous étions enfin le 6 février 1973, 1983 et 2013) d'autant que je ne dispose pas encore de revenus – mais ils vont venir - pour pouvoir offrir déjà, dans un premier temps - ces bagues de fiançailles aux trois premières élues – puisque nous avons pu vérifier que ces mots sons vrais en absolu, étant donné que je les ai vraiment rompue, depuis 2005, mes fiançailles, pour le moment, avec Michèle Finck (je relis en 2017, en septembre: il y a depuis le mois d'avril-mai un nouveau rapprochement avec Michèle). Donc de vraies bagues de fiançailles à celles qui sont concernées par cette histoire dont, de nouveau, Michèle, qui peut-être voudra rendre entre temps, quand elle le jugera, à ma mère, la bague qu’elle a mis de côté sur sa table depuis avril-mai 2005, au moment de la rupture et qui est une bague de famille (c’est une de mes grandes tantes, fille d’un architecte de la ville de Coni, une ville non loin de Turin, qui l’a dessinée elle-même à l’époque y compris mesurée et fait faire conformément à ses dessins par un bijoutier de la ville).

Mais j’ai pu visualiser en moi pour Michèle Finck une bague de fiançailles beaucoup mieux[24] qu’il va falloir que je dessine en choisissant les pierres précieuses de couleur et faisant les plans pour tailler chacune d’elle à cet effet. Il faudra que je trouve un artisan capable de la réaliser (en série), ce qui sera une autre affaire et je comprendrais peut-être un peu mieux ma grande tante y compris sa précision. Mais peut-être aurez-vous envie de proposer une sainte bague appartenant à l’Église à Michèle Finck pour ces fiançailles [25] comme autrefois sœur Gabrielle à Saint Joseph de Cluny, quand j’étais petit, m’a remis mon premier crucifix[26] après quelques bons points que j’avais pris l’habitude de gagner, car j’écrivais très joliment mes « o », au jardin d’enfant italien, et cette sœur trouvant cela bien joli, m’avait demandé d’aller me reposer, car je faisais du zèle, et alors que mes camarades n’en était qu’à une ligne avec difficulté, j’en avais fait trois à cinq pages pages (j’étais dans ce jardin d’enfant italien en Grand Inspecteur, malgré mes quatre ans et demi. Elle me proposa de me reposer dans un lit où sous les couvertures j’y découvrais une sorte de corps anonyme. Je n’ai pas trouvé cela à mon goût comme plaisanterie : je n’avais nulle envie de tatouer de « o » les fesses de ce qui était peut-être une bonne sœur qui, avec sa complice dans la classe, n’avaient pas compris que, pour moi, ce « o » avait à voir avec mon propre anneau de fiançailles ou de mariage, avec ma fiancée légitime : effectivement, en y repensant ici, ils étaient nombreux ces anneaux de fiançailles. J’ai toujours trouvé ce genre de façon de faire incohérentes de la part de nonnes qui savent pourtant que chaque garçon, comme chaque petite fille, doivent parvenir un jour à se fiancer et à se marier: alors comment expliquez-vous qu’il puisse y en avoir qui, sachant que les fiançailles sont une chose si sérieuse (elles sont parfois devenues bonnes sœurs après des ruptures de fiançailles) y compris le mariage, puissent croire pouvoir dormir ou même se reposer dans le même lit avec un enfant qui a été choisi dans une classe parce qu’il médite ou s’enchante en traçant des lettres et qu’il fait de son mieux, en intellectuel, y compris en dessinateur[27], donc j’étais entrain d’apprendre à écrire en homme de science[28] désireux d’apprendre à encore mieux écrire et cela au mieux du mieux du mieux possible et encore mieux à la lettre suivante – comme un bûcheron cherche encore mieux à scier - pour être digne d’avoir eu la chance d’avoir un crayon de papier (ou une scie) et un cahier pour apprendre à m’exercer à ce moyen non-violent qui permet avec un peu de patience de s’exprimer en vérité et que l’on nomme « écriture »[29] puisqu’au moment où je faisais ces « o » je pensais aussi à d’innombrables choses[30] mais aussi que je faisais ces efforts pour apprendre ces lettres de l’alphabet car j’espérais avoir à écrire à mes futures femmes en tant qu’empereur[31] et que j’étais donc aussi dans une autre époque qui dépendait de ce que ce « o » soit tracé le plus exactement et le plus justement possible pour le Bien et l’Intérêt Général des plus pauvres – puisque ma mère et mon père m’ont fait comprendre qu’ils avaient été élevés dans ce même état d’esprit dont ils nous faisaient hériter et qu’ils avaient consenti à faire tous leurs efforts tout au long de leurs vie que seulement pour être utiles aux autres en vérité, ce que je trouvais naturellement, à cet âge-là, le seul état d’esprit donnant un sens et une légitimité à l’existence (y compris au mariage) y compris à avoir envie de construire une maison pour y accueillir ses enfants car il était aussi celui de Saint-Martin (la paroisse romaine dont dépendait notre habitation dans ce quartier)  qui est capable de donner parce qu’il a suffisamment pour lui un peu d’un tissu qu’il va, par charité, croire avoir en trop à ce moment-là, pour celui qui, pour de nombreuses raisons, est devenu une ruine ou même s’est rangé, par ignorance, au mauvais sens de ce mot, du côté du diable, parce qu’il est devenu menteur et qu’il ne voit pas justement le monde tel qu’il est, mais tel que son état de menteur le lui a fait croire en ne le lui rendant plus lisible et en ne le faisant plus que parler comme seuls les inconscients et les profanes le peuvent ou s’expriment : dans l’erreur – mais ne s’en rendant pas compte – c’est pour cela qu’on écoute pas les profanes normalement et qu’ils n’ont pas voix au chapitre – mais ils le prennent mal car ils se sentent exclus ou comme des pestiférés ou des incompris et ils sont d’une susceptibilité maladive – d’où les complexes et … - et cela parce qu’ils ne peuvent pas tenir compte dans l’état où ils se sont mis – dégradés qu’ils sont devenus - de ces milliards et plus encore de paramètres dont ceux qui se sont débarrassés de leur état d’enfant-gâtés tiennent alors compte puisqu’ils ne sont plus profanes. C’est pourquoi les profanes n’ont plus que leur état d’égoïste et de devenus menteurs qui leur suggèrent ces erreurs, c'est-à-dire compte tenu de cet état de tricheur et de menteur et etc. qui leur colle à la peau ou auquel ils sont aliénés – par conséquent je n’étais plus un profane depuis deux ans et j’avais la chance comme la malchance d’avoir à m’instruire et à apprendre à écrire en ayant compris que cela pourrait me permettre d’être de quelque secours pour les nécessiteux quand cela serait le moment et que mes talents pourraient aider à juguler les inflations ou gérer toutes les économies du monde entier, comme je le faisais avec mon père depuis 1965, qui nous tenait mes frères et ma sœur au courant de tout et cela d’autant plus que j’allais être admis à les rejoindre pour « manger à la table des grands » étant donné ses responsabilités à l’ambassade de France où il avait été envoyé pour rejoindre son poste d’empereur qui allait forcément venir, puisqu’il était contraint à cela du futur par moi-même dans le ciel l’ayant découvert à partir de 1995 avant moi dans le sarcophage des empereurs me précédant et que j’allais apparaître à ce sujet à Rome vers avril 1975 depuis l'année 2005 où je n’y étais alors, (c’est logique), qu’en virtuel et que depuis avril 1965 (puisqu’en raison de tout cela, nous avons découvert que la situation générale à l’échelle cosmique est bloquée sur cette planète appelée Terre dans un réseau de causes à effets et donc de conséquences qui remontent à une scission entre deux groupes d’hominidés : l’un ayant hérité d’une vieille salle des machines par quelqu’un ayant, à cause de cela, créé l’exclusion et l’inconscience, l’état de profane y compris tous les problèmes aux autres (qui ne le sont plus) puisque ces premiers ont voulu devenir des voyeurs et des espions ou des délateurs, à première vue, en se servant de ces vieilles machines).

Ce qui a été cru possible ce jour-là par ces nonnes en exigeant de moi de me reposer en raison de mes « i » ou d’autres lettres précédemment tracées par pages entières, en me proposant de rejoindre une parfaite inconnue pour m’étendre près d’elle et lui servir de bouillote, alors qu’elle avait peut-être des microbes sur elle, est un scandale, de mon point de vue alors d’enfant, pour l’Église entière, d’autant que j’étais dans ce jardin d’enfant romain, en Grand Inspecteur et que pour une institution, l’Eglise, chargée de célébrer les mariages ou même de dire des messes à l’occasion de fiançailles, je trouvais qu’il y avait matière à incohérence et que ces bonnes sœurs à qui j’ai eu affaire ce jour là, étaient de celles qui s’étaient certainement infiltrées pour avoir en échange de ces vagues occupations pédagogiques, en s’occupant des petits, des avantages, en profitant du zèle ou de preuves d’amour, cette constante d’efforts investis dans l’écriture de ma part, qui étaient, en réalité, peut-être même à considérer comme des péchés et des sacrilèges vis-à-vis des futures jeunes femmes officielles ou qui seraient des fiancées de ces petits garçons, y compris de leurs descendance, d’autant que c’est elles et non moi qui avait fait vœu de chasteté (il s’agit là de « perversité » et c’est proprement inadmissible pour des femmes qui supplient d’être délivrées des tentations – j’avais la preuve, à l’âge de 4 ans, dans ce zèle à tracer ces anneaux gris sur les pages de mon cahier, avec ce crayon, qu’il y a dans l’Église des personnes qui ne vont pas bien. Mais peut-être s’agissait-il d’un test sur ma personne, car quelques temps après, sœur Gabrielle, une des rares sœurs françaises dans ce couvent italien, m’offrait ce crucifix argenté : cette bonne sœur ou ce corps allongé n’avait rien exigé de moi et avait fait le mort. J’ai attendu bien sagement en ayant mon dos contre son dos et en regrettant mon cahier que je voulais couvrir de milliers d’autres « o », trouvant regrettable et inacceptable d’avoir été interrompu car le « o » suivant aurait été des millions de fois encore plus joliment écrit (tant j’avais hâte à retrouver ma promise légitime) que le précédent étant donné que j’avais décidé de rafler tous les bons points à tous ces petits camarades romains qui, effectivement, m’ont vu les gagner les uns après les autres et avoir même droit à mes premières images d’abord en noir et blanc et puis « en couleurs » ! Jusqu’au jour, où, dans un couloir, à l’insu de tous, car on ne voulait plus que je fasse des jaloux, j’ai eu le droit à ce crucifix en laiton ou en fer : une chose horrible (car il n’était pas en or) que j’ai cependant trouvé admirable car il y avait sûrement, dans le détail, un « o » ou un « i » ou un « t » qui avait permis de le fabriquer, ce qu’évidement la sainte sœur Gabrielle ne pouvait pas imaginer que je voyais, ne voyant plus, depuis le jour en question des « o » ou des « i », le monde, y compris les gens, et les animaux qu’en homme de science exacte et à tous les niveaux de lecture y compris évidement en tant qu’architecte : je devais en avoir l’explication des années après, en raison d’un piano droit que j’ai recouvert de « o » de couleur, ce qui a fini par me délivrer pour la troisième fois du profane en moi que je ne savais pas avoir dû redevenir, pour faire, en fin de compte, à l’occasion de cette réincarnation-ci, des milliards de fois bien mieux que cet illustre inconnu (pour certains) du nom de Jésus Christ, mais en ce qui me concerne, non pas en fils de Dieu du tout, mais en simple fils de mes parents et en homme de sciences exactes, ayant en plus, prévenu d’avance (y compris de ma naissance), ce que j’allais découvrir hélas, en raison de mon honnêteté totale, trop tard : bien après, puisque l’état de profane m’a offert une amnésie carabinée, comme m’a présenté cette histoire avec les bonnes sœurs de l’époque sur un jour nouveau que je ne soupçonnais pas possible, alors, du point de vue profane où on trouve cela normal, voire on n’y trouve aucun mal).

Mais tout cela peu finir d'un moment à l'autre  interrompu comme d'habitude par cette épée de Damoclès dont m’a rappelé l’existence Dieu et qui pèse sur chacun de nous tous, à cause de l'une ou l'autre des apocalypses qui - j'ai vérifié - ont toutes été déclenchées en raison du fait qu'il semble qu’il y ait eu un véritable problème entre Dracula ou adolph hitler (?) – je ne sais – à mon avis il s’agit de deux personnes différentes) et cette notion de Dieu qui - j’ai vérifié aussi - est fort difficile à comprendre d’autant qu’elle est historiquement plutôt multiple et à de multiples inconnues - quand on est profane et cela doit être la même chose et peut-être bien pire encore – ou mieux – pour le Grand Architecte de l’Univers. Aussi on comprend que ceux qui n’y ont rien compris y aient renoncé et même ont voulu nier cette réalité ou même cru possible se prendre pour ces mots sans jamais les avoir étudié à fond ni avoir compris que si ce sont effectivement des réalités  - comme celle du Grand Architecte de l’Univers - cela signifie au moins des milliards et à l’infini de milliards et plus encore de calculs faits exactement sur chacune des particules comme peut-être aussi de celles qui n’existent pas et cela dans tous les temps. Pourtant le Grand Architecte de l’Univers s’est manifesté à plusieurs reprises durant le processus 1965 à 2013 – aujourd’hui à mon sujet – à des moments cruciaux - en m’utilisant à cette fin et Michèle Finck a pu vérifier que ces mots de « Grand Architecte de l’Univers » sont bien intervenus à l’occasion de cet anneau de mariage qui la concernait en ces moments-là. Pourtant, si nous avons une idée de ce que ces mots peuvent signifier ensemble comme milliards de calculs y compris pour une autre espèce que celle des êtres humains sur une autre planète, nous devons reconnaître humblement que ces mots demeurent de véritables énigmes, chacun, bien que chacun ayons certainement la possibilité d’imaginer, à partir de ce que vous vivons, ce qu’ils pourraient être.

En fait, nous avons eu entre Dieu et son opposé un problème causé par une véritable ignorance, au mauvais sens de ce mot, de l’un-l’autre et il se pourrait qu'ils ne connaissent ni l'un ni l'autre ces très nombreux paramètres qui leur manquaient certainement chacun au sujet de l’autre, en ces époques lointaines, durant lesquelles il y a eu des conflits entre eux, par intermédiaires, et durant lesquels ces notions étaient alors beaucoup plus floues qu’elles ne le sont de nos jours. L'un, à cause de sa trop grande ignorance, au mauvais sens de ce mot, d’un certain nombre de sciences qu’il ne pouvait pas comprendre, d’autant qu’il disposait de la vieille salle des machines en devenus enfant-gâté et inconscient (alors que les plans de chacune des machines existante dans le monde diurne sont élaborés en conscience), l’autre à l’inverse en raison du fait qu’étant Dieu, il doit avoir des difficultés pour comprendre les gens qui sont totalement ignorants de la vérité et qui s’autorisent des licences dans les catégories qui mènent au mensonge ou aux préjugés. Le problème vient aussi de ce que celui qui a disposé de ces vieilles machines n’a pu les utiliser que dans cet état de devenu inconscient (ne disposant que de très peu d’éléments exactes sur la vérité) donc, d’une certaine façon comme quelqu’un qui ne les méritait pas (ou en enfant-gâté) donc qui n’a pas joué le jeu pour en disposer légitimement aux yeux de tous les hommes de sciences véritable par conséquent en égoïste et en cherchant, à cause de cela, à croire possible « arnaquer » les autres ou même les utiliser pour les asservir, ce qui n’a jamais été l’esprit qui régnait entre tous, quand la vieille salle des machines appartenait à tous et qu’elle permettait de voir Atlantide. C’est pourquoi de croire pouvoir les utiliser pour asservir ne peut pas être l’état d’esprit humain véritablement fraternel, puisque l’être humain a, en raison de la situation qui s’est créée la possibilité de choisir librement – bien que contraint par l’existence – qui est celle qu’elle est, à cause de l’accumulation des siècles et des relations de causes à effets – par conséquent bien plus confortable qu’auparavant. C’est par consentement intime, privé qu’on va accepter de servir une personne ou un projet ou quoi que ce soit (c’est ainsi qu’on devrait se marier de nos jours et que cela est signifié dans le Droit : « un consentement mutuel » est au préalable nécessaire sans avoir été l’objet de pressions extérieures – donc libre et en conscience – ce qui donne le droit de ne pas se présenter le jour de son mariage, y compris devant le Pape, le cas échéant : personne ne peut forcer qui que ce soit à se marier sauf pour protéger la personne en question ou en légitime défense ou pour des raisons valables que vous n’ignorez pas en raison de ce qui a été pensé et médité comme sorte d’amendements ou nuances canoniques - voire pour protéger les enfants).

Donc pour des raisons d’intérêt personnel, privé, intime ou par « consentement mutuel » comme pour les fiançailles et les mariages. C’est pourquoi il faut avoir eu un consentement de la part de celui qui dort pour être ainsi durant le sommeil l’objet de rêves ou de cauchemars artificiellement proposés de loin et de nature à éloigner la personne de ses devoirs de futur adulte conscient y compris responsable de la constitution d’une famille. C’est pourquoi l’esclavage sexuel ou les formes d’esclavages passées, qui ont fini par être abolies, étaient de véritables aberrations et donc totalement incompatibles avec la cohérence de ces époques sur le plan religieux ou même inconcevables, sauf qu’on peut comprendre que, comme il s’agissait de personnes n’ayant aucune forme d’instruction, au sens de scolarité au départ, il s’agissait donc de personne à « élever » et à amener à devenir civilisées. Donc l’esclavage avait aussi comme dessein ou objectif de permettre d’acquérir des savoir-faire, d’employer des personnes n’ayant rien à faire à des activités utiles : une main d’œuvre ne sachant pas quoi faire et ayant à avoir des responsabilités familiales, donc à apprendre à être utile pour peu que ces personnes aient à approcher toutes celles provenant des contrées considérées comme plus civilisées. Il s’agissait de peuples totalement dépourvus de moyens techniques et ils pouvaient représenter en soi des menaces pour la civilisation, s’ils se comportaient comme d’autres l’avaient fait avant eux au cours des grandes invasions ; en sauvages, en barbares envahisseurs, au mauvais sens de ces mots, en voleurs et en personnes capables de violences envers ces peuples civilisés, étant élevés au contact d’œuvres d’art et d’une religion proposant d’aimer son prochain comme soi-même, ce qui est difficile, quand il s’agit de personnes totalement différentes de soi à ce point. On comprend qu’il valait mieux encore pour eux qu’ils soient réduits en esclavage, car au moins ils auraient, par charité, un abris, une activité, et de quoi manger et seraient assurés d’avoir quelque utilité quand ils deviendraient vieux. Les acheteurs de ces esclaves  - qui étaient de la main d’œuvre (de futurs travailleurs manuels) - avaient été contraints de faire des efforts et des investissements financiers pour donner à ces personnes des occupations utiles (mais cela avait de très mauvais aspects, un côté inadmissible déjà à cette époque pour les esprits les plus clairvoyants et désireux d’honnêteté comme d’être au service de la vérité, une époque où nous savons que c’est à celui qui a le plus de compétences de faire les efforts pour expliquer à celui qui est totalement dans l’ignorance et qui ne peut pas même imaginer ce que c’est que de savoir en vérité : l’inconscient ou le profane ont bien de la chance, mais c’est la chance de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, celui qui est devenu le fou, l’incohérent, l’inconscient, l’irresponsable, celui qui est capable de se profaner ou de commettre des sacrilèges ou des crimes de lèse-majesté, sans s’en rendre compte et sans que cela lui fasse quelque chose quand on le lui reproche, celui qui pèse comme chacun de ses congénères sur tous les initiés et cela depuis la nuit des temps : celui qui est devant des œuvres d’art qui sont bien plus que l'équivalent de fleuves de diamants plus purs encore que tous les diamants les plus purs et qui ne s’en aperçoit pas, pour qui cela n’a peut-être pas d’intérêt, qui ne les comprend pas, qui n’arrive pas à les percevoir, à les entendre comme telles, à les voir comme telles et qui est juste devenu une sorte d’abruti d’ennui, en tant qu’enfant-gâté, car son cerveau ne fonctionne pas encore, n’étant pas vraiment né, puisqu’il n’a voulu se farcir la tête que d’inepties le lui ayant fait rétrécir à ce point pour le rendre prisonnier d’une sorte de filet invisible qui n’appartient pas à la personne, ce qui signifie alors qu’elle est possédée par une sorte d’individu qui n’étant pas lui-même est comme un malfaisant en lui, ce qui signifie qu’il s’agit bien d’une aliénation et qu’il n’est donc pas la personne en elle-même, mais cette aliénation d’elle-même ayant pris plaisir à mal faire, comme à devenir profiteur, par exemple – d’où l’enfant-gâté mu de loin par « ses semblables ses frères »).

Mais il y a l’ensemble des abus de maîtres qui ne méritaient pas de telles aides et la civilisation a connu la Révolution Industrielle qui a changé les rapports des êtres humains avec la notion de production et de travail. La notion d’esclavage a évolué vers la notion d’ouvrier y compris d’ouvrier agricole (mais aussi vers d’autres notions), ce qui a signifié des droits et des horaires, donc une plus grande conscience des changements d’activités durant la journée pour chacun payée. C’est ainsi que l’analphabète, le travailleur manuel, ont pu obtenir des activités qui ont fait l’objet de statistiques et de codifications salariales pour qu’ils puissent s’offrir une relative indépendance financière sur la base de la loi de l'offre et la demande, de la quantité et de la rareté. Ces personnes sont depuis longtemps en très grand nombre, donc en concurrence les unes des autres et elles ne se rendaient que difficilement compte de ce qu’elles causaient comme problèmes à ceux qui ont étudié, qui écrivent, qui comptent, doivent organiser, donc décident. Il s’agissait de ceux qui se sont délivrés de leur enfance et adolescence, au mauvais sens de ces mots, de l’enfant-gâté et de l'égoïste étant donné qu’il y a tous ceux qui naissent en s’étant délivré de ceux-ci depuis toujours (cela a donné la catégorie des saints, des martyrs, des incompris, de certains aristocrates, de rois, des prêtes, des moines, de tous les artistes véritables – hélas ils n’ont pas compris qu’ils étaient arrivés sur une planète où la plupart des personnes sont dépourvus d’esprit et sont prisonnières des inepties contextuelles et de leurs corollaires, des personnes aliénées : des profanes, des par moment sacrilèges, des uniquement laïques, des strictement athées, des ignorantes au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)). En fait seulement des personnes mal élevées, n’ayant pas bénéficié dans leur contexte familiale du mode d’emploi pour être élevées correctement, ce qui en a fait des enfants-gâtés, par conséquent des personnes difficilement capables de comprendre toutes celles qui se sont délivrées de la condition profane, une condition au préalable nécessaire avant de faire des enfants (pour ceux qui s’en sont délivrés) qui ne l’ayant pas connu seront terriblement handicapés d’être entourés de profanes alors que cette condition leur est totalement étrangère (inconcevable) et qu’ils héritent de tous les malheurs et de toutes les difficultés qui sont liées à la condition de « délivré du profane » qui pour eux, qui n’ont pas connu la condition profane, comme seulement concevable, va transformé leur vie en un chemin de croix, sujet continuel d’incompréhension dès la petite enfance avec tous ceux qui ne comprennent pas le monde comme eux. Ces enfants savent naturellement qu’il vaut mieux ne pas se battre physiquement avec d’autres et qu’ils n’ont en face d’eux ou autour d’eux que des gens incapables de les comprendre et c’est pourquoi, en général, ils vont se réfugier dans leurs études – certains vont devenir de très grands médecins ou de très grands ingénieurs, etc.).

Qui pouvait bien être ce Dieu alors qu’il y en avait eu tant auxquels toujours la même bande faisait semblant de croire, ce qui m'a permis de protéger – Dieu étant d’accord – en tant que fou et qu’handicapé au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) celui qui - j’ai pu le vérifier - est devenu le chef des profanes dans les années 30 – pour le moins qu’on puisse dire – adolphe hitler – qui a pu ainsi bénéficier des lois justes de Dieu le concernant – donc, vous devez comprendre que j’ai contraint Dieu (handicapé par la situation générale) à protéger celui qui est considéré comme le diable, car Dieu – qui n’est plus un profane – handicapé par la situation sur cette planète - se doit de protéger ceux qui sont handicapés – c’est pour cela que les profanes étaient protégés par le Tzar ou les rois ou les prêtres, bien que ces personnalités devaient aussi veiller à se défendre des profanes comme à les contraindre à avoir des occupations utiles à tous[32] et c’est pourquoi j’ai été contraint de faire/nommer mon père empereur-en-Saint-Esprit, avec le Vatican apportant sa caution et protégeant ma famille, en raison du sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) que Christine Lang et moi nous apprêtions à faire (pour Michèle Finck), étant donné qu'en 1975 comme déjà en 1965, adolphe hitler n’a évidemment plus du tout l'âge d'être pris au sérieux[33] nullement par qui que ce soit car il est trop âgé et déjà plus du tout dans le coup, d’autant plus qu’il se pourrait qu’il se soit trompé dès l’enfance, ou du moins adolescent ou jeune adulte comme tout du long, mais en fait comme quelqu’un qui, parce qu’il est profane et fou au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), au paroxysme du concevable est, avec ses semblables, à l’époque, handicapé pour s’exercer à penser exactement convenablement et véritablement justement - donc en vérité sur chaque dossier au cas par cas. Mais il est certain qu’il ne se rend pas compte qu’il se trompe et qu’il parle en menteur et en usurpateur[34] : c’est bien ici que tous se rendent compte qu’il est malade mais qu’il ne s’en rend pas compte[35] – c’est pour cela qu’il faut le considérer comme un fou et un handicapé, d’autant que j’ai pu vérifier qu’on ne se rend pas compte quand on est devenu un menteur qu’on l’est, d’autant plus si on a du succès : on croit même être de bonne foi, alors qu’on est entrain de répéter des mensonges ou des choses qu’on ne peut d’aucune façon dire, car il s’agit de préjugés, de calomnies ou de mensonges ou de vérités relatives qui circulent et non de la vérité – mais la vie est faite de toutes ces choses contradictoires et contrastées y compris des héritages des époques lointaines qui elles mêmes ont fait l’objet d’un constant écartèlement entre vérité et mensonge – d’autant plus des niveaux ou des catégories de vérité, ce qui complique grandement). En 1965, il y a ceux qui sont  des jeunes entre l’âge de cinq ans (je fais partie d’eux) et l’âge de vingt cinq et compte tenu de ce qui s’est passé, comme de ce qui a été découverte en Allemagne, après la Seconde Guerre Mondiale, plus aucune de ces personnes nées après guerre, ne peut un seul instant croire les thèses nazies ou staliniennes, car pour tous les gens sensés et sachant la vérité et ayant des comportements de personnes civilisées, avec la découverte des camps de concentration ou des goulags et les charniers ou la déportation (comme avec toutes les dictatures de faux militaires), c’est le signe de la folie (au SNNPM[.]) évidente de personnes n’accordant aucune valeur à la vie de chacun des êtres humains (comme l’ont, par contre, les médecins véritables et les chirurgiens y compris les artistes), donc des personnes contraires au Bien et à l’Intérêt Général (incohérentes vis-à-vis de ce qu’elles veulent incarner qui est la part intelligente et la culture de leurs pays): celles qui se sont rendues responsables et coupables de tout cela étaient forcément des personnes ignorantes, au mauvais sens de ce mot (puisqu’elles ne savent pas respecter la vie et les œuvres d’art qu’ont la possibilité de devenir chacun des êtres humains à force d’efforts ou de travaux, qu’elles agissent avec brutalité – qu’elles ne savent pas expliquer, qu’elles imposent non pas en raison de vérité mais pour obtenir des pouvoirs de corrompus et de faussaires). Il ne s’agissait donc pas encore d’êtres humains adultes sachant distinguer ce qui est vrai et de quoi se compose la pensée véritable – ces personnes ne savent pas encore penser « dans le bon sens » – il n’y en a qu’un qui permette de créer – elles sont allées dans le sens du mensonge qui ne mène qu’à l’autodestruction car c’est la direction que prend toujours l’égoïste ou l’enfant-gâté, voire parfois l'adolescent prisonnier des habituelles inepties – c’est pourquoi chacune des personnes sensées (ayant du bon sens) même seulement un tout petit, pouvait alors, après le Débarquement, dans le monde entier, ne plus croire pour toujours à toutes ces balivernes nazies et communistes (au mauvais sens de ces mots)[36] - d’autant plus de ce dont les auteurs étaient devenus coupables et aussi du fait que depuis l’après Seconde Guerre Mondiale, en raison de toutes les avancées scientifiques, ces façons de croire possible utiliser la police, l’espionnage ou l’armée, pour gouverner en frappant des personnes qui ont le droit d’être mécontentes, comme de manifester (car elles sont dans l’ignorance, au mauvais sens du mot), sont souvent les manières de personnes qui sont dès qu’elles l’utilisent dans leur tort, étant donné que quand on a fait des études on les fait pour être capable d’expliquer ou de comprendre, voire capable pédagogiquement de nourrir les raisons d’une réforme, ou pour (se) donner ces explications plausibles et acceptables (ne serait-ce qu’à sa famille si on est un dirigeant qui en a une) d’autant plus qu’un Etat qui incite à s’instruire ne peut avoir des raisons de le faire que parce que la Vérité existe et parce qu’il est, à cause de cela, obligé de veiller à la santé de ses membres, ce qui devrait signifier qu’il n’a pas le droit de frapper et de faire des morts (de tuer)– à moins qu’il soit en légitime défense - d’autant plus que ceux qui s’attaquent à l’Etat sont forcément des personnes ignorantes, au mauvais sens de ce mot, ou des personnes profanes, s’attaquant à celles qui sont au service de cet Etat, du mieux qu’elles le peuvent et avec tout ces dossiers en retard, chacune, tant sur le plan privé que sur celui de leur profession.

Les manifestations ont malheureusement souvent été orchestrées pour créer ces désordres et donner aux forces de l’ordre des raisons d’intervenir de façon à leur permettre de sélectionner parmi les soldats les plus capables d’obéir aux ordres auxquels normalement, sauf dans certains cas, il vaut mieux toujours désobéir, y compris en ayant à démissionner le cas échant (quand les ordres donnés sont injustes), car on a montré alors, dans le cas contraire, qu’on est capable de devenir un assassin de ses frères travailleurs, émigrés ou simplement ouvriers ou qui appartiennent à n’importe laquelle des classes sociales ayant manifesté, ceux-ci n’ayant pas pu trouver d’autres moyens pour parvenir à obtenir les progrès souhaités. Mais il y a des cas où il faut être capable de défendre le gouvernement qui est normalement au service de tous, et c’est pourquoi il y a eu des abus et les soldats qui ont cru pouvoir faire de zèle en s’autorisant à frapper bien plus qu’en « légitime défense » ceux qu’ils ont fait passer pour des provocateurs ou des agitateurs ou qui, de leurs point de vue (de personnes dans le mensonge, ayant des préjugés, ou se basant sur des calomnies) exagéraient, ayant besoin de boucs émissaires. C’est ici un problème qui se pose sur le terrain, au cours des manifestations et cela dépend de la bravoure des forces de l’ordre. Tous ne sont pas courageux et bien qu’armés de boucliers ou de jets d’eau très puissants ont, peut-être, peur, d’autant qu’ils ont choisi ce métier pour être protégé par l’État – j’ai fait renforcer leurs vêtements pour qu’ils puissent encaisser les coups – ils sont payés pour cela - et survivre en échange d’entrainements et d’heures consacrées à ces exercices pour ces cas échéants. Ils ont choisi ces métiers soit par vocation, soit par lâcheté – ce qui n’est pas incompatible - ou en croyant impossible d’exercer d’autres métiers plus courageux ou parce que ces métiers sont accessibles à ceux qui font de la musculation[37] – c’est à l’occasion des manifestations ou des désordres qu’on peut déterminer sur qui compter et ces personnes voulant augmenter ce dont elles disposent pour vivre, sont donc capables du pire comme du meilleur. L’idéal serait d’avoir à se passer de ces personnes, mais pour peu qu’il y ait un gouvernement de gens honnêtes, justes et vraies, celles-ci sont capables de se montrer indispensables, d’autant qu’elles comprennent alors qu’elles pourront se racheter d’avoir cru possible d’obéir à ce à quoi elles devaient absolument désobéir, donc à ces équipes précédentes qui, s’étant infiltrées dans l’Etat, ont proposé en véritables voyous et inconscients, à un pays, durant une période qui sera toujours la ruine du pays en question à l’échelle internationale – puisqu’il ne s’agit alors que d’égoïstes et d’incapables ou d’enfants-gâtés qui cherchent eux seuls à s’enrichir sur le dos des autres comme seuls les gens ignorants, au mauvais sens de ces mots le recherchent – avec eux la prospérité est interrompu – c’est fini - car au lieu que chacun, dans le monde entier, puisse recevoir au moins 1000 chacun, il ne recevra que 0, 000 000 000 0001% de cela et encore c’est ici exagéré, car ce qu’ils recherchent toujours c’est leur profit personnel et à se servir de l’Etat pour le ruiner de l’intérieur et transformer tout ce qui est vraiment la Vie en mort : ce sont des égoïstes et des enfants-gâtés et ce sont les créateurs de toutes les maladies et de tous les déserts en prétendant rechercher le contraire : il s’agit de tous ces gouvernements d’usurpateurs, de menteurs, de tricheurs et du corollaire liés à ces mots qu’il y a eu un peu partout à certains moments dans l’histoire de chacun des pays et pour lesquels l’Eglise a prié qu’ils suivent au moins quelques bons conseils dans le tas de saletés que ces dirigeants ont cherché à commettre.

De tout temps, les avocats sont là pour exposer les plaintes de personnes s’estimant lésées et si on a recourt aux services de ces personnes pour faire les demandes que des patrons n’arrivent pas à honorer, cela est amplement préférable à l’usage de la grève qui fait perdre à l’Ensemble, y compris aux travailleurs eux-mêmes, des millions de dollars par jour. Ces pertes peuvent être évitées grâce à des textes, des explications, des revendications et de l’autre côté des explications pour faire comprendre pour quelles raisons ce sera possible un jour de réaliser ces revendications, si c’est possible alors de tenir de vraies promesses.   

L’usage des affrontements physiques entre travailleurs manuels et patronat ou (normalement) « initiés » cela fait aussi perdre de l’argent car il faut entretenir des policiers spéciaux (une milice) qui pourraient être employé[e]s à des travaux manuels ou à d’autres activités bien plus productives et rentables pour tous que d’avoir à réprimer pour le patronat ou pour obtenir de l’ordre. De nos jours, il s’agit de personnes qui peuvent comprendre les vraies explications et ce qui a toujours été poursuivi comme objectif par n’importe lequel des Etats (mais aussi des initiés) depuis que ces notions furent fondatrices comme ont permis de créer chacune des branches administratives du service public : permettre un bon fonctionnement à un ensemble de membres d’une même communauté culturelle, linguistique ou territoriale ayant à entretenir des rapports divers avec des ensembles équivalents d’Etats analogues confrontés à des problèmes similaires, ou différents, en raison de diverses avancées, (géographies, histoires ou cultures différentes) c’est possible aujourd’hui (avec ce que j’ai créé du futur avant même d’y être) pour avoir à le vérifier avec tous : Internet.

Aussi il est normal de respecter l’autre autant que soi-même et de ne pas se permettre de faire à autrui, à un autre état (Etat), ce dont on ne voudrait pas que notre état (Etat) soit victime ou nous-mêmes et ces pourquoi le nazisme n’était qu’affirmations mensongères.

Il est ontologique, consubstantiel, de nécessité intrinsèque, fondamental, de respecter la langue, la culture, la différence historique de la région voisine ou de l’autre région qui, forcément devrait disposer de ce même état d’esprit envers nous en se considérant elle-même comme notre propre région, car partenaire, mais avec l’ensemble des différences fondamentalement enrichissantes qui constituent des histoires locales appartenant à la fondation de ces Etats ou ces régions différentes qui, en réalité, l’ont chacune été, dans le même esprit que le nôtre, mais en s’étant constituées avec des paramètres locaux propres et différents qui sont ceux dont chacune des autres régions va devoir prendre connaissance à travers ceux qui se sont spécialisés dans notre région au sujet de ces composantes (étrangères) forcément différentes dans les détails et qu’il est de notre devoir de respecter - variantes dans le droit, les coutumes, les traditions – de même qu’il y a des différences très importantes dans les détails entre chacun des habitants d’un même immeuble provenant d’histoires familiales différentes et de façons de vivre chacune différente en fonction des spécialisations ou des métiers de chacun, chacune des régions ou des Etats ou des départements est différent – c’est cette variété qui est curieuse comme quand, dans une librairie, on se voit proposer des livres dans chacune des catégories[38] - à l’heure du tourisme, d’Internet ou de Wikipedia, l’encyclopédie en plusieurs langues, chacune des régions voisines l’une de l’autre, mais aussi des plus distantes devrait voir se généraliser ce même état d’esprit que nous avons eu dès nos enfances vis-à-vis de notre région ou des autres régions (« tutto il mondo è paese » : le monde entier est un – seul - pays).

Or, quand nous étudions la notion de pays à l’Université, en histoire et géographie, c’est beaucoup de choses très différentes[39]. Si nous reconnaissons cela à la France en tant que français, nous sommes contraints de reconnaître ce même droit à un allemand à un italien ou à un européen ou un étranger. Nous ne pouvons donc pas envahir militairement notre voisin de même que nous ne pouvons pas nous rendre chez notre voisin de palier sans en avoir eu le droit (à moins qu’il laisse la porte ouverte) pour des raisons historiques et qui sont établies chronologiquement dans la mémoire et dans la conscience des deux partis. Mais il y a des cas où on a le droit d’entrer chez le voisin et ceux-ci sont connus de tous et vont de soi: ou que cela sente le brûler et que personne n’ouvre à la porte, alors qu'on sait qu'il s'agit d'une personne âgée, par exemple, etc. – c’est d’une certaine façon ce qu’on appelle les cas humanitaires, d’autant qu’il est normalement du devoir de chacun de « porter secours à personne en danger » – si cette loi était appliquée partout cela devrait marquer la fin de l’égoïsme, puisque l’ensemble aurait à cœur de porter secours à l’égoïste qui est la personne même en danger. C’est le profane. C’est pour cela qu’on s’ingénie à trouver des activités à donner à faire aux profanes, dès leur petite enfance. L’espoir ou ce qui est recherché, c’est que le profane ne soit plus un danger pour lui-même et pour l’ensemble et c’est pourquoi parfois on l’a laissé avoir une grande importance puisqu’il est alors content : il a du succès. Oui, mais de quel succès s’agit-il ? C’est alors la déprime du profane : il a triché et tous le savaient, mais comme il était un danger et en danger, tous lui ont permis de faire tous les dégâts y compris de nuire. Pourquoi ? Parce que le profane ne peut pas comprendre, tant qu’il n’a pas un certain nombre de leçons que la vie se chargera de lui donner. Le profane n’a jamais eu d’autres objectifs que de se faire passer pour un initié. Donc il s’est condamné en animal (perroquet) « à faire semblant » d’être un être humain - les initiés attendent qu’il comprenne que son intérêt est de totalement capituler de lui-même, comme quelqu’un qui comprend qu’il vaut mieux arrêter de jouer aux échecs ou à n’importe lequel des autres jeux en étant devenu cette personne qui « fait semblant » et triche (y compris en se servant de la vieille salle des machines), mais il se pourrait que la honte du profane est telle, y compris ses complexes et ses peurs, que tant qu’il ne deviendra pas lui-même un initié vraiment – ce qu’il ne peut, sans approcher les initiés - il ne puisse rien faire d’autre que « faire semblant », tricher, y compris mentir et tout le corollaire de dissimulations, de péchés, de fautes, d’erreurs – c’est donc très malheureux comme situation que celle de chacun des profanes qui a donc recours à des chantages, comme à l’augmentation du prix du pétrole pour être sûr d’avoir de l’argent (des crédits financiers usurpés (cfu), des crédits financiers escroqués (cfé), des crédits financiers malhonnêtes (cfm), des crédits financiers volés (cfv), des crédits financiers trichés (cft), des crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)), ne faisant pas confiance aux autres pour le conseiller pour gérer le mieux possible son existence (car il ne comprend rien aux sciences de ceux qui sont réellement des spécialistes : il sait à peine faire des additions, une soustraction : son cerveau est donc très limité et très dégradé. Le monde de ceux qui sont spécialistes ou qui ne sont plus profane lui fait peur): mais le profane veut avoir les moyens de continuer à se profaner et à ne pas dépendre financièrement des autres et c’est pourquoi il sera de toutes les combines louches pour en obtenir, n’ayant pas la patience d’attendre de devenir réellement indépendant financièrement et autonome, de n’être plus profane, donc reconnu comme un honnête homme par l’ensemble de la communauté internationale des universels ou des souverains).

Il en fait une question de respect de la différence (ce droit de disposer de moyens financiers provenant par n’importe lequel des moyens) et de l’autre comme d’une région qui a la possibilité, comme la nôtre, de collaborer sur certains sujets, sur certains plans, en partenaires libre de consentir ou de refuser. Il est par conséquent normal que chacune des armées de chacune des régions reconnues constituées historiquement soit légitime parce qu’elle est chargée d’assurer la « légitime défense » de chacune des régions. Mais si chacune des régions comprend finalement qu’il n’y a pas d’ennemi, que cette partie de soi-même d’enfant-gâté, dans l’erreur, et que l’autre, différent, peut devenir un partenaire complémentaire pour permettre le développement de sa propre économie, comme de la nôtre, en acceptant des rapports de symétrique réciprocité, alors on devrait pouvoir réduire le nombre de soldats employés à attendre de défendre des régions qui normalement, à travers ces personnes s’étant débarrassées de l’enfant-gâté en elles, ont compris chacune qu’elles n’ont plus du tout à utiliser les soldats pour s’envahir l’une l’autre (ou provoquer les réactions de la région voisine ou d’une autre[40]) pour vérifier alors que la réaction aura été celle d’un pays qui aura régressé intellectuellement parlant, car au lieu de minimiser et de comprendre que le pays qui provoque est contraint de le faire en raison de soldats faisant parti de ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, capables d’obéir à un ordre auquel il faut toujours désobéir, (celui d’aller provoquer quelqu’un à l’étranger ou bien un étranger - un simple voisin), ceux-ci, en obéissant, se rendent coupables d’un incident diplomatique et contraignent les armées ou les forces de l’ordre à intervenir automatiquement, ce qui fait monter (bêtement) localement des sentiments d’hostilité contre la région qui s’est rendue coupable des provocations (mais ce n’est peut-être pas le chef de l’Etat de cette région qui est responsable car c’est toujours en raison du problème de toujours : celui de ces gens devenus des ignorants, au mauvais sens de ce mot – avec le cortège de préjugés et de corollaires qui les rend, par exemple, des contradicteurs ou capables de semer le désordre là où règne une atmosphère studieuse – c’est donc simplement par esprit de contradiction, car quand c’est eux qui sont chargés de mettre de l’ordre, ils sont capables de le faire mieux que les autres et peut-être même plus efficacement, car ils ne sont pas embarrassés par les milliards et plus encore de paramètres (ou de scrupules) qui contraignent les autres à être si aimables, sauf, pour ces avant-derniers, quand la mesure est comble. Ils sont donc capables d’accepter de faire les provocations qu’on leur a suggérées à des personnes totalement différentes d’elles (un bébé fauve à un hérisson) dont ils ne perçoivent plus les différences, puisqu’ils se sont abusés par les effets de leur état de malade d’inconscience (ils ont été victimes de la perte des paramètres qui permettent de construire durablement leur vie). Ces provocations sont donc parfois seulement motivées par leur curiosité juvénile – au mauvais sens de ce mot – comme, nous l’avons dit - celle de certains adorables bébés fauves qui croient possibles jouer avec un hérisson, jusqu’au moment où ils ont si mal aux pattes ou au nez qu’ils déguerpissent affolés en se jurant à soi-même de ne jamais plus approcher ces petits animaux piquants, pourtant si utiles pour l’environnement (cela arrive aussi aux chats ou aux petites chiens avec des gros crapauds et les plus intelligents renoncent très vite à embêter cet animal. Les autres, les plus primitifs, les moins intelligents, les moins développés, continuent jusqu’à avoir si mal au nez qu’eux aussi jurent, in petto, ou instinctivement, pour toujours - ils ont la preuve que l’expérience s’avère parfois utile – elle leur servira de leçon - de ne plus fréquenter les hérissons ou les crapauds).

Le rôle de la diplomatie est parfois, quand ce n’est pas le contraire, celui qui consiste à minimiser un casus belli (car il est préférable de se faire des amis), même si celui-ci a fait de nombreux morts car sinon cela risquerait d’être une nouvelle guerre et une perte de temps et d’argent comme de soldats avec les risques que courent la population civile (les animaux, les paysages défigurés par la guerre, donc des pertes très importantes – « la guerre n’étant jamais une bonne affaire » - mieux vaut dépenser des millions de fois plus pour avoir la paix que de dépenser beaucoup moins en faisant des morts ou des blessés). On comprend qu’il soit préférable d’éviter les conflits en utilisant toutes les ressources qu’offre l’instruction, la pédagogie ou les artistes véritables (metteurs en scène confirmés internationalement, par exemple, pour avoir la paix y compris diplomates ou envoyés spéciaux)  et même si on a été victime, de répondre de façon si possible non violente, ce qui est le cas depuis toujours ou presque par toutes les personnes confrontées aux menteurs, aux tricheurs[41], etc. (bien qu’on soit cependant en légitime défense, d’autant plus de provocations irrespectueuses ou insolentes – mais on le sait ces personnes ne sont pas encore en condition de comprendre : elles se sont profanées ou devenues sacrilèges et le corolaire « et ne se rendent pas compte », voire croient bien faire ou même faire plaisir – aussi il n’y a plus qu’à sourire ou à rire y compris des « tentations de saint-Antoine » admirablement célébrés par Gustave Flaubert[42]) jusqu’à obtenir gain de cause et réparations (financières) pour les divers préjudices ou dommages y compris collatéraux et cela au risque d’attendre des années, d’avoir à revendiquer longtemps pour faire valoir ces droits qui sont pourtant intrinsèques et ontologiquement les mêmes que ceux que les tricheurs ont, s’ils devaient avoir été victime et s’ils se comportent de bonne foi et en toute cohérence car ce qui est juste, bon et bien pour un seul, en vérité, sera bon, bien et juste pour tous (nous avons pu le vérifier avec la Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale que j’ai été mené à faire à travers le temps : ce que j’ai déterminé comme bon pour l’Ensemble, à réaliser, est, bien que parfois ne me touchant pas directement, bon pour moi, en tant que particulier) d’autant plus si ce qui s’est passé est véritablement admissible, en conscience, comme basé sur le principe de « ne pas faire à autrui ce qu’on n’aimerait pas subir à la place d’autrui[43] », ce qui est le meilleur des principes entre Etats, entre voisins, entre automobilistes, entre chiens, entre chats, entre avions, entre …[44] en l’appliquant on peut avoir la Paix. Aussi on ne peut pas accepter l’esclavage tel qu’il était pratiqué avant qu’il n’ait été aboli, y compris le servage, car il faut être bien malade (cérébralement) pour vouloir être soi-même un esclave (au sens de travailleur manuel ou même, comme à la fin du XXème siècle encore, sexuel) de qui que ce soit et dépendre toute sa vie d’une seule unique et même personne (alors qu’en réalité on dépend de toutes et on est au service de toutes) qui a ainsi anéanti et pris ma liberté, d’autant plus que l’esclavage, sans rémunération en échange, ne va pas me permettre de faire des économies pour avoir un moment à consacrer à ma personne ou à celles pour qui j’aimerais dépenser ces sommes et cela dans un monde dans lequel la rémunération est cependant vitale pour pouvoir survivre honnêtement sans peser, en tant qu’esclave, ou bien d’une autre manière, sur une personne ayant des moyens financiers dont on ne sait pas s’ils sont ceux d’une personne honnête ou malhonnête. Personne ne veut devenir une personne privée de droits y compris celui de s’instruire. Ne pouvant pas accepter cela pour ma personne, cette situation d’esclave[45] ne me permet pas de préparer ma vieillesse, ma retraite, ma fin et je ne peux d’aucune façon vouloir pour moi, l’empereur ou le roi ou le pape, le président de la République, le prince, le tzar, etc. être autrement esclave ou au service de ces fonctions comme l’ouvrier est au service d’une entreprise. Ce qui a été aboli c’est l’esclavage et le servage, au sens où cela conditionnait à des existences précises dans les siècles passés et qui n’étaient plus tolérables en raison de divers abus. L’empereur, pourtant au service de sa tâche, (comme des parents peuvent se sentir esclaves de leur famille), donc l’esclave de l’Empire, ne peut pas vouloir ce genre d’esclavage pour les peuples de l’empire. Je n’accepterais pas de subir cette forme d’esclavage pratiquée en ces temps-là pour moi-même, je ne peux donc pas l’accepter pour qui que ce soit et encore moins pour ma femme ou pour mes femmes, ni pour mes enfants ni même pour n’importe lequel des étrangers ou des animaux pacifiques et inoffensifs, car si j’étais un animal je n’aimerais pas qu’on me maltraite. Aussi, puisque je ne consens pas à travailler moi-même comme un de ces esclaves d’autrefois, de ceux dont on a aboli la façon de vivre esclave, je ne peux que travailler en ayant des droits – parmi ces droits, il y a celui qui, bien sûr, respecte ma condition d’être humain. La situation générale est différente. Elle m’a donné des droits qui sont ceux d’hommes et de femmes « libres », au sens où ce mot demeure une expression qui permet de faire réellement la différence avec la notion d’esclave, telle qu’elle n’était évidemment pas acceptable en ces temps là, bien que je sache que le mot exprime que, malgré tout, on subi le joug de la Liberté, un mot qu’il faut comprendre entièrement avant de l’utiliser, ce qui explique pourquoi les études proposées sont nécessaires car certaines personnes finissent par comprendre en vérité ce que ce mot signifie en le confrontant à tous les autres mots et en sachant exactement ce qu’il signifie dans chacun des cas. Ils ne l’emploient plus en menteurs ou en tricheurs, c'est-à-dire en se permettant, par exemple, de croire possible devenir des criminels révolutionnaires, comme cela a été le cas, étant donné que dans un monde composé d’êtres humains qui « ne peuvent pas faire à autrui ce qu’ils n’aimeraient pas endurer eux-mêmes » le crime, ou tuer, est parfaitement incompatible, puisqu’on n’aimerait pas spécialement être tué nous-mêmes, du moins quand on est en bonne santé, alors pourquoi croire possible se permettre de le faire à autrui (qui plus est, est un mystère). Personne n’aimerait subir soi-même une révolution alors qu’on est le petit fils d’un tzar qui a aboli le servage pour permettre aux ignorants d’avoir accès à l’Instruction ou au statut d’ouvrier, c’est à dire à celui de personne qui une fois le travail fait, en tant qu’ouvrier, est un père ou une mère de famille (comme le Tzar lui-même) peut avoir d’autres occupations qui porteront alors d’autres mots?

La rémunération obtenue en raison de la profession qu’on exerce rend libre. Ne pas rémunérer une personne c’est l’exploiter. D’une certaine façon, le communisme tel qu’il s’est manifesté en se montrant hostile aux rémunérations du patronat (et en voulant l’abolir comme ne pas comprendre la différence entre celui qui travaille de la tête – A. I. Soljenitsyne, par exemple, ou les Eisenstein, les Malevitch[46] - et ceux qui ne sont que travailleurs manuels ou entrain de « faire semblant » d’être des personnes pensantes - n’ayant pas compris la différence qui existe entre chacune des personnes, ne serait-ce que génétiquement, a voulu créer une société d’esclaves, puisqu’il a cherché à faire disparaître ces différences entre les compétences intrinsèquement liées à des contextes familiaux différents entre chacune des personnes. Ces personnes qui ne sont plus profanes sont indispensables car elles vont permettre à des personnes de chercher à faire le mieux possible et à sortir de cette condition détestable qui est celle de l’ignorant, au mauvais sens de ce mot : le profane, le par moment sacrilège, l'uniquement laïc, le strictement athée.  Comme à leur permettre cette indépendance financière salutaire pour assurer sa propre autonomie. Tous y gagnent.

Créer une société d’esclaves ou de gens tous semblables cela ne permet aucune innovation, aucune nouveauté, et s’il n’avait pas heureusement été prouvé que chacun dispose d’un patrimoine génétique différent depuis, on aurait pu s’abaisser à croire qu’il n’y avait pas de différence entre chacun. C’est hélas ou heureusement ce qui existe entre gens menteurs ou qui recherchent en commun la médiocrité et qui vont se croire plus compétents que des personnes qui le sont, d’autant qu’elles ne sont plus profanes. Une société qui détruit l’esprit de concurrence entre les individus ne permet aucune grande chose. Plus personne ne cherche à se surpasser pour les autres ni pour les siens ni pour lui-même : il n’y a plus de champion (il n’y a plus d’Eiffel et tant d’autres architectes comme Gaudi, plus de créateurs, etc.) et la société risque de ne plus être capable de trouver les solutions élégantes pour construire des ponts originaux ou des architectures nouvelles comme de ne plus savoir choisir parmi toutes celles proposées celle qui, pour de véritables bonnes raisons doit être mise en place (celles-ci ayant à voir avec des paramètres qui concernent les différents concurrents y compris leur état d’avancement dans les degrés initiatiques). Il y a donc une façon de voir l’être humain, le rôle de la famille dans la société, son propre rôle (de père ou de mère), la responsabilité de l’Ensemble dans l’éducation (si on n’apprend pas, dans certains cas, à bien semer avec une main verte on ne récoltera rien de bon), donc une société dirigée dans une toute autre optique, puisqu’au lieu de faire des enfants-gâtés ou seulement des enfants assistés et servis, on va faire de chacun des serviteurs, au bon sens de ce mot. En fait, des êtres efficaces, entreprenants, capables aussi, dans d’autres cas, d’organiser de très grandes choses pour peu qu’elles acquièrent les connaissances et les expériences et finalement la confiance de ceux qui, souvent, moins courageux, moins ambitieux, préfèrent avoir un bon chef ou simplement s’abriter derrière des guides de haute-montagne[47] ou celui qui connaît son métier dans la caravane qu’il doit mener d’Est en Ouest comme au temps de la colonisation du Far West.

Comme il n’est pas possible d’accepter qu’on nous tue, on ne peut donc pas se permettre de tuer – cela serait incohérent et montrerait que nous ne sommes plus logique, que nous tournons mal ou avons mal tourné. Un royaume ou la Liberté peut être un joug, une profession peut le devenir, et la famille dont on est le chef nous assujetti dans une forme d’esclavage, mais heureusement bien autrement qu’en ces époques lointaines qui ne donnaient pas les droits à celui qui avait le statut d’esclaves d’être respecté puisque le maître croyait avoir le droit de frapper, voire de tuer l’esclave qu’il avait acheté, donc croyait pouvoir détenir un droit sur la vie de l’esclave. L’esclave n’était pas vu comme un être humain avec toutes les possibilités positives ou merveilleuses de l’être humain, mais comme un objet de consommation ou un instrument qu’on a le droit de « casser » ou de « détruire », de même que certains d’entre nous se débarrasse d’objets encombrants, comme de vieux ordinateurs. Parce qu’il n’avait pas eu la même éducation et parce qu’on l’avait acheté ou qu’il appartenait à une maison, celui-ci, bien qu’ainsi assuré de survivre, n’avait pas le droit d’espérer la quitter car il ne pouvait même pas économiser à cette fin d’un projet de voyage ou pour racheter sa liberté ou rompre son contrat. L’esclave était synonyme de « prisonnier » alors qu’il n’avait rien fait de mal. L’ouvrier peut changer d’employeur, attendre la fin de son contrat pour changer de lieu de travail, s’il trouve mieux ailleurs. L’ouvrier peut utiliser son temps libre pour s’instruire et espérer un progrès qui se matérialisera comme pour le fonctionnaire qui acquière des mérites par un accroissement de revenus ou du temps consacré à réaliser un projet personnel à caractère privé. Mais cela signifie que nous aurons à faire à un individu ayant recours à l’initiative, celle de vouloir se donner les moyens de changer de condition et de faire les efforts pour cela. Une telle initiative ne se trouve pas dans un peuple de paresseux habitués à être servi par des parents qui n’ont jamais « élevé » leurs enfants que comme des enfants-gâtés car l’initiative de ces personnes n’aura comme fin que de réussir à assouvir sa voracité d’égoïste encouragée par de telles éducations.  

L’être humain sait donc intuitivement, même s’il l’a oublié, qu’il ne peut pas « se permettre de faire à autrui des choses qu’il n’aurait pas aimé lui-même subir à la place de l’autre dans le même rôle ». Il n’aurait donc pas aimé être la victime ou l’esclave ou être à la place de la victime et c’est pourquoi les droits des patrons de ceux qui avaient des esclaves étaient des droits mensongers et faux car ils n’étaient pas le droit de « frères ». Ils étaient en contradiction avec la notion de « fraternité ». Être le frère de quelqu’un c’est essayer de faire en sorte qu’il devienne un exemple car soi-même on essaie d’être un exemple pour lui ou on fait le mieux possible, comme un père ou une mère pour un fils ou une fille. Par conséquent, avec ces droits, il s’agissait de pseudo-droits et non de droits, mais aussi d’usurpation de droits, donc ontologiquement « faux » y compris par essence et donc inacceptables par qui que ce soit dans tous les temps y compris à l’origine (donc depuis toujours), quand le premier esclave fut fait en tant que tel – donc avec l’esclavage, tel qu’il fut pratiqué, comme avec ses différentes formes, il s’agit d’une sorte de maladie provoquée par la situation générale sur un fond commun de personnes encore ignorantes, au mauvais sens de ce mot, ou qui n’arrivent pas très bien à voir clair à ce sujet, car cette mauvaise habitude a été prise depuis fort longtemps. Il s’agissait donc d’un préjugé, d’une calomnieuse façon de voir l’être humain, d’une certitude mensongère dont le point de départ remonte à une erreur ou plusieurs erreurs. Pour que l’esclavage ainsi pratiqué disparaisse enfin définitivement comme une des maladies qui doivent disparaître (mais qui sont comme elles fondées sur des certitudes mensongères ou des préjugés) cela a exigé d’une part la Révolution Industrielle et l’Abolition de l’Esclavage et du servage, puis un très grave retour en arrière, étant donné que toujours les mêmes ignorants, au mauvais sens de ce mot, n’ont pas voulu comprendre, avec les erreurs et les crimes du nazisme à ce sujet, ce qui a abouti à l’effet contraire, étant donné que cette Abolition de l’Esclavage était fondée sur la vérité : sur ce qui était juste. Cela s’est produit dans la libération des camps en Allemagne, ce qui a permis de comprendre définitivement que l’esclavage n’avait plus le droit d’exister nulle part. Cela a rendu conscient que d’autres formes d’esclavages plus spécifiques à notre époque ne devaient plus asservir les êtres humains comme celui du travail au noir limitant considérablement les gains et les droits. Cela a rendu nécessaire aussi le combat contre l’esclavage sexuel). Dans le registre « ne pas faire à autrui ce qu’on n’aimerait pas qu’on nous fit » cela signifie donc logiquement de même que j’aime obtenir en échange de mes services des moyens financiers qui me sont reconnus et disposer ainsi d’une forme de liberté ou du moins d’indépendance ou d’autonomie, appréciable, il est normal de la souhaiter pour l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, comme au bon sens de ce mot ou simplement pour l’autre, bien que celui-ci, comme moi-même, soyons esclaves, nous l’avons dit d’un système,  mais d’une forme contemporaine d’esclavage qui n’a plus rien de commun avec celle qui a été justement abolie. C’est ainsi parce que j’ai acquis par l’Instruction et mes capacités ou expériences professionnelles le droit de le faire que j’aime avoir le droit de consentir ou de refuser le travail qu’on me propose (ou que je me donne) et, pour des raisons personnelles que j’ai le droit de ne pas donner. C’est pourquoi je comprends naturellement que ce droit puisse être celui de chacun y compris de ma femme, de mes enfants ou de n’importe qui (à la limite pourquoi pas des animaux pacifiques et inoffensifs) et c’est pourquoi ces droits sont justes, car ils permettent à une personne d’être indépendante financièrement, donc de ne dépendre que d'elle-même et de sa force de travail ou de ses compétences, puisque cela lui assure une autonomie financière en échange de services et s’il est handicapé reconnu comme statut (puisqu’il faut distinguer cela de la situation générale d’handicapés que nous sommes) il reçoit des moyens pour survivre : son travail est celui d’un consommateur qui permet à des personnes de travailler en ayant à développer (comme le personnel médical au service d’handicapés momentanés, les malades), les solutions élégantes qui lui sont nécessaires. Ici aussi, ce sont des droits universellement justes puisqu’en pouvant s’appliquer à ma personne, si je devais être malade ou handicapé, cela a permis que cette idée s’applique à tous. Il s’agit bien de preuves que le Droit engendre de bonnes lois qui, en étant charitables pour la personne opprimée par un mal[48], n’ont rien de commun avec l’absence de droits d’un esclave à l’époque de l’esclavage. C’est pourquoi l’esclavage sexuel sous toutes ses formes n’est pas, non plus, acceptable (y compris au sein d’un couple marié – le mariage doit rendre « libre » au sens où nous avons vu que, plus haut, ce mot peut être entendu et compris. Aussi, il devrait rendre plus conscient des devoirs de chacun.

Si l’esclavage sexuel a existé cela ne révèle, à chaque fois, que de l’inconscience des différents acteurs en question concernés qui n’ont pas voulu réfléchir à temps aux conséquences néfastes de leurs actions sur la santé psychique des personnes en cause comme à eux-mêmes ni à leur futur : à quand ils seront âgés. Si moi-même je peux me considérer esclave de mon travail ou de chacune de mes activités d’empereur,  ou de ma famille ou bien de celles de réalisateurs de film, de peintre ou esclave de chacun de mes devoirs ou vis-à-vis de chacun des métiers ou des sciences que je sers de mon mieux, il s’agit d’un esclavage consenti qui rend libre et je ne cours pas le risque d’aliéner la liberté de personne ou moi-même de devenir l’aliéné d’une personne à qui je dois régulièrement remettre l’argent de « passes », ni même le risque d’être soumis à la volonté de cette personne qui ne cherche pas fraternellement mon bien, ma liberté ou mon autonomie mais à m’assujettir, au mauvais sens de ce mot, à me priver de mes droits, donc de ce fait à me rendre, si femme, prisonnière. Il ne cherche pas réellement mon bonheur et mon indépendance financière en me proposant des activités qui pourraient développer mes compétences. Il ne cherche pas ma liberté au sens où ce mot permet d’avoir aussi les droits de choisir et d’être choisi, des droit d’être aimé ou de vivre un amour ou de construire une relation d’amour monogamique pour un destin en commun et pour évoluer ou progresser dans la recherche de la vérité. Il ne cherche pas à me respecter puisqu’au lieu de connaître l’Amour, je vais être « salie » par des substances provenant de l’intimité sexuelle de personnes différentes au lieu de choisir l’intimité d’une personne que j’aimerai et s’étant réservée à moi. Je vais donc être profanée au lieu de connaître le bonheur de construire avec une personne qui a besoin de moi et qui sera comme un frère et ne vais connaître que des étrangers qui n’ont cure de me savoir heureuse ou épanouie : des égoïstes, des profanes n’ayant pas le respect de la femme, de la mère, de la sœur et qui n’aiment pas. Aussi j’ai été abusée par une personne n’ayant pas d’hygiène dans la tête puisqu’il a cru pouvoir me donner à n’importe qui en m’exposant à recevoir des cellules non pas donnée par amour mais pour des raisons vulgaires et seulement érotiques. J’ai été l’objet de maltraitance. On ne m’a pas respectée comme ayant le droit de construire avec une seule personne choisie et qui m’a choisi.

Si nous sommes prisonniers ou d’une certaine façon esclaves de nos activités d’assis, de penseurs, d’intellectuels ou de personnes exerçant des professions libérales ou de nos savoir-faire d’amateurs ou de professionnels, c’est pour nous permettre d’être indépendants et autonomes financièrement pour être libres d’accepter ou de refuser, de choisir ou de ne pas choisir, de prendre parti ou d’être sans parti, etc. donc d’une certaine façon comme le pensait Jean-Jacques Rousseau dans le Contrat Social. Il y a donc cette liberté qui est en réalité une forme d’esclavage au sens où la série télévisée britannique appelée « le prisonnier » l’entend, mais il s’agira alors d’un esclavage ou d’une liberté qui est soumis(e) à des lois injustes, comme à un autre moment est fondé(e) sur le respect des libertés et le droit à la différence, comme sur le droit de disposer de son corps et de sa sexualité librement[49].

La condition d’esclave n’est donc pas celle possible pour un être humain (pour qui que ce soit) que seulement si le contexte dans lequel cela a lieu est malade de cette très ancienne maladie à avoir cru possible l’inconcevable intellectuellement, mais que la situation générale bloquée avait créée : « l’esclavagisme », comme il y a eu d’autres maladies très graves qui ont menacé chacune des civilisations des alternatives post-abrahamiques à toutes les inepties que sont  précisément chacune des formes d’égoïsmes qui se sont manifestées sous toutes les formes de voracités, ce qui a mené – c’est ici le plus grave - les personnes les moins intelligentes à l’anthropophagie, aux sacrifices humains de charlatans, à toutes les gourmandises de chairs animales qui découlent, en fait, de toutes les formes de mensonge comme l’esclavagisme lui-même[50] et qui expriment partout des preuves manifestes d’individus insensibles, devenus inconscients et surtout incohérents par rapport à tous les vrais objectifs de chacun des Etats ayant la santé physique et psychique de chacun de ses membres comme objectif et devoir, y compris la santé des animaux des fermes dont les êtres humains dépendent (œufs, beurre, fromages, yaourt, laine, peau de l’animal une fois mort, etc. – d’avoir cru pouvoir se permettre d’avoir la viande des animaux alors qu’ils nous offrent déjà autant – d’autant plus de tous les animaux sauvages que certains croient pouvoir continuer à chasser - sont des preuves supplémentaires de la cécité de certains êtres humains dans certaines régions – cela a conduit quelques uns de nos ancêtres jusqu’à se perdre pour toujours dans des chasses qui les ont menées au pôle Nord, ce qui n’a pas beaucoup permis leur développement intellectuel (avant l’arrivée de l’école dans ces régions-là) – c’est depuis peu que ces peuples proposent aussi de l’artisanat - ce qu’en revanche l’agriculture a permis partout – il s’agit de ces peuples anciens de primitifs qui se sont perdus comme quelques germains dans ce Nord, car ils n’ont pas su comprendre ni lire la nature – c’est pour cela qu’ils ont fini par errer à jamais et se perdre à ce point, dans ces froids polaires comme se sont perdus – dans leur tête - tous ceux qui n’ont plus voulu vivre autrement que de chasses ou de viandes - et qui en voulant ressembler à ces animaux carnivores (au lieu des plus intelligents, les autres) et à première vue les plus forts – les lions, les chiens et d’une certaine façon les chats – ont en fait voulu ressembler aux animaux qui sont donc connu pour leurs lâchetés et leurs peurs et qui, par héritage génétique, croient avoir le droit de s’attaquer à plus faibles qu’eux, physiquement, ce qui n’est pas pensable entre les êtres humains civilisés qui ont compris[51] qu’handicapés dès l’enfance, comme durant toute leur vie, par d’innombrables problèmes et contraintes à surmonter, ils ont à protéger les plus faibles et les handicapés (y compris ce qui n’arrivent pas à penser ou qui sont pour le moment profanes) et grâce aux sciences à résoudre les problèmes des handicapés (les menteurs et les méchants sont des handicapés puisque leur cerveau est tellement devenu pourri qu’ils sont comme certains profanes ou sacrilèges ou ignorants, au mauvais sens de ces termes, à protéger contre eux-mêmes et c’est pourquoi tous les autres les préviennent toujours. Les accidentés ou les personnes malades sont momentanément handicapés et c’est pourquoi des  solutions élégantes à ces divers types d’handicapes sont mises en œuvre comme d’une autre manière le téléphone a permis de communiquer avec des personnes handicapées comme tous les êtres humains par les distances permettant de créer cette sorte de béquille ou de solution élégante pour résoudre ce problème à ce sujet, comme l’ascenseur[52] nous évite d’avoir à souffrir de porter à monter, handicapés que nous sommes à ces moments là, ou l’évier a permis de se sortir de l’handicape d’avoir à aller à la rivière pour laver la vaisselle (d’autres prétendront que cela n’en était pas un): les êtres humains ont pu « progresser » grâce à tous les véritables chercheurs que sont toutes les personnes qui dessinent en vérité (font les plans de ces mécanismes) ou qui pensent en vérité, c'est-à-dire qui appartiennent à un monde qu’on ne peut atteindre qu’en s’étant extirpé du monde du mensonge par d’innombrables efforts dans tous les domaines y compris physiques.

La Première Guerre Mondiale et les événements de la Révolution Soviétique ont conduit adolph hitler à mentir (mais il croyait être ou faisait croire être de bonne foi) c’est pourquoi nous ne pouvons le considérer qu’en tant que « fou » au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) ou « qu’handicapé » comme lénine avant lui et tant d’autres assassins se croyant sur de fausses bases – non vraies, non admissibles - le droit de l’être, car ils ont cru pouvoir l’être non pas en raison de la défense de la vérité, ce qui n’est pas alors de l’assassinat (la « légitime défense » de la vérité), mais en raison de vérités égoïstes et subjectives non-respectueuses de la personne humaine ayant ontologiquement, consubstantiellement et intrinsèquement comme fondamentalement les mêmes droits les uns des autres (les profanes ayant les droits des profanes et ceux qui ne le sont plus les leurs). Ces droits étant liés aux différents paramètres concernant les savoir-faire de chacun au sein d’un monde où la concurrence est partout y compris en art et sciences de l’art (cinéma-télévision-audiovisuel) une de mes spécialités. Respecter l’altérité, la différence de l’autre autant que sa propre diversité et l’altérité à soi-même (c'est-à-dire la possibilité de devenir autre soi-même, d’accéder à la métamorphose, d’avoir le droit de sortir de l’état d’aliéné) est depuis toujours le projet de chacun des Etats (pays) qu’on a même été jusqu’à appeler « Etats providence » dans la mesure où ils ont offert aux enfants la possibilité de s’instruire pour arriver à maîtriser la pensée juste, dans chacune des matières ou catégories enseignées, pour permettre à celui qui étudie d’être au service de cette recherche de la vérité ou de la vérité et la servir de son mieux, donc de la défendre avec ce que cela signifie comme complexité, au cas par cas, pour résoudre les problèmes causés par ceux qui croient possible l’ignorer ou se comporter en animaux seulement alors qu’ils étaient promis à devenir des êtres humains, au service du Bien et de l’Intérêt Général. Hélas, ils se sont comportés en animaux, prisonniers d’égoïsmes, les rendant enfants-gâtés et ignorants, au mauvais sens de ce mot, de ce dont tous les initiés ont bien mieux pris conscience qu’eux puisqu’ils demeurent des personnes sensibles aux informations que présentent la télévision ou la photographie. Chacun d’entre nous sera amené à jouer des rôles continuellement différents et cela fait que chacun est multiple en permanence à cause de chacune des activités différentes que chacun est capable de mener. C’est en qualité d’artiste véritable que cette multiplicité des facettes possibles s’exprime y compris une fois que l’être humain devient multidimensionnel comme ces artistes dits « universaux » qui sont devenus des milliards de milliards et plus encore de personnes différentes à chacune des fractions de seconde de leur existence, c’est pourquoi on peut comprendre qu’ils soient motivés par des raisons personnelles et différentes de celles des autres à l’occasion de la constitution de leur descendance ou famille (on comprend aussi qu’ils puissent s’être délivrés d’un certain nombre de préjugés et qu’ils puissent avoir eu besoin de plusieurs femmes s’ils étaient ou sont de ceux capables de gérer ce genre de situation et s’ils en ont les moyens (financiers) pour en assumer les conséquences y compris familiales (personne ne songe plus à blâmer Picasso ou Chaplin de nos jours). On peut aussi comprendre qu’une femme ayant atteint ce genre d’état puisse avoir plusieurs fiancés ou maris et des enfants appartenant à chacun de ces maris différents. Mais cela n’est possible qu’entre personnes qui ne sont plus profanes et totalement indépendantes et autonomes financièrement pour toujours y compris d'avance pour quand elles seront âgées, car on n’a pas le droit, comme l’a fait remarquer Jean-Jacques Rousseau, de faire des enfants pour les asservir et/ou vouloir les réduire en esclavage ou pour leur faire du chantage : on les a de nos jours, en raison aussi de l’existence de la contraception qui nous a permis de ne les faire que quand ce sera possible financièrement de les assumer, pour leur offrir la chance de vivre (donc la possibilité d’être utile et de bien faire[53]).

Monsieur le Cardinal, vous y verrez, j’espère, un peu plus clair d’autant plus de ce que j’y ai découvert ce que chacune des personnes est matériellement, c'est-à-dire biologiquement parlant, et donc je comprends qu’on la considère sur le plan médical ou en sciences naturelles comme des milliards et plus encore de cellules vivantes chacune différente (et qui seront à différencier), chacune jouant un rôle bien précis dans l’organisation de l’ensemble du corps, sans parler de chacune des milliards de milliards et plus encore de cellules qui circulent dans le sang (aussi nous nous sommes « habitués » à voir de l’autre une seule chose alors qu’il est au moins tant que cela et de plus, chacun, une énigme – ce qui explique que l’être humain soit normalement, pour tous les initiés, une chose à l’infini de l’infini précieuse et d’une complexité infinie comme inouïe – on comprend ici l’intérêt pour la psychanalyse et son rôle de plus en plus important[54] et beaucoup mieux qu’autrefois les raisons de l’interdiction de tuer que nous ferions mieux d’étendre au monde animal sans défense – les animaux pacifiques et inoffensifs des fermes qui protégées sont normalement défendues par le chien du renard ou du loup y compris des lions, ce qui lui fait gagner des points puisqu’il collabore aussi pour mieux garder les brebis et les moutons ou d’autres troupeaux et les défendre en étant le complice des bergers, des êtres humains courageux à l’occasion des attaques lâches des animaux couards dans ces alpages. Il vaut mieux respecter physiquement tout individu être humain ayant des possibilités d’évoluer d’autant plus s’il se prive de la vieille salle des machines (car sinon c’est l’inverse qui l’attend, une « involution » vers le satyre et le centaure et donc vers l’état de menteur qui n’est donc pas un état très intéressant pour lui-même, comme résultat, puisqu’il s’infléchira vers l’état d’animal (donc vers des réincarnations dans ces animaux soumis aux instincts et limités en conscience) qui ont perdu une à une toutes leurs facultés de celles qui permettent d'appartenir aux êtres humains utiles à tous (véritables créateurs, calculateurs, dessinateurs, etc.) mais pour les voir remplacer par celles qui recherchent leur propre perte, à être mis à l’écart de la société humaine et classés comme dangereux, malfaisants et /ou nocifs alors qu’ils avaient, nous l’avons vu, toutes les capacités pour le contraire).

Il y a ceux qui comprennent et ceux qui ne comprennent pas, d'un côté les laïques, les profanes, les sacrilèges, les athées et les ignorants, au mauvais sens de ces mots (et j’ai vérifié qu’ils sont effectivement des prisonniers des mécanismes « involutionnistes » les menant vers ces diverses formes d’animalités diamétralement opposées à l’ évolution vers l’être humain plus initié ou du moins délivré de la condition profane) et de l'autre côté les gens devenus initiés ou nés d’initiés qui se sont préparés religieusement à servir la vérité et ce que la situation permet canoniquement de faire ou de ne pas faire, parfois en raison de leurs ancêtres qui initiés à ce que la situation exigeait le leur ont transmis pour leur permettre de poursuivre ces évolutions distinctes en êtres humains devenus conscients, comme ayant, bien sûr, toutes les autres qualités qu'ils passent d’habitude sous silence, en raison de leur trop grande modestie, tandis que les autres continuent à ne faire que du surplace et même à régresser en ces animaux lâches et peureux que sont tous ceux qui espionnent grâce à la vieille salle des machines qui les maintient chacun dans l’état d'ignorants, au mauvais sens de ce mot et surtout les esclaves de leur sensualité. En effet, en ayant été faits prisonniers ceux-ci n'ont pu faire que le contraire d'une évolution: une involution et se sont révélés chacun contraires à l'Intérêt et au Bien Général fondamental de chacun d’entre eux, en contraignant les autres, les initiés (ceux qui sont devenus de véritables êtres humains) à contraindre, à gérer, à calculer, etc. Il se peut que ce soit en devenus en quelque sorte des « esclaves » puisqu’en espionnant, ils cherchent peut-être à maîtriser des connaissances que les autres détiennent pour essayer le leur plaire, en se rendant utiles, puisqu’ils cherchent quelque chose à faire de leur journée (alors pourquoi pas espionner puisqu’on se croit et se sait à jamais « nuls » comme incapables de devenir l’un de ces êtres humains véritablement le produit de contextes familiaux ou le mot « d’évolution » est une réalité et non de ceux qui, en renonçant aux efforts sont du côté de « l’involution » et décadents. Cela n’est évidemment pas la bonne solution puisque cela ne permettra pas à des cerveaux devenus menteurs de penser justement que seulement comme des perroquets pour jouer les initiés, alors qu’on fait parti des profanes, des sacrilèges (en espionnant) et des autres catégories corolaires devenues malades d’une situation générale qu’il serait urgent de débloquer[55] pour ces profanes, pour ceux qui sont devenus des menteurs, des tricheurs, des usurpateurs, à cause de cet état de prisonniers ou « d’esclaves » de toutes les formes d’inepties recherchées car l’ignorance, au mauvais sens de ce mot, l’a entretenu. Pourtant c’est possible car les diverses civilisations des alternatives ont créé le « voyeurisme légal » ou « l’espionnage légal » grâce à toutes les web cam ou caméras de surveillance reliées à Internet. Aussi celui qui s’exposera nu chez lui ou même entrain d’avoir des relations amoureuses n’est plus considéré seulement comme relatif à de « l’exhibitionnisme » ou une personne cherchant à satisfaire des voyeurs ou une personne de « mauvaise vie », mais est libre de le faire pour toutes autres raisons que toutes les catégories d’espions ne connaissent pas). Ces personnes prisonnières des mécanismes involutionnistes que l’état de voyeur (au mauvais sens de ce mot) procure en espionnant une personne cherchaient peut-être à les avoir comme interlocuteurs ou peut-être comme commanditaires. Avec Internet et les web cam ou avec les réseaux sociaux c’est facilité et c’est moins nocif car il s’agit de personnes qui ont choisi de dévoiler leur vie et de se donner en spectacle comme à l’occasion d’une émission de télé-réalité, au cours de laquelle les spectateurs n’avaient pas la possibilité d’intervenir. Avec Internet, il y a enfin la possibilité d’interagir et de créer des dialogues, donc de se faire des amitiés ou des relations en se présentant[56], non plus à l’état de fantômes inexistants espionnants sans identité définie (anonymes) donc de celles avec lesquelles construire de véritables dialogues, correspondances, voire amitiés, mais de celles qui se savent entrain de transgresser un interdit ou d’être devenues voyeurs ou espions, donc en situation de « péché » ou de lèse-majesté des autres. C’est sur ce point qu’il est urgent de changer les comportements puisque c’est cela qui va transformer ces personnes en l’ombre d’elles-mêmes et c’est pourquoi les web cam généralisées dans les appartements ou les bureaux de toutes ces personnes initiées, appartenant au monde de la vérité, pourraient éviter à tous ces devenus voyeurs, au mauvais sens de ce terme, un très grand nombre de dégâts qui les attendent sinon. Il est certain que pour réussir à rendre la situation capable de satisfaire leur curiosité malsaine, y compris en installant des web cam waterproof au-dessus des douches ou ailleurs, y compris s’il le faut au fond de la cuvette des WC, avec vision nocturne, pour qu’ils puissent avoir le « bonheur » de se faire chier dessus – permettez-moi cette seule / unique vulgarité[57] - puisqu’ils sont devenus des reluqueurs  à cause de la maladie dont ils souffrent, il faudra qu’ils apprennent à poser et installer eux-mêmes ces web-cam partout et qu’ils acceptent de réaliser de nouvelles cuvettes à poser, qui, par la même occasion, éviteront d’utiliser le papier hygiénique – puisqu’on finira par pouvoir se laver le derrière et le devant (retransmis comme la grande bouffe sur Internet) car cette cuvette fera tout en un, (y compris bidet) - ce qui serait appréciable et indispensable comme alternative à la situation actuelle (en raison des tonnes de papier (hygiénique) que cela constitue à chaque instant comme pollution mondiale). Nous sommes persuadés qu’à plus ou moins long terme le regard malade de ces personnes devrait finir par changer, y compris leur comportement, d’autant que dans le monde des initiés cela n’a jamais posé problème que la nudité[58], y compris toutes les défécations comme tant d’autres choses, à première vue, sexys ou même érotiques (on les classe ou range dans ces catégories et on sait à quoi s’en tenir). Peut-être que le faune ou le satyre y compris le centaure ainsi satisfait (puisqu’il aura pu zyeuter en étant à de multiples endroits de la cuvette ou de la douche relié par web cam à ce qu’il croyait interdit d’admirer – autour du pot et dans le pot – vingt cinq petites web cam 3D – j’exagère à dessein - peuvent être disposées comme autant de petites lampes LED dans chaque cuvette des WC au moins pour ces enfants-gâtés du voyeurisme – et cela devrait peut-être ainsi finir par passer que cette maladie ! - se dira qu’il est temps de cesser de se comporter en enfant-gâté et finira par s’intéresser tout autant vraiment aux autres catégories, en les considérant enfin peut-être plus « interdites » (de façon cliché) que celles-là devenues à ce point commune (par conséquent sans rareté, ayant perdu son caractère précieux, intime, ou même cette idée de la pudeur que la situation générale avait su pourtant engendrer comme un droit inaliénable – et c’est pourquoi il doit le demeurer pour tout ceux qui ne se sentiront pas capables d’aller vers tant d’obscénité, à première vue, mais qui, devenue à ce point commune devrait passer inaperçue aux esprits toujours désireux de s’intéresser à ce qui est plus rare en raison de la loi habituelle sur la quantité et l’offre, l’ineptie étant devenue une denrée dont la quantité est si importante (qu’elle ne vaut toujours plus rien d’autant plus de cette offre) qu’elle n’a plus l’intérêt qu’elle pouvait avoir dans les familles qui s’en était délivrée) car beaucoup moins communément accessibles que celles qui ont ruiné leur cerveau pour en être les prisonniers, puisqu’elles leur était défendues, au point, à cause de cela, et par esprit de contradiction des plus primitifs de les rendre pourris et mensongers y compris profanes et sacrilèges puisqu’espionnant en personnes devenues inconscientes, au point de perdre la cohérence ou le sens de la chronologie et de rejoindre l’énorme quantité de gens totalement « perdus » (en général ceux qui le sont ont accès à des financements escroqués, usurpés). Donc cela permettrait à ces personnes, comme à ceux qui sont des initiés, d’espionner ou de devenir « voyeurs », en conscience, et non plus en seulement inconscients (mais c’est déjà le cas avec la possibilité de s’abonner à Play boy ou aux revues du même genre, mais cela serait gratuit car c’est en surfant sur le web qu’on pourrait choisir l’un des points de vue d’une des web cam dans la cuvette des water, autour de la douche ou de la baignoire ou placées dans les chambres des particuliers, ceux-ci sachant que des yeux anonymes peuvent être là autour d’eux ou ne pas être, donc naturellement chez eux, en public ou en privé sans plus faire la différence, les « voyeurs » sachant qu’ils ont le droit, seraient de ce fait peut-être soignés. Cela pourrait avoir des bons effets sur la génération suivante ou celle d’après qui pourrait, de ce fait, moins perdre le sens de la logique, indispensable dans l’existence, car pour l’instant d'un côté on a conscience et on comprend tout et cela est particulièrement handicapant car on fait parti des gens rares (et probablement parfois incompris à cause de cela) et de l'autre, on s'est abandonné à l'inconscience, avec toutes les conséquences gravissimes (ici pour résumer ce qui est infiniment plus complexe dans les détails, au cas par cas) ce qui est handicapant aussi d’autant qu’on est alors parti pour connaître plus ou moins les différents degrés de la folie (folie douce à plus importante) au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))

.

Mais revenons à toutes ces réjouissances de mariages qui, comme vous le découvrez ici, pourraient être repoussées sans nous presser, d'autant que je ne vous cache pas, qu'en réalité, je n'ai, en fait, peut-être plus envie de me marier (c’est mon côté Misanthrope dont vous pouvez être certain qu’il a de sérieuses raisons d’être, un socle bien réel en raison de tout ce que j’ai découvert de profondément abjecte dont j’ai dû accepter trois fois au moins d’être la victime de ma naissance à 1965, de 1965 une nouvelle fois à 1975 et enfin de 1975 à nos jours (trois fois chacune des fois et cela tous les jours) pour sauver la Vie sur Terre, à plusieurs reprises, depuis lors), mais comme cela pourrait contribuer à débloquer la situation que d’avoir ces mariages en perspective (l’empereur se marierait donc mais à de certaines conditions pour continuer à vivre les différentes péripéties qu’offre l’existence à mon âge – on aimerait disposer de possibilités de suivre chacune des existence de chacun des êtres humains ou de chacun des animaux et cela pour les suivre scientifiquement dans chacune des péripéties de leurs existences respectives, mais il faudrait avoir autant de temps de vie que la somme de chacun des êtres vivant, y compris de chacune des fourmis pour découvrir la Vie vue du point de vue de chacun. C’est aussi une des raisons qui ne rend plus d’aucune utilité la vieille salle des machines alors que l’enregistrement sur d’immenses disques durs de chacune des existences humaines pourrait permettre aussi à de véritables psychanalystes ou du moins analystes de mieux comprendre à quel moment la personne a commencé à ne plus être qu’une parodie d’être humain empruntant le chemin de la folie des faussaires, des menteurs, des usurpateurs, des tricheurs, et de tout le corollaire. Cela s’est peut-être passé simplement à l’école à un moment donné où on a pris l’habitude de recopier sur son voisin, peut-être parce qu’on était fatigué d’avoir regardé la télévision la veille et parce qu’on a moins dormi que d’autres enfants, on n’a pas été capable de suivre en calcul ou en maths, à partir de ce moment là, et c’est pourquoi quand un véritable astronome ou un véritable physicien ou chimiste vous parle y compris à la télévision on est obligé de « faire semblant » de comprendre, une fois qu’on fait parti des gens plus âgés d’autant plus qu’on voit que les enfants comprennent).

Je suis contraint par ce que le canonique exige en pareil cas, c'est à dire d'une façon exacte et logique, juste et sensée de mettre en scène ce qui peut être acceptable d’envisager dans ce cas de figure de la Création bloquée – ce qui n’est pas pour me déplaire et peut-être à vous non plus car vous pourriez finir par vous marier d’autant plus que vous devriez avoir comme tout le monde le choix de vous intéresser à ce que proposent ces web cam, (ou pas !). Je suis sûr pour le moins que ce projet doit plaire à Dracula et à ses amis car il n’aura plus à se déplacer en volant invisible (ou pas) pour espionner derrière les fenêtres des personnes dont il est amoureux (il aura la possibilité de l’être de chacun et de voir de chez lui ce qu’il a cru « interdit » de regarder – donc dont il a raffolé à transgresser - et qu’il n’a pu découvrir qu’en regardant, en voyeur, par la serrure donc, en transgressant des interdits qui l’étaient pour de justes raisons précises : la pudeur – cette notion dont il n’a pas compris – d’origine trop frustre et d’un contexte familiale dépourvu d’esprit - pourquoi elle avait lieu d’être - y contraignait. L’intimité de l’autre et le respecter de sa vie privée. Ces transgressions ont aboutit à rendre des personnes esclaves de préjugés et d’inepties à ce sujet[59] comme certainement obligées de se couvrir pour s’en protéger. Mon père et moi avons eu à généraliser les différents modes de chauffages[60], car la Première mais surtout la Seconde Guerre Mondiale a fait perdre tant de main d’œuvre et a retardé ce qui était prévu sinon avant, si adolph hitler ne s’était pas entêté dans le mensonge, avec l’ensemble de ces personnes appelées « le peuple » qui n’ont jamais compris ce que la situation a exigé canoniquement de la part de tous les aristocrates et des initiés depuis longtemps, et cela en croyant se permettre de pouvoir les espionner y compris à l’occasion d’échanges de courrier ou de travaux divers pour le Bien et l’Intérêt Général, y compris des non initiés, ce qui donnent le droit à tout, en légitime défense, y compris de mentir dans son cerveau).

Mais nos mariages multiples ne se peuvent qu'en ayant l'autorisation officielle de les réaliser sur le plan religieux et cela, il va de soi, pour l'Empire, d’autant que nous avons pu vérifier, plusieurs fois, l’absolue nécessité des religions officielles pour permettre de devenir "initiés". Donc toutes ces religions sont nécessaires, y compris pour les enfants de chacun des pays[61] car la situation doit être absolument débloquée[62].

Les autres sacrifices du même genre (que ceux qui sont durs pour soi-même), comme celui que nous avons été contraint de faire maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) avec Christine Lang, ne sont pas non plus compris par les profanes qui continuent à avoir l’état d’esprit de vautours et/ou profiteurs ingrats – même si ces sacrifices fonctionnent.

Ils sont pourtant de ceux que seuls les initiés ont toujours pratiqués, mais ils sont inhumains du point de vue profane (y compris peuvent paraître à première-vu masochistes, ce qu'ils ne sont pas). Cela a conduit à une logique industrielle qui est devenue inacceptable et génératrice d’enfants-gâtés, ce qui est contraire au Bien et à l’Intérêt Général. Par conséquent, il serait souhaitable de cesser ce genre de sacrifice qui , nous l’avons vu, sont pourtant les seuls à marcher, puisqu’il s’agit de sacrifices véritablement généreux dans l’Intérêt et pour le Bien Général, alors que tous les autres n’avaient comme fins que des intérêts égoïstes et c’est pourquoi ce furent tous des sacrifices de charlatans qui n’ont, en réalité, jamais bien marché dans aucune des époques passées (et futures) et s’ils marchaient, c’était qu’il y avait une chance sur quelques unes que ce qui était dit en menteur, tricheur, usurpateur, charlatan marche comme projet ayant engendré le sacrifice en question qui était pratiqué par ces ignorants, au mauvais sens de ce mot.

Il faut donc mettre un terme au sacrifice maçonnique que Christine et moi avons fait car il a déclenché à l’échelle impériale (la mienne, cosmique universelle) un logarithme tel, dans le registre du sacré, qui est véritablement aussi important, depuis avril 2005 (1965 et 1975) que la totalité de la planète vue comme une fusée décollant toute entière dans la seule catégorie de l’hyper-ultra-super sacré, mais à cette échelle pharaonique (puisque ce sacrifice a été vérifié par les empereurs me précédant comme ayant marché, comme d’avance par l’Ensemble qui en était au courant depuis avril 1965 et avril 1975).

Nous devons donc la prospérité mondiale, malgré tous les éléments encore contraires et toutes les tentatives de sabotages (avec les augmentations du prix du pétrole des années 1970 ou 2000-2010 ralentissant l’ensemble des économies mondiale) à ce sacrifice et ceux du même genre pratiqués par la population de façon plus discrète : la civilisation de la technologie, l’ère technologique et informatique comme numérique entière a été dû à un sacrifice (technologique) qui a même permis d’avertir à l’avance que le résultat de ce sacrifice serait positif - sauf ma personne n’en sachant rien qui a dû subir les effets d’une amnésie pour rendre possible l’opération (canoniquement, conformément aux lois déclenchées par ceux qui ont voulu se rendre prisonniers de la vieille salle des machines pour espionner et devenir ainsi totalement incapables de rien comprendre dans ces mathématiques cosmiques comprises des seuls grands initiés).

Mais l’avantage (ou l’inconvénient) de ce sacrifice va nous permettre de nous procurer autant d’impératrices (légitimement) que la situation l'exigera et cela le plus légalement possible - par conséquent chacune envisagée reconnue aussi par l'Eglise officiellement (qui a fini par bien me connaître, en sachant que je ne transgresse en rien mes droits, y compris ceux d’empereurs liés à la vieille conception profane, sacrilège, par conséquent ce non canonique de l’empereur – tout devrait donc enfin rentrer dans l’ordre pour le mieux – du point de vue du conflit qui en avait découlé entre profane et religieux).

Donc au moins sept impératrices et non trois seulement ou quatre comme perspective pour commencer et à constituer ce harem des temps nouveaux (où chacune des impératrices aura bien sûr tous les droits d’avoir un deuxième mari officiel y compris une famille et si elles le souhaitent des amants puisqu’elles devraient accepter de ne rien avoir à cacher comme moi-même – grâce aux web cam , mais en raison de l’existence de la pudeur, en ayant le droit de faire part de ce qui est intime, privé à l’Ensemble, ou bien de s’y refuser – y compris moi-même – c’est suivant comment on sent : si on sera bon acteur ou trop fatigué par des journées exténuantes qui ne donneront strictement aucun plaisir à ceux qui veulent zyeuter ou jouer les voyeurs, en profanes ou pour d’autres raisons – ce qui devrait permettre de réaliser un site Internet avec des annonceurs qui seront bien content de pouvoir verser leur contribution financière aux maisons impériales qui s’occuperont, à l’occasion, de partager cette somme avec l’impératrice concernée pour Dieu sait quelle œuvre de charité ou quels investissements à faire, ce qui revient au même, puisqu’il faut être de ceux qui les font à bon escient, pour le Bien et l’Intérêt Général (impératifs humanitaires obligent).

Et ces sept impératrices comme dans l'histoire du petit tailleur – « sept d'un coup » - mais comme nous voulons débloquer la situation, nous n'hésiterions pas à huit, voire neuf, voire 11 ou treize impératrices (on est en 2013 et ce chiffre vous le savez, Monsieur le Cardinal vous savez pourquoi, porte malheur), aussi peut-être faut-il penser à quinze impératrices, voire plus encore (je relis en septembre 2017 en vérifiant que ce que j'ai écris ici est de la théorie - en réalité à cette heure-ci, il y a que je me suis réconcilié avec Michèle Finck, que nous avons renoué après lui avoir pardonné d'avoir voulu être l'unique impératrice en ayant rendu impossible en 1977 plusieurs épouses. A' ce stade beaucoup des nombreuses impératrices paraissent inutiles - car Michèle Finck est à elle seule de nombreuses impératrices - bien qu'en théorie possibles aussi je laisse ces inscriptions en prévenant de leur danger pour la monogamie qui a le droit d'exister ce qu'en définitive Michèle Finck a défendu) de mariées officiellement avec l’empereur et parmi elles pourquoi pas une belle et jeune novice[63] avec fiançailles officielles et etc. (ici, j'interromps – même à la relecture cela s’est passé, Cardinal – une fois encore – cela venait de l’ordinateur espion : j'ai entendu un "t'es con"[64]. Bien sûr, c’est impossible, il s’agit d’une fiction ou de science-fiction : une telle chose est « improbable » et ce qui es incroyable c’est que le son de voix était celui de Michèle Finck et c'est donc vous dire que je ne me trompais pas d'un iota dans cette histoire, dès 1965, et seulement à l’âge de deux ans et demi, quand tout cela a commencé, et que, malgré moi, je devins à ce point un « initié » ayant à intervenir en tant qu’empereur, avant même d’y être, du futur, car c’est bien elle qui a, (car elle a), à l’époque, deux ans et demi de plus que moi – et forcément déjà, comme certaines grandes sœurs élevés dans certains contextes, des préjugés y compris sur Dieu (des vérités relatives en partie fausses) ou du moins elle confondrait certainement comme beaucoup d’autres personnes les mots : celui d’"Eglise" et de "Dieu" (car elle est ignorante, à cet âge-là des très nombreuses catégories liées à chacun de ces mots, comme aussi le nombre de textes et peut-être aussi de l’existence du « droit canonique » qui a fondé tous les droits y compris laïques) au point de ne pas croire possible qu’un petit frère (ce qu’elle a peut-être cru que j’étais même si j’appartenais à une autre famille, génétiquement et spirituellement différente que la sienne) empereur de deux ans et demi plus jeune qu’elle puisse être marié / promis à plusieurs impératrices (elle a l’âge de cinq ans en 1965) dont une plus jeune sur laquelle, en grand frère, il a à veiller d’autant qu’elle est prisonnière de la situation que lui offre sa maman et son papa à Strasbourg, qui sont mariés, mais ne sont pas empereurs-bouddha, (que je sache), donc n’ont pas les droits profanes que j’ai (en ne l’étant plus dès cet âge là) en raison du premier empereur qui était certainement à plusieurs femmes, sans même être marié – elle n’a pas réussi à réfléchir sur cette notion de « canonique » – de ce qui est autorisé à l’empereur – et elle s’est fait des idées à partir de ce qu’elle a vu ou qu’on lui a dit petite fille localement dans ce contexte ou qu’elle a entendu « à première vue » à l’Eglise (sans penser qu’il peut y avoir des cas particuliers ou l’Eglise déroge quand le dossier est bien ficelé canoniquement parlant). Aussi il n’est pas certain qu’elle sache exactement ce qu’est ou pourrait être Dieu (pour moi Dieu c’est Jésus Christ mais aussi le Bouddha, mais aussi la partie intelligente de Mahomet et l’ensemble des très grands artistes universaux qui y ont réfléchi ou qui ont célébré / découvert cette notion) - car je l'ai entendu hier aussi ce "t'es con" à ce moment là - qui est bien normal comme mot, à mon sujet, d’autant plus que je suis un descendant d'un arrière grand-père architecte de la ville de Coni[65] dans le Piémont en Italie – il faut savoir ce qu’est un « con » du point de vue des sciences naturelles y compris connaître l’étymologie concernant ce mot qui est peut être entré dans les composants pour créer ce nom de ville dans ce coin du Piémont – il y a un dialecte localement qui est d’une région frontalière avec la France – ce que j’écris à votre intention, je ne l'avais envisagé que de façon privé – et je découvre, mais j’ai sûrement tort, que je suis espionné en permanence – c’est normal – de leur point de vue - je suis empereur.

Attention cela a été fait contre mon gré (cet espionnage) et je n’ai été en rien prévenu d’avance. Je n’avais pas mis une web cam à mes frais qui l’autorise en me donnant des droits à disposer des revenus (virtuel) de mon image générée en tant qu’émission de télé-réalité me présentant entrain d’écrire ! C’est moi le chef absolu sur la planète entière et je n’ai jamais donné mon accord écrit à ce sujet, signé de ma main, ni que ces espionnages soient tournés envers moi ni envers qui que ce soit – d’ailleurs ce ne sont nullement des méthodes que j’approuve ou que je peux seulement d’une fraction de seconde tolérer de qui que ce soit, en raison même de notre époque, comme de la vérification de ce décalage qui donne au moins une bonne quarantaine d’années (à une trentaine seulement) pour nous permettre de vérifier qu’une personne cherche vraiment à persister dans l’erreur, le mensonge, et tout ce qui est contraire à son bien, comme à l’Intérêt Général, d’autant qu’il a pu avoir des preuves que les mots induisent des vérités et des actes pour ceux qui ont des traditions en communs – de nombreuses personnes de 1968 n’ont compris qu’en 2008 que la plupart de ce à quoi elles avaient cru jeunes était faux et n’ont pas cessé, à partir de ce moment là de le reconnaître honnêtement publiquement partout : c’est ainsi que tous les révolutionnaires communistes ou d’autres révolutions d’assassins l’ont toujours fait, car en devenant des parents et des grands parents, ils comprennent qu’ils n’avaient pas le droit au meurtre et que le capitalisme et les hommes et les femmes mariés en vérité, ou les souverains, prévoyaient leurs besoins (en ayant l’extrême politesse de ne pas leur dire qu’ils étaient des ignorants, au mauvais sens de ce mot ou de leur faire peser les immenses efforts faits pour être de ceux conscients de tout ce qu’il fallait faire) – mais c’est trop tard, jeunes, ils ont cru pouvoir se permettre d’être aussi minables et calomnier ou mentir au sujet des personnes ayant les pieds sur terre et qui disaient la vérité. C’est trop tard : ils ont ce sang sur les mains et ils voient toutes les représentations concernant les êtres humains qui les célèbrent chacun comme ayant la possibilité de devenir une œuvre d’art. Comment y parviendront-ils avec tant de fausses pensées en eux, tant d’attitudes et d’actions mensongères à leur actif: ils ne comprennent alors, s’ils sont un tout petit peu honnêtes avec eux-mêmes, qu’ils ne méritaient rien et qu’ils n’ont plus le droit de vivre dans un monde où il n’y avait que des preuves de non-violence et de possibilités d’arriver, par la pensée, à se déterminer au mieux et le plus justement possible.

Mais j’ai l’impression que ces personnes croyaient travailler pour moi en espionnant : attention, je ne fonctionne pas comme cela : je n’ai pas la mentalité d’un délateur ou d’un espion (d’un maître-chanteur) ou de ceux-là qui fonctionnent encore comme il y a des milliers d’années, prisonniers de la vieille salle des machines qu’ils ont utilisés en « voyeurs » (ou « à première vue » et « à première entendu » - je sais trop ce qu’un à première vue cache) et tout ce qui découle de ce genre de mentalité. Je suis empereur de mondes qui ont la recherche de la vérité pour objectif et cela en conscience (avec toutes les nuances et les plans ou les niveaux que cela signifie) durant les heures où on ne sommeille pas, le sommeil étant consacré au repos et d’aucune façon pour l’utiliser à faire des choses contre l’intérêt de ces objectifs pour lesquels il vaille la peine de vivre d’autant qu’on ne savait rien de l’existence d’une vieille salle des machines et que tous les Etats du monde entier tirent leur légitimité sur la vérité, le droit, et d’autres notions philosophiquement établies depuis longtemps qui ne laissent pas de place à la tricherie ou à la mauvaise foi. A première vue, je suis une personne instruite qui fonctionne en utilisant les instruments[66], en toute cohérence avec son époque, et je sais qu’il y a l’au-delà des apparences, comme les milliards de milliards et plus encore de paramètres dont l’être humain instruit est composé, avant de se permettre de le juger – donc présumé innocent – donc cela peut concerner n’importe qui dans la vieille salle des machines (ayant été abusé) et ne comprenant pas qu’elle agit en infraction avec tout ce qui découle logiquement de tous les paramètres qui composent le monde diurne qui n’existe qu’en raison des créations des forces de l’esprit ayant appris aux êtres humains à sculpter la matière et à lui donner des formes. Si c’est le cas ce n’est pas intelligent de persister dans l’erreur en cet état d’infraction pharaonique comme d’avoir cru pouvoir s’autoriser à espionner l’empereur (bouddha) lui-même comme n’importe qui d’autres (pour mon compte, en plus (puisque la vieille salle des machines est mienne de droit, c’est indescriptiblement inacceptable comme inconcevable : sans ma permission !) puisque je l’ai découvert par déduction en 2005 – on m’avait toujours caché cela, ce qui signifie qu’on a osé m’espionner ou espionner par le passé des gens qui n’étaient pas au courant de l’existence d’une telle vieille salle des machines. Donc qu’on a osé tricher avec le mot de « fraternité » (qui signifie aussi « confiance ») et en raison de ce qu’on savait ou dont on était au courant, de cette façon, concernant par exemple les sentiments des enfants ou des jeunes : agir ainsi, avec préméditation, en approchant ces personnes ou en leur offrant de réaliser leurs souhaits (qu’on a espionné dans leur cerveau) pour pouvoir devenir les amis (faux) de cette personne ou gagner l’amitié de ces personnes, peut-être pour le plaisir d’intriguer, etc. Cela est absolument inadmissible et totalement indigne : c’est fausser la donne et c’est plus répugnant que répugnant. Aussi cela signifierait que les batailles ont eu lieu en trichant et que les plans du Débarquement était connus, ce qui explique les bunkers[67] ! J'ai bien fait d'écrire ce passage concernant en théorie mes droits à autant d'épouses que possible. Cela a démasqué ceux qui espionnent puisque j'ai entendu leur opinion. Ils ne font pas encore la différence entre la théorie et la pratique qui à mon âge (hélas nous ne sommes plus en 1975 où j'avais quarante ans de moins) limite le nombre d'histoire d'amour, en admettant qu'on me rembourse de ce qu'on me doit ce qui me permettrait de les envisager possibles. Tant que ma situation matérielle est celle-ci, je ne puis m'offrir que les épouses qui sont financièrement autonomes et indépendantes.

Ce n’est pas la façon des êtres humains véritables de concevoir les affrontements[68] ou les combats ou la liberté que de piper le jeu pour arnaquer des personnes qui savent ce qu’est la liberté, le devoir, la justice, le vrai, et tout ce que le travail fait en vérité peut offrir de bon aux êtres humains. Un empire fliqué n’est pas un empire, c’est un goulag ou une caserne avec des pseudos supérieurs (des usurpateurs et des imposteurs) et ceux qui espèrent monter en grade – ce qui signifie alors le contraire : ils sont toujours moins qu’avant – ces gens n’ont donc jamais eu aucun intérêt et cela dans n’importe laquelle des familles ou des entreprises ou ailleurs (ce sont des gens à vomir qui sont capables d’assister à la pendaison d’un homme de peau noire à une époque où circulaient à leur égard des calomnies, des mensonges, des vérités relatives, etc. en se faisant photographier devant en souriant (il y a photo à ce sujet). Sous prétexte que ces personnes se savaient « blanches » elles croyaient pouvoir se réjouir de la pendaison de ce qu’elles ne croyaient qu’un mot « esclave » (sans en connaître toute la vérité et toutes les virtualités) : abjecte ! Il est bien normal que ces personnes aient eu ensuite des réincarnations en proportion de la saleté de leur âme. Je ne crois pas qu’on puisse continuer à pouvoir se regarder une seule fraction de seconde dans un miroir en sachant que cette façon de faire a pu se produire dans le passé sur cette planète et que c’est à cause de cela qu’il y a eu espionnages et contrespionnages divers et tant de pertes de temps par l’Ensemble et cela d’autant plus que la plupart des innovations des derniers siècles découlent des dessins du végétarien Léonard de Vinci qui les a laissé non pas pour que cela engendre des guerres, mais, en toute confiance, pour que les hommes qui méritaient d’en hériter assurent la paix et la prospérité dans le monde entier, avec ce qui en découlerait (ce qui a fini par se passer parce que j’ai compris en 2005).

Ces personnes qui espionnent ainsi n’ont donc aucunement le droit de le faire et devraient chacune se mettre aux arrêts de rigueur comme se dénoncer publiquement à toutes les polices ou toutes les gendarmeries (en pratiquant une autocritique impitoyable envers elles-mêmes) pour avoir seulement cru possible que l’empereur cosmique universel et … que je suis, qui est un homme de sciences exactes, et qui l’a prouvé de mille et une façons plusieurs fois à partir de 1965, de 1975 et de 2005, en prévenant d’avance, pourrait s’abaisser ou s’avilir à admettre des façons de faire aussi malhonnêtes qui signifient que ses grognards (ou son personnel) croient possible de s’ingérer dans la vie sentimentale ou professionnelle des enfants ou de chacune des personnes ayant fait l’objet d’un quelconque intérêt par l’une de ces personnes prisonnières de mondes souterrains et composés d’inconscients, on ne sait comment, ni par qui recrutées. Si j’étais elles, en sachant qu’elles me doivent chacune leurs vie à trois reprises au moins depuis 1965 sur autant de temps, comme tout le bien qu’elles savent chacune que j’ai fait malgré ce que j’ai reçu en retour, je commencerais à écrire pour rechercher exactement ce qui s’est passé dans mon existence qui m’a fait devenir ce lâche et cet individu malfaisant, contre mon intérêt, l’intérêt des miens et celui de l’Ensemble, car il est évident que je n’étais pas nuisible au départ (aucun enfant ne l’est) et que pour le devenir, j’ai dû avoir quelques mauvaises fréquentations de mal élevés qui sont à l’origine du fait que j’ai, comme mes prédécesseurs, cru pouvoir jeter ce genre de discrédit sur la personne de l’empereur ou sur ces empereurs s’étant avilis à croire pouvoir se permettre de fonctionner de cette façon, en trichant et donc inamicalement et non fraternellement vis-à-vis de personnes qui, à cause de ces façons de faire, ont dû réellement faire de véritables sacrifices tout au long de leurs existences qui n’auraient pas dû être et qui étaient injustes vis-à-vis de leurs droits. Il y a donc une chose absolument certaine c’est que tous ceux qui ont osé espionner les autres de cette façon, au cours des siècles, se sont comportés en « anti-fraternels » envers des êtres qui eux savaient ce que ces mots signifiaient en vérité, y compris le mot « d’ami », de « fiancé » ou « d’époux », de « marié » et tous les autres ! Il n’y a qu’un seul sentiment possible : l’indignation et le corollaire et à jamais (y compris la colère)! On ne peut qu’éprouver du mépris pour autant de bassesse. On ne peut qu’être révolté en songeant à tous les morts ou à tous ceux qui furent ainsi observés et espionnés de loin, sans en savoir jamais rien. C’est bien pire que cela : soudain on ne voit plus que l’ensemble des cours d’eau, des lacs et des mers comme tous les éléments qui composent le monde entier que comme matières écœurées, outragées, l'objet de sacrilèges par tant de comportements de gens prisonniers de l’ineptie. Avoir cru possible cacher l’existence de ces instruments à d’autres personnes et se faire passer pour « frères » ou « amis » après tous les écrits de ces philosophes, après toutes ces lois, ces Constitutions, ces livres, ce qui découle des œuvres intelligentes, ces œuvres de théâtre, d’Opéra, ces films au cinéma et ne pas comprendre que ce qui découle de tout cela (de tout ce qui est digne d’intérêt ou crédible avec du « bon sens », en tenant compte des devoirs qu’on a de transmission aux enfants) n’a rien à voir avec de tels comportements qui ne peuvent avoir court que chez seuls les ignorants, au sens le plus abject de ce mot, c'est-à-dire celui qui est capable d’éprouver de la jalousie au point d’avoir à payer des espions pour garder sa femme, ce qui s’explique néanmoins fort bien quand on comprend que ceux qui espionnent sont de cette catégorie des « reluqueurs » - passez-moi, je vous prie, l’expression - ou des « voyeurs » qui en raison de cela ne pourront jamais connaître « amour » ni avec un petit « a » et encore moins avec un grand, puisqu’ils se sont mis ainsi dans les conditions les plus misérables, les plus abjectes, les plus profanes, les plus sordides, les plus indignes de l’être humain, les plus à vomir dans ces cuvettes de WC qui munis de web cam pourront satisfaire ces malades de l’observation de parodie ayant de ces plaisirs qui en sont de faux donc n’en sont pas et qui ne sont nés ou qu’ils n’ont pu éprouver qu’en raison d’une situation faussée à la base. Mais nous avons vu que ces web cam pourraient peut-être contribuer à rétablir la situation y compris la téléphonie 4G, comme nous avons bien compris que nous avons le droit d'envisager le mariage pour rire ou alors d'une façon qui ressemblerait à la gravure d'Albrecht Dürer concernant le char de l'empereur, chacune des femmes représentant l'une des vertus, ce que la Vierge Marie rassemble à elle seule. C'est bien ce que je pense à propos des espions, tant qu'ils ne sont pas pair, ils vont interpréter dans le degré dans lequel ils sont. C'est alors l'origine des commérages de bas étage et de toutes les médisances et calomnies d'autant que ces personnes n'imaginent pas que des propos peuvent avoir été écrits par provocation, voire pour rire, voire comme point de départ pour une plus véritable réflexion. Aussi quand on entend la pensée de ces espions comme cela a été le cas, on se rend compte qu'il s'agit de gens naïf au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) qui n'ont pas le sens de la plaisanterie.

Si encore s’était à des fins psychanalytiques intelligentes, mais les moments qu’ils ont espionné de la personne en question et non tous les moments clés dont on a besoin pour se faire une idée véritable d’une personne (à croire que s'ils les connaissent ils n'ont toujours pas une idée juste de la personne espionnée), ne leur servent à rien puisqu’ils n’ont pas le cerveau conscient qu’il est nécessaire d’avoir pour, à partir de ces moments, se faire une réelle idée de la personne espionnée, sur un plan qui pourrait les honorer. Peut-être n’ont-ils eu ainsi, par le passé, que les moments qu’ils jugeaient dangereux pour eux et comme ils étaient dans l’erreur, car ce sont des ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui n’ont pas pris compte de tout (la vérité c’est de savoir prendre compte de tout !) de la personne analysée, ils n’ont fait que des erreurs monumentales - comme les ancêtres qui leur avaient transmis ces gadgets - dans les décisions qu’ils ont prises alors – comme les nonnes de plus haut - puisqu’ils se fiaient aux fonctionnements de ces machines ayant été conçues pour une toute autre époque dans laquelle personne encore ne fonctionnait rationnellement et chronologiquement ni n'avait accès au langage (à la pensée par les mots). Ces personnes-espionnes n’avaient plus du tout en mémoire tout ce qui est pris en compte de nos jours dans le monde de ceux qui le gèrent et qui est rationnel et chronologique, mais qui obéit aussi à d’innombrables autres paramètres. Celui qu’ils espionnaient avait chronologiquement fait le Bien et servait l’Intérêt Général, depuis son enfance, mais soudain devenait suspect aux yeux de ceux qui se sont profanés, dégradés, qui se sont rendus incapables de comprendre tout ce monde qu’ils ne peuvent plus que regarder – je l’ai vérifié et j’ai montré comment - qu’avec des yeux de malades, d’incompétents, de menteurs, d’ignorants ou de faussaires, mais aussi de tricheurs et des corollaires liés à ces termes !

Sans doute n’ont-ils utilisé ce système d’espionnage que dans l’idée de faire chanter et envers les « grands hommes », c'est-à-dire tous ceux qui sont des « initiés » et qui ont étudié Dieu assez pour se dépouiller chacun de l’enfant-gâté ou de l’adolescent qui est capable de se laisser entrainer à accomplir des actions néfastes, contre son propre intérêt ou l’intérêt de tous, par amitié pour des vauriens qui, n’ayant pas de maître ou de père ou de tuteur ou d’objectifs d’Intérêt Général, sont capables de se profaner, de perdre la raison, comme de croire possible rejoindre des personnes qui, en espionnant de cette façon, et non en observant en tant que véritable être humain et/ou homme de sciences et de conscience, se sont condamnés à ne connaître chacun d’eux que des cycles infernales de réincarnations animales les plus malheureux les uns que les autres. Ce n’est donc vraiment pas une bonne idée d’avoir cru possible cela sur leur propre empereur et qu’ils savaient, pour en avoir été prévenu d’avance, Grand Inspecteur, et si j’étais l’une d’entre ces personnes, avertie par ce texte, je prendrais mes jambes à mon cou pour fuir à jamais la fréquentation de ces amis, plus que douteux, ayant cherché à faire mon malheur, alors que l’empereur cherche le contraire, malgré ce qui normalement, s’il n’avait pas un peu de religion, après ce qu’il a eu à endurer, devrait être l’attitude adéquate liée à un juste pour le moins mépris (en raison de la troisième fois, au moins une de trop), et quitter ce qui est devenu la cause de tous les malheurs depuis des milliers d’années (cette vieille salle des machines).

Il y en a qui ont cru pouvoir envier ou désirer avoir la vie d’un chat ou d’un chien ou d’un autre animal dans une autre vie. Il n’y a pas plus malheureux qu’un animal quel qu’il soit, puisqu’il a la nostalgie de ne pas être un être humain véritable, c'est-à-dire des milliards de milliards et plus encore de possibilités différentes en tant qu’être humain, de réflexions ou d’inventions intelligentes sur chacune des choses regardées, dans la mesure où celui-ci a renoncé à l’aspect néfaste de son animalité – il y a donc un aspect positif au petit pourcentage sexué – qu’on retrouve dans le génome - de l’être humain « animal pensant », à ne pas confondre avec le néfaste : il faut donc réussir à rejoindre celui-ci et abandonner l’autre – par conséquent ce que j’écris ici, avant de vous l’envoyer, n’est pas à espionner et même si vous le receviez (si je devais me décider à vous l’envoyer car travaillé assez pour être digne de vos yeux et de la fonction que vous représentez) c’est destiné à vous – chacun a le droit d’écrire ce qu’il croit possible ou de s’inventer comme moi des scénarii dont j’espère même certains de l’ordre « improbable », mais chacun sait qu’il a une conscience et qu’il ne peut pas se permettre de dire ce qui n’est juste ou vrai – celui qui a perdu sa conscience est forcément dans le faux et espionner (quand on est devenu soi-même faux et égoïste ou jaloux ou dans un état qui est forcément un effet d’une situation faussée) quelqu’un qui est devenu semblable, c’est forcément s’exposer à ne toujours rien comprendre, car il vaut mieux – c’est évident - attendre de lire un livre publié ou le texte d’une lettre relue, corrigée et publiée, au grand jour, que de perdre du temps (en tant qu’espion) à la connaître alors qu’elle n’est qu’en chantier ou un premier jet et avec l’état d’esprit de l’espion prisonnier d’un système hiérarchique qui fonctionne certainement sur le chantage ou cette « loi du silence » si contraire à toutes les expressions artistiques qui de toutes parts attestent que la vérité existe et qu’on a le droit de la rechercher. C’est pourquoi je ne [me] permets pas que mon personnel de grognards perde son temps à cela et n’ait pas la patience d’attendre que les textes soient publiés pour les contester ou pour correspondre avec les auteurs s’ils devaient ne pas comprendre ou ne pas agréer certaines phrases, ce qui est un droit mais qui exige au préalable le respect de ces auteurs qui ne sont plus profanes ou qui sont spécialistes dans des catégories dans lesquelles cette condition d’espion les fait encore moins que débuter puisqu’avoir le droit d’assister à un cours ou à une conférence qui réunit le savoir de maîtres ne fait pas de nous des espions mais des écoliers ou des étudiants initiés au partage de ces savoirs ou à la recherche de la vérité dans cette matière. Je n’ai pas la vision de mon empire ainsi (à devoir encourager cet esprit d’espion, nuisible) et je ne crois pas qu’un seul des enfants venant au monde n’a cru un seul instant arriver dans un empire fliqué où il sera l’objet d’espionnage. S’il existe effectivement la possibilité d’utiliser une salle des machines qui était commune (et donc de tous et à tous), s’était pour des raisons de sécurité commune, de tous – y compris ce variateur de la vision d’Atlantide – cela va de soi - et non pour créer des inimitiés entre des groupes, les uns au détriment des autres. Il est donc logique que celui des deux groupes qui a cru possible une chose aussi inconcevable se soit fait le plus de tort à lui-même, car la fraternité ou l’amour c’est transparent, cela ne dissimule rien à l’autre, cela pense pour le Bien et l’Intérêt Général, cela ne cache pas une vieille salle des machines, cela ne cache pas à ses semblables un variateur de la vision d’Atlantide, cela ne reluque pas, cela n’est pas « voyeur » et ne fait pas du chantage pour obtenir une amitié ou plus en échange. Avec Internet, il est possible d’apprendre à préparer ce qu’on entend partager comme idée. Depuis que j’ai retrouvé la mémoire et que je me suis déterminé à mettre un terme à ce sacrifice inhumain qui a, néanmoins apporté la prospérité à toute la planète, je tiens au courant en toute transparence des personnes qui comptent (croire pouvoir être de celles-là en s’infiltrant par Internet ou par d’autres moyens dans l’ordinateur de quelqu’un ou dans sa tête, constitue une violation de domicile « privé ». Jusqu’à preuve du contraire la tête de quelqu’un appartient bien, comme son corps, à une personne qui a un état civil (donc un « particulier » une personne qui bénéficie de l’existence des droits – il y a le droit qui concerne la propriété privée – on ne peut pénétrer chez quelqu’un qu’en ayant un mandat par exemple pour une perquisition). Ceux qui espionnent n’ont donc pas le droit, sans l’accord de l’intéressé de s’ingérer dans les affaires sentimentales ou professionnelles ou familiales de cette personne qui ne les a pas sollicité (ou sans avoir pu vérifier de la légitimité de tout cela) et encore moins dans le sommeil des petits (enfants) qui, à ces âges là, en ont grandement besoin pour se reposer car ils ont à grandir, ce qui est fatiguant d’autant qu’ils vont, chacun, avoir des programmes difficiles (de leur point de vue d’écolier) pour réussir à maîtriser la parole, la pensée, le calcul, etc.  : des choses utiles, des bienfaits.

Ce texte est sous la forme de notes « privées » ou comme une simple hypothèse de travail : donc rien d’officiel encore, tant que vous ne l’avez pas reçu (et que vous n’en avez pas fait état), en ayant bien sûr le droit de n’en faire aucunement état à d’autres personnes – bien que l’envoyant à la fonction que vous représentez – celle de cardinal - vous savez ce que vous devez faire : vous devez en référer, si vous le jugez utile, à vos supérieurs et/ou peut-être confesseur, le pape lui-même, mais aussi à Dieu (mais Dieu est ici qui l’écrit avec moi), et peut-être à l’empereur-bouddha si vous lui faites confiance - c'est-à-dire encore Nous !

J’en déduis donc qu’il ne devrait pas y avoir une seule décision de prise par qui que se soit qui ait du pouvoir dans le monde entier dont je ne doive être tenue au courant – or je n’ai pas même un bureau et une administration pour l’instant, ce qui n’est pas normal et comme il s’agit d’une situation d’infraction impériale de tous vis-à-vis de moi, il y a les conséquences mathématiques : tous meurent partout, car tous les chefs d’état sont aussi en infraction, y compris le Pape, et cela depuis 1965 ou 1975 comme depuis 2005, avec effet rétroactif dans tous les temps passés et cela pour la moindre décision qui exigeait qu’on me demande avant la permission (cela comportait déjà de l’intérêt puisque tous auraient pu bénéficier de mes capacités d’anticipation ou de calcul y compris de lecture. Ne m’ayant pas consulté et ayant cru se passer de mes conseils chacun demeure en infraction pharaonique. Celui qui s’appelle Dieu s’est soumis lui-même à ma personne, depuis avril 2005, en m’ayant appris et dévoilé l’existence de ma femme légitime d'autrefois, alors que je me préparais pour épouser une autre et qu’il a bien pu vérifier, (comme mon père), que je ne savais rien de celle dont il m’annonçait à ce moment-là l’existence comme promise (j'avais bien eu une amnésie), ce qui a déclenché le souvenir d’une  récréation trente ans auparavant où je me suis vu apparaître dans le ciel alors que j’étais avec tous mes camarades de classes dans la cours. A partir de ce souvenir qui me confirma le caractère exceptionnel de ce qui m'arrivait j'ai commencé à transmettre l'Hyper Méga Dictée Pharaonique Salvatrice Providentielle Miraculeuse Maçonnique Multicatégorielle Multidimentionnelle Corne d'abondance à travers Espace et Temps de la Nouvelle Donne InterRégionale Mondiale. 

Il a pu vérifié que ce n’est nullement le statut de baronne qui m’a fait l’accepter comme promise, puisque je ne l’ai su que bien après avoir rompu mes fiançailles avec Michèle et cela bien après m’avoir contraint, dans le passé, trente ans avant, à me faire embrasser par cette jeune fille qui, pour Dieu et pour moi, ne s’est appelé que Christine …Lang que jusqu’au moment où j’ai compris que c’est aussi pour des raisons politiques et historiques et de Construction Européenne que Dieu l’avait voulu pour moi « baronne », dès 1965, y compris pour que je n’ai pas trop à me sentir mal d’avoir découvert soudain, en 2005, que Michèle Finck m’avait tout caché de ce qu’elle n’aurait pas dû cacher et que j’ai découvert à ce moment-là, grâce à Dieu: il est bien normal que chacun soit puni mathématiquement pour toujours, même si je ne le veux pas, la mort est donc partout pour des raisons logiques : on a essayé d’arnaquer l’empereur cosmique universel et … , non seulement dès sa naissance, en ne montrant pas Atlantide, mais à partir de 1965, tous les jours (en exigeant de lui qu’il patiente), jusqu’à ce jour du 9 avril 2013 (ce qui est encore le cas le 13 septembre 2017) au moins en ne lui donnant pas les moyens de décider[69] ! Ne peuvent évidemment pas décider à ma place ces personnes, sans avoir eu ma confiance et ce n’est pas parce qu’on l’a qu’on peut se permettre de prendre des décisions importantes pour l’empire sans m’en référer. De même qu’on n’a pas le droit d’espionner qui que se soit sans mon ordre – ce que je ne donnerai jamais à aucune personne s’étant dégradée l’esprit au point de devenir aussi profane ou alors en sachant que je ne lirai jamais rien venant de cette personne, ni jamais ne pourrais prendre en considération ou au sérieux aucun résultats de ses espionnages, puisqu’il est de mèche avec celui qui est espionné. On a cependant le droit d’espionner les profanes : ce sont eux qui sont à l’origine de tous les malheurs dans le monde entier, ce sont eux qui sont nuisibles et qui mentent. Ce sont eux qui sont dans l’erreur. Ce sont eux qui causent tous les problèmes et tous les vieillissements, comme toutes les formes de déserts intellectuels. Ce sont eux qui espionnent en faisant les petits saints ou en jouant les anges ou qui exigent des milliards d’heures d’études à toutes les autres personnes pour arriver à leur faire un dessin qu’il seront capables de reconnaître (comprendre), en sachant que cela montre telle chose ou telle autre de vrai, comme, par exemple, un mot compréhensible désigne la « sortie » et que la porte en question dessinée est bien la « sortie » (ce qu’il y a écrit dessus). C’est eux qui ne vont pas bien et qui sont capables de faire des choses interdites ou déconseillées ou qui ne savent pas quand les autres ont le droit de s’autoriser à les faire, même anti-canoniquement, puisque nous avons pu, hélas, le vérifier pendant ces vingt sept ans d’amnésie, à l’occasion de ce sacrifice maçonnique renouvelé avec ma promise légitime. C’est eux qui ne savent pas que dès 2005, cette première promise légitime devait normalement commencer à entamer aussitôt des procédures de divorce, au moins vers 2008-2010 et s’ils ne le lui ont pas proposé à ce moment là, ils se sont démasqués comme les incompétents qu’ils sont en montrant qu’ils sont bien ces ignorants et ces hors la loi, puisqu’ils ignorent les mécanismes liés au monde de la conscience, c'est-à-dire de toutes les mesures exactes et la logique inhérente aux situations étant en relation avec le Droit ou le canonique (en fait la « logique de la situation » et ce qu’elle exige en conscience comme en en étant dépourvu). Pourtant ils contraignent l’empereur lui-même (Nous) à prendre toutes les peines du monde à ce sujet, en raison de ce qui est canonique dans une situation pareille[70] pour poursuivre l’instruction d’un dossier qui est à chaque instant d’une complexité aussi grande que l’univers entier à chacune des fractions de seconde et cela dans tous les temps. Et c’est eux, les soi-disant serviteurs de l’empereur, qui sont devenus coupables de cette « lèse majesté » impériale durant toutes ces années où ils étaient en infraction et à se conduire en profanes, en sacrilèges, en menteurs, en tricheurs, en violeurs de vie privée, etc. ! Donc en faisant honte à tous les empereurs jusqu’au premier (puisqu’il s’est avéré que la notion d’empereur était un coup monté par des escrocs pour se permettre d’escroquer (ou permettre à un groupe de femme d’avoir de l’ascendance sur des hommes au détriment d’autres), mais en ayant pour cela à escroquer plus que tout le monde leur propre-chef, pour essayer de faire de lui un porc – en le poussant dans cette direction pourtant néfaste pour tous puisque cela rend peu propice à gouverner avec intelligence – ici pour minimiser - mais aussi le plus amnésique et/ou le plus inconscient de tous (en en faisant un handicapé à vie) et pouvoir se permettre en toute impunité, ce qui n’est pas possible ou seulement acceptable d’aucune façon, d’autant plus que l’empereur devenait ainsi le plus ignorant de tous, ne sachant plus qu’il n’y a pas une seule chose qui puisse fonctionner – même seulement entre deux cellules - que seulement en raison de milliards et plus encore de paramètres sur chacun des atomes ou non atome et que tout cela est régit par de nombreuses lois[71] exactes – l’empereur (ou Dracula - ?) devenant « inconscient » de cela (ou ignorant cela), comme ne voulant pas croire qu’il puisse y avoir des lois et devenait à cause de cette ineptie aussitôt l’ennemi de lui-même en essayant de faire croire le contraire : un usurpateur.

On pourrait croire que mon idée de nombreuses épouses pourrait être néfaste à la personne de l'empereur au point d'être à l'origine d'une réincarnation en porc. C'est ne pas comprendre que je suis devenu bouddha, par conséquent que je fais attention à éviter cela, les épouses, si elles devaient l'être, étant choisies pour d'autres raisons que sexuelles.

L’empereur des années 30 avait donc été amené à escroquer d’une façon ou d’une autre toute l’humanité (d’autant plus qu’il utilisait des armes pour provoquer la partie adverse, en croyant possible de se comporter en personne de mauvaise foi, ignorante de toutes les lois justes) mais se sont ses grognards, prisonniers chacun de leur état d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui avaient cherché, à travers lui, à se faire autoriser ce qu’ils recherchaient, qui n’était en réalité, à chaque fois, que le contraire de leur intérêt véritable : des choses qui ne feraient nullement d’eux des êtres responsables et conscients, des êtres auxquels on peut accorder un véritable crédit, en tant que père de famille ou grand-père, donc ils œuvraient contre l’intérêt véritable de leurs enfants, puisqu’ils n’ont voulu être que réduits à des égoïstes, ayant des pulsions d’égoïstes et des comportements d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, ou d’enfants-gâtés en se servant, par exemple, des inventions des gens instruits, des gens de sciences, à ces fins, alors qu’elles avaient été créée à d’autres fins, pour faire de chacun de ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, des personnes ayant une chance, par leurs activités, d’accéder à la Connaissance véritable. Celle-ci n’est pas seulement un texte vrai ou une œuvre d’art : elle est un état d’esprit qui permet de voir dans chacun des ignorants, au mauvais sens de ce mot, une future œuvre d’art, un futur être humain, délivré de cette saleté, c'est-à-dire quelqu’un capable de fonctionner enfin justement, au service de tous, y compris des animaux, des plantes ou des paysages.

Aussi ceux qui ont cru possible choisir des empereurs n’ont alors que fait du tort à l’Ensemble étant donné qu’ils ont choisi celui qui n’est pas un frère, puisqu’il est capable de se comporter de façon incohérente et inamicale avec son prochain, c'est-à-dire sans fraternité véritable, donc avec une mentalité de voleur ou de violeur, en menteur, en tricheur, etc. et sans respect de la personne humaine comme une œuvre d’art. Sans fraternité, cela signifie : sans être capable de comprendre l’autre et en oubliant ses devoirs de frères (ou de père, c'est-à-dire sa responsabilité dans l’éducation de celui qui dépend de soi) mais cela signifie aussi en étant capable de faire des choses en cachette ou des choses interdites dont on pourrait avoir honte devant ses frères ou ses sœurs, donc contraires au Bien et l’Intérêt général.

Ces personnes font alors semblant que c’est cette notion de fraternité qu’ils servent alors qu’ils ne servent que des intérêts d’individus devenus égoïstes ou aspirant à avoir ‘la vie de château’ sans la mériter et sans avoir compris ce que cette expression signifiait. Donc ils servent cette notion en devenus malfaisants. Non en personnes bienfaisantes mais en profiteurs et en usurpateurs. Ils ont tenté ainsi d’escroquer un par un tous les empereurs depuis le premier, en les ayant certainement rendu chacun plus ridicules que les précédents ou que les suivants et cela pour s’enrichir matériellement et non spirituellement. C’est ainsi qu’ils n’ont pu avoir que des fréquentations intéressées (au mauvais sens de ce mot) en reprochant à ceux qui ont de l’argent d’en avoir eu honnêtement alors que ceux-ci ne l’avait obtenu que pour permettre à tous d’en avoir un minimum, l’ayant obtenu non en profanes, non en trichant, mais en sachant ce qu’est travailler en vérité, ou en sachant ce qu’est un centime, donc en conscience ! Hélas dans le monde du mensonge l’argent, ayant été escroqué, ces personnes croient qu’elles peuvent tout se permettre et n’ont pas le sens de la réalité. La cohérence de l’époque devrait interdire à toute personne ne disposant pas de moyens financiers pour survivre d’avoir des enfants. Avoir des enfants sans avoir assuré d’abord pour soi-même les moyens de survivre matériellement ne devrait pas être toléré de personne. En effet, c’est dans l’état actuel du monde et de la réalité une preuve d’inconscience de la part de celui qui s’autorise cela : il montre qu’il cherche à escroquer les autres en comptant sur des aides ou des notions aussi providentielles que celle de l’Etat ou des notions synonymes pour, en parasites, survivre de subventions avec ses enfants. C’est que nous sommes à l’époque des diverses contraceptions autorisées et ceux qui ne se l’imposent pas, en comprenant qu’ils ne disposent pas des moyens suffisants pour s’offrir le luxe d’avoir des enfants, devraient naturellement avoir la décence de se passer d’enfanter. Il est évident pour n’importe quel ignorant ou inconscient qu’il est nécessaire de disposer de moyens financiers propres et mérités de droit (MFPMD) pour pouvoir élever un enfant. Alors comment est-il possible que des parents puissent à ce point s’injurier ou s’insulter eux-mêmes y compris leur descendance en faisant des enfants sans avoir au préalable les moyens financiers de les élever, de les entretenir, au moins jusqu’à l’âge légal où ils sont tenus de le faire ? Ne pas avoir compris cela dans les temps passés – dans lesquels il existait déjà des formes de contraceptions sans pour autant avoir à avorter - en croyant avoir le droit de s’autoriser à faire des enfants à des femmes comme l’ont cru les soldats de l’empereur ou d’autres « conquérants », c’est ne pas se respecter soi-même en tant que soldat puisqu’on ne respecte pas son fils ou sa fille, puisqu’on va lui causer des difficultés très grandes, comme à leur mère, étant donné qu’avec inconscience on les a engendré, en comptant sur la bienfaisance et la charité de l’Ensemble, donc avec cette mentalité d’usurpateurs, en profiteurs, en égoïstes, en escrocs, par conséquent en personnes contraires à l’Intérêt et au Bien Général (ces pères et mères là sont donc à considérer comme des individus dont l’humanité entière devrait avoir honte y compris leurs enfants et les descendants de ceux-ci : ils font peser sur tous les hommes et les femmes honnêtes ou de bonne volonté, s’étant affranchi de l’enfant-gâté en eux, l’éducation des enfants qu’ils ont mis au monde en inconscients. Une prise de conscience dès les petites classes de cela devrait être obligatoire partout sans pour autant culpabiliser les enfants nés de pareils calculs ou absence de calculs intelligents, mais en les rendant conscients qu’ils n’ont pas à se permettre à leur tour, une fois en âge d’avoir des enfants de cette façon, ce que leurs parents se sont permis, en étant en cela contraires aux intérêts véritables de ces enfants : en s’avérant être leurs ennemis – mais en prétendant, bien sûr, le contraire et en leur donnant l’exemple d’escrocs, ce qu’ils risquent de croire possible ou que leurs semblables sont, en devenant l’origine même des malheurs, de la misère, et de toutes les formes de désert ou maladies.

Ce sont ces parents qui ne sauront pas non plus « élever » leurs enfants et qui vont compter sur les autres. Ils escroquent ainsi le roi, la reine, le tzar, le prêtre ou toutes les personnes de bonne volonté qui se sont dévouées en maîtres, (c'est-à-dire en fait en sorte d’esclaves), à faire de leurs mieux, car elles sont de celles qui ont étudié en vérité et qui, par conséquent, sont dotées de cette conscience qui ne les font agir que de façon probe et dans l’Intérêt et pour le Bien de tous, y compris de tous les envieux, les jaloux ou des ignorants au mauvais sens de ces mots, qui ont des probabilités d’être issus de ces contextes de personnes encore écervelées ayant cru pouvoir s’autoriser à avoir des enfants (alors qu’elles ne bénéficiaient pas encore des conditions adéquates pour en assurer l’éducation) en escroquant ainsi l’Etat donc la meilleure partie d’elles-mêmes, quand celui-ci est entre de bonnes mains). C'est que nous ne vivons pas à une époque sans Etat, sans civilisation, sans devoirs, sans contraintes ce qui peut alors être l'origine de la naissance d'enfants naturellement dans les temps préhistoriques. Il faut comprendre que ces contraintes impliquent de ne pas pouvoir s'autoriser d'avoir des enfants sans être au préalable assurés des financements pour les élever dans la société.

En raisons de tous les problèmes qui se sont passés et de mes Grandes Inspections en tant qu’empereur (mais pas seulement – c’est pourquoi après mon nom vous trouvez souvent ces trois petits points : … - ce qui signifie de réelles compétences dans tous les autres domaines – chacune pour le plus grand bien de tous - car j’ai une infinité d’autres casquettes dont Dieu a la mémoire y compris le Grand Architecte de l’Univers) que j’ai dû renouveler à plusieurs reprises de 1963 à 1965, de 1965 à 1975 et de 1975 à nos jours, j’en conclu que les dirigeants me sachant empereur depuis au plus tard 1995, n’ayant pas eu mes ordres ou obtenu mon accord, sont donc partout en infraction impériale ou infraction pharaonique, tout comme chacun des êtres humains dans tous les temps vis-à-vis de la personne de l’empereur et de ma personne, depuis 1965 et 1975 (puisque la vieille salle devait m’être rendue à chacune de ces occasions pour que je puisse l’inspecter en tant que moi-même étant la nouvelle salle des machines, d’autant plus que dès 1965 j’avais pu faire comprendre, en faisant intervenir ma virtualité dans le futur, quarante ans après d'avance, que je calculai à chacune des fractions de seconde des milliards de milliards de milliards et à l’infini de paramètres – les ordinateurs de notre époque nous ont habitué à cela - sur chacune des fractions de seconde concernant chacun des atomes dans tous le cosmos et plus rapidement bien sûr que la vitesse de la lumière puisque j’étais quarante avant dans une époque qui n’existait pas encore de là où je n’avais que deux ans et demi et cela en tenant compte de tous les temps liés à chacune des choses, comme à n’importe lequel des ordinateurs, dans tous les temps – aussi il était de l’Intérêt Général de me remettre cette vieille salle des machines pour que j’en inspecte les possibilités pour que je puisse essayer de voir comment elle pourrait servir de façon enfin exacte et pour rendre, si possible, les gens, chacun, au lieu de « détériorés » à cause d’elle, le contraire : restaurés ou réparés ou en voie de l’être. C’était une chance alors possible y compris à partir de 1975. Ceux qui la détenaient en ont décidé alors autrement en voulant persister dans l’erreur et dans l’état d’infraction pharaonique, donc infiniment contre leurs Intérêts fondamentaux. A cette heure-ci, le 29 Mars 2013 (1973 et 1983) (je relis le 13 septembre 2017) m’en étant passé presque cinquante ans, je ne la réclame même plus et même si on me l’offrait avec toutes les richesses de tous les univers, compte tenu de ce que cela a causé, je ne la veux plus. J’avais bien pu remarquer, dès 1965, qu’il y avait une grande partie de la population qui avait perdu sa conscience - elle ne comprenaient pas que nous étions à une tout autre époque, qui était déjà un peu celle des technologies - entre autres - qui n’obéit évidemment plus du tout à des façons anciennes de fonctionner.

En ne me rendant pas « ma » salle des machines – celle du petit pharaon que j’étais - ils étaient chacun d’entre eux tenus personnellement comme responsables et comptables sur leur propre âme des dégâts et des conséquences qu’une telle attitude engendrerait : ils se rendaient chacun personnellement responsables de tous les dysfonctionnements, de tous les malheurs, de tous les problèmes. Chacune des responsabilités qu’ils ont voulu prendre d’une façon ou d’une autre publiquement à un quelconque titre, en croyant possible continuer à tricher, allait avoir des conséquences gravissimes sur chacun d’entre eux – j’essayai de leur éviter cela, d’autant que j’ai pu me rendre compte que c’est rétroactif. Mais cela est valable dans tous les temps y compris d’avance sur les temps futurs. Aussi à chacune des fractions de seconde, ils ont voulu augmenter le poids de leurs fautes (et de leur culpabilité) logarythmiquement, chacun d’entre eux, en demeurant en infraction pharaonique. Cela a à voir avec la maladie du « masochisme » dont ils sont les auteurs. Ayant créé cette maladie (comme toutes les autres – nous avons évoqué celle de l’esclavage, au passage), ils cherchent donc à être puni et à souffrir d’avoir cru possible utiliser cette vieille salle des machines pour faire des personnes intellectuellement inconsistantes, faussaires et devenues menteuses (nulles ou usurpatrices) comme le corollaire des autres tares, au lieu, parce qu’ils en disposaient, de donner des preuves d’intelligence, en la mettant à la disposition de tous les hommes et les femmes de vérité ou recherchant celle-ci dans chacune des catégories où ils se concentraient, en donnant à tous l’exemple d’êtres travaillant en conscience. Il s’agit de toutes ces personnes, qui, comme Pasteur, Marie Curie ou l’abbé Pierre, ont réussi à se débarrasser de leur enfance d’enfants-gâtés, adolescente et égoïste ou de ces âges de faux adultes (pas encore devenus adultes), donc au mauvais sens de ces mots, pour se consacrer à chacun de ces travaux effectués en conscience et en donnant continuellement tant de preuve de bonne volonté à travers chacun des succès parfois couronnés officiellement par de grands prix dans les différentes sciences, à chaque fois des avancées qui sous la forme de celles des temps passés (du XVIIIème et XIXème siècle) ont permis toutes les améliorations du XXème siècle. C’est comme si ces personnes en ne rendant pas la vieille salle des machines aux hommes de sciences exactes s’insultaient eux-mêmes et la vieille salle des machines en permanence, puisqu’ils n’ont pas compris que ces personnes détenant la connaissance des lois pourraient l’utiliser d’une façon certainement toute à l’honneur des sciences qui ont permis tant de progrès depuis ces immensités ou Freud, mais déjà depuis Léonard de Vinci et tant d’autres bien avant. En ne rendant pas cette vieille salle des machines, ils ont insulté l’esprit des sciences et la vérité, mais aussi la logique et toutes les formes de mathématiques qui existent et dont j’avais donné la preuve à partir d’avril 1965 (1975 et 2005) qu’elles existaient sans avoir besoin de recourir à cette vieille salle des machines qui, je l’ai vérifié, ne tient pas compte de tout les paramètres liés à l’être humain depuis sa conception fœtale jusqu’au jour ou à la nuit où elle est utilisée sur l’individu en question, en violant de nos jours (par rapport à tout ce qui découle des lois justes), ses droits ontologiques, intrinsèques, consubstantiels et fondamentaux. Mais peut-être voulaient-ils vérifier qu’effectivement certains êtres humains sont capables de tant de prodiges pour sauver la Vie, ce que leur état psychique ne leur permettait pas de comprendre, puisqu’ils croyaient alors, dans l’état de dégradés, que c’était la mort qui avait une réalité qui primait sur celle-ci. La mort comme les maladies, comme les misères, comme toutes les formes de déserts sont des effets d’une situation générale que nous avons pu vérifier bloquée depuis longtemps par ces personnes, mais à l’échelle pharaonique depuis 1965, 1975 et depuis 2005 de façon absolument certaine par ceux qui se sont réfugiés en peureux et en ignorants, au mauvais sens de ce mot, dans cette vieille salle des machines en se rendant chacun responsables, personnellement, de toutes ces défaillances dans la Vie (donc de toutes les maladies, génétiques y compris).

Une première chance leur a été donné de rendre la vieille salle des machines à partir de 1965, en leur faisant comprendre à partir de 1973 pourquoi ils sont devenus hostiles au Bien et à l’Intérêt Général, à partir du moment où chacun d’entre eux, enfant, a été la victime d’une amnésie. En 1975, il y a eu le second avertissement à ce sujet avec mes suppliques du futur, dans le ciel, avant même d’y être, de ne pas me contraindre à devoir recommencer à montrer comment on se dégrade mathématiquement en devenant alors le contraire de celui qu’on voulait devenir et cela conséquentiellement (en conséquence), à partir d’une amnésie ou en s’autorisant, à cause de cela, à faire ce que l’ensemble des religions ont pourtant depuis longtemps conseillé de ne pas se permettre de faire : « gâcher sa semence »,  une notion à méditer depuis les premiers temps de l’agriculture et qui va de soi.  

De 1977 à 2005 à chacun des instants où leur pharaon (Nous) allait à cause de ces sacrilèges à avoir à connaître malheurs sur malheurs et à se rendre ridicule comme le plus misérable et minable des individus (du moins à mes yeux) ce que je n’ai cependant pas pu ne pas hésiter à faire étant donné ce cas particulier dans lequel l’Ensemble m’a rendu prisonnier, puisque je n’avais pas le choix, en 2005, pour en intervenant sauver la planète rétroactivement à partir de 1965 et 1975, en raison de l’anneau immaculé de mariage salvateur qui n’a pu exister qu’en raison du sacrifice de Christine que l’Ensemble m’a contraint à faire, à partir de 1965, avec cette promise légitime, en exigeant de nous, malgré ce qu’avait donné l’expérience de 1972 à 1975 et ce premier avertissement, ce second sacrifice qui allait exiger vingt sept années d’amnésie supplémentaire de ma part, avec les séquelles de la première amnésie de 1972 à 1975 qui n’étaient pas encore soignés : j’ai pu néanmoins sauver une fois encore la planète in extremis, en intervenant pour la troisième fois à partir de 2005, non plus en virtuel, mais cette fois-ci en chair et en os, en montrant bien à tout le monde que la situation générale à l’échelle planétaire est véritablement bloquée puisque de façon quasiment automatique nous nous retrouvons, une fois de plus, dans le même cas de figure, comme en 1965 et 1975 où l’Ensemble devait me remettre la vieille salle des machines, puisque j’en suis le propriétaire légitime étant donné que je suis pharaon de l’Ensemble.

C’est donc bien l’état d’infraction pharaonique vis-à-vis de ma personne et de ma femme légitime qui nous a causé bien des soucis. C’est bien parce qu’on a tardé autant à comprendre qu’à l’âge de deux ans et demi j’avais le droit de me marier et de choisir avec ma femme d’autres femmes pour lui permettre d’être impératrice et donc de veiller au bien être de toutes les personnes âgées comme de toutes les petites filles dans le monde entier en se formant à des niveaux de compétence extrême dans toutes les sciences comme son pharaon de « promis » que j’étais qui a fait de nous tous des personnes même si mariées, plutôt lointaines de leur époux ou épouse, étant donné que j’ai été contraint, dans ce cas, en raison de tant d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, d’être éloigné de ma promise légitime de chacune de ces fractions de seconde là, d’autant plus éloigné que j’étais amnésique. Mais je n’avais pas le choix car sinon, en raison des personnes âgées totalement prisonnières de l’ineptie, nous allions droit à la Troisième Guerre Mondiale, y compris des plus jeunes qui voulaient se venger et qui ne comprenaient pas que tout est bien plus complexe que ce que d’habitude, dans un bar ou ailleurs on peut régler par un verre de bière ou deux ou bien par quelques coups de poings. Car c’est bien plus que complexe étant donné qu’il y a aussi tous les mariages des morts depuis des millénaires ! Pourtant j’ai bon espoir que si j’arrive à ces fiançailles, avec chacune des premières impératrices pressenties, il pourrait y avoir une chance en constituant cette nouvelle cour pour tous, de nouveau. Mais cela est très compliqué à mettre en œuvre en raison des préjugés et de la non-connaissance des mathématiques cosmiques à l’échelle alpha-oméga, de tous les terriens. Cela signifie aussi que chacune des futures impératrices acceptent de poursuivre vers la construction d’une figure de géométrie spatiale qui pourrait permettre à long terme un rapprochement entre l’impératrice et l’empereur, ce qui devrait permettre à toutes les générations dans tous les temps y compris passés, y compris futurs, d’aller vers un véritable rapprochement entre époux, au sens merveilleux de ce terme, ce qui ferait le plus grand bien à l’Ensemble (ce rapprochement ne pouvant, à cause de ce qui s’est passé, n’advenir véritable que très âgés pour certains – mais il vaut mieux cela que jamais). Pour arriver à réaliser cela, il faut que je parvienne à vaincre la fatigue et le ras-le-bol que j’ai d’avoir autour de moi, depuis 1965, que des gens très (mais vraiment très) ignorants, au mauvais sens de ce mot, en logique cosmique, en mathématique universelle – de celles qui sont contraintes de tenir compte de tout [72] et de … Mais comme j’ai bien pu vérifier que dans l’état de profane on ne comprend rien de tout ce que cela peut signifier exactement, je suis bien conscient que la situation est normale. C’est pourquoi ces profanes ou ces ignorants, au mauvais sens de ce mot, sont à l’origine continuellement de tous leurs malheurs et de tous les malheurs des enfants y compris de ceux des générations futures[73] parce qu’ils se sont méfiés de gens dont ils ne devaient pas avoir peur, mais j’ai vérifié à l’état de profane ou d’ignorant qu’on craint ceux qui sont très compétents ou qui ont la vérité d’autant plus qu’on se sait coupable. C’est comme si on avait peur de la vérité. C’est ici vraiment pas malin puisque c’est la vérité qui a permis de faire les bonbons ou d’autres bonnes choses. Aussi cela a à voir avec la peur du feu ou de l’inconnu ou de l’étranger : des états maladifs.

Rendre la vieille salle des machines à ceux qui se sont débarrassés de l’état de profane pourrait produire l’effet d’un rajeunissement des personnes âgées et des enfants y compris ceux qui sont entre ces âges.

Mais la distance qu’il y a maintenant entre l’impératrice promise légitime et l’empereur (moi) est devenu bien plus pharaonique que toutes les distances existantes (bien que nous ayons eu quelques début d’échanges épistolaires par messagerie Internet - en 2017 il y a un mieux, nous avons renoué avec l'une des impératrices, Michèle Finck). Je vais donc avoir à faire comme si ce n’était pas la fin, malgré cette distance bien plus pharaonique que toutes les distances existantes, l’Ensemble s’étant rendu coupable – j’ai vérifié – qu’elle y soit entre l’empereur et l’impératrice ! Or s’il y a la moindre distance existante entre ces deux entités et c’est le malheur partout y compris dans tous les temps passés et futurs (cela n’a vraiment pas été intelligent d’avoir voulu cette état des choses à trois reprises. L’Ensemble est donc coupable envers ce couple impérial puisque l’Ensemble avait à l’éviter et pouvait l’éviter : les malheurs en découlent). 

Or dans ce cas de figure de la Création bien qu’il n’y ait jamais eu de sarcophages d’impératrice, donc en définitive, jamais d’impératrice, en raison d’une vieille façon animale et préhistorique de considérer la femme, il y a, pour résoudre le problème qui nous est posé (un problème bien plus immense que cosmique) plusieurs impératrices possibles en raison de l’époque et en toute cohérence aussi avec I’existence du paramètre Internet qui permet la visiophonie et l’usage de la web cam : les rapports amoureux ou amicaux vont changer, s’ils n’ont déjà changé dans les générations nées en 1980-2000 et pour ceux qui sont nés en 2010, il leur sera normal de se voir et de s’entendre par ce truchement un peu partout quand ils seront en 2030. On peut penser que ce devrait être normal pour tout le monde en 2050 (il a fallu un siècle pour que tous trouvent normal d’avoir l’appareil téléphonique ce qui est le cas de nos jours, et depuis il y a eu une accélération logarithmique pour les produits hi-tech, cela prendra moins de temps pour la 4G). La visiophonie ce sera une nouvelle façon d’entrer en communication les uns avec les autres. Il s’agit d’un paramètre qui va modifier les fiançailles ou le mariage (comme celui des web cam dans la cuvette des WC ou dans les salle de bain y compris dans les douches) comme le téléphone traditionnel a contribué à changer la teneur de ces mots (autrefois on allait vers les fiançailles grâce aux échanges de lettres, de textes entre futurs époux – il y avait des tenues et des robes longues - depuis l’invention du téléphone on va aux fiançailles en se servant des échanges téléphoniques aussi).

Pourtant en raison de chronologie en ce qui concerne cette histoire et l’empereur, pour l’instant, je n’ai pas d’autres possibilité que faire comme si nous réussissions, grâce à l’impératrice[75] prévue et reconnue, à rendre Michèle Finck, à son tour, impératrice véritable, quoi qu’elle est pu faire de profane (c'est-à-dire ce que j’espérais faire d’elle en 1965 et de nouveau en 1975, si l’Ensemble m’avait facilité la tâche et rendu la vieille salle des machines, comme le variateur de la vision d’Atlantide, car il s’agissait, en raison de ces perspectives de concorde impériale, déjà de restituer la vision d’Atlantide à l’échelle mondiale, ce que, bien sûr, nous étions déjà très capables de faire avec l’aide de la génération de 1920, 30 ou 40 y compris celle de 1950).

Mais l’Ensemble, dans ce cas de figure, a voulu continuer à pécher contre le Bien et contre l’Intérêt Général en se rendant à chacune des fractions de seconde, qui passait, toujours plus en infraction pharaonique, en état de pécheur constant vis-à-vis de moi, l’empereur et vis-à-vis de l’impératrice, d’autant qu’on m’a contraint à redevenir profane si longtemps alors que je ne l’étais plus et que j’en avais donné des signes aussi étonnants ! C’est bien sûr plus par inconscience et ignorance, au mauvais sens de ce mot, qu’autrement, même si j’ai pu vérifier que cela s’est produit avec préméditation, ce qui est une preuve de plus de très grande bêtise (recherchée par l’Ensemble) au paroxysme de l’imaginable - bien sûr il y avait quelques personnes qui comprenaient, mais comme c’est si complexe à comprendre, ayant, comme toujours, tant de choses à faire chacune et se heurtant à toutes leurs difficultés, elles ont dû renoncer à tenter d’expliquer d’autant plus que les profanes ne peuvent vraiment pas comprendre : ils se sont détruits dans leur cerveau toutes les possibilités pour se permettre de comprendre et ne peuvent que « faire semblant » de comprendre, ce qui n’arrange rien car on aboutit alors à des choses aussi habituelles que celles de prix Nobel ou professeurs de mathématiques ou des lois expliquées à des salles de cours dans lesquelles il n’y a pas une des personnes qui s’y trouve qui ne fasse pas semblant de comprendre. Cela fait que l’enseignant ou le professeur s’adresse à des ignorants, au SPNM : au sens positif et négatif de ce mot, (avec l’espoir, cependant qu’il y en ait un ou deux qui le soit, au bon sens de ce mot). En fait nous nous trouvons comme Léonard de Vinci faisant des recherches que personne alors ne peut encore comprendre et ce fut hélas le problème de tout ces hommes et ces femmes remarquables, leurs vie ayant été très certainement celles d’incompris et donc d’handicapés par tous ceux qui profitent quotidiennement par tout ce qui a été mis au point dans les temps anciens par d’autres incompris, d’autres handicapés, d’autres génies, d’autres personnes de connaissance véritables. C’est pourquoi, il serait normal que la vieille salle des machines soit rendues à ces personnes de véritable sciences qui sont si productives de solutions élégantes comme très honnêtes dans leurs recherches et cela permettrait enfin que tout puisse changer dans le bon sens pour tous, car ils sont les seuls à pouvoir rendre intelligent quelqu’un qui est devenu profane. Non pas que les profanes soient dépourvus d’intelligence, mais qu’ils puissent finir par l’utiliser dans tous les sens sauf dans celui qui ne mène nulle part ou à la catastrophe : l’avilissement du profane dans toutes les inepties qui deviennent inhérentes à sa condition !

Apparemment ces personnes ont fait ces choix contraires à l’intérêt de leurs enfants, d’eux-mêmes comme de leurs ancêtres car ils vivent dans la peur de la vieille salle des machines elles-mêmes, la sachant d’origine extra-terrestre. Cela signifie que depuis le commencement (l’occupation de la vieille salle des machines) ceux qui l’ont occupé vivent donc dans la peur et la culpabilité totale, se sachant chacun en infraction vis-à-vis de ceux qu’ils ont espionnés en s’en servant. Là où cela devient le plus grave, c’est quand ils se sont retrouvés en infraction devant l’empereur (mon père d’abord) qui devant ma personne qui leur a dit la vérité, dès 1965, et qui les avait même prévenu d’avance, par honnêteté, de chacun des moments importants vers lesquels ils allaient, y compris qu’ils allaient montrer Atlantide en 1995, ce qui s’est effectivement passé exactement comme ils le savaient d’avance, prévenus mais aussi par d’autres choses justes comme de cesser d’augmenter le prix du pétrole. Aussi ils avaient, à ce moment là, encore une chance d’éviter de faire souffrir des milliards de personnes mais aussi leur empereur le long du Chemin de Croix qui allait être le nôtre, l’un des pires calvaires que jamais personne de scensé (= sensé + censé) ne pourrait décemment imposer (ou faire supporter) ou faire endurer à un être humain (mais bien sûr ils ne peuvent même pas comprendre ce que signifie que ma personne, puisque pour tous ma condition n’est pas même imaginable car sinon ils se seraient ingéniés à m’éviter d’avoir à peiner ne serait-ce que d’un pas à faire[76], quand on sait ce qu’il signifie à mon échelle – l’ensemble ayant vu la taille que j’ai dans le ciel avant même que j’y sois (environ sept à dix kilomètres de haut, avec une tête d'environ trois cent cinquante à cinq cent mètres de diamètres) – à cause de cela j’ai dû même apprendre à nager dans ces conditions et à faire des efforts qui étaient réellement inimaginables puisqu’il n’y a pas une personne dans tous les temps qui puisse arriver à porter ce qu’il porte ou à se conduire sans avoir un accident ou à tracer une ligne droite, ou à éviter un accident qui ne le puisse que seulement grâce à ma personne qui porte l’Ensemble à chaque instant.

L’infraction pharaonique, depuis avril 1965, s’est alors transformée à mon égard en formes variées de « sadisme », une autre des maladies dont les auteurs sont les personnes coincées dans la vieille salle des machines. Ce sadisme a été augmenté par le fait qu’étant devenu amnésique et m’ignorant espionné, je me suis autorisé à penser tout ce que j’ai pu penser de désagréable en ne me censurant en rien puisque je ne pouvais même pas imaginer qu’on puisse m’espionner d’une façon quelconque – je n’avais pas le choix, je ne savais plus rien de l’existence de cette vieille salle des machines et j’étais amnésique de ma promise légitime comme de ce qui s’était passé à partir de 1965 et 1975 : je devais donc en payer les conséquences car j’allais connaître les conditions qui mènent à devenir en parti un inconscient ou quelqu’un qui va transgresser les bons conseils. Aussi sachant ce que l’état d’amnésique me faisait devenir (autre que celui que j’étais) ce que j’offrais de moi était faux – comme ce qu’offre d’eux tous les profanes - et ceux qui ont cru ce qu’ils m’entendaient penser ou dire ou faire dans ces états là n’ont voulu s’abuser qu’eux-mêmes dans ce jeu sadique et si peu intelligent (sadisme est synonyme de « manque d’intelligence » aussi) qui n’avait d’aucune façon aucun intérêt, puisque une personne n’ayant pas d’amnésie au sujet de l’existence de cette vieille salle des machines ne va pas s’avilir à devenir profane : pour penser ou dire ou faire tout ce que je me suis permis, cela ne pouvait être que parce que je devenais profane sans tricher, comme n’importe qui qui l’est devenu, par conséquent, ayant des chances de devenir aussi bête un jour que ces espions s’étant rendus prisonniers de ces instruments puisqu’il s’avère qu’ils n’ont rien compris à la première amnésie de 1972 à avril 1975 ni à celle qui a commencé fin 1977 et qui était la condition pour que j’accepte ce sacrifice que j’avais passé avec Dieu, en espérant que tous interviendraient pour m’éviter de continuer à m’abimer en tant que profane. Non, j’eus à me rendre ridicule et à en subir les conséquences et ceux qui ont espionné n’ont rien compris des dommages que l’Ensemble me causait puisqu’ils sont étranger au monde des véritables sentiments étant donné qu’ils sont devenus des voyeurs : ils ne peuvent pas comprendre le monde de l’« agapè » et ne s’intéresse qu’à l’éros en faisant semblant de s’intéresser à toutes les autres catégories qui leurs servent dont de tremplins érotiques ! Par conséquent en avril 2005, alors que je revenais à mon anneau immaculé de mariage pour la troisième fois (1965 et 1975) en raison d’amour véritable dont je vérifiais « qu’il était celui qui tout meut », vous pouvez imaginer "l’effet bœuf" que j’allais avoir en découvrant qu’on m’apprenait que j’avais deux fois sacrifié par amour et en raison de l’existence de "l’agapè" (pour sauver la vie de/sur cette planète) avec Christine (nos fiançailles, notre mariage et nos enfants) ! On comprend que je n’ai pas apprécié qu’on m’ait caché cela jusqu’au moment où je me présentais pour me marier et faisait mon autocritique. On comprend qu’en découvrant la vérité, j’ai aussitôt rompu mes fiançailles avec Michèle qui était au courant. On comprend que j’ai été le premier surpris de découvrir que l’Ensemble me contraignait pour la troisième fois à découvrir qu’il était parfaitement abominable de me contraindre à exiger de moi-même de telles sacrilèges de moi-même à partir de 1972 comme de la fin 1977 puisqu’en, revenant mathématiquement pour la troisième fois à mon anneau de mariage, on me contraignait à revivre tout ce qui m’avait contraint à le sacrifier pour sauver la vie sur terre après la Seconde Guerre mondiale. Sans le rire et l’humour cette situation aurait été invivable car cauchemars sur cauchemars mais comme j’ai pu vérifier que des gens qui n’ont plus qu’inepties en tête sont vraiment incapables de comprendre ce que peut bien être le monde du cœur, des sentiments, de la bienséance, de la vérité, de ce qui est juste, je ne pouvais que ne pas m’étonner d’avoir en permanence des confirmations concernant ces personnes « perdues » et ignorantes des droits comme de la raison d’être de ceux-ci qu’ont les personnes qui ne sont plus des enfants-gâtés ou profanes en sachant que leur état de prisonniers des catégories érotiques les empêche d’accéder à tous ces mondes ou toutes ces catégories différentes qui appartiennent aux autres. Vers 2012, j’ai donc mieux compris pourquoi Michèle ne peut pour l’instant pas comprendre (c’est donc comme si il lui manquait tout ce qui est essentiel et qui m’avait manqué en tant que profane en ayant montré à tous comment on le devient à l’âge des adolescents ou des adultes). En 2017 Michèle a enfin compris ce dont elle a voulu devenir coupable et qu'elle ne comprenait pas en 1977 adolescente croyant pouvoir être l'unique impératrice à la place de Christine.

Aussi ce qui s’est passé est plus encore que minable, puisque je ne trichais d’aucune façon en raison de la logique de la situation qui avait été imposée du futur – car cela s’était passé comme cela et j’ai vérifié que je ne pouvais rien changer en raison des interventions extra-terrestres dont je me devais de prendre en considération comme paramètre – une situation dont je n’avais plus un atome de mémoire qu’elle avait été ou qu’elle serait en commençant à la découvrir à partir d’avril 2005, mais j’ai bien pu montrer comment on devient un enfant-gâté y compris comment on perd son temps et comment on ne devient pas très brillant à l’école – bref j’ai sacrifié toutes ces années qui, sur le plan personnel, ont été une perte pour l'Ensemble.

En acceptant le sacrifice de cette séparation d’avec l’impératrice promise légitime depuis 1965 (et en devant en exiger une autre – Michèle - à la place), en exigeant le renouvellement de ce sacrifice depuis 1975-1977, en assistant tous – ceux qui y ont accès - de cette vieille salle des machines en impassibles spectateurs à l’ensemble des dégradations et à chacune de mes souffrances venues mathématiquement de l’état d’amnésique, comme en assistant à cette période où j’ai dû montrer comment à cause de toutes ces profanations on devient un apprenti salaud, ce qui s’est progressivement (de même qu’entre 1972 et 1975) passé – avant qu’un mouvement contraire ne s’impose de soi-même - cela a eu des répercussions partout à chacune des fractions de seconde où j’allais donc devoir canoniquement me mettre dans une situation que l’Ensemble sadiquement avait exigé, en me contraignant à me faire à moi-même – donc à tous – subir les plus grands torts et cela dès le début de l’amnésie qui devait m’amener à rencontrer Michèle Finck de cette façon – puisque cela s’était passé ainsi – et celle-ci en me cachant tout s’est donc comportée de façon sadique, (donc malade puisqu’elle a voulu profiter de cette mienne amnésie et de ce qu’elle pouvait savoir de ce que je pensais à son sujet alors que j’étais dans l’impossibilité même de croire qu’on pouvait savoir d’une quelconque façon ce qu’une personne pense et dans l’ignorance totale d’une quelconque salle des machines – elle a pu constater que je n’ai pas fait semblant de me préparer à me marier avec elle après les fiançailles qu’elle a orchestré – et nous savons que les causes de cette maladie (le sadisme[77]) ont donc pour origine les répercussions de la Seconde Guerre Mondiale dans son contexte familiale) : cela a eu pour effet qu’elle m’a caché ce qu’elle aurait dû me révéler – si elle m’avait réellement aimé comme elle l’affirmait - du sacrifice qui s’avère depuis 2012 (1962, 1972) n’avoir été fait que pour elle, mais que l’Ensemble (y compris les protagonistes de la situation bloquée), ont exigé de Christine et de ma personne. Aussi pour me tester elle a cru pouvoir s'interdire de m'interdire à continuer à pécher[78] (ce qui n’est pas désagréable car on apprécie alors la vie de profane, c'est-à-dire de celui qui, pour l’instant, ne peut pas comprendre d’autant qu’au sujet du péché se sont tout simplement toujours les mêmes clichés qui sont nés par provocation et très bêtement du désir de contredire tous les bons conseils, ce qui a même contraint à la création lui-même du mariage et des fiançailles pour, dans une certaine mesure, permettre à ceux qui n’en commettaient pas ou plus, de s’autoriser à en faire (c’est le comble !) - car effectivement il y a, à première vue, une forme de plaisir qu’on en tire, ce que je n’avais pu que très peu découvrir entre 1972 et 1975, mais que j’ai beaucoup mieux pu apprécier en empruntant la pente à partir de mon amnésie qui ma mené de l’un à l’autre, en toute inconscience et à première vue en toute impunité (or on perd progressivement une bonne partie de son intelligence). C’est alors que tout ce qu’on se devait pourtant de faire en vérité ou même qu’on ne faisait qu’en faisant semblant, en tant que devenu profane (parce qu’on sait qu’il faut faire au moins semblant), on ne le fait plus et on perd une à une ses facultés pour n’obtenir en échange que des facultés pour s’ingénier à ces calculs égoïstes d’enfants-gâtés).

Aussi Michèle devait comprendre un jour qu’elle-même, comme n’importe qui « péchant », n’avait pu avoir le goût de pécher que seulement et uniquement « artificiellement », donc d’une façon qui n’est pas naturelle, à cause d’une amnésie (comme la mienne ou différente) - (ce qui signifie effectivement que « pécher » n’est pour l’être humain accompli ou délivré de l’enfant-gâté ou bien élevé, d’aucune façon naturel. Ce sont donc des habitudes de profanes venues artificiellement à ceux-ci (comme n’importe laquelle des mauvaises habitudes) et causées comme n’importe laquelle des maladies qui ont chacune une origine, une cause. Le péché est un effet de la situation générale bloquée (nous avions vu que l’esclavage ou l’enfant-gâté sont aussi des effets de celle-ci) et comme c’est une sorte de drogue (l’esclavage aussi, etc.), il est vital de s’en sevrer ou de se réformer car sinon on commence l’involution dont nous avons parlé, au lieu d’avoir la chance de devenir un être humain au plein sens de ce mot). Une première fois, entre 1972 et 1975, à l’état d’enfant, j’avais pu montrer en m’utilisant moi-même comme cobaye, que c’est la mauvaise éducation ou une éducation inappropriée qui est à l’origine des mauvaises habitudes et des préjugés comme des attitudes mensongères mais aussi de l’inconscience dont on va se montrer capables en contraignant tous les hommes et les femmes conscients à intervenir de près ou de loin pour vous éviter le pire. C’est en raison de cela qu’il y a quelques lois ou contraintes justes comme à cause de cela qu’il y a la « bonne éducation ». La bonne éducation est contestable mais le sera beaucoup moins une fois la situation débloquée car logiquement elle changera et devrait être moins stricte, moins pénible ce qui devrait plaire à tous ceux qui sont des mal élevés et des profanes. Pour l’instant elle est aussi sévère que cela parce que la situation générale bloquée l’a généré comme une nécessité pour tout gérer y compris la quantité de mal élevés ou de profanes.

Ceux-ci ne savent pas faire la différence entre ce qui est officieux et ce qui est officiel (puisqu’ils espionnent – c’est comme pour l’argent et la valeur financière de chacune des choses puisqu’ils sont assurés d’avoir, quoi qu’il leur arrive, de l’argent sale (des crédits financiers usurpés (cfu), des crédits financiers escroqués (cfé), des crédits financiers malhonnêtes (cfm), des crédits financiers volés (cfv), des crédits financiers trichés (cft), des crédits financiers de criminels contre l’humanité (cfcch)) (s’ils devaient manquer d’argent) – puisqu’ils n’ont pas hésité dans le passé, pour cela, à « prostituer » leur sœur ou leur frère. Ils n’ont donc pas le sens de la valeur des objets, ni de celle des êtres : ils peuvent avoir devant eux un être exceptionnel ou une œuvre d’art exceptionnelle et ne pas le (la) remarquer. Aussi ce qu’ils apprennent en classe en littérature classique ou s’étant affranchie du caractère profane leur semble artificiel).

Aussi on pourrait ici en conclure que l’argent ne sert à rien puisqu’ils font chacun semblant d’en gagner honnêtement en occupant des places d’honnêtes gens ou pour ressembler à ceux qui en gagnent honnêtement. Il y a de quoi désespérer tous les honnêtes gens car, à cause de cela, ceux qui pourraient avoir une chance de devenir véritablement honnêtes, parmi ces profanes, n’ont que d’infinies difficultés supplémentaires à le devenir, voire ne pourront jamais le devenir, puisqu’ils sont assurés de survivre ou d’avoir de l’argent par des personnes devenues aussi malhonnêtes et/ou de mauvaise foi qu’elles.

D’autre part, quand on songe qu’en raison de cela, ils se croient permis d’avoir des enfants, c’est à l’infini, sur chacun des atomes de leurs enfants, une escroquerie qu’ils s’autorisent de/à faire. Il s’agit donc de péchés supplémentaires. La saleté psychique qui en a découlé dans ces personnes touche ici au paroxysme du possible comme du concevable : arnaquer leurs enfants. Ces personnes sont donc totalement hostiles à elles-mêmes en se comportant ainsi vis-à-vis de leurs enfants puisqu’elles ne vont pas être capables de les élever que seulement mathématiquement en en faisant des sortes de maîtres chanteurs, étant donné qu’elles mêmes le sont devenues et ont subi pareil outrage depuis l’enfance de la part d’un entourage de personnes qui étaient indignes de tout comme d’elles-mêmes quand elles étaient des enfants (certains sortis de l’état d’enfants-gâtés, d’adolescent ou de profane au mauvais sens de ce mot). Ils n’ont donc en fait dû consentir que contraints et forcés à devenir sadiques et imposteurs y compris à pécher. Jamais aucun d’entre eux n’auraient accepté s’ils avaient eu connaissance de leurs droits, dès la conception (ce que j’ai vérifié, ils connaissaient chacun d’entre eux dès la conception, mais qu’ils ont choisi d’oublier délibérément et avec préméditation pour se rendre coupables à l’infini de l’infini sur chacun des atomes de leur personne, en étant de surcroit en infraction pharaonique vis-à-vis des pharaons qui leur ont prouvé, en vérité, qu’ils avaient bien ces droits, y compris celui de ne pas être l’objet de chantages. Pourtant chacun d’eux a été violé dans ses propres droits. Cela fait de ses devenus sadiques les masochistes qu’ils sont cette autre maladie dont nous avons déjà dit qu’ils sont les auteurs. Chacun d’eux est donc en infraction vis-à-vis de la femme ou de son mari légitime y compris de ses enfants. S’il n’y avait pas l’humour chacun devrait normalement choisir de s’anéantir puisque la situation s’avère donc faussée à ce point dans chacune des familles depuis le commencement des civilisations).

Pourtant nous pourrions réussir à « rattraper le coup » ne serait-ce que pour donner une chance aux générations futures. « Rattraper le coup » devrait permettre de soigner Michèle Finck qui a donc été rendue artificiellement celle qu'elle était durant les temps où à ses côtés j'étais profane, y compris désireuse de devenir une impératrice (mais aussi avec des désirs bien légitimes d’en devenir une vraie) qui ferait semblant de l’être (mais c’est – ce qui aurait pu nous arriver à chacun d’entre nous - parce qu’elle s’est retrouvée coincée, petite fille, dans un contexte local en question n’étant pas de ceux totalement conscients de l’usage qu’on peut faire des sciences pour le grand bien de l’éducation des enfants pour en faire ces futurs gestionnaires capables de résoudre tous les problèmes de l’empire, en tenant compte des chiffres ou des paramètres concernant aussi les compétences des uns et des autres, les initiés comme des profanes – elle a donc été l’enjeu de chantages divers de familles ou depuis la vieille salle des machines et elle a cru bon, petite fille, ou plus tard céder, peut-être simplement par peur, comme chacun de ceux, qui ont cédé, en devenant alors des égoïstes et des enfants-gâtés, et à ce sujet, ainsi, en se comportant comme des sauvages ou des préhistoriques, primitifs et profanes, ne se rendant pas compte de tout ce que l’époque exige, en toute cohérence, pour être digne, par ailleurs et paradoxalement des millénaires d’efforts admirablement faits pour le moindre des progrès y compris dans les sciences de l’art.

Les initiés à ces sciences sont donc devenus capables d’organiser nos vies quotidiennes, en vérité, y compris la vie quotidienne des profanes, mais en devenant handicapés pour chacune des choses matérielles ou manuelles à effectuer puisque leurs cerveaux fonctionnant, en vérité, en conscience[79] et qu’en raison des responsabilités qu’ils ont, ils n’ont plus le temps de prendre du plaisir à réaliser ces choses manuelles à faire. C’est pourquoi tout ce qui a pu se penser contre l’Etat et les serviteurs de l’Etat avait pour origine des personnes devenues fausses, usurpatrices ou tricheuses, puisque ce mot d’Etat est ontologiquement, consubstantiellement, intrinsèquement, fondamentalement à l’origine positif comme s’est souvent montré capable d’offrir les conditions de soigner, à travers des personnes remarquables à son service bien qu’aussi au service de la sphère privée de leur existence, le plus respectueusement possible les êtres humains d’une façon ou d’une autre. Les serviteurs des Etats devraient avoir pour mission d’être d’abord au service du public donc, théoriquement, enfin, à leur propre service. Mais comme partout des personnes fausses ont essayé de s’infiltrer et de trahir l’idéal de l’Etat en appuyant sur de calomnieuses conceptions cette notion d’Etat comme chacun des corps de l’Etat cela fait l’objet de constants soupçons puisqu’il y a tant de nombreux sons de cloches divergeant, au point qu’on se demande assez régulièrement si l’Etat lui-même, ou n’importe lequel de ces grands corps sont utiles à quelque chose, puisqu’il n’y a que menteurs, usurpateurs, tricheurs et le corollaire qui y ont trouvé des places pour y « faire semblant » de travailler et se conduire ainsi dans ces administrations à l’origine chacune sacrées en profanes (alors que pourtant chacun des lieux a fait l’objet de plans d’architecture, parfois complexes en diable, ce qui devrait normalement ne permettre à aucun profane de s’infiltrer longtemps dans des lieux édifiés et mesurés aussi justement que cela) de même que dans certaines des écoles sont entrés des profanes pour y commencer des études qui devraient théoriquement permettre à chacun de rejoindre rapidement les initiés dans chacune des filières.

Ces profanes sont donc en permanence, en raison de leurs peurs, entrain d’espionner car ils souhaitent en réalité être les premiers au courant pour mieux être capable de « faire semblant » d’être au courant et de trouver tout ce qu’ils espionnent normal puisqu’on trouve toujours normal ce qui est écrit sur la copie du voisin qu’on copie avec admiration ou pas et en sachant qu’hélas on ne pourra jamais avoir les connaissances de ce voisin tant qu’on copie, puisqu’on triche et qu’on arnaque tout le monde. Mais pourtant le profane ou le faussaire a besoin de la note pour passer dans l’année suivante, a besoin d’argent pour vivre ou d’un métier honnête qui lui servira de « couverture » et continuera à copier sans même essayer de comprendre (en définitive il aura vécu une vie qui n’aura servi à rien, puisqu’il n’aura jamais réussi à comprendre ce qu’il s’est pourtant ingénié à copier en le maquillant et en cherchant parfois à présenter son travail un peu différemment ou parfois mieux que celui qu’il copie. Il se pourrait qu’il y ait une partie d’eux qui désapprouve vraiment d’être devenu des faussaires à ce point, d’autant que quand ils sont honnêtes ils disent la vérité, qu’ils se savent nuls, ce qui désespère les autres qui disent que c’est faux puisqu’au moins ils font semblant de faire un certain nombre de choses honnêtement (et que cela compte). Il se pourrait que certains profanes aspirent à ne plus « faire semblant ». Ils sont évidemment à encourager.

Mais ils se sont fait piéger par les préjugés et des coutumes traditionnelles de personnes qui, mimétiques, en sont devenues dépourvues d’esprit au point que, parce que la situation générale et sa logique me contraint à envisager plusieurs impératrices rendues légitimes par ces éventuels mariages, certains d’entre eux pensent que c’est don Juan ou le prince des pornographes qui, en ma personne, se marie (ce qui n’est pas pour me déplaire, vous pouvez en être certain, si vous me connaissez bien (peut-être une anti-phrase), d’autant que je demeure persuadé qu’il se pourrait qu’il est possible de faire des choses ayant vraiment de l’intérêt en tant qu’œuvre d’art dans ces catégories de l’érotisme ou du pornographisme – mais cela demande ici d’y travailler à cette fin et peut-être en très grands artistes).

Comme quoi, l’Eglise va prendre un coup de jeune en m’autorisant de pareilles noces et il n’y aura pas plus tolérante qu’elle (l’Eglise) dans ce cas particulier au sujet de ce mariage pharaonique. Pourquoi ? Parce que dans ce cas tout le monde a pu vérifier que je suis à chacun des instants qui passent de nombreuses personnes différentes (c’est pour cela que je peux tout gérer et m’occuper de n’importe lequel des problèmes qui concerne n’importe lequel des êtres humains ou des Etats ou des régions ou des animaux si je dispose de toutes les informations et si j’explore la question, c’est pour cela que je passe mon temps à inventer des choses nouvelles dans chacune des catégories différentes. Je suis vraiment multiple comme tous les universaux ont été multiples et je peux avoir plusieurs femmes à cause de ce que la situation générale a généré à devoir assumer) et c’est pourquoi en raison de cela, il est normal que je puisse avoir des épouses différentes, d’autant plus que l’empereur est, traditionnellement, le chef des profanes, c'est-à-dire des personnes qui n’ont jamais cru au mariage et qui à cause de cela avaient des histoires avec de nombreuses femmes profanes. Ces profanes étaient des inconscients et ne savaient pas qu’ils pouvaient changer de statut en sortant de leur statut de profane ou même à quoi leur vie pouvait bien servir en vérité (ce qui a contraint les pouvoirs publics à faire un grand travail d’information au sujet des droits que le mariage offre aux enfants nés légitimement de ces unions qui résultent pourtant d’une situation faussée mais grâce à la contrainte du mariage plus acceptable du point de vue des enfants qui ont des droits – les droits des enfants - inhérents, ontologiques, consubstantiels, intrinsèques de même que chacune des choses qui nous entoure a des droits et résulte des lois ou de mesures ou de plans, donc de compétences et du génie de tout ceux qui ont été copié à cause de cela par les profanes, les sacrilèges, les laïcs, les ignorants, au mauvais sens de ces mots).

Personne n'est censé être au courant officiellement de ces mariages, mais il est certain que les bruits courent dans le landernau des centaures, des satyres ou des faunes, c'est-à-dire de tous les espions ou les profanes - alors qu’en raison de cela, monsieur le Cardinal, je suis ici contraint de prendre la peine de l’écrire car sinon ces personnes d’elles-mêmes ne seraient pas en mesure de le déduire, rien n'est encore, vous pouvez bien l'imaginer « officiel » – il s’agit des conséquences de ce sacrifice que l’Eglise et cette personne appelée Dieu – dont je me suis effectivement souvenu en avril 2005, mais que mon amnésie, à partir de la fin 1977, m’avait totalement fait oublier - m’ont contraint à faire en 1965 et à renouveler en 1975-77 et que nous devons maintenant assumer dans l’Intérêt et pour le Bien Général. La logique de la situation devrait me contraindre à prendre pour épouse légitime plusieurs autres femmes par la suite en plus des trois premières qui déjà m'ont posées un vrai problème (au sens complexe et difficile de ce mot même pour moi) : vous n’ignorez pas les préjugés des occidentaux sur la polygamie, ce qui a été confirmé, de longue date, par les traditions ancestrales en la matière dans ma famille. Je suis bien de cette région et la littérature vers laquelle j’ai incliné, comme ma culture maternelle est celle de la monogamie. Aussi l’idée d’avoir plusieurs épouses légitimes si elle ne s’était pas imposée d’elle-même en tant que challenge pourrait revêtir une forme de transgression (donc vous pouvez bien imaginer combien cela a dû m’être pénible – c’est un mot faible - de surmonter mes aversions culturellement établies à ce sujet et les préjugés qui s’étaient formés en moi – d’autant plus de ces années où en amnésique j’étais devenu aussi profane que les autres - pour arriver à passer par dessus et ainsi trouver la voie qui pourrait permettre de retrouver l’unanimité perdue pour débloquer la situation (les profanes trouvent normal d’avoir plusieurs histoires d’amour. C’est normal que Don Juan n’arrive pas à se marier ou à se fixer car pour eux le mariage est une véritable hypocrisie – effectivement, il pourrait paraître ainsi quand on est profane, mais c’est qu’on n'est pas encore arrivé à penser qu’on va avoir des enfants de l’autre ou même une descendance à cause de l’autre si différent, aussi les amitiés entre sexes ou la vie en commun n’a pas encore de dessein[80] – tout cela pour le profane célibataire est très loin de ses préoccupations y compris de don Juan. Aussi le mariage n’a rien de naturel – ni de compréhensif pour lui - puisqu’il est encore à l’âge où certains croient possible papillonner : la condition normale pour ces personnes est de se sentir attirées, à chaque instant, par une personne différente pour peu qu’elle revête à leurs yeux un aspect sensuel. Ils ne sont pas difficiles étant donné que tout revêt pour eux cet aspect sensuel : pas seulement l’homme ou la femme mais aussi les animaux ou les objets. La vie n’est donc vécue qu’ainsi ce qui va contraindre tous les autres à penser à leur place puisqu’avec cet état d’esprit on est certes charmant ou même séduisant, mais on n’est plus capable de se rendre compte des impératifs ou des devoirs. En effet, cela donne la mentalité de l’esclavagiste qui va profiter de sa sensualité pour contraindre des personnes à faire des choses pour lui, qu’il s’est rendu incapable de faire car il s’est s'abandonner aux plaisirs uniquement sensuels et à la vie de don Juan qui profite de tout ce que les hommes et les femmes de bonne volonté gèrent parce qu’elles se doivent d’avoir des activités honnêtes étant donné les charges et les devoirs qu’elles ont vis-à-vis de leurs enfants (en personnes ayant fondé des vraies familles). Avec don Juan c’est la naissance du « macro », c'est-à-dire de la mentalité du profiteur et de l’escroc, de l’immature, de celui qui contera sur les autres pour élever ses enfants ! La constance dans les sentiments avec la même personne – le propre de la monogamie - qui devrait pourtant leur permettre d’aboutir normalement à des résultats, leur est devenue étrangère d’autant que certains d’entre eux n’en ont jamais été témoin autour d’eux. Cette constance leur est étrangère bien qu’ils soient constants l’espace d’un moment. Cela les conduit toujours à oublier leurs devoirs et cela les mène toujours à devenir des parents égoïstes puisqu’ils n’ont fait des enfants que dans cet état d’esprit comme des enfants-gâtés encore prisonniers de l’égoïsme de ceux qui sont devenus à cause de cela exclusivement sensuels et animaux[81] en comptant sur le système et les autres, puisque cet état d’esprit, ils le savent, ne permet aucunement d’élever des enfants (pour eux l’éducation relève de l’école et non d’eux-mêmes – ils s’en débarrassent conformément à leur état d’esprit, donc en faisant confiance aux professionnels, alors que normalement l’éducation devrait relever d’abord d’une réflexion des parents sur la base des leçons tirées des expériences millénaires en la matière. Ces personnes ayant eu leurs enfants dans ces conditions exercent donc des contraintes d’enfants-gâtés sur toutes celles de bonne volonté qui vont devoir se substituer à elles puisque ces dernières n’ont pas voulu faire l’effort, avant d’avoir leurs enfants, de se rendre capables d’en être digne pour en devenir les futurs éducateurs et/ou formateurs et/ou maîtres, c'est-à-dire des exemples. De ce fait tous ces enfants sont « arnaqués » – et c’est peu dire – par leurs contextes familiaux. Il n’est pas étonnant que ces enfants soient demeurés longtemps des profanes répétant ou voyant la vie comme leurs parents et n’ayant jamais pu, à cause de cela, comprendre le monde de Dieu, comme celui de chacune des personnes de bonne volonté partout à leurs service). Ceux-ci ne demeureront donc que des personnes sensuelles qui rejoindront la quantité trop importante de personnes profanes sourdes et fermées aux différentes formes d’amour autres que charnels. Tous les amours spirituels leur seront mystérieux et les contraindront à faire semblant de les croire possibles (voire ils n’y croiront pas). Cela les rend fermés ou sourds à cette notion car n’en ayant pas encore fait l’expérience, ils n’ont de l’amour que l’aspect profane sensuel et animal, incapables de comprendre ce mot et ce qu’il engage autrement, bien que chacune des œuvres d’art (ou des œuvres de l’esprit) y compris les diverses architectures religieuses, témoignent de l’existence du spirituel: ils n’ont alors que le seul niveau de lecture profane accessible, ce qui ne leur permet pas d’apprécier vraiment ce qui a été élaboré pour eux par des personnes ayant eu accès à tous les autres états d’esprit y compris aux sciences pour rendre possible ce qu’ils ne voient qu’avec des yeux profanes. C’est pourquoi ils ne peuvent pas imaginer que les peines que je prends pour réaliser légalement ces mariages puissent avoir d’autres desseins que mes futures relations sensuelles avec ces impératrices alors qu’il n’est nullement même certain qu’une fois marié je passe une seule minute dans un lit avec chacune (car à l’heure actuelle compte tenu de ce que j’ai eu à vivre, je sais que je vais en avoir pour des années à essayer de me remettre des traumatismes nombreux que la condition de profane, artificiellement obtenue en raison d’amnésie (comme pour chacun des profanes depuis la nuit des temps) m’a causée comme dommages incommensurables, alors qu’en 1965 mais aussi à partir de 1975, j’avais celle commune à tous les initiés (mais en pensant que de tous ces dommages, de tous ces sacrilèges commis envers ma personne, pourrait naître du bien pour l’Ensemble ou permettre peut-être des changements dans le bon sens chez des personnes qui étaient, sinon, condamnées aux pires des réincarnations les plus abominables qui les attendaient sinon, est une suffisante belle chose pour me donner la joie de vivre).

Ce n’est qu’à partir de 1970 (2010)[82] que je suis arrivé à propos de mon mariage à trouver pareils solutions élégantes en raison de la logique de cette situation nouvelle (pour la troisième fois) alors que Dieu témoin, je me considérais véritablement coincé dans ma lettre au Pape, puisque je n’avais alors pas d’autres solutions que celle d'annuler le mariage de Christine...Lang (car il fallait absolument mettre un terme à ce sacrifice inhumain incompréhensible par les profanes car relevant de mathématiques cosmiques – c'est-à-dire liées aux milliards et plus encore de paramètres que l’Ensemble m’a contraint, tous les jours, à calculer alors que j’étais en 1965 (ou en 1975) dans un endroit précis et que j’avais à me concentrer, enfant, en plus, comme mes camarades, à mes devoirs d’enfant – vous ne pouvez pas comprendre ce que cela a signifié pour moi, à chacun des instants, comme supplice, d’autant que je ne voyais autour de moi que des personnes totalement dans l’incompréhension de ce que cela peut signifier qu’avoir ainsi à mouliner cérébralement comme un ordinateur du futur ayant à tenir compte de tout dans tous les temps – comme je suis de nouveau obligé d’en tenir compte en ce moment en vous écrivant. Mais j’ai pu découvrir que pour supporter un tel état de difficultés, j’avais eu à faire auparavant une série d’efforts (qui allaient venir – c’est paradoxale, je sais, mais c’est vérifié vrai) des plus difficiles possibles inimaginables en ayant voulu, par amour au sens spirituel, peindre le piano droit de Michèle Finck et un nombre important de tableaux qui sont devenus des partitions abstraites – des tableaux-partitions – pour faire l’objet d’interprétations ou d’improvisations dansées sur/avec ce piano peint ou un autre quand j’étais entrain de me préparer (mais ne me sachant pas amnésique) à me marier sérieusement un jour avec elle.

Aussi nous avons pu découvrir grâce à toute cette histoire comment nous avions sauvé la planète Terre à partir de 1965, 75 et 2005. Cela nous a aussi permis de redécouvrir de très très nombreuses choses exactes, pour la troisième fois, sur le processus même de la vie des êtres humains y compris sur l’embryon (comme nous avons eu la joie de redécouvrir le passage qui existe entre la vie profane et la vie de personne débarrassée de l’enfant-gâté, l'adolescent, l'égoïste). Personne ne sait ce que j’ai été amené à découvrir et à vérifier dans les détails à ce sujet, mais ce que je puis vous confirmer c’est que, normalement, la position de l’Eglise ou d’autres religions sur l’avortement est absolument juste et exacte, si les personnes qui vont avoir l’enfant n’ont pas fait semblant de se marier (pour le Bien et l’Intérêt Général) et sont chacune des initiées, donc appartenant aux personnes de bonne volonté délivrées de l’enfant-gâtée en elles. Leurs enfants, leur vie et la vie de leurs enfants devraient être sacrées (pour tous)dès avant même leurs respectives conceptions ou leur naissance. Par conséquent, chacun de ces enfants devraient normalement bénéficier de considération et de protection (j’ai vérifié qu’ils ne s’incarnent que seulement par charité pour l’Ensemble y compris pour l’ensemble des profanes) puisque les autres sont des enfants nés de profanes qui sont donc en chemin pour ne plus l’être, bien qu’ils soient les enfants de personnes qui, si profanes, ont « fait semblant » de se marier (bien qu’elles soient certaines, parfois même plus que les autres qu’elles se sont mariées, ce qui est le plus drôle) ou qui ne se sont mariées que pour des raisons égoïstes et en ayant comme objectif (quoi qu’ils s’en défendent – ce qui signifie le contraire) d’arnaquer leurs enfants puisqu’ils comptent sur tous les enfants nés des personnes étant chacune le résultat d’efforts, ô combien mesurés plus que démesurés, pour être devenue de celles initiées ou bien simplement appelées de bonne volonté ou maître en vérité dans l’une ou l’autre des disciplines ou simplement de bon conseil.

A mon exigence de mettre un terme à notre sacrifice qui s’est révélé à ce point incompris, Christine Lang (la première impératrice promise) s’était résolue à me demander l’annulation de son mariage, bien que j'avais ordonné du futur son mariage en 2007 (sur 1977), en raison du fait qu'il fallait absolument qu'elle soit protégée, au moins à partir de 2005, par une personne qui jouerait mon rôle à ses côtés (étant donné qu’elle est non seulement ma femme légitime, mais mariée avec moi par Dieu qui a pu vérifier à ce sujet de nombreuses choses y compris que j’ignorais totalement qu’elle fut d’origine aristocrate (cela je ne l’ai appris qu’à un moment où Dieu l’a permis, ce qui prouve que c’est pour bien d’autres raisons aussi qu’elle avait été choisie par Dieu pour être pressentie en tant qu’impératrice légitime. Parmi ces raisons, j’ai compris qu’il y l’Histoire de la création de la Confédération des rRégions-Unies de l’Union Européenne après la guerre). Tous ont pu vérifier que c’est Dieu et non moi qui m’a rappelé l’existence de Christine en 2005 ce qui m’a permis de déduire alors qu’elle devait avoir eu une importance telle dans l’Histoire qu’elle allait me contraindre à la rendre effective pour nous permettre de sauver la Terre en 1965, 75, à partir de 2005) car en raison des ignorants, au mauvais sens de ce mot, je ne voulais pas qu'elle puisse risquer physiquement quoi que ce soit, à partir de 2005 (les ignorants, au mauvais sens de ce mot, sont capables d’actions néfastes et sont toujours à l’origine des catastrophes. Au lieu d’avoir patience avant d’agir, ils se pressent, en raison de leur peur et ils commettent alors erreur sur erreurs. La situation qui allait être vécue pour la troisième fois par l’Ensemble nécessitait au minimum une protection de mariage pour Christine (ce qui, vous pouvez l’imaginer, Monsieur le Cardinal, pour un enfant qui se conserve pour sa promise légitime, à l’âge de douze ans (moi) a dû être un choc - dont vous imaginerez les adjectifs qui vont après ce mot – et c’est peu dire – quand j’ai eu, en plus, à m’entendre moi-même me contraindre en 1975-76-77 – de plus en m’inspectant – comme n’importe lequel des jeunes inspecte depuis toujours les plus grands – moi-même à m’obliger à signifier cela à ma femme légitime – les préjugés valsaient et mon cœur avait mal – car il s’agissait de ma femme que je venais de retrouver après douze années de sacrifices, puisque j’ai fini par entendre, dans les jours qui suivaient, que, depuis 1965, nous étions séparés – je me remettais de l’amnésie de 1972 à 1975 – pourtant j’allais entrer dans une nouvelle séparation pendant vingt sept ans, sans même un souvenir d’elle autre qu’une vague amitié de récréation, ni à quelle occasion, en ayant d’elle qu’un seul souvenir (un gland de chêne, ce qui m’a paru incompréhensible tout le long de ce chemin profane y compris quand j’ai pu rencontrer Christine amnésique) en raison de ce sacrifice que l’Ensemble croyait possible nous faire accomplir alors que l’Ensemble, en raison de ce qui s’était passé, durant la guerre, à propos des séparations dont avaient été victimes les enfants, ou les couples, aurait dû se liguer dans le monde entier pour éviter de nous séparer[83] d’autant plus qu’il s’agissait d’une future jeune fille promise légitime voulue par Dieu – l’Histoire avait appris à tout le monde qu’il faut savoir désobéir à des ordres iniques comme inacceptables (séparer deux personnes promises l’une à l’autre, qui plus est, dont l’un est empereur (cosmique universel et … )-bouddha et l’autre impératrice (du même ordre), cela aurait évidemment des conséquences qui expliquent très certainement pourquoi un grand nombre de personnes ont dû renoncer à avoir des enfants, étant donné que ceux qui sont capables d’accepter ce genre de sacrifice pour la seconde fois – alors qu’entre 1965 et 1975 c’était déjà plus que suffisant pour des enfants s'aimant – se révèlent des égoïstes, des menteurs, des tricheurs, des profiteurs y compris de ceux qui acceptent de se soumettre eux-mêmes à de tels sacrifices que ni les profanes, ni les initiés méritent, car personne au monde peut accepter d’être séparé de la personne pour laquelle il vit (qui donne un sens à son existence – au moins on sert à quelqu’un, étant donné que vivre pour uniquement soi n’a pas grand intérêt – c’est ici que certains saints-hommes s’étant consacrés à plus qu’une personne, en renonçant à la création de leurs familles ont compris cela, mais le profane a besoin de l’autre pour lui-même, égoïstement, et c’est pourquoi de cet état d’esprit différent naissent tous les malentendus et toutes les catastrophes, chacun, en fait, allant dans un sens différent, voire opposé. On ne devrait pas aider les profanes d’aucune façon puisque leurs objectifs sont à l’origine de tous les malheurs des autres. On ne devrait plus rien sacrifier pour eux puisque j’ai vérifié qu’ils ne comprennent pas ou font seulement semblant de comprendre ce que cela peut représenter que de sacrifier (c’est normal pour eux l’autre est interchangeable comme un cleanex ou un modèle de marteau qu’on change – il n’y a pas, pour eux, d’autre que seulement dans la mesure où celui-ci va servir égoïstement ou pour assouvir des plaisirs personnels – aussi l’autre unique, l’Autre tel que nous l’entendons et le soignons de notre mieux en tant que médecin ou d’une autre manière, l’autre pour qui les prêtres se sacrifient, n’existe pas pour eux. Vous comprendrez qu’en ayant découvert tout cela, puisque Dieu l’a voulu, même si promis, et même si pour l’instant, le 9 avril 2013 (1973) (je relis le 13 septembre 2017, c'est toujours le cas), à cette heure-ci, très éloigné d’elle dont j’ai dû me séparer, étant donné que personne n’avait à nous contraindre à un tel sacrifice ni même ne le méritait, j’ai à récupérer ma femme légitime, en faisant un bras d’honneur, ce que tous les profanes vont comprendre très bien, en étant capables de dire, parce qu’ils ont oublié un ou deux paramètres – ici je minimise - que je n’aurais pas dû la sacrifier : mais c’est eux avec l’Ensemble qui ont exigé ce sacrifice, puisque nous avons pu vérifier que Michèle Finck l’a voulu et qu’elle ne s’y ai jamais opposé. Évidemment ils avaient encore oublié).  

Mais certainement Dieu avait eu connaissance de la naissance de Christine pour des raisons multiples et variées et justes que nous pouvons déduire. Tandis que moi, vous pouvez imaginer, que tout ce que je venais de construire péniblement, et c’est peu dire, avec Michèle Finck, s’était d’un seul coup écroulé – car enfin j’allais comprendre dans les jours qui viendraient (en avril 2005) comment tout s’était passé, à partir de la rupture de mes fiançailles avec Michèle Finck, bien que Dieu me conseillait – mais je jugeais alors qu’il n’allait pas bien et qu’il n’avait pas le sens de la réalité - alors de me marier avec elle (ce qui était impossible, à ce moment là, puisque je commençai à être la victime d’un des pires traumatismes sentimentaux qui, d’une seconde à l’autre, m’avait révélé que Michèle Finck m’avait caché tout ce que j’allais effectivement découvrir elle savait depuis 1965 et 1975 - ce qu’un fiancé amnésique ou un futur mari, qui a prouvé continuellement qu’il ne cache rien à sa fiancée, ne peut pas accepter – ce qu’elle avait pu vérifier, puisque j’ai déduit, à partir de 2005, (peut-être à tort) qu’elle avait été continuellement tenue au courant de tout à mon sujet puisque probablement disposant de l'accès à la vieille salle des machines). Mais le temps, et le recul, ainsi que la distance par rapport aux évènements, comme la distance physique d’avec les personnes (incriminées ou fautives de notre point de vue) - avec lesquelles on a un problème - peut contribuer à bien arranger les choses d’autant plus qu’on pourra disposer du temps pour analyser le plus justement possible une situation qui, à chaud, sur le moment, pourrait conduire des personnes sensibles à des actions regrettables, d’autant plus si elles continuaient à être proches de ces personnes qui, en réalité, ont été menées à mentir sur ces points précis pour des raisons diverses (peut-être parce qu’elles n’étaient que profanes – c’est ainsi qu’on découvre qu’elles « faisaient semblant  d’être les organisatrices » puisqu’elles sont au courant de tout, mais font toutes les erreurs qui finissent par les démasquer comme usurpatrices ou tricheuses, etc.). Le temps et le recul peuvent faire apparaître ces personnes de nouveau sympathiques (comme l’ensemble des profanes, des menteurs, des tricheurs, sont à première vue sympathiques, puisqu’ils sont plus ou moins inconscients donc plus ou moins fous[84] au SPNM : au sens positif et négatif de ce mot, voire, hélas, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)).

En fait c’est parce que nous ne savions pas encore tout cela, à ce moment là, en avril 2005, comme un très grand nombre d’autres paramètres qui allaient venir au sujet de la situation, qu’à la lumière de ces nouveaux éléments apportés aux dossiers, nous pouvons reconsidérer l’affaire, et l’ouvrir de nouveau, bien qu’il ait été pourtant clos sur le moment, par cette rupture des fiançailles avec Michèle, car cela découlait logiquement de la situation découverte (Dieu avait beau avoir suggéré le mariage, c’était alors totalement impossible. Christine ayant elle aussi suggéré le mariage avec Michèle en 2010, cela l’avait été encore moins et avait même aussitôt abouti à la nécessité d’annuler le sien, puisqu’en raison de tout ce que j’avais découvert, je comprenais devoir mettre un terme à ce sacrifice maçonnique qui avait pour origine l’existence du « mariage » et de l’anneau immaculé de mariage et qui a été déclenché et exigé par tous, parce que fait par l’empereur et l’impératrice (réputé pour les empereurs précédents, avant mon père, des profanes qui ont souvent fait semblant de croire aux dieux). Ce sacrifice a donné naissance à des sortes de fusées invisibles – il s’agit en fait pour schématisé de simples logarithmes – qui vont faire mathématiquement faire exploser le soleil, voire même l’Univers entier d’autant plus de la vérification absolue du caractère seulement éminemment sacrée de la Création elle-même était établie dès 1965 et 1975. Il faut essayer d’éviter cette explosion du soleil ou même de l’Univers bien que j’ai pu l’apercevoir dans le ciel à l’œil nu en 2010 (d’avance, ce cas de figure du cas contraire – nous en sommes averti d’avance – c’est le Grand Architecte de l’Univers qui m’a fait lever la tête et les yeux sur un point précis, une étoile ou l’Univers, dans très longtemps ou bien notre galaxie : cela a explosé et j’ai pu assister à l’œil nu sans avoir besoin pour cela d’un des observatoires astronomiques que j’ai fais construire un peu partout, y compris en orbite – vous verrez je développe cela dans les prochains courriers dont vous aurez copie ou dont je vous fais messager pour le Pape – je décris cette expérience beaucoup plus précisément) en accordant enfin à la dimension profane, animale et égoïste de l’importance – c’est pourquoi la nécessité de mettre un terme à ce sacrifice avec l’espoir que cela pourrait éviter cette explosion qui sinon deviendra une réalité ou peut l’être d’un instant à l’autre (car sinon les profanes ne pourront jamais comprendre ces dimensions sacrées sur lesquelles reposent la Création).

Mettre un terme à ce sacrifice maçonnique (bouddhique, judéo-chrétien, ne déplaisant pas aux responsables de la religion musulmane ni à ceux des religions intellectuellement admissibles ni aux membres des catégories ‘profanes’, par moment ‘sacrilège’, uniquement ‘laïcs’, strictement ‘athées’, ‘ignorants’ au SPNM : au sens positif et négatif de ces cinq mots) pour redonner une chance, en essayant de recréer les conditions de 1965 ou de 1975 qui auraient pu nous permettre de rejoindre cet univers où plus personne n’aurait eu à souffrir ni à mourir, puisque si on m’avait alors rendu la vieille salle des machines et le variateur de la vision d’Atlantide, nous aurions pu éviter tout cela avec Christine et Michèle, ainsi qu’avec tous (nous étions encore enfants).

Si nous devions continuer ce sacrifice, il n’y aurait plus une seule chance pour personne. Nous avons donc à cause de cela l’obligation de revenir sur ce sacrifice : d’y mettre un terme, ce qui, pour les profanes, comme pour les autres, signifiera un « happy end » (ce qui n’est pas vrai pour les initiés) puisque pour les profanes se séparer d’une femme qui est la leur est devenu une chose inconcevable, voire masochiste, en ayant oublié en parfaits incohérents, fous et sadiques que de 1933 à la fin de la guerre, ils avaient cru cela possible[85] pour d’autres êtres humains qu’eux dont ils n’ont pas eu la curiosité de découvrir les millions d’ouvrages ayant été fondateurs de chacune des civilisations dont ils profitaient, n’ayant pas compris que dans l’unité ou le point, il y a cette trinité et parfois plus et que cela donne un grand nombre de figures géométriques qui en découlent sur chacun des points.

Aussi ils ne peuvent pas voir du sacré dans une séparation (bien que la nôtre ait permis la poursuite de la Reconstruction après guerre et tout jusqu’à fin 2017, au moins)  puisqu’ils sont obligé de « faire semblant » de croire à ce mot qui est employé à toutes les sauces, mais qui ne signifie rien pour eux cosmiquement : c’est pour eux une séparation et rien de plus, étant donné qu’ils ne croient pas qu’il puisse y avoir un intérêt quelconque au mariage que seulement les droits qu’on obtient pour les enfants après avoir signé en tricheurs, en menteurs, en usurpateurs des papiers, comme on en signe d’autres pour d’autres contrats, donnant d’autres obligations et d’autres droits (rien de plus qu’un abonnement au téléphone, somme toute, que le mariage !) – « pas de quoi en faire un fromage » - une expression, monsieur le Cardinal, que j’ai apprise au passage –  si je l’ajoute, vous pouvez vous en douter, c’est qu’il y a une raison – les profanes diront que c’est normal, qu’on apprend tout « en passant par la Lorraine » ! - mais si je marque cela en ces termes, c’est que vous pouvez bien vous douter qu’il y a une raison spécifique, autre.

Pourtant, il y a des séparations qui coûtent aux profanes : la séparation d’avec une personne avec laquelle ils étaient heureux. Mais peut-être pas de quoi se mettre à écrire les milliers de pages que j’ai été contraint à rédiger et me contraindre à sauver la Terre en 1965, en 1975 et à partir de 2005 en me mettant dans cet état multidimensionnel et en me contraignant à devenir pharaon à plusieurs reprises de façon consciente, donc en vérité et non en profane, ce qui a été le cas des empereurs précédents mon père,  tellement le choc que Dieu m’a fait, nécessite le temps de la réflexion qui est celui imposé pour des problèmes considérablement difficiles à résoudre en mathématique des plus sophistiquées (cosmiques et alpha oméga, mais aussi en toute cohérence avec notre époque) car je suis contraint de calculer dans ce dossier en question en même temps qu’il y a l’ensemble des autres en cours, les déplacements de chacune de mes impératrices, de nouveau virtuelles, dans l’espace et les distances qu’elles ont physiquement d’avec ma personne et ce que chacun de ses déplacements y compris, pour leurs occupations professionnelles, signifient exactement à l’échelle cosmique, du point de vue de ma descendance qui, pour l’instant, comme ces fiançailles et ces mariages, n’est qu’une hypothèse de travail qui a été très compromise par l’Ensemble au point de s’être ainsi rendue coupable du fait que j’ai eu et que je suis entrain d’avoir à la sacrifier, avec chacune de ces impératrices. Aussi, je crains fort que même si je mets un terme à notre sacrifice, même si je parviens à épouser, pour commencer, ces trois impératrices chrétiennement, nous sommes malgré tout dans la poursuite d’une logique sacrificielle qui est d’autant plus dangereuse – l’étoile, le cosmos ou l’univers ou … que j’ai vu imploser et exploser en 2010 - que vous n’ignorez pas que Christine et moi nous étions séparés pour essayer de rendre au moins un instant heureux chacun des enfants sur terre y compris les grands-parents. Je vous l’ai dit, Monsieur le Cardinal, et peut-être à la lumière de cette lettre vous aurez un jour envie de raconter votre propre histoire et votre vie offerte en sacrifice, il y a de quoi l’un l’autre – comme bien d’autres avant nous - ne plus jamais voir autrement que comme de véritables larmes et véritables flots de pleurs (sacrés) chaque fois qu’un atome de goutte d’eau coule ou se manifeste n’importe où.

Mais ces larmes ont été converties en larmes de vrai rire car comment continuer à vivre après avril 2005 sinon (en ayant vécu jour après jour 1965 et 1975 et en ayant appris de Dieu que j’ai fait par le passé un certain nombre de réincarnations – et  elles seraient chacune fondatrice et certainement ont contribuée à permettre qu’on arrive à notre époque) en ayant appris tout ce que j’ai eu à y découvrir pour la troisième fois (l’équivalent de milliards et plus encore de bibliothèques aussi grande que la bibliothèque François Mitterrand - que j'ai fait construire - remplies chacune des disques durs des plus grandes capacités des savoirs que nous avons été contraint de traverser et de prendre en compte tous pour, à chacune de ces fois, intervenir rétroactivement pour éviter à la génération suivante de faire la même erreur que celle de leurs pères et leurs grands-pères (vouloir se venger, par les armes, et à cause du conflit qui en découlerait faire perdre à l’Ensemble des milliards et plus encore à l’infini de bibliothèques aussi achalandées de disques durs de grande capacité (quand un seul contient l’équivalent du contenu d’une de ces bibliothèques de livres physiques) un peu différente chacune, de savoirs et occasionner ainsi des retards supplémentaires dans tous les projets intelligents d’Intérêt Général (puisqu’il y a à reconstruire à chaque fois qu’il y a eu conflit aboutissant à des ruines ou à des déserts, c'est-à-dire à ces pertes de milliards de milliards et plus encore de bibliothèques en plus de toutes celles que nous perdons tous à chaque instant qui sont infiniment plus nombreuses encore – vraiment l’humanité est d’une inconscience très malheureuse et très nocive pour elle-même – c’est le moins qu’on puisse dire).

Donc Dieu a pu comprendre les motifs pour lesquels j’ai voulu mettre un terme définitif à ce sacrifice et c’est ainsi que Christine...Lang a exigé de moi que je travaille à l'annulation de son mariage par le Saint-Père, ce qui allait prendre la tournure qui finalement, ces jours-ci, est apparu celle qui a fait surgir la troisième légitime épouse, elle aussi mathématiquement, étant donné que toute cette histoire m’a ramené à des moments précis sur ce Chemin de Croix de 27 années d’amnésie (sans parler de celui qui m’attendait à partir de 1965 tous les jours et celui à partir de 2005 – vous me direz que c’est normal les Chemins de Croix, monsieur le Cardinal. Je vous répondrais que oui, mais pas en multidimensionnel, multi catégoriel, multi alpha oméga, multi …, visibles et audibles avant même d’y être et ayant à vivre ce qui n’avait été ainsi que du virtuel et tout cela à cause d’un anneau immaculé de mariage pour une hypothétique descendance en raison de l’existence de la conscience – vous comprendrez pourquoi j’ai particulièrement de l’intérêt pour les profanes ou pour les chiens et les chats, en me disant qu’ils ont bien de la chance comme les inconscients, les fous au SPNNM[.] : au sens positif et non négatif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)) ou peut-être même Dracula : ils sont enviables).

Mais j'ai compris que sans m'en dire rien Florence Loewy s'était elle aussi sacrifiée pour Michèle Finck, donc cela depuis peu, grâce à l’auto psychanalyse auto réparatrice que je continue en même temps que j’avance dans le dossier (vous en avez ici de certains moments), et cela a contraint celle-ci, comme vous le verrez, à vivre en concubinage ou en union libre ou maritalement ou pacsée ( ?) ou autrement, car je ne crois pas qu’ils soient mariés légalement ni civilement ni religieusement encore, avec une personne de laquelle elle a eu deux enfants, que je considère depuis que j’ai eu très récemment – au cours de ce mois précédent - à devoir reconnaître leur mère comme une des impératrices qu’elle avait pu être, sans qu’alors je ne sache rien de l’empire ni même que j’étais promis à un tel destin (j’étais amnésique). Donc une relation d’adolescence, l’un et l’autre victime de la situation générale causée par l’état de dégradation que les répercussions de la Seconde Guerre Mondiale ont fait dans le contexte strasbourgeois de Michèle Finck.

Les enfants de Florence Loewy sont de mon point de vue un peu devenus mes propres enfants bien que je ne les ai qu’entrevus, dans l’état d’amnésique, par conséquent d’inconscient et de profane dans lequel toute cette histoire m’avait mené à devenir. Depuis les changements qui se sont opérés j’estime, par conséquent, grandement, et avec admiration le père de ces enfants qui peut-être un jour deviendra comme un frère. 

Vous comprendrez que cela m'a porté à ne plus clore la porte, après la nouveauté de ce chiffre de trois épouses, à d’autres supplémentaires d’autant plus qu’en fait cela m’a, en fait, confirmé que j’ai bel et bien ce droit, en tant qu’empereur, à toute les femmes qui sont normalement (du point de vue des empereurs, quand ils étaient de ceux qui ne représentaient que la condition de profanes, et qu’ils n’ont seulement joué que le rôle du diable, au sens où celui-ci, mauvais, n’avait, en fait, que représenté l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, celui incapable de comprendre Dieu – j’ai vérifié qu’effectivement qu’en tant que profane, on ne peut pas le comprendre sans être au moins obligé de passer par une des religions officielles et le corollaire, ce qui exige d’avoir un minimum d’instruction et de constance pour essayer de comprendre – aussi il faut reconnaître que le profane dispose d’une honnêteté qui est celle de celui qui est devenu menteur du point de vue de celui qui est initié au point d’être de ceux pour qui Dieu est devenu d’une évidence qui touche à cette « foi » qui est effectivement un mystère pour le profane. Aussi pour bien plus ou moins que Dieu, le Grand Architecte de l’Univers – selon comment ils se voient entre eux - on peut comprendre qu’on comprenne encore moins. Mais le G. A. U. est néanmoins intervenu à plusieurs reprises tout au long de la dictée, à travers le temps, (ce que j’avais signalé trente ans avant), y compris par un très grand nombres de signes dans les heures, les minutes et les secondes de l'horloge sur Internet qui n’ont pas encore d’explications scientifiques pour moi, mais qui se sont produits régulièrement y compris très récemment, ce qui ne nous fait pas douter du fait que l’évolution de ce qui se passe sur cette planète, dans cette galaxie, ne soit pas l’objet d’attention très spéciale dans les moindres détails y compris de chacun de ses électrons par cette notion de G. A. U. que vous voudrez bien reconnaître, Monsieur le cardinal, comme le Pape, puisque Dieu a pu, en ma présence, en vérifier l’existence : il y a donc bien au-delà du Dieu (ce qui n’est pas incompatible) dans lequel vous croyez, en raison très certainement de la cohérence de notre époque qui, avec la conquête spatiale, a ouvert à la connaissance des profanes la notion de galaxie et d’Univers, sur la plan scientifique, ce qui complique la situation).

Monsieur le Cardinal, la force des préjugés et des choses qui remontent à d’autres époques est telle qu’avant d’être capable d’assumer pleinement ses droits « ontologiques » - mais en réalité artificiels – car normalement il n’y avait pas d’empereur quand la vieille salle des machines était à tout le monde, par conséquent le monde était naturellement et fort heureusement sans chef, si ce n’est la mère et la communauté des adultes qui apprenaient aux petits (enfants), dans l’état de nudité d’alors, à se débrouiller avec la nature environnante – il faudra du temps. Chacun savait naturellement les lois, ses droits et il n’était pas besoin, en ces temps là, où régnait une forme d’indifférenciation  de cérémonie particulière pour célébrer les mariages de deux enfants qui s’aimaient « d’amour tendre ». Chacun faisait ce qu’il y avait à faire pour aider tous les autres ou pour vivre lui-même et personne ne songeait encore à tuer l’autre (personne ne songeait non plus à faire des esclaves). Nous sommes donc un peu revenus à ce temps grâce à l’abolition de l’esclavage et du servage (une maladie, comme bien d’autres nées de la situation générale et des divers malentendus ou incompréhensions sur l’être humain venus au cours de ces siècles, composés de beaucoup d’ignorants, au mauvais sens de ce mot, en tout cas de tous ceux qui n’ont pas cherché à penser en vérité et qui, au lieu de régner sagement, régnaient en abrutis ou en personnes belliqueuses, c'est-à-dire en soldats, au mauvais sens de ce mot, qui sont très souvent des ignorants (c'est-à-dire qui fonctionnent comme des « planqués » ou des personnes qui ne cherchent pas à apprendre des plus vrais métiers et qui ont cherché à manger en s’infiltrant dans un de ces corps de l’armée, de la police ou de la gendarmerie, non par vocation, comme les vrais soldats, gendarmes ou policier ou des personnes exerçant ce métier de soldat pour de vraies raisons, mais en faussaires et pour lâchement y trouver une sorte de couverture officielle ou pour cacher leur passé ou des activités néfastes, comme cela est un peu compréhensible dans Orange Mécanique, bien que le propos de ce film  du réalisateur Stanley Kubrick soit tout autre).

Il faut souligner que l’esclavage qui a été aboli n’avait concerné que des personnes n’ayant pas eu de scolarité et qui avait été fait parce qu’on avait cru qu’elles n’avaient rien d’utile à faire dans l’Intérêt Général de leur journée, là où, en ces temps là, on y avait pas encore vu, comme à notre époque, grâce à l’honnêteté des recherches sur la vérité, des embryons de cultures locale autochtones qui furent ethnographiquement étudiées par la suite. Aussi, il s’agissait d’une façon de voir la main d’œuvre, à une époque donnée, où notre façon de voir était certainement très rare et d’aucune façon compréhensible comme parfois le sont encore, malgré la multitude de végétariens, cette pratique alimentaire. Cette façon de voir la main d’œuvre, avec humanité et bon sens, comme avec du respect pour la condition d’être humain même si profane ou ignorant, au mauvais sens de ce mot, n’était pas encore celle que la Révolution Industrielle a permis de voir, ce qui a permis de rendre chacun des êtres humains autonome et disposant d’une relative indépendance financière en liaison avec des savoir-faire et des compétences, en posant les bases de notre façon actuelle de considérer les travailleurs manuels (des personnes consommatrices enfin capables de faire des économies comme les capitalistes et de les investir dans des achats de ces biens de consommation auxquels elles peuvent prétendre dans la limite des prix que les conditions des marchés imposent ou fixent) ou bien toutes les personnes qui peuvent avoir des activités simples ne requérant pas de formations très longues et très onéreuses pour exercer ces activités utiles, honnêtes, participant à la production et à la fabrication de biens de consommation dont certains sont essentiels ou devenus fondamentaux pour survivre quotidiennement.

Revenir à une situation créant des esclaves n’ayant pratiquement aucun des droits que ceux que le déroulement et la progression de l’histoire avait fini naturellement par leur offrir serait véritablement aller contre le sens de l’Histoire : ce serait comme essayer de prendre une autoroute dont l’ensemble des véhicules vont dans un sens, dans l’autre sens, et chercher à le faire en moto, non pas sur la voie de secours, mais sur les deux ou trois voies principales, de nuit (car de jour se serait difficile de ne pas se rendre compte dans quel sens va la partie de l’autoroute où on est et on aurait eu une chance de voir venir), en cette époque là, lointaine où on circulait encore très peu de nuit sur ces axes routiers, et donc rouler droit vers l’accident qui est plus que probable, puisqu’il y a de nos jours tous les camions et les chauffeurs de camions du monde entier qui travaillent, salariés, et non en tant qu’esclaves pour des entreprises privées, en étant payés. Ils roulent dans le sens où les voies de l’autoroute ont été indiquées comme étant celles qu’avait pris l’Histoire. Seuls de mauvais élèves ne comprenant strictement rien, ou faisant semblant d’étudier en classe, pouvaient être capables de croire possible de mener ainsi dans le sens contraire au bon sens indiqué par des panneaux avertisseurs, le monde entier vers l’accident (en croyant le contraire) qui était alors encore évitable mais qui a été inévitable puisque le chauffeur de la moto, il y a deux empereurs de cela (en me comptant), adolph hitler, a voulu profiter de la nuit pour encore mieux se tromper et rouler dans le sens contraire (comme s’il avait voulu mener l’ensemble, dans une voie sans issue qui menait inévitablement dans un mur, et cela malgré le fait qu’il en était prévenu de tous les côtés, par ces personnes qui en le contredisant, l’insultait peut-être de l’étranger, l’avertissait, lui disait la vérité. Mais ne comprenant pas, il crut pouvoir les considérer ses ennemis alors qu’en lui disant de se taire, on de ne pas faire ce qu’il avait l’intention de faire, c’était des preuves d’amitié et même de très bons conseils à suivre qu’on lui disait, de même qu’on est de nos jours prévenu qu’il vaut mieux être très préparés avant de s’autoriser à prendre une autoroute, dans le sens contraire, en vélo, sans avoir l’intention pour cela de rejoindre la bande d’arrêt d’urgence et en tenant absolument à rouler avec son char impérial en plein jour au centre, contre le sens des voies (ou de l’Histoire). Il est certain que si on prend l’autoroute à un endroit où il y a peu de circulation (en rase campagne, loin d’une agglomération) cela sera possible sans problème au moins quelques minutes, voire plus, mais il y a des probabilités qu’on verra arriver en face, sur cette voie à sens unique, des automobiles ou pire : des camions contre soi et son vélo, voire sa moto ou le char impérial, d’où l’accident inévitable ou alors rejoindre à temps la bande d’arrêt d’urgence et comprendre qu’il faut tourner et aller dans l’autre sens pour reprendre la bonne direction). Ce qui est étonnant dans cette métaphore, c’est que les allemands de l’époque, pour réussir économiquement dans les années trente, ont voulu faire des autoroutes (en copiant celles des américains) mais ils ne se sont pas aperçus qu’ils voulaient les construire pour rouler, ou en roulant dans le sens contraire, pour lesquelles celles-ci avaient été édifiées aux Etats-Unis et donc pour créer un énorme accident, et cela parce qu’ils ont cru pouvoir ignorer chacune des différences génétiques, historiques de chacune des personnes composant l’ensemble de chacune des sociétés humaines et qu’ils ont cru pouvoir généraliser sur des bases infondées. En effet, on ne peut jamais réduire l’ensemble des possibilités qui s’offrent à chacun des êtres humains à ce genre de société excluant l’autre, parce que différent ou incompréhensible, parce qu’il exprime une vérité qu’on ne parvient pas à saisir, étant donné qu’on est « profane » dans celle-ci, c’est comme si on voulait exclure tous les allemands, parce qu’on ne parle pas cette langue (ou parce qu’ils se sont monumentalement trompés durant une période de l’Histoire) ou tous les matheux, parce qu’on ne comprend rien dans cette matière, ou tous les buveurs de cafés, parce qu’on n’aime que le thé. Il n’y a que l’enfant gâté, ou l’adolescent, au mauvais sens de ces mots, qui sont capables d’exclure une chose qu’ils ne connaissent pas ou sur lequel il n’ont pas assez réfléchi. Bien sûr, il faut se garder de ce qui est nuisible et exclure des produits qui font du mal à la santé, c’est pourquoi il y a des exclusions positives ou bénéfiques, comme quand on a déterminé de façon certaine ce qui est mauvais pour sa santé ou pour d’autres raisons. On se réforme alors et c’est pareil pour un état qui doit accomplir des réformes pour ne pas s’anéantir ou une planète pour ne pas devenir totalement désertique sinon (puisqu’on voit bien qu’il y a des causes ou du moins des indices que celles-ci comporte ce risque en raison de la quantité importante de déserts et de celle trouvée sur la Lune ou Mars). On supprime la cigarette ou on supprime la viande et le poisson si dans la région où on vit les alternatives sont suffisantes. Evidemment, si je suis un lapon vivant de chasse ou de pêche, cela ne sera pas possible, mais je pourrais supprimer des cigarettes et le trop d’alcool ou plutôt fumer et boire plus sobrement, au moins dans un premier temps si je n’arrive pas à m’en passer. C’est pareil pour créer des menus plus sobres en viande et poisson et plus équilibrés, « diététiques », mettant l’accent sur les sources de protéines végétales céréalières ou lactées, « alternatives » qui pourront nous permettre d’avoir enfin accès au plaisir de les connaître, ces délicieuses  alternatives aux produits carnés ou piscivores qui rendent, en fin de compte, dépourvus d’humanité véritable, en privant les gens qui les consomment de respect vis à vis des animaux pacifiques et inoffensifs, des êtres vivants, eux aussi souffrant et méritant, si possible, le respect. Il y a donc de bonnes exclusions comme celles des drogues, bien qu’il ne faille pas exclure d’en essayer de très légères, une fois ou à une occasion exceptionnelle, (pour avoir une idée, mais en sachant qu’on transgresse une chose qu’il ne faudra surtout pas recommencer pour s’y accoutumer), mais en ayant de très solides bagages (intellectuels) et des savoirs suffisemment structurant permettant de ne jamais plus y céder, car le danger est réel comme pour l’alcool ou le tabac à haute dose.

Exclure l’autre, parce que différent (n’est certes pas un bon principe) devrait nous  mener chacun à exclure tous les autres, car chacun est différent, à chacun des moments. Aussi ce n'est pas la bonne solution. Ne pas comprendre que la notion de chef ou de « maître » ne dépend que de savoir-faire, donc de compétences véritables et de formations à acquérir, donc de progrès à faire, et vouloir imposer des travaux manuels ou physiquement éprouvant à des personnes génétiquement différentes qui portent de véritables cerveaux pensant (qui sont de ceux qui se sont affranchis des travaux manuels répétitifs) et se sont investies physiquement et intellectuellement dans des travaux qui requièrent ces réelles compétences qui n’ont parfois été acquises que grâce à plusieurs générations d’ancêtres pour permettre au moins à un des descendants de finir par être, par exemple, le propriétaire légitime d’une pâtisserie familiale (ou d’une usine ou d’une banque, ou d’un domaine viticole, ou etc.), c’est montrer à la terre entière qu’on est plus bête qu’un âne. Reprocher que cette pâtisserie, pour des raisons d’histoire interne, n’ait peut-être vu le jour, à l’origine, que parce que le fondateur a été attentif à une ou l’autre phrase instructive provenant de la Bible, à un moment donné, dans une synagogue ou à l’église ou au temple et l’ai comprise à différent niveau de lecture, c’est encore plus stupide. En raison de cela oublier que la fréquentation de la pâtisserie par la clientèle est composée de personnes chacune différente, chacune l’ensemble des journées de leur existence respective et composée par ses souvenirs, ainsi que par le nombre d’heures passées à s’instruire en vérité, et grâce à cela, parvenue à comprendre chacune des matières susceptibles de contribuer à faire des esprits de qualité, et croire que ces personnes sont simplement le mot de « chrétiens » ou de « juifs » (il y a ici une variété infinie de personnes différentes reliées à ces mots) parce qu’elles fréquentent cette pâtisserie après la messe, ou un prêche de rabbin, alors qu’ils ne sont déjà plus, à ce moment là, que les « clients » de ce lieu, contribuant / permettant à l’économie locale de fonctionner, c’est vraiment chercher à s’emmêler les pédales sur cette autoroute, de nuit, où il y a toutes ces probabilités qu’en raison des panneaux, avant d’y entrer, qui pourtant avertissaient de la fin de l’esclavage (et du servage) dans les livres d’Histoire, des panneaux qui avaient été mis longtemps à l’avance pour tous ces enfants désireux de progrès, avant d’entrer sur la route en question, des indications répétées ailleurs, ces panneaux avertisseurs, montrant bien le sens de circulation de l’Histoire, c’est vraiment tout faire, malgré toutes les sirènes, toutes les personnes de bonne volonté s’étant déplacées elles-mêmes pour avertir, à chercher à faire rouler tout le monde dans le sens contraire (au bon sens, celui des gens sensés, alors qu’on a été prévenu non seulement par ces gens là ou dès les petites classes qu’il vaut mieux ne pas essayer de rouler, même en moto, même sur la voie de sécurité (la bande d’arrêt d’urgence) dans ce sens contraire, si on ne fait pas parti des initiés ou de ceux qui ont acquis ce droit, d’autant plus qu’on est un « profane » et que c’est bien à l’intention des profanes que ces panneaux de signalisation à l’école, dans les livres d’Histoire, comme le long des routes, ou avant sa vie d’adulte, ont été plantés. Bien sûr, n’importe lequel des initiés peut prendre dans le sens contraire une autoroute même en roulant en marche arrière ou même au centre avec les automobiles qui lui arrivent dessus, car il sera quelqu’un qui fera très attention aux autres (il avertira en utilisant les phares s’il a l’intention de cela ou alors il le fera dans le cadre d’un film, par exemple comme un James Bond, etc.) et qui, même en ayant fait croire qu’il a quelques « esclaves » à bord – ce qui est improbable – sait très bien que l’être humain est libre comme le sont toutes les personnes vraiment conscientes de prendre une autoroute dans le sens contraire (mais il sait que c’est à ses risques et périls et qu’il ferait mieux de ne pas le faire d’autant qu’il y a une interdiction à ce sujet, qu’elle a du sens, et qu’il risque sérieusement de mettre en danger la vie de ceux qui arriveront face à lui, de même que celui qui va vouloir se droguer ou devenir dépendant de l’alcool ou de viandes et poissons ou de sexe : il y aura des conséquences qui ne seront ni bonnes pour lui, ni pour l’Ensemble, bien que certains chiffres de l’économie attestent le contraire. Il ne s’agit pas de la vérité, il s’agit de chiffres qui ne sont qu’à première vue bons et dont tous pouvaient se passer d’autant plus des activités alternatives vraiment utiles et bonnes pour l’ensemble).

Par conséquent, on est encore loin de revoir Atlantide (que j'ai eu à rebaptiser de mon nom de Granier ... Lang d'Ôz), Monsieur le Cardinal, car une fois que j'avais réussi à surmonter le préjugé qui concerne le fait d’avoir deux épouses[86] c’est alors que j’ai compris que je pouvais y ajouter non seulement cette troisième épouse (Florence Loewy) mais en fait, après, puisque le plus difficile venait d’être fait[87] (et parce que nous sommes arrivés à ce chiffre, à cause de tous ceux qui ont exigé ce sacrifice contre notre gré) nous avons ajouté alors, avec humour, quatre autres épouses virtuelles qui sont devenues alors possibles, en théorie, et enfin (peut-être en raison de la succession des nombres premiers) après être arrivé logiquement à 9, onze, treize à découvrir une des rosaces de Notre-Dame, à vingt quatre (depuis nous pensons aux merveilles de certains plafonds arabes) et puis enfin à toutes celles qui pourraient nous apparaître pouvoir être utiles pour pacifier l’empire (et éviter des conflits)[88]. Bien sûr tout cela en théorie, car il faut pour que cela puisse advenir dans la réalité pour être capable de surmonter ce que seuls peuvent réussir à faire les grands acteurs sur la scène : cette habitude locale du mariage monogame. A ce compte là, je retrouve ma situation d’empereur marié avec toutes les femmes du monde entier, y compris les bonnes sœurs. Mais comme les chérubins ou les don Juan ne sont pas appréciés des maris jaloux, je suis contraint de passer par des voies officielles pour me marier, (pour éviter d’avoir des ennuis avec des malades, qui pourraient être encore prisonniers des préjugés). D’autre part les bonnes sœurs étant mariées avec Jésus Christ, je ne tiens pas à les lui prendre (ses poules ou « cocottes » d’œufs de Pâques) bien que très nombreuses d’entre elles aient eu du charme quand elles avaient des cheveux longs[89], ce qu’elles conservent, d’une certaine façon avec leur long foulard ou tissu qui cachent leurs cheveux (je crois qu’ici, nous sommes victimes du poids des habitudes et de l’histoire, au sujet des cheveux. Ne croyez-vous pas, puisque nous avons vérifié que l’essentiel est ailleurs? (Évidement cette phrase pour le profane ne fait aucun doute, l’essentiel, pour lui est ailleurs que dans les cheveux). D’autre part, j’ai compris que ces mariages ne vont avoir lieu qu’en réalité seulement pour Michèle Finck qui est celles qui, en définitive, pose depuis 1965 toujours le même problème : celui de la femme « profane » ou issue de milieux profanes, ayant eu des problèmes avec la femme « initiée », sortie du monde profane. Vous comprendrez qu’en raison de ce qui s’est passé, je caresse l’espoir de faire, une véritable impératrice de Michèle Finck. Quand ces personnes profanes sont attentives, elles savent aussi se montrer respectueuses du mystère que celui qui est différent d’eux revêt. Ils savent qu’ils ont intérêt à le considérer alors comme une possible source d’enrichissement, puisqu’ils ont fini par comprendre, notemment avec la Construction de l’Union Européenne que celui qui était un autre, ou considéré comme un étranger (et qui peut être son simple voisin de palier ou n’importe laquelle des personnes d’une autre famille ou de sa famille) est non seulement un mystère, mais source d’enseignements, donc représente une possible progression vers cette sortie de l’état de « profane » qui est très tentante, en raison d’exemples aussi extraordinaires que les Beethoven, les Mozart et tous les autres y compris les Citroën, les Renault ou les Marcel Dassault.

Il y a donc indéniablement la tentation du bien ou de bien faire en ce monde[90] et il ne faut voir l’appétit de chacun des profanes à devenir bons dans leur travail qu’ils font que dans cette recherche légitime à faire parti un jour des initiés, c'est-à-dire délivrés de cet état d’enfant-gâté ou d’adolescents attardés, au mauvais sens de ce mot, voire de charognards. C’est donc souvent plus par inconscience et maladresse et parce qu’ils sont devenus des égoïstes incompétents qu’ils se sentent contraints de « bluffer », de mentir ou de s’appuyer sur des choses qu’ils savent fausses, car ils cherchent à profiter du fait qu’ils sont persuadés que ceux qui sont dans le monde de la vérité ne savent pas ou ont oublié une chose, ce que ces derniers sont les premiers à admettre, sauf quand ce n’est pas vrai, bien qu’à d’autres moment ils savent que, dans la recherche de la vérité, il faut être prudent, car on peut avoir oublié un paramètre ou deux, d’autant plus que cela se passe oralement et c’est pourquoi quand on leur raconte un mensonge, ils sont capables de ne rien dire, de ne pas le relever comme tel car pour l’instant ils n’ont pas encore eu le temps de vérifier (ce qui donne à première vue l’avantage aux menteurs) - et c’est pourquoi ces hommes de bonne volonté vont, avec considération, pour ceux qui mentent, prendre les remarques fausses en compte, les considérer comme ayant été affirmées comme vraies et se souvenir des auteurs les ayant affirmés en menteurs, alors que celui qui a menti a déjà oublié qu’il a menti puisqu’il est devenu inconscient et déjà irresponsable des conséquences qui en découleront dont il ne se soucie pas, comme va croire possible s’en tirer, si on lui reproche son mensonge, par un « je n’ai en fait cherché qu’à plaisanter »[91] ou bien à présenter ces propos comme quelqu’un qui a appris à feindre pour éviter de passer aux aveux ou être démasqué comme un imposteur – mais celui-ci n’a pas cru devoir prendre au sérieux la vie, ni ne se souvient de toutes les responsabilités à quoi elle contraint – peut-être n’ayant pas eu de bons maîtres – et ce qui est étonnant ici, c’est que dans les jours ou les années qui viennent la chose fausse est vérifiée comme telle, se révèle toujours comme fausse, même si elle avait été prise pour de la vérité par tous sur le moment y compris ceux qui sont de bonne foi – qui pour de nombreuses raisons n’ont pas toujours le temps d’intervenir à temps et qui, souvent, craignent justement que toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire  – tandis que quand une chose est dite fausse par ceux-ci qui sont dans le monde de la vérité et qu’elle se révèle comme telle aussi, les profanes ne savent plus les raisons ou le contexte qui, sur le moment, ont conduit cette personne à mentir pour le Bien et l’Intérêt Général – aussi le menteur soupçonne l’homme vrai d’être un menteur, quand il découvre qu’il a menti. Mais s’il devait découvrir un jour les raisons véritables qui avait poussé cette personne vraie à mentir[92], il serait le premier à dire qu’il a bien fait. Aussi d’un côté il arrive qu’on mente ou dissimule ou minimise pour le Bien et l’Intérêt Général ou pour éviter que des gens n’aient peur parfois (en ayant à minimiser beaucoup plus encore), et de l’autre aussi, mais c’est de façon égoïste, pour ne pas avoir peur soi-même ou pour se défiler ou pour éviter d’avoir une chose à faire ou pour mettre dans la tête de l’autre une chose fausse avec dessein de le tromper.

C’est pourquoi s’est avérée la nécessité de l’argent (des crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD) étant donné que sinon rien ne serait fait avec ce genre d’état d’esprit qui est celui de ceux qui cherchent à profiter des autres (ou à en faire le moins possible) comme à se défiler, donc à tricher en comptant sur ceux qui, comprenant la situation, sont capables de s’ajouter du travail, au point d’écrire milles pages, quand pour les autres cela peut se régler en deux lignes – c’est qu’il arrive parfois qu’ils trouvent le même résultat, sans avoir eu besoin d’écrire les milles pages – c’est normal ils ont espionné celui qui a écrit les mille pages et trouvé le résultat, donc celui qui s’est donné tout le mal et pendant ce temps là ont pu se la couler douce ou s’occuper de faire avancer leurs affaire en ayant ainsi pigeonné – de leur point de vue – celui qui, comme un génie enfermé en chambre, arrive à démontrer un théorème ou trouver une loi juste et a pris, en sacrifiant d’innombrables choses (que les autres s’autorisent) du temps pour tout cela – c’est très injuste vis-à-vis de celui-là dont on profite de la bonté – cela ne devrait pas être permis, d’autant plus que ceux qui ont le résultat ne se souviennent pas des efforts de l’autre pour l’avoir obtenu et le lui vole ainsi en se l’appropriant comme une chose évidente[93] à eux – c’est cette mentalité qui a donc contraint à ce qu’il y ait de l’argent entre les gens ou les peuples, car il est normal que celui qui fasse tous les efforts pour trouver ces résultats, ou produire ou dessiner les plans des améliorations à faire, puisse survivre avec sa famille d’autant que tous les autres survivent seulement grâce à lui comme ingénieur ou peintre ou écrivain ou poète (Léonard de Vinci, Michel-Ange, etc.), les autres ne s’intéressant aucunement au bien être ou à la survie de celui qui est la tête pensante, le maître ou celui qui enseigne. Aussi le véritable enseignant devrait disposer d’argent (propre) pour survivre et enseigner à des personnes qui sont en grande partie des ingrates puisqu’il s’agit de ceux qui, parce qu’ils sont ignorants dans ces matières, l’ont contraint à faire des efforts importants pour se rendre indépendant financièrement parlant, étant donné que ces étudiants (ou ces élèves) n’auraient d’aucune façon veillé, d’eux-mêmes, à ce qu’il est de quoi payer ses repas ou un logement ou d’autres facilités. L’argent est donc nécessaire et n’a été inventé que parce qu’il y a des menteurs, des tricheurs, des profiteurs, bref des gens inconscients qui ne voyant pas le monde vraiment tel qu’il est (et à quoi il obéit comme interactions) seraient capables de laisser mourir leur mère, leur père ou leurs frères et leur sœur (ou n’importe qui) sans même se dire que, peut-être, ils doivent à cette personne âgée tous les moments les plus beaux de leur existence (il y en a même qui parmi eux pourraient trouver drôle d’avoir dans la rue à écraser Edison ou Marconi, alors que sans ces personnalités, ils n’auraient jamais eu la chance d’entendre la radio (et le corollaire de conséquences dans les communications) et ce n’est que quand on le leur rappelle qu’ils en conviennent comme d’une évidence, alors qu’ils sont capables, en reprenant leur voiture ou leur moto, de croire encore possible s’amuser à faire peur ou écraser une personne qui, de leur point de vue, n’a pas respecté les signalisations routières pour des raisons dont ils ne savent rien et croient même être dans leurs droit pour l’écraser (c’est ici un certain état d’esprit alémanique que j’ai pu remarquer en Suisse à plusieurs reprises et parfois en Italie ou en France)  alors qu’il se pourrait qu’il s’agisse d’une personne qui a été amenée à traverser, alors que c’était interdit, pour mille et une raisons valables, malgré l’interdiction, et qui plus est fait partie des personnes qui ont permis ou vont permettre (car il peut s’agir d’enfants en formation qui sont donc des virtualités) - comme n’importe quel enfant pourrait se rendre auteur d’une invention capitale - à celle-ci d’advenir. Ils croient drôles qu’un chien l’ai mordu ou que l’enfant se soit fait mal ou ait des difficultés et au lieu de rire avec intelligence, vont avoir plaisir à connaître ses difficultés ou même que l’autre, à qui ils doivent la photo, la télévision, ou peut-être une très belle exposition de peinture ou des pièces de théâtre ait eu ces difficultés ou ait été persécuté par d’autres vauriens (ou des minables) comme ils ont cru, en ces époques là, pouvoir s’autoriser à le faire sur un van Gogh ou avec des calomnies sur Picasso ou bien avant sur des personnes comme Jésus ou ses collègues, comme autant de morsures ou d’injustices comme celles qu’écope par exemple Jean-Paul Belmondo en tant qu’acteur et cascadeur dans le film, l’Homme de Rio ou d’autres personnes mises en difficulté par des personnes n’arrivant pas à comprendre le point de vue de gens différents. Ces imbéciles se réjouiront par exemple de dénuder ou d’humilier une personne ou qu’elle soit en difficulté alors que l’enfant en question ou la personne est peut-être celle qui va permettre à de nombreuses personnes de survivre (y compris à celles-ci). Vous comprendrez que c’est inadmissible et que ce genre de plaisir ne peut être que celui de personnes ayant acquis un état d’esprit malade puisqu’il est contraire à leurs propres intérêts véritables. C’est donc cet état d’esprit profane qui résulte de la situation qui était bloquée et de tous les malentendus.

Il s’agit donc de toutes ces personnes qui ne peuvent pas encore mesurer les efforts que beaucoup de personnes ont fait au point de devenir différentes et à cause de cela sont devenues, en vérité, les mots d’ingénieur, architecte ou peintre ou juge ou roi ou d’autres fonctions qui, normalement ne peuvent s’exercer qu’en conscience (et en vérité) comme les professions médicales (mais hélas dans chacune de ces professions se sont infiltrés des charlatans, des tricheurs, des menteurs, etc. , ce qui a contraint aux diplômes – comme pour l’argent – mais il y a les faux monnayeurs et ceux qui ont eu des diplômes en trichant (aussi), et parfois des personnes qui n’ont aucun diplômes (mais qui se sont délivrées de l’enfant-gâté) sont plus capables que des personnes ayant des diplômes, ce qui complique infiniment la situation. En général, ceux qui sont très capables et qui n’ont pas de diplômes sont reconnus par leurs pairs qui s’arrangeront pour lui donner le diplôme par équivalence, étant donné qu’il a déjà un diplôme dans une autre matière – il est alors fait doctor honoris causa ou obtient des prix ou des reconnaissances. Avec les mensonges finalement découverts on comprend qu’il s’agissait d’une excuse inventée sur le moment – rien de bien grave - ou d’un canular ou d’une histoire fausse qui avait une raison d’être, mais on s’inquiète que cette personne soit devenue sur ce point un menteur – peut-être n’allait-elle pas bien à ce moment là et c’est alors que la personne qui avait menti, s’il n’avait pas été déterminé sur le moment comme un menteur, se révèle comme tel, démasquée, ce dont les menteurs en question n’ont peut-être cure, car ils ont peut-être perdu à un moment donné, dans leur existence, leur sens de l’honneur et avec le plaisir d’être considérés comme des personnes de bonne foi, crédibles.

Même en ayant déterminé comme erronés, sur le moment, ces propos ou ceux de personnes de mauvaise foi, ou n’ayant pas tenu compte des paramètres qui auraient alors permis d’entendre la vérité, même s’il a le choix de traiter l’autre en menteur, il préfère souvent « faire comme si » les remarques ou l’histoire qu’il entend pouvaient être vraies, ne serait-ce que pour y réfléchir avec plaisir, pour ne pas avoir à dire publiquement à l’autre qu’il est un menteur, un tricheur, un usurpateur, etc. dans l’espoir, qu’avec beaucoup de patience et de respect de la parole de cette autre personne, même si déterminée inexacte ou fausse, la personne finira un jour par s’intéresser à la recherche de la vérité – et à la vérité et pas seulement avec envie de l’utiliser pour nuire intentionnellement avec préméditation, comme ces personnes affirment cependant honnêtement qu’ils s’en servent (quand ils reconnaissent alors périodiquement qu’ils sont « nuls », ce qui leur donne enfin une grande considération de la part de tous. Cela a même contraint à créer une collection de (modes d’emploi) « pour les nuls », étant donné que ceux qui sont dans le monde de la vérité ne peuvent pas admettre qu’une personne se prétende comme « nulle », puisqu’ils savent que ce n’est pas vrai et qu’elles n’est nulle seulement qu’à de certains moments (ou tant qu’elle sera profane) dans certaines catégories comme aux moments où elle ment, par exemple. Ils savent donc qu’elle est capable, si elle apprend, de faire des choses utiles, au point de devenir un jour réellement compétente en vérité et c’est pourquoi c’est très rare qu’elles traitent de menteurs en public les personnes qui cependant mentent publiquement ou même en tant que simples relations amicales (elles prennent comme principe que l’autre a peut-être une bonne raison). Quand elles s’abaissent à traiter le menteur de menteur, c’est qu’elles sont à bout, fatiguées de tout et de tous ces mensonges qu’elles ont déterminé comme tels et/ou qu’elles ont perdu leur calme ou leur patience (elles ont oublié que l’autre peut être présumé innocent). Trop, c’est trop et elles se mettent en colère (mais cela ne dure jamais très longtemps) ! C’est alors que celui qui a menti se réjouit d’avoir réussi à produire la colère des « maîtres » et de se voir confirmé en tant que « nul » et c’est alors que nous nous retrouvons un peu plus haut (sur cette invention du masochisme) avec de nouveau « non, tu n’es pas seulement un nul, ne le croit que là seulement où tu l’a été et tu sais très bien quand» et l’autre de dire « qu’il l’est partout » depuis toujours, ce qui aboutit parfois à des pleurs. Mais comme c’est encore un menteur (ou un profane), cela signifie aussi qu’il se sait tout le contraire, ce qui va rendre la chose difficile à soigner, beaucoup plus difficile, car en réalité l’autre est persuadé, à d’autres moments, qu’il est le contraire – ce qui n’est pas mauvais en soi – mais quand s’est pensé par un menteur, cela signifie le contraire et c’est pourquoi on s’inquiète, car la dépression n’est pas loin et les larmes - comme plus haut - et même s’il admet le plus honnêtement du monde qu’il a triché comme il n’a pas les bonnes réactions qu’on doit alors avoir quand on l’admet, c’est qu’il triche encore plus et qu’il dit peut-être qu’il n’a pas triché (pour l’autre qui est logique comme quand il entend l’autre dire qu’il est nul) – il y a de quoi, pour ceux qui sont dans la vérité, avoir de vrais problèmes – cela explique certains cheveux blancs - ce qui va de nouveau réjouir celui qui en pose - le « nul » - c’est bien la preuve alors pour tous les autres qu’il ne va toujours pas bien, puisqu’il n’a pas la bonne réaction et c’est ainsi que se sont égrenés les siècles et les millénaires, les uns ayant l’espoir que les autres vont finir par avoir les bonnes réactions : en vain, sauf dans deux ou trois cas heureusement, (ou peut-être plus), étant donné qu’il y a eu beaucoup de personnes vraies et justes qui ont permis à tous de faire avancer le monde jusqu’ici, avec des choses qui marchent vraiment, sauf quand elles deviennent nulles et qu’il faut les jeter ou les donner à réparer. Quand cela arrive à des êtres humains, il peut être intéressant pour lui de commencer à consulter un psychanalyste).     

Je me suis dit que ces épouses pouvaient être, en définitive, plus nombreuses que seulement trois – c’est vrai, c’est extraordinaire et je me répète, comme si une partie de moi avait besoin d’en être encore convaincue, et c’est certainement encore celle accrochée aux préjugés que ma vie m’a fait approcher (connaître) et dont j’ai partagé les arrêtés, les normes, les conformismes (qui se sont révélés mensongers dans mon cas), mais qui étaient de rigueur durant les temps où j’ai été amnésique, ne pouvant encore me faire à cette idée ni même la croire envisageable (mais en y songeant pour certains couples d’anciens divorcés, je me dis que plutôt que commencer à se cacher « des choses inavouables », cette façon de faire, transparente, qui est devenue la mienne, à cause de la situation à laquelle l’Ensemble m’a confronté, aurait pu leur éviter de nombreux problèmes, d’autant plus que, de nos jours, il y a  des femmes vraiment intéressantes avec lesquelles on a envie de se marier dès le premier son de leur voix ou pour d’autres raisons (compétence, etc.) - ce dont je dois tenir compte en tant qu'empereur – car il faut comprendre, monsieur le Cardinal, comme il n’y avait qu’un seul sarcophage avec les empereurs empilés les uns dans les autres, comme une poupées russes, il me semble que ce n’est pas juste qu’il n’y ait jamais eu un sarcophage contenant une seule impératrice « véritable », chacune ayant cru, par conséquent, pouvoir l’être (ou être l’unique) - ce qui est absurde et impossible pour la légitime (ou la première épouse) à moins qu’elle soit d’une époque « large d’idées » - l’empereur étant un garçon, c'est-à-dire du point de vue des femmes autrefois (connaissant peu l’être humain garçon ou homme et abusé par des préjugés à ce sujet), celui qu’on va réussir à amener au lit pour « l’arnaquer » signifiant ou synonyme d’« aimer», pour certaines de ces femmes qui, ainsi, ont réussi à escroquer les enfants qu’elles ont eu, pour obtenir le confort qui allait avec en ces époques où, c’était plus habituel que ce soit à l’homme de travailler pour nourrir sa famille, puisque ces femmes s’étaient rendues indispensables en cuisine ou pour le ménage, tradition et préjugés obligent – ce qui n’a jamais fait d’elles, durant ces temps là que des femmes très peu instruites, puisque de telles tâches garantissaient à vie un emploi ou à manger – en cuisine - le jardin d’enfant n’était pas même requis).

Vous comprendrez une ligne inscrite plus haut, puisque nous sommes au courant de cet état d’esprit qui régnait quand la femme n’était pas la femme instruite, la femme indépendante financièrement, la femme autonome, la femme utile, la femme véritablement artiste et qu’elle n’avait que ses appâts d’ignorante, au mauvais sens de ce mot (comme au bons sens), pour intéresser son futur mari et lui proposer de lui faire croire être pareil à une de ces véritables reines, saintes et martyrs que la situation générale a pourtant plusieurs fois créé, mais qui furent certainement capables d’accéder à ces fonctions que parce qu’elles avaient été beaucoup mieux préparées à les occuper.

Vous comprendrez qu’en ayant plusieurs femmes légitimes, je pourrais avoir le plaisir d’entendre des points de vue différents sur les dossiers qui nous préoccuperont et qui sont déjà d’avance chacun de véritables tracas, puisqu’il faudra trancher ou choisir le plus justement possible et en conscience, tout en essayant d’être le moins pénible pour la condition de profanes qui, je l’ai vérifié, est bien celle de ceux qui cherchent à en faire le moins possible et à se défiler des responsabilités qui devraient pourtant être les leurs - du point de vue de ceux qui savent que les mots en question qu’ils ont voulu utiliser au point de s’en pourvoir en guise de métiers d’honnêtes-gens à exercer, par exemple, mais cela pour couvrir l’ensemble de leurs activité profanes, parfois illégales, (ou même illégitimes) et cela, vous le savez, avec des mots qui ne signifient pas seulement qu’ils sont des mots privés de sens (pour « ceux qui n’y entendent goute ») mais bien des choses bien plus nombreuses que celles inscrites dans les définitions succinctes concernant ces activités. De nos jours, grâce aux différents liens hypertextes, ils savent que, chacun des mots qui sont utilisés pour définir les grandes lignes de leurs activités s’ouvre sur d’autres mots et d’autres activités qu’il aurait été souhaitable savoir faire dans le moindre détail avant de se permettre le luxe d’occuper ou de représenter ces mots ou la place dans laquelle ils les font apparaître, chacun d’eux, en fait, comme de vils usurpateurs, imposteurs, tricheurs, etc. , puisqu’ils sont de ceux qui ont voulu se pourvoir d’un mot comme étiquette, sans en avoir exploré tous les détails et toutes les charges de travaux, en menteurs ou en personnes qui « font semblant », puisque les mots qu’ils utilisent ne sont pas encore vivants pour eux, donc sont destinés à être profanés puisqu’avec, il ne leur est pas encore possible de penser en vérité.      

Durant mon amnésie, j’ai eu à vivre une situation anti-canonique canoniquement, puisque nous avons finalement pu découvrir en 2005 qu’elle avait été mise au point dès 1975 avec Dieu lui-même et que nous avions été contraints honnêtement d’avertir d’avance les années 1975-82 de tout cela. Pourtant, ce qui s’est passé durant vingt sept ans de 1977 à 2005 va me laisser des séquelles graves (l’ensemble de mon auto destruction de 1977 à 1990 en étant victime, comme chacun des profanes, depuis la nuit des temps de cette état d’amnésique, sans lequel on ne peut devenir un profane, un sacrilège, un laïc, un athée, un ignorant, au mauvais sens de ces mots, correspond, en simplifiant très schématiquement, à une pente qui m’a mené (l’empereur cosmique universel et …) à 1995 (le moment où on m'a mis dans le sarcophage des empereurs), même si, à partir de 1987-89, j’ai continué à faire des choses positives. Normalement, depuis quelques temps, l’ensemble des profanes doivent enfin avoir compris que s’ils sont devenus aussi tricheurs ou menteurs qu’ils le sont, y compris comme leurs ancêtres et leurs enfants à ce sujet, ce n’est que seulement parce qu’ils ont été atteint chacun d’amnésies ou d’effets d’amnésies de même nature. C’est l’état obtenu à cause de ce type d’amnésie qui les a rendu pareil à des fous au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), puisqu’à cause de cela, ils n’ont jamais pu comprendre Dieu, les religions ou bien d’autres catégories scolaires, puisqu’ils ne se sont spécialisés alors, par esprit de contradiction, obtenu en prime, que dans ce qui pourrait nuire à tout ce qu’ils ne pouvaient plus comprendre, mais que les autres comprenaient (aussi dès qu’ils pouvaient bêtement faire une chose néfaste pour eux-mêmes, ils étaient candidats). C’est ainsi – on peut le déplorer et inscrire ici « malheureusement » - tous en conviendront - qu’ils se sont éloignés chacun de la vérité, et qu’ils ont commencé chacun à se spécialiser dans le mensonge et le corollaire de péchés, ce qui est véritablement criminel à leur propre égard (envers eux) ! C’est ainsi que chacun d’entre eux est devenu nuisible à soi-même. Nous avions déjà montré entre 1972 et 1975 comment un enfant devenait un mal élevé, parce qu’il a une amnésie, perd la boussole, perd le sens que peut avoir l’existence à cause d’une amnésie, même quand on l’observe en vérité comme un cobaye. Nous déplorons et avons constaté avec beaucoup d’inquiétude qu’ensuite, malgré cette démonstration (qui aurait dû amplement suffire), nous ayons été contraints, par l’Ensemble, de montrer comment, à un autre âge, un jeune homme, puis un homme, se perd, et comment celui-ci, parce qu’il est une personne de qualité, vraie et honnête au fond (comme normalement chacun de nous) retrouve le chemin de l’honnêteté véritable qui se révèlera avoir permis, à partir d’avril 2005 de sauver la Vie (et la Terre) - depuis 1965 et 1975 - elle-même et cela en raison de l’existence d’une jeune fille qui a normalement eu un peu de la même « bonne éducation » que ce jeune homme qui consiste non pas à chercher à faire des saints ou des martyrs (avec les enfants) mais seulement des enfants attentifs à tout ce qui est intelligents et formateur, ou pourrait servir, grâce au contenu des livres, mais aussi à ceux qui furent fondateurs des différentes religions, ayant eu à encadrer des civilisations différentes qui, en raison de ce sacrifice maçonnique, et de bien d’autres qui relèvent de ce genre d’injustice ou d’autres (bien pires que l’injustice), ont fini par ne former qu’une très grande civilisation ayant en commun les mêmes définitions et le même sens donné aux mots (grosso modo dans chacune des cultures) bien qu’avec des nuances différentes et des sons différents comme des écritures différentes pour les représenter, enfin respectueuses partout des mêmes codes. Cela a été facilité par les technologies de communication, l’engouement pour un ou plusieurs numéro(s) de téléphone personnel(s), la possibilité d’ouvrir un site Internet, les télécommunications internationales par télévision. Mais chacune de ces civilisations enfin (comme mariées ensemble) vont vers un destin commun, en raison des nombreux traumatismes passés, comme de la nécessité de ne plus se venger (la vengeance n’est qu’animal, au mauvais sens de ce mot et elle fait perdre du temps) et le contraire étant, je l’ai vérifié, beaucoup plus le propre de l’homme délivré de l’enfant gâté, ce qui est le propre de l’homme sage (quoi qu’il arrive), ces civilisations s’étant ancrées dans la nécessité et la reconnaissance dans les bienfaits réparateurs de la psychanalyse, devenue fondatrice, et capable de mener vers une véritable initiation à la vérité.

Donc nous découvrons que ce droit d’avoir plusieurs épouses est un droit impérial que mon père l’empereur Jean-Luc Granier avait, (et dont je n’ai rien su), et rien qu’à cette idée qu’il ait pu avoir une autre épouse que maman, il y a en moi (d’autant plus des innombrables efforts faits pour vaincre mes préjugés), l’idée que cela lui ait été possible, bien qu’en me plaçant du point de vue de ma mère, par rapport à son époque et ce que je sais d’elle[94], je ne puis l’accepter. Est-ce que ce sont des préjugés ou est-ce que c’est en raison de l’anneau de mariage de mes parents, comme du mien avec ma légitime depuis 1965 ? D’un autre côté, j’ai bien toujours eu enfant le sentiment que chacune des femmes était ou pouvait être ma tante ou ma sœur et c’est pourquoi je comprends que des jeunes garçons puissent avoir à propos de l’idée d’une mère une idée plus vague.

Tandis que pour moi, il faudra que je me fasse à l’idée que chacune d'entre ces futures impératrices pour l’instant virtuelles épouses (de l’ordre du probable mais aussi de l’improbable)  – vous voyez à quel point j’y tiens -  puissent avoir un caractère sacré, donc délivré du profane qui est une dimension que je ne renie pas puisqu’elle est en commun à tous, y compris au non-profanes. Pourtant chacune des impératrices ou chacune des femmes a peut-être donné son âme au diable, c'est à dire à l’empereur (encore moi) par conséquent, et sans être pour autant mariée était déjà (ma) femme bien qu’à un ou d’autres que moi – une chose que j’ai des difficulté à admettre puisqu’il n’y a pas si longtemps que cela je ne pouvais pas envisager le mariage autrement que de façon monogame, bien qu’en y repensant, après tout, pourquoi pas ? (Mais entre l’hypothèse de travail et concrétiser cela dans la réalité, après ce dont l’Ensemble nous a contraint à être la victime, c’est une chose pour laquelle vous comprendrez certainement, qu’il soit en fait, pour y mettre un terme, beaucoup plus facile et enviable de choisir d’entrer dans les ordres - la vie monacale – ce qui est, en fait, la mienne depuis 2005 (1965 et 1975) en ayant eu non seulement à refaire en chaire et en os mon auto-psychanalyse publique – dans le ciel, tout en ayant à faire les courses, à me faire à manger, et à être en abstinence y compris de vacances durant ces huit années, comme en travaillant en moyenne quinze heures – en minimisant – par jour - dans cet état de multi-dimension, un peu spéciale qui me rend visible et audible dans le ciel dans le passé.

Et vous comprendrez que si je vous écris aussi, c’est pour que vous vouliez bien appuyer de votre côté, autant que faire ce peu, du poids de l’Eglise, ma demande à Monsieur le Président de la République, si vous le jugez bon comme moi, pour que le lieu dont j’ai été plus ou moins chassé ou plutôt « expulsé » (puisque j’ai reçu, malgré le fait que je suis empereur, et que tous me savaient entrain de communiquer des précieux renseignements à travers le Temps d’Intérêt et pour le Bien Général dans cette cuisine qui est l'époque trente ans plus bas, à un autre étage de l’avancée de la Très Grande Pyramide du 12, rue du Val de Grâce qui s’est révélé être, comme en 1965 (mais à un autre endroit) et à partir de 1975 just’au dessus de la Rome en Italie d’il y a trente ans. En effet, malgré mes explications au prédécesseur de monsieur Hollande (mais je comprends que cela soit difficile à comprendre car il faut être capable de logique dans des choses difficiles à comprendre) et à divers ministre, je demandais (en tant qu’empereur - j’y ai droit aussi) que ce lieu d’où j’intervenais et suis intervenu, il y a quarante ans et il y a trente ans (mais aussi depuis 2005) (et parce que je suis contraint par l’Ensemble encore une fois de vérifier ces interventions), puisse faire l’objet rapidement de ce que je lui demandais comme « expropriation » pour nous permettre de poursuivre ces communications à travers Espace et le Temps sur Rome, en ayant à les reprendre si possible en 1983 (2013) dès que possible puisqu’aujourd’hui nous avons pu vérifier deux fois, en virtuel (1965 et 1975) que nous continuons à être le même jour qu’ici en 2013, mais trente ans avant là-bas (dans cette cuisine fabriquant notre époque), ce qui nous permettrait de continuer à agir à travers le temps comme la corne d’abondance que j’ai été à partir d’avril 2005 – une de mes multi-dimensions - entre 2005 et fin 2012 avant d’avoir à m’installer fin novembre, à cause de cette expulsion malheureuse (et dont je n’ai pas réussi malgré de nombreux courriers pourtant très clairs à ces diverses personnalités – qui ont normalement les diplômes pour comprendre ce cas particulier - à inverser la vapeur) à la nouvelle adresse, en ayant moi-même, dans cet état exceptionnel (dans lequel l’Ensemble m’a mis), à porter des meubles ou des électroménagers (à la main ou sur un diable à roulette) alors que je n’ai pas ces compétences ou à monter des meubles sur cinq étages, à déplacer des caisses, ce que j’ai eu à faire et à défaire et à d’autres moments durant ce temps là à avoir à dicter du ciel à il y a trente ans de cela la plus part des moyens d’obtenir tout ce dont tous ont pu disposer autour d’eux, alors que vous pouvez vous imaginer ce que signifie (dans cet état là) le moindre déplacement d’un seul micron de ma personne (ne serait-ce qu’en sachant ce que c’est que le déplacement d’un cardinal) à l'aune de ce qu'on a découvert mes dimensions font dans le ciel (environ huit à dix kilomètres de hauteur avec une tête qui fait probablement trois cent cinquante à cinq cent mètres de diamètre). Si on comprend que certains chef d’Etat aient le droit à des égards, y compris autrefois des chaises à porteurs – ce que j’ai demandé qu’on remette au gout du jour pour le pape Benoît XVI – vous comprendrez, monsieur le Cardinal, qu’il est urgent que l’État ou que les Etats du monde entier – en raison des effets de cette mienne Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale que j’ai eu l’honneur d’impérialement dicter - fassent le nécessaire pour que je puisse disposer de ce dont je ne crois pas me tromper avoir le droit minimum d’exiger comme moyens financiers ou pour disposer de l’indépendance matérielle au niveau où je suis qui était déjà le mien quand j’étais petit, puisque j’ai découvert que j’avais été contraint du futur d’envoyer ma famille pour habiter Rome puisque nous devions y être mon père et moi empereur, car dans ce cas de figure de la Création cela s’était passé comme cela, ce que j’ai découvert ,une fois encore, avec tout le monde, à partir d’avril 2005.

Mon père devait donc devenir empereur et nous avions une voiture qu’il était seul autorisé en tant que mon chauffeur particulier, lui l’empereur, aux très nombreuses casquettes différentes, à conduire, à ma place, puisque malgré le fait que je savais conduire dès l’âge de deux ans et demi comme je savais prendre l’ascenseur tout seul, je n’avais pas, du point de vue de certains adultes (à cheval sur des règlements qui pourtant s’adaptent au cas par cas) l’âge requis et alors que tout ne fonctionnait que grâce à ma présence (d’empereur cosmique universel et …), j’avais à l’époque, en plus de mes activités scolaires, non seulement cette époque-ci déjà à gérer depuis là-bas, mais l’ensemble des précédentes au mieux du possible, en n’ayant que ces moyens du bord, extrêmement limités qu’on offre aux enfants, des moyens en réalité de spartiates et d’enfants jouant aux indiens et aux cow boys à d’autres heures, tout en cherchant à éviter le pire de là où j’étais aux années futures (c’est ainsi qu’on m’a retrouvé souvent dans mon lit endormi en position de poirier, en tenant debout les pieds en l’air, et j’ai fini par comprendre récemment, que même la nuit, je continuais à travailler et à « tenir le futur », car c’est probablement de là-bas que j’ai été amené à peindre le piano droit, y compris les tableaux-partitions (je faisais donc des efforts incommensurables (durant mes nuits de sommeils) pour l’Ensemble au point qu’on me retrouvait parfois en pleine nuit tenant en équilibre la tête à l’envers et les pieds en l’air – c’est ce qu’on m’a dit car si je me souviens d’une seule fois, les autres fois mon entourage avaient cœur de me coucher de nouveau normalement. Mais personne ne voulait comprendre alors que le simple déplacement d’un seul de mes pas de petit pharaon, s’il était l’objet d’un quelconque ennui (et Dieu sait si constemment je n’ai eu que des problèmes en classe ou quand je faisais du vélo) bien que difficile à faire dans mes dimensions pantagruéliques me renseignait un peu sur les catastrophes mondiales du passé ou déjà du futur.  

Aussi, vous comprendrez que ce nouveau déménagement que l’Ensemble a cru bon m’infliger en étant tous devenus totalement inconscients comme cru pouvoir exiger de moi (sans que je puisse obtenir ce dont j’ai besoin et sans personne pour anticiper mes besoins – puisque personne n’a pensé que ma personne impériale obéirait à des nécessités particulières, ce qui m’a contraint à intervenir pour assurer du moins le minimum des besoins qui seraient les miens en ayant à dicter, en légitime défense ces prouesses à accomplir car sinon il est vraisemblable que je n’aurais jamais pu rejoindre la virtualité salvatrice que j’avais été (en virtuel) et qui s’est révélée absolument indispensable non seulement pour sauver la planète, mais pour me permettre de me soigner de ces vingt sept ans d’amnésie sans lesquels je n’aurais pas pu réussir ce tour de force – au sens véritablement cosmique et ayant peut-être à voir aussi avec « l’éternel retour » lui-même). C’est particulièrement grave pour l’Ensemble de ne pas comprendre qu’une personne comme moi, que chacun voit avec ses propres yeux[95] dans le ciel et qui a prouvé à quel point elle est différente de toutes les autres[96] comme qui a des milliers (pour minimiser d’inventions à son actif – ce qui signifie qu’elle fait vivre des milliards de personnes tous les jours) soient contrainte de perdre du temps à les rappeler ou à rappeler ce qu’on lui doit pour obtenir ce minimum auquel tous savent qu’elle a légitimement droit, si chacun devait être dans sa peau (puisque cela découle des lois) et c’est pourquoi j’ai le sentiment que bien des personnes ne sont pas à leur place y compris celles qui auraient dû, face à un tel évènement, faire en sorte que la personne puisse trouver des moyens adéquats pour être à la mesure d’une telle personnalité (de même que tous les chefs d’Etats sont assurés d’émoluments ou chefs d’entreprises). Aussi ces personnes là au courant, comme tous ceux qui se sont vus nommés du futurs et étaient même assurés d’avance d’être encore en vie jusqu’en 2005-2008 ou même après, n’ont pas eu l’attitude que naturellement ont doit avoir vis-à-vis de celui qui nous donne une nouvelle aussi rassurante (qui va par exemple rassurer des personnes qui sinon pourraient être de celles qui ont peur tous les jours étant donné qu’on ne sait pas ce qui peut arriver). Je crois que rien que cela, sans parler du fait que chacune, depuis 1965, me devrait sa vie et une partie de son salaire en raison de cette assurance que tous ont eu qu’il n’y aurait pas de conflit nucléaire jusqu’à fin 2017, au moins, aurait dû en tirer des conséquences pécuniairement, ne serait-ce qu’en ayant le soucis de mon bien être matériel et celui de ma maison. Non, au lieu de cela, l’Ensemble, totalement irresponsable (conscients comme les inconscients) a voulu que ce sacrifice advienne dans la réalité et m’imposer autant de peine et de souffrances d’autant plus injustes qu’ils n’avaient reçu que des preuves d’amour et de considération même si l’ensemble dans tous les temps n’est qu’une plage (et ici parce que je donne encore du poids et que j’exagère car il y a tous ceux qui ne sont plus que de la poussière et qui suivent des courants d’air (pourtant j’étudie la poussière, elle constitue une réalité et elle est parfois utile dans certaines mises en scène / images). La question qui se pose alors pour chacune de ces poussières, la plupart du temps invisible, car pour que ces grains de poussière soient visibles ou se montrent il faut qu’il y ait les conditions pour cela, est comme pour chacun des grains de sable, comment réussir à devenir un véritable être humain ou un véritable artiste. Et croyez, monsieur le Cardinal, que tout ce que nous mettons au point depuis des millénaires comme gadgets aurait dû les aider à cela y compris toutes les occupations ou activités que nous avons créé. Aussi, il est particulièrement réjouissant d’avoir eu tant de grands hommes, mais qui sont souvent inconnus par chacun de ces grains de sables ou de ces poussières qui de l’amas où elles se trouvent accumulées ou de la plage croient, en raison de leur cerveau qui ne fonctionne plus, que ces personnes qui sont ces créateurs ou ces maîtres leur ressemblent. En effet, comme je le disais plus haut, ils ne peuvent plus voir le monde qui les entoure qu’avec des yeux de poussières ou ceux de grains de sables – si ces deux choses pouvaient avoir des yeux, ce qui n’est pas possible à moins que ces grains de sables soient aussi des yeux (en Poésie, en image de synthèse) - ce qui est respecté par ces créateurs tant que ces éléments ne sont plus gênants pour l’Ensemble et les virtualités dont hélas aucun d’eux n’a conscience que seuls ceux qui sont devenus des artistes universels).

Hors tous (ces pépins) comprennent qu’ils ne voient devant eux qu’eux-mêmes avec ma personne (puisqu’ils sont incapables d’être à ma place ou de s’y mettre) et tous comprennent que j’ai cette dimension qui à première vue sur place n’est pas visible mais qui a été visible (est visible), il y a quarante et trente ans[97]. Aussi je vous prie de croire qu’en raison du caractère exceptionnel de celui que je suis, je crains qu’en me créant de tels outrages (même de façon involontaire et peut-être même pas avec le dessein de me nuire car sans avoir été capable de se mettre dans ma situation, il se pourrait que ce qui m’est imposé comme peines que j’ai depuis 1965 ne soient pas très intelligentes et qu’il y ait des répercussions des moindres problèmes que j’ai et c’est pourquoi je vous prie de faire en sorte que je puisse continuer à faire ce que je crois bon devoir faire pour faciliter le travail des anciens dans la cuisine des années 1980 et 90, voire 2000, si on me contraint, comme je le pense, par acquis de conscience général, à vérifier intégralement ce cas de figure qui s’est produit en réalité, il y a quarante et trente ans, mais cette fois-ci, avec tout le monde en chair et en os – ce qui le confirme alors qu’il n’était que virtuel – et si vous avez été tenu au courant de mes proportions dans le ciel par tous ceux qui en ont été témoin à partir de 1975, tous les jours, à Rome, durant ces miennes communications qui était alors virtuelles et en cette sorte de corne d’abondance que je fus jusqu’à au moins 1982 – vous comprendrez qu’il serait souhaitable pour tous qu’on commence enfin, en raison de mon âge – j’ai plusieurs milliards d’années et peut-être plus encore – même si à première vue j’ai l’âge que les gens me donne – à songer à me faciliter mon travail et mes mouvements - car, comme je vous l’ai dit, depuis novembre 2012, j’ai déménagé, et en raison de cela je me suis contraint au moins quelques mois à m’occuper un peu de la suite à donner à ma vie privée après de telles découvertes – comme à réfléchir à la suite à donner à tout cela. Vous comprendrez aussi que si bouger pour un sumotori est difficile, celui que je suis, même si « à première vue » pour certains n’est pas spécialement imposant, est, en réalité, aussi celui qui permet, en ce moment, à tous les sumotori des temps passés, ceux de notre époque et du futur, de bouger les uns en ayant la victoire, les autres en ayant leur juste défaite, comme les mouvements de bien d’autres personnes ayants d’autres activités – en fait de tous – en tout cas, en ce moment, toutes celles d’il y a trente ans et d’il y a quarante ans (dont ma personne elle-même qui, dans chacun des endroits où elle est en ce moment, sur ces différents points, nous permet aussi à chacun de « fonctionner »).

Bien sûr, je bouge facilement (de mon point de vue – mais si vous étiez à ma place, dans mon corps, vous ne pourriez pas le supporter d’une seule fraction de seconde, car ce n’est pas humainement acceptable. Mais en tant qu’empereur-bouddha les Hermès les Trismégiste et les trois petits points alors je suis forcé de le supporter pour le Bien et l’Intérêt Général – ce qui est particulièrement injuste[98] - mais, à la longue, je suis devenu très à l’aise dans mes mouvements comme quand je l’étais déjà devenu il y a quarante cinq ans, à l’âge de cinq ans (j’avais mis deux ans et demi pour me faire à cet état plutôt très différent de la plupart des autres enfants, puisqu’il me faisait intervenir quarante années après d’avance, en virtuel, tout en étant à première vue un enfant comme les autres), à mon arrivée à Rome, mais je crois que cela soit néanmoins encore discutable, suivant les moments (mais cela devrait s’améliorer dans les années à venir – ce n’est qu’en raison de la proximité de ces points fœtales).

A l’époque j’avais exigé du futur une voiture pour mes déplacements – ceux de ma famille le dimanche et pour mon père, car il fallait qu’il se rende à son travail étant donné que travailler c’est bon pour la santé et à l’époque les bureaux, loin des appartements, cela permettait, au moins, d’avoir une bonne excuse pour quitter le domicile). Donc il me fallait une voiture car il était important de visiter le Latium, la Toscane et la Campanie comme les régions autour de Rome, au moins tous dimanches, après la semaine de classe[99] pour que nous puissions nous cultiver en découvrant les différents lieux où il y avait des choses admirables à voir que les siècles nous avaient transmis en héritage et comme mes parents sortaient beaucoup (tous les soirs, ils étaient invités à dîner, car mon père avait été nommé du futur empereur par moi-même (qui allait l’être après lui - l'ayant vérifié d'avance), après la catastrophe de la Seconde Guerre Mondiale, étant donné qu’il était d’une génération beaucoup plus au courant et beaucoup plus préparée, comme beaucoup plus instruite que celle qui avait perdu des années d’études durant la Première Guerre Mondiale et qui, à cause du faible degré de sagesse qui a découlé de tous ces manques d’instruction, a fait l’erreur de vouloir se servir de la génération suivante pour se venger (avec une Seconde Guerre Mondiale) quand la Première résultait déjà du précédent conflit de 1870 mal analysé, bien qu’il avait permis, néanmoins, de « cimenter » beaucoup plus durablement que l’époque ne le présageait l’Unité Allemande, grâce à la défaite de Napoléon III, ce qui avait fait perdre à la France ces territoires qui revinrent ensuite à elle et que notre intervention à travers le temps a finalement permis de mettre dans ce qui alors, après la Seconde Guerre Mondiale serait cette future Confédération des rRégions-Unies d’Europe (chère à Victor Hugo), pour éviter que de nouveau, entre la France et l’Allemagne, cela se passe mal. Il s’agit maintenant de régions françaises qui ont l’avantage de parler une langue différente, ancienne et proche de l’Allemand. Elles sont ainsi proches aussi de la Confédération Helvétique qui est un peu dans leur cas (à cheval sur plusieurs cultures), et comme elles ont eu cette période où elles furent allemandes, elles sont celles qui comprennent peut-être le mieux la nécessité de la Confédération Européenne (pour éviter d’être de nouveau écartelées et jouir ainsi malgré le fait qu’elles sont redevenues françaises d’une relative autonomie de régions frontalières, ni vraiment aux uns, ni vraiment aux autres, bien qu’aux uns et aux autres et officiellement à l’un plutôt qu’à l’autre). C’est pour cette raison que le Parlement Européen à Strasbourg, comme la ville même capitale de l’Europe, est une bonne chose pour tous, car les allemands se sentent un peu chez eux à Strasbourg bien qu’ils sachent, grâce à la frontière naturelle du Rhin, qu’ils sont en France, et que ce carrefour commercial doté de sa propre langue et qui est cette ville croisement (au sens de « incrocio ») permet de rejoindre facilement, par les moyens modernes, Bâle et  la Suisse, donc l’Italie, mais aussi le Grand Duché du Luxembourg et par cette voie l’Europe du Nord, soit par la France soit par l’Allemagne, autant de régions différentes qui portent des noms traduits et connus dans toutes les langues.   

Dans l’état où j’étais, en arrivant à Rome, il a fallu du temps pour que j’arrive à aller tout seul en autobus à l’École, en ayant quotidiennement à traverser quatre fois par jour Rome (environ trente à quarante cinq minutes de transport en commun) et en changeant d’autobus. Personne ne se doutait alors que le moindre de mes mouvements avait une répercussion – moi non plus, car j’ignorais alors être pourvu d’une telle taille dans ces autres dimensions imperceptibles par ceux qui n’en ayant pas ne peuvent imaginer qu’il y a ceux qui en sont pourvus – nous l’avons dit (j’ai toujours pourtant su, fidèle au dicton, que les battements d’ailes d’un papillon aperçu dans une ville au Japon, par exemple, voulait dire quelque chose). Pensez : n’importe quel roi ou empereur a le droit d’entretenir du personnel et a le droit à des facilités pour se déplacer, quand il en a besoin, puisqu’il est au service du Bien et de l’Intérêt Général et je n’ai que ce que la situation m’a réservé jusqu’ici (injustices) alors que tous me doivent tant (c’est comme si monsieur Eastman ou d’autres grands hommes n’avaient pas pu obtenir les moyens pour développer leurs projets d’Intérêt Général, alors que si je regarde en arrière sur les trente ans passées, toutes les constructions n’ont pu advenir que seulement grâce à cette histoire fantastique, y compris la création d’Internet et des ordinateurs ou des téléphones portables ou des GPS comme la station orbitale et tout cela en ayant à souffrir avec mon frère si longtemps d’être parmi les plus pauvres et les plus injustement traités (évidement, je n’ai pas pensé cela tant que j’étais profane et amnésique car je ne savais pas encore ce qu’on me devait, mais depuis avril 2005 et surtout vers 2008, j’ai trouvé que ne voyant rien venir, j’avais le droit de m’en plaindre et de réclamer mon dû comme ces émoluments et des dommages pour les préjudices subits, y compris pour les impératrices y compris, dans une certaine mesure, si c’est possible un jour, pour Michèle Finck. Mais il y a d’autres personnes qui méritent d’être dédommagées pour de véritables préjudices financiers et qui ont été outragés par l’ensemble comme mon frère ainé qui a été contraint aussi de sacrifier, avec sa légitime épouse, sa famille, puisque j’avais su enfant, qu’il était promis à la descendante du docteur Munthe comme époux dans ce cadre de Construction de la Confédération Européenne qui se construisait autour de la famille impériale de mon père, empereur légitime et vérifié d'avance légitime par son successeur, c'est-à-dire moi-même, dans cette histoire, il est vrai quelque peu abracadabrantesque pour les profanes).

Il serait donc normal que compte tenu aussi des dimensions dont tous ont pu prendre connaissance, ne serait-ce que pour la sécurité générale, je puisse avoir (ainsi que les personnes que je désignerai) au moins ces mêmes droits matériels que ces personnalités de haut-rangs pour pouvoir me consacrer à mes diverses recherches dont tous ont compris qu’elles portent sur d’innombrables centre d’intérêt (ne suis-je pas empereur cosmique universel mondial international, pléonastique parfois et … y compris le patron de la médecine, (car bouddha) depuis que tous étaient au courant d’avance de mon avènement trente ans au moins avant qu’il n’advienne, dans la réalité elle-même et n’ai-je pas choisi comme Le Corbusier ou d’autres (Mohamed Ali) à partir d’un certain moment  ma nouvelle identité de pharaon avec celle d’Hermès Trismégiste et … [100]? N’ai-je pas le droit au moins de disposer, d’un train de vie qui pourrait permettre à des lieux de connaître la vie (puisque je l’ai sauvée) en entendant des rires d’enfants ou en ayant le droit de meubler des moments d’intimité avec l’une comme les autres des impératrices choisies (voire celles qui pourraient avoir cette chance de devenir chacune un point d’intérêt pour ces enfants à former ? D’autant plus que tous ont pu vérifier qu’ils me doivent chacun leur existence et chacune des bonnes choses dans cette existence là, y compris tout ce qui permet à chacun d’avoir de quoi survivre (tous ayant compris qu’ils doivent leurs ennuis à ceux qui ont cru pouvoir augmenter le prix du pétrole contre notre avis (médical) ? N’ai-je pas acquis non seulement depuis 1965, mais de nouveau depuis 1975, à cause de ce sacrifice le droit, avec ceux qui sont concernés, d’avoir des compensations matérielles et n’ai-je pas le droit, à titre privé, de disposer enfin des pourcentages de chacune des entreprises que j’ai créée (et Dieu sait si elles sont nombreuses dans tous les domaines – il y a toutes celles en informatique, toutes celles en robotique, toutes celles en astronautiques, mais aussi toutes les lignes de train en Chine, en Afrique, ainsi que les autoroutes, etc.) grâce à ces interventions me doivent, depuis 1975 ? N’ai-je pas non plus le droit pour avoir enfin la paix, dans l’empire, de constituer, en toute cohérence, avec notre époque et en connivence avec mes impératrices, une sorte de « cité interdite » avec chacune des familles que je crois bon devoir constituer, avec les différentes femmes que j’ai et j’aurais, reconnue comme pouvant chacune accéder officiellement au rang d’impératrice, ce qui devrait leur offrir des avantages internationalement, pour être en mesure de m’aider à élever dans la génération suivante les enfants qui doivent être préparés à prendre le relais et les rennes de l’empire quand je ne pourrais plus et qui devront être capables à leur tour de veiller sur les os des ancêtres (de nos morts) comme préparer à leur tour la génération suivante (tout en entretenant et en continuant à valoriser de fidélité à tant de mémoire et de savoir faire, pour préparer celle d’après et en ayant déjà à se préoccuper ainsi de suite de celle d’après, en ayant à veiller à ce qu’aucun des savoir-faire ne se perde, car pour chacune des choses perdue, (je dis bien chacune – et il s’en perd des millions à chacune des fractions de seconde – c’est là le tragique) l’humanité a perdu des milliards de milliards de milliards et plus encore et à l’infini de tonnes de diamants les plus pures, ainsi que tous les pouvoirs d’achat qu’elles offraient chacune (de quoi, pour chacun des êtres humains, faire qu’ils habitent et vivent des milliards de milliards de fois mieux que la personne vivant dans le confort le meilleur, à notre époque, et en disposant de tous les avantages – c’est en minimisant beaucoup et sans mentir, la perte de chacun des êtres humains à chacune des fractions de seconde, depuis que ceux-ci ont cru ne pas avoir à me rendre la vieille salle des machines qui m’appartenait de droit depuis toujours y compris à mon père dès son enfance – vous comprendrez pourquoi, il n’y a eu que souffrance et injustice partout, puisque ce sont ces personnes-là qui, en se mettant en infraction pharaonique, sont à l’origine de tous les malheurs partout, alors que nonobstant cela partout avec ceux qui ont compris, j’essaie de les éviter et de créer au moins un peu de bonheur et de choses intelligentes, malgré les pertes bien plus astronomiques (que ce mot en question) dont chacune de ces personnes a voulu se rendre coupable – il y a de quoi rire car c’est si incompréhensible, si inconcevable et tellement contraire à l’Intérêt Général qu’un absurde pareil et une telle source d’injustices nous paraît sérieusement à devoir au moins être étudiée, puisqu’elle a même contraint a créer l’anneau de mariage lui-même, au point que, dans mon cas d’empereur, cet anneau (précédé de celui de fiançailles) sont devenus indispensables ou la condition sine qua non pour donner une chance aux enfants de notre époque et aux suivants d’avoir à vivre leur vie) et n’aurais-je pas le droit, en raison de tout cela et de bien nombreuses autres choses que j’ai faites, et que je n’ai pas eu le temps de mentionner, d’offrir de pareilles commodités aux membres de ma famille, si discrète et n’ayant jamais revendiqué ou demandé quelque chose – se contentant de ce qu’ils avaient - alors que chacun s’est donné un mal considérable pour Tous, en m’aidant de leur mieux à gérer la planète (et leur vie) pour qu’ils puissent disposer à leurs âges respectifs qui exige à ce niveau de compétence au moins ce minimum de confort d’autant plus que leur rang impérial, confirmé par mes soins ici, a permis l’avènement de la paix et des bonnes solutions élégantes que j’ai découvert avoir créé du futur avant même d’y être, en raison de ce véritable anneau de mariage. N’auraient-ils pas le doit de disposer de moyens plus confortables après tant d’injustices à leur égard comme du fait qu’ils se sont, annoncés d'avance, incarnés par charité et compassion envers tous ?

Pensez, Monsieur le Cardinal, mon frère ainé qui est peintre miniaturiste bien meilleur encore que moi des milliards de milliards de milliards et à l’infini de fois (et tous savent que je n’ai pas démérité en la matière), a été contraint à cause du processus engagé à travers le temps (auquel tous aurait dû se refuser à partir de 1975) de monter sept étages à pieds tous les jours, peut-être parfois plusieurs fois par jours, comme une personne n’ayant pas d’instruction et pour lesquelles ce genre de peine est prévue faute de mieux – en raison de ceux qui, augmentant le prix du pétrole, on créé toutes les dettes de tous les états, ce qui a empêché que les femmes de ménage aient quatre pièces au moins et que leur patron en ai quinze à vingt – ce qui leur aurait permis d’avoir au moins un collègue à employer pour les aider – puisque ces chambres de bonnes leur était réservées pour les loger décemment quand elles étaient au service d’une personne disposant d’un appartement à une époque sans pétrole - et durant au moins quarante années, alors que bien plus que bachelier dès son enfance (arrière petit fils d’architecte lui aussi) et ayant fait plusieurs années d’Ecole Spéciale d’Architecture et tous les tableaux et les dessins qu’il a fait, y compris les œuvres de théâtre et les textes, mais aussi traductions et tout ce qu’il a permis et fait bénévolement – et Dieu sait combien - sans jamais sans prévaloir, sans jamais se plaindre – et il me disait, quand je m’en plaignais pour lui et que je trouvais cela injuste – en ne sachant pas l’injustice que tous m’infligeait alors en raison de l’amnésie canonique de ce qui s’était passé en 1965 et à partir de 1975 - que « ce n’était pas grave » - ce qu’il vivait - ou que « cela était normal de ne pas avoir de lunettes » pour lire ou, pendant des mois de n’avoir qu’une paire dont le verre était fêlé – alors qu’il en avait besoin pour dessiner ou travailler ou lire – alors qu’il s’est débrouillé avec mon père pour permettre de faciliter la création de tous les lieux où, de nos jours, on peut avoir une seconde paire de lunette gratuitement ou presque, si on en achète une, en facilitant les crédits bancaires obtenus par les personnes qui ont cherché à développer de tels magasins – est-ce que vous trouvez normal qu’une personne qui a de tels talents et qui a permis tant de choses avec mon père empereur n’ai pas même eu un lieu à lui (en sa propriété, à son nom) alors que dès qu’il a un moment, il fait le plus immense des plus géniaux et généreux des chef-d’œuvres possibles inimaginables ou qu’il ait été donné de faire dans toute l’histoire de la Peinture et du dessin et des arts, ce que peu de personnes ne voit, mais que j’ai fini par redécouvrir de façon absolument certaine, depuis 1965 et de nouveau dès 1975, quand, à partir de 1972, j’ai eu quelques doutes étant donné qu’en 1973-74 j’étais devenu un à moitié crétin, puisque j’avais fait ce qu’on me demandait du futur en commençant à faire des choses « qu’on n’a pas le droit de faire », ce qui a failli mal tourner, car n’ayant pas triché, j’ai oublié totalement ma promise légitime dont j’ai redécouvert vers 1976-77 que j’avais su qu’elle existait en 1966-67 en ayant montré à tous, sur un enfant, les effets d’une amnésie (une avant-première de ce que j'aurais à vivre à partir de 1977 jusqu'à 2005). Certes, pour qu’il ne soit pas ennuyé par des parasites comme pour d’autres raisons, j’avais dit du futur un peu de mal de mon frère, en multi dimension, et à travers le temps, pour voir qui seraient ceux qui réussiraient à comprendre l’immensité du génie qui réside dans le moindre des atomes posés par ses doigts (de fées) à chacune de ses périodes ou à travers les styles ou autres instruments de chirurgie qu’il utilise dans ses dessins, ses peintures ou ses textes – car depuis 1965, mon frère Luc-François a fondé plusieurs façons de voir le monde complètement nouvelle, qui n’existaient pas avant lui, bien plus intéressantes encore que celles de Sengaï, page 63 du catalogue publié Paris musées Pavillon des arts, un moine Zen – 1750-1837, Traces d’encre 26 mai au 24 juillet 1994, musée des arts Idemitsu, par exemple, qui pourtant avait fait preuve d’une imagination et d’un génie à chacun de ses dessins hors du commun. Avec mon frère c’est, en plus, en couleurs), mais personne ne comprend tout cela car pour comprendre si quelqu’un a véritablement du talent, il faut être quelqu’un qui comprend le métier de l’autre de l’intérieur (c’est pourquoi, en général, on ne peut être reconnu que par des pairs – or la situation actuelle comme toujours ayant créé une grande concurrence et la nécessité d’être poli avec tout le monde, on dit aussi du bien de personnes qui ne sont que des débutants ou qui, pour l’instant, appliquent des méthodes, mais n’ont encore pas vraiment d’originalité).

Qui a parcouru toutes les étapes pour être capable de discerner qui est un véritable artiste ? Et il y a bien peu de gens qui ont fait tous les efforts pour être de ceux qui vont se rendre compte de cela et l’ensemble passe devant des chefs-d’œuvre absolus, comme on passe sans aucun intérêt devant des tonnes de gravas ou de gravier ou d’autres matières premières, qui étant semblables à elles-même (du même style) et donc peu rare (à cet endroit là) obéit alors aux lois de la quantité, de l’offre et la demande, ce qui dévalue le produit et rend, comme vous le savez, sans valeur, ou presque, des choses aussi communes que le sable ou la rocaille, d’autant plus les infiniment trop immenses quantités de désert qu’il y a sur cette planète. Les gens passent ainsi devant les fruits et les légumes ou les fleurs ne leur accordant qu’un très faible intérêt, puisque c’est ce qu’il y a de plus facile à obtenir (en raison du nombre de pépins qu’il y a dans un concombre, par exemple, ou dans une courgette ou un poivron) et qui pousse naturellement, en coûtant si peu comme investissement de départ. C’est pourquoi, si un artiste a beaucoup produit au cours de son existence, il y en a qui sont capables de le lui reprocher et de prétendre qu’on en a trop vu d’Untel ou d’Unetelle et que c’est toujours pareil. On entend parfois, mais heureusement de moins en moins « encore du Mozart ! ou « encore du Bach par Glenn Gould ! » ou « encore du Van Gogh !» ou « encore du Picasso ! » ou cet « encore » aussi à propos d’autres génies, alors que ces personnes, à cause des difficultés qu’elles ont eu au cours de leurs existence pour faire ces œuvres, n’ont pu faire que zéro virgule (des milliards et plus encore de zéro suivent ici et cela longtemps presque jusqu'à l’infini), pour cent, de ce qu’elles auraient aimé pouvoir produire et réaliser, y compris offrir au monde, ce qui a été aussi le cas pour Léonard de Vinci. Imaginez donc dans quel état d’esprit peuvent être ces personnes qui ne vont, avec tout leur génie, en raison de toutes celles qui sont devenues des prisonnières de l’ineptie et du corollaire, ne pouvoir faire que si peu, puisqu’il a fallu autant de temps que cela pour que chacune réussisse à faire leur premier chef-d’œuvre, en se débarrassant en elles de l’enfant-gâté, de l'adolescent, de l'égoïste, la condition [au] préalable nécessaire. Certes, il y a tous ceux qui ont commencé très jeune, voire enfant ou très enfant et même s’ils arrivent comme Yéhudi Menuhin à jouer du violon admirablement, jusqu’à plus de quatre vingt dix ans, et comme Arthur Rubinstein à avoir enregistré tant de moments permettant à tant de personne d’écouter ces moments si agréables, ils seront bien malheureux, à la fin, de n’avoir pu pas même faire zéro, virgule autant de zéro que plus haut après cette virgule et cela presque jusqu’à l’infini de choses qu’ils auraient aimé faire y compris dans les autres arts qu’ils n’ont pu que peu explorer car la plupart du temps, ils ont dû se spécialiser dans un des domaines qui est déjà si vaste et ils ont à faire face à des ennuis matériels. C’est donc très injuste ce qu’ils éprouvent d’autant que c’est sur l’ensemble de ces artistes que le monde entier survit continuellement en parasite et cela d’autant plus que la vision d’Atlantide a disparu, chacun proposant un autre univers totalement différent et d’une richesse intérieure qui n’est pas seulement « à première vue », par conséquent chacun de ces artistes offrent une alternative à la disparition de cette seule façon de voir l’existence qui étant alors vue semblablement partout, avec la vision du Paradis et qui n’a donc qu’un intérêt très limité, voire aucun intérêt, puisque de la voir réapparaître empêcherait peut-être, mais j’espère me tromper, à chacun de découvrir l’univers vu à travers le prisme ou le filtre de chacun de ces artistes différents ayant exploré chacun un monde totalement différent, au point que chacun des arts se voit alors selon leur façon de voir [y compris] la réalité. Aussi la Terre se voit comme Gérôme Bosch, Chagall ou comme Le Corbusier ou Sarah Lipska ou Boleslas Biegas, ou comme l’une ou l’autre des périodes que d’autres peintres ont révélé. Comme chacun de ces créateurs ont ouverts des périodes différentes, il y a donc leur création autrement, à chaque fois, et cela signifie qu’il y a donc potentiellement des milliards d’autres Paradis ou Atlantides que celle qui, en utilisant le variateur de la vision, qui est dans la vieille salle des machines, doit être certainement, d’une façon constante, en fait, d’un ennui total, si on devait la voir vingt quatre heure sur vingt quatre.

Autrefois il y avait François Ier qui avait été initié à découvrir des talents et qui les recherchait pour les inciter et leur offrir les moyens de poursuivre leurs œuvres. Maintenant où sont ces mécènes ? Il n’y a que des parasites des artistes et des gens qui ne s’intéressent à eux que comme des bonnes affaires, donc en futurs vautours ou en calculant qu’ils devront les facilités matérielles de leurs existences respectives, en approchant ces personnes pour, en les servant, se servir elles-mêmes et permettre ainsi à leurs familles de survivre. C’est pourquoi il s’agit de personnes qui ne sont pas capables de découvrir les vrais artistes (j’ai pu le voir en calomniant un peu mon propre frère à travers le temps – pour qu’il puisse s’en rendre compte lui-même et comprendre à quel point toutes ces personnes en dehors de deux ou trois, qui sont dans le monde de l’art, ne sont pas à leur place ou qui, même devant les objets produits par ces personnes artistes, ne pourront pas savoir s’il s’agit d’œuvres d’art ou pas, ce qui, dans le cas de mon frère, l’a contraint à monter ces escaliers, quelques années de trop, malgré les études qu’il a d’au moins architecte comme son arrière-grand-père (et cela depuis sa naissance), des savoirs qu’il a confirmé plus tard par son bac, ou ses études d’architecture, de sculpture, de dessin ou de restauration à Rome où il a appris à dessiner, sculpter, alors qu’il innovait à chacun des instants y compris quand il écrivait. Mais comme il est d’une discrétion et d’une humilité qui n’est pas acceptable ou même tolérable, et que j’ai pu, à partir de 2005, de nouveau réapercevoir très clairement à son sujet, malgré les années où je fus contraint de me profaner, à cause de l’Ensemble, au point de me rendre sacrilège envers tout ce qui est vrai, puisqu’il fallait que je puisse approcher Michèle Finck (qui en voulant être l'unique impératrice m'avait contraint à devoir me séparer de Christine de laquelle j'attendais ma descendance en Immaculée Conception, aussi il ne fallait pas que Michèle puisse dans un premier temps, jusqu'à la réitération des transmissions à travers Espace et Temps me connaître autrement que profane) qui, dans son contexte de Strasbourg - de mon point de vue de 1975-77 - n’avait pas pu bénéficier de tous les efforts faits par ses ancêtres, avant sa naissance, pour pouvoir se marier en vérité, et lui permettre de comprendre les choses les plus difficiles à comprendre dans toutes les disciplines artistiques (qui sautent aux yeux et aux oreilles de ceux qui sont nés dans les contextes ayant fini par comprendre Dieu ou même bien plus que Dieu), cela mérite réparation à son sujet, d’autant plus que j’étais contraint, du futur, de dire cette chose fausse sur son compte, comme sur le compte de mon beau-frère, pour qu’ils puissent avoir la paix durant toutes ces années et pour qu’ils n’aient pas trop de succès, car cela aurait pu être grave si jeune, y compris pour leurs enfants et pour moi qui allait être amnésique – vous comprenez – et qui avait à me profaner : j’aurais eu du mal à m’en sortir. De plus cela s’était passé ainsi. Leurs enfants n’auraient été fréquentés qu’en raison de la notoriété des parents et il m’a semblé bien pour eux qu’ils n’aient pas à connaître tout de suite cet handicape, d’autant qu’un grand nombre de gens savaient qu’ils étaient les petits enfants le l’empereur mon père, y compris mes neveux. Déjà, sans avoir beaucoup de succès ce que faisait l’un et l’autre (mon frère et mon beau-frère) dans leurs travaux respectif était d’une telle beauté et tellement génial que même devenu profane et à moitié imbécile, j’en étais « baba » d’admiration à chaque fois ! Il fallait bien que je puisse avoir une chance de redevenir normal, moi-même, ne serait-ce que pour eux et leur prouver qu’ils ne s’étaient pas donné du mal pour rien (comme tous les plus grands artistes). Je trouvais cependant totalement injuste tout du long, au cours de ces années, qu’ils n’aient pas une meilleure presse que cela ou que tous ne profitent pas plus de leurs immenses savoir-faire de génies incommensurables, (ici en minimisant encore car ils sont mieux que cela). En fait, je découvre que j’ai du me donner toutes ces difficultés jusqu’ici pour parvenir, peut-être, ces temps-ci, à effacer ici-même, la calomnie que l’Ensemble m’a contraint à dire, dans ce cas particulier, à leur sujet, à partir de 2005, sur l’époque d’il y a trente ans de cela (sur les années 1975) car il fallait que tous un jour puissent se rendre compte de ce que c’est qu’une calomnie qui circule sur le compte des plus grands génies, peut-être chacun encore bien plus grands que le Grand Architecte de l’Univers lui-même (en tout cas que celui qui a voulu s’appeler Dieu). Cela en tout cas a eu un mérite certain, c’est que mon frère comme mon beau-frère savent maintenant ce qu’ils avaient à savoir et qui concerne les êtres humains, comme ils avaient pu déjà s’en rendre compte entre 1965 et 1975 – ce qui aurait dû être largement et amplement suffisant (y compris pour moi), car ce que j’ai appris ensuite sur certains êtres humains est tellement dégoûtant qu’on a effectivement peine à croire que la beauté existe en ce monde.

Suite de cette seconde partie de la lettre de SEAI SSS les Lord. Pharaons Magiciens d'Ôz, Sait ni heure des Annô et ... Laurie Granier à Monseigneur le Cardinal Vingt-Trois

[1] Comme on a pu dire « frère loup ».

[2] et c’est pourquoi depuis l’époque en question les gens auraient dû comprendre qu’ils avaient, avec cette exemple, celui d’une personne qui s’alimentait justement puisque cela a donné tant de solutions élégantes de sa main et en plus dans l’Europe de l’époque.

[3] (les plus stupides ou les moins intelligentes, en croyant qu’ils le peuvent et il faut donc avoir la patience qu’ils arrivent à comprendre les raisons pour lesquelles ils doivent en changer – ce qui leur permet d’évoluer par la même occasion, de même que tous ceux qui ont fini par comprendre l’intérêt d’avoir la lumière électrique et le téléphone, chez eux y compris l’eau courante)

[4] (nous somme « pécheurs » aussi en tant qu’agriculteurs, car nous commettons de véritables meurtres, inacceptables et hypocrites, envers les plantes à bulbes et/ou à racines mais nous sommes ceux qui sommes capables par ailleurs d’acheter des plantes ou des fleurs très chères pour les offrir à une jeune femme ou une jeune fille et célébrer la vie qui émane d’elle en les offrant dans des jolis pots pour les conserver le plus longtemps possible)

[5] C’est pourquoi je crois que nous avons à faire avec Dracula, d’autant que j’ai pu voir qu’il n’est nullement dangereux et surtout très craintif, à un phénomène exceptionnel : le cas d’une personne qui a réussi à réduire son poids intellectuel et physique au point de devenir une nature capable de voler, en ayant eu la simplicité de croire à des histoires impossibles à croire (sur le plan rationnel), auxquelles la raison de toutes les personnes sensées ne peuvent pas croire. Il a peut-être cru que de s’autoriser à faire des choses interdites ou à transgresser les interdits lui permettrait de voler et il y est arrivé ! Mais à notre époque où les alternatives sont si nombreuses, il aurait réussi à y arriver avec des betteraves et des pommes-de-terre, tout aussi bien ! Car si tous avaient été végétariens cela aurait constitué des « péchés » plus que considérables que de se permettre de les manger (des crimes abominables !). C’est pourquoi il faut relativiser la culpabilité de Dracula qui, ayant perdu la tête et la logique, est devenu un insensé et un fou au point de voler, peut-être parce qu’il s’est permis de faire des choses qui ne sont pas permises dans une société qui avait autorisé l’inconcevable, au temps de la vraie Atlantide : de manger de la viande et du poisson (ce qui s’est passé en raison des déplacements des peuples et de l’histoire du peuplement de la planète qui s’est produit en conséquence de la transformation en désert des zones premières de peuplement, à cause de cette occupation de la vieille salle des machines, à une époque où il n’y avait pas encore de langues suffisement précises et claires pour parvenir à faire comprendre la catastrophique situation générale qui s’était mise en place et perdurerait, car la situation s’est éternisée de génération en générations au point que la disparition de la vision d’Atlantide si longtemps a eu pour effet de tirer une sorte de signal d’alarme cosmique). Si la viande et le poisson redevenaient interdites, ne serait-ce que pour les raisons inhérentes à cette menace démographiques mondiales dont nous avons esquissé les conséquences, puisqu’il faudrait que tous puissent manger et que si nous continuons à consommer ce que nous consommons en Occident la superficie de plusieurs Terre seraient nécessaires, ce dont nous ne disposons pas encore, nous aurons besoin (pour éviter ce scénario catastrophe) de récupérer les terres consacrées de nos jours pour l’élevage ou pour le tabac, ce qui permettrait déjà, dans un premier temps de nourrir plus de personnes, mais exigera une mutation générale. Dracula pourrait continuer à exister, s’il le souhaite, car il serait cet esprit qui ne comprend pas et qui veut rester fidèle à une époque où on avait le droit de se singulariser au point de transgresser les interdits et de tuer des animaux quadrupèdes pacifiques et inoffensifs et à cause de cela de manger de la viande et de poisson, par conséquent de transgresser ces nouveaux interdits – puisque cela serait de nouveau interdit là où les alternatives le permettent  (pour nous permettre de vivre à 15 milliards d’habitants, ensemble) - liés au respect de la Vie tels qu’ils étaient du temps où la vision d’Atlantide était permanente, époque où il est probable que tous volaient en étant les herbivores et les végétariens fructivores, comme les habitants des forêts aujourd’hui disparues et qui sont devenues ce Sahara ou ces déserts contre lequel nous devons luter, puisqu’il faut éviter sa propagation et cela malgré le réchauffement planétaire qui a lieu en raison de cette démographie galopante et des besoins inhérents de chacun. En fait, il se pourrait que nous ayons avec le personnage de Dracula, une personne qui a cru de façon totalement naïve à des choses totalement fausses ou des vérités relatives qui circulaient à l’époque où il a grandi, au point, en y croyant, et en oubliant tous les autres paramètres qui pourtant régissent la réalité, de parvenir à se rendre à ce point léger (insouciant, inconscient), de réduire le poids de sa taille et de voler, voire même, à cause de cela, de se rendre invisible comme une personne qui a réussi à passer inaperçu (ce qu’on considère alors chacun comme un exploit, d’autant plus qu’on est, normalement, « visible » et que c’est impossible – mais on le sait, il y a eu ces concours de circonstances qui l’ont permis dans son cas). J’ai l’impression qu’il s’agit d’une certaine manière d’un charlatan – au bon sens de ce mot aussi - mais qui s’est fait avoir à son propre jeu et qui, à force de croire à des inepties – calomnies, mensonges, etc. - ou à des vérités relatives, en devenant un « inconscient » s’est rendu capable de ce qui, à nos yeux est, il faut le reconnaître, un véritable prodige, même enviable, mais qui doit être cependant très difficile à vivre (il doit y avoir un revers de la médaille à cela) : ce qui l’a contraint à espionner - puisque cela ne permet nullement de tenir compte, comme ceux qui agissent en conscience, des milliards de milliards et plus encore de paramètres qui pourtant existent dans la réalité et auxquels certains hommes droits et justes pensent avant de se permettre d’affirmer qu’une loi en économie (ou dans une autres disciplines qui vient d’être découverte ou parfois seulement des lois relatives, comme il existe des vérités relatives, selon les catégories de lois), est bonne pour l’Ensemble. Il est probable que prenant connaissance de ce texte, Dracula, se sentira rassuré : en effet, il devrait comprendre que même s’il ne tue plus personne (ce que très certainement il a compris n’est pas du tout intelligent), même s’il ne vole plus personne, le simple fait qu’il continuera à s’autoriser à manger une pomme-de-terre ou une betterave ou une carotte, dans ces temps futurs, devrait continuer à lui permettre de croire du point de vue d'un monde sans péché[s] qu’il vient de commettre les pires des péchés des criminels : des meurtres véritables (ce dont il a voulu être l’auteur, puisqu’il serait celui qui a voulu être le diable qui défie Dieu et qui offre la possibilité de transgresser tous les interdits à ceux qui croient en lui – résultat, ils se réincarnent en pauvres chats ou chiens ou autres animaux « prédateurs », ce qui n’a rien de commun avec l’être humain) – Si c'est lui qui est satan, c’est ce « tu ne tueras point » dont il a voulu s’affranchir (qui doit s’entendre aussi vis-à-vis de tout ce qui est vivant et évidemment, dans la limite de ce que la situation générale contextuelle autorise avec du « bon sens », cela s’entend, et donc en fonction des paramètres régionaux y compris des époques donc des cas particuliers) – ce qui, de son point de vue, lui a peut-être permis de voler, car il avait transgressé cet interdit, mais, bien sûr à une époque où tuer une pomme-de-terre ou une betterave ou une carotte n’avait encore rien d’un meurtre (d’une atteinte à la sécurité alimentaire de l’Ensemble) ou d’un péché (ce qui est devenu le cas pour tous les végétariens ayant retrouvé l’esprit de la véritable Atlantide) puisqu’il ne venait, à l’époque, dans l’esprit de personne de croire possible cela – ce qui n’est plus le cas à notre époque beaucoup plus consciente, scientifiquement parlant de ce que la cohérence exige comme honnêteté intellectuelle de notre part, lucidement et en conscience -  mais à son époque la « relativité » et l’esprit de logique sur ces notions étaient beaucoup plus proches de la conception des ignorants, au mauvais sens de ce mot, d’autant plus de la forces des traditions alimentaires auxquelles il appartenait et s’il y avait certes des personnes qui comprenaient déjà cela comme à notre époque, elles auraient passé comme des illuminées ou comme « incroyables à croire cela » bien que ce discours que je tiens était tout à fait logique et compréhensible par les plus grands dignitaires de ces époques anciennes – il était le cas toute proportion gardée depuis des millénaires par les végétariens – le pape, les rois, ou quelques hommes de sciences qui se comptaient sur les doigts des mains et qui appartenaient à ces êtres exceptionnellement conscients de leurs responsabilités y compris certains grands artistes (Léonard de Vinci). Ils ont trouvé des éléments de vérité et certains ont été de grands artistes et des innovateurs, mais rares étaient capables d’en arriver là car cela aurait exigé, en Occident, une trop grande remise en question de leurs habitudes ancestrales, d’aller contre des traditions et des préjugés qu’ils n’avaient pas à cœur de remettre en question bien qu’ils savaient que fort loin, en Inde et ailleurs, cela avait été remis en question d’une façon radicale, mais cet ailleurs était à l’époque très loin, quand, à notre époque, à seulement quelques heures, ce qui change tout (relativité des distances) et qui met l’Inde plus proche de Paris que Marseille autrefois (sans TGV) d’où les fréquents échanges commerciaux et c’est pourquoi les occidentaux arrivent enfin à comprendre beaucoup mieux qu’autrefois que cette notion de « péché » peut aller jusqu’à celle de manger une simple pomme-de-terre ou une betterave ou une carotte et que, par conséquent, même si Dracula devient végétarien ou l’est, y compris pour s’adapter aux raisons susdites de la démographie mondiale attendue qui nous y contraint tous dans les quarante années à venir, voire seulement vingt - ce qui serait préférable - tout ceux qui continueront, comme moi, aujourd’hui encore, à se délecter d’une pomme-de-terre ou d’une betterave, dans cinquante ans encore seront considérés comme Dracula (si c'est lui le diable) en situation de « péché » même pour si peu - mais à nos yeux d’aujourd’hui et non pas aux yeux de ceux des générations qui viennent, qui, déjà, c’est normal, sont très compatissantes à notre sujet de « pécheurs » car elles savent que nous étions des ignorants, au bon comme au mauvais sens de ce mot (au moins jusqu’à l’écriture de ce texte) et que tout est bien sûr relatif à ces innombrables paramètres dont il faut tenir compte à chacun des instants pour être dans le vrai exactement, ou relativement, ou de manière traditionnelle ou un peu ou selon d’autres catégories ou carrément dans le faux, dans le préjugé ou alors pire dans le mensonge et c’est pourquoi, par conséquent, en persistant dans l’erreur, on devient minuscule « intellectuellement » car on ne parle qu’en ne tenant compte que d’un ou deux paramètres qui est ou sont celui (ceux) de la subjectivité et non de la vérité, qui est objective et d’une complexité inouïe et que seuls quelques grands-esprits ont approché au point d’en avoir pu prendre conscience, à chaque instant. Pourtant le mensonge a permis de voler, de devenir minuscule, de ne plus peser intellectuellement, d’affirmer des choses comme seuls des handicapés peuvent les croire vrais, et même de devenir invisibles, mais, bien sûr, à une époque où ce qui était « péché » ou « interdit » n’est pas, comme aujourd’hui, par nécessité démographique pour le Bien et l’Intérêt Général (ou le sera dans les vingt cinq années à venir considéré comme étant nuisible) la viande, la charcuterie, les poissons et les fruits de mer, mais « tuer l’homme » (on n’avait pas aussi bien compris que de nos jours qu’à partir d’Abraham la civilisation des alternatives aux inepties anthropophage était née), car on ne comprenait pas aussi bien que maintenant, grâce au cinéma, à la photo la raison de cette interdiction de « tu ne tueras pas ». En effet la société d’adolph hitler était l’héritière d’une époque ou la représentation – picturale, photographique et bientôt cinématographique – n’appartenait qu’au classe aristocratique (moins pour le cinéma, car ce n’est que beaucoup plus tard qu’il fut reconnu parfois comme un art , alors qu’il était un divertissement populaire de masse). Aussi si depuis longtemps Dracula ne tue peut-être plus personne nulle part, car il a peut-être compris ce qu’il perd en supprimant une personne comme capital ou comme virtualité (c'est-à-dire comme possibilités de productions de solutions élégantes pour tous), il sait maintenant qu’en mangeant du jambon, du saucisson, une saucisse, un poisson ou des fruits de mer, il est entrain de transgresser un interdit majeur ou de faire une chose atrocement criminelle et de ce fait totalement « interdite » de la même façon que viendra un jour l’interdiction de profaner les légumes-bulbes puisque tous auront compris enfin la nécessité de respecter la vie comme productrice de toutes ces solutions élégantes qui en sont les fruits (légumes y compris), les feuilles (fanes de carottes, par exemple, dans lesquels probablement des substances nutritives, comme dans les feuilles des pomme-de-terre). Bien sûr, d’ici là chacun voudra contredire cette évidence et trouver plus intelligent de continuer à être fidèle aux traditions ou au mauvaise habitudes (dans laquelle sa famille a pris racine) en s’autorisant à continuer à manger avec ces appétits de préhistoriques ou d’ignorants, au mauvais sens de ces mots, et chacun trouvera intelligent de continuer à faire parti des criminels (bien sûr on ne peut pas comparer un criminel d'un animal pacifique et inoffensif avec un criminel de légumes-bulbes car il s'agit du règne animal qui souffre différement du règne végétal en raison d'innervation différente), alors qu’ils auraient pu trouver tous, naturellement, que le contraire est juste d’autant plus que les solutions élégantes (alternatives) existent pour le favoriser, de façon à ce qu’enfin tous puissent voler, en lévitation, malgré le poids, voire parvienne à devenir invisible, non par peur, mais pour ne pas avoir à devenir minuscule et contraint, à cause de cela, à tricher, à copier, à mentir, à espionner. Au contraire tous pourraient avoir le même amour du beau et de la vérité, comme la possibilité, grâce à cela, de retrouver tous les paramètres liés à la conscience (comme dénominateurs communs) mais en s’autorisant très certainement tous, de temps en temps, une bonne ratatouille ou une salade de betteraves et en sachant que nous sommes à ce moment-là, tout comme Dracula, des pécheurs et des criminels (bien que nous sachions qu’une betterave, une pomme-de-terre et une carotte, cela n’a pas un système nerveux qui fait ressentir de la douleur à l’être humain ou l’animal quand ils sont blessés ou tués – ce sont donc des meurtres, avec les légumes-bulbes, mais qui ne sont pas aussi graves en raison de la souffrance différente causée). Bien sûr, j’ajoute ici cette dernière phrase, en toute logique, et à relativiser à cette date-ci, car pour moi qui suis végétarien depuis vingt ans au moins, l’ajouter, continue à aller de soi en me sentant criminel et pécheur, étant donné que c’est bien la situation générale qui fait qu’il n’y a pas encore d’alternatives à la pomme de terre, à la carotte et aux betteraves ou aux légumes bulbes. Donc je ne peux pas encore me passer de carottes, de betteraves et de pomme-de-terre ou de légumes bulbes comme un esquimaux de chasse aux pôles mais je me considère, tout comme lui et proportion gardée – en raison de la région où je vis - comme un criminel (je sais cependant que si on avait compris ce qu’est le « relatif » comme la raison de ces miennes apparitions alors seulement virtuelles en 1975 ou déjà en 1965, nous n’aurions pas perdu la vie de millions d’ingénieurs et hommes de sciences qui étaient capables de réaliser les recherches pour lyophiliser ce que les fanes de carottes ou les feuilles de pomme-de-terre ou de betteraves produisent ou d’autres légumes bulbes et ils ne seraient pas morts à l’heure actuelle et seraient même demeurés jeunes, mais l’ensemble a voulu continuer dans l’ineptie et ses corollaires et à demeurer ignorant, au mauvais sens de ce mot, comme incohérent avec l’époque, y compris avec les temps de chacun, mélangeant les traditions et le progrès, en s’emmêlant les pédales, d’autant plus de tous ceux qui ne réfléchissant à rien parlent à la légère. C’est bien cette situation qui est soumise à la loi de la relativité ou à ce qui est relatif qui me fait prendre conscience, à l’heure actuelle d’une époque (qui a désormais continuellement l’habitude des séries de sciences fiction à la télévision ou des films d’anticipation), n’ayant pas encore pris l’habitude de ces alternatives à la pomme de terre et aux betteraves que je risque de faire parti de ceux qui, ayant pris cette coutume d’aimer à croquer dans la chair d’une betterave ou des radis, ou celle d’une carotte ou celle d’une pomme-de-terre, en trouvant cela aussi normal que ceux qui croque du saucisson, risquent de ne pas comprendre pourquoi il faut changer aussi sur ce point (en raison des milliards d’individus en plus) de la même façon que certains à notre époque ont envie de garder cet esprit « pécheur » ou mangent des animaux, car l’idée de devoir changer, en raison de la quantité de la démographie, et de la nécessité de partager, ce qui pourrait permettre à tous de manger au moins ce qu’il faut, n’est pas dans leur habitude : c’est un idéal socialiste ou communiste, au bon sens de ces mots, dont ils ne veulent rien savoir et qu’ils ne veulent pas assumer en capitalistes, au mauvais sens de ce mot, en oubliant que celui qui s’exprime ici a eu à faire la synthèse et s’exprime en capitaliste-socialiste ou l’inverse, voyant ce que les chiffres de la démographie planétaire induisent comme direction à prendre dans les années à venir, en trouvant normal que pendant les trente ou 50 années à venir, s’il n’y a pas d’alternatives, il continuera d’autant plus qu’il est empereur et qu’il a lui seul un vieux droit de tuer, à se délecter en « péchant » en mangeant betteraves, pommes-de-terre et carottes, etc. , mais en sachant que, pour que tous puissent manger dans deux ou trois pharaons à d’ici, il faudra avoir trouver d’ici là absolument des solutions élégantes à ces problèmes, car viendra certainement le moment, dans une centaine d’années où manger une carotte ou une betterave ou une pomme de terre ou un légume bulbe, ne sera pas apprécié par la Communauté Internationale et par les descendants (ce qui continuera à faire rire Dracula comme notre génération y compris moi-même, mais qui sera vrai, en vérité absolue première et ultime. D’autant plus que c’était déjà vrai pour nos ancêtres se rapprochant des descendants actuels gorilles et autres singes végétariens comme dit plus haut. Reste à espérer que d’ici là, et avant d’en arriver là, nous nous serons tous entendus pour montrer périodiquement Atlantide selon le programme que j’entends mener pour en restituer la vision raisonnée sans que cela ne provoque des accidents, et que mon esprit de tolérance et de compassion sera vite celui de tous, au point, comme moi, de ne rien voir de mal « à première vue » ni à se scandaliser, parce que je comprends, à ce qu’on continue dans bien des endroits encore, à manger de la charcuterie, du poisson ou des fruits de mer comme de la viande, tout en sachant tous qu’il s’agit, en fait, de redoutables et infâmes péchés (qui sont de nature à permettre de voler comme des inconscients, la cervelle réduite à ce point de peser moins que l’air – cela se pourrait – comme cela le sera – un péché - pour un simple radis ou une betterave dans cent ans). Pourtant ce que j’ai du mal à comprendre et qui pourtant est vrai, c’est pourquoi ceux qui s’en rendent coupables vont vers ces réincarnations animales où ils seront malheureux dans chacune de leur existence à jamais ? Je sais que la situation générale recommande à tous de changer d’alimentation pour faciliter le travail des pharaons des générations à venir aux prises avec des démographies – et celle des animaux – si nous avons veillé sur la conservation des espèces - qui nécessitent plusieurs superficies comme la Terre de nos jours pour les nourrir, des pharaons que j’essaie de servir d’avance de mon mieux d’ici ayant pris au sérieux cette notion d’empire et en mesurant le travail colossal que mon père l’empereur et sa génération a fait pour eux. Ces changements peuvent déjà commencer à réduire ces fringales vers moins de viandes et de poissons d’autant plus de toutes ces alternatives bien meilleures pour la santé et qui souffrent moins que les animaux dont on raccourci avant leur terme naturel, la vie. La crosse de boucher de pharaon a donc encore de beaux jours à vivre, puisque je suis, comme mon père et les pharaons précédents, le patron de toutes les boucheries, mais nous l’avons été en raison de la cohérence de cette époque-ci traversée par nous pharaon et de ce qui nous attend – qui m’a été donné d’anticiper et c’est pourquoi sans renier d’être aussi le patron des pécheurs, je pencherai, en raison de l’analyse que j’ai pu faire de tous les paramètres concernant l’époque de 1965 à 2013 (ce dont tous ont pu vérifier que ce fut vrai sans en oublier un seul atome) vers le fléau, non pas par générosité, ni pour des raisons idéalistes (comme de croire un jour le monde délivré du péché). Non, mais par soucis de « réalisme » et en toute connaissance de tous ces chiffres comme des progressions statistiques qui concernent toute l’évolution de ce vingtième siècle car à la vitesse à laquelle cela va, concernant chacun de ces chiffres, dans chacun des pays du monde entier, dont je le répète, tous ont pu vérifier que j’en ai fait les synthèses et cela sans avoir besoin d’ordinateur et dès l’âge de mes deux ans et demi (en raison que j’étais le pharaon suivant et que l’Ensemble m’a contraint à servir très sérieusement l’apprentissage de ce métier dans lequel j’ai de nouveau débuté en 2005) en renouvelant l’exploit une seconde fois, en raison de mon anneau de mariage à partir de 1975, et enfin une troisièmes fois à partir de 2005, nous devons comprendre que se pose à nous le challenge d’un virage qui pourrait permettre à la Vie peut-être même de s’étendre sur la planète Mars, la Lune (ce qui permettrait de gagner des superficies d’autant plus si nous parvenons à résoudre le problème du désert sur Terre) et peut-être même plus loin, donc d’être conservée (la Vie) au lieu de finir lamentablement avec nous tous, comme la civilisation Nazca a fini en un vaste désert de momies éventrées par des pilleurs de tombe charognards, comme la civilisation Égyptienne, ou d’autres civilisations. Peut-être que nous pourrions découvrir que j’ai bien fait d’intervenir puisque j’ai pu entrevoir ce point dans le futur qui, une fois rejoint par l’Ensemble, pourrait nous faire tous basculer dans un autre univers qui est celui « parachevé ». Mais il faut arriver jusqu’à là-bas. Ce qui était beaucoup plus facile en 1965 ou à partir de 1975 (car je l’avais déjà en vu) pour nous tous car j’étais beaucoup plus jeune de presque quarante ans de moins et je pouvais compter sur les savoir faire de la génération de mon père qui se sont surpassés en tout en ayant fait de nous, hélas, par beaucoup d’aspects ces enfants-gâtés, sauf quelques uns, heureusement, qui ont un peu compris. Avec mes cinquante ans d’âge, pour le pharaon suivant, je ne suis qu’un petit nain parmi les millions de nains de mon âge qui sont à son service et au service de sa génération et de la suivante. Celui-ci ne sait pas qu’il est ou sera, dès la naissance, un enfant-gâté, même s’il a très peu et qu’il vit dans l’une des villes de cette planète. Il ne sait pas qu’il y a ce projet ou ce cas de figure de ce point que je poursuis inlassablement depuis toujours et que j’ai enfin retrouvé puisqu’on m’a révélé que j’avais cette fois-ci le droit de me marier et de fonder une famille, en ayant vérifié qu’il existe bien un véritable anneau de mariage. Lui-même, s’il est enfant, doit être à la recherche de sa femme et avant qu’il ne la trouve, il risque de faire des bêtises et peut-être même de devenir un enfant-gâté, c’est pourquoi je redoute le pire du pire pour notre empire d’autant que je crains plus que tout la décadence et/ou les mœurs qui se relâchent, car si c’est le cas, comment vont manger tous les jours les enfants même dans un quartier lointain et comment mangeront les personnes âgées qui se sont données tant de mal pour nous et nous forger des instruments qui sont moins durs à utiliser que ceux des temps préhistoriques traversés par les pharaons qui ont tous sentis comme fondamental la nécessité de développer l’instruction publique en voulant encore mieux faire que les rois, à ce sujet ? (Une surenchère et une concurrence s’est établie entre l’aristocratie et la condition populaire dont mon père comme les pharaons précédents étaient issus). De plus, par soucis d’éthique et pour donner une nouvelle chance à Michèle Finck de me connaître changé, malgré ce qui s’est passé, et en raison de ce que m’a suggéré Christine, comme des nouvelles conditions qui sont les miennes, je veux pouvoir éviter l’annulation du mariage de Christine et offrir, grâce au temps et aux années qui viennent, la possibilité à celle-ci de connaître ce moment  où elle pourrait se débarrasser à son tour de sa condition profane pour accéder au rang d’impératrice et ainsi ne pas à être jalouse des autres impératrices, en raison de sa condition profane. Je suis contraint à cela, Monsieur le Cardinal, car sinon ce ne serait pas joli (tout ce qui s’est passé), mais nous sommes contraints à cela aux conditions nouvelles de ce trèfle qui peut être construit de façon transparente, si je m’en donne les moyens. Tout cela pour un « pharaoniou » ou une « pharaoniou » qui est pour l’instant virtuel(le) – mon fils ou ma fille – et dont je ne sais s’il sera capable d’être pharaon après moi, bien que je sais comment l’élever pour éviter qu’il ne devienne jamais un enfant-gâté. Mais j’ai besoin d’argent (de crédits financiers propres et mérités de droit - CFPMD) pour en faire un vrai pharaon et en faire une personne capable de penser justement sur tout dans l’Intérêt Général. Élever un prince c’est déjà difficile, mais élever un pharaon (pour après Nous et en ayant pris conscience de ce que nous avons fait) c’est très certainement ce qu’il y a de plus difficile à faire puisqu’il y a la menace que des siècles de savoir-faire et de patience soient anéantis du jour au lendemain et que cela contraigne des générations à faire les efforts pour parvenir à les retrouver (comme cela a été le cas en raison de la maladie de l’empereur adolphe hitler qui, avec sa génération a fait perdre à tous des milliards d’années de progrès. Je suis déjà très fâché contre ce « pharaoniou » mais déjà moins contre celui d’après qui m’attendri déjà (car je compte sur le prochain pour être impitoyable à son sujet) – mais je sais aussi que j’ai tort et qu’il a déjà raison contre moi car peut-être, de son point de vue, je suis un ignorant, au mauvais sens de ce mot, comme au bon sens (ce que j’ai reproché à mes prédécesseurs – (mais pas trop à mon père) – mais si je suis fâché, c’est que pour l’instant j’ignore qui peut bien être la mère d’un tel ou d’une telle « diable » et je vous avouerai qu’après ce que l’Ensemble m’a donné à connaître de l’être humain et fait endurer pour la troisième fois (mon troisième avènement en tant qu’empereur, bien qu’il y ait eu aussi 1995 où j’ai pu admirer un instant, dans l’état où j’étais, l'apparition d'Atlantide sur toutes les surfaces à-premièrevues monochromes, je n’ai aucune envie de partager la vie d’une femme ou même de plusieurs impératrices de façon bourgeoise ou même aristocratique, à ce jour le 06 avril 2013 – mais peut-être avec le temps qui arrange les choses – bien qu’à cause de ce qu’on m’a contraint d’endurer je n’y crois plus guère : la femme, les femmes m’ayant grandement déçu et les hommes encore plus, bien que ce soit toujours seulement à certains moments quand les mêmes, à d’autres moments, sont aimables, admirables, mais de loin).

[6] (mais je n’en ai jamais eu la preuve qu’il le soit et je ne sais pas qui se cache sous son identité. Ce sont peut-être des bruits qui circulent sans fondement à son sujet. Pourtant il vole très réellement dans les airs et je me demande si ce n’est pas par autosuggestion qu’il y est arrivé, peut-être à force de faire des choses interdites et seulement le propre des « inconscients ». Mais s’il avait su que manger des frittes ou des betteraves suffisait pour cela, bien que cela soit beaucoup moins grave, je suis sûr qu’il n’aurait pas voulu faire pire)

[7] (latitude et longitude ayant eu des incidences ou/et qui ont provoqué des malentendus ou des incompréhensions se traduisant par des attitudes hypocrites ou incompréhensibles)

[8] (sans disposer de l’instruction publique obligatoire et demeurés particulièrement ignorants, au mauvais sens de ce mot)

[9] (bien que les paysans et les bergers, depuis longtemps, s’étaient spécialisés dans l’agriculture et pour l’élevage en assurant tous les approvisionnements des villages, des villes et des grandes agglomérations qui ont pu embaucher ces anciens chasseurs puisqu’ils ont préféré, la plupart, occuper des activités citadines en devenant ouvriers ou servir à quelque chose d’utile comme maçons ou apprendre l’un ou l’autre des métiers de l’artisanat)

[10] J’emploie ici un mot d’un des dialectes européens, de la langue italienne de nouveau à dessein ne le sachant plus approprié. Chacun des mots des pays voisins, dans ce cadre de Construction des États-Unis (rRégions-Unies) d’une Europe fédérale ayant abandonné sa souveraineté sur les points indispensables à ce dessein, sont devenus les mots de sa propre langue maternelle européenne, dont chacun découvre qu’elle est faite de plusieurs dialectes. Les français, comme les italiens ou les autres pays ont pu découvrir, ces derniers temps, que cette langue européenne est donc constituée, elle-même, des très nombreux dialectes locaux et que chacune des unités régionales ou pays (ou nations) avait privilégié un de ces dialectes comme langues fédérales à l’échelle nationale ou appartenant aux différentes régions : anglais, allemand, toscan en Italien, castillan pour l’Espagne, etc. Ces dialectes locaux dominants en tant que langues ayant cimenté chacune des régions de l’Union européenne en tant que langue nationale constituent toutes les langues maternelles des petits européens d’aujourd’hui et cela d’autant plus de l’aide à la traduction informatique. Quelques uns se sentent naturellement appartenir, dès les grandes classes et la maîtrise d’une seconde ou troisième langue, voire d’autres encore, dans ce monde international comme se sent français l’alsacien ou le breton ou le corse y compris européen car il a eu la chance d’avoir une seconde langue à apprendre à l’école (obligatoire). Pour bien faire il en faudrait au moins quatre ou cinq, mais estimons nous heureux qu’il y ait déjà tant de personnes bilingues qui sachent toutes au moins la langue anglaise et/ou espagnole (les plus répandues y compris le français dans le monde). Pourtant il y a le chinois et l’arabe ou le japonais et le russe. Mais nous devons tenir compte de toutes ces personnes qui n’ont pas pu être autre chose que locales (n'ayant pas eu d'intérêt pour l'extérieur de leur localité). Il est absolument vital, comme pour les suisses, que ceux qui vont à l’école apprennent selon le nombre d’années scolaires effectuées les autres langues cantonales. Je l’ai dit plus haut l’Union Européenne même à cinquante pays avec de très nombreuses langues différentes est, toute proportion gardée relativement la même que la Confédération Helvétique, si nous tenons compte honnêtement des moyens de communication (transport) modernes en les comparant à ceux des temps du XVIIIème et XIXème siècle. Aussi on devait alors apprendre trois langues au moins dans ce pays de Suisse qui est un des centres des futurs États-Unis d’Europe. Il est normal que ceux qui devraient se destiner à être les futurs fonctionnaires Européens soient préparés dans l’étude des langues encore plus sérieusement que cela bien que de nos jours des traductions soient beaucoup plus aisées au moins pour donner, grâce aux moyens électroniques et informatiques l’idée générale d’un texte y compris dans ces langues qui concernent et facilitent la mondialisation des échanges. En fait toute proportions gardées les divers grandes unités fédérales (Etats-Unis – Union Européenne – etc.) ne devraient pas représenter avec les instruments de notre époque permettant la gestion – ordinateur et moyens de communication et de transports contemporains, etc. – que cinq à dix Suisse d’autrefois – certes beaucoup plus peuplées - les unes à côté des autres, chacune bénéficiant d’une relative autonomie, le tout étant fédéré, de façon cantonale (nationale) à l’Organisation des Nations Unis sous ma houlette.

[11] (puisqu’ils ont besoin de machines pour calculer – ce qui est le cas pour aider à de certaines occasions à des calculs précis)

[12] (car on a accepté de l’argent sale pour devenir ces prétendus artistes et on ne l’est pas devenu avec de l’argent propre)

[13] À moins sinon d’exiger ce que, de façon primaire et très commune, j’ai un moment souhaité avec Christine, en travaillant naturellement à l’annulation de son mariage, une fois déterminé à mettre un terme à ce sacrifice inhumain, ce qui serait légitime et canonique de faire comme vous en prendrez connaissance plus en détail dans le texte de mes différentes futures missives, mais recherchant la loi du moindre effort et à expédier l’affaire en ne donnant plus de chance à Michèle, ce que Christine, par sa réaction – malgré ce qu’elle a été contraint de vivre – ne m’a pas conseillé. Mais j’ai mis un certain temps à comprendre ce point de vue de Christine et à essayer d’y œuvrer malgré la difficulté qu’elle a, sans le vouloir, réussi à me créer, car je dois aller contre l’idée de n’être que fidèle à une seule et unique femme, ce qui pour moi qui a été élevé dans l’idée de l’unique Isis m’apparaît très éprouvant car il faut que j’arrive dans les faits eux-mêmes à surmonter ces sortes de préjugés, bien qu’à l’écrit, comme dans les films, ou dans les livres, je sois très tolérant y compris vis-à-vis des profanes qui se permettent des partouzes ou autres folies d’inconscients

au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce mot (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)). Donc vous comprendrez ici que c’est sur le scénario qu’on est ici et que ce n’est pas aussi facile que cela pour moi dans la réalité. Peut-être y a-t-il ici quelque chose que j’aurais à découvrir qui est lié à des effets de la maternité ? C’est comme si il y avait du possessif vérifié qui est lié au statut de « fiancé », de « marié » et de « père de famille ». Des choses auxquelles l’intellect se refuse d’autant plus qu’il se situe déjà dans un monde délivré de l’ineptie. Mais n’y en aurait-il pas à vouloir croire possible être à plusieurs femmes y compris à plusieurs familles ? C’est ici la question des mariages dans le monde musulman qui est posée à l’empereur chrétien d’Occident, en ma personne. Si d’un point de vue profane (dans lequel on mélange tout et on est les premiers à être accommodant, car on se sait hors la loi étant donné qu’on y comprend plus rien, inconscient) avoir plusieurs épouses est normal y compris plusieurs amantes et maitresses cela pose soudain de véritables problèmes. Mais j’ai vu que pour Michèle cela n’en posait pas car elle était prête du jour au lendemain à se marier avec moi et Christine devant le Saint-Père lui-même, aussitôt (les deux ensemble le même jour!). Vous comprendrez combien on ne peut être que passionné par ce genre de réactions qui simplifient à ce point ce qui, je crois, non pas en raison de préjugés, mais seulement des conséquences sur la vie d’enfants à venir confrontés à ce type de nouveau contexte familiale pourrait poser problème et mérite au moins réflexions : pour vous comme pour d’autres personnes, (y compris pour l’Eglise) cela parait naturellement impossible, ou scandaleux à envisager, si ce n’est que véritablement le résultat de propos d’une légèreté et d’une inconscience dangereuse. Mais il est vrai qu’on pourrait le croire possible sur le moment quand cela a été si gentiment proposé par Michèle « comme évidemment allant de soi ». Ce n’est que parce qu’on prend alors le temps de faire intervenir la réflexion et la distance critique y compris l’ensemble des expériences y compris progressivement tous les paramètres connus y compris inconnus y compris les conséquences qu’on prévoit sur le long terme, y compris en comparant d’avance ce qu’aurait à vivre un enfant localement issu d’une telle union par rapport à ceux qui n’en aurait pas bénéficié qu’on trouve, malgré l’idée qu’elle représente pour faire scandale – ce que je ne déteste pas de faire quand cela se doit – l’idée difficilement acceptable. Ce qui est le plus drôle c’est qu’au moment où Michèle m’a proposé cet arrangement, il n’y avait encore qu’un trèfle à deux feuilles (seulement Christine et elle) et non pas encore la troisième impératrice ! Il y a ici comme une surenchère de scandales qui, pour en éviter un, en a créé un troisième, mais cette fois-ci légitimement admissible. Évidemment pas les trois en même temps, à moins que d’ici là nous ayons réussi à accepter l’inconcevable que propose Michèle, mes deux autres impératrices et moi. Et c’est bien normal, par jeu, mais logiquement aussi que cela m’ait fait penser quatre, sept, onze, et puis vingt cinq ou du moins qu’il faudra peut-être trouver une quatrième impératrice pour faire ce trèfle à quatre feuilles (une chance peut-être pour tous), légitimement fait et construit canoniquement et juridiquement, sans cacher quoi que ce soit à chacune de ces impératrices, pour réussir enfin à ce que Michèle parvienne à comprendre pourquoi il y a bague de fiançailles donnée légitimement à partir d’un certain moment, ce qui mène à partir d’un autre moment à l’anneau de mariage (un jour précis déterminé, arrêté, à orchestrer) avec chacune. Mais pour cela il faudrait être capable de revenir sur ce qui s’est passé et être capable de pardonner (le 14 septembre 2017, j'ai depuis plusieurs semaines réussi, grâce à la religion chrétienne, à pardonner à Michèle qui m'avait demandé de la pardonner il y a quelques mois). S’il n’y a pas tous les efforts de faits de la part du profane pour se mettre en situation d’être pardonné comment voulez-vous qu’on arrive à cet anneau de fiançailles décerné peut-être même « en même temps » ( !) à trois ou quatre impératrices ? Mais celui qui est profane ne voit pas où diable il a mal agi puisqu’il a pris l’habitude d’être un enfant-gâté à ce point et en prétendant alors même le contraire, puisqu’« à première vue » c’est moi qui aurait trois ou quatre impératrices légitimes et pas lui ! Or si j’en arrive à la rosace  de vingt-quatre comme nombre d’impératrices, c’est pour des raisons que j’espère réussir à avoir la paix sur la planète entière et cela n’a rien d’une partie de plaisir (elles vont apprécier) que d’en envisager autant (mais peut-être se complèteront-elles ?)

[14] (ce qui ne signifie pas qu’on ne puisse pas envisager l’idée d’un mariage avec « trois grâces » en même temps)

[15] (si ce n’est celle avec laquelle j’ai rompu mais quand je le lui ai donné, je n’étais pas redevenu moi-même encore, en raison de ma fidélité à mon anneau de mariage)

[16] Mais en relisant, je ne suis pas disposé, à sacrifier les deux autres fois étant donné que tout ce qu’on voudra me trouver nommé émolument même au maximum du possible sera toujours infiniment moins de ce qu’on me doit pour une seule des secondes de ces interventions cosmiques y compris pour d’autres moments que j’ai consacré à l’Intérêt Général. Aussi même s’il seront trois fois ce maximum là, cela n’aura pas payer une seule seconde de ce que j’ai dû endurer à partir de 1965 pour sauver cette planète (sans parler de ce qu’on me doit pour les réincarnations d’avant). Aussi j’ai bien conscience que même si je suis la personne la plus riche de la Terre, puisque tout est à moi de droit, tout l’argent qu’on me versera, ne sera qu’une bien petite compensation pour l’inénarrable (pour l’instant) que l’Ensemble m’a contraint d’endurer trois fois ! Une des fonctions de l’argent est donc bien celle vérifiée de réussir à créer une sorte de compensation qui a fonction d’atténuer les effets d’une situation intolérable sinon qui pourrait mener des personnes à commettre des choses regrettables.

[17] (en informatique et etc. en communiquant d’avance les chiffres du nombre des employés à ne pas excéder pour permettre un équilibre entre concurrents et ainsi une concurrence raisonnée)

[18] Comme je ne sais pas ce que s’est qu’avoir de l’argent autant que cela, je n’ai pas eu l’idée sur le moment d’offrir à ces dames les moyens de vivre sans avoir à travailler. En effet, je ne conçois pas cela possible pour l’instant (ne disposant pas à ce jour des preuves que tout cela est bien à moi y compris la vieille salle des machines). Cette fortune n’a donc pas été volée et n’est pas arrivée comme on gagne au loto. Mais on me doit d’avoir communiqué les chiffres des lotos avant qu’ils ne se produisent, ce qui a permis à tous de vérifier que la situation et belle et bien bloquée encore le 06 avril 2013. En effet, j’ai pu comme cela aussi communiquer trente ans avant des tiercés ou quintés y compris des tirages spéciaux de loto comme des listes de chiffres gagnant. C’est étonnant comme les mathématiques à un certain niveau, sont capables de permettre de prévoir des choses d’avances à ce point et sur trente années sans un électron d’erreur y compris les montants des tickets de caisse ou le déplacements de parapluies colorés dans la rue ou d’insectes sur le rebord de la fenêtre alors qu'ils n’étaient pas encore nés comme mes neveux et nièces. La situation était donc totalement bloquée et elle m’a contraint à ce genre d’intervention. Nous attendons qu’en raison du fait que cela a été effectivement bien vérifié dans l’Intérêt Général, les conditions soient mises en place pour la débloquer et permettre à de nombreuses personnes qui se sont exclues de la notion du « beau » en vérité, d’avoir au moins une chance, de tant en tant pour commencer, grâce au programme ou logiciel de restitution de la vision d’Atlantide de façon cohérente de voir au moins une fois par an la vision d’Atlantide dont nous avons pu vérifier qu’elle est capable de faire du bien et pourrait même redonner le moral à des personnes handicapées y compris profanes ou qui se sont exclues des véritables connaissances au point de se détériorer autant que cela pour choisir l’involution au lieu de grandir en intelligence et en humanité.

[19] (comme on utilise aujourd’hui Internet pour rendre accessible les chinoises aux européens à travers les sites marchands)

[20] Même s’il ne s’agit de trois lettres, « fou », j’ai pu vérifier que cela est très important et ce mot de « fou » a indéniablement une part de droit d’auteurs dans les retards de milliards d’années pris par l’Ensemble. Il y a d’autres mots ayant plus de lettres qui ont fait l’objet de persécutions injustes parce qu’on ne les connaissait pas.  Cette incursion dans le monde profane vingt sept ans (d’amnésie) m’a donné amplement le loisir de pouvoir vérifier les mécanismes qui se mettent en marche, en raison de la situation bloquée et de l’écartèlement entre Dieu et le monde profane, et qui peuvent mener certains à devenir fous et donc prisonniers de cette état néfaste pour eux et l’Ensemble. J’ai pu aussi montrer cela en m’offrant moi-même (en raison de sacrifice) en tant que cobaye et tous ceux qui ont suivi mes péripéties (ou ce chemin de croix) ont pu vérifier combien on perd alors les facultés de raisonnement, comment on prend le large avec sa conscience puisqu’on passe du monde de la conscience à celui des inconscients qui offre en « bonus » - ou serait-il plus juste de dire « malus » - on se demande car il y a à première vue un avantage à être inconscient - une folie plus ou moins constante à des degrés divers avec cette certitude d’avoir bien fait de le devenir comme avec bonheur, ce qui est, avec le recul, touchant et d’une naïveté déconcertante puisqu’on est alors certain que tous sont plus ou moins fous y compris les gens les plus sensés, les plus logiques les plus mathématiquement exactes (ils font peurs car on les sait être dans la vérité) au point d’être donc plus ou moins incohérents et effectivement dans le mensonge suivant les moments d’une façon qui est véritablement enviable une fois qu’on a retrouvé le bon sens et le sens des réalités y compris sa mémoire et les fonctionnement[s] de personnes s’étant débarrassé de l’enfant gâté ayant retrouvé le bon sens.  

[21] Mais il faut reconnaître qu’alors il n’y avait pas non plus de mode d’emploi.

[22] (marié officiellement – et j’ai pu vous avertir que la première étape serait d’arriver à des échanges réguliers de lettres avec ces miennes épouses impératrices légitimes, tant ce qui s’est passé me rend impossible à ce jour du 22 Mars 2012 encore, d’envisager la moindre proximité physique avec un être humain de n’importe quel sexe, fut-il beau comme Apollon ou les Trois Grâces de Botticelli ou plus belle encore que la déesse Aphrodite en personne. Vous pouvez vous faire une idée du traumatisme. Et le pire c’est que ces profanes de leur salle des machines ont cru pouvoir me faire plaisir en me faisant des rêves ou cauchemars érotiques, ce qui est bien la preuve qu’ils ne comprennent rien du sacrifice que nous avons fait Christine et moi en raison de l’existence de l’« Agapè », comme de tout ce qui en découle. Vous comprendrez qu’il n’y avait plus que le rire pour éviter le suicide et qu’il se pourrait que ce rire ait été entendu jusqu’à l’époque de Bergson, ou avant, dans tous les temps passés, avant même que je n’ai à le vivre en chair et en os (puisque cela s’est passé plusieurs fois en virtuel), tant nous avons à faire, avec les profanes, à des personnes qui « ne se rendent réellement pas compte » et qui croient bien faire, quand elles sont en train de commettre les pires sacrilèges ou les pires profanations, en toute bonne foi, de leurs point de vue de personnes qui sont à des milliards de milliards de milliards et plus encore de kilomètres (à des années lumières) de la vérité (et c’est peu dire). Par conséquent, vous avez compris, il ne faut plus se mettre dans des états de cénobites ou érémitiques ou dans des couvents à expier, mais seulement rire du fait qu’on est incompris par ces profanes car ils n’ont véritablement absolument aucune idée de ce que peut bien être le monde de la vérité ou des choses logiques ou mathématiques, ni de ce qu’est le monde de la conscience et ils ne font alors que naturellement se tromper continuellement avec les meilleures intentions du monde, y compris celle de faire plaisir (c’est pourquoi ils ont cru pouvoir envoyer ces rêves – de leur point de vue – ces cauchemars érotiques alors que ce sont des cauchemars et non des rêves dans un cas pareil (ce qui est évident pour vous ou toute personne sensée mais visiblement pas pour eux qui, de plus se basent sur les états antérieurs d’une personne autrefois profane). Je me demande comment je trouve encore la force à vouloir me marier quand, normalement, après toutes ces persécutions et martyrs (pour minimiser) on envisage au minimum le couvent, comme Charles Quint. Mais c’est précisément pour cela et parce qu’il faut faire le contraire de ce que le bon sens exigerait, dans un cas pareil, que vous me trouvez disposé à « à première vue » constituer même comme une sorte de harem – certes un peu spécial, car il s’agit de femmes chacune mariée religieusement et officiellement reconnue - et d’un cas particulier ou spécial aussi - car pour l’instant il n’a d’existence que sur le papier, comme une hypothèse de travail, d’autant qu’il est très peu dans les habitudes courantes – qu’il remet en cause des traditions - mais qu’il faut se faire à cette idée dans mon cas : il est vrai je suis un véritable artiste universel qui l’a bien plus que prouvé et de plus j’ai des droits de pharaons donc pour le moins d’empereur chinois y compris le droit des profanes et cette histoire m’a donné l’occasion de revisiter canoniquement, comme je l’ai dit plus haut, tous les termes, les mots et les situations mais aussi les mythes, l’étant devenu moi-même, en en cherchant aussi toutes les virtualités possibles originales – je me dis que je n’aurais peut-être la paix qu’à ce prix – plusieurs femmes - et d’autant plus si je mets des web cam partout. C’est que j’ose espérer que, normalement, nous devrions arriver à un moment donné où ils trouveront que cela n’a plus d’intérêt que d’être voyeurs ou espions dans la maison de l’empereur cosmique universel et … et peut-être nous les retrouverons à rechercher enfin le bien le plus précieux : la sagesse, enfin simplement par esprit de contradiction avec ces sales habitudes d’enfants-gâtés et de voyeurs, pour enfin transgresser tous ces vrais interdits qui touchent les enfant-gâtés à ce sujet en s’offrant enfin le luxe de sortir des clichés, des habituels préjugés et des mensonges : de devenir intelligents à rechercher l’état de vérité comme transgression ou seul objectif ou seule fin à l’existence comme à atteindre et qui vaille enfin la peine d’être vécu pour ces menteurs, usurpateurs, tricheurs devenus esclaves d’un inconscient toujours plus ou moins le même et bien pauvre car n’ayant que l’ineptie comme dieu et comme soucis, celui du profane, de l’ignorant, au mauvais sens de ces mots : mais une fois qu’ils en seront tous délivrés, nous risquerons alors de devoir nous réfugier, à notre tour, dans le mensonge, pour changer. Mais ici il s’agit d’une utopie qui est donc fort improbable).

[23] Le 06 avril 2013, je relis en découvrant avoir changé la date de cette note là, puisque je l’ai relue aujourd’hui comme celle-ci (y compris le 14 septembre 2017).

[24] (c’est normal nous sommes un peu moins d’un siècle après et heureusement les savoir-faire dans la matière ne se sont pas perdus et même ont progressé sensiblement)

[25] (nous devons nous remettre, comme envisager cette perspective, ce qui signifie que nous comptons sur le temps)

[26] (depuis perdu plusieurs fois : vers 1973 et de nouveau vers 1978 quand l’Ensemble m’a condamné à recommencer une vie de profane)

[27] (d’autant plus que je m’étais délivré de mon enfance et de mon adolescence comme de l’enfant-gâté en moi depuis 1965, au moins deux ans avant d’entrer dans ce jardin d’enfant)

[28] (puisque j’intervenais alors tous les jours du futur quarante années plus tard et que tout le Vatican était au courant y compris de la taille démesurée de mon crâne dont atteste un très beau buste sculpté par mon frère ainé à mon sujet à cette époque là)

[29] (de ce mot sont sorties toutes les solutions techniques et technologiques sur toute la planète y compris les commerces)

[30] (des milliards dans cet état d’omniscience d’autant plus de ces interventions du futurs)

[31] (il y avait eu à mon sujet l’intervention du futur dont j’avais encore trace puisque nous n’étions pas encore en 1972, au moment de ma première amnésie jusqu’à 1975)

[32] (pour être logique avec lui-même – Dieu - est handicapé par la situation)

[33] (à cet âge là : aucun enfant ne peut croire une personne âgée sérieusement et comme elle a l’âge des grands-parents elle est toujours drôle en tant que telle qu’elle ait été profane ou pas : en fait ces personnes âgées sont aux yeux des enfants des sortes de dinosaures préhistoriques qui, à de rares exceptions près, ne comprennent déjà plus les difficultés des enfants qui sont de réels handicapés, sans parler de celles auxquelles se heurtent les plus petits)

[34] (bien qu’il le sache car il se sait entrain de « faire semblant » et cela marche avec tous ceux qui sont comme lui – ce qui lui importe c’est l’effet qu’il fait sur les personnes qu’il attire comme certaines « stars » font de l’audience, non pas parce qu’elles incarnent la vérité, mais simplement parce qu’elles ont du succès et rassemblent des personnes semblables autour d’elles : ce n’est pas la recherche de la vérité ou la vérité qu’elles servent, mais leur image ou leur « égo » qui se voit alors conforté dans l’erreur, dans l’état d’enfant-gâté, à moins qu’à force d’efforts importants et constants « l’égo » en question vole enfin en éclat. On trouve alors sa personnalité d’initié, mais c’est un très long chemin et cela ne marche que rarement si on a eu beaucoup de succès en étant dans l’erreur. Il faut donc avoir des petits succès en étant dans l’erreur et non des grands succès en tant que menteur car le risque est de continuer à en avoir en tant que menteur : on ne pourra jamais ou alors encore plus difficilement que déjà sans avoir été un enfant-gâté être promu à « initié »)

[35] Bien que tous croient possible se conduire alors en fou et en malade en revendiquant le droit de l’être, ce qui est contestable puisque c’est être conscient qui permet de « fonctionner » justement et non agir en « inconscient ».

[36] sauf les ignorants, au mauvais sens de ce mot, qui vont fatalement refaire les mêmes erreurs, puisqu’il s’agit de ceux qui n’ont jamais voulu faire l’effort de comprendre en vérité et qui sont prisonniers du mensonge.

[37] (dans d’autres cas, il a fallu mettre régulièrement le feu pour permettre à des pompiers d’exercer leur métier – ce qui n’est évidemment plus acceptable et ne l’était déjà pas, mais qui a permis de déterminer les bons pompiers, les vrais pompiers des faux)

[38] On comprend pourquoi Leporello tenait une liste des femmes de Don Juan par pays car pour les spectateurs initiés de l’époque cela signifiait donc des choses précises que ces chiffres à confronter à la nationalité de chacune de ces femmes, tandis que pour don Juan, on n’est pas sûr qu’il fasse la différence entre la catégorie des maigres ou des « grassotte » ni même la différence entre chacune des femmes (ou des nationalités de celle-ci): ce qu’il aime c’est s’amuser à séduire ce qui lui résiste, ce qu’il n’arrive pas à obtenir : c’est bien un enfant-gâté (« gia che spendo i miei danari io moi voglio divertire » - on ne sait d’où vient sa fortune et il s’agit de « sa » façon de voir le « divertimento » non pas forcément celle que partagent tous les êtres conscients. Cette façon de vouloir prendre les femmes des autres ou la promise de don Octavio est révoltante car il se pourrait que don Octavio attende depuis des années de pouvoir se marier – à l’époque dans l’aristocratie ou même dans la bourgeoisie on ne plaisantait pas avec l’honneur des jeunes filles à marier. Nous sommes donc avec le personnage de don Juan devant celui qui transgresse tous les interdits de « bon sens » ou qui ont un sens parce que s’étant avérés indispensables à l’époque pour gérer la société et c’est pourquoi nous éprouvons aussi de l’admiration pour cette personne qui brave ainsi le « bon sens » populaire né d’un mimétisme envers les mœurs aristocratiques qui se sont imposées : la question de la promise, la notion du promis dans la littérature (I  promessi sposi) mais aussi toutes les figures de couples ou de fiancés célèbres dans le théâtre y compris dans la Commedia dell’arte. Avec don Juan nous avons l’irruption dans le monde des lois du « hors la loi ». Aussi il est fascinant comme le sera Robin des bois ou Zorro ou Fra Diavolo, bien que sur un autre registre, car ces derniers personnages ne sont hors la loi « qu’à première vue », tandis que si don Juan l’est aussi il diffère de ces cas car il n’est plus qu’inconscience : c'est-à-dire celui qui ne se rend plus compte que les autres pourraient être lui-même et c’est pourquoi tout ce qu’il s’autorise de faire aux autres qu’il ne voudrait pas subir à la place des autres n’est pas dans son intérêt dans un monde bâti en conscience puisque cela advient représenté sur la scène d’un théâtre ou dans un opéra, c'est-à-dire des lieux qui tirent leurs existences réciproques de l’existence de la conscience qui a permis de les édifier en ressemblant plans et matériaux y compris main d’œuvre non pas pour voir s’épanouir l’inconscience, mais bien ce qui permet la création de ces lieux de divertissements, comme le seront aussi les salles de cinéma bénéficiant de la complexité des projecteurs de cinéma conçus eux aussi, comme chacun des éléments de la salle, y compris l’écran et les haut-parleurs en conscience. Aussi ce n’est pas intelligent de vouloir s’en servir pour favoriser des spectacles qui vont mener les gens à se détériorer l’esprit. Ces lieux de divertissement culturels ont pour vocation d’affermir et de former les beaux esprits voire d’instruire. Avoir voulu les utiliser pour ruiner les efforts entrepris par les auteurs pour y monter des parodies de spectacles et se moquer de ceux qui ont eu la patience de trouver les architectes pour en élaborer les plans et veiller à les édifier dans l’intérêt de tous y compris des moins fortunés, c’est bien avoir l’attitude du « hors la loi » (de l’incivil) ou de celui qui cherche à se moquer du monde et des efforts des autres et à cause de cela profaner les demoiselles promises à connaître le bonheur dans la fidélité conjugale (comme on entre de force en violeur par effraction dans des lieux saints et sacrés), c’est commettre le sacrilège de celui qui pour des raisons personnelles n’a jamais plus pu croire, à partir d’un certain moment, qu’amour (pur) existe en ce monde – avec un grand A - autrement qu’en l’érotomane devenu esclave de sa libido qu’il est devenu ne se maitrisant plus car ayant perdu la conscience puisque devenu le jouet des pulsions artificielles que l’inconscient ou l’enfant-gâté lui inflige en oubliant qu’il y a d’autres raisons en ce monde pour vivre que celle de cette forme d’esclavage ou maladie semant partout le malheur ne serait-ce qu’en respectant la vie de ceux qui ont voulu faire des enfants à ces autres fins).

[39] (j’ai passé une License en histoire à Paris I-Sorbonne autrefois et j’avais commencé une maitrise avant de bifurquer vers l’Animation Culturelle et Sociale - option cinéma - et enfin rejoindre les Arts et les Sciences de l’art – cinéma – télévision – audiovisuel - dans lesquels j’ai obtenu mon doctorat pendant que je devenais, par ailleurs, peintre, aussi y compris scénariste)

[40] (de toute façon une région dirigée par un profane ou un menteur aura toujours les réactions qui feront comprendre à tous les initiés ou les êtres humains débarrassés de l’enfant-gâté en eux que la région en question va mourir puisqu’il n’y a plus qu’en majorité qu’usurpateurs, ce qui est alors un danger pour tous les autres usurpateurs qui risquent de mourir aussi (à cause de celui-là qui « fait semblant » et qui est leur chef). Il est du devoir d’intervenir non pas pour les initiés, mais pour les profanes ou les usurpateurs ou les menteurs eux-mêmes qui, sinon, n’auront plus jamais la possibilité d’accéder à l’initiation, ou aux moyens qu’ils cherchent, en fait par tous les moyens, en « faisant semblant », bien qu’à d’autres moments, ils ne cherchent qu’à pécher, qu’à avoir plaisir en faisant le mal, donc à se conforter dans le statut d’enfants-gâtés, c'est-à-dire en fait à s’autodétruire, puisqu’ils oublient qu’ils espéraient « comprendre », donc les raisons qui leur faisait « faire semblant » : c’est alors qu’ils ne sont plus capables de « faire semblant » de se conduire en gentilshommes et qu’ils sont même fiers de ne pas l’être du tout. Il est donc urgent d’intervenir puisqu’ils réclament d’être châtiés après plusieurs avertissements auxquels ils sont demeurés sourds – ils ont alors perdu le sens commun. Ceux qui font encore semblant d’être des gentilshommes approuvent alors à l’unisson et aurons avec eux tous ces soldats qui vont être capables de donner les leçons que méritent leurs collègues devenus assez mal élevés pour être à ce point des mauvais exemples pour les enfants – infréquentables – ou revendiquer ce droit à la différence qui n’est plus concevable pour personne, pas même pour eux quand ils avaient un peu de bon sens – ce qu’ils admettent dès qu’ils iront mieux – ou qu’ils faisaient au moins semblant d’en avoir, ne serait-ce que pour sauver les apparences, ce que les vrais gentilshommes les ont toujours incité à faire en en donnant l’exemple et c’est pourquoi ces derniers s’arrangent toujours pour leur permettre de mentir sans jamais le leur signaler – mais le menteur a un défaut: il veut profiter du fait qu’on lui permet de mentir ou de se comporter de façon folle, puisque les personnes qu’ils veut séduire le regardent avec bienveillance et ainsi se sentant conforté, ment de plus belle, d’autant que personne ne lui a reproché ses mensonges que tous ont cependant remarqué. Quand le menteur s’en aperçoit, il commence alors à comprendre que les personnes dont ils se moquaient étaient vraiment bonnes et qu’il s’est rendus responsables personnellement avec ses semblables de la mort de tous les génies et de toutes ces personnes qui se sont montrées admirables de patience à son égard comme lui ont donné l’assurance qu’elles le comprenaient. C’est alors qu’il comprend ce que sont les gens polis et les vrais gentlemans : des gens impitoyables avec eux-mêmes mais très aimables et très compréhensifs vis-à-vis de tous ceux qui sont dans l’erreur, d’autant plus que c’est une chose très normale depuis longtemps de croiser des gens dans l’erreur et qu’à partir d’un certain âge, il est difficile de corriger ou de faire remarquer à des personnes qu’elles sont entrain de se tromper, elles pourraient mal le prendre d’autant qu’elles n’ont plus conscience d’être dans l’erreur ou la cause de toutes les erreurs et qu’elles voient les personnes qui ne sont plus dans l’erreur comme mystérieuses ou exemplaires mais aussi un mystère y compris comme des saintes. Pourtant elles ne le sont pas étant donné qu’elles ont dû si souvent renoncer à corriger tous ceux qui étaient dans l’erreur car ils ne voulaient plus être traité comme des écoliers et croyaient pouvoir bénéficier des mêmes droits que ces personnes justes et véritables ou adultes alors qu’eux-mêmes ne sont pour l’instant que de la parodie ou entrain de faire leur apprentissage mais hélas parfois comme des caricatures, ce qui va être à l’origine des préjugés et de bien de futurs malentendus puisqu’elles ayant vu réagir dans des cas semblables leurs exemplaires maîtres sans avoir pu le devenir elles-mêmes d’une certaine manière, elles vont reproduire ces réactions qui s’avèreront celles d’imposteurs et d’usurpateurs aux yeux de tous ceux qui savent naturellement ce qui est vrai sans avoir besoin d’en tirer spécialement une grande gloire comme tous ceux qui ont fait aussitôt les faux papiers qu’il fallait faire durant la Seconde Guerre mondiale pour sauver des personnes incomprises et ont agit avec conscience puisque les lois n’étaient que celles de menteurs et malhonnêtes ce que l’Histoire a permis de démontrer amplement y compris en nous permettant de trouver les raisons pour lesquelles on n’a pas le droit de tuer, ce que je rappelle dans ma lettre aux papes et dans celle aux présidents de la république).

[41] A cause de leur existence il est cependant nécessaire de préparer la guerre pour avoir la paix.

[42] Un scénario admirable pourrait donner un film à partir d’une adaptation. Mais rien ne remplacera la lecture de ce texte éblouissant.

[43] Il est certain qu’on pourrait ici ergoter mais tout ce qui est exigé et qui sont des contraintes sont donc des nécessités à mettre en œuvre.

[44] (cela est aussi valable pour inscrire ces trois petits points : en admettant qu’ils soient pourvus d’une personnalité comme on peut croire que certaines lettres de l’alphabet aient fini par en avoir une en raison du nombre de fois qu’elles se sont montrées chacune indispensable – et les recherches sur Internet au sujet d’une simple lettre le confirme – aucun des petits points n’aimerait, puisqu’ils se savent chacun destinés à être séparés l’un de l’autre pour offrir cette forme des trois-petits-points, être mis l’un sur l’autre car ils savent qu’il y a des probabilités pour qu’on ne lise plus qu’il s’agit de trois petits points mais d’un seul point – ce qui est différent - et c’est pourquoi chacun de ces petits points a intérêt à ce qu’on ne lui fasse pas ce qu’il n’aimerait pas que son voisin ou autrui, le troisième petit point subisse, car sinon comment réaliser cette forme des trois petits points ? C’est tiré par les cheveux mais un « b » n’aime pas être un « m » : on ne fait pas à autrui, même dans l’alphabet, ce qu’on n’aimerait pas qu’on nous fit, si on était par exemple un « z ». Y lire un « a » est possible, bien sûr, cela devient un exercice de style, mais tout le monde est au courant qu’on est sur une équivalence nouvelle, ou qu’on a changé le code de lecture, mais qu’au départ ce « z » n’est pas ce « a »)

[45] (il faut que je puisse penser à ma vie future et la préparer dès l’enfance, dès que possible y compris ma mort)

[46] Du chapeau, du capital (de « capo » en italien – « la tête » ou du « capitello » du « chapiteau », élément indispensable pour porter l’édifice, bien que cet élément, s’il est décoré avec seulement des motifs végétaux – acanthes, etc. - puisse être vu aussi  comme plus sensuel, d’autant plus qu’il est placé au sommet de la colonne qui est comme un élément de fossilisation des forces de vie durcies dans ce mot indispensable qu’on retrouve aussi dans l’expression « colonne vertébrale » qui est bien nécessaire pour porter notre « tête » - et nous sommes ici « da capo », c'est-à-dire au « début » ce cette note de fin de page)

[47] C’est le danger car cela fait des mentalités d’employés et de l’autre, celles de patrons. Il y a donc le risque de voir se reproduire la société scolaire ou étudiante ou celle des entreprises que nous connaissons dans nos sociétés actuelles pourtant issues du capitalisme-socialisme, avec des personnes qui sont « encadrées » ou ont besoin d’encadrements, de guides ou de chef. Celles d’assistés ou de touristes groupés. Pourtant cet aspect hiérarchisé -  militaire, voire pyramidal - vaut mieux (même si détestable, par certains aspects, à cause de ce qu’il révèle)  que des sociétés où plus rien ne fonctionne car il n’y a plus d’initiative privée ou particulière, plus d’intéressement au progrès personnel grâce aux autres. En général, cette nécessité du chef ou d’avoir un maître a pour objectif de le devenir soi-même. On accepte un maître dans l’espoir de comprendre un jour son point de vue ou de faire comme lui. On le voit bien dans de nombreuses entreprises où il y a des apprentis, des débutants ou des ouvriers, assez rapidement, on assiste à des désirs de devenir ouvrier spécialisé, ou de monter dans la hiérarchie en se rendant compétant. Aussi les chefs ou les guides sont vus comme des appuis pour ne pas se perdre et continuer à cheminer justement, en acceptant de s’astreindre à une discipline commune.

[48] (handicape ou esclavage – des mots qui, nous l’avons vu, malgré tout, nous concernent et sont inhérents à un autre niveau de lecture, au statut d’être humain " libre" et "non handicapé" au sein d’une civilisation qui en définit par la loi les principes en établissant une sorte de vu-mètre ou de mesure à ce sujet car, à partir d’un certain niveau de maladie, on sera considéré pouvant avoir les droits inhérents à ce statut d’handicapé – qu’on est de façon général à un autre niveau, ne serait-ce que parce qu’on ne vole pas ou qu’on ne dispose pas d’autres bras et d’autres mains - en raison de critères élaborés avec les responsables médicaux. Aussi nous ne sommes plus des esclaves au sens où on l’entendait, bien que parfois chacun de nous appartienne au nom d’une famille, mais nous y jouons à l’intérieur des rôles qui, en théorie, ne devraient pas être ceux d’esclaves, ou alors de personnes ayant librement consentie – consentement mutuel - au rôle de fils ou de fille ou de frère suivant que nous nous trouvions dans ces maisons devant des personnes qui peuvent nous définir alors par ces mots,  libre à elles de les avoir défini de façon originale, personnelle, traditionnelle, bourgeoise, ou avec d’autres desseins, libre à elles d’avoir eu le temps de réfléchir sur ces mots avant de pouvoir les dire en vérité ou en menteurs ou en usurpateurs. En fait elles n’auraient pas dû croire possible avoir une autre « liberté » que de les comprendre en vérité, mais en raison de la situation générale comme de l’existence des ignorants ou des profanes, au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), elles ont cru pouvoir continuer à être, au sujet de ces mots, « esclaves » des préjugés, des calomnieuses ou mensongères possibilités de les entendre tout en ayant cette « liberté »)

[49] (« librement » ne doit pas être synonyme de « stupidement », et cela devrait permettre de choisir son partenaire par « consentement mutuel » ou du moins contractuellement, mais aussi pour d’autres raisons différentes - qui ne regardent que les personnes en question et qui peuvent être aussi des calculs dans l’Intérêt et le Bien Général - ce qui s’est produit et manifesté autrefois dans bien des mariages à la fois concernant les commerçants, mais aussi à l’occasion de la plupart des mariages aristocratiques)

[50] (car vouloir manger un animal c’est vouloir « avoir » égoïstement ou en « vorace » comme « avoir un esclave » ou « posséder un objet » – les objets ou les êtres cela se mérite car sinon on risque de les perdre ou de les casser. Les objets comme les êtres n’ont pas été faits pour qu’on les « ait », mais pour qu’on les « aime » et qu’on les « libère » ou qu’on les mette en valeur pour les donner à admirer. Sinon c’est vouloir escroquer l’objet ou l’individu qu’on « a »)

[51] Que l’être humain n’est pas un animal seulement mais surtout un être « instruit ». En effet sont considérés comme les plus forts parmi les êtres humains ce qui pensent justement ou trouvent les solutions élégantes techniques ou technologiques qui vont permettre à tous de bénéficier de plus de confort et non ceux qui sont physiquement ou manuellement compétents en raison du fait qu’ils sont très rares alors que ces derniers sont innombrables. Encore une fois la loi de l’offre et de la demande, de la quantité et de la rareté va permettre à tous de comprendre que celui qui est vraiment « fort » est celui qui analyse ou connaît un métier très bien (a beaucoup d’expérience et peut former ou aider les autres dans une discipline. Le problème dont ne sait rien le profane, ou celui qui débute, c’est que certaines disciplines pour être exercées par des « fort compétents » ont exigé infiniment de formations diverses pour les maîtriser. Aussi on va se retrouver face à une personne « forte » et parce qu’on est nul soi-même on croit que celle-ci l’est autant que nous. Pour la personne vraiment « forte » ou compétente le problème est le même, mais inversé, elle croit l’autre tout aussi virtuellement compétente qu’elle-même et ne peut pas imaginer qu’elle a à faire à un ignorant, au mauvais sens de ce mot, seulement. Aussi ce qui se passe est étonnant : d’un côté des gens prenant les autres pour des personnes capables de comprendre et de l’autre des personnes qui « font semblant » de comprendre car elles ont perdu à peu près toutes les capacités pour comprendre en raison du fait qu’elles sont devenues faibles sur le plan intellectuel ou rationnel ou très médiocres. Mais elles ont peut-être compensé sur d’autres plans dont celui de la « force » physique ou sportive qui, bien canalisée comme le montre le sport, permet de faire des personnes compétentes au moins dans ces domaines.

[52] Certes chacune de ces solutions élégantes est difficile à mettre en œuvre et a nécessité des prouesses de génie comme surtout des personnes qui portent des têtes pensantes en plusieurs dimensions pour élaborer toutes ces solutions techniques du moins, dans un premier temps sur le papier avec des mots et des descriptions établies en vérité (et nous avons vu qu’il s’agit d’êtres exceptionnels mais handicapés dans leur quotidien car ils ne sont que pensée à l’état pure – bien qu’ils feront toujours croire le contraire pour ne pas complexer les autres), certes chacune de ces solutions a l’air de compliquer notre existence comme semblait l’avoir compliqué les mots « d’informatique » ou « d’électronique » ou de « mécanique » mais ce n’est qu’à première vue.

[53] Une forme d’asservissement qui libère.

[54] À l’aulne de ce que je pensais de l’être humain dès 1965 et à partir de 1975 et ce qu’a pu représenter pour moi et pour Christine, de 1975 à 2012, notre sacrifice y compris la perte de nos enfants.

[55] Par exemple en reconnaissant les torts.

[56] (les relations peuvent demeurer comme celles qu’on entretien avec les auteurs de livres ou ceux des films DVD, des relations avec des personnes « derrière l’écran », qui ont donc des vies autonomes et indépendantes de la nôtre, des personnes qui sont donc des étrangers invités ou qui pourront toujours demeurer « derrière l’écran », des virtualités avec lesquelles poursuivre des relations intellectuelles, des cheminements comme l’ont fait certaines personnes autrefois par écrit. Mais notre époque plus luxueuse offre l’image et le son en plus. C’est comme si au magazine ou au livre d’autrefois qui nous offraient une image, un mot, un portrait sur lequel méditer s’était enfin ouvert une fenêtre sur cette réalité encore plus vivante. Woody Allen dans la Rose pourpre du Caire nous montre qu’il est possible de rejoindre une personne qui est sur l’écran et avec Internet, sans avoir à se déplacer on peut rejoindre ou retrouver des personnes entrevues photographiées dans un magazine ou qui ont figuré dans un film, au point que les génériques des films pourraient comporter les adresses de courriel et permettre, si on fait un arrêt sur image, plus facilement de se mettre en rapport avec le directeur de la photo ou l’acteur pour lui proposer une nouvelle intervention (on pourrait aller jusqu’à imaginer que les pixels représentant la personne sur l’écran soient en relation avec l’adresse Internet ou le site de l’individu). Cela c’est si on poussait la technique jusqu’au bout du processus (avec la reconnaissance informatique des individus) au point que par exemple pour chacune des signatures ou des copyright concernant des images publiées y compris sur Internet, on pourrait aussitôt rejoindre le site de la personne (auteur) qui a photographié (ou filmé en vidéo ou écrit) ou son adresse Internet)

[57] Je ne l’aurais jamais osé s’il n’y avait pas eu Pierre Brunel pour évoquer Rimbaud et employer le mot de « conchier » au cours d’une soutenance de thèse à Nanterre : de son point de vue, Arthur Rimbaud « conchiait … »

[58] Si ce n’est que cela a engendré la « pudeur » (qui n’est pas un mot vraiment compris par les autres – dans tout ce qu’il a suscité comme sentiments ou relations et inventions diverses, dans son droit à être, mais seulement compris très grossièrement et primitivement (élémentairement) comme l’inverse d’« impudeur » (ce qui n’est pas très bien compris non plus) et ce qu’ils croient être normal en exhibitionnistes et en « pécheurs » y compris en provocateurs, et qu’ils proposent ainsi dès qu’on veut leur inculquer ou leur proposer ces notions de « pudeur » étrangères aux éducations reçues car cela est en relation avec des façon spirituelles et sensibles d’être et c’est à partir d’elles qu’a été défini le mot de « transgression » ce qui reste donc, d’une certaine façon incompréhensible pour celui qui est de façon permanente dans l’état en question. Ils ne comprennent pas le sens exacte puisqu’il n’y a pas un mot qui n’ait pas été le produit et la manifestation du Saint-Esprit même avant même que cette notion puisse être comprise et définie comme effectivement fondatrice – et puisqu’il s’agit de l’inverse d’« impudeur », ils veulent « transgresser » par esprit de contradiction sa réalité (ce qui produit le contraire pour les autres) par tout ce qui est considéré « profanations » ou « sacrilèges » ou « transgression » ou « provocations » - en enfants turbulents et préhistoriques qui voudront par exemple se permettre un strip-tease - de même que quand on ferme la porte à clé à un chat, celui-ci croit qu’il y a quelque chose à cacher (ou qu’il ne doit pas savoir) et va miauler pour y entrer. Donc par esprit de contradiction et d’ignorance, au mauvais sens du mot, ils prennent le parti inverse des gens sensés ou qui ont encore du bon sens en devenant méfiant et plein de soupçons – c’est ainsi qu’ils ont acquis cette mentalité d’espion car ils n’ont peut-être pas compris pourquoi en raison de la situation générale, des différences d’âge, il y a des choses à cacher (par pudeur) y compris dans les sentiments. Ils seront ceux qui se couvriront de vêtements (au maximum) pour jouer les pudiques, les vertueux ou les saintes-nitouches et faire ainsi comme les autres qui sont simplement couverts car sensibles au froid et au chaud (sans comprendre non plus la raison d’être – la cause - de cet état d’esprit qui a engendré la « pudeur » - différence entre le monde de l’esprit et le monde profane qui l’a engendré - et oublient ce qui a causé à l’origine ce problème de « pudeur » ou d’ « impudeur » - les migrations vers les pays froids et les différences de patrimoines – l’absence de chauffage ou la cheminée - et tous les préjugés élémentaires qui vont avec, puisqu’ils n’ont pas encore l’esprit formé, ni même bénéficié de l’ouverture d’esprit qui permet à ceux qui sont sur ce point libéré – quand ils le jugent utile ou faisable - de poser facilement nus sans problème (ou de nager nus dans la mer ou d’autres lieux) et comme ils ont encore moins de conscience et errent donc dans chacune de leurs existences comme des « perdus » (dans le monde des vérités relatives, des mensonges, des faux-vrais raisonnements, des transgressions enfantines, des calomnies, etc.), ils seront capables de regarder par le trou d’une serrure ou de croire « exhibitionnistes » ceux qui ne voient aucun mal à se relier à une web cam ou à être entrain de mettre en scène aux Folies-bergères pour qui il est évidemment normal d’être moins vêtus dans certains cas, comme cela a été le cas, avant le cinéma ou la photo de charme pour tous les grands peintres ou grands sculpteurs, puisque cela ne posait aucun problème à l’esprit que sa propre nudité ou celles des modèles et que cela plaisait dans un monde où les solutions élégantes de chauffage n’avait pas été encore posée partout. Comme ils n’ont aucune forme de certitudes cela leur permettra de dire « oui » à tout ce qui est dit de façon certaine (au son), car celui qui en raison de son état est contraint de « faire semblant » de comprendre a compris, comme les autres, que ce qu’il y a de plus intelligent à faire est de dire « oui » à des personnes sûres y compris à tout ce qu’il entend qu’il ne comprend pas, ce qui lui permettra d’ajouter son grain de sel avec un « mais » introductif de l’argument qui pourrait infirmer, confirmer ou contredire – de son point de vue de personne n’ayant intérêt dans ce qu’il lit ou entend que pour mieux faire connaître son point de vue d’enfant-gâté – il a le droit d’exister - mais sans tenir compte, au cours de cette réponse, des très nombreux paramètres qui avaient permis à son interlocuteur d’affirmer la phrase en vérité et souvent de façon pudique qui de ce fait se voit parfois contredite. En fait il se pourrait qu’ils ne sachent pas qu’il existe une nudité pudique ou une Création pudique (élégance qui ne se voit pas) et qu’ils prennent pour de l’impudicité ce qui pour de bien nombreux yeux est aussi pudique que des galets nus, non encore revêtus de peintures ou de legs en élasthanne les imperméabilisant un peu plus. Il faut être malade pour voir des galets ou des pierres polies comme autant de phénomènes impudiques. C’est pourtant ce que leur état d’esprit a modifié en eux et c’est pourquoi ils verront une colonne autrement qu’elle ne l’est y compris la tour Eiffel. Ils ne la verront que seulement comme une réalité uniquement « impudique » y compris le moindre des tuyaux. De là à Tartuffe dès qu’ils voient une dune ou une colline ou un volcan ou une montagne comme « arrière-pays » dans les photos ou les peinture, il n’y a qu’un pas et il les verra comme des successions de seins « à cacher », des tentations « inavouables ». C’est pourtant un pas qu’ils ont franchit allègrement et en toute inconscience en croyant que la Création n’est seulement qu’« impudique » ou « exhibitionniste » ou seulement « sensuelle », voire « sexuelle » - l’existence des fleurs ou des fruits confirment à première vue cela - et rejoignent alors tous les perdus de la Terre qui n’ont plus qu’uniquement la vision faussée de l’existence à travers ce seul filtre hélas ne permettant plus à celui qui le chausse de voir la réalité avec les milliards de milliards et à l’infini autres niveaux de lectures, abusés qu’ils sont par cet « à première vue » qui les rend inconscients et oublieux de chacune des autres façons de voir, des catégories ou des autres dimensions pourtant ayant donné de nombreux point de vue ou façon de voir la réalité autrement que de façon uniquement profane. Ils sont bel et bien prisonniers de celles-ci qui a offert à certains d’entre eux l’oubli, l’inconscience, l’insouciance, l’incohérence, et le corollaire d’état d’esprit de voyeurs à l’affût de choses qui sont si futiles et si dénuées d’intérêt normalement qu’en raison de cela et par esprit de contradiction elles leurs importent et c’est pourquoi ils sont capables de s’intéresser à ce que ces web cam leur présenteront là où pour tous les autres cela n’est déjà considéré qu’une unité de plus à ajouter dans  gorie, sans plus).

[59] (puisqu’irrespectueux de cette intimité de l’autre et de son droit à la pudeur comme à la « privacy » qui, je l’ai vérifié, est difficile à comprendre pour ceux qui esclaves de leurs passions voient le monde en profane ou en enfant-gâté sans pouvoir comprendre pourquoi la pudeur existe – y compris dans les sentiments - et mélangera tout au point de s’appuyer sur l’argument de la nudité existante chez certains peuples pour croire cela possible chez nous, alors qu’il s’agit là, chez eux, d’un des premiers stades de la civilisation)

[60] (je me souviens encore comment il a réussi à m’intéresser à ce mot techniquement dans les constructions romaines que nous visitions dans les ruines)

[61] Des initiations aux diverses religions ayant fondé les diverses civilisations aujourd’hui reliées mais surtout aux religions traditionnelles autochtones si celles-ci ont eu l’intelligence d’évoluer ; de s’adapter à la cohérence de l’époque.

[62] Au passage je viens de savoir que les profanes sont capables de reprocher aux occidentaux la charité que ceux-ci leur font de se débarrasser du matériel technologique en le vendant pour trois fois rien, au poids, aux africains n’ayant pas les moyens de s’en acheter du neuf et leur reprochant de faire de l’Afrique un lieu de déchets, alors que c’est à eux de s’organiser pour éviter cela en se rendant capables de recycler chacune des choses reçue – cela a exigé en Occident de montrer comment on peut le faire de façon industrielle et donc on pourrait éviter d’avoir à faire les efforts pour leur apporter par bateaux qu’il a fallu construire pour cela, l’ensemble de ces objets dont certains d’entre eux reprochent de ne pas être en état de marche, alors qu’ils pourraient consulter par Internet les modes d’emplois et faire des réparations de fortune à partir de plusieurs modèles pour en fabriquer un qui marcherait pour longtemps avec des pièces détachés récupérées sur d’autres plus ou moins semblables – avec un fer à souder si on est de ceux qui s’y connaissent un peu ou s’y intéressent, il y a moyen avec tout ce matériel qui débarque quasiment gratuitement, d’apprendre à être utiles, en Afrique, dans des métiers d’avenir. Il y en a même capables de vouloir faire des procès à des entreprises qui ont peut-être financé ces transports de matériels électriques, électroniques informatiques divers. Je crois que se sont les dirigeants sur place qui n’ont pas compris la chance qu’offrai[en]t l’ensemble de ces efforts faits par tous les occidentaux pour acheter régulièrement de nouveaux modèles, en se débarrassant des anciens qui peuvent ainsi avoir une chance d’une nouvelle vie auprès de gens moins fortunés. Peut-être faudrait-il qu’ils pensent à mieux accueillir ce matériel par des personnes mieux formées et mieux organisées y compris en prévoyant des lieux appropriés pour ces ateliers et éviter que les métaux ou produits chimiques ne soient [à] l’origine de contaminations (c’est aux gouvernements locaux qui ont accepté l’accueil de ces sources de richesses de faire le nécessaire et non aux gouvernements ou aux entreprises ou aux particuliers qui changent de matériel en faisant des efforts financiers chacun au point de sacrifier des vieux modèles ainsi et permettre à d’innombrables personnes de survivre y compris les ports, des lieux d’accueil, ou toute la filière de retraitement de vieux matériel. Il serait donc peut-être opportun de cesser de sacrifier autant de choses dans le monde de la vérité pour les profanes, les inconscients, les pauvres puisque c’est si mal accueilli et même qu’on trouve des personnes – enfant-gâtés - qui reprochent que ces choses ne marchent plus, alors qu’il y a tant de choses à récupérer y compris à réparer si on veut s’en donner la peine et le plaisir en étant sûr de créer de la valeur ajoutée et d’apprendre de bons métiers.

[63] Je suis sûr que j’ai affaire avec vous à un homme d’esprit qui sait lire. J’ai pensé à Federico Fellini mais aussi à Commencini et pendant que j’écrivais la phrase je riais en moi-même comme Chérubin.

[64] Je relis et j’ai appris depuis qu’en japonais cela signifie « bleu marine » le mot de [kon] – ça tombe bien en raison du fond couleur choisi pour le papier du brouillon de cette lettre – c’est donc vrai, je le suis - ainsi dit dans l’invisible – mais je ne crois pas possible l’existence de voix : je ne suis pas Jeanne d’Arc, et elle n’avait pas parlé dans le Procès de Dreyer de gens mal élevé, à ce sujet. Par contre, je suis sûr que vous, au contraire, croyez possible, comme elle, de tels prodiges : entendre des voix d’autant que Fernandel aussi nous montre bien qu’il entend Dieu lui parler dans plusieurs films touchant et admirables, ce qui signifierait qu’il y a un monde délivré de la condition profane qui entend Dieu et un monde qui est sourd à celui-ci – mais ici ce ne fut ni l’un ni l’autre, mais l’ordinateur qui s’exprima ainsi – à notre époque les ordinateurs parlent, ils ont des hauts-parleurs et les gens parlent en soliloquant dans la rue sans plus être traité de fous car ils sont reliés à des mini-téléphones sans fils à des oreillettes ou autrement. Mais je vous assure que le haut-parleur était éteint. Pour cette information sur le mot de « con » je la dois à l’auteur Akira Mizubayashi qui vient d’écrire Une langue venue d’ailleurs dont vous me permettrez de vous recommander la lecture : un livre admirable.

[65] Cuneo en italien dans le piémont.

[66] Si j’ai connaissance d’un instrument ou si j’en invente (et Dieu sait combien j’en ai inventé) c’est pour les donner à fabriquer et permettre ainsi à tous de les utiliser non pour être les uniques à en disposer ou les réserver à un club qui les utilisera pour nuire ou avec cette mentalité d’espion cachotier s’étant permis de faire des choses à mon insu (comme ceux qui cherchent à voler des futurs brevets ou sources de richesse pour un pays en faisant de l’espionnage industriel et peut-être à cause de cela agissant en maitres-chanteurs), étant démasqué et ne s’étant même pas présenté ni excusé pour de tels actes outrageant et les déshonorant – en mal polis, sans savoirs-vivres ni scrupules (d’autant qu’ils nous doivent déjà tout ce qui est bon), c'est-à-dire avec cet état d’esprit dénué de morale comme des spectateurs n’étant plus capables de différencier ou de discerner ce qui est « bien » ou « bon » du « mal ». Pourtant il y a bien ce qui est « bon » et qui provient donc d’une attitude morale car sinon il n’y aurait que des choses mauvaises c'est-à-dire dépourvues de morale (la morale étant indispensable pour se conduire honorablement), comme des ronces ou des orties ou des animaux hostiles à l’être humain. On sait que ce que rejette le corps n’est plus bon ou moral pour le corps. Aussi pourquoi vouloir s’y focaliser ? Pourquoi vouloir « zyeuter » en cachette (ce qui a le droit d’être un secret de fabrication d’autant plus qu’on donne toujours le temps à celui qui est en cuisine de faire tous les essais et toutes les erreurs y compris pour tourner un grand nombre de prises avant de choisir celle qu’il utilisera au montage ou de proposer à des personnes une nouvelle recette – il y a ceux qui pourtant ne voient pas d’inconvénient à être observés ou filmés y compris au cours de l’élaboration de leurs œuvres mais ils ont accepté, comme Picasso, de se faire filmer par H. G. Clouzot quand ils étaient depuis longtemps devenus maîtres dans leur art et qu’ils savaient offrir ce qu’il y avait de mieux aux spectateurs – du respect des spectateurs et de l’image – les milliers d’heures d’apprentissages et de tentatives ou d’essais avant de parvenir à tracer le trait en question, en transparence, ils ne les ont nullement imposé en télé-réalité ni avec une web cam filmant en continue toutes ces difficultés ou tous les ratés ou tous les obstacles à surmonter y compris tous les préjugés à vaincre en art et sciences de l’art – ce qui l’a mené comme première étape au cubisme – c’est d’un commun accord et en consentement mutuel que ce film s’est fait. La personne avoir obtenu la permission et on ne parle plus alors d’espionnage (mais de documentaire) alors que sinon on ne fait que révéler qu’on fait parti des esprits les plus minables puisqu’ils voudront être de ceux capables d’intervenir à l’insu ou d’utiliser des instruments dont l’autre n’est pas au courant pour se faire passer pour des « sorciers » ou des personnalités alors qu’on a espionné en cachette pour les utiliser à contrario du bon sens pour des commérages de bas étages en raison des erreurs d’interprétation qu’on fera dans l’état de dégradation cérébrale qui nous a fait choisir de perdre ainsi le temps chargés de ces espionnages (dans un monde où tout peut être montré sans avoir à rougir de rien par les moyens techniques mis à la disposition de tous) car cela signifie que ces personnes ne le font que pour des raisons qu’elles cherchent à transgresser ce qui est de bon sens pour elles de ne pas faire et d’avoir comme règles commune d’hygiène d’existence en ayant donc préféré faire partie des ignorantes, au mauvais sens de ce mot : elles se sont donc avilies jusqu’à ces activités de délateurs-espions en raison de mensonges ou de leur incapacité à raisonner (leur limite) ou du fait qu’elles ont cru l’être humain mauvais comme elles au lieu de consacrer leur existence à la recherche de la vérité qui est d’une complexité inouïe comme liée au fait qu’il faut avoir la patience d’attendre que les documents soient publiques ou que de mon côté je m’offre en spectacle, si le cœur m’en dit et si je puis le juger d’une quelconque utilité y compris à travers ces web cam ou comme je n’ai pas hésité naturellement à le faire quand j’ai pris conscience qu’on me voyait dans le ciel trente ans avant puisque Dieu m’en a redonné la mémoire et que moi-même je m’en suis souvenu pour avoir pu le vérifier moi-même trente ans avant dans les bras de Christine, ma promise impératrice que l’Ensemble, a exigé par ce sacrifice que je quitte jusqu’à ce que mémoire me revienne en raison d’un autre anneau de mariage et qu’on constate qu’effectivement j’étais aux différents endroits dans le temps en même temps, ce qui signifie que j’ai été à chacune des fraction de seconde une grande quantité de personnes différentes se déplaçant sur un axe du temps mais qu’il y a eu des longues parenthèses profanes).

[67] Les soldats protégés attendaient lâchement de cette façon des hommes courageux ayant à résister aux mensonges comme ayant eu à quitter des milliers d’activités différentes dont chacun étaient capables pour récupérer des lieux qui n’étaient plus qu’entre les mains d’incompétents ou ces personnes devenues menteuses et criminelles y compris folles au point de cécité absolue et/ou de croire possible tricher ainsi y compris sur le plan militaire pour éprouver ce fallacieux plaisir qu’il y aurait à tuer des êtres humains ayant été trompés et à transgresser un interdit qui non seulement a fondé toutes les civilisations intelligentes – "tu ne tueras pas" en contraignant à évoluer et à trouver des alternatives, un interdit dont ils avaient bénéficié pour vivre et pour avoir la vie sauve comme avoir le droit à l’existence même en tant que profanes ou que dégradés ou ignorants au mauvais sens de ce mot, faisant n’importe quoi avec les mots en tant qu’inconscients ou fous ou en croyant possible penser n’importe quoi avec eux (alors que le bon sens existe) et cela au sein même d’une société et au sein de civilisations ayant établi entre elles des liens commerciaux depuis des siècles mais en enfants-gâtés à cause de cela incapables de voir que ce que proposait l’époque était déjà beaucoup mieux que des milliers d’années auparavant et qu’ils pouvaient donc avoir un peu de patience pour attendre les nouveaux modèles y compris accorder un peu de bon temps en s’autorisant des temps de repos ou de vacances comme le Front Populaire l’avait proposé au lieu de contraindre en conservateurs à travailler de façon inhumaine en continuant à exploiter.

[68] Il y a des règles en sport et il y a toujours eu des règles dans les combats et dans la guerre (comme deux camps qui se donnent rendez-vous pour se mesurer). Il y a des choses qu’on ne peut pas se permettre de faire comme violer des traités de neutralités pourtant signés et cela pour continuer à offenser (non pas en « légitime défense ») mais pour offenser des êtres humains qu’on trouve normal d’attaquer par derrière en se réjouissant de profiter ainsi lâchement de la confiance, ce qui n’est pas concevable ni fraternel, alors que ces personnes, ne s’en doutant pas font face comme des sentinelles et que ce genre de procédé leur est totalement étranger.

[69] J’ai pourtant de 2005 à 2012 décidé de tout ce qui a construit notre époque depuis 1965 et 1975 en transmettant la Nouvelle Donne InterRégionale (Internationale) Mondiale au point de faire construire des millions de choses différentes dans chacune des catégories évoquées et cela sans avoir, au départ, que de très faibles moyens. J’en déduis qu’une personne en 2005 avec Internet et un parcours et de nombreux travaux a de vrais moyens à sa disposition.

[70] (de ce qui obéit à la logique de la situation – cela tombe bien puisque nous sommes celui qui dans d’autres époques du passé avons inventé le jeu des échecs, entre autre, ce qui signifie que nous savons exactement ce qu’une situation comme celle-ci qui est composée de milliards d’individus interagissant entre eux doit devenir et c’est pourquoi pour la moindre chose à laquelle on ne nous obéit pas, il n’y aura que des catastrophes partout, pour la moindre irrégularité, pour la moindre infractions aux lois que nous connaissons, chacun se fait alors des dommages colossaux. Pourquoi nous connaissons les lois, toutes ? Mais tout simplement parce que tous ont pu constater que nous avons eu à calculer tous ces milliards de milliards de milliards et plus encore de paramètres qui concernent chacun des électrons sur quarante et trente ans et cela dans tous les univers pour pouvoir intervenir du futur avant même qu’il ne soit dans la réalité et pour sauver la planète Terre à temps, avec effet rétroactif, en faisant au passage cette Nouvelle Nouvelle Donne Internationale Mondiale, en raison de notre anneau immaculé de mariage qu’il est, je crois, tout à fait inutile de qualifier de « vrai » par opposition à ceux qui sont faux, après tant de preuves renouvelées de la vérité des mots et ce qu’ils induisent comme conséquences. Aussi le mot de « mariage » comme de « fiançailles » obéit exactement à des choses d’une précision inouïe, ce qui signifie que tous ceux qui ont fait semblant de se marier ou cru pouvoir se moquer d’un seul atome de ceux qui se sont mariés, en vérité, ou seulement fiancés (en vérité) comme ont employé le moindre mot en vérité, s’ils persistent dans ce genre d’intention, en auront les conséquences atroces et proportionnelles aux dégâts qu’ils ont causé, même en tenant compte de tout ce qui est d’avance une bonne affaire et qui concerne tous les profanes, car c’est eux qui bénéficient du décalage qui existe pour se donner le temps d’essayer de réparer un peu le mal qu’ils ont cru possible s’autoriser à faire, la situation de profane étant donc enviable et fort enviée par tous les initiés qui ont à souffrir depuis des siècles et des millénaires d’une situation qui n’est pas admissible, qui est celle de personnes incomprises et bien plus que saintes puisqu’elles ont à endurer autant de vulgarité et grossièreté que cela : elles qui n’ont vu le monde que de la plus belle des façons y compris l’être humain et cela en ayant le sens de ce qui est juste et sacré, comme de tout ce qui peut permettre à travers les chef d’œuvres de grandir ou d’élever l’être humain y compris celui qui s’est avili ou qui est tombé, bien que la vision d’Atlantide avait disparu, en créant autant d’autres Atlantidéens qu’il y a de véritables artistes ou de personnes s’étant extirpées de la condition grossière des profanes ou des espions ou de la mentalité des délateurs et corollaires personnes fonctionnant « à première vue » et n’ayant pas la patience de rassembler le maximum d’informations pour la recherche de la vérité mais de croire de vieilles machines qui ont été conçues pour d’autres temps où la pensée n’était pas encore capable de concevoir à partir d’un environnement « naturel » mais de ne fonctionner que limité à l’état animal au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ce[s] mot[s] (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .))).

[71] (Parfois, il y a moins de lois que cela – c’est selon – j’ai exagéré à dessein. Parfois il n’y a qu’une loi ou deux, mais parfois beaucoup plus, selon que nous ayons à zoomer ou à prendre notre envol, en plans plus larges)

[72] (ce qui est évidemment pour les profanes impossible – j’ai vérifié : il n’arrivent qu’avec des difficultés à appliquer des méthodes ou des règles ou bien sont contraints d’avoir recours aux machines qui calculent pour eux – ils sont donc dans des véritables difficultés de personnes quasiment préhistoriques, n’ayant pas encore pu tirer les bénéfices de tout ce qu’offre de merveilleux la civilisation pour parvenir à penser ou calculer, ou écrire ou dessiner en vérité – ils sont donc dans une situation d’hostilité envers la partie la plus intelligente d’eux-mêmes et à cause de cela demeurent impurs)

[73] (qui sont pour l’instant du virtuel, c'est-à-dire du possible et qui ont été pourtant représenté d’avance, comme de véritables petits amours dénués de préjugés, dans certaines fresques dans les coupoles ou sur des tableaux, par tous les grands peintres véritables qui n’ont peint que pour eux dans tous les temps passés)

[75] Et à la troisième Florence Loewy que je viens de reconnaître, il y a peu.

[76] Mais j’ai pu encore vérifié l’autre jour incognito que des jeunes vauriens de grognards venant vers moi sur le trottoir en « casseurs » ou roulant des mécaniques n’imaginant pas qu’ils vont se trouver face à une personne qui est leur pharaon et à qui ils doivent tout le bien de cette époque-ci font comme si je n’existais pas et ne voient qu’eux-mêmes dans la personne qui vient vers eux et comme je ne cherche pas la bagarre, je serai le premier à leur céder le passage puisque je vois bien qu’ils ne voient en moi que cet eux-mêmes à qui ils ne voudront pas laisser le passage à qui ils ne veulent pas donner signe de politesse en étant devenus les inciviles qu’ils sont. C’est bien la preuve qu’incognito je continue à inspecter des gens qui sont comme des morts et qui peuvent avoir devant eux l’une des figures de la science la plus importante dans tous les temps et ne pas être capable de la reconnaître. Je pense que des personnes ayant permis tous les grands progrès ont dû trouver drôle car ils avaient de l’humour, mais triste de constater que les gens ne savent pas discerner (pourtant dans un monde où les médias leur ont un peu appris à regarder). 

[77] Je me suis dit ensuite vers 2012 que ce sadisme à mon égard n’aurait peut-être pas été si Michèle avait pu comprendre qu’en 1975, comme on ne me permettait pas d’avoir plusieurs épouse, je n’avais pas d’autres choix d’aller vers elle en étant amnésique de la première qui sinon, me sachant son promis, n’aurait pas pu supporter de me savoir à elle. De plus je n’avais pas le choix quand cela m’a été ordonné du futur, à chaud, après la soudaine découverte et avant que le sacrifice ne débute en 1965 et soit renouvelé en 1975. Il y avait donc des raisons pour lesquelles Michèle s’était comportée comme elle se comporta qui étaient peut-être dues au fait qu’elle n’a pas compris ma conduite une fois que j’ai commencé à devenir amnésique pour devenir profane en raison de ce que je savais de la vie sentimentale de Michèle qui me contraignait à lui donner une chance mais en tant que profane, donc comme elle d’aller vers l’amour véritable (ces moments négatifs, moi, ne les ayant jamais perçus comme tels, puisque j’avais fini par l’aimer en vérité et de façon innocente, au point de retrouver cet anneau de mariage, Dieu et ma mémoire). Aussi c’est en 2012, (donc en 1972), que je me suis dit qu’elle n’aurait certainement pas eu ces aspects négatifs si tout cela s’était passé différemment et si en 1965 ou 1975 on avait compris qu’un empereur-pharaon (bouddha) cela peut avoir plusieurs femmes. Mais les préjugés étaient tels, en ces époques là, bien que j’attendais que tous comprennent comme moi que c’était possible et qu’on nous propose cela, qu’il a fallu qu’involontairement, grâce à Christine et à sa réaction en faveur de Michèle, malgré la rupture de fiançailles d’avril-mai 2005, que je retrouve la solution élégante que j’avais trouvé en 1972, (en 2012 !), celle de plusieurs épouses. Parfois ce sadisme venait du fait que Michèle n’a pas pu connaître, avant 2017, le vrai pharaon que je suis débarrassé à jamais de l’état d’enfant-gâté. Elle l’a parfois (mais rarement) éprouvé envers cet enfant-gâté que j’étais devenu et qui avait bien des difficultés quand je l’ai rencontré au point de ne plus très bien savoir ce qui était juste et vrai de ce qui l’était moins. Mais cela s’était passé ainsi (dans les correspondances de temps avec les temps de la prime enfance) entre 1958 (avant sa naissance) et 1965 pour elle enfant, ce qui explique pourquoi ses parents avaient voulu divorcer. 

[78] (puisqu’amnésique j’avais naturellement commencé à pécher comme tous les profanes ou les devenus profanes artificiellement une fois qu’ils ont une amnésie, ce qui est la pente qu’ils prennent, en croyant pouvoir s’autoriser à pécher face à leurs descendants dont ils oublient l’existence ou même qu’ils avaient l’obligation de se former pour être digne d’eux. C’est normal, ils sont amnésiques, ils ne savent pas que leur vie avait un sens ou obéissait à ces contraintes, ils pèchent alors et vont vers des existences abominablement fausses chacun en devenant des « perdus »)

[79] (alors que celui des profanes s’est asséché en devenant un cerveau de personnes capables de faire semblant par mimétisme et par conséquent de ne penser qu’en tricheur, même quand ils sont sincères et qu’ils croient être vrais, puisqu’ils font pareil que les autres ou même parfois mieux que les autres sans être ces autres : copier s’est voler, à moins que cela soit fait pour réussir à devenir aussi bon que son maître ou que ses maîtres copiés)

[80] on est donc dans les temps qui précédent ou les temps de l’approche et qui sont ceux durant lesquels ces deux personnes vont peut-être se fiancer ou même vivre ensemble à titre d’essai. On va donc apprendre avec l’autre à vivre et peut-être à construire

[81] (par conséquent seulement capable de singer et non d’être, seulement capables d’avoir mais aucunement encore capable de donner, c'est-à-dire de produire véritablement comme des arbres de vraies nouveautés, de vrais plans, de vraies solutions)

[82] À titre indicatif, en réalité c’est plus complexe que cela et c’est vers 1972 (2012) comme je l’ai dit plus haut – mais il y a eu plusieurs petits faits à partir de cette date là qui sont entrés comme éléments de réflexions.

[83] (ce que j’espérais mais en étant contraint de tester l’Ensemble pour voir s’il y en avait un qui, dans le tas avait tiré les leçons de l’Histoire, bien qu’il faut dire que je n’avais pas d’autres choix tout en ayant pu vérifier que j’avais bien expliqué qu’il ne s’agissait alors que d’une virtualité et que, par conséquent, chacun, comme de nouveau depuis 2005, pouvait y mettre un terme définitif et grâce à cela débloquer la situation pour nous permettre tous d’éviter les uns comme les autres sinon toutes les souffrances qui nous attendent, y compris les vieillissements et toutes les difficultés. J’ai pu vérifier que j’ai essayé de tout faire pour essayer de faire comprendre la différence entre le virtuel et la réalité – bien sûr à notre époque tout le monde comprend, sauf toujours les mêmes ignorants « qui font semblant » et grâce aux ordinateurs comme aux jeux, on sait que le monde du virtuel cela concerne des annonces ou des avertissements et que parce que nous en sommes tenus au courant ou avertis, cela nous donne un peu de temps pour éviter si possible le pire. Aussi quand on parle de désertification et de réchauffement planétaire « mesuré » cela signifie aussi qu’il faut prendre des décisions pour aller contre d’autant plus que sans eau nous n’aurons plus de quoi faire pousser ce dont nous avons besoin pour nous alimenter à cause de la diminution des espaces agricoles et d’une démographie augmentant : de véritables soucis / inquiétudes pharaoniques qui le sont d’autant plus que je suis très inquiet pour l’état de la planète à remettre au pharaon suivant que j’essaye de servir de mon mieux puisque nous avons eu à nous donner tout ce mal pour sa génération et la suivante, si tout n’est pas fini dans la fraction de seconde qui vient (menace apocalyptique qui pèse continuellement à chaque instant sur nous).

[84] Or tous savent que c’est souvent le fou qu’on préfère car il a l’attrait de l’insensé, de ce qui n’est pas rationnellement compréhensible. On préfère souvent l’animal (le chien ou le chat) au roi, au Pape ou à Dieu ou à toutes les personnes sensées – mystérieuses, suspectes - qui s’occupent de vous avec conscience ou bonté. On ignore alors ce que la partie visible du fou, du chien ou du chat ou de l’animal cache de véritablement hideux. Si on le savait, on ne se ferait pas prier pour aimer l’être humain véritable auquel on doit tout car l’apparente beauté physique des animaux, leur aspect admirable, cache véritablement, comme chez les fous ou les profanes au SNNPM[.] : au sens négatif et non positif de ces mots (dans d’autres S. P. Ô. K. (situations précises (S . P.), occasions, circonstances, points, scènes, tableaux, paragraphes, occurrences (Ô.), cas [particuliers] (K .)), une sorte d’enveloppe bien plus hideuse que la laideur – qui empêche l’animal d’être penseur, concepteur ou créateur - de laquelle l’individu en question ou l’animal est devenu prisonnier : c’est celle de l’enfant gâté, ou de l’enfant ou de l’adolescent (de l'égoïste) au mauvais sens de ces mots, au point qu’on en est devenu chat et chien ou d’autres animaux voraces, c'est-à-dire des façons d’être qui ne sont pas enviables, bien que souvent à-premièrevues très sympathiques et à première vue belles et gentilles, une fois bien nourri, ce qui fait que cela nous confirme que nous faisons bien d’aimer observer et soigner les animaux y compris les fous ou les profanes en les conseillant ou en leur donnant des occupations ou en espérant et attendant leurs progrès – ce qui rend l’être humain parfois nostalgique de l’état d’animal ou de ceux qui agissent avec inconscience, voire folie et bien sûr beaucoup trop bons avec ces personnes qui craignent et redoutent l’être humain  comme les véritables maîtres qui vous donnent des travaux à faire, mais le savent totalement indispensable puisque sans lui il n’y a que maladie et mort et pas même l’espoir d’un soin, par conséquent malheur y compris entre les animaux)

[85] (certes ils avaient cru cela possible en se basant sur des mensonges qu’ils ont eu la bassesse de croire comme des enfants capables de croire à des canulars ou des enfants qui n’essaient pas de croire ni de savoir pourquoi la notion de saison est vraie ou de journée ou de n’importe lequel des mots. C’est normal un profane est une personne qui répète ce qu’elle entend ou ce qui traîne sans comprendre et sans encore penser en vérité sur ce qu’elle voit ou entend et c’est pour cela qu’elle sera capable de recopier les erreurs dans une copie sans les discerner, par mimétisme. Elle véhicule dans sa tête des calomnies, des mensonges, des vérités relatives et des préjugés. Cela explique pourquoi la notion de profane a toujours concerné les enfants-gâtés ou les adolescents, au mauvais sens de ce mot, puisque ce sont eux et non les véritables enfants ou adolescents, au bon sens de ce mot, qui posent problème au point qu’on retrouve ces catégories de personnes même chez les personnes âgées).

[86] (Christine et Michèle, cette dernière ayant acquis la possibilité d’être réhabilitée comme épouse potentielle à la seule condition que Christine – et moi - renoncions à l’annulation de son mariage et devienne officiellement ma femme, même si mariée)

[87] (en ayant été contraint de surmonter les préjugés liés à la monogamie dans notre cas ou en ayant été contraint de réfléchir très en détail à la logique inhérente à ce cas de figure qui résultait de ce que la situation générale nous avait imposé pour sauver la planète au moins à trois reprises de 1965 à nos jours)

[88] – à d’autres endroits sur le plafond – pouvant former des trèfles à deux, à trois ou à plus de feuilles en étant indépendantes de la figure centrale à vingt quatre.

[89] Ne croyez pas que j’ai des préjugés au sujet des cheveux longs pour les jeunes filles et les femmes : il y a des femmes aux cheveux courts qui sont très belles aussi.

[90] (et pas seulement celle de devenir moins encore qu’un porc : un tigre ou un des animaux lâches (qui comptent sur la mort des autres) au point de s’attaquer physiquement à plus faibles qu’eux et qui finissent charognards car ils le deviennent en raison d’une très grande peur de l’existence)

[91] (croyant que ce n’est pas grave comme quand les autres qui sont dans la vérité s’autorisent en parenté de plaisanterie à faire de l’esprit, ce qui n’est pas pareil, mais qu’il vaut mieux ne pas espionner en profane puisqu’alors on s’expose aux conséquences habituelles et à croire vrai ce qui est dit sur un registre ou dans une catégorie qui évidemment ne l’était pas ou même croire à des canulars répétés avec de l’esprit ou en faisant de l’auto-dérision par les juifs eux-mêmes à leur sujet)

[92] (et n’a pas eu le temps de les exposer, car peut-être il y a tant de raison que cela prendrait des années)

[93] C’est ainsi que par exemple chacun des mots qui sont aujourd’hui devenus des outils de langage ont eu de véritables auteurs et cela dans chacune des langues. Ce n’est qu’assez récemment qu’on a pensé à recenser au moins la date de l’apparition d’un mot. Et ce n’est que récemment, grâce à l’électronique qu’on a des renseignements au sujet des photos (la marque de l’appareil et d’autres détails). On n’a pas ces données concernant les bandes audio enregistrées. On ne sait pas à quelle entreprise doivent aller les mérites de ces enregistrements dont nous avons hérité. 

[94] – mais trop peu je sais de ma mère, j’ai été vingt sept ans loin de ma maison comme une personne étrangère à lui-même ayant aussi à vérifier la parabole de l’enfant prodigue comme véritable fondatrice (en 1965, 1975 comme à partir de 2005)

[95] (de ceux qui ne sont plus capables de voir que l’autre peut être différent de celui qu’on est devenu et qui à cause de cela vont croire que l’autre nous ressemble)

[96] (par conséquent voyant la réalité autrement ou augmentée de la somme de mes connaissances et des milliards de milliards et plus encore de données vérifiées sur autant de temps y compris anticipées – vous comprendrez que quand je lis une choses ou voit un élément, ça mouline naturellement au point que j’en vois aussitôt les virtualités et ce qu’on pourrait en tirer dans l’Intérêt Général à la fois profane comme autrement, pour permettre d’offrir un bon métier, ou plusieurs, à une de ces personnes qui aspirent à ne plus être des profanes, mais qui pour l’instant n’ont d’elles-mêmes aucune idée de leur propre chef – puisqu’elles l’ont perdue, leur tête, et ne sont plus que bonnes à appliquer des méthodes mises au point depuis longtemps ou à obéir aux ordres ou à rejoindre la masse considérable de personnes « manuelles » reproduisant par mimétisme qui étant si importantes en nombre (obéissent à la quantité de personnes qui s’offrent sur le marché du travail et qui posent chacune, comme les grains de sables, sur une plage, si peu rares, toutes semblables, les mêmes problèmes et bien que les aimant chacun (ces grains de sables) nous n’avons pas le temps de les différencier les uns des autres que seulement quand je bénéficie d’un peu de temps en vacance pour m’y intéresser en détail, y compris si j’avais à ma disposition un microscope électronique pour les analyser : ils verront qu’ils se ressemblent tous, ces travailleurs manuels comme se ressemblent tous tous les menteurs ou les tricheurs ou les usurpateurs ou les profanes, alors que tous les artistes universels sont chacun uniques au point qu’en véritables créateurs, ils ont permis de créer tout ce qui permet à tous ces grains de sables de survivre (la pelle, la brouette, etc.)

[97] Aussi quand je dois laisser le passage à un garnement ou à un mal poli, celui-ci qui se montre alors malpoli commet un sacrilège. Mais ceux-ci me rendent drôle le monde (de même que j’ai appris à lire les pires cauchemars à un autre niveau de lecture comme drôles d’autant plus que ceux qui les ont faits révèlent en voulant ainsi nuire qu’ils ont peur ou qu’ils cherchent à faire plaisir, étant donné qu’ils montrent qu’ils sont des ignorants, au mauvais sens de ce mot, puisqu’ils ne savent pas tous les niveaux de lectures ou toutes les catégories qui sont liées au mot d’Amour n’ayant rien à voir avec l’éros et la pornographie et tout le corollaire) comme les personnes que j’inspecte d’autant que je me souviens que quand j’étais un de ces grains de sable, je croyais pouvoir rouler des mécaniques ou que j’avais ce genre de droits sur un trottoir (bien sûr je vérifie constemment qu’en interdisant le port d’arme en ville comme le duel, les ministres qui l’ont décrété dans le passé, ont véritablement bien fait, car il y aurait des raisons, à tout bout de champ de tuer y compris des personnes responsables « politiquement » et c’est pourquoi je demeure convaincu de l’utilité des divers apprentissages comme celui de l’écriture et de la nécessité d’inculquer dans les éducations la patience pour apprendre aux gens à négocier par écrit comme utiliser les voies légales y compris de recours. Mais cela exige des années d’études et d’apprentissages divers pour réussir à être juste en vérité et voir tous les aspects ou les facettes d’un problème ou d’une phrase qu’on croit pouvoir s’autoriser à dire ou à écrire encore en tant que profane. Or le profane va dire cette phrase sans savoir ce qu’elle pose comme problèmes et agit donc sans se rendre compte, comme un provocateur. Il ne se rend pas compte que dans le monde de la vérité la simple petite modification à une phrase dans un texte officiel peut avoir des conséquences graves. C’est pourquoi je comprends certains conservateurs ou censeurs quand il y a pourtant de nos jours à s’interroger constemment sur celles-ci à l’aune de ce que les époques changent ou apportent ou modifient, en raison des mouvements et du caractère impermanent de certaines choses relativement vraies.

[98] Posez, je vous prie, la question à l’empereur du Japon ou à la reine d’Angleterre ou à certaines personnalités : elles ne peuvent plus faire certaines choses, tandis que moi, comme n’importe quel grognards, je continue, malgré la personnalité centrale que je suis, à croire que je peux descendre la poubelle, faire les courses, jouer du tennis ou avoir d’autres activités (sportives) y compris toutes les promenades que je fais sans escortes ou à pieds et cela comme quand j’étais petit ou à partir de 1975 (avec la taille qu’on sait que j’ai et dont tous ont vu qu’elle existe dans le Ciel). Oui, mais si je l’ai pu, cela s’est fait jusqu’à un certain âge et comme ce cas de figure me contraint à envisager sérieusement plusieurs femmes (impératrices) pour des raisons d’Etat, je vais donc avoir des transports à prendre pour me rendre de l’une à l’autre certains jours en attendant d’avoir, pour chacune un lieu décent qui soit commun et si j’ai des enfants, il faut bien que je puisse leur assurer à chacun les moyens de se développer et de grandir (même en ayant plusieurs mères – ce qui ne sera pas mauvais) et tout cela, c’est évident, exige des moyens matériels qui, s’ils ne sont pas réunis, ne permettront à aucune de ces impératrices de permettre de m’aider à faire que finalement Michèle Finck, devienne une véritable impératrice, ce qu’elle souhaiterait et pourquoi elle s’est peut-être même donné du mal. Vous comprendrez en plus qu’avoir à réclamer, comme ne pas disposer d’une administration ou de fonds propres, comme d’un budget impérial, pour me permettre de réaliser sur le plan privé ce que je crois légitime me permettre en raison aussi de ce que j’ai offert à tous, me paraît outrageant (sacrilège) et du plus mauvais goût de la part de tous, y compris de tous ceux qui ont profité amplement de mes largesses et de ces assurances et autres détails que j’avais été amené à prodiguer d’avance du futur. Si j’ai songé à eux, en me mettant à leur place, et en sachant que cela leur ferait plaisir d’être ainsi rassurés, en ayant cette perspective sur les trente ans qui allaient leur faire jouer un rôle, aucun (une ou deux personnes) n’a pensé que je pourrais avoir en échange des besoins, ni à me rassurer (ce qui signifie qu’à quelques reprises, j’ai cru que j’allais mourir et connu cette peur là, que j’avais pourtant évité à des milliers de personnes et eu vraiment à sacrifier beaucoup – pas seulement ma famille qui n’a pas les commodités qu’elle devrait avoir - mais aussi ma sécurité matérielle puisque j’ai dû renoncer à l’intelligence et à l’omniscience dans laquelle j’étais de nouveau en 1975, pour la seconde fois, à tous les métiers des mortels qui apportent au moins de quoi survivre et suis devenus l’une des personnes les plus handicapées du monde même avec mon génie, voire à cause de mon génie).

[99] (car je devais être empereur un jour et il fallait donc que j’ai en moi de véritables connaissances, dont je sois sûres non pour les avoir lues ou sues seulement dans les livres d’école comme mes camarades français, mais pour les avoir vérifiées aussi en Italie, en ayant inspecté tous les endroits et en les ayant dans ma mémoire – c’est ainsi que j’ai bien vu qu’il existe le lieu de la civilisation étrusque – maintenant il y a des films en couleur ou des vidéos, mais à cette époque là, les images à la télévision étaient en noir et blanc. Il était important aussi que mon père qui allait être empereur avant moi ait de véritables preuves de l’existence de tout ce qu’il avait étudié dans les livres « en chair et en os » dans la réalité. C’était vital pour l’Empire. Aussi à l’heure où je pense devoir élever une famille et que je pense à la génération suivante, il est important que nous puissions avoir les moyens pour former l’esprit d’un futur empereur, car il faut qu’il puisse avoir en lui ces référents dont ses études lui confirmeront qu’ils ont joué des rôles dans l’Histoire)

[100] Etant donné que c’est produit mon troisième avènement qui n’était qu’une virtualité annoncée et entrevue d’avance par tous dans le ciel quarante et trente ans auparavant (puisque je préviens toujours d’avance et comme on le voit, plusieurs fois). En effet l’ignorant, au bon sens de ce mot, doit être prévenu d’avance (ne serait-ce que pour qu’il puisse se rappeler que l’autre avait été honnête avec lui en l’ayant prévenu et qu’il puisse vérifier qu’il n’y avait pas l’intention de l’arnaquer, tandis que l’ignorant, au mauvais sens de ce mot, j’ai pu vérifier que cela ne sert à rien de le prévenir car de toute façon il oubliera ou il continuera à ne pas chercher à comprendre ou à vouloir faire les erreurs qui sont néfastes – c’est du temps perdu)

Suite de cette seconde partie de la lettre de SEAI SSS les Lord. Pharaons Magiciens d'Ôz, Sait ni heure des Annô et ... Laurie Granier à Monseigneur le Cardinal Vingt-Trois

 

______________________________________________________________________________________

Copyright © 2016 Lorimage, Lauriemage LaurYmage. Tous droits réservés. De Media Patata
Révision : 14 septembre 2017